ANALYSE DES GRILLES DE REFERENCE, BANQUE D
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1. la validation de la quasi totalit des items de la Comp tences 5 Comme s il fallait tout prix que ces disciplines tirent leur pingle du jeu pour faire oublier que la philosophie de d part du socle commun marginalise les enseignements artistiques Ainsi ces disciplines sont cens es contribuer la validation d items qui dans leur r daction semblaient jusqu ici concerner uniquement la g ographie exemplel ou l ducation civique exemple 2 Deux exemples en Education musicale et en Arts plastiques Exemple 1 l item Avoir des connaissances et des rep res relevant de l espace les grands ensembles physiques et humains et les grands types d am nagements dans le monde les principales caract ristiques g ographiques de la France et de l Europe S il est vident que l Education musicale permet aux l ves d aborder des musiques de diff rents pays quel rapport avec l apprentissage de caract ristiques g ographiques de la France et de l Europe Si dans le programme d arts plastiques de 3 me l oeuvre et l espace en est le th me majeur un l ve de ce niveau n a ni la maturit ni le recul n1 le temps imparti pour comprendre les effets des arts et de la culture sur la conception des espaces urbains et naturels ainsi que de comprendre les volutions et les mutations de l art de l art public de l architecture de l urbanisme et du paysage On est dans des tudes sup rieures d architecture Exemple 22. Les modalit s de mises en uvre et les commentaires accentuent le caract re standardis de cet enseignement Il faut signaler la pr sence de 4 exercices des valuations PISA dont trois ont t propos s en 2003 ce qui ne fait que conforter nouveau l objectif prioritaire am liorer les r sultats aux valuations internationales Dans les prescriptions on s attardera sur ces points le lien entre la validation des comp tences et la r ussite de l exercice il n est pas n cessaire qu une question soit totalement r ussie pour que des comp tences du socle puissent tre valid es Pour cela les crits interm diaires les r ussites partielles les changes oraux seront largement valoris s l usage des exercices certains de ces exercices sont proposer tout au long de l ann e pour faire voluer les repr sentations des l ves Tout au long de la formation ils peuvent servir de support une valuation qui volue du diagnostique au sommatif Qui pourrait pr tendre que le socle a encore quelque chose de commun pour l ensemble des l ves 9 Comp tence 4 Cette comp tence recouvre le B21 A terme le logiciel GiBii devrait c der la place un module du LPC informatis Obii Si le B21 est acquis il y a automatiquement validation de la comp tence 4 Dans le cas contraire il y a lieu de renseigner les items du socle correspondant aux items du B21 Mais comme ils ne sont pas identiq
3. du premier degr une lettre et ne comportent pas les techniques de r solution alg brique ou graphique de l quation du premier degr une inconnue dans le domaine g om trique les l ves doivent apprendre raisonner et argumenter mais l criture formalis e d une d monstration de g om trie n est pas un exigible du socle Ainsi cette diff renciation a pour cons quence de situer la majorit du programme hors socle Comment g rer dans une m me classe des l ves qui pr parent le programme de Seconde et d autres restreints au socle Se limiter l organisation de la validation du LPC pour certains et aborder tout le programme pour les autres Cela sous entend un premier tri l int rieur de la classe li des possibilit s d orientation Quant aux croisements disciplinaires possibles et aux situations pluridisciplinaires d apprentissage et d valuation de la 6 la 3 c est aux professeurs approfondir la question c Banque de probl mes Les exercices sont int ressants mais en nombre restreint une vingtaine ils n ont rien de novateur et correspondent soit des probl mes ouverts pratiqu s depuis longtemps soit des sujets de type brevet relook s ou en lien avec l ASSR exercice n 7 sur la s curit routi re Ils sont pr sent s l aide d un tableau trois colonnes indiquant les connaissances les capacit s et les attitudes mises en jeu
4. du cursus du coll ge de la 6 la 3 la grille de r f rence pr sentant une liste de 32 sous items on atteint le nombre cons quent d une bonne centaine de sous items progressifs valuer au cours de la scolarit c une Situations sciences et technologie qui compile une banque de situations d apprentissage et d valuation encore soit disciplinaires soit interdisciplinaires bas es sur des situations probl mes de la vie courante aussi r alistes qu un l ve de 6 se questionnant sur la surpopulation de sangliers ou un autre en 3 se demandant o se cache l ADN du chou fleur ces situations sont bas es sur une d marche en t che complexe dont l objectif affich est nouveau principalement ax sur l valuation au d pend du raisonnement ou de la d marche scientifique ou exp rimentale Pour la technologie les t ches complexes sont construites partir des programmes mais n cessitent un quipement tr s particulier dont les coll ges ne sont pour la plupart pas encore dot s d une fiche de pr paration pour la comp tence 3 hautement format e qui ne laisse pas grande latitude la libert p dagogique Pour conclure tous ces documents forment un ensemble lourd et indigeste qui va r duire l enseignement des sciences une succession d valuations de comp tences l mentaires plus ou moins fumeuses et quasiment toutes th oriques Au moins n aura t on plus le tem
5. les livrets de comp tences et la philosophie du socle Voir documents en ligne http www snes edu SOCLE COMMUN LIVRET PERSONNEL DE html http www snes edu Socle commun livrets de 403 html Comp tence 1 Pour le professeur de fran ais la lecture des documents rajoute encore la confusion On sait que le socle est d connect en grande partie du programme lequel n est d ailleurs actuellement en application que pour les classes de 6 et 5 On trouve sur le site Eduscol 2 outils les grilles de r f rences mises en ligne en novembre 2010 pour les 7 comp tences et le document d appui seulement pour les comp tences 2 3 4 et 5 Les grilles de r f rences donnent le vertige pas moins de 5 pages de mode d emploi seulement pour la comp tence 1 D ailleurs l aide apport e est bien relative car les modalit s d valuation restent floues et le niveau d exigence n est pas pr cis Il est pr conis par exemple de Faire parcourir avec des consignes et des objectifs pr cis tout ou partie d un texte documentaire ou litt raire La plupart du temps d ailleurs ce sont des portes ouvertes qui sont enfonc es faire rep rer dans un texte litt raire ou documentaire les indications de lieu de temps les acteurs et les actions On ne trouve dans ce document aucune interrogation sur les conditions mat rielles de mise en uvre de tout cela Comment par exemple pour les 30 l ves d
6. une classe de 3 me Favoriser l expression des l ves oral langue des signes Langage Parl Compl t mime Enfin ce qui frappe dans cette grille c est le m lange d activit s qui s adressent non seulement aux professeurs de fran ais mais tous les professeurs sans r elle distinction Comment tous ces coll gues s entendront ils pour valider une seule comp tence qui recouvre tant de capacit s et d activit s diff rentes Voir aussi des l ments d analyse concernant le fran ais dans la partie concernant la comp tence 5 Comp tence 2 Il n y a pas de r f rence culturelle particuli re comme il en existe dans les programmes car il s agit de comp tences communes toutes les LV Il n y a pas de dimension citoyenne ni en terme de formation critique ni de r flexion et il est rappel que l enseignement des langues est orient vers la r alisation de t ches certaines de celles ci tant nonc es dans l introduction mais n tant reprises ensuite dans aucun domaine ou item ex po me Il y a de nombreuses formules floues Exemple l l ve se fait globalement comprendre avec une prononciation globalement correcte poss de un vocabulaire suffisant mais restreint Pour chaque domaine le Minist re a choisi des items qui auraient pu tre autres car les descripteurs de niveau A2 du CECRL sont nombreux Ceux qui ont t retenus r pondent aux besoins d une langue utilita
7. Avoir des connaissances et des rep res relevant de la culture civique Droits de l Homme Formes d organisation politique conomique et sociale dans l Union Europ enne Place et r le de l Etat en France Mondialisation D veloppement durable Si l Education musicale permet certes de s interroger sur les droits d auteur de se forger une exp rience de tol rance d coute et de dialogue quel rapport avec Droits de Homme Formes d organisation politique conomique et sociale dans l Union Europ enne Place et r le de l Etat en France Mondialisation D veloppement durable Concernant le fran ais les deux documents disposition se contredisent sur plusieurs points Le premier item ne concerne que la g ographie dans la grille mais on trouve la phrase suivante dans le document d appui Fran ais les programmes de fran ais invitent faire d couvrir aux l ves une culture europ enne voire mondiale L l ve doit donc tre capable de situer g ographiquement l origine d une uvre litt raire ou artistique mais aussi le cadre dans lequel se d roule une histoire narr e On ne voit pas trop l int r t litt raire de cet objectif ni sa faisabilit Quelle est l origine g ographique de Candide de Voltaire La Suisse ou la France O se passe En attendant Godot Nous sommes tous impatients de conna tre la r ponse
8. Secteur contenus du SNES Mars 2011 contenus snes edu ANALYSE DES GRILLES DE REFERENCE BANQUE D OUTILS etc CENSEES AIDER LES ENSEIGNANTS A VALIDER LE SOCLE COMMUN Le minist re a mis en ligne sur le site Eduscol des documents cens s aider les personnels valuer les items du socle commun Cette banque d outils est constitu e de grilles de r f rence explicitant les items pr cisant les exigences de documents d appui proposant des situations d valuation ainsi que de r gles pour r percuter les valuations du B2i dans la comp tence 4 http eduscol education fr pid23228 cid53126 grilles de references socle commun html http eduscol education fr cid52432 outils pour evaluation des competences html Des banques de probl mes ou de situations sont propos es cens es aider les personnels la mise en place du socle commun Devant le d sarroi des coll gues face au socle et aux items du livret il ne faudrait pas que ces indications qui ne sont en aucun cas des instructions officielles mettre en place mais qui ont plut t le statut de documents d accompagnement deviennent mod lisantes et qu au final les contenus d enseignement et les pratiques mises en uvres soient pilot s par ce document au service de l valuation du socle Ci dessous vous trouverez des l ments d analyse non exhaustive de ces documents Rappel le SNES engag dans la lutte contre le socle commun continue d noncer
9. ire Les situations d apprentissage propos es ont un caract re mod lisant car elles constituent une sorte de mini programme que les coll gues pourraient tre tent s de suivre afin de ne plus avoir jongler entre programme socle palier et niveau A2 du CECRL Ce qui constituerait une perte consid rable par rapport la situation actuelle avec des programmes qui permettent un enrichissement culturel une ouverture l autre une r flexion critique et citoyenne D autres aides par langue sont propos es Elles renvoient parfois au programme ou la grille d Eduscol ce qui est tout sauf une aide concr te Les langues vivantes ne sont pas cit es dans la comp tence pour une culture humaniste Est ce un regrettable oubli ou bien la traduction d une conception essentiellement utilitaire des langues vivantes Comp tence 3 Plusieurs documents sont mis disposition des coll gues sur Eduscol Dans la partie Grilles de r f rences socle commun http eduscol education fr pid23228 cid53126 grilles de references socle commun html la Grille de r f rences du palier 3 7 p sur 28 pour la comp tence 3 propose un tableau d explicitation des 14 items de la comp tence 3 Concernant la d marche scientifique et la r solution de probl mes ceux ci sous subdivis s en 32 indications pour l valuation aboutissant un tron onnage s v re des capacit s mises en uvre par les l ves avec des niveau
10. l me ouvert qui n a rien d innovant D ailleurs a t il au moins le m rite de synth tiser toutes les ressources pr cit es La conclusion analyse la mise en place du socle commun travers l ampleur de l investissement personnel demand Le professeur doit s approprier les situations propos es en prenant soin de les adapter pour les mettre en uvre au sein de sa classe et en concevoir d autres Et le retour sur la mise en uvre d une t che complexe nous rappelle l objectif essentiel am liorer les r sultats aux valuations internationales Si ce document tait r ellement mis en uvre il imposerait une surcharge de travail et une modification des pratiques au d triment de la libert p dagogique de chacun et de la qualit de notre enseignement b Aide au suivi de l acquisition des connaissances et comp tences du socle commun Chacun des huit items relatifs la r solution des probl mes et aux math matiques dans la comp tence 3 a t d clin travers la relecture des programmes des diff rents niveaux du coll ge Dans chaque cas on se limite la partie relevant du socle et on formule les exigences travers les capacit s attendues des l ves en situation Il faut n anmoins se rappeler qu en classe de troisi me sur deux points importants le socle commun se d marque du programme dans le domaine du calcul litt ral les exigences du socle ne portent que sur les expressions
11. ps de penser ne serait ce qu une seconde faire des TP qui seront d autant moins n cessaires qu aucun item ou si peu ne leur est consacr A termes les valuations risquent de devenir la finalit de l organisation p dagogique des disciplines scientifiques et technologie Documents d appui concernant la comp tences 3 a Vade mecum Ce document s appuie sur le d cret n 2006 830 du 11 juillet 2006 relatif au socle commun des connaissances et comp tences La diversification de la pratique p dagogique appara t comme la panac e au service de la construction de comp tences Pour justifier cette modification radicale de la d marche d enseignement le vade mecum fait r f rence PISA qui distingue la notion de t che simple et de t che complexe gr ce cette sublime d finition Une t che complexe est une t che mobilisant des ressources internes culture capacit s connaissances v cu et externes aides m thodologiques protocoles fiches techniques ressources documentaires Chaque l ve peut adopter une d marche personnelle de r solution pour r aliser la t che Une t che complexe ne se r duit pas l application d une proc dure automatis e Dans ce contexte complexe ne veut pas dire compliqu Pour bien expliciter les choses le document fournit ensuite des exemples de t ches complexes dans les quatre disciplines dommage que celui propos en maths s apparente davantage un prob
12. r nier le fait que dans le socle et le LPC certaines disciplines ont davantage leur place que d autres Comme c est le cas pour l ducation musicale ou les AP l histoire g ographie est convoqu e pour la validation de tous les items ou presque du pilier 5 En terme de contenu il en ressort que l l ve doit effectuer une multitude de t ches pour s approprier des rep res historiques g ographiques artistiques et patrimoniaux les 2 ne sont pas dissoci s Il est fr quemment pr cis que ces t ches doivent tre men es de mani re r guli re et r p t e ce qui donne un vision assez effrayante de l apprentissage rab chages et empilement de documents sens s permettre l acquisition de ces rep res cartes croquis sch mas d finitions Un des probl mes les plus urgents concernant la validation du LPC n est toujours pas r gl comment valider des items inscrits dans les nouveaux programmes alors qu en histoire g ographie on enseigne encore pour deux ans les anciens Cela se pose pour le d veloppement durable en particulier et pour l histoire des arts Il est noter galement que certaines situations d valuation propos es sont extr mement contraintes et ne laissent aucune libert p dagogique l enseignant et ce sur plusieurs ann es voir l item Mobiliser ses connaissances pour donner du sens l actualit qui en est un exemple extr me Ainsi le texte pr cise que l apprentissage r gulier et r p
13. rsification p dagogique l interdisciplinarit la notion de tache complexe en insistant fortement et expliquant l utilisation de crit res d valuations Un exemple est cit pour chaque discipline o en SVT le texte explique en d tail ce que signifie extraire les informations relatives un th me de travail dans un contexte donn les cellules de d fense si par extraordinaire cette comp tence l mentaire avait chapp aux enseignants concern s o pour la technologie on propose un travail de construction d une pr sentation graphique alliant 2D et 3D On demande l l ve de faire une figure g om trique cod e alors que les codes de base du dessin technique ne sont pas respect s dans les documents pr sent s dans les deux banques associ es en annexe dans le dossier Situations sciences et technologie Nous avons d j d nonc qu aucune possibilit de coordination r aliste ne permette pour une tablissement de taille moyenne la coop ration entre les quatre disciplines qui comme le pr conise le texte doit permettre l valuation de l ensemble des connaissances et des capacit s Sauf ce que l valuation se substitue toute forme de libert p dagogique b une Aide au suivi de l acquisition des connaissances et capacit s 16 p qui d cline dans un tableau double entr e l ensemble des capacit s pr sent es dans le document grille de r f rence du palier 3 cf ci dessus pour les 4 niveaux
14. t doit commencer en 4 qu il faut commencer son cours avec un document d actualit ou le terminer avec tout en menant des travaux de recherche au CDI ventuellement mener des enqu tes individuelles ou en groupes et se saisir des c l brations nationales type semaine de la presse Ce document d montre enfin de fa on incontestable que si l on suit ces consignes l arriv e du LPC induira un pilotage par l valuation de tout l enseignement de l histoire g ographie Pour les enseignements artistiques certaines exigences exprim es dans les grilles de r f rence sont normes et on peut m me se demander si l explicitation de certains items n oublie pas que ce document s adresse des l ves de coll ge l l ve sait identifier et interroger les enjeux que porte une cr ation artistique Il sait interroger les notions de beau et de go t et peut les restituer dans les contextes d une oeuvre tudi e au coll ge Il sait interroger la port e humaine d une cr ation artistique que celle ci t moigne d une posture de son cr ateur ou d un contexte social politique ou conomique particulier De m me la majorit des items ne prennent gu re en compte le temps de cours imparti aux enseignements artistiques ainsi que les conditions de travail Concernant la contribution des disciplines l valuation de la culture humaniste les r dacteurs estiment que les enseignements artistiques peut contribuer
15. ues une r gle et un tableau de correspondance ont t tablis http media eduscol education fr file socle commun 74 5 socle C4 Competenced4 et B2i 161745 pdf Si un item LPC correspond un seul item B21 la validation de l item B2i renseigne l item LPC si un item LPC correspond 2 items B2i les deux items B2i doivent tre valid s pour renseigner litem LPC si un item LPC correspond 3 items B2i la validation d au moins deux des items B21 entra ne le renseignement de litem LPC Le module Obii lorsqu il sera disponible fera automatiquement le transfert Mais pour l instant c est aux enseignants de se charger de l application de cette r gle en s appuyant sur le tableau de correspondance Soit deux outils diff rents pour une valuation de deux fa ons diff rentes de la m me chose On peut aussi se demander qui va prendre en charge ce transfert du B2ii au LPC Par ailleurs aucun exercice sp cifique cette comp tence n est propos on ne trouve que les activit s propres au B21 sur Educnet et encore elles sont en vrac concernant aussi bien coll ge que lyc e Comp tence 5 Globalement le document cens tre une aide est d une prise en main tr s difficile On peut douter que son but principal soit d aider ou d clairer les coll gues car il semble surtout d cliner l infini l id e que toutes les disciplines ont leur place dans le socle C est une litt rature l gitimante pou
16. x d valuabilit tr s variables L l ve m ne bien un calcul num rique l l ve conduit un raisonnement pour d montrer une propri t ayant fait l objet d une conjecture ou l l ve traduit une information cod e et s apparentent davantage des conseils pour d velopper les comp tences des l ves qu des indications concernant leur valuation Ces indications sont compl t es par une reprise des principaux points du programme de chaque discipline o l ensemble du programme est r sum en quelques colonnes tr s laconiques l objectif de l cole deux vitesses s exprime clairement dans ces grilles avec des exigences du socle aux objectifs minimalistes en comparaison des exigences qui s appuieront sur les programmes complets Enfin comment valuer l acquisition d finitive d une connaissance abord e quelques heures seulement au cours d une scolarit Mais ce n est pas tout Il est pr cis que les disciplines scientifiques technologiques et math matiques ne doivent pas pour autant d laisser l valuation de la comp tence 1 Lire Ecrire Dire o de nombreuses r f rences les rappellent l ordre tout au long des indications pour l valuation Dans la partie Outils pour l valuation des comp tences http eduscol education fr cid52432 outils pour evaluation des competences html competence3 a Un Vade mecum 16 pages reprend les textes et fait l apologie de la dive
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