breves novembre 2013 - Centre Hospitalier de Saint Amand Montrond
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1. HOSPITALIER Saint Amand Montrond NOVEMBRE CENTRE LES BREVES SOMMAIRE e Point sur expertise CHSCT p 1 e Point sur proc du res juridiques p 2 e IFAS dipl mes p 2 e Agenda p 3 e EOH CLIN p 3 e Pharmacie p 3 4 e Qualit p 5 6 e Le monoxyde de carbone p 7 8 e Ressources humai nes p 9 10 e Arbre de No l p 11 e Repas de retrait p 12 Journal impri m sur papier recycl En mars de cette ann e les composantes CGT et FO du CHSCT ont d cid d une expertise CHSCT portant sur les risques psychosociaux sur l ensemble de l ta blissement Dans un 1 temps le p rim tre a t r duit 5 services pour environ 157 000 Puis le p rim tre a t encore r duit 3 services Compte tenu du co t r siduel moins il y a de services plus la soci t retenue par le CHSCT exige un co t lev par service sans que notre CHSCT n y trouve rien redire la d cision du CHSCT a t contest e devant le Tribunal de grande instance TGI de Bourges La contestation d une expertise CHSCT est complexe et difficile mener bien compte tenu que la loi donne le droit aux CHSCT de d cider unilat ralement d une expertise Ceci tant le TGI de Bourges a fait bon droit la contestation de la position du CHSCT en cartant l un des services la blanchisserie et en requalifiant l exper tise sur un autre service l EHPAD du Champ NADOT comme relevant d2. chaudi res et chauffe eau po les et cuisini res chemin es et inserts y compris les chemin es d corati ves l thanol appareils de chauffage combustion fixes ou mobiles d appoint groupes lectrog nes ou pompes thermiques engins moteur thermique voitures et certains appareils de bricolage notamment braseros et barbecues panneaux radiants gaz convecteurs fonctionnant avec des combustibles La grande majorit des intoxications a lieu au domicile Quels sont les dangers Le monoxyde de carbone est tr s difficile d tecter car il est inodore invisible et non irri tant Apr s avoir t respir il prend la place de l oxyg ne dans le sang et provoque donc maux de t te naus es fatigue malaises ou encore paralysie musculaire Son action peut tre rapide dans les cas les plus graves il peut entra ner en quelques minutes le coma voire le d c s Les personnes intoxiqu es gardent parfois des s quelles vie Les intoxications au monoxyde de carbone concernent tout le monde Les bons gestes de pr vention aussi Avant l hiver faites syst matiquement intervenir un professionnel qualit pour contr ler vos installations Faites v rifier et entretenir chaudi res chauffe eau chauffe bains inserts et po les Faites v rifier et entretenir vos conduits de fum e par ramonage m canique Veillez toute l ann e une bonne ventilatio
3. un pro jet important ce qui n est pas contest Il reste donc seulement la M decine A pour laquelle la Direction tait favorable au principe d un audit ext rieur au regard notamment d une rotation lev e des cadres de sant au sein de ce service Depuis lors il semble que les choses aient volu favorablement en M decine A et c est une bonne chose pour tout le monde Il convient maintenant d appliquer la lettre le jugement du TGI de Bourges ce qui pose l vidence de gros probl mes aux composantes CGT et FO du CHSCT La suite appelle une grande vigilance Le co t reste exorbitant au regard du p rim tre seulement 2 services On peut galement tre d ores et d j inquiet sur la qualit de la mission en ce que les deux experts ont refus de conduire plusieurs entretiens 2 personnes sur la base du volontariat Lionel VIDAL Directeur POINT SUR LES PROCEDURES JURIDIQUES EN COURS Les syndicats CGT et FO du Centre hospitalier s meuvent des proc dures juridiques en cours En r alit en dehors de l expertise CHSCT les proc dures juridiques en cours sont de 2 ordres En premier un agent du Centre hospitalier conteste syst matiquement les sanctions ou d cisions qui lui sont appliqu es au regard de sa fa on de servir Il obtient d ailleurs des r sultats dans cette contestation devant la juridiction administrative Est ce alors une raison pour ne pas sanc tionner des comportements vol
4. acquisition ou l approfondissement des connaissances et des comp tences Il vise am liorer les pratiques professionnelles par le moyen d actions d valua tion des pratiques et de formation Tous les professionnels de sant m dicaux et param dicaux qu ils soient lib raux ou employ s dans des tablissements de sant sont concern s par le DPC e Les professionnels de sant m dicaux m decins chirurgiens dentistes sages femmes e Les professionnels de pharmacie pharmaciens e Les professionnels param dicaux selon le code de la sant publique concern s au Centre Hospitalier de St Amand Montrond Fili re infirmi re et aides soignants IDE et infirmiers sp cialis s IADE aide soignant et auxiliaire pu riculture Fili re r ducation masseur kin sith rapeute ergoth rapeute orthophoniste orthoptiste di t ticien Fili re m dico technique manipulateur en lectroradiologie pr parateur en pharma cie Chaque ann e les professionnels de sant doivent participer un programme annuel ou plurian nuel de DPC une attestation justifiant de la participation ce programme est remise au profes sionnel Un programme de DPC doit r pondre aux 3 crit res gt Etre conforme une orientation nationale ou r gionale de DPC d finie par le Minist re de la Sant ou l Agence R gionale de Sant gt Comporter des m thodes et des modalit s valid es par la Haute Autorit de Sant HAS f
5. peuvent tre le signe de la pr sence de monoxyde de carbone dans votre logement A rez imm diatement les locaux Arr tez si possible les appareils de combustion Evacuez au plus vite les locaux et b timents Appelez les secours 112 Num ro unique d urgence europ en 18 Sapeurs Pompiers 15 Samu RESSOURCES HUMAINES MOUVEMENT DU PERSONNEL Entr es ABARCA USEROS Raquel Ergoth rapeute service R ducation METENIER B n dicte AS CCM3 SZUMSKA Malwina Masseur Kin service R ducation VACHER Laurent IADE SMUR BERROYER Romain Interne M decine G JOLIVARD Marie Interne Urgences ROUSSELOT C line Interne M decine A Sorties AUCHAT Nelly IDE M decine G CARDINAL C cile IDE M decine A COGNY Julie IDE SSR G Dr PENNETIER Philippe Praticien CCM RESULTAT CONCOURS Apr s r union des jurys le 13 novembre 2013 les candidats ci dessous ont t d clar s admis Concours sur titre d Ouvrier Professionnel Qualifi Monsieur COCHAIN Nicolas liste principale Monsieur MESLET Alexandre liste compl mentaire Concours sur titre de Conducteur Ambulancier 2 me cat gorie Madame LAMIRAULT Katia Concours sur titre d Ing nieur Hospitalier Madame DHORBAIT Constance Concours sur titre de Pr parateur en Pharmacie Hospitali re Apr s r union du jury le 14 novembre 2013 a t d clar e admise Madame MOINDRAULT C cile R sultats des commissi
6. e de Formation n 4 Commission du M dicaments et des Dispositifs M dicaux Jeudi 19 d cembre 2013 14h30 Salle du Conseil de Surveillance R f rent Qualit EOH CLIN Dates retenir 3 d cembre 2013 14h30 15h30 formation Pr cautions d hygi ne compl mentaires A16 d cembre 2013 14 h 30 R union des correspondants en hygi ne param dicaux Hygi ne Circuit du m dicament dispositifs m dicaux Peggy DESPRES Mise en uvre d un traitement par insuline disponible sous forme stylo uniquement Quelle est la 1 op ration effectuer par l IDE Coller l tiquette patient PHARMACIE Pourquoi Stylo forme d administration patient unique Le stylo peut tre remis au patient sa sortie Public concern infirmiers sages femmes IADE manipulateurs en radiologie 108 questionnaires envoy s 51 r ponses Taux de participation 47 Pourcentage de satisfaits 59 tous services et tous crit res confondus Les r sultats complets seront fournis aux cadres des unit s notation de 1 6 ne O crit re note globale pote mini note man aa a ala EE e transparence du cath ter cath ter DNS NET sr R sultats par service Cs Nb r ponses pdt satisfaisant 1 5010 3 6015 10014 10013 10013 7513 100 1 5014 nv RE essai NE Conso 9M 2013 4 270 4 645 1 790 in Here lis e 20 22 20 24 18 20 20 18 20 20 24 24 22 Conclusion les r sultats div
7. epr sentation k ES G Y gt Sandrine et ses colombes gt Moustache et cacahu te chats dress s gt Arthur le Kangourou gt Nolwen la ch vre acrobate gt Compagnie des chiens com diens 5 A gt Rocco le serpent rigolo gt Rocky le l murien maki catta singe gt Clown musical au final gt Jeux et tours de magie entre les num ros REPAS DES RETRAITES Le 15 novembre 2013 146 convives se sont r unis autour des tables de la Salle Aurore pour savourer un d jeuner concoct par nos cuisiniers en l honneur des retrait s hospitaliers Un grand merci tous pour l organisation et la pr paration de ce repas ainsi que pour le service 12
8. ergent selon les services 59 de satisfaits en moyenne avec des extr mes de 17 100 selon les services dans 2 services le taux de satisfaction est inf rieur ou gal 25 10 des agents non satisfaits souhaitent une nouvelle formation avec le m me produit 47 des agents non satisfaits souhaitent un essai avec un autre produit Deux services sont retenus pour un essai chez un autre fournisseur qui d bute le 15 11 2013 La pharmacie communiquera les r sultats des essais qui seront comment s en vue d une d ci sion la r union annuelle sur les dispositifs m dicaux qui aura lieu le 10 12 2013 Danielle GUENOT QUALITE RISQUES PROFESSIONNELS t l phone portable et ondes lectromagn tiques Bien que le t l phone mobile soit aujourd hui bien ancr dans nos habitudes quotidien nes il suscite tout de m me des interrogations les ondes mises pr sentent elles un risque pour la sant En t l phonant avec une oreillette filaire ou Bluetooth sans fil on loigne le t l phone de sa t te c est un moyen efficace de r duire son exposition aux ondes En utilisant des SMS pour communiquer on r duit l mission d ondes de son t l phone En effet pour envoyer un SMS le t l phone se connecte l antenne relais la plus pro che uniquement le temps d envoyer le message Pendant une conversation le t l phone se connecte l antenne relais la plus proche et renouvelle r guli
9. mand Montrond Madame TEYSSANDIER et Monsieur PURET se sont associ s la joie des r cipiendaires et de leurs familles Madame Jo lle MATHIEU a insist sur l attachement de la R gion CENTRE la qualit des soins elle a ajout que tous devaient tre fiers de leur parcours et du m tier qu ils allaient exercer Sur une promotion de 45 l ves seul l un d entre eux a suspendu sa formation Les 44 nouveaux dipl m s ont tous obtenu un poste Cette r ussite est mettre en lien avec la qualit de l encadrement des tuteurs et des quipes soignantes dont les l ves b n ficient sur le bassin Saint Amandois Nous leur souhaitons une heureuse carri re et de rester fid les aux valeurs du prendre soin Annie FAUVILLE AGENDA Mercredi 4 d cembre 2013 14H30 Salle du Conseil de Surveillance Comit de Coordination des Risques et des Vigilances Mercredi 10 d cembre 2013 14H00 Salle de Formation n 4 R union Dispositifs M dicaux Mercredi 11 d cembre 2013 14h00 Salle de Formation n 4 R union Comit de Lutte contre les Infections Nosocomiales Mardi 17 d cembre 2013 12h00 Salle du Conseil de Surveillance Commission M dicale d Etablissement Mardi 17 d cembre 2013 14h00 Salle de Formation n 3 R union des cadres Mardi 17 d cembre 2013 16h00 Salle du Conseil de Surveillance Comit Technique d Etablissement Jeudi 19 d cembre 2013 12h00 Sall
10. n de votre logement tout particuli rement pen dant la p riode de chauffage A rez votre logement tous les jours pendant au moins 10 minutes m me quand il fait froid N obstruer jamais les entr es et sorties d air grilles d a ration dans cuisines salles d eau et chaufferies principalement Veillez une utilisation appropri e des appareils combustion Ne faites jamais fonctionner les chauffages d appoint en continu ils sont con us pour une utili sation br ve et par intermittence uniquement Respectez scrupuleusement les consignes d utilisation des appareils combustion se r f rer au mode d emploi du fabriquant en particulier les utilisations proscrites en lieux ferm s barbecues ponceuses N utilisez jamais pour vous chauffer des appareils non destin s cet usage cuisini re brasero etc Si vous devez installer de nouveaux appareils combustion groupes lectrog nes et appa reils gaz notamment Ne placez jamais les groupes lectrog nes dans un lieu ferm maison cave garage ils doivent imp rativement tre install s l ext rieur des b timents Assurez vous de la bonne installation et du bon fonctionnement de tout nouvel appareil avant sa mise en service et pour les appareils gaz exigez un certificat de conformit aupr s de votre installateur Que faire si on soup onne une intoxication Maux de t te naus es malaise et vomissement
11. nir la conversation chaque recherche d antenne relais le lt t l phone met pleine puissance le niveau d mission d ondes est donc r guli rement plus lev Il est donc recommand d viter de t l phoner en train par exemple T l phoner en conduisant est par ailleurs interdit et passible d amende Vous pouvez galement vous renseigner sur le niveau d exposition aux ondes de votre t l phone mobile il s agit du DAS dont l affichage est obligatoire dans les points de vente depuis avril 2011 Le DAS d bit d absorption sp cifique des t l phones mobiles quantifie le niveau d exposition maxi mal de l utilisateur aux ondes lectromagn tiques pour une utilisation l oreille La r glementation fran aise impose que le DAS ne d passe pas 2 W kg A savoir les dispositifs pr sent s comme anti ondes n ont pas fait la preuve de leur efficacit Pour plus de renseignements consulter le site www lesondesmobiles fr Virginie FROIDEFOND CERTIFICATION V2014 La certification est un dispositif volutif qui s adapte aux besoins de l environnement et des tablisse ments de sant La version actuelle dite V2010 sera remplac e l an prochain par la version 2014 ou V2014 Les volutions de la proc dure de certification portent sur la mise en place du compte qualit la visite le processus d cisionnel et le rapport Elles s appuient sur une approche structur e par th me plus globale et plus manag
12. ons administratives paritaires locales du lundi 25 novembre 2013 Ces commissions ont examin gt 523 notations gt 9 titularisations au titre du second semestre 2013 1 infirmier en soins g n raux et sp cialis s Anesth siste 6 infirmiers en soins g n raux 1 grade 2 aides soignants gt 1 avancement de grade avec effet du 1 janvier 2014 1 manipulateur en lectroradiolo gie m dicale classe normale vers la classe sup rieure Les avancements de grades des agents sont li s la publication des taux de promotion par le minist re L arr t fixant les taux 2014 des ratios applicables aux corps de la fili re ouvri re et technique de la fili re soins et de la fili re administrative n tant pas paru seuls les avance ments de grades des corps de la fili re de r ducation et de la fili re m dico technique ont t tudi s lors de ces CAPL gt 8 avancements d chelons suite la cr ation d un huiti me chelon dans les grades dot s de l chelle 6 compter du 07 07 2013 Les modifications relatives aux d cisions prises lors de ces commissions sont effectives pour les agents concern s sur les salaires du mois de D cembre 2013 et Janvier 2014 D veloppement Professionnel Continu DPC Instaur par la Loi HPST le D veloppement professionnel continu DPC est d sormais une obli gation qui s inscrit dans une d marche permanente Le DPC associe l analyse des prati ques professionnelles l
13. ontaires se traduisant par un risque pour le patient La r ponse est vidente La gestion des risques associ s aux soins est incontournable le patient doit tre au c ur de nos pr occupations par del les contingences administratives En second le Centre hospitalier s oppose depuis plusieurs ann es la soci t lib rale de radiolo gie de Saint Amand Montrond en ce que les modalit s conventionnelles de 2004 se sont tradui tes par un pr judice de l ordre de 1 3 million d euros au d triment du Centre hospitalier Il est pr cis qu une enqu te de l ARS a confirm en grande partie l valuation du pr judice subi par notre Centre hospitalier Serait t il alors satisfaisant de ne rien faire pour d fendre les int r ts du service public Bien videmment que non du moins pour ceux qui sont r ellement attach s d fendre l H pital public Les sections CGT et FO sont parfaitement inform es du contentieux et de l ampleur du pr judice subi par le Centre hospitalier Elles restent trangement muettes sur cette question Lionel VIDAL Directeur IFAS dipl mes d aides soignants Le 18 octobre dernier l quipe p da gogique de l IFAS a eu le plaisir de remettre leurs dipl mes aux aides soignants de la promotion 2012 2013 en pr sence d une centaine de per sonnes venues f ter leur succ s Pour l v nement Madame Jo lle MATHIEU Conseill re r gionale et deux membres du Conseil de la Mairie de Saint A
14. ormations pr sentielles revue de mortalit et de morbidit RMM analyse priori des risques staff des quipes m dico soignantes r unions de concertation pluridisciplinaires chemin clinique etc Il appara t que les actions de formation concernent une des nombreuses m thodes valid es par l HAS L tablissement devra donc recenser toutes les m thodes existantes pour pouvoir les prendre en compte au titre du DPC gt Etre mis en uvre par un organisme enregistr par l Organisme gestionnaire du DPC OGDPC et valu favorablement par une commission scientifique Vous trouverez en pi ce jointe une documentation de l ANFH concernant le DPC pour les param dicaux A ce jour le Centre Hospitalier a d pos un dossier d agr ment afin de pouvoir dispenser des formations valid es DPC et permettre aux professionnels de sant param dicaux de remplir l obligation de formation annuelle Toutefois ce jour et comme pour les autres centres hospitaliers ou autres organismes de formation ayant d pos une demande d agr ment aucun retour n a t fait conduisant se poser des questions sur la r alit de l application de cette obligation d s 2014 Florian MELLOT 10 eA R ND ARBRE DE NOEL Ga A Le y AT Cette ann e le spectacle de l arbre de No l aura lieu le MERCREDI 18 DECEMBRE 2013 14h00 la Salle des F tes de Saint Amand Montrond C est le CIRQUE JOHNNY CIRCUS gt qui donnera une r
15. rement la connexion surtout en d placement Le niveau d mission d ondes est donc plus important Par ailleurs lorsqu on envoie un SMS le portable est loign de la t te Pour limiter l exposition aux ondes vous pouvez prendre l habitude de ne pas approcher le t l phone de votre oreille dans les secondes qui suivent la num rotation En effet c est lors de ces premi res secondes que l mission d ondes est la plus forte pour rechercher l antenne relais la plus proche Le niveau d mission d ondes se stabilise ensuite Si vous portez un implant lectronique pacemaker pompe insuline neurostimulateur loignez votre t l phone portable de la zone quip e Il peut perturber le fonctionnement de votre appareil m dical Moins la couverture du r seau est bonne plus votre t l phone met d ondes pour mainte nir la conversation Il est donc recommand de ne pas t l phoner dans les zones o la r ception n est pas bonne v rifier le nombre de barrettes sur votre t l phone il indique la qualit de couver ture du r seau Il est par ailleurs g n ralement interdit de t l phoner dans les h pitaux et les avions en raison de la pr sence d appareils fonctionnant par ondes radio Votre t l phone peut cr er des interf rences et perturber le fonctionnement des appareils lectroniques En d placement grande vitesse le t l phone doit se connecter successivement diff ren tes antennes relais pour mainte
16. riale des actions de l tablissement qu appr henderont les audits de processus m thode d valuation de la r alit de l activit des tablissements de sant En V2014 le manuelsne change pas mais une liste de 20 th mes regroupant l ensemble des crit res d manuel a t retenue 1 Management strat gique gouvernance 2 Management de la qualit et des risques 3 Gestion du risque infectieux 4 Prise en charge des urgences et des soins non programm s 5 Identification du patient toutes les tapes de sa prise en charge 6 x Parcours du patient 7 Droits des patients 8 Prise en charge de la douleur 9 Dossier patient 10 Management de la prise en charge m dicamenteuse du patient 11 Imagerie biologie 12 Management de la prise en charge du patient au bloc op ratoire 13 Management de la prise en charge du patient dans les secteurs risque 14 Prise en charge et droits des patients en fin de vie 15 Don d organes et de tissus vis e th rapeutique 16 Gestion des ressources humaines 17 Sant s curit et qualit de vie au travail 18 Gestion des ressources financi res 19 Gestion du syst me d information 20 Processus logistiques Enjeux de la V2014 gt Promotion des d marches bas es sur des projets visant le changement culturel progressif bien traitance des patients et qualit de vie au travail Ces projets pourront tre valoris s en tant que pratiques remarquables gt Mise en place de levier
17. s permettant d int resser et d impliquer les quipes et les professionnels et de susciter des d marches pour am liorer la qualit et la s curit des soins approche quipe approche parcours du patient et solutions pour la s curit mise en place de barri res gt Consolidation des acquis sur les pratiques exigibles prioritaires PEP avec la mise en uvre de nouvelles m thodes de visite audit de processus patient traceur La V2014 conduit trois ajustements le th me management de la qualit et des risques devientun ne PEP dans son ensem ble et inclut les exigences relatives l valuation des pratiques professionnelles le crit re 26 b qui value l organisation de secteurs d activit risque majeur voit son champ s tendre aux salles de naissance et la radiologie interventionnelle la PEP sur Continuit et coordination des soins limit e l hospitalisation domi cile HAD et la sant mentale en V2010 s tend l ensemble des prises en charge Virginie FROIDEFOND Le monoxyde de carbone est un gaz toxique qui touche chaque ann e plus d un millier de foyers causant une centaine de d c s Il provient essentiellement du mauvais fonctionnement d un appareil ou d un moteur combustion c est dire fonctionnant au bois au charbon au gaz l essence au fioul ou encore l thanol Quels appareils et quelles installations sont surtout concern s
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