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Vaccination

1. r put es scientifiques Les m decins dipl m s se veulent scientifiques et aussi les m decins vaccinateurs Or nous venons de le voir tous les m decins qui vous ont vaccin s l ont fait sans conna tre les tr s com plexes m canismes Immunologiques d clench s par leur geste ce dont on peut les excuser puisqu ils ne leur ont pas t enseign s Sont ils pour autant excusables Je pense que nous avons tous failli car nous avons p ch contre le premier com mandement de la nouvelle religion scientifique qui impose ses adeptes en premier lieu l observation des faits Nous avons tous n glig de _ relever soigneusement ce qui tait _ notre port e La pl thore de ph D _nom nes bien r els et visibles qui ne manquent pas d appara tre dans _ le d cours d une vaccination Ces ES _ ph nom nes sont des faits observa bles par le premier venu De plus ils k sont r p titifs Pourquoi les ignorer _ na d autant plus regrettable de Le part d un scientifique qu il ampute pre son tude de sa premi re marche Car c est ainsi que proc de exercice de la recherche du savoir au science se nourrit de la r colte pr alable A Ea quand eeux ci Fe r p tent l observateur PEU Se rasarder a mettre une supposition Comment voulez vous que progresse notre connaissance du ph nom ne ac inal si les rer Se de cette gigantesque c r monie e en ign grent la fois les
2. nier toute relation entre le produit et ses effets d l t res et interdisent aux scientifiques contestataires de s exprimer en public n h sitant pas discr diter leurs travaux De toute mani re tant que les rares respon sables condamn s ne le seront qu des amendes si importantes solent elles ils r cidiveront car le risque est loin d galer le b n fice Le seul moyen de les emp cher de nuire est de les emprisonner avec des condamn s de droit commun comme toute personne ayant commis un crime Dans son Carnet d un biologiste Jean Rostand constatait Je croyais qu un savant tait un homme qui cherche la v rit alors que c est souvent un homme qui vise une place IL est certain que tout scientifique conscien cieux se pose des questions d thique chaque moment mais le consensus scienti fique privil gie plut t les recherches qui ne le perturbent pas trop alors que le propre de la science devrait tre de pouvoir sans cesse remettre en question des id es re ues De la sorte si notre soci t est loin d tre infor m e les scientifiques eux m mes ne le sont pas de mani re syst matique D abord parce qu ils ignorent souvent ce qui ne rel ve pas de leur strict domaine d investigation ensuite parce qu ils n ont pas toujours dans ce m me domaine une vision univoque de la r alit Si une grande partie des scientifiques et des professionnels de sant a perdu toute conscience c es
3. i li ne rs x til La d sob eisssance civile i LETTRE os ERA Ti aura vais LT T nous ne devons pas oublier que ce poison a t choisi en 2003 comme m dicament de l ann e par plus de 6 000 g n ralistes dans le cadre du Medec qui r compense le m dicament le plus performant de l ann e sur le plan de la sant Tout cela pourrait tre imput des erreurs involontaires donc pardon nables si on n avait pas appris que le laboratoire avait donn ses visi teurs m dicaux des renseignements mensongers Les r sultats d un pro c s qui a eu lieu en 2000 ont bien prouv la collusion de Merck et de la FDA qui connaissaient l existence des attaques cardiaques alors que le laboratoire poursuivait la publicit pour son produit le soir la t l vi sion Mais en France o les labora toires ont continu le vendre et les m decins le prescrire l Afssaps a d clar Le risque de complication cardiovasculaire reste cependant fal ble et n appara t qu long terme Jusqu combien de morts le risque reste t il faible Nous sommes habitu s ce genre de protection depuis le d sastre de Tchernobyl En outre les effets secondaires des m dicaments sont souvent d cel s avec de gros retards et la liste initiale de ces effets tant rarement exhaus tive elle peut tre remise en cause tout moment m me des dizaines d ann es plus tard Ain
4. de ses ouvrages et articles comme aussi le livre tr s abordable du professeur Michel Georget ainsi que tous les ouvrages recen s s la page 20 de l dition d octobre 2009 de votre abonnement C est en lisant ces innom brables t moignages critiques que l on peut enfin prendre conscience de l ampleur des malheurs physiques de toutes sortes qui ac cablent la multitude des victimes vaccinales Pour r sumer l impact catastrophique du tabou vaccinal sur la sant publique je conclus ce long pr ambule en attirant votre attention sur trois des principales cons quences de cette aberration l asservissement de l enseignement de la m decine le blocage de la recherche scientifique et bien entendu la myriade de maux physiques engendr s par les vaccins Il De la perversit extr me du tabou vaccinal Je ne vais pas passer en revue cette monta gne de t moignages irr futables de la nocivit des vaccins en fid les lecteurs de votre Bulletin vous les connaissez aussi bien que moi Mais attire votre attention sur un fait qui vous chappe peut tre les d g ts ainsi expos s ne concernent que les alt rations visibles du corps physique des victimes La fi vre l agitation toutes les maladies d ve lopp es par la suite ne s expriment que par une alt ration de notre int grit corporelle de notre corps physique bien mat riel Et certes nous avons le droit de nous affoler la lecture de ces milliers de pathologie
5. malgr les tudes m dicales qui mettent en vidence les dangers de ce vaccin C est une question de sant pour tous les enfants anglais ni plus ni moins o bien le Sunday Times consid re qu il peut se poser en juge jury et bourreau sans proces audition de t moins et droit de r ponse Il est temps d tablir des r gles pour les droits de la presse La question est plus que Jamais d actualit et IL serait temps que les tribunaux se penchent s rieusement sur la question Esp rons que le scandale Murdoch va y contribuer Toutefois le gouvernement britannique qui a tellement pr n cette vaccination l poque de Tony Blair et l industrie pharmaceutique qui se sont alli s au Sunday Times n ont pas int r t soulever ce nouveau li vre Il faut esp rer que certains pouvoirs ind pen dants et int gres ne laisseront pas passer cette occasion d clairer la situation Le 16 f vrier 2009 la journaliste anglaise Melanie Phillips demandait dans Child Health Safety la publica tion de la correspondance de Brian Deer avec le Department of Justice des tats Unis En effet la semaine pr c dente trois requ tes parmi les 4 500 proc dures en justice concernant des enfants bless s par ce vaccin et qui sont en attente depuis le d but des ann es 2000 ont t rejet es alors que Brian Deer avait accord son assistance au Department of Justice and Health and Human Services am ricain contre lequel les pla
6. me t au centre de certains scandales Pour La Libert des Vaccinations 2 Dr me LLST itiiti AE Lu i j hareki P s m gt il TT lu a sept aura vais il La d sob eisssance civile au cours des derni res ann es De surcroit tous les pouvoirs utili sent la peur pour mieux dominer et ceux qui font profession de savoir pratiquent savamment cette strat gie parfaitement efficace qui permet d obtenir la d pendance des citoyens Comme le disait Machiavel Celui qui contr le la peur des gens devient le ma tre de leurs mes Cet instrument de manipulation qui permet d abolir tout sens critique et d exploiter la cr dulit des populations en les maintenant dans l ignorance des faits essentiels de l existence a toujours t utilis mais pr sent il op re sur une plus grande chelle gr ce aux multiples moyens de dif fusion Les religions nous ont appris croire aux dogmes sans chercher Les comprendre Nous persistons appliquer cette r gle bien tablie en coutant les injonctions de despotes non plus religieux certes mais tout aussi tyranniques Et le dogmatisme m dical actuel pourrait tre compar aux pratiques de l Inquisition qui br lait tout ce qui d passait son enten dement ou pouvait mettre en p ril l h g monie de l glise catholique Le meilleur exemple et le plus r cent est celui de la
7. qu on invente sans cesse de nouveaux vaccins aussi dangereux qu inutiles et avec des injec tions de plus en plus fr quentes Bulletin d informations de la Ligue Nationale Une nouvelle preuve des mensonges concernant le ROR Le 16 juillet dernier l association belge Initiative citoyenne avait crit la r daction du Journal International de M decine JIM pour leur faire part de son tonnement la suite des affirmations de l Acad mie fran aise de Pharmacie qui tout en appelant la vaccination ROR obligatoire osait affirmer que toutes les tudes ont r fut la responsabilit du ROR dans la survenue d effets secondaires graves Le journal a accept de publier leur r action mais la place d un change d arguments scientifiques v ritables la r daction du Jim s est born e d clarer que la s curit du ROR est un fait av r ignorant les nombreux travaux qui ont converg dans le m me sens sans pour autant tre retir s Le 20 juillet 2011 l association belge a publi sur son blog un excellent article intitul Quand le Journal International de M decine JIM se plante a fait mal l industrie du vaccin que je conseille de lire tous nos lecteurs int res s s par la question Les auteurs y font remarquer que le Daily Mail a cit Les tudes du Pr John O Leary qui avait d ja reproduit les r sultats du Dr Wakefield en 2001 puis celles de l quipe de la Wake Forest U
8. bien que partisans de ce changement d un monde qui nest plus supportable pratiquent la politique de l autruche car ils estiment qu il est d j trop tard que de toute facon ils sont trop peu nombreux pour avoir un impact quel conque et qu il faudrait une majorit de gens impliqu s dans ce processus pour faire pencher la balance Ils ignorent sans doute que toutes les r volutions sont n es de petits grou pes de citoyens d termin s ce qui est logique puisque selon la physique quantique nous sommes tous reli s Nous n avons ainsi plus beaucoup de choix ou bien nous pratiquons la d sob issance civile ou bien nous rejoignons les esclaves qui ch ris sent leurs bourreaux annonc s par Aldous Huxley Sylvie SIMON Bulletin d informations de la Ligue Nationale B gt Vous tes d j adh rent et souhaitez r gler votre cotisation pour l ann e 2011 Les cotisations sont annuelles sur une ann e civile soit du 01 janvier au 31 d cembre B gt Vous n tes pas adh rent et souhaitez le devenir Vous pouvez remplir Le bulletin d adh sion ci dessous accompagn d un ch que du montant de La cotisation choisie l adresse suivante LNPLV BP 816 74 016 ANNECY Cedex Lors de votre adh sion vous recevrez par courrier une enveloppe contenant e 1 carte de membre e 1 extrait des statuts e La L gislation vaccinale mise jour Ao t 2004 e Dossier Vaccins et Vaccinations synth se de la si
9. cessaire que ce scandale soit d nonc par les consommateurs clair s car nombre de gouvernements et de b n ficiaires de ces crimes m me ceux qui n en sont pas directement responsables sont trop enlis s dans leurs mensonges et leurs corrup tions pour chercher faire un grand nettoyage qui est non seulement urgent mais vital Sylvie SIMON Bulletin d informations de la Ligue Nationale La desobeissance civile Ily a quelques ann es Andr Gl cksmann pr nait la d sob issance civile au sujet du scandale du sang contamin qui n aurait peut tre jamais exist si quand il tait encore temps quelqu un avait civilement d sob i A Baisi sM nt i Mi MT es IL est certain que le Sang ontamin n est qu un exemple parmi bien d autres le nuage de Tchernobyl le distilb ne l amiante l enc phalo pathie spongiforme bovine l hormone de croissance les hormones dans la nourriture des animaux leS produits chimiques dans lagri culture les centaines de m dicaments retir s parce qu ils avaient tu alors qu ils avaient t mis sur le march apr s de longues tudes sur leur innocuit absolue Aucun des v ritables responsables de ces d lits n a t sanctionn except parfois quelques rares boucs missaires La liste des tueurs potentiels toujours en libert s allonge tous les jours mais La plupart des consommateurs de m dicaments chimiques lignorent la plupart du temps comm
10. en mati re de vaccin en France Augmenter les adh rents 10 Honn tet des lois Bulletin d informations de la Ligue Nationale Monsieur le Pr sident Mesdames Messieurs C est avec un profond Sentiment de gratitude que j ai accept votre invitation pr senter mon point d vue sur un sujet qui nous tient c ur la vaccination Je vous en remercie chaleureusement et avec une pointe admirative d envie car le morcellement excessif de notre d j minuscule territoire helv tique ne nous permet pas d avoir votre chance de poss der un outil unique et performant de lutte nationale contre l h r sie vaccinale Il est rare que je prenne publiquement position ce sujet en dehors des s mi naires que je consacrais la promotion de l hom opathie s quentielle mais l occasion qui m est donn e est trop belle pour ne pas apporter aussi une modeste contribution votre uvre collective Vaccination le dernier tabou Mon expos commence par une analyse du ph nom ne tabou Sa naissance sa vraie nature ses premiers d g ts Une deuxi me partie vous fera com prendre son extr me perversit Enfin apr s un bref expos de ma m thode th rapeutique je vous indi querat les moyens de pallier les effets d sastreux des vaccins et de faire ainsi sauter le dernier carcan impos la sant publique I Naissance et nature d
11. g es et une mortalit mul tipli e par dix D autant que les vaccinalistes eux m mes reconnaissent que l immunit vaccinale artificielle n est pas aussi durable que limmunit naturelle et que les taux d anticorps observ s apr s les vaccinations n sont g n ralement inf rieurs ceux qui sont constat s apr s les maladies Chest insi qu pr sent des adultes contrac ent certaines maladies infantiles un ge bien plus graves Ce ph nom ne que l on eVait d ja constat aux Etats Unis se v rifie galement en France Comme le soulignait en 1990 le magazine m dical Jama dans son dition fran aise vol 15 n 210 le vaccin donne la rougeole mais certaines cr ches dont les responsa bles ne lisent videmment pas Jama m me en fran ais l exigent pour l admission des b b s D apr s le biologiste Bernard D Jachertz de Berne L exp rience historique montre que le virus de la rougeole repouss ou m me an anti sur une population circonscrite ex pose ladite population au danger d pid mie caract re explosif C est bien ce qui se produit depuis deux ans En outre lorsqu on brandit le spectre des enc phalites post infectieuses pour terroriser les m res de familles elles taient tr s rares avant l re vaccinale et on se garde bien d voquer le risque d enc phalites post vac cinales et de perturbations du trac lectro enc phalographique qui sont beaucoup plus fr quen
12. gt et les aboutissants Ils gravement en faisant fi Done dont ils se ont ct alt rent ainsi la libil lit d une pratique m dicale ce plan taire Comment mmunaut scientifique interna t elle pu accepter pareille Je veux y voir un autre effet de notre diabolique tabou et vais essayer de vous d montrer par une anecdote le m canisme de ce qu il faut bien appeler une colossale imposture IL y a quelques ann es je recois un appel t l phonique d un professeur renomm de notre cole polytech nique f d rale titulaire de la chaire d lectricit Ce professeur est le type m me du savant connu pour la rigueur de son esprit scientifique Il venait de recevoir un appel d un ami de Gen ve dont la fille entamait des tudes de m decine Se fiant aux recommandations quasi commina toires de la Facult la jeune fille se fait vacciner contre l h patite B le lendemain elle voit trouble mais se pr sente n anmoins le mois suivant chez son m decin qui lui injecte le premier rappel Les jours suivant la vue baisse davantage l tudiante s en inqui te et consulte nouveau Le m decin la rassure d nie tout rapport de cause effet et r ussit m me la convaincre de parfaire sa protection vaccinale en lui injectant dans le d lai prescrit le deuxi me rappel du m me vaccin La suite est dramatique la jeune fille perd la vue Affol e elle consulte un premier ophtalmologue qui diagnos tique une
13. mensonges concernant le ROR On pourrait r sumer l affaire dont le but principal tait de museler les m decins qui osaient sonner l alarme afin de dissuader les autres de les imiter et de grever ainsi les fabu leux b n fices de Big Pharma de mani re tr s br ve mais r v latrice En juillet 2003 le propri taire du Lancet Crispin Davis devient le directeur non ex cutif de GlaxoSmithKline fabricant du ROR En f vrier 2004 sous de fallacieuses raisons le Lancet rejette la publication d Andrew Wakefield qui est tra n dans la boue par la BBC et le Sunday Times Le 27 f vrier 2004 son fr re e Juge Davis retire l assistance judiciaire des plaignants En juillet 2004 Crispin Davis fr re du juge est anobli par le gouvernement de Tony Blair Or c est Sir Crispin Davis qui a engag James Murdoch pour rejoindre le groupe Glaxo SmithKline En outre le Lancet fait partie du groupe Elsevir avec lequel James Murdoch a des rapports tr s troits Ces agissements ressemblent davantage des manigances mafieuses qu des pratiques scientifiques ou m dicales Clifford G Miller sp cialiste des questions de droit m dical et avocat aupr s de la Cour Supr me anglaise a fait remarquer combien il tait curieux que le Sunday Times ait choisi de publier les accusations de Deer pendant la campagne du Gouvernement travailliste pour inciter rendre obligatoire cette vaccination pour tous les enfants anglais
14. n 12 Tout a pour a HINI eessssss R37 5 00 RSS R24 0 50 Logo autocollant Des livres qui sont livr s chez vous au m me prix que si vous les achetiez en librairie participation aux frais postaux de 2 D s 20 de commande Port Gratuit R glement la commande par ch que l ordre de LNPLV Pas d envoi contre remboursement Pour l tranger nous consulter
15. que nous souhaitons d velopper l esprit critique et l esprit d analyse de nos interlocuteurs en respectant leur liberte Chacun de nous doit devenir un militant de nos convictions en apportant coute et conseil Vous avez plac l coute des adh rents en cinqui me position nous favoriserons les changes etvotre participation dans cette ann e d Alliance Pour atteindre les victoires que vous avez pl biscit es et notamment la premi re Eveiller les consciences du public fran ais sur les vaccinations Nous vous proposerons prochainement des modes d action o cut pare contribuer aavanc e de de Ese RE LUN Pour que la photo de notre identit collective soit la plus forte nous faisons appara tre les dix premiers cit s pour chaque th me Les mots qui repr sentent La Ligue I OO FR Nece 8 7 Concertation D sint ressement financier Courage Libert Ecouter la parole des adh rents Bon sens D velopper l esprit critique et l esprit d analyse Militant Conseils 10 Ecoute Les victoires de la ligue 1 I OT N 7 Eveiller les consciences du public fran ais sur les vaccinations Abrogation de l obligation vaccinale Prouver la dangerosit des vaccins Avoir le choix Prouver l inefficacit des vaccins Respect du libre choix du patient Indemnisation automatique et syst matique de l Etat pour tous les accidents li s la vaccination La ligue est une r f rence
16. retour de ce der nier dans les pharmacies Fait aoaiina le aaan lampon et Signature De cette mani re on bloque les m decins qui apr s avoir affirm aux parents que les vaccins ne pr sentent aucun risque ne veulent pas en gager leur responsabilit Je n al pas pour l instant de retour sur cette mani re de faire par contre je sais que les m decins d accord avec nous consultent notre site car les certificats tablis le sont dans les termes que j ai nonc s Bulletin d informations de la Ligue Nationale Je vais vous expliquer comment nous avons r ussi o pas r soudre des affaires qui illustrent notre ac tion A Chamonix une maman veut mettre son enfant en cr che il n est pas vaccin mais un m decin a tabli un Certificat de Contre Indication malheureusement le p diatre de la cr che qui est en opposition totale avec le signataire du certificat refuse son entr e en cr che Nous allons enfin pouvoir obtenir un jugement en r f r Malheureusement Le tribunal Administratif de Grenoble refuse le r f r au motif qu Chamonix il n y a pas qu une seule cr che et que les parents n ont qu s adresser une autre cr che L affaire viendra au fond dans quelques ann es ce moment l l en fant n aura plus besoin d aller en cr che La Ligue a toujours int r t ce Jugement nous irons donc au pout Affaire L o nous avons racont dans le num ro pr c dent de R amp V l histoire d
17. sait bien que son article ne passerait pas la rampe du comit de lecture Et il risquerait m me finalement son poste car personne nest plus frileux qu un scientifique haut plac qui risque tout moment en f chant ses sponsors d tre excommuni comme Benveniste du troupeau savant Eh oui nous voici arriv s au point cl de tous ces myst res Le tabou vaccinal par essence m me comme tous les tabous se r sume toujours a l occultation d un tr s banal conflit d int r ts Je ne vous apprends rien que vous ne connaissiez d j En m decine comme en toute activit humaine d importance le ressort principal E On est Lafgent Tout nest ga affairre de ggoS sous Et je puis aurer avec certitude que depuis un si cle l enseignement de la m decine est dict par le lobby tout puissant de l industrie pharma Ceutique qui finance en pr textant den recherche la plupart des postes cl s de la p dagogie universitaire Elle doit fermement maintenir ce tabou vaccinal qui est de toutes ses astuces commerciales le plus lucratif comme nous allons le voir par la suite Mais regardons d j les premiers effets catastrophiques de cette pratique La recherche tant en effet financ e par les industriels les chercheurs n obtiendront jamais la permission d tudier sur le long terme les ph nom nes induits par la vaccination Que devient par exemple la r partition des globules blancs apres l injection Que
18. Bulletin d informations Pour la Libert eSA E tea a TE Rapport Merci pour Vaccination Livres Bact rie O se trouve La vaccination Ror La d sob issance Bulletin LNPLV Association loi 1901 cr e en 1954 Directeur de publication Jean Marie MORA R daction Jean Marie MORA Sylvie SIMON Jean ELMIGER Mise en page Impression BBandCom Cr dit photos Stocklib Edition Ligue Nationale Pour la Libert des Vaccinations BP 816 74016 Annecy Cedex T l 04 50 10 12 09 D p t l gal septembre 2011 ISSN 1777 3262 Le rapport moral Les douze mois qui viennent de s couler sont porteurs d espoir car comme vous pouvez le constater le comit s toffe les membres se renouvellent et Les deux derniers entr s qui vous ont fait travailler l ann e derni re nous aident pour le d veloppement de la Ligue avec des id es nouvelles et il sont vierges du pass Le questionnaire que vous avez rempli a t analys et va d boucher sur des actions dont Vaishali vous parlera l association St lior dont la pr sidente tait notre invit e l an dernier me fait intervenir Gen ve dans les sessions de formation qu elle organise Son message est le suivant la Ligue est la sp cialiste des probl mes li s aux vaccinations lorsqu un probl me surgit parmi vos patients renvoyez les vers elle qui sera toujours plus efficace que vous En face par contre nos opposants devie
19. ables Comme l avait remarqu le Dr Gustave Le Bon dans son ouvrage Les opli nions et les croyances Limmense majorit des hommes ne poss de gu re que des opinions collectives Les plus ind pendants eux m mes professent g n ralement celles des groupes sociaux auxquels ils appartiennent ses yeux l hom me descend de plusieurs degr s sur l chelle de la civilisation et devient un barbare d s qu il fait partie d une foule organis e Il se laisse impres sionner par des mots des images qui n auraient aucun impact sur chacun des individus isol s mais en foule il commet des actes contraires ses int r ts les plus vidents et ses ha bitudes les plus connues Combien d entre nous ont vraiment des opinions personnelles sur ces sujets et dans ces cas combien osent les exprimer Et Le Dr Le Bon ajoutait L individu en foule est un grain de sable au milieu d autres grains de sable que le vent soul ve son gr Nous sommes comme ces grains de sable soulev s au gr des courants d informations qui tourbillon nent autour de nous et balaient nos id es personnelles Bulletin d informations de la Ligue Nationale Or dans De la d sob issance et autres essais paru en 1982 le psychanalyste humaniste Erich Fromm nous pr venait L homme qui ne peut qu ob ir est un esclave L ob is sance pourrait tr s bien tre la cause de la fin de l histoire humaine Nombreux sont ceux q
20. ance n existe heureusement pas dans son pays Vous retrouvez toutes les informations sur son site http www jelmiger com Pour La Libert des Ven Merci pour vos r ponses Nous avons lanc une grande consultation car nous avions besoin de vos opinions Cette action a d but lors de notre Assembl e G n rale en juin dernier Avec les personnes pr sentes nous avons d fini une liste des mots qui repr sentent la Ligue et Les victoires de la Ligue Puis vous avez class tous les mots et toutes les vic toires en fonction de l importance qu ils avaient pour vous cf le num ro de d cembre 2010 de la revue R alit s et Vaccinations Bravo nous sommes heureux de vous en pr senter les r sultats et nous remercions particuli rement Jean Marie qui a trait toutes vos r ponses Pour que la Ligue soit un lieu de partage de vos convictions nous nous engageons comit strat gique autour de Jean Marie Mora conduire nos actions dans le respect de la ligne que vous nous tracez Votre premier choix dans les mots qui repr sentent la Ligue a t la concertation Nous d cidons donc que l ann e qui s ouvre partir de notre prochaine r union g n rale sera l ann e de l Alliance Nous souhaitons lancer une dynamique de partage de nos convictions aupr s de toutes les personnes susceptibles de rejoindre notre lutte C est avec courage bon sens d sint ressement financier
21. au mais bel et bien les vaccinations dans le gigantesque march potentiel du tiers monde C est donc un autre sens que je donne encore a mon pith te qui doit nous ouvrir les yeux et nous pr parer l affrontement Car ce dernier bastion sera d fendu avec la plus grande nergie par le g ant Industriel qui voit dans sa pr servation son ultime chance de domination Lors de ma derni re entrevue avec Sylvie Simon en 2010 cette grande dame me fit part de son optimisme en me disant propos de la fameuse pand mie grippale annonc e que cette fois ils avaient t trop loin et que comme toutes les bulles la bulle vaccinale allait bient t crever Elle est beaucoup moins sereine aujourd hui car le mod le du printemps arabe nous montre bien que Le chemin est long et p rilleux avant l av nement de la v rit et de la justice Et c est r solument tourn s vers l exemple magnifique donn par cette Jeunesse h ro que que nous devons appliquer les recettes fatales aux tyrannies informer faire lire et Pour La Libert des Vaccinations 15 Vaccination le dernier tabou encore informer Ne plus se laisser aveugler par les arguments terroristes Savoir qu aucun vaccin ne prot ge des maladies contre lesquelles il est cens agir qu il n apporte que d saccord de l nergie vitale Notre seule protection r side dans la stimulation naturelle r p t e de notre syst me immunitaire secouru vigour
22. ccin a jou le r le de la fameuse goutte Je ne vous donne pas le d tail de mon intervention I ma dabord fallu perdre un temps consid rable pour antidoter les effets des traitements antinaturels puis opposer la s quence perverse la violence cor rectrice de mes doses administr es dans l ordre chronologique inverse Les trois maladies ont disparu l une apres l autre mais la partie n est pas gagn e car les savants confr res ne l chent pas une proie aussi rare et les succ s d un outsider ne p sent pas lourd face au staff imposant de la clinique universitaire 1 Une derni re mise en garde s impose ici Dans les milieux forte pr occu pation cologique la mode du drai nage des vaccins fait fureur et les pharmaciens se plient volontiers aux d sirs de cette nouvelle client le en Bulletin d informations de la Ligue Nationale leur fournissant leur gr les isos de tous les vaccins d sign s Mais ils ne se pr occupent gu re d tablir leur succession chronologique et encore moins de d m ler leur intrication avec d autres v nements marquants forc ment pr sents dans toute anamn se actuelle M me chez un enfant de dix ans je n ai jamais vu d historique exclusivement vaccinal Le fait est rarissime De fait je ne l ai trouv qu une fois chez un chien Une amie du Bugey plor e me demande conseil pour Fracasse son teckel poil ras de cinq ans qui suite un ni me
23. ces malheurs ne sont pas si rares Mais Jamais je ne les trouverais tous la fois accablant la m me personne Par contre le choc vaccinal lui se retrouve sans exception dans tout historique m dical Vous avez tous t vaccin s revaccin s et m me parfois survaccin s Voici donc la perversit supr me annonc e Car il faut savoir que la marque laiss e par le vaccin sur votre enveloppe nerg tique perdure toute votre vie Nos techniques dites Ultra fines ne nous permettent pas toujours d en identifier la trace sp cifique mais je puis vous affirmer que ce marquage est bel et bien pr sent aussi r el qu une marque au fer rouge sur notre chair Il reste Bulletin d informations de la Ligue Nationale parfois d tectable en permanence alors que les anticorps qu il a suscit s ne sont plus me surables depuis des ann es Et c est justement cette pr sence perma nente qui telle l p e de Damocl s menace a tout instant l occasion d une quelconque surcharge de d stabiliser votre belle harmo nie vitale et vous pr cipiter dans la maladie Pour le plus grand bonheur des industriels de la pharmacie La trace vaccinale est un grain de sable stupidement gliss par des apprentis sorciers dans la belle m canique de la vie elle s me la zizanie dans les sph res tr s subtiles o sentrecroisent toutes les cha nes de commandement de nos syst mes neuro psycho glandulaires Elle induit c
24. cin s Ces constats ont t confirm s le 4 f vrier 2009 par la d claration du Pr L vy Bruhl de l Institut de veille sanitaire lors d une mission sur TV5 Alors que Jean Marie Mora pr sident de la Ligue pour la Libert des vaccination a demand au profes seur Levy Bruhl pourquoi lors d une pid mie de rougeole qui s est d clar dans un tablissement scolaire du Minnesota en 2006 89 des 789 cas taient vaccin s le Pr L vy Bruhl lui a r pondu C est normal quand tout le monde est vaccin ceux qui attrapent la maladie sont forc ment vac cin s Ce sp cialiste des vaccins a ainsi admis ouvertement que le vaccin ne prot geait pas de la maladie Aussi Il est surprenant d apprendre qu il faudrait atteindre 95 de vaccinations pour radiquer la maladie alors que la couverture vaccinale atteint en moyenne plus de 95 mais avec une seule dose autrefois suffisante aux dires des vaccinalistes En v rit la majorit des sujets touch s par les pid mies pr sentent une s ro conversion post vaccinale incluant dans certains cas une diminution progressive de limmunit ce qui traduit bien l chec de la vaccination et surtout le recul de l ge moyen de la survenue de la maladie avec des effets secon daires beaucoup plus graves dans les tranches de Pour La Libert des Vaccinations 2 al loe a aa E O les complications sont plus fr quentes et population plus
25. dire des thrombocytes de la perm a biit des membranes cellulaires des mitochondries des lectrolytes sanguins de l lectrophor se des albumines etc La microcircula tion capillaire la porosit des parois intestinales les signaux re us par le cerveau de la peau l s e ou de la flore intestinale les multiples interactions neuro glandulaires ne sont pas tudi es et encore moins le gigantesque affolement de tous les acteurs de la n buleuse peine explor e de notre syst me immuni taire C est dans vos petites revues que les curieux prennent connaissance de certains tra vaux men s par des chercheurs d sint ress s Ce que l on y apprend est horrifiant Il me tient ici c ur de rendre un hommage public la per sonnalit la plus dynamique du combat pour la v rit Madame Sylvie Simon soutien fid le de la r daction de votre journal qui lutte depuis des ann es avec l nergie in puisable de son esprit contre l emprise de Big Pharma sur la sant Ann e apr s ann e elle publie inlassablement ses livres mines pr cieuses de renseignements les plus pr cis d autant plus cr dibles qu elle les puise aux USA la source m me Bulletin d informations de la Ligue Nationale de ces d cisions commerciales Ses diteurs successifs sont souvent contraints la faillite mais elle poursuit le combat en ouvrant un blog sur Internet Je recommande chaleureusement la lecture
26. directeur de l Agence internationale pour la recherche sur le cancer pour d sapprouver la d cision de cacher la nature carcinog ne de la substance Signalons que le Dr Infante sp cialiste de l valuation des substances toxiques travaille galement pour IARC International Agency for Research on Cancer le National Cancer Institute NCI et fait partie du Comit de Toxi cologie de la National Academy of Sciences Il est ainsi utile d avoir d nonc ses dangers mais parmi toutes ces mises en garde ons est bien gard de nous avertir qu il est aussi utilis pour d sactiver des toxines bact riennes ou des virus dans le processus de fabrication de certains vaccins tels le Pentavac le T travac le DTP de Pasteur le vaccin H1N1 lImovax l Havrix le Vaxigrip le Mutagrip et bien d autres IL est vident que si le formald hyde est dangereux et carcinog ne dans notre environnement il l est encore davantage lorsqu on l injecte directement dans le corps humain particuli rement dans celui des b b s d s l ge de deux mois quand ce n est pas leur naissance ILest primordial de faire circuler cette informa tion qui semble n int resser personne m me pas ceux qui d noncent les dangers de ce toxique car le domaine des vaccins de leur s curit et de leur n cessit est un dogme intouchable Il est grand temps de pr venir les consommateurs de vaccins qu il est plus dangereux de se faire injec ter ce poiso
27. e Le bilan tabli par cabinet d expertise comptable fait appara tre pour l ann e 2010 un l ger exc dent Les chiffres du bilan sont expos s l AG mais depuis la cr ation de la Ligue pour ne pas informer directe ment nos adversaires nous n avons jamais publi ces derniers qui sont disponibles pour tre consult s par les adh rents Les rapports moraux et financiers sont mis aux votes et ont t adopt s l unanimit L e comit remercie l assembl e de ce vote et du quitus qui lui est donn pour la poursuite de la gestion de l asso ciation al6h a commenc la conf rence Vaccinations Le dernier tabou Par le Docteur Jean Elmiger l heure o toutes les formes de dictature finissent par c der je suis d avis que l emprise touffante de Big Pharma finira aussi par sauter mais la condition que saute le dernier verrou que constitue de facon sournoise la rigidit du dogme vaccinal Le docteur Jean Elmiger est l auteur des livres La m decine retrouv e et Maladies auto immunes il est l inventeur de la th rapie s quentielle m thode qu il a enseign e et qui consiste remettre en marche la sant d un individu qui a t alt r e par ce que le dr Elmiger d finit comme une s quence d v nements dont Les vaccinations cause de ces prises de positions Il a eu des ennuis avec l organisa tion des m decins Suisses mais l Ordre des m decins telle que nous la connaissons en Fr
28. e Vaud seule la dipht rie importait dans la r publique de Gen ve voisine s y ajoutait le t tanos ainsi qu Fribourg o la polio tait aussi prise au s rieux Mais en Valais aucune vaccination n tait obligatoire comme aussi dans notre Jura Vous voyez l absurdit de ces d crets g ogra phiques qui vous rappellent sans doute le nuage de Tchernobyl arr t vos fronti res Or malgr ce laxisme vaccinal de bon aloi emprise du dogme pastorien est telle que nous tions r ellement persuad s que tous ces vaccins taient obligatoires Nous jeunes m decins les premiers J ai donc vaccin tour de bras des classes enti res d coliers dont l ge imposait la formalit des rappels obligatoires Et j tais de bonne foi Cette d monstration nous r v le le premier aspect du tabou de grande ampleur et met jour son ind niable perversit il est tellement tabou qu il finit par faire oublier sa pr sence tel Satan dont l astuce supr me consiste n exister point J tais tellement persuad de mon bon droit que je n ai alors m me pas r alis que ob issais machinale ment un consensus tacite Je ne me posal aucune question La vaccination allait de sol tout simplement Ne dit on pas d ailleurs d un adulte responsable quil est majeur et vaccin Et pour vous faire comprendre a quel abime d ignorance ma formation m dicale r put e scientifique m avait men
29. e cet enfant en possession d un certificat de contre indication exclu de l cole par la directrice appuy e par le m decin de l acad mie Nous avons conseill les parents et entam une pro c dure Apr s une interview de la Ligue puis des parents de L o organis e par notre interm diaire deux heures apr s la parution de l dition du journal Le Monde publiant l histoire de cette exclusion l enfant a t r int gr sur ordre de l inspecteur d partemental de l acad mie Le poids de ce m dia national a pes lourd dans cette affaire Dans le centre de la France une famille de trois en fants est d nonc e par un voisin au Conseil G n ral qui convoque les parents dans le cadre de la loi pour maltraitance enfant Le premier enfant est en r gle le deuxi me n a pas la quatri me injection obligatoire du DIP et le dernier n a aucun vaccin Les enfant sont scolaris s la maison Un m decin ami de la Ligue r tablit La l galit de la situation avec un certifi cat de contre indication Sur notre conseil Les parents se rendent la convocation du Conseil G n ral avec un avocat et acceptent la visite leur domicile d une assistante sociale et d une infirmi re j ai dit la ma man que le r frig rateur qui sera visit soit rempli de laitage et de viande pour ne pas pr ter le flan une critique de l alimentation Lors de la visite les parents enregistrent les deux personnes du Conseil G n ral qui sont
30. e le dernier petit scandale de l Avandia qui a t occult ou presque parles m dias alors qu il pourrait tre responsable de plus de 4 000 attaques cardiovasculaires et de 9 000 d faillances cardiaques annuellement aux tats Unis Selon l EMA l Avandia ne devrait plus tre vendu en Europe d ici quelques mois Pourquoi ces d lais En janvier 2010 lAfssaps a enfin supprim le Sibutral utilis pour le traitement de l ob sit car iLr duit l app tit mais g n re de nombreux effets secondaires graves comme l hypertension art rielle et m me des d c s en raison de l absence d un suivi cardiovasculaire Ces effets ind sirables taient connus depuis longtemps parfois d s la mise sur le march ou pr visibles cause de sa parent chimique avec d autres m dicaments aux effets ind sirables graves av r s L Italie a retir le Sibutral de ses pharmacies il y a 8 ans Ces petits scandales n ont pas autant mobilis Les m dias que celui du Vioxx qui tait utilis par environ deux millions de patients dans le monde il tait retir du march car on estimait alors qu il tait res ponsable d environ 28 000 attaques cardiaques et d c s depuis sa mise en vente en 1999 A pr sent nous savons que le nombre d accidents cardiaques attaques ou d c s pourrait s lever pr s de140 000 rien qu aux tats Unis Les d c s concerneraient 30 40 d entreeux Or M HABEIS N VINS D DO Mt
31. ent pointer du doigt la cause u d r glement sup rieur nt n anmoins de quelques techniques photo Kirlian de MORA th rapie de ar radionique etc qui ent compl ter les indications n es par les filtres color s les chinois la kin siologie ou la N a m thode de Nogier Pour ma part j ai utilis pendant des ann es l onmm tre de Voll dont le premier m rite est de d busquer les plus graves alt rations des m ridiens chinois signalant la pr sence invisible de traces impor tantes que l on peut imputer des v nements marquants Or le test de Voll r v le toujours chaque prise en charge d un nouveau patient un d r glement vident m me dans le cas d une apparence de sant satisfaisante Je pourrais en faire la d monstration en me promenant dans les trav es de cette salle avec mon appareil testant pour chacun d entre vous l quilibre de vos m ridiens coup s r je trouverais pour chacun motif vous inqui ter et jamais Jules Romains n a t aussi pr s de la v rit en faisant dire son Dr Knock que tout bien portant est un malade qui signore Et certes en faisant minutieuse ment vos anamn ses respectives je trouverals bien dans vos vies l un ou l autre des v nements r put s r el lement marquants Ce pourrait tre chez l un une m ningite bact rienne s v re chez un autre une commotion c r brale une transfusion sanguine un viol o l usage de drogues
32. es de plus de vingt ans avec des formes d autant plus graves et la mortalit par rougeole a t multipli e par 25 depuis ces campagnes vaccinales D j en 1984 une tude publi e dans le Journal of the American Medical Association Jama t moi gnait de la recrudescence des cas de rougeole qui pass rent alors de 0 5 100 000 en 1983 1 10 000 dont 38 1 correctement vaccin s En 1995 le laboratoire SmithKline Beecham pourtant fabricant de vaccins avait publi le m me genre de constat alarmant Les rougeoles ont t 18 fois plus nombreuses aux USA en 1990 27 672 cas qu en 1983 malgr une vaccination syst matique contre la maladie depuis 1978 Ainsi 18 pid mies ont t recens es parmi les populations scolaires tr s immunis es de 71 99 8 et pas moins de 77 des rougeoles d clar es sont apparues chez des l ves vaccin s L chec d une vaccination pr scolaire se traduit donc par une transforma tion paradoxale de la rougeole en maladie des vaccin s En r sum aux tats Unis la rougeole est en constante augmentation depuis les vaccina tions cf Arch Intern Med 1994 Depuis lors les publications sur l inefficacit du vaccin se sont succ d es sans faire bouger d un iota les pouvoirs sanitaires et les lobbies vaccinaux Ainsi Jama et le New England Journal of Medicine ont publi des dizaines d tudes d montrant que les cas de rougeole touchalent 80 98 7 des enfants Vac
33. es fameuses dilutions dynamisations qui poss dent le fa buleux pouvoir de modeler l espace temps du d roulement de notre vie Ce que la physique moderne appelle champ morphog n etique est la force m me qui mod le notre corps nerg tique qui domine son tour de toute sa puissance vibratoire la mat rialit subal terne de notre corps physique Notre corps nerg tique n est en fait rien d autre qu une m moire o si l on veut une bauche direc trice comme le disque dur de votre ordinateur Et comme toutes les banques de donn es il enregistre les moindres alt rations du continuum spatio temporel survenues avant et durant notre vie Or toutes ces interf rences ne portent heu reusement pas cons quence la plupart n affectent que peu l int grit du flux ner g tique qui retrouve bien vite son quilibre originel Mais en trente sept ans de pratique j ai eu amplement l occasion de rep rer quels taient les bugs les plus nocifs qui se signalent malheureusement par des distor sions durables du transfert d information entre le plan sup rieur et l inf rieur Ce sont ces accrocs que je nomme dans mes cours les traces durables Elles sont d une importance capitale car toujours pr sentes l tage sup rieur elles Pour La Libert des Vaccinations 117 Vaccination le dernier tabou compromettent de facon permanente l harmonie de votre qu
34. est plus facile de croire ce qu on nous affirme officiellement de source s re que de s aventurer dans l ind pendance intellectuelle En fait le conformisme et l inertie ont de tout temps t les plus s rieux obstacles l volution de l humanit Ils sont nombreux pr ner une cer taine d sob issance civique si elle peut contribuer sauver la Terre et ses habitants D j au milieu du XIXe si cle David Henry Thoreau ensei gnant philosophe po te am ricain et cologiste avant l heure pr nait la r sistance individuelle un gouverne ment qu il jugeait injuste qui tol rait lesclavagisme et menait une guerre de conqu te au Mexique contre tous les droits individuels et contre toute morale Il est consid r comme l origine du concept contemporain de non violence Dans son essai La D sob issance civile Thoreau affirmait ses positions politiques et id ologi ques et proposait une philosophie de r sistance non violente qui influen a des figures politiques spirituelles o litt raires telles que L on Tolsto Gandhi et Martin Luther King Olivier Clerc crivain et philosophe s est servi de la m taphore de la grenouille pour d montrer la situa tion actuelle Imaginez une marmi te remplie d eau froide dans laquelle nage tranquillement une grenouille B Mfeu est allum sous la marmite l eau chauffe doucement Elle est bient t ti de La grenouille trouve cela plut t agr ab
35. eusement par nos techniques nerg tiques prouv es Si vous n tes pas convaincus de la pertinence de ces critiques suivez au moins l exemple du tartufe Industriel grand producteur de vaccins contre l h patite B qui adopte sans vergogne le principe de pr caution en interdisant cette inoculation tous les membres de sa propre famille Faire circuler l information Et frapper l o l argent est th sauris en multipliant les plaintes p nales pour atteintes l int grit corporelle et exiger en d dommagement les sommes astronomiques qui seules pourront ruiner l attrait boursier des blockbuster de l industrie pharma ceutique Enfin pourquoi laisser s vir impun ment votre Ordre des m decins reliquat douteux du r gime de Vichy alors que le Vatican lui m me a mis fin l Inquisition et demand pardon pour ses crimes Cette Instance obsol te emp che des milliers de m decins consciencieux de faire honn tement leur travail Dans mon pays un tribunal aussi exceptionnel serait d clar anticonstitutionnel et n aurait d ailleurs pas pu voir le jour Ma derni re remarque s adresse votre Comit il manque un z ro final au chiffre du tirage de votre excellent Bulletin qui pourrait ainsi dynamis sortir du domaine confidentiel et atteindre enfin le vrai public de la minorit agissante connect e Internet et abonn e toutes les revues de sant propagatrice son tour de v rit s lib r es L effort fourni
36. eux Aussi je vous le donne l homme a os r pondre Je n accepte pas cette causalit car cela n a jamais t publi Je suis rest pantois devant l normit de cette d sinformation magistrale Et aussit t entrevu les quelques aspects curieux de cette prise de position Tout d abord le d ni scientifique Le profes seur commet un premier crime de l se science car il contrevient nous l avons vu au principe fondamental de toute activit scientifique l observation des faits Contrai rement au polytechnicien il na pas su voir que la situation originelle a t suivie de l v nement B puis modifi e en C ni que le qui ne publient que le ph nom ne s est trangement r p t trois fois Les faits sont ici patents on ne peut les nier Et la premi re d marche de l intelligence est de les mettre en relation Intellegere discerner reconna tre Ce d ni peut s expliquer de deux facons Ou bien ce p dant manque d intelligence ce dont je doute car il faut tout de m me faire preuve de certaines qualit s intellectuelles pour arriver se placer un si haut poste Je retiens plut t l autre version le professeur est Intelligent mais il ment Ilse ment d abord a lui m me car il est dit que nul ne peut voir ni entendre ce qu il ne veut ni voir ni entendre Et le mensonge est norme car des obser vations de cette nature se comptent de nos jours par centaines voire par milliers Mai
37. ilibre nerg tique Samuel Hahnemann avait vu juste en attribuant ce d saccord de l nergie vitale ce sont ses termes l origine de toutes les maladies Mais il n avait pas les moyens de Le mesurer pr mi ces formelles de l activit scientifique Il n a pu qu en donner les diff rents tableaux cliniques magistralement expos s dans les fameux portraits de la Materia Medica hom opathique mais entach s du vice que la science reproche aux empiriques la subjec tivit l PR E eee nous ne sommes _ gu re plus avanc s car les outils que Les physiciens mettent notre dispo sition ne nous permettent pas encore _ de p n trer dans ce monde troublant dans cet oc an d nergie dont nous sommes issus dont les ultimes _ fr quences vibratoires ne peuvent _ pas tre per ues Au del de leurs _ capacit s hertziennes o nanom tri _ ques prodigieuses les instruments de mesure les plus sophistiqu s ne per oivent plus aucune vibration Et pourtant la vie se cache encore plus Loin Ceci n emp che point les praticiens de la m decine nouvelle de soigner le corps physique des malades en r gulant l quilibre de leur corps nerg tique ainsi font Les acuponc _ teurs et les hom opathes Ils s aident dans leur d marche par des pro ocoles tir s de tr s anciennes el zi longues p riodes d observation liniqu ularit est garante ine certaine objectivit Mais faute struments de mesure ils peuvent
38. intes taient d pos es Dans The Huffington Post le journaliste am ricain David Kirby demandait ce qu un journaliste anglais du Sunday Times tait venu faire aux tats Unis juste avant ces auditions et pourquoi le minist re de la Justice de ce pays s tait r f r aux all gations de Deer qui discr ditaient les travaux du Dr Wakefield Il en conna t videmment la raison Quant au pr sident de la Commission du commerce des sciences et des transports du S nat am ricain Jay Rockefeller seul d mocrate de la famille il a demand qu une enqu te soit ouverte sur les activit s du groupe de presse de Rupert Murdoch aux tats Unis et a d clar qu une telle enqu te mettrait sans doute en vidence des affaires criminelles Cela sera une affaire norme a t il annonc IL est certain qu une enqu te de cette enver gure pourrait d clencher un cataclysme conomique car de nombreux membres du Congr s ont t choqu s par les efforts du gouvernement pour couvrir les dangers du ROR Mais d autres aid s dans leurs campagnes lectorales par les millions de dollars de l industrie s obstinent r p ter que les laboratoires comme Merck Glaxo SmithKline Wyeth et Eli Lilly devraient fermer leurs portes s ils taient un jour oblig s d assumer leur responsabilit pour les acci dents caus s par leurs produits C est pourquoi selon eux il est n cessaire de les prot ger IL est donc n
39. je dois vous avouer qu au moment d ex cuter le rituel convenu j ignorais tout du proc d d application Fallait Il injecter le vaccin par voie sous cutan e o intradermi que ou encore intramusculaire J ai t tir de cet embarras douloureux par l infirmi re scolaire qui bien consciente de ma confu sion m a initi au maniement de la seringue La s ance de vaccination collective pass e je rentral la maison conscient du devoir accompli sans me pr occuper le moins du monde du sort de ces jeunes existences pro fond ment modifi es par mon intervention Jamais ce moment je ne me suis souci de prendre connaissance des r actions que les parents signalaient parfois l infirmi re Agitation fi vre Insomnie inflammations cutan es ou ganglionnaires Je n ai jamais estim devoir mentionner pareilles balivernes dans le carnet de sant Pas plus que les autres m decins je n ai pris garde tous les ph nom nes bien r els et r p titifs qu un observateur avis peut noter suite une vaccination Ce manque total de curiosit est cependant tout fait banal et peut s expliquer par une autre facette du tabou qui met en lumi re un r el paradoxe En effet tous les partisans de la vaccination syst matique se targuent de rationalisme et pr tendent agir en conformit avec les usages pr valant dans les tudes Pour La Libert des Vaccinations 7 Vaccination le dernier tabou
40. le et continue nager La temp rature continue grimper L eau est maintenant chau de C est un peu plus que n appr cie la grenouille a la fatigue un peu mais elle ne s affole pas pour autant L eau est cette fois vraiment chaude La grenouille commence trouver cela d sagr able mais elle s est af faiblie alors elle supporte et ne fait rien La temp rature continue monter jusqu au moment o la grenouille va tout simplement finir par cuire et mourir Si la m me grenouille avait t plong e directement dans l eau 50 elle aurait imm diatement donn le coup de patte ad quat qui l aurait ject e aussit t de la marmite Cette exp rience montre que lors qu un changement s effectue d une mani re suffisamment lente il chappe la conscience et ne suscite la plupart du temps aucune r action aucune opposition aucune r volte Olivier Clerc compare l humanit actuelle cette grenouille Il est exact que les pr dateurs ne manquent pas mais les victimes sont consentantes soit par ignorance soit par n gligen ce Et il pose la question Sommes nous d j moiti cuits puis il conseille Alors si vous n tes pas comme la grenouille d j moiti cuits donnez le coup de patte salu taire avant qu il ne soit trop tard Seule une petite minorit de per sonnes dont la conscience est bien veill e est capable de donner le coup de patte salutaire D autres
41. lte par la propagande et le lavage de cerveau prodi gu par des m thodes pharmaceutiques Et cela sera la r volution finale Ne sommes nous pas aujourd hui dans ce meilleur des mondes o les informations frisent la propagande et le lavage de cerveau o nos gouvernants s rigent en ma tres a penser et ne supportent gu re la contes tation et o le bon peuple est ravi de ne plus avoir r fl chir puisque d autres videmment plus savants le font pour lui Les citoyens ignorent encore que les grandes coles et les Acad mies nous enseignent le Savoir mais pas la connaissance qui est un don rare et inn et encore moins le simple bon sens qui semble dispara tre peu peu au cours du parcours universitaire pour laisser la place au m me enseignement st r otyp dans toutes les disciplines La religion et la politique sont consid r es comme les deux principaux foyers d endoctri nement mais on peut leur ajouter la m de cine moderne qui nest plus ni un art ni une science comme elle le fut longtemps mais une v ritable religion car la confiance accord e de nos jours au corps m dical rel ve plus du domaine de la foi et parfois m me du fana tisme On ne r fl chit plus on croit On coute les diktats des experts la plupart du temps autoproclam s sans faire la moin dre r serve quant leur validit oubliant sou vent combien ceux ci ont pu tre d mentis et ont m
42. m decins ont recueilli 1 500 donn es par enfant soit au total 20 millions de donn es qui r pondent toutes sortes de questions sur leur sant les types de vaccins qu ils ont re us leurs analyses de sang et d urine afin de d terminer l tat de sant des enfants allemands pour lesquels la vaccina tion nest pas obligatoire Ils ont ainsi constat des diff rences spec taculaires tr s sup rieures aux attentes entre les vaccin s et les non vaccin s Ainsi les enfants non vaccin s ont moiti moins d allergies neurologiques moins de scoliose que les autres moins de probl mes de langage et de vue ils portent bien moins souvent des lunettes comme l avait d j remarqu le Dr Gerhard Buchwald Ce m decin allemand mondialement connu pour ses travaux sur les vaccins a d clar au sujet du vaccin contre la rougeole que non seulement il n est pas efficace mais Il est dangereux Autrefois les b b s n avaient jamais la rougeole Ils taient prot g s gr ce leurs m res elles m mes immunis es par la maladie alors que celles qui ont pr sent t vaccin es ne sont plus capables de transmettre leur immunit leurs b b s C est ainsi que plus on vaccine plus les en fants ont des maladies infectieuses mais c est un secret bien gard Peu importe l industrie pharmaceutique a de plus en plus besoin de satisfaire ses actionnaires et la vaccination est une manne in puisable c est pour cela
43. m emp cher d voquer Bulletin d informations de la Ligue Nationale cette expression bien parlante de notre patrimoine linguistique Passer comme chat sur braises Oui la signification profonde de cette lacune ne peut que sauter aux yeux les m decins en aucun cas ne doivent prendre connais sance de la complexit et de l ampleur des r actions que leur geste va entrainer Il s agit d un tabou Le mot est l ch vous allez bient t en voir les multiples facettes Mais retenez ceci les m decins vaccinateurs ne savent pas ce qu ils font Et je peux ici paraphra ser l Evangile Pardonnez leur car ils ne savent pas ce qu ils font Quant moi je vous livre mon propre mea culpa car moi aussi j ai vaccin Lorsque j ai ouvert mon cabinet Lausanne en 1968 je n ai pas eu d embl e la file d attente devant ma porte aussi tais je bien content d accepter la m me ann e le poste de m decin scolaire qu une vacance bienvenue mettait ma disposition Que fait le m decin des coles Je l ai su d s la rentr e de septembre mensurations examens en tous genres et contr le du carnet de sant Gare aux enfants dont le carnet ne pr sentait pas les timbres requis dipht rie t tanos coqueluche polio BCG et m me variole Or il faut savoir qu il n existe pas en Suisse d obligation vaccinale syst matique Chaque canton dicte ses r gles en mati re de sant publique Dans le canton d
44. mmes politiques sont de gr ou de force les otages des compagnies industrielles qui pourraient influencer leurs carri res Toutefois la majorit non seulement des Fran ais mais aussi des populations mondia les est ravie de ne pas tre inform e et ne cherche surtout pas l tre Cela lui poserait de nombreux probl mes l obligerait r fl chir alors qu elle n en a pas la moindre envie et installerait chez elle des tats d me des peurs des culpabilit s et surtout risquerait de provoquer la remise en question de tout un syst me de vie et de pens e Comme l explique Noam Chomsky philosophe radical de r putation Internationale et profes seur pendant plus de cinquante ans au MIT Massachussets Institute of Technology Les m dias ne repr sentent qu une toute petite partie de la vaste machine de propa gande Il existe un syst me d endoctrinement et de contr le beaucoup plus vaste dont les m dias ne sont qu un rouage l cole lin telligentsia toute une panoplie d institutions qui cherchent influencer et contr ler les opinions et les comportements et dans une large mesure maintenir les gens dans l ignorance Pour sa part Georges Bernanos avait lui aus si pr vu ce qui nous attend si nous acceptons l esclavage qu on cherche nous imposer Je pense depuis longtemps que si un jour les m thodes de destruction de plus en plus efficaces finissent par rayer notre esp ce de la
45. moyens de d cr dibiliser la bio depuis de longs mois Les accusations de chercheurs publics reposant sur des rumeurs sont inacceptables Elles doivent tre d menties imm diatement et publiquement Officiellement aucune d claration n a clairci l affaire bien que nombre d entre nous pensent que cette banale bact rie a mut avec les risques que cela entra ne mais tout est rentr dans l ordre et d autres sujets de pr occupations sont pass s la Une des journaux Toutefois il est primordial de ne pas laisser persister un doute qui peut d tourner les consommateurs d une nourriture plus saine que celle qui est produite par la culture inten sive et G n rations Futures GF et la F d ra tion Nationale d Agriculture Biologique FNAB ont saisi l occasion de r v ler que cette assertion repose sur une tude qui n existe pas Comme on le dit bien dans le langage d Internet c estun hoax qui n a pas t signal par hoaxbuster Cettesoit disant tudeestenti rement bidon L un des chercheurs du CNRS responsable de l accusation publi e dans le journal Lib ration n a pas t capable de donner de r f rence pour cette suppos e tude am ricaine Il s est content de dire qu elle serait tir e d un livre dAlan McHu ughen un scientifique canadien auteur de deux ouvrages Le probl me est que ce McHughen n a fait que reprendre les dires d un certain Dennis T Avery qui colporte depuis des ann es
46. n vrite optique bilat rale s v re et nie cat goriquement la causalit vaccinale Le p re sus picieux Sen remet l avis de son savant ami pour lequel cette causalit ne fait aucun doute En parfait scientifique il rel ve un tat pr alable de vision normale puis un v nement sp cifique B le vaccin suivi d une modification C de la vision Le ph nom ne se r p te en B le rappel suivi du ph nom ne C7 l aggravation de l alt ration visuelle avec r p tition de m me nature en B et C Il conseille aussit t son ami de venir me voir me sachant expert en la mati re Bulletin d informations de la Ligue Nationale Je recois donc la jeune fille accompagn e de son p re et lui affirme avec la m me convic tion que l homme de science que le vaccin est bel et bien responsable de la r cente c cit Le traitement que je propose hom opathique n est pas accept d embl e le p re pr f rant demander au pr alable l avis autoris d un professeur renomm Et j apprends par la suite que le grand sp cialiste consult a confirm l avis du premier ophtalmologue niant cat goriquement la relation entre la soudaine c cit et la vaccination Le p re branl dans sa suspicion par un avis aussi p remptoire demande n anmoins a l illustre professeur les raisons scienti fiques de sa certitude Vous ne devinerez jamais l argument d cisif avanc par ce m decin tant il est ois
47. n dans le corps que den avoir dans les mat riaux de construction ou les meubles Sylvie SIMON mmugrip grippe Imovax Polio poliomy lite Infanrixtetra dipht rie t tanos poliomy lite coqueluche Infanrixquinta dipht rie t tanos poliomy lite coqueluche hiB Influvac grippe Mutagrip grippe Pandemrix grippe A HIN1 2009 Pentavac coqueluche dipht rie t tanos poliomy lite hiB Previgrip grippe Revaxis dipht rie t tanos poliomy lite Tetagrip grippe Tetravac Acellulaire coqueluche dipht rie t tanos poliomy lite Ticovac m ningo enc phalite tiques Tyavax fh patite typho de Vaccin Genhevac B Pasteur h patite B Vaxigrip grippe Pour La Libert des Vaccinations 19 Faillite de vaccinations Rs institut Robert Koch 4 Es E P A 7 h a u Res a i a eO Na a T t a m 008 Parmi ces cas 1900 ont t hospitalis s ce qui prouve leur gravit 9 ont t compliqu s d enc pha lite infectieuse et 273 ont subi des complications pulmonaires Les donn es montrent que les taux d incidence en 2010 ont plus que tripl chez les moins de 1 an et ont augment de pr s de 5 fois chez les adultes de 20 ans et plus par rapport 2009 aemtendance semble encore s aggraver au d but de l ann e 2011 Il faut noter que les cas des plus de 20 ans s l vent 205 sun ol Soit environ 35 de la
48. n simple vendeur de m dicaments R49 19 90 La sant des enfants non vaccin s Dr F Berthoud Voici le premier livre mettre l accent sur les bienfaits de l abstention vaccinale R41 7 50 Vaccin Dr A Perrier L observation de tr s fr quentes complications infectieuses post vaccinales chez les enfants parfois mortelles furent l origine des interrogations de l auteur sur l efficacit et l innocuit vaccinales VACCINS bus Sa 2 li Vaccins l avis d un avocat On nous aurait menti amp Vaccins l avis d un M decin holistique R flexions Vaccin anti h patite B N G rard Mise jour janvier 2002 Document donnant l essentiel de ce qu il faut conna tre Bulletin d informations de la Ligue Nationale La mort subite du nourrisson C tek Welter cana CD Audio 2 titres Vaccinations on nous aurait menti Des textes tr s audibles sur une musique entrainante pour faire passer en souriant un message tr s s rieux Le rap fromage Un message pour l alimentation saine sur une musique rap avec des textes tr s audibles et humoristiques R alit s amp vaccinations Revue de la Ligue n 1 Le hors s rie des 50 ans de a 1 IEEE E AI e TTA tentes tautseis n 6 Lev e de l obligation vaccinale r31 5 00 n 8 Lev e de l obligation du BCG R35 5 00 n 10 Elles ont retrouv n 11 La pand mie actuelle H1N1 R42 5 00
49. nant au patient perturb par une primo vaccination si le laps de temps nest pas trop grand depuis l v nement je puis garantir son prompt r tablissement en lui administrant liso vaccinal en doses croissan tes 30 200 M et XM K par exemple Vaccination le dernier tabou Dans le cas de la jeune tudiante rendue aveugle par le simulacre industriel d h patite B je suis encore profond ment frustr de n avoir pas pu lui donner aussit t le rem de que j aurais accompagn d un nergique drainage h patique et d une protection catalytique classique Elle aurait recouvr la vue dans les semaines SEE An eant si r cent l occasion tait trop belle et le travail facile Toutes les autres scl roses en plaques dont ai pu arr ter le cours m ont donn bien d autres soucis car les malades font toujours trop tard Le choix d untraitement juste que la technique de fabrication hom o pathique met sa disposition pour an antir les traces immat rielles clandestines perfidement accumul es tout au long d une vie g ch e En 2009 alors que j avais d j c d ma pratique mes fils je recois un appel mouvant d un p re qui me demande de r it rer le miracle que je d cris dans l affaire Gaibrois Son fils de treize ans jouissait apparem ment d une sant excellente pratiquait plusieurs sports et faisait des sorties r guli res de cyclo cross en for t Pour viter le risque plausible d une mor
50. nit salire coin MN medicalit E der sur ww o 34E Prix France TIG prY MEDIA cory mran 47098 10 185M Lorsque l on veut noyer son chien Alors que l affaire d E Coli emplissait les jour naux t l vis s o non les produits bio ont t mis sur la sellette particuli rement les concombres et les tomates puis ce fut le tour des graines de soja germ es comme tant contamin es par des souches virulentes et donc responsables des nombreuses hospitali sations signal es Pour confirmer ces d clarations le 27 juin dernier deux directeurs de recherche du CNRS n ont pas h sit publier une tribune dans le journal Lib ration pr tendant que le Centre de contr le des maladies infectieuses d Atlanta Center for Disease Control d Atlanta aurait r alis une tude en 1996 liant un tiers des 250 d c s dus une souche pathog ne d E Coli la consommation de produits biologiques alors qu ils ne repr sentaient l poque que 1 des aliments consomm s aux Etats Unis Et nos deux scientifiques fran ais de conclure Il est donc ind niable que les m rites de l agriculture biologique s accompagnent in vitablement de risques alimentaires sp cifiques Comme l a d nonc Fran ois Veillerette Porte parole de G n rations Futures Alors que les consommateurs pl biscitent les produits bio les adversaires de l cologie et de l agriculture biologique essayent par tous les
51. niversity School of Medicine de Caroline du Nord dont la deuxi me tude ind pendante est venue confirmer le bien fond des travaux de Wakefield Du reste si la presse s est foca lis e sur la personne du Dr Wakefield il ne faut pas oublier que ses travaux taient cosign s l poque par une dizaine d autres scientifiques dont on nose jamais affirmer qu ils se sont eux aussi tous tromp s Sans parler du temps illogiquement long qu il a fallu pour d j retirer cette tude en 2010 comme dit le JIM S LAssociation met aussi le doigt sur les conflits d int r ts de cette Acad mie fran aise de Pharmacie comme ceux du British Medical Journal et du Lancet qui ont tous les deux depuis 2008 et 2009 un partenariat d ducation permanente avec Merck grand fabricant mon dial de vaccins notamment des vaccins ROR Et voil que le scandale qui clabousse actuel lement l empire m diatique de Rupert Murdoch apporte de l eau au moulin de tous ceux qui ont d nonce les agissements des laboratoires du gouvernement britannique qui a tellement pr n cette vaccination et de son ministre de la sant avec la complicit de certains m dias ce sujet il faut particuli rement citer Le Sunday Times qui a achet le reporter Brian Deer afin de d molir la r putation d un m decin renomm et incorruptible dont le seul d faut est d avoir fait baisser spectaculaire ment l incidence de la vaccination ROR gr ce se
52. nnent de plus en plus agressifs mais l exc s en tout nuit Dans ces exc s ils sont souvent comple tement hors la loi ce qui est bien pratique pour les stopper net dans leurs actions l encontre des familles et de leurs enfants Nous recevons de 5 20 coups de t l phone par Jour ma pr sence continuelle au bureau permet de r pondre imm diatement aux demandes et aux questions Nous recevons galement des e mails entre 5 et 20 auxquels essaye de r pondre dans la journ e soit par t l phone soit par crit La grande action de cette ann e a t de faire incrire par les parents dans le carnet de sant sur une des pages r serv es aux vaccinations le texte pour le DIP toujours absent et qui ne reviendra certainement jamais Ce texte L endos de la responsabilit civile et p nale des effets ind sirables dus aux vaccinations s impose toute personne exigeant ou pra tiguant un vaccin comportant en plus du DTP seule vaccination obligatoire une ou plusieurs valences suppl mentaires ou des rappels non obligatoires o des vaccins non obligatoires comme le ROR ce qui entraine de facto l impossibilit d utiliser la proc dure simplifi e induite par l article L 3111 9 du Code de Sant Publique Sont dans la m me L Assembl e g n rale de la Ligue Nationale Pour la Libert des Vaccinations a eu lieu Le samedi 18 juin 2011 Espace Yvette Martinet 15 Av des les 74000 ANNECY situation ceux q
53. oup s r la ruine insidieuse de notre sant Les v nements marquants doivent tous leur activit virulente r siduelle la violence avec laquelle ils ont forc un processus naturel une maladie germes utiles coup e par antibiotiques un tat de vigilance alt r par une drogue une gestation interrompue etc Mais de toutes ces interventions antinaturelles le vaccin est probablement la plus d stabili satrice car l Inoculation ne suit pas les voies habituelles surveill es en permanence par notre syst me immunitaire Le vaccin est un cheval de Troie qui s me la terreur quand il est d masqu Des observations r centes d montrent que les cris du b b sont tr s diff rents selon la nature du d plaisir qui les provoque mais ils atteignent des sommets d angoisse quand ils succ dent une vacci nation Et c est peut tre cet affolement la destruction cons cutive de certains d licats quilibres neuro glandulaires c r braux que la marque nerg tique laiss e par ce choc doit son importance ce propos une r flexion s impose c est toujours la primo vaccination qui cr e la trace Je l ai constat des milliers de fois Et c est pr cis ment l ge de toutes les immaturit s chez le b b que s vissent les primo vaccinations Les rappels sauf rares exceptions ne font que surligner le marquage initial Ils peuvent bien s r d clencher eux aussi une temp te mais ce ne sera alors
54. pand mie d hyst rie g n r e par la peur savamment or chestr e du modeste virus H1N1 Fort heureusement nombreux sont ceux qui ont refus d tre entra n s par cette folie collective mais certains n ont pas eu cette Ind pendance d esprit que chacun d entre nous devrait poss der et qui fait tellement d faut au commun des mortels Alors que la majorit des populations mondiales a r sist aux menaces gouvernementales et m diatiques des centaines de milliers de gens se sont tout de m me pr cipit s sur les centres de vaccinations tendant le bras vers l aiguille v n r e comme sil sagissait du Saint Sacrement sans se poser aucune question sur la saintet du rite se fiant seulement aux grands pr tres de la religion des vaccins qui voulaient les prot ger des atteintes du diable en l occurrence le virus de la grippe Les rites et les dogmes perdurent seuls les dieux que lon adore et le diable que l on redoute ont chang de visage videmment personne n a dit que le diable tait fabriqu de toute pi ce par des pontifes la solde de l in dustrie qui nous mena aient depuis plusieurs ann es d une pand mie grippale sans bien savoir laquelle IL est surprenant de voir que dans notre pays o Voltaire et Diderot ont th oriquement d tr n la supersti tion et le fanatisme la sagesse n est gu re de mise et les lavages de cer veaux qui vont bon train chez nous causent des d g ts irr par
55. plan te ce ne sera pas la cruaut qui sera la cause de notre extinction et moins encore bien entendu l indignation qu veille La cruau t ni m me les repr sailles et la vengeance qu elle Sattire mais la docilit l absence de responsabilit de l homme moderne son acceptation vile et servile du moindre d cret public Les horreurs auxquelles nous avons assist les horreurs encore plus abominables auxquelles nous allons maintenant assister ne signalent pas que les rebelles les insubor donn s les r fractaires sont de plus en plus nombreux dans le monde mais plut t qu il y a de plus en plus d hommes ob issants et dociles Bernanos avait un don de proph ties car cette poque la situation tait loin d tre aussi pr occupante que de nos jours Devant la puissance financi re des fabricants de m dicaments pesticides herbicides OGM et autres poisons et la persistance m prisante de leur mainmise sur l conomie et la politi que de sant nous risquons d tre contraints a d velopper la d sob issance qui est une arme que n appr cient ni les laboratoires ni les gouvernements qui les cautionnent Dans notre lutte contre Goliath le refus d ob ir aux ordres peut tre la seule arme efficace Pour La Libert des Vaccinations 2 ti b So Sgen m i itiiti La d sob isssance civile Toutefois comme l avait aussi constat Gandhi il
56. point de vue diff rent de celui qui vous est familier surtout si vous n tes pas au fait des possibilit s immenses de l hom opathie Je suis pr t r pondre toutes vos questions apr s la conf rence et me mets volontiers a votre disposition pour quelques tests nerg tiques et d monstrations me faut n anmoins conclure maintenant cet expos par les propositions que vous tes en droit d attendre pour que saute enfin ce tabou que j esp re tre le dernier souiller l honneur de la m decine CONCLUSION Le dernier tabou on peut donner plusieurs sens cette pith te D abord le sens litt ral car il sagit bien du dernier bastion que la Facult tient encore fermement les autres ayant c d tour tour sous l influence de la contestation populaire L hyst rie antibio tique n est plus de mise l h g monie st ro dienne s incline devant la m fiance g n rale et il en va jusqu la pr vention chimique des affections cardio vasculaires qui doit c der la place une di t tique modernis e Or il s agissait l de march s consid rables qui ont atteint leurs limites de croissance et entament leur d crue Il faut donc bien que Big Pharma garde et dope son meilleur cheval de bataille En effet les industriels ont m me r ussi faire ouvrir une chaire de vaccinologie Gen ve et le milliardaire Bill Gates offre l OMS 200 millions de dollars pour promouvoir non pas la salubrit de l e
57. que la goutte qui fait d border le vase Je vous en donnerai plus tard un exemple typique Ces propos ont peut tre contribu augmenter votre inqui tude quant votre propre sant Je vais maintenant m employer vous rassurer en vous exposant la technique la plus efficace pour vous d barrasser du marquage fatidique cons cutif aux vaccins I Comment pallier les effets d sastreux des vaccins Avant de vous donner un mode d emploi je me vois oblig de vous initier par une br ve explication la m thode th rapeutique que Japplique tous les malades venus me consulter depuis 1974 Je n en donne point ici la transcription car elle est suffisamment expliqu e sit t apr s la page d accueil du site wWwWw jelmiger com Ce qu il faut retenir de ma d monstration c est que les v nements r put s marquants se sont succ d chronologiquement r alisant ce que appelle une s quence d stabilisa trice Ils n ont point t simultan s c est vident Et nous retrouvons ici en bonne place les nombreux vaccins dont chacun un un a marqu votre corps nerg tique durablement lors de leur premi re inocu lation Comment en effacer la trace Je vous l ai dit en allant chercher dans le tr s riche arsenal de l hom opathie l exacte r plique inverse du choc Pour le vaccin l antidote est un 150 cest dire le rem de d mat rialis et dynamis pr par partir du vaccin r el En le don
58. ques sanitaires pr sent s par les m dicaments alors qu ils sont tous grandement complices de la d sin formation et des mensonges propa g s par les fabricants et les medias Il ne nous reste plus qu esp rer que le grand public va enfin cesser d couter les nombreux experts juge et partie qui sont la solde d une industrie aussi aveugle que crimi nelle et sortira de son autisme avant que de nouvelles catastrophes ne se manifestent comme c est devenu une habitude dans notre pays et m me dans le monde Tous ces scandales ont de nombreux points communs et une m me ori gine l app t du gain au d triment de la sant Cependant apr s chaque scandale d minents sp cialistes nantis de l absolution g n rale nous expliquent avec des tr molos dans la voix que les d cisions Incrimin es taient justifi es par les donn es actuelles de la science d autant qu pr sent la notion de res ponsable mais pas coupable s est ajout e celle de coupable mais pas condamnable Au fil des ans dans tous les pays les catastrophes sanitaires connaissent les m mes phases de d roulement L industrie nous abreuve d informa Bulletin d informations de la Ligue Nationale tions venant de scientifiques corrompus qui produisent des contre expertises truqu es et alors que les rapports de maladies et de d c s se multiplient nos gouvernants persistent se r f rer aux expertises s curisantes
59. r est immense la partie n est pas encore gagn e le travail qui nous attend est ingrat Mais la balle est d sormais dans notre camp A nous vous de jouer Je vous remercie de votre attention Jean ELMIGER D JEAN ELMIGER MALADIES AUTO IMMUNES bel E p BIOSOPHIE http www jelmigercom dr elmiger fr10 html Par t l phone 41 21 728 68 00 Par fax 41 21 728 68 32 Par courrier 10 rue de la Gare 1009 Pully Bulletin d informations de la Ligue Nationale Nouveautes librairie R ceple LM i A s i 28 H patite B Grippe H patite I hermie l gt R g E naughin Sav ii Le mange vx rt I T tanos AE AIT en o amp SUCE Ps m a resurgente be En vente page 32 INFILTREUSE M DICALE MALGR MOI Ce livre ne parait pas M moires d une visiteuse m dicale ordinaire page 32 car l information de son existence PAMPHLET ne nous est parvenue e che h tous CEUX de recherc a les Mind Apie d sinforne g e poa pi ge le Pa leur tours nstrati s mie ne fait la Les va s dical qu apr s le bouclage du journal mais vous gt 6 pouvez le commander la Ligue au prix Les secrets des recherches opaques 2 P des entreprises du m dicament P aus la me CN Les sement e prise en charge Feradi d fi
60. rappel antirabique d veloppe une paralysie de arri re train Il fait peine voir marchant sur ses seules ant rieures tra nant ses pattes inertes sur les asp rit s du sol qu il macule de sang Le v t rinaire j allais dire le p diatre ne suspecte videmment pas sa responsabilit d cr te le mal incurable et propose la piq re l tale Je demande voir le carnet de sant et suis surpris de n y trou ver qu une invraisemblable accumulation de vaccins Pas trace d aucun autre v nement marquant Le chien n a d ailleurs jamais t malade ou accident y regarder de plus pr s je constate que tous les vaccins che lonn s sur ces ann es ne sont en fait que la r p tition des primo vaccins que le chiot avait tous re us en bloc la premi re semaine de sa vie La d cision est prise a passe o a casse le laboratoire recoit ma commande d un multipack de ces isos vaccinaux canins que le chien recoit quatre jours de suite Et le miracle se produit d s le cinqui me jour Fracasse saute sur ses pattes post rieures et court de nouveau avec la plus grande v locit derri re tous les malheureux chats qui pas sent sa port e La cure a r ussi parce que jai pu effacer chez lui d une seule vol e le seul et unique v nement composite qui avait g ch sa vie retardement et le condamnait mort Ces quelques exemples de la perversit du dogme vaccinal vous auront peut tre apport un
61. s voqu es tel point que je n ose plus recommander mes malades la lecture des derniers ouvrages de Sylvie Simon Mais je vais encore devoir accentuer votre inqui tude en vous exposant le vrai probl me que pose le dogme vaccinal En effet parmi tous les ouvrages qui la suite d Ivan Illich fustigent depuis tant d an n es les aberrations de la m decine il en est tr s peu qui situent le mal sa juste place c est dire l origine de toutes les maladies alt ration pr alable ou simultan e du corps nerg tique Et c est ici que je situe la plus grande perversit de l acte vaccinal Je m en explique Sans entrer dans les d tails d un cours de m decine je dois cependant vous donner en pr ambule les grandes lignes de la m decine du troisi me mill naire qui se dessinent ici et l hors Facult bien s r dans les insti tuts de recherche ind pendants anim s par des hommes d sint ress s Tous les travaux qui manent de ces recherches prennent leur source dans la grande tradition m dicale qui se perd dans la nuit des temps et s en r f rent a son concept fondateur l nergie vitale Or vous savez que celle ci est Immat rielle qu elle ob it n anmoins la loi math mati que de propagation ondulatoire qu elle est donc bipolaire et que la sant r sulte de son parfait quilibre Et c est sans surprise que nous retrouvons ici l hom opathie son dogme ainsi que ses moyens d action l
62. s ce n est pas bien s r dans les revues scien tifiques prestigieuses qu elles sont publi es Comme vous le savez tous c est par le bouche a oreille que se transmettent la plupart de ces observations relay es enfin de facon formi dable par Internet et par les tr s nombreu ses revues d associations telles que la v tre consacr es la promotion de la sante Or il est n anmoins possible que le professeur ne mente pas Car il ne lit pas les bulletins mis par des hommes de bonne volont qui tirent chichement 3 000 exemplaires Il ne lit que les revues s rieuses r put es scientifiques les revues comit de lecture Vaccination le dernier tabou Je mets l le doigt sur le vice du syst me de l enseignement m dical sup rieur en me servant pr cis ment de cette triste aventure Notre professeur en niant l vidence ne va jamais publier une observation qu il n a pas voulu voir Et pourtant qui serait mieux plac que lui pour le faire Car apr s tout c est son m tier c est lui de faire progresser la connaissance Le m decin de famille le m decin salari et m me le sp cialiste consult en renfort n ont pas cette facilit Ils ont d autres soucis mat riels et n ont pas de temps consacrer la publication Et qui d ailleurs publierait leurs observations Lui en tout cas ne les publiera jamais m me si l honn tet intellectuelle lui dictait cette obliga tion Car il
63. s travaux On peut s tonner de l opini tret du Journal d consid rer le Dr Wakefield si l on ignore que Murdoch et son fils James ont des liens tr s troits avec les laboratoires pharmaceutiques et que James Murdoch fait partie de la direction du groupe GlaxoSmithKline l un des fabricants du ROR cf Financial Times 2 f vrier 2009 Et cest bien gr ce cette organisation enfin accus e d avoir corrompu la police d avoir mis sur coute quelque 9 000 num ros de t l pho ne d avoir eu acc s des comptes bancaires priv s et d avoir achet le silence de certaines victimes que le Dr Andrew Wakefield Le Pr John Walker Smith et le Pr Simon Murch dont il faut saluer le courage ont d compara tre devant le GMC General Medical Council qui r glemente la pratique m dicale au Royaume Uni et a le pouvoir d interdire un m decin d exercer Le Journaliste du Sunday Times Brian Deer a bien confirm qu il est l origine de la comparution des m decins devant le GMC J ai d j racont en d tail dans plusieurs ouvrages et divers articles le processus abject utilis pour faire taire ces m decins et leurs malades et ne vais pas r cidiver mais il est fondamental de conna tre la v rit sur les d g ts caus s par ce vaccin qui ont t occultes comme les mal versations de la famille Murdoch galement occult es pendant trop longtemps Pour La Libert des Vaccinations 23 Une nouvelle preuve des
64. si en mai 2006 un rapport difiant signalait que le Distilb ne dont le scandale est oubli depuis longtemps serait aussi l origine d une v ritable s rie de suicides La justice a alors de mand une expertise scientifique car aucune recherche approfondie n avait t lanc e sur ce sujet Que faisait l Afssaps Agence fran aise de s curit sanitaire des produits de sant l poque Actuellement c est le M diator qui est sur la sellette mais il n est que la partie visible de l iceberg car l omerta cette loi du silence impos e par une mafia concerne galement la vaccina tion contre l h patite B dont on refuse d admettre les milliers de victimes celle contre le papillomavirus qui a pris comme cobayes des milliers de jeunes filles ou l autisme g n r par certains vaccins mais qui n int resse gu re nos d put s Sans compter la grippette porcine qui repr sente un scandale international mais na pas fini de faire parler d elle car les accidents vaccinaux et non grippaux se manifesteront peu peu et pendant longtemps Qui est o sera responsable des accidents Personne videmment Parfois certains fabricants sont mis en examen mais ils sen tirent toujours leur grand avantage et surtout aucun des responsables de la sant publique qui laissent faire sans jamais intervenir n a t in qui t ni les ministres de la Sant ni les organismes charg s d valuer les ris
65. sure de tique il se fait vacciner contre la m nigo enc phalite verno estivale tout en poursui vant une cure de d sensibilisa tion pour son rhume des foins entreprise depuis trois ans Dans les semaines qui suivent le denmiemrappel son cou enfle puis des bleus apparaissent au moindre choc Quand ceux ci se transforment en h matomes Importants le m decin est consult et constate un effondre ment total des plaquettes sanguines S ensuivent d innombrables hospita lisations au CHUV de Lausanne o est pos le diagnostic de trois maladies auto immunes s v res thrombo cytop nie essentielle thyro dite de Hashimoto et diab te de type 1 Je vous fais gr ce du recensement des traitements Instaur s tablis par nos plus minents sp cialistes Le r sul tat est pire que mauvais Le gar on bouffi et meurtri perd confiance en la m decine et demande qu on le laisse mourir Il ne veut m me pas tenter une autre vole et c est le p re qui force ma d cision Le diagnostic est ais il s agit d une archi banale s quence d stabilisatrice dans laquelle figurent outre deux v nements naturels la varicelle et une l g re commotion trente cinq agressions vaccinales qui se r sument a dix primo vaccinations Lequel de ces douze v nements a t il t le plus nocif Je l ignore et ne veux m me pas le savoir C est la s quence enti re qui a rempli le vase et le deuxi me rappel du dernier va
66. surprises mais ne peuvent refuser si elles n ont rien cacher L affaire de cette inquisition gr ce a notre appui se solde par un arr t des poursuites Madame et monsieur B Paris ont deux jumeaux de neuf mois que la maman garde elle m me la maison et qui ne sont pas vaccin s conform ment a la loi Un des jumeaux se br le l enfant est pr sent aux urgences d un h pital La maman a pris le carnet de sant qui ne comporte aucune vaccination dans le cas o vous devez hospitaliser un enfant aux urgences apr s un accident si la situation vaccinale n est pas parfaite aux yeux des habitudes m dicales classiques oubliez le carnet la maison L h pital signale la DDASS le cas de l enfant non vaccin le jeudi suivant les parents re oivent une convocation pour le mardi de la semaine d apr s et s ils ne sont pas disponibles ils doivent communiquer le digicode de l immeuble pour que la DDASS puisse acc der la porte de leur appartement on se croirait sous l occupation Il est vrai que la maman est br silienne et a un fort accent Nous leur indiquons un avocat ami qui se met en relation avec la DDASS demande le report du rendez vous et communication des pi ces du dossier Nous n en avons plus entendu parler Voil quelques exemples d affaires que nous avons a r gler quotidiennement heureusement toutes ne sont pas aussi compliqu es Le rapport FINANCIER pr sent par B atrice Rebelle tr sori r
67. t es par les laboratoires ont attribu cette am lioration au vaccin La mortalit par la rougeole avait pareillement diminu de 97 en Grande Bretagne avant l in troduction du vaccin Quant la gravit de cette maladie souvent mortelle on pouvait lire en 1976 dans Le Concours m dical T98 La rougeole une des maladies dites b nignes de l enfance m rite pleinement cette appellation en France Et dans La M decine praticienne n 664 d avril 1977 le Pr Bastin confir mait Il serait difficile de vacciner syst matique ment chez nous o la maladie est b nigne puis que sur 100 rougeoleux hospitalis s donc des cas choisis pour leur s v rit la mortalit est de 0 17 Toutefois peine quelques ann es plus tard le discours officiel prit une tournure diff rente car la maladie tait soudain devenue tr s fr quente et dangereuse et elle l est rest e Pourquoi cette volte face Simplement parce que ce vaccin venait d appara tre et il fallait bien Le vendre pr sent on nous r p te inlassablement que le seul moyen d viter cette maladie est de se faire vacciner alors que le Dr Mendelsohn p diatre am ricain au jourd hui d c d mais qui exer a une forte influence sur la m decine infantile dans son pays a remarqu Depuis 30 ans qu on vaccine aux USA contre la rougeole les pid mies de rougeole n ont pas baiss d intensit touchant dans 10 des cas des adult
68. t parce que notre poque est celle de la comp tition et de la surconsom mation dans laquelle le profit r gne tous les niveaux et qu ils se sentent l abri de toute critique gr ce au lavage de cerveau inflig la population g n rale Une faut donc pas compter sur eux pour faire changer les choses seuls les consomma teurs peuvent agir Or dans son ouvrage Le Meilleur des mondes crit en 1932 Aldous Huxley pr disait l av nement d une dictature scientifique dont les sujets en viendraient abandonner l id e m me de r volution Vi sionnaire de g nie il d crivait une dictature parfaite qui aurait les apparences de la d mocratie une prison sans murs dont les prisonniers ne songeralent pas s vader et un syst me de d pendance o les esclaves anesth si s par la consommation et les diver tissements ne se poseralent aucune question et aimeralent leur servitude En 1961 lors d une conf rence donn e Santa Barbara en Californie au sujet du contr le du comportement humain Aldous Huxley confirmait ses propos et anticipait Il existera dans la prochaine g n ration une m thode pharmacologique pour que les gens ch rissent leur servitude et g n rent pour ainsi dire sans plaintes une sorte de camp de concentration pour des soci t s enti res alors que les peuples verront leur libert confisqu e mais s en r jouiront plut t car ils seront d pouill s de tout d sir de r vo
69. t sans doute l un des compos s chimiques le plus commun et le plus polluant de l atmosph re de nos habitations C est en effet une substance largement utilis e par l industrie pour fabriquer les mat riaux de construction ainsi que diff rents quipements de la maison On le trouve galement dans de nombreux produits d entretien des produits de combustion et des produits cosm tiques et pharmaceutiques Ses effets sur la sant peuvent aller d une simple irritation des yeux et de la muqueuse nasale de s v res r actions allergiques Mais surtout depuis juin 2004 il est class par le Centre international de recherche sur le cancer CICR dans la cat gorie des canc rog nes pour l homme groupe 2 A avec un risque plus lev de cancer des sinus de la gorge et des voies respiratoires et un canc rog ne tabli du rhinopharynx pour les personnes ayant travaill avec le formald hyde pendant plusieurs ann es Ce poison est impliqu dans des leuc mies cancer du cerveau du colon des organes lymphatiques Il est toxique pour le foie le syst me immunitaire le syst me nerveux les organes de reproduction ce sujet d s 1981 le directeur de OSHA Occupational Safety and Health Adminis tration le Dr Peter Infante a signal que le formald hyde avait un pouvoir carcinog ne mais l Administration a essay de cacher cette nouvelle et de faire d missionner le Dr Infante qui crivitalors au Dr John Higginson
70. tes mais ne sont pas r pertori es en France Quelles que soient les affirmations de certains communiqu s orient s la vaccination contre la rougeole demeure un s rieux facteur de risque de maladies de d g n rescence prati quement incurables et la porte grande ouverte vers de nombreuses allergies comme l ont d montr de tr s nombreuses tudes En 1993 plus de 25 des cas de rougeole se produisirent chez des b b s de moins d un an Le CDC attribua ces cas au fait que de nom breuses m res furent vaccin es entre 1960 et 1980 L immunit naturelle de ces m res ayant t annul e par la vaccination elles Faillite de vaccinations d apr s l institut Robert Koch n ont pu la transmettre leurs enfants Enfin et pour r pondre une fois pour toutes au sujet d tudes officielles comparant des enfants vaccin s avec des enfants non vacci n s le 26 octobre 2010 la cha ne de t l vision allemande Alpenparlament TV diffusait une interview d Angelika K gel Schauzt math maticienne responsable de l EFI association d information sur les vaccins qui citait une tude concernant 18 000 enfants allemands de 0 17 ans Cette tude a t men e durant trois ans par l Institut Robert Koch le plus haute Instance de sant allemande Sp cialis dans les maladies infectieuses cet institut a analys en d tail la sant de ces 18 000 enfants repr sentant un chantillon de toute la po pulation Les
71. tota lit des malades que sur 1480 cas hospitalis s 801 malades avaient plus de 20 ans soit plus de 54 et que le nombre de complications des plus de 20 ans est de 248 sum 27 soit plus de 58 Une pid mie de rougeole s vit en France depuis 2008 et plus de 10 500 cas ont d ja t d clar s Au d but de l ann e 2010 la circulation du virus s est intensifi e et selon l InVS Institut de veille sanitaire plus de 5 000 cas ont t signal s entre janvier et d cembre alors qu il est certain que tous les cas n ont pas t d clar s bien que ce soit obligatoire Il est certain qu il s agit d une pid mie alors que la population est de plus en plus vaccin e particuli rement les enfants Ces chiffres montrent bien le d placement de l ge des cas de rougeole maladie essentielle ment infantile avant l introduction du vaccin vers les adultes et surtout l augmentation de sa gravit puisque le nombre de cas de rougeoles hospi talis es avec complications chez les enfants de 1 9 ans ne repr sente que 72 cas sur les 5 021 cas d clar s soit 1 43 alors que chez les plus de 20 ans on trouve 148 cas sur 5021 soit 5 des Cas Ces chiffres permettent certains de nos m dias visiblement inform s par les laboratoires de d clarer La rougeole est une maladie mortelle mais vitable gr ce la vaccination qui touche principalement les enfants de moins de cinq ans B
72. tuation actuelle analyse des risques e Tracts Le droit de tout savoir pour d cider e Le service librairie jour avec un condens de livres propos s et un tarif sp cial nouveaux adh rents valable 1 mois e Des anciens num ros de notre bulletin d information R alit s amp Vaccinations e 1 autocollant ou 2 si adh sion couple II Si vous tes d j adh rent n utilisez pas ce bulletin pour renouveler votre adh sion Rejoignez notre association Ses seules ressources sont les cotisations de ses membres Le tarif d adh sion comprend la cotisation annuelle Le droit d adh sion Droit payable en une seule fois au moment de l adh sion soit 20 ch que l ordre de LNPLV O Membre actif individuel 58 G Membre actif couple 65 O Membre de soutien de 65 g Monsieur O Madame J Mademoiselle EEA E aE E EE E NE EAE ENEE EE AE EEEE AA AE AE e E E E E E E E Code pastal i nee a N EE EE E A E EE A De LES ER TS E TET E E E TT Signature Vaccins et vaccinations Collectif Ligue Synth se de la situation actuelle Analyse des RS manner R1 2 00 Les 10 plus gros mensonges sur les vaccins S Simon Ne vous laissez pas d sinformer plus longtemps Saaai A ENNE R25 16 00 Vaccination je ne serai plus complice Dr Jean Meric Explique pour 7 maladies contre lesquelles il existe un vaccin ce qu elles sont comment elles se d veloppent et pourquoi le
73. u tabou vaccinal Chaque nouveau patient recu ma consultation depuis 1975 tait gra _ tifi d une courte explication de la _ m thode th rapeutique que j allais appliquer sa maladie Et dans cet os ma conception de la vacci nation tenait une place de choix Il m arrivait alors souvent de faire _ deviner mon consultant l ampleur _ de la plage temporelle que la Facult de M decine attribue dans l organi gramme de ses cours l enseigne ment de cette tr s importante branche de l activit m dicale Les tudes de m decine s talant ordinairement sur plus de six ans la onse attendue devait logiquement iquer un nombre lev de cours partis sur plusieurs mois voire le pi ge les plus suspicieux osaient un chiffre moindre r duit par exemple quelques semaines Dr quelle n tait pas Leur stup faction nd je leur r v lai la triste v rit 1 que les tudiants de ration ont re u sur ce sujet Mance capitale a rarement demi journ e Quatre de cours chichement pr douze semestres d tudes jviens encore de cette le on Lausanne par un professeur fervent admirateur de qui seffor ait de nous vaccinale en se r f rant aux travaux du grand plagiaire que la recherche historique moderne a enfin r v l s sous leur vrai jour Par la suite nous n avons eu droit aucune explication compl mentaire Quelle est la nature exacte de l anti g ne Quelle est sa pro
74. ui trouvent ces recommandations obsol tes viennent de publier un petit guide vert du blo m nage qui donne quelques conseils simples tous bas s sur des tudes scientifiques r centes pour nettoyer en pr servant sa sant En menant cette tude notre objectif n tait pas d tre exhaustif mais de montrer que d s la naissance nous sommes plong s dans un bain chimique En tant que m decins nous voulions pr venir et sensibiliser au maximum la protection des plus sensibles Aussi il nous semble absurde d exposer les nourrissons cette pollution alors que nous pourrions l viter a d clar le Dr Pierre Souvet Pr sident de l ASEF Avec cette tude nous esp rons inciter les entreprises mettre sur le march des produits moins polluants mais aussi inciter les d cideurs politiques rendre obligatoire l tiquetage des mat riaux d ameublement afin que le consommateur puisse r ellement choisir En attendant nous conseillons aux parents de mettre le lit d gazer dans le garage quelques mois avant l arriv e de b b L objectif tant que demain nous ne regrettions pas nos actes d aujourd hui ajoutait Le Dr Patrice Halimi Secr taire G n ral de l ASEF Toutes ces d clarations sont arriv es avant les f tes de No l au moment o les parents achetaient des cadeaux qui pouvaient contenir du formald hyde afin de les mettre en garde contre ce produit Le formald hyde ou formol es
75. ui pensent de cette mani re et s inqui tent de l ob issance passive de nos contemporains bilen pensants Mais pour tre libre il faut tre informe et La v ritable information ne circule vrai dire que dans certains magazines tirage limit et sur Internet o elle est noy e dans un fourre tout parfois inextricable Aussi de vons nous apprendre devenir responsa ble ne pas c der la crainte du jugement des autres la peur habilement distill e par des pouvoirs qui refusent de pr voir comment et pourquoi leurs brillantes inven tions actuelles deviendront Les calamit s de demain car la simple logique leur chappe Quant aux technocrates l instar des cartels de l industrie ils ne raisonnent qu court terme et refusent de prendre en compte les effets pernicieux engendr s par leurs d ci sions actuelles mais qui n appara tront qu long terme Tous ces profiteurs semblent oublier leurs descendants qui risquent de payer tr s cher cette Incons quence et ce manque de conscience Pourtant comme le disait S n que au IV si cle avant J C La sagesse ne demande pas beaucoup d instruction et il faut esp rer que le bon sens n a pas totalement d sert la plan te bien que parfois il soit l gitime de se poser la question Heureusement une partie de la population commence prendre conscience que tous ceux qui d tiennent un pouvoir en profitent impun ment et que la plupart des ho
76. uiproposent d utiliser le vaccin Revaxis qui n a pas d AMM pour les enfants en dessous de 6 ans ou en primo vaccination Sont galement dans cette situ ation ceux qui proposent d offrir gratuitement le DT Vax ce dernier n est plus commercialis en France et ne correspond pas la recom mandation de l AFSSAPS pour les vaccins p diatriques car il contient du Thiomersal et dessous Le vaccin DTP a t retir du march le 12 juin 2008 les autres vaccins comportent des valences non obligatoires coqueluche ou et haemophilus influenzae b ou et h patite B et ne correspondent pas au caract re l gal de l obligation De plus cette situation supprime la possibilit d utiliser l article L 3111 9 du Code de la Sant Publique en cas d effets ind sirables D autre part le vaccin DT VAX dipht rie t tanos offert car il n est plus commercialis en France depuis f vrier 1999 par le fabricant contient du thiomersal mercure en contra diction avec la recommandation de l MEA et de l AFSSAPS demandant la suppression du mercure des vaccins p diatriques en juillet 1999 Par ailleurs le vaccin Revaxis n a pas d AMM pour les enfants de moins de six ans et ne peut s utiliser qu en rappel apr s la primo vaccination Comopte tenu de cette situation en conformit avec l article R 3111 17 du CSP je soussign docteur XXXXXXXXXXX yyyyyyyyyyy d clare sur seoir la vaccination de l enfant xxxxxyyybb par le DTP en attendant le
77. ulletin d informations de la Ligue Nationale Lorsqu elle ne provoque pas le d c s elle peut entra ner la c cit la surdit ou la pneumonie Du fait que la rougeole est tr s contagieuse la couverture vaccinale doit tre maintenue 90 au moins Ceux qui osent faire peur la population en d clarant ainsi que lorsque la rougeole ne tue pas elle risque d entra ner la c cit la surdit ou la pneumonie afin de les vacciner encore davantage devraient se renseigner avant de mentir aussi impun ment Depuis le d but de l pid mie ilya eu 5 morts au total dont une petite fille qui n avait pas t vaccin e comme on l a fortement soulign car son fr re avait t hospitalis pour une grave r action la vaccination que l on s est bien gard de signaler Comme l a fait remarquer Michel Georget pro fesseur agr g de biologie dans son ouvrage Vaccinations les v rit s ind sirables Entre 1906 et 1983 ann e du lancement de la campagne de vaccination le nombre de morts dus la rougeole est pass de 3754 20 soit une diminution de 99 5 malgr une augmentation parall le de la population de 33 Annuaire statistique de la France Cela prouve bien que cette diminution spectaculaire n est pas due au vaccin Mais comme on a commenc vacciner d s cette poque le public et les pouvoirs dits de sant fortement in fluenc s par toutes les publications scientifiques commandi
78. une rumeur selon laquelle le Center for Disease Control d Atlanta aurait r alis en 1996 une tude comparative bio conventionnel montrant que les personnes mangeant des aliments bio ont beaucoup plus de risque d tre infect s par E coli Or Dennis T Avery travaille pour l Hudson Institute un think tank conser vateur qui consacre une nergie consid rable d nigrer l agriculture biologique Cela n a pas besoin de commentaire puisque l Hudson Institute a recu des fonds de Monsanto Syngenta Dow Agroscience Dupont et compagnies La FNAB estime que les propos tenus par les deux scientifiques du CNRS sur les aliments bio sans r f rence scientifique portent atteinte la fois la fili re agriculture biologique et la cr dibilit du CNRS Elle se r serve le droit d agir en cons quence ajoute Dominique Marion Pr sident de la FNAB Esp rons que la F d ration obtiendra des dommages int r ts cons quents ne serait ce que pour emp cher les lobbies de r pandre n importe quelle Insanit sous le pr texte d en tirer profit Sylvie SIMON Bulletin d informations de la Ligue Nationale Le formaldehyde Au mois de novembre le Haut Conseil de la Sant Publique publiait son rapport sur le formald hyde substance reconnue comme canc rig ne afin de fixer de nouvelles doses respecter pour mieux prot ger les po pulations leur tour les m decins de l Association Sant Environnement France q
79. urs m faits notamment l autisme Mise jour Septembre 2011 Service librairie Informez vous lisez nos ouvrages vous serez mieux m me de parler du sujet des vaccinations Car il ne suffit pas de demander la libert de choix encore faut il avoir des l ments sur lesquels fonder votre opinion et votre d cision CR RER A TEET SE VERS EAE PN R f rence du livre com RP I hia NO a ER Del A ES AC ER EUR T Vaccins l avis d un M decin holistique Dr Ch Tal Schaller Ne restez pas dans l ignorance et l inconscience mais prenez la responsabilit de votre sant e AEE AASA Vaccins mensonges et propagande S Simon Ecrit par une sp cialiste de la d sinformation en mati re de sant ce livre contient les don es les plus parlantes sur les vaccins su su R38 20 9 DVD Silence on vaccine Lina B MORECO Dur e 90 mm Plusieurs sp cialistes reconnus remettent en question la s curit de la vaccination grande chelle s senesesesoseneseene DVD 24 00 Alertes grippales Dr M Girard R dig par un professionnel du m dicament ce livre se proposede fourniraux citoyens une grilled analyse qui aide a ne pas se laisser faire comprendre d abord choir ensuite mais en pleine connaissance RS nement R39 20 00 Votre sant n int resse que vous S Simon Ce livre fait le bilan de notre sant actuel o le m decin ne conna t plus le malade car il est devenu u
80. vaccin ne Vaccinations les v rit s ind sirables M Georget Une analyse scientifique de tous les aspects des vaccinations R3 22 00 Exercice ill gal de la gu rison S Simon Comment respecter le serment d Hippocrate dans un syst me gangren par le pouvoir m dico conomique s s R6 20 00 Vaccination l overdose S Simon nouvelle dition Une enqu te magistrale une information objective sur ce que les pouvoirs publics cherchent nous cacher NRA R7 20 00 La Dictature M dico Scientifique S Simon nouvelle dition R8 18 50 Vaccination la Grande Illusion R Bickel Bande Dessin e Plus de 120 pages d images d coiffantes accompagn es de textes humoristiques et d informations scientifiques R9 12 00 Vaccinations le droit de choisir Dr F Choffat Vaccinations et obligations vues par un m decin suisse R11 14 50 La Faillite du B C G Dr M Ferru La longue histoire d une vaccination controvers prix sp cial Ce qu on nous cache sur les vaccins S Simon Analyse du vaccin son efficacit ses effets ind sirables positions comparatives de la France et des autres pays 229 17 90 Vaccins l avis d un avocat On nous aurait menti J P Joseph Ne pas faire vacciner vos enfants tout en respectant la loi R30 16 80 Autisme et vaccination S Simon Cet ouvrage s adresse aux parents qui veulent confronter les bienfaits des vaccins le
81. venance Comment est il rendu actif L est il r ellement Bref comment fabrique t on un vaccin Et quel est son impact sur les diff rents syst mes qui assurent la protection de notre int grit corporelle garante de notre survie Et que signifie la production forc e des anticorps Leur pl thore saura t elle assurer long terme notre Immunit Tant de questions r ponses Tous les sujets que notre professeur aurait d aborder ont t soigneuse ment lud s rest es sans Les ann es passent les tudes de m decine gardent la m me dur e Qu en est il aujourd hui de cet enseignement b cl Pouss par une saine curiosit al interrog mes fils entr s en m decine trente six et trente huit ans apr s moi M me stup faction Mon fils a n m a assur n avoir pas consacr plus d une journ e l tude de l norme machinerie vaccinale Et le cadet plus cat gorique encore m a appris qu il tenait tout son savoir vaccinal de l tude d un polycopi de format A4 distribu lors d un cours en deuxi me ann e Renversant Ainsi je suis autoris vous dire vous qui tes ici r unis dans cette salle et toutes g n rations confondues ceci Vous avez tous t vaccin s par des m decins qui n avaient aucune id e de l impact de leur geste furtif sur l volution de votre sant Quelle est la signification r elle de ce constat Que signifie ce silence professoral Je ne peux

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