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1-966- Page couverture.indd - Centre de santé et de service sociaux

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1. 4 12 4 4 Sommaire des espaces requis 4 19 EE Ee TEE 4 25 4 6 Les superficies ee E 4 36 Section 1 Avant propos 1 1 Pr ambule Le plan directeur immobilier du Centre de Sant et de Services sociaux de la Baie des Chaleurs CSSSBC est en laboration depuis plus d un an Il s inscrit en continuit et en coh rence avec les orientations de la planification strat gique qui ont fait l objet d une large consultation et qui ont t adopt es par l tablissement en septembre 2011 Ainsi le PDI donne les orientations et les priorit s en mati re de consolidation et de d veloppement immobilier en vue de supporter la mission et la vision de l tablissement pour l actualisation de son projet clinique C est une tape incontournable la pr paration des d veloppements pr vus et un outil d aide aux changements qui seront r aliser dans les prochaines ann es Le comit de travail mis en place pour encadrer la d marche est ainsi constitu Directeur g n ral Jean Philippe Legault Comit de direction Architecte M ichel Bernard Coordonnateur de la d marche M artin Pelletier Directeur sant physique soins infirmiers h bergement et services domicile Directeur des services professionnels Conseill re la direction Dr Francois Dumas EE Andree Claude Perry L exercice e
2. 2 24 2 8 1 1 Les Urgences 2 24 2 8 1 j La clinique externe de l unit de sant mentale 2 25 2 8 1 k Les services la m decine de joulr 2 25 2 8 1 1 L unit de chirurgie d un jour 2 27 2 8 2 Les services de soins de courte dur e 2 27 2 8 3 Les services cliniques en support au diagnostique et au UV MIAN AA o 2 29 2030 a m 2 29 2 8 1 b Les services d imagerie m dicale 2 29 2 8 1 c Les laboratoires 2 30 2 8 1 d Le d partement de pharmacie ss 2 3 2 8 1 e Le service d inhaloth rapie et d lectrophysiologie 2 32 o En NES A EU 2 32 2 9 Les r alisations r centes et leurs impacts 2 33 Section 3 L tat des b timents 3 1 Les b timents du CSSS de la Baie des Chaleurs 3 1 A Eee 3 2 3 3 Les fiches Sara Urne 3 2 3 4 Le tableau sommaire des superficies 3 4 3 5 Presentation des Dau boom nmt om aimant mda 3 5 3 5 1 Hopital de Maria Planen 3 5 3 5 2 Le Centre d h bergement de New Carlisle CHNc 3 6 3 5 3 Le Centre d h bergement de Maria R sidence St Joseph d A
3. Ik A II INT INI T INT T SY v UV V v v GI x SY v Y SY EN AN A AN AAA DY DOGG OO 10 Echelle 25m 1 1000 Superficies m 1 Chambres 1 591 5 9 Salon salle manger 298 8 2 Postes 95 2 Entretien m nager 11 7 3 Utilit s salles de bain W C 191 9 11 Circulation 182 2 4 M canique 91 0 Total tage 3 634 3 5 D p ts d chets chapelle 12 5 6 Buanderie 85 2 7 Cuisine et salle diner 297 0 e Administration 117 3 PDCI CSSS Baie des Chaleurs tage 1 CHNc New Carlisle 21 octobre 2011 966 CE ES 966 Plans CHSLD Maria existants Centre d h bergement de Maria R sidence St J oseph L gende WA Services ambulatoires Plateau technique Services de soins de E courte dur e cd et h bergement de longue dur e ld Directions et services administratifs 0 5 10 chelle 25m e Services d h tellerie et 1 1000 de support BE cent DODO M canique m Location PX Circulation Superficies m Cuisine caf t ria salle diner 525 2 9 Centre de r adaptation 4974 2 Salles de pause 58 2 Centre de jour 267 6 3 Coiffeuse ateliers d p ts 224 4 11 Circulation 261 7 4 Vestiaires et w c 51 8 Total tage 2 198 4 5 Buanderie 79 5 6 M canique 206 5 Comit des r sidents 18 4 Syndicat 1 1 PDCI CSSS Baie des Chaleurs Etage 0 CHMa Maria 21octobre 2011 966 mu E9 966 Plans CHSLD Mari
4. ES Services d h tellerie et ENS 7 LN pM A nri U lt gt aa N al 1 11 i ZE _ N gt d I NA e gt H AI d Ra PU GN a vm 2 E J 1 rdi PES 1 ta lt ad Un S ea D NL E y 1 AN L e cl d de support I m Vacant Inhaloth rapie x Inhaloth rapie M canique m Location Circulation 5 10 chelle 25m 1 1 000 eo 000 6 Go Inhaloth rapie OS Superficies m B E M canique 234 1 Cliniques ext bur med r union 760 5 EM 11 Administration comptabilit 72 0 2 Inhaloth rapie lectro 156 9 o 12 Sterilisation 978 3 Entretien pasto W C d p t 140 7 13 Pharmacie 138 0 4 Bureaux Fondation du CHBC 23 7 Chirurgie d un jour 116 8 5 Service de sant et de s curit 48 1 15 Archives 183 9 6 Physio ergo 427 5 6 Circulation 729 6 7 G nie bio m dical 947 ze Total etage 4 106 5 Bloc op ratoire 545 6 9 Gyn co maternit obst 547 3 PDCI CSSS Baie des Chaleurs Etage H Maria 10 novembre 2011 966 np ES 966 Plans CHBC exstants L gende VA Services ambulatoires Plateau technique Services de soins de EA courte dur e cd et h bergement de longue dur e Id Directions et services administratifs ES Services d h tellerie et de support m Vacant M canique m Location Circulation H pital
5. Etage 2 Appentis 3 tage 1 Enti rement r nov et agrandi en 1995 Michel Rarnard ARCHITECTIIRE IN a 131 DeinNal ARCHI I ECIURE INC 39 3 5 6 Le CLSC de Caplan CLSCCa Description physique ll ala ar EF II wu __ CLSC de Caplan Plans Anneede construction 2009 Nombre d tages 2 Superficie totale brute 1 346 4 m Gideurs 0 m Charpente Bois Climatisation Oui G n ratrice 1 Chauffage Plinthes tage2 Energie Electricit Ascenseur 0 Parement ext D din de bois pan neau de stratifie pour ext Superficies Rez de chauss e 1 11213 12 069 6 tage 2 225 1 2 422 9 ZA Tot IL med mas Rez de chauss e 3 10 CR 3 5 7 Le CLSC de Saint Omer CLSCSo Description physique CLSC de Saint Omer Plans Ann e de construction 1995 Nombre d tages 1 Superficie totale brute 1151 1 m Gideurs 0 Charpente Bois Climatisation oui G n ratrice 1 Chauffage Plinthes Energie Electricit Rez de chauss e Ascenseur Parement ext Rev tement de tole Superficies Rez de chauss e 1 12 390 3 Au 1393 m 3 11 3 5 8 Le CLSC de Pointe la Croix CLSCPc Description physique CLSC de Pointe la Croix Plans Annee de construction 2000 Nombre d tages 1 Superficie totale brute 506 2 m Gideurs 0 Charpente Bois Climatisation Oui G n ratrice 0 Chauffage Plinthes Rez d
6. 2 12 2 6 Les effectifs m dicaux Le d partement de m decine generale du CSSSBC est compos de 52 membres La grande majorit des m decins omnipraticiens oeuvre dans plusieurs secteurs et plusieurs installations du territoire Toutefois en fonction des r gles du d partement leur pratique principale est r pertori e dans un des trois secteurs du CSSSBC La r partition des effectifs se pr sente comme suit de m decins en fonction du lieu ou ils exercent leurs t ches principales Secteur Ouest Installations du secteur Ouest UMF H RCE AO Il est noter que quatre omnipraticiens concentrent leur pratique dans les champs sp cialis s de la chirurgie et de l anesth siologie et leur prestation de service est calcul e dans le cadre du plan d effectifs en sp cialit s Le tableau suivant pr sente le nombre d effectifs m dicaux en place dans chacune des disciplines par rapport au plan d effectif autoris en sp cialit s titre indicatif le nombre de membres associ s au sein du Conseil des m decins dentistes et pharmaciens CM DP est pr sent mais cette information ne saurait influer sur la planification des besoins immobiliers puisque ces m decins viennent en remplacement des ressources en place et n utilisent pas de locaux suppl mentaires tat de situation au 30 septembre 2011 Objectifs de recrutement Projet m dical PEM Membres Discipline Effectifs en place we autorise associes
7. 2 24 Lamission la vision les valeurs 2 2 1 Lamission Au sens de la Loi la mission du CSSS de la Baie des Chaleurs regroupe la mission de Centre local de services communautaires CLSC la mission Centre d h bergement et de soins de longue dur e CHSLD et la mission Centre hospitalier de soins g n raux et sp cialis s auxquelles s ajoute un mandat compl mentaire d enseignement et de formation L nonc de mission sp cifique au CSSS de la Baie des Chaleurs se lit comme suit PROT GER et AM LIORER la sant et le bien tre de la population du territoire qu il dessert de la naissance la fin de la vie en offrant en coop ration avec ses partenaires une gamme de services de sant et de services sociaux accessibles continus de qualit s curitaires et respectueux des droits des personnes 2 2 2 La vision Le CSSSBC se veut une organisation apprenante et performante centr e sur la personne ses capacit s et son environnement pour mieux pr venir gu rir et soutenir 2 2 3 Les valeurs Les valeursfondamentales qui inspirent les orientations de l organisation refl tent la volont de servir la population avec humanit et respect Ces valeurs sont au coeur des actions quotidiennes au CSSS de la Baie des Chaleurs Le respect envers les usagers le personnel et les partenaires La responsabilit pour les bons choix en concordance avec la mission les ambitions et les orientations de l organisa
8. _ p 0 5 10 Echelle 25m 1 1000 Superficies m 1 Services administratifs 570 3 Laboratoires 399 0 3 M canique 294 4 Cliniques ext sant mentale 191 3 e Hospit sant mentale 568 2 6 Unit m decine courte dur e 663 1 Soins intensifs 34241 Circulation 385 3 Total etage 3 1487 PDCI CSSS Baie des Chaleurs H Maria 10 novembre 2011 966 a E4 966 Plans CHBC exstants L gende WA Services ambulatoires Plateau technique Services de soins de E courte dur e cd et h bergement de longue dur e ld Directions et services administratifs ES Services d h tellerie et de support m Vacant M canique E Location 1 Circulation Superficies 1 M decine de jour 2 Unit de chirurgie 3 M canique 4 P diatrie 5 Soins palliatifs 6 Oncologie 7 Circulation Total tage H pital 0 5 10 Echelle 25m 1 1000 m 2 401 2 554 7 31 6 229 6 45 0 115 5 3682 1 745 8 PDCI CSSS Baie des Chaleurs Etage 4 H Maria 15 novembre 2011 966 E5 966 Plans CHBC exstants L gende Services ambulatoires Plateau technique Services de soins de E courte dur e cd et h bergement de longue dur e ld Directions et services administratifs ES Services d h tellerie et de support 3 Vacant M canique Location Circulation Superficies 1 M canique 2 Rangement 3 Circulation Total tage 2622 PDCI CSSS Baie des Chaleurs M
9. Ainsi l analyse des volumes de services consid rer dans le PDCI Volet 1 se rapporte certainsservicesintra hospitaliers sanstoutefois n gliger la port e des services ambulatoires en amont et en aval de l H pital En effet ce niveau d analyse peut permettre de d gager desopportunit s de mouvements de services d une installation une autre afin de favoriser l utilisation de l infrastructure la plus l g re possible c est le cas particulierement des services l urgence que tous souhaitent voir diminuer au profit des services ambulatoires dans la communaut De plus il faut consid rer le volume de services cliniques en support au diagnostic et au traitement afin d assurer la coh rence dans la proximit des services interd pendants et de bien cerner les besoins d espace 2 8 1 Les services ambulatoires 2 8 1 a LESCLINIQUES DEM EDECINE FAM ILIALE DANS LA COM M UNAUT Le volume de consultations en cabinets priv s influence de facon inversement proportion nelle le volume de services hospitaliers l urgence prise en charge de la client le orpheline et l hospitalisation alors qu il favorisera l augmentation du volume de services de l ventuelle Unit de m decine ambulatoire Le territoire de la Baie des Chaleurs compte 10 cabinets priv s dans lesquels pratiquent 19 m decins de famille dont 4 ayant d but ce type d activit s l automne 2011 Par ailleurs 27 m decins s investissent dans la prise en charge de
10. des aliments et de la caf t ria que du c t de la buanderie Cette aile est imbriqu e avec le compacteur d chet Plusieurs objets et personnes transitent aux portes du secteur D autre part il existe une r ception des marchandises au sous sol de l unit Benoit M artin dans l aile F Ces deux receptions souffrent en quelque sorte d un probl me de personnalit On y retrouve dispersement chevauchement et manque de contr le Compte tenu de toutes les transformations qu a connues l tablissement le cheminement des fournitures des appareils des accessoires et de tout ce qui se retrouve sous le vocable biom dical doit aujourd hui faire l objet d une analyse approfondie Des correctifs et transformations sont requis pour assurer le contr le le bon fonctionnement la s curit l hygi ne l entretien et l asepsie Cette tude d passe le cadre du PDCI mais mentionnons qu elle devrait englober sp cifiquement la r ception et le d ballage de fournitures m dicales et des m dicaments ainsi que les secteurs d entretien et de r paration de l appareillage biom dical actuellement au 2e tage de l aile F Le PDCI pr voit donc une allocation sp ciale pour corriger les lacunes Les probl mes g n r s par la situation actuelle sont importants La configuration des installations entrave le travail des quipes d entretien limite le contr le et la rigueur dans la tenue des inventaires Cette question sp cifique devrait faire l
11. CLSCMz CLSCMz CLSCPb CLSCMz H CLSCMz UMF CLSCCa UMF UMF CHNc CLSCPb CLSCSo CHNc CLSCPb CLSCSo Superficie m Actuelle 928 6 Urgence et courte dur e 1 H 505 5 1 CLSCPb 423 1 2 Plateau technique 2 871 8 21 Services diagnostiques et th rapeutiques 2 871 8 Bloc op ratoire 2 H 545 6 Imagerie m dicale 1 H 1114 1 3 21 Radiologie Pharmacie G nie biom dical Laboratoires St rilisation Inhaloth rapie lectroph ysiologie Chirurgie d un jour Unit de m decine Unit de chirurgie Unit de soinsintensifs Unit de p diatrie Maternit gyn cologie obst trique Sant mentale Soins palliatifs Poste de garde Centre Hospitalier de Soins longue dur e Salon cin ma s jour Chambres Unit de g riatrie active Chambres Chambres Cuisinettes et salons Chambres et postes Bureaux de la fondation de l H pital Service de la sant et de la s curit Administration comptabilit accueil Cuisinettes et salons Comit des r sidents Relation humaine et bureaux Archives N N PU NA NN HN I k k O k MM Fa k BW NJ F3 HS H m H H k U N i N CLSCPb H CHMa CHMa H H H H H CHNc CHNc CHMa CLSCPb CLSCMz UMF CLSCCa CHMa CLSCSo H H Dep t entreposage Coiffure et pastorale Cuisine cafeteria Vestiaires Filmo repro biblio form attente jeux Salle conf rence salle polyvalente informatique E
12. En ce qui concerne les services administratifs il s agit des activit s et des services qui ont trait la gestion et l administration de l tablissement Toutefois il faut noter que les espaces allou s aux salles de rencontres ont un impact de plus en plus important sur le d roulement des activit s cliniques puisqu ils sont utilis s pour les rencontres d quipes interdisciplinaires et pour la formation dans le cadre de l organisation apprenante 3 9 Les plans existants Table des mati res EOA E6 Centre d h bergement de New Carlisle ss E7 E8 Centre d h bergement de Maria R sidence St Joseph E9 E11 C oP D bi C nl E12 CLSC et Centre d h bergement Malauze Matap dia E13 E15 ESCASOS DIAM E16 E17 CE e sss sa E18 CLSC de POINTE ala A nids miens E19 Unit de m decine familiale de Maria UMP E20 E21 Michel Bernard ARCHITECTURE INC mu 966 Plans CHBC exstants L gende Services ambulatoires _ Plateau technique Services de soins de EA courte dur e cd et h bergement de longue dur e Id Directions et services administratifs ES Services d h tellerie et de support m Vacant M canique m Location Circulation Superficies e M canique m 2 597 0 e Entrep t distribution bur d p 481 9
13. Projet 15 0 15 0 9 5 3 4 22 6 10 5 5 0 8 0 11 0 47 104 7 36 6 141 3 423 4 24 Bloc op ratoire Salle de transfert R ception et d ballage des fournitures Attente des civi res Attente Poste de contr le secr tariat Bureaux Dep t Cabines de dictees Vestiaires hommes Sanitaires avec douches Vestiaires femmes Sanitaires avec douches Salle de repos Salle d op ration g n rale 1 Salle d op ration g n rale 2 Scopie 1 Scopie 2 Petite chirurgie 1 Petite chirurgie 2 Ophtalmologie et ORL Orthop die D p t orthop die T l pathologie 3 aires de brossage Salle avec poste de surveillance Utilit propre et pharmacie Utilit souill e R serve de mat riel st rile R serve fournitures m dicales Rangement g n ral Rangement appareil RX Utilit souill e Salle de lavage Local de pr paration des plateaux Local d entretien des appareils D p t de l entretien m nager Total partiel des superficies Cloisons circulation conduits Superficie totale Existant 16 4 0 0 0 0 11 8 14 0 11 0 3 4 3 0 15 9 inclus 16 4 inclus 32 6 295 0 0 32 7 0 0 18 4 0 0 28 8 35 2 19 4 0 0 10 5 54 0 0 0 0 0 12 5 0 0 3 4 0 0 0 0 4 0 19 1 0 0 1 6 393 6 155 0 548 6 H m Projet 16 4 20 0 12 0 11 8 14 0 22 0 124 3 0 15 9 inclus 16 4 inclus 32 6 29 5 42 0 32 7 35 0 18 4 25 0 28 8 352 19 4 12 3 20
14. union 137 7 Enseignement 250 0 Circulation 63 1 Total 1 596 0 PDCI CSSS Baie des Chaleurs Etage 1 H Maria 23 novembre 2011 966 Bn di TI AH 1 CAT 5 Zexn Flana Cl Nouvelles superficies 42 St rilisation Chirurgie dur jour 4 Oncologie Bloc ap rataire Gere bio medical er secret aux batiment Circulation Total R am nagement Fharmacie Circulation Total PDCI C555 Baie des Chaleurs Maria Pm d 343 8 268 7 346 2 180 8 266 9 295 7 1 704 1 238 0 116 2 22 6 375 1 sk TU Limite du batiment exiztant E Etage 2 H 30 novembre 2011 966 433 ER Es Plana CH Oc Si Nouvelles superficies m Administration 570 3 Total 570 3 PDI C355 Baie des Chaleurs Maria tage 3 18 novembre 2011 10 le im I 1000 poxH 5 966 4 34 ANA Mar IEC aem Flana CI Cliniques externes keamenagement m 2 Cliniques externos 567 7 Bureaux de el enseignements 267 8 PDCI C555 Baie des Chaleurs tage Ki Maria Bureaux de medecine ert enseignement E du boule 25m 16 novembre 2011 g66 4 35 4 6 Les superficies projet es Emplacement Emplacement Superficie m Secteur de l H pital Actuelle Future Diff rence Batiment B timent Endoscople Colonoscope LL L y Activit s ambulatoires 2223 5 520 51 1297 0 M decine de jo
15. 2011 Raymond Chabot Grant Thornton amp Cie D marche d analyse du programme Sant physique p 16 Cancer Simulation du nombre de nouveaux cas de cancer en fonction de l incidence observ e au Qu bec Variation 2011 2021 Source MSSS Perspectivesd mographiques dition2010etINSPQ Donn es d incidenceetdemortalit pourles principauxsieges de cancer au Qu bec 2011 Raymond Chabot Grant Thornton amp Cie D marche d analyse du programme Sant physique p 16 partir de cette simulation et en fonction de certains l ments connus et d autres l ments estim s il est galement possible de planifier la croissance des examens d endoscopie Examens d endoscopie Projection 2021 Nouveau Croissance de programme l incidence du de d pistage cancer du cancer colorectal d examens Source MSSS base de donn es C07 etrapports AS 478 2011 Raymond ChabotGrantThornton amp Cie D marche d analyse du programme Sant physique p 28 Variation 2011 2021 Toutes ces donn es ainsi que celles qui seront pr sent es dans les sections qui suivent sont prises en compte dans l laboration du projet clinique de l tablissement qui sert d assise a la pr sente d marche entourant le PDCI Ainsi les services sont planifi s en fonction des besoins estim s et les infrastructures du CSSSBC seront planifi es pour supporter l offre de services n cessaire t M POC Maladie pulmonaire obstructive chronique 2 11
16. 28 Dans le cadre du PDCI Volet 1 l organisation physique du bloc op ratoire sera revue l aide d un plan fonctionnel et technique PFT notamment en ce qui a trait la s quence des d placements permettant d viter la propagation des infections Le tableau suivant pr sente le volume de chirurgies r alis es au bloc op ratoire pour la client le hospitalis e I est noter que le portrait complet des activit s chirurgicales doit englober les activit s d crites la section portant sur l unit de chirurgie d un jour TUI 2008 2009 2008 2010 2010 2011 cris pour proth se de a ange 9 34 35 ee Tta 3 5 0 2 8 3 b LES SERVICES D IM AGERIE M DICALE Le service d imagerie du CSSSBC compte deux sites de radiologie soit celui reli l urgence au CLSC de Pasp biac et celui de l H pital de M aria En plus des services courants de radiologie y compris la tomographie axiale le service d imagerie m dicale de l H pital de M aria offre des services de r sonnance magn tique qui sont rendus possibles gr ce l unit mobile acquise l chelle r gionale Le CSSSBC assume la coordination m dicale r gionale du service ainsi que la g rance de l quipement depuis son acquisition De plus comme dans plusieurs autres tablissements en r gion le service de mammographie est offert sur place Le service d imagerie m dicale de l H pital de Maria a fait l objet de travaux majeurs d
17. 3 Circulation Total tage 2024 1 281 3 PDCI CSSS Baie des Chaleurs Maria Etage 0 7 novembre 2011 H pital H 25m 1 1000 966 El 966 Plans CHBC exstants L gende Services ambulatoires Plateau technique Services de soins de courte dur e cd et h bergement de longue dur e ld Directions et services administratifs ES Services d h tellerie et de support m Vacant M canique m Location Circulation H pital 104 EL OG OOO O re 5 a ORL Audio E 0 5 10 Echelle 25m 1 1000 Superficies m 1 Imagerie m dicale 111441 9 Bureau technicien di t tique 41 4 2 Urgence 505 5 Buanderie ent atelier d pdt 590 2 3 M canique 352 1 11 Vestiaires w c utilit s 170 6 4 Cuisine caf t ria 5322 12 Archives 120 5 5 Cliniques externes 145 0 43 Salon chambre m decins 141 1 6 Syndicats 36 3 Boutique et bureaux divers 69 9 7 Bureaux admin accueil 265 8 05 Circulation 890 0 CHSLD 796 7 Total tage 57714 PDCI CSSS Baie des Chaleurs tage 1 H Maria 8 novembre 2011 966 CE E2 966 Plans CHBC exstants H pital Ophtalmologie D Dermatologie urologie L gende Services ambulatoires Plateau technique Services de soins de EA courte dur e cd et h bergement de longue dur e Id Directions et services administratifs
18. 7 1 c LESSERVICES DE SOINS DE COURTE DUR E Les services de soins de courte dur e regroupent l ensemble des services offerts la client le hospitalis e en centre hospitalier pour r pondre des conditions cliniques aigu s pour permettre le suivi troit de l volution d une condition ou pour tre en mesure de compter sur le plateau technique le plus sophistiqu de l H pital Dans le cadre de la recherche d efficience des services de sant plusieurs mesures ont t mises en place au CSSSBC afin de diminuer le recours l hospitalisation ou de diminuer la dur e moyenne de s jour en s appuyant sur le d veloppement des technologies m dicales permettant l application de m thodes moins invasives dont celles utilis es en chirurgies d un jour Parallelement le vieillissement de la population augmente le recours l hospitalisation et pose un d fi de taille au r seau afin de mettre en place des alternatives pour cette client le qui pr sente de nombreux besoins 2 15 2 16 Au CSSSBC les soins de courte dur e sont r partis au sein de 6 unit s la m decine la chirurgie incluant les lits de p diatrie les soins intensifs la g riatrie la maternit et la sant mentale R cemment une transformation a t r alis e afin de r pondre aux contraintes obligatoires et aux besoins urgents de l organisation notamment en mati re de pr vention des infections de s curit des patients et du personnel de gestion des r
19. EE i 20002009 2008 2010 mem ORL visites externes et 3962 3 303 3 237 audiogrammes Cardiologie r r 0 O Autres consultations ext sp cialis e Total des consultations externes sp cialis es Pourconnaitrelafr quencedescliniques offertes parles m decins visiteurs dans ces disciplines ser f reralasection portant sur les plans d effectifs m dicaux 2 21 2 22 De plus il est noter que certains sp cialistes se d placent dans les installations de CLSC pour offrir des services de consultation et leurs besoins devront tre pris en compte dans le PDCI Toutefois l tablissement a t t fait de constater les limites de d centralisation de ces services en raison des contraintes li es aux petits volumes qui sont amplifi es par le souci d offrir les services au moment opportun D autre part l utilisation judicieuse des ressources humaines et mat rielles permet de nuancer consid rablement les besoins de d centralisation des cliniques externes 2 8 1 9 LESERVICE D ONCOLOGIE DU CENTRE HOSPITALIER L quipe d oncologie de l H pital de Maria a t certifi e Equipe interdisciplinaire locale de lutte contrelecancer cote A parlaDirectionnationale delutte contrelecancer L engagement de l quipe m dicale la pr sence d une quipe interdisciplinaire et des ressources d di es l excellente coordination du programme ainsi que les liens formels avec les quipes de Rimouski et du CHUL permette
20. Maria exstants Unit de m decine familiale de Maria L gende WA Services ambulatoires Plateau technique Services de soins de courte dur e cd et h bergement de longue dur e ld Directions et services administratifs E Services d h tellerie et de support Echelle 25m Vacant 1 1000 M canique Location Circulation Superficies m 1 Salle lectrom canique 65 3 2 Vestiaire 154 3 Salle informatique 10 0 Salle de formation et de 68 4 documentation e Salle de repos 28 1 6 w c 62 e Circulation 31 6 Total tage 2250 PDCI CSSS Baie des Chaleurs Etage 2 UMF Maria 21 octobre 2011 966 a E21 3 10 Les superficies actuelles Secteur M decine de jour Cliniques externes Sant mentale P diatrie Ortho di t tique h yg dentaire g n rales vacc bu Pr l vement Salle d examen et bureau m decin Sant communautaire Oncologie Centre de jour R adaptation physique physio ergo Planning familial Bureaux divers R adaptation longue dur e Salon et chambre des m decins Unit de vie familiale Bureaux des infirmi res Bureaux de chirurgie Soutien domicile Travailleurs euses sociales psycho intervenants es Emplacement 4 l 2 3 4 l l 2 l l l 4 0 2 0 l 1 1 1 1 1 1 1 1 1 1 1 1 1 1 0 1 1 0 1 1 actuel B timent CLSCPb CHMz CLSCSo CLSCPc CLSCCa H CHMa H CHNc CLSCPb CLSCM 2 CLSCSo CLSCPb CLSCMz
21. bio medical 53 5 2 Inhaloth rapie lectro 156 8 Circulation archives entretien 163 1 Les c nigues externes de UBM et linhalotherapie electro seront transferes au te tage Le g nie Dic4mediced sera transhere au premier tage e oes de gt chirurgie aha 8 Lits inchanges amp maternit L UMBZ sera r smenag e pour D 5 Eh m accueillir de chirurgie et la 1 1000 podia tre 555 Bale des Chaleurs Etage H Maria B novembre 2011 766 4 28 CHBC Projet s Flans Sc nacio des lits 5 Bex R afectation hospitalisation courte dur e T EUNET mn P p OS T9 mm E aep 4 d Ei I Lat superficies m 2 6 Unit de m decine 0 0 EE EAE 6 Unit de m decine 00 R am nagement de l unit de m decine CHI obtenir T chambres preces er dei chambres E occupation double Lits inchang s e soins mitensirs amp Sante mentale e m 0 5 10 Echols 25m 1 OOO PDC C555 Bale des Chaleurs tage 3 Maria novembre 2011 NE MEET 966 4 29 HEC Far c Sc nario des lits 5 a exo Projet s R afectation hospitalisation courte dur e Superficies m 2 De nl qu LJ I Lar CHL 351 7 SI Soins palliatifs 45 0 P diatrie 140 2 L unit de chirurgie tant relocalisee f tage Z il n y a pius de fits au de Les c
22. dans l Unit Benoit Martin UBM aile F qui date de 1982 et 5 sont dans l aile C compl tement r nov e pour les soins intensifs en 1998 L architecture de ces ailes est mieux adapt e aux soins de courte dur e que le pavillon central qui date de 1953 En plus des qualit s architecturales la plupart des chambres seront des chambres simples Les unit s de m decine de chirurgie de p diatrie et l unit de courte dur e en g riatrie disposeront de plus d espace En m decine il restera 2 chambres doubles et la sant mentale demeurera inchang e avec 4 chambres doubles Il y aura par cons quent une tape transitoire ou le quatri me tage sera occup par les cliniques et les services que l on retrouve actuellement au deuxi me tage de l UBM II n y aura pas de lits de courte dur e cet tage Entre temps des esquisses permettront de pr parer les relocalisations Lorsque les agrandissements seront compl t s il y aura une s rie de d m nagement qui permettront de lib rer le 4e tage pour l am nagement des cliniques En parall le le PDCI Volet 2 et par la suite un programme fonctionnel et technique PFT d termineront plus pr cis ment l emplacement de ces cliniques 4 3 2 Lurgence L urgence et les cliniques externes qui s y trouvent datent de 1972 La zone du court s jour a eu des r novations en 1998 et en 2009 Ce secteur est souvent touch par des travaux mineurs Depuis plusieurs ann es d ja l urgence n
23. l extr mit Sud une issue dont le corridor fait huit pieds de large un d p t st rile qui serait facile modifier en corridor et deux acc s c t Nord Sans pr sumer de la solution finale le d coupage du projet nous autorise penser qu il devient tout fait r aliste de construire une nouvelle chirurgie d un jour au dessus de la nouvelle urgence au Sud du bloc actuel Un nouveau corridor d acc s sera alors construit le long du mur Ouest Par cons quent il devient possible de faire une chirurgie d un jour susceptible de r pondre aux besoins actuels et anticip s La nouvelle chirurgie occupera 269 m comparativement 166 actuellement Ces travaux impliquent les modifications au bloc op ratoire d crites au point 4 2 3 4 3 4 Loncologie Le d partement d oncologie du CSSS de la Baie des Chaleurs conna t une croissance norme comparativement d autres services C est l tablissement qui a le plus important volume d activit de la r gion Le secteur actuel malgr les travaux r cents ne r pond plus la demande Tel que soulign dans un document produit par l quipe d oncologie en 2010 La progression du cancer et l augmentation du nombre de patients trait s les perc es en mati re de recherche dans la lutte contre le cancer forcent le CSSSBC revoir son organisation de service particuli rement en ce qui a trait au plan directeur immobilier Les traitements de chimioth rapie sont intimement li s la
24. o on oo ou 3 7 3 5 4 Le CLSC de Paspeblac CLSCPb 3 8 3 5 5 Le CLSC et le Centre d h bergement Malauze a Matap dia CESOMZSUCEHMZ essen anu 3 9 3 5 6 Le CLSC de Caplan C ESCCa ann 3 10 3 5 7 Le CLSC de Saint Omer CLSCCSo 3 11 3 5 8 Le CLSC de Pointe a la Croix CLSCCPco 3 12 3 5 9 l unit de m decine familiale de Maria UMF 3 13 JO La lecture E 3 15 3 7 L gende et calcul des superficies 3 15 E UL T 3 18 59 SH UIE ee ee 3 19 3 10 Les superficies actuelles sn 3 21 Section 4 Probl mes vs activit s SR 4 1 2 2 La MISE DC NOIES A 4 3 de iar pil rin Le 4 3 e 4 4 22 E e 6 OPE a bias 4 5 424 13 te O uuu usss 4 5 zac 4 6 4 3 Les am liorations fonctionnelles 4 7 4 3 1 La distribution des lits de courte dur e Ent 4 7 MU ele M 4 8 2 3 3 La chirurgie d Undo ee 4 8 ONE OO 4 9 4 3 5 La m decine nucl aire 4 9 4 3 6 l administration les archives l enseignement 4 10 4 3 7 Autres projets de la phase 1
25. pharmacie La hotte actuelle ne peut r pondre aux exigences de l Ordre des pharmaciens du Qu bec La pr paration des m dicaments cytotoxiques exige des locaux adapt s Plusieurs esquisses ont t pr par es en collaboration avec les intervenants du secteur pour identifier les besoins sp cifiques Ces esquisses ont permis d tablir la nature la quantit et la grandeur des pi ces Un tableau sommaire des espaces est donn la page 4 22 4 3 5 La m decine nucl aire Le CSSS du Rocher Perc Chandler a t d sign r gionalement pour donner les services en m decine nucl aire pour la r gion de la Gasp sie et des les de la M adeleine Celui ci dispose d une expertise pr cieuse dans ce domaine Le CSSS de la Baie des Chaleurs est en d marche pour accueillir un service satellite de m decine nucl aire du CSSS du Rocher Perc l h pital de M aria Selon les statistiques recueillies il appert qu environ 42 96 de la production r alis e en m decine nucl aire Chandler s adresse la client le du CSSS de la Baie des Chaleurs Les services obtenus pour la population de la Baie des Chaleurs se partagent 56 au CSSS du 1 volution des services d oncologie Besoin en mati re de plan directeur immobilier en lien avec le program me de lutte au cancer secteur oncologie CSSSBC 2010 4 10 Rocher Perc et 44 Rimouski et Qu bec La mise en place du service satellite M aria permettra de rapproche
26. sents une centaine d intervenants cl s et partenaires du CSSSBC L occasion a t bonne pour analyser la situation de l tablissement et prendre en consid ration les perceptions des personnes qui se sont senties interpell es pour identifier les opportunit s et les menaces qui se pr sentent au CSSSBC les forces et les faiblesses organisationnelles ainsi que les objectifs prioritaires devant tre identifi s Les objectifs cibl s en fin de processus tiennent compte bien s r des imp ratifs nationaux et r gionaux auxquels ont t ajout s des l ments sp cifiques la Baie des Chaleurs afin d assurer une saine gestion des 6 enjeux identifi s par le M SSS 1 L action en amont des problemes et la r duction des in galit s de sant et de bien tre 2 La primaute des services de premiere ligne dans une perspective d int gration et de hi rarchisation des services Un d lai raisonnable pour l acc s aux services La qualit des services et l innovation L attraction la r tention et la contribution optimale des ressources humaines et Une gestion performante et imputable or UT D De plus un 7 enjeu a t ajout et t moigne de l importance accord e la poursuite du d veloppement du R seau local de services de la Baie des Chaleurs L enjeu 7 se lit comme suit R seautage et coop ration Connecter nos forces pour mieux travailler ensemble Les orientations et les objectifs sp cifiques se rappo
27. 0 ces mesures taient relativement simples Aujourd hui elles repr sentent jusqu a 35 96 des co ts Cette donn e explique la tendance de faire des agrandissements plut t que de r nover les secteurs existants Dans le cas de l H pital de Maria l historique que l on en fait dissimule les nombreux changements d occupation des locaux La gamme de services offerts par l tablissement est beaucoup plus tendue et complexe qu elle ne l tait il y a dix ou vingt ans Le nombre de m decins d employ s d quipements et d appareils a augment dans tous les secteurs d activit La m decine est plus performante les services de meilleure qualit l esp rance de vie plus grande Les indicateurs le confirment l tat de sant de la population s est am lior Entre temps c est l tat de sant du b timent qui s est d t rior l encombrement a augment sur les planchers et la qualit des locaux s est d grad e C est la lumi re de ces informations qu un projet d agrandissement majeur est requis 4 13 4 14 Le plan propos dans ce PDCI pr sente de nombreux avantages Les dessins sch matiques montrent un agrandissement sur deux tages de l aile E au Sud de l urgence Cet agrandissement d environ 2840 m pourra se faire sans aucune interruption de service Durant l laboration de ce projet nous allons poursuivre la r flexion et la pr cision des concepts pour l utilisation des 1200 metres lib r s la suite des travau
28. 03 km soit de L Ascension de Patap dia Shigawake I comprend deux MRC Bonaventure et Avignon Le territoire est situ 600 km de Qu bec et 300 km de Rimouski 2 4 2 De petites agglom rations Seulement 5 municipalit s ou villes de plus de 2000 habitants et 16 municipalit s de moins de 1000 habitants 2 4 3 Des particularit s li es a la configuration territoriale N cessit d une multitude de points de services pour assurer la proximit des services Tendance des r sidents des villages situ s l ouest de la M RC d Avignon recourir aux services de sant du Nouveau Brunswick CH de Campbellton M me tendance moindre chelle chez les r sidants l Est de Pasp biac recourir aux services du CSSS du Rocher Perc 2 4 4 Des groupes culturels distincts Pr sence d une communaut autochtone mi gmaq r partie dans deux localit s 500 personnes Gesgapegiag 1500 personnes Listuguj majorit anglophone Pr sence de localit sa pr dominance anglophones New Carlisle Saint Jules Cascap dia ou comportantune communaut anglophone New Richmond M atap dia Hopetown La client le anglophone repr sente plus de 10 96 de la population 2 4 5 Uncentre de d tention Le CSSSBC offre des services la client le du centre de d tention de New Carlisle selon certaines modalit s d entente 2 5 La population desservie Les statistiques suivantes sont issues de L tat de sant
29. 100 000 habitants Taux ajust d incidence du cancer 2004 2006 477 4 513 4 Taux ajust de d c s par cancer 2006 2008 236 9 236 3 Taux ajust de d c s par M CV 2006 2008 200 8 186 9 Taux ajust de d c s par maladies respiratoires 70 1 61 4 2006 2008 Pr valence ajust e du diab te 2008 2009 Sources 1 Mapp janvier 2010 Projections de population 2006 2031 7 MSSS Fichier des d c s 2 INSPQ Infocentre de sant publique 8 MSSS Fichier des tumeurs 3 Statistique Canada Recensement 2006 9 INSPQ Mai 2011 4 ISQ Services des statistiques sectorielles et 10 MELS 2010 du d veloppement durable 12 mars 2010 5 ISQ EQSP 2008 6 Centre jeunesse Gasp sie Les lles Association des centres jeunesse du Qu bec Bilan des directeurs de protection de la jeunesse Directeurs provinciaux 2010 MCV M aladie cardio vasculaire De plus sur la base des perspectives d mographiques et de la pr valence de certaines maladies il est possible d estimer le nombre de personnes qui seront atteintes de maladies chroniques au cours des prochaines ann es ainsi que le nombre de nouveaux cas de cancer sur le territoire de la Baie des Chaleurs Maladies chroniques Simulation du nombre de personnes atteintes Variation 2011 2021 6 255 6 857 7444 MPOC 1403 1507 1 604 Source MSSS Perspectives d mographiques etStatistique Canada E nqu tesurlasant dans les collectivit s canadiennes
30. 2 0 22 0 30 0 22 0 11 0 946 0 331 1 1277 1 3 Lasuperficie est incluse dans le court s jour 4 Lasuperticie est incluse dans la salle de repos 4 19 4 20 11 1 2 1 3 14 1 5 1 6 1 7 1 8 1 9 1 10 111 1 12 Sterilisation Aire de r ception nettoyage d contamination Aire de pr paration et d emballage assemblage Aire de traitement de lingerie Aire de st rilisation Aire d entreposage d articles st riles Aire de stationnement de l quipement et des chariots Aire d entreposage de l quipement Aire r serv e au personnel salon salle de bain etc Aire adminstrative 2 bureaux et secr tariat Aire pour l entretien m nager 2 espaces Aire de d paquetage sert aussi de SAS M canique Total partiel des superficies Cloisons circulation conduits 35 96 Superficie totale La superficie de ces secteurs est incluse dans l aire de st rilisation 1 4 Existant 16 8 35 4 n a 31 6 6 7 incluse incluse 0 0 0 0 0 0 0 0 7 3 97 8 inclus 97 8 H m Projet 30 0 40 0 n a 32 0 18 0 20 0 18 0 30 0 18 0 10 0 15 0 7 3 238 3 87 5 325 8 1 1 1 2 1 3 1 4 1 5 1 6 1 7 1 8 1 9 1 1 Chirurgie d un jour Aire d accueil et d attente Aire des civi res Aire des fauteuils Poste infirmier m decin Utilit propre Utilit souill e D p t mat riel propre D p t mat riel st rile Toilette hommes Toilette femmes Total partiel de
31. 5 54 0 0 0 0 0 12 5 10 0 4 1 0 0 0 0 12 0 19 1 15 0 1 6 603 6 239 0 842 6 4 5 Les plans projetes Les plans projetes le sont en fonction des tapes logiques du projet En premier la r affectation des lits de courte dur e dessins Lits 1 2 3 4 Ensuite l implantation montre la transformation des stationnements et l agrandissement sur le devant du b timent c t Sud dessin P1 Les deux dessins suivants P2 et P3 montrant la distribution des services la suite de l agrandissement du bloc M Le dessin P4 montre le quatri me tage la fin des travaux Finalement le dessin M 1 indique leschangements li s auxtravauxd agrandissement dans le secteur de la buanderie et de la r ception des marchandises 4 25 Michel Bernard ARCHITECTURE INC mu CHBC Projet s Flans Sc nario des lits 5 GE R afectation hospitalisation courte dur e Superficies 1 Centre d h bergement 22 lits 2 Longue dur e En octobre 2011 les 22 lits en Centre d h bergement seront r partis entre le 30 chambres Batiment prae construit l Ouest de l H pital et la R sidence St Josech de Mana PDCI CSSS Baie des Chaleurs Etage 1 H Maria 8 novembre 2011 966 4 27 Alans CHEC Sc nario des lits 5 GE Frolet s R afectation hospitalisation courte dur e GE see a NUM L D d UN UMP u E F 1 superficies m fa Cliniques externes 424 6 7 G nie
32. 697 2 631 Coordination ou preparation et ou surveillance 2008 2009 2009 2010 2010 2011 d interventions r alis es or admission Techniques endoscopiques de 3 heures Nbr de jour soins Techniques endoscopiques de 3 heures Services enti rement rendus a l unit de m decine de jour Adm m dication I V autres que chimio Enseignement et suivi incluant soins s il y a lieu Antibioth rapie I V long terme Nbrdejoursoins 31 28 8 lAnticoaguloth rapie Mupr usagers 081 I gt Nbrdejoursons 255 33 D Epreuves endocrino gastro endocrinologie Nbr de jour soins 157 183 158 nephrologie et allergie 2 8 1 1 L UNIT DE CHIRURGIE D UN JOUR Le PDCI Volet 1 traite du r am nagement de l unit de chirurgie d un jour qui se traduira certainement en gain de productivit pour le service La r alisation du virage ambulatoire en chirurgie au CSSSBC figure au nombre des r ussites importantes des derni res ann es et la gestion des listes d attente a galement t bien adress e IE salis 2008 2009 2009 2010 2010 2011 Nombre de chirurgies d un jour 409 602 1 626 Nombre d examens d endoscopie gastro colono ERCP E u E Total des activit s 4266 4151 4 380 2 26 2 82 Lesservices de soins de courte dur e De facon g n rale le volet des soins de courte dur e n cessite une attention particuli re en mati re d organisation des services et cons quemment dans
33. 752 13 549 13213 Pathologie 37 353 36 809 25 711 Laboratoires regroup s 685 310 701 561 147 986 Prelevements H pital 22 949 29 054 29 917 Prelevements CLSC de Paspebiac 19 661 21111 14 568 Pr l vements autres lieux ref P 12 13 422 14 097 15 635 789 447 816 181 847 090 2 8 3 d LE D PARTEM ENT DE PHARM ACIE Au cours des derni res ann es le volume d activit s au d partement de pharmacie a augment au m me rythme que l augmentation des activit s a l hospitalisation de la progression constante du nombre de cas en oncologie et du d veloppement de plusieurs projets visant accroitre la qualit et la s curit Parmi ces projets figurent la mise niveau des activit s reli es aux pr parations st riles le d veloppement du bilan comparatif des m dicaments la continuit du projet clinique en proposant des services aux clienteles vuln rables ainsi que la mise en place de proc dures permettant de r organiser le travail en vue d optimiser la distribution des m dicaments et la s curit de l usager d l gation contenant contenu FADM automatisation Un projet pilote est en cours de r alisation afin d instaurer le bilan comparatif des m dicaments et ce depuis f vrier 2011 Le d ploiement progressif est pr voir sur les trois prochaines ann es en fonction des r sultats de ce projet De plus l ajout d effectifs pharmaciens sera n cessaire afin de rencontrer les obligations du d partement L qui
34. Anesth sie Chirurgie g n rale Dermatologie M decine interne Ophtalmologie Orthop die ORL P diatrie Objectifs de recrutement Projet m dical Membres Discipline associes P dopsychiatrie Psychiatrie Radiologie Rhumatologie Total M decin sp cialiste en sant communautaire ayant la majorit de ses activit s en sant mentale 1 ligne et comptabilit au nombre des effectifs en omnipratique dans le secteur Ouest PEM Plan d effectif m dical Afin d largir la gamme de services sur place des m decins visiteurs offrent des services de consultation sp cialis e l H pital de Maria L ajout de ces services sur place permet d viter le d placement de la client le vers les grands centres La fr quence de ces cliniques est pr sent e titre d information permettant de sp cifier le besoin en terme de locaux n cessaires pour l accueil de ces sp cialistes tat de situation au 30 septembre 2011 Fr quence des cliniques 1md la fois Utilisation de locaux Discipline M decins visiteurs Biochimie Cardiologie Dermatologie Gastrop diatrie Gyn cologie H matologie Onco M icrobiologie Neurop diatrie Cardiop diatrie Pneumologie Rhumatologie Urologie venir Endocrinop diatrie d terminer R tinologue 1 x Ad terminer 1 jour 2 mois jours mois 1 jour 2 x ann e 2 a3jours mois 2 a3jours mois 1 jour mois 1 jour 2 x a
35. CR Michel Bernard ARCHITECTURE INC Centre de sante et de services sociaux Baie des Chaleurs PDCI Volet 1 Sant physique 16 avril 2012 Michel Bernard architecte 70 boulevard Perron Ouest Caplan Qu bec GOC 1H0 T l phone 418 388 2159 Courriel bewe globetrotter net www mbarchitecte com Le 16 avril 2012 Michel Bernard Monsieur Jean Philippe Legault Architecte Directeur g n ral 70 boul Perron O CSSS de la Baie des Chaleurs Caplan Qu bec 419 boulevard Perron GOC LHO Maria Qu bec GOC 1YO Tel 418 388 2159 Fax 418 388 2563 Courriel bewe globetrotter net T l 418 759 3443 Fax 418 759 5063 Votre projet PDCI Notre projet 966 M onsieur Legault Voici une version corrig e PDCI Volet 1 du CSSS de la Baie des Chaleurs Sans l appui soutenu de l tablissement la documentation qui nous a t fournie et la pr cieuse information recueillie la suite des consultations jamais ce document n aurait pu voir le jour Nous tenons remercier le comit de travail compos de Fran ois Dumas Directeur des services professionnels M Francis Picarou Directeur des services infirmiers Mme Andr e Claude Perry Conseill re la direction et Vous Jean Philippe Legault Directeur g n ral Il faut souligner la contribution de M Martin Pelletier coordinateur responsable du projet et directeur des services techniques du CSSSBC Le premier vol
36. H tellerie caf t ria Buanderie Entretien sanitaire Approvisionnement Magasin Vestiaires e W C et utilit s Non applicable Ensemble des quipements et des services install s dans un b timent qui comprend notamment la ventilation le chauffage la climatisation la plomberie et la production d eau chaude Chaufferie Locaux de gicleurs Locaux des syst mes de ventilation 3 17 3 18 8 Location Espaces lou s par des organismes ind pendants a l tablissement 9 Circulation e Corridors e Issues e Ascenseurs 3 8 R sultat Malgr les efforts pour produire un document fiable l identification des locaux des secteurs d activit s et des superficies rencontre certaines limites L h pital est vivant Les arriv es les d parts et les variations d activit s entrainent des occupations d espace marginales variables Par cons quent pour quelques locaux le portrait donn sur les dessins et les tableaux peut diff rer dans une faible mesure de ce que l on observe sur place d un mois a l autre Les activit s d h tellerie les activit s de support technique et les services administratifs doivent galement faire l objet d analyse dans le cadre du PDCI Par ailleurs les espaces de circulation et les espaces vacants sont trait s dans le cadre de la planification immobiliere au m me titre que les autres l ments essentiels li s par exemple la m canique du batiment
37. HM a Description physique Centre d h bergement Plans u Etage 2 BE tage 1 tage 0 Michel Bernard de Maria ARCHITECTURE INC Annee de construction N ombre d tages Superficie totale brute Gideurs Charpente Climatisation G n ratrice Chauffage nergie Ascenseur Parement ext Superficies Sous sol 0 Rez de chauss e 1 tage 2 1963 2 6 388 9 m 7 Acier et b ton Partielle 1 Vapeur lectricit Vapeur mazout 1 Briques et stuc Superficie pi 3 5 4 Le CLSC de Pasp biac CLSCPb Description physique CLSC de Pasp biac Plans rt Etage 1 3 8 Ann e de construction Nombre d tages Superficie totale brute Gideurs Charpente Climatisation G n ratrice Chauffage nergie Ascenseur Parement ext Superficies 1974 1 3 024 2 m 0 B ton Partielle 0 Plinthes lectricit 0 Briques et aluminium tage Superficie pi Rez de chauss e 1 30242 32 5522 Total 3 024 2 Description physique CLSC Centre d h bergement Malauze Matap dia Plans Ann e de construction 1977 N ombre d tages 2 Superficie totale brute 3 471 3 Gideurs 100 96 Charpente Acier Etage 3 Climatisation Partielle G n ratri ce 1 Chauffage Plinthes Energie Electricit A scenseur l Parement ext Briques et acier reger Superficies i Rez de chauss e 1
38. I est l aboutissement de plusieurs ann es de travail En 2001 un PDI avait t r alis pour l H pital Plusieurs des probl mes d aujourd hui avaient t identifi s l poque Pour diff rentes raisons les recommandations de ce PDI n ont pas d bouch sur des travaux de construction Entre temps l unit de m decine familiale a t construite le CLSC de Caplan s est vu dot d un nouveau b timent les installations de la r sonance magn tique se sont greff es aux flancs de l H pital D autres tudes rapport d inspection esquisses sont venus alimenter la prise de d cision et pr ciser lesorientations Enfin en 2011 la vaste consultation dans le cadre de la planification strat gique 2011 2015 a permis de d terminer les orientations long terme et d tablir les priorit s C est en tant conscient des difficult s produire un plan qui obtienne l appui de tout le personnel et anim par le d sir d obtenir les montants requis pour les travaux que notre strat gie de mettre en place une structure qui tienne compte des changements et de la dynamique propre l tablissement a t labor e Il est important d avoir une marge de manoeuvre pour adapter et ajuster la s quence des projets cette r alit en constante volution D un point de vue pratique les travaux en zone hospitali re pr sentent des difficult s particuli res en ce qui a trait aux mesures pour le contr le des infections Jusqu aux ann es 200
39. Rendre disponibles des services de p dopsychiatrie 3 1 9 me ee localement et en soutien a la premiere ligne 4 1 1 laborer une politique d assurance qualit Instaurer un cadre s curitaire tant pour la clientele 4 1 2 que pour le personnel dans la prestation des soins et services M aintenir les taux d infections nosocomiales faisant l objet d une surveillance provinciale inf rieurs ou gaux aux seuils tablis 4 1 3 Respecter le cadre de r f rence en mati re d hygiene Se et de salubrit Mettre en place un plan de mesure d urgence PMU pour chaque installation Pr voir les installations minimales n cessaires pour le service satellite de m decine nucl aire Pr voir les locaux et la proximit entre ceux ci de facon optimiser leur utilisation P dopsychiatrie planifier dans l utilisation partag e des bureaux de consultations externes en sant mentale et au niveau des services intrahospitaliers Consid rer les l ments de la politique d assurance qualit dans la planification des espaces physiques Y compris le cadre immobilier favorisant la s curit exemple parmi d autres le d partement de sant mentale Entre autres par l am nagement de chambres priv es le r am nagement de la st rilisation l am nagement de la buanderie etc Facilit s immobili res pr voir notamment la buanderie Facilit s immobili res pr voir Locaux de rencontres et espace Offrir
40. a exstants L gende WA Services ambulatoires Plateau technique Services de soins de E courte dur e cd et h bergement de longue dur e ld Directions et services administratifs E Services d h tellerie et de support Vacant M canique m Location Circulation Superficies 1 Chambres e S bains w c utilit s rang entre 3 Cuisinettes et salons 4 Administration et accueil 5 Pharmacie 6 Chambre palliative 7 Poste Centre d h bergement de Maria R sidence 5 oseph N 5 976 0 9 Circulation 190 3 Total tage 3322 1171 23 3 238 26 3 PDCI CSSS Baie des Chaleurs Etage 1 Maria 21octobre 2011 10 Echelle 25m 1 1000 548 0 2 2370 CHMa 966 E10 966 Plans CHSLD Maria existants Centre d h bergement de Maria R sidence 5 oseph L gende WA Services ambulatoires Plateau technique Services de soins de E courte dur e cd et h bergement de longue dur e ld Directions et services administratifs 5 10 Echelle 25m E Services d h tellerie et 1 1000 d 00900006 kd Vacant M canique Bm Location E Circulation Superficies m 1 Chambres 904 5 2 S bains w c utilit s rang entre 242 6 3 Cuisinettes et salons 214 1 4 Pharmacie 17 1 e Poste 32 7 6 Circulation 542 6 Total tage 1 953 6 PDCI CSSS Baie des Chaleurs Etage CHMa Maria 21octobre 2011 966 E11 966 Plans CLSC Pasp biac e
41. a r alit comporte plus de nuances Certains probl mes sont mieux document s et l ventail dessolutions pr sent es recoit plusd appuis que d autres La nature des probl mes est diversifi e Le volume d activit la composition des quipes m dicales la localisation des b timents l ge la v tust des installations la conformit aux normes l adaptation aux pratiques actuelles de la m decine en fonction des quipements et des proc dures ont des incidences diff rentes sur l utilisation des locaux L volution constante et plus ou moins rapide de certains secteurs par rapport d autres exerce des pressions et parfois des situations stressantes dans plusieurs secteurs de l tablissement La r novation l ajout et latransformation physique d un secteur engendrent des changements qui se r percutent sur d autres secteurs Des besoins mergent et l tablissement tente d y r pondre en adaptant l environnement tout moment plusieurs variables du syst me changent Certains projets sont amorc s ind pendamment et parallelement au PDCI Nous avons mentionn le projet concernant le chauffage au moyen de la Biomasse la modification du syst me m canique au bloc op ratoire D autres projets dans les CLSC d j amorc s se r alisent en parall le et en coh rence avec le PDCI Diff rents travaux et projets relevant du maintien des actifs re oivent r guli rement des budgets Tous ces projets sont reli s a une planificati
42. ains services est donn aux pages 4 19 4 24 Pour ces services les gains nets seront les suivants Services Urgence St rilisation Chirurgie d un jour Oncologie M decine nucl aire Bloc op ratoire Total Lorsque tous les travaux inclus dans le PDCI Volet 1 seront compl t s nous estimons que les gains nets des services suivants seront approximativement de Services Cliniques externes Salon et bureaux des m decins Enseignement Pharmacie G nie bio m dical Inhaloth rapie et lectrophysiologie Hospitalisation excluant la sant mentale Bureaux et salles de r union Archives Buanderie et r ception des marchandises Total 4 15 est noter que l espace r cup rer suite la d molition de la roulotte attenante au bloc administratif n est pas consid r comme un ajout Cette d molition implique la relocalisation du bureau de la fondation de l H pital du syndicat du rangement et de l entreposage Donc des gains de pr s de 4 279 m excluant la m canique Le PDCI Volet 2 abordera les autres programmes et autre services que la sant physique dont notamment a sant mentale accueil cliniques externes bureaux unit de soins chambres S curit circulation aire de d tente ext rieure cohabitation des client les diff rentes Mise jour des unit s de soins postes de garde utilit s propres et souill es salle de toilette
43. alle de repos 41 1 4 Bureau administratif 25 4 Salle m canique et lectricit 80 1 6 Circulation 27 4 Total tage 225 1 PDCI CSSS Baie des Chaleurs tage 2 CLSCCa Caplan 15 novembre 2011 966 E E17 966 Plans CLSC St Omer eistants CLSC de St Omer location L gende H Services ambulatoires Plateau technique P e y Services de soins de Ej courte dur e cd et h bergement de longue dur e ld Directions et services administratifs 0000 N 6066 ES Services d h tellerie et de support Vacant Q7 7690000000 9 M canique 1 1000 Location E Circulation Superficies m M decins infirmi res nutrition 3118 Archives informatique 708 1 prelev traiement hyg travail i entretien m nager j Psychologue sexologue T S W C utilit propre utilit 551 2 inf scolaire 99 3 8 souill e 3 Soutien domicile 63 5 9 Readaptation ergo 45 3 Salles polyvalentes salle de 1887 Centre jeunesse 22 1 NEIN 11 Circulation 2374 Agents relation humaine et 49 7 bureaux Total tage 11511 6 M canique salle lect 7 4 PDCI CSSS Baie des Chaleurs tage 1 CLSCSo St Omer 21 octobre 2011 966 2 E18 966 Plans CLSC Point e la Croix amp istants L gende WA Services ambulatoires Plateau technique Services de soins de Ei courte dur e cd et h bergement de longue dur e ld Directions et
44. am nagement il y a une douzaine d ann es et les espaces n cessaires pour l accueil de l unit mobile d imagerie par r sonnance magn tique IRM ont t finalis s en 2007 Le tableau suivant pr sente le volume de services au sein du service d imagerie m dicale de l H pital de Maria et du CLSC de Pasp biac CSSS de la Baie des Chaleurs 2008 2009 2009 2010 2010 2011 Radiologie g n rale Examens De la t te et du cou 1 807 1 253 De la colonne et du bassin 4 616 4 900 5 171 Des membres sup rieurs et inf rieurs 9 009 8 696 8 730 2 29 2 30 CSSS de la Boie des Chaleurs 2008 2009 2009 2010 2010 2011 ml ae 28253 Total CSSS de la Baie des Chaleurs 40 762 41 779 41 880 Enfin un d veloppement majeur est pr voir au sein du d partement d imagerie m dicale de l H pital de Maria afin d int grer le service de m decine nucl aire qui sera offert sous forme de service satellite par le CSSS du Rocher Perc Le d veloppement de la m decine nucl aire est pr vu en 2013 2 8 3 LES LABORATOIRES Les laboratoires du CSSSBC situ s l H pital et au CLSC de Pasp biac ont t am nag s en Core Lab au d but des ann es 2000 et ils ne pr sentent pas de besoins particuliers en matiere d installations physiques Le volume de proc dures est en croissance importante mis part la pathologie Test totaux sur place achet s 2008 2009 2009 2010 20102011 Banque de sang 10
45. aria H pital 168 7 46 7 46 8 Etage5 21 octobre 2011 966 5 H 10 Echelle 25m 1 1000 E6 966 Plans CHSLD New Carlisle exstants Centre d h bergement de New Carlisle L gende PA Services ambulatoires Plateau technique Services de soins de ER courte dur e cd et h bergement de longue dur e ld Directions et services administratifs a Services d h tellerie et de support Vacant M canique E Location 1 Circulation Superficies 1 Salon cinema 2 Travailleuse sociale 3 Atelier 4 Administration 5 Vestiaires W C 6 Physio Ergo readaptation D Salle de pause coiffure Syndicat 006000 m 2 206 9 27 6 79 8 88 2 52 9 96 6 59 0 20 6 9 Entrep t d p t Archives m dicales 11 Soutien a domicile 12 Entretien m nager 13 M canique ascenseur Circulation Total tage PDCI CSSS Baie des Chaleurs Etage 0 New Carlisle 8 o o non excav o 123 8 58 3 107 6 40 6 3 3 557 9 1523 1 21 octobre 2011 10 Echelle 25m 1 1 000 CHNc 966 E7 966 Plans CHSLD New Carlisle exstants L gende E Services ambulatoires N Plateau technique Services de soins de ER courte dur e cd et h bergement de longue dur e ld Directions et services administratifs ES Services d h tellerie et de support Vacant M canique Location 1 Circulation Centre d h bergement de New Carlisle
46. bilit s tous les chelons de l organisation demandent de l encadrement de la formation de l apprentissage et du suivi Ces activit s doivent se d rouler dans un cadre adapt offrant des salles de rencontres et des salles de classe Aujourd hui l h pital touffe dans un carcan La plupart des bureaux simples sont occup s par deux personnes II n y pas d aire de r ception et d attentes dans les locaux administratifs I n y a plus de place pour accueillir de nouvelles disciplines ou de nouveaux m decins L h pital doit louer des locaux l ext rieur pour les rencontres ou pour de l entreposage Les co ts en location sont importants et les co ts pour l organisation compte tenu des temps de d placement le sont davantage A l h pital de Maria des facilit s immobilieres pour la transmission et la gestion de l information auront des effets b n fiques sur les services la clientele Les dessins et le tableau des superficies qui suivent indiquent des augmentations signifi catives du nombre de metres carr s pour les archives les bureaux les salles d enseignement et les salles de rencontres 4 11 4 12 4 3 7 Autres projets du PDCI Volet 1 En th orie un plan directeur immobilier devrait englober l ensemble des installations en faire le portrait clinique et physique puis partir de ces donn es tracer un plan d immobilisation capable d apporter une solution efficace l ensemble des probl mes rencontr s L
47. complexes Elles ne peuvent toutefois pas tre ignor es car elles ont un impact majeur sur le co t des projets La mise aux normes au sens large d borde des prescriptions du Code national du b timent Un certain nombre de normes de guides et de directives s applique aux activit s cliniques Sans faire l inventaire des l ments corriger dans l tablissement nous voulons attirer l attention sur les secteurs qui pr sentent actuellement le plus de risque 4 2 1 La pharmacie Il y a plusieurs pratiques recommand es par l Ordre des Pharmaciens et par le Ministere concernant la r ception la circulation la manipulation la pr paration la distribution et la disposition des m dicaments plusieurs gards les installations actuelles ne rencontrent pas les recommandations de l Ordre des Pharmaciens En regroupant les Centres d h bergement et en centralisant la pr paration des m dicaments la pharmacie plut t que sur les unit s de soins de courte et de longue dur e le volume d activit a augment La demande de services et lenombre d employ s la pharmacie ont aussi augment Enfin les nouvelles pratiques impliquent de nouveaux espaces d di s Une machine ensacheuse automatis e et de nouveaux quipements doivent tre install s dans les locaux existants Le remplacement des hottes pour les m dicaments en oncologie et pour les pr parations st riles demande beaucoup plus d espace que celui occup par les hottes actuel
48. des ambulances incluant la morgue Bureau des ambulanciers Salles d attente 2 Poste de l agent de s curit Accueil et administration valuation Salle de tri Toilettes 2 Toilette adapt e Salle pour les familles Aire de choc 2 civieres Court s jour 10 civi res Salle d observation p diatrique 2 Salle pression n gative et ou d isolement Salle psychiatrique Poste de garde Toilette du personnel Salle de bain douches toilette Toilette adapt e Salles d examen 3 Salle de chirurgie g n rale Salle d examen pression n gative Salle de pansement Bureau du chef du DSMU Bureau de l infirmi re chef Bureau des m decins Bureau des travailleurs sociaux Pneumatique Utilit souill e 2 Utilit propre 2 Salle de repos D p ts 2 Chambre du m decin de garde Total partiel des superficies Cloisons circulation conduits 35 96 Superficie totale La superficie est incluse dans l accueil et administration La superticie est incluse dans les salles d attente Existant 103 6 6 5 41 8 incluse 9 2 incluse incluse 0 0 29 0 incluse incluse 21 0 28 7 25 5 13 4 0 0 0 0 0 0 0 0 3 1 5 2 0 0 29 7 incluse incluse 435 3 70 2 505 5 H m Projet 130 0 8 0 213 0 5 0 12 0 7 0 12 0 6 0 5 0 12 0 35 0 126 0 22 0 15 0 15 0 24 0 5 0 9 0 5 0 45 0 30 0 25 0 20 0 11 0 11 0 20 0 11 0 2
49. e chelle graphique Cette repr sentation donne de justes proportions et autorise les comparaisons entre les diff rents b timents Le sous sol est identifi 0 le rez de chauss e est l tage 1 et ainsi de suite pour les autres tages Sur les plans lorsque les services font partie du m me secteur d activit s mais sont de nature diff rente ils ont t s par s par un trait pointill jaune Les superficies ont t calcul es partir des limites ext rieures du b timent jusqu aux centres des cloisons mitoyennes Lorsqu un seul service se situe entre les issues escaliers la superficie des corridors est calcul e avec celle du secteur ou le service se trouve Lorsque plus d un service se retrouvent entre les issues la superficie des corridors est alors dans la circulation Abr viations utilis es dans les tableaux et plans H H pital de Maria CHNc Centre d h bergement de New Carlisle CHMa Centre d h bergement de M aria Residence St Joseph CLSCPb CLSC de Pasp biac CLSCMz CLSC M alauze M atap dia CHMz Centre d h bergement M alauze M atap dia CLSCCa CLSC de Caplan CLSCSo CLSC de St Omer CLSCPc CLSC de Pointe a la Croix UMF Unit de m decine familiale de M aria Les plans sont illustr s avec des sections de couleur 11 s agit ter cogo Aa 2 qe Chaque secteur s est vu attribu une couleur qu il conservera dans tout le PDCI De facon plus d taill e voici les service
50. e chauss e nergie lectricit Ascenseur 0 Parement ext Panneau de stratifi pour ext Superficies 54492 ai 3 12 CR 3 5 9 L unit de m decine familiale de M aria UMF Description physique Plans Etage 2 Rez de chauss e Ann e de construction N ombre d tages Superficie totale brute Gideurs Charpente Climatisation G n ratrice Chauffage nergie Ascenseur Parement ext Superficies Rez de chauss e 1 Etage 2 2006 2 882 9 m O 96 Bois Oui 1 Plinthes Electricite 0 D din de bois fibro ciment Superficie pi 657 9 7 081 6 225 0 2 421 9 3 13 3 14 3 6 La lecture des plans Cette sous section pr sente chaque b timent de l tablissement Les plans pr sent s ont pour but de dresser le portrait de la r partition des services dans les neuf installations du CSSS de la Baie des Chaleurs La mise jour des plans indique l emplacement la nature et la superficie des services sur chaque tage La lecture des plans et des tableaux qui en d coulent ne permet sans doute pas de comprendre lefonctionnement de l tablissement mais permet de visualiser l emplacement la superficie les regroupements les proximites les dispersions l talement et l importance relative des diff rents services Ss L gende et calcul des superficies Tous les plans sont repr sent s l chelle 1 1 000 Ils ont aussi un
51. e des personnes Cons quemment les places en h bergement communautaire sont r partiesen 14 lieux diff rents et les places en h bergement de longue dur e se r partissent comme suit sur le territoire suivant Il est noter que certains ajouts pour l ann e 2013 sont galement pr sent s ci Soins palliatifs 2 Unit transitoire en 5 sant mentale 2 2 physique L h bergement de la clientele s inscrit dans un souci d offrir les services le plus pres Transformation Situation initiale SUME Installations realis e en 2011 Nombre de lits Nombre de lits UBM l H ptaldeMaia 16 0 9A _Sous total h bergement 1 199 179 projet 186 2 17 2 18 2 7 2 Les services cliniques en support au diagnostic et au traitement Les services cliniques en support au diagnostic et au traitement de la client le sont offerts par des professionnels de la sant de diff rents domaines et s adressent la client le inscrite aux services ambulatoires la client le hospitalis e en soins de courte dur e ou la clientele en h bergement de longue dur e Ces services n cessitent g n ralement un plateau technique important ou une infrastructure labor e dont l utilisation a une grande incidence sur l efficience globale des services Le plateau technique d un tablissement se d finit comme suit Ensemble des installations appareils et dispositifs m dico techniques qui sont utilis s dans un
52. e r pond plus aux besoins Elle a t r am nag e mainte fois sur une base temporaire L accueil l attente le triage les salles d examen le poste le court s jour autant dire tout le secteur est revoir et refaire Les besoins sont connus le volume d activit aussi Pour laborer le sommaire des superficies requises nous avons utilis l dition de 2006 du Guide de gestion de l URGENCE r dig par l association Qu b coise d tablissement de sant et des services sociaux L on retrouve un sommaire des pi ces et des superficies requises pour l urgence la page 4 19 4 3 3 La chirurgie d un jour La chirurgie d un jour a t am nag e en 1999 dans les locaux occup s par l lectrocardiographie l inhaloth rapie et la chambre des m decins Une petite section est venue empi ter sur le bloc op ratoire et cela a permis d installer une salle pour les petites chirurgies dans ce qui tait le salon Huit civieres ont t install es et la salle de transfert a t limin e Cette expansion s est r alis e sans agrandissement et au d triment de plusieurs services Aujourd hui le volume d activit et les besoins d passent les capacit s Les circulations ne pr sentent plus les barri res requises pour un bloc op ratoire et les zones semi st riles et st riles sont mal d finies L architecture ne r pond donc pas aux exigences pour un milieu st rile Heureusement le plan du bloc est sym trique L on retrouve
53. eb internet intranet m dias sociaux etc et son utilisation clinique et organisationnelle actuelle et potentielle Lesprojets de sant Canada pour am liorer les liens avec les communaut s anglophones et autochtones Let l enseignement en soins infirmiers en partenariat avec le C gep de la Gasp sie et des Autant de r alisations au sein du CSSSBC t moignent du dynamisme et de la capacit d innovation de l tablissement I s agit d autant de raisons pour cr er un momentum permettant de revoir les installations et viser un meilleur niveau d harmonie en mati re d installations physiques L laboration du PDCI constitue cette occasion pour permettre les am nagements visant mieux int grer les nouveaux modes d organisation et ces services 2 33 Michel Bernard ARCHITECTURE INC mu Section 3 Letat des b timents 3 1 Les b timents du CSSS de la Baie des Chaleurs Un PDCI tout comme un programme fonctionnel et technique PFT doit prendre en consid ration l tat des b timentset la configuration des installations car ceux ci permettent et supportent le fonctionnement de l tablissement et la facon de donner les soins L architecture des b timents a un impact ind niable sur le personnel sur la client le et sur la capacit donner ou non les services La compr hension et la connaissance des installations actuelles sont tout aussi d terminantes dans notre prise de d cisions que l organi
54. ections et services administratifs Services d h tellerie et de support 0 5 10 Echelle 25m Vacant 1 1000 M canique Location Circulation Superficies m 1 M canique 73 0 Total etage 73 0 PDCI CSSS Baie des Chaleurs Etage 3 CHMz Matapedia 21 octobre 2011 966 mu ET5 966 CLSC Caplan exstant L gende WA Services ambulatoires Plateau technique Services de soins de E courte dur e cd et h bergement de longue dur e ld Directions et services administratifs E Services d h tellerie et de support Vacant M canique m Location PX Circulation Superficies Bureaux de medecins 2 Reprographie courrier 3 Salle d attente A et B 4 W C utilites 5 Entretien m nager 6 Sant communautaire 7 Circulation Total tage m 2 3714 62 1 5355 43 3 114 460 5 135 1 1121 3 PDCI CSSS Baie des Chaleurs Caplan CLSC de Caplan 0 5 10 chele 25m 1 1000 tage 1 CLSCCa 15 novembre 2011 966 E16 966 CLSC Caplan exstant CLSC de Caplan L gende WA Services ambulatoires E Plateau technique Services de soins de courte dur e cd et h bergement de longue dur e ld Directions et services administratifs ES Services d h tellerie et de support E Vacant 0 5 10 Echelle 25m M canique ERR Location E Circulation Superficies m Salle de formation et de 48 3 documentation 2 Entretien m nager 2 8 3 S
55. ence l H pital a aussi t modifi r nov et transform plusieurs endroits Parmi ces travaux signalons ceux ci Les soins intensifs en 1994 La chirurgie d un jour en 1998 Le poste de garde au 3e tageen 2003 Les laboratoires en 2003 Il y a eu plusieurs travaux concernant la m canique les r fections de toitures et de fen tres le remplacement de finis int rieurs et des r parations diverses Les travaux de r novation rel vent des budgets attribu s aux maintiens des actifs lorsqu il s agit de l usure des mat riaux ou de mise auxnormes relevant du Code national du b timent Pour ce qui est destravauxde r novation concernant les activit s dans les locaux ces travaux rel vent des programmes de r novations fonctionnelles Ces derniers font souvent l objet de PFT et parfois lorsque les orientations de l tablissement impliquent de nombreuses composantes le PDCI vient pr ciser l ampleur et la port e des projets Certains aspects du b timent et certains projets ne sont pas sp cifiquement inclus dans aucun de ces volets Parmi ces projets signalons les mesures d conomie d nergie ou encore les travaux de mises aux normes caract re m dical Enfin il y a parfois des projets sp cifiques requis par le minist re pour l ensemble des tablissements Parmi ceux ci signalons l obligation des h pitaux d installer des chambres pression n gative sur les unit s de soins et l urgence Ces disti
56. ent de soins de longue dur e consacr s aux personnes gees en perte d autonomie est devenue de plus en plus forte Les besoins d autres client les sp cifiques en sant mentale en d ficience physique en soins palliatifs ont galement fait voluer la demande D autre part les services de soutien domicile et le d veloppement de capacit s d accueil en ressources interm diaires au sein de la communaut s inscrivent en r ponse une partie de plus en plus importante des besoins des personnes en perte d autonomie En mati re d h bergement de longue dur e la plus r cente transition r alis e au CSSSBC s est traduit par la relocalisation des lits d h bergement de longue dur e qui taient situ s en milieu hospitalier Unit Benoit Martin vers un milieu mieux adapt la condition des r sidents Centre d h bergement de M aria Le mouvement de lits qui en a d coul ainsi que les autres d veloppements r alis s simultan ment sont d montr s dans le tableau apres Situation initiale Transformation Situation r alis e en 2011 projet e 2013 Nombre de eos Nombre de Nombre de rg lits pap lits lits CHSLD 19 1M 184 Sous total h bergement Unit transitoire de r cup ration 4 4 fonctionnelle os ps peo RI perte d autonomie RI Sant mentale 6 1 1 1 Sous total h bergement communautaire Total 30 J 253 1 209 mM possible du milieu d origin
57. essources humaines et financieres ainsi qu en mati re de gestion de l achalandage l urgence Le tableau suivant montre l volution du nombre de lits de courte dur e ayant eu lieu en 2011 22 Transformation r alis e Situation initiale 2011 Activit s cliniques EE Lits soupapes AS OS q lits pap de lits lits soupapes M decine 29 0 2 1 Chirurgie p diatrie C 15 3 16 1 Soins intensifs 45 1 5 1 G riatrie active 4 0 4 FN NN g riatrique Maternit LA 1 5 1 Sant mentale HL 1 10 2 Total J 86 6 67 6 quivalent de la moyenne d utilisation des lits de d bordement en 2010 Cette situation a t rendue possible par la disponibilit r cente des locaux de l Unit Benoit Martin Une analyse des besoins sera r alis e en parallele l amorce de l laboration du PDCI afin de confirmer les avenues cliniques visant r pondre aux besoins de la population en cette mati re De m me cette analyse permettra de d terminer les am nagements n cessaires aux infrastructures pour cr er un environnement r pondant int gralement aux besoins d efficience et de s curit des soins et des services Ceux ci seront int gr s au PDCI Volet 2 2 7 1 d LES SERVICES POUR LA CLIENTELE H BERG E EN LONGUE DUR E Compte tenu du vieillissement de la population la demande de services d h bergem
58. estion de l espace n cessaire pour accueillir la clientele Activit s en h mato oncologie asi EI 2009 2009 2010 ET Nombre d usagers d 026 as fade BR RM I De Par ailleurs le nombre de nouveaux cas de cancer est estim pour les ann es 2011 2021 et sur la base de l incidence des cas de cancer observ e au Qu bec fonction de l incidence observ e au Qu bec Gen Ge Gan n Estim Estim Estim 2021 cancer Source MSSS Perspectives d mographiques dition 2010 et INSPQ Donn es d incidence et de mortalit pour les principauxsieges decancerauQu bec 2011Raymond ChabotGrantThornton amp Cie D marched analysedu programme Sant physique p 16 Cons quemment la planification des services en oncologie du CSSSBC peut tre r alis e en faisant une extrapolation partir des donn es pr c dentes Traitements d h mato oncologie excluant les autres activit s th rapeutiques et les urgences oncologiques Projection 2021 Variation Nombre de traitements 392 1 Oam o 27 27 Source MSSSbasededonn es C07etrapportsAS 478 2011RaymondChabotGrantThornton amp Cie D marched analyseduprogramme Sant physique p 28 Les besoins venir dans ce secteur sont ainsi mieux circonscrits et serviront de base la planification de la nouvelle unit d oncologie pr vue dans le PDCI Volet 1 Il est noter qu en 2011 des installations temporaires ont d tre am nag es afi
59. et de bien tre de la population de la Baie des Chaleurs DUB Nathalie et Parent Claude Direction de la sant publique Gasp sie les de la M adeleine 2011 Selon les projections de la population produites par le M SSS la population desservie est constitu e de 33 478 habitants dont 15 595 dans la MRC d Avignon et 17 883 dans la M RC de Bonaventure a Avignon B Bonaventure 2 5 1 Le profil d mographique Les plus r centes projections d mographiques produites par le M SSS font nouveau tat du vieillissement marqu de la population de la Baie des Chaleurs par rapport celle du Qu bec La proportion de personnes gees de 65 ans et plus augmentera de 46 96 au cours des dix prochaines ann es dans la Baie des Chaleurs comparativement 39 96 au Qu bec Simultan ment le nombre d enfants diminuera de 4 96 alors que le nombre de personnes composant la population active diminuera de 10 96 d ici l ann e 2021 L offre de services du CSSSBC doit tre planifi e en tenant compte de cette situation et cons quemment des besoins grandissants de la population B Moins de 18 ans 18 64 ans 65 ans et plus 10000 20000 30000 40000 2 5 2 Le portrait socio sanitaire de la population Le tableau suivant pr sente quelques statistiques compar es de la population de la Baie des Chaleurs par rapport la population globale du Qu bec en mati re de d mographie de facteurs socio conomiques et d indicate
60. et du PDCI traite sp cifiquement du programme de sant physique Les auteurs Andr e Claude Perry et M ichel Bernard WA Projets 950 999 966 PDI Plan directeur d immobilisation CH BCN Documents R daction du PDI 9 Document final du 8 mars 20121 2 996 Lettre remerciements PDCI Maria docx Table des matieres Section 1 Avant propos IET e TRO 1 1 1 2 IH OU On ee 1 2 1 3 ESSADHHCIDBS UT Gr ee 1 3 Section 2 Le CSSS de la Baie des Chaleurs 2 EN ON een 2 1 2 2 mission la vision les valeurs EEN 2 2 La SS 2 2 AA O y ee ee 2 2 NO 2 2 2 3 La planification strat gique 2011 2015 2 3 24 Le terrtolfe dessef Vian 2 2 4 1 Les distances consid rables 2 7 2 4 2 De petites agglom rations ss 2 7 2 4 3 Des particularit s li es la configuration territoriale 2 7 2 4 4 Des groupes culturels distincts ss 2 7 2 4 5 Un centre de d tention 2 7 2 5 La PODIO ES Votos 2 8 2 5 1 Le profil d mographique 2 8 2 5 2 Le portrait socio sanitaire de la 2 9 2 6 Les effectifs MECICAUX tate te
61. ge adapt s Am nagement de l unit de m decine ambulatoire qui int grera les activit s de la m decine de jour et le programme d accueil clinique Tenir compte des besoins de d centralisation des services du modele int gr des maladies chroniques 2 2 4 dans 2 2 5 2 2 1 2 3 2 2 3 4 Int grer les services communautaires et hospitaliers le continuum de services famille enfance jeunesse Analyser la faisabilit et proposer un modele de services en pratique de sage femme adapt la r alit locale Rendre accessibles localement des services de r adaptation fonctionnelle intensive URFI en collaboration avec le Centre de r adaptation de la Gasp sie les les Implanter en milieu hospitalier l approche et les pratiques organisationnelles et cliniques adapt es aux besoins particuliers des personnes gees Implanter une unit d valuation ambulatoire g riatrique Am nagements physiques qui permettent le rapprochement Le cas ch ant pr voir les am nagements n cessaires en pratique sage femme URFI distincte cr er Adaptation des unit s de services et de soins Unit d valuation geriatrique ambulatoire distincte cr er Am liorer l acc s aux services de m decine nucl aire 3 1 3 par l accueil d un service satellite en collaboration avec le CSSS du Rocher Perc mandataire r gional Assurer l utilisation optimale des plateaux techniques SCH et des temps op ratoires
62. griculture l industrialisation le transport ou la transformation des produits qui sont au coeur du d veloppement c est l industrie du savoir L informatique la science les nouvelles technologies les communications sont les grandes composantes de cette industrie du savoir qui propulsent notre monde vers le futur L univers de la sant n y chappe pas S adapter cette r alit exige de la souplesse et un environnement capable de suivre Cette dynamique vient bousculer l ordre tabli Le transfert des nouvelles connaissances le traitement de l information le stockage et la mod lisation de celle ci exigent des ressources du mat riel des quipements de l espace l h pital de Maria les supports l information soutenant la pratique m dicale ont des r percussions sur l utilisation des locaux L augmentation du volume de l information sur papier est constante pendant que l on observe la prolif ration des postes informatiques pour traiter cette information Dans plusieurs secteurs et services l utilisation du papier comme seul support l information est encore tr s rependue l h pital Plusieurs r vent d un monde sans papier mais l adaptation aux nouvelles technologies exige la mise en place d outils sophistiqu s du temps des ressources des protocoles d entente et des sommes consid rables Entre temps l tablissement doit composer avec une r alit de plus en plus complexe o ann e apr s ann e le volume des archi
63. iff rentes natures sur les planchers la faible isolation des murs les augmentations de temp rature suite aux changements climatiques les marges de tol rance r duites concernant la temp rature ambiante pour certains proc d s pharmacie oncologie laboratoire ont eu pour impact de voir les unit s de climatisations se multiplier aux fen tres et aux murs pompes a chaleurs Cet accroissement n est pas sans effet sur les systemes m caniques en place Cet tat des choses a aussi des cons quences sur le balancement des syst mes sur les co ts d nergie et sur les frais d entretien Il a des impacts sur la qualit des soins tant par les probl mes li s la temp rature de l air qu la qualit de l air En effet les unit s murales ne font que refroidir l air ambiant tout en r duisant l apport d air neuf obtenu avec l ouverture des fen tres plus ou moins court terme il sera requis de revoir l ensemble de la m canique de l H pital ou tout le moins les syst mes de ventilation de plusieurs zones Il est possible d en connaitre davantage sur l tat des b timents en consultant le plan triennal du maintien des actifs Concernant les aspects fonctionnels la section quatre en donnera un portrait global 3 4 Le tableau sommaire des superficies 2 B timent nr 1 Hopital de Maria 16 316 0 2 Centre dhebergement de New Carlisle gt 157 4 3 Centre d h bergement de Maria R sidence St Joseph 6 389 0 4 CLSC de Pa
64. il Danscet esprit le PDCI doit r pondre auxquestionsfondamentales de l organisation qui sont les clients quels sont les services comment sont les installations quels sont les probl mes cliniques et physiques de ces installations et enfin comment am liorer celles ci au regard des r ponses donn es aux questions pr c dentes Cette facon d aborder le PDCI permet d viter le pi ge fr quent qui consiste se limiter l laboration d une liste d picerie regroupant sans discernement les demandes de tous les d partements En effet le r seau de la sant et des services sociaux dispose de moyens limit s et pr senter un projet dont les co ts seraient trop lev s ne ferait que reporter la r alisation des travaux Le pr sent document est divis en sections permettant l appropriation du PDCI du CSSSBC dans un ordre logique qui facilitera sa compr hension Ainsi on y retrouvera une section sur l tablissement lui m me la population desservie les ressources en place et les services offerts une section sur l tat des b timents existants et une derniere section traitant des probl mes immobiliers des suggestions propos es et des plans projet s 1 3 Les principes directeurs Des principes directeurs ont t labor s pour guider les travaux entourant le PDCI pour favoriser une analyse des besoins immobiliers qui soit des plus objectives et pour faciliter la prise de d cision En voici la liste e Placer l usage
65. ire Les locaux de l UMF sont situ s dans un b timent distinct sur la m me propri t que l H pital de M aria Unit de m decine familiale 2007 2008 2008 2009 2009 2010 2010 2011 Nombre de visites 4 444 7 840 8 744 9 092 2 8 1 d LES SERVICES COURANTS EN CLSC Les services courants en CLSC constituent un l ment important ayant permis le virage ambulatoire des soins et des services Leur volution constante s inscrit dans les orientations qui visent offrir des services de 1 ligne plus accessibles et ainsi diminuer le recours aux services hospitaliers R cemment les services offerts en m decine de jour l H pital pour la client le diab tique ont t transf r s en grande partie vers les services courants en CLSC instalation de ISE 2008 2009 2009 2010 2010 2011 CLSC M alauze Nbrd usagers 789 715 Nbrintevenion 2236 1856 de St Omer Nbrd usagers 108 810 Nbrinterventions 3239 2437 _ _ CLSC de Caplan Nbrd usagers 752 916 Nbrinterventions 1886 2304 CLSC Pasp biac Nbr d usagers 2508 2385 Nbrinterventions 9357 9329 CLSC de Pointe a la Croix_ Nbr d usagers 827 806 Nbrinterventions 2376 2460 _ De plus dans le cadre des activit s de laboratoires les pr l vements sont r alis s dans les points de service de CLSC Nombre de pr l vements TER Nombre de pr l
66. jour de plus d une journ e en courte dur e Les services pour la client le h berg e en longue dur e 2 7 1 LES SERVICES DOMICILE Les services domicile regroupent une gamme de services de base et de services sp cialis s offerts au domicile des usagers par les intervenants du CSSS Ces services ont nettement volu au CSSSBC dans le cadre du virage ambulatoire ayant eu lieu au cours des ann es 1990 afin de concr tiser la volont du MSSS de rapprocher les services des milieux de vie et de favoriser une m decine moins invasive et moins lourde Ces services r pondent galement la volont des usagers de demeurer domicile le plus longtemps possible plut t que d tre admis en centre d h bergement Les services domicile seront abord s dans le cadre du PDCI Volet 2 sous l angle de l valuation des besoins en locaux pour les intervenants et galement en fonction des besoins li s aux quipements pr t s ainsi qu l entretien et la r paration de ceuxci entrep t ateliers etc 2 7 1 0 LES SERVICES AM BULATOIRES Les services ambulatoires sont en volution constante au sein du CSSSBC Historiquement les consultations m dicales en clinique externe les services courants en CLSC ainsi que les visites l urgence taient r pertori s au nombre des services ambulatoires Par la suite dans le cadre du virage ambulatoire les services de chirurgies d un jour et les services de m decine de jour ses
67. l y a quelque temps une d marche pour r organiser les soins de mani re ne plus retrouver de lits d h bergement de longue dur e l int rieur de l H pital La client le se retrouve dans l un des trois Centres d h bergement de l tablissement ou elle recevra les soins appropri s l automne 2011 le rez de chauss e du pavillon Benoit Martin se lib re Les demandes pour occuper cet espace sont nombreuses et l gitimes Une r affectation et une redistribution des lits des soins de courte dur e sont apparues comme la solution optimale Le comit de travail du PDCI s est pench sur de nombreux aspects des installations en regard du plan clinique Plusieurs de ces aspects seront abord s tudi s et analys s dans le PDCI Volet 2 Des d tails seront pr cis s dans un ou plusieurs PFT Cependant d s l hiver 2012 pour acc l rer le processus l organisation et la distribution des lits d hospitalisation de courte dur e seront modifi es 4 3 1 Ladistribution des lits de courte dur e La nouvelle r partition des lits est d taill e dans les esquisses pagin es 4 27 4 30 Bien que plusieurs d tails restent pr ciser elle consiste modifier l emplacement des lits de courte dur e de la facon suivante E lits Benoit M artin aile F Courte dur e geriatrie neen Mam s mee E Mec armes gt ml e 4 7 Cette organisation pr sente plusieurs avantages Trente six lits se retrouvent
68. la client le en cabinet dans les locaux des points de services de CLSC ainsi qu a l Unit de m decine familiale Ces activit s sont hautement valoris es au sein du CSSSBC mais force est de constater qu elles exercent une certaine pression sur l utilisation des locaux En ce qui a trait aux r sultats le registre tenu par la RAM Q permet de constater que 52 96 de la population apparait actuellement inscrite aupres d un m decin de famille pratiquant en cliniques m dicales dans la communaut ou en CLSC et en UM F Par diff rentes mesures le CSSSBC vise ce que la proportion de la population inscrite atteigne 70 96 d ici 2015 2 8 1 b LES GROUPES DE M DECINS DE FAM ILLE GMF La cr ation d un premier GMF dans la Baie des Chaleurs est pr vue d ici la fin de l ann e 2013 et un deuxieme d ici 2015 Ce mode d organisation est jug prioritaire pour favoriser la prise en charge de la client le et pour diminuer l utilisation des infrastructures hospitali res Sur le plan immobilier la cr ation du premier pourrait avoir un impact sur l utilisation des locaux en CLSC et les besoins inh rents seront valu s dans le cadre du PDCI Volet 2 2 8 1 c L UNIT DE M DECINE FAM ILIALE UM F Les m decins enseignants l UMF ainsi que les r sidents qui y poursuivent leur formation contribuent la prise en charge de la client le dans la communaut et l offre de services 2 19 2 20 courants au centre du territo
69. la municipalit de Maria que l on retrouve 62 96 du CSSS Il s agit essentiellement de 3 b timents implant s sur 2 sites 3 3 Lesfiches signal tiques Les pages suivantes nous donnent les fiches signal tiques de chacun des batiments Sur ces fiches l ann e de construction correspond a l ann e de construction du batiment original En consultant ces fiches nous constatons que ce sont l H pital et le Centre d h bergement de Maria qui sont les b timents les plus ges Les installations de New Carlisle Pasp biac ainsi que Matap dia ont t construites au milieu des ann es 70 La majeure partie du CLSC de Caplan et l Unit de m decine familiale sont tr s r cents M me s il date de 1963 le Centre d h bergement de Maria mieux connu sous le nom de R sidence St Joseph a connu des travaux de r novation de l ordre de 5 millions de dollars au cours de trois derni res ann es Le Centre d h bergement de New Carlisle a pour sa part t r nov au d but des ann es 2000 Dans le cas de l H pital seul le bloc central identifi A B et C date de 1953 L aile D date de 2000 1962 Laile E qui repr sente l urgence et le bloc op ratoire date de 1972 Les ailes G l accueil F le pavillon Benoit M artin et H la caf t ria datent de 1982 Le dernier agrandissement correspond 2006 a l imagerie m dicale b tie en 2000 aile K et la r sonance magn tique b tie en 2006 aile L Au cours de ses 58 ann es d exist
70. le cadre de l laboration du PDCI L analyse des besoins qui se traduit en nombre de lits dress s doit s inscrire dans une approche d int gration avec les services en amont et en aval de l pisode de soins intra hospitalier La tendance est au d veloppement d alternatives l hospitalisation qui peuvent concourir l efficience des services de facon globale De plus dans la foul e des travaux command s par le MSSS sur l approche adapt e la personne gee en milieu hospitalier l offre de services doit tre revue pour proposer des solutions appropri es pour cette client le grandissante Il s agit de relever le d fi qui se pose face au vieillissement de la population et aux besoins particuliers des personnes g es Voici quelques constats tir s de l tat de situation portant sur l utilisation des lits de courte dur e au CSSSBC Les statistiques li es l hospitalisation demeurent constantes La dur e moyenne de s jour globale est plus basse que celle du groupe de CSSS comparables et que celle des autres CSSS de la r gion Leniveau d intensit relative des ressources utilis es NIRRU par jour pr sence est plus lev que celui des groupes comparables l utilisation de lits soupapes est n cessaire pour r pondre aux fluctuations de l occupation des civi res l urgence Certains profils de patient pourraient terminer leur pisode de soins dans des unit s transitoires hors de l H pital Le
71. les Ces hottes doivent faire l objet d am nagement particulier r ception salle de pr paration sas hottes et salle de d compte st rile d faut de se conformer rapidement aux exigences du Minist re la pr paration de certains m dicaments pourrait se voir interdite L h pital pourrait ventuellement se trouver dans l obligation de les faire pr parer par d autres tablissements de les faire livrer grands frais ou de se retrouver en rupture de services Pour ces raisons la pharmacie a t identifi e comme un projet prioritaire dans le cadre de ce PDCI Compte tenu des besoins identifi s le PDCI propose l installation d une hotte 4 3 adapt e aux soins en oncologie dans une aile neuve ou l on retrouvera un secteur d di Quant la pharmacie actuelle elle sera agrandie en occupant l espace actuellement d di a la st rilisation et la chirurgie d un jour La superficie passera ainsi de 138 m 238 4 2 2 Last rilisation La st rilisation fait face des difficult s en terme de manque d espace et de cheminement critique La quantit d instruments d appareils et d outils qui doivent tre st rilis s est en forte croissance En plus du st rilisateur autoclave conventionnel les appareils requis pour nettoyer d sinfecter et st riliser sont eux aussi plus nombreux Les exigences concernant la s quence de travail sont plus rigoureuses qu elles ne l taient L mergence et l augmentation des infecti
72. les am liorations fonctionnelles 4 1 La v tust Parmi les probl mes li s la v tust des b timents nous retrouvons l usure des finis et des assemblages Nous les avons abord s bri vement dans la section pr c dente D autres probl mes sont li s la conception d origine des installations A l poque les constructions n taient pas pr vues pour une accessibilit universelle Les premieres prescriptions du Code national concernant cet aspect remontent 1985 Les obstacles aux d placements des objets et des personnes sont nombreux L accessibilit universelle fait l objet d une tude ind pendante du pr sent PDCI Cette tude englobe plusieurs aspects de la circulation des personnes mobilit restreinte Les co ts attribuables aux am liorations de l accessibilit universelle sont inclus dans les projets du maintien des actifs Les travaux qui d coulent du PDCI seront conformes aux exigences relatives l acc s universel La v tust concerne aussi le manque d isolation et l tat des syst mes m caniques Parmi ces syst mes mentionnons la distribution d eau la robinetterie les eaux us es la ventilation le chauffage la distribution lectrique les syst mes de communications l alarme incendie La plupart de ceux ci ont t adapt s avec plus ou moins de succ s au fil des agrandissements Il reste que plusieurs secteurs ont besoin de mises niveau Enfin signalons les probl mes li s la conceptio
73. liniques externes te g nie tic2mecical et lfinhatos bectro provenant du ze tage seront reamenarcgees temporairement au e Phase intermediaire b te 155 Maria 1 1000 PDCI CSSS Baie des Chaleurs Etage 4 H 10 novembre 2011 766 430 Terrain 765 490 0 pi Emprise au sol des batiments H 63 983 0 pi UMF 7 157 4 pi Agrandissement 18 198 5 pi 71 116 3 m 5 9444 m 664 9 m 1 690 7 m 1 ik l rinri Cep TTI ce ETH dl d KE u 1 i ES 11 3 illi test leon pol par IW 1 il A El ai lal 30 places ROUTE 132 Existant Echelle 1 200 0 PDCI C355 Baie des Chaleurs Implantation Maria A7 HL Luzia Projet Echelle 1 Z00 0 H 16 novembre 2011 4 31 Sc nario 2 355 Plana CHAC Projet de la Biomasse 290 m dr externes gu L ophtalmologie dermatologie ET frg urologic Nouvelles superficies m Urgence 1 277 1 Limite du existant Buanderie r c march archives 260 5 Circulation 153 1 Total 1 690 7 R am nagement m 2 5 gt Cliniques externes 506 0 M decine nucleaire 141 1 Rec des marchandises local EN 5m gestion des d chets i buancderie circulations MS existantes de M decins salle de repos Wi 9 biblioth que salle de r
74. lopper des lieux et des occasions pour favoriser la coop ration interprofessionnelle Assumer la responsabilit populationnelle en matiere de sant et de services sociaux en favorisant la participation et la compl mentarit de tous les acteurs du RLS D velopper des ententes de services dans certaines sp cialit s planifier toutes les tapes du PDCI dans le choix des l ments a mettre en place dans la r alisation des travaux et dans les impacts long terme S assurer de pouvoir profiter des opportunit s de recrutement sujet mentionn particulierement au projet m dical dans le cadre des activit s de chirurgie Pr voir les installations physiques permettant la r vision des processus de soins et de services exemple espace pour 1 consultation pour priorisation des cas par l infirmi re Locaux de formation mettre en vidence dans certains choix immobiliers Planification des infrastructures en fonction des projets de type LEAN Locaux de rencontres de petits groupes Exemple il est question d accueillir un organisme communautaire dans les murs de l H pital planifier dans l utilisation partag e des bureaux de consultations externes exemple accueil d un r tinologue 24 Leterritoire desservi Le bassin de desserte du CSSS de la Baie des Chaleurs se distingue par plusieurs caract ristiques 2 4 1 Les distances consid rables Le bassin de desserte est tal sur 2
75. n EE 2 12 2 7 Le regroupement des activit s 2 14 2 7 1 LES Services lte e mU ED e ERREUR RH be 2 14 2 7 1 a Les services domiciles 2 14 2 7 1 b Les services ambulatoires 2 15 2 7 1 c Les services de soins de courte dur e 2 15 2 7 1 d Les services pour la client le h berg e en longue dur e 2 16 2 7 2 Les services cliniques en support au diagnostic et au Nee 2 18 2 8 Les volumes de services consid rer 2 18 2 8 1 Les services ambulatoires 2 19 2 8 1 a Les cliniques de m decine familiale dans la communaut 2 19 2 8 1 b Les groupes de m decins de famille GMF 2 19 2 8 1 c L unit de m decine familiale UMF 2 19 2 8 1 d Les services courants en CLSC 2 20 2 8 1 e Les activit s cliniques en sant mentale dans la CO l O URBE 2 2 2 8 1 f Les cliniques m dicales de consultation en centre A o 2 21 2 8 1 9 Le service d oncologie du centre hospitalier 2 22 2 8 1 h Les services g n raux d adaptation et de r adaptation du centre hospitalier
76. n d origine Le fonctionnement de l H pital a beaucoup chang en 50 ans L tat de certaines pi ces est parfois difficile cataloguer entre usure v tust probl me de conception ou simplement probl me de nature fonctionnelle Ce que l on vise ici c est l tat des installations en regard des questions d entretien d hygi ne d asepsie et du contr le des infections II n y a qu penser auxutilit s propres et souill es qui sont pour la plupart inad quates trop petites en quantit insuffisante et pour lesquelles l on manque cruellement de comptoirs d viers et ou de lavabos 4 1 Michel Bernard ARCHITECTURE INC 4 2 La mise aux normes Le Code national du b timent est continuellement mis jour P riodiquement de nouvelles versions sont adopt es par les autorit s comp tentes La derni re version officielle est celle de 2005 Parmi les normes relevant du Code du b timent certaines mises jour concernant les issues sont requises et ne font pas l objet de droits acquis D autres normes rel vent plus sp cifiquement du M inist re de la Sant lorsque vient le temps d en exiger les mises niveau C est ainsi qu il arrive occasionnellement que des budgets sont d bloqu s concernant la s curit incendie ou un aspect particulier relevant de la s curit Dans cette optique le minist re aimerait qu un jour l ensemble des h pitaux soit prot g par des extincteurs automatiques gicleurs Ces questions sont
77. n de r pondre plus ad quatement aux besoins de la client le mais la situation impose un r am nagement global qui a t cibl au nombre des priorit s nonc es dans le cadre de l exercice de planification strat gique 2011 2015 de l tablissement 2 8 1 h LES SERVICES G N RAUX D ADAPTATION ET DE READAPTATION DU CENTRE HOSPITALIER Les services g n raux d adaptation et de r adaptation du centre hospitalier maintiennent un volume de services relativement constant Les listes d attente pour leur part sont li es a la p nurie de main d oeuvre dans ce domaine et non pas la capacit des installations physiques L offre de servicesde r adaptation notamment en physioth rapie est appel e voluer dans le cadre du d veloppement des services int gr s pour les personnes atteintes de maladies 2 23 2 24 chroniques En ce sens une r flexion entourant les lieux de dispensation des services devrait tre r alis e avant la r alisation PDCI Volet 2 dans une optique d am lioration de l acc s aux services de proximit Activit s en nombre de jours traitements mmm 239200 2010201 Audiologie Physiotherapie 10 483 10 546 9 637 Ergotherapie 3152 3 807 r Par ailleurs il est pr vu que des services sp cialis s de r adaptation fonctionnelle intensive soient d ploy s d ici 2013 en collaboration avec le Centre de r adaptation de la Gasp sie 11 La mise en place de cette unit disti
78. ncte est planifier dans le cadre du PDCI 2 8 1 1 LES URGENCES Le CSSSBC compte deux urgences soit une au CLSC de Pasp biac et une autre l H pital de Maria Cette derni re occupe une place importante dans l laboration du PDCI Volet 1 pour le centre hospitalier puisqu elle doit faire l objet d une construction nouvelle juxtapos e au b timent existant La construction de ce type d unit s est largement normalis e afin de r pondre aux besoins d organisation des services en fonction de crit res tablis par le M SSS Le nombre de civi res autoris es au CSSSBC est fix 10 l H pital de Maria et 4 au CLSC de Pasp biac Au nombre des statistiques d achalandage l urgence seule la statistique portant sur le volume de visites sera utilis e puisque la gestion des d lais d attente l urgence n est pas tributaire des installations physiques au sein m me de l unit mais bien de l organisation des services en amont et en aval de la consultation l urgence par la client le Le nombre de visites a l urgence de l H pital de M aria demeure relativement stable 21 000 par ann e Nombre de visites aux urgences 2008 2009 2009 2010 Urgence de Maria 21114 20 549 21 333 Urgence de Pasp biac 16 585 16 814 16 178 Total 37 699 37 363 37 511 2 8 1 j LA CLINIQUE EXTERNE DE L UNIT DE SANT M ENTALE Lorsque possible les services de 2 ligne en sant mentale sont offerts dans la communaut mais certain
79. nctions sont importantes car elles ont un impact sur la coordination et la mise en place des diff rents projets Tr s souvent certains de ces projets se chevauchent Dans le cadre du PDCI Volet 1 il a t d cid de concentrer les efforts sur les projets propres l H pital Les raisons qui nous ont conduits proc der ainsi sont nombreuses en voici deux les priorit s sont connues et notre pr occupation compte tenu du temps requis pour pr senter et monter les projets C est aussi l H pital ou l on rencontre le plus de probl mes de v tust malgr les efforts consacr s son entretien Parmi les b timents du CSSS Baie des Chaleurs l H pital constitue le b timent le plus vieux le plus achaland et l endroit ou l on rencontre le plus de difficult s r pondre ad quatement aux besoins de la client le en regard des probl mes architecturaux de ses installations Parmi ces probl mes de v tust qui ne rel vent pas sp cifiquement des projets de maintien des actifs ou de r novation fonctionnelle il y en a quelques uns qui retiennent notre attention La chaufferie biomasse projet en cours de 3 millions La ventilation du bloc op ratoire projet estim 2 millions et La ventilation et la climatisation de plusieurs zones 3 3 34 Le co t de ce dernier projet n a pas t tabli Les besoins sont toutefois croissants en mati re de renouvellement d air L augmentation des quipements de d
80. nis et revoir l organisation de l accueil de la zone de transfert et des bureaux Les interventions dans ce secteur devront tre envisag es avec pr cautions puisqu il ne doit pas y avoir d interruptions de services dans la zone st rile Puisqu il est propos sur les esquisses d ajouter un corridor le long du mur Ouest il sera possible d viter les croisements dans les circulations en ayant d un c t l acc s pour les fournitures et le personnel et de l autre les clients et la st rilisation L agrandissement de 297 m propos pour ces locaux permettra de corriger les lacunes 4 2 4 La buanderie Bien que remodel e lors des travaux de 1982 la buanderie ne r pond plus aux exigences contemporaines Coinc e entre les secteurs datant de 1950 1960 et la caf t ria la buanderie 4 6 est trop petite M me si les machines sont plus compactes et plus performantes le volume d activit a consid rablement augment avec l ajout des trois Centres d h bergement Quant aux circulations qui desservent le secteur elles sont la cause de bien des soucis Les vestiaires des employ s se trouvent dans l aile D Plusieurs employ s circulent l int rieur de la buanderie pour acc der l aile A Le corridor serpente autour des obstacles ou l on rencontre la livraison pour la caf t ria les d chets et l arrivage et l exp dition du linge propre et souill Les risques de vols de contamination et d accidents sont bien r els tant du c t
81. nn e 1 jour 2 x ann e 4 ou 5 jours 2 mois 3 jrs 2 ou 3 x ann e 4 jours mois 2 13 2 14 2 7 Leregroupement des activit s Cette section pr sente le regroupement des principaux p les d activit s de l tablissement et les volumes de services qui influencent l laboration du PDCI De plus les r alisations r centes au sein de l tablissement sont abord es afin de mettre en vidence leurs impacts sur l utilisation des installations physiques 2 7 1 Les services cliniques Le portrait global des services clinique du CSSSBC est pr sent selon le lieu ou ceux ci sont offerts L intention n est pas de traiter de facon exhaustive de tous les services mais plut t de limiter la pr sentation aux grands ensembles qui influenceront les choix immobiliers de l tablissement En toile de fond l int gration la continuit et la qualit des services guident l ensemble de la d marche du PDCI mais il ne saurait en tre question en d tail dans le pr sent document Ainsi l information suivante permettra entre autres de mettre en vidence les volumes de services consid rer concernant les programmes de sant physique et PALVO En g n ral quatre grandes cat gories de services cliniques sont reconnues Les services offerts domicile Les services ambulatoires offerts dans les diff rentes installations de l tablissement Les services hospitaliers qui s adressent aux usagers admis pour un s
82. nombre d usagers en surveillance continue est la hausse et les structures actuelles sont mal adapt es pour y faire face e In yapas suffisamment d alternatives l hospitalisation e Le taux d hospitalisation refl te l absence d tablissements vocation sp cialis e sur le territoire Il y a tr s peu d attente d h bergement en courte dur e mais on remarque un haut taux de demandes d h bergement long terme partir de l H pital D autre part l unit de maternit a connu une diminution des naissances de 42 96 s chelonnant sur une p riode de 18 ans soit de 1985 2003 comparativement une diminution au Qu bec de 13 96 pour la m me p riode Depuis l ann e 2006 on constate une l g re mais constante augmentation ce chapitre En 2009 2010 220 naissances ont eu lieu au CSSSBC Toutefois les projections d mographiques pr sentent une variation de 4 96 de la population gee de moins de 18 ans d ici 2021 2 27 Le tableau suivant pr sente le nombre d admissions et le volume de jours pr sence en soins de courte dur e au cours des trois derni res ann es _ 2008 2009 2009 2010 Unit de Nbr Nbr Nbr courte jours d admis jours dur e pr sence li pr sence li pr sence 29 1258 10933 4537 10 616 5 247 597 4 2731 SOINS 1477 5 362 1477 5 3 1482 intensifs active 333 700 2061 5 625 191 5 609 1861 11 ARE CRE CEE 67 3499 24056 68 3405 27723 Les donn es s
83. nt d offrir des services de 2 et de 3 ligne s appuyant sur une pratique de qualit bas e sur des donn es probantes Le service d oncologie assure la prise en charge de la client le adulte et p diatrique tant pour le volet chimioth rapie que pour les autres probl matiques de sant accompagnant la maladie Le niveau de r tention de la client le dans le milieu atteint 90 des cas n cessitant de la chimioth rapie le taux le plus lev en r gion En fait seuls les traitements de radioth rapies ne sont pas offerts sur place et pour des raisons de volume de services de disponibilit des ressources et de qualit des services le d veloppement de ce service n est pas envisag En 2009 2010 le cancer est devenu la premiere cause de deces de la population tant au niveau r gional que provincial Malgr ce fait le taux de deces de la clientele sous chimioth rapie au CSSSBC est pass de 22 96 en 2005 10 4 en 2009 Au d but des ann es 1990 le CSSSBC d nombrait une centaine de traitements par ann e alors qu il y en a eu 1 400 en 2009 2010 Les patients demeurent souvent sous traitement antin oplasique pendant plus de deux ans comparativement une moyenne de 6 mois il y a 5 ans et 6096 des traitements offerts sont d une dur e de plus de 4 heures La croissance du taux de cancer et l volution dans les traitements exercent une pression importante sur le niveau d activit s du service d oncologie et par cons quent sur la g
84. ntervenir au bloc op ratoire comme c est le cas dans plusieurs tablissements dont l organisation des services d anesth sie est diff rente En lectrophysiologie des services g n raux sont offerts de facon continue et des cliniques d lectroenc phalographie sont r alis es une fois par mois 2 31 2 32 2 8 3 f STERILISATION Depuis plusieurs ann es d ja les phases de st rilisation par les m thodes usuelles la vapeur et ou l oxyde d thyl ne sont effectu es l H pital de M aria pour l ensemble des installations du CSSS Baie des Chaleurs Le volume d activit s a donc fortement augment sans que les installations physiques aient t adapt es cette croissance Or la pertinence d offrir des soins et des services s curitaires et de qualit va de soi particulierement dans le contexte de pr vention des infections nosocomiales Afin d valuer les processus de travail en mati re de d sinfection et de st rilisation le CSSSBC a mandat la firme St rile Conseil 2000 Depuis plusieurs mesures ont t prises pour am liorer les pratiques mais il reste revoir la configuration du service pour le rendre ad quat En effet dans son rapport de consultation d pos en f vrier 2007 St rile Conseil identifie plusieurs redressements n cessaires au niveau des installations physiques afin de les rendre conformes aux standards reconnus Pour pr venir les infections nosocomiales et afin de r pondre aux norme
85. ntourant le plan directeur immobilier s appuie sur une solide analyse des activit s cliniques et sur les orientations strat giques de l tablissement c est en ce sens qu il sera nomm subs quemment Plan directeur clinique immobilier PDCI En effet les choix cliniques et la recherche d efficience dans l organisation des services doivent guider l identification des solutions immobili res en tenant compte des contraintes impos es par les installations existantes Des compromis sont faire tant au niveau de l emplacement id al de chacun des services ou de la s quence des travaux r aliser pour tenir compte des infrastructures actuelles et de la poursuite des activit s tout au long des travaux d am nagement et de construction De m me certaines opportunit s de conjoncture physique doivent tre saisies mais en tout temps il s agit de maintenir l attention sur la dimension clinique des besoins en immobilisations Afin de tenir compte de diff rents l ments de contexte le PDCI est abord en deux volets Le premier volet traite sp cifiquement du programme de sant physique 1 1 Elles s adressent notamment aux services suivants l urgence de Maria la centrale de sterilisation le service d oncologie incluant le volet pharmaco oncologie Cons quemment le PDCI Volet aborde les solutions immobili res prioritaires l H pital de Maria La s quence des travaux qui entrainera la lib ration d espaces permett
86. ntretien sanitaire 57 Buanderie 5 8 Serveur informatique NJ NJ O H FA k Hi N FA k NJ Hi H3 F3 O NJ MM NJ XN NJ k k O NI H IB N IB HB O O N Hm N k O H Ui N HO 3 23 H CHNc CHMa CHNc CHMa CLSCPb CLSCMz UMF CLSCCa CLSCPc H CHNc CHNc CHMa CHMa CLSCPb CLSCMz CHMz UMF UMF CLSCCa CLSCSo CLSCPc CHMa CLSCMz CHMz CLSCPb H 7 19097 7 1 Locaux de m canique 5 9 Atelier 5 10 Salle de repos pause 5 11 Utilites W C salles de bains 5 12 Cuisinettes et salons Salle de s jour Salon A kA N H3 k HH HI H N FA N FA k NJ k k O N IM ON IM O O kA MM M OO kA O nmn PS DOMM O 3 24 Syndicats Centre de r adaptation Centre J eunesse Circulations au CHBC Circulations au CHNc Circulations au CHMa Circulations au CLSCPb Circulations au CHMz CLSCMz Circulationsa l UMF Circulations au CLSCCa Circulations au CLSCSo Circulations au CLSCPc 0 l 2 3 4 5 0 l 0 l 2 l l 2 l 2 l 2 l l H H H H H H CHNc CHNc CHMa CHMa CHMa CLSCPb CLSCMz CHMz UMF UMF CLSCCa CLSCCa CLSCSo CLSCPc 3 25 Michel Bernard ARCHITECTURE INC mu Section 4 Problemes vs activites Les probl mes de fonctionnement en regard des installations physiques de l H pital de Maria sont nombreux et complexes Aux fins d analyse nous les avons regroup s sous trois cat gories 1 la v tust 2 la mise aux normes et 3
87. objet d un PFT accompagn d esquisses dans les plus brefs d lais si l on d sire inclure ces travaux dans le PDCI Volet 1 4 2 5 M canique Les agrandissements et les espaces r nov s exigeront des locaux techniques pour les contr les le chauffage la ventilation la plomberie pompes la distribution lectrique les serveurs la t l phonie la d tection les alarmes ce stade nous estimons 700 m la superficie requise pour l ensemble de ces locaux Ceux ci seront probablement r partis en quatre unit s reposant sur les toits Ces locaux ferm s devront tre accessibles dans le prolongement des escaliers existants sur les ailes F C et E puis accessibles par ascenseur et escalier dans le nouveau bloc au Sud de l aile E 4 3 Les am liorations fonctionnelles La pratiquedela m decineesten constante volution L int gration de nouvellestechnologies et de nouveaux quipements transforme les facons d occuper l espace La num risation de l imagerie m dicale scan radiographie r sonance magn tique est au nombre de ces nouvelles technologies Les directives du minist re la pharmacologie les d couvertes m dicales l appareillage l enseignement l informatique les outils de communications sont autant de facteurs qui viennent bousculer les facons de faire et cons quemment les relations avec l espace et l architecture L h pital est vivant Il connait continuellement des transformations L tablissement a entrepris i
88. on strat gique commune Dans la pratique quotidienne et une plus petite chelle l tablissement doit s adapter et faire des ajustements C est ainsi que des travaux sont imm diatement requis l urgence en fonction d un projet de r vision des processus de type LEAN et des am nagements seront r alis s sous peu pour accueillir un sp cialiste en dermatologie qui pratiquera l H pital de M aria sur une base permanente Certains aspects des probl mes concernant les immobilisations ob issent donc une logique propre avec des agendas ind pendants de l ann e financi re ou d un ch ancier pr tabli Le parcourt entre l nonc d un probl me l laboration du plan l octroi d un budget et la r alisation des travaux n est pas lin aire Le processus est it ratif Il est souvent requis de fermer la boucle en s assurant que les esquisses viennent apporter les bonnes solutions Depuis plusieurs ann es en s ins rant dans des locaux d j occup s l arriv e de nouveaux quipements d une nouvelle sp cialit ou d une nouvelle technique a souvent engendr des difficult s pour ceux d ja en place Certains projets voluent en fast track alors que d autres n aboutissent pas Ces derniers apr s avoir g n r attentes et espoirs se soldent par des regrets et des d ceptions L objectif du PDCI est de pr senter un tout coh rent m me s il y a des emb ches tout au long du parcourt titre d exemple le pr sent PDC
89. ons nosocomiales dont certaines sont mortelles exigent de plus grandes pr cautions Voici quelques uns des probl mes la st rilisation Superficie du service nettement insuffisante d j constat au PDI de 2002 Absence de SAS dans le secteur propre Absence de pression positive dans le secteur d assemblage et d emballage Absence d une aire ind pendante d entreposage pression positive pour le mat riel st rilis Aires de travail trop exig es et mal d finies croisement mat riel souill et mat riel propre Finis int rieurs mal adapt s Syst me de ventilation d pendant d un autre secteur quipement de d contamination insuffisant quipement de st rilisation insuffisant Taux d humidit non constant solation d ficiente givre sur les fen tres Aire de circulation ind pendante pour la maintenance des quipements inexistante croisements ind sirables et complexit de la t che Croisements de circulation haut risque de contamination dans le corridor d acc s avec la client le les accompagnateurs le personnel La relocalisation du service de st rilisation et de la chirurgie d un jour est n cessaire pour assurer un r seau de circulations cliniques bien distinct des circulations publiques surtout en ce qui a trait au lien avec le bloc op ratoire On vise ici le respect du principe fondamental en mati re de pr vention des infections qui est d viter les c
90. ontajout s auxservices ambulatoires visant viter les hospitalisations en courte dur e Plus r cemment les unit s de m decine ambulatoire sont apparues dans le r seau de la sant afin d offrir des soins et des services la clientele pr sentant des conditions cliniques de nature subaigu ou semi urgente Enfin le programme d Accueil clinique a t d velopp pour cr er une porte d entr e d di e aux services d investigation et de consultation sp cialis e accessible aux m decins de la communaut qui d sirent une valuation diagnostique pour leurs patients L objectif ultime est d viter les hospitalisations qui pourraient tre justifi es des fins diagnostiques En r sum les services ambulatoires sont ou seront offerts dans les lieux suivants Les cliniques m dicales dans la communaut Les Groupes de m decins de famille GM F venir l unit de m decine familiale UM F Les services courants en CLSC Les activit s cliniques en sant mentale dans la communaut Les cliniques m dicales de consultation en Centre hospitalier Le service d oncologie au Centre hospitalier Les services g n raux d adaptation et de r adaptation au Centre hospitalier e Les urgences La clinique externe de l unit de sant mentale l unit de m decine de jour et ou l unit de m decine ambulatoire et le programme d accueil clinique e l unit de chirurgie d un jour 2
91. pe est actuellement compos e de 5 4 pharmaciens alors que l objectif fix en 2007 tait de 7 2 effectifs Les besoins d espaces du d partement de pharmacie devront tre pris en compte dans le cadre du PDCI Les locaux du d partement de pharmacie devront tre organis s en un Site assurant un niveau de fonctionnement optimal Toutefois une exception est faite pour le traitement du cancer puisque les services de pharmacie seront organis s au sein du d partement d oncologie Par ailleurs il faut pr voir que l volution de la pratique en pharmacie se tourne de plus en plus vers des interventions r alis es sur les d partements notamment l urgence Le besoin d espace en d coulant devra sera valu x 2008 2009 2009 2010 2010 2011 Nombre de prescriptions 148 983 156 018 164 322 Nombre moyen de prescriptions jour 2 8 3 e LE SERVICE D INHALOTH RAPIE ET D LECTROPHYSIOLOGIE Les services offerts en inhaloth rapie et en lectrophysiologie font partie int grante des soins la clientele hospitalis e ainsi qu a la client le de l urgence La principale clientele desservie en inhaloth rapie souffre d asthme ou de maladie pulmonaire obstructive chronique M POC et n cessite des soins et de l enseignement lui permettant d viter les pisodes d exacerbation de ses sympt mes Les inhaloth rapeutes du CSSSBC se d placent domicile pour la client le n cessitant de l oxyg noth rapie Toutefois ils n ont pas i
92. r novation de la buanderie et de la r ception des marchandises La r organisation des cliniques externes en occupant deux secteurs cibl s le quatrieme tage d une part et l urgence actuelle de l autre part La r novation et l agrandissement du bloc op ratoire et de la pharmacie La m decine nucl aire et le g nie bio m dical La construction de locaux additionnels destin s l enseignement les archives et l administration Parmi ces projets du PDCI Volet 1 certains sont suffisamment document s pour que l on puisse entamer des esquisses Il s agit de l urgence de la st rilisation de l oncologie et de la chirurgie d un jour D autres ont besoin d tre pr cis s au moyen de Plans fonctionnels et techniques PFT I s agit du bloc op ratoire de la pharmacie du groupe buanderie marchandises entretien des batiments et des archives Un projet de centrale thermique qui inclut un syst me de chauffage aliment la biomasse r sidus forestiers est actuellement sur les planches dessin Ce nouveau syst me aura la capacit suffisante pour alimenter l H pital avec une marge de manoeuvre d au moins 50 96 Par cons quent la centrale pourra r pondre aux besoins futurs tout en permettant des conomies d nergie importantes par rapport aux conditions actuelles Lorsque les agrandissements seront compl t s il y aura une s rie de travaux et de relocalisation de plusieurs secteurs Le sommaire des espaces requis de cert
93. r au centre des pr occupations Cr er un environnement favorisant la pr vention la gu rison et le soutien e Harmoniser les choix de facon ce qu ils correspondent aux politiques du Minist re et qu ils suivent les recommandations de l Agence Dans cet ordre d id e les particularit s locales sont subordonn es aux orientations r gionales et aux directives du minist re Rechercher l efficience et l efficacit des op rations et du fonctionnement performance Privil gier l optimisation des infrastructures existantes Appliquer les standards reconnus par les quipes cliniques et m dicales Assurer la pr vention et le contr le des infections Soutenir le d veloppement des comp tences et la coop ration dans l esprit de l organisation apprenante e Promouvoir le d veloppement durable Prendre les d cisions en fonction des contraintes physiques b timents existants et administratives s quence de travaux Michel Bernard ARCHITECTURE INC Section 2 Le CSSS de la Baie des Chaleurs 2 1 Lhistorique C est au d but des ann es cinquante que le docteur Benoit Martin a fond l H pital de Maria Son histoire nous est racont e dans une s rie de tableaux que l on retrouve pr s de l entr e de l H pital Avec les ann es l offre de services de sant sur le territoire s est enrichie avec la construction des autres b timents Le 30 avril 2004 naissait officiellement le CSSSBC Iss
94. r des soins et des services la client le pr sentant des conditions cliniques de nature subaigu ou semi urgente et de regrouper la clientele sous certaines pr sentations cliniques ou diagnostiques selon des crit res pr cis tablis par l quipe m dicale Sur r f rence des m decins de la communaut qui d sirent une valuation diagnostique pour leurs patients la clientele b n ficiera d un acces privil gi aux plateaux techniques et diagnostiques aux consultations aupr s de m decins sp cialistes et dans certains cas des amorces de traitement en fonction de protocoles tablis Cette facon de faire permettra de faciliter la prise en charge par les m decins de famille en r duisant le temps d attente pour les services diagnostiques de favoriser l acc s et la continuit des services et de r duire le nombre d hospitalisations qui seraient justifi es des fins diagnostiques La planification de l UMA se poursuit dans le but d optimiser le rendement de chacun des services par l attribution des bonnes interventions aux bons endroits au moment opportun et dans une optique de diminution du recours l hospitalisation 2 25 Le tableau suivant fait tat des services qui ont t offerts l unit de m decine de jour de l H pital de Maria au cours des trois derni res ann es M decine de jour 2008 2009 2009 2010 2010 2011 2036 Nombre d usagers 2 178 2 036 1 215 Nombredejoursoins CS 3 556 3
95. r les services de la population et d augmenter l autosuffisance en rapatriant les services actuellement consomm s en dehors de la r gion Gasp sie lles de la M adeleine En moyenne 2 heures sont consacr es au trajet menant Chandler ce qui limite consid rablement l utilisation du service dans un contexte de soins aigus avec des clienteles vuln rables ou instables Pour la client le ambulatoire qui doit souvent se d placer deux fois dans une m me semaine cela repr sente des d bours s importants Pour la majorit des patients les frais de transport ne sont pas rembours s La fondation Baie des Chaleurs dispose aujourd hui d une partie des fonds n cessaires a l achat d quipement pour la m decine nucl aire Les locaux occup s par l ancienne radiologie se pr tent bien cet usage les murs comportent plombage et gaz m dicaux C est ainsi que pour r pondre cette demande pressante l am nagement de ces 141 m repr sente une solution adapt e la configuration actuelle Pr cisons qu il s agit des locaux occup s par le salon du CMDP Le projet pr voit l agrandissement et le d m nagement de ce salon dans le secteur devant la caf t ria pr s des stationnements et des vestiaires des m decins lorsque l quipe de maintenance d m nagera dans l agrandissement de la buanderie 4 3 6 l administration les archives l enseignement L conomie mondiale connait aujourd hui un phenomene sans pr c dent Ce n est plus l a
96. ra galement dans ce premier volet d aborder les besoins de certains services dont l unit de chirurgie d un jour et d autres services ambulatoires Par ailleurs le PDCI Volet Il sera r alis d s janvier 2012 afin de compl ter la d marche dans sa globalit et donc en consid ration des besoins des autres unit s de l H pital de Maria ainsi que des autres installations du CSSSBC Enfin le PDCI propose des d fis de r alisation et d investissements dans un ordre de priorit suivant une s quence logique qui tient compte de la r alit et de la capacit financiere du SSS supporter les demandes de l tablissement 1 2 Introduction Concevoir un h pital est une t che plut t complexe Concevoir celui ci en int grant tous les volets d un Centre de sant et de services sociaux CSSS augmente le d fi Pour se faire une id e il n y a qu penser au CHUM de Montr al Bien que le CSSS de la Baie des Chaleurs soit consid rablement plus petit son plan directeur clinique immobilier doit composer avec les m mes difficult s Il n y a ni mode d emploi ni recette prouv e En mati re d architecture la r alisation du PDCI qui a t confi e correspond un mandat relativement restreint Il s agit en fait d une formule condens e Pour accompagner l ensemble de l organisation dans la recherche de solutions immobilieres plusieurs objectifs ont t fix s qui permettent la mise en place de la m thodologie de trava
97. roisements entre ce qui est souill et ce qui est propre qu il s agisse de mat riel ou de personne L organisation et l agencement des pi ces la st rilisation ne r pondent plus aux exigences de s curit La compartimentation doit tre corrig e de nouveaux appareils sont requis et les besoins sont tels que la superficie requise pour r pondre aux besoins devrait tre quadrupl e Des tudes r centes ont t produites cet effet le projet est document Nous avons tir de cette documentation un sommaire des espaces pour la nouvelle st rilisation Celle ci passera de 98 m 326 mv 4 2 3 Lebloc op ratoire Le bloc op ratoire date de 1972 Il y a eu peu de changements M entionnons toutefois les modifications suite l implantation de la chirurgie d un jour et r cemment l am nagement d un local pour la t l pathologie Le bloc tout comme d autres secteurs de l H pital est maintenant trop petit Les nouvelles techniques de scopie et les nouveaux instruments demandent plus d espace Le contr le des infections et les bonnes pratiques demandent une aire de r ception et de d ballage des fournitures dans une aire semi st rile ind pendante des circulations du personnel et des clients La t l pathologie les utilit s et les zones de rangements sont trop petites et en quantit insuffisante Tout le secteur conna t des probl mes concernant la ventilation et le chauffage Enfin il est requis de rafraichir les fi
98. rtant cet enjeu visent cr er des conditions favorables au r seautage et la coop ration l interne ainsi qu l externe du R seau local de services 2 4 L exercice de planification strat gique du CSSSBCa t r alis en respect de la Loi sur la sant et les services sociaux en vertu de laquelle un tel exercice pluriannuel doit tenir compte des priorit s tablies dans le projet clinique de l tablissement Cons quemment le PDCI se veut un document strat gique qui s inscrit en continuit et en coh rence avec la planification strat gique et le projet clinique de l organisation Plusieurs orientations strat giques sont d j adress es l int rieur des installations existantes Certaines autres ont un impact plus grand sur les changements ou ajouts consid rer quant aux installations physiques et elles devront tre prises en consid ration dans le cadre du PDCI ou des plans fonctionnels et techniques PFT d pendamment de l ampleur des impacts g n r s Ces orientations strat giques sont pr sent es ci apres Orientations strat giques 2 1 5 2 1 6 D velopper des pratiques collaboratives pour optimiser l utilisation de la main d oeuvre D velopper une unit de m decine ambulatoire accueil clinique accessible aux m decins de famille Implanter un mod le de gestion int gr des maladies chroniques Consid rations immobili res liste non exhaustive Am nagement de lieux d apprentissa
99. s canadiennes de st rilisation il faudrait proposer un nouvel am nagement ou seront r unies toutes les conditions qui permettront de garantir la qualit bact riologique du mat riel st rile De plus la conclusion du rapport souligne que Plusieurs mesures correctives ne peuvent tre mises en place faute d am nagement physique compatible Pour plus de d tails le lecteur peut se r f rer la section 3 du rapport de la firme Le CSSSBC assure un suivi troit de toutes les recommandations r alisables en fonction des installations actuelles et pour la suite le service de st rilisation est identifi dans les rangs prioritaires du PDCI Volet 1 SY 20082009 20092010 20102003 Inhaloth rapie AOF Unites 514 968 515 263 534 662 techniques d usagers Physiologie respiratoire 01 295 100 730 100 260 techniques d usagers lectrophysiologie DIUI 269 064 266 942 269 176 techniques d usagers Incluant les traitements par a rosol doseurs 2 9 Les r alisations r centes et leurs impacts La culture organisationnelle au sein du CSSSBC est particulierement impr gn e par la recherche de l excellence et par un d sir de d passement visant maximiser l offre de service la population Cons quemment l tablissement a d velopp plusieurs services localement et les quipes de travail ont su relever les d fis se pr sentant dans le cadre de l volution du r seau de la sant et des services
100. s et salle de bains lavabos pour le lavage des mains espaces de rangement pour le mat riel de support physio ergo espace de consultation pour les m decins soins intensifs chirurgie maternit espace pour la seconde salle d accouchement avant la premi re phase du PDCI locaux soupapes pour les stagiaires les CPI m decins etc Unit de r adaptation fonctionnelle intensive URFI les discussions indiquent qu une construction ind pendante de l h pital pourrait tre retenue en partenariat avec le Centre de r adaptation de la Gasp sie Lessoins domicile entreposage et entretien de l quipement l implantation de Groupe de M decins de Famille GM F Support l enseignement et la formation Les services la personne g e 4 16 L adaptation des services a la personne g e Le virage informatique les syst mes de communication et la gestion des archives Les services de soutien g n raux les espaces de bureaux et de r unions reli s au gain d espaces pr vus au Centre d h bergement de M aria relocalisation du Centre de r adaptation de la Gasp sie les espaces de rangement g n raux locaux pour recevoir les nouveaux appareils les composantes ou mat riaux de toutes sortes qui servent au maintien des actifs des quipements les espaces d di s au service d hygi ne et de salubrit locaux pour quipements chariots lieu de rencontre po
101. s que l on retrouve dans chacun de ces secteurs Il s agit essentiellement du m me regroupement des activit s cliniques pr sent la section Des services ambulatoires Du plateau technique De l hospitalisation et l h bergement De la direction et les services administratifs Des services de support et d h tellerie Du vacant De la m canique De la location et Des circulations pr c dente 1 Services ambulatoires Cliniques externes Urgence M decine de jour e Chirurgie d un jour e CLSC e Oncologie Endoscopie colonoscopie 2 Plateau technique Imagerie m dicale Laboratoires pr l vements e Pharmacie e Sterilisation e G nie bio m dical 3 16 Services g n raux de r adaptation Bureaux de m decins et des professionnels Unit de m decine familiale U M F e Soutien domicile Inhaloth rapie lectrophysiologie Bloc op ratoire 3 Hospitalisation H bergement Soins intensifs Maternit obst trique pouponniere Sant mentale Centre d h bergement Unit s de m decine chirurgie p diatrie 4 Directions et services administratifs Salles de conference Bureaux de direction Laboratoires informatiques Services sant Service la clientele Bureaux de la liste de rappel Services de gestion Archives 5 Services de support et d h tellerie Entrep ts d p ts Ateliers
102. s services psychosociaux sont offerts en milieu hospitalier et les consultations psychiatriques s y d roulent galement Suivi d intensit variable dans la communaut 3 036 3 014 3 931 Services psychosociaux en milieu hospitalier 1337 2 173 2 456 Consultations psychiatriques 2 354 2 463 2 853 Il est noter que le d partement de sant mentale fait l objet de nombreuses attentes en mati re d organisation physique des locaux d di s a la clinique externe ainsi qu l hospitalisation Une valuation des besoins et des solutions immobili res adapt es seront abord es dans le cadre du PDCI Volet 2 pr vu l hiver 2012 2 8 1 k LES SERVICES DE LA M DECINE DE JOUR Les services de la m decine de jour permettent actuellement d utiliser pour certaines clienteles les ressources et le plateau technique du centre hospitalier sans avoir recours hospitalisation Les services de m decine de jour seront modul s pour ventuellement migrer vers l Unit de m decine ambulatoire UM A qui sera prochainement cr e telle que propos e dans les mod les r cents d organisation de service Par exemple des services d investigation et de traitement s chelonnant sur plusieurs jours cons cutifs y seront r alis s en mode ambulatoire de facon permettre au patient de retourner son domicile en fin de journ e De plus un programme d Accueil clinique sera int gr au fonctionnement de l UMA Celui ci permettra d offri
103. s superficies Cloisons circulation conduits 35 96 Superficie totale 1 8civi res existantes incluant les circulations 2 Un minimum de 10 m par civi re est requis 10 civi res Existant 12 0 0 0 19 0 3 0 0 0 0 0 0 0 4 8 0 0 116 8 inclus 116 8 H m Projet 15 0 104 0 22 0 22 0 9 0 9 0 5 0 4 0 4 5 4 5 199 0 69 7 268 7 4 21 4 22 11 1 2 13 1 4 1 5 1 6 1 7 1 8 1 9 1 10 1 11 1 12 1 13 1 14 Oncologie Salle multifonctionnelle Bureau de m decin Attente Toilette du personnel Coordonatrice Dep t Salle de traitement incluant civiere isolement et poste Toilette des usagers Section civi re p diatrique valuation R ception Pr paration et exp dition SAS Hotte d oncologie Total partiel des superficies Cloisons circulation conduits 35 96 Superficie totale Existant 0 0 18 7 9 7 4 7 0 0 0 0 80 0 2 3 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0 115 4 inclus 115 4 Projete 30 0 16 6 14 7 4 3 21 4 4 8 80 0 4 9 11 1 14 8 9 1 23 4 8 5 8 5 252 1 94 0 346 1 14 15 1 3 1 4 1 5 1 6 1 7 1 8 1 9 1 10 M decine nucl aire Salle d examen Salle d attente Salle de lecture de radiologie R ception de la m decine nucl aire Camera 1 Salle st rile Vestiaires des patients Dep t Bureau W C Total partiel des superficies Cloisons circulation conduits 35 906 Superficie totale H m
104. sation des soins sur le plan clinique Le CSSS de la Baie des Chaleurs a une superficie de plancher totale de 38 245 m Pour couvrir l ensemble des services l tablissement comprend au total 9 installations r parties dans les localit s des MRC d Avignon et de Bonaventure Parmi ces neuf installations il y en a sept ou le CSSS est propri taire Ce sont les suivantes l H pital de M aria le Centre d h bergement de New Carlisle le Centre d h bergement de M aria e CLSC de Pasp biac le CLSC et le Centre d h bergement M alauze M atap dia le CLSC de Caplan et l UMF de Maria Il y a deux points de services o l tablissement est locataire II s agit du CLSC de Pointe la Croix et du CLSC de Carleton St Omer Le Centre d h bergement de Maria est l galement la propri t de la corporation d h bergement du Qu bec r cemment fusionn la SIQ 3 2 Lessuperficies L h pital occupe 16 316 m ce qui repr sente 44 96 du total des installations du CSSSBC La superficie de plancher des CLSC pris ensemble est de 8 040 m 22 96 de la superficie totale du CSSSBC Pour ce qui est des Centres d h bergement ils ont une superficie totale de 13 006 m 34 96 de la superficie totale de plancher du CSSSBC La superficie des installations situ es l ext rieur de la municipalit de Maria repr sente 38 96 de la surface du CSSS de la Baie des Chaleurs C est donc au coeur de
105. services administratifs ES Services d h tellerie et de support m Vacant M canique Location Circulation Superficies D M decins infirmieres audio traitements pr l vements 2 W C utilit propre utilit souill e 3 Rangement ent m nager repos photocopie Salle de conf rence attente communication archives 5 Circulation Total tage 219 7 36 2 66 0 76 3 108 0 506 2 Pointe a la Croix CLSC de Pointe a la Croix location 0 5 10 Echelle 25m 1 1000 PDCI CSSS Baie des Chaleurs tage 1 CLSCPc 21 octobre 2011 966 E19 966 Plans UMF de Maria exstants L gende WA Services ambulatoires Plateau technique Services de soins de courte dur e cd et h bergement de longue dur e ld Directions et services administratifs E Services d h tellerie et de support Vacant M canique Location PX Circulation Superficies Bureaux de medecins 2 Bureaux des infirmieres 3 Salle d attente adultes 4 Salle de jeux 5 w c 6 Entretien m nager Salle m canique R ception adjointe admin Unit de m decine familiale de Maria m 2 319 9 40 6 16 9 12 3 18 2 3 9 5 4 32 6 PDCI CSSS Baie des Chaleurs Maria tm 1 1000 9 Archives salle courrier et 434 chariots d p t Chirurgie 146 11 Circulation 150 1 Total tage 657 9 tage 1 UMF 21 octobre 2011 966 E20 966 Plans UMF de
106. sociaux L UMF de Maria compte au nombre des d veloppements ayant eu lieu au cours des dix derni res ann es Ce d veloppement organisationnel a n cessit la construction d un batiment ind pendant Toutefois la majorit des grandes r alisations du CSSSBC ont eu des impacts immobiliers qui ont d tre organis s au mieux dans les infrastructures existantes En voici une liste non exhaustive e Laccreditation en oncologie et le d veloppement de services en onco p diatrie Led veloppement et la gestion de la r sonnance magn tique avec l ajout d un portique au d partement d imagerie m dicale Leprojet d organisation apprenante qui permet de nombreusesr alisations au quotidien et qui est fort prometteur pour faire face aux enjeux de ressources humaines Les liens d velopp s avec les tablissements d enseignement Les succ s en mati re de recrutement m dical d veloppement de pointes d expertise m dicale Le d veloppement de cliniques externes sp cialis es L volution des services de maternit fonctionnement de type lt unit M re enfant gt en lien avec la certification Ami des b b s Lareconnaissance des services de n onatalogie parle CHUL et l association des p diatres du Qu bec Les nombreux d veloppements en pharmacie en lien avec la saine gestion des m dicaments e La mise niveau et le d veloppement des syst mes cliniques informatiques La pr sence W
107. sp biac 3 024 2 5 CLSC et Centre d h bergement Malauze Matap dia 3471 4 6 CLSC Caplan 1 346 4 7 CLSC de St Omer 1 151 1 8 CLSC de Pointe a la croix 506 2 9 Unit de m decine familiale de Maria 882 9 Total du CSSS de la Baie des Chaleurs 38 244 6 3 5 Pr sentation des batiments 3 5 1 H pital de Maria H Description physique H pital de Maria Plans Annee de construction 1953 H N ombre d tages 4 Superficie totale brute 16 316 0 m Gideurs 6 96 E WE Charpente Beton et acier E Climatisation Partielle G n ratri ce 1 I Chauffage Eau chaude t z SSES Energie Mazout Ascenseur 3 _ Parement ext Briques et acier EN Superficies Oe Sweden siete 5 Sous sol 0 Etage 1 Etage 4 Rez de chauss e 1 I tage 2 tage 3 4 l tage 4 tage 5 tage 0 tage 3 Hs 3 5 2 Le Centre d h bergement de New Carlisle CHNc Description physique Centre d h bergement de New Carlisle Plans Ann e de construction 1977 Nombre d tages 1 Superficie totale brute 5 157 4m Gideurs 100 96 Charpente Acier et b ton Climatisation Aucune G n ratri ce 1 Chauffage Eau chaude lect nergie Eau chaude mazout A scenseur 1 Parement ext Acier maill Superficies Sous sol 0 1 523 1 16 394 5 Rez de chauss e 1 3 634 3 39 119 3 tage 0 3 5 3 Le Centre d h bergement de M aria R sidence St Joseph C
108. stiaires s repos d p t archives accueil w c 386 4 9 Bureaux divers 89 8 e M canique 555 Bureaux divers 149 6 3 Entretien m nager 38 0 11 Bureaux divers 96 2 4 Physio ergo 97 7 12 Circulation 636 0 e Salle de s jour 67 5 Total tage 2 012 0 6 Unit de vie familiale 47 0 7 Admin comptabilit s r union 287 6 Dentisterie 60 7 PDCI CSSS Baie des Chaleurs tage 1 CHMz Matapedia 21 octobre 2011 966 wm E13 966 Plans CLSC Malauze Mat ap dia exstants Centre d h bergement Malauze de Matap dia L gende PA Services ambulatoires ES Plateau technique Services de soins de courte dur e cd et h bergement de longue dur e ld Directions et services administratifs A Services d h tellerie et de support 10 Echelle 25m D Vacant 1 1000 M canique E Location Circulation Superficies m 1 Bureau et salle d examen 32 0 Circulation 346 9 WC salon d p t utilit coiffeuse 555 4 Total tage 13863 buanderie 3 Entretien m nager 7 9 4 M canique 18 5 e Chambres et poste CHSLD 4912 6 Chambre palliative 33 5 7 Cuisine et salle a manger 201 2 PDCI CSSS Baie des Chaleurs Etage 2 CHMz Matapedia 21 octobre 2011 966 as E14 966 Plans CLSC Malauze Mat ap dia exstants CLSC et Centre d h bergement Malauze de Matapedia Legende Services ambulatoires Plateau technique Services de soins de courte dur e cd et h bergement de longue dur e Id Dir
109. tablissement de sant afin d tablir les diagnostics et de dispenser lestraitements Le choix du mot plateau pour d signer cette notion est attribuable au fait que ces quipements sont souvent regroup s dans un m me espace C est donc dire que le plateau technique du CSSS comprend tous les quipements utilis s a l urgence ou dans les autres unit s de l tablissement et particulierement au sein des services suivants qui sont en support au diagnostic et au traitement de la client le bloc op ratoire du Centre hospitalier e Limagerie m dicale du Centre hospitalier et du CLSC de Pasp biac laboratoire du Centre hospitalier et du CLSC de Pasp biac Le d partement de pharmacie du Centre hospitalier Le service d inhaloth rapie et d lectrophysiologie du Centre hospitalier Les services g n raux de r adaptation e La st rilisation En mati re d immobilisation la planification des espaces qui sont allou s ces services rev t une grande importance en raison du niveau strat gique de leur emplacement par rapport la pr vention des infections au cheminement de la client le et l envergure des quipements de chacun 2 8 Les volumes de services consid rer Bien que le PDCI soit abord en deux volets distincts l valuation des besoins doit s appuyer sur une vision globale de l organisation des services qui permet de viser un niveau optimal de synergie entre ceux ci
110. tatistiques ont t comptabilis es en fonction dela distribution initiale du nombre de lits c est dire comme pourles 2 ann es pr c dentes Ces diff rents constats et statistiques ne d montrent qu une facette du volume des services en soins de courte dur e car l objectif du pr sent document n est pas de pr senter l analyse complete et complexe des besoins dans ce secteur Il importe toutefois de noter que le CSSSBC participe aux travaux en cours l chelle r gionale afin de mener terme un exercice d quit relatif au programme sant physique 2 8 3 Les services cliniques en support au diagnostic et au traitement 2 8 3 a LE BLOC OP RATOIRE Les services chirurgicaux au CSSSBC sont offerts dans les disciplines suivantes chirurgie g n rale chirurgie orthop dique ophtalmologie ORL auxquelles s ajoutent des services de scopies diagnostiques et des services de clinique de la douleur lorsque la disponibilit de la main d uvre et des plateaux techniques le permet Le taux d activit s au bloc op ratoire est en progression depuis quelques ann es et cette situation n est pas trang re auxnouvellestechniques utilis es l instar detousles services au CSSSBC l organisation des services chirurgicaux est r alis e en tenant compte d un niveau maximal d autosuffisance locale La planification des effectifs et le d veloppement de pointes d expertise font partie des moyens pour favoriser cette autosuffisance 2
111. tion L quit pour une juste appr ciation de ce qui est d chacun La pr voyance pour faire preuve de sensibilit d ouverture et d attention aux personnes aux choses et aux situations afin de mieux voir venir La reconnaissance du travail de l engagement de l expertise et du d vouement L approche humaine et personnalis e des soins et des services offerts la population 2 3 La planification strat gique 2011 2015 Le CSSS de la Baie des Chaleurs a amorc la r vision de sa planification strat gique en d but d ann e 2011 et le conseil d administration a proc d son adoption en septembre de la m me ann e Il s agit du r sultat d un travail colossal r alis depuis janvier 2011 par le biais d une vaste d marche de consultation pour am liorer et consolider les services de sant et les services sociaux offerts dans la Baie des Chaleurs La r ponse fut impressionnante et l coute attentive Elle aura permis de prendre en compte des opinions de l ensemble des personnes concern es de pr s ou de loin par le r seau local de services m decins cadres professionnels employ s partenaires du r seau local usagers etc preuve l exercice a permis l expression d une centaine d avis crits recueillis aupr s des 450 membres du personnel sond s d une dizaine de groupes de discussions et pour couronner le tout de la tenue d un forum d change Lac l paule qui a eu lieu le 12 avril et ou taient pr
112. u de la fusion du CLSC M alauze du Centre de sant le Rivage CLSC de Pasp biac et Centre d h bergement de New Carlisle et du Centre hospitalier Baie des Chaleurs H pital de Maria et R sidence St J oseph le CSSSBC a franchi de nombreuses tapes menant une structuration efficiente de son organisation Rappelons que ce r seau local de sant et de services sociauxa pour principale responsabilit de coordonner et d implanter les activit s afin que la clientele soit desservie avec continuit Le CSSS de la Baie des Chaleurs doit promouvoir la sant et le bien tre de la population de son territoire accueillir valuer et diriger les personnes et leurs proches vers les services requis prendre en charge accompagner et soutenir les personnes vuln rables En tant qu tablissement il doit offrir une gamme de services g n raux de sant et de services sociaux ainsi que certains services sp cialis s Par ailleurs afin de r pondre l ensemble des besoins de sa population le CSSSBC doit conclure des ententes de services avec d autres partenaires de son territoire cliniques m dicales groupes de m decine de famille centre jeunesse centre de r adaptation organismes communautaires etc et l ext rieur de celui ci CH de Campbellton autres tablissements pour les services sur sp cialis s etc Le territoire local desservi par le CSSSBC Gasp sie lles de la Madeleine 11 09 l 2 1
113. un support professionnel au d veloppement des comp tences notamment par l utilisation du savoir exp rientiel et des technologies de l information 4 2 3 pour l utilisation des technologies de l information int gr s dans l organisation physique des services cliniques C Assurer la formation et la disponibilit de milieux de in stage adapt s et diversifi s Locaux de formation et de rencontres 4 5 6 4 5 8 5 1 1 5 1 4 5 1 5 5 2 4 6 1 1 1 1 4 1 1 7 1 2 2 M ettre en place des projets qui visent une consommation minimale d nergie Mettre en place des syst mes de production d nergie partir de ressources renouvelables Appliquer des mesures de gestion environnementale concernant les mati res r siduelles Compl ter le recrutement selon le plan des effectifs sp cialis s et saisir les opportunit s de recrutement Assurer une utilisation optimale des comp tences du personnel par la r alisation de d marches concert es de r vision des processus de soins et de services et de r organisation du travail tablir des partenariats avec les tablissements d enseignement afin d assurer une main d ceuvre en quantit et qualit suffisante Mettre en place des projets de promotion de la pr vention en s curit en sant et au bien tre au travail Mettre en uvre des projets structures d optimisation de l utilisation des ressources g n rateurs de gains de performance D ve
114. ur Cliniques externes Sant mentale Oncologie R adaptation physique physio ergo Salon et chambre des m decins Bureaux des m decins Enseignement M decine nucl aire Urgence et courte dur e nn Services diagnostiques et SPESE 26629 36043 9414 Bloc op ratoire Imagerie m dicale Pharmacie G nie biom dical Laboratoires St rilisation Inhaloth rapie lectrophysiologie Chirurgie d un jour Unit de m decine Unit de chirurgie Unit de soins intensifs Unit de p diatrie Maternit gyn cologie obst trique Sant mentale G riatrie active et ambulatoire Centre Hospitalier de Soins longue dur e Bureaux de la fondation de l H pital Service de la sant et de la s curit Administration comptabilit accueil Bureaux et salles de r union Archives Dep t entreposage D molition de la roulotte 4 36 4 37 Coiffure et pastorale Cuisine caf t ria Vestiaires Entretien sanitaire Buanderie Atelier Utilit s W C salles de bains Boutique PF N k H N HI H HN LEE LE EL EE mme pa 12022 19985 7963 Locaux de m canique 91 Circulations au CHBC Lorsque le chiffre 0 apparait dans la colonne future c est que le local a t int gr et ou d plac dans un Le quai de chargement est inclus dans la m canique La superficie inclut les m lib r s par le d part du CHSLD l UBM 1 Superficie agrandie _ Superficie r duite
115. ur le personnel un ou des espaces d di s et organis s pour le plan des mesures d urgence la mise niveau des vestiaires des employ s de l H pital a mise niveau de l entr e principale de l H pital fauteuils roulants accessibilit universelle W C publics etc la mise niveau de la caf t ria incluant un secteur convivial et sous surveillance vid o pour les machines distributrices les espaces au magasin r ception entreposage exp dition lesespacespourlestechnologiesdel information et l informatique rangement travail pr t d quipement salle de formation Lesaires publiques la mise a niveau de l entr e principale de l H pital et de certains CLSC fauteuils roulants accessibilit universelle W C publics etc la mise niveau des aires de circulations de la signalisation la mise niveau des aires d attente Note au lecteur Il y a plusieurs carts dans les superficies donn es dans lestextes les tableaux et les dessins Ces carts sont la cons quence de diff rentes mesures Le fait d inclure ou d exclure les corridors communs et la m canique du b timent est en grande partie responsable des diff rences m 4 17 Michel Bernard ARCHITECTURE INC mu 4 4 Sommaire des espaces requis 1 1 1 2 1 4 Ka 2 1 2 2 2 3 2 4 3 1 3 2 41 42 4 3 4 4 4 5 4 1 4 8 6 1 6 3 6 4 6 5 7 1 7 2 7 4 75 URGENCE Garage
116. urs d tat de sant D mographie Baie des Chaleurs Population totale 2011 33 748 7 946 832 8 181 2 230 100 25 64 ans 18 359 4 462 913 6 938 1 253 819 et synth tique de f condit 2006 1 72 enfants 1 69 enfants Remenae _ Pourcentage des 65 ans et plus 2011 Perspectives d mographiques variation WE 158 2031 2006 Pourcentage des 65 ans et plus 2031 Socio conomie Baie des Chaleurs Qu bec Pourcentage sans DES ou dipl me d cole de m tiers 25 ans et 2006 3 33 2 22 9 Taux d emploi 2005 43 4 60 4 96 Revenu annuel moyen par m S TE habitant 2008 26 430 33 333 de vie et comportements li s ren Fumeurs 2008 Personnes souffrant d exces de poids 2008 51 5 50 5 Esp rance de vie 2005 2007 Baie des Chaleurs Sante maternelle et infantile Baie des Chaleurs Pourcentage des naissances pr matur es 2 10 Probl mes de d veloppement et d adaptation Qu bec sociale des jeunes Taux 96 de sorties du secondaire sans dipl me ni qualification l ves de la CS Ren L vesque 2008 2009 1 Taux pour 1 000 de maternit chez les jeunes filles de 15 19 ans 2004 2008 Taux pour 1 000 d enfants de 17 ans et moins pris en charge pour maltraitance ou troubles de comportement 2009 2010 Baie des Chaleurs Taux pour 100 000 de d c s par suicide 2004 2008 Maladies chroniques Baie des Chaleurs x pour
117. vements nn 2008 2009 2009 2010 2010 2011 CLSC M alauze 2 249 2 214 2 293 2 8 1 LES ACTIVIT S CLINIQUES EN SANT M ENTALE DANS LA COM M UNAUT Depuis bon nombre d ann es les services de sant mentale du CSSSBC ont t d ploy s dans la communaut sur la base d une philosophie d intervention visant adapter les services aux besoins de la client le et restreindre le recours aux ressources hospitalieres Le tableau suivant permet d appr cier le volume de services offerts dans la communaut Centre d activit s 2008 2009 2009 2010 2010 2011 Services psychosociaux g n raux AEO liaison 3 090 1 984 1 832 Psychologie Nbr d usagers 212 2 1 459 1 563 1112 Sant mentale 1 ligne Nbrinteentions 807 1027 toxicomanie 2 8 1 f LES CLINIQUES M EDICALES DE CONSULTATION EN CENTRE HOSPITALIER Les cliniques m dicales de consultations en centre hospitalier n cessitent une attention particuli re dansle cadre du PDCI Les bureaux de consultations sont r partis dans diff rents secteurs de l H pital et cette situation emp che le d veloppement d une structure d accueil et de secr tariat efficace en plus de g n rer beaucoup de circulation de la clientele La r organisation des cliniques externes permettra une meilleure coordination des services cl ricaux et infirmiers en support la pratique m dicale et permettra l optimisation des interventions de chacun des intervenants
118. ves ne fait que grossir L arriv e de nouveaux programmes et de nouvelles technologies exige leur tour des techniciens et des bureaux Le traitement le stockage et l puration de l information qu elle soit d ordre m dical administratif financier ou organisationnel imposent des exigences en termes d entreposage et d aire de travail L espace actuel ne suffit plus La complexit des syst mes augmente au m me rythme que la diversit des services m dicaux Les installations physiques pour soutenir les services manquent cruellement d espace Lesservices offerts parle CSSSreposent sur une organisation complexe Les besoins ne sont pas uniquement pour les locaux destin s aux soins Il ne suffit pas d augmenter le nombre de chambres priv es et d aires de traitement Les besoins d espace additionnel se retrouvent aussi pour l administration le stockage et la transmission de l information Touslesintervenants du milieu sont d accord pour constater que la rapidit des changements est ph nom nale Pour y faire face et suivre la cadence il est essentiel d avoir sur place des locaux destin s l enseignement la formation les communications et les rencontres La rapidit avec laquelle les interventions doivent se faire et la disponibilit demand e au personnel impliquent que ces locaux se retrouvent l int rieur des murs de l h pital La formation aux nouvelles pratiques l arriv e des jeunes travailleurs et l augmentation des responsa
119. x La construction d une aile neuve pour l urgence au rez de chauss e et au deuxi me pour la st rilisation la chirurgie d un jour et l oncologie La construction d un autre bloc au coeur de la buanderie permettra son tour de lib rer de l espace dans les installations actuelles En d garnissant des secteurs entiers tels que l urgence la st rilisation et la chirurgie d un jour il sera possible de r nover ces secteurs un co t abordable est important d entamer ce processus le plus t t possible non seulement pour corriger les probl mes identifi s et reconnus mais aussi pour permettre l organisation de s attaquer aux secteurs qui ne sont pas couverts par les travaux du PDCI Volet 1 L ensemble de la phase 1 repr sente plus de 3 750 m de nouveau plancher et 4 425 m de planchers r nov s superficies brutes La s quence des travaux implique que les agrandissements se feront en premier Le PDCI en pr sentant un survol des probl mes de l tablissement donne une image sommaire des activit s des interactions et des probl mes donne aussi la direction et les orientations suivantes R organisation des unit s d hospitalisation impliquant des mouvements de lits aux tages 1 3 et 2 4 mettre en place sans attendre L obtention d un accord de principe aupres de l agence et du Ministere pour obtenir les budgets permettant de poursuivre le travail de planification L agrandissement et la
120. xistants CLSC de Pasp biac L gende A Services ambulatoires Plateau technique e 95966 oT nm LIN Services de soins de Ei courte dur e cd et h bergement de longue dur e ld Directions et services administratifs SOS Services d h tellerie et d e support m Vacant M canique 10 chelle 25m 1 1000 Location Circulation Superficies m Accueil salle de pause w c biblio TT d p t roulotte 495 6 Pr l vement 21 3 2 Admin comptabilit 3679 11 Psycho rel humaine inf Jeun 291 4 s r union serveur mE 3 R adaptation physique 332 12 61 5 4 Urgence 4231 13 Soutien domicile 115 6 5 M canique 101 5 Entretien sanitaire 28 4 8 Cliniques ext vaccination 1850 6 Planning familial 25 0 bureau medecins 7 Syndicat 25 Archives filmo et repro 1702 Radiologie 1042 17 Circulation 528 5 9 Laboratoires 64 3 Total tage 3 024 2 PDCI CSSS Baie des Chaleurs tage 1 CLSCPb Pasp biac 21 octobre 2011 966 12 966 Plans CLSC Malauze Mat ap dia existants CLSC Malauze de Matap dia L gende PA Services ambulatoires Plateau technique Services de soins de El courte dur e cd et h bergement de longue dur e ld Directions et services administratifs A Services d h tellerie et de support 10 chelle 25m Vacant 1 1000 DOD SO 69 2 Location Circulation Superficies m Ve

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