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SOMATOTHERAPIE

1. J ai lu j ai aim je partage UN DESIR FOU DE DANSER Eie Wiesel Edition du Seuil Elie Wiesel est g aujourd hui de 77 ans C est l ge de 15 ans en 1945 qu il arriva au camp d Auschwitz Il re ut le Prix No bel de la paix en 1986 pour son t moignage sur la Shoah et son action en faveur des droits de l homme ainsi que de la paix au Moyen Orient Qui mieux que lui qui surv cut au froid la faim aux hurle ments des kapos aux brimades et l aboiement des chiens pouvait crire ce roman dont l angoisse princi pale du h ros Doriel Waldman est de sombrer dans la folie Doriel pense qu il souffre d un exc s de m moire C est la raison pour laquelle il se rend dans le cabinet du Dr Th r se Goldschmidt psychanalyste qu il appelle sa gu risseuse pour tenter de se d barrasser de ses fan t mes Cette histoire passionnante racont e sans souci de la chronologie ne d crit pas seulement les tats d me de son h ros mais galement ceux de la psycha nalyste au travers d extraits de quelques notes prises en consultation Rappelons s il en tait besoin que le ro man ignore la d ontologie de la profession qui stipule de respecter et de faire respecter le code de la confiden tialit La premi re s ance commence plut t mal Doriel n est pas l aise Le silence s installe devient lourd hostile Au fil des mois Th r se Goldschmidt essaiera de per
2. H Laborit C est le si ge du langage de la pens e abstraite de l imagination Il traite les donn es rationnelles et partage ses d ductions avec les deux autres le cerveau limbique et le cerveau reptilien Le cerveau reptilien est Egocentrique le centre du moi il n a d int r t et de sympathie que pour ce qui concerne directement son bien tre et sa survie Il est sensible aux contrastes Les opposition lui per mettent de prendre des d cisions rapides sans risque Sensible au contraste avant apr s risqu sur lent rapide Sans opposition 1l est dans un tat de confusion qui le conduit retarder sa d cision ou ne pas en prendre du tout Il aime les informations tangibles Il cherche ce qui lui est familier amical Ce qui peut tre reconnu rapi dement ce qui est concret immuable Il est incapable de prendre en compte un concept comme une solution flexible ou une architecture int gr e ou une Approche volutive 1l appr cie les id es concr tes simples et faciles saisir Plus d argent incassable livraison sous 24 heures Il se souvient du d but et de la fin d un v nement mais oublie peu pr s tout ce qu il y a entre Ce point est essentiel pour construire et pr senter les messages Le mieux placer le contenu le plus important en d but et le r p ter la fin Ce qui est dit au milieu est la plupart du temps ou
3. elle n est pas n cessairement intense en motion d cibels surprise elle peut tre douce bas bruit fa mili re elle n est pas n cessairement agr able ou jouissive elle charrie sa charge de souffrance de peur d trange t tout autant par contre m me dans la douleur elle se reconna t par la satisfaction d tre enfin l pr sent soi l tat de conscience n y est pas n cessairement modifi avec subversion de la structure mentale par exemple il peut rester habituel pr sent le champ de conscience ne s largit pas n cessairement surtout lorsqu on est dans la restituance d une th rapie courte il n y a pas obligation s largir aux purs processus inconscients enfin l exp rience pl ni re n est pas n cessairement li e la longueur de la cure au type de m thode m me s 1l y a une corr lation entre ces param tres et ces manifestations Elle n est pas n cessairement tout cela Par contre elle devient une merveilleuse grille de lecture de tout le domaine psychoth rapique Pour terminer laissons nous aller un tourbillon associatif pl nier Reprenons toutes les cartes et battons les nouveau en distinguant seulement les trois proc d s diff renci s d samalga mage reconnexion et pl narisation Ce sera en troisi me partie pour caract riser le th rapeute l int gration Richard MEYER m decin psychiatre
4. Terminaison neuronale Les dendrites sont les portes d entr es des neurones Elles ne d passent pas la lon gueur de 1 mm Ce sont elles qui re oivent les signaux mis par d autres neurones et gr ce l axone le signal r sultant peut tre transmis d autres neurones Chaque neurone comporte peu pr s une centaine de dendrites qui sont comme les branches du corps cellulaire le soma Pour laborer des connaissances dans le cer veau humain 1l faut que les neurones soient connect s entre eux les dendrites et l axone de chaque neurone rendent possible la formation d un r seau de neurones Pour penser pour ressentir des sensations pour r agir rapidement les neurones doi vent constamment transmettre des influx nerveux qui sont les messages lectriques et biochimiques du corps Lorsqu on doit agir rapidement lorsqu on se fait piquer Image microscopique par exemple pour qu une r action r flexe ait lieu l influx nerveux mis par le cer d une dendrite veau doit voyager l int rieur des neurones moteurs Ils partent des dendrites se rendent au corps cellulaire puis sortent par l axone recouvert de myeline Ces neu Wikip dia rones constituent la substance blanche du cerveau x Les neurotransmetteurs Sont les messagers chimiques de notre cerveau Les neurotransmetteurs et les neurom diateurs sont des substances chimiques lib r es par les neurones agissant sur d autres neurones ou plus rarement
5. savoir la catharsis nous pouvons observer que lui aussi tait dans le pl nier gr ce l enseignement re u de son mentor Joseph Breuer Chacun des sympt mes hyst riques disparaissait imm diatement et sans retour quand on r ussissait mettre en pleine lumi re le souvenir de l incident d clenchant veiller l affect li ce dernier et quand ensuite le malade d crivait ce qui lui tait arriv de fa on fort d taill e et en donnant son motion une expression verbale Breuer et Freud p 24 J ai compl t cette affirmation de la fa on suivante Le moment cathartique est le moment de gu rison du sympt me hyst rique Trois l ments concourent cet effet souvenir de l incident d clenchant e l affect li ce dernier l expression verbale du souvenir et de l affect 29 La pr sence de ces trois l ments constitue la premi re condition de survenue de la catharsis Il en existe une seconde aussi importante savoir la simultan it d occurrence de ces trois l ments le souvenir s toffe d motion et l motion s exprime en paroles simultan ment La pr paration de ce moment cathartique peut se faire progressivement dans la recherche des souvenirs par l analyse mais au moment donn tout s enclenche et s unifie Meyer 1982 p 62 QUE de expression verbale 5 C est avec ce concept Freudo Breuerien que j ai inaug
6. Pour une autre s rie d exp riences l quipe mit au point un tachistoscope instrument optique tr s parti culier dot d un cran sur lequel une image donn e ne peut tre per ue que dans un seul champ visuel contr l soit par le c t droit du cerveau soit par le c t gauche Les chercheurs install rent un patient au cerveau d doubl devant l cran projet rent simultan ment deux dessins diff rents sur l cran un par champ visuel Ainsi iule image diff rente atteignait chaque c t du cerveau du sujet Quand on lui de manda de dire ce qu il avait vu le patient d crivit le dessin correspondant son champ visuel droit c est dire celui qu il voyait dans son cerveau gauche Quand on lui demanda de montrer ce qu il avait vu il montra de la main gauche le dessin qu il avait vu dans son h misph re droit Par ces tests Sperry et ses coll gues d montr rent que 1 la perception et le contr le moteur sont at tribu s un h misph re ou l autre 2 les h misph res sont sp cialis s dans leurs fonctions 3 le corps calleux a surtout un r le unificateur de l attention et de la conscience et permet au savoir et la m moire d tre r partis entre les deux h misph res Il r unit un cerveau divis 7 Les travaux de Sperry donn rent plus d informations encore non seulement chacun des deux h misph res correspondait des fonctions distinctes mais ils semblaient pr senter des diff rence
7. ci t s Repr sentante en France d un ensemble de partenaires internationaux nous disposons d un acc s privil gi aux toutes derni res technologies et aux comp tences humaines les plus avanc es mondialement Cette caract ristique nous permet d avoir un important avantage concurrentiel tant au niveau de la qua lit de service que de nos tarifs La gestion des projets ainsi que les tudes et la conception sont bas es en France au plus pr s de vous afin de permettre une ad quation entre l outil de communication d velopp et le march fran ais Le d veloppement technique quant lui est r alis en Asie chaque pays participant avec ce qu il a de meilleur Notre offre Ocecom a d velopp pour vous une offre adapt e votre utilisation Elle se pr sente sous forme d un site de base auquel il est possible de rajouter diff rents modules suivant vos besoins sp cifiques Cette offre part d un principe simple pour que ce soit facile pour vous nous nous occupons de tout Pour tudier cette offre en d tail vous pourrez visiter notre site sur la page www ocecom com somato Ocecom 101 rue des Campanules 77185 Lognes T l 01 64 61 79 39 Fax 01 64 64 71 86 Email info ocecom com site web www ocecom com somato OCEC en Caract ristiques de l offre de Sites Internet 1 R sum L offre d OCECOM est modulaire Elle permet de compl ter un site Internet de base et de
8. essentiel est dit en cinq lignes apr s une pr paration de dizaines de pages Le processus th rapeutique de base consiste en ce moment de pleine pr sence je suis l pleinement l juste l o tout superflu s limine et tout n cessaire s arrime a d s amalgame reconnecte et met en pleine pr sence La parution r cente du dernier livre de G rald M Edelman apporte une caution scientifique cette approche exp rientielle La th orie g n rale du cerveau et la conscience Nous avons beaucoup de mal d passer le dualisme esprit corps que Descartes nous a l gu ainsi que de ses nombreux produits d riv s tels la phr nologie Gall ou la plus r cente approche computa tionnelle du cerveau qui serait presque comme un ordinateur nos d sirs et amours se transformant en al corithmes Certes un neuroscientifique minent Antonio R Damasio a d nonc Terreur de Descartes nous permettant d introduire notre propre livre Freud encorps avec la n cessit de connecter l mo tionnel au fonctionnement global y compris celui de la pens e rationnelle Oubli s Jean Pierre Changeux et sa tentative trop mat rialiste de pr senter le cerveau Plus r cemment c est G rald M Edelman prix Nobel de m decine qui nous propose une th orie g n rale du cerveau se concentrant sur sa partie la plus difficile et subtile savoir la conscience On se retrouverait presque au d part de la psychoth rap
9. Comme toute exp rience pl ni re elle s impose d vidence on la reconna t imm diatement comme le premier orgasme comme le coup de foudre affectif Cette exp rience du consensuel permet de r attribuer au groupe social son r le positif apr s la s curisation et la protection au del de toutes les rebellions personnelles circonstan 22 ci es qui entretiennent la peur et le rejet du groupe La r p tition de cette exp rience vient att nuer puis liminer ces peurs et rejets Et elle donne envie de passer au don qui est pl nitude Caract ristiques principales de la fonction pl narisante Pattitude de l cher prise d acceptation d abandon la relation et l unification m me l motion qui est d abord concentration d nergie se termine par la r solution nerg tique si on lui l che la bride P nergie y est libre elle circule elle diffuse pour se transformer en nergie douce puis subtile seule m me de connecter des fonctions de plus en plus nombreuses en une unit plurielle la conscience elle aussi se lib re et se pr te tous les tats de conscience Pamour se d lie de ses fixations objectales la conscience se globalise englobe des donn es de plus en plus nombreuses va jusqu aux 7 2 l ments que peut contenir simultan ment le conscient par analogie avec la loi de Miller et va encore plus loin quand elle passe du conscient au transconscient
10. docteur en sciences humaines Membre de l Acad mie de M decine de Pologne directeur de l Ecole Europ enne de Psychoth rapie Socio et Somato Analytique Eepssa 42 rue g n ral de Gaulle 67640 LIPSHEIM 30 Le sentiment d abandon pendant un massage de bien tre We are such stuff As dreams are made of and our little life Is rounded with a sleep Shakespeare Nous sommes fait d une toffe semblable celle des r ves et notre petite vie est entour e par un sommeil Shakespeare L tat sophronique Pendant un massage de bien tre durant lequel la personne mass e baigne dans un tat de semi somnolence appel commun ment tat sophronique tout v nement si minime soit il prend une importance d mesur e Cet tat sophronique est provo qu par plusieurs causes simultan es le fait que la personne est allong e sur une table et qu elle se laisse aller le fait que sa peau est touch e constamment la quali t de pr sence du masseur et le fait que le massage provoque toujours une d charge d endorphines qui entra ne un sentiment de bonheur ou d euphorie La qualit de pr sence du masseur l ment primordial Dans cette succession de causes la qualit de pr sence du masseur est certainement la plus importante Pourquoi Parce que quand on s abandonne dans les mains d une autre personne dans le seul but de recevoir un massage de bien tre massage qui n est ni m dical ni s
11. s soulev es dans ces conditions et montre comment chacun des troubles de la personnalit se d veloppe et volue l ge adulte avec sa symptomatologie particuli re et ses r sis tances sp cifiques au changement Il propose aussi pour chacun de ces troubles une s rie de moyens th rapeutiques visant r apprivoiser la personne son semblable et lui donner les ou tils de r flexion n cessaires pour calmer ses appr hensions 1n hibitrices ou d sinhibitrices apprises durant cette p riode charni re d apprentissage de la vie Ce livre offre tous les professionnels et aux intervenants en san t ainsi qu toutes les personnes qui veulent se d couvrir une compr hension simple et int gr e des troubles de la personnalit de m me qu une m thode pratique et humaine d intervention face la mis re reli e chacune des adaptations probl ma tiques Le corps a ses raisons que la m decine ignore Dr Georges Pourtalet ditions Du Dauphin 1992 GEORGES POURTALET Apr s quatre ann es de formation chirurgi cale lourde faisant fonction d interne en chirurgie dans le service du Pro fesseur Yves Jacques Longuet l h pital Rothschild et de deux ann es en tant que chirurgien Tr ves o d bute cette recherche l auteur s ins talle Paris en 1961 et exerce une double activit de m decin et de chi rurgien ce qui lui permet de conti nuer ses travaux Ce livre est un
12. un encadr sur les perspectives de la recherche dans le domaine tudi Au total 600 pages 14 chapitres r sum s en 200 points r ca pitulatifs 269 d finitions 140 questions pour contr ler ses con naissances r viser son examen de psychologie et ou pr parer un cours Qui font de ce livre un outil indispensable pour l en seignant et l tudiant L auteur Susan C Cloninger psychologue de renomm e inter nationale enseigne au Russel Sage College Alice Tibi psychanalyste docteur en lettres modernes et en psychologie a traduit l ouvrage Ce livre s adresse aux tudiants en psychologie aux psycho logues psychiatres travailleurs sociaux et aux ducateurs Les troubles de la personnalit Jacques D bigar Quebecor 2003 Jacques D bigar d tient un baccalaur at en p dagogie et un doctorat en psychologie Il est professeur au d partement de psycholo gie de l Universit du Qu bec Trois Rivi res et membre de l ordre des psycho logues du Qu bec ainsi que du R pertoire canadien des psychologues offrant des ser vices de sant Il fait galement partie de plusieurs soci t s sa vantes Cet ouvrage de psychologie clinique pr sente les probl mes adap tatifs que provoque chez l enfant une attitude parentale de protec tion et d ducation trop fortement guid e par l intimidation et la provocation Il fait valoir les effets imm diats et ult rieurs des peurs et des agressivit
13. v nement Les r v lations qu il contient re mettent en cause de nombreuses donn es m dicales et di t tiques Il a fallu l auteur plus de trente ann es de recherches constantes pour aboutir cet ouvrage la por t e de tous qui est la fois une mise en garde vigoureuse et un guide de sant indispensable Vous d couvrirez avec de multiples exemples l appui qu un grand nombre de conseils di t tiques et certains traitements m dicaux prodigu s actuellement sont souvent ou peu vent tre responsables de la d t rioration de votre sant de maladies graves et m me de vies court es Vous apprendrez ainsi au fil des pages comment fonctionne r ellement votre corps Vous saurez aussi comment vous pou vez l aider de fa on tr s simple se d fendre afin de vivre mieux et plus longtemps Le corps a ses raisons que la m decine ignore ne res semble en rien tous les ouvrages actuels Il va l encontre des id es re ues et r v le enfin chacun que le corps n est pas n cessairement la source de tous les maux et que l on peut le transformer en un compagnon de route agr able et harmonieux tout au long de la vie Neurobiologie de la personnalit Joseph Ledoux ditions Odile Jacob 2003 Apr s avoir mis en vidence le circuit neural de la peur prise comme mod le pour tudier les bases neurales 35 des motions dans The Emotional Brain Joseph Ledoux poursuit dans N
14. Le Neuro Marketing Un site Web pourquoi Elisabeth Lorrach Page 42 43 Page 21 30 Articles parus dans la Exp rience pleni re le processus Page 44 th rapeutique de base Dates retenir Dr Richard Meyer Code Ethique D Pan N Page 31 32 CYD lt 00 OF Le c ur donne la direction le cerveau la solution le corps la concr tisation Luis Fernandes Savoir couter c est poss der outre le sien le cerveau des autres L onard de Vinci Le cerveau Environ 80 de notre cerveau est constitu d eau mais les 20 restant sont constitu s d l ments physiques et biochimiques Le cerveau s il ne se distingue pas particuli rement pas sa taille est un organe extraordinaire Il repr sente par son poids environ 2 de la masse totale d une personne de 70 kilos 1l utilise environ 25 de l oxyg ne et du sucre qui sont distribu s par le corps pour son alimentation Les structures anatomiques du cerveau se divisent en deux types de fonctions les fonctions d ex cution de type intellectuel et les fonctions reptilienne r flexes de survie et motion brutes Le cr ne Chez les vert br s le cr ne est la partie sup rieure du squelette Il est essentiellement destin prot ger le cerveau Il repose sur le rachis cervical par l interm diaire de l atlas ou vert bre C1 et maintien en ant rieur le massif facial Chez l Homme l ensemble compos par la t te et le c
15. Massage assis Pierre GRIMBERG N 12 De l importance du toucher Pierre GRIMBERG N 9 Le Rebirth et son influence sur les motions Alicja HEYDA N 9 Le toucher et le massage comme outils de la somatoth rapie C cile HOCHET N 9 Une lecture crois e l histoire personnelle et son inscription corporelle Aim HOFFBECK N 6 Les 12 nouvelles r gles F M HUDSON PH D N 11 Le corps et l objet Justyna JAN KRUKOWSKA N 12 De la s r nit du corps Justyna JAN KRUKOWSKA N 7 Les secrets LE SECRET D Yannick JOUAN N 9 Introjection Andr LIENARD N 9 Le corps de l adolescent en somatoth rapie Andr LIENARD N 6 Un coach en entreprise Elisabeth LORRACH 42 Articles parus dans les revues SOMATOTHERAPIE suite N 8 Les personnes sont dot es d motions Elisabeth LORRACH N 9 Particularit s Ethnopsychologiques du groupe Roumain de Socio Somatanalyse Magda LUCIAN N 7 Le toucher th rapeutique Bernard LUIGI N 2 Les interdits et les limites du th rapeute Jeanne LUTZ RIBSTEIN N 13 Massage Sensitif et Cr ativit par la couleur Isabelle MAYER ARCHAMBAULT N 12 R ves et R alit s Fran oise MAZZONI N 2 Psychoth rapie le paradygme holantropique Dr Richard MEYER N 3 Une nouvelle voie th rapeuthique la voie pl ni re Dr Richard MEYER N 4 Le devenir th rapeute Dr Richard MEYER N 5 Dossier Clinique Supervision Dr Richard MEYER N 6 Pr sence Juste Dr Richard MEYER N 7 La Psycho somatanalyse et les
16. N 4 Sexo Conjugo Somatoth rapie Dr Pierre DALENS N 5 Sexo Conjugo Somatoth rapie suite Dr Pierre DALENS N 6 Troubles et conflits conjugaux Dr Pierre DALENS N 7 Mythe ou et possibilit d une int gration Somatoth rapique Dr Pierre DALENS N 8 Identit sexuelle Masculin F minin Groupe introductif Dr Pierre DALENS N 8 Identit sexuelle Masculin F minin Groupe introductif Il Dr Pierre DALENS N 10 Application pratique d un groupe de somatoth rapie de l Eros Dr Pierre DALENS N 10 Une sexoanalyse int gr e Mythe ou et Possibilit s Dr Pierre DALENS N 11 Une somatoth rapie int gr e dans l Eros Dr Pierre DALENS N 11 D couverte du corps travers l Eros Dr Pierre DALENS N 12 Les Transferts en Somatanalyse Dr Pierre DALENS N 13 Int gration de l Eros en Somatoth rapie Dr Pierre DALENS N 13 De la Sexualit l Amour en Somatoth rapie Dr Pierre DALENS N 4 Ethique et Psychoth rapie Dr Alain DONNARS N 9 Le plaisir Dr Alain DONNARS N 7 Lettre Emile Pascal FOUCAULT N 8 Attention un plaisir peut en cacher un autre Pascal FOUCAULT N 10 De l hyperactivit chez l enfant Pascal FOUCAULT N 12 Du non usage de l attente Pascal FOUCAULT N 12 Cons quences psychologiques de la violence domestique Pascal FOUCAULT N 13 Petit guide du somatoth rapeute qui veut ouvrir son cabinet Pascal FOUCAULT N 6 Shiatsu et psychosomatique Michel GILL N 6 Sensitive Gestalt Massage Pierre GRIMBERG N 7 Le
17. Pages de pr sentation modifiables Prix 300 HT D lai de d veloppement 7 jours ouvr s Vous pourrez modifier vous m me les textes et les images de 1 3 pages de pr sentation au travers d une interface d administration Ceci vous permettra de faire des mises Jour r guli res de votre site en toute simplicit 40 OPTION 2 Int gration d un module de mise en ligne de publicit s Prix Prise en charge 100 HT 25 HT par encart publicitaire D lai de d veloppement partir 7 jours ouvr s suivant le nombre d encarts Vous pourrez int grer vous m me des encarts et bandeaux publicitaires cliquables vers des liens d adresses In ternet au travers de l interface d administration OPTION 3 R f rencement Prix partir de 50 HT par langue si le site est en plusieurs langues pour le r f rencement naturel A partir de 100 HT par mois pour la recherche d affiliation A partir de 50 HT de coordination par mois hors budget des publicit s payantes Plus votre site sera connu sur le r seau Internet et plus le nombre d internautes visitant votre site sera important Pour ceci il doit tre identifiable sur les principaux moteurs de recherche Yahoo Google Altavista et autres et galement tre visible sur diff rents portails Web ou encore sites de r f rencement Ocecom vous propose trois approches R f rencement naturel contenu dans le programme du site Affiliations g
18. Recherche en Psychosomatique La formation la Psychosomatique de l enfant et de l adulte La Formation la Relaxation Psychosomatique Programmes d taill s sur le site internet cips psychosoma org JOURNEE Douleur et psychosomatique Organis e par le groupe de recherche de Sylvie Cady Samedi 24 Mars 2007 MEDISUP 13 passage Dauphine 75006 Paris R ve et Psychosomatique Organis e par le Prof Jean Marie Gauthier avec l Universit de Li ge Belgique Samedi 16Juin 2007 Maison des Mines 270 rue St Jacques 75005 Paris COLLOQUE X COLLOQUE INTERNATIONAL DU C I P S LA MALADIE ENTRE L AME ET LE CORPS 25 ET 26 Mai 23007 A la Biblioth que d ALEXANDRIE Egypte Sous la pr sidence du Gouverneur d Alexandrie avec le soutien de l Ambassadeur de France En collaboration avec l Universit de Toulouse et l Universit d Alexandrie Le d but d une belle histoire suite Dans notre parution de d cembre 2005 nous vous proposions un texte que nous avions intitul le d but d une belle histoire Un an apr s nous avons retrouv Martine CARDONA et Gabrielle KRAU la une du journal r gional En effet Th tis leur Centre de psychoth rapie et de ma eutique en cologie humaine a t s lectionn pour tre pr sent au Forum r gional des stages qui se tenait au Palais universitaire de Strasbourg Ce colloque avait deux objectifs pr senter aux tudiants les outils d u
19. choses se r v lent simplement au del des mots du patient Vers la fin J avais l impression d avoir fait plusieurs s ances de psycho somatanalyse D s ce moment j ai senti que tu as mis en moi quelque chose de tr s stable et bon qui me manquait et qui est rest l m me quand j ai eu du mal De quelques concepts analogues Csikszentmihalyi Stern Le processus que conceptualise la notion d exp rience pl ni re n est videmment pas nouveau Il est m me vieux comme le monde Il y a pourtant un regain d int r t pour cet instant dans la psychoth rapie mo derne sans oublier la catharsis de Breuer et Freud Le ph nom ne de Peak experience a permis Maslow de lancer la psychoth rapie transpersonnelle soixante dix ans apr s la catharsis de Breuer Tr s r cemment Mi haly Csikszentmihalyi a syst matis le m me v cu sous l appellation d exp rience optimale la diff rence pr s qu il envisage un v nement plus actif et volontariste que celui voqu ici L attention est librement investie en vue de r aliser un but personnel parce qu il n y a pas de d sordre qui d range ou menace le soi On l appelle aussi exp rience flot flow experience L exp rience optimale rend le soi plus complexe et c est alors qu il se d veloppe L auteur num re huit caract ristiques que nous reprendrons dans le tableau suivant Csikszentmihaly p 52
20. combinant votre connaissance produit avec la com pr hension et l interpr tation de la situation que fait votre client puis en approchant ces deux points du r sultat que veut obtenir votre client vous obtiendrez un diagnostic pr cis Diff renciez vos REVENDICATIONS Le cerveau reptilien r pond favorablement aux con trastes fortement affirm s Qu est ce que cette proposition m apporte par rap port au fait de ne rien changer En tant que vendeur il est important que vous vous de mandiez Est que ma solution est la seule capable de gu rir les frustrations de mon interlocuteur D montrez votre APPORT Il faut prouver ce que vous dites Le cerveau a besoin d l ments tangibles Il cherche des preuves ir r futables lui d montrant que votre solution va lui per mettre de survivre ou de tirer des b n fices Le cerveau primitif ne peut pas d cider aussi longtemps qu il ne se sent pas en s curit Il ne suffit pas de lui d crire les plus de votre propositions il faut les prouver d une mani re concr te et lui d montrer quels sont les gains qu il en tirera D clenchez la PULSION L impact du message est directement li votre capacit vous adresser au cerveau d cideur de votre interlocu teur dans un langage qu il comprend et qui seul d clen chera la pulsion de d cision Plus la Frustration demande non satisfaite est grande plus la probabilit de convaincre est importante P
21. dans la perception et la reconnaissance des objets Le lobe temporal m dian est impliqu dans la m moire dite pisodique Situ au c ur du lobe temporal m dian l hippocampe joue un r le essentiel notamment dans la constitution des souvenirs et la m moire spatiale L amygdale contribue au traitement des aspects motionnels de la m moire Lobes occipitaux vue Le lobe occipital est le centre visuel IT permet la reconnaissance des orientations et des contours des images Le cervelet quilibre Le cervelet est impliqu dans le calcul des mouvements la mesure du temps et diverses autres fonctions mo trices et cognitives Le cervelet distingue les sensations provenant d actions du sujet de celles qui proviennent de l ext rieur Le thalamus la station de relais qui les relie tous ensemble Neurone cellule qui assure la conduction de l influx nerveux Notre cerveau compte 100 milliards de neurones qui si on les mettait bout bout atteindraient 50 000 kilo m tres Chacune de ces cellules nerveuses contient des l ments d informations devant tre transmis un autre neurone pour que le corps puisse fonctionner normalement Les neurones contiennent des informations mais si Celles ci ne sont pas transmises un autre neurone elles sont quasi inutiles Les dendrites re oivent les rensei gnements des autres neurones Dendrite Corps cellulaire Sch ma d un neurone Wikip dia l encyclop die libre
22. diffi cile de tirer des conclusions g n rales d une exp rience particuli re Qui plus est dans une m me cellule il ar rive que des prot ines qui induisent la mort dans cer taines conditions accentuent la survie dans d autres cir constances Un vrai casse t te Les scientifiques doi vent alors redoubler d imagination et de vigilance pour conserver une vision globale des choses tout en de 17 meurant critiques sur l ensemble des r sultats publi s La biologie cellulaire conserve de nombreuses zones grises Les r ponses qu obtiennent les chercheurs sont rarement simples Quand la cellule ne r pond plus c est la fin l occasion il arrive que les m canismes d apoptose ne soient plus fonctionnels Les cons quences peuvent tre tragiques Par exemple 1l est possible qu une cel lule potentiellement canc reuse ne puisse plus s limi ner soit parce qu elle a perdu ses fonctions suicidaires soit parce que les signaux ext rieurs pouvant provo quer sa mort sont inop rants Cela m ne alors la for mation d une tumeur par multiplication continue de la cellule qui n a pas t capable de se donner la mort Les cellules ne pouvant ou ne voulant plus mourir finissent par tuer l individu Voil un autre paradoxe reli l apoptose une cellule qui ne se suicide pas provoque en bout de ligne la mort de tout l organisme L apoptose comme bien d autres ph nom nes biolo giques r v le difficilement ses secrets
23. du patient ou client adh sion un mouvement une cole une communaut religieuse Elea S INTERDIRE toute pratique sexuelle avec les patients ou clients et les l ves en formation S INTERDIRE et INTERDIRE tout passage l acte violent Fixer les HONORAIRES avec tact et mesure et s interdire toute exploitation mat rielle et financi re RESPECTER et faire respecter la r gle de CONFIDENTIALITE GARANTIR le secret professionnel dit par la FEDERATION FRAN AISE DE SOMATO PSYCHOTHERAPIE ET SOMATOTHERAPIE 6a rue Principale 68210 HECKEN T l 03 89 25 91 03 Fax 03 89 25 37 90 E mail info ff2s eu Site web www ff2s eu Directeur de publication J r me CHIDHAROM D p t l gal L101 414 01 D claration CNIL N 847827 ISSN 1768 6873 44
24. e en se plissant de plus en plus Dans ces plis et replis il existe diff rentes zones d di es certaines fonctions telle la zone de Broca d di e au langage Pour autant 1l n est pas toujours facile d attribuer une seule zone une fonction la m moire par exemple fait appel diff rentes zones en m me temps Le cortex du cerveau se divise en diff rents lobes Lobes Pari taux Lobes Frontaux Lobes Occipitaux Cervelet Lobes Temporaux Le Tronc C r bral Les lobes frontaux contiennent les centres responsables entre autre de l anticipation de la personnalit du comporte ment et des motions Cette r gion nous permet de distinguer le vrai du faux et de raisonner de fa on abstraite Le Lobe frontal prend les d cisions intervient essentiellement dans la planification le langage et le mouvement volontaire Les lobes pari taux compr hension du langage et sensation Il joue un r le important dans l int gration des informations issues des diff rentes modalit s sensorielles vision toucher audition Cette r gion du cerveau est notamment impliqu e dans la perception de l espace et dans l attention particuli rement visuelle On d signe parfois le syst me limbique sous son nom historique de grand lobe limbique de Broca Le syst me limbique est un groupe de structures du cerveau jouant un r le tr s important dans le comportement et en particulier dans diverses motions comme l agressivit l
25. en reconna tre cinq finale ment P motionnel relation l entourage le consensuel relation au social Paffectif relation dans le couple intime l nerg tique relation au corps le v ridique relation l esprit 21 L originalit de la psychoth rapie pl ni re consiste dans la r union de ces cinq dimensions fondamentales du travail th rapeutique Ce n est pas le cas ailleurs En effet l histoire de la psychanalyse nous montre l clatement de ces occurrences en autant d coles diff rentes m me s1 cette pr sentation sommaire est quelque peu r ductrice e Freud a centr son uvre sur le pulsionnel et le sexuel l motionnel Adler sur le groupal le consensuel e Ferenczi sur la relation archa que l affectif Reich sur le corporel l nerg tique Jung sur le v ridique c t spirituel et Lacan sur le v ridique c t symbolique Nous avons d j esquiss la quintessence de chacune de ces pleines fonctions et leur place propos de la pr sentation des deux formes de la somatanalyse l motionnel propos de la socio somatanalyse l affectif propos de la psycho somatanalyse l nerg tique dans l une et l autre Il nous reste compl ter la fonction de v rit et de consensus L exp rience du vrai La pleine exp rience du vrai appara t probablement comme celle qui est la plus obscure encore mais la v rit ne
26. il apprenne r ussir au dedans tout comme par ailleurs on lui a appris r us sir au dehors Accompagner le vivant c est conduire chacun d passer sa petite histoire traumatique pour acc der sa Grandeur Accompagner le vivant c est conduire chaque homme la recherche de ce pour quoi il est fait Ce livre fondateur d une nouvelle connaissance de l homme est donc aussi un livre d espoir tant il offre l homme d aujourd hui des solutions in dites possibles chacun 34 La personnalit Susan C Cloninger Flammarion M decine Sciences 1999 La personnalit traduit de l am ricain ouvrage de r f rence sur la question aborde toutes les facettes de la person nalit da description sa dynamique son d veloppement tra vers l tude des groupes humains de l inconscient de l hyp nose des motions etc Les modalit s d adaptation de l indi vidu son environnement l influence de l h r dit du stress le contexte culturel la psychologie de l enfant de l adolescent sont galement trait s La r daction est toujours claire et accessible De plus chaque chapitre se termine par un r sum qui r capi tule les points les plus importants de l expos qu il faut absolu ment avoir retenus un glossaire des termes nouveaux une s rie de 10 questions qui permettent au lecteur de s auto valuer et l enseignant de tester les connaissances de l tudiant enfin par
27. la th orie g n rale du cerveau de G rald Edelman Une mise en perspective de ce moment cl dans la cure s quentielle Les stades pr paratoires les cinq fonctions pl narisantes Nous venons de r voquer les proc d s de d samalgamage de reconnexion et de pl narisation ainsi que leur occurrence dans les nombreuses techniques corporelles et artistiques qui constituent les th rapies courtes Il se passe quelque chose comme une r paration des structures stables et ou des cadres de vie que nous appellerons restituance Il ne s agit pas d une restitutio ad integrum comme avant mais c est approchant Cela peut se pas ser en douceur sans veiller le transfert Et pourtant il y a d j un moment pl nier bas bruit quand cela se restitue Nous reprendrons ce premier stade plus loin lors de la mise en perspective dans la cure s quentielle Par contre nous devons nous arr ter un deuxi me stade celui des fonctions pl narisantes Nous ne sommes plus dans les quinze vingt trente fonctions et proc d s diff renci s qui ciblent le point pr cis de la panne et de la restituance Nous suscitons et veillons des dimensions plus globales dont le processus est connectant et non diff renciant jusqu devenir pl narisant pr parant le processus central pl nier Durant les longues ann es d explora tion des multiples pratiques J ai rencontr ces m ta fonctions l une apr s l autre pour
28. la commande on aime dire qu elle serait autonome comme le syst me nerveux du m me nom en oppo sition au syst me volontaire eh bien non elle est tout aussi volontaire mais subtilement c est un chan gement d tat d tre qu on ne subit pas mais qu on laisse advenir dans une commande complexe le processus op rant c est l unification fonctionnelle la connexion psycho somatique et int ro externe jusqu cette saturation de la conscience o se fait le d clic pl nier de pl narit en pl nitude e le mode d acquisition n est pas l apprentissage qu impose l ducation pour les fonctions diff renci es mais l initiation concept pris au sens large qui implique un r f rent qui montre par l exemple et qui rep re in vivo live le bon ou mauvais fonctionnement chez l l ve On reconnaf tra ici la grande proximit de ces caract ristiques avec celles de l inconscient telles qu voqu es par Freud et Jung La focalisation sur les pleines fonctions donne une ambiance toute nouvelle la cure pl ni re On y d passe le travail somatoth rapique technique sur la respiration ou le mouvement par exemple on y transcende l opposition du verbal et du corporel on d construit les proc d s de d samalgamage ou reconnexion on traverse la peur du transfert pour acc der des v cus pleins et profonds de joie volupt et amour L av nement de la pl nitude est t
29. limbique enregistre r compenses et punitions est le si ge des motions et con tr le le syst me nerveux autonome du corps Enfin au dessus du cerveau limbique se trouve le n ocortex ou calotte pensante masse de mati re grise d aspect pliss qui a volu avec une extraordinaire rapidit durant le dernier million d ann es pour produire l Homo sapiens Nous partageons le n ocortex avec les mammif res sup rieurs tels que les chim panz s les dauphins et les baleines Ce qui distingue le cerveau de l homme de celui des autres animaux est que le n ocortex de l homme est tr s grand par rapport au cerveau et au corps C est le n ocortex qui nous permet de penser percevoir parler et agir comme des tres civilis s L lectro enc phalogramme l coute de l activit du cerveau Comme toutes les cellules du corps humain les neu LES 4 TATS DE CONSCIENCE rones produisent de l lectricit en fonctionnant Un cerveau humain en activit produit facilement 10 watts mesurables Cette activit lectrique neurale est l origine des ondes mesur es par les instruments en c phalographiques change en r action des changements de situation la forme des ondes change galement probablement des centaines de fois par jour chez une personne intellec tuellement active Quand l lectro enc phalogramme mesure ces chan gements sur une personne ex cutant des activit s sp cifiques il est possible de local
30. nous utilisons volontiers le signifiant transconscient Un sch ma tr s simple nous restitue cette nouvelle topique pl ni re a A refoul purs processus inconscients r alit int rieure r alit ext rieure Sch ma 17 inconscient conscient et transconscient Et voici sa lecture o la conscience est concern e par deux r alit s l une int rieure inconsciente le refoul et les purs processus l autre ext rieure en partie pr sente et sue en partie absente et insue le conscient travaille un petit nombre d items de ces deux r alit s de par son fonctionnement m me le transconscient a un champ beaucoup plus large il englobe plus de r alit int rieure et ext rieure y compris le conscient l exception de la part la plus distinctive de cette derni re il s agit d un champ de conscience plein sinon total d un tat de conscience pl nier sinon pl nipotentiaire Le signifiant transconscient est int ressant l o les concepts freudiens font r f rence Il sert d analogue assez fid le tout ce que nous appelons plein pl nier pl narit et pl nitude Il n a rien voir avec le New Age bien que le terme viendrait de Mirc a Eliade Il est m tapsychologique sinon scientifique Cette proposition n implique pas que ce soit Freud lui m me qui ait appauvri ces concepts En effet en reve nant son principe th rapeutique originaire
31. pouvons faire de meilleurs choix dans la vie en particulier en mati re d ducation et d orienta tion vers une profession Si ceux qui dirigent les autres veulent bien reconna tre et honorer les pr f rences personnelles et donner aux gens l occasion de mettre en harmonie leur travail et leurs pr f rences ils pourront b n ficier d normes gains de productivit En apprenant appr cier et par dessus tout affirmer les qualit s mentales des uns et des autres nous pouvons participer la formation d une communaut v ritable ce qui est peut tre notre meilleure chance de survie dans ce monde d chir par les luttes Appliqu es titre personnel ces id es peuvent permettre chacun de s affirmer et elles sont la source d une norme nergie Il en a t ainsi dans ma vie il peut en tre de m me dans la v tre 15 Ned Herrmann L apoptose ou lorsque les cellules se suicident Steve CHARRETTE Savez vous que toutes les cellules qui constituent un animal ont la capacit de se faire hara kiri Ce ph no m ne que l on nomme mort cellulaire programm e ou apoptose est n cessaire au d veloppement et au maintien du bon fonctionnement d un organisme vivant Cependant l occasion une cellule peut perdre sa capacit de mourir Lorsqu il s agit d une cellule can c reuse les cons quences en sont alors tragiques Si on parvenait r tablir ou amplifier ce m canisme chez des cellules potenti
32. qu elle a pu conna tre longtemps auparavant et m me de ce qu elle n a peut tre jamais connu Il y a des connaissances int rieures profondes qui ne sont pas en seign es mais qui sont vitales Tout cela conf re au masseur une tr s grande responsabilit Le sentiment d abandon C est dans ce cadre l qu il convient de parler du sentiment d abandon Si par hasard m me pour une raison ex t rieure sa volont le masseur laisse la personne mass e sur la table comme a sans lui en donner la raison sans la recouvrir et qu il sorte de la pi ce compte tenu de tout ce qui a t mentionn ci dessus concernant l tat sophronique et l attente de la personne mass e celle ci est susceptible de se sentir terriblement abandonn e De plus le massage provoque quelquefois une l g re r gression et cela ne peut que renforcer ce ressenti Mieux vaut donc ne pas se trouver dans une telle situation Pour cela 1l faut savoir que ce n est pas le fait de l cher la personne qui est en cause mais le temps pendant lequel elle est l ch e Si vous l chez une personne et si vous reprenez le contact aussit t elle ne pourra pas se sentir abandonn e La peau garde le souvenir du toucher pendant au moins trois secondes C est une bonne marge Il y a ce qu on appelle des touchers parasites par exemple des doigts qu on tra ne sans y penser des pieds la t te pour viter de l cher Ce genre de touche
33. un des principaux fondements de syndromes de dissociation comme l hyst rie o c p 170 quant l amalgame 1l est voqu travers les processus de fermeture et remplissage et avec cette allusion le noyau peut tre remodel redistribu o c p 170 et 171 Avec cette description de l tat conscient Edelman nous donne les l ments scientifiques du moment pr sent Stern du moment optimal Csikszentmihalyi de l exp rience pl ni re Meyer du still point Veldman la diff rence que ces derniers avatars sont des tats plus particuliers plus intenses th rapeutiques et exception nels Toujours est il que les m mes caract ristiques fondamentales s y retrouvent et inscrivent donc ces v cus particuliers dans la science la plus dure travers la conscience Mais quelle est donc cette th orie g n rale du cerveau C est la TSGN th orie de la s lection des groupes de neurones dont le pilier est constitu par la r entr e L ensemble thalamo cortical le principal de ces groupes de neurones re oit la fois les messages ext rieurs et constitue tout autant des circuits internes en boucle les r entr es qui r alisent la m moire et laborent la continuit de la conscience de fa on processuelle en un noyau dynamique Ces groupes de neurones se connectent pour cr er des fonctions plus larges et plus riches comme la conscience primaire puis la c
34. va videmment l affectif Son texte tr s ph nom nologique accumule les caract ristiques de ce qu il appelle still point en hommage au po te T S Elliot 25 Le still point de T S Elliott Frans Veldman Depuis plus d une trentaine d ann es J ai introduit la notion de still point afin d expliquer un moment caract ristique Le still point repr sente un point de suspension de vigilance silencieux actif il n implique pas un arr t ou une stagnation mais repr sente une source de mouvement pr t r agir plein d lan vital un tat dan sant Ce n est pas un point m canique statique mais un point dynamique Le still point haptonomique est donc un point ind finissable plein de vie d lan vital de vitalit de vigilance d attention et de nature confirmanT e qui cr e une ambiance de confiance et de s curit point sensitif de d part d un agir ensemble en confiance r ciproque On peut dire de ce Still point qu il s agit d un tre avec en semble de nature non directive charg de sentiments de consensus de consentir transparents assurants res pectant l autonomie l autod termination des personnes qui se rencontrent Il porte en son sein la danse qui r sonne de bien tre qui donne vivre mutuellement et de concert le plaisir de Bon la delectatio du bien vital de la rencontre C est l da
35. 12 Le massage du b b Chantal VINCENT N 13 Du Jogging au Marathon Chantal VINCENT BON DE COMMANDE NOM eee ean PENON ana ti A E a a a dE la ds dec Code Postale sisina NVG RS dd a in Je souhaite commander les revues Somato N 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 1 1 12 13 14 Prix d un num ro 4 00 Euros Nombre de revues command es La somme r gler Nombre de revues Je joins une ch que de Le lot complet de 12 num ros Dates Signature Euros Frais de port inclus Dates retenir C A de la F F 2 S le samedi 24 f vrier 2007 Mulhouse C A de la F F 2 S Le samedi 06 Octobre 2007 A G de la F F 2 S le samedi 01 d cembre 2007 Mulhouse Week end Reconnaissances et Partages Montpellier 9 10 juin 2007 CODE ETHIQUE DU SOMATO THERAPEUTE ET DU SOMATO PYCHOTHERAPEUTE Exercer LEGALEMENT en tant d clar comme professionnel lib ral ou salari RESPECTER la dignit de la personne en traitement En connaissant ses propres limites professionnelles En s engageant orienter la personne en traitement vers un autre praticien si besoin En mettant en uvre une recherche de moyens qui tend vers l autonomie et le mieux tre du patient ou client En respectant ses croyances religieuses politiques philosophiques En n utilisant aucune pratique pression de quelqu ordre que ce soit qui puisse mettre en p ril l int grit
36. 59 Mais c est Daniel N Stern psychiatre et psychanalyste auquel nous avons d j emprunt le terme d accordage tuning qui pr sente l analyse la plus fine de ce processus sous la notion de moment pr sent partir de l exp rience psychoth rapique verbale Il voque onze caract ristiques que nous mettons galement dans le tableau suivant en les classant comme celles du flow en regard de la juste et pleine pr sence 24 L exp rience pl ni re L exp rience optimale de Le moment pr sent de en Pr sence Juste Mihaly Csikszentmihaly1 Daniel N STERN I Point de d part 1 La t che entreprise est r alisable 11 Diff rents moments pr sents stimulus entre en Pr sencelmais constitue un d fi et exige une jont des importances diff aptitude particuli re rentes 3 la cible vise est claire 5 Le moment pr sent a une fonc ion psychologique II Concentration et attention 2 L individu se concentre sur ce sur les tapes du protocole 1 La conscience primaire ou r flexive est une condition n cessaire 6 La personne exerce le contr le Sur ses actions NI Pl narit et pleine 5 L engagement de l individu est pr sence profond et fait dispara tre toute dis 2 Le moment pr sent n est pas le ompte rendu verbal d une exp 4 L activit en cours fournit une r troaction imm diate 3 Le moment pr sent est
37. 5x0 5 jours 17 jours ouvr s Visitez le site de la F F 2 S www ff2s eu notre Email info ff2s eu 41 Articles parus dans les revues SOMATOTHERAPIE N 7 Le Sensitive Gestalt Massage Ulla BANDELOW N 10 Exp rience d expansion de conscience ou purs processus int rieurs Claudine BOUCHER N 11 Initiation aux exp riences transpersonnelles Claudine BOUCHER N 6 Le Toucher Psychoth rapeutique et la Psychanalyse Claude et Josiane CAMILLI N 1 Le coaching J r me CHIDHAROM N 1 L intelligence motionnelle J r me CHIDHAROM N 2 Couple et relation J r me CHIDHAROM N 2 L intelligence motionnelle suite J r me CHIDHAROM N 3 L esprit du coaching et mentoring J r me CHIDHAROM N 4 A propos de l hypnose J r me CHIDHAROM N 5 C est quoi le T O C J r me CHIDHAROM N 6 Coaching amp Mentoring et Psychoth rapie J r me CHIDHAROM N 7 L expression des motions en bonding J r me CHIDHAROM N 8 l ABC DE LA COMMUNICATION J r me CHIDHAROM N 8 Les cycles de vie J r me CHIDHAROM N 10 Nouvelles voies en psychoth rapie texte de Martin Hambrecht J r me CHIDHAROM N 10 Process Therapy J r me CHIDHAROM N 10 Probl matiques de changements J r me CHIDHAROM N 11 Intimit et Autonomie J r me CHIDHAROM N 12 Intimit et Autonomie suite J r me CHIDHAROM N 9 Les aspects th oriques de la m decine psychosomatique Jana CHIHAI N 3 Introduction la Sexo Socio Conjugo Th rapie Dr Pierre DALENS
38. ANT SUR LA NORMALIT TOUS CEUX QUI ENTRENT ICI SONT NORMAUX L unique comme normal Tandis que les chercheurs sur le cerveau confrontent de nombreuses th ories aucun parmi eux n avance comme argument que tout cerveau est semblable aux autres Les cerveaux sont comme les flocons de neige chacun est diff rent des autres de m me que les mod les mentaux complexes et les comportements qui les ac compagnent Il est normal d tre diff rent car aucune personne n est semblable une autre Mais jusqu quel point peut on parler de diff rence O est la fronti re entre l unique l excentrique l anormal et le pathologique Le d bat fait rage depuis des si cles et il ne trouvera s rement pas de solution de mon vivant Mon but n est pas d indiquer qui devrait tre exclu c est plut t d largir la d finition de qui devrait tre inclus L utilisation de d finitions plus larges de la normalit possible dans le mod le quatre quadrants d bouche sur plusieurs autres id es Voici des messages d espoir J aime penser qu ils aideront ceux qui ont l intention de vivre plus cr ativement Ce sont Les diff rences ne sont pas seulement normales elles sont aussi positives et cr atives Appr cier et utiliser ces diff rences mentales donne plus de facilit pour affronter le changement parce que cela nous rend plus cr atifs En prenant conscience du vaste spectre des talents mentaux les n tres et ceux des autres nous
39. LOOK INSIDE o Emotion in the Practice of Psychotherapy Chimical implication of Affect Th ories Robert Plutchik First Edition 2002 Robert Plutchik est un psychiatre am ri cain sp cialiste des motions des Informations Compte rendu Pour faire vivre le journal Vous ne trouverez plus le compte rendu du Envoyez nous des articles publier Vous les Conseil d Administration ou de l Assembl e retrouverez dans le journal et sur le site internet G n rale dans notre revue de la f d ration Nous vous les ferons parvenir sur simple demande de votre part Pour communiquer Plus vite plus facilement moins cher utilisez le mail Voici quelques adresses e mail Le pr sident J r me CHIDHAROM info ff2s eu La secr taire Elisabeth LORRACH elorrach evhr net La tr sori re Claudie DIEU claudie dieu wanadoo fr Vous trouverez galement les adresses e mail des membres de la F F 2 5S sur notre site www ff2s eu Pierre GRIMBERG Somatoth rapeute 34000 MONTPELLIER Site Web www touchersensible com E mail pierregrimberg hotmail com T l phone 04 67 66 39 47 Mobile 06 03 24 27 15 FORMATIONS SENSITIVE GESTALT MASSAGE SGM et MASSAGE ASSIS M thode Margaret Elke PARIS MONTPELLIER COLMAR Stages d t Ard che et Hameau de l toile 36 CENTRE INTERNATIONAL DE PSYCHOSOMATIQUE FORMATION La Formation de Th rapeute en Psychosomatique La Formation la
40. Lipps Les progr s des connaissances actuelles psychologiques et psychoth rapiques nous obligent d valuer pr sent la part du conscient En effet le d coupage fait par Freud r duit le conscient un ensemble relativement exigu et r ducteur qui ne rend pas compte de toute la richesse de la conscience largie aux notions de champs de conscience et d tats de conscience Le conscient est r flexif rationnel ordonn selon des r gles lo giques intentionnel charg du savoir orient vers l efficace et l action Ce conscient l ne travaille 28 qu avec un tout petit nombre d items comme nous l enseignent les neurosciences C est la raison pour laquelle il est r duit et r ducteur et qu il d rape facilement en clivage et dissociation dans ce qu on appelle parfois le mental et l go Or Freud fait du passage de l inconscient au conscient le principe m me de la psychanalyse obligation re prise dans la deuxi me tropique wo es war soll ich werden l o tait le a le moi doit advenir Cent ans plus tard la psychoth rapie a une toute autre conception elle veut lib rer de l enfermement du mental du contr le les d fenses et r sistances du conscient freudien C est ce que nous pr nons avec la notion de fonctions pl narisantes d ex p rience pl ni re et de pleine pr sence Et quand nous nous servons des concepts freudiens qui restent n anmoins des r f rents
41. SOMATOTHERAPIE FEDERATION FRAN AISE DE SOMATO PSYCHOTHERAPIE ET SOMATOTHERAPIE DECEMBRE 2006 Ch res coll gues chers coll gues et ami e s Ce num ro de Somato de 2006 se veut int gratif en pr sentant le cerveau le comportement le corps les motions et l esprit dans une identit congruente de la Somatoth rapie Bien s r ce n est qu une partie de ce que nous vou lons mettre dans ce num ro faute de d lai d auteurs et d articles mais nous allons continuer dans ce sens Nous voulons montrer le vaste champ de sc nes de th tre cent actes divers qu est notre corps qui expri ment notre bonheur ou notre souffrance dans ce monde mutant Le cerveau qui est le si ge de contr le central de toute notre vie Il y a la partie consciente et la partie inconsciente Nous n allons traiter dans ce num ro que la partie visible et plus consciente qu inconsciente Surtout comment comprendre le fonctionnement de notre cerveau et comment utiliser toutes ses comp tences ou nos pr f rences c r brales dans les activit s de la vie de tous les jours pour mieux communiquer pour augmenter la qualit de vie Dr Terry MC GUIRE travaillant la s lection des astronautes la NASA National Aeronautics and Space Adminis tration lors du premier congr s mondial de la Process Communication Paris le 8 9 juillet 2005 d clare que notre cerveau lib re environ 421 produits chimiques diff rents pour r guler et mainten
42. a peur le plaisir ainsi que la formation de la m moire Le syst me limbique influe sur le syst me endocrinien et le syst me nerveux autonome Il consiste en plusieurs structures subcorticales situ es autour du thalamus L hippocampe impliqu dans la formation de la m moire long terme l amygdale impliqu e dans l agressivit et la peur les circonvolution cingulaire fornix hypothalamus Le syst me limbique est parmi les plus anciennes parties du cerveau en terme d volution 1l se trouve aussi chez les poissons amphibiens reptiles et mammif res 4 Lobes temporaux m moire Le lobe temporal est subdivis en plusieurs r gions aux fonctions distinctes Une r gion o les informations auditives parviennent au cortex Chez l tre humain cela inclut le langage Les fonctions du lobe temporal gauche chez l tre humain s tendent la compr hension la d nomination la m moire verbale et d autres fonctions li es au langage Certaines r gions du lobe temporal interviennent aussi dans le traitement de stimuli auditifs et visuels par exemple pour analyser en m me temps les mouvements du visage et la voix d un interlocuteur La partie inf rieure du cortex temporal semble impliqu e dans les traitements visuels de haut niveau concernant des stimuli complexes comme la reconnaissances des visages et l analyse des sc nes visuelles complexes Les parties les plus ant rieures de cette r gion sont impliqu es
43. apoptose travers le monde des centaines de labora toires dont le mien s int ressent ce sujet Le nombre d articles scientifiques traitant du sujet qui paraissent chaque ann e augmente de mani re exponentielle de puis le d but des ann es 90 Pr s de 15000 articles con cernant la mort cellulaire programm e ont d j t pu bli s dont presque le tiers 4500 en 1997 seulement En consacrant environ une heure la lecture de chaque article un n ophyte devrait lire pendant plus d un an et demi sans arr t Jour et nuit pour faire le tour de toute la litt rature traitant de l apoptose Et ce n est pas termi n l apoth ose scientifique dans ce domaine est loin d tre atteinte Pour les scientifiques qui cherchent lucider le fonctionnement de l apoptose tenir ses con naissances Jour rel ve parfois du d fi Malgr ce fantastique accroissement des connaissances sur l apop tose des questions subsistent Quels sont les m ca nismes qui disent une cellule qu il est temps pour elle de d clencher sa propre mort Quelles mol cules sont impliqu es dans le processus Pourquoi dans certains cas les cellules ne peuvent elles plus mourir Est il possible de contr ler de fa on positive ou n gative cette mort programm e M me si ces interrogations sont partiellement r solues 1l reste norm ment de tra vail faire pour bien comprendre tout le m canisme On sait que l apoptose peut tre d clench
44. aux chercheurs Ces derniers doivent souvent surmonter des contraintes autant exp rimentales qu intellectuelles Mais ne per dons pas espoir La recherche de la m me fa on que la vie finit toujours par trouver son chemin Un jour on pourra probablement traiter certaines maladies en in duisant l apoptose des cellules nuisibles Qui sait la mort cellulaire programm e pourrait m me devenir un traitement esth tique contre l ob sit en liminant les cellules graisseuses surnum raires Article propos par J r me CHIDHAROM R f rences DARNELL J LODISH H BALTIMORE D Biologie mol culaire de la cellule 2e dition De Boeck Universit 1993 1102 pages JACOBSON M D WEIL M RAFF M C Cell vol 88 1997 p 347 354 MILICH E SCHIMKE R T Apoptosis Plenum Press 1994 272 pages semble qu il existe dans le cerveau une zone tout fait sp cifique qu on pourrait appeler la m moire po tique et qui enregistre ce qui nous a charm ce qui nous a mus ce qui donne notre vie sa beaut Milan Kundera Une application des Neurosciences en entreprise par le Neuro Marketing Dans les entreprises on parle de plus en plus de neu roscience pour ma part J ai travaill avec la force de vente sur les bases du Neuro Marketing Je me suis 1ns pir e du le livre de Patrick Renvois et Christophe Morin Le Neuro Marketing Nerf de la Vente Edition De Boeck 2005 C
45. bli Il est visuel le nerf optique est physiquement connec t au cerveau primitif et lui transmet 25 fois plus d information quel le nerf auditif 19 Il r agit vivement aux motions Une motion pro voque une r action chimique dans le cerveau et in fluence directement la mani re dont sont trait es et m moris es les informations Le cerveau primitif r pond ces 6 stimuli Une bonne ma trise de ces stimuli aide mieux faire passer un message tre plus efficace dans toutes les formes de communication Savoir communiquer avec la partie de notre cerveau qui prend les d cisions est un enjeu important Il faut donc apprendre parler avec notre cerveau reptilien ou primitif POUR MIEUX COMMUNIQUER Diagnostiquez les Frustrations ou les BESOINS Poser les bonnes questions Ecouter attentivement et jusqu au bout les r ponses La v ritable frustration de l autre se niche souvent dans son inconscient votre interlocuteur n a souvent pas conscience de sa v ritable frustration Notre cerveau primitif tant gocentrique il sera attentif aux solutions qui lui viteront les frustra tions qu il ressent Si vous vendez des perceuses votre client n aura que faire des perceuses 1l veut des trous Votre coute doit vous amener diagnostiquer ses be soins ou ses frustrations li s aux trous dont il a be soin et non pas ses frustrations li es aux per ceuses En
46. cer le secret de son patient qui elle en est persuad e est cause de sa souffrance Lorsque Doriel pose cette ques tion Croyez vous en l me docteur Et si oui con cevez vous que pouss e bout elle puisse sombrer dans la folie Illustre bien sa peur r currente de deve nir fou Ainsi petit petit Doriel r v lera son lourd pass sa naissance en 1935 dans une petite ville au fin fond de la Pologne ses ann es d enfance dans un abri secret Puis il doute il se ravise Pour me gu rir pour all ger le fardeau de mes vertiges et des exc s o me conduisent mes crises allez vous me Suivre jus qu alors et jusque l bas Th r se Goldschmidt le suivra jusque l bas la mort de ses parents cette mort que Doriel porte en lui comme une br lure Elle l aidera creuser sa m moire car lui dit elle renoncer serait pire Il se reverra dans un camp de r fugi s au mi lieu d une foule d enfants en haillons et puis sans au cune transition m rapport apparent mais ne serait ce pas l l effet magique de l analyse il se verra nou veau dans sa maison en Pologne un beau dimanche de printemps Th r se Goldschmidt s interroge Pourquoi un homme cultiv riche et intelligent ne s est jamais mari Est ce un choix de s enfermer dans son corps et sa solitude Je souffre dit il d un manque et d un d 33 bordement D un trop plein et d un trop de vide Ce voya
47. datrice o Quant au v cu l v nement dont l intensit fait bouleversement 1l est unit essentielle Car lun est la sp cificit m me de l tre r unissant le premier quark au dernier charme le besoin de base au frisson d extase Il ne s agit plus ici de connecter une fonction apr s l autre l coute musicale le mouvement la sensation l image le souvenir pour forcer la porte de l motion Non ici tout se relie dans le moment comptant et pour longtemps Et voici le t moignage J ai rev cu souvent ce qui s est pass pendant les deux s ances de psycho avec toi J ai per u alors une communication au del du discours tr s mobile J ai senti beaucoup d motions et de v cus cach s en moi sortir la surface beaucoup de voies s ouvrir en moi Je ne pouvais pas mettre tout en paroles mais j avais l impres sion que tu savais tout ce qui tait en moi Apr s la pause j ai senti un courant chaud qui me portait vers toi de venait de plus en plus fort et me remplissait de jouissance et surprise Au d but J ai eu peur de m abandonner et je pensais Comment tu me fais me sentir comme a Peu peu je me suis laiss e me prolonger dans ton re gard et je ne distinguais plus le contour de tes yeux qui me paraissaient deux canaux ouverts J ai senti une vibra ton simultan e en nous J tais en m me temps disponible et capable d action Tu mas montr comment les
48. e les scientifiques est d tablir les multiples liens existant entre les diff rentes mol cules impliqu es dans l apop tose Quelle prot ine active ou inhibe telle autre Quelle enzyme d grade telle composante de la cellule Comment se forment les petits sacs Dans quel ordre se produisent ces v nements Mon projet de re cherche par exemple consiste d montrer l action in hibitrice d une prot ine sur l effet apoptotique d une autre Et ce n est pas aussi simple qu on pourrait le croire En effet les techniques d analyse actuelles ne sont pas assez sensibles et elles ont souvent les allures d un l phant dans une boutique de porcelaine Par exemple on doit souvent accro tre de mani re artifi cielle la quantit de prot ines pr sentes dans la cellule ce qui a parfois pour effet de modifier leur fonction Dans ces conditions les r sultats obtenus sont discu tables et doivent tre confirm s en utilisant une ou deux autres m thodes ou approches totalement diff rentes Malheureusement le nombre de techniques ap plicables est limit et il est souvent difficile de contre v rifier les r sultats Le scientifique tudiant l apoptose doit faire face un autre probl me de taille Les cellules des multiples or ganes qui composent un organisme vivant poss dent des m canismes d apoptose parfois fort diff rents Par exemple une cellule du foie ne se suicide pas de la m me fa on qu un neurone Il est alors souvent
49. e CHIRURGIENS PUBLICITAIRES ING NIEURS FORMATEURS Les sentiments La pratique AVOCAT AUTEURS Les solutions Les d tails p e D PLAISIR j FINANCIER alternatives CORTICAL TECHNIQUE FANTAISIE CORTICAL ESTH TIQUE RATIONNEL Saad PERFORMANCE IMPULSIVE i ORGANISATION CONTACT HUMAINS sgli sali LIMBIQUE PROTECTION SATISFACTION LIMBIQUE i n glige n glige GAUCHE PRUDENCE SENTIMENTS DROIT FIABILIT SENSIBILIT Les id es 3 Les faits B FORMEL SPIRITUALIT C nouvelles La logique COMPTABLES MUSICIENS E PLANIFICTEURS INFIRMI RES Le cadre general ADMINISTRATIFS ENSEIGNANTS CONTR LEURS TRAVAILLEURS SOCIAUX 12 R F RENCES EN CORTICAL R F RENCES EN CORTICAL GAUCHE Cette personne 7 Cette personne pr f re aborder X pr f re projeter a y dans PK des situations gique de a d avenir en fa on rationnelle imaginant des et analytique solutions globales Elle est tr s int ress e par les r flexions Elle est tr s attir e par la r solution de a strat giques probl mes 7 PROFIL DE PR F RENCES _ F x Cortical gauche Limbique gauche Limbique droit Cortical droit C F R F B RA L F S Logique Contr l Contacts humains Imaginatif Analytique Conservateur Emotif Synth tique GUIDE DE LECTURE Math matique Planificateur Musical Artistique Technique Organis Spirituel Global R solution de p
50. e en bas C est galement le lieu d mergence de neuf des douze paires de nerfs cr miens Le tronc c r bral est sch matiquement un cylindre orient verticalement regardant un peu en haut et en avant Il est compos de haut en bas du m senc phale de la protub rance annulaire et du bulbe c r bral ce dernier se prolonge en bas par la moelle Sa face post rieure constitue le plancher du quatri me ventricule Le tronc c r bral est responsable de plusieurs fonctions dont la r gulation de la respiration et du rythme cardiaque de la localisation des sons Le cortex c r bral Cortex mot latin signifiant corce Ecorce qui entoure les deux h misph res du cerveau et qui intervient dans de nombreuses fonctions comme bouger sentir m moriser ou parler Le cerveau est constitu de deux h misph res entour s d une corce le cortex c r bral Form de substance grise en relation avec le reste du syst me nerveux le cortex c r bral est le si ge de fonctions labor es comme le langage ou la m moire et 1l intervient dans certaines fonctions l mentaires comme la motricit ou la sensibilit Le cortex est stratifi en trois couches Les plus internes et les plus primitives sont l archicortex et le pal ocortex pr sentes d j chez les pre miers animaux La couche externe le n ocortex est apparu plus tardivement et n existe que chez les mammif res Au fil de l volution la surface du cortex a augment
51. e par des si gnaux provenant de la cellule elle m me ou de son en vironnement Ainsi la cellule peut d cider de se suici der si elle se rend compte que son bagage g n tique est alt r Par ailleurs les cellules immunitaires peuvent aussi mettre des signaux pour enclencher l apoptose d une autre cellule si cette derni re est infect e par un virus La mort programm e fait intervenir divers pro cessus mol culaires mettant en jeu diff rentes compo santes de la cellule En premi re ligne un ventail de prot ines jouent des r les vari s dans l initiation la propagation du signal d apoptose et dans l ex cution de cette derni re Plusieurs de ces prot ines ont d j t identifi es et bien caract ris es On a attribu cer taines des acronymes aussi joyeux que MORT I ou RIP Pour simplifier disons que ces composantes de la mort fonctionnent en cascade ce qui a l avantage d amplifier et d acc l rer le ph nom ne dans la cellule qui doit mourir D abord une mol cule initiatrice du signal d apoptose active un certain nombre de prot ines de relais Ces derni res leur tour activent un plus grand nombre de prot ines capables de d grader divers l ments de la cellule Les produits de d gradation sont ensuite empaquet s dans des petits sacs form s par la membrane ext rieure de la cellule mourante lors de sa fragmentation et de ses limites L une des plus grandes difficult s laquelle font fac
52. e qui le con duit recomprendre l int riorit humaine et cr er la Psychologie Nucl aire E y V ingt ann es de recherche men es par Bernard Montaud et son quipe ont conduit la d couverte que les processus de fis sion et de fusion nucl aire modelant perp tuellement l univers se retrouvent aussi dans tous les comportements humains Cet ouvrage pr sente donc un nouvel tat des lieux de la vie in t rieure humaine Il met en vidence l existence au centre de l homme d un noyau d intelligence cyclique qui g rerait tous nos comportements c est dire notre radioactivit personnelle de haine et d amour Et de cette d couverte sont n s les con cepts de cycle traumatique et de cycle transform sur lesquels Bernard Montaud a fond la psychologie nucl aire Ce livre puissant nous entra ne aussi dans les coulisses des trauma tismes de notre pass nous faisant percevoir la place et le r le tr s pr cis de chacun d eux dans la construction de notre person nalit Et nous voil plong s dans les rouages de notre fonction nement au c ur m me de notre souffrance la plus intime celle de notre imperfection Nous d couvrons avec merveillement son origine sa raison d tre mais aussi combien il nous est pos sible sans nous changer de transformer l imparfait mal heureux en imparfait heureux Alors apr s l accompagnement du naissant et du mourant il serait temps d accompagner aussi le vivant afin qu
53. ellement dangereuses on pourrait alors les liminer plus facilement et ainsi sauvegarder la sant de l individu Mais avant cela les chercheurs doivent d abord bien comprendre la m canique biolo gique r gissant l apoptose R les de l apoptose C est au milieu du si cle dernier que l on reconnut que chaque organisme vivant y compris l tre humain est compos de cellules et que ces derni res sont l l ment de base de la vie Peu de temps apr s on remarqua que certaines cellules mouraient lors du d veloppement normal d un organisme L un des premiers cas d crit fut celui du t tard qui perd sa queue lorsqu il devient gre nouille Les cellules constituant la queue meurent les unes apr s les autres selon un ordre pr cis et program m La mort des cellules provoque ainsi la disparition de l organe inutile au stade adulte La mort cellulaire programm e qui plus tard allait tre appel e apoptose venait d tre d couverte On s aper ut par la suite qu elle tait essentielle au bon fonctionnement de tout organisme Elle permet par exemple d liminer environ 85 des neurones en formation dans le cer veau d un embryon en d veloppement Ce m nage est n cessaire car le surplus de neurones provoquerait un bruit de fond nuisible au fonctionnement normal du cerveau un peu comme si on essayait de lire ce texte pendant un concert rock De m me plus de 95 des cellules du syst me immunitaire disparaissent par apop
54. ensuite rationnellement leur d cision d achat Les 3 parties de notre cerveau Le cerveau triunique de Paul MacLean Trois cerveaux distincts apparus successivement au cours de l volution cohabitent en nous Le cerveau Reptilien Le cerveau Limbique Le N ocortex 18 LE CERVEAU TRI UNIQUE Mac Lean 1949 DE L ANIMAL A L HOMME L HOMME ACTUEL POSS DE 3 CERVEAUX EMPIL S INT GR S Limbique 2 Conduites motionnelles Reptilien 1 Pulsions vitales PRISE DE D CISION le REPTILIEN Le cerveau PRIMITIF ou REPTILIEN ou encore cerveau ARCHA QUE le plus ancien assure les fonctions vitales de l organisme en contr lant la fr quence cardiaque la respiration la temp ra ture etc Il r pond aux besoins fondamentaux et assure ainsi la sauvegarde de l individu et de l esp ce Il com prend le tronc c r bral et le cervelet essentiellement ce qui forme le cerveau d un reptile Ces comportements sont incapables d adaptation car il n a acc s qu une m moire court terme Il agira tou jours d une mani re rigide et st r otyp e une m me situation produira toujours les m mes effets Il corres pond notre univers non verbal de gestes et comporte ments automatiques Il est le lieu de la routine des ri tuels des c r monies de ce fait le langage reptilien est essentiel dans les relations humaines Il d cide Il prend en compte les apports des deux autres ce
55. ent notamment de l imagerie c r brale mais aussi par l essor de la neuropsychologie Si on parle de neurosciences cognitives le terme a t invent par Michael Gazzaniga et George Miller l arri re d un taxi new yorkais la fin des ann es 1970 c est pour indiquer que le but ultime de ces sciences n est pas de comprendre uniquement la machinerie c r brale mais de p n trer le processus de fa brication de la pens e Pour cela les neurosciences collaborent avec d autres disciplines des sciences co onitives comme la psychologie la linguistique ou l intelligence artificielle CERVEAU MODE D EMPLOI Avec ses 100 milliards de neurones le cerveau humain est l objet le plus complexe existant de notre plan te Et cet objet nous est fourni sans mode d emploi Pourtant en plein XX me si cle 1l est remarquable de constater que si des millions de personnes con naissent en d tail le fonctionnement des moteurs d automobiles tr s peu connaissent m me grossi re ment celui de leur propre cerveau Ned Herrmann est ce titre un pr curseur Consid r aux Etats Unis comme le p re des psychotechno logies du cerveau il d veloppe depuis plus de 20 ans des outils pour mieux nous conna tre mieux con na tre les autres pour apprendre apprendre et nous d velopper Comme le dit Ned Herrmann dans la brochure de pr sentation de sa soci t Chacun de nous cherche se comprendre s am liorer augmenter s
56. ent o advient l exp rience fondatrice qui reconstitue le puzzle Mais il y a n anmoins un processus qui fait unit unification sinon unanimit un processus qui est commun et fondateur c est le processus th rapeutique analytique lui m me Les innombrables concepts d cole align s ci devant dans l tat des lieux se ram nent un concept qui les informe tous Certes la fin de la pr sentation de la pratique pluriglobale nous avons voqu des proc d s th rapeutiques diff renci s d s amalgamage pour la d sensibilisation re connexion pour l affirmation de soi d blocage pour l injonction strat gique notamment Ces trois processus th rapeutiques sont partiels et d coulent de proc d s protocoles techniques et m thodes mul tiples Ils g n ralisent d j leurs effets en trois d roulements de base Bien qu ils soient divers en tant que proc d s partiels ils ressortissent d une dynamique commune Pexp rience pl ni re De tout notre abord hol anthropique cette derni re proposition est certainement la plus importante Il nous faut donc redoubler de perspicacit pour pr senter ce point incontournable de toute int gration th orique Pour cela nous proc derons par tapes les stades pr paratoires l exp rience pl ni re proprement dite les concordances avec d autres conceptions la mod lisation de l exp rience pl ni re l apport de
57. est quoi le neuromarketing Une d finition couramment admise aujourd hui le pr sente comme une nouvelle branche du marketing qui s appuie sur les techniques issues des neurosciences pour mieux identifier et comprendre les m canismes c r braux qui sous tendent les comportements d achat dans la perspective de vendre plus et mieux Professeur Pierre CELIER Les recherches de Neuromarketing se sont d velopp es aux Etats Unis d s 1990 Bien qu tant une micro entreprise jJ ai rapidement compris en quoi cet outil pouvait nous tre utile C est un plus incontestable mettre dans notre boite outil il est compl mentaire ceux que nous utilisons d j Cet outil va nous permettre de prendre un peu d avance sur nos concurrents Avoir quelques longueurs d avance n est jamais d daigner dans n importe quelle profession que ce soit dans la vente ou la psy choth rapie La vente la psychoth rapie ou tout autre m tier de contact se fonde en grande partie sur la communica ton Mieux nous saurons communiquer meilleurs se ront nos r sultats Il est important de savoir communiquer avec la partie de notre cerveau qui prend les d cisions LE CERVEAU REPTILIEN O PRIMITIF Si nous apprenons lui parler nous serons de meil leurs communicateurs de meilleurs vendeurs Dans le domaine de la vente il est important de savoir que la plupart des gens ach tent sur une base motionnelle et justifient
58. et L impact de nos messages Langage du corps 55 Mots D Mots Voix O Langage du corps Nos capacit s de perception consciente sont limit es Dans un article de psychologie exp rimentale Le chiffre magique 7 2 l Am ricain Georges Miller a mis en lumi re les limites de l exp rience cons ciente Il ressort de ses recherches qu un tre humain est capable de prendre en compte consciemment en une seule fois sept informations ou ensembles d information avec une marge possible de plus ou moins deux Au del de ce chiffre ou bien certains l ments ne sont plus per us ou bien les erreurs de perception augmen tent consid rablement Du flot de stimulations internes et externes auxquelles nous sommes soumis chaque instant nous ne pouvons capter un instant donn que 7 2 l ments d o l importance de la pertinence de ce que nous retenons voir m canisme de s lection L EXPERIENCE PLENIERE LE PROCESSUS THERAPEUTIQUE DE BASE Tout est pluriel la pratique en particulier m me si elle s int gre en une unique globalit Tout est complexe le paradigme hol anthropique en particulier m me si ses mod les s agencent en une tonnante simplicit Tout est diff renci comme l est la vie humaine notamment m me si la vie est spontan ment reconnue par le nouveau n d s le premier jour C est cela qui fait l angoisse du psychoth rapeute en formation jusqu au mom
59. et qui va faire les choix fondamentaux en fonction de ses propres besoins Tout se passe comme si le th rapeute aidait le patient mettre en route des programmes inconscients de re cherche de solutions des probl mes Il s agit en fait d un processus d apprentissage d un type particulier Ceci est l oppos d un pr jug qui consiste trop souvent consid rer l tat hypnotique comme fait de passivit et de r gression o un tat dans lequel le sujet est un automate sous le contr le de l op rateur Dr Jean Godin Docteur en M decine sp cialiste Psychiatre Docteur s Lettres et Sciences Humaines Pr sident de l Institut M H Erickson de Paris Calendrier 16 17 mars 2007 06 07 juillet 2007 10 11 mai 2007 03 04 ao t 2007 08 09 juin 2007 14 15 septembre 2007 J r me Chidharom Centre Europ en de Coaching amp Mentoring Int gratif 6A rue Principale F 68210 HECKEN T l 03 89 25 91 03 Mobile 06 11 182 197 Site web www chidharom fr info chidharom fr 38 Un Site WEB pourquoi Nous nous proposions de vous donner quelques renseignements utiles pour la cr ation d un site Les voici Vous pourrez ainsi vous rendre compte du cout des diff rentes possibilit s existantes Renseignez vous L int r t pour vous aujourd hui d avoir un site Web Le taux d quipement des m nages est de 38 8 au premier trimestre 2006 soit 9 9 millions de foye
60. eurobiologie de la personnalit son analyse en allant plus profond ment jus qu aux constituants cellulaires de ces circuits ou plus pr cis ment jusqu leurs interconnexions cellulaires sa voir les synapses ces espaces entre les neurones travers s par des signaux chi miques et lectriques Mais en m me temps qu il descend au plus l mentaire 1l pose une question tr s profonde Comment se constitue notre per sonnalit Qu est ce qui maintient sa permanence dans le temps travers tous les changements que nous subissons ou que nous d cidons Car ce n est pas seulement travers nos synapses que nous pensons agissons m morisons ce sont elles qui codent nos traits les plus personnels nos pr f rences et nos croyances Les interconnexions synaptiques sont tablies par nos exp riences personnelles c est donc nous qui fa onnons notre cer veau nous qui fabriquons notre personnalit The EMOTIONAL BRAIN The Mysterious Underpinnings of Emotional Life Joseph LEDOUX A TOUCHSTONE BOOK 1996 SEARCH INSIDE li TH EMOTIONAL 3 BRAIN al Emotiowal Lile Le livre The Emotional Brain le cer veau motionnel est une excellente in troduction de l histoire trange de la neurobiologie d motions et une avant premi re sur les mensonges avant ANTONIO R DAMASIO C est un livre passionnant sur l aventure des motions dans notre t te mais il faut lire l anglais
61. exuel c est pour qu elle vous apporte quelque chose de plus que la simple stimulation des muscles Ce n est pas un massage sportif pour vous pr parer affronter une comp tition C est un massage dans lequel la personne mass e s attend m me inconsciemment peut tre surtout inconsciemment ce qu on s occupe d elle en tant que personne Et dans ce but elle s ouvre Son c ur son me m me s ouvrent la personne qui la touche et elle en attend beaucoup Elle s attend tre r confort e par cette personne elle en attend de l aide elle s attend tre r concili e avec son corps elle s attend une r paration si elle a t outrag e ou violent e elle s attend tre respect e elle s attend recevoir de l amour m me si cela n est jamais exprim de cette fa on l elle esp re recevoir un toucher affectif en un mot elle s attend quelque chose d ineffable quelque chose qui peut la transporter au del d elle m me Une s ance de massage est quelquefois v cue comme un v ritable po me ou comme un acte d amour par celui ou celle qui est mass e Quelquefois elle pleure de reconnaissance parce qu elle est touch e par quelqu un qu elle ne conna t pas comme elle aurait toujours voulu tre touch e par ses parents ou par quelqu un d autre Ou peut tre l a t elle t et le massage la replonge dans ce pass Elle ressent souvent une v ritable nostalgie de ce
62. ff rentes approches existant en psychoth rapie Comme Freud 1l s int resse aux symboles et il va plus loin puisqu il utilise le mode m taphorique pour communiquer avec ses pa tients Comme les comportementalistes il con oit son action en termes d apprentissage et de d s apprentissage Comme les repr sentants du courant humaniste il fait confiance au pouvoir de d veloppement du potentiel hu main Les repr sentants des th rapies syst miques et les adeptes des approches paradoxales le consid rent comme leur pr curseur et les membres du Mental Research Institut de Palo Alto reconnaissent volontiers tout ce qu ils lui doivent En r sum l hypnoth rapie n est rien d autre qu une facilitation d un processus naturel d volution et de matura tion psychologique Le moment important de la s ance va consister pour le th rapeute mettre en route un cer tain nombre de processus Bien que ces deux moments se chevauchent on peut donc sch matiquement parler de deux temps dans les interventions Ericksoniennes l entra nement du sujet pour obtenir un fonctionnement satis faisant au niveau inconscient c est dire involontaire et hypnotique et le travail psychoth rapique propre ment dit Dans cette seconde partie les mots employ s par le th rapeute vont voquer des r sonances et mettre en uvre des cha nes d associations psychologiques C est le sujet qui en d finitive qui va reconna tre inconsciemment ce qui lui convient
63. ge int rieur auquel se livre Doriel nous fait parta ger ses angoisses ses secrets ses interrogations Il nous r v le aussi l origine de sa richesse myst rieuse galement sa rencontre avec une jeune femme nomm e Liatt qui n est sans doute pas totalement trang re ce d sir fou de danser R sum pour nous par Chantal Vincent di Ceux qui ne connaissent pas leur histoire s exposent a ce qu elle recommence Somatoth rapeute T l 01 40 96 93 09 E mail chantal vincent neuf fr VIVRE SON DESIR D ENFANT Facettes cach es et perspectives Rachel Izsak Vivre son d sir d enfant par notre coll gue Somatoth rapeute Rachel Izsak Race Izsak est psychoth ra peute et somatoth rapeute Elle forme depuis pr s de 10 ans des pro fessionnels de la petite enfance la relation parents b b en utilisant notamment le mas sage Elle est galement l auteur de Masser b b le toucher du c ur Somatoth rapie N 11 S ciitude st rilit du couple pression du temps ou de l activit professionnelle probl mes financiers le d sir d enfant est parfois difficile concr tiser D o vient ce d sir Pourquoi est il si violent lorsque la vie nous in terdit sa r alisation Quels choix s offrent nous Ra chel Izsak nous fait partager son exp rience de femme et de th rapeute Elle livre ici des r flexions tay es de t moignages pour permettre chacun de co
64. h rapie changement expansion de l tre L exp rience pl ni re Ces cinq pleines fonctions sont famili res ceux qui pratiquent les m thodes correspondantes Elles sont cinq parce que centr es sur une dimension particuli re motion amour v rit etc Mais au moment o explose implose s unifie se d multiplie le tout le processus devient unique basal fondamental Je propose de l appeler exp rience pl ni re C est un v cu complexe d une richesse telle qu il ne se laisse pas d composer r duire ins crire On ne peut que l exp rimenter J en propose deux descriptions insuffisantes de toute fa on sous la forme de l exp rience fondatrice et d un t moignage d une psychiatre en formation L exp rience fondatrice L exp rience fondatrice est ce moment b ni et ch ri o le puzzle des pratiques plurielles et th ories mul tiples se met en place pendant la formation et constitue le th rapeute analyste ne s autoriser que de lui m me Il s agit d une de ces exp riences pl ni res ou tout se connecte s embo te se r v le Le terrain est pr par a ne se construit pas sur du rien acquisition des outils entra nement au l cher prise frayage des connexions puis un jour au moment b ni kairos quelque chose se traduit l exact inverse des efforcements pr c dents a vient tout seul a s impose a explose c est grandiose Mais comment d
65. ie moderne puisque Freud a assis la psy chanalyse sur une conception de la conscience avec sa premi re topique de 1900 inconscient pr cons cient conscient Nous ne ferons pas une longue pr sentation de cette th orie du cerveau comme l a faite J F Allilaire et nous nous restreindrons un tableau d Edelman dans lequel il r sume les caract ristiques de la conscience Edelman p 145 I Cat gorie G n rale Fondamentale Les tats conscients sont unitaires int gr s et ce construits par le cerveau Ils peuvent tre extr mement divers et diff renci s Ils sont ordonn s dans le temps s quentiels et modifiables Ils refl tent une liaison de diverses modalit s Ce sont des propri t s construites incluant gestalt fermeture et des ph nom nes de remplissement mt PNR TS II Cat gorie Information et accessibilit 1 Ils sont intentionnels avec toute une gamme de contenus 2 Leur accessibilit et leur associativit sont tr s tendues 3 Ils ont un centre une p riph rie un entourage et une frange Ils sont sujets des modulations dans l attention concentr e ou diffuse II Cat gorie Subjective 1 Ils refl tent des sentiments subjectifs des qualia des ph nom nes des humeurs du plaisir et du d plaisir 2 Ils sont concern s par la situation et l emplacement dans le monde Ils donnent naissance des sentiments de familiarit ou de non familiarit tableau 15 les caract ristiq
66. incorporant la th orie de la dominance c r brale nous avons les l ments essentiels d un principe organisateur sur lequel on peut fonder un mod le exploitable du fonctionnement du cerveau Certains se r f reront la bibliographie pour des lectures compl mentaires Quatre n uds interconnect s des processus mentaux sp cialis s qui fonctionnent la fois en situation et r p tition cr ant un cerveau total dans lequel un ou plusieurs parties deviennent naturellement dominantes 10 ei LES CARACT RISTIQUES CL S DU CERVEAU UNIQUE SP CIALIS SITUATIONNEL INTERCONNECTE IT RACTIF 7 DOMINANT MALL ABLE NOTRE CERVEAU CET INCONNU QUI NOUS COMMANDE 100 milliards de neurones 1400 grammes 25 watts PHYSIOLOGIE LE CERVEAU APPLICATION M TAPHORE 4 D LE PROFIL LE MOD LE CERVEAU TOTAL ARCHITECTURE ii LE MOD LE HERRMANN Ces 4 espaces forment un ensemble corr l et interactif repr sent par les mots cl s suivants ESPACE CORTICAL GAUCHE ESPACE CORTICAL DROIT Logique Analytique Math matique Cr atif Synth tique Artistique Technique R solution de Global Conceptuel probl mes A D B C Contr l Conservateur Contacts humains motif Planificateur Organisateur Musicien Spirituel Verbal Administrateur LE PRINCIPE D ORGANISATION ESPACE LIMBIQUE GAUCHE ESPACE LIMBIQUE DROIT PROFESSSIONS TYPIQUES A n glige D n glig
67. ique achever crire changement strat gique correspondance vision enseigner former long terme conceptualiser Phrases Outils Cr er des Travail d quipe Envisager des favorites Mat riels habitudes La famille id es utilis es Pr ciser les On l a toujours Participation Une vision par la objectifs fait comme a Respect des globale personne D composer La loi et l ordre valeurs Sur une large Mettre part Autodiscipline D veloppement base Analyse critique D apr s des personnel La synergie textes Ressources Les raccourcis Ne pas prendre humaines Brain storming de risques Innovant Proc der par ordre Fada des Incapable de C ur sur D sordonn Expressions critiques chiffres penser sur la main Ne peut pas se de la part Assoiff de par lui m me Grand bavard fixer des autres pouvoir Sans id es Touche tout Id aliste Calculateur Esprit sens En fait trop c t de la Sans gards unique Se fait avoir plaque pour les autres Riv au sol Grand r veur Tatillon Vous pouvez d crire les gens de votre entourage l aide des adjectifs trouvant dans les quadrants ABCD et trouvez les pr f rences c r brales des gens de votre entourage 14 Pour avoir votre profil de
68. ir notre corps et esprit en tat d quilibre Pour stimuler la production de ces produits chimiques l attitude mentale positive est vraiment n ces saire Alors entra nons nous tre cr atif et positif pour surmonter nos difficult s Nous n avons pas besoin d tre triste ou malade pour aller mieux Nous parlerons de notre partie subconsciente ou inconsciente prochainement Je fais appel votre cr ativit pour diter des articles sur ce sujet Comment lib rer les nergies positives inconscientes qui sommeillent en nous au service de la construction du bien tre et du bonheur de l entraide du partage pour b tir le monde meilleur Nous allons utiliser tout notre savoir pour faire conna tre et reconna tre la Somatoth rapie maintenant que nous sommes la F d ration fran aise de Somato psychoth rapie et Somatoth rapie FF2S Il nous reste beaucoup de t ches accomplir Je vous demande tous de contribuer par votre effort et votre enthousiasme en 2007 En attendant je vous souhaite de Joyeuses F tes de fin d ann e J r me CHIDHAROMI Pr sident FF2S Page 2 6 Le sentiment d abandon pendant un Le cerveau massage de bien tre propos par Elisabeth Lorrach Pierre Grimberg Page 7 15 Cerveau mode d emploi Page 33 35 J r me Chidharom J ai lu j ai aim je partage Page 16 17 Page 37 39 L apoptose Pa Des informations propos par J r me CHIDHAROM Page 18 20 Page 40 41
69. ire sans mentir Comment d crire sans faiblir Sans c der sur le d sir C est la pl nitude c est plein mais de quoi C est la b atitude c est bien et puis quoi 23 Certes l intensit du v cu prend le pas sur le construit fait chavirer l tabli fait oublier l acquis En r ali t 11 se passe passe quelque chose d trange qui voque effectivement le tour de passe passe les sem piternels settings cadres organisation structures limites les ritournelles th oriques didactiques et ho lanthropiques s effacent tout d un coup plus de forme contrainte plus de r gle enfreinte a va de soi a se maintient stabilis inform comme ce fut enseign Il y a seulement passage conversion transmuta tion Quelque chose reste au fond m me quand on y va fond La structure devient infrastructure Elle donne forme tout en se faisant oublier elle vise juste m me quand elle semble fruste Il advient autre chose on acc de ailleurs quelque chose qui s appellerait l ordre intrins que La vie est ordre ordonn e organis e elle s oriente vers cette complexit qui marche vers cette pluralit qui s agence en cadence vers cette multiplicit qui s harmonise sans surprise Cet ordre intrins que tait juste pister trouver retrouver c est fait c est l au fond fond en fondement C est une premi re par tie de l exp rience fon
70. iser le fonctionnement du cerveau en r v lant quelles parties du cerveau travaillent intens ment et quelles parties sont au repos ci Comme le sch ma c r bral de l activit lectrique Le fonctionnement en situation Interconnect dans sa structure le cerveau est aussi en situation dans son fonctionnement En situation ou situationnel signifie que dans une situation donn e la r gion du cerveau sp cialis e dans l accomplisse ment de cette t che est activ e alors que les r gions non requises pour cette t che sont mises en repos Nous savons qu il en est ainsi car les parties activ es donnent la preuve de leur activit par l lectricit en mettant des ondes b ta Les parties du cerveau d tendues montrent des profils d ondes alpha ou th ta Pat exemple quand une personne parle le centre du langage est occup pendant ce temps le centre du calcul entre autres est oisif Quand une personne n est pas en train de parler mais de multiplier 9 par 12 le centre du calcul passe en b ta et le centre du langage se repose en alpha Quand une personne fait paisi blement de la peinture les centres du langage et du calcul sont tous deux oisifs en alpha et les centres vi suels et de traitement de l espace passent en b ta L aptitude fonctionner en situation est cruciale pour l efficacit Pensez un instant ce que vous feriez si entreprenant d additionner une colonne de chiffres il vous tait impossible de supp
71. le rendre de plus en plus efficace Elle se r sume une offre de base laquelle on a la possibilit de rajouter une s rie d options suivant ses propres besoins Cette volution peut tre progressive ou d velopp e d s le d part 2 Caract ristiques de l offre OFFRE DE BASE 1 Avec choix d un pr Design Prix 600 HT D lai de d veloppement 12 jours ouvr s Le site Web comporte jusqu 5 pages Design Vous aurez le choix parmi un panel de Pr Designs Nous pourrons alors y int grer vos propres images textes et charte de couleurs Menu exemple Page d accueil 2 pages de pr sentation formulaire de contact H bergement Un h bergement durant un an renouvelable est compris dans l offre 50 Mb sur serveur linux 10 adresses emails OFFRE DE BASE 2 Cr ation d un Design sur mesure Prix 900 HT D lai de d veloppement 14 jours ouvr s Le site Web comporte 5 10 pages Design Le Design de votre site sera d velopp ad hoc et pourra parfaitement se fondre dans votre charte graphque existante Ceci la diff rence des Kits avec lesquels les seules modifications possibles sont la couleur le texte et les images avec une disposition pr d finie Menu 1 Page d accueil 2 pages de pr sentation formulaire de contact H bergement Un h bergement durant un an renouvelable est compris dans l offre 50 Mb sur serveur linux 10 adresses emails OPTION 1
72. ls sont abandonn s de l int rieur c est dire que vu de l ext rieur rien ne montre qu ils sont abandonn s Comment viter que la personne mass e se sente abandonn e Il est quelquefois indispensable d interrompre un massage Dans ce cas pour viter que la personne mass e se sente abandonn e si on doit absolument et subitement quitter la pi ce il est n cessaire de lui parler de lui donner la raison pour laquelle on va la l cher Au moins dans ce cas elle peutcomprendre ce qui lui arrive et elle pourra le g rer au mieux pour elle ventuellement on peut la couvrir d une grande serviette chaude de pr f rence si on sent que lab sence risque d tre un peu longue et 1l faut faire en sorte que malgr tout cette absence soit le plus courte possible En effet si la personne sent ou a l impression que l on prend plus de temps que n cessaire elle pourra se sentir aban donn e quand m me Par ailleurs pour viter que la personne mass e se sente abandonn e de l int rieur il est indispensable que le mas seur reste centr tout au long du massage et qu il reste constamment pr sent la personne qu il touche et qui lui a donn sa confiance Le sentiment d tre abandonn est il le m me pour tout le monde Non tout le monde n est pas sujet au sentiment d abandon de la m me mani re Certains n y sont pas sujets du tout d autres peu d autres norm ment Cela est directe
73. lus vous trouverez d apport d arguments pour prouver que votre produit est le bon plus vous aurez de chance de vous faire entendre et donc de faire la vente Lorsque vous aurez d couvert un besoin non satisfait chez votre interlocuteur g rer celui ci en priorit ne traitez que lui tous vos apports devront avoir pour seul et unique revendication la gestion de cette unique frus tration La qualit de notre communication d pend L Des mots choisis 2 De notre voix 2 Du langage de notre corps Le professeur Albert Mehrabian Universit d UCLA a d montr que l impact des mots ne d pass pas 7 par contre notre voix repr sente 38 et que 55 de notre message passe par le langage de notre corps La conscience est limit e Le cerveau reptilien a un c t rigide il ne peut trai ter qu un renseignement la fois M me si c est le cerveau reptilien qui d cide il partage tous les apports de notre cerveau avec le cerveau lim bique et le n ocortex Si vous voulez mentionner un point important ne soyez ni habile ni subtil Utilisez une massue frappez le point une fois puis frappez encore puis frappez une troi si me fois la r p tition c est redoutable Winston CHURCHILL Si vous voulez me convaincre vous devez pensez mes pens es sentir mes sentiments et parler avec mes mots CICERON Elisabeth LORRACH secr taire F F 2 S T l 03 89 45 72 60 E mail e lorrach evhr n
74. m taphorique re ue visuellement et forme un con cept spatial Pour crire son interpr tation du sens du film elle a besoin de recouvrir sa compr hension concep tuelle du film par des mots Le premier mouvement it ratif se produit lorsque les signaux du centre conceptuel sont envoy s vers le centre du langage lui donnant la possibilit de mettre le concept en mots et de l crire noir sur blanc Tandis qu elle crit le processus it ratif se r p te de nombreuses fois traduisant les images en mots et les mots en images jusqu ce qu elle soit satisfaite de son interpr tation On lui demande alors de partager ses pens es avec le groupe A nouveau le processus it ratif lui permet de v rifier ce qu elle a crit en se r f rant sa m moire conceptuelle du film Tandis qu elle coute les interpr tations donn es par les autres elle v rifie l encore comparant ses pens es aux leurs comparant ce qu elle a crit ce qu elle a entendu et ainsi de suite M me lors d un exercice simple le traitement mental it ratif de l information est extr mement complexe La sp cialisation l interconnexion l it ration et la situationalit sont les quatre caract ristiques cl s qui aident expliquer le fonctionnement du cerveau humain La description devient plus compl te avec l hypoth se du cer veau et celle des neurones En ajoutant les th ories du cerveau trois tages et les th ories du cerveau gauche cerveau droit et en
75. mains peuvent tre la fois intelligents et stupides La th orie du cerveau trois tages Daa Le Dr Paul McLean chef du laboratoire sur l volution et LE CERVEAU TRI UNIQUE le comportement du cerveau l Institut national pour la Mac Lean 1949 5 sant mentale Bethseda tats Unis a propos la th orie DE L ANIMAL A L HOMME du cerveau trois tages Selon elle le cerveau humain est L HOMME ACTUEL POSS DE 3 CERVEAUX EMPIL S INT GR S en r alit compos de trois cerveaux chacun superpos au pr c dent comme les poup es russes emboft es l une dans l autre 3 Neocortex Limbique s P Le premier est le cerveau reptilien primitif ainsi appel parce qu il ressemble au cerveau des reptiles pr histo Reptilien nr A e r riques et celui des alligators et des l zards de nos jours Ce cerveau comprenant le tronc c r bral le cerveau m dian les ganglions basaux et le syst me d activation r ticu laire est esclave de ses ant c dents dirig par l instinct il semble contenir le savoir ancestral de l esp ce Chronologiquement le second cerveau est le cerveau limbique ou mammif re qui encercle le cerveau primitif et qui se compose du syst me limbique On pense qu il s est d velopp il y a 200 ou 300 millions d ann es Nous avons ce cerveau en commun avec les mammif res inf rieurs comme les rats les lapins et les chevaux Le cerveau
76. me L exp rience est pl ni re lorsque toutes les fonctions pertinentes sont pr sentes la fois connect es et s par es Cette pr sence totale dans le moment et dans la situation cette pr sence de toutes les fonctions perti nentes a un effet pr cis th rapeutique e elle connecte les fonctions cliv es f s pare la fonction amalgam e et parach ve la pleine pr sence L Se a cadre de la situation di fonction trang re en AMALZAME bi fonctions pertinentes ci fonctions absentes la situation en clivage sch ma 16 lexp rience pl ni re et les fonctions pertinentes en clivage ou en amalgame 26 Nous devons nous rappeler ici le mod le de Ren Thom et la came qui au moment du saut de re laxation int gre les nouveaux l ments de la complexification en cours vitant ainsi le morcellement Nous insistions sur le c t pl nier de ce moment Nous ajoutons pr sent son r le th rapeutique son r le fondateur de toute th rapie C est la qualit pl ni re de l exp rience qui est th rapeutique elle l ve les chvages refoulements blocages et d barrasse des amalgames r miniscences indues confusions Il n y a plus que pleine pr sence la pr sence simultan ment concentrative attentive et contemplative que nous avons d crite ci dessus est tellement pr gnante qu elle accroche la fonction cliv e et d croche celle qui est amalgam e Voil L
77. ment et intimement li l histoire de la personne et concerne souvent les personnes qui n ont pas t aim es dans leur enfance ou peu ou mal Leur sentiment d abandon est sou vent la cons quence de cette mal aimance Peut on utiliser cela en somato psychoth rapie Oui Un somato psychoth rapeute aguerri pratiquant le massage de bien tre pourra ventuellement utiliser cette pos sibilit de d clencher le sentiment d abandon dans le pr sent pour mieux travailler sur le pass Pourquoi pas C est bien une des possibilit s th rapeutiques du massage de bien tre et c est bien l objet de la somato psychoth rapie Pour r sumer et pour conclure je dirai qu il vaut mieux tre averti et savoir que la pr sence la personne mass e de la part du masseur est la meilleure des garanties si l on veut avoir une s ance pleine de vie de conscience et d har monie mais que le d clenchement du sentiment d abandon comme d ailleurs de toute autre motion peut s av rer utile et efficace dans le cadre de la somato psychoth rapie si cela est utilis bon escient dans le but d aider cette personne Pierre GRIMBERG Somatoth rapeute Formateur en Sensitive Gestalt Massage SGM et en Massage assis Technique Margaret Elke Paris Montpellier et Jebsheim 34000 MONTPELLIER T l 04 67 66 39 47 E mail pierregrimberg hotmail com Site www touchersensible com Pierre GRIMBERG 32
78. mprendre l origine de ce d sir trouver des r ponses adapt es chaque situation d bloquer des verrous confirmer le sens d une d marche ou s ouvrir une voie nouvelle Dans la tendresse et le respect mettre au monde le meil leur de soi m me Ce livre ouvre l esprit sur son v ritable d sir d enfant sur son fondement sur son r alisme ou sur sa fa on d tre pour cacher d autres attentes Ce livre conforte le d sir ou bien a l effet inverse Il aborde aussi bien la maternit biologique naturelle ou assist e m dicalement que l adoption Rachel IZSAK La psychologie nucl aire un accompagnement du Vivant Bernard Monmdlt Bernard Montaud Editions Edit as Ta 2001 Bernard Montaud est n en 1951 Sa sant fragile le pousse vivre une cer taine solitude riche en exp riences int rieures D s les ann es 70 commence l iti n raire d un homme passionn par la na ture humaine Quelques grandes ren contres tudier le sr HUEN A PT CHE le conduisent Tao sme et le chinois ancien Devenu kin sith rapeute sa formation aupr s de Melle M zi re lui ouvre les yeux sur une conception globale du corps Il conti nue alors sa qu te en se formant l acupuncture et l ost opa thie Mais insatisfait il se plonge dans l tude de l h breu et des Textes Sacr s chr tiens Dipl m de l cole de Kin sith rapie de Lyon en 1973 Bernard Montaud fonde en 1983 la psychanalyse corporell
79. ne recherche de stage et les mettre en pr sence de recruteurs Martine et Gabrielle avancent et construisent pas pas leur futur En plus des stages elles organisent des exposi tons d art Leur formation en art th rapie l E E P S S A les a sensibilis toute forme d expression artistique Elles accueillent galement des intervenants dont Pierre GRIMBERT qui organise une formation au Massage assis m thode Margareth Elke Pour en savoir davantage visitez leur site www th tys psy org Martine CARDONA Gabrielle KRAU 68320 JEBSHEIM T l 03 89 71 67 61 E mail infos tethys psy org Site www t thys psy org L hypnose est un tat de conscience particulier modifi par un dispositif inducteur mis en place par l hypnoth ra peute ou par le sujet lui m me cet tat peut tre compris comme une dissociation dans sa conscience qui permet au sujet d acc der une plus grande communication avec son corps et son psychisme L HYPNOTHERAPIE DEFINITION DE L HYPNOSE D finition personnelle LES GRANDES IDEES DE MILTON ERICKSON Milton H Erickson 1901 1980 psychiatre am ricain avait par ailleurs une formation en psychologie Ayant souffert de poliomy lite son handicap lui a fait d couvrir comment faire appel toutes ses ressources Son ap proche est issue d une longue pratique plus que d une laboration th orique Actuellement Milton Erickson pr sente le paradoxe de se situer au carrefour des di
80. ns ce Still point au centre de la Philia que se r v le dans ce moment mouvant veill la danse de vie vitale dans l Affectif des personnes qui se rencontrent Y r gne une activit un acte sans action vivant et anim une pr sence affective limpide et claire Point de d part pour l tre l avec affectif et confirmant pour une rencontre respectueuse et affective v ritablement humaine Frans Veldman passim p 471 475 Il nous reste proposer une mod lisation plus didactique de tous ces propos insistant sur la dimension th rapeutique L exp rience pl ni re et son action th rapeutique Nous proc dons ici comme pour les processus inconscients par touches successives par r f rence des au teurs renomm s Car la complexit de cette exp rience pl ni re emp che son analyse sa r duction et m me son argumentation AUSSI nous proposons encore un simple sch ma pour visualiser le processus parce qu il faut aussi arriver sa pr sentation du r le th rapeutique a le moment pr sent est d fini par un cadre qui d limite la situation b un certain nombre de fonctions sont pertinentes et n cessaires dans ce cadre situationnel les carr s l int rieur du cadre C l une ou l autre fonction peut tre indisponible absente en clivage d alors qu une autre fonction peut s imposer bien qu trang re au moment elle est en amalga
81. on potentiel Au cours des si cles cette volont a t la mo tivation principale de la vie humaine C est elle qui m a conduit d velopper le mod le du Cerveau total Ce mod le a pour but d expliquer pour chacun de nous la mani re dont nous pensons nous agis sons nous apprenons El les raisons pour lesquelles nous pr f rons un certain travail d autres ou cer taines activit s de loisirs d autres Contribuer d velopper le potentiel humain c est l le sens de ma vie La technologie des dominances c r brales que j ai mise au point a pour but d aider les gens dans leurs efforts pour mieux se comprendre et s am liorer non seulement pour progresser dans leur vie pro fessionnelle et leur vie personnelle relationnelle et familiale mais aussi pour mieux comprendre leurs diff rences et pour mieux communiquer Louis Timbal Duclaux Les exp riences de Sperry sur des malades au cerveau d doubl Au cours d une exp rience les chercheurs cach rent les mains d un patient sa vue plac rent un objet familier dans sa main droite et lui demand rent de le nommer Comme pr vu il en fut capable Mais quand ils mirent le m me objet dans sa main gauche et renouvel rent leur question 1l ne put que deviner ce qu elle contenait Son cerveau droit connaissait l objet mais 1l n y avait pas de transmission de l infor mation son cerveau gauche le cerveau verbal si bien qu il ne pouvait le nommer avec pr cision
82. onscience d ordre sup rieur Ce processus bio lectro physiologique est la cause de la transformation ph nom nale que nous appelons en psychoth rapie connexion fonctionnelle jusqu pl narit pleine pr sence jusqu pl nitude Conscience inconscient et transconscient Et l inconscient freudien et jungien Edelman ne l voque qu incidemment pudiquement reconnaissant que ce concept n entre pas pour le moment dans sa th orie Il rejette l id e que ce pourrait tre une entit affu bl e d un substantif La conscience est un processus une fonction complexe et globale 1l ne pourra donc y avoir que des processus inconscients comme dans le paradigme holanthropique De plus ce processus se caract rise par la combinaison de fonctions En effet la premi re topique freudienne inconscient pr conscient conscient ne rend plus tr s bien compte de la fonction consciente qui n est finalement qu une des deux douzaines de fonctions de l tre humain m me s1 elle est d importance majeure La difficult ac tuelle r side du c t du conscient et non pas du c t de l inconscient le troisi me terme pr cons cient n tant plus tr s important Nous avons r valu le c ur m me de l inconscient avec les purs processus inconscients Il suffit d y ajouter le heu du refoul cher Freud pour rendre justice ce concept emprunt Th odor
83. peut pas rester longtemps sans manifester son vidence Ici il ne s agit ni de l exactitude scientifique comme le serait une analyse de r ve par Freud avec argumentation m tapsychologique l appui ni de la croyance spirituelle comme facteur de certitude pour son heureux lu car l une et l autre interviennent tout autant comme l ments de fermeture appropriation de repli repu d arr t de la recherche et de l veil Freud nous en avertit avec son concept de souvenir cran qui emp che et vite d aller chercher plus profond On peut donc parler tout autant de savoir cran et de croyance cran C est Jacques Lacan qui a insist sur la dimension de v rit qui est personnelle c est vrai pour le seul sujet ponctuelle demain il y aura probablement un d veloppement plus vrai encore de cette vidence et cathartique a fait choc provoque un l cher prise et reconnecte les principales fonctions cliv es par l incertitude gr ce au boum boum de l interpr tation juste Il y a trois types de v rit effet reconnectant e la v rit intellectuelle la v rit spirituelle la v rit esth tique c est beau pour le sujet en question L exp rience pl ni re du consensuel Ci dessus j insistais sur la duret du groupe social Mais il y a aussi l inverse la s curit chaleureuse le senti ment d tre partie prenante de cette communaut la se
84. pr f rences c r brales d une mani re plus objective vous pouvez consulter le site www herrmann europe com Herrmann International Europe 102 Boulevard Franklin Roosevelt 92566 RUEIL MALMAISON CEDEX T l 01 47 51 31 15 ou www chidharom fr C E C M I 6A Rue Principale 68210 HECKEN T l 03 89 25 91 03 Bibliographie Les dominances c r brales et la cr ativit Ned Herrmann Editions Retz 1992 Les notes des s minaires de certification et d accr ditation 1982 2006 de J r me CHIDHAROM Deux cerveaux pour apprendre Linda WILLIAMS Editions d organisation 1986 Utilisez son cerveau Dominique CHALVIN Editions ESF 1986 Atlas du cerveau Rita CARTER Collections Atlas Monde 1999 Le cerveau Biblioth que de la science 1984 Utilisez les pouvoirs de votre cerveau Jacquelyn WONDER Priscilla DONOVAN Editions Garanci re 1987 Biologie des passions Jean Didier VINCENT Editions Odile Jacob 1986 Neurobiologie de la personnalit Joseph LEDOUX Editions Odile Jacob 2003 J apprends donc je suis H l ne TROCME FABRE Editions d organisation 1987 La r volution du cerveau Marilyn FERGUSON Editions Calmann L vy 1974 J r me Chidharom Psychoth rapeute Socio Somato Analyste Formateur Coach Consultant T l 03 89 25 91 03 e mail info chidharom fr site www chidharom fr PORTE DONN
85. r ne repr sente environ un huiti me du poids du corps et est la partie la plus solide du corps Si le cr ne humain n est qu une bo te osseuse destin e prot ger le cerveau c est une bo te qui a pu voluer au cours des derniers millions d ann es frontal sph no de thmo de lacrymal nasal zygomatique maxillaire mandibule temporall occipital pari tal m D O0 N EN Un R Q D mem tt Le cerveau le cerveau humain est compos de deux h misph res le droit qui s occupe de la partie gauche du corps e le gauche qui s occupe de la partie droite du corps H misph re gauche L h misph re gauche contr le les activit s concr tes le discours l criture le langage et le calcul Pens e logique analytique technique H misph re droit L h misph re droit est le si ge de l imagination de l orientation spatiale de la perception de la musique et de l intuition Pens e globale synth tique simultan e Chaque h misph res est compos es de 5 lobes qui ont chacun leurs fonctions Lobes Frontaux Lobes Pari taux Lobes Temporaux Lobes Occipitaux Lobes Limbiques le tronc c r bral est une structure du syst me nerveux central et plus particuli rement de l enc phale Il est situ dans la fosse post rieure du cr ne sous le cerveau Il repr sente un carrefour majeur du syst me nerveux central entre le cerveau en haut le cervelet en arri re et la moelle pini r
86. r peut tre tr s d sagr able Dans ce cas 1l vaut mieux l cher 31 franchement et reprendre franchement Si les trois secondes ne sont pas d pass es la personne ne se sentira pas aban donn e A ce propos il est int ressant de remarquer quelorsqu une personne n arrive pas l cher du tout la personne qu elle masse c est bien souvent son propre sentiment d abandon qui est en cause Sous pr texte de ne pas abandon ner la personne qu elle touche c est elle m me qu elle prot ge contre sa peur d tre abandonn e L cher une per sonne qu on masse une ou deux secondes certains moments pr cis peut tre important pour marquer la fin de quelque chose et le d but d autre chose Cela permet d viter une trop grande symbiose entre les deux personnes celle qui masse et celle qui est mass e La personne mass e peut galement se sentir abandonn e quand bien m me elle serait touch e sans interruption si ce toucher est n glig ou sans v ritable pr sence Si le masseur se contente d ex cuter techniquement les mouve ments de massage sans penser la personne qu elle touche sans m me penser qu il s agit d une personne ou si elle la touche avec indiff rence cela se sent au point d tre insupportable Cela est comparable au sentiment quelquefois ressenti par les enfants de ne pas tre aim s d tre seuls alors qu ils ont une famille mais qui sentent qu il leur manque l essentiel I
87. ratuites Autres sites en partenariats portails et sites de r f rencement gratuits Publicit s payantes Portails et sites de r f rencements payants sur Yahoo par exemple OPTION 14 R daction de textes Prix partir de 50 HT de prise en charge 37 50 HT le feuillet 1500 signes D lai de d veloppement 0 5 jour par feuillet Vous n avez pas le temps ou vous pr f rez faire r diger vos textes par des professionnels Ocecom vous propose un service de r daction titre d exemple un site Internet de pr sentation sans tre trop loquace comporte au alentour de 6000 8000 signes en moyenne OPTION 5 Traduction de textes Prix partir de 50 HT de prise en charge 37 50 HT le feuillet 1500 signes D lai de d veloppement 0 5 jour par feuillet Vous avez besoin d avoir un site Web en plusieurs langues OCECOM vous propose un service de traduction anglais espagnol allemand italien chinois japonais et tha titre d exemple un site Internet de pr sentation sans tre trop loquace comporte aux alentours de 6000 8000 signes en moyenne 3 Exemple de combinaison Exemple 1 Site de pr sentation en fran ais et anglais avec module de r daction et r f rencement naturel Offre de base 1 option 3 naturel sur 2 langues option 4 7500 signes option 5 7500 signes Prix 600 2x50 50 5x37 50 50 5x37 50 1 175 H T D lai 12 jours 5x0 5 jours
88. reine vidence qu on a sa place parmi les autres et de la valeur J appellerai ce v cu le consensuel Ce mot polys mique ne renvoi pas seulement au consensus mais rappelle que c est minemment sensuel affectif et partag con fi cum fi avec La psychoth rapie fran aise a du mal accepter ce point de vue marqu e qu elle est par Didier Anzieu et son concept d illusion groupale Eh bien non la communaut sociale n est pas une illusion Le consensuel existe et nous l avons rencontr La s quence de la socio qui privil gie cette exp rience est celle du groupe rapproch Quand les motions les plus intenses se sont exprim es et puis es quand les analysants les plus charg s sont partis sur les matelas ou les zafous il reste 7 6 5 personnes il reste un groupion Ces personnes se rapprochent encore passent les bras sur les paules ou s accrochent par la taille pour resserrer le lien s accoler par les flancs Les sons mis de viennent de plus en plus doux s accordent s ajustent jusqu produire des harmonies surprenantes ce cercle solide ment arrim entre dans un balancement lent qui permet l analysant de s abandonner physiquement au mouvement commun en rel chant ses membres inf rieurs par exemple et en se sentant maintenu par les autres Tout comme harmonie sonore cette harmonie des corps am ne subitement la pleine exp rience profonde et douce du consensuel
89. rimer la conscience des mouvements et des bruits autour de vous Comme je l ai mentionn plus haut des interf rences entre l h misph re droit et le centre du langage de l h misph re gauche peuvent provoquer le b gaiement Il est n cessaire de d brancher certaines parties du cerveau situationnellement de fa on que les parties utiles puis sent fonctionner sans concurrence ou interf rence Le fonctionnement it ratif L it ration est un mouvement d aller retour des signaux dans les centres sp cialis s du cerveau qui sert faire progresser l ex cution d une t che Le processus it ratif peut consister en un unique ou en de nombreux allers retours selon la complexit de la t che L it ration se produit l int rieur d un m me h misph re ou entre deux h misph res Voici un exemple simple impliquant un mouvement d aller retour entre les structures c r brales sp cialis es dans le traitement conceptuel de l espace et celles sp cialis es dans le traitement du langage L it ration a lieu dans le corps calleux qui relie les deux structures c r brales cl s impliqu es 1c1 On montre un groupe de personnes un film exprimant une id e complexe par des m taphores visuelles Le film termin on leur demande de noter leur interpr tation du sens du film Prenons une femme dans ce groupe et suivons son processus mental Tandis qu elle regarde le film la partie non verbale conceptuelle de son cerveau traite l information
90. robl me Administratif Verbal Conceptuel Tr s forte pr f rence POUX L4 z Pr f rence moyenne FR RE S amp S UR S ENFANTS Faible pr f rence AMIS COLLABORATEURS LE CERVEAU COMPOSITION 100 milliards de neurones 80 milliards de cellules gliales LE NEURONE Tension 20 millivolt Connexions entre 100 et 10 000 Capacit 50 000 messages mn LE CORPS CALLEUX 200 millions de connexions ANATOMIE 2 h misph res 4 lobes Temporal audition Pari tal sensations Occipital vision Frontal motricit aires associatives 4 Styles de fonctionnement mental et comportemental Quadrant A Quadrant B Quadrant C Quadrant D Mots cl s logique lecture technique musical cr ateur factuel collecte spiritualiste innovateur rationnel des donn es symbolique intuition 1d es critique conservatisme aime parler simultan analytique contr l motionnel synth tique quantitatif s quentiel intuitions sent global directif clair et net lecture perso artistique math matique dominant spatial d taill Talents r solution de planning exprimer des cr atif probl mes superviser id es innovateur analyse r glementer relations int grer statistique administrer humaines promoteur du techn
91. rs ce qui confirme la bonne progression fran aise en quipement informatique Bien que venant en soutien d une communication classique incontournable le site Internet plus que tout autre vecteur permet d largir la visibilit de votre soci t pour un prix tr s raisonnable Avec lui les barri res g ographiques et linguistiques sont abolies Par exemple beaucoup d entreprises l utilise comme une plaquette commerciale afin de se pr senter avec le b n fice de pouvoir mettre jour facilement ce support de communication et par la m me d viter les impressions et les envois de courriers on reux Avec un r f rencement bien con u Le site Web permet galement de gagner de nouveaux clients et ceci uniquement gr ce la visibilit de votre entreprise sur les moteurs de recherches que sont yahoo google et consorts Ainsi ne faut il pas voir Internet et toutes ses applications comme une fantaisie la mode mais plut t comme un formidable outil qui offre un grand nombre d opportunit s pour un investissement minime Qui sommes nous Ocecom est une soci t de conseil et de communication Sp cialis e dans les nouveaux canaux de l information notre offre comprend la conception la cr ation ou la refonte de sites Internet ainsi que l laboration de divers supports promotionnels tels que des cartes de visites des affiches des flyers des CD ROMS de pr sentation ou encore des plaquettes de so
92. rveaux le limbique et le n ocortex mais c est lui qui contr le le processus de la prise de d cision PENS ES MOTIONNELLES le LIMBIQUE Le cerveau LIMBIQUE ou INTUITIF est apparu avec les premiers mammif res 1l est capable de m mo riser les comportements agr ables ou d sagr ables il ressent traite les motions et les sentiments profonds C est le centre physiologique des motions Sa fonc tion essentielle est la survie par une bonne adaptation l environnement social empathie int gration un groupe sentiment de s curit conviction croyance C est le si ge de nos valeurs C est galement le lieu des m canismes de motivation de r ussites et d checs de plaisir et d plaisir Le cerveau limbique est imperm able toute logique Il agit comme un filtre 1l a un r le s lectif Il enregistre tous les souvenirs ayant ainsi un r le essentiel dans la m moire long terme Il partage avec les deux autres cerveau le n ocortex et le reptilien PENS ES RATIONNELLES le N OCORTEX Le N OCORTEX prend de l importance chez les pri mates et culmine chez l humain avec ses deux gros h misph res c r braux Le nouveau cortex n est plus une machine lorsqu il est stimul il peut r pondre d une fa on originale et cr ative un probl me pos Le cer veau peut recombiner les l ments m moris s 1l peut ainsi cr er des structures nouvelles les structures imaginaires
93. s affectives et morales Pour reprendre les termes de Sperry chaque h misph re du cerveau semblait avoir ses propres sensations ses propres perceptions ses propres pulsions agir extrait du film l Esprit de l homme Liste personnelle des jalons sur la dualit du cerveau Date Chercheur D couvertes cl s 450 Hippocrate Avant J C 1286 Roger Bacon L onard de Vinci Thomas Browne Arthur Wigan docteur en m decine Victor Horsley docteur en m decine John Hughlings Jackson docteur en m decine Roger Sperry docteur en philosophie Robert Ornstein docteur en philosophie Henry Mintzberg docteur en philosophie Dans le cerveau d un malade il peut y avoir dualit mentale Les hommes utilisent deux modes de connaissance l un par communica tion verbale l autre par exp rience non verbale Le cerveau et l esprit sont des choses diff rentes Les deux moiti s du cerveau influent sur le comportement humain L homme doit avoir deux esprits et deux cerveaux Nous ne sommes pas des tres vi vants uniques Il y a en r alit deux personnes en nous Un des deux h misph res chez les humains prend la direction c est l h misph re dominant Les exp riences sur le cerveau d doubl d montrent que l h misph re gauche et le droit sont sp cialis s Les h misph res d un tre humain normal sont sp cialis s de fa on pr visible et mesurables Les hu
94. sur d autres types de cellules comme les cellules musculaires Lorsqu un neurone est actionn les neurotransmetteurs envoient des signaux qui aident l envoi ou la r ception des informations entre les neurones Lorsqu il y a dysfonctionnement neurologique celui ci est souvent li une panne dans un neurotransmetteur si ce dernier n est pas en mesure de transmettre une information un autre neu rone 1l est Impossible de savoir comment accomplir une t che sp cifique Ces d finitions extr mement simplifi es ont t prises pour beaucoup sur Internet Leur seul but est d tre un aide m moire Texte propos par Elisabeth LORRACH C est aussi a un cerveau L homme commence par tre un tube digestif ensuite un sexe parfois un cerveau Jos ARTUR Le cerveau ne d termine pas la pens e comme le cadre ne d termine pas le tableau L Energie spirituelle Henri BERGSON Les neurosciences L essor des neurosciences s est accompagn d un nouveau vocabulaire base de Neuro neuropharma cologie neuropsychanalyse neuro conomie neurop dagogie Neurosciences cognitives Les neurosciences sont les sciences du cerveau Si l exploration du cerveau date de plus d un si cle la d couverte des neurones et la cartographie des aires c r brales remontent au d but du XXe si cle les neurosciences ont connu un d veloppement consid rable depuis les ann es 1980 Gr ce au d veloppem
95. tose lib rant l organisme des cellules non effi caces ou qui pourraient r agir contre lui Finalement l apoptose prot ge l organisme en liminant la tr s grande majorit des cellules infect es endommag es ou potentiellement canc reuses qui peuvent nuire la sant de la personne L apoptose est le type de mort cellulaire tout d sign pour l limination des cellules exc dentaires ou nuisibles C est une mort douce La cellule apopto tique se fragmente en plusieurs petits sacs tanches qui sont absorb s et limin s par les cellules environnantes figure 1 L apoptose s oppose la n crose qui elle 16 n est pas programm e La n crose survient accidentel lement lorsque la cellule est grandement malmen e par exemple lors de br lures ou de fortes compres sions La cellule meurt alors en clatant Son contenu se retrouve dans le milieu environnant et provoque une r action inflammatoire La n crose se compare ainsi l explosion d un difice il y a des dommages aux b ti ments voisins les autres cellules un m nage et des r parations sont n cessaires L apoptose elle ne laisse pas de traces tat de la recherche actuelle Depuis quelques ann es en recherche biologique l apoptose est in Maintenant que les premi res bases mol culaires et biochimiques du ph nom ne ont t tablies il y a environ cinq ans on assiste une explo sion dans l acquisition des connaissances concernant l
96. troubles de la personnalit Dr Richard MEYER N 8 La Psychoth rapie Pl ni re une cure s quentielle Dr Richard MEYER N 10 Psychoth rapies Socioth rapies Somatoth rapies des centaines de m thodes Dr Richard MEYER N 11 L int gration des psychoth rapies Dr Richard MEYER N 12 Le principe Complexification Plenarit Dr Richard MEYER N 13 Intersubjectivit Attachement Amour Dr Richard MEYER N 11 Le toucher de l tre Jo lle MORAND N 13 Communication Th rapie et Relation Dr Andr MOREAU N 13 Peur anxi t angoisse Dr Andr MOREAU N 13 Prende Donner Recevoir de la Tendresse Dr Andr MOREAU N 10 La Th rapie EMDR Catherine MOURET N 12 Ecouter pour donner sens Catherine MOURET N 9 Compl mentarit Psychanalyse Somatanalyse Congr s de Strasbourg Serge OLLIVIER N 9 Le non dit des motions Binous OUTAYL N 1 Placer sa voix pour trouver sa voie Marie Christine PIATKOWSKI N 10 Flamenco je danse donc je suis je pense donc je fuis Olga RAUT N 11 L Ecoute est d abord une qualit d attention Christine SALVADOR N 11 Accompagnement par le toucher Christine SALVADOR N 12 Le soin par le toucher juste Christine SALVADOR N 12 Le massage ou l art du toucher Christine SALVADOR N 11 Faire la lumi re sur nos valeurs Jean Pierre VICAN N 13 L approche Rog rienne et le Corps Jean Pierre VICAN N 8 Etude de cas d une th rapie br ve Chantal VINCENT N 11 Le stress du demandeur d emploi Chantal VINCENT N
97. ues des tats conscients d apr s G rald M Edelman 2 Je me contenterai de rebondir tr s librement sur certaines de ces caract ristiques indiqu es par le num ro tage du tableau I 1 chaque tat de conscience est unifi on s y sent un plein int gre int gr et int gral I 4 il est une liaison de diverses modalit s savoir la connexion des fonctions pertinentes dans le con texte du moment I 5 construction de gestalt fermeture et remplissement renvoient la notion de pl narit y a pas tout mais y a plein une gestalt achev e IT 3 le centre c est la concentration la p riph rie c est l attention diffuse l entourage le cadre du mo ment une frange les contemplats menant la pl nitude c est la d finition de la pleine pr sence IT 1 pl narit et pl nitude sont d crites ici par leur contenu sentiments qualia v cu humeurs plaisir IM 3 le sentiment de familiarit renvoie la qualit du pl nier Ajoutons que notre auteur utilise le concept de pr sence rem mor pour voquer la m moire et que la syn chronicit est une des cl s fondamentales du passage du neural au conscient Edelman n aborde qu incidem ment la psychopathologie mais c est pour voquer deux processus de base qui sont le clivage et l amal game le noyau peut se diviser en un petit nombre de noyaux distincts Il est probable que ce soit
98. une ex p rience ressentie 6 Le moment pr sent est un v nement holistique La pr occupation de soi dispara t 7 Le moment pr sent est dyna mais paradoxalement le sens du soi Imique sur le plan temporel est renforc la suite de l exp rience optimale IV Abandon au processus 10 Le soi qui vit l exp rience adopte une position en rapport avec le moment pr sent Contemplation 8 La perception de la dure est alt Le moment pr sent est de t Plenitude ourte dure 8 Le moment pr sent est en partie impr visible alors qu il se d roule 9 Le moment pr sent implique un certain sens de soi Tableau 14 trois conceptions de l exp rience pl ni re Nous voyons que ces descriptions renvoient aux principaux points de l exp rience pl ni re et de la pleine pr sence N anmoins les deux auteurs insistent sur l aspect qui les int resse le plus e Csikszentmihaly1 insiste sur le point de d part qu est le d fi comme tout am ricain conqu rant dans le cadre du d veloppement et du bonheur personnel Stern part de la psychoth rapie verbale analytique et d crit ses moments pr sents comme arrivant soudaine ment au d cours de l entretien On peut se r f rer un troisi me auteur Frans Veldman le concepteur de l haptonomie ou science de l affecti vit Son point de d part non dit ici est le toucher en prolongement et son insistance
99. ur ma r flexion sur la psychoth rapie il y a trente ans Quel bonheur que de le retrouver en aussi bonne place comme un pr sent rem mor et peine r actualis Quelle que soit la difficult transmettre en si peu de mots la th orie d Edelman la fois simple et com plexe il nous reste r p ter qu avec elle nous pouvons r ellement fonder le paradigme holanthropique en science Mais comme nous l avons d j voqu la pleine int gration des pratiques et des th ories ne se fera vraiment qu en la personne du th rapeute analyste Auparavant revenons encore la pratique et la clinique au plus pr s de ces patients qui sont notre rai son d tre Car l exp rience pl ni re n est videment pas le tout de la cure Il y a des stades pr paratoires 1l y a des tapes ult rieures de r p tition de ces exp riences jusqu l aptitude la pleine pr sence qui est la fois gu rison et bonheur L exp rience pl ni re encorps Le processus pl nier ne constitue pas toute la cure m me s il en est le temps fort Une seule ou deux de ces exp riences ne suffisent pas toujours non plus m me s1 leur r p tition arrive n anmoins au bout de la t che Enfin ce v cu n a pas qu un seul aspect bien au contraire Aussi apr s les g n ralisations scientifiques faut 1l revenir au plus concret commencer par d crire ce qu elle n est pas cette exp rience pl ni re

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