COMMENT DESINFECTER LES CIRCUITS D`EAU
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1. C mais sont inactives e m thodes chimiques agents oxydants agents non oxydants ions m talliques ns Sa 8 y q La r sistance des l gionelles est importante pour des temp ratures lt 50 C Choc thermique m thode curative DANGER Temp ratures et br lures Avantages pas d quipements sp ciaux int r t en cas d pid mies co t acceptable Temp rature Temps pour Temps de l eau d truire 1000 d exposition Inconv nients proc dure longue et difficile l gionelles pour br lure mettre en uvre 70 C 30 minutes dans tout le 80 C Quelques secondes r seau risque de br lure une seconde 70 C 70 C 1 minute 1 seconde recolonisation bact rienne in luctable pas de 66 C 2 minutes caract re r manent 60 C 32 minutes 7 secondes Rq Dans le cas de l acier galvanis la couche protectrice en zinc se d grade une 55 C S 6heures temp rature sup rieur ou gale 60 C De plus lors des op rations de chocs thermique 50 C Survivance 8minutes une autre contrainte peut tre celle de la dilatation des mat riaux Exemple Abbreviated duration of superheat and flush and disinfection of taps for Legionella disinfection lessons learned from failure CHEN Y S Am J Infect Control 2005 Dec 33 10 606 10 En 2000 Taiwan CHU de 1070 lits compos de 4 a les 81 cas suspects de l gionelloses 80 des robinets dans USI contamin s 12. chlor s Inconv nients pas effet r manent chlore formation de sous produits d oxydation process on reux RRESO 19 janvier 2006 Validation du process de d sinfection continue par dioxyde de chlore des r seaux d eaux chaudes de l H pital d Enfants CHU Nancy e Principe Le proc d SECUROX soci t THETIS Environnement repose sur le principe d une d sinfection continue de l eau chaude par injection de gaz dioxyde de chlore hauteur de 0 5 mg litre au niveau de l alimentation en eau froide de l unit de production d eau chaude Chloramines Le repr sentant le efficace monochloramine Pouvoir p n trant des biofilms gt chlore libre Stabilit chimique gt chlore libre Efficacit d sinfectante lt chlore libre En pratique Kool Lancet 1999 montre moins de l gionelloses si d sinfection eau potable chloramine vs chlore libre Pas d tude sur la pr sence ou non de l gionelles dans l eau trait e Autres oxydants 1 m lange p roxyde d hydrog ne argent 100 1000 mg l de p roxyde hydrog ne pour un temps de contact pouvant aller jusqu 12 heures 2 m lange acide perac tique eau oxyg n e 1000 ppm en quivalent H202 pendant 2 heures 3 polym res de chlore nombreux Le connu dichloroisocyanurate de sodium Mode d emploi et efficacit quivalent au chlore Legionella et d sinfection Loic SIMON D sinf
3. choc thermique 8 semaines 60 C 5min D sinfection robinet et douche chlore 10ppm 10min 2 me choc thermique 48h 60 C 5min Conclusion inefficacit du choc thermique et co teux 2000 heures de personnel soit 1 87 heures de personnel lit Legionella et d sinfection Loic SIMON Pasteurisation de l eau syst me Pastormaster e Production d E C S et pasteurisation par l interm diaire d un pr parateur semi instantan aliment en fluide primaire 80 90 C Temp rature de l E C S port e plus de 70 C pendant plusieurs minutes Les bact ries pr sentes dans le fluide sont soumises une Pasteurisation en Continu assurant leur destruction permanente Avant d tre d livr e dans le r seau l eau transite par l unit de transfert qui abaisse automatiquement la temp rature souhait e 55 c Ultraviolets d sinfection en terminale au point d usage pour une longueur d onde de 254 nm avantages facile installer pas d interf rence avec eau et plomberie inconv nients faible turbidit et paisseur de lame d eau efficacit insuffisamment d montr e pas d activit r siduelle d o utilisation distale uniquement co t l usage Chloration principes actifs du chlore e Le chlore C12 et les produits chlor s hypochlorite de sodium ou eau de javel NaCIO hypochlorite de calcium Ca C10 2 se dissocient imm diatement dans l eau en acide hypochlo
4. froid 10 5 Organigramme des actions suivre en fonction Installations soumises d claration TAR circuit ouvert de puissance lt 2000 KW 05 Organigramme des actions suivre en fonction ns d analyses Topics dupe imet QLI te Ca ad MWFs UDIALI fe Ag Lie iaformation on CW and MWFs ss CWMWFs Gusnidines PHM lodas CWMWFs RRESO 19 janvier 2006 Fiche de suivi d une D sinfection Curative Conclusion 1 Pr vention de la colonisation d un r seau d eau par Legionella pneumophila 2 d sinfection des circuits d eau al atoire r seau d eau g corrod et recouvert d un biofilm bact rien 3 Les succ s court terme des proc dures de d sinfection ne doivent pas masquer la recolonisation in luctable moyen terme en l absence d un traitement continu efficace Dasin ectants mg L Halogenated amdes DBNPA 1 10 Halogenated gros 16 200 10 00 Aldehydes G utaraldehyde 10 90 e water CW and m Legionella et d sinfection
5. gi s Tours a ro r frig rantes e voie humide 1 tours a ro r frig rantes 1 p2 d Sortie d air Fe ECS domestiques y VARDE D bains remous type Jacuzzi 2 Porc dm Rampe de pulv risation Mais exceptionnellement aussi san aee ge packing f quipements des stations thermales Entr e d air i N k ree fontaines d coratives 7 Ventilateur L Ci machines glace et fontaines r frig rantes pre N A humidificateurs respirateurs n buliseurs Trop plein M y je Purge de d concentration Bassin d ides Eau refroidie eau du r seau Principe refroidissement par dispersion d eau dans un flux d air Legionella et d sinfection Loic SIMON Principe de fonctionnement d une TAR tit S parateur de gouttes i layaya a Syst me de distribution sens de sens de l coulement l coulement de l eau de l air Syst me d change Bassin d eau froide Questionnaire type compl ter ECS domestique Deux types de circuits sont consid rer Pr les circuits galvanis s qui Vapeur d eau ne peuvent pas supporter x sans risque de corrosion n ede deS temp ratures l gionelles sup rieures 60 C E Prof ration les circuits en cuivre ou maximal Pya E Prolit ration certains mat riaux de tr s faible A Zone de synth se p
6. 2h Dichloroisocyanurates de sodium ou de sodium hydrat L0 mg en quivalent chlore libre pendant 8h 100 mg l en quivalent chlore libre pendant 1h ou 15 mg l en quivalent chlore libre pendant 24h ou 50mg I en quivalent Dioxyde de chlore 1 mg l de C102 ON chlore libre pendant 12h NON P roxyde d hydrog ne m lang avec argent NON 100 1000 mg 1 de p roxyde d hydrog ne pou r un temps de contact fonction de la concentration en d sinfectant et pouvant aller Acide p rac tique en m lange avec l eau oxyg n e NON jusqu 12 heures ON 1000 ppm en quivalent H O pendant 2h Soude NON PROCEDES Choc thermique Au moins 50 C en distribution et inf rieur 50 C au point d usage 70 C pendant au moins 30 minutes Filtration membranaire point d coupure 0 2 um our Legionella et d sinfection Loic SIMON RRESO 19 janvier 2006 Techniques de d sinfection notre M thodes thermiques disposition en 2006 Au del de 70 C les l gionelles meurent Quelques secondes 60 C in vitro e m thodes physiques ultra violets ES membranes de filtration usage unique ou r utilisable Plusieurs heures entre 45 et 50 C gt Plage de temp ratures de croissance optimale e m thodes thermiques chaleur q 2 mois 35 C avec fort d veloppement pasteurisation AE 1anentre 5 et 25
7. Loic SIMON RRESO 19 janvier 2006 Actualit s r centes 6 cas de l gionelloses dont 1 mortel Mj COMMENT DESINFECTER Rennes en janvier 2006 LES CIRCUITS D EAU La grande pid mie en France 86 cas de l gionelloses MYTHES ET REALITES dont 13DC 11 2003 01 2004 li e 1 tour a ro r frig rante r gion de Lens R partition g ographique en France des lieux d isolement des souches cliniques end miques Paris et Lorraine 1995 2004 L SIMON 1 P DI MAJO 2 er ee 7 s V HONNART 2 Ph HARTEMANN 1 1 Hygi ne hospitali re 2 Services techniques CHU Nancy Etat des connaissances sur les l gionelles depuis pid mie princeps i ne de Philadelphie en 1976 d tectable dans des eaux ou des r seaux d eau p des temp ratures allant de 5 7 63 C Fliermans Appl 182 malades 29 DCD Env Microbiol 1981 r servoir environnement aquatique parasitisme naturel de divers protozoaires de la naturel et artificiel microflore aquatique technique du Cheval de Troie Particularit s cologiques des l gionelles voie de contamination par inhalation Cons quence bact ries ubiquitaires de notre d a rosol environnement expliquant leur pr sence dans 30 seules quelques esp ces voire s rogroupes 60 des pr l vements d eau chaude sanitaire ECS de l gionelles sont responsables de Habicht Zentralbl Bakteriol Mikrobiol Hyg 1988 l gionelloses Sites privil
8. MON Pourquoi vaut il mieux pr venir que r seau d eau cosyst me tr s complex HYDRAULIQUE D bit Stagnation de eau EN QUALIT DE L EAU Temp rature pH Min raux M taux Mati res organiques Biocides r siduels p Teneur en oxyg ne MATERIAUX Nature Age tat corrod u rir e mibes L gionelles intra cellulaires L gionelles libres R activit des biofilms avec les oxydants Microflore bact rienne Oxydant TT chlore ozone MCompos s organiques et ou min raux lat L ensemble de ces r actions limitent L impact des d sinfectants Eau ___N Mat riau 7 60 Biofilm et d p ts 84 40 Figure contribution respective des diff rents l ments la consommation en chlore R le des amibes et protozoaires L pneumophila r siste 50mg L de chlore libre dans les kystes d Acanthamoeba polyphage Kilvington 1990 R sistance acquise des amibes aux d sinfectants dans les TAR Srikanth 1993 RRESO 19 janvier 2006 Biofilm r le protecteur pr pond rant des bact ries h berg es R sistance des temp ratures ou des concentrations de d sinfectants 1000 1500 fois sup rieures celles qui tuent les cellules planctoniques des m mes esp ces Legionella augmentation r sistance gt 100 fois dans biofilm Cargill 1992 L pneumophila inactiv
9. aitement afin d liminer les d p t organiques et min raux tartre biofilm Etape 3 Injection d un biocide dose temps de contact puis vidange ive Injection d un second biocide dont la mati re active est diff rente du premier but l utilisation de deux biocides permet un tr s large spectre d action et permet d liminer des souches bact riennes qui seraient devenu r sistantes certaines mati re actives Etape 5 Vidange et remise en eau Legionella et d sinfection D sinfection curative d une tour de refroidissement Loic SIMON 1 Sommaire de ce document 1 Sommaire de ce document 2 Objectifs 3 Domane d application 4 Rappals sur l s conditions d exploitation de la TAR 5 Documents de r f rence 6 EPI mat nel st produits n cessaires 6 1 Equipement de Protection Individual EPI 62 Mat riel 6 3 Produits de traitement d eau 7 Mode op ratoire d une d sinfection sans arr t de la TAR B Fonctionnement de l installation apr s d sinfection 9 Mode op ratoire d una d sinfection avec arr t de la TAR 9 1 Sch ma de principe du r seau de froid 92 D fnilion des services aliment s en prort 93 Mode op ratoire 9 3 1 Arr t des installations 9 32 D sinfection des installations 10 Annexes 10 1Ficha type de suivi de l op ration da d sinfection curative 10 2 Volumes de solution chiar 10 3 Mode op ratoire pour r aliser une dilution 104 Sch ma de principe de la distribution da
10. ection des tours a ro r frig rantes RRESO 19 janvier 2006 Ionisation par cuivre argent avantages efficace co t installation et maintenance acceptables Pas d interf rence avec eau haute temp rature chlore et UV inconv nients encrassement lectrodes risque de coloration de l eau et surtout non autoris ce jour en France pourquoi Cas des tours a ro r frig rantes circulaires du 24 04 2003 26 06 2003 06 08 2004 Quand d sinfecter niveau cible lt 10 Legionella sp niveau d alerte 103 105 d sinfection niveau d action gt 1 arr t puis d sinfection Comment d sinfecter M mes produits de d sinfection que pour les eaux chaudes sanitaires brome et d riv s brom s glutarald hyde isothiazolone carbamate ammoniums quaternaires Principe de la d sinfection d une TAR Etape 1 Vidange de l installation avec si possible un premier rin age en eau de ville le but tant d liminer les boues et de r guler le pH gt l eau d une TAR est dite concentr e c est dire qu elle contient plus de min raux que ceux de l eau d appoint d o une tendance avoir au niveau de ces installations pH basique Etape 2 facultative Mise en uvre d un dispersant voir d un bio dispersant en respectant un couple temps de contact dosage fonction du produit mis en uvre Une vidange devra alors obligatoirement tre r alis e l issu de ce premier tr
11. eiller au respect des crit res d finis dans la r glementation de l eau destin e consommation humaine RRESO 19 janvier 2006 Repr sentation sch matique d un r seau E C S R seau de distribution Equipements de production horizontale et verticale E ments y terminaux R chauffage primaire 90 70 c Zone risques Pompe de bouclage Zone risques Alimentation d eau froide Zone risques Zone de temp rature 50 lt T gt 55 c L gende mum Zone de temp rature 55 lt T gt 48 c S Zone de temp rature 48 lt T gt 38 Pourquoi L pneumophila et pas l ensemble des l gionelles e BEH n 26 21 juin 2005 En 2004 en France sur 1202 cas de l gionelloses sp et s rogroupes connus pour 1168 cas L pneumophila repr sente 99 des cas dont 1061 cas de s rogroupe 1 90 11 esp ces autres que L pneumophila identifi es Tableau D sinfectants utilisables en France dans les r seaux d eau chaude sanitaire Circulaire du 22 avril 2002 PRODUITS UTILISES EN TRAITEMENT UTILISES EN TRAITEMENT UTILISES EN TRAITEMENT CONTINU DISCONTINU CHOC CURATIF Compos s chlor s g n rant des 1 mg l de chlore libre 10 mg de chlore lib re pendant 100 mg l de chlore libre pendant Ihypochlorites hypochlorite de h 1h ou 15 mg l de chlore libre sodium ou de calcium chlore gazeux pendant 24h ou S0mg I de chlore libre pendant 1
12. eratre 7 min a 1 min a nmns O1 aus o1 PA lt 2668 s 0 Smn20s 02 ENS PEEEE CCEPPPPIE gs ws o ESS T Tre tme H toon t0 renen ns tenpera re 1 Pt Yn here Pce tese Tending were UREN YON Der WAER monitor terperstire contra PREVENTION DES LEGIONELLES UNE SOLUTION pour les tours a ror frig rantes et les r seaux d eau chaude sanitaire Les avantages de la solution 510 UV A la pointe de l innova tion France de Hyperchloration Deux approches choc chlor 15 mg l pendant 24h ou 50 mg l pendant 12h selon la proc dure et hyperchloration en continue au moins 1 mg l de chlore libre avantages activit d sinfectante r siduelle efficace long terme si traitement continu inconv nients corrosion et dommages sur plomberie recolonisation bact rienne in luctable formation d organo chlor s sensible pH et T C Legionella et d sinfection Loic SIMON Dioxyde de chlore Gaz instable produit in situ chlorite acide ou chlore Choc 50 80mg L 1h ou en continu avantages activit r manente importante 1 mg l en continu moins corrosif que les hypochlorites car utilis des C plus faibles pas de go t l eau bon pouvoir p n trant des biofilms pas de formation d organo chlor s inconv nients process difficile co teux achat 30000 euros g n rateur de chlorite et chlorate To Tosemaines iZsemanes T 34 semaines T63 semaines 2810612001 osioo
13. euvent supporter corrosion j emaze des contraintes thermiques Amibe parasit e par une l gionelle Amibe expulsant des legionelles M Circuit de recirculation de l eau RRESO 19 janvier 2006 Tours a ro r frig rantes 2 Combien de TAR en France e Circulaire du 24 f vrier 2004 relative au recensement des tours a ro r frig rantes humides dans le cadre de la pr vention du risque sanitaire li aux l gionelles Pourquoi recensement des TAR pas exhaustif alors que certaines TAR non d clar es ou non autoris es pr sentaient des taux de concentration en l gionelles importantes Recensement des TAR humides en France ao t 2004 e R ponses de 51 pr fets e Par rapport aux chiffres de 2003 Augmentation de 44 du nombre de TAR 7891 TAR au lieu de 5490 Augmentation de 33 du nombre d tablissements comptant au moins 1 TAR 3092 tablissements au lieu de 2317 Combien de TAR en France en 20062 Pr vention et surveillance des l gionelloses Renforcement r glementaire depuis 1997 Circulaire du 22 avril 2002 mesures de pr vention mettre en uvre pour lutter contre les l gionelloses viter la stagnation et assurer une bonne circulation de l eau lutter contre l entartrage et la corrosion maintenir l eau une temp rature lev e dans les installations et mitiger l eau au plus pr s des points d usage Legionella et d sinfection Loic SI
14. par 0 4 mg L de chlore en 15 minutes si libres et gt 3mg L dans biofilm Yabuuchi 1995 Traitement r p t e par d sinfectants Etude de Merlet 2000 Traitement r p t e de mani re s quentielle alternance de d sinfection de quelques heures et de phase de recolonisation de quelques jours avec chlore 45 mg l ou monochloramine 50 mg l ou ozone 15 mg l ou acide perac tique 50 mg l ou ammonium quaternaire choc thermique 70 C 24h choc chlor 50 mg l 24h gt 2 me d sinfection moins efficace que la 1 re et recolonisation plus rapide Alors quelles strat gies de d sinfection adopter Dogme l efficacit des d sinfectants est incertaine voire hasardeuse dans le temps sur les bact ries hydriques et plus particuli rement sur les l gionelles Sa Legionella et d sinfection Loic SIMON D sinfection des r seaux d eau chaude sanitaire Corrosion d Cas des r seaux d eau chaude sanitaire Quand d sinfecter Plusieurs conditions sont obligatoires production et distribution ECS contamin es niveau d action atteint soit gt 250 Z pneumophila par litre si eau distribu e des patients risque circulaire du 22 avril 2002 et NF T90 431 soit gt 10 000 L pneumophila par litre dans les autres situations chec des interventions temp rature et d bit satisfaisants esp ce L pneumophila en cause techniques Comment d sinfecter Condition v
15. r2001 Mzae zo0t 19 09 2002 a Eca ontUFC Fc oo uFi EGIL og UFGIL PO production Entr e S curox i 3850 352504481 REN E ESSEE PELSE ELLES h 100 2h40 2653212514 bi 7 B BZ pE a EO h l2 N PT production Sorie S curox i l la P2 distribution 1950 329003461 h 200 2301029996 l 300 2477121255 Pa l3 500 2698970004 BJ la 150 2 176091259 1450 161968 1650 3 1903817 l sn sn ann 247 1000 Pi 2400 338021124 h soo 26287004 2602053891 l2 50 1 608970004 Pa Bi l3 200 2301029996 BJ a 150 2176001250 A 2150 3 33243846 1500 317609126 5 750 287506126 ls 200 2301029986 P4 distribution jt eaat 1450 3161368 h 50 16987004 2176001258 l2 50 1608070004 PJ A B lt 50 la 50 1608070004 Ki h 900 2954242500 3826400725 l2 300 2654242508 PJ l 1000 ap la 500 2698970004 i ls 500 2954242509 3100 349136169 li 2000 P5 production Ratou m lang s Touridli 2150 339243846 lt P 2350 3337106786 b bssss 3 1300 3 1394305 lt n 2100 332221929 lt 5 o0 297772381 lt P6 production ru e mantri f esn 9 hn em Ozone Gaz instable produit in situ Agit par oxydation et r action radicalaire inhib e par carbonates et phosphates et activ e par les UV Avantages diminue de 1 2 logarithmes d cimaux 90 99 le nombre de l gionelles pas de corrosion pas de formation d organo
16. reux HOCI ion hypochlorite CIO C est essentiellement l acide hypochloreux qui est le compos le plus actif dans les m canismes de la d sinfection c est pourquoi il est aussi appel chlore libre actif La proportion des deux compos s d pend essentiellement de la valeur du pH de l eau comme l indiquent les courbes ci dessous Pour un effet rapide du chlore et une conomie en produits il convient de traiter l eau des valeurs de pH proches de la neutralit Ainsi on proc dera la d sinfection avant tout traitement de neutralisation et ou de remin ralisation levant le pH RRESO 19 janvier 2006 valuation of the effectiveness of the Pastormaster method disinfection of legionella in a hospital water distribution system Peiro Callizo E F J Hosp Infect 2005 Jun 60 2 150 8 Table li Ping from samples taken on 18 December 2002 Prior to any action taken Samoe collection am dend 745 am Peak demand 10630 am 1 point Temperature Gigil Legionella Tempere Cmpl Leponeli ihe app cf time to reach this 2 du temper os nat measured T Tne tyre H tok to reach VD D OP AR NO wee EN PON D meN monne perse oreren y Some oont ae to rorrengog promt Table v _ Pring fram samples taken on 3 June 2003 ane month after installation of Pastormaster Minimum demand 45am Pesh demand 1050 m1 clean Tempere Cm Leela Teneur Cimjl Leponeiia time woreach tris 00 Au L time toreechtnis sop etu erp
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