Programmes 2014 - 2015 - Université de Bretagne Occidentale
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1. la nationalisation de ces principes esth tiques N anmoins la m fiance l gard de l Etat qui impr gne toujours le monde th tral explique que le minist re de la Culture n ait pu exercer son influence qu en passant des alliances avec le milieu artistique lui m me C est pourquoi un grand nombre de commissions ont t cr es comprenant des artistes des universitaires la plupart exer ant dans des d partements d tudes th trales des journalistes et des fonctionnaires Gr ce ce type de r seau les experts ont t en mesure de retranscrire les normes dominantes dans le milieu th tral en classements officialis s par l Etat La relative homog n it des profils sociaux des membres de ces commissions expliquent qu ils aient tendance naturaliser leurs jugements c est dire les consid rer comme normaux et l gitimes N anmoins l action de l Etat se heurte une forte contradiction D un c t il refuse de soutenir une esth tique particuli re mais d un autre c t il finance surtout les artistes qu il consid re comme les plus innovants ce qui suppose des crit res d finissant l innovation Dans les faits cela a abouti aggraver les in galit s puisque aujourd hui 5 des b n ficiaires re oivent 70 des aides de l Etat A partir des ann es 1980 les financements publics ont commenc diminuer en raison de la crise conomique Les tensions internes au th tre public qui taient rest es la2. SOCIOLOGIE DE LA CULTURE Programme indicatif du cours L objJectif de cet enseignement est en premier lieu que les tudiants identifient derri re la polys mie du mot lt culture gt les domaines de connaissances et les registres de pratiques qui leur ont donn naissance avec leurs enjeux de telle fa on dans un second temps qu ils puissent s inscrire eux m mes intellectuellement et professionnellement dans les d bats et les actions qui structurent le milieu Pour r aliser cet objectif dans le temps imparti et pour des tudiants non sociologues on abordera directement la question de la culture dans les sciences sociales puis on tudiera les principales questions qui ont t travaill es par la sociologie de la culture au fur et mesure qu elles apparaissaient dans l espace public et sur les agenda politiques Il ne s agit pas de faire soi m me de la sociologie mais de comprendre comment cette discipline se fait de saisir ce que signifie un raisonnement sociologique de conna tre les principaux r sultats livr s par ce qu il est convenu d appeler la sociologie de la culture Il s agit galement de v rifier l exploitation faite de ses r sultats par les diff rents intervenants dans le champ de la culture Quels effets sur la d finition des publics Quels effets sur l volution des classifications des m tiers Ce cours doit permettre un public de professionnels de la culture de pre
3. FACULT DES LETTRES ET SCIENCES HUMAINES VICTOR SEGALEN gt SKOL VEUR BREIZ IZEL RANNSKOL AL LIZIRI HA SKIANCHOU AN DUD 20 rue Duquesne CS 93837 29238 BREST Cedex 3 MASTER 2 MANAGEMENT DU SPECTACLE VIVANT Livret p dagogique 2014 2015 Organisation p dagogique et valuation UE 1 144 heures Administration g n rale EC 11 90 heures Comptabilit analyse financi re Budgets r i Administration des salaires Fiscalit TVA imp ts sur les soci t s taxes sur les salaires Contribution Economique Territoriale Outils juridiques Droit du travail S curit dans les ERP Droit des contrats cession cor alisation coproduction Droits d auteur Esth tiques contemporaines Histoire de la danse aux 20 21 si cles Histoire de la musique aux 20 21 si cles Histoire du th tre aux 20 21 si cles Histoire des arts plastiques aux 20 21 si cles Environnement culturel Les politiques culturelles Histoire des politiques culturelles Actualit des politiques culturelles Economie politique de la culture Droit public de la culture Sociologie de la culture Nouveaux contextes Europe et culture Nouvelles technologies UE 4 64 heures Montage de projet professionnel TP en groupes EC 41 64 heures M thodologie du projet professionnel Travaux pratiques 92 Travail en groupe sur le projet professionnel apr s midis et semaines banalis es heures TP UE 5 66 heures Contac
4. 1996 594 p RIOU Alain Le Droit de la culture et le Droit la culture Paris Esf diteur g d revue et augment e 1996 264 p URRIATAGER Daniel Economie et droit du spectacle vivant Presses de la Nouvelle Sorbonne 2009 157 p Rapports tudes DEPS http www culture gouv fr culture actualites rapports htm http www audits performance publique gouv fr bib_res 539 pdf http www culture gouv fr nav index stat html Les entretiens de VALOIS Pour une r novation des politiques publiques du spectacle vivant Minist re de la Culture et de la Communication Direction de la musique de la danse du th tre et des spectacles 30 janvier 2009 336 p Sources et ressources pour le spectacle vivant Rapport au Ministre de la Culture et de la Communication Emmanuel Wallon f vrier 2006 Tome 1 206 p Tome 2 439 p Annexes 428 p Etude sur la formation la direction des tablissements culturels du spectacle vivant Catherine Girard Pierre Moutarde Sylvie P brier Inspecteurs de la cr ation et des enseignements artistiques juin 2006 66 p Rapport sur les modalit s d attribution des cr dits d intervention en faveur du spectacle vivant Mission d audit de modernisation Nathalie COPPINGER Jean CARABALON janvier 2007 87 p Pour un d bat national sur l avenir du spectacle vivant Bernard Latarjet 7 mai 2004 171 p annexes 74 p La R novation des instruments juridiques des services publics culturels locaux Mi
5. elle aux dirigeants d sign s et l exp rience le prouve permettent des progr s dans l exercice des pouvoirs de tutelle En revanche nombre de mus es par exemple constituent administrativement un prolongement des directions d administration centrale dont ils rel vent Situation justifi e par leur petite taille mais questionnable parce qu elle laisse une place trop restreinte l exercice n cessaire de responsabilit s locales et peut donner lieu des dysfonctionnements Les institutions plac es sous la tutelle des collectivit s locales rel vent elles aussi des statuts les plus divers et parfois les moins adapt s associations de la loi de 1901 r gies municipales individualis es ou no syndicats intercommunaux parfois Le poids de l Etat et des collectivit s territoriales est d terminant dans le financement des institutions culturelles et donc pour le meilleur et le pire dans leur stabilit 18 La dur e du mandat des dirigeants des institutions culturelles tend s accroitre dans le cas des institutions sous tutelle de l Etat Mais l instabilit des mandats domine bien souvent dans le cas des institutions plac es sous le contr le des collectivit s locales et notamment des municipalit s dans des contextes o il n est pas toujours facile de d m ler ce qui rel ve de contestation sur les choix culturels sur les m thodes de gestion sur le montant de ressources mises disposition sans oublier les incompatibilit
6. r Dans le m me temps l intervention croissante de l Etat et la concurrence entre les artistes a renforc la hi rarchisation de l espace th tral depuis les th tres nationaux jusqu aux petites compagnies locales Serge Proust souligne que cette institutionnalisation a eu pour effet de conforter le pouvoir des metteurs en sc ne Ces bouleversements institutionnels ont eu galement des cons quences sur le plan esth tique A partir de 1945 le soutien de l Etat a t l gitim par le souci de d mocratisation du th tre dans le cadre d une politique de d centralisation des activit s culturelles Les directeurs des premiers CDN de m me que le TNP de Jean Vilar ont alors pour principal souci d largir leur public et de diffuser le r pertoire classique Mais d embl e ils sont confront s aux critiques des auteurs 19 parisiens Camus Sartre Ionesco Beckett qui d fendent une nouvelle litt rature th trale La crise du th tre public en tant que th tre populaire se g n ralise dans les ann es 1960 au moment o merge une nouvelle g n ration de metteurs en sc ne souvent impr gn s de mod les esth tiques d velopp s dans d autres pays Les innovations formelles s imposent alors de plus en plus au d triment du fond Serge Proust analyse les proc d s qui vont permettre ces metteurs en sc ne de changer les normes du th tre public Alors que le th tre priv doit multiplier les repr sentations
7. tre public en France Il souligne que cette tiquette renvoie un syst me tatique de classification fortement int rios par ses membres Le th tre public d signe toutes les structures th trales qui b n ficient de subventions permettant aux artistes d chapper la demande du public aux lois du march La prise en charge du th tre par l Etat a provoqu un d placement des enjeux L opposition entre th tre bourgeois et th tre populaire a c d la place au clivage th tre public th tre priv en m me temps que les enjeux esth tiques s imposaient sur les enjeux politiques Cette volution est refl t e par le vocabulaire comme en t moigne le succ s du terme cr ation que la plupart des autres langues utilisent uniquement pour d signer des ph nom nes religieux Alors que le milieu th tral comme les autres sph res artistiques avait conquis son autonomie en rejetant l emprise de l Etat il est aujourd hui constamment en demande d Etat La formation d un vaste secteur public du th tre combinant un souci d innovation esth tique permanente et la recherche incessante de financements a contribu une profonde transformation des structures th trales Gr ce l argent de l Etat les spectacles sont devenus de plus en plus complexes la division du travail artistique s est accentu e de nouveaux m tiers sont apparus le processus d intellectualisation et de professionnalisation s est fortement acc l
8. culture des individus Dissonances cultuelles et distinction de soi La D couverte 2004 Mattelart Neveu E Introduction aux Cultural Studies La D couverte 2008 Mathieu I L action culturelle et ses m tiers Le Monde PUEF 2011 Menger P M Le travail cr ateur s accomplir dans l incertain Gallimard Seuil EHESS 2009 Menger P M Les intermittents du spectacle sociologie du travail flexible ditions de l cole des hautes tudes en sciences sociales 2011 Noiriel G Histoire th tre amp politique Agone 2009 Priolet M La denr e culturelle Eclipse du politique expansion de la culture L Harmattan 2008 Dis Enseignant responsable Val rie Marc Valerie marc univ brest fr Nombre d heures de cours 21 heures 7 s ances Nouvelles technologies Programme indicatif du cours Cr ation d un site Web Etapes et documents du projet cahier des charges charte graphique et plan projet Notions de CSS et HTML cr ation d une Newsletter Organisation des fichiers et architecture du site H bergement d un site Web Utilisation d une application CMS Ex SPIP Joomla WordPress pour cr er le site web dynamique Ajout de fonctionnalit s suppl mentaires suivant le cahier des charges r dacteurs additionnels forum achats en ligne affichage de vid os ou d une galerie de photos prise en compte de la mobilit Tests de validation Enseignant responsable Isabel
9. la Chambre de commerce et d industrie de France n 457 72 p Evrard Yves 1993 Le Management des entreprises artistiques et culturelles Paris Economica 391 p Lapierre L 1978 La gestion des arts et l art de la gestion Gestion revue internationale de gestion avril 1978 vol 3 n 2 p 16 25 D Leroy Economie des arts du spectacle vivant L Harmattan Paris 1992 330 p http www2 culture gouv fr culture deps 2008 pdf appel_cartographie2010 pdf http moscuf org fr cycles economie de la culture http matisse univ paris1 fr doc2 benh0405 pdf http www univ paris13 fr cepn IMG pdf cv_francoise_benhamou pdf Serge Proust Le com dien d sempar Autonomie artistique et interventions politiques dans le th tre public Economica 2006 264 p Les luttes autour du r gime de l intermittence et leur radicalisation en 2003 Art et contestation J Balasinski L Mathieu Rennes pur Res Publica 2006 p 103 120 La communaut th trale Entreprises th trales et id al de la troupe Revue Fran aise de Sociologie Janvier mars 2003 44 1 p 93 113 Ecrit par Webmestre Lundi 01 f vrier 2010 01 08 Cet ouvrage analyse le conflit des intermittents du spectacle notamment le mouvement de 2003 en mettant l accent sur les mutations institutionnelles du milieu th tral afin d expliquer la violence des clivages internes qui ont surgi au cours de la lutte Serge Proust est ainsi conduit retracer la gen se du th
10. n est pas temporairement confisqu par des personnels sur la d fensive La continuit des strat gies et des politiques n est pas assur e L Op ra n est ni gouvern ni conomiquement ma tris Il flotte au gr d influences et de pouvoirs contraires qui ne s accordent pas qu l Op ra de Paris Toutes les institutions culturelles ayant vocation cr er et diffuser l art vivant celui qui implique un contact direct entre cr ateurs interpr tes et public semblent soumises ces lois d airain de l ingouvernabilit conomique D termin e par la loi de Baumol l conomie de l art vivant offre de sombres perspectives conomiques Compar d autres secteurs de l activit humaine l art vivant est une activit de main d uvre qui offre un potentiel r duit d augmentation de productivit C est Dominique Leroy 1992 que l on doit la v rification de la loi de Baumol en France Baumol W J Bowen W G 1966 Performing Arts The Economic Dilemma MIT Press 582 p B jean Mathias 2008 Le management des entreprises prestations artistiques activit s de conception r gimes de signification et potentiel de croissance Doctorat Sciences de gestion CGS Centre de Gestion Scientifique ENSMP p 371 http pastel paristech org 4762 Chiapello Eve 1993 L influence id ologique sur la gestion des organisations culturelles une comparaison France Angleterre la lumi re des ann es Thatcher Les cahiers de recherche de
11. public a donc volu depuis les ann es 1950 comme les autres domaines artistiques en s mancipant de la contrainte du public N anmoins cette volution n est pas accept e par tous Elle est critiqu e notamment par l un des pionniers du th tre public Bernard Dort qui rappelle que l uvre th trale se cr e au contact des spectateurs Sans entrer dans ces querelles d ordre esth tique Serge Proust donne un clairage sociologique qui permet de comprendre pourquoi le th tre ne peut pas prendre pour mod le d innovation les arts plastiques ou la po sie L une des particularit s du th tre tient en effet au fait que la repr sentation est par d finition ph m re Les autres domaines artistiques ont conquis leur autonomie gr ce l mergence d un nouvel agent marchand d art diteur d avant garde etc situ l intersection des sph res de l art et du commerce Ces agents font un pari sur l avenir en stockant les uvres des artistes qu ils d fendent Au th tre cette logique marchande est impossible C est pourquoi le soutien de l Etat est une n cessit L absence d aide publique explique la rapide disparition des avant gardes th trales la fin du XIXe et dans les ann es 1950 Mais les repr sentants de l Etat ne peuvent pas accorder leur soutien sans contr le puisqu ils agissent en tant que repr sentants des citoyens Le public au sens large du terme a donc toujours son mot dire au th tre Mais le
12. relations avec les salari s et les organismes sociaux dans le secteur culture Les relations avec les organismes sociaux Pr sentation et fonctionnement des diff rentes caisses Les modalit s d affiliation et les d clarations sociales li es l embauche Le paiement des cotisations sociales La r alisation de la paie L tablissement d un bulletin de paie La comptabilisation de la paie Les particularit s concernant les intermittents du spectacle Pratique d un logiciel de Paie et ou intervention de professionnels 5 Enseignant responsable Morgane Cavret morgane cavret univ brest fr Nombre d heures de cours 18 heures 6 s ances FISCALITE Programme indicatif du cours R gles d assujettissement aux imp ts commerciaux La Taxe la valeur ajout e TVA L imp t sur les soci t s IS La Contribution Economique Territoriale La taxe sur les salaires Enseignant responsable C cile Hablot Cecile hablot univ brest fr Nombre d heures de cours 15 heures 5 s ances DROIT DU TRAVAIL Programme indicatif du cours Le cours de droit du travail se composera de cinq s ances durant lesquelles seront essentiellement abord s les aspects principaux des relations de travail susceptibles de se nouer dans le milieu culturel conclusion ex cution et rupture des contrats application de conventions collectives les questions litigieuses pouvant se pr senter entre l
13. s ance Les pr curseurs de la danse moderne Voie am ricaine Lo e Fuller Isadora Duncan Ruth Saint Denis et Ted Shawn Voie Allemande Rudolf Laban Emile Jacques Dalcroz Mary Wigman Gret Palucca Valeska Gert Oskar Schlemmer 3 s ance Les grands ma tres allemands et am ricains de la danse moderne technique expression abstraction et transmission La filiation allemande Mary Wigman Gret Palucca Harald Kreutzberg et la danse d expression Kurt Jooss La filiation am ricaine Doris Humphrey et Jos Limon Martha Graham Hanya Holm les universit s 4 s ance Les engagements am ricains A Nikola s M Cunnigham et la Postmodern dance Alwin Nikola s La r volution Cunnigham La g n ration Postmoderne 5 s ance Les ann es 1970 1980 Une danse contemporaine europ enne en construction La lign e allemande Susanne Linke et Pina Bausch La danse belge Les Ballets C de la B Alain Platel AT de Keermaeker Jan Fabre Les am ricains en Europe Carolyn Carlson William Forsythe Meg Stuart 6 et 7 m s ances Les ann es 1980 et La naissance de la danse contemporaine fran aise La danse d auteur ou Nouvelle danse fran aise Origines institutions et construction d une politique de la danse la danse d auteur exemples de chor graphes 8 s ance Les ann es 1990 2000 le champ chor graphique fran ais en question Le th tre d image les exemples de P D coufl et de Montal
14. sur les lieux de diffusion des spectacles Enseignant responsable Jean Manuel Warnet et chaque tuteur de MFE jean manuel warnet univ brest fr Nombre d heures de cours 6 heures rendez vous avec les tuteurs MEMOIRE DE FIN D ETUDES Programme indicatif du cours L tudiant devra d finir le th me d tude en concertation avec l quipe enseignante Une pr sentation g n rale du m moire sera faite en une s ance introductive septembre et une s ance de travail aura lieu d but janvier la suite de quoi chaque tudiant sera mis en contact avec un responsable de recherche avec qui devra se mener tout au long de l ann e un dialogue r gulier sur l avanc e du travail Le m moire 60 80 pages hors annexes dactylographi es est un travail personnel m lant r flexion th orique et enqu te de terrain Il doit obligatoirement se fonder sur l tude de cas concrets structures compagnies festivals collectivit s locales etc que l tudiant s efforcera de replacer dans une r flexion d ensemble cf le document compl mentaire Pr sentation g n rale du M moire de Fin d Etudes 28
15. 3 dossiers d expert htm Num ros sp ciaux Culture et service public Pontier Jean Marie Rigaud Jacques Tolila Paul Rizzardo Ren Pongy Mireille In AJDA l actualit juridique droit administratif 2000 09 20 N sp cial p 2 160 Comment concilier culture et droit Contrats publics n 74 f vrier 2008 pp 38 95 CADIEU Pascal DG de la CMA29 Administrateur URSSAF 29 Revue Lamy des collectivit s territoriales La jurisprudence Altmark et les d l gations de service public n 3 juin 2005 pp 20 24 La notion de subvention El ments de clarification n 5 septembre 2005 pp 5 9 Le fabuleux destin de la loi Sapin n 6 octobre 2005 pp 41 46 Les EPCI pingl s ou les limites du pouvoir de remontrance n 8 d cembre 2005 pp 39 43 Les contrats de mobilier urbain sont des march s publics n 9 janvier 2006 pp 25 30 La circulaire relative aux contrats de partenariat ou la troisi me voie contractuelle n 9 janvier 2006 pp 31 36 L Etablissement public de la coop ration culturelle au milieu du gu n 10 f vrier 2006 pp 30 33 Les risques de la gestion associative avec Franck Buors n 11 mars 2006 pp 15 19 Le dr le de drame du cin ma de service public n 40 novembre 2008 pp 78 81 La gouvernance des associations revisit e n 42 janvier 2009 75 79 99 Enseignant responsable Annick Madec annick madec univ brest fr Nombre d heures de cours 21 heures 7 s ances
16. 992 LISTA Giovanni La Sc ne moderne Encyclop die mondiale des arts du spectacle dans la seconde moiti du 20 me si cle Actes Sud Carr 1997 PAVIS Patrice Dictionnaire du th tre Messidor Editions Sociales 1980 1987 Dunod 1996 Les Voies de la cr ation th trale CNRS ditions 23 volumes parus 12 Enseignant responsable Sonia De Puineuf sonia de puineuf gmail com Nombre d heures de cours 15 heures 3 s ances HISTOIRE DES ARTS PLASTIQUES Programme indicatif du cours Le cours d Histoire des arts plastiques est consacr la pr sentation des artistes et groupes artistiques qui dans leur pratique ont tiss des liens avec le spectacle vivant D j la Renaissance certains artistes ont mis leur talent au service des seigneurs pour participer l laboration des d fil s triomphaux ou cort ge nuptiaux dont la magnificence n tait gal e que trois si cles plus tard par celle des f tes de Louis XIV Versailles A l poque contemporaine nombreux ont t les artistes qui se sont int ress s au th tre la musique ou la danse Du futurisme italien au Body Art en passant par les avant gardes russes le Bauhaus action painting am ricaine et le mouvement Fluxus le cours permettra d voquer les noms de quelques grands artistes qui se sont employ s brouiller les fronti res entre l art et la vie Une visite du centre d art contemporaine Passerelle est
17. Andreen 1 andreen svbretagne fr Nombre d heures de cours 6 heures 1 journ e Europe et culture Programme indicatif du cours Les enjeux de l Europe de la Culture de La Culture en Europe Europe Cr ative une nouvelle re de financements europ en pour la culture D velopper projet dimension europ enne et internationale pratiques professionnelles en mutations 24 Master 2 Management du Spectacle Vivant Unit d enseignement 4 Montage de projet professionnel Enseignant responsable Vincent Cabioch vincent cabioch univ brest fr Nombre d heures de cours 64 heures 21 s ances 92h TP CONDUITE DE PROJET Programme indicatif du cours L objectif du cours est d acqu rir les connaissances th oriques et la maitrise pratique des concepts outils et m thodologies n cessaires la conduite d un projet dans un contexte professionnel du secteur du spectacle vivant Les aspects th oriques sont abord s l occasion des quatre premi res s ances Il permettent de constituer une boite outil comportant notamment un conducteur d clinant en d tail les s quences clefs qui jalonnent la vie d un projet Diagnostic initialisation pr paration r alisation valuation les l ments n cessaires l organisation la logistique et la gestion budg taire les l ments li s la conception la formalisation et la diffusion de la communication interne et externe Des temps de rencontre avec l
18. annulation d un concert CE Commune de Garges l s Gonesse 3 mars 2010 n 323076 3 Le contr le des Sc nes nationales par les CRC Bibliographie s lective MONNIER Sophie FOREY Elsa Droit de la culture Guliano 2009 298p 28 MONNIER Sophie L essentiel du Droit de la culture Gualion 2009 142p 15 URRIATAGER Daniel Economie et droit du spectacle vivant Nouvelle Sorbonne 2009 157p 10 Comment concilier culture et droit Contrats Publics n 74 f vrier 2008 pp 38 98 TL i SD Mr Mon cher Busiris nous savons tous ici que le droit est la plus puissante des coles de l imagination Jamais po te n a interpr t la nature aussi librement qu un juriste la r alit Grandeur et petitesses des professeurs de droit Les Cahiers du Droit vol 42 n 3 sept 2001 pp 595 614 1 Le droit est un art et non pas une science La formule a t r p t e sati t depuis le Digeste Jus est ars boni et aequi Elle tire sa force de la richesse s mantique du latin ars qui r unit des id es essentielles toutes li es l activit humaine tendue vers un ordre ordre qui peut tre aussi bien dict par les dieux que par les lois logiques Dire que le droit est un art est une mani re de situer l activit du juriste dans un champ s mantique tr s riche o l on trouve les notions de bras et d arme armus d articulation et d article de nombre ari thmos de rite ritus de te
19. blique S ance n 3 Les aides au Spectacle vivant 1 Les aides aux labels et r seaux 2 Le r gime des subventions 3 La culture rattrap e par les aides d Etat S ance n 4 Le Festival est il un service public 1 Le label de service public culturel 2 La jurisprudence A x en Provence CE 6 avril 2007 n 284736 3 La jurisprudence Six Four les Plages CE 23 mai 2011 n 342520 S ance n 5 La privatisation de la gestion des services publics culturels 1 La gestion publique versus la gestion priv e 216 2 R versibilit des modes de gestion et lt reprise gt du personnel 3 L emprise du droit de la concurrence S ance n 6 L association au service public culturel 1 L ind pendance associative 2 La circulaire Fillon du 18 Janvier 2010 3 Les contrats lt In house gt S ance n 7 La gestion d l gu e contractuelle et unilat rale 1 La d l gation de service public DSP CE St UGC Cin Cit 5 octobre 2007 n 298773 2 Des soci t s d conomie mixte locale SEML aux Soci t s Publiques locales SPL 3 L tablissement public de coop ration culturelle EPCC S ance n 8 La commande publique culturelle 1 Commande publique et 1 culturel 2 Le p rim tre renouvel de la commande publique 3 L achat public culturel S ance n 9 La r gulation des risques juridiques 1 La police des spectacles et l affaire du Teknival CE 17 janvier 2007 n 294789 2 L
20. chnique c est l quivalent du grec techn de m tier artifex de fiction et de ruse artificium Ainsi situ la fronti re entre le monde des faits et le monde des valeurs l art particulier du juriste se d ploie sur deux plans c est la fois un art du proc s et un art des limites 1 Savoir que faire quand on ne sait pas savoir aborder rationnellement la m connaissance tel est l objet propre de l art du proc s qui est au c ur du m tier de juriste Ma triser cet art du proc s suppose de savoir douter mais aussi de savoir trancher 2 L art des limites est l autre face du savoir faire du juriste tel qu on le r ve La face noire du juriste est celle d un tre ignorant soumis et v nal 1 L ignorance chez le juriste qui va souvent de pair avec l arrogance peut prendre deux visages selon qu elle est le fruit d une sp cialit trop troite ou au contraire d une th orie sans objet concret L ignorance du sp cialiste est aujourd hui la plus fr quente et est port e par la croissance quantitative du droit C est celle du technicien frapp de myopie intellectuelle incapable de rapporter le rameau du droit dont il s occupe l arbre tout entier et ne soup onnant m me plus que la vie de cet arbre soit elle m me enracin e dans la soci t singuli re o il pousse Certes le droit est une technique mais comme toute technique il ne prend sens qu au regard des tres humains dont il proc de Autrement dit l imb cilit g
21. classicisme et le groupe des six Tonalit et n o classicisme 3 s ance Schoenberg et le dod caphonisme L Ecole de Vienne du Romantisme l atonalit de l atonalit au dod caphonisme Les bases d une nouvelle musique Le langage d Anton Webern vers la musique s rielle me Z n 4 s ance Igor Stravinsky Le Sacre du printemps et ses influences La diversit des langages musicaux exercices de style 5 s ance Bela Bartok L apport de la musique populaire et l ethnomusicologie e langage de Bartok une nouvelle grammaire muicale Le langage de Bartok lle g l me 4 lt 6 s ance Olivier Messiaen e compositeur et son langage L posit t langag Le professeur et les influences de son enseignement sur la nouvelle g n ration Boulez Stockhausen etc 7 s ance Le s rialisme Leibowitz Messiaen et les jeunes compositeurs d apr s guerre Le s rialisme int gral du pass faisons table rase L assouplissement des techniques s rielles Boulez et Le Marteau sans ma tre 8 s ance Bruitisme musique concr te musique electro acoustique musique lectronique Luigi Russolo et les bruitistes italiens Edgar Var se les sons organis s Schaeffer Henry la musique concr te Cologne Stockhausen La musique et l informatique 9 s ance L apport am ricain John Cage et l al atoire les ann es 70 et le minimalisme Le piano pr par l al atoire et ses influences sur la musiqu
22. e europ enne La nouvelle g n ration am ricaine le minimalisme et le retour la tonalit Les jeunes compositeurs diversit des langages et des tendances Le public et la musique contemporaine Parall lement ces 9 s ances consacr es la musique savante seront abord es notamment par la pratique vocale le jazz les musiques improvis es les musiques traditionnelles 2 T1 Enseignant responsable Jean Manuel Warnet Jean manuel warnet univ brest fr Nombre d heures de cours 27 heures 9 s ances HISTOIRE DU THE TRE Programme indicatif du cours Le cours se construit en fonction de la programmation des spectacles vus dans l ann e Son objectif principal est de fournir les outils n cessaires l laboration d un point de vue sur un spectacle th tral dans l optique de la carri re future des tudiants montage de production relations publiques direction de structure etc Le cours fait donc le va et vient entre une analyse de cr ations contemporaines et une r flexion sur leur place dans l histoire des formes leurs pr suppos s esth tiques leur contexte culturel Il interroge notamment l mergence du metteur en sc ne et la notion de th tre d art les volutions du lieu th tral et de son rapport la soci t le spectre naturalisme symbolisme le jeu de l acteur les enjeux de la troupe du collectif de la relation auteur metteur en sc ne acteur mette
23. e la Culture Andr Malraux en 1959 jusqu nos jours en m me temps qu il aide se rep rer parmi les acteurs et les organismes de la vie culturelle De Acad misme Z niths de Exception culturelle Vandalisme de l Etat en passant par Bande dessin e Centre Pompidou Festival de Cannes Mus e d Orsay Paysages et jardins ou Rock l ouvrage propose une s rie de regards crois s o d excellents articles traitant des structures politiques et administratives voisinent avec des id es des v nements des lieux des symboles des r actions des acteurs des d bats influences de l Etat sur la cr ation artistique litisme et culture de masse sp cificit fran aise en mati re de culture d centralisation culturelle M lant des recherches originales sur des sources in dites des entretiens et des synth ses de travaux fondateurs ses auteurs journalistes universitaires cr ateurs et acteurs des politiques men es durant la seconde moiti du XXe si cle Pas de politiques culturelles sans cr ateurs ni uvres de nombreux articles concernent les artistes public ateliers compagnies cr ation musicale expositions mus es paysages et jardins et commandes publiques Bref les d bats et les pol miques que suscite depuis son invention la politique culturelle font l objet d un inventaire in gal Manager les activit s culturelles par Philippe AGID et Jean Claude TARONDEAU Lavoisier Revue fra
24. es quipes d quipements et d associations culturels Brestois sont galement programm s courant octobre Le Quartz La Car ne la Maison du th tre Penn Ar Jazz le Mac Orlan Les aspects pratiques sont abord s partir de la mi octobre Ils prennent la forme d un travail en sous groupes sur des cas r els l initiative des tudiants ou propos s par des partenaires professionnels Ils permettent la mise en uvre des enseignements dispens s dans les autres UE A l issue de ce travail r alis tout au long de l ann e en relation avec l enseignant les tudiants r digent un dossier et pr sentent leur projet sous forme d une soutenance publique devant un jury de professionnels et d enseignants 26 Master 2 Management du Spectacle Vivant Unit d enseignement 5 Contact avec le milieu professionnel Enseignant responsable Nombre d heures de cours 60 heures SEMINAIRES Programme indicatif du cours Les s minaires s organisent sur des p riodes resserr es Ils permettent de confronter l ensemble des approches th oriques la r alit du terrain soit autour d un v nement soit autour d un art sp cifique soit sur une question transversale Ils sont g n ralement organis s avec des partenaires professionnels Ils varient chaque ann e en fonction des choix de l quipe p dagogique des opportunit s de programmation des contacts avec les partenaires Ils peuvent avoir lieu ailleurs qu Brest
25. es salari s et les organismes sociaux du secteur culturel Enseignant responsable Eric Joly e joly techninomades fr Nombre d heures de cours 12 heures 4 s ances SECURITE DANS LES ERP Programme indicatif du cours Responsabilit s Responsabilit contractuelle Des d lits et des quasi d lits Responsabilit p nale La d l gation de pouvoirs en mati re d hygi ne amp s curit Jurisprudence accident du travail Op ra Bastille accident de S ville Jurisprudence accident de foule soir e Plan te Ibiza Brest Comportement HUMAN siss e a E E E E ETE E E ET EE E A Encadrement du publica aus EE E E E E a E E EEE Les pouvoirs de police du Maire Les pouvoirs de police du Pr fet Service d ordre R gl mentincendi ris immense inde et E E A E te here ue Architecture du r glement incendie Dispositions applicables tous les tablissements recevant du public Dispositions applicables aux tablissements des quatre premi res cat gories Dispositions g n rales g n ralit s moyens de secours Dispositions particuli res aux salles usage d audition de conf rences de r unions de spectacles ou usages multiples Dispositions particuli res aux tablissements de plein air Dispositions particuli res aux chapiteaux tentes et structures itin rantes S curit des travailleurs Principes g n raux de pr vention Droit d alerte et de retrait Information et formation des travailleurs Enseignant resp
26. itaire Nantes le ler janvier 2000 Alain Supiot http www iea nantes fr fichier plug_download 772 download_fichier_fr_grandeur_petitesse pdf Bibliographie s lective Bourdieu Pierre La force du droit Pour une sociologie du champ juridique Actes de la recherche en sciences sociales 1986 09 n 64 p 3 19 http www persee fr web revues home prescript revue arss De la r gulation la gouvernance Jacques Chevallier http www reds msh paris fr publications revue html ds049 ds049 07 htm http www cairn info revue francaise d administration publique 2003 1 htm Du droit et de la politique Jacques Caillosse http www reds msh paris fr publications revue pdf ds 026 15 pdf http www cet fr IMG pdf_1206371358 pdf http sites google com site droitouvrier etudes Dictionnaire des politiques culturelles de la France depuis 1959 sous la direction d Emmanuel de Waresquiel Paris Larousse CNRS ditions 2001 672 p 29 cm ISBN 2 03 508050 9 Larousse ISBN 2 271 05629 2 CNRS 54 9 Compos de 340 articles r dig s par 110 auteurs ce dictionnaire critique publi avec le concours du CNRS fruit de nouveaux et fructueux travaux de recherche constitue une remarquable synth se de la politique culturelle fran aise depuis 1959 Tout en dressant un panorama du mod le culturel fran ais il a pour ambition d interroger les rapports entretenus entre Etat et Culture de la cr ation du premier minist re d
27. lic D un cot les artistes d finissent l innovation esth tique en privil giant la forme au d triment du sens mais d un autre cot ils sont constamment oblig s de se justifier en expliquant le sens de la forme Serge Proust montre que cette contradiction bien Etant donn le caract re ph m re de la repr sentation la valeur attribu e une oeuvre pour ceux qui ne l ont pas vue repose non pas sur l oeuvre elle m me mais sur les traces qui en restent c est dire sur les commentaires qu elle a suscit s Cette intellectualisation de l activit th trale a abouti en Allemagne l mergence de la fonction de dramaturge En France les metteurs en sc ne ont r ussi disqualifier cette fonction Antoine Vitez la d non ait comme une influence du syst me bureaucratique allemand La force du mod le litt raire explique que le dramaturge ait c d la place au collaborateur artistique ou au conseiller litt raire L ouvrage analyse aussi les contradictions des pouvoirs publics A partir des ann es 1960 70 les metteurs en sc ne les plus en vue les universitaires sp cialis s dans l esth tique et les critiques de th tre ont conjugu leurs efforts pour g n raliser les nouveaux crit res d appr ciation des oeuvres forg s par les avant gardes Le minist re de la Culture par le biais de la division Th tre et Spectacles relay e au niveau r gional par les DRAC et aussi par des organismes comme l ONDA a contribu
28. n aise de gestion 2003 1 n 142 ISSN 0338 4551 PAGES 103 A 112 Il est tenu pour difficile de manager les activit s ou les organisations culturelles Le management Action ou art ou mani re de conduire une organisation de la diriger de planifier son d veloppement de la contr ler selon Thi tart ne serait pas applicable aux organisations culturelles Trois s ries de raisons justifieraient cet tat de fait la cr ation artistique et le management seraient antinomiques les activit s culturelles n ob iraient pas aux crit res de rentabilit des activit s industrielles et commerciales et enfin les dirigeants des organisations culturelles ne disposeraient pas de l autonomie et des pouvoirs indispensables la conduite d un projet manag rial La capacit de gestion des institutions culturelles d pend en partie des statuts des modes de financement et de la stabilit des dirigeants d sign s Les statuts des institutions culturelles sont ils ad quats Dans le cas des institutions culturelles d Etat on doit aujourd hui constater la grande disparit et l inad quation relative de certains des statuts existants et utilis s tablissements publics caract re industriel et commercial statuts modernes et adapt s mais tr s parcimonieusement accord s tablissements caract re administratif un peu moins souples Ces deux formes juridiques la premi re surtout laissent un espace de libert et de responsabilit r
29. nces HISTOIRE DES POLITIQUES CULTURELLES Programme indicatif du cours S il y a une exception culturelle fran aise elle r side en partie dans le r le de l Etat qui des Cap tiens aux socialistes s est toujours souci de son image et du contr le des artistes Ce cours vise donc retracer l histoire des politiques culturelles sur la longue dur e et non depuis 1959 date iconique de l invention du Minist re de la Culture par Malraux Acteurs auteurs musiciens artistes de cirque seront donc pr sent s dans leur rapport l Etat sachant que le cours cherchera galement mesurer la r ception populaire des diff rentes politiques qui sont succ d l accent tant plus particuli rement port sur le passage du syst me des Beaux Arts aux industries culturelles siss Enseignant responsable Yves Leroy yves leroy laposte net Nombre d heures de cours 24 heures 8 s ances ACTUALITE DES POLITIQUES CULTURELLES Programme La culture en France est en pleine mutation La crise conomique le d sengagement financier de l Etat la refonte de l organisation territoriale de la R publique notamment en mati re de comp tences culturelles imposent un suivi attentif des conditions dans lesquelles les acteurs culturels vont tre amen s mener leurs projets de cr ation de diffusion d action culturelle ou de m diation et de formation ou de transmission Apr s avoir pos le cadre de la D centralisa
30. ndre le temps de r fl chir aux questions sans cesse pos es et repos es dans l espace politique et par leur environnement professionnel d mocratisation culturelle d mocratie culturelle d mocratie participative m diation culturelle Bibliographie indicative Arendt H La crise de la culture Gallimard 1972 1961 Bense Ferreira Alves C lt Le th tre l intermittent et le permanent Coop rer pour se stabiliser dans l emploi gt Soci t s contemporaines n 66 2007 2 Cuche D La notion de culture dans les sciences sociales Rep res La D couverte 2001 Bourdieu P La distinction Critique sociale du jugement Minuit 1979 Coulangeon P Les m tamorphoses de la distinction Grasset 2011 Coulangeon P Classes sociales pratiques culturelles et styles de vie le mod le de la distinction est il vraiment obsol te gt Sociologie et soci t s vol 36 n 1 2004 Esquenazi J P Quand un produit culturel est il une uvre politique R seaux 2011 3 n 167 Esquenazi J P Sociologie des publics Rep res La D couverte 2009 Grignon C Passeron J C Le savant et le populaire Mis rabilisme et populisme en sociologie et litt rature Paris Hautes Etudes Gallimard Le Seuil 1989 Hall S 2008 Identit s et Cultures Politiques des Cultural Studies Paris Editions Amsterdam Hoggart R 1970 1957 La culture du pauvre Trad frse Paris Editions de Minuit Lahire B La
31. nist re de la Culture et de la Communication Inspection G n rale de l Administration des Affaires Culturelles Annie CHIFFER Robert LECAT Philippe RELIQUE f vrier 1999 122 p Les associations dans la vie et la politique culturelles Regards crois s sous la direction de Pierre Moulinier Ont collabor cet ouvrage Eric Baron Pierre Mayo Genevi ve Poujol Michel Simonot Viviane Tchernonog et Lo c Vadelorge D partement des tudes et de la prospective juillet 2001 110 p http fgimello free fr enseignements metz institutions_culturelles associations htm 91 Rapha l Hadas Lebel Les associations d l gataires de service public in Les associations et la loi de 1901 cent apr s in Rapport public 2000 tudes et documents du conseil d Etat n 51 La documentation fran aise 2000 pp 297 298 pp 237 357 430 p Rapport public 2002 du Conseil d Etat jurisprudence et avis de 2001 collectivit s publiques et concurrence Etudes et documents n 53 La Documentation fran aise 2002 p 383 pp 215 388 465 p Rapports parlementaires Yvan RENAR La cr ation d tablissements publics caract re culturel S nat 2001 47 p http www senat fr rap 100 357 100 357 html Yvan RENAR L tablissement public de coop ration culturelle la loi l preuve des faits rapport d information S nat 2005 2006 81 p http www senat fr rap r05 032 r05 0321 pdf ROGEMONT Marcel la cr ation d tablissements public
32. onsable Fr d rique Calvez frederique calvez gmail com Nombre d heures de cours 15 heures 5 s ances DROITS DES CONTRATS Programme indicatif du cours Pratique et usage des contrats dans le spectacle vivant 1 L environnement professionnel et juridique Notion de droit des contrats Les diff rents acteurs La r glementation 2 Les diff rents types de contrats entre artistes et entrepreneurs de spectacle vivant Nature juridique du contrat conclu entre artistes et entrepreneurs de spectacles Etude des contrats possibles en phase de cr ation coproduction r sidence 3 Les contrats entre entrepreneurs de spectacles Etude des contrats en phase d exploitation Le contrat de cession le contrat de cor alisation le contrat de prestation d accueil Analyse des risques et des b n fices Enseignant responsable Bertrand Mougin bmougin irma asso fr Nombre d heures de cours 12 heures 2 journ es DROITS D AUTEUR Programme fourni en d but de s ance Master 2 Management du Spectacle Vivant Unit d enseignement 2 Esth tiques contemporaines Enseignant responsable C line Roux cecece r gmail com Nombre d heures de cours 27 heures 9 s ances Histoire de la danse culture chor graphique Programme indicatif du cours 1 s ance La naissance de la modernit dans le ballet classique Br ve histoire du ballet occidental Les ballets russes et su dois 2 m
33. pour assurer sa rentabilit une pi ce comme Boeing Boeing a t jou e 10 000 fois les structures de production et de diffusion du th tre public ont int r t cr er sans cesse de nouveaux spectacles car c est au moment de la cr ation que les professionnels les voient Comme le montre l itin raire d un Patrice Ch reau que Serge Proust pr sente comme la figure m me du metteur en sc ne souverain la logique de l innovation permanente explique que pour les artistes le plus important ce sont les phases qui pr c dent la pr sentation au public les r p titions Par ailleurs les innovations formelles co tent cher La complexit croissante des spectacles a accentu la division du travail artistique donnant naissance de nouvelles fonctions exerc es par des gens qui ont revendiqu eux aussi le statut de cr ateurs L augmentation faramineuse des co ts de production des spectacles explique que le prix de cession soit devenu inaccessible pour de nombreux diffuseurs Tous ces facteurs se conjuguent pour entra ner un d clin des tourn es qui taient au lendemain de la Seconde Guerre mondiale un l ment essentiel du cahier des charges impos aux structures subventionn es Dans la premi re tape de la d centralisation pour toucher un public large les compagnies devaient en effet accepter des tourn es souvent longues et harassantes elles jouaient dans des salles de cin ma des salles des f tes etc Le th tre
34. pr vue pour appr hender la cr ation artistique contemporaine dans le contexte d exposition 13 Master 2 Management du Spectacle Vivant Unit d enseignement 3 Environnement culturel Enseignant responsable Simon Le Doar simonld orange fr Nombre d heures de cours 15 heures 5 s ances ECONOMIE POLITIQUE DE LA CULTURE Programme indicatif du cours Les acteurs culturels ont du d velopper des conomies propres leurs fonctionnement Pour autant ils font partie de syst mes conomiques plus larges et sont forc s de s y adapter D un point de vue macro conomique les besoins des acteurs culturels en financements ext rieurs public priv s ou autofinanc s repr sentent une question de technique juridique et conomique complexe mais aussi une question de fond d ordre fortement politique D un point de vue micro conomique le fonctionnement interne des structures culturelles n est pas sans contraintes et les enjeux sont de taille Subventions m c nat intermittence collectifs ces exemples courants de fonctionnements conomiques posent nombres de probl mes et ne sont pas sans cons quences politiques et artistiques Nous tenterons dans ce cours d analyser et de comprendre les principaux fonctionnements conomiques de la culture et surtout de les critiquer politiquement Enseignant responsable Daniel Le Guyader daniel le guyader wanadoo fr Nombre d heures de cours 20 heures 7 s a
35. qui assurent la mise en sc ne des grands textes classiques et tissent des liens avec la production th trale internationale A l autre p le des compagnies ind pendantes souvent la limite de la survie qui se confrontent peu aux textes prestigieux et sont fortement impliqu es dans l action culturelle Ces artistes qui repr sentent aujourd hui la majorit des professionnels bien qu ils aient choisi ce m tier par passion ou vocation sont souvent priv s de reconnaissance esth tique Pour les nouveaux entrants le seuil des premi res ann es est d cisif puisque la probabilit de dispara tre au bout de 2 ans est de 30 pour les danseurs 28 pour les com diens 23 pour les musiciens Ce n est qu au bout d une dizaine d ann es d activit que les artistes du spectacle vivant se stabilisent dans leur profession N anmoins partir des ann es 1990 m me ces derniers voient leur situation se d grader comme le prouve la baisse de la dur e des contrats et l augmentation de leur nombre En 2002 80 des 78 298 intermittents indemnis s ont re u un salaire annuel de 1 1 fois le SMIC Seulement 63 artistes de th tre ont touch des revenus d passant 4 fois le SMIC p 129 Un facteur suppl mentaire du malaise collectif tient au d sajustement entre l origine sociale et la position occup e Pr s de la moiti des com diens sont en effet des enfants de cadres sup rieurs La croissance de l intermittence menace la situation des plus in
36. s r s dans la profession car la loi de l offre et de la demande fonctionne aussi dans le th tre public Pour survivre les nouveaux venus sont oblig s de fabriquer des spectacles moins chers dans l espoir d tre programm s Les tablis sont tent s de discr diter ces outsiders en mettant en cause leur comp tence artistique et en demandant parfois ouvertement une fermeture de la profession en arguant notamment du fait que la surabondance de l offre s av re inefficace pour la conqu te de nouveaux publics Cette bi polarisation du th tre public explique les lignes de clivages qui sont apparues lors de conflits des intermittents Le projet de r forme du statut destin r duire leur nombre suscite un toll Mais l on constate que ceux qui occupent aujourd hui les positions les plus prestigieuses et qui ont souvent t d ardents r volutionnaires dans leur jeunesse sont peu enclins soutenir le mouvement En 1992 Georges Lavaudant et Jean Pierre Vincent critiquent l occupation de l Od on Ce dernier se d finit alors comme un professionnel non impliqu directement dans les conflits r cents A l inverse la grande majorit des membres des coordinations et des AG sont issus de la base et travaillent dans des structures non reconnues par les DRAC La politisation rapide de la lutte peut tre vue comme une tactique pour chapper ces contradictions internes en accusant le gouvernement Tactique d autant plus n cessaire qu au
37. s d humeur La r cente cr ation par la loi d un statut d tablissement de coop ration culturelle EPCC fait pour associer les collectivit s publiques entre elles et ventuellement avec l Etat pouvant rev tir la forme d un tablissement public caract re soit industriel et commercial soit administratif constitue une novation institutionnelle importante sur le triple terrain des statuts des financements de la stabilisation du statut des dirigeants A quand la mise en uvre L Op ra de Paris est il conomiquement gouvernable par Philippe AGID et Jean Claude TARONDEAU Lavoisier Revue fran aise de gestion 2003 1 n 142 ISSN 0338 4451 pages 147 168 Poser sereinement cette question lors de l ouverture de l Op ra Bastille eut t incongru tant il tait implicitement d plor la fin des ann es 1980 que les grandes institutions culturelles sont difficilement ma trisables et que leurs activit s g n rent des d ficits croissants couverts par la puissance publique au nom d ambitions culturelles ou comme dans le pass pour satisfaire souvent la vanit des princes L histoire souvent chaotique de l Op ra de Paris au XIXe et au XXe si cles illustre ces affirmations Aux plus mauvaises p riodes de son histoire les co ts de l Op ra de Paris chappent tout contr le la qualit oscille entre perfection et m diocrit le pouvoir objet de violents conflits passe des bureaucrates aux artistes providentiels quand il
38. s de coop ration culturelle Assembl e nationale 2001 44 p http www assemblee nationale fr legislatures 11 pdf frapports r3265 pdf Pierre Morange Rapport d information AN n 1134 1 octobre 2008 commission des affaires culturelles familiales et sociales sur la gouvernance et le financement des structures associatives pp 39 43 191 p Jean Louis Langlais Pour un partenariat renouvel entre l Etat et les associations Ministre de la sant de la jeunesse des sports et de la vie associative juin 2008 p 43 62 p Rapport d information d pos en application de l article 145 du r glement par la commission des finances de l conomie g n rale et du contr le budg taire sur la politique du spectacle vivant n 2221 d pos le 13 janvier 2010 par M Richard Dell Agnola 152 p http www assemblee nationale fr 13 pdf rap info i2221 pdf Guides dictionnaires Dictionnaire des politiques culturelles de la France depuis 1959 sous la direction d Emmanuel de Waresquiel CNRS Editions Larousse Bordas Paris 2001 672 p La subvention publique le march public et la d l gation de service public Mode d emploi DVAEF ler mars 2007 38 p Guide juridique de l action culturelle locale BUI XUAN Olivia Territorial Voiron 2006 Dossier d experts juillet 2009 derni re dition 138 p http www territorial fr PAR_TPL_IDENTIFIANT 825 TPL_CODE TPL _OUVR_ NUM _FICHE PAG_TITLE guide juridique de laction culturelle locale 5
39. s professionnels supportent mal cette contrainte Ils cherchent la discr diter en d non ant la bureaucratie ou les pressions politiques Cette d pendance l gard de l Etat a provoqu des conflits de l gitimit la n cessit pour l artiste de faire une oeuvre s oppose souvent la volont de l lu d entretenir sa base lectorale Pour trouver des compromis les professionnels du th tre ont t oblig s d acqu rir des comp tences nouvelles sans rapport avec leurs dispositions cr atrices Ils ont d apprendre n gocier avec le monde politique p n trer les rouages de l administration remplir des tonnes de dossiers Pour s duire les financeurs ils ont d aussi s initier un type d criture dont ils ne parlent pas souvent en public mais qui les pr occupe beaucoup rempli de mots magiques comme d mocratisation rayonnement de la ville vivre ensemble lien social int gration etc Serge Proust montre que l intervention massive des pouvoirs publics a aussi provoqu une intellectualisation croissante du th tre ph nom ne illustr par une logique inflationniste des commentaires et des nouvelles interpr tations p 79 Le sens des oeuvres est aujourd hui comment par une multitude de groupes artistes journalistes financeurs universitaires qui engagent des principes concurrents pour la d finition l gitime de la repr sentation Nous touchons l une autre contradiction du th tre pub
40. t avec le milieu professionnel EC 51 60 heures S minaires professionnels Participation des journ es de r flexion organis es en collaboration avec des professionnels sur des sujets se rapportant l actualit du spectacle vivant EC 52 Stage professionnel Stage de fin d tudes de 12 semaines minimum EC 53 M moire de fin d tudes 6 heures M thodologie du m moire de fin d tudes R daction d un m moire 60 80 pages d veloppant une r flexion sur un domaine du spectacle vivant en r investissant les savoirs acquis dans tous les p les de la formation Volume horaire 504 heures de cours et s minaires 1 stage long de 12 semaines minimum obligatoire pour les tudiants en formation initiale et Les demandeurs d emploi 1 Evaluation UE 1 1 Administration 7 g n rale EC 11 Gestion Fiscalit 2 1 tude de cas 3 heures 50 1 tude de cas 3 heures 50 EC 12 Outils 1 1 crit 3 heures juridiques UE 2 1 Esth tiques 7 contemporaines 1 Expos ou Contr le dossier continu UE3 1 Environnement 7 culturel EC31 Les politiques 2 Ecrit 3 heures culturelles EC32 Droit Public de 1 Note de 4 heures la culture synth se EC33 Sociologie 1 Dossier Contr le continu EC 34 Nouvelles 1 Pr sence technologies UE 4 2 Montage de Dossier et 14 projet soutenance professionnel devant jury UE 5 4 Contact avec le 25 milieu professionnel EC51 S minaires Pr sence EC52 S
41. tages Validation EC53 M moire de fin Soutenance d tudes orale Master 2 Management du Spectacle Vivant Unit d enseignement 1 Administration g n rale Enseignant responsable Morgane Cavret morgane cavret univ brest fr Nombre d heures de cours 72 heures 24 s ances GESTION Programme indicatif du cours COMPTABILITE 12 s ances de 3h 36 heures Initiation la comptabilit g n rale et l analyse financi re Comptabilit g n rale Les fondements de la comptabilit Les enregistrements des op rations en cours d exercice achats ventes immobilisations salaires d clarations de TVA subventions La notion d inventaire amortissements charges et produits constat s d avance L tablissement des documents de synth se Analyse financi re Les principes de l analyse financi re L analyse du bilan FRNG BFR L analyse du r sultat et de la rentabilit SIG CAF Programme indicatif du cours GESTION BUDGETAIRE 8 s ances de 3h 24 heures Initiation la gestion pr visionnelle et budg taire Les principes d une comptabilit de gestion La mise en place d un syst me budg taire La construction d un budget Le suivi budg taire Etude de cas pratiques pr sent s par les professionnels Programme indicatif du cours ADMINISTRATION DES SALAIRES 5 s ances de 3h 15 heures Initiation la gestion des
42. tentes auparavant sont devenues plus visibles Ceci d autant plus que le th tre priv s est renouvel tout en proposant un meilleur ajustement la demande d un public lass des exc s esth tiques et intellectuels du th tre public Ce dernier est fortement incit aujourd hui se tourner vers le m c nat priv qui consacre 8 de ces ressources au th tre et 33 la musique Mais cette volution contribue sont tour changer la donne car l irruption du priv dans le public introduit de nouveaux crit res de choix Alors que l Etat autorise les institutions culturelles se d connecter du public le m c nat priv d fend surtout des esth tiques acceptables pur le public qu il vise Lors du conflit des intermittents les in galit s internes au milieu th tral ont cr un clivage au sein du mouvement Dans le th tre public il n existe pas en effet de barri re l entr e pas de carte 20 professionnelle ni de dipl me sp cifique C est l une des raisons qui expliquent la forte croissance des effectifs depuis les ann es 1980 N anmoins en faisant des metteurs en sc ne les b n ficiaires quasiment exclusifs de ses gratifications symboliques et mat rielles dans la mesure o ils monopolisent les subventions et les directions des structures de production p 233 l Etat a fortement aggrav les in galit s internes A un p le on trouve ceux qui appartiennent aux institutions nationales TN et CDN
43. th tre l adversaire est insaisissable La porosit de la fronti re entre employeur et employ interdit de s en prendre au patronat comme dans le secteur industriel Serge Proust conclut en soulignant que les professionnels du th tre public sont pris aujourd hui dans une tension de plus en plus vive entre la vocation et la profession oscillant entre l exaltation nostalgique de la communaut th tral incarn e par la troupe et la d ploration d une r alit qui fait de ces artistes des salari s comme les autres Bibliographie sommaire Ouvrages sur les politiques publiques culturelles i MOULINIER Pierre Les politiques publiques de la culture en France PUF coll Que Sais je f vrier 2010 5 dition 127 p GREFFE Xavier PFLIEGER Sylvie La politique culturelle en France La documentation fran aise 2009 287 p Ouvrages sur le droit de la culture BARON Eric FERRIER BARBUT Mich le dir Modes de gestion des quipement culturels le choix d une structure juridique au service d un projet territorial Presse Universitaire de Grenoble 2003 304 p MESNARD Andr Hubert Droit et politique de la culture Paris Presses universitaires de France droit fondamental 1990 487 p MONNIER Sophie FOREY Elsa Droit de la culture Guliano 2009 298 p MONNIER Sophie L essentiel du Droit de la culture Gualion 2009 142 p PONTIER Jean Marie RICCHI Jean Claude BOURDON Jacques Droit de la culture Dalloz 2 me d
44. tion et de son volution au cours des trente derni res ann es nous nous attacherons au gr de l actualit envisager l volution des orientations des politiques culturelles men es par l Etat et par les diff rents niveaux de Collectivit s territoriales et par cons quent du paysage culturel de la France pour les ann es venir Le d cryptage de cette actualit des politiques culturelles s appuiera sur des rencontres avec des lus des responsables de services culturels des Collectivit s territoriales et de structures missionn es pour le spectacle vivant et des acteurs culturels Enseignant responsable Pascal Cadieu pascal cadieu cma29 fr Nombre d heures de cours 27 heures 9 s ances DROIT PUBLIC DE LA CULTURE S ance n 0 La culture et le droit rencontre du troisi me type 1 Le spectacle vivant l Ordonnance n 45 2339 du 13 octobre 1945 2 Des amateurs aux professionnels 3 Du droit priv au droit public les limites du contentieux administratif S ance n 1 Les transformations du service public culturel 1 La l gende du service public culturel 2 La jurisprudence Astruc Gheusi ou l op ra est il un service public 3 La reconnaissance du service public culturel CE 21 janv 1944 L oni S ance n 2 Les lois de Rolland du service public culturel 1 Les lois de Rolland 2 Les limites de la gratuit 3 La patrimonialisation des autorisations d occupation du domaine pu
45. uette le juriste lorsqu il oublie que le droit est un fait de culture enracin comme tel dans une soci t singuli re 2 17 L ignorance du th oricien n est pas moins redoutable C est celle du nomologue presbyte prolixe sur le droit en g n ral mais n en ma trisant pas le moindre petit morceau 2 La soumission elle aussi a deux visages Il y a d un cot la soumission partisane ancienne celle l qui conduit l universitaire se muer en propagandiste z l ce qui ne serait pas bl mable s il ne drapait l arbitraire de ses opinions dans l autorit du droit Le professeur va alors ass ner ses opinions politiques sous couleur de prodiguer des le ons de droit que ce soit dans ses cours dans les revues juridiques ou dans la grande presse Il y a plus nouvelle et sans doute plus perverse la soumission induite par le positivisme qui r gne dans nos facult s depuis le XIX me si cle Au nom de la neutralit de la science le juriste mettra alors son intelligence au service de l interpr tation et de la syst matisation de n importe quel texte aussi ignominieux soit il 3 La v nalit advient quand l autorit du juriste universitaire est vendre La d rive des pratiques de consultation va dans ce sens Au lieu de donner une opinion ind pendante sur de rares affaires de principe le professeur se mue en scribe stipendi par des groupes d int r ts et vend au plus offrant l autorit d clinante attach e sa fonction univers
46. ur en sc ne les implications esth tiques de la notion de th tre populaire les influences ext rieures th tres d Orient autres arts arts plastiques danse cirque op ra avant gardes le th tre et les nouvelles technologies Bibliographie indicative ASLAN Odette L Acteur au 20 me si cle Evolution de la technique probl mes d thique d remani e et augment e Saint Jean de Vedas L Entretemps coll Les Voies de l acteur 2005 1 re d 1974 BANU Georges dir Les Cit s du th tre d art De Stanislavski Strehler Paris Editions th trales Acad mie Exp rimentale des Th tres 2000 BIET Christian TRIAU Christophe Qu est ce que le th tre Gallimard Folio Essais 2005 CORVIN Michel sous la direction de Dictionnaire encyclop dique du th tre Bordas plusieurs r ditions COUTY Daniel REY Alain dir Le Th tre Bordas 1980 1989 Larousse 2001 DEGAINE Andr Histoire du th tre dessin e Nizet 1992 DUSIGNE Jean Fran ois Le th tre d art aventure europ enne du 20 me si cle Editions th trales 1997 Du th tre d art l art du th tre anthologie des textes fondateurs r unis et pr sent s par J F Dusigne Ed th trales 1997 Dictionnaire du th tre Encyclop die Universalis Albin Michel 1998 DE JOMARON Jacqueline sous la direction de Le Th tre en France Armand Colin 1989 Livre de Poche Encyclop die d aujourd hui 1
47. vo Hervieu Les danses performatives et les remises en question 9 s ance Les esth tiques diffus es en France aujourd hui Bibliographie indicative CHARMATZ Boris LAUNAY Isabelle Entretenir propos d une danse contemporaine Paris coll Parcours d artistes co d Les presses du r el et Centre national de la danse 2003 LE MOAL Philippe Dictionnaire de la danse Paris Larousse Bordas 1999 LOUPPE Laurence Po tique en danse contemporaine Paris Larousse Bordas 1999 MICHEL Marcelle GINOT Isabelle La Danse au XX si cle Paris Bordas 1995 ROUSIER Claire dir La danse en solo une figure singuli re de la modernit Pantin coll Recherches d Centre national de la danse 2002 ROUSSIER Claire dir tre ensemble Figures de la communaut en danse depuis le XX si cle coll Recherches d Centre national de la danse 2003 ROUX C line Danse s performative s Paris coll Le corps en question Harmattan 2007 10 Enseignant responsable Bertrand Thomas bertrand thomas bretagne iufm fr Nombre d heures de cours 27 heures 9 s ances HISTOIRE DE LA MUSIQUE Programme indicatif du cours 1 et 2 s ances Modernit et n o classicisme au d but du 20 me si cle La vie musicale fran aise au d but du 20 me si cle La sp cificit fran aise l mergence d une musique anti romantique Erik Satie le pr curseur Claude Debussy Maurice Ravel Le n o
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