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1977.2 - ssm.lu

1. Tranquo Buscopan procure la detente psychique et somatique Composition 1 drag e contient Buscopan 10 mg Oxaz pam 10 mg Formule Hyoscin N butylbromid 10 mg 7 chloro 1 3 dihydro 3 hydroxy 5 phe nyl 2H 1 4 benzodiazepin 2 on oxazepam 10 mg Dicalcii phosphas Sacchar lact Amylum Silic oxyd colloid Magnes stearas q s pro compr uno Polyvidonum Saccharum Talc Acac gum Titan oxyd Tartrazin pro colore Methyl paraoxybenzoas Propyl paraoxybenzoas Glycolumpo lyethylen 5000 6000 Carnauba cera et cera alba obduct Indications Tous les tats spastiques du tractus gastro intestinal surtout lorsqu ils sont condition n s par des tats de tension psychique angoisse agitation surmenage nervosit tels que Troubles gastriques d origine nerveuse estomac irritable crampes d estomac Maladie ulc reuse et gastro duod nite Douleurs spasmodiques des voies biliaires avec sensation de pesanteur et de r pl tion Diarrh es et constipations d origine nerveuse Spasmes et dyskin sies du tractus intestinal dus des facteurs nerveux et motionnels p ex dans la colique muqueuse la colite ulc reuse et le dumping syndrome Hoquet Posologie Sauf avis contraire du m decin 1 drag e 3 4 fois par jour avec un peu de liquide Eventuellement la dose devra tre ajust e jusqu obtention de l effet optimal pour le patient Remarques Comme pour presque tous les m dica ments
2. Analg sique antipyr tique antirhumatismale contre toutes les n vralgies re froidissements migraines Influenza douleurs p riodiques Contre indication A n utiliser que sous surveillance m dicale en cas de maladie r nale grave Ne pas donner aux enfants de moins de 15 ans Posologie Adultes 1 3 cachets par jour de pr f rence avec une boisson chaude non al coolique Enfants 1 2 cachets par jour Ne pas donner aux enfants de moins de 15 ans e a Nos d positaires Ets HANFF Fr res Maison Mathis PROST Comptoir Pharm Luxemb 60 rue de la Vall e 4 rue du Fort Wallis 23 rue Mercier Luxembourg Gd Duche Luxembourg Gd Duch Luxembourg Gd Duch Ets UNIPHARMA St Exploitante des Laboratoires du Dr KIRCHNER 24 rue de Verdun 67000 Strasbourg Echantillon sur demande emm guronsan 15 et 30 comprim s effervescents FORMULE Glycuronamide 400 mg Acide ascorbique 500 mg 1 3 7 trimethyl 2 6 dioxopurine 0 mg Excipients q s p 1 comprim effervescent DETOXICANT detoxalgine EFFERVESCENTE TAMPONNEE FORMULE Glycuronamide lt 200 mg Acide ac tyl salicylique 875 mg Acide Ascorbique 200 mg Excipient q s p 1 comprim d environ3 680 gr ANTI RHUMATISMALE ANTI INFLAMMATOIRE rodent MEDICAMENT POLYVALENT AVEC EFFET BACTERIOSTATIQUE ET ANTIINFLAMMATOIRE DES MUQUEUSES DE
3. BULLEIIN de la Soci t des Sciences M dicales du Grand Duch de Luxembourg N 2 Decembre 1977 114 ann e re R tung Schwellung Schmerz ein Hals f r iIMmposi as vel ZUSAMMENSETZUNG 1 Tablette enth lt Gramicidia LES 292 26 HEV 0 3 mg Cetylpyridiniumchlorid KR LE Ve 2 0 mg 2 4 Dichlorbenzylalkohol 20mg p Aminobenzoes ure thylester 20mg INDIKATIONEN Bei infekti s entz ndlichen Erkrankungen des Mund Hals und Rachenraumes Stomatitis Soor Gingivitis Angina ton sillaris und Pharyngitis Zur Nachbehandlung operativer Eingriffe im Mund Rachen und Kehlkopfbereich sowie bei bakteriellen Sekund rinfek tionen im Verlauf einer Virusgrippe KONTRAINDIKATIONEN Bisher nicht bekannt DOSIERUNG Tags ber alle 2 Stunden 1 Tablette im Mund langsam zer gehen lassen Bei Kindern gen gt die Einnahme von t glich 4 Tabletten Tabletten nicht kauen nicht schlucken HINWEIS Bei magenempfindlichen Patienten k nnen gelegentlich Beschwerden wie z B belkeit auftreten Meist gen gt dann eine Verringerung der Dosis HANDELSFORMEN O P mit 24 Tabletten INTEGRAL S A 25 rue d Epernay Luxemburg BULLETIN de la Societe des Sciences Medicales du Grand Duch de Luxembourg N 2 D cembre 1977 144 ann e Bulletin de la Soci t des Sciences M dicales du Grand Duch de Luxembourg Publi sous
4. 3 3 M VIBRAMY CINE H F Z E DEPARTEMENT PHARMACEUTIQUE rue L on Th odore 102 1090 Bruxelles Tel 02 426 49 20 berg ape ee de l ulcere gastrique et en re cie u vantages suivants pas de pre eg pas de ae gu risons Wess ER dens la veitement ambulatoire m me chez les ulc reux les plus graves le produit est th rapeutiquement actif caved s FORMULE INDICNRIONS Alum hydr coll 100 mg Bismuth subnitr Wleeneweastriquemet pyrosis et r gur 100 mg Magnes subcarb 200 mg Natr gitationse bicarb 100 mg Succ liquir deglyc 380 mg Dans ces legeancda Sjiipermet g n Rhamni frang cort 30 mg Tale Magnes ralement traitementwambulatoine ainsi que Stear Amyl solani l apph rtuon moinsstuictekdutsesimeltzaditionnel Bo i na RT A BOSOFOGIE ACTION G ter les substances ial aa weillis as a Sie e du gmedecin 2Xcomprimes 3 pour combattre i esoe idie Bs TS OUT les repas lfesKcomprimes Caved S Or ent dn Streets ST en machesWet aval s l action favorables onl SER gs amp SES L Gem d nal e ABS L adniaisradion de Caved S peut en Son utilisatre TT at toujours dif caro q trainer une des selles carr e paid marti ECH DS daires CA OG EU A RUSS ENV NT ONE provoqu e en SEN Jan is p on li Honnemne nite JE NKEOMprim s d acides Bly his que Gas IER l onditionnementsfclel40 comprim s tiae insuffisamment p
5. Vu l chec patent du traitement m dical par ailleurs nullement d nu d effets se condaires d plaisants vu d autre part qu au moins deux des trois crit res p ri pheriques de l AA s v re taient d s maintenant remplis qu un besoin accru en transfusions se faisait sentir que ces transfusions n avaient aucune influence Sur la diath se h morragique compte tenu Surtout du fait que les examens d histo compatibilit avaient montr que le seul fr re du patient de 1 2 ans son a n tait HL A et MLC identique la d cision fut prise de proc der la transplantation Jacques fut donc hospitalis B le d but janvier 1976 A son admission il tait Tableau I 12____ E EE 100 9 60 HEMOGLOBIN 3 40 RETICULOCYTES __oxymetholone 30 mg d prednisolone GS transplantation erythrocyte transfusion Evolution des param tres H moglobine et R ticulocytes avant et apr s transplantation dans un tat peu enviable il pr sentait de nombreux h matomes de nombreuses petechies ainsi que des signes vidents d une virilisation pr coce due aux an drogenes Le foie tait l g rement agran di la rate n tait pas palpable il n y avait pas d ad nopathies L h moglobine tait 5 8 g I h matocrite 16 les r ticu locytes 8 o les thrombocytes 3 000 mm les leucocytes 2 250 mms dont en viron 900 granulocytes et monocytes La biopsie de l os iliaque montrait
6. Si introduet psychiatrie est posait depuis I celui de m lan d rive de la thi qui voyait dan meurs fondame la bile jaune e la sant et l une d elles I les m decins les m decins j cle le syndro sous le nom 88 SO OAIN OOf IL I S91B01q4 np an FIGS 02 2 Dot Oud s b uueoA19 Bw LG 91uoq zee ydg Bw ogg W10 010 U9 6018Q UIUAS 669 UBUEG 1891Q EN Bw gg ssa seujUsy Bw OOS Poun 0J eeqI exuIH Bw OSE 19uN euala eelusoieg Bw 001 oun W UOAJ BW 002 Jul eejjluedesieg Bw OG Bw 00 yOuj pue das oebn y pun opjog Bw OOP INIP Bw oer 18USL B un snelqw Bw 002 un seuoyoulDg eua B you 4014 SLI WOWEYJ I JINNWNUOH SUODE 9 SP 191409 Wu OL Sp UODB 4 89 14U39U09 UOINJOS NOILVIN3S3U4 uapu np side JUBAINS 9160j0S0J gje19u LU Nesp SI SUEP Jann amp 391 US0UOD UONN OS 119010S50d aidei9u ed anb Hedgy souesjjjnsuj ajeugs 49 eq SASEIYNT SaH OYDOBUY gt s o CH oO I a a E CD LD et CH sl _ oO A Cc CH ao CL en oO 2 a CH Ku ken I J3 a o a o J lt CH a Z gt O Z 77 ODVLS il isole une maladie caract ris e par la survenue par phases s par es par des intervalles libres de tout sympt me d un ou plusieurs pisodes depressifs accom pagn s ventuellement
7. Techniques et indications de l ans th sie g n rale pour amygdalectomie et ad noidectomie A propos d une exp rience d u tilisation d un arcotique en perfusion et de la technique de lanse frolde Ann Anesth Frang XVII 6 1976 Widmer S Laxenalre M C Deny Cozette P Vagner J C Picard J M La k tamine res pecte t elle la protection r flexe de l arbre respiratoire Anesth Anal R an 33 3 391 398 1976 Taylor P A Towey R M Rappoport A S Further work on the depression of laryngeal reflexes during ketamine anaesthesia using a standard challenge technique Brit J Anaesth 44 1163 1972 Benzopyrone das andersartige Wirkungsprinzip bei lokalen Odemen jeder Genese kausale kausale Beeinflus prim re und antiphlogistische sung eiwei reicher sekund re analge Wirkung Odeme tische Wirkung durch Hemmung k rpereigener durch F rderung der Lymphdrainage auf den Entz ndungs und entz ndungserregenderSubstanzen undStimulierung der enzymatischen Spannungsschmerz Proteolyse in den demat sen Geweben durch die Makrophagen Indikationen Venalot enth lt als Wirksubstanzen Handelsformen Varik ser Symptomenkomplex postthrombophlebi Venalot Kapseln 30 Kapseln tisches Syndrom Ulcus cruris Phlebitiden 1 Kapsel enth lt 75 Kapseln Thrombosen und Thromboseprophylaxe Cumarin 5 6 Benzo a pyron 5 mg 20 Depot Drag es Postisch misches Udem posttraumatische und Rutin 2 Phenyl benzo y
8. ch ant il vaut mieux laisser au biologiste le choix des examens faire II guidera son choix d apr s les donn es cli niques qu il faut lui donner En cas de doutes si l interrogatoire fait ressortir une tendance h morragique et pour ne pas perdre de temps on peut faire pratiquer un bilan pr op ratoire minimum l aide de quelques examens simples Temps de saignement Temps de Quick Temps de c phaline kaolin plus connu chez nous sous le nom de PTT partial thromboplastin time activ Ces deux derniers sont compl mentai res Le temps de Quick explore les facteurs Il V VII X Le PTT les facteurs Il V VII IX X XI XII Plan pratique Sur le plan pratique le m decin dentiste se tiendra un sch ma strict et le plus exhaustif possible eu gard au temps li mit disponible D abord ne rien exag rer Si vous vou lez tenir compte de toutes les complica tions possibles uniquement dans le domai ne de la coagulation vous ne pratiquerez plus aucune extraction dentaire Le plan pourrait tre le suivant A L interrogatoire C est un temps capital Il portera sur 1 Les m dicaments pouvant influencer la coagulation Les anticoagulants L acide ac tyl salicylique et ses d riv s 2 Les accidents h morragiques pr c dents Penser toujours l h mophilie 3 Les affections h patiques Mais seulement les l sions importan tes du parenchyme h patiques peuven
9. d une quinzaine de transfusions les chances de succ s s amenuisent nettement ces chances deviennent pratiquement nulles si le malade a d j re u du sang d un membre de sa famille le r sultat des cultures lymphocy taires mixtes plus l index de sti mulation est lev moins il y aura de chances que le greffon prenne la quantit de cellules nucl es et de cellules souches que contient la moelle transfus e plus on transfuse de cellules plus grandes sont les chances de prises la notion si avant la transplantation le malade en principe thrombocy top nique a t ou non r fractaire aux concentr s de thrombocytes les chances des sujets non r fractaires sont meilleures 2 La maladie du greffon contre I h te graft versus host disease decrite chez l animal sous le nom de runt di sease chez l homme d abord sous le nom de maladie secondaire On ad met que cette complication est due une r action immunologique des lym phocytes du donneur contre les tissus du receveur immuno supprim En ma ti re de greffe allog nique dite histo compatible ce conflit semble li l existence de divergences minimes en tre donneur et receveur divergences au niveau d antigenes d histocompati bilit dits mineurs ne pouvant encore etre d finis par les m thodes de labo ratoire actuelles Cette maladie peut frapper plus de la moiti des rece ve
10. de protection n est pas d un facteur humoral comme l avait cru Jacobsen mais la colonisation de la M O de l animal irradi soit par des cellules souches provenant de la rate prot g e lors de l irradiation soit par des cellules de la M O du donneur qui cr ent ainsi une v ritable chim re En clinique humaine de nouvelles tenta tives avaient lieu entre 1960 et 1970 Mais les difficult s rencontr es furent consid rables et Bortin tudiant fond en 1970 les dossiers de 73 malades avec A A ayant re u une transplantation de M O al log nique c est dire d un donneur de la m me esp ce autre qu un jumeau univitel lin ne put trouver aucune chim re parmi les survivants Quelques beaux succ s de la transplan tation de moelle avaient t not s en transplantant entre jumeaux univitellins Seattle ou encore en transplantant de la moelle des nourrissons atteints d un d ficit immunitaire grave combin affection habituellement incompatible avec la vie Mais il s agit l de deux cat gories de patients ne pr sentant gu re de barri re immunologique la prise du greffon En effet les tudes men es sur les ani maux puis la d couverte des syst mes d histocompatibilit amp dans les diff rentes es p ces syst me HL A chez l homme avaient montr que si l on ne dispose pas comme donneur d un jumeau univitellin il faut pour avoir quelques chances d
11. du cortex c JOU 3x1 la fonct Documentation scientifique Ch e de Charleroi 4 1060 BRUX 02 537 12 20 Ext 383 Tel GL W pe S b enby 1908 ploy 1928 MEN 6 piwejeoe uoprlouAd z 6 CS uondafu anod sajnodwe og G jw pe sb enby 1992 ploy ape HEN B piwejaoer wop1o1Ad 2 5 4 e uondafu anod sajnodwe z 19npqO 10109 De UIZEIMEL DB J SUNS AR 4 P XOIP UeJIL J00AB aua Adoig Soin1891Ado1d4xo1p h sopnj a9jAuaunAd O1dAXOIPAH sonjal un SSaJduoo neger pe S b uop1joliAdjAumAlog eas soube wy Bu 008 PIWBJBJE Uopi o114d 7 Bu 008 amp payeoo Ulf sgwudwos 09 uzee YB UISOIYJ IJ wno 40 09 P XOIP ue wno un unejab InSsdeo od s b joe JEYDDES 129 S soubey Ayjyow Ed NIIS Ploy Bu opp plwejaoe uop1Jol1Ad Z Bw oop e sainjaB 09 SJTNINHOH 13 SNOILVINIS3Hd e sajqesusds pu Jus nawap onb uol o1pAy uoneiqinbaa el 19 UONBWIUBSI ap senb uyoa soi seo anbeyo ap uonnjoaa ap UOINDUO 91881 1USUWISPEI NP 881NP ej e2U81 SU09 ej ap SpuOjold sajqnol Sot SUP uee UID8PawW np SIAB JUBAINS epolied 3189 ap ejap ne Jusweyel ai S1AINSINOd ap JUSIAUOD d1USJUIBUW ei op je auiejied ej ap uyy SUIEWSS JWEISIOA EI S19A 19153 TUBUI S eB 219U9B ua sQUaWWOD uolewe SUSIUBIO S SNBUWNEI sap jDalqns yp SUOIPUAS USIUBIO aus JEUWNE1 UN E 18 3jIUSS UONNJOAUL amp SJINNDSS U09
12. il mieux poser la question abruptement Combien de comprim s prenez vous par exemple Les probl mes pratiques pos s aux m decins dentistes par les traitements anti coagulants sont r els et fr quents Mais l application syst matique depuis quatre ans de colle h mostatique g latine 84 r sorcine formol selon un proc d mis au point par K lemen l H pital St Antoine Paris dans le service du Pr Grignon semble avoir ma tris ces probl mes Ce proc d permet de pratiquer toutes les extractions dentaires quel que soit le trou ble de l h mostase incluant donc les trai tements anticoagulants et par analogie les tats d insuffisance h patique Une h morragie peut aussi se produire sans qu il y ait de troubles de I h mos tase Chez un individu analyse normale ce qui se produit c est la perturbation du cail lot soit par un objet r siduel soit par un foyer kystique un granulome qui interdit sa formation Dans ce cas il s agit de net toyer la plaie et si la manoeuvre ne suffit pas de refaire une anesth sie et de re prendre le caillot par un curetage de l al v ole Ce qu il faut craindre c est la vaso dilatation de retour de l anesth sie La mi se en place dans le tissu d une quantit d anesth sique bloque la circulation et les tissus sont en mauvaise condition de r g n ration c est ce qui peut provoquer Une vasodilatation et dans certains cas une jection du
13. Le succus li gu e OH LENU ine le ua est pr par selon une methode ke tale au elimine pour ainsi dire completemen Pacide glycyrriizinique tout en garantissant A serv ation dur facteur spasmolytique Si BYK BELGA S A tant aw pot OG S Me th rapeutique 9 GIVE SYN est Par cons quent ung RUE ANATOLE FRANCE 115 121 BYK Dose sum et tr s puissa 6 l 4 MF A 1030 ES D DH Nrct Aly A MYA gt nn EEN TROUBLES EMOTIONNELS AGR UM PSYCHOMODERATEUR Ce nouveau terme d finit un m dicament psychos datif action progressive non brutale qui att nue les oscillations de l humeur sans influencer ni la personnalit ni le contr le de soi ni les r flexes qui ne potentialise pas l alcool qui freine chez l intoxiqu l app tence la drogue et qui Sans tre stimulant n amoindrit pas les fonctions sexuelles PROPHAC s r I Luxembourg T l phone 48 24 82 La d pression en pratique medicale generale P PICHOT Professeur de Psychiatrie la Facult de M decine de Paris Clinique des Maladies Mentales et de l Enc phale Bull Soc Sci M d Luxembg 114 1977 La place importante prise en psychiatrie au cours de ces derni res ann es par l tude des d pressions est due une conjonction de facteurs les uns anciens et permanents le nombre tr s lev des tats d pressifs dans la population qui en fait la forme de manifesta tions psychopathologiques la plus fr
14. RESUME La transplantation de moelle osseuse constitue actuellement le traitement de loin le plus prometteur de l A A s v re quelle qu en soit l tiologie Cette transplantation a pour but soit de cr er une chim re h matopoi tique sta ble si le malade a un fr re ou une soeur histo compatible soit dans le cas contrai re d essayer d obtenir apr s une prise partielle ou transitoire du greffon une res titution autologue de la propre moelle du sujet gr ce un m canisme en grande partie encore myst rieux L immunosup pression conditionnement du receveur se fait diff remment dans ces deux cas La mise en oeuvre de ces transplanta tions n cessite la pr sence de centres et d quipes sp cialis s e a des possibilit s modernes d isolement et de r animation h matologique L observation particuli rement d mons trative et heureuse d un petit gar on est rapport en d tail REFERENCES 1 Bortin M M A compendium of reported hu man bone marrow transplants Transplanta tion 9 571 1970 2 Camitta B M Thomas E D Nathan D G et al Severe aplastic anemia prospective study of the effect of early marrow transplan tation on acute mortality Blood Vol 48 No 1 July 1976 3 Cline M J Gale R P Steihm E R et al Bone marrow transplantation in man UCLA Conference Ann Int Med 83 691 1975 4 Duarte L Lopez Sandoval R Esquival F et al Androstane therapy of ap
15. coce Exemple Dans la grande h mophilie la tare se manifeste d s la premi re chute des que l enfant quitte le bras de sa m re Au contraire dans les formes att nu es elle ne se manifeste qu l adolescence ou bien la suite d une intervention chirur gicale ou d une extraction dentaire Enqu te g n tique Toutes les maladies h morragiques con stitutionnelles sont transmises par des lois de g n tique bien pr cises Je ne cite que les importantes H mophilie A ou B D ficit en facteur VIII ou IX Femmes conductrices mais in demnes Transmission r cessive li e au sexe Maladie de von Willebrand Elle se d fi nit comme un allongement du temps de saignement d une dysfonction plaquet taire h r ditaire associ un d ficit en facteur VIII Transmission dominante non li e au sexe Syndrome de Glanzmann Thrombast nie h r ditaire La maladie est caract ris e par un allongement du temps de saignement et l absence d agr gation des plaquettes La transmission est r cessive Rechercher la notion de consanguinit familiale souvent retrouv e au cours de ces d ficits cong nitaux Ces deux enqu tes doivent pr c der l enqu te biologique afin d orienter le bio logiste L int r t l enqu te biologique n est pour le m decin dentiste que secondaire Je n en parlerai pas Il nous m nerait trop loin De m me un aper u sur la th orie de la coagulation Le cas
16. dans l arthrite rhumatoide ont t pr sen t es La notice accompagnant son apparition r cente sur le march belgo luxembour geois ne mentionne pas cette utilisation rhumatologique Son r le attend d tre co difi quant la s lection des malades la posologie et au sch ma d administra tion Les m canismes par lequels le l vami sole agit restent pr ciser On ne lui at tribue pas d action anti bact reinne ou anti virale ni de propri t s anti inflamma toires Il para t qu il puisse restaurer la fonction des cellules T lorsqu elles sont d ficientes dans leur effet suppresseur des lymphocytes B ces derniers tant respon sables de la mise en branle de m canis mes d auto immunite On admet aussi qu il peut restaurer une immunit cellulaire d faillante Lieberman et Hsu 3 Approche immunopharmacologique par modulation du syst me immunitaire qui ne vise donc pas les agents pathog nes eux m mes mais renforce la r sistance que l organis me agress leur oppose Dans le cas de l arthrite rhumatoide on ne manque pas d tre frapp par cette ap proche au traitement immuno suppresseur lui aussi pr conis dans cette maladie Huskisson et coll expliquent cet appa rent paradoxe comme suit Si l arthrite 110 rhumatoide est une r ponse inflammatoire chronique entretenue par la persistance d un antig ne tranger il est tout aussi logique de stimuler le syst me immunitai re po
17. hren prinzipiell nach der Geburt zum Teil ohne An sthesie die Circumzision durch andere empfehlen regelm ssiges Zur ckstreifen der Vorhaut und eine dritte Gruppe wiederum nehmen eine abwar tende Haltung ein Jeder hat dabei ganz konkrete Hin tergr nde die von der Interessanten Ziffer der Geb h renordnung bis zur einseitig orientierten wissenschaft lichen Mitteilung reichen Von den wissenschaftlich berzeugten Bef rwortern der Circumzision wird als Hauptargument meistens die Tatsache ins Feld gef hrt dass in der j dischen Bev l kerung wo aus rituellen Gr nden eine Beschneidung der Neugeborenen stattfindet sowohl die Penis als auch die Portiocarcinome selten sind 227 Dem muss aber entgegengehalten werden dass hier die Ver gleichsauswertung aus einer nicht circumzisierten nicht j dischen Bev lkerung mit gleichem hygienischem Ver halten unter gleichen klimatischen Bedingungen fehlt Es ist nicht auszuschliessen dass hier rassische Unter schiede in der Krankheitsdisposition eine Rolle spielen Eine endg ltige Kl rung welche Haltung gegen ber der m nnlichen Vorhaut eingenommen werden soll kann nur eine genaue wissenschaftliche Kenntnis der 7 avenue de la Gare Entwicklung des Praeputium penis sowohl in der prae Petange Luxembourg als auch in der postnatalen Periode bringen 67 Bull nos JJ Nb 114 1977 ullatin de ja Soci t des Sciences Medi du Grand Duch de Luxembourg m Die Entwicklung der m
18. national nomenclatures in two impor tant ways 1 It includes suggested operational criteria for all diagnostic cate gories These consist of specific inclusion and exclusion criteria 2 It is based on a multi axial system of classification Five 100 axes are recommended for a full diagnos tic statement The first and second axes are used to record the mental disorders with the second axis specifically reserved for personality disorders in adults and specific development disorders in chil dren Axis Ill is reserved for listing non mental medical disorders Axis IV is for severity of psychosocial stresses Axis V is for the highest level of adaptive func tioning during the past year DEVELOPMENT OF STRUCTURED EVALUATION INSTRUMENTS In the absence of biological laboratory tests psychiatric diagnosis rests primarily with the clinical anamnesis and mental status examination The collection of in formation will thus rely to a large extent on the skill experience time and orienta tion of the clinician Doubts about the ade quacy of free form interviews in which so me areas of inquiry may easily be over emphasized while others are neglected have led to the development of a variety of instruments rating scales allowing a more systematic and standardized evalua tion of the psychiatric interview 3 Currently available rating scales cons tructed for use in psychiatry permit to re gister most of the relevant data in
19. riatriques et pour patients n ayant pas fait usage d autres hypno tiques ni tranquillisants auparavant peut tre aug mentee selon la n cessit cautions sements et pr Indications Avertis emploi e s d emp un effet additif en cas CT e compte d un e d autres hypno au i iculi celle ci est Il sera tenu d alcool ion er Sommeil trop court et ou des r veils nocturnes trop e Le titre que d autres Die ashes prolong Ba t avo i les p rs d tre administr dans les cas d insomnie tranquillisantes ell est par ker fs lors r cidivante d insomnie accompagnant des tats sur la r activit a d Halcion ser doten e d anxi t ou de tension nerveuse et dans les cas o trait s au res voiture ou de un traitement m dical n cessite un sommeil tran de la conduite quille sse i de grosse w machines inistr ni en Cas sauf av en oe per durant la lactation ad tablie ou js dd e raire du medecin bilit s le tator ter e cont x ag s ou d af n d Contre indications Chez les patients a prise de 0 25 malt cas ne hype nal conne apes RS reeche steet pas recommand ni une hypersensibilit Connue au produit tout nn SC nasi paz ment r gulier pour tou wu nt j raiteme n cessaire de poursuly u en general uN passan Effets secondaires long cours tant rarement une dur e De la somnolence des vertiges de l hypotonie de d insomnie requiert ee renale Lond hebetude une diminut
20. scales The latest innovation in the field concerns an intrusion in the psychiatric interview itself While ratings are done af ter a free form interview in conventional scales two groups of researchers WING in England 3 and SPITZER in the USA have recently proposed instruments that completely structure and standardize the way in which the rater should procede in the examination as well as in the eva luation of a patient SPECIFICATION OF CLINICAL RESEARCH CRITERIA Whereas diagnostic criteria may be no more than guidelines to the practical cli nician precie and standardized criteria are essential in the field of psychiatric re search Many investigators invent their own a fact that accounts to a large extent for the conflicting results of much of psy chiatric research Other criteria are born in committees where consensus is reached by fiat on the best clinical judgement and experience of the committee and its con sultants but without reference to studies confirming the adequacy of their conclu sion Prime examples of the second ap proach are the current American Diagnos tic and Statistical Manual of Mental Dis orders DSM II and the English Glos sary of Mental Disorders 5 A new approach has recently been pre sented by WOODRUFF ROBINS and GUZE Di whose criteria are based on ex tensive follow up studies The authors as sert that on the basis of their own studies and the studies of other worker
21. tre telle que de pe tits clats peuvent se produire la pointe des dents exp rience personnelle A ces doses le contact avec les piliers de Pa mygdale peut entra ner une contracture de ceux ci ce qui rend l intervention difficile et parfois un spasme du larynx Ces ennuis am nent alors une augmentation des doses ce qui retarde le r veil chose tr s g nante pour une intervention d une dur e aussi courte et souvent r alis e en s rie En plus du fait qu au point de vue intervention elle m me ce n est pas une technique id ale la K tamine ne met nul lement le patient l abri de l inhalation et 95 des patients anesth si s de la sorte inhaleraient 2 il est probable que la K tamine n est pas seule en cause mais que l ouvre bouche et l abaisse langue ne permettant pas la mobilit de toute la partie de la sph re pharyngo laryngologique contribuent pour une bon ne partie l inhalation L association K tamine Succinylcholine et intubation sup prime certains effets d sagr ables de la K tamine r flexes oropharyng s malve nus tout en gardant les effets cardiovas culaires augmentation de 10 20 de la pression art rielle chez tous nos pa tients pas de collapsus cardiovasculaire lors du passage de la position couch e la position assise La curarisation permet l ouverture maxi mum de la bouche et un rel chement des piliers des amygdales donc une exposition optimale
22. 1 phasengerecht Die rasch anflutende Camylofin Koffein Wirkung beseitigt die Vaso konstriktion in der Prodromalphase Die nachfolgend einsetzende Wirkung von Ergotamin erfa t dila tierte Gef e im extra und intra kraniellen Bereich Propyphenazon wirkt analgetisch 2 antiemetisch Die Wirkung der genannten Sub stanzen wird berlagert vom anti emetischen Effekt des Mecloxamin 3 Kausal Mecloxamin d mpft die initiale Erregungsphase und hemmt bio gene Amine speziell Histamin brigens Es ist berfl ssig zu sagen da Avamigran rasch und lang anhaltend wirkt Zusammensetzung 1Filmtablette 1Suppositorum Ergotam ntartrat 0 75 Mecloxam n dihydrogencitric 20 Camylofin d hydrochloric 25 100 Coffein 80 160 Propyphenazon 200 300 Indikationen Anfaliskupierung bei Migrane vaskularem Kopfschmerz Cephalaea vasomotor ca Sog H stam n Kopfschmerz Horton Syndrom Nebenwirkungen MiGempfindungen in den Fingern und Zehen konnen ein Zeichen dafur sein da Avam gran zu lange oder zu hoch dosiert e n genommen wurde Gelegentlich kann es be besonders empfindlichen und au erdem gut vertr glich ist Patienten zu Mudigkeit und allergischen Hauterscheinungen kommen ganz seiten zu Granulozytopen e Rachenentzundungen konnen das erste Anzeichen einer Granulozytopenie sein Kontralndikatlonen Akute nter mittierende Porphyrie Granulozytopenie Graviditat Laktation Gefa e
23. Aguado Matorras M A Nalda Felipe A Leon Sanchez F Menendz Bernal et A Alonso Montero Modifications du pl thys mogramme p riph rique sous l action de la k tamine chez les malades en tat de choc Ann Anesth Fran X 4 699 706 1969 Alcala A Junien Lavillauroy C Thenoz L L anesth sie par la k tamine dans l amyg dalectomie et l ad no dectomie chez l enfant propos de 142 observations J Frang Oto rhino laryng 21 901 903 1972 Andreucci S Del E and Putrortrl F K ta mine as a basic anesthesic in adenotosillec tomy Minerva Anestesiol 40 3 121 323 1974 Bryant W M Ketamine Anaesthesia and in tranasal or intraoral operations A potentially dangerous combination Plast Reconstr Surg 51 5 562 564 1973 Chuden H G Exp rimentation clinique de la k tamine dans les ad notonsillectomies Anaesthesist 20 155 157 1971 Strehlau D Erfahrungen mit Ketamine bei 400 Tonsillectomien nach SI der Anaesthesist 21 213 215 1972 10 11 12 13 Michael Johnstone The cardiovascular ef fects of ketamine in man Anaesthesia Vol 31 873 882 1976 Penrose B H Aspiration pneumonitis follo wing ketamine induction for general anesthe sia Anesth Analg 51 41 43 1972 Picq J 25 years of tonsillectomy in private practice Ann Otolaryngol Chir Cerivicofac 89 185 191 1972 Tchaoussof J Vaquette C Boudin G Ber nard F
24. Hyperlipoprotein mien zumal beide Komponenten in optimaler Wirkstoffrelation vorliegen mehr Beschwerden im Bereich des Magen arm Traktes und Kopischmerzen beobachtet Zu Behandlungsbeginn kann es gelegentlich zu Haut jucken und Hilzegefuhl kommen Kontraindikationen Niereninsullizienz schwere Leberschaden dekom pensierte Herzinsuftfizienz frischer Myokardinlarkt und akute Blutungen sowie Schwangerschaft Zur Beachtung Die Wirkung von Antikoagulantien kann verst rkt werden Die gleichzeitige Verabreichung von Normalip w hrend einer Antikoagulantientherapie kann deshalb nur bei konstanter Normalip Dosis und Neueinstel lung auf das Anl koagulans erfolgen Handelsformen OP mit 30 Kapseln OP mit 90 Kapseln AP mit 450 Kapseln HEINRICH MACK NACHF Chem pharm Fabrik 7918 Jilertissen Bayern 9 1976 Litt rature et chantillon demander au COMPTOIR PHARMACEUTIQUE LUXEMBOURGEOIS S A Le medecin dentiste face a une hemorragie importante Expos fait la Soci t des Sciences M dicales du Luxembourg en d cembre 1976 L JEANTY Ne pouvant baser cet expos sur une large exp rien ce pratique je me suis efforc de rassembler d une vaste litt rature les points essentiels qui peuvent int resser les m decins dentistes dans la pratique quoti dience face une h morragie anormale D abord l h morragie est rare li est vident que le m decin dentiste ne peut faire comme le chirurgien chaque ex
25. Indications insuffisances art rielles p riph rique et c r brale Effets secondaires SULOCTON est d nu de toxicit et est bien tol r CONTINENTAL Pr cautions on vitera la prescription du m dicament durant la grossesse bien PHARMA qu exp rimentalement le SULOCTON soit d pourvu d action t ratog ne Il n y a pas d inconv nient administrer le SULOCTON des patients soumis un traitement par anticoagulants de type coumarinique et aux diab tiques Posologie 3 g lules 100 mg par jour Conditionnement 50 et 100 g lules dos es 100 mg CENTRE DE Formule 1 4 isopropylthiophenyl 2n octylaminopropanol 100mg Mannitol RECHERCHES BELGE Silic oxyd Gelat Glycerin Amyl Talc pro capsul gelat una Avenue Louise 135 Titan oxyd Tartrazin Natrindigotinodisulf pro color 1050 Bruxelles Validit voir emballage N d enregistrement 213 65 F4 T 02 537 80 70 composition 60 mg de lidoflazine R 7904 poudre micronis e par comprim indications Angine de poitrine cons cutive la scl rose des coronaires Prophylaxie et traitement d entretien apr s la phase aigu de l infarctus du myocarde effets secondaires Des effets secondaires tels que c phal es vertiges et bourdonnements d oreille n apparaissent presque jamais lors que le sch ma posologique est respect Au cas o ils se manifestent n anmoins la posologie sera adapt e en cons quence Les troubles gastro intes
26. LA BOUCHE ET DE LA GORGE GER HAR RUE DU TRONE 232 BRUXELLES me Kontraind Irag e za Af Harn d ich den 3453 5 mg Pro stage 4 z Fallen h ER primarer Or ka 3 pict iglich fol sic 30 mg Restnar Gla m Me m Handelstormen H y NC f Be n K Spasmo Urgenin Drag es 1 rol chic 7 T OP mt 40 Dragees OP mit 100 Dragees en Anstaltspackungen hmerzhalte N onssiorunge und Teneemen be Prostatitis Spasmo Urgenin Suppositorien tostataadenom und beginnen OP mit 10 Supp d Prostataneurase Anstaltspackung uts Urethritis Preise mit MwSt I AT Miktionsbeschwerden SPASMO URGENIN Dragees und Suppositorien Spasmo Urgenin behebt dysurische Beschwer den und reguliert vegetative Fehlsteuerungen Spasmo Urgenin unterst tzt und erg nzt eine antibakterielle oder hormonelle Behandlung Spasmo Urgenin ist ein antikongestives antiphlogistisches Uro Spasmolyti cum dem prompte Wirksamkeit und Vertr glichkeit Immer wieder bestatigt werden INTEGRAL S A 25 rue d Epernay LUXEMBOURG Recent Methodological Advances in the Reliability of Psychiatric Diagnosis C B PULL and M C PULL Service de Neuropsychiatrie Centre Hospitalier de Luxembourg Luxembourg Bull Soc Sci M d Luxembg 114 1977 ABSTRACT Psychiatric diagnosis has been marked by disagree ment and controversy and continues to be viewed with scepticism A survey of recent advances in major me thodological issues involved in the di
27. a num ber of ways and by different evaluators Depending on its content a scale will re gister demographic characteristics history and background data psychopathology or physical symptoms It may be constructed for use by a psychiatrist a psychologist a nurse or a social worker Finally the rating system may be categorical yes no or absent present or quantitative The mental status examination may be recor ded on scales like those developed by WITTENBORN 22 LORR or OVERALL 1 09 which allow a global evaluation of psychopathology or on scales like those of HAMILTON or ZUNG 34 which are restricted to specific syndromes like de pression or anxiety More recently a num ber of different scales have been proposed by the Arbeitsgemeinschaft f r Methodik und Dokumentation in der Psychiatrie AMP 74 which form a complete system permitting a standardized global or spe cific evaluation of psychopathology as well as the recording of physical symptoms demographic characteristics history and background data and treatment modalities While there is no doubt that rating sca les do contribute to increase the consis tency in the collection of psychiatric data personal ways of gathering and interpre ting the information may still lead to a rather low inter rater reliability In order to overcome these difficulties special at tention has been given to the definition of each item in most well established rating
28. aura que peu de cons quences pratiques car le traitement est actuellement identique celui de la psy chose maniaco d pressive A c t des psychoses thymiques les schizophr nies constituent la seconde grande cat gorie de psychoses fonction nelles Bien que les symptomes essentiels de ce groupe pathologique appartiennent a un tout autre registre apparaissent SOU vent au Cours de l voiution des syndro mes d pressifs authentiques surajout s a la perturbation psychique fondamentale Deux aspects ont un int r t special dans la pratique Le premier concerne les formes de d but de la schizophr nie II n est pas rare que la premi re manifestation de l affec tion soit un syndrome d pressif ayant toutefois des caract res atypiques sa smptomatologie comportera des l ments vocateurs tels le mauvais contact le ca ract re bizarre des pr occupations hypo chondriaques et surtout la survenue chez un sujet aux alentours de la vingti me ann e Diagnostic d licat mais important par ses cons quences il doit toujours rester l esprit du m decin praticien qui est souvent celui qui est consult et qui sans avoir habituellement trancher doit viter d liminer sa possibilit m me lors que la relative discr tion du syndrome semble rassurante Le deuxi me aspects des syndromes d pressifs dans la schizophr nie r alise ce qu on appelle les formes dysthymiques ou Schizo affectives de la
29. caillot Le gros des interventions des m decins dentistes sont de simples extractions den taires et ne demandent aucun examen Chez un individu pr sum en bonne sant seule une anesth sie g n rale re quiert des examens Le maximum de s curit n est pas oxa men de laboratoire qui le procure mals R Precision de l acte ll n y a en fait qu une seule circon Stance o chez un individu pr sum nor mal une tude de d pistage des troubles de l h mostase doive avoir lieu quand dans les ant c dents du patient on retrou ve une h morragie plus de 24 heures apr s une intervention Si le fait s est Pro duit une seule fois cela suffit pour rendre l individu suspect Et l les difficult s commencent pour le m decin dentiste AU n est pas int gr un service hospitalier et qui ne dispose pas du sp cialiste qui compl tera les temps de saignement et de coagulation Le risque la rentabilit la disposition du temps la responsabilite sont alors autant de facteurs qui font qu en pratique priv e le m decin dentiste renvoie ce malade son m decin traitant Les raisons locales des h morragies sont certainement blen plus fr quentes que les raisons h matologiques Cepen dant ceux qui ont eu la malchance de r v ler une h mophilie latente une throm bop nie une h mopathie maligne r cla ment juste titre les moyens d une bonne pr vention L tude biologique de l h mos tase est la
30. d montrable les psychoses fonctionnelles les n vroses les personalit s pathologi ques et les r actions Dans chacune de ces classes on peut observer une ou plu Sieurs vari t s de syndromes d pressifs 1 Les troubles psychiques de cause or ganique d montrable sont tr s varies dans leurs manifestations et leurs tiologies qu il s agisse d infections d intoxications de l sions c r brales traumatiques tumo rales vasculaires mais l existence possi ble de syndromes d pressifs doit toujours rester pr sente l esprit En fait le m de cin praticien se trouve en face de deux dangers ou bien en raison de l vidence du syndrome d pressif il m connaitra l affection organique dont celui ci n est qu une manifestation ou bien il attribuera une cause organique banale un tat psy chiatrique autonome Deux points m ritent d tre soulign l un de port e th orique l autre d int r t pratique Parmi les tats d pressifs toxiques le plus important par Ses implications est probablement celui qui est ventuellement d clench par les d riv s r serpiniques tels qu ils sont em ploy s dans le traitement de I hyperten sion Son existence a t l origine d une th orie biochimique des d pressions dans la mesure o l on sait que la r serpine a la propri t d abaisser le taux de seroto nine dans le cerveau ce qui a t un ar gument en faveur du r le d un d ficit des amines biog ne
31. de base de la m decine psychosomatique HAHN Heidelberg 3 Conflits entre la m decine avec orientation psychologique et la medecine avec orien talion somatique SEIDLER Freiburg ADLER Bern PAULI Bern BR CKNER M nchen Pendant la deuxi me semaine 1 La theorie psychanalytique des phases ELHARDT M nchen 2 Le malade psychosomatique dans la pratique du m decin LUBAN PLOZZA Locarno 3 L effet th rapeutique du jeu de sable KALFF Z rich Dans le cadre d un programme tr s vari pendant les deux semaine de 130 cours s minaires et s ances d exercices une orientation fondamentale en psychoth rapie sera donn e de nouvelles m thodes th rapeutiques pour la formation de perfectionnement seront pr sent es et des l ments pour une orientation ult rieure en psychoth rapie seront offerts Les 28es Semaines de Psychoth rapie de Lindau se tiendront du 17 au 29 avril 1978 Pr sident Priv Doz Dr Helmuth Stolze et Helmut Remmler Pour la participation une admission est n cessaire il faut se faire inscrire en avance La langue officielle sera uniquement l allemand Des renseignements compl mentaires peu vent tre obtenus aupr s du Secr tariat des Semaines de Psychoth rapie de Lindau Orlandostr 8 IV D 8000 Munich 2 Allemagne 113 Y L EFFICACITE SANS PROBLEME tique bral r ere r r tropik OU uch lon NOE ACTIVE PROTEGE ET RESTAURE r comprim 21
32. du champ op ratoire la mobili sation de l amygdale son engagement dans la guillotine ainsi que son d colle ment sont tres aises L association de drogues permet d en r duire les doses et d avoir un r veil rapide L intubation nasale tout en assurant une tr s bonne stabilit du tube laisse le champ buccal libre Nous avons employ pour cette intubation des tubes Rush ballonet dont les num ros s chelonnent de 14 24 ils sont mis en place par l in term diaire d une pince de Magill Cette intubation n est pas g nante pour l ad noj dectomie car elle permet toujours la curette de passer entre le tube et la paroi post rieure du pharynx avec un peu d ha bitude un curettage correct du rhinopha rynx est tr s possible Cette technique d anesth sie d crite laisse au chirurgien tout le temps n ces saire pour terminer son intervention et pour v rifier l h amp mostase en effet les r injections de produits anesth siques sont toujours possibles et l enfant est bien ven til RESUME Ce type d anesth sie pour amygdalec tomie nous satisfait enti rement car il as socie diff rents avantages exposition maximale du champ op ra toire s curit pour le patient airway libre intubation avec tube ballonnet tamponnement pharyng reveil rapide avec une quipe bien en tra n e l intervention prend 10 minutes en tout 65 66 Gunzler W BIBLIOGRAPHIE A
33. en fonction de leurs aspects et ven tuellement de leurs m canismes psycho logiques des n vroses distinctes n vrose d angoisse n vrose neurasth nique n vrose hypochondriaque n vrose phobique n vrose hyst rique n vrose obsessionnel le il sen faut que dans la pratique les fronti res soient toujours bien fix es Il est fr quent et particuli rement dans la client le du g n raliste que l on soit en pr sence de cas dont le tableau clinique emprunte des l ments aux diverses enti t s tableau pour lequel on emploie parfois le terme de n vrose mixte D autre part les limites entre n vroses et r actions sont fluides car elles d pendent pour une grande part de l estimation qui est faite du r le du traumatisme Par une pente natu relle de l esprit humain le malade aura g n ralement tendance invoquer quel que v nement de sa vie concomittant du d but ou de l aggravation de ses troubles et surestimer son r le causal Il existe des syndromes d pressifs dans le cadre de l ensemble n vroses r actions et ce sont sans doute les plus importants par leur fr quence pour le m decin prati cien Les termes de d pression n vrotique et de d pression r actionnelle ne doivent toutefois pas faire croire deux cat gories bien distinctes Certes il existe des d pressions li es indiscutablement un trau matisme psychologique dont le type est celle qui peut survenir au d c s d un tre
34. exer ant un effet tranquillisant ou relaxant viter la consommation simultan e d alcool De plus fortes doses de TRANQUO BUSCOPAN peuvent par suite de leur action s dative compromettre les r flexes de l automobiliste du pi ton etc Pr sentations Flacons de 20 et 50 drag es Boehringer Ingelheim 141 B frz n v Boehringer Ingelheim s a rue du College St Michel 17 1150 Bruxelles EDITORIAL Current Clinical Aspects of Crohn s Disease Several recent clinical contributions in the under standing of Crohn s disease have been made We will Morry Moskovitz M D Martin H Floch M D 3 Fellow Department of Medicine Section of Gastroenterology Norwalk Hos pital Norwalk Connecticut and the Yale University School of Me ang New Haven Connecticut S A in Gastroenterology Nor walk Hospital Norwalk Connecti cut and the Yale University School of Medicine affiliated Gastroentero logy Program Clinical Professor of Medicine the Yale University School of Medicine New Haven Connecticut U S A review highlights of these clinical advances while fo cusing upon current aspects of the diagnosis com plications and radiographic criteria Discontinous and transmural involvement of the entire gastrointestinal tract from the mouth to the anus may occur recent report described the radiographic and endoscopic findings in a series of patients with gastroduodenal Crohn s dis ease The inv
35. la direction du Conseil d Administration de la Soci t des Sciences M dicales Section des Sciences M dicales de l institut Grand Ducal Conseil d Administration de la Soci t des Sciences M dicales President Dr R Schaus MRCP Secr taire G n ral Dr J Neuen Membres Dr V Conz mius Dr M A Dicato Dr G Kayser Dr R Koppes Dr E Loos Dr M Schroeder M P Hippert Bulletin de la Soci t des Sciences M dicales Administration et Publicit Dr J Neuen Secr taire G n ral 3 rue Conrad Ier Luxembourg R daction Dr M A Dicato R dacteur en chef Centre Hospitalier de Luxembourg 4 rue Barbl Luxembourg Le Bulletin de la Soci t des Sciences M dicales du Grand Duch de Luxembourg publie des articles en fran ais en allemand et en anglais Les auteurs sont pri s de remettre leurs manuscripts dactylographi s en double ou triple interligne et en deux exemplaires au r dacteur en chef Les r f rences class es par ordre alphab tique doivent comporter dans l ordre a le nom des auteurs et les initiales de leurs pr noms b le titre du travail c le nom du journal d le tome e la premi re page de l article f l ann e de parution Pour les cita tions d ouvrages une r f rence comportera dans l ordre outre les noms des auteurs et le titre du livre a la ville b l ann e de parution c le nom de la maison d dition Il est recommand aux auteurs que les articles soient succin
36. lern deren Alter zwischen 6 und 17 Jahren betrug w hrend einer Beobachtungszeit von acht Jahren die H ufigkeit der Phimose und der engen Vorhaut Definition siehe oben feststel len Ausserdem konnte er dabei auch zu dem umstrittenen Problem ab wann Smegma dessen Carcinogenit t vermutet aber wissenschaftlich bis jetzt nicht be wiesen wurde Stellung nehmen Eine Phimose wurde bei 8 der 6 7 j hrigen Buben beobachtet und nur noch bei 19 der 14 15 j hrigen Ein enges 68 Praeputium fand er konstant in je 1 bei der Altersklassen War die Vorhaut zur ck streifbar dann waren sogenannte Adhae sionen bei den 6 7 j hrigen in 63 der F lle bei den 14 15 j hrigen noch in 13 der F lle nachweisbar Unter 95 F llen im Alter von 17 Jahren waren keine Adhae sionen mehr feststellbar In den 9200 Beobachtungen wo eine Phimose nicht vorhanden war und der Vorhautraum eingesehen werden konnte war Smegma bei den 6 7 j hrigen in 1 Die der F lle und bei den 16 17 j hrigen in 8 der F lle nachweisbar Es scheint als ob die Produktion von Smegma im Alter von 12 13 Jahren effektiv einsetzt Als Schlussfolgerung dieser d nischen Beobachtungsserie l sst sich wohl folgen des klar herausstellen Das gemeinsame Epithelium der Glans und des Praeputiums trennt sich allm h lich von selbst im Laufe des Wachstums Dieser Vorgang kann erst im Alter von 17 Jahren vollendet sein Die Smegmaproduk tion beginnt im Alte
37. mati re de transplantation allog nique dans une A A s v re avec un donneur histo compatible Rappelons en effet qu au moins la moiti des patients souffrant de la m me mala die ayant eu eux aussi un donneur com patible n ont pas pu tre sauv s par la transplantation certains m me malgr deux tentatives Mais nous avons actuel lement de bonnes raisons pour postuler qu en transplantant tr s t t c est dire dans les premi res semaines qui suivent le diagnostic d A A grave qu en restreig nant au maximum le nombre des transfu sions avant la transplantation qu en essay ant de rendre ces transfusions peu sensi bilisantes qu en prenant comme donneur de moelle le meilleur donneur th orique de la fratrie qu en injectant un maximum de cellules m dullaires nucl es qu en r us sissant mieux comprendre donc mai triser ou pr venir la maladie du greffon contre l h te on devra pouvoir arriver un taux de chim res stables de 80 et m me davantage du moins chez les moins de 21 ans Est ce dire que tous ces autres ma lades qui souffrent d A A grave et qui n ont pas la chance d avoir un fr re ou une soeur histo compatible sont irr m diablement condamn s au tr s mauvais pronostic de cette affection Probablement que non En effet par tant des travaux de Math d avant 1960 sur le s rum antilymphocytaire et tra vaillant sur de nouveaux mod les animaux les auteurs
38. mauvaise solution exhaustive elle est intol rablement dispendieuse li mit e elle est incompl te Elle est inutile dans plus de 99 des cas La clinique est primordiale Une absence totale de signes h morragiques actuels ou anciens personnels ou familiaux ainsi que de mo difications s v res du foie de la rate des ganglions justifie certainement l absence de toute tude pr op ratoire de l h mos tase Si malgr tout survient une h mor ragie sans raison locale vidente ou suf fisante le recours h matologique doit tre imm diat Ce recours est galement indis pensable si l examen m dical pr op ra toire r v le un signe d alerte c est dire une affection connue pour donner un trou ble de l h mostase ou un signe h mor ragique quelconque Ce recours et ceci est tr s important ne consiste pas en une enqu te biologique toujours complexe difficile mener et plus encore interpr ter mais en un con tact imm diat avec un h matologiste com p tent en ce domaine particulier C est lui qui conna t les emb ches des examens de coagulation dont les diff rences d un la boratoire l autre sont bien connues De mander de temps autre un seul temps de Quick et se baser sur ce r sultat est du temps perdu et de l argent gaspill Le probl me de la confiance aux laboratoires reste toujours pos La num ration des plaquettes est malgr un certain progr s toujours tr s d licate De m
39. me les tests plasmatiques n ont pas encore atteint leur maturit les prot ines sur lesquelles ils se pratiquent sont en quantit infimes 100 ml de plasma contiennent au maximum 12 mg de prothrombine et elles se d for ment d s qu elles sortent des vaisseaux Les r actifs sont un autre point faible Leur sensibilit envers les diff rents fac teurs de la coagulation n est pas toujours la m me Les standards ne sont pas tou jours fiables Pour tre s r il vaut mieux s adresser pour un bilan de coagulation un h mato logiste comp tent ou s assurer la collabo ration d un bon laboratoire Pour finir un mot sur les analg siques Eviter avant tout l acide ac tyl salicyli que et ses d riv s Avertir aussi les pa tients Le choix n est pas grand Il reste le gli fanan et pour les affections spasmodiques des organes abdominaux et pelviens le buscopan Il faut viter que les patients reviennent pour d autres maux aux salicy l s apr s une extraction dentaire Conclusion S habituer un interrogatoire bref et concis H morragies pr c dentes Inclure les membres de la famille M dicaments Aspirine anticoagulants Insuffisance grave du foie En cas de doute s adresser un h ma tologiste comp tent plut t que de mener soi m me une enqu te biologique Faire un bon traitement local Instruire le patient sur ce qu il doit faire en cas d h morragie tardive 85 7
40. mostase ne montre qu une l g re thrombop nie l h mogram me une an mie isol e et l lectrophor se des prot ines objective une maladie de Waldenstr m 2 Faire la distinction entre un simple saig nement pisodique et une alt ration de l h mostase La r p tition d un saignement en un m me territoire voque plut t une l sion purement locale alors que des accidents h morragiques en des territoires vari s voquent plut t une maladie de I h mos tase Il faut se souvenir qu la grande raret des maladies h morragiques congenitales s oppose la relative fr quence des affec tions acquises parmi lesquelles les attein tes h patiques occupent une place impor tante 3 Caract res et nature des accidents h morragiques lis voquent parfois d embl e un diag nostic Le syndrome vasculaire Les h morragies sont spontan es Aspect dominant purpura p t chies Siege de pr dilection les t guments Le syndrome plaquettaire Les h morragies sont spontan es Aspect dominant purpura ecchymoses gingivorragies pistaxis h maturies Si ge de pr dilection teguments mu queuses gencives nez 82 Troubles de la coagulation ici seulement deux exemples a L h mophilie Les h morragies peuvent tre sponta n es ou provoqu es Aspect dominant h matomes h mar throses h maturies Si ge de pr dilection articulations muscles reins b Complexe p
41. nnlichen Vorhaut beginnt bei einer Gr sse des Embryos von etwa 65 mm Diese bedeckt dann die Eichel bei einer foetalen L nge von 10 cm Die innere Oberfl che des Praepu tiums und die Oberfl che der Glans beste hen aus einem gemeinsamen Epithelium dessen L sung hnlich der Trennung der Augenlider in einem komplizierten nicht hier zu besprechenden Prozess besteht Entscheidend ist jetzt die Frage wann die Trennung dieses gemeinsamen Epithels in zwei aufeinander liegende und gegenein ander verschiebliche Epithelien stattfindet Von einer Phimose spricht man wenn eine Unf higkeit besteht die Vorhaut durch zarte Manipulation bis zum Rand der Eichel zur ckstreifen als enge Vorhaut wird der Zustand bezeichnet dass mit ge ringf giger Schwierigkeit das Praeputium bei noch nicht vollst ndig getrennten Epi thelien zur ckgestreift werden kann 9 In D nemark ist es nicht blich dass eine Manipulation an der Vorhaut von rzten und von den Eltern durchgef hrt wird Hier sind also die Voraussetzungen gegenben die ungest rte Entwicklung der m nnlichen Vorhaut in der postnatalen Phase bis zur Pubert t genau zu verfolgen Fr here Untersuchungen waren gest rt durch ein Untersuchungsmaterial das zum Teil aus beschnittenen und nicht beschnit tenen Jungen bei denen in wechselndem Ausmass die Vorhaut zur ckgestreift wur de zusammengestellt war 3 ster konnte in seiner T tigkeit als Schularzt an 9545 Sch
42. par jour pendant la deuxi me semaine 3 comprim s par jour pendant la troisi me semaine Le sch ma posologique sera ensuite d termin par l effet th rapeutique l apparition d ventuels effets secondaires et le trac de l E C G viter l allongement de l intervalle QTc L va luation exacte du r sultat th rapeutique n est possible qu apr s un traitement d au moins 6 mois L exp rimentation clinique a montr que le maintien de l effet th rapeutique maximal exige la continuation ininterrompue du traitement la dose optimale Les comprim s seront pris de pr f rence pendant les repas La dose journali re peut tre r partie en 1 3 prises selon le nombre des comprim s pr sentation Emballages alv ol s de 50 et 150 com prim s formula Lidoflazinum 60 mg cellulos microcristallin amyl talc silici oxyd ole hydrogenat natri laurylsulfuric q s pro tablett compress un TRADE MARK Clinium rend une vie normale nouveau possible Clinium Je me mn Sal e la meilleure protection contre l angor e am liore le rendement du muscle cardiaque dose en moyenne 3 comprim s par jour p ex 1e semaine I comprim 2e semaine 2 comprim s partir de la 3e semaine 3 comprim s pr sentations 50 et 150 comprim s Ar i Janssen Pharmaceutica DrRentschler Ultilac das pH Regler System Magentherapeutikum mit ausgepr gter rasch einsetzender S urebindung hoher pr
43. pyron Derivat 25 mg 50 Depot Drag es postoperative Odeme und Wundschmerzen Venalot Depot 5 Ampullen zu 2 ml z B bei Frakturen Prellungen Gesichts und 1 Depot Drag e enth lt 10 Ampullen zu 5 ml Kieferverletzungen und operationen Lymphatische Cumarin 5 6 Benzo a pyron 15 mg 40 ml Liniment Stauungen nach operativen Eingriffen oder und Tri hydroxyaethyl rutin 90 mg 70 ml Liniment Strahlentherapie Mundtrockenheit nach Bestrahlung 2 Phenyl benzo y pyron Derivat Anstaltspackungen von Tumoren im Kopf und Halsbereich Die Verordnung der Venalot Pr parate in der 1 th lt Schwangerschaft ist unter den blichen Vorbehalten Auraria 5 0 Baba Autom 3 mg av m glich Rutinschwefels ureester Natriumsalze 50 mg Schaper amp Brummer 2 Phenyl benzo y pyron Derivat Ri Kontraindikatlonen Kante Mettet 3324 Salzgitter Ringelheim sind bisher nicht bekannt 100 mi Liniment enthalten Cumarin 5 6 Benzo a pyron 500 mg Dep t Pharmacie LEGROS Nebenwirkungen wurden bisher nicht beobachtet Heparin 5000 I E 52 Grande rue Luxembourg Venalot Injektionsl sung EPIPROPANE 9 th rapeutique de base anti pileptique FORMULE Magnes phenobarbital 100 mg Amphetamin sulf 2 5 mg Magnes hydr Amyl Kaolin Calc phosphoric tribasic Magnes stearas q s pro tablet compressa INDICATIONS Epilepsie grand mal et formes mixtes POSOLOGIE II faudra toujours tenir compte de la sensibilit individuelle du malade
44. ra le pour amygdalectomie r alis e selon la m thode de Sluder Ballanger Comme induction de l anesth sie les enfants re oivent K tamine 1 1 5 mg Kg Suc cinylcholine 1 mg Kg ils sont intub s par voie nasale et ensuite ventil s par un m lange de N20 et d 02 50 50 Ils sont mis en position assise pour l in tervention Les auteurs discutent les avantages de cette technique tant au point de vue anesth sique que chi rurgical MOTS CLES Anesth sie g n rale Amygdalectomie Ad noidec tomie Le probl me d anesth sie pour les amygdalectomies reste encore l heure actuelle une source de conflit entre anesth siste et sp cialiste ORL En effet dans beaucoup d h pitaux le sp cialiste ORL fait lui m me son anesth sie employant diff rents produits ther vin ther halothane 10 parce qu il ne dispose pas d un anesth siste ou qu il y a un conflit entre l anes th siste et le sp cialiste ORL au sujet de la technique anesth sique employer intubation ou non intubation position assise ou couch e du patient MATERIEL ET METHODE Dans notre h pital nous avons essay de mettre au point ensemble une technique qui puisse satisfaire les deux sp cialistes tout en assurant au petit patient toute 63 Bulletin de ja Soci t des Sciences M dicales du Grand Duch de Luxembourg la s curit n cessaire Au point de vue chirurgical les amygdales sont enlevees selon la meth
45. su la r aliser et la faire sienne Dr THIBEAU Clinique St Louis Ettelbruck 61 PLASTENAN NEOMYCINE CICATRISATIONS DIFFICILES COMPOSITION Acide N ac tyl amino 6 Hexanoique sel de sodium et sulfate de n omycine PRESENTATION Tube de 20 g contenant 1 g d acide N ac tyl amino 6 Hexanoique et du sul fate de n omycine en quantit quivalente 0 08 g de n omycine base INDICATIONS Plaies traumatiques Br lures Ulc res variqueux Ulc res sur vasculopathies Escarres I n existe pas de contre indication POSOLOGIE ET MODE D EMPLOI Avant l application de PLASTENAN NEOMYCINE pommade les plaies et les ulc res doivent tre ventuellement soumis une d tersion TRYPSINE CHOAY L application de la pommade doit tre faite tous les jours ou tous les deux jours DUREE DE VALIDITE 3 ans Formule Neomycini sulfas Neomycinum basis 400 mg Acidum acexamicum Natrii acexamas 5 g 4 44 g Acidum sorbicum Natrii hydroxydum ad Gel Perhydrosqualenum Xalifinum XV derog 42 161 Aqua distillata ad 100 g Egalement disponible PLASTENAN Ampoules buvables pommade Documentation sur demande Licence CHOAY Ets A de BOURNONVILLE amp FILS S A rue aux Fleurs 30 38 1000 BRUXELLES Epith lium cili trach e du rat 2050 Dans les rhinites Vibrocil all e th rapeutique des d fenses naturelles Indications R
46. une deuxi me par des manifes tations psychosomatiques une troisieme enfin r alisant un v ritable syndrome de pressif Si l on met part ces deux formes par ticulieres d pression psychotique r ac tionnelle d pression d puisement la mas se des syndromes d pressifs n vrotiques et r actionnels que l on regroupe parfois sous le nom de psychog nes offre des caract ristiques communes Cliniquement l intensit du syndrome est mod r e bien que souvent les plaintes verbalis es du malade soient relativement importantes Il n existe habituellement pas de ralentisse ment mais par contre une anxi t intense est vidente L amaigrissement est discret ou nul Les troubles du sommeil portent uniquement sur l endormissement et ne consistent jamais en un r veil pr coce L intensit de la d pression peut varier dans la journ e mais il ne s agit pas comme dans la psychose maniaco d pres sive d un maximum matinal La depres sion est sensible au milieu et peut transi toirement s att nuer lorsque le sujet se trouve dans une ambiance agr able Enfin alors qu un des l ments presque constant de la d pression maniaco d pressive est l existence d un sentiment de culpabilit 94 dans la d pression n vrotique r actionnel le il n est pas rare que le sujet tende reporter sur des membres de son entou rage de mani re agressive la cause de son tat Ceci peut d ailleurs parfaitement coexister avec u
47. une moelle hypoplasique en particulier l absence compl te de m gacaryocytes On transfusa d entr e une unit d rythrocytes et un concentr de thrombocytes L enfant fut isol et subissait une st rilisation de son tube digestif antibiotiques non r sorba bles et mycostatiques Du 16 au 19 jan vier il fut conditionn pour la transplan tation d apr s le sch ma actuellement en vigueur OI savoir 50 mg kg de Cyclo phosphamide Endoxan par jour corres pondant ici une dose totale de 4 400 g Comme pr vu les r ticulocytes disparais saient de la circulation et les leucocytes s effondraient 100 mm Le 21 janvier environ 36 heures apr s la derni re admi 75 Tableau Il L vir wg gt eg 101 GRANULOCYTES Vi H V MONOCYTES 1 A t VW 200 8888 100 x10 THROMBOCYTES 50 25 en oxymetholone 30mg d prednisolon SG transplantation thrombocyte transfusion Evolution des param tres Leucocytes et Thrombocytes avant et apr s transplantation 76 BIN ER VAR r significatif dans le traitement de linsomnie En provenance du centre de recherches sur le syst me nerveux central d Upjohn une benzodiaz pine d une nouvelle generation la triazolobenzodiaz pine triazolam DO be DO 0 Bee BOOOOC AAXAX HI seele 20 10 76 Halcion Posologie de g uide dose d attaque usuelle pour patients g
48. 2 montrant l volution des diff rents param tres h ma tologiques au cours de la maladie illus trent bien leur extr mit droite la formi dable r surrection h matopoi tique que connut l enfant peu apr s la greffe paral l lement d ailleurs une am lioration cli nique non moins spectaculaire Les ponc tions de la moelle confirmaient son re peuplement tr s rapide par des cellules h matopoi tiques de toutes les lign es Quatre semaines apr s la greffe on put lever certaines mesures d isolement et l enfant quitte l h pital moins de six se maines apr s la transplantation L an mie tait alors pratiquement corrig e la crise r ticulocytaire commen ait d j s es tomper les thrombocytes venaient de pas ser le cap des 100 000 m il persistait une leucocytop nie elle m me corrigee une dizaine de jours plus tard Quand l un de nous moins de trois mois apr s la transplantation alla rendre visite Jacques son domicile le petit mala de jouait d j en dehors de la maison Plus d un an apr s la greffe Jacques se porte toujours tr s bien Il a chang de groupe sanguin rh sus de d il est devenu D comme son fr re Les examens chro mosomiques pratiqu s 4 et 11 mois apr s la transplantation ont confirm eux aussi que Jacques est devenu une chim re h matopoi tique PERSPECTIVES D AVENIR Le cas ci dessus rapport est une obser vation quasiment id ale en
49. A titre indicatif formes b nignes z 1 compr par 24 heures formes moyennes 1 2 compr par 24 heures formes graves 4 6 compr par 24 heures PRESENTATIONS Flacon de 20 et 100 comprim s s cables Conditionnement clinique de 500 comprim s AVERTISSEMENT Un r sultat ne doit tre escompt que si la m dication est respect e chaque jour sans omettre une seule prise L arr t brusque du traitement peut tre extr mement dangereux en faisant apparaitre des crises graves parfois difficile juguler PRECAUTIONS ANTIDOTE TOLERANCE Il est recommand d viter les boissons alcooliques et les antihistaminiques afin de pr venir une potentialisation des effets La prudence s impose en cas d hypersensibilit aux barbituriques ou d insuffisance h patique ou r nale grave Il est conseill de surveiller la tension du patient En cas d absorption accidentelle massive il y a lieu d utiliser les moyens d evacuation classiques sous contr le m dical L Epipropane r duit au minimum les contre indications de la m dication barbiturique ne provoque pas de somnolence vite les pertes de m moire permet fe travail intellectuel En cours de traitement par I Epipropane il n y pas lieu d augmenter la dose prescrite ni de craindre une accoutumance CONSERVATION Dans un endroit sec laboratoires therapeutica 012 rue de gen ve 1030 bruxelles Avami AF ri gran drdngt che igr ne ms Abseits Avamigran wirkt
50. Hamilton M Development of a rating scale for primary depressive illness Brit J Soc Clin psychol 6 278 296 1967 Lorr M Klett C J Me Nair D M Syn dromes of psychosis Oxford England Perga mon Press 1963 Ninth Revision of the International Classifi cation of Diseases Chapter 5 Psychiatric disorders and its glossary Proc VI World Congress of Fsychiatry Honolulu 1977 Overall J E Gorham D R The Brief Psy chiatric Rating Scale Psychol Rep 10 799 812 1962 Overall J E Hollister L E Computer pro cedures for psychiatric classification J Amer Med Ass 187 583 588 1964 Overall J E and Woodward J A Concep tual validity of a phenomenological classifi cation of psychiatric patients J Psychiat Res 12 215 230 1975 Pichot P Bailly R Overall J E Les st r otypes diagnostiques des psychoses chez les psychiatres fran ais Comparaison avec les st r otypes am ricains Proc Vth Int Congr Colleg Int Neuro psychopharmacol 1966 Pichot P Les mod les en psychopathologie et la nosologie psychiatrique In Psychiatrie Heute Stuttgart Georg Thieme Verlag 1962 Pichot P Le probl me de la quantification dans la recherche psychiatrique Bull Ac Suissse Sc Med 25 147 159 1970 Pichot P La nosologie psychiatrique et le diagnostic par ordinateur La Presse Medi cale 75 1269 1274 1967 Pull C B Overall J E Adequacy o
51. IRES G A COCHARD S A Rue Charles Parent 5 7 1070 Bruxelles e AN pe CIN LS AS 3 KS eS ERA CU La H Sin KV digitasia Labo COCHARD COCHARD D as H e rZ Koronare Herzkrankheit Stenokardie ent rin nt Angina pectoris der Sauerstoffnot Litterature et chantillons 4 demander au COMPTOIR PHARMACEUTIQUE LUXEMBOURGEOIS S A ULTRAGILLIN S A BIOS COUTELIER avenue Louise 350 1050 Bruxelles T l 02 648 25 30 nistration d Endoxan eut lieu par voie in traveineuse la transfusion de moelle os seuse 400 mi de moelle avaient t pr lev s sous anesth sie g n rale au niveau de l os iliaque du fr re hospitalis cet effet pour 1 2 jours dans le but d appor ter au malade au moins 3 10 celules m dullaires nucl es par kg de poids cor porel Comme mesures prophylactiques contre une ventuelle maladie du greffon contre l h te on injectait du M thotrexate d s le lendemain de la greffe puis avec des in tervalles croissants par ailleurs toutes les transfusions autres que la moelle elle m me avaient t irradi es in vitro avec 1 500 rads 12 jours apr s la transplantation se ma nifestaient les premiers signes de la prise du greffon avec r apparition de r ticulo cytes circulants une ascension simultan e des leucocytes suivie quelques jours plus tard d une ascension spontan e des throm bocytes Les tableaux 1 et
52. MIE KURT HERRMANN 2057 Reinbek b Hamburg HEHMAL Litt rature et chantillons demander au COMPTOIR PHARMACEUTIQUE LUXEMBOURGEOIS S A ue A e mm en e a d f y B NI SUBSTANTIA SUBSTANTIA S A 1190 Bruxelles 45 avenue Wielemans Ceuppens CODALI square ambiorix 10 bruxelles 1040 brussel tel 734 7068 734 69 83 AETHOXYSKLEROL CHENOFALK 0 5 1 Din 2 3 HYLAK ASTHMO KRANIT MIGRAINE KRANIT ATHEROLIP THROMBOCID BEN U RON ampoules pommade BOURGET Probios TRIOESTRINE RETARD Produits de Contraste GUERBET Contrix 28 Perfusion Dimer X Hytrast Lipiodol Ultra Fluide Orabilix Transbilix T l brix 38 20 40 60 80 ml T l brix 30 Meglumine 30 100 ml Vasurix Polyvidone nt popropamats PERTRANQUIL meprobamate INDICATIONS Etats d anxi t et de tension nerveuse troubles psychosomatiques Pour faciliter le sommeil physiologique POSOLOGIE MOYENNE 1 4 comprim s GRUPPO LEPETIT S p A MILAN italie Repr sentant pour le Grand Duch de Luxembourg PROPHAC S r l Case postale 2063 T l 48 24 82 gt BERTRANQUIE DONNE A L ANXIEUX SERENITE ET DETENTE Te en Cd peice a K a Vo DN ZEN Lockerung der kochsalzarmen Modell Di t Reizabschirmung ohne Erm dung Kaliumsubstitution m oderner Erhaltungsdosis 1 2 Drag t gl Dragees mit 3 3 mg Thiabutazid 0 07 mg Reserpin 0 07 mg Res ut ruck cinnamin 0 7
53. Senbiue lo oyaAsd SOWOIPUAS sai sueq LNSWALIVHL NG ALINANO9 e nol sed 6 amp einodwe sun eo anenb g son 9 2181USJE 9104 el 30uaJ3jaJd Op ran enbijoooje abe nas 9p Sain Sal sueq 9210 BWIO ej R Jassed Inad uo awad a SOUSIDSUOD SP 2 9 ap UONEIOI SWE anb Sag W no AI ua nof Jed eo 991919 3160jo0sod aun 1ed 189u8WW09 ap oun Lea onbiyewnen sod u 6 10 p 89ua 0SU00 ej ap SPUojo1d S8 qno1 sai Ja sewo sal sueq 6 amp s nodwe SUN P Sllejnosnweuauj NO asnaulaaesyul uolui Sje191USJEd SIOA ej SIN snBie seo sa sueq sasud ua nol sed 6 cl amp aunpai JUBWSAISSoIBOId elas SSOP 8189 dlIsap Loual ap LONUSIIO saidy s sud us nol sed 6 p z 81puald jngap ne ajeso alon E 99U919 91d ap Jaen sanb IUOIU9S seo sat sueg 319070S0d e 29UaplAg ua ASIW 919 BU UONBIIPUI 911UOD aunone 4nof 89 R 3j191x0 ap alana sed JUB R U TIdOYLOON 27 SNOIL VOIONI 3H1NO9 e S8 QqISI949111 Sa 21q9199 SuoIsa ap 19 S89NISUOI SSOUSWYSP op SEI a SUEP joe sed 159 U Ti1dOHLOO N 87 enbipu 9831 sjnepas s p Jed eeh SE Sep Jed anbissejo JUDIWSJEI ai ainafew 2911owou9 sd UONEWOX9 P no SsnbiuiwejyiA soua1e9 op SEI ue JUBPUSdaJ anbiuoiyo anbijoo9 e Zayo JASS SP ano e 1 1191n099e1 ap jawed s nol e juepuad osin TIdOHLOON 27 anbiyewnen sod AUIBI10 p 80ua10SUOd ej ep spuoJoid Sa qno1i SEP 13 SEWO9 s p sinooap ai un nedeuey S 19 SUSIUBIO sas yewnen sap jnoelqns up SWO0IPUAS USIUBIO wsyew
54. a moelle h matopoi tique La suite des v nements nous voudrions l illustrer par l histoire clinique d un petit malade 74 CASE REPORT Jacques S n le 3 12 1971 tait bien portant jusqu en mars 1975 date laquelle il a consult le p diatre pour une angine Une num ration sanguine montrait une thrombocytop nie 45 000 m Peu de temps apr s apparaissait un purpura L en fant fut hospitalis et le diagnostic d A A idiopathique fut pos Un traitement par la prednisolone fut commenc suivi par des androg nes oxym tholone Pendant plu sieurs mois h moglobine oscillait entre 6 et 9 g une premi re transfusion d tre donn e d but juin 1975 suivie de plu sieures autres les r ticulocytes taient au tour de 10 15 0 chiffres t moignant du caract re nettement hypor g n ratif de l an mie les granulocytes oscillaient entre 500 et 1 200 mm sous corticost roides les thrombocytes entre 25 000 et 60 000 mm Tableaux 1 et 2 A cette poque les crit res p riph riques de l A A grave n taient pas tous remplis Mais l tat de l enfant ne s am liorait gu re il y eut no tamment plusieurs pouss es de purpura ainsi qu une h mat m se A partir d oc tobre novembre 1975 les thrombocytes descendaient en dessous de 20 000 mm ec reticulocytes stagnaient autour de 10 foo En tout Jacques dut tre hospitalis une dizaine de fois en l espace de huit mois
55. accidents fr quents irritabilit par le M DECIN renseignements fournis par le patient la famille examen du malade foie pancr as estomac Syst me neurologique d pistage des alcooli ques parmi les malades hospitalis s surtout parmi ceux ayant fait l usage de drogues y compris l alcool abus de m dicaments tranqui lisants barbituriques etc depistage parmi les accidentes surtout les accidentes de la route dont les auteurs devraient passer d office la SONS LION pour tirer au clair leur situation et pour traitement even del ue par les M DECINS DU TRAVAIL les SYNDICATS renforcer la surveillance m dicale dans les entreprises aux fins de rendre possible le d pistage pr coce de ceux pr sentant des troubles alcooliques essayer de cacher de tels troubles c est rendre un mauvais service au malade et sa famille Le m decin qui traite un alcoolique doit s armer de patience et ne doit pas abandonner le traitement si le malade rechute et recommence boire Car pour beaucoup de maladies pronostic moins favorable comme l arthrite rhumatismale l ulc re duod nal le diab te etc on accepte les r cidives comme normales surtout on ne les interpr te pas comme rejet de th rapie zu TN e ve mhe weie tet BISMICRON FORMULE Bismuthi subcarbonas 2 5 g Natrii citras Dinatrii phosphas pro pulv uno POSOLOGIE ADULTES Se conformer aux
56. agnostic decision making nevertheless seems to justify the belief that ihe situation can be improved KEY WORDS Reliability of psychiatric diagnosis standardization of psychiatric nomenclatures structured evaluation instru ments clinical research criteria phenomenological classifications computer generated diagnosis INTRODUCTION Psychiatric diagnosis has often been criticized for its lack of reliability Classification of patients depends to a large extent on individual interpretations of the disease entities and qualified psychiatrists often dis agree on the most appropriate diagnosis 2 19 More over consistent biases toward making or avoiding cer tain diagnoses have been demonstrated in investigations of diagnostic practices in different settings In selected countries where the diagnostic nomenclatures appear similar enough for comparison substantial differences in the clinical conception of disorders which are as broadly defined as schizophrenia and depression have become apparent 7 Moreover in most cases it is dif ficult to even attempt a direct comparison of the more specific diagnostic concepts because the nomenclatures in different countries tend not to be equivalent in num ber and nature of diagnostic categories 5 99 Bulletin de ja Soci t des Sciences M dicales du Grand Duch de Luxembourg The awareness of variations in diagnos tic practices has led to various attempts to specify more obje
57. aires saines et les autres un bon mode de vie et une alimentation quilibr e Nous pouvons si vous le d sirez vous en envoyer un certain nombre d exemplaires Le titre Notre c ur notre alimentation Et tout m decin int ress nous adressons galement un exemplaire des tudes cliniques sur lesquelles Becel base ses informations Margarine de r gime Becel un des l ments importants pour pourquoi il suit un r gime est doublement motive 5 note CSU notre alimentation Becel De Keyserlei 3 boite 1 2000 Antwerpen T l 031 35 58 80 Extens 263 Envoyez moi s v p 0 25 0150 0 75 D 100 ou C exemplaires gratuits Notre c ur notre alimentation HE I exemplaire gratuit du dossier Documentation scientifique et tudes cliniques pe S mem GE A BE Em mm mm men pm w 2 g E AE Pr D D D a D D D D D D D e e e D D D D D D D D D D D D e D D D 2 D un regime r ducteur de cholest rol CH u SS ER SS ES ER SS w BEM 4 t N 1219F LINTAS 1 H NUN L alcoolisme est une maladie qui trait e pr cocement ad quatement et avec comprehension r pond aussi favorablement au traitement que beaucoup d au tres maladies chroniques etiologie inconnue et relativement incurables LE SUCCES DU TRAITEMENT d pend de beaucoup d l ments dont les plus importants peuvent tre formul s de la facon suivante L alcoo
58. ammographie En ce qui concerne la radioth raple il a cr une oeuvre capitale d montr e par 123 publications et de nombreux rapports de congr s Il faut relever en premier lieu qu il a introduit une m thodologie g n rale du fraction nement du traitement en radioth rapie ce qui a permis d augmenter consid rablement la dose totale la tumeur et par suite les taux de gu rison Ainsi il largit consid rablement les champs de la radioth rapie classique d abord des hautes nergie Cobalt et acc l rateur ensuite montre aussi les possibilit s accrues des associations radio chirurgicales Par des doses de plus en plus lev es il obtient fr quemment la st rilisation de la tumeur par les rayons seuls notamment pour le sein et le larynx rapport en 1948 au congr s de chirurgie Ses m thodes ne sont n anmoins permises que par suite d une technique diffi cile et rigoureuse la ide de petits champs juxtapos s et sans entrecoupements Il invente ainsi en 1941 le centreur localisateur lumineux qui r volutionne la technique et est ulte rieurement utilise en radiodiagnostic Ses principales recherches et publications portent en outre sur des domaines plus specifiques sur le cancer du sein o il est notamment le pr curseur 1960 des m thodes de traitements non mutilants par tumorectomie simple irradiation et chimioth rapie combinee sur le cancer du larynx et du pharynx Dans ce domaine comme dans d aut
59. assive Sont difficilement accessibles aux efforts de d toxication On ne saurait assez rap peler que si le m decin praticien doit sa voir et pouvoir traiter la majorit des tats d pressifs qu il reconnait il est imp ratif qu il hospitalise tout cas pr sentant un risque suicidaire doit se rappeler que celui ci n est pas toujours maximal au plus profond de la d pression surtout lorsque celle ci est tr s ralentie et qu il peut ap para tre lorsque les premiers effets du traitement se manifesteront par une lev e de l inhibition La deuxi me r gle est que le traitement doit tre suffisamment prolong Pour des raisons qui ont soulev beaucoup de con troverses mais ne sont pas encore claires les anti d presseurs n agissent gu re avant deux ou trois semaines d administration Une r gle courante veut que si un traite ment correctement conduit a t inefficace au bout de trois semaines on est autoris a changer de m dicament Mais en outre m me lorsque la thymie a t ramen e la normale il faut continuer le traitement pendant plusieurs semaines En effet on admet que les anti d presseurs ont une action seulement suspensive sur le trouble de l humeur et il est th oriquement n ces saire den poursuivre l administration tant que la phase n a pas spontan ment r tro c d Or nous n avons d autre moyen de savoir si sous un tat psychique redevenu apparemment normal le trouble persiste potentiell
60. b lois ont pu induire des chim res h matopoi tiques dites partielles 77 split chimerism et transitoires avec des donneurs nullement histo compatibles le rejet ulterieur du greffon amp tant souvent suivi d une restauration autologue de la moelle Il n y eut jamais dans ces cas de maladie du greffon contre l h te Les ap plications cliniques furent encourageantes de 1972 1977 B le neuf malades n ayant ni fr re ni soeur HL A et MLC identique ont ainsi re u de la moelle d un membre de leur famille semi compati ble et m me dans un cas d un donneur non apparent Cinq de ces malades sont en vie et bien portants Le conditionne ments des receveurs se fait dans ces cas par de la globuline anti lymphocytaire ALG ou anti thymocytaire ATG Comme les atomistes de Math ces cing mala des ne sont pas non plus des chim res Il y a l en tout cas un espoir r el pour certains de ces malades sans donneur compatible On ignore le m canisme exact de cette action synergique entre la globu line antilymphocytaire et le moelle alloge nique histo incompatible mais ces resul tats sugg rent qu un certain nombre d A A pourraient relever d une pathog nie im munologie De telles restaurations autolo gues secondaires ne paraissent d ailleurs possibles que gr ce la survie pendant la phase clinique de la maladie d un cer tain nombre de cellules souches du mala de ce qui n est sans doute pas l
61. ce they hold pro mise of more uniform interpretation by 101 psychiatrists of different orientations and cultures Their major drawback stems from the fact that allthough psychiatric diag nosis and treatment are still based essen tially on symptomatology clinicians do feel reluctant to abandon the more com plex classification schemes they have grown accustomed to for a classification that is less attractive because of its sheer simplicity Phenomenological types or syndromes are defined in terms of a constellation of symptoms and behaviours that occurs fre quently in highly similiar form in the psy chiatric population They are developed through application of complex statistical methods to symptom rating profiles for large samples of patients In the past at tempts in this directoin have included ap plication of Q sort methodology that have resulted in the description of six different types of schizophrenia and four sub types of depression 5 More recently ex tensive cluster analyses have led to the identification of 6 or 8 major phe nomenological types in the general inpa tient population and to 10 different clus ters of schizophrenia in the vast popula tion investigated by the International Pilot Study of Schizophrenia The eight types proposed by OVERALL and al 71 provide an excellent illustration of the nature and reliability of phenomen ological classifications The names ch
62. cher Le rapport temporel vident le con tenu des ruminations d pressives li ex clusivement au traumatisme sont les l ments diagnostics essentiels Dans de tels cas deux probl mes se posent D une part partir de quel moment peut on consid rer que l on se trouve en face d une ma ladie et non d une r action psychologique normale L intensit de la symptomatologie et sa dur e sont les seuls l ments d ap pr ciation possible D autre part il existe des d pressions r actionnelles qui par les caract res et l intensit de leur sympto matologie sont indistingables de celle de 93 la psychose maniaco depressive et aux quelles on r serve parfois le nom de d pression r actionnelle De tels cas posent en fait le probleme de leur appartenance et il est vraisemblable que beaucoup d en tre eux sont des phases d pressives de la psychose maniaco d pressive d clench es et non caus es par le traumatisme comme en t moigne l existence chez le m me sujet d autres pisodes survenus sans cause apparente Il est enfin peut tre possible d indivi dualiser une forme r actionnelle particu li re dans laquelle la cause n est pas un traumatisme unique et massif mais une succession sur une longue duree de stress multiples et accumul s Ces d pres sions dites d puisement volueraient en trois phases une premiere caract ris e par une hypersensibilit amp avec irritabilit et angoisse
63. ctive criteria and mo re reliable procedures for classifying pa tients into diagnostic groups The most prominent recent advances achieved in this field will be shortiy and discussed in this report STANDARDIZATION OF CURRENT NOMENCLATURES In tne absence of any known etiology a major difticulty in the use of diagnostic concepts for classification of psychiatric patients arises from their simultaneous basis in two different models The first model relies on the description of symp toms whereas the second has reference in disease concepts This has resulted in classifications that intermingle in pro portions varying with time and changing trends in different countries a pheno menological nomenclature and an etio pathogenic nosology 5 Major efforts have been spent by the World Health Organization WHO to es tablish an internationally acceptable clas sification of psychiatric disorders In fact the numerous WHO categories have been defined largely by borrowing from various and sometimes opposing national nomen clatures As a consequence the resulting Classification remains rather confusing even ii its latest revision International Classification of Diseases ICD9 9 In comparison with ICD9 the third edi tion of the American Psychiatric Associa tion s classification was hailed as a major advance in psychiatric classification 3 DSMIII Diagnostic and Statistical Ma nual Ill differs from ICD9 and other
64. d 296 298 1977 Smith L H Hofmann A F Gastroenterology 66 1257 1974 11 12 13 14 15 16 17 18 19 21 Anderson H Jageburg R Gut 15 360 1974 Shorter R G Shephard D A E Am J Dig Dis 20 639 1975 Weedon D D Shorter R G listrup D M Huizenga K A Taylor W F New Eng J Med 289 1099 1973 Schumann B M New Eng J Med 283 135 1970 Singleton J W Gastroenterology 80 938 1976 70 A Fischer J E Foster G S Abel R M Abbott W M Ryan 1 A Am J Surg 125 165 1973 Fischer J E Reilly J Total Parenteral Nu trition Litele Brown amp Co Boston 1976 Macfayden B V Dudrick S J Ruberg R L Surgery 74 100 1973 Layden T Rosenberg J Demchausky B Elson C Rosenberg Gastroenterology 70 1017 1976 Rocchio M A Cha C M Haas K F Randall H T Am J Surg 127 469 1974 Shorter R G Shephard D A E Am J Dig Dis 20 540 1975 107 S ulo cton 1 gelule 3 fois par jour traite 2 les signes cliniques de l insuffisance vasculaire c phal es vertiges acouph nes troubles psycho intellectuels et comportementaux prot ge A l avenir de votre malade atheromateux gr ce l action anti agr gante plaquettaire SULOCTON est une substance originale synth tis e dans les laboratoires de CONTINENTAL PHARMA SULOCTON augmente la perfusion sanguine tissulaire P
65. d un nouveau vocabulaire Le mot thymie d rive de l organe anato mique le thymus et progressivement il en est venu a tre employ comme l indique Porot dans son Dictionnaire comme sy nonyme d humeur de ton affectif de base voire d affectivit Les psychiatres alle mands et fran ais l ont effectivement em ploy dans cette perspective si bien que la d pression est consid r e comme le mod le d un trouble thymique et que dans la litt rature m dicale fran aise la psy Chose maniaco d pressive est d sign e comme psychose thymique Il faut toute fois souligner une source de difficult s Notre maitre Jean Delay a dans son ou vrage classique les perturbations de l hu meur admis que le trouble fondamental de la d pression tait une exaltation de la thymie une hyperthymie tonalit tri ste alors que la manie serait une hyper thymie tonalit euphorique Pour d au tres auteurs au contraire il y a opposition entre la d pression abaissement de la thymie et la manie seule v ritable hyper thymie De ces opinions divergentes r sul te que dans la litt rature pharmacologi que les m dicaments anti depresseurs sont appel s tant t des thymoanaleptiques qui rel vent la thymie tant t thymolepti ques qui l abaissent ces termes concep tuellement oppos s d signant paradoxale ment la m me classe de drogues Dans la psychiatrie de langue anglaise l adjectif thymique n a gu re c
66. d un ou plusieurs pasodes maniaques et lui donna le nom de psychose maniaco d pressive II consi d rait que la d pression y tait de cause interne et pour cette raison il la qualifia d endog ne Puis Kraepelin dans un deu xi me temps admit que ce qu il avait ap pel m lancolie n est qu une d pression d but tardif du cadre de la psychose maniaco d pressive D sormais il proposa d utiliser le terme m lancolie ainsi deve nu libre pour qualifier la d pression en dog ne Cette histoire complexe explique les ambiguit s actuelles Beaucoup de psy chiatres refusent le revirement de Kraepe lin et admettent l existence autonome d une d pression endog ne d but tar dif et le terme m lancolie est g n rale ment r serv aux d pressions soit de la psychose maniaco d presive soit des for mes d but tardif mais la condition qu outre leur tiologie endog ne elles pr sentent une symptomatologie grave et ha bituellement des id es d lirantes II faut sans doute expliquer ce dernier point par un reste de la tradition antique dans la quelle la m lancolie tait d finie plus par ses anomalies intellectuelles les id es d lirantes de culpabilit et d indignit que par la tonalit triste de l humeur Depuis le XIX si cle en effet le symp t me depression c est dire grossiere ment la tristesse pathologique est devenue le pivot du syndrome d pressif Ceci a t l origine
67. du service de roentgen et radioth rapie la Fondation Curie d pendant de l Institut du Radium et puis en 1948 chef du service de radioth rapie l H pital Am ricain Paris o il travaille jusqu sa mort qui l y frappe m me en pleine activit en 1967 Parmi les nombreuses n crologies citons celle parue le 12 novembre 1967 dans le Monde qui consid re Baclesse comme l un des premiers radioth rapeutes du monde sinon le premier En effet Baclesse a peut tre mieux que quiconque durant toute son activit montr le juste chemin qui a fait cole dans le monde entier et qui est encore aujourd hui consi d r comme le seul valable en canc rologie Un des premiers centres anticanc reux du monde a ainsi fonctionn sous son im pulsion avec la coilaboration de ses confr res anatomo pathologues chirurgiens ORL et autres sp cialistes qui associent leurs connaissances pour coordonner leurs efforts au point de vue diagnostic et therapeutique des affections cancereuses 59 Les nombreux travaux de Baclesse se sont surtout attach s au domaine du radio diagnostic des tumeurs des voies a rodigestives sup rieures sp cialement du laryngo pharynx et du massif facial li tait un des premiers s int resser avec son l ve Cha vanne la mammographie Trois livres ont paru ce sujet en 1937 et en 1960 un ouvrage sur ies tumeurs du pharynx et du larynx chez Masson et en 1965 avec Willemin un atlas sur la m
68. e au moins chez les m decins praticiens fran ais Dans une tude portant sur un chantillon d une soixantaine de g n ra listes et utilisant une m thode d enqu te bas e sur l tablissement de st r otypes l aide d chelles d appr ciation nous 95 avons pu determiner les faits suivants les cas diagnostiqu s par le psychiatre n vrose d angoisse sont g n ralement d nomm s par le g n raliste dystonie neu ro v g tative ou neurotonie Par contre le g n raliste parle d Anxi t d Etat anxieux de N vrose d angoisse pour des malades dont la symptomatologie est vue par le psychiatre comme d pressive et dans une proportion notable de cas les d pressions sont intitul es psychas th nie ou surmenage intellectuel On a l impression que ces glissements de sens recouvrent deux tendances L une est de Somatiser au moins pathog niquement la n vrose d angoisse en portant un diag nostic organique tel que dystonie neuro v g tative L autre consiste meconnaitre le syndrome d pressif en utilisant cer tains de ses symptomes pour des diagnos tics erronn s l anxi t qui permet de parler de n vrose d angoisse la sensation de fatigue qui permet d invoquer la psy chasthenie ou le surmenage L existence de deux langues diff rentes l une propre au Sp cialiste l autre au praticien g n raliste n entraine pas seuement une diffi cult dans les Communica
69. e cas dans toutes les A A graves AUTRES INDICATIONS DE LA TRANS PLANTATION DE MOELLE Avant de terminer nous aimerions rapi dement dire un mot des autres indications actuelles et souhaitables de la transplan tation de moelle les formes graves des d ficits immu nitaires congenitaux 30 50 de suc c s des leuc mies aigu s et des transfor mations aigu s de certaines maladies my lo prolif ratives jusqu ici 10 20 78 de survivants au del d un an apr s la greffe certaines an amp mies h molytiques cong nitales graves comme la thalass mie majeure l an mie cellules falciformes certaines enzymopathies rythrocytaires graves U va sans dire que dans ce type d indi cations l induction de vraies chim res pa rait repr senter la seule chance de gu ri son Chez certains malades canc reux souffrant d une aplasie m dullaire gravis sime la suite de chimioth rapies lour des et ou de radioth rapie on peut re transfuser leur propre moelle osseuse pr lev e avant la th rapeutique aplasiante condition bien entendu qu il n y ait pas eu de m tastases ost o m dullaires On se heurte ici aux difficult s que soul ve la cryo conservation de la M O entre son pr l vement et le moment de l autotrans fusion Mais nous ne voudrions pas nous attar der sur ces autres indications de la trans plantation de moelle qui sortent du cadre de cet article
70. e succ s durable utiliser comme donneur de moelle un fr re ou une soeur identique pour les antig nes HL A et le locus MLC res ponsable en culture mixte des Iym phocytes de la stimulation r ciproque des cellules provenant d individus dif f rents conditionner le receveur par une forte immuno suppression dans l espoir de le rendre inapte rejeter le transplant disposer de toutes les ressources d une r animation h matologique moderne 72 possibilit s d isolement transfusions de thrombocytes ou et de granulocytes essayer d viter que des cellules im muno comp tentes du donneur ne s at taquent au receveur paralys dans ses fonctions immunitaires LES PRINCIPAUX ECUEILS M me en disposant de donneurs de la m me fratrie compatibles pour le syst me majeur d histocompatibilite il persiste tou jours deux causes majeures d chec en mati re de transplantation de M O dans AA 1 La non prise du greffon resp le rejet de ce greffon apr s une prise tran toire cette ventualit la plus redou t e d pend notamment des facteurs suivants l ge du receveur les checs de viennent nettement plus fr quents apr s 21 ans la dur e d volution de la maladie plus l intervalle entre le diagnostic et la transplantation est long plus les chances de succ s diminuent le nombre de transfusions re ues par le receveur avant la greffe au del
71. ebenwirkungen und Begleiterscheinungen beobachtet worden Die gleichzeitige Anwen dung von Kosmetika st zu unterlassen da diese die unerwunschte Aufnahme des JACUTIN Wirkstoffes in dre Blutbahn fordern k nnen Unvertr glichkeiten und Risiken Das Praparat sollte n cht wahrend der Schwangerschaft und Stillzeit angewendet werden Darreichungsform und Packungsgr e Gel Tube mit 509 Handelsform und Preis mit MwSt Gel Packung mit 50g DM 6 40 Wz dert Merck Darmstadt D Hermal Chemie Kurt Herrmann 2057 Reinbekb Hamburg HERMAL Litt rature et chantillons demander au COMPTOIR PHARMACEUTIQUE LUXEMBOURGEOIS S A blend a med unterst tzt Sie bei der Behandlung von Parodontopathien blend a med Fluid Zur Therapie entz ndlicher Prozesse in der Mundh hle Anwendung im Spray in der Mundbadeanlage zum Touchieren und zur Tamponade blend a med Zahnpasta Sch tzt vor Karies und Parodontose Denn blend a med enth lt hochaktive Antikaries faktoren und zum besonderen Schutz des Zahnfleisches Allantoin und Pyridyl carbinol blend a med m dic Zur richtigen Reinigung der Z hne und zur schonenden Massage des Zahnfleisches Zusammensetzung blend a med Fluid 100g enthalten ing 2 2 Dihydroxy 3 3 dibrom 5 5 dichlordiphenylmethan 0 1 1 4 Dimethyl 7 iso ropylazulen 0 006 Tinctura Arnicae 1 0 Tinctura Myrrhae 1 0 Saccharin Na 0 03 und Geschmacks korrigentien in alkoholisch
72. een able to progress without a previous classification of the facts it has to deal with Classifi cation in psychiatry has proved to be par ticularly difficult to realize and psychiatric diagnosis has been marked by disagree ment and controversy Recent advances in major methodological issues involved in the diagnostic decision making neverthe less seem to justify the belief that the si tuation can be improved REFERENCES 1 Beck A T Retiability of psychiatric diag noses II A study of consistency of clinical judgements and ratings Amer J Psychiat 119 351 357 1962 2 Beck S J The six schizophrenias Res Mono Am Orthopsychiat Ass 1954 3 Diasgnostic and Statistical Manual of Mental Disorders 2nd edition DSM Il Washington DC published by the American Psychiatric Asociation 1968 4 Foulds G The reliability of psychiatric and the validity of psychological diagnosis J Ment Sci 101 851 862 1955 5 Glossary of Mental Disorders London Her Majesty s Stationary Office 1968 6 Grinker R R and al The phenomena of depression Hoeber New York 1961 7 Gurland B J Fleiss J L Cooper J L Shar pe L Kendall R E and Cross Roberts P National Study of Diagnosis of Mental Disor ders Hospital diagnoses and hospital pa tients in New York and London Comprehen sive Psychiatry 11 18 22 1967 10 11 12 13 14 15 16 17 18 19 20
73. efficace est S 2 2 DIProsone 2 ESSEX BELGIUM S A el Subsidiary of Schering Corporation U S A E Avenue de la Couronne 163 1050 Bruxelles Nouveau Le nouvel antirhumatismal Geigy VOLTAREN Jette le pont entre l efficacit et la tol rance Proprietes Le Voltaren contient une substance chimique nouvelle non apparentee au groupe des steroides et posse dant des proprietes antirhumat s males antiphlogistiques analges ques et ant pyretiques prononcees Les comprimes sont munis d un enrobage protecteur res stant au suc gastnque de sorte que la sub stance active n est I beree que lors du transit intestinal Indications Rhumatisme inflammatoire et dege rhumatoide spondylarthnte ankylosante arth neratif polyarthnte rose spondylarthrose Rhumatisme abarticulaire Etats inflammatoires et oedemateux post traumat ques Posologie Adultes dansles cas aous et pour debuter un tra tement 3 fo s 2 compr mes par jour Dans les cas chroniques et comme dose d entretien 3 fois I comprim par jour Avaler les compr mes sans les cro quer au moment du repas Contre indications Ulc re gastnque ou duodenal Effets secondaires Douleurs pigastriques naus es et vomissements diarrh es malaises generaux c phal es sensations de vertige ainsi que quelques rares cas d exantheme ont ete releves Ces sympt mes doivent retenir l atte
74. ement que d arr ter le traite ment C est dire la prudence avec laquelle doit tre pratiqu e la d gression des poso logies Les anti d presseurs sont quoi qu on en ait dit actifs dans les divers types de d pression encore que leur plus grande ef ficacit se situe dans la psychose mania co d pressive Certes il est indispensable de leur associer quand cela est possible le traitement de l affection causale dans les d pressions organiques une cure neu roleptique majeure dans les d pressions de la schizophr nie une psychoth rapie dans les d pressions n vrotiques r action nelles mais la bonne connaissance de leur maniement reste dans tous les cas fondamentale Le domaine des tats d pressifs est im mense Les travaux qui leur sont consa cr s actuellement sont si nombreux et touchent des domaines si diff rents et parfois si sp cialis s qu il serait vain de pr tendre les passer tous en revue Mais il reste que par leur fr quence par les souf frances qu elles entra nent et que nous pouvons aujourd hui largement soulager elles constituent le domaine de contact privil gi entre le praticien g n raliste et la psychiatrie 97 Les troubles par modification du pH les lendemains de Gastrectomie les insuf fisances du pancr as exocrine exigent une OPOTHERAPIE PANCREITIQUE SUPE RIEURE D EFFICACITE MAXIMA Sans contre indication PANCREAL KIRCHNER est base d extrait pancr at
75. endre que quelques exemples Si l introduction du mot d pression en psychiatrie est r cente c est que l on dis posait depuis l antiquit d un autre terme celui de m lancholie On sait que celui ci d rive de la th orie pathog nique grecque qui voyait dans l quilibre des quatre hu meurs fondamentales le sang la lymphe la bile jaune et la bile noire le garant de la sant et dans la pr dominance de l une d elles l origine des maladies Pour les m decins de l antiquit et pour tous les m decins jusqu la fin du XVIIIe si cle le syndrome d pressif est d sign sous le nom de m lancholie parce qu il 88 est consid r comme le r sultat d une ac tion de la bile noire sur le cerveau On distinguait alors deux tiologies de la ma ladie ou bien la bile noire tait secr t e directement au niveau du cerveau ou bien elle s accumulait au dessous des rebords costaux dans la r gion des hypochondres envoyant des exhalaisons toxiques l en c phale De cette pathog nie qui nous para t aujourd hui fantaisiste est issu un vocabulaire qui a persist mais en chan geant de sens L origine sous costale a t l origine du terme hypochrondie qui jus qu au d but du si cle dernier a d sign un syndrome d pressif qui aurait en pro pre son origine anatomique Ce n est gu re qu avec Pinel qu il a pris son sens mo derne celui d un sympt me d fini par une estimation p jorative de la sa
76. er L sung 4 Indikationen Gingivitis Stomatitis Parodontitis i a Yj i Kontra Indikationen keine t Sf blend a med Forschung Mainz INTEGRAL S A Luxembourg 25 rue d Epernay Les 28 semaines de Psychot rapie de Lindau Elles se tiendront du 17 au 29 avril 1978 Les th mes principaux des expos s donn es tous les matins de la premi re semaine seront 1 Conflits entre la m decine avec orientation psychologique et la m decine avec orien tation somatique Points de vue et modes de compr hension 2 inqui tude et nouvelle orientation avant les cinquantaines Les rapporteurs suivants ont accept notre invitation BAITSCH Ulm BASTIAANS Leiden DIECKMANN Berlin HAEHN Hannover HEIGL G ttin gen KUTTER Frankfurt Margarete MITSCHERLICH Frankfurt RICHTER Giessen RIEMANN M nchen RUDNITZKI Heidelberg SEIFERT Stuttgart STREECK G ttingen WELK Hamburg WILLI Z rich WUNNENBERG Hamburg et ZAUNER Tiefenbrunn La deuxieme semaine sera ouverte par un discours de SIEFERT Frankfurt sur le th me Sigmund Freud Georg Groddeck et la m decine psychosomatique elle sera ter min e paru un discours de BAUM Chicago sur le theme De la pratique d un th rapeute psychanalytique Pendant chacune des deux semaines trois expos s continus seront donn s Pendant la premi re emaine 1 Une introduction aux notions fondamentales de la psychologie en profondeur SCHLEGEL Z rich 2 Mod les
77. eral cases of fistulization have totally resolved with TPN alone 17 191 Similarly growth arrest in adolescents with Crohn s disease reversed after TPN Chemically defined elemen tal diets have had similar results in pa tients with acute IBD who have at least partially functioning gastrointestinal tracts These elemental diets provide high ca loric high protein nutrition which are fat and residue free They have been shown to be anabolic in patients with incomplete small bowel obstruction and to promote wound and fistula healing This brief discourse reviews some of the current clinical advances in Crohn s disease Much work is ongoing to elucidate the etiology and pathogenesis of this dis order which is reviewed elsewhare 21 10 Gelzaydea Dobbins J W Binder H J REFERENCES Danzi J T Farmer R G Sullivan B H Ran Rankin G B Gastroenterology 1976 70 9 Falchuk K R Perrotto J L Isselbacher K J New Eng J Med 1975 292 395 Nugent F W Mallari George H Ridley N Gastroenterology 70 1014 1976 Peeters T L Geboes K Vantrappen G R New Eng J ed 292 1349 1975 Pruzanski W Marcon N New Eng J Med 293 611 1975 Deren J J Porush J G Levitt M F Ann Int Med 56 843 1962 Breuer R I Kirsner J B Am J Dig Dis 13 1027 1968 Smith L H Froom H Hofmann A F New Eng J Med 286 1371 1972 New Eng J Me
78. erengung des usseren Meatus der Harnr hre nm Ausserdem steht sie im Widerspruch zu den blichen stheti schen Vorstellungen der europ ischen Be v lkerung Die Operationsindikation ist um so strikter zu stellen je j nger der Patient ist 10 11 LITERATUR Berry C D Jr and Cross R R Jr Urethral meatal caliber in circumcised and uncircum cised males Amer J Dis Childh 143 1054 1956 Bleich A R Prophylaxis of penile carcinoma J Amer med Ass 143 1054 1950 Boldt W Ober erste Erfahrungen mit der routinem ssigen Beschneidung der Neugebo renen in Deutschland und Gedanken zur Krebsprophylaxe Geburtsh und Frauenheil kunde 19 624 1959 Clemensen J Statistical Studies in the aeti ology of malignant neoplams Acta path mi crobiol scand Suppl 174 322 and 350 1965 Gairdner D The fate of the foreskin A study of circumcision Brit Med J 2 1433 1949 Hamilton W J Boyd J D and Mossman H W Human Embryology 2nd edition p 251 W Heffer Cambridge Harnach G A Fehlbeurteilung Phimose P diatr prax 8 1 2 1969 Keuth U Der Kinderarzt 71 1976 Morton H G Meatus size in 1000 circum cised children from two weeks to sixteen years of age Fla med Ass 50 137 1963 Oster J Further Fate of the Foreskin Arch Dis Childh 43 200 1968 Singer H Vorhautverengung P d prax 14 628 1974 69 un dermocorticoide plus rapidement
79. f the Brief Psychiatric Rating Scale for distingui shing lesser forms of psychopathology Psy chol Rep 40 167 176 1977 Puil C B Pichot P Overall J E Pull M C Une classification des maladies mentales lll Comparaison des st r otypes fran ais avec les st r otypes am ricains Ann Med Psy chol 1 109 117 1977 Pull C B Overall J E Carranza J Cas sano G Phenomenological classification of psychiatric patients Consistency of syndrome interpretation by psychiatrist in Italy France Mexico and the United Sates J Psychiat Res Nov 1977 103 21 24 26 Report of the Puil C B Pichot P Overall J E and Pull M C Validation conceptuelle d une classi fication psychiatrique syndromique Annales Med Psychol 2 353 370 1976 Pull C B Pichot P Overall J E Statisti cally based diagnosis of psychiatric patients in France Proc Vith World Congress of Psy chiatry Honolulu 1977 International Pilot Study of Schizophrenia Volume Results of the ini tial evaluation phase Geneva World Health Organization 1973 Schartetter C Das AMP System Manual zur Dokumentation psychiatrischer Befunde 2 korrigierte und erweiterte Auflage Springer Verlag 1972 Spitzer R C and Endicott J Can the com puter assist clinicians in psychiatric diagno sis Am J Psychiat 131 523 530 1974 Spitzer R L Endicott J DIAGNO A com puter program f
80. g re On s abstien dra d y associer d autres substances re dout es pour leur toxicit sanguine Jus qu pr sent le traitement continu et le traitement intermittent ne se distinguent pas par la fr quence des r actions ad verses 1 REFERENCES Hadden J W Lopez C O Reilly R J Had den E M Levamisole and Inosiplex anti viral agents with immunopotentiating action In Third Conference on Antiviral Substan ces Ann N Y Acad Sci 284 139 152 1977 Huskisson E C Dieppe P A Scott J Trap nell J Balem H W Willoughby D A Im munostimulant therapy with levamisole for rhumatoid arthritis Lancet Feb 21 393 395 1976 Liberman R Hsu M Levamisole mediated restoration of cellular immunity in peripheral blood lymphocytes of patients with immuno deficiency diseases Clin Immunol Immuno path 5 142 146 1976 Sany J Morlock G Serre H Traitement de la polyarthrite rhumatoide par le l vami sole Rev Rhumat 44 143 153 1977 Schuermanns Y de Cr e J Symoens J Verhaegen H Le traitement de la polyar thrite rhumatoide par le l vamisole Rev Rhumat 43 437 440 1976 Van Eygen M Znamensky P V Hech E Raymaekers l Levamisole in prevention of recurrent upper respiratory tract infection in children Lancet Feb 21 382 385 1976 111 BEFACT FORTE 250 mg 10 mg 250 mg 20 mcg Flacons de 25 et 100 dragees Indications Polyn vrites d or
81. hume banal rhinite aigu et chronique Rhinite allergique et rhinite vasomotrice Pollinose rhume des foins Sinusites aigu s et chroniques de l enfant et de l adulte Posologie et mode d emploi Gouttes nasales Enfants de moins de 6 ans 1 2 gouttes dans chaque narine 3 ou 4 fois par jour Adultes et enfants d s 6 ans 3 4 gouttes dans chaque narine 3 ou 4 fois par jour D visser la capsule Instiller les gouttes dans chaque narine au moyen du compte gouttes Lapplication se fait de pr f rence en position assise Imm diatement apr s l instillation de la dose prescrite dans l une des narines le patient inclinera la t te sur l paule oppos e Spray nasal Adultes et enfants d s 6 ans 3 n bulisations dans chaque narine plusieurs fois par jour Tenir le n buliseur verticalement introduire l embout dans une narine en fermant l autre presser vivement le spray 3 fois en ayant soin de le retirer chaque fois avant de rel cher la pression Remarque Le spray nasal est r serv aux enfants de plus de 6 ans et aux adultes Pour la facilit d application il est recommand d utiliser les gouttes nasales pour les nourrissons et les petits enfants Pr sentation Gouttes nasales Vibrocil flacon compte gouttes de 15 mil Spray nasal Vibrocil n buliseur de 10 ml Le n buliseur n est pas enti rement rempli pour permettre son bon fonctionnement qui r clame un minimum d air Dur e de validit Ce
82. i don polyvinyl acetas Titan oxyd Lacca tartrazin et lacca Flav Sun set pro colore S A CIBA GEIGY N V 1720 Groot Bijgaarden i I Ce i es ei Ka Numb KA gt ar 3 IN a tat he AA II p sh ETTER PZ r ge gt o d sw not 4 E 7 A 4 N e x i l i i a i 3 i I ERTER x HETER iu d Se SCH bol us Si as KA x LES g Feat r Gw I i JE e aa TN FT a a a I f 4 f j i Nervobaldon Dragees Indikationen nerv se St rungen bererregbarkeit Unruhe und Spannungszust nde Gegenindikation Glaukom Dosierung 2 x 2 Dragees am Tage 3 Drag es abends Packung OP 50 Dragees Zusammensetzung Valeriana D2 35 mg Viscum alb D2 25 mg Lupulus D2 25 mg China D2 25 mg Scopolamin hydrobrom D4 140 mg INTEGRAL S A Luxembourg 25 rue d Epernay La transplantation de moelle osseuse dans les anemies aplastiques graves P GROFF B SPECK P CORNU C NISSEN J SARTORIUS M JEANNET P ERNZER H matologische Laboratorien Departement f r Innere Medizin des Kantonspitals CH 4031 BALE Bull Soc Sci Med Luxembg 114 1977 Historique Bases experimentales PREMIERES TENTATIVES CLINIQUES En 1939 Osgood injecte 18 ml de moelle osseuse M O une femme de 19 ans qui souffrait d une an mie aplastique A A apparue la suite d injections d or La m
83. ide Van Eygen et coll ont d montr que l administra tion de l vamisole des enfants sujets des infections fr quemment r cidiventes des voies respiratoires dimi nuait Significativement le nombre la s v rit et la du r e de ces affections D autres ont rapport des r sul tats prometteurs chez les sujets atteints de stomatites aphteuses r p t es d infections herp tiques de ver rues d infections cutan es trainantes etc L activit du produit dans l arthrite rhumatoide ma ladie autoimmune est au moins aussi int ressante Huskisson et coll Sany et coll Schuermans et 5 a e e Clinique St Th r se coll 5 Elle met Plusieurs mois se manifester sur Luxembourg les sympt mes cliniques et sur diff rents param tres 1 Bull Soc Sci M d Luxembg 114 1977 09 Bulletin de la Soci t des Sciences M dicales du Grand Duch de Luxembourg biologiques tels que la vitesse de sedi mentation globulaire et les r actions s rologiques de detection du facteur rhuma toide L effet maximum s observe apr s en viron 6 mois Le traitement intermittent 3 ou 4 jours par semaine est dit aussi effi cace que le traitement continu Un certain nombre de malades ne r pondent pas Lors de International Meeting on In flammation Londres en fevrier 1977 et du Congr s International de Rhumatologie San Francisco en juin juillet 1977 des communications favorables au l vamisole
84. if de fonctionnelles La perturbation de base peut tre attribu e soit un trouble de l humeur et ainsi sont d finies les psycho ses thymiques ou affectives soit un trouble de la synth se mentale qui carac t rise le groupe des schizophr nies Le syndrome depressif peut se rencontrer dans les deux grandes classes de psycho ses fonctionnelles aussi bien dans les psychoses affectives que dans les schi zophrenies La grande psychose thymique pour cer tains la seule est la psychose maniaco depressive Affection fr quente puisqu elle frappe environ une personne sur 300 elle est caract ris e par l existence chez le en est atteint de phases de d sujet qui eG ou d excitation euphorique dites maniaques s par es par des intervalles d int grit psychique compl te Sur 100 malades 1 ou 2 pr sentent au cours de leur vie un seul acc amp s maniaque 7 ou 8 en pr sentent plusieurs 15 un seul acc s d pressif 50 plusieurs et le reste soit 25 la fois des acc s maniaques et des acc s d pressifs Le syndrome d pressif le plus ty pique de la psychose maniaco d pressive est sa forme grave la m lancolie Il est fait de trois sympt mes fondamentaux une qualit p nible de l humeur tristesse pa thologique de nature sp ciale qui l a fait qualifier de d pression vitale une diminu tion des processus intellectuels et des pulsions instinctuelles souvent qualifi e d inhibition s accompag
85. ifferent from the decision tree model in that it does not recognize more than a probabilis tic relationship between phenotypic indica tors and the underlying disease states and merely definies the statistically most con sistent relationship that exists between multiple patient characteristics and the probabilities of diagnostic classification Based upon a data bank representing the accumulated experience of a number of qualified psychiatrists the computer pro gram quantifies how close a new patient is to previous patients who have been like a present one in terms of a complex pat tern of relevant characteristics and results in the assignment of a specified proba bility of group membership to each pa tient Though the potential of either program is clearly recognized it should be stressed that procedures of this kind cannot be ex pected to lead to infallible diagnosis since both operational criteria and clinical diag nosis are fallible The major advantage of a computer program lies in the fact that given the same data it will always yield the same diagnosis In this and only in this respect will any computer generated diagnosis necessarily be perfectly reliable DISCUSSION AND CONCLUSION The need for a greater reliability of psy chiatric diagnosis should not make forget that each psychiatric patient is an indivi dual person and that he should be consi dered and treated as such On the other side no science has ever b
86. igine toxique en particulier alcoolique ou cons cutive un traitement par I Isoniazide N vrites algies zona syndrome neuroleptique etc Asth nies myopathies crampes musculaires etc Carence d origine alimentaire ou m dicamenteuse antibiotiques Posologie 1 4 drag es par jour au moment des repas Ste Anonyme LABORATOIRES S M B rue de la Pastorale 26 28 1080 BRUXELLES FORTICINE 2 Lab WOLFS 2000 Antwerpen e e 8 Die moderne Art A der Behandlung parasit rer Hauterkrankungen JACUTIN Gel A Rasch und unauff llig JACUTIN Gel t tet sorgf ltig angewendet bei einmaliger Anwen dung L use und Nissen JACUTIN Gel ist bei sachgem er Anwendung nicht toxisch JACUTIN Gel riecht angenehm ist kosmetisch sehr angenehm und JACUTIN Patienten Informationen stehen in allen Gastarbeiter sprachen zu Ihrer Verf gung Zusammensetzung Gel Hexachlorcyclohexan 0 3g Gel Grundlage ad 100 09 Eigenschaften Hexachlorcyclohexan ist ein bekanntes Kontakt Fra und Atemgift tur Insekten und tierische Parasiten das in den JACUTIN Praparaten in wirkungsvoller und kosmetisch angenehmer Zubereitung vorliegt Anwendungsgebiete Betall mit tierischen Parasiten z B Kratzemilben Scabies Kopt Kleider und Filzlausen Pediculosis capitis Pediculosis vestiment Pediculosis pubis Flohen Pulicosis u a Nebenwirkungen und Begleiterscheinungen Be sachgema er Anwendung sind keine N
87. indications du m decin Gastrites tats ulc reux gastro duod naux duod nites 1 sachet de BISMICRON 4 d heure avant les 3 principaux repas Eventuellement 1 sachet suppl mentaire au moment de douleurs survenant entre les repas Reflux gastro cesophagiens r gurgitations acides br lant 1 sachet de BISMICRON apr s les 3 principaux repas Syndromes post prandiaux de l op r des voies digestives 3 fois 1 sachet par jour prendre selon les indications du m decin 4 d heure avant ou entre les repas Diarrh es aigu s ou chroniques 1 2 sachets de BISMICRON par jour en doses fractionn es c est dire par V2 sachet ou ce qui est pr f rable pr parer 1 ou 2 sachets de BISMICRON dans un verre d une eau peu charg e en sels et boire quelques gorg es tout au long de la journ e Constipation par ralentissement du transit 3 5 sachets de BISMICRON en une prise le matin jeun ou le soir au moment du coucher POSOLOGIE ENFANTS Le BISMICRON tant un sous carbonate de bismuth peut tre utilis sans crainte chez l enfant et le nourrisson Dans le traitement de la diarrh e du nour risson et du jeune enfant la posologie sugg r e se situe autour du 2 sachet par 24 heures Pr parer la dose prescrite dans un 1 2 verre d une eau peu Charg e en sels et faire boire quelques gorg es cuiller es a caf tout au long de la journ e Tenir le verre l abri de la
88. ion de la coordination mo E allons souffrant d re E er un trice des c phal es et des naus es ont t mention nes et 5 a qu e seront suivis de pre Ces effets Secondaires sont Souvent cons cutifs a we un Surdosage c est Pourquoi il est important d en avertir le m decin afin d adapter ventuellement la age de 30 Posologie Presentations bleu D e e de 30 m e ns 0 80 mg jaune emballage d Log Comprimes 0 se Administration et posologie Comprim s 1 mg ro Halcion sera Pris au coucher La posologie est com aliers Prise entre 0 25 et 1 mg Afin d obtenir une action Optimale elle ser spit iti ments ho a adapt e individuellement selon la Conditionne r ponse clinique de 250 mballage 50 Comprim s 0 25 mg emballage de 2 Le Schema Suivant de 100 TR rim s 0 50 M9 mballage est donn titre indicatif Cantin s 1 mg 0 25 mg 0 5 mg POUr des patients g s et des patients n ayant t Pas fait usage d autres hypnotiques ni tranquilli P riode de validi Sants auparavant 30 mois 05mga mg Pour des patients hospitalis s des cas psychia triques des alcooliques Chroniques et des pa tients ayant d j fait usage d autres hypnotiques ou tranquillisants En cas d in PRODUCT OF e Zeie Upiohn NSA 2670 ON we Suffisance r nale marqu e il est conseill P3 S 77 TRADEMARK e Pauler le traitement par l administration de 0 25 B 8500 5 mg e
89. ion n cessite de deux trois minu tes a t propos pour une utilisation syst matique par les m decins praticiens en Grande Bretagne Le diagnostic diff rentiel est troitement li au diagnostic positif dans la mesure o la d pression n vrotique r actionnelle est souvent accompagn e de symptomes n vrotiques qui peuvent orienter dans de fausses directions l attention du m decin ce titre la plus grande difficult est po s e par ce qu on peut appeler d un terme tr s g n ral la n vrose d angoisse en en globant sous ce chef les manifestations n vrotiques plus ou moins complexes dans lesquelles l anxi t est au premier plan ll est important de tenter de diff ren cier les diff rentes formes de n vrose d angoisse des syndromes d pressifs Les difficult s sont cr es par la fr quence avec laquelle une coloration d pressive est pr sente dans les aspects gra ves de la n vrose d angoisse et par la banalit de symptomes de tension d an xiete et d agitation dans la maladie d pressive Cette affirmation de Sir Martin Roth qui a beaucoup contribu l tude du probl me doit tre envisag e en fonc tion de l opinion soutenue par d autres psychiatres britanniques qu il n existe pas de diff rences qualitatives entre n vrose d angoisse et d pression psychog ne mais qu on est en face d un continuum les deux tats se fondant insensiblement l un dans l autre Et pourtant la confusio
90. ique La vie est au fond ni e mais Souvent comme entour e d une sorte d a mour malheureux Tout est pris coeur la capacit la joie insouciante fait d faut Les ruminations d tournent des t ches quotidiennes et n arrivent pas au re pos Des appr hensions hypochondriaques l parpillement le doute sur le sens de l existence voil les ennemis qui guet tent ces sujets en chemin De m me que pour la personnalit cy clothymique on a discut du rattachement de la personnalit d pressive une forme mineure de la psychose maniaco d pres Sive en ce pas sa vari t unipolaire mais avec moins de vraisemblance tant donn le caract re continu de l tat ELEMENTS DE CONDUITE DU TRAITE MENT Parvenu au terme de cet expos des as pects multiples que rev tent les tats d pressifs il est peut tre utile de rappeler quelques r gles simples qui doivent diri ger la conduite du traitement La chimio th rapie y est actuellement la th rapeuti que majeure et c est la seule que deiere envisagerons ici incompl tement d ail leurs puisque nous n voquerons m me pas la prophylaxie de la psychose Merten CO d pressive par les sels de lithium existe deux classes principales de rogues anti d pressives les d riv s tricycliques dont le chef de file est l imipramine les inhibiteurs de la monoaminoxydase ou IMAO dont l emploi est en g n ral res treint par la possibilit d effets seco
91. iques totaux purifi s d graiss s et parfaitement stables suractiv s par le complexe diastasique y compris la cellulase et la papaine PANCREAL KIRCHNER renferme 100 d l ments actifs zymases pancr ato kinatiques et hydrolases y compris la cellulase sans addition de sucre de cacao ou d amidon Tube de 50 comprim s 3 4 comprim s au moment de chaque repas Visa N L 08514 THEOSPIRINE Th ospirine cachets bo te de 12 cachets Visa N L 07144 Forme et composition Ethylcarbonate de quinine 3 cg Antipyrine 9 75 cg Pyramidon 15 cg Th ine 3 75 cg Ph nac tine 40 5 cg Exipient de Q S pour 1 cachet 0 75 cg Propri t s Action antipyr tique par l antipyrine qui a un effet d presseur sur les centres thermor gulateurs et un effet analg sique principalement sur les c phal es et les n vralgies du petit bassin La cafeine est un stimulant central tr s actif action stimulante sur le coeur elle augmente aussi le rythme et l amplitude respiratoire Elle diminue la sensation de fatigue Action vasodilatatrice et anticontracturante due la quinine qui relache les fibres lisses d o son emploi contre les crampes des vieillards Elle est em ploy e comme tonique g n ral en cas de grippe La ph nac tine est anti pyr tique elle augmente la perte de chaleur par vaso dilatation et sudation analg sique elle donne un effet tranquilisant en sup primant l anxi t Indications
92. l il est mis en position assise par rel vement du dossier de la table ORL il est fix la table par une sangle L op ration peut commencer un assis tant tient l ouvre bouche et la t te de l en fant 64 Du fait de la bri vet de l intervention il n est pas toujours n cessaire de venti ler l enfant pendant l acte chirurgical lui m me de sorte que le chirurgien a tout le champ libre Lorsque l intervention se prolonge la ventilation est cependant tr s ais e et ne g ne nullement l acte chirurgical le ballon et la valve tant dirig s vers le front de l enfant Une r injection de Succinylcho line est parfois n cessaire L intervention termin e l enfant est remis en position couch e Le r veil est g n ralement ra pide Apr s une derni re v rification de l h mostase le tamponnement pharyng est enlev et l enfant d tub il est en suite surveill pendant d heure 2 heure la salle de r veil et il regagne en suite sa salle d hospitalisation parfaite ment conscient RESULTATS Sur 32 cas r alis s selon cette techni que il y avait 13 filles et 19 gar ons Le plus g avait 14 ans et pesait 49 kg le plus jeune avait 2 5 ans et pesait 14 kg Aucun incident majeur n est signaler une seule fois l intubation nasale a t impossible cloison d vi e chez les pe tits enfants le petit diam tre de la lu mi re du tube et une plicature pouvant exister dans
93. l studies in CUC and Crohn s disease have shown that elevations ac tually may parallel the activity of the IBD and not malignant change Sherlock con cudes that serial monitoring of CEA is not a Satisfactory method for the early detec tion of colonic cancer in IBD 9 Therapeutic studies have been infre quent but the first United States national 106 cooperative Crohn s disease study examin ed several regimes of medical therapy in a 17 week study period 5 Prednisone in graded doses was compared with azathio prine sulfasalazine and placebo It was concluded that prednisone and sulfasala zine were each useful in the treatment of symtomatic Crohn s disease whereas aza thioprine alone was not Follow up stu dies are forthcoming The initial enthusiasm for surgical re section of involved small bowel segments has been tempered by high recurrence rates Surgical opinion currently is to re serve operation for one of the complica tions perforation bleeding obstruction toxic megacolon or intractability Some surgical procedures have been delayed and even obviated by putting the bowel to rest by the recent use of total paren teral nutrition TPN Elemental diets and parenteral feeding are exciting new tools in the nutritional therapy of IBD Small bowel obstruction in Crohn s disease has resolved non operatively in some cases Or delayed until nutrition could be provided yielding im proved surgical results Sev
94. la fili re nasale rendent l ori fice tr s r duit pour le passage de l air et la ventilation peut tre malais e Au point de vue saignement le chirurgien a l impression que le saignement perop ra toire est un peu plus marqu que lors des amygdalectomies faites sous anesth sie l Halothane au masque il est possible que l augmentation de la pression art rielle due la K tamine en soit responsable cependant l aspiration et le tamponne ment permettent tout moment d avoir un bon champ op ratoire En postop ratoire aucun des enfants de la s rie n a pr sent de saignement anormal DISCUSSION Le probl me de l intubation pour amyg dalectomie est encore actuellement l ob jet de discussion et les conflits existent entre partisans et adversaires de l intuba tion En France l intubation pour amygda lectomie n est faite syst matiquement que dans 19 des h pitaux elle n est jamais faite dans 21 des h pitaux Certains ont d fendu l emploi de K tamine sans intubation cette substance respectant les r flexes oropharyng s et devant donc met tre l abri de l inhalation 2 3 5 6 8 Employ e des doses de 1 5 2 mg Kg la K tamine maintient s rement par tiellement les r flexes oropharyng s dif f rentes cons quences en r sultent il est ext mement difficile d ouvrir la bouche et de la tenir ouverte cause d une con tracture des masseters la pression sur l ouvre bouche peut
95. lastic anemia Acta Haemat 47 140 1972 5 Gale R P Cline M J Fahey J L et al Bone Marrow transplantation in severe aplastic anemia Lancet 2 921 1976 10 11 12 13 Gatti R A Meuwissen H J Allen H D et al Immunological reconstitution of sex linked lymphopenic immunological deficiency Lan cet 2 1366 1968 Jacobsen L O Simmons E L Marks E K et al The role of the spleen in radiation in jury and recovery J Lab Clin Med 35 748 1950 Lorenz E Uphoff D Reid T R et al Modi fication of irradiation injury in mice and guinea pigs by bone marrow injections J Nat Canc Inst 12 197 1951 Math G Jammet H Pendic B et al Trans fusion et greffe mo lle osseuse homologue chez des humains irradi s haute dose accidentellement Rev Fr Et clin biol 4 226 1959 Osgood EE Riddle M C Mathews T J Aplastic anemia treated with daily transfu sions and intraveneous marrow case report Ann Int Med 13 357 1939 Santos G W Immunosuppression for clinical marrow transplantation Semin Hemat 11 341 1974 Speck B Buckner C D Cornu P et al Ra tionale for the use of ALG as sole immuno suppressant in allogeneic bone marrow trans plantation for aplastic anemia Transpl Proc 8 617 1976 Thomas E D Storb R Clift R A et al Bone marrow transplantation New Engl J Med 292 832 1975 79 Das erste Antazidum Gel mit Spasmolyticum erweiter
96. le 4 4 dihydroxy diphenyl pyridyl 2 methan disulfuric semi ester dinatr natr picosulfas 75 mg Methyl pa raoxybenzoas natr Sorbitol Acid hydrochloric Se Aqua purific ad 10 ml Indications toutes les formes de constipation et de paresse intestinale quel que soit l ge particuli rement en cas d alitement prolong de changement de r gime alimentaire de voyage et de changement de r sidence apr s une intervention ou un accouchement et en g n ral chaque fois que l on d sire une vacuation d purative douce et viter tout effort physique au malade Posologie Adultes normalement de 8 12 gouttes Enfants Proportionnellement adapt e suivant l ge et le poids La dose individuelle optimale et une selle de la fermet d sir e peuvent tre obtenues en levant ou en diminuant la posologie normale Mode d emploi les gouttes de Laxoberon peuvent tre prises avec ou sans liquide Le nombre de gouttes d sir est obtenu par pression l g re sur les flancs du flacon tenu renvers Remarque le Laxoberon est habituelle ment bien tol r Comme il est de r gle pour tous les laxatifs il ne faut pas utiliser le Laxoberon plus de dix jours sauf avis contraire du m decin Pr sentations flacon compte gouttes de 10 mi 10 gouttes 5 mg de substance active Conditionnement clinique de 10 x 10 ml Boehringer Ingelheim 140 B frz n v Boehringer Ingelheim s a rue du Coll ge St Michel 17 1150 Bruxelles
97. liability of psychiatric diagnosis C B PULL and M C PULL Editorial Current clinical aspects of Crohn s Disease M MOSKOVITZ et M H FLOCH Le Levamisole Immuno Stimulant R SCHAUS Les 28es Semaines de Psychotherapie de Lindau 59 63 67 71 81 99 105 109 113 Nomenclature des Laboratoires et Firmes ayant annonc dans le present num ro Asta Becel Bios S A Ets A de Bournonville amp Fils S A Boehringer Ingelheim Byk Belga S A S A Ciba Geigy N V Cochard Coles S A Codali S A Comptoir Pharmaceutique Luxembourgeois Mack Heumann Rowa Wagner Hernal Continental Pharma Deprophar Essex Belgium Hoechst Belgium Integral S A Luxembourg Blendax Belgium Madaus Zwintscher Janssen Pharmaceutica Laboratoires Dr Kirchner Minist re de la Sant Publique Luxembourg Etablissement Thermal Mondorf les Bains P C B Thereapeutica Pharbi Pfizer Prophac Luxembourg Agpharm Boehringer Lepetit Rentschler Sapos Schaper amp Brummer Laboratoires S M B Soci t Belge de Th rapeutique Exp rimentale Substantia Union Chimique Belge Upjohn S A Laboratoires Wolfs Will Pharma Zyma Galen 58 Mondorf les Bains Grand Duch de Luxembourg La seule Station hepatique du Benelux Indications Lithiase biliaire Sequelles d h patites Maladies de la nutrition Hypercholest rol mie Goutte Rhumatismes Voies respiratoires Conservatio
98. lique doit tre accept comme malade que l on veut aider Une cure de sevrage volontaire doit tre entam e le plus t t possible La cure de sevrage doit tre suivie d un traitement de postcure de longue dur e ayant pour but la r habilitation et la r int gration du malade dans notre soci t Faire reconna tre la maladie alcoolique non seulement par les professionnels mais par la soci t toute enti re est un acte absolument n cessaire pour prot ger le malade du rejet social Car l attitude n gative de la soci t vis vis de l alcoolique encourage les int ress s et leurs familles cacher leur faiblesse morale au lieu de leur faire admettre qu ils sont malades et qu ils n cessitent un traitement appropri Beaucoup de signes souvent discrets peuvent aider au diagnostic pr coce de l alcoolisme Peuvent tre per us par la FAMILLE les CONNAISSANCES changement de comportement alt ration des fonctions intellectuelles changement dans les habitudes boire comme boire le matin boire entre les repas pr f rence pour les boissons fortes changement dans la motivation boire diminution de la r sistance l alcool par les PATRONS les PREPOSES les CHEFS au lieu du travail absent isme au travail apr s dimanches et jours f ri s cong s de maladie fr quents de courte dur e pour des questions banales chan gement de caract re r duction de la capacit de travail
99. lumi re Dans le traitement de la constipation sp cialement lorsqu elle est accompagn e de colite la posologie sera plus importante Se conformer aux indications du m decin NOTE IMPORTANTE Il et indispensable de pr parer le BISMICRON avec une eau peu chargee en sels De l eau douce obtenue partir d un appareil fonctionnant par change sur r sine ou m me de l eau distill e peut galement convenir En agissant ainsi on obtient une suspension l aspect laiteux et durable dont les particules ont une dimension de l ordre du micron 1 1000e partie du millim tre et qui pourrait rester stable pendant plusieurs jours contre quelques minutes pour d autres bismuthsj Or c est de la finesse des particules que d pend le pouvoir couvrant et protec teur d un bismuth et partant sa meilleure efficacit A petites doses fractionn es le BISMICRON est un traitement de la diarrh e A doses plus importantes prises en une fois jeun ou au moment du cou cher le BISMICRON est un traitement de la constipation Spa Reine Volvic Le sous carbonate de bismuth est insoluble dans l eau c est pourquoi on parie de suspension Le bismuth peut suivant sa qualit et l eau avec laquelle il est pr par pr cipiter au fond du verre ou rester en suspension De qualit micellaire vraie BISMICRON reste en suspension pendant plu sieurs jours lorsqu il est pr par avec une eau faible teneur en sels LABORATO
100. maladie On est en pr sence d un sujet dont premi re vue l histoire clinique est celle d une forme uni ou bipolaire de la psychose maniaco d pressive pisodes de d pression et ventuellement d excitation s par s par des intervales libres de symptomes Le diagnostic dont on con oit la difficult est bas l aussi sur l existence l arri re plan de manifestations appartenant la schizophr nie 3 Apr s les troubles psychiques d origine organique d montrable apr s les psycho ses fonctionnelles les n vroses et les r actions constituent deux des grandes ca t gories entre lesquelles sont r parties les troubles mentaux Il est difficile de les traiter isol ment Les n vroses sont des tats qui ne perturbent pas gravement comme le font les psychoses l adaptation du sujet son milieu et dont les symp tomes sont souvent consid r s comme des proc d s utilis s par la personnalit pour lutter contre l angoisse Les tats n vroti ques trouveraient leur origine dans des anomalies conflictuelles du d veloppement instinctivo affectif au cours de la petite enfance et l apparition des manifestations n est pas li e de mani re massive des chocs psychologiques actuels Par contre on r serve le nom de r actions des tats dont la symptomatologie est parfois voisine de celle des n vroses mais dont le d clenchement est en liaison directe avec un traumatisme vident Si l on d crit
101. mg Raubasin k 300 mg Kaliumchlorid g d Moden ol C F Boehringer amp Soehne i GmbH Mannheim PROPHAC s r l Luxembourg T l phone 48 24 82 offset mb joseph beftort luxembourg
102. n Am lioration R tablissement de la sant on Documentation et Renseignements Mondorf Etat T l 67011 Etablissement thermal ouvert toute l ann e A propos du 10 anniversaire de la mort de FRANCOIS BACLESSE Le 11 novembre 1967 est d c d Paris un radloth rapeute et canc rologue de r putation mondiale Frangols Baclesse qui fut d origine luxembourgeoise Un recul de 10 ans fait mieux appr cier son oeuvre scientifique et cette occasion nous permet de retracer dans ce bulletin tr s bri vement sa vie et son oeuvre Fran ois Baclesse est n le 26 avril 1886 Bettembourg et descend d une vieille famille luxembourgeoise originaire du centre de la capitale Apr s ses tudes secondaires Luxembourg puis des tudes m dicales pendant la guerre en Suisse et en Allemtgne puis Paris o il subit l influence de Widal et Pasteur Vallery Radot il passe son doctorat en m decine Luxembourg en 1924 et se sp cialise imm diatement en radiologie et surtout en canc rologie sous l nifluence de Marie Curie Le premier radiologue luxembourgeois ne s installe pas dans sa patrie mais reste Paris Il pouse une Luxembourgeoise Marguerite Neumann de Troisvierges m decin aussi assistante au Coll ge de France qui est rest e sa fid le collaboratrice pendant toute sa vie Madame Baclesse et ses 3 enfants tous mari s vivent toujours Paris Baclesse devient en 1926 assitant puis en 1936 chef
103. n fait courir au malade des risques th ra peutiques Roth rappelle que les lectro chocs peuvent donner dans les n vroses d angoisse de s rieuses complications telles des tats prolong s de d personna lisation Mais si cet argument est impor tant pour le psychiatre plus d cisif est pour le g n raliste qui naura jamais l oc casion de prescrire une sismoth rapie le danger de traiter par des anxiolytiques seuls un syndrome authentiquement d pressif Certes on obtient une r gression de l angoisse mais le symptome d pres sion lui m me est non influenc et m me semble t il dans certains cas exag r avec tous les dangers en particulier de suicide que cette persistance ou cette aggravation comportent L exp rience montre que pour le m de cin praticien il s agit du probleme diag nostique majeur Roth a propos une technique de diagnostic diff rentiel qui fait appel 13 l ments chacun d eux tant affect d une pond ration positive ou n gative variable suivant l intensit l addition des notes partielles pouvant tre un chiffre positif en faveur de la n vrose d angoisse ou n gatif en faveur de la d pression Neuf l ments sont en faveur de la n vrose d angoisse la pr sence de traits n vrotiques dans l enfance une per sonnalit de type d pendant l association d une maladie physique avec le d but de la d pression des attaques d anxiete pa nique des phobies de situa
104. nant de manque d int r t une modification de la motricit g n ralement un ralentissement mais par fois lorsque l anxi t est importante dans le syndrome au contraire une agitation st rile A cette triade s ajoutent des per turbations somatiques troubles des gran des fonctions insomnie anorexie amai grissement troubles de la fonction sexu elle des id es anormales pr occupations p joratives sur la sant physique ou id es hypochondriaques id es t moignant du pessimisme fondamental et concernant la ruine mat rielle l incapacit l incurabilite id es refl tant l auto agressivit sentiment de culpabilit et pr occupations suicidai res ces id es pouvant dans les formes graves atteindre une intensit d lirante enfin l anxi t constamment pr sente mais parfois au premier plan Le grand tableau clinique de la m lancolie ne pose gu re de probl me diagnostique et pour le m decin praticien la d cision essentiel le est celle de la n cessit de I hospitali sation Deux l ments doivent tre pris en consid ration la profondeur de l tat d pressif le risque de suicide surtout qu il faut savoir appr cier dans les propos du malade La v ritable difficult vient de l existence de formes trompeuses dans lesquelles le syndrome d pression est dis cret voire absent et dont la symptomatolo gie est faite de la pr dominance des Sympt mes accessoires du syndrome La pr occupation e
105. ndai res s rieux Les tricycliques sont tr s nombreux et diff rent entre eux d une part par l intensit de l effet anti d pres seur et d autre part par l existence ou l absence d effet s datif Le prototype du tricyclique non s datif est la chlomipra mine celui du tricylique s datif l amitrip tyline Les premiers sont indiqu s dans les d pressions surtout ralenties mais il est cependant utile d y adjoindre un tran quillisant benzodiaz pine ou neurolepti que s datif faible dose car ils peuvent transitoirement exacerber l anxi t et lin Somnie Les seconds sont particuli rement adapt s aux d pressions anxieuses Deux r gles fondamentales d administra tion doivent tre gard es l esprit La premi re est que la posologie doit tre suffisante Trop souvent le m decin praticien se contente de doses minimes ne d passant pas 50 mg par jour qui en r gle g n rale ne peuvent tre efficaces La raison de cette prudence est sans dou te l existence d effets secondaires g nants surtout l action atropinique Certes les tri cycliques offrent des dangers l activation de l lectroenc phalogramme chez les su jets suspects de comitialit l aggravation des troubles de la conduction chez les cardiaques En r alit il est simple par un examen pr alable de se pr munir et la seule v ritable menace est le danger de suicide par l absorption d une provision de la drogue dont les effets dose m
106. ndamental t une exaltation de mie tonalit tri ie serait une hyper 1orique Pour d au ire il y a opposition abaissement de la tule v ritable hyper IS divergentes r sul ature pharmacologi ts anti d presseurs S thymoanaleptiques 1 tant t thymolepti ces termes concep signant paradoxale de drogues de langue anglaise a guere connu de r affectif et cette gt par l Organisation Si bien que les psy la litterature fran ses affectives de la onale des maladies las sans doute d ccepte dans les an terme de cette dis indispensable nous la d pression com plexe dont le symp uellement une modi affective faite d une appel e d pression il est d tiologie en intensit est appel JSOLOGIQUES ssif peut tre con de de r action un 2ssions internes et fait il se manifeste 89 Le terme der ples Dans son il signifie abais la sa significat spective anaton le d une d pre ou dans une fonctionnelle de la fonction la psychologie tivement r cen dictionnaire de la d pression c est seulemeni pressif qu il signification me exemple Pa fiant qui abatte Depuis sa pe mot a pris dew d signe un syl ment par une q l humeur Ou E il designe un elements centr le sympt me d spective ense tif d pressif D par le substan un adjectif ser logique ou syr On parle de p ve de d pres chopathie d pi xieuse ou agi quelques exem
107. ne auto agressivit et si le suicide est moins redouter que dans la psychose maniaco d pressive son ven tualit ne doit jamais tre n glig e En face de ces d pressions psychog nes le m decin praticien est confront aux deux questions habituelles en m de cine celle du diagnostic positif celle du diagnostic diff rentiel Le diagnostic positif repose videmment sur la recherche des signes du syndrome mais ceux ci doivent souvent tre d cou verts derri re une superstructure bruyante qui emprunte ses l ments aux autres va ri t s de n vroses L existence de pho bies de manifestations hyst riques peut en effet d tourner l attention C est la rai son pour laquelle on a pu proposer que devant un cas symptomatologie mixte le m decin praticien utilise un questionnaire standardis imprim d crivant les princi paux symptomes d pressifs et auquel le sujet r pond en indiquant par une croix si le symptome est pr sent ou absent et s il est pr sent quelle est son intensit Une simple addition permet de d terminer la note de d pression Comme on a d autre part sur la base de l observation de nombreux cas d termin partir de quel nombre de points le sujet pouvait tre consid r comme r ellement d prim il y a l un moyen simple de d tection Un instrument de ce type le Questionnaire de d pression de Beck forme abr g e qui comprend 13 questions et dont l ap plicat
108. ne un 7 SJIN99SU09 SenbiueBio oy94sd sawoipuds sat uns anb 94 UOL a un ap8ssod OO Look 97 nau ne uonejdepe a najj aw oun 1USnNbasuoo sed jawuad IBIA ej ap S8 qno4 sap aiuayjse p U0I 99110 BDJOWOYSAS AL ap ja UONUSNE op 30ue 9 E SUEP 8SN8118S JUlodde p uonesipaw aun PIBIIISIA ai 2840 yey Ua TIdOHLOON NP auANoe SNOILVDIGNI rue Berkendael 68 1060 BRUXELLES division pharmaceutioue LCD a EU CAN DI O Kamal CREME foppt Hefen ee TUE a as f 7 Poe dm lern lien sc ea RE 7 mm H 22 De x SE Indikationen Candida Windeldermatitis Hefebesiedlung der Anogenitalregion hefebedingte Interdigitalmykosen submamm re Candidosen Angulus infectiosus Balanitis Vulvitis Hefen im u eren Geh rgang Zusammensetzung Nystatin 10 Mio E 6 Acetoxy 2 4 dimethyl m dioxan Konservierungsmittel und Cremegrundlage ad 100 09 Anwendung Falls vom Arzt nicht anders verordnet wird CANDIO HERMAL CREME 2 bis 3mal t glich auf die erkrankten Haut Partien aufgetragen in schweren F llen sogar st ndlich Nystatin wird auch im Klein kindesalter gut vertragen dennoch sollte CANDIO HERMAL CREME wie jedes andere Arznei mittel auch in diesem Alter mit besonderer Vorsicht angewendet werden Handelsformen und Preise O P Tube mit 10 09 DM 9 45 mit MwSt O P Tube mit 20 09 DM 14 40 mit MwSt Anstaltspackung mit 50 0 g DM 25 55 mit MwSt HERMAL CHE
109. nous faut soulever ne serait ce 92 que bri vement le probl me de la d pres sion endog ne d but tardif de ce que Kraepelin avait appel initialement la m lancolie et que l on trouve souvent d sig n sous le nom de m lancolie d involution ou de d pression d involution Ces cas se pr sentent comme des d pressions uni polaires dont le premier acc s survient apr s 45 ans chez l homme 55 ans chez la femme Dans le syndrome seraient ca racteristiques la discr tion ou l absence de ralentissement l importance de l anxi t et de l agitation l existence d id es hypo chondriaques souvent d intensit d lirante Le qualificatif d involution se r f re uni quement l ge du malade car un fait n gatif doit tre consid r ces d pres sions d but tardif n ont aucun rapport avec une possible involution organique c r brale sous jacente comme en t moigne le retour apr s gu rison une parfaite in t grit mentale Elles ne doivent donc pas tre confondues avec les syndromes d pressifs Symptomatiques d une affection d g n rative ou vasculaire c r brale que nous avons ant rieurement voqu s Le probl me non encore r solu d j discut par Kraepelin concerne la situation noso logique de ces tats s agit il d une affec tion autonome ou au contraire rentrent ils dans le cadre g n ral des tats d pres sifs unipolaires Du reste la r amp ponse que l on donnera n
110. nt physi que fr quent sans doute dans le syndro me d pressif mais de nature compl te ment autonome Il est un aspect pittores que qu il convient peut tre de rappeler dans ce contexte l accumulation de la bile noire dans les hypochondres pouvait videmment se faire au niveau de la rate et telle est l origine du terme spleen qui a d sign dans la langue litt raire un tat d pressif particulier qui aurait t l apanage des anglais la p riode roman tique Si le mot spleen n a jamais d bord le territoire litt raire si le mot hypochondrie a persist dans le langage scientifique en changeant de sens le mot m lancolie s est maintenu dans notre vocabulaire m dical en rapport avec la d pression Mais bien vite on a voulu lui r server un do maine particulier d signer comme m lan colie une forme particuli re de syndrome d pressif et les difficult s actuelles de terminologie tiennent aux positions SUCCES sives prises Aux alentours de 1900 Krae pelin dont l oeuvre allait constituer la ba se de la nosologie moderne avait appele Melancolie le syndrome depressif debu tant apr s 45 ans chez l homme 55 ans chez la femme chez un sujet sans ant c dent personnel psychiatrique Il r servait le ter me d pression tous les autres syn dromes d pressifs Bient t parmi ceux ci STAGO nique Il faut toute turce de difficult s ay a dans son ou erturbations de l hu trouble fo
111. ntion Ils peuvent disparaitre apres quelques jours Remarques Conform ment aux conceptions actuelles relatives l emploi des medicaments pendant la grossesse on ne prescrira pas le Voltaren pendant les trois premiers mois de la gestation Les malades atteints d une les on hepatique ou renale exigeront une surveillance minu tieuse Il en ira de m me pour ceux presentant des troubles gastro in testinauxoudontl anamnese revele un ulcere gastr que ou duodenal anc en Lors de traitement prolonge des contr lesducomplet sanguin et des transaminases seront pratiques de temps autre ainsi qu un contr le r gulier des proteines totales et de la serumalbumine Lorsqu on admi nistre simultanement du Voltaren et un anticoagulant il conviendra d adapter la dose de celui ci aux conditions cl n ques temps de pro thrombine a cause d une interac t on eventuelle Ce medicament peut provoquer des pertes de sang occultes l asso ciation avec d autres anti inflamma toires potentialise apparemment l ef fet toxique sur le tractus digestif Pr sentations Boites de 30 et de 100 comprimes Dur e de validite 4 ans Voir date limite d utilisation sur l emballage Formule Diclofenaci natricum 25 mg Poly vinylpyrrolidon Amyl Cellulos Sacchar lact Silic dioxyd Magnes stearas pro compres uno Cellulos acetophtalas Diethyl phtalas Hydroxypropylmethyl cellulos Lacca Polyvinylpyrrol
112. ode de Sluder Ballanger qui consiste en un d collement de l amyg dale au niveau du plan de clivage qui s pare la capsule du fond de la loge amyg dalienne 3 Pour l op rateur il est impor tant d op rer le patient en position assise et d avoir un champ op ratoire libre Tous les enfants ont un bilan pr op ra toire consistant en un bilan de coagulation sommaire temps de saignement temps de coagulation P T T un groupe sanguin et une formule h moleucocytaire Ils sont hospitalis s la veille de linter vention Comme somnif re ils re oivent soit une ph nothiazine Th ral ne soit une benzodiaz pine Valium Comme pr m dication ils recoivent une heure avant l intervention ph nobarbital 3 4 mg Kg en suppo sitoire p thidine 1 5 mg Kg en IM atropine mg IM Introduction l enfant est couch sur la table une canule est mise dans une veine du pli du coude ou de la main soit une canule Wiggo soit un Abotcath ou un But terfly avec un robinet trois voies Il re oit 1 1 5 mg Kg de K tamine 1 mg Kg de Succinylcholine IV L intubation avec un tube ballonet se fait par voie nasale on r alise un tamponnement pha ryng de petit volume et bien appliqu contre le tube l entr e du larynx On ventile manuellement l enfant par un m lange 02 N20 50 50 au moyen d une valve de non retour type DUPACO L induction tant termin e et l enfant tant bien venti
113. oelle avait t pr lev e chez le mari de la patiente La jeune femme mourut cinq jours plus tard sans signes de prise du greffon Il s agissait l pro bablement de la premi re transplantation de M O dans une an mie aplastique humaine Plus fameuses devinrent les transplantations effec tu es en 1958 par l quipe de Math sur des ato mistes yougoslaves victimes d une irradiation acciden elle apr s une immuno suppression par du s rum anti lymphocytaire Math enregistra des succ s apparents les survivants s tant r v l s par apr s comme ayant b n fici d une restauration progressive de leur propre M O reconstitution dite autologue en fin de compte il ne s agissait donc pas de chim res individus dont l organisme contient des cellules vivantes et fonction nelles provenant d un individu g n tiquement diff rent D s 1949 de nombreux travaux exp rimentaux avaient contribu annoncer l re moderne de la transplanta tion de M O Ainsi en 1949 1950 Jacobsen et Lo renz avaient montr qu il est possible apr s avoir expos des animaux des doses de rayons infaillible ment mortelles de faire survivre ces animaux soit en prot geant leur rate au moment de l rradiation soit en leur transfusant de la M O d un autre animal immedia ment apr s l irradiation On a pu montrer que cet effet 71 Bulletin de ja Soci t des Sciences M dicales du Grand Duch de Luxembourg
114. olongierter Pufferungskapazit t und deflatorischer Wirksamkeit initial rasch einsetzende und ausgepr gte Zusammensetzung Ultin Aluminium Magnesium Silico je Tabl polyhydrat DBP Nr 862936 400 mg Calcium carbonicum praec 120 mg Magermilchpulver 250 mg Dimethylpolysiloxan 40 mg S urebindung S urebindung Indikationen Hyperazidit tsbeschwerden Gastritis acuta et chronica Ulcus ventriculi et duodeni Osophagitis Reflux Osophagitis bei Hiatushernie Sodbrennen Auf sto en V llegef hl Reizmagen Kaffee Alkohol Nikotin S igkeiten Meteo rismus Flatulenz Kontralndikatlonen Bisher keine bekannt Handelsform Packung mit 40 Kautabletten Dr Rentschler amp Co 7958 Laupheim PROPHAC s r I Luxembourg T l phone 48 24 82 Le levamisole immunostimulant R SCHAUS MRCP La trajectoire des m dicaments au firmament de la th rapeutique r serve bien des surprises la gloire initiale de beaucoup se ternit ou m me s teint d au tres acqui rent au contraire un clat inattendu en met tant le cap sur des horizons nouveaux Ainsi le l vamisole chlorhydrate de L t tramisole qui a commenc sa carri re comme anti helmintique s est vu conf rer les lettres de noblesse d un immuno stimulant Deux champs d application mergent la pathologie infectieuse proprement dite surtout virale o l on sait quel point nous sommes d munis et l arthrite rhuma to
115. olved gastroduodenal mucosa is nodu lar and the antrum narrowed Endoscopically the mu cosa may contain multiple aphthoid like ulcers The diagnosis was often not confirmed by endoscopic biop sy specimens as these are superficial yielding only non specific inflammation Suction biopsy specimens may have a higher yield of granulomatous tissue A new serum enzyme test was recently proposed to aid in the differential diagnosis of difficult cases of inflammatory bowel disease IBD with features of both Crohn s disease and chronic ulcerative colitis CUC Falchuk and others found serum levels of the enzyme lysozyme to be elevated in Crohn s disease while not in CUC or controls 7 Several subsequent reports ho wever failed to confirm the absolute separation of lysozyme levels in the various disorders 3 This was interpreted as due to either 1 differences in me thods of analysis or 2 related to the activity of the disease inactive disease yielding normal levels How much aid this test will be in the diagnosis remains to be determined 105 Bull Soc Sci M d Luxembg 114 1977 Bulletin de ja Soci t des Sciences M dicales du Grand Duch de Luxembourg The incidence of calcium oxalate urinary calculi is increased in patients with Crohn s disease who have extensive ileal involvement or ileal resection 7 The pathogenesis of this complication has re cently been clarified There appears to be hyperabsorp
116. onnu de succ s On lui a pr f r affectif et cette position a t reprise par l Organisation Mondiale de la Sant si bien que les psy choses thymiques de la litt rature fran aise sont les psychoses affectives de la classification internationale des maladies ce qui ne manquera pas sans doute d tre de plus en plus accept dans les an n es venir Quoiqu il en soit au terme de cette dis cussion s mantique indispensable nous aboutissons d finir la d pression com me un syndrome complexe dont le symp t me central est habituellement une modi fication thymique ou affective faite d une tristesse pathologique appel e d pression syndrome qui lorsqu il est d tiologie en dog ne et de forte intensit est appel m lancolie PROBLEMES NOSOLOGIQUES Le syndrome d pressif peut tre con sid r comme un mode de r action un grand nombre d agressions internes et externes et de ce fait il se manifeste 89 dans de nombreux cadres psycho patholo giques Certaines formes en sont rencon trees avec une plus grande fr quence par le m decin praticien mais il reste in dispensable celui ci de connaitre la nature et les particularit s de toutes en raison des cons quences th rapeutiques qu entraine un diagnostic pr cis Si l on met part les arrierations men tales les affections relevant de la psy chiatrie se divisent en cinq grandes cat gories les tats de cause organique
117. or psychiatric diagnosis uti lizing the differential diagnostic procedures Arch Gen Psychiat 18 746 756 1968 Spitzer R L Endicott J DIAGNO Il Fur ther developments in a computer program for psychiatric diagnosis Amer J Psychiat 125 Suppi 12 21 1961 104 28 31 32 33 Spitzer R L Endicott J Fleiss J L The psychiatric status schedule Arch Gen Psy chiat 23 41 55 1970 Spitzer R L Fleiss J L A re analyses of the reliability of psychiatric diagnosis Brit J Psychiat 125 341 347 1974 Third Edition of the American Psychiatric Association s Diagnostic and Statistical Ma nual DSM III and its relationship to ICD 9 World Congress of Psychiatry Honolulu 1977 Wing J K Cooper J E Sartorius N Mea surement and classification of psychiatric symptoms Cambridge England Cambridge University Press 1974 Wittenborn J R Wittenborn Psychiatric Ra ting Scales New York Psychological Corpo ration 1955 Woodruff R A Goodwin D W Guze S B Psychiatric Diagnosis New York Oxford Uni versity Press 1974 Zung W K The measurement of affects Depression and Anxiety Modern Problems of Pharmacopsychiatry 7 170 188 Karger 1974 beron La forme gouttes assure une X souplesse posologique permettant l adaptation individuelle du laxatif p ristaltisme intestinal et de sous forme de gouttes la consistance des selles Formu
118. orptiven Wirkung von Aluminiumhydrosid reduziert sein kann Be Spasmo Solugastril kann in seltenen Fallen die Verkehrstuchligkeit beemtrachtigt werden Litt rature et chantillons Comptoir Pharmaceutique Luxembourgeois S A Luxembourg Stand Januar 1977 Harnweginfekte kompromisslos und spezifisch behandeln Urospasmon Hohe Erregerempfindlichkeit bei geringem Risiko daher auch bei Banalinfekten einsetzbar Urospasmon Urospasmon sine besonders geeignet zur besonders angezeigt beim Behandlung des schmerz chronischen Infekt und haften Infekts zur Langzeittherapie Indikationen Akute und chronische Harnwegintektionen Pyelonephritis zur Infektionsprophylaxe bei diagnostischen und operativen Eingritfen in der Urologie e Nierentunktion mit erh hten Rest N Werten Oligurie Anurie Ur mie Polyneuropathie Sullonamid und Nitrofurantoin e rpare ch den Anwendung w hrend der ersten 3 Lebensmonate Keine hexamethylentetraminhaltigen und zus tzlich efel und quecksilberhaltigen Pr parate gleichzeitig verabreichen wirkungen Gastrointestinale St rwirkungen Kopfschmerzen Allergien Fiebersch be Exanthem Cholestase pulmonale Reaktionen anaphylaktische Erscheinungen An mien Paraesthesien Hinweise Um die erforderliche t gliche Harnmenge von 1 5 I zu gew hrleisten ist es zweckm ig eine Durchspulungstherapie mit SOLUBITRAT Bas s information umseitig durchzuf hren das kein Hexamethylentetramin enth lt Wei
119. osen to describe the eight empirically derived syndroms are the following florid thinking disorder withdrawn disorganized thinking disturbance hostile suspiciousness syn drome anxious depression agitated de pression hostile depression withdrawn retarded depression agitation excitement syndrome Agreement between psychia trists on their understanding of these clas sification concepts could be shown to be highly similar within individual countries 86 in the USA and 92 in France as well as between different countries 90 between France and the USA 1 and 85 o between France Italy Mexico and the USA 102 COMPUTER GENERATED DIAGNOSIS Two different computer models are avai lable for psychiatric diagnosis at this mo ment 25 27 The logical decision tree approach consists in a sequence of ques tions each of which is either true or false the truth or falsity of each successive question ruling out progressively more and more possible diagnoses It results in the assignement of an individual patient to one specified diagnosis with no quantitative or probabilistic statement of similarity to that diagnosis or to other diagnoses The model has the implication of providing operational definitions for diagnostic types in terms of specified indicators that are conceived to be associated with the disea se categories The statistical or actuarial approach to diagnostic classification 22 is d
120. produit poss de une dur e de validit de 3 ans La date limite d utilisation est mentionn e sur l amp tui et le flacon Formule Dimetindeni maleas 0 25 mg Neomycin sulfas correspond Neomycin bas 2 275 mg Phenylephrin 2 5 mg Dinatr phosphas Mononatr phosphas Sorbitol Aetherol lavandul hybrid Tetranatr edetas Natr N N di 2 hydroxyaethyl amino acet Thiomersal Thiourea Aqua ad 1 mi A Zyma Galen SA 209 213 rue De Wand 1020 Bruxelles ROWACHOL ORGANGEZIELIE TERPENTHERAPIE CHOLEPATHIEN CHOLELITHIASIS HEPATOPATHIEN hyper misierend choleretisch spasmolytisch bakteriostatisch TROPFEN 9 KAPSELN g SUPPOSITORIEN COMPOSITUM ROWA WAGNER KG ARZNEIMITTELFABRIK BENSBERG BEI KOLN lt ROWATINEX ORGANGEZIELTE TERPENTHERAPIE SPASMOLYTISCH ANALGETISCH BAKTERIOSTATISCH UROLITHIASIS NEPHROPATHIEN VER IONEN TROPFEN KAPSELN SUPPOSITORIEN ROWA WAGNER K G ARZNEIMITTELFABRIK BENSBERG BEIKOLN Litt rature et chantillons demander au COMPTOIR PHARMACEUTIQUE LUXEMBOURGEOIS S A Technique de l anesth sie generale pour amygdalectomie et ad noidectomie G BLAISE R BURGER Service d Anesth sie R anima tion H pital de Differdange Luxembourg Sp cialiste ORL Differdange Luxembourg Bull Soc Sci M d Luxembg 114 1 RESUME L article rapporte une technique d anesth sie g n
121. quemment obser v e en m decine les autres r cents la d couverte de th rapeutiques m dicamenteuses extr mement effica ces qui ont leur tour stimul les recherches sur le diagnostic les m canismes et les causes Ceci a ame n prendre conscience d une situation qui n est cer tes pas nouvelle mais qui a acquis un relief particulier du fait de l existence des possibilit s d action dont nous disposons aujourd hui m me dans les pays in dustrialis s forte densit de psychiatres il est mat riellement impossible que ceux ci prenent en charge toutes les d pressions existantes Il est donc indispen sable que la responsabilit de ces soins soit confi e dans une tr s grande proportion de cas aux m decins g n ralistes qui doivent donc savoir les reconna tre et les traiter PROBLEMES SEMANTIQUES Qu il me soit permis d voquer bri vement avant de rappeler les l ments essentiels de la classification des d pressions quelques aspects d une terminologie souvent confuse et dont l obscurit doit l interf rence du langage populaire et du langage psychiatrique ce dernier lui m me compliqu par le poids des traditions et par les divergences entre coles m dicales natio nales Conf rence tenue la Soci t de Neurologie de Psy chiatrie et d Electroenc amp phalographie en f vrier 1977 87 Bulietin de la Soci t des Sciences M dicales du Grand Duch de Luxembourg Le terme d pres
122. ques et l aspect de la physionomie peut tromper car il existe ce qu on a appel des d pressions souriantes voire d pressions masqu es quivalents d pres sifs et m me ce qu on a appel d pres sion sans d pression depressio sine depressione constituent un vaste do maine dont la connaissance et la recon naissance sont importantes Au cours de ces derni res ann es on a montr que la psychose maniaco d pressive n tait probablement pas une ma ladie unique mais qu elle tait compos e de deux aspects distincts qui ont t d nomm s formes bipolaire et unipolaire La premi re rassemble les cas dans lesquels existe chez le m me sujet la fois des pisodes d pressifs et des pisodes ma niaques Le d but se situe en g n ral en tre 25 et 35 ans le ralentissement pr do mine dans le syndrome d pressif et la r activit aux th rapeutiques m dicamen teuses curatives par les anti d presseurs prophylactique par les sels de lithium est tr s bonne La deuxi me comprend tous les cas dont l histoire clinique est faite uniquement d pisodes d pressifs Le d but est en g n ral plus tardif entre 35 et 45 ans le syndrome est souvent domin par l anxi t et l agitation la r activit la th rapeutique est seulement bonne Sur le plan de I h r dit il existerait galement une certaine autonomie des deux formes Enfin dans le cadre des psychoses thy miques il
123. r von 12 13 Jahren und ist durch entsprechende Hygiene in ertr glichen Grenzen zu halten Eine pri m re Circumzision ist eine anthropologisch interessante Verst mmelung die nicht indiziert ist 7 5 Ihre Rolle als Krebspro phylaxe ist nicht bewiesen Die bis zum Alter von 17 Jahren eventuell dauernde Synechie ist in Ruhe zu lassen Gewalt sames Zur ckstreifen wie auch L sen mit der Sonde ist schmerzhaft und brutal Zu mal die Ubertragung dieser Aufgabe an die Mutter kann zu ernsten St rungen der seelischen Mutter Kindbeziehung f hren Ausserdem kommt es bei diesen Manipu lationen zu feinsten Einrissen und die nar bige Schrumpfung der Vorhaut f hrt dann sicher zur echten Phimose die nur noch operativ behandelt werden kann Leider erlebt man dann oft in diesen F llen dass der ungl cklichen Mutter noch vorgewor fen wird sie habe die L sung ungen gend energisch durchgef hrt Eine operative Korrektur der Phimose ist angezeigt bei Persistenz ber das Alter von 16 Jahren bei hochgradiger Enge pri m r oder iatrogen mit Behinderung der Miktion und bei wiederholten Entz ndun gen der Vorhaut OI In diesem Fall ist es unn tig die Vorhaut radikal zu entfernen eine oval re Circumzision ist gen gend Die radikale Circumzision ber cksichtigt nicht die Schutzfunktion der Vorhaut ge gen ber der Einwirkung von Stuhl und Urin bis zum Sauberwerden Es besteht die Gefahr der erosiven Meatitis mit se kund rer V
124. res le radiodiagnostic est devenu le serviteur fid le de la clinique en permettant de fixer l tendue et la zone d origine de la tumeur pour pr ciser sa classification et l indication th rapeutique et proc der l tablissement de Statistiques correctes pour lesquelles Ba Clesse est pass maitre sur le cancer du rhinopharynx du sinus maxillaire de la base du crane on compte une quarantaine de publications sur la pathologie ut rine Baclesse a publi de nombreux articles et une mono graphie en 1941 il ne faut pas oublier ses nombreux travaux de diagnostic et de th rapie sur les tumeurs osseuses notamment les ost o et r ticulosarcomes les adamantinomes et tu meurs a my loplaxes ainsi que les tumeurs de l oeil et de ses annexes avec Dollfuss son dernier grand travail en 1966 qui rassemblait plus de 700 cas en 30 ans En fin de carriere Baclesse a mis tous ses espoirs sur les progr s que devraient ap porter d une part la chimioth rapie et d autre part l introduction de la supervolth rapie Il a t un des premiers utiliser des bombes au cobalt et l acc l rateur malgr les difficult s financi res d installation qui existaient d j cette poque Malheureusement son d c s trop pr coce ne lui a pas permis de publier les r sultats des maladies trait s par haute nergie tant donn le recul n cessaire de 5 10 ans En d pit de son norme travail scientifique Baclesse tait to
125. rkrankungen schwere Leber und Nierenfunktionsstorungen Angina pectoris Hypertonie Engwinkelglaukom Prostatahypertrophie mit Nei gung zur Restharnbildung Tachyarrhythmie mechanische Stenosen im Bereich des Magen Darmkanals Megakolon Zur Beachtung Avamigranist nicht zur Anfallsprophylaxe im Intervall geeignet Fahrzeug und Masch nenfuhrer sollten beachten da Avam gran Mudigkeit hervorrufen kann das g lt nverstarktem Ma e m Zusammenhang mit Alkcholgenu Handels formen Filmtabletten Packungen mit 20 Stuck Suppositorien Packun gen mit 5Stuck Avam gran ist verschreibungspflichtig ASTA WERKE AG Chemische Fabrik A D 4800 Bielefeld 14 Zur gezielten Therapie der Dysmenorrhoe durch Spasmolyse im Genitaltrakt und zuverl ssige Analgesie Zusammensetzung 1 Tablette enth lt Parasulfamidobenzoes ure 0 05 g Aminophenazon 0 25 g Indikationen Pr menstruelle Beschwerden Kopf und Kreuzschmerzen bei Dysmenorrhoe Blasen Tenesmen Spasmen der glatten Muskulatur Kontraindikation Akute intermittierende Porphyrie Nebenwirkungen Wurden dem Hersteller bisher nicht bekannt Dosierung 2 bis 3mal t glich eine Tablette Packungen R hrchen zu 15 Tabletten ST eg VE AT ONTO Leger A a E AE AGPHARM AG LUZERN PROPHAC S A R L Luxembourg ee Schicksal des Praeputium Penis C CONTER ber das was eine Phimose ist und ob und wie sie zu behandeln ist bestehen verschiedenartige Ansichten Viele rzte f
126. rothrombinique H morragies provoqu es mais aussi spontan es Aspect dominant h matomes pistaxis h maturies Si ge de pr dilection muscles nez reins 4 Importance essentielle de l interroga toire Cet interrogatoire tient une place de tout premier plan lorsqu il est bien con duit II faut rechercher les accidents h morragiques pr c dents leur localisation et leur intensit Mais l vocation de l accident h morra gique peut tre d form e par le malade Aussi le degr de l an mie engendr e le recours ventuel aux transfusions sont d excellents t moins de l intensit du saig nement Exemple Lors d une extraction dentaire un h mophile a re u une trans fusion sanguine pour h morragie impor tante Les circonstances r v latrices du saig nement sont aussi d une grande impor tance Intervention chirurgicale extrac tion dentaire amygdalectomie Il faut s enqu rir de l existence ven tuelle de gingivorragies spontan es ou provoqu es par le brossage des dents d pistaxis d ecchymoses Chez la femme les m trorragies et les m norragies peu vent tre le t moin d une atteinte de l h mostase II faut toujours s informer des m dica ments consomm s par le patient dans les jours qui pr c dent l intervention 5 Une autre notion clinique importante veut que la tare h morragique est d autant plus s v re que sa r v lation clinique a t plus pr
127. s veille entre deux et quatre heures et ne peut se rendormir A ceci s ajoute habituellement un maximum mati nal des troubles et ceci est vrai pour tous les aspects du syndrome depressif endog ne m me lorsqu il ne s agit pas de formes masqu es Par contre le sujet ac cuse une relative am lioration la fin de l apr s midi Souvent le malade d crit une l g re fatigue la n cessit d un effort pour effectuer les t ches quotidiennes une dis cr te perte d int r t m me pour les acti vit s de loisir L interrogatoire fait souvent ressortir la nature intermittente des trou bles dans le pass ils sont survenus par p riodes de quelques semaines quelques mois volontiers au printemps ou en au tomne s par s par des intervalles com pl tement libres Enfin un argument de 91 poids est l existence d une psychose ma niaco depressive typique chez les proches parents On peut donc dans ces condi tions voquer une d pression masqu e et tenter l preuve th rapeutique l efficacit des anti d presseurs tant pour certains l argument diagnostique principal Quoiqu il en soit le praticien doit avoir l esprit que le tableau de la m lancolie telle qu elle est d crite dans les manuels ne repr sente que la partie mergente de l iceberg qu est la psychose maniaco d pressive formes symptomatologie typi que mais discr te formes avec pr valence des symptomes accessoires formes atypi
128. s there are at present only 14 psychiatric illnesses that meet the criteria for a valid diagnostic entity For many patients that do not meet the criteria for one of the validated diag nostic categories they propose using an undiagnosed psychiatric illness category rather than following the usual procedure of assigning patients to the category the diagnostician believes fits best in the ab sence of adequate data Another unique feature of their approach is the precise specification of diagnostic criteria for each illness For example a diagnosis of the depressive form of primary affective disorder requires three conditions dys phoric mood characterized by specified symptoms a psychiatric illness lasting at least one month with no preexisting psy chiatric conditions such as schizophrenia or any one of 11 other disorders and at least five of the following criteria poor appetite or weight loss sleep difficulty loss of energy agitation or retardation loss of interest in usual activities or de crease in sexual drive feelings of self reproach or guilt complaints of or actual ly diminished ability to think or concen trate and recurrent thoughts of death or suicide PHENOMENOLOGICAL CLASSIFICATION While less detailed than current official Classifications simple descriptive nomen clatures have the advantage of being free from any speculative assumptions about the nature of the underlying disease pro cess As a consequen
129. s dans les tats d pressifs Sur le versant pratique il faut rappeler que les m dicaments anti d presseurs sont actifs m me dans les tats d pres sifs symptomatiques d une affection orga 90 nique que leur activit n est nullement un argument diagnostique pour ou contre cette tiologie et que leur utilisation n y est pas contre indiqu e Mais il est indis pensable de tenir compte du fait que les sujets g s chez lesquels existe une at teinte organique c r brale d g n rative ou vasculaire l arri re plan de leur d pression doivent faire l objet de pr cau tions sp ciales lors de l administration des traitements m dicamenteux en raison de la facilit avec laquelle des doses m me mod r es peuvent entra ner des effets secondaires importants souvent type de confusion mentale 2 Les psychoses fonctionnelles consti tuent la seconde grande classe de trou bles mentaux et celle qui correspond la plus grande proportion de malades hos pitalis s dans notre sp cialit Sans en trer dans des d tails qui n int ressent que le psychiatre sp cialiste on peut admet tre que l on parle de psychose lorsqu il existe une perturbation telle du fonction nement psychique que celle ci interf re de mani re grossi re avec les possibilit s du sujet s adapter la vie de tous les jours Pour celles o l on ne peut au moins actuellement d montrer une tiolo gie organique on r serve le qualificat
130. sion a des sens multi ples Dans son acception la plus g n rale il signifie abaissement En m decine c est la sa signification initiale dans une per spective anatomique materielle on par le d une depression des os du cr ne ou dans une perspective physiologique fonctionnelle on parle de la d pression de la fonction respiratoire L application la psychologie et la psychiatrie est rela tivement r cente Encore au XIXe si cle le dictionnaire de Littr ne fait allusion qu la d pression en son sens anatomique et c est seulement propos de l adjectif d pressif qu il mentionne indirectement la signification moderne en donnant comme exemple Passions d pressives signi fiant qui abattent Depuis sa p n tration en psychiatrie le mot a pris deux sens diff rents Ou bien il d signe un sympt me d fini essentielle ment par une qualit particuli re triste de l humeur Ou bien et plus g n ralement il d signe un syndrome dont l un des l ments centraux est tr s g n ralement le sympt me d pression Dans cette per spective l ensemble constitu par l adjec tif d pressif pr c d d un substantif ou par le substantif d pression qualifi par un adjectif sert pr ciser la vari t tio logique ou symptomatique du syndrome On parle de psychose maniaco d pressi ve de d pression r actionnelle de psy chopathie d pressive de d pression an xieuse ou agit e pour ne pr
131. t influencer la coagulation Temps de Quick diminu Penser ici aux avitaminoses K des viellards o le temps de Quick est aus si diminu B Le traitement II sera purment local Un traitement pr ventif ne parait pas souhaitable Compression alv olaire par compresse imbib e de thrombase ou reptilase Colle h mostatique g latine r sorcine formol Les h morragies tardives seront maitri s es de la m me mani re Donner au pa tient un chantillon de thrombase avec compresse ou une prescription d un tel produit par exemple H mostatique ERGE avec les instructions n cessaires Commentaires L h morragie importante tant rare on proc de seulement un examen sanguin si l intervention est importante Si on ne veut pas s adresser directe ment un h matologiste comp tent on demandera Num ration des globules rouges et blancs formule leucocytaire plaquettes temps de saignement temps de coagula tion temps de Quick temps de c phaline kaolin Dans ces conditions si une h morragie survient on est orient elle est limit e et facile gu rir Si le patient est malade il s agit le plus souvent d un malade sous anticoagulants il faut d abord le d couvrir en tant que tel Sur ce premier point l interrogatoire est tr s important Comme souvent des patients redoutent de refaire des examens ils taisent volontairement leur situation ou r pondent de mani re vasive Aussi vaut
132. t d adapter a Posologie selon les besoins Pox Sam FS Presentation Vial de 2 g Apr s pr paration extempo ran e avec le contenu du vial de solvant on obtient 5 ml de suspension 400 mg ml EI Upjohn UPJOHN SA 2670 PUURS ANNBIOTIC 761 1 REGISTERED TRADEMARK TROBICIN RESE ARCH B 7899 9 Shes Sens no eg mem ge em em em em gt Go Dalacin ADULTES e 16 capsules 300 mg 16 capsules 150 mg ENFANTS e 16 capsules PEDIATRIE 75 mg e Sirop flacon de 80 ml 5 a 20 We G I Dalacin C 116 Capsules o 000910 R i d i Tei palmitas dl We i Dalacin C au ae A IATRIE m ost D sen WE gt u20j0d 5 I Kul DENIS ET Se SY compo Ob MA Az AER ne 7 LA e MR Upjohn 16 Copsules 035 001080 Dalacin C ET D a12njod an i 150 p UPJOHN s a Puurs Belgique 035 003400 EK A _ a e capsules re Dalacin 300 mg d n v UPJOHN i eae CSS ker r b i Puurs Belgi j Clindamycin M Ev A PRODUCT os 300 g RESEARCH ww ees Dire que la margar ne de r gime Becel a une haute teneur en acide cis cis linol ique en vitamines et D c est clair pour le m decin mais peu pour le malade A l intention de vos patients nous vous proposons une brochure sur e l ath roscl rose le cholest rol les mati res grasses aliment
133. t die Solugastril Therapie Neueinf hrung Solugastril Spasmo e 7 GOUGUStril Hyperazidit t spusinolytiscnas Ulcus ventriculi bei starken SE et duodeni Begleitspasmen Solugastril Spasmo Solugastril Zusammensetzung Einzelbeutel Gel Aluminiumhydroxid Gei Zusammensetzung E nzeibeutel Gel Alumimumhydro id Gel 10 19 berechnet auf Al O3 4 35 g Calciumcarbonat 0 60 g 10 19 berechnet auf Alz03 4 350 g Calciumcarbor at 0 600 q Exciprentes ad 10 00 g 1 Tablette Aluminiumhydroxid Trockengel Butinolinphosphat 0 002 g Excipientes ad 10 000 g Indikationen HEUMANN 50 9 berechnet auf Al O 1 0 2 g Calciumcarbonal 0 3 g Krampf und Saureschmerzen bei Gastritis Gastroduodenitis Ulcus Arzneimittel Indikationen Hypersokretion Hyperazidit t bei Gastritis Gastro ventriculi et duodeni Hyperaziditat Vollegefuhl Sodbrennen und duodenitis Ulcus ventriculi et duodeni Reflux Osophagilis Magenunvertraglichkeiten durch Di tfehler Kontraindikationen Vollegetuhl und Sodbrennen Glaukom Prostatahypertrophie mit Neigung zu Restharnbildung Handelsformen 20 Enzeboutel 50 Emzelbeutel 40 Tabletten Stenosen im Bereich des Magen Darm Kanals Tachycardie 100 Tabletten Anstaltspackungen Handelsformen 20 Einrotbeutot 50 Einzelbeutel N RNBERG on Hinweise Bei gleichzeitiger oraler Verabfolgung von Breitbandantibiotika nsbesondere Tetracycl n sollte berucksichtig werden da die Resorption nlolge der ads
134. tere Informationen enthalten die wissenschaltlichen Prospekte Urospasmon Urospasmon sine Urospasmon sine pro intantibus ann ee eg Kahn enn EEE Zusammensetzung Zusammensetzung Zusammensetzung 1 Tablette Nitrolurantoin 50 mg Sulfadiazin 1 Kapsel Nitrofurantoin 50 mg Sulfadiazin I Kapsel Nitrofurantoin 12 5 mg Sulfadiaz n 150 mg Phenazopyridin 50 mg 150 mg 37 5 mg DEMAND Handetsformen Handelsformen Handelstorm mm nd sh 20 Tabletten 20 Kapseln 50 Kapseln 50 Tabletten am 50 Kapseln am Anstaltspackungen Anstaltspackungen Anstaltspackung NURNBERG Stand Januar 77 Litt rature et chantillons Comptoir Pharmaceutique Luxembourgeois S A Luxembourg Optimale Wirkstoffe Optimale Wirkstoffmengen Optimale Wirkung Zusammensetzung 1 Kapsel enth lt Clofibrat 500 mg Inositolnicotinat 400 mg Indikationen Zur Senkung erh hter Blutfettwerte Dosierung 3mal t glich 1 Kapsel In besonderen F llen kann die Dosis auf 4mal t glich 1 Kapsel gesteigert werden Nebenwirkungen Normalip wird allgemein gut vertragen Selten werden t Sp e e EE Normalip normalisiert erh hte Lipide Triglyzeride wie Cholesterin In Normalip sind die beiden wichtigsten Prinzipien der Serumlipid senkung der triglyzeridsenkende Effekt von Clofibrat und die cholesterinsenkende Wirkung von Inositolnicotinat miteinander vereinigt Dieser Synergismus sichert eine zuverl ssige Wirkung bei allen klinisch bedeutsamen
135. ticulocytes inf rieurs 1 chiffre corrig en fonction de I h matocrite Par ailleurs la biopsie de la M O doit montrer une moelle aplasique ou hypopla sique lt 25 de la cellularit normale ou mod r ment hypoplasique 25 50 de la cellularit normale mais avec gt 70 de cellules non h matopoi tiques i e des lymphocytes des plasmocytes des mastocytes des histiocytes des cellules r ticulaires Il est habituel de constater que la gran de majorit des malades r pondant ces crit res pr sentent une volution assez rapidement mortelle quelles que soient les mesures th rapeutiques appliqu es isole ment transfusions s lectives androgenes corticost roides 2453 En 1973 74 une tude prospective randomis e men e par plusieurs centres am ricains a donn les r sultats loquents suivants E o D JER E ar D De OG DS se sg 25 8 o 6 vg oe D ZE Mo ra Oa m ID Transpl 36 24 0 0 pr coce Traitement 36 1 5 6 19 convent Les r sultats globaux de la transplanta tion rapport s jusqu ici par les diff rentes quipes donnent 45 50 de gu risons 73 pr sum es d finitives Si ces r sultats globaux sont moins bons que ceux de l tude randomis e cit e cela tient au fait qu en r alit la plupart des transplan tations ont t effectu es un stade assez avanc de la maladie or chaque jour qui passe voit augmenter les risq
136. tinaux sont rares et dans la majorit des cas passagers Chez certains patients on note un allongement de l intervalle QTc Clinium n exerce aucune influence d favorable sur le rythme cardiaque normal la conduc tion et la contractilit Par contre Clinium peut r tablir le rythme sinusal chez des patients souffrant de troubles du rythme supraventriculaire telle que la fibrillation auriculaire des troubles dangereux du rythme et une fibrillation ventriculaire peuvent toutefois appara tre au cours de la p riode de transition Des troubles du rythme ventriculaire ont galement t observ s chez quelques tr s rares patients qui pr sentaient d autres troubles prononc s du rythme ou de la conduction ou qui taient trait s pour une d amp compensation cardiaque C est la raison pour laquelle il est conseill de traiter ces patients par Clinium seulement sous contr le cardiologique s v re contre indications Troubles du rythme cardiaque plus particuli rement en cas de fibrillation et de flutter auriculaires Clinium ne sera prescrit aux patientes non m nopaus es que si l ventualit d une grossesse peut tre exclue avec certitude posologie et mode d administration La poso logie doit tre adapt e individuellement Elle est habituellement de 2 4 comprim s par jour 3 comprim s en moyenne par jour Le traitement est instaur progressivement exemple 1 comprim par jour pendant la premi re semaine 2 comprim s
137. tion des ph nom nes de d r alisation des manifesta tions anxieuses des aspects obsessionnels une note lev e un questionaire de ten dances n vrotiques Inversement sont en faveur du diagnostic de d pression quatre l ments une humeur d prim e un r veil pr coce des tendances suicidaires un ralentissement Quel que soit l int r t de ce proc d on doit remarquer que les signes en faveur de la d pression sont ou bien les l ments m me du syndrome hu meur depressive tendances suicidaires ou m me des signes propres la d pres sion endog ne r veil pr coce ralentisse ment Aussi peut on craindre que la tech nique ne perde de son efficacit lorsqu on est en presence d une depression psy chog ne Il est habituel que les erreurs du praticien consistent rattacher la n vrose d angoisse un amp tat depressif plut t qu adopter l attitude inverse On doit donc orienter syst matiquement l enqu te vers la recherche de signes de d pression qui ne soient pas en m me temps des si gnes d anxi t L insomnie de l endormis sement l anorexie par sensation de stric tion laryng e ne peuvent servir d argu ments car ils sont ventuellement com muns lun et l autre tat C est plut t dans le registre du pessimisme de la sen Sation de fatigue du d sint r t qu on trou vera des indicateurs utiles Les difficult s sont encore aggrav es par certaines habitudes de terminologi
138. tion of oxalate from the colon which is stimulated by increased fatty acids and or bile acids in the stool This results in hyperoxaluria which may occur in a variety of gastrointestinal dis orders associated with steatorrhea and is not specific to Crohn s disease Dobbins and Binder recently demonstrated that no ne of five patients with steatorrhea and ileostomies had hyperoxaluria whereas eight of eleven patients with steatorrhea and an intact colon had hyperoxuluria Therefore the colon is the site of oxalate absorption and appears to be necessary for this complication to occur A diet low in oxalate decreases oxaluria and may prevent further oxalate calculus forma tion 1 Cholestyramine through oxalate binding in the gut and low fat diets also decrease oxaluria Recent evidence suggests that patients with Crohn s colitis are at increased risk for the development of colonic carcino ma 9 Several long term studies sug gest that the incidence of small bowel malignancy is also somewhat greater than chance alone would dictate 7 Retained segments of small intestine which have been bypassed have undergone malignant change As a result the procedure of surgically bypassing involved small bowel has largely been abandoned when possi ble It was hoped that the carcinoembryo nic antigen CEA titer would be speci fically and predictively increased in pa tients with carcinomatous transformation But severa
139. tions elle a comme nous l avons vu des cons quences regrettables pour la prise de d cision th rapeutique La derni re des grandes cat gories de troubles mentaux Concerne ce qu on ap pelle les personnalit s pathologiques Etats permanents r sultant de l exag ration un degr maladif de l un ou l autre trait de la personnalit normale ils sont peu ou pas modifiables Pour cette raison m me leur expos ne nous retiendra que bri vement Deux formes se rattachent direc tement notre Sujet La personnalit cy clothymique ou a un degr de plus cy cloide peut tre d peinte comme une psychose maniaco d pressive a minima Caract ris e qu elle est par des phases endog nes de d pression ou d excitation d intensit si discr te que si elles ren dent difficile par p riode la vie du sujet elles ne provoquent habituellement pas l appel au m decin S agit il comme il a t soutenu d un temp rament sur lequel 96 se d veloppe avec pr dilection la psycho se maniaco d pressive S agit il au con traire de variantes larv es de cette m me psychose Le probl me est loin d tre r solu et il peut tre indiqu en cas de doute de tenter l preuve th rapeutique On doit Kurt Schneider un tableau classique de la personnalit d pressive pure Les d pressifs se pr sentent nous comme des individus qui envisagent la vie de fa on durablement pessimiste ou du moins tr s Scept
140. traction de dent une tude appronfondie de l h mostase Par contre il ne devra pas non plus prendre la menace d une h mor ragie la l g re Avant d aborder le c t pratique je voudrais passer en revue l ensemble du probl me de I h mostase Le diagnostic comprend deux tapes essentielles et troitement solidaires A L examen m dical et g n tique B L exploration biologique L examen m dical doit toujours pr c der la biologie et si possible l orienter A L examen m dical Quelques r gles essentielles s imposent 1 Tout syndrome h morragique peut tre la r v lation d une h mopahtie De nombreuses leuc mies sont r v l es l occasion d un accident h morragique Donc ne jamais dissocier l tude de l h mostase de l examen h matologique banal ou m me parfois de l lectrophor se des prot ines la recherche d une Croix Rouge dysglobulin mie ou de la recherche de cellules de Luxembourg Hargraves t moins d une collag nose 81 Bull Soc Sci M d Luxembg 114 1977 Bulletin de la Soci t des Sciences M dicales du Grand Duch de Luxembourg Exemples Une femme de 60 ans a pr sent une h morragie importante quelques heures apr s une extraction dentaire Temps de saignement et de coagulation normaux L examen h matologique r v le une leu c mie my lo de chronique Un homme de 65 ans fait une suite de petits accidents h morragiques Le bilan de l h
141. ts et si possible suivis d un r sum en anglais Tous les articles seront lus par le r dacteur et un consultant sp cialiste Les articles n engagent que leurs signataires et sauf avis sp cial les opinions expri m es ne refl tent pas n cessairement la position de la Soci t des Sciences M dicales The Bulletin is published two or three times per year and accepts articles in french german and english The authors are invited to submit the original copy and a duplicate typed double spaced to the editor The references in alphabetical order should conform to the style of the Index Medicus Surname and initials of authors title of article name of journal volume number first page and year All the articles which should be succint are reviewed by the editor and a member of the editorial board Copyright 1977 by Soci t des Sciences M dicales du Grand Duch de Luxembourg Sommaire A propos du 10e anniversaire de la mort de Francois Baclesse A THIBEAU Technique de l anesth sie generale pour amygdalectomie et ad noidectomie G BLAISE et R BURGER Schicksal des Praeputium Penis C CONTER La transplantation de mo lle osseuse dans les an mies aplastiques graves P GROFF B SPECK P CORNU C NISSEN J SARTORIUS M JEANNET et P ERNZER Le m decin dentiste face une h morragie importante L JEANTY La d pression en pratique m dicale g n rale P PICHOT Recent methodological advances in the re
142. ues de sen sibiliser le malade de nombreux anti g nes par les transfusions devenant de plus en plus imp ratives favorisant ainsi le rejet En pratique quand le diagnostic d A A est pos il faut d terminer les groupes HL A du malade de tous ses fr res et soeurs si possible aussi de ses parents Si un ou plus d un membre de la fratrie est HL A identique au malade on r alise des cultures mixtes entre leurs lymphocy tes On essaie ainsi de s lectionner le meilleur donneur potentiel La famille est mise au courant de cette possibilit th rapeutique mais aussi des risques et com plications qu elle peut comporter Si le malade et le donneur ou et leurs parents sont d accord il faut prendre d s lors cer taines pr cautions en tout cas on proscrit formellement toute transfusion provenant d un membre de la famille on donnera de toute fa on le moins de transfusions possibles on utilisera si possible toujours le m me donneur de thrombocytes on ne transfusera que des rythrocytes congel s et ou lav s On d cidera de proc der la transplantation en l absence de signes vidents d am lioration h matologique et clinique bicytop nie ou pancytop nie gra ves augmentation des besoins en trans fusions addition d un nouveau crit re de gravit ayant fait d faut jusque l la d gradation de la situation clinique tant v rifi e par l histologie ventuellement par des examens isotopiques de l
143. ues nationales et mondiales tait rest modeste et simple Il se d sint ressait des mondanit s et futilit s de la vie des honneurs des titres des discours de la gloire et de l argent En fait il n aimait que ses malades son travail sa famille ses collaborateurs et ses nombreux amis qu il a pu gagner non seulement en France mais aussi l tranger la suite de nombreux voyages effectu s et de ses conf rences notamment aux Etats Unis au Canada et en Am rique latine Sa simplicit sa d licatesse sa discr tion et sa probit sans pareil lui assuraient la sympathie non seulement de ses malades mais aussi de ses l ves qui se comptent par douzaines et venus du monde entier de son personnel et de ses amis qui lui taient profond ment attach s Dans son allocution devant la Soci t Fran aise de radiologie dont Baclesse tait le pr sident Lef bvre le caract risait ainsi Savant Baclesse l tait en tant que radiologiste pr amp tant la griffe de son cart sianis me l analyse fine de la s miologie radiologique ses d monstrations restent en mon sou venir parmi les meilleures et les plus riches Homme il l tait en tant que praticien th rapeute examinant et mettant en traitement lui m me ses malades il avait d eux une connaissance intime qui explique peut tre les r sultats remarquables qui taient les siens Cette synth se si rare du savant et du praticien humaine Baclesse a
144. ujours rest fonci re ment humain Il tait avant tout clinicien et connaissait par ses examens personnels de mise en route puis hebdomadaires et par ses examens p riodiques des malades gu ris personnellement tous ses cas A la seule Fondation Curie se trouvent environ 25 000 dos 60 siers de malades trait s par lui Ces dossiers taient d ailleurs tenus d une fa on exem plaire et rigoureuse et d tail peut tre significatif lorsqu on conna t le peu de moyens de secr tariat utilis s l poque dans les h pitaux les observations taient des 1926 cactylographi es en double contenant les sch mas d irradiation et de la l sion clinique personnellement dessin s par Baclese ainsi que les photos des maladies et de leurs l sions Baclesse associait ainsi une profonde rudition la minutie le caract re m thodique et analytique provenant de son sang luxembourgeois la perspicacit l envergure la largesse d esprit ie caract re scientifique et l esprit cart sien de sa patrie d adoption ayant t naturalis Francais en 1938 ll devait cette poque l ge de 42 ans refaire le baccalaur at et le PCB en France choe impensable dans l Europe d aujourd hui ll a d ailleurs avou que c tait l effort le plus important qu il a d r aliser durant toute sa vie Baclesse malgr les honneurs titres prix et d corations re ues il tait devenu membre d une vingtaine de soci t s scientifiq
145. ur qu il se d barasse de l antig ne que de la d primer avec l espoir de blo quer la r action inflammatoire cons cu tive Les conceptions actuelles de la carci nogen se r servent une place importante aux m canismes de d fense immunitaire Hadden et coll soulignent que le l va misole sans avoir d effet direct antitumo ral a modifi favorablement ici encore certaines r ponses immunologiques cellu laires chez des animaux et des humains porteurs de cancers Dans un nombre li mit de processus malins une r mission aurait t observ e Il serait pr matur de supputer les chances qu offre cette voie mais il n est pas trop t t pour attirer l at tention sur cette nouvelle lueur d espoir dans un domaine o toute acquisition est la bienvenue Est ce dire qu une all gresse sans m lange doive saluer l av nement de cette arme th rapeutique s duisante Ce ne sont pas une s rie d effets secondaires relativement b nins qui inqui tent ni les leucop nies transitoires spontan ment r versibles Mais des agranulocytoes ayant t rapport es on est sans doute autoris fr mir devant la perspective qu un agent de plus va tre capable de provoquer des catastrophes iatrog nes Jusqu ici cet ef fet secondaire grave n a gu re t cons tat que dans l indication rhumatologique il pourrait donc tre sp cifique de la ma ladie De toute fa on le produit ne devra pas tre prescrit la l
146. urs HL A et MLC identiques pr sen tant une prise du greffon et m ne in triqu e aux complications infectueuses les plus diverses l exitus dans 10 20 des greffes allog niques r us sies 5 INDICATIONS RESULTATS ACTUELS Malgr ces checs la transplantation de moelle effectu e dans des centres sp cialis s plusieurs grands centres aux Etats Unis le plus renomm tant Seattle Wash les trois centres europ ens les plus importants tant Paris Leiden et B le est devenue depuis quelques ann es le meil leur traitement de AA grave Qu entend on par A A grave L A A l ancienne panmy lophtisie est due une insuffisance surtout quantitative de la moelle h matopoi tique touchant une deux ou les trois lign es de I h ma topoi se lign es rythrocytaire granulocy taire thrombocytaire Cette insuffisance peut avoir une cause connue irradiation accidentelle ou radioth rapie intoxication au benz ne action toxique de certains m dicaments comme l or la butazolidine le chloramph nicol certains virus peuvent tre en cause notamment celui de l h pa tite tr s souvent la cause de I A A n ap para t pas A A dite idiopathique On parle d A A grave quand le patient au niveau de son sang p riph rique rem plit au moins deux des trois crit res sui vants chiffre de thrombocyles inf rieur a 20 000 mm granulocytes inf rieurs 500 mm r
147. xcessive pour sa Sant physique est fr quente chez le d prim surtout g mais l existence d id es de ce type en l absence de signes pa tents de d pression peut amener le pra ticien se borner rassurer le malade apr s lui avoir d montr par des examens appropri s l inanit de ses craintes Or la conviction qu le sujet ne se laisse bran ler par aucune preuve et s il s associe comme il n est pas rare des id es suici daires les cons quences peuvent tre graves Le d prim ressent d ailleurs des dou leurs authentiques de si ge vari Ainsi se trouvent r alis es lorsqu elles sont l avant sc ne ce qu on appelle les d pres sions masqu es ou quivalents d pres sifs On a d crit des c phal es des dou leurs n vralgiques digestives gastriques ou intestinales parfois m me il existe des manifestations base organique pouss es ulc reuses ou de colites manifestations cutan es Souvent il s agit d un tat qua lifi de fatigue Quels sont dans ces con ditions les arguments pour rattacher des troubles aussi differents au syndrome d pressif en fait la psychose maniaco d pressive D une part un examen soig neux met en g n ral en vidence des as pects d pressifs typiques discrets Le plus vocateur est constitu par les troubles du sommeil Bien que non constant mais presque pathognomonique de la d pres sion endog ne est I insomnie du petit ma tin le sujet

1977.2 - ssm.lu

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