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1. PHA LE JOURNAL DU SYNDICAT NATIONAL DES PRATICIENS HOSPITALIERS ANESTH SISTES R ANIMATEURS LARGI SOCI T Le SNPHAR E la rencontre des s nateurs Temps de travail additionnel remettons les pendules l heure ASTREINTES M DICALES L H PITAL LE SITE DU SNPHAR E HTTP AWW SNPHAR COM 1735 3111535 310 1 SOMMAIRE FOCUS Astreintes m dicales l h pital comment un tat arrive cr er du travail dissimul POINT DE VUE DE L ACTUALIT De rien peu carnet de route d une ann e syndicale LE POINT SUR Temps de travail additionnel remettons les pendules l heure ee 10 DOSSIER R ORGANISATIONS ANAP des indicateurs pour quoi faire 12 L avis du SNPHAR R organisation des blocs rester vigilant JURIDIQUE Le PH face la proc dure de suspension directe par son directeur R FLEXIONS Le d ni du conflit bloque la naissance d un r el compromis STATUT Le statut de PH temps plein d octobre 2010 ce qu il faut retenir SOCI T Le SNPHAR E la rencontre des s nateurs FORMATION L accr ditation est gage d autonomie AGENDA DU CA ISSN 1285 7254 Pr sident du comit de r daction La pr sidente du SNPHAR E R dacteur en chef M A Doppia Comit de r daction B Mas L Heyer P M nestret Y R bufat diteur Ektopic 58 rue Corvisart e 75013 Paris e 01 45 87 77 00 Directeur de publication C
2. ont sembl r ceptifs notre argumentaire voire nos propositions L histoire tait donc certainement d j crite depuis bien longtemps Mais ce juste combat ne pourra rester vain ind finiment nous avons marqu les esprits et pris date pour le futur Nous ne d sarmerons pas car les probl mes sont l gion La transformation de notre cadre de travail impos e par la loi HPST devra n cessairement s accompagner d une volution de notre statut que l empilement du mille feuille r glementaire a rendu par endroits incompr hensible et injuste Le productivisme exig par nos directeurs au nom de la sacro sainte T2A et redoutablement orchestr par ANAP au sein des blocs op ratoires ne pourra continuer faire fi de la qualit de notre tra vail de l int r t que nous y trouvons et de notre sant La transformation de gardes en astreintes lou e par certains direc teurs d ARS croyant tort par un tour de passe passe r gle mentaire dont seule la France a le secret pouvoir chapper l application du repos quotidien et donc maintenir l offre m dicale de jour au m pris de la r glementation communautaire est inac ceptable La r glementation sur l astreinte doit imp rativement tre revue et corrig e Jamais l h pital public n a eu tant de peine recruter et main tenir les effectifs m dicaux Pourtant personne ne s est encore demand pourquoi Yves R BUFAT Secr taire g n ral du SNPHA
3. DE LA R GION D ANNECY AVENUE DE L H PITAL 74370 METZ TESSY www ch annecy fr NOUVEL TABLISSEMENT DE 2008 614 LITS ET PLACES DE MCO 15 000 ACTES AN 14 SALLES DE BO SITE D ENDOSCOPIE TOUTES CHIRURGIES DONT CHIRURGIE CARDIAQUE ET NEURO CHIRURGIE MATERNIT NIVEAU 2 2600 ACCOUCHEMENT AN RECHERCHE POUR DEBUT 2011 PRATICIENS CONTRACTUELS EN ANESTH SIOLOGIE R ANIMATION SUR POSTES DE PH PROCHAINEMENT VACANTS POUR COMPL TER UNE QUIPE DE 16 PH CONTACTS DR EMMANUELLE GROSPERRIN 04 50 63 60 28 egrosperrin ch annecy fr DRH AFFAIRES M DICALES 04 50 63 62 03 mpoillot ch annecy fr http www snphar com Journal du Syndicat National des Praticiens Hospitaliers Anesth sistes R animateurs largi PHRE n 55 d cembre 2010 PETITES ANNONCES LE CENTRE HOSPITALIER D AVRANCHES GRANVILLE 50 BASSE NORMANDIE BAIE DU MONT SAINT MICHEL PROXIMIT MER ET PORT DE PLAISANCE GRANVILLE RECRUTE 2 M DECINS ANESTH SISTES R ANIMATEURS TEMPS PLEIN POUR COMPL TER UNE QUIPE DE 5 PRATICIENS ACTIVIT DIVERSIFI E SITE DE CHIRURGIE CONVENTIONNELLE ET AMBULATOIRE DISTINCTS GARDE SUR PLACE REPOS DE S CURIT PLATEAUX TECHNIQUES NEUFS ET MODERNES ACTIVIT POLYVALENTE MATERNIT NIVEAU 2 B ENV 1200 NAISSANCES AN SERVICE DE R ANIMATION ET USI 12 LITS GARDES S PAR ES CONTACTS ET CANDIDATURES DR TURGIS SitviA CHEF DE SERVICE SERVICE ANESTH SIE R ANIMATION 59 RUE DE LA
4. En revan che la participation la permanence des soins est impos sible les indemnit s de service public d exercice multi tablissements ou de liaison ne sont pas vers es et l avancement est suspendu La demande de mise en recherche d affectation ou l initiation d une proc dure disciplinaire ou en insuffisance profes sionnelle ou la r union d un comit m dical n cessitent des pr alables une instruction du dossier tape plus ou moins longue et souvent un d bat contradictoire per mettant au PH de construire et d avancer ses arguments de d fense Dans le cas de la suspension directe l int ress ne peut m me pas consulter son dossier pr alablement la prise de d cision Un ventuel manquement aux condi tions d urgence ou d exigence de la situation nonc es ci dessus ne pourra tre mis en exergue que lors d un recours au tribunal administratif initi par le PH c est dire apr s un laps de temps certain pendant lequel le PH est toujours suspendu C est durant tout ce temps que sa pr somption d innocence est bafou e et qu il subit un pr judice moral sur ses capacit s professionnelles LE SNPHAR E DEMANDE QUE LA PROC DURE DE SUSPENSION DIRECTE PAR LE DIRECTEUR SOIT STATUTAIREMENT ENCADR E L urgence de certaines situations peut justifier l existence d une telle proc dure Ce n est pas pour autant que l arbitraire doit y pr valoir Afin de respecter le droit fondamental de la pr som
5. Mura Directeur de r daction A le Masne Secr taires de r daction C Huzer L Almela E Pasquier Publicit C Mura e cmura ektopic com Impression Imprimerie L once Deprez Cr dit photos istockphoto EDITO NIER LES PROBL MES N EST PROBABLEMENT PAS LA MEILLEURE MANI RE DE LES R SOUDRE Comme pr vu la rentr e fut agit e Les journ es de gr ve et de manifestation se sont succ d es pendant plus d un mois au rythme de l volution de la r forme des retraites Depuis bien longtemps notre pays n avait pas connu un mouvement social de si grande ampleur Le SNPHAR E n a pas m nag ses efforts En vain Nous nous som mes battus pour la prise en compte de la p nibilit de nos m tiers intrins quement li e aux gardes aux astreintes et aux horaires d passant non seulement la moyenne hexagonale mais aussi la norme l gale europ enne garante d un quilibre satisfaisant entre la vie professionnelle et la vie familiale Nous avons rencontr d put s s nateurs et journalistes Nous avons pr sent les tudes scientifiques et les projections d mo graphiques Nous avons tent de faire comprendre le mal tre de tous les travailleurs de l h pital public Nous avons m me crit et propos des amendements En vain La loi est promulgu e et nous devrons continuer travailler de jour comme de nuit jusqu 67 ans Pourtant la plupart de nos interlocuteurs probablement d j renseign s
6. cid de nous inscrire dans cette optique Forts de nos r flexions de fond ant rieures nous avons mis l accent sur la seule p nibilit facilement objectiva ble le travail de nuit Le SNPHAR E a b ti une plateforme de revendications et l a soumise d autres syndicats afin d aboutir une pla teforme commune Ses l ments r sum s dans notre flyer cf ci dessus ont t largement partag s par nos coll gues des sp cialit s fortement confront es la per manence des soins p diatres urgentistes r animateurs m dicaux gyn cologues obst triciens et ceci quels que soient leurs statuts PH PU PH ou m decins de PSPH Au del du SNPHAR E un front transintersyndical tait n pour faire reconnaitre la p nibilit du travail de nuit des m decins hospitaliers FAIRE CONNA TRE AU PUBLIC ET AUX LUS NOS REVENDICATIONS PARTAG ES Des newsletters largement diffus es un investissement des moyens de communication modernes Facebook et twitter et un fort relais dans les m dias gr ce un dos sier de presse exhaustif et s appuyant sur de nombreu ses r f rences et tudes scientifiques nous ont permis de communiquer avec vous nos adh rents mais aussi plus largement avec tous les praticiens hospitaliers et le grand public La loi portant projet de r forme des retraites devait tre discut e d s la rentr e au Parlement Il s agissait donc de faire vite Nous avions quelques semaines pour inform
7. processus proc dure et les d bats au S nat en optant pour la proc dure dite du vote bloqu Seuls les amende ments ayant obtenu un avis positif du rapporteur de la commission des affaires sociales et du gouvernement ont t soumis au vote des s nateurs Nos amendements n ont donc jamais t discut s au S nat Humiliation finale l un d entre eux interruption des gardes au del de 60 ans sauf pour les praticiens volontaires a m me t qualifi par le rapporteur de louable mais rejet TANT D EFFORTS N ONT ILS VRAIMENT PORT AUCUN FRUIT Factuellement aucune des propositions de notre plate forme de revendications n a t entendue Et faut il se f liciter en cette p riode de vaches maigres de la paru tion des d crets sur les mesures compensatoires au JO du 30 septembre 2010 Non cela ne repr sente rien d autre que la fin d une trop longue attente Le fruit des efforts de cette dure ann e est chercher plus loin En 2010 le SNPHAR E a marqu les esprits et s est inscrit pour le futur comme l interlocuteur pivot sur ces dossiers Aux tutelles aux lus et nous l esp rons un grand nom bre de m decins hospitaliers nous pensons avoir montr un SNPHAR E capable de r flexion sur le fond capable de faire l union et de f d rer plusieurs syndicats et capa ble de porter un message clair Les m dias ont fortement relay nos revendications et le message a t entendu par de
8. quipe m dicale para m dicale or ce sont d quipes soud es dont nous avons besoin Dans le secteur public encore moins qu ailleurs l argent n est pas le moteur de la motivation des personnels Les praticiens qui restent dans le public le font au nom de valeurs qui sont toutes autres comme en particulier la volont de servir l int r t g n ral ou celle de faire du bon travail en quipe A contrario ce sont les conditions de travail qui poussent en partir ou n incitent pas y ent rer Si ces conditions de travail ne s am liorent pas la fonction de PH ne sera plus attractive et le d part des m decins vers le secteur priv accentuera les d serts m dicaux que nous connaissons d j Lors de la discussion en proc dure acc l r e du projet de loi de r forme des retraites Jacky Le Menn a pr sent au S nat plusieurs amendements concernant les PH notamment l un visant permettre qu partir de 60 ans le praticien hospita lier us physiquement par le travail de nuit lequel peut repr senter cinq ann es sur l ensemble d une carri re ne puisse se voir imposer de travailler la nuit Bruno Gilles en a fait autant proposant que les heures cumul es sur les comptes pargne temps des int ress s puissent tre utilis es notamment pour une cessation progressive d activit En raison de la proc dure du vote bloqu ces amende ments n ont fait l objet ni de discussion ni de vote e
9. ration 236 98 euros des demi journ es de travail pour la r alisation de nos Repos quotidien jusqu 16 h le lendemain obligations de service en fin de quadrimestre nous pouvons demander l arbitrage du Tribunal adminis tratif avec l appui du SNPHAR E pour aller au bout 2 demi joum es comme pour la permanence sur place 7 R mun ration 236 98 euros du contentieux Repos quotidien de 24 heures le lendemain Astreinte d plac e plus de 3 heures entre 20 h et 5 h le lendemain Nicole SMOLSKI pr sidente Toute non application de ces recommandations conduira un nun recours de votre part au Tribunal Administratif avec notre aide Patrick DASSIER tr sorier http www snphar com Journal du Syndicat National des Praticiens Hospitaliers Anesth sistes R animateurs largi PHAR Z n 55 d cembre 2010 POINT DE VUE DE L ACTUALIT De rien peu carnet de route d une ann e syndicale spoirs vite d cus actions bas es sur des r flexions de fond engag es depuis longtemps mont e en puissance d un front transsyndical appel la prise de conscience des lus sur la p nibilit Retour sur une ann e charg e En octobre 2008 le SNPHAR E affirmait que la r forme de l Ircantec r gime obligatoire de retraite compl mentaire qui constitue les deux tiers de notre future pen sion de retraite conduirait une baisse inacceptable de plus de 30 96 des pensions vers es aux PH d butant leur
10. Anap Agence nationale d appui la performance des tablissements de sant et m dico sociaux a au cours du dernier s minaire du SNPHAR E d crit l int r t des indicateurs pour valuer le fonctionnement des blocs op ratoires lequel les professionnels peuvent op rer des patients Ce temps est g n ralement inf rieur au temps de mise dispo sition par l tablissement Enfin le temps r el d occupa tion des salles est examin Il permet de suivre l occupation r elle du bloc op ratoire et de trouver des marges d effi ciences notamment en r duisant le d lai entre deux inter ventions Tous ces indicateurs peuvent montrer un probl me organi sationnel de programmation ou de mauvaise structuration du bloc op ratoire L objectif est toujours le m me don ner les bases de la r flexion pour permettre la mise en place d une organisation efficiente du bloc op ratoire quoi sert l Anap Institu e par la loi HPST l Anap regroupe les expertises du GMSIH de la MAINH et de la MEAH L une de ses missions est l appui et l accompagnement des tablissements notamment dans le cadre de missions de r organisation interne de redressement de gestion immobili re ou de pro jets de recompositions hospitali res ou m dico sociales Elle assure aussi le pilotage et la conduite d audits sur la performance des tablissements de sant et m dico sociaux En 2010 l quipe de l Anap est compos e de 80 profession nel
11. DES AFFAIRES M DICALES marion laumonnier chicreteil fr CENTRE HOSPITALIER D ALBI SERVICE D ANESTH SIOLOGIE SITU 45 MIN DE TOULOUSE RECRUTE SON 7 ANESTH SISTE TEMPS PLEIN O TEMPS PARTIEL GARDE SUR PLACE CoNracrs CH ALBI DOCTEUR JACQUES BRISSAT CHEF DE SERVICE 05 63 47 43 72 MME VAISSIERE DIRECTRICE DES RESSOURCES HUMAINES 05 63 47 43 10 mariegabrielle vaissiere ch albi rss fr CENTRE HOSPITALIER DE VALENCE H DE LYON GRENOBLE 2 H DE MARSEILLE RECHERCHE ASSISTANT SP CIALISTE OU PRATICIEN CONTRACTUEL POSSIBILIT CR ATION POSTE DE PH POUR LE SERVICE DE R ANIMATION ET L UNIT DE SURVEILLANCE CONTINUE POSSIBILIT RECRUTEMENT EN ANESTH SIE AVEC GARDES EN R ANIMATION OU INVERSEMENT EQUIPE DE 6 PRATICIENS HOSPITALIERS e 12 LITS DE R ANIMATION AVEC PROJET D EXTENSION 16 LITS ET 8 LITS DE SOINS CONTINUS PLATEAU TECHNIQUE PERFORMANT SCANNER IRM CARDIOLOGIE INTERVENTIONNELLE UNV 55 900 PASSAGES AUX URGENCES SAMU SMUR SUR PLACE OBST TRICIEN P DIATRE CARDIOLOGUE RADIOLOGUE R ANIMATEUR ANESTH SISTE TOUTES SP CIALIT S CHIRURGICALES POUR TOUS RENSEIGNEMENTS CONTACTER DR PATRICE FERNANDEZ CHEF DE SERVICE TEL 04 75 75 88 52 Mme GRESLON AFFAIRES M DICALES TEL 04 75 75 72 66 MAIL direction G ch valence fr 179 BOULEVARD MAR CHAL JUIN 26953 VALENCE CEDEX 9 MiA CHRAY CENTRE HOSPITALIER DE LA REGION D ANNECY LE CENTRE HOSPITALIER
12. administration de l INPH Jeudi 27 R union intersyndicale CPH INPH avenir de l intersyndicalit F vRIER 2011 Jeudi 3 R union CNAMTS CCAM anesth sie Vendredi 4 R union du conseil d administration du SNPHAR E Paris Vendredi 11 S minaire du CFAR Samedi 12 S minaire du CFAR Jeudi 17 R union du conseil d administration du SNPHAR E Paris http www snphar com Journal du Syndicat National des Praticiens Hospitaliers Anesth sistes R animateurs largi PHR n 55 d cembre 2010 PETITES ANNONCES 4 Centre Hospitalier Bretagne Atlantique VANNES AURAY LE CENTRE HOSPITALIER DE VANNES MORBIHAN RECHERCHE 2 PRATICIENS ANESTH SISTES POUR REJOINDRE L QUIPE COMPOS E D J DE 5 PRATICIENS ADRESSER CANDIDATURE MONSIEUR LE DIRECTEUR DU CENTRE HOSPITALIER BRETAGNE ATLANTIQUE 20 BD G N RAL MAURICE GUILLAUDOT BP 70555 56017 VANNES CEDEX POUR TOUT RENSEIGNEMENT CONTACTER DR PHILIPPE LE ROUX CHEF DE SERVICE AU 02 97 01 41 76 MME CATHERINE ROSSIGNOL DIRECTRICE DES AFFAIRES M DICALES AU 02 97 01 45 06 LE CENTRE HOSPITALIER INTERCOMMUNAL DE CR TEIL RECHERCHE UN ANESTH SISTE R ANIMATEUR 16000 ACTES EN 2009 POSTE POURVOIR IMM DIATEMENT POUR COMPL TER UNE QUIPE DE 6 PRATICIENS TEMPS PLEIN 524 LITS ACTIFS MATERNIT NIVEAU III 3000 ACCOUCHEMENTS ANESTH SIE P DIATRIQUE CANDIDATURES ADRESSER LA DIRECTION DES RESSOURCES HUMAINES MELLE LAUMONNIER RESPONSABLE
13. commission de discipline SECR TAIRE G N RAL ADJOINT Groupe communication Observatoire souffrance au travail veille syndicale D L GU G N RAL DE L INPH INPH fichier textes officiels retraites administrateur CNG veille syndicale FAQ ADMINISTRATEUR Retraites urgences repr sentation des m decins non AR relation avec les universitaires newsletter extension SNPHAR E ADMINISTRATEUR INPH contentieux commission nationale statutaire commission de discipline ADMINISTRATEUR FMC DPC comptes rendus du CA veille syndicale newsletter ADMINISTRATEUR Relations avec le CNOM Restructurations hospitali res relations avec les d l gu s Veille syndicale ADMINISTRATEUR Groupe communication PH temps partiel qualit et organisation du bloc veille syndicale newsletter ADMINISTRATEUR Groupe communication observatoire souffrance au travail veille syndicale ADMINISTRATEUR Groupe communication webmaster veille syndicale newsletter FAQ e vote ADMINISTRATEUR Groupe communication coordonateur live SNPHAR commission nationale statutaire commission discipline T2A valorisation en anesth sie FEMS ADMINISTRATEUR Groupe communication IADE p rinatalit gouvernance coordonateur livre SNPHAR Nicole SMOLSKI H pital de la Croix Rousse SAR 103 Grande Rue de la Croix Rousse 69317 Lyon Cedex 04 Bertrand MAS H pital de la Timone D pt d A R P diatrique Bd Jean Moulin 13385
14. d ailleurs personne ne parle des d placements de moins de 3 heures Le plus cocasse de l histoire et qui en fait tout le paradoxe c est que faire du temps additionnel suppose d tre volontaire et d tablir un contrat Il est donc possible de conclure que si vous n tes pas volontaire pour faire du temps additionnel vous pouvez refuser de faire des astreintes Est ce que la permanence des soins ne devient subitement plus une obligation statutaire Plus kafkaienne encore l interpr tation de la r gle mentation pour la prise du repos de s curit Accro chez vous bien vous travaillez la nuit jusqu 4 h du matin vous avez travaill 20 heures vous vous repo sez 20 heures et ne pouvez tre au travail avant minuit le lendemain mais comme ce temps de travail n existe pas vos 2 demi journ es de repos vont se mettre en n gatif sur vos obligations de service r alis es Cepen dant l administration qui a toujours r ponse tout vous conseille alors pour ne pas vous retrouver en n gatif en fin de quadrimestre de poser un jour de RTT ou de r cup ration Et l c est le gain sur toute la ligne si vous avez travaill 20 nuits dans l ann e en astreinte vous n avez plus de RTT Donc la per manence des soins en astreinte est une obligation sta tutaire mais ne rel ve pas des obligations de service courrier de la DHOS en r ponse notre avocat en 2009 Et les d placements longs sont pay s en
15. de la qualit Les professionnels c est nous C est nous qui devons fixer nos r gles de fonctionne ment en terme de qualit et de s curit mais aussi de plai sir et de s r nit au travail II ne peut y avoir de r gle que l on ne doive transgresser Un exemple si la r gle de 1 MAR sur 2 salles est souvent acceptable c est toujours avec notre accord Nous ne devons pas d roger aux r gles de s curit que nous devons nos patients sous couvert d efficience ou de rentabilit voire de confort des op rateurs Nous pourrions proposer d autres indicateurs pourquoi pas le pourcentage de patients vus apr s 19 heures et au terme de 10 heures de bloc d affil e Pourquoi pas la qualit des rapports humains lorsqu un patient ne voit jamais deux fois le m me MAR au cours de son s jour Pourquoi pas la qua lit des soins aux patients les plus lourds ceux qui exigent de la continuit ceux qui ne sont pas forc ment rentables Et pourquoi pas encore notre qualit de vie au travail Notre dur e de vie dans la structure Un chantier certes mais un chantier dont nous ne devrons pas faire l conomie dans le cadre de collectifs de profes Sionnels au sein des services ou des tablissements Car tre d poss d de toute mani re d intervenir pour laborer soi m me son travail c est le d but de la n gation de ses convictions profondes on ne se reconnait plus ce n est pas moi une non recon
16. de s adapter certaines situations f 1 c f En cas de refus de tels cong s par le chef de p le ou l ad ministration il est essentiel de r agir sans attendre et de ne pas laisser s ent riner la situation Une seule solution arr ter imm diatement d accepter de faire du temps addition nel Nous savons tous comme cela est facile dire mais difficile faire dans la r alit de notre conscience profes sionnelle dans les services o l effectif est insuffisant et o la r cup ration du temps de travail additionnel va met tre en difficult le chef de p le et le service L est le levier si souvent utilis par l administration nous culpabiliser nous faire sentir responsables des probl mes d effectif du service Mais finalement celui qui ne c dera pas mais au contraire mettra la direction devant ses responsabilit s n est ce pas lui qui contri buera le plus solutionner les vrais probl mes Car nous savons bien qu entre prendre des int rimaires 1 600 euros la journ e pour assurer la continuit des soins et embaucher les aspects purement financiers peuvent pour une fois servir le bon sens En fonction de l effectif de l quipe le tableau de service fait facilement apparaitre les plages de temps additionnel compenser pour maintenir l activit de jour Le budget n cessaire pour ce temps additionnel est donc parfaitement pr visible l administration alors d endosser la respon sabilit de f
17. dicaux hospitaliers e D cret n 2010 1142 du 29 septembre 2010 relatif l assiette des cotisations de certains membres du corps m dical des tablisse ments publics de sant au r gime e D cret n 2010 1137 du 29 septembre 2010 relatif aux praticiens contractuels aux assistants aux praticiens attach s et aux m de cins pharmaciens et chirurgiens dentistes recrut s dans les ta blissements publics de sant e D cret n 2010 1187 du 8 octobre 2010 modifiant le statut des internes et relatif aux tudiants en m decine en odontologie et en pharmacie et aux stagiaires associ s e D cret n 2010 1218 du 14 octobre 2010 portant dispositions particuli res relatives aux m decins odontologistes et pharmaciens recrut s par contrat sur des uli pr sen tant une difficult particuli re tre pourvus LA Loi HPST EST PASS E PAR L Dans tous les champs de notre statut c est dor navant le chef de p le qui intervient et non plus le chef de service qui dispara t Le service avec son d sormais responsable de service n est donc plus qu une simple structure interne au p le L avis de la CME n est plus requis que dans les cas de discipline ou d insuffisance professionnelle sinon il est remplac par le seul avis du pr sident de la CME De m me le pr fet est remplac par le directeur g n ral de l agence r gionale de sant sauf dans le cadre de l valuation des aptitudes m
18. du travail des m decins assurant la permanence des soins Les r ponses de Dominique Leclerc Je suis convaincu que le r le du Parlement n est pas de rentrer dans le d tail de la prise en compte de la p nibilit on nous reproche d j souvent de trop l gi f rer En revanche et c est une premi re dans notre pays un pas a t fait avec la reconnaissance de la p nibilit instantan e pour les personnes ayant 20 96 d invalidit D ann e en ann e ce droit devra voluer par rapport la r alit des situations Sans pr sumer de la facon dont la p nibilit diff r e serait prise en compte tablir un r f rentiel une grille commune pourrait cer tainement tre utile ce titre le curriculum laboris P nibilit la suite est entre les mains des partenaires sociaux r pertoriant le travail de nuit ou les rythmes d cal s au cours d une carri re est une bonne id e Maintenant que la d cision politique a t prise c est du monde du travail que les volutions doivent partir Si la probl ma tique de la relation des citoyens avec le travail ne se r gle pas au travers d une loi les lois peuvent n an moins inciter mettre en uvre un certain nombre de mesures par corps selon les conventions collec tives et les relations au sein des entre prises La suite est donc entre les mains des partenaires sociaux et ce que deviendra cette impulsion poli tique d pendra du dialogue social dans
19. faisant reconna tre le temps effectivement pass tra vailler la nuit Appliquons la loi qui a fix la borne et non la norme ne pas d passer celle des 48 heures hebdomadaires de travail D s maintenant nous vous enjoignons de refuser de travailler plus de 48 heures par semaine Nous ne sommes pas l pour pallier les probl mes d effectifs ou pour compenser une d sorganisation grandissante ni pour soutenir une organisation productiviste dans la logique de rentabilit du n oh pital public Une r glementation volon tairement floue a laiss perdurer la notion jamais d finie de demi journ e nos obligations hebdomadaires de service sont de 10 demi journ es qui ne doivent pas d passer 48 heures Un calcul simple si votre bloc fonctionne en 12 heures y travailler 10 demi journ es vous fait d passer les 48 heures et nuit votre sant Donc 48 heures ou en dec arr tez vous et dites pourquoi pour prot ger votre sant Et si l arithm tique n est pas votre fort aidez vous de l outil de saisie horaire du temps de travail fourni par le SNPHAR E retrouver sur www snphar com Nous travaillons en astreinte la nuit mais les d placements http www snphar com Journal du Syndicat National des Praticiens Hospitaliers Anesth sistes R animateurs largi PHRE n 55 d cembre 2010 PERSPECTIVES SYNDICALES de nuit ne sont pas reconnus comme du travail r alis nous disons halte au travail dis
20. formation I faut profiter par exemple d un certain nombre de r unions de FMC nationales ou r gionales pour cr er des ateliers afin de montrer aux anesth sistes r animateurs comment entrer dans la d marche d ac cr ditation PHAR E Si les tablissements sont les financeurs du DPC quelle sera la place pour l autonomie du praticien Pr J FUSCIARDI Nous observons une tendance des pouvoirs publics vouloir diriger les formations m di cales vers des probl matiques qui touchent par exem ple au financement de la sant ou d autres domai nes qui ont parfois un int r t relatif pour un professionnel cet gard il faut d fendre l au tonomie de formation du praticien Les m decins anesth sistes r animateurs ne comprendraient pas ne plus pouvoir choisir ce qui est n cessaire l am lioration de leurs pratiques et de leurs connais sances La libert de choix des col l gues et celle de la discipline ne sauraient tre remises en cause L accr ditation est d ailleurs un gage d autonomie puisque le m decin reste libre de choisir l v ne ment porteur de risques qu il souhaite d clarer ainsi que les actions de formation et d valuation qu il souhaite y adosser Le r le du CFAR est de l y aider Propos recueillis par Alexandre DHORDAIN Le chiffre Le compte dont dans la proc dure d accr ditation Le CFAR comment ca marche Toutes les composantes de l AR sont repr sen
21. les entreprises dans toutes les entreprises y compris l entreprise h pital votre avis pourquoi seuls les m decins lib raux ont ils obtenu le maintien d une retraite 65 ans sans d cote Les r ponses de Bruno Gilles La retraite des m decins lib raux a t maintenue 65 ans sans d cote Tous les professionnels de sant lib raux sont r gis par un syst me particulier en 1962 pour les inciter entrer dans un cadre conventionnel l tat a cr un r gime de retraite optionnel par capita lisation l avantage social vieillesse ASV devenu obli gatoire en 1975 Ce syst me est diff rent du r gime g n ral ainsi il ne prend pas en compte la dur e d as surance le nombre de trimestres qui entre en ligne de compte mais une d cote qui s applique pour tout d part la retraite avant 65 ans Aujourd hui certains crient l iniquit Mais personne ne s insurgeait quand ces pro fessionnels devaient travailler jusqu 65 ans alors que l ge l gal de la retraite tait fix 60 ans Avec la r forme des retraites un m decin salari pourra partir 62 ans taux plein s il a tous les trimestres n cessaires Mais au m me ge un m decin lib ral ayant ces m mes trimestres subira lui une d cote par exemple de 15 96 pour un d part 62 ans Si iniquit il y a elle n est pas l o l on croit C est pourquoi j ai d pos un amen hitp www snphar com Journal du Syndicat Na
22. mois est tabli et communiqu au praticien qui fait apparaitre astreintes et d place ments Une nuit peut tre divis e en une demi garde suivie d une demi astreinte op rationnelle Les d placements de moins de 3 heures sont r mun r s 65 41 euros pour le premier appel 73 73 pour le deuxi me Quand le d place ment atteint ou d passe 3 heures l indemnisation de l astreinte et du temps de d placement est remplac e par une indemnisation bas e sur une demi p riode de temps additionnel de nuit soit 236 98 euros sauf le samedi apr s midi Ces d placements peuvent tre indemnis s r cup r s ou vers s au CET e L astreinte peut tre indemnis e au forfait au montant maximum d une demi indemnit de suj tion augment e de l indemnit de base Dans ce cas les d placements ne sont plus indemnis s Le montant de cette forfaitisation peut atteindre dans les SAU et les zones forte activit 188 euros Les astreintes peuvent tre r cup r es une demi journ e pour 2 astreintes op rationnelles ou pour 5 astreintes de s curit Arr t du 30 avril 2003 version en vigueur le 17 novembre 2010 relatif l organisation et l indemnisation de la continuit des soins et de la permanence pharmaceutique dans les tablissements publics de sant et dans les tablissements publics d h bergement pour personnes g es d pendantes NOR SANHOS21 568A prendre des risques m dico l gaux Quand l acci den
23. particuli rement expos ces risques tre de fa on aussi directe au service de l humain d mul tiplie et fait passer une autre chelle des questions concernant la qualit de ce qui est produit Par l acti vit m me qu un soignant d ploie l h pital il est imm diatement immerg dans le champ des probl mes de conscience du juste et de l injuste du bien et du mal Il est vital pour les soignants que le travail qu ils font soit d fendable leurs propres yeux L h pital est un lieu sur expos une lentille grossissante de la crise du travail qui existe partout PHAR E La d lib ration sur la qualit du travail ce que vous nommez la pratique de la dispute profession nelle a t elle sa place l h pital Y CLOT Les activit s de sant recouvrent des enjeux financiers que personne ne nie Mais imm diatement les questions de rentabilit conomique viennent percu ter les questions du travail bien fait Soit on continue penser que la rationalisation du soin est le crit re unique d am lioration du syst me de sant Soit on admet la coexistence d autres crit res et on consi d re que le conflit entre ces crit res est normal Je plaide pour que ce conflit soit clairement institu Il fait partie int grante du travail Il faut des instances o il soit l objet de discussions s rieuses et de d cisions fai tes de vrais compromis Le probl me n est pas l id e de rat
24. travail va constituer un dossier m dical de sant au travail il s agit l du curriculum laboris ou exposition au nombre de nuits travaill es sur votre carri re une id e port e par le SNPHAR E depuis plusieurs mois L administration doit vous fournir le relev n cessaire pour reconstituer votre parcours depuis le d but de votre prise de poste que vous pourrez pr senter votre m decin du travail e L employeur doit consigner les conditions de p nibilit auxquelles le travailleur est expos nous allons forcer les h pitaux suivre cet indicateur individuel Tout salari pourra cesser de mani re progressive son activit en utilisant les droits affect s sur le CET le SNPHAR E fera pr ciser les garanties de nous voir appliquer cette possibilit e Jusqu fin 2013 titre exp rimental un accord collectif de branche peut cr er un dispositif d allegement ou de compensation de la p nibilit nous de jouer pour faire appliquer ce dispositif exp rimental aux m decins hospi taliers Un comit scientifique est cr qui doit formuler des pro positions en vue de prendre en compte la p nibilit effets diff r s Nous serons partie prenante de ce comit Une nouvelle F d ration de m decins hospitaliers regrou pant plusieurs syndicats de m decins dits de la p nibilit est en train de se structurer Au del de la probl matique de la permanence des soins elle est destin e
25. DE 12 LITS 8 REA ET 4 SC PLATEAU TECHNIQUE COMPLET MERCI D ENVOYER UN C V PAR MAIL kaidomar m chi frejus saint raphael fr Afin de r server un espace dans notre prochain num ro coupl avec une parution en ligne sur notre site internet www snphar com merci de contacter EKT ADRESSE 58 rue Corvisart 75013 Paris e T L 01 45 87 77 00 FAX 01 45 87 77 09 EMAIL ektopic ektopic com 4 LIGNES DE 24 CARACT RES 20 MM x 81 MM 1 7 LIGNES DE 24 CARACT RES 32 x 81 MM 1 4 PAGE 210 x 75 mm l 1 2 PAGE 210 x 150 mm y ES 1 PAGE 210 x 297 mm 2 287 PROCHAINE PARUTION NUM RO 56 Mars 201 http www snphar com Journal du Syndicat National des Praticiens Hospitaliers Anesth sistes R animateurs largi PHARE n 55 d cembre 2010 Composition du conseil d administration PR SIDENTE Commission nationale statutaire Commission de discipline VicE PR SIDENT Groupe communication Facebook SNPHAR E communication aupr s des m decins en formation IADE permanence des soins SECR TAIRE G N RAL Groupe Communication Site web snphar com Newsletter TR SORIER Contentieux retraites e vote commission nationale statutaire commission de discipline TR SORIER ADJOINT Pr sident de la FEMS SECR TAIRE G N RAL ADJOINT FMC DPC FMI Veille syndicale SECR TAIRE G N RAL ADJOINT Communication souffrance au travail Vie professionnelle commission statutaire nationale
26. E Professeur NOM DU COORD Coordonnateur du P le NOM DU P LE Docteur NOM PHARE et vous Pour donner votre avis sur votre revue comment vous la lisez ce que vous y cherchez ce que vous y trouvez ou pas vos suggestions d am lioration L enqu te PHARE et vous sera prochainement en ligne sur www snphar com http www snphar com Journal du Syndicat National des Praticiens Hospitaliers Anesth sistes R animateurs largi PHA n 55 d cembre 2010 11 DOSSIER R ORGANISATIONS 2 2 Pour mesurer la performance l Anap comme la Meah en son temps recourt des indicateurs permettant de quit ter le domaine de la perception subjective Analyser les situations sur des bases plus pr cises que des beau coup ou des souvent a pour objectif de r pondre la question est ce que vos ressources sont utilis es au bon endroit et au bon moment Les indicateurs apportent aussi un support factuel aux r flexions sur les modes organisationnels et aux discus sions entre les professionnels de sant et la direction Ils ser vent lancer des actions concr tes et suivre leurs effets avec recul Les indicateurs sont un outil de mesure mais c est l tablissement qu il revient de collecter les informations mesurer Pour les blocs op ratoires l outil Starting bloc permet de piloter l activit de suivre un tableau de bord en routine et d analyser l organisation Un au
27. ITALIER DE CANNES ALPES MARITIMES 06 830 LITS PLATEAU TECHNIQUE PERFORMANT LR M SCANNER ACTIVIT S MCO S M U R NOUVEL H PITAL OUVERTURE ER SEMESTRE 201 I LE POLE ANESTH SIE R ANIMATION BLOC OP RATOIRE RECHERCHE UN ANESTH SISTE R ANIMATEUR OU UN R ANIMATEUR POSTE TEMPS PLEIN R ANIMATION POLYVALENTE 10 LTs SURVEILLANCE CONTINUE 4 LiTS CHIRURGIES DIGESTIVE UROLOGIQUE VASCULAIRE ORTHOP DIQUE OPHTALMOLOGIQUE O R L OBST TRIQUE STOMATOLOGIE RENSEIGNEMENTS DR LEMARCHAND 04 92 18 54 35 04 92 18 67 38 e lemarchand ch cannes fr CANDIDATURE ET CV MONSIEUR LE DIRECTEUR CENTRE HOSPITALIER DE CANNES 15 AVENUE DES BROUSSAILLES 06401 CANNES CEDEX 04 93 69 70 O1 04 93 69 70 69 direction ch cannes fr AGENDA DU CA Jeud 4 Conseil d administration de l INPH Jeudi 18 R union intersyndicale IADE Vendredi 19 R union du conseil d administration du SNPHAR E Paris Jeudi 25 R union intersyndicale CPH INPH avenir de l intersyndicalit Lundi 29 R union CNAMTS CCAM anesth sie D CEMBRE 2010 Lundi 6 Commission statutaire nationale anesth sie r animation CNG Paris Jeudi 16 R union du directoire du CFAR Vendredi 17 R union du conseil d administration du SNPHAR E Paris JANVIER 2011 21 Jeudi 13 R union du conseil d administration du SNPHAR E Paris Vendredi 14 Assembl e g n rale du SNPHAR E renouvellement du conseil d administration Paris HEGP Lundi 24 Conseil d
28. LIBERT 50300 AVRANCHES T L 02 33 89 41 40 ou emilie lelievre Q ch avranches granville fr MELLE CHARLET NATHALIE DIRECTION DES AFFAIRES M DICALES 849 RUE DES MENNERIES 50400 GRANVILLE T L 02 33 9 50 20 ou nathalie charlet ch avranches granville fr URGENT YERRES 91 RECH ANESTH SISTE CLINIQUE PRIV E 53 LITS URGENCES R A SOINS CONT CHIR G N ET SP EXERCICE LIB RAL RH G HPVY FR m HOPITAL DE VITRE LE CENTRE HOSPITALIER DE VITRE TABLISSEMENT DE 420 LITS COMPORTANT LES SERVICES SUIVANTS URGENCES AVEC SMUR ET UHCD SURVEILLANCE CONTINUE CHIRURGIE MATERNIT M DECINE LONG S JOUR SSR EHPAD SITU DANS UNE AGGLOM RATION TOURISTIQUE GARE SNCF 30MIN DE RENNES TGV POUR PARIS 2H RECRUTE UN ANESTH SISTE R ANIMATEUR AU SEIN D UNE QUIPE COMPRENANT 5 ETP POSTE TEMPS PLEIN POURVOIR D S QUE POSSIBLE ADRESSER CANDIDATURE LETTRE DE MOTIVATION ET CV MONSIEUR LE DIRECTEUR 30 ROUTE DE RENNES B P 90629 35506 VITRE CEDEX POUR TOUT RENSEIGNEMENT COMPL MENTAIRE CONTACTER MONSIEUR GROHEUX DIRECTEUR Zi 02 99 74 14 05 amp 02 99 74 14 00 2 direction ch vitre fr LE CENTRE HOSPITALIER INTERCOMMUNAL DE FR JUS SAINT RAPHAEL RECRUTE UN PRATICIEN HOSPITALIER EN R ANIMATION POSTE D ASSISTANT POSSIBLE AVEC TRANSFORMATION PROFIL D E S ANESTHESIE REANIMATION OU D E S C REANIMATION MEDICALE QUIPE DE 5 PH INTERNE DES ET 2 VACATAIRE SERVICE
29. Marseille Cedex 5 Yves R BUFAT H pital G amp R La nnec SAR Bd Jacques Monod 44093 Nantes Cedex 1 Patrick DASSIER HEGP SAR 20 rue Leblanc 75908 Paris Cedex 15 Claude WETZEL H pital Hautepierre SAR av Moli re 67098 Strasbourg Cedex 02 V ronique AGAESSE CHU d Amiens Centre St Victor SAR 354 bd de Beauville 80000 Amiens Max Andr DOPPIA CHU C te de Nacre PAR av C te de Nacre 14033 Caen Cedex 9 Laurent HEYER H pital Lariboisi re SAR 2 rue Ambroise Par 75475 Paris Cedex 10 Jean GARRIC H pital Central SAR 29 av du Mal de Lattre de Tassigny 54035 Nancy Cedex Rapha l BRIOT Centre Hospitalier Universitaire SAMU 38 P le Urgences Samu Smur CHU GRENOBLE 38043 Grenoble Cedex 09 Michel DRU Centre Hospitalier Henri Mondor SAMU 94 51 av de Lattre de Tassigny 94010 Cr teil cedex Catherine FLEUREAU H pital Sud SAR2 av Magellan 33604 Pessac Jean Luc GAILLARD REGNAULT H pital Jean Verdier SAR av du 14 juillet 93140 Bondy Louise GOUYET H pital Trousseau SAR 26 av du Dr Arnold Netter 75571 Paris Cedex 12 Pascal M NESTRET H pital de Ponchaillou SAR Rue Henri Le Guilloux 35033 Rennes Cedex 9 Jacques RAGNI H pital Salvator H p Sud ViGeRiS 249 bd de Sainte Marguerite 13274 Marseille Cedex 9 Didier R A H pital de la Source SAR 14 av de l H pital 45032 Orl ans Cedex 1 Richard TORRIELLI Hopital Pellegrin SAR Place Am lie Raba L o
30. R E http www snphar com Journal du Syndicat National des Praticiens Hospitaliers Anesth sistes R animateurs largi PHARE n 55 d cembre 2010 PERSPECTIVES SYNDICALES 2011 ann e strat gique pour le SNPHAR E arution des d crets d HPST r forme des retraites l ann e qui vient de s couler loin de nous avoir puis s a encore renforc notre conviction de l importance d un syndicalisme responsable ouvert et force de proposition Beaucoup de chemin a t fait en 2010 ann e riche en v nements discussions et rencontres que vous pourrez retrouver dans notre carnet de route cf page 8 Il est toujours difficile de cons tater qu un mouvement fort et juste n est pas suivi d effets tangibles Il n a pas t apport de r ponse notre pr occupation clairement exprim e de prise en compte de la p nibilit li e nos m tiers soit Changeons de langage LE NOUVEL H PITAL HPST sA NOVLANGUE SES MOTS INTERDITS Nous avons appris que les mots plaisir au travail soli darit collectif reconnaissance n ont d sormais plus droit de cit dans notre nouvel h pital entreprise Depuis quelques semaines le mot p nibilit s ajoute la liste de l imprononcable Malgr la loi Fillon de 2003 qui s engageait reconna tre la p nibilit pour compen ser l augmentation aveugle de la dur e de cotisation n a vons nous pas entendu au minist re que ce t
31. Une t che d autant plus importante aujourd hui que la recon naissance de la p nibilit du travail de nuit est la grande absente de la r cente r forme des retraites Face des pouvoirs publics qui refusent de recon na tre cette p nibilit nous devons nous prot ger individuellement des cons quences sur notre sant du travail de nuit LE TRAVAIL EN ASTREINTE PARENT PAUVRE DE LA R FORME DE 2003 Nos conditions d exercice en tant que m decins de la nuit ont beaucoup chang en 2008 apr s une action massive des PH pour la transposition nationale de la directive europ enne sur le temps de travail poque b nie o les syndicats taient recus Cette r forme statutaire a v ritablement r volutionn nos condi tions d exercice et a permis de diminuer la p nibilit li e au travail de nuit chacun de nous l a mesur et le mesure encore La r glementation a permis d tablir le repos de s curit apr s la garde 6 6 d int grer la garde dans le temps de travail et d instituer la limite des 48 heures hebdomadaires maxi males au del desquelles du temps additionnel peut tre r alis sur la base du volontariat et apr s signature d un contrat Mais ce texte comportait un parent pauvre l astreinte Et au gr des interpr tations loca les le cadre du travail r alis la nuit lors des d place ments en astreinte a t de plus en plus flout abou tissant avec la complicit de la DHOS
32. bl me des comptes pargne temps CET sont refus es depuis plusieurs ann es la bombe retar dement s est r amorc e de nouveau nos CET d passent 100 jours Aujourd hui une seule solution nous allons vider nos CET r guli rement en respectant le d lai de pr venance Tous ces jours sont du temps de travail pris sur notre temps personnel un temps que nous entendons retro uver pour prot ger notre sant Et nous entendons d j l ar gument de la baisse de l offre de soins et de la baisse de l ac ASSEMBL E G N RALE DU SNPHAR E L assembl e g n rale du SNPHAR E et les lections au conseil d administration se tiendront le vendredi 14 janvier 2011 de 9 h 17 h l H pital Europ en Georges Pompidou Paris CONF RENCE DE 11 H 15 13 H 15 Paris et ailleurs la situation dans les h pitaux publics un an apr s HPST R forme du management ou r forme structurelle Avec la participation d Anne Gervais MDHP Nicolas Belorgey chercheur en sciences sociales sp cialiste des h pitaux et Michel Rosenblatt directeur d h pital et secr taire g n ral du SYNCASS CFDT tivit dont on voudra nous imputer la responsabilit mais il n est pas recevable au prisme de notre sant Les ir respon sables sont ailleurs il faudra aller les chercher dans les minis t res et les chambres parlementaires FAISONS N TRES LES QUELQUES OUVERTURES SUR LA P NIBILIT LAISS ES PAR LA LOI e e m decin du
33. carri re 37 96 du dernier salaire versus 52 96 avant la r forme Malgr une gr ve massive des PH le minis t re r futait alors nos analyses et nos valuations Nous avons donc refus de signer un protocole d accord qui faisait fi de notre mobilisation et qui ne pr voyait que d largir notre assiette de cotisations diff rentes pri mes et indemnit s des mesures compensatoires qui ne pouvaient elles seules absorber les pertes subies En contrepoint nous demandions alors que soient revus les param tres d acquisition des points Ircantec tels qu ils furent act s dans la r forme Un sujet dont il ne sera finalement jamais question Le d but d un dialo gue de sourds En 2009 malgr nos relances incessantes aupr s des tutelles aucune n gociation pas m me un rendez vous Une ann e que nous avons mise profit pour entamer un travail de fond en axant notamment notre r flexion sur le th me de la p nibilit au travail 2010 UN D BUT D ANN E MARQU PAR UNE TIMIDE REPRISE DE CONTACT AVEC LE MINISTERE D but 2010 enfin le fil du dialogue semblait en passe de se renouer Aveu surprenant de la part de nos inter locuteurs au minist re de la Sant nos analyses de 2008 taient les bonnes nos chiffres taient exacts et contrairement aux projections imparfaites pr sent es parle minist re du Budget un PH d butant sa carri re allait bien voir sa pension de retraite d grad e de plus de 30 96 P
34. cessitent certains patients ou certaines interventions L ef ficience voire la qualit et la s curit sont sous tendues la connaissance parfaite des interventions des op rateurs et de certains monitorings ou actes sp cifiques on fait bien et vite ce qu on fait souvent Donc la mutualisation peut tre une solution mais pas tous les probl mes Et en aucun cas il ne s agit de d couvrir le matin que pour des raisons plus ou mois claires on ne prendra pas en charge le patient pour lequel nous nous sommes pr par s Quant l allongement des plages horaires d ouverture des blocs et de l amplitude de travail des MAR tout d pend bien s r du nombre effectif de praticiens dans la structure Mais nos managers doivent savoir qu en aucun cas nous ne pou vons travailler avec la concentration n cessaire ni la s r nit requise 12 heures par jour 5 jours par semaine L augmenta tion des plages n est pas la solution au manque d effectif m dical Finalement la r organisation d un bloc revient encore une fois s interroger sur ce qu est notre m tier Il s agit de confron ter les crit res de temps et d activit tels ceux que l ANAP met disposition des gestionnaires avec des outils de mesure pr cis et indiscutables avec ceux de notre m tier qui sont aussi qualitatifs et ne rentrent pas dans les cases des indi cateurs propos s L ANAP fournit les moyens de mesurer la quantit mais nous de fournir ceux
35. cong maladie d un cong de longue maladie d un cong de longue dur e ou encore d un cong pour accident de travail maladie professionnelle si le praticien n a pas pu tre r int gr son poste ou STATUT un autre poste dans l tablissement ou le territoire de sant il est r int gr en surnombre r mun ration par le CNG un an maximum QUELQUES POINTS DE R MUN RATION Il est tr s nettement pr cis enfin que les moluments mensuels ne peuvent tre vers s que sur services attes t s par le tableau de services valid par le chef de p le L largissement de l assiette de cotisations IRCANTEC issu du protocole de juillet 2010 est int gr dans le sta tut Les indemnit s d exercice multi tablissement et celles d activit sectorielle de liaison sont vers es dans des conditions totalement superposables celles des indem nit s d engagement de service public exclusif maintien durant la totalit des cong s annuels des cong s RTT des cong s de r cup ration des cong s de maternit d adoption et de paternit e en revanche versement pendant une p riode de trois mois seulement lors de cong maladie de cong s de longue maladie et de cong s maladie de longue dur e sauf en cas de cong s pour accident de travail mal adie professionnelle o cette p riode est prolong e six mois Pendant les cong s pris dans le cadre du CET ces trois types d indemnit s peuve
36. des PH non statutaires est simplifi l extr me et s effectue dor navant uniquement par le direc teur de l tablissement sur proposition du chef de p le et avis du pr sident de CME L affectation des praticiens statutaires temps plein et temps partiel rel ve de la m me proc dure la nomination restant du ressort du directeur http www snphar com Journal du Syndicat National des Praticiens Hospitaliers Anesth sistes R animateurs largi PHkRE n 55 d cembre 2010 g n ral du CNG et dor navant m me pour les PH psy chiatres qui jusqu pr sent restaient nomm s par le ministre LES POSTES RECRUTEMENT PRIORITAIRE Pour ces postes le contrat d engagement servir demeure et volue dor navant un PH pourra b n ficier de plu Sieurs engagements servir dans sa carri re condition de changer d tablissement chaque fois De quoi favo riser dans une certaine mesure en quelque sorte la m de cine foraine Les praticiens relevant d un contrat de clinicien hospi talier peuvent tre nomm s sur ces postes avec un contrat pr cis Ils sont recrut s et affect s directement par le directeur de l EPS sur proposition du chef de p le si possibilit il y a et apr s avis du pr sident de la CME Un PH titulaire peut tre d tach sur ce nouveau statut La r mun ration des cliniciens hospitaliers comporte une part fixe et une part variable selon l atteinte des objectifs quantita
37. dicales et du comit m dical o le pr fet de d partement a encore son r le jouer UNE PUBLICATION DES POSTES VACANTS AVEC PROFIL DE POSTE SUR LE SITE DU CNG Directement accessible sur le site du CNG et syst mati quement accompagn e d un profil de poste qui devra pr ciser un ventuel exercice dans plusieurs tablisse ments la publication des postes vacants sera plus lisible noter cependant que le nombre de tours de recrute ment annuels n est pas pr cis mais il semble difficile d en envisager plus de deux Une liste concernera les postes recrutement prioritaire une autre les postes classiques Le d lai de candidature est ramen 15 jours au lieu des actuelles trois semaines l issue du tour de recrutement d lai de 15 jours le directeur g n ral du CNG peut maintenant proposer les postes rest s vacants tout praticien pouvant tre PH cela afin de fluidifier le recrutement Au total on peut toujours et tout le temps postuler soit par l interm diaire des listes officielles du site du CNG et du tour de recrutement soit par l interm diaire du directeur g n ral du CNG Dans le cadre d un groupement de coop ration sanitaire GCS rig en tablissement public de sant les PH des diff rents tablissements sont renomm s par le directeur g n ral du CNG et affect s par le directeur du GCS tou jours sur proposition du chef de p le et avis du pr sident de la CME Le recrutement
38. dynamiser la r flexion et l action syndicale pour d passer les scl ro Ses et enkystements divers des actuelles intersyndicales Le SNPHAR E sera parmi les moteurs de cette F d ration elle va donc faire parler d elle dans les ann es venir Il est toujours difficile de constater qu un mouvement fort et juste n est pas suivi d effets Mais nous sommes en face du pire dialogue social qu on puisse imaginer un minist re autiste et menteur qui m prise les acteurs de la sant des parlementaires et s nateurs totalement aux ordres d un gouvernement qui connait plus le m pris que la concertation Pour autant nos id es sont les bonnes et sont porteuses d espoir pour l at tractivit des carri res m dicales hospitali res et l h pital public Nous continuerons les porter car le vent va forc ment s inverser Nicole SMOLSKI Pr sidente hitp www snphar com Journal du Syndicat National des Praticiens Hospitaliers Anesth sistes R animateurs largi PHA RECZ n 55 d cembre 2010 Astreintes m dicales l h pital comment un tat arrive cr er du travail dissimul u nom du principe de pr caution le SNPHAR E va engager avec chacun de vous un combat pour que les d placements en astreinte soient reconnus et que la r glementation qui appelle discussion soit pr cis e et appliqu e partout Depuis 2003 le SNPHAR E s est attach faire recon na tre les d placements en astreinte la nuit
39. e la m me suj tion qu une permanence sur place et a les m mes cons quences sur la pr sence m dicale le lendemain L as treinte ne doit pas tre le parent pauvre de la perma nence des soins La r glementation permet de l tablir encadr ci contre Sachons le faire reconnaitre NOUS SOMMES TROP CHERS POUR L H PITAL FAISONS LES COMPTES Et pour commencer pourquoi ne pas comparer notre r mun ration en astreinte avec celle des m decins g n ralistes lib raux Pour eux la premi re partie de nuit 20 h minuit est pay e 50 euros la deuxi me partie 100 et chaque d placement est major de 46 55 selon la partie de la nuit APPLIQUONS LE REPOS QUOTIDIEN POUR NOTRE SANT ET CELLE DE NOS PATIENTS Le texte r glementaire est d une clart poustouflante Le temps de soins r alis au cours d une astreinte est pris en compte pour l attribution du repos quotidien Donc personne ne peut s opposer ce que nous appli quions cet aspect de la loi qui rappelons le est l pour prot ger notre sant long terme et court terme celle des patients que nous serions appel s prendre en charge apr s une nuit de travail Et si nous entendons que c est difficile organiser souvenons nous qu apr s avoir entendu la m me chose pour le repos de s cu rit nous sommes arriv s le mettre en place Sachons aussi que personne ne nous est ou ne nous saura gr des nuits pass es
40. e tableaux de service justifiant du temps additionnel il peut n anmoins tre propos aux PH de s engager contractuellement effectuer un volume pr visionnel de temps de travail additionnel d termin par quadrimestre En clair le travail additionnel est accompli sur la base du volontariat et associ la signature d un contrat Le fait que le PH n ait pas sign de contrat ne per met pas l administration de faire ce qu elle veut mais permet au PH de refuser sans pr avis de continuer tre pris pour un imb cile notamment lorsque son temps addi tionnel n est pas pay Les p riodes de travail additionnel peuvent tre au choix du praticien indemnis es indemnit s forfaitaires dans la limite d une enveloppe budg taire r cup r es ou vers es au compte pargne temps CET Dans le cas o le prati cien accepte de faire du travail additionnel et que celui ci est reconnu mais clairement annonc non pay il a donc le choix entre la r cup ration et l alimentation du CET cependant rien ne l oblige porter ses jours de temps additionnel sur le CET pour l instant celui ci est fiabilis mais on ne sait pas ce que nous r serve l avenir Donc sauf peut tre en cas de projet bien d fini pour pr parer sa fin de carri re mieux vaut poser des jours de r cup ration de temps additionnel sur un autre quadrimestre C est ce qui permettra le plus de ne pas s puiser au tra vail et pourra permettre
41. enchain es avec les jour n es et qu aucun juge ne tiendra compte des probl mes organisationnels ou de notre engagement per sonnel pour le service Alors prot geons nous Appliquons le repos postd placement sur une base arithm tique simple 15 heures de travail 15 heures de repos 18 heures de travail 18 heures de repos NE RESTONS PAS B ATS DEVANT UN INCROYABLE TOUR DE PASSE PASSE ADMINISTRATIF Le SNPHAR E par un recours en Conseil d tat en 2003 a obtenu que Le temps de soins r alis au cours d une astreinte constitue du temps de travail effectif et que Un r capitulatif hebdomadaire indi viduel sur 4 mois est tabli et communiqu au prati cien qui fait appara tre astreintes et d placements Pourtant certaines administrations et les logiciels de saisie du temps m dical n acceptent pas que ce temps de travail figure dans les obligations de service r ali s es au m me titre qu y figurent les permanences sur place Pour eux ce temps de travail n est donc pas du temps de travail effectif car il n est pas inclus dans le temps de travail r alis et ce en contradiction for melle avec la r glementation europ enne notamment l arr t Valenciana de la CJCE Nous voici bien en face de travail obligatoire mais dissimul volontairement par les pouvoirs publics Comment r alise t on un tel tour de passe passe En faisant basculer les d placements de plus de 3 heu res en temps additionnel
42. er lus d put s et s nateurs Nous leur avons transmis une lettre ouverte au pr sident de la R publique lettre co r dig e avec les syndicats associ s la reconnaissance de notre p nibilit Sans pr juger de leur appartenance politique nous leur avons fourni les moyens de mieux nous connaitre et comprendre travers l envoi de dos siers th matiques et plusieurs rencontres de visu les enjeux sous tendus par nos revendications Et puisqu il fallait hausser le ton pour faire entendre nos POINT DE VUE DE L ACTUALIT arguments aux tutelles cette campagne de communica tion s est tr s vite adoss e une menace de gr ve pour la rentr e Ainsi d s le 1 septembre et durant toute la dur e des d bats parlementaires nous avons appel la gr ve de la p nibilit en vous demandant de n ac cepter d assurer la permanence des soins que sur assi gnations Parall lement et ponctuellement nous nous sommes associ s toutes les journ es de gr ve qui se succ d rent pendant les mois de septembre et octobre L Assembl e Nationale n a adopt aucun amendement la r forme pr sent e par le gouvernement Nous avons alors esp r que des amendements prenant en compte la p nibilit de notre travail port s par Bruno Gilles UMP et Jacky Le Menn PS avec qui nous avons travaill puis sent tre d battus au S nat Cependant la veille de leur discussion le gouvernement a d cid d acc l rer le
43. er un avocat ou solliciter une assistance juridique la d cision peut tre contest e dans les deux mois soit par recours gracieux aupr s du directeur de l tablissement soit par recours contentieux aupr s de la juridiction administrative Jean GARRIC Administrateur du SNPHAR E http www snphar com Journal du Syndicat National des Praticiens Hospitaliers Anesth sistes R animateurs largi PHARE n 55 d cembre 2010 R FLEXIONS Le d ni du conflit bloque la naissance d un r el compromis Un entretien avec Yves Clot titulaire de la chaire de psychologie du travail du CNAM PHAR E Les questions du travail sont le refoul de la soci t francaise dites vous en introduction de votre dernier ouvrage Ce constat s applique t il au milieu hospitalier Y CLOT La r forme des retraites est la derni re illustra tion en date de ce refoulement avec sa vision purement comptable et n gligeant totalement la r alit des senti ments que les gens ont de leurs m tiers malmen s Ce qui n est pas discut et r gl dans le champ des m tiers empoisonne toute la vie sociale et co te finalement tr s cher y compris en termes de demande de d part Ce constat peut tre fait tous les niveaux des op ra teurs industriels de base la sph re des dirigeants ne plus se reconnaitre dans le travail que l on fait de plus en plus on en fait une maladie L h pital me semble par son activit m me
44. erme trop CGT ne pouvait pas concerner les m decins Mais nous n allons pas ranger ce mot m me interdit dans notre besace comme un jouet d mod Car la p nibilit existe nous le savons tous et toutes les tudes prouvent son retentissement diff r sur notre sant Nous allons continuer l expliquer et nous faire respecter C est notre responsabilit de syndicat d termin L engagement massif du SNPHAR E et le fort relais de nos arguments dans les h pitaux et dans la presse font que la vision de la p nibilit du travail de nuit des m decins ne sera plus jamais la m me et que nous arriverons la faire reconna tre apr s 2012 D ici l d autres mots doivent apparaitre dans notre lan gage principe de pr caution r sistance active ou r sis tance passive Nous allons d sormais avec chacun d entre vous apprendre les d cliner tous les niveaux 1 c 1 M ES H NOUS N ENGAGERONS PLUS NOTRE PROPRE SANT POUR UN SYST ME QUI NOUS M PRISE Exiger l application du principe de pr caution c est conseiller tous les m decins hospitaliers de se prot ger au maximum de ce qui peut nuire leur propre sant et celle de leurs patients Nous ne pouvons certes pas refuser de travailler la nuit c est le coeur de notre mission Mais nous pouvons limiter le retentissement du travail de nuit sur notre sant en vitant les facteurs de risque professionnels associ s et en
45. ermeture de lits si n cessaire ou de trouver des candidats pour les gardes aux urgences ou dans les ser vices d ficitaires pour des activit s de jour que nous ne saurions faire au del de nos obligations de service Demandons nous si nous avons de bonnes raisons personnelles de laisser gonfler notre CET Si oui il est l pour ca Si non autant prendre les jours de repos aux quels nous avons droit La course la productivit actuelle ne nous concerne pas pas au d triment de notre sant V ronique AGA SSE Secr taire g n ral adjoint http www snphar com Journal du Syndicat National des Praticiens Hospitaliers Anesth sistes R animateurs largi PHARE n 55 d cembre 2010 LE POINT SUR EXEMPLE DE CONTRAT DE TEMPS DE TRAVAIL ADDITIONNEL Vu l arr t du 30 avril 2003 relatif l organisation et l in demnisation de la continuit des soins et de la perma nence pharmaceutique dans les tablissements publics de sant et dans les tablissements publics d h ber gement pour personnes g es d pendantes Vu la circulaire DHOS M2 n 2003 219 du 6 mai 2003 rela tive aux modalit s d organisation de la permanence des soins et d application des dispositions d int gration des gardes dans les obligations de service statutaires ll est convenu ce qui suit entre M XXX Directeur g n ral du Centre Hospitalier XXX et M le Docteur NOM ci apr s d sign le praticien signataire affect dan
46. ersonne ne pouvait s en satisfaire Et le minis t re semblait pr t relancer la parution des d crets sur d ventuelles mesures compensatoires Mais de relances en attentes ce n est qu en juin que des projets de d crets nous ont t pr sent s par le direc teur de cabinet adjoint de Madame la ministre de la Sant des d crets qui le ton tait affirmatif paraitraient avant mi juillet LE PROTOCOLE DE JUILLET INCONS QUENCE OU PROVOCATION Au lendemain du 14 juillet aucun des d crets promis n tait paru mais c est encore un protocole d accord qui venait d tre sign tambour battant avec les intersyndi cales de praticiens hospitaliers convoqu es la h te l heure o une parution au Journal Officiel aurait d gra ver dans le marbre de la R publique les mesures com pensatoires promises rendant enfin justice aux heures de travail que nous avons consacr es la permanence des soins et notre engagement pour le service public nous avons d nous contenter d un protocole d accord biss et d grad Nous n avions dans les mains qu une p le reprise du d j largement insuffisant protocole de 2008 Non seulement du neuf fait avec du vieux mais un protocole d grad car soumis un ch ancier inaccep table et indigne la prime de service public exclusif sera bien int gr e notre assiette de cotisation Ircantec mais cela se fera progressivement sur 4 ann es et il faudra attendre 7 long
47. i me quadrimestre f vrier 2012 pour le troisi me quadrimestre Article 3 Modalit s de compensation du temps de travail additionnel Dans la limite du nombre pr vu l article 2 les plages de temps de travail additionnel peuvent tre au choix du praticien indemnis es r cup r es ou vers es sur son Compte Epargne Temps Ce triple choix reste possible lorsque le praticien est sol licit ponctuellement sur la base du volontariat pour d passer le volume de temps additionnel contractualis Dans le cas o le praticien choisit la r mun ration du temps additionnel celle ci sera port e sur la fiche de paye de juin 201 1 pour le premier quadrimestre octobre 2011 pour le deuxi me quadrimestre f vrier 2012 pour le troisieme quadrimestre Lorsque le praticien choisit l indemnisation chaque plage donne lieu au versement de SOMME euros bruts taux en 201 1 Lorsque le praticien choisit la r cup ration ou le versement sur le Compte Epargne Temps chaque plage est quivalente deux demi journ es Toute modification de contrat devra faire l objet d un pr avis et de la signature d un avenant pour le quadrimestre suivant Le praticien aura alors le choix d accepter ou de refuser les nouvel les clauses et le cas ch ant de ne plus faire de temps additionnel Les conditions de r mun ration contractualis es pour le quadri mestre en cours ne sauraient tre modifi es de facon r troactive Fait XXX le DAT
48. icace Y CLOT vouloir acheter le conformisme on trouvera sans doute des gens qui accepteront des compensa tions financi res pour faire un travail qui va tl l encontre de certaines de leurs convictions Le dan ger est moyen terme il ne faudra pas s tonner d avoir des m decins m tamorphos sen comptables au lieu de rester comptables du d veloppementd un m tier Or l h pital public ne survivra pas sans professionnels qui se sentent comp tables du d veloppement de leur m tier Et cela ne s a ch te pas mais s organise se transmet socialement et se travaille lire pour en savoir plus Yves Clot Le Travail c ur Pour en finir avec les risques psychosociaux Editions La D couverte 2010 http www snphar com Journal du Syndicat National des Praticiens Hospitaliers Anesth sistes R animateurs largi PHA n 55 d cembre 2010 29 i SI VEU 16 Le statut de PH temps plein d octobre 2010 ce qu il faut retenir n nous les avait pr sent s fin 2009 dans un simulacre de consultation et non dans le cadre de n gociations Ils taient attendus sans que l on sache ce qui avait pu tre modifi en fait rien Ils sont enfin parus fin septembre et d but octobre 2010 Cinq d crets mettent au go t de la loi HPST les diff rents statuts de praticiens des tablissements publics de sant D cret n 2010 1141 du 29 septembre 2010 relatif aux personnels m
49. iciellement ni obligation de motivation ni r elle obligation de suivi et de transmission du dossier au centre national de gestion CNG ni limitation de dur e Une porte ouverte aux abus UN CADRE FLOU UNE DUR E INCONNUE Ce type de suspension est sous tendue par l article L 6143 7 du code de sant publique Le directeur exerce son auto rit sur l ensemble du personnel Sur le principe il s agit d une d cision prise en urgence devant la n cessit de maintenir la continuit du service public et de garantir la s curit non seulement des patients mais aussi des personnels imp ratif exprim de facon beaucoup plus large et floue par le lorsque la situation l exige de certains articles du CSP avec obligation purement th orique d informer le plus rapi dement possible l autorit investie du pouvoir de nomina tion c est dire la direction g n rale du CNG pour suite donner Enfin il n existe aucune limitation de dur e cette suspen Sion et tout d pendra de la suite donn e par la direction du CNG soit simple abandon soit initiation d une proc dure en insuffisance professionnelle ou en discipline soit consul tation du comit m dical local PR SUM INNOCENT MAIS P NALIS FINANCI REMENT ET MORALEMENT La suspension directe n est pas une sanction disciplinaire C est une mesure provisoire et conservatoire c est dire sans suspension de la r mun ration de base
50. ionaliser l h pital le probl me est de nier l existence d autres pr occupa tions toutes aussi rationnelles et le d ni du conflit que cette coexistence engendre PHAR E Comment les hospitaliers peuvent ils aujourd hui revendiquer cette confrontation sur les crit res du travail bien fait Y CLOT La qualit est un sujet passionnant mais qui voque et ambigu Normes de qualit proc dure qualit cohabitent avec un travail de qualit au sens commun de l id e de travail bien fait selon les r gles de l art Tracer ces r gles dans un domaine comme le soin en constante volution ne pourra pas se passer de la d lib ration permanente du collectif Ce collectif qui n est pas une collection de personnes accomplissant des scripts est un instrument de travail une n cessit l h pital comme ailleurs nombreux sont les profes sionnels pr ts faire voluer leur m tier Mais ils ne le feront pas s ils doivent renoncer ce qu ils croient tre les r gles de l art Et ces r gles qui peut mieux les transformer que ceux qui font le travail PHAR E Le nouveau Contrat de clinicien pay d em bl e pr s de deux fois l chelon maximum de la car ri re pr tend permettre les recrutements dans les pos tes difficiles pourvoir Le tout assorti d une injonction directe produire un volume et une qualit norm e Cela vous parait il une approche s rieuse ou eff
51. la situation actuelle d un v ritable travail dissimul Une volution Le temps de soins r alis au cours d une astreinte est pris en compte pour l attribution du repos quotidien d sastreuse qui n a pourtant pas tellement pr occup les intersyndicales peu impliqu es dans la d fense des droits li s ce mode de travail LE TRAVAIL AU COURS D UNE ASTREINTE CONSTITUE DU TEMPS DE TRAVAIL EFFECTIF Les directions estiment que le travail effectu de nuit au cours des astreintes permet d conomiser du temps m dical de jour et ce sans avoir embaucher On nous oppose sans cesse que la garde sur place avec le repos post garde et son inclusion dans les obli gations de service hebdomadaires ampute les effectifs de jour et co te cher contrairement l as treinte qui ne co terait rien et per mettrait quelle que soit l activit 99 de la nuit d avoir des m decins pr sents le lendemain matin leur poste On comprend facilement que dans le contexte financier actuel des h pitaux certaines administrations veuillent transformer le maximum de gardes sur place en astreintes esp rant faire ainsi des conomies et r cup rer du temps m di http www snphar com Journal du Syndicat National des Praticiens Hospitaliers Anesth sistes R animateurs largi PHRE n 55 d cembre 2010 cal de jour Et pourtant la r glementation est claire une astreinte d plac e constitu
52. n 33076 Bordeaux Cedex 04 72 07 10 17 06 88 07 33 14 04 91 38 68 47 06 62 00 60 11 02 40 08 33 33 06 86 87 62 76 0156 09 23 16 06 03 69 16 63 03 88 12 70 77 06 60 55 5616 03 22 82 40 00 06 33 63 20 62 02 31 06 31 06 06 83 37 62 64 06 3118 57 61 03 83 85 20 08 06 07 1150 13 04 76 63 42 86 06 81 92 31 42 01 45 17 95 00 06 73 98 08 52 05 56 79 56 79 06 22 21 62 95 01 48 02 66 93 06 71 14 74 72 01 71 73 89 60 06 11 94 77 20 02 99 28 91 53 06 62 81 87 51 04 91 74 42 80 06 82 35 77 16 02 38 22 96 08 06 75 02 32 23 05 56 79 55 94 06 07 13 75 66 Fax 04 72 07 18 96 nicole smolski snphar fr Fax 04 91 38 50 33 bertrand mas snphar fr yves rebufat snphar fr Fax 01 56 09 22 20 patrick dassier snphar fr Fax 03 88 12 70 74 claude wetzel snphar fr veronique agaesse snphar fr Fax 02 31 06 53 81 max andre doppia snphar fr Fax 01 49 95 82 12 laurent heyer snphar fr Fax 03 83 15 48 55 jean garric snphar fr raphael briot snphar fr Fax 01 45 98 04 00 michel dru snphar fr catherine fleureau snphar fr Fax 01 48 02 60 06 jean luc gaillard snphar fr louise gouyet snphar fr pascal menestret snphar fr Fax 04 91 74 42 97 jacques ragni snphar fr Fax 02 38 51 40 80 didier rea snphar fr richard torrielli snphar fr
53. n s ance Bruno GILLES est s nateur des Bouches du Rh ne UMP membre de la commission des affaires sociales Dominique LECLERC est s nateur d Indre et Loire UMP rapporteur de la commission des affaires sociales Jacky LE MENN est s nateur d Ille et Vilaine groupe socialiste membre de la commission des affaires sociales http www snphar com Journal du Syndicat National des Praticiens Hospitaliers Anesth sistes R animateurs largi PHRE n 55 d cembre 2010 gt 19 FORMATION 20 gt gt d j pr vu en relation avec la SFAR avec qui nous partageons depuis toujours des locaux ll faudra aussi toffer notre quipe de permanents aujourd hui au nombre de deux Ils jouent un r le majeur dans la coordination des actions et dans l aide apport e aux adh rents notamment au cours de la proc dure d ac cr ditation Enfin les statuts doivent tre adapt s aux n cessit s administratives r sultant de ces volutions PHAR E Dans les h pitaux publics le DPC sera pilot localement par les CME Comment le CFAR peut il s inscrire dans ce sch ma 6 6 Pr J FUSCIARDI La probl matique se posait d j pour la FMC et l EPP Avec le DPC il persiste deux niveaux d entr es les CME et les coll ges professionnels Aujourd hui nous devons prendre en compte les int r ts imm diats des anesth sistes r animateurs en leur offrant un syst me simple manier Il faut surtout leur off
54. naissance de soi celle qui conduit la maladie ou au d part cf t moignage ci dessous Nous devons prendre part aux r organisations les anticiper en discuter collectivement Certaines d ci sions sont trop lourdes de cons quences pour les laisser des managers qui ne connaissent pas le m tier Nous sommes parfois le dernier rempart contre la vision gestionnaire et bureaucratique c est notre responsabilit D une r organisation sans concerta tion au d part d un PH La r organisation des blocs op ratoires peut tre l origine de modifications profondes du travail des MAR Et pourtant trop souvent et peut tre de plus en plus les PHAR et encore moins leurs repr sentants syndicaux ne sont associ s aux discussions T MOIGNAGE La r organisation des blocs pour moi Une d cision qui a simplement conduit faire r aliser le travail par moins de personnes sur une p riode plus longue Elle s est traduite par des r unions d quipes plus qu tonnantes celles qui travaillaient sur le thorax avec celles de l abdomen et du fole des sp cialistes d anesth sie locor gionale en orthop die avec des experts en chirurgie vasculaire lourde ou encore des quipes de neurochirurgie avec des quipes d ORL et de stomatologie Les plages op ratoires se sont largies les journ es sont pass es de 8 10 heures Et si les chirurgiens se succ daient dans les blocs les PHAR taient l du soir au matin enchai
55. nant jusqu 80 heures hebdomadaires de travail Sans aucune compensation Le travail est devenu post impossible de s absenter pendant une heure pour suivre un patient ou pour se rendre une r union puisqu il n y a plus personne pour vous remplacer Et peu peu on devient une chose informelle un outil endormir les patients d responsabilis In vitablement les rapports humains se d gradent dans toutes leurs dimensions avec les patients les quipes les coll gues Ce coll gue a quitt le poste de praticien hospitalier qu il occupait depuis 23 ans dans le m me tablissement Il exerce aujourd hui dans un autre h pital o il a retrouv des patients soign s avec attention et des PHAR ayant une emprise sur ce qu ils font Un h pital o l organisation des blocs tient compte de l avis des praticiens et en particulier de ceux qui ont l exercice le plus p nible et le plus long dans les blocs les PHAR http www snphar com Journal du Syndicat National des Praticiens Hospitaliers Anesth sistes R animateurs largi PHRE n 55 d cembre 2010 B JURIDIQUE 714 Le PH face la proc dure de suspension directe par son directeur n PH peut se retrouver ex abrupto suspendu par le directeur de son tablissement d affectation I ne sait pas vraiment pourquoi ni pour combien de temps La suspension sur d cision directe et unilat rale du direc teur d application imm diate ne comporte off
56. nt le cas ch ant n tre vers es que pendant une p riode de trois mois sans que Soit explicit e cette notion de cas ch ant L indemnit d engagement de service public ne peut tre vers e qu des PH nomm s titre permanent Ainsi les chefs de clinique nouvellement nomm s PH n en b n ficient plus pendant leur p riode probatoire au m me titre d ailleurs qu ils ne peuvent plus exercer d ac tivit lib rale hospitali re Les PH temps r duit peuvent maintenant exercer une activit r mun r e ext rieure salari e ou lib rale leur tablissement mais apr s avis de la commission de d ontologie De m me les PH d missionnaires peuvent exercer une activit r mun r e apr s avis de la m me commission dans le m me territoire de sant Notre statut devient de plus en plus pr cis et complexe et s vertue ne pas laisser plusieurs interpr tations possibles la fois tant mieux mais aussi tant pis car cela contribue diminuer la souplesse que l on voulait lui insuffler d un autre c t Par ailleurs une fragilisation s installe petits pas En conclusion le statut ne devient pas plus attractif pour un jeune et n am liore pas la morosit ni la d motivation r gnant au sein de nos tablissements Le statut mis jour est t l chargeable sur le site du SNPHAR E www snphar com Jean GARRIC adminsitrateur http www snphar com Journal du Syndicat National des Praticiens Hospi
57. ption d innocence d viter tout d rapage et de r duire la p riode d in certitude compl te dans laquelle se trouve le PH incrimin cette d cision ne devrait tre prise qu apr s avis du pr sident de la CME et du chef de p le elle devrait obligatoirement tre transmise dans les plus brefs d lais au CNG l instruction du dossier devrait tre acc l r e par une implica tion plus pouss e du CNG aupr s de l tablissement mais aussi du PH incrimin ventuellement apr s avis consultatif d une cellule d appui nationale et multipartite repr sentants du CNG de la DGOS des directeurs et des PH LE PH FACE LA PROC DURE DE SUSPENSION DIRECTE Bien conserver la notification de la suspension R clamer la consultation de son dossier par un courrier avec AR adress au directeur de l tablissement en application de l article 6 de la Convention europ enne de sauvegarde des droits de l homme et des libert s fondamentales Prendre contact avec le CNG d partement gestionnaire des praticiens hospitaliers pour v rifier que le CNG a bien t inform de cette nouvelle situation tre inform du d roulement concret de l instruction du dossier engagement d une proc dure disciplinaire ou en insuffisance professionnelle ou consultation du comit m dical d tablisse ment ou abandon pur et simple obtenir des pr cisions sur la dur e pr visible de la suspension Consult
58. rir des interlocuteurs qui soient des pro fessionnels de terrain connaissant les difficult s de la discipline C est le point fort de notre organisation Notre exigence qualit est bien connue Elle est de nature drainer vers le CFAR les m decins qui ont une haute id e de la progression professionnelle et de la qualit des prestations qu ils offrent Une CME fonc tionne avec des experts venant d autres disciplines qui n auront pas la possibilit de dialoguer et d changer sur un m me plan professionnel comme le font des experts du CFAR avec leurs coll gues PHAR E Quels sont les enjeux de votre mandature Pr J FUSCIARDI Le CFAR a un objectif imm diat la borer au cours de l ann e 2011 un programme de vali dation du DPC proposable tous les anesth sistes r animateurs quels que soient leur type et leur mode d exercice Le DPC sera obligatoire fin 2012 Ensuite notre ambition est d impr gner l enseignement de la sp cialit d s la premi re ann e de l internat d une cul ture d am lioration continue des pratiques profes sionnelles d auto valuation et de gestion des risques Le Coll ge doit ainsi s ouvrir davantage aux internes afin que les pratiques futures des jeunes g n rations int grent naturellement ces principes dans la vie profes sionnelle C est un axe de travail important Et puis j ai merais que le Coll ge parvienne simplifier les pro c dures et d localiser l information et la
59. s et son budget est de 36 millions d euros Les 3 chantiers de l Anap pour les blocs op ratoires Chantier Organisation destin am liorer les modes organisationnels en les fluidifiant e Chantier Benchmarking bloc pour comparer les pra tiques entre tablissements afin de fournir un support m thodologique aux ARH engag es dans des comparai sons r gionales Chantier Horizons bloc dans le cadre des plans h pital 2007 et 2012 visant am liorer les d cisions d investisse ment en aidant les quipes dimensionner leurs projets http www snphar com Journal du Syndicat National des Praticiens Hospitaliers Anesth sistes R animateurs largi PHARE n 55 d cembre 2010 DOSSIER R ORGANISATIONS L avis du SNPHAR E R organisation des blocs rester vigilant Dans de plus en plus d tablissements la r organisation des blocs op ratoires est en route pr sent e comme une n ces sit in luctable et incontournable Pour assurer l efficience deux strat gies sont g n ralement propos es la mise en commun de moyens et mutualisation des personnels dont les PHAR La r union des quipes de sp cialit s diff rentes peut tre v cue par certains souvent les plus jeunes comme une opportunit de polyvalence Bien que certains rapproche ments qui n ont rien de m dicalement vident Et nous som mes les garants du maintien de l expertise sp cifique que n
60. s le service de SERVICE du Centre Hospitalier XXXX et M le Professeur NOM DU COORD coordonnateur du p le NOM DU P LE Article 1 Situation justifiant le recours au temps de travail additionnel Le praticien signataire r alise des gardes sur place dans le p le NOM DU P LE et le service de SERVICE Le recours au temps de travail additionnel est justifi par la vacance d un ou plusieurs postes de praticiens hospitaliers dans le service Article 2 Volume pr visionnel de temps de travail additionnel Sur la p riode du 1 janvier au 31 d cembre 2011 le prati Cien signataire s engage r aliser NOMBRE demi journ es de temps de travail additionnel estimation Afin d assurer la continuit du service public hospitalier le pra ticien signataire pourra tre sollicit par la direction des affaires NOM DU DIRECTEUR Directeur G n ral du Centre Hospitalier XXX m dicales apr s avis du coordonnateur de p le pour d passer avec son accord le plafond fix par le pr sent article Les plages de temps de travail additionnel effectivement r alis es par le praticien sont d compt es par la direction des affai res m dicales l issue de chaque quadrimestre au vu des tableaux de service r alis s et sign s par le chef de service Ce d compte doit tre envoy au praticien au plus tard le 5 du 2 mois suivant la fin du quadrimestre soit juin 2011 pour le premier quadrimestre octobre 2011 pour le deux
61. simul la nuit D sor mais nous appliquerons strictement le repos quotidien apr s d placement en astreinte et inclurons ce temps de tra vail dans le travail r alis un moyen tr s efficace pour limi ter la p nibilit du travail de nuit Et puisqu il est question de notre sant impliquons les pro fessionnels et exigeons un suivi actif avec les m decins du travail eux sauront reconna tre l alt ration de notre sant et prendre les mesures de protection ad quates NOUS AVONS T LIMIN S D EMBL E DU TRAVAILLER PLUS POUR GAGNER PLUS TIRONS EN LES CONS QUENCES Nous allons refuser de faire du temps additionnel Que ce soit en heures ou en demi journ es additionnelles on ne travaille pas impun ment 70 heures par semaine toute une carri re Mais il nous faudra surmonter une culpabilit bien int rioris e nous sommes nombreux penser que les mis Sions de soins ne peuvent tre assur es sans ce temps addi tionnel qu il nous faut donc effectuer au d triment de notre sant et de notre quilibre familial pour faire tourner les ser vices Et que penser de cet autre discours sur les heu res suppl mentaires qui ruinent les h pitaux le tarif horaire d un m decin sp cialiste est de 25 euros de l heure sup pl mentaire de qui se moque t on Toutes nos propositions au minist re de la Sant aux d pu t s aux s nateurs qui auraient permis de r gler harmo nieusement le pro
62. t dement aupr s de la commission des affaires sociales supprimant l article additionnel introduit par Assem bl e nationale tendant repousser l ge de la retraite sans d cote des lib raux 67 ans Mon amendement a t adopt l unanimit des commissaires En l tat actuel de l h pital public en g n ral et du statut de PH en particulier pensez vous que la carri re de m decin hospitalier Soit encore attractive pour des jeunes Les r ponses de Jacky Le Menn Les difficult s des conditions de travail de certains m decins hospitaliers notamment dans les blocs op ratoires sont bien r elles et on comprend que m me avant 60 ans on puisse tre puis par les gardes successives les astreintes et leurs r veils la nuit les alternances entre travail de nuit et de jour m me avec le repos de s curit Je pense notamment tous les centres hospitaliers g n raux o il est tr s souvent impossible faute de praticiens en nombre suffisant de monter des tableaux de gardes avec un rythme suffi samment espac Si la mutualisation des moyens humains entre diff rents h pitaux de proximit est envisageable elle n est pas toujours tenable en pra tique et sur le long terme Les communaut s hospita li res de territoires cr es par la loi HPST visent donner cette possibilit mais il s agit alors de fonc tionner avec des individus l ments passant d un service l autre sans notion d
63. t es dans le Coll ge qui est l instance scientifique et organi sationnelle des bonnes pratiques responsables de la formation initiale consti tuent la gouvernance scientifique du directoire c t une gouvernance professionnelle regroupe les deux formes d exercice de l anesth sie r animation le lib ral avec et le public avec le dont 3 membres du bureau sont au directoire du CFAR http www snphar com Journal du Syndicat National des Praticiens Hospitaliers Anesth sistes R animateurs largi PHRE n 55 d cembre 2010 LE CENTRE HOSPITALIER DE L AGGLOM RATION DE NEVERS BD DE L H PITAL 58000 NEVERS http www ch nevers fr RECHERCHE PRATICIEN EN ANESTH SIOLOGIE R ANI MATION OU R ANIMATION M DICALE R ANIMATION DE 12 LITS ECHOGRAPHE SIX POSTES DE PH 2 INTERNES DE SP CIALIT H PITAL PIVOT DE LA NI VRE DATANT DE 2003 414 uts MCO TDM IRM COROH24 MAT NIVEAU 2B CADRE DE VIE AGR ABLE 2H DE PARIS ORGANISATION EN TEMPS CONTINU PLAGES ADDITIONNELLES PAY ES RECHERCHE POUR DEBUT 2011 PH TEMPS PLEIN POUR LA R ANIMATION POLYVALENTE POSSIBILIT DE CHEFFERIE DE SERVICE INFORMATIONS DE CONTACT DR JP CARAMELLA R ANIMATEUR CHEF DU P LE TeL 03 86 93 72 45 ou 72 44 jeanphilippe caramella ch nevers fr Mme E PoureT DRH TEL 03 86 93 70 40 evelyne poupet ch nevers fr NOVEMBRE 2010 Mardi 2 Bureau du CFAR Paris PETITES ANNONCES LE CENTRE HOSP
64. t arrive on est toujours seuls et c est trop tard Comment appl iquer la Quand les maladies li es au travail de nuit arri vent il esttrop tard r glementation sur le travail L astreinte est une suj tion souvent pire que la garde en permanence des soins notamment dans les petits centres qui fonctionnent conseils du SNPHAR E avec des effectifs restreints avec un rythme d as treintes soutenu Une seule attitude appliquons la r glementation Prenons notre repos quotidien n wu T 2 demi joum es incluses dans les obligations de service r alis es comme la loi nous y autorise Comptons notre temps R mun ration au titre de la suj tion 264 63 euros de d placement dans les obligations de service r ali Hepos quotidien de 24 heures le lendemain s es en fin de quadrimestre Et s il est difficile de faire I l quivalence entre une heure de d placement et la Astreinte non d plocee demi journ e ce n est pas notre faute car nous exi Pas de temps de travail comptabilis geons depuis 2003 que soient tablies des normes R mun ration forfaitaire de 30 54 ou 42 13 euros Pas de repos le lendemain basses ou hautes pour cette demi journ e tout d placement entame la demi journ e concurrence Astreinte d plac e plus de 3 heures entre 18 h et minuit de Jess par Dum 1 demi journ e incluse dans les obligations de service r alis es Enfin si notre direction nous dit qu il nous manque R mun
65. taliers Anesth sistes R animateurs largi PHR n 55 d cembre 2010 M SOCI T 18 Le SNPHAR E la rencontre des s nateurs ans les semaines pr c dant le vote sur la r forme des retraites le SNPHAR E s est mobilis pour rencontrer les lus et leur exposer la r alit de la p nibilit li e la permanence des soins l h pital INFORMER LES POLITIQUES DE LA SITUATION DE TERRAIN Les remont es du terrain sont utiles aux lus afin de l gif rer sur du concret m me si tout n est pas possi ble imm diatement Ainsi Bruno Gilles pr cise que ses changes avec le vice pr sident du SNPHAR E l ont persuad que le rythme de travail des m decins hospitaliers dans le cadre de la permanence de soins compor tait des risques pour leur sant et pour celle des patients Les informations apport es par les repr sentants syndicaux du monde hospitalier ont confort la vision de Jacky Le Menn sur les conditions de travail des acteurs hospitaliers param dicaux et m dicaux notamment concernant la probl matique du travail de nuit li e la permanence des soins Des lus bien au fait donc de la n cessit de prot ger directement la sant des m decins et indirectement celle des patients dont ils ont la charge Une th ma tique aujourd hui de plus en plus r guli rement abor d e dans les conf rences internationales Quel est votre sentiment sur la prise en compte de la p nibilit
66. temps additionnel mais pour autant ce n est pas du temps additionnel Notre avocat a voqu propos de ce courrier d anthologie un monument digne de la pire bureaucratie chinoise H las nous sommes bien en France et c est avec notre sant qu on joue Mais qui s en soucie LE CONSEIL DU SNPHAR E APPLIQUONS LA R GLEMENTATION Cessons de jouer avec notre sant Cessons de faire prendre des risques nos patients Cessons de http www snphar com Journal du Syndicat National des Praticiens Hospitaliers Anesth sistes R animateurs largi PHRE n 55 d cembre 2010 Rappel de la r glementation d apr s l arr t du 30 avril 2003 plusieurs fois modifi Le temps de soins r alis au cours d une astreinte constitue du temps de travail effectif Le temps de soins r alis au cours d une astreinte est pris en compte pour l attribution du repos quotidien e est possible d tre en astreinte pendant son repos quotidien Deux types d astreintes domicile sont toujours en place l astreinte de s curit 30 54 euros en cas d appels peu fr quents l astreinte op rationnelle 42 13 euros en cas d appels fr quents Le nombre d astreintes hebdomadaires est limit 3 nuits par semaine ou 2 dimanches par mois ou plus cette limite peut tre d pas s e titre volontaire et si cela ne g ne pas la bonne ex cution du service quotidien Un r capitulatif hebdomadaire individuel sur 4
67. tifs et qualitatifs d activit la totalit ne pouvant d passer le 13 chelon plus 65 96 soit 12 229 17 mensuels incluant la participation la permanence des soins Les cliniciens hospitaliers b n ficient du repos quo tidien au lendemain d une garde ou d une astreinte de la m me mani re qu un PH La protection sociale n est que celle minimale de la S curit sociale la caisse de retraite compl mentaire est l IRCANTEC Le contrat est conclu pour une dur e de trois ans avec une ventuelle p riode d essai de deux mois et ne peut tre renouvel qu une fois Le directeur de l EPS a un droit de suspension directe des activit s du clinicien hospitalier mais pour une p riode maximale de deux mois Enfin le clini cien hospitalier peut tre chef de p le MISE DISPOSITION AVANT MUTATION P RIODE PROBATOIRE R INT GRATION APR S CONG S MALADIE La proc dure de mise disposition avant mutation est incorpor e dans le statut et donc facilit e avec pr cision du contenu de la convention entre les tablissements concern s Pour tous les nouveaux PH l exception des praticiens hospitaliers universitaires la p riode probatoire est maintenue un an d exercice effectif des fonctions Pour leur titularisation ce n est qu en cas de divergence entre les avis motiv s du chef de p le du pr sident de la CME et du directeur de l EPS que la commission statutaire natio nale est convoqu e l issue d un
68. tional des Praticiens Hospitaliers Anesth sistes R animateurs largi PHA REZ n 55 d cembre 2010 d FORMATION L accr ditation est gage d autonomie n septembre 2010 le Pr Jacques Fusciardi est devenu le pr sident du Coll ge francais d anesth sie et de r animation CFAR organisme cr en 1994 et agr par la HAS pour l valuation des pratiques professionnelles EPP la formation m dicale continue FMC et la proc dure d accr ditation volontaire PHAR E Le d veloppement professionnel continu DPC est un nouveau concept de la loi HPST de juillet 2009 Comment le CFAR se pr pare t il sa mise en place Pr J FUSCIARDI La loi pr voit plusieurs mani res de remplir l obligation de DPC Les m decins anesth sistes r animateurs MAR sont particuli rement concern s par deux d entre elles l EPP jointe une action de FMC sur un m me th me et vice et versa et l accr ditation Le CFAR a depuis longtemps mis en place des program mes d EPP cl s en main il en existe aujourd hui une tren taine Il est galement organisme agr pour piloter l ac cr ditation Nous attendons maintenant les d crets d ap plication de la loi HPST pour proposer des programmes de DPC tous les anesth sistes r animateurs Cela n cessitera de nouveaux moyens PHAR E Lesquels Pr J FUSCIARDI L espace du Coll ge doit voluer commencer par nos locaux qu il faudra tendre C est b g
69. tr s nombreux lus et pro bablement aussi par leurs lecteurs Beaucoup sont d ores et d j sensibilis s aux combats que nous m ne rons demain Car notre conviction reste la m me un com bat juste ne peut rester l infini un combat perdu Bertrand MAS Vice pr sident http www snphar com Journal du Syndicat National des Praticiens Hospitaliers Anesth sistes R animateurs largi PHA n 55 d cembre 2010 LE POINT SUR 10 Temps de travail additionnel remettons les pendules l heure ous l effet d une course au productivisme d brid e touchant tous types d tablissements et de services les cas de non reconnaissance du temps de travail additionnel effectu par les PH se multiplient Mode d emploi pour faire respecter nos droits et mettre les directions devant leurs responsabilit s N oublions pas que La dur e maximale des obligations de service fix e au contrat et effectu e de jour et de nuit du lundi au dimanche ne peut en aucun cas exc der qua rante huit heures hebdomadaires en moyenne calcul e sur le quadrimestre Donc les 48 heures sont une borne maximale et non la norme atteindre ce temps de travail devrait rester exceptionnel Hors temps additionnel la dur e de service des PH temps plein est de 10 demi jour n es hebdomadaires un temps de travail hebdoma daire de 40 heures m me s il est exceptionnel est donc bien r glementaire L galement au vu d
70. tre outil Evalvac est utilis pour valuer la capacit du bloc op ratoire absorber le flux de patients et objectiver l at tribution des plages op ratoires Cela permet de mettre en lumi re le lien entre le flux des patients le bloc op ratoire et les lits d hospitalisation Pour analyser l activit d un bloc son fonctionnement a t mod lis et il a t d termin qu un bloc op ratoire pou vait en th orie tourner du lundi au vendredi 10 heures par jour et le samedi matin 4 heures Sa capacit d utilisation programm e th orique est de 54 heures par semaine 114 heures en temps permanence de soins La pre mi re tape est de regarder le temps de mise disposition des blocs d cid par l tablissement G n ralement ce temps est inf rieur 54 heures Mais l Anap n est pas l pour dire s il faut ouvrir plus ou moins Elle est l pour examiner l utilisation des ressources Si vous avez une suractivit dans vos blocs op ratoires avant d ouvrir cing salles de plus il faut savoir combien de temps les salles sont ouver tes Si vous occupez 100 96 des salles qui ouvrent deux heures par jour avant de construire cing nouvelles salles il faut peut tre ouvrir quatre heures par jour L Anap regarde aussi le temps de mise disposition effec tive du bloc le fameux temps de vacation offert durant ANAP our quoi faire des indicateurs ominique Talandier manager l
71. ues ann es pour qu il en soit de m me de l int gralit des indemnit s d astreinte Rappelons que cette juste valorisation des astreintes pour notre retraite tait d j inscrite sans ch ancier dans un protocole d accord en 2004 et dans un courrier du minis tre Douste Blazy en 2005 Six ans plus tard on nous sert la m me promesse mais tal e sur 7 ans Donc 13 ans attendre la reconnaissance d un travail dissimul l as treinte cela peut user toutes les patiences et toutes les bonnes volont s T 2010 LE SNPHAR E BAT LE FER DE LA P NIBILIT D s sa pr sentation par le gouvernement il fut vident que le nouveau projet de r forme des retraites ne manque rait pas nouveau d impacter les pensions de retraite des PH D embl e la mesure embl matique du recul d ge de la retraite apparaissait non n gociable Et d embl e ga lement le gouvernement semblait laisser la porte ouverte une n gociation qui prendrait en compte la p nibilit pro pre certains m tiers Tr s vite constatant l absence http www snphar com Journal du Syndicat National des Praticiens Hospitaliers Anesth sistes R animateurs largi PHA RECZ n 55 d cembre 2010 une ton i des chvonotyologiques ni sans PSQUES su ib ig at on D a CEE D que p riode sam compenser cene p nibilit et redute ses ereto n fastes sur ja same d avanc es significatives concernant la retraite des PH nous avons d

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