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1. L agilit est la capacit d avoir une amp Towill 2002 visibilit de la demande une r ponse flexible et rapide et des op rations synchronis es Afitep La Cible Tous droits r serv s pour tous pays 3 me trimestre 2013 L application de l agilite dans les cha nes logistiques a t introduite r cemment Elle peut permettre aux organisa tions au sein de la m me cha ne logistique d acqu rir des avantages de gain d agilit collectivement Harrison et al 1999 cit dans Sharifi et al 2006 Autres auteurs d finissent l agilit de la cha ne logistique comme une cha ne logistique agile est une int gration de partenaires commerciaux afin de permettre de nouvelles comp tences afin de r pondre l volution rapide la frag mentation continue des march s Les facteurs essentiels d agilit de la cha ne logistique sont la dynamique des structures et la configuration de la relation la visibilit des informations et le management de la gestion v nemen tielle La chaine logistique agile peut tre consid r e comme tant structur selon les objectifs de satisfaction des clients et des employ s au sein de laquelle chaque organi sation peut concevoir ses propres strat gies d entreprise de l organisation des processus et des syst mes d infor mation Une cha ne logistique agile concerne le change ment l incertitude et l impr visibilit dans son environne ment d affaires et fait
2. Tous droits r serv s pour tous pays FITEP Ei tl Association Francophone de Management de Projet publi e par d couvrir consulter recevoir rechercher utiliser s exprimer D autre part le web 2 0 fait partie int grante de nos vies tant personnelles que professionnelles En cons quence r seaux sociaux et outils collaboratifs doivent tre pris en compte dans le PMP que ce soit pour les exclure des options retenues l expliquer et le faire savoir les int grer dans une section d di e du PMP les distiller tape par tape en fonction des besoins et des objectifs En tout tat de cause cela implique de les qualifier et de les quantifier dans le PMP de s interroger sur les comp tences n cessaires pour une utilisation conforme ce qui est planifi d valuer les ventuels carts de comp tences dans leur utilisation entre l estim et le r el afin de r duire les risques pour le projet Un enjeu pour r ussir vos projets R seaux sociaux et outils collaboratifs sont des instru ments parmi d autres avec leurs avantages et leurs li mites Ils sont galement des instruments diff rents des autres car leur diffusion rapide et massive dans les pra tiques personnelles et professionnelles rend leur prise en compte indispensable dans la r flexion sur tout projet Ce s minaire permet de mieux en comprendre les enjeux pour mieux les int grer dans le management de vos projets 7 51
3. abordent le sujet Pour les d cideurs publics s int resser aux retomb es conomiques d un projet est un comportement purement rationnel qui consiste comprendre pr voir pr parer et appr cier ce qui va se passer Il s agit donc de se forger une opinion clair e sur le bien fond du projet sur l conomie locale ou nationale Les analystes m nent un d bat beaucoup plus technique Ils s int ressent directement la fiabilit et la pertinence des m thodes et des outils utiliser pour mesurer et va luer ad quatement les effets court moyen et long terme d un projet s interrogeant ainsi sur toutes les facettes du projet Pour d autres faire cas des retomb es conomiques serait une manipulation politique qui consiste tout simplement justifier ou bl mer un investissement majeur partir du moment o les d cideurs finaux sont g n ralement les par ties prenantes haute influence En effet la question sur les retomb es conomiques est relativement r cente au Qu bec Le Qu bec entame le processus d valuation des retom b es conomiques proprement dit partir des ann es 1993 et 1994 avec la mise sur pied du Comit des Retomb es Economiques du rapport Gorbeil en 1986 du Syst me d Outils Informatiques de Support l Analyse Financi re SOISAF en 1987 et suite la crise du d but des ann es 1990 et aux programmes conjoncturels Relance PME et Reprise PME Le besoin
4. ce livre permet tout membre de l quipe de comprendre les besoins en termes de planification ou de suivi Les chefs de projet et managers trouveront les outils permettant d affiner leurs pratiques et d optimi ser leurs activit s Les approches classiques et actuelles sont galement expliqu es permettant tout lecteur d acqu rir la culture du management de projet 5 Project 2013 pour les nuls de Nancy C MUIR Editions First 1ere dition 08 2013 390 pages ISBN 978 2 7540 5413 3 Project 2013 Presentation par l diteur Avec Microsoft Project 2013 g rez et murissez tous vos projets Microsoft Project 2013 est la derni re version du logiciel de gestion de projets le plus r pandu Pro posant a ses utilisateurs une vaste palette de fonctions Project se distingue de la plupart des autres logiciels courant et sa maitrise demande une attention particuliere Ce livre va vous aider a explorer toutes les possibilites de Project en rappelant au besoin les principaux concepts de gestion de pro jets et en d crivant les proc dures de conception et de suivi d un planning Project Pensez aussi commander le dictionnaire de Management de ns Dictionnaire de Management de projet projet AFITEP Editions AFNOR 5eme dition www afitep org dictionnaire 520 pages DE vay tir Ws gt 4 DE ay Ex UV ISBN 978 2 12 484351 0 VV Afitep La Cible Tous droits r serv s pour tous pays 8 51 La Cible ile de
5. cis ment ISO 26000 recommande de faire preuve de trans parence en ce qui concerne ses parties prenantes ainsi que les crit res et proc dures utilis s pour les identifier les choisir et dialoguer avec elles Suppl ment au n 4728 du 20 mai 2011 Page 19 ONG de l opposition a la cocreation Benjamin KABOUCHE Directeur LPO Les associations de protection de la nature et de d fense de environne ment sont des organismes poly morphes avec des geneses des orientations et des moyens tr s diff rents pour agir Les associations ne sont pas les seules a se consacrer l environnement faire prendre conscience des enjeux nos contemporains mais elles ont des points en commun Elles partagent une thique et une analyse communes le d veloppement d mographique les volutions techniques et la part croissante de l conomie dans les d cisions politiques p sent de plus en plus sur l environnement et les milieux naturels L univers entrepreneurial n est pas drap des m mes vertus cela se traduit g n ralement par une forte m fiance des ONG Suppl ment au n 4728 du 20 mai 2011 Page 20 Afitep La Cible Tous droits r serv s pour tous pays FITEP HUH Association Francophone de Management de Projet publi e par d couvrir consulter recevoir rechercher utiliser s exprimer Pour un nouveau pacte avec les collabo rateurs lt lt
6. der certaines caract ristiques distinctives que divers auteurs trouvent explicative pour d finir l agili t Dans la plupart des travaux la flexibilit et la rapidit sont les caract ristiques principalement soulign es Ce pendant l analyse des d finitions trouv es a montr qu ils se r f rent r guli rement aux changements volution de l environnement et aussi la satisfaction des besoins des clients D apres la litt rature nous avons choisi six variables re pr sentant le plus l agilit logistique 1 La sensibilit du march La caract ristique la plus importante qui rend une cha ne logistique agile dans sa nature est la sensibilit du march 14 51 La Cible Christopher 2000 Par sensible du march on entend que la cha ne logistique est capable de lire et de r pondre la demande r elle Christopher amp Towill 2001 La sensi bilit du march d une cha ne logistique est affect e par le niveau de collaboration entre ses partenaires commer ciaux et sa capacit d utiliser des technologies d informa tion 2 La vitesse de livraison La vitesse de livraison du point de vue du march est d fi nie comme la capacit r pondre rapidement aux objectifs de livraisons Ici la vitesse de livraison se r f re la ca pacit d offrir des produits ou des services plus rapides que les autres concurrents Handfield amp Pannesi 1992 Cette d finition inclut aussi le
7. es cologiques et financi res se sont rapidement impos s La premiere action de la mine Niobec a ete la creation d une quipe d di e aux relations avec la communaut suivie de la mise sur pied d un bureau de relations avec la communaut inaugur le 10 ao t 2011 situ en plein c ur de la municipalit de Saint Honore la o se d roule le projet L objectif de cette entit est clair mieux g rer et commu niquer avec les parties prenantes Rapidement quelques actions strat giques et communicationnelles sont mises en place entre juillet et novembre 2011 telles que e 134 rencontres personnalis es avec les propri taires voisins de la mine Niobec e une Journ e bon voisinage Visite guid e des instal lations et s ance d information sur Niobec et le projet d expansion e une Journ e porte ouverte pour les m dias e la mise sur pied de la Table municipalite entreprise rencontres mensuelles et finalement e la cr ation d un Comit du milieu rencontres men suelles 2 me p riode les justifications d cembre 2011 novembre 2012 Cette deuxi me p riode est quant elle caract ris e par les enjeux entourant le choix de la m thode d extraction du niobium et les tudes de pr faisabilit men es La majorit des questionnements des parties prenantes semblent s orienter autour de cette pr occupation dont les cons quences conomiques et cologiques sur le projet seron
8. rature d autres types de performance sont abord es telles que la performance de livraison du four nisseur ou chez le client D autres travaux se sont int res s s aux facteurs influant la performance logistique Ces diff rentes pratiques logistiques influencent la perfor mance et cr ent aussi un avantage concurrentiel pour l en 12 51 La Cible FITEP Ei tl Association Francophone de Management de Projet publi e par d couvrir consulter recevoir rechercher utiliser s exprimer treprise en mati re de logistique La plupart des mod les labor s traitant la performance logistique mettent en relation les pratiques de la logis tique avec le syst me d information Ceci montre lexis tence d une grande contribution des travaux de recherche sur le syst me d information car le partage le contenu et l change de l information sont des aspects indissociable de la performance logistique Toute une ma trise des don n es et de leur partage a pour objectif de r pondre aux finalit s de la tra abilit comme un syst me de tracking et tracing des produits afin de trouver l information dans le temps et dans l espace Une logistique performante align e sur la strat gie de l entreprise et bien orchestr e et int gr e permet selon la devise de Christopher 2005 de faire mieux plus vite moins cher et plus proche pour l obtention d avantages concurrentiels Mieux en livrant des
9. rity shall be given to the following topics e TCM profession and its characteristics good practices standards organization and development Body of knowledge and relevant competences enriched by practices that can enable the use of disciplines in their application on the real situations projects and processes Education on TCM and competence centers new trai ning processes tutoring and coaching working senior and junior peoples together side by side etc Certification intended either to individuals either to companies Methodologies and Quantitative methods to support TCM ICT to support TCM practices TCM as a way to increase accountability and transpa rency in the enterprise management Experiences of TCM use in the project based enter prises and organizations Public Administration Professional Roles in project based enterprises and organizations Glossary and semantics Pour toute information compl mentaire sur l v ne ment merci d adresser un courriel a icec2014 aice it org 4 51 La Cible Reflexion gt R seaux sociaux et projets FITEP Ei tl Association Francophone de Management de Projet publi e par d couvrir consulter recevoir rechercher utiliser s exprimer R seaux sociaux mode d emploi d un nombre croissant nel plus concevable L auteur Les r seaux sociaux et les outils collaboratifs font partie du quotidien de personnes y compris dan
10. rons que les articles ici r unis vous permettront de vous forger une conviction et vous donneront la possibi lit de compl ter si n cessaire votre r flexion gr ce la bibliographie abondante et vari e qui les accompagnent Bonne lecture toutes et tous Le Comit de r daction Les parties prenantes objet d une th se soutenue le 16 mai 2013 par Christophe LEYRIE membre du Comit de r daction de La Cible Strat gies et habilet s politiques dans la conduite de projets caract ris s par un impact lev des parties prenantes une tude exploratoire Pour de nombreuses organisations aujour d hui les gains concurrentiels reposent sur des approches transversales de type projet Par ailleurs mesure que les projets se multiplient et s ouvrent sur leurs environne ments interne et externe le succ s se con oit de plus en plus en termes de valeur pour un nombre croissant d acteurs ou parties prenantes impliqu s directement ou indirec tement dans ces projets Dans cette perspective l objectif de notre recherche est de contribuer mieux com prendre comment les gestionnaires cr ent les conditions favorables au bon d roulement et au succ s de projets impliquant de nombreuses parties prenantes Plus sp cifiquement le rapprochement de la litt rature portant sur la politique dans les organisations la gestion de projet et les comp tences nous a conduits nous inter roger sur l ventualit
11. s des exigences de d velop pement durable envers les entre prises mais plut t celles des ren dements financiers consid r s comme directement ou indirectement responsables de dom mages environnementaux et sociaux Et pourtant 41 51 La Cible Suppl ment au n 4728 du 20 mai 2011 Page 21 La fonction achat au coeur des enjeux lt lt Robert SPENCER et Fred ric PREVOT gt gt Titulaires de la chaire Achat Responsable Euromed Mana gement La fonction Achats est sans conteste au coeur de la mise en place re ussie des strategies de developpement durable Les pra tiques et la strat gie achats sont non seulement impactees par les agissements de multiples parties prenantes in ternes et externes a l entreprise mais ces m mes pra tiques conditionnent leur tour les comportements de ces acteurs L acheteur se trouve ainsi confront la n cessit d int grer la complexit de ses interd pendances dans sa d marche de tous les jours Ceci n est pas sans poser pro bl me Suppl ment au n 4728 du 20 mai 2011 Page 21 Dialogue les facteurs cl s du succes Doroth e BRIAUMONT Directrice g n rale Comite 21 Le dialogue avec ses parties pre nantes ne s improvise pas Il s agit d une posture solennelle de l entre prise aller au del de l information ou de la communication M me si elle reste toujours libre in fine l entreprise s engage
12. AFITEP Introduction La gestion des parties prenantes est devenue au fil du temps un enjeu majeur en gestion de projet Nombreuses sont les organisations qui tentent de d velopper des ap proches permettant de mieux gerer les parties prenantes Ou acteurs gravitant autour des projets dans le but ultime d en optimiser le bon d roulement L objectif du pr sent article est de d crire la strat gie rela tionnelle mise en place pour une entreprise qu b coise la mine Niobec Bas e sur une collecte de donn es secondaires articles de journaux et documentation issue du site Internet de la compagnie l intention demeure principalement descriptive afin de pr senter une d marche relationnelle sur une p riode d environ deux ann es et demie d cembre 2010 juin 2013 Afitep La Cible Tous droits r serv s pour tous pays de bonnes conditions Pr sentation du contexte et du projet d expansion de la mine Niobec En f vrier 2011 la mine Niobec annon ait un projet d agrandissement de l ordre de 1 5 milliard de dollars 1 15 milliards d euros dans le but d augmenter la production de niobium La mine Niobec de Saint Honor situ e au Saguenay Lac Saint Jean environ 200 kilom tres au nord de la ville de Qu bec est la seule exploitation souterraine de niobium dans le monde et l un des trois principaux producteurs mondiaux de ce minerai Comptant plus de 35 ann es d exploitation Niobec emploie pr sent
13. Agn s RAM BAUD PAQUIN et Thierry MAR NEFFE gt gt gt gt gt gt gt cofondateurs Des Enjeux Et Des Hommes l Les tribunaux ont fini par donner raison l action en nom collectif de 1 5 millions d employees contre Walmart qui avait fait grand bruit au premier semestre 2010 Si la mobi lisation massive de cette class action au nom de la discrimination f minine reste singuli re elle montre n an moins que les rapports de force entre collaborateurs et entreprises ont connu un tournant Suppl ment au n 4728 du 20 mai 2011 Page 20 Une strat gie gagnante pour le groupe La Poste Jean Paul BAILLY PDG du groupe La Poste Aujourd hui pr s de 75 des en treprises parlent de d veloppement durable D s 2003 j avais la convic tion qu engager le Groupe La Poste sur la voie du d veloppement du rable c tait se doter d un levier d am lioration de son efficacit conomique La performance durable suppose la bonne sant de l entreprise des postiers de la plan te et la construction de la confiance de toutes les parties pre nantes La n cessaire transformation de l entreprise se fait en troite collaboration avec elles Suppl ment au n 4728 du 20 mai 2011 Page 21 Et si on coutait l autre voix des actionnaires Anne Catherine HUSSON TRAORE Directrice G n rale Novethic Les actionnaires sont eux aussi des parties prenantes rarement as soci
14. Agricultu ral supply system traceability Part Role of packing procedures and effects of fruit mixing Biosystems Engi neering n 98 pp 391 400 Christopher M 2000 The agile supply chain com peting in volatile markets Industrial Marketing Manage ment 29 37 44 Christopher M amp Towill D R 2001 An inte grated model for the design of agile supply chains Intern Afitep La Cible Tous droits r serv s pour tous pays FITEP HUH Association Francophone de Management de Projet publi e par d couvrir consulter recevoir rechercher utiliser s exprimer CHRISTOPHER M 2005 Supply Chain Manage ment Cr er des r seaux forte valeur ajout e 3 e d Paris Village mondial Fabbe Costes N 1998 Tracking and tracing sta tus in the logistics management and strategic stakes for companies 8th World Conference on Transport Research WCTR Antwerpen Belgium 12 17 june Goldman Steven L Nagel Roger N Preiss Ken neth 1994 Agile Competitors and Virtual Organizations Strategies for Enriching the Customer Van Nostrand Rein hold New York New York Gonzalez L 2008 RFID l enjeu pour l entre prise dition AFNOR Handfield R B amp Pannesi R T 1992 An empiri cal study of delivery speed and reliability International Journal of Operations and Production Management 12 2 58 72 Harrison 1999 Global supply chain design Info
15. E FITEP HI Association Francophone de Management de Projet publi e par d couvrir consulter recevoir rechercher utiliser s exprimer Magazine 9p1 gt Derniers ouvrages parus Le petit livre noir des grands projets inutiles de CAMILLE Editions Le passager clandestin sei iere dition 09 2013 126 pages ISBN 978 2 36935 002 6 DES GRANDS PROJETS UTILES Pr sentation par l diteur pn iW On betonne a tour de bras Autoroutes a roports lignes LGV stades de foot incin rateurs cen ti ale m trales nucl aires lignes tr s haute tension i Des paradoxes apparents de la crise celui qui conduit les pouvoirs politiques et conomiques re Camille prendre les recettes qui nous ont men s dans l impasse n est pas le moindre Ainsi de la prolif ration des grands projets inutiles auxquels une pens e magique fond e sur le dogme de la croissance attri bue la vertu de cr er de l emploi du pouvoir d achat et de la croissance Qu importe que cette qua tion fasse abstraction de la finitude de notre plan te et m prise les n cessit s fondamentales du vivre ensemble et du rapport la nature Heureusement l inutilit et la nocivit de ces grands projets trouve sur leur route toute une population d termin e en multipliant les zones d fendre ZAD inventer d autres mani res d occuper le ter rain Cet ouvrage d crit les principaux projets inutiles de notre temps butant
16. Francophone de Management de Projet publi e par d couvrir consulter recevoir rechercher utiliser s exprimer N 122 La Revue Francophone du Management de Projet interventions publiques En 2007 le Secr tariat du Conseil du Tr sor publie le Guide d Analyse Co ts Avantages pour le Canada guide dit provisoire Dans le guide un certain nombre de r glementations sont propos es afin d orienter les minist res et organismes dans l laboration d une analyse co ts avantages approfondie En 1967 G Mathur soutient que les effets d un projet sur la croissance future de l conomie sont l un des plus im portants elements de l valuation d un investissement Il reconnait que la dynamique conomique d un projet doit tre mesur e de fa on approfondie et bien beaucoup plus Pour Mathur des projets et des investissements dans une conomie en croissance qui ont des effets importants sur l conomie dans son ensemble en termes de lien en amont et en aval doivent tre analyses par les m thodes d tudes couts avantages et multicrit res selon le type d investissement Juan Manuel Rivera Fernandez 1975 est beaucoup plus affirmatif Pour Fernandez l Analyse Co ts Avantages est incontour nable pour l valuation des projets d investissement en infrastructures comme les projets de construction de routes et d urbanisation Fernandez 1975 explique clairement la pertinence du ratio co ts avantag
17. Management de Projet publi e par d couvrir consulter recevoir rechercher utiliser s exprimer La bo te outils du chef de projet avec 6 vid os d approfondissement de Fran ois DEBOIS et J r me MAES Edition Dunod ere dition 09 2013 192 pages ISBN 978 2 10 055527 7 Presentation par l diteur Comment initialiser un projet sur des bases saines et avec le soutien de son entreprise Comment cadrer le projet pour limiter les futures d rives Comment pr parer le projet en termes de co ts de d lais et de risques Comment surveiller la r alisation du projet Comment remettre sur les rails un projet gar Comment obtenir le meilleur des quipes sur toute la dur e du projet Comment mettre en uvre les principes agiles dans les projets Et enfin comment clore un projet pour en tirer le meilleur profit D couvrez 75 outils et m thodes qui permettent de mener bien les projets dans toutes les condi tions Trait s de mani re visuelle et pragmatique chaque outil est pr sent en 2 ou 4 pages compre nant l essentiel en fran ais et en anglais le contexte d utilisation les tapes de mise en uvre les avantages et limites et des conseils m thodologiques Certains outils sont compl t s par un cas concret d taill Des vid os accessibles par QR code vous pr sentent les outils en situation Vous trouverez dans cette bo te outils toutes les cl s pour mener bien vos p
18. Neuve TP 14740F s curit maritime transport canada http www tc gc ca fra securitemaritime INSTITUT DE LA STATISTIQUE DU QUEBEC Le mod le intersectoriel du Qu bec Fonctionnement et applications juin 2011 www stat gouv qc ca MINISTERE DU DEVELOPPEMENT DURABLE DE L EN VIR DE LA FAUNE ET DES PARCS DU QUEBEC Le Qu bec sur la voix du d veloppement durable www mddefp gouv qc ca INSTITUT DE LA STATISTIQUE DU QUEBEC ET MINIS TERE DU DEVELOPPEMENT DURABLE DE L ENVIRONNE MENT DE LA FAUNE ET DES PARCS DU QUEBEC Re cueil des indicateurs de d veloppement durable avril 2013 GOUVERNEMENT DU QUEBEC frastructures t 2013 2023 Plan Qu b cois des In RESEAU DE VEILLE EN TOURISME Le calcul des retom b es economiques ou en sommes nous Pr sentations dans le cadre du Symposium sur les mesures de perfor mance et les contributions conomiques du tourisme de la Chaire de tourisme Transat Montr al 24 septembre 2012 34 51 La Cible FIEP Ui de Management de Projet publi e par d couvrir consulter recevoir rechercher utiliser s exprimer Biographie des auteurs Thierno DIALLO Docteur en sciences economiques de l Universit de Montr al poss de une solide expe rience de recherche en conomie fondamentale et appliqu e acquise notamment au Natio nal Economic Research Associates NERA de Boston ainsi qu au Centre Interuniversitaire de Recherche en Ana
19. Organisation Zhao X Xie J amp Leung J 2002 The impact of forecasting model selection on the value of information sharing in a supply chain European Journal of Operational Research 142 321 344 Zhou H Benton W C J 2007 Supply chain practice and information sharing Journal of Opera tions Management 25 pp 1348 1365 18 51 ble R sum Aujourd hui l absence de visibilit des produits nuit l ef ficacit d exploitation des cha nes logistiques Alors ces derni res ann es les entreprises se sont engag es dans un processus d optimisation de la gestion de leur cha ne logistique Supply Chain en investissant dans des sys t mes et des outils de planification de haut niveau Les acteurs de la chaine logistique ont l objectif de tracer leurs produits et processus et d avoir une visibilit et une trans parence des op rations en temps r el C est l utilit d un syst me de tra abilit La tra abilit peut tre envisag e comme une d marche strat gique permettant de renforcer la performance et l avantage concurrentiel de l entreprise Cependant dans des march s turbulents et instables une telle performance ne peut tre achev e que par le biais d une agilit logis tique L agilite comme composante de la performance lo gistique aide en outre fournir le bon produit au bon mo ment pour le consommateur qui est l objectif principal de toute cha ne log
20. Page 19 La valeur durable R inventons les cri t res de performance Dr Tobias HAHN et Dr Frank FIGGE Professeurs chercheurs Euromed Management Le traditionnel calcul de la performance des entreprises focalis uniquement sur la cr ation de valeur conomique trouve vite ses limites lorsqu on prend en consid ration la perspective d une creation de valeur du point de vue du developpement durable 40 51 La Cible Le defi majeur de l valuation de la performance durable des entreprises est d tendre le retour sur investissement pour couvrir d autres ressources et donc l ensemble des parties prenantes autres que les fournisseurs de capi tal Suppl ment au n 4728 du 20 mai 2011 Page 19 Quelle place dans les n gociations inter nationales Michel DOUCIN Ambassadeur charg de la bio thique et de la responsabili t sociale des entreprises au minis t re des Affaires trang res et euro p ennes Trois mois apres son adoption la loi Grenelle 2 s est vue escamot e d un de ses paragraphes qui pr voyait de recueillir l avis des parties prenantes sur le rapport social et environnemental des entreprises l absence du concept dans notre bon vieux droit national allait poser des pro blemes de mise en oeuvre Pourtant nombre de textes normatifs internationaux don nent au concept un r le cle dans la responsabilisation so ci tale sans consid rer n cessaire de le d finir pr
21. a jour de leur cotisation 2013 FITEP HIH Association Francophone gt Organis par Le Centre de Comp tence Technique cnes Management et Projets du CNES CONTRE NANONAL ETUDES SPATIALE et l AFITEP Association Francophone de Management de Projet de Management de Projet Ces dernieres annees nous observons clairement que les projets sont soumis a des processus de selec tion de plus en plus comp titifs s lection parfois d j dans les entreprises elles m mes selection par les structures d excellence par les agences nationales ou internationales par l Union Europ enne L id e de ce s minaire est d identifier autant que faire se peut les m canismes mis en jeu durant ces phases amont pour donner aux porteurs de projets leur meilleure chance de selection Seront en particu lier abordes L mergence de l id e du projet au sein de l entreprise Le processus de cr ativit de ces id es Les crit res de s lection L organisation mise en place pour accompagner la phase de montage Le s minaire croisera diff rents domaines d activit s espace automobile am nagement du territoire neurosciences ll aura lieu le 02 12 de 9h 16h30 au si ge parisien du CNES Salle de l Espace a Pour vous inscrire CNES s minaire 2 d cembre 2013 Le s minaire aura lieu au CNES 2 Place Maurice Quentin 75001 Paris Afitep La Cible Tous droits r serv s pour tous pays 48 51 La Cible 9h00 9h3
22. alisation Bien s r ce management doit s exercer d s les premieres phases du projet il serait en effet dommage de s aperce voir une fois le projet bien lanc que des contraintes dues des parties prenantes y font obstacle et que leur prise en compte est devenue difficile et co teuse compte tenu de l avancement La d marche d analyse des parties prenantes comporte plusieurs tapes e L identification qui est concern par ce projet les techniques de brainstorming d enqu te ou d interviews peuvent tre utilis es pour cette identification e L analyse des parties prenantes x En terme d int r t quelles sont leurs attentes voire leur exigences En quoi ces attentes sont en harmo nie avec les objectifs du projet Ces attentes sont parfois implicites les faire s exprimer est souvent source de clarification les riverains sont violemment contre le projet mais ne disent pas pourquoi allons au devant d eux pour qu ils s expliquent x En terme de pouvoir quelle est leur autorit FITEP Ei tl Association Francophone de Management de Projet publi e par d couvrir consulter recevoir rechercher utiliser s exprimer x En terme d influence quelle est leur participation active au projet x En terme d impact quel impact peuvent ils avoir sur les objectifs du projet e La d termination d une strat gie pour g rer les risques et les opportunit s que repr sentent ces attentes au regar
23. ce qui est examin Dans la pratique la tra abilit est donc la capacit re trouver un produit lorsqu il parcourt une suite de transfor mations ou lorsqu il est ensuite distribu au consomma teur Aujourd hui la tra abilit est devenue une obligation l gale pour les entreprises ceci surtout pour le secteur de lagroalimentaire Un syst me de tra abilit qui a pour but de tracer les pro duits est un syst me critique qui doit permettre l entre prise de r pondre des normes et des exigences La tra cabilite a comme r le de permettre l entreprise de Ma triser la qualit par l analyse des causes d cart dans la qualit et pour garantir la v racit des informations sur les produits Ma triser la logistique afin de localiser a chaque instant dans le temps et dans l espace les produits de l entreprise Et aussi d optimiser la gestion des stocks et le suivi des flux de produits Augmenter la r activit pour le rappel d un produit gr ce une localisation tr s rapide fiable et pr cise du produit d fectueux afin de r agir travers le retrait de ce dernier des circuits de distribution Alors que ses implications manag riales sont multiples Romeyer 2000 souligne ce titre que son r le se mani feste dans trois volets importants 1 Dans la ma trise de la cha ne logistique par une gestion en temps r el une am lioration de la r activit des acteurs de la cha ne
24. consulter sur une d cision avant qu elle ne soit prise tre responsable et transpa rente Le dialogue peut prendre diverses formes Suppl ment au n 4728 du 20 mai 2011 Page 22 Norme ISO 26000 clarifie la responsabilit soci tale Christian BRODHAG Directeur de Recherche a l Institut Henri Fayol cole des Mines de SaintEtienne ancien d l gu interminist riel au d veloppement durable L ISO a mis en place un processus Afitep La Cible Tous droits r serv s pour tous pays FITEP HUH Association Francophone de Management de Projet publi e par d couvrir consulter recevoir rechercher utiliser s exprimer de n gociation multi parties prenantes entreprises gou vernement syndicats consommateurs ONG et consultants appartenant 99 pays ainsi que des organisations inter nationales pour aboutir des lignes directrices pour la responsabilit soci tale l ISO 26000 Un large consensus mondial s est port vers un syst me hybride qui reconna t le r le des parties prenantes mais aussi le cadre institu tionnel en mettant au centre de la responsabilit soci tale le d veloppement durable et les normes internationales de comportement c est dire le droit international Sur ces bases l engagement de l entreprise vise avant tout a maitriser ses impacts et a rechercher un apport positif sur la soci t et l environnement Voir aussi la Car
25. d finit l optimum de mani re relative en mesurant tous les co ts et avantages internes et externes d un investis sement et donc permet de prendre une d cision d ordre pratique En effet toute d cision conomique tend modifier lallo cation des ressources et donc cr e une situation nouvelle 32 51 La Cible La situation nouvelle creee peut tre appreciee selon deux cas de figure 1 La situation nouvelle am liore la condition de tous les agents economiques en m me temps ou corrige celle de certains en laissant inchang e celle des autres 2 La situation nouvelle am liore la condition de cer tains agents et d t riore celle des autres Dans le premier cas la nouvelle situation est dite optimale au sens de Pareto et elle devrait tre envisag e car le gain net pour la collectivit est positif Dans le second cas les effets sont partag s dans la nou velle situation Si on applique des coefficients de pond ra tion pertinents pour les gains des uns et pour les pertes des autres on peut valuer l impact net de la nouvelle si tuation sur la collectivit et d cider d envisager ou non le changement V Conclusion Certes le MISQ est promu comme tant l outil de r f rence mais son utilisation suscite beaucoup de controverses quant l exhaustivit de l tude M me bonifi cet outil prend en compte uniquement l va luation des retomb es conomiques directes et ne s int resse prat
26. d une comp tence collective au ser vice de la gestion politique des parties pre nantes dans un projet Appuy s sur un dispositif m thodologique de nature qualitative comprenant une vague d entrevues pr liminaires et deux tudes lon gitudinales de cas ench ss s nous confir mons l existence d une v ritable competence politique et nous en d crivons pour la pre mi re fois les contours et le fonctionnement aux niveaux individuel collectif organisa tionnel et inter organisationnel Ceci nous conduit supporter une conceptua lisation plus partag e du leadership et une approche plus authentique de la gestion des parties prenantes dans les projets comme source de performance Nous proposons finalement quelques voies d approfondissement pour mettre en uvre une v ritable gestion des comp tences collec tives politiques Consulter le recueil des soutenances Afitep La Cible Tous droits r serv s pour tous pays 2 51 FITEP Ei tl Association Francophone La Cible de Management de Projet publi e par d couvrir consulter recevoir rechercher utiliser s exprimer Exp rience 9p1 gt Projet Congr s ICEC 2014 Appel communications rappel L AICE Associazione Italiana di Ingegneria Economica est en charge de l organisation du congr s mondial de l ICEC International Cost Enginee ring Council Milan en 2014 C est Gianluca di CASTRI qui nous fait partager
27. des r ponses appropri es aux chan gements Par cons quent une cha ne logistique agile n cessite diverses capacit s distinctives Toutefois Le concept d agilite est analys comme la volon t d agir et d tre r actif Au niveau de l organisation l agilit r side dans la consid ration des r gles et normes de gestion afin de parvenir un niveau d action enti re ment diff rent Il s agit tout d abord de la transparence Cela signifie que tout le monde doit avoir acc s des in formations opportunes et pertinentes afin qu ils puissent agir en temps r el pour optimiser leurs performances lors que les conditions changent Ainsi que l esprit entrepreneurial des cadres ou la plupart des employ s veulent avoir la chance d en apprendre da vantage au sujet de leur entreprise et d ajouter leurs propres id es pour am liorer les choses Au niveau de la structure organisationnelle les organisations agiles rem placent le commandement et le contr le par la formation et la confiance Elles sont structur es de mani re offrir leurs unit s d affaires la flexibilit dont ils ont besoin pour d cider et agir librement tout en respectant les param tres d finis de fa on g n rale par la direction Les gens ont le pouvoir de faire tout ce qui est l gal et n est pas interdit au lieu de ne faire que ce qui est express ment autoris Pour tre vraiment agile la cha ne logistique de l entre prise doit poss
28. droits r serv s pour tous pays 39 51 La Cible Dossier gt Management des parties prenantes FITEP Ei tl Association Francophone de Management de Projet publi e par d couvrir consulter recevoir rechercher utiliser s exprimer Les parties prenantes un enjeu de soci t Le 7 me symposium sur l thique des affaires en 2011 a trait en profondeur des parties pre nantes et leur n cessaire prise en compte dans le management des organisations dans une vi sion globale et durable A cette occasion La Tribune en Mai 2011 consacrait un numero sp cial n 4728 ces amis critiques qui vous veulent du bien A travers ces courts extraits nous avons souhait encourager nos lecteurs poursuivre et enri chir leur r flexion par une lecture de l ensemble de ce dossier lien en fin d article Des acteurs d sormais in contournables L dito de Pascale BESSES BOU MARD R dactrice en chef La Tri bune nous fait une description courte mais d monstrative Stakeholder ce vocable anglo saxon est entr dans les m urs de l conomie et des entreprises fran aises depuis quelques ann es tr s vite traduit en par ties prenantes D sormais il est impossible de ne pas prendre en compte en amont de toute d cision ces fameuses parties prenantes afin de v rifier le bien fond d un projet Suppl ment au n 4728 du 20 mai 2011 Page 17 C
29. duction de l efficacit de notre travail et au moins de notre concentration 5 51 La Cible FITEP HUH Association Francophone de Management de Projet publi e par d couvrir consulter recevoir rechercher utiliser s exprimer Utiliser le web 2 0 pour cr er de la valeur dans vos projets Omnipr sent chronophage et perturbateur le web 2 0 offre galement des fonctionnalit s particuli rement utiles pour g rer vos projets En voici quelques exemples Les outils de stockage en ligne permettent toutes les parties prenantes d acc der aux documents li s au pro La Revue Francophone du Management de Projet 3 me trimestre 2013 RS et OC risques et opportunit s De nos jours le risque majeur pour un chef de projet en mati re de web 2 0 est justement de ne pas les prendre en compte M me si la d cision est finalement d carter ces outils elle doit tre clairement r fl chie nonc e et annonc e l ensemble de l quipe projet et des parties prenantes Sans une telle consigne les acteurs ayant l ha bitude d utiliser RS et OC continueront le faire sans se jet Les plannings et les outils de gestion des t ches en ligne facilitent le suivi de l avancement ou l identification des points de blocage Les wikis facilitent l archivage et la tra abilit des interventions des membres de l quipe dans le cadre d une arborescence pr d finie en foncti
30. int r t au d veloppement des m thodes et notam ment des m thodes de management de projet sujet sur lequel il intervient l institut Polytechnique de Grenoble Membre actif de la commission Terminologie de l AFITEP il a particip l la boration du dictionnaire de management de projet AFITEP dont il est question dans cet article Marc No l VANDAMME marc noel vandamme wanadoo fr Membre AFITEP L importance des parties prenantes d un projet Plus besoin maintenant d insister sur l importance dans un projet des parties prenantes tant l actualit tous les jours nous le rappelle Qui sont les parties prenantes Le dictionnaire de management de projet de l AFITEP d fi Tel groupe de riverains a par son influence fait modifier un trac autoroutier ou ferroviaire l a roport de Notre Dame des Landes le d p t d enfouissement des d chets nu cl aire a Bure Le management des parties prenantes entre dans le cadre de la responsabilisation soci tale de toute organisation tel que le d finit la norme ISO 26000 Responsabilit d une organisation vis a vis des impacts de ses decisions et activit s sur la soci t et sur l environne ment se traduisant par un comportement thique et trans parent qui e contribue au DEVELOPPEMENT DURABLE la sant et au bien tre de la soci t e prend en compte les attentes des PARTIES PRE NANTES e respecte les LOIS en vigueur tout en tant en c
31. intervention finan ci re sur l conomie l aide d une structure matricielle entr es sorties L utilit du MISQ n est plus d montrer Mais il est impor Afitep La Cible Tous droits r serv s pour tous pays 3 me trimestre 2013 tant de souligner quelques limites du mod le Le MISQ value les retomb es conomiques d un projet en s int ressant aux param tres conomiques comme la va leur ajout e la cr ation d emploi les gains fiscaux et pa rafiscaux C est un mod le statique et lin aire et non dyna mique Il est incapable de r pondre d autres pr occupa tions dans l analyse telles les effets du projet constat s en dehors du projet lui m me Sur ce point il est souvent reconnu de conservateur En effet le mod le sous value l impact conomique du projet en se limitant ses retomb es primaires VA Di rectes et indirectes l emploi additionnel cree les revenus fiscaux et parafiscaux g n r s sans prendre en consid ra tion les effets secondaires et les effets dynamiques Pourtant les effets secondaires ou induits et les effets dynamiques ou structurants d un projet peuvent tre soit positifs et ou d sastreux et affecter consid rablement le potentiel conomique social et environnemental du projet c est dire son impact net Ces effets r sultent par exemple e de l usage qu on peut faire des revenus distribu s gr ce au projet l pargne qui provoque l augmentation d
32. jusqu sa diffusion est relativement r cent C est un concept n dans le milieu des ann es 80 la tra abilit r pondait alors un simple souci logistique elle garantis sait un contr le des flux de marchandises au sein d une cha ne de partenaires permettant de s rieuses conomies Elle est pr sent e comme la solution miracle aux crises de s curit de plus en plus nombreuses dans l industrie agroalimentaire La tra abilit est un sujet qui n a jamais t autant d actualit Des crises comme par exemple celles de la vache folle partir de 1996 du poulet la dioxine mai 1999 l pizootie de fi vre aphteuse mars Afitep La Cible Tous droits r serv s pour tous pays FITEP HUH Association Francophone de Management de Projet publi e par d couvrir consulter recevoir rechercher utiliser s exprimer 2001 ou de la grippe du poulet en Asie f vrier 2004 et r cemment l affaire de la viande de cheval dans les la sagnes ces diff rentes crises ont cr une prise de cons cience et une inqui tude aupr s des consommateurs qui ont besoin d tre rassur s La norme NF EN ISO 8402 d finit la tra abilit comme aptitude retrouver l historique l utilisation ou la loca lisation d une entit au moyen d identifications enregis trees La norme ISO 9000 2000 la d finit comme tant l aptitude retrouver l historique la mise en uvre ou l emplacement de
33. la ma trise en gestion de pro jet pendant six 6 ans 1995 1997 2007 2011 Gradu de l Universit de Moncton B Sc Soc de l Universit Laval MBA et de l Universit de Montr al connaissance a t ajout au r f rentiel a savoir le management des parties prenantes du projet chapitre 13 Avant l ajout de ce dixi me do maine de connaissance la notion de partie prenante tait abord e dans le deuxi me chapitre afin de sensibiliser les chefs de projets aux influences globales et multiples qui agissent sur la gestion d un projet 1 De plus et toujours dans la quatri me dition du r f ren tiel le chapitre dix Management des communications du projet identifiait deux processus dont celui de l identifica tion et la gestion des attentes des parties prenantes de fa on assurer un traitement efficace des communications au sein d un projet Cette r f rence en 2008 deux processus de management LL L il est galement membre du Barreau du Qu bec Membre AFITEP des parties prenantes marquait un pas determinant vers la reconnaissance d un domaine sp cifique de connaissance En effet dans la troisieme dition du guide 2004 on ne pr sentait qu un seul processus li au management des parties prenantes alors que dans l dition 2000 le guide ne faisait mention que de l outil Analyse des acteurs au sein du processus de Planification des communications Cette volution da
34. mes d informa tions permettant aux intervenants de la cha ne logistique d assurer le suivi en temps r el de toutes les op rations ainsi que de ma triser tant la qualit du produit que celle des organisations En plus l utilisation de la technologie ainsi que le choix de celle appropriee et compatible avec le type de l entreprise et son activite est crucial Le succes du syst me de tra abilit d pend largement du type de la technologie utilis e Ces diff rents aspects ont un impact direct et indirect sur la performance logistique d o travers ces leviers la performance se d cline en trois leviers strat giques cf Sil Nous allons nous int resser au seul levier d agilite logistique jug le plus d terminant dans un contexte con currentiel L analyse de la performance par l agilite est men e travers l analyse de l impact de la tra abilit sur les diff rentes variables d agilit logistique Un impact positif permettant d avoir une performance de la chaine logistique se traduit par Une chaine logistique sensible au march capable de lire et de r pondre la demande r elle travers le ni veau de collaboration entre les partenaires commerciaux l aide des technologies d information Une chaine agile capable de r pondre rapidement aux objectifs de livraison Une chaine logistique permettant d avoir des don n es pr cises et fiable afin de r duire les erreurs de plani ficatio
35. phase cruciale dans la d cision d appui des parties prenantes du projet Au niveau socio conomique les autorit s se basent sur cette valuation pour apporter leur soutien au projet et pour justifier ventuellement les subventions publiques accorder Cependant au Qu bec le dilemme se pose quant la per tinence et l exhaustivit de l outil adopter pour valuer les retomb es conomiques et les externalit s La question d int r t est donc de savoir si l impact cono mique d un projet doit tre valu en ne se limitant qu aux avantages ou inconv nients au niveau primaire g n r s par le projet Ou encore doit on interroger toutes les facettes du projet de fa on appr cier toute la dynamique de l investisse Afitep La Cible Tous droits r serv s pour tous pays ment court moyen et long terme et consid rer de ce fait ses effets induits et structurants Pour les projets d investissement au Qu bec deux ap proches sont propos es pour l valuation des retomb es conomiques D un c t nous avons le Mod le Intersectoriel du Qu bec MISQ promu comme l outil de r f rence pour l valuation des retomb es conomiques au Qu bec 1998 De l autre c t nous avons l Analyse Co ts Avantages ACA auquel le Canada travers la Directive du Cabinet de la R glementation de la Rationalisation 2007 a donn un caract re obligatoire pour l valuation d impacts afin d optimiser les
36. prenante e Porter de l int r t aux attentes des parties pre nantes e Avoir une communication claire e Donner syst matiquement des r ponses aux at tentes rien n est pire qu une non r ponse qui laisse pr sager du pire NB le PMBoK a r cemment introduit dans sa der ni re version un nouveau domaine de connaissances sur la gestion des parties prenantes II propose 4 processus Identifier planifier g rer puis contr ler 22 51 La Cible Dossier gt Management des parties prenantes FITEP Ei tl Association Francophone de Management de Projet publi e par d couvrir consulter recevoir rechercher utiliser s exprimer Les parties prenantes dans l ISO 21500 une reconnaissance mondiale L auteure Martine MINY info afitep org martine miny orange fr LISO 21 500 lignes directrices sur le mana gement de projet ae L ISO 21500 lignes directrices sur le management de projet a inclus tout naturellement les parties prenantes dans les points cles du manage ment des projets des programmes et des portefeuilles de projets Ce n est pas un hasard m me sans norme plus personne n imagine des projets con us puis men s sans se pr occuper des parties concern es L ISO 21500 a le m rite d en formuler la compr hension consensuelle mondiale et de fournir des rep res pour int grer les parties prenantes Martine MINY presidente de l
37. prenantes sont per ues comme essentielles au ma nagement d un projet gt Tout d abord les parties prenantes sont cit es dans la liste des l ments diff renciant chaque projet cf 3 2 et dans les sujets de la gouvernance de projet cf 3 6 Afitep La Cible Tous droits r serv s pour tous pays Organisation du projet Figure 4 Parties prenantes au projet gt Un paragraphe entier le 3 8 parties prenantes et organisation du projet leur est consacr On y trouve le rappel de quelques points essentiels comme la n cessit de Les identifier de fa on aussi pr cise et exhaustive que possible D finir et communiquer les r les de chacune d entre elles dans le projet Mettre en uvre des processus de gestion associ s La figure 4 source ISO 21500 permet de visualiser de fa on synth tique les parties prenantes les plus fr quentes d un projet 23 51 La Cible lt eer ERED pe Groupe de Pee nenns processus Groupes de sujet charte du p rolet 5 Lt Parties prenantes 3 auoweoue odnos np snsse92014 j y 91n614 La description de l ensemble des processus de manage ment de projet inclut celle des processus d identification cf 4 3 9 et de gestion des parties prenantes cf 4 3 10 L annexe A met en vidence les interactions possibles avec d autres processus voir figure A 1 source ISO 21500 A travers ce rapide survol on voit bien que s
38. recouvre Cette tude canadienne est le prolongement d une r flexion fran aise commenc e en 2007 e IFC International Finance Corporation Dialogue avec les parties prenantes mai 2007 tats Unis Ce guide pose les l ments d un dialogue avec les parties prenantes dans les projets de d veloppement et d ancrage dans les territoires Il illustre son propos de bonnes pra tiques d entreprises mondiales Suppl ment au n 4728 du 20 mai 2011 Page 24 Pour retrouver l article complet www campusresponsables com sites default files ressources la tribune parties prenantes ces amis critiques qui vous _ veulent _du bien pdf NDLR Euromed Management est devenu Kedge business School 43 51 La Cible en de Management de Projet publi e par d couvrir consulter recevoir rechercher utiliser s exprimer Directeur du d veloppement Directeur g n ral et Doyen R dactrice en chef Christophe ALLIOT Isabelle AUTISSIER Neil BARRETT Administrateur Pr sidente Vice pr sident en charge de la FLO W W F France RSE Sodexo Daniel Bernard Pascale BAUMGARTEN i BELLETANTE BESSES BOUMARD durable S ch Environnement Groupe Euromed Management La Tribune Doroth e Christian BRODHAG Ann BUCHHOLTZ BRIAUMONT Directeur de la recherche Professeur Directrice g n rale Comit 21 cole des Mines Saint Etienne Rutgers University Jean Pierre BUGADA Responsable de la communi
39. rer et faire le suivi des diff rentes at tentes exprim es Ces processus savoir identifier les parties prenantes Planifier le management des parties prenantes G rer l engagement des parties prenantes et Ma triser l engagement des parties prenantes sont imbri qu s comme l illustre le tableau 1 dans quatre des cinq groupes de processus Quels processus Le management des parties prenantes du projet reposera sur quatre processus 1 Identifier les parties prenantes De fa on plus pr cise le processus identifier les parties prenantes consistera non seulement identifier les per sonnes ou les groupes mais galement d celer leurs in fluences et les impacts potentiels sur la r ussite du projet L identification des parties prenantes reposera sur les don n es provenant de la charte de projet des documents d approvisionnement des facteurs environnementaux de l entreprise et des actifs organisationnels A l aide des diff rents mod les de classement par exemple la matrice pouvoir int r t du jugement d expert et des r unions d analyse des profils des parties pre nantes le gestionnaire de projet sera en mesure d identi fier et de pr parer le registre des parties prenantes Ce registre qui sera r guli rement mis jour devra classer les parties prenantes comme tant des partisans ou des opposants aux objectifs poursuivis par le promoteur du projet Il serait galement possible de c
40. temps de mettre de nou veaux produits sur le march le temps de fabriquer un produit existant et le temps de livrer un produit au client 3 L exactitude des donn es Exactitude des donn es DA est l un des facteurs impor tants qui influent sur la performance d une cha ne logis tique Il est d fini comme la pr cision des donn es utili s es par les diff rents partenaires commerciaux dans leur prise de d cision de planification Zhao Xie et Leung 2002 4 L utilisation des technologies d information L utilisation des technologies de l information pour parta ger des donn es entre les acheteurs et les fournisseurs est en effet la creation d une chaine logistique virtuelle Les syst mes logistiques classiques sont fond s sur un paradigme qui vise identifier les quantit s optimales d inventaire o il devrait tre situ L Electronic Data Inter change EDI et l Internet ont permis aux partenaires de la cha ne logistique d agir sur les m mes donn es par exemple les chiffres de ventes r els plut t que de s ap puyer sur l image d form e et bruyant qui merge dans une cha ne logistique tendue 5 La satisfaction des clients FITEP HUH Association Francophone de Management de Projet publi e par d couvrir consulter recevoir rechercher utiliser s exprimer La satisfaction du client est la r action du client la va leur re ue de l achat ou de l utilisation de l off
41. tous pays FITEP HUH Association Francophone de Management de Projet publi e par d couvrir consulter recevoir rechercher utiliser s exprimer optimis e selon les besoins pour encoder du texte des chiffres des caract res de ponctuation ou encore une com binaison de ses derniers Aujourd hui les codes barres sont partout et repr sentent un acteur discret de la vie courante Il permet d assurer la diversit de l offre des produits RFID Radio Frequency IDentification L identification par radiofr quence RFID permet d identi fier un objet d en suivre le cheminement et d en conna tre les caract ristiques distance gr ce une tiquette lec tronique mettant des ondes radio attach e ou incorpor e l objet La RFID repr sente une r volution dans le domaine de la tra abilit Cette technologie produira des gains de pro ductivit pour tous les acteurs d un projet RFID seulement si elle est int gr e dans la totalit de la cha ne logistique Le partage d information entre les acteurs de la cha ne doit tre rapide afin de r agir un v nement qui demande une action rupture de stock rappel de produits Il La performance logistique Dans un contexte o les entreprises cherchent am liorer leur performance industrielle en termes de co t de d lais d adaptabilit de vari t et de tra abilit la collaboration et l change des donn es et de
42. un renforcement de la fiabilit et une meilleure fluidit 2 Dans une meilleure coordination entre les parte naires et dans l am lioration des d cisions strat giques fabbe costes 1998 3 Dans l implication de l ensemble du personnel Aujourd hui le consommateur veut conna tre l origine du produit qu il consomme tracking les ingr dients qui le composent ainsi que les diff rentes tapes de sa produc tion et de sa transformation tracing Riden et Bollen 2007 Ceci implique pour les entreprises en plus d une efficacit de ces deux fonctions de tracking et tracing de d velopper de v ritables syst mes de tra abilit dans l optique de permettre une meilleure organisation du travail donc d une augmentation de la productivit gr ce l optimisation de la gestion des flux et des prestations li vr es en juste temps 11 51 La Cible En termes d optimisation de gestion des flux il est pos sible de retenir deux principales typologies associees a une d marche de tra abilit savoir la tra abilit ascen dante et descendante d une part et la tra abilit amont aval et interne d autre part Sch ma 1 Sch ma 1 Typologies des d marches tra abilit Achats Approvisionnement Tra abilit Qualit R ception Stockage Qualit Ordonnancement Pr paration Fabrication IJUDPUAISAP 911140 DA Tra abilit ascendante Conditionnement et Maint
43. 0 9h40 9h45 10h30 11h00 11h15 12h00 12h30 14h00 14h30 15h00 16h30 FITEP HI Association Francophone de Management de Projet publi e par d couvrir consulter recevoir rechercher utiliser s exprimer Programme Accueil Introduction du s minaire Pr sentation du d roulement du s minaire Vision acad mique globale et illustration dans le domaine automobile Processus et s lection de tr s grandes infrastruc tures de recherche Pause L exploration des id es et la s lection des projets au CNES l adh sion des parties prenantes des lavant projet D jeuner Probl matique du choix des projets de d veloppe ment de territoires Comment Human Brain Project a gagn la com p tition du plus grand fond scientifique europ en D bat Cl ture Afitep La Cible Tous droits r serv s pour tous pays T Duquesne Direction Strat gie et Programme CNES Comite d Organisation C Midler CRG Ecole Polytechnique P Lavocat TGIR Ph Raizonville C Fratter J Vila CNES A Eyambe Ekalle Institut Panafricain pour le D veloppement d Afrique Centrale H Brandenburg Universite d Economie de Katowice G Escher EPFL M Miny AFITEP Intervenants 49 51 La Cible ge de Management de Projet publi e par d couvrir consulter recevoir rechercher utiliser s exprimer A l occasion des derni res innovations de la version du logicie
44. 2013 FITEP HUH Association Francophone de Management de Projet publi e par d couvrir consulter recevoir rechercher utiliser s exprimer L analyse des articles a permis de faire merger trois p riodes majeures couvrant les deux derni res ann es et demie voir figure 1 et ce depuis le lancement du projet La description de la d marche relation nelle 1 re p riode les inqui tudes d cembre 2010 novembre 2011 Cette premi re p riode est caract ris e au niveau m dia tique par un certain nombre d inqui tudes soulev es par diff rentes parties prenantes telles que la municipalit Figure 1 Trois p riodes marquantes Graphique volution des venements sur Niobec rapport s par les journaux de a r gion du Saguenay Lac Samt Jean Oo A ge f O N NA d PL D c 2010 Jarw 2011 F vr 2011 Aout 2011 Sept 2011 Oct 2011 Nov 2011 D c 2011 jarw 2012 F vr 2012 P riode 3 en controle P riode 2 les justifications TY Car NU Jf LAINE REY A EM NG A Aout 2012 sept 2012 Oct 20 12 Nov 2012 D c 2012 Jarw 2013 P riode d cembre 2010 juin 2013 1 http www niobec com Afitep La Cible Tous droits r serv s pour tous pays 37 51 La Cible avoisinante au projet ou les citoyens du secteur Face a un projet industriel d une telle ampleur 1 5 milliard de dol lars des questionnements li s au processus d extraction futur aux retomb
45. AFITEP a anim de septembre 2000 juin 2012 la commis sion AFNOR Management de projet pour l laboration du corpus normatif fran ais et la d l gation fran aise l ISO pour la cr ation de l ISO 21500 parue en septembre 2012 Membre AFITEP Gouvernance de projet Comit ou conseil de pilotage du projet Partenaires Organismes de a _ LS r glementation Commanditaire commerciaux S C est la premi re norme internatio du projet N nale g n rique d di e au manage m Clients _ Employes ment de projet eile t ee gestion du Cnet deauetst Actionnaires Publi e en septembre 2012 elle est projet mer le fruit de cing ans de travall de ee Equipe de ournisseurs collaboration entre des represen d int r ts gestion de projet Prestataire tants d une vingtaine de pays Une ees financier v ritable r flexion internationale Q ra approfondie destin e a poser la Le quipe de projet wt premi re pierre d un corpus norma tif couvrant le management de pro jets de programmes et de porte feuilles de projets La place des parties prenantes dans ce texte tout r cent est particuli rement r v latrice de la mont e en puissance de cette th matique dans les projets Une simple recherche dans le document de 40 pages met en vidence que le mot cl parties prenantes re vient 58 fois Une analyse plus pouss e permet de mieux voir en quoi les parties
46. Avec une strat gie ax e sur le client les entreprises doi vent satisfaire les exigences en mati re de tra abilit Le dilemme pour les entreprises reactives est d introduire un syst me de tra abilit flexible et souple qui permet de mieux tracer leurs produits au sein d une cha ne logistique agile La performance par l agilit demeure un aspect im portant et crucial dans un environnement comp titif dont la relation tra abilit performance logistique passe princi palement par le biais de l agilit Bibliographie AFNOR 2006 Management de la qualit in ISO 9000 m thodes outils syst me documentaire va luation satisfaction client Tome 1 Agarwal A Shankar R Tiawari M K 2006 Mo deling the metrics of lean agile and leagile supply chain An ANP based approach European Journal of Operational Research 173 211 225 Aitken J Christopher M amp Towill D 2002 Un derstanding implementing and exploiting agility and lean ness International Journal of Logistics Research and Ap plications 5 1 59 74 Beamon B M amp Ware T M 1998 A process qua lity model for the analysis improvement and control of supply chain systems Logistics Information Management 11 2 105 113 Beamon B M 1999 Measuring supply chain per formance International Journal of Operations and Produc tion Management 19 3 275 292 Bollen A F Riden C P Cox N R 2007
47. La Cible FITEP El tl Association Francophone de Management de Projet publi e par d couvrir consulter recevoir rechercher utiliser s exprimer N 122 La Cible Fondateur Jean Le BISSONNAIS Directeur de la publication Martine MINY R dacteur en chef Serge CHANTREUIL Comit de r daction Herv COURTOT France Fr d ric ERPICUM Belgique Christophe LEYRIE Qu bec Mohamed SIDMOU Maroc Marc No l VANDAMME France Laurent VERGNOL Luxembourg G rard VEZIE France R gie publicitaire AFITEP Maquette AFITEP Edition AFITEP Parrain e par Universite du Quebec Mf vatr D p t l gal 3 me trimestre 2013 Cr dit photos Fotolia ISSN 2102 510X La Revue Francophone du Management de Projet 3 me trimestre 2013 Sommaire Editorial gt Management de projet Parties prenantes effet de mode ou management durable Exp rience gt Projet Congr s ICEC 2014 Appel communications rappel R flexion gt R seaux sociaux et projets R seaux sociaux mode d emploi Jacques LEBEGUE T l charger ce n 122 gt gt gt lt le dernier n paru gt Proposer un article gt gt gt lt La Cible et vous gt Magazine gt Derniers ouvrages parus Herv COURTOT Anciens n de La Cible gt gt gt lt anciens num ros gt Votre contact gt gt gt Serge CHANTREUIL R dacteur en chef Du c t de la Recherche gt Managem
48. OHESION ET ISPA Guide de l Analyse Cotts Avantage des projets d Investissement 2003 FONDS POUR LA PROMOTION DES ETUDES PREALABLES ETUDES TRANSVERSALES EVALUATION Guide m tho dologique valuation d impact Prise en compte de l im 33 51 La Cible pact et construction d indicateurs d i mpact juin 1999 CENTRE DES MEDIAS ALTERNATIFS DU QUEBEC CMAQ Sortir de la pens e unique http archives 2001 2012 cmaq net FCW MEDIA 25 01 2013 Retomb es conomiques envisa gees pour le projet de mini centrale a Val Jalbert sl NouvellesDuQuartier com w 290 JEANNE EMAND J en ai marre et vous 10 octobre 2010 http jeanneemard wordpress com JESSICA NADEAU De nouveaux outils pour valuer les retomb es du secteur minier juin 2011 http exruefrontenac com Le DEVOIR Libre de penser septembre 2010 www ledevoir com ASSOCIATION CANADIENNE DU TRANSPORT URBAIN CUTAACTU La mesure du succ s Les retomb es co nomiques des investissements dans le transport en com mun au Canada Mai 2010 www cutaactu ca GOUVERNEMENT DU QUEBEC Rapport du V rificateur g n ral du Qu bec l Assembl e nationale pour l ann e 2008 2009 Tome II CHAMBRE DE COMMERCE DU MONTREAL METROPO LITAIN Les ressources naturelles un levier porteur pour la m tropole avril 2012 COMMISSION REGIONALE SUR LES RESSOURCES NATU RELLES ET LE TERRITOIRE PUBLIC DE L OUTAOUAIS CRRNTO indicateurs
49. PMBoK version 5 Management des communications chapitre 10 Management des parties prenantes chapitre 13 1 Identifier les parties prenantes 2 G rer les communications i Planifier le oo des parties prenantes nouveau processus 3 Maitriser les communications 3 G rer l engagement des parties prenantes 1 Planifier le management des communications maintenir ou augmenter l efficacit des activit s d enga gement des parties prenantes tout au long du cycle de vie du projet Ce processus trouvera appui sur le plan de ma nagement du projet du registre des problemes majeurs des donn es de performance du travail et des documents du projet Fort de ces donn es d entr e et l aide d un syst me gestion de l information le chef de projet pourra diffuser des informations sur la performance du travail afin d valuer l efficacit globale de la strat gie de manage ment des parties prenantes Cons quemment cela se traduira par une mise jour du plan de management du projet incluant les plans subsi diaires et les documents du projet dont le registre des par ties prenantes et le registre des probl mes majeurs Quelles volutions Le management des parties prenantes du projet reposera donc sur les quatre processus que nous venons de d crire Deux de ces processus a savoir l identification et la ges tion des attentes des parties prenantes avaient d j t d crits dans le chapitre traitant du management de
50. PROJET Les 9 cl s de la r ussite re SO d but Afitep La Cible Tous droits r serv s pour tous pays 9 51 La Cible Du cote de la Recherche gt Management et performance FITEP Ei tl Association Francophone de Management de Projet publi e par d couvrir consulter recevoir rechercher utiliser s exprimer L impact de la tra abilit sur la performance logistique FE Eg 7 Jad Allah RAMI Universit Cadi Ayyad Marrakech jadallah rami gmail com L auteur Pour bon nombre d organismes la logistique constitue un levier de com sa performance est essentiel Jad Allah RAMI nous fait d couvrir les enjeux de cette logistique et les moyens de son optimisation la tra abilit en est le ma tre mot et sa mise en uvre est moins simple qu il n y parait de prime abord Jad Allah RAMI est dipl m d un master de recherche en Entrepre neuriat et strat gie des PME UCAM la FSJES Marrakech Maroc Passionn par le domaine de la recherche en sciences de gestion son m moire de fin d tudes sous la direction de Mr Moulay Larbi SIDMOU 1 au sein du laboratoire L Qualimat porte sur l analyse de la performance logistique par la tra abilit agilit Un projet soutenu avec une mention tr s honorable Introduction Dans un contexte de mondialisation des changes d acce l ration des flux d hyper concurrence et de renouvelle ment rapide des produits la logi
51. a tion l observation participante et l entretien triangulation Autant que membre de l quipe projet nous avons labor s deux guides d entretien e l un d ordre g n ral qui vise valuer la logistique de l entreprise e et le deuxi me plus sp cifique qui a pour objet d valuer le syst me de tra abilit et ses diff rents implications Ainsi pour mieux illustrer l impact d un tel syst me nous avons analys Des indicateurs de performance logistique soit huit indicateurs dont certains font partie du tableau de bord de l entreprise et reconnus l international comme indicateurs de performance logistique Des variables d agilit logistique faisant r f rences la logistique aval soit six variables appr ci es par une chelle LIKERT de 1 5 VI R sultats et discussion Nous avons obtenu deux types de r sultats e ceux de mesures des indicateurs de performance logistique e et des variables d agilite logistique Tous les r sultats sont labor s par nous m mes et con tr l s par la suite par la direction logistique et l audit in terne de la soci t Pour les indicateurs d agilit logistique au niveau aval une comparaison de la situation avant et apres la mise en place du projet de tra abilit montre l impact d un tel sys t me sur plusieurs niveaux Les diff rents indicateurs sont labor s et rassembl s dans un tableau permettant de constater l volution sur l
52. a p riode de 2010 jusqu Mars 2013 et apr s l adoption du syst me pour les deux mois d avril et mai 2013 Chaque indicateur est valu par rapport une unit propre dont 16 51 La Cible FITEP Ei tl Association Francophone de Management de Projet publi e par d couvrir consulter recevoir rechercher utiliser s exprimer N 122 La Revue Francophone du Manag certains indicateurs sont fix s par l entreprise dans le cadre d une strat gie marketing de l entreprise Time to Market et Temps de cycle Le changement au niveau des r sultats soit des indicateurs soit au niveau des variables est d aux diff rents facteurs interne et externe mais surtout au niveau de l organisation et de sa structure qui s est montr e pr te accepter la mise en place du projet de tra abilit 1 Indicateurs de performance logistique ce niveau un changement remarquable a t constat en termes de temps ou en pourcentage Taux de service client Une am lioration due princi palement au fait que le client est totalement inform de l tat de ses marchandises avec le respect de d lais de livraison Time to Market et temps de cycle fix s par l entre prise dans le cadre de sa strat gie marketing Temps de transit une diminution du temps de transport gr ce une d finition pour les chauffeurs des trajets suivre un contact direct avec ces derniers et Un contr le continu d
53. ancophonie OIF qui a soutenu la mise en place du reseau depuis ses debuts accompagne son d veloppement Le S minaire que le RAPF organise le 4 d cembre 2013 portera sur la formation professionnelle dans l espace francophone un th me pour lequel les associations membres sont toutes fortement engag es tout particuli re ment en Afrique Dans un contexte ou la concurrence augmente sur la sc ne mondiale la formation professionnelle peut constituer un facteur d accroissement de la comp titivit des entreprises privees et publiques notamment en favorisant le recrute ment d un personnel qualifi et sp cialis et en permettant aux entreprises de demeurer l aff t des nouvelles con naissances et des nouveaux savoir faire Cependant pour que ce but soit atteint les programmes de formation doivent tre adapt s aux besoins r els des en treprises En outre il importe que les formations dispen sees b n ficient d une large reconnaissance Dans cette perspective les associations professionnelles de l espace francophone peuvent jouer un r le d terminant notamment Afitep La Cible Tous droits r serv s pour tous pays avenue Bosquet 75007 PARIS en ce qui concerne l harmonisation des cursus la mobilit internationale des stagiaires et l adoption de normes inter nationales comptables financi res techniques etc Les institutions nationales et internationales par la mise en place de politiques et de
54. antes e G rer l engagement des parties prenantes e Contr ler l engagement des parties prenantes Identifier les parties prenantes Toute personne gui peut avoir ou subir un impact sur une d cision une activit ou un r sultat du projet est une par tie prenante C est en r sum la d finition utilis e dans le PMBOK videmment tous ne sont pas gaux ce chapitre alors il convient de prioriser en fonction de leur int r t et de leur influence r elle dans l organisation Personnellement je gardais l il tous ceux qui pouvaient mettre des b tons dans les roues ou carr ment mettre un terme au pro jet Cas v cu ll faut garder en t te que les parties prenantes s int res sent principalement au contenu aux co ts aux d lais et la qualit Il est important de voir comment celles ci r agi ront dans diff rentes situations diminution des livrables report des ch ances d passement des couts Planifier la gestion des parties prenantes L identification est primordiale mais ne suffit pas Il faut galement planifier la gestion des parties prenantes Cela inclut les strat gies de gestion pour litt ralement engager celles ci et susciter leur int r t tout au long du projet Il faut savoir qu une partie prenante qui a d autres pr oc cupations est un risque potentiel au projet que vous me nez car elle pourrait vouloir revenir en arri re avec les cons quences que cela implique P
55. at Urbana Champagn 1975 LAURENT DENANT BOEMONT ET SABRINA HAMMICHE Coh rence du calcul conomique et financement des grands projets d infrastructure Le cas de l autoroute ferro viaire revue conomique volume 48 n 2 1997 GAUTAM MATHUR Investment Criteria in a Platinum Age Oxford University 1967 JEAN PIERRE FOIRRY Le choix des projets d investisse ment publics limites de l analyse couts avantages et inte ret d une approche planificatrice CERDI Universite d Auvergne 2000 MORIN PHILIPPE Analyse conomique et environne mentale de la valorisation nerg tique d fluent forte charge organique dans le contexte d une municipalit Universit de Sherbrooke juillet 2009 DAOUST JEAN FRANCOIS 2009 La faisabilit sociale des projets oliens Universit du Qu bec Rimouski GILLES GAREL Pour une histoire de la gestion de pro jet 2003 WALID KHOUFI Cours de d cision financi re 3 ann e Ecole Sup rieure de Commerce Universit de SFAX 2003 2004 TANGVITOONTHAM N amp CHAIWAT P 2012 Evalua tion de la faisabilit conomique des projets d investisse ment du gouvernement tude cas sur le port interne port A laem Chabang port Chonburi province COMMUNAUTES EUROPEENNES Manuel Analyse fi nanciere et economique des projets de d veloppement Luxembourg 1997 420 pages FONDS STRUCTURELS FEDER FONDS DE C
56. au fil des num ros de La Cible son journal de bord sur ce projet v nementiel La date approche c est la collecte des communications gage de la ri chesse du congr s qui est l ordre du jour L auteur Gianluca di CASTRI 1947 est dipl m en g nie m canique de l Uni versit de Rome 1972 Il a par la suite obtenu le dipl me de sp ciali sation en administration des affaires de l Universit Bocconi Il est ga lement certifi en ma trise de projet 1992 certification accr dit e par lICEC International Cost Engineering Council Gianluca di CASTRI Directeur Europe de l ICEC Il poss de une experience consid rable en gestion globale des co ts et en gestion et ma trise de projet dans le domaine de l ing nierie et de la construction Sa carri re l a amen des postes de direction g n rale dans des entreprises de r putation internationale gianluca dicastri aice it org Il travaille actuellement comme consultant dans diverses disciplines de la gestion et ma trise de projet En outre il donne des conf rences au cours de formation en total cost management de l Universit Bocconi et l Universit Libre d tudes Sociales LUISS Roma Il est l auteur de nombreuses publications ainsi que du livre Gestion de projet pour la construction 2009 Pr sident de l AICE Associazione Italiana di Ingegneria Economica de 2005 a 2010 il est actuellement directeur de la r gion 2 E
57. aujourd hui vos pro jets d articles a lacible afitep org consulter FITEP Ei tl Association Francophone de Management de Projet publi e par d couvrir consulter recevoir rechercher utiliser s exprimer Th mes retenus pour les diff rents num ros de La Cible La Cible 123 La gestion des portefeuilles de projets 4 me trimestre 2013 La Cible 124 Les m thodes de management de projet 1er trimestre 2014 La Cible 125 Management de projet des collectivit s territoriales 2 me trimestre 2014 L quipe de r daction de La Cible remercie par avance les auteur e s pour leurs contributions et le respect des re commandations de r daction pour leurs articles ces re commandations sont t l chargeables partir du site AFI TEP lt http www afitep org gt rubrique La Cible Pour consulter les n de La Cible tout adh rent a acc s aux anciens n ainsi qu certains articles en acc dant au site lt http www afitep org gt rubrique anciens num ros recevoir La Cible est t l chargeable depuis le site de l AFITEP lt http www afitep org gt rubrique La Cible utiliser Toute repr sentation reproduction ou adaptation par quelque proc d que ce soit est soumise l autorisation crite pr alable de l AFITEP et des auteurs concern s Pour toutes demandes ou informations contacter lacible afitep org Afitep La Cible Tou
58. aux Dans un premier temps la tra abilit par le biais du tracing and tracking des produits et ce tout au long de la chaine logistique permet comme nous l avons montr dans le premier chapitre de renvoyer des informations Sch ma 2 Mod le repr sentatif de la relation tra abilit agilit performance logistique Afitep La Cible Tous droits r serv s pour tous pays 15 51 La Cible pr cises avec une rapidit dans la transmission et un maxi mum de fiabilit possible des donn es La mise en place d un syst me de tra abilit efficace et performant mais surtout flexible et souple doit satisfaire certaines conditions par rapport a deux volets 1 Volet strat gique l entreprise doit obligatoirement aligner ses objectifs stra t giques avec les objectifs poursuivis par le syst me de tra abilit afin de cr er le plus de coh rence et d homoge n it Aussi les acteurs concern s par le syst me de tra a bilit ne se limitent pas seulement au niveau op rationnel tout le monde est concern par le syst me D un autre c t dans une optique d agilite l adoption d un syst me de tra abilit passe n cessairement par une r a daptation progressive au syst me La tra abilit se d veloppe et l organisation doit suivre cette progression 2 Volet technique La mise en place de la tra abilit n cessite l utilisation en plus d un syst me d identification des syst
59. avantages nets pour l ensemble de la soci t Au niveau des analystes de la gestion de projet le di lemme quant l outil ad quat appliquer reste imminent d autant plus que les d bats sur les retomb es cono miques pr occupent davantage les Qu b coises et les Qu b cois depuis les dix derni res ann es Cet article soul ve une discussion scientifique sur les deux outils d valuation d impacts conomiques le MISQ et ACA Le but principal de cette discussion tant d clairer les diff rentes positions qui d coulent de la question des retomb es conomiques de l utilisation de l un ou l autre des deux instruments pour l valuation et la mesure d im pact des projets la pertinence et la performance Il Probl matique Aujourd hui au Qu bec tous les niveaux politiques groupes sociaux m dias etc des d bats sur les retom 30 51 La Cible FITEP Ei tl Association Francophone de Management de Projet publi e par d couvrir consulter recevoir rechercher utiliser s exprimer N 122 La Revue Francophone du Management de Projet b es conomiques des projets aussi bien tangibles qu intangibles lancinent Les pol miques sur le sujet sont engag es tous les niveaux et passionnent davantage Les parties soul vent diff rentes pr occupations sur la question de retomb es conomiques Les agents mettent des points de vue divergents selon l angle sous lequel ils
60. ca tion France et Monaco Fran ois DAVY Directeur r gional Adecco Groupe France Anthony F BUONO Professeur de management et de sociologie et Directeur ex cutif Bentley Alliance for Ethics and Social Responsibility Thierry DEDIEU Secr taire conf d ral CFDT Jean Christophe CARTERON Directeur du d partement de la Responsabilit sociale de l entre prise Groupe Euromed Management Fran ois FATOUX Directeur ORSE Lisle FERREIRA Manager PRME Secr tariat United Nations Global Compact Robert FREDERICK Professeur amp Chaire D parte ment de Philosophie Bentley University Claude FUSSLER Conseiller sp cial United Nations Global Compact Michael HOFFMAN Anne Catherine Benjamin KABOUCHE Professeur HUSSON TRAORE Directeur Bentley University Directeur x LPO Novethic J 11 Rick LACAILLE Elisabeth LAVILLE Philippe LEVEQUE Vice pr sident ex cutif Directeur DG State Street Global Advisor Utopies Care France Mitch LEVENTAL Myriam Andrew MILLINGTON Vice pr sident des Affaires Inter MASETRONI Directeur Centre for Business nationales State University of New DG Organizations amp Society Uni York amp Conseiller Senior ae United Nations Global Compact PuMagaz vere OL pal Nicolas Thierry Jacob MOUNARD MARNEFFE PARK DG Co fondateur des Enjeux et des Professeur Altereco Hommes Green Mountain College Sybille Rajendra SISODIA Zannie VOSS SACHS Profess
61. cher utiliser s exprimer 8h45 Caf d accueil 9h Mot de bienvenue de Cl ment Duhaime Administrateur de l OIF Introduction par Lionel Zinsou Pr sident de PAI Partner a confirmer 9h30 Table ronde N 1 Les attentes et besoins des entreprises en mati re de formation quelle valeur ajout e des associations professionnelles anim e par Ivan Kabacoff TV5 Monde avec Marianne Cond Salazar repr sentante de la Conf rence Permanente des Chambres Consulaires Afri caines et Francophones CPCCAF France Henri S verin Assemb Pr sident de l Association Professionnelle pour l Education et la Communication sur la Normalisation COMNOR Cameroun Alphonse Naby Pr sident de l Association burkinab e des technologistes biom dicaux ABTEB Burkina Faso 10h30 Table rondeN 2 Les initiatives des institutions francophones en mati re de formation professionnelle quelles perspectives quels d fis anim e par lvanKabacoff TV5 Monde avec Benedikt Hauser Chef Strat gie de l ducation et coop ration en ducation Secr tariat d tat la For mation la Recherche et l Innovation Suisse Barbara Murtin Sp cialiste de programme formation professionnelle et technique Direction de l duca tion et de la jeunesse OIF Saliou Diouf Directeur de l Enseignement technique Minist re de la Formation professionnelle de l Ap prentissage et de l Artisanat S n gal 11h30 Table ronde N 3 Les bonnes pratique
62. ciences de la gestion Universit du Qu bec Rimouski Pierre CADIEUX nous retrace ici l itin raire du sujet parties pre nantes qui s est toff au fil des versions ant rieures du r f rentiel PMI jusqu aboutir a la cr ation d un domaine de connaissances d di Une fa on ind niable de reconna tre l importance grandissante et du rable de cette th matique en management de projet aay Universit du Qu bec My vara Un nouveau domaine de connaissance Avec la parution de la cinquieme dition 2013 du Guide du corpus des connaissances en management de projet du Project Management Institute un nouveau domaine de Ttulaire d un doctorat en sciences de la gestion Universit Aix Marseille III Pierre Cadieux est professeur en management de projet l Universit du Qu bec a Rimouski Intervenant au programme de la maitrise en gestion de projet depuis 1984 il est l auteur de plusieurs textes et articles sur des sujets qui s tendent du manage ment de projet au management des contrats et au management des approvision nements du projet Il intervient r guli rement comme consultant aupr s d entre prises pour la conception et la mise en ceuvre de leur methodologie en manage ment de projet Membre du conseil d administration du PMI L vis Qu bec du Centre communau taire juridique Bas Saint Laurent Gasp sie et de l Universit du Qu bec a Ri mouski le professeur CADIEUX a t directeur de
63. commandes parfaites Plus vite en r duisant les d lais et en liminant les acti vit s inutiles qui entravent la circulation des flux Moins cher en r duisant les stocks les co ts d exploita tion et les co ts de structure qui alourdissent la chaine logistique Plus proche en fid lisant les clients a travers l offre de services a valeur ajout e tels que la personnalisation des produits la r activit la demande la tra abilit des flux le suivi de commande via internet etc La devise de Christopher apparait certes id ale mais reste toutefois difficile atteindre Tableau 1 Les facteurs de la performance logistique Facteurs de performance logistique Neely et al la qualit le temps la flexibilit et le 1995 cout sont des outils de mesures de la performance Harland 1996 la satisfaction du client Narasimhan la r activit du client et la performance et Jayaram de la fabrication dans la mesure de la 1998 SCP Auteurs Li et al 2006 le choix strat gique du fournisseur la fondation d une relation a long terme avec le client le partage d information et la qualit de l information Zhou et Ben le partage de l information et le dyna ton 2007 misme de la chaine logistique agilit et vitesse de changement dans les produits et des processus influent fortement la performance logistique de la chaine Sanders l usage des technologies du e business 2008 la collabora
64. d des objectifs du projet prise en compte n go ciation affrontement indiff rence plan de manage ment des parties prenantes e Mise en uvre de cette strat gie notamment en privil giant l axe de la communication sans n gliger le retour d information plan de communication de projet Il existe plusieurs outils pour analyser les parties pre nantes La matrice pouvoir inter t Sch ma 2 en est un qui permet de s attacher en priorit aux attentes fortes des parties prenantes ayant un fort pouvoir d influence Les cles du succes d un bon management des parties prenantes Toute cette d marche prend du temps car les parties pre nantes sont nombreuses et ont toutes une culture particu li re auquel il faut s adapter la communication aupr s des associations de riverains doit bien s r tre diff rente de celle adopt e pour les autorit s administratives par Sch ma 2 classement des attentes des parties prenantes exemple en fonction de leur importance et de l influence des parties qui les portent Importance des Parties Prenantes Importance des attentes Afitep La Cible Tous droits r serv s pour tous pays A retenir qu il est indispensable de e S y prendre suffisamment t t e Prendre le temps n cessaire pour la d marche e Etre honn te et ouvert rien de pire que de donner impression d tre un manipulateur de l information de tenir des discours diff rents sur le fond selon la partie
65. des retomb es conomiques des diff rents secteurs d activit s li es aux ressources natu relles de l Outaouais Rapport final Janvier 2013 INVESTISSEMENT QUEBEC M thodologie de l valua tion des retomb es conomiques octobre 1998 INVESTISSEMENT QUEBEC M thodologie de valua tion des retomb es conomiques du fonds pour l accroisse ment de l invest priv et la relance de l emploi FAIRE Direction de l valuation de la performance novembre 2003 Afitep La Cible Tous droits r serv s pour tous pays FITEP HUH Association Francophone de Management de Projet publi e par d couvrir consulter recevoir rechercher utiliser s exprimer SECOR KPMG tude sur la gestion actuelle du Plan qu b cois des infrastructures et sur le processus de planifica tion des projets novembre 2012 SECOR Evaluation des retomb es conomiques du plan Nord f vrier 2012 SECOR valuation des retomb es conomiques du d veloppement des shales de l Utica mai 2010 SECOR Evaluation des retomb es conomiques du pro jet minier aurif re Canadian Malartic avril 2008 MINISTERE DES RESSOURCES NATURELLES ET DE LA FAUNE DU QUEBEC Profil des retomb es economiques des activit s et des investissements du secteur minier au Qu bec mai 2011 GOUVERNEMENT DU CANADA Rapport valuation des risques de deversements d hydrocarbures sur la c te sud de Terre
66. e Suppl ment au n 4728 du 20 mai 2011 Page 24 Afitep La Cible Tous droits r serv s pour tous pays l ch ance fix e pour une division par FITEP Ei tl Association Francophone de Management de Projet publi e par d couvrir consulter recevoir rechercher utiliser s exprimer Pour en savoir plus e UTOPIES et AccountAbility Critical Friends mars 2007 France Royaume Uni Ce guide franco britannique donne un clairage sur les pratiques de dialogue avec les parties prenantes en faisant un focus sur les panels ces lieux d changes r guliers ou un chantillon repr sentatif de parties prenantes d une entreprise donn e change avec les dirigeants sur ses attentes e ORSE Engagement avec les parties prenantes versions espagnole et anglaise 2010 version fran aise France Union europ enne Ce guide europ en a pour objectif de donner des cl s de mise en oeuvre de dialogue et d engagement avec 6 parties prenantes ONG fournis seurs actionnaires salari s communaut s locales autori t s publiques avec un focus outils en amont sur la carto graphie et les panels e DELOITTE Ouvrir la porte a vos parties prenantes la cl du d veloppement durable Une approche strat gique du dialogue entre entreprises et parties prenantes 2008 Canada Cette tude d crit les diff rents niveaux et cat gories d engagement avec les parties prenantes et le sens strat gique que cela
67. e les r sultats indiquent que l int gration d un syst me de tra abilit l aide d une technologie permet une entreprise d exploiter la flexibili t de la cha ne logistique qui entra ne son tour l agilit de la cha ne logistique et la performance et par cons quence une comp titivit importante de l entreprise En effet la r ussite d un tel projet au niveau op rationnel et au niveau de l am lioration de l agilit logistique n est pas due au seul aspect de la mise en place de la tra abili t et la technologie adopt e d autres aspects structurels et fonctionnels mais surtout humains sont consid rer En plus des ressources financi res la pr sence d une quipe de projet multifonctionnelle et comp tente qui a r ussi gr ce la pr paration et la pr sentation de l tat d avan cement d une fa on continue afin de prendre les avis et 17 51 La Cible les conseils de toutes les parties concernees Mais sur tout c est un projet labor pour satisfaire les besoins qui sont les objectifs du projet Conclusion La d marche tra abilit appara t tel un v ritable moteur de croissance logistique Elle est ainsi un outil de ma trise et de contr le de l incertitude dans le processus logistique Elle impose le respect des normes et des conditions pour sa mise en place dont les r sultats au niveau aval sont satisfaisant et garantissent une flexibilit de la cha ne lo gistique
68. e exp rimentation dans le monde 2 0 Xavier Trottin Campana amp Schott Collaboration sociale et management de projet 16 00 17 00 Table Ronde Enjeux de la Business Intelligence dans les projets Martine Miny pr sidente de l Afitep St phane Derouin PDG de PMGS Lenny Descamps Responsable France de APMG Christelle Fouquiau PMI France Intervenant Microsoft France Business Intelligence Pour vous inscrire Journ e MICROSOFT 12 d cembre 2013 La journ e aura lieu Le Campus MICROSOFT Centre de Conf rences 41 quai du Pr sident Roosevelt 92130 Issy Les Moulineaux le de France Afitep La Cible Tous droits r serv s pour tous pays 50 51 La Cible decouvrir Publi e de mani re continue depuis sa cr ation en 1982 La Cible est la seule revue francophone en management de projet Vecteur privil gi de communication entre tous les acteurs de projet La Cible est dit e par l AFITEP Association Francophone de Management de Projet et comprend 4 nu m ros par an Le comit de r daction de La Cible accueille bien volon tiers et largement les articles de toutes celles et de tous ceux qui souhaitent t moigner de leurs exp riences ou faire part de leurs r flexions sous leur pleine et enti re responsabilit Nous esp rons que les th mes propos s ci contre sauront vous inspirer et d clencher votre envie de faire partager vos exp riences Alors n h sitez pas envoyez d s
69. e l offre d autres activit s l augmentation des recettes publiques qui provoque celle de l offre de biens publics et surtout des infrastructures e La valorisation du secteur dans lequel est r alis le projet l accroissement de la performance conomique globale du secteur e Du co t d opportunit ou prix de r f rence des inputs par exemple la perte subie par la soci t lorsque la main d ouvre est d plac e des autres secteurs d activi t s vers le projet ou encore la valeur de la productivi t marginale de l input en l absence du projet e Les d g ts caus s ou les r parations apport es par le projet sur les ressources cologiques et le bien tre social e L am lioration des indicateurs sociaux du projet distri bution du revenu d veloppement quilibr dans l es pace g ographique national ou provincial touchant tous les secteurs d activit Certes la quantification de ces effets est difficile et tr s souvent controverse mais ils devraient tre consid r s dans l valuation de l impact net du projet Autrement dit tant donn que le projet fait partie d un programme lui m me tant une partie d un plan sectoriel composante d un plan national ou provincial l tude d im pacts en plus de la notion d efficience doit prendre en compte celle de l quit Sur cette base VACA s impose comme l outil privil gi de mesure de l impact net d une d cision conomique Elle
70. e par d couvrir consulter recevoir rechercher utiliser s exprimer Parties prenantes effet de mode ou management durable Depuis quelque temps l expression parties prenantes est celle qui revient quasi comme un automatisme verbal dans les conversations autour du management de projet Ce ph nom ne s observe r guli rement lorsque pour une raison ou pour une autre un sujet semble au c ur des pr occupations du moment Nous pouvons prendre comme exemples dans le d sordre la qualit l innovation la gouvernance l agilite la valeur acquise les mod les de maturit etc Dans tous les cas les sujets qui mergent ainsi ont du sens au del des discours et des bruits de fond Ils cor respondent des questions sous jacentes depuis un cer tain temps qui par un concours de circonstances un acci dent de conjoncture ou tout autre l ment de nature con textuelle trouvent un cho pas toujours attendu Celui ci peut rev tir un caract re ph m re telle l cume des vagues ou tre le d but d une appropriation collective qui conduira enrichir le corpus m thodologique et les pratiques op rationnelles en management de projet parce qu il permet de r soudre des probl mes rencontr s sur le terrain et jusque l insuffisamment r solus C est pourquoi le comit de r daction a d cid de consa crer le dossier de ce num ro 122 aux parties prenantes dans les projets Nous esp
71. e peut plus travailler Les entreprises cherchent alors am liorer leur chaine logistique par le biais de la tra abilit qui est devenue un outil garantis sant une qualit lev e et une performance logistique du rable Probl matique La performance logistique est la fois le r sultat de pra tiques logistiques et de partage de l information des don n es fiables et pr cises changer avec rapidit afin de permettre la prise de d cision en temps r el Con ue comme un syst me permettant la fiabilit la transparence et la visibilit des op rations la tra abilit est la seule permettre d liminer l incertitude et d instaurer des prin cipes de s curit et de partage de donn es travers l en semble de la chaine logistique La relation entre le diptyque tra abilit agilit et la perfor mance logistique est per ue sous diff rents angles Alors Quelle est la place de l agilit dans la relation tra abilit performance logistique Partie th orique l La tra abilit D finitions int r ts et en jeux Au sens tymologique la tra abilit est li e au mot trace qui signifie une marque laiss e par un v ne ment Tracer peut aussi signifier indiquer la voie suivre ou encore marquer les contours Le mot tra abilit au sens de la possibilit d identifier l origine et de reconstituer le parcours d un produit depuis sa pro duction
72. e tra abi lit s est montr performant ce niveau constat par la diminution des fiches de non conformit des produits ce qui permet l entreprise d agir d une fa on curative pour rectifier le plus rapidement possible la conformit du pro duit afin de mieux g rer les cons quences provoqu es et surtout pour ne pas perturber l image de l entreprise 3 Principales conclusions A travers les r sultats obtenus diff rentes conclusions peuvent tre tir es sur la mise en place d un syst me de tra abilit au sein de l entreprise et sur ses facteurs de r ussite La tra abilit impacte le fonctionnement de l entreprise Elle contribue concr tement son pilotage et participe l offre de service ou au respect des conditions commer ciales Surtout une tra abilit d ficiente o un d faut ou une imperfection de tra abilit peut avoir des cons quences d vastatrices et peut menacer les comptes de l entreprise cause des co ts supporter voire sa sur vie Pour cela le dossier tra abilit doit tre trait au plus haut niveau C est un projet d envergure qui concerne l ensemble de l entreprise C est un projet qui doit tre align avec la strat gie et doit tre labor avec pr cision et avec prudence La tra abilit suscite un engagement manifeste de la direction g n rale D un autre c t l agilit de l entreprise d pend fortement de l agilit de sa cha ne logistiqu
73. ement plus de 510 personnes et sa production cor respond actuellement environ 9 du volume mondial de niobium Niobec inc est une entreprise d ment constitu e aux termes de sa charte et de la Loi canadienne sur les soci t s par actions Cr e la fin de l t 2011 son action naire unique est la soci t IAMGOLD Cette derni re est une compagnie mini re canadienne dont le si ge social se situe Toronto en Ontario Le 24 f vrier dernier IAMGOLD a annonc les r sultats de etude de pr faisabilit ainsi que le choix du sc nario d exploitation concernant le projet d expansion de la mine Niobec s etalant sur plusieurs ann es Cinq piliers sp cifiques ont t consid r s dans la s lec tion de la m thode d exploitation videmment l aspect 36 51 La Cible conomique mais aussi les aspects technique environne mental social et sant s curit A la lumi re de cette ana lyse c est la m thode d exploitation par bloc foudroy qui s est r v l e la plus int ressante pour la compagnie Demarche methodologique Dans le but de d crire la strategie relationnelle d ploy e par Niobec l approche privil gi e a ete la recherche docu mentaire orient e vers deux types de sources des articles de journaux 160 au total et tous les documents dispo nibles sur le site de l organisation sous tude 1 tal s sur une p riode d environ deux ann es et demie d cembre 2010 juin
74. enance Stock Produits Finis Exp dition sm 5 amp pas Les moyens de parvenir un syst me de tra abilit effi cace et coh rent entre les diff rents acteurs passent par une codification norm e des produits et l utilisation de moyens d identification Cette gestion des actions requiert un travail d autant plus colossal que le volume traiter est grand l informatique et les TIC prennent une place pr pon d rante dans le cycle de gestion de l entreprise pour assu rer la tra abilit n cessaire et vitale Le marquage des produits facilite leur identification et contribue la fiabilit et au syst matisme de la tra abilit en tracing ou en tracking De nombreux syst mes permettent l identification physique des produits Etiquette manuscrite Le principe est d utiliser des tiquettes d identification chaque transformation des produits L information est crite manuellement sur les tiquettes et en cas de pro bl me on consulte ces fiches L enregistrement manuel est un syst me tr s souple dont on peut modifier rapidement les informations il est pratiqu pour les processus de fa brication simple avec peu de transformation Etiquette code barre Un code barres souvent appel code barres repr sente la codification graphique d une information Variant selon les algorithmes de codage cette codification est Afitep La Cible Tous droits r serv s pour
75. ent et performance L impact de la tra abilit sur la performance logistique Jad Al faeibie afitep or lah RAMI AFITEP gt gt gt Association Francophone Dossier de Management de Projet gt Le management des parties prenantes 18 rue des Terres au Cur e Les parties prenantes d un projet QUESACO Marc No l 75013 PARIS France VANDAMME Courriel info afitep org e Les parties prenantes dans l ISO 21500 une reconnaissance T l 33 0 1 55 80 70 60 mondiale Martine MINY Fax 33 0 9 70 06 91 89 e Le succes d un projet passe par la gestion efficace des parties prenantes Matthieu LAFERRIERE e PMBoK dition 5 parties prenantes un nouveau domaine de connaissance Pierre CADIEUX e valuation des retomb es conomi et prise en compte des externalit s Thierno DIALLO Christophe LEYRIE Thierry OSSORO e Strat gie relationnelle le cas de la mine de NIOBEC Thierno DIALLO Christophe LEYRIE Julien BOUSQUET amp Lamine KOURAOGO e Les parties prenantes un enjeu de soci t Sites AFITEP gt gt www afitep org Association Loi de 1901 SIRET 380 222 109 0000049 ues des projets au Qu bec le MISQ versus l ACA Julien BOUSQUET amp la Tribune AFITEP Afitep La Cible Tous droits r serv s pour tous pays 1 51 La Cible Editorial gt Management de projet FITEP HUH Association Francophone de Management de Projet publi
76. es maitriser les informations tout au long de leur chaine Une am lioration qui permettrait d avoir toutes les donn es n cessaires pour r pondre aux impr vus Ce sont des entreprises agiles qui ont la capa cit de pr voir et de r pondre en temps r el aux diff rentes fluctuations et changements de la demande et de l environnement Que ce soit en amont ou en aval de la chaine tout le pro cessus doit tre contr l et ma tris La parfaite ma trise du processus Supply Chain SC est devenue un enjeu strat gique pour les entreprises Tous les moyens de con tr le sont optimiser pour garder et d velopper la con fiance du consommateur dont la tra abilit s impose comme outil d optimisation et de fid lisation Dans une 1 Professeur encadrant M SIDMOU UFR Strat gie PME Comit de recherche L QUALIMAT Afitep La Cible Tous droits r serv s pour tous pays 10 51 La Cible situation d am lioration et de performance exig e par les clients la tra abilit rel ve d un syst me de management de qualit efficace La norme ISO 8402 la d finit comme l aptitude retrouver l historique l utilisation ou la loca lisation d une entit au moyen d identifications enregis trees Elle est devenue une exigence et une obligation l gale pour les entreprises Aujourd hui un int r t accru est port l gard de la chaine logistique L entreprise qui ne trace pas ses pro duits correctement n
77. es camions Temps d attente Comme temps de chargement d chargement une diminution de temps li une vitesse de contr le des marchandises sur camions via lecteurs code a barres douchettes ainsi que la pr sence de information par le mat riel informatique qui ne suscite pas un deuxi me contr le en cas de faute ou de rupture Dock to stock et customer order pick to ship cycle time gr ce au nouveau syst me une tra abilit permet identification de l emplacement des produits au sein du magasin ainsi qu la disponibilit des quantit s comman dees surtout quand la commande concerne plusieurs B U Business Unit Taux de lecture des codes a barres Un taux d er reur lev au depart est acceptable vu que c est un nou veau syst me et sa mise en place n cessite une certaine familiarisation et une exp rience 2 Les variables d agilit logistique Les diff rentes variables ont connu une variation plus ou moins importante Certaines variables ont volu d autres n ont pas change sensibilit du march La capacit de r ponse aux demandes n a pas avanc bien que le nouveau syst me ait t encourage par les clients Chose qui s explique par le fait que l valuation doit s tendre sur une dur e plus longue que celle de notre recherche La vitesse de livraison Une evaluation d excellence pour la vitesse de livraison de la chaine logistique qui arrive a livrer des commandes dans l
78. es canaux pr f r s des gens cibl s Si vous n gligez cette tache vous pourriez avoir certains anxieux sur le dos r clamant r guli rement des mises jour personnali s es De quoi perdre un temps fou sans r elle valeur ajou t e Finalement notez que ces 2 processus g n rent galement des requ tes de changement au projet ou au produit Ne pas en tenir compte pourrait avoir des effets d vastateurs sur le projet mais galement sur votre r putation de ges tionnaire de projet En r sum L identification la planification la gestion et le contr le de l engagement des parties prenantes sont 4 processus im portants car ils permettent d augmenter les probabilit s de succ s du projet en cours de route Je suis bien content personnellement que PMI ait apport des modifications au PMBoK pour illustrer cette importance Et vous Croyez vous que le succ s d un projet passe par la gestion efficace des parties prenantes Comment vous y prenez vous 26 51 La Cible Dossier gt Management des parties prenantes FITEP Ei tl Association Francophone de Management de Projet publi e par d couvrir consulter recevoir rechercher utiliser s exprimer PMBoK dition 5 parties prenantes un nouveau domaine de connaissance dans la version 5 L auteur Pierre CADIEUX ierre cadieux uqar ca M Pierre CADIEUX Dr Sc Professeur en gestion de projet D partement des s
79. es d lais les plus courts que les concurrents Grace a une vitesse de stock age destockage et la d finition des trajets a suivre par les chauffeurs qui ont et assez satisfait du nouveau syst me ceci a permis de constituer un succes pour l entreprise L exactitude des donnees Une valuation remar quable apres la mise en place du nouveau systeme de tra Afitep La Cible Tous droits r serv s pour tous pays ement de Projet 3 me trimestre 2013 abilit La disponibilit mais surtout la fiabilit des don n es est une opportunit pour l entreprise de telle ma ni re am liorer la circulation de l information tout au long de la chaine logistique afin d avoir des pr visions r elles de l tat de la demande L utilisation des technologies d information Les technologies d information constituent un vrai avantage concurrentiel pour l entreprise la variable n a pas volu Aussi la variable temps peut expliquer ce constat La satisfaction des clients une augmentation du taux de satisfaction des clients est un aspect important pour l entreprise Une diminution des r clamations client des retours ainsi que la satisfaction en termes de d lais et de qualit de livraison Des changements constat s sur le terrain mais qui ne sont pas assez significatifs pour aug menter l valuation de la variable pour la chaine logistique de l entreprise L am lioration de la qualit Le syst me d
80. es entreprises qui font rimer transparence et per formance Elisabeth LAVILLE Fondatrice amp di rectrice de Utopies souligne que l entreprise de demain sera inclusive ou ne sera pas Dans un monde d une complexit croissante les entre prises leaders de demain seront celles qui pour renforcer leur resilience aux crises et anticiper les volutions de la soci t auront su mettre en place des strat gies inno vantes pour discuter collaborer voire m me d cider avec leurs publics L ancien paradigme de la communication institutionnelle focalis sur la m diatisation des bonnes nouvelles a V CU Suppl ment au n 4728 du 20 mai 2011 Page 18 Afitep La Cible Tous droits r serv s pour tous pays L entreprise Un orga nisme vivant Jean Christophe CARTERON Direc teur de la RSE a Euromed Manage ment s interroge L analyse conventionnelle d crit l entreprise comme une somme de comp tences une juxtaposition de moyens ou un assemblage de d par tements L approche syst mique quand elle l associe a un organisme vivant o tout est li interconnect et inter d pendant Ainsi vue sous cet angle une entreprise cher chant conserver une bonne performance ne doit laisser en souffrance aucune de ses composantes serait donc plus la somme des maximums de chacune des entit s mais la recherche de l optimum du tout Suppl ment au n 4728 du 20 mai 2011
81. es et les qualit s de l indicateur commander le choix des crit res d valua tions des projets d investissement au Mexique Mais tout comme Mathur 1967 il souligne les limites du ratio en ce qui concerne l valuation des effets indirects Laurent Denant Boemont et Sabrina Hammiche 1997 mon trent que l Analyse Co ts Avantages est un outil pertinent ll permet de simuler les impacts des projets d infrastruc ture et d en identifier clairement les enjeux afin d ancrer plus efficacement le processus de n gociation entre ac teurs de la d cision publique affirment ils Pour Denant Boemont et Hammiche 1997 il faut corriger l incoh rence de l valuation des projets d investissement publics car elle biaise les termes de la hi rarchisation des priorit s en mati re d investissement IV CONSTATS Le MISQ est historiquement l outil de r f rence utilis pour evaluation des retomb es conomiques au Qu bec C est un instrument d analyse d velopp par l Institut de la Statistique du Qu bec L outil value l impact sur la main d uvre la valeur ajout e les importations et estime la part du gouvernement g n r e par le projet sous forme d imp ts et de taxes et les parafiscalit s pay es par les travailleurs salari s utilis s ISQ 2011 Le mod le est bas sur le syst me de la comptabilit co nomique du Qu bec Pour un investissement donn il per met de mesurer l effet acc l rateur de l
82. et souples ressources humaines ges tion instruite information pour r pondre aux besoins en constante volution de la place du march de vitesse flexibilit clients concurrents fournisseurs infrastruc ture de r activit Une caract ristique cl d une organisation agile est la flexibilit En effet les origines de l agilit comme un con cept d entreprise r sident dans les syst mes de fabrication flexibles FMS Flexible Fabrication System L Agilit ne doit pas tre confondue avec Leaness Lean est de faire plus avec moins Le terme est souvent utilit en relation avec le lean manufacturing pour impliquer un z ro stock de l approche juste a temps Paradoxalement de nom breuses entreprises qui ont adopt le lean manufacturing comme une pratique commerciale sont loin d tre agile dans leur chaine d approvisionnement Tableau 2 D finition de l agilit logistique Kidd 1994 fabrication agile peut tre con sid r e comme l int gration de l organisation de personnel haute ment qualifi et comp tent et des technologies avanc es pour at teindre la coop ration et l innova tion en r ponse la n cessit de fournir nos clients la qualit des produits Goldman Nagel Preiss 1995 Signifie la valeur d livr e aux clients d tre pr t pour le change ment valoriser les savoirs et les comp tences humaines et la for mation d un partenariat virtuel Aitken Christopher
83. eur r Professeur Professeur Bentley University Southern Methodist University amp University of Zurich Euromed Management Patrick Monika Stephen WILDLOECHER WINN YOUNG Conseiller du president Professeur Directeur ex cutif Monde La Poste University of Victoria Caux Round Table Suppl ment au n 4728 du 20 mai 2011 Page 24 Afitep La Cible Tous droits r serv s pour tous pays 44 51 La Cible C BAET R seau des associations professionnelles a FITEP HUH Association Francophone de Management de Projet publi e par d couvrir consulter recevoir rechercher utiliser s exprimer ORGANISATION INTERNATIONALE DE la francophonie L Organisation internationale de la Francophonie OIF et le Reseau des associations professionnelles francophones RAPF ont organis un S minaire Former en fran ais un atout pour la comp titivit mondiale le mercredi 4 d cembre de 09h00 13h00 au si ge de l OIF 19 21 Depuis sa cr ation en 2011 le R seau des associations professionnelles francophones RAPF permet aux douze associations membres signataires de la Charte des asso ciations professionnelles francophones de partager leurs exp riences et de d finir ensemble des strat gies de promotion de la langue fran aise dans ses usages profes sionnels en plus de mettre en vidence leur valeur ajout e pour la Francophonie conomique L Organisation Internationale de la Fr
84. f every supply chain Therefore the purpose of this research is to analyze as pects of traceability and requirements for its implementa tion for any business and its impact on logistics perfor mance through agility as a main performance driver Keywords Traceability logistic information system agility logistics performance barcode 19 51 FITEP HUH Association Francophone La Cible de Management de Projet publi e par d couvrir consulter recevoir rechercher utiliser s exprimer Dossier Spt gt Management des parties prenantes Les parties prenantes d un projet QUESACO Les parties prenantes d un projet Cette expression nous sugg re d embl e qu il s agit bien la d un groupe de personnes qui joue un r le im portant dans un projet Quelque chose nous dit qu il faut en savoir plus Marc No l nous fait comprendre de mani re simple qui elles sont pour quoi et comment elles constituent ou non un l ment cl de la r ussite des projets L auteur Marc No l VANDAMME Ing nieur civil des Mines de Paris il a fait toute sa carri re professionnelle dans l industrie chimique et p troli re ou il a occup plusieurs postes Il a no tamment t responsable au sein de la Direction Technique de l estimation et du contr le des co ts et des d lais pour l ensemble des projets d investisse ments industriels d un grand groupe Il a toujours port un grand
85. i la norme ISO 21500 n a pas vocation a traiter le sujet des parties prenantes de fa on approfondie elle l a int gr comme un facteur essentiel de la r ussite des projets et donc un l ment essentiel de leur management Indubitablement la capacit manager les parties pre nantes est devenue une comp tence incontournable pour Afitep La Cible Tous droits r serv s pour tous pays FITEP HUH Association Francophone de Management de Projet publi e par d couvrir consulter recevoir rechercher utiliser s exprimer 39 Identifier les parties tout chef de projet quelles que soient la nature et la taille des projets qu il a et aura mener Pour en savoir plus La norme ISO 21500 est publi e en anglais et en fran ais pour l acqu rir voir les sites afnor org et iso org La norme ISO 21500 est galement consultable la biblio th que de l AFITEP pour prendre rendez vous 33 1 55 80 70 60 ou info afitep org 24 51 La Cible FE 1il de Management de Projet publi e par d couvrir consulter recevoir rechercher utiliser s exprimer Dossier Spt gt Management des parties prenantes Le succes d un projet passe par la gestion efficace des parties prenantes Les parties prenantes sont sous les feux de la rampe La version 5 du PMBoK qui vient de para tre s en est fait l cho Suivez Mathieu LAFER RIERE la d couverte de sa perception tr s
86. impacts conomiques et financiers thierno diallo ugac ca Membre AFITEP Christophe LEYRIE Docteur en sciences de gestion de l universit Jean Moulin Lyon3 est professeur de ges tion de projet l UQAC depuis 2000 Il est membre du LEMGP au sein duquel ses int r ts de recherche portent principalement sur le leadership de projet ainsi que sur les phe nomenes politiques et la gestion des parties prenantes dans les projets Il a uvr pendant plusieurs ann es a diff rents titres dans la gestion de projet pour diverses organisations publiques et priv es en France et au Qu bec christophe _leyrie uqac ca Membre AFITEP h I Julien BOUSQUET Ph D est professeur de marketing a l UQAC depuis 2003 Ses int r ts de recherche por tent principalement sur le marketing de projet et le relationnel de projet dans la dynamique des parties prenantes Directeur de la ma trise en gestion de projet et du LEMGP il en seigne entre autres au niveau de la m thodologie et de l analyse des donn es qualita tives julien_bousquet uqgac ca Membre AFITEP Lamine KOURAOGO Etudiant a la ma trise en gestion de projet volet recherche a l Universit du Qu bec Chicoutimi Recherche effectu e dans le cadre des travaux du laboratoire LEMGP Membre AFITEP LEMGP Laboratoire d tudes multidisciplinaires en Gestion de Projet http www uqac ca recherche organismes lemgp php Afitep La Cible Tous
87. ion de rationaliser les comportements et de maitriser le d veloppement socioe conomique grace aux projets A ce niveau les acteurs s interrogent sur la pertinence de soumettre tout projet ou toute initiative d investir a une analyse et une valuation approfondie Gilles Garel 2003 Ensuite les questions d exhaustivite des m thodes de la pertinence des outils d analyse et d valuation et de bonnes pratiques de gestion entrent en competition PMI 1969 IPMA 1965 PRINCE2 1989 A ce deuxi me stade les points de vue n ont pas toujours converge entre les diff rents acteurs de la discipline d cideurs publics promoteurs priv s praticiens et profes sionnels de projets chercheurs et universitaires Depuis les deux derni res d cennies avec l adoption des strat gies de gouvernance ax es sur le d veloppement durable la preservation de l quit sociale la gestion rationnelle des ressources collectives et naturelles et la promotion du bien tre conomique et social les positions se sont plus ou moins pr cis es au niveau des organisa tions internationales Commission Europ enne des pays d velopp s les Etats Unis l Australie Canada des pays mergents et en voie de d veloppement En 1999 le Canada place ACA au c ur de ses d cisions politiques en donnant a l outil un caract re obligatoire pour la mesure des avantages nets pour la societe des 31 51 La Cible FITEP Ei tl Association
88. iquement pas aux externalit s g n r es par les projets Les pr occupations de plus en plus grandissantes des par ties prenantes l gard des questions environnementales et sociales conduisent n cessairement vers la remise en question de cet outil Au Qu bec la plupart des projets de grande envergure doivent passer par le BAPE Bureau des audiences pu bliques sur l environnement avant d avoir l avis final du gouvernement Cette tape ne constituant plus comme dans le pass une simple formalit est actuellement cru ciale pour l approbation de l ex cution des projets Les tudes d valuation des retomb es doivent donc tre rigou reuses et prendre en compte toutes les dimensions cono miques sociales et environnementales Dans cette perspective le MISQ semblerait donc ineffi cace Il serait donc plus pertinent pour l analyste de faire recours l Analyse Co ts Avantages Bibliographie et r f rences A MBAYE CREA 2008 Analyse des projets dans les pays en d veloppement Universit Cheikh Anta Diop Afitep La Cible Tous droits r serv s pour tous pays FITEP Ei tl Association Francophone de Management de Projet publi e par d couvrir consulter recevoir rechercher utiliser s exprimer RIVERA FERNAANDEZ J MANUEL A critical study of the accounting and economic evaluation of mexican public investissement projects in road and irrigation University of Illinois
89. istique De ce fait l objet de cette recherche est d analyser les aspects de la tra abilit et les imp ratifs sa mise en place pour toute entreprise ainsi que son impact sur la performance logistique travers l agilit comme levier principal de la performance Mots cl s Tra abilit logistique syst me d information agilit per formance logistique code barres Afitep La Cible Tous droits r serv s pour tous pays FITEP HUH Association Francophone de Management de Projet publi e par d couvrir consulter recevoir rechercher utiliser s exprimer Abstract Today the lack of visibility of the products affects the ope ration of supply chain efficiency So in recent years com panies have engaged in optimizing the management of their supply chain Supply Chain process investing in systems and tools for high level planning Actors in the supply chain have the objective to trace their products and pro cesses and gain visibility and transparency of operations The real time is the use of a traceability system Traceability might be considered as a strategic move to enhance the performance and competitive advantage ofthe company However in turbulent and volatile markets such a performance could be achieved only through logistics agility Agility as a component of logistics performance also helps to provide the right product at the right time for the consumer which is the main objective o
90. it dans la quatri me dition comme un processus associ au management des communications du projet Dans cette nouvelle mouture ce processus con siste toujours communiquer et travailler avec les par ties prenantes pour satisfaire leurs besoins leurs attentes et traiter les probl mes au fur et mesure qu ils se pr sentent Toutefois la gestion de l engagement des parties prenantes prendra appui non plus seulement sur le plan de management des parties prenantes mais galement sur le plan de management des communications Ce faisant le chef de projet fera appel ses comp tences interperson nelles et manag riales afin de promouvoir l implication des parties prenantes avec le soutien des diff rents moyens de communication pr alablement identifi s dans le plan de management des communications 4 Maitriser l engagement des parties prenantes Ce nouveau et dernier processus Ma triser l engagement des parties prenantes consiste effectuer un suivi global des relations avec les parties prenantes du projet Il vise galement adapter les strat gies et les plans suivant le niveau d implication de ces derniers L objectif consiste a 28 51 FITEP HUH Association Francophone de Management de Projet La Cible publi e par d couvrir consulter recevoir rechercher utiliser s exprimer Tableau 2 Discerner les processus management des parties prenantes et management des communications source
91. jet volet recherche a l Universit du Qu bec Chicoutimi Recherche effectu e dans le cadre des travaux du laboratoire LEMGP Membre AFITEP LEMGP Laboratoire d tudes multidisciplinaires en Gestion de Projet Afitep La Cible Tous droits r serv s pour tous pays 35 51 La Cible Dossier FITEP HUH Association Francophone de Management de Projet publi e par d couvrir consulter recevoir rechercher utiliser s exprimer 9 p1 gt Management des parties prenantes Strat gie relationnelle le cas de la mine de NIOBEC Les auteurs Professeurs Thierno DIALLO L acceptabilite sociale devient elle incontournable pour la r us Christophe LEYRIE et Julien site de projets industriels BOUSQUET La description de la strat gie relationnelle de la mine Niobec Laboratoire d tudes multidiscipli naires en gestion de projet fournit ici un exemple int ressant de succ s relationnel qui LEMGP pourrait devenir assez rapidement une n cessit dans les projets Universit du Qu bec Chicoutimi du futur et Lamine KOURAOGO tudiant la Un sujet creuser sur la base d une r flexion la fois con ma trise en gestion de projet volet cr te et acad mique gage de solidit pour passer l action dans recherche a l Universit du Qu bec Chicoutimi Voir Biographie d taill es en fin d article si Universit du Qu bec My vara Membres
92. l ovale le triptyque classique du ma nagement de projet e La ma trise d ouvrage avec le commanditaire du projet et le repr sentant de la maitrise d ouvrage e La ma trise d uvre avec le chef de projet et les quipes de projet e Les utilisateurs Mais au dela de cet ovale les parties prenantes sont nom breuses e Du cote de la maitrise d ouvrage il y a toutes les struc tures en place directions maisons m res services techniques services support partenaires qui contr leront et aideront le commanditaire et le representant de la maitrise d ouvrage e Du c t de la maitrise d uvre il y aura toutes les structures en place de la ma trise d uvre directions services techniques services support avec le m me r le mais aussi tous les intervenants sur le pro jet prestataires fournisseurs partenaires de la r ali sation bailleur de proc d e Du c t de l environnement Les autorit s administratives et politiques Les partenaires financiers Les partenaires conomiques fournisseurs de ma ti res premi res clients et concurrents Les partenaires sociaux syndicats Les organisations sociales Afitep La Cible Tous droits r serv s pour tous pays Autres parties prenantes cote MOA reanes dirigeants Sponsor du projet Commanditaire du projet repr sentant Ma trise d ouvrage quipe de management de Partenaires sociaux repr sentation du per
93. l Microsoft Project Dan totsuPM Microsoft et leurs partenaires dont l AFITEP sont heureux de vous inviter une journ e d di e au Management de Projet Outils collaboratifs r seaux sociaux m thodes tableaux de bord changeons en semble sur les bonnes pratiques permettant de concilier management de projet structu r et collaboration r ussie 12 d cembre Paris Journ e du Management de Projet 2013 9 30 9 45 Accueil et Introduction Michel Operto et Giampaolo Battaglia 9 45 11 15 Project Portfolio Management collaboratif Daniel Ginet dgpromanagement SMP2 une approche collaborative de la gestion de Portefeuille de Projets S bastien COGNET ISPA Consulting le PPM objectifs int r ts challenges et ROI Yannick Le Pogam IIL L importance de la collaboration et du PMO dans la gestion de projets complexes 11 15 12 15 Let s go Online Vincent Capitaine Campana amp Schott et Giampaolo Battiglia Microsoft Project amp Sharepoint online 12 15 13 45 Pause d jeuner et espace partenaires 13 45 14 30 D fi Testez vos connaissances avec le Trivial Pursuit Lenny Descamps APMG France et Walter Jadot Orsyp 14 30 16 00 Retours d experiences collaboratives Alain Tchatalian CG13 pour Teamsquare Suivi de l ex cution des proc dures de march public avec Microsoft Project Server dans les collectivit s Christelle Fritz Le management de projet d un
94. lassifier les parties prenantes comme tant neutres Rappelons que dans la quatri me dition du r f rentiel de connaissance le processus identifier les parties pre nantes faisait partie du premier processus du manage ment des communications du projet Afitep La Cible Tous droits r serv s pour tous pays 2 Planifier le management des parties pre nantes Apres avoir compl t l identification des parties prenantes le prochain et nouveau processus consistera planifier et laborer les strat gies appropri es pour impliquer effica cement les parties prenantes tout au long du cycle de vie du projet partir du plan de management du projet du registre des parties prenantes des facteurs environnemen taux de l entreprise et des actifs organisationnels le chef de projet sera en mesure de d velopper le plan de mana gement des parties prenantes Ce plan qui est un compo sant du plan de management de projet servira entre autres d terminer la fr quence et l intervalle des informations transmises aux parties prenantes De plus et l aide de la matrice d valuation de l engagement des parties pre nantes l quipe de projet pourra d terminer les actions pr cises entreprendre aupr s des parties prenantes se lon qu elles sont r ticentes neutres ou favorables au pro jet 3 G rer l engagement des parties prenantes Le troisi me processus G rer l engagement des parties prenantes tait inscr
95. les accessibles en ligne Ces applications ont la particula rit de centraliser dans un fichier unique les interventions de plusieurs par ticipants L expression la plus simple est la sauvegarde de fichiers sur des serveurs distants r cemment renomm e nuage ou cloud par exemple Hubic ou Dropbox Il peut s agir aussi de logiciels bureautiques classiques traitements de texte tableurs agendas plannings etc qui permettent de modifier collectivement un document de travail sauvegard en ligne par exemple les Google Docs Plus sophistiqu s que la bureautique et gale ment plus anciens que le web 2 0 les logiciels de gestion lectronique des documents Ged font d sormais partie des outils collaboratifs Certains outils sont constitutifs du web 2 0 C est le cas notamment des wikis Un wiki est un site web dont les pages sont modifiables par les visiteurs ce qui permet l criture et l illustration collaboratives des documents num riques qu il contient extrait de Wikipedia exemple type de wiki Autre outil issu du web 2 0 les syst mes de suivi et de gestion des flux des dysfonctionne ments et ou des incidents Ces syst mes sont directement issus des pra tiques des informaticiens qui y signalent un probl me sur un logiciel ou un site Une alerte indique la pr sence de ces signalements au directeur infor matique qui attribue la t che accomplir g n ralement avec le d lai la personne ad quate Internet In
96. lon le niveau de service fix Il s agit de respecter les engagements de moyens et de r sultats par rapport aux attentes pr d fi nies L utilisation des bonnes proc dures de transport et de distributions ainsi que le respect de la qualit et limiter son impact sur l environnement sont des manifestations de la fiabilit au niveau de la chaine logistique Efficience logistique Repr sent e par le rapport Efficacit Co t L effi cience logistique d signe la r alisation des objectifs pr d finis avec le minimum des ressources Le principe de l efficience fait appel aux notions d conomies d chelle automatisation transparence et visibilit des op rations tra abilit organisation et optimisation des flux et res sources L efficience recourt galement aux techniques de qualit et la r duction des co ts et l limination syst ma tique des gaspillages dans une d marche d am lioration continue d marche lean kaizen etc Agilit logistique L agilit est la caract ristique fondamentale d une cha ne logistique n cessaire sa survie dans des march s turbu lents et instables L environnement cr e une incertitude suppl mentaire et entra ne un risque plus lev dans la gestion de la cha ne logistique L agilite est au c ur des organisations r actives Une entreprise r active est dot e de moyens flexibles qui s ils sont assez l gers lui permet tent d tre agile La r ac
97. lorsque d importants montants sont engag s L exemple d crit a travers cet article peut se qualifier jusque l de succ s relationnel mais il aurait t aise de prendre nombre de contre exemples D velopper une strat gie relationnelle implique des mon tants des comp tences une r elle volont et des valeurs qui s inscrivent dans la continuit De plus les strat gies relationnelles ne doivent pas tre per ues comme des stra t gies court terme mais davantage comme un processus se d veloppant avant pendant et surtout apr s le projet permettant des entreprises de capitaliser sur leur image et sur le milieu dans lequel elles op rent 38 51 La Cible FIEP Ui de Management de Projet publi e par d couvrir consulter recevoir rechercher utiliser s exprimer Biographie des auteurs Thierno DIALLO Docteur en sciences economiques de l Universit de Montr al poss de une solide expe rience de recherche en conomie fondamentale et appliqu e acquise notamment au Natio nal Economic Research Associates NERA de Boston ainsi qu au Centre Interuniversitaire de Recherche en Analyse des Organisations CIRANO et au Centre Interuniversitaire de Recherche en Economie Quantitative CIREQ de Montr al Il est professeur a l UQAC de puis 2005 et est membre du LEMGP Il s int resse la gestion de projet sous l angle de l analyse des parties prenantes et l valuation et la mesure des
98. lyse des Organisations CIRANO et au Centre Interuniversitaire de Recherche en Economie Quantitative CIREQ de Montr al Il est professeur l UQAC de puis 2005 et est membre du LEMGP Il s int resse la gestion de projet sous l angle de l analyse des parties prenantes et l valuation et la mesure des impacts conomiques et financiers thierno diallo ugac ca Membre AFITEP Christophe LEYRIE Docteur en sciences de gestion de l universit Jean Moulin Lyon3 est professeur de ges tion de projet l UQAC depuis 2000 Il est membre du LEMGP au sein duquel ses int r ts de recherche portent principalement sur le leadership de projet ainsi que sur les phe nomenes politiques et la gestion des parties prenantes dans les projets Il a uvr pendant plusieurs ann es a diff rents titres dans la gestion de projet pour diverses organisations publiques et priv es en France et au Qu bec christophe_ leyrie uqac ca Membre AFITEP Julien BOUSQUET Ph D est professeur de marketing a l UQAC depuis 2003 Ses int r ts de recherche por tent principalement sur le marketing de projet et le relationnel de projet dans la dynamique des parties prenantes Directeur de la ma trise en gestion de projet et du LEMGP il en seigne entre autres au niveau de la m thodologie et de l analyse des donn es qualita tives julien _bousquet uqac ca Membre AFITEP Thierry OSSORO Etudiant a la ma trise en gestion de pro
99. n et de pr vision Une chaine logistique virtuelle l aide de L internet et de l EDI Les clients sont satisfaits de la valeur per ue de l utilisation des produits Et une qualit am lior e de toute la cha ne logis tique permettant de r duire les co ts et une optimisation des ressources et processus Afitep La Cible Tous droits r serv s pour tous pays FITEP HUH Association Francophone de Management de Projet publi e par d couvrir consulter recevoir rechercher utiliser s exprimer Partie empirique V La m thodologie de recherche Notre recherche porte sur l analyse de la mise en place d un syst me de tra abilit aval et la th matique li e la tra abilit reste encore peu appr hend e dans les travaux acad miques De plus et jusqu ce jour les publications qui abordent ce theme n ont pas trait du cas marocain et plus sp cifiquement celui de la relation entre la tra abilit et la performance logistique Il s agit ainsi d un terrain encore vierge En cons quence de quoi le choix d une d marche exploratoire semble tre le mieux adapt dans ce cas Et nous avons choisi d tudier la situation avant et apr s la mise en place d un syst me de tra abilit pour mieux appr hender les diff rents changements engendr s par le nouveau syst me Dans le cas de notre recherche nous avons fait appel trois types de sources de donn es savoir la document
100. ns la reconnaissance du caract re dis tinct de la gestion des parties prenantes dans un projet aura milit en faveur d un nouveau domaine de connais sances 1 La notion de partie prenante est toujours pr sent e dans le chapitre 2 de la cinqui me dition mais on y a ajout le concept de gouvernance Afitep La Cible Tous droits r serv s pour tous pays 27 51 La Cible FITEP HUH Association Francophone de Management de Projet publi e par d couvrir consulter recevoir rechercher utiliser s exprimer N 122 La Revue Francophone du Management de Projet 3 me trimestre 2013 Tableau 1 Processus Management E parties prenantes imbrication dans les groupes de processus source PMBok version 5 Groupe de processus Domaine de connaissance de management de projet Management des parties prenantes 1 Groupe de processus de d marrage Identifier les parties prenantes 2 Groupe de processus de planification 2 Planifier le management des parties prenantes 3 Groupe de processus d ex cution 3 G rer l engagement des parties prenantes 4 Groupe de processus de surveillance et de ma trise 4 Ma triser l engagement des parties prenantes Ce faisant quatre processus ou d marches devront tre entrepris afin d identifier les personnes ou les groupes qui influenceront les destins du projet Outre ce processus d identification il sera galement n cessaire de planifier les mesures pour g
101. oh rence avec les NORMES INTERNATIONALES de COM PORTEMENT e et qui est INT GRE Afitep La Cible Tous droits r serv s pour tous pays nit ce que sont les parties prenantes d un projet Les parties prenantes au projet designent toute personne ou organisme impliqu directement ou indirectement dans le projet ou susceptible d tre concern par sa r alisation On parle aussi dans certaines normes de parties int res sees Cette d finition est reprise par la norme 1S021500 mana gement de projet Personne ou organisme qui peut affecter ou se sentir affect par un quelconque aspect du projet 20 51 La Cible FITEP Ei tl Association Francophone de Management de Projet publi e par d couvrir consulter recevoir rechercher utiliser s exprimer Sch ma 1 Les diverses parties prenantes d un projet et leur positionnement Autres parties prenantes cot MOE Management des entit s MOE Responsa bles fonctionnels Chefde projet maitrise d uvre projet Prestataires Equipe de projet Fournisseurs Organisation de projet Parties prenantes li s l environnement Partenaires commerciaux dients fournisseurs concurrents Partenaires soci tsl groupements d int r t grand public Le sch ma 1 reprend divers sch mas que l on peut retrou ver dans la litt rature il positionne les diverses parties prenantes d un projet On y retrouve dans
102. on des besoins du projet Les sondages et questionnaires peuvent faciliter les freins ventuels sans traite l analyse des besoins ou ment lourd ne serait ce qu en conomisant le temps et le cout d une diffusion papier Et cette liste d exemples est loin d tre ex haustive tant les volutions technologiques sont nombreuses et vari es Il est n anmoins possible de lister les fonctions mises en uvre de mani re simple gr ce aux RS et OC et utiles dans un projet Apprendre Echanger Eduquer Enrichir Evaluer Historiser Informer e Motiver e Partager Prioriser Rassembler Veiller ll revient au chef de projet de s lectionner les fonctions qu il retient d identifier a quelle s tape s du cycle de vie du projet ces fonctions sont mettre en uvre et de les animer Id alement cette d marche est conduire avant d tablir le cahier des charges Par exemple votre cahier des charges ou vos chartes peuvent tre b tis gr ce un wiki facilitant la d finition du p rim tre du projet d identifier des solutions etc De m me l organigramme des t ches peut tre aliment via les r seaux sociaux pour int grer les comp tences les fonctions les disponibilit s etc Un wiki est un site web dont les pages sont modifiables par les visiteurs ce qui permet l criture et l illustration collaboratives des docu ments num riques qu il contient Afitep La Cible T
103. our bien s en sortir et viter de passer trop de temps au mauvais endroit vous pouvez cr er une strat gie par ni veau d engagement des parties prenantes Voici un exemple NIVEAU D ENGAGEMENT STRAT GIE Unaware Pas au courant Selon l impact informer plus ou moins en profondeur et voir si on doit am liorer le niveau d engagement Ecouter influencer par le reseau et convaincre Resistant R sistant couter et valuer s il peut devenir r sistant Neutral Neutre Supportive Fait preuve couter informer et remer de soutien cier D terminer si on peut engager davantage Leading De premier plan couter informer remercier et impliquer Afitep La Cible Tous droits r serv s pour tous pays FITEP HUH Association Francophone de Management de Projet publi e par d couvrir consulter recevoir rechercher utiliser s exprimer G rer et contr ler l engagement des parties prenantes Les 2 derniers processus reposent sur les 2 premiers Si l identification et la planification des parties prenantes ont bien t faites la gestion et le contr le devraient tre as sez faciles Cela dit il faut rester alerte et s assurer d avoir d velopp de bonnes aptitudes en gestion soft skills communication facilitation influence n gocia tion Il faut aussi tre en mesure de rendre accessible l informa tion importante performance problemes avancement via l
104. ous droits r serv s pour tous pays poser plus de question car cela fait partie int grante de leur mode de fonctionnement et de leurs m thodes de tra vail Pass ce pr alable les RS et OC librement accessibles repr sentent un risque en termes de confidentialit D une part nombre de ces syst mes n cessitent des param trages pr cis pour se prot ger des intrusions D autre part leur utilisation n cessite de sensibiliser R seaux sociaux et outils collaboratifs pr requis Ces quelques d finitions vont sembler restrictives ou succinctes certains En revanche les b otiens de cet univers y trouveront les rep res indispen sables pour tirer pleinement partie de cet article Web 2 0 Cette appellation un peu fourre tout inclut les techniques les fonctionnalit s et les usages favorisant les changes les partages et les pratiques de travail en commun en ligne Dans cet article nous utiliserons le terme web 2 0 pour englober r seaux sociaux et outils collaboratifs R seau social C est un site ou une plateforme d change en ligne entre personnes physiques ou morales inscrites sur ce r seau et qui ont choisi de partager ou mettre en commun des informations ou documents Certains ont une vocation personnelle ou de loisirs par exemple Facebook d autres ont un caract re professionnel par exemple Viadeo Outils collaboratifs Cette expression couvre un large spectre d ap plications logiciel
105. pel a communication N h sitez pas proposer une contribution ICEC 2014 World Congress Re Engineering Total Cost Management Turning Words into Figures Milano Italy 20 21 22 October 2014 Call for Papers First Announcement The 9th ICEC World Congress will be held in Milano Italy from 20th to 22nd of October 2014 AICE Italian Association for Total Cost Management is in charge for the organization in collaboration with FAST Italian Federation of Scientific and Technical Associa tions The meaning of the title and the Congress focus are in tended to include the various aspects of Total Cost Mana gement exploited in the practical dimension of use and considered as possible leverages for overcoming or coun teracting the actual serious world economic crisis The main topic of the Congress should be to investigate how TCM application can contribute to the business deve lopment in a sustainable way Other research paths will be relevant to the certification compared with other certifi cates and to professional methodologies best practices and standards We request all professionals university lecturers resear chers managers students and any other people active in the field of Total Cost Management and in related fields to Pour plus d informations www aice it org www fast mi it Afitep La Cible Tous droits r serv s pour tous pays submit their papers for presentation at the Congress prio
106. personnelle et tres dyna mique de cette partie du management de projet que par extraordinaire dans le m me temps certains semblent oublier L auteur Dipl m de l cole Polytechnique de Montr al Mathieu LAFERRIERE a plus de 14 ann es d experience en gestion au sein d entreprises actives au niveau national et international 7 Mathieu LAFERRIERE ll a uvr dans plusieurs secteurs d activit s g nie R amp D logiciel web Bla Wathen Lafarri es et r seaux sociaux et a touch plusieurs fonctions cl s de entre 209g Maen AETErE prise gestion de projet ressources humaines gestion des op rations support aux ventes marketing communications Passionn de la performance durable des entreprises il s est r orient Le succes d un projet passe vers le service conseil en 2007 Il offre des services de diagnostic de formation et d accompagnement aux chefs d entreprises et leaders qui par la gestion efficace des par ont le potentiel et le d sir de performer ties prenantes Fervent adepte du r seautage relationnel il est pr sent sur plusieurs r seaux sociaux notamment Twitter LinkedIn et Facebook et participe a plusieurs v nements en ligne et hors ligne au Qu bec La gestion des parties prenantes est intime ment li e au succ s du projet et au succes des organisations ll a cofond et anime plusieurs groupes d int r t publics et priv s entre autres WEB2BIZ un regroupement qui
107. pour le gouvernement provin cial tait de mesurer de fa on ad quate la performance de ses interventions financi res sur l conomie et sur la so ci t qu b coise Mais le processus bas sur le Mod le Intersectoriel du Qu bec MISQ dans ses toutes premi res applications ne r pond pas suffisamment aux besoins car l approche est purement financi re Il est donc renforc en 1998 et affine en 2003 avec l av nement du programme du Fonds de lAccroissement de l Investissement Prive et la Relance de l Emploi Programme FAIRE le MAPREF Le mod le est appliqu par Investissement Qu bec Ql pour analyser et quantifier les effets directs et indirects des interventions financi res du gouvernement pour la p riode Pour son caract re novateur le MAPREF se voit attribuer un prix au congr s de ACCRA en 2001 au Texas Et en novembre 2003 il est pr sent publiquement comme outil de base de mesure d impact pour l valuation des retomb es conomiques de projets au Qu bec IQ 1998 2003 La p riode 1998 2003 sera alors marqu e par la publication du tout premier document m thodologique de l valuation des retomb es economiques bas sur le mo d le intersectoriel au Qu bec Afitep La Cible Tous droits r serv s pour tous pays 3 me trimestre 2013 partir de 2008 avec la mise sur pied de grands pro grammes d investissement par le gouvernement provincial Plan nord PQI 2011 2016 PQI 2013 2023 et s
108. programmes cibl s peuvent galement contribuer ce que la formation professionnelle constitue un levier de croissance pour les entreprises En Afrique o l on observe simultan ment un taux de ch mage lev chez les jeunes et une p nurie de main d uvre qualifi e la formation professionnelle appara t comme un vecteur de changement potentiel Toutefois les pays de ce continent font face des r alit s sp cifiques qui sont li es la structure des conomies locales dont il faut absolument tenir compte pour r fl chir aux perspec tives futures Le S minaire constituera une occasion entre autres de faire valoir les atouts les bonnes pratiques et la valeur ajout e des r seaux professionnels au sein de l espace conomique francophone et de rappeler que ces derniers auront un r le jouer dans le processus d laboration de la strategie conomique de la Francophonie qui sera pr sent e au Sommet de Dakar en novembre 2014 terme les travaux du S minaire serviront pr parer le cahier des charges de l tude sur la formation profession nelle que menera le RAPF en 2014 Le S minaire dont le programme figure ci apr s accueil lera dans l Espace public d information de FOIF environ 70 responsables d institutions d entreprises et d organismes socio conomiques publics et priv s 45 51 La Cible FITEP 111 de Management de Projet publi e par d couvrir consulter recevoir recher
109. propriation rebaptis e processus d acquisition et d indemnisation de propri t s qui habituellement soule vent bien des inqui tudes et questionnements Malgr la sensibilit du processus li au BAPE et la phase d expropriation enclench e en d cembre 2012 les r ac tions des parties prenantes ne semblent plus aussi tran ch es qu elles ne l taient au d but du projet Il faut dire que voila plus de deux ann es maintenant que Niobec consulte et transmet de l information a profusion avec la m me coherence et transparence Un document nomm Guide et bonnes pratiques est galement lance en janvier 2013 pour expliquer la mani re dont le processus d acquisition et d indemnisation de pro pri t s sera effectu Et encore une fois la Table munici palit entreprise et le Comit du milieu poursuivent les reunions et les rencontres avec les principales parties pre nantes impliqu es dans lesdits comit s rendant syst mati quement l information disponible via le site Internet de la compagnie Quels enseignements en tirer Suite la description de la strat gie relationnelle de la mine Niobec il est int ressant de constater qu en gestion de projet la gestion des parties prenantes et cons quem ment la mise en uvre d outils relationnels semblent deve nir peu peu une obligation L acceptabilit sociale tend devenir une pratique cou rante afin d optimiser la r ussite de projets industriels
110. r mations systems frontiers vol 3 pp 413 416 Heskett j L 1977 Logistics essential to strate gy harvard business review traduit par harvard l expan sion sous le titre la logistique l ment cl de la strat gie 1978 JOUENNE T 2010 les quatre leviers de la perfor mance logistique Revue Fran aise de Gestion Industrielle Vol 29 n 1 2010 Kidd C 1989 Understanding the Information Con tent in MIS Management Tools MIS Quarterly vol 13 n 3 p 277 290 Pellaton A Viruega J L 2007 L utilisation de la tra abilit pour la s curit sanitaire analyse par la th orie de la traduction 1 re journ e de recherche Rela tions entre Industrie et Grande Distribution Alimentaire Avignon 29 mars 12p Romeyer C 2000 Le r le de la tra abilit de l activit dans la gestion de la cha ne logistique intra organisationnelle Les 3 mes Rencontres Internationales de la Recherche en Logistique Trois Rivi res Qu bec 9 11 mai Sanders N R 2008 An empirical study of the impact of e business technologies on organizational colla boration and performance Journal of Operations Manage ment 25 pp 1332 1347 Swafford P Ghosh S Murthy N 2006 A frame work for assessing value chain agility International Jour nal of Operations and Production Management 26 2 170 188 Viruega J L 2005 Tra abilit Outils m thodes et pratiques Edition d
111. re La satis faction du client repr sente la r action du client sa per ception de la valeur re ue la suite de l utilisation d un produit ou d un service particulier Cette r action sera in fluencee par la valeur souhait e Ideal Standard ainsi que par la valeur per ue des offres concurrentes normes de l industrie des attentes fond es sur l utilisation des pro duits concurrents 6 Am lioration de la qualit L am lioration de la qualit est reconnue par le manage ment des entreprises dans le monde entier comme une exi gence pour r ussir sur le march international concurren tiel Ils se rendent compte aussi que la participation des fournisseurs est essentielle pour am liorer la qualit et r pondre aux sp cifications du client Ils ne peuvent pas maximiser la valeur pour les clients si les composants de leurs fournisseurs sont d fectueux Pour obtenir cette par ticipation productive ils ont t invit s a d velopper des relations avec les fournisseurs IV Le mod le d valuation de l impact de la tra abilit sur la performance logistique Les diff rentes variables pr sent es concernant la tragabi lit et la performance par l agilit ont permis de construire un mod le repr sentatif de la relation tra abilit agilit performance logistique Sch ma 2 Le mod le labor permet d examiner l impact de la tra a bilit agilit sur la performance logistique plusieurs ni ve
112. rojet notamment MS Project et Primavera P6 utilis s par les professionnels C est le compagnon indispensable de tous ceux qui ont en charge des projets La Gestion de Projets de Jean Pierre SMAGGHE MENEZ Thriller Editions 1ere dition 08 2013 Presentation par l diteur Organiser l action en transversalit Conduire un projet en lien avec les services publics et le tissu associatif constitue un guide synth tique et pratique permettant chacun d appr hender la notion de projet au sein d une collectivit territoriale ou d une association travers un processus simplifi La m thode du brainstorming est ici adapt e aux contraintes li es aux diff rents jeux d influence des acteurs de m me l attention est attir e sur les diff rentes repr sentations de la r alit qui s affron tent dans toute rencontre autour d un projet associant de nombreux acteurs Gestion de Projet Les 9 cl s de la r ussite de Franck BARDIN Editions du Net 1ere dition Francx Barom 07 2013 115 pages ISBN 978 2 312 01257 5 Presentation par l diteur M thode pratique de gestion de projet labor e en 9 points cette m thode permettra aux jeunes dipl m s de d marrer sereinement et exemples concrets l appui leur activit tant donn la port e large et transposable de cette m thode elle est aussi applicable toutes personnes en charge de mener bien un projet professionnel ou personnel GESTION DE
113. rojets m me les plus difficiles Le grand livre de la gestion de projet de Jean Yves MOINE Edition AFNOR ere dition 08 2013 360 pages ISBN 978 2 12 465427 7 Presentation par l diteur Depuis la premi re dition de son Manuel de gestion de projet parue en 2008 Jean Yves Moine a consid rablement enrichi son exp rience son savoir faire et sa cr ativit Il a exerc pour de grands livre de lq groupes industriels sur des projets allant de la fabrication de bo tes de vitesses jusqu aux terminaux estion m thaniers ou aux infrastructures de tramways en France et l international g Aujourd hui expert cr ateur de la m thode WBS 3D il propose beaucoup plus qu une nouvelle dition de projet du livre qui l a fait conna tre un v ritable livre de r f rence qui m rite largement son nouveau titre de Grand livre de la gestion de projet Fid le son approche p dagogique et chronologique il est con u avec une approche qui suit les tapes de mod lisation et de pilotage d un projet et r dig dans une perspective op rationnelle L aspect portefeuille de projets particuli rement adapt aux projets informatiques a t int gr l ouvrage Textes rigoureux courts nombreuses figures explications pr cises sur les m thodes de co tenance de planification et de risques crit dans un esprit p dagogique ce livre n oublie pas de prendre en compte les principaux logiciels de gestion de p
114. s com munications version 2008 Avec cette nouvelle dition du r f rentiel ces deux pro Afitep La Cible Tous droits r serv s pour tous pays Ma triser l engagement des parties prenantes re processus cessus ont t places dans le nouveau chapitre 13 Management des parties prenantes du r f rentiel au quel on a ajout deux nouveaux processus Planifier le management des parties prenantes et Ma triser l engage ment des parties prenantes Le tableau 2 permet de discerner les processus propres au management des parties prenantes et au management des communications Avec l ajout de deux nouveaux processus au management des parties prenantes et de trois autres ajouts dans le r f rentiel chapitre 5 6 et 7 le total des processus est pas s de 42 47 L ensemble de ces activit s devrait assurer un d roulement efficace du projet et plus particuli rement quand il s agira de mobiliser et d impliquer les parties prenantes aux d fis et contraintes que soul ve le management des projets Post scriptum Les lecteurs qui souhaiteraient prendre connaissance des diff rences entre la quatri me et la cin qui me dition du Guide du Corpus des connaissances en management de projet Guide PMBoK pourront obtenir les notes d une conf rence que j ai prononc e ce sujet pierre cadieux uqar ca 29 51 La Cible Dossier gt Management des parties prenantes FITEP HUH A
115. s droits r serv s pour tous pays rechercher Pour tous renseignements concernant les auteur e s l AFI TEP La Cible allez sur le site AFITEP lt http www afitep org gt rubrique La Cible Vous pouvez aussi envoyer vos questions interrogations a lacible afitep org s exprimer R agissez aux articles exprimez vos avis vos points de vue vos interrogations voire vos tats d me Envoyez vos commentaires suggestions propositions par email lacible afitep org Vous pouvez aussi nous t l phoner au 01 55 80 70 62 51 51
116. s en mati re de formation professionnelle l expertise des associa tions du RAPF anim e par lvanKabacoff TV5 Monde avec Ihiya Awi Alher Directeur des Formations et de l Innovation P dagogique ResponsableTl Institut Inter national d Ing nierie de l Eau et de l Environnement 2iE Burkina Faso Dominique Ledouble Expert comptable FIDEF France G rard Neyret Ing nieur ECP sp cialiste en maintenance industrielle et en formation professionnelle technique UISF France 12h30 Conclusions de Mich le Cartier LeGu rinel Pr sidente du RAPF Les Membres du RAPF o e De L Association du Notariat L Association internationale des technologistes ASSOCIATION DU NOTARIAT FRANCOPHONE Francophone ANF biomedicaux ASSITEB BIORIF La F d ration des G ometres Francophones FGF L Assembl e des fonctionnaires fran FGF F F AFFOI cophones des organisations interna La F d ration Internationale des tionales AFFOI lt a gt Experts comptables et Commissaires aux F I D E F comptes francophones FIDEF tions de Physioth rapeutes francophones La F d ration Internationale des Organisa SAF IOPF Le R seau Normalisation et Francophonie RNF FIOPF EC RN F o R seau Normalisation on L Union Internationale des ing 9g Francophone a Le Secr tariat International des Infirmi res et Euis nieurs et scientifiques utilisant la langue fran e mers Ge lESpace wancophone SIDER aise UISF Le R seau Main
117. s informations entre les diff rents partenaires devient un l ment primordial au sein de la cha ne logistique Tableau 1 Nombreux sont les travaux de recherche traitant la perfor mance logistique et les conditions de son am lioration La plupart de ces travaux sont bas s sur des enqu tes r ali s es aupr s des entreprises et sur les meilleures pra tiques dont le but est de d terminer les facteurs de perfor mance de la cha ne logistique La performance est appr hend e dans sa globalit et ne peut tre la somme des performances locales Elle n cessite que tous les acteurs fournisseurs et clients contribuent l ensemble du proces sus et des interactions Diff rents chercheurs ont tent d valuer la performance logistique de diff rentes fa ons Mais la plupart de me sures de performance jusqu pr sent sont davantage orient es vers la performance conomique que d autres aspects de la performance tels que la satisfaction du client Beamon 1998 identifie plusieurs mesures qualitatives de la performance logistique la satisfaction du client la flexibilit l int gration des flux de mati res et d informa tions la gestion efficace des risques et la performance des fournisseurs En 1999 Beamon d veloppe un cadre d valuation des performances pour les SC de fabrication o les ressources la production et la flexibilit sont consi d r s comme des l ments n cessaires a la SCP Dans la litt
118. s un cadre profession Il semble donc indispensable de les identifier d en comprendre les atouts et les limites et surtout de d finir la place que vous pouvez ou souhaitez leur accorder dans vos projets Leur importance est d sormais telle que les ignorer n est tout simplement Jacques LEBEGUE Jacques LEBEGUE est concepteur r dacteur charg de cr ation supports papier et lebeaue jacaues vahoo fr web Il est sp cialiste de la communication destination des professionnels 33 0 9 53 15 24 18 secteurs public et priv form la Conception et la conduite de projets nu 33 0 6 52 11 54 96 m riques et interactifs l Ecole de l image des Gobelins C est le coordinateur de la base documentaire dit e par Techniques de l ing nieur Organiser et ani mer un projet Introduction Renforcement de la cr ativit travail collaboratif partage de pratiques information sans fronti res renforcement naturel de la notori t simplicit des rapports village mondial les r seaux sociaux ont suscit d s leur appari tion beaucoup de r ves mais aussi bien des d sillusions Quoi qu il en soit les r seaux sociaux et outils collabora tifs font d sormais partie de notre univers priv et profes sionnel Mais comment faire pour vivre avec et en faire un atout pour nos projets Quels sont les impacts sur le management des pro jets leur organisation et leur animation Comment identifier ses be
119. soins et les fonctionnali t s correspondantes Quels sont les pieges a viter et les facteurs de succes Comme toujours dans les projets il n y a pas de r ponse unique et universelle Cet article fait suite la participation de l auteur au s minaire AFITEP r seaux sociaux mode d em ploi du 15 avril Afitep La Cible Tous droits r serv s pour tous pays Membre AFITEP Reseaux sociaux une realite Comme tous les s minaires innovants propos s par l AFI TEP ce s minaire part d un constat simple r seaux so ciaux RS et outils collaboratifs OC sont partout Ils ne peuvent donc qu interf rer avec le mangement de projet Ces supports ont cependant des caract ristiques contradic toires avec l approche classique des projets Premi rement le web 2 0 RS et OC ensemble s appuie sur un maillage o potentiellement tout est reli tout La nous sommes loin du management de projet qui histo riquement est centralis Deuxi mement RS et OC apportent un flux d information important qui vient s ajouter aux autres Cette masse d information encore accrue repr sente un temps de traite ment non n gligeable Troisi mement ils g n rent des interruptions fr quentes puisque le principe est g n ralement de rester en con tact sur l ordinateur la tablette le mobile et bient t les montres ou lunettes connect es Ces interruptions contri buent statistiquement une r
120. sonnel Actionnaires matons meres Direction de portefeuille de projets Direction d programmes Bureau des projets Dir ection filiale Management des op rations Conduite du changement Partenaires publics administrations publiques Partenaires financiers banques march L enjeu Dans un projet toutes les parties prenantes ont des int r ts parfois divergents par exemple e La ma trise d ouvrage sera int ress e par la rentabilit financi re du projet e Les clients seront demandeur d un produit de meilleure qualit e Le maire voudra d velopper la vie conomique de sa commune e Les riverains d sireront ne pas subir une d valuation de leur bien du fait de l implantation du projet e Les partenaires sociaux voudront profiter du projet pour revaloriser les emplois e Les banquiers voudront limiter les risques financiers lies l op ration e Des organisations cologiques d fendront tous les as pects environnementaux Et toutes ces parties prenantes pourront exercer un mo ment donn une action qui aura un impact positif ou n gatif sur la bonne r alisation du projet 21 51 La Cible Management des parties prenantes Le but du management des parties prenantes est de faire en sorte que toutes les parties prenantes trouvent un inte r t a la bonne realisation du projet et en cons quence par ticipent au succes du projet ou du moins ne soient pas un frein a cette r
121. ssociation Francophone de Management de Projet publi e par d couvrir consulter recevoir rechercher utiliser s exprimer Spt Evaluation des retomb es conomiques des projets au Qu bec et prise en compte des externalit s le MISQ versus ACA Les auteurs Les parties prenantes qu b coises sont devenues de plus en plus exigeantes dans leur appr ciation des retomb es conomiques Professeurs Thierno DIALLO des projets men s sur leur sol Christophe LEYRIE et Julien BOUSQUET Pour les convaincre du bien fond de tel ou tel projet ces valua Laboratoire d Etudes Multidiscipli tions sont cruciales car elles am nent s interroger sur le sens et naires en Gestion de Projet la valeur ajout e r elle de ces projets LEMGP Universit du Qu bec a Chicoutimi et Cet article nous d crit de fa on d taill e les outils d analyse uti Thierry OSSORO tudiant a la lis s pour valuer a priori ces retomb es economiques Une ma trise en gestion de projet volet r flexion a partager sur un sujet cl pour des prises de d cisions recherche clair es Universit du Qu bec Chicoutimi Voir Biographies d taill es en fin d article ay Universite du Qu bec Mi vara Membres AFITEP Introduction L valuation des retomb es economiques d un projet sur tout de grande envergure et la prise en compte des exter nalit s g n r es par celui ci est une
122. stique constitue un puis sant levier de comp titivit Cette fonction est en train de se diversifier et d voluer pour int grer de multiples fa cettes Elle n est plus li e exclusivement au transport mais elle int gre les activit s hospitali res industrielles et humani taire A heure ou les entreprises doivent faire face une conjoncture conomique instable il est essentiel de d ve lopper la cr ation de valeur sur l ensemble de la cha ne logistique La collaboration accrue avec ses fournisseurs et la mise en place de nouveaux outils sont des opportuni t s permettant l augmentation de la r activit face au mar ch et par cons quent la performance globale de chaque acteur de la cha ne logistique La r activit est ainsi deve nue le mot d ordre de l entreprise d aujourd hui Elle est d finie comme tant la facult de conserver une ad qua tion entre la productivit de l entreprise et l adaptation aux besoins de clients Pour atteindre cette r activit il est n cessaire de faire agir de mani re synchronis e et opti mis e tous les partenaires impliqu s dans la chaine de cr ation de valeur et de vente des produits allant du four nisseur l offre au client la demande c est le manage ment de la cha ne logistique globale ou la gestion de la cha ne logistique globale GCL ou la Supply Chain Mana gement SCM Les entreprises la recherche de la performance logis tique sont amen
123. sur des mobilisations 6 com bien n cessaires de Notre Dame des Landes a Bure en passant par Flamanville Gonesse Gap Creys Malville Lyon Rouen Toulouse la Picardie le Morvan ou les Landes Gestion de projet en SSII de Michel WINTER Editions Ellipses tere dition 09 2013 192 pages ISBN 978 2 7298 8206 8 Michel Winter Gestion de projet en SSII Pr sentation par l diteur A l heure actuelle la grande majorit des applications informatiques sont d velopp es par des soci t s de service en ing nierie informatique SSII Leurs outils et m thodes de gestion de projet y ont t progressivement am lior s en visant la fois simplicit de mise en uvre et efficacit En expli Pau citant les objectifs d un projet et des activit s qui le composent cet ouvrage explique les outils et les m thodes couramment utilis es en SSII mais qui pourront tre facilement adapt s tout type de pro ws jet qu il s agisse de d marches traditionnelles du type cycle en V ou de m thodes agiles plus r centes Pour chaque th matique abord e des exemples issus de cas r els illustrent la mise en uvre des approches propos es Les ing nieurs informaticiens employ s dans des SSII trouveront dans ce livre les clefs leur permet tant de comprendre le fonctionnement de leur entreprise Plus globalement en expliquant l ensemble des probl matiques habituellement rencontr es dans la relation client fournisseur
124. t importantes Dans la lign e des actions relationnelles mises en place dans la 1 re phase cette deuxi me p riode s inscrit sous le signe de la communication Apr s une phase explora toire d analyse des besoins et de mise en place d outils relationnels celle ci vise davantage l utilisation de ceux ci sur une base continue Elle d bute ce sujet par la mise en ligne sur le site de la compagnie www niobec ca d une section d di e au projet d expansion dans laquelle tous les documents informationnels ainsi que les comptes rendus des divers comit s sont a la disposition des parties prenantes Parall lement la Table municipalit entreprise et le Comi t du milieu poursuivent les r unions et les rencontres avec les principales parties prenantes impliqu es dans lesdits comit s Afitep La Cible Tous droits r serv s pour tous pays FITEP HUH Association Francophone de Management de Projet publi e par d couvrir consulter recevoir rechercher utiliser s exprimer 3 me p riode en contr le d cembre 2012 juin 2013 Cette troisi me p riode est lanc e avec l annonce de la m thode d extraction s lectionn e savoir le bloc fou droy appuy e par les r sultats de l tude pr faisabilit Face la haute mediatisation de l annonce deux autres v nements semblent oubli s par les m dias le BAPE Bureau d audiences publiques sur l environnement et la phase d ex
125. tenance Francophone de o L Association Francophone de Manage lt peel l Association fran aise des ing nieurs et res afi Ce ment de projet AFITEP NP de Management de Projet ponsables de maintenance AFIM La Conf rence Internationale des Ordres de o Lo Seve N B Le CJD International signera prochaine CIOPF Pharmaciens Francophones CIOPF ree so ment la Charte du RAPF INTERNATIONAL Afitep La Cible Tous droits r serv s pour tous pays 46 51 La Cible FITEP 111 de Management de Projet publi e par d couvrir consulter recevoir rechercher utiliser s exprimer 6 onn s FEB BBB eee e A yan ee ee z RAS e z co s i i F3 6 ns oie D 6 a in Linkedin We To ee proie Pr ie E ea asav LAA at ade s im E a yon s cf Viadeo mi s s a Q Viadeo k Pee eeeeeees ee Afitep La Cible Tous droits r serv s pour tous pays 47 51 La Cible on de Management de Projet publi e par d couvrir consulter recevoir rechercher utiliser s exprimer Focus Spi gt Commissions AFITEP une nouvelle commission Commission Chef de projet amp Analyste d affaires travailler ensemble La commission commune AFITEP IIBA France A commenc ses travaux de reflexion autour de l articulation des fonctions Chef de projet et Analyste d affaires cliquez ici Participation aux travaux sur inscription adherent afitep org pour les adh rents
126. tion et la performance organi sationnelle Afitep La Cible Tous droits r serv s pour tous pays La Revue Francophone du Management de Projet 3 me trimestre 2013 En effet ceci n cessite toute une d marche progressive qui d pend de l entreprise et de sa capacit moderniser sa m thode de travail coordonner partager les infor mations via EDI Electronic Data Interchange int grer le processus logistique et mesurer la performance Dans le but de mieux comprendre la performance logistique et ses articulations op rationnelles et manag riales Thier ry JOUENNE a pu identifier trois leviers int ressants pour pr senter la performance logistique auxquels il ajoute l eco logistique La notion de leviers de performance logistique met en rela tion les objectifs strat giques fix s par l entreprise et leur traduction op rationnelle sur le processus de la Supply Chain Ces leviers constituent des pistes d action en ac cord avec la finalit de la logistique Cette derni re est d finie par James Hesket 1977 R pondre la de mande un niveau de service fix moindre co t Fiabilit logistique La fiabilit pour les entreprises repr sente la probabilit d accomplir une mission par rapport au budget temps et budget cout cahier des charges Au niveau logistique on pourrait dire que la fiabilit traduit la capacit de l entre prise de r pondre la demande client se
127. tivit est la capacit d adapter rapidement les volumes de production et la vari t des produits aux fluctuations de la demande ainsi que d acc l rer la mise sur le march d un nouveau produit En outre l agilit aide fournir le bon produit au bon mo ment pour le consommateur ce qui est l objectif principal de toute cha ne logistique 13 51 La Cible FITEP Ei tl Association Francophone de Management de Projet publi e par d couvrir consulter recevoir rechercher utiliser s exprimer N 122 La Revue Francophone du Management de Projet Ill La performance par l agilit logistique L agilit de la cha ne logistique est une notion qui englobe au sein de l entreprise les structures organisationnelles les systemes d information les processus de logistique et en particulier les mentalites L agilit comme terme a d abord t introduit dans la pra tique par certains cr ateurs a l Institut de lacocca Le haut University USA Swafford et al 2006 Yusuf et al 1999 Le terme a t d abord mentionn dans la litt rature dans le rapport du 21e si cle de fabrication Enterprise Strategy 1991 McCullen et Towill 2001 Agilit a t d finie par plusieurs auteurs des cher cheurs ainsi que plusieurs institutions Tableau 2 Elle a t d finie par l Institut lacocca of Le high University USA comme un syst me de fabrication avec des capacit s techniques dures
128. tographie par Julie Vermont dipl m e d Euromed Management Suppl ment au n 4728 du 20 mai 2011 Page 22 Engagement volontaire ou r glement Claude FUSSLER Conseiller Sp cial United Nations Global Compact Pour la majorit des entreprises et de leurs organisation patronales le choix est clair seul le modele du volontariat est tolerable et efficace Ce mod le part d un cadre de bons principes tels que le Pacte Mondial des Nations Unies les Principes di recteurs de l OCDE pour les entre prises multinationales ou d s maintenant la nouvelle norme ISO 26000 Suppl ment au n 4728 du 20 mai 2011 Page 23 Gouvernance nouvelle donne Vinca BIGO Professeur chercheur Euromed Management Une gouvernance responsable passe par une coute active et une s lection engag e des parties pre nantes Alors que l on engage des guerres au nom de la democratie ce concept peine encore merger dans les modes de gouvernance de nos entreprises Qu elle soit repr sentative ou participative la d mocratie par e de vertus pour la gestion des tats semble une uto pie irr aliste dans le monde des affaires Qui dit responsable dit capable de r pondre Suppl ment au n 4728 du 20 mai 2011 Page 23 42 51 La Cible Quand les coles s ouvrent aux parties prenantes Antony BUONO Fondateur du centre Alliance for Ethics and Social Responsibility Bentley Universit
129. tranet R seau ou outils ouverts et libres d acc s ou bien priv s a acces contr l Cette cl essentielle de la n cessit de prendre en compte la probl matique des r seaux sociaux et outils collaboratifs dans votre projet est d velopp e dans cet article comme tout au long du s mi naire 6 51 La Cible voire de former les acteurs du projet l application des r gles de discretion souvent associ es au projet dans le cadre de l utilisation du web 2 0 De fait les enjeux de concurrence d intelligence cono mique ou d espionnage industriel doivent tre mesur s avec minutie Enfin face aux acteurs externes au projet ou lorga nisme tant l utilisation du web 2 0 que les reactions que cette utilisation peuvent susciter doivent tre anticip es Comment encadrer les messages mis anticiper les r actions possibles g rer un afflux de retours critiques ou n gatifs Chaque projet est porteur de ses propres r ponses et la capitalisation de l exp rience trouve la un nouveau champ d application essentiel En fonction des r ponses le di mensionnement des ressources allou es la gestion des RS et OC peut changer du tout au tout Pour une mise en uvre efficace D une part en mati re de management de projet il est commun ment admis m me si cela peut sembler un peu caricatural que ce qui n est pas dans le plan de manage ment de projet PMP n existe pas Afitep La Cible
130. urope de l ICEC cherche auront trait la certification de comp Congr s ICEC 2014 MILAN Nous voulons rappeler tous que le IX Congr s mon dial de ICEC se tiendra a Milan en Italie du 20 au 22 Octobre 2014 AICE Association italienne pour la gestion totale des co ts est en charge de l organisation en collabora tion avec FAST F d ration italienne des associations scientifiques et techniques Le theme principal du Congr s consiste a d terminer comment l application du TCM Total Cost Manage ment peut contribuer au d veloppement de l entre prise de mani re durable D autres pistes de re Afitep La Cible Tous droits r serv s pour tous pays tences aux standards professionnels et aux normes de bonne ex cution Nous demandons tous les professionnels aux pro fesseurs d universit chercheurs gestionnaires tu diants et autres personnes actives dans le domaine de la gestion totale des co ts et dans des domaines con nexes de pr senter des propositions de communica tions au Congr s Pour ce faire le call for papers est disposition sur les site du Congr s http www icec2014 it de l ICEC http www icoste org et de l AICE http www aice it org 3 51 La Cible FITEP Ei tl Association Francophone de Management de Projet publi e par d couvrir consulter recevoir rechercher utiliser s exprimer Congr s ICEC 2014 MILAN ter ap
131. urtout avec la mont e en puissance d investissements lourds dans l industrie mini re de l nergie et de l aluminium la question sur les retomb es conomiques prend une impor tance sans pr c dent au sein de la soci t qu b coise dans les minist res dans les organisations publiques comme priv es et au niveau de la population Les r actions strictes et les critiques s v res sont adres s es sur ces projets Des outils de mesure et d valuation nouveaux sont labor s et rendus publics nombre d tudes d impacts de projets miniers hydro lectriques gaziers et p troliers et publics sont r alis es Les d bats sont de plus en plus pr occupants Ce portrait de l actualit qu b coise am ne se poser un certain nombre d interrogations Quel instrument de me sure appliquer pour une valuation exhaustive de la valeur globale d un projet sur l conomie l environnement et sur la soci t qu b coise Le mod le intersectoriel du Qu bec d velopp dans les ann es 1960 et bonifi en 2003 satisfait il pour clairer suffisamment sur l impact cono mique global des projets au Qu bec Ill Revue de la litt rature L analyse et l valuation de projet sont n es avec la ges tion de projet en tant que discipline proprement dite I Little Jan M D et Mirrlees James A 1968 P Dasgup ta A Sen et S Marglin 1973 L Squire et C Van Der Tak 1975 Dans un premier temps il est quest
132. vise d mystifier et favoriser l utilisation du web a des fins d affaires pour les chefs d entreprise et Si vous n avez pas encore r alis cet tat de leaders fait dans votre pratique il y a de fortes chances que vos projets soient fant mes au sein de l organisation Car dans un contexte o les attentes sont de plus en plus lev es et les ressources de plus en plus limit es ou convoitees les jeux de pouvoirs et d influence en coulisse sont la norme fut l un des premiers donner des formations interactives sur Linkedin 2007 et est l auteur de Linkedin pour n ophytes un livre d une cinquantaine de pages disponible gratuitement sous la forme de 6 ebooks Plus de 10 000 personnes ont consult t l charg ou repris ceux ci depuis leur parution en ao t 2011 notamment Le Cercle Les chos en France Le Project Management Institute PMI a m me r cemment int gr la Gestion des parties prenantes 4 processus de gestion des parties pre comme un nouveau domaine de connaissances dans la cinqui me version du PMBOK nantes Dans ce billet je vise pr senter bri vement les 4 proces Le PMI d compose ce nouveau domaine de connaissances sus mis de l avant tout en int grant mon exp rience per en 4 processus que je traduis ici librement sonnelle e Identifier les parties prenantes Afitep La Cible Tous droits r serv s pour tous pays 25 51 La Cible e Planifier la gestion des parties pren
133. y Boston 2 Ayant comme mission de Bernard BELLETANTE former les managers les Busi Directeur g n ral d Eu ness School sont les cibles romed r currentes de questionne ment quant au r le qu elles ont pu jouer dans l mergence des crises financi res cologiques ou sociales Cela a conduit bon nombre d tablissements d enseignement su p rieur mettre d avantage l accent sur l thique et la res ponsabilit manag riale Pour assurer leur mission dans un monde en perp tuelle mutation les Business Schools doi vent n anmoins aller bien au del de quelques cours isol s sur des probl matiques de la RSE Responsabilit Soci tale des Entreprises Suppl ment au n 4728 du 20 mai 2011 Page 23 Quelle gestion des parties prenantes en 2050 Pierre RADANNE Pr sident de l association 4D ancien pr sident de l Ademe 2050 Probablement la date la plus d terminante de ce si cle Celle d un grand basculement avec la fin de la croissance d mographique humaine Avec 9 milliards d habitants dix fois plus qu en 1800 Celle aussi de deux des missions de gaz effet de serre et galement le moment de la confrontation la raret des combustibles fossiles L humanit devra donc avoir r ussi d ici la g rer collecti vement sa plan te la seule plan te habitable dans ce coin de galaxie La grande aventure du XXe si cle sera ainsi l instauration d une gouvernance mondial

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