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LA VIE

1. e 13 f vrier dernier le CPP a rendu son avis pr conisant la r daction d une Recommandation avec une int gration de la fiche de doctrine adopt e le 21 mai 2011 cf L ARPP n 3 p 21 et un champ d application plus transversal Le CPP souhaite en effet dans son Avis Publicit des produits et services de placement que la future Recommandation s adapte aux volutions de certains produits non financiers stricto sensu mais pour autant potentiellement sp culatifs tels les ventes de livre d art les achats de parts dans le vin de parts de for ts En effet ces biens divers ne sont pas syst matiquement soumis la r glementation applicable aux produits financiers alors m me que leurs messages publicitaires peuvent pr senter une forte rentabilit sans que celle ci soit quilibr e par rapport aux risques courus par le consommateur HERV MONDANGE Nous avons souhait des r gles transversales UNE PR CONISATION EN 15 POINTS L Avis du CPP met en exergue 15 points de vigilance qu il pr conise d int grer dans la prochaine Recommandation Ils tiennent tout d abord l identification qu il s agisse du caract re publicitaire de l annonceur de la nature du produit ou service objet de la publicit Ils rappellent galement la n ces sit d une pr sentation quilibr e entre la mise en avant de gains potentiels et les L ARPP QUELLE EST LA GEN SE DE CET AVIS Herv Mondange L ARPP
2. Dernier paru le bilan portant sur les publicit s diffus es sur toute l ann e 2010 le 8 me depuis 2003 montre un nombre de manquements inchang pour pr s de 20 000 publicit s analys es suppl mentaires versus le bilan 2009 DEUX DATES RETENIR 197 5 1e Recommandation de l ARPP ex BVP sur l image de la femme dans la publicit devenue en 2001 Recommandation Image de la personne humaine pour largir le champ de protection de la dignit et du respect de la d cence aux hommes et aux enfants Elle int gre en outre les pr occupations des ann es 2000 avec la tendance porno chic la violence la soumission et la d pendance 2 003 1 bilan annuel S inscrivant dans le cadre d une r gulation professionnelle concert e avec les pouvoirs publics il permet de rester vigilant sur la bonne application des r gles et de sensibiliser l ensemble de l interprofession publicitaire sur de nouvelles tendances Comme exprim dans la Charte c est la continuit dans le temps de cette ana lyse des publicit s qui permet d valuer le respect de la protection de l image de la personne humaine rappelle Magali Jalade juriste conseil l ARPP Le champ tudi est de plus en plus large 103 803 publicit s diffus es en presse affichage et sur internet en 2010 et les r sultats 99 95 de publicit s conformes d montrent la d marche p renne et volontaire des professionnels leur volont
3. T 2012 N 5 DE L ARPP Les chos L Assembl e g n rale de l ARPP s est tenue le 6 juin dernier Pour la premi re fois on pou vait la suivre en direct en vid o Pour autant une assistance nom breuse s tait d plac e au Terrass Kardinal o le soleil tait lui aussi au rendez vous R sum DE L ASSEMBL E G N RALE Le rapport moral du Pr sident Fran ois d Aubert LA R GULATION PROFESSIONNELLE CONCERT E EST UNE ID E F CONDE TR S ADAPT E L VOLUTION DU MONDE MODERNE sign le 4 novembre 2011 15 Pr sident de lARPP Fran ois d Aubert a salu la fois le grand ge de l ins titution cr e en 1935 qui lui donne sagesse et robustesse et le fait qu elle sache main tenir son esprit de jeunesse et de cr ation Il s est employ dresser les ver tus de la r gulation professionnelle concert e compl ment naturel de la loi Il en a rappel les fondamentaux Nous tra vaillons pour une publicit cr ative efficace pour le La r gulation professionnelle reste tr s adapt e l volution du monde moderne qui appelle toujours plus de responsabilit de protection mais a en m me temps un besoin de performance conomique d innovation et de T 2012 N 5 cr ativit Fran ois d Aubert d veloppement des entreprises de ses propres en treprises pour les marques et pou
4. 14 5 1 087 engageaient modifier la copy 8 3 1 seul tant d favorable quand il y en avait 2 au 1 semestre 2011 preuves que la p dagogie de l ARPP porte ses fruits et entraine moins de surco ts g n ralement en urgence de modification des spots Rappelons ce titre pour les adh rents de l ARPP l utilit de demander conseil le plus en amont possible au cours du processus cr atif avant la version a priori PA D pr te diffuser 117 interventions de l ARPP apr s diffusion ont t men es 16 4 soit une moyenne de 20 par mois versus 23 sur les six premiers mois de 2011 Ces interventions ont lieu principalement la suite des rapports d tudes d application des r gles d ontologiques qui peuvent avoir des p riodicit s diff rentes d une ann e sur l autre 361 plaintes de consommateurs ont t d pos es aupr s du JDP voir d tail ci apr s versus 324 un an auparavant 11 4 otun 19 F9 Interventions en augmentation de 4 7 par rapport la m me p riode de l ann e pr c dente T 2012 N 5 ACTIVIT DU JDP fin juin 2012 le Jury de D ontologie Publicitaire tota lisait 361 plaintes re ues apr s diffusion dont 242 67 se sont av r es recevables Parmi ces 242 plaintes recevables 103 demandes ont t consid r es au stade de l instruction comme manifeste ment infond es En 6 s ances le Jury a examin 38 affaires sur les 139 plaintes potent
5. Sensibili s et r gles d ontologiques 2012 Ce 1 semestre 2012 a t bien occup pour les quipes de l ARPP comme vous pourrez en juger dans ce 5 num ro Nous avons commenc mettre en place notre ambi tieux programme d ontolo gique souhait par le Conseil d Administration Ainsi faisant suite un avis ponyme du CPP publi en 2011 la Recom mandation Publicit de prix est applicable depuis le mois de juin tout comme la Recommandation Mentions et renvois qui a t r actualis e dans la foul e Pour r pondre aux attentes des consommateurs notamment travers leurs associations et des pouvoirs publics l ARPP a galement diligent une Fiche de doctrine concernant la publicit relative l achat d or Ces diff rentes initiatives vont LIRE LA SUITE P 4 P 19 L ACTU DE L ARPP LA LETTRE D INFORMATION P 26 L ARPP MODE D EMPLOI 20 BOUGIES POUR L AUTODISCIPLINE PUBLICITAIRE EN EUROPE ALHANCE T 2012 NUM RO DOUBLE A RP P DE L AUTODISCIPLINE PUBLICITAIRE Les chos DE L ASSEMBL E G N RALE l sssmbl s Sn eis ce LARP g eet ete le jai dernier Elle a confirm l quilibre retrouv de l Autorit ainsi que la Mbenit et l efid e la r gulation professionnelle concert Page 6 PAGE 16 DE L ARPP ACTIVIT DE L ARPP l Des interventions en progression de 4 7 Cette volution est la r sultante d une activi
6. ACP vers nos adh rents L information des op rationnels de l ARPP sur certains produits complexes En termes de recours possibles pour le consommateur ACP a souhait rappeler l importance du Jury de D ontologie Publicitaire L Autorit a parfaitement pr cis le r le de notre instance associ e indiquant bien que tout recours devait porter sur une r gle d ontologique qui n aurait pas t respect e Pour conclure sur la perspective des futurs changes avec l ARPP l ACP a tout particuli rement mis en exergue ses attentes envers le JDP attentes portant principalement DE L ARPP D ioman i oB Fumi Ci ae l ARN LUE ES el 7 Fran ois d Aubert a concentr ses questions sur les rapports entre l ACP et ses diff rents interlocuteurs sur ses attentes en mati re d laboration de mise en uvre de contr le des textes ainsi que sur le r le tenu par le JDP sur deux points e La convergence des r gles d ontologiques avec les Recommandations de l ACP Ce point est pour le moins int ressant dans la mesure o il s agit notre sens d un signal fort de l ACP visant notre prochaine Recommandation financi re e La n cessaire prise en consid ration par les membres du JDP de la complexit de certains produits Quelle veille et quelles publicit s Quand l ACP parle de veille sur la publicit des produits de banque et d assurance il faut entendre la pu
7. Parce que pro fessionnels repr sentants des consommateurs ou d fenseurs de l environnement nous sommes des citoyens qui devons vivre ensemble avec le respect des uns et des autres T 2012 N 5 CAVIE M DE L ARPP LE JDP 608 PLAINTES LIN ZSULE LS SENSIBLES arie Dominique Ha gelsteen la Pr sidente du Jury de D ontologie Publicitaire a ensuite pris la parole pour rap peler que le JDP est l un des l ments forts de la r forme de 2008 Cette instance ext rieure aux professionnels appr cie la conformit des publicit s aux recom mandations d ontologiques et en rend compte de mani re publique a t elle rappel Je crois que cette r forme tait particuli rement novatrice importante fondamentale pour la cr dibilit du syst me de r gulation publicitaire On peut dire au bout de 3 ans que la r forme a r ussi puisqu ce jour nous n avons pas eu de sortie de route ni d ex plosion en plein vol alors que nous sommes sur un sujet extr mement d licat celui d un jury que certains voudraient nous voir attirer sur le terrain de la justice priv e qui n a pas sa place en France Nous ne sommes pas la justice nous sommes un jury ins r dans un dispositif d autor gulation pro fessionnelle a t elle insist Beaucoup de plaintes posant des questions nouvelles nous arrivent par le biais de l Image de la Personne Humaine T 2012 N 5 Se r
8. R GIES CIN MA Thierry Pasquet Pr sident Directeur G n ral de Screenvision Coll ge PERSONNALIT S QUALIFI ES Alain Grang Cabane Pr sident de la FEBEA G rard Unger Pr sident du SNPC Pr sident Direc teur G n ral de M trobus M diavision V EA EL B DE L ARPP TL Lun 4 L A G de l ARPP a visiblement d livr des nouvelles r jouissantes ASSEMBL E G N RALE EXTRAORDINAIRE L Assembl e G n rale de l ARPP a t suivie d une Assembl e G n rale Extraordinaire pour ent riner une d cision adopt e d j il y a plusieurs mois par le Conseil d Administration de l ARPP qui avait jug que cela ne n cessitait pas de convoquer sp cialement une AGE Cette d cision consiste en une modi fication des statuts propos d une d finition plus pr cise des membres correspondants de l ARPP aux c t s des membres actifs qui restent les m mes annonceurs agences m dias et supports publicitaires T 2012 N 5 DE L ARPP SI L ARPP a termin l ann e 2011 avec 652 adh rents cotisants enregistrant 85 nouvelles adh sions pour 61 d missions Ces 652 organismes repr sentent environ 1 000 entreprises r alisant approximativement 80 en valeur de la publicit diffus e en France LA R PARTITION DE NOS 652 ADH RENTS EN 2011 PR C 148 V287 BAGENCES M DITEURS ET R GIES m ANNONCEU
9. _ f Een A A 4 P D f FA m EA a E VIR l f f o A i 5 1 L E pi D Va Es LL MIJErAALMI MI D EMPLOI DOMINIQUE WOLTON Dominique Wolton Chercheur en sciences de la communication Fondateur de la Revue Herm s auteur d une trentaine d ouvrages dont Penser la communication 1997 et Informer n est pas communiquer 2009 Dominique Wolton pr side le Conseil de l Ethique Publicitaire depuis sa cr ation Il est galement membre du conseil d administration du groupe France T l visions T 2012 N 5 On commence toujours par vouloir partager et on finit par n gocier Le Directeur de l Institut des Sciences de la Communication du CNRS et Pr sident du Conseil de l thique Publicitaire a repris dans son dernier ouvrage Indisciplin 35 ans de recherches Concernant 10 domaines au c ur des d bats contemporains ces recherches sont illustr es par une soixantaine d articles parus diff rentes poques en France ou l tranger et souvent contre courant des id es du moment C tait l occasion d voquer avec lui son terrain de pr dilection la communication prisme par lequel il analyse la soci t L ARPP CET OUVRAGE EST EN 10 CHAPITRES UNE SYNTH SE D ARTICLES ET DE TRAVAUX PORTANT SUR 35 ANN ES DE RECHERCHE DANS TOUS CES CHAPITRES LESQUELS ONT T LES PLUS DIFFICILES CRIRE Dominique Wolton Peut tre le travail car c es
10. 40 Fax 33 0 1 40 15 15 41 www arpp org N SIREN 307 287 193 Directeur G n ral Directeur de la publication St phane Martin R daction FIVE Fran oise Vidal Cr ation graphique et maquette Erwann Kervadec Design Imprim par GRAPH 2000 D p t l gal Juillet 2012 ISBN 978 2 918801 11 5 ISSN 2115 9416 ne Ecolabel RM g 5 G E E Z d agit pouf Photos P 1 6 7 8 9 10 11 12 13 et 24 Eric LEGOUHY e P 3 4 ARPP e P5 Thomas LEBON e P 15 et 18 Didier ROBCIS e P 26 27 28 EASA on Vim o P 18 Brad Pict Fotolia com e DR 7 A g E amp E s S S
11. Ces r gles s appliquent avec l ensemble des Recommandations de l ARPP en particulier les Recommandations Publicit de prix et Mentions et renvois S il y a lieu Bien entendu cette Fiche de doctrine concerne toutes les formes et formats de publicit s quels qu en soient les supports de diffusion PRODUITS FINANCIERS ET ACHATS D OR UNE MEME PHILOSOPHIE La pr c dente fiche de doctrine de l ARPP a concern en juin 2011 la publicit des produits financiers complexes et effet de levier des produits touchant de plus en plus le grand public moins averti que les professionnels Destin e la fois r pondre rapide ment aux pr occupations des consom mateurs notamment au travers de leurs associations et des pouvoirs publics et former une bonne pratique publicitaire les fiches de doctrine s appliquent imm diatement dans les conseils tous m dias et avis d livr s aux publicit s audiovisuelles de l ARPP Comme toutes r gles d ontologiques elles peuvent aussi fonder les d cisions du JDP en l occurrence pour l achat d or sur toute plainte relative des publicit s en faveur de cette activit diffus es partir du 1 juin 2012 T 2012 N 5 DE L ARPP Recommandations Publicit de Prix et Mentions et Renvois une m me philosophie Conform ment l Auis Publicit et Prix du Conseil Paritaire de la Publicit
12. La Charte d engagement et d objectifs pour une publicit co responsable sign e en 2008 avec Jean Louis Borloo Ministre d tat ministre de l cologie de l nergie du D veloppement durable et de l Am nagement du territoire et Luc Chatel secr taire d tat charg de l Industrie et de la Consommation Le second changement se rapporte la pr sentation du bilan annuel de l application de la Recommandation Image T 2012 N 5 de la personne humaine historiquement remis au Ministre avant d tre rendu public Afin de p renniser ce Bilan et lui donner plus de visibilit cette pr sentation est d sormais act e dans la Charte et un communiqu de presse commun est pr vu ce dernier devant tre largement diffus aupr s des r seaux du Minist re et de l interprofession publicitaire Enfin ces volutions s accompagnent d une actualisation int grant le changement de nom du BVP Bureau de v rification de la publicit devenu ARPP le 25 juin 2008 et la mise en place du dispositif de r gulation professionnelle concert e de la publicit encore plus ouvert la soci t civile et aux consommateurs Ce syst me permettant la d ontologie publicitaire d tre pleinement en prise sur la soci t et ses demandes notamment gr ce aux instances associ es Conseil de l thique Publicitaire CEP Conseil Paritaire de la Publicit CPP et Jury de D ontologie Publicitaire JDP
13. aussi pour but de donner une meilleure visibili t interne et externe vis vis des inter locuteurs professionnels sur chacun de ces sujets inscrits dans l air du temps R AFFIRMER LA NOTION DE POLYVALENCE Le service conseil repose depuis tou jours sur un postulat une dizaine de juristes conseil tous g n ralistes et polyvalents sont la base de l organisa tion qui permet de mettre en exergue des sp cialistes gt rappelle Christine Corrieri La nouvelle organisation r af firme cette notion de polyvalence des ju ristes conseil tout en affinant la visibilit L ARPP Pour Christine Corrieri Directrice du Service Conseil cette r orga nisation tait rendue n cessaire car depuis 2004 les sujets trait s par les juristes conseil ont fortement volu d expertise pour chaque juriste sur un sujet donn A la notion globale de p le de comp tence se substitue d sormais celle de domaine d expertise gt Six grands domaines d expertise ont t d finis Alimentaire Beaut Sant Finances D veloppement durable Transports nergie Responsabilit sociale Technologies de l information et de la communication Distribution Prix Promotions Sur chacun de ces domaines sont affec t s 2 ou 3 juristes savoir ceux qui suivent plus sp cifiquement le sujet et participent aux travaux Pour autant et c est l que l on retrouve la notion de po lyvalence dans tou
14. cembre 2012 Au sein de l ARPP la conduite du projet est assur e par Mohamed Mansour Juriste conseil et Responsable des syst mes d information Florent Sauli Junste conseil et Adjoint aux syst mes d information et Marie Exposito Secr taire la Direction Service Conseil et correspondante GEIDE Les trois 1 lots du syst me arpp pro e Le lot 1 concerne la mise en place d une solution de gestion d mat rialis e des flux documentaires GEIDE e Le lot 2 se rapporte l volution de l application m tier de l ARPP gestion des avis TV des conseils tous m dias des interventions apr s diffusion et des plaintes consommateurs e Le lot 3 g re la mise en place d un r f rentiel unique de donn es contacts au moyen d une solution de CRM T 2012 N 5 A la direction g n rale de Autocontrol Jos Domingo G mez Castallo est venu faire un change d exp rience sur les organismes nationaux d autodiscipline financ s par les cotisations des annon B nv DE L ARPP ceurs agences et supports de communication gt gt L DITO SUITE toutes dans le m me sens celle d une publicit v ridique loyale et responsable r pondant des imp ratifs de transparence de clart de lisibilit et d intelligibilit de l offre publicitaire L Avis du CPP sur les services de placement pousse aussi dans ce sens La d l gation de la Cor e du Sud emm
15. de l gif rer tout va Les lois ne font pas toujours leurs preuves mais je pense que l autor gulation professionnelle dans l immense majorit des cas fait ses preuves donc l articulation est tout fait notre avantage a t il insist et aujourd hui on constate bien que les concertations men es sur des sujets difficiles sur publicit et produits alimentaires ou sur publicit et jeux d argent montrent que c est une combinai son un cocktail qui est efficace un ticket gagnant Mieux encore le soutien de l engagement des pro fessionnels financer l ARPP ann e apr s ann e sa l gitimit reconnue son ouverture sur le monde au sein de AEEP EASA ou via son implication dans la Chambre de commerce internationale doivent convaincre les r gulateurs de mod rer la tendance l inflation l gislative et r glementaire qui est un ph nom ne assez franco fran ais du moins le pense t on car ailleurs ce n est pas aussi net que l on veut bien l imaginer Car cette inflation finit par jouer l encontre des objectifs tout fait l gitimes de protection des consommateurs mais aussi du dynamisme conomique du march publi citaire fran ais Le pr sident de l ARPP a conclu en saluant deux de ces pr d cesseurs pr sents dans la salle Marie Dominique Hagelsteen tout d abord Pr sidente du BVP de 1994 1998 qui depuis 2008 pr side avec toute l ind pen dance et la comp tence qu
16. en date du 28 mars 2011 demandant l ARPP et Linterprofession publicitaire d laborer une Recommandation sp cifiquement consacr e l argument prix en publicit PARPP a adopt une Nouvelle Recommandation Publicit de Prix ce qui l a conduit r actualiser la Recommandation Mentions et Renvois Toutes deux sont entr es en application le 1 juin Si la Recommandation Publicit de Prix publi e en Mars 2012 est enti rement nouvelle tel n est pas le cas de la Recommandation Mentions et renvois dont la pr c dente mouture avait t labor e jen 2005 Celle ci comprenant une partie relative aux mentions li es au prix d sormais int gr e dans la Recommandation Publicit de prix PARPP l a donc actualis e le 10 mai dernier La nouvelle Recommandation Mentions et renvois reprend les autres dispositions de la pr c dente notamment les r gles g n rales de lisibilit et d intelligibilit Surtout elle s applique d sormais quel que soit le support de diffusion utilis y compris la communication publicitaire digitale et la publicit radiodiffus e pour lesquelles n taient pas jusqu ici pr vues de r gles sp cifiques DES R GLES G N RALES DE LISIBILIT ET D INTELLIGIBILIT Bien que leur champ d application soit diff rent voir encadr les Recomman dations Publicit de prix et Mentions et renvois insistent toutes deux sur la lisibilit d
17. les canaux de communication marke ting en incluant bien s r la communication en ligne mais aussi le sponsoring ou la cr a tion de buzz e Int grer des engagements par secteur au sein du corpus g n ral de r gulation pro fessionnelle de la publicit ce qui incite repenser le r le des instances nationales d auto r gulation vers de nouveaux mod les comme les engagements en mati re d alimentation ou d alcool d crits par John Dalli La publicit est le reflet de la soci t et comme tous les arts elle vit de sa capacit d fier ce qui est consid r comme normal a t il rappel C est la r action du public qui d finit ce qui un moment donn est acceptable Mais la diff rence des autres arts la publicit est strictement encadr e non seulement par la loi mais par un syst me d autor gulation Bas e sur l interaction entre consommateurs et publicitaires l autor gu lation est le pont qui permet leurs sensibilit s et leurs enjeux respectifs de se rencontrer C est pourquoi l industrie les publicitaires et les ins tances d autor gulation doivent avoir le courage d couter les consommateurs et de r ualuer sans cesse leurs r gles et leurs pratiques pour s assurer qu elles sont toujours compatibles avec un monde en perp tuelle volution E Prochain num ro gt L ARPP 6 para tra en novembre 2012 A NE PAS MANQUER au 2 semestre 2012
18. limitations De m me la publicit comportant une mention ou renvoi doit utiliser un langage simple direct pr cis non quivoque et une structure de phrase claire et simple IE ARPP Les deux Recommandations pr cisent qu il convient d viter la superposition excessive des mentions qui pourraient nuire leur clart etintelligibilit et que les diff rentes mentions nonc es ne doivent pas pr senter de caract re contradictoire entre elles La Recommandation Publicit et Prix tablit aussi le degr de clart avoir quand la publicit pr sente plusieurs prix accompagn s d un renvoi Elle demande l utilisation d un signe unique et apparent sous forme de chiffre ou de lettre pour chacun des prix Il en est de m me dans la Recom mandation Mentions et renvois en ce qui concerne les mentions rectificatives qui doivent chacune tre rattach es un signe distinctif et apparent pour relier les accroches all gations aux mentions correspondantes PUBLICIT DE PRIX DES SITUATIONS SP CIFIQUES Tous les cas sp cifiques soulev s dansl Avis du CPP ont t pris en consid ration dans l laboration de cette Recommandation et ont t pr cis s par une r gle appropri e La Recommandation Publicit de prix nonce en effet un certain nombre de r gles concernant la pr sentation de plusieurs prix dans une m me publicit le prix TTC versus le pri
19. mati re de publicit comportementale et de d veloppement durable Avec la conf rence Advertising We Care l industrie de la publicit montre clairement son enga gement en faveur d une atti tude responsable capable la fois de s imposer une n cessaire autodiscipline et de refl ter les valeurs de la soci t dans laquelle elle op re L exemple de la sant publique montre bien le r le positif que peut avoir un marketing responsable en orientant les choix des consommateurs vers des produits ou des modes de consommation meilleurs pour leur sant La lutte contre l alcoolisme en est un premier exemple alors que l UE s engageait soutenir les tats membres dans cette lutte les efforts d autor gulation n ont cess de progresser avec de plus en plus de crit res communs mieux d finis et mieux mis en uvre ainsi qu avec l extension de l autor gulation aux m dias lectroniques et aux r seaux sociaux De m me dans le domaine de l alimentation o l Union Europ enne a obtenu de 19 entreprises agro alimen taires repr sentant 75 de la publicit alimentaire qu elles s abstiennent de cibler les enfants de moins de 12 ans et de commu niquer dans les coles primaires L encore l effort d autor gulation a port ses fruits et les soci t s concern es ont m me durci encore les crit res qu elles se sont impos s Il va falloir d sormais se pencher sur deux ph no m
20. qui suppose que l metteur le message et le r cepteur soient en ligne Or ils ne le sont jamais ce qui veut dire concr te ment que l autre le r cepteur joue un r le essentiel dans la communication Si on veut faire de la communication il faut respecter autrui Cela nous prend un temps fou et met en cause les valeurs la diff rence La communica tion c est donc une question politique comment cohabiter pacifiquement DD AD PA IN 1 A VOUS INSISTEZ SUR LE FAIT QU AVANT LE GRAND TOURNANT COMMUNICATIONNEL DES ANN ES 2000 QUI L A RENDU PLUS LIBRE ET PLUS MOBILE ON NE S TAIT PAS TROP INT RESS CE R CEPTEUR POUR SE CONCENTRER SUR LE MESSAGE ET L METTEUR OR VOUS AFFIRMEZ QU IL EST INTELLIGENT D W e Oui et m me quand il est analpha b te car l intelligence du r cepteur n est pas fonction de ses dipl mes On s aper oit que consciemment ou inconsciem ment les r cepteurs r sistent de plus en plus aux messages qu ils re oivent il y a donc une rupture entre l information et la communication On le voit tr s bien avec la publicit et les m dias Les deux devraient manipuler les publics C est pourquoi on peut produire des milliards d informa tions interactives dans le monde cela ne fera pas pour autant de la communication Cest ce processus qui depuis toujours m int resse penser la discontinuit entre information et communication les liens de plus en plus forts
21. ratios sont les m mes les plaintes sont d clar es fond es dans la proportion des 2 3 peu pr s et rejet es dans la pro portion d un 1 3 Ces chiffres 52 d cisions plainte fond e 29 plaintes rejet es en 2011 justifient pleinement la cr di Marie Dominique Hagelsteen bilit de ce jury qui admet 2 3 des plaintes Si on regarde les origines de la saisine on reste pour Pinstant une majorit de d cisions rendues suite des plaintes de particuliers 60 soit 50 cas Mais nous avons une proportion importante plus d un tiers de saisines qui viennent d orga nisations sont particuli rement actives les asso ciations de consommateurs et les associations environnementales qui sont tr s sensibles deux sujets l Image de la Personne humaine que le Jury a trait 36 reprises et la Reeommandation D ve loppement Durable 26 cas jug s La recommandation IPH est mise en avant de mani re tr s fr quente Il y a une tr s grande sensibilit peut tre m me beaucoup plus pro fonde qu il y a une dizaine d ann es sur la stig matisation les st r otypes la repr sentation de caract risations portant sur IPH ob sit diver sit et beaucoup de plaintes posant des ques tions nouvelles nous arrivent par ce biais l a pr cis Marie Dominique Hagelsteen Malgr cette forte pr minence le DD nous cr e aussi beaucoup de difficult s Certaines affaires son
22. s est d abord int ress e au Forex et la difficult appr hender les publicit s en faveur de produits finan ciers complexes effet de levier incitant y investir Car ces derni res n ma nent pas franchement d tablissements financiers et ne sont pas seulement des publicit s pour des produits On est parfois la limite de la formation professionnelle la publicit T 2012 N 5 faisant la promesse de de venir trader Afin de pouvoir agir rapidement l AMF s est rapproch e de l ARPP qui a r dig et adopt une Fiche de doctrine en mai 2011 et a saisi le CPP lui demandant de r fl chir l int r t de prendre en compte d autres probl matiques QUEL A T L OBJET DES DISCUSSIONS H M Les discussions ont port principalement sur le champ d application de notre Avis qui pouvait tre au minimum les produits effet de levier et dans un spectre plus large tous les produits et services bancaires les produits d pargne et le cr dit Au final nous avons opt pour une d finition plus large que le simple Forex et plus restreinte que la globa lit du monde bancaire et nous avons exclu toute la partie cr dit d j tr s r glement e N anmoins nous avons choisi de faire des recommandations transversales TES VOUS SATISFAIT DU R SULTAT H M e Oui les associations sont plut t contentes du r sultat qui comme toujours r sulte d une recherche de consensu
23. semble pas encore sur des espaces naturels ce messages examin s as confusion et enfin 3 cas se avoir t compl tement int gr e par les annonceurs qui est banni la fois par la Ils se r partissent de la fa on rapportent un autre motif Par exemple les expressions telles que protection de r gle d ontologique et le Code suivante 6 cas s av rent une clart proportionnalit aux l environnement et pr servation de l environnement de l environnement article question de vocabulaire emploi de propri t s des produits ou v racit transmettent l id e d un tat abouti ce qui n est pas pertinent puisque si un produit ou service n est pas a a cologique en soi il peut toujours s am liorer I I I I I I I I I I I I I I I I I I I I I I I I I I I I I I I I I I I I I I I I I I I I I I Alinverse on constate que les produits faible impact environnemental pr sentant des certifications officielles sont mis en avant par une utilisation excessive de qualificatifs positifs Depuis 2 ans on note aussi une nouveaut marketing D j le bilan pr c dent avait relev une tendance I I I I I I I I I I I I I I I I I I I I I I I I I I I I I I I I I I L I I I I I I I I I I I I I I I I I I J DES PISTES POUR AGIR Ind pendamment de relever les manquement
24. ses propres recherches ce qui est d j une forme d immortalit en en attendant une autre Enfin il a f licit Michel Bonnet Pr sident du Conseil Paritaire de la Publicit statutairement pr si d par un repr sentant des associations pour la reconduction l unanimit de son mandat triennal tant par ses pairs associations de consommateurs associations environnemen tales que par les repr sentants des profes sionnels annonceurs agences m dias la suite de Dominique Baudis nomm D fenseur des droits T 2012 N 5 Les chos DE L ASSEMBL E G N RALE L intervention du Directeur G n ral St phane Martin L ANN E DU R D PLOIEMENT Commentant le Rapport d activit 2011 St phane Martin a montr que dans une ann e difficile l ARPP continuait avoir une activit en croissance cette ann e de g rer de fa on plus fluide les relations entre l ARPP et ses publics e directeur g n ral de l ARPP a renvoy au rapport d activi t que chacun avait en main pour ne pas abreuver l audi toire de chiffres Il a juste rap pel ceux concernant les ad h sions et les cotisations des membres qui font la bonne sant de l ARPP puisque pour la seconde ann e cons cutive l Autorit d gag des b n fices en 2011 Cette bonne sant a rendu possible une acc l ration du programme de cr ation et r vision des r gles d ontologiques et une augmentation
25. seules 1 ou 2 publicit s sont totalement r pr hen sibles mais ce sont elles qui vont amener l ARPP durcir les r gles Pour moi l ARPP doit tre le garant d une gestion centriste de la publicit Elle doit avoir un jugement quilibr en phase avec la position de la majorit silencieuse des spectateurs et ind pendant de l agitation orchestr e par quelques groupuscules ayant int r t faire parler d eux ou agitant des id es pas forc ment consensuelles Prenons le sujet de la sexualisation des petites filles C est une bonne chose que dans les publicit s de mode qui soit dit en passant sont souvent r alis es sans agence les petites filles ne soient pas maquill es et repr sent es comme des objets sexuels Mais au nom de cette d viation il ne faut pas en tirer une r gle qui fera qu on ne pourra plus montrer une petite fille dans les bras de sa maman pour peu qu elle se soit d guis e avec sa robe Car dans un cas on travestit un enfant pour en faire un objet de d sir et dans l autre on raconte une chose universelle celle de la gamine qui essaie de ressembler sa maman La publicit doit tre r gul e car elle a la responsabilit de ne pas dire n importe quoi mais alors qu il est tr s facile d ouvrir le parapluie il faut garder un certain bon sens qui fasse qu un maximum de gens se recon naissent dans la situation et le message La publicit ne doit pas tre d connect e du monde r el car nous ne vivons pa
26. sont au c ur de nos enjeux COMMENT VOYEZ VOUS LE R LE DES ASSOCIATIONS AU SEIN DU CPP Claire 0 Meara e A la fois comme des sentinelles ayant un devoir de vigilance et de veille sur toutes les questions abord es et comme des partenaires Cela fait d j quelques mois que j occupe cette fonction au sein du CPP et je constate avec plaisir que s est d velopp e une r elle confiance entre les parties prenantes que s est instaur un v ritable dialogue dans le respect des opinions des uns et des autres QUELS SONT LES SUJETS QUI VOUS TIENNENT PARTICULI REMENT C UR Claire 0 Meara e Sans La Responsable de la communication et de la mobili sation de la Fondation Nicolas Hulot pour la Nature et l Homme vient d tre lue Vice pr sidente du Conseil Paritaire de la Publicit en qualit de repr sentante des associations Lo c Armand Pr sident de PUDA ayant t renouvel comme Vice pr sident repr sentant les professionnels Elle remplace au sein du CPP son confr re Thierry Libaert Membre du Comit de veille cologique de la FNH Nous l avons interrog e sur ses sensibilit s surprise tous les sujets li s au greenwashing gt et ce titre l tude qui vient d tre livr e par l ADEME et l ARPP est tr s encourageante Je suis aussi particuli rement mobilis e sur les questions li es la sexualisation pr coce des enfants que nous avons abord e derni rement et sur lequ
27. 4 cri t res la cat gorie socioprofessionnelle le sexe l origine per ue des personnes passant l cran et le handicap Rappelons qu en novembre 2011 le Conseil Paritaire de la Publicit a rendu un Avis sur Publicit et Diversit dans lequel il appelle de ses v ux une volution des pratiques professionnelles qui permettraient d assurer une meilleure repr sentation des diversit s cet avis va nourrir une prochaine Recom mandation de l ARPP destin e remplacer la Recommandation Races Religions Ethnies datant de 1998 dans sa derni re version RPP CSA w autorit de _ Le r gulation professionnelle E E de la publicit CRT Le L ARPP C G o CLAIRE O MEARA Vice pr sidente du CPP DE L ARPP tre une partie int grante de la dynamique en termes de r flexion VOUS VENEZ D TRE LUE VICE PR SIDENTE DU CPP QU EST CE QUI VOUS A DONN ENVIE DE PRENDRE CETTE RESPONSABILIT ET POUR QUELLES RAISONS L AVEZ VOUS ACCEPT E Claire 0 Meara e D j en tant que ONG nous avons aujourd hui de plus en plus la volont d avoir une vision professionnelle des sujets trait s par le CPP et d tre une partie int grante de la dynamique en termes de r flexion D autant plus que la FNH a t d s le d part un acteur important dans l mer gence du dispositif du CPP Enfin au sein de la Fondation Nicolas Hulot toutes les questions de communication responsable
28. MARDI 7 SEPTEMBRE S ance du Jury de D ontologie Publicitaire JDP MARDI 11 SEPTEMBRE R union pl ni re du Conseil Paritaire de la Publicit CPP VENDREDI 28 SEPTEMBRE R union pl ni re du Conseil de l Ethique Publicitaire CEP MERCREDI 3 OCTOBRE Conseil d Administration de l ARPP VENDREDI 5 OCTOBRE S ance du Jury de D ontologie Publicitaire JDP MARDI 9 OCTOBRE R union du Club TV AACC SNPTV UDA r gies TV SMAd JEUDI 18 OCTOBRE L ARPP intervenant au colloque du CODEEM comit de d ontovigilance des entreprises du m dicament JEUDI 25 OCTOBRE R unions AEEP EASA Londres c l brant les 50 ans de l Advertising Standards Authority ASA VENDREDI 9 NOVEMBRE S ance du Jury de D ontologie Publicitaire JDP MARDI 13 NOVEMBRE R union pl ni re du Conseil Paritaire de la Publicit CPP VENDREDI 23 NOVEMBRE R union pl ni re du Conseil de l Ethique Publicitaire CEP LUNDI 26 NOVEMBRE 19 me PRIX EFFIE L ARPP partenaire des Prix Effie organis s par l AACC et l UDA sera pr sente lors de l annonce du Palmar s MERCREDI 5 DECEMBRE Conseil d Administration de l ARPP VENDREDI DECEMBRE S ance du Jury de D ontologie Publicitaire JDP Cette lettre d information est dit e par l ARPP Autorit de r gulation professionnelle de la publicit association loi 1901 23 rue Auguste Vacquerie F 75116 Paris T l 33 0 1 40 15 15
29. OPHISTIQU ES EFFICACES L HUMAIN LUI N ARRIVE PAS SUIVRE D W e Cest pour cette raison que l on adore les techniques et pas la commu nication On valorise la communication technique parce qu elle marche gt on d valorise la communication humaine en disant que c est de la manipulation car on ny arrive pas Sauf que le plus important dans la vie ce n est pas la communication technique c est la com munication humaine La d valorisation de la communication est proportion nelle d une certaine mani re limpor tance qu elle a dans notre vie Comme on n y arrive pas il y a un ph nom ne de rejet et on idol tre la technique qui elle est efficace mais plus limit e En fait ce n est pas la technique qui nous fascine c est la question du par tage que l on cherche tout le temps tymologiquement communiquer gale relier partager Communiquer c est la question de l amour VOUS REVENEZ DANS CE LIVRE SUR UNE TH ORIE QUE VOUS AVIEZ EXPOS E PR C DEMMENT INFORMER N EST PAS COMMUNIQUER D W e En fait on souhaiterait que l information soit synonyme de com munication qu il suffise d informer pour communiquer mais l information c est le message tandis que la communi cation c est la relation donc la prise en compte du point de vue de l autre et c est bien plus compliqu La premi re se transmet la seconde se construit et se n gocie On r ve que l autre nous comprenne et r ciproquement ce
30. QUE DE LA PUBLICITE A louverture des d bats la Pr sidente en exercice de l EASA Ildik Fazekas Secr taire G n rale de l organisme d autodiscipline La publicit joue un tel r le dans la croissance et la prosp rit conomiques ainsi que dans l existence de media ind pendants et libres que nous devons tout faire pour qu elle continue contribuer positivement l conomie europ enne mais cela ne va pas sans un devoir de responsabilit quant l impact de la publicit sur les consommateurs vuln rables Ildik Fazekas EASA Si nous voulons rester cr dibles en tant que r gulateurs nous devons faire face nos responsabilit s et trouver le juste quilibre entre les attentes d un public dont les sensibilit s voluent et les pr occupations que pourraient susciter des r gles excessivement contraignantes Guy Parker ASA publicitaire hongrois RT a soulign lim portance conomique de la publicit dans l Union Europ enne mais aussi l importance pour la profession d tre responsable et sen sible l impact que la publicit peut avoir sur les consommateurs les plus vuln rables L histoire de l EASA est intimement li e lhis toire de l largissement de l Union Europ enne La publicit joue un tel r le dans la croissance et la prosp rit conomiques ainsi que dans l existence de media ind pe
31. RS m MEMBRES CORRESPONDANTS COMBIEN A CO TE En 2011 la cotisation moyenne annuelle l ARPP a t de 3 660 les bar mes qui d marrent en 2012 833 pour le 1 niveau tant tablis en fonction de la cat gorie et du poids conomique de l adh rent Si l on se base sur cette cotisation moyenne adh rer l ARPP revient donc un peu plus de 10 par jour Un investissement on ne peut plus raisonnable 10 euros T 2012 N 5 Fid les pour certains depuis plusieurs d cennies ou nouveaux venus la r gulation professionnelle l occasion de l volution du cadre juridique des r gles d ontologiques ou de la doctrine ils donnent leur vision de l ARPP et t moignent de l int r t de leur adh sion T J attends de l ARPP qu il soit le garant d une gestion centriste de la publicit 3 Une fois que le client a donn son accord j utilise les services de l ARPP en amont avant de soumettre le script pour approbation Je pr f re anticiper les remarques Savoir quand une id e peut poser un probl me l gard de telle ou telle r gle ou de tel ou tel public plut t que de risquer un refus in fine J attends de l ARPP qu elle soit la voix du bon sens et de la raison Que l Autorit nous prot ge des d rives de la communication afin qu il n y ait pas un retour de boomerang collectif et un discr dit sur notre profession Souvent dans la masse des productions
32. aces d expression qu il faut un contre pouvoir Et ou bien les hommes sont sages et ils arrivent s autor guler ou bien si l autor eulation n arrive pas se mettre en place il faudra un minimum de bornes impos es par la l gislation C est pour cela que le mod le de l autor gulation de la publicit m int resse car il montre dans quelles conditions on peut s autor guler VOUS SAVEZ QU EN DISANT CELA VOUS VOUS ATTIREZ LES CRITIQUES DE NOMBRE D INTERNAUTES D W e Oui parce que l id ologie actuelle est de penser le free flow la libert totale de circulation mais cela n existe pas c est juste un mythe qui nous fait plaisir En fait comme je lai dit on com mence toujours par vouloir partager et on finit par n gocier Et une libert sans loi et r gulation finit toujours par renforcer les pouvoirs L Homme avec Internet n est pas meilleur VOUS FAITES L LOGE DE LA LENTEUR ALORS QUE PERSONNELLEMENT VOUS PARLEZ COMME UNE MITRAILLETTE POURQUOI CET LOGE D W Je fais l loge de la lenteur et je Sais que je ne suis pas un bon exemple car il faut lutter contre l id ologie du court terme et de la vitesse Aujourd hui tout va trop vite et cette absence de lenteur de retenue est finalement contradictoire avec l id al d mocratique et la libert indi viduelle Mais l Occident est fou de vitesse avec l id e fausse d un lien plus fort entre vitesse et v rit Si la cohabitation d
33. anquements 36 visuels R serves 44 visuels Conformit totale 627 visuels Taux de conformit totale 89 Taux de manquements 5 Grenelle de l environnement notamment rel ve le bilan Cette l g re diminution continue depuis quelques ann es semble montrer que l argument environnemental n appara t plus comme un l ment central de la communication des marques Surtout le bilan rel ve que les exc s li s au recours aux all gations environnementales des pr c dentes ann es tendent dispara tre gt Pour autant les formules globalisantes de type respecte l environnement durable cologique bon 2010 2009 11067 15698 548 988 5 6 18 visuels 28 visuels 4 visuels f3 visuels 483 visuels 887 visuels 88 90 3 3 pour la plan te m me si elles sont moins nombreuses sont encore usit es alors qu il convient de les relativiser du fait qu il est impossible de justifier des formulations globales tout produit ayant par nature un impact sur l environnement ainsi que le rappelle la Recommandation lt D veloppement durable gt de l ARPP Le bilan rappelle aussi que le discours environnemental n est pas toujours compris par le public ainsi que l a montr une tude IPSOS parue en septembre 2011 2007 2006 17129 15101 508 181 3 1 30 visuels 11 visuels 62 visuels 54 visuels 416 visuels 116 visuels 82 64 6 6 I ARPP MANQUEMENTS
34. ante norm e dans le cadre des processus op rationnels dor navant d crits Ces descriptions ont permis de sp cifier la refonte totale du S I de l ARPP visible par nos utilisateurs adh rents fin 2012 pour toute l activit hors conseils et avis TV et la fin du 1 semestre 2013 pour la publicit audiovisuelle L encore nous en reparlerons St phane Martin T 2012 N 5 diffusion L ARPP les Vi Fond e en 1935 membre fondateur de l Alliance Europ enne pour l thique en Publicit AEEP EASA l ARPP est un interlocuteur de poids pour les d l gations des organismes de r gulation de la publicit Le mois de mai a t l occasion de nombreuses rencontres Ainsi le 18 mai l ARPP a re u la visite d une d l gation de l Independent Broadcasting Authority IBA de l Ile Maurice men e par son Directeur Dulliparsad Suraj Bali et Ajay K Ramphul Compliance Officer Cette Autorit institu e par la Loi en 2000 a adopt un Code of Advertising Practice en ao t 2011 et les modalit s de porter plainte sur les programmes et donc la publicit des trois radios priv es et de la radiot l vision publique MBC Les satellites diffusant aussi un grand nombre de cha nes l le Maurice via notamment CanalSat R union PIBA appelle ces op rateurs hors de sa comp tence l gale respecter les r gles d ontologiques de ce Code tr s proche du Code consol
35. assage de l id e de par tage la transmission et la n gociation est fondamental Bien s r nous r vons tous de partager pourtant la plupart du temps nous ne faisons que transmettre et finalement nous terminons par n gocier VALORISER LES HOMMES ET LA SOCI T IL N EST PAS DIT QU ON EN PRENNE LE CHEMIN D W e Bien s r que non Pourtant la meilleure preuve que l enjeu n est pas seu lement technique c est qu il n y a jamais eu autant de tuyaux qu aujourd hui dans le monde 5 5 milliards de postes de radio 4 5 milliards de t l vision 3 5 milliards de t l phones portables 2 milliards d ordinateurs et pour autant il n y a jamais eu autant d incommunica bilit preuve que la communication n est pas proportionnelle au nombre de tuyaux SELON VOUS D O VIENT CETTE INCOMMUNICABILIT D W e C est ontologique on r ve tous de trouver l me s ur et on ne la trouve pas l tre humain est ainsi fait que dans l alt rit il y a plus de diff rences que de ressemblances C est la base de l incom municabilit et c est pour cela qu on ne supporte pas la communication humaine car elle nous pointe du doigt ce ph nom ne La communication technique elle est du c t du m me on se d brouille pour communiquer avec les gens qui pensent comme soi CONTRAIREMENT LA PENS E DOMINANTE VOUS AFFIRMEZ QU INTERNET EST UN EXEMPLE D INCOM MUNICATION D W La force d Internet c est de
36. blicit des messages entrant directement dans son champ de comp tence savoir le cr dit la consommation l assurance vie ainsi que tous les interm diaires exer ant dans ces domaines d activit l exception des indicateurs Ces derniers simples mandataires entre un particulier et un tablissement ou un interm diaire sont soumis la surveillance de la DGCCRF L ACP veille a posteriori sur les messages publicitaires lui servant essentiellement identifier les messages d faillants puis enclencher si besoin une proc dure de contr le directement au sein des tablis sements concern s T 2012 N 5 L acr DE L ARPP Le CPP pr conise une nouvelle Recommandation sur les Produits de placements mn CU CN ON DU UN ON ON ON UN UN ON ON ON DU UN UN UN ON E E UN UN UN ON ON UN UN UN E HN UN UN UN DOUDOU UN UN UN UN UN ON ON ON UN UN E ON ON UN UN E UN UN ON OU UN ON UN o ON UN UN UN o ON UN UN UN UN e UN UN ON DU e ON ou R pondant dans l urgence aux probl mes pos s par le contenu despublicit s en faveur de produits financiers complexes effet de levier principalement sur le FOREX le conseil d administration de l ARPP a adopt une fiche de doctrine en mai 2011 Dans la foul e il a saisi le Conseil Paritaire de la Publicit pour statuer sur l opportunit ou non d inscrire ces r gles dans une Recommandation et d largir son champ d application
37. de respecter les r gles sur tous les supports publicitaires L ARPP L ARPP interroge l ACP qui parle de l ARPP Depuis plus d un an l ARPP et l Autorit de Contr le Prudentielle qui surveille l activit des Banques et des Assurances entretiennent des relations troites sur les actions mener en mati re de publicit financi re C est ce titre que l ARPP est intervenue le 27 juin dernier lors de la conf rence de l ACP consacr e aux Contr les des pratiques commerciales en assurance et en banque Ce fut l occasion de pr ciser le champ d investigation de l ACP le type de contr le exerc les relations avec ses partenaires Fran ois d Aubert Pr sident de l ARPP est intervenu par vid o dans la 1 partie de la conf rence consacr e La veille sur la publicit des produits de banque et d assurance Ses questions pr enregistr es aux c t s de deux annonceurs et d une association de consommateurs ont servi de base l expos par l ACP de ses diff rentes activit s de veille de contr le mais aussi pour pr senter les relations qu elle entretient avec les diff rentes parties prenantes C est sur ce point que l ACP a r pondu aux questions pos es par le Pr sident de l ARPP En effet ces processus de veille et de contr le permettent l Autorit d entretenir des rapports constants avec les professionnels du secteur Mais l ACP est par ailleurs ouvert
38. du format de l affiche et de son type d emplacement partir de 11 990 QUEL CHAMP D APPLICATION Sont vis es par la Recommandation Publicit de Prix les publicit s ayant pour objet de communiquer sur un ou plusieurs prix sous forme d indications chiffr es et qui sont diffus es hors des lieux de vente et ou des sites lectroniques marchands destination des consommateurs Les r gles contenues dans cette Recommandation visent la fois le prix et les mentions li es au prix qu elles soient l gales impos es par un texte de droit positif rectificatives restrei gnant le sens ou la port e d une accroche ou d une all gation ou informatives Les mentions qui ne sont pas li es l indication chiffr e d un prix sont soumises au r gles nonc es dans la Recommandation Mentions et renvois Bien videmment ces r gles qui sont con ues pour un consommateur moyen c est dire normalement inform raisonnablement attentif et avis s appliquent dans tous les cas hormis lorsque la r glementation en vigueur impose des conditions sp cifiques de pr senta tion du prix ou des mentions li es au prix La Recommandation Mentions et renvois vise les mentions et renvois li s au contenu du message et destination du consommateur qu elles soient l gales rectificatives ou informa tives On aura compris que d s que la mention est li e l indication chiffr e d un ou plus
39. du nombre de bilans sur l application effective des r gles d onto logiques Sans oublier la mise sur orbite du syst me de management de la qualit avec 2 un objectif de certification ISO 9001 fin juin 2012 et galement d un Syst me d Informa tion r nov lesquels permettront d s la fin de Apr s avoir atteint un pic en 2008 les cotisations ont repris l ann e derni re leur progression a pr cis St phane Martin rappelant que la cotisation moyenne sur l ensemble des 652 adh rents est de 3 660 gr ce l action de d veloppement 85 nouveaux adh rents nous ont rejoint pour 61 d parts soit un solde positif de 24 adh rents VOLUTION DES COTISATIONS DEPUIS 1999 Cotisation annuelles K so 2408 2295 557 1900 1600 1300 I I I I I I I I I I 1999 2000 2001 2002 2003 2004 2005 2006 200 2008 2009 2010 2011 mm Canada m Pays Bas mx Danemark E lle de Man D a tats Unis sx Espagne Apr s auoir attint un pic en 2008 les cotisations ont repris l ann e derni re leur progression St phane Martin am Monaco si ce 4e T 2012 N 5 DES ADH RENTS EN FRANCE M TROPOLITAINE ET AILLEURS an Su de m Luxembourg E mx Suisse au Come LT m sa Belgique AA m Tunisie a AA m Isra l Montrant la carte de la r partition g ogra phique des adh rents il a constat Comme l ann e derni re ARPP recrute de par le
40. e l ensemble de la soci t civile notamment par le biais de ses diff rents coll ges lui permettant de recueillir les sensibilit s et positions des consommateurs Bien videmment l Autorit 4 100 Durant la p riode d but 2011 mai 2012 4 100 communications publicitaires ont t contr l es par l ACF pour un total d une cinquantaine d interventions Le nombre de contr les au sein des tablissements est quant lui de 1 L ARPP a insist sur les rapports qu elle entretient avec la DGCCRF et pr sent les diff rentes comp tences de fond des deux autorit s tout en soulignant la compl mentarit et la convergence des efforts pour une publicit claire loyale et non trompeuse L ACP a enfin rappel les travaux du p le commun d expertise avec l Autorit des March s Financiers AMF avec qui l ARPP a sign en mai 2011 une Convention de partenariat notamment dans sa lutte contre les publicit s agressives des acteurs du Forex In fine l Autorit a fait un point sur ses changes r guliers avec l ARPP LE R LE DE L ARPP MIS EN AVANT L ACP a tenu souligner l importance des changes qu elle entretient avec l ARPP invoquant trois raisons principales e La possibilit d avoir acc s certains acteurs qui lui serait difficile d atteindre compte tenu de son domaine d expertise e Le r le important de l ARPP en tant qu interface de transmission des informations de l
41. e tous les syst mes de communication nous fait aller beaucoup plus vite sur beaucoup de sujets la contrepartie est que l on va moins en profondeur Oui au Zapping mais quid de la lenteur et de l paisseur sans lesquels il n y a pas de culture et de connaissance La question centrale pour l avenir est de savoir si on sera capable de conserver cette profon deur de l information de la culture et de la connaissance Le paradoxe est aussi qu il y a une contradiction croissante entre la vitesse de l information qui est un progr s humain d mocratique et technologique et la lenteur de la communication Si on ne revalorise pas cette lenteur on va droit dans le mur Paru aux ditions Odile Jacob 10 DOMAINES SRE CHERCHE e L individu et le couple et Le travail e Les m dias e L espace public et la communication politique e L information et le Journalisme e Internet e L Europe e La diversit culturelle et la mondialisation e Les rapports sciences techniques soci t e Connaissance et communication T 2012 N 5 D EMPLOI Les 20 ans de l EASA sont l occasion de r affirmer des valeurs communes l occasion de son 20 anniversaire l Alliance Europ enne pour l thique en Publicit a r uni Bruxelles le 28 mars dernier autour du th me Advertising we care plus de 120 personnes repr sentant les autorit s europ ennes les associations de consomma
42. e Dogue T 2012 N 5 Visuels utilisant un argument environnemental et ou repr sentant une pratique possiblement contraire aux principes de protection de l environnement BILAN PUBLICIT ET ENVIRONNEMENT UNE QUESTION DE VOCABULAIRE Un argument moins central dans la communication des marques Au 4 semestre 2010 dans les 13 secteurs tudi s 11 067 publicit s avaient t diffus es dans les m mes m dias Bien que le nombre de publicit s examin es ait plus que doubl en 2011 la part des campagnes consacr es l environnement chute nettement ne repr sentant plus que 3 du corpus versus 5 un an auparavant Cette baisse n est toutefois que relative le nombre de visuels tant lui en augmentation 707 versus 548 Toutefois le poids des campa gnes permet nouveau de relativiser Par exemple si l on s en tient au m dia presse 1 des campagnes class es en manquements un pourcentage inchang par rapport au 1 semestre 2010 vs 66 en 2009 correspondent des plans m dia inf rieurs 100 000 euros bruts H T ce qui en att nue a priori la port e aupr s du grand public Source Kantar Media Jusqu en 2009 l argument environnemental tait utilis fr quemment favoris par un contexte politique et m diatique favorable le 5 ANS DE BILANS 2011 Visuels visionn s 23943 Visuels li s l environnement 07 Part des visuels li s l environnement 3 M
43. e nous lui connaissons le Jury de D ontologie Publicitaire et dont le mandat triennal a t renouvel l unanimit par le conseil d administration de l ARPP fin 2011 Jean Pierre Teyssier ensuite Pr sident du BVP de 1999 2010 qui apr s avoir impul s et men bien avec les administrateurs et l quipe de l ARPP la r forme adopt e en juin 2008 d une r gulation professionnelle concer t e de la publicit si ge depuis fin 2010 au titre de l une des personnalit s qualifi es au Conseil de l hique Publicitaire Un CEP chronologiquement la premi re des instances associ es de l ARPP dont Fran ois d Aubert d clare avoir d couvert la libert de ton le fond l intelligence la subtilit des changes entre professionnels de la publicit et experts de la Era k am j J j Pi EE Li RETROUVER L ENSEMBLE DES CHIFFRES DANS LE RAPPORT D ACTIVIT 2011 CONSULTABLE SUR WWW arpp 0rg 7 Publications soci t civile en y si geant comme vice pr sident conform ment aux statuts Introdui sant le Pr sident du CEP Dominique Wolton qui allait pr senter quelques minutes plus tard le fruit des travaux de l instance la pu blication d auis pertinents sur la probl matique ac tuelle de l thique en publicit il a rappel que ce dernier venait de r sumer dans un livre Indisciplin voir page 24 35 ans de
44. ech nico fonctionnelles correspondant aux trois lots du syst me arpp pro qui vont constituer le c ur de son futur Syst me d Information voir encadr Apr s une longue phase d tudes St phane Martin Directeur G n ral de l ARPP et Guillaume Mulliez Pr sident Directeur G n ral de la soci t DIMO Gestion ont sign le 21 mai dernier le contrat de r alisation technique de ces 3 lots A cette occasion l ARPP a t re ue dans les locaux de DIMO Gestion Limonest pr s de Lyon afin de rencontrer les quipes en charge de la r alisation du projet Guillaume Mulliez Pr sident Directeur G n ral de Dimo Gestion et St phane Martin Directeur G n ral de l ARPP ont sign le contrat de r alisation technique des 3 lots constitutifs du syst me lt arpp pro qui constituera le c ur du futur Syst me d Information de l ARPP RE ton Le in zi j A p De a ia A _ 3 2 gr ts ET z IEF F i Mohamed Mansouri LE de dE dl w T L d Marie Exposito gauche Florent Sauli droite qui conduisent le projet l ARPP ont rencontr les quipes en charge de sa r alisation chez DIMO HORIZON D CEMBRE 2012 POUR LES UTILISATEURS L ensemble des d veloppements techniques et la formation des utilisateurs doivent s taler sur une p riode de 7 mois Ainsi la mise en production pour les utilisateurs de l ARPP du syst me arpp pro est pr vue fin d
45. el un travail va tre engag Mais en r alit ce sont tous les sujets qui m int ressent par rapport la responsabilit collective qui est la n tre au sein du CPP de faire progresser une vision d ontologique de nos m tiers de communication T 2012 N 5 DE L ARPP Au nom de l Autorit de R gulation Professionnelle de la Publicit et de linterprofession publicitaire Fran ois d Aubert Pr sident de l ARPP a sign le 6 mars dernier avec Mme Roselyne Bachelot alors Ministre des Solidarit s et de la Coh sion sociale la Charte sur le respect de l image de la personne humaine dans la publicit Cette Charte renouvelle les engagements pris par l interprofession en 2003 par la signature d une D claration commune SIGNATURE DE LA CHARTE SUR LE RESPECT DE LIMAGE DE LA PERSONNE HUMAINE ette Charte reprend C les grands principes et dispositions de la D claration commune pr c dente Savoir le respect de la Recommandation Image de la personne humaine et le bilan annuel r alis sur les publicit s diffus es et les renforce dans le cadre du dispositif de r gulation professionnelle concert e avec les instances associ es l ARPP TROIS PRINCIPAUX CHANGEMENTS Le premier changement concernant le nom n est pas qu anecdotique Charte tant le terme utilis couramment pour mat rialiser par un crit les relations entre l ARPP et les minist res secr tariats d tat Cf
46. en e par Young Chan Park Secr taire g n ral de KCSC s est particuli rement int ress au dispositif volontaire Les professionnels qui se dotent de r gles d avis TV et SMAD avant d ontologiques librement consenties ont bien compris que la confiance des consommateurs valait ces engagements Aujourd hui pour r sonner dans l esprit d un individu de plus en plus au contact d informations et de messages la publicit se doit encore plus de soigner le fond d tre l coute d un monde dont les sensibilit s et les valeurs voluent L Image de la Personne Humaine et la Diversit sont on s en doute des sujets minemment sensibles dont l actualisation est galement inscrite notre programme d ontologique 2012 nous devrions donc en reparler prochainement 2012 devrait galement voir voluer les Recommandations Identification de la Publicit Jeux d Argent si n cessaire et Communication Publicitaire digitale dans sa partie grille de lecture A ce titre l appli cation est effective d engagements pris au niveau europ en relatifs la publicit compor tementale cf ic ne youronlinechoices com fr Cette ann e est aussi pour l ARPP celle de la qualit L Autorit a t audit e par Bureau V ritas les 25 et 26 juin derniers Cette premi re tape tant close la certification devrait intervenir au c ur de l t Pour autant la d marche de progr s reste const
47. entre commu nication et incommunication le d calage entre la performance croissante des techniques et la difficult de plus en plus grande de la communication humaine et sociale Informer c est construire et transmettre Communiquer c est recevoir et n gocier La plupart du temps avec des partenaires gaux et libres personne ne veut renoncer sa position Donc ou l on se fait la guerre ou l on se met n gocier pour trouver un terrain d entente Cest pour cette raison que la communication est un concept sym trique la d mocra tie car on admet le point de vue de l autre on ne le tue pas avant d avoir trouv un quilibre avec son propre point de vue Dans la communication le plus facile concerne la technique le plus difficile les hommes et les soci t s VOUS AVEZ REFAIT LE CONSTAT LORS DE L ASSEMBL E G N RALE DE L ARPP QUE LA COMMUNICATION TAIT D VALORIS E QUE FAIRE POUR QU ELLE NE LE SOIT PLUS D W e Une r volution politique forte 1 admettre que la communication tech nique est plus facile que la communication humaine 2 donc valoriser les humains et la ki soci t 3 une fois que l on a compris que la communication technique ne fait pas le bonheur comprendre que la grandeur de la communication c est un arbitrage En fait c est un acte politique et par l un concept indissociable de l histoire de la d mocratie car il accepte le conflit et sur tout l alt rit Le p
48. er un march paneurop en ensuite convaincre les r gulateurs nationaux les consommateurs et le grand public que l EASA ne plaisantait pas avec la question de l autor gulation et pour cela l Alliance euro p enne a aid tablir ou d velopper des instances d autor gulation quasiment partout en Europe Enfin il s est agi d tablir des crit res communs de bonnes pratiques afin que toutes les instances d autor gulation puissent fonctionner de mani re semblable offrant toutes le niveau de responsabilit et de transpa rence que le public est en droit d attendre de l autor gulation Le Commissaire a galement affirm que la r gulation professionnelle tablira un mod le solide de bonnes pratiques si elle est cr dible et fournit des instruments de surveillance efficace Il a ainsi expliqu que la cr dibi lit et l efficacit des syst mes d autor gulation reposent sur deux conditions imp ratives Tout d abord pour tre efficace l autor gulation doit tre cr dible et pour tre cr dible il faut qu elle soit participative et implique la soci t civile En suite l autor gulation doit permettre le contr le et le suivi de sa performance et de ses r sultats et pour ce faire elle doit mettre en place des sys t mes simples et ouverts de gestion des plaintes et tre tr s transparente quant aux sanctions appli qu es LA PR SIDENTE DE L EASA SOULIGNE L IMPORTANCE ECONOMI
49. faciliter les changes entre les gens qui pensent la m me chose que vous et cela est formidable mais Internet soul ve d autres questions notamment celle ci une soci t n est pas seulement une communaut ce sont aussi des gens qui ne sont pas d accord entre eux Il faut donc absolument quilibrer la r volution d Inter net par la r volution des m dias parce que le g nie de la radio de la t l vision est de s adresser tout le monde MAIS AUJOURD HUI INTERNET S ADRES SE DE PLUS EN PLUS DE GENS D W Cela reste diff rent car la logique d Internet c est que c est vous qui deman dez Vous ne voulez pas vous occuper de la politique internationale vous ne vous en occupez pas la radio la t l vision et dans la presse crite que vous le vouliez ou pas ces m dias ouvrent par la politique internationale C est la diff rence entre la logique de la demande et la logique de l offre MAIS VOUS N TES PAS OBLIG S DE REGARDER LE JOURNAL D W e Non sauf que vous savez que c est l alors que si vous tes un fou des esquimaux ou de la peinture antique vous pouvez passer vos journ es sur Internet sur le sujet le reste du monde ne s impose pas vous Cest la grande diff rence entre les m dias de masse et Internet et entre Internet et la r alit VOUS D FENDEZ L ID E QU INTERNET DOIT TRE R GUL D W e Oui et pour une raison tr s simple Internet est une telle ouverture d esp
50. id ICC sur les pratiques de publicit et de communication commerciale et en cons quence des r gles d ontologiques de l ARPP explique St phane Martin disponible l adresse suivante Le mardi 22 mai le Directeur G n ral de l ARPP a galement re u la visite de la d l gation de la Cor e du Sud emmen e par Young Chan Park Secr taire g n ral de KCSC Korea Communications Standards Commission Les changes ont essentiellement port sur le dispositif d avis TV et SMAD avant diffusion mis en place en France par la profession il y a 20 ans en accord avec le CSA Enfin le 25 mai St phane Martin recevait Jos Domingo G mez Castallo son homo logue espagnol de Autocontrol Autorit cr e en 1995 et membre de l AEEP EASA His toriquement du temps du BVP http www iba mu documents Advert final Layout 1 pdf l Autorit fran aise a cr des liens forts avec Autocontrol accompagnant le d veloppe ment du syst me d autor gu lation en Espagne tr s proche du fonctionnement fran ais rappelle St phane Martin Au programme de cette rencontre un partage d exp rience et de vigilance sur l volution des organismes nationaux d autodiscipline dans le cadre du d veloppement des communications digitales La d l gation de l Independent Broadcasting Authority IBA de l Ile Maurice men e par son Directeur droite Dulliparsad SURAJ BALI et Ajay K Ramphu
51. iellement fon d es restantes 11 plaintes ont t rejet es et 27 d clar es fond es BIRRECEVABLE BRECEVABLE 33 D V 87 BINFOND E E POTENTIELLEMENT FONDEE 43 D eT W PLAINTE REJET E T ef Y Ci RAPPEL pour tre recevable une plainte doit porter sur le contenu d une publicit effectivement diffus e sur le sol fran ais depuis moins de deux mois et relever de l application des r gles d ontologiques de la publicit A contrario sont irreceuables les plaintes manant de demandeurs anonymes ou concernant des publicit s non identifi es ou encore se rapportant l application de la loi ou des diff rends d ordre contractuel pour lesquels le Jury n est pas comp tent L ARPP LES VEURS DE L APPP All gations sant L ARPP et PANIA Association Nationale des In dustries Alimentaires ont organis le jeudi 14 juin une pr sentation commune des nouvelles dispositions applicables aux all gations sant compter de d cembre 2012 La Commission europ enne a en effet adopt le 16 mai dernier une liste de 222 all gations de sant qui sont d sormais autoris es sur les tiquettes les emballages et les publicit s pour les produits alimentaires Les annonceurs dis posent d une p riode de six mois pour adapter leur communication partir de d but d cembre toutes les all gations qui ne sont pas autoris es ou l examen seront interdites a pr cis la Com missi
52. ien c est plut t sympa on est pratiquement d accord sur rien et c est pour cela que cela marche Dominique Wolton a conclu en avouant trois obsessions ouvrant des pistes pour l avenir Nous ne faisons pas assez de comparatifs de pratiques de publicit pas seulement au CEP mais l ARPP et dans l ensemble des instances de r gu lation Il n y a pas assez de visibilit et de valorisation de notre processus d autor gulation Personne ne sait que cela existe depuis les ann es 30 Or c est un processus tr s important car c est la paix Comprenez l autor gulation c est de la n go ciation entre des gens qui ne sont pas d ac cord entre eux et qui cohabitent Dans la mesure o nous sommes dans un monde totalement satur d informations de mes sages d interactions de tweets pourquoi le monde de la publicit accepte t 1l sans trop rien dire le proc s en sorcellerie dont il est constamment l objet A cette question Dominique Wol ton avoue ne pas avoir la r ponse mais attire l attention sur le fait que Si cet univers culturel professionnel n arrive pas valoriser ce qu il fait montrer que c est de l intelligence en acte la cr a tion la diffusion l interaction les mod les cultu rels les diversit s culturelles on perd beaucoup non seulement du point de vue de la valorisation mais surtout dans le d bat public qui sera demain un d bat su
53. ieurs prix elle est soumise aux r gles nonc es dans la Recommandation Publicit de prix gt LIRE LES DEUX RECOMMANDATIONS SUR LE SITE Www arpp org gt R gles LARPP T 2012 L ACTU BA DE L ARPP Malgr un nombre record de publicit s examin es la 5 me dition du bilan annuel conjoint Publicit et Environnement de l ARPP et de l ADEME montre que l argument environnemental n est plus employ que dans 3 des campagnes et que ses exc s tendent dispara tre En 2011 57 des manquements concernent le m me motif la circulation ou le stationnement de v hicules sur un espace naturel Les r serves rel vent principalement d un emploi inappropri d expressions trop globalisantes ette 5 dition du bilan l Publicit et Environne ment fruit d un travail collaboratif entre l ARPP et l ADEME s inscrit dans la continuit des actions men es depuis avril 2008 Il a port sur un nombre record de 23 943 publicit s valu es par rapport aux dispositions de la Recommandation D velop pement durable gt de l ARPP qui ont concern 13 secteurs d activit et ont t diffus es durant le 1 semestre 2011 dans la presse hors r gionale et professionnelle et sur Internet sous formes de banni res La t l vision n est pas prise en compte le contr le des films s op rant avant diffusion ADEME Mgr o ta lerram ques fu Percus d
54. is sur les Prix en publicit en n ayant jamais trait ce qui pose probl me Ce n tait pas du tout cela L tat d esprit et le tra vail du CPP c est de trouver d abord les zones de consensus pour pouvoir s appuyer dessus et rendre des avis qui permettent des volutions de r gles On ne rejette pas le reste on le traite simplement un autre moment et on n a pas pris comme pr texte la difficult du dossier Tourisme amp Voyage pour ne pas rendre d auis sur les Prix en publicit ou pour le retarder a t il d clar annon ant L ARPP que le groupe de travail Voyage amp Tourisme venait d tre ouvert et qu il y aurait donc bien un avis sur ce sujet Cette fa on de proc der d abord avancer toujours trouver ce qui nous unit avant ce qui nous divise fait a convenu Michel Bonnet qu on en arrive rendre des auis qui ne sont jamais 100 parfaits on en est tous d accord En revanche on a mont une marche de plus et cela ouvre pour la marche suivante C est pourquoi a t il annonc vous ne serez pas surpris de voir revenir des sujets qui ont d j t trait s au d but du CPP D veloppement durable Com portements alimentaires parce que nous consi d rons qu on peut aller un peu plus loin trouver une nouvelle zone d entente En attendant outre Publicit et Transport Voyage Tourisme le CPP a aussi un groupe de travail ouvert sur Identification de la Publicit et un autre
55. jouissant que les mandats des membres du Jury arrivant expiration aient t renouve l s tr s largement elle a remerci Jean Pierre Raffin d avoir apport durant trois ans une tr s grande expertise scientifique et cologique et annonc que le Conseil d Administration de l ARPP venait de le remplacer le jour m me par Malo Depinc Ma tre de conf rence la Facult de droit de Montpellier Avocat au Bar reau de Montpellier 1 700 PLAINTES EN 3 ANS Depuis la cr ation du Jury nous avons re u envi ron 1 700 plaintes ce qui para t assez consid rable sur 3 ans mais en fait 170 affaires seulement sont all es en s ances a expliqu Marie Dominique Hagelsteen Ceci montre la tr s grande exigence de tri exerc par le Jury Il ne s agit pas d admettre tout et n importe quoi il y a des r gles pr cises et objectives de recevabilit Ne passe devant le Jury que ce qui est le plus important m rite d bat ou que les parties ont consid r comme m ritant d bat a t elle pr cis UNE GRANDE SENSIBILIT L IMAGE DE LA PERSONNE HUMAINE ET AU D VELOPPEMENT DURABLE Pour 2011 les chiffres sont de 608 plaintes re ues dont 440 ont t admises comme rece vables et 81 cas sont mont s au Jury statuant en s ance pl ni re avec audition des par ties Sur ces 81 cas ce qui est tr s remar quable a comment Marie Dominique Hagelsteen c est que depuis l activit du Jury les
56. l Compliance Officer LARPP R organisation de la Direction Service Conseil en six domaines d expertise Mise au point lors d un s minaire interne la nouvelle organisation est en test jusqu fin septembre mbiance la fois studieuse et festive pour les quipes de l ARPP r unies lors d un s minaire interne dont le but tait de revoir la r organisa tion de la Direction Service Conseil gt explique Christine Corrieri Directrice de ce service Plus pr cis ment il s agis sait d en revoir le d coupage le service conseil reposant sur des attributions de juristes sous forme de p les de com p tence cr s en 2004 Une remise plat n cessaire car les sujets trait s par les juristes conseils ont volu cer tains tant apparus et d autres deve nus obsol tes gt pr cise t elle Ainsi s il nexiste plus d enjeux en termes de d ontologie ni d actualit br lante sur un sujet comme les animaux ce p le tant toujours pris en compte dans le cadre des r gles et des dossiers op ra tionnels d autres sujets tels le d ve loppement durable les comportements alimentaires la communication publi citaire digitale les jeux d argent l achat d or Sont devenus des sujets majeurs D j nous nous les tions plus ou moins r partis entre juristes conseils mais ils ne faisaient pas l objet de p les de comp tence gt explique Christine Corrieri La nouvelle organisation a
57. l Automobile en t te devant la d coration Side secteur de l automobile est L 362 4 Or cette interdiction formulations trop globales traditionnellement le plus concern est paradoxalement moins bien n tant ni tay es ni relativis es par les manquements et r serves respect e cette ann e 13 cas en 4 cas se rapportent la A Ort er un e en 2011 le march de la d coration 2009 7 en 2010 pr sentation visuelle il ne peut pp a supplant celui du b timent En revanche sur les 231 visuels y avoir d assimilation directe d un meilleu re attention Concernant 22 cas au total concernant le secteur automobile produit pr sentant un impact a le principal manquement la aucun manquement n est relev sur n gatif pour l environnement un pr sentation de comportements les autres r gles l ment naturel 3 cas concernent aux term e S uti 15 e S contraires la protection de Dans les autres cat gories ces l utilisation des signes labels Reste comme on l a vu qu un certain nombre de l environnement se rel ve ainsi autres manquements pouvant se et logos utilisables seulement formules globalisantes ont perdur de bilan en bilan 20 fois dans l automobile en cumuler dans une m me publicit si leur origine est clairement et que la n cessaire relativisation des all gations mettant en sc ne des v hicules repr sentent 14 cas soit 2 des indiqu e et s ils ne cr ent p propos e d s le bilan 2007 ne
58. loyale v ridique saine en un mot responsable Fran ois d Aubert a rappel que la confiance du m tier en l ARPP se traduit tr s concr te ment par un bilan financier extr mement sain avec cette caract ristique que nous ne co tons rien l tat C est m me assez exceptionnel par les temps qui courent si bien que nous avons sans doute moins de menaces qui p sent sur nous que d autres a t il affirm Remerciant l interprofession qui fait vivre l ARPP les administrateurs et les adh rents il a d clar cette confiance il me semble d j la trouver aupr s des parties prenantes de la publi cit les consommateurs leurs repr sentants les autorit s administratives et l administration les pouvoirs publics les lus il y aura de nouveaux contacts prendre car il est tr s important que la publicit quand elle arrive dans un d bat parle mentaire le fasse dans de bonnes conditions que les lus soient bien inform s des probl mes de Pin terprofession Rappelant la conviction qu il avait pr alable ment exprim e dans le rapport d activit de l ARPP L autodiscipline publicitaire permet de r pondre en compl ment de la loi de fa on cibl e et r active une pr occupation essentielle et n ces saire de notre soci t le savoir vivre ensemble il a mis en avant la compl mentarit natu relle de la loi et de la r gulation profession nelle appelant arr ter
59. mes d autor gulation fond e sur la repr sentativit des membres de ces organismes e Lefficacit passant par un recueil des plaintes facilit avec des formulaires acces sibles simplement en ligne ce qui est le cas de 95 des 32 000 plaintes re ues l an dernier au Royaume Uni e Des sanctions efficaces et rapidement mises en uvre e La publicit des d cisions de sanction gr ce l am lioration des outils de recherche et de leur r f rencement sur internet ainsi qu la publication d alertes l intention des m dias Comme il vaut toujours mieux pr venir que gu rir le syst me a aussi renforc la part du conseil et de la formation avec succ s a t il rappel puisque le nombre de demandes d auis pr alables cro t fortement et r guli rement depuis 10 ans Poursuivant sur l int r t de renforcer la connaissance qu ont les consommateurs des outils de r gulation et des recours possibles il a galement insist sur le fait que le syst me d autor gulation doit prendre en compte les pr oc cupations de la soci t et refl ter son syst me de valeurs notamment sur le sujet chaud du moment la protection des donn es person nelles en ligne Cela a t l occasion de rap peler que les nouvelles r gles de l EASA im poseront prochainement l apparition d une ic ne AdChoices permettant linternaute de choisir les publicit s cibl es qu il accep tera ou no
60. monde C est la mondialisation de la publicit qui se retra duit dans cette carte voir ci dessous puisque nous avons des repr sentants qui adh rent pleinement et statutairement lARPP parce qu ils ont des besoins de communication sur des m dias fran ais destination des consommateurs fran ais Commentant ensuite l activit op rationnelle St phane Martin a d clar 2011 peut se r sumer en une activit finalement en croissance Pour l activit notamment des avis TV c est le 2 e record 21 642 avis TV ayant t rendus l an n e derni re Le pr c dent record plus de 23 000 auis datant de 2008 L activit conseil s est quant elle stabilis e tr s haut niveau activit que nous rendons avant diffusion sur tous les m dias et de fa on toujours confidentielle nos adh rents qui le souhaitent tout stade de la cr ation publicitaire 14 335 conseils ayant t rendus M ADH RENTS HORS FRANCE M DEMANDES D AVIS TV aa Allemagne Ta wan Japon E Singapour N m R union Les avis ont t rendus avec une faible pro gression de 0 54 par rapport 2010 a t il poursuivi avec un 1 secteur concern l ali mentaire qui communique beaucoup en TV et en SMAD le conseil d administration ayant souhait largir la demande d avis la publi cit diffus e sur la t l vision de rattrapage ou la VOD Concernant les conseils le Directeu
61. n Guy Parker a galement insist sur le fait que le syst me d autor gulation doit s adapter l volution des m dias et en particulier des r seaux sociaux et de la publi cit virale A L AVENIR TROIS D FIS MAJEURS En conclusion Dominic Lyle Directeur G n ral de l Association Europ enne des Agences Conseils en Communication EACA a mis en avant trois objectifs visionnaires pour l avenir de la r gulation professionnelle en Europe e Acqu rir de meilleurs soutiens et recon naissance au niveau national et europ en de la r gulation professionnelle Pour lui cela passe par d finir des r gles pour des actions collectives plus efficaces mettre en place des indi cateurs de performance clairs fournir des rapports r guliers sur les r sultats et cr er des m canismes pour que ce corpus de connaissances puisse contri buer la d finition des nouvelles r gles T 2012 N 5 Les probl mes sont de plus en plus globaux et ne peuvent tre envisag s au seul niveau europ en La dimension globale sera de plus en plus importante L Europe un syst me efficace d autor gulation qui peut tre un bon ambassadeur sur d autres march s et contribuer mettre en place un r seau global d autor gulation Dominic Lyle EACA e Renforcer la p dagogie et la communication envers le public qui s attend ce que l auto r gulation s applique toutes les formes et tous
62. n avons de plus en plus il est vident que c est un secteur dans lequel il y a beaucoup faire Il y a une tr s grande diff rence entre les publicit s que nous voyons en affichage en presse en t l vision et les publicit s Internet qui ne sont pas du tout au m me niveau a regrett la Pr sidente du JDP Parlant d un bilan positif si on peut consid rer qu une activit en croissance est un signe d un bilan positif M D Hagelsteen a conclu Il semble que le dispositif du Jury apporte une pierre d terminante l difice de la r gulation publici taire que l ind pendance du dispositif qui tait un grand souci des associations a t d montr e Il arrive au Jury m me si ce n est pas fr quent de ne pas tre d accord avec l avis pr alable de l ARPP L ARPP l accepte finalement et je crois que notre cr dibilit est renforc e vis vis des parties pre nantes Les nouveaux m dias font l objet de d ci sions et donc on montre la capacit d adaptation du Jury et il me semble que les d cisions du Jury ont le grand m rite d externaliser la doctrine de l ARPP en explicitant ce que veulent dire les Recomman dations C est une chose d avoir les Recommanda tions c en est une autre d avoir la fa on dont elles doivent tre interpr t es La pr sidente du JDP a conclu en lan ant un appel pour favoriser la lisibilit et la diffu sion de la doctrine de l ARPP vue traver
63. ndants et libres que nous devons tout faire pour qu elle continue contribuer posi tivement l conomie europ enne mais cela ne va pas sans un devoir de responsabilit quant lim pact de la publicit sur les consommateurs vul n rables La solution passe par l autor gulation une approche cr dible adaptable rapide et peu co teuse qui compl te efficacement la l gislation et d montre jour apr s jour sa valeur a t elle ainsi d clar Pour sa part Guy Parker Directeur G n ral de l organisme de r gulation professionnelle de la publicit au Royaume Uni Advertising Standards Authority ASA a remarqu que m me si les autorit s et les associations de consommateurs se concentrent sur des pro bl mes sp cifiques tels que la publicit en fa veur de l alcool ou des produits alimentaires et les all gations environnementales l int r t du public se porte davantage sur les publicit s trompeuses et leur contenu L EASA et ses membres veulent contribuer ce que la publicit soit d cente honn te v ridique et en conformit avec la loi a t il martel rappe lant les 4 crit res n cessaires pour atteindre ce but L ARPP L INTERVENTION DE JOHN DALLI EN R SUM Le commissaire europ en maltais en charge de la sant et des consommateurs a parl de marketing responsable gt au travers d exemples concernant la sant publique l alimentation pour mieux montrer la voie en
64. nes r cents La publicit en ligne et ses capacit s interactives entra nent un usage de plus en large de techniques de profilage et de ciblage individuel des consommateurs Quelle que soit l efficacit commerciale de ces m thodes il ne faut pas ignorer la menace qu elles font peser sur le respect des donn es priv es Le risque est que les consommateurs ne fassent plus confiance aux interactions et transactions en ligne Il faut donc renfor cer les possibilit s offertes aux consommateurs de refuser l utilisation de leurs donn es personnelles Ces principes sont la base de l ambitieuse proposition de refonte de la directive sur la protection des donn es pr sent e en janvier dernier par la Commission L autre ph nom ne est celui de la publicit verte Alors que de plus en plus de consommateurs se dirigent vers des produits suppos s bons pour l environnement la publicit et les labels verts se sont aussi d velopp s jouant souvent sur beaucoup d ambigu t dans les d finitions Une tude publi e prochaine ment montrera qu en 2011 un tiers des consomma teurs europ ens ont t confront s de la publicit mensong re en mati re d environnement L aussi les r glementations vont se durcir et l autor gulation a un r le majeur jouer T 2012 N 5 gt gt QPARPP eLa confiance r ciproque entre le monde de la publicit et les organis
65. nts de la communication sant ducation et pr vention et de l hyperm dica lisation Le second Publicit et politique sera pr sent l automne avec une tude compa rative Allemagne France RECHERCHE PERSONNALIT S IND PENDANTES Trois postes tant pourvoir au CEP et Hakim el Karoui essayiste et banquier d af faires ayant t pressenti pour tre l une des trois Personnalit s Ind pendantes Do minique Wolton a lanc un appel pour les 2 restants en souhaitant privil gier des candi datures f minines pour remplacer Christine Menzaghi Directrice de la communication de la Ligue de l enseignement et Catherine T 2012 N 5 Br chignac Directeur de recherche au CNRS membre de l Acad mie des Sciences d missionnaires Profil in telligente libre pas trop confor miste Vous pouvez lui faire part de vos id es L actualit ce sera aussi le lan cement du logo CTS Cite tes sources pr conis par l avis La r alisation la plus importante du CEP verra uraisemblablement le Jour en janvier prochain avec la sortie d un livre destin valoriser l autor gulation Dominique Wolton R affirmer les fronti res entre information et publicit sur le quel travaille l cole de la com munication de Sciences Po Association des l ves LES TROIS OBSESSIONS DU PRESIDENT WOLTON D clarant avec son humour habituel que le CEP a marche b
66. o encore l avion constitu de for t vierge La disproportion manifeste entre la r alit de la propri t environnementale et sa repr sentation visuelle les fum es de pot d chappement sous forme de bouquet de fleurs Le d nigrement de gestes co citoyens I I I I I I Aujourd hui r sume Catherine Grelier Lenain les promesses ne sont qu exceptionnellement mensong res la plupart des all gations sont fond es Mais les formules sont souvent globalisantes et manquent donc de clart de relativisation voire d explication gt RE concern s s engageant S publicitaires consiste ce qu il n y La confusion entre les objectifs Pp e a Ces constats explique t elle invitent les profession ait aucune ambigu t les formules environnementaux d une entreprise et les ns nels enrichir l avenir les r gles d ontologiques encadrant le vocabulaire et en particulier l emploi de formules globalisantes gt La probl matique du discours est r currente depuis 2006 D j le bilan 2007 posait la question de la difficult de valoriser les avantages environnementaux d un produit ayant un fort impact sur l environnement L objectif bien videmment n est pas de priver les annonceurs de la possibilit d exprimer leurs avanc es environnementales mais de le faire avec les nuances et la relativisation n cessaires une juste information du consommateur propri t s plus modestes de cer
67. on Cette pr sentation associant les obligations r glementaires aux exemples concrets d appli cation avait pour objectif de sensibiliser nos adh rents la complexit de ces textes et de les inciter solliciter nos conseils le plus en amont possible commente Catherine Grelier Lenain Responsable D ontologie de l ARPP Le fait que les adh rents aient t nombreux r pondre l invitation a montr une nouvelle fois leur int r t pour les r unions p dagogiques de r flexion et de par tage avec les juristes de l ARPP organis es dans le cadre des JDA Jeudis de l ARPP C cile Rauzy EX Directeur Qualit nutrition PANIA et pour l ARPP Catherine Grelier Lenain FA Responsable D ontologie Clotilde Swinburne FA et Julie Joseph EJ juristes conseil se sont relay es pour faire le point sur les obligations r glementaires et leurs cons quences op rationnelles pour les annonceurs et les agences DE L ARP Qualit et volution des syst mes d information de l ARPP un nouveau pas a t franchi e Projet QASI Qualit de l ARPP par son Syst me d Information vient de conna tre une nouvelle avanc e via la signature par l Autorit du contrat de r a lisation technique avec la soci t Dimo Gestion Le 25 octobre 2011 l ARPP avait annonc tre entr e dans une phase d tude exclu sive avec la soci t Dimo Gestion en vue de l tablissement des sp cifications t
68. r G n ral de l ARPP a soulign une forte progression du m dia Internet qui demande de plus en plus de conseils et c est coh rent avec la croissance des investissements publicitaires le conseil d adminis tration de l ARPP ayant souhait depuis longtemps que lunivers digital soit bien int gr la r gula tion professionnelle concert e Cela a t l occa sion pour lui de remercier les organisations l TAB qui si ge depuis 2000 au conseil d admi nistration et le Syndicat des R gies Internet ga lement administrateur pour leur vang lisation constante faite aupr s des nouveaux acteurs et il y en aura de plus en plus qui interviendront sur ce march Tous se doivent de respecter les r gles que vous adoptez et que vous nous demandez au jour le jour d appliquer a t il insist aupr s des membres de l ARPP Parlant ensuite des interventions apr s diffu sion autre mission de l ARPP St phane Mar tin a rappel que depuis tout temps d j l poque du BVP l Autorit s est toujours auto saisie des fins de p dagogie d information en expliquant pourquoi telle publicit deurait tre mo difi e pour r pondre aux bonnes pratiques Nous accroissons r guli rement ces interventions a t il pr cis ne serait ce que dans le cadre des bilans que nous menons r guli rement Ce sont des enga gements que nous avons pu prendre avec les pou voirs publics troi
69. r la consomma tion La publicit mon sens joue un r le minem ment important dans la vie conomique quelque fois un peu sous estim et je le regrette mais c est nous tous de travailler pour qu elle donne encore plus une image d efficacit de cr ativit et d ouverture sur l avenir Insistant sur le fait que l ARPP uvre gale ment pour une publicit responsable dans des limites consenties librement pragmatiques issues de l coute de la soci t et du consensus il a soulign l originalit du syst me de r gula tion professionnelle concert e C est une id e f conde et ceux qui lont fait avancer en premier ont eu beaucoup de clairvoyance car elle reste tr s adapt e l volution du monde moderne qui ap pelle toujours plus de responsabilit de protection mais a en m me temps un besoin de performance conomique d innovation et de cr ativit Soulignant que l ARPP est une institution qui r siste la crise il s est f licit qu elle puisse tre dans la p riode actuelle un point d ap pui pour les professionnels un endroit o il y a de l coute un lieu de concertation LARPP Apr s avoir rendu un hommage appuy St phane Martin qui dirige l ARPP depuis deux ans et l quipe non seulement experte en droit et en d ontologie mais qui en plus a du talent et est totalement d vou e d di e une publicit
70. r le statut entre rapports entre infor mation communication culture connaissance et mondialisation LE CHANGEMENT C EST MAINTENANT Citant l cole de Francfort d clarant dans les ann es 30 que l ouverture du monde ne s ac compagne pas d une libert croissante mais au contraire d une rationnalisation crois sante il a rappel en prenant l exemple d une tude qu il vient de r aliser sur l lection pr sidentielle que la multiplication des tuyaux chaines g n ralistes chaines d information internet n avait pas emp ch une standardi sation de l information et sa confiscation par le monde des journalistes On ne peut pas avoir un largissement des tuyaux une standar disation une vitesse de plus en plus grande une concurrence de plus en plus grande une absence de sens critique par d finition plus on est en concur rence plus on va vite plus on dit de conneries et ne pas tenir compte du fait que simultan ment cet accroissement du volume d informations non seu lement c est la m me chose mais c est monopolis par les m mes Le monde de la communication le monde de la pub doivent intervenir l dedans au m me titre que les industriels les entrepreneurs les militaires les religieux En gros le changement c est maintenant a t il conclu IE ARPP LE CPP 3 AVIS ET EN LIGNE DE MIRE UNE CAMPAGNE RADIO CUMENIQUE renant la suite le Pr sident du Conseil Pari
71. rons nos comptes avec un r sultat de 48 000 euros et nous prot geons nos r serves a t il r sum T 2012 N 5 DE L ARPP LE GEP 2 AVIS 2 TRAVAUX EN COURS ET T LIVRE ominique Wolton a ouvert la session le CEP tant chro nologiquement la premi re instance cr e en 2005 La r alisation la plus impor tante du CEP verra vraisem blablement le jour en janvier prochain a t il expliqu Il s agit d un livre en trois parties destin valoriser l autor gulation La premi re partie sera consacr e l histoire de la publicit de 1930 aujourd hui parce que les gens ne la connaissent pas a t il l gitime La deuxi me partie traitera de l volution de l autor gulation du BVP l ARPP avec une br ve comparaison europ enne et mondiale La troisi me partie en cours d laboration reprend la pr sentation des 14 auis mis par le CEP pr c d s par un commentaire de l un de ses membres En ce qui concerne 2011 le CEP a rendu 2 avis Pun sur R affirmer les fronti res entre infor mation et publicit en novembre et l autre sur La nudit en publicit en juillet AU PROGRAMME PUBLICIT ET SANT ET PUBLICIT ET POLITIQUE Par ailleurs Dominique Wolton a pr cis que deux sujets taient actuellement d battus au sein de groupes de travail Le premier sur Publicit et sant traite de la communication des m dicame
72. s entre les diff rentes parties prenantes Nous sommes arriv s faire entrer des r gles transversales dans notre Avis qui sont autant de points de vigilance et cela nous satisfait pleine ment m me si cela donne un peu l impression d une liste la Pr vert Cette liste est le r sultat des auditions et des constats que nous avons pu faire en examinant des publicit s r elles Nous avons essay de les tra duire en n cessit de r gles transversales laborer QUEL EST L L MENT LE PLUS IMPORTANT POUR LES ASSOCIATIONS H M e I est fondamental pour nous que le discours publicitaire qui naturelle ment vante les promesses de gain soit quilibr et que cette possibilit ne soit L ARPP LE CHAMP DE LA FUTURE RECOMMANDATION Le CPP souhaite que la future Recomman dation ne couvre pas le cr dit les produits et services bancaires ainsi que les produits d pargne bancaire r glement e livret livret jeune livret de d veloppement durable compte et plan d pargne loge ment En revanche il demande qu elle couvre le p rim tre de la fiche de doctrine adopt e par l ARPP le 21 mai 2011 savoir la publicit des op rations sur le FOREX les indices boursiers le cours des mati res premi res avec un effet de levier gt Le CPP pr conise par ailleurs d apporter une attention particuli re sur une confu sion qui pourrait tre cr e dans l esprit du public et notamment de
73. s l ambition du bilan est de contribuer la p dagogie et l volution des r gles gt rappelle Catherine Grelier Lenain Responsable D ontologie de l ARPP Sur les 36 lettres adress es aux entreprises en fin d ann e 2011 23 avaient d j fait l objet de r ponses la publication du bilan en mars 2012 les annonceurs O En quatre ans O9 Vo des volutions de publicit s positives conformes 89 des publicit s li es l environnement sont conformes aux r gles de la Recommandation D veloppement durable gt pour 5 de manquements relev s soit 36 messages sur 707 et 6 de r serves Ce r sultat reste stable il tait de 88 en 2010 et de 90 en 2009 pour autant il reste important L ARPP et l ADEME rappellent qu une bonne pr sentation des arguments Utiliser bio gt ou cologique gt dans le nom d une marque d pos e dispositif sortant du champ de comp tence de l ARPP au titre du respect du droit commercial Ce dernier bilan montre que cette astuce gt utilis e aussi sur les emballages de produits a t nettement plus marqu e I I I I L I I I I I I I I Si l on regarde sur les 4 ann es de r alisation de ce bilan les manquements spectaculaires ont presque disparu gt fait remarquer l ARPP Ainsi l assimilation visuelle de produits polluants par nature avec des produits naturels la voiture sous forme d arbre
74. s chez les Bisounours Elle ne doit pas d pendre d une hypocrisie ou de ph nom nes mont s en pingle par les m dias L ARPP L ARPP auditionn e par le CSA Le 12 avril dernier le Pr sident de l ARPP Fran ois d Aubert son Directeur G n ral St phane Martin et sa responsable de la D ontologie Catherine Grelier Lenain ont t re us par le coll ge du CSA Cette audition a t l occasion de faire un tour d horizon de la relation nou e il y a plus de 20 ans autour d un partage des r les l ARPP exer ant son activit avant diffusion notam ment par l avis pr alable syst matique pour la publicit t l vis e le CSA conservant de par la loi de 1986 le contr le des programmes et de la publicit apr s diffusion Le Pr sident Michel Boyon et le coll ge du CSA se sont f licit s de l excellente relation de travail entre les deux organisations Parmi les sujets voqu s la diversit a tenu une place importante le CSA souhaitant rap peler la vigilance qu il porte la repr sen tation de la diversit de la soci t fran aise dans les m dias audiovisuels La Loi du 5 mars 2009 lui donne en effet l obligation de rendre compte au Parlement des efforts des chaines sur le sujet via un rapport annuel appuy sur les r sultats de son barom tre de la diversit la t l vision dont la 1 vague est parue l automne 2009 Publi deux fois par an ce barom tre prend en compte
75. s les d cisions du Jury Celui ci essaie de mettre au point un certain nombre d instruments permettant d avoir un acc s rapide simple et synth tique sa jurisprudence a t elle expos Il me semble que les autorit s de l ARPP ne devraient avoir aucune crainte diffuser plus largement ces outils qui peuvent tre un instrument de travail pour beau coup des professionnels de la publicit 14 Administrateurs d sign s ou renouvel s Sur les 29 Administrateurs du Conseil d Admi nistration de l ARPP 14 taient renouveler ou nommer Ont t mandat s pour 4 ans Coll ge ANNONCEURS Laura Boulet Directrice des Affaires publiques et juridiques de l UDA Marc Lolivier D l gu G n ral de la FEVAD Franck Rohard Directeur juridique Groupe SFR Coll ge AGENCES Nicolas Bordas Pr sident de TBWA France Marie Pierre Bordet Vice pr sidente D l gu e G n rale de l AACC Pierre Callegari Associ Co fondateur d Herezie Christophe Lafarge Pr sident Directeur G n ral de l agence H Coll ge PRESSE CRITE Jean Michel Huan Directeur G n ral de la FNPS Coll ge T L VISION Marc Grether Remondon Secr taire G n ral de France T l visions Publicit Virginie Mary D l gu e G n rale du SNPTV Coll ge PUBLICIT EXT RIEURE Philippe Baudillon Pr sident de Clear Channel France Coll ge
76. s les cas les juristes conseil restent la disposition de tous pour tous les sujets Cette nouvelle organisation est test e depuis juin et jusqu fin septembre DE L ARP VOLUTION DU R GLEMENT INT RIEUR DU JDP Le nouveau r glement pr cise des r gles de proc dure interne de son secr tariat et int gre la notion de publicit compor tementale dans la comp tence du jury Adopt parle Conseil d Administration de l ARPP en date du 9 octobre 2008 le r glement int rieur du JDP avait d j t modifi le 11 d cembre 2009 et le 26 septembre 2011 Il volue nouveau pour pr ciser des r gles de proc dure interne de son secr tariat assur par l ARPP Il s agit de points de d tail concernant par exemple les dossiers produits par les parties consultables sur place s ils sont trop volumineux l envoi de courriers postaux ou d sormais lectroniques dans le cadre de la diffusion des dossiers ou la convocation aux auditions Le nouveau r glement int gre galement dans les comp tences du jury la notion de publicit comportementale pr cisant que ces d cisions peuvent porter sur les proc d s et techniques pr vus au point 6 de la Grille d interpr tation de la Recommandation Communication Publicitaire Digitale gt Enfin il pr cise que le Jury dont les d cisions s appuyaient jusqu ici sur les Recomman dations peut aussi se pr valoir des engagements publi s par l interprofession
77. s plus jeunes entre le trading et les jeux en raison de l utilisation d un vocabulaire proche dans le langage publicitaire pertes possibles Ils insistent par ailleurs sur la pr cision avoir de l offre garantie du capital ou non pr sentation annua lis e des rendements mention des frais applicables indication de validit d une offre promotionnelle lisibilit et intelligi bilit des mentions Enfin le dernier point recommande de ne pas faire r f rence aux autorit s de contr le en tant que caution s pas pr sent e comme certaine sans tenir compte des risques inh rents ces op rations Nous sommes conscients que sur des produits un peu complexes o le risque fait aussi l attrait du produit cet exercice n est pas simple r aliser Nous avons obtenu quelque chose de clair qui devrait pr munir les consommateurs contre les discours trop optimistes et c est pour nous une r elle avanc e Nous serons tr s vigilants la reprise de nos demandes dans la future Recommandation LE CPP SOUHAITE AUSSI QUE LA FICHE DE DOCTRINE SOIT L ARPP INT GR E DANS LA FUTURE RECOMMANDATION H M e Cette proposition d int grer la Fiche de doctrine de l ARPP telle quelle en annexe est assez nouvelle et notre avis int ressante car cette d marche pourrait s appli quer des cas d urgence AVEZ VOUS D AUTRES SOU HAITS H M e ventuellement les organisations de consom mateurs
78. s publi s l ann e derni re St phane Martin a termin son intervention en rappelant que le Jury de D ontologie Publi citaire dont l ARPP assure le secr tariat avait aussi t actif citant les 608 plaintes enregis tr es en 2011 et laissant Marie Dominique Hagelsteen le soin de les commenter Les Pr sidents des instances associ es se sont ensuite succ d s pour pr senter leur bilan annuel Ces pr sentations ont t l occa sion de r affirmer l int r t d une r gulation professionnelle concert e faite de dialogue d coute de pragmatisme et de responsabili sation E ARPP Une ann e tr s satisfaisante sur le plan financier G rard No l FINANCES UNE SECONDE ANN E POSITIVE Autre moment fort de l AG celui o G rard No l Tr sorier de l ARPP et Vice Pr sident Direc teur G n ral de PUDA a r sum l ann e 2011 la qualifiant de tr s satisfaisante sur le plan financier gt s est f licit de la forte progression des recettes de cotisation 8 par rapport 2010 et m me 5 par rapport au budget l augmen tation du bar me ayant t de 1 5 rappelant qu il tait le reflet du dynamisme en termes d acquisition de nouveaux membres Maler des al as lourds des initiatives que nous avons prises en termes d organisa tion d informatique budg t es qui ont grev largement nos comptes nous r sistons bien nous quilib
79. sont pour un champ largi certains produits r glement s de type Livret mais il n y a pas d urgence Depuis le 30 mars dernier dans une pr occupation de responsabilit sociale la publicit en faveur de l activit du rachat d or est d limit e par une Fiche de doctrine Elle vient compl ter la protection des consommateurs dans un secteur o la publicit vise principalement des vendeurs non professionnels RACHAT D OR ADOPTION D UNE FICHE DE DOCTRINE a Fiche de doctrine Publi cit en faveur de l activit de rachat d or rappelle en pr ambule que l activit de rachat d or est strictement encadr e et r glement e et que les entreprises qui en font le commerce sont depuis 1984 particuli rement r gul es dans leurs pratiques livre de police signalement Tracfin Pour autant cette activit se d veloppant fortement avec une sp cificit due au secteur la publicit vise exceptionnel lement des vendeurs non profession nels et non des acheteurs et afin de rendre les communications destina tion du grand public plus responsables la Fiche de doctrine de l ARPP fixe des r gles essentielles pour la protection des consommateurs R sum es en trois chapitres ces r gles concernent La transparence et l identification de l annonceur La clart loyaut et v racit de la publicit La protection des mineurs cette activit leur tant interdite
80. sur la mise en uvre d une cam pagne radio d information des consomma On n est plus dans du conflit mais dans du travailler ensemble Michel Bonnet DE L ARPP Oo j pP Comsail LFarilmire de is Publini teurs dans le cadre de la Charte sign e par le Bureau de la Radio UNE CAMPAGNE D INFORMATION DU CONSOMMATEUR SIGNEE INC ET L ARPP Cette campagne cr e avec l INC et l ARPP est le second point mis en avant par le pr sident du CPP C est tr s important m me si on n en mesure pas encore toutes les cons quences a af firm Michel Bonnet soulignant la nouveaut de la d marche pour une fois des profession nels de la publicit et des repr sentants de toute la sph re consommation vont cosigner une commu nication vers l ensemble de la soci t On travaille ensemble sur des th mes la fa on de les pr sen ter et on se met d accord avant de le faire a t il pr cis parlant de vraie piste de changement on n est plus dans du conflit mais dans du tra vailler ensemble Avouant sa confiance dans cette d marche novatrice et cum nique Michel Bonnet a boucl la boucle avec les d clarations pr c dentes du Pr sident Fran ois d Aubert C est l o l on peut montrer que l on n a pas toujours besoin d une loi pour avancer et qu on peut avancer concr tement pour le bien de tous c est dire pour notre soci t
81. t mi figue mi raisin les avis TV SMAD avant diffusion progressent de 12 au 1 semestre tandis que les conseils tous m dias sont en baisse de 5 8 f 142 conseils tous m dias ont t d livr s par les juristes conseils de l ARPP fin juin 2012 comparer aux 578 conseils du 1 semestre 2011 5 75 Avec 941 interventions versus 1 212 le mois de mai qui n a compt que 19 jours ouvrables cette ann e contre 22 l an pass explique en partie ce tassement de l activit qui affecte l ensemble de l activit conomique Avec 1 190 conseils d livr s en moyenne chaque mois l ARPP continue n anmoins se situer dans la tendance de l ann e pr c dente 1 195 conseils en moyenne mensuelle sur l ann e compl te 1 263 pour la demi ann e Ces conseils avant diffusion qui interviennent tous les stades d laboration de la campagne ont par ordre d croissant concern e La t l vision avec 5 398 conseils 2 3 e La presse avec 890 conseils 15 8 e L affichage avec 362 conseils 7 9 e Internet avec 186 conseils 5 6 e La radio avec 159 conseils 33 2 e Le parrainage avec 37 conseils 5 1 e Le cin ma avec 26 conseils 44 4 e Les autres supports avec 84 conseils 26 3 12 159 Avis TI V SMAD avant diffusion ont galement t d livr s par les services de l ARPP en progression de 12 par rapport la m me p riode de 2011 11 071 taient des avis favorables
82. t extr mement simples car ce sont des violations patentes de la Recommandation D veloppement Durable D autres nous conduisent rentrer dans des d bats scientifiques nous essayons de le faire le moins possible mais le DD appelle de v ritables comp tences techniques UNE NOUVELLE PROBL MATIQUE LES PRODUITS FINANCIERS En 2011 le JDP a vu appara tre de nouvelles probl matiques notamment la question des produits financiers une d cision rendue en 2012 fait l objet d une proc dure de r vision C est un sujet sur lequel AMF a d sir coop rer avec l ARPP en reconnaissant que l Autori t avait la comp tence technique publicitaire sur le sujet A aussi t trait e deux reprises par des d cisions embl matiques la question des r f rences religieuses d cisions Red Bull et Canal Borgia Autre sujet important lidentification de la publicit Il y a de v ritables escroqueries qui courent actuellement sur des probl mes de fausses publicit s qui am nent des entrepreneurs indivi duels payer des cotisations qu ils ne doivent ab LARPP solument pas a signal la Pr sidente du JDP pr cisant que la DGCCRF et le Parquet de Paris taient saisis UNE MONT E EN PUISSANCE D INTERNET C t m dias Internet est le m dia le plus concern par les d cisions du jury C est nou veau quand le jury a commenc il y avait tr s peu d affaires Internet nous e
83. t un sujet non pens puis les rapports sciences techniques soci t et enfin le chapitre connaissance et communication car ce sont des sec teurs sur lesquels on dit peu de choses h las Les autres sujets sont davan tage dans l air du temps m me si mes th ories sont minoritaires parce qu elles valorisent la dimension humaine Sur les rapports sciences techniques soci t qui sont fondamentaux et sur connaissance et communication il n y a pas de beaucoup de travaux ou alors ils sont tr s dogmatiques POURQUOI CETITRE INDISCIPLIN D W e Pour trois raisons La premi re c est qu un vrai chercheur m me s il ne sait pas pour quelles raisons ne pense pas comme les autres C est un cr atif comme l est un artiste doncil est indisciplin sinon il ne pourrait pas penser contre le monde La seconde c est que je pense depuis des ann es que les sciences et la connaissance avancent par l interdisciplinarit et traverser les disciplines est aussi une forme d indiscipline La troisi me raison c est que mon domaine de recherche depuis toujours c est la communication un domaine qui nous chappe tout le temps qui glisse comme la savonnette du Capitaine Haddock on ne peut l aborder que par l interdisciplinarit et cette interdisciplinarit devient souvent une indiscipline LA TH ORIE DE CE LIVRE EST QUE lt lt LA COMMUNICATION NE MARCHE JAMAIS gt ALORS QUE LES TECHNIQUES SONT DE PLUS EN PLUS S
84. tains de ses produits Si certains logos restent obscurs quant leur origine ils sont devenus globalement explicites et objectifs La mention z ro impact a t cern e les annonces pour v hicules lectriques qui pr sentent cette all gation pr cisent d sormais l tape laquelle elle est v ridique doivent tre pr cises pas de termes trop g n raux et surtout bien que cela puisse s av rer contraignant en termes d espace disponible quelques explications m me br ves sont essentielles UN TAUX DE CONFORMIT QUI RESTE STABLE E MANQUEMENTS MRESERVES W CONFORMIT TOTALE Manquement flagrant d ori gine des logos de nature tromper le consommateur P i r 54 gt amp Des r serves en nette diminution 6 A gt D 44 publicit s repr sentant 28 cas concernent nouveau le slogan sugg re 89 X gt 6 du volume des publicit s vocabulaire trop global avec des pa une absence l environnementales ont n cessit arguments impossibles justifier ROSES ANATONI l envoi d une demande de Les autres r serves concernent la Menag modification des all gations soit clart 10 cas la proportionnalit Le taux de manquements tait de une nette diminution par rapport 4 cas la v racit 3 cas et les 88 en 2010 et de 90 en 2009 2010 9 signes labels logos symboles et auto d clarations 2 cas et a aaea aaa aaa aa a a I ARPP T 2012 N 5
85. taire de la Publicit Michel Bonnet a rappel la composition de l instance se f licitant de l implication des 20 membres dans toutes les cat gories de repr sentation En 2011 le CPP a publi trois avis L avis Pu blicit et Prix publi le 28 mars a donn lieu l laboration par l interprofession de la Recommandation Publicit de prix qui est entr e en vigueur le 1 juin 2012 L avis Publi cit et commerce quitable publi le 13 avril a galement t suivi d une Recommandation Commerce quitable publi e le 7 d cembre 2011 Enfin lavis Publicit et Diversit s publi le 24 novembre fait actuellement l objet d un travail de l interprofession pour une future Recommandation Tirant un bilan positif plus large de 3 ann es d existence et renvoyant au contenu de la conf rence de presse du 24 novembre 2011 cf l ARPP n 4 p 7 Michel Bonnet a principale ment d velopp deux points dont le premier est symptomatique de la fa on dont travaille le CPP OUVERTURE DU GROUPE DE TRAVAIL VOYAGE ET TOURISME Ce premier point concerne la publication de lavis Publicit et prix Pour arriver rendre cet auis nous avions scind le groupe de travail en deux parties a t il expliqu dont l une s ap pelait Tourisme et voyage J ai entendu dire que Pon avait choisi la solution de facilit d liminer ce qui tait le plus compliqu et qu ainsi on arri vait avoir un au
86. teurs et l ensemble de la profession publicitaire Compte rendu des moments forts Advertising we care ce th me d velopp durant toute une jour n e avait t choisi dans le but de mieux va loriser le r le de la r gulation professionnelle publicitaire Ainsi la conf rence a t elle t largement consacr e au r le crucial que joue la publicit responsable pour permettre aux consommateurs de choisir en connais sance de cause et son impact sur la crois sance conomique plus d informations sur www advertisingwecare org LE COMMISSAIRE EUROP EN JOHN DALLI LOUE LA REGULATION PROFESSIONNELLE PUBLICITAIRE Le public a cout avec attention le Commis saire europ en John Dalli qui a lou la r gula tion professionnelle de la publicit et le sys t me de r gulation professionnelle voir page suivante Il a notamment d clar que la r gu lation professionnelle de la publicit peut tre un outil tr s utile pour compl ter le travail des autorit s T 2012 N 5 LES TROIS CHALLENGES RELEV S PAR L EASA Brossant rapidement 20 ans de l histoire de l EASA que l ARPP a cofond e sa pr sidente lIdik Fazekas a rappel qu au cours des vingt derni res ann es l EASA a affront avec succ s trois challenges majeurs Tout d abord cr er une r ponse collective aux d fis du March Unique o les publicitaires r alisaient enfin leur r ves d acc d
87. u prix et des mentions li es au prix pour la premi re des mentions et renvois pour la seconde Cette lisibilit s entend dans des conditions normales de lecture ce qui passe dans les deux cas par une taille suffisante un espacement normal une police permettant une lecture ais e et une couleur contrast e par rapport au fond de la publicit De m me lorsqu un signe ast risque chiffre est utilis pour r aliser un renvoi il doit tre suffisamment important pour tre toujours lisible dans des conditions normales de lecture la publicit comportant une mention ou renvoi doit utiliser un langage simple direct pr cis non quivoque et une structure de phrase claire et simple 94 T 2012 N 5 lt 89 O o Votre F2S pou 194 v TREG Sr Bien videmment tout type de mentions l gales rectificatives informatives qu elles soient ou non li es un prix doivent figu rer l horizontale Les deux Recommandations partagent galement la m me exigence d intelligi bilit Celle ci passe par une formulation permettantau consommateur d appr hen der soit le prix soit la mention ou renvoi sans difficult et de mani re non erron e Ainsi la pr sentation du ou des prix doit permettre au consommateur de relier celui ci avec le produit ou le service dont il b n ficiera en fonction de cette somme et d appr hender s il existe des conditions ou
88. x HT et la valorisation du premier par rapport au second le prix de produits vendus par lots qui doit apparaitre de mani re claire et apparente le prix rapport une unit de mesure avec un focus sur le prix mentionn acquitter les avantages tarifaires r serv s une partie de la client le notamment le cas des offres tarifaires li es une carte de fid lit Un autre point non relev dans l Avis du CPP a t ajout savoir le prix partir de du produit ou des produits repr sent s DE L ARPP i DES R GLES SELON LE SUPPORT UTILIS Enfin les deux Recommandations tablis sent des r gles compl mentaires selon le support utilis A titre d exemple en t l vision celles ci concernent la dur e d exposition ou la vitesse du d roulement du texte quand les mentions apparaissent en surimpression ou la couleur du fond du message Il en est de m me pour la communication publicitaire digitale pour laquelle est pr cis notamment que lorsque le format la technique ou le N g h a support publicitaire ne permet pas d inscrire First Edition 14 990 gC les mentions sur la publicit elle m me elles seront rendues directement accessibles par ee aa arm tout autre moyen En presse on s int resse surtout la taille des caract res m me sur un format r duit En affichage il est pr cis que la taille des caract res doit tre choisie en fonction

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