Home

14 sept - Solidaires Finances publiques

image

Contents

1. il a confirm que le DG avait d j annonc qu ils auraient lieu dans le cadre de la pr sentation du plan de contr le citoyen Il a pr cis que les changes entre les agents et le monde de l entreprise tait instructifs Sur Taskforce il a rappel que cette structure n a pas pour ambition de r gler seule la question de la fraude la TVA Il reste qu il faut r fl chir aux outils disponibles organisation pour viter que certaines grandes affaires de fraude fiscale de type quotas carbone Ceci n cessite d identifier des risques de fraude D avoir un v ritable dispositif organisation permettant de d tecter les risques de fraude Sur la s curit des agents il estime que c est un point absolument majeur pour la DGFiP et plus sp cifiquement pour le contr le fiscal toutes les initiatives sont bonnes prendre a t il pr cis Enfin sur la redevance l audiovisuel public il a pr cis que la mission avait rendu r cemment son rapport Il sera transmis aux organisations syndicales pr cision tant faite que pour l heure la DG n a pris aucune d cision En r ponse Solidaires Finances Publiques a tenu pr ciser certains points Sur la qualit du contr le fiscal nous avons rappel que nous tions porteur d une nouvelle approche afin de changer les indicateurs du contr le fiscal et de privil gier des indices de qualit couverture du tissu fiscal dispositif anti abus en lieu et place des indica
2. srnoicar namionaL S Compte rendu du groupe de travail nces contr le fiscal du 8 septembre 2015 Paris le 10 septembre 2015 Olivier Sivieude chef du service contr le fiscal de la DG pr sidait ce groupe de travail qui portait notamment sur la s curit des agents sujet dont nous avions demand l inscription l ordre du jour Ce th me majeur qui touche au quotidien des agents justifiait lui seul de si ger ce GT D bat g n ral Apr s avoir les d clarations liminaires des organisations syndicales voir notre d claration liminaire ci apr s M Sivieude a apport les l ments suivants Sur les moyens et la reconnaissance des agents r mun ration frais de d placement il n a pas apport de r ponse et a fait part de son sentiment que les pouvoirs publics faisaient de la lutte contre la fraude fiscale une priorit Il a rappel que dans le contexte actuel il se battait pour maintenir les effectifs dans le cadre de la sanctuarisation des effectifs du contr le fiscal externe Pour lui il y a un d bat avoir sur l aspect quantit qualit du contr le fiscal il s est d clar favorable la qualit ce qui est exigeant puisqu il s agit alors de consacrer du temps sur les dossiers complexes am liorer la programmation etc Tout cela selon lui forme un tout qui n cessite de d finir ce qu est la qualit On devrait pouvoir voluer sur la quantit objectifs de nombre
3. Il sera prochainement rendu public Task force Solidaires Finances Publiques a demand des pr cisions en revenant sur les documents estimant qu il fallait mieux et davantage lier l activit de la Task Force avec les services op rationnels Nous avons regrett les difficult s d acc s Wi FiP et demand si une volution de la Task Force tait envisag e En r ponse les repr sentants de la DG ont rappel la n cessit de travailler avec d autres services Tracfin parquet financier douanes etc et que la Task force s inscrivait dans cette orientation La Task force interne la DGFiP nourrit la Task force externe gr ce des alertes fournies par la DNEF ou la douane judiciaire par exemple Les r sultats ne sont parfois pas qualifiables ni quantifiables mais permettent certains services de l tat le parquet par exemple de se saisir tr s t t du dossier et de stopper la fraude aussi t t que possible Des signalements de secteurs risque ont t faits par la DGCCRF galement ce qui a pu d clencher des enqu tes compl mentaires DNEF douanes ou Tracfin L int r t de la coop ration interminist rielle est donc r el S agissant du vecteur Wi Fip les r f rents fraude ont un r le central et sont un relais la remont e et la redescente des informations Ils ont pr cis que des alertes taient diffus es directement aux directions afin qu elles le relaient dans les PCE ou SIE par exemple Ces a
4. Datamining par exemple DG DNEF directions destinataires des listes S agissant de la s curit des agents un th me que notre organisation porte de longue date que nous nous f licitons d aborder enfin en GT le p rim tre de cette question est incontestablement plus large que celui des fiches propos es La pr vention la formation l identification des dossiers risque qui doit tre faite tout moment de la programmation au recouvrement en passant par les op rations de contr le sur pi ces et sur place la gestion des incidents la mobilisation des outils existants etc sont videmment des sujets importants qu il ne faut pas n gliger N anmoins il faut y ajouter les enjeux touchant la s curit des trajets aux zones risque ou encore aux cons quences de la judiciarisation des rapports sociaux Nous pensons ici une hausse potentielle de proc dures qui pourraient tre engag es l encontre de nos coll gues comme cela a malheureusement d j t le cas r cemment Nous y reviendrons notamment pour que la DG progresse sur le suivi des agents dans le cadre de la protection juridique et ce afin d assurer un suivi effectif de l agent concern Au del de la question cruciale des moyens humains et financiers quel gouvernement comprendra que les emplois et le budget de la DGFiP sont des investissements n cessaires utiles et rentables plus que jamais l efficacit de la mission est indissociable de celle to
5. de contr les mais en pr cisant l approche sur la qualit M Sivieude a pris l exemple d une direction les Pyr n es Atlantiques qui a pris des engagements en termes qualitatifs sur le p nal ou la TVA par exemple en contrepartie d une baisse des objectifs en nombre Le projet de loi de finances 2016 pourrait comporter des l ments sur le contr le fiscal visant sanctionner la d tention de logiciels permissifs qui sont trop souvent utilis s en France Parmi les textes port s par la DGFiP figurent galement la d mat rialisation des d clarations de prix de transfert et celle de la charte du contribuable Sur la programmation la mission au commencement de tout en mati re de contr le M Sivieude confirme les difficult s qu elle rencontre et qui n cessite selon lui d agir La r ponse est globale chaque outil de programmation a sa place PCE Datamining Dnef BCR Faute d agir les r sultats du contr le fiscal en souffriront et on pourrait m me en arriver se demander si le nombre de v rificateurs pourrait tre maintenu si on ne peut leur fournir une programmation suffisante S agissant des r gularisations dans le cadre des STDR il rappelle que le dispositif est transparent qu il n y a pas de d rogation et qu il concerne tous les imp ts dus S agissant des stages en entreprise apr s avoir rappel la mise en uvre du plan de formation triennal avec un plan de formation adapt chacun
6. es de la DGFiP et de l ventualit que sa r mun ration puisse tre assise sur des r sultats du contr le fiscal comme cela s est produit dans certains pays En r ponse les repr sentants de la DG ont apport les l ments suivants lls se sont d clar s satisfaits de l exp rimentation car elle a t men e dans des d lais contraints deux ans Le Datamining doit tre men e au plus pr s des services informatiques afin de s appuyer sur leurs comp tences et d tre le plus r actif possible mais il faut aussi des comp tences en termes de contr le fiscal Il fallait galement des comp tences statistiques qui n existaient pas la DGFIP d o un appel l INSEE Des tudes ont t men es sur les outils existants l tranger Belgique Espagne Italie ou en France la CAF Sur cette op ration il fallait effectivement garder un niveau de confidentialit et la France a donc opt pour l internalisation des licences ont donc t achet es pour tre utilis es par des agents des finances publiques au lieu de fournir les bases la soci t SAS qui n est donc pas r mun r e en fonction des contr les effectu s La CNIL a t rapidement saisie elle a donn son accord sur une premi re exp rimentation puis sur une seconde Elle interroge r guli rement la DGFiP sur ces op rations Sur les r sultats et les retours la DG pr cise que si le Datamining n est pas l alpha et l om ga de la programmation sur les
7. manifestement engag e dans la pr cipitation contrairement aux propos tenus lors du pr c dent GT ce qui risque de la mettre en p ril et d avoir des effets contre productifs e Enfin nous n oublions pas la retenue la source annonc e au printemps et qui reviendra immanquablement en d bat Sans revenir sur les diff rents aspects de ce projet il est vident que les pouvoirs publics doivent int grer la dimension contr le fiscal L exemple de la TVA montre que les imp ts collect s par les entreprises ne sont pas int gralement revers s l tat il en sera de m me pour l imp t sur le revenu si la retenue la source est mise en uvre Compte tenu des moyens et des enjeux actuels et futurs cette mission nouvelle qui doit selon nous tre assur e par la DGFIiP dans le respect de l article 34 de la constitution doit tre identifi e et tre accompagn e de moyens ad quats Notre groupe de travail est consacr pour partie des th mes d j abord s dans de pr c dents GT il en va ainsi de la mise en place des STDR d concentr s du Datamining ou encore de la Task force Les informations figurant dans les documents fournis s inscrivent dans le cadre de l engagement du service du contr le fiscal d informer les organisations syndicales Au del des expressions que nous avons formul es sur ces sujets certaines questions demeurent pendantes il en va ainsi des liaisons entre les services directement concern s par le
8. 1000 dossiers transf r s aux services de programmation 300 ont t retenus pour engager un contr le externe et 300 pour le CSP Les changes avec les services permettent de mesurer les retours et leur int r t Le suivi des dossiers envoy s est assur par la mission via Alpage Il existe des demandes des services qui veulent une aide de MRV dans le cadre de leurs travaux A l avenir les listes de dossiers pourraient tre mises disposition des services via une application sp cifique PRODATA pour am liorer la transmission des informations et la r activit des services Nous sommes revenus sur les diff rents enjeux auxquels le Datamining fait face Si cette exp rimentation fonctionne et partir du moment o elle ne se substitue pas la programmation en elle m me elle conna tra des volutions et elle pose plusieurs questions En effet la mise en place de l change automatique d informations en 2017 constitue l une des volutions possibles Enfin cette op ration pose la question des donn es disponibles autrement dit des d clarations IS IR TVA voire m me des r gimes d imposition Nous avons demand quelle tait l orientation de la DG sur ces sujets La DG a pr cis que les donn es trait es par la mission seraient toujours examin es par les agents Sur les remboursements de cr dit de TVA Medoc pr voiera tr s prochainement un espace pour identifier un niveau de risque de fraude certain tr s lev l
9. annonc la publication d un futur rapport du contr le fiscal de la Cour des comptes qui note des volutions positives suite leurs pr c dents rapports Sur le SDNC il s est d clar d accord avec nous pr cisant m me que le SDNC travaillait sur le lancement d une application qui serait une base de donn es regroupant tout ce que les Dircofi et Directions nationales ont publi en local il s agit d un outil de recherche qui serait mis avant g n ralisation potentielle la disposition des directions nationales avant les Dircofi qui viserait mettre la disposition des v rificateurs des documents publi s par les directions sp cialis es du contr le fiscal Il a voqu le turn over qui concerne surtout les directions de la r gion parisienne entre 15 et 20 selon les ann es et dans certains directions plus de la moiti des v rificateurs n ont pas 4 ans d anciennet dans le service qui est un probl me A l inverse certaines directions sont marqu es par une grande stabilit Il a annonc qu un bilan de l exp rimentation de CSP en lieu et place de contr les externes sera effectu d ici la fin de l ann e Sur la fraude la TVA au del des nombreux chiffres qui circulent dans le d bat public il a estim qu il fallait raison garder car les m thodes utilis es pour chiffrer cette fraude sont parfois discutables Un rapport a t demand au gouvernement sur la fraude la TVA dans le cadre de la loi de finances
10. es la direction g n rale n a toujours pas communiqu aux organisations syndicales si geant au comit technique de r seau CTR la liste des restructurations e Le directeur g n ral a d cid d aller plus loin que la tr s contestable d marche strat gique en t moignent ses propos tenus les 25 et 26 juin dernier devant les N 1 et les organisations syndicales Anticipant les futurs choix aust ritaires ils s ajouteraient la r gression d j l uvre e Les inqui tudes li es la r forme territoriale et son impact sur la DGFiP ne sont pas lev es loin s en faut e Le gouvernement manifestement plus sensible aux enjeux politiques que fiscaux a d cid de mettre en uvre la retenue la source sur la base des nombreuses id es fausses qui pullulent son sujet e Enfin l volution de la fonction publique est en question en t moigne le contenu des discussions parcours professionnels carri res et r mun rations PPCR Pour le contr le fiscal ces diff rents chantiers sont de bien mauvaises nouvelles Car ils poursuivent et amplifient l affaiblissement des administrations de Bercy et notamment de la DGFiP se demander si les gouvernements successifs ne font pas de l affaiblissement des diverses formes de contr le conomique un enjeu de comp titivit IIs l gitiment et n cessitent une mobilisation des agents laquelle nous appelons sans tat d me Durant le cycle de
11. ev et av r pour orienter les demandes en circuit long le cas ch ant Olivier Sivieude a rappel qu il fallait faire preuve de prudence et ce d autant plus que la DG doit rendre un rapport au Parlement sur cette exp rimentation r cente mais galement plus largement sur tout ce qui touche la programmation A l avenir le Datamining peut constituer une base de donn es largie il faudra voluer au del de la TVA pour tre un compl ment de ce qui se fait par ailleurs Pour accompagner cette volution les directions sp cialis es et contr le fiscal seront associ es S agissant de la fiabilit des donn es la DG estime que des progr s qualitatifs sont n cessaires m me si elle est bonne STDR d concentr s Nous sommes revenus sur les cons quences de la mise en place pr cipit e des STDR d concentr s Nous avons demand quelle tait la dur e de vie pr visible de ces services STDR national et d concentr s et si des volutions taient possibles notamment si des perspectives de r gularisations en provenance d autres pays que la Suisse taient envisageables Nous avons r it r notre demande de donner le maximum de visibilit aux agents concern s La DG nous a r pondu que les STDR d concentr s taient d sormais tous en place et que leur objectif tait d acc l rer le traitement des dossiers parvenus au STDR sur la base de 12000 dossiers trait s par an 6000 par le STDR log la DNVSF e
12. gents entreprenant ces contr les D claration liminaire de Solidaires Finances Publiques au GT du 8 septembre 2015 Ce groupe de travail se tient dans une p riode cruciale pour l tat et les finances publiques donc pour les agents et les missions de la DGFIP e les finances publiques et par cons quent l tat social connaissent des volutions syst miques l ampleur de l vasion fiscale permis tout la fois par la libert de circulation des capitaux la concurrence globale fiscale sociale conomique l conomie immat rielle l ing nierie financi re et fiscale etc et le d veloppement de l conomie souterraine 10 8 du produit int rieur brut selon les r centes estimations de la Commission europ enne constituent des enjeux globaux dont la dimension fiscale est av r e C est un enjeu pour la lutte contre la fraude fiscale qui n a pas t pleinement int gr e ni anticip e par les pouvoirs publics e Plus prosa quement nous sommes quelques jours de la publication du projet de loi de finances pour l ann e 2016 laquelle va nouveau pr voir une nouvelle vague de suppressions d emplois la DGFiP et une nouvelle baisse de son budget e La d marche strat gique strat gie d adaptation aux politiques de rigueur entre dans le dur les restructurations s encha nent mais la transparence promise aux repr sentants des personnels n est toujours pas au rendez vous malgr nos demand s r p t
13. groupes de travail consacr s au contr le fiscal lequel a permis d effectuer il est vrai un tour d horizon assez large des enjeux du contr le fiscal et d aborder sans fard des volutions discut es nous avons de multiplies reprises tir la sonnette d alarme sur e l efficacit et la qualit des missions en p ril du fait de l affaiblissement des moyens de la DGFiP et du fait du mode de management e la hausse de la complexit et de la charge de travail e l absence de reconnaissance des agents et la perte de pouvoir d achat e l absence de prise en consid ration des pouvoirs publics notamment du gouvernement des enjeux en mati re de lutte contre la fraude e plus largement l erreur majeure commise par le gouvernement en consid rant que les administrations de Bercy n taient pas prioritaires Les urgences et les revendications que nous d fendons sont plus que jamais d actualit Nous y ajoutons la n cessit d avoir le maximum de lisibilit Le DG a ainsi ouvert la r flexion sur l avenir des services territoriaux de contr le fiscal au sujet desquels nous nous tions d j exprim et inqui t r cemment Il est difficile de croire que le DG a lanc ce sujet sans avoir d faut d un plan cach au moins une id e Nous souhaitons savoir quelle est la r flexion de la DG sur un sujet qui touche l organisation du contr le fiscal et qui concerne de nombreux agents en PCE en brigade ou en BCR Plus co
14. lertes et ces fiches de pr vention sont particuli rement utiles pour les services et en externe pour que les autres administrations identifient mieux les besoins de la DGFiP ou ne serait ce que pour int grer automatiquement les entreprises vis es dans le circuit long en mati re de remboursement de cr dit TVA afin de renforcer le contr le Sur l volution de la Task Force il nous a t r pondu que le gouvernement est appel se prononcer sur la souplesse d organisation de la Task Force qui selon la DG a fait ses preuves Enfin il a t pr cis que la Task Force communiquait avec la mission requ te et valorisation dans le cadre du Datamining La question est pour la DG de savoir si nous avons les outils pour viter la fraude et si nous avons un syst me d alerte Datamining Nous avons rappel que le Datamining ne devait pas avoir vocation se substituer aux autres outils et services existants mais qu il devait apporter une aide la programmation Nous avons interrog la DG sur la strat gie suivie et notamment sur l articulation de la mission entre la Mission Requ te et Valorisation MRV et la DNEF et sur l volution qu elle entendait donner au Datamining les donn es sont elles fiables Va t on en int grer d autres externes la DGFiP et ouvrir le dispositif d autres imp ts que la TVA Nous nous sommes alarm s du risque que le fournisseur du logiciel utilis pour cette mission ait acc s des donn
15. ncr tement nous attendons des r ponses sur e la gestion statistique l objectif de plus de 50000 contr les fiscaux externes p sent lourdement sur les agents il en va de m me pour les indicateurs Lolf En la mati re il faut changer de braquet et privil gier la qualit sur la quantit e S agissant des changes automatiques d informations et des moyens qui seront n cessaires le gouvernement va contre sens comment croire dans les d clarations volontaristes alors que se profile des volutions importantes et que l on continue affaiblir les moyens de la DGFIiP e Sur l avenir de la BNRDPF nous souhaitons avoir des informations sur son volution va t on vers des BNRDF r gionales Le d part de nombreux officiers de police judiciaire est il confirm e Un message de la DG aux services pr lev s par les STRD sur la r duction des objectifs est attendu e Nous avons soulev plusieurs reprises le besoin de mutualisation au quotidien ou en est on pr cis ment e En termes d organisation du contr le fiscal au del des inqui tudes qui se font jour sur l avenir du contr le fiscal d partemental l origine rappelons le de la majorit des contr les fiscaux externes la programmation est sur la sellette Quand les pouvoirs publics comprendront qu il faut renforcer les moyens des services qui y participent Sur ce sujet nous d plorons que l exp rimentation de p les de programmation soit
16. t des agents Chaque ann e une rencontre des r f rents juridiques est organis e Sur le secret professionnel des affaires ont t perdues devant le juge qui a consid r que les agents avaient eu acc s des informations qu il n aurait pas du conna tre ce qui justifie d avoir une r flexion pour viter ce type d cueil S agissant des d p ts de plainte les choses sont d sormais claires le r f rent juridique joue un r le cl il doit accompagner l agent concern qui ne doit jamais donner son adresse personnelle Nous avons insist sur l absolue n cessit sans sombrer dans la psychose d informer tous les agents et ce r guli rement et surtout de faire vivre concr tement les outils existants En cela l encadrement local joue un r le d terminant c est aussi lui de s assurer que les agents sont inform s et d assurer le suivi du dispositif pr vu Nous avons pris l exemple d agents entendus dans le cadre d une proc dure judiciaire afin qu ils soient mieux pr par s par l administration dans le cadre de la protection juridique Globalement l cart est consid rable et anormal entre les d clarations et la r alit Questions diverses Le d cret permettant aux autres directions que la DRESG de v rifier les soci t s trang res UE effectuant des ventes en France dans le cadre de la vente distance a t adopt nous avons demand que le mode d emploi pour v rifier ces soci t s soient fournis aux a
17. t 6000 par les STDR d concentr s Selon la DG les agents ont t form s ils ont acc s une rubrique STDR du site de la DNVSF S agissant des emplois les STDR ont t cr s par d tachement en interne et selon la DG ils ont t compens s lors des affectations nationales Les r gularisations proviennent 85 des personnes d tenant des avoirs en Suisse Plus de 40000 dossiers ont t identifi s pour un montant cumul d avoir de plus de 24 milliards d euros Plus de 8000 dossiers ont t trait s ce jour Avec l change automatique d informations on pourrait assister des r gularisations d avoirs d tenus dans d autres pays que la Suisse S curit des agents En compl ment de notre d claration liminaire nous sommes revenus sur l ensemble des enjeux qui touchent la s curit des agents tant en mati re de pr vention que de r action lorsqu un incident survient Nous avons plaid pour une approche large de la question afin d y int grer les trajets professionnels et les zones risques Nous avons insist sur la n cessit de renforcer et de faire conna tre l ensemble du dispositif existant il en va ainsi des fiches de signalement par exemple et de leur suivi en CHS CT ce qui n est pas toujours fait des plans de pr vention en mati re de conditions de vie au travail insuffisants voire inexistants ou encore la protection juridique de l administration et le r le du r f rent juridique un disposi
18. teurs de la Lolf par exemple Sur les logiciels permissifs au del d une sanction n cessaire de leur utilisation nous avons interrog la DG sur la r flexion port e dans certains travaux sur un agr ment qui pourrait tre donn afin d viter leur utilisation Nous avons demand un renforcement des moyens du SDNC qui assure des missions de plus en plus importantes notamment pour le scannage des dossiers trait s par le STDR Nous avons alert la DG sur le d bat qui s est engag sur l volution du montant et de l assiette de la redevance de l audiovisuel public car cela aurait des cons quences sur l exercice de son contr le A propos de la Task Force nous avons pr cis qu avant sa cr ation la DNEF avait t suffisamment r active dans la d tection de la fraude aux quotas carbone mais que c est la DG qui avait perdu du temps l poque Enfin nous avons rappel la DG son engagement pris dans un pr c dent GT de diffuser une note note que nous avions demand e alors afin d all ger les objectifs des agents engag s dans le tutorat La note diffus e sur le sujet est loin d tre suffisamment incitative Concluant le d bat g n ral Olivier Sivieude a pr cis que s agissant des logiciels permissifs l enjeu est de demander ceux qui d tiennent un tel logiciel notamment ceux qui ne disposent pas de la norme AFNOR une certification de l diteur du logiciel et de leur dire qu ils sont passibles de sanction Il a
19. tif mal connu des agents Nous avons fait le lien avec le Document d valuation des risques professionnels DUERP dont l tude montre que les besoins existent mais que faute de r ponse satisfaisante dans les plans de pr vention les agents se d couragent et sont de plus en plus nombreux juger ces outils inutiles Nous avons d plor que la formation d ontologie soit aussi d s quilibr e et que les droits des agents soient trop peu abord s Nous sommes revenus sur la notion de dossiers sensibles int ressante mais galement celle des zones sensibles qu il faut int grer la r flexion Par ailleurs alors que les contr les inopin s se d veloppent il faut aussi tenir compte de cette volution Enfin nous avons voqu le risque av r que des agents soient film s en cours de contr le et qu il fallait le contrecarrer Le climat ambiant demeure malheureusement la mise en cause des agents et l accroissement de la tension en contr le l accueil en recouvrement En r ponse les repr sentants de la DG ont pr cis que plusieurs m tiers taient concern s par le th me de la s curit des agents un th me pr sent comme une pr occupation par la DG Le dispositif lanc en 2013 est applicable l ensemble des agents de la DGFIP fiche de signalement il est assur soit en local soit par la DG La DG a rappel que la formation aux situations conflictuelles revenait sur les diff rents aspects de la s curi
20. uchant aux conditions de travail la reconnaissance des agents et plus largement leurs droits sociaux

Download Pdf Manuals

image

Related Search

Related Contents

PRODUCTOS OLOTINA S.L. FICHA TÉCNICA – TINTE PARA METAL  GEN-1700-iMS0 - Mi-T  RAINGARD - Kenogard  MANUAL DEL USUARIO - Sovica Electronics CA  Manual de instalación turboTEC / classic / pro Manual de  Origin Storage 120GB 5400RPM Notebook Drive  Montage- und Betriebsanleitung Pflegetipps Installation    独立ITサービス - ソニー製品情報  Manual de Instruções PSMF  

Copyright © All rights reserved.
Failed to retrieve file