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Conception d`une activité de

1. Fonctionnels Paraphraser Interpeller Demander des renseignements Renseigner Accord refus Savoir acheter son titre de transport
2. vvv Y Notionnels Lexique de voyage moyens de transports lieux villes actions gt Questions intonatives gt est ce que gt Conditionnel de politesse Socioculturels gt Politesse vouvoiement tutoiement
3. remerciements salutations compliments gt D couvrir l organisation de gares en France D couvrir des moyens de transport train Syst me signal tique des lieux publics gt Chanson fran aise Paris D roulement Sc ne 000BIS D couverte m Faire connaissance entre joueurs se pr senter et avec Yves lui faire des compliments m Si n cessaire poser des questions sur le fonctionnement du monde virtuel et la strat gie d action pr sent e dans la vid o introductive de la s ance pr paratoire m Maison d couvrir le vocabulaire li au exploration du fond m Consulter le journal intime les dessins et l album de photographies pour y rep rer l adresse Paris la noter dans le calepin m Questionner Yves sur les d tails de leur premier voyage Paris en lui posant des questions simples et utiles bulles automatiques demander gare SNCF carte bancaire Carnet de voyage Album de photographie Adresse Paris m R cup rer les cartes bancaires les examiner zoom 143 m Tester les formules ritualis es de conversation bulles automatiques Saluer Remercier Exprimer accord compliment observer les r action d Yves sur le vouvoiement tutoiement bulles automatiques Se pr senter enchant de te vous conna tre
4. Sc ne 13 Les tourniquets de Montparnasse 133 Annexe N Exemple d actes de parole contextualisation amp progression SALUER REMERCIER e simple e simple El Bonjour E26 Merci E2 Salut E27 Je vous remercie E3 Au revoir E28 Je te remercie EH A bient t E29 Merci madame E5 A tout de suite E30 Merci monsieur E6 A plus tard E3l Je vous remercie madame E Aplus E22 Je vous remercie monsieur e Personnalis E8 Bonjour monsieur e en r ponse E9 Bonjour madame E58 Ca va bien Merci E10 Salut pr nom E59 Ca va tr s bien Je vous remercie El1 Enchant e de te conna tre E60 Ca va tr s bien merci Et vous m me E12 Enchant e de vous connaitre E13 C est un plaisir de vous conna tre e d velopp EM C est un plaisir de te connaitre e Relance E33 Merci bien 15 Ca va impersonnel E34 Merci beaucoup E16 Comment ca va impersonnel E35 Merci infiniment E17 Tout va bien impersonnel E36 Merci de votre gentillesse E18 Vous allez bien intonation 7 Merci pour votre amabilit E19 Tu vas bien intonation E38 Merci C est gentil E20 Comment tu vas intonation E39 C est tr s gentil de votre part E21 Comment vas tu inversion C est tr s gentil de ta
5. Qualit Ma tre de conf rence Responsable de la formation T l phone 33 0 2 43 83 31 69 37 89 Fax 33 0 2 43 83 37 76 E Mail FLE univ lemans fr D tail des objectifs du stage et activit s confi es Art 6 Durant son stage l tudiant est soumis la discipline de l entreprise en ce qui concerne les visites m dicales et les horaires L tudiant stagiaire prend l engagement de n utiliser en aucun cas les informations recueillies par lui en vue de son rapport de stage pour en faire communication des tiers ou en susciter la publication sauf accord avec l entreprise Art 7 En cas de manquement la discipline le chef d entreprise se r serve le droit de mettre fin au stage de l tudiant stagiaire fautif apr s avoir pr venu le responsable de la formation ANNEXES 103 Art 8 Les stagiaires ne peuvent pr tendre aucun salaire Toutefois lorsqu un travail productif est demand aux stagiaires une gratification peut tre envisag e L opportunit et le montant de cette r mun ration sont laiss es l appr ciation de l entreprise dans les limites d finies par l article 9 Les frais de formation n cessit s ventuellement par le stage sont la charge de l entreprise qui peut verser au stagiaire une indemnit destin e couvrir les frais particuliers occasionn s par le stage Art 9 Pendant le stage si l tudiant n est pas r mun
6. C est pas grave Il me semble na B D H qu il va Paris Moi je vais Lille Je vais chercher mon train Au revoir EiNProgram Files Mepa serveurdata config ml ad En237 Char Document utilitaire description de l univers MEPA 2D en XML 188 pp ANNEXES 140 141 Annexe R Extraits de sc nario p dagogique MEPA 2D Phase 1 activit s pr paratoires m Etape 1 L enseignant pr sente aux apprenants un message vid o provenant des amis d Yves qui leur demandent de l aide pour leur correspondant fran ais et les invitent en France pour lucider un myst re Support La vid o introductive n 1 Invitation Objectifs prise de contact avec les apprenants futurs participants de la SMV gt implication maximale des l ves par un message personnalis qui leur est destin gt responsabilisation de l apprenant qui d cide lui m me de sa participation gt mission des hypoth ses sur la nature des probl mes d Yves D marche Un exemple de la d marche p dagogique est disponible sur le c d rom MEPA 2D m Etape2 L enseignant pr sente aux apprenants ayant accept la mission le message vid o provenant cette fois ci d Yves Le personnage explique son probl me et propose un plan d action Support La vid o introductive n 2 Yves pr sente le contexte v 1 ou v 2 la version n 2 int amp gre des passages textuels r sumant les principa
7. 2 http lucke univ lemans fr mepa Q Guide de design p dagogique e Village Guide de support au design p dagogique en formation distance francophone pancanadienne http mail village ca refad nouveau guide design index html Consult en juin 2004 e Guide de conception p dagogique et graphique d un site ducatif sur le r seau Internet http aptic ulaval ca guidew3educatif guide php HY 2 13 Consult en avril 2004 e Principes psychologiques http mail village ca refad nouveau guide design psychindex html consult en mai 2004 e Principes graphiques http mail village ca refad nouveau guide design graph2 html Consult en mai 2004 e Principes docimologiques http mail village ca refad nouveau guide design evall html Consult en mai 2004 e CINEMA 2000 Conception et Integration de Nouveaux Environnements Multim dias d Apprentissage site sur l ergonomie cognitive projet dirig par Aude Dufresne Universit de Montr al http www esi umontreal ca dufresne CINEMA index html SITOGRAPHIE 95 Consult en juin 2004 e Design d cran notes de cours http www fas umontreal ca com com3561 Design ppframe htm Consult en novembre 2004 Q Activit s collectives e Site de l universit Paris 6 Jussieu consacr aux activit s collaboratives et l exploitation de nouvelles technologies dans l enseignement du FLE http wwwadm admp6 jussieu frangais fp uagintern
8. Cachet et signature pr c d e de la mention manuscrite Lu et approuv Le Chef d Entreprise Pour le Pr sident de l Universit Le Responsable de la Formation Exemplaire 1 Entreprise exemplaire 2 Universit exemplaire 3 Stagiaire Le code de la S S posant dans son article L 333 3 le principe de la t rritorialit des prestations les articles 8 et 9 de la pr sente convention ne s appliquent en toute rigueur qu aux stages se d roulant en France m tropolitaine 104 MINISTERE DE L EDUCATION NATIONALE DE LA RECHERCHE ET DE LA TECHNOLOGIE ACADEMIE DE NANTES CONVENTION DE STAGE Art 1 La pr sente convention intervient entre L Universit du Maine repr sent e par Monsieur Maurice HENRY Pr sident de l Universit Susnomm e assist de Monsieur Abdelouhade MOUBARIK Directeur de l UFR Lettres Langues et Sciences Humaines Adresse Avenue Olivier Messiaen 72085 LE MANS Cedex 9 et i o L Entreprise ou groupement Leboratei RE A lo fog adresse Avepte M Dm shot T l OLUS RA GE 0 Fax O2 UA PA AP Gd Adresse du lieu de stage si diff rente de la pr c dente Art 2 La pr sente convention concerne le stage de formation professionnelle pr vu en vue de la d livrance du dipl me de D E S S Formation aux m tiers des langues et effectu dans l entreprise cit e par MAL KJ LINSkKA ANNE tudiant l Universit adresse de l tudiant VM dune A
9. Universit Maine CENTRE NATIONAL DE LA RECHERCHE SCIENTIAQUE LABORATOIRE D INFORMATIQUE UNIVERSITE DU MAINE Universit du Maine MEPA 2D Conception d une activit de simulation p dagogique en r seau Rapport de stage pr sent pour l obtention du Dipl me de DESS Formation aux m tiers des langues 2003 2005 Sylwia Kitlinska Professeur responsable de stage M Jean Francois Bourdet Maitre de stage M J r me Lehuen Octobre 2005 REMERCIEMENTS n y a gu re au monde un plus bel exc s que celui de la reconnaissance Jean de la Bruy re Tout d abord nous souhaitons remercier le directeur du Laboratoire d Informatique de l Universit du Maine Monsieur Pierre TCHOUNIKINE de nous avoir recue dans son tablissement Nous tenons exprimer en particulier notre gratitude Monsieur J r me LEHUEN notre ma tre de stage et le chef de projet MEPA 2D de son accueil chaleureux de son constant soutien durant nos diff rentes missions de stage ainsi que de sa remarquable disponibilit Nous sommes v ritablement ravie d avoir pu tre encadr e par une personne dont le professionnalisme les qualit s de p dagogue le bon sens et les capacit s cr er une ambiance de travail motivante sont tout fait exceptionnels Nous remercions galement Monsieur Jean Fran ois BOURDET notre responsable de formation ainsi que tous les professeurs qui nous devons la pr paration th orique nous permett
10. ETE Ut 01 TRIGANO 1998 lt TRIGANO Philippe 1998 Proposition de crit res d aide l valuation de l Interface Homme Machine des logiciels multim dias p dagogiques Universit de Technologie de Compi gne http www hds utc fr 977Eptrigano ihm98 html Consult en juin 2005 6 VvcoTskv 1934 amp VYGOTSKY Lev 1934 Pens e et langage La Dispute Paris 6 YAICHE 1996 amp YAICHE Francis 1996 Les simulations globales mode d emploi Hachette coll FLE Paris 6 ZARATE 1995 amp ZARATE Genevi ve 1995 Les Repr sentations de l tranger et didactique des langues Didier coll Cr dif Essais Paris ilitaires 0 EASI ISAE Cours destin aux enseignants formation des auteurs la conception d un produit p dagogique multim dia interactif Cahier des charges et objectifs p dagogiques Consortium EASI ISAE Universit de Derby Rev janvier 1999 http mediamatch derby ac uk french prepare cahier htm Consult en janvier 2004 ECKSTEIN amp CASABIANCA 2000 ECKSTEIN Robert CASABIANCA Michel 2000 XML Pr cis amp Concis O Reilly Paris SAINT EXUPERY 1946 SAINT EXUPERY Antoine 1946 Le Petit Prince Gallimard ed 1999 Paris SAINT EXUPERY 2002 SAINT EXUPERY Consuello 2002 rose du Petit Prince Le F lin Paris MEUNIER 2003 MEUNIER Paul 2003 Za philosophie du Petit Prince Carte Blanche Que
11. En ce qui concerne l activit des simulations globales en pr sentiel cf 11 1 1 11 1 3 elle appara t plut t comme une activit collective mixte Les l ves partagent un but unique mais le travail surtout celui de la production crite est reparti entre les diff rents sous groupes Par contre l activit effective des jeux de r le dont le canevas reste assez g n ral laissant ainsi aux intervenants une grande marge de libert et de spontan it est collaborative Quant aux simulations en ligne cf 1 1 4 4 la classe isol e s ouvre aux milieux distants mais les mises en commun sont asynchrones ce qui qualifie le travail entre deux groupes de coop ratif 66 ROSCHELLE J TEASLAY S D 1995 Construction of shared knowledge in collaborative problem sloving in O MAiLLEY Ed Computer supported collaborative learning pp 69 97 Springer Verlag New York cit dans LEGROS PUDELKO CRINON 2002 26 Avec une simulation de type Pro ogue 11 1 4 les apprenants disposent d un lieu th me qui pourrait assurer un contact r gulier et donc un travail collaboratif Pourtant ce contact s effectue toujours de mani re ponctuelle nous ne pouvons donc pas parler de collaboration ni d ailleurs de communication exolingue puisque l change crit en diff r ne s tablit pas entre les groupes mais entre les participants et les personnages fictifs En revanche les mondes virtuels cf 11 1 4 C
12. tout peut arriver sera mieux appropri l apprentissage d une langue de g n ralit s pr parant les apprenants la confrontation de la r alit de la vie quotidienne En revanche un lieu th me particulier comme une entreprise une conf rence ou un h tel ancrera la situation et les changes dans un cadre professionnel et permettra de travailler sur des objectifs sp cifiques L enseignant devra galement approprier le cadre de la simulation selon l ge et la maturit de son public Il y a en effet des simulations qui conviendront moins aux adultes qu aux enfants C est p ex le cas du C rque qui se pr tera mieux aux enfants ou encore la Conf rence l H pital ou l Entreprise qui conviennent davantage aux adultes Toutefois le principal travail d adaptation s effectue dans l laboration des situations probl me car c est avant tout le caract re des changes et des probl matiques aborder par les participants qui va d terminer leur appropriation au public donn Ensuite les simulations peuvent tre divis es selon leur dominante Si l enseignant souhaite amener les apprenants travailler dans un cadre r aliste il choisira plut t des simulations comme le 2g8 l mmeuble V H pital ou l Entreprise Par contre si le formateur pr f re travailler l imaginaire des l ves son choix portera sur les activit s dans le cadre d une le d un cirque ou d une exp dition Les auteurs distinguent galement les lieux t
13. 4 Nous retrouvons dans ces r gles certaines similitudes avec les principes didactiques retenus pour la conception d une activit p dagogique Ainsi la complexit de l intrigue la vivacit des situations participeront au maintien de la motivation La construction biographique des personnages et la d finition approximative de leur caract re correspondent l identit fictive ch re aux simulations globales Les r gles et la vraisemblance des endroits nous rapprochent de la dimension socioculturelle Par ailleurs nous pouvons faire correspondre la consigne de panachage des diff rents l ments dans le monde virtuel la notion des points de rep res socioculturels qui permettent aux apprenants de reconna tre des l ments d j vus En revanche concernant le principe d alignement des personnages il nous semble qu il est pr f rable de ne pas imposer de caract res st r otyp s et de laisser aux apprenants la libert de les construire eux m mes Compte tenu de l anonymat les l ves pourront soit garder leur propre personnalit soit doter leur personnage de traits de caract re invent s Ce choix permettra d viter de mettre les joueurs introvertis mal l aise face l obligation d assumer un personnage st r otyp ne correspondant pas leur personnalit ou leur vision de l intrigue m Canevas Pour concevoir le canevas de la simulation nous nous sommes avant tout bas e sur sa dimension cr ative et colle
14. C est donc l enseignant d observer et de pr venir des d rapages Cependant il ne s agit pas de censurer syst matiquement les actions des l ves d autant plus que certaines d entre elles sont susceptibles de donner lieu des situations insolites qui ne peuvent tre planifi es lors d un cours traditionnel Francis DEBYSER conseille d introduire dans les simulations des l ments de rupture des v nements inattendus non seulement pour introduire un peu de fantaisie mais surtout pour permettre aux l ves de faire face l impr vu comme dans la vie r elle 11 1 4 Evolution m Simulation en ligne Bien que la simulation globale permette un ancrage important de la situation de communication en lui rendant ainsi ses enjeux son contexte pr sente un inconv nient majeur qui est le recours une langue trang re pour communiquer avec des personnes partageant la langue maternelle En effet dans un milieu h t roglotte cette r duction de la communication du pseudo endolingue para t peu 5 Contrairement aux documents express ment fabriqu s des fins p dagogiques les documents authentiques ne sont pas simplifi s ou adapt s la situation d apprentissage Il s agit de documents bruts con us pour les besoins des natifs 5 appellation milieu h t roglotte d signe la situation o la langue trang re enseign e n est pas utilis e de mani re significative en dehors de l espac
15. Effet sonore Donner un objet Objet visuel Ranger un objet Fond visuel Sortir un objet Avatar G nie PNJ Ouvrir une porte Label Fermer une porte Changeable Passer par une porte D pla able S lectionner une action Emprunter un passage Consulter une ressource Produire un nonc Saisir un nonc Passage abstrait Ech S lectionner un changer avec un autre joueur en priv Porte Reproduire un P d assage Ecrire dans le calepin once ih Containeur ANNEXES 146 5 CONTENUS eg iig MEPA 2D Installation Manuel im HTML site du projet MEPA 2D Forum Enseignants Forum El ves iim VIDEOS INTRODUCTIVES Vid o Invitation Vid o Yves pr sente le contexte v 1 Vid o Yves pr sente le contexte v 2 Exploitation p dagogique Invitation Exploitation p dagogique Yves pr sente le contexte Lisez moi Comment activer les sous titres Sous titres Yves pr sente le contexte BS PLAYER Ba TEST PLN Vid o Transcription de l interview semi dirig e iig RAPPORT a Rapport de stage 147 Annexe U Evaluation de l activit questionnaire post test l ve Bonjour D Tu peux r pondre dans ta langue maternelle H Les mots en rouge passe la souris sur les mots pour en savoir plus exemples explications p ex Sc ne p ex maison d Yves Salle de P cin ma Gare Paris Passer da
16. Illusion du r el et r alit de l illusion Ze Fran ais dans le monde n 153 mai juin MANGENOT 1999 amp MANGENOT F 1999 L int r t p dagogique des mondes virtuels dans ANis J Ed nternet Communication et langue fran aise Herm s Paris pp 93 111 MALVAUX 2002 amp MALVAUX Christine 2002 La ff rature de jeunesse l cole entre didactique et la lecture et apprentissages culturels Universit du Maine MARTON HERVEY 1994a amp MARTON Philippe HERVEY Denis 1994 La conception p dagogique de syst mes d apprentissage multim dia interactif fondements m thodologie et probl matique dycatechnologiques vol 1 n 3 septembre http www sites fse ulaval ca reveduc html vol1 no3 concept html Consult en mai 2005 MARTON HERVEY 1994 amp MARTON Philippe HERVEY Denis 1994 L valuation des syst mes d apprentissage multim dia interactif a ducatechnologiques vol 1 n 3 septembre http www sites fse ulaval ca reveduc html vol1 no3 evalsam html Consult en mai 2005 MATAIGNE MAURICE 1995 lt MATAIGNE Bernard MAURICE Pierre Yves 1995 Guide d valuation de logiciels ducatifs Gouvernement du Qu bec Minist re de l Education Montr al http www grics qc ca cles en main projet ressources eval log htm 89 MELOCHE 2000 amp MELOCHE Michel 2000 Evaluation des multim dias p dagogiq
17. Utiliser des m taphores r alistes VILLAGE HTTP Seulement une organisation simple et efficace permet l usager de se cr er un mod le mental de la structure GILBERT 2003 Si elle n est pas ad quate elle peut provoquer la d sorientation de l usager 113 Navigation e Le syst me ne doit pas tre trop complexe il doit tre adapt interface et contenu pour divers niveaux d expertise des usagers exp riment naif CINEMA HTTP e Envisager une navigation intuitive CHARLIE N 16 e Assurer un acc s rapide l information selon les tudes l usager souhaite trouver son information en moins de 3 clics GILBERT 2003 e Etablir un gabarit de base pour l ensemble et une mise en page harmonieuse GILBERT 2003 e La barre de d filement ascenseur d stabilise l utilisateur lorsqu elle descend trop profond ment dans la page liminant tous les l ments de navigation On pr conise l utilisation maximale de 2 pages cran pour afficher le contenu d une page ce qui r duit la difficult de lecture l cran GILBERT 2003 Installation amp aide technique navigation e Les instructions d installation doivent tre suffisamment claires pour que l apprenant puisse l installer seul CINEMA HTTP e Les fonctionnalit s du dispositif doivent tre expliqu es CINEMA HTTP Contr le R troaction e Objectif Influencer la motivation de l apprenant et lui donner l impression de ma triser
18. des v nements se d roulant dans la sc ne est interrompue d s que l l ve consulte une ressource ou utilise la messagerie 11 arrive alors qu au retour dans la sc ne concern e l l ve se retrouve tout seul ses camarades ayant poursuivi le parcours Les joueurs pr f rent donc rester en groupe et ne pas s attarder exploiter en profondeur les ressources suppl mentaires 115 le justifient galement par la particularit du contexte des tests ne disposant que de quelques s ances ils souhaitent tout prix d couvrir la totalit de l histoire certains groupes sont m me pr ts consacrer la journ e enti re la derni re s ance Le panachage entre joueurs ludiques et explorateurs doit galement augmenter la tension entre les joueurs puisque le conflit d int r t ou les carts d approches ont t syst matiquement mentionn s L importance des indices trouv s dans le jeu n tant pas toujours per ue dans l imm diat prouvait les joueurs les plus impatients En effet le r le de certains objets dans l histoire ne devenait vident qu en rapport avec certains v nements pr cis qui ne se produisaient pas forc ment dans les sc nes voisines N anmoins cette organisation a t intentionnelle pour viter une trop grande pr visibilit de l intrigue L encore il nous semble que le contexte de tests tal s sur plusieurs jours peut en tre la 57 Cf Annexe M 8 p 132 5 Ces l ves propos
19. 1L 27 3L 4L 5L La note que tu donnes au carnet 11 2D 3 4 dl Commentaire 1 Communication avec Yves Tu parles Yves pour Dire ce que tu as ON iL 2L 3D 40 50 Dire ce que vous avez d couvert iL 2L 3D 401 5 Demander de l aide iL 20 30 AT 50 Dire des optele iL 20 3D a4 5 La note que tu donnes la possibilit de parler Yves 1L 2L 3L 4L dl Commentaire 2 Communication avec les personnages du jeu La communication est elle facile 7 iL 2a 3j AT 50 Pour communiquer utilises tu les Nouvelles Bulles 7 iL 20 3E G4 5L les Bulles automatiques 7 11 2D 3L a4 dl La communication est elle rapide 7 iL 2L 3D 40 50 Parles tu aux personnages chaque fois que tu les rencontres 7 iL 20 3E 4L 5L Leur r ponds tu quand ils te posent des questions iL 2a 3j AT 50 Les comprends tu 2 iL 2L 3D a4 50 comprennent ils et te r pondent ils 7 iL 2L 3D 401 50 Donnent ils des informations importantes 7 HL 200 3L AL SI Leur parles tu pour obtenir un indice pour le jeu it 2L 3L AT 50 Leur parles tu pour pratiquer le fran ais 20 30
20. 20 ML Art 3 La dur e dy sta t fix e Du A fase CS Au 3aloble4 menge Et EE Les horaifes sont ceux de l entreprise Toutefois l tudiant stagiaire peut tre autoris revenir l Universit pendant la dur e du stage pour y suivre certains cours dont la date est port e la connaissance du chef d entreprise avant le commencement du stage Art 4 Le stage a pour objet essentiel l application pratique de l enseignement donn sans que l employeur puisse retirer aucun profit direct de la pr sence dans son entreprise d un tudiant stagiaire Le chef d entreprise s engage en cons quence ne faire ex cuter par l tudiant compte tenu de ses tudes que des travaux qui concourent sa formation professionnelle Les difficult s qui pourraient tre rencontr es l occasion de l ex cution de ces travaux seraient aussit t port es la connaissance du responsable de l enseignement sp cialement si elle mettent en cause l aptitude de l tudiant tirer b n fice de la formation dispens e Art 5 Le programme du stage est tabli par le Chef d Entreprise en accord avec le responsable de la formation Dans l entreprise le ce em Stage charg du suivi des travaux du stagiaire est g Je rer MA Qualit eco hoa ela Cou T l phone 24 ER LES ne A l Universit l enseignant charg du suivi du stagiaire est Monsieur Jesn Francols BOURDBT
21. 2000 et le site officiel du LIUM http www lium univ lemans fr 10 Dans un premier temps et sous l impulsion de Martial VIVET le th me des tuteurs intelligents constitue le cadre de recherche des premiers travaux de l quipe En r action aux limites des logiciels d enseignement programm l quipe envisage des am liorations des syst mes experts qui pourraient jouer le r le de tuteur en dialoguant avec l apprenant propos de la r solution d un probl me Ces travaux abordent le th me de la planification p dagogique et visent l adaptation des outils et des mod les de l intelligence Artificielle l ducation A titre d exemple citons deux premiers projets CAMELIA et AMALIA Afin de permettre des interactions entre l apprenant et le syst me les chercheurs se focalisent sur la notion de dialogue dans un tuteur intelligent Les travaux abordent la question de l utilisation de bases de connaissances disposant d un langage de repr sentation celle de la planification p dagogique sous l angle de la gestion d un dialogue apprenant syst me STUDIA des mod les de dialogue REPERES Disco du dialogue s appuyant sur l analyse des concepts ELISE CAMELEON ou encore des mod les dynamiques envisageant l interpr tation des nonc s incomplets ou agrammaticaux COALA Initialement les travaux sur les tuteurs intelligents visent la substitution du ma tre N anmoins leurs performances ne permettent pas d assurer ce r le d une ma
22. Consult en d cembre 2003 e Site de l Acad mie de Nantes http www ac nantes fr peda disc lv allemand prof pedago tousnivo Consult en mars 2004 e Simulation Hotel http home sandiego edu mmagnin hotel html Consult en d cembre 2003 e Adaptation en ligne de la simulation globale 0 d Alain Pacthod http www acusd edu mmagnin Consult en d cembre 2003 e Simulation Ze ze http www ac nantes fr peda disc lv allemand prof pedago tousnivo Consult en d cembre 2003 e Simulation Ze Cirque http projects edtech sandi net langacad lecirque indexf html Consult en d cembre 2003 SITOGRAPHIE 94 e Simulation fe de bienvenue http membres lycos fr arnaudcarrere scenariofle scenariofle htm Consult en d cembre 2003 e France T l com Education exp rience de romans virtuels men e par Monique Perdrillat http cyberlangues online fr 2001 intervenants schlemminger html http 193 252 92 211 roman presentation html Consult en d cembre 2003 e Simuligne http lifc univ fcomte fr RECHERCHE P7 pub cndplE cndplE htm Consult en d cembre 2003 e Prologue http www prologue qc ca Consult en d cembre 2004 e Karobas mondes virtuels des simulations civiques en 3D http www karobas fr Consult en d cembre 2004 Choisir d mo sur la page principale ou acc der directement vers le site de lancement http 192 70 34 191 fr demo htm e
23. D finition La simulation globale est un protocole un sc nario qui permet un groupe d apprenants de cr er un univers de r f rence un immeuble un village une ile un cirque un h tel de l animer de personnages en interaction et d y simuler toutes les fonctions du langage que ce cadre qui est la fois un lieu th me et un univers du discours est susceptible de requ rir La simulation globale est n e au milieu des ann es 70 sous l impulsion de Francis DEBYSER le directeur du BELC Bien que les jeux de r le tels que la simulation de communication ou la dramatisation existent dans l enseignement des langues depuis longtemps ils apparaissent en classe de langue d une mani re ponctuelle fragmentaire et discontinue ne laissant pas suffisamment de temps l apprenant d entrer dans la peau du personnage S ils comportent de l interaction et m nent un certain d placement dans un univers fictionnel la parole ne poss de aucune personnalisation car 4 Selon LOPEZ HTTP 4 DEBYSER Francis 1996 4 meuble Hachette FLE coll Simulations globales Paris 5 Trois articles de Francis DEBYSER FDLM n 100 1973 consid r s comme fondateurs des simulations globales dressent un constat d chec pour toutes les m thodes d enseignement du FLE et pr nent l utilisation des simulations globales en classe de langue YAICHE 1996 46 La distinction entre les jeux de r le et la simulation selon TREMBLAY
24. ation photographi Recherche c Recherche c Adaptation Recueil es Internet Internet des pages Recherche existantes Internet c Paint Shop Audacity c Movie Maker c Dreamveawer c AMusics c Encoder Mpeg NVU EN Multiformat m Converter 3 c Acoustica MP3 Audio Mixer Outil c Music Manager c WAV2MP3 c Appareil c dictaphone num rique num rique Scanneur Micro externe gt DOS calcul c Images c Bruitage Courtes vid os Pages HTML Type fixes c Voix humaines Fonds anim s c Sites WEB c animations c R cit c JPG c c MPEG c HTML Format c GIF c OGG Vorbis c WMW c HTM c GIF ANIME c Dimensions Conversion c S lection des Hyperliens c Qualit c Nettoyage vues Int gration Traitement c Adaptation Egalisation c Enchainements d images et c Animation volume et d bit Effets sp ciaux de vid os c Effets sp ciaux c animations Documents P ex P ex P ex utilitaires c STORY c Document c Article final BOARD pr paratoire de Carnet de montage conversation Figure 7 T ches amp outils de la phase de conception graphique 135 Cf Annexe P p 140 61 11 6 SCENARIO PEDAGOGIQUE La d marche p dagogique comprend quatre phases principales La premi re phase pour objectif de prendre contact avec les apprenants et de les pr parer l activit de SMV Elle pr c de la connexion au dispositif a lieu
25. gt Sciences et techniques ducatives Herm s vol 7 n 1 2000 pp 87 145 http pepite univ lemans fr Telechargement francais 6 STE Dm pdf Consult en mars 2005 BRUNER 1983 amp BRUNER J S 1983 Ze d veloppement de l enfant Presses Universitaires de France Paris BusH 1988 amp BUSH M D 1988 De l EAO EAVAO des langues trang res l cole am ricaine dans Nouvelles technologies et apprentissage des langues gt FDM Recherches et Applications ao t septembre pp 167 173 EE 0 CHARLIE 16 lt CHARLIE COLLECTIF L ergonomie cognitive gt Les e cri t s de Charlie n 16 f vrier 2002 http thot cursus edu photo Imagel242 pdf Consult en f vrier 2005 CHEVALIER ET AL 2004 amp CHEVALIER Aline CEGARRA Julien KicKA Maud 2004 Quels sont les effets de la qualit ergonomique d un site web et de l exp rience des utilisateurs sur la charge cognitive et le temps de navigation 10 me JETCSIC 18 juin Gen ve CYR 1998 amp CYR Paul 1998 Les strat gies d apprentissage Cl International coll Didactique des langues trang res Paris 85 Ey 6 e DEBYSER 1991 amp DEBYSER Francis 1991 Zes simulations globales Education et P dagogies Ed CIEP n 10 e DEBYSER 1999 amp DEBYSER Francis 1999 L art p dagogique de simulation gt Zes revues p dagogiques de la Mission La que Fran aise Conna
26. la charge de travail et de la n cessit d une troite collaboration dans le cadre d un v ritable travail d quipe Les visions respectives des collaborateurs concernant l activit de simulation ainsi que celles de sa transposition informatique n tant pas toujours compatibles il nous tait difficile de passer 79 rapidement aux propositions concr tes p ex du canevas de la simulation convenant l ensemble de l quipe Comme dans chaque lieu de travail la diplomatie le respect des autres de leur personnalit de leur travail ainsi que de leur temps sont tr s importants De plus un travail d quipe tant la somme g n rale d apports individuels il est primordial de respecter les d lais et les engagements pour avancer comme pr vu Ces engagements ne sont pas toujours faciles tenir puisque le travail de chaque membre de l quipe d pend son tour des r ponses et des d lais d autres personnes Ainsi il nous est arriv d attendre une partie du d veloppement informatique du dispositif et ne pouvoir avancer dans sa conception didactique ou inversement attendre la confirmation de la part des participants aux tests et bloquer l avancement technique Au niveau de notre propre organisation le d fi tait parfois consid rable M me s il est assez banal de dire que le statut de stagiaire est un statut sp cifique plus vraiment un novice mais pas encore un professionnel dans certaines situations il peut expliqu
27. ma vers le m tro S vres Babylone Menu d actes de parole ditables ANNEXES Demande de confirmation adapt e au type d action 132 Demande de confirmation et cadre bleu indiquant le passage Passer dans la pi ce d c t 2D sandra A l int rieur de la direction gare d Austerlitz Serveur Ressources Tuteur Aide Monde virtuel Calepin interlocuteurs baptiste mathieu lucie alex wes Personne connect e Historique des messages chang s avec lucie au cours de cette session Messagerie Explorateur cas 19 15 sandra Salut Lucie O es tu Tout le monde t attend E ________ Personne Tapez votre texte ci dessous puis pressez ENTREE pour l en d connect e Viens nous rejoindre 000 La salle de classe scene 000BIS La maison poves Sem concern e double clic pour revenir au monde virtuel Instructions amp conseils a Devant n rame du m tro mac A l int rieur de la rame du m tro Le quai station S vres Babylone S vres Babylone Couloir Corres Le couloir vers la sortie Sevres S vres Babylone sortie passage scene 020BIS Au guichet RATP station S wr La sortie rue de S vres La rue de S vres cabine t l pho 53
28. ologie chez Saint Exup ry 2002 http home tele2 fr fr 16809 stex htm e Vie et cr ation d Antoine Saint Exup ry http www saint exupery org Q Son e Informations pratiques sur les formats des fichiers sonores et sur leur conversion http surfeur84 free fr e Site sur l utilisation du logiciel Audacity http www cestfacile org audacity htm e Information sur le format OGG VORBIS http www cestfacile org oggvorbis htm e Bruitage et musique out pour la musique http www tplm net catalog index php language fr SITOGRAPHIE 20297 e Bruitage ambiance nature http www bilboquet net tele html e Casting voix pour les publicit s http www voxpopuli fr Casting Fr Femmes htm e Bruitages divers http www seug csvdc qc ca classe dictionnaire les animaux htm http www gratisnette com bruitages index html http membres lycos fr nickdub http membres lycos fr nickdub e Instrument de musique http www vagsbygd vgs no musikkGK html Q Image e Conseils d utilisation du logiciel Paint Shop http www cybernaute com francyne deschenes accueil htm http membres lycos fr psp http lapagedenicou com PaintShopPro html e Cr ation des avatars http peachmaker imess net http www guinevere se dolls Dollmaker karinmaker html http www norrahammar com Dollmaker2 dmaker2 html http koreandollies tripod com dollmaker sayclub001 dollmaker001 html http www osrnet ff s
29. plusieurs tests internes avec des personnes ext rieures au projet afin d observer le vocabulaire employ lors des dialogues avec les PNJs et enrichir par la suite les mots cl s Malgr ces efforts nous sommes consciente que pour arriver un r sultat satisfaisant ces tests auraient d tre plus nombreux Un autre obstacle apparu durant l organisation des changes concerne leur gestion Dans la r alit dans un change face face les interlocuteurs s entendent et s observent ce qui leur permet de contr ler les tours de paroles Dans un change par crit cette authenticit n tant pas pr serv e le contr le de la situation de dialogue dispara t compl tement puisque le joueur n a acc s qu l tat final de l laboration d une r plique Comme le remarque Christophe DESPRES 2001 108 l mission d un message s inscrit dans la dur e avec un d but et une fin associ s au temps de frappe n cessaire pour composer le message ainsi si l un des deux interlocuteurs est long renvoyer sa r ponse il n est pas rare que l autre reformule sa question ou engage une autre discussion Le dialogue devient alors tr s difficile suivre En effet l apprenant ne sait pas qui d autre est en train de r diger son message il est alors tout fait probable que plusieurs personnes s appr tent mettre un message ce qui rompt la continuit de l change et peut aboutir une communication chaotique 11 tait alors import
30. rapport aux autres membres tait celui de l expert Or comment assumer le r le de l expert si nous sommes en m me temps apprentie M me si cette situation nous paraissait initialement quelque peu angoissante car il nous tait parfois difficile de prendre des d cisions sans concertation avec un autre didacticien finalement en essayant de trouver des r ponses aussi bien dans nos exp riences ant rieures que dans des recherches documentaires nous y avons pris go t bien que certains doutes demeurent toujours En ce qui concerne la phase de conception effective de l environnement MEPA 2D nous devions assumer des t ches qui ne nous taient pas toujours famili res ou qui exigeaient des comp tences bien particuli res pas toujours notre port e imm diate l ments ergonomiques traitement des l ments audio et iconographique description en XML etc Nous tions alors contrainte de compl ter nos connaissances sur les sujets concern s Le d fi n tait pas tant d acqu rir de nouvelles connaissances mais de nous les approprier rapidement afin d tre op rationnelle le moment venu En ce qui concerne les diff rents l ments constituant les sc nes il a fallu galement une certaine disponibilit pour les d placements et le travail sur le terrain Cependant cette partie de la mission n exigeait pas de connaissances suppl mentaires seulement de la volont et de la motivation dont nous ne manquions pas D sormais MEPA 2D fai
31. s que pour les usagers exp riment s SCAPIN 1986 D finition Un mode d utilisation abr g pour fournir un acc s rapide aux principales fonctions CINEMA HTTP Objectif Permettre l usager de garder son rythme d apprentissage Objectif Respecter les diff rents styles des usagers adaptation aux usagers ayant acquis une certaine ma trise de l environnement Int grer des hyperliens VrLLAGE HTTP ANNEXES 115 Feed back 55555555 Sous cat gorie Objectif Permettre l usager de conna tre la qualit de sa performance ScAPIN 1986 e Objectif Informer l usager rapidement et d une mani re ad quate sur les succ s de ses actions ScAPIN 1986 e doit tre aussi imm diat que possible ScAPIN 1986 Feed back e Int grer des incitations TNIGANO 1998 des incitations TRIGANO 1998 Ce Gestion des erreurs Sous Sous cat gorie e Objectif Permettre de corriger les erreurs de l usager ScAPIN 1986 1986 e Objectif Prot ger l usager contre la possibilit de faire des erreurs CINEMA HTTP e Objectif Augmenter la capacit de l usager d tecter ses propres erreurs ScAPIN 1986 e Int grer les moyens permettant le guidage et la gestion des erreurs TRIGANO 1998 e Insister sur une forte coh rence interne de l univers plus le monde est coh rent plus les fausses manipulations sont rares CINEMA HTTP e Les messages d erreur doivent tre clair
32. tait de permettre au syst me d interpr ter les actions des usagers partir d une base de r gles et de leur faire correspondre des comportements particuliers de l environnement Par cons quent il tait possible M Pour consulter l exemple d un forum destin aux apprenants se r f rer l Annexe T 146 HTML Forum 14 Cf Annexe D p 109 18 s agit d un module de syst me base de r gles qui comporte un moteur d inf rence Ce moteur labore la solution l action de l usager en choisissant les r gles de production et les s quence d utilisation Une hi rarchie dans l application des r gles d finie par des m tar gles exprim es sous forme d inf rences zt alors permet de varier les comportements du syst me selon les actions de l usager http www tripalium com fiches auto evaluation Sysexpert html 64 d envisager une certaine interactivit entre l apprenant et le dispositif D sormais les comportements du dispositif ont pu tre d clench s par des actions pr cises de l usager p ex l obtention d un ticket de transport suite au paiement les l ves ont pu non seulement changer avec les g nies mais aussi tre interpell s les commentaires sonores ont pu tre lanc s d s l entr e dans la sc ne etc Initialement toutes les ressources en rapport avec l activit devaient tre plac es sur le serveur et consultables ou t l chargeables par chaque client N anmoins leur volume dev
33. tait donc de taille Niveau Cadre Acteur responsable ECT Dispositif de Ing nierie de Directeur de programme BTS de BTS de comptabilit et geston et gestion formation formation Sc nario Ing nierie Alternance de l utilisation d un didacticiel avec A p dagogique ou P dagogique p dagogique les Eo en groupe enseignant pu produit Conception de Auteur Didacticiel lures vid o ete livres vid o etc p dagogique supports de cours Elaboration des Contenus Enseignant Exercices d anglais textes en anglais Figure 3 Extrait du cahier des charges de conception d un produit multim dia Source EASI ISAE http 3 M thodes et TEchnologies pour l EAD via Internet 33 Cf Annexe A p 102 34 Cf Annexe B p 106 35 Cf Annexe C p 108 16 m A Encadrement du stage Notre stage a t encadr par le chef du projet MEPA 2D Monsieur J r me LEHUEN cf 1 3 1 Etant donn sa nature ainsi que notre pr sence ponctuelle au LIUM nous avons convenu d un travail distance avec des mises au point en pr sentiel au laboratoire Ainsi une dizaine de mises au point en pr sentiel et un contact presque quotidien via mail messagerie instantan e et t l phone ont permis notre collaboration Pour l change des l ments con us ainsi que pour les nouvelles versions du dispositif notre quipe utilisait le transfert Les documents communs
34. tence linguistique comp tence discursive comp tence r f rentielle et comp tence socioculturelle 72 Cit dans 2005 73 La comp tence linguistique d signe la capacit de reconnaitre les l ments lexicaux morphologiques syntaxiques et phonologiques d une langue et la capacit de les combiner en mots et en phrases 2005 74 La comp tence sociolinguistique renvoie la fois aux r gles socioculturelles et aux r gles discursives c est dire la capacit de produire et de comprendre des nonc s appropri s des situations sociales sp cifiques et conformes aux codes sociaux de ces situations ROSEN 2005 75 a comp tence strat gique implique la capacit d adopter ses strat gies de communication verbales et non verbales la diversit des relations interpersonnelles et la facult de r agir des v nements souvent impr vus Elle s impose ainsi comme une comp tence ressource qui peut venir combler les lacunes des autres comp tences ROSEN 2005 76 Ce type de cloisonnement est d ailleurs d nonc par Evelyne Rosen 2005 29 Ill CONCEPTION D UNE ACTIVITE La conception d une activit p dagogique support e par une plate forme informatique doit respecter la nature de l activit concevoir cf 11 1 les principes th oriques la sous tendant cf 11 2 tout en prenant en compte les possibilit s du dispositif informatique cf 1 3 1 devient alors vident que la ma
35. ves prenaient une attitude protectrice par rapport aux autres joueurs distribution quitable des t ches conseils r cup ration des joueurs gar s et d autres encore durant la p riode de familiarisation pratiquaient le sabotage simulation de difficult s pour retenir l attention de ses camarades demandes d aide sans en avoir un r el besoin Nous avons pu d noncer ce dernier comportement comme simul gr ce la fonction tutorale de observation en invisible Curieusement au bout de quelques s ances le comportement de ces joueurs a chang suite aux signes d acceptation par le groupe ils sont devenus coop ratifs serviables et m me entrepreneurs C tait d ailleurs ces m mes l ves qui ont eu du mal quitter le jeu et leurs camarades lors de la session finale est galement tonnant de constater le d calage pouvant avoir lieu entre le comportement d un l ve dans le jeu et celui en classe Nous avons pu observer des apprenants qualifi s par leur professeur de bons l ves extr mement r serv s en classe qui se sont transform s en protecteurs durant les connexions De plus les r sultats des groupes participants la SMV ne d pendaient pas toujours de leur niveau linguistique en fran ais Notamment un groupe d l ves de niveau d butant a su mieux s organiser et tre plus efficace plus astucieux qu un groupe de niveau interm diaire Le groupe de d butants a en effet utilis to
36. 1998 r side dans le fait que dans les jeux de r le les participants jouent font semblant alors que dans une simulation ils vivent l v nement p 111 L auteur ajoute que dans le jeu de r le le participant devient un personnage pr cis dot d un pass et d une personnalit alors que dans une simulation il occupe une fonction sociale pr cise mais reste lui m me p 112 Le facteur temps et la rigidit de la situation initiale jouent aussi un r le important dans cette distinction Le jeu de r le impose la situation initiale ainsi qu une suite l histoire alors que la simulation laisse plus de libert aux apprenants qui disposant d un temps beaucoup plus important peuvent faire vivre leurs personnages dans un contexte qu ils ont le temps de s approprier et faire voluer 19 elle s appuie sur les dialogues dramatiser d j faits ex dramatisation fid le d un dialogue p ex au caf dans un restaurant etc Leur contexte est plut t pauvre et ne permet aucune implication personnelle dans le message car celui ci est connu d avance Les dialogues ainsi pr par s ne donnent l apprenant que l occasion d exercer une seule habilet la fois M me si parfois les jeux de dramatisation envisagent la possibilit d une certaine improvisation de la part de l apprenant faute d paisseur biographique des personnages les dialogues et les situations prennent souvent des tournures st r otyp es Le canevas
37. 40 50 C3 La note que tu donnes la possibilit de parler aux personnages COSE reed da a Tu utilises les Bulles Automatiques Quand tu ne sais pas quoi 1L 2 7 3L 4 50 Quand les personnages ne te comprennent pas 1L 2 7 3L 41 50 Pour crire plus vite H 20 30 AT 50 Autre r ponse E La note que tu donnes aux bulles automatiques 1L 2L 3L 4L 5L 151 K AAA 1 Quand tu ne comprends pas un mot Le demandes tu un personnage 7 11 2L 3L Le demandes tu un autre joueur IL DL LE Le demandes tu Yves 7 IL 20 3L Consultes tu le dictionnaire 7 IL 20 30 Consultes tu l objet pour conna tre son nom en fran ais 11 2 30 Consultes tu un autre dictionnaire sur Internet 7 iL 20 30 Consultes tu ton dictionnaire livre iL 20 30 Essaies tu de comprendre selon la phrase 10 2 SE Autre r ponse Quand tu ne sais pas quoi faire dans le jeu Parles tu avec les autres joueurs 7 iL 20 3L Demandes tu des informations aux personnages du jeu 1L 20 3L Cherches tu des informations dans les documents IL 20 30 Demand
38. Albert Ils ach tent les tickets de cin ma et regardent le film dont l action se d roule Montmartre A la sortie du cin ma ils passent c t d une cabine t l phonique avec un annuaire Un touriste a oubli son guide pos sur un banc 115 peuvent consulter ces deux ressources pour trouver les adresses des principaux mus es Montmartre 3 mus es recens s Ils trouvent galement par terre quelques pi ces Avec les adresses des mus es ils savent qu ils doivent se d placer Montmartre Ils y vont en m tro A l entr e du m tro ils peuvent consulter un panneau de trajets pour connaitre leur itin raire S vres Babylone Abbesses Dans le couloir du m tro ils passent c t d une mendiante qui leur demande une pi ce S ils en ont une ils peuvent la lui offrir La mendiante ne l accepte pas sous pr texte que c est une pi ce de collection donc d une grande valeur Elle leur conseille de bien regarder la pi ce En la 121 consultant les apprenants voient que c est une pi ce d une s rie limit e repr sentant le Petit Prince C est un indice qui pour l instant n est pas significatif mais qui pourra les aider dans une prise de d cision ult rieure Arriv e Abbesses les apprenants se baladent dans le quartier et rencontrent un artiste peintre qui a parmi ses uvres un portrait de Marie Malheureusement le peintre ne veut donner aucune information et r clame sans cesse un cadeau tout e
39. Annexe N p 134 12 Un moteur conversationnel de type Elise est bas sur le langage de mod lisation de dialogue appel Artificial Intelligence Markup Language AIML La conversation par la reconnaissance des mots cl s de l interlocuteur humain parfois avec certaines reprises des mots apparaissant dans les parties ant rieures du dialogue ce qui contribue l illusion d un vrai change exemple d un agent artificiel dot d un moteur conversationnel http www pandorabots com pandora talk botid f5d922497e345aal 121 Cf Annexe P p 140 12 La lemmatisation appel e galement stemming est une op ration d analyse de contenu qui op re par r duction des mots en une entit premi re lemme appel e aussi forme canonique qui regroupe les diff rentes variables du mot et de ses d riv s Par exemple le lemme 55 Pour assurer une certaine logique des changes avec les PNJs il tait galement n cessaire d tablir un certain ordre de reconnaissance des mots cl s Nous tions alors charg e de l tablissement des r gles de dialogue la priorit des items et leur ordre 7 M me si la version actuelle doit tre encore am lior e l int gration des PNJ semble essentielle car elle permet un feedback imm diat lorsque le tuteur ne peut pas l assurer Or cette r troaction instantan e est jug e comme tr s importante afin de permettre celui qui apprend de v rifier de contr ler la qualit l exactitude
40. HY 2 13 Consult en avril 2004 e GLIKMAN 1999 amp GLIKMAN Viviane 1999 Formation distance au nom de l usager Distances volume 3 n 2 automne e GUERAUD amp CAGNAT 2003 lt GUERAUD Viviane CAGNAT Jean Michel 2003 Pour une ing nierie des situations actives d apprentissage gt dans Actes du Colloque ElAH 2003 avril Strasbourg http archive edutice ccsd cnrs fr docs 00 02 75 93 PDF Gueraud Cagnat pdf Consult en avril 2005 Em 6 e lvic 1994 amp Ivic Ivan 1994 Lev S Vygotsky Perspectives vol XXIV n 3 4 pp 793 820 EE 6 e JACQUINOT 1993 amp JACQUINOT Genevi ve 1993 Apprivoiser la distance et supprimer l absence ou les d fis de la formation distance Aevue fran aise de p dagogie n 102 janvier f vrier mars pp 55 67 http educ univ paris8 fr FORMAT DOCT SiteDEA99 RFP9220GJ RTF e JERMANN 1996 amp JERMANN Patrick 1996 Conception et analyse d une interface semi structur e d di e la co r solution de probl me m moire STAF http tecfa unige ch jermann staf colin 2 html Consult en juin 2005 e JoLv 1993 amp JOLY Martine 1933 n roduction l analyse de l image Nathan Universit Paris e 0 e LANCIEN 1998 amp LANCIEN Thierry 1998 Ze multim dia Cl International coll Didactique des langues trang res Paris e LOPRIORE 1999 amp LOPRIOR
41. Sur le plan personnel les probl matiques et les situations de stage nous ont amen e r viser nos approches ainsi que nos m thodes de travail Habitu e un travail universitaire plut t solitaire et auto g r nous avons t confront e la r alit du monde du travail o les d lais fix s par le cahier des charges ponctuent la coop ration Cette r alit a eu des r percussions quant la perception de notre propre travail se traduisant par une p riode transitoire d obsession d efficacit et de r sultat Bien que 82 certaines de ces conclusions ne soient arriv es que tardivement nous saurons en profiter l avenir Il est vrai que les divers d fis de cette coop ration nous ont permis de nous rendre compte de nos faiblesses de nos capacit s surmonter des difficult s de nos capacit s d adaptation ou d initiative dont la conscience est une force puisqu elle permet le progr s Au niveau professionnel cette formation tait galement une occasion exceptionnelle de rencontrer ou de communiquer avec des personnes issues de divers horizons d un parcours professionnel impressionnant et avec des comp tences ind niables Nous osons dire aujourd hui que ces rencontres ont dans une certaine mesure influenc notre vision des projets de recherche et ont veill un grand int r t pour ce type de travail Par ailleurs cette coop ration au del d tre une exp rience professionnellement tr s enrichissante tai
42. a gt z i O hum a x Y D x e Raccourcis 5 o 9 o cx Objectif Laisser l apprenant la possibilit de travailler son rythme CINEMA HTTP Objectif Faciliter le rep rage dans l environnement CINEMA HTTP Objectif Augmenter l autonomie de l l ve Fournir plusieurs fa ons pour atteindre un m me objectif diverses proc dures options commandes etc SCAPIN 1986 Les informations l cran doivent amp tre lisibles CINEMA HTTP Rendre visibles les chemins et les usages possibles CINEMA HTTP Int grer des zooms VILLAGE HTTP Int grer des cartes conceptuelles permettant l apprenant d avoir une vue d ensemble du contenu assimiler CINEMA HTTP Int grer une carte g n rale du parcours Int grer l index r pertoriant les ic nes et symboles repr sentant les fonctionnalit s du syst me Permettre l identification des l ments appartenant des sections de fa on distinctive pour que l apprenant se rep re facilement dans le syst me et soit ainsi guid Proposer diff rents niveaux de difficult dans les activit s pour adapter le syst me un public vari CINEMA HTTP Rendre les sorties videntes facon de quitter et d interrompre un processus de fa on vidente CINEMA HTTP L existence des dialogues tr s flexibles diminue la performance notamment en augmentant le nombre d erreur chez des utilisateurs naifs Ils ne sont donc recommand
43. autour de ces fonds 111 4 2 Tant t les PNJ interpellent les joueurs en voquant les l ments du fond tant t ils rendent son exploration indispensable pour r pondre leurs questions Mais les images articul es avec d autres m dias facilitent galement la compr hension Nous parlerons alors de la multicanalit ou bien de la redondance p dagogique En didactique des langues les rapports de redondance ou de forte compl mentarit entre le texte et l image permettant de ne pas recourir la langue maternelle sont fr quemment utilis s pour faciliter la compr hension des nonc s linguistiques les imagiers exercices de description des images etc Dans ce sens l image compl te le message linguistique en donnant une certaine information qui pourra tre ensuite v rifi e ou compl t e par le texte ou comme dans MEPA 2D par change linguistique A condition que l image refl te la r alit et que les deux canaux laissent une marge d interpr tation l apprenant ce type d agencement suscite chez l apprenant galement de la narration LENTIN amp AL 1991 La comp tence culturelle est le 3 l ment influenc par l image De nombreux auteurs mettent en garde le concepteur de l usage des images simplistes correspondant aux st r otypes des apprenants convient alors d enrichir leurs repr sentations en d montrant leur caract re approximatif par confrontation des images plus complexes L objectif est de d
44. coffre mais bien qu elle soit au courant de son existence elle n a aucune id e de son contenu Le soir m me il l entend raconter son mari la discussion qu elle a eue avec son fils Elle insiste sur le fait que son fils a aussi remarqu l tranget du coffre et regrette que la grand m re ne soit plus parmi eux car elle pourrait expliquer certaines choses comme p ex son s jour Paris D sormais Yves sait que les parents ne connaissent pas les d tails de l histoire mais qu il y a bien un secret ll a envie de l lucider 11 d cide de retourner au grenier d s le lendemain matin pour trouver d autres l ments Pourtant le lendemain matin le grenier est vide n y a plus aucun objet Les parents sont aussi surpris qu Yves Que s est il pass En m me temps Yves remarque des choses tranges une ombre dans le couloir comme si quelqu un le surveillait comme si quelqu un se cachait A son retour dans la chambre il trouve un petit mot mena ant lui demandant d arr ter ses recherches et de ne plus se poser de questions De plus des individus suspects apparaissent Ils rodent autour de la maison et observent Yves I d cide alors de partir la recherche d indices Il d cide de contacter ses amis l tranger pour leur demander de l aide A l arriv e des correspondants apprenants Yves leur raconte l histoire Wstoire d Yves et pr sente les objets trouv s au grenier Compte tenu d
45. d int rioriser implicitement de nouvelles connaissances auxquelles i est expos L appropriation d une langue trang re dans le milieu scolaire formel ne peut donc pas donner lieu une acquisition En revanche le jeu communicatif avec sa triple dimension la dimension ludique divertissante la dimension cognitive et formative la dimension socialisante pourrait diminuer les contraintes du milieu scolaire et cr er ainsi un contexte plus favorable l acquisition a t d montr que l homme retient 109 de ce qu il lit 20 de ce qu il entend 30 de ce qu il voit 50 de ce qu il voit et entend 8095 de ce qu il dit et jusqu 9097 de ce qu il fait et commente en m me temps Or dans le jeu communicatif le faire est toujours associ au dire c est donc une excellente occasion de structurer ses connaissances et d en acqu rir de nouvelles Toutefois il est important que les activit s propos es en cours de langue ne prennent pas seulement l apparence d un jeu mais qu elles fonctionnent dans l esprit des l ves comme de v ritables activit s ludiques d nu es de toute justification scolaire Ainsi l int r t des sc narios dramatiques des jeux de r le et des simulations sociales ou globales les activit s phares des approches communicatives apparait vident La force de ces pratiques r side dans l importance accord e au jeu et dans leur dimension collective de l apprentissage 11 1 2 Pr sentation amp principes
46. d pos s sur le serveur taient ainsi accessibles l ensemble des membres du projet Nous avons galement mis en ligne un fichier r guli rement actualis afin de permettre notre chef de projet de suivre distance l tat de notre avancement Le planning g n ral tait habituellement fix lors des r unions au laboratoire et ajust selon les besoins via mail Avant de commencer notre travail i tait essentiel d accorder nos visions respectives du produit concevoir En effet le projet tant pluridisciplinaire nous n avions pas toujours les m amp mes d finitions des concepts op r s Pour cette m me raison nous allons d buter ce travail par une br ve tude du cadre th orique en rapport avec l activit collective 11 2 et celle des simulations globales 1l 1 36 FTP File Transfer Protocol protocole de transfert de fichier Par extension nom de l utilitaire d Unix utilisant le protocole TCP IP pour t l charger des fichiers dans un sens ou dans l autre et d une fa on g n rique nom des programmes offrant ce service www commentcamarche fr 17 Il CONTEXTE DE L ETUDE Etant charg e d laborer une activit d apprentissage en collectivit inspir e de simulation globale il nous para t indispensable d voquer tout d abord le sujet du r le des jeux dans l apprentissage 11 1 1 et d tudier ensuite les principes des simulations globales 11 1 2 ainsi que les courants th oriques la sous tenda
47. de courte dur e d observation et d enseignement en France 2 Un stage d laboration des contenus linguistique du c d rom 7e Me More version 7 tous les niveaux effectu en 2003 AuRALOG une soci t d dition de supports p dagogiques multim dias 3 Ce travail a nourri le sujet de notre m moire de maitrise de didactique de FLE Dimensions didactique et multim dia des supports ducatifs Conception des contenus linguistiques des c d roms Tell Me More Universit Sorbonne Nouvelle Paris Ill septembre 2002 Par l appellation des supports p dagogiques de type ferm nous comprenons les supports se pr tant l apprentissage dans un milieu isol sans m diation humaine 2 INSTITUTION D ACCUEIL 1 2 1 Lium pr sentation Le Laboratoire d informatique de l Universit du Maine actuellement dirig par le professeur Pierre TCHOUNIKINE a t fond la fin des ann es 80 par Martial VIVET Parmi les 46 membres de son effectif le d partement compte 26 chercheurs 4 ITA et 16 effectifs non permanents doctorants L quipe du laboratoire est compos e majoritairement d informaticiens 20 chercheurs mais int gre galement des chercheurs de Sciences Humaines et Sociales 6 chercheurs En termes g n raux un laboratoire de recherche est un lieu de cr ativit une association d quipes avec un projet scientifique et humain Il n existe pas de mod le unique d organisation pour les laboratoires Les mo
48. de salutations ad quates au vouvoiement tutoiement bonjour salut ciao Sc ne 004 D couverte m D couvrir le vocabulaire exploration du fond quai train classe m D couvrir les formules exprimant l incertitude et l ignorance bulles automatiques Evaluation m Renseigner le voyageur en r utilisant les renseignements obtenus aupr s du guichetier 002 et du passant 003 paraphraser m Engager la conversation avec le voyageur salutation formules de politesse Sc ne 005 D couverte m D couvrir le vocabulaire en rapport avec le train si ge passager descendre du train etc m D couvrir les annonces sonores dans le train m Descendre du train d s l arriv e au terminus en se rep rant selon le syst me signal tique du train Sc ne 006 D couverte m Vocabulaire de la gare exploration du fond TGV borne m Ecouter la chanson de Malcom McLaren et Catherine Deneuve Paris Paris ANNEXES 144 Modele conceptuel du dispositif MEPA 2D ETAT FINAL Droits exclusifs des Apprenant Produire un nonc la place d un g nie PNJ Envoyer un message l ensemble de Consulter les pages d aide la prise de d cision Changer d avatar Peut effectuer des ANNEXES 145 ps n D placer son avatar Sc ne Changer d apparence Examiner un objet Objet D placer un objet Prendre un objet Es Objet sonore Fond sonore D poser un objet
49. de son intervention langagi re et comprendre ensuite les items de la cat gorie s lectionn e pour choisir celui qui convient son intention de communication Le choix n est donc pas passif il requiert des op rations complexes et exige de l apprenant une grande implication Pour permettre des changes avec les personnages syst me ces derniers dot s d un moteur conversationnel de type sa reconnaissent les nonc s de l apprenant et peuvent lui r pondre Cet change s effectue par la reconnaissance des mots cl s Pour la mettre en place il tait n cessaire de recenser tous les mots cl s en leur faisant correspondre des r ponses des g nies Cependant la fiabilit du syst me de reconnaissance a t confront e aux nonc s souvent agrammaticaux du public allophone ce qui mettait en danger le bon d roulement de l change En effet dans une situation de communication r elle toutes les erreurs ne compromettent pas la compr hension L id e de rem dier cet inconv nient tait de proc der la lemmatisation des formes linguistiques 17 Cf Annexe M 6 p 131 18 es deux appellations actes de langage et actes de parole sont souvent utilis es en tant que synonymes Nous optons plut t pour la deuxi me des appellations en r servant la premi re aux propri t s performatives du langage telles qu elles ont t d finies par le philosophe britannique John Langshaw AUSTIN Quand dire c est faire 119 Cf
50. distant et de renforcer sa motivation par la perception de son efficacit personnelle Suivant le type de r partition des t ches le r le et l interd pendance des participants leur travail peut tre qualifi de collaboratif ou de coop ratif Cette distinction s appuie sur les travaux de RoscHELLE amp TEASLEY 1995 qui d finissent la collaboration comme une activit synchrone et coordonn e qui r sulte de la tentative continue de construire et de maintenir une conception partag e du probl me p 70 La t che est donc effectu e travers des activit s conjointes soumises une n gociation continue LEGROS PUDELKO CRINON 2002 En ce qui concerne la coop ration elle est d finie comme une activit o les partenaires partagent le travail en diff rentes sous t ches qu ils effectuent individuellement et rassemblent les r sultats individuels afin d atteindre l objectif fix LEGROS PUDELKO CRINON 2002 En r alit la complexit des activit s d apprentissage ainsi que l alternance des t ches synchrones et asynchrones rend cette distinction probl matique C est d ailleurs pour cette raison que la majorit des auteurs pr f rent le terme collectif qui est plus g n rique Toutefois il nous semble que dans le cadre tudi cette distinction peut avoir une certaine importance notamment pour rendre compte des volutions apport es au sein des simulations globales suite aux modifications
51. engag s dans l change Cet outil est galement un moyen de contacter les personnes qui ne se trouvent pas dans la m me sc ne y compris Yves ou des camarades perdus dans l univers virtuel Suite aux travaux de recherche sur ce type de communication les t moignages de certains tuteurs confirment que l interaction synchrone semble favoriser la construction sociocognitive des apprenants DoMasiK BiLoco 2001 Ressources Les ressources produites pour le dispositif MEPA 2D peuvent avoir plusieurs fonctions Elles doivent d abord contribuer la contextualisation de l action dans l univers de la simulation faciliter la compr hension linguistique et celle des situations socioculturelles ainsi qu inspirer l imagination de l usager en lui indiquant des pistes sur l enqu te mener La compr hension linguistique des situations est facilit e par la fonction d exploration des sc nes La plupart des objets plac s dans les sc nes peuvent tre interrog s par l apprenant acc de ainsi au nom de l objet dans la langue cible Etant donn que les changes avec les PNJs sont construits en fonction de la situation de communication elle m me tr s souvent d un caract re socioculturel les objets des sc nes concern es sont habituellement voqu s dans les dialogues L apprenant peut ainsi non seulement acc der leur signification mais galement s inspirer d elles pour construire son propre change Nous pouvons diviser les ressource
52. engendr es par le glissement de leur contexte et de leurs cons quences p dagogiques Les deux formes de travail sont p dagogiquement int ressantes mais pour des raisons diff rentes Concernant la collaboration bas e sur les capacit s de communication et d interaction de chacun les chercheurs soulignent fr quemment l importance de la n gociation Les l ves sont amen s construire un terrain d entente qui comprend l ensemble des croyances hypoth ses et connaissances que les apprenants partagent sur eux m mes sur leur activit et sur la signification sociale de celle ci LEGROS PUDELKO CRINON 2002 Lors de la coop ration La communication tablie est davantage structur e socialement LOPRIORE 1999 134 M me si l apprenant devient responsable de la t che dont il est charg il sera oblig d interagir avec les autres participants pour que le travail final soit coh rent nous semble que le contexte optimal pour une simulation globale correspond d une part une activit avant tout collaborative et d autre part une communication v ritablement exolingue Sans exclure les travaux coop ratifs nous privil gions la collaboration puisque ce type de travail m ne les apprenants n gocier les significations ce qui motive la communication entre eux Cependant pour que cette communication reste naturelle la langue cible devra tre effectivement la seule langue partag e par l ensemble des intervenants
53. hension de ces ph nom nes et pr parer leur cat gorisation nous cherchions conna tre l avis personnel des utilisateurs Profitant de notre pr sence durant les tests en Pologne nous avons effectu une s rie d entrevues semi dirig es aupr s des apprenants Selon certaines tudes 3 tudiants qui interagissent directement avec l enqu teur donnent autant d informations que 8 12 tudiants qui r pondent seuls Nos entrevues ont toujours eu lieu suite la derni re s ance de simulation et avec chaque groupe d apprenants polonais comptant 3 4 personnes Chaque entrevue a dur 1h30 environ et a t enti rement enregistr e et transcrite Nous comptions sur des commentaires francs et une certaine critique de la part des l ves nous avons alors express ment omis notre participation la conception du dispositif laissant entendre que notre r le se limitait l encadrement des tests et l valuation de l environnement MEPA 2D en vue des am liorations venir Ainsi le sujet de la premi re partie de l entrevue concernait la dynamique du jeu et avait pour but de conna tre les appr ciations des l ves en tant que joueurs 11 tait notamment question de savoir si le canevas de la simulation tait suffisamment int ressant pour retenir l attention du joueur maintenir sa motivation et susciter des questionnements sur son d roulement Les questions des parties suivantes cherchaient estimer la pertinence des ressources mis
54. hors du cadre informatique Il s agit des activit s de synth se se d roulant sur les forums de discussion Profitant de leur exp rience les l ves sont pri s de pr senter leur avis et de conseiller les futurs joueurs Ils peuvent d voiler leur vraie identit ou profiter de l anonymat de leur identit fictive 111 7 EVOLUTION DU DISPOSITIF BILAN Le d veloppement de l activit p dagogique a exig une volution parall le du dispositif informatique Cette volution peut tre consid r e sur deux niveaux Le premier moindre concerne la multiplication et l ventuelle am lioration des l ments existant dans la version initiale du dispositif Le deuxi me essentiel concerne l int gration des nouveaux l ments Par rapport au premier type de modifications il s agit notamment de l int gration des l ments d riv s comme p ex les objets de l univers dot s d un nouveau r le La version initiale comprenait les labels les passages et les avatars Les objets de type changeable d pla able ou containeur ont t cr s et introduits pour les besoins de l intrigue Pour les m mes raisons certains fonds ont t transform s en fonds anim s les passages ont t divis s en deux cat gories et certains d entre eux ont t convertis en passages cl L exploitation des fonds de sc nes la repr sentation progressive du texte des changes les nouveaux outils et le syst me signal tique on
55. informer si le jeu a fait apparaitre de nouveaux comportements chez les apprenants rares ou inexistants avant l exp rience De ce fait nous avons d cid d valuer le dispositif aussi bien aupr s des apprenants que des enseignants tuteurs et observateurs Quant aux crit res d valuation nous ne remarquerons pas de grandes divergences d avis En r gle g n rale nous retrouvons syst matiquement un grand nombre de crit res communs l s agit notamment du produit de son utilisation et de son impact Les d tails de ces cat gories concernent l Interface les contenus les objectifs p dagogiques l ergonomie comme la qualit des ressources et celle des outils int gr s Notre coop ration dans le cadre du projet MEPA 2D a men la conception d une activit p dagogique support e par un logiciel Ce dernier a d ailleurs volu selon les besoins de l activit p dagogique Nous consid rions alors que les tests devaient mener aussi bien une estimation de la pertinence de l activit qu celle du dispositif informatique Par cons quent nous valuons aussi bien la dimension 145 LE NORTHWEST EDUCATIONAL TECHNOLOGY CONSORTIUM 1999 ou 1999 dans MELOCHE 2000 146 ERMAN 1999 dans MELOCHE 2000 147 GEORGES ET AL 2005 MARTON amp HERVEY 1994B MELOCHE 2000 Scapin 1986 66 ludique p dagogique qu ergonomique de l environnement Nous esp rons que les r sultats des tests et des ana
56. l intervention humaine Compte tenu de la nature de l activit de simulation il nous semble que l id e de l intervention de l enseignant sous l identit d un des personnages peut s av rer pertinente Ce type de tutorat anonyme peut assurer les l ves les mettre en confiance et conduire une plus grande spontan it d changes Les r sultats de certaines tudes effectu es sur l accompagnement distance DoMasiK BiLoco 2001 nous laissent croire que l ignorance de la pr sence d un enseignant peut tre b n fique Cette question sera pr cis e dans la partie consacr e l organisation effective du tutorat cf 4 3 11 3 2 Principes ergonomiques La conception d un dispositif de formation pr sente quelques sp cificit s par rapport un dispositif d information Cette diff rence vient du fait que les utilisateurs des deux types de dispositifs n ont pas les m mes intentions Un utilisateur est une personne interagissant avec un outil informatique La navigation dans ce type de dispositif doit sugg rer des intentions afin de faciliter l acc s aux informations En revanche l usager d un dispositif de formation est un utilisateur non seulement la recherche d informations mais s engageant dans un processus d apprentissage De ce fait la navigation devrait sugg rer les intentions d une mani re beaucoup plus structur e que dans un dispositif d information afin de soutenir le processus cognitif d apprentissage pe
57. l occurrence il s agissait des moyens de transport Nous avons galement t t moin des discussions portant sur la polys mie d un mot dont la nouvelle signification venait d tre d couverte gr ce une situation concr te Surpris par leur observation quelques participants avouent que m me dans leur vie lorsqu ils se trouvent dans des situations comparables celles de la simulation les expressions entendues ou utilis es durant le jeu leur venaient l esprit avec tout leur contexte Cette facilit de m morisation les a tonn s d autant plus qu habituellement ils prouvaient des difficult s pour retenir les listes de vocabulaire Ils ont galement mentionn l activation des connaissances passives rendue possible gr ce la contextualisation de leurs actions A la diff rence des t ches isol es de cours traditionnel grammaire vocabulaire civilisation etc les l ves ont appr ci une certaine homog n it de la simulation toute action s inscrit dans la r alisation de la mission confi e Les apprenants ont particuli rement aim la possibilit d un entrainement individuel qui n est pas toujours envisageable en classe nombre d l ves De plus l opportunit d interagir avec des l ves de diff rentes nationalit s a t jug e comme tr s motivante Les participants ont avou que seulement dans des conditions d changes o le francais est v ritablement la seule langue partag e ils ressentent
58. la discipline informatique et la 61 me l lectronique 18 Conf rences Montpellier 2005 Grenoble 2004 Paris 2000 Carg se1999 Caen1998 Paris 1997 Gif sur Yvette1996 Caen 1996 Paris 1994 19 Conf rences Nancy France Kaohsiung Taiwan Maebashi City Japon Biarritz France North Falmouth USA Rennes France 20 http www lium univ lemans fr lehuen biblio php 21 http www lium univ lemans fr lehuen recherche html 2 COAdaptation Langagi re pour l Apprentissage 12 communicative et actionnelle pr conis es par la didactique des langues trang res Le chercheur tente d exploiter une nouvelle piste savoir une transposition informatique de la simulation globale En effet cette pratique p dagogique permet de mettre en place l approche communicative puisqu elle contextualise fortement toutes les t ches effectuer dans la situation d apprentissage C est partir de cette piste que l id e du projet MEPA 2D est n e m B Prototype Le prototype MEPA 2D s inspire de l id e de MOOs des ann es 90 Le MOO est un programme sophistiqu auquel on acc de par une application Telnet qui permet de communiquer avec d autres gens dans le cadre d un espace imaginaire L espace commun est accessible depuis tout ordinateur connect directement ou indirectement au r seau Internet Le syst me ne sert qu transmettre les commandes et la communication d un utilisateur vers l autre L installa
59. le syst me en le valorisant par les r troactions et les renforcements positifs CINEMA HTTP e Objectif Supporter la m moire de l usager le syst me doit montrer l apprenant ce qu il est en train de faire et le d charger ainsi de la m morisation de ces l ments CINEMA HTTP 5 e syst me doit montrer l usager qu il est en train de faire l effet d une action 9 effectu e par l usager doit amp tre visible CINEMA HTTP e Plus la r troaction est rapide plus l usager peut se r orienter rapidement CINEMA HTTP ES e Fournir des informations graduellement CINEMA HTTP Si la r troaction n est pas envisag e dans le dispositif la m moire peut tre satur e CINEMA HTTP Contr le e Objectif Rendre l usager plus confiant et observateur de ses actions e Objectif Augmenter la motivation de l apprenant v e Les messages syst me ne doivent pas appara tre comme des ordres mais plut t comme des suggestions CINEMA HTTP 3 e Ces m mes messages ne devraient pas utiliser la forme je pour ne pas donner l usager l impression de la toute puissance du syst me CINEMA HTTP e Assurer la pr sence des renforcements positifs confirmant l usager la correction de son action CINEMA HTTP R versibilit e Objectif Assurer la libert de l usager tester plusieurs fonctions sans la crainte d tre bloqu suite une mauvaise manipulation CINEMA HTTP e Objectif Favoriser l expl
60. le sujet de l assistance des acteurs prend une importance consid rable Tout en s appuyant sur les r sultats relevant des recherches pass es l quipe tente d sormais de r duire la distance qui s pare les acteurs de ce type de formation et qui les prive des divers indices propres au contact direct parfois primordiaux pour le bon d roulement de leur activit De nouveaux dispositifs exploitent des pistes int ressantes sur la planification l animation et le suivi des sessions de la formation distance Enfin les tudes sur l exploitation et la pr sentation des traces de session fournissent des l ments cruciaux pour am liorer la pertinence des interventions des tuteurs et permettent d am liorer la r activit du syst me face l activit de l usager Cette br ve pr sentation des th mes de recherche au sein du LIUM permet d entrevoir l tendue et l importance de ces 20 ans d exp rience 11 n est donc pas tonnant que le LIUM soit consid r aujourd hui comme un laboratoire de r f rence en France et reconnu galement au niveau international Le LIUM fait partie des membres du r seau d excellence Europ en Kal idoscope http www noe kaleidoscope org 11 1 2 3 Politique scientifique du laboratoire Comme les projets s articulent autour de plusieurs disciplines croisant la recherche en informatique avec des probl matiques linguistiques didactiques et p dagogiques la politique scientifique du LIUM s ap
61. les sites de calcul d itin raire les photographies les films ou les chansons Quant la forme des documents fabriqu s nous essayons d appliquer les r gles d ergonomie cognitive cf 111 3 2 Ainsi tous les documents introduits comme agrandissements des objets existant dans les sc nes ont le m me fond et la m me structure pour tre facilement reconnus 125 http 213 161 194 55 mediadico tv5 asp dicoweb asp NBD 1 126 http www leconjugueur com 127 Cf Annexe O p 137 128 Cf Annexe O p 139 123 Cf Annexe O p 138 57 Comme l observent certains auteurs DEVELOTTE amp LANCIEN 1994 la lecture sur cran ne s effectue pas de la m me facon que celle d un livre car la disparition de l objet manipulable entra ne la privation du rep rage de notre positionnement de lecture par rapport l ensemble du document Selon la comparaison de Pierre L vy 1990 tout se passe comme si l on explorait une grande carte sans jamais pouvoir la d plier Les difficult s lors de ce type de lecture paraissent alors in vitables 17 Nous t chons alors de structurer les informations afin de diminuer la charge cognitive des apprenants MARTON amp HERVEY 1994 donner l information claire et pr cise utiliser les liens hi rarchiser l importance des contenus etc Pour permettre la prise de connaissance des liaisons d un th me de nombreux domaines connexes nous recourons syst matiquement aux hypertextes Bien q
62. les styles d apprentissage Exposer certains concepts en jouant p ex sur la m moire visuelle graphiques animation visuelles sans oublier les apprenants dont la m moire est qualifi e d auditive d monstrations avec bande sonore CINEMA HTTP Cr er des exercices permettant l apprenant de faire une synth se des sections sur lesquelles il vient d tudier Les exercices con us sous forme de r alisation de probl mes peuvent faciliter le transfert des connaissances et amener r fl chir sur son propre apprentissage m ta cognition CINEMA HTTP L introduction d un sujet doit repr senter un d fi et non pas chercher capter uniquement l attention VILLAGE HTTP Utiliser des exemples C est le moyen le plus efficace d assurer le passage des id es et des habilet s nouvellement acquises VILLAGE HTTP L apprenant doit se voir offrir en m me temps qu une r troaction correcte incorrecte une r ponse des opportunit s de tester et d valuer ses succ s partiaux et une information relative aux fa ons appropri es de r ussir VILLAGE HTTP Les approches circulaires ou non lin aires d un sujet sont des miroirs plus fid les du traitement mental VILLAGE HTTP La performance d une t che s am liore lorsque les r gles peuvent tre transf r es avec succ s vers une nouvelle situation Pour faciliter le transfert il faut rappeler au lecteur les objectifs imm diats les r sultats interm diaires ob
63. liorations du dispositif devraient en tenir compte Ainsi il serait int ressant de d velopper le syst me de feedback imm diat en enrichissant la base lexicale du moteur conversationnel Les possibilit s de r troaction p dagogique pourraient tre am lior es par exemple gr ce l int gration des passages entre les sc nes de d couverte et les sc nes d valuation o les apprenants pourraient tester leurs observations avant leur mise en place r elle Si le r sultat n tait pas suffisant l l ve aurait encore la possibilit de consulter les points grammaticaux ou lexicaux concern s p ex renvoi vers le Carnet de Conversation De la m me mani re la consultation occasionnelle des ressources jug es par les joueurs comme excessivement co teuses en temps ne serait impos e qu en cas d insuffisances constat es aussi bien par le syst me que par les apprenants eux m mes Selon nos observations l activit devrait galement pr voir davantage de messages de renforcement positif motivant l l ve et lui procurant de l assurance d avoir bien effectu une t che En effet les commentaires des personnages syst me ne nous semblent pas toujours suffisamment stimulants Par ailleurs certaines interventions des tuteurs ayant pour but de r capituler les tapes parcourues pourraient galement tre prises en charge m me partiellement par le programme ll est par exemple envisageable d inclure de courts questionnaires de compr
64. m me c tait notre premi re exp rience dans la gestion d une collaboration engageant un si grand nombre d intervenants Ce manque de pr paration nous a co t parfois beaucoup de temps et d nergie Aujourd hui avec une certaine distance nous pouvons dire que le moment du premier contact n tait pas bien choisi I avait pour but de mieux conna tre le public cible pour ajuster le canevas de la simulation et a donc eu lieu bien avant la conception du dispositif Passionn e par le projet et croyant un peu naivement que les enseignants pourraient nous accompagner tout au long de cette aventure nous n avons pas pris en compte plusieurs facteurs comme leurs autres obligations ou les contraintes institutionnelles p riodes d inactivit professionnelle priorit de r alisation des programmes scolaires disponibilit des salles multim dias etc Ainsi en attendant l tat op rationnel de MEPA 2D certains enseignants ont perdu de l lan d autres leurs classes de FLE ou encore l acc s la salle multim dia Pour impliquer davantage les professeurs il aurait probablement fallu utiliser des moyens de communication plus vari s Les n tres se sont limit s aux changes de mails alors que la communication via t l phone ou la vid oconf rence garantissant un contact direct et personnel pouvait les impliquer davantage dans le projet Mais ces erreurs de d butante se sont galement poursuivi durant l organisation de la collaboration Nous
65. mo rappel des r gles de jeu Saluer Remercier Se pr senter demander des renseignements S entrainer Essayer les mouvements possibles dans le jeu s exercer dans les actions possibles dans le jeu questionnement d un g nie PNJ exploration du fond consultation des ressources discussion avec les autres joueurs etc Prendre connaissance des derni res instructions utiles pour le jeu consultation du m mo accroch au mur savoir saluer principales formes de politesse tutoiement compliments savoir poser une question simple savoir demander une confirmation savoir mettre des hypoth ses savoir nommer les objets d une pi ce socioculturel sigle SNCF cartes bancaires zoom journal intime url zoom sur les pages du journal album de photographies url zoom sur les photos d couverte de l adresse v rifier Paris dessin url zoom dessins signature d Antoine Saint Exup ry Libre vers la gare SNCF Sc ne 001 Repr sentation fl che Musique ambiante int rieur Sc ne 001 Fond Action Objectif s p dagogique s Passage Bruitage Devant la gare SNCF de Niort passage libre exploration du fond vocabulaire de la gare socioculturel e nom de la ville peut tre not et situ ensuite sur la carte de la France information disponible dans le sous menu du fond e aspect d une gare SNCF linguisti
66. mun r ou s il b n ficie d une gratification d un montant dans la limite de 30 du SMIC il continue b n ficier du r gime de la s curit sociale auquel il est immatricul pour les assurances maladie et maternit ainsi que ventuellement pour les prestations familiales En ce qui concerne les accidents du travail le stagiaire b n ficie des dispositions de l article L 412 8 2 du code de la s curit sociale la couverture accident du travail de l tablissement Il figurera sur la liste officielle des b n ficiaires tablie chaque ann e par l Universit Cette liste est adress e au Rectorat et la S curit Sociale En cas d accident survenant au stagiaire soit au cours du travail soit au cours du trajet le chef d entreprise s engage faire parvenir toutes les d clarations le plus rapidement possible au responsable de la formation afin que les formalit s de d claration puissent tre co sign es et transmises la Caisse de S curit Sociale dans les 48 heures Si le montant allou exc de mensuellement le seuil de 30 du SMIC applicable au 1 janvier de l ann e en cours le stage est consid r comme r mun r et les cotisations salariales et patronales de s curit sociale et la CSG doivent tre acquitt es sur ces sommes Les cotisations d assurances sociales et d accidents du travail sont dues par l employeur et le salari Au cours du stage l tudiant stagiaire recevant une r mun ration i
67. nous sommes rapidement rendu compte que les enseignants nous sollicitaient norm ment afin d obtenir plus d informations ou pour conna tre l avancement du projet Ces t ches de communication parfaitement annexes notre mission principale de stage sont devenues de plus en plus pr sentes et pesantes dans notre travail Par cons quent nous avons d recourir des strat gies comme les envois group s des pr sentations communes ou encore la demande de mise en place d un forum En effet la m thodologie ne se construisait qu au fur et mesure de cette collaboration et se pr cisait sur le terrain en fonction des besoins du moment La mise en place des tests s est av r une entreprise plut t lourde g rer Rarement les enseignants pouvaient se rendre disponibles au m me moment or cette simultan it tait n cessaire si nous voulions r cr er les conditions optimales auxquelles l activit tait destin e Selon l organisation mise en place spontan ment toute participation des enseignants devait d abord tre signal e l quipe du projet qui comparait ensuite les disponibilit s de chacun et tablissait un planning commun en essayant de croiser deux classes diff rentes Ce choix de centraliser la gestion de participation n tait peut tre pas le meilleur Certains enseignants avaient une facilit pour nous contacter alors que d autres taient plut t r ticents et restaient seuls avec leurs probl mes ce qui les d courageai
68. p dagogiques D autre part quelles modalit s de formation choisir pour accompagner l utilisation de ce produit Dans quelle mesure l application de diff rentes approches et th ories est elle possible Quelles sont les strat gies d organisation les plus efficaces pour une bonne perception Comment envisager et organiser le tutorat collectif Sur quelle base organiser le guidage de l apprenant Nous esp rons que les stagiaires qui auront repris notre travail pourront trouver certaines r ponses ces questions et perfectionner l environnement en d couvrant ses nouvelles potentialit s 164 P ex BOURDET amp TEUTSCH 2000 amp Rossi 2004 78 BILAN Un stage r ussi est comme tout apprentissage un processus actif qui m ne la transformation de l apprenti Pour valuer les apports d un apprentissage il convient d abord d estimer la port e de cette transformation C est seulement avec un regard r trospectif en estimant nos efforts nos r ussites la justesse des choix effectu s en assumant galement nos checs tout en percevant leurs causes et en en tirant des lecons que nous deviendrons capable d estimer cette transformation et donc les apports de la formation recue en stage Etant donn que le passage d un stagiaire dans l institution d accueil n est que temporel il doit s adapter et se faire accepter assez rapidement La meilleure fa on d y parvenir reste encore l observation attentive et
69. part E22 Comment allez vous inversion E23 Ca baigne familier E24 Ca roule familier E25 Tout baigne familier Document utilitaire recensement des actes de parole class s par type et progression 10 pp ANNEXES 134 SCENE GENIE ACTES N ENONCE progression 000 BIS Yves Saluer tu El Bonjour Formes simples E2 Salut tu vous Salut E3 Au revoir Je suis content de vous rencontrer E4 A bient t Vous voyez le MEMO accroch au mur EI Enchant e de te conna tre 2 12 Enchant e de vous conna tre Consultez le attentivement Si vous avez besoin de renseignements vous pouvez me poser des questions Mais attention Je ne connais pas toutes les r ponses Consultez ensuite les objets du grenier 2 l album de photos le journal intime et les dessins Ah Regardez bien la photographie avec l adresse Paris Notez la dans votre calepin faut la v rifier sur place Prenez les cartes bancaires Elles sont sur la table Remercier Intonation et est ce que qu est ce que Partez ensuite Paris Pour vous rendre la gare SNCF suivez la fl che Jaune Tout va bien se passer Allez y Bon voyage Merci beaucoup ANNEXES Simples et impersonnels Simples et impersonnels E88 E89 135 002 OK Agent RATP Bonjour Que puis je pour
70. pas nous ne savons pas NI Essayez Nous sommes la station Montparnasse A quelle station voulez vous descendre e J Sevres Babylone Sevres S vres S vres Babylone PNJ Alors il faut cliquer puis choisir Montparnasse S vres Babylone Allez y Cliquez Je vous regarde Sc ne 11 GUICHET Montparnasse fond guichet zoom v gt passage suite invisible pr s des tourniquets e 62 195 e 142 133 passage RETOUR fl che v e 0 507 G nie RATP 1v e 417494 Objet TICKET RATP A le ticket permet d acc der au m tro pour effectuer le trajet Montparnasse S vres gedialogue bulles automatiques v Document utilitaire description des sc nes d tails 131 pp Annexe L Story Board Document utilitaire Story bord 16 pp ANNEXES 128 ANNEXES 129 Annexe M Exemples de sc nes MEPA 2D Es Dans le m tro la ligne 10 AN vn Dans la navette Cannes Grasse im 1p ey el A AMAR ANNEXES 130 Dessin pour les l ments conventionnels du Dans le monde du Petit Prince Tu sais ma fleur elle est tellement faible Monde fantastique dessin pour l ensemble de la sc ne ANNEXES 131 Sous le Pont Mirabeau Menu contextuel de chaque avatar Changer d apparence d apparence CD Nouvelle bulle as Em M AER RHEIN 27 o Sortie du cin
71. pendra de la disponibilit des participants Il est alors possible qu une s ance ne corresponde pas tout fait une tape elle pourra en int grer plusieurs ou inversement la r alisation d une tape n cessitera plusieurs s ances Ensuite chaque tape se compose de plusieurs sc nes vues comprenant des t ches relatives aux situations probl mes con ues partir des objectifs sp cifiques dont la r alisation vise l accomplissement des objectifs g n raux d apprentissage Mod le conceptuel d une activi p dagogique Division temporelle MEPA Activit Figure 5 Sch ma de l activit p dagogique 46 La structure g n rale de l activit peut tre repr sent e en arborescence comme dans la Figure 6 S ance 1 connexion ACTIVITE MEPA 2D S ance 2 connexion Figure 6 Structure d une s quence p dagogique m B Complexification du canevas Pour complexifier l univers de la SMV nous avons d abord construit une repr sentation de sa structure sous forme d un graphe Comme les diff rentes sc nes sont reli es entre elles pour viter les impasses ou les connexions erron es il est important de marquer dans le graphe les possibilit s de tous les passages 11 faut galement placer dans toutes les sc nes les objets et les indices retrouver par le joueur Par ailleurs cette visualisation nous permettra une meilleure gestion de la r partition des nouveaux
72. questionnaire destin aux apprenants joueurs comprend 7 volets La premi re s rie de questions I Toi cherche connaitre l exp rience de l apprenant son degr de familiarisation avec l outil informatique son niveau linguistique et la fr quence de contact avec la soci t et la langue cible Les r ponses de cette partie nous ont permis p ex de mieux comprendre les raisons des difficult s de navigation chez certains l ves ou leurs appr ciations sur la dimension socioculturelle de l activit Les r ponses de la s rie suivante 11 Histoire d Yves devaient nous informer sur l int r t que les apprenants portent au canevas de la simulation de leur degr d implication et des principales difficult s de compr hension des l ments de l histoire Pour conna tre la pertinence des choix ergonomiques nous avons pr vu la 3 s rie de questions Ill Jeu orient e sur la navigation g n rale dans le jeu la manipulation de l avatar celle des menus et des objets dans le monde virtuel Comme le dispositif pr voit plusieurs possibilit s de r aliser certaines actions principe ergonomique de continuit et de progression nous cherchons aussi savoir lesquelles d entre elles ont t le plus souvent utilis es comment les apprenants se sont orient s dans le monde et s ils pouvaient profiter pleinement de l activit suivant leur propre rythme d avancement Les questions de la s rie 4 IV Outils essaient de comparer l usage des ou
73. r ou s il b n ficie d une gratification d un montant dans la limite de 30 du SMIC il continue b n ficier du r gime de la s curit sociale auquel il est immatricul pour les assurances maladie et maternit ainsi que ventuellement pour les prestations familiales En ce qui concerne les accidents du travail le stagiaire b n ficie des dispositions de l article L 412 8 2 du code de la s curit sociale la couverture accident du travail de l tablissement Il figurera sur la liste officielle des b n ficiaires tablie chaque ann e par l Universit Cette liste est adress e au Rectorat et la S curit Sociale En cas d accident survenant au stagiaire soit au cours du travail soit au cours du trajet le chef d entreprise S engage faire parvenir toutes les d clarations le plus rapidement possible au responsable de la formation afin que les formalit s de d claration puissent tre co sign es et transmises la Caisse de S curit Sociale dans les 48 heures Si le montant allou exc de mensuellement le seuil de 30 du SMIC applicable au 1 janvier de l ann e en cours le stage est consid r comme r mun r et les cotisations salariales et patronales de s curit sociale et la CSG doivent tre acquitt es sur ces sommes Les cotisations d assurances sociales et d accidents du travail sont dues par l employeur et le salari Au cours du stage l tudiant stagiaire recevant une r mun ration il a l
74. recherche 1 2 2 permettront de mieux cerner les origines le contexte l importance et les enjeux du projet MEPA 2D 1 3 1 La pr sentation des principales notions th oriques en rapport avec le sujet de la mission confi e 11 devra permettre de mieux percevoir la multitude de facteurs prendre en compte lors de la conception effective de l activit Ces approches th oriques avec les principes de la simulation globale 11 1 constitueront le cadre de r f rence pour l laboration de l activit p dagogique La partie suivante du rapport reprend les diff rentes tapes de la m thodologie 111 1 justifi es par des principes didactiques et ergonomiques 111 3 Si sa premi re phase consid r e comme cruciale concerne la sc narisation p dagogique 111 4 la suivante s int resse sa repr sentation architecturale et graphique 111 5 Pour une meilleure visibilit de nos apports nous concluons la phase de conception par la pr sentation du sc nario p dagogique 11 6 et un bilan de l volution du dispositif MEPA 2D 7 L avant derni re partie de ce travail rend compte de la mise en place 1V 2 et de la gestion d une coop ration en vue de l exp rimentation de l activit con ue 1V 3 Nous esp rons que l valuation externe de l environnement permettra aussi bien un apercu objectif des potentialit s du dispositif qu une estimation de la pertinence des choix effectu s durant la conception IV 4 La p riode d e
75. savantage risque de trop simplifier la t che ScAPIN 1986 D savantage Les erreurs de touches fonctions peuvent avoir des cons quences importantes SCAPIN 1986 Touches fonction e 117 G n ralit s lit s n ra G D finition La notion de charge cognitive concerne les l ments ayant un r le dans la r duction de la charge perceptive ou m morielle des utilisateurs et dans l augmentation de l efficacit du dialogue TRIGANO 1998 D finition charge perceptive les informations li es l utilisation et la navigation au sein d un syst me et non celles des contenus transmis TR1GANO 1998 Objectif Favoriser et faciliter la m morisation Objectif R duction de la charge cognitive et informationnelle essentielle dans la mesure o la probabilit d erreur humaine augmente dans les situations charge lev e ScAPIN 1986 Objectif R duire la charge de m moire court terme pour favoriser un traitement mental de plus haut niveau VILLAGE HTTP Pr f rer la d finition des concepts th oriques courte et concise afin d viter la saturation cognitive CINEMA HTTP Les informations pertinentes doivent tre mises en vidence TRIGANO 1998 La quantit d informations doit amp tre appropri e au niveau du public et au type d activit CINEMA HTTP Le design pour la m moire long terme la structure par items de l information et des cadres de relations
76. se trouve nourrie renforc e et stimul e lorsque la situation laquelle l l amp ve est expos e cr e de l expectative et lorsqu elle est reli e son v cu MARTON amp HERVEY 19944 Elle sera ensuite maintenue si l apprenant participe activement aux activit s vari es Thierry LANCIEN 1998 60 pr cise quelques param tres prendre en compte lors de la conception d une simulation multim dia de langue pouvant influencer cette participation active de l apprenant Il est notamment question du type de l intrigue fiction ludique intrigue polici re intrigue proche de la vie quotidienne etc et de la responsabilisation de l l ve par rapport ses actions entreprises dans le monde imaginaire 11 est par exemple important que le r le jou dans la simulation par l l ve puisse voluer ou que ses interventions linguistiques aient de r elles incidences sur le d roulement de l histoire L auteur pr cise que si la simulation permet une approche de type communicatif son environnement multim dia permet de travailler dans une optique de type plus linguistique ce qui pr sente un gros avantage de concilier deux approches souvent jug es antinomiques p 59 L apprenant devra donc tre expos des l ments linguistiques vari s concernant aussi bien leur contenu que leur forme I rencontrera des probl mes r soudre des probl mes qu il verra avant tout comme des obstacles ludiques inscrits dans l intrigue de la simulati
77. son destin Ils lui offrent la rose ce qui le sauve lls sont alors t l port s la boutique de Richard remplie de journalistes tant d j au courant de leur exploit Les interviews se succ dent les apprenants sont consid r s comme de vrais h ros A la fin ils recoivent tous sur leur messagerie un article de presse parlant de leur aventure 124 Annexe Graphe d architecture du monde virtuel U ae T D mmm me o 125 126 Annexe J Description de sc nes objectifs amp composantes Sc ne 000 Fond PNJ PNJ r le Action Acte s de parole Objectif s strat gique s Objectif s p dagogique s Objets amp ressources Passage Bruitage Chez Yves une pi ce avec beaucoup d objets consultables Yves Yves diriger les PJs les inviter explorer la pi ce pour connaitre le nom des objets qui les int ressent inviter consulter les objets trouv s au grenier contenant des indices pour la suite du jeu album de photographies journal intime dessins pr senter les possibilit s de communication renvoyer vers le MEMO avec toutes les instructions Explorer le fond poser les derni res questions Yves avant de commencer le voyage la recherche des indices consulter les objets trouv s au grenier effet zoom journal intime dessins album de photographies Consultation du M
78. sur l affiche Qui est Louise Qui est Antoine En sortant du mus e l employ s tonne de les voir nouveau Il leur conseille d aller voir un spectacle musical s ils ont d j tout visit Paris Il indique galement le chemin vers le magasin FNAC o les apprenants peuvent acqu rir des billets de spectacle Sans d autres indices ils poursuivent leur promenade et se rendent la billetterie de la FNAC Malheureusement le magasin est en rupture de billets La vendeuse demande aux clients de patienter dans le caf de la FNAC Le magasin attend une nouvelle livraison de billets Dans le caf les apprenants regardent le journal t l vis y est question de la d couverte de l avion d Antoine de Saint Exup ry l auteur du Petit Prince L v nement a lieu Marseille Les apprenants peuvent galement consulter les journaux dans la salle d attente de la FNAC et retrouver l article de presse sur le m me sujet Le journal t l vis est interrompu par une annonce la direction de la FNAC tant d sol e pour le d sagr ment caus par l indisponibilit des billets de spectacle organise un voyage Marseille pour tous les fans du Petit Prince int ress s par la derni re d couverte de l avion de son auteur Les personnes int ress es sont pri es de se rendre dans la salle d accueil et d emprunter la porte d part Marseille au fond de la pi ce Sur place la gare de Marseille ils to
79. v le Jourdain ce que sont la prose ou les voyelles Tout le comique de la sc ne est bas sur le ridicule de cette sacralisation r p t e d activit s famili res dans un discours savant Le professeur pour viter le d bat de connaissance avec l l ve et ventuellement le constat d chec admet reconna tre l indice d une connaissance savante dans les comportements ou dans les r ponses de l l ve bien qu elles soient en fait motiv es par des causes et des significations banales http dipmat math unipa it grim Gloss fr Brousseau pdf 104 Cf Annexe M p 129 105 Cf Annexe M 1 2 p 129 106 Bien s r ce type d enchainement n a pas t r alis pour l ensemble des sc nes car il prolongerait consid rablement la dur e de l activit 50 les objets plac s dans les sc nes pour les besoins de la simulation cf 111 4 2 C les avatars cf 111 4 2 C et les g nies cf 111 4 2 C ont la forme graphique dessin Tout d abord il nous semble que cette distinction correspond au sentiment d tranget prouv comme tout un chacun lors de la premi re confrontation un pays tranger Ensuite le personnage principal Yves demande aux apprenants de changer d apparence et de nom pour mener l enqu te ils sont donc en quelque sorte amener jouer double jeu C est d ailleurs pour cette raison que les derni res sc nes plac es int gralement dans l univers fantastique du Petit Prince sont r alis es enti reme
80. verbes des phrases cl s etc VILLAGE HTTP Grouper arranger et relier les mat riaux entre eux en identifiant clairement les id es principales puis en organisant les ressources secondaires l aide de techniques connues telles que les bauches les chronologies les tableaux les diagrammes etc VILLAGE HTTP Faire des rappels et organiser l information de mani re favoriser le passage de cette derni re de la m moire court terme vers celle long terme VILLAGE HTTP La redondance des informations favorise la r tention des savoirs CINEMA HTTP Les connaissances pr alables ou l exp rience des types de contenu favorisent le passage de la m moire court terme de l information vers la m moire long terme prolongation de la r tention de l information VILLAGE HTTP Les rep res les index l expression de la structure g n rale de l information doivent aider l utilisateur se retrouver dans le dispositif sans la n cessit de m moriser la signification des symboles VILLAGE HTTP ANNEXES 118 Limiter le nombre de possibilit s d action p ex le nombre de commandes dans un menu d roulant doit tre limit 7 pour une bonne m morisation TRIGANO 1998 e Minimiser le nombre d op rations effectuer par l utilisateur ainsi que les temps de traitement SCAPIN 1986 L interface doit amp tre simple et coh rente pour que l apprenant puisse se concentrer en premier sur le contenu
81. vres Paris ou la Canebi re Marseille Gr ce cet enchainement l l ve peut non seulement observer un lieu authentique mais aussi estimer la distance et m me reconstituer un itin raire 9 type de pr sentation permet aussi un jeu de champ hors champ employ souvent dans l enseignement des langues pour susciter la parole des apprenants Comme le remarque Martine JoLy 1993 82 l image a ses limites physiques plus ou moins mat rialis es par un cadre Si l image est coup e interrompue par les bords de la page le spectateur a l impression qu elle continue Ce proc d le pousse construire le hors champ ce qui peut faciliter l mission des hypoth ses ou tout simplement veiller la curiosit de voir la suite et de d couvrir la sc ne suivante Par ailleurs nous avons d lib r ment d cid de marquer graphiquement la distinction entre le monde calqu sur le r el le cadre de simulation repr sent par les photographies et le monde fictif conventionnel propre au jeu repr sent par les formes de type dessin Ainsi le syst me signal tique 102 La d finition selon MERTON 1965 dans LEoPoLp 2002 un modelage de l individu sur l image qu en ont les autres et la d finition qu ils en donnent Les premiers travaux sur l effet Pygmalion ont t effectu s par ROSENTHAL et JacoBsoN 1971 18 s agit du ph nom ne nomm par r f rence la sc ne du Bourgeois Gentilhomme o le maitre de philosophie r
82. vres Babylone Ils rencontrent des personnages qui peuvent les renseigner ou donner des indices importants pour l avancement de l enqu te Ils retrouvent l adresse figurant sur la photographie de la grand m re Parmi les noms figurant sur l interphone de l mmeuble deux personnes portent le pr nom d Albert L un d entre eux s av re tre l ami de la grand m re et accepte de les recevoir Les l ves apprennent que Marie n a jamais habit cette adresse mais qu elle venait voir son ami Albert puisqu il habitait pas tr s loin de l Ecole Nationale des Beaux Arts qu elle fr quentait La photographie a t donc prise lors de ses visites Comme le souhaitait Marie apr s sa mort Albert a offert le coffre un des mus es Malheureusement l homme est g de 80 ans et a des troubles de la m moire Il lui arrive d oublier des v nements de les confondre ou de les exag rer Il ne se souvient pas quel mus e il en a fait don Sa petite fille Estelle se rappelle qu la sortie du film Ze fabuleux destin d Am lie Poulain son grand p re fait la remarque que le film illustre bien le quartier o se trouve ce mus e Elle leur propose alors de voir le film de rep rer le nom du quartier o se passe l action du film de consulter ensuite un annuaire ou un guide de Paris pour relever les adresses de tous les mus es du quartier et de les visiter pour trouver le coffre Le cin ma UGC Od on se trouve pr s de chez
83. 11 existe ainsi diverses classes d interactivit homme machine Yolla Pourrv 2001 en identifie quatre hypertexte ou hyperm dias navigation formulaires navigation dans un environnement virtuel et r troaction fournie par un serveur Nous avons d j parl de l interactivit lors de la probl matique de l valuation pratiqu e dans l activit En effet nous esp rons que certains de ses l ments permettront aux l ves de v rifier la justesse de leurs actions gr ce la possibilit par exemple de feedback de compr hension En partant du principe que la probabilit d erreur humaine augmente dans les situations charge cognitive lev e ScaPIN 1986 sa diminution constituera un des objectifs de la conception d un environnement de formation Il s agit avant tout de minimaliser la concentration de l l amp ve requise pour naviguer ou pour manipuler l interface car son objectif premier n est pas la ma trise de l environnement mais celle des contenus Les capacit s humaines de m morisation tant limit es il est essentiel de limiter le nombre d l ments retenir et de les pr senter de mani re susciter leur r tention Les intrants se d placent d abord vers la m moire court terme et seulement si la fa on dont ils sont pr sent s est efficace ils peuvent 86 Dans cette partie de notre tude nous nous limitons l interactivit homme machine ne pas confondre avec l interactivit humaine qui sera trait
84. APITULATIF DES PRINCIPES ERGONOMIQUES ANNEXE H CANEVAS DE LA SIMULATION ANNEXE GRAPHE D ARCHITECTURE DU MONDE VIRTUEL ANNEXE J DESCRIPTION DE SCENES OBJECTIFS amp COMPOSANTES ANNEXE K EXEMPLE DE DESCRIPTION DETAILLEE DES SCENES ANNEXE L STORY BOARD ANNEXE M EXEMPLES DE SCENES MEPA 2D ANNEXE N EXEMPLE D ACTES DE PAROLE CONTEXTUALISATION amp PROGRESSION ANNEXE O EXEMPLE DE RESSOURCES DANS MEPA 2D ANNEXE P DESCRIPTION DE L UNIVERS EN XML ANNEXE R EXTRAITS DE SCENARIO PEDAGOGIQUE MEPA 2D ANNEXE S ETAT FINAL DU DISPOSITIF MEPA 2D ANNEXE T CEDEROM MEPA 2D ANNEXE U EVALUATION DE L ACTIVITE QUESTIONNAIRE POST TEST ELEVE 48 58 S9 61 63 65 65 66 66 67 67 69 76 78 83 92 99 102 102 106 108 109 110 111 112 120 125 126 127 128 129 134 137 140 141 144 146 147 TABLE DES ILLUSTRATIONS TABLES DES ILLUSTRATIONS Figure 1 Fonctionnement du syst me serveur client 13 Figure 2 Organisation du monde virtuel dans l environnement MEPA 14 Figure 3 Extrait du cahier de charge de conception d un produit multim dia 13 Figure 4 M thodologie de conception 31 Figure 5 Sch ma de l activit p dagogique 45 Figure 6 Structure d une s quence p dagogique 46 Figure 7 T ches amp outils de la phase de conception graphique 60 LISTE DES ABREVATIONS 6 LISTE DES ABREVATIONS BELC CNRS DHM DTD EIAH FAD FLE GIF HTML LIUM
85. E L 1999 L apprentissage coop ratif un d fi pour les professeurs de langue gt FDL coll recherches et applications n sp cial Apprendre les langues trang res autrement pp 134 141 e LEGROS PUDELKO CRINON 2001 lt LEGROS Denis PUDELKO B atrice CRINON Jacques 2001 Les nouveaux environnements technologiques et l apprentissage collaboratif dans Jacques CRINON et Christian GAUTELLIER dir Apprendre avec le multim dia et Internet Editions Retz Paris 88 LENTIN 1977 amp LENTIN Laurence 1977 Du parler au lire Interaction entre l adulte et l enfant T 3 ESF Paris LENTIN amp AL 1991 amp LENTIN L LOKRA C LHERMEY 1991 Elaboration de livres illustr s pour enfants Collaboration entre linguiste auteur et illustrateur Aetokd n 26 LEOPOLD 2002 K LEOPOLD Anne 2002 Autonomie du groupe et l autonomie de l l ve m moire professionnel IUF Acad mie de Montpellier http www crdp montpellier fr ressources memoires memoires 2002 b 0 02b0237 02b0237 pdf Consult en juillet 2005 LEvv 1990 amp Levy Pierre 1990 Les technologies de l intelligence La D couverte Paris LOPEZ HTTP LOPPEZ Javier Suso Jeux communicatifs et enseignement apprentissage des langues trang res http www ugr es jsuso publications Jeux9520communicatifs pdf Consult en novembre 2004 NM 6 MALEY 1980 amp MALEY Alain 1980
86. I 11 1 4 EVOLUTION m A Simulation en ligne m Vers les mondes virtuels m Mondes virtuels 11 2 ACTIVITE COLLECTIVE 11 2 1 COLLABORATION COOPERATION 11 2 2 APPROCHES THEORIQUES 11 2 3 APPROCHES COMMUNICATIVES IL CONCEPTION D UNE ACTIVITE 11 1 METHODOLOGIE 11 2 CONTEXTE D APPRENTISSAGE 111 2 1 PROFIL DU PUBLIC 1 2 2 OBJECTIFS D APPRENTISSAGE 111 3 CADRE DIDACTIQUE 1 3 1 PRINCIPES DIDACTIQUES 1 3 2 PRINCIPES ERGONOMIQUES 111 4 CONCEPTION PEDAGOGIQUE 1 4 1 TRAME INTRIGUE m Principes de sc narisation m B Canevas 1 4 2 CONSTRUCTION amp DEVELOPPEMENT m Sch ma de l activit m B Complexification du canevas W i D I 11 11 11 12 14 15 16 17 17 17 18 20 21 21 23 24 25 25 26 28 29 29 31 31 33 35 35 36 40 40 40 41 45 45 46 m Recensement amp description 11 4 3 ORGANISATION DU TUTORAT 111 5 CONCEPTION GRAPHIQUE 111 6 SCENARIO PEDAGOGIQUE 11 7 EVOLUTION DU DISPOSITIF BILAN IV EVALUATION IV 1 METHODOLOGIE IV 2 COOPERATION IV 3 IV 4 ANALYSE IV 4 1 RECUEIL D OBSERVABLES IV 42 SYNTHESE IV 5 CONCLUSION BILAN BIBLIOGRAPHIE SITOGRAPHIE GLOSSAIRE ANNEXES ANNEXE CONVENTIONS DE STAGE ANNEXE B DESCRIPTIF DU STAGE ANNEXE C ATTESTATION DE STAGE ANNEXE D ETAT INITIAL DU DISPOSITIF MEPA 2D ANNEXE E EXEMPLE D ENVIRONNEMENTS SMV 3D ANNEXE F PHASES D APPRENTISSAGE ANNEXE G TABLEAU REC
87. MEPA MOO MUD MP3 MPEG N TIC PJ PNJ SAMI SG SMV URL WMW XML ZPD Bureau pour l Enseignement de la Langue et de la Civilisation fran aise l tranger Centre National de Recherche Scientifique Dialogue Homme Machine Document Type Definition Environnements Informatiques pour l Apprentissage Humain Formation A Distance Fran ais Langue Etrang re Graphic Interchange Format HyperText Markup Language Laboratoire d Informatique de l Universit du Maine Moteurs d Environnements Partag s pour l Apprentissage Multi User Dungeon Object Oriented Multiple User Dungeons Mpeg 1 Audio Layer Moving Picture Experts Group Nouvelles Technologies de l Information et de la Communication Personnage Joueur Personnage Non Joueur Syst me d Apprentissage Multim dia Interactif Simulation Globale en pr sentiel Simulation globale de type Monde Virtuel Uniform Resource Locator rep re uniforme de ressource Windows Media Vid o eXtensible Markup Language Zone Proximale de D veloppement INTRODUCTION Les TIC trouvent leur place dans l apprentissage des langues trang res et jouissent d un int r t certain des l ves La compatibilit de ces supports avec la culture multim dia de la jeunesse d aujourd hui se trouve sans aucun doute l origine de cet engouement En effet l offre p dagogique a su s adapter l volution de son public Mais s agirait il seulement d une adaptation d un d guisement habile des support
88. N Docteur en Ergonomie Cognitive Aude DUFRESNE professeur agr g e l Universit de Montr al Hugues CHoPLIN ing nieur de l Ecole Nationale Sup rieur des T l communications et V ronique DuBois ergonome au Laboratoire de Psychologie Exp rimentale de l Universit Paris V dans Charlie n 16 85 Cf Annexe G p 112 38 La r versibilit para t particuli rement int ressante exploiter notamment dans une activit comme la simulation En assurant le retour sur les actions d j effectu es elle rend possible l exploration de l environnement par essai erreur et met ainsi l apprenant en confiance 11 peut alors tester l environnement volont sans craindre d tre bloqu par une fausse manipulation Les autres crit res de cette cat gorie comme la fermeture et la visibilit contribuent l orientation de l usager Un utilisateur bien orient a plus de chance d tre motiv Cette stimulation peut tre encore renforc e si l apprenant peut avancer son rythme raccourcis et si le syst me pr voit plusieurs fa ons d effectuer la m me action flexibilit selon ses habitudes Quant l efficacit et la fiabilit elles soutiennent avant tout la motivation et l orientation de l apprenant En effet un temps de r ponse d mesur des liens morts ou encore un mauvais d roulement technique de l activit ne peuvent que le d courager Dominique ScAPIN 1986 note que le temps de r ponse du syst me ne do
89. Notes de cours sur la sc narisation interactive http www fas umontreal ca com com3561 Scenario ppframe htm Consult en octobre 2004 SITOGRAPHIE 96 Utilitaires Sc narisation des jeux e Anthologie site d expression ludique exemples de sc narios selon le style de jeu sc narios m lant l action et r flexion missions d espionnage http sansregle free fr index php page styles e Site de la F d ration Fran aise de Jeux de R les http www ffjdr org page accueil ffjdr e Site de Game Cr ator Network tutoral de la cr ation des sc narios des jeux vid o http www games creators org wiki Documentv3 30 e Portail Francophone des Jeux de Strat gie Temps R el Lexique des jeux vid o http str alliance francophone net Lexique des jeux videos 444 0 html e Cameraman site sur la sc narisation cin matographique http www le cameraman com recher htm e Educnet dossier sur l intrigue et la sc narisation des jeux ducatifs http www educnet education fr langues sitelang intro htm intrigue Histoire du Petit Prince e Activit s fiches et ressources pour accompagner la lecture du Petit Prince http www richmond edu petitprince petitprince html e Site sur le Petit Prince http www lepetitprince com fr e Laurent de GALEMBERT L4 grandeur du Petit Prince m moire de ma trise http nitescence free fr htm ll2c e Laurent de GALEMBERT L id
90. OUCHER Anne 1998 R flexions linguistiques et s miologiques pour une criture didactique du multim dia de langues echerche n 1 juin 3 25 se 6 GALISSON 2001 amp GALISSON A 2001 OASIF un outil collaboratif d aide la sc narisation de modules de formation ouverte et distance gt dans Actes de Conf rence TICE 2001 Lyon GAONAC H 1998 amp GAONAC H Daniel 1998 7 orres d apprentissage et acquisition d une langue trang re Hatier Didier Paris GEORGE ET AL 2004 amp GEORGE S bastien PREVOT Patrick AMGHAR Youssef 2004 Complexit des situations p dagogiques e lerning dans un contexte multim dia culturel collaboratif et synchrone SDM n 18 http isdm univ tin fr PDF isdm18 30 georges prevot amgar pierson pdf Consult en janvier 2005 GEORGE TITON PR V T 2005 amp GEORGE S bastien TITON D sir e PREVOT Patrick 2005 Simulateur de comportements d apprenants dans le cadre des jeux d entreprise dans Actes du colloque 20005 Environnements Informatiques pour l Apprentissage Humain Universit de Montpellier 25 mai http colloquesetconferences u strasbg fr video asp idvideo 3638 Consult en mai 2005 87 e GILBERT 2003 amp GILBERT Denyse 2003 Guide La conception d un site WEB ducatif version 4 1 Universit de Laval Quebec Canada http aptic ulaval ca guidew3educatif guide php
91. Q Moos e Site de Thot http thot cursus edu imprimer asp no 2448 22 2 Consult en avril 2004 e http tecfa unige ch jermann staf colin 28 html Consult en juin2005 SITOGRAPHIE 93 e http tecfa unige ch tognotti staf14 moo html Consult en mars 2004 Q TICE amp enseignement e Site 7e eformation amp Savoirs M tiers de la formation R f rentiel des bonnes pratiques en FOAD http www tfs afpa fr site2 index asp rubr 131 amp idserie 51 Consult en f vrier 2005 e Site de COMPETICE outil de pilotage par les comp tences des projets TICE dans l enseignement sup rieur http bd educnet education fr competice superieur competice libre fonctions f1 php 1D 4 e Glossaire p dagogique de DISCAS http discas ca Cadreref Documents Tableaux demarcheApp html Q Simulation globale e Magali ROUVAREL Za simulation globale une d marche au service de la production d crits au cycle 3 1998 http francais creteil iufm fr m moires ROUVAREL htm Consult en mars 2004 e P dagogie des simulations globales http atv2 ac rennes fr pedagogie lettres Ip simglob htm Consult en mars 2004 e Exemple d une simulation globale d marche http www france fi ccf lafleche jan00 actualite 8 htm Consult en f vrier 2004 e a simulation globale une technique utiliser pour surmonter l anxi t chez les apprenants adultes http www frenchlinx lotelinx vic edu au conference 2001 simulation doc
92. RT ORIS AEQ LA SARENNG 04 5 6 08 3 3 Art 3 Ee du stage est fix e Les horaires sont ceux d l entreprise Toutefois l tudiant stagiaire peut tre aut ris revenir l Universit pendant la dur e du stage pour y suivre certains cours dont la date est port e la connaissance du chef d entreprise avant le commencement du stage Art 4 Le stage a pour objet essentiel l application pratique de l enseignement donn sans que l employeur puisse retirer aucun profit direct de la pr sence dans son entreprise d un tudiant stagiaire Le chef d entreprise s engage en cons quence ne faire ex cuter par l tudiant compte tenu de ses tudes que des travaux qui concourent sa formation professionnelle Les difficult s qui pourraient tre rencontr es l occasion de l ex cution de ces travaux seraient aussit t port es la connaissance du responsable de l enseignement sp cialement si elle mettent en cause l aptitude de l tudiant tirer b n fice de la formation dispens e Art 5 Le programme du stage est tabli par le Chef d Entreprise en accord avec le responsable de la formation Dans l entreprise le Responsable de Stage charg du suivi des travaux du stagiaire est M NI MAG SERI e Qualit ACE ENEE EC WE T l phone 4 E BA EE Fan E Mail JO MPH CITANT Ce INN D mawn dr Monsieur Jean Fran ois BOURDET Qualit Ma tre de Conf rences R
93. Sc ne 001 Observer l aspect d une gare fran aise et retenir le nom de la ville la situer sur une carte g ographique Sc ne 002 m Acheter son titre de transport P Pr ciser sa destination gt Demander des informations suppl mentaires bulles automatiques dur e du voyage prix du billet heure de d part etc gt Choisir son moyen de paiement m Demander des informations sur l acc s aux quais le fonctionnement de la gare borne compostage des billets terminus TGV etc m Utiliser des formules de salutation et observer la r action du guichetier bonjour salut au revoir tout l heure m Explorer le fond de la sc ne guichet SNCF m Ecouter l ambiance sonore de la gare jingle d annonces m Consulter le billet de train zoom Entrainement m Tester le vouvoiement tutoiement suite la situation de d couverte sc ne O00BIS Sc ne 003 D couverte m Explorer la salle d attente pour connaitre le vocabulaire billetterie automatique panneau de d parts panneaux publicitaires horloge voyageur etc m Interpeller le passant bulles automatiques a Entrainement m V rifier la bonne compr hension des renseignements du guichetier 002 demander des renseignements au passant acc s aux quais train pour Paris etc m Se rep rer dans la gare et acc der au train appliquant les explications du guichetier SNCF 001 et du passant 002 m Tester vouvoiement tutoiement m Tester les formes
94. a par le sc nario p dagogique cf 111 6 incluant la totalit des l ments objectifs ressources r les etc 77 MEPA 30 partir d une image claire de l organisation didactique de l activit le concepteur devra passer au recensement de tous les l ments composant les grandes parties du parcours cf 111 4 2 Au risque d un travail inutile cette t che ne peut pas se limiter une simple num ration de ces l ments mais doit comprendre une description minutieuse de leur place dans l ensemble du parcours leurs objectifs ainsi que les caract ristiques techniques Ces derni res particularit s seront indispensables leur r alisation n est pas inutile de noter m me ce stade les moyens et les outils ad quats la cr ation et de s assurer de leur disponibilit De cette mani re la description facilitera non seulement le travail du concepteur en anticipant la r alisation des l ments distincts mais galement la collaboration avec d autres membres de l quipe En effet l activit sera support e par un programme d j existant il est donc important de v rifier que les fonctions de ce syst me suffisent l laboration de la s quence p dagogique Dans le cas contraire toutes les nouvelles fonctions du dispositif devront tre recens es et n goci es avec les concepteurs informatiques afin de v rifier leur faisabilit et la possibilit d un ventuel d veloppement du disposi
95. a qualit d assur social obligatoire L tudiant aura obligatoirement souscrit une assurance couvrant sa responsabilit civile aupr s de l organisme d assurance de son choix enfin l entreprise doit elle m me avoir souscrit une assurance de responsabilit civile Si des avantages en nature sont attribu s sans gratification en esp ce deux situations sont envisager la valeur de l avantage en nature est inf rieure ou gale 30 du SMIC aucune cotisation salariale n est due et l int gralit des cotisations patronales de s curit sociale y compris la cotisation accident du travail doit tre vers e sur la valeur de la formation professionnelle soit 25 du SMIC la valeur de l avantage en nature est sup rieure 30 du SMIC aucune cotisation salariale n est due mais l int gralit des cotisations patronales de s curit sociale y compris la cotisation accident du travail doit tre vers e sur la valeur de la forrnation professionnelle soit 25 du SMIC plus la valeur de l avantage en nature Art 10 A la fin du stage l entreprise d livre l tudiant stagiaire un certificat pr cisant la nature et la dur e du stage Le responsable de formation demande au chef d entreprise son appr ciation sur le travail du stagiaire Art 11 Si le stage est prolong titre exceptionnel de quelques semaines un avenant doit tre ajout cette convention L tudiant doit continuer faire partie de l universit
96. ains pr sents dans les repr sentations des l ves cf 11 2 1 Antoine de Saint Exup ry l auteur du Petit Prince histoire mondialement connue et tr s souvent tudi e lors des cours de fran ais l tranger L histoire pouvait donc devenir cet l ment de r f rence commun tous les apprenants de FLE En l int grant dans le canevas de la simulation et en accord avec nos recherches documentaires effectu es sur la vie de l auteur et sur son personnage nous avons pu incorporer et exploiter de nouveaux l ments authentiques La d couverte de l avion ayant lieu Marseille cette ville connue par ailleurs comme le si ge d une quipe de football et comme une des destinations de vacances cit es par les apprenants C te d Azur peut galement jouer le r le d un point de rep re Compte tenu des circonstances de la mort de Saint Exup ry qui laissent beaucoup de questions sans r ponses la d couverte de l avion devient importante comme fait porteur de nouvelles pistes et non pas comme v nement inscrit dans le temps C est pourquoi nous estimons que le caract re 96 ExuPERY HTTP GALEMBERT 2002 GRANDEUR DU PETIT PRINCE HTTP MEUNIER 2003 PEDAGOGIE PETIT PRINCE HTTP PETIT PRINCE HTTP SAINT EXUPERY 1946 SAINT EXUPERY 2002 43 p rissable BEACCO 2000 de cet v nement ne pourra affecter l histoire p ex lors des exploitations ult rieures de l activit que dans un moindre deg
97. alement influencer les strat gies d actions des l ves discr tion m fiance n gociation L action tant localis e en France nous avons d cid d insister sur une certaine diversit des paysages pour une meilleure exploitation socioculturelle Comme le public consult est majoritairement issu du milieu urbain nous avons plac l action galement dans des villes fallait n anmoins donner aux apprenants des raisons de se d placer dans des endroits diff rents Ainsi parmi les divers objets appartenant la grand m re d Yves les apprenants trouvent une photographie de Marie devant un immeuble parisien une adresse figure au dos du clich C est la premi re piste et la premi re destination Pour faire d couvrir d autres endroits en France nous avons cr un r seau d indices plac s dans les diff rentes villes Cependant afin d impliquer au maximum les apprenants dans l intrigue nous avons d cid d ancrer l histoire non seulement dans un d cor r aliste mais aussi autour d v nements d actualit Dans l id al ces v nements devaient voquer des l ments connus et donc pouvant tre reconnus par les apprenants De cette mani re il tait possible de construire un r seau de points de rep rage DE CARLO 1998 Suite de nombreuses recherches parmi les th mes d actualit nous avons choisi la d couverte de l avion de Saint Exup ry Marseille 7 avril 2004 En effet l v nement concerne un des criv
98. amp Vid o dans un format num rique compress L avantage principal du MPEG compar aux autres formats d encodage est qu il produit des fichiers de taille nettement plus petite qualit gale GILBERT 2003 La coexistence des diff rents canaux de communication sur un m me support Elle comprend l articulation des images des sons et des textes travers le syst me informatique qui permet de les consulter Ils ne prennent de sens que selon les choix que fait la personne qui les consulte L valuation de la multicanalit dans un produit multim dia consid re la place accord e aux diff rents canaux ou m dias la pertinence du recours un canal plut t qu un autre la nature la pertinence et la richesse des liens entre les m dias et les rapports de sens entre les m dias LANCIEN 1998 24 est troitement li e l hypertexte et la multicanalit qui rendent possible la diversification et la multiplication des sources d informations partir d un th me donn On distingue diff rents types de multir f rentialit intra et intertextuelle contextuelle associative et cr ative LANCIEN 1998 27 D placements dans une banque de donn es un programme multim dia op r s gr ce aux actions sur l interface La navigation va tre plus ou moins riche selon que le programme offre une plus ou moins grande vari t de parcours Elle peut selon les produits m langer les modes lin aires succession d crans arbo
99. ans la simulation et leur avons attribu des nonc s class s selon le type de progression pr n par l approche communicative 11 2 3 Ainsi l apparition des items dans le menu des actes de parole commence par les nonc s les plus uf es pour pr senter ensuite des nonc s plus accessoires Concernant la communication nous consid rons le besoin imm diat comme utile obtenir une information demander des pr cisions et les nuances d un change comme accessoire donner et nuancer son avis n gocier Quant aux questions les premiers actes de paroles ne comportent que des questions intonatives pr sentant la m me structure que les phrases affirmatives Ils se transforment ensuite en construction avec est ce que qui change peu la syntaxe de la phrase pour arriver aux constructions plus complexes int grant les pronoms interrogatifs et l inversion du sujet Les questions en langage familier en rapport avec la comp tence sociolinguistique arrivent en fin de progression Le m amp me type de progression est galement appliqu au lexique au type de r ponse r ponse simple r ponse et relance et au sujet de conversation concret abstrait Bien que les actes de parole facilitent la communication ils ne r duisent pas pour autant l implication de l l ve En effet tout d abord l l ve est oblig d identifier la situation de communication Pour s lectionner la cat gorie appropri e il doit identifier l objectif
100. ant de confronter les probl matiques abord es durant notre stage Nous sommes galement reconnaissante envers tous les enseignants pour l int r t qu ils ont port au projet MEPA 2D en participant aux tests du dispositif et pour l enthousiasme et l application de leurs l ves En effet leur collaboration tait essentielle pour faire avancer le projet tant du point informatique que didactique Nous n oublions pas tous ceux qui ont eu la gentillesse de se rendre disponibles pour participer la conception du dispositif enregistrements audio photographies pour nous faire part de leurs suggestions et conseils m thodologiques montage vid o traitement de photographies ou encore pour assurer la maintenance technique durant les tests Enfin tout particuli rement nous tenons remercier nos proches pour leur pr sence leur patience et leur soutien toute preuve Merci TABLE DES MATIERES TABLE DES MATIERES INTRODUCTION l CONTEXTE DE TRAVAIL 1 1 MOTIVATIONS 1 2 INSTITUTION D ACCUEIL 1 2 1 PRESENTATION 1 2 2 THEMES DE RECHERCHE 1 2 3 POLITIQUE SCIENTIFIQUE DU LABORATOIRE 1 3 CADRE DU STAGE 1 3 1 PROJET MEPA 2D m Chef de projet m B Prototype m Importance et objectifs de recherche 1 3 2 MISSION CONFIEE m Encadrement du stage ll CONTEXTE DE L ETUDE 11 1 SIMULATION GLOBALE 1 1 1 JEU amp APPRENTISSAGE 11 1 2 PRESENTATION amp PRINCIPES 11 1 3 MODE D EMPLO
101. ant de transposer ce moment de prise de parole pour permettre aux interlocuteurs de g rer leurs tours de parole Ainsi lorsqu un des participants s appr te r diger son message une bulle transparente apparait pour en pr venir les autres interlocuteurs Elle se remplit alors d s la validation de l nonc par le locuteur Pour assurer une certaine intimit des interlocuteurs et faire vivre le suspens du jeu nous avons demand l int gration d une messagerie instantan e dont les changes ne sont accessibles qu aux de cheval et celui de chevaux sont les m mes Cette forme est l infinitif pour les verbes la forme masculine singuli re pour les noms etc Par la lemmisation les formes prises par le mot nom adjectif etc sont associ es L analyse peut se faire ainsi sur le sens uniquement http www revue referencement com FAQ faq lemmatisation htm Ainsi les formes grammaticales sont pour leurs formes agrammaticales ce qui est un phon me pour ses allophones peu importe la r alisation particuli re d un son il sera reconnu par sa familiarit un phon me 123 P ex si le g nie reconnaissait le mot bonjour et r agissait par bonjour comment t appelles tu il ne pouvait pas r pondre de la m me mani re si l l ve le saluait en se pr sentant 124 Pour reprendre le m me exemple en formes lemmatis es bonjour se appeler tait prioritaire bonjour a 56 interlocuteurs directement
102. approches communicatives refusent la pr sentation de la grammaire de mani re explicite Elle est introduite selon les r els besoins de la situation de communication Dans un deuxi me temps l approche pr voit une phase de conceptualisation et de red couverte d ductive des r gles de grammaire La progression des contenus s organise non pas du simple au compliqu ces valeurs tant relatives mais du plus utilitaire au plus accessoire Elle n est pas lin aire mais organis e en spirale avec des retours sur les notions d j introduites et chaque fois approfondies Cette progression est fonctionnelle et respecte l organisation du contenu linguistique en actes de parole Ce type de d marche recourt fr quemment l image qui est utilis e comme d clencheur de la parole simulateur support l imaginaire et source d investissement Le contenu socioculturel joue un r le important dans la communication et de ce fait les approches communicatives introduisent massivement les documents authentiques aussi bien de type iconique que sonore enregistrement des dialogues authentiques Concernant l erreur celle ci est reconnue comme un l ment formateur point de d part pour une r flexion sur l interlangue de l apprenant Quant l valuation bas e sur les 4 comp tences elle est formative et tend vers l auto valuation T 71 A titre d exemple le mod le de Sophie MoiRAND 1982 20 distingue 4 composantes comp
103. artie en pr sentiel et avec des mises en commun distance D sormais plusieurs classes de nationalit s diff rentes peuvent tre impliqu es dans une m me simulation globale L exp rience des romans virtuels patronn e par France T l com Education et men e depuis quelques ann es par Monique PERDRILLAT illustre parfaitement le cas d une simulation globale en ligne via courrier lectronique Les l ves crivent ensemble des romans virtuels La parole crite devient plus authentique et prend une autre dimension car elle ne circule plus entre les camarades d une m me classe mais s adresse l autre Les productions des l ves deviennent en quelque sorte publiques car elles sont accessibles tout internaute De plus les nouveaux partenaires n ont pas la m me langue maternelle le fran ais est donc la seule langue en partage son usage devient authentique et donc justifi Simuligne est une exp rience en FAD men e en 2001 impliquant une cinquantaine de participants britanniques de l Open University ainsi que des natifs francophones 115 se sont donn pour but de simuler la construction d une ville universitaire francaise imaginaire devant servir ensuite de cadre aux universit s d t de l O U L H tel une des premi res simulations globales en pr sentiel a t galement transpos en ligne Un bref r sum de l organisation de cette simulation permet de mieux comprendre les principales modific
104. ations op r es par rapport la simulation globale en pr sentiel Les diff rents r les ont t r partis entre les l ves des deux classes participant au projet Les apprenants d une classe endossent le r le du personnel de l h tel alors que les intervenants de la deuxi me classe jouent les clients Les diff rents pisodes relatifs la vie du personnel et celle des clients ont lieu en pr sentiel dans les classes respectives En revanche la communication entre le personnel et les clients s effectue via mails forums ou vid oconf rence Ainsi naissent les communaut s virtuelles d apprenants d une m me langue trang re Comme nous pouvons le constater les simulations en ligne n entravent pas les caract ristiques propres au jeu Au contraire les nouvelles technologies amplifient le c t ludique des simulations De plus elles permettent l panouissement d une personnalit lectronique PERRIAULT 1996 109 font apparaitre de nouvelles formes d intelligence collective LANCIEN 1998 97 d j d velopp e lors des activit s de simulation globale en pr sentiel La manipulation de nouveaux outils contribue galement au d veloppement de nouvelles comp tences et aptitudes Mais ce qui nous semble crucial dans cette int gration des TIC c est la transformation d une activit locale en une activit potentiellement mondiale Ainsi la langue trang re employ e jusque l conventionnellement devient un vrai outi
105. au point avec notre chef de projet Ensuite nous avons effectu un certain nombre de tests internes en rapport avec les fonctions pr cises du dispositif et surtout de nombreux b ta tests N anmoins l valuation la plus importante a eu lieu aupr s d un public cible la fin de la conception de la premi re version du prototype Le type de public est galement concern par le d bat susmentionn Certains auteurs se prononcent plut t pour les tests aupr s des l ves uniquement d autres estiment que pour arriver des r sultats concluants l valuation doit s effectuer avant tout aupr s des enseignants Le dispositif MEPA 2D a t cr e pour tre utilis par les apprenants il est alors important qu il soit appr ci par ses principaux utilisateurs et donc test aupr s d eux Cependant les appr ciations des apprenants ne seront que celles de joueurs Nous pouvons nous attendre aux remarques sur la dimension ludique du produit sur les dysfonctionnements techniques etc Toutefois l apprenant n a pas suffisamment de recul ni d exp rience pour pouvoir analyser l impact p dagogique du dispositif C est d autant plus normal que le dispositif a t con u de mani re ne pas faire ressentir aux apprenants sa vis e p dagogique Ce sont donc les tuteurs qui pourront tre en mesure de nous renseigner sur la r alisation des objectifs vis s En revanche les enseignants des groupes respectifs pr sents sur place pourront nous
106. au sein des groupes classes participant la SMV et est encadr e par les enseignants respectifs des classes Pour une prise naturelle de contact et une implication maximale de l apprenant d s le d but de la simulation nous avons con u des vid os introductives pr sent es aux l ves comme des messages vid os de la part des personnages de MEPA 2D La premi re vid o provient des amis d Yves qui les contactent dans le but de leur demander de l aide pour Yves un correspondant fran ais Les l ves sont invit s en France pour accomplir leur mission Ils doivent alors prendre la d cision concernant leur participation en r pondant par mail au message vid o Cette id e de correspondance entre les l ves et les personnages peut les impliquer davantage dans l histoire et les pousser mettre des hypoth ses en groupe par rapport la nature des probl mes d Yves Ces vid os nous permettent d exposer la situation qui sera v cue Les personnages intervenant dans la vid o ont la m me apparence que les avatars des apprenants dans le dispositif Nous avons aussi repris certains paysages repr sent s dans le jeu pour qu ils puissent tre reconnus lors de la connexion et tre reli s au connu de l apprenant Les personnages de la vid o sont pr sent s de face et leur regard est dirig vers le spectateur pour que ce dernier se sente directement concern BusH 1988 La 2 tape de cette phase a lieu apr s l acceptation de la m
107. aut n anmoins souligner que la mise en place de ces tests n tait pas une entreprise ais e La collaboration avec les enseignants demandait beaucoup de disponibilit Nous tions amen e leur pr senter le projet les tenir au courant de toutes les modifications du dispositif et laborer des documents suppl mentaires pour soutenir leur participation pr sentations organisation de coop ration manuel d utilisateur En effet la SMV n tait qu une activit suppl mentaire par rapport leur emploi du temps d j charg De plus une coop ration distance malgr le progr s consid rable des technologies ne pourra jamais remplacer le contact humain direct source de motivation et de soutien Pour les m mes raisons nous avons demand la cr ation d un espace partenaires avec un forum d changes dont le but tait de formaliser les th mes et d en d battre de cr er un r seau d entraide de partage d exp riences et L tablissement d un planning constituait la premi re tape pr c dant les tests D s que les disponibilit s de deux classes diff rentes coincidaient le rendez vous pouvait tre fix Nous cherchions avant tout des connexions entre des classes de diff rentes nationalit s et de niveau de langue l g rement diff renci pour un partage de connaissances entre les intervenants Malheureusement l application de ces crit res n a pas t toujours possible IV 3 TESTS Le pre
108. autour du serveur d pend enti rement de son bon fonctionnement 27 Cette hypoth se a t mise par J r me LEHUEN 28 L appellation simulation de type monde virtuel a que nous allons utiliser tout au long de ce rapport n est qu un raccourci puisque comme le remarque l auteur du projet MEPA 2D n est pas un monde virtuel c est une plate forme destin e partager des mondes virtuels sur un r seau informatique Un monde virtuel dans MEPA 2D n est qu une collection structur e de ressources qui seront partag s par les personnes connect es MEPA 2D http 29 http www commentcamarche net initiation client php3 4 la diff rence des MOOs MEPA 2D est dot d une interface graphique en deux dimensions cherchant ainsi plonger davantage l apprenant dans un environnement r aliste le conduisant une immersion L int gration d une interface graphique offre de nouvelles possibilit s de d veloppement du contexte social simul En effet les dimensions socioculturelles peuvent d sormais tre v hicul es non seulement par la parole comme c tait le cas des MOOs mais galement par les images La figure 2 pr sente d une facon sch matique l organisation globale du monde MEPA 2D Les lieux peuvent tre multiples A B C D et contenir diverses ressources Les utilisateurs peuvent se d placer d un lieu l autre en empruntant les passages symbolis s par les fl ches Figure 2 Organisation du monde virtue
109. avec leurs pairs Le contact avec ces derniers est comme voil comme s il s effectuait en parall le Ce manque d change entre les participants durant la simulation en ligne met en question la dimension collective de l activit En effet les n gociations n ont plus lieu parmi tous les participants mais sont repouss es une fois de plus au sein de la classe et transform es en une communication pseudo endolingue o le francais fait office de langue de communication comme si la langue maternelle commune n existait pas Les groupes g ographiquement distants sont donc nouveau isol s ce qui met en question la pertinence du recours une communication en ligne D ailleurs cet change s effectue toujours en diff r ce qui n apporte aucune am lioration par rapport aux simulations en ligne cf 11 1 4 Le travail collectif des groupes distants ne peut tre que coop ratif l activit perd alors la dimension collaborative sur laquelle insistent les simulations globales en pr sentiel Afin de rem dier ces pertes la simulation s installe dans des mondes virtuels Ainsi nous assistons au passage des communaut s virtuelles distinctes aux mondes virtuels partag s parl que pour communiquer entre les membres d une classe n est pas une langue vernaculaire la transformation de son usage qui s op re par l ouverture vers l ext rieur peut tre v cue de cette mani re surtout par ses acteurs directs 60 e village Prologue a
110. avoriser la r flexion profonde et permettre d aboutir de meilleurs niveaux de formation gt Pour l usage pertinent des multim dias les auteurs conseillent de profiter des principes des jeux vid os De cette mani re on utilisera des m dias diff rents selon l objectif atteindre Il est noter que le recours aux m dias sp cifiques permet de capter l attention de l usager et de la diriger vers les concepts importants Utilis de cette facon le m dia cr e un renforcement En revanche si son emploi n est pas justifi il peut surcharger l interface et nuire la concentration de l apprenant De la sorte des m taphores attirantes peuvent aider la m morisation et les effets visuels contribuent la gestion de la complexit de l information CINEMA HTTP La derni re cat gorie retenue concerne les strat gies p dagogiques D une mani re g n rale il s agit d appliquer les principes ergonomiques en accord avec les principes didactiques et selon les sp cificit s du public ainsi que celles du dispositif On veillera l appropriation linguistique des contenus et leur pr sentation en forme d entonnoir afin de favoriser l assimilation des connaissances la clart des consignes ou encore l appropriation des formes utilis es aux diff rents styles d apprenants Les caract ristiques g n rales des contraintes identifi es de cette mani re nous servent d une part de cadre th orique de r f rence pour la conception
111. c le pilote histoire d amiti avec le renard amour de la rose rencontre avec le serpent Pi ce n 3 les apprenants y trouvent un journal En le consultant ils apprennent que la grand m re d Yves utilisait deux pr noms Marie et Louise et que le 2 me pr nom tait un surnom donn par Antoine son ami Ils se voyaient de moins en moins mais Marie suivait de loin l histoire du Petit Prince d crite par Antoine Elle voulait tellement changer le destin de ce personnage qui se laisse mordre par le serpent et meurt pour rejoindre sa rose Un grand tableau avec le portrait de Marie est accroch au mur de la pi ce Il lui manque une partie qui visiblement a t d chir e Les apprenants ont trouv un morceau de la photographie dans le coffre S ils le remettent au bon endroit le v u de Marie se r alise Ils entendent la voix excit e de Richard qui les appelle depuis son laboratoire Il leur rend la rose et demande d aller voir ce qui se passe avec le parfum Au laboratoire les apprenants assistent une transformation le parfum se propage dans la pi ce et les emporte au Sahara dans l univers du Petit Prince Le renard les attend et supplie de persuader le Petit Prince qui parle avec un serpent ce qui est tr s dangereux En effet le Petit Prince assis sur un rocher dessin original du livre s appr te rejoindre sa plan te en se laissant mordre par le serpent Les apprenants ont alors l occasion de changer
112. c pour la mise en place de l intelligence et de l quilibre affectif et intellectuel J r me BRUNER voit dans le jeu un lieu de dialogue privil gi qui permet une interaction avec l autre d o surgit la nomination et le langage Ce lien entre le langage et le jeu a t d j identifi par Ludwig WITTGENSTEIN 1945 pour qui le jeu est toute activit o les messages linguistiques prennent sens partir de la complexit du milieu o ils apparaissent Le jeu permet alors d tablir le lien entre la cr ativit et le langage tout en prenant compte de son contexte Comme le remarque Fr d ric Fran ois 1993 le langage est fait de telle fa on que l on ne peut l apprendre qu en l utilisant C est donc en le manipulant en jouant avec le langage que l enfant peut se l approprier En effet lorsqu il s agit de la langue maternelle cette appropriation a lieu lors de la socialisation de l enfant Toutefois la plupart des l ves apprenant une langue trang re ont d j d pass le stade de socialisation C est d ailleurs l argument principal de KRAsCHEN lorsqu il oppose l acquisition du 3 Membre de l quipe Thot Thot Cursus http 38 WINICOTT Donald 1975 Jeu et r alit L espace potentiel Gallimard Paris dans LoPEZ http 39 Jean 1969 Psychologie et p dagogie Deno l Paris Durant ses recherches l auteur tablit une classification des jeux parall amp le la chronologie g n tique des s
113. cation d un ventuel cart entre les diff rentes interpr tations des l ves Ils peuvent mettre des hypoth ses sur les d tails de la mission et anticiper leur r le dans le jeu En effet lors de la connexion un avatar leur sera impos la cr ation de l identit fictive dans la SMV est donc limit e par rapport sa dimension dans la simulation globale en pr sentiel 136 Pour consulter des extraits du sc nario p dagogique se r f rer l Annexe R p 141 137 La vid o nvitation ainsi qu un exemple d exploitation p dagogique sugg r e aux enseignants sont disponibles sur le c d rom cf l Annexe T p 146 Vid os introductives vid o 1 Invitation 138 es deux versions de la vid o Yves pr sente le contexte ainsi qu un exemple d exploitation p dagogique sugg r e aux enseignants sont disponibles sur le c d rom cf l Annexe T p 146 Vid os introductives vid o 2 Yves pr sente le contexte v 1 et v 2 62 L important est d laborer un plan de travail avec l ensemble des l ves partir duquel chaque l ve dresse ses propres strat gies et se projette dans l action Ainsi tout en gardant sa libert d action il s assure d avoir bien compris les principaux enjeux de l activit g n rale et participe un d fi collectif La deuxi me phase correspond aux connexions effectives des classes participant la simulation Selon les disponibilit s des int ress s elle peut comprendr
114. che de classes de correspondance Comme tous les enseignants de ces forums partageaient la m me passion pour les TIC a priori leurs l ves devaient tre familiaris s avec l outil informatique Nous leur avons propos de participer au projet et en profitant de cette exp rience commune de mettre en relation leurs classes Ainsi nous avons tudi les profils de 7 classes de diverses nationalit s pour en d limiter les caract ristiques g n rales du public FLE La synth se des r ponses au questionnaire de premier contact nous permet de constater qu effectivement les TIC font partie des cours ou bien que leur emploi est inscrit dans un futur proche En accord avec nos suppositions l outil informatique est ma tris plus ou moins bien par l ensemble des l ves questionn s Mais l encore des carts se creusent entre les classes o chaque l ve est quip d un ordinateur portable devenu un outil scolaire ordinaire et les classes disposant d une salle multim dia avec un nombre de postes limit Le nombre d l ve d une classe reste variable de 40 12 personnes avec une majorit syst matique de filles De milieu g n ralement urbain les l ves ont de 12 20 ans Leurs centres d int r t sont tr s variables mais les enseignants engagent les apprenants dans des t ches diverses comme la r daction d un journal ou la cr ation d expositions murales L enseignement de la langue est obligatoire et le fran ais est le plus
115. cher de conna tre le secret brouille les pistes et donne de faux indices Elle sugg re que la piste du pont Mirabeau est un faux indice et leur conseille d aller plut t dans la direction oppos e pont d Austerlitz Les correspondants consultent le site WEB pr sentant les ponts de Paris A l oppos du pont Mirabeau l autre bout de la ligne 10 du m tro Gare d Austerlitz se trouve le pont d Austerlitz Is se retrouvent alors avec deux indices g ographiques Ils peuvent alors les v rifier ensemble l un apr s l autre ou se diviser en deux groupes pour gagner du temps Vers le Pont d Austerlitz Sous le pont d Austerlitz les apprenants ne trouvent rien 115 entendent par contre un rire diabolique avec une apparition d images superpos es d un des voyageurs rencontr dans le m tro d un des clients du caf et de la voyante d guis e qui n taient qu un des individus suspects dont Yves a parl 122 Vers le Pont Mirabeau Visite du quartier parc Citro n pont Mirabeau Sur place les apprenants trouvent deux pr noms creus s dans la pierre du pont Louise amp Antoine Les pr noms ne leur disent rien du tout Le pr nom f minin ne correspond pas au pr nom de la grand Une affiche publicitaire d une com die musicale figure c t des pr noms Il s agit du spectacle e Petit Prince Si les apprenants ont donn la mendiante du m tro une pi ce le retour de cette informat
116. cipe ergonomique de continuit et de progression 111 3 2 110 Cf Annexe M 5 p 131 111 Cf Annexe M 8 p 132 52 Objet sonore J Ambiance sonore bruitage Selon Anne FOUCHER 1998 13 les rapports langue son image ne doivent pas tre envisag s en terme de redondance mais tre pens s en terme d ancrage Les diff rents bruitages le bruit de la rue le sifflement d un train les cigales ont t utilis s avant tout pour recr er l ambiance des situations r elles N anmoins certaines sc nes sont accompagn es d extraits musicaux qui ne font pas partie d ambiances authentiques de ces lieux mais cherchent provoquer des associations chez les apprenants p ex l arriv e devant le Sacr C ur est accompagn de la musique de film Ze Fabuleux destin d Am lie Poulain ant rieurement v Effet sonore Contrairement aux bruitages les effets sonores sont des interventions ponctuelles une r plique un monologue un son d clench par une action etc Nous les utilisons pour exposer les apprenants aux diff rents mat riaux linguistiques lls peuvent alors entendre des passants dans la rue des discordes entre clients dans une boutique des extraits d missions de t l vision des publicit s etc Orientation amp Signal tique Certains objets dans les sc nes sont facilement identifiables gr ce un syst me signal tique Ainsi les objets pouvant tre consult s sont entour s d un cad
117. ctive tout en conservant l esprit que cette activit doit s inscrire dans la dur e Ainsi nos deux premi res propositions se sont av r es trop ax es sur la cr ativit des apprenants Elles n ont pas pu tre accept es puisqu elles requ raient des modifications du dispositif initial trop importantes Nous nous sommes alors mis d accord avec notre chef de stage sur l exploitation du th me du voyage en d veloppant ainsi davantage la dynamique du jeu En effet compte tenu des fonctions pr vues dans la version initiale de la plate forme cf 1 3 1 l id e du mouvement permettait d exploiter pleinement l tat du dispositif De plus elle nous offrait l occasion d exploiter plusieurs lieux th mes diversifi s et de pr senter aux l ves des endroits publics partie int grante d une soci t les gares le m tro les lieux de culture et d Histoire Lors de la conception du canevas de la simulation nous avons pris en compte les objectifs d apprentissage du public cible 111 2 2 Notre volont premi re tait de construire un cadre socioculturel riche qui permettrait d exposer les apprenants des situations d interaction vari es Compte tenu de l ge du public nous avons opt pour un sc nario de type jeu de piste avec des indices d couvrir et avec un myst re lucider pouvant justifier toutes les t ches accomplir par l apprenant La lecture d une des nouvelles de Jean Fran ois LAGUIONIE Z2 photographie nou
118. cu que celui d un professeur ce qui nous rassure dans le choix d un tutorat anonyme Dans notre conception du tutorat l enseignant joue comme tous les intervenants un r le fictif inscrit dans le canevas de la simulation est n anmoins important que l l ve sache qu il peut tre aid et si un tel besoin se pr sente il doit savoir qui s adresser En accord avec l intrigue nous avons attribu ce r le Yves personnage cl de l histoire dot de comp tences recherch es par les apprenants il connait le pays et la culture cible il est natif et directement impliqu dans l histoire il a donc toutes les capacit s pour les aider Cette organisation a galement une dimension psychologique car le fait de croire qu ils s adressent un pair ou un personnage fictif de l histoire peut rassurer les apprenants et les mettre en confiance Comme l activit est collective et peut engager plusieurs classes il tait int ressant d envisager une sorte de tutorat collectif Ainsi les enseignants des classes respectives peuvent intervenir en jouant un r le compatible avec le canevas de la simulation Puisque l intrigue ne constitue qu un cadre g n ral de l activit les tuteurs sont charg s d animation p dagogique cherchant provoquer des situations int ressantes pour l apprentissage Etant donn que le tutorat collectif n est habituellement pas pratiqu dans les dispositifs distance nous esp rons que l organisation et l ob
119. d range t il pour voir la sc ne Oui Non D poser un objet Utilit amp Usage 1 Tu utilises la messagerie pour Parler un autre joueur quand il n est pas dans la m me SC NE iL 20 30 a4 50 Parler aux autres joueurs pour les retrouver quand tu te perds dans le jeu iL ab 30 G4 5L Parler un autre joueur en secret pour que les autres joueurs ne voient pas ce que tu cris ILI 20 3L 4b SC Parlor A Yes 11 401 5 La note que tu donnes la messagerie c est 20 30 40 5L Commentaire 2 Tu utilises le calepin pour Noter les informations pour les utiliser plus tard iL 2L 3D 40 50 Noter tes observations sur les autres joueurs iL 20 3j AT 50 Noter ce que tu veux dire HU 2 L 3L 40 5L La note que tu donnes au calepin c est iL cd 3D a4 5 Commentaire 3 Exploration des objets et du fond de la sc ne Tu les consultes e Information sur cet objet pour Conna tre du nouveau vocabulaire iL 2a 3j AT 50 Pour savoir quoi dire n se iL aL 30 AT 50 Pour gagner du temps et ne pas utiliser le dictionnaire 1L 20 30O 4L 5L La note que tu donnes l exploration de la sc ne 11 201 3 401 dl Co
120. d une simulation sp cialis e En revanche une simulation de type g n raliste ancr e dans le cadre de la soci t cible semble tr s int ressante puisque parmi tous les l ves interrog s seulement quelques uns sont venus en France pour de courts s jours de vacances Seulement une faible minorit d entre eux est issue de familles dont un membre a des origines fran aises Alg rie sans pour autant entretenir de relations proches avec le pays La connaissance de la soci t cible est donc faible Le contact avec sa culture est majoritairement assur par la t l vision et les oeuvres cin matographiques A notre avis la possibilit 79 P ex http www francparler org rubrique annonces ou http www ac versailles disciplines langues vivantes interlangues 80 s agit des nationalit s alg rienne am ricaine espagnole italienne et polonaise 33 de visiter et d interagir dans un environnement proche de l authentique devrait tre fortement appr ci e Nous avons d ailleurs effectu un sondage afin de conna tre les st r otypes que les apprenants peuvent avoir sur le pays et la soci t francais La capitale la Tour Eiffel les parfums la haute couture et la mode les sp cialit s gastronomiques fromages vin baguette les peintres impressionnistes certains crivains Hugo Saint Exup ry Moli re certains personnages historiques Napol on et politiques Chirac ainsi que la belle langue et les belles f
121. dans l environnement MEPA 2D nous avons choisi les avatars humanoides d une apparence jeune et dynamique en ad quation avec l age du public cible Les avatars sont des deux sexes et leur forme graphique est de type dessin Le personnage est repr sent int gralement et de face N ayant pas de graphiste dans l quipe chaque modification devait tre r alis e par nous m me de ce fait cette caract ristique n est pas v ritablement un choix p dagogique mais plut t une facilit de conception D ailleurs selon Laurence LENTIN 1977 ce type de repr sentation n est pas le plus r ussi puisqu une repr sentation de face ne suscite pas de narration chez l l ve pourtant tr s importante pour l tayage de tutelle cf 11 2 2 Selon l auteur pour lib rer la parole de l l ve le personnage le repr sentant devrait donner l impression d tre observ plut t que vu Cependant la repr sentation frontale de l l ve est assez fr quente dans l enseignement des langues Ce choix est argument par une forte interpellation du spectateur provoquant ainsi des r actions langagi res pas forc ment narratives ad Fond Le fond de chaque sc ne est repr sent par une photographie qui permet une illustration tr s r aliste d un lieu et de ce fait convient particuli rement l activit de la simulation globale Pour certaines sc nes nous avons pris le soin de reconstituer la suite r elle de l endroit vue par vue p ex la rue de S
122. de s carter de l itin raire directement concern par l intrigue de la simulation L cart entre l activit d finitive telle qu elle pourrait tre pratiqu e entre les classes dans le cadre d une collaboration durable et la version du prototype destin uniquement aux tests nous semble aujourd hui plut t flagrant Le compromis dans ce cas serait de concevoir une activit repr sentative de l ensemble des potentialit s p dagogiques mais dans sa version r duite Nous reconnaissons que notre engagement dans le projet nous a peut tre inconsciemment men refuser ce compromis Bien que le stage effectu au LIUM ne soit pas notre premier contact avec le monde du travail nous l avons v cu comme une vraie exp rience professionnelle et consid r tr s enrichissant plusieurs niveaux Tout d abord au niveau universitaire ce stage s inscrit parfaitement dans notre cursus et r pond pleinement la formation en cours Le nouveau cadre d application nous a permis de reconsid rer certaines notions didactiques En effet la priorit des objectifs n est pas la m me dans l enseignement en pr sentiel et distance La simulation globale en r seau telle qu elle est pr conis e par le dispositif MEPA 2D n est qu en voie de d veloppement ce qui suscite de nombreux questionnement aussi bien au niveau de sa composition de ses composantes de ses applications que des processus d apprentissage pouvant tre engendr s chez le sujet participant
123. de 1852 et ses habitants situ s quelque part dans la vall e du St Laurent au XIXe si cle un micro monde virtuel au service de l ducation de l histoire et de la culture un lieu imaginaire o vivent des gens qui gr ce la magie des technologies interagissent avec les jeunes de notre poque a H L change pistolaire asynchrone entre les l ves et certains personnages du village anim s par les enseignants constitue l activit centrale du site Mais les l ves peuvent galement transformer le monde du Prologue par des suggestions crites soumises aux habitants du village Dans un premier temps les l ves questionnent les personnages pour connaitre leur histoire leur vie et leurs difficult s Ils participent ensuite activement la vie de Pro ague 115 peuvent visiter le village consulter les crits la biblioth que participer aux activit s scolaires de l cole de Pro ogue Les l ves interviennent pour aider les habitants r soudre certaines nigmes ou pour les conseiller C est donc un univers de lecture d criture et de r solution de probl amp mes Bien que le projet soit int ressant puisque les l ves disposent cette fois ci d un espace commun nous constatons quelques inconv nients D une part la conception de cette simulation diverge quelque peu de celle pr conis e par Francis DEBYSER car les apprenants interagissent avant tout avec les personnages virtuels anim s par les enseignants et non pas
124. de croire que nos efforts ont t appr ci s Certains signes de confiance de la part de notre encadrement comme notre participation la r union avec le groupe du projet REDIM ou le fait de nous informer d ventuelles suites du projet long terme nous laissent croire que notre coop ration s est plut t bien pass e De m me le soutien du chef de projet dans nos recherches concernant la probl matique de l assistance au tutorat synchrone collectif entreprise dans le cadre de notre m moire semble t moigner d une certaine approbation de l int r t que nous portons pour la th matique du projet Compte tenu des l ments de ce bilan qui nous l esp rons a pu mettre en vidence non seulement les apports concrets du stage mais galement la transformation de notre perception du travail et de la collaboration nous pouvons dire que la participation au projet MEPA 2D s av re riche aussi bien sur le plan universitaire professionnel que sur celui des relations interpersonnelles Et si volont ordre temps sont les l ments de l art d apprentissage nous concluons que seule la volont ne nous faisant pas d faut la gestion de l ordre et du temps durant notre stage nous permettra de pratiquer plus habilement cet art T YF 165 Citation de Marcel PREVOST L Art d apprendre 83 BIBLIOGRAPHIE A B C D E F G I J K L M N 0 P Q R S T U V W Y Z ETE 6 AKKOUCHE 1996 amp AKKOUCHE Imen 1999 7 en
125. de parler et de d velopper l imagination et l esprit de fantaisie Cependant d autres auteurs remarquent que si ces irruptions du fantastique dans un r cit r aliste donnent l enfant selon certains psychanalystes la possibilit de rencontrer librement ses pulsions refoul es ou de participer une discussion elles ne l incitent pas l mission des hypoth ses ou la construction d un r cit narratif MALVAUX 2002 Effectivement si cet v nement peut accentuer la dynamique du jeu nous n y voyons pas de source particuli re d hypoth ses car comment expliquer l inexplicable Si les hypoth ses ont lieu elles ne pourront tre que limit es et susciter des discussions faible valeur argumentative En revanche le vocabulaire propre la surprise et l tonnement pourra apparaitre dans les changes des apprenants de mani re plut t naturelle et spontan e Pour Laurence LENTIN 1977 au lieu d opposer le r el et le fantastique il convient de 97 La th orie de l effet personnage de V Jouve pr sent e dans MaLvaux 2002 distinguer plut t le fantastique et le merveilleux Ainsi l l ment fantastique est un l ment troublant qui pouvant se produire dans le r el veille le sentiment d tranget En revanche l l ment merveilleux n entretient aucun rapport avec le r el i s agit par exemple de cr atures imaginaires Selon l auteur seulement le r el et le merveilleux seraient contradictoir
126. de ses r ponses de ses r sultats de ses performances durant son apprentissage MARTON amp HERVEY 19945 Pour que l apprenant puisse s approprier les actes de parole il lui est possible de les manipuler en activant la fonction d dition Ainsi les actes de parole ne demeurent pas comme des formes mod les de la langue cible sacr es et inaccessibles mais peuvent tre modifi es et enrichies de connaissances de l l ve acquises tout au long du parcours R ciproquement ces connaissances s activent lorsqu elles peuvent tre mises l preuve dans une situation concr te de communication L utilisateur peut aussi communiquer de fa on libre en utilisant les nouvelles bulles La difficult majeure pr sent e par l change libre est justement la libert d expression Comme pour les changes l aide des actes de parole il suffisait de recenser les mots cl s pour la communication libre cet inventaire des r pliques s est av r particuli rement laborieux et finalement frustrant En effet il est tr s difficile d imaginer tous les th mes pouvant intervenir lors d une conversation or la t che comprenait galement le recensement des vocables pouvant tre employ s pour les exprimer Notre propre idiolecte s est av r notre plus grand obstacle dans cette entreprise puisque les expressions les plus faciles d acc s taient les n tres Une aide ext rieure devenait dans ce cas n cessaire Ainsi nous avons proc d
127. des demandes de confirmation vite d employer les termes de l organisation lin aire comme avancer ou reculer et s efforce de situer l apprenant en reprenant les indications spatiales propres aux sc nes voisines comme p ex voulez vous approcher du Sacr C ur Voulez vous monter descendre la rue de S vres etc A tout moment l usager peut interroger le fond d une sc ne pour savoir o il se trouve et si tel est le besoin d en informer les autres joueurs principe ergonomique de contr le 111 3 2 112 Cf Annexe M 3 p 130 13 Cf Annexe M 7 p 132 53 Les symboles distrayants ont t intentionnellement vit s pour ne pas attirer inutilement l attention des usagers Cette signal tique est employ e uniquement pour l arriv e de nouveaux messages dans la messagerie instantan e Ce choix s est impos lors des tests internes lorsque l quipe s est rendu compte qu une simple ic ne n attire pas suffisamment l attention des l ves or la lecture des messages est parfois cruciale pour la suite de la simulation et surtout pour l efficacit de l organisation collective Communication Comme nous l avons d j soulign la communication est le pivot de l activit MEPA 2D Les sc nes le type d images ou la fagon d agencer divers m dias cherchent provoquer chez l apprenant la prise de parole de fa on la plus naturelle Dans MEPA 2D les l ves peuvent communiquer entre eux avec les personna
128. dules de fonctionnement et les fa ons d appr hender la recherche diff rent selon les disciplines scientifiques Depuis le 1 janvier 2004 LIUM fait partie des organismes sous la tutelle du Centre National de la Recherche Scientifique Le CNRS cr par le d cret loi du 19 octobre 1939 est un tablissement public national caract re scientifique et technologique plac aupr s du Minist re de l Education Nationale sous la tutelle du ministre charg de la Recherche a pour vocation de regrouper les organismes d Etat non sp cialis s de recherche fondamentale ou appliqu e et de coordonner les recherches l chelon national Les laboratoires du CNRS sont regroup s dans sept d partements scientifiques et deux instituts couvrant l ensemble des disciplines Par ailleurs des unit s de recherche relevant d organismes ext rieurs peuvent tre associ es au centre national de la recherche scientifique en vertu d une convention pr voyant notamment l affectation de personnels de recherche ainsi que l attribution de moyens par le centre Les organismes sous la tutelle du CNRS tant soumis valuation l ensemble des activit s pass es ainsi que les nouveaux projets de recherche de LIUM font galement partie de ces valuations p riodiques 1 2 2 Th mes de recherche La recherche dans le laboratoire s organise autour des 3 th mes principaux l ing nierie des EIAH l analyse et la mod lisation des usages dans les EIAH e
129. e etc c est dire l organisation des unit s de contenus de facon faciliter l apprentissage et aux moyens de les valuer ai Une panoplie d outils s lectionn e pr alablement permet de cr e des l ments graphiques sonores ou discursifs 11 est en m me temps indispensable de v rifier constamment leur ad quation aux crit res identifi s partir du cadre didactique Ils sont ensuite repartis sc ne par sc ne vue par vue dans des r pertoires distincts Pour faciliter la distribution des composantes et n omettre aucun des l ments il est essentiel de s appuyer sur le sc nario p dagogique tout en consultant le mod le conceptuel du dispositif La structure ainsi cr e doit tre d crite en XML un langage interpr table par le syst me Conservant la m taphore de la conception ditoriale nous ajoutons aux tapes susmentionn es les relectures qui se traduiront par les tests internes de l activit et la promotion correspondant la cr ation de documents p riph riques visant la pr sentation de l activit aux diff rents collaborateurs L int gration des am liorations constitue la derni re des tapes de la conception de la premi re version du prototype op rationnel illustr e par la figure 4 Enfin la publication arrive en dernier lieu et coincide avec les exp rimentations engageant les intervenants externes cf IV 78 Interview avec Christian Bastien CHARLIE N 16 2 231 SG Princi
130. e classe BEAcco 2000 58 Le terme alloglotte est souvent utilis comme son synonyme l apprenant est qualifi d allophone et s oppose au terme homoglotte employ pour les situations d apprentissage d une langue trang re dans le milieu cible La distinction exo endolingue a souvent chang de signification Nous l employons dans le sens donn par son auteur R my PORQUIER 1984 o la communication exolingue r f re la communication tablie entre les individus qui ne partagent pas la m me langue maternelle et la communication endolingue r f re l change dans la langue maternelle commune tous les interlocuteurs 22 naturelle Faire semblant ne se limite donc pas seulement accepter le jeu mais concerne aussi la forme de la communication en langue trang re Francis DEBYSER 1999 admet que si on attache trop d importance ce paradoxe Achille risque de rattraper la tortue avant d avoir appris un mot de fran ais 11 est donc indispensable d accepter une part d artificiel qui d ailleurs dans le contexte scolaire peut tre r solu par le contrat d apprentissage o on apprend en effet en faisant semblant N anmoins l usage des TIC semble permettre une certaine neutralisation de cet artifice Avec l int gration des outils de communication la simulation a pu s ouvrir davantage aux partenaires potentiels du jeu loign s g ographiquement Ainsi certains projets peuvent se d velopper en p
131. e l int r t et incitation la pers v rance CINEMA HTTP Source CHARLIEN 16 DESSUS amp MARQUET 1990 GILBERT 2003 MARTON amp Hervey 19944 MARTON A HERVEY 19938 MATAIGNE A Maurice 1995 MELOCHE 2000 Scapin 1986 TRIGANO 1998 CINEMA HTTP VILLAGE HTTP Annexe H Canevas de la simulation 120 HISTOIRE SCENARIO La grand m re d Yves Marie est morte en 1985 l ge de 80 ans Son pass est quasiment inconnu de son petit fils Yves Sachant que sa famille garde au grenier les affaires de sa grand m re sauv es d un incendie Yves d cide d y monter pour en apprendre un peu plus sur la vie de sa grand En fouillant dans ses affaires il trouve des objets int ressants un album de photographies avec les clich s de la grand m re un journal intime quelques dessins et bibelots Sur une des photographies la grand m re figure devant l entr e immeuble du 7 me arrondissement de Paris 10 rue de S vres Yves remarque que sur plusieurs photos repr sentant l appartement de la grand m re on peut apercevoir un petit coffre en bois Ce d tail l interpelle d autant plus qu il ne trouve pas le coffre parmi les affaires de la grand m re au grenier La grand m re en parle galement dans son journal intime mais sans vraiment entrer dans les d tails et sans d voiler le myst rieux contenu du coffre Yves demande sa m re ce que contenait le
132. e perdre du temps d chiffrer les significations cod es Notre attention est attir e avant tout par la stabilit de la coh rence interne dont le respect est capital notamment dans la phase de d couverte TRIGANO 1998 Cette stabilit est n cessaire pour que l usager acqui re l expertise de l environnement En cr ant les contenus de l activit nous devrons donc veiller l Rhomog n it des conventions utilis es L importance d une certaine constance s av re cruciale pour les capacit s de l apprenant transf rer les habilet s d une application l autre de m me que pour la cr ation et la m morisation des associations entre les objectifs et les m thodes utilis es VILLAGE HTTP De plus les diff rentes composantes du syst me doivent toujours rester en accord avec la m taphore emprunt e pour repr senter le monde virtuel Le contr le effectu par l apprenant sur le syst me peut renforcer la responsabilisation de l utilisateur et donc son implication dans l activit tant recherch e au niveau p dagogique Ce contr le repr sente les possibilit s de r aliser les actions souhait es et de visualiser leurs r sultats r troaction Aude DUFRESNE CINEMA HTTP insiste sur le r le positif de cette fonction valorisant l usager et influen ant ainsi sa motivation 83 Connaissances d claratives savoirs habilet s savoir tre et connaissances proc durales savoir faire 84 L interview avec Christian BASTIE
133. e plusieurs s ances Le sc nario p dagogique pr voit des objectifs et des t ches selon les tapes didactiques Pour assurer une certaine coh rence du parcours il est essentiel de faire correspondre une s ance de connexion une ou plusieurs tapes compl tes cf 111 4 2 A Durant cette phase les l ves visitent les sc nes du dispositif qui peuvent tre qualifi es de trois principaux types p dagogiques Les sc nes de d couverte exposent l apprenant un nouveau mat riau socioculturel et linguistique Souvent les g nies attirent son attention vers ces nouveaux l ments Dans ces sc nes l apprenant peut observer et participer aux changes linguistiques s informer sur la r alit socioculturelle et essayer de manipuler les nouveaux l ments linguistiques partir de son menu dot d actes de parole Dans les sc nes d entra nement les l ves sont souvent interpell s par les g nies et l change est dirig vers les l ments r cemment connus Les joueurs peuvent alors v rifier la compr hension des r alit s socioculturelles et s entra ner en communiquant l aide d actes de parole toujours disponibles dans leur menu En revanche les bulles automatiques ne sont plus accessibles dans les sc nes d valuation Pour obtenir des indices les l ves sont alors oblig s de r pondre aux questions des PNJs en engageant leurs propres moyens tout en profitant des observations langagi res et socioculturelles effectu
134. e ult rieurement 111 4 2 C 87 Dans ce sens on parlera aussi de la r activit du syst me 88 Signalons seulement que la consid ration de ce qui est ou n est pas interactif fait d bat entre les sp cialistes Certains d entre eux estiment que toutes les actions pr vues par le syst me ne font partie que de l interaction et non pas de l interactivit Ainsi la v ritable interactivit r siderait dans la modification non pr vue du d roulement d un processus par un autre et non pas dans la modification pr vue et d termin e de ce d roulement 2001 39 passer vers la m moire long terme En cons quence l agencement d informations devrait favoriser cette r tention m morielle en assurant la coh rence lien vident entre le signifiant et le signifi et la consistance reprise des m mes symboles pour les actions similaires VILLAGE HTTP Sachant que la r p tition augmente la r tention la distribution des contenus devra pr senter des caract ristiques propres la redondance p dagogique en recourant la multicanalit et la multir f rentialit du dispositif Cependant n oublions pas l importance du conflit cognitif qui peut d ailleurs tre suscit par une pr sentation particuli re des contenus Une simplification trop importante n est donc pas toujours b n fique Comme l observe Hugues CHOPLIN certains choix m me s ils semblent premi re vue augmenter la charge cognitive peuvent f
135. ement de faire comme si ce qui tait le but des jeux de r les classiques mais aussi de faire comme s il vivait autre part et comme s il tait quelqu un d autre La situation volue sans cesse D une part elle est anim e par les apprenants faisant vivre leurs personnages d autre part les situations probl me cr es par l enseignant assurent sa dynamique Les interventions de l enseignant permettent de confronter l apprenant un probl me authentique pour le jeu auquel il participe et valable p dagogiquement puisqu elles conduisent des re n gociations du sens entre les participants des productions collectives des efforts communs ayant pour but de trouver une solution qui convient tout le monde La force des simulations aussi bien en pr sentiel qu en ligne est due l importance du jeu dans l apprentissage et leur dimension collective 47 http www ac nantes fr peda disc lv allemand prof pedago tousnivo 48 DEBYSER 1991 81 49 YaicHE 1996 10 20 11 1 3 Mode d emploi Pour tout type de simulation il est possible d identifier un certain nombre de phases de conception et de d roulement du canevas d invention Phase d tablissement de l environnement et du d cor du lieu th me Phase d tablissement des identit s fictives Phase d interactions ordinaires Phase qui donne une paisseur historique et sociogrammatique au lieu gr ce aux traces crites Pha
136. emmes sont les repr sentations les plus fr quemment cit es par les l ves Nous retrouvons aussi la politesse les bonnes mani res mais galement l arrogance souvent attribu es aux Fran ais Nous observons alors que la France est surtout per ue comme un pays de finesse d l gance de culture Paris la capitale culturelle de l Europe la capitale mondiale de la mode de luxe et galement comme une destination de vacances C te d Azur Un public exp rience socioculturelle faible aura besoin de savoir comment se comporter dans les situations type de la vie quotidienne et donc de connaitre le francais de tous les jours parole fonctionnelle ainsi que de mieux appr hender le quotidien de la soci t cible 11 2 2 Objectifs d apprentissage Les objectifs g n raux sont pr cis s partir des besoins g n ralis s du public c est dire pouvant contribuer la cr ation des habilet s transversales Ils sont formul s en verbes d action centr s sur l apprenant et constituent le but atteindre la fin de la formation Ils sont accompagn s d objectifs sp cifiques qui devront tre envisag s dans les situations concr tes de la simulation et pris en compte dans le sc nario p dagogique de l activit Communication Etre capable de se faire comprendre Savoir reformuler r p ter paraphraser tre capable de formuler ses demandes ses interrogations d une mani re claire Etre capable de comprendre le
137. en a mis en vidence une consultation plut t occasionnelle notamment pour les ressources permanentes En r gle g n rale les ressources savoir plus ont t jug es utiles et certaines m me indispensables pour le jeu Le caract re utilitaire des ressources tant le crit re de r f rence avant tout pour les ludiques ces l ves en trouvent quelques unes trop volumineuses et de ce fait difficilement exploitables en d coule que ne pouvant pas compter sur l vidence du contexte il est n cessaire d accompagner syst matiquement ce type de documents de consignes explicites ou au moins de quelques suggestions d exploitation pour davantage de visibilit Pourtant certains t moignages nous laissent croire que la vis e socioculturelle de ces documents a t per ue Les l ves voquent m me la n cessit d une lecture s lective D ailleurs durant les tests en Pologne cette derni re habilet exig e pour le nouveau bac mais peu exploit e en classe a t particuli rement appr ci e dans le jeu En ce qui concerne la fr quence de recours aux ressources elle est variable Selon les r ponses des l ves et nos observations cette in galit prend sa source aussi bien dans la strat gie emprunt e par l l ve que dans le type intrins que des ressources document utilitaire document culturel document illustratif etc Ainsi les ludiques d clarent les consulter chaque fois qu ils en ont besoin l
138. encadrement des cours distance profils tudiants Distances vol 5 n 1 printemps pp 99 111 http cqfd telug uquebec ca D5 1 f pdf Consult en mars 2005 PoLiTY 2001 amp PoLiTY Yolla 2001 ments pour un d bat sur l interactivit Universit Pierre Mend s IUT2 Grenoble Communication au groupe de travail Th ories et Pratiques scientifiques TPS de la SFSIC le 19 octobre http www iut2 upmf grenoble fr RI3 TPS interactivite htm Consult en juin 2005 PoRQUIER 1984 amp PORQUIER R my 1984 Communication exolingue et apprentissage des langues dans PY Bernard Acquisition d une langue trang re A Presses Universitaires de Vincennes Universit de Neuch tel pp 39 52 90 6 RoBIAL 2004 KO RoBIAL Marc 2004 Communaut de pratique et travail collectif distance en documentation rapport de stage de DEA communication homme machine et ing nierie ducative Universit Le Mans ROSEN 2005 K Rosen Evelyne 2005 La mort annonc des quatre comp tences pour une prise en compte du r pertoire communicatif des apprenants en classe de FLE gt G ottopo Revue de sociolinguistique en ligne n 6 juillet pp 120 134 http www univ rouen fr dyalang glottopol telecharger numero 6 gpl6 O7rosen pdf Consult en juillet 2005 EGRE 6 SCAPIN 1986 K SCAPIN Dominique 1986 Guide ergonomique de conception des interfaces homme o
139. enqu te mais sa lecture doit tre rigoureuse sinon le lecteur se perd facilement dans une multitude d informations OUTILS MEPA 2D met la disposition des l ves quelques outils int gr s dans le dispositif Ainsi ils peuvent communiquer l aide d une messagerie instantan e ou noter leurs remarques dans un calepin qui est un diteur de texte L int gration de ce dernier outil nous a parue pratique puisqu elle permet de notifier toute sorte d information sans quitter le dispositif Son contenu est sauvegard durant plusieurs sessions de connexion 130 Selon une tude effectu e par le minist re de l Education la vitesse de lecture l cran d ordinateur est de 28 5 inf rieure celle d un imprim GILBERT 2003 18 131 Selon les travaux de Foss 1997 les lecteurs des documents comprenant des hypertextes auraient tendance feuilleter rapidement les pages plut t que de les traiter de facon approfondie et tourner en rond dans le syst me passant et repassant plusieurs fois par les m mes pages Selon d autres auteurs Rouet 1997 les hypertextes entrent en conflit avec la coh rence de la cha ne conceptuelle d un texte LANCIEN 1998 12 Rouet J F 1997 Le Lecteur face l hypertexte dans Apprendre avec le multim dia Paris C m a Retz dans LANCIEN 1998 58 11 4 3 Organisation du Tutorat nous semble que le potentiel de l identit fictive de l apprenant s amplifie da
140. ent ensuite et provoquait l abandon de la coop ration Or si les enseignants pouvaient g rer la mise en place des tests entre eux p ex sur un forum ce contact direct pourrait rendre l organisation plus efficace puisqu il permettrait une plus grande responsabilisation des participants vu qu ils s exprimeraient en leur propre nom sans passer par l interm diaire s curisant d une institution L id e de recourir ce type de communication n a t mise en place que tardivement D autres v nements se sont galement ajout s ces t tonnements ce qui a provoqu du retard par rapport aux d lais A titre d exemple citons des dizaines d heures de pr sentation du dispositif 81 plusieurs enseignants en connexion effective pour ensuite apprendre qu ils n avaient pas de classe de FLE Il est alors apparu n cessaire de changer galement d approche afin d viter ce type de RDV manqu s Avant d engager des d marches de notre part l quipe s assurait des intentions et des possibilit s r elles de chaque personne pour garantir le bon d roulement de l exp rimentation en lui adressant un mail avec la description pr cise du profil recherch Cette tape de stage exigeait galement une certaine promotion du produit distance ou sur place comme des traductions la gestion des forums ou des pr sentations aupr s des enseignants des institutions ou de la presse Par ailleurs toujours pour assurer les conditions optimales des tes
141. ent du site officiel du laboratoire Certaines conclusions des travaux de Monsieur LEHUEN ont t pr sent es lors de multiples conf rences d audience nationale et internationale Il est galement co auteur de plusieurs articles Les recherches effectu es par Monsieur LEHUEN abordent la probl matique du dialogue Homme Machine DHM dans le cadre d une situation d apprentissage d une langue trang re Ainsi le syst me CoALA constitue une proposition de solution dialogique pour compenser les lacunes ou les carts grammaticaux fr quents dans les activit s d apprentissage d une langue trang re L approche communicative adopt e dans la recherche susmentionn e contextualise la parole et conditionne son usage Ainsi l apprentissage d une langue trang re reposerait moins sur l acquisition de comp tences formelles que sur l acquisition de comp tences r f rentielles et strat giques de la communication La probl matique initiale sur le fonctionnement du dialogue avec des entr es linguistiques incompl tes ou agrammaticales reste toujours d actualit n anmoins son contexte conduit une autre interrogation comment transposer au sein d un syst me informatique les approches 15 Colloque Logo Congr s de robotique p dagogique Ecole d t sur les tuteurs intelligents congr s AIED Artificial Intelligence and Education etc 16 http www lium univ lemans fr lehuen autre html 17 La 27 me section correspond
142. ent m me de bloquer les joueurs dans les sc nes d cisives tant qu ils n obtiennent pas tous les renseignements Une autre proposition concerne une liste d objets trouver d informations obtenir de personnages interroger consultable tout au long du jeu 5 Cependant selon les recherches exp rimentales de Neville STANTON il n y aurait pas de meilleurs r sultats en apprentissage quand le syst me dispose d une carte des contenus que quand il n en dispose pas TRICOT 1998 60 L int gration des outils et des ressources sous forme de fen tres int gr es dans le cadre principal du logiciel sera pr voir pour les ouvelles versions du dispositif 71 cause Si l activit pouvait se d rouler en continu ces v nements seraient plus proches les uns des autres les associations plus faciles et donc plus significatives Etendus dans le temps certains incidents pourtant significatifs ont t simplement oubli s par les l ves C est d ailleurs pour cette raison que nous avons particuli rement insist sur l importance des mises en commun au d but et la fin de chaque session Concernant les ressources disponibles dans l environnement cf 111 4 2 nous distinguons les ressources permanentes le dictionnaire le conjugueur le Carnet de conversation et les ressources de type en savoir plus des zooms des informations suppl mentaires accessibles partir d un objet de la sc ne via URL Leur exam
143. entes tapes de l intrigue sous forme de graphe La pr sentation ainsi obtenue permettra une planification et une r partition plus ais es des t ches d apprentissage I est vrai que l activit de simulation globale est difficile g rer car c est une pratique p dagogique tendue dans le temps et complexe dans sa r alisation A notre avis la principale difficult de cette tape r side dans sa double dimension ludique en strict rapport avec l intrigue principale et p dagogique car l agencement de tous les l ments doit aboutir un ensemble signifiant et en l occurrence d clencheur de l apprentissage 11 est alors important de garder un certain quilibre et une coh rence entre ces deux dimensions C est pour cette raison que le graphe une sorte de carte graphique permettant la visualisation de la r partition de diff rents l ments et celle de l enchainement des tapes sera d une grande utilit Son tat initial comportera la distribution des sc nes d cisives correspondant aux principaux lieux th mes qui seront ensuite enrichis par les principales situations probl mes Nous obtenons ainsi le cadre fondamental de l activit L tape suivante consiste en la complexification du sch ma par l introduction de t ches sp cifiques partir des situations probl me visant la r alisation des objectifs p dagogiques sp cifiques ant rieurement identifi s cf 111 4 2 B Cette partie de la conception se concr tiser
144. entiques De ce point de vue ce type de dispositif peut apporter une certaine alternative bien que le probl me des documents p rissables demeure et exige une s lection pes e de documents Au del du canevas r alis pour la premi re version du dispositif il nous semble que si les possibilit s du logiciel informatique concu pour l h berger peuvent assurer une certaine interactivit durant la simulation la prise en compte de la cr ativit de l l ve reste difficilement envisageable or elle demeure essentielle pour le d veloppement et l implication de l l ve Evidemment il est possible d envisager l int gration de certaines productions des l ves dans le dispositif p ex des dessins scann s le changement de d cors d un lieu la demande des l ves prise en compte de certaines suggestions l int gration des affiches des annonces etc mais l tat actuel du dispositif exigerait une programmation suppl mentaire afin de la r aliser D s lors la conception d un diteur de sc nes facile d acc s m me pour les n ophytes serait d une tr s grande utilit et pourrait permettre aux enseignants respectifs de faire vivre le monde virtuel selon les conceptions des l ves En ce qui concerne les pertes les plus souvent mentionn es dans l tude des dispositifs p dagogiques par l interm diaire des r seaux il s agit avant tout de la richesse de l interaction humaine En effet les environnements technologiques tenten
145. enu plus important augmentait le temps de t l chargement notre quipe a t alors contrainte de les placer sur un c d rom Bien que le chemin entre la version initiale et finale ait t long il a t avant tout fructueux FFF 14 Pour visualiser l volution du dispositif se r f rer l Annexe D p 109 et l Annexe S p 144 65 IV EVALUATION IV 1 METHODOLOGIE Evaluer un dispositif p dagogique signifie mesurer son efficacit p dagogique Autrement dit l valuation doit se focaliser sur la r alisation des objectifs p dagogiques vis s par l activit Il est ainsi essentiel de v rifier si le dispositif m ne de facon significative l apprentissage de ses utilisateurs MELOCHE 2000 La consultation de la litt rature nous a permis de relever certaines divergences d avis de diff rents auteurs concernant les modalit s de l valuation d un multim dia p dagogique En ce qui concerne les modalit s de cette valuation les avis sont parfois partag s voire contradictoires Les principales controverses concernent le moment le public aupr s de qui l valuation devra s effectuer ainsi que ses crit res Quant au moment de l valuation les auteurs proposent d y proc der au cours de la conception p riodiquement apr s chaque phase de conception ou bien d valuer le produit fini Durant notre stage les valuations li es aux diff rentes tapes de notre travail avaient d abord lieu durant les mises
146. er les h sitations de la part de l tudiant amen jouer tant t le r le d un tudiant novice tant t celui d un professionnel essayant d en assumer les responsabilit s Ins r dans un cadre professionnel mais sans l exp rience n cessaire sa libert est souvent balis e par des consignes et un cadre pr cis de la coop ration tablie bien avant son arriv e S il souhaite gagner davantage de libert il doit faire preuve de pers v rance de force de proposition et d initiative Or le stage de LIUM offrait une toute autre situation compl tement diff rente voire in dite En effet d s le d but apr s la pr cision des grandes lignes de la conception nous avons obtenu carte blanche pour nos entreprises Aussi paradoxal que cela puisse para tre cette libert inattendue voire excessive a n cessit un effort d adaptation car il tait crucial d en profiter le mieux possible pour pouvoir mener bien le projet Nous nous sommes alors trouv e face diverses responsabilit s que ne devions apprendre g rer nous m me D habitude lorsqu un stagiaire effectue un stage il se situe dans un contexte proche de son domaine d tudes et se trouve entour de personnes ayant eu le m me parcours aupr s de qui il peut trouver conseil L encore le stage au LIUM pr sente une certaine particularit savoir le r le assign chaque membre Etant donn que chacun repr sentait un domaine diff rent son r le dans le projet par
147. er rapidement les informations trouv es p ex dans certaines ressources documentaires faut avouer qu il a t particuli rement utile lorsque les l ves se sont rendu compte que l organisation temporelle des sessions pouvait faire d faut leur m moire Ils se servaient alors de cet outil pour noter certains v nements pouvant avoir des incidences sur la suite de l histoire et s av rer ainsi cruciaux pour la compr hension des indices d couvrir Les joueurs avouent s en servir comme d un m mo plut t que comme d un v ritable calepin Rares taient les l ves 2 personnes qui appliquaient la consigne d y noter leurs impressions et observations pour les transmettre ensuite Yves Concernant la communication le pivot de l activit les l ves d clarent que les changes questions r ponses ou des changes conventionnels s tablissant parfois entre eux et les PNJs leur posent moins EG de difficult s que la formulation des demandes d aide Ces derni res n cessitaient une explication pr alable de leur situation des causes du probl me une logique et chronologie des v nements pour rendre leurs explications coh rentes Voici le sch ma le plus fr quent lors de l incompr hension lexicale le premier r flexe est d en discuter entre joueurs tout en s aidant du contexte de l nonc et en explorant le fond de la sc ne pour y retrouver la signification du mot incompris Seulement si ces recherches s av rent infruct
148. ergonomique et d autre part de guide pour l valuation cf V 4 du dispositif ainsi que pour la v rification de la pertinence des choix effectu s 89 L interview avec Hugues CHOPLIN ing nieur de l Ecole Nationale Sup rieure des T l communications ENST d partement Innovation P dagogique CHARLIE N 16 40 11 4 CONCEPTION PEDAGOGIQUE 11 4 1 Trame Intrigue Comme la SMV se place entre la simulation globale et le jeu vid o pour concevoir un canevas ludique attrayant tout en restant pertinent p dagogiquement nous nous inspirons d abord des r gles de sc narisation propres aux jeux vid os 111 4 1 et confrontons ensuite leur validit aux principes p dagogiques retenus 1 l 3 1 La r daction de la trame principale devra pr voir certaines caract ristiques des personnages intervenant les principaux lieux th mes ainsi que des situations probl mes Il est galement important de laisser dans la trame une certaine marge de libert afin que les tuteurs puissent cr er de nouvelles situations probl me selon le d roulement du jeu et les r actions des apprenants m A Principes de sc narisation Ces principes constituent le r sum des tutoriels de sc narisation des jeux de r les disponibles sur Internet Intrigue Une intrigue labor e mais accessible trame principale et le but du jeu clairement tablis Une rigueur d enchainement entre les diff rentes sc nes prog
149. es Cette division bien qu approximative n a pas pu tre appliqu e durant toutes les tapes de la conception puisque pour viter plusieurs versions de l activit les derni res 14 Cf Annexe M 9 p 133 115 Le probl me du d chiffrage dans l activit de lecture est largement abord par Laurence LENTIN 1977 116 Le terme de groupe rythmique appara t pour la premi re fois en 1933 dans les travaux de Maurice GRAMMONT 7 a f de Plion tique 1 est employ pour qualifier du point de vue du rythme un ou plusieurs groupes accentuels reli s par le sens et s par s par une pause r elle 54 am liorations du dispositif ont t int gr es distance par la personne charg e de la conception du c d rom d installation MEPA 2D Nous avons galement essay de varier les modes de communication Si l l ve se trouve dans le m me endroit virtuel que son interlocuteur ils peuvent dialoguer l aide de nouvelles bulles ou de bulles automatiques accessibles depuis le menu de l avatar Pour contextualiser les interventions des apprenants nous avons attribu chaque sc ne un certain nombre d actes de parole Etant en troit rapport avec la situation de communication repr sent e dans la sc ne les actes de parole cadrent la communication et limitent les changes d riv s du sujet principal de la simulation Nous avons d abord recens tous les types de situation de communication pr sents d
150. es La conception et le d veloppement du dispositif impliquent plusieurs questions de recherche Si les questions li es la conception des activit s et leur exploitation p dagogique se posent en amont son exp rimentation fait merger de nouvelles probl matiques aussi bien dans le cadre de l informatique que dans celui de la didactique des langues De ce fait de plus en plus de sp cialistes s impliquent dans le projet en agrandissant son quipe De m me la mod lisation de l activit ainsi que le projet de sa r ing nierie pourront donner lieu une collaboration avec l quipe dirig e par Christophe CHOQUET REDIM 30 Cf ANNEXE D p 109 31 Reing nierie des EIAH Dlrig e par les Mod les 15 Par ailleurs MEPA 2D est concern par le contrat Etat R gion et fait partie du projet METEDI Ce dernier est centr sur l utilisation des NTIC pour l enseignement distance EAD Son objectif tant de d velopper des m thodologies et des technologies permettant de cr er et de diffuser des enseignements distance via Internet il se focalise avant tout sur l interaction enseignement collaboratif syst mes d aide interactive 1 3 2 Mission confi e Le premier rendez vous avec le responsable de stage a eu lieu en janvier 2004 Nous avons t retenue pour le stage MEPA 2D qui d butait officiellement le 1 avril 2004 Durant les mois pr c dant la date officielle de notre formation alors que le dispositif inf
151. es la disposition des l ves l efficacit et l usage des actes de parole dans les communications avec les g nies ainsi que les modalit s de communication dans le dispositif au sens large Nous interrogions ensuite les l ves sur leurs appr ciations de l ergonomie de l environnement sur les difficult s rencontr es durant les sessions sur leurs valuations des apports p dagogiques de MEPA 2D et sur les modalit s du tutorat Lorsqu une discussion s engageait entre les l ves nous r sumions syst matiquement leurs conclusions et demandions la confirmation de l exactitude de ces paraphrases De cette mani re nous nous assurions de la bonne compr hension des propos des l ves Un r sum marquait galement la fin de chaque partie et donnait l occasion aux l ves de rectifier nos ventuels erreurs d interpr tation Nous pouvons dire aujourd hui que le r trocontr le obtenu de cette forme d entretien nous para t le plus riche puisqu il a fourni des r ponses spontan es compl tes justifi es nuanc es illustr es d exemples pr cis et a donn lieu un d bat int ressant entre les participants Cette rencontre nous a galement permis de conna tre leurs r actions les ressentis traduits par la gestuelle les expressions du visage les attitudes ou le ton de leurs r ponses L change avec les l ves nous a permis d identifier de nouveaux l ments d valuation dont nous nous sommes inspir e pour compl ter le questi
152. es Tor Lu Fenn eme 92062096565 Sue Loud ct Source http www web3d fr com articles blaxxun Xerox article php Exemple d environnement 3D de simulation Exills 2002 labor par le centre de recherche de Xerox Grenoble Le projet a t abandonn can be used to starta conversation at any tme in v 0 marHaba hello 3 Source http www isi edu hannes publications TSEC2004 pdf Exemple d environnement TLTS 2004 pour l apprentissage de la langue arabe projet en cours labor par University of Southern Califonia s Informatio Sciences Institute en coop ration avec U S Military Academy ANNEXES 111 Je suis pret le r soudre J ai un probl me J ai une vision claire du probl me Je me pose une question J ai une vision daire de mes Jg dois accomplir une che intentions Je veux r aliser quelque chose Je sais ce dontj ai besoin J ai un projet J ai un minimum de motivation veux am liorer mon sort J ai un minimum de confiance Je poss de les prealables n ammmmlir Ia trr Bssale cd I 211 Je CNE IMMENCE m ET t mes Je d veloppe une comp tence J accamplis des des similaires J acomplis des taches similaires mais plus difficiles J arcomplis des taches similaires mais dans d autres contextes J accomplis nimporte quelle t che de ce t
153. es BA Caf s amp cabarets y Cath drale Sacr Coeur Espace Salvador Dali Montmartre it Place du Tertre Mus e d Art Naif Lapin Agile e de SR Moulin Rouge Mus e de Montmartre Sabot Rouge Mus e Salvador Dal Au coeur de Montmartre deux pas de la place du Tertre l univers fantasmagorique de Salvador Dali travers une collection de sculptures et d illustrations unique au monde Collections sculpture lithographies illustrations EAdresse 11 rue Poulbot Espace Montmartre 01 42 64 40 10 Ouverture 10h 18h M tro Abbesses ligne Guide de Paris illustration des endroits de la SMV sous forme d un site WEB ANNEXES 139 Consulter l itin raire mec KH DOGO RATP ei Un bout de chemin ensemble Afin de visualiser votre itin raire appuyez sur la touche correspondant votre trajet esse ur DE n ABBESSES CLIGNANCO AUSTERLITZ MIRABEAU MONTPARNASS ABBE PASSY MONTPARNASSB Sr RSC pe ABBESSES de GAULLE AUSTERLITZ SEVRES MONTPARNASSE deGAULL PASTEUR TROCADERD x d d ABBESSES LACHAISE MIRABEAU AUSTERLITZ AONTPARNASSE JUSSIER PT CLICHY ALESIA I ABBESSES MONTPAR MIRABEAU INVALIDES MONTPARNASSE NATION SEVRES ABBESSES 3 ABSESSES SEVRES MIRABEAU PASTEUR MONTPARNASSE PASSY SEVRES AUSTERLITZ gt aus CERTES Ki SE BU Pre
154. es dans les sc nes pr c dentes Selon les diff rents objectifs des tapes de la s ance au del des communications qui restent la principale activit des joueurs les apprenants sont amen s faire des recherches documentaires remplir des formulaires administratifs comprendre et v rifier la v racit des paroles des chansons etc 115 sont galement invit s informer Yves de l avancement de leur enqu te via mail ce qui donne lieu aux productions narratives et descriptions chronologiques de leurs actions Nous avons cr et param tr un compte mail fictif pour que tous les messages post s par les apprenants et destin s Yves soient rediffus s l ensemble des enseignants participants 115 restent ainsi au courant des actions effectu es par les l ves et peuvent intervenir en fonction L valuation dans MEPA 2D s effectue de mani re pragmatique Face une multitude d informations l apprenant est oblig de proc der une s lection selon ses objectifs La r tention des renseignements pertinents et leur reproduction au moment voulu lui permettra d estimer ses performances effectives Son jugement sera alors confirm ou infirm par l action d clench par le syst me une indication suppl mentaire un r sultat imm diat etc La r gulation s accomplit au moyen des interventions des g nies et celles des personnes tuteurs La troisi me phase d interconnexions sous forme d un r capitulatif commun pr v
155. es et leur m lange pourrait s av rer d stabilisant notamment pour les apprenants d un certain ge pour qui la juxtaposition de ces deux types d v nements ne ferait pas sens et pr terait confusion Le fantastique par contre attire l attention et maintient la curiosit provoque un v nement inattendu et une chute 45 11 4 2 Construction amp d veloppement m Sch ma de l activit Le canevas g n ral de la simulation nous permet d sormais d identifier les principaux lieux th mes Ces lieux th mes vont ensuite h berger des situations probl me group es en tapes et ayant pour objectif d exposer les apprenants aux diverses difficult s cherchant d velopper des comp tences en rapport avec les objectifs de l apprentissage Pour nous aider concevoir les principales situations probl me de mani re coh rente nous avons d abord cr le sch ma minimal cf figure 5 Ainsi le dispositif informatique constitue le cadre accueillant une activit en termes didactiques celui de s quence serait mieux appropri Cette activit est cr e afin de r pondre aux objectifs g n raux d apprentissage Chaque s ance correspond une session de connexion effective A son tour chaque s ance est divis e en tapes qui sont des unit s didactiques souvent d limit es par la logique de l intrigue correspondant un lieu th me avec des objectifs p dagogiques sp cifiques La dur e de chaque s ance d
156. es tu de l aide Yves 7 IL 20 Tu ne fais rien Tu attends iL 20 20 Autre r ponse Organisation collective Est ce facile de s organiser avec les autres joueurs iL 2L 30 Quand on est organis gagne t on du temps 11 20 30 Pr f rerais tu que l organisation soit impos e dans le jeu Oui Comment t organises tu avec les autres joueurs Ta r ponse Compr hension Quand tu entends la voix d un personnage pr f res tu pouvoir lire ce qu il dt Aimes tu l affichage successif des paroles des personnages dans les bulles de texte 2 Oui Apprendre le fran ais ees 11 2L 30 Conna tre de nouveaux mots nouvelles expressions 11 20 3L Mieux conna tre la France iL 2L 30 Mieux conna tre les habitudes des Francais IL 20 3L S entrainer en fran ais 2 20 20 Tester ton fran ais 2 20 20 Voir des situations concr tes de la vie quotidienne 11 20 3 Conna tre quelques monuments 11 2L 30 T obliger communiquer en fran ais sans passer ta langue maternelle 7 IL o 3L Mieux conna tre la culture fran aise IL 20 3L Mieux m moriser les nouveaux l ments iL 2L 301 Pourquoi Parce que tu peux voir tout de suite
157. esponsable de la formation T l phone 33 0 2 43 83 31 69 37 89 Fax 33 0 2 43 83 37 76 FLE univ lemans fr A l Universit l enseignant charg du suivi du stagiaire est D tail des objectifs qe et activit s co ner Cean gt CN Art 6 Durant son stage l tudiant est soumis la discipline de l entreprise en ce qui concerne les visites m dicales et les horaires L tudiant stagiaire prend l engagement de n utiliser en aucun cas les informations recueillies par lui en vue de son rapport de stage pour en faire communication des tiers ou en susciter la publication sauf accord avec l entreprise Art 7 En cas de manquement la discipline le chef d entreprise se r serve le droit de mettre fin au stage de l tudiant stagiaire fautif apr s avoir pr venu le responsable de la formation ANNEXES 105 Art 8 Les stagiaires ne peuvent pr tendre aucun salaire Toutefois lorsqu un travail productif est demand aux stagiaires une gratification peut tre envisag e L opportunit et le montant de cette r mun ration sont laiss es l appr ciation de l entreprise dans les limites d finies par l article 9 Les frais de formation n cessit s ventuellement par le stage sont la charge de l entreprise x peut verser au stagiaire une indemnit destin e couvrir les frais particuliers occasionn s par le stage Art 9 Pendant le stage si l tudiant n est pas r
158. essentir une vraie urgence justifi e d ailleurs par l appel au secours d Yves Toutefois ce d faut ne d range pas les l ves qui consid rent MEPA 2D comme un jeu surtout ducatif d sormais explorateurs Ces derniers souhaitent m me prendre davantage de temps pour explorer les sc nes pour poser des questions et observer les r actions des personnages Pour eux le suspens est qualifi de secondaire La plupart des participants estiment leur r le comme actif et leurs actions comme ayant une certaine influence sur le jeu ainsi que sur la fin de l histoire Certains remarquent qu il faut tre malin bien utiliser la parole savoir questionner les personnages du jeu et m me les manipuler pour pouvoir percer le secret du coffre aider Yves et mener bien la mission confi e Rares sont les sceptiques 3 personnes persuad s que la SMV n est qu un jeu o tout est programm l avance Quant l organisation ergonomique du jeu cf 111 3 2 les l ves ne rencontrent pas de probl mes particuliers de navigation utilisation de menus d placements de l avatar ou des objets Souvent ils avaient besoin d un certain temps de familiarisation dont la dur e d pendait de la qualit de la pr paration pr alable en pr sentiel assur e par les enseignants Le mouvement dans le monde virtuel a t jug facile l exception de certaines sc nes passages multiples s agit notamment des sc nes de m t
159. et de baser la cr ation de l activit sur ces g n ralit s Nous commengons par les pr requis les plus l mentaires Compte tenu de la nature du dispositif les l ves doivent tre familiaris s avec l outil informatique et avoir une certaine aisance dans la navigation et la recherche documentaire sur Internet Ils doivent avoir l habitude ou au moins une exp rience du travail en groupe Il sera judicieux d engager des l ves issus de milieu h t roglotte et r sidants hors de France avec un faible contact avec la soci t cible C est avant tout ce type de public qui pourra appr cier les nouvelles possibilit s de reproduction des dimensions socioculturelles dans le dispositif Pour que le fran ais soit employ comme une v ritable langue de communication il sera int ressant de croiser des l ves de nationalit s diff rentes Pour largir notre public cible il convient 32 d opter plut t pour une th matique g n rale de simulation pouvant int resser des l ves d une tranche d ge assez large Le probl me qui se pose ce niveau ne concerne pas tellement la conception et le contenu de l activit ludique mais plut t son exploitation p dagogique En effet comment adopter cette exploitation un public inconnu Afin de pr ciser les caract ristiques linguistiques du public cible potentiel nous avons contact des professeurs trangers de FLE s activant sur des forums ducatifs et tant la recher
160. etetp creation collective htm http wwwadm admp6 jussieu frangais fp uaginternetetp jeu de role htm http wwwadm admp6 jussieu frangais fp uaginternetetp definition travail collaboratif htm Q Sc narisation p dagogique e Met pour une utilisation P dagogique de l Internet Recherche sur l Instrumentation la Formation et l Apprentissage CRIFA du Service de Technologie de l Education de l ULg et financ e par le Minist re de la Communaut frangaise de Belgique http www crifa fapse ulg ac be upi Consult en juin 2004 e D marche syst matique pour le d veloppement de sc narios p dagogiques http www scedu umontreal ca profs viens scenarios dem cadr htm Consult en mai 2004 e Grille d analyse du sc nario p dagogique enseignement strat gique http rtsq grics qc ca saqca Rythmes9620d apprentissages annexeb htm Consult en mai 2004 e WEBINTEC Portail p dagogique du CERAM Sophia Antipolis http webintec ceram fr ESCENARIO index php Consult en juin 2004 e Site sur la sc narisation des simulations cr par l quipe p dagogique de l AF de Toulouse http perso wanadoo fr aftlse tice plan site htm Consult en juin 2004 e site des sc naristes http www scedu umontreal ca profs viens scenarios Tempo Site scenaristes index htm Consult en mai 2004 e Site Thot dossier sur la sc narisation p dagogique http thot cursus edu rubrique asp no 20976 Consult en mai 2004 e
161. excessivement rigide ne permet qu une transposition la rigueur une interpr tation du dialogue initial mais non pas une invention ou une simulation La situation semble artificielle suspendue dans le vide et invraisemblable car elle n est pas suffisamment ancr e On comprend alors mieux la d finition disponible sur le site de l Acad mie de Nantes o simuler veut dire inventer pour apprendre mais inventer en restant plausible il ne s agit pas de laisser libre cours l imagination des l ves mais d orienter de canaliser leur invention en choisissant un monde de r f rence La simulation pr conis e par Francis DEBYSER tente de neutraliser cette illusion du r el par une r alit de l illusion MALEY 1980 Pour r ussir cet enjeu la simulation est globale gt et de ce fait plus ambitieuse qu un simple jeu de r le il s agit de cr er progressivement avec un groupe classe un univers du discours complet avec son cadre ses personnages leur v cu individuel et collectif et leurs relations leurs interactions c est la construction collective d un monde v cu d une symbolique et donc d une culture partag e en langue trang re a P Dans une optique communicative cette langue est un outil qui sert communiquer dans un but donn et dans une situation pr cise Dans la situation d apprentissage il est donc essentiel de permettre l apprenant de d velopper ses comp tences et de pratiquer se
162. fets visuels et sonores de l humour VILLAGE HTTP Son Sous cat gorie e Assurer la possibilit de r gler le canal sonore TRIGANO 1998 e S assurer de l emploi judicieux du canal sonore p ex pas de bip d alarme pour une action courante TRIGANO 1998 Son L tiliser pour signaler des informations sp cifiques ou en renforcement d une information d j transmise TRIGANO 1998 Image Sous cat gorie e Les images doivent tre adapt es au contexte de l utilisation comme compl ment ou comme d coration TRIGANO 1998 e Image d clencheur Image moteur e Objectif Cr er des situations propices l apprentissage e Objectif Faciliter l acquisition et d veloppement des connaissances e Objectif Faciliter le transfert des connaissances de la m moire court terme vers la m moire long terme e Adapter le langage employ au public CINEMA HTTP image Motivation Motivation 119 Donner des introductions explicatives pour d buter les sections th oriques Avant de se plonger dans le contenu brut de la section l apprenant se pr pare assimiler les notions et les concepts que cette section va traiter CINEMA HTTP Pr senter l information en forme entonnoir du g n ral au plus pr cis pour favoriser l assimilation des connaissances CINEMA HTTP Utiliser les diff rentes d marches p dagogiques pour favoriser l acquisition des connaissances tous
163. ges syst me PNJ ou avec les tuteurs cf 111 4 3 Dans l id al un tel dispositif devrait permettre les moyens de communication les plus divers La prononciation et l expression orale constituent souvent les principales difficult s des apprenants en langue trang re elles peuvent alors devenir bloquantes lors des changes r els D ailleurs un certain succ s des m thodes de langes multim dias proposant l enregistrement de la voix et la r coute ou bien un pseudo change oral entre l apprenant et l avatar peut tre expliqu par la conscience de ces difficult s de l expression orale Toutefois la r alisation d un dispositif informatique supportant d une mani re convenable la communication orale distance et avant tout entre plusieurs participants ne semble pas possible l heure actuelle Comme le remarque Christophe DESPRES 2001 107 l utilisation du r seau Internet classique pose ses limites en mati re de d bit et de capacit transmettre des sources audiovisuelles en temps r el En effet le d bit maximum est li la capacit du maillon le plus faible de la chaine entre les deux postes Par cons quent si l un des utilisateurs utilise un modem classique la qualit de la vid o et du son s en trouve r duite consid rablement jusqu atteindre un niveau peu acceptable en particulier pour l oreille humaine tr s sensible la d gradation de la qualit sonore En attendant la d mocratisation des connex
164. h mes fixes et itin rants Ainsi une simulation comme l Exp dition ou encore le Cirgue permettent de changer de d cor plus fr quemment qu une simulation comme mmeuble 50 YAICHE 1996 26 51 Selon DEBYSER 1999 simulations g n ralistes gt et simulations fonctionnelles 21 Le r le de l enseignant dans ce type d activit est tr s important bien qu il n ait plus rien en commun avec la transmission des connaissances habituelle de cours Le professeur devient un v ritable tuteur une personne ressource une personne orchestre le maitre de jeu charg de sa sc narisation de la gestion de sa mise en forme et de la surveillance de la dynamique du jeu Il r partit les t ches entre les l ves les conseille et les guide dans leurs entreprises veille galement au bon d roulement de l activit tout en vitant les st r otypes et en valuant les actions des l ves L organisation des t ches s effectue en groupe et est suivie des mises en commun Les exercices alternent des travaux individuels et des t ches en sous groupes qui s appuient sur les documents soigneusement choisis par l enseignant et accompagn s d une exploitation p dagogique Un des avantages des simulations globales est le recours fr quent aux documents authentiques En effet dans un milieu h t roglotte les apprenants n ont pas beaucoup de contact ni avec les natifs ni avec les l ments socioculturels du pays cible N anmoins une
165. he ou tre plac s dans des endroits strat giques constituant des issues naturelles de la vie r elle le prolongement d une rue une bouche de m tro un tourniquet l entr e d un train etc Pour obliger l apprenant observer l organisation des diff rents endroits dans la soci t cible nous privil gions les passages avant tout naturels et n employions les signes conventionnels p ex une fl amp che qu au dernier recours Toutefois au fur et mesure du d veloppement du dispositif les sc nes sont devenues denses ce qui a augment le risque de fausses manipulations Pour y rem dier nous avons d cid de signaler les passages par le cadre bleu fonctionnant comme une zone sensible apparition suite au passage de la souris L interpr tation de l organisation conventionnelle propre la soci t cible ex panneau sortie ou universelle symbole d escalier peut alors tre facilement v rifi e par un simple passage de la souris Si ce moment l endroit s entoure d un cadre bleu l apprenant sait que le rep rage de l issue est correct Tout type de mouvement peut s effectuer de deux mani res en manipulant les objets p ex d placer l avatar sur une zone sensible superposer un objet sur l avatar pour l acqu rir ou en s lectionnant dans les menus contextuels des objets l item correspondant l action effectuer Ce double mode constitue une adaptation du syst me aux diff rents styles des apprenants et r pond au prin
166. hension chaque consultation d un document audio visuel important pour la suite de l intrigue Le fait qu un seul apprenant ait v ritablement respect la consigne de contact crit avec Yves pourrait d ailleurs prendre source dans une relative inadaptation de la version actuelle de l environnement au partage d actions En effet si l un des participants d cide de r diger un message ses camarades ne peuvent que lui soumettre d ventuelles suggestions sans vraiment participer la t che Ainsi l int gration de certains outils de partage semble galement indispensable compte tenu du caract re collectif de l activit Par ailleurs la mise en place de ces outils permet d anticiper les ph nom nes de d mission en imposant l accomplissement d une t che par l effort conjoint des diff rents acteurs est vident que la version actuelle du prototype n cessite certaines modifications car son cycle de vie ne vient que de commencer N anmoins compte tenu de l enthousiasme qu il veille chez les apprenants dont l engagement la disponibilit ainsi que la note globale lev e attribu e par l ensemble des l ves en font preuve nous sommes confiante en ce qui concerne les multiples possibilit s de la SMV restant encore d couvrir D ailleurs le d veloppement proche du projet pr voit des coop rations tr s prometteuses comme l int gration d un syst me multi agents pour une autonomie de comportements du micro monde les
167. iciel vers l ext rieur garantissant la possibilit de contacts humains ponctuels Nous nous sommes alors int ress e aux possibilit s offertes par cette ouverture des supports p dagogiques Notre attention a t particuli rement attir e par les dispositifs permettant des activit s d apprentissage collectif et l aide apport e aux apprenants sous forme de tutorat en ligne Compte tenu de notre parcours la proposition du stage MEPA 2D au Laboratoire d Informatique de l Universit du Maine LIUM concernant la conception d environnements de communication et de simulation pour l apprentissage collectif a videmment retenu notre int r t En effet cette exp rience correspondait tout fait nos attentes Un travail sur un dispositif ouvert nous donnait la possibilit de trouver des r ponses aux questions suscit es et de v rifier nos hypoth ses mises durant le stage pr c dent Par ailleurs le fait que la formation se d roule dans un laboratoire de recherche constituait pour nous un atout et une motivation suppl mentaire En effet n ayant jamais travaill dans ce milieu professionnel nous attendions avec impatience la d couverte du croisement d un monde professionnel et universitaire l alliance entre le monde du travail et celui de la recherche 1 Ces exp riences se r sument aux 6 mois d enseignement de FLE dans un tablissement public un an de pratique dans un centre priv de langues en Pologne et quelques stages
168. iens formats GILBERT 2003 Langage de balisage extensible Standard d fini par le W3C qui permet de cr er des langages de structuration de donn es sp cialis s et personnalis s Le XML est ainsi ce qu on appelle un m ta langage mais aussi un format de fichiers Les langages bas s sur XML permettent de manipuler traiter et communiquer toutes sortes de donn es et de textes ANNEXES 102 ANNEXES MINISTERE DE L EDUCATION NATIONALE DE LA RECHERCHE ET DE LA TECHNOLOGIE ACADEMIE DE NANTES CONVENTION DE STAGE Art 1 La pr sente convention intervient entre L Universit du Maine repr sent e par Monsieur Maurice HENRY Pr sident de l Universit susnomm e assist de Monsieur Abdelouahade MOUBARKK Directeur de l UFR Lettres langues et sciences humaines adresse Avenue Olivier Messiaen 72085 Le Mans Cedex 9 T l 33 0 2 43 83 30 00 Fax 02 43 83 30 77 et L Entreprise ou groupement adresse Ms Moe ge Let T l OLEDE IF SR Fax 02 643 9223 6 8 Adresse du lieu de stage si diff rente de la pr c dente yo ARE TU TIT Fax Art 2 La pr sente convention concerne le stage de formation professionnelle pr vu en vue de la d livrance du dipl me D E S S Formation aux m tiers des langues et effectu dans l entreprise cit e M AAT LANI tudiant l Universit adresse de l tudiant E A RVE ART Q2 SQ LR GARENNE CRABE S Tel 21 25 5 2 1
169. ieurs travaux de recherche et de guides d valuation des dispositifs multim dias nous avons recens les principaux crit res de cette valuation afin de nous aider dans ce choix d ordre ergonomique lors de la conception de l activit D une mani re g n rale la plupart des auteurs distinguent les crit res purement ergonomiques et ceux qui restent en rapport avec la p dagogie d un SAMI Etant donn que la plate forme informatique recueillant l activit concevoir existe d j certains choix ergonomiques tant d j effectu s par son concepteur nous nous sommes focalis e avant tout sur les crit res ergonomiques dominante p dagogique Nous distinguons ainsi sept grandes cat gories le guidage le contr le l efficacit l interactivit la charge cognitive l usage des multim dias et les strat gies p dagogiques Le guidage peut tre d fini comme l ensemble des moyens mis en uvre pour conseiller orienter informer et conduire l utilisateur lors de ses interventions avec l ordinateur TRIGANO 1998 I sera alors question d effectuer des choix ergonomiques permettant aux apprenants de bien appr hender l interface et d avoir une id e claire des possibilit s de navigation dans le dispositif La coh rence externe concerne la clart de l interface qui doit tre compr hensible et libre de toute ambigu t Les symboles utilis s dans le syst me doivent faire r f rence au monde connu de l utilisateur sinon il risque d
170. if Un simple clic depuis la liste des sc nes permet l enseignant de visualiser le type et l importance de la sc ne passage carrefour impasse le vocabulaire accessible gr ce l exploration du fond de la sc ne les actions effectuer par les apprenants les indices et les l ments importants pour la suite du jeu les dialogues assist s par les bulles automatiques sollicit s par les g nies les strat gies observer ainsi que les suggestions d interventions des tuteurs Par ailleurs depuis la liste des participants disponible sous l onglet de la messagerie instantan e un simple clic sur un des pr noms permet de v rifier o se trouve le joueur et de le rejoindre imm diatement dans la sc ne concern e Pour pr server le caract re anonyme des t ches tutorales l enseignant peut choisir d intervenir en tant invisible ou d apparaitre sous une des multiples apparences dont est dot le menu de son personnage Ainsi chaque tuteur dispose d un avatar d Yves de celui d un personnage neutre passante agent RATP et de celui d un individu suspect cens poursuivre le groupe d amis d Yves Les enseignants peuvent galement communiquer entre eux via la messagerie instantan e lls sont alors amen s n gocier entre eux les formes d interventions d laborer collectivement les mini sc narios des incidents g n rer et de se tenir au courant de l avancement des apprenants Le tuteur peut aussi envoyer un message l ense
171. ifs Pour une situation d changes d terminants l apprenant doit tre impliqu et pour tre impliqu il doit retrouver dans cet change des l ments loquents de ses propres savoirs Ainsi nous abordons le sujet de la zone proximale de d veloppement ZPD et celui de l importance de l interaction sociale de l approche socioculturelle Le socioconstructivisme ainsi que l approche socioculturelle consid rent mais pour des raisons diff rentes l interaction sociale comme un l ment crucial pour le d veloppement de l enfant Alors que Jean PIAGET affirme que l interaction permet l enfant d ext rioriser ce qu il a d j d velopp intrapsychisme et transforme ainsi un tre gocentrique en un tre social Lev 1896 1934 estime plut t qu elle est un lieu privil gi de co construction de ses savoirs interpsychisme car absolument tout dans le comportement de l enfant est fondu enracin dans le social VYGOTSKY 1934 D ailleurs contrairement Jean PIAGET Lev ne voit pas l enfant comme un tre gocentrique qui se sociabilise gr ce aux changes avec l entourage mais comme un tre capable car sociable d s le d part d individualiser ses exp riences l aide de son entourage Dans le domaine de l acquisition du langage les relations tablies entre le d veloppement et l apprentissage conduisent Lev d finir son premier mod le de d veloppement dans
172. ignants Le dernier volet Bilan permet aux apprenants de nous faire part de leurs commentaires libres et de leur appr ciation g n rale du dispositif note globale Les forums d changes constituent la derni re source d appr ciations Sans tre un v ritable outil de recueil de donn es certains changes sur les forums nous paraissent significatifs et apportent de nouvelles pistes pour l am lioration du dispositif MEPA 2D IV 4 2 Synth se Bien que l analyse du dispositif ne fasse pas explicitement l objet de notre mission gt il nous tait difficile de concevoir une activit sans connaitre sa pertinence effective ainsi que l avis des utilisateurs Nous l avons alors termin e par une valuation ainsi que par quelques suggestions d am lioration Dans le pr sent travail nous n exposerons que les principaux axes de ces conclusions en nous r f rant aux crit res de conception mentionn s auparavant En r gle g n rale le canevas de la SMV cf 111 4 1 est appr ci dans sa totalit par la majorit des l ves Cependant face la g n ration des jeux vid o c est la question du suspens dans l histoire qui semble diviser les participants Les uns voient avant tout le c t ludique du jeu d sormais ludiques et consid rent qu il n y a pas assez de suspens Ces joueurs ne sentent pas de tension ou d obligation de r sultats ils voudraient alors voir dans l histoire plus d v nements drastiques afin de r
173. ion nous avons pu observer et r fl chir sur les perspectives et les limites d un support p dagogique de type ferm Bien que le c d rom puisse tre utilis dans un milieu institutionnel et de ce fait tre exploit dans une collectivit le plus souvent c est un produit destin au grand public utilis pour un apprentissage personnel et isol Les concepteurs insistent alors sur la qualit ergonomique une navigation intuitive une certaine interactivit et un syst me d aide solide afin de permettre l apprenant d avancer son rythme et d adapter les contenus ses besoins et son niveau Ces caract ristiques constituent d ailleurs les points forts des c d roms de langues En revanche la principale faiblesse des supports de type ferm r side dans leur faible capacit de feedback Le plus souvent l valuation n est que sommative et se limite une appr ciation quantitative en comparant la production de l apprenant un mod le ou une base de donn es Comme la machine ne peut reconnaitre que ce qu elle connait d j et que le concepteur n est pas en mesure de pr voir toutes les r ponses possibles ce type d valuation reste r ducteur et insuffisant notamment pour tout type de production libre S il est donc possible de d velopper en autonomie compl te ou partielle des comp tences de compr hension les comp tences de production pour leur part n cessitent une intervention humaine ou au moins une ouverture du log
174. ion devrait leur mettre la puce l oreille sinon c est une information qui les aidera plus tard 115 trouvent galement UNE CLE Le Petit Prince es Sur le chemin du retour ils passent c t d un arr t de bus Ils peuvent prendre le bus en direction de Montmartre S ils continuent pour prendre le m tro ils vont apprendre que suite un incident technique le trafic du m tro est perturb Un agent RATP leur conseille alors de retourner prendre le bus De retour au mus e Montmartre En effet la cl permet d ouvrir le coffre Les apprenants y trouvent une rose une charpe ressemblant celle du Petit Prince des dessins dont le style fait penser aux dessins trouv s au grenier un bijou repr sentant un petit gar on une photographie d chir e et sign e Marie et une lettre adress e Louise sign e Antoine Dans la lettre Antoine pr sente ses excuses Louise il parle de la photographie qu elle a d chir e la photographie d chir e est pourtant sign e Marie Antoine exprime ses sentiments d amiti et parle d une rose tr s importante offerte Louise Les objets ne leurs parlent pas vraiment lls ont s rement une certaine valeur pour Yves qui trouve ainsi des souvenirs de sa grand m re mais l nigme ne semble pas lucid e bien au contraire Que veut indiquer l affiche trouv e sous le pont L charpe et le bijou font penser au personnage repr sent
175. ion synchrone entre des pairs distants et un travail collaboratif Afin de mesurer l apport des modifications du contexte de la simulation globale nous nous proposons pr sent d tudier les sp cificit s de l activit collective 62 D apr s une enqu te r cente les trois quarts des jeunes entre 8 et 15 ans et pr s de 40 des plus de 15 ans ont acc s des jeux vid o Ils consacrent en moyenne quatre heures par semaine cette activit Les jeux sur r seaux t moignent de la cr ation d une sociabilit virtuelle donn e importante analyser un moment o les classes virtuelles sont d actualit EDUCNET HTTP 63 L environnement Kid ville de la soci t KanoBAs est un exemple de monde virtuel en 3D et accueillie des simulations civiques dans des d cors tr s r alistes symbolisant des villes r elles KanoBAs HTTP Pour consulter d autres exemples de simulation en 3D se r f rer l Annexe E p 110 64 Dans LEGROS PUDELKO CRINON 2001 65 s agit notamment du d veloppement des cartes mentales 7enta map du travail sur la perception visuelle de la perception spatiale ou de la d couverte inductive des r gles r gissant l environnement 25 1 2 ACTIVITE COLLECTIVE 11 2 1 Collaboration coop ration L apprentissage collectif semble avoir une importance particuli re notamment dans toute formation distance Une activit collective permet de compenser l isolement d un apprenant
176. ions haut d bit dans l ensemble des tablissements scolaires il semble alors plus prudent de r duire cette communication un change crit en temps r el d autant plus qu il pr sente certains avantages par rapport la communication audio visuelle Ce mode de communication permet galement de r cup rer les traces crites pour l valuation des actions des apprenants mais aussi pour les analyses de l activit et les futures am liorations du dispositif Si l expression orale n est pour l instant pas envisageable nous avons dot les g nies de voix en exposant ainsi les apprenants aux chantillons oraux de la langue cible s agit d une oralisation de l crit redondance p dagogique L nonc du PNJ apparait dans une bulle de texte et est accompagn d un enregistrement sonore de la m me r plique Un certain d calage entre les deux versions de la r plique oblige les apprenants essayer de comprendre d abord la version sonore pour ensuite v rifier leur compr hension face au texte Initialement la bulle de texte comprenait la totalit de l nonc Rapidement le volume de certaines r pliques nous a oblig e r fl chir sur une ventuelle division du texte La premi re id e d apparition de texte lettre par lettre a t abandonn e face aux ventuels probl mes de d chiffrage pouvant affecter la compr hension de la lecture Nous avons alors opt pour un affichage des r pliques divis es en groupes rythmiqu
177. issances du fran ais n 36 avril pp 63 75 http www mission laique com enseignants pdf franc36 cf36p63 pdf Consult en avril 2005 e DE CARLO 1998 amp DE CARLO Maddalena 1998 Z nterculturel Cl International Paris e DoMasiK BiLOCQ 2001 amp DoMasiQ BiLoco Marie Claire 2001 Tuteur en formation distance une fonction facettes multiples m moire de D E S en Technologie de l Education et de la Formation Ulg FUNDP e DEPOVER 1994 K DEPOVER Christian 1994 Probl matique et sp cificit s de l valuation des dispositifs des formations multim dias gt Zatucatechnolagiques vol 1 n 3 septembre http www sites fse ulaval ca reveduc html vol1 no3 probl html Consult en mai 2005 e DEPOVER ET AL 2003 amp DEPOVER Christian QUINTIN Jean Jacques DE LIEVRE Bruno 2003 La conception des environnements d apprentissage de la th orie la pratique de la pratique la th orie gt 4 54 vol 3 n 1 3 18 http alsic u strasbg fr Num5 depover alsic n05 rec4 htm Consult en janvier 2004 e DEssus MARQUET 1990 lt DESSUS Philippe MARQUET Pascal 1990 Outil d valuation de logiciels ducatifs Ze bulletin de LEPI n 60 d cembre http www epi asso fr revue 60som htm p dagogie Consult en mai 2005 e DEVELOTTE amp LANCIEN 1996 amp DEVELOTTE C LANCIEN T 1996 Multim dias grand public e
178. ission par les apprenants L enseignant leur pr sente une 2 vid o provenant cette fois ci d Yves Le personnage expose son probl me met des hypoth ses sur l origine du myst re et propose un plan d action Il pr sente aussi des indices des consignes ainsi que le type de coop ration mettre en place entre les l ves et lui m me 11 s agit donc du principe de mise en situation issu de la th orie de l activit favorisant la fonction d appropriation de l apprentissage par l l ve Pour donner un sens la situation d apprentissage les instructions doivent s inscrire dans un contexte qui permettra l apprenant de savoir ce qu il doit faire DUFRESNE HTTP ce niveau il est essentiel de placer l apprenant dans une situation active son comportement pourra avoir une importance primordiale dans le processus d apprentissage De ce fait une mauvaise interpr tation ou une incompr hension des t ches accomplir peuvent le conduire de graves erreurs ou un sentiment d chec GuERAUD amp CAGNAT 2003 Etant donn que le niveau linguistique du public peut tre in gal nous avons pr par deux versions de cette vid o La premi re privil gie la compr hension orale tandis que la deuxi me s adresse aux apprenants ayant besoin d un appui textuel pour acc der la compr hension des r pliques Le travail sur la compr hension de la vid o est galement un moment propice la n gociation du sens et la v rifi
179. it pas tre per u uniquement comme un l ment purement technique puisqu il aura galement des retomb es sur les habitudes de l usager et donc influencera son activit d apprentissage L environnement devra pr voir des options de gestion des erreurs fournir des messages d erreurs mais aussi permettre l apprenant de les corriger En relation avec le contr le il doit galement prot ger l usager contre les fausses manipulations Selon le dictionnaire Larousse 1996 le terme de l interactivit signifie la facult d change entre l utilisateur d un syst me informatique et la machine par l interm diaire d un terminal dot d un cran de visualisation En simplifiant on peut dire que le terme nteractivit se r f re toutes les actions visant la communication entre l utilisateur et le syst me Il ne s agit pas seulement du mode conversationnel mais aussi des r actions du syst me aux actions de l usager Ce terme reste en rapport avec le contr le car en r agissant au comportement de l usager le syst me l informe de la prise en compte de son action De m me il influence la motivation et l implication de l apprenant Parmi diff rents types d interactivit les changes l initiative de l ordinateur sont pr f rables pour les utilisateurs inexp riment s mais deviennent rapidement lourds et ennuyeux ScAPIN 1986 Pour diversifier ce mode d autres processus plus complexes peuvent tre pr vus dans le syst me
180. ite voila fr http gifsanim free fr http www animationfactory com free sports sports_ page aa html GLOSSAIRE DTD amp ERGONOMIE FTP GIF GIF ANIME 4 HTML HYPERTEXTE M INTERACTIVITE INTERFACE 99 e Ree len C est une sorte de grammaire sous forme d un fichier qui d finit de mani re rigoureuse la structure et les types de donn es l ments attributs etc qui pourront tre int gr es dans le document conforme XML ou SGML Elle d crit galement les relations logiques entre ces l ments Un document qui adh re aux sp cifications d finies par sa DTD est consid r comme valide Eckstein amp Casabianca 2000 Discipline scientifique qui vise la compr hension fondamentale des interactions entre les tres humains et les autres composantes d un syst me et la mise en uvre dans la conception de th ories de principes de m thodes et de donn es pertinentes afin d am liorer le bien tre des hommes et l efficacit globale des syst mes L ergonomie pr conise une approche holistique qui tient compte de facteurs physiques cognitifs sociaux organisationnels environnementaux et autres http www ergonomie self organisation Pages argo DefErgo html File Transfer Protocol protocole de transfert de fichier Par extension nom de l utilitaire d Unix utilisant le protocole TCP IP pour t l charger des fichiers dans un sens ou dans l autre et d une facon g n rique nom des
181. iversit Cachet et signature pr c d e de la mention manuscrite Lu et approuv Pour le Pr sident de l Universit Le Stagiaire Directeur de F R Lettres Langues ou s il est mineur s n repr sentant l gal e T CN Le Responsable de stage NES Le Responsable de la Formation x J F BOURDET Exemplaire 1 Entreprise exemplaire 2 Universit exemplaire 3 Stagiaire Le code de la S S posant dans son article L 333 3 le principe de la t rritorialit des prestations les articles 8 et 9 de la pr sente convention ne s appliquent en toute rigueur qu aux stages se d roulant en France m tropolitaine ANNEXES 106 Annexe Descriptif du stage DESS Politiques linguistiques et technologies ducatives Sujet de stage Conception d une activit pour le syst me MEPA Titre Conception d une activit pour le systeme MEPA Encadrement J r me LEHUEN Maitre de Conf rences au LIUM Le sujet concerne la conception et l exp rimentation d une activit compl te dans le cadre du projet MEPA du LIUM Laboratoire d Informatique de l Universit du Maine Le th me g n ral de ce projet est la conception d environnements de communication et de simulation pour l apprentissage collectif d une langue trang re le fran ais en l occurrence MEPA Moteur d Environnement Partag est un syst me informatique client serveur qui permet des apprenants et des tuteur
182. l ments situations probl me cr s pour atteindre les objectifs d apprentissage Nous avons identifi 4 grandes cat gories la communication visant la comp tence linguistique la parole en contexte en rapport avec la comp tence sociolinguistique la dimension socioculturelle des situations et des comportements dans la soci t cible et les savorr faire en rapport avec des t ches fonctionnelles La communication tant le pivot de l activit il est d abord question de complexifier son cadre pour cr er le contexte des changes Le contenu des dialogues ne pourra tre labor qu partir du moment 38 Cf Annexe p 125 o toutes les sc nes et leurs objectifs pr cis seront identifi s C est pour cette raison que nous ne nous occupons de cette cat gorie qu ult rieurement cf 11 4 2 Communication Les trois autres cat gories d objectifs g n raux nous permettent de pr ciser les l ments des situations probl me 11 y est question de diff rents registres langagiers de la diversit d interlocuteurs celle des moeurs pratiqu es dans la soci t cible de l implicite culturel ainsi que des t ches fonctionnelles de la vie quotidienne Concernant la dimension socioculturelle nous nous sommes efforc e de varier le contexte socioculturel qui influencera les changes pouvant y avoir lieu Nous pouvons donc recenser des endroits publics gares caf s boutiques consigne bagage cin ma mus e etc
183. l a la qualit d assur social obligatoire L tudiant aura obligatoirement souscrit une assurance couvrant sa responsabilit civile aupr s de l organisme d assurance de son choix enfin l entreprise doit elle m me avoir souscrit une assurance de responsabilit civile Si des avantages en nature sont attribu s sans gratification en esp ce deux situations sont envisager 1 valeur de l avantage en nature est inf rieure ou gale 30 du SMIC aucune cotisation salariale n est due et l int gralit des cotisations patronales de s curit sociale y compris la cotisation accident du travail doit tre vers e sur la valeur de la formation professionnelle soit 25 du SMIC la valeur de l avantage en nature est sup rieure 30 du SMIC aucune cotisation salariale n est due mais l int gralit des cotisations patronales de s curit sociale y compris la cotisation accident du travail doit tre vers e sur Ia valeur de la formation professionnelle soit 25 du SMIC plus la valeur de l avantage en nature Art 10 A la fin du stage l entreprise d livre l tudiant stagiaire un certificat pr cisant la nature et la dur e du stage Le responsable de formation demande au chef d entreprise son appr ciation sur le travail du stagiaire Art 1l Si le stage est prolong titre exceptionnel de quelques semaines un avenant doit tre ajout cette convention L tudiant doit continuer faire partie de l un
184. l adaptation aux r gles mises en place par l quipe qu il int gre Il est alors crucial de savoir discerner rapidement son fonctionnement afin de pouvoir ensuite y exister part enti re Tout d abord ce fonctionnement concerne l institution d accueil Nous avons eu la chance d effectuer notre stage dans un laboratoire un milieu sp cifique se pla ant entre le monde universitaire et le monde du travail Si nous devions valuer les conditions de travail dans ce milieu avec celles offertes dans une entreprise nous aurons tendance dire qu un tudiant trouvera des points de rep re plus facilement dans le milieu de la recherche que dans celui d une soci t Les stages en entreprises ont souvent ce c t frustrant li aux strat gies commerciales surtout pour un tudiant qui essaie d appliquer ses connaissances th oriques pour trouver la meilleure solution pratique et qui finalement se heurte au conflit d int r t entre la conception th orique et la production finale r pondant aux attentes commerciales Or ce probl me ne s est pas pos au LIUM car toute l quipe MEPA 2D tait la recherche des meilleures solutions informatiques et didactiques pour l apprentissage sans songer la commercialisation du produit Les efforts communs bas s sur les m mes principes de travail tendaient vers le m me objectif celui de l efficacit p dagogique du produit Les seuls compromis qui avaient lieu concernaient plut t le rendement du d velop
185. l apprentissage dans le sens o elle reste au centre tout au long de la pr paration et de l animation de l activit de formation Elle peut tre d finie comme la capacit qu a un individu d accomplir une t che donn e ou plus pr cis ment un ensemble de savoirs et de savoir faire g n raux et particuliers utilis s lors de la planification et de l ex cution d une t che donn e BRIEN 1993 Pour nous aider dans l laboration des t ches ayant pour but le d veloppement de diff rentes comp tences nous nous sommes inspir e du sch ma des phases de l apprentissage Dans le cas d une activit de type simulation en r seau il s agit d un environnement ducatif qui r cr e artificiellement des conditions r elles Dans le domaine de la langue trang re ces conditions r elles correspondent celles de la communication Le dispositif devrait permettre l apprenant d exercer ses comp tences de cr er de l apprentissage sans qu il s en rende compte I s agit du fameux learning by doing DEWEY 1925 o l enfant construit sa pens e par ses interactions continuelles avec l exp rience et o l apprentissage est bas sur l action en situation Pour r aliser cette activit d apprentissage inconscient il est primordial de maintenir la motivation de l l ve en l impliquant au maximum dans des actions travers des d fis relever Selon les travaux de recherche effectu s sur le sujet la motivation de l apprenant
186. l dans l environnement MEPA Source MEPA http Afin de stimuler l imaginaire des joueurs et augmenter leur motivation ils sont repr sent s dans le monde virtuel par des personnages avatars qui constituent leur identit fictive La version initiale du prototype comprenait un monde compos de sc nes lieux elles m mes compos es d un fond graphique et de passages abstraits En ce qui concerne les fonctions offertes aux usagers le dispositif pr voyait la manipulation d objets prendre un objet le d placer et le d poser le mouvement des avatars passer d une sc ne l autre et la production des changes par crit Cette premi re application devait voluer et s enrichir de situations probl me construire dans le cadre d un sc nario p dagogique principal l ment de notre stage cf 1 3 2 m Importance et objectifs de recherche Initialement le projet n impliquait que deux personnes Monsieur J r me LEHUEN le chef de projet et responsable du d veloppement du dispositif informatique et nous m me charg e de la conception de l activit p dagogique N anmoins le d veloppement du dispositif a pris de telles dimensions que l quipe a t oblig e de recourir aux comp tences des autres sp cialistes Ainsi au bout de quelques mois Thibaut CorriNET l ing nieur en informatique a officiellement rejoint l quipe Si cette participation tait officielle les autres sont rest es plus ponctuelles et discr t
187. l de communication Le changement convertit la langue utilis e en classe d une mani re vernaculaire en une v ritable langue v hiculaire 55 DEBYSER 1999 36 ROMANS VIRTUELS HTTP 57 SiMULIGNE HTTP 58 HOTEL HTTP 5 Une langue vernaculaire est une langue locale commun ment parl e au sein d une population alors qu une langue v hiculaire est une langue servant de communication entre population de langues diff rentes Cette distinction est souvent utilis e pour opposer les langues r gionales ou des patois la langue nationale Bien que la comparaison soit quelque peu exag r e puisque le fran ais m me s il n est 23 m Vers les mondes virtuels Toutefois ces contacts proches avec des partenaires distants ne sont que ponctuels et les l ves restent malgr tout isol s dans leurs espaces respectifs Ces espaces concernent aussi bien l endroit g ographique distant pays classe que l espace fictif du jeu p ex un lieu th me imaginaire habit par une partie des participants Nous assistons alors une nouvelle forme de simulation qui d place l espace d action partag entre les groupes respectifs dans un endroit commun D sormais les apprenants peuvent non seulement garder le contact gr ce des changes ponctuels mais se rencontrent dans un lieu th me commun sur la toile A titre d exemple citons la simulation Pro ogue I s agit d un site ducatif pr sentant une communaut disparue un village
188. l obligation d engager tous leurs moyens pour parvenir communiquer Concernant l emploi de la langue maternelle nous pouvons ajouter que lorsque les membres d un des groupes connect s se trouvaient dans le m me endroit physique cet emploi tait plut t fr quent La langue maternelle tait souvent utilis e pour lever des ambiguit s ou laborer une strat gie d action cela m me suite plusieurs demandes de ne communiquer que par l interm diaire des fonctions du dispositif En revanche lorsque chaque l ve se connectait d un endroit physique diff rent p ex depuis de chez soi et les participants taient de nationalit s diff rentes cet emploi tait quasiment inexistant Une seule fois suite l chec de la communication en fran ais un des l ves a d sesp r ment tent de se faire comprendre dans sa langue maternelle en comptant sur quelques ventuelles similitudes s mantiques entre les deux langues Durant nos observations nous avons identifi quelques pistes int ressantes tudier Tout d abord pour estimer la nature de l apprentissage pouvant s effectuer dans l environnement d une SMV il nous 74 semble int ressant de proc der une analyse s mantico syntaxique des changes entre les apprenants et les autres personnages PNJs tuteurs L objectif de cette analyse serait de rep rer les fa ons d identification d int gration et de reproduction des structures s mantiques et syntaxiques par les a
189. lation directe l cran L id e de l apprentissage en collectivit dans un monde virtuel partag par l ensemble des intervenants depuis des endroits loign s g ographiquement exige la conception d une plate forme technologique Pour la r aliser l auteur recourt une architecture informatique sp cifique Ainsi MEPA 2D est un environnement logiciel client serveur programm en Java qui comme les MOOs permet aux utilisateurs d agir et d interagir dans des micro mondes virtuels partag s En r gle g n rale cf Figure 1 l architecture client serveur est un r seau reliant les clients les ordinateurs des usagers et le serveur sont stock es toutes les ressources n cessaires l activit N anmoins durant le d veloppement du dispositif l importance des ressources dans MEPA 2D a consid rablement ralenti le temps de chargement et de communication entre le serveur et les clients Pour le minimiser les diff rentes ressources ont t alors stock es au niveau des clients Figure 1 Fonctionnement du syst me serveur client Source MEPA http Les principaux atouts de ce type d architecture consistent en une bonne s curit ainsi qu en l administration centralis e au niveau du serveur ce qui permet certaines interventions sans perturber le fonctionnement du r seau ou celui des machines clientes Toutefois ce point fort du mod le constitue galement son point faible puisque l ensemble du r seau architectur
190. le remettre aux apprenants N anmoins il est pr t mettre leur disposition le contenu du coffre Malheureusement celui ci est ferm cl Les apprenants doivent alors retrouver la cl pour pouvoir r cup rer les objets du coffre Le directeur leur conseille d aller se renseigner la Place du Tertre aupr s des artistes peintres I leur donne un pinceau pour l offrir comme cadeau au peintre et le faire parler Si les apprenants explorent bien le bureau du directeur ils trouveront une lettre anonyme avertissant le directeur d un groupe de jeunes escroquant les mus es et s emparant des objets de valeur La place du Tertre rencontre avec le m me artiste peintre Cette fois ci ils lui offrent le pinceau En r action l artiste chantonne un air inconnu des correspondants Pont Mirabeau et leur offre une invitation en recommandant d aller boire un verre au caf Le sabot rouge A pr sent gr ce l invitation les correspondants peuvent s installer au caf D s l entr e le gar on de caf les informe que le caf organise un karaok Comme par hasard une chanson ressemble celle incessamment chantonn e par le peintre Ils voient les paroles d filer il y est question du Pont Mirabeau A la fin de la chanson ils apprennent que le caf dispose d une salle de voyance Une s ance est offerte aux clients du caf La voyante c est un homme d guis les avertit que quelqu un veut les emp
191. les informations fournies par Yves Elle s adresse avant tout au public qui rencontre des difficult s de compr hension orale et qui doit s appuyer sur le message textuel Objectifs Initiation l histoire de simulation gt Pr sentation des premiers indices t ches effectuer par les apprenants Emission des hypoth ses sur l intrigue afin de faciliter la compr hension de l histoire gt Etablissement d un plan d action et pr paration d ventuelles strat gies d action gt Amener l apprenant anticiper son r le dans le jeu D marche Un exemple de l exploitation p dagogique est disponible sur le c d rom MEPA 2D ANNEXES 142 2 tape 1 Voyage pour Paris h me maison voyage moyens de transports achats tutoiement vouvoiement Remarques L change entre les apprenants et Yves 000BIS peut commencer par des questions voqu es en classe lors de la pr sentation de la vid o introductive Objectifs
192. lit g n re de l interaction sociale et donc de l apprentissage et non pas un simple d saccord Autrement dit il devra surveiller la qualit des changes et leur donner un cours int ressant pour permettre de trouver un compromis non seulement social relationnel mais avant tout 67 Dans la th orie des stades de Jean Piaget la pens e pr op ratoire se place au 2 me stade de pr paration et de mise en place des op rations concr tes Elle comprend l intuition simple 4 5 ans et l intuition articul e 5 8 ans 68 Les travaux de Jean PIAGET ont t poursuivis entre autres par les psychologues sociaux comme Willem Doise et Gabriel MucNv de l Universit de Gen ve Selon leur tude la progression simultan e des partenaires est plus fr quente dans un groupe de sujets en conflit que dans les groupes sans conflit Ce constat permet de confirmer l hypoth se que c est bien le conflit sociocognitif qui permet le progr s et non seulement une dynamique sociale qui s installe entre les partenaires lors d une activit collective 69 HALLUIN D Chantal VANHILLE Bruno 2000 Utilisation d environnements informatis s pour l apprentissage coop ratif distance Rapport de recherche Laboratoire Trigone Equipe Open Universit des Sciences et Technologies de Lille 1 cit dans RoBiaL 2004 27 cognitif semble alors vain de provoquer des conflits qui d passent les apprenants puisqu ils ne pourront pas tre significat
193. lyses nous permettront de v rifier la pertinence de nos hypoth ses ayant nourri les choix effectu s durant la conception tout en fournissant l quipe MEPA 2D des pistes int ressantes pour le d veloppement du dispositif informatique IV 2 COOPERATION Pour diverses raisons d lais de r alisation du prototype disponibilit des enseignants lors des tests effectifs de MEPA 2D nous n avons pas pu retrouver tous les enseignants contact s ant rieurement De nouveaux enseignants nous ont rejoint soit par l interm diaire des anciens participants soit en r pondant nos annonces Nous pouvons ainsi compter 31 personnes de 7 pays diff rents dont 15 informaticiens clubs enseignants sans classe de FLE ne correspondaient malheureusement pas au profil recherch Afin de pouvoir d cider de leur participation les enseignants retenus 16 personnes ont recu le c d rom d installation pour se familiariser avec le dispositif Pendant ce temps nous tions charg e de r pondre leurs questions d assurer le relais avec le service technique et d organiser une sorte de visites guid es dans le dispositif pour les enseignants souhaitant mieux le conna tre avant les tests collectifs 10 personnes 7 personnes parmi les 16 retenus ont pu participer aux tests les 9 restant ont annul leur participation pour des raisons diverses salle multim dia indisponible charge de travail d calage horaire difficult s techniques etc f
194. mbent directement sur un guichet d information avec un guichetier qui leur donne des informations sur l exposition de l avion I leur conseille vivement de laisser tous leurs bagages la consigne de la gare Dans la salle des consignes ils paient le service pour 24 heures et se rendent au vieux port a lieu l exposition Petite visite de Marseille Parmi les fans du Petit Prince ils rencontrent un fabricant de parfums de GRASSE Richard Le fabricant parle de son activit de parfumeur et de la ville de Grasse capitale du parfum C est un vrai fan du Petit Prince il a m me cr e un parfum La Rose du Petit Prince qu il vend dans sa boutique Ils sympathisent Le fabricant les invite Grasse Tous ensemble ils retournent la gare pour r cup rer les bagages Sur place les apprenants constatent que le bijou et la lettre trouv s dans le coffre ont t vol s L employ e de la consigne leur 123 conseille de v rifier si ces objets n ont pas t trouv s Ils se rendent au bureau des objets trouv s Malheureusement aucun des objets n a t retrouv L employ e leur demande de remplir le formulaire description des objets et des circonstances du vol 115 seront tenus inform s si l un des objets est retrouv La SNCF est en gr ve et donc le voyage GRASSE initialement pr vu en train n est pas possible Face une borne Internet ils peuvent consulter le site de Via Michelin a Ils appre
195. mble des participants Cette fonction nous semble pratique surtout pour tout genre d avertissements ou d annonces que l ensemble des joueurs devrait connaitre simultan ment Compte tenu de certaines failles du moteur conversationnel ainsi que de la base de mots cl reconnaissables par les PNJs relativement rudimentaire notre quipe a galement pr vu une fonction de prise de parole la place d un g nie Si l apprenant rencontre des probl mes de communication avec un PNJ l enseignant peut d sactiver le moteur conversationnel et mener le dialogue la place du g nie Cette modification s effectue en toute transparence pour les apprenants puisque l enseignant peut effectuer les actions en restant invisible Toutefois cette option ne doit tre appliqu e qu en dernier recours le but tant d amener les apprenants trouver leurs propres moyens de communication 11 5 CONCEPTION GRAPHIQUE La conception graphique constitue la derni re tape de l laboration de l activit MEPA 2D Avec une certaine distance nous la consid rons comme la plus laborieuse et la plus co teuse en temps Elle comprend la conception effective de chaque l ment de l univers le recueil des supports iconiques et audio les conversions de format un traitement sp cifique ayant pour but d optimaliser leur qualit graphique et sonore leur description en langage XML et l int gration dans le dispositif informatique Concernant le recueil des supports nous avon
196. mier test a t effectu avec une classe d l ves thailandais du Mans en f vrier 2005 Au mois de juin 2005 nous avons encadr en pr sentiel les tests en Pologne tandis que les tests en Espagne et ceux entre les l ves allemands turcs et polonais du mois de juillet 2005 ont t enti rement encadr s distance Nous pouvons donc recenser 7 tuteurs participants dont 2 concepteurs 23 l ves 3 l ves tha landais 14 l ves polonais 1 l ve allemande 3 l ves espagnoles 2 l ves turcs pour 16 sessions de tests soit 38 heures de connexion de 2h30 de dur e moyenne par session 148 http thot cursus edu rubrique asp no 21902 14 Pour consulter le manuel d utilisateur se r f rer l Annexe T p 146 Manuel d utilisateur 1 Cf Annexe T p 146 HTML Forum Enseignants 151 Pour consulter la synth se des entrevues semi dirig es effectu es en Pologne se r f rer l Annexe T p 146 TESTS PLN 67 IV 4 ANALYSE IV 4 1 Recueil d observables Notre choix d outils d valuation tait plut t pragmatique Comme nous avons particip toutes les sessions soit comme intervenante distante soit comme tutrice en pr sentiel les observations libres nous ont permis de remarquer un certain nombre de ph nom nes nous paraissant significatifs Elles nous ont permis de recueillir des informations sur les comportements non verbaux aussi bien des l ves que ceux des tuteurs Pour nous faciliter la compr
197. mmentaire 4 Les ressources documents Peux tu consulter les ressources dans MEPA OuiL_ Comprends tu les documents en it a2 3 401 50 Ces documents sont ils utiles 11 21 3 a4 50 Trouves tu dans ces documents les informations que tu recherches 7 iL 20 3D a4 50 La notes que tu donnes aux ressources c est iL 20 3j AT 50 Commentaire 5 Le dictionnaire Le dictionnaire est il facile utiliser 7 Oui As tu le temps de consulter le dictionnaire iL 2a 3j AT 50 Trouves tu les mots recherch s dans le dictionnaire 1L 3L 4L 5L 190 La note que tu donnes au dictionnaire geet 11 2D 3D 401 dl Commentaire 6 Le conjugueur Le conjugueur est t il facile utiliser 7 iL 20 3j AT 50 As tu le temps de le consulter 7 iL 2 3D 401 50 La note que tu donnes au conjugueur c est 11 2D 3 a4 dl Commentaire 7 Le Carnet de conversation onsultes tu le Carnet de conversation OuiL_ Non La division par th me est elle pratique iL 2 3D 40 50 Trouves tu facilement l information que tu recherches
198. n Peux tu parler souvent en fran ais dans ton pays avec des Fran ais ou avec des personnes qui ne parlent pas ta langue Jamais Rarement _ Parfois Souvent Tr s souvent _ Qu est ce qui va se passer si je ne peux pas aider Yves Oui Non Penses tu que choisis ta r ponse Tu peux changer l histoire d Yves O Tu ne peux rien changer l histoire O Pourquoi tu le penses L histoire est parfois compliqu e Ou Merl Si oui pourquoi choisis tes r ponses Tu ne sais pas quoi faire dans le jeu E sais pas o aller O Tune comprends pas que disent les personnages 1 trouves pas les 0 Tute perds dans le L Tu ne sais pas pourquoi tu es O Tu n as pas beaucoup de temps pour demander des informations L Commentaire 1 Bouger Sais tu comment d placer ton personnage dans le jeu Oui Non Te d places tu facilement 2 Oui Non Sais tu prendre un objet 2 Oui Non Sais tu d poser un objet 2 Oui Non Sais tu d placer un objet 2 Oui Non Sais tu passer dans une autre sc ne 7 Oui Non La navigation dans le je
199. n de l cran en bouton curseur ic nes qui vont permettre la navigation et l interactivit Elle se limite rarement un seul cran et correspond le plus souvent plusieurs crans rencontr s pendant la navigation LANCIEN 1998 JAVA M LEMMATISATION MP3 MPEG MULTICANALITE MULTIREFERENTIALITE amp NAVIGATION 0 amp OGG VORBIS amp PROGRAMME S amp SERVEUR 100 Langage de programmation de Sun Microsystems Ressemble celui du C Parfait pour cr er des programmes int grer sur le Web http www dicodunet com annuaire def 93 java htm La lemmatisation appel e galement stemming est une op ration d analyse de contenu qui op re par r duction des mots en une entit premi re lemme appel e aussi forme canonique qui regroupe les diff rentes variables du mot et de ses d riv s Cette forme est l infinitif pour les verbes la forme masculine singuli re pour les noms etc Par la lemmisation les formes prises par le mot nom adjectif etc sont associ es Cela permet de r fl chir en fonction du sens des mots en faisant abstraction de leur forme http www revue referencement com FAQ faq_lemmatisation htm Le MP3 abr viation de Mpeg 1 Audio Layer 3 est un format de compression audio num rique Il permet de cr er des fichiers sonores de taille r duite gr ce la compression des donn es Nom d une famille de standards utilis s pour l encodage d informations Audio
200. n p dagogique doit fournir non seulement la description des t ches pr vues par le canevas g n ral de l intrigue mais galement un certain balisage des actions potentielles Le concepteur d une SMV doit alors faire preuve d imagination ce qui n est pas toujours facile face un public quasiment anonyme Cependant si la cr ativit du concepteur est mise l preuve face ce public lambda l environnement garde toujours une certaine souplesse de parcours et un potentiel de leur diversification ne serait ce qu au niveau de la communication De plus comme le confirment certains travaux les interaction synchrones particuli rement privil gi es dans MEPA 2D favorisent la construction socio cognitive des apprenants DoMasiK BiLoco 2001 Les r sultats des tests de MEPA 2D ont permis d identifier ses principaux d fauts et de d couvrir d autres pistes de recherche Ils ont galement permis de v rifier certaines hypoth ses de conception ce qui tait primordial pour nous tant donn qu un travail solitaire et distance ne nous permettait pas toujours de nous concerter avec des personnes comp tentes pour v rifier la pertinence des choix effectu s Toutefois certaines questions demeurent toujours sans r ponses d finitives et suscitent notre int r t En effet comment privil gier et int grer la cr ativit dans une SMV Comment la conjuguer avec la dynamique de l action Laquelle favoriser et avec quelles cons quences
201. n refusant chaque objet offert par les apprenants Les apprenants continuent leur chemin et tombent sur un panneau indiquant les 3 principaux mus es de Montmartre Espace Salvador Dali Mus e de Montmartre Mus e d Art naif Max Fourny dans 3 directions diff rentes lls peuvent alors se d placer tous ensemble pour v rifier si le coffre se trouve dans l un des mus es ou bien partager cette t che en se divisant en 3 groupes et en se donnant un RDV quelque part p ex c t du panneau d information Vers le Mus e Salvador Dali Les apprenants passent c t du restaurant Le Sabot Rouge mais ne peuvent pas y entrer puisqu on leur demande une invitation qu ils n ont pas Au mus e l employ les informe qu aucun coffre ne fait partie de la collection Vers le Mus e d Art Naif Le mus e ferme et les apprenants sont pri s de sortir 11 peuvent n anmoins poser des questions concernant le coffre mais celui ci ne se trouve pas dans le mus e L employ leur conseille d aller voir au Mus e de Montmartre qui expose quelques pi ces de mobiliers Vers le Mus e de Montmartre Les apprenants passent c t du Passe Muraille et entende la fameuse histoire de Marcel Aym L employ du mus e confirme la pr sence d un coffre et conseille aux visiteurs d aller voir le directeur Le directeur annonce que le coffre est un don d un particulier et fait partie de la collection du mus e C est pourquoi il ne peut pas
202. nce fortement son contenu Ainsi la prise de parole est ancr e par le cadre et par la situation de communication La conscience du contexte restreint le champ de la communication et donne une direction l change ce qui aide la compr hension des propos de l interlocuteur La parole ne peut pas tre s par e de la r alit socioculturelle qui la conditionne d o l importance accord e la comp tence sociolinguistique et strat gique Les approches communicatives privil gient la langue spontan e d clin e en plusieurs registres La confrontation une certaine diversit langagi re doit amener l apprenant acqu rir la comp tence de communication qui peut tre consid r e comme une m tacomp tence En effet selon les diff rents mod les elle se compose de diverses comp tences Le mod le de CANALE amp Swain 1980 en pr voit trois la comp tence linguistique la comp tence sociolinguistique et la comp tence strat gique En ce qui concerne l organisation de l input linguistique les approches communicatives privil gient la pr sentation des nonc s sous forme d actes de parole avec une s lection du lexique en troit rapport avec la situation de communication Les activit s confi es aux apprenants sont reparties dans les 4 principaux domaines de la langue la compr hension orale la compr hension crite l expression crite et l expression orale Contrairement aux approches traditionnelles les
203. nez la ligne 12 en direction de PORTE de la CHAPELLE Descendez la station ABBESSES sur la m me ligne Pour plus de pr cisions cliquez sur le plan ci dessous u igge de Lorete Poissonni re Saint Augustin hartes iche lie CENT 7 3 27 Sa in es Granu au ramus Boulewards Seprene Roure Champs dese Palais Royal Clemenceau Mus e du Mabillon Od on Saint Sulpice Luxembourg Panneau d itin raires sous forme d un site WEB PPT RW server Scene d rt gt erver Scene descr Le quai de d part ident scene 004 infos data INFOS info 004 htm a2d server Fond ident le quai image data scene 004 gare quai tg jpg texte le quai h a2d server MenuEnonces categorie Bulle automatique gt wepazd server MenuEnonces categorie Exprimer gt gpa2d server MenuEnonces categorie Incertitude gt La2d server Enonce ident enonce 49 texte Il me semble que gt server Enonce ident enonce 50 texte Je pense que il nonces gt categorie Ignorance lum Imer enonce 51 texte Je ne sais pas lium metedi mepa2d server Enonce ident enonce 52 texte Aucune id e metedi mepazd server MenuEnonces Pdi mepazd server MenuEnonces r lium metedi mepazd server MenuEnonces gt lium metedi mepa2d server Passage action monter dans le train pour Paris cible scene 005 cibleX lium metedi mepazd server Passage action retourne
204. ni re satisfaisante L quipe de LIUM se concentre alors davantage sur les besoins de l apprenant ce qui place l interactivit et l interaction au centre de la recherche Les travaux sur la mod lisation de la situation d apprentissage prennent en compte le maitre d s la conception des syst mes lui assignent un r le et le dotent des instruments sp cifiques afin de l assister dans la r alisation de sa mission De cette mani re les tudes ne se limitent plus la mod lisation des connaissances acqu rir mais cherchent assurer une interaction entre les individus ainsi qu entre des individus et des outils Des projets comme Quiz ou REPERES font partie de la recherche sur la mod lisation de l apprenant alors que le diagnostic de comp tences constitue le th me des projets comme DiADEME MARPLE PEPITE GCSE ou CROISIERES Durant les ann es 90 la r flexion sur l alphab tisation informatique et technologique d adultes conduit la cr ation d environnements d apprentissage ouverts destin s des stages de reconversion ou de remise niveau I s agit du projet RoBOTEACH o la manipulation des robots p dagogiques a pour objectif d amener les apprenants d couvrir la technologie et acqu rir de nouvelles connaissances Les observations issues de ce projet conduisent la cr ation d une m thode p dagogique appel e ATRIUM son tour employ e dans les projets QUADRATURE et PLUME Face l tendue de la formation en ligne
205. nipulation de tous ces l ments exige tout d abord une m thodologie 111 1 METHODOLOGIE Pour illustrer les tapes de la conception d une activit ainsi que celles de la m thodologie adopt e nous reprenons la comparaison de J r me LEHUEN qui rapproche cette cr ation la conception ditoriale comprenant trois parties principales structure document et mise en page Ces parties correspondent plus exactement la mod lisation la conception p dagogique et la conception graphique Notre m thodologie fait correspondre la partie structure l laboration d un cadre g n ral pr conisant la planification de l activit qui sera par la suite charg d un contenu p dagogique cf 111 3 II s agit de consid rer d abord les principes p dagogiques pertinents pour l activit concevoir type d approche progression forme d valuation etc Ils serviront de cadre th orique pour la conception et faciliteront les choix effectuer ult rieurement Ensuite il est important d laborer un cadre purement architectural afin d obtenir un sch ma g n rique de l activit p dagogique En ce qui concerne la conception p dagogique l auteur sera amen concevoir une trame g n rale de l histoire pr senter dans la simulation cf 111 4 1 Ce cadre th matique devra servir ensuite l laboration d un premier mod le p dagogique simplifi cf 111 4 2 A Cette t che aboutira une transposition de diff r
206. nnent alors qu ils se trouvent 166 km de Grasse Le voyage peut se faire en bateau Marseille Cannes et ensuite en bus sur 17 km s parant Cannes de la ville de Grasse Arriv s Cannes ils prennent une navette en direction de Grasse Richard leur fait une petite visite guid e de Grasse remarque aussi deux individus suspects qui les suivent sans les approcher Dans la boutique de Richard le fabricant leur confie un secret Son parfum semble presque parfait mais Richard est persuad qu il lui manque quelque chose son avis c est l essence de la vraie rose du Petit Prince leur propose un march 11 trouve trange qu une rose trouv e dans un coffre apr s des ann es soit toujours aussi fraiche C est peut tre la fameuse rose du Petit Prince voudrait bien essayer d en pr lever l essence et l ajouter son parfum En change il leur propose de consulter tous les documents qu il a rassembl s dans sa boutique Le fabricant leur offre alors la cl avec laquelle ils peuvent acc der aux autres pi ces Lui m me s clipse dans son laboratoire pour passer aux essais Les murs de la boutique sont charg s des portraits de l auteur de ses amis ses lettres etc Pi ce n 1 la consultation des documents permet de connaitre l auteur du Petit Prince pilote et crivain Pi amp ce n 2 les documents rassembl s dans cette pi ce d voilent aux apprenants l histoire du Petit Prince rencontre ave
207. ns l environnement d une SMV En classe avant de jouer son r le fictif l l ve doit d abord dissimuler sa vraie personnalit devant ses camarades de tous les jours Ses efforts doivent donc tre doubl s Dans une SMV il arrive incognito il peut alors mieux s engager dans l activit collective et construire une nouvelle identit sans crainte de d n gation ou de refus de la part des siens sous pr texte d un cart trop important par rapport sa vraie identit Qu en est il de la pr sence de l enseignant Lors d une simulation globale en pr sentiel l enseignant charg de diverses fonctions essaie de ne pas faire ressentir sa pr sence afin de permettre aux l ves un vrai panouissement dans le jeu loin des contraintes institutionnelles Toutefois tous les l ves n ont pas la m me capacit d abstraction Cette pr sence peut alors devenir g nante et provoquer un certain blocage linguistique notamment chez les l ves introvertis En effet l enseignant parait comme un personnage embl matique dans la soci t repr sentant le pouvoir et exigeant le respect Le maintien du rapport de l autorit pratiqu l cole nourrit davantage cette repr sentation profond ment ancr e dans la conscience des l ves ce qui cr e une certaine barri re des h sitations et des r ticences En revanche certaines tudes HEDJERASI 2004 d montrent le changement de cette attitude face aux tuteurs dont le statut est diff remment per
208. ns une sc ne est facile c Clique sur la case qui correspond ta r ponse ex Tu es l ve Ou Non H Si tu veux ajouter quelque chose note Je dans cette case Commentaire gt ette case 1 contient d j des r ponses clique et choisis ta r ponse m 1 2 3 c Les cases 11 2L 3L AT 5L correspondent 1 jamais 2 rarement 3 parfois 4 souvent5 toujours Ex Question La messagerie est utile Si tu r ponds 1 cela veut dire que tu penses que la messagerie n est jamais utile Si tu r ponds 3 cela veut dire que tu penses que la messagerie est parfois utile etc Donne ta note LE de 1 5 10 1 3L 4 50 LD 2 45 58 c Termine ton questionnaire enregistre le sur ton ordinateur et envoie le par mail l adresse suivante skitlinska free fr Merci MERCI 148 As tu d j particip une simulation Ou Mert Utilises tu souvent l ordinateur 7 1L 2 7 3L 401 50 Aimes tu les jeux vid o 7 10 2 SCH Al BE Qu est ce que tu fais avec ton ordinateur Ta r ponse Tu apprends le fran ais depuis an s Tufais heure s de fran ais par semaine Es tu d j all e en France Oui Nell Si oui tu y es all e fois Rencontres tu souvent les Fran ais dans ton pays 7 OuiL_ No
209. nt 11 2 Nous esp rons qu un va et vient constant entre la th orie les caract ristiques du public cible 111 2 2 ainsi que celles du prototype 1 3 1 0 nous permettra d laborer une m thodologie pertinente et de nous approcher ainsi d un sc nario p dagogique int ressant pour ce type de dispositif 1 1 SIMULATION GLOBALE Hy TE Dans le jeu ily a intime le moi existentie du l go la pi ce ma tresse des checs sans le mat Ce personnel interagit avec d autres au sein de relations mixtes de comp titions de coop ration de motivation de comparaison de Stimulation de simulation en fonction de r gles sociales institu es Henry FRANc 7 11 1 1 Jeu amp apprentissage Selon le Petit Robert le jeu est une activit physique et mentale purement gratuite qui n a dans la conscience de celui qui s y livre que d autre but que le plaisir qu elle procure Donald Wuert 1975 consid re le jeu comme un espace potentiel un espace interm diaire entre la fiction et la r alit o l enfant peut exp rimenter l abri de l erreur 11 est donc fondamental pour le d veloppement de l enfant et pour sa cr ativit Pour PIAGET 1969 la relation entre l activit physique et l op ration mentale devient la source de l apprentissage Selon l auteur le jeu a un r le fondamental pour l assimilation du r el aux besoins du moi apprentissage mais aussi pour l accommodation du moi au r el et don
210. nt sous forme graphique 1 En r gle g n rale l image peut remplir la fonction illustrative constituer le support d information ou donner directement l information JACQUINOT HTTP Thierry LANCIEN 1998 78 ajoute que le r le jou par l image exerce une influence consid rable aussi bien sur la mani re d acc der l information sur la compr hension que sur le d veloppement de la comp tence culturelle Quant l acc s l information il s agit notamment de la mobilisation des connaissances ant rieures de l apprenant encyclop die La r activation de ces connaissances a lieu p ex lorsque l image pr sente de nouveaux exemples d un th me d j connu Dans l environnement MEPA 2D nous jouons avec cet aspect en construisant des sc nes qui se r f rent les unes aux autres ou contiennent des l ments pouvant tre reconnus gr ce l apparition dans les sc nes ant rieures p ex une illustration du guide de Paris consult dans une des sc nes devient le fond d une autre Si l image donne l information l apprenant ira du r f rentiel vers le linguistique Inversement lorsque l image n a qu une fonction d illustration l apprenant ira du texte vers l image et ne mobilisera donc pas les comp tences r f rentielles et linguistiques dans le m me ordre Selon le m me auteur c est surtout dans le premier cas que le multim dia apporte quelque chose d original Nous avons alors construit les changes linguistiques
211. o les changes seront fortement ritualis s ainsi que des espaces priv s chez Yves chez Albert pouvant engendrer des changes plus d contract s plus intimes m Niort o Chez Yves o Ala gare de Niort Paris o Ala gare de Montparnasse o Dans le m tro diff rentes stations et guichets de la SNCF o Chez Albert cage d escalier cour int rieure couloir salon o Au cin ma guichet salle de projection o Montmartre o Dans la librairie o Au mus e o Au caf salle de karaok salle de voyance o Enville la recherche de la cl du coffre o Ala rayons billetterie caf salle d attente o Dans le car vers Marseille m Marseille o Ala gare SNCF Saint Charles Consigne bagages Au vieux port Au bureau des objets trouv s A la gare maritime o Dans le bateau Cannes o Port de Cannes o Dans la navette Grasses o En ville o Dans la boutique de Richard o Dans le monde du Petit Prince o Conf rence de presse W Classe virtuelle Pour accentuer l exposition des l ves aux diff rents registres de la langue nous faisons intervenir de multiples interlocuteurs provenant de classes diverses ge milieu social milieu professionnel etc Ce sont des personnages non joueurs PNJ autres que les avatars des apprenants et g r s par le syst me guichetier ouvreuse jeunes passants peintres directeurs employ s vendeurs voyante 48 etc Nous les doterons ensuite de parole carac
212. oit des interventions au d but et la fin de chaque session afin de pr server la coh rence de l avancement de tous les groupes d l ves Elle peut avoir lieu dans les classes respectives et ou directement dans l environnement MEPA 2D Pour plus de transparence nous proposons de la situer dans l environnement informatique Un tuteur sous l apparence d un des personnages intervient pour faire un point sur les actions effectu es et sur les objectifs atteindre lors de la prochaine session Cette d marche permet galement aux apprenants de prendre conscience des savoirs acquis d expliciter 139 Cf Annexe R p 142 10 l quipe Appropriation des Langues et Dysfonctionnements Langagiers Alain Giacomi S CLERC J P Cug P DURAND M FARACO M HagiB M LEDoUARON V REY B PALLAUD et H STOFFEL a d montr que l apprenant tranger m me si son interlangue n offre encore que des possibilit s tr amp s restreintes de communication est capable de d velopper des activit s discursives finalis es complexes consistant faire une narration ou construire une argumentation 63 leurs difficult s de confronter et structurer leurs hypoth ses d anticiper les v nements venir d valuer leurs performances et de concr tiser de cette facon une des tapes de leur parcours C est aussi le moment opportun pour une valuation formative La derni re phase post connexion prolonge l activit de simulation tout en la d plagant
213. on mais qui le m neront des simulations linguistiques et l obligeront trouver des moyens pour communiquer Nous retrouvons ainsi la notion du conflit cognitif 11 2 2 qui permet de provoquer la parole de l apprenant Toutefois cette parole doit tre structur e et dirig e par exemple par une organisation strat gique des ressources la disposition de l l ve Les contenus et les ressources devront alors tre b tis autour de cette 81 Cf Annexe F p 111 82 Cit dans MARTON amp HERVEY 19944 36 situation de communication et les t ches confi es l apprenant devront tre motiv es par un objectif pratique afin qu il aper oive leur utilit imm diate En adoptant les principes des approches communicatives la pr sentation des contenus devra s effectuer en spirale et poursuivre la progression du plus utilitaire au plus accessoire Quant au type des ressources nous envisageons des documents vari s et dans la mesure du possible authentiques Leur choix devra s appuyer aussi bien sur leur typologie leur densit culturelle leur degr d interpr tation que sur leur lisibilit linguistique BEACCO 2000 Bien que ce type de documents soit qualifi de p rissable il nous semble que ce choix est particuli rement appropri notre type d activit et au milieu h t roglotte de l apprentissage De plus seule une vari t une contextualisation et une exploitation p dagogique convenables de ces documents permettr
214. onnaire post test 12 RoMiszowski A J 1986 Developing Auto Instructional Materials from Programmed Texts to CAL and Interactive Video New York Nichols Publishing Company et FLAGG B N 1990 Formative Evaluation for Educational Technologies Hillsdale NJ Lawrence Erlbaum dans MARTON amp Hervey 1994B 153 Pour consulter la transcription de l entrevue avec 2 groupes d l amp ves polonais se r f rer l Annexe T 146 TESTS PLN 68 Quant aux questionnaires vu le nombre d intervenants et la distance g ographique rendant impossible la rencontre en t te t te le recours cet outil de recueil nous parait justifi Nous les avons appliqu s aupr s des apprenants joueurs des enseignants observateurs et des enseignants tuteurs Les questions ont t group es par th me et dans l ordre allant du g n ral au particulier de l appr ciation g n rale du canevas aux fonctions pr cises du dispositif Cet ordre devait nous permettre de ne pas influencer les r ponses des l ves La plupart des items ont t accompagn s de r ponses d j d termin es des questions choix multiples simples et complexes questions semi ouvertes D autres demandaient une appr ciation qualitative sur chelle des chelles d attitudes dans le but d identifier les fonctions de l environnement jug es les plus utiles N anmoins la r colte de donn es ne se limitait pas uniquement la v rification de la pertinence du di
215. ont d enrichir certains st r otypes ancr s dans les repr sentations des apprenants DE CARLO 1998 BEAcco 2000 Toutefois nous nous r servons le droit d adaptation p dagogique ou celui d apporter de l g res modifications de certains documents si tel est le besoin limit n anmoins la pr vention des usages d riv s suppression de certains liens vers les sites annexes etc En ce qui concerne l valuation et le feedback compte tenu de l authenticit recherch e il nous semble qu ils doivent s inscrire discr tement dans l activit sans recours explicite aux valuations typiquement scolaires notes score etc Nous pr f rons exploiter les potentialit s du support multim dia p ex interactivit pour souligner la r ussite de l apprenant plut t que de pr voir des s quences d valuation interrompant la dynamique du jeu Une valuation finale et formative pourrait ventuellement tre envisag e la fin du parcours ou bien d l gu e aux enseignants respectifs des groupes participants la simulation Ainsi notre d marche vise favoriser un apprentissage par association des faits r p t s et complexifi s au fur et mesure par l observation de la langue en situation l induction ainsi que la d couverte Le dernier point concerne la mani re d accompagner et d encadrer l l ve dans son parcours Tout d abord le dispositif devrait comprendre un syst me d aide et de ressources mais envisager galement
216. oration l essai erreur et permettre l usager d acqu rir l expertise du dispositif CINEMA HTTP Objectif Permettre l usager de tester et exp rimenter Selon l approche constructiviste cela favorise l apprentissage CINEMA HTTP R versibilit e e Syst me doit offrir la possibilit de d faire ce qui a t fait CINEMA HTTP Fermeture Fermeture Continuit Continuit amp progression 114 L usager risque d tre frustr s il se trouve bloqu cause d une fausse manipulation qu il ne peut pas d faire CINEMA HTTP La principale limite l utilisation des syst mes vient souvent du fait que les usagers n ont pas assez explor un logiciel pour en conna tre le potentiel CINEMA HTTP Objectif Favoriser la formation d intentions et d valuation des actions par l apprenant CINEMA HTTP Le syst me doit offrir la possibilit de terminer une tape et de passer une autre CINEMA HTTP amp progression Objectif Permettre l adaptation du syst me au style de l usager et au degr de sa ma trise du dispositif CINEMA HTTP Le syst me devrait pr voir des options de base suffisantes pour pouvoir avancer dans le dispositif mais galement des options plus complexes qu un usager exp riment pourra utiliser s il le d sire CINEMA HTTP Le syst me doit permettre une progression en tapes CINEMA HTTP Flexibilit amp visibilit O E
217. ormatique tait en cours d am lioration nous avons pu r fl chir l organisation de notre travail et accorder nos visions avec celles de notre responsable Nous avons sign notre convention de stage de 3 mois qui a t ensuite reconduite pour une nouvelle p riode de 3 mois suppl mentaires est n anmoins important de remarquer que cette participation au projet a largement d pass les 6 mois officiels Notre mission durant le stage au LIUM consistait la conception d une activit didactique s inspirant de la simulation globale pour le dispositif MEPA 2D Cette conception comprenait plusieurs tapes La premi re avait pour objectif la conception du monde virtuel aussi bien son intrigue que ses lieux et ses ressources Ce monde devait servir la r alisation des objectifs p dagogiques et donc faire partie d un sc nario p dagogique Ensuite l environnement devait tre d crit et cod selon le formalisme XML Le travail sur le terrain comprenait l exp rimentation de l activit aupr s d un public authentique Si nous comparons les diff rentes t ches g n ralement pr vues par le cahier des charges d un projet cf Figure 3 il est ais de constater que celles concern es par le stage MEPA 2D en vert correspondent non seulement plusieurs niveaux de la conception d un produit mais sont habituellement assur es par diff rents sp cialistes Le d fi aussi bien au niveau de la charge de travail que de sa complexit
218. orme d gocentrisme emp cherait l enfant de progresser La prise de conscience des r ponses divergentes peut alors tre r alis e lors de l activit collective porteuse de progr s cognitif apprentissage condition qu elle engage un conflit sociocognitif Durant la confrontation les enfants sont amen s prendre en compte les r ponses des autres d fendre et justifier leurs positions tout en reconsid rant leurs propres acquis ce qui leur permet de construire de nouveaux savoirs Ces travaux ont permis de mettre en vidence l articulation du cognitif avec le social en soulignant ainsi l importance du dialogue et des exp riences partag es dans la construction des connaissances GEORGE 2001 Chantal p HaLLUIN remarque que m me si la confrontation reste latente sans conflit explicite elle provoque toujours une remise en question des consid rations de l enfant et une int riorisation du point de vue de l autre qui entra ne une restructuration individuelle ou un enrichissement individuel Concernant l activit MEPA 2D les r sultats des travaux susmentionn s pr sentent un int r t particulier pour la construction du canevas Les v nements devront tre construits de mani re provoquer des situations de conflit sociocognitif et g n rer ainsi de la n gociation particuli rement importante pour l activit collective distance Par ailleurs l enseignant encadrant l activit devra veiller ce que le conf
219. ors d une vraie demande une v ritable difficult tandis que les explorateurs aiment bien consulter toutes les ressources par curiosit pour en savoir plus ou par simple plaisir de d couvrir Quant aux ressources permanentes consultables tout au long de l activit les l ves s accordent sur l importance du dictionnaire Cependant cette aide n est pas interrog e r guli rement puisque les l ves familiaris s avec l environnement Internet pr f rent recourir aux dictionnaires en ligne consult s habituellement d autres encore ne se s parent pas de leurs dictionnaires bilingues version papier ou encore pr f rent explorer le fond de la sc ne pour acc der rapidement au lexique concern Certains enqu t s 2 personnes remarquent tr s justement que le dictionnaire disponible dans MEPA 2D ne dispose pas d un clavier virtuel ce qui rend difficile la saisie informatique partir d un clavier autre que fran ais En revanche le conjugueur a t jug accessoire d un commun accord par tous les participants Ils s entendent sur le fait que l interaction collective dans le cadre d un jeu donne la priorit au contenu plut t qu la forme des changes La consultation du Carnet de conversation une sorte de dictionnaire th matique avec des exemples pr cis d emploi des actes de parole semble galement tre trop co teuse en temps Les l ves pr f rent se rapporter aux items du menu actes de parole plut t que cons
220. os plus sophistiqu s Les apports en termes de mod lisations didactique et informatique concernent la fois les domaines des HAH Environnements Informatiques pour l Apprentissage Humain du CSCL Computer Supported Collaborative Learning et des environnements de communication m diatis e Ce stage est la crois e de plusieurs th mes de recherche du LIUM 108 Annexe C Attestation de stage UNIVERSITE DU MAINE Laboratoire d Informatique LIUM CNRS FRE 2730 Avenue Laennec F 72085 Le Mans Cedex 9 T l 33 0 2 43 83 38 58 Fax 33 0 2 43 83 38 68 LIUM CNRS FRE 2730 Institut d Informatique Claude Chappe Universit du Maine Avenue La nnec 72085 LE MANS CEDEX 9 Attestation de stage _ Mademoiselle Sylwia Kitlinska tudiante en DESS FML l Universit du Maine a effectu un stage de six mois au LIUM du 1 avril 2004 au 30 juin 2004 et du 1 octobre 2004 au 31 d cembre 2004 Le sujet du stage portait initialement sur la conception et le d veloppement d une activit de simulation dans l environnement MEPA suivi d une premi re mise l essai avec un public d apprenants Les t ches qu elle a men es bien durant son stage sont les suivantes e Appropriation du projet initial et d finition des orientations et axes de re cherche long terme e Participation la d finition du cahier des charges pour le d veloppement informatique de l environnement client serveur e Sc nari
221. pement technique de la plate forme ainsi chaque nouvelle proposition didactique exigeant une modification technique a d tre justifi e et argument e Cela tant dit ce mode de travail s est av r b n fique galement pour le didacticien puisqu il nous permettait de remettre en question nos propositions et d carter toute proposition faible apport didactique Cette collaboration tant pluridisciplinaire EIAH et Didactique des langues il tait n cessaire de s accorder sur certaines notions qui malgr des similitudes apparentes pouvaient cacher des significations dissemblables En effet les disciplines ne partagent pas toujours les m mes cadres th oriques les m mes modes de pens e ou encore les m mes m thodes La cr ation d une culture commune est indispensable BRUILLARD ET AL 2000 I tait alors primordial de veiller la compr hension exacte des termes utilis s et des concepts op r s Les mises au point r guli res prenaient donc une importance consid rable en nous permettant de trouver un langage commun Tel tait le cas p ex lors de la coop ration avec l quipe de projet REDIM o certaines notions didactiques et celles de mod lisation en r ing nierie couvraient des concepts bien diff rents La possibilit de participer un projet de recherche nous a permis de suivre les diff rentes tapes de son volution et de nous rendre ainsi compte des sp cificit s d organisation de ce type d entreprise de
222. pes Enjeux Contexte de la situation d A ETUDE E Principes Sch ma p d de d une conception activit p dagogique EE En sns S g Descrpton SB des sc nes E Descrpton R alisation Int gration des des des composantes composantes XML composantes CONCEPTION GRAPHIQUE S Etat mitial Exemple ba fonctions et Bi op ratone H contraintes Tests mtemes am liorations d un e LLL Figure 4 M thodologie de conception Comme chaque document ditorial destin un certain lectorat la conception d une activit p dagogique n cessite un examen pr alable de son public C est pour cette raison qu il constitue la premi re tape de notre entreprise 111 2 CONTEXTE D APPRENTISSAGE 11 21 Profil du Public Notre mission comprend la conception d une activit ainsi que son valuation aupr s d un public FLE Dans ce cas deux possibilit s sont envisager Soit l activit s adresse un public pr cis et pr alablement tudi soit elle est con ue de mani re s ajuster facilement aux caract ristiques g n riques d un public FLE au sens large La mise en place de l activit risque d tre r p titive plusieurs valuations avec des publics divers d autres stages de MEPA 2D et engager un public h t rog ne nous semble donc plus judicieux de recenser plut t les aspects communs d un public FLE 2 72202
223. plut t que sur les actions qu il doit entreprendre pour parvenir ce contenu CINEMA HTTP e Envisager plusieurs mani res identification de la section de la sous section couleurs onglets de signaler l apprenant o il s est rendu et comment se rendre la prochaine section Cela vite le recours syst matique la m moire court terme CINEMA HTTP e Les informations doivent tre ais ment rep rables et manipulables CHARLIE N 16 e L importance de la clart de la pr sentation La surcharge cr e de la frustration et de la fatigue Usage pertinent des multim dias G n ralit s Sous cat gorie e Objectif Pour conserver l attention de l apprenant e Objectif Capter l attention de l apprenant sur les concepts importants L usage des composantes multim dias cr e un renforcement positif des situations d apprentissage CINEMA HTTP s J Jouer sur la fantaisie et la variation de la pr sentation tout en conservant une coh rence 9 interne pour l ensemble de l interface CINEMA fc DH DH DH DH D DH DH ES e Le d fi fournir des objectifs court et long terme clairs de la r troaction active et des 5 niveaux de difficult successifs Le fantastique utiliser des m taphores attirantes travers lesquelles l utilisateur peut naviguer en se rem morant les exp riences v cues e curiosit g rer la complexit de l information avec l aide d ef
224. pprenants Elle impliquerait une tude des t tonnements des r ussites et des abandons C est galement un travail pouvant apporter des conclusions importantes quant aux caract ristiques du langage employ par les tuteurs lors des changes avec les apprenants compl tude des sch mes propos s aux apprenants nature de reprises le feedback etc D ailleurs l organisation tutorale reste galement examiner d autant plus qu notre connaissance la forme la fois synchrone et collective n est pas pratiqu e dans un autre dispositif de ce type Au del du comportement linguistique des apprenants une tude de leurs comportements durant le jeu ainsi qu une ventuelle int gration d un module permettant l adaptation du dispositif selon le profil adopt par l l amp ve paraissent galement int ressantes Nous en avons remarqu quelques uns sous forme d attitudes reproduites par des personnes diff rentes et durant plusieurs sessions Nous parlerons de profils strat giques Certains l ves avaient une approche plut t individualiste qui se caract risait par le d tachement du groupe et un travail minutieux consultation attentive de toutes les ressources notes labor es solitaire ou partag avec le reste de groupe conseils strat giques guidage Un de ces l ves a m me tent une collaboration confidentielle avec Yves prenant ainsi la place d un initi Partiellement dans la m me lign e d approches certains l
225. probl me identifi s comme les principaux b n fices de l activit Aujourd hui les apports des nouvelles technologies permettent d offrir aux l ves un paysage plus diversifi que celui r cr dans une classe de langue en pr sentiel Nous esp rons que cette diversification socioculturelle ainsi que l int gration des personnages syst me dans les sc nes de simulation ont pu contribuer au maintien de la contextualisation de la parole Concernant l authenticit du jeu les t moignages des apprenants nous conduisent penser que l anonymat assur par l apparence de l avatar ainsi que l interaction avec des personnes effectivement inconnues ont r ellement permis aux participants de se mettre dans la peau du personnage De ce point de vue la SMV semble apporter quelques am liorations Quant aux principaux carts constat s de la simulation globale en pr sentiel il s agit avant tout de l isolement non pas de l l ve mais de celui d une classe enti re partageant une m me langue trang re dans un milieu h t roglotte L exercice de l activit dans ces conditions pr serve l emploi artificiel d une langue trang re en tant que langue de communication Une mise en contact avec d autres pays a pu redonner au fran ais le r le d un v ritable outil de communication entre diff rentes nations Une autre caract ristique de ce milieu est un faible contact avec la soci t et la culture du pays cible et l acc s restreint aux documents auth
226. programmes offrant ce service www commentcamarche fr Abr viation de Graphic Interchange Format 11 s agit d un format de l image libre de droits d auteur 11 se caract rise par une taille g n ralement tr s faible mais de qualit acceptable et par une palette limit e en nombre de couleurs GiLBERT 2003 60 C est une collection d images GIF assembl es l une la suite de l autre au moyen d un logiciel Une fois le t l chargement effectu cette s quence d images est affich e et peut tre r p t e en boucle donnant ainsi un effet d animation GiLBERT 2003 Langage de balisage servant la publication de pages WEB sur Internet Les bases du HTML ont t d velopp es pendant la p riode 1989 1992 dans le but de pouvoir crire des documents hypertextes liant les ressources diverses d Internet La technique de l hypertexte permet de mettre en rapport un premier texte pr sent l cran avec d autres textes qui s affichent alors l cran partir du moment o ils sont appel s en cliquant sur une zone sensible qui peut tre un mot un ensemble de mots ou des ic nes LANCIEN 1998 La notion d un dispositif capable de r ponses diff renci es en r action une intervention humaine Elle permet une r troaction du spectateur par rapport un programme LANCIEN 1998 30 De mani re g n rale syst me qui permet de communiquer avec la machine Plus sp cifiquement l interface de navigation est l organisatio
227. puie sur une dialectique entre la recherche fondamentale et l application sur le terrain En effet le contact direct avec les acteurs concern s permet une r flexion en profondeur sur les types de connaissances et leur apprentissage et augmente les chances d aboutir aux solutions int gr es dans des contextes d usage effectif N anmoins le caract re pluridisciplinaire des recherches n cessite une certaine m thodologie permettant aux diff rents acteurs de s accorder sur les notions et concepts manipul s afin d aboutir des r sultats concluants Ajoutons encore que le laboratoire reste actif et adopte une politique d ouverture ce qui se concr tise par l organisation de nombreuses manifestations nationales et internationales Ainsi depuis la fondation du laboratoire LIUM se trouve souvent l origine de divers colloques ou congr s 1 3 CADRE DU STAGE 1 3 1 Projet MEPA 2D m A Chef de projet L encadrement du projet ainsi que celui de notre stage a t assur par Monsieur J r me LEHUEN le chef de projet MEPA 2D Maitre de conf rence au LIUM depuis 1998 il occupe un poste d enseignant chercheur et a la charge de l encadrement de th ses et de stages de recherche Il assume galement d autres responsabilit s comme celles de membre lu du conseil de laboratoire d informatique ou de la commission de sp cialistes 27 61 Depuis 2000 il est galement responsable du s minaire de recherche du LIUM et est charg du d veloppem
228. que enrichir le vocabulaire libre vers la salle des guichets SNCF sc ne 002 repr sentation 3 portes porte ouverte ferm e bruitage de l ext rieur bruit ambiant de la rue Document utilitaire Description des sc nes 79 pp ANNEXES 127 fond vue guichet tourniquets v passage SUITE invisible zoom guichet v e 112 164 e 22X164 indication de la direction fl che v e 156 412 lt passage RETOUR fl che transparente v e 9 530 url carte d itin raires masque transparent sur le plan v e 88x75 e 686 89 masque transparent sur l cranv e 73 45 641 300 indication panneau consultable clignotant v e 625 20 Sound bruit des endroits publics ferm s public ferme mp3 v e Sound parole g nie vi e Bonjour Excusez moi J ai un petit probl me Je voudrais consulter mon trajet mais je ne sais pas comment le faire Un agent du m tro m a dit qu il fallait appuyer sur l cran et choisir la station de d part et la station d arriv e Pourriez vous consulter votre trajet Je vous regarderai faire g nie PASSANT 10v e 495 258 ge changev e J d accord comment PNJ Tr s bien Cliquez alors sur l cran ou sur le plan et choisissez votre trajet Nous sommes la station Montparnasse Vous allez o e J voil comme ca comme a vous avez vu PNJ Oui Je comprends maintenant Merci beaucoup Au revoir e je ne sais
229. r Ne pouvant pas chapper tous les st r otypes des apprenants nous leur faisons face en choisissant la capitale comme une des destinations N anmoins nous sommes loin des balades culturelles ayant pour but de pr senter les clich s les plus connus Pour enrichir le cadre de la simulation l enqu te se poursuit dans d autres villes comme Marseille Grasse pour sa notori t li e la production des parfums les parfums faisant partie des st r otypes li s la France pays de luxe mais aussi une ville comme Niort probablement inconnue du public Les apprenants retrouvent finalement le coffre mais son contenu semble cacher un autre secret Ainsi l image de poup es russes une histoire de l intrigue en cache une autre et donne ainsi un sens aux objets trouv s par les apprenants Initialement la recherche du coffre les apprenants se voient finalement changer le destin du Petit Prince et r aliser ainsi le plus grand souhait de Marie Remarques Bien que l introduction des l ments de la vie de Saint Exup ry dans l intrigue soit int ressante pour la dynamique et la dimension ducative du jeu ce m lange des faits r els et fictifs nous d range quelque peu En effet dans une telle situation les l amp ves ne sont pas l abri du risque de fossilisation des v nements fictifs pris pour des faits authentiques Prenons l exemple du personnage de Marie Dans le jeu ce personnage parfaitement fictif se fait surnomme
230. r Louise Or Louise est un pr nom authentique port par un proche de Saint Exup ry De m me le personnage de la rose a t en r alit inspir par Consuelo la femme de l crivain et non pas par Louise comme le laisse entendre l histoire dans le jeu Ces d tails n tant peut tre v ritablement significatifs que pour les experts de la vie de Saint Exup ry nous ne sommes pas en mesure d estimer les r elles cons quences qu ils pourront avoir sur l activit et la conceptualisation des apprenants C est d ailleurs pour cette raison que nous en pr venons les enseignants et leur demandons de rester vigilants nous semble d ailleurs qu un retour sur l tude du Petit Prince en classe serait une bonne id e prolongeant l activit collective et levant toute ambiguit Un autre doute concerne le panachage des faits r els vraisemblables et fantastiques Dans une des derni res sc nes du canevas pour la SMV les apprenants se voient transf r s du monde r el dans le monde fantastique du Petit Prince Nous nous interrogeons sur le r le et les cons quences de cette irruption du fantastique d abord pour les processus d apprentissage ensuite pour la coh rence du monde virtuel La litt rature sur ce sujet ne nous donne pas de r ponse univoque Ainsi pour Marion PETIT 2000 les supports qui m lent le r el et le fantastique sont particuli rement adapt s des activit s de langage car ils permettent tous
231. r vers la salle d attente cible scene 003 cibleX um metedi mepa2d server Genie ident passant 4 image data scene 004 passant 4 gif texte un voya epa2d server RegleDialogue mots Lille reponse Vous tes s r Je vais me rense RegleDialogue mots Paris reponse h merci Moi je vais Lille mots au revoir reponse Au revoir Bon voyage Et me mets savoir rien reponse C est pas grave Il me sem Server RegleDialogue mots aucune id e reponse C est pas grave Il me semb Xfr lium metedi mepa2d server RegleDialogue mots pas id e reponse C est pas grave Il me semble fr lium metedi mepa2d server RegleDialogue mots d sol reponse C est pas grave Il me semble qu lt fr lium metedi mepazd server RegleDialogue mots d sol e reponse C est pas grave Il me semble q fr lium metedi mepazd server RegleDialogue mots courage reponse Merci Montez dans votre train fr lium metedi mepa2d server RegleDialogue mots aucune id e reponse C est pas grave Il me semb Xfr lium metedi mepazd server RegleDialogue mots je savoir pas reponse C est pas grave Il me sei Xfr lium metedi mepa2d server RegleDialogue mots pas certain reponse C est pas grave Il me semb lt fr lium metedi mepazd server RegleDialogue mots incertain reponse C est pas grave Il me cc i Le M 7 Informations sur cet objet Nouvelle bulle 1 Changer d apparence Je ne sais pas D poser un objet Aucune id e
232. rception compr hension motivation r tention r solution de probl me Selon Andr TRICOT 1998 le contexte de formation exige une structure rationnelle li e l organisation des concepts afin de permettre aux apprenants de construire une repr sentation du domaine Etant donn que le but principal du dispositif 37 est de permettre l apprenant d acqu rir des connaissances diverses il doit tre con u de mani re focaliser l attention de l apprenant sur l activit p dagogique et non pas sur la manipulation de ses composantes Toutefois la dispersion de l attention n est pas l inconv nient le plus dangereux Les cons quences peuvent tre encore plus graves puisque comme le remarquent certains sp cialistes en ergonomie cognitive une navigation mal con ue peut engendrer des probl mes cognitifs capables de freiner l apprentissage Sous cet angle les principes de la conception ergonomique souvent per us comme de simples choix esth tiques deviennent ins parables des choix didactiques interd pendants et tout aussi importants L objectif de l ergonomie dans le domaine de la formation est donc d aider la conception d environnements multim dias afin de simplifier l apprentissage La conception mais galement l valuation cf IV d un outil de formation n cessite donc de s int resser la fois aux styles d interaction ergonomie et la structuration du contenu conception didactique Apr s l examen de plus
233. rdinateur nstitut National de Recherche en Informatique et en Automatique http membres lycos fr interaction Ergo guideErgo html Consult en juin 2005 SERDIDI 2000 amp SERDIDI Mehdi 2000 nternet ducation dans un monde 2 M moire de maitrise Universit Louis Pasteur http www chez com serdidi sci edu html Consult en mars 2005 ENTE 6 TARDIF 1994 amp TARDIF Jacques 1994 Les TIC une valeur ajout e de la Dr me http www ac grenoble fr occe26 printemps tardif tic htm Consult en juin 2005 TREMBLAY amp TORRIS 2004 amp TREMBALY Nicole ToRRIS Sophie 2004 Les TIC favorisent elles une p dagogie diff renci e telle que Freinet la pr conisait gt P dagogique n 132 sptembre octobre www viepedagogique gouv qc ca numeros 132 TIC pdf Consult en mai 2005 TREMBLAY 1998 lt TREMBLAY Roger 1998 Pratiques communicatives La place de la simulation dans l apprentissage d une langue trang re dans A E BOUCHER et al P dagogie de la communication dans l enseignement d une langue trang re De Boeck Bruxelles pp 109 135 TRICOT 1998 amp TRICOT Andr 1998 D finition d aides sp cifiques en fonction des situations d apprentissage dans des environnements hyperm dias de Bretagne http perso wanadoo fr andre tricot Tricot IREM pdf Consult en juillet 2005 Eg m Y
234. re rouge les g nies PNJ avec qui les apprenants peuvent changer sont encadr s en jaune les d pla ables sont signal s par un cadre vert et les passages en bleu Pour plus de discr tion ces cadres ne sont visibles que lors du passage de la souris S il est impossible de calquer les passages sur les issues naturelles ils peuvent tre identifi s par une fl che droite et les retours par une fl che arrondie Ces fl ches se trouvent toujours dans le m me endroit et correspondent au sens de la lecture dans les pays occidentaux de gauche droite elles sont toujours situ es en bas de l cran celles indiquant l avancement sont droite et celles correspondant au retour se trouvent gauche L homog n it de ce syst me signal tique ainsi que l inspiration du monde r el cherchent assurer une certaine coh rence externe interne ainsi que celle de la m taphore employ e 111 3 2 Comme le souligne Aude DUFRESNE une interface qui est proche du monde physique apporte une coh rence au niveau des actions l usager sait intuitivement ce qu il peut faire dans l environnement VILLAGE HTTP Enfin pour permettre la gestion d ventuelles erreurs de navigation le syst me pr voit des messages d alerte L apprenant est pri de confirmer ses actions Etant donn que l organisation de l environnement tente d effacer ses limites frontali res les sc nes ne s enchainent pas toujours de mani re lin aire De ce fait le texte
235. reprises Selon les diff rentes sessions cette fonction a t utilis e avant tout dans les situations critiques pour demander de l aide et non pas pour informer Yves de leur avancement De m me l usage des bulles automatiques actes de parole bien que consid r es comme tr s utile surtout si les l ves ne savaient pas engager une discussion ou dans les situations fortement ritualis es peut tre qualifi plut t de mod r La n cessit pr alable de compr hension des items du menu avant de choisir l nonc ad quat la situation leur para t co teuse en temps ils pr f rent alors communiquer par leurs propres moyens et recourir aux bulles automatiques seulement en cas de difficult s Quant aux outils ils ont eu beaucoup de succ s En effet nous avons pu observer une certaine volution d usage notamment pour la messagerie valu e unanimement comme indispensable Initialement utilis e avant tout pour communiquer avec les joueurs ne se trouvant pas dans la m me sc ne elle a permis des changes confidentiels ayant lieu m me lorsque les l ves se trouvaient dans le m me endroit virtuel mais tenaient garder le secret de leurs strat gies face aux autres personnages m me des personnages syst me Le calepin a t avant tout utilis pour noter des informations en strict rapport avec le d roulement de l intrigue Les l ves ont beaucoup appr ci la fonction copier coller leur permettant d ins r
236. rescents s lections successives multi ou hyperm dias liens multiples d ordre logique ou s mantique LANCIEN 1998 Un format comparable au libre de droit 11 offre des caract ristiques similaires au tant au niveau de la qualit que de la compr hension Ensemble de commandes informatiques qui permettent l ordinateur l ex cution d une t che Un traitement de texte un langage auteur un c d rom sont des programmes LANCIEN 1998 Stockage de donn es et de programmes auxquels les quipements connect s travers des r seaux peuvent acc der LANCIEN 1998 amp TELNET TRACKING URL WMW XML 101 Utilitaire permettant l utilisation de programmes sur des machines distantes via un r seau de type Internet http www tout savoir net lexique php rub definition amp code 7402 Reconstitution int grale de la visite d un internaute Le tracking permet entre autres d obtenir des statistiques g n rales Une URL est une cha ne de caract res indiquant l emplacement d une ressource sur Internet et la m thode permettant d y acc der Ainsi URL p ex du site pages jaunes est http www pagesjaunes fr http www dicodunet com annuaire def 262 url htm Ce format de vid o remplace le format AVI plus complet et performant accompagne Windows Media Player disponible gratuitement Offre une gamme de fonctionnalit s dont la lecture en transit streaming ou la compatibilit avec les anc
237. ression dans le jeu ne peut pas tre trop compliqu e risque d abandon Les joueurs doivent trouver une solution dans un d lai raisonnable Eviter la pr visibilit du sc nario pr voir des incidents surprenants des obstacles pour les joueurs PJ pour ne pas les rendre trop puissants et leur parcours invraisemblable L intrigue doit proposer des situations qui puissent se satisfaire d une compr hension globale et mettre le joueur en position d induire de d duire et de mettre en uvre des strat gies de raisonnement Les diff rents l ments doivent s entrem ler L int r t culturel du jeu Construction du personnage PJ amp PNJ personnages joueurs et non joueurs La biographie du personnage L alignement caract res st r otyp s des principaux personnages m chant malin etc Le niveau approximatif d appr ciation tabli pour chaque PNJ Construction de l environnement La coh rence et la vivacit des situations L tablissement des r gles du monde virtuel La vraisemblance des endroits des personnages intervenants et des situations 90 Le terme tutorial est galement employ pour ce type de documents Il s agit d une initiation guid e l utilisation d un ensemble de notions ou d une technique 91 ANTHOLOGIE HTTP CAMERAMAN HTTP HTTP FEDERATION JEUX DE ROLES HTTP GAME CREATOR NETWORK HTTP PORTAIL JEUX DE STRATEGIE HTTP
238. ro o le joueur doit choisir une des directions M me si les l ves se trompaient souvent dans ces sc nes ils ont finalement compris que la m me situation aurait pu avoir lieu dans le monde r el ce qui les a amen s faire davantage attention la 155 Cf Annexe T p 146 HTML Forum 1 Cf Annexe B p 106 70 signal tique organisationnelle du m tro 11 est vrai que durant la conception de ces sc nes la crainte de passages erron s pouvant d courager les apprenants a fait l objet de quelques remarques de notre responsable N anmoins les t moignages des l ves concernant les d placements dans les sc nes de m tro prouvent qu ils ont bien compris l enjeu De plus cette difficult les a amen s une observation motiv e de la signal tique conventionnelle du m tro et atteindre ainsi un des buts de l activit Nous pensons alors qu une pr paration de qualit ainsi qu une explication des principes de simulation effectu es par l enseignant permet au concepteur de pr server l authenticit du monde virtuel sans recourir un exc s de simplification de l environnement Au del des passages probl matiques dans le m tro les issues naturelles prolongement d une rue bouche de m tro etc ont t jug es pratiques et r alistes notes entre 3 et 5 n anmoins d une s ance l autre les l ves de mieux en mieux familiaris s avec l environnement utilisaient davantage le syst me conventionnel de signal
239. rue de S vres La rue de S vres carrefour L impasse de la rue Poussin 43 rue de S vres Devant les magasins de la rue de Devant l entr e de l immeuble 10 scene 028BIS 10 rue de S vres EVALUATION Passage Passer par les tourniquets Observer syst me signal tique directions noms des lignes de m tro etc P Renseigner la passante selon les observations de l organisation du m tro sc ne n 009 passage interdit et les informations obtenues gr ce l change avec l agent RATP sc ne 012 passage par les tourniquets P Sinon exprimer incertitude ignorance source scene n 004 P Possibilit d obtenir des informations sur le fonctionnement des passages dans le m tro voyant vert rouge des tourniquets portes de sortie passages interdits Strat gie Si les apprenants ne connaissent pas la r ponse ils peuvent retourner la sc ne pr c dente et poser la question l agent RATP l avertir qu il y a une personne qui ne peut pas passer par la porte ou redemander comment passer par les tourniquets Ignorer la passante perdue sans cons quence cette tape du jeu Possibilit s d intervention tuteur ANNEXES
240. s tre interpell s les joueurs peuvent r utiliser les informations acquises ant rieurement En revanche les explorateurs d clarent changer avec les PNJs d s qu ils ont un peu de temps et m me faire la conversation La deuxi me des fonctions mentionn es par les l ves l exploration du fond des sc nes semble permettre aux joueurs une certaine ind pendance dans le parcours Ils peuvent acc der imm diatement la signification d un objet et sans consulter un dictionnaire ou la demander un PNJ engager un change 115 sont contents de pouvoir discuter librement en s aidant des fonctions disponibles dans l environnement et de ne questionner les personnages syst me que sur le contenu et non pas sur la forme de leur discussion Ils d clarent aussi que ce type d aide leur permet de mieux m moriser le nouveau vocabulaire puisque son contexte est illustr par la sc ne De m me l interaction avec les PNJs leur permet de tester les diff rents usages d un vocable Les l ves s accordent sur le fait que la possibilit de contacter Yves est tr s importante note 5 5 mais curieusement ils n y recourent que rarement Cet tat des choses est d au fait que le besoin de renseignement a t diminu par des interventions fr quentes des tuteurs Les ludiques ajoutent galement qu Yves se manifestait de son gr et ne semblait pas alarm ils n ont donc pas ressenti d obligation de l informer de toutes leurs ent
241. s ce qui peut r duire quelque peu leur implication Les objets disponibles dans le monde virtuel ne peuvent tre que consult s et non pas manipul s Comme l indiquent certaines analyses des MOOs les possibilit s d laboration d activit s p dagogiques sont illimit es car tout d pend des capacit s et de l imagination pour g n rer des dialogues des recherches des implications dans des projets Nous ne sommes pas tout fait d accord avec cet avis car bien que l absence de contr le p dagogique participe la diminution de contrainte institutionnelle l apprenant peut tre facilement d pass par les v nements compr hension des l ments socioculturels compr hension linguistique etc puisque ses actions ne sont ni guid es ni structur es Le MOO tente d tre avant tout authentique C est pour cette raison qu en cas de difficult s comme dans la vie r elle le joueur ne peut recourir qu aux explications de son interlocuteur Suivant le contexte les informations ainsi obtenues peuvent tre suffisantes pour une compr hension imm diate mais n tant pas structur es elles ne favorisent pas l apprentissage De m me l environnement g r enti rement par les participants ne repr sente aucune organisation 23 Telnet Utilitaire permettant l utilisation de programmes sur des machines distantes via un r seau de type Internet http www tout savoir net lexique php rub definition amp code 7402 24 http
242. s a donn l id e d un v nement pouvant initier l histoire Face deux photographies de famille premi re vue identiques le h ros de la nouvelle d couvre un personnage absent sur une des photographies 11 d cide alors de mener son enqu te pour connaitre l histoire de ce personnage nigmatique Le jeu d hypoth ses sur l identit nous a paru int ressant puisqu il pouvait susciter la n gociation entre les apprenants entrainant la d fense et l argumentation des suppositions appuy es sur les indices disponibles dans la simulation Pour tablir le premier contact avec les apprenants d une facon naturelle tout en les engageant d s le d part dans l histoire nous avons cr le personnage principal de l intrigue Yves qui tant Fran ais adressait un appel au secours ses correspondants trangers Ayant d couvert le journal intime de sa 92 Cf Annexe D p 109 33 Pour consulter les d tails du canevas de la simulation se r f rer l Annexe H p 120 Le choix du pr nom du personnage principal a t motiv par sa facilit de prononciation En effet Yves contient des phon mes pr sents dans toutes les langues 95 L id e des correspondants n est pas innocente puisqu elle coincide avec la principale motivation des enseignants s activant sur les forums la recherche des classes de correspondants fran ais pour les l ves l tranger cf 111 2 1 42 grand m re Marie Yves apprend l existence d
243. s afin de fid liser le public Cette augmentation de l int r t des apprenants pourrait elle tre maintenue pour les amener des situations significatives d apprentissage et pers v rer dans leurs efforts Selon les tudes didactiques l emploi des TIC permet non seulement d veiller et de maintenir l int r t des apprenants mais ces supports pr sentent une plus value p dagogique gr ce l agencement convenable des m dias produisant ainsi une redondance p dagogique et une interactivit b n fique pour l apprentissage Le stage effectu au LIUM nous a permis de tenter une telle conception et de nous mesurer ses exigences Ainsi l objectif premier du rapport de stage ci pr sent est de rendre compte de notre exp rience et d y porter un regard r trospectif afin d valuer ses atouts ainsi que ses ventuelles faiblesses Nous faisons part galement de nos principaux questionnements suscit s durant notre mission sur les caract ristiques p dagogiques et ergonomiques d une simulation en r seau Ces r flexions aboutissent une premi re m thodologie de conception d une activit de type SMV qui pourra servir aux stagiaires nous succ dant dans l laboration de nouvelles sc narisations Ainsi apr s l explication de nos motivations justifiant le choix du stage 1 1 nous pr sentons bri vement l institution d accueil 1 2 La politique scientifique de l tablissement 1 2 3 ainsi que ses essentiels th mes de
244. s connaissances en situation La contextualisation est rendue possible gr ce la construction commune d un lieu th me qui permet de convoquer et de f d rer toutes les activit s d expression crite et d expression orale traditionnellement faites dans la classe de fa on atomis e de les coordonner les unes aux autres que ces activit s soient des activit s de r flexion de d bat de cr ativit ou qu elles soient des activit s linguistiques et grammaticales l objectif tant de leur donner un sens une dynamique y Il s agit de donner libre cours la cr ativit des apprenants aussi bien pour la construction d un lieu th me que celle de leurs propres identit s fictives Dans un premier temps cette identit autre que celle de l apprenant lui assure l anonymat L l ve est lui m me et un autre en m me temps Ainsi il peut se sentir plus libre et s exprimer avec plus d aisance car sa propre identit peut tre mise entre parenth ses s approprie ensuite le personnage et le fait voluer Ses changes deviennent authentiques car ils sont justifi s par le caract re de son personnage et par ses int r ts Son r le est actif puisqu il peut devenir ma tre de la situation l influencer et la modifier ce qui est crucial pour le maintien de sa motivation Le labeur habituel de l apprentissage passe inaper u et se transforme en un jeu de je avec des enjeux Ainsi la simulation globale permet l apprenant non seul
245. s de communiquer dans un espace virtuel partag D s qu un apprenant se connecte au serveur MEPA l aide du client MEPA il visualise l cran un monde en deux dimensions dans lequel il est repr sent par un avatar Plusieurs apprenants peuvent se rencontrer et faire parler leurs avatars dans des bulles comme dans une bande dessin e et d placer certains objets de l environnement L hypoth se est que la mise en correspondance du registre de la perception visuelle et du registre langagier dans le cadre de t ches r aliser est susceptible de d velopper des capacit s langagi res et communicatives Plusieurs lieux sont possibles les apprenants pouvant changer de lieu en passant des portes Les apprenants partageant le m me lieu partagent la m me interface ceci pr s qu ils ne peuvent agir que sur leur propre avatar et sur les objets partag s f Client Exemple de lieu imaginaire dans 107 L objectif du stage est 1 de concevoir un monde virtuel constitu de lieux d objets et de personnages avatars ainsi qu un sc nario fond sur des objectifs p dagogiques et un public cible 2 de coder le monde virtuel selon le formalisme XML ce n est pas de la programmation mais de la description et d exp rimenter le sc nario avec un public d terminer 3 de proposer des volutions du logiciel afin de pouvoir mettre en oeuvre de nouvelles manipulations et des sc nari
246. s et fournir des explications et des conseils TRIGANO 1998 sans protection contre les fausses manipulations ou des erreurs de l usager celui ci peut rester bloqu et frustr Gestion des erreurs Les erreurs les plus fr quentes sont les erreurs de navigation comme le choix du sujet l arr t le retour etc TRIGANO 1998 Rapidit amp flexibilit Sous cat gorie e Objectif Permettre une r alisation rapide facile et fiable des activit s CINEMA HTTP e Objectif Influencer l attitude de l usager vis vis du syst me ses habitudes de travail circonstances dans lesquelles il va utiliser l ordinateur ScAPIN 1986 e Pr venir l usager si le temps d attente est plus important que d habitude ScAPIN 1986 e Le temps de r ponse doit tre uniforme sinon l usager est d sorient CINEMA HTTP e Le temps de r ponse ne peut pas d passer 10 15 secondes sinon la maintenance du processus de pens e devient difficile SCAPIN 1986 e Le syst me doit offrir la possibilit d interrompre et de reprendre le travail de l l ve tout moment CINEMA HTTP Rapidit amp flexibilit L imposition du temps de la lecture plus rapide que le temps habituel de l usager le prive d informations et ne respecte pas son rythme CINEMA HTTP Si le temps d attente de la r ponse du syst me est trop long l usager oublie ce qu il doit faire CINEMA HTTP Interactivit G n rali
247. s par rapport leur r le illustration moteur d clencheur leur permanence d acc s d pendantes ou accessibles tout au long de l activit ou encore selon le type de m dia porteur site WEB vid o audio qui influencera leur forme sonore textuelle iconique Parmi les ressources accessibles tout au long de l activit nous avons choisi les liens vers un dictionnaire et un conjugueur disponibles en ligne A partir des actes de paroles correspondant aux principales situations de communication nous avons concu un dictionnaire th matique en guise de Carnet de Conversation a Comme dans l activit de type simulation globale il est avant tout int ressant de mettre l apprenant dans un contexte de compr hension pragmatique nous avons introduit un certain nombre de documents authentiques certains ont t l g rement modifi s pour restreindre l acc s aux sites inutiles pour l activit comme les plans les itin raires les formulaires etc Nous avons galement cherch tirer parti des potentialit s de la multicanalit en mettant en relation des textes des sons et des images ex les illustrations du Fett Prince accompagn es d extraits sonores du spectacle musical mis en sc ne par Jean Louis MARTINOTY Parmi les ressources accessibles depuis les diff rentes sc nes nous pouvons num rer des documents comportant une certaine vari t socioculturelle comme les guides touristiques les sites officiels des mus es
248. s privil gi le travail sur le terrain Ainsi les photographies ont t prises sur le terrain les ambiances sonores ont t enregistr es l aide d un dictaphone num rique et nous avons mont les vid os nous m mes Pour varier les voix intervenantes dans la SMV nous avons organis des s ances d enregistrement impliquant 14 personnes ext rieures au projet Cette collaboration exigeait un travail pr alable aussi bien sur le jeu intonatif que sur le d bit adapt au public cible Lorsque le recueil sur le terrain tait difficile nous travaillions sur les mat riaux issus d une recherche sur Internet 134 Cf Annexe M 9 p 133 60 Gr ce au recours toute une panoplie de logiciels nous avons pu largir nos connaissances sur les sujets trait s ainsi que conna tre de nouveaux outils de traitement notamment celui des fichiers audio Apr s la r alisation de tous les l ments du monde virtuel nous les avons d crits en XML et int gr s dans le dispositif Cette derni re t che requ rait beaucoup de concentration puisque la description en XML est particuli rement rigoureuse D ailleurs un diteur de sc nes a t cr en fin de conception pour all ger et acc l rer cette int gration Le tableau ci dessous Figure 7 pr sente d une mani re succincte les principales t ches et les outils de la derni re phase de conception Image Son Vid o Pages WEB c Prise de Enregistrement Montage c Cr
249. s propos de l interlocuteur Conna tre les m thodes de l coute active savoir rep rer les l ments pertinents pour la compr hension savoir demander de r p ter savoir paraphraser pour v rifier la compr hension Etre capable d tablir l ordre chronologique et logique des propos Savoir narrer conna tre les connecteurs logiques savoir argumenter Etre capable d engager de continuer et de terminer une conversation Conna tre les formules ritualis es de la conversation savoir donner son point de vue savoir le justifier et argumenter savoir pr senter sa demande savoir solliciter un renseignement conna tre les sujets de communication conventionnelle savoir retenir et donner la parole capable d appliquer la forme ad quate au type de communication choisi Conna tre les caract ristiques typologiques de diff rentes formes discursives mall lettre r clamation compte rendu narration 34 M Parole en contexte Etre capable de reconna tre les diff rents registres de langue selon la situation de communication Savoir identifier la situation de communication et le statut de l interlocuteur Etre capable d utiliser les diff rents registres de langue en ad quation avec la situation de communication et selon son interlocuteur Conna tre les formules ritualis es politesse remerciement accord refus M Dimension socioculturelle Etre capable d identifier la situation sociocult
250. s utilis es CINEMA HTTP Objectif Maintenir la motivation et assurer la coh rence capitale avant tout dans la phase de d couverte TRIGANO 1998 Assurer l homog n it des conventions utilis es p ex emploi du m me mot pour la d signation d une m amp me fonction CINEMA HTTP Sc nariser la pr sentation TRIGANO 1998 Grouper et distinguer le contenu par la localisation le format le retour informatif la clart TRIGANO 1998 Si elle n est pas respect e la m moire court terme peut tre inutilement satur e et le processus d apprentissage peut tre s rieusement g n VILLAGE HTTP D finition L image globale du syst me situation interagit l usager CINEMA HTTP Les diff rentes composantes doivent toujours rester en accord avec la m taphore emprunt e CINEMA HTTP Objectif Aider l usager dans son utilisation et sa compr hension du syst me CINEMA HTTP Objectif Assurer la coh rence g n rale du dispositif CINEMA HTTP Ses fronti res doivent tre explicites CINEMA HTTP La m taphore et la coh rence doivent tendre rapprocher du monde physique CINEMA HTTP La compatibilit des fronti res avec la m taphore assure la compr hension naturelle de l organisation du dispositif CINEMA HTTP Une interface qui est proche du monde physique apporte une coh rence au niveau des actions l usager sait intuitivement ce qu il peut faire dans l environnement CINEMA HTTP
251. sages leur type et leur repr sentation passage libre passage cl etc Cette description comportait aussi bien la justification des choix effectu s que leurs caract ristiques techniques les dimensions l emplacement dans le sc ne La conception effective du monde virtuel a commenc par la visualisation de toutes les sc nes sous forme d un story board En effet la version finale de l univers comptait 208 sc nes soit 163 sc nes principales et 45 sc nes jumelles diff rentes versions d une m me sc ne congues pour cr er l impression de changement lors de plusieurs passages des l ves par une m me sc ne une carte du monde est devenue n cessaire afin de pouvoir nous y rep rer et diminuer la marge d erreur de connexion entre les diff rentes vues Composition d une sc ne Objet visuel X Avatar L avatar est une personnification virtuelle de l usager D une part il permet l l ve d acqu rir une repr sentation concr te facilitant ainsi la visualisation de ses actions de garder son anonymat d entrer dans la peau d un personnage en toute s curit et d autre part selon certains auteurs cette personnification peut avoir des influences consid rables sur le processus d apprentissage Comme le remarque Mehdi SERDIDI 2000 l avatar permet de rehausser l image de l apprenant en train d apprendre afin de modifier son rapport au savoir s agit donc d une sorte d autopersuasion si les actions de l a
252. sait partie int grante de notre vie quotidienne Toute vue tout bruitage pr sentait des int r ts potentiels pour la conception de la simulation Il est vrai que durant cette phase nous percevions notre environnement travers le prisme de la curiosit d un tranger afin d en saisir l essentiel et de le transf rer dans le dispositif en cours de conception 80 Malgr certaines difficult s que nous avons rencontr es durant ces diff rentes phases de conception nous les consid rons plut t comme r ussies C est par rapport la derni re tape que nous remettons en question notre organisation Suite la prolongation du stage notre mission suppl mentaire concernait les tests du dispositif aupr s d une classe de FLE II tait alors initialement pr vu de contacter un enseignant de FLE pr t coop rer et engager sa classe d apprenants trangers aux tests de MEPA 2D encadr s par nous m me en pr sentiel nous semblait n anmoins que ce contexte pouvait tre plus repr sentatif pour une activit comme la SMV destin e mettre en contact des classes de diff rentes nationalit s et distantes g ographiquement Nous avons alors propos d organiser ces tests justement dans un tel contexte L enjeu tait de trouver des classes de FLE dans diff rents pays disponibles simultan ment pour des connexions crois es Comme cette mission n tait pas initialement pr vue nous ne disposions pas de r elle m thodologie De
253. sation d taill e d une activit de type simulation globale e Collecte ou cr ation des ressources textuelles audio et vid o e Impl mentation en XML de cette activit 4400 lignes de XML e Recherche et maintien de contacts enseignants institutions pour les ex p rimentations Alg rie Allemagne Italie Pologne Turquie etc e Mise en place d une s rie de sessions crois es et participation au tutorat R daction et collecte de questionnaires enseignants et apprenants Mademoiselle Kitlinska s est investie dans sa mission avec professionna lisme et enthousiasme Elle s est appropri e le projet MEPA dans sa globalit a largement d pass les objectifs initiaux du stage pour devenir un l ment moteur au sein du projet Fait au Mans le 31 ao t 2005 Ida J r me Lehuen lt Ma tre de Conf rences Chef du projet MEPA Moteurs d Environnements Partag s l Apprentissage http lucke univ lemans fr mepa DD D Etat initial du dispositif MEPA 2D Peut effectuer des D placer un objet Prendre un objet D poser un objet D placer son avatar Changer de sc ne Passage abstrait Produire un nonc Source Figure inspir e de la pr sentation de J r me LEHUEN ANNEXES 110 Lister des em omnes chains par aimo Aeren cnp dm Vo get de Mon Hn aede emm rt pte Les eurem qme pu n pnt HTH en Cor gage memes Een eg ger ren bas Em ous aps Fe
254. se qui fait intervenir des v nements et des incidents dans le courant de la simulation Selon le type de simulation la dur e globale de l activit ainsi que celles des diff rentes phases peut tre plus ou moins importante En r gle g n rale une simulation globale peut concerner une ou plusieurs classes et int grant diff rents l ments du programme scolaire s tendre m me sur plusieurs mois Les premiers pas dans la construction d une simulation globale consistent donc en la cr ation collective d un lieu th me et des identit s fictives Ces activit s se traduisent souvent par des documents crits les fiches d identit la description des lieux publics du lieu th me des travaux sur l tymologie de son nom une r daction d un lexique des droits et des r gles respecter L enseignant labore alors certaines strat gies qui lui permettront de g n rer des situations probl me Afin d assurer une certaine logique et homog n it du canevas d invention il convient de choisir un type de simulation qui correspond aussi bien au public vis qu aux objectifs p dagogiques atteindre Ainsi il existe une certaine typologie des simulations globales La nature de la langue pratiqu e en simulation constitue le premier des crit res typologiques des simulations On distingue des simulations destin es un apprentissage g n ral de la langue et celles destin es un apprentissage professionnel Un lieu th me ordinaire o
255. seignement formation professionnelle distance et formation coop rante chap 3 La p dagogie de jeu th se de doctorat Institut National des Sciences Appliqu es de Lyon http docinsa insa lyon fr these pont php id akkouche Consult en mars 2004 ARNAUD SERDIDI 2001 lt ARNAUD Michel SERDIDI Mehdi 2001 Conditions favorables la construction des connaissances avec les jeux de r les sur Internet Universit Louis Pasteur Strasbourg http www chez com serdidi Consult en janvier 2005 AUBE ET AL 2001 K AUBE Michel DUFRESNE Aude SENTENI Alain 2001 Un mod le de support au travail collaboratif dans un centre virtuel d apprentissage Conf rence Mod les et outils pour d finir le soutien dans les environnements hyperm dias d apprentissage 9 11 avril D partement de Communication Universit de Montr al Canada http www esi umontreal ca dufresne Publications SenteniDufresneFinal pdf Consult en novembre 2004 AUDETAT VOIROL 1996 amp AUDETAT M CL VoIROL CH 1996 L effet Pygmalion Psyrergie Neuch tel http www psynergie ch ressources html Consult en janvier 2005 mpe 6 2000 amp BARBOT Marie Jos 2000 Zes auto apprentissages Cl International col Didactique des langues trang res Paris BEACCO 2000 amp BEACCO Jean Claude 2000 Les dimensions culturelles des enseignements de langue Hachet
256. servation de cette activit feront apparaitre des pistes int ressantes puisque la SMV devient ainsi collective aussi bien pour les apprenants que pour les enseignants Compte tenu de la relative nouveaut de ce type d organisation nous ne pouvions pas nous appuyer sur les r sultats des tudes men es ant rieurement pour affiner les modalit s du travail tutoral collectif Nous avons alors d cid d envisager avant tout des outils indispensables pour mener bien ce type d encadrement et permettant d observer les comportements et les organisations ressurgissant durant l activit Les strat gies d organisation des apprenants n tant pas impos es pour pr server leur cr ativit et leur libert d action ils pouvaient partager les t ches entre eux et divis s en plusieurs groupes en effectuer plusieurs en m me temps L encadrement tutoral de type one to one n entrait donc pas en ligne de compte tait alors important de fournir aux tuteurs un outil de visualisation des sc nes dont l explorateur du monde pouvait faire office Ainsi un double clic sur l intitul d une des sc nes permet 133 ce sujet certains auteurs parlent m me de la mentalit fran aise Domasik BiLoco 2001 59 l enseignant de s y retrouver imm diatement Pour faciliter les interventions tutorales nous avons galement concu des pages HTML reproduisant l essentiel du sc nario p dagogique qui ont t ensuite int gr es dans le disposit
257. si les autres personnages les comprennent Autre r ponse Connaitre des l ments de la culture contemporaine 10 10 Non Non NonL d 3L 152 ANNEXES musique films textes etc UI 2L 3 401 Bl Avoir l acc s aux documents authentiques iL 2L 3L CT 50 Commentaire Professeur Si un professeur devait surveiller le jeu voudrais tu savoir quel est son personnage dans le jeu Ou Pourquoi Qu est ce que tu aimes le plus dans le jeu Ta r ponse Qu est ce que tu n aime pas dans le jeu Ta r ponse Quels sont tes conseils aux autres joueurs Tes conseils Q Alors Quelle note globale donnes tu MEPA LE EE E Ge o g
258. simple introduction de ces documents ne suffit pas pour assurer l authenticit de leur exploitation 11 est important de les employer dans un contexte proche du r el afin de reproduire galement l authenticit des enjeux de leur usage L ancrage de la simulation dans un d cor r aliste permet justement de l gitimer l emploi de ce type de document de le contextualiser et le rendre authentique C est pour la m amp me raison que la plupart des enseignants ayant le choix de situer leur simulation soit dans un lieu imagin en France soit dans le pays des l ves soit dans un ailleurs utopique optent pour la premi re des possibilit s Cette option permet d tudier non seulement la langue mais galement la civilisation fran aise De m me elle facilite la contextualisation des documents ainsi que celle des t ches effectuer en leur donnant une certaine paisseur et de l authenticit N anmoins il faut rester vigilant car une s lection des v nements les plus pr visibles des endroits les plus connus une multiplication outranci re des clich s classiques peuvent conduire les apprenants une fossilisation de leurs st r otypes Comme le remarque Francis DEBYSER 1999 71 la mise en place des simulations longuement consacr e l implantation du d cor et l invention de personnages est propice ce genre de dangers car ces derniers ne sont au d but que des silhouettes et peuvent facilement devenir des caricatures
259. soit les moyens disponibles un expert pour rendre un novice plus comp tent a t th oris e par J r me BRUNER 1983 En distinguant 6 tapes de la tutelle l auteur insiste sur la discr tion des interventions du tuteur tayage Une des critiques de Lev VYGoTskY faites l gard de l ducation porte sur le fait que l cole n enseigne pas toujours des syst mes de connaissances mais surcharge tr s souvent les l ves de faits isol s et d nu s de sens Les savoirs devraient former ce syst me para tre aux yeux de l apprenant comme interd pendants et contextualis s ce qui nous am ne la th orie de l action situ e qui place l apprentissage non plus au niveau individuel mais bien au niveau d une communaut ou d une organisation Les travaux de SucHMAN 1987 LAVE 1988 ou WENGER 2000 envisagent l apprentissage comme une action situ e troitement d pendante des circonstances mat rielles et sociales dans lesquels il se d roule Ainsi l apprentissage s effectue par les interventions sociales collaboratives et par une construction sociale de la connaissance ROBIAL 2004 ce qui nous renvoie l importance du contexte de la situation authentique mentionn e d j dans l approche socioculturelle 70 Cit dans Duc 1994 28 11 2 3 Approches communicatives Selon les approches communicatives comme pour l approche situ e tout change est produit dans un contexte particulier qui influe
260. souvent appris comme 2 langue trang re avec pour 1 langue l anglais ou l espagnol selon le pays Avec un volume horaire de cours oscillant entre 1H30 et 5h par semaine la plupart des enseignants qualifient le niveau de leurs l ves comme moyen et ceux qui se sont r f r s au Cadre Commun de R f rence le placent entre le niveau A2 et B1 mais il y a aussi des classes de d butants Contrairement nos attentes d une meilleure habilet crite compr hension et expression fr quente dans un milieu h t roglotte certains professeurs d clarent la comp tence orale comme mieux ma tris e Compte tenu de ces in galit s il nous semble que suivant l id e de travail entre pairs la connexion des l ves de diff rents niveaux sans carts d mesur s peut mener des situations d entraide int ressantes Concernant les habitudes des l ves que nous devrons prendre en compte lors de la conception ils utilisent fr quemment un dictionnaire bilingue Le recours au dictionnaire unilingue a lieu seulement la demande de l enseignant Certains l ves surtout ceux qui sont mieux familiaris s avec l outil informatique emploient des dictionnaires en ligne Tous les enseignants d clarent pratiquer le travail en groupe appr ci d ailleurs par leurs l ves Quant aux ventuelles pistes de sujet de simulation nous n avons pas constat de point commun entre les apprenants passion profession permettant la r alisation
261. spositif et celle des choix didactiques mais cherchait galement de nouvelles pistes d am lioration De ce fait nous y avons galement inclus des questions ouvertes exigeant un commentaire plus labor En r gle g n rale pour ne pas influencer l opinion de l enqu t il convient de lui poser d abord des questions ouvertes pour ensuite entrer dans les d tails Toutefois durant les entrevues en pr sentiel nous nous sommes rendu compte que l application de cette r gle n tait pas toujours b n fique puisque les l ves ne savaient pas lesquelles de leurs impressions pouvaient correspondre la question Nous avons alors choisi en premier lieu de leur demander de qualifier sur chelle leurs appr ciations et ensuite de leur donner la possibilit d une r ponse ouverte Quant la forme des items nous nous efforcions d viter toute ambiguit et les mots charg s affectivement pour ne pas influencer la r ponse de l enqu t Prenant en compte le niveau linguistique des apprenants nous nous interdisions les questions trop longues ou le vocabulaire trop complexe Par ailleurs les mots difficiles ont t accompagn s d info bulles explicatives Cela tant dit les enseignants respectifs ont t demand s d accompagner les l ves dans la compr hension du questionnaire et les apprenants ont t autoris s y r pondre dans leur langue maternelle afin d viter une trop grande simplification des r ponses A titre d exemple le
262. t d velopp avec l aide de plusieurs partenaires le Fond de l autoroute de l information Vid otron la Direction des ressources didactiques du Minist re de l ducation et le Rescol canadien A l exemple de Prologue d autres villages ont vu le jour en France et au S n gal 11 s agit d une simulation non seulement pour l apprentissage de la langue fran aise mais galement d autres mati res comme les math matiques l histoire la logique la dissertation etc 8 Description du site selon ses auteurs http www prologue qc ca 24 m C Mondes virtuels L environnement des mondes virtuels ressemble celui des jeux vid o Si on croit les statistiques l int r t des adolescents pour ce type d activit est consid rable il est alors tout fait justifi de s attendre au enthousiasme pour les simulations globales en r seau Mais les mondes virtuels pr sentent bien plus d atouts notamment p dagogiques qu une simple interface attrayante Pour d finir les mondes virtuels qui font partie de la r alit virtuelle il convient d abord de sp cifier cette derni re L appellation de r alit virtuelle quelque peu contradictoire d signe les environnements spatiaux informatiques multim dias et interactifs Les potentialit s actuelles du multim dia hyperliens hypertexte multicanalit interactivit etc permettent d assurer la coh rence th matique ainsi que la logique du monde virtuel L apprenan
263. t galement une aventure humaine int ressante Nous avons gard contact avec certains l ves participant aux tests particuli rement int ress s par cette exp rience Le stage tait il r ussi Avons nous r pondu aux attentes de l encadrement Malgr les difficult s prouv es face la gestion des participants des tests et la n cessit de certaines am liorations de l activit con ue l enthousiasme et l int r t des l ves certaines remarques et appr ciations des enseignants ainsi qu une certaine ampleur du projet exp rimentations internationales nous permettent de croire que notre mission a t r ussie au moins dans une certaine mesure L panouissement et l engagement dans les t ches entreprises durant le stage nous donnent un sentiment d enti re satisfaction et l envie de poursuivre cette tude afin de trouver davantage de r ponses aux questionnements suscit s durant la conception et l valuation du dispositif Comme nous l avons d j mentionn la libert d action dont dispose un stagiaire d pend d une part de sa pers v rance mais galement de l attitude de son responsable Or notre ma tre de stage s est montr tr s ouvert nos propositions Sa capacit d coute et ses encouragements un rapport avant tout humain et non uniquement hi rarchique nous ont beaucoup motiv e et aid e dans la r alisation et la qualit de notre travail La satisfaction exprim e par notre maitre de stage nous permet
264. t t int gr s pour des raisons p dagogiques Nous avons galement propos d introduire les ambiances sonores pour plus d authenticit dimension socioculturelle et pour un meilleur ancrage de la situation de communication Cependant tous ces changements n ont pas ou tr s l g rement affect l architecture initiale du programme et n ont pas demand des modifications importantes Elles ont t r alis es par les extensions des objets d j existants ou l int gration de modules ind pendants messagerie calepin En revanche l introduction des actes de parole dans les menus des avatars ainsi que leur division en diverses cat gories ont demand des interventions plus importantes de la part des concepteurs informatiques A titre d exemple l id e des agents syst me a suscit l int gration d un moteur conversationnel De m me l option de tutorat a exig le d veloppement parall le du syst me informatique concr tis par la conception d un nouveau client tuteur disposant d une interface diff rente de celle du client apprenant Toutefois la principale modification concerne la r activit du dispositif inexistante dans la version initiale du dispositif est vrai que cette r activit est d une grande importance aussi bien pour le maintien de la motivation de l apprenant que pour l authenticit de ses actions dans l environnement Ainsi le dispositif a t dot d un module comportant un moteur d inf rence L id e
265. t ristique pour le milieu repr sent par ces intervenants Nous cr ons diverses situations afin de permettre aux l ves d observer les m urs ou les situations ritualis es dans la soci t cible l organisation d une commande dans un caf ou un restaurant une visite de courtoisie chez un particulier la d marche suivre lors d une visite au mus e les d marches administratives au bureau des objets trouv s le d p t de plainte la gr ve de transport etc Les endroits envisag s dans la simulation permettront aussi une certaine exposition aux v nements culturels le mus e Salvador Dali le mus e Montmartre le mus e d Art Naif ainsi qu la culture populaire d actualit des chansons modernes et moins modernes des films des extraits de livre des articles de journaux pr sent il convient de d crire chaque objet de la sc ne ainsi que ses composants m C Recensement amp description Nous avons commenc ce recensement par une liste de toutes les sc nes incluant la description des actions effectuer par les l ves des objectifs atteindre des actes de parole susciter ainsi que celle d ventuelles modifications du dispositif Ce document a t ensuite soumis l quipe du projet afin d valuer sa faisabilit Suite la validation de la description nous avons d crit chaque l ment constitutif de la sc ne le fond le bruitage les objets placer dans chaque sc ne les pas
266. t s 7 Sous cat gorie Objectif Donner une r troaction informative et stimulante message textuel ou sonore animation CINEMA HTTP SU e dispositif doit fournir des informations sur ce que fait le syst me suite une action de 9 l usager SU G 116 Initiative du dialogue e Les dialogues l initiative de l ordinateur sont pr f rables pour les utilisateurs inexp riment s ou occasionnels De tels dialogues permettent de mettre en oeuvre des processus de reconnaissance plus ais s que des processus de rappel ScAPIN 1986 e L utilisateur exp riment doit avoir la possibilit d anticiper ou de sauter des tapes SCAPIN 1986 Initiative du dialogue Type de dialogue e D finition Le logiciel pose une s rie de questions auxquelles l utilisateur doit r pondre 9 5 1986 S e Avantage Conduit moins des erreurs de la part des utilisateurs SCAPIN 1986 p e D savantage Devient vite lourd et ennuyeux mesure o l utilisateur acquiert de E l exp rience avec le syst me ScAPIN 1986 o e D savantage Ne peut tre utilis que lorsque les donn es entrer sont connues de l utilisateur et lorsque leur ordre peut tre contraint ScAPIN 1986 e Fournir pour chaque r ponse de l utilisateur un exemple de syntaxe correcte et de contenu appropri ScAPIN 1986 e D finition A l initiative de l ordinateur s effectue par la s lection d
267. t apprentissage dans Outils multim dias et strat gies d apprentissage du FLE Cahiers de la maison de la recherche Universit Charles De Gaules Lille 1 PES 6 e ERNST amp FABRE HTTP lt ERNST Christian FABRE Hortense Contr le des interactions dans un dispositif de t l tutorat http isdm univ tin fr PDF isdm18 26 ernst fabre pdf Consult en janvier 2005 86 6 FAERBER 2004 K FAERBER Richard 2004 Caract risation des situations d apprentissage en groupe S7 CEF vol 11 http sticef univ lemans fr num vol2004 faerber 07 sticef 2004 faerber 07 pdf Consult en mars 2005 FAERBER 2003 lt FAERBER Richard 2003 Groupement processus p dagogiques et quelques contraintes li es un environnement virtuel d apprentissage Environnements Informatiques pour l Apprentissage Humain Strasbourg FLEURY 1994 K FLEURY Maurice 1994 Implications de certains principes de design pour le concepteur de syst mes multim dias interactifs Educatechnologiques vol 1 n 3 septembre http www sites fse ulaval ca reveduc html voll n03 implic html Consult en mai 2005 FLEURY 1993 lt FLEURY Maurice 1993 Jeu informatis et simulation en milieu scolaire impact potentiel Educatechnologiques vol 1 n 2 d cembre http www sites fse ulaval ca reveduc html voll n02 jeu html Consult en mai 2005 FOUCHER 1998 lt F
268. t dolltesting nsrdollzmaker htm e Photographes connus http www masters of photography com D doisneau doisneau html e Photographies de Paris http www parisinconnu com promenades index htm http www paris org parisF html http www parisrama com http perso numericable fr bdecorte http www gratisnette com image personnelles paris photos gratuites de paris 2000 index ht m e Ponts de Paris http lefildutemps free fr paris index htm http www peniche com 21ptsommaire htm e Photographies de Marseille http www ics meio u ac jp naka Marseille htm http www xpo photo com voyages marseille 1 shtml http www web provence com villes e Photographies de trains http www gratisnette com image personnelles trains paris index htm e Banque d images http www onlineformapro com espaces commun bankImg banklmg asp SITOGRAPHIE 98 e Images gratuites http www folp free fr http www onlineformapro com espaces commun savoir graphisme83 asp e galerie d images de synth se http www janou 3d com accueil accueil htm e Gifs anim s tutoral http www kissdesign net dollz tutorial oeil oeil ferme htm e Site KissDesign gifs anim s http www kissdesign net gifspoursite les globesO01 htm e Banque de gifs anim s et de cliparts http www Olgif com http www animationfactory com free sports sports page aa html http www toutimages com http gifalapelle s
269. t la communication Homme Machine Son objectif principal est l application de l informatique l ducation se r alisant par les projets de recherche tendant modifier et enrichir les environnements d apprentissage Actuellement le LIUM constitue un p le d excellence de recherche en EIAH et sa r putation est due une contribution importante l volution du domaine concern durant une vingtaine d ann es de recherche pluridisciplinaire 5 Selon le site officiel du LIUM http www lium univ lemans fr 6 LIUM CNRS FRE 2730 Institut d Informatique Claude Chappe Universit du Maine Avenue La nnec 72085 LE MANS CEDEX 9 http www lium univ lemans fr 7 Ing nieur technicien et administratif personnel 8 http www enrs fr CNRS Avenir prempropos htm 9 D partement scientifique STIC Section 7 correspondant aux sciences et technologies de l information informatique automatique signal et communication La dur e du mandat est de 2 ans http web ast dsi cnrs fr I3c owa annuaire recherche index html 10 Selon l historique du CNRS http picardpl ivry cnrs fr chrono html 11 Selon l article 1 du d cret n 82 993 du 24 novembre 1982 modifi portant organisation et fonctionnement du CNRS de 89 993 http www legifrance gouv fr texteconsolide PUH31 htm Selon l article 17 modifi par le d cret n 2000 1059 du 25 octobre 2000 http www legifrance gouv fr texteconsolide PUH31 htm 13 Selon BRUILLARD ET AL
270. t parfois de la remplacer par une interactivit du syst me plus ou moins riche Cependant tel n est pas le cas d une SMV L interactivit du dispositif ne vient qu enrichir les interactions humaines pr vues dans l activit De m me les personnages syst me intervenant dans certaines sc nes n existent que pour soutenir le tuteur ou fournir un feedback lorsque l intervenant 71 humain n est pas imm diatement disponible 11 est alors question de compl mentarit entre la technologie et l intelligence humaine Nous estimons alors que de ce point de vue MEPA 2D permet une diminution des pertes potentielles En revanche la diversit des formes d valuation offerte dans la version actuelle du prototype peut en effet tre consid r comme restreinte Cette valuation n existe pour le moment que sous l aspect formatif et ne fonctionne que de mani re pragmatique ce qui n est peut tre pas toujours suffisant pour la perception imm diate de l activit de l l ve Par ailleurs comme de nombreux auteurs nous nous sommes rendu compte que la rigueur de la programmation p dagogique dans les environnements num riques est toujours de mise peut tre m me plus encore que dans les situations de face face o l ajustement r ciproque enseignant l ve peut s effectuer en temps r el selon les besoins du moment BOURDET amp TEUTSCH 2000 En effet tant donn qu une part du sc nario est confi e aux enseignants la programmatio
271. t se trouve ainsi dans un environnement complexe complet et dynamique dans lequel l usager a le sentiment d tre immerg C est justement ce sentiment d immersion qui va tre particuli rement int ressant pour les simulations globales Cette m taphore informatique peut tre r alis e en 2D ou en 3D La ressemblance de l environnement la r alit peut alors tre tr s importante ce qui donne de nouvelles possibilit s de placer l apprenant dans un d cor proche de la soci t cible L utilisateur lui m me est repr sent par un avatar qui symbolise sa personnalit virtuelle n est pas isol puisque les dispositifs acceptent des connexions multiples travers le r seau et fournissent chaque utilisateur l acc s une base de donn es partag es Ce type de fonctionnement permet la connexion de plusieurs apprenants voire classes de cultures diff rentes Selon les travaux de ZEITZ amp KuENY 1998 une telle confrontation d veloppe chez l apprenant une capacit briser rapidement les conceptions st r otyp es et construire de nouvelles conceptions Par ailleurs chaque participant peut interagir avec d autres intervenants ainsi que visualiser leurs actions Selon Jacques PERIAULT 1996 gr ce la manipulation des objets dans l environnement des mondes virtuels l apprenant d veloppe de nouvelles aptitudes Contrairement la simulation pr c demment invoqu e Prologue un tel dispositif permet une communicat
272. tades du d veloppement de l intelligence 40 WITTGENSTEIN Ludwig 1945 nvestigations philosophiques Gallimard Paris dans LoPEZ http 1 FRANCOIS Fr d ric 1993 Pratiques de l oral Nathan Paris p 82 dans Lopez http 4 est question de la th orie de contr le labor e par Stephen KRASHEN 1983 Seule la langue maternelle peut tre r ellement acquise car son appropriation s effectue lors des situations non formelles de socialisation de l enfant En ce qui concerne les langues trang res le syst me appris compos es de connaissances formelles ou de r gles apprises d une mani re explicite n intervient lors de la production qu apr s l intervention du syst me acquis travers le monitor autocontr le 18 langage et l appropriation d une langue trang re Le chercheur remarque que l acquisition est un processus inconscient non contr l et orient vers le contenu de la communication Quant l apprentissage c est un processus conscient contr l et orient sur la forme de la communication Lors des productions en langue trang re les connaissances apprises parasitent les connaissances acquises et les contr lent C est avant tout dans les situations formelles fortement contr l es que l apprenant se sert des connaissances apprises En revanche si le filtre affectif est bas par exemple dans les situations non formelles l apprenant a plus de chances de mobiliser les connaissances acquises et
273. te coll F Paris BENAZET 2000 lt BENAZET Patrick 2000 Evaluation du multim dia duactif approche s miotique des processus cognitifs dans Actes du 3 me colloque du Groupe de Recherche en Information et Communication Pratique de situations de communication et AN T L C 30 novembre 1er d cembre Montpellier http patrick benazet chez tiscali fr semiocom travaux colloque GRIC htm Consult en juin 2005 84 BOURDET amp TEUTSCH 2000 amp BOURDET Jean Fran ois TEUTSCH Philippe 2000 D finition d un profil d apprenant en situation d auto valuation gt 4 5 vol 3 num ro 1 juin pp 125 136 http alsic u strasbg fr Num5 bourdet alsic n05 recl htm Consult en f vrier 2004 Bricco amp Rossi 2004 amp BRICCO Elisa Rossi Micaela 2004 La simulation globale l preuve de la formation distance un fil d Ariane n cessaire Universit de G nes SD M n 18 http isdm univ tln fr PDF isdm18 53 rossi bricco pdf Consult le 10 04 05 BRIEN 1993 K BRIEN Robert 1993 Apport des sciences cognitives la technologie ducative gt ducatechnologiques vol 1 n 1 f vrier http www sites fse ulaval ca reveduc html vol1 no1 scco html Consult en mai 2005 BRUILLARD ET AL 2000 amp BROUILLARD Eric et al 2000 Quinze ans de recherche informatique sur les sciences et techniques ducatives au LIUM
274. tenus et la connaissance n cessaire l action Aider le lecteur reconna tre quand cette connaissance se d veloppe tout en initiant une interaction appropri e VILLAGE HTTP Les instructions et les consignes doivent tre claires et pr cises CINEMA HTTP Les exercices doivent favoriser le d veloppement des habilet s et l assimilation des connaissances CINEMA HTTP Donner l acc s des exercices vari s et authentiques qui font r f rence un contexte significatif CINEMA HTTP Pour favoriser l acquisition des connaissances le syst me doit permettre l apprenant de recommencer les exercices moins bien r ussis CINEMA HTTP Apr s chaque exercice l apprenant doit tre inform de la pr sence des erreurs Ensuite le dispositif doit proposer l apprenant de r viser la partie th orique permettant d am liorer ses r sultats CINEMA HTTP Le contenu doit parvenir veiller la curiosit de l usager et maintenir la motivation et l implication des l ves CINEMA HTTP Les effets multim dias doivent cr er un environnement incitant l apprenant continuer son cheminement d apprentissage CINEMA HTTP Cr er un renforcement positif lors de la r ussite un exercice et une r troaction encourageante en cas d chec pour motiver l apprenant et l inciter continuer CINEMA HTTP L int gration des notions de jeu et des d fis dans les exercices cr e un environnement ludique et motivant maintien d
275. thot cursus edu imprimer asp no 2448 2 2 25 Voici l exemple d un MOO d apprentissage des langues trang res http pueblolindo heinle com 26 http tecfa unige ch tognotti staf14 moo html 13 p dagogique Les v nements sont provoqu s par les joueurs selon l opportunit du moment il n y a donc aucune progression p dagogique De ce fait durant la conception du prototype MEPA 2D certains choix effectu s ont tent de combler les lacunes du MOO tout en pr servant les atouts indiscutables des premiers mondes virtuels Ainsi le projet MEPA 2D tente de v rifier l hypoth se qui suppose le d veloppement des capacit s langagi res et communicatives des apprenants gr ce la mise en correspondance du registre de la perception visuelle et du registre langagier dans le cadre de t ches r aliser collectivement Le dispositif est congu pour la pratique d une langue trang re et en accord avec l hypoth se initiale de l auteur cherche privil gier l approche communicative Pour mieux appr hender cette approche le concepteur se r f re au Cadre europ en commun de r f rence pour les langues qui la d crit dans une perspective actionnelle o l apprenant est consid r comme un acteur social ayant accomplir des t ches qui ne sont pas seulement langagi res C est pourquoi en transposant informatiquement la simulation globale l environnement associe troitement le dialogue en langage naturel et la manipu
276. tif C est ce moment que l auteur devra s appuyer sur le cadre th orique p dagogique ant rieurement tabli afin d argumenter et de justifier la demande d ventuelles modifications La touche finale comprend la mise jour du mod le conceptuel du dispositif prenant en compte les volutions apport es en vue de la r alisation p dagogique Lorsque toutes les composantes sont d crites en d tail leur int gration justifi e et leur faisabilit confirm e le concepteur l image de l diteur mettant en page son document peut passer la conception graphique de diff rents l ments du dispositif cf 111 5 Ce type de conception devrait correspondre aux options ergonomiques ant rieurement s lectionn es cf 111 3 2 Comme le remarque Christian BASTIEN docteur en Ergonomie Cognitive dans le domaine des nouvelles technologies pour la formation l apprenant est la fois l utilisateur d une technologie dont il doit parfois apprendre le fonctionnement et apprenant d un contenu Les deux niveaux sont donc dans le contexte des nouvelles technologies pour la formation intimement li s La conception et l valuation d un outil de formation n cessiteront donc de s int resser la fois aux styles d interaction ergonomie c est dire aux moyens mis la disposition des personnes pour interagir avec l outil formulaires questions r ponses menus etc et la structuration du contenu p dagogie psychologie de l apprentissag
277. tils pr vu par le concepteur leur application effective s agit galement d estimer leur pertinence r elle la fr quence et les raisons d usage La communication fait l objet de la 5 s rie de questions V Communication Nous cherchons connaitre les raisons des changes avec Yves le personnage r f rence assum par le tuteur les modalit s de communication avec les PNJs ainsi que l usage des bulles automatiques la pertinence de ce type de communication les raisons et l utilit per ue par le joueur Afin de comprendre comment r agissent les apprenants face une difficult d ordre linguistique ou strat gique et d approcher leur 154 Cf l Annexe U p 147 69 vision de l organisation collective dans le jeu nous avons pr vu des questions de la s rie 6 VI Strat gies et Organisation Enfin la 7 s rie th matique tente de conna tre les appr ciations des l ves par rapport une ventuelle plus value du dispositif ainsi que leur vision de la place de l enseignant dans le jeu VII Apprentissage La partie didactique du questionnaire destin aux l ves t fortement simplifi e du fait que les apprenants n ont ni l expertise ni la distance pour valuer la pertinence didactique du dispositif Les questions se concentrent donc avant tout sur l activit de l apprentissage per ue comme telle par l l ve En revanche cette partie est d velopp e davantage dans le questionnaire destin aux ense
278. tion est modeste puisque l environnement ne requiert pas d images pour fonctionner A l origine les MOOs sont inspir s des jeux d aventure collaboratifs MUD Comme dans un jeu les utilisateurs peuvent suivre un itin raire regarder des objets changer avec d autres joueurs par crit en temps r el ou en diff r mails sous une identit fictive Les usagers peuvent galement participer la construction de l univers virtuel par la cr ation de nouveaux objets Compte tenu des possibilit s offertes par l environnement le MOO trouve rapidement une application dans le domaine de l ducation et sert d environnement de travail collaboratif distance Ainsi naissent les MOOs p dagogiques dont les MOOs con us pour la pratique des langues trang res Les avantages pour l apprentissage des langues de ces premiers mondes virtuels sont incontestables En effet contrairement la situation en classe la situation de communication est r elle avec des enjeux authentiques l environnement et l activit collective encouragent la curiosit et impliquent l usager dans ses actions De plus l anonymat favorise la participation des apprenants En revanche le caract re rudimentaire de la m taphore spatiale cran noir avec des points et des croix esquissant une rue une pi ce etc ne permet qu une immersion linguistique Tous les l ments culturels et sociologiques ne sont donc v hicul s que par la parole Les participants ne se voient pa
279. tique cadre bleu Selon leurs t moignages ce mode de d placement tait plus rapide Dans les situations critiques ils d placent leurs avatars partout dans la sc ne jusqu l apparition du message leur demandant de passer dans la sc ne suivante Malgr leur aisance dans la navigation les ludiques ont besoin d tre davantage guid s dans l environnement avoir une id e claire des objets trouver des informations obtenir des personnages interroger Ce guidage leur permettrait de ne pas passer c t des informations essentielles pour le jeu et de d cider par eux m mes de consulter ou non des documents vis e socioculturelle jug s secondaires pour leur mission Face ce constat il serait peut tre avantageux de pr voir dans le dispositif une carte conceptuelle pour que les l amp ves puissent mieux se rep rer et visualiser les tapes d j parcourues sans pour autant connaitre la totalit du parcours d couvrir progressivement La clart de la mission n appara t pas toujours tr s vidente Les l ves en citent plusieurs raisons Le plus souvent ils accusent l insuffisance de leur niveau de fran ais En m me temps nous remarquons que m me face aux difficult s le recours aux aides disponibles n est pas syst matique Les apprenants ne prennent pas toujours leur temps pour obtenir des informations suppl mentaires et ils le justifient par la peur de perdre de vue la sc ne En effet la visibilit
280. travaux sur le dialogue homme machine la mod lisation du tutorat synchrone collectif ou encore les traitements automatiques de la langue naturelle 163 Selon JERMANN JERMANN HTTP il s agit des situations o un l ve laisse les autres accomplir le travail ou encore la prise de pouvoir sur la situation s effectue par des l ves plus dou s que les autres 76 IV 5 CONCLUSION Les nouveaux environnements p dagogiques instrument s par les technologies num riques suscitent souvent des questions sur leurs apports r els face la situation de r f rence celle d un enseignement en pr sentiel Habituellement les analyses permettent d identifier des ph nom nes de perte de substitution et de gain BOURDET amp TEUTSCH 2000 Il est alors question de cerner et d valuer la plus value p dagogique une certaine valeur ajout e et l envergure des solutions apport es gr ce au recours ce nouveau type de dispositifs Pour construire une activit p dagogique MEPA 2D nous sommes partie d une tude de la simulation globale en classe afin de nous rendre compte de ses avantages et de ses ventuels d fauts Notre objectif tait de concevoir une activit qui garde les atouts de la simulation tout en essayant de trouver des moyens pour combler les manques constat s tait alors primordial de pr server une forte contextualisation de la parole l authenticit du jeu la richesse des identit s fictives et celle des situations
281. tremont SITOGRAPHIE 92 SITOGRAPHIE Laboratoires de recherche e CNRS http www cnrs fr CNRS Avenir prempropos htm e Historique du CNRS http picardpl ivry cnrs fr chrono html e Annuaire des organismes sous la tutelle du CNRS http web ast dsi cnrs fr I3c owa annuaire recherche index html e Textes officiels sur les instances scientifiques http www legifrance gouv fr texteconsolide PUH31 htm e Laboratoire d Informatique de l Universit du Maine http www lium univ lemans fr Q P dagogies e Guide pour les enseignants Apprendre ensemble par projet avec l ordinateur en r seau http www tact fse ulaval ca fr html sites guidep html Consult en f vrier 2005 e Site du Centre D Innovation P dagogique en Science au Coll gial http www apsq org sautquantique app ModeleUQAM doc Q Jeux de r le multim dias pour enseignement et apprentissage des langues e Site d Zatcnet http www educnet education fr langues sitelang utilpeda htm Consult en mai 2004 e Site PAREA simulations et jeux de r les sur Internet http www colvir net pedagogie parea index html Consult en mars 2005 e Site DISCAS documents de r f rence Profil de comp tences mod les p dagogiques http discas ca Cadreref Documents Profilcompetence html Consult en juin 2004 e Jeux informatiques et ducation http www educnet education fr langues sitelang intro htm intrigue Consult en mai 2005
282. ts nous avons recherch des l ves ind pendants intervenant titre personnel Ces l ves se connectant depuis leur domicile n taient pas encadr s par un professeur Nous nous sommes alors charg e de les pr parer la simulation ce qui a n cessit l organisation d un suivi t l phonique ainsi que des s ances suppl mentaires en r seau Cette d cision partait d une bonne intention mais en m me temps elle est devenue source de nouvelles taches annexes Ainsi l exp rience de gestion d une quipe complexe en soi nous est apparue encore plus difficile conduire distance Force est de constater que m me si ces t tonnements d organisation peuvent tre vus comme un relatif chec cette premi re exp rience de gestion d un groupe nous servira de le on et nous permettra de perfectionner notre d marche l avenir Cette coop ration nous a galement permis de porter un regard critique sur l activit cr e pour la SMV Il est vrai que lors de sa conception nous nous sommes avant tout bas e sur l activit telle qu elle est pratiqu e en classe cons quente au niveau de la dur e et privil giant le d veloppement cr atif de l apprenant Pour que les l ves ne se rendent pas compte des limites du monde virtuel et pour qu ils puissent s abandonner dans leur activit nous avons galement concentr nos efforts sur le d veloppement des sc nes suppl mentaires qui pourraient tre visit es par un joueur ayant d cid
283. u est elle simple Oui Non Sais tu trouver la sortie de la scene 1L 2 7 3L 4 50 Commentaire 2 Orientation Comment trouves tu la sortie de la sc ne Tu observes la sc ne tu vois une porte ou un panneau sortie Tu sais que c est la sortie 1L 3L 4 50 Tu cherches le cadre bleu qui signifie le passage IL 2L ST D SI Tu d places ton personnage partout dans la sc ne pour trouver la sote 1L 2L 3L a4 5L Est ce que les cadres de couleurs bleu jaune rouge vert t aident te rep rer dans le jeu 1L 2L 3L 4L 5L Commentaire 149 Z Rythme Peux tu avancer ton rythme IL 20 3L Al 80 As tu le temps de discuter avec les personnages IL 2 T 30 40 5L As tu le temps de discuter avec les joueurs IL 2 T 30 40 5L As tu le temps de consulter les objets 7 1L ab op 50 As tu le temps d observer les paysages d 2 3L E A As tu le temps d observer la langue 7 Jl 4 4 Commentaire 4 M e n cet objet Le menu est il facile utiliser 7 Ou Non BERATEN Trouves tu facilement l information que tu recherches 0ui Non Changer d apparence e Le menu te
284. ue les effets de l hypertexte sur les apprentissages soient encore mal connus et que certains auteurs les jugent plut t de fa on n gative d autres exp riences montrent que dans le cas d une lecture fonctionnelle dans le but d acquisition d informations les l ves d veloppent des performances comme la rapidit d acc s l information ou la m morisation LANCIEN 1998 81 Les travaux de Rouet montrent que des l ves de 11 14 ans effectuant des recherches d informations dans des domaines vari s gr ce l hypertexte acqui rent tr s vite des strat gies de lecture adapt es au format de pr sentation de l information D autres auteurs pr cisent que les strat gies d velopp es de cette mani re se substituent aux traditionnelles activit s de rep rage et de classement mises en ouvre dans le cadre d une lecture classique DEVELOTTE amp LANCIEN 1996 Par rapport aux langues trang res Thierry LANCIEN 1998 82 observe que ce type de construction des documents constitue une aide pr cieuse qui devrait faciliter les processus de compr hension Contrairement aux ressources zooms d un objet apportant un suppl ment d information au contexte r duit de la sc ne certains documents plus volumineux exigent la mise en place d une lecture s lective C est p ex le cas d un lien vers le site officiel de Montmartre En plus de son int r t socioculturel le document permet de trouver des informations utiles pour l
285. ues gt D sianceS vol 4 n 1 printemps 7 45 MOIRAND 1982 K MOIRAND Sophie 1982 Enseigner communiquer en langue trang re Hachette Paris 6 PAQUETTE 2001 amp PAQUETTE Gilbert 2001 L ng nierie des interactions dans les syst mes d apprentissage Centre de recherche LICEF T l universit http www licef telug uquebec ca gp docs pub ingenierie iisa doc Consult en f vrier 2005 PERNIN amp LEJEUNE 2004 5 amp PERNIN Jean Philippe LEJEUNE Anne 2004 Dispositifs d apprentissage instrumentes par les technologies vers une ing nierie centr e sur les sc narios gt dans Actes du colloque TICE 2004 octobre Compi gne http www clips imag fr arcade User jean philippe pernin recherche download PerninLejeune TICE2004 Article pdf Consult en janvier 2005 PERRENOUD 1999 lt PERRENOUD Philippe 1999 Apprendre l cole travers des projets pourquoi comment Facult de psychologie et des sciences de l ducation Universit de Gen ve PERRIAULT 1996 Perriault Jacques 1996 La Communication du savoir distance l Harmattan coll Education A Formation Paris PETIT 2000 lt PETIT Marion 2000 Comment travers l utilisation des albums de jeunesse en classe de maternelle aider les enfants entrer dans la parole 2 M moire professionnel UFM Montpellier PETTIGREW 2001 lt PETTIGREW Fran ois 2001 L
286. ueuses les l ves questionnent les g nies ou effectuent une recherche dans un dictionnaire tous types de dictionnaire confondus La demande d aide aupr s d Yves constitue le dernier recours Les apprenants avouent que la compr hension orale des r pliques d bit naturel avec des liaisons et lisions est parfois difficile et sans la consultation de sa version transcrite bulle de texte ils auraient beaucoup de difficult s pour la comprendre N anmoins malgr cette barri re ils appr cient la possibilit d entendre le vrai fran ais Interrog s sur une ventuelle possibilit de communication orale entre les participants les l ves estiment que les diff rents accents des l ves de diverses nationalit s pourraient rendre l interaction difficile Les appr ciations g n rales sur la simulation font ressentir un enthousiasme unanime pour les ambiances sonores et visuelles du monde virtuel Les l ves insistaient sur l immersion rendue possible gr ce ce type de pr sentation L acc s aux documents authentiques et la possibilit de consulter les chansons et les films r cents ont t jug s aussi importants qu agr ables De m me tant donn que les l ves ne sont jamais venus en France quelques exceptions pr s ils ont beaucoup appr ci la possibilit d avoir acc s certaines situations dont aucune description dans le manuel de langue ne pourrait rendre compte aussi bien qu une simulation en
287. ulter une ressource consid r e comme externe car apparaissant dans une autre fen tre que celle du dispositif L environnement MEPA 2D propose aux l ves plusieurs fonctionnalit s Ainsi la possibilit de communiquer avec les PNJs et celle d explorer le fond de la sc ne ont t jug es comme les plus utiles et les plus souvent consult es La plupart des messages des PNJs ont t reconnus comme pertinents et indispensables pour pouvoir avancer dans le jeu Dans ces changes les l ves appr cient beaucoup 161 Cet inconv nient a fait l objet d une mise au point au sein de l quipe n anmoins le clavier virtuel n a pas t int gr puisque le dictionnaire int gr dans le dispositif tait consultable sur Internet et donc non modifiable 12 la double pr sentation des propos des personnages syst me sonore et textuelle La communication avec les personnages syst me s engage avant tout lorsque les l ves rencontrent des probl mes aussi bien linguistiques que strat giques recherche d un indice La plupart des l ves croient que la pr sence des PNJs dans les sc nes n est pas due au hasard Cependant si le g nie ne les interpelle pas et si les ludiques ne sont pas en difficult ils ne l interrogent pas Ce comportement nous semble regrettable puisque si nous reprenons la classification p dagogique des sc nes cf 111 6 ce type de situation correspond aux sc nes d entrainement o san
288. un processus naturel de d veloppement l apprentissage apparait comme un moyen de renforcer ce processus naturel en mettant sa disposition des outils cr s par la culture qui largissent les possibilit s naturelles de l individu et restructurent ses fonctions mentales lvic 1994 Quant aux adultes ils apparaissent comme des repr sentants de la culture Puisque l individu a ses prolongements d une part dans les autres d autre part dans ses uvres et sa culture l interaction sociale comprend galement une interaction avec les produits de la culture on parlera donc de l interaction socioculturelle L auteur ajoute que cette interaction devrait tre orient e vers la ZPD dans laquelle l enfant fait l exp rience de ses rencontres avec la culture Chez Lev la ZPD est d finie comme la distance entre le niveau de d veloppement actuel tel qu on peut le d terminer travers la facon dont l enfant r sout des probl mes seul et le niveau de d veloppement potentiel tel qu on peut le d terminer travers la facon dont l enfant r sout des probl mes lorsqu il est assist par l adulte ou collabore avec d autres enfants plus avanc s Vvcorskv 1934 Bien videmment lors des changes asym triques avec un adulte ou un pair plus avanc la confrontation de points de vue et donc le conflit sociocognitif a plus de chance d apparaitre et de conduire au progr s de l enfant L interaction de tutelle
289. un myst rieux coffre et d cide de le d couvrir L aider mieux conna tre sa grand m re et retrouver l objet sont donc les missions principales confi es aux apprenants Yves apparait comme un personnage de r f rence pour les apprenants trangers Etant Frangais et connaissant le contexte de leur mission il pourra les aider en cas de probl mes Concernant ce personnage nous ne savions pas s il devait accompagner les apprenants tout au long de leur parcours ou plut t rester l cart Finalement nous avons choisi la 2 solution En effet si Yves voyage avec les apprenants ils peuvent lui d l guer toutes les demandes de renseignements ou m me toutes les d cisions concernant l enqu te face la moindre difficult En revanche si les apprenants sont seuls surmonter les obstacles ils devront y arriver par tous les moyens ce qui suscitera de la communication et cr era des enjeux authentiques Toutefois s ils se trouvent bloqu s les joueurs pourront contacter Yves et lui demander de l aide mais l encore ils seront oblig s de formuler leur demande par crit ainsi que de n gocier entre eux le moment du contact sa forme et son contenu Pour rendre plausible aupr s des l ves le fait qu Yves ne puisse pas les accompagner nous avons introduit des personnages suspects dont personne ne conna t l identit 115 surveillent Yves ce qui rend impossible ses d placements La pr sence de cet l ment perturbateur pourra g
290. une des r ponses dans la liste pr sent e l usager ScAPIN 1986 e Avantage Convient aussi bien la construction des commandes qu l entr e des param tres SCAPIN 1986 e Avantage type de dialogue assez pratique si le temps de r ponse est satisfaisant SCAPIN 1986 e D savantage ne permet pas d entrer des donn es arbitraires ScAPIN 1986 v e Le mode appropri lorsqu on souhaite s assurer d une bonne qualit initiale des entr es limiter S les erreurs lors de premi res utilisations quand les utilisateurs ne sont pas familiers avec z toutes les fonctions du syst me ScAPIN 1986 e Son utilisation est conseill e lorsque le nombre des commandes est lev et peut d passer les capacit s m moire de l utilisateur Dans ce cas les menus jouent le r le de l aide m moire SCAPIN 1986 e Pour les usagers inexp riment s le menu ne devrait requ rir qu une seule s lection la fois et recourir au pointage direct SCAPIN 1986 e Le nombre d tapes dans une suite de menus doit tre minimis ScAPIN 1986 e Pour structurer l information utiliser niveaux de sous menus maximum GILBERT 2003 e D finition Habituellement l initiative de l utilisateur L utilisateur indique les actions voulues en pressant des touches chacune d entre elles repr sentant une commande SC4PIN 1986 e Avantage Moins de risque d erreurs typographiques par rapport la frappe de caract res SCAPIN 1986 e D
291. urelle savoir reconna tre les principes les m urs et l organisation de la soci t cible Etre capable d identifier l implicite culturel Conna tre les grandes r f rences de la soci t Etre capable de percevoir la dimension r f rentielle socioculturelle des propos de l interlocuteur Savoirs faire Etre capable d effectuer des op rations simples de la vie quotidienne Savoir acheter un titre de transport savoir n gocier le prix savoir aborder poliment quelqu un dans la rue savoir retrouver une adresse savoir adopter un comportement convenable dans les endroits publics 35 11 3 CADRE DIDACTIQUE 11 3 1 Principes didactiques Les principes didactiques devront nous faciliter les choix p dagogiques lors de la conception d une activit engendrant de l apprentissage Selon Philippe MARTON 1994 l apprentissage se traduit par un changement de comportement de l apprenant dans un sens d termin par une acquisition d habilet s d une comp tence pour une t che donn e Tout d abord les choix p dagogiques vont influencer la mani re de structurer les contenus Leur forme ordre et pr sentation devront ensuite faciliter l acquisition des savoirs et des savoir faire Ces savoirs sont indispensables pour acqu rir une comp tence dont la maitrise permettra son tour d acqu rir une performance Selon beaucoup de sp cialistes comme pour Robert BRIEN 1993 la comp tence est le concept cl de
292. urra pas effectuer la m me action p ex pour une mission de t l vision Un d pla able est un objet qui peut tre manipul par l apprenant d plac acquis ou offert quelqu un d autre p ex un titre de Transport II Un changeable est un objet qui suite une action pr cise peut changer d tat p ex un coffre ferm s ouvre si l apprenant y place une cl Quant au containeur il s agit d un objet qui peut en contenir d autres comme p ex une consigne bagages Enfin nous avons introduit des objets appel s cl s un titre de transport une cl une invitation dont l acquisition permet aux apprenants d acc der l tape suivante du jeu ce qui augmente les enjeux et permet de concr tiser les actions des l ves Passages Les issues dans MEPA 2D fonctionnent de deux mani res Elles peuvent tre libres sans aucune condition de franchissement ou requ rir l usage d une cl Nous en distinguons deux types les portes et les passages L emplacement et le fonctionnement des portes sont calqu s sur la vie r elle l apprenant peut les ouvrir les laisser ouvertes ou les fermer Ce sont des options tout fait banales cependant r p t es plusieurs reprises elles obligent l apprenant retenir et r employer les commandes habituelles pr sentes galement dans le menu contextuel de ces objets Les passages peuvent tre indiqu s par un symbole une ic ne d escalier le panneau de sortie de secours une fl amp c
293. us les moyens pour arriver se comprendre y compris des signes iconiques p ex pour indiquer la direction d avancement Certains enseignants ont t surpris par les r sultats des l ves consid r s plut t comme moyens ou effac s qui parfois arrivaient pourtant mener le groupe entier Ces observations nous am nent croire que la simulation en r seau requiert bien d autres comp tences que la comp tence langagi re et que cette activit permet aux l ves introvertis une ext riorisation non seulement de leur personnalit mais galement de leurs capacit s Ces remarques rejoignent d ailleurs les observations d Elisa BRicco et Micaela Rossi 2004 selon qui l engagement des l ves dans une simulation globale en ligne facilite la participation des tudiants dont le rendement est g n ralement plus faible et qui seraient en quelque sorte exclus d un parcours traditionnel Comme nous pouvons le remarquer la rapidit d acc s et de la r ponse sont des crit res qui reviennent tr s souvent dans les commentaires des apprenants En effet la pression l organisation collective l interd pendance des joueurs demandent de l efficacit et cette derni re est souvent 1 Nos observations des caract ristiques de ce profil diff rent quelque peu de celles mentionn es par S bastien GEORGE 2005 75 associ e la rapidit 11 nous semble que ce crit re ne doit pas tre ignor et que les prochaines am
294. utilisant le r seau permettent des connexions de classes de nationalit s diff rentes restant en contact tout au long d une session Il s agit donc d un travail collaboratif o le frangais apparait comme la seule langue de communication Les choix didactiques pour l laboration d une activit pour ce type de dispositif devraient donc tre effectu s de mani re optimaliser le contexte susmentionn Pour nous faciliter cette t che nous proc dons une br ve revue des notions th oriques en rapport avec l activit collective 11 2 2 Approches th oriques De nombreux travaux de recherche placent l apprentissage collaboratif l intersection de diverses th ories Habituellement les auteurs identifient l approche socioconstructiviste l approche socioculturelle et l approche situ e comme tant les trois principaux courants influant sur les m canismes de l apprentissage collaboratif De ces trois approches nous retenons quelques notions qui nous paraissent cruciales pour l activit collective Nous t cherons ensuite de les prendre en compte lors de la conception de l activit MEPA 2D I s agit tout d abord de l importance du conflit sociocognitif abord pour la premi re fois dans les tudes du psychologue Jean PIAGET 1896 1980 Selon l approche socioconstructiviste une des caract ristiques de la pens e pr op ratoire consiste dans l impossibilit de l enfant imaginer d autres points de vue que le sien Cette f
295. vatar sont performantes sachant que ce dernier le repr sente dans le jeu l l ve arrive croire ses propres succ s En m me temps le joueur voit son avatar agir peut valuer ses performances qui ne sont pas autres que les siennes et les rectifier en fonction de ses objectifs Cette probl matique nous place au coeur de l importance des repr sentations dans l apprentissage 39 Cf Annexe J p 126 100 Cf Annexe K p 127 101 Cf Annexe L p 128 49 GAoNAC H 1998 CYR 1998 125 L image de soi apprenant d termine le sentiment d auto efficacit ce qui permet l l ve de repousser ses propres limites et d am liorer ses r sultats Mehdi SERDIDI 2000 met alors l hypoth se qu en utilisant l avatar pour modifier l image que l apprenant a de lui m me on devrait augmenter ses performances Selon l auteur l apprenant pourra inconsciemment effectuer un transfert des caract ristiques de l avatar sa propre personne et g n rer un processus d apprentissage Cette supposition nous parait int ressante d autant plus que la recherche a d j d montr l importance de l influence des repr sentations sur le comportement connue par exemple sous le nom d effet Pygmalion ou d effet Jourdain La question qui se pose est de savoir si l apprenant peut non seulement transf rer les capacit s de l avatar sa propre personne mais reproduire les m mes performances dans le monde r el Pour symboliser l apprenant
296. velopper chez l l ve un sentiment de relativit de ses propres certitudes pour supporter l ambiguit de situations et de concepts appartenant une autre culture DE CARLO 1995 84 Ainsi les photographies pr sent es dans MEPA 2D illustrent aussi bien des endroits tr s connus le Sacr C ur la Canebi re etc pourtant sans insistance sur les grands clich s culturels que des endroits tout fait ordinaires 107 Cf Annexe M 3 4 p 130 108 Ces fonctions restent en rapport avec 3 principaux types d exploitation p dagogique des images fonction illustrative d clencheur et moteur 109 p ex BEACCO 2000 DE CARLO 1998 LANCIEN 1998 ZARRAT 1995 51 5 Objets Le principal avantage du milieu homoglotte pour un apprenant allophone est la possibilit de confronter ses interpr tations initiales aux observations effectives de la soci t cible et de v rifier en temps r el leur colncidence avec les faits constat s Avec les labels nous essayons de r cr er certaines caract ristiques de ce type d immersion Un label est un objet simplement superpos sur le fond de la sc ne peut tre consult et s il est accompagn d un lien URL il permet d acc der aux informations suppl mentaires Pour garder la vraisemblance l l ve peut explorer seulement les objets qui restent consultables dans la vie r elle Ainsi il pourra p ex consulter un journal et acc der ses articles mais ne po
297. ventuels soup ons des parents ainsi que de la vigilance des individus suspects il ne peut pas les accompagner dans la recherche propose n anmoins de venir les voir de temps en temps et de mener des recherches sur place ll leur demande de le tenir au courant de l avancement de l enqu te via mail ou t l phone de lui d crire les endroits visit s et les personnes rencontr es afin qu il puisse se renseigner sur leur importance et leur signification dans l histoire de la grand m re Ces messages lui permettront aussi de juger l urgence de son d placement ainsi que de leur donner des informations pouvant les aider dans l enqu te I leur propose d explorer d abord la premi re piste qui est l adresse parisienne 10 rue de S vres visible sur une des photographies A A 4 4 4 A A A 4 4 A A A A A Les correspondants arrivent chez Yves consultent les objets trouv s au grenier Yves donne les derniers conseils avant le d part et leur fournit des objets indispensables pour le voyage cartes bancaires et le carnet de conversation Ils partent pour Paris afin de v rifier l adresse figurant sur une des photographies Ils savent qu un ami de la grand m re Albert tait la derni re personne qui s est occup e du coffre Is prennent le train et se rendent Paris doivent acheter leurs titres de transport se rep rer dans le m tro trouver la bonne ligne 12 et la bonne station S
298. visuelles les prototypes d exemples les scripts b tis autour de sc narios pratiques Le design informationnel d un texte devrait permettre au lecteur de choisir parmi des principes organisationnels VILLAGE HTTP Les analogies et les exemples sont deux bons moyens de relier le nouveau contenu des id es connues et de b tir sur les cadres de r f rences mentaux pr existants VILLAGE HTTP La coh rence lien vident entre le signifiant et le signifi et la consistance reprise de m mes symboles favorisent une bonne m morisation et un transfert facile des connaissances acquises face aux situations nouvelles VrLLAGE HTTP Favoriser la reconnaissance d un l ment repr sentatif de quelque chose de d j vu ou connu par l usager et ne pas faire uniquement appel sa m moire Il est plus facile de reconna tre quelque chose de le retrouver dans sa m moire VILLAGE HTTP La r p tition augmente la r tention par la m moire court terme Le surlignage et l accentuation produit des effets semblables Mais la r p tition peut tre excessive mener l ennui et r duire la r tention VILLAGE HTTP L organisation chronologique produit des structures mentales signifiantes et structur es de mani re constante pour les apprenants VILLAGE HTTP L organisation syntaxique pour favoriser la m morisation organisation des phrases et des paraphrases doit rejoindre les attentes du lecteur pour la disposition des sujets des
299. vous Achat billet SNCF tutoiement vouvoiement temps tout de suite bient t Remercier E27 Je vous remercie temporel tout de suite personnalis monsieur Pronoms interrogatifs comment combien intonation E30 Merci monsieur E33 Merci bien Forme conjugu e je personnalis e monsieur ANNEXES Document utilitaire division des actes de paroles par sc ne 35 pp 136 ANNEXES 137 Annexe 0 Exemple de ressources dans MEPA 2D CARNET DE CONVERSATION SR Tm l re rencontre Directions 74 WT A Questions fr quentes K Moyages transport 74 A Formules usuelles K Loisirs E Exprimer un sentiment K Achats x 2 La maison H Chiffres W La rue PREMIERE RENCONTRE Interpeller Saluer Faire connaissance Se pr senter Mieux conna tre quelqu un Prendre cong Interpeller Madame Monsieur Bonjour Madame Excusez moi de vous d ranger S il vous pla t Bonjour Je vous en prie Que puis je pour vous Pardon Je cherche Excusez moi Excusez moi s il vous pla t Excusez moi de vous d ranger Carnet de conversation Un dictionnaire th matique sous forme d un site WEB ANNEXES 138 Le GUIDE de PARIS Bastille La Saint Germain Montmartre Le MONTMARTRE BA voir DA Mus
300. xp rimentation impose certaines conclusions et m me si l analyse des ses r sultats ne fait plus partie des t ches du stage nous nous permettons d en faire part pour conclure ce travail 1V 5 Suite cette exp rience nous sommes fortement convaincue que les dispositifs de SMV ne sont pas qu une simple adaptation de l activit homologue pratiqu e en pr sentiel serait int ressant d engager des tudes approfondies permettant de pr ciser les processus d apprentissage engendr s par la SMV et de r v ler l ampleur des potentialit s du dispositif dont ce rapport n offre qu un aper u l CONTEXTE DE TRAVAIL 1 1 MOTIVATIONS Nos premi res exp riences d enseignement de FLE nous ont permis de percevoir un int r t certain des l ves face aux nouveaux supports p dagogiques Cette premi re exp rience et la r flexion didactique accompagnant l usage des nouvelles technologies dans le milieu scolaire se trouvent l origine de notre attrait pour les TIC Il conditionne d sormais toutes nos d marches entreprises aussi bien dans le cadre de notre formation universitaire que dans celui de nos exp riences professionnelles Ainsi afin de pouvoir observer l impact que ces nouveaux supports p dagogiques pourraient avoir sur l activit de l apprentissage nous avons effectu un stage de six mois dans une soci t d dition de supports p dagogiques multim dias destin s l apprentissage de langues trang res Durant la concept
301. ype Je suis conscient de poss der cette comp tence Je sais quand utiliser cette comp tence Je me sers de cette competence pour d velopper d autres comp tences Source Le glossaire p dagogique de DISCAS http discas ca Cadreref Documents Tableaux demarcheApp html Annexe G Tableau r capitulatif des princ 112 ipes ergonomiques re Coh rence externe Coh rence externe Objectif aider l usager d velopper une grammaire des interactions CINEMA HTTP Objectif Eviter l apprenant la perte de temps due l interpr tation des symboles peu explicites ou incoh rents CINEMA HTTP Garder la coh rence et l homog n it des symboles repr sentant les actions effectuer symboles clairs compr hensibles libres de toute ambiguit CINEMA HTTP Garder la coh rence des couleurs et des effets graphiques employ s CINEMA HTTP Si elle n est pas respect e l apprenant peut lancer des actions non recherch es CINEMA HTTP Coh rence interne lt Y Q Y lt O 2155 LS M taphore E Q a o K l e Objectif Influencer l acquisition de l expertise de l environnement CINEMA HTTP Objectif Augmenter les capacit s de l usager transf rer les habilet s d une application l autre CINEMA HTTP Objectif Permettre une meilleure r tention des associations entre les objectifs et les m thode

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