Principales dispositions la loi ESS Résumé
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1. afin de faciliter sa prise en 1 Soit r pondre des besoins sociaux non ou mal satisfaits que ce compte dans les politiques soit dans les conditions actuelles du march ou dans le cadre des publiques qui sait depuis longtemps politiques publiques financer l innovation ma technologique mais eine 2 Soit r pondre des besoins sociaux par une forme innovante s q p 3 x financer l innovation sociale d entreprise par un processus innovant de production de biens ou de services ou encore par un mode innovant d organisation du travail Le compromis auquel le texte est Les proc dures de consultation et d laboration des projets arriv fait de la difficult financer socialement innovants auxquelles sont associ s les b n ficiaires cette innovation dans les r gles du concern s par ce type de projet ainsi que les modalit s de financement march une condition pour une aide de tels projets rel vent galement de l innovation sociale de l tat mais pas pour l aide des Aus 9 collectivit s territoriales Pas sur IL Pour b n ficier des financements publics au titre de l innovation que la r daction soit facilement sociale le caract re innovant de son activit doit en outre engendrer op ratoire pour cette entreprise des difficult s en assurer le financement f int gral aux conditions normales de march Art 16 Monnaie locale compl mentaire Serart ce une arde pour le d2. a au Se pose la question de la dotation La gestion de ce fonds est assur e par la Caisse des d p ts et budg taire de ce fonds il serait consignations paradoxal qu elle soit en r duction pour faire face des Un d cret d finit les conditions de fonctionnement du fonds objectifs largis Art 67 Dans les six mois qui suivent la promulgation de la pr sente loi et A travers cette demande de rapport apr s une concertation avec les partenaires sociaux le Gouvernement remet au Parlement un rapport sur l valuation des dispositifs de cong s existants pour favoriser le b n volat associatif et sur la cr ation d un cong d engagement pour l exercice de responsabilit s associatives b n voles Ce rapport porte galement sur l valuation du cong pour validation des acquis de l exp rience et plus g n ralement sur les modalit s d acc s des b n voles la validation des acquis de l exp rience on voit bien que le volet associatif n avait pas t aussi bien pr par que les volets concernant les coop ratives et les mutuelles et que la faible implication dans la phase amont du Minist re en charge de la vie associative n a pas permis de faire aboutir certains sujets comme celui qui est trait dans cet amendement Art 68 Des fonds territoriaux de d veloppement associatif peuvent tre cr s Une coquille vide de plus Les associat
3. apports en fonds associatifs peuvent tre propos par Yann Lasnier pour cr s Ils ont pour mission de garantir la reprise des apports en fonds i ie Lie ne 2 occuper la tr sorerie du Fonjep associatifs dont b n ficient les associations qui financent ces fonds de garantie Art 78 Le non d p t des comptes associatif pour les associations qui Normal re oivent au moins 153 000 euros de subvention en num raire dans l ann e est sanctionn de 9000 d amendes Art 79 Des fonds de formation des dirigeants b n voles financ s par les associations but non lucratif peuvent tre cr s par les organismes paritaires collecteurs agr s Ils ont pour mission de financer et d organiser la formation des dirigeants b n voles des associations but non lucratif TITRE VI FONDATIONS Art 80 Le ch que emploi associatif ouvert aux fondations Le ch que emploi associatif qui par ailleurs a un impact absolument n gatif sur le respect du droit du travail dans le milieu associatif tait initialement tabli pour faciliter les d marches administratives des petites associations employeuses Il faudra donc expliquer en quoi les fondations g n ralement pas si petite avaient besoin de b n ficier d un tel dispositif
4. l entreprise accompagnement social ou m dico social la lutte contre les exclusions et les in galit s sanitaires sociales conomiques et culturelles l ducation la citoyennet notamment par l ducation populaire la pr servation et au d veloppement du lien social ou au maintien et au renforcement de la coh sion territoriale Elles concourent au d veloppement durable dans ses dimensions conomique sociale environnementale et participative la transition nerg tique ou la solidarit internationale Art 3 I Le conseil sup rieur de l conomie sociale et solidaire adopte un guide d finissant les conditions d am lioration continue des bonnes pratiques des entreprises de l conomie sociale et solidaire Ces bonnes pratiques concernent notamment les modalit s effectives de gouvernance d mocratique la concertation dans l laboration de la strat gie de l entreprise la territorialisation de l activit conomique et des emplois la politique salariale et l exemplarit sociale la formation professionnelle les n gociations annuelles obligatoires la sant et la s curit au travail et la qualit des emplois le lien avec les usagers et la r ponse aux besoins non couverts des populations la situation de l entreprise en mati re de diversit de lutte contre les discriminations et d galit r elle entre les femmes et les hommes en mati
5. re d galit professionnelle et de pr sence dans les instances dirigeantes lues IL l occasion de la tenue de leur assembl e g n rale annuelle les entreprises de l conomie sociale et solidaire pr sentent des informations sur l application des pratiques d finies par le guide et le cas ch ant organisent un d bat sur les r alisations et les objectifs de progr s concernant les pratiques mentionn es au I Premier article introduit par les parlementaires dans la loi le guide des bonnes pratiques a t l issue heureuse trouv e au d bat o certains voulaient que la loi d finisse les valeurs que les entreprises de l ESS devaient porter et mettre en uvre alors que d autres estimaient que cela tait l affaire des acteurs eux m me Les entreprises doivent faire le point sur leur pratiques par rapport ce guide c est une bonne chose M me si rien n est pr vu pour celles et ceux qui ne le font pas ou le font mal c est n anmoins une avanc e Chapitre 2 Organisation et promotion de 1 ESS Art 4 Cr ation d un conseil sup rieur de l conomie sociale charg d assurer le dialogue entre les acteurs de l conomie sociale et solidaire et pr sid par le ministre charg de l conomie sociale et solidaire Y sont pr sents Les CRES les organismes consultatifs nationaux comp tents des repr sentants de l tat et des personnalit s qualifi es Un d cre
6. COLLECTIF DES NOUVIDOSSY a CITOYENNES 30 septembre 2014 Principales dispositions la loi ESS La loi relative l conomie sociale et solidaire initi e par Benoit Hamon aura subie de nombreux changements tout au long de son laboration Elle a finalement t adopt e le 31 juillet 2014 et publi e dans la foul e Suite la parution d un guide pratique dit par le minist re de la vie associative de nombreuses associations ont sollicit le CAC pour conna tre son positionnement concernant les avanc es l gislatives qui concernent les associations Tout autant que ce qui est inscrit dans la loi article par article il va nous falloir tudier ce qui n y est PAS inscrit et ce qui n y est PLUS inscrit R sum x L expos des motifs de la loi est tr s clair L ambition du Gouvernement consiste encourager un changement d chelle de l conomie sociale et solidaire dans tous ses aspects afin de construire avec les entreprises de l conomie sociale et solidaire une strat gie de croissance plus robuste plus riche en emplois plus durable et plus juste socialement On est bien dans une vision purement conomique du secteur D ailleurs tous les articles y compris officiels parlent bien d un secteur regroupant 200 000 structures Structures auxquelles sont adjointes les entreprises sociales La plus r cente volution du secteur est l apparition de l entrepreneuriat social La France conna t ainsi u
7. chose pour faciliter le passage d associations SCIC Art 35 Soci t s coop ratives de commer ants d taillants 40 Art 41 Soci t coop ratives d habitations loyer mod r 43 Art 44 Soci t coop ratives artisanales de transport Art 45 Soci t s coop ratives agricoles et CUMA et 46 Art 47 Coop ratives d activit et d emploi et 48 Art 49 Coop ratives maritimes et 50 TITRE IV MUTUELLES TITRE V DISPOSITIFS DE SOUTIEN ET D ACCOMP Art 59 D finition l gale de la subvention Constituent des subventions au sens de la pr sente loi les contributions facultatives de toute nature _ valoris es dans lacte d attribution d cid es par les autorit s administratives et les organismes charg s de la gestion d un service public industriel et commercial justifi es par un int r t g n ral et destin es la r alisation d une action ou d un projet d investissement la contribution au d veloppement d activit s ou au financement global de l activit de l organisme de droit priv b n ficiaire Ces actions projets ou activit s sont initi s d finis et mis en oeuvre par les organismes de droit priv b n ficiaires Ces contributions ne peuvent constituer la r mun ration de prestations individualis es r pondant aux besoins des autorit s ou organismes qui les accordent Art 60 la premi re phrase du premier alin a de l a
8. conditions mentionn es pour l agr ment relativement strictes la liste des agr ments de droits et tellement longue qu elle vide de sa substance la premi re partie de l article En outre rien n est indiqu concernant ces organisations titulaires de droit de l agr ment qui ne respecteraient pas le guide des bonnes pratiques Art 12 L activit et les modalit s de financement des entreprises de l conomie sociale et solidaire d finies l article 1er font l objet d un suivi statistique sp cifique Art 13 Dans les proc dures de commandes publiques mise en place d un L impact de cet article restera faible sch ma de promotion des achats publics socialement responsables et face la baisse des cr dits de l tat attention particuli re au PLIE et Maison de l Emploi dans l objectif de aux Maisons de l Emploi et aux faciliter le recours aux clauses sociales dans les march s publics incertitudes sur la mise en uvre des programmes europ ens dont les PLIE sont tr s largement d pendants Art 14 Fonds europ ens entrepreneuriat social Art 15 Est consid r comme relevant de l innovation sociale le projet d une Par cet article le l gislateur s est ou de plusieurs entreprises consistant offrir des produits ou des efforc de d finir l innovation services pr sentant l une des caract ristiques suivantes sociale
9. ion succincte des diff rents articles avec quelques explications et commentaires Dispositions Commentaires TITRE 1 DISPOSITIONS COMMUNES Chapitre ler d finition et champs d application de l ESS L conomie sociale et solidaire est un mode d entreprendre et de Art 1 gt f FA D s le d but sous la pression du d veloppement conomique adapt tous les domaines de Mouves on savait qu on sortirait de I Pactivit humaine auquel adh rent des personnes morales de droit Pr tu a S la d finition statutaire de priv qui remplissent les conditions cumulatives suivantes l Economie Sociale et qu on y 1 Un but autre que le seul partage des b n fices ajouterait les entreprises sociales 2 Une gouvernance d mocratique La d finition est donc N i _ _ uniquement approch e sous 3 Une gestion collective impartageabilit des r serves et lucrativit l angle conomique limit e Art 1 L conomie sociale et solidaire est compos e s activit s de L esprit du texte initial une production de transformation de distribution d change et de V PE gt 7 I ouverture contr l e est pr serv e consommation de biens ou de services mises en uvre par des z Ho 2 dans le texte adopt personnes morales d finition statutaire de l conomie sociale ou des soci t s commerciales qui aux termes de leurs statuts remplissent les L article
10. ions contribuent leur financement pour mener des actions communes lancer des programmes mutuels de recherche et de d veloppement ou encore des cours de formation Art 69 Article concernant l enseignement sup rieur qui n a rien foutre l Art 70 Article qui r git le fonctionnement des Titres associatifs Une op ration financi re qui ne concerne dans les faits que les grosses associations Art 71 Art qui r git le fonctionnement des fusions d associations D T E renforcer l effet de cannibalisme des grosses structures Art 72 Fusions d assos en Alsace Art 73 Cet article introduit en cas de proc dure de redressement judiciaire une obligation de consultation de l autorit qui autorise agr e conventionne ou habilite ce qui peut faciliter la continuit ou la reprise de l activit Art 74 autorise les associations ayant plus de trois ans d existence recevoir Il n y a d sormais plus gu re des dons et legs l instar des associations reconnues d utilit d int r t d tre reconnu d utilit publique aA publique car les assos d int r t g n ral ont d sormais quasiment les m mes droits Art 75 Art qui r git la fermeture d un tablissement m dico social Art 76 Les associations reconnues d utilit publique peuvent accepter les lib ralit s entre vifs et testamentaires dans les conditions fix es l article 910 du code civil Art 77 Des fonds de garantie des
11. n foisonnement d entreprises sociales dont les modes de production et de redistribution des b n fices empruntent aux principes de l conomie sociale et solidaire Les associations citoyennes ne sont explicitement Pas la cible de ce projet de loi La derni re phrase de l expos des motifs devrait alerter tous les militants associatifs Le projet de loi s inscrit dans le cadre de l initiative de la Commission europ enne pour promouvoir ce secteur comme un acteur part enti re d une conomie sociale de march hautement comp titive Il vise en conforter la place au sein d une conomie plurielle en synergie avec les initiatives europ ennes lever les obstacles son d veloppement et pr voir les dispositifs visant assurer le d ploiement et la croissance de ces structures sur les territoires Pour les auteurs de ce texte ESS est donc d sormais une r alit bien cibl e potentiellement cr atrice d une grande utilit sociale mais distincte de celle d fendue par les associations citoyennes R capitulatif des l ments surveiller d crets moyens mis en uvres etc Mise en place et contenu du guide des bonnes pratiques Composition du conseil sup rieur de l conomie sociale et du HCVA Suites de l article 6 sur la capacit des CRES lister les entreprises de l ESS sur les territoires D cret qui va concerner la mise en uvre des DLA art 61 Pr sentat
12. nci re de l entreprise chelle des salaires de 1 10 les titres de capital de l entreprise lorsqu ils existent ne sont pas admis aux n gociations sur un march d instruments financiers B n ficient de plein droit de l agr ment Les entreprises d insertion Les associations interm diaires Les ateliers et chantiers d insertion Les organismes d insertion sociale Les services de l aide sociale l enfance Les CHRS Les r gies de quartier Les entreprises adapt es Les centres de distribution de travail domicile Les tablissements d aide par le travail Les organismes d interm diation locative et de gestion locative sociale Les associations et fondations reconnues d utilit publique recherchant une utilit sociale Les organismes assurant l accueil et l h bergement de personnes en difficult s Les tablissements et services accompagnant et accueillant des enfants et des adultes handicap s Sont assimil s aux entreprises solidaires d utilit sociale agr es en application du pr sent article Les organismes de financement dont l actif est compos de titres mis par des entreprises de l conomie sociale et solidaire Les tablissements de cr dit dont au moins 80 de l ensemble des pr ts et des investissements sont effectu s en faveur des entreprises solidaires d utilit sociale Si on peut se r jouir des
13. olidaire Dans des conditions d finies par d cret les chambres r gionales de l conomie sociale et solidaire tiennent jour et assurent la publication de la liste des entreprises de l conomie sociale et solidaire au sens des 1 et 2 du II de l article 1er qui sont situ es dans leur ressort Une bonne avanc e CRESS Le texte adopt change la nature des CRESS qui de simple organisation que se sont donn s les acteurs devient un interlocuteur reconnu en r gion pour les Interrogation sur la liste des entreprises de l ESS La d finition tant large peut on ne PAS vouloir tre dans cette liste suivre le d cret Art 7 La r gion labore en concertation avec la chambre r gionale de l conomie sociale et solidaire ainsi qu avec les organismes et entreprises de l conomie sociale et solidaire une strat gie r gionale de l conomie sociale et solidaire et peut contractualiser avec les d partements les communes et les tablissements publics de coop ration intercommunale fiscalit propre pour la mise en oeuvre des strat gies concert es et le d ploiement de l conomie sociale et solidaire sur le territoire r gional Cet article affirme le r le central de la r gion dans l laboration de la strat gie donnant aux autres collectivit s la simple possibilit et non l obligation d tre associ es Il est coh rent avec l affirmation du r le accr
14. ouvert aux personnes g es de plus de vingt cinq ans aupr s d associations de droit fran ais Art 65 Validation des Acquis de l Exp rience B n vole Ici nous sommes plus dans le Lorsqu une demande de validation des acquis de l exp rience mane champ de l intention et du coup de d un membre b n vole d une association le conseil d administration chapeau aux b n voles que dans de l association ou d faut l assembl e g n rale peut mettre un avis celui de la normalisation l gislative pour clairer le jury sur l engagement du membre b n vole En effet lavis est facultatif et s il est formul le jury n est nullement tenu de le prendre en compte Art 66 Il est cr un fonds d appui aux exp rimentations en faveur des jeunes Pour rappel la personne de droits et de leur engagement pour des causes d int r t g n ral Ce fonds est priv s associ e en 2014 n est dot de contributions de l Etat et de toute personne morale de droit autre que la fondation Total public ou priv qui s associent pour d finir financer et piloter un ou Quelle marge de d cision de plusieurs programmes exp rimentaux visant favoriser la r ussite l op rateur priv dans la mise en scolaire des l ves d velopper la mobilisation des jeunes au service uvre de cette politique de causes d int r t g n ral et am liorer l insertion sociale et ublique professionnelle des jeunes de moins de vingt cinq ans
15. peut sembler relativement conditions suivantes complexe mais il a le m rite de bien bord et d finir les crit res Si a Elles respectent les conditions fix es au I du pr sent article certains d crets doivent encore b Elles recherchent une utilit sociale au sens de l article 2 de la pr ciser Les conditions d ores et pr sente loi d j inscrites dans la loi sont no relativement strictes ce qui est c Elles appliquent les principes de gestion suivants plut t bien 20 des b n fices affect s la constitution d une r serve statutaire obligatoire dite fonds de d veloppement le pr l vement d au moins 50 des b n fices de l exercice affect au report b n ficiaire ainsi qu aux r serves obligatoires l interdiction pour la soci t d amortir le capital et de proc der une r duction du capital non motiv e par des pertes Art l Peuvent faire publiquement tat de leur qualit d entreprise de III l conomie sociale et solidaire et b n ficier des droits qui s y attachent les personnes morales de droit priv qui r pondent aux conditions mentionn es au pr sent article et qui s agissant des soci t s commerciales sont immatricul es sous r serve de la conformit de leurs statuts au registre du commerce et des soci t s avec la mention de la qualit d entreprise de l conomie sociale et solidaire Art 2 D finition de l utilit sociale selon l objet de
16. rticle L 612 4 du code de commerce apr s le mot subventions sont ins r s les mots en num raire Contradiction avec le droit europ en Art 61 En compl ment de l action des r seaux et regroupements les dispositifs locaux d accompagnement DLA ont pour mission d accompagner les structures de l conomie sociale et solidaire dans une d marche de consolidation ou de d veloppement de leur activit Cette mission d int r t conomique g n ral est mise en uvre par des organismes but non lucratif faisant l objet d un conventionnement avec l tat ou avec tout autre organisme public ou collectivit territoriale int ress Les modalit s d application du pr sent article sont pr cis es par d cret Le DLA re oit une forme de cons cration l gislative mais QUID de la Loi de Finances 2015 Par ailleurs on ne s int resse qu au caract re conomique de l accompagnement preuve s il en fallait qu il s agit d une loi conomique D cret suivre TITRE VI ASSOCIATIONS Simplification administrative Art 62 pu Le gouvernement est autoris prendre par ordonnances toutes mesures relevant du domaine de la loi afin de simplifier les d marches des associations et des fondations aupr s des administrations notamment en adaptant les modalit s d enregistrement d agr ment et de reconnaissance utilit publique e
17. t en Conseil d tat fixe la dur e des mandats Il est consult sur tous les projets de dispositions l gislatives et r glementaires communes l conomie sociale et solidaire ainsi que sur les projets de dispositions relatives l entrepreneuriat social Composition via d cret surveiller Est ce que ce sera plus ou moins lib ral que le HCVA Art 5 Cr ation de la chambre fran aise de l conomie sociale et Solidaire qui assure au plan national la repr sentation et la promotion de l conomie sociale et solidaire Cette association est constitu e par les organisations nationales repr sentant les diff rentes formes statutaires de l conomie sociale et solidaire y compris les soci t s commerciales mentionn es au 2 du II de l article ler et par des repr sentants du conseil national des chambres r gionales de l conomie sociale et solidaire Art 6 Reconnaissance des Chambres R gionales de l conomie sociale et solidaire avec pour mission 1 La repr sentation aupr s des pouvoirs publics des int r ts de l conomie sociale et solidaire 2 L appui la cr ation au d veloppement et au maintien des entreprises 3 L appui la formation des dirigeants et des salari s des entreprises 4 La contribution la collecte l exploitation et la mise disposition des donn es conomiques et sociales relatives aux entreprises de l conomie sociale et s
18. t les conditions d obtention de financements Art 63 Il est institu un Haut Conseil la vie associative instance tre Ja La d s rmais consultative plac e aupr s du Premier ministre l gislative il faut noter Le Haut Conseil est saisi des projets de loi et de d cret comportant des l intro duction d une possibilit de dispositions sp cifiques relatives au financement au fonctionnement saisine par un certain nombre ou l organisation de l ensemble des associations d ass ciations Il peut se saisir de toute question relative aux associations quel que soit leur secteur d activit s et peut tre saisi par au moins cent associations ouvrant au moins trois r gions et ayant un objet A suivre le d cret de d signation statutaire comparable sur toute question int ressant l ensemble des membres du HCVA des associations Le Haut Conseil a galement pour missions de proposer toutes mesures utiles au d veloppement de la vie associative et de formuler des recommandations en vue d am liorer la connaissance des r alit s du secteur associatif Le Haut Conseil tablit tous les deux ans un bilan de la vie associative IT Un d cret fixe les modalit s de fonctionnement et de d signation des membres du Haut Conseil en favorisant l gal acc s des femmes et des hommes en son sein Art 64 Volontariat associatif et Service Civique S Cr ation d un un volontariat associatif d une dur e de six vingt quatre mois
19. u de la r gion en mati re de d veloppement conomique Art 8 Le repr sentant de l tat dans la r gion et le pr sident du conseil r gional organisent au moins tous les deux ans une conf rence r gionale de l conomie sociale et solidaire Est galement pr sent e l valuation de la d livrance de l agr ment entreprise solidaire d utilit sociale Mise en place de d marches de co construction notamment avec des instances associant les acteurs concern s et les citoyens au processus de d cision publique Un beau projet de co construction entre ESS collectivit s et Etat La co organisation de cette conf rence par l Etat et la R gion est r v latrice de l organisation de notre pays o m me quand la comp tence est tr s largement confi e une collectivit l Etat reste pr sent Art 9 Les p les territoriaux de coop ration conomique sont constitu s par le regroupement sur un m me territoire d entreprises de l conomie sociale et solidaire Conditions y compris financi res fix es par d cret Art 10 Sp cifique au Grand Paris Chapitre 3 Dispositifs de d veloppement de l ESS Art 11 L agr ment entreprise solidaire d utilit sociale est attribu aux conditions cumulatives suivantes recherche d une utilit sociale l objectif d utilit sociale a un impact significatif sur le compte de r sultat ou la rentabilit fina
20. veloppement de ces monnaies ou Les titres de monnaies locales compl mentaires peuvent tre mis et au contraire un frein Nul ne peut g r s par des entreprises de l conomise sociale et solidaire dont c est le dire avec certitude l unique objet social Art 17 Suivi de l acc s au financement Difficile pour une loi l ambition Le conseil sup rieur de l conomie sociale et solidaire la chambre aussi g n rale de ne pas S mreresser 3 re Pa du tout au volet financier Mais le fran aise de l conomie sociale et solidaire et les chambres r gionales PRE js ue a A texte adopt tient plus de de l conomie sociale et solidaire assurent un suivi de l acc s au z 3 Ke Paffirmation d intention que du financement des entreprises de l conomie sociale et solidaire en lien i Ar mode d emploi op rationnel avec la Banque publique d investissement Art 18 Droit d information des salari s Art 19 Rachat de l entreprise par les salari s et 20 Art 21 Post annulation loi florange et 22 e e e e 2 e Chapitre 1er Dispositions communes aux coop ratives Art 23 Art 24 Art 25 Art 26 Chapitre 2 Dispositions pour diverses formes de coop ratives Art 27 SCOP Art 28 SCOP Art 29 Groupement de SCOP Art 30 SCP Art 31 SCP Art 32 SCP Art 33 SCIC Art 34 Les SCIC auront acc s aux emplois d avenir C est une bonne
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