Home

REFERENCE : «REF»

1. 42 SANTE PUBLIQUE 2 avenue du Doyen J Parisot BP7 54501 Vandoeuvre L s Nancy T 03 83 4494 11 Fax 03 83 44 37 76 Internet http www sfsp fr santepublique accueil php e Editeurs Etrangers FONDATION ROI BAUDOIN Rue Brederode 21 B 1000 Bruxelles Belgique Internet www kbs frb be HUMANA PRESS 999 Riverview Drive suite 208 Totowa New jersey 07512 Internet www humanapresse com PRESSES DE L UNIVERSITE DE QUEBEC c o Presses universitaires du Septentrion Rue du Barreau BP 30199 59654 Villeneuve d Asq cedex 03 20 41 6695 Fax 03 20 41 61 85 M l carmela dellutri Ouniv lille3 fr Internet www afpud fr PRO SENECTUTE Lavaterstrasse 60 Case Postale 8027 Ziirich 01 283 89 89 M l verlag pro senectute ch SPRINGER PUBLISHING COMPANY 11 West 42nd street New York NY 10036 USA Internet www springerpub com e Revues Etrang res AGEING AND SOCIETY Cambridge university press The Edinburgh Building Shaftesbury Road Cambridge CB2 2RU Internet http journals cambridge org action displayJou mal jid ASO GERONTOLOGIST THE The Gerontological Society of America 1030 15th Street NW Suite 250 Washington D C 20005 1503 202 842 1275 Fax 202 842 1150 Internet http gerontologist oxfordjournals org INTERNATIONAL JOURNAL OF AGING AND HUMAN DEVELOPMENT THE Baywood Publishing Company Inc 26 Austin Ave P O Box
2. et Fax 01 47 34 64 63 GERONTOLOGIE PRATIQUE 15 rue des Sablons 75116 Paris T 01 47 55 31 31 Fax 01 47 55 31 32 JALMALV BULLETIN 4 bis rue Hector Berlioz 38000 Grenoble T 04 76 63 08 67 Fax 04 76 42 57 53 Internet http www jalmalv fr revue_jalmalv presentati on_revue html JOURNAL DE L ACTION SOCIALE LE L Action Sociale 13 boulevard Saint Michel 75005 PARIS 41 T 01 53 10 24 10 Internet http www lejas com JOURNAL DES PSYCHOLOGUES LE 10 av Victor Hugo 55800 Revigny sur Ormain 03 29 70 56 33 Fax 03 29 70 57 44 Internet http www jdpsychologues fr LETTRE DE L OBSERVATOIRE DES DISPOSITIFS DE PRISE EN CHARGE ET D ACCOMPAGNEMENT DE LA MALADIE D ALZHEIMER LA Fondation M d ric Alzheimer 30 rue de Prony 75017 Paris Internet http www fondation mederic alzheimer org page0 php c 1 amp selection 197 LETTRE DE L OBSERVATOIRE DES RETRAITES 16 18 rue Jules C sar 75012 Paris T 01 71 72 16 53 Fax 01 44 67 61 46 Internet http www observatoire retraites org index php id 9 LIEN SOCIAL ET POLITIQUES RIAC Editions EHESP Avenue du Professeur L on Bernard 35043 Rennes cedex T 02 99 54 90 98 Fax 02 99 54 22 84 Internet http www presses ehesp fr revues lien social politiques NPG NEUROLOGIE PSYCHIATRIE GERIATRIE IADM Editions 60 rue Fessart 92100 Boulogne Billancourt amp et Fax 01 4
3. L auteur taye son analyse relative a ces diff rentes dimensions en s appuyant sur certaines annexes fournies dans les guides extrait du r sum de l auteur REFERENCE 24150 ARTICLE PAPAY J Le projet d tablissement ou de service Passage oblig pour une appropriation des recommandations et des pratiques d valuation LES CAHIERS DE L ACTIF 2009 07 10 n 398 401 179 191 Le l gislateur de l action sociale et m dico sociale a choisi de d finir l valuation comme un processus d am lioration continue de la qualit en le diff renciant nettement des d marches qualit ou des logiques de certification et d accr ditation Ces derni res pouvant elles m mes tre appr ci es par l valuation quant leurs effets Cette option rend indispensable que les projets d tablissements ou de services soient pertinents et clairement r f r s aux orientations r centes de l action sociale et m dico sociale En effet s il ne s agissait que de contr le le projet serait inutile puisque le r f rentiel dans ce cas serait ext rieur aux acteurs La logique de l valuation au contraire est d tre un processus r f r 32 de compr hension Elle est n cessairement plus t tonnante puisque prenant en compte les acteurs leurs formations leurs exp riences leurs positions propres et la singularit des situations Le projet d tablissement ou de service est alors l outil indispensable qui d finissant les orientations et
4. rationnelles extrait du 4e de couv NO INVENTAIRE FN9631 SHP143 1 REG P REFERENCE 24010 ARTICLE DAVEY A SAVLA J JANKE M ANDERSON S Les relations entre les grands parents et les petits enfants de la famille prise dans son contexte a la famille tant le contexte Grandparent granchildren relationships from families in contexts to families as contexts THE INTERNATIONAL JOURNAL OF AGING AND HUMAN DEVELOPMENT 2009 vol 69 n 4 311 325 tabl Les relations entre les grands parents et les petits enfants fournissent un excellent cadre d int gration des th ories et m thodologies familiales Les facteurs tels que le r le de l ge du genre de l esp rance de vie et de la sant travers les g n rations impliquent que certains sujets sont mieux tudi s si l on distingue les variations entre les familles et l int rieur des familles A partir des donn es de 1345 petits enfants 52 de filles ge moyen de 13 69 ans interrog s sur leurs grands parents 3664 les auteurs ont compar les r sultats obtenus en tudiant les relations grands parents petits enfants un niveau individuel et un niveau familial Les r sultats sugg rent des diff rences dans l analyse de la qualit des relations selon l angle d tude REFERENCE 24016 OUVRAGE ATTIAS DONFUT C WOLFF F C Le destin des enfants d immigr s Un d senchainement des g n rations Paris Stock 2009 312p ann Un ordre d id e
5. 337 Amityville N Y 11701 USA T 631 691 1270 Fax 631 691 1770 Internet http www baywood com journals previewjou rnals asp id 0091 4150 INTERNATIONAL JOURNAL OF GERIATRIC PSYCHIATRY John Wiley amp Sons Ltd 1 oldlands way Bognor Regis West Sussex PO22 9SA UK T l 44 0 1243 779777 Fax 44 0 1243 843232 Internet http www3 interscience wiley com journal 42 94 home CRETRY 1 amp SRETRY 0 JOURNAL OF APPLIED GERONTOLOGY Sage Publications Ltd 6 Bonhill Street London EC2A 4PU England T 44 0 20 7374 0645 Fax 44 0 20 7374 8741 Internet http jag sagepub com JOURNAL OF THE AMERICAN GERIATRICS SOCIETY JAGS Blackwell Publishing Inc 108 Cowley Road Oxford OX4129 T 44 1865 251866 Fax 44 865 381393 Internet http www wiley com bw journal asp ref 000 2 8614 43 JOURNALS OF GERONTOLOGY THE SERIES B SOCIAL SCIENCES PSYCHOLOGICAL SCIENCES The Gerontological Society of America 1030 15th Street NW Suite 250 Washington D C 20005 1503 T 202 842 1275 Fax 202 842 1150 Internet http www geron org Publications The 20Jou mal 20o0f 20Gerontology 20Psychological 20Sciences RESEARCH ON AGING Sage Publication LTD 6 Bonhill Street London EC2A 4PU England T 44 0 20 7374 0645 Fax 44 0 7374 8741 Internet http roa sagepub com SESENTA Y MAS IMSERSO Avda de la Ilustraci n C Ginzo de Limia 5
6. A N E S M Saint Denis FRA Union Nationale des Centres Communaux d Action Sociale U N C C A S Paris FRA Evaluation faire de l obligation une opportunit formalis e mais non standardis e ACTES ACTIONS amp TERRITOIRES DU SOCIAL 2010 02 n 405 19 25 Depuis la loi du 2 janvier 2002 les tablissements et services sociaux et m dico sociaux doivent valuer la qualit de leurs activit s et des prestations qu ils d livrent Cette obligation qui conditionne le renouvellement des autorisations d livr es par les autorit s de tutelle se scinde en au moins deux temps celui de l valuation interne ou auto valuation la premi re devant avoir t r alis e au plus tard en 2009 et celui de l valuation externe intro REFERENCE 24149 ARTICLE VERCAUTEREN R Ouverture d un d bat sur les recommandations de bonnes pratiques professionnelles directives ou propositions LES CAHIERS DE L ACTIF 2009 07 10 n 398 401 37 48 Les recommandations des bonnes pratiques professionnelles ne peuvent que soulever ind pendamment de leur utilit des interrogations thiques de compr hension de mise en pratique de droit Dans une soci t de droit la notion de bon sens est souvent gomm e opposer le sens commun aux risques encourus par le droit conduit de fait interroger l Homme dans sa pertinence ou son impertinence par rapport aux positions soci tales souvent plus normatives que d fendables
7. ANIMAGINE EDITIONS PETRARQUE ANIMAGINE 71 route de Grigny 91130 Ris Orangis amp 0169 1255 10 Fax 01 69 21 61 08 Internet www petrarque fr CADR GE Caisse Nationale d Assurance Vieillesse 110 avenue de Flandre 75951 PARIS cedex 19 Internet www cnav fr CAHIERS DE L ACTIF Les ple ades 259 av de Melgueil BP 3 34280 LA GRANDE MOTTE T 04 67 29 04 67 Internet http www actif online com DOC ANIMATION EN GERONTOLOGIE Doc Editions 14 rue Jean Jaur s 55800 REVIGNY T 03 29 7052 41 Fax 03 29 78 78 80 Internet http www docanimation fr DOC DOMICILE Doc Editions 14 rue Jean Jaur s 55800 REVIGNY T l 03 29 70 52 41 Fax 03 29 78 78 80 Internet www docdomicile fr DOCUMENTS CLEIRPPA CLEIRPPA 86 av de St Ouen 75018 Paris T 01 40 25 49 60 Site www cleirppa asso fr DREES ETUDES ET RESULTATS Minist re de l emploi et de la solidarit 11 place des 5 martyrs du lyc e Buffon 75694 Paris cedex 14 01 40 56 80 68 Internet http www sante gouv fr drees etude resultat ETUDES HOSPITALIERES LES 38 rue du Commandant Charcot 33000 Bordeaux amp 05 56 98 85 79 Fax 05 56 96 88 79 Internet http www leh fr edition page001 html FAIRE FACE APF 17 boulevard Auguste Blanqui 75013 Paris t l phone 01 40 78 69 00 http www faire face fr GERONTOLOGIE 14 Passage Du Guesclin 75015 PARIS
8. DE LA FEDERATION JUSQU A LA MORT ACCOMPAGNER LA VIE 2010 03 n 100 3 86 Pour constituer ce num ro la revue a demand aux auteurs de d crire ce qu ils consid rent comme des avanc es importantes au cours des vingt cinq ann es coul es dans le domaine de l accompagnement et des soins aux mourants Elle leur a demand aussi de dire ce qu il peut encore manquer ou ce que l on peut regretter du chemin parcouru Les clairages sollicit s appartiennent aux domaines suivants l volution du droit les changements dans la soci t la place et le r le des psychologues l thique l volution des soins aux malades le prendre soin b n vole ASPECTS ECONOMIQUES DU VIEILLISSEMENT e Travail REFERENCE 24076 ARTICLE SAINT GENIS E LEVET P ROUX C NOGUES H Travailler plus longtemps DOCUMENTS CLEIRPPA 2010 02 n 37 4 22 Dans ce dossier les auteurs s interrogent sur l allongement de la vie professionnelle et sur la p nibilit au travail Le dernier article est une analyse critique de l usage des repr sentations graphiques pour d crire les r alit s conomiques et sociales REFERENCE 24083 ARTICLE SAINT GENIS E LEVET P LAORER E Penser la long vit et l allongement de la vie professionnelle plut t que le vieillissement DOCUMENTS CLEIRPPA 2010 02 n 37 5 11 13 Les questions li es au vieillissement et l in luctable allongement de la vie professionnelle oc
9. difficiles En Suisse c est dans la tranche des plus de 60 ans que les revenus et les fortunes sont les plus in galement r partis Cette tude value de mani re approfondie les exp riences v cues par les travailleurs sociaux dans leur activit professionnelle avec des personnes g es pauvres Elle propose galement des solutions pour lutter contre la pauvret dans la population g e NO INVENTAIRE FN9643 ECO 20 PIL P REFERENCE 24167 RAPPORT FRAZER H Groupe de Suivi Inclusion Sociale EAPN R seau europ en de Lutte contre la Pauvret La pauvret et les in galit s dans l UE EAPN Explicatif n 1 2009 20 p photos Ce document a t labor dans le cadre de la campagne que le r seau a men e pour pr parer l Ann e europ enne de lutte contre la pauvret de 2010 En effet malgr la richesse g n rale de l Union europ enne pr s de 1 personne sur 7 est menac e par la pauvret et les chiffres atteignent des niveaux encore plus lev s dans certaines cat gories de la population telles que celles des enfants et des personnes g es Apr s une courte introduction pour pr senter le d bat le document examine la nature et l tendue de la pauvret et ses causes et ses liens avec les in galit s et la vuln rabilit La derni re partie recense les organismes europ ens et internationaux qui fournissent des donn es sur ce th me NO INVENTAIRE FNDoss Europe ECO Pauvret http www politiquessociales ne
10. es les personnes g es et comment elles y font face R A REFERENCE 24126 ARTICLE PALACEK E J TENO J M CASARETT D J et al Alimentation de confort seulement une suggestion pour clarifier la prise de d cision en ce qui concerne les difficult s de s alimenter des personnes souffrant de d mences s v res Comfort feeding only a proposal to bring clarity to decision making regarding difficulty with eating for persons with advanced dementia JOURNAL OF THE AMERICAN GERIATRICS SOCIETY 2010 03 vol 58 n 3 580 584 tabl Cet article montre les enjeux thiques de la d marche Alimentation de Confort Seulement pour aider les familles et les professionnels prendre des d cisions qui respectent d abord le bien tre de la personne g e d mente Cette d marche privil gie une alimentation par voie orale effectu e avec pr caution plut t qu une alimentation artificielle trop fr quemment mise en place dans les tablissements alors qu aucune tude n a prouv qu elle am liorait la survie des patients e Sommeil REFERENCE 24107 ARTICLE ARBUS C COCHEN V Les modifications du sommeil avec l ge PSYCHOLOGIE ET NEUROPSYCHIATRIE DU VIEILLISSEMENT 2010 03 vol 8 n 1 7 14 L architecture du sommeil est alt r e par le vieillissement L insomnie la somnolence diurne sont des troubles pouvant refl ter une alt ration de la r gulation des rythmes circadiens On observe aussi fr quemment des malad
11. gestion des risques par le M decin Coordonnateur Permanence des soins gestion des situations d urgences la nuit formation du personnel LA REVUE FRANCOPHONE DE GERIATRIE ET DE GERONTOLOGIE 2009 12 vol 16 n 160 544 547 La r organisation de la permanence des soins la nuit a eu un impact consid rable sur les EHPAD L acc s au m decin de garde ne peut se faire qu apr s l appel au 15 L absence de m decins effecteurs notamment en nuit profonde place le personnel de l tablissement dans la n cessit d entreprendre des gestes et soins d urgence Le m decin coordonnateur doit organiser les soins en urgence la nuit Cette organisation regroupe la formation du personnel l application de protocoles d urgence la transmission du dossier patient extraits R A e M dicament REFERENCE 24046 ARTICLE MARTINS MEUNE E MEUNE C MOURAD J J GAVARDIN T Th rapeutique inad quate du sujet g effet d une hospitalisation en secteur sp cialis LA REVUE DE GERIATRIE 2010 02 vol 35 n 2 89 92 Etude r trospective monocentrique ayant inclus des patients cons cutifs de plus de 60 ans hospitalis s entre janvier et juillet 2004 pour perte d autonomie et r adaptation dans le service de soins de suite g riatrique A partir des traitements donn s au long cours nous avons valu l exc s de traitement la prescription inappropri e la sous ou la non utilisation de traitements d efficacit d montr e le nombre to
12. les comptes notionnels les r gimes par points la r partition provisionn e NO INVENTAIRE FN9637 PRE320 CHA REFERENCE 24024 FASCICULE BRIDENNE L DI PORTO A GLENAT M Caisse Nationale d Assurance Vieillesse Paris FRA Regards crois s sur les r gimes de retraite des ind pendants et des salari s CADR AGE 2010 03 n 10 6p graph En France le syst me de retraite est organis par statuts professionnels les salari s les fonctionnaires les non salari s etc relevent de r gimes diff rents La grande majorit des actifs acqui rent des droits retraite au r gime g n ral en tant que salari s du priv Les artisans et les commer ants ont le plus souvent partag leur carri re entre les statuts de salari s et d ind pendants Cette couverture conjointe par le R gime social des ind pendants RSI et la Caisse nationale d assurance vieillesse Cnav illustre l articulation entre le r gime g n ral et les autres r gimes de retraite Apr s avoir appr ci l importance relative des deux r gimes et expliqu comment les trajectoires professionnelles des ind pendants s organisent entre les deux r gimes un point est fait sur les niveaux de pension des retrait s du r gime g n ral et du RSI mettant en lumi re le caract re composite des retraites per ues R A NO INVENTAIRE FNDOSS PRE B4E http www cnav fr pdf cadrage_n10 pdf REFERENCE 24051 ARTICLE CASTEL N Salaire o
13. n 62 41 55 Chaque syst me de protection sociale repose sur un quilibre sp cifique entre les responsabilit s collectives et les responsabilit s familiales par rapport aux risques sociaux et aux besoins de care Dans un contexte de vieillissement de la population et de diminution du nombre d aidants potentiels disponibles il est int ressant de s interroger sur les alternatives propos es par les gouvernements et sur la port e des politiques qui se dessinent depuis la fin des ann es 1990 Quelle articulation entre l aide familiale et l intervention publique L analyse porte sur la situation dans deux pays l Italie et la France o la famille joue traditionnellement un r le important dans la prise en charge des personnes g es d pendantes Elle montre dans les deux pays un ph nom ne d externalisation du care gr ce au d veloppement de dispositifs de cash for care mais selon des modalit s diff rentes Dans un cas comme dans l autre cela ne signifie pas pour autant qu il y ait d familialisation du care On assiste plut t une transformation des pratiques de care R A REFERENCE 24064 ARTICLE BLEIN L LAVOIE J P GUBERMAN N OLAZABAL TL Vieilliront ils un jour Les baby boomers aidants face leur vieillissement LIEN SOCIAL ET POLITIQUES RIAC 2009 n 62 123 134 29 Au Qu bec un nombre grandissant de personnes aidantes sont issues du baby boom Au cours d entrevues portant sur leur exp rience
14. pathologies associ es et leurs th rapeutiques ainsi qu des facteurs environnementaux particuli rement importants en institution Les d mences parkinsoniennes et les d mences corps de Lewy ont des troubles du sommeil encore plus s v res que ceux de la MA et sont 22 pr c d es ou accompagn es de troubles moteurs au cours du sommeil paradoxal Des attaques de sommeil et une somnolence diurne surviennent fr quemment chez les parkinsoniens extraits R A REFERENCE 24140 ARTICLE MULLENS E GONGUET B Vieillir et bien dormir SANTE MENTALE 2009 10 n 141 20 21 phot D s la cinquantaine le sommeil a tendance a devenir de moins bonne qualit Si les comportements sont tr s variables d un individu l autre on peut n anmoins noter quelques caract ristiques et envisager des solutions R A e Pathologie REFERENCE 23956 OUVRAGE VASSALO M ALLEN S Revue rapide de la m decine au grand age Rapid review of medicine in old age Londres Manson Publishing 2008 160p photos index L ouvrage pr sente 109 cas cliniques accompagn s de 205 modules de questions r ponses et illustr s par des photos et diagrammes qui couvrent les principales manifestations cliniques telles que les chutes la confusion l incontinence la perte de poids et l immobilit La vari t des exemples montre la complexit du diagnostic et du traitement chez des personnes g es fragiles NO INVENTAIRE FN 9625
15. propose un ensemble de textes accordant une attention soutenue aux transformations li es au ph nom ne du vieillissement d mographique dans plusieurs pays aux niveaux collectif et individuel La premi re partie propose d aborder le vieillissement d mographique sous un angle macroscopique c est dire de consid rer les grandes transformations qui se produisent au niveau d mographique et la fa on dont elles interagissent avec l organisation sociale dans diff rents pays fortement industrialis s Relever le d fi social du vieillissement a orient l action des Etats occidentaux vers la promotion de formes de vieillissement propres minimiser les co ts publics de la prise en charge du groupe toujours plus nombreux des personnes g es A la crois e de pr occupations conomiques et de sant publique les recommandations pour bien vieillir pr nent ainsi un vieillissement actif et en bonne sant et tentent de mettre en forme voire de normer les pratiques individuelles dans cette perspective Dans quelle mesure les personnes g es se conforment elles aux injonctions publiques ou chappent elles au contraire aux normes qui entendent les encadrer La troisi me partie s int resse la repr sentation sociale du vieillissement Le principal probl me que pose le vieillissement ne r siderait il pas d abord dans la perception que nous en avons simplificatrice l extr me et qui occulte les diverses mani res de vieillir ou d acco
16. r cemment intervenues dans la r gulation conomique et financi re du syst me de soins fran ais r duction du d ficit de l assurance maladie jusqu 2008 et stabilisation de la part des d penses de sant dans le PIB ach vement de la mont e en charge de la tarification l activit mise en place du parcours de soins coordonn et inflexion des pratiques de prescription de la m decine en ville Ces changements ont toutefois une port e limit e et ne remettent gu re en cause le mod le traditionnel de r gulation la fran aise fonctionnement inchang du syst me de prix de tarifs et de taux de remboursement instabilit des r gles de financement des tablissements de sant r currence de mesures de redressement financier s appuyant sur des recettes ponctuelles et des r ductions de remboursement Une part croissante du financement des soins courants est cet gard laiss e aux assurances compl mentaires et aux assur s les tentatives de responsabilisation ont au premier chef pes sur les patients et des questions comme les d passements d honoraires restent aujourd hui non r solues extrait R A e Pr vention REFERENCE 24105 ARTICLE BLAIN H ROBINE J M MICHEL J P N cessit d une prolongation du programme vaccinal tout au long de la vie Impact d une vaccination efficace appliqu e 4 une population vieillissante LA REVUE DE GERIATRIE 2010 03 vol 35 n 3 161 168 N tant pas correctement
17. s organise en deux parties l une porte sur les aspects psychologiques de l aide et l autre offre des conseils pratiques pour d placer ou laver la personne d pendante sans se blesser Un guide pratique et un CD compl tent la formation REFERENCE 24038 ARTICLE ALWIN J OBERG B KREVERS B Soutien et services 4 destination des aidants familiaux d une personne d mente importance percue et services rendus Support services among family caregivers of persons with dementia perceived importance and services received INTERNATIONAL JOURNAL OF GERIATRIC PSYCHIATRY 2010 02 vol 25 n 3 240 248 tabl graph Cette tude est bas e sur la partie su doise du programme EUROFAMCARE et a port sur 110 aidants familiaux de personnes d mentes r partis en deux groupes apr s une valuation faite avec l chelle NI de l index COPE Cette chelle mesure l impact n gatif de l aide partir de 6 questions bien tre motionnel et physique soins trop exigeants relations difficiles sentiment d tre pi g difficult s financi res Tous les participants ont consid r comme tr s important le fait d obtenir des informations et d avoir quelqu un avec qui parler et ce quelque soit leur ressenti du fardeau REFERENCE 24055 ARTICLE DA ROIT B LE BIHAN B La prise en charge des personnes g es d pendantes en France et en Italie Familialisation ou d familialisation du care LIEN SOCIAL ET POLITIQUES RIAC 2009
18. tir DROIT ETHIQUE REFERENCE 24138 FASCICULE ANDRE S La protection des majeurs vuln rables ACTUALITES SOCIALES HEBDOMADAIRES 2010 03 26 n 2652 162p ann La r forme de la protection juridique des majeurs op r e par la loi du 5 mars 2007 est entr e en vigueur le ler janvier 2009 Elle a consacr la protection de la personne et non plus seulement celle de son patrimoine donn clairement la priorit la famille et cr un nouveau statut de mandataire judiciaire la protection des majeurs Depuis lors plusieurs textes l gislatifs ou r glementaires loi de simplification du droit de mai 2009 loi HPST de juillet 2009 et ordonnance de f vrier 2010 r forme territoriale de l Etat ont adapt ou modifi le dispositif A jour de la l gislation applicable cette deuxi me dition pr sente l ensemble du dispositif en vigueur les diff rents r gimes de protection tutelle curatelle sauvegarde de justice le r le des mandataires judiciaires les mesures d accompagnement social et judiciaire le mandat de protection future l organisation du secteur tut laire et son mode de financement 4e de couv VIOLENCE REFERENCE 24166 ARTICLE MOULIAS R BUSBY F RAVEY F Compl mentarit du r seau ALMA avec les dispositifs locaux de lutte contre la maltraitance GERONTOLOGIE 2010 01 n 153 19 24 Pour lutter contre la maltraitance envers les personnes vuln rables aux s
19. vivre ailleurs LIEN SOCIAL ET POLITIQUES RIAC 2009 n 62 99 109 L article porte sur un aspect peu tudi des pratiques et des mani res de vivre des retrait s les mobilit s r sidentielles de milieu de retraite qui se distinguent la fois des d m nagements d entr e dans la retraite et des mobilit s par d faut vers les institutions pour les personnes en perte d autonomie Des donn es recueillies aupr s de personnes g es de 70 84 ans vivant domicile sur des territoires contrast s il apparait que la mobilit r sidentielle en milieu de retraite est fonction de deux vecteurs le besoin d tre prot g pour contrer les signes de la vieillesse et le besoin d agir pour que le vieillissement ne soit pas assimil la vieillesse Apr s une pr sentation de la recherche les auteurs montrent comment les forces de ces deux vecteurs d pendent non seulement des ressources du territoire mais galement de la conjugalit du genre et de la trajectoire sociale des personnes R A REFERENCE 24063 ARTICLE CARADEC V Vieillir un fardeau pour les proches LIEN SOCIAL ET POLITIQUES RIAC 2009 n 62 111 122 L aide un proche g est souvent envisag e travers la notion de burden Or celle ci pr sente le double inconv nient de renforcer l image de la vieillesse comme probl me et d occulter la diversit des significations que les aidants donnent la situation L article fond sur l analyse d
20. 6 05 38 57 Internet http www em consulte com produit npg PSYCHOLOGIE ET NEUROPSYCHIATRIE DU VIEILLISSEMENT John Libbey Eurotext 127 av de la R publique 92120 Montrouge 01 46 73 06 60 Fax 01 40 84 09 99 Internet http www john libbey eurotext fr fr revues medecine pnv sommaire p html REPERES EN GERIATRIES Expression Sant SA 2 rue de la Roquette Passage du cheval Blanc Cour de Mai 75011 Paris T 01 49 29 29 29 Fax 01 49 29 29 19 Internet http www expressions groupe fr page php menu 2 amp rub 18 RETRAITE ET SOCIETE La Documentation fran aise Service abonnements 124 rue Henri Barbusse 93308 Aubervilliers cedex amp 01 40 15 70 00 Fax 01 40 15 68 00 Internet www ladocumentationfrancaise fr REVUE DE GERIATRIE LA Edimedica 149 Boulevard Voltaire B P 253 92602 Asni res cedex amp 01 47 93 56 03 Fax 01 47 93 17 28 Internet http www revuedegeriatrie fr REVUE FRANCAISE DE SOCIOLOGIE Abonnements Editions OPHRYS BP 87 05003 Gap cedex T 04 92 53 85 72 Internet http www rfs revue com REVUE FRANCOPHONE DE GERIATRIE ET DE GERONTOLOGIE Editions M dia Flashs 8 rue Tronchet 75008 Paris amp 01 40 07 11 21 Fax O1 40 07 10 94 Internet http www editionsmf com magazine detail js p id 1 amp lang fr SANTE MENTALE Acte presse 12 rue Dupetit Thouars 75003 Paris Internet http www santementale fr
21. 8 28029 Madrid Espagne tel 91 363 86 28 Internet http www imsersomayores csic es documenta cion otrasrevistas sesentaymas html 44 _ FILMOGRAPHIE 45 Il tait une fois en audiovisuel Pour quelques films de plus La mission de la Cin vid oth que est de faire conna tre et de diffuser aupr s d un public sp cialis des documents de langue fran aise con us par des r alisateurs ind pendants produits par des cha nes de t l vision ou par la cin vid oth que elle m me plus de 750 films sont consultables gratuitement sur place sur rendez vous uniquement Vous retrouverez dans cette rubrique les films acquis pour la consultation sur place Si vous souhaitez acqu rir ces documents veuillez prendre contact avec l organisme cit dans la partie renseignements La Cin vid oth que diffuse elle m me certains films en vente et en location voir rubrique audiovisuel sur le site www fng fr 4 films en DVD sur le handicap Cheveux blancs cheveux gris 35 mn 1993 Jean Marc FAURE Fondation de France R troviseur Le vieillissement des personnes pr sentant un handicap mental est indissociable du vieillissement de leurs parents et des institutions qui les accueillent Malgr leurs difficult s faire face la charge que repr sente leur enfant devenu adulte certains parents g s ne peuvent supporter l id e de le voir partir dans un tablissement sp cialis D autres parents pro
22. 8 MAUBOURGUET AKE N 22 MENECIER P 10 24 MERCAT BRUNS M 14 MERLET CHICOINE L 11 METTE C 16 MEUNE C 28 MICHEL J 34 Ministerio de trabajo y asuntos sociales Secretar a de estado de servicios sociales familias y descapacidad Madrid 30 MIRI 1 27 MOREL S 33 MOSQUEDA L 36 MOULIAS R 24 35 37 MOULIAS S 24 MOURAD J J 28 MOURAINE M 31 MOUREY F 26 MULLENS E 23 MULNARD R 36 N NOGUES EL 14 NOWIK L 5 5 BERG B 30 O OGG J 7 OLAZABAL L 30 ORELLANA B 29 P PACCALIN M 11 PALACEK E J 22 PAPAY J 33 PAQUET M 18 PEIX R O 12 PERRET P 20 PERRIN HAYNES J 31 PERSONNE M 28 PILGRAM A 16 PIOTET F 25 POLYDOR J P 10 PORCHERON J B 11 POUDENS L 27 Pro Senectute Zurich 16 PUIJALON B 9 R RAHALI KHACHLOUF H 27 RAMAHERISON T 28 RAVEY F 35 REGNIER LOILIER A 5 RICOT J 13 RISACK A M 9 ROBERT GERAUDEL A 36 ROBERTO K A 29 ROBICHAUD V 28 RONDIA K 11 ROUX C 14 ROUX S 34 S SABY TESSIER M F 34 SAINT GENIS E 14 SANCHEZ J L 32 SAOUT C 19 SAVLA J 6 SCHAERER R 13 SECHET D 32 SEIFERT K 16 SICART N 11 SIMONSICK E M 21 SIRVEN N 7 SOULIERES M 32 STAHL D 11 T TABUTEAU D 18 19 32 TENO
23. 9 Fax 05 56 02 91 31 Internet http www lespritdutemps com page HARMATTAN L 7 rue de Ecole Polytechnique 75005 Paris amp 01 40 46 79 20 Fax 01 43 25 82 03 Internet www editions harmattan fr HAUT CONSEIL DE LA SANTE PUBLIQUE 14 avenue Duquesne 75350 Paris 07 SP 01 40 56 79 80 Fax 01 40 56 79 49 Internet www hcsp fr INED Editions 33 bd Davout 75980 Paris cedex 20 amp 01 56 06 20 20 Internet www ined fr INSEE Service abonnement BP 409 75560 Paris cedex 12 amp 01 53 17 88 45 Fax 01 53 17 89 77 Internet http www insee fr fr publications et services PRESSES UNIVERSITAIRES DE GRENOBLE PUG BP 47 38040 Grenoble Cedex 9 T 04 76 82 56 51 Fax 04 76 82 78 35 Internet www pug fr STOCK Editions 31 rue de Fleurus 75006 Paris Internet www editions stock fr e Revues Fran aises ACTES ACTIONS ET TERRITTOIRES DU SOCIAL Union Nationale des Centres Communaux d Action Sociale 6 rue Faidherbe BP 568 59208 Tourcoing Cedex amp 03 20 28 07 50 40 Fax 03 20 28 07 51 Internet www unccas org ACTUALITE ET DOSSIER EN SANTE PUBLIQUE Minist re de l Emploi et de la Solidarit Haut Comit de la Sant Publique 8 avenue de S gur 75350 Paris 07 SP Fax 01 40 56 79 49 ACTUALITES SOCIALES HEBDOMADAIRES 187 189 quai de Valmy 75494 Paris cedex 10 T 01 41 29 76 23 Internet www ash tm fr
24. A AFIFI A 10 ALLEN S 23 ALWIN J 30 ANDERSON S 6 ANDRE S 35 ANKRI J 12 ARBUS C 23 ARCHER N 11 ATTIAS DONFUT C 6 7 32 AUBERT P 15 B BACLET ROUSSEL C 12 BARTHELEMY N 15 BASS H P 13 BATAILLE E 35 BENALLAH S 16 BENNETT K M 9 BERGERET AMSELEK C 13 BERNIER C 8 BERTRAND J M 18 BIGGS S 36 BIOLCHINI C 33 BLAIN H 21 BLANCO L 29 BLEIN L 30 BLIESZNER R 29 BLIN P 22 BOULARD J C 32 BOURDILLON F 18 BRIDENNE L 15 BURLOT F 21 BUSBY F 35 C CABANNES X 18 Caisse Nationale d Assurance Vieillesse 15 Caisse Nationale de Solidarit pour l Autonomie 24 CARADEC V 5 CARDON P 22 CARLOTTI M 34 CASARETT D J 22 CASES C 20 CASTAIGNEDE V 34 CASTEL N 16 CECCHI C 19 CHAMAHIAN A 8 CHAMBENOIT T 27 CHAPSAL M 10 CHARAZAC M 10 CHARAZAC P 13 CHARLANNE D 33 CHARLOT V 11 CHARPENTIER F 15 CHARPENTIER M 32 CHOU R J A 33 CHRISTEL V 15 CICCONE A 10 CIMEN P 26 CLEMENT J M 18 CLOT FAYBESSE 0 36 CNOCKAERT X 28 COCHEN V 23 CORMIER H 5 COUTURIER Y 25 COUTY E 18 D DA ROIT B 30 DAALEMAN T P 8 DAUNE F 9 DAVEY A 6 DE MOL J 9 DE SMET L 27 DEBOUT C 17 DELBECQUE H 13 DEVICTOR B 19
25. ASCICULE FREMONTIER M MOURAINE M Sortir de chez soi pour mieux vivre domicile LA LETTRE DE L OBSERVATOIRE DES DISPOSITIFS DE PRISE EN CHARGE ET D ACCOMPAGNEMENT DE LA MALADIE D ALZHEIMER 2010 03 n 14 8p L enqu te nationale 2009 de la Fondation M d ric Alzheimer a permis de recenser 3 300 structures lieux d information ou de coordination g rontologique lieux de diagnostic accueils de jour et structures ou associations se consacrant l aide aux aidants familiaux dont les associations du r seau France Alzheimer Tous ces dispositifs ont pour mission d accompagner ou de prendre en charge les personnes malades qui vivent domicile ainsi que leurs aidants familiaux en leur offrant la possibilit de mener des activit s hors de leur domicile pour tre soutenus et retrouver une vie sociale HABITAT e H bergement collectif REFERENCE 23999 FASCICULE PERRIN HAYNES J Direction de la Recherche des Etudes de l Evaluation et des Statistiques D R E E S Paris FRA Les tablissements d h bergement pour personnes g es Activit personnel et client le au 31 d cembre 2007 DOCUMENT DE TRAVAIL 2010 02 n 142 L enqu te EHPA 2007 donne la situation des tablissements au 31 d cembre 2007 Ce document de travail fournit des informations sur leur activit le personnel employ et la client le Les r sultats portent sur la France enti re France m tropolitaine et d partements d outremer Il
26. DI PORTO A 15 Direction de la Recherche des Etudes de l Evaluation et des Statistiques D R E E S 31 DIXON J 36 DOBBS D 8 DONSA E 28 DUCOUDRE B 15 DUREL G 34 36 DURY M 10 D YVOIRE A 16 E ELBAUM M 20 ERGIS A M 12 F FERRY M 22 FIAT E 11 FINIELZ E 25 Fondation Roi Baudouin Bruxelles 7 11 FRANCOEUR M 32 FRAZER H 17 FREDJ K 35 FREMONTIER M 31 G GAGNON D 25 GARRIAUX J J 33 GASSIEN W 18 GAVARDIN T 28 GINESTE Y 11 GIVELET A 9 GLENAT M 15 GONGUET B 23 GONNET F 24 GREMY 1 20 GRISE J 12 Groupe de Suivi Inclusion Sociale EAPN R seau europ en de Lutte contre la Pau 17 GUBERMAN N 30 31 GUFFENS C 29 H HAMDOUN S 27 HANON 0 24 HAZIF THOMAS C 12 HENAFF PINEAU P C 21 I Institut National de formation et d application 9 J JANKE M 6 JUHEL J C 25 JUSOT F 6 K KAPSAMBELIS V 10 KHALFI M 5 KOSTER A 21 KOUCHNER C 18 KREVERS B 30 L LABORDE C 15 LAGA L 20 LAORER E 14 LAROQUE G 13 LAUDE A 18 LAVOIE J P 30 31 LE BIHAN B 30 LEFEVRE B 21 LEONETTI J 13 LEVET P 14 LUPTON M K 11 M MALLON L 8 MANTHORPE J 36 MARETTE J J 16 MARQUIS F 26 MARTIN J P 27 MARTINS MEUNE E 2
27. E 24116 ARTICLE LAGA L Le lancement des agences r gionales de sant Suite et fin ACTUALITES SOCIALES HEBDOMADAIRES 2010 04 16 n 2655 37 43 Cet article ach ve la pr sentation du dossier consacr au lancement des agences r gionales de sant avec les mesures relatives 4 la composition et au fonctionnement des conf rences r gionales de sant et de l autonomie et des conf rences de territoire instances charg es de contribuer la d finition et la mise en oeuvre de la politique r gionale de sant R A REFERENCE 24136 ARTICLE CASES C coor GREMY I coor PERRET P coor L valuation en sant publique ACTUALITE ET DOSSIER EN SANTE PUBLIQUE 2009 12 n 69 18 63 fig Que doit tre le bon usage de l valuation en sant publique et les conditions de son d veloppement Ce sont les questions que pose ce dossier L valuation doit r pondre une pluralit de besoins galement l gitimes Elle ne s adresse pas uniquement aux besoins des d cideurs centraux c est aussi un outil de connaissance et d apprentissage collectif pour l ensemble des acteurs du syst me de sant L valuation r pond bien s r l exigence de fonder la d cision politique sur une base plus rationnelle R A 19 e Sant Eco REFERENCE 24054 ARTICLE ELBAUM M Un nouveau mod le de financement pour la sant SANTE PUBLIQUE 2010 01 02 vol 22 n 1 91 106 tabl graph Des inflexions sont
28. GEVA se conclut par un volet de synth se qui d taille les points saillants de la situation de la personne les l ments n cessaires pour appr cier l ouverture de droits aux diff rentes prestations et identifie surtout ses besoins de compensation C est sur cette base que des r ponses seront propos es la personne par l quipe pluridisciplinaire dans le cadre d un autre outil pr vu par la loi du 11 f vrier 2005 le plan personnalis de compensation PPC extraits R A NO INVENTAIRE FNDOSS STRLOIF http www cnsa fr IMG pdf CNSA_GEVA_ signets pdf e D pendance REFERENCE 24066 ARTICLE FINIELZ E PIOTET F La probl matique de la notion de fragilit au coeur d une politique de pr vention de la d pendance LIEN SOCIAL ET POLITIQUES RIAC 2009 n 62 149 161 La Caisse nationale d assurance vieillesse CNAV charg e du versement des pensions des retrait s du r gime g n ral met galement en oeuvre une politique d action sociale visant 4 aider au maintien de l autonomie des retrait s qui n ont pas bascul dans la d pendance et ne sont alors pas tributaires d une prise en charge par les conseils g n raux A d faut d avoir les moyens d une action de pr vention g n ralis e a tous ses assujettis la CNAV a mis en oeuvre depuis 2003 une politique visant a aider les plus fragiles d entre eux S appuyant sur les r sultats d une recherche conduite pendant trois ans aupr s de cette population l art
29. ILE 2010 03 04 n 16 5 10 phot Si l urgence surprend ce n est pas vraiment par son caract re innatendu en effet le Dr Vasseur nous rappelle qu un grand nombre de d parts aux urgences tait en fait pr visible L urgence prend le professionnel au d pourvu lui donnant une seule possibilit r agir vite et bien Le professionnel peut se pr parer afin de faciliter le travail des urgences et rendre l preuve plus facile surmonter pour la 26 personne g e les proches et lui m me L h pital est encore per u comme un univers hostile Le Dr Jean Pierre Martin affirme qu une prise en charge peu appropri e aux pathologies du grand ge est l un des facteurs pouvant l expliquer La personne g e entre dans l univers des urgences aux professionnels de la soutenir pour l aider s y rep rer s y diriger mais surtout en sortir e Psychog riatrie REFERENCE 24081 ARTICLE PERSONNE M La psychog riatrie en mouvement LA REVUE FRANCOPHONE DE GERIATRIE ET DE GERONTOLOGIE 2009 11 vol 16 n 159 472 475 fig Il existe des solutions arborescentes aux probl mes v cus dans les tablissements Elles r clament la modification des habitudes pour que les sujets affaiblis puissent s exprimer autrement qu avec des conflits Pathologiques ils empoisonnent la vie des plus g s et des plus jeunes R A e Soins REFERENCE 24102 ARTICLE RAMAHERISON T CNOCKAERT X DONSA E La nuit en EHPAD
30. J M 22 THALINEAU A 5 THOMAS P 12 TRANNOY A 6 TROUVE E 26 TROUVE H 25 TUBEUF S 6 U Union Nationale des Instances Offices des Retrait s et Personnes Ag es 32 Universit Paris XII Val de Marne 9 V VASSALO M 23 VASSEUR E 27 VECCHIERINI M F 23 VERCAUTEREN R 33 VIGAN E 32 VIKAT A 5 VILLEZ A 32 VISSER M 21 38 WIGLESWORTH A 36 WOLFF F C 6 39 ADRESSES DES EDITEURS e Editeurs Francais CAISSE NATIONALE DE SOLIDARITE POUR l AUTONOMIE 66 avenue du Maine 75682 Paris cedex 14 Internet www cnsa fr CHRONIQUE SOCIALE 7 rue du Plat 69002 Lyon T 0478 37 22 12 Internet www chroniquesociale com DOCUMENT DE TRAVAIL DRESS Minist re de l emploi et de la solidarit 11 place des 5 martyrs du lyc e Buffon 75694 Paris cedex 14 T 01 40 56 80 68 Internet http www sante sports gouv fr documents de travail 5926 html ECONOMICA 49 rue H ricart 75015 Paris T 01 45 78 12 92 Internet www republique des lettres fr editions economica php EHESP Editions Av du Pr L on Bernard CS74312 35043 Rennes cedex T 02 99 54 90 98 Internet www presses ehesp fr ERES Editions 11 rue des Alouettes 31520 Ramonville St Agne amp 05 61 75 15 76 Internet www edition eres com ESPRIT DU TEMPS L B P 107 33491 Le Bouscat Cedex T 05 56 02 84 1
31. OEUR M ATTIAS DONFUT C pr f Fin de vie en tablissement g riatrique Grenoble Presses Universitaires de Grenoble 2010 03 295p Collection Handicap Vieillissement Soci t L entr e en institution n est pas un v nement banal dans une vie ni pour celui qui la vit ni pour celui qui prend la d cision de l imposer l autre Rares sont les personnes g es qui d cident en toute libert d entrer en Unit de Soins Longue Dur e La mort menace constante demeure la toile de fond de la vie quotidienne de ces institutions o l on vient pour y vivre en attendant d y mourir dans la grande d pendance extrait du 4e de couv NO INVENTAIRE FN9652 STR582 FRA P REFERENCE 24180 OUVRAGE BOULARD J C SECHET D VILLEZ A et al Union Nationale des Instances Offices des Retrait s et Personnes Ag es U N LO R P A Bordeaux FRA Choisit on d entrer en tablissement pour personnes g es Enjeux thiques et pratiques Paris l Harmattan 2009 191p tabl La G rontologie en Actes Aujourd hui en France choisit on d entrer en tablissement Cette d cision est elle encore le lieu de l exercice du libre arbitre de la personne concern e N est elle pas le plus souvent le r sultat d une d cision contrainte un non choix pour quelqu un qui n est d j plus consid r comme un citoyen libre de ses choix L Union Nationale des Instances et Offices de Retrait s et Personnes Ag es UNIORPA publi
32. SAN 440 VAS P REFERENCE 24106 ARTICLE MOULIAS R MOULIAS S HANON 0 et al Qu est ce qu une personne g e immunod prim e en 2010 LA REVUE DE GERIATRIE 2010 03 vol 35 n 3 185 195 tabl Les modifications immunitaires li es l avanc e en ge sont multiples avec une grande variabilit inter et intra individuelle Trois cat gories de modifications peuvent se rencontrer l immunosenescence r sultat de l accumulation des contacts antig niques l inflammaging effet des stimulations immuno inflammatoires r p t es au cours de l existence sur l organisme l intensit des comorbidit s Les cons quences peuvent tre s v res risque infectieux non contr lable vaccinations peu efficaces vieillissement acc l r avec en particulier risque vasculaire Le traitement du d ficit immunitaire du vieillard est celui de ses facteurs tiologiques et de ses complications extraits R A REFERENCE 24026 OUVRAGE MENECIER P GONNET F pr f Les a n s et l alcool Toulouse Er s 2010 226p Pratiques g rontologiques Il n est pas habituel d associer la vieillesse l existence de probl mes avec l alcool Sujet tabou parmi d autres l alcoolisme du sujet g est vite rel gu aux questions imagin es comme exceptionnelles anecdotiques dont on fait le choix de ne pas parler Lever le tabou sans intrusion irr fl chie participe la pr servation de la qualit de vie des personnes g e
33. TE ET SOCIETE 2009 11 n 58 134 158 graph tabl L analyse des donn es met en vidence une rupture non n gligeable de l engagement sportif sur la tranche d ge 50 54 ans Cette rupture ne doit cependant pas masquer d une part un effritement r gulier de l engagement sportif avec l ge dans la continuit des moins de 50 ans la part des sportifs parmi les non retrait s apr s 50 ans est en effet de moins en moins importante alors qu elle est stable chez les retrait s et d autre part des disparit s l int rieur des seniors en fonction du sexe de la retraite de la richesse et dipl mes Concernant les modalit s de pratiques les seniors ne se risquent plus a essayer de nouvelles pratiques et se recentrent progressivement sur une seule activit Ils se d sengagent progressivement des pratiques fort engagement physique et risque comme les sports collectifs et s engagent plut t dans des activit s mod r es Si pour les 50 69 ans il ne semble s op rer que des red finitions de modalit s de pratique il existe une v ritable rupture en termes d engagement sportif pour les 70 75 ans les taux de pratique se r duisant consid rablement extrait R A e Alimentation REFERENCE 24050 ARTICLE FERRY M MAUBOURGUET AKE N BLIN P Place de la d nutrition en EHPAD LA REVUE DE GERIATRIE 2010 02 vol 35 n 2 121 123 tabl Cet article est une pr sentation succincte d une tude dont l objectif principal
34. a caract risation du MCI PSYCHOLOGIE ET NEUROPSYCHIATRIE DU VIEILLISSEMENT 2010 03 vol 8 n 1 53 64 tabl Les troubles cognitifs l gers ou Mild cognitive impairment MCD repr sentent un important facteur de risque d volution vers la maladie d Alzheimer MA ou d autres syndromes d mentiels De nombreux travaux s attachent depuis une quinzaine d ann es a caract riser les modifications c r brales d sormais d celables in vivo d s les stades pr coces de la maladie gr ce des techniques d imagerie c r brale de plus en plus performantes Cet article a pour objectif de faire le point sur les anomalies c r brales mises en vidence chez les sujets MCI au moyen des diverses techniques d imagerie par r sonance magn tique IRM disponibles a ce jour extrait R A REFERENCE 24146 ARTICLE CHARAZAC P BASS H P Aidants soignants et maladie d Alzheimer LE JOURNAL DES PSYCHOLOGUES 2010 03 n 275 51 54 phot Face l agressivit que suscitent certains patients atteints de la maladie d Alzheimer quel cadre doit tre pos pour maintenir une juste distance dans l accompagnement Celui qui est en position d aidant conjoint ou enfant est objet de projection par le groupe famille qui id alise sa fonction C est alors que la question de la guidance se pose qui consiste en un recadrage et un tayage des identifications conscientes et inconscientes qui se trouvent attaqu es et ce jusqu la fi
35. bord es la question de la dignit du malade d Alzheimer sa citoyennet la relation soignant soign l thique et les philosophies de soin REFERENCE 24082 ARTICLE MERLET CHICOINE 1 PORCHERON J B PACCALIN M Prise en charge des troubles psychologiques et comportementaux survenant au cours des maladies d mentielles d origine d g n rative LA REVUE FRANCOPHONE DE GERIATRIE ET DE GERONTOLOGIE 2009 11 vol 16 n 159 476 478 Les troubles psychologiques et comportementaux repr sentent une v ritable difficult diagnostique et th rapeutique au cours des syndromes d mentiels L tiologie peut tre multifactorielle la prise en charge compliqu e et le v cu douloureux Les auteurs d crivent les diff rents sympt mes et insistent sur l importance de la formation des soignants R A REFERENCE 24084 OUVRAGE GRISE J Communiquer avec une personne g e atteinte de la maladie d Alzheimer un stade avanc Laval CAN Les Presses de l Universit Laval Lyon Chronique Sociale 2010 83p phot Au Qu bec en France et dans le monde les milieux g riatriques sont aux prises avec une augmentation significative du nombre de personnes atteintes de la maladie d Alzheimer L auteure retrace la d couverte de la maladie d Alzheimer et d crit ensuite les difficult s de communication 11 selon les stades de la maladie Elle d veloppe ensuite un mod le d interpr tation de la communication non verbale qui perm
36. corporelle la force d extension du genou et la force de pr hension ont t mesur es plusieurs fois au cours de l tude Les r sultats mettent en vidence les liens entre la 20 condition physique la perte de poids et la force musculaire et soulignent l int r t du test de 400 m tres en pratique clinique pour identifier les personnes risque REFERENCE 24060 ARTICLE HENAFF PINEAU P C Vieillissement et pratiques sportives entre mod ration et intensification LIEN SOCIAL ET POLITIQUES RIAC 2009 n 62 71 83 Cet article propose une analyse sociologique des transformations des pratiques sportives avec l avanc e en ge Si le vieillissement semble inexorablement se traduire par une r duction des activit s de plus en plus nombreux sont les seniors m me g s qui persistent dans une pratique physique ou sportive quelquefois loign e de la norme m dicale de mod ration Une enqu te par entretiens men e aupr s de 124 seniors hommes et femmes g s de 50 89 ans pratiquant notamment des gymnastiques d entretien des courses de longue dur e du tennis permet de mettre en vidence une typologie des trajectoires sportives et des strat gies contrast es d adaptation au vieillissement entre conomie et surench re d efforts R A REFERENCE 24137 ARTICLE BURLOT F LEFEVRE B Le sport et les seniors des pratiques sp cifiques In Famille et vieillissement en Europe Enqu te Share RETRAI
37. ctive concernant les malades g s de 65 ans et plus ayant une lombosciatique commune Il a t r alis une valuation clinique de la douleur un examen statique et dynamique pelvi rachidien un bilan neuro musculaire et une valuation fonctionnelle en d but et la fin d un programme de r ducation Le traitement r ducatif trouve une place de choix aussi bien par l action antalgique de la masso physioth rapie que par l action activatrice et dynamisante des exercices physiques extraits R A e H pital REFERENCE 24101 ARTICLE POUDENS L DE SMET L CHAMBENOIT T Prise en charge des patients g s aux Urgences Exp rience de l quipe mobile de g riatrie de l h pital d Aix en Provence LA REVUE FRANCOPHONE DE GERIATRIE ET DE GERONTOLOGIE 2009 12 vol 16 n 160 538 542 tabl phot Conform ment aux textes officiels une Equipe Mobile de G riatrie Eq M G a t cr e au sein du Centre Hospitalier du Pays d Aix en mars 2005 Cette quipe pluridisciplinaire a une action transversale dans tout l h pital mais intervient en priorit dans le service des Urgences Deux outils innovants issus de la r flexion locale ont t mis en place la fiche de rep rage des Personnes Ag es fragiles et la boite aux lettres g ronto afin de cibler au plus t t les patients n cessitant un avis g riatrique R A REFERENCE 24110 ARTICLE MARTIN J P VASSEUR E L hospitalisation d urgence DOC DOMIC
38. cupent le devant de la sc ne depuis plusieurs ann es maintenant Pourtant elles progressent peu Elles semblent m me s enliser dans une r alit qui ne parvient toujours pas entrer dans une dynamique d innovation sociale REFERENCE 24087 ARTICLE ROUX C P nibilit au travail pr venir l usure professionnelle pour vieillir en bonne sant DOCUMENTS CLEIRPPA 2010 02 n 37 12 16 Cet article reprend la s ance du 12 janvier 2010 de la session ordinaire du S nat ayant eu pour th me P nibilit emploi des seniors ge de la retraite quelle r forme en 2010 REFERENCE 24191 ARTICLE MERCAT BRUNS M La nouvelle obligation d agir en faveur de l emploi des seniors incitation ou r pression In Famille et vieillissement en Europe Enqu te Share RETRAITE ET SOCIETE 2009 11 n 58 208 211 Ce n est pas une simple invitation n gocier sur l emploi des seniors pour la p rennit du systeme des retraites qui a t adopt e par la loi de financement de la S curit sociale mais bien une obligation de conclure un accord collectif ou un plan d action applicable aux entreprises d au moins 50 salari s sous peine d une amende quivalente 1 des r mun rations Un d cret paru avant l t a pr cis les conditions dans lesquelles les entreprises peuvent tre sanctionn es compter du ler janvier 2010 lorsqu elles ne seront couvertes ni par un accord ni par un plan d action en faveur de l emploi des
39. d aidant nous les avons questionn es sur leur perception de la vieillesse et du vieillissement afin de faire ressortir plus sp cifiquement leur discours au sujet de leur propre vieillissement les fa ons dont elles s y pr parent et les exigences nonc es envers les services de sant et plus particuli rement les services publics pour les accompagner dans un vieillissement qu elles souhaitent radicalement diff rent de celui de leurs parents R A REFERENCE 24065 ARTICLE LAVOIE J P GUBERMAN N Le partenariat professionnel famille dans les soins aux personnes g es Un enjeu de reconnaissance LIEN SOCIAL ET POLITIQUES RIAC 2009 n 62 137 148 L Etat qu b cois l instar d autres dans le monde appelle au partenariat entre l Etat et la famille Ce partenariat toutefois se construira dans le quotidien des changes entre intervenants et aidants et exige une certaine congruence entre ces deux groupes sur le plan des attentes mutuelles et des responsabilit s attribu es l autre Quatre tudes men es par les auteurs indiquent plut t des normes quant la responsabilit familiale dans les soins et des attentes divergentes Elles expliqueraient les tensions relev es entre les deux groupes et soul vent des enjeux de reconnaissance de part et d autre Une reconnaissance mutuelle appara t comme fondamentale dans l instauration d une relation partenariale entre intervenants et aidants R A REFERENCE 24075 F
40. e dans ce livre les actes d une de ses journ es d tude extrait du 4e de couv NO INVENTAIRE FN9653 STR582 UNI REFERENCE 24193 ARTICLE CHOU R J A La volont de vivre dans les institutions d h bergement chez les adultes g s dans la Chine urbaine et rurale une tude nationale 31 Willingness to live in eldercare institutions among older adults in urban and rural China a nationwide study AGEING AND SOCIETY 2010 05 vol 30 n 4 583 608 tabl Les changements conomiques et socioculturels r cents font qu ils est de plus en plus difficile pour les familles chinoises de s occuper de leurs parents g s En cons quence l h bergement collectif a t d velopp mais de nombreux lits restent vacants Bas e sur une enqu te nationale aupr s de 20255 adultes g s cette tude a montr que tr s peu de Chinois g s voulaient vivre en tablissement Ils n taient que 20 en zone urbaine et 17 en zone rurale Les diff rents facteurs susceptibles d orienter le choix des personnes g es sont analys s le sexe la perception de l harmonie familiale les croyances socioculturelles et les pratiques dans l ducation et les soins aux personnes g es les connaissances sur les tablissement e Qualit de vie REFERENCE 24141 ARTICLE CHARLANNE D MOREL S BIOLCHINI C GARRIAUX J J Agence Nationale de L Evaluation et de la Qualit des Etablissements et Services Sociaux et M dico Sociaux
41. el et un p le conomique le vieillir en restant actif par la formation ne se limite plus au seul rapport culturel D autres types de rapports se dessinent s occuper se rendre utile se reconvertir qui rendent compte des enjeux contemporains de l activit de formation dans ce temps de l existence R A e Religion REFERENCE 24019 ARTICLE DAALEMAN T P DOBBS D Religiosit spiritualit et attitudes par rapport la mort chez les adultes g s souffrant de maladie chronique Religiosity spirituality and death attitudes in chronically ill older adults RESEARCH ON AGING 2010 03 vol 32 n 2 224 243 tabl Cette tude a t men e aupr s de 257 personnes g es souffrant de maladie chronique et recrut es par le biais de r seaux de sant primaire au Kansas et en Caroline du Nord Les entretiens se d roulaient au domicile des participants et portaient sur plusieurs sujets donn es d mographiques tat de sant situation sociale et psychologique Les attitudes face la mort ont t valu es avec le Death Attitude Profile Revised qui comprend 32 items class s en cing parties Les r sultats montrent que les personnes ont des approches diff rentes de la mort en fonction de leur croyance e Repr sentation de la vieillesse REFERENCE 24068 FASCICULE BERNIER C coor MALLON 1 coor Vieillir pose t il vraiment probl me LIEN SOCIAL ET POLITIQUES RIAC 2009 n 62 180 p Ce num ro
42. ent la peur d Alzheimer est l et ils sont nombreux essayer de nous vendre des solutions La m moire est devenue un business colossal L industrie pharmaceutique des sp cialistes du logiciel c r bral et du coaching neuronal se partagent ce march en pleine explosion tudiants cadres stress s ou s niors actifs aujourd hui tout le monde essaye d entretenir sa m moire Une vraie course la performance Un des jeux vid os le plus vendu 47 de la plan te est un fameux programme d entrainement c r bral cr par un docteur japonais qui s est vendu plus de trente millions d exemplaires dans le monde dont pr s de 2 millions en France En France le march des compl ments alimentaires p se plus d un milliard d euro et il existe des centaines de pilules pour augmenter la capacit de m morisation 60 euros la bo te Les m thodes de coaching c r bral 300 euros les deux jours se multiplient tout est bon pour booster sa m moire et ses neurones Mais ces nouveaux produits et ces m thodes d entrainement c r bral sont ils vraiment efficaces et sans danger Enqu te sur ceux qui tirent profit de notre peur de perdre la m moire http envoye special france2 fr http guide alzheimer fr video envoy sp cial m moire le business de la peur 48
43. entretiens r alis s aupr s d aidants conjoints et enfants principalement se propose d laborer une autre repr sentation qui prend la forme d une typologie mettant en relief la diversit des exp riences de l aide aide alt ration aide contraintes aide engagement et aide satisfaction R A e Famille REFERENCE 23997 OUVRAGE REGNIER LOILIER A dir VIKAT A pr f Portraits de familles L enqu te Etude des relations familiales et interg n rationnelles Paris Ined 2009 543p tabl fig ann Grandes Enqu tes La famille le couple les relations entre g n rations rev tent aujourd hui des r alit s multiples Y a t il de nouvelles formes de conjugalit Que signifie tre en couple sans vivre ensemble Quelle influence la religion a t elle sur le mariage et les naissances Quelles sont les implications d une s paration sur l histoire familiale des enfants Le partage des t ches au sein du couple a t il chang Les grandes tapes du passage l ge adulte ont elles volu depuis 20 ans D sire t on un deuxi me enfant dans les m mes conditions que le premier Les relations entre parents et enfants adultes ont elles chang Qui sont les grands parents d aujourd hui Afin de rendre compte des nouveaux comportements d mographiques en France l Ined et l Insee on interrog 10 000 personnes repr sentatives de la population en 2005 Enqu te Etude des relations familiales et interg n
44. es aides informelles et les aides professionnelles re ues observ es dans leurs ventuelles modifications au cours du temps extrait R A REFERENCE 24185 RAPPORT Fondation Roi Baudouin Bruxelles BEL La solidarit entre les g n rations la voie vers l avenir Propositions de la coalition d ONG pour une ann e 2012 du vieillissement actif et de la solidarit entre le g n rations Bruxelles Fondation Roi Baudouin 2010 36p photos Cette brochure a t diffus e l occasion de la deuxi me journ e europ enne de la solidarit et de la coop ration entre les g n rations et pour contribuer l Ann e europ enne 2010 de lutte contre la pauvret et l exclusion sociale par une coalition d ONG Ces diff rentes ONG ont voulu d montrer l importance de la solidarit entre les g n rations et formuler des recommandations pour cr er un environnement dans lequel le r le de chacun est valoris NO INVENTAIRE FNDoss Europe SHPES Interg n ration e Vie sociale REFERENCE 24057 ARTICLE CHAMAHIAN A Vieillissement actif et enjeux de la formation dans le temps de retraite LIEN SOCIAL ET POLITIQUES RIAC 2009 n 62 59 69 A partir d une tude sur l engagement en formation dans les universit s et les universit s Tous ges l article interroge la notion de vieillissement actif travers l analyse des rapports que les retrait s entretiennent face la formation Pris dans une tension entre un p le cultur
45. es dans leurs relations avec les autres La qualit de ces relations incombe l utilisation d aides techniques mais aussi au comportement de l entourage particuli rement dans les tablissements d accueil o les soins consistent accompagner jusqu au bout la vie N anmoins la pr occupation de la communication soignant soign y est omnipr sente Pour valuer la qualit de la communication et en identifier les probl mes une quipe canadienne a labor un protocole Montreal Evaluation of Communication Questionnary in Long Term Care avec pour objectif de d velopper des outils et strat gies adapt s aux personnes g es extrait R A REFERENCE 24093 ARTICLE GUFFENS C Vers une d marche de bientraitance en institutions de soins LA REVUE FRANCOPHONE DE GERIATRIE ET DE GERONTOLOGIE 2009 11 vol 16 n 159 488 491 La bientraitance des personnes g es en institution ne peut trouver de d finition statique ou fig e Parler de bientraitance signifie que le professionnel ou l institution est dans une d marche continue de r flexion sur ses pratiques et d am lioration de celles ci La bientraitance est un cheminement pas un acquis Eviter tout acte de maltraitance est loin de suffire pour que l on puisse parler de bientraitance extrait R A e Soins informels REFERENCE 23996 ARTICLE BLIESZNER R ROBERTO K A Les r actions de l aidant familial la survenue du d ficit cognitif l ger Care partner
46. ettra de renouer le dialogue Enfin tout au long du texte des photographies refl tent les principales expressions de la tristesse la joie de la personne atteinte de la maladie d Alzheimer un stade avanc extrait 4e de couv NO INVENTAIRE FN9646 SHP138 41GRL P REFERENCE 24100 ARTICLE PEIX R O HAZIF THOMAS C THOMAS P D marche de qualit dans la communication et processus d mentiel LA REVUE FRANCOPHONE DE GERIATRIE ET DE GERONTOLOGIE 2009 12 vol 16 n 160 530 536 fig tabl Une bonne communication avec un malade d ment est un soin a part enti re une th rapeutique pr ventive de d sordres thymiques curative d angoisse de mal tre de tristesse ou de sentiments d abandon Les mots tant perdus ou leur sens alt r pour le patient le vocabulaire utilis par les soignants sera simple les phrases courtes incitatives On attachera une grande importance au non verbal L article pr sente les modalit s d une bonne communication avec le patient qu il en soit l origine ou que les soignants en soient responsables Il propose des d marches de soin int grant les m thodes de validation calibrage et d am lioration de sa r silience Le soin centr sur la personne n a pas besoin d tre proclam pour satisfaire le politiquement correct mais d tre appliqu en pratique par une d marche qualit R A REFERENCE 24117 ARTICLE BACLET ROUSSEL C ANKRI J ERGIS A M Apport de l IRM l
47. eux 15 facteurs contribuent faire de l information une fonction majeure des r gimes de retraite Cette lettre voque tous les aspects li s cette n cessit d informer http www observatoire retraites org uploads tx_orpublications LOR17 pdf REFERENCE 24188 ARTICLE BENALLAH S METTE C Age moyen de d part en retraite tendances r centes et volutions attendues In Famille et vieillissement en Europe Enqu te Share RETRAITE ET SOCIETE 2009 11 n 58 166 183 graph tabl ann Les volutions venir de l ge de d part la retraite sont difficiles appr hender et elles d pendent de fa on cruciale des conditions d emploi dans la p riode qui pr c de la retraite Avec un ge moyen de cessation d finitive d activit qui reste toujours fix autour de 55 ans l am lioration attendue de la situation sur le march du travail dans la p riode qui pr c de la retraite ne semble pas pour l instant se profiler extrait intro e Ressources REFERENCE 24029 OUVRAGE PILGRAM A SEIFERT K Pro Senectute Zurich CHE Vivre avec peu de moyens La pauvret des personnes g es en Suisse Zurich Pro Senectute 2009 104p graph Pro Senectute conna t bien la probl matique de la pauvret chez les personnes g es car une grande partie des hommes et des femmes qui viennent demander aide et conseil aupr s des bureaux de la consultation sociale vit dans des conditions extr mement
48. fng CENTRE DE DOCUMENTATION CINEVIDEOTHEQUE BIBLIOGRAPHIE FILMOGRAPHIE Bulletin Bimestriel FNG CLEIRPPA Mars Avril 2010 FONDATION NATIONALE DE GERONTOLOGIE 49 rue Mirabeau 75016 PARIS Internet www fng fr Centre de Documentation FNG CLEIRPPA 01 55 74 67 14 ou 04 E mail doc fng fr Cin vid oth que FNG CLEIRPPA 01 55 74 67 12 E mail audiovisuel fng fr La Bibliographie Filmographie est un Bulletin bimestriel labor par le Centre de documentation et la Cin vid oth que FNG CLEIRPPA Le Bulletin signale tous les deux mois les publications et les films les plus r cents dans le domaine du vieillissement Il comporte une partie Bibliographie et une partie Filmographie Les bulletins de l ann e sont disponibles sur notre site web l adresse suivante http www fng fr html documentation bibliographie bibliographie htm La Bibliographie se compose D une partie signal tique pr sentant les notices bibliographiques selon un classement th matique De plusieurs index auteurs diteurs facilitant la recherche Tous les documents r f renc s dans cette bibliographie sont consultables au centre de documentation ou peuvent tre command s directement aupr s de l diteur dont les coordonn es sont mentionn es dans le Carnet d adresses des Editeurs Les r f rences bibliographiques sont galement accessibles sur notre site web http www fng fr dans la rubri
49. fond ment marqu s par l ge attendent en vain une place dans une structure d h bergement Et les structures elles m mes se trouvent mal pr par es pour la nouvelle long vit des personnes d ficientes intellectuelles Ce film expose la pr carit de ces situations et sugg re quelques pistes suivre En version DVD Le partage des diff rences 40 mn 1994 Jean Marc FAURE Fondation de France R troviseur L accueil des de personnes handicap es mentales et de personnes g es en maison de retraite ordinaire se pratique depuis longtemps en France Contest e en tour cas occult e pendant les derni res d cennies cette pratique attire maintenant l attention des pouvoirs publics en tant que formule d accueil possible pour les personnes handicap es vieillissantes Comment cette cohabitation se passe t elle L accueil conjoint serait il une voie d avenir R alis en compl ment d une tude men e par le R seau de Consultants en G rontologie ce film pr sente trois maisons de retraite qui accueillent des personnes handicap es mentales et nous fait partager leur quotidien En version DVD Pour m moire La d mence s nile chez les personnes d ficientes intellectuelles 52 mn 1998 Jean Marc FAURE Fondation de France ENIDA Enida Communaut Europ enne R troviseur L allongement de l esp rance de vie des personnes d ficientes intellectuelles s accompagne de cons quences jusqu ici in dites les d ficie
50. icle apr s avoir retrac la gen se de cette politique s attache l analyse de la notion de fragilit et aux difficult s de son op rationnalisation par la CNAV R A REFERENCE 24067 ARTICLE COUTURIER Y TROUVE H GAGNON D et al R ceptivit d un mod le qu b cois d int gration des services aux personnes g es en perte d autonomie en France LIEN SOCIAL ET POLITIQUES RIAC 2009 n 62 163 174 Le pr sent article analyse la r ceptivit en contexte fran ais d un mod le qu b cois d int gration des services aux personnes g es en perte d autonomie partir d une tude de mise en oeuvre de projets pilotes sur trois sites fran ais L tude de la r ceptivit constitue un analyseur puissant des conditions de possibilit d une mise a jour d un syst me socio sanitaire Dans une perspective n o institutionnaliste l article cherche mieux comprendre comment se d ploie pour un syst me socio sanitaire particulier la capacit d innover Il se compose de trois parties La premi re probl matise la question de l int gration la seconde analyse l volution du syst me socio sanitaire fran ais tandis que la derni re expose la r ceptivit d un mod le d int gration au regard de cette perspective n o institutionnaliste Cette analyse de la r ceptivit r v le une tension entre deux logiques d action 24 publique en France en mati re d int gration des services soit celle de la r duction de la co
51. ies intrins ques au sommeil comme le syndrome des jambes sans repos les mouvements p riodiques des membres inf rieurs ou encore le syndrome d apn es du sommeil situations pathologiques mal rep r es et pourtant l origine d une alt ration significative de la qualit de vie La question des troubles du sommeil chez les patients Alzheimer reste une pr occupation quotidienne que ce soit domicile ou en institution Avant toute prescription d hypnotiques ou autres psychotropes devant une plainte du sommeil il para t indispensable de sensibiliser les sujets g s aux risques inh rents ce type de prescription qui ne devrait plus repr senter l unique et automatique recours dans ces situations extrait R A REFERENCE 24108 ARTICLE VECCHIERINI M F Les troubles du sommeil dans la d mence d Alzheimer et autres d mences PSYCHOLOGIE ET NEUROPSYCHIATRIE DU VIEILLISSEMENT 2010 03 vol 8 n 1 15 23 Les troubles du sommeil dans les d mences ont surtout t tudi s dans la maladie d Alzheimer MA Ils ont t observ s chez 25 35 des malades Ce sont des troubles subjectifs et objectifs caract ris s par des veils nocturnes prolong s qui aboutissent une fragmentation du sommeil avec diminution voire disparition du sommeil lent profond et modifications du sommeil paradoxal Ils sont dus au processus de la maladie elle m me l sions des voies cholinergiques et du pacemaker circadien aux nombreuses
52. it un Mode d emploi pour donner de la coh rence dans la prise en charge et apporter des solutions concr tes aux petits et grands probl mes du quotidien Ce livre a t labor dans ce but il est destin aux aidants des malades d Alzheimer tant sur le plan de la compr hension de la maladie que pour les d tails pratiques de la vie quotidienne les aspects priv s publics sociaux conomiques juridiques NO INVENTAIRE FN9635 SHP138 41 POL REFERENCE 24037 OUVRAGE CHARLOT V RONDIA K Fondation Roi Baudouin Bruxelles BEL Un autre regard sur la maladie d Alzheimer et les maladies apparent es Bruxelles Fondation Roi Baudouin 2009 47p graph 10 Cette brochure color e teint e d humour a pour but de lutter contre les id es fausses sur la d mence parce que chaque malade reste avant tout une personne part enti re En partant chaque page d une id e re ue toute faite et commun ment admise elle tente de l clairer autrement la lumi re des connaissances m dicales et psychologiques les plus r centes NO INVENTAIRE FNDoss Belgique SAN D mence REFERENCE 24077 ARTICLE LUPTON M K STAHL D ARCHER N et al Les effets de l ducation de l emploi et de l ge de la retraite sur l ge de d but de la maladie d Alzheimer Education occupation and retirement age effects on the age of onset of Alzheimer s disease INTERNATIONAL JOURNAL OF GERIATRIC PSYCHIATRY 2010 01 vol 25
53. la touche 36 mn 2010 Marie Laure GENDRE Vincent FERREIRA France 2 Emission Envoy Sp cial diffus e sur France 2 le 1 avril 2010 pr sent e par Guilaine Chenu et Fran oise Joly r alis par J r me Revon Pass un certain age il est tr s difficile de payer en plusieurs fois sans frais un canap ou une machine a laver Dans les grands magasins les vendeurs dissuadent les seniors de demander un cr dit D sol avec vote ge le dossier ne passera pas il faut payer comptant Une situation humiliante pour No lle 82 ans ou Francoise 76 ans suivies dans cette enqu te Pourtant leurs revenus sont confortables En France de plus en plus de discriminations li es a l ge apparaissent dans des domaines insoupconn s de la vie quotidienne Les seniors rencontrent de nombreuses difficult s pour acheter un meuble cr dit louer un appartement assurer une voiture emprunter de l argent ou travailler Pendant trois mois une quipe d Envoy sp cial a enqu t Paris Dijon Toulouse et Avignon avec des personnes g es victimes de discriminations Certains organismes de cr dit refusent d accorder une carte de paiement apr s 75 ans Des agences immobili res expliquent que l ge est un probl me pour louer un appartement de nombreux propri taires de logements refusant cat goriquement de louer des seniors Dans certaines banques le co t du cr dit pour un pr t immobilier est beaucoup plus cher pour
54. le fait tat des mesures et des actions animant l actualit des professions de r ducation en g riatrie nouvelle d finition des m tiers coop rations et d l gations de t ches Haut Conseil des Professions Param dicales cr ation de conseils de l ordre Plan Alzheimer recherche et d veloppement des bonnes pratiques sant publique Les professionnels de sant doivent trouver leur place dans ces changements et apporter des r ponses adapt es aux probl mes de la personne g e et de son entourage extrait R A REFERENCE 24095 ARTICLE MOUREY F La d sadaptation psychomotrice prise en charge LA REVUE FRANCOPHONE DE GERIATRIE ET DE GERONTOLOGIE 2009 11 vol 16 n 159 496 497 Le Syndrome de D sadaptation Psychomotrice survient chez des sujets g s fragiles Il est caract ris par un d s quilibre arri re r tropulsion en position assise et debout une hypertonie r actionnelle une alt ration des r actions posturales des modifications de la marche et une peur de tomber En dehors de l approche m dicale la r ducation constitue l aspect le plus important de la prise en charge extrait R A REFERENCE 24096 ARTICLE MARQUIS F R ducation des troubles du langage de la personne g e LA REVUE FRANCOPHONE DE GERIATRIE ET DE GERONTOLOGIE 2009 11 vol 16 n 159 498 500 La r ducation a pour but de maintenir le plus longtemps possible la communication du patient avec son entourage et r ci
55. les r f rences permettra de donner sens aux actions et d en rep rer les balises dans cette perspective de compr hension des processus l oeuvre REFERENCE 24151 ARTICLE CASTAIGNEDE V MICHEL J Recommandations et r f rences sur la bientraitance Exemple de mise en oeuvre au sein d un tablissement m dico social LES CAHIERS DE L ACTIF 2009 07 10 n 398 401 241 263 Les recommandations de bonnes pratiques de l ANESM sont la fois l aboutissement de ce cheminement engag d s 2002 sur la question de la qualit des prestations la s curit physique psychologique et financi re de la personne accueillie et le point de d part d une large interrogation sur les pratiques professionnelles de salari s au contact de personnes vuln rables ainsi que sur les organisations institutionnelles susceptibles d am lioration Le propos de l article est de pr senter les modalit s op rationnelles de mise en oeuvre des recommandations issues de ces diff rentes l gislations et textes de cadrage travers des illustrations tir es d exemples issus de l exp rience conduite l Institut d Education Motrice de Talence REFERENCE 24152 ARTICLE CARLOTTI M Maintien domicile Mission impossible Une politique des services la personne hauts risques LES CAHIERS DE L ACTIF 2009 07 10 n 398 401 255 263 L Agence Nationale de l Evaluation des Etablissements M dico sociaux vient de publier sa Recommandation de bon
56. lients moments d cisifs ou changements graduels How to achieve resilience as an older widower turning points or gradual change AGEING AND SOCIETY 2010 04 vol 30 n 3 369 382 tabl Cet article rapproche deux conceptualisations de la r silience dans le deuil et le veuvage d velopp es par Bonanno 2004 et Moore et Stratton 2003 partir de donn es nord am ricaines Les donn es utilis es ici sont tir es de deux tudes anglaises sur le veuvage Parmi un chantillon total de 60 veufs 38 ont fait preuve de r silience face aux cons quences n fastes du veuvage Plusieurs aspects caract risaient les hommes r silients une histoire de vie consid r e de mani re positive des relations sociales et la participation des activit s Quatre grandes cat gories de veufs r silients ont t identifi es Dans la premi re les hommes ont manifest de la r silience d s le d but Dans la seconde la r silience est venue graduellement et dans la troisi me suite un v nement d cisif Enfin pour un petit groupe le chemin vers la r silience a combin un changement progressif et une rupture Les caract ristiques personnelles avaient plus d influence pour ceux du premier groupe alors que les relations sociales informelles et formelles taient plus importantes dans le dernier groupe e Aptitude REFERENCE 24143 ARTICLE MENECIER P AFIFI A DURY M et al Profil des patients rencontr s en consultatio
57. mpagner le vieillissement Enfin la derni re section aborde les questions touchant aux transformations des services publics en lien avec un nombre croissant de personnes d pendantes R A REFERENCE 24086 DIPLOMES GIVELET A PUIJALON B dir Universit Paris XII Val de Marne U F R S E S S S T A P S Paris FRA Institut National de formation et d application I N F A Nogent Sur Marne FRA La robe du temps La valse des apparences La fonction du v tement dans la pr sentation ou la repr sentation de soi en h bergement collectif pour les personnes g es Paris Universit Paris XII 2009 09 259p phot tabl ann r f 4p M moire de Master Sciences de la soci t La recherche men e sur la fonction et l image de la vieillesse par le port du v tement dans les h bergements collectifs prouve que l habit pouse le moral le contexte social et culturel de l tre humain Parler de l habit port r veille les motions et engage la personne raconter son histoire Les entretiens men s au cours de cette tude mettent en vidence que le v tement permet de traverser la pens e Aussi ils noncent que le v tement est un espace de contrainte de sociabilit et ou de libert Cette tude nous d montre que le v tement qu il soit costume ou habit est le premier des langages par le fait qu il transmet des informations On pourrait dire qu il est symboliquement l embl me des identit s de l tre h
58. mplexit syst mique et celle de son animation R A e R ducation REFERENCE 24085 OUVRAGE JUHEL J C La psychomotricit au service de la personne g e R fl chir agir et mieux vivre Laval CAN Les Presses de l Universit Laval Lyon Chronique Sociale 2010 235p fig ann Cet ouvrage s adresse aux personnes g es et aux intervenants de la sant Au fil des chapitres l auteur explore les sujets suivants les processus physiologiques du vieillissement sur les plans physique cognitif social et affectif les probl mes psychomoteurs les plus fr quents au cours du vieillissement normal les dysfonctionnements psychomoteurs particuliers que l on retrouve dans certaines pathologies comme dans la maladie de Parkinson et la maladie d Alzheimer des moyens des strat gies pour aider l intervenant Le dernier chapitre propose un choix d exercices pratiques illustr s par des dessins explicatifs Il comprend deux rubriques des exercices psychomoteurs qui sont bas s sur des mouvements doux et fluides des exercices de stimulation des processus cognitifs ax s sur les habilet s visuospatiales la m moire l attention et la r solution de probl mes extrait 4e de couv NO INVENTAIRE FN9647 SHP131 1 JUH P REFERENCE 24094 ARTICLE TROUVE E Actualit s des professions de r ducation et r adaptation LA REVUE FRANCOPHONE DE GERIATRIE ET DE GERONTOLOGIE 2009 11 vol 16 n 159 492 495 Cet artic
59. n 1 30 36 tabl A partir de 1320 cas probables de d mence collect s par des centres de recherche m dicale a Cardiff Londres et Dublin des analyses par r gression multiples ont t men es pour un chantillon de 382 hommes dont les informations concernant l emploi et l ge de d part en retraite taient disponibles Les r sultats n ont pas montr de lien entre l ducation le niveau de qualification et le type d emploi occup et l ge de la survenue de la maladie Cependant la maladie d Alzheimer semble d buter plus tard pour ceux qui restent plus longtemps au travail Parmi diff rentes explications possibles les auteurs sugg rent que le fait de rester actif permet aux individus de prolonger leur r serve cognitive au dessus du seuil de d mence REFERENCE 24079 ARTICLE GINESTE Y SICART N FIAT E et al Dossier sp cial approches non m dicamenteuses de la maladie d Alzheimer LA REVUE FRANCOPHONE DE GERIATRIE ET DE GERONTOLOGIE 2009 10 vol 16 n 158 411 450 graph Ce dossier sp cial propose un ventail non exhaustif d approches non m dicamenteuses dans la maladie d Alzheimer la m thodologie de soins Gineste Marescotti la th rapie familiale la Validation de Naomie Feil la m diation animale l approche Carpe Diem approches pr sent es lors du colloque international organis par Agevillage et les auteurs de la m thodologie de soins Gineste Marescotti les 12 et 13 novembre 2009 Sont aussi a
60. n de vie R A e Psychoth rapie REFERENCE 24089 ARTICLE BERGERET AMSELEK C Une psychanalyse apr s 70 ans est ce possible DOCUMENTS CLEIRPPA 2010 02 n 37 24 25 12 Rencontrer un psychanalyste permet d accompagner un travail de reconstruction et d int gration du pass et d aider une personne qui n a pas forc ment int rioris des parents suffisamment bons pour se sentir exister pleinement extrait du texte MORT REFERENCE 24031 OUVRAGE RICOT J LEONETTI J pr f Ethique du soin ultime Rennes Presses de l EHESP 2010 284p Puisant ses r flexions dans ses rencontres avec des familles et des soignants confront s la question de l accompagnement ultime l auteur d veloppe une philosophie morale interrogeant le statut du mourant dans notre soci t Il souligne les apports fondamentaux encore trop m connus des Fran ais de la loi Leonetti relative aux droits des malades et la fin de vie Et lorsqu il d crypte les arcanes politiques du d bat sur l euthanasie ou d nonce les manipulations autour des affaires Humbert et S bire il veille toujours chez le lecteur cet esprit critique indispensable pour se d faire de la tyrannie des id es simples NO INVENTAIRE FN9644 SHP113 RIC P REFERENCE 24127 ARTICLE LEONETTI J LAROQUE G DELBECQUE H et al SCHAERER R d Accompagnement et soins palliatifs l ge de la maturit JALMALV BULLETIN
61. n m moire Analyse de 3 ann es d activit d une consultation m moire de proximit REPERES EN GERIATRIE 2010 03 vol 12 n 97 77 80 tabl Le nombre des consultations m moire s est largement accru depuis les ann es 2000 La circulaire du 16 04 2002 en a d fini le cahier des charges et a donn les orientations tout en encadrant leur d veloppement Le niveau d activit de ces centres a suivi le m me essor soutenu par la d clinaison des diff rents plans Alzheimer Entre consultations m moire de proximit et centre m moire de source et de recherche universitaires la couverture du territoire national s est compl t e R A e Psychopathologie REFERENCE 24154 ARTICLE KAPSAMBELIS V CICCONE A CHARAZAC M et al L angoisse SANTE MENTALE 2010 01 n 144 21 70 phot L angoisse pr sente chez l individu d s le d but de la vie est un probl me central du d veloppement psychique Mais dans certaines p riodes charni res de l existence l angoisse peut alt rer la relation Omnipr sente dans les soins le soignant y fait face lors de sa rencontre avec le patient Il doit alors porter cette angoisse et la sienne pour en permettre l laboration R A e D mence REFERENCE 24015 OUVRAGE POLYDOR J P CHAPSAL M pr f Alzheimer mode d emploi Le livre des aidants Paris L Esprit du Temps 2009 350p Sant Mode d Emploi Pour les malades d Alzheimer et les aidants familiaux il manqua
62. nces surajout es et les maladies associ es l ge Parmi celles ci figure la d mence s nile perspective qui inqui te aussi bien les familles que les professionnels Comment d celer cette maladie Comment accompagner les personnes pour que leurs derni res ann es soient de qualit Cl d argent au 23 me festival international cin vid o psy Lorquin 1999 En version DVD Tous mes mots s envolent 52 mn 1996 Jean Marc FAURE Fondation de France Programme Personnes Handicap es R troviseur 46 SS Handicap invisible la surdit compromet la communication et les relations avec autrui Les personnes devenues sourdes ou malentendantes tr s nombreuses en France ne vivent pas leur situation comme les personnes sourdes de naissance Or l importance de ce handicap est rarement reconnue par l entourage Ce film t moigne des difficult s et des souffrances auxquelles ces personnes sont confront es en raison de la rupture totale ou partielle avec le monde des entendants Il dit galement les espoirs d une population en mal de reconnaissance espoirs fond s sur le d sir de rester en contact co te que co te Ce film a t Grand prix du Festival international du film de sant d Aurillac en 1999 et Prix Stanislas 1998 du Festival national audiovisuel en orthophonie de Nancy Renseignements R troviseur 38480 Saint Martin de Vaulserre Tel 04 76 07 59 95 Email retroviseur2 wanadoo fr Les seniors sur
63. nes pratiques professionnelles pour la pr vention et le traitement de la maltraitance au domicile Mais cette recommandation aussi pertinente soit elle vient se heurter la politique de d veloppement des services pr sent e par l Agence Nationale des Services la Personne dans le cadre du plan Borloo 2 pr sent par Laurent Wauquier le 24 mars 2009 Les actions du plan Borloo articul es aux pr conisations de l ANESM prennent en tenaille les services d aide domicile qu ils condamnent br ve ch ance alors qu ils ont pour intention d clar e de d velopper le secteur des services la personne tout en d finissant les r gles de protection des usagers L enjeu pour les services d aide aux personnes d pendantes est donc un enjeu vital L impact de cette politique peut avoir des effets d l t res sur l ensemble des acteurs du maintien domicile des personnes d pendantes au point qu on peut s interroger sur ce qu elle r v le d un ressentiment l gard de ces publics R A PERSONNEL REFERENCE 24092 ARTICLE DUREL G SABY TESSIER M F ROUX S et al Impact de l Evaluation G riatrique Standardis e mise en place au sein d un EHPAD sur l implication des soignants dans les discussions thiques LA REVUE FRANCOPHONE DE GERIATRIE ET DE GERONTOLOGIE 2009 11 vol 16 n 159 484 487 La pratique de l EGS devient une d marche g riatrique de base Les EHPAD sont appel s utiliser cette m thode pour appo
64. nt soulign l influence du milieu social d origine sur la sant a l ge adulte et l existence d une transmission de la sant entre g n rations Les donn es de la vague 2004 2005 de l enqu te Share offrent l opportunit d tudier pour un chantillon repr sentatif de seniors europ ens l effet sur leur tat de sant per u de la profession et de la long vit de leurs parents extrait R A REFERENCE 24121 FASCICULE ATTIAS DONFUT C coor SIRVEN N coor Famille et vieillissement en Europe Enqu te Share RETRAITE ET SOCIETE 2009 11 n 58 243p graph tabl L enqu te Share Survey of Health Aging and Retirement in Europe sur la sant le vieillissement et la retraite en Europe constitue un outil pr cieux pour comprendre les relations entre la sant la participation au march du travail et le contexte institutionnel de prise en charge des personnes g es en Europe Cette base de donn es multidisciplinaire internationale et longitudinale est compos e de deux vagues d enqu te men es respectivement en 2004 2005 et 2006 2007 aupr s de m nages dont au moins un des membres est g de 50 ans ou plus en France et dans une douzaine de pays europ ens Ce num ro de Retraite et Soci t est le second volet consacr a Share S appuyant sur des r sultats in dits de ce panel il apporte des l ments de r ponse a des questions li es aux aspects familiaux et sociaux du vieillissemen
65. odifier en profondeur le syst me de sant fran ais Les quatre titres de la loi Modernisation des tablissements de sant Acc s de tous des soins de qualit Pr vention et sant publique et Organisation territoriale du syst me de sant font l objet de commentaires dans cet ouvrage Chaque commentaire retrace l volution des principales dispositions au regard de la l gislation pr c dente et des d bats parlementaires et s inscrit dans la perspective des volutions du syst me de sant Ces commentaires sont suivies par les r flexions personnelles sur le sujet de sp cialistes NO INVENTAIRE FN9638 SAN450 COU P C REFERENCE 24177 OUVRAGE CLEMENT J M La nouvelle loi H pital Patients Sant Territoires analyse critique et perspectives Bordeaux Les Etudes Hospitali res 2009 131p Essentiel La loi n 2009 879 du 21 juillet 2009 portant r forme de l h pital et relative aux patients la sant et aux territoires dite loi HPST va bien au del du domaine hospitalier elle concerne l ensemble du champ sanitaire et m dico social La loi HPST est une grande loi de sant publique pour ou contre il est ind niable que chacun sera frapp par la volont du l gislateur d impliquer l tat dans l offre galitaire et de qualit des soins De la pr vention aux soins chroniques toutes les facettes de l offre de soins sont concern es et l tat devient le v ritable chef d orchestre de toutes les professi
66. ons de sant et de tous les offreurs de soins L tat par ses services d concentr s en r gion regroup s en agences r gionales de sant va donc r genter l ensemble du sanitaire et du m dico social NO INVENTAIRE FN9651 SAN461 CLE P REFERENCE 24052 ARTICLE TABUTEAU D Loi H pital patients sant et territoires HPST des interrogations pour demain SANTE PUBLIQUE 2010 01 02 vol 22 n 1 79 90 L auteur imagine deux sc narios d application possibles pour la loi HPST qu il d crit dans cet article le sc nario de la renaissance et le sc nario de la d rive Il se pose galement trois questions relatives la r forme La r gion est elle appel e rester un cadre d action sanitaire ou peut elle devenir un cadre de d cision La r gion sera elle le territoire d exp rimentation d un nouveau mod le pour le syst me de sant ou appara tra t elle comme la plaque tournante de la confusion des secteurs La r gion sera t elle un tremplin pour la technocratie sanitaire ou le creuset de la d mocratie sanitaire REFERENCE 24056 ARTICLE SAOUT C La r gionalisation de la sant une chance pour la d mocratie sanitaire SANTE PUBLIQUE 2010 01 02 vol 22 n 1 107 112 La d mocratie sanitaire a consist en France a reconnaitre des droits individuels et des droits collectifs aux usagers du syst me de sant ainsi qu rendre les proc dures de d cision en sant plus contradictoires Pour a
67. ourdement d pendants R A http www sante sports gouv fr IMG pdf er724 pdf e Soutien Domicile REFERENCE 24183 ARTICLE PAQUET M Aide domicile Les associations au pied du mur ACTUALITES SOCIALES HEBDOMADAIRES 2010 04 23 n 2656 26 29 La situation que traverse le secteur de l aide et du soin domicile est sans pr c dent Crise des financements crise de la r gulation mais aussi crise de l identit des acteurs associatifs engag s dans la concurrence avec les op rateurs commerciaux s y m lent de mani re inextricable Apr s avoir cru pendant des ann es un d veloppement conjoint avec les pouvoirs publics les associations sont confront es brutalement la r alit R A e Animation REFERENCE 24148 ARTICLE GASSIEN W Un animateur organis DOC ANIMATION EN GERONTO 2010 n 25 16 18 Programmer ses activit s permet de d gager un projet de rendre lisible l action de l animateur de valider l interprofessionnalit entre coll gues de travail SANTE REFERENCE 24020 OUVRAGE BERTRAND J M BOURDILLON F CABANNES X et al COUTY E dir KOUCHNER C dir LAUDE A dir TABUTEAU D dir La loi HPST Regards sur la r forme du syst me de sant Rennes Presses de l EHESP 2009 395p Droit amp Sant 17 La loi du 21 juillet 2009 portant r forme de l h pital et relative aux patients la sant et aux territoires est appel e m
68. plus souvent associ es aux diff rentes formes de maltraitance taient l anxi t les sympt mes d pressifs les contacts sociaux le statut motionnel de l aidant REFERENCE 24179 ARTICLE DIXON J MANTHORPE J BIGGS S et al D finir la maltraitance envers les personnes g es r flexions sur l Etude des abus et n gligences envers les personnes g es au Royaume Uni Defining elder mistreatment reflections on the United Kingdom Study of Abuse and Neglect of older people AGEING AND SOCIETY 2010 04 vol 30 n 3 403 420 L Etude sur les abus et les n gligences envers les personnes g es aux Royaume Uni comportait une enqu te nationale de pr valence et une enqu te de suivi effectu e partir d entretiens approfondis Cet article examine les diff rentes d finitions et formes de maltraitance la lumi re de cette tude majeure Il aborde aussi la question de la relation de confiance que la personne g e peut nouer avec son entourage familial amical ou professionnel TECHNOLOGIE REFERENCE 24115 ARTICLE ROBERT GERAUDEL A CLOT FAYBESSE 0 Aide a la personne La robot r volution FAIRE FACE 2010 04 n 685 29 42 phot Les aidants humains de chair et d os avec leurs motions pourraient bien tre remplac s un jour par des aidants humanoides faits de c bles d acier et de nanotubes Mais reste savoir ce que l on en attend vraiment 39 INDEX DES AUTEURS
69. proquement Elle permet de sauvegarder une certaine autonomie verbale Son intervention se r partit donc sur deux axes r ducation des troubles du langage du patient aide des 25 proches s adapter aux difficult s du patient La r ducation n est efficace qu en s inscrivant dans une dynamique g rontologique pluridisciplinaire et en sollicitant l entourage afin de maintenir les interactions extraits R A REFERENCE 24097 ARTICLE CIMEN P R ducation de la marche apr s une fracture chez une personne g e Interdisciplinarit et soin LA REVUE FRANCOPHONE DE GERIATRIE ET DE GERONTOLOGIE 2009 11 vol 16 n 159 502 503 La fracture et son traitement sont pour la personne g e un traumatisme aigu Dans un contexte fr quent de poly pathologies cela peut freiner la r cup ration et amener des complications Cela peut impliquer des cons quences sur la motricit la fonction et l autonomie de la personne g e Dans une structure sanitaire de prise en charge de ces patients en suites op ratoires l interdisciplinarit aura un r le majeur jouer pour limiter les cons quences de la facture et favoriser le retour au maximum d autonomie extraits R A REFERENCE 24104 ARTICLE RAHALI KHACHLOUF H HAMDOUN S MIRI 1 et al Traitement fonctionnel des lombosciatiques communes du sujet g LA REVUE FRANCOPHONE DE GERIATRIE ET DE GERONTOLOGIE 2010 01 vol 17 n 161 6 12 tabl graph Etude r trospe
70. que Documentation ainsi que dans la BDSP Banque de Donn es en Sant Publique http www bdsp ehesp fr La partie Filmographie se compose D une pr sentation de la Cin vid oth que et des documents en vente D une filmographie th matique SOMMAIRE Bibliographie Filmographie Mars Avril 2010 ASPECTS SOCIO CULTURELS DU VIEILLISSEMENT ASPECTS PSYCHOLOGIQUES DU VIEILLISSEMENT MORT ASPECTS ECONOMIQUES DU VIEILLISSEMENT POLITIQUE SOCIALE POLITIQUE VIEILLESSE SANTE HABITAT PERSONNEL DROIT ETHIQUE VIOLENCE TECHNOLOGIE 13 13 17 17 30 33 34 34 35 L BIBLIOGRAPHIE ASPECTS SOCIO CULTURELS DU VIEILLISSEMENT e Vieillissement diff rentiel REFERENCE 24184 ARTICLE CORMIER H KHALFI M photogr Un service social pour personnes g es issues de l immigration Vieillir ici ou l bas ACTUALITES SOCIALES HEBDOMADAIRES 2010 04 23 n 2656 30 33 phot Depuis 1992 au sein du centre communal d action sociale de Clermont Ferrand un service sp cialis accueille les personnes g es issues de l immigration Avec l appui d une interpr te l quipe a d velopp un accompagnement adapt cette population partag e entre deux pays et deux cultures Elle doit galement innover pour r pondre aux besoins de nouveaux publics R A e Condition de Vie REFERENCE 24062 ARTICLE THALINEAU A NOWIK L Etre en milieu de retraite et choisir de
71. responses to the onset of mild cognitive impairment THE GERONTOLOGIST 2010 02 vol 50 n 11 22 tabl Les chercheurs ont examin les caract ristiques les r actions et le bien tre psychologique d aidants le plus souvent des pouses et des filles mais aussi des amis qui prenaient en charge un proche pour lequel un diagnostic de d ficit cognitif l ger venait d tre pos Ils ont men des entretiens face face aupr s d un chantillon de 106 aidants vivant dans les Etats de la Virginie et de l Illinois Ils ont identifi plusieurs facteurs susceptibles d augmenter les sympt mes d pressifs chez l aidant mauvais tat de sant m connaissance de la d mence faible ma trise de l environnement 28 REFERENCE 24028 ARTICLE BLANCO L Ministerio de trabajo y asuntos sociales Secretaria de estado de servicios sociales familias y descapacidad Madrid SPA Aider les aidants Cuidar al cuidador SESENTA Y MAS 2009 vol 284 n 8 13 photos Cet article pr sente une action de formation el Cuidab s destination des aidants familiaux organis e par le Conseil de l galit et du bien tre social de l Andalousie Un bus sp cialement am nag se d place dans les diff rentes municipalit s de la Province et les habitants qui prennent en charge un parent d pendant un jeune handicap ou une personne g e peuvent y suivre une formation de deux heures dispens e par une th rapeute et une infirmi re La session
72. rter les soins les plus personnalis s aux r sidents qu ils accueillent Nos interrogations portent sur la dimension thique associ e cette m thode est elle limit e une succession d valuations destin es au m decin traitant Les quipes soignantes peuvent elles se l approprier comme un outil de r flexion transformant ainsi l EGS en valuation singularis e extrait R A 33 REFERENCE 24129 ARTICLE FREDJ K Synergie entre m decin coordonnateur et directeur mythe ou r alit GERONTOLOGIE PRATIQUE 2010 02 03 n 214 215 4 phot Il est n cessaire que le m decin coordonnateur et le directeur tablissent une relation 4 deux bas e sur la comp tence la connaissance et la reconnaissance des missions respectives le partage de valeurs thiques l autonomie de pens e la confrontation d id es et bien s r le souci du r sident REFERENCE 24147 ARTICLE BATAILLE E La tenue vestimentaire sur le lieu de travail DOC ANIMATION EN GERONTO 2010 n 25 14 15 Le droit reconna t aujourd hui aux salari s de plus en plus de libert s individuelles sur leur lieu de travail C est relativement nouveau car il y a encore quelques d cennies le travailleur abandonnait la porte de l entreprise toute notion de vie priv e et donc de libert Le droit de se v tir sa guise reste cependant un sujet pineux m me si la tendance actuelle est de ranger au rang de libert fondamentale le droit de se v
73. s Ce livre traite du destin des enfants d immigr s un destin qui concerne l avenir de la soci t tout enti re Les enfants d immigr s auraient ils d in gales chances dans la vie Si leurs destins d pendent en grande partie des possibilit s que leur offre leur environnement ils se jouent galement dans les liens de filiation Ceux ci prennent un relief particulier du fait m me de la migration qui tablit une discontinuit in luctable dans la suite des g n rations familiales Cet ouvrage s attache ainsi approfondir la question des relations interg n rationnelles dans les familles immigr es la fois d un point de vue th orique et de fa on empirique selon plusieurs dimensions structures normes culturelles solidarit s d saccords ou conflits et dans plusieurs directions entre parents et enfants et aussi entre parents et parents des parents tout en cherchant d couvrir leur impact dans la situation et le devenir de la jeunesse extrait de l introduction NO INVENTAIRE FN9636 SHP143 1 ATT REFERENCE 24124 ARTICLE JUSOT F TUBEUF S TRANNOY A Tel p re tel fils l influence de l origine sociale et familiale sur la sant des descendants en Europe In Famille et vieillissement en Europe Enqu te Share RETRAITE ET SOCIETE 2009 11 n 58 63 85 graph tabl Cet article analyse les in galit s des chances en sant li es l origine sociale et familiale en Europe La litt rature a r cemme
74. s A la crois e des chemins de la g rontologie et de l addictologie cet ouvrage fait un point exhaustif sur les connaissances actuelles mais aussi sur les repr sentations et les pr jug s concernant l alcool et la vieillesse Plut t que de parler seulement d alcoolisme il explore l ensemble des interactions possibles entre les a n s l alcool et le vieillissement NO INVENTAIRE FN9640 SAN426 MEN P 23 e Handicap REFERENCE 24009 RAPPORT Caisse Nationale de Solidarit pour l Autonomie C N S A Paris FRA Rapport sur l appropriation du GEVA Guide d valuation des besoins de compensation des personnes handicap es Dossier technique Paris CNSA 2010 01 40p graph ann Le GEVA constitue l outil de r f rence national pour l valuation des besoins de compensation des personnes handicap es depuis l adoption d un d cret et d un arr t le 6 f vrier 2008 Ni mesure quantifi e du handicap ni simple outil d ligibilit le GEVA constitue le support cette d marche Il permet d explorer avec la personne handicap e toutes les dimensions n cessaires l valuation de ses besoins notamment les aspects professionnels scolaire m dical psychologique environnemental Il ne se substitue pas aux bilans ou expertises qui pourraient tre r alis s par ailleurs mais les synth tise dans un document unique et commun toute l quipe pluridisciplinaire Appui de la fonction d valuation le
75. s sont pond r s afin de tenir compte des tablissements non r pondants extrait intro NO INVENTAIRE FN9632 STR582 PER C http www sante sports gouv fr IMG pdf seriestat142 pdf 30 REFERENCE 24032 OUVRAGE CHARPENTIER M SOULIERES M Vieillir en milieu d h bergement Le regard des r sidents Qu bec Presses de l universit de Qu bec 2007 Sant et Soci t 164p Trop souvent les personnes g es qui r sident en institution sont d embl e per ues comme tant fragiles et sans voix et leurs conditions de vie inqui tent Cet ouvrage aborde leur point de vue pour comprendre ce que signifie pour elles vivre en tablissement Ce livre s appuie sur leurs t moignages et la litt rature sp cialis e pour examiner leurs trajectoires de vie et de placement le regard qu elles portent sur leur milieu de vie et leur perception de leurs droits et de leur pouvoir d agir NO INVENTAIRE FN9649 STR582 3 CHA P REFERENCE 24153 ARTICLE SANCHEZ J L VIGAN E TABUTEAU D Les maisons de retraite ont elles un avenir LE JOURNAL DE L ACTION SOCIALE 2010 02 n 144 17 23 Cet article s interroge sur l avenir des maisons de retraite sont analys s leur nombre leur prix la qualit Il s appuie pour cela sur l exp rience des concepteurs du Guide de la d pendance David Jacquet et Patrick Lelong et le soutien de la Fondation Caisses d pargne pour la solidarit REFERENCE 24178 OUVRAGE FRANC
76. seniors Il est utile de passer en revue ces dispositions avant de pr senter quelques observations sur l opportunit de ces mesures extrait intro e Retraite REFERENCE 23992 FASCICULE AUBERT P BARTHELEMY N CHRISTEL V DUCOUDRE B LABORDE C Les retrait s et les retraites en 2008 DREES ETUDES ET RESULTATS 2010 04 n 722 6p tabl graph Pr s de 15 millions de personnes vivant en France ou l tranger sont retrait es de droit direct d au moins un r gime fran ais en fin d ann e 2008 Depuis 2006 ces retrait s sont plus nombreux d environ 500 000 personnes chaque ann e La pension moyenne des retrait s tous r gimes confondus s tablit en 2008 1 122 euros mensuels hors droits d riv s majorations et minimum vieillesse Elle augmente en moyenne de 2 4 par an en euros courants depuis 2003 soit une croissance sup rieure d environ 0 6 point l inflation annuelle moyenne mais cette volution est port e essentiellement par Veffet de noria c est dire le remplacement des retrait s les plus g s par des nouveaux retrait s disposant g n ralement de carri res plus favorables La retraite obligatoire par r partition continue par ailleurs de repr senter l essentiel des retraites en France les divers dispositifs de retraite suppl mentaire facultative ne repr sentent que 2 et 5 respectivement des montants totaux de prestations et de cotisations R A http
77. t comment l entraide familiale s articule t elle la sph re publique de protection sociale Comment les in galit s de sant se traduisent elles au plan du statut social Comment le march du logement risque t il d tre boulevers par les choix des g n rations pleines du babyboom 4e de couv e Relation interg n ration REFERENCE 24122 ARTICLE ATTIAS DONFUT C OGG J Evolution des transferts interg n rationnels vers un mod le europ en In Famille et vieillissement en Europe Enqu te Share RETRAITE ET SOCIETE 2009 11 n 58 11 29 graph tabl Les recherches sur les transferts interg n rationnels montrent que les flux de solidarit sont en perp tuel changement suivant l volution des parcours de vie de chaque g n ration traversant des p riodes et des circonstances o l on re oit davantage et d autres o l on donne plus On manquait jusqu pr sent de donn es disponibles pour mesurer l volution de ces changes mais l enqu te Share permettra la fois la comparaison internationale et le suivi au cours du temps Dans cet article nous mettons en vidence des mod les g n raux des transferts interg n rationnels en Europe d une vague d enqu tes l autre Les v nements survenus entre les deux vagues et leurs ventuels impacts sur les pratiques de solidarit des personnes interrog es et de leur entourage sont analys s ainsi que les interactions entre l
78. t IMG pdf poverty_explainer_web_fr pdf 16 POLITIQUE SOCIALE POLITIQUE VIEILLESSE REFERENCE 24182 FASCICULE DEBOUT C La dur e de perception de l APA 4 ans en moyenne Premiers r sultats des donn es individuelles APA 2006 2007 DREES ETUDES ET RESULTATS 2010 04 n 724 8p tabl graph En compl ment des enqu tes pr sentant des donn es de cadrage la DREES a recueilli en 2008 2009 aupr s de conseils g n raux des donn es individuelles anonymis es sur les b n ficiaires de APA Ces donn es permettent d estimer la dur e pendant laquelle les personnes percevront cette prestation selon leur lieu de vie a l ouverture des droits domicile ou tablissement et leur niveau de d pendance Les r sultats pr sent s portent sur les personnes pour lesquelles des droits l APA ont t ouverts en 2007 l ouverture de leurs droits en 2007 ces b n ficiaires ont en moyenne 83 ans Apr s simulation des trajectoires ils percevraient l APA pendant 4 ans en moyenne Les nouveaux b n ficiaires entrant en tablissement toucheraient APA un an de moins que ceux qui vivent domicile La m thode employ e est illustr e ici par la simulation de plusieurs cas types les b n ficiaires qui au moment de leur entr e dans le dispositif en 2007 ont entre 80 et 84 ans vivent domicile et sont mod r ment d pendants et ceux qui sont g s de 85 89 ans r sident en tablissement et sont l
79. t il de la d mocratie sanitaire en r gion SANTE PUBLIQUE 2010 01 02 vol 22 n 1 121 129 La loi HPST r organise la gouvernance de la sant en r gion et maintient l existence des conf rences r gionales de sant d sormais d nomm es Conf rences regionales de sant et de l autonomie CRSA Cet article propose d examiner les nouvelles missions attribu es aux CRSA et les interrogations relatives leur exercice Les pr requis la mise en oeuvre de la d mocratie sanitaire en r gion sont alors d velopp s participation de la CRSA l valuation de la politique r gionale de sant mobilisation de moyens composition des CRSA comprenant l ensemble des champs de la sant n cessit d un support pour les conf rences de territoire construction d un espace d changes entre CRSA R A REFERENCE 24109 ARTICLE LAGA L Le lancement des agences r gionales de sant ACTUALITES SOCIALES HEBDOMADAIRES 2010 04 09 n 2654 39 44 fig Cl s de vo te de la r forme de l organisation du syt me de sant pr vue par la loi HPST du 21 juillet 2009 les agences r gionales de sant ARS ont t officiellement lanc es le ler avril jour de la publication au Journal officiel du d cret portant leur cr ation Elles sont charg es de d cloisonner le sanitaire et le m dico social de r duire les in galit s territoriales de sant ou encore de veiller a l quilibre financier du syst me de sant R A REFERENC
80. tait d valuer la fr quence de la d nutrition prot ino nerg tique selon les crit res de la HAS Les objectifs secondaires taient d valuer avec Pathos les pathologies associ es la d nutrition et les profils de gravit de soins en EHPAD d valuer la fr quence des patients relevant d un traitement adjuvant de la d nutrition selon la strat gie th rapeutique propos e par la HAS tir de l introduction REFERENCE 24061 ARTICLE CARDON P Manger en vieillissant pose t il probl me Veuvage et transformations de l alimentation de personnes g es LIEN SOCIAL ET POLITIQUES RIAC 2009 n 62 85 95 21 L article interroge les effets du veuvage sur l alimentation des personnes g es Si faire manger ne va plus de soi les volutions alimentaires observ es sont analys es au regard de leurs conditions sociales d engendrement Elles varient ainsi selon le sexe de la personne veuve selon la pr sence ou non et le type d incapacit s physiques et prennent plus globalement sens en fonction de la structure sociale des consommations alimentaires La probl matique de l alimentation abord e ici constitue alors un objet d analyse du vieillissement et permet plus globalement d clairer de mani re significative la probl matique du vieillissement l observation des transformations alimentaires li es au veuvage constitue un objet d analyse f cond pour comprendre les probl mes quotidiens auxquels sont confront
81. tal de m dicaments l entr e et la sortie extrait R A e Relation soignant soigne REFERENCE 24014 OUVRAGE ROBICHAUD V Accueillir les besoins psychiques de l adulte vieillissant Etre en harmonie avec soi m me et les autres Lyon Chronique Sociale 2009 10 160p fig Comprendre les personnes 27 N X Chaque situation nouvelle de l existence nous invite acqu rir un nouveau savoir adopter un nouveau comportement d velopper une nouvelle fa on de penser Ce travail notamment psychique est particuli rement vrai au moment de la retraite et de la p riode de fin de vie En reconnaissant les besoins psychiques comme vecteur de la vie de l tre humain l auteur r habilite la personne comme un tre unique ayant un nom une histoire un devenir Dans cet ouvrage l auteur propose une approche du soin bas e sur la compr hension du cerveau de la relation l autre Il r habilite ainsi la personne g e et la lib re des expressions qui la r duisent l infantilisent ou la ghetto sent extrait du 4e de couv NO INVENTAIRE FN9634 SAN447 ROB P REFERENCE 24091 ARTICLE ORELLANA B Support et outils de la communication LA REVUE FRANCOPHONE DE GERIATRIE ET DE GERONTOLOGIE 2009 11 vol 16 n 159 480 482 Le vieillissement qu il soit normal ou pathologique a des cons quences sur les fonctions sensorielles et cognitives n cessaires la communication modifiant la place des personnes g
82. u revenu diff r Vers un nouveau syst me de retraite REVUE FRANCAISE DE SOCIOLOGIE 2010 01 03 vol 51 n 1 61 84 L auteur analyse les rapports entre types de ressources modes de calcul des retraites et principes de l gitimation de celles ci depuis la fin des ann es 1980 Qu il s agisse du mode d int gration des diff rents r gimes de l indexation des pensions de leur contributivit ou de la promotion de la capitalisation les r formes privil gient une logique de la retraite comme revenu diff r Pourtant une autre logique la retraite comme continuation du salaire ressort de l tude empirique des droits pension dans les principaux r gimes de retraite Qu induisent du point de vue du statut des individus les modes de calcul et les types de ressources porteurs de ces deux conceptions de la retraite forme d pargne ou salaire continu extrait R A REFERENCE 24186 FASCICULE D YVOIRE A dir MARETTE J J dir L information des actifs en Europe sur leurs droits 4 la retraite Pourquoi comment avec quelles cons quences Un mouvement irr versible LA LETTRE DE L OBSERVATOIRE DES RETRAITES 2010 04 n 17 31p Dans un contexte de changements d mographiques et sociaux les Etats nationaux et les Autorit s communautaires ont accord une importance croissante a la question de l information sur les retraites futures Rassurer responsabiliser accompagner l ouverture des possibilit s de choix de nombr
83. umain Bien souvent dans les h bergements collectifs nous constatons que les r sidents sont tous habill s l identique Ils affichent une mode celle d un costume utilitaire et pratique rationnel et technique Pour les femmes la tenue classique des robes fleurs faites de tissus synth tiques brillent dans la demeure et pour les hommes le v tement sportif circule tous les tages Le v tement ce ruban qui nous entoure tout au long de notre vie est une forme de communication extrait R A NOINVENT FN9648 SHP146 GIV ASPECTS PSYCHOLOGIQUES DU VIEILLISSEMENT e Psychologie REFERENCE 24145 ARTICLE DAUNE F DE MOL J RISACK A M et al Soma psych une unit interrog e par la maladie LE JOURNAL DES PSYCHOLOGUES 2010 03 n 275 22 50 phot L h pital est par excellence un lieu qui confronte l homme l existence de son corps son propre fonctionnement un lieu o les changements corporels qu ils soient transitoires ou d finitifs secondaires la maladie aux traitements ou l accident vont toucher l individu dans toutes les strates de son psychisme des plus r centes aux plus archa ques L ensemble des auteurs de ce dossier propose ici un temps pour penser et questionner la sp cificit de cette clinique souvent mise mal dans les services hospitaliers ou l agir est roi R A REFERENCE 24175 ARTICLE BENNETT K M Comment les veufs g s parviennent tre r si
84. une personne g e de plus de 70 ans L ge est aussi devenu discriminant dans le secteur de la sant Dans certains services hospitaliers les in galit s entre les patients sont flagrantes cause du manque de moyens les plus g s ne sont pas prioritaires Les rares personnes qui ont saisi la Halde la haute autorit de lutte contre les discriminations pour se plaindre de ces refus de cr dit ont gagn leur proc dure Comment les plus g s vivent ils ces exclusions Quelles en sont les cons quences Enqu te sur un ph nom ne nouveau qui touche une population de plus en plus vieillissante Les baby boomers arrivent la retraite en 2020 les plus de 65 ans repr senteront un quart de la population fran aise http envoye special france2 fr index fr php page reportage amp id_rubrique 1436 M moire le business de la peur 30 mn 2009 Guillaume BARTHELEMY France 2 Emission Envoy Sp cial diffus e sur France 2 le 12 novembre 2009 pr sent e par Guilaine Chenu et Fran oise Joly r alis par J r me Revon Perdre la m moire est la maladie qui effraie le plus les Fran ais juste apr s le cancer sondage Ipsos juin 2008 On estime 850 000 le nombre de Fran ais touch s par cette maladie dont 6 des personnes de plus de 65 ans Cons quence aujourd hui le moindre trouble de la m moire fait fr mir Perdre ses clefs oublier le pr nom de sa tante ou le titre du film que l on a vu la veille imm diatem
85. utant ce mouvement ne s est pas d ploy sans obstacles depuis l adoption de l importante loi du 4 mars 2002 Sept ans apr s la r cente loi du 21 juillet 2009 vise redonner une forme plus vigoureuse la d mocratie sanitaire notamment en redonnant aux conf rences r gionales de sant et de l autonomie les pouvoirs qui taient les leurs dans la loi de 2002 Pour autant rien n est gagn La vigilance est encore l ordre du jour R A REFERENCE 24058 ARTICLE CECCHI C Les conf rences r gionales de sant bilan constats risques d fis et perspectives SANTE PUBLIQUE 2010 01 02 vol 22 n 1 113 120 18 La loi de Sant Publique du 9 ao t 2004 a affirm la R gion comme le niveau optimal de gouvernance des interventions Suite cette loi au niveau national de la Conf rence Nationale de Sant CNS et au niveau r gional les Conf rences R gionales de Sant CRS nouvelle formule ont t mises en place Pour r pondre aux besoins des repr sentants des 26 CRS de mieux se conna tre l Assembl e Permanente des CRS a t cr e en 2006 Cet article propose de faire le bilan des missions d volues aux CRS de souligner les difficult s de leur fonctionnement mais galement leurs forces Les nouvelles CRS sont enfin discut es au regard des acquis de l activit r cente extrait R A REFERENCE 24059 ARTICLE DEVICTOR B Les conf rences r gionales de sant et de l autonomie CRSA qu en sera
86. vaccin s les adultes vivant en Europe ne sont donc pas bien prot g s contre les maladies infectieuses possiblement pr venues par la vaccination MPV Cette lettre dit e par l International Longevity Centre r sume les mesures et les pratiques qui ont montr des preuves dans la promotion de l utilisation de la vaccination partout dans le monde et identifie les actions que les pouvoirs publics pourraient entreprendre pour am liorer la couverture vaccinale et favoriser ainsi un vieillissement en sant extraits R A e Activit Physique REFERENCE 24021 ARTICLE KOSTER A VISSER M SIMONSICK E M et al Association entre la condition physique et les changements dans la composition corporelle et la force musculaire Association between fitness and changes in body composition and muscle strength JOURNAL OF THE AMERICAN GERIATRICS SOCIETY 2010 02 vol 58 n 2 219 226 tabl graph Cette tude de cohorte a examin sur une p riode de 7 ans les liens entre la condition physique et les changements dans la composition corporelle et la force musculaire 2949 hommes et femmes g s de 70 79 ans au d but de l enqu te vivant domicile capables de marcher sur une distance minimum et ne pr sentant pas de pathologie majeure ont particip l tude Le test de marche sur 400 m tres un des composants du LDCW Long Distance Corridor Walk a t utilis pour mesurer la capacit cardiorespiratoire La composition
87. www sante sports gouv fr IMG pdf er722 pdf REFERENCE 24017 OUVRAGE CHARPENTIER F Les retraites en France et dans le monde Nouvelles probl matiques Paris Economica 2009 533p tabl Ce livre a pour vocation de nous aider 4 comprendre comment fonctionnent les dispositifs de retraite existants et mieux s orienter dans ce labyrinthe des retraites Il a donc pour but de d crire les r gimes 14 de retraite en France qui ont pris l allure au fil des ans d une n buleuse et de montrer comment dans un environnement d mographique et conomique d grad ces syst mes n ont cess ces derni res ann es de proc der des adaptations pour pr server du mieux possible les droits des assur s L auteur d crypte les grandes r formes intervenues dans les r gimes obligatoires depuis 1993 avant d examiner un certain nombre de dispositifs facultatifs qui permettent chacun de compl ter le montant de sa retraite La seconde partie de cet ouvrage d crit les syst mes trangers et fait le point sur les tr s nombreuses r formes intervenues ces derni res ann es Dans une troisi me partie l auteur d crit les nouvelles probl matiques le maintien dans l activit des seniors la d pendance la r version la vuln rabilit des r gimes en capitalisation face la crise des march s financiers les d boires de l pargne retraite la mise en place d une Europe des retraites de nouveaux outils mergent les fonds de r serve
88. yst mes officiels de recueil des plaintes insuffisamment utilis Parquet Conseils G n raux DDASS plus r cemment conciliateurs puis m diateurs hospitaliers se sont ajout s les responsables bientraitance des DDASS et ceux des Conseils G n raux CG puis le N d appel national 3977 g r par l association AFBAH qui r percute les cas de maltraitances probables sur ALMA ou sur d autres acteurs locaux Cette multiplicit d acteurs a des inconv nients comment savoir qui s adresser Elle a aussi des avantages en offrant plusieurs voies aux t moignages condition que ces syst mes soient solidaires et compl mentaires 34 REFERENCE 24113 ARTICLE WIGLESWORTH A MOSQUEDA L MULNARD R et al D pister la violence et la n gligence envers les personnes d mentes Screening for abuse and neglect of people with dementia JOURNAL OF THE AMERICAN GERIATRICS SOCIETY 2010 03 vol 58 n 3 493 500 tabl Cette tude a t men e aupr s de 129 personnes d mentes leur domicile Plusieurs variables ont t tudi es a la fois pour les personnes d mentes et pour leur aidant principal ge tat de sant caract ristiques psychosociales nature des relations La maltraitance et la n gligence ont t valu es au moyen de la version modifi e de trois grilles le CTS2 le Elder Abuse Instrument et le SotE Des cas de maltraitance ont t d tect s dans 47 3 des cas Les caract ristiques les

REFERENCE : «REF»

Contents

Download Pdf Manuals

Related Search

Related Contents

REFERENCE : &laquo;REF&raquo;

Contents

Download Pdf Manuals

Related Search

Related Contents

REFERENCE : «REF»