octobre 2006
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1. soit donn e la r duction du risque la source c est d ailleurs depuis longtemps un leitmotiv de la DRIRE Pour PHILIPPE DUCROCOQ les PPRT ne visent pas le risque z ro qui n existe pas Je pr f re mettre en perspective la culture du risque une notion plus int ressante qui ne c de ni l exag ration ni la banalisation Et le Directeur r gio nal d appeler toutes les parties prenantes se mobiliser Les industriels en tant que responsables de la s curit des instal lations Les services de l Etat pour la validation et l interpr tation des tudes de dangers Les collectivit s locales pour la sensibilisation et l information des populations Les associa tions pour la diffusion de la culture du risque Mais toutes ces fronti res devront aussi s estomper pour mener la r flexion et le travail collectifs que sont les PPRT Travailler ensemble sur les risques L exercice n est d ailleurs pas nouveau pour la Haute Normandie remarque PHILIPPE DUCROCO Nous avons ici une habitude de dialogue bien ancr e dont t moigne la cr ation relativement facile de nos comit s locaux d information et de concertation CLIC Le m rite en revient grandement au SPPPI Basse Seine que je tiens saluer CONCERTATION SUR LES RISQUES UNE CONTINUIT POUR LA HAUTE NORMANDIE La Haute Normandie pratique la concertation sur les risques technologiques depuis 1988 dans le cadre du SPPPI Basse Seine On se souvient2. lu de Notre Dame de Gravenchon formule galement le souhait de la stabilit une fois les PPRT annex s aux documents d urbanisme il faudra veiller ce que les r gles dict es ne changent pas trop POUR JEAN CLAUDE BROUT il convient au pr alable de r soudre la contradiction entre la ma trise des risques et la marche vers toujours plus d externalisation et de baisse des effectifs de s curit et de travaux dans les entreprises voir encadr Risques et travail La solution Il faut renforcer les pou voirs de contr le et d enqu te de l administration DRIRE Direction du Travail Il faut plus de r action de sa part POUR G RARD ROUSSEL d une part la ma trise des risques sup pose qu un effort important porte sur l valuation partir de laquelle on met en place des barri res techniques et organi sationnelles adapt es D autre part il faut faire confiance aux industriels pour bien traduire la r alit dans les tudes de dangers nous sommes exp riment s et responsables POUR PATRICK BARBOSA le facteur d terminant n est pas tant la probabilit qu un accident survienne que sa gravit Je m inqui te galement pour les habitants qui vont devoir sup porter des co ts anormaux Leurs int r ts vont tre spoli s POUR JACQUES DEBRAY d ailleurs rejoint par tous les autres participants de la table ronde les CLIC seront essentiels pour cr er la confiance faire converger les
3. Charg d tude risques DDE 27 THIOU Agn s Ing nieur risques D partement de Seine Maritime THOURET Jean Pierre Vice pr sident Comit du quartier des Neiges TIERCE Bertrand Directeur Chroniques et Actions TOMASI Arnaud Chef de la division envt industriel DRIRE Haute Normandie TOSTAIN Bruno Responsable QHSEI Grande Paroisse TRANCHARD St phane Resp serv urbanisme envt Mairie de Saint Pierre l s Elbeuf TRENCHAND Ma lle Yara France TURPIN Jean Claude Adjoint au Maire Mairie de Petit Couronne VANROKEGHEN S bastien Inspecteur du travail DRTEFP VIERS St phane Inspecteur installations class es DRIRE Haute Normandie VIGOT Laurent Responsable s curit Norgal VISTE Nathalie Inspectrice installations class es DRIRE Haute Normandie XAVIER Guillaume Ing nieur DRIRE Haute Normandie ZUNIGAS Victor Animateur technique FDPP27 Document dit l initiative de la DRIRE de Haute Normandie dans le cadre du SPPPI Basse Seine avec le concours financier du minist re de l Environnement Secr tariat G n ral DRIRE HAUTE NORMANDIE 21 avenue de la Porte des Champs 76037 Rouen Cedex T l 02 35 52 32 00 Fax 02 35 52 32 32
4. D une part la directi ve Seveso a institu un dispositif de gestion de la s curit D autre part les entreprises ont mis en place des r f rentiels sous traitants aux quels nos inspections vont troitement s int resser J ajoute que la loi Bachelot nous a donn une place dans les CHSCT Rencontre r gionale sur la mise en uvre des PPRT 9 Fa 14h00 J LE R LE DES CLIC PAR ARNAUD TOMASI CHEF DE LA DIVISION ENVIRONNEMENT INDUSTRIEL LA DRIRE HAUTE NORMANDIE Les matrices des PPRT L importance du r le des CLIC dans le processus d laboration des PPRT et la diffusion de la culture du risque a t maintes fois voqu e au cours de la matin e Aussi ARNAUD TOMASI concentre son expos sur des points concrets Qu est ce qu un CLIC Il s agit d organisations multipartites form es de cing coll ges Etat collectivit s locales exploi tants salari s et associations de protection de l environne ment d fense des riverains Quel est son r le Le CLIC donne son avis tout au long de la proc dure PPRT dont il est en quelque sorte la matrice A ce titre notamment il dispose d un budget de fonctionnement et peut intervenir sur plusieurs registres retour d exp rience suite un accident ou un incident examen de rapports d ac tivit industrielle analyse ou commande d tudes sp ci fiques Combien en existe t il en Haute Normandie Il en existe actuellement 7 sur 9 attendus terme Le
5. Soci t Rubis Terminal Rencontre r gionale sur la mise en uvre des PPRT 16 LAINE St phane Chevron Oronite LARCHEVEQUE Eloi Responsable du bureau environnement DDE 76 LASMOLES Nathalie Resp centre de ressources Institut Europ en des Risques LAUBIES Delphine Ing nieur resp du suivi r glementaire St Rubis Terminal LAURENT J r me Directeur d l gu DIREN Haute Normandie LEBIGRE Michel Maire adjoint Mairie de Montville LEBOSSE Pierre D l gu environnement UFC Que Choisir LEBOURG Jo l Dir g n des services Mairie de Notre Dame de Gravenchon LEBRETON DUVAL Sandrine Pr fecture de l Eure LECLERC Jacky Mairie d Aumale LECOQ Jean Paul Maire Mairie de Gonfreville l Orcher L MALLIER Antoine Chef bureau urbanisme et envt Pr fecture de l Eure LEMOINE Guy Mairie d Oudalle LEPAGE Patrick Service environnement Agglo de Rouen LEROY Annie Pr sidente Ecologie pour Le Havre LESIMPLE Laurent Responsable d pt tude et am nagement CCIE LETELLIER Jean Louis Adjoint au Maire Mairie de Val de la Haye LOBEL Emilie Charg e d tudes d urb et d envt ind Port Autonome de Rouen LORIOT Florence Secr taire CHSCT Syngenta Production France MAHEUT Didier Chef du d partement services g n raux techniques Eramet MALICORNE Gilles Manager assurance conformit r glementaire Lubrizol France MALLET Pascal Chef de projet CODAH MANOURY HELIER Beno t CHSCT Snecma MA
6. ce titre du signal fort adress en 2003 par les signataires de la Charte pour la gestion du risque indus triel en Haute Normandie A l poque une cinquantaine d in dustriels d lus et de repr sentants de l Etat avaient choisi de poser plat toutes les probl matiques li es la ma trise de l urbanisation aux abords des sites Seveso puis de mettre noir sur blanc une s rie d engagements de progr s r duire prio ritairement les risques la source contenir les zones de risques existantes endiguer l augmentation des populations expos es acc l rer la mise en place des CLIC La d marche PPRT prolonge et renforce cette initiative inspir e de la directive Seveso 2 mais spontan e dans son expression r gionale Philippe Ducrocq et le Pr fet Carenco n ont pas man qu d y faire r f rence le 24 octobre Rencontre r gionale sur la mise en uvre des PPRT ES Q l L EXEMPLE DU PPRT EXPERIMENTAL DE MAZINGARBE PAR JEAN YVES BURET DIRECTEUR DE GRANDE PAROISSE GRAND QUEVILLY Une d couverte pas pas Avant de prendre les r nes du site de Grand Quevilly JEAN YVES BURET dirigeait l usine Grande Paroisse de Mazingarbe dans le Pas de Calais C est donc riche de l exp rience d un PPRT pilote qu il se pr sente devant l auditoire Mon d part pour la Haute Normandie est intervenu avant la mise en appli cation du plan que j ai contribu pr parer Pour autant je peux attester qu un tra
7. BR LIE de d crire une r union de CLIC type avec point sur l actualit juridique passage en revue des incidents intervenus sur la p riode et examen d un cas pratique incident plus ou moins bien g r ou exercice de s curit J ai tout de m me un motif de relative insatisfaction ce jour note t il nous sommes absents du champ de la communi cation en direction de la population Par souci d efficacit et de coh rence vis vis du territoire dont nous avons la res ponsabilit c est un manque auquel il va falloir rem dier 00 ES UI raea u TABLE RONDE LE R LE DES COLLECTIVIT S LOCALES gt Pierre Marie DUHAMEL Maire d Aumale Pr sident de l Association des Communes pour la Ma trise des Risques technologiques majeurs gt Jean Paul LECOQ Maire de Gonfreville l Orcher vice Pr sident de la Communaut d agglom ration havraise charg des risques majeurs gt Philippe SCHAPMAN Elu de Saint Etienne du Rouvray repr sentant de l Agglo de Rouen au sein du SPPPI Basse Seine Rejoints dans un second temps par gt Jean Yves BELOTTE Directeur R gional de l Equipement gt Philippe DUCROCQ Directeur R gional de l industrie de la Recherche et de l Environnement Soyez notre coute PIERRE MARIE DUHAMEL est venu l INSA avec un jeu de cartes illustrant la position difficile dans laquelle se retrouvent les maires quand un nouvel outil de planification s imp
8. CLIC Rouen Ouest en conf rant un r le p dagogique aux CLIC Le mot p dagogie t moigne d une vision unilat rale du dialogue et de la concer tation totalement inacceptable pour moi Plusieurs invit s parmi lesquels Patrick Barbosa Haute Normandie Nature Environnement Delphine H dary Pr fecture de l Eure et Gilbert Mary lui m me ont malgr tout confirm la n cessit de bien conna tre une situation avant d en discuter e Evoquant les obligations des exploitants en mati re d effec tifs de s curit Jean Paul Lecoq Maire de Gonfreville l Orcher a ironis sur la remarque il serait bon que vous disposiez d un pompier de plus formul e par la DRIRE lors d une visi te de contr le en usine Qu est ce qu un industriel doit en conclure Philippe Ducrocq s en est expliqu Vous parlez d un exercice de nuit o nous avons d abord et avant tout appr ci la rapidit de l arriv e des secours La remarque sur le pompier de plus a t secondaire pour souligner des moyens humains juste suffisants Bruneval le Directeur r gional de la SNCF le Pr sident de l Union maritime et portuaire le Pr sident de l ORMES etc En outre il a d cid de mettre en place un bureau pour permettre un fonctionnement r gulier et souple entre deux r unions semestrielles Chaque coll ge s est une fois de plus pli de bonne gr ce l exercice de d signation d un seul repr sentant Et MICHEL SCHMIDT DE LA
9. Fluides PLANQUAIS Alain Inspecteur installations class es DRIRE Haute Normandie POIVET Romain S curit Ing nierie PORCELLI Patrick SDIS 76 POULIN Alain Charg de l urbanisme Mairie de Montville POUPIN Christine CGT Seine Maritime RAULT Christian Secr taire CHSCT CFDT Seine Maritime REIX J Responsable du service urbanisme Mairie de Brionne RENAULT Andr Mairie de Saint Pierre la Garenne REVERTEGAT Maxime CFE CGC RICHARD Vincent Ing nieur de pr vention DDTEFP 76 ROUSSEL G rard Directeur Total Petrochemicals RUBON Jean Michel Directeur Pr fecture de l Eure SAFFROY Fr d ric Conseiller d entreprise CCI de Rouen SALVADOR Olivier Notaire SCP Turbe Salvador Boulaud SAUTEUR Laurent Ecologie pour Le Havre SCHAPMAN Alain Chef div contr les tech nergie DRIRE Haute Normandie SCHAPMAN Philippe D l gu Agglo de Rouen SCHMIDT DE LA BR LIE Michel Sous Pr fet du Havre SCOTTE Anne Responsable service QHSE Syngenta Production France SEGUIN Jean Pierre Ancien chef de corps SP Mairie d Aumale SELLIER Sylvie Technicien environnement Mairie de Saint Etienne du Rouvray SOBOL VICIUS Guy Responsable AFNOR Haute Normandie STREIFF Jean Michel D l gu l envt Communaut de com Eure Madrie Seine TANGUY Gwena lle Chef de projet Compagnie des sabli res de la Seine TASSILY H l ne Adjoint au chef du STDPC Pr fecture de R gion Basse Normandie THERRY Pascal
10. Paroisse CANTAIS Alain Pr sident Eco Choix CAPOT Maritxu SMI Port J r me CARENCO Jean Fran ois Pr fet de la R gion Haute Normandie et de la Seine Maritime CARPENTIER Vincent Coordinateur Emerit CARRA Fara Chef du service gestion des risques D partement de Seine Maritime CARR Franck Chef de service DDE Dieppe CARSALADE Jean Adjoint du chef du p le risques DRIRE Haute Normandie CAZIN Jacques Directeur d usine Chevron Oronite CHANTELAUVE Guillaume Ing nieur d affaires Ineris Ouest CHATELET Gilles Expert s curit environnement GRTgaz CHEMIN Patrice Inspecteur installations class es DRIRE Haute Normandie CHESNEL C dric Charg de miss am nagt urb d placements DDE Le Havre CHICOT Christian Mairie de Gonfreville l Orcher CHRISTOPHE Anne Attach e d adminstration centrale DGEIDARQSI CLAVAUD Olivier Directeur HSE R Chevron Oronite CLECH Jacques IES DDASS 76 CONSEIL Jean Luc Secr taire CHSCT Total Raffinerie de Normandie CORR A Alain COUPIN Carole Mairie de Notre Dame de Gravenchon COURTEMANCHE S verine Responsable hyg s cu envt EADS R vima COURTOIS Ren Affaires sociales logement Mairie d Oissel CRAMOYSAN Christophe Directeur SEPP CRENN Pierre Chef du GS du Havre DRIRE Haute Normandie CRONNIER Andr Sanofi Aventis CUFFEL Sandra Secr taire de mairie Mairie d Oudalle D ARGENTRE Emmanuel S curit des proc d s ExxonMobil Chemical DE
11. communiquer avec les habitants STRAT GIE ET PROPOSITION DE ZONAGE R GLEMENTAIRE 18 mois prorogeables Concertation ont enfin plaid les organisations de salari s et les associations d une part pour que leurs voix soient bien prises en compte au sein des CLIC d autre part pour que la dimension sociale humaine des PPRT ne soit pas oubli e ELABORATION DU PROJET DE PPRT gt Avis DU CLIC gt ENQU TE PUBLIQUE Concertation gt APPROBATION DU PPRT Et si c tait en effet la premi re arme contre les risques qui n aiment rien tant que labsence d coute et de dialogue et prosp rent sur les terrains o chacun ne poursuit qu un seul objectif son int r t particulier imm diat PUBLICATION DU PPRT TABLE RONDE Ne LES PPRT EN HAUTE NORMANDIE Apr s un propos liminaire visant rappeler les grands objec gt Patrick BARBOSA tifs de la loi Bachelot et souligner toute l importance d un Pr sident de Haute Normandie Nature dialogue froid sur les risques voir encadr Toulouse Environnement dans les esprits DEL y expose le r le de l Etat gt Jean Claude Membre du CHSCT de la Couronnaise de Raffinage membre du CLIC Rouen Est Directeur de l Environnement et du dans le processus d laboration des PPRT DRIRE pour le pilo tage de la cartographie des al as DDE pour l identification des enjeux D s ce stade les CLIC devront tre tenus infor m s Suivront ensuite la prescrip
12. n existe pas de mod le venu d en haut et que la d finition est relativement ouverte De concertation il va continuer tre abondamment ques tion Les sites concern s par les PPRT en Haute Normandie Calendrier indicatif en date du 24 10 06 pour l laboration des PPRT haut normands DEN PPRT de phase d laboration 1 C Date de r ception des compl ments EM PPRT de phase d laboration 2 Prescription Rencontre r gionale sur la mise en uvre des PPRT 7 Proc dure PPRT y ETUDE DE DANGERS EDD ETUDE DE CARTOGRAPHIE DES AL AS gt PRESCRIPTION PR FECTORALE DU PPRT CONCERTATION La concertation est incontestablement le mot vedette ressorti de plus de six heures de discussion Concertation dit la loi et les repr sentants de l Etat s en sont abondamment fait le relais pour expliquer quel point les PPRT sont plus qu un nouvel outil une nouvelle approche col lective associative multipartite de la gestion ma trise des risques ETUDE ET CARTOGRAPHIE Concertation ont appel les industriels visiblement soucieux que leurs technologies soient mieux per ues et comprises par leur environnement et leurs efforts de ma trise des risques la source reconnus DES ENJEUX ZONAGE BRUT Concertation ont demand les lus pour que leur connais sance fine du tissu local soit mise profit au cours de la pro c dure et qu ils disposent des arguments n cessaires pour
13. rateur commandant s r nit et coute mutuelle des intervenants d horizons pourtant tr s divers Les expressions travailler dans la transparence et la confian LL LL ce sens des responsabilit s sinc rit et honn tet intel lectuelle ont t un leitmotiv des changes Le nouveau dispositif a suscit plus d attentes que de cri tiques Comme l a dit Delphine H dary Secr taire g n rale de la Pr fecture de l Eure en ouverture de sa table ronde Toulouse a montr quel point il est difficile de dialoguer au lendemain d un drame c est pourquoi la concertation qui nous r unit ici est tr s importante c est pourquoi d velopper et partager la culture du risque est un objectif qui doit nous rassembler LES SITES CONCERNES PAR LES PPRT EN HAUTE NORMANDIE PAR ARNAUD TOMASI CHEF DE LA DIVISION ENVIRONNEMENT INDUSTRIEL LA DRIRE HAUTE NORMANDIE Vers une petite quinzaine de PPRT Nous aurons r ussi nos PPRT s ils sont autre chose que de purs documents techniques autre chose que des outils subis parce que le diagnostic n aura pas t partag en amont affirme ARNAUD TOMASI La phase de concertation et de d fi nition de la strat gie est fondamentale insiste t il encore avant de commenter la carte et le planning pr visionnel des PPRT en Haute Normandie projet s sur grand cran La r gion compte 51 sites Seveso seuil haut dont beaucoup sont concentr s aussi une petite q
14. Ashland Avebene FORTIN Jean Michel Directeur g n ral des services Mairie de Montville FRANCOIS Henri Directeur adjoint strat gie industrielle Soci t Butagaz FRECHET Olivier Chef du d p qualit s curit d veloppement CIM FREY Claire Inspectrice installations class es DRIRE Haute Normandie GENEST Dominique Directeur ASICEN GODEBOUT Jean Fran ois Membre CHSCT Eramet GOGLU Roger Administrateur INSA de Rouen GRESSENT Philippe Charg de communication DRIRE Haute Normandie GUERIN Jean Fran ois Chef du p le risques DRIRE Haute Normandie GUILLAUD Raymond D vpt co et circulation Mairie de Saint Pierre l s Elbeuf HARDELIN Mathieu Inspecteur installations class es DRIRE Haute Normandie HAUZAY David Chef du p le qualit s curit r gularit d vpt SNCF HEDARY Delphine Sous Pr fet Sec g n rale de la Pr fecture de l Eure H RY Jean Paul Mairie d Aumale HERZOG STASI H l ne Consultante PTC HOLUBEIK Jean Luc Chef du GS d Evreux DRIRE Haute Normandie HOUBRON Philippe EPF Normandie HUART Christophe Adjoint au chef de GS du Havre DRIRE Haute Normandie HUE Daniel Directeur technique Mairie de Montville JOURDAN Nathalie Journaliste PTC KLEIN Jean Bernard Ing nieur expert environnement securit CFE CGC LABORDE Sylvain Inspecteur installations class es DRIRE Haute Normandie LAGADEUC Yann Directeur d usine Syngenta Production France LAILLE Jean Pierre
15. ENTANT D UNE ASSOCIATION DE RIVERAINS HAVRAISE pointe la disposition selon laquelle un particulier pourra tre oblig de r aliser des travaux de protection de son logement pouvant atteindre 10 de la valeur du bien Comment va t on faire pour payer m me avec un cr dit d imp ts UN SALARI ET REPR SENTANT SYNDICAL s interroge sur la part de subjectivit de la notion de probabilit Existe t il des r f rences GUILLAUME CHANTELAUVE explique qu il existe cinq classes allant de A pour un v nement relativement courant susceptible de se produire une fois sur la dur e de vie d un site E pour un v nement extr mement improbable susceptible de se produire une fois en cent ans dans mille sites comparables e L ADJOINT AU MAIRE DE PETIT COURONNE fait le constat qu une carte des enjeux ressemble un plan local d urba nisme mais qu elle pose le probl me des limites passant sur les habitations et autres flots b tis Quelles obligations de tra vaux vont incomber aux bailleurs sociaux Aux communes pour les tablissements publics Aux particuliers pour leurs habitations A t on valu les co ts lt Carte des al as exemple fictif LE PR SIDENT DE L ASSOCIATION HAUTE NORMANDIE NATURE ENVIRONNEMENT exprime ses doutes sur la m thode Appliqu e l usine AZF je ne suis pas s r qu elle aurait t efficace et son scepticisme sur la d marche en g n ral De mon point de vue on est
16. Havre o sont regroup s 16 tablissements SEVESO seuil haut Port J r me qui a la particularit d tre bi d partemental Rouen Ouest Rouen Est Elbeuf Vernon Gaillon plus le CLIC dit des sites isol s de Seine Maritime Les CLIC ont vocation vivre parall lement aux PPRT lorsque ceux ci auront t approuv s pr cise encore l ing nieur avant d annoncer les t moignages d un membre et d un pr sident de Comit s RETOUR D EXP RIENCE DU CLIC DE VERNON PAR GILBERT MARY DIRECTEUR DE SNECMA MOTEURS VERNON Un lieu pour expliquer communiquer faire de la p dagogie GILBERT MARY est la t te d un site sp cialis dans le d ve loppement et la production de moteurs d avions et de fus es groupe Safran Nous sommes heureux de nous tre inscrits dans cette d marche de concertation certes impos e mais dans laquelle nous nous retrouvons confie t il Les risques g n r s par Snecma Moteurs sont li s au stocka ge d hydrog ne n cessaire au fonctionnement d Ariane 5 Les zones de tests et d essais tant bas es en for t distance respectable de Vernon ce sont des risques relativement cir conscrits mais tudi s et surveill s en permanence par nos quipes assure le directeur qui souligne toutefois que la d marche PPRT leur fait obligation de se doter d outils de mod lisation nouveaux tr s pertinents Nous ma trisons de tr s hautes technologies aussi le CLIC se r v
17. NY Val rie Consultante PTC MARECHAL Marc Secr taire du CHSCT Yara France MARY Gilbert Directeur d tablissement Snecma MARY Jean Claude Membre CLIC Vernon La Sauvegarde de l Environnement MELON Christelle Ing nieur service HSE Syngenta Production France MERHANT R gis Secr taire CHSCT EMCP MERSCH Cendrine Juriste d entreprise Lubrizol France MESSIER Corinne Assistante communication DRIRE Haute Normandie MEYER Robert Professeur MILLOT Claude Responsable proc d Nufarm MONROUX Florence Resp de la subdivision territoriale DDE 76 MOREAU Jean Marc Dir services tech Mairie de Notre Dame de Gravenchon MOREL Guillaume Charg d tude risques technologiques DDE 76 MORO S bastien Port autonome du Havre NOBLET Jacques Charg de com interne Pr fecture de Seine Maritime PARIS Jean Marc Lieutenant Colonel SDIS 76 PASQUET Jean Luc Chef du centre emplisseur Sigalnor PAULCONSTANT Patrick D l gu syndical ExxonMobil Chemical PAULMIER Nicolas Inspecteur DRIRE Haute Normandie PAYANT Daniel Adj au Maire charg de l envt Mairie de Notre Dame de Gravenchon PESTRINAUX Marie Agn s Chg e de miss gest risques majeurs Mairie de Honfleur PETAT Bruno Directeur g n ral Norgal PETIT COULAUD Clarisse Charg e d tude urbanisme Agglo de Rouen PICARD Thierry Directeur LBC Sogestrol PINCEPOCHE Bernard Mairie de Rogerville PIQUENOT Pierre Responsable HSEQDD Total
18. PLOI gt Micha l BENTLEY Charg d tudes Am nagement urbanisme environnement au CETE Normandie Centre gt Guillaume CHANTELAUVE Ing nieur d affaires l INERIS gt Bruno DUMONT Charg du service de l Am nagement du territoire la DDE de Seine Maritime gt Jean Fran ois GUERIN Chef du p le Risques la DRIRE Haute Normandie Une m thodologie nouvelle Dangers al as enjeux Ces mots ont d j t prononc s plu sieurs fois quand quatre sp cialistes des risques s installent devant l auditoire Que signifient ils pr cis ment Comment vont ils tre tudi s Comment vont ils se traduire dans les PPRT L al a technologique d signe la probabilit d occurrence qu un ph nom ne dangereux d une intensit sp cifique en un point donn du territoire explique GUILLAUME CHANTELAUVE S y int resser est primordial pour appr hender la notion de risque et au del atteindre l objectif des PPRT qui est l am lioration de la s curit des personnes autour des sites SEVESO seuil haut L ing nieur d taille ensuite les tapes de travail l Inspection des Installations Class es va d finir l al a sur la base de l tude de dangers fournie par l industriel et dans laquelle sont recens s tous les ph nom nes dangereux effets thermiques de surpression ou toxiques une fois ces ph nom nes dangereux analys s selon leur probabilit d oc currence leur cin tique et leur niveau
19. PREMARE Pierre Dir r gional Compagnie des sabli res de la Seine DEBRAY Jacques Dir de l envt et du d v durable Pr fecture de Seine Maritime DEFERT V ronique Responsable HSE Eliokem DELACHAUX Philippe Dir usine Total Fluides DELAHAYE Guy Directeur d usine Ashland Avebene DELAUNE Laurent Membre CHSCT ExxonMobil Chemical DELLERIE Jacques Mairie de Sandouville DEMEILLERS Jean Michel Membre du CHSCT Soci t SIGALNOR DESANGLOIS Patrice Mairie de Saint Pierre l s Elbeuf DEVERRE Jean Marc Directeur g n ral PTC DORIVAL Jean Adjoint au maire Mairie de Caudebec l s Elbeuf DOUCHET St phane Inspecteur des installations class es DRIRE Haute Normandie DOUCHIN Marc Directeur Pr fecture de l Eure DUBOSQ Jean Paul serv am nagt et gestion du patrimoine Port aut du Havre DUCROCQ Philippe Directeur r gional DRIRE DIREN Haute Normandie DUHAMEL Pierre Marie Maire Mairie d Aumale DUMONT Bernard D l gu r gional Ineris Ouest DUMONT Bruno Charg du service de l am nagement du territoire DDE 76 DURAM Philippe Directeur serv technique Mairie de Saint Aubin l s Elbeuf DURAND GASSELIN Philippe Dir g n d l chef tab Francolor Pigments DUVAL Marie Christine Charg e de communication DIREN Haute Normandie ENAULT R my Adjoint au Maire Mairie de Harfleur FACHE Marie France Charg e d t d urbanisme et d envt ind Port Aut de Rouen FAUST Alexandre Responsable QHSE
20. Rencontre r gionale sur la mise en uvre des Plans de Pr vention des Risques Technologiques 24 octobre 2006 Secr tariat Permanent pour la Pr vention des Pollutions Industrielles en Basse Seine Rencontre r gionale sur la mise en uvre des PPRT 1 AVANT PROPOS Plus jamais a a t on dit au lendemain de l accident AZF de Toulouse en 2001 Le dispositif des Plans de Pr vention des Risques Technologiques PPRT qui se met actuellement en place est l une des r ponses pour am liorer la ma trise des risques autour des sites Seveso seuil haut r ponse pour r dui re au minimum les risques industriels la source r ponse pour ma triser l urbanisation et prot ger les populations qui vivent aux abords des exploitations potentiellement dangereuses Elabor s sous l autorit des Pr fets de d partement les PPRT sont des outils qui vont permettre de d finir de nouvelles r gles d urbanisation visant un voisinage durable entre tablissements hauts risques activit s conomiques et habi tations Pour tre efficaces et p rennes ils doivent tre accept s par tous La cl de leur r ussite est donc dans la concertation de tous les acteurs exploitants services de l tat lus rive rains salari s En Haute Normandie la concertation sur les PPRT est engag e dans plusieurs Comit s Locaux d information et de Concertation CLIC Une tape importante a t franchie le 24 octobr
21. ation e D cret n 2005 1130 du 7 septembre 2005 relatif aux PPRT e Circulaire du 3 octobre 2005 relative la mise en uvre des PPRT e Guide m thodologique PPRT ul ation e Le Plan de Pr vention des Risques Technologiques e Guide destination des lus locaux L tude de dangers e Charte pour la gestion du risque industriel en Haute Normandie Po 1 Dossier PPRT et liens vers les principaux textes http www prim net Minist re de l cologie et du D veloppement durable http www ecologie gouv fr DRIRE Haute Normandie http www haute normandie drire gouv fr DDE de la Seine Maritime http www seine maritime equipement gouv fr DDE de l Eure http www eure equipement gouv fr Centre d tudes sur les r seaux de transport et l urbanisme http www certu fr Institut national de l environnement industriel et des risques http www ineris fr Documents disponibles gratuitement sur simple demande aupr s de la DRIRE Haute Normandie Rencontre r gionale sur la mise en uvre des PPRT 15 Rencontre r gionale du 24 octobre 2006 Liste des participants AMMOUIAL Roger Chef de service QSE Couronnaise de Raffinage ANAT Michel HMNF AUDOUIN David SDIS 76 AUVRAY Michel Tr sorier Estuaire SUD BABEL Daniel Inspecteur installations class es DRIRE Haute Normandie BACHELET Daniel Mbre du bureau du CLIC du Havre Total Petrochemicals BARBAY Claude Coordinateur Haute Normandie Nature Environnem
22. ctorielles int ressantes e Daniel Payant adjoint au Maire de Notre Dame de Gravenchon a expliqu que dans le cadre de la r vision du PPI de sa commune une strat gie de communication grand public avait t mise en place avec r union publique articles dans la presse et diffusion d une plaquette sur la conduite tenir en cas d accident grave e G rard Roussel a indiqu que la commission Risques majeurs de la CCI du Havre avait mis en place un groupe de travail sur la cartographie des al as dans la zone havraise e Un responsable de l UIC a signal que son organisation pro fessionnelle avait r alis un guide de bonnes pratiques sur les PPRT Rencontre r gionale sur la mise en uvre des PPRT E qui reste in vitable L appel de PHILIPPE SCHAPMAN en faveur de la stabilit des r gles le conduit par ailleurs reve nir sur un point de son intervention du matin voir table ronde Les PPRT en Haute Normandie Les PPRT vont nous per mettre d adopter une position plus ferme en ce sens que si notre connaissance des produits dangereux volue ou si nous apprenons qu une usine va s agrandir nous commencerons par demander l exploitant de respecter le p rim tre qui a t d fini Autrement dit nous ferons tout pour viter l extension des zones rouges et tout pour tenter de les r duire Quant JEAN YVES BELOTTE les remarques des maires lui inspi rent deux commentaires Je ne saurais trop insister s
23. d intensit chaque point du territoire va se voir attribuer un niveau d al a sur une chelle de sept degr s faible moyen moyen fort fort tr s fort tr s fort Cette graduation op r e par la DRIRE est la base partir de laquelle vont s appliquer des principes de r glementation plus ou moins s v res allant jusqu l inter diction de construire D crire ce processus montre quel point la qualit des tudes de dangers r alis es par les indus triels est importante Les enjeux d signent les diff rentes composantes du terri toire encha ne MICHA L BENTLEY Nous allons les identifier en d finissant quatre grandes cat gories le b ti habitations tablissements recevant du public les infrastructures de transport routes voies ferr es les lieux publics mar ch s et les ouvrages d int r t g n ral antennes relais Nous allons estimer les populations pr sentes sur le territoi re Nous allons galement recenser les plans d j existants risques naturels par exemple La DDE effectuera une syn th se superposera la carte obtenue celle des al as et appr hendera ainsi la vuln rabilit du territoire Cette approche permettra d arr ter les choix strat giques mettre en uvre pour diminuer la vuln rabilit des diff rentes zones au travers d un ventail de mesures A ce stade de la table ronde plusieurs personnes demandent la parole LE REPR S
24. e 2006 l INSA du Madrillet avec une r union d in formation r gionale laquelle plus de 200 personnes ont particip Cette forte mobilisation t moigne de la culture de l change dans cette r gion culture que le Secr tariat Permanent pour la Pr vention des Pollutions Industrielles a contribu instal ler depuis pr s de trente ans Je suis heureux de vous rendre compte de cette journ e au cours de laquelle se sont manifest es de nombreuses attentes mais s est galement exprim e une forte mobilisation Reflet vivant des d bats de cette journ e le compte rendu est uti lement compl t par les documents nationaux de r f rence list s la fin de ce cahier technique Je vous souhaite une bonne lecture Philippe DUCROCQ Directeur R gional de l Industrie de la Recherche et de l Environnement Rencontre r gionale du 24 octobre 2006 R cit de la journ e Mardi 24 octobre 2006 les Pr fets Carenco et Laisn donnent le coup d envoi de la d marche PPRT en Haute Normandie r unissant pour une journ e d information et de d bat l en semble des acteurs concern s par le nouveau dispositif de pr vention des risques technologiques aux abords des sites Seveso seuil haut Plus de 200 personnes se retrouvent l INSA sur le site du Madrillet Saint Etienne du Rouvray Responsables de collectivit s industriels acteurs associatifs et syndicaux repr sentants des services de l Etat sont venus par
25. e autre difficult est celle de la capacit des gens se reloger dans des condi tions quasiment identiques Qui va payer Le pollueur Pour le Maire de Gonfreville l Orcher l essentiel est toutefois de ne jamais se retrouver dans la situation du maire de Toulouse ou de Chamonix Le risque ne se n gocie pas Je dis chiche Mais alors il y a du chemin faire pour me per mettre de satisfaire toutes mes obligations d lu assurer la s curit de toutes les personnes qui vivent ou passent sur le territoire de ma commune mais aussi les informer leur appor ter des r ponses adapt es JEAN PAUL LECOQ insiste alors sur l enjeu absolument essentiel ses yeux des PPRT la r duction des risques la source Partant de l je serai la disposition des industriels pour parler s curit et essayer de nous comprendre A ce moment de la table ronde les lus sont rejoints par le Directeur r gional de l Equipement et par le Directeur r gional de l Industrie de la Recherche et de l Environnement PHILIPPE DUCROCQ rebondit sur le sujet de la r duction des risques la source pour pr ciser que c est une priorit deve nue aussi vidente qu absolue pour la DRIRE Lorsque je dis que le risque est non n gociable je parle du risque r siduel DES INITIATIVES CONNA TRE Le d bat sur les PPRT a t l occasion pour des lus et des industriels de porter connaissance trois initiatives locales ou se
26. e d explication sur les p rim tres comment vont ils vont tre d finis qui tracera les cercles et selon quels crit res quelles seront les possibilit s d volution dans le temps Une adh sion la philosophie g n rale des PPRT vus comme une mani re nouvelle et progressiste de prendre en compte les risques technologiques avec pour corollaire un sentiment de doute tout cela n est il pas trop ambitieux trop compliqu trop cher La consultation s est prolong e sous la forme d un questionnaire d valuation de la r union gliss dans les dossiers des participants La ving taine de personnes qui s est exprim e est unanime la rencontre a t utile int ressante et riche Elle pointe aussi un certain nombre de sujets o l attente demeure forte en particulier l articulation des PPRT avec les documents d urbanisme les moyens financiers et leur r partition gt le poids r el de certains acteurs dans la gouvernance du dispositif collectivit s locales coll ges salari s associations gt l information base d exemples concrets de fiches techniques voire de formations la communication en direction de la population Documentation utile e Loi n 2003 699 du 30 juillet 2003 relative la pr vention des risques technologiques et naturels et la r paration des dommages e D cret n 2005 82 du 1er f vrier 2005 relatif la cr ation de comit s locaux d information et de concert
27. en train d habiller avec de nouveaux concepts et sigles une situation qui ne fait pas assez la part belle la r duction des risques la source la rendant au passage incom pr hensible pour la population La transition est ais e pour JEAN FRAN OIS GU RIN qui le PPRT appara t au contraire comme un outil suppl mentaire en faveur de la gestion et de la ma trise des risques Le Chef du P le Risques de la DRIRE en rappel le les quatre piliers fondamentaux 1 la r duction des risques la source qui est en effet le premier travail effectuer avec pour exemple de r sultat r cent la r duction des quantit s d ammoniac stock es Oissel 2 la mise en place de plans de secours pour r duire les cons quences d un ventuel acci dent plans d op ration interne et plans particuliers d inter vention 3 l information des populations pour faire face aux effets d un accident et les limiter 4 la ma trise de l urbani sation pour limiter le nombre de personnes potentiellement expos es Le PPRT n est pas un outil destin faire de l expropriation et du d laissement Il vise corriger des situations urbaines h rit es du pass en recourant ventuellement au finance ment par la collectivit d actions suppl mentaires de r duc tion du risque la source au del m me des contraintes r glementaires Les CLIC seront cet gard des lieux d changes tr s importants entre les diff rents acteurs c
28. ent BARBOSA Patrick Pr sident Haute Normandie Nature Environnement BARLAGUET William Directeur d usine BASF Agri Production BARTZ Yvan Inspecteur installations class es DRIRE Haute Normandie BASSET Jean Michel D l gu Communaut de com Eure Madrie Seine BECASSE Jany 1 Adjoint au Maire Mairie de Cl on BECHARD Gilles Membre CHSCT et CLIC Snecma BEHETS Jean Bernard Resp ma trise des risques Cete Apave Nord Ouest BELIART Michael Inspecteur installations class es DRIRE Haute Normandie BELLOMO Fabrice Charg de mission CCIE BELMANS Catherine Directeur adjoint DDTEFP 76 BELOTTE Jean Yves Directeur DRE Haute Normandie BENTLEY Michael Charg d tude CETE Normandie Centre BIENVENUE Claude DDE 27 BLANQUET Jean Pierre Mairie de Saint Aubin l s Elbeuf BLIN Jacques Directeur des services techniques Mairie de Grand Quevilly BLOT Claude Pr siden Estuaire SUD BOIZARD Alain Chef de bureau Pr fecture de Seine Maritime BOULANGER Yann Secr taire CHSCT Lanxess Elastom res BOURGUIGNON Fran ois CFE CGC UL Le Havre BOUSSICAULT Anne Marie Service environnement Sous pr fecture de Bernay BROUTE Jean Claude Membre CHSCT et CLIC Couronnaise de Raffinage BRULIN Dominique Membre CLIC ExxonMobil Chemical BUISINE Marie Agn s D l gu e g n rale Valmaris Technopole BURET Jean Yves Directeur Grande Paroisse Grand Quevilly CAIRE Sophie Responsable risques industriels Grande
29. h es par la table ronde PPRT mode d emploi plusieurs interventions ont mis en relief la corr lation entre les risques technolo giques et l organisation du travail Derri re les machines il y a des hommes et des femmes a alert un repr sentant syndical membre du SPPPI Basse Seine Et de demander si les calculs de probabilit int grent les ph nom nes de baisse de vigilance li s aux contraintes horaires mais aussi les probl mes de formation li s au recours la sous traitance Plus tard dans la matin e Delphine H dary Secr taire g n rale de la Pr fecture de l Eure a indiqu que la loi Bachelot pr voyait d tudier les risques sous l angle de l organisation du travail de renforcer le r le des CHSCT et de fixer aux entreprises intervenantes ext rieures des obligations de formation de leurs personnels aux consignes de s curit Le d bat n en a pas moins t relanc par Jean Paul Lecoq Maire de Gonfreville l Orcher pour qui on n insiste pas assez sur le fait que la sous traitance et la l g ret des effectifs de s curit sont facteurs de risques puis par un membre du CHSCT de la Couronnaise de Raffinage qui voit une vraie contradiction entre la d marche PPRT et les choix strat giques actuels des entreprises externalisation notamment Prenant le micro Philippe Ducrocq a tenu dire que si les DRIRE n ont pas vocation entrer dans le d bat des moyens humains n cessaires elles ne sont pas d munies pour autant
30. le d abord tre un excellent lieu pour expliquer commu niquer et faire de la p dagogie en direction des lus et de la population Bien que nous n ayons eu qu une r union pour l instant d installation j ai t frapp par la transparence des changes et leur climat de confiance tant au moment o la Pr fecture et la DRIRE ont rappel le contexte r glementaire que lorsque notre tour est venu d exposer notre probl ma tique de r pondre aux questions et de proposer une visite du site pour que les gens se rendent compte GILBERT MARY pr cise qu une nouvelle r union du CLIC est pr vue pour mai juin 2007 puis c de la parole Michel Schmidt de la Br lie Les CLIC en Haute Normandie Rencontre r gionale sur la mise en uvre des PPRT 11 14h40 RETOUR D EXP RIENCE DU CLIC DU HAVRE PAR MICHEL SCHMIDT DE LA BRELIE SOUS PR FET DU HAVRE PR SIDENT DU CLIC DE LA ZIP HAVRAISE Un remarquable esprit de partenariat Bien que la zone industrialo portuaire havraise soit un univers infiniment plus complexe que celui de Vernon avec beau coup d usines Seveso et beaucoup d autres entreprises autour avec un territoire cheval sur deux d partements et deux r gions le Sous Pr fet du Havre note qu il lui a t presque facile de mettre en place le CLIC du Havre gr ce deux bonnes f es locales appel es tradition de s rieux et solidarit territoriale Ma mission a t rendue d autant plus ais e q
31. ner une tr s large place la concertation et au d bat D o le calendrier ambitieux mais raisonnable qui vous a t indiqu La Haute Normandie est une grande r gion industrielle conclut il A ce titre elle a une forte tradition de pr vention des risques technologiques dont t moigne la charte sign e en 2003 par l Etat et beaucoup d lus et industriels Bien g rer les risques passe toutefois avant tout r p tons le par la r duction des risques la source Les solutions existent et sachez que les ing nieurs de la DRIRE s emploient les mettre en uvre Ainsi pour 2006 1 200 contr les et plus de 80 ana lyses d tudes de dangers ont ils d j t effectu s LES PARTICIPANTS CONSULT S AVANT ET APR S LA R UNION Pour que les expos s du 24 octobre r pondent avec pr cision et sans tabous aux attentes des participants la DRIRE avait joint un ques tionnaire aux courriers d invitation Plus d une cinquantaine sont revenus remplis faisant ressortir plusieurs tendances Un grand besoin d informations concr tes pratiques op rationnelles M me les personnes d j familiaris es avec les PPRT se sont rendues l INSA avec beaucoup de questions en t te Questions sur le d ploiement du dispositif modalit s phasage calendrier Questions sur les dispositions techniques et les moyens financiers notamment Questions sur le syst me de concertation et de gouver nance gt Une forte demand
32. oncer n s Alors que le d bat voit poindre le th me du r le des collecti vit s locales et de la coop ration des diff rents partenaires BRUNO DUMONT prend la parole Il souligne que la nouveaut par rapport aux anciens zonages Z1 Z2 r side notamment dans le fait que la strat gie du PPRT sera d finie de mani re collective et concert e afin d aboutir un arsenal de r gles et de mesures adapt es Ce mode d laboration conjugu la possibilit d agir pour le futur mais aussi sur l existant va dans le sens d une d marche beaucoup plus pr cise Le responsable de la DDE expose encore trois caract ristiques du nouveau dispositif le PPRT est une servitude qui devra tre annex e aux Rencontre r gionale sur la mise en uvre des PPRT Carte des enjeux exemple fictif documents d urbanisme avec pour prin cipe qu en cas de concurrence entre les deux textes c est la r gle la plus contraignante qui pr vaudra le PPRT est juridiquement r visable et suppose un suivi attentif de l volution des p rim tres de dangers la d finition des mesures applicables zone par zone sera r alis e par croise D e we lt tensegrement toutes cat gories contondues Espaces publics owverts Usage permanent dar ouvres ZA torean Unage pr rivitique ou oce assonvet Chang de tore Inhasnucmses de mansports oranes vues uchr aries Autres vos sirctirar es Pite cycate Ligne de bus mo e io
33. ose sans concertation pr alable Ses cartes montrent le territoire d une commune o la pr sence d quipements divers site Seveso ligne tr s haute tension a rodrome pipe line ne laisse qu une portion congrue pour l application de la loi SRU Les lus doivent absolument tre associ s en amont de toute prescription et c est une demande forte que je formule pour les PPRT Nous avons un r le important jouer pour aider concilier les int r ts de l administration des industries et de la population Il faut admettre qu un maire est pris entre deux feux pour suit PHILIPPE SCHAPMAN Il doit assurer la protection de ses concitoyens avec pour principe que le risque n est pas n go ciable Il doit galement pr parer son rendez vous lectoral tous les 6 ans Aussi il est important que les r gles ne chan gent pas tout le temps Une certaine stabilit est n cessaire L lu de Saint Etienne du Rouvray tient en outre revenir sur le probl me de la d pr ciation des biens que les PPRT font peser sur les particuliers A mon avis ce n est pas au niveau de la collectivit locale qu il peut tre trait Il va falloir ima giner des modalit s d indemnisation et pourquoi pas d assu rance PIERRE MARIE DUHAMEL lui fait remarquer que les lus ont probablement la possibilit d agir travers la politique d am lioration de l habitat JEAN PAUL LECOQ ajoute que si la d pr ciation des biens est un probl me un
34. points de vue mais aussi apprendre faire des choix Y compris au prix d changes sinc res et quelquefois vifs note t il A condition que cha cun respecte les r gles du jeu et fasse ne serait ce que l effort de bien transmettre ses documents l avance ajoute DELPHINE H DARY A condition aussi qu en tant que structures relais de l information on ne cherche pas les instrumentali ser rench rit PATRICK BARBOSA La table ronde suscite de plusieurs r actions sur le th me de la confiance e UN REPR SENTANT DE CLIC tient souligner les efforts de mise en conformit r alis s par les industriels travers les tudes de dangers UN SYNDICALISTE doute au contraire du v ritable engagement des entreprises contre les risques tant donn la syst mati sation de la sous traitance e Le souhait de stabilit des r gles formul par DANIEL PAYANT am ne PHILIPPE DUCROCO DRIRE expliquer que les PPRT ont pour objectif d tre sinon grav s dans le marbre du moins fermes ceci afin de repr senter une vraie garantie e UN REPR SENTANT D ASSOCIATION donne G RARD ROUSSEL l occasion de pr ciser que les PPRT tiennent compte des ph nom nes dominos UN REPR SENTANT DE LA COMMUNAUT DE COMMUNES EURE MADRIE SEINE rappelle que concertation rime avec proposi tion Cr er de la confiance n a d int r t que si l on r ussit tablir d autres modes de gouvernance RISQUE ET TRAVAIL D clenc
35. s L L A En MM 10h00 CONCLUSION PAR JEAN FRAN OIS CARENCO PR FET DE LA R GION HAUTE NORMANDIE PR FET DE LA SEINE MARITIME PR SIDENT DU SPPPI BASSE SEINE Il revient au Pr fet de cl turer la journ e Les PPRT sont le dispositif essentiel de la nouvelle politique de pr vention des risques industriels que le gouvernement a souhait mettre en place apr s les v nements de Toulouse non pas pour opposer d veloppement conomique et ma trise des risques mais pour rechercher leur voisinage harmonieux Cette rencontre aura atteint ses objectifs si elle a permis de nous mobiliser sur ces outils mais aussi de les d mystifier faci litant ainsi leur appropriation montrant qu ils ne sont pas seu lement des annexes contraignantes pour les documents d ur banisme mais des vecteurs de communication essentiels sur les risques Les donn es sur les al as seront d ailleurs pro chainement mises en ligne Apr s une parenth se sur les contraintes d urbanisme Permettez moi de pr ciser qu elles ne donnent pas lieu indemnisation c est un principe du droit fran ais ceci dit on trouve toujours des voies et des moyens d am nagement JEAN FRAN OIS CARENCO en appelle son tour une coordina tion troite entre l Etat les lus et les industriels Il remercie la DRIRE d animer le SPPPI depuis 1977 et d avoir d ores et d j r ussi constituer plusieurs CLIC Le processus d laboration qui s ouvre doit don
36. tager leurs connaissances exprimer leurs pr occupations poser leurs questions Le sujet est important et nous avons tous besoin d explications et d changes annonce l anima teur Bertrand Tierce en ouverture de s ance Retour sur une journ e dense OUVERTURE PAR PHILIPPE DUCROCQ DIRECTEUR R GIONAL DE L INDUSTRIE DE LA RECHERCHE ET DE L ENVIRONNEMENT Le risque est non n gociable Situer les PPRT dans l histoire de la pr vention des risques technologiques c est le pr alable auquel se livre le Directeur r gional de l Industrie de la Recherche et de l Environnement PHILIPPE DUCROCO soucieux que les PPRT soient per us dans leur dimension de progr s Les probl mes d urbanisme l abord des sites industriels risques ne sont pas nouveaux mais leur approche a beaucoup volu depuis les ann es 1970 et plus encore depuis l accident de Toulouse Le niveau d exi gence de notre soci t a consid rablement augment plus jamais a La r activit du pouvoir l gislatif s est forte ment acc l r e 2 ans seulement pour concevoir la loi Bachelot qui institue les PPRT Nous reconnaissons tous aujourd hui un int r t sup rieur celui des populations vivre dans des lieux pr sentant un niveau de risque acceptable Cela a des cons quences importantes le risque est non n gociable et l al a doit devenir une r f rence Cela implique aussi qu en amont et en parall le des PPRT priorit absolue
37. tion des p rim tres les enqu tes publiques puis l approbation des PPRT par arr t D veloppement durable la Pr fecture de pr fectoral Le r le de l Etat ne s arr tera pas l puisque c est Seine Maritime lui qui animera les concertations s assurera que les CLIC se gt Delphine HEDARY r unissent r guli rement en disposant de toute l information Secr taire g n rale de la Pr fecture de n cessaire et contr lera la bonne application des mesures Eure gt Daniel PAYANT Chaque orateur de la table ronde s exprime alors sur les Adjoint au Maire de conditions de r ussite des PPRT Notre Dame de Gravenchon gt C i l Directeur de Total Petrochemicals elles tiennent la capacit des uns et des autres bien tra Gonfreville l Orcher vailler ensemble et accessoirement assurer une bonne circulation de l information Cela suppose pour tous trans parence sinc rit honn tet intellectuelle et sens des res ponsabilit s Je crois pouvoir dire que le PPRT de Vernon est d j engag sur ces bonnes bases Une seule entreprise est concern e les risques y sont particuli rement circonscrits C est donc un cas id al pour se faire la main POUR DANIEL PAYANT l information du grand public est un enjeu majeur Lorsqu une enqu te publique s ouvre on constate que les gens recherchent peu d informations Nous aurons donc besoin de moyens et d aide pour communiquer en phase d laboration L
38. ue la culture du risque r gne depuis longtemps d j au sein de l association des industriels du Havre de l ORME de la CODAH mais aussi dans l esprit de tous les sala ri s qui vivent avec les risques et en quelque sorte gr ce eux au quotidien Le CLIC est simplement le cadre global et la bo te outils qui manquaient cette dynamique MICHEL SCHMIDT DE LA BR LIE d roule alors le r cit de toutes les difficult s auxquelles il a chapp Les lus se sont par faitement entendus pour l attribution des 6 si ges seulement pr vus par la loi M me chose du c t des exploitants qui ont approuv notre proposition de retenir un industriel subissant des contraintes Z1 Z2 aux c t s de 5 usines class es Seveso Composer le coll ge riverains n a gu re pos plus de pro bl mes malgr la n cessit de faire des choix Quant aux orga nisations syndicales dont la liste exc dait l encore le nombre de places elles se sont mises d accord en un quart d heure Le Sous Pr fet ajoute que pour une meilleure repr sentativit de chaque coll ge le CLIC du Havre a imagin la notion de partenaires associ s permettant d inclure dans un deuxi me cercle des personnalit s comme le Maire de Saint Jouin PETITES PHRASES GRANDS EFFETS Deux phrases ont fait des ricochets au cours de la discussion sur les PPRT e Gilbert Mary Snecma Moteurs a fait r agir vivement une repr sentante syndicale membre du
39. uinzaine de PPRT se profile La vall e de la Seine est naturellement tr s concern e avec des PPRT pr vus au Havre Port J r me dans les agglom rations rouennaise et elbeuvienne ainsi que dans l Eure Gaillon et Vernon Le Minist re de l Ecologie et du D veloppement Durable et les Pr fectures ont d fini deux grandes phases d laboration selon que les tudes de dangers ont d j t remises ou pas par les industriels Aumale Caudebec en Caux Port J r me Vernon et Gaillon dans un premier temps Le Havre Rouen Saint Jouin Bruneval Montville Elbeuf Brionne et Alizay dans un second temps Le calendrier que nous vous pr sentons est tr s indicatif d une part parce que le temps de la concertation ne se d cr te pas d autre part parce que s agissant d ou tils nouveaux nous sommes susceptibles de rencon trer des obstacles techniques en cours de route Ce calendrier n en est pas moins ambitieux en 2008 tous les PPRT auront t engag s Interrog par un lu sur la prise en compte du site Grande Paroisse de Oissel dans le PPRT de Rouen Est alors que son arr t d exploitation a t annonc pour 2008 ARNAUD TOMASI r pond que l usine ne sera pas incluse dans la proc dure Au Directeur g n ral des services de Notre Dame de Gravenchon qui s inqui te des formes que va prendre la concertation avec les collectivit s l ing nieur de la DRIRE in explique qu il
40. ur l im portance de la collaboration entre les lus et la DDE le plus en amont possible sur la probl matique des enjeux Insister aussi sur la n cessit que la culture de l am nagement prenne de mieux en mieux en compte les risques de mani re viter que les PPRT tombent comme un couperet Le Directeur r gional de l Equipement sugg re en outre que soit d sign dans la r gion un PPRT pilote en mati re d ing nierie fonci re Profitons de la pr sence de l Etablissement Public Foncier de Normandie Pour la derni re fois de la journ e la parole est donn e qui souhaite la prendre JEAN PAUL LECOQ saisit l occasion pour abonder dans le sens in de Jean Yves Belotte et souligner qu au Japon la culture de l am nagement et du risque a permis de faire passer le nombre de victimes des tremblements de terre de plusieurs centaines quasiment z ro en quelques ann es e Enfin PHILIPPE DUCROCQ est invit r pondre une question laiss e en suspens depuis la table ronde PPRT mode d em ploi quid de l obligation faite aux particuliers de r aliser des travaux de protection de leur logement pouvant atteindre 10 de la valeur du bien La loi pr voit cette disposition en effet Elle ne pr cise toutefois pas comment les diff rents acteurs industriels collectivit s Etat devront se r partir les charges financi res On fait en marchant et il reste de fait des ques tions difficile
41. vail de fond tr s utile a t r alis Le site Grande Paroisse de Mazingarbe ce sont 174 hectares ins r s dans un tissu urbain de moyenne densit cit s mini res Notre premi re d marche consist mener une tude de dangers pour b tir des sc narios de probabilit gravit permettant de bien coter et qualifier le risque bien le comprendre JEAN YVES BURET dit avoir ainsi d couvert pas pas la m thodologie de l INERIS menant la cartographie des al as et des enjeux Enseignement num ro un la m thode elle m me nous a permis de r duire les risques Un point d terminant a t le climat de collaboration et de confiance qui s est instaur avec la DRIRE poursuit l indus triel Quant aux rapports avec les collectivit s locales ils sont pass s de difficiles constructifs chemin faisant L atmosph re s est d tendue quand leurs responsables ont constat qu un vrai travail en profondeur se r alisait au sein de l usine et que nous avions l intention de les tenir au courant tr s r guli rement et en toute transparence Enseignement num ro deux avec un bon dialogue on peut concilier une industrie et son environnement Bien que le contexte soit tr s diff rent avec une forte imbri cation des tissus industriel et urbain JEAN YVES BURET se dit d ailleurs serein l abord du PPRT de Rouen incluant le site Grande Paroisse de Grand Quevilly 10h00 TABLE RONDE PPRT MODE D EM
42. vo eree Oiraages Mutert G nsral Artara reies Flacon Poste GOF Lge ectriaue Elements de rep rage ment des cartographies des al as et des enjeux mais aussi partir d analyses com pl mentaires de terrain foncier b ti Deux lus r agissent JEAN PAUL LECOQ Maire de Gonfreville l Orcher note que si le travail de r duction des risques la source n est pas abso lument prioritaire tout cela sera tr s difficile pr senter aux habitants Comment allons nous justifier l ventuelle destruc tion d quipements publics LE MAIRE DE SAINT AUBIN LES ELBEUF interpelle les services de l Etat sur les marges de man uvre qui seront laiss es aux maires pour ajuster les p rim tres de dangers et pr server ventuellement des zones tampons issues des zonages Z1 et Z2 JEAN FRAN OIS GU RIN r pond que les zones de dangers seront d finies autour des installations et dimensionn es au regard des potentiels de dangers et que le maintien de zones tampons sera laiss la libre appr ciation des communes Conserver ces zones tampons peut tre opportun pour anti ciper des extensions industrielles futures par exemple dans le cadre des PPRT ajoute t il TOULOUSE DANS LES ESPRITS La loi instituant les PPRT est n e de l accident AZF de Toulouse en 2001 Non seulement il y a t souvent fait allusion le 24 octobre mais l vidence le souvenir de la trag die a agi comme un l ment f d
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