Rapport intermédiaire et les premiers résultats.
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1. nik UNIL Universit de Lausanne Dr Koorosh Massoudi Institut de psychologie CH 1015 Lausanne Switzerland Evaluation des effets psychologiques des bilans de comp tences en Suisse romande Rapport interm diaire et r sultats pr liminaires Afin de r pondre au mandat adress par l association VALIDA et sur la base des discussions men es avec Mme Katia Sauthier une quipe de recherche de l Institut de Psychologie de l Universit de Lausanne Mmes Sarah Hirzel et Nathalie Alther sous la responsabilit de Koorosh Massoudi ma tre assistant a labor un plan de recherche et un questionnaire afin d valuer les effets des prestations fournies par plusieurs institutions en Suisse Romande Le document ci pr sent repr sente un bref descriptif des r sultats pr liminaires r colt s et analys s ce jour Un rapport plus complet parviendra VALIDA une fois que l chantillon des r pondants aura atteint une masse critique suffisante nous avions escompt un minimum de 100 r pondants et que l ensemble des questionnaires nous sera retourn Proc dure Pour proc der l valuation des effets des prestations des institutions partenaires plusieurs vagues de r colte de donn es ont t pr vues En effet une tude classique d valuation d une intervention se base g n ralement sur deux temps de passation ti et t2 ou pr post Ainsi la diff rence entre les variables mesur es avant et apr2. s l intervention devraient nous informer sur les effets de celle ci sur les comp tences et les perception des r pondants Toutefois 1l est habituel de former un groupe de contr le c est dire une population comparable aux sujets de l tude par exemple des demandeurs d emploi mais qui n a pas recours l intervention valu e Ainsi si l effet n est observ que parmi les personnes effectuant un bilan de comp tences et que le groupe de contr le ne pr sente pas de changements significatifs sur le m me laps de temps les chercheurs peuvent en conclure que l effet observ n est pas al atoire par exemple d au hasard ou au temps pass mais bien le r sultat de l intervention Il est noter que dans le cadre de cette recherche et magr diff rents efforts d ploy s aupr s des Offices r gionaux de placement en Suisse Romande nous n avons pas pu acc der une population pouvant repr senter un groupe de contr le dans ce sens nous avons demand l appui de Valida via Mme Sauthier afin de pouvoir interroger une telle Facult des sciences sociales et politiques SSP Institut de psychologie DELTA T l 41 21 692 32 85 Fax 41 21 692 32 65 koorosh massoudi unil ch population une cinquantaine de demandeurs d emploi ne suivant pas de bilan et qui r pondraient au moins aux deux questionnaires pr post Un troisi me temps de passation follow up a galement t pr vu apr s 3 mois Il
3. E TI T ET T l 41 21 692 32 85 Fax 41 21 692 32 65 koorosh massoudi unil ch 11 4 Bien tre subjectif Test chantillons appari s Diff rences appari es Intervalle de confiance 95 de la Erreur standard diff rence Moyenne Ecart type moyenne t ddl Sig bilat rale Pairel tl_swls t2 swls 08889 4 46105 66501 1 25136 1 42914 Il n y a pas de diff rence significative entre t1 et t2 p gt 05 Relations entre les variables mesur es Corr lations entre l ind cision vocationnelle la connaissance de soi l estime de soi et le bien tre subjectif I V T2 C STI C ST2 E STI E ST2 B ETI B E T2 I V TI TOTEE HALERE JITE SOUTER ASTE aome agom I V T2 ns st SM SF ns 35 C S T1 SOTTE O0F E Agtta 34 ns C S T2 ABETE RATES ns 337 E S T1 BAE OSTE DoT E S T2 AL Soe B E TI OSTE B E T2 Note I V Ind cision Vocationnelle C S Connaissance de soi E S Estime de Soi B E Bien tre subjectif Seuils de significativit p lt 05 p lt 01 p lt 001 Synth se des r sultats Les analyses men es test de T afin de juger de la significativit de l volution des variables mesur es permettent d avance les l ments suivants L hypoth se H1 1 est confirm e nous constatons une baisse significative du niveau de l ind cision vocationnelle des clients travers le processus de bilan L volution rep sente essentiellement un gain au niveau de la qu
4. appara t en effet n cessaire de s assurer de la stabilit longitudinale des effets des interventions puisque bien souvent les solutions et les d cisions cons cutives une d marche de bilan ne sont concr tement appliqu es par les sujets que quelque temps apr s la fin de l intervention cf Heppner amp Heppner 2003 Ainsi la persistance des effets de l intervention travers le temps par exemple un plus grand sentiment de ma trise la motivation la connaissance de soi contribue au succ s du projet des personnes et la probabilit que la solution d gag e soit effectivement concr tis e Variables mesur es et instruments utilis s De nombreux travaux ont mis en vidence le r le d terminant du counseling d orientation en mati re d aide au d veloppement personnel et de pr vention des risques de pr carisation Fend 2003 Fibbi Kaya amp Piguet 2003 Guichard amp Huteau 2001 Haeberlin Imdorf amp Kronig 2004 Concernant l valuation de l efficacit des interventions psychologiques un indicateur g n ralement utilis est la satisfaction des clients vis vis de ces interventions Cette mesure refl te l valuation individuelle et subjective des prestations fournies travers un programme d accompagnement Toutefois m me si cet indicateur semble repr senter une source d information importante pour juger de la qualit d une intervention psychologique 1l ne peut lui seul constit
5. t1 4 1 et t2 3 5 Echelle Manque d information Test chantillons appari s Diff rences appari es Erreur Intervalle de confiance 95 de standard la diff rence Sig Moyenne Ecart type moyenne t bilat rale Paire 1 Manque d infos Manque 1 27951 2 08432 30085 67429 1 88474 4 253 d infos La diff rence est significative Moyenne t1 4 6 t2 3 3 Echelle Informations inconsistantes Test chantillons appari s Paire 1 Infos inconsistantes 39977 1 15302 16642 06497 73457 Infos inconsistantes La diff rence est significative Moyenne t1 3 5 et t2 3 2 Echelle Manque de pr paration Test chantillons appari s Diff rences appari es Erreur Intervalle de confiance 95 de standard la diff rence Sig Moyenne Ecart type moyenne bilat rale Paire 1 Manque de pr paration 01273 1 09083 15745 32948 30401 081 Manque de pr paration Facult des sciences sociales et politiques SSP Institut de psychologie ELEEEE EEE EEE EEE EEE EEE EEE EEE EEE EEE EPE EPP EPP EPP T l 41 21 692 32 85 Fax 41 21 692 32 65 koorosh massoudi unil ch La diff rence n est pas significative p gt 05 2 Connaissance de soi Score total Test chantillons appari s Diff rences appari es Intervalle de confiance 95 de la Erreur standard diff rence Moyenne Ecart type moyenne t ddl Sig bilat rale Pairel tl CS t2 CS 13808 32994 05032 23962 03
6. 6 cadre 7 NS 1 foyer 2 collab 3 formation 4 ind p 5 0uvrier 6 cadre 7 direction 8 autre direction 8 autre mi m m DNEONMWNE Do0o0ovoovo S000000 Le statut de la majorit des gens est celui de collaborateur Les autres statuts sont sous repr sent s dans cette tude voire l observation concernant le niveau de formation Facult des sciences sociales et politiques SSP Institut de psychologie LETTONIE T l 41 21 692 32 85 Fax 41 21 692 32 65 koorosh massoudi unil ch Situation actuelle 1 ORP 2 en emploi M 1 00 E 2 00 1 ORP 2 en emploi Valide 1 00 45 93 8 93 8 93 8 2 00 3 6 3 6 3 100 0 Total 48 100 0 100 0 Presque tous les participants sont actuellement au ch mage 93 8 ce qui semble signifier que le bilan de comp tences est surtout utilis comme un instrument de r insertion professionnelle Facult des sciences sociales et politiques SSP Institut de psychologie LETTONIE T l 41 21 692 32 85 Fax 41 21 692 32 65 koorosh massoudi unil ch Resultats Diff rences pr post et volution des variables 1 nd cision vocationnelle Score total Test chantillons appari s Diff rences appari es Erreur Intervalle de confiance 95 de standard la diff rence sie Moyenne Ecart type moyenne t bilat rale Paire 1 Ind cision vocationnelle 62792 1 17926 17021 28550 97034 3 689 Ind cision vocationnelle La diff rence entre t1 et t2 est significative Moyenne
7. 654 2 744 la m La diff rence est significative p lt 01 Moyenne t1 3 04 et t2 3 12 Facult des sciences sociales et politiques SSP Institut de psychologie LETTRE EE EEE IE III IE I EE E TI T ET T l 41 21 692 32 85 Fax 41 21 692 32 65 koorosh massoudi unil ch 10 3 Estime de soi Score total Test chantillons appari s Diff rences appari es Intervalle de confiance 95 de Erreur standard la diff rence Moyenne Ecart type moyenne t ddl Pairel tl_Ctotale t2 Ctotale 54545 3 40796 51377 49066 1 58157 a a Il n y a pas de diff rence significative entre t1 et t2 p gt 05 Echelle Estime de soi g n rale Test chantillons appari s Diff rences appari es Erreur Intervalle de confiance 95 de standard la diff rence Sig Moyenne Ecart type moyenne t bilat rale Paire 1 tl_Cg n rale 43182 2 78825 42034 41589 1 27952 1 027 t2 Cg n rale Il n y a pas de diff rence significative entre t1 et t2 p gt 05 Echelle Estime de soi sociale Test chantillons appari s Diff rences appari es Erreur Intervalle de confiance 95 de standard la diff rence Sig Moyenne Ecart type moyenne bilat rale Paire 1 tl Csociale t2 Csociale 11364 96968 14618 18117 40845 nT Il n y a pas de diff rence significative entre t1 et t2 p gt 05 Facult des sciences sociales et politiques SSP Institut de psychologie LETTRE EE EEE IE III IE I EE
8. P PEER EEE PP EPP T l 41 21 692 32 85 Fax 41 21 692 32 65 koorosh massoudi unil ch
9. antit de la clart et de la coh rence des informations disposition Toutefois l chelle manque de pr paration n est pas affect e par le bilan ce qui pourrait tre probl matique puisque cette chelle mesure notamment la motivation des personnes Facult des sciences sociales et politiques SSP Institut de psychologie ELITE PP PEER EEE IE ITTI II IEIET TTE TE TE EET T l 41 21 692 32 85 Fax 41 21 692 32 65 koorosh massoudi unil ch 12 passer l action Toutefois d autres tudes Voir Massoudi et al 2008 montrent que cette chelle est soumise un effet d incubation autrement dit les l ments affectifs de cette chelle anxi t motivation changent avec les temps Il sera int ressant de v rifier si le follow up permet de confirmer les effets du bilan sur cette chelle L hypoth se H1 2 est confirm e puisque la connaissance de soi augmente travers le processus Globalement nous pouvons consid rer que les prestations offertes remplissent bien les objectifs sp cifiques L hypoth se H1 3 est rejet e nous ne constatons pas de changement du niveau de bien tre Outre le fait que le laps de temps entre deux passations est vraisemblablement trop court pour que l on observe une am lioration de la satisfaction g n rale des clients 1l faut aussi noter que le bien tre est peut tre plus affect par la situation objective des r pondants malgr les effets sp ci
10. ausanne e CIP Tramelan e OP Porrentruy e CBVA Neuch tel e CIO Sion e EFFE Bienne e Centre d Orientation Fribourg Facult des sciences sociales et politiques SSP Institut de psychologie ELITE PP PEER EEE IE ITTI II IEIET TTE TE TE EET T l 41 21 692 32 85 Fax 41 21 692 32 65 koorosh massoudi unil ch Population Les analyses pr sent es ci dessous se basent sur un groupe de 48 personnes dont les deux questionnaires pr post nous sont parvenus Toutefois nous escomptons un minimum de 67 sujets dont les deuxi mes questionnaires devraient nous tre retourn s sous peu Les caract ristiques de la population sont d crites ci dessous Caract ristiques sociod mographiques de la population Sexe femme 2 homme 1 00 1 femme 2 homme E200 Valide 1 00 2 00 Total Nous constatons une majorit de femmes 64 6 dans les prises en charge 1 20 35 2 36 50 3 51 65 1 20 35 ans 2 36 50 ans 3 51 65 ans E 1 00 E 2 00 2 00 i 3 00 100 0 Total i manquant La r partition des tranches d ges n est pas quilibr e la tranche d ge la plus repr sent e tant celle des 36 50 ans 47 9 suivie des 20 35 ans 35 4 Les 51 65 ans sont sous repr sent s 14 6 ce qui pourrait montrer qu cet ge la reconversion ou la r insertion sont per ues comme tant peu importantes voire particuli rement difficiles Si tel est le cas une plus grande attention de
11. fiques du bilan ces personnes restent dans une situation de recherche d emploi ce qui affecte vraisemblablement leur bien tre g n ral L hypoth se H2 est confirm e Les analyses de corr lation mettent en vidence les fortes associations entre l estime de soi et l ensemble des variables mesur es Une bonne estime de soi est inversement li e au niveau d ind cision r de 57 60 p lt 001 alors qu elle est positivement corr l e avec le niveau de connaissance de soi r de 43 60 p lt 001 Ces r sultats semble en effet sugg rer que l estime de soi en tant que trait de personnalit repr sente en effet une ressource personnelle qui permet aux clients de maximiser les apports d un bilan de comp tences D s lors on peut supposer que les conseillers des centres de bilan pourraient tout en continuant se focaliser sur des objectifs sp cifiques prise de d cision r flexion et positionnement professionnels accorder plus d attention aux caract ristiques psychologiques et individuelles de leurs clients Une valuation du niveau de l estime de soi pourraient par exemple permettre l identification de clients risques particuli rement vuln rables face la situation de ch mage et qui pourraient avoir besoin d un accompagnement plus soutenu afin d atteindre les objectifs de la proc dure initi e Facult des sciences sociales et politiques SSP Institut de psychologie ELITE P
12. l de la personne estime de soi bien tre subjectif 1 Ind cision vocationnelle c est un indicateur d effet sp cialement adapt au champ de l orientation En effet un programme d aide au choix professionnel de r flexion ou de positionnement professionnel devrait induire une diminution du niveau d ind cision celui ci tant g n ralement associ e une difficult d insertion professionnelle Le questionnaire utilis Career Decision Making Difficulties CDDQ Gati Osipow Krausz amp Saka 2000 comporte 34 items et se base sur le mod le multidimensionnel de ind cision qui propose une taxonomie de l ind cision selon trois cat gories majeures de difficult s li es la prise de d cision e Le Manque de pr paration qui retraduit des carences pr alables au processus de prise de d cision anxi t li e au choix manque de motivation croyances dysfonctionnelles e Le Manque d information sur soi sur le march du travail sur le processus de prise de d cision e Les Informations inconsistantes qui refl tent le caract re contradictoire ou quivoque des informations disposition 2 Connaissance de soi le questionnaire utilis Gaudron Bernaud amp Lemoine 2001 comporte 32 items se r partissant sur 3 dimensions e _ tems concernant l auto r flexion port e sa conduite Exemple Je prends du recul sur ma fa on d agir e Items portant sur la clart de l image de soi E
13. olution rapide travers l intervention semble peu vraisemblable Toutefois nous nous attendons constater une relation entre l estime de soi et les indicateurs d effets sp cifiques Autrement dit l estime de soi influence les effets du bilan et le maintien de ces effets travers le temps et que dans ce cadre elle pourrait repr senter une ressource personnelle Hypoth se 3 H3 Les effets se maintiendront 3 mois apr s la fin de la proc dure hypoth se tester lorsque le follow up sera termin Des analyses suppl mentaires seront men es afin d valuer l impact des caract ristiques sociod mographiques ge sexe niveau de formation et des sp cificit s des prestations type de bilan dur e de la proc dure entretien individuel vs de groupe sur les effets observ s Recrutement des sujets et institutions partenaires Suite une r flexion men e avec Mme Katia Sauthier diff rentes institutions ont t cibl es et contact es Une premi re s rie d entretiens a t men e avec les responsables de ces institutions afin d en comprendre les enjeux et les sp cificit s puis des lettres explicitant les objectifs de la recherche ont t adress es aux collaborateurs en accompagnement des questionnaires La participation cette recherche a en outre t motiv e via des courriers adress s par VALIDA Les institutions contact es sont e CEBIG Gen ve e Mode d emploi Lausanne e CORREF L
14. uer un crit re exhaustif d efficacit mais devrait tre combin d autres types de mesure Sexton 1996 En effet il appara t que la satisfaction est surtout un reflet de la qualit de la relation tiss e entre le client et son conseiller travers les consultations mais ne traduit que tr s partiellement les r sultats plus concrets de l intervention comme l apprentissage de nouveaux comportements et le traitement d informations utiles l atteinte des objectifs Massoudi et al 2008 La litt rature montre que les interventions en OSP ont deux types d effets des effets directs sur des objectifs sp cifiques l intervention propos e par exemple une meilleure connaissance de soi et du monde du travail la facilitation de la prise de d cision la planification de carri re et des effets indirects sur des variables de bien tre g n ral Diminution des sympt mes d anxi t d pression am lioration du bien tre psychologique r solution de probl mes g n raux En accord avec ces l ments nous avons opt pour la mesure de deux types de variables savoir des variables sp cifiques vis es par une d marche de bilan Niveau Facult des sciences sociales et politiques SSP Institut de psychologie ELITE PP PEER EEE PP EPP T l 41 21 692 32 85 Fax 41 21 692 32 65 koorosh massoudi unil ch d ind cision vocationnelle connaissance de soi et des variables transversales traduisant le bien tre globa
15. vrait tre accord e cette population avec la mise en place de prestations plus appropri es pour les travailleurs et ou les demandeurs d emploi en fin de carri re Facult des sciences sociales et politiques SSP Institut de psychologie LETTONIE T l 41 21 692 32 85 Fax 41 21 692 32 65 koorosh massoudi unil ch Niveau de formation 1 Scolarit obligatoire 2 CFC 3 Maturit l oblig 2 CFC commerce 3 Matus 4 HES ET ES S Unis 4 HES ET ES 5 Universit B1 00 enr k 05 00 E Manguante Valide 1 00 7 14 6 14 9 14 9 2 00 17 35 4 36 2 51 1 3 00 6 12 5 12 8 63 8 4 00 3 6 3 6 4 70 2 5 00 14 29 2 29 8 100 0 Total 47 97 9 100 0 Manquante Syst me i 2al manquant Total 48 100 0 Les formations les plus repr sent es sont les CFC 35 4 et les tudes universitaires 29 2 Cette observation pourrait tre interpr t e de deux mani res D une part on pourrait penser que ces niveaux de formation sont repr sentatifs de la population suisse et donc que le niveau de formation est g n ralement lev en Suisse ces donn es seront compar es aux statistiques nationales D autre part on pourrait conclure que la d marche de bilan s adresse des personnes jouissant d un statut socio ducatif lev ce qui pourrait relever des besoins en mati re d interventions sp cifiques pour des demandeurs d emploi peu qualifi s Dernier emploi 1 foyer 2 collab 3 formation 4 ind p 5 ouvrier
16. xemple Je sais comment rep rer mes comp tences e Items portant sur la r alisation du projet professionnelle et la d termination du sujet Exemple J agis selon un plan d action pr vu 3 Estime de soi C est une variable importante dans la r ussite scolaire et professionnelle et ce titre souvent valu e dans les recherches en OSP L instrument utilis est une adaptation du Self Esteem Inventory Coopersmith 1967 comprenant 34 items r partis sur une dimension d estime de soi g n rale et une dimension d estime de soi sociale 4 Bien tre subjectif Le questionnaire utilis Satisfaction With Life Scale SWLS Diner et al 1985 Blais et al 1989 comprend 5 items valuant le degr de satisfaction g n rale ou de bien tre des r pondants Facult des sciences sociales et politiques SSP Institut de psychologie ELITE PP PEER EEE PP EPP T l 41 21 692 32 85 Fax 41 21 692 32 65 koorosh massoudi unil ch Hypoth ses et r sultats escompt s Hypoth se 1 HI La d marche de bilan aura pour effet une volution des variables mesur es se caract risant par 1 une diminution du niveau d ind cision vocationnelle 2 une augmentation de la connaissance de soi et 3 une augmentation du bien tre subjectif Hypoth se 2 H2 L estime de soi pouvant tre consid r e comme un trait de personnalit et donc relativement stable mais pas forc ment statique son v
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