Compte-rendu de la journée Inspire et catalogage
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1. I E T I GEOBOURGOGNE Mission 8271_1 5 SEMINAIRE INSPIRE Dr E SEMINAIRE INSPIRE CATALOGAGE DU 28 JANVIER 2010 COMPTE RENDU DES DEBATS R f rence 8271_1_CR_20100128_V1 doc Date compte rendu 08 02 2010 Version V2 R daction S verine PICHARD IETI Consultants Supervision Henri PORNON IETI Consultants Diffusion Peggy MINGOT chef de projet G oBourgogne GIP e Bourgogne Emmanuelle MALARBET charg d tudes SGAR Fabrice VINCENT Charg de mission TIC SGAR Pr fecture Luc le THOREL Responsable SIG Conseil R gional Sylvain GALIMARD Chef du Service Information G ographique et Am nagement DREAL Xavier DUPASQUIER IETI Consultants Version Date Fichier Objet des volutions 1 08 02 2010 8271_1_CR_20100128_V1 doc Compte rendu de la journ e du 28 janvier 2010 2 12 02 2010 5215932084bf2565521f6b Correction suite au Comit de Pilotage du 12 f vr 10 17 Boulevard des Etats Unis 71000 M coneT l 03 85 21 91 91 Fax 03 85 21 91 92 S A S au Capital de 133 000 SIRET 341 555 431 00046 APE 6202A RC MACON B 341 555 431 TVA intra FR 15 341 555 431 Agr ment de formation n 26 71 00301 71 ieti ieti fr www ieti fr TEMOIGNAGE DE M YANN CONVERS GRAND CHALON Yann CONVERS est charg de mission SIG depuis mai 2009 Il s agit d une Communaut d Agglom ration de 110 000 habitants qui mutualise ses services avec la Ville de Chalon sur Sa ne 1 700 personnes tr2. 4 d partements de la R gion Peggy MINGOT Ne pas h siter aller visiter le site Internet de G OBOURGOGNE actualit s documentation sur INSPIRE Ne pas h siter galement faire remonter des remarques Les coordonn es de Julien MATHIEU et Sylvain GALIMARD ne sont pas exactes dans la charte fournie aux participants e Sylvain GALIMARD 03 80 63 18 62 e Julien MATHIEU 03 80 63 18 56 Etude Catalogage 5215932084bf2565521f6b G oBourgogne IETI Consultants 12 02 2010 Page 13
3. IER indique par ailleurs que les outils qui suivent la norme permettent de valider la fiche qui est renseign e Syndicat mixte d quipement touristique du canal du nivernais Si un tableau de donn es dans Excel contient uniquement l adresse postale ou des coordonn es X et Y est on concern par INSPIRE Marc LEOBET indique que s il y a des coordonn es X Y le fichier est concern par INSPIRE S1 dans une fiche de m tadonn es parmi les 25 champs obligatoires Henri PORNON indique qu en dehors de la probl matique INSPIRE on aurait pu Emmanuelle on a renseign le champ condition trouver la place de cette information diffusion restreinte une formulation un MALARBET d utilisation en indiquant la peu moins pr cise qui ne pr cise pas si les donn es sont gratuites ou payantes SGAR Bourgogne tarification cela signifie que l on a Xavier DUPASQUIER pr cise que le champ en question s intitule mode de d j d fini une politique de diffusion tarification Marc LEOBET Comment sait on si les donn es sont gratuites ou non Soit on a un arr t Minist re de l Ecologie minist riel ou une d lib ration d une assembl e pour faire payer la donn e soit la donn e est gratuite La r gle est la gratuit La prestation de GAIAGO pr voit Serge MANG de GAIAGO indique que cette question sera tudi e avec les groupes de travail Il en profite pour indiquer que des groupes de travail
4. ION DE M MARC LEOBET R ponse la question sur le surco t li au changement de mod les de donn es Pour les donn es de l annexe 3 les autorit s publiques ont jusqu 2019 pour modifier le mod le de donn es Compte tenu de la dur e de vie d un Syst me d Information Marc LEOBET estime que d ici 2019 les SIG actuels auront t renouvel s A cette occasion il faudra int grer les nouveaux mod les de donn es INSPIRE De ce fait Marc LEOBET pense que cela ne repr sentera pas un surco t R ponse la remarque concernant les gestionnaires de r seaux Les collectivit s sont tr s satisfaites du fait qu on impose des contraintes sur les concessionnaires car elles ne parviennent pas toujours obtenir leurs donn es Les gestionnaires sont moins enthousiastes Les contraintes de mobilisation de donn es n en sont qu leur d but On est en train de rentrer dans une d cennie avec beaucoup d obligations concernant la diffusion des donn es Etude Catalogage 5215932084bf2565521f6b G oBourgogne IETI Consultants 12 02 2010 Page 2 Explication sur les flux d change d information concernant la Directive INSPIRE M LEOBET Le pr sent Des experts IGN BRGM travaillent en groupes de travail destin s pr senter des projets de mod les de donn es Ces projets ont t pr sent s sur le WEB Des milliers de r ponses pour les 27 Etats membres sont parvenues avec de nombreuses critiques Les experts ont r
5. VRE gestionnaire de r seau qui est propri taire des donn es ils le feront Par ailleurs ERDF a un devoir de connaissance de son r seau C est dans le cadre de la reconduction des contrats de concession avec ERDF qu on peut imposer la production de donn es conformes INSPIRE Etude Catalogage 5215932084bf2565521f6b G oBourgogne IETI Consultants 12 02 2010 Page 5 Et en quoi INSPIRE peut faciliter l acc s l information g ographique Cette question se pose pour tous les gestionnaires de r seaux conc d s ou pour la difficult de r cup rer les plans de r colement quand les travaux sont achev s Marc LEOBET a t en contact avec le g omaticien d ERDF qui voit la Directive comme une opportunit pour mieux g rer l information g ographique La loi impose ERDF de soumettre ces donn es la Directive INSPIRE s il ne respecte pas cette loi le cas peut tre port devant les tribunaux La Cour de justice europ enne par exemple on peut crire la Commission europ enne pour d noncer la mauvaise volont de l organisme ce qui d clenchera des proc dures juridiques En France il existe les tribunaux administratifs quand un texte n est pas respect Le partage des donn es est obligatoire depuis le 15 mars 2009 L Etat est conscient que cela ne peut pas se faire du jour au lendemain Mais des proc dures juridiques peuvent tre mises en uvre ERDF sera oblig
6. alis une version 2 Ils ont fait appel des testeurs des remarques ont t faites l issue des tests Cela a d bouch sur une version 3 qui est soumise une tape de vote par les Etats membres la France est repr sent e par le Minist re de l Ecologie et le Minist re de l Agriculture En pratique la coordination fran aise envoie les l ments soumis au vote des organismes repr sentatifs et les r unit ensuite pour en d battre le groupe de liaison INSPIRE du CNIG associe le niveau communal AITF et AMPF l AICF l Association des D partements de France l Association des R gions de France Ce groupe de liaison a chang sur divers points de vue et prioris les tapes La France a mis autant de remarques que tous les autres Etats membres r unis 2 3 des remarques indiqu es ont t prises en compte La France p se donc sur le r glement europ en Le R glement a t vot l unanimit Le futur comment va t on faire dans chaque territoire flux descendant Sch ma g n ral r forme en cours du CNIG L objectif est que les collectivit s soient mieux repr sent es l Etat sera minoritaire Le pr sident du CNIG sera un lu parlementaire et non plus un fonctionnaire L Etat tant conscient qu INSPIRE est inapplicable dans les petites structures le sch ma dessin dans le groupe de travail du CNIG est le suivant identification de relais locaux pour porter ces pr occupations tr s techniques L
7. availlent en tout la CA et la Ville Une des premi res t ches qu il a r alis e son arriv e est la refonte de l infrastructure pour r pondre aux exigences de la Directive la Communaut d Agglom ration a pris le parti de remettre plat l infrastructure elle sera op rationnelle vers le 1 mars 2010 cela concerne le service pour la diffusion et la consultation des donn es du Grand Chalon Il s agit d une r ponse au besoin de fournir un service aux 39 communes de l agglom ration En termes de catalogage il n existait rien de structur r pondant aux normes ISO Il s agit d un objectif pour cette ann e qui pourrait s articuler avec un accompagnement de GEOBOURGOGNE Question de Yann CONVERS est ce que l outil de catalogage sera install dans chaque structure ou mutualis dans le cadre de GEOBOURGOGNE Concernant l obligation de se mettre en conformit avec le mod le de donn es de la Directive Yann CONVERS demande s il existe un service pour la transformation des mod les de donn es Pour un organisme la modification du mod le de donn es repr sente un surco t qui soul vera un d bat dans sa collectivit Concernant les partenaires de l Agglom ration Yann CONVERS note que les concessionnaires sont plus tourn s vers les outils de DAO que vers les SIG Le fait de leur indiquer qu ils auront des obligations vis vis de la Directive va aider la collectivit obtenir plus facilement des donn es INTERVENT
8. de donn es Or on change si on se conna t et si on se parle Le niveau national souhaite donc que GEOBOURGOGNE arrive mettre le dispositif en place et que les organismes puissent changer des donn es Etude Catalogage 5215932084bf2565521f6b G oBourgogne IETI Consultants 12 02 2010 Page 3 TEMOIGNAGE M PIERRE BAREILLE NIVERLAN Pierre BAREILLE est le responsable technique du Syndicat Mixte Niverlan en charge du d ploiement du r seau tr s haut d bit dans la NIEVRE Quand on d ploie un r seau de fibre optique par exemple il est important de savoir o est positionn le c ble sur quel support quel est le type d infrastructure d accueil comment transite la bande passante sur ce support Int r t d avoir des donn es sp cifiques sur ce qui a t d ploy Connaissance et lecture imm diate du patrimoine Lecture imm diate du r seau sur tout le territoire Utilisation de ces informations de fa on instantan e en cas d intemp rie et de coupure de r seau Int r t de mettre disposition totalement ou partiellement les donn es dont dispose le syndicat Pour les nivernais ces informations permettent de prendre connaissance de l tat d un r seau sur un territoire Les donn es mises en ligne pour le grand public ne sont pas tr s techniques Possibilit de descendre plus finement en termes de croisement de donn es pour ensuite travailler sur ce r seau voir comment le faire agrandir qu
9. de diffuser son r seau de transport et de distribution Luc LE THOREL Conseil R gional Est ce qu on peut se cacher derri re le caract re confidentiel de ses donn es Marc LEOBET Il existe des r gles en France sur les documents administratifs qui pr voient 8 restrictions de diffusion mais il ne voit pas comment le r seau de transport d nergie serait concern par ces restrictions cela concerne surtout les donn es relevant de la d fense nationale ou de la s ret Tant que la Directive n est pas Xavier DUPASQUIER pr cise que dans sa pr sentation il a mis en parall le le calendrier avec le retard en droit fran ais Mais il est important de pr ciser que les Henri PORNON tran e en droit fran ai Fr dt de x aa j x F ORNON ASP OSes aro gals ch ances indiqu es dans le calendrier diapositive 21 doivent tre tenues m me si la IETI Consultants est ce qu on peut attendre pour 2e i nn ue 2 se transposition n est pas achev e Mais il s agit d un chelonnement sur plusieurs ann es se mettre en conformit SRE i il n est pas n cessaire de faire tout tout de suite La mise en uvre de la Directive commence en 2009 quel que soit l avancement de la Xavier DUPASQUIER a S l que q PR she 3 transposition en droit fran ais Les champs de mise en uvre sont ceux indiqu s dans la indiqu en introduction qu il y sv en 3 AE l Directive Ce qui n est pas
10. de mettre en place un de pour publier les donn es de portail national Il y en a un le G ocatalogue pour chercher les donn es Bient t la l IGN visualisation des donn es sera possible dans le G oportail notamment celles de l IGN Etude Catalogage 5215932084bf2565521f6b G oBourgogne IETI Consultants 12 02 2010 Page 9 QUESTIONS CATALOGAGE NOM ORGANISME QUESTIONS REPONSES Emmanuelle Est ce moi de cataloguer des Henri PORNON indique qu on peut le faire mais il vaut mieux ne pas les diffuser MALARBET donn es que j utilise mais qui ne d autres organismes car on prend une responsabilit que l on n a pas SGAR Bourgogne sont pas de ma responsabilit endosser Il vaut mieux en rester une diffusion en interne Henri PORNON Les logiciels type Word Excel peuvent tre utiles pour d marrer mais si on veut aller plus loin que le simple inventaire si on veut enrichir et partager les m tadonn es on utilisera alors des outils type GEOSOURCE On partage alors une norme ISO 19115 donc on doit tous faire Dans quel outil cr er les l effort de renseigner telle m tadonn e dans tel format dans les m mes catalogues Et comment diffuser sp cifications S ankin pan ain L On peut aussi se demander o seront stock es les m tadonn es Dans chaque n ia a T a a i i organisme dans le portail de GEOBOURGOGNE sur le G oportail Si je veux 2 dre eue que les utilisateurs de mo
11. e niveau r gional est reconnu par tous comme tant le niveau d intervention optimal sur de nombreux sujets ce qui se v rifie par le fait qu il existe d j des animations territoriales r gionales dont GEOBOURGOGNE L appui national est surtout d ordre informatique et technique l animation locale tant assur e par les r gions L IGN va ainsi tre mobilis pour apporter ses moyens et ses comp tences aux structures d animations locales r gion surtout ou d partement si ces animations sont d finies cette chelle L tat d esprit est de dire qu il s agit d initiatives r gionales port es par les collectivit s on ne veut pas laisser entendre que c est l Etat qui d cide Le minist re incite les DREAL participer aux animations r gionales L Etat va diffuser un ficher Excel avec une macro qui permet de faire un export en XML selon la norme ISO 19115 ce qui permet de s affranchir d utiliser des outils tels que GEOSOURCE afin d alimenter l outil de catalogue national L Etat fran ais a l obligation de rendre compte l Union Europ enne 20 millions d euros d amende en cas de retard puis 30 millions par semestre L Etat est donc lui m me sous pression Mais il ne peut pas tout faire tout seul il est donc oblig de mettre en place un mode de fonctionnement collaboratif C est ce mode de fonctionnement qui est mis en place par le groupe de liaison INSPIRE flux d information appui avec les r gions car besoin d change
12. elle infrastructure est mobilisable Sur quel territoire peut on d ployer des r seaux Est ce que je peux mobiliser des infrastructures de r seau Besoin galement d avoir une lecture en terme de service est ce que le service est pr sent qui l exploite comment on peut le mettre en place Cette optimisation du traitement des donn es n est possible que si on partage les donn es Les premiers l ments pr voir quand on fait produire des donn es par des prestataires ce sont les modalit s de restitution des donn es mode d emploi pour faciliter leur diffusion Etude Catalogage 5215932084bf2565521f6b G oBourgogne IETI Consultants 12 02 2010 Page 4 QUESTIONS INSPIRE NOM ORGANISME QUESTIONS REPONSES Les exemples ont t pris sur la BD ORTHO Mais cette Xavier DUPASQUIER indique qu il a pris l exemple d un orthophotoplan sp cifique comme celui du Grand Chalon par exemple ce dernier en est le producteur et le Rs on een P z de propri taire de ces donn es 1l est donc soumis INSPIRE dobligation PUSQUE nous ne La BD ORTHO doit en effet tre catalogu e par l IGN sommes pas le producteur Il s agit d un cas particulier Il s agit de donn es th matiques relevant de l annexe 3 m me si elles s appuient sur des donn es de l annexe 2 Le niveau de d tail de l annexe 3 n est pas encore connu Marc LEOBET indique qu il s agit d une question pos e il y a peu de temps par le Minis
13. es changes de m tadonn es et qu l inverse les tests de moissonnage n ont pas t convaincants jusqu pr sent Olivier HOUISTE DDT 21 Concernant le groupe de travail 1l pourrait tre int ressant de voir si pour des donn es issues d un producteur de donn es qui n a pas saisi de m tadonn es des usagers externes ont cr des m tadonn es pour ces donn es Exemple si la DGFTIP n a pas cr de m tadonn es sur le cadastre PCI vecteur il y a peut tre des utilisateurs qui ont saisi des m tadonn es sur le cadastre PCI Vecteur Il serait int ressant d associer les producteurs aux utilisateurs des donn es qui ont parfois des connaissances plus pr cises sur les donn es afin d am liorer le partage d information Syndicat mixte d quipement touristique du canal du nivernais Quelles sont les m tadonn es pour les informations touristiques Dans les m tadonn es conformes INSPIRE faudra t il mettre les 1000 champs des m tadonn es des bases Tourisme Xavier DUPASQUIER indique qu il y a une vingtaine de champs renseigner pour tre compatible avec INSPIRE A voir dans les 1000 champs s il y a la vingtaine d attributs n cessaires Voir aussi si ces donn es entrent dans un des th mes des 3 annexes Henri PORNON pr cise qu il ne faut pas faire de confusion entre les lots de donn es et les m tadonn es ne pas confondre les attributs et les champs de m tadonn es S il
14. es et qui pourraient en faire ensuite une exploitation commerciale La Directive pr voit elle des exigences de pr cision Xavier DUPASQUIER indique que dans les m tadonn es il est possible d indiquer des chelles de pr cision d utilisation des donn es Et on peut d crire des restrictions d usage Maxime GERMAIN D SDIS 21 g om trique peut on tre Marc LEOBET expose les points suivants attaqu en cas d inexactitude Les donn es en question ne sont pas soumises INSPIRE donn es du SDIS Il g om trique ne conna t pas de jurisprudence o l inexactitude du cartographe a entra n une condamnation Etude Catalogage 5215932084bf2565521f6b G oBourgogne IETI Consultants 12 02 2010 Page 8 Les questions de g n ralisation ne sont pas prises en compte dans INSPIRE Il n y a plus aucun crit re de pr cision de la donn e ce qui pose un probl me pour la France donc des n gociations sur cet aspect sont en cours La France veut en effet rendre obligatoire la notion de pr cision en m tre dans la Directive INSPIRE afin de simplifier le travail des g omaticiens quand ils traiteront les donn es et prendront des d cisions avec exemple zone de risques Dans les m tadonn es il faudra bien indiquer la pr cision l chelle d emploi des donn es Fabrice VINCENT indique que GAIAGO s est associ avec un cabinet d avocats pour mener la mission concernant le Portail ils v
15. ionnaires et mod les de donn es m me si INSPIRE ne le demande pas Aujourd hui on ne peut pas les renseigner dans les gestionnaires de catalogue Une action pr voir serait de faire voluer ces outils pour associer des mod les de donn es Lionel BARGEOT AGROSUP Concernant les services Web de consultation et t l chargement de m tadonn es et donn es quels seront les contr les d acc s aux donn es et de l usage qui sera fait des donn es Xavier DUPASQUIER indique que les donn es publiques devant tre librement accessibles on ne peut pas obliger une authentification pr alable pour acc der ces donn es Henri PORNON indique que pour ce qui concerne les services Web standards labor s qui sont ceux de l OGC L OGC s est d abord focalis sur le d veloppement de standards mais pas sur les questions de confidentialit Etude Catalogage 5215932084bf2565521f6b G oBourgogne IETI Consultants 12 02 2010 Page 7 Un travail est en train de se faire l OGC pour int grer ces Web Services g ographiques dans les standards de WEB Services informatiques qui prennent en compte les probl matiques de s curit de droit d acc s Techniquement les deux mondes se rapprochent Lionel BARGEOT pr cise que ce probl me se pose quand on rediffuse une donn e qui n est pas la notre et qu on est contraint de limiter son utilisation Xavier DUPASQUIER indique que dans ce cas l organi
16. n des personnes La principale difficult est de convaincre les services m tiers de l int r t de partager l information g ographique ce qui est d autant plus difficile car se rajoutent les contraintes pour la saisie et la structuration des donn es du fait de la Directive Yann CONVERS insiste sur la plus value pour le m tier l int r t que les services peuvent en tirer Si on oblige il ne se passera rien Il faut convaincre le service de l int r t qu il a le faire si les changes ne sont pas organis s il ne sera pas conforme INSPIRE mais aussi il ne modernisera pas ses outils de travail Xavier DUPASQUIER donne l exemple d un Conseil G n ral pour le lequel IETI Consultants a r alis une mission de sensibilisation INSPIRE Le public tait constitu d agents des m tiers du Conseil G n ral Il leur a parl de timing eux ont surtout vu les avantages les verrous que cela allait lever pour leurs m tiers respectifs Yann CONVERS CA Grand Chalon Les Annexes vont d crire ce qu on devra renseigner Les outils de catalogages ne proposent plus des dictionnaires de donn es alors que c tait le cas il y a quelques ann es Est ce qu un groupe de pression peut se monter pour que ces dictionnaires reviennent dans les outils Henri PORNON on anticipe sur l apr s midi Question pourquoi ne pas le faire m me si ce n est pas dans INSPIRE Il indique que personne n emp che de renseigner des dict
17. n organisme acc dent aux m tadonn es je vais installer DGFIP uung Tomovu AE ge l outil dans mon organisme mod les On pourrait penser que A ed r a at 2 Date els ado Mais s il s agit d une petite structure qui va renseigner quelques m tadonn es il GEOBOURGOGNE il y aurait un serait plus pertinent d utiliser l outil mutualis de GEOBOURGOGNE qui modele pour partager plus permettra de moissonner les m tadonn es de tous les organismes r gionaux facilement TUE GEOBOURGOGNE ne souhaite rien imposer aux adh rents en terme d outils Mais il est pr vu de cr er un groupe de travail sur le catalogage il est demand aux participants d indiquer dans la fiche de satisfaction s ils souhaitent faire partie de ce groupe de travail Pset imepaa e ie Sylvain GALLIMARD indique que quand il ny a pas de moissonnage il y a ArcCatalog et GEOSOURCE toujours la possibilit d import export si les m tadonn es respectent la norme Bruno POLONI ESRI proposant un outil permettant ISO 19115 par exemple entre ArcCatalog et GEOSOURCE CG21 nos ontas CS oh bise Il n y a pas d obligation d utiliser GEOSOURCE Mais cet outil sera utilis nee GEOSOURCE 9 pendant les formations car 1l pr sente l avantage d tre libre et ind pendant des fournisseurs Etude Catalogage 5215932084bf2565521f6b G oBourgogne IETI Consultants 12 02 2010 Page 10 Marc LEOBET indique le syst me d export est tr s fiable et qu il privil gie cette m thode pour l
18. ont donc tudier les questions juridiques quant la diffusion des m tadonn es et donn es Quel est le r le de GEOBOURGOGNE pour accompagner les petites Fabrice VINCENT indique qu un des objectifs de GEOBOURGOGNE est d aider les Eric DANION es organismes qui n ont pas de SIG dans ces d marches li es INSPIRE Les modalit s structures qui n ont pas les Re 3 SIEEEN ne Ne seront tudier au cas par cas une assistance au catalogage sera mise en place pour les E se EES adh rents GEOBOURGOGNE financiers pour appliquer la Directive INSPIRE fait elle tat de l obligation un acteur de mettre disposition des INSPIRE ne s int resse pas aux structures mais aux donn es Si le Conseil G n ral a Luc LE THOREL donn es selon des comp tences num ris les coll ges c est le Conseil G n ral qui est soumis INSPIRE Si un Conseil R gional Par exemple est ce que les donn es routi res doivent tre mises disposition uniquement par les Conseils G n raux organisme a produit des donn es ne relevant pas de ses missions c est cet organisme qui est soumis INSPIRE Yann CONVERS Un SCAN non g olocalis est Marc LEOBET indique qu INSPIRE concerne les donn es lectroniques Un SCAN est GRAND CHALON il impact une donn e lectronique il est donc concern Bruno POLONI Le G oportail a t il un r le Marc LEOBET indique que la Directive n impose pas l obligation
19. pr cis concerne les questions d organisation au niveau avait un support plus complet i i SS sa ka national relais points de contact et qui sont encore pr ciser via la transposition Olivier HOUISTE sur la plateforme de ue i Pour les prochaines ch ances de l annexe 1 il y aura un d calage de calendrier de 6 DDT 21 GEOBOURGOGNE Les zones ee R f Me X TANE on mois 1 an probablement par rapport ce qui est dit dans la Directive car les derni res d obligation de la Directive qui i x ES k 2 Fe d cisions prises en d cembre 2009 n ont pas abouti sur la validation des r gles de mises s appliquent de fait sont elles 2 RGS ue f os en uvre des ajustements sont en cours de discussion propos d attributs et de liste de pr cis es dans ce support f valeur pour certaines donn es de l annexe 1 Etude Catalogage 5215932084bf2565521f6b G oBourgogne IETI Consultants 12 02 2010 Page 6 Xavier DUPASQUIER rappelle l ch ance de mai 2009 obligation d changer les donn es si elles r pondent vos besoins dans le domaine de l environnement par exemple obligation de partager les informations sur les arr t s ENS avec les organismes qui sont concern s par l impact de ces ENS Bertrand AVRIAL tudiant SIG En quoi la CA du Grand Chalon est all e plus loin par rapport ce qui est obligatoire Quel est votre sentiment sur le sujet Quelle est la motivatio
20. seront cr s et que les utilisateurs de SIG recevront une invitation pour une journ e de Yann CONVERS elle la mise en place d un outil de i rune f travail en mars 5 groupes de travail seront r partis par niveau d avancement de Grand Chalon catalogage sur le portail de SDS i Ji SIG un entretien t l phonique pr alable permettra de classer les utilisateurs par GEOBOURGOGNE she a groupe Dans les groupes de travail seront tudi es les fonctionnalit s attendues notamment au niveau du catalogue Etude Catalogage 5215932084bf2565521f6b G oBourgogne IETI Consultants 12 02 2010 Page 12 Conclusion Sylvain GALIMARD GEOBOURGOGNE n impose rien Nous avons constat une attente importante de votre part sur ce qui sera mis votre disposition En terme d accompagnement nous avons pris note de votre volont de cr er un groupe de travail sur le catalogage Pour la 2 mission sur le portail GAIAGO va vous solliciter pour tudier vos besoins vos attentes Parall lement une tude sera faite sur ce qui existe d j en terme de portail dans les autres r gions Le portail GEOBOURGOGNE sera mis en place par un autre prestataire d ici fin 2010 Emmanuelle MALARBET Le calendrier est charg Les organismes seront beaucoup sollicit s en mars avril 2010 pour d finir ce que sera le portail de GEOBOURGOGNE en compl ment des sessions de formation sur le catalogage assur es par IETI Consultants dans les
21. sme n est pas concern par les pr rogatives INSPIRE puisque ces donn es ne sont pas les siennes Marc LEOBET pr cise l tat d avancement par service Service de recherches aucun frein la recherche des m tadonn es ne doit tre mis en place Certaines donn es ne sont pas diffusables mais les m tadonn es concernant ces donn es doivent tre diffus es sauf celles concernant les projets d op rations militaires D fense Nationale Service de consultation voir l avis de la CADA qui a refus l autorisation de mettre un bouton j accepte les conditions On n a pas le droit d imposer des contraintes et de demander quoi que se soit sur l usage des donn es Service de t l chargement on a le droit de mettre des restrictions paiement et une gestion des droits d acc s car les droits ne sont pas les m mes entre le Grand Public et les autorit s publiques Luc LE THOREL Conseil R gional O se situe t on entre la gratuit et le paiement qu est ce qu on est en droit de demander Xavier DUPASQUIER indique qu INSPIRE promeut la gratuit entre les autorit s publiques La tarification est une exception qui permet d assurer la p rennit du service gestionnaire de la donn e et l am lioration des donn es mise jour mais elle ne doit pas permettre de faire des b n fices Il sera par exemple possible de mettre en place un syst me de tarification pour des prestataires priv s qui acc deront aux donn
22. t re de l Agriculture qui d termine quel jeu de donn es est dans INSPIRE Il n y aura pas de liste de jeux de donn es concern es par INSPIRE la Commission estime qu une telle liste pourrait restreindre le champs de la Directive Comment savoir dans quelle f Sada Chacun doit se poser la question de l appartenance de ses donn es une annexe C cile FRANCHOIS Eo DE SUENO donnees Xavier DUPASQUIER indique que les gestionnaires devront d cider ensemble Pour INAO e puen sontconcemiges parli l INAO voire ventuellement avec les minist res de l Environnement et de Directive Exemple des zones l Agriculture Appo MAUGA CONOIS C cile FRANCHOIS pr cise qu il s agit de donn es faisant l objet de d crets europ ens il serait utile que tous les Etats rangent ces donn es dans la m me annexe Marc LEOBET indique que quand la Commission commencera travailler sur les annexes 2 et 3 des listes seront d finies avec des mod les conceptuels de donn es sauf pour certaines donn es plus complexes b timent 3D par exemple Pour les donn es m tiers un peu plus sp cifiques la Commission aidera les organismes d terminer dans quelles annexes se situent ces donn es Comment peut on imposer Xavier DUPASQUIER indique que ce n est pas au SIEEEN d imposer INSPIRE Eric DANION l application d INSPIRE un ERDF C est INSPIRE qui s impose eux mais la question est de savoir dans quel d lai Syndicat d lectricit de la NIE
23. y a 5 tables donn es g rer il y aura 5 lots de m tadonn es renseigner m me s il y a 4000 champs par tables Marc LEOBET indique que les donn es li es au tourisme ne sont pas dans INSPIRE Par ailleurs la norme ISO 19115 rend les m tadonn es compatibles INSPIRE Olivier HOUISTE de la DDT 21 indique que quand on a des donn es g ographiques directes ou indirectes donn es Excel ramen es la commune on est concern par INSPIRE Marc LEOBET contredit cette information en indiquant que l interpr tation actuelle est qu un objet g ographique doit avoir une g om trie pour tre concern par INSPIRE Les informations dans un tableau Excel sont des attributs INSPIRE concerne la g om trie Les fichiers Excel contenant par exemple des liste d adresses sans couche g om trique ne sont donc pas soumis INSPIRE Etude Catalogage 5215932084bf2565521f6b G oBourgogne IETI Consultants 12 02 2010 Page 11 Emmanuelle MALARBET SGAR Bourgogne Entre INSPIRE et ISO 19115 comment savoir si on a bien catalogu si on ne s est pas tromp Vers qui s adresser pour valider les m tadonn es Marc LEOBET indique que l IGN concentre ses comp tences les chelons r gionaux font les relais En attendant que l IGN remplisse ses fonctions d assistance au niveau national Marc LEOBET peut r pondre aux questions complexes qui n ont pas trouv de r ponse l chelon r gional Xavier DUPASQU
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