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Commentaire des ordonnances 3 et 4 relatives à la loi sur

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1. Art 14 Chapitre 2 Exigences particuli res en mati re d hygi ne Section 1 B timents et locaux Art 14 Sols Appr cia Volume Appr cia Zones de travail pr sentant un danger de glissade tion selon alv olaire tion selon DIN 51130 an bpa EMPA 4 Fabrication d articles de boulangerie boulangeries confiseries fabriques d articles de longue conservation 4 1 Pr paration des p tes R 11 GS 2 4 2 Locaux avec pr pond rance de masses grasses ou liquides R 12 GS 3 4 3 Locaux de lavage R 12 V4 GS 3 5 Abattage pr paration et conditionnement de viandes 5 1 Abattoirs R 13 V10 GS 4 5 2 Triperie boyauderie R 13 V10 GS 4 5 3 D bitage d sossage R 13 v8 GS 4 5 4 Laboratoire de charcuterie R13 V8 GS 4 5 5 Laboratoire de saucisses cuire R 13 V8 GS 4 5 6 Laboratoire de saucisses crues R 13 V6 GS 4 5 7 S choirs saucisses R 12 GS 3 5 8 Fumoirs R 13 GS 4 5 9 Saloirs R 13 GS 4 5 10 Conditionnement de viandes de volaille R 13 V6 GS 4 5 11 Entreposage de visc res R 12 GS 3 5 12 D partement de charcuterie et d emballage R 12 GS 3 6 Pr paration et conditionnement de poisson service traiteur 6 1 Pr paration et conditionnement de poisson R 13 V10 GS 4 6 2 Service traiteur R13 V6 GS 4 6 3 Fabrication de mayonnaise R 13 V4 GS 4 7 Pr paration et conditionnment de l gumes 7 1 Fabrication de choucroute R 13 V6 GS 4 7 2 Mise en conserve de l gumes R 13 V6 GS 4 7
2. Pour des raisons de protection de la sant art 15 et 24 5 al OLT 3 la surface des vitrages transparents doit tre aussi grande que possible mais repr sentera au moins 1 16 de la surface du sol d terminante Le contre coeur aura la hauteur habituelle Illustration 408 8 Constructions int rieures ER Art 8 ad 1 Lorsque des subdivisions s av rent indispensables pour les raisons indiqu es ci devant ventilation salles blanches bruit etc et que les parois de s paration sont suffisamment vitr es il n y a pas lieu de cr er des corridors pour les voies d vacuation Ce n est pas n cessaire non plus notamment lors que tout le local ne constitue qu un seul comparti ment coupe feu ill 408 8 En revanche lorsqu il est n cessaire de s parer du grand local certains am nagements pour des rai sons de police du feu c est dire lorsqu il y a lieu de cr er de nouveaux compartiments coupe feu des corridors doivent tre am nag s sauf si une liaison visuelle ayant la r sistance au feu exig e est tablie au moins au travers des portes ad 2 Par locaux s par s pour installations tech niques il faut comprendre des locaux pour com presseurs pour installations de production de froid pour installations de ventilation pour ins tallations sanitaires ou lectriques pour machine rie d ascenseurs pour archives et petits locaux d
3. Tableau 323 1 Effets psychologiques des couleurs Directive CE 90 270 Le travail l cran de visu alisation D pliant SECO Ergonomie au poste de travail 3 6 Appr ciation des postes de travail Les exigences ergonomiques pour l am nagement des postes de travail l cran doivent galement tenir compte de la dur e et du genre de travail l cran Le tableau 323 2 pr sente une classifica tion en la mati re 3 7 Dur e de l occupation l cran de visualisation et r glementation des pauses La capacit de rendement des travailleurs varie au courant de la journ e Un changement d activit ou de rythme de travail est un besoin humain Vu la diversit des activit s il n est pourtant pas possi ble de d finir du seul fait de la pr sence d un cran de visualisation une r glementation du temps de travail l cran et un r gime des pauses Un travail l cran permanent sera organis de telle fa on qu il soit interrompu r guli rement par SECO ao t 2006 323 7 Commentaire de l ordonnance 3 relative la loi sur le travail Art 23 a Chapitre 2 Exigences particuli res en mati re d hygi ne Section 3 Postes de travail Art 23 Exigences g n rales Activit Poste de travail Activit s typiques Pas Utilisation Description et groupes Caract ristique Exigences d utilisateurs des activit s Occasionnelle ment temps li
4. 440 2 Article 41 Approbation des plans Commentaire de l ordonnance 4 relative la loi sur le travail Chapitre 4 Approbation des plans et autorisation d exploiter Section 1 Proc dure d approbation des plans Art 41 Approbation des plans dans la proc dure f d rale coordonn e Art 41 dans la proc dure f d rale coordonn e et de l administration LOGA tement des eaux us es ou constructions et installations gt 1 La comp tence de d cider de la n cessit d une approbation des plans conform ment aux art 7 et 8 de la loi revient l office f d ral en tant qu autorit concern e au sens de la proc dure f d rale coordonn e selon les art 62a 62c de la loi du 21 mars 1997 sur l organisation du gouvernement 2 L autorit unique consulte l office f d ral dans chaque proc dure ordinaire d approbation des plans selon l art 62a LOGA de plus elle le fait collaborer si a des constructions ou installations selon les art 7 ou 8 de la loi sont construites ou transform es dans le cadre de la proc dure f d rale coordonn e b la construction ou la transformation d ouvrages et d installations soumis la proc dure d appro bation des plans et d autorisation d exploiter implique pendant la phase de construction la cr ation d ateliers ou d installations telles centrales b ton installations de transport ou de trai c apr s la fin de la proc dure f
5. Commentaire de l ordonnance 4 relative la loi sur le travail Chapitre 3 Entreprises industrielles Section 2 Proc dure d assujettissement Art 33 D cision d assujettissement Art 33 Article 33 D cision d assujettissement 1 abrog 2 La d cision d assujettissement reste en vigueur aussi longtemps qu elle n a pas t abrog e Lors qu une entreprise industrielle est transf r e un autre employeur l assujettissement subsiste et la d cision doit tre modifi e en cons quence Alin a 2 Une d cision d assujettissement reste en vi gueur pour l entreprise concern e aussi long temps qu elle n a pas t l galement abrog e C est pourquoi il n est pas n cessaire de prendre une nouvelle d cision d assujettissement lors du transfert d une entreprise industrielle un nouvel employeur il suffit de reporter la d cision d as sujettissement existante au nouvel employeur par une d cision de modification En cas de scission d une entreprise l assujettisse ment reste en vigueur pour une des parties res tant industrielles en principe pour l employeur qui c de des parties Il y a lieu de v rifier si les autres parties ont galement un caract re indus triel et proc der le cas ch ant leur assujettis sement En cas de fusion d entreprises industrielles l assu jettissement de l une d entre elles est adapt tan dis que le ou les autres sont formellement abrog s Si une par
6. Commentaire de l ordonnance 4 relative la loi sur le travail Chapitre 2 Construction et am nagement des entreprises soumises la proc dure d approbation des plans Section 3 Passages Art 15 Installations de transport Article 15 Installations de transport A l int rieur de l entreprise le transport de mati res ou d objets dangereux s effectuera gr ce des installations et des conteneurs ad quats L article 15 mentionne sp cifiquement le transport de mati res ou d objets dangereux Pour ce qui est des transports en g n ral et notamment de la n cessit d utiliser des moyens m caniques il y a lieu de se r f rer l article 25 OLT 3 On prendra toutes les pr cautions n cessaires pour que les objets et mati res transport s ne puissent ni tomber ni basculer que ce soit du v hi cule transporteur ou de l installation de transport La solidit et l tat des cordes cha nes et lingues de m me que leur mode de fixation sont impor tants Les installations et engins de transport doivent per mettre une exploitation s re Ils devront en parti culier tre en tous points conformes aux normes en vigueur et correspondre l tat de la techni que Etant donn leur grande diversit fournir des pr cisions sur chaque type d passerait le cadre du pr sent commentaire y a lieu de se r f rer aux donn es existantes ordonnances r gles CFST normes SIA etc Dans tous les
7. Illustration 315 A Relations entre les quatre unit s d finissant la lumi re SECO novembre 2009 315 A Annexe de V l art 15 3 Couleur de la lumi re et rendu des couleurs Les couleurs de lumi re utilis es pour les clairages courants sont class es dans 3 groupes Temp rature Groupe Couleur de couleur K Kelvin r chaude blanc chaud lt 3300 ww moyenne blanc neutre 2 nw 3300 5300 froide lumi re blanche 3 du jour tw EL Tableau 315 A Couleur de la lumi re utilis e pour les clai rages courants Les propri t s du rendu des couleurs sont d cri tes par l indice g n ral du rendu des couleurs Ra Il s agit ici d une valeur moyenne d alt ration de 8 couleurs de r f rence par rapport une lumi re de r f rence On donne la valeur 100 la lumi re de r f rence Pour des contr les de couleur l indice Ra devrait tre sup rieur 90 et l clairement E sup rieur 1000 lx 4 Eclairages de secours l clairage de s curit des chemins de fuite et issues de secours est la partie de l clairage de se cours qui sert les clairer pendant un temps d ter min avec un clairement minimal pour permettre d vacuer sans danger les locaux et les installations de travail Valeurs seuil e L clairement horizontal au niveau du sol sur la ligne m diane des voies d vacuation mesu rant jusqu 2 m de largeur doit atteindr
8. Am nagement de l immeuble Avant toits porte faux stores vitres en mat riau absorbant ou r fl chissant peuvent prot ger de mani re significative contre le rayonnement so laire Refroidissement de l air Une ventilation naturelle ou m canique ventila teurs rideau d air refroidit l air gr ce un renou vellement d air plus fr quent ou une vitesse de circulation de l air plus lev e Dans les espaces confin s par ex cabine de conduite ou de grue l air entrant devrait tre refroidi voir aussi les art 16 et 17 OLT 3 R duction du rayonnement calorifique Le rayonnement calorifique devrait tre minimis par ex par e l automatisation des proc d s de fabrication e le confinement des sources de chaleur par iso lation e s il y a lieu de maintenir la visibilit directe la pose de verres de protection treillis rideaux de cha nes e la pose de cloisonnements r fl chissants para sols e la r duction des surfaces rayonnantes Il Mesures organisationnelles R duction de la charge de travail R duire le travail musculaire musculature des bras des jambes et du tronc au strict n cessaire Temps de repos Pr f rer de nombreuses pauses courtes plus effi caces dans un environnement chaud que quelques longues pauses Fournir la possibilit de se reposer dans un local la temp rature mod r e pauses de rafra chisse ment Les temps de r cup ration doivent
9. Illustration 323 3 Zone de pr hension exigences minimales 2 2 Force et mouvements corporels e Les forces d ployer doivent tre adapt es la constitution des travailleurs et les groupes mus culaires mis contribution suffisamment forts pour les travaux effectuer Pour r duire la char ge corporelle on utilisera des moyens auxiliaires techniques adapt s aux postes de travail e Les mouvements corporels n cessaires doivent tre harmonis s entre eux et on vitera de devoir effectuer des travaux de grande pr cision requ rant un grand d ploiement de force En cas de besoin on utilisera des moyens auxiliaires tech niques Illustration 323 4 Force corporelle dynamique et statique 2 3 Signaux cadrans d affichage dispositifs de commande e Le genre et le nombre de signaux et cadrans d affichage doivent tre adapt s au caract re des informations et aux principes de la percep tion humaine en outre ils permettront une vue d ensemble rapide et sans quivoque La percep tion doit tre claire particuli rement pour les si gnaux d alarme e Pour des activit s de surveillance et d observa tion de longue dur e la disposition des appa reils de signalisation et de lecture sur les tableaux de commande sera telle que le surmenage et la sous occupation seront vit s e Les dispositifs de commande organes de com mande interrupteurs leviers etc doivent tre con us et dispos s de telle
10. PSI plans la CNA K 1 l autorit comp tente statue sur la demande d approbation des plans 2Si la demande est accept e l autorit comp tente notifie sa d cision au requ rant avec un exem plaire des plans approuv s et de l tat descriptif Le second exemplaire de chacune de ces pi ces doit tre conserv par l autorit comp tente pendant au moins dix ans 3 l autorit cantonale et les instances f d rales transmettent un double de leurs approbations des L alin a 1 pr voit que l autorit comp tente octroie ou refuse l approbation des plans C est normale ment l autorit cantonale qui d tient cette comp tence Si l autorit cantonale envisage d octroyer une autorisation de d roger aux prescriptions en vertu de l art 39 OLT 3 ou de l art 27 OLT 4 elle doit au pr alable requ rir une prise de position du SECO S agissant de l octroi d approbations de plans pour des entreprises de la Conf d ration non soumi ses la proc dure f d rale coordonn e est com p tente l Inspection f d rale du travail de la zone concern e Pour les approbations de plans dans le cadre de la proc dure f d rale coordonn e on se r f rera aux explications donn es pour l article 41 OLT 4 L approbation des plans est une d cision La d ci sion est un acte administratif fond sur le droit pu blic et r glant une situation concr te soumise au droit administratif en statuant sur des droits e
11. de simples instructions formelles Il s agit d un devoir de direction Un cadre qui assiste sans r ac tion des comportements inad quats en mati re de protection de la sant dans son domaine de res ponsabilit ou qui ne respecte pas lui m me dans son travail les r gles de la protection de la sant ne remplit pas ses devoirs de cadre La connaissance des dangers existants et de leurs effets possibles la prise de conscience par les tra vailleurs de leur responsabilit personnelle un exemple cons quent et des exigences claires des sup rieurs le fait que les erreurs de comportement ne sont pas tol r es mais syst matiquement r pri m es en forment les conditions les plus importan tes Le sup rieur se doit de cr er dans son quipe une prise de conscience instinctive et partag e par tous pour les questions de protection de la sant Ces principes valent tant pour les dangers physi ques que psychiques I est conseill d indiquer de mani re explicite dans un r glement d entreprise ces dispositions et la position du management cet gard Alin a 2 L employeur ne doit pas se contenter de dispen ser une instruction f t elle compl te ses travail leurs Il doit faire appliquer les mesures de protec tion de la sant d finies Les travailleurs pour leur part ont l obligation de respecter ces mesures voir aussi l article 10 OLT 3 S ils ne remplissent pas leurs obligations ce sujet l employe
12. rendre conforme aux exigences l gales Syst me admissible Syst me ill gal Illustration 326 3 V rification de la l gitimit d une instal lation de surveillance 326 6 Commentaire de l ordonnance 3 relative la loi sur le travail Chapitre 2 Exigences particuli res en mati re d hygi ne Section 6 Equipements individuels de protection et v tements de travail Art 27 Equipements individuels de protection Art 27 A ce ES Article 27 Equipements individuels de protection Pa ment exig des travailleurs 1Si des mesures d ordre technique ou organisationnel ne permettent pas ou que partiellement d viter toute atteinte la sant l employeur doit mettre la disposition des travailleurs des qui pements individuels de protection qui doivent tre efficaces et dont le port peut tre raisonnable 2 Les quipements individuels de protection sont en principe destin s un usage personnel Si les circonstances exigent l utilisation d un quipement individuel de protection par plusieurs personnes l employeur doit prendre les mesures n cessaires afin d assurer le maintien de l hygi ne 3Lorsque plusieurs quipements individuels de protection sont n cessaires simultan ment l em ployeur veillera ce qu ils soient compatibles et que leur efficacit ne soit pas compromise Il faut distinguer les quipements individuels de protection qui permette
13. e la manipulation de virus bact ries et autres mi cro organismes qui peuvent s ils sont lib r s causer des maladies graves groupe de risques 3 et 4 de l ordonnance du 25 ao t 1999 sur la pro tection des travailleurs contre les risques li s aux microorganismes OPTM RS 832 321 le traitement ou la manipulation de mati res ra dioactives non scell es la fabrication le traitement ou la manipulation de substances tr s toxiques et en particulier de gaz qui m me en tr s petite quantit peuvent tre mortels ou entra ner des dommages la san t permanents le traitement de d chets sp ciaux qui soit en rai son de la composition des d chets soit en rai son des proc d s de traitement n cessaires re c le des dangers particuliers pour la sant des tra vailleurs p ex d chets contenant de la dioxine d chets chimiques ou autres non d finis d chets de chantier Le traitement des d chets sp ciaux implique certes la manipulation des m mes substances que celles que l on utilise dans les entreprises chimiques ou sur les chantiers Le danger est toutefois beaucoup plus grand que dans ces derniers cas car les risques sont plus difficilement contr lables les emballages ne sont souvent pas tiquet s ou portent de fausses inscriptions et les m langes de produits livr s ne sont souvent pas indiqu s Un autre risque vient du fait que les dangers ne sont pas toujours identi fiables directement p
14. l ext rieur La puissance de la ventilation d pend de la n cessit de s cher les v tements il doit tre tenu compte du genre du travail et de l impor tance des salissures qu il provoque En r gle g n rale un renouvellement d air de 4 8 fois par heure garantit de bonnes conditions d hygi ne la ventilation artificielle peut fonctionner en continu ou p riodiquement Les vestiaires sans fen tres doivent tre quip s d un clairage de secours ind pendant du r seau Une signalisation par un marquage luminosit r manente est tol r e en lieu et place de l claira ge de secours uniquement pour les petits vestiaires ou si le nombre de personnes est restreint et s il n y a pas de danger particulier sur l tage En r gle g n rale les travailleurs devant se chan ger disposeront de si ges Alin a 2 Un casier v tements doit tre suffisamment grand et profond pour permettre l utilisation d un cintre La hauteur sera suffisante pour y placer un manteau et un chapeau surface minimale au sol 30 x 50 cm En outre il doit tre suffisamment a r Si les penderies sont ouvertes chaque tra vailleur doit disposer d un casier fermant cl pour ses objets personnels porte monnaie portefeuille ou sac main Si les v tements de travail sont mouill s ou humi des en raison par exemple de travail l ext rieur ils doivent pouvoir tre s ch s S ils sont fortement souill s ou impr gn
15. Case postale 131 1211 Gen ve 20 www iec ch Commission f d rale de coordination pour la s curit au travail CFST Diffusion CFST Secr tariat Case postale 6002 Lucerne www cfst admin ch Deutsches Institut f r Normung DIN Diffusion Association suisse de normalisation SNV B rglistrasse 29 8400 Winterthour www din de oder www beuth de online shop oder www snv ch GS1 Suisse anciennement Association suisse de logistique Diffusion GS1 Suisse L nggassstrasse 21 3012 Berne www gs1 ch International Organization for Standardi zation ISO Diffusion Association suisse de normalisation SNV B rglistrasse 29 8400 Winterthour www snv ch Institut suisse du verre dans le b timent Diffusion SIGaB Kesslerstrasse 9 Postfach 509 8952 Schlieren www sigab ch Office de certification pour la formation des non professionnels du sauvetage ResQ Croix Rouge suisse CRS Sant et Int gration Formation professionnelle Werkstrasse 18 3084 Wabern www redcross ch Commentaire des ordonnances 3 et 4 relatives la loi sur le travail Bibliographie Biblio graphie SECO Direction du travail anciennement OFIAMT OFDE Diffusion OFCL Vente des publications f d rales 3003 Berne www ofcl admin ch Soci t suisse des ing nieurs et des archi tectes SIA Diffusion Schwabe AG Case postale 832 4132 Muttenz www sia ch
16. Commentaire de l ordonnance 3 relative la loi sur le travail Chapitre 2 Exigences particuli res en mati re d hygi ne Section 2 Eclairage climat des locaux bruits et vibrations Art 22 Bruit et vibrations sn Art 22 Article 22 Bruit et vibrations Pa Q A 1Le bruit et les vibrations doivent tre vit s ou combattus 2 Pour la protection des travailleurs il importe en particulier a de prendre des mesures en mati re de construction des b timents de prendre des mesures concernant les installations d exploitation de proc der l isolation acoustique ou l isolement des sources de bruit de prendre des mesures concernant l organisation du travail Dans ce chapitre les probl mes concernant le bruit et les vibrations seront trait s s par ment Des informations compl mentaires se trouvent dans l annexe Bruit 1 Alin a 1 Le bruit ne doit pas compromettre la sant le bien tre et la s curit des travailleurs En priorit le niveau sonore doit tre r duit au niveau le plus bas adapt aux conditions d ex ploitation par des mesures prises la source Le d veloppement de l tat de la technique est examiner Les multiples aspects de la lutte contre les nuisances sonores sont examiner d j lors de la planification de la construction et de l ac quisition de machines et d installations Il est uti le lors de la phase de planification de faire ap pel
17. Locaux de vente de produits non alimentaires Locaux de pr paration de denr es alimentaires en self service Zone des caisses et empaquetage Couloirs de service pour secteur articles de boulangerie non emball s Couloirs de service pour secteur articles de fromagerie non emball s Couloirs de service except s 11 2 11 8 11 12 11 13 Locaux de services de sant publique soins corporels 12 2 Locaux humides Autres locaux R 10 GS 1 Tableau 314 5c Zones de travail pr sentant un danger de glissade suite SECO ao t 2006 314 9 Commentaire de l ordonnance 3 relative la loi sur le travail Art 14 Chapitre 2 Exigences particuli res en mati re d hygi ne Section 1 B timents et locaux Art 14 Sols Appr cia Volume Abpr cia Zones de travail pr sentant un danger de glissade tion selon alv olaire ion selon DIN 51130 _ Selon bpa EMPA DIN 51130 P Buanderies Locaux de buanderie pour le lavage aqueux de linge et de v tements Locaux de repassage et de calandrage Fabrication d aliments concentr s pour le b tail Fabrication d aliments secs Fabrication d aliments avec apport d eau et de graisse Tanneries textiles Tanneries Teintureries textiles Autres locaux pour textiles Ateliers de laquage et de peinture au pistolet Locaux de pon age aqueux Industrie de l
18. Section 3 Postes de travail Art 23 Exigences g n rales Art 23 Ey Article 23 Exigences g n rales Ergonomie Les postes de travail les appareils et les moyens auxiliaires doivent tre con us et am nag s confor m ment aux principes de l ergonomie L employeur et les travailleurs veilleront ce qu ils soient uti lis s de mani re appropri e 1 G n ralit s Les facteurs techniques conomiques sociaux or ganisationnels et humains influencent en premi re ligne le comportement et l tat de sant des travailleurs Ils font partie du syst me de travail Pour cette raison une attention particuli re sera vou e non seulement la conception des postes de travail et des moyens mis disposition mais galement l organisation du travail et aux be soins humains Des informations suppl mentaires ce sujet sont disponibles l art 2 al 1 lit d de l OLT 3 et en annexe La situation des postes de travail doit d s lors tre envisag e dans sa globa lit Des postes de travail con us de mani re opti male d un point de vue ergonomique ne peuvent tre r alis s qu avec la collaboration de plusieurs personnes planificateurs installateurs organisa teurs du travail et utilisateurs et en tenant compte des diff rents facteurs cit s ci dessus Au besoin on fera appel des sp cialistes par ex des ergo nomes Lors de l am nagement des instruments tels que les crans d
19. la CNA Lucerne Les Directives pour la s curit au travail de la CFST contiennent des mesures de s curit ainsi que des indications plus pr cises au sujet d ouvrages de r f rence L ordonnance sur les produits chimiques contient la cat gorie des substances et produits pr sen 422 2 Commentaire de l ordonnance 4 relative la loi sur le travail Chapitre 2 Construction et am nagement des entreprises soumises la proc dure d approbation des plans Section 5 Entreprises pr sentant des dangers particuliers Art 22 Entreprises pr sentant un danger d explosion a Champ d application UZz Art 22 tant un risque d explosion Ces produits pr sen tent un risque d explosion dans la forme sous la quelle ils sont mis en circulation Outre l indication substances pr sentant un risque d explosion on trouvera des indications relatives des dangers particuliers sous forme de d signations standardi s es phrases de danger phrases R R2 Risque d explosion par le choc la friction le feu ou d autres sources d ignition R3 Grand risque d explosion par le choc la fric tion le feu ou d autres sources d ignition Mesures de protection dans le cas de substances explosives selon lettre c Compte tenu des propri t s et des dangers par ticuliers des substances explosives il y a lieu de prendre des mesures de protection sp cifiques o suppl mentaires dans de telles entreprises
20. la sant et la libert 1 G n ralit s La protection de la personnalit des travailleurs d j ancr e dans l article 328 du code des obliga tions s tend par cet article au droit public du tra vail Le personnel est de ce fait prot g par une disposition de droit public contre une surveillan ce de son comportement son poste de travail Cela signifie qu il n est pas possible de d roger ces dispositions par un accord de droit priv par exemple une convention entre l employeur et les travailleurs ou leurs organisations Un m canisme de surveillance est admissible uni quement s il y un int r t pr pond rant l installer tel que la s curit ou le contr le du rendement Par d finition l int r t pr pond rant ne peut tre la surveillance du comportement des travailleurs A noter que le comportement et la capacit de ren dement sont souvent li s Une diff renciation pr cise entre la surveillance autoris e pour des raisons de s curit ou de contr le de rendement et la sur veillance non autoris e du comportement est sou vent difficile voire impossible surtout si des moyens vid o sont utilis s Tombent sous la surveillance du rendement par exemple le comptage automati que des pi ces produites ou du nombre de frappes journali res sur une installation de traitement des textes Une saisie d taill e permettant la r parti tion temporelle des t ches et par ce biais l appr
21. tat de cette consultation l autorit prend l avis de la CNA si n cessaire Alin as 1 et 2 Tout comme l OLT 3 l OLT 4 donne galement pou voir aux autorit s d ex cution d accorder dans des cas particuliers une d rogation aux prescriptions de l ordonnance Les conditions d octroi d une d rogation sont les m mes dans les deux ordonnan ces raison pour laquelle il est renvoy pour l essen tiel aux explications relatives l art 39 OLT 3 La possibilit d admettre ou d autoriser une solu tion divergente est pr vue dans quelques cas di rectement dans les prescriptions correspondantes de l OLT 4 voir art 5 al 3 et art 17 al 3 OLT 4 Il ne s agit pas dans ces cas d autorisation de d roger au sens strict Le l gislateur a plut t pr vu la possibilit et le besoin d exceptions dans des cas concrets et formul les conditions pour autoriser de telles exceptions dans les prescriptions correspon dantes voir ce sujet les explications concernant les art 5 et 17 OLT 4 Dans de tels cas l article 27 n est pas applicable La possibilit d autoriser des exceptions est galement pr vue dans les prescrip tions elles m mes de l art 4 OLT 4 Mais comme ces prescriptions ne contiennent pas les conditions 1 Les autorit s peuvent la demande du requ rant autoriser dans chaque cas d esp ce des d ro gations aux prescriptions de la pr sente ordonnance lorsque a Une autre mesure aus
22. 2 Le nombre de toilettes est fonction du nombre de travailleurs occup s simultan ment dans l en 3 Les toilettes seront suffisamment ventil es et seront s par es des locaux de travail par des vestibu 4 Des installations et du mat riel appropri s pour se laver et se s cher les mains doivent se trouver e Les toilettes doivent tre am nag s dans des lo caux part elles seront s par es des vestiaires par des parois e Les toilettes pour hommes doivent tre s par es de celles destin es aux femmes par des parois montant du sol jusqu au plafond des murs en dur par exemple en briques sont indiqu s e Les entreprises occupant des handicap s en chai se roulante devraient am nager des toilettes qui leur sont accessibles sur le m me tage que leurs postes de travail e Le personnel ne devrait pas tre contraint d utili ser des toilettes accessibles au public par exem ple dans l h tellerie les surfaces de vente les ga res les h pitaux e L usage des toilettes doit tre gratuit e En r gle g n rale les chantiers sont quip s de conteneurs de baraquements etc dans lesquels sont install s les lieux d aisances Ceux ci doivent pouvoir tre suffisamment ventil s et disposer d un clairage adapt On apportera une atten tion suffisante leur nettoyage et leur entretien e Dans les commerces o les travailleurs sont seuls l employeur doit formaliser par crit par ex dans le
23. 314 3 Commentaire de l ordonnance 3 relative la loi sur le travail Chapitre 2 Exigences particuli res en mati re d hygi ne Art 14 pe Section 1 B timents et locaux Art 14 Sols B ton en r Chapeent Chape en Rev tement Propri t s B ton dur sine synth ti lt ps poxyde po r sine sine poxyde A que lyur thane poxyde or R sistance l usure par tr s bonne bonne bonne bonne tr s bonne abrasion R sistance la compression tr s bonne bonne bonne bonne tr s bonne R sistance aux chocs moyenne bonne bonne tr s bonne tr s bonne Isolation thermique par contact mauvaise moyenne moyenne bonne mauvaise Retrait gonflement moyen faible non non non R sistance aux acides mauvaise faible bonne bonne bonne R sistance aux alcalis moyenne moyenne bonne bonne bonne R sistance l eau tr s bonne bonne tr s bonne tr s bonne tr s bonne R sistance aux huiles et aux f carb rants bonne tr s bonne tr s bonne tr s bonne tr s bonne R sistance aux solvants bonne bonne bonne moyenne bonne Risque de formation de poussi re oui moyen non non non Possibilit de nettoyage moyenne moyenne tr s bonne tr s bonne bonne R sistance au feu tr s bonne tr s bonne bonne bonne bonne Conductivit lectrique moyenne moyenne mauvaise mauvaise faible Risque d tincelles par frottement oui oui non non non Isolation phon
24. Ergonomische Leitregeln zur menschengerechten Arbeitsgestaltung Kata log arbeitswissenschaftlicher Richtlinien Hanser Fachbuch M nchen 1985 L ubli T Fleischer A G Krueger H Bildschirm arbeitspl tze Arbeitswissenschaftliche Erkennt nisse Nr 2 79 Bundesanstalt f r Arbeitsschutz Dortmund 1989 ISSN 0720 1699 Le pr pos f d ral la protection des donn es Guide pour le traitement des donn es person nelles dans le secteur du travail Traitement par des personnes priv es no 5 Nordmann Daniel La loi suisse sur la participa tion Documentation no 22 de l Union syndicale suisse Berne 1994 SECO novembre 2011 Biblio Commentaire des ordonnances 3 et 4 relatives la loi sur le travail graphie Bibliographie Programme test CBT Le travail l cran di dacticiel interactif Diffusion CNA S curit au travail case postale 6002 Lucerne Schwaninger U und andere Auswirkungen der Bildschirmarbeit auf Augen sowie St tz und Bewegungsapparat Bundesanstalt f r Arbeits schutz BAUA 3 Aufl Dortmund 1991 SLG et autres Handbuch f r Beleuchtung 5 me dition Ecomed Fachverlag Landsberg 1992 ISBN 3 609 75390 0 Commentaire des ordonnances 3 et 4 relatives la loi sur le travail Index O Index Index Remarque Les th mes suivants sont principalement abord s dans les articles indiqu s A Acc l ration d oscillation 322 Acc
25. Les principes selon lesquels le nombre et la dispo sition des cages d escaliers et des sorties des b ti ments et locaux doivent tre d termin s figurent ci dessous dans les alin as 2 4 et dans l article 8 OLT 4 Les voies d vacuation prescrites l galement sont en principe des passages principaux Si dans des cas particuliers il est n cessaire de te nir compte de conditions sp ciales pour les voies d vacuation il y a lieu de respecter le principe de proportionnalit et de prendre des mesures com pensatoires de fa on que la s curit soit assur e globalement voir chiffre 3 Sous sol Illustration 407 1 Cages d escalier sises l int rieur Commentaire de l ordonnance 4 relative la loi sur le travail Chapitre 2 Construction et am nagement des entreprises soumises la proc dure d approbation des plans Section 3 Passages Art 7 Cages d escaliers et sorties 2 1 Alin a 1 Les cages d escaliers prescrites par l article 7 OLT 4 doivent aboutir des sorties donnant directement sur l ext rieur En r gle g n rale cette condition est remplie lorsque e une sortie directe en fa ade au niveau du sol existe e un corridor conforme aux prescriptions de pro tection incendie de l AEAI relie directement la cage d escaliers avec l ext rieur e la sortie de la cage d escaliers est con ue comme partie int grante du v
26. article electrosuisse SEV Association pour l lectrotechnique les technologies de l nergie et de l information Procap Association suisse des invalides Association suisse de logistique rem plac e par GS1 Suisse Association suisse de normalisation Association suisse des sanitaires d en treprise candela confer Communaut europ enne Communaut conomique europ en ne aujourd hui UE Comit europ en de normalisation Commission des experts pour la s cu rit dans l industrie chimique en Suisse Chemins de fer f d raux Commission f d rale de coordination pour la s curit au travail chapitre Commission m dicale suisse de pre miers secours et de sauvetage de la Croix rouge suisse Caisse nationale suisse d assurance en cas d accidents suva Code des obligations CRS CSST Cst DAE DIN EEE EN ENV env EPF etc FF GI GS 1 IAS IEC ill IR ISH ISO kg LAA LChim let LFEM LPE Croix rouge suisse Cahiers suisses de la s curit du travail Constitution f d rale D fibrillateur automatique externe Deutsche Industrienorm ou Deutsches Institut f r Normung clairement Espace conomique europ en norme europ enne pr norme europ enne environ Ecoles polytechniques f d rales et caetera Feuille f d rale Glare Indices remplace l association suisse de logis tique humidit relative intensit lumineuse Interassociation de sauvetage International E
27. clair s l clairage doit produire un effet d ombre suffisant La direction de la lumi re arti ficielle doit correspondre celle de la lumi re du jour L am nagement des emplacements de travail doit tre tel que la direction du regard soit paral l le aux fen tres Pour cette raison les luminaires allong s p ex tubes n ons doivent tre dispos s parall lement aux fen tres SECO novembre 2009 315 3 Commentaire de l ordonnance 3 relative la loi sur le travail Art 15 E a am Chapitre 2 Exigences particuli res en mati re d hygi ne Section 2 Eclairage climat des locaux bruits et vibrations Art 15 Eclairage Pour certaines t ches visuelles comme le contr le de surfaces ou d erreurs il est utile de disposer de sources de lumi re dirig e cr ant des ombres net tes Couleur de la lumi re et rendu des couleurs L ambiance d un local pr vue initialement peut tre alt r e par les couleurs utilis es voir aussi le commentaire sur les articles 13 et 23 OLT 3 C est la raison pour laquelle les couleurs vives pour de grandes surfaces doivent tre utilis es avec pr caution Pour un clairement de faible intensit il faut choi sir des couleurs chaudes Un clairement de cou leur blanche du type lumi re du jour requiert une intensit lev e Les couleurs utilis es pour les marquages de s cu rit doivent tre reconnaissables en tant que tel les Effet strobosc
28. conomique conform ment au prin cipe expos l article 6 alin a 1 LTr Il faut insis ter sur le fait qu il s agit principalement de tenir compte des particularit s d une branche cono mique et non de la situation conomique d une entreprise donn e Les prescriptions visent at teindre un niveau minimal de protection de la sant dans toutes les entreprises mais vu la diversit des activit s conomiques celui ci peut varier d une branche l autre Il y a bien s r des imp ratifs qui ne peuvent tre modifi s tels les locaux qu oc cupe une entreprise De nouvelles installations de nouveaux proc d s et de nouvelles connaissances scientifiques peuvent modifier consid rablement la situation Dans ce cas on prendra en consid ration les structures existantes mais on ne sau rait tol rer une d t rioration trop importante des conditions de travail En revanche une entreprise ne peut nouvellement s installer que dans des lo caux qui correspondent aux prescriptions 302 4 Commentaire de l ordonnance 3 relative la loi sur le travail Chapitre 1 Dispositions g n rales Art 3 Obligations particuli res de l employeur Art 3 L Article 3 Obligations particuli res de l employeur tr lera ces derni res intervalles appropri s 1L employeur doit veiller ce que l efficacit des mesures d hygi ne ne soit pas compromise Il con 2 l employeur doit adapter le
29. des abr viations e charge due la perte de vision globale du travail l intensification des efforts et au manque de communication et de coop ration Ces charges peuvent selon la capacit de rende ment de l utilisateur provoquer des effets phy siques et psychologiques e g ne oculaire sensation de br lure s cr tions lacrymales rougeur vision double etc e maux de t te difficult s de concentration fati gue profonde abattement nervosit e douleurs au cou la nuque aux paules au dos rigidit musculaire tendinites qui sont la cons quence de mouvements monotones et r p titifs Illustration 323 6 Clavier adapt la position naturelle des mains 3 3 Exigences particuli res lors de l acquisition mat riel et logiciels 3 3 1 Conception de l information et du dialogue L importance de l ergonomie des logiciels cro t avec la complexit des travaux effectuer Par er gonomie des logiciels on entend la conception graphique de l interface de travail afin de faciliter l interaction communication entre le syst me et l utilisateur Une analyse approfondie de cet l ment est particuli rement importante lors de l ac quisition de nouveaux logiciels 3 3 2 Ecrans de visualisation claviers On ne devrait utiliser que les crans de visualisa tion r pondant aux normes su doises MPR2 ou TCO Ces standards restrictifs concernant les ef fets p
30. des ma chines Syst me de signaux auditifs et visuels de danger et d information DIN ISO 9921 Sprach interferenz Pegel und Kom munikationsabst nde f r Personen mit norma lem H rverm gen in direkter Kommunikation SIL Methode Identisch mit ISO DIS 9921 1 2003 DIN 33404 Gefahrensignale f r Arbeitsst tten Teil 2 Optische Gefahrensignale Begriffe Si cherheitstechnische Anforderungen Pr fung 1979 Teil 3 Akustische Gefahrensignale Einheitli ches Notsignal Sicherheitstechnische Anforde rungen Pr fung 1982 VDI Richtlinie 2058 Blatt 3 Beurteilung von L rm am Arbeitsplatz unter Ber cksichtigung unter schiedlicher T tigkeiten 1981 VDI Richtlinie 2569 Schallschutz und akustische Gestaltung im B ro 1990 VDI Richtlinie 3760 Berechnung und Messung der Schallausbreitung in Arbeitsr umen 1996 322 B Commentaire de l ordonnance 3 relative la loi sur le travail Chapitre 2 Exigences particuli res en mati re d hygi ne Section 2 Eclairage climat des locaux bruits et vibrations Art 22 Bruit et vibrations Y Annexe de l art 22 ISO 1999 Acoustique d termination de l exposi tion au bruit en milieu professionnel et estimation du dommage auditif induit par le bruit 1990 ISO 9612 Acoustique Guide pour le mesurage et d valuation de l exposition au bruit en milieu de travail 1997 2006 IEC 651 voire EN 60651 IEC 804 voire EN 6
31. en Commentaire de l ordonnance 3 relative la loi sur le travail Art 3 r Chapitre 1 Dispositions g n rales Art 3 Obligations particuli res de l employeur ou un psychologue du travail et des organisations ner mandat l employeur de prendre les mesures Les frais d une telle expertise sont la charge de n cessaires au r tablissement de conditions de tra l employeur vail conformes l ordre l gal en vertu de l art 78 Enfin si l inspection cantonale du travail n agit OLT 1 pas le SECO peut examiner le probl me et don 303 2 Commentaire de l ordonnance 3 relative la loi sur le travail Chapitre 1 Dispositions g n rales Art 4 Expertise technique Art 4 Article 4 Expertise technique Les autorit s peuvent demander l employeur de pr senter un rapport d expertise technique lors qu il existe de s rieux motifs de douter que les exigences en mati re d hygi ne soient respect es Cet article se r f re aux aspects de la protection de la sant voqu s l article 2 OLT 3 Un rapport peut tre demand tant sur les aspects de la sant phy sique que de la sant psychique Un tel rapport ne sera exig que si la situation laisse pr sumer l ap parition de probl mes importants ayant des con s quences graves pour les travailleurs notamment les cons quences pour les travailleurs g s les jeu nes travailleurs les travailleurs de langue trang re les trav
32. limiter au maximum l atteinte la person nalit du travailleur Le principe de proportionnalit doit tre abor d par deux aspects de la surveillance des travail leurs il doit tout d abord tre int gr la pond ration des int r ts en pr sence pour d terminer si la surveillance est admissible ensuite il doit gui der l entreprise lors du choix et de l installation du m canisme de surveillance Apr s avoir admis qu il existe un int r t l gitime on se posera donc les questions suivantes sur le choix du m canisme a Existe il un moyen moins invasif permettant d atteindre le m me but Par exemple un syst me d alarme sera pr f rable un syst me d coute par microphones bloquer l acc s certaines parties de l entre prise par l installation de serrures lectriques est pr f rable un syst me de localisation des tra vailleurs quiper une bijouterie de d tecteurs de m taux la sortie est pr f rable l installa tion de syst mes de surveillance vid o Concernant les syst mes et r seaux de trai tement lectronique des donn es TED ces derniers offrent de nombreuses possibilit s de surveillance et de contr le Certains logi ciels ou moniteurs permettent d enregistrer le moment et la dur e d utilisation d un ordina teur quelles activit s ont t ex cut es au sein d un programme ou d une application ou quel les adresses ont t consult es dans le r seau par ex
33. maintenir dans les locaux en partant de l hypo th se que la temp rature moyenne des surfaces qui les d limitent est proche de celle de l air am biant et que la vitesse de l air est faible Des temp ratures l g rement inf rieures peuvent tre compens es en partie par des v tements adapt s En outre un choix ad quat de ces der niers permet de tenir compte de la sensibilit indi viduelle des personnes et d assurer la compensa tion n cessaire Lorsqu il fait chaud l ext rieur par exemple en t les valeurs recommand es pour la temp ra ture de l air figurant sur le tableau 316 1 sont relever jusqu 28 C au maximum De mani re g n rale il y a lieu de renoncer des mesures de refroidissement de l air tant que la temp rature ambiante ne d passe pas 24 C cf climatisation La temp rature id ale d pend il va de soi galement du type d activit profes sionnelle Plus cette derni re est astreignante phy siquement parlant plus la temp rature ambiante devrait tre basse ill 316 1 Par exemple s il est vrai qu une temp rature de 22 C est ressentie comme agr able par les personnes portant des v tements d hiver pour l int rieur notamment che mise manches longues pantalons et pull 15 C suffisent avec le m me quipement s agissant de travailleurs exer ant une activit moyennement as treignante en position debout travail sur une ma chine Les v tements doivent tr
34. tre des solutions sus ceptibles de r soudre les probl mes Dans le domaine de la protection contre l incendie il existe des vitrages r sistant au feu de classifica tion El 60 icb ou El 90 icb Ces vitrages contien nent un gel ignifuge entre les verres Ils peuvent tre utilis s l int rieur comme l ext rieur 3 Principe de proportionnalit Les prescriptions visent atteindre un niveau mi nimal de protection de la sant dans les entrepri ses mais vu la diversit des activit s conomiques celui ci peut varier d une branche l autre Les lo caux qu occupe une entreprise ne peuvent tre mis constamment en conformit car de nouvelles ins tallations de nouveaux proc d s et de nouvelles 315 8 Commentaire de l ordonnance 3 relative la loi sur le travail Chapitre 2 Exigences particuli res en mati re d hygi ne J7 Art 15 Section 2 Eclairage climat des locaux bruits et vibrations a s Art 15 Eclairage E connaissances scientifiques peuvent modifier la si tuation en tout temps Exiger la mise en conformi t de b timents qui ont d j t approuv s serait souvent tr s co teux voire techniquement impos sible Une telle exigence ne serait donc pas confor me au principe de la proportionnalit ad quation entre le risque et la mesure prendre Dans ce cas on prendra en consid ration l exis tant mais on ne saurait tol rer une d t rioration immod r e
35. 333 335 Travailleurs de langue trang re 305 306 Travaux par grand froid 321 327 331 335 Pauses 321 V tements de protection 327 Travaux sous forte chaleur 320 327 331 335 Tr mies 412 V Valeur limite pour l hygi ne du travail 302 316 318 322 325 327 338 O Index Valeurs d mission 322 Valeurs limites et indicatives 302 316 318 322 325 327 338 Valeurs moyennes d exposition 318 327 Ventilateur d extraction 418 Ventilation 317 408 Air des locaux 417 Ventilation artificielle 317 408 417 Vestiaires et toilettes 330 332 Ventilation naturelle 317 330 408 417 Vestiaires 330 Bureaux 330 Petites entreprises 330 Travail en plein air 330 Vestiaires dans les abris de protection civile 330 Vestibules 331 Vestibules pour toilettes 332 V tements 327 V tements de protection 320 321 327 V tements de travail 328 329 330 Vibrations 322 Visites d entreprise 306 Vitesse de l air 316 Voies de circulation 408 Voies de circulation pour pi tons 408 Voies de sauvetage 410 Voies d vacuation 407 408 409 Cages d escaliers 407 409 Conception 408 409 Corridor 408 Cour int rieure 408 Dans les locaux 408 Disposition 408 Distance de fuite 408 Grands b timents de fabrication 408 Longueur des voies d vacuation 408 Parois de s paration 408 Passages 43 406 Plate forme 408 Portes et sorties 410 Sens de la fuite 407 Tube d vacuation 407 Voies ferr es 413 Volume d air 312 Vue sur l ext rieur 31 31
36. Ces mesures sont indiqu es dans l article 25 OLT 4 et dans les explications y relatives SECO ao t 2006 422 3 Commentaire de l ordonnance 4 relative la loi sur le travail Chapitre 2 Construction et am nagement des entreprises soumises la proc dure d approbation des plans Art 23 Section 5 Entreprises pr sentant des dangers particuliers Art 23 Entreprises pr sentant un danger d explosion b Mode de construction Article 23 Entreprises pr sentant un danger d explosion b Mode de construction L 1 Les locaux de fabrication devront si n cessaire tre munis d l ments de construction l gers pour r duire autant que possible le risque encouru en cas d explosion par les travailleurs se trouvant dans les b timents dans les locaux sur les passages ou dans le voisinage de l entreprise 2 Pour prot ger les passages et le voisinage on construira si n cessaire des remblais ou des murs de protection entre les b timents ou on prendra d autres mesures appropri es 3 Le rev tement des sols sera de nature emp cher la formation d tincelles Il y a lieu de pr voir des mesures techniques et de construction particuli res pour les entreprises et parties d entreprise pr sentant un danger d ex plosion selon l article 22 OLT 4 En font galement partie la protection contre les explosions par l em ploi d l ments de construction l gers et la pose de rev tements de sol co
37. Exigences g n rales pour les locaux sociaux fa jour et aux infirmeries irr prochables 1 Les dispositions applicables l am nagement et l utilisation des locaux de travail le sont aussi par analogie aux vestiaires aux douches aux lavabos aux toilettes aux r fectoires aux locaux de s 2 Toutes les installations mentionn es l al 1 doivent tre maintenues dans des conditions d hygi ne 3Les vestiaires les lavabos les douches et les toilettes seront am nag s s par ment pour les hommes et pour les femmes A tout le moins une utilisation s par e de ces installations sera pr vue Les locaux sociaux c est dire les vestiaires la vabos douches toilettes infirmeries r fectoires et locaux de s jour doivent tre adapt s aux exi gences et aux conditions d exploitation de l en treprise on tiendra compte de l horaire de tra vail horaire normal de jour travail en quipes de la nature du travail des travaux salissants pour les travailleurs ou les v tements et de la n cessit d avoir mettre des v tements de travail en raison de probl mes d hygi ne industrielle et de tech nique de production Lors de l am nagement des locaux sociaux on tiendra compte des mesures prendre en faveur des handicap s Alin a 1 Les dispositions contenues dans les sections 1 et 2 du chapitre 2 de cette ordonnance aux articles 13 17 concernant les plafonds les parois les sols l
38. Les gran des dimensions des locaux et l animation du travail au contact des clients ne suffisent pas compen ser l absence d clairage naturel Les surfaces de vente grandes surfaces et autres magasins doivent offrir la vue sur l ext rieur au moins dans les locaux situ s au dessus du niveau du sol Les vitrines ouvertes vers l int rieur sur des patios jardins int rieurs galeries ou placettes cou verts de verri res ou de puits de lumi re qui peu vent constituer une option alternative la vue sur l ext rieur sont attrayantes la fois pour le per sonnel et la client le La mise en oeuvre de me sures compensatoires s impose dans les locaux de vente d pourvus d clairage naturel Nouvelles constructions e les dispositions de l OLT 3 s appliquent imp rati vement toute nouvelle construction Les or ganes d ex cution se doivent d informer les in t ress s grandes surfaces architectes autorit s comp tentes en mati re d octroi de permis de construire de mani re appropri e afin d une part de mettre en vidence les exigences sp cifiques de la protection de la sant dans ce contexte et de l autre de sensibiliser les milieux concern s e les postes de travail permanents tels les caisses ou l accueil doivent tre orient s de mani re disposer de la vue sur l ext rieur Les objets obs truant la vue sur l ext rieur tag res affiches promotionnelles etc doivent tre d plac s
39. Locaux techniques 407 408 Longueur maximale des voies d vacuation 408 LSPro 327 409 444 Luminance 315 M Main courante 409 Maintenance 317 Mandats confi s des tiers 308 309 337 402 Manutention des charges 325 Manutention manuelle de charges 323 325 Marches 409 Hauteur 409 SECO novembre 2011 Commentaire des ordonnances 3 et 4 relatives la loi sur le travail Index dex Largeur 409 Obligations de l employeur 303 338 426 Profondeur 409 Obligations des travailleurs 305 310 Pente 409 D fauts 310 Mat riaux de construction 311 316 Mati res explosibles 333 415 422 423 Mati res explosives 422 425 Mati res pr sentant un risque d incendie 333 418 419 420 421 M decins du travail 303 304 Mesures compensatoires 315 339 417 427 Mesures de lutte contre le bruit 322 Mesures de protection contre l explosion 420 422 423 424 425 Mesures organisationnelles 321 Mise en danger de la sant 303 306 308 317 AP Mobbing 302 Mode de construction 311 Modification de b timents 303 401 AP Monotonie 302 313 Motivation 305 306 315 N Nettoyage 313 314 317 328 337 417 Niveau de pression sonore continu quivalent 322 Niveau sonore 322 Nombre des cages d escaliers et des couloirs 409 Nombre de passages 43 407 Nombre de sorties 407 408 Nombre des travailleurs Dangers particuliers 421 424 425 Locaux sociaux 329 Passages 43 406 Normes AP Nuisances sonores 322 Num ros d
40. URL adresses lectroniques La plu part du temps les utilisateurs ne sont pas in form s d une telle surveillance Il est pr f rable de bloquer l acc s internet ou certains sites et contenu internet World Wide Web courrier lectronique FTP si l on veut emp cher leur utilisation des fins priv s b Lorsqu on s est assur que le moyen choisi est le plus m me d atteindre le but poursuivi il faut se demander comment l installer de telle sorte que les travailleurs soient atteints le moins pos sible leur sant et leur int grit personnelle De nombreuses installations de surveillance sont am nag es dans les surfaces de vente ou servent observer le trafic Le but premier de ces instal lations n est pas de surveiller le personnel N an moins dans les surfaces de vente notamment o elles sont destin es la lutte contre le vol elles touchent directement les travailleurs Les cam ras vid o doivent donc tre plac es de mani re que le personnel de vente n apparaisse pratiquement pas SECO novembre 2007 326 3 lt Art 26 i Commentaire de l ordonnance 3 relative la loi sur le travail Chapitre 2 Exigences particuli res en mati re d hygi ne Section 5 Surveillance des travailleurs Art 26 dans leur champ d observation et ne soit pas enre gistr La position et le r glage de ces appareils de vraient tre discut s avec le personnel afin qu il e
41. as 1 et 2 ne peut pas tre atteinte dans cer tains cas Des exceptions sont possibles pour des raisons de s curit ou de technique de production Lorsque les autorit s accordent une d rogation voir galement les explications relatives l article 27 alin as 1 et 2 OLT 4 celle ci peut tre li e des r serves particuli res pour la protection des travailleurs 417 2 Commentaire de l ordonnance 4 relative la loi sur le travail Chapitre 2 Construction et am nagement des entreprises soumises la proc dure d approbation des plans Art 17 Section 4 Eclairage et qualit de l air dans les locaux Art 17 Fen tres Les raisons de s curit et de technique de pro duction justifiant une suppression des fen tres fi gurent dans les explications relatives l article 15 alin a 3 OLT 3 Une diminution de la surface des fen tres moins de 1 8 peut aussi tre accord e e lorsque le travail doit se faire dans un climat faible tol rance Variation de temp rature max 1 C variation d humidit max 2 e de basses temp ratures chambres frigorifi ques e dans des locaux st riles ou des chambres blan ches exigences lev es Les progr s de la technique de construction doi vent tre pris en consid ration lors de l octroi de telles d rogations Actuellement il existe des fe n tres de bien meilleure qualit qu il y a encore 10 20 ans du point de vue de l iso
42. au maximum et ensuite une cage d escaliers suppl mentaire par tranche de 600 m entam e 3S il n y a qu un tage en sous sol il doit y avoir au moins une cage d escaliers et en outre une sortie de secours praticable en toute s curit qui doivent tre accessibles depuis chaque local La largeur utile de la sortie de secours doit tre d au moins 0 80 m S il y a plusieurs tages en sous sol il doit y avoir au moins deux cages d escaliers 4Lorsqu au moins deux sorties ou cages d escaliers sont prescrites elles ne doivent pas se trouver plus de 15 m des extr mit s du b timent Dans les b timents ayant plus de huit tages complets ou mesurant plus de 25 m de hauteur les cages d escaliers n cessaires doivent tre con ues comme cages d escaliers de s curit L Se r f rer galement l annexe de l article 10 Portes et sorties situ es sur les voies d vacua tion 1 G n ralit s ll est particuli rement important lors de la planifica tion ou de la transformation d installations que les dispositions des articles 7 10 OLT 4 soient consi d r es comme formant un tout Elles constituent l une des conditions pour que les b timents et ins tallations puissent tre vacu s sans danger par des escaliers o des sorties en cas d urgence Ces dispositions ont t harmonis es avec e les prescriptions suisses de protection incendie de l Association des tablissements cantonaux d as surance
43. ciation du comportement n est pas admise Si en plus d une surveillance de rendement un contr le visuel des travailleurs pendant leur activit est mis en place ce dernier constitue galement une sur veillance du comportement L enregistrement doit aussi tre utilis raisonnablement principe de la proportionnalit selon lequel la mesure prise doit tre propre atteindre le but recherch tout en respectant le plus possible la libert de l individu Un rapport raisonnable doit exister entre le r sul tat recherch et l atteinte la libert personnelle Pour savoir si un m canisme de surveillance r pond au contenu de l art 26 de l OLT 3 il faut exa miner si les trois conditions suivantes sont r unies Existence d un int r t autre que la surveillance du comportement des travailleurs Proportionnalit entre l int r t de l employeur et l int r t des travailleurs ne pas tre surveill s Consultation des travailleurs sur le m canisme de surveillance Il faut en outre s assurer que la l gislation sur la protection des donn es Loi f d rale sur la protec tion des donn es LPD RS 235 1 ordonnance sur la protection des donn es OLPD RS 235 11 qui r gle la protection de la personnalit au sujet des quelles des priv s ou l administration f d rale col lectionnent des donn es soit respect e et que les dispositions du code p nal ne soient pas enfreintes SECO novembre 2007 3
44. clairage le climat en particulier la temp rature des locaux et la ventilation sont applicables par analogie aux vestiaires lavabos douches toilettes infirmeries r fectoires et locaux de s jour Ces dis positions sont galement applicables aux espaces r serv s aux pauses dans les locaux de travail Les dispositions contenues dans les articles 19 et 20 OPA concernant les voies de circulation d va cuation et les issues de secours sont applicables aux vestiaires r fectoires et aux locaux de s jour voir les directives CFST pour la s curit au travail chiffres 316 et 317 Les portes des vestiaires r fectoires et locaux de s jour doivent satisfaire l objectif de s curit de l article 20 alin a 3 de l OPAI Par analogie aux dispositions sur la protection con tre les incendies de l AFAI les vestiaires r fectoires et locaux de s jour pr vus pour plus de 50 person nes disposeront d au moins deux issues Les locaux sociaux doivent tre munis d un chauf fage temp rature recommand e 20 C Chantiers postes de travail en plein air En r gle g n rale les dispositions relatives aux lo caux sociaux sont aussi applicables aux chantiers et autres postes de travail l air libre Des remorques conteneurs baraques de chantiers etc quip s des installations n cessaires font fr quemment office de locaux sociaux Dans des conditions dif ficiles par exemple pour des chantiers de courte dur e
45. curit au travail CEST www ekas ch 3DAE d fibrillateur automatique externe 4Par voie orale par la bouche Office f d ral de la formation professionnelle et de la technologie OFFT www bbt admin ch 336 2 Commentaire de l ordonnance 3 relative la loi sur le travail Chapitre 2 Exigences particuli res en mati re d hygi ne Art 36 Section 7 Vestiaires douches lavabos toilettes r fectoires locaux de s jour et premiers secours Art 36 Premiers secours ciers dipl m s ES infirmiers dipl m s Ils doivent tre conserv s sous cl La manipulation de certai nes substances chimiques au sein d une entrepri se peut n cessiter la conservation d antidotes sur place p ex le gluconate de calcium en cas de ma nipulation d acide fluorhydrique Un antidote ne peut en principe tre administr que par un m decin ou par un secouriste sanitaire d entreprise d ment form sous la surveillance du m decin il n y a que peu d exceptions cette r gle Accessibilit du lieu de l accident mat rielle et temporelle Les premiers secours doivent tre assur s et du personnel form aux premiers secours doit tre pr sent dans l entreprise pendant la totalit des heures o des employ s travaillent y compris en dehors des horaires de travail usuels p ex en cas de travail de nuit du dimanche ou en quipe Les entreprises qui s tendent sur plusieurs tages ou b timents devr
46. d action suffisante par exem rapprochement ple choix de l ordre d ex cution rythme de tra sensation d tre serre vail approche Violet Grand Froid Agressif Environnement du poste de travail rapprochement nervant Le climat des locaux et la charge sonore jouent un d courageant r le important sur la sant physique et psychique voir aussi art 16 et 22 OLT 3 tout comme l am nagement du local La perception visuelle peut tre am lior e gr ce la conception des couleurs des instruments de tra vail par rapport l arri re plan Une s paration du local par les couleurs en harmonie avec les instal lations facilite l orientation Une bonne conception des couleurs favorise l tat g n ral La monotonie et les sympt mes de fatigue peuvent tre dimi nu s La performance est stimul e et les mauvaises manipulations sont r duites Pour les grandes sur faces il est conseill de choisir des couleurs ayant un degr de r flexion similaire Des couleurs satu r es et riches en contrastes devraient tre utilis es avec parcimonie Pour les grandes surfaces il est pr f rable de choisir des pastels L effet des diff rentes couleurs est r sum dans le tableau ci des SOUS Bases Feuillet d information CNA 44022 Le travail l cran de visualisation Feuillet d information CNA 44034 Travail l cran de visualisation Brochure SECO 710 068 f Travailler assis
47. de la proc dure Il s adresse cependant aussi aux employeurs tra vailleurs ainsi qu aux associations professionnelles et autres personnes ou groupes int ress s qui doi vent g rer au quotidien des questions relevant de la loi sur le travail Le commentaire entend faciliter l application de la loi et des ordonnances toutes ces personnes Le pr sent commentaire suit la sys t matique de la loi et des ordonnances Les ordonnances 3 et 4 sont comment es arti cle par article Selon les besoins le commentaire contient en plus des principes et des explications g n rales des remarques de fond des explica tions juridiques plus pouss es et des exemples pratiques Il faut toutefois rappeler que les ex plications contenues dans la pr sente dition ne sont pas grav es dans la pierre mais sont le re flet de l tat actuel de la science et de la pratique Le commentaire doit correspondre aux connais sances et besoins les plus r cents C est la raison pour laquelle des mises jour r guli res sont pr vues Le commentaire est galement disponible sous forme lectronique sur Internet o les mi ses jour seront disponibles au fur et mesure www seco admin ch sous documentation publi cations et formulaires SECO Direction du travail Conditions de travail SECO avril 2007 AP 5 Commentaire de l ordonnance 3 relative la loi sur le travail Chapitre 1 Dispositions g n rales Art 1 Objet
48. de petits chantiers ou des travaux de fini tions on pourra d roger ces r gles dans ce cas toutefois on prendra des mesures quivalentes adapt es aux conditions sp cifiques du chantier Les gros chantiers de longue dur e seront quip s de locaux sociaux comparables ceux d tablisse 1 Ordonnance sur la pr vention des accidents et des maladies professionnel les RS 832 30 SECO avril 2010 329 1 IFS Commentaire de l ordonnance 3 relative la loi sur le travail Chapitre 2 Exigences particuli res en mati re d hygi ne Section 7 Vestiaires douches lavabos toilettes r fectoires locaux de s jour et premiers secours Art 29 Exigences g n rales ments durables avec installations fixes On tiendra compte de la distance entre les locaux sociaux et les postes de travail Lors de l utilisation de substances nuisibles la sant irritantes ou naus abondes on prendra tou tes les mesures sp ciales n cessaires notamment la mise disposition d installations sanitaires et de mat riel de nettoyage ad quats Les conventions entre partenaires sociaux peuvent d finir les quipements des locaux sociaux sur les chantiers Alin a 2 Les locaux sociaux doivent tre p riodiquement nettoy s pour garantir des conditions d hygi ne ir r prochables A cet effet les portes et les parois des toilettes seront lisses et les sols faciles entre tenir Il y a lieu de nettoyer non se
49. des locaux moins froids temp rature au voisinage de 0 C o le s jour est plus supportable Si du personnel y s journe de mani re prolong e ces lo caux peuvent disposer de lumi re naturelle Dans les locaux de cong lation cet apport de lumi re naturelle serait quasiment impossible en raison des pertes d nergie Les personnes travaillant en domaine de froid de degr I doivent porter des v tements de protec tion contre le froid combinaison isolante v mu nie d un chauffage dans des cas exceptionnels Ces v tements doivent prot ger en particulier les bras et les jambes Les autres parties sensibles du corps comme la nuque et la t te les chevilles et les pieds doivent tre prot g s par des textiles ou par des chaussures ferm es munies de semelles isolan tes Les poignets et les mains doivent si possible tre prot g s par des gants prot geant de l humi dit et du froid En cas de besoin les doigts peu vent tre laiss s libres afin de conserver une bonne dext rit Domaine de Temp rature C Dur e max d exposition Dur e min de froid sans interruption min r chauffement min l Domaine frais 150 10 de 15 10 C Il Domaine l g rement froid 150 10 de 10 5 C Ill Domaine froid 90 15 de 5 18 C IV Domaine tr s froid 90 30 de 18 30 C V Domaine de froid extr me 60 60 de 30 40 C Inf rieure 40 C 20 60 Exemple apr s 90 minute
50. des maladies professionnelles et non sur des mises en danger au sens du maintien de la sant en g n ral Les cat gories d entreprises soumises la proc dure d approbation des plans ont t d ter min es selon les crit res suivants a Cat gories d entreprises astreintes un taux de primes de plus de 20 selon le tarif des primes de la CNA et qui sont de ce fait bien au des sus de la moyenne de 10 o Cat gories d entreprises pour lesquelles un v nement isol peut avoir des cons quences ex traordinairement importantes bien que leur taux de primes soit inf rieur 20 o ri Souslettres a et b iln a t tenu compte que des cat gories d entreprises pour lesquelles des me sures de construction ou techniques donc au moment d une proc dure d approbation des plans permettent une diminution importante des risques Pour les entreprises de traitement des eaux us es le crit re d terminant a t qu une conception judicieuse au stade du pro jet permet d influencer favorablement les ris ques alors que des modifications ult rieures ne seraient que difficilement r alisables Les entreprises non industrielles soumises la pro c dure d approbation des plans sont Les scieries al 2 litt a sont des entreprises tra vaillant le bois en grumes pour en faire du bois coup ou du bois de chauffage en partie avec trai tement ult rieur Les entreprises d limination et d
51. doivent comme pour les autres entreprises indus trielles tre remplies pour qu une entreprise em ployant des proc d s automatis s soit consid r e comme industrielle e doit s agir d une entreprise disposant d instal lations fixes caract re durable servant la fabri cation la transformation ou au traitement de biens ou la production la transformation ou au transport d nergie e Le proc d automatique doit avoir une influence d terminante sur la mani re de travailler ou l or ganisation du travail d au moins une personne c est dire que cette influence doit s exercer pendant au moins 23 h par semaine SECO ao t 2006 430 1 Section 1 Dispositions g n rales Article 31 Commentaire de l ordonnance 4 relative la loi sur le travail Chapitre 3 Entreprises industrielles Art 31 Entreprises pr sentant des dangers particuliers D Entreprises pr sentant des dangers particuliers Va Sont notamment entreprises dans lesquelles la vie ou la sant des travailleurs sont expos es des dangers particuliers art 5 al 2 let c de la loi a les entreprises dans lesquelles des mati res explosibles particuli rement inflammables ou particu li rement nocives sont transform es ou entrepos es b d autres entreprises o l exp rience montre que les travailleurs sont expos s des risques particu li rement grands d accidents de maladie ou de surmena
52. dure d approbation des plans Section 3 Passages Art 10 Portes et sorties situ es sur les voies d vacuation Article 10 D Portes et sorties situ es sur les voies d vacuation F en toute s curit d autres am nagements 1Les portes des voies d vacuation doivent pouvoir en tout temps tre reconnues en tant que tel les ouvertes rapidement dans le sens de la sortie sans recourir des moyens auxiliaires et utilis es 2 Le nombre la disposition et la conception des sorties doivent tre adapt s l tendue et l affecta tion des b timents ou parties de b timent au nombre d tages aux dangers inh rents l entreprise et l effectif La largeur utile des portes un battant doit tre d au moins 0 90 m Les portes deux battants s ouvrant dans un seul sens doivent avoir un battant d une largeur utile d au moins 0 90 m Les deux battants des portes va et vient doivent avoir chacun une largeur utile d au moins 0 65 m 3 La largeur des portes des couloirs et des escaliers servant de voies d vacuation ne doit tre ra men e au dessous des dimensions minimales prescrites ni par des constructions ult rieures ni par Se r f rer aussi l annexe de cet article Les portes des sorties prescrites l article 7 OLT 4 doivent tre praticables en tout temps et sans dan ger Elles font partie des voies de circulation ser vant de voies d vacuation en cas de danger Sauf si elles sont
53. e n cessaire peut se calculer par rapport la surface au sol comportant des postes de tra SECO avril 2009 417 1 Commentaire de l ordonnance 4 relative la loi sur le travail Art 17 Chapitre 2 Construction et am nagement des entreprises soumises la proc dure d approbation des plans Section 4 Eclairage et qualit de l air dans les locaux Art 17 Fen tres vail permanents En pareil cas les postes de travail ne seront am nag s que dans la zone des fen tres et non dans tout le local Les postes de travail per manents pr vus galement vers le centre de la halle ne pourront tre accept s que si une d ro gation au titre de l article 27 OLT 4 comprenant toutes les ventuelles mesures compensatoires est accord e Il est cependant recommand de plani fier aussi souvent que possible une surface de fe n tres suffisante pour tout le local Cela vitera des limitations en cas de changement ult rieur d affec tation Pour les sheds et les coupoles la surface vitr e prendre en consid ration est celle de l ou verture dans la toiture laissant passer la lumi re Des exemples se trouvent l illustration 417 1 La proportion de 1 8 est valable pour des vitrages 5 Surface pouvant tre prise en compte Illustration 417 1 Surface vitr e pouvant tre prise en compte pour des sheds et des vitrages z nithaux constitu s de verre vitre normalement tran
54. enceintes et des m res qui allaitent se trouvent dans le chapitre 5 de l OLT 1 Protection sp ciale des femmes et dans l ordonnance sur la protec tion de la maternit Ordonnance sur les activit s dangereuses ou p nibles en cas de grossesse et de maternit RS 822 111 52 SECO ao t 2006 334 1 Commentaire de l ordonnance 3 relative la loi sur le travail Chapitre 2 Exigences particuli res en mati re d hygi ne Art 35 Section 7 Vestiaires douches lavabos toilettes r fectoires locaux de s jour et premiers secours Art 35 Eau potable et autres boissons Article 35 Eau potable et autres boissons 1 De l eau potable sera disponible proximit des postes de travail Lorsque les conditions de travail l exigent les travailleurs doivent en outre pouvoir se procurer d autres boissons sans alcool 2 L eau potable et les autres boissons seront distribu es conform ment aux r gles de l hygi ne 3 l employeur peut limiter ou interdire la consommation de boissons alcoolis es Alin a 1 Un robinet d eau potable doit tre accessible proximit des postes de travail c est dire dans un rayon de moins de 100 m Pour les postes de travail en plein air ou sur les chantiers cette dis tance peut tre plus grande Dans ce cas il y a lieu d assurer diff remment la distribution d eau pota ble par exemple au moyen d eau potable ou mi n rale en bouteilles Si l on doit tra
55. et du moment des enregistrements elles pourront ainsi apporter la preuve que les travailleurs ne sont pas affect s dans leur sant ni dans leur libert de mouvement En conclusion tout syst me qui permet une sur veillance du comportement m me s il ne s agit pas de sa finalit est inadmissible moins que la protection de la sant ne soit garantie par une utilisation conforme aux principes nonc s L illus tration 326 3 indique la marche suivre pour d terminer si une installation de surveillance est ac ceptable A leur demande les autorit s d ex cution de la loi sur le travail auront acc s aux documents relatifs aux installations de contr le et de surveillance ainsi qu aux enregistrements SECO novembre 2007 326 5 lt gt Commentaire de l ordonnance 3 relative la loi sur le travail Art 26 Q Chapitre 2 Exigences particuli res en mati re d hygi ne Section 5 Surveillance des travailleurs Art 26 Syst me destin principa lement surveiller le com portement des travailleurs Ver Syst me install pour d autres raisons s curit des machines s ret non cambriolages contr le du fonctionnement d une installation pur contr le du rendement oui Syst me con u et dispos de fa on ne pas porter atteinte la sant et la libert du mouvement des travailleurs oui non Syst me modifier et
56. ex amiante dans les d chets de chantier SECO ao t 2006 431 1 Chapitre 3 Entreprises industrielles Art 32 Principe Article 32 Principe Commentaire de l ordonnance 4 relative la loi sur le travail Section 2 Proc dure d assujettissement D Va faits d terminants pour l assujettissement 1 l autorit cantonale recherche les entreprises et parties d entreprises qui r pondent la d finition de l entreprise industrielle et conduit la proc dure en vue de leur assujettissement aux prescriptions sp ciales concernant les entreprises industrielles 2La CNA est habilit e proposer l autorit cantonale l assujettissement d une entreprise 3 L employeur doit remplir l intention de l autorit cantonale un questionnaire renseignant sur les Les autorit s cantonales recueillent et v rifient les indications des entreprises dans le cadre de l ex cution de la LTr Elles recensent les entreprises qui remplissent les crit res d existence d une entrepri se industrielle La CNA SUVA peut adresser une proposition d assujettissement l autorit canto nale L employeur doit fournir l autorit cantonale des renseignements sur les faits d terminants pour l assujettissement projet en remplissant un ques tionnaire Il peut bien s r s exprimer cette occa sion sur l assujettissement Le droit d tre entendu lui est donc garanti SECO ao t 2009 432 1
57. grader signifi cativement le climat ambiant des locaux de travail De plus les effets calorifiques du rayonnement so laire direct par les fen tres sont importants et per turbent fortement le confort des travailleurs Il y a lieu d emp cher un rayonnement solaire ind sirable au travers de fen tres jours z nithaux etc par exemple par e des l ments pare soleil en fa ade e des stores e des films r fl chissants coll s sur les vitres ou des stores mont s entre les vitrages e des vitrages sp ciaux L illustration 320 1 montre des exemples d l ments pare soleil en fa ade Les l ments pare soleil permettent la vue sur l ex t rieur mais ne s adaptent pas forc ment toutes les situations Dans le cas de pare soleils fixes il y a lieu de veiller ce que la surface vitr e et la vue sur l ext rieur ne soient pas trop r duites L action des vitrages filtrants ne peut pas tre adap t e non plus Ils laissent traverser la lumi re du jour de mani re s lective c est dire qu ils retiennent plus fortement la partie non visible rayonnement IR du spectre solaire voir aussi les explications concernant l art 17 al 1 et 5 OLT 4 La solution qui offre le plus de flexibilit au re gard de la meilleure efficacit consiste utiliser des stores mont s l ext rieur protection contre blouissement et chaleur sinon ils ne font que r duire l blouissement Dans les r gions forte men
58. il est possible qu une tel le disposition soit contraire aux prescriptions d co nomie d nergie Alin a 6 La composition de l air dans des locaux occup s par des travailleurs ne doit pas tre pr judiciable leur sant Elle doit correspondre dans une large mesure celle de l air libre non pollu Les am nagements pour l a ration hauts jours fen tres en fa ade doivent permettre un bon re nouvellement de l air du local Lorsqu un local ne comporte pas de lanterneaux la distance entre le haut des fen tres et le plafond doit tre aussi pe tite que possible afin de permettre l a ration du volume proximit du plafond Des impostes au haut des fen tres conviennent pour l a ration per manente Les courants d air sont viter Toutes les installations de ventilation doivent pouvoir tre facilement utilis es depuis le sol Lorsqu un local est ventil artificiellement l exi gence des 3 m de surface ouvrante pour 100 m de sol n est pas valable On devrait malgr tout pr voir des panneaux ouvrants au moins 1 de la surface du sol pour une ventilation naturelle en cas d urgence vacuation de fum e panne de la ventilation Voir aussi l article 18 OLT 4 et les arti cles 16 20 OLT 3 SECO avril 2009 417 5 Commentaire de l ordonnance 4 relative la loi sur le travail Chapitre 2 Construction et am nagement des entreprises soumises la proc dure d approbation des plans Art 1
59. il peut s av rer n cessaire de disposer de deux vestiaires l un pour les v tements de ville l autre pour les v te ments professionnels Dans ce cas ces deux ves tiaires seront s par s par des douches Alin a 1 Les douches et les lavabos doivent se trouver dans les vestiaires ou proximit imm diate de ceux Ci Le nombre de lavabos robinets doit tre adapt au nombre de travailleurs les utilisant simultan ment et en fonction du degr de salissure du tra vail L exp rience a montr qu il faut compter un robi net pour 3 4 personnes manipulant des substan ces dangereuses pour la sant ou pour une ac tivit fortement salissante Pour des travaux peu salissants un robinet suffit pour 6 personnes En r gle g n rale les lavabos doivent tre aliment s en eau froide et chaude en suffisance L eau chau de doit tre mise disposition si cela est indispen sable pour un nettoyage convenable ou pour des raisons de protection de la sant par exemple en cas d encrassement par de l huile ou de la graisse ou de manipulation de mati res nocives Si les tra vaux sont peu salissants ou s il n existe pas d exi gences sp ciales en mati re de protection de la sant on pourra le cas ch ant renoncer l eau chaude Les produits de nettoyage savon brosse etc fournir seront adapt s la nature et au degr des salissures et ne devront ni ab mer ni irriter la peau Sur les chantie
60. impliquant la prise de mesures de protection appropri es Les organes d ex cution des cantons ou du SECO sont en mesure de fournir toutes informations compl mentaires Des donn es compl mentaires se trouvent dans les normes et publications Norme SN EN ISO 7730 2005 Ergonomie des ambiances thermiques D termination analy tique et interpr tation du confort thermique par le calcul des indices PMV et PPD et par des cri t res de confort thermique local Norme SN 520 180 2000 Isolation thermique et protection contre l humidit dans les b ti ments Norme SN 546 382 1 2007 Installations de ventilation et de climatisation Bases g n rales et performances requises Norme SN EN 13779 2007 Ventilation dans les b timents non r sidentiels Sp cifications des performances pour les syst mes de ventila tion et de climatisation Feuillet CNA 44021 Humidification de l air Liste de contr le CFST 6807 Maintenance des installations a rauliques installations PNE Flyer SECO Travailler l int rieur en p riode de forte chaleur Attention Norme EN 7243 1989 Ambianceschaudes es timation de la contrainte thermique de l homme au travail bas e sur l indice WBGT temp rature humide et de globe noir SECO mai 2011 316 7 Commentaire de l ordonnance 3 relative la loi sur le travail Chapitre 2 Exigences particuli res en mati re d hyg
61. l entr e ou la sortie de la douche e Un vestiaire commun comporte un risque accru d actes de harc lement sexuel e Selon le nombre de travailleurs et l am nage ment des horaires il faut compter avec des temps d attente Si l activit n est que peu salissante et que les tra vailleurs ne doivent pas changer de v tements par exemple pour le personnel administratif l utilisa tion de vestiaires ouverts communs aux hommes et aux femmes est tol r Leur but est de d poser les habits de ville La construction des vestiaires lavabos et toilettes pour handicap s sera adapt e leurs besoins La s paration des locaux par sexe n est g n ralement pas requise en raison du petit nombre de person nes Dans les entreprises occupant un grand nom bre de handicap s comme les ateliers prot g s la n cessit devra tre appr ci e de cas en cas 329 2 Commentaire de l ordonnance 3 relative la loi sur le travail Chapitre 2 Exigences particuli res en mati re d hygi ne Section 7 Vestiaires douches lavabos toilettes r fectoires locaux de s jour et premiers secours Art 30 Vestiaires Fi Art 30 Article 30 Vestiaires r Xe 1 Des installations en nombre suffisant et adapt es aux circonstances seront mises la disposition des travailleurs pour qu ils puissent s y changer et y d poser leurs v tements Ces vestiaires seront am nag s dans des locaux r serv s exclusivement
62. la non discrimination des personnes handicap es figurent dans des lois cantonales et peuvent con tenir des dispositions qui leur sont plus favorables En application de la loi sur l galit pour les han dicap s l acc s certaines constructions doit tre garanti La loi s applique notamment aux constructions et r novations de b timents accessibles au public soumises une autorisation d livr e par le canton Sont concern es les cons tructions et installations ouvertes un nombre ind termin de personnes ex gares caf s ci n mas mus es etc celles ouvertes un cercle d limit de personnes qui sont dans un rapport de droit sp cial avec la collectivit publique ex home cole etc ou dans lesquelles des presta taires de service offrent des prestations person nelles ex cabinets d avocats ou m decins aux b timents de plus de 50 postes de travail soumis une autorisation de construire o de r nover La norme SN 521 500 Construction adapt e aux personnes handicap es contient les recomman dations sp cifiques en la mati re En dehors des mesures de construction d autres dispositions peuvent s av rer n cessaires m me si elles ne sont pas pr vues juridiquement ce pro pos le guide L int gration professionnelle des personnes handicap es 1 comporte des recom mandations Une prise en compte suffisamment pr coce des exigences relatives aux personnes handicap e
63. les oscillations Les risques dus aux effets des oscillations sur l tre humain et les b timents doivent tre r duits autant que possible en tenant compte de l tat de la technique et des m thodes disponibles Dans la mesure du possible les mesures seront prises la source Les secousses peuvent tre non seulement nui sibles l tre humain mais galement aux b ti ments 2 2 Mesures techniques Les oscillations peuvent tre r duites d une part leur source p ex par l utilisation de proc d s de travail continus et progressifs plut t qu agissant par coups et d autre part par la r duction de la transmission l utilisateur p ex fixations lasti ques poign es et si ges antivibratoires montage des machines sur amortisseurs ainsi que par des mesures au niveau de la construction joints de di latation planchers et socles flottants 2 3 Mesures personnelles A l heure actuelle il n existe pas de protection per sonnelle efficace contre les vibrations Des gants de protection contre le froid devraient toujours tre port s lors de l utilisation d outils ou de ma chines transmettant des vibrations dans les mains ou les bras afin de pr venir des troubles de la cir culation sanguine Pour le reste il n existe que des mesures organisationnelles 322 8 Commentaire de l ordonnance 3 relative la loi sur le travail o Chapitre 2 Exigences particuli res en mati re d hygi ne
64. lt 60 C D j aujourd hui les substances chimiques peuvent tre classifi es selon les dispositions du nouveau r glement de l UE et cela deviendra obligatoire d s le milieu de 2015 45 2 Commentaire de l ordonnance 4 relative la loi sur le travail Chapitre 2 Construction et am nagement des entreprises soumises la proc dure d approbation des plans Section 5 Entreprises pr sentant des dangers particuliers Art 19 Entreprises pr sentant un danger particulier d incendie a Champ d application a Article 19 Entreprises pr sentant un danger particulier d incendie a Champ d application oxydants 1Les dispositions de la pr sente section s appliquent aux entreprises ou aux parties d entreprise dans lesquelles des mati res pr sentant un risque particulier d incendie sont produites transfor m es manipul es ou entrepos es de mani re dangereuse ou en quantit s dangereuses 2 Sont consid r es comme pr sentant un risque particulier d incendie les mati res suivantes a les mati res hautement inflammables facilement inflammables et combustion rapide b les mati res dont l chauffement lib re de grandes quantit s de gaz combustibles ou toxiques c les mati res comburantes comme l oxyg ne les compos s oxyg n s instables et autres Alin a 1 Un danger accru existe pour les travailleurs partout o des mati res particuli rement inflammables sont produites transfo
65. ne Section 6 Equipements individuels de protection et v tements de travail Art 27 Equipements individuels de protection AN Art 27 ZA e l aptitude travailler avec un masque peut tre compromise temporairement un travailleur at teint d une maladie pulmonaire passag re bron cho pneumonie pneumonie ou toux persistan te par exemple ne peut reprendre son travail avec un masque qu apr s l avis favorable du m decin du travail ou du m decin traitant Alin a 2 Pour des raisons d hygi ne il faut pr f rer des quipements individuels de protection person nels ce sera le cas pour les lunettes les protec teurs d ou e les casques les souliers de s curit et les sous v tements travaux particuli rement sales ou naus abonds Certaines protections sp ciales sont tellement on reuses qu elles doivent tre utilis es par plusieurs travailleurs Dans ce cas le choix se portera sur du mat riel d entretien facile de bonne qualit ne risquant pas de cr er des probl mes d hygi ne ou des allergies cutan es par exemple des masques en n opr ne plut t qu en caoutchouc Instruction et entretien Les travailleurs seront instruits sur l utilisation cor recte dur e d utilisation remplacement des filtres etc et l entretien des quipements individuels de protection de fa on qu ils soient utilisables en tout temps dans les conditions d hygi ne et de s cu rit requises Les manuels d inst
66. organismes ind sirables C est le cas en particulier des acariens qui constituent le facteur principal de l allergie la poussi re de maison Ces particules biologiques en suspension dans l air appel es galement bioa rosols peuvent provoquer des atteintes la sant des personnes par exemple al lergies et imposer des mesures L air est fr quemment tr s sec durant la p riode de chauffage Cela entra ne des sympt mes tels que gorge s che yeux rouges ou br lants ainsi que le dess chement et des desquamations de la peau Chez les personnes sensibles cela favorise la sur venance de conjonctivites ou indirectement une disposition accrue aux refroidissements du fait du dess chement des muqueuses Pour autant que le climat des locaux ne doive pas r pondre des exigences particuli res une humidification de l air n est g n ralement pas n cessaire cela galement 316 4 Commentaire de l ordonnance 3 relative la loi sur le travail Chapitre 2 Exigences particuli res en mati re d hygi ne Section 2 Eclairage climat des locaux bruits et vibrations Art 16 Climat des locaux 1 Art 16 di di en p riode de chauffage L exp rience montre en effet que les plaintes formul es l endroit d un air trop sec d nonc dans des locaux non humi difi s est souvent d d autres causes temp ra ture trop lev e renouvellement de l air excessif air surcharg en poussi re ou autres
67. position de travail inconfortable etc e facteurs sociaux et organisationnels portant sur des points tels que la structure de la commu nication et de la gestion ainsi que les relations sociales au poste de travail SECO mai 2011 302 A Annexe de hA Commentaire de l ordonnance 3 relative la loi sur le travail f Chapitre premier Dispositions g n rales l art 2 Art 2 Principe Exemples travail en quipes acceptation dans facteurs soci taux tels que la situation co l quipe poste de travail isol contacts avec la nomique et les normes culturelles client le coh sion au sein du groupe temps et Si certains de ces facteurs sont faciles modifier possibilit d avoir une communication directe par exemple l clairage d autres en revanche ne gestion des conflits le sont Facteurs de risques psychosociaux par ex surcharge de travail li e un manque de temps interruption du travail par des appels de clients pannes d ordinateur niveau sonore relativement lev Contrainte par ex pression 4 temporelle Pr dispositions individuelles tat actuel i confiance en ses comp tences tat g n ral Astreinte mentale L employ ressent la a pression temporelle Effets n gatifs pour la Effets positifs personne et pour l entreprise meilleure performance court terme fatigue stress moyen et long term
68. que certains syst mes sont toujours ill gaux une analyse de cas en cas est n cessaire 3 1 Int r t pr pond rant Il faut proc der la balance des int r ts en pr sen ce de cas en cas Parmi les int r ts de l entreprise figurent en particulier la s curit de travailleurs de tiers des donn es et le respect de la loi ex des ca sinos ayant l obligation d tre quip s de syst mes de vid o surveillance selon l art 3 de l ordonnance du DFJP sur les syst mes de surveillance et les jeux de hasard RS 935 521 21 Un int r t est pr pond rant lorsqu il d passe l in t r t li la bonne marche de l entreprise Autre ment dit il faut que la surveillance permette d carter des risques r els et assez lev es selon l exp rience g n rale On peut admettre qu une banque surveille par cam ras une salle des coffres par exemple car le risque de cambriolages est vi dent En revanche on ne tol rera pas que l arri re boutique d une librairie picerie o autre com merce proposant des articles sans grande valeur 326 2 Commentaire de l ordonnance 3 relative la loi sur le travail Chapitre 2 Exigences particuli res en mati re d hygi ne lt gt Section 5 Surveillance des travailleurs Art 26 Art 26 i soient surveill s par vid o De la m me fa on les guichets d une banque peuvent tre surveill s par vid o mais en principe pas les caisses d un super march
69. rieure 0 8 m n est admissible que pour la sortie de secours d un tage unique situ en sous sol art 7 alin a 3 OLT 4 Une largeur de porte plus grande peut aussi tre n cessaire p ex lorsque plus de 100 personnes occupent un local La norme de protection incen die de l AEAI art 47 et la directive AFAI de pro tection incendie 16 03 F chap 5 2 doivent tre respect es dans ce cas Alin a 3 La largeur n cessaire des portes corridors et ca ges d escaliers est indiqu e dans les articles 8 10 OLT 4 Elle correspond la largeur de passage libre de tout obstacle qu il s agisse d am nagements d armoires ou d appareils Pour assurer un fonctionnement des voies d va cuation sans encombres la largeur des sorties et leur hauteur rev tent une importance capitale La hauteur libre des portes doit tre d au minimum 2 00 m afin d viter de se cogner la t te au passa ge Lorsque la hauteur est inf rieure le linteau de vra tre muni d un rev tement en mousse haute densit les mousses haute densit sont plus du rables et r duisent moins la hauteur libre que les mousses faible densit Bibliographie Feuillet d information BPA Mb 9902 Portes et portails s rs Feuillet d information Suva CE04 4 f R glemen tation europ enne pour les portes Liste de contr le Suva 67072 f Portes et por tails Liste de contr le Suva 67157 f Voies d vacua tion R
70. sans mati re explosi ve et aux locaux de stockage de mat riaux inertes Alin a 4 Les locaux d exploitation ne doivent pouvoir tre salis p ex par de petits objets amen s de l ext rieur par des chaussures ou des moyens de trans port Les voies de circulation dans l enceinte de l entreprise et les acc s chaque b timent doivent donc tre munis d un rev tement excluant autant que possible ce risque Il ne s agit par cons quent pas d une mesure de protection de la sant mais d une mesure de s curit Alin a 5 La partie de l entreprise avec danger d explosion doit tre cl tur e Elle peut comprendre des par ties d entreprise ou des locaux sans danger d ex plosion L acc s au secteur avec danger d explo sion doit tre interdit aux personnes non autoris es interdiction d acc s Les parties d entreprise sans danger d explosion occup es par un grand nom bre de personnes telles que cantine b timent ad ministratif seront ad quatement plac s en dehors de la cl ture SECO novembre 2007 425 3 Commentaire de l ordonnance 4 relative la loi sur le travail P Chapitre 2 Construction et am nagement des entreprises soumises la proc dure d approbation des plans Art 26 Section 6 Directives et autorisations de d roger aux prescriptions Art 26 Directives Article 26 Directives g 1 12 Z Z Z Le Secr tariat d Etat l conomie office f d ral peut lab
71. un acousticien afin de ma triser les probl mes de bruit d une mani re efficace et conomique Pour toute indication concr te se r f rer la nor me europ enne prEN 31690 p ex programme informatique pour l tablissement d un pronostic des nuisances sonores 1 1 Effets sur l tre humain Les effets des nuisances sonores sur l tre hu main sont multiples et peuvent tre amplifi s par d autres influences Ces nuisances ont les deux effets principaux sui vants e Effets sur les organes de l ou e effets auditifs p ex l sions auditives dues au bruit e Effets sur l organisme en g n ral effets extra auditifs influences sur les organes et les syst mes d organes Les effets extra auditifs concernent le bien tre en particulier le syst me nerveux central troubles du sommeil etc le psychisme rendement concen tration nervosit agressivit etc et le syst me neurov g tatif pression art rielle irrigation san guine fr quence cardiaque syst me digestif m tabolisme r actions de stress etc 1 2 Valeurs limites et indicatives 1 2 1a Valeurs limites du bruit pr sentant un risque pour l ou e Se fondant sur l article 50 alin a 3 OPA la CNA a fix la valeur limite pour le bruit pr sentant un risque pour l ou e 85 dB voir le feuillet CNA 1903 Valeurs limites d exposition aux postes de travail chapitre 3 3 ondes sonores et vibrations 1 2 1b Va
72. vacuation dans des locaux en fonction du nombre de sorties et les cas dans lesquels un corri dor doit tre am nag entre la sortie d un local et une cage d escaliers 408 2 Commentaire de l ordonnance 4 relative la loi sur le travail Chapitre 2 Construction et am nagement des entreprises soumises la proc dure d approbation des plans Section 3 Passages Art 8 Voies d vacuation En r sum les principes suivants sont appliquer Voies d vacuation dans les locaux e max 20 m lorsqu il n y a qu une sortie e max 35 m lorsqu il y a 2 ou plusieurs sorties Longueur totale des voies d vacuation local corridor e max 35 m lorsqu il n y a qu une cage d es caliers ou sortie e max 50 m lorsqu il y a 2 ou plusieurs cages d escaliers ou sorties Pour plus de clart nous renvoyons aux illustra tions 408 1 et 408 2 Local K Couloir q ns gt Longueur totale du chemin de fuite La longueur totale du chemin de fuite se compose des deux parties local et couloir Dans un local avec une seule sortie la longueur du chemin de fuite ne doit pas d passer 20 m de longueur On ne ti
73. vit s dans les autres compartiments coupe feu ou locaux La direction de la d charge du souffle de l explo sion ainsi que les dimensions et la disposition des surfaces de d charge doivent tre d termin es de fa on garantir la s curit des personnes et de l environnement Les l ments de construction des surfaces de d charge doivent aussi souvent que possible tre am nag s du c t du b timent en face duquel ne se trouvent ni autres parties de l entreprise ni voies de circulation ni b timents ou routes l ext rieur de l enceinte de l entreprise Aucun poste de travail ne doit se trouver sur le tra jet de la d charge qui en outre ne doit entra ner aucune mise en danger imm diate des travailleurs ou du public Elle ne doit pas non plus avoir pour cons quence un danger accru pour des personnes du fait de d g ts aux b timents et installations voi sins La d charge de la pression se fait souvent au dessus du toit si possible au travers d un r cipient de s curit Les cons quences d une explosion sur l environnement et notamment sur le public doi vent tre analys es conform ment aux prescrip tions et la proc dure de l ordonnance du 27 f vrier 1991 sur la protection contre les accidents SECO ao t 2006 423 1 Commentaire de l ordonnance 4 relative la loi sur le travail Art 23 Chapitre 2 Construction et am nagement des entreprises soumises la proc dure d approbation de
74. 2 3 4 5 6 7 8 9 10 Dur e en minutes Illustration 323 1 Force corporelle dynamique et statique Force en fonction de l ge et du sexe force maximale de l homme 100 Illustration 323 2 Force corporelle dynamique et statique Dur e maximale d un travail musculaire statique en fonction de la force utilis e 323 2 Commentaire de l ordonnance 3 relative la loi sur le travail Chapitre 2 Exigences particuli res en mati re d hygi ne Section 3 Postes de travail Art 23 Exigences g n rales Q Ey Art 23 e Les dispositifs de commande outils ou pi ces doivent se trouver port e de main voir l illus tration 323 3 e Les poign es doivent tre con ues en respectant l anatomie et le fonctionnement de la main et tre adapt es la nature du travail e Si les travaux n cessitent une force musculaire importante on veillera assurer des postures de travail adapt es et cr er les appuis n cessaires Ainsi le d ploiement de force et les couples de ro tation seront aussi petits et simples que possible __ f cm 70 A Zone l Travail fr quent Zone ll Travail bref Zone Ill Travail occasionnel Tenir compte de la direction du mouvement faux OR juste 7 D veloppement favorable de la force D veloppement d favorable de la force Un d veloppement optimal de la force n est possible qu en direction du corps
75. 20 hmax 24 Profondeur des marches max 32 t 20 t em tmin 26 pin Angle d inclinaison d coulant de tga h t Dimensionnement 1 Formule de commodit t h 12 2 Formule de la mesure du pas t 2h 63 3 Formule de s curit t h 46 Tableau 409 2 Dimensions des escaliers 409 4 Commentaire de l ordonnance 4 relative la loi sur le travail Chapitre 2 Construction et am nagement des entreprises soumises la proc dure d approbation des plans Section 3 Passages Art 9 Art 9 Construction des cages d escaliers et des couloirs 90 Illustration 409 3 Pentes pour rampes escaliers et chelles Valeurs indicatives pour la hauteur h et la profondeur t des marches En outre l espace libre et la hauteur de la main courante sont importants pour la conception d un escalier Le tableau 409 2 montre les valeurs indi catives de la hauteur libre valeurs y z Pour une main courante d une hauteur de 1 m il y a lieu de respecter une distance de 90 cm x mesur e au nez des marches Partout o cela est possible il faut disposer une main courante de chaque c t de l escalier Pour les escaliers entour s de parois cette disposition est obligatoire partir d une lar geur de 1 5 m Les escaliers raides et les chelles escaliers voir ill 409 3 seront toujours pourvus des deux c t s d un garde corps ou d une main coura
76. 2006 311 1 Commentaire de l ordonnance 3 relative la loi sur le travail Chapitre 2 Exigences particuli res en mati re d hygi ne Section 1 B timents et locaux Art 12 Volume d air Art 12 i Article 12 Volume d air 1 Tout travailleur occup dans des locaux de travail doit y disposer d un volume d air minimum de 12 m3 ce volume d air sera d au moins 10 m3 lorsque la ventilation artificielle est suffisante 2 Les autorit s prescrivent un volume d air sup rieur lorsque l hygi ne l exige Alin a 1 Dans les locaux ventil s naturellement un volume d air minimum de 12 m3 par personne occup e en permanence dans ce local est prescrit Ce mini mum vaut pour les activit s effectu es en majeure partie en position assise et seulement pour autant que toutes les autres prescriptions de la pr sente ordonnance soient respect es En fonction de la p nibilit du travail les recom mandations minimales suivantes sont valables e 15 m3 en cas d activit exerc e principalement en position non assise e 18 m3 en cas d activit principalement physique En cas d a ration artificielle suffisante un volume d air d au minimum 10 m3 par personne doit tre disponible ce volume d air minimum se base sur un apport d air ext rieur d au moins 30 m3 h par per sonne en cas d activit exerc e majoritairement en ppm partie par million 1 000 ppm 0 1 vol position assise Cela permet galement de
77. 24 Entreprises pr sentant un danger d explosion c Nombre maximum de travailleurs installations d exploitation et quantit de mati res UZz Art 24 ss Article 24 Entreprises pr sentant un danger d explosion c Nombre maximum de travailleurs installations d exploitation et quantit de mati res Pour garantir la protection des travailleurs les autorit s d terminent pour certains secteurs selon la nature et la quantit de mati res explosibles et selon les proc d s de travail pos es d les mesures d organisation n cessaires a le nombre admissible de travailleurs qui y sont occup s b les installations d exploitation admissibles et leur conception c les quantit s admissibles de mati res pouvant tre produites transform es manipul es ou entre Il y a lieu de prendre des mesures de protection suppl mentaires lors de la construction et pour les installations d exploitation d entreprises et de par ties d entreprise pr sentant un grand danger Il doit tre tenu compte de la grande diversit des condi tions tant des entreprises que des proc d s Outre les exigences g n rales de s curit les explosions peuvent n cessiter des mesures suppl mentaires de nature technique ou organisationnelle voir les articles 22 et 23 OLT 4 et l introduction au chapitre 5 Dans ces cas les principes et mesures de s cu rit indiqu es ci apr s sont prendre en consid ration L
78. 3 Laboratoire de st rilisation R 13 V6 GS 4 7 4 Locaux de pr paration des l gumes R 12 V4 GS 3 Tableau 314 5b Zones de travail pr sentant un danger de glissade suite 314 8 Commentaire de l ordonnance 3 relative la loi sur le travail Chapitre 2 Exigences particuli res en mati re d hygi ne Section 1 B timents et locaux Art 14 Sols Art 14 Zones de travail pr sentant un danger de glissade Locaux humides de pr paration de denr es alimentaires et de boissons non mentionn s s par ment dans ce tableau Appr cia ns tion selon VE0 aire DIN 51130 Selon DIN 51130 Appr cia tion selon bpa EMPA Caves d entreposage caves de fermentation Embouteillage de boissons fabrication de jus de fruits Cuisines offices Cuisines gastronomiques cuisines d h tels et de restaurants Cuisines grandes cuisines Offices Locaux frigorifiques et de cong lation entrep ts frigorifiques Locaux de distribution et de surfaces de vente R ception des marchandises carn es et de poisson Couloirs de service pour secteur viande et charcuterie Couloirs de service pour secteur poissonnerie Local de pr paration des viandes Espaces floraux et locaux de pr paration des fleurs coup es Espaces de vente avec four de boulangerie Espaces de vente avec friteuses ou grils fixes Locaux de vente de denr es alimentaires
79. 333 R fectoires et locaux de s jour 333 Places de repos 333 Possibilit de s asseoir 333 Service de permanence 333 Travail de nuit ou par quipes 333 R glement d entreprise 310 R introduction de l air 318 Remise en tat 317 ResQ 336 Rendu des couleurs 315 Repose pieds 323 324 Repr sentants des travailleurs 306 339 427 R sistance au feu 408 409 420 R vision de la loi sur le travail 1998 AP S Sant physique 302 305 Sant psychique 302 305 Secousses 322 322 S parateurs sec 418 S paration par sexes 329 332 Service de permanence 333 Service de piquet 333 Service sanitaire 336 Si ges 323 324 Si ges de travail 323 324 Signalisation 315 410 Signaux cadrans de d affichage 323 Sollicitations 325 Sols 314 Caract ristiques des rev tements 314 Construction des sols 314 Emplacements secs 314 Rev tements de sols 314 Son a rien 322 Son solidien 322 Sonom tres 322 Sorties 407 408 Sorties de secours 407 408 Sorties donnant sur l ext rieur 407 Sorties du local 408 Souillures importantes 328 331 Soulever 325 Source d allumage 422 Sous sols 315 407 408 Sp cialistes 302 304 307 323 336 Sp cialistes de la s curit au travail 307 336 Sp cialistes ext rieurs 302 307 Stands de vente en plein air 321 Substances nuisibles 318 328 Substances nuisibles la sant 308 328 330 Locaux sociaux 329 330 331 V tements 327 328 330 Substances organiques 311 Superfici
80. 413 2 Commentaire de l ordonnance 4 relative la loi sur le travail Chapitre 2 Construction et am nagement des entreprises soumises la proc dure d approbation des plans Section 3 Passages Art 14 Quais de chargement Article 14 Quais de chargement Art 14 pour wagons de chemins de fer On am nagera un espace de s curit d au moins 80 cm de haut et 80 cm de profondeur sous toute la longueur des quais de chargement pour wagons de chemins de fer lorsqu ils d passent 10 m de long et que leur hauteur calcul e depuis l ar te sup rieure des rails exc de 80 cm Il peut arriver que des personnes trang res au personnel de man uvre se tiennent sur des voies ferr es devant un quai o entre plusieurs quais de chargement Ces personnes doivent pouvoir se mettre hors d atteinte de wagons en mouvement C est pourquoi pour les quais de plus de 10 m de longueur et dont la hauteur exc de 80 cm partir de l ar te sup rieure des rails il faut soit am nager un espace de s curit voir ill 414 1 soit cons truire ces quais en encorbellement voir ill 414 2 Pour les quais existants on peut poser un marche pied voir ill 414 3 afin de permettre de monter ais ment des voies sur le quai Afin de r duire le risque de chute que constitue le bord des quais ouverts il est important de le ren dre clairement visible par une bande peinte en jau ne et noir Comme pour les voies ferr es voir les dir
81. AISS Case postale 1 1211 Gen ve 22 Www issa int E mail issa ilo org Association suisse des invalides Procap Diffusion Association Suisse des Invalides Case postale 2500 Bienne 3 www procap ch Association suisse des sanitaires d entre prises ASSE Diffusion Oberseemattweg 1 6403 K ssnacht www svbs asse ch Association suisse pour la lumi re SLG anciennement Union suisse pour la lumi re Diffusion Schweizer Licht Gesellschaft SLG Postgasse 17 Postfach 686 3000 Berne 8 www sig ch Bureau suisse de pr vention des accidents bpa Diffusion bpa Laupenstrasse 11 3008 Berne http shop bfu ch Caisse nationale suisse d assurance en cas d accidents CNA Diffusion CNA Division S curit au travail Case postale 6002 Lucerne WWwWw suva ch SECO novembre 2011 Biblio graphie Commentaire des ordonnances 3 et 4 relatives la loi sur le travail Bibliographie Comit europ en de normalisation CEN Diffusion Www cenorm org Association suisse de normalisation SNV B rglistrasse 29 8400 Winterthour WwWw snv ch Commission des experts pour la s curit dans l industrie chimique de la Suisse CESICS Diffusion CNA Division s curit du travail Section chimie Fluhmattstrasse 1 6002 Lucerne Www escis ch Commission lectrotechnique internationale CEI Diffusion IEC Central Office 3 rue de Varemb
82. Dans la mesure du possible ces postes seront le plus pr s possible de fen tres de mani re qu ils aient un clairage naturel suffisant e pour les surfaces en sous sol il y a lieu de favo riser autant que possible un clairage naturel au moins partiel par des coupoles lucarnes ou puits de lumi re m me si cette mesure ne compense pas l absence de vue sur l ext rieur e toutefois la situation de certaines surfaces com merciales s oppose la r alisation des solutions pr conis es Dans de tels cas un projet pourra tre accept exceptionnellement pour ne pas compromettre l quilibre global du tissu urbain apr s n gociation de mesures compensatoires destin es viter au personnel les probl mes li s au confinement Il est notamment question ici des centres commerciaux sous les gares les a roports et les stades e la transformation d un sous sol de stockage en surface de vente est traiter comme une nouvel le construction car la conception initiale des lo caux ne r pond pas la nouvelle utilisation ven tilation clairage am nagement int rieur etc Constructions existantes L adaptation des locaux existants ne va pas sans difficult s raison pour laquelle nous fixons les principes suivants e l ouverture de certaines fen tres obstru es ce qui est souvent le cas des magasins situ s au centre ville apporte un clairage naturel partiel et la vue sur l ext rieur Le cas ch ant
83. En outre il faut galement tenir compte de la lon gueur des chemins de fuite conform ment l art 8 OLT 4 Il est donc possible que le nombre de ca ges d escaliers ou de sorties n cessaires soit plus lev selon la disposition des locaux et des cou loirs La surface d tage d terminante pour le calcul du nombre de cages d escaliers et de sorties est la surface utile limit e par les parois ext rieures d un b timent Il y a donc lieu d utiliser les dimen sions int rieures de l enveloppe du b timent En revanche la surface occup e par des cloisons in t rieures ne doit pas tre d duite puisque celles ci influencent directement la conception des voies d vacuation cf exemple tableau 407 1 Cependant le nombre d finitif de voies d vacua tion ne sera d termin que par la disposition et la situation des cages d escaliers ou des sorties selon Combles 2 tage Sortie par er une cage Sortie de 1 etage d escaliers secours Rez de chauss e 1 Sous sol min 0 80 m lb Combles 2 tage Sortie par une cage 1_ tage d escaliers Sortie de Rez de chauss e secours 1 sous sol 2 sous sol Illustration 407 2 Sortie de secours d un tage situ en sous sol Art 7 e l article 7 alin a 4 OLT 4 situation aux extr mit s des b timents et e l article 8 OLT 4 voies d vacuation ill 408 2 408 6 Il est n ce
84. La plupart des voies d vacuation sont aussi des voies d ac c s pour les quipes d intervention internes et ex ternes pompiers samaritains il faut donc in t grer dans le concept d vacuation les exigences n cessaires d intervention en fonction d v ne ments dont on ne peut exclure la probabilit sation sans risque d accident doit tre garantie Les entreprises artisanales ou industrielles peuvent pr senter des conditions particuli res en ce qui concerne l emplacement et les caract ristiques des voies d vacuation pour des raisons de s curit de protection de la sant ou de technique de produc tion voir entre autres l article 24 alin a 4 OLT 3 C est le cas par exemple dans les grands com plexes de fabrication les grands entrep ts ou les grandes installations SECO f vrier 2008 408 1 Commentaire de l ordonnance 4 relative la loi sur le travail Chapitre 2 Construction et am nagement des entreprises soumises la proc dure d approbation des plans Art 8 Ces conditions particuli res requi rent de cas en cas une appr ciation par les autorit s La s curit des travailleurs doit aussi y tre garantie globale ment par des mesures compensatoires Il est n cessaire pour appliquer uniform ment les pres criptions de consulter les chapitres 3 Exigences particuli res Conditions particuli res du pr sent commentaire ainsi que ceux des articles 7 et 9 OLT 4 2
85. Les parties aveugles seront toujours limit es des locaux pr cis et l effectif affect dans ces locaux devra tre r duit au nombre minimum 1 Existence d une exigence technique Il s agit d apporter la preuve d une part de l exis tence d une exigence technique et d autre part de l inexistence de toute autre possibilit privil giant l clairage naturel On peut d montrer cela notamment pour e l isolation chambres froides et de cong lation On fera la diff rence entre les chambres froides et de cong lation lt 0 C et les locaux frigorifi ques Dans ces derniers la pr sence de fen tres est galement inopportune conomie d ner gie N anmoins on veillera y garantir un con tact visuel avec l ext rieur dans les secteurs o des personnes sont occup es pendant un temps prolong e a protection contre des influences ext rieu res locaux de mesure et de contr le A titre d exemple citons certains laboratoires de mesure de l Office f d ral de m trologie METAS SECO novembre 2009 315 7 Commentaire de l ordonnance 3 relative la loi sur le travail Art 15 v ZS Chapitre 2 Exigences particuli res en mati re d hygi ne Section 2 Eclairage climat des locaux bruits et vibrations Art 15 Eclairage qui exigent une atmosph re stable temp ratu re humidit vibrations clairage les studios de radio ou de t l vision bruit vibration clai rag
86. On trouvera de plus amples informations sur le site internet de l Office f d ral de la sant publique OFSP Alin a 1 Les ouvertures de ventilation doivent en r gle g n rale atteindre au moins 3 de la superficie des locaux Dans les locaux ventil s naturellement les fen tres en fa ade et les jours z nithaux doivent tre dis pos s de fa on permettre une l g re ventilation permanente et un renouvellement rapide de l air Ce dernier ne peut tre r alis qu avec un flux d air traversant le local de part en part On veillera tou tefois ne pas provoquer une trop grande d per dition de chaleur pendant la saison froide car elle cause d une part un manque de confort et d autre part des pertes d nergie L air chaud plus l ger que l air froid monte des ouvertures r glables am nag es dans la par tie sup rieure des locaux faciliteront donc l a ra tion permanente L a ration compl te de locaux lev s sera r alis e au moyen de jours z nithaux de sheds ouvrants ou par des fen tres en fa ade montant jusqu au plafond Pour viter la formation de courants d air on veille ra soigneusement la disposition des ouvertures d amen e d air En hiver particuli rement les cou rants d air peuvent galement tre cr s par des parois froides ou des fen tres de grande surface Le fonctionnement de toutes les ouvertures ou autres installations d a ration doit pouvoir tre command facilem
87. Portes et sorties situ es sur les voies d vacuation 5 Illustrations de syst mes d ouverture Sch ma Description 5 1 Porte battant s s ouvrant dans le sens de la fuite avec serrure comportant une fermeture d urgence L actionnement de l l ment man uvrable sur la face int rieure lib re toujours tous les l ments de A 4 fermeture de la porte bec de cane et 5 g che 5 2 7 Porte battant s s ouvrant dans le sens de la fuite avec barre antipanique Syst me privil gier lorsque le nombre d occupants est important La pression sur la barre antipanique lib re toujours tous les l ments de fermeture de la porte bec de cane et g che 5 3 Porte battant s s ouvrant dans le sens de la fuite avec verrouillage lectromagn tique ou lectrom canique 7 D verrouillage par actionnement d un bouton poussoir avec ou sans l ment man uvrable Voir aussi illustration 7 La porte s ouvre par simple pouss e sur le battant ou par actionnement de l l ment man uvrable ou 5 4 Porte battant s s ouvrant dans le sens de la fuite avec syst me Exit Controller 3 L actionnement du syst me Exit Controller d clenche une PET ZZ Se J E 410 H Commentaire de l ordonnance 4 relative la loi sur le travail Chapitre 2 Construction et am nagement
88. Principes 2 1 Alin as 1 et 2 Sont consid r es comme voies d vacuation aussi bien les voies de circulation int rieure pi tons et v hicules que celles sp cifiques ne servant qu en cas d urgence De m me sont consid r es comme sorties de se cours aussi bien les sorties utilis es en exploitation normale que celles utilis es uniquement en cas d urgence Lors de l am nagement de voies d vacuation et de secours il y a lieu de pr ter une attention parti culi re aux points suivants e Les voies d vacuation et les sorties de secours seront en nombre suffisant et les distances de fuite ne seront pas d pass es e Les voies de circulation servant galement de voies d vacuation resteront toujours d gag es e Les sols des voies d vacuation ne seront pas glis sants ni ne comporteront d obstacles pouvant pr senter des risques de chutes e Les voies d vacuation conduiront directement l ext rieur dans une cage d escaliers ou dans un endroit s r e Par voies d vacuation on entend galement les acc s r serv s aux actions de sauvetage qui de vront pouvoir tre utilis s en toute s curit e Les voies d vacuation telles que cages d esca liers escaliers ext rieurs et corridors devront pouvoir tre emprunt s en cas de propagation de fum e Section 3 Passages Art 8 Voies d vacuation 2 2 Alin a 3 La longueur maximale des voies d vacuation est d finie l alin a 3
89. Si un syst me GPS permettant de d terminer avec pr cision la localisation peut certaines condi tions tre admis pour des chauffeurs charg s de transport de fonds il n est pas admissible pour des monteurs par exemple De mani re g n rale l int r t d une entreprise viter que les travailleurs ne commettent de d lits ne justifie pas lui seul l installation d un syst me de surveillance du comportement c est dire la surveillance d taill e Ceci vaut galement pour l int r t de l entreprise assurer un rendement optimal Dans le cas o une surveillance par vid o ou micro par exemple est souhait e pour d couvrir les auteurs de d lits cet int r t n est pas donn non plus d une part les travailleurs doivent tre inform s de l installation de l quipement de sur veillance ce qui implique que les abus ne se re produiront pas D autre part si l employeur passe outre son obligation d avertir les travailleurs et d couvre les auteurs d un d lit au moyen d un sys t me de surveillance illicite il aurait recueilli les donn es ill galement de ce fait ces donn es ne seraient en principe pas recevables titre de preuve dans une proc dure p nale 3 2 Proportionnalit Le principe de la proportionnalit est respect lors que l int r t en pr sence l emporte sur l int r t du travailleur la protection de sa personnalit et que le m canisme de contr le est install de ma ni re
90. Soci t suisse des ing nieurs en tech nique du b timent SICC Diffusion SICC Solothurnstrasse 13 3322 Sch nb hl www swki ch Verein Deutscher Ingenieure VDI Diffusion Beuth Verlag GmbH Burggrafenstr 6 10787 Berlin www beuth de 4 Bibliographie Association fran aise de normalisation AFNOR Norme exp rimentale X35 109 Limites accep tables de port manuel de charges pour une per sonne Paris 1989 Bokranz R und andere Einf hrung in die Ar beitswissenschaft Verlag Eugen Ulmer Stutt gart 1991 Ducret V ronique Fehlmann Chlo Harc le ment sexuel La r alit cach e des femmes au travail Editeur Bureau f d ral de l galit entre femmes et hommes en collaboration avec le Bureau de l galit des droits entre homme et femme Gen ve Berne 1993 Diffusion OFCL no de commande 301 943 f Fritz Max La loi sur la participation Union centrale des Associations patronales suisses Zurich 1994 Grandjean Etienne Physiologische Arbeitsgestal tung Leitfaden der Ergonomie 4 berarbeitete und erg nzte Auflage Ott Verlag Thun 1991 Guide d utilisation Instrument d valuation Risques pour l appareil locomoteur SECO Conditions de travail 3003 Berne Diffusion OFCL no de commande 710 070 f ou t l char gement sous www seco admin ch Imboden Rhinow Schweizerische Verwal tungsrechtsprechung Basel und Stuttgart 1986 Kirchner Rohmert
91. a 3 c est dire que ces plans peuvent tre transmis apr s les autres mais de toute fa on avant la r alisation des installations concern es Les plans requis l alin a 1 sont n cessaires l va luation des aspects de construction en particulier sorties de secours hauteur des locaux surface des fen tres C est l chelle 1 100 qui s est r v l e la plus commode pour effectuer cette valuation l alin a 3 fixe que l emplacement des postes de travail et des machines doit appara tre sur les plans Ceci permet notamment de faire une pre mi re valuation en ce qui concerne e la lumi re e la vue sur l ext rieur et e la disposition des postes de travail l alin a 3 pr voit galement que diverses installa tions techniques doivent appara tre sur les plans Il s agit en majorit d installations qui soit requi rent une autorisation suppl mentaire soit dont le dossier doit galement tre pr sent la CNA SECO ao t 2006 438 1 Art 39 Etat descriptif Article 39 Commentaire de l ordonnance 4 relative la loi sur le travail Chapitre 4 Approbation des plans et autorisation d exploiter Section 1 Proc dure d approbation des plans Etat descriptif sion prendre le processus de fabrication N portes et fen tres Q D p rim tre de l entreprise nocives Ne 1 L tat descriptif sera pr sent en deux exemplaires et contiend
92. ac c s individuel Ces syst mes doivent pouvoir tre utilis s en tout temps comme voie d vacuation et de ce fait en satisfaire l objectif de s curit Voir illustration 9 1 Il importe que ces portes puissent tre ouvertes rapidement depuis l int rieur sans moyens auxi aires et qu elles s ouvrent sur toute leur largeur Portes d vacuation dans les chambres froides Les chambres froides doivent tre con ues se lon les normes SN 253 130 Installations frigo rifiques et SN EN 378 1 Syst mes de r frig ration et pompes chaleur elles rempliront aussi les objectifs de s curit sp cifi s dans la pr sente ordonnance I faut s assurer que le gel n entrave pas l ouver ture des portes Raison pour laquelle il est n cessaire d am nager une porte de service battant s s ouvrant dans le sens de la fuite d au minimum 90 cm dans la porte coulissante ou proximit imm diate Cette mesure s av re n cessaire d autant plus si le chauffage du cadre des portes ne fonctionne pas car la con densation due l humidit risque de geler et d entraver l utilisation normale des portes Ces portes de service battant s doivent pou voir tre man uvr es facilement y compris avec des gants et en cas de d faillance de l clairage normal fermetures antipanique par exemple 410 D Commentaire de l ordonnance 4 relative la loi sur le travail Chapitre 2 Construction et
93. adapt aux travail leurs et la nature de leur activit On veillera atteindre le maximum de confort possible des co ts raisonnables En pr sence d impuret s de l air dues des mat riaux de construction des processus de production ainsi qu d autres substances des mesures de pr vention d limination et de dilution doivent tre prises afin de les rendre ni nocives ni incommo dantes Au besoin une surveillance est mettre en place Des explications plus compl tes ce sujet sont fournies l article 18 de l OLT 3 Le climat des locaux est d termin principalement par la composition de l air sa temp rature son hu midit sa vitesse la temp rature des surfaces d limitant les locaux ainsi que les installations et les objets qui s y trouvent Le confort des personnes occup es dans un local d pend troitement du genre d activit qu elles exercent et de leur habille ment Il n est pas possible de fournir des donn es pr cises pour chaque facteur influen ant le climat d un local de mani re y garantir un bien tre maximal cela dans la mesure o tous ces para m tres interagissent et que les combinaisons per mettant d obtenir un bon confort sont multiples Un climat d favorable r duit les performances physiques et intellectuelles Quelqu un qui a trop chaud ou trop froid est moins productif Ainsi par la canicule et une temp rature int rieure d environ 30 C on estime la diminution
94. air r introduit Des moyens de sur veillance de mesure ou de calcul prouveront qu il ne peut se former des concentrations de polluants nuisibles la sant des travailleurs Indication concernant la protection des non fumeurs au travail La protection des non fumeurs au travail est r gl e dans la loi f d rale et l ordonnance sur la protec tion contre le tabagisme passif2 On trouvera de plus amples informations sur le site internet de l Office f d ral de la sant publique OFSP 1RS 818 31 2RS 818 311 Alin a 1 En premier lieu les substances et les proc d s pol luants seront remplac s par d autres substances moins nuisibles moins incommodantes ou par des proc d s moins polluants Dans le cadre de leurs obligations g n rales art 3 10 OPA et 3 9 OLT 3 les entreprises d terminent les dangers pour la s curit et la sant de leurs travailleurs et prennent les mesures n cessaires conform ment aux r gles de l art recon nues On respectera le principe STOP substitu tion solution technique mesure organisationnelle quipement de protection individuelle lors du choix des mesures de protection La mesure la plus efficace est l utilisation de syst mes ferm s p ex isolateurs isolation totale des sources avec vacuation s par e de l air vici Ces syst mes sont n cessaires en cas de manipula tion de substances dangereuses pour la sant S il s av re impossible de les u
95. am nagement des entreprises soumises la proc dure d approbation des plans Section 3 Passages Art 10 Portes et sorties situ es sur les voies d vacuation 3 Type de portes r gles observer pour satisfaire l objectif de s curit Pour plus de pr cisions ce sujet il y a lieu de se r f rer aux r gles suivantes Feuillet d information BPA Mb 9902 Portes et portails s rs Feuillet d information Suva CE04 4 f R glemen tation europ enne pour les portes Liste de contr le Suva 67072 f Portes et por tails Liste de contr le Suva 67157 f Voies d vacua tion La prise en compte des points suivants par types de portes conduit sans se r f rer des cas pr cis la r alisation de l objectif de protection 3 1 Largeur de la porte La largeur de la porte est fix e par l art 10 al 2 OLT 4 La largeur libre doit tre d au moins 0 9 m Cette largeur minimale d ouverture de la porte s applique tous les passages situ s sur les voies d vacuation y compris aux l ments de por tes battants pivotants swing out et l l ment des portes pliantes et des portes coulissantes qui s ouvre vers l ext rieur 3 2 Portes battant s Les portes battant s s ouvrant dans le sens de la fuite ne sont s res que si on prend les mesures or ganisationnelles et ou techniques appropri es on doit notamment garantir que leur zone d ouver ture demeure exemp
96. am Arbeitsplatz Minderung der Exposition durch luftfremde Stoffe und 3929 Erfassen luftfremder Stoffe n existent qu en allemand et en anglais dans la norme suisse et europ enne SN EN 689 Atmosph res des lieux de travail Conseils pour l valuation de l exposi tion aux agents chimiques aux fins de comparai son avec des valeurs limites et strat gie de mesu rage et dans la brochure de l INRS Principes g n raux de ventilation 318 4 Commentaire de l ordonnance 3 relative la loi sur le travail Chapitre 2 Exigences particuli res en mati re d hygi ne Section 2 Eclairage climat des locaux bruits et vibrations Art 20 Ensoleillement et rayonnement calorifique i Art 20 Article 20 Ensoleillement et rayonnement calorifique Les travailleurs doivent tre prot g s contre tout ensoleillement excessif et contre tout rayonnement calorifique excessif provoqu par des installations d exploitation ou des proc d s de travail Rayonnement solaire Des endroits ombrag s un habillement ad quat coiffure voire une cr me solaire doivent prot ger les travailleurs en plein air d un ensoleillement ex cessif On tiendra compte des diff rences de sen sibilit des travailleurs Dans la plupart des cas les personnes concern es peuvent se prot ger suffi samment en adaptant leur tenue de travail Le rayonnement solaire au travers des fen tres et par r flexion sur des parois peut d
97. assurer le respect des prescriptions d hy gi ne et ordonner les mesures n cessaires Ils sont tenus de s informer r ciproquement et d infor mer leurs travailleurs respectifs des risques et des mesures prises pour pr venir ces derniers 2 L employeur doit express ment attirer l attention d un tiers sur les exigences en mati re d hygi ne a de concevoir de construire de modifier ou de remettre en tat des installations b de livrer des installations et des appareils techniques ou des mati res dangereuses pour la sant c de planifier ou de concevoir des proc d s de travail L OPA contient une disposition analogue pour la pr vention des accidents et des maladies profes sionnelles art 9 OPA Alin a 1 Il arrive souvent que des travailleurs de diff ren tes entreprises exercent simultan ment leurs activi t s dans un espace relativement exigu Ce faisant ils peuvent se mettre r ciproquement en danger Cette situation est fr quente par exemple lors de travaux de montage ou d entretien lors de trans formations ou sur des chantiers Les diff rents em ployeurs concern s respectivement leurs repr sentants sur place chef de chantier contrema tre ing nieurs chefs monteurs etc sont charg s de coordonner les travaux de telle sorte que les ris ques pour la sant soient connus de tous et r duits au minimum Ils devront galement tablir un concept d urgence et de premiers secours en cas d acci
98. au travail Les exigences aux diff rents postes de travail dans les locaux et aux installations environnants sont souvent contradictoires et doivent satisfaire des contraintes diff rentes bruit climat Les tra vailleurs peuvent s en trouver incommod s pour des raisons techniques o dues une mauvaise planification Les crit res d ergonomie et d hygi ne d termi nants pour l appr ciation de ces g nes sont d crits dans les articles 15 24 de OLT 3 Les mesures de protection des travailleurs peuvent tre constitu es par des s parations et des cloi sons des enceintes ferm es des isolations etc Il y a lieu de pr voir de telles mesures e lors de charges sonores sup rieures aux valeurs indicatives pour l activit exerc e voir ce su jet le commentaire relatif l art 22 OLT 3 chif fre 1 2 3 e lors d impulsions sonores r p t es martelage coups d tonations ressenties comme g nantes par la plupart des personnes concern es e dans tous les locaux qui exigent des conditions de temp rature d humidit et d hygi ne diff rentes salissures germes etc e dans les locaux ayant un climat d favorable par exemple temp rature trop basse lorsque les postes de travail sont occup s plus de 2 heures par jour ou si des travaux fins activit de mesure ou de contr le requ rant de grandes exigences doivent tre entrepris p riodiquement voir ce sujet les art 16 21 O
99. brun ou le violet donnent une impres sion de rapprochement des distances On y renon cera donc autant que possible Art 15 OLT 3 Eclairage l clairage artificiel sera r alis d une mani re optimale pour les d tails voir le commentaire de l art 15 al 1 et 2 OLT 3 l clairage tant un domaine particuli rement complexe cette condition ne devrait tre remplie que par l appel de sp cialistes de l clairage pla nificateur d clairages int rieurs concepteur lu mi re etc Les lampes seront choisies avec un indice de rendu des couleurs IRC sup rieure 90 sauf si la nature du travail ex cuter n cessite d autres conditions Ces lampes sont consid r es comme une lumi re spectre complet car elles peuvent clairer un objet de la m me fa on que la lumi re naturelle La tem p rature de couleur K qui caract rise la couleur apparente de la lumi re mise par une source de vra tre adapt e aux postes de travail Art 16 17 et 18 OLT 3 Climat des locaux ventilation pollution de l air les conditions climatiques doivent tre agr ables Des signaux acoustiques et optiques annonceront tout dys fonctionnement de la climatisation L air vici sera vacu efficacement Art 22 OLT 3 Bruit et vibrations de prime abord le bruit et les vibrations n ont pas de rap port direct avec la lumi re Mais si l on ajoute ces d sagr ments ceux dus au confinement des lo caux les condition
100. conception de voies ferr es internes l entreprise Recommandation ASL no 206 1 La r sistance et la construction des rails aiguilles et plaques tournantes ainsi que leurs fondations seront calcul es et construites en fonction du ma t riel roulant pr vu afin d assurer une parfaite s curit du trafic Il faut emp cher que les v hicules ne s branlent tout seuls qu ils ne d passent les extr mit s des rails et que les plaques tournantes et les ponts transbordeurs ne se d placent inopin ment Alin a 1 Cet alin a d termine les espaces de s curit qui doivent tre respect s pour viter qu une person ne ne soit happ e par des v hicules ferroviaires en mouvement L espace est plus grand lorsque des SECO ao t 2006 413 1 Commentaire de l ordonnance 4 relative la loi sur le travail Chapitre 2 Construction et am nagement des entreprises soumises la proc dure d approbation des plans Art 13 personnes trang res la man uvre des v hicules peuvent se trouver proximit alors qu un espa ce plus restreint peut tre accept pour le person nel sp cialement form pour la man uvre voir ill 413 1 Section 3 Passages Art 13 Voies ferr es Alin a 2 Cet alin a rappelle que les moyens d assurer les l ments ferroviaires ne doivent pas constituer un obstacle pour la circulation des personnes et des v hicules routiers dans les zones de circulation g n rale
101. contre l incendie prescriptions de pro tection incendie de l AEAI e l ordonnance sur la pr vention des accidents et des maladies professionnelles OPA Les d finitions figurant ci apr s sont valables pour les explications qui suivent Les escaliers sont des voies verticales de pas sages principaux et d vacuation Ils compren nent e les cages d escaliers escaliers int rieurs e les escaliers ext rieurs l air libre e les cages d escaliers de s curit Ils doivent aboutir des sorties donnant direc tement sur l ext rieur 1 Les cages d escaliers doivent aboutir des sorties donnant directement sur l ext rieur Les voies d vacuation prescrites l galement selon l alin a 2 doivent toutes avoir les m mes dimensions minimales Cela signifie qu il ne doit pas y avoir de diff rence entre les sorties escaliers normaux et escaliers de secours Les sorties de secours partir d un sous sol se lon l alin a 3 constituent la seule exception Dans ce cas une largeur de 80 cm pour les portes de sortie et les escaliers peut tre ad mise SECO f vrier 2008 407 1 Art 7 Les cages d escaliers de s curit sont des cages d escaliers pr sentant une plus grande r sis tance au feu art 52 de la norme de protection incendie de l AEAI elles doivent notamment respecter les exigences de la directive AEAI 16 03 F Voiesd vacuationetdesauvetage 2 Principes
102. corporelle in terne sup rieure 37 8 C En principe ce type de travail n est pas adapt pour les personnes de plus de 50 ans sauf si elles sont suivies r guli rement sur le plan m dical Les personnes soumises des charges thermiques extr mes comme le travail en galeries souterraines o la temp rature lithos ph rique est lev e ou de lutte contre l incendie devront subir obligatoirement une visite m dicale d aptitude Le travail en ambiance chaude est sou vent li au travail en quipes et par cons quent une contrainte suppl mentaire Le cumul de ces contraintes doit tre pris en compte dans l appr ciation de tels postes de travail Une acclimatation lente et le fait de boire en suffi sance contribuent une diminution des contrain tes li es la chaleur L acclimatation n intervient qu apr s deux semaines de travail comprenant une exposition constante la chaleur L acclimatation la chaleur augmente la sudation et diminue la s cr tion de sel Ce ph nom ne d adaptation dis para t toutefois apr s une courte interruption de l exposition la chaleur 50 en une semaine et 100 en trois semaines En r gle g n rale tous les travaux sous une cha leur intense sont r duire leur plus strict mini mum Dans les entreprises o un fort d gagement de chaleur est in vitable des mesures de protec tion d ordre technique doivent tre prises en pre mier lieu l Mesures techniques
103. d ins tallations de ventilation ou de climatisation Dans les pi ces a r es par des fen tres les probl mes d pendent beaucoup du comportement individuel des personnes se trouvant dans le local Dans les pi ces munies d installations de ventila tion ou de climatisation et o les personnes accom SECO mai 2011 316 5 Art 16 d dd Commentaire de l ordonnance 3 relative la loi sur le travail Chapitre 2 Exigences particuli res en mati re d hygi ne Section 2 Eclairage climat des locaux bruits et vibrations Art 16 Climat des locaux plissent des travaux l gers les valeurs suivantes de vitesse de l air d finies en fonction de la temp ra ture sont applicables pour pr venir la g ne engen dr e par les courants d air lt 0 1 m s jusqu 22 C transitoire lt 0 15 m s de 23 24 C e Et lt 0 20 m s plus de 24 C e P riodes de canicule gt 0 20 m s tol r e Hiver et p riode Pour les travaux p nibles les valeurs peuvent tre l g rement plus lev es La m me observation vaut pour les locaux et installations telles les ca bines de peinture o pour des raisons de protec tion de la sant de technique de production ou de s curit une vitesse plus lev e de l air s impose Les effets de vitesses de l air sup rieures peuvent tre compens s partiellement par une temp rature de l air accrue ou un taux d humidit plus lev En pr sence de c
104. d organisation n cessaires Pour garantir la protection des travailleurs les autorit s d terminent pour certains secteurs selon la nature et la quantit de mati res pr sentant un risque particulier d incendie et selon les proc d s de a le nombre admissible de travailleurs qui y sont occup s b les installations d exploitation admissibles et leur conception c les quantit s admissibles de mati res pouvant tre produites transform es manipul es ou entre Les autorit s d terminent le nombre maximum de travailleurs les installations d exploitation et les quantit s de mati res admissibles Dans tous les cas il y a lieu de limiter le nombre de travailleurs au strict minimum n cessaire dans les secteurs avec potentiel de danger accru Un nombre trop impor tant d installations d exploitation et une trop forte quantit de mati res dangereuses dans un secteur en augmentent aussi le potentiel de danger Dans les secteurs ayant un potentiel de danger lev il faut donc prendre garde qu il n y ait que les instal lations d exploitation et les quantit s de mati res n cessaires pour un d roulement normal du tra vail Si des op rations ne sont faites que sporadique ment avec des mati res pr sentant un danger par ticulier d incendie elles peuvent aussi tre effec tu es en dehors des heures d exploitation normale Des mesures d organisation devront permettre de limiter le personnel pr sent au strict n
105. d une protection individuelle g ne ou d faillance physique Ainsi les affections pulmo naires ou cardiaques contre indiquent le port d un masque les d fauts de vision n cessitent des lu nettes de protection avec correction optique con venable les d formations des pieds requi rent des chaussures de protection orthop diques etc L utilisation de certains quipements de protection implique des pr cautions particuli res e Temps de travail avec un masque si la protection respiratoire exige un effort l inspiration mas ques cartouche nappes filtrantes le temps de travail doit tre limit En aucun cas il ne faut travailler plus de trois heures sans interruption avec un tel masque Les interruptions seront d au moins une demi heure La dur e totale de travail avec un masque ne devrait pas d passer six heu res par jour fatigue pr matur e e Lors du travail avec un masque air frais une at tention particuli re doit tre port e la qualit de l air frais emplacement de la prise d air com presseur s par du r seau filtres contr le r gu lier de la qualit de l air e Les travaux avec des combinaisons tanches des masques respiratoires cartouche filtrante et des bonbonnes d air respirable n cessitent pr alable ment un examen m dical d aptitude 327 2 Commentaire de l ordonnance 3 relative la loi sur le travail Chapitre 2 Exigences particuli res en mati re d hygi
106. de la sant est garantie dans son entre prise Un employeur peut tre contraint respec ter une directive si les autorit s d ex cution lui en intiment l ordre par une d cision Les directives du SECO rev tent le m me caract re l gal en mati re de protection de la sant que les directives de la CFST en mati re de s curit au tra vail article 53 OPA SECO ao t 2006 338 1 Commentaire de l ordonnance 3 relative la loi sur le travail Chapitre 3 Dispositions finales Art 39 Autorisations de d roger aux prescriptions Art 39 LL Article 39 Autorisations de d roger aux prescriptions Pa promet pas la protection des travailleurs tat de la consultation l autorit 1Les autorit s peuvent la demande de l employeur autoriser dans chaque cas d esp ce des d ro gations aux prescriptions de la pr sente ordonnance lorsque a l employeur prend une autre mesure aussi efficace ou b l application de la prescription conduirait une rigueur excessive et que la d rogation ne com 2 Avant de pr senter sa demande l employeur doit donner la possibilit aux travailleurs concern s ou leurs repr sentants au sein de l entreprise de s exprimer sur ce sujet I doit communiquer le r sul Alin a 1 Les prescriptions de droit public de l OLT 3 sont contraignantes aussi bien pour les employeurs que pour les travailleurs et pour les autorit s charg es de l applica
107. de locaux et diff rentes utilisations La norme fixe un volume d air de 36 m3 h par personne pour les bureaux Par le r glage de l installation on adaptera le climat des locaux aux variations des conditions ext rieures On veillera en particulier ce que la temp rature du lo cal ne soit pas inf rieure de plus de 4 8 C la temp rature ext rieure lorsque l on refroidit l air pour des raisons de confort Si l installation de ventilation est quip e d un dis positif de r cup ration de chaleur et que l air vacu est pollu par des substances nocives ou g nantes on veillera ne pas r introduire les polluants dans le local avec l air frais Les ventilateurs doivent tre dispos s ad quatement Si n cessaire l tanch it des installations de r cup ration de chaleur doit tre contr l e p riodiquement en fonction de leur natu re et de leur vieillissement L air vici doit autant que possible tre vacu au dessus de la toiture L emplacement des prises d air b n ficiera d une attention particuli re Il y a lieu d viter autant que possible d aspirer des polluants rejet s par les propres installations ou provenant de l ext rieur air vici d autres b timents ou de l installation elle m me gaz d chappement de voies de circulation fortement fr quent es bact ries champignons microscopiques etc Les bouches d aspiration et d vacuation doivent tre loign es le plus possible les unes
108. de plus en plus rapide et de plus en plus important mesure que le travail dans cet tat de fatigue perdure causant ainsi un accroissement de la sollicitation mentale L exercice en tant que cons quence positive de la sollicitation a pour effet que le travailleur e accomplit son travail plus rapidement et moindre effort diminuant ainsi sa contrainte mentale e renforce la qualit et la quantit de ses presta tions et et de ce fait am liore ses caract ris tiques individuelles e se fatigue moins avec pour cons quence une di minution de sa sollicitation Exigences en mati re d organisation du travail adapt e l homme Des t ches organis es de mani re optimale de vraient pr venir les cons quences des sollicitations SECO mai 2011 302 C Annexe de l art 2 t Commentaire de l ordonnance 3 relative la loi sur le travail Chapitre premier Dispositions g n rales Art 2 Principe n fastes Les t ches ne devraient pas mettre exa g r ment ou insuffisamment contribution les ca pacit s du travailleur Une surexploitation l g re et temporaire des capacit s peut avoir un effet stimu lant sur la personnalit Sous exploitation par exemple lorsqu un travail leur n a pas assez faire ou lorsque ses capacit s et qualifications sont peu voire totalement inex ploit es Surexploitation par exemple lorsqu un volume excessif de travail est confi ou que le d
109. de substan ces dangereuses pour la sant poussi res liqui des copeaux d chets salissures etc qui s accu mulent pendant le travail ou au fil du temps L entretien comprend le contr le des l ments im portants ou sensibles le remplacement des pi ces d fectueuses et les travaux pr ventifs pour viter des incidents ou accidents Ce n est qu en tant maintenus propres et en bon tat de fonctionnement que les b timents et ins tallations satisferont aux exigences de l hygi ne et ne mettront pas en danger la sant des travailleurs Il s agit d viter par exemple que le vieillissement d un b timent ne d t riore les conditions de travail outre mesure que l accumulation de poussi res ne puisse constituer une g ne ou un risque plus long terme ou que l usure des installations n augmente le risque li au travail et ne le rende plus p nible efforts accrus d gagement de gaz poussi res o liquides mauvaise lisibilit des instruments Souvent les incidents dus un entretien insuffi sant font courir des risques accrus pour la sant par exemple exposition des substances irritantes ou nuisibles aux personnes appel es intervenir en dehors du programme de maintenance coutu mier L instruction des travailleurs occup s la mainte nance est primordiale Ils interviennent souvent en dehors des horaires usuels ou sur des installa tions avec lesquelles ils ne travaillent pas ordinaire ment dont
110. des locaux avec peu ou pas de surfaces vitr es lorsqu on obstrue des fen tres pour des raisons de s curit ou de technique de production e Aux locaux sociaux p ex en cas d augmenta tion du nombre de travailleurs e Aux proc d s de travail qui entra nent une solli citation trop importante ou d s quilibr e des travailleurs p ex t ches r p titives maniement de charges e Aux actions physiques nocives telles que les ef fets du bruit qui exigent des mesures particu li res e Aux dangers li s aux microorganismes qui requi rent de prendre des mesures de s curit parti culi res e A l emploi de machines ou d quipement indus triels pr sentant des dangers particuliers p ex dans des centrales nucl aires installations de montage automatique lignes d embouteillage e Aux parties d entreprise pr sentant des dangers particuliers p ex au sens de la section 5 OLT 4 danger d incendie et d explosion et de l article 49 OPA e Aux voies d vacuation distances portes cou loirs cages d escaliers etc SECO ao t 2006 445 1 Article 46 Non conformit constat e au cours de l exploitation Commentaire de l ordonnance 4 relative la loi sur le travail Chapitre 4 Approbation des plans et autorisation d exploiter Section 3 Dispositions particuli res Art 46 Non conformit constat e au cours de l exploitation Art 46 F rit en remet un
111. des autres Les bouches d aspiration de vraient tre inaccessibles aux personnes non autori s es elles se trouveront au moins 3 m au dessus du sol L air vici ne doit pas tre transport en direc tion des bouches d aspiration par le vent dominant fr Art 17 Alin a 3 Lorsque l accumulation de polluants peut pr senter des danger pour la sant en cas de panne du syst me de ventilation on pr voira un syst me d alarme signalant les d rangements de l ins tallation Les mesures rendues n cessaires par une panne telles que l utilisation de ventilateurs mobi les l ouverture d orifices d a ration de secours ou l vacuation du local de travail doivent tre pr par es et le personnel instruit en cons quence Autant que possible une a ration naturelle doit tre pr vue pour les cas d urgence Alin as 4 et 5 La maintenance l inspection et la remise en tat des installations de ventilation et de climatisation doivent tre ex cut s en r gle g n rale selon les recommandations des fabricants et des fournis seurs La directive SICC VA 102 01 contient des prescriptions concernant les intervalles de service Les travaux de maintenance d inspection et de nettoyage doivent tre effectu s par du personnel sp cialis connaissant les dangers propres aux ins tallations et sachant comment s en prot ger On emploiera les qualit s de mat riel recomman d es p ex pour les filtres Toutes les inst
112. des conditions de travail En revanche une entreprise ne peut nouvellement s installer que dans des locaux qui correspondent aux prescriptions en vigueur Locaux de stockage et entrep ts Pour ce type de locaux o le personnel en d pla cement fr quent travaille en contact avec l ex t rieur l application des art 15 al 3 et 24 al 5 OLT 3 est sans objet En revanche chaque fois que dans ces b timents des zones de travail permanent ou des locaux de travail poste fixe sont pr vus ceux ci entrent dans le cas de l application normale des articles pr cit s Lorsque la vue sur l ext rieur est fortement entra v e tag res ou autres on veillera placer les postes de travail permanents le plus pr s possible de fen tres de mani re offrir la vue sur l ext rieur et un clairage naturel suffisant R am nagements et restructurations des lo caux anciens Lors de transformations de locaux jusqu alors sans lumi re naturelle toutes les solutions doivent tre tudi es pour am liorer la situation nouvelles fe n tres sheds patios rues int rieures b n ficiant de l clairage naturel etc Parfois la r utilisation de surfaces existantes peut ne pas permettre un respect strict des obligations de la loi En se basant sur le principe de proportionnalit des postes de travail permanents dans des locaux sans lumi re naturelle peuvent tre accept s d s lors qu ils satisfont trois conditions c
113. des dangers particuliers Art 25 Entreprises pr sentant un danger d explosion d Dispositions suppl mentaires pour les entreprises traitant des mati res explosives e Fen tres dont le verre ne se brise pas en fragments et en clats tranchants ou pointus e Sols conducteurs lectrostatiquement avec une r sistance inf rieure 105 Ohm pour viter la formation de charges lectrostatiques dangereu ses e Chauffage au moyen d eau chaude de vapeur ou d nergie lectrique e Moyens d exploitation et installations lectriques d un degr de protection particuli re p ex ma t riel de la classe IP 54 e Affichage des quantit s maximales de mati re explosive autoris es exprim es en quivalent TNT dans le local de stockage ou de fabrication concern e Affichage du nombre maximum de personnes autoris es occuper le local de fabrication con cern ou se trouver pr s d une installation d termin e e M canisation ou automatisation des proc d s de travail savoir ex cution d op rations grand risque dans des locaux exempts de personnel au moyen de commande surveillance distance et partir de locaux de service s par s Le pressage et le dosage de mati res explosives ou l utilisa tion d un explosif primaire entre autres sont des op rations particuli rement dangereuses Ily a lieu de vouer une attention particuli re l em placement dans le secteur sans risque d explosion d
114. des entreprises soumises la proc dure d approbation des plans Annexe de Section 3 Passages l art 10 Art 10 Portes et sorties situ es sur les voies d vacuation 6 Illustrations de portes coulissantes Sch ma Description Remarques 6 1 PERN p Porte coulissante automatique avec Les battants pivotants s ouvrent dans le sens Il WO g Il battants pivotants Swing out de la fuite par simple pouss e Les battants pivotants garantissent l vacuation en permanence L exploitant doit tre en possession d un certificat de conformit de la porte Construction et installation conformes aux normes europ ennes ou celles d un pays de la communaut et traitant des portes sur les voies d vacuation 6 2 Porte coulissante automatique sans Des battants pivotants Swing out ou une battant pivotant porte de secours s par e doivent tre L pa aR install s pour les cas o l ouverture de la porte a porte coulissante ne doit jamais tre Coulissante ne peut tre garantie coupure du p verrouill e courant lectrique rupture d un entra nement Elle s ouvre automatiquement en tout L exploitant doit tre en possession d un temps certificat de conformit de la porte Construction et installation conformes aux normes europ ennes ou celles d un pays de la communaut et traitant des portes sur les voies d vacuation 6 3 Porte coulissante automatique avec Des battants pivotants Swing out ou une bo
115. des m res allaitantes Art 34 A Article 34 Protection des femmes enceintes et des m res allaitantes Les femmes enceintes et les m res allaitantes doivent pouvoir s allonger et se reposer dans des con ditions ad quates Une couchette confortable dans un local s par o les facteurs climatiques temp rature humi dit etc sont agr ables constitue une solution ad quate Le local de premiers soins et sa couchet te convient cet usage L inclinaison du dossier de la couchette et si possible la partie soutenant les jambes doivent tre r glables Dans les petites entreprises occupant moins de 20 femmes voir galement les explications concer nant les articles 33 et 36 OLT 3 il serait dispropor tionn d exiger un local s par Dans ces entrepri ses la mise disposition d une couchette ou d une chaise longue est le minimum requis Plusieurs en treprises peuvent ventuellement mettre un local commun disposition de leurs travailleuses Une autre possibilit consiste cr er une zone de repos par une s paration dans un local affect un autre usage pour autant qu il soit calme Les entreprises qui occupent plus de 20 femmes doivent disposer d un local quip d au moins 2 couchettes ou chaises longues voire davantage selon la n cessit Le local de repos peut tre uti lis d autres fins pendant que personne ne s y repose D autres dispositions de protection des femmes
116. des sources po tentielles d allumage il faut quiper les orifices de sortie d un dispositif antiretour de flamme de fa on viter qu un incendie l ext rieur ne puisse se propager l int rieur des b timents au travers de l installation Des gaz pr sentant un risque d incendie ou d explosion ne doivent en aucun cas pouvoir retourner l int rieur du b timent ou aboutir dans une canalisation ou une fosse Alin a 3 Des mesures doivent tre prises pour les s para teurs sec emp chant qu une explosion ne sur vienne ou vitant ses cons quences dangereuses Pour plus d information voir la brochure de l AISS Explosions de poussi res et les cahiers de la CESICS no 1 5 et 6 Alin a 4 Il est renvoy aux explications relatives l article 17 alin a 5 OLT 3 qui a la m me teneur 418 2 Commentaire de l ordonnance 4 relative la loi sur le travail Chapitre 2 Construction et am nagement des entreprises soumises la proc dure d approbation des plans Section 5 Entreprises pr sentant des dangers particuliers G n ralit s G n ralit s Section 5 Entreprises pr sentant des dangers particuliers 1 Modification des dispositions l gales Ces derni res ann es des r glementations de l UE sur les produits chimiques et leur utilisation ont t transpos es en droit suisse ou tout le moins pri ses en compte comme r f rences en mati re d tat de la techni
117. directement reconnaissables en tant que telles les sorties et voies d vacuation sont baliser de fa on ad quate de pr f rence au moyen de symboles phosphorescents et normali s s sur le plan international pictogrammes blancs sur fond vert publication Suva 44007 Signali sation de s curit Si un clairage de secours s enclenchant automatiquement en cas de panne de courant est prescrit art 15 OLT 3 le balisage de secours peut y tre int gr Le danger peut tre diminu par l incorporation de surfaces vitr es dans les portes Elles am liorent la visibilit dans les voies de circulation Il y a n an moins lieu d utiliser du verre de s curit En fonc tion des conditions grandeur de la vitre enca drement ou non protection contre les chutes compartimentage coupe feu efforts m caniques etc il y a lieu de choisir judicieusement la qualit du verre Voir galement art 15 OPA e verre de s curit tremp VST e verre de s curit feuillet VSF Les feuillets d information du bpa n Ib 9916 Le verre dans le b timent et de l Institut suisse du verre dans le b timent SIGaB Le verre et la s cu rit contiennent des indications ce sujet Les portes enti rement en verre doivent tre ren dues bien visibles par des bandes des z brures etc En outre il y a lieu de tenir compte d ven tuelles exigences quant leur r sistance au feu ou leur tanch it par
118. doivent tre mis disposition pour le levage le port et le d placement des charges lourdes ou encombrantes en vue de r duire autant que possible le risque encouru par les travailleurs lors de 3Les travailleurs doivent tre inform s des risques pour la sant li s au d placement de charges et ils doivent recevoir des explications sur la mani re de lever et de d placer correctement des charges 4Les travailleurs doivent recevoir des indications sur le poids des charges et sur la mani re dont il est Le d placement manuel de charges lourdes im plique un risque de sant important pour l appareil locomoteur et appelle des mesures pr ventives de protection de la sant Outre le poids de la charge de nombreux facteurs jouent un r le d cisif en l esp ce la distance sur le plan horizontal la posi tion du corps la hauteur du d placement la dis tance de transport la fr quence et la dur e de la manutention la rapidit de mouvement ainsi que les caract ristiques et les possibilit s de saisie de la charge Parmi les facteurs individuels il faut tenir compte de l ge du sexe de l exp rience et de la forme physique L instrument d valuation Risques pour l appa reil locomoteur mis disposition par le SECO pour les inspections permet d appr cier le risque d une sollicitation physique excessive des travail leurs lors du d placement manuel de charges Cet outil d finit des valeurs limites sup rieures po
119. domaines d intervention et les mesures d at t nuation possibles sont d crits dans un tableau voir annexe 2 1 Lettre a mesures au niveau de la construction 2 1 1 Correction acoustique des b timents Ces mesures diminuent la propagation des sons par la structure des b timents parois plafonds fen tres portes vers des locaux ou des b timents voisins Elles comprennent des mesures d att nua tion du son a rien et du son solidien En vertu de l article 32 de l ordonnance sur la protection con tre le bruit OPB les exigences minimales d cri tes dans la norme SIA 181 doivent tre respect es Son solidien Les mesures principales contre la propagation des sons par la structure des b timents sont l utilisa tion de planchers flottants et la s paration des corps d un b timent joints de dilatation Les machines et installations g n ratrices de bruit et par cela de vibrations doivent elles m mes tre quip es de dispositifs absorbant les vibrations Son a rien Dans les grands locaux on s efforcera d insonori ser les machines ou automates bruyants pour pro t ger les travailleurs se trouvant dans le local Les postes de travail non bruyants postes de comman de bureaux d exploitation ou de contrema tre etc sont s parer des locaux contenant des postes de travail bruyants Les machines et installations tr s bruyantes p ex broyeurs d chets compresseurs d air sont installer dans des locaux
120. double la CNA 1S il se r v le apr s la mise en exploitation que la r alisation n est pas conforme en tous points aux prescriptions f d rales les autorit s d ex cution et de surveillance le signalent l employeur et lui impartissent un d lai pour rendre l tat conforme aux prescriptions 2Si l employeur n obtemp re pas la proc dure des art 51 et 52 de la loi s applique 3 Lorsque la sommation concerne la pr vention d accidents ou de maladies professionnelles l auto Cet article traite de situations non conformes constat es une fois l autorisation d exploiter d li vr e par exemple lors d une inspection ou apr s une d nonciation Alin as 1 et 2 Dans des cas pr cis si la proc dure d approbation des plans usuelle n a pas t suivie par omission une proc dure d approbation des plans a pos teriori est applicable conform ment aux indica tions figurant dans le commentaire de l article 44 alin a 3 de la pr sente ordonnance Dans tous les autres cas la proc dure d ex cution normale s applique art 51 et 52 LTr Alin a 3 Les articles 47 49 OPA r glent la r partition de comp tence pour la surveillance des mesures de pr vention des accidents entre la CNA les cantons et le SECO Le manuel de proc dure d ex cution pour la s curit au travail CFST 6030 en d crit la marche suivre La CNA est seule comp tente pour la pr vention des maladies professionnelles SEC
121. droit f d ral seconde Soci t suisse des ing nieurs et des architectes Association Suisse pour l clairage norme suisse Soci t suisse des ing nieurs en tech nique du b timent st radian Syst me Technique Organisation Per sonne principe de pr vention tableau traitement lectronique des donn es directives techniques pour les abris ob ligatoires Union europ enne United Glare Rating System Union suisse pour la lumi re aujourd hui Association Suisse pour l clairage SLG Verein Deutscher Ingenieure valeurs maximales limites d exposi tion des substances dangereuses pour la sant aux postes de travail degr Celsius transmission degr de transparence angle flux lumineux Commentaire des ordonnances 3 et 4 relatives la loi sur le travail Avant propos Avant propos s Commentaire des ordonnances 3 et 4 relatives la loi sur le travail Avant propos Comment classifier la loi sur le travail dans le domaine des nor mes r gissant le droit du travail Le pr sent chapitre donne un petit aper u du do maine complexe du droit du travail De mani re g n rale le droit du travail r gle la relation entre travailleur et employeur Toutefois on trouve des normes relevant du droit du travail dans plusieurs textes On peut globalement les grouper en droit priv et droit public du travail Le droit priv est avant tout r gl dans les art 319 et suivants du code des
122. dus aux influences du climat de l clairage ou du bruit et aux possibilit s offer tes pour s en prot ger En ce qui concerne les ris ques psychosociaux par exemple mobbing harc lement sexuel il faut d signer une personne de confiance neutre Le devoir d instruction vaut pour le personnel en gag de mani re temporaire comme pour les tra vailleurs d autres entreprises qui travaillent de mani re passag re o pour plus longtemps dans l entreprise Ces derniers doivent galement tre inform s des risques particuliers li s leur poste de travail notamment si leur formation ne leur per met pas de les conna tre voir aussi art 9 OLT 3 L information doit tre donn e l occasion de l in troduction des nouveaux collaborateurs Il est im portant que cette information soit adapt e leur capacit de compr hension Une instruction de longue dur e pendant une courte p riode apr s le d but du travail est d une moindre efficacit pour des personnes peu habitu es l apprentissa ge L attention des travailleurs r cemment engag s est d j fortement mise contribution par un en vironnement nouveau par le contact avec des col laborateurs inconnus et par la pression qu exerce sur eux le fait qu ils doivent faire leurs preuves De courtes p riodes d instruction de une deux heu res r parties sur plusieurs jours sont mieux adap t es et plus profitables Dans la mesure du pos sible les nouveau
123. e par des influences ext rieures p ex fortes chutes de neige en montagne terrain en pente et bordure de for t accumulation de pierres ou de feuilles Pour cette exception on tiendra compte du nombre de personnes Pour acc der au niveau du sol il faut installer une chelle fixe avec des montants extensibles ill 407 5 On peut galement pr voir des barres de maintien de 1 m de haut Le saut de loup doit tre entour d un garde corps o tre recou vert p ex par un caillebotis Dans ce dernier cas il faut prendre garde qu une couverture mont e sur charni res ne puisse en aucun cas pivoter vers le bas risque de chute La couverture doit ga lement pouvoir tre ouverte sans l aide d un outil lorsqu elle est munie d une protection contre l ef fraction Lorsque le saut de loup ne peut pas tre construit jusqu au niveau du plancher du sous sol p ex pour des raisons de technique de construction ou g ologiques nappe phr atique on peut excep tionnellement admettre une sortie par une fen tre ill 407 4 Les dimensions minimales de 0 6 m de large et 0 8 m de haut doivent tre garanties Si l all ge de la fen tre en question est plus haute que 0 6 m il y a lieu de pr voir des marches d ac c s Lors de l utilisation d une chelle fixe il faut en outre pr voir des barres de maintien Dans les b timents ou parties de b timents com portant deux tages ou plus en sous sol le nombre des cages d esca
124. employeur ses frais Si les v tements de tra vail sont moins sales une participation aux co ts peut tre exig e du travailleur Lorsque le nettoyage des v tements de travail s av re dangereux dans un m nage ou pour la blanchisserie publique l employeur doit le confier une maison sp cialis e et l informer des risques existants ou assumer lui m me le nettoyage de mani re carter tout danger Un tel danger exis te d s que les v tements de travail sont souill s de mati res pouvant provoquer des maladies des intoxications des incendies et des explosions ou qu ils d gagent des odeurs d sagr ables au point d tre incommodantes dans une maison d habi tation Lorsque le nettoyage ne suffit pas d contami ner parfaitement les v tements ou si des risques sont encourus par le personnel qui nettoie ces v tements il sera pr f rable de recourir des v te ments usage unique par exemple les v tements en non tiss pour la d contamination de l amian te Ces v tements seront entrepos s dans des sacs correctement tiquet s et si n cessaire limin s comme d chets sp ciaux SECO ao t 2006 328 1 Commentaire de l ordonnance 3 relative la loi sur le travail Chapitre 2 Exigences particuli res en mati re d hygi ne Section 7 Vestiaires douches lavabos toilettes r fectoires locaux de s jour et premiers secours Art 29 Exigences g n rales s an 29 Article 29
125. en tenir strictement aux situations d crites dans l ordonnance e Les d rogations doivent rester exceptionnelles et ne pas tre accord es de mani re g n rale Si l volution conduit s carter g n ralement des prescriptions celles ci doivent tre r vis es e L octroi de d rogations ne doit pas contredire les buts vis s par l ordre l gal En accordant une d rogation on s appuiera sur l int r t g n ral qui d coule des prescriptions auxquelles on devrait d roger e Les d rogations ne doivent pas tre accord es ou refus es arbitrairement L autorit est habilit e accorder des d rogations temporairement et les assortir de conditions qui ne sont pas explicitement pr vues par l ordonnan ce Les conditions assorties doivent tre en relation troite avec la d rogation accord e On ne peut poser des conditions qui ne sont pas li es mat SECO ao t 2006 339 1 Art 39 Commentaire de l ordonnance 3 relative la loi sur le travail Chapitre 3 Dispositions finales Art 39 Autorisations de d roger aux prescriptions riellement aux d rogations accord es Une d ro gation peut tre annul e si les conditions pr va lant lors de son tablissement sont modifi es de mani re significative L octroi ou le refus d accorder une d rogation doit tre communiqu l employeur requ rant sous forme d une d cision crite voir ce sujet les ar ticles 50 et su
126. es des premiers secours selon diagrammes 336 2 et 336 3 336 4 Commentaire de l ordonnance 3 relative la loi sur le travail Chapitre 2 Exigences particuli res en mati re d hygi ne Section 7 Vestiaires douches lavabos toilettes r fectoires locaux de s jour et premiers secours Art 36 Premiers secours Nombre de collaborateurs par emplacement b timent parcelle 7 8 9 10 11 12 13 14 15 16 17 18 Nombre de personnes charg es des premiers secours par emplacement b timent parcelles Illustration 336 2 Nombre de personnes charg es des premiers secours en fonction de la taille de l entreprise 50 250 col laborateurs ou 250 1000 collaborateurs LIU 9000 III IIIIIILET ns CL _ r Nombre de collaborateurs par emplacement b timent parcelle 1000 10 20 30 40 50 60 70 80 90 100 110 120 130 140 150 160 170 180 Nombre de personnes charg es des premiers secours par emplacement b timent parcelle Illustration 336 3 Nombre de personnes charg es des premiers secours en fonction de la taille de l entreprise 1 000 10 000 collaborateurs SECO juillet 2010 336 5 Commentaire de l ordonnance 3 relative la loi sur le travail Art 36 Chapitre 2 Exigences particuli res en mati re d hygi ne Section 7 Vestiaires douches lavabos toilettes r fectoires locaux de s jour et premiers secours Art 36 Premiers se
127. est particuli rement importante pour les postes de travail assis voir ill 324 2 et 324 3 Une solution individuel le sera apport e aux personnes particuli rement grandes ou particuli rement petites Un compromis doit tre trouv pour la hauteur de l espace libre pour les jambes lorsque les exigen ces de celui ci entrent en contradiction avec celles d une position d contract e du tronc et des bras Cette situation se pr sente partout o l on travaille avec des consoles ou lorsque des instruments mon t s sur le plan de travail doivent tre utilis s Espace de mouvement Les deux exemples suivants ill 324 4 et 324 5 il lustrent un espace de mouvement suffisant les deux cas sont adapt s au travail avec ou sans ap pareils de communication tels que les crans de visualisation Des espaces suffisants seront pr vus pour certains mouvements particuliers qu exigent l inspection l entretien et la r paration d installations techni ques ou d appareils Les postures genoux pen ch couch sur le ventre ou sur le dos doivent tre prises en compte Cette exigence est respecter Distance maximale de pr hension min 60 gt Espace minimal pour les jambes Illustration 324 1 Espace de mouvement de l homme dans diff rentes situations de travail mesures en cm 324 2 Commentaire de l ordonnance 3 relative la loi sur le travail Chapitre 2 Exigen
128. et champ d application Art 1 Article 1 Objet et champ d application treprises soumises la loi la pr sente ordonnance 1La pr sente ordonnance d termine les mesures d hygi ne qui doivent tre prises dans toutes les en 2 Les mesures de pr vention des accidents et des maladies professionnels vis es l art 82 de la loi f d rale du 20 mars 1981 sur l assurance accidents ne tombent pas dans le champ d application de Alin a 1 Cette ordonnance traite en application des alin as 1 et 4 de l article 6 de la loi sur le travail l ensemble des mesures prendre par l employeur pour as surer la sant des travailleurs leur poste de tra vail Les obligations de l employeur sont vis es en premier lieu Cependant les travailleurs sont te nus de collaborer avec l employeur dans ses ef forts de pr vention art 6 al 3 LTr art 10 OLT 3 Le champ d application de l OLT 3 est identique celui de la loi sur le travail L ancienne OLT 3 tait applicable aux seules entreprises industrielles envi ron 8 000 La nouvelle OLT 3 s applique toutes les entreprises soumises la loi sur le travail envi ron 250 000 Il s agit de toutes les entreprises pu bliques et priv es l exception des entreprises ex clues sp cifiquement du champ d application par les articles 2 et 4 de la loi sur le travail En particu lier les dispositions traitant de la protection de la sant ne sont pas applicabl
129. et vitesse du vent ISO 11079 321 2 Commentaire de l ordonnance 3 relative la loi sur le travail Chapitre 2 Exigences particuli res en mati re d hygi ne Section 2 Eclairage climat des locaux bruits et vibrations Art 21 Travail dans des locaux non chauff s ou en plein air CR ch Art 21 position assise car les possibilit s de mouvement sont g n ralement limit es La prise de mesures de protection comme le port de v tements de pro tection contre le froid s impose d j ce stade cf chapitre 1 4 Domaine de froid de degr II domaine l g rement froid de 10 5 C Il s agit ici de temp ratures voisines du point de cong lation Selon le genre d activit il convient de pr voir le port de v tements de protection contre le froid et des mesures organisationnelles p ex limiter le temps d exposition au froid pr voir des moments pour se r chauffer Cf tableau 321 2 ce sujet Autant que possible il convient d viter les courants d air et les surfaces froides p ex main courante non isol e si ges en m tal car ils contribuent au refroidissement du corps Les zones froides ne doivent tre install es que l o elles sont absolument n cessaires en raison de la technique de production p ex mesure d hygi ne indispensable pour les marchandises p rissa bles Les produits congel s peuvent tre transf r s temporairement pour la mise sur palettes dans
130. ex cution contr lent si les constructions et installations projet es ont t di mensionn es selon les r gles de l art Il s agit de d terminer sur la base du dossier soumis si les tudes n cessaires son laboration ont t r a lis es Il n est toutefois pas du ressort des organes d ex cution de v rifier en l occurrence les bases de calcul o l exactitude de ces derniers L employeur et le cas ch ant l ing nieur l architecte le cons tructeur ou le fabricant en sont responsables Des motifs faisant douter de la r sistance de l ins tallation projet e existent notamment si le dos sier soumis pour approbation est incomplet voir la liste des plans soumettre et des indications fournir art 23 et 24 OLT 1 et ne permet pas un examen approfondi ou si les documents soumis cr ent des doutes fond s Une expertise peut tre exig e aussi bien pour les constructions porteuses des installations de l en treprise que pour les installations elles m mes qu elles soient d infrastructure ou d exploitation et de fabrication Les frais de l expertise incombant l employeur il sera n cessaire de tenir compte du principe de proportionnalit En d autres termes un tel rapport ne sera r clam que si la situation lais se pr sumer l apparition de probl mes importants Une analyse du risque ou une analyse de s cu rit similaire celles labor es fr quemment dans les entreprises de la chimie compte
131. f i Valeurs limites d exposition aux pos tes de travail 2005 66008 d f i Acoustique des locaux industriels 66026 d f i Des enceintes pour lutter contre le bruit 66027 d f i Puissance acoustique et mesura ges d homologation 66058 d f i Nuisances sonores l emplace ment de travail 86048 d f i Valeurs limites et valeurs de r f rence acoustiques 86053 d f i Infrasons 86054 d f i Immissions sonores basses fr quences 86055 d f i Valeurs limites d exposition au bruit ext rieur caus par l industrie et les arts et m tiers 66077 d f i Bruits des installations ultrasons 322 D Commentaire de l ordonnance 3 relative la loi sur le travail Chapitre 2 Exigences particuli res en mati re d hygi ne Section 2 Eclairage climat des locaux bruits et vibrations Art 22 Bruit et vibrations Annexe de l art 22 g Article 22 OLT 3 annexe Vibrations 1 D finitions 1 1 Vibrations secousses Les vibrations et les secousses sont des effets os cillatoires m caniques qui s exercent sur le corps Le terme secousses est utilis avant tout pour les b timents celui de vibrations pour les machines et appareils 1 2 nw Acc l ration d oscillation quivalente pond r e par la fr quence valeur r elle de l ensemble main bras 1 3 Acc l ration d oscillation quivalente pond r e par la fr quence valeur r elle O
132. il peut tre travers sans devoir se tourner ou adopter une position corporelle forc e e il permet le transport du mat riel n cessaire L espace de mouvement n cessaire rayon d action l tre humain d pend de l activit accomplir et de ses dimensions corporelles Il est indispensable de tenir compte des caract ristiques individuelles de chacun En sus des dimensions corporelles les deux aspects suivants doivent tre pris en compte e l exercice de forces sup rieures 150 N e l utilisation normale et l entretien des installa tions SECO ao t 2006 324 1 Art 24 E Commentaire de l ordonnance 3 relative la loi sur le travail Chapitre 2 Exigences particuli res en mati re d hygi ne Section 3 Postes de travail Art 24 Exigences particuli res Si le travail exige de gros efforts les travailleurs doi vent disposer de suffisamment d espace pour que les mouvements du corps ne soient pas entrav s Pour l utilisation et l entretien des installations l es pace n cessaire est d termin par la taille de l utili sateur et la posture normale au travail 1 2 Valeurs indicatives pour l espace de travail Afin que le travail puisse tre effectu sans g ne on respectera un espace libre en fonction des postu res corporelles indiqu es dans l illustration 324 1 Espace libre pour les jambes La dimension de l espace libre pour les jambes au dessous de la surface de travail
133. il en va de m me pour les protections contre les agents chimiques bottes combinaisons de protection et gants doivent avoir le m me degr de protection afin de maintenir le niveau de protection voulu Des investigations peuvent tre n cessaires pour d terminer le niveau de protection requis afin que les travailleurs ne soient pas expos s des doses sup rieures aux valeurs limites d exposition VLE et ou aux valeurs moyennes d exposition VME analyse de vapeurs de gaz de poussi res me sure du rayonnement ou du niveau de bruit Le choix des quipements de protection devra en te nir compte Des informations compl mentaires concernant les quipements individuels de protection se trouvent dans les documents suivants suva CE97 6 Index des directives et normes en vigueur pour les quipements de protection in dividuelle EPI et les quipements de protection contre les chutes de hauteur suva 67091 Liste de contr le Equipements de protection individuelle EPI SECO septembre 2010 327 3 Commentaire de l ordonnance 3 relative la loi sur le travail Chapitre 2 Exigences particuli res en mati re d hygi ne Art 28 Section 6 Equipements individuels de protection et v tements de travail Art 28 V tements de travail Article 28 V tements de travail Lorsque des v tements de travail sont fortement souill s par des mati res naus abondes ou par d autres mati r
134. instruments de mesure de la classe de pr cision 2 au minimum normes IEC 651 et 804 qui SECO novembre 2007 322 A Annexe de l art 22 T Commentaire de l ordonnance 3 relative la loi sur le travail Chapitre 2 Exigences particuli res en mati re d hygi ne Section 2 Eclairage climat des locaux bruits et vibrations Art 22 Bruit et vibrations p s de filtres de fr quences A et C ain si que d une pond ration temporelle Fast Les sources sonores talons doivent correspondre la norme IEC 942 Si l on effectue des mesures titre officiel les ap pareils doivent tre homologu s par l Office f d ral de m trologie METAS pour les mesures en question tre contr l s et au besoin talonn s p riodiquement 3 2 Lieu de la mesure Le niveau de pression sonore doit tre mesur au poste de travail hauteur d oreille des travailleurs si possible en leur absence Si le travailleur doit res ter son poste on effectuera la mesure 10 cm de son oreille la plus expos e Si la position de la t te des travailleurs ne peut pas tre d finie de mani re claire on effectuera les mesures en tenant le microphone aux hauteurs suivantes pour des personnes debout 160 cm en dessus du sol pour des personnes assises 80 cm en dessus du si ge 3 3 Calcul du seuil d exposition au bruit Lex Les normes ISO 1999 et 9612 d finissent comme mesure de l
135. l entreprise chiffre 4 1 Rampes d acc s Lors de transports sur une rampe le choix et l utili sation judicieuse des conteneurs et des moyens de fixation sont particuli rement importants Le rev tement des rampes doit tre antid rapant Pour les rampes ext rieures non couvertes un chauffage int gr peut tre n cessaire afin d assu rer une s curit suffisante en hiver V hicules mus la main Pente La charge ne devrait pas d passer 1 000 kg en Charges jusqu 1 000 kg 1 Charges l g res 2 4 Maximum 5 V hicules motoris s Rampes utilis es fr quemment 7 Maximum 10 Tableau 416 1 Pente de rampes appropri es en pour cent SECO ao t 2006 416 1 Commentaire de l ordonnance 4 relative la loi sur le travail Chapitre 2 Construction et am nagement des entreprises soumises la proc dure d approbation des plans oa Art 17 Section 4 Eclairage et qualit de l air dans les locaux Art 17 Fen tres Article 17 Fen tres Pa 1 En cas d utilisation de verre normalement transparent la surface totale des fen tres en fa ade et des jours z nithaux doit repr senter au moins un huiti me de la surface du sol 2 La moiti au moins des surfaces vitr es prescrites l al 1 doit tre r alis e sous forme de fen tres en fa ade munies de vitrages transparents La disposition des fen tres en fa ade doit tre telle que les travaill
136. l limination des pro duits du m tabolisme des parties musculaires con cern es Les postures forc es sont tr s souvent la source de douleurs et de g nes corporelles La r gle la plus importante lors de l am nagement du travail des postes de travail des machines et des outils est de diminuer voire d liminer le travail n cessitant des efforts statiques bras tronc On respectera les points suivants e viter l inclinaison ou d autres positions du corps d favorables L inclinaison lat rale du buste ou de la t te fatigue plus que celle vers l avant e les travaux en position pench e accroupie ge noux couch e ou au dessus de la t te doivent tre vit s autant que possible e viter les positions persistantes des bras tendus vers l avant ou sur les c t s De telles positions nuisent galement l adresse et la pr cision manuelle e les mouvements des bras devraient tre effectu s en mouvements oppos s ou parall les e la hauteur du plan de travail hauteur de travail ou hauteur de table doit permettre de mainte nir une distance visuelle et une position de la t te optimales par une position du corps naturelle Si la distance visuelle optimale est faible le plan de travail devra tre d autant plus lev e les poign es leviers outils pi ces travailler se ront plac s de telle sorte que les mouvements les plus fr quents puissent tre effectu s dans un espac
137. l gitime de participation d une part en tant qu entit concern e d autre part par le fait qu ils doivent apporter leur propre contribution n ces saire la protection de leur sant L OPA ensuite de sa r vision du 6 octobre 1997 contient des dispositions analogues art 6a al 2 art 61 al 1bis et art 64 al 2 OPA Les droits de participation des travailleurs conte nus dans l article 6 OLT 3 ont t pr cis s lors de la r vision de la loi sur le travail du 20 mars 1998 Selon l article 48 LTr le droit de consulta tion comprend le droit d tre entendu et de d battre les affaires relevant de la participation avant la prise de d cision par l employeur ainsi que ce lui d obtenir la motivation de la d cision si celle ci ne tient pas ou que partiellement compte des re marques des travailleurs ou de leurs repr sentants Le terme d battre prend ici la signification de r fl chir conjointement et discuter et est ex prim plus clairement dans les versions en fran ais et en italien Tale diritto comprende quello di essere sentiti e di discutere que dans la ver sion en allemand qui utilise le terme beraten L employeur n est pas tenu simplement de prendre connaissance du point de vue des travailleurs ou de leurs repr sentants mais d en discuter et d en d battre en leur pr sence L article 6 OLT 3 et l article 48 LTr sont des cas d application de la loi f d rale sur l informati
138. l administration militaire du travail Loi f d rale sur les routes nationales idem DETEC Inspection f d rale Loi f d rale concernant les du travail installations lectriques faible et fort courant loi sur les installations lectriques Loi f d rale sur les chemins de fer Loi f d rale sur les entreprises de trolleybus Loi f d rale sur la navigation int rieure Loi f d rale sur l aviation Loi sur la protection de idem OFEV Inspection f d rale du travail Tableau 441 1 Tableau sur l approbation des plans et les comp tences dans la proc dure f d rale coordonn e Exemples de quelques lois pr voyant une autorit unique dans leur champ d application voir art 41 al 2 OLT 4 441 2 R glementation de la proc dure de d ci sion concentr e en vertu des articles 62a 62c de la loi sur l organisation du gou vernement et de l administration LOGA D finition de l autorit unique dans l article 62a Si une loi pr voit pour des projets concernant par exemple des constructions ou des installations la concentration de plusieurs d cisions entre les mains d une seule autorit autorit unique cette derni re consulte les autorit s f d rales concer n es avant de rendre sa d cision Lorsqu une des instances indiqu es ci dessus est pr vue comme autorit unique c est elle qui est habilit e prononcer la d cision L Inspection f d
139. l air Le risque pour la sant augmente mesure que la temp rature de l air le taux d humidit et le taux d ensoleillement s l vent Le risque est aussi plus grand pour les travailleurs qui fournissent un ef fort soutenu qui portent des habits de protection ou encore qui ne sont pas acclimat s existe une m thode d valuation de la contrainte thermique compliqu e bas e sur l indice WBGT norme ISO 7243 Dans certaines situations absence de sources de chaleurs radiantes de vent il est pos sible d utiliser des outils simplifi s pour valuer le risque et fixer les mesures pr ventives ad quates Certaines personnes sont particuli rement vul n rables au probl me de la chaleur certaines si tuations de travail sont aussi particuli rement cri tiques Pour ces groupes ou situations risque une analyse doit tre effectu e par un sp cialiste m decin ou hygi niste du travail Il s agit e des femmes enceintes e des personnes non acclimat es lt 5 jours e des personnes g es de plus de 55 ans e des personnes avec une condition physique r duite malades convalescents personnes con sommant des m dicaments ou drogues person nes en surcharge pond rale ou tr s maigres e du travail isol ou dans des endroits exigus cabi nes de grue fosses r servoirs e du travail avec des v tements et des quipe ments de protection individuelle En t la concentration en ozone lev e dans l
140. l art 8 LTr ou l art 1 al 2 let m OLT 4 est re quise pour sa construction e Une entreprise hydro lectrique ou une ligne de transport de courant si sa construction requiert une concession de la Conf d ration SECO ao t 2006 441 3 Commentaire de l ordonnance 4 relative la loi sur le travail Chapitre 4 Approbation des plans et autorisation d exploiter Section 2 Proc dure d autorisation d exploiter Art 42 Demande d autorisation d exploiter Article 42 Demande d autorisation d exploiter Avant de commencer l exploitation l employeur doit demander par crit et l autorit comp tente selon l art 37 l octroi de l autorisation d exploiter Cet article pr voit que l employeur doit demander une autorisation d exploiter avant de commencer l exploitation de la construction qui a t r alis e sur la base de l approbation des plans obtenue L autorit doit alors proc der un contr le et v rifier si l ex cution du projet correspond bien aux plans qui ont t approuv s et aux charges qui ont t tablies Depuis un grand nombre d ann es ce contr le n est effectu qu un certain temps apr s le d but de l exploitation Ce n est qu ainsi qu il est possi ble de contr ler l ensemble de la construction et de son am nagement L objectif du contr le est en effet de d terminer si les travailleurs occup s en ces lieux b n ficient de conditions de travail co
141. la directive 16 03 F de l AEAI Voies d vacuation et de sauve tage elle mesurera 90 cm au minimum 2 5 Portes des voies d vacuation servant aussi de voies de sauvetage e Les portes servant d acc s aux quipes d inter vention doivent pouvoir s ouvrir depuis l ext rieur avec les moyens adapt s par exemple ser rures avec cylindres pompiers 2 6 Portes de b timents ou d installations caract ris es par des exigences parti culi res e Dans les b timents installations auxquels s appli quent des exigences particuli res par exemple installations nucl aires laboratoires biologiques prisons ou centres d asile on pourra opter pour une solution autre que la lib ration locale des portes conditions que l objectif de s curit soit atteint e Syst me d acc s individuel pour des locaux renfermant des objets de valeur La fonction premi re d un syst me d acc s in dividuel est d viter que des personnes non au toris es p n trent par la force dans des locaux contenant des objets de valeur Le personnel habilit y acc de par des moyens m caniques lectrom caniques ou lectroniques On peut re courir ce genre de sas individuel dans les locaux dans lesquels sont travaill s ou manipu l s pendant les heures de travail des objets de grande valeur par exemple salle des coffres dans une banque Dans la plupart des cas on n y p n tre ou n en sort qu travers le syst me d
142. la loi sur le travail Chapitre 2 Exigences particuli res en mati re d hygi ne Section 1 B timents et locaux Art 11 Mode de construction CA CL Art 11 Article 11 Mode de construction 1Les parois ext rieures et la toiture doivent assurer une protection suffisante contre les intemp ries Au besoin parois int rieures et sols seront isol s contre l humidit et le froid 2Les mat riaux de construction utiliser ne doivent pas tre pr judiciables la sant Alin a 1 Le mode de construction doit satisfaire aux exi gences mentionn es ci dessus Avant la planifica tion de constructions ou de transformations des objectifs devraient donc tre convenus par ex exigences pour le climat l int rieur Une bonne isolation thermique des sols des pla fonds et des parois est particuli rement importan te car la temp rature environnante ressentie d pend fortement de la temp rature des surfaces en question Cela signifie que les sols doivent tre particuli rement bien isol s si la temp rature en dessous du local diff re fortement en plus ou en moins de celle du local lui m me art 14 OLT 3 Si le travail ne permet qu un faible d placement la qualit de l isolation du sol est d autant plus im portante Le cas ch ant ce but peut tre atteint par l isolation du sol l emplacement de travail par exemple par l adjonction d un caillebotis ou d un tapis isolant Des probl mes
143. le mot stress est souvent utilis en relation avec les petites contrari t s du quoti dien Nous d finissons le stress li au travail par analogie avec la Commission europ enne Direction g n rale V comme un tat fait de r actions motion nelles cognitives comportementales et physiologi ques aux aspects n fastes et nocifs de la nature du travail de son organisation et de son environne ment Cet tat est caract ris par des degr s lev s d activit et de souffrance et souvent par le sen timent de ne pas pouvoir faire face la situation Du stress est donc g n r si les exigences quali tatives et quantitatives d passent les capacit s d une personne d y faire face ou de les contr ler Le stress est un tat de tension et d agitation qui perdure et est ressenti comme d sagr able qui est v cu par la personne comme mena ant et in vi table Toutes les contraintes sont des causes po tentielles de stress Les charges provoquant le stress sont appel es fac teurs de stress Les facteurs de stress les plus fr quents au poste de travail sont e une charge de travail crasante une pression quant aux d lais et aux prestations SECO mai 2011 302 E Annexe de l art 2 t Commentaire de l ordonnance 3 relative la loi sur le travail Chapitre premier Dispositions g n rales Art 2 Principe e peu de marge d action et de d cision manque de contr le sur le tra
144. les exigences particuli res relatives la construction et l am nagement des entreprises sou mises la proc dure d approbation des plans et l autorisation d exploiter art 7 et 8 de la loi b la proc dure d assujettissement d entreprises industrielles aux prescriptions sp ciales c la proc dure d approbation des plans et d autorisation d exploiter 2 La proc dure d approbation des plans s applique outre aux entreprises industrielles aux cat gories suivantes d entreprises non industrielles Scieries entreprises d limination et de recyclage de d chets entreprises de production chimico technique entreprises de sciage de pierre entreprises fabriquant des produits en ciment fonderies de fer d acier et d autres m taux entreprises de traitement des eaux us es entreprises de fa onnage de fers entreprises qui traitent des surfaces telles que zingueries ateliers de trempe entreprises de gal vanoplastie et ateliers d anodisation k entreprises d impr gnation du bois entreprises qui entreposent ou transvasent des substances chimiques des combustibles liquides ou gazeux ou d autres liquides ou gaz facilement inflammables si les installations projet es per mettent de d passer les seuils quantitatifs fix s par l annexe 1 1 de l ordonnance du 27 f vrier 1991 sur les accidents majeurs m entreprises qui utilisent des microorganismes des groupes 3 et 4 au sens de l art 3 al 2 d
145. peut en principe pas d ro ger contractuellement La loi sur le travail fixe ainsi certaines limites aux entreprises en mati re de pro tection de la sant et d am nagement des horai res Elle tablit ainsi le cadre l gal dans lequel les dispositions contractuelles doivent voluer La loi sur le travail n est applicable que sur le territoire suisse sous r serve d un accord international pr voyant une application diff rente On parle dans ce cas de principe de territorialit D s lors un em ployeur ne peut tre poursuivi en Suisse s il appa ra t que ses travailleurs ont t occup s l tran ger de mani re non conforme aux dispositions de la loi sur le travail En revanche c est le droit du travail du pays dans lequel les travailleurs ont t occup s qui est applicable dans ce cas La loi sur le travail ne s applique cependant pas sans limite toute entreprise l int rieur du terri toire suisse Son champ d application arr te les ca t gories d entreprises et de travailleurs auxquelles la loi est applicable enti rement partiellement ou pas du tout La loi sur le travail s applique dans son int gralit environ 240 000 entreprises et 2 6 millions de travailleurs Certaines cat gories d en treprises sont cependant exclues du champ d ap plication de la loi telles les entreprises de transport public les entreprises agricoles et les m nages pri v s l exception pour ces deux derni res cat go
146. pollution de l air susceptible de mettre en danger directement la sant des travailleurs doivent tre limin s rapidement 5 Les canaux de ventilation doivent tre munis d ouvertures de contr le et de nettoyage facilement accessibles ainsi que au besoin de raccords d amen e et d vacuation d eau de rin age compte des conditions concr tes de l exploitation on peut attendre une bonne qualit de l air aux postes de travail lorsque les instructions d exploi tation et de maintenance sont suivies scrupuleu sement On veillera particuli rement assurer le nettoyage la maintenance et l entretien des instal lations de ventilation afin qu elles ne deviennent pas elles m mes sources de pollution cf liste de contr le CFST 6807 Il est souhaitable que les travailleurs eux m mes puissent influencer le climat individuellement par tout o cela est raisonnablement r alisable par exemple dans les bureaux individuels Comparaison des m thodes de ventilation et de climatisation des locaux les plus importantes Ventilation naturelle Ventilation permanente par une fen tre entrouverte dans le local env 20 m2 Renouvellement de l air par heure Effet sur l air ambiant selon direction du vent de 0 2 2 fois bonne qualit de l air d s 0 8 fois grande d perdition de chaleur en hiver Ventilation par fen tre compl tement ouverte dans le local env 20 m2 env 5 fois par jour Renouvellement de l a
147. portes sp ciales Sch ma Remarques 9 1 Sas individuel E La porte du sas individuel doit pouvoir s ouvrir depuis Ext rieur l int rieur rapidement et sans moyens auxiliaires sur la largeur compl te de la porte pe Les cl s d pos es dans des bo tiers badges ou autres moyens auxiliaires ne remplissent pas Entr e indiv l objectif de s curit et ne sont donc pas autoris s dans le sas La porte d un sas d verrouill qui s ouvre dans le en sens inverse de la fuite pour des raisons techniques nt rieur is M cani m de Je se que su des a d verrouillage aiblement occup s et sans danger particulier N I Sortie individuelle du sas vacuation individuelle par le sas d verrouill Actionnement du syst me de r gt d verrouillage 410 L Commentaire de l ordonnance 4 relative la loi sur le travail Chapitre 2 Construction et am nagement des entreprises soumises la proc dure d approbation des plans Annexe de Section 3 Passages Art 10 Portes et sorties situ es sur les voies d vacuation l art 10 Sch ma Remarques Ko ND Portes enroulement rapide Les portes doivent galement pouvoir s ouvrir sans courant lectrique Porte enroulement rapide horizontal Les portes doivent pouvoir s ouvrir dans le sens de la fuite La porte doit lib rer le passage moyennant une l g re pouss e Porte enroulement rapid
148. pour quoi il est pr f rable de ne l utiliser qu en com pl ment de la ventilation locale notamment pour assurer un apport minimum d air neuf dans les lo caux et diluer les polluants non capt s par les sys t mes d aspiration localis es La n cessit de purifier l air pollu avant de le reje ter l ext rieur est r gl e par la l gislation concer nant la protection de l environnement On veillera rejeter l air pollu en dehors des zones d entr e d air neuf La charge en polluants dans les locaux de travail doit tre maintenue aussi basse que possible en tenant compte de l tat de la technique Pour les substances uniquement g nantes la limite est fixer de mani re telle que la majorit des travail leurs par exemple plus de 85 ne se sentent pas incommod s Pour les substances pour lesquelles une limite maximale de concentration aux postes de travail a t fix e VME VLE voir SUVA r f rence 1903 on doit s assurer que celle ci ne soit jamais d pass e Pour tenir compte de la variabi lit de l exposition des mesures de r duction du risque devraient tre prises d s que les valeurs me sur es atteignent un pourcentage de la VME VLE On appelle cette concentration le niveau d ac tion en g n ral 50 nouvellement 25 Polluants int rieurs Dans les bureaux et les locaux administratifs sans utilisation commerciale directe de substances chimiques ou biologiques les polluants i
149. pr vus au moment de l approbation des plans et qui pr sentent un dan ger pour la vie ou la sant des travailleurs l autorit comp tente peut subordonner l autorisation des conditions suppl mentaires apr s avoir entendu l employeur 3 l autorit cantonale et les instances f d rales transmettent un double de leurs autorisations d ex La d cision quant l autorisation d exploiter in combe l autorit qui a octroy l approbation des plans Cette autorit v rifie sur place si le b timent construit et l am nagement de l entreprise corres pondent l approbation des plans L autorit com p tente invite au contr le de r ception les autres autorit s participant la proc dure Inspection f d rale du travail dans les cas impliquant une d ro gation CNA Dans la plupart des cas ce contr le n a lieu qu apr s le d but de l exploitation car ce n est qu alors que l on peut valuer de mani re r aliste la conformit des postes de travail la loi Si les d fauts constat s sont de faible importance l autorisation d exploiter est accord e assortie des conditions n cessaires Si les d fauts sont impor tants mais ne constituent aucun danger pour la vie et la sant des travailleurs un d lai pour la sup pression des d fauts constat s est fix et l autori sation d exploiter accord e apr s leur limination Si les d fauts constat s repr sentent un danger imm diat pour la vie ou la sant de
150. prolong s de 1 m au dessus du point d en tr e ou de sortie le plus lev Il y a lieu de vouer une attention particuli re la conception du point de passage entre l chelle fixe et la partie de b ti ment ou d installation Pour des puits avec chelle ou chelons incorpor s les montants escamota bles doivent atteindre au moins 0 6 m au dessus du sol Lorsque l chelle est utilis e pour atteindre un endroit non prot g pr sentant des risques de chute tel qu un toit plat l ar te de celui ci doit tre munie de balustrades des deux c t s de l chelle afin d viter que des personnes puissent tomber En r gle g n rale ces balustrades auront 3 m de long parall lement l ar te ou 2 m perpendicu lairement Alin a 3 Les mat riaux pouvant entrer en consid ration sont par exemple l aluminium ou l acier prot g contre la corrosion principalement zingu Pour le surplus voir le feuillet CNA 44008 Echelles fixes SECO ao t 2006 411 1 Commentaire de l ordonnance 4 relative la loi sur le travail Chapitre 2 Construction et am nagement des entreprises soumises la proc dure d approbation des plans Section 3 Passages Art 11 Echelles fixes Art 11 TT DE min 3 0 M ee min 15 cm C S l Echelle de plus de 5 m de hauteur avec protection dorsale E D Ga s e Echelle de plus de DS 5 m de hauteur m lt avec paliers 60 A
151. protection des travailleurs les autorit s peuvent prescrire selon la nature et la quan tit de mati res pr sentant un risque particulier d incendie et selon les proc d s de travail utilis s a de diviser les b timents ou les locaux en compartiments d incendie ou de construire des b ti ments isol s ou un tage b d observer des distances de s curit suffisantes c de proc der la production la transformation la manipulation et l entreposage de mati res pr sentant un risque particulier d incendie exclusivement des tages dans des locaux ou dans d autres endroits d termin s d d am nager les voies d vacuation entre chaque poste de travail et les sorties de fa on ce qu el les ne d passent pas une certaine longueur compte tenu du danger potentiel 3 La production la transformation la manipulation et l entreposage de mati res pr sentant un risque particulier d incendie peuvent tre autoris s titre exceptionnel dans des locaux situ s sous le ni veau du sol pour autant que la s curit reste garantie Le Alin a 1 Des dispositions plus contraignantes en mati re de mode de construction et de voies de circulation sont valables pour les entreprises et parties d en treprises expos es un risque particulier d incen die Les conditions tant par trop diverses l article c la limitation de la fabrication de la transforma ticaux ou la construction de b timents
152. que dans des cas d exception d termin s savoir e lors de transformations de b timents existants lorsque les conditions spatiales l exigent e pour des sorties non utilis es en exploitation nor male issues de secours voir art 7 al 2 OLT 4 condition qu il n y ait pas de postes de travail permanents dans les tages et que les locaux ne soient que tr s faiblement occup s p ex des lo caux de stockage 3 3 Escaliers dans des installations De tels escaliers servent exclusivement l acc s aux installations techniques au sens de l article 9 alin a 2 OLT 4 Ils ne sont pas consid r s comme voies d vacuation au sens de l article 7 OLT 4 De tels escaliers tournants doivent aussi tre munis de paliers interm diaires toutes les 15 18 marches Le d pliant du bpa Bureau suisse de Pr vention des Accidents No 0204 Escaliers dans les im meubles et les b timents publics apporte des ex plications compl mentaires Concept Exigences A l int rieur et l ext rieur de la vol e de marches Espace n cessaire si Main courante balustrade elle est fix e une paroi 10 cm Pour les escaliers dans une installation et d une largeur utile allant jusqu 80 cm une main courante suffit Elle peut tre plac e l int rieur ou l ext rieur Hauteur libre de passage minimum 2 10 m Palier interm diaire Au moins chaque tage Largeur ext rieure au moin
153. re d hygi ne Section 1 B timents et locaux Art 14 Sols Art 14 Article 14 Sols Fr Ke 1Les rev tements des sols doivent produire peu de poussi re tre peu salissants et faciles nettoyer Si l exp rience montre que des liquides peuvent s y r pandre leur coulement rapide doit tre as sur et des emplacements secs seront si possible am nag s pour les travailleurs 2 Lorsque les conditions techniques de production le permettent les rev tements des sols doivent tre constitu s de mat riaux mauvais conducteurs de chaleur Lorsque seuls certains postes de tra vail sont occup s en permanence ce type de rev tement ne doit tre install qu ces endroits 3 Le sol devra tre isol thermiquement lorsque la temp rature r gnant au dessous du local de travail peut tre sensiblement plus basse o plus lev e que dans ce local Les caract ristiques suivantes jouent un r le pr pond rant selon les exigences auxquelles les rev tements de sols doivent satisfaire e r sistance m canique adapt e la compression l abrasion et aux chocs e r sistance l eau et aux agents chimiques tels que acides alcalis huiles graisses et solvants organiques e imperm abilit aux liquides e coulement des liquides e pouvoir antid rapant e facilit de nettoyage e propri t de ne pas former de poussi re e bon facteur d isolation thermique temp rature des pieds e insono
154. respec ter le nombre de Pettenkofer de 1 000 ppm CO L apport d air ext rieur proportion d air frais est d crit dans le paragraphe Composition de l air proportion d air frais de l art 16 du commen taire Les postes de travail situ s dans une enceinte sp cifique comme les cabines ou les postes de com mande d installations de grues de locomotives et de v hicules etc ne sont pas des locaux de travail au sens de cet article Alin a 2 Dans des conditions particuli res comme pour des travaux dans un environnement surchauff par exemple dans les fonderies de m tal ou de verre l autorit peut exiger entre autres mesu res un volume d air plus lev SECO ao t 2006 312 1 Commentaire de l ordonnance 3 relative la loi sur le travail Chapitre 2 Exigences particuli res en mati re d hygi ne Section 1 B timents et locaux Art 13 Plafonds et parois Art 13 I Article 13 Plafonds et parois A l int rieur des b timents plafonds et parois doivent tre construits de telle sorte qu ils soient faciles nettoyer et que la poussi re et la salet s y d posent le moins possible Lors de l am nagement des locaux de travail on veillera ce qu ils puissent tre nettoy s le plus fa clement possible Cet aspect est particuli rement important si le travail est salissant Des parois lisses des rev tements de sols durs non textiles facili tent le nettoyage En r gl
155. ries des dispositions sur l ge minimum de protec tion Pour les administrations publiques seules les dispositions de la loi concernant la protection de la sant y compris les dispositions de protection des jeunes travailleurs et de la maternit sont applica bles l exception des dispositions sur la dur e du travail et du repos Ordonnance 3 et 4 relatives la loi sur le travail L ordonnance 3 relative la loi sur le travail r gle la protection g n rale de la sant Elle s applique galement aux administrations f d rales cantona les et communales Elle fixe les mesures que l em ployeur doit prendre afin d viter toute atteinte la sant physique et psychique des travailleurs Elle pose de plus des exigences sp cifiques li es la protection de la sant pour les b timents les lo caux les postes de travail les v tements de tra vail l hygi ne etc L ordonnance 4 relative la loi sur le travail r gle la proc dure d approbation des plans et d autorisation d exploiter La proc dure d approbation des plans permet d assurer que les prescriptions relatives la protection de la sant et la pr vention des accidents soient d j int gr es lors de la planification d une entreprise industrielle ou pr sentant des dangers particuliers et non pas apr s la visite de r ception L autorisation d exploi ter est accord e seulement lorsque la construction et l am nagement de l entreprise concordent
156. rieur permet de courtes pha ses actives de repos Si ce lien vers le monde ext rieur manque un besoin l mentaire de l homme m me s il n est pas conscient reste insatisfait Les changements de lumi re journaliers et saisonniers sont des facteurs importants pour l horloge inter ne qui r gle les fonctions physiologiques et psy chiques La lumi re artificielle ne peut jouer qu un r le d appoint sans pour autant fournir l individu les rep res qui rythment le d roulement d une jour n e Raison pour laquelle l art 15 OLT 3 privil gie le recours la lumi re du jour De plus lorsque la luminosit est trop faible il y a baisse du taux de s rotonine et s cr tion accrue de m latonine La s rotonine est l hormone de l veil elle faci lite les transmissions nerveuses La m latonine est l hormone responsable du maintien des rythmes biologiques et du cycle veille sommeil Dans ces conditions la qualit et la dur e du sommeil sont alt r es De m me la diminution de la luminosit ambiante a un impact direct sur le comportement troubles de la concentration nervosit d pres sion etc L objectif principal de l art 24 al 5 OLT 3 n est pas l clairage naturel des locaux mais le contact avec l ext rieur On a observ en effet que les cas d an goisse et d inconfort psychologique taient plus nombreux chez les salari s exer ant leur activit dans des locaux aveugles surtout lorsqu il s agis
157. s s curis s syst mes d acc s s curis s 410 Activit s salissantes 329 330 331 Administrations f d rale cantonales et communa les 301 Air des locaux 318 417 Air frais 316 318 327 Allumage 45 418 Ambiances chaudes exposition r p t e 320 Am nagements int rieurs 408 Analyse de risque 303 403 423 Analyse de s curit 303 403 Appareils 303 323 337 Appr ciation des postes de travail 302 323 Approbation des plans 401 426 AP D rogations 427 Mandats confi s des tiers 402 Proc dure obligation 401 403 Ascenseurs 407 Aspiration locale 318 ASSE Association suisse des sanitaires d entrepri ses 336 Astreintes 302 323 324 Ateliers d anodisation 401 Ateliers de trempe 401 Atmosph re explosible 422 Atteinte la sant 301 302 308 311 318 324 327 AP Autorisation d exploiter 401 403 AP Autorisation de d rogation 339 404 405 408 409 427 Approbation des plans 427 Participation 339 427 Ordonnance 3 article 16 Ordonnance 4 article 2 Avant propos Exemples 316 402 AP Proportionnalit 339 427 Autorit s d ex cution 326 338 339 427 Balustrades 409 412 Bases l gales 338 426 AP B timents de grande hauteur 407 B timents et locaux 31 Mode de construction 311 Plafonds et parois 313 Sols 314 Volume d air 312 Boissons alcoolis es 335 Boissons sans alcool 335 Bouton poussoir d ouverture d urgence 410 Bruit 322 Bruit de fond 322 Effets auditifs 322 Effets extra aud
158. sexes dans le cadre du travail Or de mani re g n rale le harc lement sexuel est aujourd hui en core trop tol r ce qui banalise le ph nom ne et peut retenir les victimes de d poser plainte Aussi l absence de plaintes ne signifie pas que dans une entreprise il n y ait pas de probl me de harc le ment sexuel La plupart du temps les victimes se taisent faute de condamnation claire de ce type de comportement par l employeur et par peur des repr sailles Remarque le harc lement sexuel est galement prohib par d autres lois La loi sur l galit entre femmes et hommes du 24 mars 1995 interdit la discrimination des travailleurs fond e sur le sexe et plus particuli rement lorsqu intervient un har c lement sexuel Celui qui est concern par une telle discrimination peut faire valoir les droits pr vus par la loi aupr s du tribunal des prud hommes comp tent ou pour les rapports de travail de droit public aupr s de l autorit administrative comp tente Selon l art 328 al 1 du Code des obliga tions l employeur doit veiller ce que les travail leurs ne soient pas harcel s sexuellement et qu ils ne soient pas le cas ch ant p nalis s en raison de tels comportements Enfin l art 193 al 1 du Code p nal dispose ce qui suit Celui qui profi tant de la d tresse o se trouve la victime ou d un lien de d pendance fond sur des rapports de tra vail o d un lien de d pendance de toute autre
159. sistance au feu bonne bonne bonne bonne bonne Conductivit lectrique mauvaise moyenne mauvaise bonne bonne Risque d tincelles par frottement non non non oui non Isolation phonique mauvaise mauvaise mauvaise mauvaise bonne Des mesures de protection contre la propagation du son solidien et a rien permettent d obtenir de bons r sultats Tableau 314 2 Propri t s de diff rents rev tements de sols industriels suite du tableau 314 1 SECO ao t 2006 314 5 Commentaire de l ordonnance 3 relative la loi sur le travail Chapitre 2 Exigences particuli res en mati re d hygi ne Section 1 B timents et locaux Art 14 Sols Art 14 Rev tement bitumeux Propri t s Pav s de bois dur Asphalte coul roul R sistance l usure par abrasion bonne moyenne tr s bonne R sistance la compression tr s bonne moyenne moyenne R sistance aux chocs bonne bonne bonne Isolation thermique par contact bonne moyenne moyenne Retrait gonflement faible faible faible R sistance aux acides mauvaise mauvaise faible R sistance aux alcalis bonne moyenne moyenne R sistance l eau moyenne bonne tr s bonne R sistance aux huiles et aux car burants bonne moyenne faible R sistance aux solvants Risque de formation de poussi re tr s bonne oui ma
160. soit e 35 m pour la distance de chaque emplacement dans le local jusqu la prochaine cage d escaliers ou sortie et e 50 m lorsqu il y a au moins 2 sorties ou cages d escaliers Ces longueurs maximales sont elles m mes li es d autres conditions conform ment aux alin as 4 et 5 Ainsi une longueur de 50 m pour une voie d va cuation ne peut tre invoqu e que si la liaison se fait par un corridor Les longueurs des voies d vacua tion doivent tre respect es ind pendamment de l occupation des locaux et b timents 2 3 Alin a 4 La longueur totale d une voie d vacuation se compose des sections local et corridor La longueur de cette voie dans le local se mesure en ligne droite Cela signifie que l on ne tient pas compte des installations mais seulement des pa rois fixes ill 408 1 Dans les corridors la longueur du trajet est d terminante Si le local dispose d autres s parations p ex pour la protection contre le bruit ou pour des raisons de ventilation elles peuvent tre consid r es comme installations pour autant qu il existe des pas sages et que l on puisse largement voir au travers L on ne tient pas compte dans la longueur d une voie d vacuation du trajet l int rieur d une cage d escaliers de ses corridors de sortie ou des vesti bules la reliant la sortie en fa ade rez de chaus s e 2 4 Alin a 5 L alin a 5 fixe la longueur maximale admissible des voies d
161. sont pas disponibles pour l tude d une installation sewi assist s par ordinateur d clairage les valeurs de r f rence suivantes sont E DAO CAO activit s de pr ci applicables sion moyenne n cessitant une e Dans des locaux normaux choisir une intensit Donne visibilit locaux d infir moyenne d au moins 150 des valeurs minima Mens les facteur de maintenance 0 67 gt 750 Travaux de finesse e Dans des locaux fortement encrass s choisir une intensit moyenne d au moins 200 des valeurs Z tant une tr s bonne visibilit Les valeurs de r f rence sont bas es sur une p Voies d vacuation clairage i re ans A P fa i gt 1 de secours attention la r E gt DAMES APE CE ROME SE Acteur aS gularit 40 1 maintenance d crit le rapport entre la valeur maintenir et la valeur neuf Tableau 315 1 Valeurs de l clairement requises E pour un clairage nominal dans les locaux de travail 315 2 Fa Art 15 Eclairage Commentaire de l ordonnance 3 relative la loi sur le travail Chapitre 2 Exigences particuli res en mati re d hygi ne J7 Section 2 Eclairage climat des locaux bruits et vibrations Art 15 E Indication Les personnes dot es d une mauvaise vue et les travailleurs g s ont besoin d un claire ment sup rieur aux valeurs indiqu es ci apr s pour pouvoir travailler sans se fatiguer et sans commettre d erreur La mise en place d un tel clair
162. substances ir ritantes par exemple formald hyde ozone etc D s lors il s impose de lutter contre les causes ob jectives de ces probl mes et de prendre en compte l ensemble des facteurs d influence l humidit minimale dans un local sera d autant plus lev e que l air est charg de poussi re les tapis en pro duisent plus que les sols lisses De mani re g n rale on tend surestimer l impli cation d un air sec dans les atteintes la sant En effet il arrive fr quemment que l humidit relative l ext rieur se situe autour de 30 voire en des sous ainsi qu il en va le matin au printemps et en automne lorsque le temps est ensoleill et durant la saison hivernale D un autre c t l air sec induit 0 5 0 4 0 3 froid inconfortable 0 2 confortable 0 1 D placement moyen relatif de lair v m s chaud inconfortable 186 24 26 28 C 12 14 16 18 20 22 Temp rature de l air Illustration 316 3 Source Terhaag 1986 Sensation de confort en tant que fonction de la temp rature ambiante et du d placement de l air l int rieur surtout durant la p riode froide un ef fet isolant sur le plan lectrique avec pour cons quence d augmenter la charge lectrostatique des mat riaux et de provoquer des secousses d sa gr ables Au del de 40 h r la conductibilit lectrique plus lev e de l air fait dispara tre rapi dement les ph nom n
163. sultant d une surface au sol de moins de 50 m ou fr quemment ren contr s dans l industrie horlog re Selon la lettre b de l alin a 3 des exceptions peuvent galement se justifier lorsque des faux plafonds sont install s pour l amen e d air par une ventilation artificielle l alin a 3 lettre c admet un d passement de la limite inf rieure de la hauteur de locaux de travail Section 2 Locaux de travail Art 5 Hauteur des locaux lorsque l air et le climat ne sont pas ou que tr s peu alt r s et que l activit s effectue essentielle ment en position assise et ne demande que peu d efforts La conception ergonomique des postes de travail ne doit pas tre influenc e par la hau teur inf rieure des locaux La vue sur l ext rieur doit tre garantie Il y a lieu de formuler des exi gences plus lev es que pour des locaux de hau teur normale en ce qui concerne l clairage princi palement pour les questions de protection contre l blouissement En outre une d rogation peut se justifier lorsqu il s agit d adapter les planchers d un agrandissement ceux d un b timent exis tant comportant des locaux de plus faible hauteur Les autorit s peuvent admettre sans autorisation de d rogation au sens de l article 27 OLT 4 une di minution de la hauteur prescrite d un degr mais pas en dessous de 2 50 m lorsque les conditions mentionn es sont respect es Une autorisation de d rogation selon l article 27 OLT 4 est
164. te au visage aux mains et aux pieds C est pourquoi il importe de prot ger particuli rement ces parties du corps Un temps d exposition critique est at teint lorsque la temp rature moyenne de la peau descend au dessous de 30 C En aucun endroit la temp rature de la peau ne doit descendre au des sous de 12 C Domaine de froid de degr s IlI V Domaine de froid de degr III domaine froid de 5 C 18 C Domaine de froid de degr IV domaine tr s froid de 18 C 30 C p ex en trep ts frigorifiques pour produits congel s Domaine de froid de degr V domaine du froid extr me au dessous de 30 C Dans ces domaines basse temp rature des v tements de protection contre le froid et des me sures de protection plus strictes doivent tre prises en fonction de l activit physique Par exemple si ges de chariots l vateurs chauff s habille ment polaire protection de la t te des mains et des pieds contre le froid pauses r guli res et suffi samment longues voir tableau 321 2 dur e maxi male d exposition au froid et dur e minimale de r chauffement avec retrait et r chauffement des habits et des chaussures D autres mesures organisationnelles peuvent tre prises en compte une rotation des postes de travail dans des locaux temp rature normale doit tre pr vue et entreprise chaque fois que la situa tion le permet Sinon des pauses de r chauffe ment doivent
165. transparent ne doit pas d passer 1 20 m Lorsque le travail se fait principalement debout on peut exceptionnellement admettre une hauteur d all ge de 1 50 m si des installations meubles tiroir installations fixes de transport tablis machines cachent la partie inf rieure des fen tres Une all ge d une hauteur suffisante pr viendra la chute de personnes ou de mat riel travers les fen tres Les fen tres ou vitrages cassables des cendant jusqu au niveau du sol seront galement quip s d un dispositif emp chant ce genre de chutes article 12 OLT 4 brochure technique BPA 2 003 Garde corps Pour ce dernier cas on aura recours du verre ne se brisant pas compl te ment On optera pour les types de verre suivants e avec protection suppl mentaire contre les chu tes au moins VST verre de s curit tremp e sans protection suppl mentaire contre les chu tes VSF verre de s curit feuillet Voir gale ment l article 15 OPA et les feuillets d informa tion Le verre et la s curit de l Institut suisse du verre dans le b timent SIGaB et Le verre dans le b timent Ib 9916 du bpa Le nettoyage des fen tres vitrages hauts jours coupoles etc ne doit mettre en danger ni les net 417 4 Commentaire de l ordonnance 4 relative la loi sur le travail Chapitre 2 Construction et am nagement des entreprises soumises la proc dure d approbation des plans
166. tre planifi es apr s l exposition au froid L employeur doit galement mettre des bois sons chaudes disposition 1 3 Moyens de pr vention lors du travail au froid On se r f rera la norme DIN 33403 cinqui me partie Ergonomic design of cold workplaces pour l am nagement de postes de travail dans des lo caux non chauff s ou incompl tement ferm s p ex stands de vente ouverts kiosques ainsi qu en plein air Pour les travaux dans des locaux incompl tement ferm s et en plein air on construira autant que possible des parois de protection et des toitures Si les travailleurs doivent rester dans ces locaux du rant un temps relativement long on y installera si n cessaire et si possible un moyen de chauffa ge p ex une installation de chauffage mobile ou des radiateurs infrarouges Dans ce cas attention l utilisation d appareils combustion sans va cuation des gaz vers l ext rieur risque d intoxica tion au monoxyde de carbone CO On prendra soin de choisir des outils avec des manches faiblement conducteurs qui seront ran g s dans un local chauff et qui peuvent tre utili s s avec des gants On veillera galement ce que les si ges des machines soient construits dans des mat riaux thermiquement isolants et que les ob jets et barres m talliques soient recouverts d un isolant thermique On comptera un temps d ex cution plus long pour le travail au froid et dans la mesure du possib
167. une construction ou d une transformation les machi nes et les installations doivent tre prises en con sid ration dans un concept de protection contre le bruit Par le choix ou l achat de machines et par l utilisation de proc d s silencieux les missions sonores peuvent tre maintenues un bas niveau Il y a lieu d exiger des fournisseurs de machines et d installations des valeurs d mission basses ga ranties dans le contrat de vente Les valeurs d mis sion de certains types de machines se trouvent dans les directives VDI ETS Richtlinien N existent qu en allemand p ex Holzbearbeitungsmaschi nen VDI 3740 spanende Werkzeugmaschinen VDI 3742 handgef hrte Werkzeuge VDI 3761 etc Les mesures techniques de lutte contre le bruit d crites ci dessous correspondent l tat actuel de la technique e conception des emplacements de transfert de mat riel de telle sorte qu ils g n rent peu de bruit par exemple en amortissant les points d im pact et en minimalisant la hauteur de chute e quipement des chappements d air comprim d un silencieux En fonction de la situation con cr te dans un local affectation niveau de bruit les entr es et sorties d air en seront galement quip es e utilisation d outils pneumatiques munis de silen cieux p ex visseuses pneumatiques e utilisation de pistolets de nettoyage l air com prim ne g n rant que peu de bruit munis d un d tendeur ou de buses si
168. urgence 336 O Objectif de s curit des portes sur les voies d va cuation 410 Objet de la protection de la sant 301 Comp tences 307 Principe 302 Signification AP Directives de l employeur 310 Obligations particuli res de l employeur 303 Organisation du travail 302 306 322 323 324 325 Oscillation du corps entier 322 Oscillations 322 OSPro 409 Outils 323 324 Ouvertures dans le sol 412 Ouvrages de protection civile 407 Oxyg ne teneur en 401 P Paliers 408 Paliers interm diaires 409 411 Parois 313 Parois de s paration 408 Parrainage 305 309 Participation des travailleurs 306 Passages 43 315 337 406 407 408 409 410 Circulation des pi tons et des v hicules 43 Largeur 406 Passages principaux 43 Passages secondaires 43 S paration des zones de circulation 43 Passages principaux 43 406 407 409 Passages secondaires 43 406 409 Pauses 315 321 323 Locaux de travail sans lumi re naturelle 315 Locaux non chauff s 321 Travail l cran 323 Travail en plein air 321 Personnel engag temporairement 305 309 Personnel externe 309 Personnel sanitaire 336 Places de repos 324 334 Plafonds et parois 311 313 Planification 401 AP Plaques tournantes 413 Plinthes 409 412 Poids 325 Poids limite 325 Commentaire des ordonnances 3 et 4 relatives la loi sur le travail Index O Index Police du feu AP 409 Pollution de l air 316 317 318 Porter 325 Portes et sorties situ es sur les voi
169. utilise de plus en plus de nouveaux l ments de fa ades et de nouveaux mat riaux Ces l ments peuvent no tamment se pr senter sous la forme de s rigraphie sur verre de feuilles de grillage m tallique de t le perfor e de t le tir e ou de surface textile pour des l ments publicitaires Ce qui est typique de ces nouveaux l ments c est une trame trans parente propos e comme l ment esth tique comme l ment d conomie d nergie et comme protection contre l blouissement Toutefois les l ments de fa ades avec des trames qui doivent garantir la vue sur l ext rieur ne r pondent dans la pratique pas aux exigences de la protection contre l blouissement Dans les locaux comportant des postes de travail permanents en particulier il faut veiller ce que la vue sur l ext rieur soit garantie comme l ordon nance 3 relative la loi sur le travail le prescrit art 24 al 5 OLT 3 La vue sur l ext rieur tant une exigence centrale de la protection des travailleurs on aura soin d adopter un niveau d exigences as sez lev dans l valuation des fa ades e De l g res perturbations de la vue sur l ext rieur sont admises e S il y a de fortes perturbations la fa ade doit tre optimis e et r valu e Si une modification de la fa ade n est pas possible l autorit d ex cution doit valuer si des mesures de construc tion ou d organisation particuli res permettent de satisfaire
170. 0 x 80 Ses lt gt o D lt Poste de travail voisin Les tables de guichet doivent offrir suffisamment de place pour les jambes en position assise et pour les pieds en si tuation debout Une table de 200 cm de long est n cessai re si un cran de visualisation doit y tre pos Illustration 324 4 Bureau mesures en cm Illustration 324 5 Guichet l int rieur d un local mesures en cm SECO ao t 2006 324 3 o Commentaire de l ordonnance 3 relative la loi sur le travail Art 24 Lu Chapitre 2 Exigences particuli res en mati re d hygi ne Section 3 Postes de travail Art 24 Exigences particuli res 2 Alin a 2 l exigence d une position naturelle du corps au travail vise avant tout les buts suivants e diminuer les charges d favorables pour l tre humain e faciliter l ex cution du travail e am liorer l efficacit du travail humain e permettre des m thodes de travail sans probl mes 2 1 Postures forc es Ces buts sont destin s pr server la sant simul tan ment am liorer la capacit de rendement par une diminution de la charge physique inutile Il s agit avant tout d viter les positions non natu relles appel es postures forc es On entend par l des positions physiologiquement d favorables qui chargent anormalement certaines parties du corps par un travail musculaire statique lequel d favo rise l irrigation sanguine et
171. 029 Directives pour la s curit au travail SN EN 179 Quincaillerie pour le b timent Fermetures d urgence pour issues de secours man uvr es par une b quille ou une plaque de pouss e SN EN 1125 Quincaillerie pour le b timent Fermetures antipanique pour issues de secours man uvr es par une barre horizontale DIN prEN 13633 Quincaillerie pourle b timent Syst mes de fermeture antipanique pour issues de secours contr l es lectriquement et desti n s tre utilis s sur les voies d vacuation DIN prEN 13637 Quincaillerie pourle b timent Syst mes de fermeture d urgence pour issues de secours contr l es lectriquement et desti n s tre utilis s sur les voies d vacuation SECO avril 2009 410 A Annexe de l art 10 Commentaire de l ordonnance 4 relative la loi sur le travail Chapitre 2 Construction et am nagement des entreprises soumises la proc dure d approbation des plans Art 10 Portes et sorties situ es sur les voies d vacuation Section 3 Passages DIN 18650 1 seulement en allemand Schl s ser und Baubeschl ge Automatische T rsys teme Teil 1 Produktanforderungen und Pr f verfahren DIN 18650 2 seulement en allemand Schl s serundBaubeschl ge AutomatischeT rsysteme Teil2 SicherheitanautomatischenT rsystemen e La responsabilit de prendre toutes les mesures n cessaires afin d
172. 0804 IEC 942 g n rateurs acoustiques 1 988 SIA 181 Schallschutz im Hochbau SN 520 181 Source de bruit Local de travail t re priorit t re priorit 2e priorit Mesures de lutte contre le bruit R duction de la formation de bruit R duction de la transmission R duction de l mission Subdivision des locaux R duction de la propagation CRUE Mesures de correction acoustique des locaux Organisation du travail R duction de la charge acoustique AL gh Protection individuelle de l ou e Utilisation d outils de machines et proc d s peu bruyants Isolation des sources et silencieux Capotage des machines Utilisation de capots antisoniques S paration des postes de travail bruyants des postes silencieux Montage de plafonds et de parois absorbants fen tres isolantes contre le bruit Limitation du temps d exposition rotation aux postes de travail bruyants Utilisation de protecteurs d ou e marquage des zones bruyantes Illustration 322 A Structuration des mesures de lutte contre le bruit SECO novembre 2007 322 C Y K Commentaire de l ordonnance 3 relative la loi sur le travail Annexe de Chapitre 2 Exigences particuli res en mati re d hygi ne l art 22 Section 2 Eclairage climat des locaux bruits et vibrations Art 22 Bruit et vibrations Informations de la CNA 1903 d
173. 1 interm diaires 20 o intervalles de 7 D 10 m au plus Pied de S reposant sur le N min 1 0 m 25 32 cm max 3 00 m O LO EA a Pied de l chelle reposant sur le sol N O Y 55 75 cm Illustration 411 1 Echelles fixes Illustration 411 2 Echelles fixes 411 2 Commentaire de l ordonnance 4 relative la loi sur le travail Chapitre 2 Construction et am nagement des entreprises soumises la proc dure d approbation des plans Section 3 Passages Art 12 Garde corps balustrades Article 12 Garde corps balustrades Art 12 Les garde corps et les balustrades doivent mesurer au moins 1 m de hauteur et tre munis d une fi li re interm diaire Au besoin ils seront pourvus d une plinthe L article 21 OPA r gle les principes selon lesquels des emplacements doivent tre munis de garde corps ou de balustrades La chute de personnes et de v hicules aussi bien que celle de pi ces de ma ti res entrepos es et d autres mat riaux doit tre vit e partout o cela est possible tant l ext rieur que dans des b timents A cet effet on am nagera des garde corps ou des balustrades d au moins 1 m de hauteur La hauteur de 1 m des b
174. 2 Le besoin de sorties et escaliers en partie plus troits p ex 1 m au lieu de 1 2 m peut se faire sentir pour l acc s des surfaces d tage occup es par un tr s petit nombre de personnes grands lo caux de stockage I n est cependant possible de d roger aux largeurs prescrites pour les voies d vacuation au sens de l art 7 OLT 4 que dans des cas d exception d ment motiv s et par application de la r glementa tion d exception de l article 27 OLT 4 Des escaliers et corridors d une largeur sup rieure 1 20 m peuvent tre n cessaires pour des b timents o s journent un grand nombre de per sonnes Constitue le crit re d terminant le nombre maximum de personnes pouvant les emprunter presque simultan ment Lorsque des locaux sont pr vus pour contenir plus de 100 personnes une plus grande largeur est en r gle g n rale n cessaire voir le chapitre 5 2 de la directive AEAI 16 03 F Voies d vacuation et de sauvetage 2 2 Alin a 2 Par installations techniques il faut comprendre les installations industrielles de production et les ins tallations techniques l alin a 2 de l article 9 s ap plique galement aux acc s aux machines consid r es isol ment Celles ci peuvent tre e des installations ouvertes dans un local e des installations en plein air par exemple des in stallations de production chimique pourvues de passerelles pour le service et la surveillance e des par
175. 2 V6 GS 3 20 2 Autres entrep ts R 11 GS 2 21 Traitements chimiques et thermiques de fers et m taux 21 1 Ateliers de d capage R 12 GS 3 21 2 Ateliers de trempe R 12 GS 3 21 3 Laboratoires R11 GS 2 22 Travail des m taux 22 1 Ateliers de galvanisation R12 GS 3 22 2 Travail de la fonte grise R 11 GS 2 Ateliers m caniques p ex tournage d colletage fraisage 22 3 tampage emboutissage tirage tubes fils domaines avec R 11 GS 2 charge lev e en huile ou lubrifiants 22 4 Lavage et s chage de pi ces R 12 GS 3 23 Ateliers d entretien de v hicules 23 1 Locaux pour les services et la r paration R11 GS 2 23 2 Fosses de travail et de visite R 12 V4 GS 3 23 3 Locaux de lavage R 11 V4 GS 2 24 Ateliers a ronautiques 24 1 Halle des a ronefs R 11 GS 2 24 2 Halles de montage R11 GS 2 24 3 Halles de lavage R11 V4 GS 2 Tableau 314 5e Zones de travail pr sentant un danger de glissade suite SECO ao t 2006 314 11 Commentaire de l ordonnance 3 relative la loi sur le travail Art 14 Chapitre 2 Exigences particuli res en mati re d hygi ne Section 1 B timents et locaux Art 14 Sols Appr cia re Appr cia Zones de travail pr sentant un danger de glissade An ps selon DPaIEMPA DIN 51130 25 Stations d puration des eaux 25 1 Locaux de pompage 25 2 Locaux de d shydratation des boues 25 3 Locaux avec installati
176. 26 1 lt Art 26 i Commentaire de l ordonnance 3 relative la loi sur le travail Chapitre 2 Exigences particuli res en mati re d hygi ne Section 5 Surveillance des travailleurs Art 26 2 Alin a 1 La surveillance du comportement des travailleurs comprend toute surveillance permettant de v ri fier en permanence ou non certaines activit s des travailleurs de fa on d taill e notamment des ca m ras filmant l activit des travailleurs et la ma ni re dont ils le font microphones enregistrant les conversations des travailleurs syst mes d coute t l phonique logiciels informatiques permettant de conna tre les activit s l ordinateur des travail leurs Ceci n est pas le cas notamment des moyens tels que des badges lectroniques permettant l acc s une entreprise et l enregistrement de l heure d en tr e et de sortie ou des syst mes de contr le de qualit lectroniques permettant de comptabili ser quotidiennement l ensemble de la production d une machine D une mani re g n rale les syst mes de sur veillance et de contr le comprennent en premier lieu tous les syst mes techniques qui peuvent en registrer une ou plusieurs activit s ou le comporte ment des travailleurs savoir les syst mes vid o les syst mes et r seaux d ordinateurs les installa tions t l phoniques les t l copieurs les interpho nes les photocopieuses le GPS et Internet World
177. 418 Orifices de sortie 418 Syst me d alarme 317 Ventilateurs 418 Installations lectriques 331 424 Installations en toiture 407 Installations sanitaires 302 329 330 331 332 Installations techniques AP 303 308 407 408 Instruction 305 Instrument d valuation 325 Intemp ries 311 327 Intensit lumineuse 315 Isolation du b timent 31 Isolation du sol 311 314 Isolation thermique 311 314 Issues de secours Ouvrages de protection civile 330 407 Sous sol 407 J Job rotation 323 L Largeur Cages d escaliers 409 O Index Couloirs 409 Passages principaux 406 Passerelles 409 Portes 407 410 Voies d vacuation 407 Largeur de l escalier 407 409 Exceptions 409 Lavabos 331 332 Lavabos et douches 331 Liaison visuelle 408 Limitation de l blouissement 315 Limite de capacit de rendement 323 Location de services 309 Locaux climatis s 317 Locaux de protection civile 330 407 Locaux de repos 329 333 334 Locaux de s jour 329 333 401 Locaux de travail 31 315 404 405 AP Locaux de travail sans fen tres 315 404 405 Locaux de travail souterrains 315 404 405 Locaux de vente 315 326 Locaux et zones de pause 329 333 401 Locaux frigorifiques 315 321 Locaux non chauff s 321 333 Locaux pour vestiaires 329 330 331 332 Locaux s par s pour installations techniques 408 Locaux sociaux 329 331 332 333 425 Exigences g n rales 329 Hygi ne 329 Postes de travail en plein air 329 S paration par sexes 329
178. 5 50 ans Plus de 50 ans Pendant les 6 premiers mois de grossesse partir du 7e mois de grossesse Tableau 325 1 Poids acceptable de charges tenues pr s du corps Ces valeurs indicatives sont valables uniquement pour les charges qui peuvent tre tenues pr s du corps ne sont trans port es qu occasionnellement et pour autant qu une posture neutre soit garantie lors du d placement de la charge faute de quoi le poids de la charge doit tre r duit transporteuses convoyeurs rouleaux ou bande coulisser plates formes l vatrices chariots l vateurs transpalettes v hicules transporteurs rou tiers o ferroviaires Pour les mouvements fr quents avec une charge importante l instrument d valuation Risques pour l appareil locomoteur d finit des limites au del desquelles la protection de la sant requise n est plus assur e S il s av re que les mesures mises en uvre par l entreprise ne permettent pas de satisfaire aux exigences du tableau 325 1 et de l instrument d valuation il convient de comman der une analyse d taill e des postes de travail ex pertise technique selon l art 4 OLT 3 un sp cia liste en ergonomie p ex titulaire d un Master of Advanced Studies MAS en Sant au Travail ou er gonome avec certification CREE3 puis sur la base des r sultats de celle ci d engager les mesures qui s imposent Les m thodes caract ristiques pour soulever et pour porter de
179. 5 404 417 SECO novembre 2011 Commentaire des ordonnances 3 et 4 relatives la loi sur le travail Index indes Z Zones ex 418 422 l 10
180. 8 Section 4 Eclairage et qualit de l air dans les locaux Art 18 Installations de ventilation Article 18 Installations de ventilation Va d tincelles fluences ext rieures 1 Les installations de ventilation doivent tre construites en mat riaux ad quats En particulier les in stallations d vacuation de gaz de vapeurs de brouillards et de mati res solides combustibles doivent tre construites en mat riaux incombustibles ou en cas de circonstances particuli res au moins en mat riaux difficilement combustibles elles ne doivent pas donner lieu la formation 2 Les orifices d vacuation seront dispos s de fa on carter tout risque d inflammation d des in 3 Les s parateurs sec de mati res solides combustibles doivent tre plac s une distance suffisante des sources d inflammation Ils doivent tre con us de fa on que les ondes de choc d une ventuelle explosion ne provoquent pas d effets dommageables 4 Les canaux de ventilation doivent tre munis d ouvertures de contr le et de nettoyage facilement accessibles ainsi que le cas ch ant de raccords d amen e et d vacuation d eau de rin age Des installations de ventilation et d aspiration sont n cessaires en fonction des crit res figurant dans les explications relatives aux articles 17 et 18 OLT 3 L article 18 OLT 4 quant lui pr cise les exigences relatives aux installations de ventilation en parti cu
181. 8 Pollution de l air Pa cette source sera plac e dans un local s par soin suffisamment r chauff et humidifi pr judiciable la sant des travailleurs 1 Lorsque l air contient des odeurs des gaz des vapeurs des brouillards des fum es des poussi res des copeaux ou d autres polluants analogues dans des proportions qui le rendent pr judiciable la sant il doit tre aspir efficacement le plus pr s possible de la source de pollution Si n cessaire 2 Si n cessaire l air vacu par aspiration sera remplac par de l air frais Celui ci devra tre au be 3 L air vacu par aspiration ne peut tre r introduit dans les locaux que si cette op ration n est pas Les impuret s de l air dans les locaux de travail proviennent en r gle g n rale de l entreprise el le m me exceptionnellement de l ext rieur trafic automobile ateliers voisins La loi sur la protec tion de l environnement et son ordonnance sur la protection de l air exigent des entreprises qu elles n mettent pas des quantit s inadmissibles de pol luants Ces dispositions ne sont pas trait es ici Dans la mesure du possible les sources de pol lution seront isol es ou les polluants vacu s par aspiration de fa on ne pas souiller l air des lo caux de travail Autant que possible on renoncera la r introduction de cet air dans le local de tra vail sauf si les polluants peuvent tre s par s to talement de l
182. Art 17 Section 4 Eclairage et qualit de l air dans les locaux Art 17 Fen tres toyeurs ni d autres personnes pr sentes Cela signi fie que d s la conception de telles constructions les am nagements et dispositions n cessaires doi vent tre pr vus voir aussi feuillet CNA 44033 Les lanterneaux doivent r sister aux charges et aux contraintes pouvant survenir Les constructions non incassables doivent tre munies de protec tions vitant la chute de personnes au travers di rectives CFST pour la s curit au travail Alin a 5 Voir galement le commentaire relatif l article 20 OLT 3 La lumi re du jour ne pr sente pas que des avanta ges mais aussi des inconv nients Son intensit va rie sensiblement en fonction de la couverture nua geuse Ainsi un blouissement g nant peut il tre provoqu par le rayonnement solaire directement incident et par la r flexion sur des fa ades des sur faces enneig es ou la surface des eaux se trouvant dans le champ de vision ou encore par certains ty pes de vitrages Il faut s attendre une l vation ind sirable de la temp rature en cas d ensoleillement direct sur les fen tres Alors que l blouissement peut survenir en toute saison le rayonnement thermique exces sif survient surtout en t pour les fen tres situ es en fa ades ouest sud et est ainsi que pour les lan terneaux En premier lieu on peut viter un rayon nement thermique
183. CEE Journal officiel des CE no L 245 23 du 26 8 92 DirectiveduParlementeurop enetduConseil94 9 CE du 23 mars 1994 concernant le rapproche ment des l gislations des Etats membres pour les appareils et les syst mes de protection destin s tre utilis s en atmosph res explosibles Journal officiel des CE no L 100 1 du 19 4 94 Recommandation de la Commission 92 131 CEE du 27 novembre 1991 sur la protection de la dignit des femmes et des hommes au travail Journal officiel des CE no L 49 1 du 24 2 92 R glement CE No 1272 2008 du Parlement eu rop en et du Conseil relatif la classification l tiquetage et l emballage des substances et des m langes http europa eu int eur lex Commentaire des ordonnances 3 et 4 relatives la loi sur le travail Bibliographie Biblio graphie 3 Sources de normes r gles directives recommandations et feuillets d information Association des tablissements canto naux d assurance incendie AEAII Diffusion Association des tablissements cantonaux d assurance incendie Bundesgasse 20 Case postale 3001 Berne Association fran aise de normalisation AFNOR Diffusion www afnor fr ou aupr s de Association suisse de normalisation SNV B rglistr 29 8400 Winterthour WWW snv ch Association internationale de la s curit sociale AISS Diffusion Association internationale de la s curit sociale Publications de l
184. LT 3 e lorsque l ouverture prolong e de portes ou de passages pour v hicules produisent des courants d air voir l art 17 al 2 OLT 3 e lorsque de la poussi re de la fum e ou des gaz d chappement de v hicules incommodent les travailleurs et pour autant que ces polluants ne puissent tre limin s par aspiration voir l art 18 OLT 3 e lorsque des postes de travail sont soumis des rayonnements travaux de soudure des clairs ou de la lumi re e lorsque diverses sollicitations portent atteinte la compr hension de la parole la concentra tion ou l clairage 5 Alin a 5 Les explications relatives l article 24 alin a 5 sont trait es conjointement avec celles de l article 15 alin a 3 OLT 3 Des informations compl men taires figurent dans le commentaire concernant les articles 4 et 17 de l OLT 4 SECO ao t 2006 324 9 Commentaire de l ordonnance 3 relative la loi sur le travail Chapitre 2 Exigences particuli res en mati re d hygi ne Section 4 Charges Art 25 Art 25 Article 25 Charges charges manuellement ces op rations r parti Les mesures d organisation appropri es doivent tre prises et les moyens ad quats notamment les quipements m caniques mis disposition pour viter que les travailleurs ne doivent d placer des 2Lorsque le d placement de charges ne peut tre effectu que manuellement des moyens appro pri s
185. Les crit res d terminants sont les suivants e taille de l entreprise respectivement nombre d employ s e travaux comportant des risques particuliers pour la sant e structure de l organisation interne de l entreprise e niveau de formation des travailleurs ou e exigences particuli res en fonction de la t che par ex pour la personne de r f rence en mati re de harc lement sexuel et conflits au travail En dessus d un certain nombre de subordonn s un employeur ne peut plus remplir personnelle ment les t ches impos es par la loi sur le travail et par ses ordonnances Il peut les confier un ou plusieurs travailleurs Plus l entreprise est grande ou plus sa structure est complexe plus la r parti tion entre plusieurs travailleurs s impose Les tra vailleurs qui poss dent une grande exp rience professionnelle et une connaissance approfondie de l entreprise sont particuli rement aptes rem plir ces t ches notamment ceux qui ont d j des t ches particuli res comme les charg s de s curi t Dans les petites entreprises ces t ches seront attribu es le plus souvent des cadres comme t ches sp ciales dans les grandes entreprises elles occuperont des personnes plein temps qui seront attach es l tat major L employeur a aussi la possibilit de faire appel un sp cialiste de l ex t rieur et de lui confier les t ches de protection de la sant Les travailleurs ne doivent subi
186. Lors du levage et du port r guliers de charges respecti vement de manipulation il faut effectuer une d termination des dangers par tir de charges de 12 kg pour les hommes et de 7 kg pour les femmes SECO novembre 2011 325 1 Commentaire de l ordonnance 3 relative la loi sur le travail Art 25 Chapitre 2 Exigences particuli res en mati re d hygi ne Section 4 Charges Art 25 Les valeurs limites doivent aussi tre respect es pour le levage le portage etc des patients dans le cadre des soins domicile et aux personnes g es ainsi que dans les h pitaux Il faut pr voir suffisamment de personnes afin de pouvoir d faut de moyens auxiliaires ou lorsque ceux ci ne conviennent pas lever les charges plusieurs Alin a 2 Lorsque le d placement de charges ne peut tre effectu que manuellement il faut prendre toutes les mesures techniques orga nisationnelles ou personnelles mentionn es l alin a 1 afin de respecter au moins les va leurs indicatives d finies dans l instrument d valuation du SECO Les valeurs indicatives to l rables pour les charges sont fix es en fonction de l ge et du sexe Voir tableau 325 1 Pour des raisons relevant de la protection de la sant il peut tre n cessaire en plus des mesures pr vues aux art 23 et 24 OLT 3 de doter les postes de travail en quipements m caniques tels que ponts roulants grues engins de levage bandes 3
187. O ao t 2006 446 1 Commentaire de l ordonnance 4 relative la loi sur le travail Chapitre 5 Dispositions finales Art 47 Art 47 Dispositions transitoires Article 47 Dispositions transitoires La proc dure d approbation des plans est applicable aux projets de construction des entreprises non industrielles soumises l obligation de l approbation des plans en vertu de l art 1 al 2 let m lorsque a la demande du permis de construire n a pas encore t d pos e au moment de l entr e en vi gueur de la modification du 10 mai 2000 de la pr sente ordonnance b la demande du permis de construire ayant t d pos e les travaux de construction n ont pas en core d but et que des motifs particuliers de protection des travailleurs l exigent Aucun commentaire n cessaire SECO ao t 2006 447 1 Commentaire de l ordonnance 3 relative la loi sur le travail Chapitre 1 Dispositions g n rales Art 2 Principe Annexe de l art 2 t Article 2 OLT 3 annexe Principe D finitions Facteurs de risques psychosociaux au travail Les facteurs de risques psychosociaux au travail d signent les contraintes mentales au travail ayant des influences n gatives sur la sant cf la d fini tion de la contrainte mentale selon la norme EN ISO 10075 cit e plus bas ainsi que les harc le ments li s des aspects psychosociaux portant at teinte l int grit personnelle de
188. S 832 20 Ordonnance du 19 d cembre 1983 sur la pr vention des accidents et des maladies profes sionnelles Ordonnance sur la pr vention des ac cidents OPA RS 832 30 Ordonnance du 25 ao t 1999 sur la protection des travailleurs contre les risques li s aux micro organismes OPTM RS 832 321 Loi du 12 juin 2009 sur la s curit des produits LSPro RS 930 11 Ordonnance du 19 mai 2010 sur la s curit des produits OSPro RS 930 111 Loi f d rale du 8 octobre 1971 sur le travail dans les entreprises de transports publics Loi sur la dur e du travail LDT RS 822 21 Ordonnance du 26 janvier 1972 sur le travail dans les entreprises de transports publics Or donnance sur la dur e du travail OLDT RS 822 211 Loi f d rale du 17 d cembre 1993 sur l informa tion et la consultation des travailleurs dans les entreprises Loi sur la participation RS 822 14 Loi f d rale du 7 octobre 1983 sur la protection de l environnement Loi sur la protection de l en vironnement LPE RS 814 01 Ordonnance du 27 f vrier 1991 sur la protection contre les accidents majeurs Ordonnance sur les accidents majeurs OPAM RS 814 012 Ordonnance du 16 d cembre 1985 sur la pro tection de l air OPair RS 814 318 142 1 Ordonnance du 15 d cembre 1986 sur la pro tection contre le bruit OPB RS 814 41 Loi f d rale du 15 d cembre 2000 sur la protec tion contre les substances et les pr parations dangereuses Lo
189. Schweizerische Eidgenossenschaft Conf d ration suisse Confederazione Svizzera D partement f d ral de l conomie DFE Secr tariat d Etat l conomie SECO Commentaire des ordonnances 3 et 4 relatives la loi sur le travail Protection de la sant Approbation des plans SECO Conditions de travail Publication Note concernant l utilisation du commentaire Les pages sont num rot es en fonction des chapitres et des articles des ordonnances Exemples AP 1 Page 1 de l avant propos 308 2 Page 2 du commentaire relatif l article 8 OLT 3 427 1 Page 1 du commentaire relatif l article 27 OLT 4 43 2 Page 2 du commentaire relatif au chapitre 3 OLT 4 322 C Page C de l annexe concernant l article 22 OLT 3 Berne 1995 Premi re mise jour 1998 Deuxi me mise jour 1999 Troisi me mise jour 2004 Quatri me mise jour 2006 Cinqui me mise jour 2007 2008 Sixi me mise jour 2009 Septi me mise jour 2010 Huiti me mise jour 2011 Le commentaire a t r dig par les collaborateurs et collaboratrices du Centre de prestations Condi tions de travail Support graphique HP Hauser AVD Alles vor dem Druck Berne Forme du titre Mich le Petter Sakthivel Berne Edit par SECO Direction du travail Conditions de travail Effingerstrasse 31 35 3003 Berne Diffusion OFCL Vente des publications f d rales 3003 Berne www publicationsfederales admin ch 710 250 f Reproduction
190. Wide Web et courrier lectronique Si une surveillance est manifestement possible par les installations vid o ou par celles destin es suivre les communications entre travailleurs sans qu ils en soient conscients I peut s agir de micro phones dissimul s ou d interphones qui peuvent aussi enregistrer des communications l insu des travailleurs Par contre la possibilit d une telle surveillance est moins vidente pour les syst mes et r seaux informatiques les centrales t l phoni ques les t l copieurs et les photocopieurs Par exp rience on sait que les syst mes de sur veillance induisent chez les personnes observ es des sentiments n gatifs et d t riorent le climat g n ral de l entreprise Ils nuisent au bien tre la sant psychique et la capacit de rendement des travailleurs Il est donc dans l int r t g n ral de ne pas utiliser de telles installations ou tout au moins de le faire d une mani re tr s restrictive 3 Alin a 2 S ils excluent la surveillance du comportement des travailleurs leur poste de travail des syst mes de surveillance peuvent tre dispos s des endroits strat giques pour l entreprise tels que e ext rieur des b timents et parkings e acc s et entr es e passages e machines et installations dangereuses e salles des coffres e installations ext rieures de gaz e d p ts de produits dangereux Il est strictement impossible de d clarer ipso facto
191. a c ramique Mouture humide pr paration des p tes de c ramique brute M langeurs pour le travail des mat riaux tels que goudron poix graphite r sines synth tiques Presses moulage pour le travail des mat riaux tels que goudron poix graphite r sines synth tiques Ateliers de coulage Ateliers de vernissage Travail de la pierre et du verrre D coupage et polissage de pierre Formage du verre Soufflage fabrication de r cipients verre pour la construction Taillage rodage Verrre creux verre plat Fabrication de verre isolant travail avec agents de s chage Emballage et exp dition de verre plat travail avec produits antiadh sifs Traitement et polissage avec des agents corrosifs Tableau 314 5d Zones de travail pr sentant un danger de glissade suite 314 10 Commentaire de l ordonnance 3 relative la loi sur le travail Chapitre 2 Exigences particuli res en mati re d hygi ne Section 1 B timents et locaux ADS Art 14 Sols Appr cia Egek Appr cia Zones de travail pr sentant un danger de glissade Da LR sr 19 Locaux de travail et de production 19 1 Minoteries et fabriques d aliments pour animaux R 11 GS 2 19 2 Menuiseries R11 GS 2 19 3 Production d articles en b ton R11 GS 2 19 4 Bureaux R10 GS 1 20 Entrep ts 20 1 Entrep ts pour huiles et graisses R 1
192. a limite de capacit de rendement pour le tra vail musculaire statique se situe 15 de la force maximale 100 90 80 70 60 50 40 30 20 Force en pour cent de la force maximale 10 0 10 20 30 40 50 60 Age La force d velopp e par les bras et les jambes d pend de la posture corporelle de la direction du mouvement et du point d appui pour des infor mations compl mentaires voir art 25 OLT 3 voir galement les illustrations 323 1 323 4 2 Principes d ergonomie D finition voir l article 2 OLT 3 Bases ISO 6385 et ENV 26385 Principes ergo nomiques de la conception des syst mes de tra vail 2 1 Dimensionnement et posture corporelle e La hauteur de travail doit tre adapt e aux di mensions corporelles et la nature du travail Le si ge la surface de travail et ou la table sont concevoir comme unit et doivent favoriser une posture naturelle En outre ils seront adapt s l anatomie la physiologie et au type d activit de chaque utilisateur On pr voira suffisamment d espace pour les mou vements corporels en particulier pour la t te les mains les bras les jambes et les pieds 100 90 80 lt EREL 60 Cis 50 40 30 MA 20 10 Force utilis e en pour cent de la force maximale 0 1
193. ace d escaliers tournants constitue toujours un point de discorde lors de la planification de b timents et d installations Des escaliers tournants sont totale ment inadapt s pour des personnes handicap es ou affaiblies Des escaliers tournants ne devraient par con s quent tre pr vus que dans des cas d excep tion d ment motiv s Pour l ex cution d escaliers tournants voir chiffre 3 L am nagement de paliers interm diaires est ga lement n cessaire entre autres pour la s curit d utilisation des cages d escaliers De tels paliers sont am nager au moins toutes les 15 18 mar SECO septembre 2010 409 3 Commentaire de l ordonnance 4 relative la loi sur le travail Chapitre 2 Construction et am nagement des entreprises soumises la proc dure d approbation des plans Art 9 Section 3 Passages Art 9 Construction des cages d escaliers et des couloirs ches Leur profondeur ne doit pas tre inf rieure la largeur des escaliers Il faut galement am nager des paliers interm diaires lors d un changement de direction Lorsque p ex pour des raisons de construction des escaliers ne peuvent pas tre construits vo l es droites sur toute leur longueur l une des ex tr mit s peut tre am nag e en escalier tournant ill 409 2 sous les conditions suivantes e la courbure doit tre gale ou sup rieure 90 e environ 15 cm du point le plus tr
194. ace du rev tement au d but du test 20 C Temp rature initiale du bloc de cuivre 52 C Surface de contact du bloc de cuivre 113 cm2 Le r sultat est tabli sur une moyenne de 4 mesu res sur deux chantillons du rev tement L illustration 314 2 reproduction d un extrait de la norme SIA 252 pr sente les r sultats de mesures d une s rie de rev tements Dans la mesure du possible des rev tements de sol conducteurs devraient tre appliqu s afin d viter les charges lectrostatiques lors de d placements dans les locaux et les d charges lors de contacts avec des personnes ou des objets La charge lec trostatique doit sp cialement tre prise en compte en cas de rev tement de sol textile Les tableaux 314 1 314 3 de l Association suisse des Entreprises de Sols industriels ASESI regrou pent et valuent les qualit s de certains rev te ments de sols Art 14 37 0 kJ 12h 35 x ROY 9 1 1 L e x C c amp S L 30h05 ES 9 RY to 3 ge S D ses D amp G S 25 o E 8 0 NS 0 amp 5 ea R 7E RS 20 Q a 2 2 E a 6 T KE T TD O 5 15 5 2 g o at RNS 8 ac 10 Zae Ze M Q L cas e 0 5 elle g gt E PAAS 2 s5 a ae uet SY lt PA st at n feu on ve Y Toguete i 0 0 5 10 15 20 25 30 Dur e de l essai en minutes Illustration 314 2 valuation de la conductivit thermique SECO ao t 2006
195. aient disposer du mat riel de premiers secours plusieurs endroits faciles d ac c s afin de pouvoir r agir imm diatement en cas d urgence Le personnel travaillant l ext rieur des locaux ou du p rim tre de l entreprise p ex service l ex t rieur chantiers ou ouvriers travaillant en plein air doit galement tre quip de mat riel de pre miers Secours Il convient de r pondre certaines exigences sup pl mentaires pour les personnes travaillant seules6 p ex dans des installations de grande tendue des entrep ts pour des travaux de r paration de contr le ou en quipe dans le commerce de d tail ou ne travaillant pas un emplacement fixe p ex personnes en service l ext rieur ou tra vaillant sur des chantiers En cas d urgence elles doivent galement disposer des moyens de com munication n cessaires pour appeler rapidement de l aide ext rieure On tiendra compte du fait que l intervention des secours peut tre plus diffi cile de nuit Des mesures suppl mentaires et adap t es aux conditions donn es sont donc n cessaires pour les premiers secours apporter aux person nes travaillant seules Alin a 2 Locaux de premiers secours contr les Il est recommand de mani re g n rale aux entre prises d adapter le type la qualit et l ampleur de l quipement la situation de l entreprise et aux dangers pr sents Recommandations pour l quipement de premiers secou
196. ailleurs isol s les travailleuses enceintes ou qui allaitent Les frais d une telle expertise in combant l employeur il sera n cessaire de tenir compte du principe de proportionnalit En r gle g n rale l employeur doit faire appel un expert externe ou une commission d experts reconnus comme tels par les instances officiel les ou par les organisations professionnelles L ex pertise technique exig e par l organe d ex cution peut galement tre faite par un ou plusieurs sp cialistes de l entreprise elle m me Sont consid r s comme sp cialistes les m decins du travail les hygi nistes du travail les sp cialistes dipl m s en toxicologie ou en ergonomie ou autres par exem ple les psychologues du travail et des organisations pouvant justifier de connaissances et d exp rience suffisantes dans le domaine en question Il est important qu employeur travailleurs et or gane d ex cution s entendent sur la personne du sp cialiste choisi et d finissent clairement l objet et l tendue de l expertise Le recours un expert ex terne et ind pendant est n cessaire si la qualifica tion d un expert interne ou les conclusions d un rapport sont contest es l appui de motifs vala bles SECO ao t 2006 304 1 Commentaire de l ordonnance 3 relative la loi sur le travail Chapitre 1 Dispositions g n rales Art 5 Information et instruction des travailleurs ia NS Article 5 Info
197. air constitue une autre nuisance li e la canicule et au travail en plein air La concentration d ozone s l ve de jour en jour pendant les p riodes de beau temps prolong es les valeurs sont maximales en fin d apr s midi entre 16 et 18h L ozone est un gaz irritant pour les voies respiratoires les yeux le nez et la gorge Les personnes les plus vuln rables sont les enfants les personnes souffrant d asthme ou d affections chroniques des bronches et enfin les personnes exer ant une activit physiquement p nible en plein air On essaiera de regrouper l ex cution des travaux lourds en dehors des p riodes ou la concentration d ozone est lev e ventuelle ment avec un rattrapage des heures perdues Bibliographie Norme DIN 33403 5 1997 seulement en alle mand Climat au poste de travail et ses environs Partie 5 Conception ergonomique de postes de travail au froid Klima am Arbeitsplatz und in der Arbeitsumgebung Teil 5 Ergonomische Gestaltung von K ltearbeitspl tzen Norme SN EN ISO 11079 2008 Ergonomie des ambiances thermiques D termination et inter pr tation de la contrainte li e au froid en utili sant l isolement thermique requis du v tement IREQ et les effets du refroidissement local Norme SN EN ISO 15743 2008 Ergonomie des ambiances thermiques Lieux de travail dans le froid Evaluation et management des risques Brochure Travailler au froid SECO 2008 321 6
198. air frais est insuffisante par rapport l occupation d un local des odeurs incommodantes se d gagent et des sympt mes de malaise surviennent En cas d a ration naturelle la qualit de l air est tributaire de l intensit et de la fr quence de l ouverture des fen tres En pr sence d un dispositif de ventilation m canique elle d pendra du dimensionnement des installations techniques de leur r glage et de leur entretien cf Liste de contr le CFST 6807 Maintenance des installations a rauliques installations PNE Un air ambiant est consid r comme de quali t lorsque la concentration globale de CO n ex c de pas 1000 ppm durant toute la dur e d utili sation du local Cette valeur limite dite nombre de Pettenkofer vaut pour l ensemble des locaux de travail et d habitation qu ils soient a r s m cani quement ou par des fen tres Temp rature ambiante Selon la norme SN 520 180 la temp rature am biante correspond la temp rature ressentie au milieu d un local Cette derni re qualifi e sou 1 parties par million 1 000 ppm 0 1 vol 316 2 Commentaire de l ordonnance 3 relative la loi sur le travail Chapitre 2 Exigences particuli res en mati re d hygi ne Section 2 Eclairage climat des locaux bruits et vibrations Art 16 Climat des locaux Art 16 G Temp rature am enre d activit biante C en position assise principalement 21 23 intel
199. al soumises des exigences similaires en vertu de la l gislation cantonale Les cantons sont en revanche tenus au respect des prescriptions de la LTr Celles ci fixent que les d cisions qui se fondent sur la LTr doivent tre notifi es par crit Elle dicte galement que si la requ te est rejet e enti rement ou en partie la d cision doit tre motiv e et mentionner le droit SECO ao t 2009 440 1 TE Art 40 Commentaire de l ordonnance 4 relative la loi sur le travail Chapitre 4 Approbation des plans et autorisation d exploiter 7 Section 1 Proc dure d approbation des plans Art 40 Approbation des plans le d lai et l autorit de recours art 50 al 1 LTr Pour la Conf d ration ces exigences ont t rem plac es sur le plan formel par la loi sur la proc dure administrative entr e en vigueur ult rieure ment la LTr L alin a 2 fixe qu un exemplaire du dossier d ci sion plans approuv s et tat descriptif d ment dat et tamponn doit tre remis au requ rant et que l autre exemplaire doit tre conserv par l autorit comp tente L alin a 3 pr voit que les autorit s cantonales et les instances f d rales remettent un double de l approbation des plans la CNA Les autorit s cantonales ne sont pas tenues de re mettre un double de l approbation des plans au SECO exception faite de celles impliquant une d rogation selon les articles 39 OLT 3 et 27 OLT 4
200. ale de substance explosive admissi ble dans un local ou un poste de travail Le mode de construction des locaux concern s et les mesu res de s curit doivent tre adapt s au potentiel de danger Lettre d Exemples de mesures organisationnelles e Etablissementdeprescriptionsd exploitation com prenant les mesures de s curit prendre e Engagement de travailleurs poss dant des con naissances suffisantes en la mati re e Instruction du personnel tant au moment de l engagement qu intervalles r guliers sur tous les dangers li s son activit et sur les mesures de s curit ou de premiers secours prendre e Surveillance du respect des prescriptions mises 424 2 Commentaire de l ordonnance 4 relative la loi sur le travail Chapitre 2 Construction et am nagement des entreprises soumises la proc dure d approbation des plans Section 5 Entreprises pr sentant des dangers particuliers Art 25 Entreprises pr sentant un danger d explosion d Dispositions suppl mentaires pour les entreprises traitant des mati res explosives Uz Art 25 Article 25 Entreprises pr sentant un danger d explosion d Dispositions suppl mentaires pour les entreprises traitant des mati res explosives ra risque d explosion K 1 Les entreprises ou les parties d entreprises qui produisent transforment manipulent ou entreposent des mati res explosives doivent tre divis es en secteurs avec ri
201. allations de ventilation sont qui p es de filtres Le choix de ces filtres doit se faire conform ment la norme SN 546 382 1 tableau 5 6 D finition des classes de filtres selon la norme SN EN 779 Les filtres retiennent les poussi res de l air ext rieur aspir de l air ambiant Les germes transport s par l air ne doivent en aucun cas ou en proportion tr s minime atteindre la zone humi de ou de refroidissement de l installation de traite ment de l air particuli rement propice la multipli cation des germes bact ries et moisissures Les normes SN 546 382 1 et SN EN 779 contien nent la classification des filtres pour les techniques de ventilation g n rales et particuli res SECO avril 2010 317 3 E Commentaire de l ordonnance 3 relative la loi sur le travail Chapitre 2 Exigences particuli res en mati re d hygi ne Section 2 Eclairage climat des locaux bruits et vibrations Art 17 Ventilation Les frais d entretien accrus li s aux installations d a ration sont mieux ma tris s si on utilise un sys t me de filtration deux tages selon la directive SICC VA 102 01 VDI 6022 Les intervalles recom mand s pour l entretien et le remplacement doi vent imp rativement tre respect s Des interval les moins longs sont toutefois recommand s car m me des traces d humidit minimes sur les filtres les ab ment apr s la moiti du temps recommand La perte de pression ou la
202. alustrades est un minimum Une hauteur sup rieure peut tre n cessaire dans certains cas En particulier la norme europ enne EN ISO 14122 3 S curit des machines Moyens d acc s perma nents aux machines Partie 3 Escaliers chelles marches et garde corps exige une hauteur mini mum de 1 10 m pour les garde corps faisant par tie ou en rapport avec des machines Les garde corps et les balustrades doivent tre dimensionn s et fix s de fa on r sister aux efforts auxquels ils peuvent tre soumis p ex des pouss es ou des collisions avec un v hicule Les fili res interm diaires doivent diviser la surface entre le sol et le sommet de la balustrade horizon talement ou verticalement de fa on viter une chute travers la balustrade Des plinthes hautes de 10 cm au moins doivent galement pr venir la chute de personnes En outre une plinthe se justi fie partout o un objet roulant peut tomber tra vers la balustrade et toucher quelqu un Les paliers interm diaires d escaliers impliquant un change ment de direction doivent obligatoirement tre munis d une plinthe voir aussi les feuillets CNA 44006 Garde corps et 44009 Filets de rete nue Les garde corps peuvent tre constitu s par des murs des installations d exploitation fixes telles qu armoires outils ou tag res m talliques un grillage m tallique ou d autres mat riaux ayant une r sistance suffisante Pour les place
203. angement la porte doit s ouvrir automatiquement ou pouvoir tre ouverte apr s lib ration manuelle l ouverture d urgence doit tre garantie par l nergie de r 1 Portes battant s portes mont es sur pivots ou paumelles selon la norme SN EN 179 SECO avril 2009 410 C Annexe de l art 10 Commentaire de l ordonnance 4 relative la loi sur le travail Chapitre 2 Construction et am nagement des entreprises soumises la proc dure d approbation des plans Section 3 Passages Art 10 Portes et sorties situ es sur les voies d vacuation serve de la porte ressort batterie etc Une sur veillance continue de cette fonction doit garantir que la porte s ouvre et reste ouverte en tout temps e Les portes doivent tre con ues de mani re ne pas cr er d engorgement en cas de panique Les portes battant s s ouvrant dans le sens inverse celui de la fuite et les portes coulissantes ac tionn es manuellement et ne r pondant pas aux prescriptions de la protection incendie compar timentage coupe feu voie d vacuation ne sont autoris es que pour les petits locaux faiblement occup s et ne pr sentant pas de dangers parti culiers voir d finition de cette cat gorie de lo caux au chapitre 2 3 Il est recommand d appo ser un criteau Tirer sur les portes s ouvrant vers l int rieur e La largeur libre des passages d pend de l occu pation des locaux se r f rer
204. ans intervention humaine et que la mani re de travailler d au moins une personne soit d termin e par ce proc d Il n est donc pas n cessaire que le proc d s enclenche automati quement Le proc d peut galement demander une certaine surveillance mais ne doit pas n cessi ter d intervention humaine en cours de processus sauf en cas de panne Une centrale b ton auto matis e constitue un exemple de ce type de proc d un travailleur indique le num ro du m lange souhait ainsi que la quantit voulue le pesage le remplissage le transport et le mixage interviennent en revanche sans intervention humaine Crit res Pour qu il y ait proc d automatis il faut que les installations techniques permettent le d roule ment automatique et planifi de l utilisation de la commande et de la surveillance d un quipement de telle sorte qu aucune intervention humaine ne soit normalement n cessaire Le travail une installation automatis e comprend les activit s principales suivantes e d clenchement du processus de travail automa tis introduction de la formule e op rations d alimentation en mati res premi res et de retrait des produits finis e intervention en cas de d rangement e maintenance pr ventive des installations e manipulation des installations accessoires ou des machines qui alimentent les installations auto matis es Hormis les crit res ci dessus d autres conditions
205. ans une zone prot g e Comptent comme zones prot g es une cage d escaliers o un corridor avec sortie directe sur l ext rieur Cette mesure vaut galement pour les locaux con tenant des mati res explosives mais sans postes de travail permanents p ex les locaux de stockage de mati res explosives Les locaux dans lesquels des op rations haut ris que sont effectu es par t l commande et t l sur veillance en l absence de personnel peuvent tre consid r s comme parties d installation sp ciale ment s curis es prot g es par des murs De tels locaux ne devraient pas comporter de sortie direc te vers l ext rieur ou vers une zone prot g e S il existe malgr tout une sortie directe sur l ext rieur il faut garantir que celle ci ne puisse tre ouverte au moins pendant l ex cution de ces op rations de fa on que personne ne puisse p n trer dans le secteur dangereux Les dispositions des articles 8 et 9 de la pr sente or donnance concernant les voies de circulation s ap 425 2 Commentaire de l ordonnance 4 relative la loi sur le travail Chapitre 2 Construction et am nagement des entreprises soumises la proc dure d approbation des plans Section 5 Entreprises pr sentant des dangers particuliers Art 25 Entreprises pr sentant un danger d explosion d Dispositions suppl mentaires pour les entreprises traitant des mati res explosives Art 25 2 pliquent aux locaux techniques
206. antes Chaussures de travail semelles int rieures thermiques Sous v tements thermiques longs p ex microfibres laine de m rinos Tenue thermique l g re pantalon veste polaire Chemise Chaussettes montantes Socquettes Chaussures de protection contre le froid Bonnet en laine Gants fins p ex gants en coton gants polaires thermiques Tableau 321 3 Habillement lors d un travail l ger au froid SECO septembre 2010 321 5 d Art 21 wo Commentaire de l ordonnance 3 relative la loi sur le travail Chapitre 2 Exigences particuli res en mati re d hygi ne Section 2 Eclairage climat des locaux bruits et vibrations Art 21 Travail dans des locaux non chauff s ou en plein air doivent tre vit s parce qu ils retirent de la cha leur au corps transport de chaleur plus impor tant qu en l absence de courant d air et qu ils p n trent dans les v tements la perm abilit l air r duit l isolation thermique Si les courants d air ne peuvent tre vit s un habillement de dessus avec des propri t s de protection contre le vent p ex pantalon gilet veste bottes est opportun 2 Travaux en plein air en p riode de canicule La chaleur peut avoir des effets sur la sant mais aussi sur la s curit du travailleur alt ration des performances mentales et physiques La r ponse du corps humain la chaleur ne d pend pas seulement de la temp rature de
207. apide des proc dures de d cision est indispensa ble Le Conseil f d ral a pr vu des mesures corres pondantes dans son programme de renouveau de l conomie de march Il s agit notamment de la coordination des proc dures de d cision de la simplification et de l acc l ration des pro c dures d autorisation en particulier pour les grands projets nationaux r gl s par la l gislation f d rale SECO ao t 2006 441 1 Art 41 La proc dure de d cision doit tre concentr e de mani re qu une autorit unique value en pre mi re instance le respect des prescriptions f d ra les et cantonales Cette r gle s applique lorsqu au moins une autorisation ou concession f d rale est requise Toutes les approbations n cessaires pr vues par le droit f d ral et le droit cantonal doi vent tre d livr es dans une d cision unique Cel le ci int gre la proc dure d approbation des plans la proc dure d expropriation et avec certaines ex Commentaire de l ordonnance 4 relative la loi sur le travail Chapitre 4 Approbation des plans et autorisation d exploiter Section 1 Proc dure d approbation des plans Art 41 Approbation des plans dans la proc dure f d rale coordonn e ceptions la proc dure de concession Dans la me sure o une d cision globale est rendue il n y a qu une seule voie de recours possible L ex cution d une proc dure de d cision concentr e requiert des co
208. ar l am nagement de surfaces vitr es g n reuses permettant le contact visuel entre les diff rents compartiments Pour les annexes ou les agrandissements l octroi d auto risations exceptionnelles est parfois n cessaire De telles exceptions sont envisageables si la nou velle fa ade est vitr e au maximum Le maintien de l unit architecturale ne constitue pas une rai son suffisante d octroyer une autorisation excep tionnelle La plus grande surface de contact visuel possible sera am nag e entre l ancienne et la nou velle partie du b timent Ce n est que de mani re tr s restrictive que des d rogations pourront tre accord es si le rapport entre la surface vitr e totale et celle du sol est inf rieur 1 10 ou si le rapport entre la surface vitr e permettant la vue sur l ext rieur et la surface du sol descend moins d 1 16 Pour les agrandissements et les annexes on pourra tenir compte comme pour les locaux de grande superficie voir les remarques au chapitre 1 de la surface situ e proximit des fen tres unique ment condition que les postes de travail perma nents se situent dans cette zone exclusivement Des d rogations peuvent tre envisag es lorsqu il est impossible d atteindre la proportion prescrite entre les surfaces de fen tres et du sol dans de tels b timents sous r serve que des conditions de tra vail irr prochables soient cr es par des mesures techniques correspondantes Des ent
209. araison avec l art 40 OLT 3 Sont ainsi concern s les CFF et les entreprises concession naires de transport par chemin de fer trolleybus automobile bateau et t l ph rique Alin a 2 La loi sur l assurance accidents LAA et ses ordon nances en particulier l ordonnance sur la pr ven tion des accidents et des maladies professionnelles OPA contiennent des prescriptions et des mesu res destin es viter les accidents et les maladies professionnels La LTr et la LAA poursuivent un m me but vi ter les atteintes la sant dues au travail La loi sur le travail va plus loin que la loi sur l assurance SECO ao t 2006 301 1 Commentaire de l ordonnance 3 relative la loi sur le travail Art 1 Chapitre 1 Dispositions g n rales lt Q gt Art 1 Objet et champ d application accidents dans le domaine de la protection de la que chaque atteinte la sant soit vit e En outre sant elle exige non seulement que les maladies les influences g nantes au poste de travail doivent professionnelles reconnues dans la LAA mais aussi tre vit es autant que possible 301 2 Commentaire de l ordonnance 3 relative la loi sur le travail Chapitre 1 Dispositions g n rales Art 2 Principe Ah an 2 Article 2 Principe Pa lier faire en sorte que prise ke 1 L employeur est tenu de prendre toutes les mesures n cessaires afin d assurer et d am l
210. as possible de s asseoir comme le demande l article 24 alin a 3 OLT 3 Ceci concerne par exemple diff rentes grandes surfaces et autres magasins de vente dans lesquels le personnel n est pas autoris s asseoir m me en l absence de clients pour des raisons de psychologie de vente Dans ces cas l soit des si ges devront se trouver proximit imm diate soit de fr quentes pauses de courte dur e leur se ront accord es SECO avril 2010 333 1 Commentaire de l ordonnance 3 relative la loi sur le travail Art 33 Chapitre 2 Exigences particuli res en mati re d hygi ne Section 7 Vestiaires douches lavabos toilettes r fectoires locaux de s jour et premiers secours Art 33 R fectoires et locaux de s jour La grandeur des locaux de pauses d pend du nombre d utilisateurs pr sents simultan ment L chelonnement du temps de travail et des pauses peut tre pris en consid ration De m me la pos sibilit de restauration dans les environs imm diats peut r duire la fr quentation du r fectoire de l en treprise A titre indicatif on pr voira env 2 3 m2 par personne dans les petits locaux de s jour ac cueillant env 10 personnes Dans un local pr vu pour un plus grand nombre de personnes on comptera env 2 m2 par personne Les r fectoires et les locaux de s jour doivent tre agr ables et donner une impression de calme par exemple par leurs teintes et leurs quipeme
211. ation pond r es sur un jour de travail sont d pass es Valeurs indicatives pour les vibrations ensemble main bras ahw lt 5 m s2 corps entier a lt 0 8 m s2 Ces valeurs se fondent sur l exp rience de la CNA longue de plusieurs ann es 1 2 3 Valeurs indicatives pour les secousses admissibles dans les b timents En r gle g n rale les mesures techniques de pr vention sont les m mes pour les secousses que pour les vibrations Dans les b timents la transmission des secousses provoqu es par les machines marteaux pilons SECO ao t 2006 322 7 Art 22 T Commentaire de l ordonnance 3 relative la loi sur le travail Chapitre 2 Exigences particuli res en mati re d hygi ne Section 2 Eclairage climat des locaux bruits et vibrations Art 22 Bruit et vibrations presses etc peut tre limit e en isolant les socles des machines des autres parties du b timent ou par une fixation lastique des machines L utilisa tion de sols antivibratoires contribue la protec tion du personnel L importance de l exposition et son interaction avec les caract ristiques individuelles et la situation de chaque travailleur d terminent le genre et le degr des nuisances provoqu es par les vibrations En r gle g n rale il n y a pas de g ne importante lorsque les valeurs limites d finies dans la norme DIN 4150 2 sont respect es 2 Alin a 2 2 1 Principes de lutte contre
212. ations d exploitation lectriques lorsque des liquides inflammables des gaz inflammables ou asphyxiants sont transport s dans des con duites ajoint es ou raccord es des appareils et qu il n y a pas de d tecteur de gaz e Cr er des compartiments cloisonn s chacun ventil artificiellement et muni d une issue de se cours tous les 150 m environ lorsque des subs tances dangereuses gaz vapeurs liquides faci lement inflammables sont transport es par des conduites 35 m P CNS les Superstructure en toiture 9 108 Surface du toit La longueur maximale de 50 m de la voie d vacuation valable l int rieur des b timents peut tre doubl e dans ce cas pour autant que la surface du toit soit unie ais ment praticable et l air libre Illustration 408 11 Longueur maximale des voies d vacuation sur un toit Illustration 408 12 Halle dont les couloirs m nent dans une zone s re ER Art 8 3 4 Halles de stockage en hauteur Dans les halles de stockage en hauteur les che mins de fuite prescrits posent des probl mes par ticuliers D une part les halles mesurant plus de 70 m de longueur devraient disposer de couloirs transver saux chemins de fuite Ceci occasionnerait toute fois des probl mes de s curit complexe
213. ations permanentes comprenant un risque pour la sant du travailleur et celle de tiers com me pour un chauffeur de bus 302 D Commentaire de l ordonnance 3 relative la loi sur le travail Chapitre premier Dispositions g n rales Art 2 Principe Annexe de l art 2 t Mesures possibles pour r duire la fatigue mentale e r duction ou optimisation de l intensit et ou de la dur e des influences susmentionn es par exemple gr ce une rotation des t ches im pliquant des exigences diff rentes ou de types d activit s une information claire et sans qui voque des efforts pour viter l accomplissement de plusieurs t ches en m me temps e modification de la r partition temporelle du travail dur e du travail p riode de la journ e pauses Etats similaires la fatigue Les tats similaires la fatigue sont des effets de l astreinte mentale qui se manifestent dans les si tuations avec peu de vari t Afin de supprimer les tats similaires la fatigue c est avant tout une modification ou un changement d activit qui est n cessaire Points de d part pour la r duction d tats simi laires la fatigue e organisation de t ches sens es qui sont per ues comme diff rentes parties d une m me unit plut t que des fragments d un travail la signifi cation de l apport personnel pour l accomplisse ment de la t che globale doit tre connue e enrichissement des acti
214. au sol Alin a 2 Si les installations d aspiration ou de ventilation m caniques vacuent plus d air que la ventilation naturelle n en introduit le volume d air aspir est remplacer par de l air pris l ext rieur La distri bution ne doit pas produire de courants d sagr a bles Durant la saison froide l air frais sera au be soin r chauff et humidifi voir art 16 OLT 3 Pour le renouvellement d air on se r f rera aux commentaires de l article 16 OLT 3 Alin a 3 L air pollu ne sera r introduit dans un local que s il est purifi de mani re telle qu il ne soit plus pr ju diciable la sant des travailleurs D apr s l OPA la concentration des substances pour lesquelles une valeur limite bas e sur la protection de la sant VME VLE est d finie ne d passera en aucun cas 1 3 de cette derni re dans l air recycl Toutefois on sera attentif ce que dans un tel cas ce recy clage n entra ne pas de g ne pour les travailleurs par exemple odeur d sagr able La concentration des polluants ne doit pas augmenter par accumu lation pendant le temps de travail Elle doit tre surveill e de mani re ad quate En outre l installa tion de ventilation doit pouvoir tre commut e ra pidement de mani re ne plus r introduire de l air vici et n amener que de l air ext rieur Des informations compl mentaires se trouvent entre autres dans les directives VDI 2262 Luftbeschaffenheit
215. autoris que dans des cas d exception d ment motiv s Remarque pr alable Le principe selon lequel les locaux de travail doivent se trouver au des sus du niveau du sol et tre munis de fen tres est aussi fix dans les articles 15 alin a 3 et 24 alin a 5 OLT 3 C est pourquoi on ne trai tera ici que des probl mes suppl mentaires qui sont en relation avec l approbation des plans Une autorisation de d rogation conforme l ar ticle 27 OLT 4 est n cessaire pour admettre des postes de travail permanents dans des locaux sou terrains ou d munis de fen tres Une telle autori sation ne doit tre accord e que dans des cas d ment motiv s Comme indiqu pour l article 15 alin a 3 OLT 3 ces motifs peuvent tre en rapport avec la s curit ou la technique de production Un local de travail est consid r comme situ au dessus du sol et par cons quent admissible pour des postes de travail permanents lorsque le niveau du terrain situ directement contre les murs ex t rieurs ne se trouve pas en dessus de la hauteur usuelle de l all ge des fen tres en fa ade 1 20 m ou exceptionnellement 1 50 m voir art 17 OLT 4 On peut galement admettre comme lo caux de travail avec postes de travail permanents des locaux situ s au dessous du terrain naturel mais permettant la vue sur l environnement gr ce un talus Dans ce cas la pente du talus doit tre limit 25 30 et sa hauteur 3
216. autoris e si la source est indiqu e Commentaire des ordonnances 3 et 4 relatives la loi sur le travail Table des mati res Table des mati res Table des mati res Liste des abr viations A 1 Avant propos AP 1 Ordonnance 3 relative la LTr Chapitre 1 Dispositions g n rales Article 1 Objet et champ d application 301 1 Article 2 Principe 302 1 Article 3 Obligations particuli res de l employeur 303 1 Article 4 Expertise technique 304 1 Article 5 Information et instruction des travailleurs 305 1 Article 6 Consultation des travailleurs 306 1 Article 7 Comp tences en mati red hygi ne 307 1 Article 8 Coop ration de plusieurs entreprises 308 1 Article 9 Location de services 309 1 Article 10 Obligations des travailleurs 310 1 Chapitre 2 Exigences particuli res en mati re d hygi ne Section 1 B timents et locaux 31 1 Article 11 Mode de construction 311 1 Article 12 Volume d air 312 1 Article 13 Plafonds et parois 313 1 Article 14 Sols 314 1 Section 2 Eclairage climat des locaux bruits et vibrations Article 15 Eclairage 315 1 Article 16 Climat des locaux 316 1 Article 17 Ventilation 317 1 Article 18 Pollution de l air 318 1 Article 20 Ensoleillement et rayonnement calorifique 320 1 Article 21 Travail dans des locaux non chauff s ou en plein air 321 1 Article 22 Bruit et vibrations 322 1 Section 3 Postes de travail Arti
217. avail leurs doivent tre associ s la mise au point de ce document Une telle implication du personnel au demeurant exig e par la loi sur la participation a pour m rite d am liorer l acceptation des r gles fix es Il est important que ce r glement soit bien connu des travailleurs et tenu en permanence jour Des descriptions de t ches claires pour tous les travailleurs Une r partition peu claire des t ches et des attri butions favorise de mani re g n rale les d passe ments de comp tences et peut ainsi mener des tensions et des conflits psychosociaux Des cahiers des charges soigneusement tablis pour les collaborateurs dans lesquels leurs do maines d activit s sont concr tement d finis et clairement d limit s assurent la transparence et une bonne collaboration 302 H Commentaire de l ordonnance 3 relative la loi sur le travail Chapitre 2 Exigences particuli res en mati re d hygi ne Section 2 Eclairage climat des locaux bruits et vibrations Art 15 Eclairage Annexe de l art 15 Article 15 OLT 3 annexe Eclairage Compl ment au chapitre sur les crit res de qualit de l clairage 1 Relation entre l clairement E Zx lux et la luminance L cd m 1 L mittance d une source de lumi re visible s expri me par le flux lumineux m lumen l clairement E lx d crit le flux lumineux Im qui tombe perpendiculairement sur une surface cla
218. avail expos s aux intemp ries des mesures ad quates pour pr server la sant des tra vailleurs seront prises 1 Travail au froid 1 1 Travaux en plein air en hiver ou dans des locaux non chauff s De nombreux travaux sont de par leur nature ex cut s dans des locaux non chauff s ou en plein air Les chantiers de construction ou les stands de vente en plein air en font partie Il est parfois in diqu d effectuer certains autres travaux dans des locaux non chauff s ou des constructions partiel lement ouvertes comme des entrep ts des han gars des couverts ou en plein air Les raisons sont par exemple la dimension des pi ces travailler l utilisation de moyens de transport ou de manu tention sp ciaux ou encore des mesures particuli res de protection de la sant et de s curit afin de ne pas mettre en danger les travailleurs occup s d autres postes de travail et pour viter des incen dies ou des explosions On examinera outre les mesures de protection individuelle l opportunit de mesures de protec tion techniques sp cifiques ainsi que de mesu res de protection organisationnelles cf chapitres Moyens de pr vention lors du travail au froid et Habillement lors du travail au froid Les risques pour la sant li s une exposition au froid sont le refroidissement de tout le corps hy pothermie ou le refroidissement local excessif ge lure engelure D une mani re chronique on a
219. avec les plans tels qu approuv s L ordonnance 4 relati ve la loi sur le travail pr cise de plus quelles sont les entreprises soumises la proc dure d approba tion des plans Relation avec le droit cantonal Selon l article 110 de la Constitution f d rale Cst la Conf d ration est autoris e dicter des prescriptions sur la protection des travailleurs Dans les domaines r gis par la loi sur le travail LTr la Conf d ration a pleinement utilis ses comp tences en les r glant de mani re exhaustive Les cantons n ont ainsi plus la comp tence d dicter de prescriptions en mati re de protection des tra vailleurs message du 30 septembre 1960 relatif la LTr feuille f d rale 1960 p 909 et suivantes En outre dans son article 73 alin a 1 lettre a la loi sur le travail LTr stipule que les prescriptions can tonales se rapportant aux domaines qu elle r git sont abrog es AP 2 Commentaire des ordonnances 3 et 4 relatives la loi sur le travail Avant propos o Avant S propos En revanche les prescriptions de police cantonales et communales notamment celles concernant la police des constructions la police du feu la po lice sanitaire et la police des eaux demeurent r ser v es art 71 let c LTr Le but premier de ces pres criptions de police est de prot ger la collectivit de nuisances susceptibles de troubler l ordre public le calme la s curit la sant et le bi
220. bi lit s des personnes charg es des premiers se cours doivent tre d finies clairement dans l en treprise e Les personnes charg es des premiers secours sont soumises l obligation de garder le secret l gard des tiers Elles doivent n anmoins com muniquer les donn es m dicales aux person nes intervenant dans le cadre de la cha ne des secours cf graphique 336 1 Les personnes charg es des premiers secours doivent toujours transmettre les informations utiles concernant la sant du patient aux autres intervenants par ex coll gues sanitaires d entreprise ambulanciers personnel de soin m decins s agit d informa tions comme l tat de conscience les blessures ou maladies constat es etc e C est en principe l employeur qui est responsa ble des pr judices aux personnes et des d g ts aux biens ainsi que de la transmission non jus tifi e d informations pouvant r sulter de l inter vention des personnes charg es des premiers se cours art 328 CO en lien avec l art 101 CO Il ne peut y avoir de responsabilit personnelle de la personne charg e des premiers secours que si elle a caus un pr judice ou un d g t intention nellement ou qu il est d une faute gros si re de sa part L aussi il convient de prendre en compte la formation les connaissances sp cia lis es et les autres comp tences de la personne charg e des premiers secours art 321e COJ 1D apr s les informations don
221. bles Le peroxyde d hydrog ne eau oxyg n e est uti lisable comme bon agent d oxydation sous forme d un compos oxyg n instable au sens de l article 19 lettre c OLT 4 Cependant il peut aussi se d composer de fa on explosive dans certaines circonstances p ex en pr sence de traces de sels de cuivre de fer ou de m taux lourds agissant comme catalyseurs cf or donnance sur les produits chimiques art 4 8et 11 Lettre c On entend par l la fabrication et l entreposage d explosifs civils de moyens d allumage d tona SECO ao t 2006 422 1 Commentaire de l ordonnance 4 relative la loi sur le travail Chapitre 2 Construction et am nagement des entreprises soumises la proc dure d approbation des plans Art 22 Section 5 Entreprises pr sentant des dangers particuliers Art 22 Entreprises pr sentant un danger d explosion a Champ d application teurs de charges explosives et propulsives pour les munitions et d articles pyrotechniques feux d artifice Mesures de protection dans le cas de m langes explosibles d une atmosph re explosible selon lettre a Une explosion provoqu e par des gaz des vapeurs ou des brouillards m lang s l air peut se produire lorsque les conditions suivantes sont r unies simul tan ment et au m me endroit e en pr sence de gaz vapeurs o brouillards dans une concentration situ e entre les limites d ex plosibilit e la quantit
222. bstacles l exception des quais de chargement a 60 cm dans les secteurs o se tiennent exclusivement des travailleurs s occupant du trafic fer 2Les plaques tournantes seront munies de dispositifs d arr t noy s jusqu au niveau du sol Les articles 13 et 14 contiennent des dispositions relatives la s curit du transport sur rails dans les entreprises Ils admettent certaines d rogations a a min 60 cm j min 60 cm l i xl l i l l l i l Gabarit des v hicules r l i I E I l l l i b min 1m I 2 b i 1 min 1m sl l ol I Di i l o i l l i l i l 1 l l a trafic ferroviaire uniquement b zone de circulation g n rale Illustration 413 1 Distances de s curit pour les v hicules ferroviaires par rapport la l gislation sur les chemins de fer Par cons quent les dispositions de ces articles ne s appliquent qu aux seules voies ferr es situ es dans l enceinte de l entreprise Les voies de raccor dement avec les CFF ou une entreprise de trans port concessionnaire et les quais de chargement qui les bordent doivent tre construits confor m ment aux dispositions de la loi f d rale sur les voies de raccordement ferroviaires RS 742 141 5 et la directive des CFF W Bau GD 8 95 y relative L Association suisse de logistique ASL a dit des recommandations concernant la planification et la
223. bustibles et l installation de clapets coupe feu doi vent se faire conform ment la norme de protec tion incendie de l AEAI Des circonstances particuli res pouvant justifier l utilisation de mat riel difficilement combustible au lieu de mat riel incombustible existent par exemple lorsque les mati res pr sentes dans l air SECO ao t 2006 418 1 Commentaire de l ordonnance 4 relative la loi sur le travail Art 18 Chapitre 2 Construction et am nagement des entreprises soumises la proc dure d approbation des plans Section 4 Eclairage et qualit de l air dans les locaux Art 18 Installations de ventilation aspir ne provoquent pas de danger d explosion mais seulement un risque d incendie et que les ins tallations sont surveill es par des d tecteurs d in cendie de fa on qu un ventuel foyer d incendie ne puisse se propager sans tre d tect Alin a 2 Les orifices de sortie de l air vacu doivent tre dispos s de fa on que des l ments ext rieurs ne puissent pas provoquer un allumage Cette con dition est en g n ral remplie lorsque l air est va cu au dessus du toit une certaine vitesse initiale p ex au moins 6 m s Lorsqu il subsiste malgr tout un risque d incendie ou d explosion proximit des orifices d vacuation de l air aspir p ex pr s d une zone de transvase ment ou de stockage de substances inflammables ou s il n est pas possible d liminer
224. calcul technique ou scientifique ou de gestion d un degr de complexit lev e d veloppement de programmes et analyse de syst mes e r daction traduction dict e saisie ou correction de textes complexes e travail en salles de radio centrales d alarme ou t l phoniques 1 2 4 Valeurs indicatives pour le bruit de fond dans les locaux de travail Le bruit de fond bruits trangers est constitu de tous les bruits provenant des installations techni ques p ex ventilations compresseurs chauffage sonorisation etc et les bruits provenant de l ext rieur ateliers dans le voisinage trafic Le tableau 322 2 contient les valeurs indicatives pour le bruit de fond 1 2 5 Valeurs indicatives concernant l acoustique des locaux de travail Les locaux o sont install s des postes de travail permanents doivent satisfaire l un des trois cri t res suivants e coefficient d absorption acoustique moyen a gt 0 25 e temps de r verb ration T en fonction du volume du local voir tab 322 3 e diminution du niveau de pression sonore par doublement de la distance DL 2 gt 4 dB L annexe de ce commentaire contient des indica tions compl mentaires concernant ces trois para m tres 2 Alin a 2 Lorsqu un probl me de bruit complexe doit tre r solu il est recommand d analyser les diff rentes possibilit s d att nuation afin d obtenir une vue d ensemble des solutions envisageables Les diff rents
225. cantonales en mati re de police du feu sont contraires aux lois f d rales dans la mesure o elles visent la protection des tra vailleurs Prise en consid ration des in galit s frappant les personnes handicap es Les travailleurs en situation de handicap sont sou vent confront s dans la vie professionnelle tou tes sortes d obstacles Les deux ordonnances 3 et 4 relatives la LTr ne contiennent pas de disposition sp cifique par rapport aux probl mes particuliers des travailleurs handicap s Par contre la Constitution f d rale stipule dans son article 8 alin a 2 que nul ne doit subir de discrimination du fait d une d ficience corpo relle mentale ou psychique L alin a 4 du m me article charge le l gislateur de pr voir des me sures en vue d liminer les in galit s qui frappent les personnes handicap es En vertu de cet ar ticle la loi f d rale sur l limination des in galit s frappant les personnes handicap es Loi sur l ga lit pour les handicap s LHand a t promulgu e et est entr e en vigueur le 1er janvier 2004 Cette loi cr e les conditions propres faciliter aux per sonnes handicap es la participation la vie dans la soci t en les aidant notamment tre auto nomes dans l tablissement de contacts sociaux dans l accomplissement d une formation et dans l exercice d une activit professionnelle A c t de cela des dispositions particuli res visant
226. cas la charge ad missible doit tre indiqu e et les instructions n cessaires donn es aux travailleurs afin qu ils res pectent cette limite On transportera les mati res pr sentant un dan ger particulier d incendie d explosion ou d intoxi cation dans des r cipients suffisamment r sistants et stables afin d viter tout accident on veillera en particulier ce que ces mati res ne risquent pas d tre renvers es Pour les mati res inflam mables ou explosibles on s assurera en outre que les moyens de transport ne constituent pas une source d inflammation en r gle g n rale des moyens de transport lectriques construits Ex mais pas de moyens de transport mus par un moteur explosion Sur chaque r cipient le contenu sera indiqu de fa on bien visible et ad quate Le cas ch ant cet te indication sera compl t e par des signes distinc tifs permettant d identifier le danger Les conduites utilis es pour le transport de mati res dangereuses seront construites avec des mat riaux ayant une r sistance m canique et chimique suffisante correspondant la nature du produit transport Ces conduites seront soud es et ne comporteront des brides ou des raccords viss s que si cela est techniquement n cessaire Elles de vront en outre tre prot g es efficacement contre tout d g t d une influence ext rieure Le pro duit transport devra aussi tre indiqu de fa on ad quate Pour le s
227. ces particuli res en mati re d hygi ne Section 3 Postes de travail Art 24 Exigences particuli res Art 24 L espace libre devrait atteindre une largeur minimale de 70 80 cm gt gt 66 pour femmes 69 pour hommes lt Largeur minimale de l espace pour les jambes 58 cm Illustration 324 2 Espace libre pour les jambes sous une table de travail suffisante pour 95 des hommes mesures en cm tant pour la s curit que pour des raisons d ergo nomie au travail On tiendra compte du besoin de place suppl mentaire pour le remplacement de Illustration 324 3 Espace minimum pour les jambes lors d un travail au clavier ou une console decommande mesuresen cm pi ces l utilisation des outils voire pour les habits de protection sp ciaux Le poste de travail voisin peut tre dispos sym triquement z nnnnnnnnnnnnnannnnnnnnmnnnnnnnnmnnnnnnnnN 2 soreo Hi 5 f 160 x 80 5 D k i D o z 2 2 E 5 S Doa 1 ay ri j Etag re sans tiroirs Les meubles doirvent tre dispos s de mani re que le tra vailleur puisse se lever sans encombre Poste de travail voisin S Meuble de range 2 6 z ment avec tiroirs H 5 80 109 i a o H a gt n a S w di E ha o ir Si O 3 Si g z 1 2 LL lt di o vay 5 gt Sog Qi gt st 225 4 20
228. cessaire SECO ao t 2006 421 1 Commentaire de l ordonnance 4 relative la loi sur le travail Chapitre 2 Construction et am nagement des entreprises soumises la proc dure d approbation des plans Section 5 Entreprises pr sentant des dangers particuliers Art 22 Entreprises pr sentant un danger d explosion a Champ d application UZz Art 22 Pre Article 22 Entreprises pr sentant un danger d explosion a Champ d application Il y a risque d explosion lorsque e des m langes explosibles de vapeurs et d air de gaz et d air ou de poussi res et d air e des produits ou des m langes de produits solides liquides ou gazeux pouvant se d composer sou dainement ou e des mati res explosives sont pr sents ou peuvent se former Lettre a Parmi les mati res combustibles pouvant former des m langes explosibles avec l air soit une at mosph re explosible on compte les liquides faci lement inflammables ayant un point clair inf rieur 30 C et des gaz des poudres et des poussi res combustibles Les deux composants sont tr s fine ment r partis dans la zone d explosion On trouve la notion d atmosph re explosible dans le feuillet CNA 2153 Pr vention des explo sions principes prescriptions minimales zones et dans l ordonnance sur les appareils et les sys t mes de protection destin s tre utilis s en at mosph res explosibles OSPEX Exemples e l
229. cessit e par l volution de proc d s de travail pour des raisons de s curit ou de protection de la sant p ex protection contre le Nombre Composition du vitrage Valeur tr Valeur At par de vitres rapport la va leur de base Valeur de base 1 x verre flott non trait 1x4mm 90 2 x verre flott non trait 2x4mm 82 8 3 x verre flott non trait 3x4mm 75 15 Valeur de base 2 x verre flott non trait 2x4mm 82 2 x verre flott Protection contre la chaleur 2x 4 mm 73 77 5 9 1 vitre trait e Valeur de base 3 x verre flott non trait 3x4mm 75 3 x verre flott Protection contre la chaleur 3 x 4 mm 59 66 9 16 2 vitres trait es Valeur de base 2 x verre flott non trait 2x4mm 82 Protection contre l eblouis 2 x verre flott Protection contre l blouis 2x 4mm 6 50 32 76 sement par le soleil sement par le soleil 1 vitre trait e Tableau 417 1 Degr de transparance de diff rents vitrages valeur t tau lumi re transmise en pour cent SECO avril 2009 417 3 Commentaire de l ordonnance 4 relative la loi sur le travail Art 17 Chapitre 2 Construction et am nagement des entreprises soumises la proc dure d approbation des plans Section 4 Eclairage et qualit de l air dans les locaux Art 17 Fen tres bruit Lors d un nouveau compartimentage la si tuation peut tre am lior e p
230. cet usage et si possible suffisamment a r s 2 Tout travailleur disposera soit d une armoire v tement suffisamment spacieuse et a r e soit d une penderie ouverte et d un casier pouvant tre ferm cl Au besoin les v tements de travail devront pouvoir tre s ch s et rang s de mani re tre s par s des v tements de ville Lors de la conception des vestiaires on tiendra compte outre des dispositions g n rales de l ar ticle 29 OLT 3 de mesures sp cifiques de protec tion Parmi celles ci notons l importance du choix de l emplacement des vestiaires dans les entre prises dans lesquelles les travailleurs sont expos s des temp ratures lev es De grandes diff rences de temp rature entre les vestiaires douches et postes de travail doivent tre vit es Dans ces cas et dans le but d viter les dangers de refroidisse ment il ne suffit pas que les vestiaires se trouvent dans le m me b timent leur implantation id ale se situera proximit des postes de travail Sur les chantiers les conditions sont fr quemment difficiles Les exigences pos es pour les vestiaires dans cette branche sont d crites dans les explica tions relatives l article 29 alin a 1 OLT 3 Alin a 1 Si en raison de leur activit les travailleurs ont l obligation de porter des v tements de travail sp ciaux des vestiaires seront mis leur disposition Les travailleurs dont l activit est tr s salissa
231. cle 23 Exigences g n rales Ergonomie 323 1 Article 24 Exigences particuli res Ergonomie 324 1 Section 4 Charges Article 25 Charges 325 1 Section 5 Surveillance des travailleurs Article 26 Surveillance des travailleurs 326 1 Section 6 Equipements individuels de protection et v tements de travail Article 27 Equipements individuels de protection 327 1 Article 28 V tements de travail 328 1 Section 7 Vestiaires douches lavabos toilettes r fectoires locaux de s jour et premiers secours Article 29 Exigences g n rales pour les locaux sociaux 329 1 Article 30 Vestiaires 330 1 Article 31 Lavabos et douches 331 1 Article 32 Toilettes 332 1 Article 33 R fectoires et locaux de s jour 333 1 Article 34 Protection des femmes enceintes et des m res allaitantes 334 1 Article 35 Eau potable et autres boissons 335 1 Article 36 Premiers secours 336 1 Section 8 Entretien et nettoyage Article 37 Entretien et nettoyage 337 1 Chapitre 3 Dispositions finales Article 38 Directives 338 1 Article 39 Autorisations de d roger aux prescriptions 339 1 SECO avril 2010 Table des mati res Commentaire des ordonnances 3 et 4 relatives la loi sur le travail Table des mati res Ordonnance 4 relative la LTr Chapitre 1 Champ d application Article 1 401 1 Chapitre 2 Construction et am nage ment des entreprises sou mises la proc dure d approbation des plans Section 1 Dispos
232. concernant la mise en oeuvre de mesures visant promouvoir l am lioration de la s curit et de la sant des travailleurs au travail Journal officiel des CE no L 183 1 du 29 6 89 Directive du Conseil 89 654 CEE du 30 novem bre 1989 concernant les prescriptions minimales de s curit et de sant pour les lieux de travail premi re directive particuli re au sens de l arti cle 16 paragraphe 1 de la directive 89 391 CEE Journal officiel des CE no L 393 1 du 30 12 89 Directive du Conseil 90 269 CEE du 29 mai 1990 concernant les prescriptions minimales de s cu rit et de sant relatives la manutention ma nuelle de charges comportant des risques no tamment dorso lombaires pour les travailleurs quatri me directive particuli re au sens de l arti cle 16 paragraphe 1 de la directive 89 391 CEE Journal officiel des CE no L 156 9 du 21 6 90 Directive du Conseil 90 270 CEE du 29 mai 1990 concernant les prescriptions minimales de s cu rit et de sant relatives au travail sur des quipe ments cran de visualisation cinqui me directi ve particuli re au sens de l article 16 paragraphe 1 de la directive 89 391 CEE Journal officiel des CE no L 156 14 du 21 6 90 Directive du Conseil 92 58 CEE du 24 juin 1992 concernant les prescriptions minimales pour la si gnalisation de s curit et ou de sant au travail neuvi me directive particuli re au sens de l arti cle 16 paragraphe 1 de la directive 89 391
233. constitution corporelle une interdic tion qui s tend sur une p riode pr c dant la prise du travail peut se justifier La loi sur le travail r vis e du 20 mars 1998 intro duit un nouvel aspect dans l alin a 2bis de son ar ticle 6 prescrivant que l employeur doit veiller ce que le travailleur ne soit pas oblig de consommer des boissons alcooliques ou d autres substances enivrantes dans l exercice de son activit profes sionnelle Cette disposition concerne surtout la protection de la sant des danseuses et entra neuses de cabarets et du personnel des entreprises de divertissements nocturnes D autres informations au sujet de l alcool se trouvent dans le feuillet d information No 66095 F de la CNA Les substances engendrant la d pen dance au poste de travail d un point de vue juri dique SECO ao t 2006 335 1 Commentaire de l ordonnance 3 relative la loi sur le travail Chapitre 2 Exigences particuli res en mati re d hygi ne Section 7 Vestiaires douches lavabos toilettes r fectoires locaux de s jour et premiers secours Art 36 Premiers secours Art 36 Article 36 Premiers secours P 1 Les moyens n cessaires pour les premiers secours seront disponibles en permanence compte tenu des dangers r sultant de l exploitation de l importance et de l emplacement de l entreprise Le ma t riel de premiers secours doit tre facilement accessible et tre disponible dans tous les endroi
234. cours D termination du nombre recommand de personnes form es aux premiers secours selon le nombre de travailleurs par emplacement type et tendue des formations pour non profes sionnels du sauvetage cf syst me de cours ResQ Micro entre prises 1 9 Nombre de travailleurs par emplacement Total des personnes charg es 1 2 des premiers secours Niveau 1 N1 formation 2 jours Niveau 2 N2 formation 3 jours 1000 10000 180 Niveau 3 N3 formation 6 jours Pourcentage de N1 personnes charg es des N2 premiers secours en N3 fonction du niveau S 70 40 40 40 20 Les microentreprises et les petites entreprises peuvent constituer des regroupements pour les premiers secours p ex entre entreprises pratiquant des activit s diverses dans le m me b timent ou entre entreprises limitrophes Important Entreprises avec des dangers particuliers selon directive no 6508 de la CFST Les exigences en mati re de dispositifs de pre miers secours peuvent tre plus lev es en fonction du r sultat de la d termination des dangers Dans ce cas les sp cialistes MSST res ponsables de l valuation des dangers fixent le contenu des cours sp ciaux compl mentai res sur les premiers secours p ex sur les dan gers li s l lectricit de concert avec les en treprises de formation Alin a 3 La signalisation des locaux de premiers secours et des emplacements o est c
235. ctives doivent toujours se baser sur une or donnance ou sur la loi Elles ne peuvent donc r glementer que des domaines d crits pour le moins dans les ordonnances Alin a 2 Afin de s assurer que les directives sont applica bles dans la pratique et qu elles sont fond es sur un savoir suffisamment tendu il est n cessaire de consulter certaines autorit s et organisations con cern es avant leur publication Les organisations int ress es sont selon le domaine d application les organisations patronales et syndicales fa ti res et les repr sentants des branches touch es la CNA et les organismes sp cialis s Alin a 3 Les directives s adressent aux autorit s d ex cu tion Elles doivent avant tout servir d aide l appli cation de l ordonnance qui ne d finit les exigences en mati re de protection de la sant qu en tant qu objectif En outre les autorit s de surveillan ce ont le devoir dans leur activit d ex cution des lois de s en tenir aux directives Elles doivent par exemple lors des visites d entreprises contr ler que les r gles contenues dans les directives sont appliqu es Les directives concernent l employeur d une ma ni re indirecte Elles lui servent de base pour rem plir ses obligations en mati re de protection de la sant S il se conforme aux directives on pr sume qu il remplit ses obligations en la mati re S il ne s y conforme pas il doit apporter la preuve que la protection
236. d met que le froid est un facteur de risque favorisant certaines affections respiratoires vasculaires et os t o articulaires Les autres risques li s au travail au froid sont les suivants e limitation de la mobilit en raison des v tements de protection contre le froid plus grande rai deur r duction de la dext rit capacit de pr hen sion sens du toucher r duction de la force de pr hension et de la sen sibilit la douleur r duction de la force des muscles ce qui entra ne une fatigue pr coce aggravation de l effet des fortes vibrations sur la sant maladie de Raynaud Certaines personnes sont particuli rement vuln rables au probl me du froid il s agit par exemple e des femmes enceintes e des personnes qui effectuent un travail physique intense un ph nom ne de sudation peut tre responsable d un abaissement de l isolation ther mique des v tements SECO septembre 2010 321 1 d Art 21 wo Commentaire de l ordonnance 3 relative la loi sur le travail Chapitre 2 Exigences particuli res en mati re d hygi ne Section 2 Eclairage climat des locaux bruits et vibrations Art 21 Travail dans des locaux non chauff s ou en plein air e des personnes g es de plus de 55 ans e des personnes souffrant de maladies cardiovas culaires de diab te d hypertension d arthrite de rhumatisme de troubles r naux ou d pilep sie e des personn
237. d rale coordonn e des travailleurs sont occup s dans ou sur ces 3 l office f d ral prend en tant qu autorit concern e et l intention de l autorit unique position au sujet de la demande d approbation des plans Il est invit participer aux discussions de plans dans la mesure o il s agit de questions de protection des travailleurs 4Les autres dispositions sur l approbation des plans de la loi sur le travail et de cette ordonnance s appliquent l approbation des plans dans le cadre de la proc dure f d rale coordonn e G n ralit s Lors de la r alisation et de la transformation d ouvrages b timents et installations un grand nombre de proc dures d autorisation se d roulent en parall le ou les unes apr s les autres La multi plicit des proc dures et la diversit des syst mes proc duraux f d raux et cantonaux peuvent en gendrer des redondances un manque de coordi nation des approbations partielles et surtout en raison de possibilit s de recours plusieurs che lons des prolongations importantes de la dur e des proc dures A l chelon f d ral la n cessit de mettre en pla ce des proc dures de d cision simples et coordon n es est apparue clairement apr s le rejet de l ac cord sur l EEE Etant donn le renforcement de la concurrence entre les places conomiques parmi les tats industriels et la pression des d lais la quelle est soumise l conomie un d roulement r
238. d isolation peuvent se poser ga lement pour les plafonds situ s directement sous des toits plats Ces derniers sont isoler suffisam ment contre la chaleur en t et le froid en hiver l enveloppe du b timent doit tre con ue de ma ni re telle que l humidit ne puisse p n trer de l ext rieur Les d g ts dus l humidit entre autres les taches de moisissure se forment fr quemment aux endroits froids du sol et des parois o l humi dit de l air se condense Alin a 2 Les mat riaux utilis s pour la construction et l am nagement ne doivent pas nuire la sant des travailleurs ni entraver leur bien tre On vitera avant tout d utiliser des mat riaux qui rejettent dans l air ambiant des substances organiques pen dant de longues p riodes comme e des solvants utilis s pour les peintures ou les col les tapis e du formald hyde contenu dans les panneaux de bois agglom r ou les mousses isolantes e des agents de conservation du bois en r gle g n rale ils sont inutiles pour le bois utilis l in t rieur e des biocides fongicides ajout s aux vernis Les mat riaux de construction utilis s doivent ga lement respecter les prescriptions de pr vention des maladies professionnelles voir ce sujet le chapitre 3 Exigences de s curit de l OPA et l annexe de l OLAA Des labels et des normes sont utiles cet effet tels que la recommandation SIA 493 SECO ao t
239. d oxyg ne est suffisante et e en pr sence d une source d inflammation ayant une nergie suffisante Si l une de ces conditions n est pas r alis e l ex plosion est impossible La principale mesure de protection contre l explosion consiste viter ou liminer toute concentration de substances inflam mables dans l air susceptible d entra ner une ex plosion Lorsque ce n est pas possible il faut viter toute source d inflammation ou diminuer le taux d oxyg ne Il faut toujours s attendre des m langes explo sibles lorsque des liquides inflammables sont chauff s au dessus de leur point clair ou s ils sont pr sents sous forme finement divis e tels des brouillards ou des a rosols Le point clair et les li mites inf rieure et sup rieure d inflammabilit sont des propri t s des substances On les trouve dans des fiches de donn es de s curit ou dans des pu blications correspondantes p ex la publication CNA 1469 Caract ristiques de liquides et gaz La formation de m langes explosibles peut tre vit e ou limit e certains secteurs zones ex se lon le genre d installations d exploitation lorsqu il existe des installations de ventilation et d aspira tion L acc s aux parties de b timent ou les locaux comportant des zones ex doivent tre signal s sp cialement p ex zone 2 73 Les emplacements d aspiration sont disposer en fonction de la den sit des gaz et des vapeurs Lors
240. d un proc d de fabrication par charges la fabrication en continu Dans ce contexte il est important de rappeler que les entreprises vis es par les articles 7 et 8 LTr doivent soumettre pour approbation l autorit cantonale les plans de transformation des installations entra nant une modification es sentielle des m thodes de travail ou laissant pr voir une aggravation des risques pour la vie ou la sant des travailleurs Alin a 3 Les l ments qui font appara tre que l activit exer c e par un travailleur porte atteinte sa sant phy sique ou psychique peuvent tre de source et de nature fort diverses L employeur doit lui m me valuer la situation p riodiquement lorsque les autorit s d ex cution de la loi sur le travail recon naissent que les travaux ex cut s pr sentent des risques pour la sant Si des indices laissent supposer que le travail mena ce la sant du personnel o si l employeur y a t rendu attentif par le travailleur concern ou par son m decin traitant il proc dera une enqu te relevant de la m decine du travail pour rem dier cette situation S il ne donne pas suite aux indi cations re ues le travailleur peut saisir l inspection cantonale du travail comp tente pour analyser la situation L inspection cantonale du travail peut cet effet demander une expertise technique par un m decin du travail un hygi niste un ergonome SECO ao t 2006 303 1
241. dans l tat descriptif ont t intro duites directement dans les plans L important est que toutes les donn es figurent dans le dossier Si le projet inclut des installations g n ratrices d un bruit important let g le dossier doit comporter les informations n cessaires l valuation du res pect des valeurs nominales d acoustique des lo caux prescrites par l article 22 OLT 3 L num ration de donn es figurant aux articles 38 alin a 3 et 39 alin a 1 peut servir de liste de contr le de l exhaustivit du dossier de demande d approbation des plans Alin a 2 Etant donn que la dur e de la proc dure est par fois longue il n est pas toujours possible de trans mettre toutes les donn es n cessaires au moment du d p t de la demande d approbation des plans notamment parce que le type d installations qui seront mises en place et leur dimensionnement ne sont pas toujours connus ce stade L alin a 2 pr voit la possibilit de remettre ces informations ult rieurement au d p t de la demande d appro bation des plans mais ceci doit avoir lieu imp rati vement avant le d but de la r alisation des instal lations concern es SECO ao t 2006 439 1 Art 40 Approbation des plans Article 40 Approbation des plans Commentaire de l ordonnance 4 relative la loi sur le travail Chapitre 4 Approbation des plans et autorisation d exploiter Section 1 Proc dure d approbation des plans
242. dans l ensemble aux exigences de la protection de la sant Si l autorit d ex cution arrive la conclusion que cela n est pas le cas l employeur peut demander une autorisation de d roger aux prescriptions Il doit alors tablir qu il prend d autres mesures tout aussi efficaces ou d montrer de mani re cr dible que l applica tion de la prescription conduirait une rigueur excessive et que la d rogation ne compromet pas la protection des travailleurs Les travail leurs doivent tre entendus ce sujet cf art 39 OLT 3 D autres explications sur la proportionna lit et les mesures compensatoires figurent dans le chapitre sur les locaux de travail sans clairage naturel ou sans vue sur l ext rieur e Si en cas de perturbations inacceptables les conditions pour l octroi d une autorisation de d roger aux prescriptions ne sont pas remplies l autorit d ex cution doit rejeter la demande La publication du SECO sur Internet intitul e Eva luation de fa ades perturbant la vue contient des explications d taill s ce sujet ainsi que des aides l valuation 315 6 Commentaire de l ordonnance 3 relative la loi sur le travail Chapitre 2 Exigences particuli res en mati re d hygi ne J7 Section 2 Eclairage climat des locaux bruits et vibrations a A Art 15 Eclairage Art 15 n Distance minimale entre deux b timents La lumi re qui p n tre dans un local diminue avec la pr
243. de cong lation ou r frig r s dans les locaux sans fe n tres des pauses plus fr quentes sont n cessai res Dans ces cas l le local de pause sera situ proximit imm diate des postes de travail Alin a 2 Si un local de repos ou un r fectoire s par n est pas exig au vu de ce qui pr c de on mettra pour le moins des tables et des si ges avec dossiers disposition l cart des postes de travail Il en ira de m me si les travailleurs ne peuvent quitter les locaux de travail pendant les pauses par exemple pour intervenir rapidement en cas de perturba tions Alin a 3 Un local de repos sp cifique n est pas prescrit ce pendant on am nagera au besoin des places de repos pour les travailleurs qui d sirent s tendre pendant les pauses Les travailleurs en quipes ou de nuit ou assurant le service de permanence devraient pouvoir se reposer On pourra am na ger en cons quence par exemple le local r serv aux premiers soins voir aussi les articles 34 et 36 OLT 3 Alin a 4 Cet alin a pr cise que le personnel assurant un service de permanence doit obligatoirement dis poser d un local de s jour 333 2 Commentaire de l ordonnance 3 relative la loi sur le travail Chapitre 2 Exigences particuli res en mati re d hygi ne Section 7 Vestiaires douches lavabos toilettes r fectoires locaux de s jour et premiers secours Art 34 Protection des femmes enceintes et
244. de b timents et installations techniques Elles permettent une circulation en s curit dans les parties de b timents et les installations d une part et garantissent en cas d urgence une va cuation sans danger de ces secteurs d autre part Afin d assurer ces principes les risques de chute dans les escaliers sont particuli rement lev s et les cons quences peuvent tre tr s graves il y a lieu de respecter les r gles de construction expli qu es ci apr s L OPA art 16 contient encore d autres disposi tions Il y a galement lieu de consulter les Directives pour la s curit au travail de la CEST chiffre 313 D une part les prescriptions concernant la construc tion des cages d escaliers tiennent compte du prin cipe de protection des travailleurs qui doivent dis poser de voies d vacuation s res d autre part elles se rapportent des exigences de la police du feu Par cons quent il peut tre opportun de prendre contact avec les organes de la police du feu ou de l assurance immobili re dans certaines circonstances particuli res Afin de garantir l vacuation s re en cas d ur gence les cages d escaliers et les corridors d si gn s comme voies d vacuation au sens de l article 7 OLT 4 rempliront les conditions suivantes e Le passage doit galement tre garanti en de hors des heures normales de travail p ex pour le travail en quipes ou lors de travaux d entre tien Les brancards doive
245. de la diversit des si tuations dans les diff rentes branches Une appr ciation de chaque situation reste n cessaire A titre d exemple un seul W C peut tre suffisant dans de petites entreprises n occupant pas plus de 5 travailleurs et n exer ant pas de travaux salissants comme c est le cas pour les activit s de bureau exigences similaires celles de l habitat Sur les chantiers on pr voira au moins un W C pour 20 personnes Dans des conditions difficiles on pourra cependant renoncer ces installations s il est garanti que les travailleurs peuvent utiliser des toilettes en nombre suffisant par exemple dans la construction en cours de r alisation ou de transformation dans d autres b timents tels que toilettes publiques ou de restaurants Alin a 3 Les lieux d aisances et les urinoirs doivent tre s par s des locaux de travail par un vestibule On pourra renoncer au vestibule si les lieux d aisances donnent directement sur des cages d escaliers o des couloirs A l int rieur des locaux de lieux d aisances les toi lettes doivent tre s par es par des cloisons La m me exigence vaut pour la s paration vers le ves tibule Commentaire de l ordonnance 3 relative la loi sur le travail Chapitre 2 Exigences particuli res en mati re d hygi ne Section 7 Vestiaires douches lavabos toilettes r fectoires locaux de s jour et premiers secours Art 32 Toilettes Les W C seront munis
246. de portes pouvant se fer mer de l int rieur et pourvus de pat res Les lieux d aisances et les vestibules doivent tre suffisamment a r s soit naturellement soit m ca niquement S ils sont ventil s m caniquement par exemple en raison de l absence de fen tres locaux borgnes on pr voira au moins 5 renouvellements d air par heure Les lieux d aisances et les vestibules sans fen tres devront tre ventil s m caniquement directement vers l ext rieur La ventilation m cani que peut tre permanente ou intermittente Il est judicieux d asservir son enclenchement celui de l clairage et son d clenchement un minuteur Alin a 4 Les installations n cessaires pour se laver les mains et les s cher seront dispos es dans les vestibules ou en l absence de vestibules proximit imm diate des passages donnant acc s aux W C Elles comprendront des lavabos avec eau courante Le savon liquide est un produit de nettoyage appro pri pour des raisons d hygi ne on le pr f rera au savon en morceaux Pour se s cher les mains on utilisera soit des ser viettes en papier soit un tissu en rouleau On en pr voira une quantit suffisante Les s choirs air chaud sont d conseill s pour des raisons d hygi ne 332 2 Commentaire de l ordonnance 3 relative la loi sur le travail Chapitre 2 Exigences particuli res en mati re d hygi ne Section 7 Vestiaires douches lavabos toilettes r fecto
247. de s exprimer sur ces questions d en d battre avec l employeur et de faire des propositions Il est donc n cessaire qu ils soient inform s suffisamment t t et en d tail de toutes les questions de protection de la sant voir l art 9 al 1 de la loi sur la participation Ce droit des travailleurs l information contient d une part l information selon l article 5 sur les dangers concrets pour la sant auxquels ils sont expos s et les mesures pr ventives destin es les maintenir en bonne sant D autre part l information doit porter sur toutes les mesures pr vues par l entre prise et qui peuvent avoir une incidence sur la pro tection de la sant Cela comprend notamment la planification de mesures de protection de la sant l acquisition et l introduction de nouveaux appa reils ou machines l utilisation de nouvelles subs tances ainsi que les changements pr vus au niveau de la production des proc d s et de l organisation du travail L information sur les mesures pr vues doit tre communiqu e suffisamment t t afin que les requ tes et propositions des travailleurs ou de leurs repr sentants puissent tre prises en compte lors de la r alisation des mesures Le droits de par ticipation est prendre en compte suffisamment t t c est dire avant que l employeur ait arr t une mesure particuli re Les travailleurs respectivement leurs repr sen tants peuvent pr senter leurs requ tes et leurs proposit
248. de travail sont restreints plus la d perdition de chaleur sera ressentie Pour cette raison un rev te ment de sol poss dant de bonnes qualit s d isola tion thermique est particuli rement important aux emplacements de travail o les personnes portent g n ralement des chaussures l g res Si l on ne travaille de fa on permanente qu des emplace ments d finis de tels rev tements de sol pourront n tre pos s qu ces emplacements voir gale ment le point 5 des explications concernant l arti cle 16 OLT 3 314 2 Commentaire de l ordonnance 3 relative la loi sur le travail Chapitre 2 Exigences particuli res en mati re d hygi ne Section 1 B timents et locaux Art 14 Sols Pertes de chaleur et comportement la chaleur Les rev tements industriels sont consid r s comme tant isolants si l absorption de cha leur n exc de pas 4 5 kJ en 2 minutes et 22 kJ en 30 minutes lors du test EMPA norme SIA 252 Description du test EMPA Le rev tement de sol tester est pos sur deux pla ques de b ton de dimensions 40 x 40 x 12 cm Un cylindre de cuivre d un diam tre de 120 mm isol sur le dessus et le c t et pr alablement chauff est pos sur le rev tement au d but de l essai Le refroidissement du bloc de cuivre est mesur pen dant les 30 minutes du temps de contact et la con ductivit thermique du rev tement en est d duite par calcul Temp rature de surf
249. dent cf art 36 OLT 3 premiers secours Dans de nombreux cas il s av re utile de d signer un coordinateur sp cialis disposant des comp tences n cessaires et charg d assurer la synchro nisation sans risque des diff rents travaux Sur les chantiers il est indiqu que le ma tre de l uvre respectivement son repr sentant architecte chef de chantier s occupe de cette coordination Sur les chantiers on veillera en particulier au res pect des prescriptions de l ordonnance sur la s cu rit et la protection de la sant des travailleurs dans les travaux de construction Ordonnance sur les tra vaux de construction OTConst RS 832 311 141 Avant le d but des travaux les employeurs ou les responsables des diff rentes entreprises r gleront avec le coordinateur d sign le d roulement des activit s les conditions de travail et l utilisation d instruments de travail dangereux pour la sant S il n y a pas de coordinateur d sign l organisa tion des travaux incombe aux employeurs eux m mes On garantira que tous les employeurs soient inform s soit par le coordinateur soit directement par les autres employeurs des dangers qui peu vent d couler des diff rentes activit s et des me sures n cessaires pour les viter Les employeurs doivent transmettre ces informations leurs tra vailleurs respectifs ainsi qu aux travailleurs em ploy s temporairement cf art 10 OLT 3 En parti culier on
250. des me sures compensatoires compl teront cet am na gement e pour les constructions existantes d pourvues de fen tres l application des mesures compensatoi res d taill es ci dessus s impose Locaux annexes Les art 15 al 3 et 24 al 5 OLT 3 s appliquent aux locaux annexes de ces surfaces commerciales non accessibles au public mais o le personnel tra vaille en poste fixe service de comptabilit salles de pr paration On cherchera donc des locaux l int rieur ou l ext rieur de ces surfaces commer ciales respectant la l gislation SECO novembre 2009 315 11 Commentaire de l ordonnance 3 relative la loi sur le travail Chapitre 2 Exigences particuli res en mati re d hygi ne Section 2 Eclairage climat des locaux bruits et vibrations Art 16 Climat des locaux 1 Art 16 di di Article 16 Climat des locaux Tous les locaux doivent tre suffisamment ventil s naturellement ou artificiellement en fonction de leur utilisation La temp rature des locaux la vitesse et l humidit relative de l air doivent tre calcu l es et r gl es les unes par rapport aux autres de telle fa on que le climat des locaux soit adapt la nature du travail et ne soit pas pr judiciable la sant La temp rature l humidit relative et la vitesse de l air de m me que le rayonnement calorifique et la qualit de l air constituent un ensemble de fac teurs complexe qui doit tre
251. des performances 10 voire plus En outre la sensation prouv e varie d un individu l autre Il est de ce fait quasi impossible de cr er un climat ressenti comme optimal par chacun Selon la norme SN EN ISO 7730 on juge accep table un taux de satisfaction d environ 85 des personnes concern es noter que le texte de la norme s exprime de mani re inverse en parlant de taux d insatisfaction indice PPD Il s agit du pour centage de personnes insatisfaites qualifiant un cli mat donn d inacceptable D s lors l indice PPD ne devrait pas d passer 15 pour qu un climat soit r put g n ralement confortable Et satisfaire les exigences des personnes sensibles et la sant d licate impliquerait de ne pas d passer un taux d insatisfaction de 6 La norme mentionne ga lement qu il y a toujours un pourcentage r siduel d insatisfaits des conditions thermiques Composition de l air L atmosph re dans laquelle nous vivons contient 21 d oxyg ne 78 d azote 0 04 de dioxyde de carbone CO ainsi que des traces de gaz rares de la vapeur d eau et des impuret s par exemple des compos s organiques volatils En outre dans les locaux de travail la composition de l air est galement influenc e non seulement par les impuret s provenant des processus de pro duction des substances utilis es dans ce cadre et des mat riaux de construction mais encore par les travailleurs eux m mes Ces personnes
252. diff rents mat riaux un certain ordre dans la dis position des couches de tissus La couche la plus pr s de la peau est d une impor tance primordiale parce que le mauvais produit m me la peau peut porter grandement atteinte l efficacit des couches dispos es par dessus La couche la plus pr s de la peau savoir les sous v tements fonctionnels a pour t che de r partir l humidit d s son apparition et de la transporter vers les couches de v tements ext rieures Elle doit galement emp cher ou r duire le refroidissement du corps par un temps de s chage extr mement court Les travailleurs doivent avoir leur mot dire dans le choix de leur quipement de protection individuel et pouvoir le choisir dans un assortiment vu dans un catalogue Dans les zones de travail fra ches et froides il faut s efforcer d obtenir la vitesse de l air la plus basse possible dans l id al lt 0 1 m s les courants d air Selon DIN 33 403 5 Domaine de froid Domaine de froid de degr Il thermique unit clo de degr I 15 10 C 10 5 C 5 5C Valeur d isolation jusqu 1 4 1 4 1 8 1 8 3 0 Habillement Sous v tements longs Chemise Pull over Pantalon de travail Veste Chaussettes montantes Chaussures de travail Sous v tements thermiques longs p ex microfibres laine de m rinos Tenue thermique l g re pantalon veste polaire Chemise Chaussettes mont
253. disposer des sorties pr vues l alin a 2 Il est possible de cr er une issue de secours par un saut de loup en lieu et place d une sortie de se cours lorsqu il existe des imp ratifs de construction et qu il n y pas de dangers particuliers dans les lo caux en sous sol c est dire e lorsqu il n existe pas de danger accru d incendie et e lorsque aucune installation comportant un dan ger particulier d incendie ou d explosion au sens des articles 19 25 OLT 4 n est am nag e Coupe Garde corps ou caillebotis Montants r tractables F Sortie de secours avec porte et chelle y Vue en plan E E e o le Q S g g E E min 0 80 m D SE a Coupe Garde corps ou Le caillebotis E O o A 3 Sortie de secours par une fen tre Vue en plan E E 8 S 1 gt LUN E E E min 0 80 m lt gt Illustration 407 3 Sortie de secours porte d un tage unique situ en sous sol jusqu 600 m de surface d tage Illustration 407 4 Sortie de secours fen tre d un tage unique situ en sous sol jusqu 600 m de surface d tage 407 4 Commentaire de l ordonnance 4 relative la loi sur le travail Chapitre 2 Construction et am nagem
254. disposition fournit une directive claire pour l tablissement de projets et aide traiter toutes les entreprises de fa on identique l intensit de l clairage naturel diminue tr s rapi dement depuis les fen tres en fa ade vers l int rieur des locaux On peut rem dier dans une cer taine mesure cet inconv nient par des fen tres montant jusqu proximit du plafond La surface de fen tres de 1 8 12 5 de la sur face du sol inclut la surface des fen tres en fa ade des sheds des hauts jours et des coupoles La con dition doit tre remplie dans chaque local de tra vail Plus le local ou la halle de travail sont grands plus il est difficile pour des raisons de g om trie d atteindre la surface vitr e prescrite par l ordon nance si l implantation de sheds ou de jours z ni thaux s av re impossible Ceci est le cas par exem ple dans les b timents plusieurs tages Dans l hypoth se o des fen tres peuvent tre im plant es sur 34 de la longueur des fa ades leur hauteur doit atteindre 2 8 m au minimum dans une halle de 50 m x 100 pour que la surface vitr e atteigne 1 8 de la surface du sol Pour une halle de 100 m x 100 leur hauteur minimale atteindra d j 4 2 met pour une halle de 200 m x 300 une hauteur de 10 m Dans la plupart des cas cette va leur n est pas r aliste L ordonnance ne pr voit aucune exception g n rale pour ces cas Dans de telles enceintes la sur face vitr
255. dividuelle adapt e Des activit s particuli res peuvent tre la source d influences biologiques pour lesquelles il n exis te pas de valeur limite au sens de l OPA mais qui peuvent constituer un risque pour les travailleurs 1Selon la d finition de l IEA soci t internationale d ergonomie 302 2 Commentaire de l ordonnance 3 relative la loi sur le travail Chapitre 1 Dispositions g n rales Art 2 Principe dh a 2 d o la n cessit de prendre des mesures particu li res pour pr server leur sant C est le cas par exemple pour certains types de travaux de labora toire ou des travaux dans le domaine de la techno logie g n tique Le rayonnement non ionisant RNI rel ve quant lui des influences physiques Il ne doit porter at teinte ni la sant ni au bien tre des travailleurs L exposition au RNI en raison de sources d mis sion externes l entreprise p e lignes de courant installations d mission chemins de fer est r gle ment e par l ordonnance sur la protection contre le rayonnement non ionisant ORNI RS 814 70 sur la base de la loi sur la protection de l envi ronnement LPE Ce texte fixe des valeurs limites d immission dont le respect garantit une protec tion contre tous les dangers av r s Il tablit par ailleurs d autres valeurs limites plus basses et r pondant au principe de pr caution nonc par la LPE ce sont les valeurs limites de l installatio
256. dure d approbation des plans Art 9 Section 3 Passages Art 9 Construction des cages d escaliers et des couloirs Article 9 Construction des cages d escaliers et des couloirs Va 1 Le nombre la disposition et la conception des cages d escaliers et des couloirs doivent tre adapt s l tendue et l affectation des b timents ou parties de b timent au nombre d tages aux dan gers inh rents l entreprise et l effectif La largeur utile des escaliers et des couloirs doit tre d au moins 1 20 m La largeur utile des escaliers et des passerelles donnant acc s aux installations techniques sera d au moins 80 cm 3 Les cages d escaliers seront en r gle g n rale vol es droites La hauteur et la largeur des marches doivent permettre une foul e ais e et s re Lorsque la distance entre les tages est grande il y a lieu d am nager des paliers interm diaires 4 Les escaliers les passerelles et les paliers non entour s de parois seront pourvus d une balustrade de chaque c t Les escaliers plac s entre des parois seront pourvus d une main courante des deux c Ke t s Si l escalier est d une largeur inf rieure 1 5 m une main courante suffit 1 G n ralit s Les cages d escaliers au sens des pr sentes dispo sitions comprennent aussi bien les escaliers n ces saires l vacuation selon l article 7 OLT 4 que tous les autres escaliers servant de liaison verticale entre parties
257. e Art 36 Article 36 Communications de l office f d ral l autorit cantonale L office f d ral communique l autorit cantonale tout fait arrivant sa connaissance et pouvant concerner un assujettissement Aucun commentaire n cessaire SECO ao t 2009 436 1 Article 37 Commentaire de l ordonnance 4 relative la loi sur le travail Chapitre 4 Approbation des plans et autorisation d exploiter Section 1 Proc dure d approbation des plans Art 37 Demande d approbation des plans Art 37 Demande d approbation des plans Pa tonale par crit avec plans et tat descriptif KL La demande d approbation des plans pr vue l art 7 al 1 de la loi sera pr sent e l autorit can 2 Dans le cas de la proc dure pr vue l art 7 al 4 de la loi proc dure f d rale coordonn e la de mande est pr senter l instance f d rale comp tente autorit unique 3 Pour les installations et constructions de la Conf d ration qui ne sont pas vis es par la proc dure f d rale coordonn e la demande d approbation des plans est pr senter l office f d ral Alin a 1 La demande doit tre pr sent e l autorit canto nale comp tente du canton sur le territoire duquel l auteur de la demande veut riger la construction De nombreux cantons ont d sign sur la base de l article 25a de la loi f d rale du 22 juin 1979 sur l am nagemen
258. e les cages de Faraday champ lectroma gn tique e les probl mes dus au rayonnement solaire locaux de fabrication de produits que la lumi re naturelle peut endommager ou d truire Lorsque les produits ne supportent aucun rayon nement provenant de l clairage naturel par exemple dans les ateliers de traitement photo graphique l incompatibilit est incontestable Par contre lorsque l exposition prolong e cer taines longueurs d onde du rayonnement solaire peut s av rer n faste pour les produits ou parti culi rement g nante pour le personnel on cher chera une solution pour pallier ces effets par exemple fen tres expos es au nord stores fe n tres munies de filtres sp ciaux ou ventuelle ment de verres teint s 2 Existence d une exigence de s curit Comme pour le point pr c dent il s agit d appor ter la preuve d une part de l existence d une exi gence de s curit et d autre part de l inexistence de toute autre possibilit privil giant l clairage na turel On peut d montrer cela notamment pour a La protection contre des influences ext rieures e locaux d ordinateurs personnel de service dans le secteur de s curit de centres de calcul echambres fortes d tablissements bancaires ou autres e certains ouvrages militaires e certains locaux de s curit production de pa piers valeur ou objets de valeur etc e centrales de commande de haute s curit par ex
259. e Il peut avoir des cons quences n fastes en ce qui concer ne le bien tre g n ral le rendement la s curit au travail la capacit de se concentrer et la fati gue Exemples d blouissement arc de soudage re flets sur les crans de visualisation objets brillants contrastes forts contre jour soleil phares de voi tures clairage de stades grandes surfaces r fl chissantes lacs On distingue les genres d blouissement suivants e l blouissement direct provoqu par des lumi naires des surfaces lumineuses telles que fen tres jours z nithaux etc e l blouissement par contraste provoqu par ex emple par des crans d ordinateurs sombres et des fen tres claires en arri re plan des tables lu mineuses dans des locaux peu clair s etc e l blouissement par r flexion et les r flexions voi lantes dus la r verb ration d une luminosit in tense sur des surfaces brillantes Les r flexions voilantes dispersent la lumi re sur une surface cr ant un voile ou un clat de lumi re qui r duit le contraste de la t che Elles se produisent souvent sur les pages des magazines les crans d ordinateur et d autres surfaces brillantes em p chant de voir les images sur les surfaces l blouissement est viter car il est source d er reurs de fatigue et d accidents Direction de la lumi re et effet d ombre Pour faciliter la perception visuelle de surfaces et d objets
260. e Les exigences minima les concernant la construction de ces locaux sont fix es par l office f d ral de la protection de la po pulation voir r sum en annexe Pour des raisons d hygi ne l utilisation des locaux de protection civile n est pas recommand e pour les vestiaires destin s plus de 50 personnes des SECO ao t 2006 330 1 art 30 Fi Commentaire de l ordonnance 3 relative la loi sur le travail Chapitre 2 Exigences particuli res en mati re d hygi ne Section 7 Vestiaires douches lavabos toilettes r fectoires locaux de s jour et premiers secours Art 30 Vestiaires mesures compl mentaires telles que ventilation g n rale et armoires ventil es artificiellement ga rantissant une hygi ne irr prochable sont indis pensables dans ces cas Les vestiaires ne doivent pas tre utilis s d autres fins On peut renoncer des locaux s par s si le nombre de travailleurs est faible et si les activit s sont tr s peu salissantes activit s administratives et ne n cessitent pas un changement de v te ments Des conditions sp ciales peuvent tre con senties de petites entreprises artisanales pour lesquelles une utilisation diversifi e des locaux peut se r v ler n cessaire Le faible nombre de travailleurs permet des mesures compensatoires quivalentes Les vestiaires sans fen tres doivent tre ventil s ar tificiellement L air vici sera vacu directement
261. e insatisfaction maladie burnout etc augmentation des erreurs fluctuation absences au travail etc Illustration 302 A Exemple de corr lation entre les charges contraintes au travail et les cons quences pour la sant 302 B Commentaire de l ordonnance 3 relative la loi sur le travail Chapitre premier Dispositions g n rales Art 2 Principe Annexe de l art 2 t Astreinte mentale L astreinte mentale est la r sultante imm diate et non pas long terme de la contrainte mentale exerc e sur l individu Cette sollicitation psychique d pend de caract ristiques individuelles du sujet Au nombre de celles ci figurent notamment e l tat g n ral la sant et la constitution physi que l ge le sexe e l tat moral actuel eles capacit s les aptitudes les connaissances l exp rience e l tat d esprit les strat gies de r solution de pro bl mes la confiance dans ses propres capacit s le niveau d exigence Ainsi selon les personnes des contraintes iden tiques li es au travail n entra neront pas la m me astreinte Cons quences de l astreinte mentale Les cons quences de l astreinte mentale peuvent tre aussi bien positives que n gatives Cons quences positives et souhait es Elles comprennent e la conservation et le d veloppement de la capa cit de performance e l largissement des connaissances des capacit s
262. e notamment pour l am nagement du temps de travail la r glementation des pauses mais galement pour le choix des cou leurs l am nagement des locaux pour savoir s ils souhaitent de la musique de fond des tableaux ou l apport de plantes vertes dans les locaux de tra vail Pauses il y a lieu d accorder plus de pauses aux travailleurs occup s dans des locaux de travail sans lumi re naturelle Ces pauses compensatoires sont la charge de l employeur et doivent donc tre consid r es comme du temps de travail Il est rap pel que ce sont l des pauses suppl mentaires auxquelles ne sauraient se substituer les pauses mi nimales prescrites l art 15 de la loi sur le travail On fixera au minimum vingt minutes de pause sup pl mentaires par demi journ e ventuellement 315 10 Commentaire de l ordonnance 3 relative la loi sur le travail Chapitre 2 Exigences particuli res en mati re d hygi ne S 7 Section 2 Eclairage climat des locaux bruits et vibrations Art 15 Eclairage Art 15 FT fractionn es Si le chemin parcourir jusqu au lo cal de pause est long le temps de pause d bute l arriv e au local Le travail en quipe est traiter d une mani re analogue Locaux de vente Les postes de travail sans clairage naturel se sont multipli s dans le secteur de la vente grandes sur faces centres commerciaux galeries marchandes dans les gares les a roports et les stades
263. e outre les indications pr cit es la confirma tion de l ex cution des travaux La conception d un b timent ou d une installation doit d j inclure les aspects de l entretien et du nettoyage C est ce stade que sont d finies les futures conditions de travail du personnel de main tenance Les points suivants particuli rement ont une influence pr pond rante e Un acc s facile aux zones dans lesquelles on n in tervient pas pendant le travail normal quivaut pour la personne proc dant la maintenance r duire les risques et accro tre la qualit de son travail e Le choix des mat riaux de leur structure et de leur surface d termine l importance des d p ts et la facilit de leur limination surfaces non conductrices et captant les poussi res lisses et faciles nettoyer horizontales et accumulant les poussi res etc Un nettoyage efficace n est possible qu avec le mat riel adapt outils produits et moyens tech niques plates formes mobiles chelles etc Un quipement de protection individuelle peut tre n cessaire Des indications sur les risques pour la sant et les mesures de protection en cas d utili sation de substances chimiques dangereuses pro duits de nettoyage se trouvent sur les fiches de donn es de s curit fournies par le fournisseur de produits Les entreprises confiant ordinairement le nettoyage une maison sp cialis e doivent gale ment tenir disposit
264. e stockage jusqu 30 m etc ill 408 9 Dans de tels cas on peut renoncer la liaison visuelle entre les locaux situ s au sous sol Sortie 0 90 m Moteur d ascenseur Ascenseur Porte Local de stockage au sous sol max 15 m LE CARE f 1 20 m Illustration 408 9 Locaux pour installations n cessaires l exploitation SECO f vrier 2008 408 7 Commentaire de l ordonnance 4 relative la loi sur le travail Chapitre 2 Construction et am nagement des entreprises soumises la proc dure d approbation des plans Art 8 Un corridor est toujours n cessaire pour des locaux en sous sol comportant des postes de travail per manents ou non o des installations d infrastruc ture telles que vestiaires toilettes etc sauf lorsque ces installations sont accessibles de l ext rieur 3 1 2 Am nagements int rieurs en paliers interm diaires Des locaux isol s situ s un niveau plus lev pour des raisons d exploitation p ex bureau de contrema tre bureau de programmation ou local de pause peuvent tre occasionnellement utilis s Il s agit de locaux qui ne sont pas directement ac cessibles depuis une cage d escaliers selon l article 7 alin a 1 pas de sortie directement l air libre De tels locaux peuvent tre rendus accessibles par un escalier vol e droite d au moins 1 2 m de large si e une liaison visuelle selon l illustrati
265. e tr buchement La hauteur de seuil dans les voies de circulation peut s lever 5 cm au maximum Si la sortie sur l ext rieur est r alis e l aide d une marche com me une marche d escalier sa hauteur peut attein dre 20 cm pour autant qu elle se prolonge sur le m me niveau sur une distance d au moins 1 m de mani re parer au danger de chute Les seuils et autres obstacles seront clairement signal s par un marquage adapt aux conditions Des panneaux amovibles ins r s en permanence ne sont pas admis sur les chemins de fuite Les publications suivantes servent entre autres la planification dans le d tail Publication Suva 44036 Voies de circulation l int rieur de l entreprise Recommandation SGL 206 3 Planification d in stallations de transbordement pour v hicules routiers Directive CFF W Bau GD 8 95 Sp cifications techniques pour les voies de raccordement Directive de protection incendie 16 Voies d va cuation et de sauvetage de l AEAI Listes de contr le de la Suva notamment 67001 Voies de circulation pour pi tons 67005 Voies de circulation pour v hicules 67065 Quais de chargement 67126 Circulation des v hicules ferroviaires dans l entreprise 67157 Voies d vacuation 43 2 Commentaire de l ordonnance 4 relative la loi sur le travail Chapitre 2 Construction et am nagement des entreprises soumises la proc dure d approbati
266. e 1 lx au minimum et au moins 0 5 Ix sur la moiti de Commentaire de l ordonnance 3 relative la loi sur le travail Chapitre 2 Exigences particuli res en mati re d hygi ne Section 2 Eclairage climat des locaux bruits et vibrations Art 15 Eclairage la largeur Le long de la ligne m diane le rap port entre la valeur la plus lev e et la valeur la plus basse de l clairement e doit pas d passer 40 1 e Pour que les couleurs de s curit puissent tre re connues sans quivoque l indice g n ral du ren du des couleurs Ra de la lampe doit tre d au moins 40 e La dur e de fonctionnement nominale de l clai rage de s curit sur les voies d vacuation doit atteindre au moins 1 heure L clairement doit parvenir au moins 50 de la valeur attendue au bout de 5 secondes et 100 au bout de 60 secondes L clairage antipanique est la partie de l clairage de secours qui r duit la panique et qui permet d at teindre les voies d vacuation en toute s curit Valeurs seuils e l clairement horizontal ne doit pas tre inf rieur 0 5 Ix sur la surface libre au sol Les bords d une largeur de 0 5 m ne sont pas pris en compte e Pour l indice g n ral de rendu des couleurs la dur e de fonctionnement nominale et le com portement l allumage voir ci dessus L clairage de s curit des postes de travail avec un danger particulier est la partie de l clai rage de secours
267. e adapt s aux saisons ainsi une personne portant une tenue estivale en plein hiver pour travailler dans un bu reau aura besoin d une temp rature ambiante de 25 C pour tre l aise En revanche 22 C suf SECO mai 2011 316 3 Art 16 dd dd Commentaire de l ordonnance 3 relative la loi sur le travail Chapitre 2 Exigences particuli res en mati re d hygi ne Section 2 Eclairage climat des locaux bruits et vibrations Art 16 Climat des locaux fisent lorsque durant la p riode o les locaux sont chauff s en raison du froid r gnant l ext rieur des v tements plus chauds sont port s l int rieur aussi La sensation de bien tre sur le lieu de travail est galement influenc e n gativement en cas d cart tr s important entre la temp rature de l air am biant et celle de rayonnement G n ralement la temp rature de l air n est pas identique au sol et au plafond Id alement la temp rature de l air hauteur de t te et au sol devrait tre identique La temp ra ture de l air au sol ne doit pas tre inf rieure de plus de 3 C celle hauteur de t te La temp rature des surfaces au sol devrait osciller entre 19 C au minimum et 25 C au plus respec tivement 29 C au maximum en cas de chauffage au sol En pr sence d un sol froid des rev tements isolants doivent tre install s ou le port de chaus sures ad quates est prescrire 100 humide i
268. e b timents dans lesquels se trouvent un grand nombre de personnes tels que vestiaires cantine bureaux Il faut pr voir une distance suffisante en tenant compte de l emplacement des b timents et locaux dans le secteur avec risque d explosion la nature et le genre des mati res explosives les con ditions topographiques et d ventuelles construc tions de protection existantes Alin a 2 Les parties d installations dans lesquelles le danger est particuli rement grand et o il faut en premier lieu compter avec une explosion b n ficieront des mesures techniques et d organisation correspon dant l tat de la technique de fa on qu aucune personne ou du moins un nombre de travailleurs le plus bas possible ne se trouvent dans la zone dangereuse tant que le danger existe De telles mesures sont p ex e Commande et surveillance distance depuis un emplacement s curis e Automatisation ou m canisation des proc d s Ne pourront s journer dans les locaux de travail que les personnes devant y travailler conform ment aux instructions de la direction Alin a 3 Dans le secteur comportant un danger d explo sion une sortie praticable en tout temps et sans obstacles doit conduire directement l ext rieur depuis chaque local comprenant des postes de travail permanents et dans lequel des mati res ex plosives sont entrepos es ou manipul es Si cela n est pas possible une telle sortie doit conduire d
269. e de l ordonnance 3 relative la loi sur le travail Chapitre 2 Exigences particuli res en mati re d hygi ne Section 2 Eclairage climat des locaux bruits et vibrations Art 22 Bruit et vibrations Annexe de l art 22 g Article 22 OLT 3 annexe Bruit 1 D finitions 1 1 Bruit On appelle bruit toute esp ce de son qui peut tre nuisible la sant la s curit au travail la per ception de la voix et aux performances Le bruit g nant est toute esp ce de son dont les effets per turbent le bien tre psychosocial ou corporel et qui peut porter atteinte la sant humaine 1 2 S curit au travail perception des signaux Si le bruit g ne la perception des signaux acous tiques des appels ou des signaux annonciateurs de danger et par l augmente le danger d accident il doit tre r duit par tous les moyens en l tat actuel de la technique afin que la perception des signaux acoustiques soit assur e Si ceci est impossible les metteurs de signaux doivent tre am lior s en cons quence voir la norme DIN 33404 Des indi cations compl mentaires sont contenues dans la norme europ enne EN 981 Syst mes d alarme comprenant des signaux acoustiques et lumi neux 1 3 Coefficient d absorption du son q Le coefficient d absorption du son est une valeur utilis e pour la planification acoustique de locaux ll indique la capacit d un mat riau d absorber les ondes sonores incident
270. e du sol 315 317 405 407 417 Superstructures en toiture 407 408 Surface disposition de chaque travailleur 324 Surface de fen tres 417 Surface d tage 407 Surface de ventre AP Surface utile 407 Surface vitr es 410 Surmenage 302 323 Suroccupation 312 Surveillance des travailleurs 326 Surveillance du comportement 326 Surveillance du rendement 326 Syst mes d acc s individuel 410 Syst me d alarme 317 Syst me d appr ciation de l blouissement 315 Syst mes de contr le 326 Syst mes de fermeture 407 Commentaire des ordonnances 3 et 4 relatives la loi sur le travail Index Syst mes de portes automatiques 410 Syst mes de surveillance 326 408 T Tables de travail 323 324 T ches de coordination 308 Talus 404 Temp rature corporelle 320 Temp rature de l air 316 Temp rature des locaux 311 316 321 324 Temps de r verb ration 322 Teneur en oxyg ne 401 Tenues de protection contre le froid 321 Toilettes 332 Emplacement 332 Lavabos 332 Nombre 332 Sans fen tres 332 Vestibules 332 Toilettes accessibles au public 332 Transformation 43 308 401 AP Transparence 315 417 Transport de produits dangereux 45 Mati res et objets 415 Par conduites 408 409 Signes d identification du danger 45 Transport sur rails 413 Espaces de s curit 413 Quais de chargement 414 Travail l cran 323 Travail dans des locaux non chauff s ou en plein air 321 Travail en plein air 320 321 327 329
271. e g n rale les plafonds et les parois doivent tre jointoy s et cr pis Si n cessaire ils sont recouvrir d un vernis o d un rev tement lavable planelles de c ramique ou en mat riau synth tique Toutefois le degr de r flexion la brillance et les couleurs des surfaces dans la pi ce devraient tre choisis de mani re viter de trop grands contrastes de luminance degr de r flexion moyen recommand pour les plafonds 0 7 0 9 pour les parois 0 5 0 8 Les plafonds non cr pis devraient sous r serve des prescriptions sur l acoustique des locaux avoir une surface lisse Les plafonds suspendus ouverts ou les panneaux d absorption phonique suspen dus constituent souvent des pi ges o la poussi re et les salissures peuvent s accumuler particuli re ment s ils se trouvent au voisinage des orifices des canaux de ventilation artificielle Les plafonds sus pendus doivent tre fabriqu s de fa on pouvoir tre nettoy s facilement La structure superficielle des plafonds et des parois et leur couleur influencent sensiblement le bien tre des travailleurs Des tons clairs sont pr f rer aux tons fonc s vu qu ils influencent positivement la qualit de l clairage et sont plus hygi niques meilleure r flexion et nettoyage plus facile SECO ao t 2006 313 1 Commentaire de l ordonnance 3 relative la loi sur le travail Chapitre 2 Exigences particuli res en mati
272. e garantir la s curit incombe l exploitant e Les exigences concr tes pour les portes font par tie des concepts de s curit de pr vention in cendie et d vacuation Les responsabilit s doi vent tre fix es nomm ment e Les portes battant s ouvrant dans le sens de la fuite constituent la r gle 2 2 Les portes sur les voies d vacuation doivent pouvoir en tout temps tre reconnues en tant que telles e Les portes d vacuation sont signaliser bien vi siblement par exemple l aide de panneauxlumi nescents pictogrammes Ces signaux ne doivent jamais tre masqu s rideaux d corations etc 2 3 Les portes sur les voies d vacuation doivent pouvoir en tout temps tre ouvertes dans le sens de la sortie et sans recourir des moyens auxiliaires e Sans recourir des moyens auxiliaires Nous renvoyons la norme SN EN 179 Quin caillerie pour le b timent Fermetures d urgence pour issues de secours man uvr es par une b quilleouuneplaquedepouss e Cettenorme nonce ceci au chapitre 4 Prescriptions Une fermeture d urgence doit tre con ue pour d verrouiller la porte de l int rieur en moins d une seconde par une seule man uvre de la main sans n cessiter l utilisation d une cl ou d un autre objet similaire Les fermetures antipanique man uvr es par une barre horizontale doivent r pondre aux exi gences de la norme SN EN 1125 D finition de
273. e i i distance d observation 90 110 80 100 travail l ger 90 95 85 90 Ecriture manuelle lecture travail lourd 75 90 70 85 montage 74 78 70 74 Tableau 324 1 Hauteurs de table recommand es pour le Travail avec clavier et cran 69 75 66 70 travail en station debout Valeurs de r f rence en cm En sus de ces donn es anthropom triques on consid rera la nature du travail effectuer voir ill 324 6 et tab 324 1 Pour les activit s en position assise en cas de travail de pr cision ou de contr le la distance de vision sera r duite par l l vation du niveau du plan de travail Une position agr able du corps est li e la libert de mouvement des jambes espace libre pour les jambes alin a 1 Le choix de tables d une hau teur suffisante est plus judicieux car les personnes de petite taille peuvent travailler une hauteur correcte en modifiant la hauteur de leur si ge et en usant d un repose pieds voir tab 324 2 Les tables r glables en hauteur sont pr f ra bles car elles offrent la possibilit d tre adap t es aux diff rents utilisateurs et exigences 2 4 Si ges de travail Pour toutes les activit s pouvant tre ex cut es to talement ou partiellement en position assise des si ges confortables pourvus de dossiers offrant un posture avant posture moyenne posture arri re Illustration 324 7 Posture dynamique Tableau 324 2 Hauteur
274. e l or donnance du 25 ao t 1999 sur la protection des travailleurs contre les risques li s aux microor ganismes n entreprises comportant des entrep ts ou des locaux dans lesquels la composition de l air diverge de l tat naturel de mani re potentiellement nocive notamment par un taux d oxyg ne inf rieur 18 i o entreprises utilisant des quipements de travail au sens de l art 49 al 2 ch 1 2 ou 6 de l or donnance du 19 d cembre 1983 sur la pr vention des accidents Sza ON Co 3 La proc dure d approbation des plans et d autorisation d exploiter s tend aux parties d entreprises et aux installations pr sentant un caract re industriel ou appartenant aux cat gories d entreprises d crites l al 2 ainsi qu aux parties d entreprises et aux installations s y rattachant directement sur le plan de la construction ou sur le plan mat riel L SECO avril 2011 401 1 Commentaire de l ordonnance 4 relative la loi sur le travail Chapitre 1 Champ d application Art 1 Alin a 1 l approbation des plans est un moyen extr me ment efficace dans le domaine de la pr vention des atteintes la sant et de la s curit au travail Une efficacit maximale peut ainsi tre obtenue moindres frais Lorsqu une construction est termi n e d ventuelles modifications exig es pour des raisons de protection des travailleurs ne peuvent en g n ral tre entreprises qu au prix de tr s gros effo
275. e la surface vitr e sup pression o allongement de voies d vacuation conduisant directement l ext rieur augmenta tion des dangers d exploitation Il y a lieu de te nir compte de ces l ments dans l approbation des plans 401 4 Commentaire de l ordonnance 4 relative la loi sur le travail Chapitre 2 Construction et am nagement des entreprises soumises la proc dure d approbation des plans Section 1 Disposition g n rales Art 2 Mandats confi s des tiers Article 2 Art 2 Mandats confi s des tiers Lorsque l employeur donne mandat un tiers de concevoir de construire de modifier ou de remet tre en tat des installations pour son entreprise il doit attirer express ment son attention sur les exi gences en mati re d approbation des plans Sont consid r es comme tiers toutes les person nes individuelles ou entreprises qui con oivent construisent modifient ou remettent en tat des installations d une entreprise tels que architec tes ing nieurs entreprises g n rales fournisseurs d installations monteurs ou entreprises de cons truction Le devoir d information de l employeur vaut aussi bien pour des entreprises o parties d entreprises existantes que pour celles nouvel lement projet es et soumises l approbation des plans Dans une entreprise soumise l approbation des plans l employeur doit au minimum informer le tiers mandat de la partie de la d cisio
276. e optimale 70x70 cm Espace libre place r serv e aux jambes espace minimum e Largeur 58 cm Profondeur 60 cm voir aussi art 24 al 1 OLT 3 Si ge repose pieds e Un si ge adapt et bien r gl une attitude ad quate sont en position assise tr s importants Des mouvements et de fr quents changements de position freinent l apparition de douleurs A cet effet le si ge pr sentera les caract ristiques suivantes hauteur facilement r glable si ge rembourr pr form partie avant arrondie inclinaison du dossier facilement r glable et pouvant tre bloqu e dossier pr sentant un appui form ergonomi quement hauteur des reins e La fourchette de r glage de la hauteur devrait varier entre 40 cm et 55 cm Si le si ge est r gl 42 cm et que la hauteur de la table est correcte des repose pieds sont en r gle g n rale super flus femmes e Voir aussi les explications relatives l art 24 al 1 OLT 3 Eclairage artificiel lumi re naturelle e l clairement id al d pend de l activit 300 Lux pour la r ception d informations prin cipalement partir de l cran et jusqu 500 Lux pour la prise d information principale ment sur un document d s 55 ans le besoin en lumi re est accru envi ron 1000 Lux e Eviter l blouissement direct par les luminaires en utilisant par exemple des luminaires grilles judicieusement plac s e Limitation des re
277. e optimale du rant toute sa vie professionnelle sans probl mes de sant li s au travail De plus aucun facteur nocif d ordre physique chi mique ou biologique ne doit nuire au bien tre des travailleurs Il s agit l des conditions de l hygi ne du travail Parmi ces facteurs figurent le bruit le climat la lumi re les substances utilis es ainsi que d autres aspects de l environnement de travail qui sont pr cis s dans les ordonnances Si le poste le processus ou l organisation du tra vail sont inad quats cela peut conduire de trop grandes sollicitations Il s agit ici aussi d adapter les conditions de travail aux capacit s de l tre hu main Cela s entend tant d un point de vue physi que que psychique Les articles de la pr sente or donnance concr tisent cette notion de protection de la sant tant en num rant les diff rents as pects prendre en consid ration qu en indiquant quand quels genres de mesures sont prendre Les mesures de protection seront prises en te nant compte des principes de base suivants d une bonne organisation 1 r duire au maximum les risques 2 valuer les risques qui ne peuvent tre limin s 3 combattre les risques la source 4 adapter le travail l homme en particulier en ce qui concerne l organisation et la conception des postes de travail ainsi que le choix des qui pements et des m thodes de travail et de pro duction Il s agit avant tout de r duire l
278. e proche du corps et qu il ne soit pas n cessaire de tendre les bras e des appuis pour les coudes les avant bras ou les mains all gent le travail statique des bras 2 2 Hauteur de travail et hauteur du si ge Les tables de travail les tablis et les si ges sont les objets les plus courants de l univers profession nel La hauteur des si ges et des plans de travail est d une importance primordiale pour la sant La hauteur du plan de travail doit tenir compte des di mensions corporelles et des objets travailler La hauteur des tables et des tablis d pend en outre de la position de travail debout assise ou mixte si possible 2 3 Tables de travail Pour les activit s exerc es en position debout la hauteur de table la plus favorable est inf rieure de 5 10 cm la hauteur des coudes La hauteur moyenne des coudes est de 105 cm pour les hom mes et de 98 cm pour les femmes travail lourd travail de pr cision travail l ger Illustration 324 6 Hauteurs de table recommand es pour le travail en station debout 324 4 Commentaire de l ordonnance 3 relative la loi sur le travail Chapitre 2 Exigences particuli res en mati re d hygi ne A Art 24 Section 3 Postes de travail Art 24 Exigences particuli res Nature du travail Hommes Femmes Nature du travail Hommes Femmes travail de pr cision 100 110 95 105 Travail de pr cision court
279. e production sont par exemple des diff rences de temp rature ou d hu midit des exigences lev es de puret de l air ou des exigences particuli res pour le traitement de surface des pi ces en cours de fabrication Des rai sons de protection contre l incendie sont par exem ple des parties d installations voisines pr sentant des risques d incendies diff rents Des raisons de s curit sont par exemple la protection contre les explosions ou la projection d objets Des raison de protection de la sant sont par exemple de gran des diff rences de temp rature ou d humidit des exigences variables pour la vision des niveaux so nores diff rents Voir galement l art 24 OLT 3 Alin a 3 Dans certaines circonstances les dispositions rela tives la hauteur minimale pourraient entra ner une rigueur excessive Pour cette raison les au torit s peuvent exceptionnellement autoriser des locaux de hauteur inf rieure Sans cette disposi tion d exception l utilisation de b timents ou de locaux conformes aux prescriptions cantonales ou communales des constructions mais dont la hau teur est inf rieure devrait tre interdite une en treprise soumise la proc dure d approbation des plans s y installant par la suite De telles exceptions ne peuvent cependant tre admises que sous cer taines conditions Selon l alin a 3 lettre a peuvent entrer en consid ration des locaux de faible pro fondeur p ex 6 8 m r
280. e recyclage des d chets al 2 litt b sont des entreprises r coltant recyclant traitant ou liminant les d chets les d chets sp ciaux et les d chets indus triels y compris les entreprises de d montage et de recyclage de v hicules les usines d incin ration de d chets les stations de transbordement et de triage de d chets Les entreprises de production chimico tech nique al 2 litt c sont des entreprises fabriquant ou transformant des produits chimiques de base ou finis des produits pharmaceutiques ou cosm 401 2 Commentaire de l ordonnance 4 relative la loi sur le travail Chapitre 1 Champ d application Art 1 tiques des savons des produits de nettoyage des gaz techniques des accumulateurs des laques ou peintures du bitume des cires etc Les entreprises de sciage de pierre al 2 litt d sont des entreprises travaillant la pierre naturelle au moyen d installations fixes de sciage de meu lage et de polissage Les entreprises fabriquant des produits en ci ment al 2 litt e sont des entreprises de l in dustrie des produits en ciment fabriquant des l ments de construction par exemple en b ton b ton au polym re ou fibro ciment Les fonderies de fer d acier et d autres m taux al 2 litt f sont des entreprises coulant des pi ces moul es en fer en acier ou en m taux non ferreux Les entreprises de traitement des eaux us es al 2 litt g sont des
281. e soient pas surchar g s par d autres t ches et puissent remplir correc tement leurs devoirs en mati re de protection de la sant Les travailleurs concern s devront avoir les comp tences n cessaires pour pouvoir assumer effectivement les t ches confi es et pour pouvoir les imposer dans l entreprise Dans son domaine de comp tence chaque travailleur assurera le res pect des mesures de protection de la sant La res ponsabilit g n rale en mati re de protection de la sant incombe dans tous les cas l employeur alin a 4 Lors de la modification de l Ordonnance sur la pr vention des accidents et des maladies profession nelles du 1er juin 1993 le Conseil f d ral a dict des directives concernant le recours aux m decins du travail et autres sp cialistes de la s curit au travail Par sp cialistes de la s curit au travail on entend les m decins du travail les ing nieurs de s curit les hygi nistes du travail et les sp cialistes de la s curit article 11d OPA Les sp cialistes de la s curit au travail valuent les dangers mena ant la s curit et la sant des tra vailleurs conseillent et renseignent les employeurs et sont disposition des travailleurs pour les ques tions concernant la s curit et la sant aux postes de travail article 11e OPA Les prescriptions sur la s curit au travail et la pro tection de la sant dans les entreprises sont inti mement li es et ne p
282. e travail Chapitre 1 Dispositions g n rales Art 7 Comp tences en mati re d hygi ne Art 7 2e Article 7 Comp tences en mati re d hygi ne r principe consid r comme temps de travail en mati re d hygi ne Na 1 L employeur r gle les comp tences en mati re d hygi ne dans son entreprise Il confie si n cessaire des t ches sp cifiques en mati re d hygi ne des travailleurs capables Ces travailleurs ne doivent pas subir de pr judices dus aux activit s concern es 2 Lorsque l employeur confie un travailleur certaines t ches en mati re d hygi ne il doit le former de mani re appropri e assurer son perfectionnement lui attribuer des comp tences pr cises et lui donner des instructions claires Le temps n cessaire la formation et au perfectionnement est en 3 Lorsque des sp cialistes de la s curit au travail au sens des prescriptions d ex cution de l art 83 al 2 de la loi f d rale du 20 mars 1981 sur l assurance accidents interviennent ils doivent gale ment veiller au respect des prescriptions d hygi ne dans le cadre de leur activit Al attribution de comp tences dans l entreprise ne d charge pas l employeur de sa responsabilit Alin a 1 La n cessit de d l guer certaines t ches en ma ti re de protection de la sant des travailleurs d sign s l int rieur d une entreprise d pend princi palement de la structure propre l entreprise
283. e travail monotone et le travail cadenc et d att nuer leurs effets n gatifs sur la sant En cas de tra vail monotone et de travail cadenc l am na gement des postes de travail ainsi que le choix des quipements de travail et des proc d s de travail et de production doivent tre optimis s afin de soulager les travailleurs 5 tenir compte de l volution de la technique 6 remplacer ce qui est dangereux par ce qui ne l est pas ou qui l est moins SECO avril 2007 302 1 Art 2 t Commentaire de l ordonnance 3 relative la loi sur le travail Chapitre 1 Dispositions g n rales Art 2 Principe 7 concevoir la protection de la sant de telle sor te que les facteurs individuels techniques or ganisationnels et sociaux et toutes leurs interac tions soient pris en compte dans leur globalit 8 accorder la priorit des mesures de protection de la sant collectives plut t qu des mesures individuelles 9 donner des instructions appropri es aux tra vailleurs y compris des indications sur la ma ni re de les appliquer et d en contr ler l appli cation Tous les niveaux hi rarchiques doivent tre form s Les co ts des mesures de protection et de pr ven tion en particulier ceux relatifs la formation des travailleurs et tous ceux r sultant des mesures prendre sont la charge de l employeur Ce der nier ne pourra pas faire contribuer financi rement les travailleur
284. e vertical SECO avril 2009 410 M Commentaire des ordonnances 3 et 4 relatives la loi sur le travail Bibliographie Biblio graphie Lois ordonnances sources de normes r gles directives feuillets d information et bibliographie 1 Lois et ordonnances Loi f d rale du 13 mars 1964 sur le travail dans l industrie l artisanat et le commerce Loi sur le travail LTr RS 822 11 Ordonnance 1 du 10 mai 2000 relative la loi sur le travail Ordonnance g n rale OLT 1 RS 822 111 Ordonnance 2 du 10 mai 2000 relative la loi sur le travail Dispositions sp ciales pour certaines ca t gories d entreprises ou de travailleurs OLT 2 RS 822 112 Ordonnance 3 du 18 ao t 1993 relative la loi sur le travail Hygi ne OLT 3 RS 822 113 Ordonnance 4 du 18 ao t 1993 relative la loi sur le travail Entreprises industrielles approba tion des plans et autorisation d exploiter OLT 4 RS 822 114 Ordonnance 5 du 28 septembre 2007 relative la loi sur le travail Ordonnance sur la protection des jeunes travailleurs OLT 5 RS 822 115 Ordonnance du DFE du 4 d cembre 2007 sur les travaux dangereux pour les jeunes RS 822 115 2 Ordonnance du DFE du 4 d cembre 2007 con cernant les d rogations l interdiction du travail de nuit et du dimanche pendant la formation professionnelle initiale RS 822 115 4 Loi f d rale du 20 mars 1981 sur l assurance ac cidents LAA R
285. ecommandation ASL 206 7 Portails indus triels Documentation Le verre et la s curit de l Institut Suisse du Verre dans le B timent Feuillet d information BPA Ib 9916 Le verre dans le b timent Prescriptions de protection incendie AEAI Directive 16 03f Voies d vacuation et de sau vetage Directive 17 03f Signalisation des voies d va cuation clairage de s curit alimentation de s curit 410 2 Commentaire de l ordonnance 4 relative la loi sur le travail Chapitre 2 Construction et am nagement des entreprises soumises la proc dure d approbation des plans Section 3 Passages Art 11 Echelles fixes Article 11 Echelles fixes Art 11 Va pompiers vir de mains courantes K 1 Les chelles fixes d une hauteur de chute de plus de 5 m et d pourvues d une glissi re de s curit seront munies d une protection dorsale partir de 3 m du sol Des paliers seront am nag s des intervalles de 10 m au plus Cette prescription n est pas applicable aux chelles destin es aux 2 Les montants des chelles fixes d passeront le niveau du palier sup rieur d au moins 1 m pour ser 3 Les chelles fixes plac es l ext rieur seront en mat riaux r sistant aux intemp ries L article 19 alin a 2 OPA prescrit que les parties de b timents et d installations qui ne sont pas si tu es au niveau du sol doivent tre accessibles par des escali
286. ectives re latives l art 13 OLT 4 ces d rogations la l gis lation sur les chemins de fer ne s appliquent qu aux seules voies ferr es internes l entreprise Des informations compl mentaires concernant les quais de chargement se trouvent dans les docu ments suivants Loi f d rale du 5 octobre 1990 sur les voies de raccordement ferroviaires RS 742 141 5 Recommandation no 206 1 de GS1 Schweiz Planification et conception de voies ferr es in ternes l entreprise Recommandation no 206 4 de GS1 Schweiz Rampes de chargement min 60 cm a E Illustration 414 1 Quai de chargement avec distance de s curit Profil d espace libre C Gabarit des v hicules 2 y Ve AT NE o Er A NES FINS NX 4 NES FE Sa Illustration 414 2 Quai de chargement avec espace de s curit SECO ao t 2006 414 1 Commentaire de l ordonnance 4 relative la loi sur le travail Chapitre 2 Construction et am nagement des entreprises soumises la proc dure d approbation des plans Section 3 Passages Art 14 Quais de chargement Art 14 A Directives de la CFST pour la s curit au travail chiffres 319 8 et 320 max 80 cm lt TES Z LJ Largeur h hauteur de la marche 32 cm de marche au dessus de l ar te 16 5 cm sup rieure des rails Illustration 414 3 Quai de chargement avec marche 414 2
287. elles font partie d une voie d vacuation au sens des articles 7 et 8 OLT 4 leur largeur doit tre adapt e en cons quence voir alin a 1 Des largeurs inf rieures 0 80 m ne peuvent tre tol r es qu exceptionnellement dans le cadre de l octroi d une d rogation art 27 OLT 4 Il y a lieu de consid rer que les dispositions en mati re de s curit au travail sont remplies lorsque les esca liers et passerelles font partie int grante d installa tions techniques et lorsque e l installationtombesousl appellation machine au sens de l article 2 de la directive 2006 42 CE machines e l installation a t mise sur le march en accord avec les dispositions de la LSPro e une d claration de conformit atteste le respect des exigences de la LSPro Dans ce cas une d rogation selon l article 27 ali n a 1 litt b OLT 4 doit tre accord e pour autant que les conditions d exploitation et l environne ment de l installation ne pr sentent pas de risques particuliers Les machines au sens mentionn ci dessus construites selon les normes d sign es conform ment l article 6 LSPro sont consid r es comme tant conformes la LSPro S il n y a pas de nor mes d sign es l tat de la technique contenu dans les normes nationales ou europ ennes fait foi La conformit aux exigences de base en ma ti re de sant et de s curit doit tre tablie par une analyse de risque par la prise de me
288. ement ne requiert que peu d am nage ments suppl mentaires p ex lampes de tra vail allumage individuel Eclairement de l environnement imm diat de la zone de travail La bande de 50 cm de large autour de la zone de travail zone o s effectue la t che visuelle peut avoir un clairement plus faible que cette derni re Cet clairement ne doit n anmoins pas tre inf rieur aux valeurs indiqu es ci dessous Eclairement E Eclairement E de la zone de travail de l environnement Ix imm diat Ix 2 gt 750 500 500 300 300 200 lt 200 E zone de travail Coefficient d uniformit Coefficient d uniformit 2 gt 0 7 gt 0 5 Tableau 315 2 Eclairement E de la zone de travail et de son environnement imm diat ainsi que coefficient d uniformit de l clairement rapport entre la valeur minimum Emin et la valeur moyenne En de l clairement Eblouissement L blouissement est provoqu par des contrastes de luminance trop forts dans l environnement vi suel imm diat o par des sources lumineuses in tenses plus loign es l blouissement physiologique consiste en une diminution mesurable de la perception visuelle L blouissement psychologique blouissement d sagr able est ressenti comme g nant sans qu il produise une diminution mesurable de la percep tion visuelle Ce type d blouissement est fr quent l int rieur Il est difficilement d celabl
289. emple dans les centrales nucl aires e centrales lectriques souterraines e centrale souterraine de commande pour l eau potable ou les eaux us es b La protection de l environnement e installations dangereuses de par leur rayon nement p ex centrales nucl aires entrep ts de d chets radioactifs e protection contre les effets d explosions Les risques de vol ou la s curit du personnel ne peuvent entra ner la suppression de l clairage na turel que si toutes les possibilit s ouverture sur patio prot g vitrage de s curit mise en place de barreaux et de volets ont t explor es et ju g es insuffisantes Dans un tel cas la preuve doit en tre apport e Ex bien qu elles soient particuli rement me nac es les agences bancaires poss dent tout de m me des vitres et des vitrines Celles ci sont en verre feuillet qui suivant leur paisseur 14 85 mm et leurs propri t s prot gent contre les coups physiques les impacts de balles et m me les explosifs Selon l art 17 al 3 OLT 4 les autorit s peuvent admettre une plus petite surface vitr e lorsque la s curit ou la technique de production l exigent Avant de supprimer des fen tres on cherchera d abord une solution visant diminuer leur surface La m me attitude doit tre adopt e pour la pr servation du secret de fabrication Outre les ouver tures sur patio des vitrages r fl chissants ou des stores d occultation peuvent
290. en tre et non de prot ger les travailleurs Ces prescriptions ne d ploient leur effet que dans les cas o elles visent d autres buts que la protection des travailleurs dans ces cas elles sont galement admises si elles posent de plus grandes exigences que les prescrip tions f d rales en mati re de protection des tra vailleurs L objectif fondamental doit tre la pro tection de la population en g n ral la protection des travailleurs qui en r sulte protection indirecte des travailleurs n tant qu un effet subsidiaire La protection des travailleurs ne doit pas tre vid e de sa substance par des prescriptions cantonales ou communales de police ses dispositions consti tuent une protection minimale et sont respecter dans tous les cas Aussi les prescriptions cantonales de police sont elles limit es dans leur domaine d application par celles de la LTr Dans la mesure o elles concernent la protection des travailleurs elles ne s appliquent pas dans les entreprises sou mises la LTr m me dans le cas o elles offriraient une meilleure protection Les relations entre les prescriptions f d rales sur la protection des travailleurs et les prescriptions can tonales de police du feu sont r gies par les prin cipes de d limitation suivants 1 Seules sont applicables sous r serve du chif fre 3 ci dessous les prescriptions f d rales LTr LAA et leurs dispositions d application en ma ti re de protectio
291. ens de protection 2 Lorsqu un travailleur constate des d fauts qui compromettent l hygi ne il doit les supprimer S il n est pas en mesure de le faire ou s il n y est pas autoris il doit signaler les d fauts l employeur Ce n est que par la collaboration entre employeur et travailleurs que toutes les mesures visant pro t ger la sant d ploieront leur plein effet La loi sur le travail art 6 al 3 exige d ailleurs que l em ployeur fasse collaborer les travailleurs aux me sures de protection de la sant Ceux ci sont te nus de seconder l employeur dans l application des prescriptions sur la protection de la sant Les obli gations des travailleurs concr tisent cette collabo ration pour assurer que les mesures de protection de la sant n cessaires soient prises et restent effi caces Dans son domaine de comp tence le travailleur doit notamment e observer les r gles de protection de la sant g n ralement reconnues et en particulier celles ayant trait la profession e suivre les directives de ses sup rieurs concernant les mesures et les moyens de protection Parmi ces directives figurent notamment les principes contenus dans le r glement d entreprise et les consignes sp cifiques pour son poste de travail ainsi que les instructions donn es personnelle ment au travailleur pour l ex cution de ses t ches e respecter les prescriptions sur la pr vention des accidents et des maladies profes
292. ent compte ni du mobilier ni des installations de stockage ER Art 8 Pour r pondre la directive CFST 1871 Labora toires chimiques les grands laboratoires plus de 2 paillasses doivent disposer de 2 sorties de se cours au minimum Les corridors servant de voies d vacuation doivent correspondre une certaine classe de r sistance au feu afin de pouvoir tre utilis s sans danger en cas La forme du local et les parois de s paration sans passages doivent tre prises en consid ration Construction d un corridor 1 sortie Chemin de fuite local max 20 m Chemin de fuite total max 35 m max max 15m 15m s gt La longueur des chemins de fuite 2 dans un local muni de 2 sorties est de 35 m au maximum Les sorties doivent se situer aux extr mit s Illustration 408 1 Voies d vacuation Illustration 408 2 Voies d vacuation SECO f vrier 2008 408 3 Commentaire de l ordonnance 4 relative la loi sur le travail Chapitre 2 Construction et am nagement des entreprises soumises la proc dure d approbation des plans Art 8 d incendie ou d j lors en pr sence d une paisse fum e Il y a lieu de se r f rer aux prescriptions de protection incendie de l AEAI pour concr tiser ce principe 2 5 Alin a 6 Une cour int rieure au sens des pr sentes disposi tions est un espace ouvert et d gag entre les b timents qui l entoure
293. ent des entreprises soumises la proc dure d approbation des plans Section 3 Passages Art 7 Cages d escaliers et sorties La construction des issues par saut de loup est dessin e dans les illustrations 407 3 407 4 et 407 5 Les issues par saut de loup doivent tre construites de fa on permettre une vacuation s re du b timent et tre normalement munies d une porte Montants r tractables Pour les sorties de secours des abris de protection civile voir le chiffre 3 Conditions d vacuation particuli res Illustration 407 5 Sortie de secours d un tage unique situ en sous sol Sortie par une cage d escaliers 1 sous sol _1 sous so m 2 sous sol 3 sous sol Le Contrairement l tage unique en sous sol pour lequel une issue de secours suffit comme deuxi me possibilit d vacuation il doit toujours y avoir au moins deux cages d escaliers lorsqu il y a plusieurs tages en sous sol ind pendamment de leur surface Illustration 407 6 Sorties s il y a deux tages ou plus en sous sol Art 7 de secours s ouvrant vers l ext rieur d une chelle fixe jusqu une hauteur de 2 5 m plus haut es calier ou chelle de meunier et d un saut de loup ext rieur mesurant au minimum 1 3 m de large et 0 8 m de profondeur ill 407 3 Les portes peuvent exceptionnellement s ouvrir vers l int rieur lorsque leur ouverture peut tre en trav
294. ent du sol Il faut garder l esprit que l effet de l air chaud s levant effet de chemin e existe aussi entre les diff rents tages Cet effet peut tre utilis afin de ventiler le b timent par ex dans les cages d esca liers et les atriums Il est toutefois fr quent que par l effet de chemin e de l air pollu soit trans port vers les tages sup rieurs et g ne ainsi les autres travailleurs Une attention particuli re doit tre apport e ce ph nom ne dans les b timents comportant des ateliers et des bureaux La venti lation par les fen tres est aussi fr quemment pro bl matique lorsque de l air pollu en provenance des tages inf rieurs o de places de parc situ es tout pr s de la fa ade du b timent s introduit dans les locaux 1RS 818 31 2RS 818 311 317 2 Commentaire de l ordonnance 3 relative la loi sur le travail Chapitre 2 Exigences particuli res en mati re d hygi ne Section 2 Eclairage climat des locaux bruits et vibrations Art 17 Ventilation Alin a 2 Dans les locaux ventil s m caniquement ou clima tis s les installations de ventilation ou de clima tisation doivent tre con ues et utilis es de ma ni re que conform ment l article 16 OLT 3 le climat soit adapt la nature du travail Pour choi sir le syst me de ventilation on se r f rera la nor me SN 546 382 1 Cette norme fixe galement les besoins en air frais pour diff rents types
295. ent ou de production Les laboratoires de dia gnostic qui doivent cultiver des microorganismes en vue de leur identification y sont assimil s Les agents inoculant la tuberculose l anthrax le SIDA ou certaines formes de malaria par exemple ap partiennent au groupe 3 Les micro organismes du groupe 4 sont par exemple le virus Ebola ou l agent inoculant de la variole Les entreprises comportant des entrep ts ou des locaux dans lesquels la composition de l air diverge de l tat naturel de mani re po tentiellement nocive notamment par un taux d oxyg ne inf rieur 18 al 2 litt n La r duction du taux d oxyg ne dans l air ambiant est une mesure de protection incendie de plus en plus appliqu e par certaines entreprises dans certains secteurs d activit sp cialis s en particulier dans le domaine du stockage Ainsi en fonction du type de mat riel stock le taux d oxyg ne normal 21 dans l air ambiant peut tre abaiss jusqu 17 voire 13 de sorte pouvoir viter tout d but d incendie Or tout travail dans une atmos ph re r duite en oxyg ne peut porter atteinte la sant des travailleurs y s journant A ce sujet le commentaire de la CFST Directives pour la s cu rit au travail mentionne que la teneur en oxy g ne de l air inhal doit se situer dans la normale entre 19 et 21 vol et en aucun cas tre inf rieure 18 Les entreprises utilisant des quipements de travai
296. entes parties puissent clairement se distinguer les unes des autres sur un plan spatial ou fonctionnel La proc dure d approbation des plans et d autori sation d exploiter est obligatoire e lors de la construction ou de la transformation d entreprises soumises l AP l exception de modifications de minime importance Art e lors de la construction ou de la transformation d entreprises susceptibles de se d velopper et de devenir dans un avenir pr visible une entreprise soumise l AP e pour l ensemble d un b timent industriel ou arti sanal lorsque en plus de la partie d entreprise soumise l AP il comporte une petite partie non soumise cette proc dure e pour des installations p ex installations de stockage compresseurs monte charges chau di res installations de transport qui sont en re lation avec une partie d entreprise soumise l AP et lui sont indispensables m me si elles ont t am nag es dans une partie de b timent usage principalement non industriel e pour les vestiaires locaux de repos et de s jour laboratoires d exploitation d une entreprise sou mise l AP situ s l ext rieur de l entreprise m me Lors de l agrandissement d un b timent la pro c dure d approbation des plans ne s applique qu la partie nouvelle Les parties existantes des b timents ne doivent tre impliqu es dans la proc dure que si elles subissent des modifica tions p ex diminution d
297. entreprises traitant les eaux us es en diverses tapes m canique chimique ou biologique Les entreprises de fa onnage de fers al 2 litt h sont des entreprises pliant les fers b ton Les entreprises traitant des surfaces tels les zingueries les ateliers de trempe les entre prises de galvanoplastie et les ateliers d ano disation al 2 litt i Les entreprises d impr gnation du bois al 2 litt k sont des entreprises impr gnant des pi ces de bois brut Les entreprises qui entreposent ou trans vasent des substances chimiques des com bustibles liquides ou gazeux ou d autres li quides ou gaz facilement inflammables si les installations projet es permettent de d pas ser les seuils quantitatifs fix s par l annexe 1 1 de l ordonnance du 27 f vrier 1991 sur les accidents majeurs al 2 litt Exemples de seuils quantitatifs fix s dans l ordon nance sur les accidents majeurs e Benzine normale super 200 t selon la liste des exceptions e M thane gaz naturel propane butane 20 t Art 1 e Liquides inflammables avec point d clair lt 55 C 20t Par entreprises travaillant avec des micro organismes des groupes 3 et 4 au sens de l ordonnance du 25 ao t 1999 concernant la protection des travailleurs contre les risques li s aux microorganismes al 2 litt m on entend les entreprises qui utilisent de tels micro organismes aux fins de recherche de d veloppe m
298. eprise et ext rieurs utili sant simultan ment les passages On tiendra ga lement compte de la superficie et de la forme des b timents et locaux sur et sous terre ainsi que du SECO avril 2007 43 1 Commentaire de l ordonnance 4 relative la loi sur le travail G n ralit s Chapitre 2 Construction et am nagement des entreprises soumises la proc dure d approbation des plans Section 3 Passages G n ralit s genre d utilisation et du degr de danger Une so lution valable un moment donn peut donc ult rieurement tre soumise v rification et des crit res plus s v res peuvent devenir n cessaires Un tel cas se produit notamment lorsque e des agrandissements sont construits e le genre de l entreprise subit un changement e le danger est augment par de nouvelles techni ques de production ou l utilisation de nouveaux mat riaux e le nombre de travailleurs augmente notablement Il convient autant que possible de tenir compte de ces l ments d j lors de la planification de nou veaux b timents et installations Il faut particuli re ment prendre garde aux circonstances particuli res pour les objets en location Les dispositions relatives aux passages sont de port e g n rale elles sont galement appli cables des b timents et locaux dans lesquels les travailleurs ne se tiennent que sporadique ment tels que locaux de stockage locaux tech niques am nageme
299. er les contraintes e Possibilit s d apprendre et de d veloppe ment des t ches complexes qui n cessitent un d veloppement des qualifications ou l apprentis sage de nouveaut s maintiennent la flexibilit in tellectuelle et assurent le d veloppement de la qualification professionnelle Cons quences des sollicitations n fastes et mesures Fatigue mentale D finition la fatigue mentale est une alt ration temporaire des capacit s de l efficience fonction nelle mentale et physique Les manifestations de fatigue sont par exemple le fait d tre tendu d tre somnolent d avoir besoin de plus de temps pour accomplir certaines t ches les faux mouve ments les r actions f briles l oubli d informa tions importantes Les influences suivantes peuvent en particulier conduire une fatigue physique e surexploitation en ce qui concerne la caden ce non r glable et la dur e de l activit Pression temporelle permanente travail la caisse d un magasin aux heures de pointe e exigences motionnelles permanentes rencon tr es par exemple dans le domaine des soins ou au contact de la client le e t ches sans marge de d cision pour modifier la m thode de travail e activit s qui requi rent des actions rapides non pr visibles et une attention permanente telles que la surveillance d installations e surexploitation en raison de plusieurs t ches accomplir en m me temps e sollicit
300. ers ou des rampes On peut exception nellement accepter des chelles fixes au lieu d es caliers pour des parties de b timents ou d installa tions peu fr quent es env une fois par mois ou lorsque la diff rence de hauteur est faible p ex quais de chargement ou diff rences de niveau de 2 m au plus Ces chelles fixes doivent pouvoir tre utilis es en toute s curit Les l ments des chelles doivent tre dimensionn s de fa on r sister aux contraintes Pour les chelles en bois il y a lieu de veiller particuli rement une bonne liaison entre les montants et les chelons Des chelons ou des marches plats et stri s p ex en t le stri e pour les chelles m talliques sont pr f rer des chelons ronds du fait d un moindre risque de glissement Alin a 1 Les illustrations 411 1 et 411 2 montrent des mo d les d chelles fixes sans glissi re de s curit Pour les chelles fixes munies de paliers interm diaires la protection dorsale de l chelle sup rieure doit descendre suffisamment pr s de la balustrade du palier pour viter tout risque de chute Lorsqu une chelle fixe conduit des entr es ou des sorties munies de portes il y a lieu d am nager un palier fixe suffisamment grand pour permettre l utilisa tion sans danger de l chelle et de la porte Alin a 2 Afin de faciliter l utilisation d chelles et de dimi nuer le risque d accident les montants doivent tre
301. ersonnes charg es de leur d pouillement Une autre solution consiste ne mettre ces instal lations en marche qu en l absence des travailleurs p ex les installations destin es lutter contre les vols Les installations t l phoniques destin es l coute ou l enregistrement pour le contr le du rende ment par exemple pour les ventes par t l phone ne sont admissibles que lorsque les personnes con tr l es ont donn leur assentiment et sont imm diatement mises au courant de la surveillance par exemple par un signal optique ou acoustique L enregistrement de donn es sur les conversation t l phoniques des travailleurs est soumis des con ditions s v res I ne doit pas tre utilis pour con tr ler leur comportement L interdiction d appels priv s est faire respecter par d autres moyens par exemple obtention des liaisons par une centrale ou par certains appareils uniquement Si une telle in terdiction existe on donnera la possibilit aux tra vailleurs d effectuer des appels priv s pendant les pauses et dans des cas urgents partir d un appa reil non surveill Si une telle interdiction n existe pas les num ros compos s par les travailleurs lors de leurs appels priv s ne doivent pas tre enregis tr s Au plus est il admissible d enregistrer les pre miers chiffres destin s l identification du lieu de destination de l appel L enregistrement des num ros appel s pour des raisons p
302. es Lors de la planification il est exig pour les locaux vides sans installations ni mobilier un coefficient d absorption moyen a gt 0 25 calcul en tenant compte de toutes les surfaces d limitant le local Sion _Atot g S Stot Atot Capacit totale d absorption du son m2 1 4 Temps de r verb ration T Le temps de r verb ration est le temps qui s cou le entre la coupure de la source de son et l instant partir duquel le niveau sonore a diminu de 60 dB Le temps de r verb ration peut tre calcul ou mesur Les valeurs indicatives du Tableau 322 3 sont vala bles pour des locaux de travail adapt s aux condi tions normales d exploitation 1 5 Diminution du niveau de pression sonore par doublement de la distance DL 2 Dans un local de travail adapt aux conditions nor males d exploitation la diminution du niveau de pression sonore par doublement de la distance DL 2 doit atteindre au moins 4 dB DL 2 est mesu r e une distance comprise entre 5 et 16 m d une source sonore ponctuelle dans les bandes d oc tave 125 4000 Hz et pond r e arithm tiquement proc d de mesure selon la norme VDI 3760 2 Structuration des mesures de lutte contre le bruit l illustration 322 A montre la structuration des mesures de lutte contre le bruit 3 Possibilit s d appr ciation 3 1 Sonom tres Pour la mesure du niveau sonore ou du niveau sonore continu quivalent Leg on utilisera des
303. es aux entreprises agri coles Elles ne s appliquent pas non plus aux per sonnes exclues du champ d application de la loi sur le travail p ex les travailleurs domicile et les repr sentants de commerce art 3 LTr pour au tant qu elles ne soient pas express ment soumises aux dispositions sur la protection de la sant p ex enseignants des coles priv es art 3a let c LTr Les prescriptions l gales de protection de la san t s appliquent en particulier aussi aux adminis trations de la Conf d ration des cantons et des communes art 3a LTr L administration f d rale se compose de tous les d partements de leurs offices de la Chancellerie f d rale ainsi que des unit s administratives d centralis es Loi du 21 oc tobre 1997 sur l administration du gouvernement et de l administration art 2 RS 172 010 Les ta blissements publics assimilables l administration f d rale art 3a let a LTr en comparaison avec les art 2 al 2 Ur et 8 OLT 1 notamment la Banque nationale suisse et la Caisse nationale suisse d assu rance en cas d accidents suva sont galement sou mises aux dispositions sur la protection de la sant Les prescriptions relatives la protection de la san t s appliquent par analogie aux entreprises sou mises la l gislation sur le travail dans les entre prises de transport public art 24 al 1 let b de l ordonnance relative la loi sur la dur e du travail en comp
304. es consommant des m dicaments s datifs antid presseurs tranquillisants etc de l alcool ou du tabac e des personnes avec des blessures ou des l sions ant rieures caus es par le froid On sera attentif au fait que le vent est un facteur de refroidissement tr s important comme nous le montre le tableau 321 1 Afin de comprendre les relations existant entre la temp rature ressentie la charge corporelle et l ha billement n cessaire on se r f rera l illustration 316 1 et aux explications de l art 16 OLT 3 1 2 Postes de travail dans des locaux en ambiance froide Le travail et le climat doivent toujours tre consi d r s et appr ci s globalement du point de vue de la physiologie du travail car il existe d une part une relation troite entre la production de chaleur corporelle et l nergie d pens e d autre part la perte de chaleur corporelle d pend directement des v tements port s et des temps de r chauffe ment La norme DIN 33403 5 contient des don n es sur ce sujet La classification en 5 domaines de temp rature utilis e ici de m me que la table des temps d exposition et de r chauffement s ap puie galement sur cette norme Domaine de froid de degr s l V On remarquera que le domaine du froid pour le travail concerne tous les locaux dont la temp ra ture est inf rieure 16 C Domaine de froid de degr domaine frais 15 10 C Le travail dans ce domaine se disti
305. es d vacuation 407 410 Balisage 410 Bouton poussoir d ouverture d urgence 410 D signation des l ments des portes 410 Fermeture antipanique 410 Fermeture d urgence 410 Hauteur 410 Largeur 410 Largeur libre des passages 410 Objectif de s curit 410 Portes battant s 410 Portes battant s pivotants swing out 410 Portes fermeture automatique 410 Portes coulissantes 410 Portes enroulement rapide 410 Portes rouleau 410 Portes pliantes 410 Portes tournantes cylindre 410 Sens d ouverture 410 Surfaces vitr es 410 Syst mes d acc s individuel 410 Voies de sauvetage 410 Portes battant s 410 Portes battant s pivotants swing out 410 Portes rouleau 410 Portes coulissantes 410 Portes enroulement rapide 410 Portes pliantes 410 Position de travail 324 Possibilit de s asseoir 324 330 333 Postes de commande 312 Postes de travail assis 324 Postes de travail dans des locaux non chauff s 321 333 Postes de travail de bureau 316 317 322 323 324 330 Postes de travail debout 324 Postes de travail en quipe 315 333 Postes de travail en plein air 321 329 330 333 Postes de travail expos s la chaleur 320 321 335 Postes de travail expos s au froid 321 327 335 Postes de travail permanents 315 404 405 417 Postes de travail pour la vente 324 333 Postures corporelles 323 324 325 Alternance des positions assise et debout 324 Postures forc es 324 Postures forc es 323 324 Prem
306. es de charge lectrostatique engendr s par les frottements Or les d charges lectrostatiques n affectent en rien la sant si ce n est dans les zones d activit soumises un dan ger d explosion o elles deviennent alors un risque majeur par exemple mat riaux inflammables S il s av re indispensable d humidifier l air voir aussi les commentaires relatifs l art 17 OLT 3 on examinera au pr alable quelle est la mesure correcte prendre savoir opter pour un humi dificateur local ou au contraire pr voir une humi dification g n rale dans le cadre de l installation de climatisation A noter que les humidificateurs locaux ne sont efficaces que pour les pi ces a r es par des fen tres autrement dit lorsque le taux de renouvellement de l air est bas cf air int rieur et taux d air ext rieur L o ce dernier taux est lev locaux avec un syst me m canique de ven tilation la performance des appareils est insuffi sante en r gle g n rale de 100 600 g de vapeur d eau par heure et la quantit de vapeur d eau mise s chappe quasi imm diatement par le ca nal d vacuation l humidit relative n augmente d s lors que de mani re insignifiante Vitesse de l air et risques de cou rants d air Les courants d air peuvent provoquer un sentiment d inconfort lorsque la vitesse de l air est sup rieure 0 1 m s ill 316 3 Les risques de courants d air augmentent surtout dans les locaux munis
307. es pr venir afin qu ils adoptent un comportement favorable leur sant et conforme aux r gles de la s curit En ce qui concerne la remise d quipements de protection individuelle EPI L entreprise locataire de services est en premier lieu consid r e comme l employeur responsable pour le personnel dont elle loue les services Elle doit ce titre fournir les EPI ou garantir que ceux ci soient mis disposition des travailleurs cf art 10 SECO janvier 2009 309 1 Commentaire de l ordonnance 3 relative la loi sur le travail Art 9 Ti Chapitre 1 Dispositions g n rales Art 9 Location de services OPA L entreprise locataire de services peut cepen disposition des travailleurs La surveillance du port dant passer un accord avec le bailleur de services obligatoire des EPI demeure cependant de la com afin que ce dernier mette les EPI n cessaires la p tence de l entreprise locataire de services 309 2 Commentaire de l ordonnance 3 relative la loi sur le travail Chapitre 1 Dispositions g n rales Art 10 Obligations des travailleurs Art 10 De Article 10 Obligations des travailleurs r 1Le travailleur est tenu de suivre les directives de l employeur en mati re d hygi ne et d observer les r gles g n ralement reconnues Il doit en particulier utiliser les quipements individuels de protec tion et s abstenir de compromettre l efficacit des moy
308. es travailleurs L tat est responsable de l ex cution de ces normes de pro tection C est l un l ment important de la dis tinction droit public droit priv Le droit public doit tre appliqu d office Pour le droit priv il faut en revanche une action aupr s d un tribunal D s lors il n y a pas de juge s il n y a pas de de mandeur Diff rentes proc dures sont applicables en vue de faire respecter le droit la proc dure ad ministrative est applicable au droit public du tra vail tandis que la proc dure civile r git les diff rends de droit priv Apr s avoir indiqu comment classer la loi sur le travail dans le droit du travail penchons nous sur son contenu La loi sur le travail a pour but de prot ger les tra vailleurs contre les atteintes n gatives sur leur san t li es au travail Elle contient d une part des pres criptions sur la protection g n rale de la sant compl t es par des dispositions pour les jeunes travailleurs ainsi que pour les femmes enceintes et SECO avril 2007 AP 1 fS Avant propos Commentaire des ordonnances 3 et 4 relatives la loi sur le travail Avant propos les m res qui allaitent d autre part des prescrip tions sur la dur e du travail et du repos Ces der ni res prot gent la sant des travailleurs contre les horaires trop longs ou p nibles Toutes ces dispo sitions de protection constituent des normes mini males auxquelles on ne
309. es travaux avec des substances naus abondes tr s salissantes toxi ques particuli rement inflammables ou pr sen tant un danger d explosion e s il n existe pas de possibilit ad quate de restau ration aux environs de l entreprise dans un rayon d env 800 m e dans les entreprises poss dant des postes de tra vail sans fen tres e si les travailleurs sont expos s des temp ratu res lev es ou tr s basses e si les travailleurs doivent assurer r guli rement ou fr quemment un service de permanence pen dant leur temps de travail alin a 4 e si les travailleurs sont occup s l ext rieur ou dans des locaux non chauff s e si le travail s effectue principalement en position debout et qu il n y a pas de si ges proximit En r gle g n rale un r fectoire ou un local de s jour s av re utile pour les repas ou autres pauses dans chaque entreprise Dans les petites entrepri ses comptant jusqu 10 travailleurs une telle obli gation est cependant disproportionn e Dans ces cas l il suffit d am nager une partie d un local adapt et de l quiper en cons quence Les peti tes entreprises disposent souvent de locaux s pa r s tels que salles de conf rence ou d archives qui peuvent le cas ch ant tre am nag s et utilis s pour les pauses Un local ou un coin repos doit tre am nag pour les pauses si le personnel est constamment debout durant son activit et s il ne lui est p
310. es utilis es dans l entreprise l employeur se chargera de leur nettoyage intervalles appropri s L article 28 ne traite pas des v tements de travail en g n ral mais de leur nettoyage Les v tements de ville port s au travail ne sont pas vis s surtout si les travailleurs ne doivent pas se changer au d but et la fin du travail Par v tements de travail au sens de cet article il faut entendre les habits n cessaires l ex cution des t ches salissantes ou naus abondes ou pour la manipulation de produits toxiques chimiques bact riologiques Dans ce dernier cas les habits ont galement une fonction de protection de la sant voir art 27 L ex cution le genre la qualit des mat riaux des habits de travail ont leur impor tance Il faut en particulier veiller ce qu ils n en travent pas les fonctions physiologiques transpira tion ni les mouvements Si les v tements de travail linge de corps compris sont fortement souill s ou n cessitent un nettoya ge s par du linge normal l employeur se charge ra de leur nettoyage L employeur doit prendre en charge les co ts du nettoyage qui ne peut tre exig domicile pous si re salissures Il s agit l de fixer une limite rai sonnable On peut prendre comme principe de base que les v tements qu un travailleur ne pour rait porter pour se rendre dans un restaurant o utiliser les transports publics doivent tre nettoy s par l
311. est typique dans ce cas de r agir de mani re nerv e envers ses coll gues ou les clients On essaie ensuite de cr er une distance par une attitude cynique Autrement dit on ne s ouvre plus aux autres Les causes principales du burnout sont les facteurs de stress tels que trop grande quantit de travail conflits interpersonnels manque de reconnais sance ou marge d action et de contr le non adap t e Ce ne sont pas les personnes les moins r sistantes qui sont concern es par le syndrome de burnout mais souvent les collaborateurs tr s motiv s et en gag s Protection de l int grit person nelle des travailleurs Harc lement sexuel On entend par harc lement sexuel sur le lieu de travail tout comportement ayant une connotation sexuelle ou fond e sur l appartenance un sexe ressenti comme ind sirable par une des parties et portant atteinte sa dignit personnelle Le harc lement sexuel peut rev tir diverses formes e remarques scabreuses et quivoques mises propos de l apparence physique de coll gues e propos et plaisanteries sexistes sur les caract ris tiques sexuelles le comportement sexuel et l orientation sexuelle d individus e exhibition sur le lieu de travail de mat riel por nographique qu il soit affich au mur ou laiss en vidence e invitations importunes caract re sexuel mani feste adress es des coll gues e contacts physiques non d sir s e prat
312. estibule et sert uniquement de liaison Des zones de stockage ne sont donc pas admissibles alors que des am nagements de pr sentation bureau de r ception sans danger particulier d incendie le sont e la sortie aboutit dans une cour voir art 8 OLT 4 Lorsque des escaliers int rieurs sont reli s un cor ridor de sortie celui ci peut exceptionnellement tre am nag dans un sous sol ou dans un tage cf illustration 407 1 Dimensions ext rieu res d b timent largeur 42 m longueur 63 m Surface du b timent 2 646 m Epaisseur des parois ext rieures b ton AcM Dimensions int rieures largeur 41 2 m longueur du b timent 62 2 m Surface d tage 2562 m Surface max pour 2 _ 1800 m sorties Solde 762 m 1 tranche de 900 m entam e Il y a donc lieu de pr voir au moins 3 cages d escaliers ou sorties pour ce b timent Tableau 407 1 Exemple pour la fixation du nombre de voies d vacuation litt b 407 2 Commentaire de l ordonnance 4 relative la loi sur le travail Chapitre 2 Construction et am nagement des entreprises soumises la proc dure d approbation des plans Section 3 Passages Art 7 Cages d escaliers et sorties 2 2 Alin a 2 La base permettant de d terminer le nombre de sorties ou de voies d vacuation est constitu e en premier lieu par la surface des tages la position de ceux ci par rapport au terrain et leur nombre
313. et l issue du con tr le de r ception de l entreprise que les exi SECO ao t 2009 443 1 Art 43 gences de la protection des travailleurs sont res pect es pour l essentiel les plans doivent tre transmis a posteriori apr s correction si n ces saire Dans la mesure o aucun d faut impor tant n est constat et o toutes les exigences requises sont respect es il est possible de pas ser directement la proc dure d autorisation d exploiter d finitive conjugaison de la proc dure d approbation des plans et de la proc dure d autorisation d exploiter L autorisation d exploiter devra alors mentionner les plans transmis a posteriori et comprendre un r sum du proc s verbal de r ception en tant qu l ments d approbation des plans Si l on constate de prime abord et l issue du contr le de r ception des d fauts de petite ou moyenne importance les plans doivent tre adapt s et transmis le plus vite possible aux autorit s Une fois les plans approuv s un d lai sera fix pour satisfaire aux exigences n cessai res et rem dier aux d fauts existants L autorisa tion d exploiter ne pourra tre octroy e qu une fois que les exigences de la loi sont remplies et que les charges fix es par d cision sont respec t es Commentaire de l ordonnance 4 relative la loi sur le travail Chapitre 4 Approbation des plans et autorisation d exploiter Section 2 Proc dure d autorisat
314. et des aptitudes e l augmentation de la motivation e la conservation et la promotion d un bon niveau de sant Cons quences n gatives ou sollicitations n fastes e fatigue mentale e tats similaires la fatigue monotonie vigilance r duite saturation mentale irritabilit e stress et anxi t Cons quences moyen et long terme des sol licitations n fastes par exemple e baisse des performances e troubles du sommeil e troubles psychosomatiques c est dire troubles caus s par le psychisme e insatisfaction r signation int rieure e d pression syndrome de burnout e augmentation de la consommation de substan ces entra nant la d pendance e maladies augmentation de l absent isme Effet de r troaction En tant que telles les cons quences tant n gatives que positives de l astreinte mentale peuvent in fluencer la contrainte mentale les caract ristiques et pr dispositions de l individu ainsi que l ampleur de l astreinte mentale Exemple La fatigue en tant que cons quence de la sol licitation provoque chez le travailleur e un risque accru de commettre des erreurs avec pour cons quence d engendrer du travail sup pl mentaire lequel son tour augmente la contrainte mentale e une diminution qualitative et quantitative de ses performances avec pour effet de ternir ses ca ract ristiques personnelles e un accroissement de la fatigue
315. ettre a Une mesure de protection suppl mentaire consiste limiter le nombre de travailleurs pr sents dans le secteur dangereux un minimum Il est galement possible de d cider que tant que le danger sub siste aucune personne n y soit pr sente Des op rations grand risque telles qu hydrog nations sous pression peuvent avantageusement tre conduites partir d un local s par au moyen d une commande surveillance distance c est dire partir d un emplacement s r Lettre b Des indications concernant les dispositions l gales et la litt rature relatives de telles mesures de pro tection figurent dans l introduction au chapitre 5 de la pr sente ordonnance Par exemple e Equipotentialit et mise terre e Syst mes ferm s emp chant dans une large me sure l apparition de m langes explosibles en de hors de l installation e Mesures de ventilation aspiration limitant la for mation de m langes explosibles e Inertisation des installations ce qui permet de li miter la concentration d oxyg ne au dessous d un niveau critique e Surveillance de la concentration aux alentours des installations au moyen de d tecteurs de gaz d clenchant automatiquement des mesures de s curit suppl mentaires en cas d v nement telles que ventilation temp te alarme e Mode de construction r cipients r sistant aux explosions aptes supporter la pression pr vue sans subir de d formatio
316. eurs aient vue sur l ext rieur depuis leur poste de travail dans la mesure o les installations d exploitation et la technique de production le permettent 3 Les autorit s peuvent autoriser une plus petite surface de fen tres en particulier lorsque la s curit ou la technique de production l exigent l autorisation peut tre subordonn e des conditions par ticuli res pour assurer la protection des travailleurs La hauteur de l all ge des fen tres doit tre adapt e la nature du travail et ne doit pas d passer 1 2 m y a lieu d viter tout blouissement et tout rayonnement calorifique incommodant 6 En cas de ventilation naturelle la surface des parties ouvrantes des fen tres en fa ade et des jours z nithaux doit correspondre en r gle g n rale 3 m au moins par 100 m de surface du sol Alin a 1 Les locaux de travail doivent en principe tre clai r s naturellement par des fen tres et des hauts jours art 15 OLT 3 l alin a 1 de l article 17 OLT 4 demande en plus une proportion d au moins 1 8 entre la surface des fen tres et celle du sol Cette proportion n est pas en elle m me d termi nante pour la qualit de l clairage naturel l int rieur des b timents il n est pas tenu compte de l intensit de l clairage ext rieur en fonction des conditions atmosph riques ni pour les fen tres en fa ade de l influence de l environnement angle des constructions Cependant cette
317. euvent tre trait es ind pen damment les unes des autres Il est donc judicieux que les sp cialistes de la s curit au travail se pr occupent galement des probl mes de protection de la sant Outre les sp cialistes de la s curit au travail d autres sp cialistes peuvent jouer un r le important en particulier pour la protection de la sant par exemple les psychologues du travail et des organisations ainsi que les ergonomes Pour que les sp cialistes de la protection de la sant disposent de connaissances suffisantes en la ma ti re ils doivent avoir suivi les formations de base et compl mentaires y relatives Certaines parties voire l ensemble du cursus universitaire MAS en sant au travail ainsi que le cours d bouchant sur le certificat d tudes avanc es CAS Travail et san t s y pr tent particuli rement bien Dans ce do maine d autres formations permettent galement d acqu rir les connaissances n cessaires Il y a lieu de les valuer de cas en cas 307 2 Commentaire de l ordonnance 3 relative la loi sur le travail Chapitre 1 Dispositions g n rales Art 8 Coop ration de plusieurs entreprises re Art 8 Article 8 Coop ration de plusieurs entreprises r lorsqu il lui donne mandat pour son entreprise ne Lorsque des travailleurs de plusieurs entreprises sont occup s sur un m me lieu de travail leurs employeurs doivent convenir des arrangements propres
318. excessif par une orientation ju dicieuse des fen tres et lanterneaux par rapport au ciel voir art 20 OLT 3 Dans certaines circonstan ces l utilisation de verres sp ciaux d j mention n e permet de diminuer efficacement le rayon nement thermique Cependant des mat riaux absorbant la chaleur au lieu de la refl ter peuvent s chauffer au point de devenir des metteurs de rayonnement calorifique pour l int rieur du b ti ment Selon le genre de verre il faut aussi comp ter avec une diminution de la transparence et une modification du spectre de la lumi re Des stores et crans mobiles pr sentent l avantage de ne modifier la lumi re et la chaleur incidentes qu en cas de besoin Ils ne sont efficaces comme protection contre la chaleur que s ils sont fix s l ext rieur des fen tres Des stores plac s entre les deux vitres d un double vitrage n ont qu une effi cacit relative vu que l espace entre les vitres est chauff et que les surfaces vitr es elles m mes de viennent des surfaces radiantes Des circonstances particuli res justifiant la pose de stores du c t in t rieur des fen tres existent dans des r gions for tement venteuses p ex vall es expos es au foe hn Du point de vue de la protection de la sant au travail les stores peuvent aussi tre plac s l in t rieur dans des locaux climatis s pour autant que l installation de climatisation soit suffisamment di mensionn e Cependant
319. exposition au bruit le seuil d exposi tion Lx La CNA se base sur ces deux normes pour l analyse de l exposition au bruit professionnelle Pour la d termination de l exposition au bruit la dur e d exposition joue un r le essentiel La CNA applique le taux d exposition quotidien Lex sh et le taux d exposition annuel Lex 2000 Comme mesure pour l exposition au bruit En r gle g n rale c est une charge sonore pendant plusieurs ann es qui m nent une surdit raison pour laquelle on com prend sous la d signation g n rale Lex le Lex 2000p Si le taux de bruit est identique pendant tout le temps de travail et qu une personne est expos e au bruit durant tout son temps de travail le ni veau sonore quivalent Le mesur au poste de tra vail correspond exactement au seuil d exposition Lex Dans les autres cas le niveau moyen Leq doit tre mesur pour chaque phase de bruit la du r e de celle ci devant galement tre mesur e et le seuil d exposition au bruit Lex doit tre calcul au moyen de la formule ci dessous Le Al Pi Las 1006 210 05 BBA Legi Niveau nerg tique moyen en dB A pond r nerg tiquement pendant la phase de travail i en dB A Pi Dur e de la phase i de travail en pourcent 4 Bibliographie EN ISO 11690 Acoustique Acoustique Prati que recommand e pour la conception de lieux de travail bruit r duit contenant des machines Norme europ enne EN 981 S curit
320. fa on qu ils puissent tre ais ment utilis s par la partie du corps pour laquelle ils sont pr vus Leur fonctionnement doit tre clair Ceux qui commandent des fonc tions cruciales doivent tre assur s contre un d clenchement involontaire SECO ao t 2006 323 3 Art 23 Commentaire de l ordonnance 3 relative la loi sur le travail Chapitre 2 Exigences particuli res en mati re d hygi ne Section 3 Postes de travail Art 23 Exigences g n rales 2 4 Outils appareils e Les outils et appareils doivent tre con us en respectant l anatomie humaine le fonctionne ment des membres et leur mobilit Si n ces saire on tiendra compte des besoins individuels par exemple en fonction du sexe du fait d tre gaucher Les charges musculaires statiques de longue dur e doivent tre vit es e Les travaux de service et d entretien doivent pou voir tre ex cut s d un endroit s r sans posture forc e Les points contr ler les points d ajus tage et de mesure les marquages et inscriptions etc doivent tre bien visibles et plac s sans pro voquer d quivoque 2 5 Conception du d roulement du travail e y a lieu d viter le surmenage et la sous occu pation dus au fait que les limites sup rieures ou inf rieures des fonctions physiques et mentales ont t franchies e Lors d activit s li es dans leur d roulement par exemple cha ne de montage on vitera une pa
321. flets par une r duction de la lu minance moyenne 200 cd m et par l utilisa tion de filtres ou par l inclinaison de l cran vers l avant e disposition des postes de travail parall lement aux fen tres e Eviter les reflets directs ou indirects en quipant les fen tres de stores lamelles verticales de pr f rence pr server la vue sur l ext rieur Documents porte documents Le porte documents et les autres documents de travail n cessaires seront situ s une distance vi suelle correcte en dessous ou c t de l cran 3 5 Surface de travail Bureaux postes de travail l cran Dans les petits bureaux jusqu 3 personnes la surface minimale par poste de travail doit tre de 10 m2 comprenant le mobilier usuel la surface pour se mouvoir et se d placer Pour les postes de travail combinant pupitre et travail l cran il faut pr voir 12 m2 au minimum La surface libre au poste de travail doit tre calcul e de mani re que les travailleurs puissent se mouvoir sans pro bl me La largeur pour se mouvoir doit tre d au moins 1 m tous les endroits et pr senter une sur face d 1 5 m2 Bureaux pour plusieurs personnes bureaux pour groupes Pour calculer la surface n cessaire dans les bureaux de groupes de plus de 2 personnes on prendra en compte le fait que 18 m2 sont n cessaires pour les deux premi res personnes et 6 m2 suppl men taires doivent tre ajout s pour chaque personne sup
322. ge Il s agit ici de dangers plus grands que ceux encou rus dans une entreprise industrielle ordinaire Les dangers particuliers peuvent tre soit pr sents de fa on latente soit provoqu s par le comportement erron d un travailleur Il faut pr ter attention au fait que les entreprises pr sentant des dangers par ticuliers selon la LTr ne correspondent pas aux en treprises pr sentant des dangers particuliers selon la directive relative l appel des m decins du travail et autres sp cialistes de la s curit au travail MSST directive CFST n 6508 Lettre a Les gaz poussi res et liquides inflammables ne sont pas consid r s comme des mati res explosibles bien qu la bonne concentration ces substances ou leurs vapeurs soient susceptibles de constituer avec l air des m langes explosibles La diff rence tient en ceci les mati res explosibles se caract risent par une propension permanente l explosion sur laquelle il n est pas possible d influer Hormis les substances qui entra nent des dangers tradition nels comme le feu ou les explosions on compte galement parmi les dangers particuliers les ma ti res qui mettent des radiations ionisantes Lettre b La liste ci dessous r pertorie des activit s lors des quelles on sait par exp rience que le risque d acci dents de maladie et de surmenage est particuli re ment lev Cette liste n est pas exhaustive et sert uniquement de rep re
323. gue trois sortes d escaliers tournants soit e les escaliers principaux e les escaliers secondaires e les escaliers dans les installations Les dimensions et la conception de ces escaliers figurent dans le tableau 409 3 Il y a lieu de tenir compte et de respecter ce qui suit 3 1 Escaliers principaux Les escaliers tournants principaux sont de grandes dimensions et refl tent une image de marque Leur noyau a un grand diam tre et les marches sont larges Les dimensions minimales correspondent celles figurant sous le point 3 5 de la directive de protection incendie AEAI 16 03 F Par exception au principe des vol es droites de tels escaliers princi paux peuvent tre am nag s dans les voies d va cuation selon l article 7 OLT 4 pour autant que des raisons architecturales ou d image de marque le rendent indispensable 3 2 Escaliers secondaires Les escaliers tournants secondaires ont un noyau de plus petit diam tre mais tiennent cependant compte des dimensions minimales prescrites l ga lement pour les passages principaux SECO septembre 2010 409 5 Commentaire de l ordonnance 4 relative la loi sur le travail Chapitre 2 Construction et am nagement des entreprises soumises la proc dure d approbation des plans Art 9 Section 3 Passages Art 9 Construction des cages d escaliers et des couloirs De tels escaliers ne peuvent tre am nag s dans des voies d vacuation selon l article 7 OLT 4
324. hapitre 2 Construction et am nagement des entreprises soumises la proc dure d approbation des plans Section 3 Passages Art 7 Cages d escaliers et sorties pour la r sistance au feu de ces voies d vacuation Les prescriptions de protection incendie de l AFAI fixent les bases n cessaires la planification et l am nagement de cages d escaliers s curis es 3 Conditions d vacuation particuli res Des conditions d vacuation particuli res se pr sentent souvent p ex lorsque e des ouvrages de protection civile sont int gr s dans des constructions e des superstructures ou des installations sont am nag es sur le toit ou e des constructions se trouvent en zone urbaine Une solution tenant compte de la situation et du principe selon lequel les b timents et installations doivent pouvoir tre quitt s en tout temps et sans danger doit tre trouv e dans ces cas Afin de garantir une ex cution uniforme il y a lieu de prendre en consid ration ce qui suit 3 1 Ouvrages de protection civile Une sortie de secours partir d un abri de protec tion civile selon les instructions techniques pour les abris obligatoires ITAP 1984 de l Office f d ral de la protection civile peut tre utilis e au sens de la pr sente ordonnance condition d observer en outre les points suivants e L abri de protection civile en tant que voie d va cuation doit tre accessible en tout temps de puis l
325. heront directement sur l ext rieur ou en zone s re ill 408 12 et 13 e ne faut pas pr voir de passages transversaux dans les couloirs m me sous la derni re traver se Si les chemins de fuite d passent les distan SECO f vrier 2008 408 9 Art 8 ces pr vues dans cette ordonnance une auto risation de d roger selon l article 27 OLT 4 est n cessaire e Si la longueur du passage transversal l extr mit de l installation d passe environ 20 m ou 5 couloirs deux sorties sont n cessaires ill 408 13 Ces chemins de fuite doivent avoir une lar geur d au moins 1 2 m Des mesures de protection incendie p ex d tec teur ou sprinkler n ont pas d influence sur les exi gences quant aux chemins de fuite Commentaire de l ordonnance 4 relative la loi sur le travail Chapitre 2 Construction et am nagement des entreprises soumises la proc dure d approbation des plans Section 3 Passages Art 8 Voies d vacuation Illustration 408 13 Halle avec une zone commune prot g e pour les diff rents couloirs Un passage vers les sorties de secours d au moins 0 5 x 2 m subsiste en position terminale du gerbeur 408 10 Commentaire de l ordonnance 4 relative la loi sur le travail Chapitre 2 Construction et am nagement des entreprises soumises la proc
326. hysiques et reconnus sont aujourd hui res pect s par la plupart des fabricants Une disposition du clavier diff rente du mod le standard correspondant la position naturelle des mains p ex demi claviers pour les mains gau che et droite orientables angulairement permet de pr venir des troubles lors de commandes fr quentes 3 4 Am nagement du poste de travail l cran Les principes de base sont Table de travail e Surface suffisante pour les documents et les tra vaux d criture e largueur minimale 120 cm pour les travaux com prenant de l criture manuelle largeur id ale 160 cm e profondeur d au moins 80 cm pour la disposi tion de l cran sur le plateau e degr de r flexion inf rieur 50 mat soyeux mat et clart adapt e l environnement direct Hauteur de la table hauteur de l cran de visualisation e possibilit de r glage de 68 76 cm permettant une adaptation la taille de l utilisateur SECO ao t 2006 323 5 Art 23 Commentaire de l ordonnance 3 relative la loi sur le travail Chapitre 2 Exigences particuli res en mati re d hygi ne Section 3 Postes de travail Art 23 Exigences g n rales e si la table n est pas r glable en hauteur elle me surera de 72 75 cm adaptation de la posi tion du corps uniquement par r glage de la hau teur du si ge des repose pieds r glables et non glissants sont indispensables surfac
327. i ne Section 2 Eclairage climat des locaux bruits et vibrations Art 17 Ventilation fr an 7 Article 17 Ventilation F de l air ter les courants d air incommodants t me d alarme signalant toute panne Dans les locaux faiblement occup s et ne com portant pas de source importante de chaleur ni de pollution la ventilation naturelle est souvent suffi sante pour renouveler l air vici et pour emp cher l accumulation d impuret s susceptibles de mettre en danger la sant des travailleurs ou de les incom moder Des normes et des directives techniques sont prendre en consid ration pour les installations de ventilation artificielle ventilation m canique et de climatisation consulter la litt rature de r f ren ce sous l article 16 OLT 3 Si les installations ont t planifi es selon ces normes et r gles en tenant 1 Dans les locaux ventil s naturellement les fen tres en fa ade et les jours z nithaux doivent tre dis pos s de fa on permettre une l g re ventilation permanente ainsi qu un renouvellement rapide 2 Dans les locaux ventil s artificiellement l adduction et l vacuation d air doivent tre r gl es l une par rapport l autre et adapt es la nature du travail et au genre d exploitation Il importera d vi 3 Lorsque la sant des travailleurs l exige les installations de ventilation doivent tre munies d un sys 4Tout d p t ou toute souillure provoquant une
328. i re d hygi ne ZON Art 22 Section 2 Eclairage climat des locaux bruits et vibrations Art 22 Bruit et vibrations nores doivent tre r duites leur niveau le plus bas possible en tenant compte de l tat de la techni que et de la situation concr te Exemples d activit s du groupe 1 Activit s manuelles de routine n cessitant une at tention temporaire ou peu lev e e travail simple sur machines Local Niveau sonore L en dB A Exigence normale Petit bureau 40 max 3 personnes Bureau moyen 40 Salle de r union et f 40 de conf rence Bureau paysager 45 Bureau quip de 45 plusieurs machines Local d ordinateurs 50 Bureau d atelier 60 Salle de commande 60 Cabine de commande 70 Laboratoire 50 Local de pause ou 60 de permanence Local de repos ou ee i 40 d infirmerie Cantine 55 Salle d op ration 40 Salle de cours 40 Appartement de i 35 service la nuit voir aussi chiffre 1 2 3 tableau 322 1 valeurs indicati ves en fonction de l activit Tableau 322 2 Valeurs indicatives du bruit de fond e travail de fabrication sur machines appareils ou installations e travail sur machines coudre industrielles e travail sur machines d imprimerie e travail sur automates de remplissage et d embal lage e travaux de services et d entretien e travail dans la restauration service Exemples d activit s du gro
329. i sur les produits chimiques LChim RS 813 1 SECO novembre 2011 Biblio graphie Commentaire des ordonnances 3 et 4 relatives la loi sur le travail Bibliographie Ordonnance du 18 mai 2005 sur la protection contre les substances et les pr parations dange reuses Ordonnance sur les produits chimiques OChim RS 813 11 Loi f d rale du 6 octobre 1989 sur le service de l emploi et la location de services LSE RS 823 11 Loi f d rale du 19 juin 1992 sur la protection des donn es LPD RS 235 1 Loi f d rale du 21 mars 1997 sur l organisation du gouvernement et de l administration LOGA RS 172 010 Loi f d rale du 5 octobre 1990 sur les voies de raccordement ferroviaires RS 742 141 5 Loi f d rale du 30 mars 1911 compl tant le code civil suisse Livre cinqui me Droit des obli gations CO RS 220 Ordonnance du 23 d cembre 1999 sur la pro tection contre le rayonnement non jonisant ORNI RS 814 710 Diffusion OFCL Vente des publications f d rales 3003 Berne www publicationsfederales admin ch 2 Directives et r glements CE Directive du Conseil 67 548 CEE du 27 juin 1967 concernant le rapprochement des dispositions l gislatives r glementaires et administratives re latives la classification l emballage et l tique tage des substances dangereuses Journal officiel des CE no L 196 1 du 16 8 67 Directive du Conseil 89 391 CEE du 12 juin 1989
330. iais de personnes voluant sur une rampe incli naison variable Les r sultats obtenus par ces deux m thodes bpa EMPA et plan inclin ne sont pas directement comparables car les conditions sont fondamenta lement diff rentes Les divers syst mes d appr ciation sont repr sen t s dans l illustration 314 1 Volume alv olaire V En pr sence de substances lubrifiantes les surfaces antid rapantes ne suffisent plus elles seules Un volume sous la forme d alv oles doit tre cr dans le sol Ces volumes alv olaires sont d sign s par la caract ristique V qui repr sente le volume mi nimum des alv oles en cm3 par dm de surface de sol Cette classification va de V4 4 cm3 par dm2 V10 10 cm3 par dm La Suisse et l Allemagne uti lisent le m me syst me d preuve dans la norme DIN 51130 Le tableau 314 5 donne dans les deux syst mes les valeurs de planification pour l adh rence et le Illustration 314 1 Comparaison des syst mes d valuation cas ch ant le volume alv olaire pour des zones de travail caract ristiques Alin as 2 et 3 Il est important de savoir si un rev tement de sol donne une impression de chaleur ou de froid En r gle g n rale la temp rature des sols est plus basse que celle des pieds En fonction du pouvoir isolant des semelles de chaussures il se produit une d perdition de chaleur plus ou moins grande du pied vers le sol Plus les mouvements au pos te
331. iciel ga rantissant des conditions de visibilit uniformit blouissement couleur de la lumi re spectre de couleurs adapt es la nature et aux exigences du travail 3Les locaux sans clairage naturel ne peuvent tre utilis s comme locaux de travail que si des me sures de construction ou d organisation particuli res assurent dans l ensemble le respect des exi Note Les termes techniques concernant l clairage sont expliqu s dans l annexe l art 15 Celle ci contient galement des donn es compl mentaires sur l clairage de secours et une bibliographie l alin a 3 de cet article et l alin a 5 de l article 24 OLT 3 traitent un sujet similaire et sont comment s ensemble ci des SOUS Alin as 1 et 2 La lumi re influence non seulement la vue mais aussi l activit stimulation de l activit animation envie d entreprendre les processus physiologi ques m tabolisme circulation quilibre hormo nal et le psychisme Ainsi la lumi re joue t elle un r le important pour le bien tre et la motivation de l homme Il est donc important d clairer non seulement l emplacement de travail mais aussi ses environs Des locaux sans ou avec peu de fen tres et les postes de travail en quipe de nuit exigent un clairage artificiel de grande qualit caract ristiques techniques de qualit de l clairage int rieur En principe tous les locaux m me ceux rarement fr quent s tous le
332. iers secours 336 Antidote 336 Armoire 336 Cha ne des secours 336 Equipement 336 Formation 336 Formation pour les non professionnels du sauve tage 336 Infirmeries 336 Local 336 M dicaments 336 Obligation de garder le secret 336 Responsabilit selon le CO 336 Prescriptions de protection incendie 407 408 409 Prescriptions d exploitation 424 Pr sence d un large public AP Pr sence du public AP Prise en charge des travailleurs 305 323 Proc d s de travail 303 308 Proc dure d assujettissement 401 432 433 434 435 436 Proc dure d approbation des plans 401 437 438 439 440 441 Proc dure d autorisation d exploiter 401 442 443 444 Produits de nettoyage 331 337 Proportionnalit 302 339 427 AP Protecteurs d ou e 322 Protection anti solaire 320 Protection de la personnalit 302 326 Protection de la sant AP 302 303 305 306 307 308 310 327 337 Protection des donn es 326 Protection des femmes enceintes et des m res allaitantes 334 Protection respiratoire 327 Puits de sortie 407 SECO novembre 2011 Index Commentaire des ordonnances 3 et 4 relatives la loi sur le travail Index Q Quais de chargement 414 R Rampes 416 Rampes de chargement 414 Rapport de la CNA 427 AP Rayonnement calorifique 320 417 Rayonnement calorifique d installations ou de pro duits 320 Fort d gagement de chaleur 320 Mesures 320 327 R chaud 333 R cup ration de chaleur 317 318 R fectoires 329
333. ies l autorisation d ex ploiter sera octroy e directement proc dure si multan e d approbation des plans et d octroi de l autorisation d exploiter Les plans soumis et un r sum du proc s verbal de r ception constituent alors le dossier d approbation des plans Si le contr le sur place en vue de la r ception de l ouvrage d montre que la r alisation pr sente des lacunes mineures ou de gravit moyenne les plans corrig s seront soumis sans retard l auto rit Apr s l approbation des plans une autorisa tion provisoire d exploiter assortie des mesures de correction n cessaires et d un d lai d ex cu tion adapt pourra tre octroy e Pour des raisons d conomie de moyens l approbation des plans sera int gr e l autorisation provisoire d exploiter L autorisation d exploiter ne sera d livr e qu une fois toutes les conditions l gales remplies et les mesures ordonn es ult rieurement prises Si le contr le sur place en vue de la r ception de l ouvrage d montre des lacunes graves de l instal lation ou d une partie de celle ci de sorte qu elle ne remplit pas les exigences l gales et ou peut me nacer la sant ou la vie des travailleurs l exploita tion de l installation ou de la partie en question ne peut commencer ou le peut de mani re limit e arr t partiel ou total de l installation Les autorit s comp tentes communiqueront imm diatement l employeur ou au ma tre d uvre sous forme de d c
334. ieure 2 50 m On ne tien dra pas compte de la surface de telles zones pour le calcul de la hauteur minimale La hauteur du local n cessaire d termin e d apr s la surface du reste du local doit tre atteinte au moins sur les 34 de cette surface Lors de la planification il est vivement recomman d de tenir galement compte de futurs change ments d affectation La grande flexibilit des en treprises en fonction des rapides fluctuations de l conomie joue un grand r le de nos jours Ce fait concerne galement les conditions de cons truction Il est donc avantageux de planifier un b timent de telle fa on que les locaux puissent encore tre utilis s pour des postes de travail permanents lors d ventuels changements agrandissement de certains locaux changement d activit Alin a 2 Seuls les murs qui ne seront vraisemblablement ja mais supprim s sont d terminants pour le calcul SECO ao t 2006 405 1 Commentaire de l ordonnance 4 relative la loi sur le travail Chapitre 2 Construction et am nagement des entreprises soumises la proc dure d approbation des plans Art 5 de la surface du sol des b timents et locaux Il s agit donc soit de murs n cessaires pour la stati que du b timent soit de murs construits pour des raisons de technique de production de protection contre l incendie de s curit ou de protection de la sant Des raisons de technique d
335. il les affections li es la chaleur sont susceptibles de se manifester relativement vite De l eau fra che devrait toujours tre mise disposi tion Par ailleurs les t ches effectu es dans des ca bines de conducteur non climatis es par exemple bus v hicules utilitaires trams grues locomo tives comptent au nombre des activit s r put es p nibles du fait de la temp rature et exigent des 316 6 Commentaire de l ordonnance 3 relative la loi sur le travail Chapitre 2 Exigences particuli res en mati re d hygi ne Section 2 Eclairage climat des locaux bruits et vibrations Art 16 Climat des locaux 1 Art 16 di di mesures de protection particuli res vu que la tem p rature int rieure peut d passer de beaucoup celle r gnant l ext rieur Le syst me cardio vas culaire est fortement sollicit et l attention dimi nu e Les cabines de chauffeur devraient d s lors tre quip es autant que faire se peut d installa tions de climatisation A d faut des mesures de soulagement sont prendre par exemple r gime des pauses boissons Indice de chaleur pour l estima tion de la contrainte li e la chaleur Les indices de chaleur par exemple HUMIDEX WBGT qui d finissent la temp rature ressentie sur la base de la temp rature de l air mesur e de l hu midit relative et d autres param tres par exemple la vitesse de l air constituent des outils pr cieux pour val
336. iliser simultan ment On peut tenir compte du fait que l entr e des travailleurs dans les locaux de douches est chelonn e par exemple en raison de l loignement des emplacements de travail Afin que l attente ventuelle soit r duite un minimum et pour viter que des travailleurs renoncent se doucher il y a lieu de pr voir une douche pour 2 3 personnes Les douches doivent tre quip es d un vestibule abrit des projections d eau offrant la possibilit de s asseoir et de d poser ses v tements Les vestibules des douches doivent tre s par s du local d acc s vestiaire par une porte ou un rideau prot geant des regards ext rieurs Alin a 3 Les douches et les lavabos doivent se trouver proximit imm diate des vestiaires et tre situ s de fa on que les travailleurs ne risquent pas de pren dre froid par exemple cause des courants d air en s y rendant ou en les quittant 331 2 Commentaire de l ordonnance 3 relative la loi sur le travail Chapitre 2 Exigences particuli res en mati re d hygi ne Section 7 Vestiaires douches lavabos toilettes r fectoires locaux de s jour et premiers secours Art 32 Toilettes Article 32 Toilettes ra treprise les a r s proximit des toilettes 1 Les travailleurs doivent disposer d un nombre suffisant de toilettes proximit des postes de travail des locaux de repos des vestiaires et des douches ou des lavabos
337. illeur puisse l enclencher lui m me pour se prot ger par exemple lorsqu il y a danger d agression 3 3 Protection des donn es Les donn es doivent tre recueillies de mani re li cite lors d utilisation de m canismes de surveillan ce Leur traitement doit se faire conform ment aux dispositions de la loi f d rale sur la protection des donn es LPD et de l Ordonnance y relative OLPD Il faut en particulier s assurer que le traite ment se fait dans le respect de la bonne foi et de la proportionnalit La bonne foi signifie que le trai tement des donn es doit tre effectu de mani re reconnaissable pour la personne concern e c est dire qu elle est inform e du type et du but du traitement La proportionnalit implique que seu les les donn es pertinentes ou utiles doivent tre trait es puis effac es dans un laps de temps aussi court que possible d termin l avance L acc s ee Cam ra fixe a Je 11 Le personnel y compris celui des guichets ne se trouve pas dans le champ de vision de la cam ra Illustration 326 2 Surveillance de guichets de banque ou verts coupe 326 4 Commentaire de l ordonnance 3 relative la loi sur le travail Chapitre 2 Exigences particuli res en mati re d hygi ne lt gt Section 5 Surveillance des travailleurs Art 26 Art 26 i aux donn es enregistr es doit tre r glement Il doit tre limit aux p
338. imat 408 6 Commentaire de l ordonnance 4 relative la loi sur le travail Chapitre 2 Construction et am nagement des entreprises soumises la proc dure d approbation des plans o Section 3 Passages Art 8 Voies d vacuation e s curit danger d incendie e protection de la sant bruit climat e surveillance bureau de contrema tre sur lev Relier de tels locaux n cessaires l exploitation par des corridors g n rerait des inconv nients exag r s tant pour la production que pour les transports entre les postes de travail Des conditions analogues se rencontrent gale ment dans les sous sols lorsque des locaux s par s sont cr s pour des parties de machines ou d installations d exploitation telles que compres seurs distribution lectrique et sanitaire locaux pour moteurs d ascenseurs Dans de tels cas le grand local enveloppe sera conforme aux prescriptions relatives aux sorties et aux voies d vacuation lorsque les conditions suivantes sont remplies 1 La liaison visuelle est garantie 2 Il ne s agit que de locaux s par s pour des installations destin es l exploitation ne devant tre occup s que rarement au maxi mum 1 x par jour notamment ceux situ s en sous sol Cabine QUE x ou ferm Plate forme dei peinture ouverte
339. ing et discrimination fond e sur le sexe la race ou la religion information des travailleurs sur les sanctions pr vues pour une personne qui est l auteur av r e de harc lement sexuel mobbing et discrimina tion fond e sur le sexe la race ou la religion Il est recommand de mettre en place un proces sus par tapes adapt la situation La d termi nation par crit des diff rents degr s permet la transparence et engage les travailleurs Les diff rents niveaux de sanction signalent aux auteurs potentiels comment l entreprise juge les com portements d plac s Cette mesure permet une prise de conscience I est cependant important que ces sanctions soient le cas ch ant r elle ment appliqu es la d signation d une personne interne ou ex terne laquelle les personnes concern es peuvent s adresser en cas de conflit pour des conseils et un soutien afin de trouver une solu tion au probl me Savoir vers qui se tourner aug mente les chances qu un probl me ne soit pas simplement lud et qu une solution construc tive soit trouv e Il est important que cette per sonne de confiance dispose de la formation n cessaire pour cette t che et qu elle ait un rapport de confiance avec les personnes qui demandent son conseil obligation de garder le secret ab sence de lien hi rarchique R glement d entreprise Les points mentionn s ci dessus peuvent figu rer dans un r glement d entreprise Les tr
340. int rieur du b timent e La sortie de secours sera accessible par un esca lier fixe ou amovible lorsque son ar te inf rieu re est plus de 60 cm au dessus du sol e Le puits de sortie doit tre muni d une chelle fixe et de montants amovibles Il doit tre cou vert par un caillebotis e Des l ments de fen tres ou de grillages peuvent tre accept s en lieu et place de fen tres bat tants pour autant qu ils puissent tre facilement enlev s sans l aide d outils 407 6 Commentaire de l ordonnance 4 relative la loi sur le travail Chapitre 2 Construction et am nagement des entreprises soumises la proc dure d approbation des plans Section 3 Passages Art 7 Cages d escaliers et sorties Issue de secours sans tube d vacuation De telles issues de secours doivent comporter un puits de sortie d au moins 1 3 x 0 8 m de dimen sions int rieures voir ill 407 4 Issue de secours avec tube d vacuation Lorsque la sortie de secours aboutit dans un tube d vacuation un puits de sortie suppl mentaire doit tre am nag contre la fa ade ext rieure ill 407 7 Les issues de secours partir d abris doivent tre construites conform ment aux dimensions indi qu es sur l illustration 407 7 Elles correspondent ainsi aux directives ITAP 1984 de l Office f d ral de la protection civile Pour le surplus les dimensions et la conception des abris et des voies d vacuation rel vent exclu
341. ion 324 10 Si ge pour le travail l cran de visua lisation 324 6 Commentaire de l ordonnance 3 relative la loi sur le travail Chapitre 2 Exigences particuli res en mati re d hygi ne Section 3 Postes de travail Art 24 Exigences particuli res Art 24 Lu 2 4 4 Repose pieds Tous les postes de travail sp cialement hauts et ceux g n ralement occup s par des personnes de petite taille seront quip s de repose pieds d s qu une position confortable n est pas garantie par le seul r glage de la table et du si ge Les repose pieds doivent tre suffisamment grands pour que l on puisse poser les pieds sur toute leur surface Ils doivent tre r glables en hauteur et en inclinaison en g n ral 25 d inclinaison Les p dales de commande ventuellement pr sentes doivent y tre int gr es niveau et un emplace ment fixe 2 4 5 Accoudoirs Les accoudoirs des si ges sont utiles pour soulager les paules et les bras Des accoudoirs sur les tables de travail par exem ple sont indispensables pour toute op ration exi geant une certaine position des bras r sultant d un plan de travail haut travail de pr cision o la distance d observation doit tre courte Ils sont galement n cessaires pour les travaux exigeant des mouvements d une grande pr cision lorsque les mains et les bras requi rent un appui ind pen dant de la surface de la table Ils doivent tre form s et
342. ion 7 Vestiaires douches lavabos toilettes r fectoires locaux de s jour et premiers secours Art 30 Vestiaires Annexe de l art 30 Le Article 30 OLT 3 annexe Installation de vestiaires dans les abris de protection civile Il est autoris d am nager des vestiaires dans les lo caux de protection civile abris Les exigences mi nimales concernant la construction de ces locaux sont fix es par l office f d ral de la protection civi le aujourd hui office f d ral de la protection de la population OFPP Cet office a donn son accord aux explications ci dessous mais se r serve expres s ment le droit d exiger d autres mesures pour la protection civile Les plans pour les locaux de pro tection civile doivent tre approuv s par les instan ces comp tentes Un abri est un local qui correspond aux instructions techniques pour les abris obligatoires ITAP 1984 dict es par l office f d ral de la protection civile aujourd hui OFPP La surface d un local dans un abri est limit e 50 m2 Les exigences minimales mentionn es ci apr s doivent tre respect es pour tous les abris utilis s comme vestiaires e La porte d entr e doit mesurer au moins 100 x 185 cm Des portes mesurant 80 x 185 cm sont admises exceptionnellement pour les vestiaires destin s 25 personnes au plus e Le seuil ne doit pas avoir plus de 10 cm de hauteur e Un sas est admis comme entr e condition que les deux porte
343. ion d exploiter Art 43 Autorisation d exploiter Si l on constate de prime abord et l issue du contr le de r ception des d fauts importants et que l on doive en conclure que les exigences de la loi ne sont globalement pas remplies ou qu il y a mise en danger de la vie ou de la san t des travailleurs il faut interdire l exploitation enti rement ou en partie Il incombe l auto rit comp tente de notifier sans retard l em ployeur ou au ma tre de l ouvrage dans une d cision si une activit peut tre commenc e ou poursuivie et si oui laquelle et dans quelle me sure La proc dure ordinaire conform ment aux articles 7 LTr et 37 et suiv OLT 4 doit ensuite tre entam e importe de ne pas renoncer une proc dure d approbation des plans a pos teriori aussi compl te que possible en fonction des d fauts ventuels et de leur potentiel de ris que N anmoins comme une proc dure d ap probation des plans a posteriori peut entra ner selon les cas des co ts importants pour l em ployeur ou le ma tre de l ouvrage elle doit tre limit e aux installations et aux parties de l en treprise qui pr sentent v ritablement un risque potentiel important et leur environnement imm diat 443 2 Article 44 Autorisation d exploiter Commentaire de l ordonnance 4 relative la loi sur le travail Chapitre 4 Approbation des plans et autorisation d exploiter Section 2 Proc dure d autorisat
344. ion d exploiter Art 44 Autorisation d exploiter dans la proc dure f d rale coordonn e Art 44 dans la proc dure f d rale coordonn e applicable ploiter L 1 Pour autant que cet article ne pr voit pas d autres dispositions pour cette proc dure l art 41 est 2 L autorit unique fait toujours collaborer l office f d ral a si l entreprise pr voit une mise en exploitation anticip e b s il s agit du contr le de l entreprise ou de l installation en vue de l octroi de l autorisation d ex 3Si le contr le en vue de l octroi de l autorisation d exploiter r v le des d fauts l autorit unique pro c de selon l art 43 al 2 Elle consulte l office f d ral pour d terminer les conditions n cessaires dans l autorisation d exploiter afin de prot ger la vie et la sant des travailleurs Alin as 1 et 2 Si une autorit unique a tabli une approbation des plans de premi re instance dans le cadre de la proc dure f d rale coordonn e pour la r alisa tion ou la transformation d une entreprise o d un ouvrage conform ment l art 7 al 4 LTr et l art 41 de la pr sente ordonnance c est gale ment cette autorit qui tablit l autorisation d ex ploiter n cessaire l approbation des plans comme l autorisation d exploiter sont des d cisions c est dire des ac tes des autorit s administratives fond s sur le droit public et r glant des cas individuels La proc dure d autor
345. ion le mat riel n cessaire au cas o l entreprise sp cialis e serait dans l impossi bilit de fournir sa prestation La CNA publie une s rie de feuillets d informa tion traitant des questions de s curit qui se po sent lors des travaux de maintenance num ros de commande 44039 44042 et pour les personnes travaillant seules SBA 150 337 2 Commentaire de l ordonnance 3 relative la loi sur le travail Chapitre 3 Dispositions finales Art 38 Directives Art 38 Article 38 Directives ra d hygi ne int ress es garantie 1Le Secr tariat d Etat l conomie peut laborer des directives concernant les exigences en mati re 2 Avant d diter des directives il consultera la Commission f d rale du travail les autorit s cantonales la Commission f d rale de coordination pour la s curit au travail ainsi que d autres organisations 3 S il se conforme aux directives l employeur est pr sum avoir satisfait ses obligations en mati re d hygi ne Il peut toutefois y satisfaire d une autre mani re s il prouve que l hygi ne au travail est Alin a 1 Les directives que le Secr tariat d Etat l conomie SECO peut diter en vertu de cette disposition contiendront principalement des r gles g n rales de protection de la sant et de m decine du tra vail reconnues r gles de comportement valeurs limites etc si possible scientifiquement fond es Ces dire
346. ion ou au traitement de biens ni la production la transformation ou au transport d nergie b les apprentis volontaires stagiaires ainsi que les personnes qui ne travaillent que temporaire c les travailleurs occup s principalement hors de l entreprise industrielle Alin a 1 Il faut compter les travailleurs occup s des ac tivit s industrielles durant plus de la moiti de la dur e hebdomadaire de travail dans les parties in dustrielles d une entreprise Ceux qui effectuent des activit s industrielles durant moins de 23 heu res mais au moins durant 11 heures par semaine comptent pour moiti et on ne tient pas compte de ceux qui effectuent moins de 11 heures par se maine de travaux industriels Tous les travailleurs occup s principalement dans un syst me de travail fond sur un encha nement des op rations dans un ordre pr d fini appartien nent la partie industrielle d une entreprise m me si l activit de certains de ces travailleurs pris indivi duellement n est pas directement d termin e par des machines ou des op rations en s rie Tous les travailleurs occup s dans les parties in dustrielles d une entreprise situ es dans la m me commune politique ou dans des communes po tiques voisines doivent tre pris en consid ration pour le nombre minimum de travailleurs Sont r put es voisines des communes ayant des fronti res communes ou dont les fronti res se touchent en un point Po
347. ions oralement ou par crit S il existe une commission d entreprise lue celle ci est tenue de participer activement en vertu de la loi sur la par ticipation S il n en existe pas les travailleurs ont le libre choix de s exprimer et d en d battre avec l employeur ou non L employeur remplit son de voir s il les informe suffisamment et s il leur don ne la possibilit de s exprimer et d en d battre avec lui En fonction des possibilit s de l entrepri se l employeur doit veiller ce que les travailleurs ment leur droit la consultation c est dire avant qu une d cision n ait t prise La consultation des travailleurs doit garantir que les employeurs maintiennent un dialogue avec leurs travailleurs au sujet de la protection de la sant En outre accorder aux travailleurs une participation active constitue un support pour leur motivation La protection de la sant est un but commun des travailleurs et des employeurs Il en d coule clai rement que la nature des mesures prendre doit tre discut e ouvertement et directement entre les partenaires Il importe de trouver dans la me sure du possible des solutions auxquelles les tra vailleurs directement concern s peuvent adh rer pleinement Cela est une condition sine qua non afin que les mesures ordonn es aient l appui des travailleurs dans le sens voulu Il resterait difficile de motiver les travailleurs se plier aux mesures de protection de la sant s ils
348. iorer la pro tection de la sant et de garantir la sant physique et psychique des travailleurs Il doit en particu a en mati re d ergonomie et d hygi ne les conditions de travail soient bonnes b la sant ne subisse pas d atteintes dues des influences physiques chimiques ou biologiques c des efforts excessifs ou trop r p titifs soient vit s d le travail soit organis d une fa on appropri e 2Les mesures d hygi ne que les autorit s exigent de l employeur doivent tre proportionnelles au regard des r percussions qu elles ont sur la conception du b timent et sur l organisation de l entre La protection de la sant physique et psychique est un devoir commun des travailleurs et de l em ployeur La responsabilit de ce dernier couvre les facteurs li s au travail et influen ant la sant L em ployeur a la responsabilit d assurer que les tra vailleurs ne subissent aucune atteinte leur san t physique et psychique au poste de travail Par sant on entend par analogie avec la d finition de l OMS de 1948 non seulement une absence de maladie mais galement un bien tre psychique physique et social l am nagement de syst mes de travail doit tre adapt l tre humain afin d viter les influences n gatives sur les personnes C est l le principe de conditions de travail ergonomiques Lorsque le tra vail est am nag de fa on ergonomique l tre hu main peut atteindre sa performanc
349. ipo A Alerte 442 1 l article 15 OLT 3 Eclairage 315 A Pa Ea l article 22 OLT 3 Bruitet vibrations 322 A Art 43 Autorisation d exploiter 443 1 ap so l article 30 OLT 3 Installation de Art 44 Autorisation d exploiter dans la La roc dure f d rale coordonn e _ 444 1 AS EE p de protection civile 330 A Section 3 Dispositions particuli res l article 10 OLT 4 Portes et sorties situ es Art 45 Transformation des installations sur les voies d vacuation 410 A int rieures 445 1 Art 46 Non conformit constat e au cours de l exploitation 446 1 Bibliographie B 1 Chapitre 5 Dispositions finales Art 47 Dispositions transitoires 447 1 Index l 1 T 3 SECO avril 2010 Commentaire des ordonnances 3 et 4 relatives la loi sur le travail Liste des abr viations Liste des abr viations Liste des abr viations 2W 31V A ABGG AEAI AFNOR AIPT AISS al AP art ASE ASI a ASL ASN ASSE cd cf CE CEE CEN CESICS CFF CFST chap CMSS CNA CO vitrage isolant double vitrage isolant triple surface Secteur Travail et Sant SECO Association des tablissements canto naux d assurance incendie Association fran aise de normalisation Association intercantonale pour la protection des travailleurs ancienne ment association intercantonale pour le droit du travail Association internationale de la s cu rit sociale alin a approbation des plans
350. ique mauvaise mauvaise mauvaise bonne mauvaise Tableau 314 1 Propri t s de diff rents rev tements de sols industriels suite voir tableau 314 2 Des mesures de protection contre la propagation du son solidien et a rien permettent d obtenir de bons r sultats 314 4 Commentaire de l ordonnance 3 relative la loi sur le travail Chapitre 2 Exigences particuli res en mati re d hygi ne 2 Art 14 Section 1 B timents et locaux Art 14 Sols Propri t s Mortier en r Mortier en Ciment synth Rev tement Pav s de sine d poxyde r sine MMA tique poxyde magn sien min ral bois R sistance l usure par abrasion tr s bonne tr s bonne moyenne tr s bonne moyenne R sistance la compression tr s bonne tr s bonne moyenne tr s bonne bonne R sistance aux chocs bonne tr s bonne moyenne bonne tr s bonne Isolation thermique par contact faible moyenne bonne mauvaise tr s bonne Retrait gonflement non non non faible faible R sistance aux acides bonne bonne faible mauvaise mauvaise R sistance aux alcalis bonne bonne faible bonne bonne R sistance l eau tr s bonne tr s bonne bonne moyenne faible R sist aux huiles et carburants tr s bonne tr s bonne moyenne bonne bonne R sistance aux solvants bonne faible moyenne tr s bonne tr s bonne Risque de formation de poussi re non non non oui oui Possibilit de nettoyage moyenne bonne bonne bonne bonne R
351. iques consistant suivre des coll gues l in t rieur ou l ext rieur de l entreprise e avances assorties de promesses d avantages ou de menaces de repr sailles e agressions sexuelles contrainte sexuelle ou viols Pour appr cier si dans les comportements num r s ci dessus on a affaire un flirt innocent une relation amoureuse en train de se nouer entre col l gues de travail ou au contraire un authentique cas de harc lement sexuel la r gle est simple l l ment d cisif n est pas l intention de celui ou celle dont le comportement est jug d plac mais la fa on dont ledit comportement est ressenti par 302 F Commentaire de l ordonnance 3 relative la loi sur le travail Chapitre premier Dispositions g n rales Art 2 Principe Annexe de l art 2 St la personne laquelle il s adresse autrement dit s il est d sir ou non par elle Le harc lement peut se produire au travail ou lors de manifestations or ganis es dans le cadre de l entreprise et tre le fait aussi bien de coll gues que de personnes au ser vice d entreprises partenaires ou de clients Le harc lement sexuel engendre un climat profes sionnel tendu pour la personne qui en est l objet laquelle se sent restreinte dans sa libert I peut conduire des repr sailles contre la victime qui refuse des avances receler pour elle le risque de perdre son emploi et enfreindre le droit l galit des
352. iquides facilement inflammables tels que benzi ne alcool thylique thanol ac tone diluant pour peintures et vernis etc e gaz combustibles tels que ac tyl ne butane propane gaz naturel hydrog ne f Les dispositions de la pr sente section s appliquent aux entreprises ou aux parties d entreprise dans lesquelles a des m langes explosibles peuvent se former avec l air lors de la production de la transformation de la manipulation ou de l entreposage de mati res combustibles b des mati res ou des m langes de mati res explosibles se trouvent ou se forment c des mati res explosives sont produites transform es manipul es ou entrepos es e certaines mati res solides ayant un diam tre in f rieur 0 5 mm et tourbillonnant dans l air telles que poussi res de bois de c r ales de charbon de farine de mati res plastiques combustibles de m taux combustibles sucre pulv rulent Lettre b Mati res pouvant dans certains cas se d compo ser soudainement en provoquant une d flagration ou une explosion Des mati res ou des m langes de mati res explosi bles peuvent aussi subir une r action chimique en l absence d air avec ou sans influence ext rieure Les sources d allumage sont p ex la chaleur et les contraintes m caniques telles que choc ou frot tement Les d riv s nitro les azides et les peroxy des d ther sont des exemples de substances ou m langes de substances explosi
353. ir e A m2 En r gle g n rale les sources lumineuses n mettent pas d une mani re homog ne dans toutes les directions L intensit lumineuse cd candela est d finie en fonction de l angle Q sr st radian z o s E sans dimension A surface clair e perpendiculairement m2 en r gle g n rale partie d une surface sph ri que r distance m L impression de clart d une source de lumi re surface d un luminaire panneau indicateur cran etc ou d une surface r fl chissante objet image etc s exprime pa 4 I d L cd m m2 pour une direction d observation perpendiculai re la surface mettrice La luminance tient aussi compte de l absorption velours noir et de la r flexion surface de m tal poli et permet de juger des contrastes au poste de travail 2 Limitation de l blouissement Un nouveau syst me d appr ciation de l blouis sement d sign sous le nom de United Glare Ra ting System UGR syst me unitaire de mesure de l blouissement a t d velopp il unifie les deux syst mes europ ens incompatibles courbes limites d apr s S llner allemand et Glare Indices GI anglais et est utilis dans les normes et les directives AL Q St radian Flux lumineux Intensit lumineuse Lumen Candela A Surface en m A Eclairement E Luminance L Lux Candela m 0 7
354. ir par heure Effet sur l air ambiant selon direction du vent de 0 3 4 fois Qualit de l air suffisante SECO avril 2010 317 1 E Commentaire de l ordonnance 3 relative la loi sur le travail Chapitre 2 Exigences particuli res en mati re d hygi ne Section 2 Eclairage climat des locaux bruits et vibrations Art 17 Ventilation Ventilation m canique Ventilation de l air d centralis e par changeur de chaleur appareil mural la fen tre Renouvellement de l air par heure 0 4 0 8 fois Effet sur l air ambiant bonne qualit de l air jusqu 50 de d perdition de chaleur en plus par rapport la ventilation naturelle Climatisation partielle et compl te Renouvellement de l air par heure Effet sur l air ambiant selon besoin en r gle g n rale 2 5 fois tr s bonne qualit de l air mais d pend de l tat de l appareil co ts nerg tiques lev s On se r f rera la norme SN 546 382 1 pour des recommandations pour une ventilation suffisante taux d amen e d air ext rieur et la directive SICC VA 102 01 Installations a roauliques dans l industrie h teli re s agissant des caf s restau rants et h tels Indication concernant la protection des non fumeurs au travail La protection des non fumeurs au travail est r gl e dans la loi f d rale et l ordonnance sur la protec tion contre le tabagisme passif
355. ire SECO ao t 2006 305 3 Commentaire de l ordonnance 3 relative la loi sur le travail Chapitre 1 Dispositions g n rales Art 6 Consultation des travailleurs Art 6 p Article 6 Consultation des travailleurs r propositions Le 1Les travailleurs ou leurs repr sentants au sein de l entreprise doivent tre consult s suffisamment t t et de mani re globale sur toutes les questions concernant l hygi ne Ils ont le droit de faire des 2 A leur demande les travailleurs ou leurs repr sentants au sein de l entreprise doivent tre associ s d une mani re appropri e aux investigations et aux visites de l entreprise faites par les autorit s L employeur doit les informer des exigences formul es par ces derni res Cet article traite du droit de consultation collec tif des travailleurs en mati re de protection de la sant contrairement l article 5 OLT 3 qui vise l information et leur mise au courant individuelle Pr server la sant est un devoir permanent de l employeur qui en porte l enti re responsabilit des travailleurs qui ont le droit et l obligation d y participer activement et des sp cialistes externes auxquels il convient de recourir en cas de n cessit art 7 al 3 OLT 3 Des mesures visant la protec tion de la sant ne sont efficaces que lorsque ces trois groupes collaborent Les dispositions l gales se fondent sur le fait que les travailleurs ont un droit
356. ire de l ordonnance 4 relative la loi sur le travail Chapitre 2 Construction et am nagement des entreprises soumises la proc dure d approbation des plans Section 3 Passages Art 10 Portes et sorties situ es sur les voies d vacuation 8 Illustrations de protections sp ciales Annexe de l art 10 Sch ma Description Remarques 8 1 Enveloppes de protection Les d battements lat raux de la porte coulissante doivent tre maintenus libres par des mesures techniques ad quates enveloppes de protection En 82 Signalisation des voies d vacuation sur les passages de v hicules Les pi tons ont la priorit Vu a N 8 3 Pose d l ments massifs afin que du mat riel des v hicules etc n entravent pas a l utilisation des issues de secours 8 4 Avant toit pr venant l accumulation de neige Diminue galement le risque de qui constituerait une entrave l utilisation des chutes dues aux mauvaises FT issues de secours conditions m t orologiques EE z SECO avril 2009 410 K Commentaire de l ordonnance 4 relative la loi sur le travail Chapitre 2 Construction et am nagement des entreprises soumises la proc dure d approbation des plans Annexe de l art 10 Section 3 Passages Art 10 Portes et sorties situ es sur les voies d vacuation 9 Illustration de types de
357. ires locaux de s jour et premiers secours Art 33 R fectoires et locaux de s jour CIE Article 33 R fectoires et locaux de s jour Pa puissent y s journer L 1 En cas de besoin notamment lorsqu ils travaillent de nuit ou par quipe les travailleurs doivent pou voir disposer de r fectoires et de locaux de s jour ad quats et calmes ceux ci doivent si possible tre clair s naturellement donner sur l ext rieur et tre s par s des postes de travail 2 Si le d roulement du travail requiert la pr sence des travailleurs dans les locaux de travail aussi pen dant les pauses des si ges ad quats doivent tre mis leur disposition 3 Au besoin des places de repos doivent tre am nag es 4 Lorsque les travailleurs doivent r guli rement et fr quemment assurer un service de permanence et qu il n existe pas de locaux de repos d autres salles doivent tre mises leur disposition pour qu ils Alin a 1 Si le besoin s en fait sentir les travailleurs devront disposer de r fectoires et de locaux de s jour s par s Ce besoin d pend de la grandeur de l en treprise du nombre de personnes qui utilisent ces locaux de la nature du travail de la situation de l entreprise et de ses environs Le besoin au sens de l alin a 1 est notamment tabli dans les cas sui vants e si l entreprise ou une partie de l entreprise travail le en quipes ou de nuit e si les travailleurs effectuent d
358. isation d exploiter ob it aux m mes r gles que la proc dure d approbation des plans dans le cadre de la proc dure f d rale coordonn e selon l article 41 de la pr sente or donnance L art 41 al 4 pr cise que les autres prescriptions de la loi et de la pr sente ordonnan ce s appliquent Les exigences formelles et tech niques de protection de la vie et de la sant des travailleurs qui sont usuelles s appliquent ici aussi sans restriction et ce notamment pour des raisons d galit de traitement entre les entreprises voir commentaire de l art 43 OLT 4 Dans la proc dure f d rale coordonn e comme dans la proc dure normale une visite de r cep tion sur place est un pr requis l octroi d une autorisation d exploiter Cette visite vise v rifier que l ouvrage r alis correspond aux plans ap prouv s L autorit unique doit toujours faire ap pel pour cela l Inspection f d rale du travail en tant qu autorit sp cialis e dans la protection des travailleurs l Inspection f d rale du travail d cide quant elle sur la base des prescriptions existantes LTr LAA LSPro etc si elle doit faire appel la CNA des organes d ex cution cantonaux ou des organisa tions sp cialis es pour le contr le et pour l tablis sement d un corapport l Inspection f d rale du travail indique dans son rapport le r sultat du contr le de r ception quant au respect des exigences de la protection des tra
359. ision si et dans quelles conditions les activit s peuvent d buter ou tre poursuivies Puis il y a lieu d entamer une proc dure ordinaire selon les arti cles 7 LTr et 37 et suivants de la pr sente ordon nance Vu la gravit des lacunes et leur potentiel de risque lev on ne saurait renoncer une pro c dure d approbation des plans a posteriori aussi compl te que possible Cette proc dure engendre des co ts importants pour l employeur ou le ma tre d uvre Elle se limitera donc l installation ou la partie d installation pr sentant effectivement un risque potentiel important et ses environs im m diats 444 2 Commentaire de l ordonnance 4 relative la loi sur le travail Chapitre 4 Approbation des plans et autorisation d exploiter Section 3 Dispositions particuli res Art 45 Transformation des installations int rieures Article 45 Art 45 Transformation des installations int rieures Va vailleurs L employeur doit aussi demander l approbation des plans et l autorisation d exploiter selon les art 7 ou 8 de la loi pour la transformation d installations int rieures de l entreprise notamment tech niques la r affectation de locaux le r am nagement de postes de travail s ils entra nent une mo dification essentielle ou laissent pr voir une aggravation des risques pour la vie ou la sant des tra Les installations int rieures comme les processus de travail doi
360. isol s sp cifiques b des distances de s curit suffisantes entre b ti ments et le cas ch ant galement entre par ties d entreprise ne contient que quelques dispositions d ordre g n ral et confie aux autorit s comp tentes la mis sion de prescrire les mesures de s curit n ces saires pour la protection des travailleurs en tenant compte du genre et de la quantit des mati res et des proc d s de travail voir l alin a 2 de l article Alin a 2 Les mesures devant tre prescrites par les autorit s en vertu de l alin a 2 concernent a la subdivision des b timents ou des locaux en compartiments d incendie horizontaux ou ver tion de la manipulation et de l entreposage de mati res pr sentant un risque particulier d in cendie certains tages ou locaux d un b ti ment Il peut aussi s agir d une prescription fixant o des mati res pr sentant un danger particulier d incendie peuvent tre utilis es et o elles peuvent tre entrepos es la fixation de la longueur des voies d vacua tion des postes de travail jusqu aux sorties Dans ces cas et contrairement l article 8 ali n a 2 OLT 4 la voie d vacuation ne se mesure pas en ligne droite mais le long du chemine ment effectif et sans obstacle jusqu la pro chaine sortie SECO ao t 2006 420 1 Commentaire de l ordonnance 4 relative la loi sur le travail Art 20 Chapitre 2 Construction et am nagement de
361. issement et de ses alentours avec orientation l chelle du plan b les plans de tous les locaux avec indication de leur destination y compris les foyers les r fectoires lavabos bains locaux de premier secours vestiaires et WC ainsi que le plan des sorties escaliers c le plan des fa ades avec indication des constructions de fen tres d les coupes longitudinales et transversales n cessaires l examen de la construction dont une de e s il s agit d une transformation les plans de l ancienne installation lorsque celle ci n appara t 2Les plans mentionn s sous let b d de l al 1 doivent tre cot s et dress s une chelle de 1 50 3Les plans indiqueront clairement en particulier l emplacement des postes de travail des machines a chaudi res vapeur r cipients de vapeur et r cipients sous pression b installations de chauffage et citernes mazout installations de ventilation installations de chaut fage pour les besoins techniques installations gaz et installations d puration des eaux us es installations affect es la transformation et l entreposage de mati res particuli rement inflam installations de peinture au pistolet et fours de s chage installations pour la production de radiations ionisantes Cet article d crit en d tail les exigences auxquel les doivent r pondre les plans soumettre L article 39 alin a 2 s applique par analogie l article 38 alin
362. itifs 322 Mesures 322 Valeurs limites et indicatives 322 Bruits de basses fr quences 322 Bureau de r ception 407 C Cabines de commande 312 Cabines individuelles de douche 331 Cadrans d affichage signaux 323 Cages d escaliers 407 409 Cages d escaliers de s curit 407 Cages d escaliers et couloirs 409 Charge thermique 409 SECO novembre 2011 Index Commentaire des ordonnances 3 et 4 relatives la loi sur le travail Index Conception des escaliers 409 Largeur 407 409 Occupation par un petit nombre de personnes 409 Paliers interm diaires 409 R sistance aux intemp ries 409 Cages d escaliers et sorties 407 408 B timents de grande hauteur 407 Corridor de sortie 407 Nombre de sorties 407 Sorties donnant sur l ext rieur 407 Canaux de ventilation 317 418 Capacit totale d absorption du son 322 Casier v tements 330 Certificat de conformit 327 AP CFST 336 Chambres froides portes d vacuation 410 Champ d application de l OLT 3 301 AP Champ d application de l OLT 4 401 AP Entreprises non industrielles 401 Proc dure d approbation des plans 401 Risques importants 401 Changement d affectation 303 401 405 417 Changement de posture 324 Chantiers 329 335 AP Coop ration 308 Locaux sociaux 329 330 331 332 333 Premiers secours 336 Travail en plein air 321 Travailleurs en plein air 320 Charge thermique 409 Charges 325 Information et formation 325 Mesures d organisation 325 M
363. ition g n rales Article 2 Mandats confi s des tiers 402 1 Article 3 Expertise technique 403 1 Section 2 Locaux de travail Article 4 Locaux de travail souterrains ou sans fen tres 404 1 Article 5 Hauteur des locaux 405 1 Section 3 Passages Article 6 Largeur 406 1 Article 7 Cages d escaliers et sorties 407 1 Article 8 Voies d vacuation 408 1 Article 9 Construction des cages d escaliers et des couloirs 409 1 Article 10 Portes et sorties situ es sur les voies d vacuation 410 1 Article 11 Echelles fixes 411 1 Article 12 Garde corps balustrades 412 1 Article 13 Voies ferr es 413 1 Article 14 Quais de chargement pour wagons de chemins de fer 414 1 Article 15 Installations de transport 415 1 Article 16 Rampes 416 1 Section 4 Eclairage et ventilation des locaux Article 17 Fen tres 417 1 Article 18 Installations de ventilation 418 1 Section 5 Entreprises pr sentant des dangers particuliers 45 1 Article 19 Entreprises pr sentant un danger particulier d incendie a Champ d application 419 1 Article 20 b Mode de construction 420 1 Article 21 c Nombre maximum de travailleurs installations d exploitation et quantit de mati res 421 1 Article 22 Entreprises pr sentant un danger d explosion a Champ d application 422 1 Article 23 b Mode de construction 423 1 Article 24 c Nombre maximum de travailleurs installations d exploitation et quantit de ma
364. ivants de la loi sur le travail concer nant les d cisions les mesures de contrainte admi nistrative et la juridiction administrative Il est conseill aux instances cantonales de deman der l avis de l Inspection f d rale du travail avant d octroyer une d rogation Alin a 2 Lorsqu un employeur demande une d rogation l autorit comp tente il doit pr alablement infor mer oralement ou par crit les repr sentants des travailleurs ou d faut les travailleurs direc tement concern s de la teneur de sa demande Le but de cette information est de leur expliquer les raisons de la demande de d rogation et le cas ch ant de leur indiquer quelles sont les mesures compensatoires pr vues pour garantir leur protec tion d une autre mani re que celle pr vue par l or donnance Les travailleurs ou leurs repr sentants ont galement la possibilit d exprimer oralement ou par crit leurs propositions ou leurs r serves au sujet des mesures pr vues voir l art 6 al 1 OLT 3 La demande de d rogation adress e aux autorit s contiendra de mani re objective le r sul tat de cette consultation L employeur informera les travailleurs concern s de la d cision des autori t s art 6 al 2 OLT 3 339 2 Commentaire de l ordonnance 4 relative la loi sur le travail Chapitre 1 Champ d application Art 1 Art 1 Article 1 Champ d application 1 La pr sente ordonnance d termine a
365. l au sens de l art 49 al 2 ch 1 2 ou 6 de l ordonnance du 19 d cembre 1983 sur la pr vention des accidents OPA al 2 litt o sont des entreprises utilisant des syst mes de travail et des installations complexes tels que des lignes SECO avril 2011 401 3 Commentaire de l ordonnance 4 relative la loi sur le travail Chapitre 1 Champ d application 1 Art 1 d emballage et de remplissage des syst mes de transport combin s des rayonnages palettis s en hauteur avec les gerbeurs appropri s Ces quipe ments de travail exigent autant de connaissances techniques concernant leurs l ments sp cifiques que de connaissances particuli res relatives la proc dure de production ainsi qu aux dispositifs de commande et de r gulation Alin a 3 La proc dure d approbation des plans et d autori sation d exploiter s tend aux entreprises ou par ties d entreprises pr sentant un caract re industriel au sens de l article 5 alin a 2 LTr ou appartenant l une des cat gories d entreprises num r es l article 1 alin a 2 OLT 4 ci apr s entreprises par ties d entreprises soumises l AP l enveloppe ext rieure des b timents forme en r gle g n rale la limite spatiale d une par tie d entreprise soumise l AP Cette limite peut aussi tre form e par exemple par un niveau et m me dans des cas particuliers tre fix e l in t rieur d un tage ce pour autant que les diff r
366. l ext rieur de l humidit ou diverses salissures ext rieures peuvent y tre transport es ou y p n trer Entr e avec sas de propret Entr e sans sas de propret Il est recommand d quiper les entr es avec des sas de propret Cages d escaliers o l humidit ou diverses salissures ext rieures peuvent tre transport es ou p n trer Sont comprises ici par exemple les cages d escaliers accessibles depuis les halls d entr e Entr e avec sas de propret Entr e sans sas de propret Locaux sociaux p exemple toilettes lavabos Fabrication de margarine graisses et huiles comestibles Fonte de graisses Ra ffineries d huiles comestibles Fabrication et conditionnement de margarine Fabrication et conditionnement de graisses comestibles embouteillage d huiles comestibles Laiteries et entreprises de transformation du lait fromageries Traitement et conditionnement du lait y compris beurrerie Affinage entreposage emballage de fromages Fabrication de glaces alimentaires Fabrication de chocolat et de sucreries Cuisson du sucre Fabrication de cacao Fabrication de la masse brute Fabrication des tablettes des pralin s et des articles moul s Tableau 314 5a Zones de travail pr sentant un danger de glissade SECO ao t 2006 314 7 Commentaire de l ordonnance 3 relative la loi sur le travail
367. la notion de face int rieure de la porte Face de la porte sur laquelle est appos e le dis positif b quille plaque de pouss e barre an tipanique permettant de manoeuvrer la porte situ e sur la voie d vacuation Autrement dit Les syst mes de fermeture de quelque type que ce soit p ex avec cl ou bouton tournant ne sont admis sur la face int rieure de la porte que s il suffit d actionner le dispositif appos sur la face int rieure de la porte pour lib rer imm diatement tous les l ments de fermeture bec de cane ou verrou actionn par une cl ou un bouton tournant Exception Les portes munies de dispositifs simples sont admises pour les petits locaux n accueillant qu un petit nombre de personnes et ne pr sen tant pas de dangers particuliers Si ces portes doivent pouvoir tre verrouill es on quipera leur face int rieure d un bouton tournant D finition de la notion de petits locaux n accueillant qu un petit nombre de personnes et ne pr sentant pas de dangers particuliers locaux dont la surface ne d passe pas 30 m2 et dans lesquels six personnes au maximum s journent simultan ment Parmi les locaux sans dangers particuliers figu rent les bureaux les locaux dans lesquels s ef fectuent des t ches de contr le ou des travaux de montage simples et les entrep ts ne conte nant pas de substances dangereuses e s ouvrir rapidement Les no
368. lai d ex cution est trop serr La surexploitation peut aussi r sulter des t ches peu clairement d finies ou trop compliqu es La sant tant psychique que physique peut tre menac e en cas de surexploitation comme de sous exploitation Caract ristiques requises des t ches bien organis es e Globalit r alisation de t ches compl tes avec la possibilit de v rifier si les r sultats de l activit correspondent aux exigences pos es Les travail leurs reconnaissent la signification et la valeur de leur activit e Vari t des exigences les t ches contiennent des l ments de planification d ex cution et de contr le respectivement des sollicitations posi tives diverses des fonctions corporelles ou des organes sensoriels C est ainsi que des com p tences connaissances et capacit s diverses peuvent tre utilis es et qu une sollicitation uni lat rale sera vit e e Autonomie signifie que les travailleurs ont des possibilit s d organisation et de d cision appro pri es Une marge de man uvre et de contr le adapt e donne l impression de ne pas tre sans influence ou insignifiant et renforce ainsi l estime de soi et la disposition prendre des responsabi lit s e Possibilit s d interactions sociales les t ches dont l ex cution exige communication et coop ration donnent un sentiment de reconnaissance et stimulent la solidarit Un soutien social mu tuel aide mieux support
369. lation thermique et de l tanch it Lorsqu une r duction de la surface des fen tres est admise la surface transparente garantissant la vue sur l ext rieur doit tre d au moins 4 de la sur face du sol Une diminution de la surface des fen tres peut aussi se justifier dans des cas particuliers par des motifs de protection de l environnement Il s agit avant tout des effets du bruit ou selon les circons tances de la lutte contre l extension d incendies ou les effets d explosions La raison conomique selon laquelle une construc tion pauvre en fen tres est moins on reuse ne l gi time en aucun cas de telles d rogations Le d veloppement industriel de ces derni res an n es et l imp ratif de rationalisation l aide de machines plus grandes et plus complexes par fois directement reli es entre elles r clament de surfaces de travail de grandes dimensions et d un seul tenant permettant une conception optimale des processus de travail C est non seulement le cas pour des constructions un seul niveau dans lesquelles un clairage naturel est possible par des lanterneaux mais dans certains cas aussi pour des b timents plusieurs tages La n cessit de mieux rentabiliser les parcelles de terrain disponi bles va dans le m me sens Le respect des surfaces vitr es exigibles peut s av rer impossible en cas de construction d annexes un b timent ou de refonte d un compartimen tage int rieur n
370. le on r duira le travail s dentaire ou intense On accor dera aux travailleurs des pauses plus fr quentes 321 4 Commentaire de l ordonnance 3 relative la loi sur le travail Chapitre 2 Exigences particuli res en mati re d hygi ne Section 2 Eclairage climat des locaux bruits et vibrations Art 21 Travail dans des locaux non chauff s ou en plein air ri Art 21 d une dur e suffisante afin qu ils puissent se r chauffer dans un local pr vu cet effet Ces pau ses seront consid r es comme compensatoires et par cons quent comme temps de travail Des boissons chaudes seront mises la disposition des travailleurs On veillera tout particuli rement ce que les pre miers secours soient garantis cf art 36 OLT 3 1 4 Habillement lors du travail au froid Le tableau 321 3 indique des combinaisons de v tements fonctionnelles pour un travail l ger dans les domaines de froid frais et II l g rement froid La tenue de protection contre le froid doit garantir un bon transport de l humidit p ex v tements respirants textiles non tiss s Pour garantir la fois protection contre le froid et limination de la transpiration on aura int r t porter plusieurs couches fines principe de la peau d oignon Cela permet de r agir rapidement tout changement de temp rature Pour que les v tements fonctionnels puissent d ployer leur effet il faut outre les propri t s des
371. le fonctionnement ne leur est pas tou jours enti rement connu L utilisation de produits de nettoyage pr sentant des risques pour la sant ne doit tre autoris qu aux personnes instruites leur usage Ceci est galement n cessaire si des tiers proc dent ces travaux par exemple des en treprises sp cialis es I faut attirer leur attention sur les risques existant et exiger express ment le respect des r gles g n ralement admises et de cel les sp cifiques l exploitation en question ce su jet voir galement les art 5 et 8 OLT 3 Si des l ments ont d tre d mont s il est indis pensable de v rifier la fin des travaux de net toyage ou d entretien par un contr le final avec remise formelle l utilisateur que tout a t cor rectement remont notamment les quipements de protection Si ces travaux sont accomplis pendant l exploita tion normale il faut s assurer que les autres tra vailleurs qui ne participent pas l entretien et au nettoyage ne sont pas mis en danger De plus il faut veiller ce que les d chets et autres substan ces ramass s lors du nettoyage ne constituent pas un risque en attendant d tre vacu s L utilisation et le nettoyage des installations con form ment leur destination le soin apport pen dant le travail usuel et la signalisation pr coce des d fauts constat s contribuent r duire sensible ment les interventions impr vues et am liorer
372. lectrotechnical Com mission illustration infrarouge Institut suisse de la sant publique et des h pitaux International Organization for Standardization vitrage isolant Kelvin kilogramme luminance Loi f d rale sur l assurance accidents Loi f d rale sur la protection contre les substances et les pr paration dan gereuses Loi sur les produits chimi ques lettre Laboratoire f d ral d essai des mat riaux et de recherches lumen Loi f d rale sur la protection de l en vironnement SECO novembre 2011 Liste des abr viations i Commentaire des ordonnances 3 et 4 relatives la loi sur le travail Liste des abr viations LSE LSPro LTr max METAS a MHT MSST no a OCF OFFT a OFIAMT a OFMET a OFPC OFPP Ohm OLT 1 OLT 2 OLT 3 OLT 4 Loi f d rale sur le service de l emploi et la location de services Loi sur la s curit des produits Loi f d rale sur le travail dans l indus trie l artisanat et le commerce loi sur le travail LTr lux m tre maximum Office f d ral de m trologie Division de m decine et d hygi ne du travail de l OFIAMT aujourd hui sec teur Travail et Sant M decins du travail et autres sp cialis tes de la s curit au travail Newton num ro Office des constructions f d rales aujourd hui Office f d ral des cons tructions et de la logistique OFCL Office f d ral de la formation pr
373. lectuelle manuelle l g re en position as 20 22 sise corporelle l g re en position de j 18 21 bout et d placements restreints corporelle moyenne 16 19 corporelle p nible 12 17 Tableau 316 1 Temp rature de l air en fonction de l activit Genre d activit intensit du mouvement k f amp Isolation thermique de l habillement La temp rature optimale du local est la moyenne entre la temp rature de l air et la temp rature des surfaces d limi tant le local temp ratures moyenne de rayonnement temp rature trop basse pour des postes de travail temp rature appropri e pour certains postes de travail p ex zones froides dans l industrie alimentaire temp rature trop lev e pour des postes de travail exception quelques jours caniculaires en t Illustration 316 1 temp rature optimale en fonction de l activit et de l habillement source SN 520 180 exemples pratiques vent de temp rature op rative est une valeur moyenne entre la temp rature de l air et la tem p rature moyenne de rayonnement des surfaces d limitant le local pond r e par la vitesse de l air Lorsque la vitesse de l air est faible on consi d re que la temp rature ressentie correspond la moyenne arithm tique des deux valeurs de temp rature cit es Le tableau 316 1 indique en fonction du type d activit les temp ratures de l air ad quates
374. lencieuses 2 3 Lettre c isolation des installations bruyantes ou division des locaux Dans les grands locaux o du personnel travaille les machines ou les automates bruyants seront se lon les possibilit s munis de capots Des exemples de r alisations concr tes sont pr sent s dans le feuillet CNA 66026 n existe qu en allemand L rmbek mpfung durch Kapselung Apr s l encapsulage une nouvelle mesure du bruit est conseill e Un bon encapsulage permet une r duc tion du bruit de gt 10 dB A 2 4 Lettre d mesures d organisation du travail Si les mesures techniques ne suffisent pas r duire le bruit au dessous des valeurs admissibles les tra vailleurs seront prot g s par des mesures d organi sation ou par des quipements individuels Par des mesures d organisation on r duit l exposition des travailleurs aux risques pour leur sant En premier lieu il s agit de r duire leur temps de s jour dans les lieux bruyants Les nuisances sonores provoquant un risque ou une g ne pour l ou e peuvent tre diminu es de mani re significative par l utilisation de moyens de protection individuels SECO ao t 2006 322 5 Commentaire de l ordonnance 3 relative la loi sur le travail Chapitre 2 Exigences particuli res en mati re d hygi ne ZON Art 22 Section 2 Eclairage climat des locaux bruits et vibrations Art 22 Bruit et vibrations Vibrations 1 Alin a 1 Les oscillati
375. les conditions de travail lors du nettoyage SECO ao t 2006 337 1 Commentaire de l ordonnance 3 relative la loi sur le travail Art 37 Chapitre 2 Exigences particuli res en mati re d hygi ne Eu Section 8 Entretien et nettoyage Art 37 Alin a 1 Alin a 2 Une bonne planification des travaux de nettoyage et d entretien permet de restreindre les co ts de minimiser les incidences sur le processus de fabri cation et de r duire les risques pour la sant en courus par les nettoyeurs et les travailleurs la pro duction Cette planification doit comprendre pour chaque objet entretenir la fr quence d interven tion les responsabilit s les conditions particuli res respecter arr t de certaines installations temps d attente observer etc et les instructions n ces saires pour le personnel de maintenance Lors de travaux risques il est particuli rement important de r gler les questions relatives la surveillance du personnel de maintenance et la possibilit de donner l alarme Le nettoyage doit tre r gulier mais la fr quence d pend d une multitude de facteurs tels que le degr de souillure les risques encourus d une part par le mauvais fonctionnement ou l accumur lation de substances et d autre part lors du net toyage ou de l entretien etc bruit rayonnement etc cf aussi art 13 26 31 et 37 OPA Souvent il est utile de tenir un registre qui men tionn
376. les ne peuvent tre satisfai tes par des mesures rationnelles visant abaisser le niveau sonore il y a lieu d quiper de protecteurs d ou e les travailleurs expos s un niveau sonore Lex sh 285 dB A Pour un niveau sonore inf rieur le port de protecteurs d ou e permet d obtenir une r duction des nuisances Les valeurs indiqu es pour les exigences accrues doivent tre consid r es comme des objectifs Elles sont fond es sur l obligation l gale prescrivant que les nuisances so Niveau sonore Lex en dB A Activit Exigences normales Exigences ac crues Groupe 1 Activit s industrielles 85 lt 75 et artisanales Groupe 2 Travaux de bureau et activit s compara bles de production ou t ches de sur veillance Groupe 3 Activit s essentielle ment intellectuelles exigeant une grande concentration 1 Exigences normales valeurs indicatives respec ter de mani re g n rale dans la plupart des cas 2 Exigences accrues valeurs indicatives pour les ob jectifs En m me temps ce sont les valeurs atteindre pour les activit s pr sentant des exigences sup rieu res en mati re de rendement et de qualit du travail ou n cessitant une attention particuli rement soutenue etc Tableau 322 1 Valeurs indicatives en fonction de l activit 322 2 Commentaire de l ordonnance 3 relative la loi sur le travail Chapitre 2 Exigences particuli res en mat
377. leurs limites en cas de grossesse On ne peut occuper des femmes enceintes des postes de travail avec un bruit de fond gt 85 dB A Les charges li es aux infra ou ultra sons doivent tre analys es s par ment SECO ao t 2006 322 1 Je Art 22 Commentaire de l ordonnance 3 relative la loi sur le travail Chapitre 2 Exigences particuli res en mati re d hygi ne Section 2 Eclairage climat des locaux bruits et vibrations Art 22 Bruit et vibrations 1 2 2 Valeurs indicatives pour les nuisances sonores g nantes La g ne provoqu e par un bruit d pend du genre de la source sonore de la propagation des sons dans le local et de l exposition des personnes con cern es La g ne ressentie peut tre diff rente en fonction de l attention que n cessite l activit exer c e Le seuil individuel de tol rance varie en fonc tion de l tat psychique Lors de la fixation des va leurs indicatives on a tenu compte des diff rentes activit s Pour les locaux de travail des exigences quant leurs caract ristiques acoustiques et des valeurs indicatives concernant le bruit de fond ont t d finies Remarque Ces valeurs indicatives fond es sur la norme euro p enne prEN 31690 ont t fix es par un groupe de travail compos de repr sentants du SECO de l AIPT et de la CNA M me si les valeurs indiqu es en fonction des activit s sous le chiffre 1 2 3 sont respect es cela n exclu
378. lier lorsque leur exploitation peut engendrer des dangers particuliers De tels dangers existent dans les installations de ventilation lorsque des gaz des vapeurs des brouillards ou des substances solides inflammables se trouvent dans l air aspir Des me sures ad quates sont indispensables pour viter la formation de m langes explosibles et de sources d allumage et pour limiter autant que possible les d g ts provoqu s par d ventuels incendies et ex plosions En cas de risque d explosion les installations devront tre conformes l ordonnance sur les appareils et les syst mes de protection destin s tre utilis s en atmosph res explosibles OSPEX du 2 mars 1998 RS 734 6 Alin a 1 Le ventilateur d extraction et son entra nement ne doivent pas constituer un moyen d allumage effi cace lorsqu ils se trouvent dans une zone pr sen tant un danger d explosion ou dans le canal d ex traction Les parties de l installation notamment les ventilateurs ne doivent pas provoquer d tin celles p ex par frottement de l acier pales sur l acier canal Les mat riaux choisis doivent tre adapt s l uti lisation pr vue En particulier il faut tenir compte de leur r sistance la corrosion due aux acides aux alcalis et d autres substances corrosives Pour viter la propagation d un incendie le choix des mat riaux le compartimentage des canaux leur isolation par rapport aux parties de b timent com
379. liers est d termin conform ment aux alin as 2 et 3 du pr sent article ill 407 6 2 4 Alin a 4 Lorsqu il y a deux sorties ou plus les cages d esca liers doivent tre situ es aux extr mit s du b ti ment Ce principe se fonde sur le fait qu il doit SECO f vrier 2008 407 5 Art 7 2i si possible toujours y avoir deux voies d vacua tion pour tous les locaux Disposer les cages d es caliers aux extr mit s des b timents se r v le aus si avantageux en cas d agrandissements ventuels ill 408 2 408 6 2 5 Alin a 5 L utilisation d ascenseurs en cas d urgence est inter dite dans les b timents de grande hauteur Ne sont donc disposition que des voies d vacuation ver ticales dont l utilisation demande plus de temps Dans de tels b timents les pompiers ne peuvent pas non plus assurer l vacuation des personnes par les fen tres ou les chelles disposition Les cages d escaliers de b timents lev s doivent donc r pondre des exigences de s curit plus lev es Ceci est valable tant pour les acc s aux tages que Coupe A A Sortie de secours avec _ caillebotis ou garde corps k Echelle Tube d vacuation Puits de sortie Puits de sortie Illustration 407 7 Issue de secours avec tube d vacuation mesures en cm Commentaire de l ordonnance 4 relative la loi sur le travail C
380. lit e demander l abrogation de l assujettissement Aucun commentaire n cessaire SECO ao t 2009 434 1 Commentaire de l ordonnance 4 relative la loi sur le travail eo Chapitre 3 Entreprises industrielles Section 2 Proc dure d assujettissement Art 35 Art 35 Notification de la d cision Article 35 Notification de la d cision L autorit cantonale notifie par crit l employeur en les motivant les d cisions concernant l assu jettissement 2 Elle transmet un double des d cisions l office f d ral et la CNA Toutes les d cisions concernant les assujettisse ments nouvel assujettissement modification ou abrogation d un assujettissement doivent tre adress es l employeur par crit avec une moti vation Ce dernier a en vertu du droit proc dural cantonal la facult de recourir contre une d cision en indiquant ses motifs A noter qu en r gle g n rale ne peuvent entrer en ligne de compte que des motifs fond s sur la LTr La question de l affilia tion obligatoire la CNA r gie par la loi sur l as surance accidents ne constitue pas un motif de recours contre une d cision concernant un assu jettissement SECO ao t 2009 435 1 Commentaire de l ordonnance 4 relative la loi sur le travail eo Chapitre 3 Entreprises industrielles Section 2 Proc dure d assujettissement Art 36 Communications de l office f d ral l autorit cantonal
381. llution de l air Art 18 g s Le polluant n a pas la latitude de se mouvoir par lui m me et il sera contr l d s lors que l on captera l air avec lequel il est m lang A l inver se les diff rences de densit induites par une l vation de la temp rature de l air par exemple au contact d une surface chaude peuvent avoir des effets importants sur les mouvements de l air Lorsque la pollution demeure faible ou que les substances lib r es sont peu nuisibles ou peu in commodantes des syst mes ouverts sont admis Dans ce cas on vacuera les polluants des pos tes de travail par une circulation appropri e de l air dans le local Avec une telle ventilation il faut pren dre garde que selon la densit des gaz ou des va peurs d gag s l air du local doit tre aspir pr s du plafond pour les gaz de densit inf rieure celle de l air ou au contraire pr s du sol pour les gaz ou vapeurs de densit sup rieure celle de l air Avec des syst mes semi ouverts galement une ventilation suppl mentaire du local est en g n ral n cessaire pour obtenir une qualit d air sa tisfaisante Elle entra ne une dilution ou un refou lement des polluants dans l air ambiant et leur concentration aux postes de travail est alors r dui te un niveau tol rable De par ce principe de dispersion des polluants la ventilation g n rale admet donc un niveau de pol lution r siduelle sur les lieux de travail C est
382. lume d air renouvel par rap port au volume d un local unit par heure h 1 Dans les locaux o l a ration est assur e par des fen tres le taux de renouvellement d air s l ve entre 0 1 et 1 h 1 et dans ceux quip s d un sys t me de ventilation m canique il atteint en r gle g n rale de 2 5 h 1 voir galement Ventila tion dans les commentaires de l art 17 OLT 3 En outre les locaux utilis s des fins techniques tels les laboratoires et les entrep ts de mat riaux dangereux sont soumis des taux de renouvelle ment d air sup rieurs cf les directives y relatives de la CFST Mesure de la qualit de l air au regard de la base du dioxyde de carbone CO La qualit g n rale de l air ambiant d un local peut tre valu e simplement au regard de la concen tration de dioxyde de carbone CO dans l air le commerce propose divers instruments de mesure pour autant qu aucunes autres impuret s particu li res ne soient en suspension par exemple dans les bureaux La teneur en CO de l air ext rieur s l ve environ 0 04 vol ou 400 ppm En cas d activit normale l int rieur d un local chaque personne exhale environ 20 l h de CO avec cette cons quence que la concentration de ce gaz tend augmenter mesure que le s jour se prolonge dans une pi ce Elle d pend d un c t du degr d occupation des lieux et de l autre du flux d air ex t rieur Lorsque l arriv e d
383. m et que des installa SECO f vrier 2008 407 7 Commentaire de l ordonnance 4 relative la loi sur le travail Chapitre 2 Construction et am nagement des entreprises soumises la proc dure d approbation des plans Art 7 tions techniques importantes sont am nag es sur le toit celui ci doit aussi pouvoir tre quitt par une deuxi me voie d vacuation voir article 8 OLT 4 ill 408 11 Cette voie d vacuation peut tre am nag e sous forme d un deuxi me esca lier ventuellement d une chelle de meunier o d un escalier escamotable ou exceptionnellement d une chelle fixe On ne peut renoncer des balustrades le long des voies de circulation que si celles ci se trouvent au minimum 3 m du bord du toit La voie de circu lation sera dans tous les cas clairement d finie ou jalonn e L acc s aux installations en toiture r pond en prin cipe aux m mes crit res que celui aux superstruc tures En fonction des conditions on peut am na Section 3 Passages Art 7 Cages d escaliers et sorties ger au lieu d escaliers ordinaires des chelles de meunier des escaliers escamotables ou exception nellement des escaliers tournants ou des chelles fixes 3 3 Guichets de r ception dans des cages d escaliers Dans certaines entreprises des guichets de r cep tion enti rement ou partiellement vitr s sont in t gr s dans des cages d escaliers ou des corridors d vacuation Ceux ci
384. m Le secteur dans lequel l am nagement de postes de travail permanents est autoris est indiqu dans l illustra tion 404 1 Profondeur maximale pour l am nagement de postes de travail permanents max 3 m Hauteur or j des yeux E Illustration 404 1 Vue sur l ext rieur pour des locaux situ s en dessous du niveau d un terrain pentu SECO ao t 2006 404 1 Commentaire de l ordonnance 4 relative la loi sur le travail Chapitre 2 Construction et am nagement des entreprises soumises la proc dure d approbation des plans Section 2 Locaux de travail Art 5 Hauteur des locaux Article 5 Hauteur des locaux Art 5 Va faible l air et le climat du local al 3 1La hauteur libre des locaux de travail sera d au moins a 2 75 m pour une surface de sol de 100 m au plus b 3 00 m pour une surface de sol de 250 m au plus c 3 50 m pour une surface de sol de 400 m au plus d 4 00 m pour une surface de sol de plus de 400 m 2 Par surface de sol on entend la surface d limit e par des parois construites pour des raisons de sta tique de s curit d hygi ne de protection contre l incendie ou de technique de production 3 Les autorit s peuvent autoriser des hauteurs inf rieures lorsque a la profondeur du local mesur e perpendiculairement aux fen tres en fa ade est relativement b le local es
385. mit ou r parti au total pas plus de 30 du temps de tra vail quotidien Activit s mixtes initiative principale ment chez l utilisa teur t ches d int r ts multiples de mani re ind pendante contacts internes et ou externes Par exemple Fonction dirigeante sp cialiste employ sp cialis services p ex se cr tariat Ecran compl tant un poste de travail technique ou ad ministratif poste normal utilisation evtl par plusieurs person nes Eclairement et disposition centr s sur activit s conven tionnelles Disposition judicieuse et cran inclin vers l avant suffisent pour atteindre des conditions de travail satisfai santes Souvent Activit mixte ou intense au total pas plus de 50 du temps de tra vail quotidien Postes fr quents dans les bureaux et administrations postes de travail combin s Ameublement clairage disposition et quipement con us pour une activit mixte criture manuelle et travail l cran de visualisa tion Exclusivement Saisie de don n es intense ou travail de dialog gue plus de 50 du temps de Activit r p titive intensive et mono tone l initiative ap partient au sys t me pression et contr le de l ext rieur peu ou pas Saisie de textes ser vice central de dacty lographie op rateurs de saisie travaux en CAD CAM Postes de travail sp cialis s occupation partiel lement e
386. mployeur qui doit remplir ces exigences il doit galement veiller ce que l int gri t personnelle soit respect e par tous les travailleurs et le cas ch ant par les clients de l entreprise Le harc lement sexuel ou psychologique la discri mination fond e sur le sexe la race ou la religion SECO avril 2007 302 3 Art 2 t Commentaire de l ordonnance 3 relative la loi sur le travail Chapitre 1 Dispositions g n rales Art 2 Principe sont des exemples d agressions de l int grit per sonnelle Les autorit s de surveillance remplissent une t che avant tout pr ventive information conseil et sensibilisation dans les entreprises elles peuvent n anmoins intervenir en cas de probl me Les autorit s devraient disposer dans ce domaine d un personnel ayant re u la formation n cessaire Dans le cas de harc lement sexuel la victime de vrait pouvoir s adresser une personne de son sexe L exp rience a montr que jusqu ici majo ritairement les agresseurs taient des hommes et les victimes des femmes voir aussi les explications dans l annexe sur la protection de l int grit per sonnelle des travailleurs Alin a 2 Les autorit s comp tentes tiendront compte en ordonnant les mesures de protection de la sant des conditions particuli res propres la branche d activit de l entreprise tant sur les plans tech nique conception du b timent et organisation du travail qu
387. n Leur objectif est surtout de limiter l immission dans les lieux utilisation sensible p ex zones d habi tation coles h pitaux et postes de travail perma nents L exposition professionnelle au RNI due des sources internes l entreprise p ex appareils souder chauffages induction installations de galvanisation installations de distribution de cou rant est soumise en vertu de la LAA aux pres criptions de l ordonnance sur la pr vention des accidents OPA RS 832 30 et aux valeurs limites d exposition aux postes de travail Suva 1903 f Les personnes porteuses d implants m dicaux ac tifs p ex pacemakers et d fibrillateurs peuvent n anmoins ne pas tre suffisamment prot g es par ces valeurs limites Dans de tels cas il convient de proc der une valuation sp cifique de la si tuation De mani re g n rale le principe de pr caution veut que l on cherche viter ou r duire le plus possible l exposition au RNI dans le cadre de l activit professionnelle m me lorsque ladite exposition se situe en dessous des valeurs limites voqu es pr c demment 2Champs lectromagn tiques haute et basse fr quences Lettre c Un effort est excessif s il constitue une surcharge pour le travailleur Certaines sollicitations trop in tenses ou inadapt es portent la longue davan tage pr judice l organisme du travailleur que ne le fait un effort excessif unique Un effort tro
388. n quipe Ameublement clairage disposition et quipement con us sp cialement pour le travail l cran Am nagement de pauses suppl mentaires travail quotidien de contacte Tableau 323 2 Tableau concernant le travail l cran de visualisation des pauses ou d autres t ches comprenant plus de mouvement De courtes pauses fr quentes orga nis es individuellement cr ant un bon quilibre entre travail et relaxation sont judicieuses Elles vitent un temps trop long sans changement de posture et une accumulation de gestes et mouve ments r p titifs Recommandation e 2 minute sur 10 minutes ou e 3 minutes sur 50 minutes e Si le travail l cran se poursuit toute une jour n e deux interruptions suppl mentaires de 10 minutes chacune seront intercal es dans la deux i me demi journ e De courts et fr quents exercices physiques ou de relaxation aident d crisper la musculature et am liorer la circulation sanguine 3 8 Exigences particuli res Exigences visuelles Il n existe jusqu ici aucune indication que le travail l cran de visualisation est n faste pour la vue Les troubles oculaires proviennent la plupart du temps du d s quilibre entre l acuit visuelle n ces saire et les facult s de perception fatigue oculai re Les personnes les plus expos es sont celles qui souffrent d anomalies telles que l astigmatisme ou le strabisme latent ou d alt
389. n cessaire pour des diminutions plus importantes Les prescriptions locales de construction pr voyant une limitation de la hauteur des b timents peuvent justifier une d rogation dans des cas par ticuliers De telles d rogations doivent galement se fonder sur l article 27 OLT 4 Alin a 4 Des hauteurs de locaux plus grandes que celles prescrites au premier alin a peuvent se r v ler n cessaires lorsque des am nagements int rieurs di minuent notablement le volume d air ou lorsque des installations d exploitation telles qu engins de manutention influencent n gativement la s curi t Dans le cas de d rogations selon les articles 4 lo caux de travail souterrains ou sans fen tres et 17 alin a 3 locaux avec surface de fen tres r duite de plus grandes hauteurs de locaux servent essen tiellement am liorer l aspect des locaux selon les connaissances de la psychologie du travail Il est ainsi possible d augmenter le bien tre des travail leurs et de combattre un sentiment de claustro phobie 405 2 Commentaire de l ordonnance 4 relative la loi sur le travail Chapitre 2 Construction et am nagement des entreprises soumises la proc dure d approbation des plans Section 3 Passages G n ralit s G n ralit s Section 3 Passages Les passages au sens de la pr sente ordonnance sont les zones pr vues pour la circulation des pi tons et des v hicules l int rieur de l entrep
390. n cessit d adapter les forces exercer aux capacit s corporelles e la connaissance des aspects physiologiques et psychologiques de la perception humaine 1 1 Dimensions corporelles Les dimensions corporelles sont particuli rement importantes pour la conception et l am nagement des postes de travail Celles ci ne suffisent toute fois pas la d finition des dimensions des postes de travail des machines et de l outillage car les mouvements du corps et les conditions de d rou lement du travail doivent tre prises en compte SECO ao t 2006 323 1 Art 23 Commentaire de l ordonnance 3 relative la loi sur le travail Chapitre 2 Exigences particuli res en mati re d hygi ne Section 3 Postes de travail Art 23 Exigences g n rales Souvent les dimensions n cessaires ne peuvent tre obtenues que par des constructions munies de m canismes de r glage Il est utile de contr ler les dimensions espace de d placement hauteur et facilit de saisir les dispo sitifs de commande ou les pi ces au moyen d un dessin du poste de travail 1 2 Force physique La force physique de l tre humain d pend de son ge de son sexe de sa taille et de son poids Elle est la plus lev e chez les hommes entre 20 et 30 ans La force physique est cr e par transforma tion d nergie dans les muscles Dans le travail musculaire on distingue une charge statique et une charge dynamique L
391. n connaisse le champ d observation Les illustrations 326 1 et 326 2 montrent la position des cam ras et leur champ d observation dans le cas d un gui chet de banque o la client le et le personnel ne sont pas s par s par un vitrage de s curit Le per sonnel bancaire ne se trouve qu exceptionnelle ment dans le champ de la cam ra Certaines instal lations de production complexes sont galement quip es d installations vid o o elles servent la conduite de proc d s et la s curit Ici aussi la position de la cam ra et son champ d observa tion sont choisir de fa on que seul le proc d soit surveill et que les travailleurs n apparaissent qu exceptionnellement sur l image Si la surveillan ce des travailleurs eux m mes est imp rative pour des motifs de s curit par exemple pour pouvoir les prot ger dans des situations dangereuses de puis une centrale de commande on essaiera de les prot ger par des solutions de rechange comme des signaux r guliers quittancer faute de quoi une alarme est d clench e Espace interne la banque Vestibule ce Illustration 326 1 Position des cam ras et leur champ d observation dans le cas de guichets de banque ouverts plan Dans la mesure du possible on r duira au maxi mum la dur e de fonctionnement du syst me de surveillance en ne l enclenchant qu certaines tapes critiques du travail ou en faisant en sor te que le trava
392. n es par l Office f d ral de la Justice le 15 juillet 2008 CO Code des obligations SECO juillet 2010 336 1 Commentaire de l ordonnance 3 relative la loi sur le travail Art 36 Chapitre 2 Exigences particuli res en mati re d hygi ne Section 7 Vestiaires douches lavabos toilettes r fectoires locaux de s jour et premiers secours Art 36 Premiers secours RL mens tiquant des activit s diverses dans le m me b ti Qui Premier intervenant Techniciens ambulanciers Foie ee Secouriste M decins d urgence Personnel CASU M decins de garde La cha ne des secours Traitement Service des urgences salle d OP soins intensifs Transport d urgence Ambulance H licopt re m dicalis Premiers secours Appel d urgence 144 Appel des professionnels Indications par t l phone concernant les mesures de base Non professionnels Mesures d urgence de base Appel d urgence Mesures imm diates Securiser donner l alarme mise l abri Quoi Professionnels Mesures d urgence avanc es Aide d urgence o Lieu d urgence Transport H pital Illustration 336 1 La cha ne des secours Source Interas sociation de sauvetage IAS www 144 ch Alin a 1 Adaptation aux dangers pr sents dans l entreprise la taille et la situation g ographique de cette derni re La d termination des mesures de premiers secours n cessaires ou recommand es dans les entreprise
393. n CNA 2153 Pr vention des explosions Principes prescriptions mini males zones ex R gles CFST 1941 Gaz liqu fi s 1 partie R gles CNA 1416 et Cahiers suisses pour la s curit du travail n 124 Travaux l int rieur de r servoirs et dans des locaux exigus Cahiers suisses pour la s curit du travail n 155 La s curit dans l emploi des solvants Publication AISS n 2001 Stockage des produits dangereux Publication AISS n 2004 S curit des installa tions de gaz liqu fi Publication AISS 2 87 Explosions de pous si res Publication AISS 3 87 Explosions de gaz Cahiers de la CESICS 1 13 publications de la Commission des experts pour la s curit dans l industrie chimique de la Suisse SECO novembre 2011 45 1 G n ralit s Commentaire de l ordonnance 4 relative la loi sur le travail Chapitre 2 Construction et am nagement des entreprises soumises la proc dure d approbation des plans Section 5 Entreprises pr sentant des dangers particuliers G n ralit s On trouvera en outre des donn es techniques de s curit concernant les liquides et les gaz dans la publication CNA 1469 dans des manuels concer nant les produits dangereux ou dans les fiches de donn es de s curit de fournisseurs 3 D finitions Les dispositions relatives la protection des tra vailleurs et celles de l ordonnance s
394. n d ap probation des plans se rapportant l installation concern e et son environnement imm diat Si l approbation des plans fait encore d faut l em ployeur doit informer le tiers d une fa on g n rale sur les exigences de l approbation des plans En outre et de fa on g n rale l employeur doit dans tous les cas informer le tiers des particulari t s des besoins et des dangers de son entreprise Il peut arriver que pour la construction d une en treprise soumise l approbation des plans le man dant ne soit pas l employeur Comme il porte n an moins lui aussi la responsabilit en ce qui concerne l approbation des plans il faut lui recommander d informer spontan ment le tiers mandat pour la planification ou la construction de l entreprise SECO ao t 2006 402 1 Commentaire de l ordonnance 4 relative la loi sur le travail Chapitre 2 Construction et am nagement des entreprises soumises la proc dure d approbation des plans Section 1 Disposition g n rales Art 3 Expertise technique Article 3 Expertise technique Art 3 Les autorit s peuvent demander l employeur de pr senter un rapport d expertise technique lors qu il existe de s rieux motifs de douter que l installation projet e r siste aux charges et aux contrain tes auxquelles elle sera soumise lors d une utilisation conforme aux prescriptions Lors de l examen des plans en vue de leur appro bation les organes d
395. n des personnes d termina tion des voies d vacuation des cages d es caliers des issues etc dans les entreprises soumises la LTr De ce fait les personnes qui ne sont pas des travailleurs au sens de la LTr sont galement prot g es indirectement Les cantons ne poss dent plus de comp tence dans ce domaine depuis l entr e en vigueur de la LTr art 73 al 1 let a LTr Cela reste valable m me dans le cas o les prescriptions canto nales sont identiques ou plus s v res que les prescriptions f d rales en la mati re Les prescriptions cantonales en mati re de po lice du feu restent applicables pour autant qu elles concernent exclusivement la protection contre les incendies par des mesures de cons truction techniques et d organisation et qu el les sont compatibles avec les dispositions de protection des travailleurs Elles peuvent englo ber des prescriptions allant au del de celles de la protection des travailleurs comme par exem ple des dispositions concernant les voies d in tervention pour les pompiers ou pour la lutte contre l incendie Les travailleurs b n ficient in directement de ces mesures de protection Si el les contiennent par contre des exigences moins tendues ou contraires la protection des tra vailleurs les prescriptions f d rales priment Dans les entreprises o la pr sence du public est pr pond rante les dispositions cantonales ont pr s ance La protection du p
396. n int r t de contr ler r ception si les produits et les installations satisfont aux exigences en la mati re En cas de doute il peut faire appel un expert de l inspection du travail comp tente de la CNA ou prendre le conseil d un hygi niste du travail L employeur doit veiller ce que les travailleurs des entreprises mandat es soient inform s des me sures respecter dans l entreprise en mati re de protection de la sant voir l art 5 al 1 OLT 3 Dans les entreprises pr sentant un danger poten tiel lev il est recommand de dispenser une ins truction sp cifique ces travailleurs L acc s cer taines parties de l entreprise peut tre subordonn l acquisition d une instruction pr alable 308 2 Commentaire de l ordonnance 3 relative la loi sur le travail Chapitre 1 Dispositions g n rales Art 9 Location de services Le Art 9 Article 9 Location de services Lorsque l employeur occupe dans son entreprise des travailleurs dont il loue les services un autre employeur il a envers eux les m mes obligations en mati re d hygi ne qu envers ses propres tra vailleurs Remarque introductive l art 9 OLT 3 r gle en mati re de protection de la sant le m me prin cipe que l article 10 OPA Ordonnance sur la pr vention des accidents et des maladies profession nelles RS 832 30 qui lui r gle la s curit au travail voir aussi les directives CFST po
397. n permanente et r ci pients r sistant l onde explosive aptes sup SECO ao t 2006 424 1 Art 24 2 Commentaire de l ordonnance 4 relative la loi sur le travail Chapitre 2 Construction et am nagement des entreprises soumises la proc dure d approbation des plans Section 5 Entreprises pr sentant des dangers particuliers Art 24 Entreprises pr sentant un danger d explosion c Nombre maximum de travailleurs installations d exploitation et quantit de mati res porter l int rieur l onde de choc correspon dant la pression pr vue d une explosion Dans ce dernier cas une d formation permanente est admissible e Etouffement de l explosion e Classification des zones et moyens d exploitation lectrique conformes aux prescriptions du feuil let d information CNA 2153 Pr vention des explosions principes prescriptions minimales zones Lettre c Ily a lieu de pr voir une s paration entre locaux de production et locaux de stockage Dans les locaux de travail il ne faut conserver que les quantit s de liquides inflammables et de subs tances et m langes explosibles indispensables au d roulement du travail sans pr senter d inconv nients Ces quantit s doivent tre limit es au strict minimum Dans les entreprises utilisant des substances explo sives leur quantit doit tre r duite au strict mi nimum indispensable Il faut galement d finir la quantit maxim
398. na ture aura d termin celle ci commettre ou su bir un acte d ordre sexuel sera puni d une peine privative de libert de trois ans au plus ou d une peine p cuniaire Mobbing Le mobbing au travail appel galement psycho terreur consiste en des actes commis syst mati quement par un individu ou un groupe d indivi dus l encontre d une personne donn e dans le but et ou avec pour effet de l inciter abandonner son poste Ces actes que la personne vis e ressent subjectivement comme hostiles doivent se r p ter fr quemment par exemple chaque jour ou se maine et ce pendant une p riode prolong e La personne victime du mobbing se sentira d valori s e et exclue Des conflits peuvent surgir dans le cadre de n im porte quel poste de travail par exemple pour cause de divergences d opinion d exigences trop lev es ou d injustice toutefois sans que l int grit per sonnelle en soit n cessairement atteinte L l ment essentiel r side dans la mani re dont ces conflits sont g r s car des probl mes non r solus peuvent d t riorer durablement les relations entre des indi vidus et tre l origine d un mobbing Pour d terminer si l on a affaire du mobbing ou non il y a lieu de prendre en consid ration la si tuation dans son ensemble Dans les d buts il est parfois difficile de rep rer si l on a affaire de simples maladresses ou une attaque en r gle parce que les v nements i
399. nconfortable 80 60 40 Humidit relative de l air 20 sec inconfortable 0 12 14 16 18 20 22 Temp rature de l air C 24 26 28 Illustration 316 2 Source Terhaag 1986 Influence de la temp rature de l air et de l humidit relative sur le confort thermique Un bon confort est obtenu lorsque la temp ra ture moyenne mesur e sur les surfaces d limitant les locaux ne s carte pas de plus de 3 4 C de la temp rature moyenne de l air ambiant pour d autres informations voir les commentaires re latifs l art 20 OLT 3 sur le rayonnement calori fique Humidit de l air Le taux d humidit relative de l air exprim en h r id al pour l tre humain oscille entre 30 h r par une temp rature int rieure de 19 24 C l hiver et 65 h r par une temp rature de 22 28 C l t Une diminution jusqu 20 hr et un d passement jusqu 75 h r par rapport aux limites indiqu es est acceptable pour autant que ces ph nom nes soient occasionnels car ils ne mettent pas la sant en danger Une humidit relative importante gt 65 h r en particulier par des temp ratures assez lev es soit gt 24 C suscite une sensation d sagr able ill 316 2 A cela s ajoute qu un niveau d humidit lev permanent favorise du fait de la condensa tion de l eau sur les surfaces froides et dans les re coins le d veloppement de moisissures et autres
400. ncrimin s en tant que tels rel vent souvent de la peccadille Mais s ils se r p tent sur une longue p riode et que des per sonnes donn es en sont syst matiquement la cible d actes hostiles on parle alors de mobbing En pa reille situation des solutions ne peuvent tre trou v es qu en prenant en consid ration tous les as pects des conditions de travail Une analyse de chaque facteur pris isol ment ne suffit pas Mesures de pr vention L employeur est tenu de prendre des mesures afin de pr venir tout risque de harc lement sexuel mobbing ou autre forme de discrimination dans l entreprise Parmi les mesures importantes figurent e une d claration de principe selon laquelle l en treprise ne tol re pas les atteintes l int grit personnelle harc lement sexuel mobbing et SECO mai 2011 302 G Annexe de hA l art 2 f Commentaire de l ordonnance 3 relative la loi sur le travail Chapitre premier Dispositions g n rales Art 2 Principe discrimination fond e sur le sexe la race ou la re ligion Une telle d claration peut se r v ler tr s efficace car les formes de harc lement sont sou vent li es des rapports peu clairs une information aux travailleurs sur ce que signi fient harc lement sexuel mobbing et discrimina tion fond e sur le sexe la race ou la religion d finir et informer les travailleurs sur le proc d suivre en cas de harc lement sexuel mobb
401. nducteurs d lectricit stati que Des mesures suppl mentaires telles que la construction de merlons ou de murs de protection sont surtout n cessaires dans les entreprises trai tant des mati res explosives selon l article 25 OLT 4 Alin a 1 Dans certains cas le danger d explosion est encore trop lev malgr les mesures primaires de pro tection contre l explosion emp cher les m langes explosibles et les mesures secondaires de protec tion emp cher les sources d allumage Dans cet ordre d id es on peut mentionner le travail avec des poussi res combustibles p ex mouture de substances combustibles ou avec des substances ou m langes de substances explosibles p ex la ni trocellulose Dans de telles conditions des mesu res de construction destin es r duire autant que possible les effets d une explosion s imposent Il peut ainsi tre n cessaire d int grer des l ments de construction l gers dans les murs ext rieurs ou dans le toit d un b timent un seul tage ou en core au dernier tage d un b timent Ces l ments pourront tre souffl s par une explosion et dimi nueront l effet de l explosion par quilibrage des pressions La mise en danger du personnel lors d une explosion doit tre r duite au minimum dans le compartiment coupe feu ou le local con cern et vit e dans les compartiments ou locaux voisins Des v nements secondaires provoqu s par l explosion doivent aussi tre
402. nement du poste de travail et de l organisation en g n ral La protection de la sant ne se limite pas qu aux soins corporels bien qu elle les incorpore L em ployeur est tenu de mettre disposition de son personnel des installations sanitaires correctes et de les pourvoir en produits ad quats Une conception fonctionnelle des locaux de tra vail et des installations est la base de bonnes con ditions de protection de la sant Elle limine des risques permet de maintenir les b timents et ins tallations en bon tat et facilite le travail Lettre b Toute influence physique chimique ou biologique peut selon son type tre inoffensive ou porter at teinte au travailleur M me si les valeurs limites de la CNA ne sont pas atteintes le travailleur peut tre soumis des ef fets influen ant sa sant physique et psychique Dans les cas o cela est possible le SECO peut dicter des directives fixant des limites concernant la protection de la sant D autres influences ne peuvent tre appr ci es que subjectivement allant de plus ou moins ennuyeux franchement g nant L employeur s efforcera d abord de dimi nuer ou d liminer ces influences g nantes soit en choisissant un produit ou un processus de substi tution moins perturbant soit en modifiant les ins tallations ou l organisation du travail ventilation efficace environnement appropri etc avant de proposer au travailleur une protection in
403. nformes la l gislation ou non ce qui ne peut tre fait de mani re r aliste qu une fois que l ex ploitation a commenc D autres explications ce sujet figurent dans le commentaire de l article 43 OLT 4 Certains dossiers sont soumis la CNA Une con vention conclue entre l AIPT le SECO et la CNA r gle les cas dans lesquels cette transmission du dossier a lieu Pour les constructions concern es le contr le du projet global peut tre pr c d d une premi re visite de r ception par la CNA Si cet examen pr alable est mentionn dans la d cision d approbation des plans la CNA ne peut facturer son intervention l entreprise SECO ao t 2006 442 1 Art 43 Autorisation d exploiter Article 43 Autorisation d exploiter Commentaire de l ordonnance 4 relative la loi sur le travail Chapitre 4 Approbation des plans et autorisation d exploiter Section 2 Proc dure d autorisation d exploiter Art 43 Va vailleurs ploiter la CNA Le 1 L autorit comp tente statue sur la demande d autorisation d exploiter Lorsque des motifs suffi sants exigent une mise en exploitation anticip e l autorit comp tente peut accorder une autori sation provisoire si les mesures n cessaires ont t prises pour prot ger la vie et la sant des tra Si l examen de la demande r v le dans la construction ou les installations de l entreprise des d fauts qui ne pouvaient tre
404. ngue du travail en plein air o l on adapte g n ralement l habille ment l activit exerc e Lors d une activit l g re en position assise ou d une activit corporelle l g re en position debout la d pense nerg ti que est faible et le maintien de la temp rature cor porelle compromis Le travail dans le domaine de froid de degr I se retrouve principalement dans les entreprises de l industrie alimentaire pr paration transformation et emballage de produits frais et de mets semi pr par s o il est n cessaire pour des raisons d hygi ne Le plus souvent ces activit s se d roulent en position debout position gr ce la quelle la temp rature corporelle peut tre main tenue en raison de l activation des muscles des jambes et du torse La situation est tout autre en Vitesse OC 5 10 15 C 20C 25 C 30 C 35 C 40C 45 C 50 C vent m s 1 8 0 5 10 15 20 25 30 35 40 45 50 2 1 6 11 16 21 27 32 37 42 47 52 3 4 10 15 21 27 32 38 44 49 55 60 5 9 15 21 28 34 40 47 53 59 66 72 8 13 20 27 34 41 48 55 62 69 76 83 11 16 23 31 38 46 53 60 68 75 83 90 15 18 26 34 42 49 57 65 73 80 88 96 20 20 28 36 44 52 60 66 76 84 92 100 Tableau 321 1 Equivalences des temp ratures de refroidissement pour diff rentes temp ratures de l air
405. niciens responsables de l infrastructu re p ex serruriers lectriciens installateurs de vraient recevoir une formation aux premiers se cours En situation d urgence ils sont souvent sur place pour interrompre ou maintenir l alimentation en gaz eau et lectricit et pourront alors sortir un bless d une situation difficile sauvetage Pour les entreprises avec des dangers particuliers chez lesquelles l valuation des risques a fait ap para tre un danger aigu p ex production chimi que le niveau de formation des non profession nels du sauvetage doit tre plus lev que dans les entreprises sans dangers particuliers et du person nel m dical peut m me tre n cessaire p ex m decins infirmiers Des formations r guli res sur tous les aspects im portants du concept en cas d urgence p ex cours de premiers secours cours de protection anti in cendie exercices d vacuation etc sont recom mand es dans ce cas pour tous les collaborateurs Recommandations pour la d termination du nombre de personnes charg es des premiers se cours selon le nombre de travailleurs par emplacement b timent parcelle Nombre de travailleurs par emplacement b timent 1 9 10 50 100 250 500 1 000 parcelle Nombre de personnes 1 2 2 5 6 10 13 18 charg es des premiers secours Nombre de personnes charg es des premiers secours sans diagramme Nombre de personnes charg
406. nnaissances techniques approfondies sp ci fiques au projet C est pourquoi la concentration des proc dures doit se produire chez l autorit res ponsable de l ex cution de la proc dure principale autorit unique Art 7 Loi f d rale sur le travail dans l industrie l artisanat et le commerce loi sur le travail LTr Proc dure Comp tence autorit unique Participation corapport Art 41 al 1 OLT 4 valuation de la n cessit d une approbation des plans selon art 7 ou 8 LTr Art 7 al 1 LTr Approbation des plans Autorit cantonale Inspection f d rale proc dure g n rale du travail CNA Art 7 al 4 LTr Proc dure f d rale coordonn e Autorit f d rale Inspection f d rale du travail autorit sp cialis e Art 7 al 4 LTr Art 41 al 2 et 3 OLT 4 Proc dure f d rale coordonn e approbation des plans de b timents de la Conf d ration Autorit f d rale Inspection f d rale du travail autorit sp cialis e Art 62a LOGA Proc dure de d cision Autorit unique Autorit sp cialis e l environnement Loi f d rale sur la protection des eaux Loi f d rale sur les for ts Loi f d rale sur la p che coordonn e Loi f d rale sur la protection de la ne d approbation QFEY Inspection f d rale nature et du paysage esipians du travail Loi f d rale sur l arm e et idem DDPS Inspection f d rale
407. ns physiques et chimiques et que leur adh rence sur les sols corresponde aux sollici tations attendues Des sols ab m s augmentent le risque de tr buchement entravent le d roulement des transports et rendent le maintien de la protec tion de la sant difficile Des rev tements de sol SECO ao t 2006 314 1 Commentaire de l ordonnance 3 relative la loi sur le travail Art 14 Chapitre 2 Exigences particuli res en mati re d hygi ne B timents et locaux Art 14 Sols Section 1 d entretien ais doivent tre pri vil gi s Lorsque les travailleurs sont occup s dans plusieurs lo caux voisins o le risque de glis sade diff re on devrait utiliser un rev tement de sol unique et adapt aux conditions les plus d favorables Sch ma Wuppertal Tr s s r Syst mes d appr ciation En Suisse les rev tements de sols sont r partis en classes al lant de GS1 GS4 pour les zones avec chaussures et GB1 GB3 pour les zones pieds nus L adh rence coefficient de glissement est d termin e T Inclinaison Adh rence R N e 8 uy 5 SE 2co a Li w D aA 5 e 5 GT gt g 2 5 v 5 ae ag en laboratoire par une machine En Allemagne les locaux de tra vail sont r partis en classes al lant de R9 R13 pour les zones avec chaussures et A B C pour les zones pieds nus L adh rence est d termin e par le b
408. nstalla tions de ventilation et de climatisation doivent tre con ues de mani re que les canaux et autres par ties d installations puissent tre inspect s nettoy s et contr l s On pr voira les ouvertures et les rac cords n cessaires Pour des informations d taill es se r f rer aux do cuments suivants Liste de contr le CFST 6807 Maintenance des installations a rauliques installations PNE Norme SN 546 382 1 Installations de ventilation et de climatisation Bases g n rales et perfor mances requises correspond la norme SIA 382 1 Norme SN EN 779 DIN 24185 Filtres air de ven tilation g n rale pour l limination des particules D termination des performances de filtration Feuillet d information Suva no 44021 F Humidli fication de l air Directive SICC VA 102 01 installations a rauli ques dans l industrie h teli re Directive SICC VA104 01 Exigences hygi niques pour les installations et appareils a rauliques correspond VDI 6022 Directive SICC VA 104 02 Exigences hygi niques pour les installations et appareils a rauliques M thodes de mesure et analyses lors des contr les et des inspections sanitaires 317 4 Commentaire de l ordonnance 3 relative la loi sur le travail Chapitre 2 Exigences particuli res en mati re d hygi ne Section 2 Eclairage climat des locaux bruits et vibrations Art 18 Pollution de l air Art 18 Article 1
409. nstruire et de surveiller les travailleurs concern s leur emplacement de travail C est pourquoi en vertu de l article 9 OLT 3 le lo cataire de services a envers la main d uvre dont il loue les services un autre employeur les m mes obligations en mati re de protection de la sant qu envers ses propres travailleurs Il doit veiller ce que toutes les personnes travaillant dans son en treprise soient instruites sur les dangers existants et observent les mesures relatives la s curit au tra vail Il doit notamment s assurer que ces personnes soient suffisamment form es et quip es en ma ti re de protection dans l exercice de leur activit Comme l exp rience le prouve les nouveaux col laborateurs sont particuli rement expos s durant leurs premi res semaines d emploi Ce fait est sp cialement marqu chez les travailleurs lou s Ils ne connaissent ni l entreprise ni souvent la bran che d activit Par leur manque de connaissances et d exp rience ils encourent davantage le ris que de se trouver dans une situation critique De ce fait une attention particuli re doit tre vou e leur instruction et leur encadrement Car dans ce cas aussi s applique le principe la base de l arti cle 5 OLT 3 selon lequel tous les travailleurs occu p s dans une entreprise doivent tre inform s des risques auxquels ils sont expos s dans l exercice de leur activit et instruits des mesures prendre pour l
410. nt galement parmi les expertises au sens de cet article Le choix de l expert qui devra toutefois justifier de connaissances et d exp riences suffisantes dans le domaine concern est laiss l employeur ou au ma tre de l ouvrage l expertise technique peut ain si tre faite par l entreprise elle m me ou par des sp cialistes neutres Il est important qu employeur travailleurs et organe d ex cution s entendent sur la personne du sp cialiste choisi et d finissent clai rement l objet et l tendue de l expertise Le recours un expert externe et ind pendant est n cessaire si la qualification d un expert interne ou les conclusions de son rapport sont contest es l appui de motifs valables Si l employeur refuse de produire un rapport d ex pertise la demande d approbation des plans ou d autorisation d exploiter sera refus e et l autorit cantonale lui notifiera sa d cision attaquable par voie d opposition SECO ao t 2006 403 1 Commentaire de l ordonnance 4 relative la loi sur le travail Chapitre 2 Construction et am nagement des entreprises soumises la proc dure d approbation des plans Section 2 Locaux de travail Art 4 Art 4 Locaux de travail souterrains ou sans fen tres Article 4 Locaux de travail souterrains ou sans fen tres L am nagement de postes de travail permanents dans des locaux situ s au dessous du niveau du sol ou d munis de fen tres ne peut tre
411. nt En g n ral elle est aussi accessible aux v hicules ill 408 7 La cour peut tre partiellement couverte Il y a lieu de d terminer de cas en cas si en fonction des conditions locales une cour peut tre consid r e comme secteur oie d vacuation s r e et comme sortie l air libre Une condition primordiale est qu elle soit de dimensions suffisantes Il est im portant qu une cour int rieure puisse tre quitt e en tout temps par un passage prot g en r gle g n rale passage libre entour de murs quelles que soient les conditions locales 2 6 Disposition et longueur des voies d vacuation Pour des exemples nous renvoyons aux illustrations 408 3 408 7 La longueur maximale d une voie d vacuation sur un tage ne disposant que d une cage d escaliers est identique celle calcul e depuis un local soit ill 408 3 e20 m dans le local lui m me et 35 m lorsque l tage est reli par un corridor La longueur maximale d une voie d vacuation sur un tage disposant de deux cages d escaliers ou plus ill 408 3 est identique celle calcul e depuis un local deux sorties soit 35 m dans le local lui m me et 50 m lorsque l tage est reli par un corridor Si un local dispose de deux voies d vacuation ou plus le parcours jusqu aux cages d escaliers pour Section 3 Passages Art 8 Voies d vacuation ra atteindre 50 m au maximum pou
412. nt rieurs proviennent principalement des sources suivantes e d missions directes de mat riaux de construc tion d am nagement et d quipement sols peintures vernis ma onnerie laquages etc ou de leurs produits de d composition compos s organiques volatils COV formald hyde fibres e de l air ext rieur oxyde d azote ozone particu les en particulier PM10 particules ultrafines suie de diesel particules biologiques pollen bact ries champignons e de d g ts dus l humidit substances micro biennes bact ries moisissures e des occupants dioxyde de carbone CO bac t ries odeurs e d autres processus de travail nettoyage impres sion copie solvants particules ultrafines e de v tements de travail contamin s particules etc e d une mauvaise hygi ne de l installation de ven tilation bact ries champignons Si des probl mes de sant apparaissent l int rieur une d marche pluridisciplinaire est n cessai re dans la plupart des cas car les sympt mes ont des causes multiples p ex caus s par des facteurs environnementaux d favorables et l organisation du travail I s agit dans un premier temps de se rendre sur les lieux et d interroger les personnes concern es pour estimer l ampleur des probl mes SECO avril 2010 318 3 Art 18 Commentaire de l ordonnance 3 relative la loi sur le travail Chapitre 2 Exigences particuli res en mati
413. nt de prot ger la sant et ceux qui permettent de prot ger contre les acci dents art 38 OPA Les quipement de protection de la sant doivent prot ger contre les intoxications plus ou moins long terme les empoisonnements lents la p n tra tion transcutan e de toxiques la chaleur ou le froid g nants les influences de la m t o s il s agit d un travail l ext rieur etc Ces protections peuvent tre de nature tr s diverse masques combinai sons gants cr mes barri re protections solaires cr mes lunettes de protection UV et autres rayon nements non ionisants bottes tanches com binaisons int grales Dans certains cas particuliers travaux avec des mati res toxiques ou naus abon des les sous v tements jetables les chaussettes ou chaussons et les coiffures font partie des qui pements de protection Les quipements de protection contre les accidents doivent prot ger contre les chocs la chaleur inten se le feu les coupures l lectricit les chutes les noyades Citons par exemple les casques les lu nettes les chaussures les protections auriculaires les bottes les crans de soudage les gants et ta bliers mailles boucheries et cuisines les com binaisons en cuir o en mat riau isolant contre la chaleur fonderies les harnais de s curit les gi lets gonflables travail au dessus de l eau Parmi les quipements de protection de la sant sont galement compris le
414. nt pouvoir passer sans complication afin d assurer une vacuation ra pide des bless s e Les cages d escaliers les escaliers ext rieurs et les corridors doivent galement tre praticables lorsque l int rieur du b timent est envahi par de la fum e des gaz ou des vapeurs On se r f rera aux prescriptions de protection incendie de l AEAI e Des conduites pour des liquides et des gaz in flammables ou toxiques ne peuvent tre plac es dans les cages d escaliers que dans des canaux ou des puits tanches SECO septembre 2010 409 1 Commentaire de l ordonnance 4 relative la loi sur le travail Chapitre 2 Construction et am nagement des entreprises soumises la proc dure d approbation des plans Art 9 Section 3 Passages Art 9 Construction des cages d escaliers et des couloirs e La charge thermique ne doit pas tre augmen t e dans les corridors et les cages d escaliers par des armoires des appareils etc 2 Principes 2 1 Alin a 1 Les cages d escaliers et les corridors servant de voies d vacuation doivent avoir une largeur d au moins 1 2 m Ils sont consid r s comme voies de circula tion principales Une plus faible largeur n est admis sible que dans des cas d exception En font partie e Les escaliers conduisant une sortie de secours dans un tage souterrain jusqu 600 m art 7 al 3 OLT 4 e Les escaliers d acc s des installations techni ques au sens de l alin a
415. nte Le renoncement une main courante n est admis que si l escalier compte moins de 5 marches Lorsqu un espace libre sup rieur 5 cm subsiste entre le mur et les escaliers ou les paliers il faut emp cher que des personnes ne se blessent en in troduisant fortuitement un pied voire une jambe dans cet espace Le meilleur moyen de supprimer de telles sources de danger est de couvrir cette zone Une plinthe o une conception de la balus trade adapt e peuvent galement assurer la pro tection Les escaliers ext rieurs doivent tre construits en mat riaux r sistant aux intemp ries p ex en construction m tallique avec protection contre les intemp ries neige gel Les paliers et les mar ches doivent tre antid rapants Des surfaces ajou r es sont particuli rement adapt es Si la voie d vacuation passe par un escalier ext rieur attenant la fa ade ext rieure il convient de respecter les prescriptions de protection incendie de l AEAI concernant les fa ades 3 Exigences particuli res Escaliers tournants Voir aussi les explications relatives aux alin as 3 et 4 du pr sent article Les exigences concernant les escaliers tournants principaux et secondaires se fondent sur le but g n ral de protection voulant qu ils puissent tre em prunt s en toute s curit au besoin aussi avec un brancard Les escaliers tournants ne sont pas ad mis dans les b timents de grande hauteur On distin
416. nte devront disposer de compartiments s par s pour leurs habits de travail et pour leurs habits de ville Dans certaines conditions par exemple pour des raisons de radioprotection il peut s av rer n ces saire d am nager soit des vestiaires compl men taires ou des lavabos particuliers pour certains travailleurs soit des vestiaires distincts pour les v tements de travail et ceux de ville s par s par des douches ou des lavabos La dimension des vestiaires doit tre adapt e au nombre de travailleurs les utilisant simultan ment et la dur e de leur s jour dans le vestiaire Cette dur e varie en fonction de la nature du travail des travaux salissants pour les travailleurs ou les v te ments et de la n cessit de porter des v tements de travail en raison de probl mes d hygi ne indus trielle et de technique de production Les vestiaires doivent tre suffisamment grands facilement ac cessibles et correctement ventil s Les vestiaires et lavabos doivent tre suffisamment spacieux pour que les travailleurs puissent se laver et s habiller m me si les portes des armoires sont ouvertes 0 8 m2 par personne pour les vestiaires lavabos et douches non compris Si l on peut ga rantir qu en raison d un horaire flexible seule une partie du personnel se trouve simultan ment dans le vestiaire on pourra en tenir compte lors de sa conception Il est autoris d am nager des vestiaires dans les locaux de protection civil
417. nte port e au bien tre par l absence d un clairage naturel diminue aussi les performances de ces employ s L clairage artifi ciel le climat monotone artificiel et l augmenta tion de la sensibilit subjective peuvent influencer n gativement le psychisme Pour garantir la vue sur l ext rieur les fen tres en fa ade seront en nombre et dimensions suffisants La hauteur de l all ge ne d passera pas 1 20 m pour un travail assis o 1 50 m pour un travail de bout En ce qui concerne la vue sur l ext rieur la surface minimale des vitrages transparents n est pas fix e dans l OLT 3 Le rapport minimum de 1 16 fix dans l OLT 4 entre cette surface et la su perficie du sol indique n anmoins un objectif at teindre galement pour les entreprises non soumi ses la proc dure d approbation des plans Il n existe pas de r gle g n rale pour garantir la liaison visuelle avec l ext rieur Tout ceci d pend des dimensions des locaux du genre des installa tions de l am nagement des postes de travail et SECO novembre 2009 315 5 Commentaire de l ordonnance 3 relative la loi sur le travail Art 15 v ZS Chapitre 2 Exigences particuli res en mati re d hygi ne Section 2 Eclairage climat des locaux bruits et vibrations Art 15 Eclairage de la nature du travail Les vitrages transparents doivent tre plac s de sorte que la vue sur l ext rieur soit la meilleure possible depuis le
418. ntipanique Illustration 315 2 Types d clairages de secours selon la norme SN EN 1838 Eclairage naturel et vue sur l ext rieur Article 15 alin a 3 3 Les locaux sans clairage naturel ne peuvent tre utilis s comme locaux de travail que si des mesu res de construction ou d organisation particuli res assurent dans l ensemble le respect des exi gences en mati re d hygi ne Article 24 alin a 5 5 Les travailleurs doivent pouvoir b n ficier de la vue sur l ext rieur depuis leur poste de travail per manent Dans les locaux sans fen tres en fa ade l am nagement de postes de travail permanents n est autoris que si des mesures particuli res de construction ou d organisation garantissent que les exigences en mati re d hygi ne sont globale ment respect es 315 4 Commentaire de l ordonnance 3 relative la loi sur le travail Chapitre 2 Exigences particuli res en mati re d hygi ne S r Section 2 Eclairage climat des locaux bruits et vibrations Art 15 Eclairage Art 15 FT En r gle g n rale les locaux de travail doivent dis poser d un clairage naturel et la vue sur l ext rieur doit y tre garantie La lumi re du jour est impor tante pour le bien tre Elle influence directement le rythme jour nuit Quant la vue sur l ext rieur elle est essentielle physiologiquement et psycho logiquement pour le bien tre Le contact visuel avec le monde ext
419. nts Autant que possible la vue sur l ext rieur sera ga rantie Les grandes entreprises offrent souvent un secteur o des locaux de pauses proximit des postes de travail Ceux ci ne sauraient remplacer les r fectoires pr vus l alin a 1 mais en sont un compl ment Dans les locaux de pauses o on ne prend pas de repas des si ges confortables suf fisent Les r fectoires en revanche seront quip s de tables Si les travailleurs emportent leurs propres repas et boissons ils disposeront d installations ad qua tes pour les entreposer et les r chauffer Ils b n ficieront au minimum d un r chaud et des installa tions pour laver et ranger la vaisselle et les services de mani re hygi nique Dans bon nombre d en treprises des quipements suppl mentaires tels qu armoires frigorifiques fours micro ondes de m me que des distributeurs automatiques de boissons chaudes ou froides et d en cas sont mis disposition des travailleurs et tr s appr ci s Si l entreprise met des r frig rateurs disposition il convient de v rifier leur tat de propret r guli re ment et de s assurer qu ils ne servent qu stocker de la nourriture et des boissons Les travailleurs en quipes ou de nuit n ont en g n ral pas la possibi lit de passer leur pauses en dehors de l entreprise On en tiendra compte pour la grandeur et l am nagement des locaux de pauses Lors d activit s particuli res travaux en locaux
420. nts d infrastructure ves tiaires etc Les l ments de la s curit au travail dans les pas sages sont fix s l article 19 OPA voir galement les directives pour la s curit au travail de la CEST chiffre 316 Selon ces directives les voies de circulation doivent pouvoir tre utilis es sans danger La s curit ne doit pas tre diminu e par des moyens de circula tion et de transport routiers ou ferroviaires Il y a notamment lieu de respecter les crit res de dimen sionnement de visibilit de protection contre les chutes d clairage de signalisation et de distances de s curit Hauteur des seuils dans les locaux servant de bas sin de r tention d eau d extinction En rapport avec l ordonnance sur la protection contre les accidents majeurs ou la l gislation sur la protection des eaux des mesures concernant la r tention d eau d extinction sont exig es des entre prises Souvent cela peut tre r alis par l installa tion de seuils ou de panneaux amovibles dans des locaux existants Ces obstacles peuvent tre ac cept s pour autant qu ils respectent les conditions fix es ci dessous et qu ils soient impos s par l or gane d ex cution charg de la protection de l en vironnement Pour la protection des travailleurs on exige que les voies de circulation soient praticables de mani re s re partir d une certaine hauteur les seuils ou les panneaux amovibles constituent un danger d
421. obligations CO Il s agit l de disposi tions qui r glent le contrat de travail individuel Le droit priv comprend le droit r gissant les conven tions collectives de travail CCT et le droit des con flits collectifs de travail par ex les gr ves Le droit public comprend la l gislation sur la protection des travailleurs Cela englobe entre autres la loi sur le travail LTr et l ordonnance sur la pr vention des accidents et des maladies professionnelles OPA Comme mentionn ci dessus la loi sur le travail constitue du droit public du travail alors que le contrat de travail d pend avant tout du droit priv du travail Ces deux domaines droit priv et droit public se distinguent ainsi pour simplifier le droit priv r gle les relations entre personnes priv es C est ce volet qu appartient le contrat de travail qui est conclu par des manifestations de volont concordantes entre travailleur et employeur En r gle g n rale les parties sont libres de convenir du contenu du contrat Les normes qui y figurent peu vent en principe tre modifi es par accord mutuel Le droit public r gle en revanche les relations juridi ques au sein de l tat ou entre tat et priv C est cette derni re cat gorie de r glementations qu ap partient la loi sur le travail qui prescrit des charges et obligations pour l employeur afin de prot ger les travailleurs On ne peut d roger ces normes minimales qu en faveur d
422. ofes sionnelle et de la technologie Office f d ral de l industrie des arts et m tiers et du travail aujourd hui Secr tariat d Etat l conomie SECO Office f d ral de m trologie aujourd hui METAS Office f d ral de la protection civile aujourd hui Office f d ral de la pro tection de la population OFPP Office f d ral de la protection de la population r sistance lectrique R ordonnance 1 relative la loi sur le tra vail Ordonnance g n rale ordonnance 2 relative la loi sur le tra travail Dispositions sp ciales pour cer taines cat gories d entreprises ou de travailleurs ordonnance 3 relative la loi sur le tra vail Hygi ne ordonnance 4 relative la loi sur le tra vail Entreprises industrielles appro bation des plans et autorisation d ex ploiter OLT 5 OPA OPB OSPro p ex prEN Ra ResQ RS SIA SLG SN SICC sr STOP tab TED TWP UE UGR a USL VDI VME VLE C a ordonnance 5 relative la loi sur le tra vail Ordonnance sur la protection des jeunes travailleurs ordonnance sur la pr vention des acci dents et des maladies professionnelles ordonnance sur la protection contre le bruit ordonnance sur la s curit des pro duits page par exemple projet de norme europ enne rayon indice du rendu des couleurs L association ResQ g re l Office de certification pour la formation des non professionnels du sauvetage recueil syst matique du
423. oit la profon deur des marches doit tre d au moins 10 cm Profondeur des mar Hauteur des marches ches 15 cm 33 La conception des marches influence galement 31 consid rablement la s curit d utilisation des esca liers A l exception des voies de circulation secon daires tous les escaliers d un b timent devraient pr senter la m me pente La surface des marches doit tre antid rapante et d un mat riau r sistant l usure voir commentaire OLT 3 article 14 L exp rience a montr que les dimensions figurant dans le tableau 409 1 et sur l illustration 409 3 permettent un emploi ais et s r des escaliers Lorsque des dimensions id ales ne sont pas pos i sibles pour des escaliers rarement utilis s moins d une fois par jour situ s dans des voies de cir i culation secondaires on peut exceptionnellement am nager des escaliers plus raides escaliers rai des escaliers tournants chelles escaliers ou chelles 16 cm 17 cm 29 17 29 Proportions id ales Tableau 409 1 Proportion pour des escaliers d emploi ais Illustration 409 2 Escalier avec une des extr mit s am nag e en escalier tournant normal raide Angle d inclinaison 20 40 40 50 Hauteur de la main cou 90 90 85 rante x cm Espace libre y cm 215 230 240 Espace libre z cm 200 180 180 155 Hauteur des marches hmin 15 hmin 20 h cm hmax
424. ologique des couleurs 313 Efforts 302 323 324 Enqu te de la m decine du travail 303 Ensoleillement et rayonnement calorifique 320 Entreprises artisanales 330 401 AP Entreprises de galvanoplastie 401 Entreprises d limination et de recyclage de d chets 401 Entreprises industrielles 401 417 AP Entreprises locataires de services 309 Entreprises non industrielles 401 AP Entreprises pr sentant des dangers particuliers 45 D finition 45 Mesures de protection 45 Entreprises pr sentant un danger d explosion Champ d application 422 Mode de construction 423 424 Nombre maximum d installations d exploitation 424 Nombre maximum de travailleurs 424 Quantit maximale de mati res 424 Entreprises pr sentant un danger particulier d in cendie Champ d application 419 Mode de construction 420 Nombre maximum d installations d exploitation 421 Nombre maximum de travailleurs 421 Quantit maximale de mati res 421 Entreprises traitant des mati res explosives 425 Entretien et nettoyage 317 327 337 Enveloppe du b timent 31 311 407 408 Equipement individuel de protection 310 327 Degr de protection 327 Exigences 327 Gratuit 327 Equipements de protection 310 327 337 AP Ergonomie 302 324 G n ralit s 323 Principes 323 Travail l cran 323 Escaliers vol es droites 409 Escaliers de secours 407 Escalier d installation 409 Escaliers escamotables 407 Escaliers ext rieurs 407 409 Escaliers raides 407 409 Escaliers tou
425. ombinaisons isolantes ad quates prot geant galement le visage et les yeux de m me que les mains et les pieds Pour de plus amples informations se r f rer la documentation suivante Norm DIN 33403 3 Beurteilung des Klimas im Ertr glichkeitsbereich Chaudement recommand Suva SECO AIPTISEE USS 2004 no de commande Suva 84027 F Prophylaxie m dicale lors des travaux souter rains en ambiance chaude et humide 2002 no de commande Suva 2869 26 F 320 4 Commentaire de l ordonnance 3 relative la loi sur le travail IAD Chapitre 2 Exigences particuli res en mati re d hygi ne Section 2 Eclairage climat des locaux bruits et vibrations Art 21 Travail dans des locaux non chauff s ou en plein air ri Art 21 Article 21 Travail dans des locaux non chauff s ou en plein air Lorsqu un travail doit tre effectu dans des locaux non chauff s dans des b timents partiellement ouverts ou en plein air les mesures indispensables pour la protection des travailleurs contre le froid et les intemp ries doivent tre prises En particulier il importe autant que possible de veiller ce que chaque travailleur puisse se r chauffer son poste de travail Autant que possible les travailleurs disposeront de locaux de travail conformes aux dispositions des articles 11 20 de l OLT 3 Si des travaux doivent tre ex cut s dans des locaux non chauff s ou des postes de tr
426. omme passages principaux En g n ral le nombre de passages principaux dans les liaisons verticales d un b timent est iden tique celui des voies d vacuation prescrites l galement S il y a parfois un plus grand nombre de liaisons verticales les liaisons suppl mentaires peuvent tre consid r es comme voies secondai res et avoir une largeur inf rieure 1 20 m La condition pr alable est que l emplacement la lon gueur et l ex cution des voies d vacuation elles m mes correspondent aux dispositions des arti cles 8 et 9 OLT 4 Le respect de la largeur de 1 20 m pour les liaisons verticales est aussi recommand d une fa on g n rale m me dans l hypoth se de changements d af fectation Dans des b timents ou locaux occup s par un grand nombre de personnes soit plus de 100 il y a lieu d appliquer des crit res plus s v res pour la largeur des voies d vacuation passages principaux Il y a surtout lieu de dimensionner les sorties des locaux escaliers et sorties donnant sur l ext rieur en fonction du nombre de personnes pouvant simultan ment les utiliser en cas d ur gence Pour plus de renseignements ce sujet voir l article 47 de la norme de protection contre l in cendie de l AEAI et plus particuli rement sa direc tive 16 voies d vacuation et de sauvetage Les voies de circulation secondaires n cessaires dans les b timents pour compl ter l acc s aux postes de travail et au
427. on et la consultation des travailleurs dans les entre prises du 17 d cembre 1993 loi sur la participa tion RS 822 14 Cette derni re est une loi cadre qui contient principalement des dispositions sur la constitution la nomination le nombre les de voirs des repr sentants des travailleurs et leur col laboration avec l employeur En ce qui concerne le droit de participation la loi prescrit uniquement le devoir d information des repr sentants des tra vailleurs Pour le reste elle renvoie aux droits de participation d crits dans la l gislation sp cifique L article 6 OLT 3 et l article 48 LTr contiennent de tels droits de participation S il existe une commission d entreprise celle ci exerce les droits la participation en repr sen tation de l ensemble des travailleurs Dans le cas contraire les droits de participation seront exerc s individuellement par chaque travailleur voir l arti cle 4 de la loi sur la participation Feuillet d information SECO no 104 Participation SECO ao t 2006 306 1 Commentaire de l ordonnance 3 relative la loi sur le travail Art 6 J Chapitre 1 Dispositions g n rales Art 6 Consultation des travailleurs Alin a 1 de langue trang re puissent faire valoir correcte Le droit la consultation est vaste et se rapporte toutes les questions concernant la protection de la sant Les travailleurs respectivement leurs repr sentants ont le droit
428. on 408 10 est garantie en r gle g n rale au moins 1 16 de la surface du sol e la surface de l ensemble de ces locaux ne d passe pas 25 de la surface du grand local et ne me sure pas plus de 150 m e la diff rence de niveau par rapport l tage nor malement accessible ne d passe pas 4 m et e aucun danger particulier p ex d incendie et ou d explosion n existe Bureau du contrema tre f interm diaire max 4 00 m Illustration 408 10 Construction int rieure formant un tage interm diaire Section 3 Passages Art 8 Voies d vacuation 3 2 Superstructures en toiture Lorsque de telles superstructures rendent n ces saire l existence d une deuxi me voie d vacuation selon l art 7 OLT 4 celle ci peut conduire par le toit une cage d escaliers plus loign e La lon gueur de la voie d vacuation entre la sortie sur le toit et l entr e de la cage d escaliers ne doit pas d passer 100 m ill 408 11 3 3 Gaines techniques souterraines praticables En r gle g n rale une distance maximale de 500 m doit tre respect e entre deux sorties cages d escaliers dans les gaines techniques souterraines destin es aux conduites d nergie et ou de fluides Il faut pr voir une deux issues de secours entre deux D aussi longues voies d vacuation ne peuvent entrer en consid ration que si la gaine technique n e
429. on des plans Section 3 Passages Art 6 Largeur Article 6 Largeur Art 6 Les passages principaux l int rieur des b timents doivent avoir une largeur d au moins 1 20 m Une dimension suffisante des voies de circulation l int rieur de l entreprise est primordiale pour leur utilisation sans danger La largeur n cessaire de ces voies dimension principale doit essentielle ment tre d termin e en fonction e du nombre de personnes y circulant simultan ment voies d vacuation e du genre et des dimensions des v hicules circu lant l int rieur de l entreprise l vateurs syst mes de transport et e des dimensions maximales des biens devant tre transport s pi ces machines assemblages etc La hauteur libre n cessaire au dessus des voies de circulation doit simultan ment tre garantie p ex sous les linteaux des portes les am nagements in t rieurs ou les installations d exploitation Les passages principaux l int rieur des b ti ments doivent avoir une largeur d au moins 1 20 m Cette dimension minimale est valable pour toutes les parties d un b timent telles que corridors pas sages sans portes escaliers et rampes situ es sur cet axe de circulation Dans certains cas et si les conditions d exploitation l exigent une largeur su p rieure doit tre pr vue Les voies d vacuation prescrites l article 7 OLT 4 comptent fondamentalement c
430. on se mesure en ligne droite dans les locaux et le long du trajet dans les couloirs Le trajet dans les cages d escaliers et jusqu l ext rieur n est pas compris dans cette mesure 5 Lorsqu un local ne comporte qu une seule sortie aucun point de ce local ne doit se trouver plus de 20 m de celle ci La distance autoris e est port e 35 m lorsque le local comporte deux sorties ou plus Lorsque les sorties du local ne donnent pas directement sur l ext rieur ou sur une cage d es caliers un couloir devra servir de liaison dans ce cas la longueur totale de la voie d vacuation ne doit pas d passer 50 m Les cours int rieures dans lesquelles d bouche une cage d escaliers ou une autre voie d vacuation doivent avoir au moins une sortie praticable en toute s curit L 1 G n ralit s Une fois le concept d vacuation approuv par les autorit s il ne doit pas tre modifi sans leur assentiment Afin de pouvoir vacuer rapidement et de fa on s re les b timents parties de b timent et instal lations en cas de danger la situation les dimen sions et la conception des voies d vacuation sont des facteurs des plus importants Il est fondamen Les voies d vacuation sont des passages pr par s et devant rester libres En cas d urgence leur utili tal qu un concept d vacuation soit planifi en te nant compte de l avenir et qu il inclue si possible d ventuels changements d affectation
431. ons Il convient donc de tenir suffisamment compte des besoins des moyens de transport m caniques en plus du trafic des personnes entre d partements de l entreprise et postes de travail Il convient de vouer une attention particuli re au danger accru pr sent dans les zones o circulent aussi bien les pi tons que des v hicules Il faut par cons quent promouvoir la s paration entre les zo nes pour pi tons et celles pour v hicules dans les passages principaux Le r seau de circulation l int rieur de l entre prise sera compl t en partie par des passages secondaires en r seau serr Ceux ci permet tront l acc s des postes de travail et locaux isol s aux installations techniques et jusqu aux zones de circulation particuli res gaines tech niques etc Ils ne seront souvent utilis s que sporadiquement p ex pour les travaux d entre tien Exceptionnellement des passerelles des chel les fixes et des escaliers en colima on peuvent constituer l acc s de telles parties secondaires de b timents et d installations ou permettre de sur monter une faible diff rence de niveau Le nombre la conception la situation et les di mensions des passages doivent tre adapt s aux conditions d exploitation tant l int rieur des b timents et locaux que sur le terrain de l entreprise Les crit res principaux sont le nombre de person nes ainsi que le nombre et le genre de moyens de transport propres l entr
432. ons de d grillage 26 Casernes de pompiers 26 1 Places de parc des v hicules 26 2 Locaux de lavage des tuyaux 27 Banques 27 1 Hall des guichets 28 Garages l exception des secteurs mentionn s sous chiffre 0 28 1 Garages parkings couverts parkings souterrains 28 2 Routes d acc s aux parkings 29 Ecoles et jardins d enfants 29 1 Halls d entr e corridors locaux de r cr ation 29 2 Salles de classe locaux d enseignement 29 3 Escaliers 29 4 W C et lavabos 29 5 Cuisines pour l enseignement voir aussi n 9 29 6 Cuisine scolaire voir aussi n 9 29 7 Locaux contenant des machines pour le travail du bois 29 8 Ateliers de travaux manuels 30 Locaux sociaux 30 1 W C lavabos 30 2 Douches 30 3 Vestiaires 30 4 Locaux de s jour 30 5 Cantines Tableau 314 5f Zones de travail pr sentant un danger de glissade suite 314 712 Commentaire de l ordonnance 3 relative la loi sur le travail Chapitre 2 Exigences particuli res en mati re d hygi ne Section 2 Eclairage climat des locaux bruits et vibrations Art 15 Eclairage A Art 15 Article 15 Eclairage Pa gences en mati re d hygi ne Ke 1Tous les locaux postes de travail et passages l int rieur et l ext rieur des b timents doivent avoir un clairage naturel ou artificiel suffisant adapt leur utilisation 2Les locaux de travail doivent tre clair s naturellement et tre dot s d un clairage artif
433. ons m caniques comprennent entre autres les secousses et les vibrations La sant le bien tre et la s curit des travailleurs ne doivent pas tre mis en danger par des secousses et des vi brations Le terme secousses est utilis principale ment pour les b timents celui de vibrations pour les machines et appareils 1 1 Effets sur l tre humain Les oscillations s exercent sur l tre humain par le biais des moyens de transport des machines et des outils vibrants mais aussi par les b timents L importance des oscillations m caniques carac t ris es par leur fr quence leur amplitude et leur dur e d termine si leur action est pr judiciable ou non pour la sant le bien tre et la s curit On distingue deux sortes d action des oscillations sur l tre humain diff renci es par leur mode de transmission Les oscillations globales du corps sont transmises ce dernier par le si ge ou la surface de contact dessous des pieds ou surface sur laquelle une per sonne est couch e On les subit avant tout dans les v hicules comme les engins de chantiers les tracteurs et les chariots l vateurs etc La bande de fr quence se situe principalement entre 1 et 80 Hz Les oscillations de l ensemble main bras sont trans mises de l outil ou de la machine par les surfaces de contact poign es sur les mains et les bras des uti lisateurs Elles sont provoqu es par de nombreux outils ou petites machines frappeurs ou
434. onserv le mat riel de premiers secours doit se faire au moyen des signes internationaux usuels croix blanche sur fond vert tels qu ils sont d crits dans la directive 92 58 CEE et la norme ISO 3864 Les instructions et la signalisation concernant les premiers secours8 doivent tre fonctionnelles Exemples bonne visibilit et bon choix de l em placement bonne intelligibilit des instructions si n cessaire en plusieurs langues Des gilets de s cu rit sont recommand s pour le personnel de pre miers secours 8Des instructions pour les premiers secours doivent tre affich es de mani re bien visible dans les zones de dangers p ex armoire des toxiques armoire lec trique bain d acide 336 6 Commentaire de l ordonnance 3 relative la loi sur le travail Chapitre 2 Exigences particuli res en mati re d hygi ne Section 8 Entretien et nettoyage Art 37 Art 37 Article 37 Entretien et nettoyage tien doivent tre disponibles gt 1 Les b timents les locaux les entrep ts les passages les installations d clairage d aspiration et de ventilation les postes de travail les installations d exploitation les quipements de protection et les installations sanitaires doivent tre maintenus propres et en bon tat de fonctionnement 2 Les installations les appareils les outils et les autres moyens n cessaires au nettoyage et l entre Le nettoyage comprend l limination
435. opique Les oscillations li es aux variations du flux lumineux dues au courant lectrique alternatif peuvent trou bler la vision ou fausser la perception d objets mo biles Ce scintillement invisible peut favoriser ga lement l apparition de maux de t te et fatiguer les yeux Cet effet sera supprim par des mesures ap propri es telles que le couplage de plusieurs lumi naires sur des phases diff rentes ou l utilisation de lampes qui ne produisent aucun scintillement Eclairage de secours Par clairage de secours on entend clairage de s curit et clairage de remplacement voir l ill 315 2 L installation d un clairage de secours n est plus mentionn e express ment dans les or donnances 3 et 4 relatives la loi sur le travail De puis 1984 cette n cessit est ancr e dans l OPA L objectif de l clairage de s curit est de per mettre aux personnes pr sentes de quitter les locaux sans danger en cas de panne de l ali mentation en courant Il faut contr ler p riodiquement par des tests manuels ou automatiques le fonctionnement de l installation d clairage de secours Les r sultats doivent tre consign s par crit ou enregistr s Eclairage de secours clairage de s curit Eclairage de remplacement Eclairage de s curit des voies d vacuation Eclairage de s curit des postes de travail comportant des risques particuliers Eclairage a
436. orer des directives concernant les exigences d crites dans la pr sente ordonnance relatives la construction et l am nagement d entreprises dans le cadre de l approbation des plans 2 Avant d dicter des directives il consultera la Commission f d rale du travail les autorit s cantona les la Commission f d rale de coordination pour la s curit au travail la Caisse nationale suisse d assurance en cas d accidents CNA ainsi que d autres organisations int ress es 3S il se conforme aux directives l employeur est pr sum avoir satisfait ses obligations en mati re de construction et d am nagement d entreprises I peut toutefois y satisfaire d une autre mani re s il prouve que les mesures qu il a prises sont quivalentes L Les directives du Secr tariat d Etat l conomie Il est par cons quent renvoy aux commentaires SECO relatives l OLT 4 ont la m me signification concernant l article 38 OLT 3 juridique et pratique que celles relatives l OLT 3 SECO ao t 2006 426 1 Commentaire de l ordonnance 4 relative la loi sur le travail Chapitre 2 Construction et am nagement des entreprises soumises la proc dure d approbation des plans Section 6 Directives et autorisations de d roger aux prescriptions Art 27 Autorisations de d roger aux prescriptions Art 27 Article 27 Autorisations de d roger aux prescriptions Va promet pas la protection des travailleurs
437. ostes de travail Tous les as pects ergonomiques dimensions et am nagement du local clairage artificiel ventilation et climati sation organisation du travail doivent tre pris en compte dans leur globalit et pond r s Les mesures compensatoires suivantes repr sen tent un minimum appliquer Elles seront adap t es de mani re individuelle en fonction des cir constances Au besoin un sp cialiste tablira une expertise se lon l article 4 OLT 3 Si des indices laissent suspec ter une possible mise en danger de la sant il y a lieu de proc der une enqu te relevant de la m decine du travail en vertu de l article 3 OLT 3 SECO novembre 2009 315 9 Commentaire de l ordonnance 3 relative la loi sur le travail Art 15 v ZS Chapitre 2 Exigences particuli res en mati re d hygi ne Section 2 Eclairage climat des locaux bruits et vibrations Art 15 Eclairage Mesures au niveau de la construction Art 12 OLT 3 Volume d air afin d augmenter le volume d un local une plus grande hauteur pour rait se r v ler n cessaire voir l art 5 al 4 OLT 4 Art 13 OLT 3 Couleurs la couleur des plafonds et des parois influencent sensiblement le bien tre des travailleurs Des tons clairs sont pr f rer aux tons fonc s parce qu ils influencent positivement la qualit de l clairage meilleure r flexion Cer taines couleurs notamment le rouge le jaune l orange le
438. our arrive C est une n cessit Si la construction type d ouvrage et de poste de travail permet l clairage naturel l employeur ne pourra choisir en lieu et place d assurer des mesures compensatoires Dans des cas particuliers il est tout de m me in vitable d am nager des postes de travail dans des locaux sans fen tres c est dire sans clairage na turel ni vue sur l ext rieur Pour d roger aux pres criptions il faut d montrer que des exigences techniques ou de s curit priment sur celle d un clairage naturel et qu aucune autre solution n est envisageable Il faut galement prendre en consi d ration les cas o l exigence d un clairage natu rel serait disproportionn e L autorit d ex cution doit valuer si des mesu res de construction o d organisation particuli res permettent de satisfaire dans l ensemble aux exi gences de la protection de la sant Si l autorit d ex cution arrive la conclusion que cela n est pas le cas l employeur peut demander une auto risation de d roger aux prescriptions Il doit alors tablir qu il prend d autres mesures tout aussi effi caces ou d montrer de mani re cr dible que l ap plication de la prescription conduirait une rigueur excessive et que la d rogation ne compromet pas la protection des travailleurs Les travailleurs doi vent tre entendus ce sujet Si ces conditions ne sont pas remplies la demande doit tre rejet e cf art 39 OLT
439. ourants d air la peau ne per oit pas le mouvement de l air mais de faibles variations de temp rature Le plus souvent les courants d air sont ressentis par les personnes travaillant en po sition assise autrement dit qui bougent peu Les femmes et les personnes g es y sont particuli re ment sensibles Engendr s par des carts de temp rature entre des masses d air les courants d air peuvent avoir des causes multiples portes ou fen tres ouvertes en hiver installation de ventilation amenant de l air trop froid mais aussi existence de parois froides insuffisamment isol es ou de grandes surfaces vi tr es le long desquelles s coulent des flux d air froid Par exemple des appareils quip s d une soufflerie peuvent engendrer des courants d air et des odeurs Ces ph nom nes sont susceptibles de se produire tr s localement par exemple proxi mit de la source du flux d air et ne pas tre rep rables du premier coup Les plaintes concernant les courants d air doivent toujours tre prises au s rieux et tre tir es au clair dans la mesure o elles entra nent une sensation d inconfort des douleurs musculaires des baisses de performances et de mani re g n rale de l insatisfaction De plus l or ganisme est davantage sujet aux affections Climatisation des locaux Les divers types d installation de ventilation et de climatisation sont num r s au chapitre 1 5 de la norme SN 546 382 1 Les installation
440. oximit de la construction voisine et en fonc tion de sa hauteur Il en va de m me pour la vue sur l ext rieur La profondeur des locaux joue ga lement un r le dans l appr ciation de la situation voir ce sujet le commentaire concernant l ar ticle 4 OLT 4 Une distance de six m tres entre deux b timents constitue le minimum pour r pondre aux exigen ces concernant l clairage naturel et la vue sur l ex t rieur constructions distinctes implant es sur la m me propri t ou non Cette distance se me sure entre les parties les plus rapproch es des 2 b timents et correspond d ailleurs souvent au mi nimum exig par des r glements de construction cantonaux ou communaux Il peut s av rer indiqu d augmenter cette distan ce notamment si les b timents sont tr s hauts et si leur orientation o leur emplacement entravent fortement la p n tration de la lumi re dans l es pace entre les b timents Une distance inf rieure ne serait acceptable qu exceptionnellement p ex si le dernier tage du b timent d en face se trouve au niveau du local en question ouverture vertica le ou si le bord du b timent d en face laisse une ouverture lat rale Ces distances minimales s appliquent galement aux locaux de travail donnant sur une cour int rieure Locaux de travail sans clairage naturel ou sans vue sur l ext rieur Les locaux de travail doivent tre pourvus de fen tres par lesquelles la lumi re du j
441. oyens de travail 325 Charg s de s curit 307 Charges lectrostatiques 314 425 Chemins de fuite 408 Circulation int rieure 408 Climat des locaux 316 317 324 405 Bien tre 315 316 320 Indice de satisfaction 316 Cloisonnement des locaux 315 324 407 408 CNA 338 426 427 AP Coefficient d absorption du son 322 Commission de protection de la sant et de s cu rit au travail 306 Commission f d rale du travail 338 426 Compartiments coupe feu 408 409 410 420 423 Comp tences 307 308 310 AP Comp tences en mati re d hygi ne 307 Composition de l air 316 Composition spectrale 322 Concentration en ozone 321 Conception des Voies d vacuation 408 Cages d escaliers 409 Couloirs 409 Conception de l information et du dialogue 323 323 Conception du d roulement du travail 323 Conception d un escalier 409 Escaliers entour s de parois 409 R sistant aux intemp ries 409 Paliers interm diaires 409 Conditions de travail 302 303 305 323 337 Conditions de visibilit 315 Conductivit lectrostatique 314 423 Connaissances scientifiques en ergonomie 323 Consignes de travail 310 Constructions partiellement ouvertes 321 Consultation des travailleurs 306 326 AP Droit la consultation 306 339 427 Visites d entreprise 306 Contr le de r ception AP Coop ration de plusieurs entreprises 308 Corridor 406 407 408 409 Corridor de sortie 407 Couleur de la lumi re 315 Couleurs 313 315 Cour int rieure 408 Couran
442. oyeur doit en informer les travailleurs ou leurs repr sentants en d tail Afin que les travailleurs puissent exercer v ritable ment leur droit lors d inspections par les autorit s ou lors d enqu tes ordonn es par celles ci il est n cessaire qu ils en aient connaissance Si la visite des autorit s a t annonc e l employeur infor mera les travailleurs ou leurs repr sentants suffi samment t t de la date et de l objet de cette visite Lors d inspections non annonc es dans une en treprise poss dant une commission d entreprise l employeur informera imm diatement au moins un membre de cette commission Sous quelle forme les travailleurs ou leur repr sentants doivent ils participer lors d inspections des autorit s Dans les entreprises dot es d une commission d entreprise il est recommand qu au moins un membre de la commission ait la possi bilit de participer la visite S il n existe pas de commission d entreprise on doit au moins don ner la possibilit aux travailleurs concern s d tre associ s l inspection de leur environnement de travail En tous les cas il y a lieu de leur donner la possibilit de faire part aux repr sentants de l au torit de requ tes et de leur propositions en ma ti re de protection de la sant Ils sont en outre libres de s adresser aux autorit s m me en dehors des inspections SECO ao t 2006 306 3 Commentaire de l ordonnance 3 relative la loi sur l
443. p r p titif peut se pr senter par exem ple si le travail est d coup en une succession d op rations effectu es par diff rentes person nes Il s ensuit une sollicitation d s quilibr e par un travail consistant r p ter toujours les m mes mouvements Si le travailleur ne peut employer qu une petite partie de ses capacit s notamment intellectuelles des troubles peuvent galement se manifester la suite de cette activit inadapt e cf explications dans l annexe sur les charges et astreintes menta les au travail Lettre d La d finition de l organisation du travail dans cette ordonnance est tr s large Elle ne comprend pas uniquement une organisation selon les principes de l ergonomie Vu le but vis la protection de la sant il faut y inclure des aspects comme un d roulement du travail sans t ches inutiles sans contr les superflus ou d gradants et sans d tours hi rarchiques inutiles cf les th mes figurant dans l annexe de l article Protection de l int grit personnelle des travailleurs L obligation expresse pour l employeur de pr voir des mesures pour la protection de l int grit person nelle des travailleurs a t introduite dans l article 6 alin a 1 de la LTr lors de la r vision du 20 mars 1998 L employeur doit prendre les dispositions pour ga rantir l int grit physique et psychique de ses tra vailleurs protection de leur personnalit incluse Ce n est pas seulement l e
444. pas cette exigence Voir illustrations 5 1 5 2 5 3 2 4 Les portes sur les voies d vacuation doivent pouvoir en tout temps tre utilis es en toute s curit e L ouverture de ces portes ne doit pas tre entrav e par des objets ou de la neige On prendra les me sures appropri es cet effet par exemple mar quage des portes et du sol poteaux avant toits Voir illustrations 8 2 8 3 84 e Les portes doivent tre suffisamment stables et robustes afin que leur ouverture demeure pos sible m me en cas d v nement important ga rantie de la fonction de s curit Elles ne doivent pas sortir de leurs charni res ni se d former au point de ne plus pouvoir s ouvrir par exemple en cas de temp rature lev e d explosion de gon flement du bois d l humidit Dans les locaux pr sentant un risque d explosion ou d incendie lev seules les portes battant s s ouvrant dans le sens de la fuite sont autoris es pas de porte coulissante ni de porte s ouvrant dans le sens inverse celui de la fuite e Les portes doivent aussi s ouvrir par une pression horizontale Dans les locaux pouvant accueillir plus de 6 personnes le fonctionnement de la porte doit galement tre garanti lorsque plu sieurs personnes s y pressent e Sur les voies d vacuation la commande et l en tra nement des portes automatiques doivent en garantir le bon fonctionnement En cas de cou pure d lectricit ou de d r
445. pl mentaire Bureaux paysagers centres d appel Lors de l am nagement de grands locaux en r gle g n rale d s 400 m2 la surface minimale par bu reau et poste l cran est de 8 m2 pour les postes de travail combin s de 12 m2 En raison de la plus grande surface n cessaire pour se d placer et des facteurs d rangeants plus lev s par ex bruit et 323 6 Commentaire de l ordonnance 3 relative la loi sur le travail o Chapitre 2 Exigences particuli res en mati re d hygi ne A Art 23 Section 3 Postes de travail Art 23 Exigences g n rales clairage une surface plus lev e est toutefois re f d e d ti Couleur Effet sur la Effet sur la Ambiance commanaee aans la pratique perception de perception de psycho E la distance la temp rature logique Equipement suppl mentaire n cessaire aux t ches Bleu Eloignement Froid Apaisant Pour les quipements suppl mentaires n cessai Vert Eloignement Froid ou neutre Tr s apaisant res par ex mobilier accueil grands appareils nus Baie a Teini etc la surface suppl mentaire n cessaire doit tre ment et excitant calcul e et additionn e Orange Grand Tr s chaud Stimulant a rapprochement Organisation du travail ii 2 R ORE R he Tr s chaud Stimulant e Donner la pr f rence une activit traitant des 47e 0 Fr ds t ches compl tes viter le fractionnement PSIA POR SS Brun Grand Neutre Stimulant e Pr voir une libert
446. pratiquement toujours des m langes explosibles selon l article 22 litt a OLT 4 et tombent par cons quent sous les dispositions des articles 22 24 OLT 4 selon la lettre b e les mati res inflammables dont l chauffement ou la combustion lib rent de grandes quantit s de produits de d composition inflammables ou toxiques telles que le PVC le polyur thane le phosphore le soufre les engrais azot s selon la lettre c e l oxyg ne l air liqu fi l ozone des compos s oxyg n s facilement d composables tels que les chlorates les nitrates et les peroxydes ainsi que d autres agents oxydants tels que le chlore le brome l iode SECO novembre 2011 419 1 Commentaire de l ordonnance 4 relative la loi sur le travail Chapitre 2 Construction et am nagement des entreprises soumises la proc dure d approbation des plans Art 20 Section 5 Entreprises pr sentant des dangers particuliers Art 20 Entreprises pr sentant un danger particulier d incendie b Mode de construction Article 20 Entreprises pr sentant un danger particulier d incendie b Mode de construction 1 En r gle g n rale les b timents ou les locaux doivent tre construits en mat riaux r sistant au feu Les b timents isol s un tage peuvent tre ex cut s en construction l g re au moyen de mat riaux incombustibles lorsque la s curit des travailleurs et du voisinage est garantie 2 Pour garantir la
447. proc d s produisent une chaleur s che Un climat trop chaud conduit d j lors d un tra vail physique relativement l ger une charge im portante du syst me cardiovasculaire augmenta tion rapide et forte du pouls et un puisement pr coce Ce sont ces raisons de sant qui dictent l interdiction d occupation de jeunes travailleurs de moins de 16 ans cf art 1 lit d chiffre 3 Ordon nance du DFE sur les travaux dangereux pour les jeunes et qui la d conseillent pour les personnes de plus de 50 ans Les performances physiques et psychiques sont diminu es et le risque d accident augmente Les signes d chauffement chronique sont la fatigabilit l apparition de c phal es la perte d app tit l insomnie et les troubles cardio vasculaires Une exposition prolong e peut g n rer une syncope Plus rarement le coup de chaleur et l puisement peuvent se produire En r gle g n rale les travailleurs expos s des charges thermiques tr s importantes doivent tre en bonne sant et en bonne forme La limite de 320 2 Commentaire de l ordonnance 3 relative la loi sur le travail Chapitre 2 Exigences particuli res en mati re d hygi ne Section 2 Eclairage climat des locaux bruits et vibrations Art 20 Ensoleillement et rayonnement calorifique i Art 20 charge en longue dur e ne devrait pas conduire une fr quence du pouls sup rieure 130 pulsa tions minute et une temp rature
448. qu ils sont plus lourds que l air l aspiration doit se faire pr s du sol Dans ces conditions les emplacements les plus expos s sont les parties basses des locaux telles que fosses caniveaux puits et sous sols Toutes les vapeurs et la majorit des gaz sauf l ac tyl ne l acide cyanhydrique le gaz ammoniac l thyl ne l hydrog ne le m thane et le monoxyde de car bone sont plus lourds que l air et ont ainsi ten dance se r pandre sur le sol Mesures de protection dans le cas de substances et de m langes de substances explosibles selon lettre b Les mesures de protection doivent tre adapt es aux propri t s particuli res des substances concer n es Il est important de conna tre les donn es de s curit On les trouve p ex dans des manuels de substances dangereuses ou dans les feuilles de donn es de s curit du fournisseur Le comportement des produits de d part pro duits finis et produits interm diaires des synth ses chimiques sont analys s par des tests de s curit On r alise p ex un test de combustion y com pris un test de d flagration de d composition de d gagement gazeux et de sensibilit au choc Des indications plus d taill es concernant les tests de s curit pour les produits chimiques figurent dans le 1 cahier des publications de la Commission des experts pour la s curit dans l industrie chimique de la Suisse CESICS 4 version retravaill e 1998 commander
449. que La loi f d rale sur la protection contre les subs tances et les pr parations dangereuses loi sur les produits chimiques LChim RS 813 1 du 15 d cembre 2000 entr e en vigueur le 1 ao t 2005 et ses ordonnances remplacent la loi sur les toxiques Pour les instruments de travail la directive CE 94 9 dite ATEX 95 ATEX Atmosph res Explosibles a t reprise dans l ordonnance du 2 mars 1998 sur les appareils et les syst mes de protection destin s tre utilis s en atmosph res explosibles La directive CE 1999 92 ATEX 137 concernant les prescriptions minimales visant am liorer la protection en mati re de s curit et de sant des travailleurs susceptibles d tre expos s au risque d atmosph res explosives n a pas t reprise en droit suisse En revanche le feuillet d information CNA 2153 r vis Pr vention des explosions Principes prescriptions minimales zones tient compte de cette directive autant que possible 2 Mesures de protection Les articles 19 25 OLT 4 et les articles 29 et 36 OPA sont appliquer pour des exigences sp cifi ques de s curit dans les entreprises pr sentant des dangers particuliers Les directives pour la s curit au travail de la CFST mentionnent d autres ouvrages normatifs et la litt rature contenant des mesures de protection techniques ou li es la construction telles que R gles CFST 1825 Liquides inflammables Feuillet d informatio
450. quement en charge la pr sentation du poste de travail En r gle g n rale cette introduction se d roulera selon les principes d apprentissage connus suivants expliquer montrer faire ex cuter Corriger exercer surveiller L utilisation de moyens visuels photos esquisses ou autres peut souvent se r v ler utile pour l instruction de travail leurs de langue trang re Une instruction adapt e est galement n cessaire lors d un changement de poste de travail ou en core lors de l introduction de nouvelles substances potentiellement dangereuses ou de l adoption de nouvelles m thodes de travail On rendra attentif avant tout aux dangers du nouveau poste de tra vail et ceux qui apparaissent du fait de nouveaux mat riaux ou de nouvelles m thodes de travail Le principe demeure que chaque travailleur doit conna tre les dangers de son poste de travail et le comportement qu il doit adopter pour pr server sa sant Un encadrement et une surveillance accrus sont n cessaires pendant les premiers jours un nouveau poste de travail Le savoir n cessaire doit toujours tre disposition Ainsi des r p titions sont n cessaires afin de maintenir d actualiser et de renforcer les connaissances des travailleurs en mati re de protection de la sant L introduction et la formation des travailleurs dans le domaine de la pr vention en mati re de protec tion de la sant ne peut se limiter dans la pratique
451. qui sert garantir la s curit des personnes qui pourraient tre impliqu es dans des situations ou proc d s dangereux il doit permettre l arr t des installations dans des conditions assurant la s curit et la sant des personnes directement o indirectement concern es Valeurs seuils e l clairement mesur horizontalement la hau teur de travail doit tre adapt aux op rations effectuer et atteindre au minimum 10 de l clairement normalement requis ou pour le moins 15 lx e La r gularit c est dire le rapport entre la valeur la plus lev e et la valeur la plus basse de l clairement dans les zones clairer doit tre inf rieure 10 1 315 B Commentaire de l ordonnance 3 relative la loi sur le travail Chapitre 2 Exigences particuli res en mati re d hygi ne Section 2 Eclairage climat des locaux bruits et vibrations Art 15 Eclairage Annexe de T l art 15 S e l clairement requis doit tre atteint apr s 0 5 se conde La dur e de fonctionnement nominal doit tre au moins quivalente celle pendant laquelle le danger subsiste l clairage de remplacement est la partie de l clairage de secours qui sert maintenir une ex ploitation normale pendant un temps limit Dans le cas o l clairement est inf rieur aux valeurs nor malement requises il ne doit tre utilis que pour terminer les op rations en cours et arr ter les in
452. r tition extr me des op rations au profit de l lar gissement des activit s et de la libert d action de chaque travailleur e Autant que possible on favorisera l change de diff rents postes de travail entre les travailleurs job rotation Le travail en groupes autonomes pr sente des avantages On tiendra compte de la diversit des capacit s de rendement des chan gements qui s imposent pour des raisons d ge et de possibilit s de d veloppement personnel de chacun 2 6 Utilisation et comportement corrects Une information suffisante sur le comportement au poste de travail sur l utilisation des installations et de l outillage s impose galement du point de vue ergonomique voir aussi art 5 OLT 3 Les efforts consentis pour la cr ation de postes de travail et des installations ergonomiques sont sans effets si les possibilit s d adaptation aux individus sont mal ou pas utilis es du tout 3 Travail l cran 3 1 G n ralit s Les crans de visualisation sont des instruments dont l utilisation est devenue quotidienne dans le monde du travail L utilisation de l instrument de travail son ad quation l individu et une libert de mouvement suffisante sont galement impor tantes Cela implique la formation la collabora tion et la prise de responsabilit individuelle des travailleurs 3 2 Troubles de sant Si les principes de l ergonomie ne sont pas respec t s l utilisateur est soumis des cha
453. r ception des b timents locaux et installa tions que les exigences de la protection de la sant et de la s curit du travail sont remplies dans une large mesure et que les d fauts constat s ne sont que de faible ou moyenne importance l autorisa tion d exploiter peut alors tre octroy e assortie des r serves n cessaires voir aussi le commentaire de l art 43 OLT 4 Si l autorit unique constate au moment de la visi te de r ception que des locaux ou des installations ne figurant pas dans les plans approuv s ont t r alis s il lui appartient de d cider si une proc du re d approbation des plans a posteriori est n ces saire Conform ment l art 41 OLT 4 elle consul te pour cela l Inspection f d rale du travail De tels cas sont valuer selon les indications ci apr s Si le contr le sur place en vue de la r ception de l ouvrage d montre que les exigences de protec tion des travailleurs en mati re de s curit et de protection de la sant sont largement respect es Commentaire de l ordonnance 4 relative la loi sur le travail Chapitre 4 Approbation des plans et autorisation d exploiter Section 2 Proc dure d autorisation d exploiter Art 44 Autorisation d exploiter dans la proc dure f d rale coordonn e les plans seront soumis apr s coup si n cessaire dans leur forme corrig e Pour autant qu aucun manquement grave ne soit constat et que toutes les exigences soient rempl
454. r glables et le cas ch ant rembourr s Ils contribuent en outre viter les ef forts statiques des bras postures forc es 2 4 6 S curit contre le basculement Le ch ssis des si ges tournants doit avoir au moins 5 points d appui Ceux ci peuvent tre des roulet tes ou des patins Les roulettes ne sont pas admi ses pour les si ges pouvant tre r gl s une hau teur sup rieure 65 cm Des roues molles sont conseill es sur des sols durs et inversement Afin de se prot ger contre les d placements non souhait s les roues devraient tre frein es par le poids Base Brochure SECO 710 068 f Travailler assis 3 Alin a 3 Un poste de travail offrant la possibilit de passer librement de la position assise la position debout est tr s appr ci du point de vue de la physiolo gie du travail En fait des muscles diff rents sont mis contribution dans ces deux positions et un changement de posture leur permet de se reposer alternativement L alimentation des disques inter vert braux en substances nutritives est aussi favo ris e N anmoins la charge musculaire statique en position debout est plus importante qu en position assise Le syst me cardio vasculaire est galement mis plus fortement contribution Lors de l qui pement des postes de travail il y a donc lieu e de mettre des si ges disposition pour l ex cution de travaux qui peuvent tre ac complis en position a
455. r glement d entreprise une proc dure claire pour permettre l employ de quitter son pos te de travail afin d aller aux toilettes Ce dernier sera inform de cette proc dure Alin a 1 Les toilettes seront r parties dans l entreprise et dispos es de fa on que les travailleurs n aient pas sortir des b timents En outre elles ne doivent pas tre trop loign es ni des postes de travail ni des locaux sociaux vestiaires lavabos douches r fectoires et locaux de repos Leur loignement des postes de travail ne devrait d passer ni 100 m ni un tage L acc s aux toilettes ne devrait pas se faire au tra vers des vestiaires Alin a 2 En r gle g n rale on am nagera 1 dans les entreprises occupant jusqu 10 em ploy s un W C et un urinoir pour les hommes et un W C pour les femmes 2 dans les entreprises occupant jusqu 50 em ploy s un W C et un urinoir pour 15 hommes et un W C pour 10 femmes 3 dans les entreprises occupant jusqu 100 em ploy s un W C et un urinoir pour 20 hommes et un W C pour 12 femmes 4 dans les entreprises occupant plus de 100 em ploy s un W C et un urinoir pour 25 hommes et un W C pour 15 femmes SECO janvier 2009 332 1 Art 32 Notamment dans les petites entreprises comptant jusqu 10 employ s une d rogation au nom bre de toilettes n cessaires et la s paration par sexe est possible en raison
456. r pandent du dioxyde de carbone de la vapeur d eau et des odeurs dans l atmosph re Les impuret s de l air SECO mai 2011 316 1 Art 16 dd dd Commentaire de l ordonnance 3 relative la loi sur le travail Chapitre 2 Exigences particuli res en mati re d hygi ne Section 2 Eclairage climat des locaux bruits et vibrations Art 16 Climat des locaux incommodantes ou nuisibles pour la sant doivent d s lors tre pr venues voire limin es dans toute la mesure du possible Air int rieur et taux d air ext rieur Selon la norme SN 546 382 1 l apport d air frais correspond au taux d air ext rieur exprim en m3 par heure et par personne d bit d air en m3 hepersonne Afin de chasser l air vici ou pollu les taux d air ext rieur suivants sont applicables pour les postes de travail respectivement les lo caux de travail occup s en permanence e Qualit lev e de l air gt 36 m3 hepersonne locaux soumis des exigences accrues e Qualit moyenne de l air 22 36 m3 he personne par exemple les bu reaux e Qualit basse de l air lt 22 m3 he personne locaux sans postes de travail permanents entrep ts corridors La classification des types de flux d air et d occu pation des locaux est d finie au chapitre 1 7 de la norme SN 546 382 1 Une autre notion fix e par la norme SN 520 180 est le taux dit de renouvellement d air Il s agit de la proportion du vo
457. r aucun pr judice la suite des activit s qu ils exercent pour la protec tion de la sant Ils ne doivent supporter aucune r duction de salaire ni tre frein s dans leur avan cement ou dans la poursuite de leur formation con tinue Il n est pas admissible non plus qu ils soient oblig s d exercer leur activit dans le domaine de la protection de la sant en dehors du temps de travail officiel par des heures suppl mentaires ou pendant les pauses SECO mai 2011 307 1 Commentaire de l ordonnance 3 relative la loi sur le travail Art 7 oWo o Chapitre 1 Dispositions g n rales M MA Art 7 Comp tences en mati re d hygi ne Alin a 2 Alin a 3 Les travailleurs auxquels sont confi es des t ches sp ciales dans le domaine de la protection de la sant doivent avoir la possibilit de suivre une for mation de base ou continue sp cifique interne ou si n cessaire externe Le temps utilis pour leur formation pour les cours et pour les s minaires compte en r gle g n rale comme temps de travail et doit tre financ dans le cadre usuel par l em ployeur L employeur doit d finir clairement le champ d ac tivit des travailleurs auxquels sont confi es des t ches dans le domaine de la protection de la san t et leur octroyer les comp tences n cessaires Les t ches particuli res devraient tre d crites dans un cahier des charges L employeur doit veil ler ce que ces travailleurs n
458. r autant qu il consiste en un corridor construit conform ment aux prescriptions de protection incendie de l AEAI voir ill 408 5 Cage d escaliers sans corridor Cage d escaliers avec un corridor court Cage d escaliers avec un long corridor Illustration 408 3 Exemple d un tage avec une seule cage d escalier 408 4 Commentaire de l ordonnance 4 relative la loi sur le travail Chapitre 2 Construction et am nagement des entreprises soumises la proc dure d approbation des plans Y Section 3 Passages Art 8 Voies d vacuation En ce qui concerne la disposition des cages d es caliers et la longueur des voies d vacuation se re porter l illustration 408 6 Les cours int rieures doivent en principe se trou ver au niveau du sol ill 408 7 Leur utilisation sans danger est garantie lorsqu elles disposent e d un corridor et ou e d un passage max 15 Deux cages d escaliers sans corridor Deux cages d escaliers avec corridor Illustration 408 4 Exemple d un tage avec deux ou plusieurs cages d escaliers ER Art 8 Trois cages d escaliers avec corridor Illustration 408 5 Exemple pour l emplacement des cages d escaliers dans le cas d une construction en L max 15m xE ES 4 TL 25 ge A0 Se 5 E9 Q 3 O amp Ill
459. r de travail en position debout a lt Illustration 324 12 Poste de travail combin permettant de travailler alternativement debout ou assis p ex montage de petites pi ces c blage Pour d autres informations voir norme DIN 33406 mesures en cm e un espace libre suffisamment grand pour les jambes e une hauteur du plan de travail adapt e au travail effectuer et la taille du travailleur permettant une position naturelle de la t te 3 2 Activit en position debout pr dominante La position debout est fr quente entre autres pour le personnel de vente ou de guichet et dans le do maine de la coiffure Cette position statique de longue dur e provoque la fatigue des muscles mis contribution et est avant tout une entrave la circulation veineuse pouvant provoquer par exem ple des varices Les cons quences d une activit non alternante en position pr dominante debout exigent la prise de mesures adapt es Donner la possibilit de s asseoir est l une des premi res mesures prendre pour soulager ces personnes La possibilit de travailler en position assise devrait tre int gr e dans la conception de ces postes de travail en particulier pour le personnel de vente et de guichet voir l illustration 324 11 Si cette solution n est pas r alisable des si ges se ront mis disposition pour permettre au person nel de s asseoir de temps en temps Les a
460. r n gligence qui met gravement en danger d autres personnes SECO ao t 2006 310 1 Commentaire de l ordonnance 3 relative la loi sur le travail Chapitre 2 Exigences particuli res en mati re d hygi ne Section 1 B timents et locaux B timents et locaux menn Section 1 B timents et locaux De bonnes conditions de travail sont fortement d pendantes des constructions dans lesquelles se trouvent les postes de travail Le b timent et les lo caux de travail doivent prot ger des influences m t orologiques pour garantir des conditions clima tiques r guli res et agr ables aux diff rents postes de travail l enveloppe du b timent doit remplir les fonctions d isolation suivantes e isolation thermique contre le froid et la chaleur e tanch it et protection contre l humidit et l eau e protection contre les courants d air en vitant des courants d air d sagr ables e isolation phonique prot geant contre la trans mission et la r flexion du bruit voir aussi les ex plications au sujet de l article 22 OLT 3 En m me temps on s assurera que les postes de travail sont suffisamment a r s et que l air n y est pas pollu par les activit s exerc es art 17 et 18 OLT 3 Ils doivent galement disposer d un clai rage naturel suffisant et la vue sur l ext rieur doit y tre garantie art 15 OLT 3 SECO ao t 2006 31 1 Commentaire de l ordonnance 3 relative
461. ra les indications suivantes a le genre d exploitation pr vue la destination des locaux et dans la mesure o l exige la d ci b le nombre maximum probable des travailleurs qui seront occup s dans chaque local les mat riaux employ s pour les fondations murs parois sols plafonds toitures escaliers les installations techniques selon l art 38 al 3 et les installations d clairage les locaux et les installations destin s l emploi de mati res radioactives le genre et la quantit des mati res particuli rement inflammables explosibles ou nocives le genre et l emplacement des sources de bruit ayant des effets notables sur les travailleurs ou le h le mode d emballage et de transport des mati res particuli rement inflammables explosibles ou 2Si les indications exig es dans l tat descriptif selon l al 1 ne peuvent pas encore tre fournies ou ne peuvent l tre compl tement elles seront donn es ult rieurement mais au plus tard avant la mise en place des installations qu elles concernent Alin a 1 Cet alin a d crit en d tail les autres informations qui doivent tre transmises avec la demande d ap probation des plans Ces informations portent essentiellement sur des l ments importants pour l valuation du projet mais qui n apparaissent normalement pas sur les plans Aucune autorit ne refusera un dossier unique ment parce que les donn es qui selon l article 39 doivent figurer
462. ragener Schwingungen auf den Menschen 5 1986 DIN 4150 Ersch tterungen im Bauwesen Teil 1 3 Teil 1 Grunds tze Vorermittlung und Mes sung von Schwingungsgr ssen 9 1979 Teil 2 Einwirkungen auf Menschen in Geb u den 12 1992 Teil 3 Einwirkungen auf bauliche Anlagen 5 1986 VDI 2057 Einwirkungen mechanischer Schwin gungen auf den Menschen 5 1987 Blatt 1 Grundlagen Gliederung Begriffe Blatt 2 Bewertung Blatt3 Beurteilung Blatt 4 1 Messung und Beurteilung von Arbeitspl tzen in Geb uden Blatt 4 2 Messung und Beurteilung von Arbeitspl tzen auf Landfahrzeugen Blatt 4 3 Messung und Beurteilung von Was serfahrzeugen SECO ao t 2006 322 E Y A Y Commentaire de l ordonnance 3 relative la loi sur le travail Annexe de Chapitre 2 Exigences particuli res en mati re d hygi ne l art 22 Section 2 Eclairage climat des locaux bruits et vibrations Art 22 Bruit et vibrations Feuillet CNA 66057 Suspension lastique de Feuillet CNA 2869 16 Troubles de sant dus machines aux vibrations M decine du travail Feuillet CNA 86052 Exposition aux vibrations AISS Vibrations au poste de travail peut tre aux postes de travail obtenu aupr s de la CNA 322 F Commentaire de l ordonnance 3 relative la loi sur le travail Chapitre 2 Exigences particuli res en mati re d hygi ne Sect
463. rale du travail est invit e en tant qu autorit sp cialis e prendre position dans le cadre de ces proc dures mais elle n est pas habilit e pronon cer une d cision En vertu de l art 42 al 2 LTr le SECO et en son sein l Inspection f d rale du travail assume la fonction d autorit unique et est par cons quent habilit prononcer des d cisions dans les domaines o il n existe pas de loi d signant une autorit unique Commentaire de l ordonnance 4 relative la loi sur le travail Chapitre 4 Approbation des plans et autorisation d exploiter Section 1 Proc dure d approbation des plans Art 41 Approbation des plans dans la proc dure f d rale coordonn e Art 41 Lorsque la comp tence revient aux cantons la pro c dure d approbation des plans se d roule comme jusqu maintenant Si la comp tence en mati re d approbation des plans n est pas d finie pour des entreprises de la Conf d ration il convient de consulter la l gisla tion y relative pour d terminer la comp tence Pour les entreprises non industrielles une proc du re d autorisation d exploiter n est n cessaire que dans les cas r pertori s l art 1 al 2 OLT 4 Exemples de cas pour lesquels une proc dure f d rale coordonn e est n cessaire e Un laboratoire de niveau 3 p ex dans un insti tut de recherche si une tude de l impact sur l environnement EIE et ou une approbation des plans conform ment
464. rapport la fum e Alin a 1 Les portes sur les voies d vacuation doivent satis faire l objectif de protection d fini pour les por tes sur les voies d vacuation Cet objectif de s curit est le suivant Les portes des voies d vacuation doivent pouvoir en tout temps e tre reconnues en tant que telles e tre ouvertes rapidement dans le sens de la sortie et sans recourir des moyens auxiliaires et e tre utilis es en toute s curit SECO avril 2009 410 1 Commentaire de l ordonnance 4 relative la loi sur le travail Chapitre 2 Construction et am nagement des entreprises soumises la proc dure d approbation des plans Art 10 Section 3 Passages Art 10 Portes et sorties situ es sur les voies d vacuation Toutes les portes et types de portes qui respectent cet objectif de protection doivent tre accept es comme telles Les portes ne doivent pas en position ouverte blo quer le passage Le cas ch ant pr voir des d gagements pour pouvoir garantir l utilisation s re des passages Alin a 2 Cet alin a traite de la largeur des portes prescrites l article 7 alin a 2 OLT 4 Ces portes doivent avoir une largeur libre d au moins 0 9 m Ce mi nimum est valable pour tous les passages sur les voies d vacuation portes avec l ments swing out o battants de portes ouvrant vers l ext rieur dans des portes pliantes inclus Une largeur inf
465. ration due l ge d butante ou affirm e Les porteurs de lunettes et de lentilles de contact se plaignent plus fr quem ment que les personnes qui n en portent pas Le conseil personnalis des personnes souffrant d anomalies de la vue par un ophtalmologue ou un opticien et l am lioration cibl e des conditions visuelles sont importantes 323 8 Commentaire de l ordonnance 3 relative la loi sur le travail o Chapitre 2 Exigences particuli res en mati re d hygi ne Ey Art 24 Section 3 Postes de travail Art 24 Exigences particuli res Article 24 Exigences particuli res Ergonomie p 1 L espace libre autour des postes de travail doit tre suffisant pour permettre aux travailleurs de se mouvoir librement durant leurs activit s 2Les postes de travail permanents doivent tre con us de fa on permettre aux travailleurs d adopter une position naturelle du corps Les si ges doivent tre confortables et adapt s au travail effectuer ainsi qu au travailleur Au besoin des accoudoirs et des repose pieds seront install s 3 Les postes de travail doivent tre am nag s de mani re permettre aux travailleurs de travailler si possible assis ou alternativement assis et debout Les personnes devant travailler debout dispose ront de si ges qu elles pourront utiliser de temps autre 4Les postes de travail doivent tre am nag s de fa on ce que les installations d exploitation ou le
466. rdonnance 3 relative la loi sur le travail Chapitre 2 Exigences particuli res en mati re d hygi ne Section 3 Postes de travail Art 24 Exigences particuli res Une l g re inclinaison vers l avant est favorable du point de vue physiologique avant tout pour les ac tivit s n cessitant une observation de d tails pr cis Elle permet une plus grande ouverture d an gle entre la colonne vert brale et le bassin Pour les activit s permettant un changement d inclinai son vers l avant et vers l arri re ainsi qu une posi tion droite les si ges quip s d une surface l g rement inclin e vers l arri re 3 8 par rapport l horizontale sont pr f rables Ce type de si ge est adapt au travail de bureau et la majorit des postes de travail industriels 2 4 2 Dossiers On accordera autant d attention au dossier du si ge qui est l l ment central d un si ge de tra vail qu sa surface Le dossier a une fonction de soutien importante pour le dos en particulier pour la r gion lombaire et m nage les disques interver t braux Il est d s lors important que le dossier soit r glable inclinable et qu il puisse tre bloqu dans la position choisie Il est bon pour la sant d utili ser un m canisme synchrone gr ce auquel le dossier soutient le dos de mani re flexible selon un angle assez grand La force de soutien doit tre adapt e au poids du corps Les dossiers hauts appuyant j
467. re d hygi ne Section 2 Eclairage climat des locaux bruits et vibrations Art 18 Pollution de l air Ces derniers peuvent se limiter certaines person nes qui sont plus sensibles que les autres cer taines substances ou concerner un pourcentage important de personnes dans un b timent p ex en cas de syndrome des b timents malsains On proc dera seulement dans un second temps des mesures L valuation des mesures se fait en pre nant en compte des valeurs indicatives et des va leurs d exp rience qui donnent des indications sur l existence d exposition des substances sp cifi ques p ex divers COV Cela permet de distinguer et d liminer des sources possibles de polluants dans les locaux La th matique des polluants in t rieurs doit tre valu e l aide de la litt rature sp cialis e Dans les locaux sans sources de polluants sp ci fiques on recommande g n ralement un apport d air frais de 36 m3 h par personne au minimum pour maintenir au plus bas le CO et les odeurs produits par les personnes pr sentes Pour r duire au minimum la pr sence de polluants dans les lo caux il faut employer des mat riaux de construc tion et d quipement entra nant peu d missions Le renouvellement d air minimum doit tre de 1 3 fois par heure en l absence de toute pollution par ticuli re En cas de ventilation naturelle seule les orifices d a ration doivent repr senter au moins 3 de la surface
468. reprises in dustrielles doivent aussi avoir la possibilit d utiliser des locaux qui l origine n ont pas t construits dans ce but Dans ces locaux la surface de fe n tres est souvent insuffisante m me s ils garan tissent de tr s bonnes conditions de travail pour le surplus l alin a 3 peut tre invoqu pour au toriser des locaux pauvres en fen tres min 4 de fen tres en fa ade et donc aussi des locaux de grande surface lorsque des motifs de s curit ou de technique de production existent Dans les autres cas les d rogations la surface de fen tres prescrite doivent tre d livr es sur la base de l ar ticle 27 OLT 4 Lorsque la surface des fen tres a t diminu e les conditions particuli res de protection des travail leurs suivantes seront remplies voir les explications relatives l article 15 alin a 3 OLT 3 e Eclairage artificiel optimal clairage de secours e Am nagement du local teintes des murs plantes e Garantie d un climat des locaux irr prochable e Mesures contre le bruit et les vibrations e Mise disposition d un local de pause clair et ventil naturellement e Mesures organisationnelles rotation des postes consultation des travailleurs pauses compensatoi res suppl mentaires etc Alin a 4 Dans les locaux comportant des postes de tra vail permanents la hauteur de l all ge des fen tres c est dire la distance entre le sol et le vitrage
469. rges suppl mentaires qui peuvent conduire des troubles de la sant Il s agit notamment des charges sui vantes clairage Illustration 323 5 Am nagement d un poste de travail l cran de visualisation La litt rature concernant le travail l cran de visualisation explique les exigences particuli res Des g n ralit s figurent galement dans les articles 15 22 et 24 alin as 1 et 5 Les appareils offerts actuellement sur le march satisfont g n ralement aux exigences en mati re d ergonomie mais les composants doivent encore tre dispos s et r gl s correcte ment 323 4 Commentaire de l ordonnance 3 relative la loi sur le travail Chapitre 2 Exigences particuli res en mati re d hygi ne Section 3 Postes de travail Art 23 Exigences g n rales Q Ey Art 23 e fatigue oculaire due la concentration face l cran au changement constant du regard en tre le clavier le porte documents et l cran e charge corporelle due une posture fig e e charge due une disposition d favorable des instruments et du mobilier et un mauvais en vironnement de travail p ex mauvais clairage facteurs climatiques e charge due une mauvaise organisation de l in terface de travail des logiciels organisation des menus pas ou peu flexible absence d influence sur les r ponses du syst me difficult de com pr hension due
470. risation e pouvoir d isolation lectrique e conductibilit lectrostatique Alin a 1 Le choix d un rev tement de sol est capital aussi bien des points de vue technique et conomique qu en ce qui concerne la protection de la sant et la s curit au travail Afin de minimiser les risques d accidents dus aux chutes les rev tements de sols ne doivent pas tre glissants les types de chaussures jouent un r le d terminant Le risque de glissade est particuli rement lev sur les sols mouill s ou souill s par de l huile de la graisse ou d autres agents diminuant l adh sion Une sur face rugueuse rend le nettoyage plus difficile dans certains cas les carreaux de c ramique pr sentant des asp rit s sont bien adapt s S il est pr voir que de l eau ou d autres liquides se r pandent fr quemment sur le sol ceux ci devront avoir une l g re d clivit en direction de collec teurs ou de rigoles Dans ces cas l utilisation de caillebotis ou de plate formes l g rement sur lev es garantiront des emplacements de travail secs Il est important de conna tre les exigences aux quelles les rev tements de sols doivent satisfaire lorsqu on planifie de nouveaux locaux ou lorsqu on veut en transformer ou en r nover Les propri t s antid rapantes ne doivent pas seulement tre suf fisamment lev es pour l utilisation pr vue encore est il n cessaire que les rev tements soient r sis tants aux agressio
471. rise Celles ci sont situ es sur le terrain propre l entre prise et l int rieur des b timents Les passages sur le terrain de l entreprise sont p ex les voies internes les acc s aux rampes de char gement les places de stockage et de transborde ment les voies ferr es et plaques tournantes Ceux l int rieur des b timents sont les entr es et sor ties les corridors les cages d escaliers et les che mins d acc s aux postes de travail et aux installa tions d exploitation Les postes de travail locaux b timents et le ter rain de l entreprise doivent pouvoir tre vacu s rapidement et d une fa on s re en cas de dan ger Tous les passages forment de ce fait des voies d vacuation importantes pour les travailleurs Ils constituent aussi des voies d acc s pour les ser vices de secours et pour les pompiers Les tra vailleurs doivent notamment pouvoir atteindre l ext rieur directement et sans obstacles le long des passages d sign s comme voies d vacua tion Pour cette raison les parties de b timents et d installations ne se trouvant pas au niveau du sol doivent tre accessibles par des escaliers ou des plans inclin s La majeure partie du trafic des personnes et du transport de marchandises se fait sur les passages principaux dans les b timents et sur le terrain de l entreprise Ils constituent les v ritables axes de circulation sur le terrain de l entreprise et d ac c s aux b timents et installati
472. rm es manipul es ou en trepos es de par la nature m me de ces mati res Dans ce cas le feu peut se propager rapidement attaquer l ensemble du b timent ou se d velopper en feu de surface Alin a 2 Les mati res pr sentant un risque particulier d in cendie sont selon la lettre a e les mati res solides facilement inflammables et combustion rapide telles que papier d chique t laine de bois ou paille parse e les mati res liquides ayant un point d clair in f rieur 30 C Cette d finition se fonde sur les r gles CFST Liquides inflammables voir galement le commentaire relatif la section 5 OLT 4 Lorsque la temp rature du local ou celle du li quide sont plus lev es que le point d clair p ex lorsque le liquide est chauff au dessus de son point d clair les dispositions relatives aux entreprises pr sentant un danger d explosion sont applicables art 22 25 OLT 4 Exemples e l essence pour vernis point d clair 30 43 C et l isobutanol point d clair 27 5 C pr sen tent un danger particulier d incendie si la temp rature du local ou celle du liquide ne d passent pas respectivement 27 5 ou 30 C Si ces tem p ratures sont d pass es ils pr sentent gale ment un danger d explosion La benzine point d clair 40 C l ac tone point d clair 20 C et le tolu ne point d clair 7 C de m me que le propane et le butane forment
473. rmation et instruction des travailleurs Pa mises la charge des travailleurs 1 L employeur doit veiller ce que tous les travailleurs occup s dans l entreprise y compris ceux pro venant d une entreprise tierce soient inform s et instruits de mani re suffisante et ad quate des risques auxquels ils sont expos s dans l exercice de leur activit mais aussi des mesures d hygi ne prendre pour les pr venir Cette instruction doit tre dispens e lors de l entr e en service ainsi qu chaque modification des conditions de travail elle doit tre r p t e si n cessaire 2 l employeur doit veiller ce que les travailleurs observent les mesures d hygi ne 3 l information et l instruction doivent se d rouler pendant les heures de travail et ne peuvent tre L OPA ensuite de sa r vision du 6 octobre 1997 contient une disposition pratiquement identique art 6 OPA Alin a 1 L employeur doit veiller ce que chaque travailleur connaisse les dangers qui peuvent menacer sa san t son poste de travail et sache de quelle fa on il peut y parer L information doit porter principale ment sur l influence et le mode d action des subs tances nuisibles la sant sur les agents physiques pr sents aux postes de travail et sur le comporte ment sans risque adopter pour se pr server de ces nuisances Il faudra en outre rendre attentif aux nuisances dues aux charges corporelles et psy chiques aux dangers
474. rmes SN EN 179 et 1125 prescrivent ceci Une fermeture d urgence doit tre con ue pour d verrouiller la porte de l int rieur en moins d une seconde par une seule man uvre de la main sans n cessiter l utili sation d une cl ou d un autre objet similaire 410 B Commentaire de l ordonnance 4 relative la loi sur le travail Chapitre 2 Construction et am nagement des entreprises soumises la proc dure d approbation des plans Section 3 Passages Art 10 Portes et sorties situ es sur les voies d vacuation Les portes munies de fermetures d urgence quip es d un verrouillage lectrique ne doivent selon la norme DIN prEN 13637 n cessiter que deux mouvements simples pour s ouvrir 1 re man uvre d verrouillage lec trique 22 man uvre ouverture de la porte au moyen de la b quille de la plaque de pouss e ou de la barre antipanique Afin de garantir une ouverture rapide des por tes les verrous lectrom caniques ou lectroma gn tiques doivent tre actionn s sur place pas d ouverture retard e actionnement sans lec tricit d verrouillage manuel ou autre solution quivalente Les boutons poussoirs d ouverture d urgence doivent tre plac s de mani re visible proximit imm diate de la porte c t int rieur Une fois actionn s les boutons poussoirs d ou verture d urgence ne doivent pouvoir tre re mis en position de d part que manuellement et sur place Po
475. rnants 407 409 SECO novembre 2011 Index i Commentaire des ordonnances 3 et 4 relatives la loi sur le travail Index Escaliers principaux 409 Escaliers secondaires 409 Espace de mouvement 324 Espace libre autour des postes de travail 324 Espace libre pour les jambes 323 324 Espace n cessaire 312 324 Etage interm diaire 408 Examen d aptitude 303 327 Exigences et conditions particuli res Approbation des plans 401 Ergonomie 324 Escaliers tournants 409 Passages 407 408 409 Sorties 407 Voies d vacuation 408 Exigences g n rales Ergonomie 323 Locaux sociaux 329 Expertise technique 304 315 325 403 Exposition r p t e aux ambiances chaudes 320 F Fa ade ext rieure 407 perturbant la vue 315 Facteurs ambiants au travail 302 324 Facteurs environnementaux 315 324 Fen tres 315 317 417 Hauteur de l all ge des fen tres 417 Int rieur des locaux 417 Nettoyage 417 Proportion entre surface des fen tres et surface du sol 417 Surface de fen tres 417 Transparence 417 Ventilation naturelle 417 Vitrages transparents 417 Vue sur l ext rieur 417 Fermeture antipanique 410 Fermeture d urgence 410 Fili res interm diaires 412 Flux lumineux 315 Force musculaire 323 Force physique 323 Formation 302 305 323 325 Formation continue 307 Formation et perfectionnement 307 G Gaines techniques 408 Gaines techniques souterraines 408 Garde corps 412 Grands magasins 315 326 332 333 AP G
476. roc d s automatiques Commentaire de l ordonnance 4 relative la loi sur le travail Chapitre 3 Entreprises industrielles Art 30 Il y a proc d automatique lorsque des appareils techniques assurent eux seuls et d apr s un plan l utilisation la conduite et la surveillance d installations de mani re rendre normalement superflue toute intervention humaine durant l ex cution du plan Pour qu une entreprise utilisant un proc d auto matique constitue une entreprise industrielle elle doit comme toute autre entreprise produire transformer ou traiter des biens ou produire ou transporter de l nergie L automatisation du tra vail de bureau et du domaine de l information dont la transmission automatis e d informations par des op rateurs t l phoniques est un exemple n entre donc pas dans ce cadre Toute entreprise qui utilise un proc d automati que sera assujettie aux prescriptions sp ciales pour les entreprises industrielles quel que soit le nom bre de travailleurs qu elle occupe La seule condi tion est que le proc d automatique ait une in fluence d terminante sur la mani re de travailler ou sur l organisation du travail Les entreprises qui n utilisent que quelques machines automatiques ne remplissent pas cette condition Pour qu un proc d soit consid r comme auto matis il suffit que le processus de travail une fois enclench puisse se poursuivre jusqu la remise du produit fini s
477. rofessionnelles est admissible s il n est pas utilis dans un but de con tr le du comportement des travailleurs mais pour des raisons de service par exemple pour la factura tion et si les travailleurs en sont inform s Les syst mes d enregistrement du temps de travail de contr le d acc s ou de gestion de la produc tion doivent tre utilis s de mani re ne pas four nir des renseignements abusifs concernant le com portement de chaque collaborateur Il faut rappeler que l enregistrement sonore ou vi suel de personnes sans leur consentement peut constituer une contravention au sens p nal du terme selon les articles 179bis 179quater du code p nal Sont concern s ici non seulement les tra vailleurs mais tout tiers par ex client passant dont les donn es auraient t enregistr es sans qu ils en aient t inform es 3 4 Information et consultation des tra vailleurs Lorsque des syst mes de surveillance qui pourraient tre utilis s galement pour surveiller le compor tement sont n cessaires les travailleurs disposent d un droit l information et la consultation au sens des articles 5 et 6 OLT 3 Cela signifie que le but la signification les possibilit s et le contr le des syst mes de surveillance doivent tre discut s avec le personnel Il est conseill aux entreprises qui ont recours un syst me de surveillance d tablir un dossier com prenant le descriptif du fonctionnement du mode
478. rotatifs par exemple marteaux piqueurs tron onneuses motofaucheuses perceuses pneumatiques burins pneumatiques etc La bande de fr quence se situe principalement entre 6 et 1250 Hz Les effets des oscillations et des vibrations sur l tre humain peuvent tre pr judiciables son bien tre ou m me dommageables son organisme El les peuvent agir aussi bien localement que sur le corps entier Les effets des vibrations sont encore mal connus avant tout dans le domaine neuro v g tatif Les vibrations locales peuvent provoquer des probl mes de sant comme des troubles vaso moteurs syndrome de Raynaud ou doigts morts d g ts au syst me nerveux aux os et articulations des membres sup rieurs et d g n rescences de la colonne vert brale 1 2 Valeurs limites et indicatives 1 2 1 Valeurs limites pour les vibrations Il n existe pas encore de valeurs reconnues inter nationalement pour les atteintes provoqu es par les vibrations En revanche il existe des valeurs in dicatives Si l on s en tient ces valeurs indicatives on pourra en r gle g n rale viter les atteintes la sant C est la raison pour laquelle elles sont repri ses dans ce document 1 2 2 Valeurs indicatives pour les risques dus aux vibrations L exposition r guli re aux vibrations pendant plu sieurs ann es quotidiennement ou plusieurs fois par semaine repr sente un risque pour la sant si les valeurs suivantes de l acc l r
479. rs on veillera galement dispo ser de lavabos en nombre suffisant quip s d eau courante chaude et froide on comptera au moins un robinet pour 5 travailleurs Si la fin du travail les travailleurs regagnent r guli rement les locaux permanents de l entreprise quip s en douches et lavabos le nombre de robinets pourra tre r duit par exemple un pour 10 travailleurs Alin a 2 On parle de salissure ou souillure importante lors que de grandes parties de la surface du corps ou les cheveux sont salis par ex peinture pl tre graisses huiles terre argile colle poussi re suie farine mat riaux odorants etc Cela vaut aussi pour la transpiration en cas d activit physique intense ou dans un environnement de travail expos la cha SECO ao t 2006 331 1 Commentaire de l ordonnance 3 relative la loi sur le travail Art 31 Chapitre 2 Exigences particuli res en mati re d hygi ne Section 7 Vestiaires douches lavabos toilettes r fectoires locaux de s jour et premiers secours Art 31 Lavabos et douches leur Les travaux effectu s par grand froid dans les quipements de protection isolants sont assimil s aux travaux effectu s des temp ratures lev es En r gle g n rale les douches doivent compren dre des cabines individuelles avec rideau Le nom bre de douches se d termine en fonction du plus grand nombre de travailleurs qui souhaitent les ut
480. rs selon le nombre de travailleurs par emplacement b timent parcelle Nombre de travailleurs par Micro emplacement b timent entreprises 10 parcelle 1 9 50 100 250 500 1000 Armoire trousse de premiers secours plusieurs DAE au moins 1 Local de premiers secours au moins 1 6Aide m moire pour travailleurs isol s SECO mars 2007 www seco admin ch autres publications Travailleurs isol s n de commande SBA 150 F et liste de contr le n de commande 67023 F www suva ch 7D pliant du SECO Travailler seul dans les commerces de d tail en Suisse n de commande OFCL 710 225 f www seco admin ch SECO juillet 2010 336 3 Commentaire de l ordonnance 3 relative la loi sur le travail Art 36 Chapitre 2 Exigences particuli res en mati re d hygi ne Section 7 Vestiaires douches lavabos toilettes r fectoires locaux de s jour et premiers secours Art 36 Premiers secours Les d fibrillateurs automatiques externes rev tent une grande importance dans certaines branches conomiques p ex entreprises lectriques entre prises connaissant une grande affluence de public piscines et bains publics Un DAE est galement recommand pour les emplacements comptabi lisant moins de 100 travailleurs mais connaissant une grande affluence de public Il est recommand de mani re g n rale toute
481. rts et occasionnent des frais lev s L OLT 4 contient les dispositions sur e les exigences mat rielles particuli res devant tre respect es pour des constructions ou trans formations de b timents soumis l approbation des plans e les entreprises industrielles en g n ral et la pro c dure d assujettissement aux prescriptions sp ciales concernant les entreprises industrielles e les proc dures d approbation des plans et d au torisation d exploiter Dans la proc dure d approbation des plans on de vra galement tenir compte des prescriptions g n rales de l OPA et de l OLT 3 pour autant que celles ci soient d terminantes pour la construction et l am nagement d entreprises Il y a galement lieu de prendre en consid ration de cas en cas des prescriptions d autres l gislations p ex de la loi sur les produits chimiques LChim ou la loi sur les explosifs LExpl Alin a 2 L article 7 Ur prescrit une approbation des plans pour la construction o la transformation d une entreprise industrielle En application de l article 8 LTr le Conseil f d ral a d clar par la pr sente ordonnance l article 7 applicable des entrepri ses non industrielles expos es des risques impor tants La d finition des entreprises expos es des risques importants et soumises la proc dure d approba tion des plans se fonde sur les dangers au sens de la s curit au travail pr vention des accidents et
482. ruction r dig s de mani re facilement compr hensible le mat riel les pi ces d tach es les instruments et instal lations de nettoyage seront mis disposition des travailleurs L entretien des quipements individuels de pro tection rev t une importance primordiale Le travailleur prend soin de l quipement remis le nettoie et le maintient en bon tat Le temps n cessaire au nettoyage et ou la d contamination lui est accord pendant son temps de travail Les travailleurs doivent utiliser les quipements in dividuels de protection art 10 al 1 OLT 3 mis leur disposition De son c t l employeur est tenu de v rifier que ces quipements sont effective ment utilis s art 3 al 1 OLT 3 et le cas ch ant en imposer l usage La gratuit pour les travailleurs des quipements individuels de protection d coule du principe que l employeur doit prendre les mesures n cessai res pour pr server la sant des travailleurs Ils se ront renouvel s d s qu ils n assurent plus enti re ment leur fonction de protection pas de gants ni de combinaisons perc s ou poreux pas de masque dont le caoutchouc est fissur ou granuleux voir aussi l art 5 OPA Alin a 3 Dans une m me entreprise le choix du mat riel garantira la compatibilit entre appareils et qui pements par exemple raccords des masques com plets pour cartouches filtrantes et raccords des bon bonnes d air respirable
483. rvice assurant la fonction d vacuation sont accept es si l ouverture du portillon est garantie tant que la porte coulissante n a pas lib r un passage de 90 cm Les ventuels seuils des portillons de servi ce doivent tre signal s visiblement Voir illustration 6 5 Les portes coulissantes automatiques assurant si multan ment les fonctions d vacuation et de fer meture coupe feu doivent r pondre aux exigences des prescriptions de la protection des personnes et de la protection incendie C est pourquoi il est in diqu de solliciter l avis de l autorit de protection incendie sur le cas pr cis L ouverture des portes coulissantes automatiques doit aussi pouvoir se faire manuellement sur place D apr s la norme DIN 18650 1 les portes coulis santes automatiques d une largeur libre allant jus qu 2000 mm doivent s ouvrir au moins 80 en 3 secondes maximum apr s activation du dis positif de commande de l ouverture d urgence et apr s d tection d une panne de courant SECO avril 2009 410 E Annexe de l art 10 Commentaire de l ordonnance 4 relative la loi sur le travail Chapitre 2 Construction et am nagement des entreprises soumises la proc dure d approbation des plans Section 3 Passages Art 10 Portes et sorties situ es sur les voies d vacuation 3 5 Porte enroulement rapide Les portes enroulement rapide doivent respecter les m mes exigences que les portes coulissante
484. s Voir illustration 9 2 3 6 Portes tournantes cylindre Les portes tournantes cylindre avec un noyau ou des battants pouvant tre actionn s manuel lement doivent respecter les m mes exigences que les portes battant s Si elles ne peuvent tre ouvertes que dans une certaine position elles ne remplissent pas cette condition 3 7 Portes rouleau portes rouleau ouverture rapide Les portes rouleau ne sont admises sur les voies d vacuation que si elles r pondent l objectif de protection d fini pour les portes sur les voies d vacuation Les portes rouleau et les portes ouverture rapi de s ouvrant verticalement portes basculantes r pondent aux exigences si elles s ouvrent une hau teur de 2 men 3 secondes au maximum Les portes rouleau ou portes ouverture rapide s ouvrant verticalement qui accumulent de la force par un ressort doivent s ouvrir d au moins 1 m et pouvoir tre pouss es pour atteindre une ouverture d une hauteur de 2 m au moyen d un mouvement l ger Voir illustration 9 2 3 8 Contr les d acc s sas etc Dans chaque cas concret on v rifiera si les objec tifs de protection sont satisfaits Pour ce qui est des sas leurs portes doivent tre d verrouill es auto matiquement en cas d v nement et l vacuation garantie dans les deux sens 410 F Commentaire de l ordonnance 4 relative la loi sur le travail Chapitre 2 Construction et am nagemen
485. s gale la largeur utile Surface des marches Ex cution antid rapante Conceht Escalier principal Escalier secon Escalier P Art 7 OLT4 daire d installation Hauteur des marches 15 18cm 15 19 cm 15 20 cm Profondeur des marches s Ses d s main courante d s noyau lt i EE d s main courante int ons 25 cm d s main courante int rieure ou 3 int rieure l rieure r d s noyau f min 18 cm min 14 cm A us min 20 cm 15 cm d s main courante int rieure ou d s noyau mirisem min 14 cm min 10 cm Profondeur des marches 25 cm de la main courante ext rieure jusqu env 50 cm jusqu env 50 cm jusqu env 45 cm Largeur utile largeur libre des marches min 1 50 m min 1 40 m min 0 80 m mesur e entre mains courantes min 1 30 m min 1 20 m min 0 70 m int rieure et ext rieure Diam tre du noyau min 0 90 m min 0 50 m min 0 20 m sans main courante min 1 10 m min 0 70 m avec main courante Diam tre ext rieur sans main courante min 3 90 m min 3 30 m min 1 80 m main courante d duite min 3 70 m min 3 10 m Ain 160 m Sens de rotation droite la main courante ext rieure doit tre gauche en montant gauche ou droite Tableau 409 3 Exigences relatives aux escaliers tournants 409 6 Commentaire de l ordonnance 4 relative la loi sur le travail Chapitre 2 Construction et am nagement des entreprises soumises la proc
486. s les administrations et aux postes de travail tempo raires p ex chantiers d pendent en premier lieu des dangers effectifs pesant sur la s curit et la sant des travailleurs et dans une moindre mesu re de la taille de l entreprise Dans la cha ne des secours la distance entre l entreprise et le lieu de traitement p ex m decin h pital service m di cal d entreprise est un crit re important Les entreprises situ es dans des lieux retir s ou dif ficilement accessibles p ex constructions souter raines doivent pour pouvoir fournir des premiers secours optimaux sur place disposer de personnes bien form es aux premiers secours et dans la me sure du possible d une bonne infrastructure p ex local de premiers secours grand assortiment de mat riel de traitement Les entreprises peuvent laborer un concept en cas d urgence commun avec des entreprises voisi nes et constituer des regroupements pour l apport des premiers secours p ex entre entreprises pra ment ou entre entreprises limitrophes Les t ches obligations et comp tences communes doivent tre consign es par crit dans le cas d une telle col laboration interentreprises Dans les entreprises avec des dangers particuliers selon la directive no 6508 de la CFST2 directive MSST on d terminera les exigences concernant les premiers secours en fonction des dangers sp cifiques l entreprise L essentiel consid rer est le type de bless
487. s limite les co ts suppl mentaires des corrections apport es ult rieurement peuvent en revanche tre sensiblement plus on reuses Instances de contact et de conseil Bureau f d ral de l galit pour les personnes handicap es BFEH Inselgasse 1 3003 Berne Centre suisse pour la construction adapt e aux handicap s Kernstrasse 57 8004 Zurich Egalit Handicap Marktgasse 31 3011 Berne Ces instances d livrent des feuillets d information compl mentaires informations d taill es listes d accessoires listes de contr le et bibliographie 1 Edition Union patronale suisse et Soci t pour le d veloppement de l co nomie suisse Zurich AP 4 Commentaire des ordonnances 3 et 4 relatives la loi sur le travail Avant propos Avant propos s Pourquoi un commentaire La loi sur le travail et ses ordonnances sont le r sul tat d un processus politique Cet l ment ainsi que la complexit des points r gler sont principale ment responsables du fait que la loi et ses ordon nances entra nent un grand besoin d interpr ta tion et d explication du fait de leur syst matique leur transparence et leur intelligibilit C est dans ce but qu a t cr le pr sent commentaire qui est con u comme manuel et ouvrage de r f rence pour la pratique Il doit servir de mode d emploi aux autorit s d ex cution de la loi sur le travail et assurer ainsi l unit et l uniformit
488. s tallations Les lampes de s curit doivent tre facilement re connaissables et durablement signal es par un mar quage vert Elles doivent r pondre aux exigences g n rales et aux examens techniques La brochure illustr e Normen f r Sicherheitsbe leuchtung 2009 de l Association suisse pour l clairage SLG rassemble technique de l clai rage et protection incendie Elle se focalise explicite ment sur les prescriptions en vigueur en Suisse Elle n existe qu en allemand On trouvera les prescrip tions de protection incendie en fran ais sous http bsvonline vkf ch BSVonline asp Les exigences que doivent remplir les luminaires pour clairage de secours et les signaux de s curit sont fix es par les normes suivantes e Norme SN EN 1838 Eclairagisme Eclairage de secours e Luminaires Partie 1 Exigences g n rales et essais SN EN 60598 1 A15 2002 06 version fran aise encore provisoire e Luminaires Partie 2 22 R gles particuli res Luminaires pour clairage de secours SN EN 60598 2 22 1998 version fran aise encore provisoire Des donn es compl mentaires concernant l clai rage de s curit peuvent tre trouv es dans la di rective de L AEAI Signalisation des voies d va cuation Eclairage de s curit Alimentation de s curit ainsi que dans la litt rature sp cialis e par exemple la norme DIN 5035 SECO novembre 2009 315 C Commentair
489. s d p ts voisins ne soient pas pr judiciables la sant des travailleurs cet effet il conviendra de prendre des mesures appropri es telles que l installation de parois de protection ou l am nagement des postes de travail dans des locaux s par s 5 Les travailleurs doivent pouvoir b n ficier de la vue sur l ext rieur depuis leur poste de travail per manent Dans les locaux sans fen tres en fa ade l am nagement de postes de travail permanents n est autoris que si des mesures particuli res de construction o d organisation garantissent que ke les exigences en mati re d hygi ne sont globalement respect es 1 Alin a 1 La surface libre disposition de chaque tra vailleur son poste de travail doit tre de 1 5 m2 au minimum ind pendamment de la nature du travail effectuer On tiendra compte en sus des aspects suivants La conception des postes de travail organisation de l espace au sens strict du terme comprend e leur acc s et e l espace de mouvement minimum n cessaire au d roulement du travail Si l acc s au poste de travail repr sente rarement un probl me au niveau de l ergonomie un espace de mouvement suffisant est une condition premi re pour le bon d roulement du travail 1 1 Principes L acc s au poste de travail remplit les conditions requises lorsque e le poste peut tre atteint ou quitt sans encom bre l acc s ne contient pas d obstacle et qu
490. s dus au mouvement des gerbeurs le plus souvent automa tis s Ces probl mes se situent entre autres dans les points de cisaillement entre gerbeur et tag re le chemin de freinage l obstruction du passa ge par le gerbeur Ces raisons justifient l abandon de passages transversaux entre les rang es d ta g res D autre part les gerbeurs manuels desservant des halles inf rieures 70 m de longueur constituent des dangers potentiels non n gligeables Leur dis tance de freinage peut atteindre 4 m et les tag res ne permettent pas de s en carter La conception de telles installations de stockage a une grande influence sur les mesures de s curit et les chemins de fuite e Les installations avec des couloirs s par s cr e ront des zones ind pendantes pouvant tre blo qu es individuellement pour les interventions n cessaires e Les installations avec une zone commune prot g e permettront de circuler avec des gerbeurs ad quats d un couloir l autre Elles n cessitent par contre un syst me anticollision et un passage d au moins 0 5 m de large et 2 m de haut doit rester libre m me en position extr me du ger beur voir ill 408 13 Il n y a pas de solution standard pour la planifica tion de ces installations Un examen individuel et la coordination ICT SECO CNA s imposent en tenant compte des principes suivants e Les sorties sont am nager aux extr mit s des couloirs et d bouc
491. s les entreprises d installer des locaux de premiers secours appropri s et ayant une bonne accessi bilit pour le transport d urgence les passages principaux doivent avoir une largeur d au moins 1 20 m Les points suivants doivent tre v rifi s au moins une fois tous les trois ans dans le cadre du concept en cas d urgence e Le syst me de transmission de l alarme au sein de l entreprise doit garantir une arriv e des sau veteurs aussi rapide que possible e Toutes les possibilit s de transport internes l entreprise p ex brancards ascenseurs pou vant accueillir des brancards etc doivent tre en tat de fonctionner e Un plan d vacuation par b timent emplace ment et des exercices d vacuation p riodiques recommandation une fois par an doivent ga rantir que tous les collaborateurs quittent les lieux rapidement et en s curit en cas d vacua tion Service sanitaire l association suisse des sanitaires d entreprise ASSE formule des recommandations concr tes concernant la formation du personnel charg des premiers secours et l quipement des locaux de premiers secours Les standards en mati re de contenu de la forma tion initiale et continue sont tablis par l Office de certification pour la formation des non profes sionnels du sauvetage ResQ p ex niveaux 1 3 pr vus par le syst me de cours ResQ ainsi que les cours de remise niveau correspondants voir sous www resq ch Les tech
492. s par s Le m me principe est valable pour les travaux g n rant un bruit consid rable p ex travaux de t lerie 322 4 Commentaire de l ordonnance 3 relative la loi sur le travail Chapitre 2 Exigences particuli res en mati re d hygi ne Section 2 Eclairage climat des locaux bruits et vibrations Art 22 Bruit et vibrations y Art 22 2 1 2 Correction acoustique des locaux Par correction acoustique des locaux on d signe tous les moyens l aide desquels on r duit la r verb ration d un local p ex plafonds acoustiques et la propagation directe du bruit dans ce m me lo cal p ex cloisons absorbantes Les parois mobiles ne sont pas en elles m mes des mesures de cor rection acoustique des locaux mais elles en sont des compl ments utiles Un plafond absorbant les bruits fait partie des r gles de l art actuelles en mati re de construction Il faut valuer la n cessit d un tel plafond de cas en cas Les locaux conte nant des postes de travail permanents doivent satisfaire au moins un des crit res mentionn s sous chiffre 1 2 5 Valeurs indicatives concernant l acoustique des locaux de travail Des informa tions compl mentaires se trouvent dans le feuillet CNA 66008 Acoustique des locaux industriels 2 2 Lettre b mesures concernant les installations d exploitation En premier lieu on prendra des mesures limitant le bruit sa source Lors de la planification d
493. s aux mesures prises La proportionnalit doit tre appr ci e en fonc tion de ces l ments Les autorit s ne peuvent exi ger que des mesures de construction ou de type organisationnel d une certaine importance soient entreprises s il n existe pas un rapport raisonnable entre leur utilit et la protection de la sant Afin de pouvoir r pondre ces exigences l em ployeur est tenu d acqu rir les connaissances in dispensables pour chaque cas particulier cf aussi art 4 sur l expertise technique Cela d coule de sa responsabilit pour la protection de la sant dans son entreprise Si ces connaissances particuli res n existent pas au sein de l entreprise il y a lieu de faire appel des sp cialistes ext rieurs qui peuvent tre selon le probl me r soudre des hygi nis tes du travail des m decins du travail des ergono mes des psychologues du travail etc Alin a 1 Lettre a Les conditions de travail sont bonnes lorsque toutes les mesures n cessaires et ad quates en mati re d ergonomie et de protection de la sant ont t prises par l employeur Par ergonomie il faut entendre dans son sens le plus large toute interaction entre le travailleur et ses conditions de travail L objectif est d adapter le travail et les conditions y relatives l homme et non l inverse Le bien tre et la sant des tra vailleurs d pendent en particulier de la conception correcte de la construction de l environ
494. s charges publication Suva 88190 Test d ergonomie levage et transport manuels de charges constituent un outil d analyse des risques simple et rapide Egalement recommand e en relation avec les installations et les appareils techniques IAS la norme europ enne EN 1005 partie 2 Manutention manuelle de machines et d l ments de machines Alin a 3 Les travailleurs doivent conna tre les risques pour la sant de l appareil moteur li s au d placement des charges contractures musculaires d chirures des muscles et des ligaments douleurs dans la co lonne vert brale probl mes de disques intervert braux etc 3 La certification CREE Center for Registration of European Ergonomists ga rantit une formation approfondie et une exp rience dans tous les domaines en relation avec l am nagement ergonomique du travail titre prot g ergo nome europ en 325 2 Commentaire de l ordonnance 3 relative la loi sur le travail Chapitre 2 Exigences particuli res en mati re d hygi ne Section 4 Charges Art 25 Art 25 Les personnes qui d placent des charges doivent recevoir la directive d utiliser syst matiquement les moyens m caniques de le vage et de transport avant toute tentative de manutention d placement ou levage manuelle En outre elles doivent b n ficier d une instruction appropri e sur l utilisation de ces moyens voir aussi l art 5 OLT 3 l art 6 OPA et la directi
495. s d odeurs naus abondes ils doivent tre s par s des v tements de ville Des v tements de travail souill s par des substan ces nuisibles la sant doivent tre s par s de tous les autres v tements Il est galement indiqu de pr voir une penderie pour les v tements de ville mouill s notamment des porte manteaux et un porte parapluies 330 2 Commentaire de l ordonnance 3 relative la loi sur le travail Chapitre 2 Exigences particuli res en mati re d hygi ne Section 7 Vestiaires douches lavabos toilettes r fectoires locaux de s jour et premiers secours Art 31 Lavabos et douches Art 31 Article 31 Lavabos et douches P 1Des lavabos appropri s pourvus en r gle g n rale d eau chaude et d eau froide ainsi que des produits de nettoyage ad quats seront mis la disposition des travailleurs proximit des postes de travail et des vestiaires 2 Des douches appropri es avec eau chaude et eau froide doivent tre install es en nombre suffisant proximit des vestiaires lorsque les travailleurs ex cutent des travaux salissants ou sont expos s une forte chaleur 3 Si les douches ou les lavabos sont s par s des vestiaires ces locaux doivent ais ment communiquer entre eux Les vestiaires douches et lavabos sont souvent ins tall s dans un m me local Si les travailleurs sont en contact avec des substances dangereuses pour la sant irritantes ou naus abondes
496. s de climati sation ont selon leurs sp cifications des fonctions suppl mentaires telles que refroidir humidifier et d shumidifier norme EN 13779 Une installation de climatisation fonctionnant satisfaction favorise non seulement le confort des collaborateurs mais encore contribue accro tre leur productivit Pour la climatisation des locaux on veillera la possibilit de moduler individuel lement la temp rature et le flux d air au poste de travail En t un cart excessif entre la temp ra ture ext rieure et int rieure est viter Aussi est il recommand en mati re de r glage que l cart entre la temp rature de l air puls par les installa tions de climatisation et celle de l air ext rieur ne d passe pas plus de 4 8 C Par exemple lorsque la temp rature ext rieure est de 34 C les locaux ne doivent pas tre refroidis moins de 26 C Contrainte li e la chaleur dans les espaces confin s pendant les canicules En cas de travail dans des locaux d pourvus de possibilit s d abaissement de la temp rature des troubles de sant li s la chaleur peuvent survenir pendant les p riodes de canicule Certains groupes de travailleurs sont particuli rement expos s par exemple les femmes enceintes les individus en surcharge ou d ficit pond ral et les collaborateurs g s Lorsque les temp ratures exc dent 30 C une vigilance accrue est requise dans la mesure o pass ce seu
497. s de stoc kage il faut prendre garde qu aucun mat riau ne puisse tre pouss vers l arri re ce qui entra nera it sa chute Lorsque un mur est pr vu comme garde corps il est parfois fait r f rence la norme SIA 358 qui admet une hauteur inf rieure 1 m condition que l paisseur du mur soit suffisante par exem ple 90 cm de haut pour une paisseur du mur de 20 cm Une telle possibilit n est pas pr vue dans l ordonnance En outre il convient de rappeler que la norme SIA 358 dit express ment qu elle n est pas applicable lorsque des dispositions particuli res sont d terminantes et elle cite pr cis ment le cas des constructions industrielles et artisanales Par cons quent la hauteur de 1 m doit tre exig e dans tous les cas Pour les balustrades en verre il est recommand d utiliser du verre VSF verre de s curit feuillet Le verre arm n est pas indiqu le verre VST verre de s curit tremp ne l est qu certaines condi tions voir galement l article 15 OPA et les feuil lets d information de l Institut suisse du verre dans le b timent SIGaB Le verre et la s curit et du bpa Le verre dans le b timent Ib 9916 Il y a lieu de veiller ce que le type de verre et la fixation soient compatibles La construction doit garantir que m me en cas de bris du vitrage ce dernier reste maintenu dans sa fixation SECO avril 2009 412 1 Commentaire de l ordonnance 4 rela
498. s de table pour le travail en position assise Valeurs de r f rences en cm bon soutien seront mis disposition Il est tr s im portant que le si ge soit adapt la morphologie de son utilisateur Ce dernier devrait donc conna tre les indications dans le manuel d utilisation et s y conformer D autres si ges tels que chaises ou tabourets hauts munis de repose pieds int gr s ou des tabourets standard peuvent tre utilis s s ils sont rendus n cessaires par le d roulement du travail ou par les installations Les si ges destin s aux courts mo ments de repos p ex pour le personnel de vente dans les magasins devraient tre munis d un dos sier voir alin a 3 La hauteur des tables et celle des si ges doi vent tre adapt es l une l autre Lors du choix et de l utilisation des si ges on tien dra compte des aspects suivants 2 4 1 Surface des si ges Une largeur de 40 45 cm et une profondeur de 38 42 cm sont g n ralement recommand es De mani re g n rale la masse corporelle devrait tre prise en compte lors du choix de la forme du si ge La surface des si ges doit permettre de petites ro tations et des changements de position posture dynamique voir ill 324 7 Un m canisme permettant une inclinaison de la surface du si ge de 2 vers l avant et jusqu 14 vers l arri re est recommand SECO ao t 2006 324 5 Art 24 Commentaire de l o
499. s de travail par 22 C il faut pr voir une pause de 30 minutes au moins dans un local temp rature agr able Tableau 321 2 Dur e d exposition et de r chauffement SECO septembre 2010 321 3 d ch Art 21 Commentaire de l ordonnance 3 relative la loi sur le travail Chapitre 2 Exigences particuli res en mati re d hygi ne Section 2 Eclairage climat des locaux bruits et vibrations Art 21 Travail dans des locaux non chauff s ou en plein air L environnement et les outils doivent tre con us de fa on emp cher toute d perdition de cha leur suppl mentaire surface de tables de travail poign es d outils ainsi que rev tements de sols doivent tre en mat riaux adapt s p ex caillebo tis isolants sur les sols de fa on viter les pertes de chaleur corporelle leur contact Eventuellement des radiateurs infrarouge procu reraient un compl ment calorifique aux travailleurs sans affecter la qualit des produits L exposition au froid peut conduire moyen ter me un refroidissement g n ral refroidissement corporel avec risque d alt ration du syst me car diovasculaire de la respiration et du m tabolisme et au refroidissement local des bras des jambes et de la t te refroidissement p riph rique gelu res Une exposition mod r e au froid peut m me dans le cas d un habillement suffisamment isolant provoquer des l sions locales importantes la t
500. s de travail peuvent devenir in supportables La protection contre le bruit et les vibrations doit donc satisfaire des exigences plus lev es voir tableaux 322 1 et 322 2 Art 33 OLT 3 R fectoires et locaux de s jour les pauses doivent pouvoir se prendre dans un local de s jour facilement accessible jouis sant de la vue sur l ext rieur et si possible d une ventilation naturelle Voir galement ci dessous Pauses dans les mesures organisationnelles Art 35 al 2 OPA Eclairage le marquage des voies d vacuation et l clairage de secours sont adapter aux conditions particuli res Cloisons les cloisons interm diaires des locaux seront si possible vitr es Mesures organisationnelles Rotation les travailleurs occup s dans des locaux aveugles devront autant que possible et par le biais d une rotation b n ficier d une activit exer c e des postes de travail jouissant d un clairage et d une ventilation naturels Pour de nombreuses activit s une autre solution consiste offrir deux postes de travail s par s le premier dans un local aveugle cause d exigences techniques ou de s curit le second dans un local vitr pour toutes les autres t ches par ex biblio th caire disposant d un bureau avec fen tres pour le travail administratif et autres t ches ne n cessi tant pas sa pr sence en magasin Consultation des travailleurs la consultation des travailleurs s impos
501. s entreprises soumises la proc dure d approbation des plans Section 5 Entreprises pr sentant des dangers particuliers Art 20 Entreprises pr sentant un danger particulier d incendie b Mode de construction Alin a 3 se situer au dessus de la temp rature du local Si Les mati res pr sentant un risque particulier d in cendie ne peuvent tre produites transform es manipul es ou entrepos es dans des locaux en sous sol que si les mesures de s curit n cessaires sont prises Pour les liquides facilement inflammables cela si gnifie que leur point clair doit dans tous les cas ce n est pas le cas la s curit doit tre garantie par des mesures de ventilation et de protection contre l explosion Les locaux en sous sol doivent galement pouvoir tre vacu s en tout temps de fa on s re et ra pide 420 2 Commentaire de l ordonnance 4 relative la loi sur le travail Chapitre 2 Construction et am nagement des entreprises soumises la proc dure d approbation des plans Section 5 Entreprises pr sentant des dangers particuliers Art 21 Entreprises pr sentant un danger particulier d incendie c Nombre maximum de travailleurs installations d exploitation et quantit de mati res UE Article 21 Entreprises pr sentant un danger particulier d incendie c Nombre maximum de travailleurs installations d exploitation et quantit de mati res travail pos es d les mesures
502. s individuels de protection L employeur les m mes obligations de prot ger les auxiliaires et les collaborateurs en p riode d es sai les quipements de protection seront donc disposition des personnes d s le d but de leur ac tivit L article 9 OLT 3 et ses commentaires r gles les pro bl mes de mise disposition des quipements de protection pour les travailleurs des entreprises de personnel temporaire Alin a 1 Les quipements individuels de protection doivent tre adapt s au genre d activit et ses effets ca pables de prot ger le travailleur contre les liquides dangereux les gaz les vapeurs les poussi res les agents biologiques le froid la chaleur le feu les radiations le bruit Exemples un masque char bon actif pour la peinture aux solvants un masque amen e d air frais lors du travail dans des fosses ou des endroits exigus ou encore des v tements alumin s pour le travail proximit des sources de chaleur etc Le choix des quipements de protection tiendra donc compte des dangers par exemple semelles de protection en acier pour les chaussures desti n es tre utilis es sur les chantiers mais aussi des cat gories de risques par exemple des gants de protection contre les coupures de couteaux se ront de cat gories Il ou Ill par rapport a des gants de protection contre des coupures avec du carton qui pourront tre de cat gories l Ces cat gories de risques
503. s installations de production p ex des l ments de chauffage de refroidissement de climatisation de production d air comprim e Des installations techniques importantes l air li bre telles que installations de r cup ration de chaleur installations de lavage de gaz installations de post combustion grandes installations de filtres Sont consid r es comme installations en toiture des installations et appareils techniques sans dan ger particulier tels que e un local unique de machinerie d ascenseur e des installations de climatisation simples e des ventilateurs isol s e des vaporateurs pour la climatisation e des enseignes lumineuses e des antennes e des ascenseurs en fa ade Les dispositions suivantes doivent tre prises pour l acc s voies de fuite de telles installations Pour les superstructures au moins un escalier large de 1 2 m doit monter jusqu hauteur du toit S il n aboutit pas directement dans un local entour de murs il est indispensable d am nager un che min d acc s balis p ex par des dalles ou des pas serelles Une diminution de la largeur de l escalier jusqu 0 8 m peut tre admise lorsque les superstructures ne sont visit es que rarement au maximum une fois par jour et qu aucun mat riel encombrant ne doit tre transport Lorsqu un b timent comporte deux cages d es caliers sorties o plus en fonction de la surface des tages plus de 600
504. s mesures aux nouvelles conditions de travail en cas de modification de constructions de parties de b timents d installations et d appareils techniques ou de proc d s de travail ou en cas d utilisation de nouveaux produits dans l entreprise 3 Lorsque des l ments font appara tre que l activit exerc e par un travailleur porte atteinte sa sant une enqu te relevant de la m decine du travail doit tre men e L article 3 regroupe des obligations particuli res de l employeur pour assurer que les mesures de pro tection de la sant n cessaires soient prises et res tent efficaces Alin a 1 Les intervalles de contr le d pendent des conditions d exploitation et du degr de danger La nature et la difficult du travail les proc d s de travail ainsi que les aptitudes et les capacit s des travailleurs d terminent la fr quence de ces contr les L effi cacit des mesures prises peut diminuer pour de multiples raisons entretien et r glages non effec tu s usure non respect de prescriptions habitu des modification de la mani re de travailler etc Alin a 2 L adaptation des mesures aux nouvelles conditions de travail est particuli rement n cessaire lorsque les changements cr ent un danger d une autre na ture ou un danger accru par rapport la situation pr c dente On peut citer comme exemple le cas du remplacement d une installation manuelle par une installation automatis e ou le passage
505. s plans Section 5 Entreprises pr sentant des dangers particuliers Art 23 Entreprises pr sentant un danger d explosion b Mode de construction majeurs rapport succinct analyse de risque me sures de protection Le mat riel composant les surfaces de d charge doit tre choisi de fa on ne mettre en danger ni des personnes en dehors du b timent ni des b timents et installations voisins ni l environnement par des clats ou autres d bris tranchants pointus ou dangereux de l l ment de d charge Il peut tre n cessaire d entraver ou de rendre impossi ble par des barrages l acc s devant les surfaces de d charge Exemples e El ment de d charge en mati re plastique ex pans e e Mat riel translucide pour les coupoles et les fe n tres en verre de s curit monocouche ou en mati res plastiques correspondantes polym thacrylate de m thyle polycarbonate e Verre de s curit translucide avec feuille de pro tection contre les clats en cas d v nement l l ment entier est pouss vers l ext rieur Des parois de d charge peuvent tre n cessaires p ex dans des locaux contenant des explosifs ou des installations d hydrog nation Alin a 2 Des mesures de protection suppl mentaires peu vent tre n cessaires en plus de l am nagement d l ments de construction l gers en cas de po tentiel de danger accru Il s agit de la construction de merlons o de murs de pro
506. s postes de travail occup s en permanence Lorsque l on utilise des verres sp ciaux par exem ple des verres teint s ou prot geant sp cialement contre le rayonnement calorifique on tiendra compte de leurs caract ristiques particuli res no tamment du fait que leur transparence est dimi nu e voir d tails compl mentaires dans l article 17 OLT 4 Si les postes de travail se trouvent proximit des fen tres il est indiqu de pr voir des bandes trans parentes vitr es horizontales de 1 m de haut au moins si les postes de travail sont r partis dans le fond du local on optera pour des bandes trans parentes verticales portant sur toute la hauteur du local et de 1 m de largeur au minimum Les marchandises stock es ne doivent pas entra ver la vue sur l ext rieur cependant il est parfois difficile d viter que celle ci ne soit r duite par des installations d exploitation sp cialement dans les grands locaux En outre dans des b timents clai r s par des hauts jours certains proc d s de fabri cation peuvent rendre n cessaire la pose de cloi sons soit pour des raisons de s curit protection contre les explosions ou les incendies soit cause d exigences particuli res concernant la climati sation o la protection contre le bruit Cela peut avoir pour effet de limiter le contact visuel avec l ext rieur Perturbations li es aux fa ades pertur bant la vue L architecture industrielle et de bureaux
507. s postes de travail occup s en permanence passag rement ou occasionnelle Densit d clairement 25 R partition har monieuse de la luminance Couleur de la lumi re Rendu des couleurs a Att nuation de l blouissement Projection d ombres Direction de la lumi re Illustration 315 1 Crit res de qualit de l clairage ment et tous les passages doivent avoir un clai rage naturel et ou artificiel adapt leur utilisa tion l intensit de l clairage naturel par des fen tres en fa ade diminue tr s rapidement vers le fond du lo cal On peut dans une certaine mesure pallier cet inconv nient en restreignant autant que possible la distance entre le haut des fen tres et le plafond SECO novembre 2009 315 1 Commentaire de l ordonnance 3 relative la loi sur le travail Art 15 A Chapitre 2 Exigences particuli res en mati re d hygi ne za po Section 2 Eclairage climat des locaux bruits et vibrations Z j EN Art 15 Eclairage Des conditions de visibilit adapt es aux exigences Genre de travail ou a i E Ix de local du travail ne peuvent tre garanties pendant toute la dur e du travail que par l adjonction d un clai gt 50 Locaux de travail avec installa rage artificiel tions sans activit manuelle Les exigences en mati re d clairage naturel et ar o Zones de circ
508. s soient conformes aux exigences cit es ci dessus e Les portes blind es tant inadapt es l utilisa tion quotidienne on quipera les vestiaires de portes suppl mentaires e Les issues de secours doivent r pondre aux exi gences d crites dans le commentaire relatif l article 7 OLT 4 e L a ration du vestiaire pourra se faire par l issue de secours Si cette a ration est insuffisante le local sera pourvu d une ventilation artificielle Vestiaires pour un maximum de 50 personnes e Un seul local avec un seul acc s est admis pour 50 personnes du m me sexe au plus Vestiaires pour plus de 50 personnes e Par groupe de 50 personnes au plus un local s par doit tre pr vu e Si plus de 50 personnes devaient utiliser la m me entr e l encombrement serait in vitable Il con vient donc de cr er des vestiaires s par s pour 50 personnes au maximum disposant de leur propre entr e directe Le cas ch ant on pourra lier deux locaux par un passage afin que la cir culation des personnes puisse s effectuer sens unique On cr era ainsi une entr e et une sortie distincte Sortie de secours Porte blind e Illustration 330 A Vestiaires pour 50 personnes au plus SECO novembre 2007 330 A Commentaire de l ordonnance 3 relative la loi sur le travail Annexe de Chapitre 2 Exigences particuli res en mati re d hygi ne l art 30 E Section 7 Vestiaires do
509. s travailleurs Contraintes mentales au travail et leurs cons quences sur la sant ll y a souvent des incertitudes quant la signifi cation des termes de contrainte mentale au tra vail et aux effets n fastes qu une telle contrainte engendre pour la sant raison pour laquelle nous reviendrons ci apr s sur ce point Les explications suivantes sont largement fond es sur la norme EN ISO 10075 Principes ergonomiques concernant la charge de travail mental dont la premi re partie d finit les termes importants et la deuxi me partie contient des principes de conception des syst mes de travail afin d viter les cons quences n gatives sur la sant des contraintes mentales au travail l utilit de cette norme r side dans le fait qu elle clarifie les concepts et en permet d s lors une utili sation uniforme et qu elle pr sente de mani re re lativement simple les corr lations entre les facteurs de risques psychosociaux dits mous associ s au travail et les cons quences sur la sant Le sch ma 302 A illustre le concept contrainte astreinte au moyen d un exemple e mental On entend par mental tous les processus chez l tre humain li s la perception au v cu la pens e la m moire au ressenti et au comportement Contrainte mentale Selon la norme EN ISO 10075 on entend par contrainte mentale l ensemble des influences ex t rieures sur l tre humain et qui l affectent men talemen
510. s travailleurs la cessation imm diate d exploitation de la partie concern e de l entreprise doit tre ordonn e L autorisation d exploiter est galement une d ci sion et elle doit ce titre r pondre des exigen ces formelles Une copie doit en tre remise aux m mes destinataires que pour l approbation des plans D apr s la LTr et l OLT 4 il ne peut y avoir autorisa tion d exploiter sans approbation des plans pr a lable Si le ma tre d ouvrage d une construction soumise l obligation d approbation des plans n a pas de mand d approbation des plans ou ne l a pas fait en temps voulu il revient l autorit comp tente de d cider laquelle de ces trois situations le cas concern correspond 1 Les autorit s prennent connaissance de la r a lisation d une entreprise soumise l obligation d approbation des plans alors que celle ci est en cours de construction Si les travaux ne sont pas proches de leur ter me les plans doivent tre soumis sur ordre ad ministratif l autorit comp tente art 51 LTr La proc dure normale fond e sur l article 7 LTr est alors engag e un contr le pr ventif tant encore possible m me si les conditions en sont plus difficiles 2 Les autorit s prennent connaissance de la r a lisation d une entreprise soumise l obligation d approbation des plans alors que la construc tion de celle ci est achev e ou presque ache v e S il semble de prime abord
511. s v tements que le tra vail effectu exige par exemple p lerine pour un travail l ext rieur Se prot ger en fonction des conditions climatiques saisonni res pull overs en hiver etc reste du ressort de chacun Les v tements de travail ne devront pas engen drer de risques suppl mentaires et tre adapt s aux dangers par exemple les v tements de travail pour les soudeurs seront adapt s pour ne pas s en flammer il existe des normes europ ennes pour les v tements de travail Dans ce qui suit il est fait abstraction des exigen ces sp ciales pour les quipements de protection contre les maladies professionnelles LAA En premier lieu la sant des travailleurs sera pr serv e par des mesures d ordre technique et orga nisationnel Si cela ne suffit pas des quipements individuels de protection doivent tre mis dis position Ils seront quelquefois utilis s en compl ment des moyens techniques simples s il s agit d op rations occasionnelles proportionnalit des moyens par exemple port d un masque cartou che sp ciale pour le changement d une bonbonne d ammoniac ou pour la recherche d une fuite sur une canalisation SECO septembre 2010 327 1 Art 27 AN ZA Commentaire de l ordonnance 3 relative la loi sur le travail Chapitre 2 Exigences particuli res en mati re d hygi ne Section 6 Equipements individuels de protection et v tements de travail Art 27 Equipement
512. sait d un travail poste fixe Les troubles vont de simples sympt mes comme la fatigue ou la nervosi t des maladies graves comme la claustrophobie la d pression ou les troubles du comportement Pour toutes ces raisons la pr sente ordonnan ce ne tol re des postes de travail dans des locaux sans fen tres en fa ade que dans certaines circons tances et condition que des mesures compensa toires soient prises pour satisfaire globalement aux exigences en mati re de protection de la sant Poste de travail permanent Un poste de travail permanent correspond au secteur dans lequel un travailleur o plusieurs successivement se tient pendant plus de deux jours et demi par semaine Ce secteur peut se limiter une petite partie d un local ou s ten dre un local entier Si par exemple un poste de travail donn n est occup que du mardi matin au mercredi soir ou s il ne l est qu au plus 4 heures par jour du lundi au vendredi il ne s agit pas d un poste de travail permanent La condition est en revanche remplie si le poste est occup du mercredi matin au ven dredi soir En Suisse un certain nombre d employ s exerce partiellement son activit dans des locaux sans fe n tres Il s agit avant tout de locaux de s curit de stockage ou de vente La privation de la vue sur l ext rieur repr sente le probl me principal des personnes travaillant dans ces conditions Il y a lieu de penser que l attei
513. salet visible ne consti tuent pas des crit res suffisants pour le remplace ment des filtres Pour viter les germes des filtres particules de la classe H HEPA et ULPA doivent tre utilis s Le nettoyage et l entretien d installa tions de taille plus importante doivent tre ex cut s par du personnel sp cialis disposant des connaissances n cessaires en mati re d hygi ne Il y a lieu d liminer toute mati re ou souillure s ac cumulant dans les canaux oules installations de ven tilation r introduite dans l air ambiant et suscep tible de mettre la sant des travailleurs en danger ou de les incommoder La conception et l entretien des installations d humidification de l air doivent correspondre aux recommandations contenues dans le feuillet d information CNA 44021 L eau des humidificateurs doit notamment tre parfai tement pure La valeur indicative de 1000 germes ml d eau ne devrait pas tre d pass e En cas de d passements r p titifs un contr le de l amen e d eau fra che et du laveur d air s impose D autres investigations conduisant l identification des mi cro organismes pr sents dans l eau d humidifica tion pourront tre poursuivies De plus la fr quen ce d un nettoyage doubl d une d sinfection augmentera Les sources UV se sont r v l es effi caces pour combattre le d veloppement de micro organismes Elles ne remplacent toutefois pas un nettoyage r gulier des quipements Les i
514. scillation du corps entier dans l axe Z de l tre humain axe pieds t te 2 Possibilit s d appr ciation En raison de la complexit des probl mes et de leurs solutions possibles il est recommand de fai re appel un sp cialiste poss dant une grande ex p rience pour effectuer des mesures et appr cier les situations 2 1 Remarques Les dispositifs de mesure des vibrations globales du corps et les conditions dans lesquelles les mesures doivent tre effectu es ainsi que les r gles d ap pr ciation sont d crits dans la norme ISO 2631 Les dispositifs de mesure des vibrations de l en semble main bras et les conditions dans lesquelles les mesures doivent tre effectu es l analyse des fr quences ainsi que les r gles d appr ciation sont d crits dans la norme ISO 5349 1986 3 Bibliographie ISO 2631 1 Teil 1 Allgemeine Anforderungen Bewertung der Einwirkung von Ganzk rper schwingungen auf den Menschen 05 1985 ISO 2631 2 Teil 2 Dauer und stossinduzierte Schwingungen in Geb uden 1 80 Hz Bewer tung der Einwirkung von Ganzk rperschwin gungen auf den Menschen ISO 2631 3 Teil 3 Bewertung der Einwirkung von vertikalen z Achsen Ganzk rperschwingun gen im Frequenzbereich von 0 1 bis 0 63 Hz Bewertung der Einwirkung von Ganzk rpers chwingungen auf den Menschen 1985 ISO 5349 Mechanische Schwingungen Leitfa den zur Messung und Beurteilung der Einwi rkung hand bert
515. si efficace est pr vue ou b l application de la prescription conduirait une rigueur excessive et que la d rogation ne com 2 Avant de pr senter sa demande l employeur doit donner la possibilit aux travailleurs concern s ou leurs repr sentants au sein de l entreprise de s exprimer sur ce sujet Il doit communiquer le r sul 3 Avant d autoriser des d rogations l autorit cantonale prend l avis de l office f d ral Celui ci n cessaires pour octroyer une autorisation il est dans ce cas n cessaire d autoriser formellement une d rogation au sens de l article 27 La demande d autorisation de d roger aux pres criptions peut tre int gr e dans la demande d ap probation des plans Alin a 3 Dans la proc dure d approbation des plans les autorit s cantonales demandent le rapport de la CNA art 7 al 1 LTr Dans l int r t d une ex cu tion uniforme la collaboration de l office f d ral SECO Inspection f d rale du travail et si la d rogation porte sur des aspects de pr vention des accidents et maladies professionnelles de la CNA est galement pr vue pour les autorisations de d roger l OLT 4 Le cas le plus ad quat consiste d livrer une auto risation de d roger en m me temps qu une appro bation des plans comme partie int grante de la d cision d approbation des plans SECO janvier 2009 427 1 Commentaire de l ordonnance 4 relative la loi sur le travail Chapi
516. si la grille est sur lev e et qu un garde corps en emp che l acc s voir galement la liste de contr le Suva 67123 f Zones de d chargement l aide de chariots l vateurs et d appareils de levage Les tr mies destin es aux camions p ex benne basculante peuvent tre munies d autres disposi tifs de s curit que les garde corps et les balustra des p ex e sur l vation de la tr mie e but e suffisamment haute et r sistante e s curisation de l entonnoir par des barres inter m diaires e placement d une grille horizontale suffisamment r sistante au niveau du sol Le mur de bordure ou la but e doivent avoir une hauteur telle que les pneus des v hicules ne puis sent pas passer par dessus env 1 3 du diam tre des roues Il y a lieu ce moment de prendre garde que des parties du v hicule en position bas cul e ne puissent s y accrocher 412 2 Commentaire de l ordonnance 4 relative la loi sur le travail Chapitre 2 Construction et am nagement des entreprises soumises la proc dure d approbation des plans Section 3 Passages Art 13 Voies ferr es Article 13 Voies ferr es Art 13 Cet espace de s curit mesurera au minimum roviaire b 1 m dans les zones de trafic g n ral L Les rails des voies industrielles seront plac s de fa on laisser un espace de s curit entre le gabarit de chargement des v hicules et les b timents ou o
517. sionnelles se r f rer l ordonnance sur la pr vention des acci dents et des maladies professionnelles OPA e utiliser et entretenir les quipements de protec tion individuels mis sa disposition conform ment aux directives e ne modifier ni les quipements personnels ni les moyens de protection sans l autorisation de l em ployeur afin de ne pas nuire leur efficacit voir aussi l art 230 du Code p nal CP e liminer imm diatement les d fauts constat s compromettant la protection de la sant ou s il n est pas en mesure de le faire ou s il n y est pas autoris signaler ces d fauts sans d lai son su p rieur ou l employeur Ce dernier veillera alors leur suppression En tant que sup rieur un travailleur doit de plus e engager les travailleurs subordonn s de telle ma ni re qu ils soient aptes du point de vue de leur formation et de leurs capacit s minimiser les risques li s leur poste de travail e les instruire en ce qui concerne les prescriptions les installations et les quipements de protection v rifier que les consignes de protection soient respect es e imposer le respect des consignes de protection si n cessaire au moyen de mesures disciplinaires Il faut rappeler que le travailleur qui enfreint in tentionnellement les prescriptions sur la protection de la sant est punissable art 60 LTr Il est gale ment punissable s il s agit d une infraction pa
518. sivement des directives pr cit es 3 2 Superstructures Installations en toiture Il existe de tr s nombreuses variantes de supers tructures sur les toits Elles peuvent notamment comprendre des locaux isol s permettant le s jour occasionnel de personnes des locaux de ma chines pour les ascenseurs voire d importantes installations techniques s parateurs installa tions de post combustion Il n existe pas de dis positions explicites pour le dimensionnement des voies d vacuation pour de telles installations Les crit res peuvent tre d une part l importance du danger r sultant des installations et d autre part la fr quence de la pr sence de personnes On tien dra compte de ce qui suit en rapport avec l article 7 alin a 2 OLT 4 e Des locaux entour s de murs avec une destina tion incluant la pr sence de personnes postes de travail r fectoire locaux de pause etc m me de fa on non permanente comptent toujours comme un tage e Des locaux entour s de murs comptent gale ment comme un tage si leur surface brute d passe 300 m2 Cette surface a t fix e en fonc tion de la longueur des voies d vacuation On admettra les notions suivantes comme d fini tions Art 7 Sont consid r s comme superstructures e Des locaux entour s de murs de moins de 300 m sur des toits plats dans lesquels sont am nag es des installations techniques en rap port avec l infrastructure ou le
519. sont convaincus que la protection d sir e aurait pu tre plus valablement atteinte par des moyens plus acceptables et d un co t comparable Dans les grandes entreprises il peut tre indiqu d institutionnaliser les rapports entre l employeur et les travailleurs en cr ant une commission paritaire constitu e de repr sentants de la commission d entreprise et de membres de la direction sous la forme d une commission de pro tection de la sant et de s curit au travail Si des divergences d opinion ne peuvent se r gler au sein de l entreprise ou des institutions con tractuellement pr vues il peut s av rer utile d un commun accord entre les parties de prendre con seil aupr s des autorit s ou d un expert ext rieur comp tent En aucun cas la divergence d opinion ne doit conduire un report excessif de l ex cution des mesures n cessaires 306 2 Commentaire de l ordonnance 3 relative la loi sur le travail Chapitre 1 Dispositions g n rales Art 6 Consultation des travailleurs Art 6 5 Alin a 2 Les travailleurs ont le droit d assister aux inspec tions des autorit s de surveillance et aux enqu tes d coulant d une demande des autorit s ainsi que celui d en tre inform s de mani re compl te S il existe une commission d entreprise celle ci exerce ce droit de participation comme lors d une consul tation selon l alin a 1 Si les autorit s exigent l ex cution de mesures l empl
520. sont d finies dans les normes de certifi cation des quipement de protection Les quipements de protection doivent tre confor mes aux exigences de la LSPro Ceux qui r pondent aux directives CE normalisation europ enne aux normes DIN ou aux r gles OSHA r glementation am ricaine de l Occupational Safety and Health Administration sont consid r s comme tant conformes Certains quipements peuvent tre ho mologu s par les organismes suisses reconnus au niveau international ASE LFEM Il est conseill l employeur de conserver les certificats de confor mit des quipements individuels de protection Le choix de l quipement de protection devra ga lement tenir compte de la dur e d exposition no tamment dans le cas des protections respiratoires filtre Les travailleurs devant utiliser ces quipe ments seront inform s sur les conditions d utilisa tion dur e niveau et de remplacement chan gement des filtres Il est donc primordial que le sp cialiste MSST de l entreprise soit associ la d marche d valuation des quipements individuels de protection De m me il est important de faire participer les travailleurs concern s ou leurs repr sentants l valuation des quipements de protection cette d marche facilitera l acception du port des qui pements et le droit la consultation est un facteur motivant L employeur devra veiller ce que rien ne s oppo se au port
521. sont exclusivement des voies d vacuation et doivent tre isol s d autres locaux par des s parations r sistantes au feu De tels gui chets d accueil peuvent d entente avec la police du feu tre accept s si les conditions des prescrip tions de protection incendie de l AEAI sont remplies 407 8 Commentaire de l ordonnance 4 relative la loi sur le travail Chapitre 2 Construction et am nagement des entreprises soumises la proc dure d approbation des plans Art 8 Section 3 Passages Art 8 Voies d vacuation Article 8 Voies d vacuation Va 1 En cas de danger les postes de travail locaux et b timents ainsi que l enceinte de l entreprise doi vent pouvoir tre vacu s rapidement et s rement tout moment Les passages qui servent gale ment de voies d vacuation en cas de danger doivent tre signal s de mani re appropri e et rester libres en permanence 2 Est consid r comme voie d vacuation le chemin le plus court qui peut tre emprunt pour parve nir l air libre en lieu s r depuis n importe quel endroit d un b timent d un ouvrage ou d une ins tallation 3 La longueur des voies d vacuation qui m nent une cage d escalier ou une sortie unique don nant sur l ext rieur ne doit pas d passer 35 m Celle des voies qui m nent au moins deux cages d escalier ou sorties donnant sur l ext rieur ne doit pas d passer 50 m 4 La longueur d une voie d vacuati
522. spa rent laissant passer au moins 75 de la lumi re Lorsqu on utilise des verres moins transparents tels que verres absorbant la chaleur verres couche interm diaire isolante verres antisolaires plots de verre afin de diminuer l blouissement le rayon nement incident ou les d perditions la surface des fen tres doit tre augment e en fonction de la di minution de transparence Les verres antisolaires sont particuli rement peu transparents 6 50 Voir aussi le tableau 417 1 On peut renoncer une augmentation de la surface vitr e lorsqu il est prouv que l utilisation de verres sp ciaux permet d am liorer la r gularit de l clairage naturel du local dans sa profondeur par dispersion ou d via tion de la lumi re du jour incidente Alin a 2 Pour la vue sur l ext rieur la moiti de la surface de fen tres prescrite soit 1 2 x 1 8 1 16 de la sur face du sol doit tre am nag e sous forme de fe n tres en fa ade munies de vitrages transparents Concernant la garantie du contact visuel avec l ex t rieur voir les explications relatives l article 15 alin a 3 OLT 3 Il convient d tre large d j lors de la planification de l clairage naturel afin de ne pas tre confron t des limitations non souhait es lors de modifi cations ult rieures agrandissements transforma tions changements d affectation Alin a 3 La surface des fen tres exig es dans l article 17 alin
523. spects suivants seront pris en consid ration e les si ges doivent se trouver dans les environs im m diats du poste de travail afin que les tra vailleurs aient la possibilit de s asseoir pendant les p riodes creuses pr voir au moins une chaise pour deux personnes e si cela ne peut tre r alis par exemple dans le domaine de la vente les travailleurs auront des possibilit s de d tente active ou passive suffisan tes dans une zone pr vue cet effet voir art 33 Chaque variation d activit par exemple entre la vente et l approvisionnement de rayons apporte un changement de position corporelle et contribue soulager des postures uniformes 324 8 Commentaire de l ordonnance 3 relative la loi sur le travail Chapitre 2 Exigences particuli res en mati re d hygi ne Section 3 Postes de travail Art 24 Exigences particuli res g Ey Art 24 4 Alin a 4 L environnement proche et lointain des postes de travail agit physiologiquement aussi bien que psychologiquement sur l tre humain Le climat influence la sant le bien tre et la capacit de rendement aux postes de travail Les facteurs d terminants sont entre autres Le climat du local de travail le bruit les vibra tions l clairage naturel et artificiel les pol luants tels que les gaz les vapeurs les fum es les poussi res l humidit les rayonnements auxquels s ajoutent d autres aspects de l hy gi ne
524. sque d explosion peuvent tre situ s dans le secteur avec risque En font partie les locaux contenant des installations d infrastructure pour les locaux comportant des mati res explosives telles que centrales de ventila tion locaux hydrauliques infirmeries ateliers m caniques locaux lectriques et locaux de stockage pour mat riaux inertes Conditions de construction et techniques pour l entreposage et l utilisation de mati res explosives liste non exhaustive e Mode de construction comprenant si n cessaire les ouvertures de d charge et dispositifs de pro tection voulus tel que les travailleurs de locaux ou b timents voisins ne soient pas mis en danger en cas d explosion ou de d tonation Mode de construction un seul niveau pour au tant que cela soit possible Le mode de construc tion de b timents plus d un niveau est conce voir de fa on que le personnel se trouvant dans les autres tages ne soit pas mis en danger si un danger devait survenir sur un tage Il est interdit d entreposer et de traiter des mati res explosi ves dans des locaux en sous sol vu qu il n existe pas d ouvertures de d charge suffisantes et dis pos es correctement SECO novembre 2007 425 1 Art 25 2 Commentaire de l ordonnance 4 relative la loi sur le travail Chapitre 2 Construction et am nagement des entreprises soumises la proc dure d approbation des plans Section 5 Entreprises pr sentant
525. sque d explosion et en secteurs sans Des mesures techniques ou organisationnelles doivent permettre de r duire au minimum ou de sup primer toute pr sence de travailleurs dans les endroits particuli rement dangereux 3 Tout local comportant des postes de travail permanents doit tre pourvu d au moins une sortie pra ticable en tout temps donnant directement sur l ext rieur ou dans une zone de s curit 4Les passages ext rieurs et les acc s aux b timents doivent tre am nag s de mani re que les per sonnes entrant dans les locaux n en salissent pas le sol gt Le p rim tre de l entreprise doit tre entour d une cl ture emp chant les personnes non autori s es d y p n trer Des avis bien visibles plac s aux entr es leur en interdiront l acc s Outre les mesures pr vues aux articles 22 24 OLT 4 des mesures compl mentaires doivent tre prises pour la protection des travailleurs dans les entreprises traitant des mati res explosives Alin a 1 Les entreprises qui produisent traitent mani pulent ou entreposent des mati res explosives doivent tre divis es en deux parties une partie pr sentant des risques d explosion et une partie n en comportant pas Comme seule la partie d en treprise avec risque d explosion a t construite et am nag e pour travailler et entreposer des ma ti res explosives de telles activit s sont interdites dans les secteurs sans danger Des locaux ou b timents sans ri
526. ssaire de fixer des crit res plus s v res voir alin a 5 tant pour le nombre que pour le mode de construction des cages d escaliers des b timents de grande hauteur litt c Une cage d escaliers est n cessaire pour une surface d tage de 600 m au plus dans les b timents de plus de 25 m de haut ou comportant plus de 8 tages de fa on analogue la lettre a Cependant une cage d escaliers additionnelle est n cessaire pour chaque tranche de 600 m de surface d tage en ti re ou entam e Dans les b timents de grande hauteur les cages d escaliers doivent tre am na g es comme cages d escaliers de s curit Des sorties n cessaires selon l alin a 2 mais non utilis es en exploitation normale peuvent tre d sign es comme sorties de secours Elles doivent n anmoins tre consid r es comme passages principaux et remplir les conditions minimales cor respondantes portes 0 9 m escaliers 1 2 m En outre elles doivent aussi remplir les exigences li es l objectif de protection d fini pour les portes sur les voies d vacuation Cet objectif de protection est le suivant Les portes des voies d vacuation doivent pouvoir en tout temps e tre reconnues en tant que telles e tre ouvertes rapidement dans le sens de la sortie et sans recourir des moyens auxiliaires et e tre utilis es en toute s curit 2 3 Alin a 3 Pour les tages situ s au dessus du niveau du sol il exi
527. ssise voir alin a 2 e d alterner autant que possible la position de travail Si ge de travail r glable en hauteur avec ch ssis tournant et repose pieds permettant de tavailler diff rents niveaux Illustration 324 11 Si ge d atelier SECO ao t 2006 324 7 Art 24 Commentaire de l ordonnance 3 relative la loi sur le travail Chapitre 2 Exigences particuli res en mati re d hygi ne Section 3 Postes de travail Art 24 Exigences particuli res L alternance de la position de travail est particuli rement importante pour e les travaux li s une posture forc e r sultant d une position corporelle non naturelle pr do minance assise ou debout e les travaux uniformes et r p titifs Il s agit ici d activit s se r p tant en cycles tr s courts et d une mani re uniforme mettant toujours contribution les m mes groupes de muscles et d articulations e les travaux de surveillance de longue dur e pr sentant peu de stimulation monotonie et fati gue psychique 3 1 Hauteur de travail et des si ges Un poste pr vu pour un travail assis et debout en alternance doit tre quip comme suit e un si ge haut r glable entre 80 cm et 100 cm e un grand repose pieds inclin 15 25 une hauteur de 40 50 cm be 8 22 Debout p 17 29 Assis gt gt Hauteur de travail en position assise Hauteu
528. st parcourue que rarement une deux fois par semaine Une surveillance doit tre garantie lorsqu une seule personne y acc de p ex au moyen d appareils de surveillance fonctionnant en continu avec d clen chement d alarme d appels par radio de cam ras de surveillance ou de quittance r guli re donn e par la personne isol e Les mesures suivantes sont indispensables pour des raisons de s curit e Garantir un passage libre exempt d obstacles d au moins 1 85 m de haut et 0 6 m de large Les obstacles plac s moins de 2 m de hauteur doi vent tre signal s et les angles vifs prot g s e Placer une signalisation phosphorescente sur les voies d vacuation jusqu la prochaine sortie is sue de secours e Am nager un clairage de secours d au moins 1 2 lux le long du passage e Installer une ventilation naturelle ou artificielle suffisante Une ventilation artificielle est entre autres prescrite lorsque des liquides inflamma bles des gaz inflammables ou asphyxiants sont transport s dans des conduites ajoint es ou si celles ci sont raccord es des appareils 408 8 Commentaire de l ordonnance 4 relative la loi sur le travail Chapitre 2 Construction et am nagement des entreprises soumises la proc dure d approbation des plans Section 3 Passages Art 8 Voies d vacuation e Rendre conforme aux prescriptions ASE pour la zone d explosion correspondante les moyens et install
529. ste g n ralement une possibilit suppl men taire d vacuation de personnes en cas d urgence par les fen tres et les chelles de pompiers Cet te possibilit n existe pas pour les tages situ s en sous sol en raison de l absence d ouvertures dans l enveloppe du b timent SECO f vrier 2008 407 3 Art 7 Il doit toujours y avoir au moins deux voies d vacuation dans les sous sols Ce principe concernant les sous sols s applique galement par analogie aux parties de b timents ou aux locaux de grande surface d pourvus de fe n tres ind pendamment de leur situation dans le b timent p ex dans les tages sup rieurs Dans les b timents ou parties de b timent ne com prenant qu un tage en sous sol et d une surface ne d passant pas 600 m il doit y avoir au moins une cage d escaliers au sens de l alin a 2 et en plus une sortie de secours praticable en toute s curit et conduisant l ext rieur La sortie de se cours doit en r gle g n rale tre munie d une Commentaire de l ordonnance 4 relative la loi sur le travail Chapitre 2 Construction et am nagement des entreprises soumises la proc dure d approbation des plans Section 3 Passages Art 7 Cages d escaliers et sorties porte et d un escalier larges d au moins 0 8 m ill 407 2 Si la surface des tages d un b timent impose deux cages d escaliers sorties ou plus l tage unique en sous sol doit aussi
530. sures et par une d claration de conformit accompagnant la machine lors de sa mise sur le march En outre les exceptions ne sont admises que si la largeur minimale n est pas inf rieure 0 50 m et si les passerelles et escaliers ne sont emprunt s qu individuellement et sans croisement de person nes Si n cessaire des exigences compl mentaires peuvent tre pos es On appliquera aux podiums de travail les exigen ces ergonomiques contenues dans le Commentai re OLT 3 art 24 al 1 2 3 Alin as 3 et 4 En r gle g n rale les cages d escaliers doivent tre vol es droites Cette disposition signifie que les cages d escaliers prescrites selon l art 7 OLT 4 doivent aussi remplir cette condition L exigen ce l gale d escaliers vol es droites se fonde sur la n cessit de garantir un cheminement s r en particulier en cas d urgence Dans les escaliers vol es droites l l ment de s curit principal est outre la protection contre les chutes avant tout la largeur constante des marches quels que soient les carts du trajet Cela n est pr cis ment pas le cas dans les escaliers en colima on noyau de pe tit diam tre Cette constatation est fond e sur des l ments ergonomiques tels les automatismes les r flexes et l habilet De grands escaliers tour nants refl tant une certaine image de marque es caliers principaux forment cependant une excep tion dans ce cas C est pourquoi la mise en pl
531. t tre en possession d un certificat de conformit de la porte 6 5 YX Porte coulissante automatique avec portillon de service encastr Les portes coulissantes avec portillon de service peuvent remplir la m me fonction que des portes battant sur les voies d vacuation pour autant que l ouverture du battant soit assur e et que la largeur laiss e libre pour l ouverture de la porte soit inf rieure 90 cm L exploitant doit tre en possession d un certificat de conformit de la porte SECO avril 2009 410 1 Commentaire de l ordonnance 4 relative la loi sur le travail Annexe de Chapitre 2 Construction et am nagement des entreprises soumises la proc dure d approbation des plans Section 3 Passages Art 10 Portes et sorties situ es sur les voies d vacuation l art 10 7 Illustrations du montage correct des l ments du syst me d ouverture d urgence bouton poussoir interrupteur Sch ma Remarque Installation de l l ment d ouverture d urgence La norme DIN prEN 13637 prescrit ceci Un bouton poussoir d ouverture d urgence doit tre install une distance de 600 mm au maximum de la fermeture et une distance allant de 800 mm 1200 mm du plancher Le bouton poussoir d ouverture d urgence doit tre signalis DRE pee RE 2 500 Sens de la fuite Sens de la fuite 410 J Commenta
532. t tre soutenu par l ap position d entonnoirs ou de hottes directement l ouverture d arriv e des substances car la puissan ce d aspiration diminue fortement avec l augmen tation de la distance On utilisera au maximum les mouvements naturels des polluants On veillera avoir une vitesse d air suffisante Il est rare qu un polluant gazeux lourd mis dans un atelier stagne la surface du sol Son captage ne n cessitera donc pas des dispositifs aspirant l air vers le bas Cette situation extr me ne se rencontre que dans une atmosph re parfaitement calme lieu de stockage fosse etc ou lors d v nements acci dentels En fait les m langes air polluants gazeux rencontr s dans l ambiance des postes de travail ont une densit tr s peu diff rente de celle de l air Les vitesses de chute sont n gligeables par rapport la diffusion turbulente et aux courants d air qui existent m me dans les espaces les mieux prot Air vacu Filtre Air aspir Am lioration de la qualit de l air dans la zone de travail par dilution des impuret s l emplacement des personnes Illustration 318 2 Diff rents types d air d une ventilation g n rale d un local avec aspiration locale D finitions 318 2 Commentaire de l ordonnance 3 relative la loi sur le travail ne Chapitre 2 Exigences particuli res en mati re d hygi ne s re Section 2 Eclairage climat des locaux bruits et vibrations Art 18 Po
533. t dans la norme EN ISO 10075 la notion de contrainte n a pas de connotation n gative contrairement ce qu il en est dans le langage cou rant Les contraintes mentales au travail sont donc des facteurs li s l activit professionnelle qui ont un impact sur notre perception pens e m moire v cu ressenti et ou comportement Chaque acti vit m me corporelle influence notre sant psy chique A titre d exemple le bruit et la chaleur dans une aci rie ne repr sentent pas uniquement des contraintes corporelles mais influencent aussi notre capacit de concentration Les contraintes mentales qui ont une influence sur l homme d coulent notamment des conditions de travail Celles ci se r partissent comme suit e travail prescrit t che c est dire le type de travail le volume et le d roulement de l activit Exemples effectuer toujours la m me t che accomplir des t ches complexes avoir une res ponsabilit importante pour la s curit des per sonnes ou les pertes de production observation permanente d un cran radar concentration per manente volume du flux d informations simul tan es marge de man uvre trop troite ou trop large en mati re d action ou de d cision etc e conditions de travail physiques telles qu clai rage conditions climatiques bruit odeur vibra tion am nagement du poste de travail ainsi que des outils et instruments Exemples blouissement courants d air
534. t des obligations La d cision est imp rative et contrai gnante tant pour son destinataire que pour l auto rit qui la prononce Pour tre conforme l ordre juridique la d cision doit tre d sign e comme telle tre notifi e par crit et contenir les l ments suivants e la d signation de l autorit qui prononce la d ci sion e l identit du destinataire dela d cision la personne dont la situation juridique est r gl e par la d ci sion e une motivation succincte e un dispositif c est dire l nonc de la fa on concr te dont les droits et obligations sont r gl s e la signature de l auteur de la d cision e une formule de notification indiquant l identit des personnes auxquelles la d cision est noti fi e e l indication des voies de recours y compris ins tance et d lai de recours L indication des bases l gales n est pas exig e mais fait partie d une motivation correcte et est usuelle Il est possible de renoncer la motivation et l in dication des voies de droit quand la d cision cor respond enti rement la requ te et quand aucune des parties ne r clame de motivation Ces principes se fondent sur la loi f d rale du 20 d cembre 1968 sur la proc dure administra tive PA RS 172 021 laquelle ne s applique en principe qu aux autorit s f d rales Ils n ont donc pas valeur imp rative pour les autorit s cantona les mais ces derni res sont en g n r
535. t des entreprises soumises la proc dure d approbation des plans Annexe de Section 3 Passages l art 10 Art 10 Portes et sorties situ es sur les voies d vacuation 4 D signation des l ments des portes Serrure G che Bec de cane Bo tier z r Q QO p Zc LS S 2 A Y Poign e Distance au canon Battant Porte Cadre Huisserie T Fiches paisseur fouillot Les normes SN EN 179 et SN EN 1125 emploient les termes suivants P ne G che El ment man uvrable Fermeture Int rieur face int rieure Ext rieur face ext rieure Organe ext rieur de man uvre Partie d une fermeture d urgence s engageant dans la g che afin de verrouiller la porte en position ferm e peut tre compos e de plusieurs l ments de verrouillage R ceptacle Peut tre une b quille une plaque de pouss e ou une barre anti panique Ensemble de la serrure d une porte Face de la porte sur laquelle l l ment man uvrable permettant d actionner la fermeture d urgence est mont Il s agit de la face int rieure dans le sens de la fuite Face oppos e M canisme permettant d ouvrir une fermeture d urgence de l ex t rieur SECO avril 2009 410 G Commentaire de l ordonnance 4 relative la loi sur le travail Chapitre 2 Construction et am nagement des entreprises soumises la proc dure d approbation des plans Annexe de l art 10 Section 3 Passages Art 10
536. t du territoire loi sur l am nage ment du territoire LAT RS 700 une autorit p ex un centre des permis de construire qui est char g e de coordonner les diff rentes autorisations n cessaires pour une m me construction C est cet te autorit qu il convient de pr senter la demande d approbation des plans et c est elle qui se charge ra de transmettre la demande l autorit charg e de l ex cution de la LTr Cette derni re autorit trai tera la demande En revanche s agissant d un pro jet pour lequel la seule autorisation n cessaire est l approbation des plans prescrite par la LTr la de mande peut tre adress e directement l autorit cantonale responsable de l ex cution de la LTr Pour la plupart des projets il est recommand de prendre contact avec l autorit comp tente et de discuter avec elle en d tail du projet avant de lui soumettre la demande d approbation des plans L autorit pourra ainsi indiquer de mani re pr cise l auteur du projet les exigences que les plans doi vent respecter Le requ rant peut alors rassembler suffisamment t t la documentation n cessaire ou obtenir des informations compl mentaires et acc l rer ainsi le d roulement de la proc dure La description du contenu de la demande figure aux articles 38 et 39 Lorsqu un projet a t r alis sans suivre la proc dure d approbation des plans au pr alable l auto rit en demandera l application apr s co
537. t en hiver 3 PFF g 5 F F k E Protection contre le Ombre rayonnement solaire par un avant toit en fa ade sud Inclinaison Vitrages sp ciaux plac s Vitrages sp cl ux devant la fen tre Illustration 320 1 Exemples d l ments pare soleil en fa ade Rayonnement calorifique postes de travail l int rieur Probl matique du travail la chaleur La chaleur et le rayonnement calorifique li s aux installations de l entreprise et aux processus de tra vail imposent une contrainte physique et psychique suppl mentaire au travailleur En ambiance chau de la chaleur corporelle g n r e par l effort phy sique ne peut plus suffisamment se diffuser dans le milieu ambiant De plus si l humidit de l air est lev e l effet de refroidissement provoqu par la transpiration est fortement r duit Les buanderies par exemple de m me que les chantiers souter rains pr sentent de semblables situations chaleur produite par les machines et rayonnement des pa rois chaudes en atmosph re humide Une charge thermique n existe pas seulement en atmosph re chaude mais aussi partout o les pro c d s provoquent un rayonnement calorifique Les exemples classiques sont les fonderies de m tal les verreries ainsi que les ateliers de production de mati res plastiques En r gle g n rale ces
538. t expos es au vent par exemple les vall es foehn la pose de stores l int rieur des locaux se justifie Les stores int rieurs n emp chent pas l chauffement du vitrage La chaleur absorb e par les vitrages et les stores est diffus e vers l int rieur du local Les stores n cessitent un entretien et baiss s ils entravent la vue sur l ext rieur Les stores lamelles sont les mieux adapt s lorsque le soleil est haut ils permettent encore une assez bonne vue sur l ext rieur Des donn es suppl mentaires se trouvent dans la norme SIA 180 Protection thermique dans les b timents type de valeur g valeurs Traitement Lee moyennes non trait 21V 77 trait contre la per 2IV 56 71 m abilit la chaleur 3IV 39 51 Valeur g Perm abilit globale l nergie en une valeur g de 100 correspond une fen tre sans vitrage Un verre filtrant prot geant contre le soleil a une valeur g lt 50 2IV Vitrage double isolant 3V Vitrage triple isolant Tableau 320 1 Perm abilit des fen tres au rayonnement nerg tique SECO f vrier 2008 320 1 Art 20 i Commentaire de l ordonnance 3 relative la loi sur le travail Chapitre 2 Exigences particuli res en mati re d hygi ne Section 2 Eclairage climat des locaux bruits et vibrations Art 20 Ensoleillement et rayonnement calorifique Position z nithale du soleil en t e
539. t pas les plaintes concer nant le bruit Il est connu que la composition spec trale sonie acuit tonie et la structure tempo relle composantes impulsives raucit et intensit de variation du son peuvent influencer fortement ses effets Dans ces cas des tudes sp ciales sont n cessaires et des mesures particuli res sont prendre Des informations compl mentaires sont contenues dans la publication de la CNA 66058 Nuisances sonores l emplacement de travail Bruits de basses fr quences Pour l appr ciation des bruits de basses fr quences dans leur zone de nuisance on ne peut appliquer enti rement les prescriptions de mesure et les pro c d s d appr ciation habituels Ceci concerne avant tout l endroit de la mesure et l appr ciation des fr quences Un proc d de mesure et d ap pr ciation de l immission sonore de basses fr quences dans des b timents et de sa transmission par des sons a riens et solidiens est d crit dans la norme DIN 45 680 Cette norme compl te les pro c d s existants de mesure et d appr ciation des bruits et sert combattre des g nes consid rables 1 2 3 Valeurs indicatives en fonction des activit s Les valeurs indicatives du tableau 322 1 englo bent toutes les immissions un poste de travail l exception de la communication propre au poste lui m me conversations avec d autres personnes sonnerie de t l phone signaux acoustiques etc Si les exigences norma
540. t sans recourir des moyens auxiliaires et e tre utilis es en toute s curit Les crit res fix s dans les chapitres 2 et 3 permettent d valuer si l objectif de s cu rit est atteint dans des cas particuliers La d nomination des l ments d une por te figure au chapitre 4 2 Crit res d valuation quant la r alisation de l objectif de s curit 2 1 Principes e doit tre tenu compte de l objectif de s curi t lors de la planification de la construction et de la mise en uvre fabrication Les portes doivent tre install es utilis es et entretenues de mani re telle que l objectif de s curit soit garanti pen dant toute leur dur e d exploitation L tat de la technique est d fini par des prescrip tions directives normes sp cialis es par exemple Prescriptions de protection incendie AEAI Directive 16 03f Voies d vacuation et de sauvetage Directive 17 03f Signalisation des voies d va cuation clairage de s curit alimentation de s curit Feuillet d information BPA Mb 9902 Portes et portails s rs Feuillet d information Suva CE04 4 f R glementation europ enne pour les portes Liste de contr le Suva 67072 f Portes et por tails Liste de contr le Suva 67157 f Voies d va cuation Feuillet Suva 44036 Voies de circulation l in t rieur de l entreprise Directives CFST 6
541. t ventil artificiellement et l air introduit par un plafond suspendu c le travail pr vu dans le local est essentiellement effectu en position assise et ne demande que peu d efforts physiques et que le proc d de travail n alt re pas ou que de fa on insignifiante 4Les autorit s prescrivent de plus grandes hauteurs de locaux lorsque l hygi ne ou la s curit au tra vail l exigent elles peuvent le faire lorsque des d rogations sont accord es en vertu de l article 17 Pour les locaux de travail une hauteur minimale est prescrite afin de tenir compte d exigences rela tives l hygi ne et l ergonomie telles qu claira ge et ventilation naturels et pour pouvoir influen cer l aspect des locaux Alin a 1 La hauteur des locaux est mesur e entre le plan cher et le plafond hauteur libre La hauteur mini male exig e doit tre atteinte dans la plus grande partie du local soit au moins les 34 de la surface totale du plancher ou du plafond La pr sence de nervures et de solives ou de canaux de c blage sous le plafond est ainsi possible dans la mesure susmentionn e sans que la hauteur des locaux ne doive tre adapt e en cons quence Les plafonds caissons devraient tre vit s pour des locaux de faible hauteur car ils donnent l im pression optique de rabaisser le plafond Les postes de travail permanents ne sont pas ad mis sous des plafonds en pente dans les zones o la hauteur libre est inf r
542. te de mat riel ou de neige Si les conditions locales laissent supposer que tel ne sera pas le cas les issues de secours doivent tre si gnalis es l ext rieur galement marquage de la porte ou du sol En cas de besoin le d battement de la porte doit tre d limit l aide de poteaux par exemple en cas de parcage de v hicules ou surmont e d un toit par exemple dans les r gions fortement enneig es Voir illustrations 8 2 8 3 8 4 Annexe de l art 10 3 3 Portes battants pivotants Swing out Les portes battants pivotants doivent tre con ues de telle mani re que les battants puissent tre ouverts tant qu un passage quivalent la moi ti de la largeur de la porte n est pas lib r Ces portes sont d signer de telle sorte que m me les non initi s puissent les ouvrir facilement dans le sens de fuite par l g re pouss e Voir illustration 6 1 3 4 Portes coulissantes Les portes coulissantes automatiques qui satisfont l objectif de s curit sont en principe admises sur les voies d vacuation En revanche en pr sence d un danger important d explosion ou d incendie seules les portes battant s s ouvrant dans le sens de fuite sont autoris es On garantira par des mesures techniques appro pri es que le d battement lat ral des portes cou lissantes reste toujours libre couverture Voir illustration 8 1 Les portes coulissantes avec un portillon de se
543. tection De telles mesures de construction peuvent notam ment tre n cessaires pour des constructions dans lesquelles des explosifs sont entrepos s ou trait s Dans des cas isol s elles peuvent galement tre n cessaires pour d autres substances p ex pour le transvasage de grandes quantit s d hydrog ne La protection n cessaire des diverses parties des installations des voies de circulation au sein de l entreprise des rues publiques et de l environne ment de l entreprise doit tre atteinte par ces me sures L article ne contient que quelques disposi tions d ordre g n ral vu que les circonstances et les mesures de s curit prendre en fonction des conditions existantes analyse de risque peuvent tre tr s variables p ex au point de vue position et dimensions Les distances de s curit la construc tion de merlons ou de murs de protection d pen dent notamment du genre et de la quantit de ces substances et des installations d exploitation Ces mesures doivent tre discut es de cas en cas avec les organes d ex cution comp tents Il sera utile d en tenir compte d j au stade des avant projets Alin a 3 Des mouvements de s paration tels que marcher avec des semelles isolantes sur un sol non con ducteur p ex recouvert de mati re synth tique non conductrice peuvent provoquer la formation d tincelles lectrostatiques pouvant agir comme source d allumage Des mesures de protection des
544. ti res 424 1 Article 25 d Dispositions suppl mentaires pour les entreprises traitant des mati res explosives 425 1 Section 6 Directives et autorisations de d roger aux prescriptions Article 26 Directives Article 27 Autorisations de d roger aux prescriptions 426 1 427 1 Chapitre 3 Entreprises industrielles Section1 Dispositions g n rales Art 28 D finitions 428 1 Art 29 Nombre minimum de travailleurs 429 1 Art 30 Proc d s automatiques 430 1 Art 31 Entreprises pr sentant des dangers particuliers 431 1 Section 2 Proc dure d assujettissement Art 32 Principe 432 1 Art 33 D cision d assujettissement 433 1 Art 34 Abrogation de l assujettissement 434 1 Art 35 Notification de la d cision 435 1 Art 36 Communications de l office f d ral l autorit cantonale 436 1 Chapitre 4 Approbation des plans et autorisation d exploiter Section 1 Proc dure d approbation des plans Art 37 Demande d approbation des plans 437 1 Art 38 Plans 438 1 Art 39 Etat descriptif 439 1 Art 40 Approbation des plans 440 1 Art 41 Approbation des plans dans la proc dure f d rale coordonn e 441 1 Table des mati res mati res Commentaire des ordonnances 3 et 4 relatives la loi sur le travail Table des Section 2 Proc dure d autorisation Annexes d exploiter De po 7 302 Art 42 Demande d autorisation a anie ZAS Pang
545. tie d entreprise est nouvellement in t gr e dans une entreprise d j industrielle il y a lieu d adapter cet assujettissement en cons quence Lorsqu une partie d entreprise est nou vellement assujettie l employeur doit pouvoir s exprimer ce sujet droit d tre entendu Pour l assujettissement il y a lieu de tenir compte de toutes les parties d entreprise situ es dans la m me commune ou dans des communes voisines Ainsi une partie d entreprise occupant moins de 6 travailleurs et situ e dans une commune voisi ne m me d un autre canton peut tre englob e dans l assujettissement de la partie principale Si les deux parties occupent plus de 6 travailleurs un assujettissement s par est indiqu SECO ao t 2006 433 1 Commentaire de l ordonnance 4 relative la loi sur le travail Chapitre 3 Entreprises industrielles Section 2 Proc dure d assujettissement Art 34 Abrogation de l assujettissement Art 34 Article 34 Abrogation de l assujettissement Va Lorsqu une entreprise ne r pond plus la d finition de l entreprise industrielle l autorit cantonale abroge l assujettissement 2l assujettissement doit notamment tre abrog lorsque dans le cas vis l art 5 al 2 let a de la loi l entreprise occupe moins de six travailleurs a depuis une ann e ou b depuis moins d une ann e et qu il est pr voir que ce nombre minimum ne sera plus atteint 3La CNA est habi
546. ties de b timents locaux de petite sur face ne contenant que des installations techni ques telles que des installations de climatisation ou de ventilation ou des silos L ordonnance prescrit que la largeur libre utilisa ble respectivement des escaliers et des passerel les donnant acc s de telles installations doit tre de 0 8 m au moins Afin que ces voies d acc s r pondent aux besoins il importe d examiner les conditions locales et en particulier la hauteur des Illustration 409 1 Diff rentes formes d escaliers 409 2 Commentaire de l ordonnance 4 relative la loi sur le travail Chapitre 2 Construction et am nagement des entreprises soumises la proc dure d approbation des plans Section 3 Passages Art 9 Art 9 Construction des cages d escaliers et des couloirs passages le nombre de personnes amen es les emprunter la n cessit d y acc der avec du mat riel encombrant et le sauvetage de personnes La largeur des acc s doit tre augment e lorsque plusieurs personnes doivent desservir les installa tions Les dangers potentiels lev s dus par exem ple aux risques particuliers d incendie ou d explo sion ou une configuration emp chant la vision globale des installations doivent tre pris en comp te lors du dimensionnement Lorsque ces escaliers et passer
547. tiliser pour des raisons de technique de production ou si l on emploie des substances moins dangereuses pour la sant on recourra des syst mes semi ouverts telles les hot tes d aspiration les aspirations sur des bains les aspirations de poussi re ou de copeaux etc Dans ces cas il est galement n cessaire d vacuer s par ment l air vici Les personnes qui travaillent doivent porter chaque fois un quipement de protection individuelle appropri SECO avril 2010 318 1 Art 18 Commentaire de l ordonnance 3 relative la loi sur le travail Chapitre 2 Exigences particuli res en mati re d hygi ne Section 2 Eclairage climat des locaux bruits et vibrations Art 18 Pollution de l air gt l t m l t i Construction ferm e Al i Construction semi ouverte i so CERA na l aLL T T Eia y t n T gt Construction ouverte Illustration 318 1 Repr sentation sch matique de sys t mes de captage d air vici On captera les polluants in vitables de la mani re la plus compl te possible et le plus pr s possible de leur source voir les illustrations 318 1 et 318 2 Le dispositif d aspiration sera plac de mani re que le travailleur ne soit pas entre celui ci et la source de pollution La m thode la plus efficace consis te aspirer les substances mises directement la source Le processus doi
548. tin es viter la formation de charges lectrosta tiques dangereuses doivent donc tre prises dans les locaux o zones expos es un danger d ex plosion En font partie la pose de rev tements de sols conducteurs lectrostatiquement et le port de chaussures semelles conductrices de l lectricit statique R sistance des sols et des chaussures conducteurs lectrostatiquement e dans les entreprises avec substances explosives selon l article 25 moins de 105 Ohm e dans d autres secteurs expos s un danger d ex plosion p ex dans l industrie chimique en r gle g n rale moins de 108 Ohm Sont consid r s comme suffisamment conduc teurs de l lectricit statique r sistance inf rieu re 105 Ohm entre autres les sols en t le et les caillebotis les sols en b ton propre les sols en bois non trait s ou seulement cir s Il existe des rev tements de sol en mati re synth tique antista tique Des chaussures ad quates pr sentant une telle r sistance max 108 Ohm sont p ex les chaussures de s curit avec semelle conductrice les chaussures semelle en cuir Leur conductivit lectrostatique doit tre mesur e p riodiquement 423 2 Commentaire de l ordonnance 4 relative la loi sur le travail Chapitre 2 Construction et am nagement des entreprises soumises la proc dure d approbation des plans Section 5 Entreprises pr sentant des dangers particuliers Art
549. tion de la loi Les prescriptions sont souvent formul es de fa on laisser une certaine souplesse dans leur application M me en utilisant cette souplesse au maximum l application stricte peut conduire des situations inopportunes L or donnance pr voit donc comme l OPA dans son article 69 que les autorit s charg es de son appli cation peuvent octroyer des d rogations La demande en vue de l obtention d une d roga tion doit contenir les l ments suivants e la prescription laquelle il devrait tre d rog une description de la nature de la d rogation e la justification de la demande dans le cas d exceptions tombant sous la lettre a description des mesures compensatoires pr vues et d monstration de l quivalence de l ef ficacit de ces mesures par rapport celles pr vues par l ordonnance dans le cas d exceptions tombant sous la lettre b d monstration du fait que l application des prescriptions conduirait une rigueur excessive et que la protection des travailleurs est assur e malgr le non respect de ces prescriptions e le r sultat de la consultation des travailleurs con cern s o de leurs repr sentants voir aussi ali n a 2 Lors de l octroi de d rogations l autorit doit res pecter les principes de base indiqu s ci apr s ta blis par la pratique e Une d rogation ne doit tre accord e que dans des cas particuliers et fond s l autorit de vra s
550. tive la loi sur le travail Chapitre 2 Construction et am nagement des entreprises soumises la proc dure d approbation des plans Art 12 S il est n cessaire de renoncer des garde corps ou des balustrades et que la s curit s en trouve compromise il y a lieu de prendre d autres mesu res de protection peut par exemple s agir de filets horizontaux tendus devant l endroit dange reux ou d obstacles l acc s On ne peut renoncer aux garde corps et aux balustrades ou en diminuer la hauteur que s ils g nent consid rablement les op rations de transport ou de production s agit avant tout du cas des quais de chargement Les ouvertures dans le sol peuvent en lieu et place d un entourage tre ferm es par des couvercles ou des grilles r sistant aux charges auxquelles ils peuvent tre soumis Les couvercles mobiles doivent tre con us de fa on former eux m mes un entourage lors de leur ouverture L espacement des barreaux des grilles p ex pour fermer un saut de loup une ouverture d a ration une ouverture de chargement d une installation d exploitation ou une tr mie ne doit pas d passer les valeurs sui vantes 50 x 50 mm ou 80 x 250 mm si seul le personnel de service doit circuler sur la grille Section 3 Passages Art 12 Garde corps balustrades 150 x 150 mm si la grille est sur lev e et qu il n est de ce fait pas possible d y circuler involon tairement 250 x 250 mm
551. tre 3 Entreprises industrielles Section 1 Dispositions g n rales Art 28 D finitions Article 28 D finitions D Fa Le 1 Les entreprises qui incin rent o transforment des ordures les entreprises d approvisionnement en eau et les stations d puration des eaux comptent galement parmi les entreprises qui produisent transforment ou traitent des biens au sens de l art 5 al 2 de la loi 2 Sont notamment entreprises produisant transformant ou transportant de l nergie les usines gaz les usines lectriques y compris les sous stations et les stations de convertisseurs et de transforma teurs les usines atomiques ainsi que les usines de pompage et d emmagasinage des installations de conduites pour le transport de combustibles et carburants liquides ou gazeux Alin a 1 Dans quelques cas il s est av r n cessaire de d finir plus pr cis ment ce que recouvre le terme de biens Les ordures l eau potable et les eaux us es constituent d apr s cet article des biens au sens de la loi biens dont le traitement peut tre industriel Une entreprise qui extrait des ressources naturelles comme l eau le gaz ou la pierre ne constitue pas une entreprise de production En revanche le trai tement et la transformation de ces biens peut tre industriel Selon le commentaire de l art 5 al 2 LTr la notion de traitement de biens implique en g n ral que l on modifie l tat d origine des biens en q
552. tre suf fisamment longs Les pauses de rafra chissement devraient durer au minimum 10 minutes par heure Le climat dans les lieux de repos devrait tre con fortable cf art 16 OLT 3 Temps de s jour au chaud R duire la dur e du s jour dans les zones de cha leur indispensables la production r duction du temps de travail Boissons Compenser la perte de liquide par des boissons adapt es intervalles r guliers et en quantit suf fisante Les personnes acclimat es ont de bonnes habitudes en mati re de boisson Les boissons ad quates sont par ex les infusions ventuellement SECO f vrier 2008 320 3 Art 20 i Commentaire de l ordonnance 3 relative la loi sur le travail Chapitre 2 Exigences particuli res en mati re d hygi ne Section 2 Eclairage climat des locaux bruits et vibrations Art 20 Ensoleillement et rayonnement calorifique additionn es d un peu de th noir des bouillons l gers du th instantan des eaux min rales peu ou non gazeuses I faut viter notamment les bois sons alcoolis es le caf fort et le th noir les bois sons base de cola les boissons gazeuses le lait etc lll Mesures de protection personnelles Apr s puisement des mesures techniques et or ganisationnelles il y a lieu de porter des quipe ments de protection individuelle EPI adapt s au mieux aux exigences concr tes Les travailleurs doi vent tre quip s de c
553. ts d air 316 317 324 D DAE D fibrillateur automatique externe336 Danger d explosion 415 418 422 423 424 425 D cisions des autorit s 338 339 AP D fauts 310 AP D rogations AP 339 404 405 408 409 427 Index Commentaire des ordonnances 3 et 4 relatives la loi sur le travail O Index d Approbation des plans 427 Participation 339 427 Proportionnalit 339 427 D signation des l ments des portes 410 Devoir de direction 303 305 Diam tre du noyau escaliers tournants 409 Diff rence de temp rature 316 317 Dimensions corporelles 323 324 Dimensions du poste de travail 323 324 Directives 302 338 426 AP De l employeur 305 307 310 De la m decine du travail 303 Douches 331 Droit l information 306 Droit cantonal AP E Eau potable et autres boissons 335 Eblouissement 315 417 Eblouissement direct 315 Eblouissement par contraste 315 Eblouissement par r flexion 315 Eblouissement psychologique 315 Echelles escaliers 409 Echelles fixes 407 411 Echelles fixes plac es l ext rieur 411 Mod les d chelles 411 Point de sortie 411 Eclairage 315 Mesures compensatoires 315 Eclairage antipanique 315 Eclairage artificiel 315 323 417 Eclairage de remplacement 315 Eclairage de secours 315 330 408 Eclairage de s curit 315 330 410 Eclairage local 315 Eclairage naturel 31 315 417 Mesures compensatoires 417 Eclairage nominal 315 Eclairement 315 Effet d ombre 315 Effet psych
554. ts o les conditions de travail le requi rent 2 Au besoin des infirmeries convenablement situ es et quip es seront mises disposition ainsi que du personnel ayant re u une formation sanitaire Les locaux destin s l infirmerie doivent tre faci lement accessibles avec des brancards 3 l infirmerie et les emplacements o se trouve le mat riel de premiers secours doivent tre clairement signal s La transmission imm diate de l alarme aux servi ces officiels de secours qui dans la plupart des r gions peuvent tre tr s rapidement sur place constitue une des principales mesures pren dre dans les cas graves accident ayant provoqu de graves blessures urgence m dicale perte de connaissance subite accident cardio vasculaire intoxication situation de crise psychique etc Il faut donc d poser ou afficher pr s de chaque ap pareil t l phonique une liste des principaux num ros d urgence avec mention des indicatifs centra le d alarme interne sapeurs pompiers 118 police 117 services de secours 144 L entreprise doit mettre disposition des person nes form es aux premiers secours et une infras tructure appropri e pour les premiers secours Certains principes et certaines r gles juridiques s appliquent aux personnes charg es des premiers secours dans les entreprises quel que soit leur ni veau de formation et leur fonction e Les fonctions les comp tences et les responsa
555. u poste de travail par ex bureau et de l environnement de travail par ex bruit et climat les connaissances en mati re d er gonomie doivent tre mises en uvre Les sous domaines de l ergonomie sont la conception des produits des postes de travail de l environnement de travail des processus et leur interaction On prendra particuli rement en compte e que les travailleurs ont des ressources et des ca ract ristiques tr s diverses e que des relations troites existent entre la charge de travail le rendement et d ventuels probl mes de sant e qu un effort de longue dur e n est possible que si la charge de travail ne d passe pas une certai ne limite limite de capacit de rendement e que des charges uniformes fatiguent particuli rement rapidement et e que l information sur la planification du travail et sur les r sultats obtenus est particuli rement im portante pour le bien tre et la sant des tra vailleurs e et que la participation des travailleurs ou de leurs repr sentants doit tre prise en compte voir aus si les art 2 5 et 6 OLT 3 Les connaissances scientifiques en ergonomie se ront mises profit lors de l quipement technique des postes de travail des installations des appa reils et des moyens auxiliaires Entre autres les as pects suivants sont importants e les limitations qui s imposent en fonction des mensurations corporelles et de l anatomie de chacun e la
556. ublic est pri mordiale celle des travailleurs devient secondai re A l inverse de la situation pr dominant dans les autres entreprises les prescriptions cantona les de police du feu ayant pour objet la protec tion des personnes sont donc applicables dans un tel cas Mais elles demeurent r serv es pour autant qu elles ne soient pas en contradiction avec le droit f d ral Ainsi si le droit cantonal contient des exigences identiques ou plus s v res que le droit f d ral il s applique La com p tence de d cision en la mati re sera transf r e dans la m me mesure l autorit cantonale de police du feu Si le droit cantonal est moins contraignant que le droit f d ral ou s il est con tradictoire le droit f d ral prime et la comp tence des organes d ex cution de la LTr demeu re enti re Grands magasins cin mas th tres foyers restaurants h tels etc sont entre autres des entreprises dans lesquelles la pr sence du pu blic est pr pond rante Dans la pratique il SECO avril 2007 AP 3 Avant propos 8 Commentaire des ordonnances 3 et 4 relatives la loi sur le travail Avant propos s agit en r gle g n rale d entreprises non in dustrielles Ce crit re formel n est toutefois pas d cisif les conditions r elles sont d ter minantes pr sence du public fr quente et in tense qui doit tre bien plus importante que celle du personnel 4 Les dispositions
557. uches lavabos toilettes r fectoires locaux de s jour et premiers secours Art 30 Vestiaires Porte blind e Porte blind e Sortie de secours Abri 2 CL Volet m blind Tube d vacuation Porte ouverte circulation sens unique Porte ferm e deux vestiaires Illustration 330 B Vestiaires pour plus de 50 personnes 330 B Commentaire de l ordonnance 4 relative la loi sur le travail Chapitre 2 Construction et am nagement des entreprises soumises la proc dure d approbation des plans Section 3 Passages Art 10 Portes et sorties situ es sur les voies d vacuation Article 10 OLT 4 annexe Annexe de l art 10 Portes et sorties situ es sur les voies d vacuation 1 Objectif de s curit des portes sur les voies d vacuation Sur la base de toutes les exigences en mati re de s curit d vacuation un objectif de protection qui r sume de mani re g n rale les exigences quant aux portes sur les voies d vacuation a t formul L objectif de s curit exprime ce qui est n cessaire mais non comment l atteindre Des portes et des syst mes d ouverture s rs remplissent les crit res de l objectif de protection en cas d v nement 1 1 D finition de l objectif de s curit Les portes des voies d vacuation doivent pouvoir en tout temps e tre reconnues en tant que telles e tre ouvertes rapidement dans le sens de la sortie e
558. uer la contrainte li e la chaleur Agis sant sur la thermor gulation du corps notamment la transpiration ces facteurs influencent consid rablement la sensation de bien tre Ainsi une humidit importante entrave la transpiration de la peau et combin e une temp rature lev e engendrera une impression de chaleur touffante Or ce ph nom ne affecte la circulation sanguine beaucoup plus s rieusement que la chaleur s che Cela explique pourquoi l organisme supportera nettement mieux des temp ratures torrides d passant 40 C dans des r gions d sertiques que la chaleur mod r e de 30 C dans une for t tropicale o r gne en revanche une humidit de 100 h r La contrainte due la chaleur est un risque qui cro t mesure que la temp rature et l humidli t de l air augmentent Un indice de chaleur tra duit comment ces facteurs combin s influencent la sensation prouv e de facto par une personne et son bien tre En p riode caniculaire et pour des activit s l in t rieur de b timents les indices climatiques per mettent une estimation approximative de la contrainte thermique cela sur la base de diverses hypoth ses A l aide de telles m thodes il est possible d tablir de mani re empirique une temp rature corrig e p ex WBGT respectivement de mani re analy tique un indice climatique p ex Humidex PMV PPD Ces valeurs sont class es dans des cat gories de risques donn es
559. uestion C est pourquoi les entreprises d ap provisionnement en eau et les stations d puration des eaux sont voqu es ici traitement de l eau pour la rendre potable respectivement propre Il y a galement traitement de biens lorsque ceux ci sans tre modifi s deviennent un bien cono mique nouveau l issue du traitement valorisa tion des d chets sous forme d nergie thermique tri recyclage etc Par contre les seuls collecte stockage ou transbordement de d chets n en sont pas Alin a 2 La notion d nergie recouvre toutes les formes d nergie quelle que soit leur origine nergie lectrique m canique thermique et hydraulique SECO ao t 2006 428 1 Commentaire de l ordonnance 4 relative la loi sur le travail Chapitre 3 Entreprises industrielles Section 1 Dispositions g n rales Art 29 Nombre minimum de travailleurs Article 29 Do Nombre minimum de travailleurs Va communes diff rentes mais voisines ment dans l entreprise L 1 Pour le calcul de l effectif minimum il sera tenu compte de tous les travailleurs occup s dans les parties industrielles de l entreprise m me si les divers l ments de l entreprise se trouvent dans des 2N entrent pas en compte pour le calcul de l effectif minimum selon l al 1 a le personnel de bureau commercial et technique ainsi que les autres travailleurs qui ne sont pas occup s la production la transformat
560. uichet de r ception d accueil 407 H Habillement Habits de ville 330 Halles de stockage avec tag res de grande hau teur 408 Halles de stockage en hauteur 408 Handicap s AP Locaux sociaux 329 332 Harc lement sexuel 302 Hauteur de l all ge des fen tres 417 Hauteur de la main courante 409 Hauteur de table 323 324 Hauteur de travail 323 324 Hauteur des locaux 405 Autorisation de d rogation 405 Changement d affectation 405 Hauteur inf rieure 405 Hauteur minimale des locaux 405 Hauteur plus grande 315 405 Locaux de faible profondeur 405 Plafonds en pente 405 Postes de travail permanents 405 Superficie du sol 405 Hauteur des portes 410 Hauteur des si ges 323 324 Hauteur minimale des locaux 405 H tellerie et restaurants 332 AP Humidit de l air 311 316 Hygi nistes du travail 303 304 Commentaire des ordonnances 3 et 4 relatives la loi sur le travail Index Indices d apparition de d fauts 303 310 Infirmeries 329 336 Information et instruction des travailleurs 305 Coop ration 308 309 Equipement 325 327 336 Installations d extraction de l air 317 418 Dispositif antiretour de flamme 418 Formation d tincelles 418 Installations d humidification 317 Installations de climatisation 317 Installations de surveillance 326 Installations de transport 415 Charge admissible 415 Signes d identification du danger 415 Installations de ventilation 317 418 422 Entretien et nettoyage 317 337 Mat riaux
561. ulation locaux de tificiel sont d crites en d tail dans la norme SN 2 stockage EN 12464 1 Lumi re et clairage Eclairage des lieux de travail Partie 1 Lieux de travail int ri Locaux de travail avec inter eurs Cette norme tient compte des exp riences A A E a r alis es et de l tat de la technique circulation mixtes v hicules personnes cages d escaliers Eclairement z x lux Les valeurs de l clairement E lx prescrites dans Locaux de travail pour activit s le tableau 315 1 sont fond es sur les exp riences sans exigences particuli res r alis es dans la pratique et les r sultats d tudes 2200 installations avec intervention Elles sont valables d une mani re g n rale Les va permanente locaux leurs pour des t ches et des activit s sp cifiques d archives sont d finies dans la norme SN EN 12464 1 Ces Activit s sommaires n cessi valeurs minimales repr sentent l clairement tant une visibilit simple sec maintenir dans la zone de la t che visuelle et gt 300 teur d emballage et d exp di doivent toujours tre respect es Lors de la pla tion montage de grandes pi nification de l clairage il faut tenir compte des ces locaux de s jour pertes d efficacit dues la poussi re l encras Lecture criture traitement de sement au vieillissement des luminaires et au pro donn es travail l cran y gramme de maintenance Lorsque les donn es ne compris dessin et conception
562. ulement les sols mais galement les installations Les vestiaires se ront quip s de r cipients pour les d chets les r cipients m talliques sont recommand s en raison de la pr vention des incendies m gots Les automates de distribution de denr es alimen taires contenant des produits non emball s com me les automates caf seront entretenus et net toy s r guli rement Alin a 3 En r gle g n rale des vestiaires lavabos et toi lettes s par s seront pr vus pour les hommes et pour les femmes Une utilisation altern e des m mes installations n est tol r e qu exception nellement par exemple dans les entreprises oc cupant simultan ment un nombre restreint de travailleurs des deux sexes jusqu 5 personnes o les activit s sont peu salissantes bureaux ou lorsqu il est particuli rement difficile de rem plir les conditions requises savoir sur les petits chantiers ou les chantiers de courte dur e avec des locaux sociaux en conteneurs Les cabines d habillage dans un vestiaire com mun ne remplacent pas des vestiaires s par s et n apportent pas l quivalent d une utilisation s par e pour plusieurs raisons e Le fait de devoir se d placer avec tous les habits de rechange constitue un inconv nient certain Ce probl me est encore amplifi pour l utilisa tion de la douche e Dans un vestiaire commun certaines personnes peuvent se sentir mal l aise sentiment renforc
563. umulatives e qu il y ait am lioration ou tout le moins qu il n y ait pas aggravation par rapport la situation ant rieure e qu une bonne organisation limite le nombre des postes de travail fixes en zones aveugles e que dans tous les cas de v ritables mesures compensatoires soient propos es voir chapitre suivant et appliqu es Constructions au c ur d lots urbains En raison de la disposition du tissu urbain la si tuation de certaines constructions peut constituer une entrave l application stricte des obligations de la loi Une analyse comparable au cas pr c dent pourra exceptionnellement conduire l accepta tion de telles constructions sous r serve e que des imp ratifs d urbanisme les l gitiment e qu une bonne organisation limite au maximum les postes de travail fix s en zones aveugles e que le personnel b n ficie de mesures compen satoires analogues celles indiqu es au chapi tre suivant 4 Mesures compensatoires Si des postes de travail permanents sans clairage naturel ni vue sur l ext rieur sont in vitables des mesures compensatoires sont prendre afin de respecter dans l ensemble les exigences de la pro tection de la sant et de compenser une d faillan ce des locaux de l employeur Dans ce but les exigences en mati re de construc tion et d organisation d finies dans l OLT 3 pour les locaux de travail devront tre particuli rement bien observ es ces p
564. une ex cution uniforme on prendra en consid ration les points suivants 3 1 Grands b timents de fabrication grandes installations d exploitation Lorsque la longueur des voies d vacuation ne peut pas tre respect e notamment depuis le centre du local dans des b timents de production ou de stockage de grande surface on peut am nager au niveau du sous sol un corridor d vacuation construction selon les prescriptions de protection incendie de l AEAI depuis cette zone Le corridor d vacuation est consid r comme zone s re et la distance depuis le centre du local jusqu la sortie l ext rieur n est pas compt e dans la lon gueur de la voie d vacuation Il est aussi possible de construire une cage d escaliers au centre du local montant aux tages sup rieurs o sur le toit condition que la voie d vacuation ult rieure soit garantie Exceptionnellement des voies d vacuation attei gnant jusqu 50 m o des passages dans d autres compartiments coupe feu peuvent tre admis comme sorties au sens de l article 7 pour des lo caux faiblement occup s Une d rogation est alors n cessaire 3 1 1 Am nagements int rieurs dans de grands locaux de travail de stockage ou en sous sol Des cloisonnements doivent tr s souvent tre am nag s en particulier dans de grands locaux de travail p ex pour des raisons de e technique de production d gagement de pous si re variations du cl
565. up Voir cet gard le commentaire de l article 43 OLT 4 Alin a 2 Dans le cadre d une proc dure f d rale coordon n e conform ment l article 7 alin a 4 LTr voir aussi art 41 OLT 4 la demande doit en d rogation l alin a 1 tre pr sent e non l autorit canto nale mais l autorit f d rale comp tente pour le projet autorit unique Cette autorit transmet tra la demande l Inspection f d rale du travail comp tente pour valuation quant au contenu Alin a 3 Pour les autres installations et constructions de la Conf d ration soumises l approbation des plans la demande doit tre adress e l Inspection f d rale du travail comp tente SECO ao t 2006 437 1 Commentaire de l ordonnance 4 relative la loi sur le travail Chapitre 4 Approbation des plans et autorisation d exploiter Section 1 Proc dure d approbation des plans Art 38 Plans Article 38 Plans Art 38 Va cadastral mais pas inf rieur 1 1000 et sorties de secours chaque esp ce pour les cages d escaliers pas sur les nouveaux plans 1 100 ou 1 200 et des installations techniques suivantes c installations de transport m canique 2 mables explosibles ou nocives silos et r servoirs zamo extincteurs et avertisseurs d incendie L 1Les plans suivants seront joints la demande en deux exemplaires a Un plan de situation de l tabl
566. upe 2 Activit s intellectuelles r p titives n cessitant une concentration particuli re temporaire ou conti nuelle e gestion saisie de donn es dactylographie tra vail sur ordinateur e travail avec des installations de commande d ob servation et de surveillance e vente service la client le e travail en bureau d exploitation ou de contre ma tre e essais et contr les des postes am nag s cet effet e travaux de montage d licats montage de circuits imprim s Volume du local Temps de r verb ration m3 maximal T s lt 50 0 5 50 200 0 5 0 8 200 1 000 0 8 1 2 1 000 5 000 1 2 1 4 5 000 20 000 1 4 1 6 gt 20 000 1 6 Valeur moyenne dans la gamme de fr quence de 125 4000 Hz Limite inf rieure de la gamme de volume faible temps de r verb ration Limite sup rieure de la gamme de volume temps de r verb ration sup rieur Tableau 322 3 Valeurs indicatives du temps de r verb ra tion SECO ao t 2006 322 3 Art 22 T Commentaire de l ordonnance 3 relative la loi sur le travail Chapitre 2 Exigences particuli res en mati re d hygi ne Section 2 Eclairage climat des locaux bruits et vibrations Art 22 Bruit et vibrations Exemples d activit s du groupe 3 Activit s n cessitant une concentration particuli re et une pens e cr ative e travail scientifique cr ation ou tude de textes e
567. ur la sollicitation de l appareil locomoteur partir desquelles des mesures de protection de la sant doivent tre prises La liste des valeurs limites de la SUVA contient galement des valeurs indicatives correspondantes et concordantes de poids maxi mal vu que la manutention manuelle de charges peut constituer un risque pour la colonne lombaire et cervicale 2 Alin a 1 L valuation des risques au sein de l entre prise doit toujours inclure les risques li s au levage et au port de charges Afin d viter que les travailleurs ne doivent d pla cer des charges manuellement il convient prendre des mesures selon le principe STOP Syst me r duire le poids des charges d en tente avec les fournisseurs par exemple Technique mettre disposition des moyens au xiliaires par exemple des grues des bandes transporteuses et des chariots de transport Organisation adapter les effectifs et les proces sus de travail Personnes former et entra ner les travailleurs concern s 1 Voir le guide d utilisation Instrument d valuation Risques pour l appareil locomoteur SECO Conditions de travail 3003 Berne num ro de commande 710 070 f ou t l chargement du PDF sous www seco admin ch 2 Valeurs limites d exposition aux postes de travail 2011 www suva ch waswo t l chargement possible Les valeurs indicatives de poids tol rables sont de 25 kg pour les hommes et de 15 kg pour les femmes
568. ur respecti vement les sup rieurs responsables doivent faire usage d autorit ils rendront les travailleurs atten tifs leurs erreurs et leur imposeront de mani re ad quate le respect des consignes Les devoirs de direction consistent aussi outre la diffusion d instructions claires et la d l gation de comp tence donner l exemple d une mani re responsable et faire respecter les consignes don n es Les normes de comportement qui ne sont pas suivies d une mani re cons quente par les su 305 2 Commentaire de l ordonnance 3 relative la loi sur le travail Chapitre 1 Dispositions g n rales Art 5 Information et instruction des travailleurs ia m p rieurs et les cadres ne seront selon toute vrai semblance pas respect es par les travailleurs Motiver les travailleurs en mati re de protection de la sant est aussi un devoir de direction Il faut cr er les conditions qui induisent les travailleurs se comporter conform ment aux r gles Alin a 3 La mise au courant la formation et la formation continue des collaborateurs font partie de leur activit professionnelle Elles doivent donc se d rouler pendant la dur e officielle du travail et tre pleinement r mun r es Ces activit s ne doivent se d rouler ni pendant les pauses ni pendant le temps libre Il n est pas non plus admissible de de mander compensation du temps utilis pour cette instruction ou de le d duire du sala
569. ur la s cu rit au travail notamment le chiffre 306 16 relatif l article 10 OPA Lors de la location de services r gl e dans la loi f d rale sur le service de l emploi et la location de services du 6 octobre 1989 LSE RS 823 11 art 12 23 l employeur bailleur de services met ses employ s disposition d autres employeurs entreprises locataires de services contre r mun ra tion Un contrat de travail lie le bailleur de services ses travailleurs un contrat de location le lie au locataire de services Les travailleurs exercent leur activit non dans l entreprise de leur employeur mais dans l entreprise locataire de services I s en suit un report partiel des t ches de l employeur les instructions techniques celles relatives aux buts atteindre et au comportement adopter dans l entreprise sont d l gu es au locataire de services Les autres droits et devoirs contractuels de travail en particulier le paiement du salaire demeurent de la comp tence du bailleur de services En tant qu employeur le bailleur de services serait th oriquement responsable de la protection de la sant et de la s curit au travail de ses collabora trices et collaborateurs cf art 328 al 2 CO Mais contrairement l entreprise locataire de services il ne conna t souvent pas dans le d tail les risques auxquels le travailleur est expos et les mesures de protection ad quates De plus il n est pas en mesure d i
570. ur le calcul du nombre minimal on ne peut te nir compte que des travailleurs auxquels la LTr est applicable Ainsi les travailleurs avec fonction di rigeante lev e et les membres de la famille ne comptent pas dans ce calcul Si plusieurs entreprises ont des liens tels qu il n est pas possible d en distinguer clairement les l ments on consid rera le tout comme une unit Ce cas se pr sente le plus souvent lorsqu un tra vailleur est occup par plusieurs entreprises qui uti lisent des locaux communs La r alit conomique prime sur la structure juridique arr t du tribunal f d ral du 29 6 1967 ATF 93 378 Alin a 2 Lettre b Si on tenait compte des travailleurs occup s tem porairement dans l entreprise on serait souvent confront de petites entreprises dont le nom bre de travailleurs se situe tant t au dessus tant t au dessous du nombre minimum de 6 personnes C est la raison pour laquelle les travailleurs tem poraires sont exclus du calcul sauf dans le cas in diqu ci apr s tout comme ceux qui quitteront l entreprise dans les 6 mois sans tre remplac s L exception concerne le cas o un poste de tra vail est occup en permanence par des travailleurs temporaires successifs il y a alors lieu d en tenir compte car il s agit d une activit industrielle du rable SECO ao t 2006 429 1 Section 1 Dispositions g n rales Art 30 Proc d s automatiques Article 30 P
571. ur les produits chimiques comportent des d finitions divergentes pour les liquides e d finitions selon les r gles CFST 1825 Liquides inflammables liquides facilement inflammables point d clair inf rieur 30 C liquides inflammables point d clair entre 30 C et 55 C e d finitions selon l ordonnance sur les produits chimiques RS 813 11 liquides extr mement inflammables point d clair inf rieur O C liquides facilement inflammables point d clair entre O et 21 C liquides inflammables point d clair entre 21 C et 55 C l UE a d cid fin 2008 le R glement CE No 1272 2008 du Parlement europ en et du Conseil relatif la classification l tiquetage et l embal lage des substances et des m langes qui reprend le syst me de l ONU de classification et d tique tage des produits chimiques SGH Avec la r vision du 1 12 2010 de l ordonnance sur les substances chimiques le Conseil f d ral a d cid que le droit suisse sera adapt aux nouvelles prescriptions va lables dans l UE Ceci implique une nouvelle l g re modification des d finitions qui seront comme suit e liquide extr mement inflammable point d clair lt 23 C et point initial d bullition lt 35 C e liquide tr s inflammable point d clair lt 23 C et point initial d bullition S35 C e liquide inflammable point d clair gt 23 C et point initial d bullition
572. ur leur disposition en fonction de leur utilisation on observera les prescriptions des diff rentes normes en vigueur par exemple DIN prEN 13637 Notausgangsanlagen il lustration 7 SN 521 500 Constructions adap t es aux personnes handicap es Voir illustrations 5 3 6 3 7 Si une porte s ouvre automatiquement ou peut tre ouverte moyennant un l ger effort elle remplit l exigence d une ouverture rapide L ef fort admis et la vitesse d ouverture n cessaire d pendent de la nature et de l utilisation de la porte voir normes SN EN 179 et SN EN 1125 Le chapitre 5 8 3 de la norme DIN 18650 1 Schl sser und Baubeschl ge Automatische T rsysteme Teil 1 Produktanforderungen und Pr fverfahren pr voit que les battants des syst mes de portes automatiques d une lar geur libre allant jusqu 2000 mm portes cou lissantes portes pliantes portes ouverture ra pide doivent s ouvrir au moins 80 dans le sens de la fuite en 3 secondes maximum apr s activation par le dispositif de de commande p ex bouton d ouverture d urgence et apr s d tection d une panne de courant Annexe de l art 10 L l ment d ouverture de la porte doit pouvoir tre identifi et accessible facilement Son ac tionnement doit tre ais par ex poign e de porte barre antipanique bouton poussoir ap parent Les verrous poign es escamotables ou autres l ments analogues ne remplissent
573. ure et sa port e p ex d charge lectrique et moins la probabilit d un accident Exemple les professions travaillant avec l lectri cit ont besoin de premiers secours sp cifiques DAE3 formation sp ciale Pour les entreprises qui adh rent une solution interentreprises solution de branche solution par groupe d entreprises ou solution type le concept en cas d urgence repr sente un l ment de ba se du volet protection de la sant du syst me de s curit manuel et listes de contr le Il contient une description d taill e des exigences auxquelles les entreprises doivent r pondre Equipement pour les premiers secours Le mat riel de premiers secours d sinfectant pan sements etc doit tre adapt aux dangers pr sents dans l entreprise On contr lera r guli re ment sa composition les dates de p remption et si le mat riel est complet On tiendra un relev des contr les du mat riel Il est recommand de prendre contact avec les ser vices de sauvetage locaux ou avec l ASSE pour se renseigner sur les articles qui doivent figurer dans l armoire de premiers secours M decins et phar maciens peuvent galement fournir des renseigne ments Les m dicaments qui s administrent par voie ora le4 ne peuvent tre remis que par des personnes habilit es par la l gislation sur les produits th ra peutiques le faire5 p ex m decins ambulan 2Commission f d rale de coordination pour la s
574. urplus il y a lieu de se r f rer au chiffre 340 des directives de la CFST pour la s curit au travail SECO ao t 2006 415 1 Commentaire de l ordonnance 4 relative la loi sur le travail Chapitre 2 Construction et am nagement des entreprises soumises la proc dure d approbation des plans Section 3 Passages Art 16 Rampes Art 16 Article 16 Rampes La pente des rampes sera adapt e au type de v hicules utilis s et la nature des charges Elle n exc dera pas 10 pour cent ou 5 pour cent s il s agit de v hicules mus la main Le rev tement des ram pes doit tre antid rapant Il s agit de distinguer en premier lieu les v hicules moteur de ceux mus la main Le poids total peut limiter la pente admissible soit en fonction de la puissance du moteur soit par l effort physique fournir en cas d utilisation de v hicules mus la main La pente admissible d pend en outre de la nature de la charge qui ne doit pas pouvoir glisser du v hicule constituer un risque de basculement par le d placement du centre de gravit ou d bor der du r cipient Les pentes indiqu es correspondent la recom mandation n 206 4 Rampes de l Association suisse de logistique Les directives de la CFST pour la s curit au travail chiffre 319 15 donnent les m mes indications Voir galement ce sujet le feuillet d information CNA no 44036 Voies de circulation l int rieur de
575. usqu aux paules sont recommand s dans certaines circonstances particuli rement pour les activit s exerc es essen tiellement en position assise travail de longue du r e l cran de visualisation saisie de donn es travaux de contr le L avantage d un tel appui dor sal peut para tre contradictoire avec l exigence ap pelant une absence de contrainte Si une personne se sent g n e par un dossier haut ou si sa libert de mouvement du torse et des bras est atteinte un dossier mi haut sera pr f rer 2 4 3 Hauteur des si ges La hauteur optimale des si ges de travail est per sonnelle elle correspond la distance entre le pli du genou et le sol mesur e lorsque la musculature des jambes est d contract e En r gle g n rale les si ges de travail doivent tre r glables en hauteur e 42 55 cm pour les si ges de bureau norme EN la plage de r glage minimale pour les si ges de bureau est de 10 cm comprenant les valeurs de 42 et 51 5 cm e 35 48 cm ou jusqu 63 cm pour des plans de travail hauteur sp ciale par exemple des ma chines ou des cha nes de fabrication On remarquera les l ments r glables table si ge repose pieds Illustration 324 9 Postes de travail pour position assise Pour le travail l cran de visualisation les caract ristiques et la r glage des si ges sont particuli rement importants Illustrat
576. ustration 408 6 Exemple pour des tages avec quatre cages d escaliers SECO f vrier 2008 408 5 Coupe A A Il est particuli rement important de s parer la circulation des personnes de celle des v hicules dans le passage servant de sortie de la cour Illustration 408 7 Exemple pour un b timent avec cour int rieure 3 Conditions particuli res Des conditions particuli res concernant l emplace ment et la conception des voies d vacuation cor ridors peuvent se rencontrer p ex dans e l acc s de grands b timents de fabrication ou de stockage e des am nagements int rieurs dans des halles de fabrication de stockage ou des sous sols e des superstructures en toiture e des obstacles form s par de grandes installations d exploitation e des gaines techniques Commentaire de l ordonnance 4 relative la loi sur le travail Chapitre 2 Construction et am nagement des entreprises soumises la proc dure d approbation des plans Section 3 Passages Art 8 Voies d vacuation e des halles de stockage avec tag res de grande hauteur La conception des voies d vacuation doit tenir compte des circonstances particuli res rencon tr es De mani re g n rale si une des exigences de l ordonnance ne peut pas tre remplie une de mande de d rogation selon l article 27 OLT 4 doit tre d pos e et l organe d ex cution de la police du feu inform Afin de maintenir
577. uton poussoir pour le d verrouillage porte de secours s par e doivent tre lectrom canique depuis l int rieur install s au cas o l ouverture de la porte La porte doit s ouvrir automatiquement coulissante ne peut tre garantie en perma Rs nence coupure du courant lectrique rupture EE en cas d actionnement du bouton d un entra nement Voir ce sujet illustration 7 T 77 poussoir g Construction et installation conformes a bouton poussoir doit SS trouver a proximne 5 imm diate de la porte et port e de main des t 4 Normes Guropeennes oua celles utilisateurs handicap s enfants un pays de la communaut et traitant des portes sur les voies d vacuation L exploitant doit tre en possession d un certificat de conformit de la porte 6 4 Porte coulissante automatique avec Des battants pivotants Swing out ou une m canisme de d verrouillage manuel porte de secours s par e doivent tre depuis l int rieur install s dans le cas o l ouverture de la porte Ginn A m2 La porte doit s ouvrir automatiquement en coulissante ne peut tre garantie en 3 Fd as T permanence coupure d lectricit rupture y cas d actionnement du m canisme de d un entra nement d verrouillage Le m canisme de d verrouillage doit se trouver proximit imm diate de la porte et port e de main des utilisateurs handicap s enfants Voir aussi ce sujet l illustration 7 L exploitant doi
578. uvaise oui mauvaise non Possibilit de nettoyage bonne moyenne moyenne R sistance au feu bonne moyenne bonne Conductivit lectrique bonne mauvaise mauvaise Risque d tincelles par frottement non non non Isolation phonique mauvaise mauvaise mauvaise Tableau 314 3 Propri t s de diff rents rev tements de sols industriels suite du tableau 314 2 Absorption de chaleur selon la norme SIA en kJ Appr ciation dur e 2 Min 80 Min Rev tements de sols isolants industriels aho lt 22 0 Rev tements de sols isolants de bonne lt 3 6 lt 12 6 qualit Rev tements de sols isolants d excellente lt 2 5 lt 9 2 qualit Tableau 314 4 Propri t s des rev tements de sols selon la norme SIA 252 Des mesures de protection contre la propagation du son solidien et a rien permettent d obtenir de bons r sultats 314 6 Commentaire de l ordonnance 3 relative la loi sur le travail Chapitre 2 Exigences particuli res en mati re d hygi ne 2 Art 14 Section 1 B timents et locaux Art 14 Sols Appr cia De Appr cia Zones de travail pr sentant un danger de glissade tion selon 2 VE0RITE tion selon DIN 51130 _ Sen bpa EMPA DIN 51130 P Locaux et zones de travail en g n ral Entr es les zones d entr e d sign es sous 0 1 sont accessibles directement de
579. vail participation r duite au processus de d cision e relations tendues et conflits interpersonnels au poste de travail peu de soutien ou manque de re connaissance par les coll gues et les sup rieurs e activit paralys e par des interruptions instru ments de travail ou information manquant ou in suffisants e modifications dans le monde du travail qui po sent de hautes exigences pour la flexibilit et la capacit d apprentissage des travailleurs nou velles technologies de l information et de la com munication r organisations nouvelles fonctions et t ches e Ins curit de la place de travail Cons quences du stress sur la sant Le stress n est pas une maladie mais s il est sou tenu et dure pendant une longue p riode il peut mener des atteintes la sant psychique et phy sique angoisse et d pression ainsi que maladies cardiaques ou troubles gastro intestinaux Syndrome de burnout Il s agit l d une maladie qui se d veloppe lente ment et qui peut tre la cons quence de sollicita tions n fastes au travail Le rapport troit au travail diff rencie cet tat d puisement d tats motion nels plus g n raux Le syndrome de burnout est caract ris par ele sentiment d tre motionnellement puis c est dire d tre en permanence tr s fatigu e le sentiment de ne plus tre performant et e ce qu on appelle la distanciation ou la d per sonnalisation Il
580. vailler dans certaines conditions dif ficiles par exemple o r gne une forte chaleur ou par grand froid ou encore s il faut effectuer des travaux p nibles d autres boissons froides et chau des sans alcool par ex th l g rement sucr jus de fruit dilu bouillon devront tre mises dispo sition Pour les travaux p nibles ou tr s forte cha leur par exemple autour de grands fours de fon derie on mettra en plus d eau potable ces autres boissons gratuitement disposition Lors de tra vaux physiquement p nibles transpiration il est important de suppl er aux pertes de sels min raux et de vitamines Alin a 2 Les conditions de protection de la sant se rappor tent aussi bien la qualit de l eau potable et des autres boissons qu leur distribution fontaines lavage et rangement des verres gobelets jetables Si outre celui d eau potable l entreprise dispose d un r seau d eau industrielle les robinets seront s par s et signal s clairement Alin a 3 Une restriction voire l interdiction de consomma tion d alcool dans l entreprise se justifie avant tout pour les postes de travail o les exigences en ma ti re de s curit sont lev es Elle peut s tendre tous les travailleurs de l entreprise En principe cet te interdiction doit se limiter au seul temps de tra vail Comme les effets de l alcool peuvent se pro longer plus ou moins longtemps selon la quantit ing r e et la
581. vailleurs L autorisation d exploiter est ensuite soit octroy e directement par l Inspection f d rale du travail en accord avec l autorit unique soit int gr e dans l autorisation globale donn e par l auto rit unique conform ment aux art 62a et 62b LOGA Si l on constate de prime abord et durant la visi te de r ception des d fauts importants pr sent s SECO septembre 2010 444 1 Art 44 par l ouvrage ou par une partie de celui ci et que l on doive en conclure que les exigences de la loi ne sont globalement pas remplies o qu il y a une mise en danger s rieuse de la vie ou de la sant des travailleurs il faut faire cesser ou limiter l acti vit dans le b timent et les locaux en question ou encore aux installations concern es jusqu ce qu il soit rem di aux d fauts concern s moins que le danger n en soit accru Cette mesure pr ventive se fonde sur l art 77 OLT 1 et 67 OPA Des mesures ayant des cons quences de cette im portance doivent tre formul es dans une d cision et faire l objet d une concertation entre l autorit unique l autorit sp cialis e et l autorit canto nale L autorit comp tente communique l em ployeur ou au ma tre d ouvrage si une activit peut tre poursuivie et si oui dans quelle mesure L auto risation d exploiter ne sera d livr e qu une fois les d fauts supprim s Alin a 3 Si l on constate de prime abord et durant la visi te de
582. ve CFST No 6512 Les travailleurs doivent tre au courant des tech niques de transport manuel ad quates applicables exceptionnellement ne jamais soulever ou pousser des charges lourdes de mani re brusque les mani puler lentement travailler deux etc Il n est pas suffisant de former les travailleurs ces t ches encore faut il s assurer qu ils ont com pris les directives qui leur sont donn es et les ap pliquent Alin a 4 Les charges lourdes doivent tre indiqu es comme telles Ni le poids ni sa r partition ne peuvent tre d duits de la dimension et de la forme d un objet Si lorsqu il est lev l objet s av re plus lourd que pr vu ou que son poids n est pas r parti comme on s y attend il peut en r sulter une sollicitation excessive ou un accident SECO novembre 2011 325 3 Commentaire de l ordonnance 3 relative la loi sur le travail Chapitre 2 Exigences particuli res en mati re d hygi ne Q Section 5 Surveillance des travailleurs Art 26 Art 26 Article 26 Surveillance des travailleurs r ment des travailleurs leur poste de travail de mouvement des travailleurs 1I est interdit d utiliser des syst mes de surveillance ou de contr le destin s surveiller le comporte 2 Lorsque des syst mes de surveillance ou de contr le sont n cessaires pour d autres raisons ils doi vent notamment tre con us et dispos s de fa on ne pas porter atteinte
583. vent tre am nag s de mani re vi ter autant que possible des dangers pour la sant et des astreintes trop lev es Des mesures prises au moment de la mise en place de nouvelles instal lations peuvent se r v ler ult rieurement ineffica ces ou insuffisantes en raison p ex de la modifica tion des proc d s de travail ou de la redistribution des locaux L approbation des plans est un moyen pr ventif de protection de la sant dont l objectif est la prise en compte de toutes les dispositions pertinentes d s le stade de la planification et non seulement au d but de la phase d exploitation Elle permet d vi ter de devoir proc der a posteriori des modifi cations co teuses pour assurer la protection des travailleurs Il est donc conseill de faire examiner par pr caution les plans par les autorit s sous l an gle de la protection des travailleurs l approbation des plans est obligatoire si les changements pr vus entra nent une modification essentielle ou laissent pr voir une aggravation des risques pour la vie o la sant des travailleurs Les modifications essentielles peuvent concerner aussi bien l utilisation des b timents et des locaux les conditions de travail aux postes de travail au sens strict que l augmentation des risques d acci dents Il faut pr ter une attention particuli re e A l clairage naturel et la vue sur l ext rieur notamment lorsqu on d place des postes de travail dans
584. vit s par des l ments qui sollicitent aussi la pens e e automatisation des l ments de t ches simples et r p titives e augmenter la vari t des t ches par exemple en combinant des t ches de montage avec des t ches de contr le et de maintenance e augmenter la diversit des t ches par exemple monter un plus grand nombre de pi ces e cr er des possibilit s d activit s corporelles e faciliter la communication avec les coll gues e viter le travail cadenc et donner la possibilit au travailleur de d terminer lui m me son rythme de travail e r duction du bruit et des bruits de fond mono tones e am nagement adapt de l clairage et des con ditions climatiques e viter autant que possible les phases d attention soutenue afin de d tecter les signaux critiques la performance peut chuter notablement apr s 10 ou 20 minutes d attention e assurer que les signaux puissent tre diff renci s gr ce une signalisation ad quate et un am nagement adapt de l environnement de travail bruit e r duction des risques de confusion en reliant les signaux optiques aux signaux acoustiques Stress D finition le concept de stress est utilis de ma ni re tr s vari e Cela s explique d une part par le fait que diverses sciences telles que m decine bio logie psychologie sciences sociales et ing nierie s occupent de cette th matique et d autre part par le fait que
585. vitera que des travailleurs non prot g s d autres entreprises soient mis en danger par des vapeurs des radiations ou des produits nocifs lib r s lors de travaux SECO ao t 2006 308 1 Co js Lo ms mu Commentaire de l ordonnance 3 relative la loi sur le travail Art 8 T J Chapitre 1 Dispositions g n rales Art 8 Coop ration de plusieurs entreprises Alin a 2 La responsabilit pour la protection de la sant in Lorsque un employeur donne mandat un tiers de planifier r aliser livrer ou modifier des chantiers lo caux ou des b timents des installations des appa reils techniques ou des proc d s de travail il doit ren dre celui ci attentif aux risques pour la sant et aux dispositions existantes en mati re de protection de la sant et de s curit au travail voir l article 9 OPA Il est recommand de fixer ces exigences dans les mandats et contrats de commande Une prudence particuli re est de rigueur lors de l acquisition et de la r ception de substances dan gereuses I est recommand d exiger contractuel lement du fournisseur qu il respecte les exigences en mati re de protection de la sant et les fiches de donn es de s curit indiquant les mesures prendre lors de l utilisation des produits livr s Cet te pr caution permet de r duire fortement le ris que de mise en danger des travailleurs combe ici galement l employeur Il est donc dans so
586. x parties d installations doivent tre larges d au moins 0 8 m Les voies de circulation secondaires ne sont pas explicitement nomm es dans le texte de l ordon nance Cette largeur minimale r sulte cependant des exigences de l ergonomie et de celles de l acc s aux installations selon l article 9 alin a 2 OLT 4 Des largeurs plus faibles doivent constituer l excep tion lorsque des circonstances particuli res l impo sent Pour le surplus la planification et l ex cution des passages secondaires sont soumises aux m mes consid rations que celles des passages principaux SECO ao t 2006 406 1 Commentaire de l ordonnance 4 relative la loi sur le travail Chapitre 2 Construction et am nagement des entreprises soumises la proc dure d approbation des plans l Art 7 Section 3 Passages 1 Art 7 Cages d escaliers et sorties Article 7 T LI L 1 Cages d escaliers et sorties 2 Les voies d vacuation suivantes doivent tre disposition a au moins une cage d escaliers ou une sortie donnant directement sur l ext rieur pour un tage d une surface de 600 m au maximum b au moins deux cages d escaliers pour un tage d une surface de 1800 m au maximum et en suite une cage d escaliers suppl mentaire par tranche de 900 m entam e c dans les b timents ayant plus de 8 tages complets ou mesurant plus de 25 m de hauteur au moins une cage d escaliers pour un tage d une surface de 600 m
587. x travailleurs seront amen s mettre rapidement en application les connaissan ces acquises leur nouveau poste de travail avec un encadrement appropri L intensit de leur formation est fonction de leur ex p rience de leurs connaissances sp cifiques et de leur niveau d instruction Les nouveaux travailleurs doivent participer activement leur instruction Les probl mes principaux doivent leur tre pr sen SECO ao t 2006 305 1 e ial Commentaire de l ordonnance 3 relative la loi sur le travail Chapitre 1 Dispositions g n rales Art 5 Information et instruction des travailleurs t s et les comportements suivre enseign s Dans ce but l employeur ou le cas ch ant la person ne charg e de l instruction doivent s assurer qu ils ont t compris et que la mati re a t assimil e L employeur ne peut se borner remettre des con signes crites aux travailleurs Il faut accorder une attention particuli re l ins truction des travailleurs de langue trang re et te nir compte autant que possible des diff rences culturelles et ethniques car elles peuvent conduire un comportement inhabituel pour nous En r gle g n rale la m thode du parrainage donne de bons r sultats pendant les premi res semaines les nouveaux travailleurs sont suivis par un travail leur exp riment de m me langue Le parrain qui doit tre pr par cette t che prend syst mati

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