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1. VU so Oo 22 FICHE 3 ENGAGEMENT DES PARTENAIRES Les responsables l gaux de l enfant NOM Pr nom Qualit NOM Pr nom Qualit Le responsable de l accueil de loisirs NOM Pr nom Qualit L tablissement scolaire de r f rence NOM du repr sentant Pr nom Qualit L tablissement sp cialis de r f rence NOM du repr sentant Pr nom Qualit 1 Les partenaires s engagent ce que l enfant soit accueilli dans les conditions d finies dans l avenant du protocole d accueil 2 Les partenaires s engagent en cas d urgence sur la proc dure suivante a ADHElR os SAMU m decin r f rent b Contacter les responsables l gaux Signatures des partenaires pr c d es de la mention Lu et approuv 23 REPONDRE AUX QUESTIONS DES ACTEURS LES ANIMATEURS Pour s occuper d un enfant handicap faut il tre un sp cialiste Le but est l accueil en milieu ordinaire et non dans une structure sp cialis e L enfant handicap est un enfant comme les autres Il a les m mes besoins Seules les r ponses ses besoins vont n cessiter des ajustements particuliers Pour lui le contact avec des adultes non sp cialistes du handicap est l occasion de regards nouveaux de progr s La connaissance des aspects techniques sp cifiques li s au handicap n est pas un pr alable toujours indispensable D ailleurs il existe tant de types de2. Gi LES ENFANTS ET LES JEUNES EN SITUATION DE HANDICAP DANS LES TEMPS DE LOISIRS MODE D EMPLOI SOMMAIRE Page 3 Introduction Page 6 L importance des accueils collectifs Page 8 La loi les cadres Page 10 Les grands types de handicaps Page 11 Charte de d ontologie Page 14 B tir un projet de vie Page 16 Les bonnes pratiques dans les loisirs collectifs Page 18 Procedure type Fiche 1 Outil d valuation de la situation de l enfant Fiche 2 Am nagements n cessaires l accueil Fiche 3 Accords et engagements des partenaires Page 25 R pondre aux questions des acteurs Page 28 Les aides suppl mentaires Page 29 Les sigles Page 30 Sites Internet ressources et adresses utiles HANDICAP et ACCEM INTRODUCTION L accueil collectif des enfants pendant les temps de cong s scolaires et de loisirs a toujours constitu un enjeu social majeur A l origine initi par des preoccupations sanitaires et hygienistes il s est affirme au fil du temps pour ses valeurs ducatives Bien avant la promulgation de la loi de 2005 avant l avis de la Haute Autorit de Lutte Contre les Discriminations et pour l Egalit rappelant le caract re de service public des accueils de loisirs sans h bergement les organisateurs de centres de vacances et de loisirs ont uvr l int gration de tous les enfants et des enfants pr sentant des besoins particuliers La r ussite de l accueil et plus encore
3. La personne handicap e mineure ou adulte est membre part enti re de la soci t Cette appartenance sa citoyennet lui conf rent des devoirs et des droits dans la mesure de ses possibilit s et de ses moyens seule ou accompagn e Devoir de se conformer aux r gles de la vie sociale droit la reconnaissance pleine et enti re de sa dignit au respect de ses besoins particuliers La diversit des personnes accept e et prise en compte constitue un facteur d enrichissement et d volution positive de la soci t Celle ci doit tre organis e pour favoriser l int gration et l panouissement de chacun de ses membres L adh sion ces principes et l engagement solidaire les mettre en uvre selon les objectifs d finis dans cette Charte seront garants de la qualit des vacances et des loisirs dont d pend la qualit de l int gration 11 INT GRATION Par d finition int gration signifie faire entrer dans un tout Pour la personne handicap e les vacances et les loisirs constituent un moyen un moment un lieu particuli rement propices cette int gration La volont des signataires est de faire en sorte que la personne handicap e puisse pr parer et vivre ses vacances circuler dormir manger participer parmi les autres vacanciers LES PERSONNELS uvrer pour l int gration sociale dans le champ des loisirs et des vacances impose un renforcement de comp tences du personnel tout en affirmant
4. Sport Adapt Il reste encore beaucoup de chemin parcourir LES BONNES PRATIQUES DANS LES LOISIRS COLLECTIFS Malgre les volutions en cours l accueil d un enfant ou d un adolescent handicap dans les loisirs ducatifs peut encore inqui ter l gitimement les familles Parfois h sitantes elles doivent pouvoir trouver des r ponses des appuis des relais pour soutenir et conforter leur d marche L INFORMATION DES FAMILLES Elle passe d abord par les assistantes sociales la CAF la MDPH par les collectivit s locales et les structures d accueil Elle peut prendre diverses formes plaquettes brochures Cette communication doit susciter le dialogue afin d informer et aussi de rassurer sur les apports ducatifs de la confrontation au milieu ordinaire les questions de la securisation de l accueil les atouts de la non specialisation des acteurs ducatifs pour construire une r elle int gration et une r elle avanc e soci tale L impact d une communication forte sur une politique d accueil fait s interroger nombre de collectivites et d organisateurs inquiets de se voir submerges de demandes C est encore loin d tre le cas car tres souvent le potentiel d enfants ou d adolescents concernes est reduit LACCOMPAGNEMENT DE LA DEMARCHE DES FAMILLES Il est indispensable d accompagner la volont et la d marche des familles et de faciliter la coordination des aides cf page 28 Pour cela il est
5. cole la formation a l emploi la culture et aux loisirs au logement et aux transports Un acc s syst matique des personnes handicap es au droit commun Tout enfant tout adolescent pr sentant un handicap est inscrit dans l cole ou l tablissement le plus proche de son domicile qui constitue son tablissement de reference La loi impose donc l inscription syst matique de l enfant dans l tablissement scolaire de son quartier Le projet personnalis de scolarisation PPS d finit le projet de vie du jeune dans ses aspects scolaires ou non et les aides mobilisables contient des volets compl mentaires actions p dagogiques psychologiques ducatives sociales m dicales et param dicales r pondant l ensemble des besoins de cet enfant handicap La famille doit en faire la demande la MDPH Elle est aid e pour cela par un enseignant r f rent nouvelle fonction cr e g n ralement au niveau de la circonscription scolaire En mati re d insertion professionnelle il existe aussi un r f rent bas la MDPH Cette loi apporte des volutions fondamentales pour r pondre aux attentes des personnes handicap es et de leurs familles Malgr son caract re fondateur de nombreuses difficult s existent sur le terrain pour faire vivre cette loi Tous les d crets d application ne sont pas encore sortis et tous les moyens n cessaires n ont pas t donn s en particulier pour e un m
6. es cole accueil de loisirs Le projet de vie s inscrit dans une approche globale de la personne m me si chacun de ces l ments n cessite une approche sp cifique ne peut se faire qu avec l accord et la participation des parents et si possible du jeune apr s une valuation des besoins Un projet de vie stipulant importance pour l enfant de s ouvrir vers l exterieur d montre bien a l quipe les capacit s de celui ci int grer l accueil collectif Il faut donc que chaque partenaire s investisse fortement dans le cadre de ses competences specifiques Il faut surtout que l articulation des competences soit bien organis e dans le respect de l apport et des attentes des autres l quipe pluridisciplinaire de la MDPH value les besoins de l enfant sur la base du Projet de Vie et propose un Plan Personnalise de compensation PPC a la famille comportant le plan personnalise de scolarisation PPS La Commission des Droits et de l Autonomie des Personnes Handicap es CDAPH est l instance deliberative qui se prononce sur les propositions Le projet de vie se batit avec les ressources du territoire Par exemple il doit permettre d identifier les ressources ou les manques dans des domaines comme la formation des acteurs de l enfance ou le sport Dans ce domaine en particulier des partenariats sont a nouer avec des filieres universitaires des centres ressources handicaps des associations des f d rations Handisport et
7. dans les conditions d attribution de la Prestation de Compensation du Handicap PCH il peut y avoir une compensation financiere de la d pense pour des frais li s l embauche d une tierce personne necessaire du fait du handicap de l enfant Pour plus de precisions quant a ces prestations veuillez contacter un travail leur social du secteur enfant de la MDPH Tel 05 62 56 73 50 mdph65 cg65 fr 28 LES SIGLES ACCEM Accueil collectif caract re ducatif de mineurs colos et accueils de loisirs Accueil de loisirs sans h bergement centre de loisirs Agence nationale du ch que vacances Association pour adultes et jeunes handicap s Association pour la sauvegarde des enfants invalides Auxiliaire de vie scolaire Auxiliaire de vie de loisirs BAFA Brevet d aptitude aux fonctions d animateur BIT Bureau international du travail CAF Caisse d allocations familiales CDAPH Commission des droits et de l autonomie des personnes handicap es DDCSPP Direction d partementale de la coh sion sociale et de la protection des populations cg Groupement inter associatif pour la scolarisation des enfants adolescents et jeunes adultes en situation de handicap IGEN Inspection g n rale de l ducation nationale Gas Inspection g n rale des affaires sociales ITEP Institut th rapeutique ducatif et p dagogique MDPH Maison d partementale des personnes handicap es oms Organisation m
8. des adaptations diverses des transformations de pratiques ou d habitudes et un developpement du travail en quipe p dagogique voire avec des partenaires ext rieurs Dans certains cas l accueil d enfants handicap s peut s accompagner de renforts humains par exemple des AVL ou des animateurs suppl mentaires 24 La pr sence d un enfant handicap risque t elle d tre un frein pour les autres enfants Un groupe est en g n ral h t rog ne La diversit est d j une r alit et le handicap y participe aussi Par son handicap un enfant peut bien s r perturber une s ance ou une activit comme cela peut arriver avec d autres enfants agit s ma trisant mal le fran ais Il ne nous viendrait pas pour autant l esprit de les carter Cette presence du handicap constitue l inverse une chance pour la mission ducative du loisir Une occasion concr te de vivre ensemble avec les diff rences et donc de pouvoir s en enri chir Le handicap ne doit pas tre cach il existe et il faut vivre avec lui Les relations qui se tissent alors entre enfants nous tonnent parfois et s av rent tre des temps tres forts pour tous LES ORGANISATEURS D ACCUEILS Accueillir des enfants handicapes c est une lourde responsabilite une prise de risque Une lourde responsabilit oui et c est d j le cas pour tous les accueils et sejours d enfants qui sont reglementes Une prise de risque oui comme pour tout acte
9. ducatif r fl chi Cet accueil doit se pr parer avec l enfant les familles les quipes et les acteurs du soin Il sera l objet d un suivi attentif d valuation pour d ventuels r ajustements La loi de 2005 stipule d sormais l acc s aux droits fondamentaux reconnus pour tous Cela m rite d tre r fl chi pour une int gration dans le projet ducatif et le projet p dagogique qui permettra une information des familles d cret n 2002 885 du 3 mai 2002 relatif au projet ducatif mentionn l article L 227 4 du code de l action sociale et des familles 25 Comment r pondre des quipes p dagogiques inqui tes L obligation permet d sormais d aborder diff remment la question Il ne s agit plus de savoir si l on est pour ou contre mais de savoir comment s y prendre pour que cela se passe du mieux possible pour les animateurs Car au del de l obligation leur adhesion est essentielle pour la r ussite de l accueil Au d part les inqui tudes sont l gitimes il faut les prendre en compte pour arriver les d passer Une information initiale effectu e lors du recrutement des quipes d animation est indispensable L coute le travail collectif l entraide le suivi r gulier des moyens suppl mentaires parfois et de la formation toujours seront les meilleurs atouts On n insistera jamais assez sur l enjeu de la formation pour faire voluer les mentalit s et les pratiques pour la fois d mys
10. l int r t et l importance d un regard non sp cialiste non th rapeutique Cependant les besoins et les caract ristiques des populations concern es peuvent appeler le concours de partenaires sp cialis s et de personnes ressources sur le terrain PROJET D INT GRATION La personne handicap e doit tre au centre de ce projet Les vacances et plus encore les loisirs constituent une rupture un changement d habitudes de rythmes de vie Elles constituent aussi un espace temporel favorisant les rencontres les regards diff rents La personne handicap e comme tout un chacun mais en tenant compte de ses besoins doit profiter de fa on maximale de ses vacances dans un environnement adapt mais non sp cifique l accueil de personnes handicap es Pour que l int gration de la personne handicap e soit satisfaisante humainement et mat riellement une coop ration est n cessaire la pr paration de ses vacances Les partenaires possibles sont la personne handicap e elle m me un ou des membres de sa famille une association interm diaire ou un repr sentant d une quipe sp cialis e Les diff rents partenaires de ce projet doivent pouvoir avec elle et partir de sa demande d cider du lieu de la dur e ainsi que du type d activit s du s jour anticipant ainsi les ventuels obstacles la bonne r alisation du s jour L int gration pourra tre individuelle ou collective avec ou sans personnel d encadr
11. necessaire d anticiper et d avoir etabli des relations avec les services competents du departement DES ANIMATEURS SPECIALISES OU PAS Nombre de situations d accueils d enfants handicap s ne n cessitent aucun encadrement sp cialis Le suivi peut tre le fait d un animateur r f rent et de toute une quipe dans le cadre d un dispositif travaill collectivement au pr alable Selon le nombre d enfants handicap s concern s il peut tre aussi possible de recourir un renforcement de l quipe par un animateur suppl mentaire sans bien entendu que cet animateur soit sp cialement d di l int gration Une telle approche peut permettre pour un co t mesur de prendre en compte le surplus de travail de l quipe d animateurs sans pour autant sp cialiser le s jour Elle doit tre argument e aupr s des organisateurs dans un souci ducatif et de gestion Elle m rite aussi bien s r d tre expliqu e aux familles d enfants handicap s mais aussi celles des autres enfants pour en faire un argument suppl mentaire en faveur d une d marche d accueil en milieu ordinaire Elle n cessite enfin de renforcer la formation des animateurs g n ralistes La formation BAFA a un role jouer avec une sensibilisation de tous en session de base et la possibilit d une option handicap en session d approfondisse ment Quant a la formation continue des quipes professionnelles elle est i
12. suivi sant avec par exemple le PAI 26 L accueil en milieu ordinaire peut tre une chance saisir pour briser un isolement susciter des progr s voire surmonter le handicap La peur du regard des autres sera vite d pass e Occasion d une confrontation nouvelle d une adaptation cet accueil peut provoquer une certaine d stabilisation qui bien accompagn e est aussi le gage d une avanc e La surprotection est un risque de marginalisation tout aussi grave qui peut priver l enfant handicap de sa vie d enfant et d une ouverture pour sa vie future Pendant les vacances on va croire que je me d barrasse de lui Les structures de loisirs sont des espaces ducatifs compl mentaires de l cole qui constituent des lieux privil gi s de socialisation d apprentissage de la vie collective 5 sont partie integrante de l espace ducatif du territoire de vie de l enfant handicap Celui ci trouvera gr ce au caract re moins contraint de ces temps une forme d accueil adapt e et une occasion de vivre pleinement ses loisirs avec les autres enfants de son ge et de son territoire C est un droit et un plaisir pour lui autant de raisons donc pour ses parents de ne pas culpabiliser Cela va repr senter un co t suppl mentaire et des d marches compliqu es La question ne se pose pas pour l cole Elle existe au contraire pour un accueil de loisirs une activit socioculturelle ou un s jour de vacances C
13. ante Place Ferr 65000 Tarbes T l 05 62 56 73 50 Inspection Acad mique 13 rue Georges Magnoac 65016 Tarbes Cedex T l 05 67 765665 Caisse d Allocations Familiales 6 ter place au Bois 65018 Tarbes Cedex 9 T l 08 10 25 65 10 ASSOCIATIONS MEMBRES DE LA CONFEDERATION JPA Comit D partemental de La Jeunesse au Plein Air Place de la Libert 65000 Tarbes T l 06 62 93 90 69 M l lajpa65 orange fr Associations membres Les FRANCAS 65 SOLEIL Foyers Ruraux 65 L o Lagrange 65 Ligue de l enseignement FOL 65 Les Pupilles de l enseignement public PEP 65 Office Central de Coop ration l Ecole OCCE 65 DDEN FCPE FSU UNSA Education 31
14. de faire rien de rire de chanter de vivre l aventure en s curit voil bien des occasions vivre pour tous les enfants Les quipes des accueils collectifs doivent comprendre ces enjeux tant pour les enfants handicap s que pour les autres s y pr parer et y travailler ensemble L OVLEJ souligne importance des accueils collectifs Dans les temps p ri et extra scolaires pour permettre en particulier aux parents d enfants en situation de handicap de concilier vie professionnelle vie familiale et accompagnement de leur enfant Dans les temps de loisirs et de vacances au sein de structures ordinaires prenant en compte les sp cificit s des enfants et jeunes en situation de handicap permettant ainsi leur participation ces activit s avec les autres et comme les autres Observatoire des Vacances et des Loisirs des Enfants et des Jeunes EXTRAIT DU BULLETIN N 20 25 2009 7 LA LOI LES CADRES La Loi n 2005 102 du 11 f vrier 2005 Pour l galit des droits et des chances la participation et la citoyennet des personnes handicap es appel e loi handicap revisite toute la politique du handicap Elle repose sur 3 principes fondamentaux Garantir aux personnes handicap es le libre choix de leur projet de vie avec si n cessaire des compensations pour les cons quences de leur handicap Permettre leur participation effective la vie sociale en assurant l accessibilit d
15. de l inclusion d enfants atteints de handicap repose essentiellement sur la capacit des acteurs ducatifs se rencontrer dialoguer se faire confiance se f d rer autour d un projet d int gration qui identifiera les ressources de chacun mais aussi ses limites C est dans cet objectif que ce document d accueil a t pens avec la JPA pour faciliter et proposer un cadre propice l laboration de ces projets Franck HOURMAT Directeur d partemental de la coh sion sociale et de la protection des populations Accueil Collectif Caract re Educatif de Mineurs PARTIR EST TOUJOURS POSSIBLE Merveille ils l ont fait c est possible Louis Espinassous raconte comment Jacques Lachambre a organis un s jour pour deux enfants en situation de handicap avec leur classe Voil elle lui a dit Jacques moi je viens de Paris en classe de d couverte chez vous si j emm ne tout le monde Tout le monde c tait vingt quatre gamins dont un enfant presque hemiplegique et un enfant gravement h mophile Dia il a dit Jacques il me faut un temps de r flexion Il s est renseign il a calcul il a repris le sac dos et refait la future randonn e sur deux jours avec nuit en refuge s il vous plait t l phone portable ouvert pour cartographier la liaison et modifier l itin raire Il est all discuter avec le coll gue qui loue les nes de la possibilit d adapter une s
16. e tous tout partout Placer la personne handicap e au centre des dispositifs passage d une logique administrative une logique de service s appuyant sur les besoins des personnes Cette loi introduit de profonds changements Elle cr e dans chaque d partement un lieu unique la Maison D partementale des Personnes handicap es MDPH afin de faciliter les d marches des familles ou de la personne handicap e elle offre un acc s simplifi aux droits et prestations Elle se fonde sur les principes de non discrimination conform ment la l gislation europ enne Elle repose sur la reconnaissance de la pleine citoyennet et sur un acc s syst matique des personnes handicap es au droit commun Toute personne handicap e a droit la solidarit de l ensemble de la collectivit nationale qui lui garantit en vertu de ces obligations l acc s la citoyennet Elle red finit la notion de handicap en lien avec les r f rences internationales comme l OMS Art L 114 Constitue un handicap au sens de la presente loi toute limitation d activite ou restriction de participation d la vie en societe subie dans son environnement par une personne en raison d une alteration substantielle durable ou definitive d une ou plusieurs fonctions physiques sensorielles mentales cognitives ou psychiques d un poly handicap ou d un trouble de la sante invalidant Elle garantit ainsi une r elle galit d acces l
17. e du sport adapte www ffsa asso fr F d ration Nationale des Associations au Service des El ves Presentant un Handicap FNASEPH www fnaseph org Federation nationale des sourds de France www fnsf org Charte de deontologie www jpa asso fr rubrique actions handicap D partementaux Association D partementale des Paralys s de France www apf asso fr Comit D partemental du Sport Adapt cdsa065 e monsite com CDOS 65 activit s handisports hautespyrenees franceolympique com Comit D partemental Handisport www tourismehandicap65 fr 30 AUTRES RESSOURCES Rapport OVLEJ www jpa asso fr index2 php goto handicap Guide m thodologique l usage des formateurs BAFA BAFD sensibilisation l accueil des enfants et des jeunes handicap s www sports gouv fr IMG pdf bafa pdf Le handicap regards des jeunes R alit s et perspectives d int gration Wwww jpa asso fr docs EtudesRecherches B4 html ADRESSES UTILES ADMINISTRATIONS ET COLLECTIVITES DES HAUTES PYRENEES Direction Departementale de la Cohesion Sociale et de la Protection des Populations Service Jeunesse Sports et Vie associative Cite Administrative Reffye BP 41740 65017 Tarbes Cedex 9 T l 05 62 46 42 20 ddcspp jsva hautes pyrenees gouv fr Conseil General des Hautes Pyr n es 6 rue Gaston Manent 65 013 Tarbes Cedex 9 T l 05 62 56 78 65 Maison D partementale des Personnes Handicap es MDPH Centre de s
18. efforts des collectivit s Ces solutions sont le plus souvent m connues des familles et parfois m me des organisateurs Rapprochez vous de ces organismes pour obtenir ces aides Les aides ANCV JPA Pour tous les s jours collectifs de vacances ordinaires ou adapt s ainsi que les classes d couvertes La situation de handicap doit tre reconnue par la CDAPH et un cofinancement est obligatoire Le s jour doit tre d au moins cinq jours cons cutifs avec au moins une nuit e Fonction du quotient familial gal ou inf rieur 800 ou du revenu fiscal de r f rence l aide individuelle peut repr senter entre 25 et 40 du co t brut du s jour Le surco t ventuel li au handicap peut tre aussi pris en charge En outre la JPA dispose d une partie de l argent de la campagne nationale pour le droit aux vacances consacr e aux vacances loisirs d enfants handicap s Contact Comit D partemental JPA 65 tel 05 62 93 90 69 Adresse site JPA www jpa asso fr Les prestations propos es par la MDPH Toute famille peut rencontrer un travailleur social qui peut l aider quant l laboration du projet de l enfant Si l enfant entre dans les conditions d attribution de l Allocation d Education de l Enfant Handicape AEEH de base voir site CAF il existe des compl ments pouvant tre attribu s pour des frais li s embauche d une tierce personne n cessaire du fait du handicap de l enfant Si l enfant entre
19. eilleur fonctionnement des MDPH afin qu elles remplissent pleinement toutes leurs missions e un d veloppement de l accueil dans les structures de loisirs appuy sur une volont et des moyens humains suppl mentaires d di s ou non auxiliaires de vie de loisirs AVL ou animateurs non sp cialis s en plus La MDPH Groupement d int r t public elle re oit les fonds de la Caisse de Solidarit pour l Autonomie Pr sid e par le Pr sident du Conseil G n ral elle accueille informe accompagne et conseille les personnes handicap es et leur famille Elle participe aussi la sensibilisation de tous les citoyens au handicap MDPH 65 voir Page 31 LES GRANDS TYPES DE HANDICAPS Les handicaps sensoriels Visuel inexistence ou perte des degr s variables de l acuit visuelle et ou du champ visuel Auditif Le terme surdit est employ pour toute baisse de l audition quelle que soit son importance Le handicap moteur troubles pouvant entra ner une atteinte partielle ou totale de la motricit ou une incontinence Il peut galement avoir des cons quences sur l locution et la fonction respiratoire Le handicap mental est la cons quence sociale d une d ficience intellectuelle peut se traduire par un retard de langage handicap de la compr hension de la communication de la d cision Le handicap psychique comprend diff rents types de troubles autisme troubles du d veloppement et de la commu
20. elle sur Titane le plus doux des nes etc etc Alors il a dit oui je prends la responsabilit technique je signe L institutrice elle a dit d accord j en parle aux parents et je signe Jacques est monte a Paris rencontrer la classe l enseignante les parents il a cout expliqu discut jaug encore Les parents ils ont dit ils y vont on signe La directrice de l cole elle a dit a Venseignante je te connais je signe L inspecteur de l ducation nationale Pau il a re u Jacques il s est bien fait expliquer Il a eu un petit sourire Vous savez que je n ai pas le droit d autoriser un l ve faire de l quitation en classe de d couvertes Mais je signe Ah Ce s jour la peur au ventre pour chacun la liaison directe num ro sp cial entre Jacques et les urgentistes et l h lico la liaison directe entre les urgentistes de Pau et l h pital parisien qui suit notre petit hemophile etc Ils l ont fait c est possible chacun sa place s est engag n a pas refus le risque La peur au ventre et m me les deux jours de randonn e et la nuit en refuge ils l ont fait ces deux enfants Et moi qui passait par l pour raconter trois histoires si je l ai pris en pleine figure en plein c ur le sourire d crocher la lune de ces deux l en classe de d couverte avec les copains Et sur la prairie face aux montagnes courir comme un fou tout bascula
21. ement sp cifique avec sa famille seule ou avec un groupe de familles Les d sirs et besoins de la personne d finiront le type et la nature du projet 12 Dans le cas de l intervention d un interm diaire entre la personne handicap e et l organisme accueillant celui ci devra tre agr par une commission de la Charte sur pr sentation d un dossier d agr ment LE SIGNATAIRE DE LA CHARTE S ENGAGE e RESPECTER le projet d int gration mis en place pour la personne handicap e e FAVORISER l int gration sur le lieu de vacances et de loisirs de la personne handicap e en lui donnant les moyens d agir de vivre et de participer avec les autres vacanciers e ASSURER aux membres de ses quipes d encadrement une formation ou sensibilisation sp cifique pour faciliter l insertion psychologique et mat rielle de la personne handicap e accueillie e INFORMER tout futur intervenant qu il soit salari vacataire volontaire ou b n vole que l organisme ou l tablissement est signataire de la Charte et des obligations que cela implique e PRENDRE CONNAISSANCE des informations fournies par les personnes handicap es sur leurs besoins sp cifiques afin de r unir les conditions optimales de r elle coop ration pour un bon d roulement du s jour e ORGANISER au cours du s jour des r unions de concertation avec tous les personnels concern s par le s jour des personnes handicap es afin de s assurer des conditions de son d roulement
22. et de son ad quation avec le projet initial e AFFICHER la pr sente Charte dans ses locaux Pour tout contact Comit de r daction et de suivi de la Charte Jeunesse au Plein Air www jpa asso fr 13 BATIR UN PROJET DE VIE En quoi cela concerne t il les acteurs du loisir ducatif La notion de projet de vie ne doit pas tre banalis e ou galvaud e car elle est un r el enjeu Et il faut bien en mesurer aussi les limites Dans quelle mesure peut on demander un jeune handicap et sa famille de construire un projet de vie Nous viendrait il l id e de demander la m me d marche d autres enfants Comment pr voir aussi l volution du handicap de l enfant et quel sera par exemple le d veloppement de la marche ou du langage En fait il s agit d essayer de tracer le projet de vie pour l ann e ou les deux ans a venir En aucun cas d un projet pour la vie Un enfant en situation de handicap est avant tout un enfant qui doit pouvoir vivre dans la cit exercer sa citoyennet comme les autres Il a donc le droit de se projeter dans l avenir et de vivre au mieux parmi les autres Cet enfant doit tre consid r comme ses camarades avec si n cessaire des r ponses adapt es afin de compenser les cons quences de son handicap La volont d autonomie ne signifie pas n cessairement faire seul Il est aussi indispensable de rep rer ses limites et les besoins d aide Le projet de vie doit tenir c
23. handicaps qu il serait impossible de tous les ma triser Ce qui est attendu des animateurs c est plut t une action ducative et une p dagogie diff renci e avec des facult s d adaptation et de cr ativit Des informations utiles doivent tre donn es pour savoir agir en cas de besoin et pour d ventuels soins comme cela se fait d j avec le Projet d Accueil Individualise PAI pour les enfants et adolescents atteints de troubles de la sante Alors specialistes non mais sensibilis s et form s y compris pour pouvoir s adapter oui La question de l accueil de la personne handicap e doit faire partie integrante de la formation generale de tous les animateurs 1 cf le Guide m thodologique l usage des formateurs sensibilisation l accueil des enfants et des jeunes handicap s dans le cadre des formations au BAFA et au BAFD document t l charger sur le site du minist re de la jeunesse et de la vie associative Un enfant handicap accueillir en plus c est un surcroit de travail Cet enfant n est pas en plus il fait partie integrante du groupe qui peut tre en effet lourd en effectif Il est accueilli au m me titre qu un autre enfant c est une question d equite d acces au droit commun Accueillir des enfants handicapes n est pas forcement davantage de travail c est surtout travailler autrement L accueil doit tre pense dans le cadre collectif de l accueil de loisirs ou de la colo Il entrainera
24. ive afin de permettre l accueil dans les meilleures conditions pour l enfant et pour l ensemble de la communaut d enfants regroupes en son sein Contrairement a nous adultes les enfants sont moins soumis a la gene ou a la peur face un enfant different Une fois pass l tonnement provoqu par la diff rence et condition de prendre le temps de l explication les enfants comprennent rapidement ce qu ils peuvent faire ou non avec un enfant handicape Cela devient alors une source d enrichissement une occasion de grandir pour chacun des membres du groupe Le loisir et les vacances representent des occasions uniques de pratiquer le jeu sous toutes ses formes L enfant handicape y trouvera sa place a condition d anticiper sur l amenagement de certains espaces ou de certaines r gles pour que le jeu puisse avoir lieu L autre experience importante que permettent les accueils collectifs c est la pratique de la vie en collectivite au quotidien Cela represente autant d occasions de construire ensemble des systemes et des regles de fonctionne ment de les mettre en vie et de mesurer leur pertinence pour le groupe a un moment donn C est un v ritable apprentissage du vivre ensemble qui se fait representant une tape essentielle dans la progression vers un individu social Enfin les ACCEM au travers des vacances collectives permettent aux enfants de profiter de ces temps de reconstitution physique et psychique Prendre le temps
25. n fonction de la situation parents enfant enseignant structure sp cialis e r f rent loisirs handicap Evaluer pr cis ment la situation l aide de l outil d valuation fiche 1 Premi re rencontre Si possible envisager d j les modalit s de accueil quelle structure temps d adaptation pr sence des parents d un ducateur ou d un animateur suppl mentaire dur e journali re Tenir la famille au courant du suivi de la Contact demande et donner une date de reponse Proposer l accueil am nag la famille fiche 2 Visiter la structure Deuxieme rencontre dans l accueil de loisirs Faire signer un document accords et engagements fiche 3 FICHE 1 VALUATION DE LA SITUATION DE L ENFANT 1 Maladie handicap sympt mes troubles 2 volution et relationnel au sein de la famille 3 Attitudes et comportements au sein du groupe enfants adultes 4 Centres d int r ts ce qu il aime faire ce qu il aime moins faire ce qu il n aime pas faire 20 5 Sur le plan motricit fine 6 Sur le plan moteur 7 Sur le plan relationnel comportement relation aux autres 8 Sur le plan du langage communication consignes 9 Sur le plan de l autonomie hygi ne alimentation d placements 21 FICHE 2 AMENAGEMENTS N CESSAIRES L ACCUEIL Situation initiale olutin O VU so q ee
26. ndispensable l volution de la qualit des accueils Dans des situations de handicap plus lourdes l appel des personnels comp tents c est dire form s peut s av rer n cessaire pour offrir un accueil de qualit Cette pr sence sp cifique offre une s curit qui rassurera famille et quipe Il faut alors s assurer que ce personnel suppl mentaire participe effectivement au travail de l quipe p dagogique Attention cependant car la presence continue d un adulte aupr s d un enfant en situation de handicap risque de faire cran entre lui et les autres enfants allant l encontre des objectifs d integration 17 PROC DURE TYPE La d marche propos e ici couvre le parcours de la famille depuis la demande d accueil de loisirs avec besoins sp cifiques jusqu la r ponse administrative 1 Rep rer la demande e Communiquer sur la possibilit d accueil d enfant handicap et faciliter les d marches des familles e Informer sur la procedure type tapes et d lais rassurer les parents quant la prise en compte des besoins sans les banaliser e Am nager un espace dans les fiches d inscription l enfant a t il des besoins sp cifiques un handicap des troubles du comportement Gls ZA b a 2 Pr senter le traitement sp cifique de la demande Etapes de la d marche es Evaluer approximativement la situation Programmer une rencontre avec les acteurs Prise de contact adapt s e
27. nication verbale et non verbale Le handicap cognitif touche des situations mettant en jeu Voral et ou l crit l hyperactivite les troubles de l attention les troubles sp cifiques du langage dysphasie dyslexie Les maladies invalidantes concernent les maladies organiques ou autres diabete hemophilie cardiopathie nephropathie cancer etc pouvant entra ner des d ficiences ou des contraintes CHARTE DE D ONTOLOGIE Pour l accueil des personnes handicap es dans les structures de vacances et de loisirs non sp cialis es Sous le haut patronage de Madame Martine Aubry ministre de l Emploi et de la Solidarit Madame Marie George Buffet ministre de la Jeunesse et des Sports et de Madame Michelle Demessine secr taire d tat au tourisme Les hommes naissent et demeurent libres et gaux en droits Declaration des droits de l homme et du citoyen de 1789 L int gration et l acc s aux loisirs des mineurs et des adultes handicap s physiques sensoriels ou mentaux constituent une obligation nationale Loi d orientation du 30 juin 1975 Les etats parties reconnaissent que les enfants mentalement ou physiquement handicapes doivent mener une vie pleine et decente dans des conditions qui garantissent leur dignite favorisent leur autonomie facilitent leur participation active la vie active Article 23 de la Convention internationale des droits de l enfant du 20 novembre 1989 PREAMBULE
28. nt et tanguant sur sa seule jambe valide au jeu accroche decroche il n aurait pas donn sa place pour un empire je vous prie de croire notre petit h mipl gique En v rit il leur fallait du courage Chacun a sa place chacun ils ont sign chacun ils ont accept le risque Et le bonheur a clat lls l ont fait c est possible Le courage c est d avoir peur et en bon p re de famille faire quand m me Louis Espinassous 1 2 ARAR Conteur ducateur nature et crivain 2 Directeur de l association Education environnement en Pyr n es Pour aller plus loin Pour une ducation buissonniere de Louis ESPINASSOUS Editions Hesse 2010 LIMPORTANCE DES ACCUEILS COLLECTIFS Les enfants et les jeunes handicapes sont de plus en plus souvent integres en milieu scolaire ordinaire lls y rencontrent des copains des rep res dans le temps et dans l espace Les structures de loisirs se doivent de prolonger cette experience dans les temps de loisirs du quotidien et ou de vacances afin d assurer une continuit ducative pour l enfant et ou le jeune Le p riscolaire s inscrit dans le d roulement de la journ e de l enfant et de sa famille L quipe d animation fait le relais entre les parents et les enseignants et apporte sa contribution ducative lors des temps d accueil du matin du midi et du soir Pour cela l quipe doit prendre le temps n cessaire la preparation de son organisation collect
29. omme pour les autres enfants d ailleurs puisque la gratuit n y existe pas Mais les tarifs sont souvent bas gr ce aux financements des collectivit s locales auxquels s ajoutent les aides des CAF Une demande de financement pour le surco t li au handicap peut tre adress e la MDPH Ces aides de droit commun peuvent se cumuler avec des aides sp cifiques handicap des CAF et du dispositif ANCV JPA Les collectivit s locales pourront parfois avoir prendre leur charge si n cessaire le co t d un animateur suppl mentaire au titre de l acc s au droit commun L inscription d un enfant handicap n entraine donc pas n cessairement un surco t pour les familles Elle peut s av rer moins ch re qu un s jour adapt et offrir d autres perspectives Il existe aussi aupr s de tous les organismes ci dessus des accompagnements possibles pour les d marches administratives 27 LES AIDES FINANCIERES Pour les familles l inqui tude sur l opportunit ou la pertinence d une d marche de demande d accueil se double aussi parfois d une inqui tude sur la faisabilit pour des motifs financiers Dans certains cas il n existe aucun surco t pour les organisateurs Les familles peuvent b n ficier d aides relevant du droit commun en fonction de leur situation familiale S agissant des accueils n cessitant un surco t li certains mat riels ou a un encadrement suppl mentaire il existe des aides sp cifiques des CAF des
30. ompte des besoins et des attentes et tre appuy sur la dimension concr te de la vie quotidienne Il s agit moins d intervenir sur le sujet que sur les composants de son environnement scolaires culturels architecturaux et de les modifier pour les rendre plus divers plus riches et permettre l enfant handicap quelle que soit sa diff rence de trouver sa place de citoyen L cole en particulier les services publics en g n ral ont commence accueillir Des diagnostics sur l accessibilit des locaux sont tablis Des modifications architecturales se d veloppent Les transports collectifs et individuels voluent Mais une question majeure reste l appropriation de la d marche d accueil par les citoyens Quelles informations quels appuis leur sont donn s Comment par exemple les responsables sportifs peuvent ils d velopper une dimension handisport Ou comment les animateurs d un accueil de loisirs sont ils form s l accueil de ce nouveau public Le regard de chacun doit voluer Si certaines formes de handicap moteur sont aujourd hui accept es le handicap mental d range Pour qu un projet de vie pertinent puisse se r aliser il est n cessaire que l ensemble de la soci t apprenne s adapter 14 Le projet de vie doit permettre au jeune handicap de vivre sa vie de citoyen Il doit tre tabli dans un large partenariat avec tous les acteurs concern s famille institutions sp cialis
31. ondiale de la sant onu Organisation des nations unies OVLEJ Observatoire des vacances et des loisirs des enfants et des jeunes Pal Projet d accueil individualis pps Projet personnalis de scolarisation PM Protection maternelle et infantile SIAM Service d int gration en accueil collectif de mineurs UNAPEI Union nationale des associations de parents d enfants invalides ULIS Unit localis e d inclusion scolaire 29 RESSOURCES SITES INTERNATIONAUX Unesco www unesco org new fr unesco Agence europ enne pour le d veloppement de besoins sp ciaux en ducation wwwW european agency org SITES INSTITUTIONNELS Nationaux Portail ducation nationale www lecolepourtous education fr Equipement www equipement gouv fr accessibiite Jeunesse et sports www jeunesse vie associative gouv fr Culture www culture handicap org Handiguide www handiguide gouv fr Caisse Nationale de Solidarit pour l Autonomie www cnsa fr D partementaux Services de l Etat www hautes pyrenees pref gouv fr Conseil G n ral www cg65 fr Maison D partementale des Personnes Handicap es MDPH www cg65 fr Inspection Acad mique www ac toulouse fr Caisse d Allocations Familiales www caf fr wps portal votrecaf 651 SITES ASSOCIATIFS Nationaux UNAPEI www unapei org APAJH www apajh org Federation fran aise handisport www handisport org F d ration fran ais
32. tifier l accueil d une enfant handicap et savoir trouver des adaptations pertinentes N allons nous pas tre d bord s par de nombreuses demandes des familles Les temps de loisirs ne sont pas encore l objet de demandes massives faute parfois d information en direction des familles Si cela le devenait ce serait un signal positif qui m riterait alors un engagement plus volontariste En lien avec une hausse des inscriptions des responsables craignent de se voir entrainer dans une surench re d am nagements et d quipements d coulant d accueils d enfants handicap s Cette vision est r ductrice Elle voit les handicaps seulement par le prisme du handicap moteur Et elle cantonne trop l accueil dans une approche technique d accessibilit La loi cr e court terme des obligations dans ce sens mais l accueil ne se r duit pas des rampes ou des ascenseurs Nos r ponses doivent aussi tre r alistes tel centre peut plus facilement accueillir tel type de handicap et imaginatives compenser des limites mat rielles par un plus ducatif modifier des habitudes dans des espaces des fonctionnements LES PARENTS Mon enfant ne serait il pas mieux et plus prot g dans un milieu adapt Le choix reste celui de la famille qui doit pouvoir tre clair e pour le faire et tre aid e dans sa mise en uvre La d marche du projet de vie et du PPS va dans ce sens Elle offre des garanties de s curit en mati re de
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