HOUDART ET ASSOCIES - Houdart et Associés
Contents
1. eur de l ouvrage collectif S BARRE C EVIN PY FOURE L HOUDART D LAROSE G POUTOUT Le Trait des R seaux de Sant Editions UT mise jour d cembre 2002 Coauteur de S BARRE L HOUDART D LAROSE lt Le Trait de la coop ration hospitali re Editions Fran oise Coauteur de l ouvrage collectif A AUDRY S BARRE L HOUDART les dispositifs m dicaux Editions Fran oise HOUDART SECTEURS PUBLICATIONS D INTERVENTION Co r dacteur du blog du CABINET HOUDART ET ASSOCIES Droit des tablissements de sant et m dico sociaux Droit de la coop ration et des groupements Droit des professions m dicales Droit associatif et syndical LAU RINE JEUNE Droit de la recherche Juriste Biologie m dicale Pharmacie hospitali re Ping pong doctrinal sur le lt in house avec L Houdart et D Larose Finances 7 Radiologie IVITI Hospitali res n 86 d cembre 2014 uillet Le nouveau cadre juridique des Conseil et audit p les d activit Inter bloc n 3 Formation et animation de colloques pour le R ES CABINET HOUDART ET ASSOCIES Contentieux du contr le externe Premi res d cisions de la Cour de Cassation RHF n 536 Transfert l ONIAM de l indemnisation des victimes Formation pour Comundi de contaminations par le virus de l h patite C d origine Formateur Comundi Animation de colloques po2. la prise de d cision La place des quipes soignantes et leur r le une d cision d abord coll giale La place du patient et de l entourage La place du m decin in fine d cideur Quelles responsabilit s pour les quipes de soin Exemples jurisprudentiels Conclusions et perspectives 1 Quelle volution Quels sont les enjeux Et ailleurs en Europe Ma triser le r gime juridique encadrant la E 7 fin de pour l int grer dans les pratiques METHODE PEDAGOGIQUE hospitali res Supports th oriques r flexions individuelles et collectives mises en situation ateliers en sous groupes et changes des pratiques TARIF 700 00 par participant Le cabinet HOUDART ET ASSOCIES est un organisme de formation agr non soumis La TVA Sous Le num ro 11 75 50084 75 16 Aucun OBJECTIFS SECTEURS PUBLICATIONS D INTERVENTION valuation en sant Co r dacteur du blog du Cabinet HOUDART ET ASSOCIES Gestion financi re contr le de gestion et pilotage a Audit et contr le interne MARIE B ATR ICE RIGEADE ntelligence conomique venir La gestion prospective en sant Consultante en gestion sp cialis e en sant EXP RIENCES Audit de gestion et gestion financi re Audit et conseil en strat gie Lib ral circuits de facturation Charg e de mission Performance ARS Aquitaine Audit qualit et organisationnel Auditeur qualit et contr le inter
3. Cr ation Le cabinet devient une du cabinet 4 Paris Soci t dExercice Lib ral par Laurent Houdart Responsabilit Limit e KRATo Caisses d Assurance Maladie et Caisses de retraite Assurance tablissements publics et priv s Agences centrales ou d concentr es fran aises ou trang res 2013 Professionnels Lib raux Collectivit s F d rations territoriales et Fondations Agences R gionales de Sant Groupements tels GIE GCS 6 5 Etablissements de recherche Universit s Associations Syndicats S curit sociale Unions de mutuelles Suivez toute l actualit du cabinet sur notre site internet et blog www houdart org et sur l ensemble des r seaux sociaux 00009 Cabinet de Paris 6 passage de la Main d Or 75011 Paris T l 33 0 1 40 21 45 45 Fax 33 0 1 40 21 30 93 Cabinet de Marseille D 7 27 place aux Huiles 13001 Marseille T l 33 0 4 84 25 62 62 cabinet dhoudart org
4. Recrute s 2012 et du d cret attach PUBLIC losti nn C Rint ei Il La question de la fixation de la r mun ration de l agent contractuel 5 La gestion de la discipline des agents contractuels pratiques en mati re de gestion des a agents contractuels ct de l introduction du CDI dans le d cret n 91 155 du 6 f vrier PRE REQUIS 1991 sur la gestion de la discipline Aucun IV Les modifications unilat rales du contrat de travail par Uemployeu M THODE P DAGOGIQUE Supports th oriques r flexions individuelles et collectives mises en situatior OBJECTIFS taire Recruter et g rer des agents contractuels de droit public Conna tre les r gles de n gociation et ateliers en sous groupes changes des pratiques de fixation de la r mun ration de l agent G rer la discipline et pr venir le TARIF 65000 E n OJU UU i contentieux cipant d jeuner inclus Modifier le contrat travail Le cabinet HOUDART ET ASSOCIES est un organisme de formation agr non soumis la TVA Sous le num ro 11 75 50084 75 41 DATES ET LIEUX LA GESTION DE L INAPTITUDE A L H PITAL dd aes ET EN MAISON DE RETRAITE PUBLIQUE Marseille Les 1 juin et Anim e par Guillaume CHAMPENOIS Caroline LESNE Marine JACQUET ou Adrien PONELLI 12 octobre 2016 PROGRAMME 4 Pr venir les situations d inaptitude 7 heures 9 h 00 17 h 00 lt cadre
5. ateliers en sous groupes changes des pratiques TARIF 1500 00 par participant pour les 3 jours Le cabinet HOUDART ET ASSOCIES est un organisme de formation agr non soumis La TVA Sous Le num ro 11 75 50084 75 34 ET LERS POLICE JUSTICE L H PITAL A Paris les 4 5 et 6 avril et 7 3 4 et 5 octobre 2016 RESPONSABILITE CIVILE ET PENALE journ es 9 h 00 17 h 00 PUBLIC Professionnels de sant et cadres PROGRAMME PR REQUIS Aucun l 1 journ e Le r gime de la responsabilit civile Anim e par Virginie PERINETTI Le principe de la faute l expertise judiciaire Le consentement aux soins Module compl mentaire sur le r gime applicable aux mineurs une journ e ou une demi journ e OBJECTIES Module CARRIERE Uhospitalisation sous contrainte 1 journ e Limmunit civile commettant et pr pos et sa limite Comprendre les diff rents r gimes de responsabilit s qui coexistent situer l al a et l ONIAM 5 de chacun des acteurs concern s Autres responsabilit s ordinale disciplinaire 35 DATES ET LIEUX Ga Sle E ane POLICE JUSTICE L H PITAL 3 4 et 5 octobre 2016 RESPONSABILIT CIVILE ET PENALE DUR E HORS MODULE S COMPLEMENTAIRE S Suite 3 journ es 9 h 00 17 h 00 PROGRAMME suite PUBLIC Professionnels de sant et cadres Il 2 journ e Le r gime de la r
6. 33 0 1 40 21 45 45 Th me s de la formation d sir e T Marseille 27 place aux Huiles 13001 Marseille Objectifs de la TON MNO T l 33 0 4 84 25 62 62 Lieu souhait de la formation Dans vos locaux Autre Date souhait e de la formation Le CABINET HOUDART ET ASSOCIES est un organisme de formation agr sous le num ro 11 75 50084 75 non soumis la TVA CHARTE QUALITE Un label pour Une comp tence Chaque formation est dispens e par un professionnel traitant au quotidien le th me abord Une r activit Des th mes d actualit mis jour en permanence Une r ponse aux besoins des professionnels Des exemples concrets des cas pratiques etc CONSEIL Audit Expertise Consultations Direction de projets territoriaux et hospitaliers CONTENTIEUX e Juridictions administratives Juridictions civiles Juridictions disciplinaires e juridictions financi res Juridictions p nales FORMATION ganisme de formal gree cabinet se des formatior Sur mesure faciliter la conception n uvre de projets d claration e lle de France DOCTRINE amp PUBLICATIONS notre 7 www houdart org blog Une quipe pluridisciplinaire DISPONIBILITE REACTIVITE MOBILITE 1987
7. A Marseille les 27 janvier 8 juin et 15 novembre 2016 PROGRAMME DUR E heures 10 h 00 13 h 00 L analyse reposera sur le dernier tat de l article 27 du projet de loi tel qu il aura t amend par la Commission des Affaires Sociales du S nat PUBLIC Seront examin s plus particuli rement Tout Directeur d h pital Le p rim tre du GHT 2 Son mode d laboration et d approbation PRE REQUIS Le r le des instances La nature juridique du dispositif Ses cons quences responsabilit sociales March s publics partenariat etc Aucun OBJECTIF M THODE P DAGOGIQUE Comprendre et appr hender l outil du Supports th oriques r flexions individuelles et collectives mises en situation GHT ateliers en sous groupes changes des pratiques F 300 00 par participant Le cabinet HOUDART ET ASSOCIES est un organisme de formation agr non soumis a la TVA Sous le num ro 11 75 50084 75 DATES ET LIEUX GCS MODE D EMPLOI LES PI GES VITER Paris les 12 janvier et Anim e par Laurent HOUDART Dominique LAROSE ou Laurine JEUNE 7 novembre 2016 Marseille Les 26 janvier et 9 juin 2016 PROGRAMME l Les r gles et sp cificit s du GCS de moyens DUR E du GCS Droits sociaux Membres Gouvernance 7 heures 9 h 00 17 h 00 Retrait admission exclusion R partition des charges Fiscalit Ressources humaines R gles financi res Cr atio
8. Droit associatif et syndical Droit de la fonction publique EXP RIENCES Associ du cabinet Houdart et Associes Cabinet CHAMPENOIS cabinet d avocat au barreau de Versailles activit de conseil et de contentieux en droit de la fonction publique territoriale mise disposition aupr s de collectivit s de la grande couronne par convention avec le CIG grande couronne et en droit de travail aupr s d tablissements publics de collectivit s territoriales et de soci t de droit priv au sein du Cabinet COTTARD DURAND Paris Contentieux droit immobilier PUBLICATIONS Co r dacteur du blog du Cabinet HOUDART ET ASSOCIES Le transfert d une entit conomique autonome comme modalit de regroupement de l offre de soins une pr paration minutieuse au risque d une d convenue financi re In revue SANTERH n 29 juin 2011 RESEAU IDEAL CONNAISSANCES conf rence La reprise d une activit de droit priv par une personne morale de droit public enjeux et risques en mati re sociale et statutaire Formation l attention de DRH amp directeur adjoint d tablissements publics de sant Enseignements au Centre national de la fonction publique territoriale CNFPT sur la gestion du contentieux en mati re de personnel destin des DRH et des Directeurs des services juridiques gestion des conflits en mati re de personnel acquisition des connaissances proc durales et r daction des actes de proc dure s cu
9. hospitalier Il La gestion pratique et strat gique des situations de cumul d activit s PUBLIC des personnels hospitaliers et des personnels m dicaux en exercice au Aux professionnels de la fonction RH regard notamment des principes de la d ontologie dans la fonction publique PRE REQUIS Les cumuls d activit s autoris s AUCUN l encadrement de la cr ation d entreprise et de l exercice d une activit lib rale Le r le de la commission de d ontologie Le contr le et Les sanctions des situations de cumul irr guli res La gestion des situations d exercice priv apr s une cessation d activit et des situations de cumul emploi retraite Reprise d activit dans le priv apr s une cessation d activit dans le secteur public hospitalier Les leviers de gestion des distorsions de concurrence etc L volution du cadre l gal du dispositif de cumul emploi retraite OBJECTIFS Ma triser les situations induisant des risques de conflits d int r ts et Les possibilit s de cumul d activit s M THODE P DAGOGIQUE es mises en situation 400 00 par participant Le cabinet HOUDART ET ASSOCIES est un organisme de formation agr non soumis La TVA Sous Le num ro 11 75 50084 73 DATES ET LIEUX LE CHSCT UN ACTEUR ESSENTIEL DU DIALOGUE 27 septembre 2016 SOCIAL HOSPITALIER A Marseille les 22 juin et Anim e par Guillaume C 1015 Caroline LESN Marin 11 octobre 2016 JAMDEN HAMPEN DUREE 7 h
10. loi HPST dans le cadre des pr conisations du rapport de la Cour des comptes de 2007 Cette initiative forte et int ressante a permis d initier une r flexion sur la qualit comptable au sein des tablissements de sant mais galement au sein de la DGFIP et de la DGOS Ainsi le r f rentiel comptable de la M21 a r cemment t mis jour et consolid De nombreux outils qualitatifs ont galement t mis disposition des tablissements de sant citons le guide de la fiabilisation des comptes des h pitaux la cartographie type des processus et des risques sur les six cycles identifi s comme majeurs dans les tablissements publics de sant lt l auditabilit des syst mes d information et enfin le dossier de consultation relatif au march public en mati re de prestation de service de commissariat aux comptes tabli pour 6 ann es cons cutives Et alors que les tablissements de la vague 2014 ont subi sans pr paration pr alable leur premi re ann e de certification avec notamment la validation du bilan d ouverture que ceux de la deuxi me vague lanc e en 2015 sont en train de subir les m mes al as ceux de la troisi me vague b n ficient d ores et d j des retours d exp rience des premiers Mais qu en est il de ces premi res exp riences Quel est le niveau d avancement des premiers tablissements certifi s Les bilans d ouverture ont ils pu tre valid s en application des norme
11. m dico sociaux pour une prise en charge globale du patient OBJECTIFS Maison de sant outil au service de l innovation 1 Distinguer la Maison de sant par rapport M THODE P DAGOGIQUE aux autres formes de groupements Supports th oriques r flexions individuelles et collectives mises en situation Ma triser les fondements de la Maison de Sant ateliers en sous groupes et changes des pratiques 1 Proc der la mise en place d une Maison de Sant TARIF 700 00 par participant d jeuner inclus Le cabinet HOUDART ET ASSOCIES est un organisme de formation agr non soumis la TVA Sous le num ro 11 75 50084 75 22 SECTEURS PUBLICATIONS D INTERVENTION Droit de la responsabilit assurances Co r dacteur du blog du CABINET HOUDART ET ASSOCIES Droit Social Droit associatif et syndical Droit de la commande publique march s publics de services et de travaux d l gation de service public N E JACQU ET partenariats public priv s Avocat au barreau de Paris gt Droit administratif g n ral Droit des tablissements de sant et m dico sociaux Droit de la construction et droit de l urbanisme Droit des professions m dicales Activit de contentieux devant les juridictions administratives civiles p nales disciplinaires prud homales et sociales et toutes autres juridictions sp cialis es Activit de conseil EXP RIENCES Formation et animation d
12. 00 i PUBLIC Tout public PRE REQUIS Aucun Il Lex cution des contrats publics Le contentieux des contrats publics OBJECTIFS dentifier le cadre r glementaire des contrats publics Ma triser les pi ges viter M THODE P DAGOGIQUE Suivre sereinement la passation et 160 l ex cution des contrats publics TARF 26 DATES ET LIEUX TABLE RONDE LES EVOLUTIONS TEXTUELLES ET JURISPRUDENTIELLES EN CONTRATS PUBLICS Marseille les 23 juin et 27 septembre 2016 DUR E PROGRAMME 7 heures 9 h 00 17 h 00 l Les transpositions efficientes et les derni res PUBLIC volutions jurisprudentielles Tout public PR REQUIS Aucun Il Perspectives les transpositions a intervenir OBJECTIFS Identifier les volutions textuelles et jurisprudentielles des contrats publics M THODE P DAGOGIQUE Appr cier les changements a roupes change Adapter ses pratiques TARIF 27 DATES ET LIEUX PREMIERES APPROCHES DU DROIT DE L URBANISME Paris les 28 janvier et 25 octobre 2016 Marseille les 29 mars et PROGRAMME 14 juin 2016 1 De l urbanisme au droit de l urbanisme notion volution et perspectives DUR E 4 heures 9 h 00 13 h 00 PUBLIC Tout public souhaitant comprendre et ma triser le droit de l urbanisme PR REQUIS Aucun Les autorisations d urbanisme Il La planification urbaine IV Le contentieu
13. 9 mars et 7 d cembre 2016 7 heures 9 h 00 17 h 00 Anim e par Audrey UZEL ou Sophie BORDIER l Qualifier l op ration et la replacer dans son contexte nouvelles autorisations renouvellement op ration de structuration op ration PUBLIC _ police sanitaire Services juridiques des tablissements de sant publics ou priv s Il D finir le r gime juridique applicable Proc dure avis pr alable bilan d p t dans ou hors fen tre PR REQUIS Conditions d octroi et conditions de refus Aucun Le contentieux des autorisations Panorama de la jurisprudence Les principales causes d ill galit Quelle proc dure gracieuse hi rarchique r f r fond Larme du retrait L application dans le temps et conditions d annulation Les demandes de dommages et int r ts M THODE P DAGOGIQUE autorisations pour viter toute annulation Mises en situation Cas pratiques contentieuse TARIF 750 00 par participant d jeuner inclus Le cabinet HOUDART ET ASSOCIES est un organisme de formation agr non soumis La TVA Sous Le num ro 11 75 50084 75 14 OBJECTIFS Ma triser les tapes du droit des s LA CERTIFICATION DES COMPTES octobre 2016 DES ETABLISSEMENTS PUBLICS DE SANT Marseille les 11 mars et 23 septembre 2016 DUR E PROGRAMME 7 heures 9 h 00 17 h 00 T zJ Anim e par Marie B atrice Rigeade Anim e par Audrey UZEL ou S
14. HOUDART ET ASSOCIES Soci t d Avocats Inter Barreaux 0000000000 CATALOGUE DE FORMATIONS 2016 Pourquoi le cabinet s est il engag dans la formation secteur d j florissant d organismes Laurent HOUDART La r ponse tient en une phrase Parce que la complexit croissante du droit de la sant m dico social et des collectivit s publiques n cessite une approche diff rente fond e sur l exp rience la pratique et la comp tence Ainsi nous nous engageons sur Une comp tence chacun de nos formateurs est avocat ou juriste disposant des comp tences propres au sujet trait Une exp rience le droit de la sant et du m dico social et des collectivit s publiques est un droit de plus en plus complexe Nos formateurs ont tous une exp rience de conseil et de contentieux dans leurs domaines d intervention Une op rationnalit toutes Les formations sont illustr es par de tr s nombreux exemples et les formateurs sont capables de r pondre des questions factuelles pr cises Une adaptation notre objectif est d adapter les formations aux demandes sp cifiques qui nous sont adress es Qu il s agisse de pr parer un march complexe d envisager une coop ration avec un autre tablissement et d anticiper une gestion de crise etc nous tablissons ensemble un programme qui r pond vos attentes NOS FORMATIONS DROIT DE LA COOP RATION 5 D cryptage du GHT 6 GCS mode d e
15. HOUDART ET ASSOCIES est un organisme de formation agr non soumis la TVA Sous le num ro 11 75 50084 75 15 DATES ET LIEUX LES DROITS DU PATIENT EN FIN DE VIE Formation sur demande dans nos locaux Anim e par Marine JACQUET Pari PROGRAMME Ou 1 Analyse des principes fondamentaux Dans vos locaux Refus de l obstination d raisonnable et le double effet Analyse des notions DU R E Examen pratique autour d exemples et notamment des affaires m diatiques Chantal Sebir Vincent Lambert et Vincent Pierra permettant d appr hender concr tement les pourtours de la Loi Le respect de la volont du patient PU B Le droit au refus des soins et ses limites Principe analyse dans des situations pratiques Tous professionnels lib raux de sant Le cas du patient hors d tat de manifester sa volont explication sur les ar directives anticip es la personne de confiance le r le de la famille et les proches auxiliaires m dicaux ou pharmaciens Savoi 4 3 1 2 Savoir appr hender l accompagnement des personnes en fin de vie et de leurs souhaitant creer une maison de sant proches retour d exp rience recommandations de la HAS pluridisciplinaire Quid de la s dation profonde Une v ritable volution 7 heures 9 h 00 17 h 00 PR REQUIS II Appr hender les diff rentes tapes clefs respecter et les r les de chacun de la r flexion coll giale
16. JUDICIAIRES M THODE P DAGOGIQUE Supports th oriques r flexions i TARIF 700 00 d jeuner inclus par personne ndividuelles et collectives ateliers en sous groupes Le cabinet HOUDART ET ASSOCIES est un organisme de formation agr non soumis La TVA Sous Le num ro 11 75 50084 75 32 L a DROITS DEVOIRS ET CONDUITES TENIR FACE LA 5 6 et 7 septembre 2016 POLICE ET ALA JUSTICE Animee par Virginie PERINETTI DUREE 3 journ es 9 h 00 17 h 00 PROGRAMME l 1 re journ e PUBLIC Pr sentation g n rale de la mati re p nale Professionnels de sant et cadres Linfraction PRE REQUIS ZOOM sur l l ment intentionnel Aucun Proc dure et garanties La recherche de preuve et le secret professionnel La charge de la preuve OBJECTIFS L enqu te pr liminaire L enqu te de flagrance Connaitre la sp cificit de la mati re ZOOM sur la garde vue p nale et de sa proc dure L action publique Savoir mieux appr hender la conduite l action civile tenir lorsque nous sommes sollicit s par le syst me judiciaire p nal ZOOM sur le d p t de plainte 7 les d marches accessibles Il 2 re journ e visite du Palais de Justice de Paris toute victime d une infraction Visite rapide salle des pas perdus salles d audiences civiles etc Les m canismes expos s sont d di s Assistance une ou plusieurs audiences co
17. OIT DES TABLISSEMENTS DE SANT ET M DICO SOCIAUX DATES ET LIEUX LA TARIFICATION PROC DURE D INDU Paris les 4 f vrier et 12 septembre 2016 Anim e par Audrey UZEL ou Sophie BORDIER Marseille les 8 mars et 10 novembre 2016 PROGRAMME DUR E 1 Rappel de La proc dure T2A 7 heures 9 h 00 17 h 00 Comment se pr parer efficacement notification du contr le PUBLIC Equipe de direction quipe de direction financi re et juridique et quipe DIM PR REQUIS Aucun Il Comment contester Les positions des m decins contr leurs lors du contr le IV Que faire en cas de contestation des conclusions du rapport de contr le V Pourquoi et comment saisir les commissions de recours amiable CRA La notification de l indu VI Comment envisager un recours contentieux valuation des chances de succ s d une action devant Le TASS M THODE P DAGOGIQUE Expos s th oriques courts d tudes de cas et de mises en situation Savoir g rer efficacement le contr le sur site pour limiter les proc dures de TARIF r p tition d indu notifi es par la CPAM 750 00 par participant d jeuner inclus Le cabinet HOUDART ET ASSOCIES est un organisme de formation agr non soumis la TVA Sous le num ro 11 75 50084 75 13 OBJECTIFS DATES ET LIEUX DROIT DES AUTORISATIONS APPR HENDER LES PROC DURES Marseille les
18. PLINAIRE A Paris les 19 janvier et _ 15 septembre 2016 Anim e par Marine JACQUET ou Audrey UZEL Marseille les 15 mars et 16 novembre 2016 PROGRAMME i l Pourquoi cr er et mettre en place une Maison de sant pluridisciplinaire DUR E R pondre un besoin volont de mutualiser les expertises d velopper des 7 heures 9 h 00 17 h 00 pratiques innovantes b n ficier des incitations financi res etc PUBLIC Il Comment mettre en place une maison de sant re Etape 1 Analyser les besoins de sant sur le bassin de et cr er Tous professionnels lib raux de sant dynamique territoriale auxiliaires m dicaux ou pharmaciens Etape 2 D velopper un projet de sant commun port par les professionnels de souhaitant cr er une maison de sant sant et soutenu par les collectivit s locales pluridisciplinaire Etape 3 Mise en uvre Pr figurer la Maison de sant Qui porte le projet Qui construit Qui l int gre Qui finance quel quilibre financier PRE REQUIS Etape 4 D finir la structure juridique adapt e au projet comparaison des Aucun diff rents outils traditionnels Associations SCM GIE et zoom sur la SISA Retour d exp rience autour d exemples pratiques Conclusions perspectives aison de Sant interface privil gi e d une coop ration territoriale largie aux tablissements de sant collectivit s territoriales services sociaux et
19. ali re de France autres juridictions sp cialis es des R seaux de sant Universit de Marne la Vall e Activit de conseil Enseignant vacataire DIU dipl me inter universitaire de Pharmaco Epid miologie Module Activit de formation R glementation et cadre juridique Facult de m decine SAINT ANTOINE PARIS Enseignant vacataire GIP Ecole sup rieure Montsouris ESM Institut mutualiste Montsouris PARIS 37 Activit de conseil et de contentieux avec une dominante double le Droit de la sant et le Droit p nal Activit de conseil Formation et animation de colloques Charg e de cours l Universit SECTEURS D INTERVENTION Droit de la Sant Droit civil Droit p nal Droit ordinal EXP RIENCES Association au sein du Cabinet TMP Installation titre individuel Collaborations au sein de diff rents Cabinets parisiens PUBLICATIONS Co r dacteur du blog du Cabinet HOUDART ET ASSOCIES 38 VIGILANCES L H PITAL GARE AUX AMENDES 31 01 2014 L ORNITHORYNQUE www houdart org blog Le d cret n 2014 73 du 30 janvier 2014 relatif l harmonisation des sanctions p nales et financi res applicables aux produits de sant et aux modalit s de mise en uvre des sanctions financi res cr e une contravention de cinqui me classe notamment en cas de d faut de signalement de pharmacovigilance de mat riovigilance ou de r actovigilance par un pr
20. banisme commercial droi administratif g n ral droit de l environnement PUBLICATIONS Co r dacteur du blog du CABINET HOUDART ET ASSOCIES 29 AU COEUR DU CHOC DE SIMPLIFICATION LES MARCHES PUBLICS HOSPITALIERS 01 06 2015 L ORNITHORYNQUE www houdart org blog Curieuse d claration ce jour du Secr taire d tat la R forme de l tat et La Simplification Parmi les 52 nouvelles mesures de simplification pour les entreprises figure en tr s bonne position la mise en place d une r glementation unique plus souple sur les achats hospitaliers pour les tablissements de sant publics et priv s non lucratifs Selon le document qui vient d tre publi il para trait qu aujourd hui Les tablissements de sant priv s non lucratifs sont soumis une ordonnance de juin 2005 qui s en tient aux exigences essentielles europ ennes en mati re de commande publique alors que les tablissements de sant publics sont actuellement soumis au code des march s publics qui va au del de ces exigences communautaires en encadrant notamment certains aspects du contenu m me des march s publics Cette dualit de la r glementation serait source de complexit pour tous les acteurs de la fili re qu ils soient du c t acheteur ou du c t fournisseur Elle freinerait l acc s aux march s publics des entreprises les plus modestes qui doivent faire face deux contextes juridiques d ac
21. bilier droit Publics tablissements et institutions nalj publics et priv s du secteur sanitaire P du minist re de la sant des agences r gionales de sant des collectivit s Charg e d enseignement l Universit territoriales de f d rations professionnels de Droit de PECS Hongrie Droit constitutionnel et de syndicats etc fran ais Droit Europ en 18 LES D LIB RATIONS DU CONSEIL DE SURVEILLANCE S IMPOSENT L AUTORIT DE TARIFICATION 24 03 2015 Audrey UZEL www houdart org blog Le d bat faisait rage entre les tablissements de sant g rant des EHPAD et ou des USLD et les Pr sidents de Conseils g n raux mais e TITSS de Paris y a mis un terme Le Conseil de surveillance d un tablissement de sant avait vot affectation d exc dent la diminution du prix de journ e L objectif poursuivi par l tablissement tait d viter de faire peser sur les r sidents augmentation n cessaire des charges de fonctionnement Cette affectation permettait ainsi de maintenir le prix de journ e constant de lann e N a ann e N 1 Le Pr sident du Conseil G n ral a cependant refus de tenir compte des d lib rations ainsi prises L tablissement a alors saisi Le TITSS afin de voir prises en compte les d cisions d affectations Par un jugement du 21 novembre 2014 le TITSS de Paris a reconnu que les d lib rations du conseil de surveillance d un tablissement public de sa
22. de l obligation de r sultat l employeur r s curit au tra m decin du travail CHS J Droit d alerte D PUBLIC Les moyens de contr le de l inaptitude contr le m dical contr le Tout public souhaitant ma triser administratit la gestion de Iinaptitude dans Il La gestion de Uinaptitude en vue d un maintien dans l emploi Comment SAT n agent en cona de maladie ordinaire de longue la fonction publique hospitali re notamment adjoints des cadres attach s d administration hospitali re Le directeurs des ressources humaines re ible PR REQUIS ee nares Avoir une pratique de la gestion Ill G rer la sortie de l emploi d un agent public reconnu inapte aux fonctions des risques de maladie La retraite d offic M THODE P DAGOGIQUE 8 Accroitre la s curisation juridique de a vus votre gestion statutaire de l inaptitude TARIF r inclus OBJECTIFS J UU Le cabinet HOUDART ET ASSOCIES est un organisme de formation agr non soumis a la TVA Sous le num ro 11 75 50084 75 42 DATES ET LIEUX LES CONFLITS D INT R TS ET LE CUMUL D ACTIVIT S DES RESSOURCES HUMAINES HOSPITALI RES Marseille les 11 mai et Marine ACODER ane ENED 13 octobre 2016 PROGRAMME DU PEE l Une clarification de la r cente volution du cadre l gal des aroline LES A 9 00e 10 h 00 conflits d int r ts dans le secteur
23. e colloques Publics tablissements et institutions 4 Charg e d enseignement a publics et priv s du secteur sanitaire l Universit de Droit de Toulouse Capitole du minist re de la sant des agences r gionales de sant des collectivit s territoriales de f d rations professionnels Droit des biens et de syndicats etc 23 GRAIN DE SEL L ORDRE DES CHIRURGIENS DENTISTES 09 12 2013 Audrey UZEL www houdart org blog Branle bas de combat l Ordre des chirurgiens dentistes Suite a la publication d une r ponse a une question crite au gouvernement l Ordre affirme haut et fort que la position du Minist re ne lui fera pas modifier sa doctrine les chirurgiens dentistes ne peuvent cumuler une exercice en SEL et un exercice individuel De quoi s agit il Depuis toujours le Conseil National de l Ordre des Chirurgiens dentistes refuse d agr er les demandes d exercice en SEL lorsque le chirurgien dentiste exerce galement a titre individuel Le Conseil National se fonde sur les dispositions de l article R 4113 24 CSP qui dispose que Les membres d une soci t d exercice lib ral de chirurgiens dentistes ont une r sidence professionnelle commune Toutefois la soci t peut tre autoris e par le conseil d partemental de l Ordre exercer dans un ou plusieurs cabinets secondaires si la satisfaction des besoins des malades l exige et la condition que la situation des cabinets sec
24. e de num ro de TVA d intracommunautaire prix intracommunautaires rench rissait le des achats La tutelle peu au fait du droit fiscal a alors interrog sa propre tutelle pour conna tre la marche suivre afin de permettre au groupement d obtenir son num ro de TVA communautaire La tutelle de la tutelle elle m me bien emb t e s est rapproch e de son homologue de Bercy ce sujet Le correspondant pragmatique de Bercy a dans un courrier extr mement clair indiqu que la question de l absence des GCS dans le r pertoire des clair et tait un non probleme et qu il fallait uniquement se reporter aux cas d identification pr vus par l article 286 ter du code g n ral des imp ts Faisant directement le lien avec le structures immatriculables service local des imp ts auquel il n a pas manqu de rappeler ces l ments de base ce correspondant a permis au GCS d obtenir enfin son num ro de TVA intracommunautaire Certes il convenait d apporter une r ponse technique en l esp ce Il n en demeure pas moins qu l origine de tous ces changes et des d lais pr judiciables de r ponse il ne s agissait que d un simple probl me de r pertoire dans une base de donn es A quand une reconnaissance par toutes les administrations nationales de l outil GCS qui f tera bient t ses 20 ans La m me remarque vaut bien videmment pour les GCSMS Note de la r daction et locales 11 DR
25. esponsabilit p nale et droits de la victime PRE REQUIS Aucun OBJECTIFS Ill 3 re journ e Assistance des audiences p nales et d briefing Comprendre les diff rents r gimes de M THODE P DAGOGIQUE responsabilit s qui coexistent et situer Su pports t ectives mises en situation 5 de chacun des acteurs concern s ateliers en TARIF 1500 00 pour les 3 jours Le cabinet HOUDART ET ASSOCIES est un organisme de formation agr non soumis La TVA Sous Le num ro 11 75 50084 75 36 SECTEURS PUBLICATIONS D INTERVENTION Droit p nal Sro de ls sant Co r dacteur du blog du Cabinet HOUDART ET ASSOCIES gt Droit administratif Droit civil droit commercial et droit de la concurrence Droit hospitalier public et priv organisation sanitaire et gouvernance PIERRE YVES FOUR Avocat au barreau de Paris Droit des assurances Droit social et droit du travail Droit de l environnement et sant publique Droit de l informatique publication de la IVITES gt Droits processuels F d ration Hospitali re de France EX P R E N C ES Coauteur de l ouvrage collectif Guide de l administrateur Chapitre Droit et responsabilit de l administrateur Activit de contentieux devant les juridictions administratives civiles p nales et toutes Enseignant vacataire DESS Ing nierie l H pital publication de la F d ration Hospit
26. eures 9 h 00 17 h 00 PROGRAMME PUBLIC Sp cificit s juridiques du CHSCT hospitalier Les manageurs hospitaliers ae a Il Fonctionnement du CHSCT cr dits d heures proc dure secr taire 2 CHSCT PR REQUIS pad Aucun IIl Les moyens d action du CHSCT enqu tes inspections expertises et des limites de ceux ci IV La judiciarisation des actions du CHSCT OBJECTIFS Adapter les manageurs hospitaliers au M THODE PEDAGOGI QUE fonctionnement des CHSCT ead ri riques Vid lel es et colle tuation TARIF Le cabinet HOUDART ET ASSOCIES est un organisme de formation agr non soumis La TVA Sous Le num ro 11 75 50084 75 44 GUILLAUME CHAMPENOIS Avocat au barreau de Paris Activit de contentieux et de conseil en droit de la fonction publique et en droit du travail appliqu au droit de la sant Droit de la fonction publique audit sur de la prise de d cision statutaire disciplinaire r dacteur d actes gestion assistance et repr sentation dans les contentieux statutaires entr e dans le service carri re mobilit sortie du service Droit du travail conseil r dacteur d actes contrat proc dure de licenciement n gociation protocole lectoral n gociation avec les partenaires sociaux accompagnement et gestion du volet social d une fusion SECTEURS D INTERVENTION Droit social Droit du travail Droit administratif g n ral
27. femmes est encadr par les dispositions de l article R 4113 3 du code de la sant publique qui pr voit qu un m decin ou une sage femme associ au sein d une soci t d exercice lib ral ne peut cumuler cette forme d exercice avec un exercice individuel Cette limitation expresse n est pas pr cis e l encontre des chirurgiens dentistes D s lors un chirurgien dentiste exer ant titre individuel peut devenir associ d une soci t d exercice lib ral et inversement Qui a raison Essayons d aller un peu plus loin La loidu 31 d cembre 1990 quiainstaur les SEL pr cise que Des d crets en Conseil d tat pris apr s avis des organismes charg s de repr senter les professions concern es aupr s des pouvoirs publics ainsi que des organisations les plus repr sentatives de ces professions d terminent en tant que de besoin les conditions d application du pr sent titre Ils peuvent galement pr voir qu un associ n exerce sa profession qu au sein d une seule soci t d exercice lib ral et ne peut exercer la m me profession titre individuel o au sein d une soci t civile professionnelle Article 21 C est sur ce fondement que les professions de sages femmes et de m decins ont limit l exercice en SEL Pour les sages femmes par le d cret n 92 739 du 29 juillet 1992 article 3 interdiction d un cumul entre un exercice individuel et un exercice en SEL Pou
28. hat tr s diff rents et limiterait les possibilit s de coop ration en mati re d achats entre les deux secteurs Cela aurait pour effet de freiner la mise au point le test et la diffusion d offres innovantes en mati re d achat notamment de dispositifs m dicaux Dans le cadre de la prochaine transposition des directives sur les march s publics Les r glementations applicables l ensemble des tablissements de sant devraient donc d une part tre simplifi es et plus lisibles pour les acheteurs hospitaliers et les acteurs industriels et d autre part plus adapt es aux PME notamment en favorisant l acc s aux offres innovantes Le seul l ment qui soit incontestable dans cette bouillie de chats est que le code des march s publics est inutilement contraignant pour les tablissements publics de sant comme pour d autres acheteurs publics et qu une simple transposition de la directive europ enne leur serait suffisante malgr Les imperfections de cette derni re notamment en mati re de coop ration ou d achats innovants Tout le reste est fonci rement inexact Les tablissements de sant priv s non lucratifs ne r pondent pas dans leur tr s grande majorit la d finition de pouvoirs adjudicateurs l exception peut tre des centres de lutte contre le cancer quand bien m me ces tablissements appliqueraient l ordonnance de 2005 rien ne leur interdirait de grouper leu
29. ir que e contrat est la loi des parties qui l ayant orm par leur volont peuvent tout aussi bien Le r voquer La promesse est bien un contrat pr paratoire qui fixe les l ments essentiels du contrat dit d finitif lequel peut alors d terminer les l ments secondaires de la relation Par un arr t de novembre 2014 si la Cour de cassation a confirm que l crit qui pr cise que l emploi propos et la date d entr e en fonction constitue une promesse d embauche obligeant promettant envers le b n ficiaire Cass Soc 19 novembre 2014 n 13 19483 elle n a en revanche pas r affirm que la promesse d embauche vaudrait contrat de ravail laissant une porte ouverte une red finition du r gime de la promesse d embauche en tant qu avant contrat volution suivre 48 NOS FORMATIONS 7 j Comment participer ou avoir plus d informations PS DORA propos de nos formations une re toa Contactez nous WL nuire OM Re Par courriel formation dhoudart org Telephone portable Sutnotr site internet NII Le CABINET HOUDART ET ASSOCIES est install Code postal Ville amp Paris 6 passage de la Main d Or 75011 Paris A 5 T l
30. itro ou un tablissement de transfusion sanguine mentionn l article R 5222 10 de ne pas d signer un correspondant de r actovigilance ou de ne pas en communiquer le nom au Directeur g n ral de l Agence nationale de s curit du m dicament et des produits de sant 2 Pour le professionnel de sant ayant eu connaissance d une d faillance ou d une alt ration d un dispositif m dical de diagnostic in vitro susceptible d entra ner des effets n fastes pour la sant des personnes de s abstenir de le signaler sans d lai a l Agence nationale de s curit du m dicament et des produits de sant Art R 5462 2 La r cidive des contraventions pr vues a l article R 5462 1 est r prim e conform ment aux articles 132 11 et 132 15 du code p nal En application de l article 131 13 du code p nal les contraventions de cinqui me classe sont punies d une amende de 1 500 euros au plus montant qui peut tre port 3 000 euros en cas de r cidive lorsque le r glement le pr voit hors les cas o la loi pr voit que la r cidive de la contravention constitue un d lit 39 DROIT SOCIAL DATES ET LIEUX LA GESTION DE LAGENT CONTRACTUEL _ d cembre 2016 DANS LA FONCTION PUBLIQUE HOSPITALI RE A Marseille les 2 juin et 28 septembre 2016 ENO roline LE E JACQUET ou NELLE PROGRAMME DUREE Le recrutement des agents non titulaires de droit public 7 heures 9 h 00 17 h 00
31. iv s de formation Directeur du service juridique des assurances et du conseil Mairie d Alfortville Inspecteur de l Aide Sociale l Enfance D partement des Bouches du Rh ne 3 Assistant de Justice Parquet du Tribunal de Grande Instance de Paris PUBLICATIONS Co r dacteur du blog du Cabinet HOUDART ET ASSOCIES COLLECTIVIT S MUTUALISEZ In revue SANTERH n 29 juin 2011 47 PROMETTRE C EST D J S ENGAGER 09 03 2015 Caroline LESN www houdart org blog l n est pas rare que l employeur adresse une promesse d embauche au futur salari afin de faciliter son recrutement Cela tant l employeur mesure t il toujours es risques associ s une telle promesse d embauche Le code du travail ne donne pas de d finition de la promesse d embauche C est donc la jurisprudence qui a dessin Les contours de cette notion De r centes d cisions laissent entrevoir de nouvelles volutions de cette notion La promesse d embauche est l acte par equel un employeur s engage conclure un contrat de travail avec un candidat si celui ci l accepte La promesse d embauche d s lors qu elle est ferme pr cise et inconditionnelle constitue en principe un avant contrat de travail qui engage l employeur d s sa notification L acceptation du candidat suffit alors ormer le contrat de travail d finitif N anmoins la Cour de cassation par un arr t de 2010 a consid r que la promesse d e
32. mbauche bien plus qu un avant contrat valait contrat de travail Elle a galement donn la qualification de promesse d embauche une appr ciation souple en consid rant qu il y avait promesse d embauche d s lors qu taient pr cis s un candidat l emploi propos et la date d entr e en fonction envisag e peu important que la r mun ration n y soit pas pr cis e eCass Soc 15 d cembre 2010 n 08 42951 publi au Bulletin Mais attendu que constitue une promesse d embauche valant contrat de travail l crit qui pr cise l emploi propos et la date d entr e en fonction Et attendu que la cour d appel ayant relev par motifs propres et adopt s que la lettre du 31 juillet 2006 adress e M X le ler ao t 2006 lui proposait un contrat de travail pr cisait son salaire la nature de son emploi ses conditions de travail et la date de sa prise de fonction en a exactement d duit qu elle constituait non pas une proposition d emploi mais une promesse d embauche et que la rupture de cet engagement par la soci t CAMA s analysait en un licenciement sans cause r elle et s rieuse que le moyen ne peut tre accueilli Le non respect par l employeur d une promesse d embauche et la r tractation de l employeur sans motif l gitime sont alors assimil s un licenciement sans cause r elle et s rieuse Cass Soc 15 d cembre 2010 n 08 42951 Le candidat evince b n ficiaire d une p
33. ments publics de sant que l article R 314 75 dudit code relatif aux modalit s d ex cution des comptes de r sultats pr visionnels renvoie notamment aux dispositions de la sous section 6 de la section du chapitre 5 du titre IV du livre ler de la partie VI du code de la sant publique qui comprend l article R 6145 51 du code de sant publique qu ainsi par exception aux r gles applicables la mati re aux tablissements dont le tarif est fix par le pr sident du conseil g n ral ce dernier n est pas comp tent pour affecter les r sultats de la section d pendance des USLD et des sections h bergement et d pendance des EHPAD g r es par un tablissement public de sant Ainsi le TITSS admet que le caract re ex cutoire des d lib rations du conseil de surveillance r ception par le directeur g n ral de ARS met en chec le pouvoir reconnu l autorit de tarification Le raisonnement ainsi op r repose sur le fait que le caract re ex cutoire des d lib rations du conseil de surveillance rel ve d une disposition l gale alors que le pouvoir reconnu l autorit de tarification rel ve d une disposition r glementaire Un bel exemple d application de la pyramide de Kelsen 19 LA CERTIFICATION DES COMPTES LE MURMURE MONTE 03 06 2015 www houdart org blog La certification des comptes des tablissements de sant a t initi e par la
34. mploi les pi ges viter 7 Constituer un GCSMS une r ponse privil gi e face aux mutations du secteur social et m dico social DROIT DES TABLISSEMENTS DE SANT ET M DICO SOCIAL 13 La tarification proc dure d indu 14 Droit des autorisations appr hender les proc dures 15 La certification des comptes des tablissement publics de sant 16 Les droits du patient en fin de vie DROIT DES PROFESSIONS LIB RALES 22 La maison de sant pluridisciplinaire DROIT DE LA COMMANDE PUBLIQUE 26 Bonnes pratiques et management du risque en contrats publics 27 Table ronde les volutions textuelles et jurisprudentielles en contrats publics 28 Premi res approches du droit de l urbanisme DROIT P NAL 32 Le d cideur public et le management du risque judiciaire 33 Droits devoirs et conduites tenir face la police et la justice 35 Police Justice l h pital responsabilit civile et p nale DROIT SOCIAL 41 La gestion de l agent contractuel dans la fonction publique hospitali re 42 La gestion de l inaptitude l h pital et en maison de retraite publique 43 Les conflits d int r ts et le cumul d activit s des ressources humaines hospitali res 44 Le CHSCT un acteur essentiel du dialogue social hospitalier 3 DROIT DE LA COOP RATION DATES ET LIEUX D CRYPTAGE DU GHT Paris les 13 janvier et Anim e par Laurent HOUDART Dominique LAROSE ou Laurine JEUNE 8 septembre 2016
35. n et dissolution PUBLIC Tout dirigeant directeur budg taires et comptables Il Le GCS rig en tablissement de sant La d termination du type de GCS au regard du droit des autorisations La nature juridique d un GCS tablissement de sant risques et cons quences Gouvernance et principes g n raux de fonctionnement Echelle tarifaire facturation PRE REQUIS Fiscalit Intervention des personnels et statut acc s a des praticiens lib raux Les regles de responsabilit responsable de service et profession lib rale souhaitant se familiariser avec la mise en place d un GCS Aucun M THODE P DAGOGIQUE Supports th oriques r flexions individuelles et collectives mises en situation OBJECTIF ateliers en sous groupes changes des pratiques TARIF A N E 800 00 par participant d jeuner inclus depuis la cr ation Jusqu a la dissolution Le cabinet HOUDART ET ASSOCIES est un organisme de formation agr non soumis la TVA Sous le num ro 11 75 50084 75 Ma triser le fonctionnement d un GCS BATES E EI EUX Paris les 13 janvier et 9 d cembre 2016 Marseille les 10 mars et 8 septembre 2016 DUR E 7 heures 9 h 00 17 h 00 PUBLIC TouT professionnel du secteur social et ou m dico social souhaitant mettre en commun leurs comp tences et moyens PR REQUIS Aucun OBJECTIFS Caracteriser le GCSMS par rapport aux autre
36. ne CRAM Aquitaine Expertise et conseil sur les montages conomiques et organisationnels des op rations de restructuration et coop rations sanitaires Charg e de mission sur les syst mes de sant CRAM Aquitaine 17 SECTEURS PUBLICATIONS D INTERVENTION Droit de la s curit sociale et contentieux de la Co r dacteur du blog du CABINET HOUDART ET ASSOCIES arification Droit des tablissements de sant et m dico sociaux Droit des autorisations Droit de la responsabilit assurances Droit Social AU DREY UZEL gt Droit des professions m dicales Droit civil contrats priv s baux responsabilit civile Avocat au barreau de Paris droit des soci t s Droit des assurances EXPERIENCES Activit de contentieux devant les juridictions administratives civiles p nales disciplinaires prud homales et sociales et 2 sys toutes autres juridictions sp cialis es Cabinet VACCARO amp Associ s TOURS Activit Avocat collaborateur au sein du gt Charg e de la rubrique juridique de la revue Clinic gt contentieuse droit administratif g n ral march s 2 Ce Activit de conseil i Charg e de la rubrique juridique de la revue Les Nouvelles publics droit de la construction droit des contrats 3 Dermatologiques Formation et animation de colloques priv s droit de la responsabilit administrative droit de la responsabilit civile droit immo
37. nt simposaient l autorit de tarification qui est donc tenue de les prendre en compte lors de la fixation des tarifs des unit s soumises la tarification m dico sociale Consid rant qu aux termes de l article L 6143 1 du code de sant publique dans sa r daction issue de la loi du 21 juillet 2009 modifi e portant r forme de l h pital et relative aux patients la sant et aux territoires le conseil de surveillance des tablissements publics de sant d lib re sur 3 le compte financier et l affectation des r sultats qu en application de l article L 6143 4 cette d lib ration est ex cutoire de plein droit d s sa r ception par le directeur g n ral de l agence r gional de sant Consid rant en particulier que son affect s par d lib ration du conseil de surveillance conform ment l article R 6145 51 du code de la sant publique les r sultats des comptes annexes autres que ceux de la dotation non affect et des services industriels et commerciaux que figurent notamment parmi eux ceux des sections tarifaires des unit s de soins de longue dur e USLD et des tablissements d h bergement our personnes g es d pendantes EHPAD vis s aux 2 et 4 de l article R 6145 12 du m me code Consid rant en outre s agissant de l affectation des r sultats des activit s relevant de l article R 314 1 du code de l action sociale et des familles et g r es par des tablisse
38. ofessionnel de sant ou un tablissement de sant D sormais en application de l article R 5461 1 du code de la sant publique est puni de l amende pr vue pour les contraventions de cinqui me classe le fait 1 Pour un tablissement de sant un syndicat inter hospitalier un groupement de coop ration sanitaire une association mentionn s l article R 5212 12 de ne pas d signer un correspondant local de mat riovigilance ou de ne pas communiquer le nom de ce correspondant local au Directeur g n ral de lAgence nationale de s curit du m dicament et des produits de sant 2 Pour le professionnel de sant ayant eu connaissance d un incident ou d un risque d incident mettant en cause un dispositif m dical ayant entra n ou susceptible d entra ner la mort ou la d gradation grave de tat de sant d un patient d un utilisateur ou d un tiers de s abstenir de le signaler sans d lai l Agence nationale de s curit du m dicament et des produits de sant Art R 5461 2 La r cidive des contraventions pr vues l article R 5461 1 est r prim e conform ment aux articles 132 11 et 132 15 du code p nal Est galement puni de la m me peine en application de l article R 5462 1 du m me code le fait 1 Pour un tablissement de sant un syndicat inter hospitalier un groupement de coop ration sanitaire utilisateur de dispositifs m dicaux de diagnostic in v
39. ondaires par rapport au cabinet principal ainsi que l organisation des soins dans ces cabinets permettent de r pondre aux urgences Pendant un an au maximum la soci t peut en outre exercer dans le cabinet o exer ait un associ lors de son entr e dans la soci t lorsqu aucun chirurgien dentiste n exerce dans cette localit Un chirurgien dentiste m content saisit son d put qui interroge son tour son Minist re sur la possibilit pour un chirurgien dentiste exer ant titre individuel d int grer une SELARL pour y exercer galement Dans sa r ponse le Minist re prend le contre pied de la doctrine du Conseil National Le raisonnement est le suivant Il constate tout d abord que le code de sant public autorise un chirurgien dentiste avoir deux exercices professionnels sous quelque forme que ce soit L article R 4127 272 permet au chirurgien dentiste exer ant titre lib ral d avoir deux exercices professionnels quelle qu en soit la forme et ce sans faire obstacle aux r gles relatives notamment au lieu d exercice des soci t s d exercice lib ral Il constate ensuite qu il n y a pas dans le Code de sant publique de dispositions qui interdisent express ment le cumul d un exercice individuel et d un exercice en SEL l inverse des m decins et des sages femmes l exercice en soci t des professions m dicales savoir m decins chirurgiens dentistes et sages
40. ontractuels hospitaliers Revue hospitali re de France n 528 Prime de service aux contractuels Fin de l incertitude juridique et maintien de la distinction entre statut et contrat Interactions magazine de la FHF 46 1 ADRIEN PONELLE Avocat au barreau de Paris Activit de contentieux devant les juridictions administratives civiles p nales disciplinaires prud homales et sociales et toutes autres juridictions sp cialis es Activit de conseil Activit de formation Publics collectivit s territoriales tablissements et institutions publics et priv s du secteur sanitaire du minist re de la sant des agences r gionales de sant des professionnels de sant de f d rations professionnels et de syndicats etc SECTEURS D INTERVENTION Droi Droi Droi Droi b Droi Droi Droi 11 ans en territoriale public g n ral de l urbanisme de l expropriation des collectivit s territoriales de la fonction publique territoriale de La fonction publique hospitali re et d tat de la protection de l enfance EXP RIENCES ant que cadre de la fonction publique Directeur G n ral des services de collectivit s territoriale Formateur droit des collectivit s territoriales droit administratif g n ral droit de la fonction publique territoriale pour le CNFPT Centre National de la Fonction Publique Teritoriale et des organismes pr
41. ophie BORDIE l Le certificateur exprime son opinion gt sur les comptes l issue de son audit il d clare PUBLIC Certifier que les comptes annuels sont r guliers et sinc res et Tout dirigeant directeur administratif qu ils donnent une image fid le du r sultat des op rations de et financier ou responsable de service l exercice coul ainsi que de la situation financi re et du souhaitant ma triser les rouages de patrimoine de l entit la fin de l exercice l article 17 de la loi HPST et du d cret Assortir la certification de r serves relatif la certification des comptes Refuser la certification des comptes Constater l impossibilit de certifier PRE REQUIS Diriger un EPS ou g rer la comptabilit d un EPS OBJECTIFS Donner des l ments de connaissance Il Pour les tablissements de sant le projet de certification des comptes repose sur deux axes La fiabilisation des tats financiers et le travail sous jacent sur les pratiques comptables Le d ploiement du contr le interne comptable qui peut aussi tre mis en uvre de mani re ind pendante Le diagnostic de la qualit comptable METHODE PEDAGOGIQUE La fiabilisation des tats financiers Mises en situation Cas pratiques Le d veloppement du contr le interne comptable TARIF La formalisation d un plan d action en vue 650 00 par participant d jeuner inclus d obtenir la certification Le cabinet
42. r les m decins par le d cret n 94 680 du 3 ao t 1994 article 3 interdiction d un cumul entre un exercice individuel et un exercice en SEL Cependant le d cret du 29 juillet 1992 relatif l exercice en commun de la profession de chirurgien dentiste sous forme de soci t d exercice lib ral ne pr voit pas cette interdiction IL convient donc d en d duire que l article qui est d interpr tation stricte ne fait pas obstacle ce qu un chirurgien dentiste exerce titre individuel et au sein d une SEL Les dispositions de l article R 4113 24 CSP invoqu es par l Ordre pour s opposer ce cumul sont sans incidence En effet le fait qu il existe des dispositions propres aux SEL pour demander une autorisation d exercer sur un site distinct ne vient pas remettre en cause le principe de cumul Dans l hypoth se o une SEL souhaite ouvrir un cabinet secondaire elle devra suivre la proc dure pr vue l article R4113 24 CSP Mais si un associ d une SEL veut exercer titre individuel l ext rieur de celle ci c est bien lui qui en fait la demande et non la SEL Sa demande reposera alors sur les dispositions de l article R 4127 270 24 DROIT DE LA COMMANDE PUBLIQUE BONNES PRATIQUES MANAGEMENT DU RISQUE TE CONTRATS PUBLICS Marseille les 23 f vrier et C E 13 d cembre 2016 PROGRAMME DUR E La passation des contrats publics 7 heures 9 h 00 17 h
43. risation de la prise de d cisions statutaire 45 Activit de contentieux devant les juridictions administratives civiles p nales disciplinaires prud homales et sociales et toutes autres juridictions sp cialis es Activit de conseil Activit de formation Publics tablissements et institutions publics et priv s du secteur sanitaire du minist re de la sant des agences r gionales de sant des collectivit s territoriales des professionnels de sant de f d rations professionnels et de syndicats etc SECTEURS D INTERVENTION Droit Social Droit des tablissements de sant et m dico sociaux Droit de la responsabilit assurances Droit administratif g n ral Droit associatif et syndical Droit de la commande publique march s publics de services et de travaux d l gation de service public partenariats public priv EXP RIENCES Juriste au P le Ressources Humaines Hospitali res de la F d ration Hospitali re de France gt Questions juridiques et statutaires relatives aux onctionnaires contractuels publics hospitaliers et personnels m dicaux R daction damendements r glementaires gislatifs Animation de formations en droit de la FPH PUBLICATIONS Co r dacteur du blog du CABINET HOUDART ET ASSOCIES Revue hospitali re de France n 546 Cumul emploi retraite des fonctionnaires praticiens et agents c
44. romesse d embauche pourrait donc obtenir devant le Conseil des prud hommes des dommages et int r ts et une indemnit de pr avis A d faut de comporter ces mentions la promesse d embauche ne serait pas constitu e Il ne s agirait que d une simple offre d emploi qui n engagerait pas l entreprise et n ouvrirait alors aucun droit indemnisation au salari en cas de r tractation Cette jurisprudence tr s protectrice du salari avait n anmoins suscit une certaine critique doctrinale qui y voyait une confusion dans les contours de la notion davant contrat Deux arrets recents pourraient amorcer une evolution salvatrice La Cour de cassation vient de consid rer que l existence d une promesse d embauche ne faisait pas obstacle ce que le contrat de travail dur e d termin e y ajoute une p riode d essai permettant l employeur de rompre la relation durant l essai C Cass Soc 12 juin 2014 13 14258 La Cour de cassation appara t ici renouer avec le principe selon lequel La promesse d embauche est un simple avant contrat se distinguant du contrat d finitif En tout tat de cause elle est amen e tenir cette analyse par une application stricte de l article L 1221 23 du code du travail qui pr voit que la p riode d essai est express ment stipul e dans la lettre d engagement ou le contrat de travail L arr t se montre ainsi fid le la finalit de l article 1134 du code civil savo
45. rrectionnelles autant aux professionnels titre individuel sous r serve du calendrier judiciaire qu l tablissement o ils exercent Assistance une session d Assises sous r serve du calendrier judiciaire 33 DATES ET LIEUX Paris 1 2 et 3 f vrier 2016 5 6 et 7 septembre 2016 DUR E journ es 9 h 00 17 h 00 PUBLIC Professionnels de sant et cadres PR REQUIS Aucun OBJECTIFS Connaitre la sp cificit de la mati re p nale et de sa proc dure Savoir mieux appr hender la conduite tenir lorsque nous sommes sollicit s par le syst me judiciaire p nal Conna tre les d marches accessibles toute victime d une infraction Les m canismes expos s sont d di s autant aux professionnels titre individuel qu l tablissement o ils exercent DROITS DEVOIRS ET CONDUITES TENIR FACE LA POLICE ET A LA JUSTICE Anim e par Virginie P ERIN ETTI PROGRAMME suite III 3 me journ e L instruction La mise en examen La d tention provisoire Le proc s p nal Les voies de recours Linf ZOOM s L h pital auteur de l infraction La responsabilit du Directeur ZOOM sur le devoir de d nonciation action commise par le personnel L h pital victime d une infraction r le harc lement moral M THODE P DAGOGIQUE Supports th oriques r flexions individuelles et collectives mises en situation
46. rs achats avec les tablissements publics de sant dans le cadre des groupements de commande ou des centrales d achats ce qu ils font d ailleurs r guli rement Alors pourquoi tre pass par de telles acrobaties et contorsions pour justifier une simplification indispensable Quant au r el souci de faciliter l acc s des PME aux march s publics il est permis d en douter au regard de la centralisation et de la globalisation obligatoires des achats au sein des futurs groupements hospitaliers de territoire Mais voil les int r ts du Secr taire d tat la simplification sont difficilement conciliables avec les int r ts sup rieurs du Ministre des Finances qui tient Les cordons de la bourse 30 DROIT P NAL DATES ET LIEUX Paris les 21 janvier et 22 septembre 2016 Marseille Les 22 mars et 23 novembre 2016 DUR E 7 heures 9 h 00 17 h 00 PUBLIC Tout d cideur public tout directeur d tablissement tout agent public et tout m decin charg d une mission de service public PR REQUIS Aucun OBJECTIFS Propose dans un premier temps d identifier et cartographier les risques permettant ainsi de maitriser les fondamentaux Mettre en place une politique globale transversale et a tous les niveaux clarifier les responsabilit s de chacun LE DECIDEUR PUBLIC ET LE MANAGEMENT DU RISQUE JUDICIAIRE Anim e par Pierre Yves FOURE PROGRAMME l ee ee LES see tie
47. s d exercice professionnel des commissaires aux comptes Le silence est d or et le murmure monte au sein des tablissements Comment improviser une d marche de qualit comptable rigoureuse au sein des tablissements de sant pr alable indispensable la certification alors que certains ne b n ficient m me pas dauditeur interne ou de porteur de la d marche qualit autre que sur la th matique des soins Certes la d marche est identique mais elle ne simprovise pas Elle n cessite d tre port e par la direction qu il y soit consacr un temps qu il faut trouver Elle n cessite galement de modifier les habitudes et de cr er de sacro saintes proc dures qu il faudra ensuite s approprier puis appliquer sans cart en ignorant le d lai n cessaire de l appropriation Dans un environnement conomique incertain l importance de la fiabilisation des comptes n est pas d montrer et il n est d autre choix aujourd hui pour les tablissements que de s investir de mani re efficace dans la d marche Toutefois se pose la question de la comp tence en interne du calendrier retenu qui induit le risque d enclencher une proc dure superficielle valid e par des commissaires aux comptes de plus en plus sollicit s et qui terme risque de g n rer perte de temps et perte d argent sans r sultat significatif 20 DROIT DES PROFESSIONS LIB RALES DATES ET LIEUX LA MAISON DE SANT PLURIDISCI
48. s formes de groupements Ma triser les fondamentaux en mati re de gestion duGCSMS CONSTITUER UN GCSMS UNE R PONSE PRMLEGIEE FACE AUX MUTATIONS DU SECTEUR SOCIAL ET M DICO SOCIAL Anim e par Laurent HOUDART Dominique LAROSE ou Laurine JEUNE PROGRAMME l Qu est ce qu un GCSMS Les enjeux du secteur social et m dico social Le cadre r glementaire du GCSMS Pourquoi et quand avoir recours au GCSMS plut t qu un autre type de groupement Avantages inconv nients exemples pratiques Il GCSMS mode d emploi r ation d un projet commun les tapes Un outil a multiples facettes au service de l activit de ses membres P rim tres et limites Les membres et partenaires Organisation et gouvernance du GCSMS G rer les ressources humaines dans le cadre d un GCSMS R gles financi res et fiscales La r partition des charges entre les membres sabilit des membres Focus sur les pi ges viter M THODE P DAGOGIQUE Supports th oriques r flexions individuelles et collectives mises en situation ateliers en sous groupes changes des pratiques 700 00 par participant d jeuner inclus Le cabinet HOUDART ET ASSOCIES est un organisme de formation agr non soumis La TVA Sous Le num ro 11 75 50084 75 LAURENT HOUDART Avocat au barreau de Marseille Fondateur du cabinet Consultant r f renc aupr s du Minist re de la Sant coop ration hospi
49. t prve 7 Le Trait des R seaux de Sant Editions BERGER LEVRAUT du minist re de la sant des agences EXPER EN ES Coauteur de l ouvrage collectif De la biologie la r gionales de l hospitalisation des r seaux RS Gis robotique sous la coordination de Jean Claude MAS Elsevier de f d rations de professionnels et de Pr c demment adjoint au Chef de bureau au Option Bio She Minist re de la Sant Direction de l Hospitalisation Y 2 Coauteur de l ouvrage Pr paration des critures au contentieux et de l Organisation des Soins R glementation collectif S BARRE L HOUDART D LAROSE lt Le Trait de la COME ement E budg taire et comptable tarification fiscalit coop ration hospitali re Editions Fran oise HOUDART publics contentieux de la tarification march s publics domanialte publique Coauteur l ouvrage collectif fonction coop ration analyse et gestion financi res des linge dans les tablissements de sant l ments d approche tablissements publics de sant m thodologique Minist re de l emploi et de la solidarit Formation et animation de colloques Direction de l Hospitalisation et de l Organisation des Soins 10 IMMATRICULATION DES GCS VIVE LA COMMUNICATION INTER ADMINISTRATIONS 04 07 2014 Laurine JEUNE www houdart org blog Nous avions d j eu l occasion dans un ar
50. tali re coop ration sociale et m dico sociale coop ration internationale t l m decine Membre du Comit d thique du SYNERPA Syndicat National des tablissements et R sidences Priv s pour Personnes Agees Vice Pr sident d HABEO Co Pr sident de la F d ration de lutte contre la maltraitance 3977 association qui uvrent pour les personnes g es et handicap es qui regroupent 57 centres et plus de 1200 b n voles SECTEURS D INTERVENTION Droit administratif g n ral Organisation et restructuration du secteur sanitaire et m dico social coop ration fusion r seaux Op rations d investissement dans le secteur sanitaire et m dico social Proc dures collectives Droit de la commande publique march s publics de services et de travaux d l gation de service public partenariats public priv s T l sant Audits Fonctionnement des tablissements publics gouvernance financement tarification personnel Droit de la responsabilit assurances Droit de la construction et droit de l urbanisme Fondateur du cabinet Houdart en 1987 devenu Soci t d exercice lib rale Houdart et Associ s en 2008 PUBLICATIONS Co r dacteur du blog du Cabinet HOUDART ET ASSOCIES Outre de tr s nombreux articles Ma tre Laurent HOUDART a particip la r daction des ouvrages suivants Coau E lt BERGER LEVRA ouvrage collecti HOUDART
51. ticle du 7 janvier 2014 de faire tat des difficult s rencontr es par les GCS de droit priv pour obtenir une immatriculation aupr s de l INSEE Rien r gl ce jour un grand nombre de services juridiquement comp tents en la mati re continuant de regarder les demandes dimmatriculation de ces groupements avec les yeux d une poule qui a trouv un couteau Note de la r daction La d marche n en est pas moins complexe pour obtenir un num ro de TVA intracommunautaire num ro d identification fiscale Lun de nos contacts a en effet eu la semble d finitivement gentillesse de nous transmettre des correspondances illustrant ce propos Un GCS assujetti la taxe sur la valeur ajout e car gestionnaire d une pharmacie usage int rieur fort inquiet de ne pas r ussir obtenir de num ro de TVA intracommunautaire aupr s du service local des imp ts dont il relevait n a eu choix que de saisir sa tutelle de ce probl me Il lui avait t indiqu que le refus d immatriculation tait motiv d autre par le fait que Le GCS n tait pas une structure r pertori e dans la base de donn es Or sans ce num ro si le GCS pouvait bien videmment continuer d importer les biens n cessaires son activit il n avait aucune possibilit de b n ficier du taux fran ais alors que celui ci tait moindre par rapport celui de l tat d exp dition des biens consid r s En d finitive l absenc
52. ur EHESP Juriste Centre national sanguine revue Actualit s Jurisant 72 C il eue onsei d expertise hospitali re ONE R animation neonatale et Publics ec onto acharnement th rapeutique avec G Casanovas Berretta publics et priv s du secteur sanitaire RHF n 532 du minist re de la sant des agences Passation des contrats de march r gionales de sant de f d rations professionnels et de syndicats des professionnels de sant etc Casanovas R Rayssac Gestions hospitali res n 491 l incidence des proc dures contentieuses suitej gt avec G SECTEURS PUBLICATIONS D INTERVENTION Co r dacteur du blog du CABINET HOUDART ET ASSOCIES Organisation et restructuration du secteur N hc sanitaire et m dico social coop ration fusion r seaux Op rations d investissement dans secteur sanitaire et m dico social DOMINIQUE LAROSE Marches publics delegations de service Juriste public contrats de partenariat public priv Fonctionnement des tablissements Coauteur du Dictionnaire Permanent Action Sociale Editions a E publics gouvernance financement en IVITES L gislatives Fascicule Coop ration sociale et m dico sociale tarification personnel 5 Coauteur de l ouvrage collectif S BARRE C EVIN PY Audit et conseil aupr s des tablissements FOURE L HOUDART D LAROSE G POUTOUT E PTAKHINE cn pubie S
53. x de l urbanisme M THODE P DAGOGIQUE Apprendre exploiter les documents de es cha planification urbaine TARIF dentifier le r gime d autorisation om applicable OBJECTIFS 28 AMANDINE COSTE Avocat au barreau de Paris Activit de contentieux devant les juridictions administratives civiles p nales disciplinaires prud homales et sociales et toutes autres juridictions sp cialis es Activit de conseil Formation et animation de colloques Publics tablissements et institutions publics et priv s du secteur sanitaire du minist re de la sant des agences r gionales de sant des collectivit s territoriales des professionnels de sant de f d rations professionnels et de syndicats etc SECTEURS D INTERVENTION Droit de la commande publique accompagnement des ma tres d ouvrage publics et priv s march s de travaux services et fournitures passation et ex cution Droit administratif g n ral Droit de la construction et droit de l urbanisme Droit des tablissements de sant et m dico sociaux Droit de la responsabilit assurances Droit Social EXP RIENCES Avocat collaborateur au sein du Cabine FRECHE et Associ s Paris Activit de conseil et de contentieux en droi immobilier public et priv Avocat collaborateur au sein du Cabine RACINE Paris Activit de conseil et de contentieux en droi de l urbanisme ur
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