Home

LMV 14 - Société Française de Médecine Vasculaire

1. Grands Losanges Petits Losanges Nouvelle Gamme Fantaisie de Compression Veineuse DIJO France 5 4 5 Centre Europ en de Fret 3rue de Bethar 64990 Mouguerre T l 05 59 52 86 90 Fax 05 59 52 86 91 Une marque GLOBAL om POUR DEVENIR MEMBRE DES Afin de constituer votre dossier de candidature veuillez demander l adresse du Secr tariat Administratif Nadia DAUZAT le formulaire de candidature Vous l adresserez d ment rempli accompagn de e Si vous tes m decin vasculaire un justificatif de la certification en vigueur pour la pratique de la M decine Vasculaire dipl me de Capacit d Angiologie de D E S C de M decine Vasculaire qualification en Angiologie et d un bref curriculum vitae e Si vous n tes pas m decin vasculaire mais que vous souhaitez participer aux activit s de la S F M V Vous avez la possibilit de devenir Membre Associ un bref curriculum vitae ainsi que la lettre de parrainage de 2 membres titulaires de la S F M V Votre candidature sera examin e la plus proche r union du Conseil d Administration et un courrier validant votre admission vous sera adress secr tarcat administratif et FMC Nadia DAUZAT La Gacheti re 66 Rue des Gabarres 17430 CABARIOT T l 05 46 83 77 30 Fax 05 46 83 71 49 E mail sfmvnd wanadoo fr secr tartat scientifique et comptable Isabelle DAURIA
2. Photo 10 IRM Caract risation tissulaire gr ce au choix des s quences En T2 graisse en hyposignal noire d me en hypersignal blanc 26 27 M DICALE FORMATION i CONTINUE Les Lymphoedemes du membre unf rteur 9 Les ced mes de cause g n rale d origine cardiaque r nale h patique hypo protidique d insuffisance veineuse ou d insuffisance thyroidienne sont accompagn s par des signes des affections qui les g n rent le signe de Stemmer est absent il est donc facile d liminer dans ces situations un lymphoed me Une insuffisance veineuse chronique peut cependant g n rer terme un lymphodeme fonctionnel Le diagnostic diff rentiel le plus fr quent se fait avec le lipoedeme Photos 11 et 12 Il s agit d une anomalie constitutionnelle du tissu graisseux qui se d pose la face externe des cuisses interne des genoux et des jambes entra nant une d formation inesth tique des membres inf rieurs L atteinte est bilat rale parfois asym trique Les pieds sont normaux et le signe de Stemmer est absent Les femmes sont touch es quasi exclusivement avec une composante familiale et de surpoids Le pincement de la peau qui reste souple est douloureuse cellulalgies La palpation ressent des formations nodulaires La perte pond rale ne fait pas r gresser cette infiltration mais la prise de poids l augmente Une insuffisance veineuse est souvent associ e La prise en charge est difficile
3. Activit du Conseil International J P LAROCHE A VIARD Journ es Jean Paul Chantereau 2010 in Laugdunum M FESOLOWICZ J C SABY DEE p14 Lille 2011 J C CROMBEZ Composition du C A SFMV 2011 2014 FormatLton m dicale contLnue Les lymph d mes du membre inf rieur M COUPE BuBLuographLe 3 articles propos des thromboses veineuses distales M T BARRELLIER Evolution des thromboses veineuses profondes du mollet non trait es chez les patients externes symptomatiques de haut risque Prise en charge des thromboses sol aires et gastrocn miennes isol es Traitement de la thrombose veineuse surale 3 articles propos de dys rection C BONNIN et P BOUILLY Dysfonction rectile et risque d v nements cardio vasculaires L cho Doppler p nien permet il de s lectionner parmi les patients ayant une DE ceux pr sentant un haut risque d v nements cardio vasculaires Le Pic Systolique de Vitesse au repos est il pr dicteur d insuffisance art rielle rectile et de coronaropathie silencieuse m me en l absence d injection intra caverneuse Le m decin vasculatre Quiz M DADON Comment je fais L hygi ne chographique au cabinet m dical J DECAMPS LE CHEVOIR p46 Zoom r gion Languedoc Roussillon M MOULINI p50 Boite outils DPC Registres mode d emploi P CHANTEREAU p52
4. Revue de la Soci t Fran aise de M decine Vasculaire T DE PRIN FMC LYMP DES MEMBRES INE RPFORS L HYGJENE DE MES SONDES A LAC DICO M y CTES D CHOGRAPHIE Y A af 1 A 010 f 4 E F i R A La Lettre du m decin vasculatre La lettre du M decin Vasculaire est le journal d information de la Soci t Fran aise de M decine Vasculaire destin ses membres et compl te le vecteur web de la SFMV www sfmv fr La revue contient 4 parties La premi re traite des actualit s de la SFMV La seconde partie est orient e FMC recommandation comment e et ou un dossier FMC La troisi me est une veille bibliographique partir d analyses bibliographiques comment es sur des th matiques majeures _ La quatri me est ax e sur la pratique du m decin vasculaire organtsatton REDACTEUR EN CHEF Dr Michel FESOLOWICZ La Rochelle COMITE DE REDACTION Dr Philippe CHANTEREAU Meaux Pr Jo l CONSTANS Bordeaux Dr G rard COPPE Arpajon Dr Jean Pierre LAROCHE Avignon Dr Gilles MISEREY Rambouillet Dr Alain VIARD Foix Dr Christine JURUS Villeurbanne Dr Pascal GIORDANA Nice Dr Marie Antoinette SEVESTRE PIETRI Amiens COMITE SCIENTIFIQUE Pr Isabelle QUERE Montpellier Dr Marie Th r se BARRELLIER Caen Dr Marie Antoinette SEVESTRE PIETRI Amiens Pr Jean Luc BOSSON Grenoble Pr Luc BRESSOLLETTE Brest Dr Philippe LE RO
5. composition du consetl d administration SFMV 2011 2014 sutte son renouvellement par tters Le 20 01 2011 CONSEIL D ADMINISTRATION SFMV 2011 2014 BAUD Jean Michel JURUS Christine BURA RIVIERE Alessandra LACOSTE Am lie BOISSIER Christian BOSSON Jean Luc BRESSOLLETTE Luc BRISOT Dominique CARPENTIER Patrick CHANTEREAU Philippe CONSTANS Jo l DADON Michel EMMERICH Joseph FALVO Nicolas FESOLOWICZ Michel GIORDANA Pascal GAILLARD Catherine LACROIX Philippe LAFFONT Jo lle Yvette LAROCHE Jean Pierre LEROUX Philippe MISEREY Gilles MOUNIER VEHIER Claire PICHOT Olivier QUERE Isabelle SABY Jean Claude SEVESTRE PIETRI Marie Antoinette SIMONOT LALANDEC Eliane VAYSSAIRAT Michel WAHL Denis Pr sent au 45 me congr s du Coll ge de Pathologie Vasculaire Stand 5 Salle 32 EAU nn NOUVEAU Retrouvez tout vos produits dans la boutique des Angiologues Mousse Frolongateur Femelle Femelle Luar g e Sp cialement tudi pour un m lange oplimal 39 47 euros TTC la bolis VGHOST fani me d entrainement la scl roth rapie vaineuse choguid s 99 60 euros TTC Phl bectomie Kit de phebaciomie usage unique 39 80 euros TTE 2 crochets taille entre n at n 2 2 pinces h mostatiques paire de ciseoux blstouri n 11 2 cupules 40 ml 5 compress s 1 pince badigeon 2 champs patient instruments 1 plateau Tronsluminescence Gamme veinlite partir de 250 euros TTC Pr
6. la mise en place de l OBPMV organisme ind pendant int gr dans le conseil national professionnel de m decine vasculaire et charg de la validation des actions de DPC de la standardisation des m thodes d valuation du DPC de la diffusion des diff rentes propositions L ensemble des soci t s de m decine vasculaire participe cette dification Il reste videmment mettre en place le DPC qui souffre d une nouvelle remise plat des dispositifs l gaux le r gissant Nous sommes persuad s que la modification de nos pratiques passe en grande partie par cette m canique associant FMC et valuation La complexit des messages le financement les modifications revirements tergiversations ont videmment beaucoup nuit une mise en place que nous jugeons in luctable Le repr sentant SFMV lu l OBPMV est P Chantereau La structure devrait connaitre une premi re expression all g e en mars de cette ann e La mise en place d finitive se fera en adaptation la l gislation TRAIT DE M DECINE VASCULAIRE C est un ouvrage de r f rence collectif par le nombre d experts sollicit s par l implication des groupes de travail de la SFMV des membres du coll ge des enseignants de m decine vasculaire du Coll ge fran ais de pathologie vasculaire tout ceci b n volement ll a t r alis dans les d lais sous l gide de la SFMV du CEMV et du CFPV Donc 1500 pages en deux tomes le premier paru en septe
7. NK n et d EE ILE 4 mi Les Ke Jee 12 EH j Aa Lib Ge A E e Er k hi Sn mn ari e y 7 LE a i d la SEA TARA E L S T Ze i I LS CLASSE HI gt NOUVEAU ZA da DANS LA CLASSE lll Ai Li FL i LO Ni A E Vv pno ter La science au service de la compression veineuse 22 avenue Aristide Briand BP 35 94111 Arcueil Cedex France Fax 01 46 15 26 32 Information m dicale Fax 01 46 15 14 28 e mail information innothera com Le m decin vasculaire Botte a outils dpc registres mode d emplol Philippe CHANTEREAU pchantereau free fr L engagement dans une tude clinique observationnelle ou interventionnelle institu tionnelle am liore la pratique du m decin participant car cet engagement implique que le m decin tudie le protocole de l tude et renseigne le questionnaire ou cahier d observation en r pondant aux crit res d inclusion et ce de fa on r p titive pendant la dur e de l tude Le protocole d tude et le cahier d observation constituent par l m me des supports d auto valuation incomparables pour le m decin participant Ces tudes sont centr es sur les patients avec un recueil de donn e exhaustif qui rend souvent les cahiers d observation pl thoriques Les registres bases de donn es ou observatoires con us pour l valuation des pratiques profes sionnelles ont un autre objectif il ne s agit pas d valuer un traitement ou de suivre l v
8. Toulouse propos de la quantification des st noses carotidiennes il s agit d actions de formation encadr es par deux enqu tes de pratique en amont et en aval Ces actions v ritablement haut rendement formateur tournent maintenant en r gions Enfin les groupes d change de pratiques sont la voie royale pour s installer dans une valuation continue plongez y et vous ne voudrez plus en repartir Les actualit s de la SFMV Engagement des m decins vasculaires dans l EPP 2007 2008 EPP THEMATIQUE AUDIT DE PRATIQUE AOMI IVSGS TVP STECAR TOTAL THEMATIQUE FORMATION EVALUATIVE TOULOUSE CFPV TOTAL FORMATION VALUATIVE GEP 62 TOTAL ENGAGEMENT CUMUL S 2011 164 TOTAL ATTESTATIONS 164 Total des m decins engag s depuis l agr ment EPP de la SFMV 357 Total des attestations d livr es en 2010 579 727 EN 2011 127 MV en EPP continue au sein des GEP avec validation annuelle de leur EPP tant qu ils restent engag s dans leur GEP ET MAINTENANT LE DPC Les conseils ont modifi s leur feuille de route avec la loi HPST Formation et valuation sont aujourd hui unifi es dans leur aspect r glementaire pour contribuer au D veloppement Professionnel Continu Pour faire bonne mesure FMC et Qualit ont fusionn au sein d un Conseil de DPC qui d veloppe les outils de demain Qu il soit approuv ou discut dans son caract re administratif et contraignant le DPC est une r alit qui n
9. inconfortable d une v ritable ind pendance de l industrie pharmaceutique Ainsi nous aurons continu d affirmer notre sp cificit et notre ind pendance ni sous sp cialistes au rabais ni vendre 4 5 Les actualites de La sfmv Activit 2008 2011 des conseils FMC qualit et DPC Michel FESOLOWICZ Jean Claude SABY Philippe CHANTEREAU et les autres Activit du Conseil Scientifique Isabelle QUERE Activit du Conseil International Une SFMV tourn e vers l ext rieur Michel DADON Patrick CARPENTIER 3 journ e d enseignement pathologie vasculaire organis par la SAMEV Soci t Alg rienne de M decine Vasculaire en partenariat avec la SFMV Jean Pierre LAROCHE Alain VIARD Journ es Jean Paul Chantereau 2010 in Laugdunum Jean Claude SABY Michel FESOLOWICZ Lille 2011 Parcours de soins et r seaux en m decine vasculaire Jean Charles CROMBEZ ACtLVLt 2000 2011 des consetls FMC qualit et DPC Michel FESOLOWICZ feso angio wanadoo fr Jean Claude SABY jcsaby numericable fr Philippe CHANTEREAU pchantereauOfree fr et les autres Mars 2008 un printemps Paris et un bureau tout neuf comme ces jours prochains La FMC sur les bras S aventurer dans les traces de Maryse Degeilh et de Philippe Chantereau n avait d embl e rien d une petite affaire La FMC avait t port e au sein de notre discipline une belle hauteur que bien d autres nous enviaient Un lourd h ritage dont
10. initialement par Fran ois Becker puis depuis septembre 2010 par un ARC Steeve Brousseau employ une journ e par semaine pour mettre disposition des groupes les articles parus sur leur sujet d int r t ces articles tant ensuite retenus par le responsable bibliographie des groupes puis procur s par l ARC CONGR S Moments forts de la vie de notre soci t les congr s de la SFMV ont pris leur rythme de croisi re avec environ 1400 participants pour les trois derniers Nice Toulouse Paris Le processus de d cision d attribution une ville les d lais et le d roulement ont fait l objet d une r flexion www sfmv fr d bouchant sur un nouveau cahier des charges Les prochains congr s auront lieu en 2011 Lille en 2012 Lyon en 2013 Nancy et en 2014 Montpellier Le mod le des congr s volue galement avec l identification d une session ultrasons la modification du fonctionnement des ateliers dans le cadre d une r flexion l aussi men e en groupe L volution se fait vers moins d ateliers mais mieux valu s et plus structur s Des sessions SFMV ont t organis es dans le cadre d autres congr s traditionnellement le CFPV mais aussi le congr s de tabacologie la SNFMI le congr s des soci t s de physiologie et pharmacologie Bordeaux en 2010 sur le th me de la mesure de l oxyg nation tissulaire FMC EPP DPC QUALIT OBPMV Sollicit par la HAS nous avons accompagn
11. lorsque j interromps un soin sur un m me patient e nettoyer mon mat riel r utilisable st thoscope appareil tension l arriv e et au d part du cabinet et en cas de risque de contamination e essuyer la sonde d chographie ou du Doppler de poche avec un chiffon sec dans un premier temps afin d enlever le gel puis avec une lingette imbib e en passant bien sur les rainures et en remontant sur les premiers centim tres du cordon 20 cm e v rifier que ce m me cordon ne traine pas par terre lors de l examen cho Doppler notamment en orthostatisme e utiliser un gel st rile en mono dose chez les patients pr sentant des l sions cutan es ou pour une cho scl rose Je peux utiliser de la Biseptine spray en guise de gel pour l cho scl rose e utiliser un prot ge sonde st rile en cas de geste invasif ou lorsque les t guments du patient risquent d infecter mon mat riel e ne pas ranger mes sondes et mon flacon de gel petit format t te en bas e jeter mon flacon de gel tous les soirs e nettoyer une fois par jour mon chographe et utiliser un prot ge clavier st rile lorsque je travaille en ambiance st rile traitement endo veineux thermique Il existe donc un risque infectieux certain avec de rares accidents survenus exclusivement lors d examens endo cavitaires des textes en vigueur et une association de patients tr s active quelques r gles videntes et d autres plus on reuses La r
12. 1 2 5 417 1 embolie pulmonaire 2 thromboses proximales 2 thromboses distales 2 l issue de l cho Doppler complet unique n 415 analys s car 2 des 424 ayant un cho Doppler complet analysable faisaient partie des 7 non revenus pour le 2 me cho doppler limit e 8 v nements thromboemboliques ont t observ s 3 mois e r partis entre 0 8 3 351 dans le sous groupe sans thrombose distale 1 thrombose proximale et 2 distales e versus 7 8 5 64 dans le sous groupe avec thrombose distale 1 embolie pulmonaire 3 thromboses proximales dont 2 capt es galement par la r p tition de l cho Doppler proximal et 1 aggravation de thrombose distale La diff rence entre les 2 groupes est significative p 0 003 cependant si on exclut les 2 patients chez qui la thrombose proximale a t capt e par le 2 cho Doppler limit en proximal le taux d venements thrombo emboliques dans le sous groupe avec thrombose distale devient 4 7 3 64 et la diff rence entre les 2 groupes n est plus significative p 0 049 COMMENTAIRES ET R SERVES Cette tude a s lectionn des patients risque relativement lev puisque ceux risque faible score faible et DD n gatifs n taient pas ligibles Le taux de cancer dans la population explor e est cependant faible M me si la diff rence entre les 2 groupes est peine significative la pr sence d une thrombose distale non capt e par la r p titio
13. 62 Un PSVpi lt 25 cm s tait associ une augmentation significative des ECVm OR 2 67 IC 1 42 5 04 ainsi qu un PSVr lt 13 cm s OR 1 57 IC 1 01 2 47 ce qui n tait pas le cas d un PSVpi entre 25 et 35 cm s OR 1 65 IC 0 96 2 84 Par ailleurs chaque diminution de 5 cm s du PSVpi tait associ e une augmentation de 5 du risque d ECVm L association tait conserv e apr s int gration dans le mod le statistique du score de Framingham et de m dicaments tels que les diur tiques b ta bloqueurs et antidiab tiques oraux OR 2 14 pour un PSVpi lt 25 cm s et OR 1 69 pour PSVr lt 13 cm s DISCUSSION Les associations europ ennes et am ricaines d urologie ne recommandent pas ce jour le PEPD en premi re intention dans le bilan d une DE consid r par eux comme un examen chronophage couteux op rateur d pendant et non standardis Le caract re pr dictif d v nements cardio vasculaires ECV de la DE a t d montr dans diff rentes populations non diab tiques 2 3 ou diab tiques 4 5 Concernant le PEPD il avait t sugg r mais non d montr qu il pourrait tre utile dans le d pistage des patients haut risque cardio vasculaire Dans cette tude Corona et al montrent qu il est possible de s lectionner les patients sur le seuil de PSV sanguine habituellement admis pour d finir l insuffisance art rielle rectile soit inf rieur 25 cms sec A score
14. Choisissez une cat gorie Re Jesper aj H argerian pl a di m res pm rs F Eco o v nin n draco r j iia j a de tt A d o j LL di lies e Pi e A E i Mee d Mi id GTS i rire 11 parar ce paria ra era RAI H F det T 7 AA RA Liar sali r a Pi a A aa EXE Can adan D LES Da EJ A ES PAT ESPN ET T Eure de Canson da 8 ii ral Y ean res done toe miras Hi gar di ni ori ne bierki lon parsrsstres chi Painen TAIL hierbas Age Decennia ban wi ba a ear ca papas ng ire PRO OI VE Hebert Cora 8 Gong ES a B ia d G E CA Li Cate corna dan da ba inde rad Bars ar cultes e EN tera een La Cilet pri les eo His coke Kl SE De IS vi 2 Parte de bob iest ei dipinta panar en ir H A S Phr calsa da 0500245 Dr i K Proincak nena TCP AR 14 R ss lire pr rm 74 COTON Siles ENEE T Z f socia Er ran de sorfiguraten Protocol TEPAP IManenison Control Pra loci nier wj Fra ate 7 iii Piotocol La protocol de miss ale ci pae deli pi k ES PER FE 0 late 9 0 LOL DE el M dis ir LE A ep d Poe de ine ad Ela kher Panda dere Ia zpen ce mien Up r d Tire quer pi cette cotes on une arsch Fa ds ca Inec ltali D tails Combo dip 1255 kcal piza 1 cal o Internet shat le Careri niel Ei Cfa ica hiir h Cac fr P 1 72 C 7 2 73 Flames ca scusi 5 E 0 0 Cetori tiare www sfmv fr une adresse chaque ordinateur imprimante disque r seau susceptible de pouvo
15. D la uo D d Les actualit s de la SFMV Lille 2011 SY parcours de souns et r seaux en m dectne vasculaire Jean Charles CROMBEZ jccrombez wanadoo fr 10 Congres Soci t Fran aise M decine Vasculaire be blo laa gt Sins LILLE organis par A ngi Les r seaux de soins en m decine vasculaire intommalion we Elte 8 15 ans apr s avoir organis en 1996 les journ es nationales de l AFFCA le comit d organisation et l ARMV Nord Pas de Calais sont tr s heureux de vous convier au 10 me congr s de la SFMV Lille du 21 au 24 septembre 2011 Ce souhait d organiser Lille le congr s de notre soci t de M decine Vasculaire est n de la volont depuis plusieurs ann es des diff rents pr sidents de L ARMV www sfmv fr Nord soutenus par une r gion forte de plus de 150 adh rents m decins vasculaires lib raux et hospitaliers Notre th me central du congr s les parcours de soins en m decine vasculaire s est naturellement impos au sein du comit d organisation Notre r gion a en effet d velopp un travail en r seau inter sp cialit s entre la m decine lib rale et universitaire dans le domaine vasculaire En 1998 s est cr sous l impulsion des m decins vasculaires et des radiologues interventionnels la f d ration r gionale d valuation des dilatations La FRED Le r seau thrombose veineuse nord RTVN a vu le jour
16. EMT ren Be L Mir Kaviar Bartr ng al tes bas patate partizipenta krit rsgngnts peofazalion rata Fina ita Deer ons M du nail G E G ra ii de bar miiie st de leg pricence lore da cu 650 m decins s opposent aux chambre individuales payat e l AP HP meter que le paiement de la chartes reliuagdugdle pavat abria Bla deaarde du pebre nt s ops pus langlemps dava les r gions ec Es hors AR AR par les nts publica Ces d sinfectants ll est donc important de demander aux constructeurs les moyens de d sinfection test s sur leur mat riel chaque fabriquant validant ainsi une liste de produits ne d naturant pas ou peu les sondes Bien s r les listes varient d un fabriquant l autre Voici donc les recommandations de la HAS pour le traitement des dispositifs m dicaux r utilisables non immergeables Ces recommandations concernent brassards tension st thoscopes et sondes ultrasono graphiques entre autres R 24 L utilisation du mat riel usage unique est notamment indispensable pour tous les gestes invasifs d s lors que ce mat riel est disponible par exemple aiguilles seringues lames de bistouri etc accord professionnel La circulaire DGS SQ 3 DGS PH 2 DH EM 1 n 51 du 29 d cembre 1994 indique que le mat riel usage unique ne doit pas tre r utilis r glementaire d faut d utiliser du mat riel usage unique le Code de d ontologie m dicale article 71 r
17. En os dasar derar aa rankar P dp pap bebe Oral kiss Il T i Mi tard una across ID sa ton querent sp Lere la cba F june nda chose F ve 17 i Blisa de boa pair ou s i 288 E accorslla pour la Lei 12 12 Tib Lik Pa che ia de rever OS iran ke Geseup CNE pare bat 12 12 f Ta DHS aa 154 TI 1 Avanci C m J enge Dans sa fen tre de param trage r seau l chographe donne son identifiant AETittle et le num ro du port qu il utilise pour faire transiter les fichiers Port 104 assez souvent Lorsque le logiciel DICOM ici Medseen Personnal est install sur le PC il faut le param trer pour qu il sache qu telle adresse IP sur le r seau il y a un chographe identifi par son AETilttle pr t a communiquer sur le port 104 par exemple cf ci dessous liste des noeuds DICOM pr sents sur le r seau De m me il faudra cette fois ci sur l chographe renseigner l existence sur le r seau du PC station de stockage DICOM de la m me facon en lui donnant l adresse IP du PC l AETittle du logiciel DICOM MEDSEEN dans l exemple ci dessus et le port sur lequel se fera la communication 3010 dans l exemple Des lors les deux machines pourront communiquer En ouvrant la Worklist et en cliquant sur le nom du patient on peut acc der a ses images s lectionner et lancer l impression en quelques clic Liste poeri MEDM GA 9 29 Local CGr eraton rose DIC
18. Monnin Delhom E Gallix B Achard C Bruel JM Janbon C High resolution unenhanced computed tomography in patients with swollen legs Lymphology 2002 35 121 8 18 Rudkin GH Miller TA Lipedema a clinical entity distinct from lymphedema Plast Reconstr Surg 1994 94 841 9 19 Auvert JF Vayssairat M La volum trie un examen compl mentaire indispensable en lymphologie Rev Med Interne 2002 23 388 90 20 Vaillant L Gironet N Complications infectieuses des lymph d mes Rev Med Interne 2002 23 3 403s 407s 21 Dupuy A Benchikhi H Roujeau JC Bernard P Vaillant L Chosidow O et al Risk factors for erysipelas of the leg cellulitis case control study Br Med J 1999 318 1591 4 22 Prise en charge des rysip les et fasciites n crosantes Conf rence de consensus Ann Dermatol Venereol 2000 127 336 40 23 Foldi E Prevention of dermatolymphangioadenitis by combined physiotherapy of the swollen arm after treatment for breast cancer Lymphology 1996 29 48 9 24 Peyron N Dandurand M Guillot B les complications tumorales malignes des lymphoed mes JMV 1993 18 293 298 25 F ldi E F ldi M Weissleder H Conservative treatment of lymphedema of the limbs Angiology 1985 36 171 80 26 Lymphedema Framework Best practice for the management of lymphoedema International consensus London MEP Ltd 2006 27 Badger C Preston N Seers K Mortimer P Physical therapies for reducing and controlling lymphoedema of the limbs Cochr
19. a t cr e pour r pondre un besoin de repr sentation nationale des r gions et participe l OBPMV les ARMV tant un vecteur possible des actions de DPC Les associations r gionales sont nos partenaires plusieurs niveaux notamment concernant le DPC mais aussi pour l organisation du congr s Par ailleurs le pr sent et l avenir avec l arriv e des ARS c est aussi l implication de ces associations dans la vie institutionnelle m dicale r gionale la recherche d une synergie des acteurs locaux et la coordination des efforts de chacun Tout ceci nous semble justifier la n cessit de cr er avec les ARMV les conditions d une communaut d actions et d un appul de notre part sur le plan scientifique et logistique STRUCTURATION DE LA SOCI T Les trois ann es coul es ont permis de faire voluer la structure de la SFMV Ainsi 7 groupes de travail se sont constitu s permettant de r unir le maximum de m decins vasculaires autour d un p le d int r t commun Les groupes ont pour mission de stimuler la recherche clinique sur leur sujet en coop ration avec le conseil scientifique de fournir des recommandations et des standards de qualit Ces groupes ont une r union pl ni re annuelle et ont centr leur premi re ann e de travail sur le trait de m decine vasculaire et leur deuxi me ann e sur les standards de qualit Afin de les aider dans leurs travaux une aide bibliographique a t mise en place
20. bilat ral d embl e et s accompagner plus fr quemment que le lymphoedeme primaire d un cedeme des organes g nitaux Photo 7 Le lymphoed me secondaire a la m me symptomatologie que le lymphod me primaire mais il n est pas associ a d autres malformations vasculaires L volution naturelle du lymphoedeme se fait en trois stades et degr de s v rit selon la derni re classification propos e par PISL e Stade augmentation de volume s att nuant la sur l vation du membre o Stade Il l l vation ne r duit plus le volume et l d me est toujours d pressible Il se produit des modifications cutan es a type de fibrose traduit par le signe de Stemmer e Stade III l phantiasis avec disparition du caract re d pressible de l oed me apparition de troubles trophiques cutan s papillomes v sicules et ungu aux www sfmv fr Les Lymphoedemes du membre unf rteur Photo 7 Lymphoed me secondaire du MID avec d but de bilat ralisation localisation proximo distale j Pas de signe de Stemmer DEGR S DE S V RIT AUGMENTATION DE VOLUME Minimal lt 20 Mod r 20 40 gt 40 Marqu SYMPT MES Un lymphoed me n est pas douloureux mais il entra ne quand il est important des lourdeurs du membre des douleurs articulaires et ou rachidiennes avec une g ne fonctionnelle pouvant aller jusqu l impotence Lorsqu il devient douloureux il faut recherch
21. compenser et doivent tre pris en charge dans ces cas par des sp cialistes 8 TRAITEMENT 8 1 LA PHYSIOTH RAPIE D CONGESTIVE COMPL TE OU COMPLEXE La physioth rapie d congestive compl te ou complexe est actuellement la m thode la plus utilis e pour la r duction des lymphoed mes Ses buts sont d obtenir une r duction de volume une am lioration de la fonctionnalit et de l esth tique du membre afin de limiter les complications pouss es infectieuses diminution de la force qui elles m mes entra nent une perte d autonomie une modification de l image corporelle et donc une diminution de la qualit de vie Les moyens utilis s sont de divers ordre drainages lymphatiques manuels DLM quelquefois associ s de la pressoth rapie soins de peau bandages r ducteurs orth ses de compression gymnastique adapt e et mise en place d un processus d ducation th rapeutique du patient avec apprentissage des r gles d hygi ne de vie des auto bandages auto drainages auto soins et ventuellement d une aide psychologique visant rendre le patient plus autonome Cette th rapeutique a fait l objet de plusieurs consensus et recommandations S agissant d une maladie chronique avant de d buter le traitement il est n cessaire d couter le patient avec empathie pour savoir ce qu il sait et ce qu il souhaite pour pouvoir mieux l informer sur sa maladie les objectifs du traitement ses avantage
22. d bit mat riel pr sent sur le lieu d exercice L objectif de ce registre est l am lioration de la prise en charge des patients pr sentant une art riopathie des membres inf rieurs Pour cela on dispose d indicateurs interm diaires qui v rifient que la prise en charge est en accord avec les recommandations actuelles comme la mesure de l IPS le traitement propos ou en cours le bilan effectu pour une art riopathie On value galement les v nements cardio vasculaires ou neurologiques qui surviennent dans la p riode de suivi l objectif final tant de diminuer la morbi mortalit de la pathologie c est l objectif principal de ce registre Bien que d autres facteurs ind pendants de la qualit de la prise en charge peuvent intervenir on peut penser que la diminution des v nement cardio vasculaires ou neurologiques au cours du registre est un l ment de l am lioration des pratiques Cet aspect des registres ou plut t dans ce cas des observatoires se rapproche du suivi d indicateurs Ils sont n cessairement long voir permanents pour permettre l observation dans le temps de la modification des pratiques QUESTIONNAIRE D EVALUATION AOMI PATIENT SUIVI POUR AOMI PAR LE M DECIN VASCULAIRE P riode de suivi Ant c dents vasculaires Ev nement CV ou neuro Ev nement MI Le chiffre de TA de la derni re consultation est pr sent L IPS de la derni re consultation est pr sent On retrouve dans
23. d information sur les m dicaments au fur et mesure au professionnel charge ensuite pour lui d aborder la question au moment opportun avec le patient C est simple et logique la presse grand public ne doit pas se transformer en VIDAL bis et faire peur aux patients par des explications fausses Tout cela fait courir la rumeur d stabilise la fois les patients et les m decins et finalement cr e une onde de choc inutile qui n est pas faite pour rassurer Vouloir inclure actuellement des patients dans des protocoles des essais th rapeutiques devient difficile suspicion aidante L affaire du MEDIATOR est une sale affaire c est l histoire d une d faillance collective du concepteur au prescripteur des ministres aux patients tous les niveaux il y a des responsables y compris les m decins qui ont prescrits hors AMM Alors pour viter que le M diator n engendre d autres affaires similaires il est important de corriger le tir diff rents niveaux e L industrie Sortir des nouveaux m dicaments ne doit pas tre dict uniquement par un souci purement commercial en esp rant par exemple que par une petite modification d une mol cule qui a fait ses preuves un changement de forme gal nique rel guera la mol cule princeps aux oubliettes puisqu elle est devenue un g n rique L innovation doit tre au rendez vous en n oubliant jamais que L homme et sa s curit doivent constituer la premi re pr occupation
24. de coop ration avec la SFC La FSM Cette f d ration des sp cialit s m dicales a connu une profonde mutation en regroupant maintenant les conseils professionnels y compris celui de m decine g n rale et en gagnant le statut le financement de r f rent de porte parole notamment en mati re de DPC mais aussi de vecteur avec les diff rentes institutions Notre place a t pr serv e au sein de la FSM malgr les difficult s inh rentes notre statut professionnel et c est donc maintenant le CNPMV qui nous y repr sente La FFU La F d ration Fran aise des Ultrasons ch re notre ami Francois Luizy qui fut son premier secr taire g n ral regroupe diff rentes soci t s impliqu es dans Les actualit s de la SFMV les ultrasons Elle nous permet le contact avec d autres milieux et nous l esp rons d exprimer au travers elle nos id es concernant l avenir de cette part importante de notre activit Jean Pierre Laroche et Michel Dadon ont accept de s investir comme secr taire g n ral pour l un et secr taire adjoint pour l autre dans cette structure C est dire notre attention et notre d sir de voir cette structure prendre sa juste place Les th mes qui feront l objet de ses travaux cette ann e seront les techniciens de sant et la qualit deux th mes intriqu s pour lesquels nous avons beaucoup de choses exprimer La FARMV La FARMV f d ration des associations r gionales
25. des sujets abord s lors de la premi re r union de la FFU r flexion associant m decins constructeurs et association de patients dans un but commun de transparence et d am lioration Le risque d infection nosocomiale sujet sensible li la pratique de l chographie a donn lieu en octobre 2010 un article en ligne de Letchell intitul Infection Control Across the Ultrasound Department qui d nombre 99000 d c s sur 1 7 millions d infections an soit 5 Parmi les facteurs contaminants et ou facilitant ce risque la sonde d chographie aurait une place non n gligeable tout particuli rement lors des gestes th rapeutiques cho guid s Dans une tude r trospective men e de janvier 2006 D cembre 2007 toute man uvre confondue mais en particulier les scl roses cho guid es des pseudo an vrysmes Cevini rapporte 14 infections sur 13534 patients soit un cas pour 1000 pouvant aller de l abc s la p ritonite 4 cas Bien que les cas d infection grave soient rares le sujet reste sensible justifiant des recommandations de pr vention lors de la pratique de l chographie recommandations applicables l h pital comme au cabinet lib ral Plusieurs facteurs interviennent dans le risque d infection et de propagation des germes mains du praticien mat riel d chographie qu il s agisse de l appareil de son clavier de la sonde ou du c ble de la sonde gel d chographie et bien s r l
26. dilatation des voies lymphatiques ou fibrose des ganglions Il s agit le plus souvent d une hypoplasie plus ou moins tendue avec r seaux de suppl ance expliquant la survenue tardive des sympt mes Il peut appara tre pr cocement in utero visible sur chographie la naissance dans les ann es suivantes entre 2 et 35 ans Il s agit des lymphoedemes pr coces ou praecox avec un pic de fr quence la pubert ils repr sentent 65 80 des lymphoed mes primaires mais certains surviennent apr s 35 ans ce sont les lymph d mes tardifs Approximativement l incidence annuelle est de 11 5 cas par million d habitants de moins de 20 ans avec une pr dominance f minine 2 3 des cas Il fait partie des maladies rares incidence inf rieure 1 2000 habitants r pertori es sur Orphanet Le lIymphoed me est uni ou bilat ral plus rarement associ un Iymphoed me des organes g nitaux des membres sup rieurs ou de la face Il est soit familial cong nital Nonne Milroy ou non cong nital Meige soit sporadique La biologie mol culaire et l embryogen se nous aident mieux comprendre l apparition d un lymph d me constitutionnel ou primaire car il est probable que la mutation de g nes intervenant dans les derni res tapes de la lymphangiogen se soit responsable de la majorit des lymph d mes primaires m me si de nombreux cas restent encore inexpliqu s ainsi une mutation du g ne VEGFR3 intervient dans la
27. effectifs n 431 e ge moyen 68 ans cancer actif dans 5 1 ant c dent de thrombose dans 6 7 immobilisation alitement chirurgie r cente dans 17 2 des cas e suivis et analys s 3 mois n 417 perdus de vue n 9 non revenus pr le 2 me cho Doppler limit en proximal n 7 PRISE EN CHARGE e le patient inclus b n ficiait imm diatement par un autre op rateur d un cho Doppler complet en position assise pour le mollet dont le r sultat restait masqu sous enveloppe durant 3 mois c est dire jusqu la fin du suivi e prescription de chaussettes classe 2 AINS en cas de douleur jusqu au 2 me cho doppler limit 1 semaine plus tard mais pas de traitement anticoagulant CRIT RES DE JUGEMENT 3 MOIS 1 v nements thromboemboliques cliniques survenus dans les 3 mois apr s l cho Doppler proximal r p t et rest n gatif 2 v nements thromboemboliques cliniques survenus dans les 3 mois apr s l cho Doppler complet dans les 2 sous groupes identifi s thrombose distale vs absence de thrombose distale R SULTATS Une thrombose distale d couverte par l cho Doppler complet tait identifi e dans 15 3 65 424 7 cho doppler non conclusifs 1 A l issue de l cho Doppler proximal r p t et n gatif n 417 analys s car 7 non revenus pr le 2 me cho Doppler limit 5 v nements thromboemboliques ont t observ s 3 mois soit un taux d chec de
28. en vidence d un ganglion poplit qui correspond une circulation anormale du radio traceur par la voie profonde ou la pr sence d un dermal back flow qui est la stase du radio traceur par reflux dans le r seau sous pidermique et dermique 219 La lymphoscintigraphie isotopique permet le diagnostic de cas difficiles en particulier les d mes d butants suspendus sans cause vidente l appr ciation de la fonction lymphatique dans le membre controlat ral l estimation du degr d atteinte lymphatique mais aussi le diagnostic diff rentiel avec le lipoedeme et la recherche d une association lymph d me et lip d me 029 L cho Doppler veineux confirme ou infirme la pr sence d une thrombose veineuse profonde qui peut compliquer un lymphoed me et qu il convient d voquer en cas de douleurs et d augmentation de volume I permet aussi de faire le bilan d une insuffisance veineuse ou de malformations vasculaires associ es L chographie Photo 8 et en particulier l chographie cutan e haute r solution montre en cas de lymph d me la pr sence d oed me dans la graisse sous cutan e sous forme de trav es an chog nes caract ristiques en rayons de miel et dans le lip d me l absence de trav es sous cutan es an chog nes mais une augmentation de l hypoderme le derme ayant une paisseur et une chog nicit normales Le scanner et l IRM Photo 9 et 10 ont une indication plus li
29. es donc non trait es avec peu d alt ration de l tat g n ral une discr te augmentation de la chaleur cutan e une peau ros e le danger dans ces cas est l aggravation progressive de l d me car ces infections obstruent les vaisseaux lymphatiques encore perm ables LA LYMPHANGITE Il faut la distinguer de l rysip le elle se caract rise par une tra n e inflammatoire rouge chaude et douloureuse suivant les voies lymphatiques superficielles elles m mes satellites du syst me veineux superficiel avec un aspect de thrombose veineuse superficielle mais s accompagnant de fi vre et de frissons Elle est le plus souvent streptococcique FASCIITE N CROSANTE Elle est caract ris e par la n crose de l apon vrose et une myosite r alisant une gangr ne infectieuse mettant en jeu le pronostic vital Cliniquement il existe un d me indur diffus d passant les limites du placard ryth mateux La fi vre est habituelle mais souvent peu importante au d but et un syndrome septique s v re appara t secondairement avec signes g n raux importants malaise hypotension art rielle une n crose cutan e et une douleur tr s importante mais aussi la persistance de la fi vre apr s 72 heures de traitement l apparition de nouveaux signes locaux ou g n raux malgr le traitement imposent une hospitalisation TRAITEMENT DES INFECTIONS L rysip le est toujours d origine streptococcique et impose une antibioth
30. et une hospitalit sans faille La m decine vasculaire n a pas de vocation politique mais le vent d mocratique qui souffle sur le Maghreb Les participants est quelque chose de tr s important qui concerne tous nos amis au del de la M diterran e En tant que M decin on ne peut qu tre pour plus de d mocratie dans toutes les parties du monde o elle est h sitante ou absente faut OSER le dire ouvertement Quelques photos souvenirs vous donneront envie de faire le voyage Le nouveau bureau de la SAMEV et son Pr sident Mansour Brouri maur tanie Tipaza surnomm al des Mausol e roy enne patrimoine mondial de tombeau de la chr ti J UNESCO depuis 2002 l d Lc GR RIT Y cri partage pass In Sor a H osas ri 4 RUE D ENSEIGNEMEN A EN PATHOLOGIE VASCULAIR EZ i E Les baroudeurs Les actualit s de la SFMV Journ es Jean Paul chantereau 2010 Ln Laugdunum Jean Claude SABY j csaby numericable fr Michel FESOLOWICZ feso angio wanadoo fr Les forums inter r gions existent depuis une d cennie en grande partie l initiative de Jean Paul Chantereau Ils rassemblent chaque ann e les forces vives des r gions pour un moment de transmission de partage d exp rience et de p rennisation du savoir faire De Lille Marseille de Dijon Nantes de Strasbourg Bordeaux et enfin de La Rochelle Lyon la course folle semble bien ne pas devoir s arr ter
31. exter leur Michel DADON m dadon orange fr Patrick CARPENTIER patrick h carpentierOwanadoo fr Le mandat qui s ach ve de l quipe de Jo l Constans et G rard Copp est l occasion de faire un point sur l action de la SFMV vers l international Des liens forts ont t tiss s avec la Soci t Alg rienne de M decine Vasculaire SAMEV http samev dz com site accueil php et en 3 ans une douzaine de s minaires ont t conjointement organis s Alger sur tous les th mes de la M decine Vasculaire avec de nombreux ateliers pratiques d cho Doppler pour des confr res nombreux et avides de connaissances La SAMEV en est maintenant son 4 me congr s national 20 22 mai 2011 Alger et les m decins vasculaires fran ais y sont chaleureusement convi s et accueillis Au Maroc la toute nouvelle Soci t Marocaine des Maladies Vasculaires a galement tout le soutien de la SFMV et son premier congr s 18 19 f vrier 2011 Rabat sera le d but d une collaboration initi e par Jean Pierre Laroche La SFMV a aussi soutenu les Journ es Franco Maghr bines de Pathologie Vasculaire qui se d roulent depuis 3 ans Marrakech sous la direction du Pr Bahnini et en collaboration avec le service de Chirurgie Vasculaire de l h pital Ibn Tofail du Dr Boumzebra L occasion de travailler avec nos confr res au bloc ou lors de consultations ateliers d exploration cho Doppler Et toujours sur la rive sud de la m diterran
32. facteur pr dictif d v nements cardio vasculaires partir de diff rentes sources Medline Embase Cochrane Library Guo W et coll ont compil les tudes publi es entre Janvier 1966 et Septembre 2009 comparant le risque d v nements cardio vasculaires ECV chez les patients avec et sans DE et ayant satisfait aux crit res propos s par le MOOSE group Meta analysis Of Observational Studies in Epidemiology Etaient notamment exclues les tudes de cohorte portant sur des populations sp cifiques par exemple celles de patients diab tiques ou avec un suivi inf rieur 1 an 7 tudes furent s lectionn es 5 prospectives Thompson Ponholzer Shouten Inma Araujo et 2 r trospectives Blumentals Frantzen publi es entre 2003 et 2010 regroupant 45 558 patients Cette m ta analyse montre que le risque relatif RR d ECV d un patient ayant une DE par rapport a un patient sans DE est de 1 47 IC 1 29 1 66 similaire celui rapport dans la Massachusetts Male Aging Study MMAS RR 1 46 Le risque de mortalit toutes causes confondues chez ces patients est de 1 23 IC 1 02 1 48 similaire celui de la MMAS RR 1 26 tude dans laquelle la mortalit toutes causes confondues est li e avant tout a la mortalit cardio vasculaire Le RR d IDM est de 1 43 IC 1 10 1 85 Il existe une relation inverse entre la dur e du suivi dans les tudes et le risque relatif d ECV qui est 1 63 dans les tudes aya
33. fici d une exploration cho Doppler plus ou moins tendue et n gative 1 Les tudes de suivi de thromboses distales comparent les taux d extension proximale et ou d v nements thromboemboliques cliniques confirm s observ s dans des groupes sous traitement anticoagulant versus des groupes sans traitement anticoagulant Ces taux dits taux d chec sont rapport s la population des thromboses suivies Ils sont de l ordre de 3 a 25 en fonction du niveau de risque de la population d origine post chirurgie alitement hospitalis s ou ambulatoire ou canc rologique avec ou sans ant c dents thromboemboliques veineux et en fonction de la d finition de l extension proximale 2 Les tudes de suivi de patients explor s en cho Doppler comparent les taux d v nements thrombo emboliques survenus dans les 3 mois apr s une exploration n gative soit limit e en proximal et r p t e ayant donc ignor les TVP distales soit apr s une exploration cho Doppler compl te ayant donc capt les TVP distales mais unique Les taux d chec sont alors rapport s la population des patients explor s Avec ce d nominateur les taux d chec sont forc ment beaucoup plus faibles de seulement 0 3 2 car ils sont dilu s en fonction de l incidence de thromboses dans la population explor e elle m me fonction du niveau de risque thromboembolique de cette population Pour ces 2 types d tude il e
34. flexion que la premi re r union de la FFU a permis d initier avec les diff rents acteurs pr sents est un premier pas Ce th me voqu au cours d une r union du groupe APERP quelle m moire afin de mettre disposition un r f rentiel de bonnes pratiques pourrait tre un merveilleux domaine pour l am lioration des pratiques Nous rassurons les plus inquiets tout n est pas rose non plus dans les institutions d autant plus que le nombre d intervenants augmente BIBLIOGRAPHIE Sites utiles lelien association fr germitec com 1 Incidence of infectious complications after an Ultrasound Guide Intervention American journal of Roentgenology 2010 195 846 850 2 Hygi ne et pr vention du risque infectieux au cabinet m dical ou param dical 2007 HYPERLINK http www has sante fr www has sante fr 3 Ridge C Sonographers and the fight against nosocomial infections How are we doing JDMS January February 2005 21 7 11 4 Eshraghi Ultrasound Probes Vector Role in Nosocomial Infection in Imam Reza Hospital Iranian Journal of radiology 2009 6 S1 86 5 F Lytle Microbiologic contamination of ultrasound transducers utilized by anesthesiologists in the operating room and ICU Critical care 2009 13 suppl 1 p 290 6 Mirza WA Cleaning Methods for ultrasounds probes J Coll Physicians Surg Pak 2008 May 18 5 286 9 7 Mullaney how clean is your probe Microbiological assessment of ultrasound tr
35. future coronary artery disease Mayo Clin Proc 2009 Feb 84 2 108 13 Gazzaruso C Solerte SB Pujia A et al Erectile dysfunction as a predictor of cardiovascular events and death in diabetic patients with angiographically proven asymptomatic coronary artery disease a potential protective role for statins and 5 phosphodiesterase inhibitors J Am Coll Cardiol 2008 51 21 2040 2044 5 Ma RC So WY Yang X Yu LW Kong AP Ko GT Chow CC Cockram CS Chan JC Tong PC Erectile dysfunction predicts coronary heart disease in type 2 diabetes J Am Coll Cardiol 2008 51 2045 50 travaux est cependant un pas suppl mentaire important dans la reconnaissance du PEPD comme outil de s lection des patients porteurs d un ou de plusieurs facteurs de risque cardio vasculaire donc risque cardio vasculaire major et qui ne sont pas reconnus par les algorithmes actuels de prise en charge diagnostique Le PLC systolique de vitesse au repos est il pr dicteur d insuffisance art rielle rectile et de coronaropathte stlencteuse m me en L absence d injection intra caverneuse pentile Doppler ultrasound tn patients wtth erectile pysfunctton ep Role of peak systolic velocity measured un the Flacctd state in predicting artertogente eo and silent coronary artery Disease Corona G Fagioli G Mannucci E Romeo A MD Rossi M Lotti F Sforza A Morittu S Chiarini V Casella G Di Pasquale G Bandini E Forti G Maggi M J Sex Me
36. interdits et que seuls les petits flaconnages doivent tre utilis s e S il s agit d chographie op ratoire ou per op ratoire on utilisera une dosette de gel st rile e S il s agit d chographie externe on utilisera un flacon de petite taille limin chaque jour et rebouch soigneusement apr s usage L ensemble de l chographe doit tre nettoy et d sinfect quotidiennement Nettoyage d sinfectant avec une chiffonnette impr gn e d un produit d tergent d sinfectant type SURFANIOS ou MINUDES ou PYOSYNTHENE march HCL 1999 2000 CONTROLES BIOLOGIQUES Il est important de proc der a des s ries de pr l vements biologiques syst matiques a intervalles r guliers par exemple chaque trimestre ou chaque ann e ce qui permet de rendre compte de la qualit de l entretien du mat riel La formation du personnel la pr vention des infections nosocomiales est galement importante m decins sages femmes et comprend l apprentissage des gestes techniques de protection et d entretien des sondes EN FINALITE COMMENT DOIS JE FAIRE En dehors du fait d avoir un cabinet m dical nettoy et d sinfect r guli rement et d avoir une tenue propre quotidiennement JE DOIS e me laver les mains l arriv e et au d part de mon cabinet et entre chaque patient ou utiliser un gel anti septique hydro alcoolique m essuyer l aide de papiers et refermer le robinet avec les feuilles en faire de m me
37. l innovation oui tre r serv sur tel m dicament aussi e Les ministres Etre au courant de ce qui se passe dans le monde m dical avec plus de pr cision et non travers le prisme d formant d une ambition politicienne Aujourd hui les m decins ne doivent pas tre effray s par le 0 01 des m dicaments sous tutelle de pharma covigilance mais au contraire s en f liciter et leur tour expliquer lorsque cela est n cessaire aux patients tout le bien de la publication de cette liste certes h t roclite certes sans id e directrice mais finalement n cessaire dans le contexte actuelle Publication forc e l encore la communication n a pas t bien faite par l AFSSAPS Avant de retrouver cette liste dans le Monde ou Lib ration communiquer en amont aurait t plus utile et plus judicieux L exercice de la M decine volue la pharmacovigilance fait son entr e dans les cabinets alors soyons notre tour pharmacovigilant en ne d livrant que ce qui est conforme aux donn es actuelles de la science une obligation ordinale ne l oublions pas Mr le Directeur de l AFSSAPS conscient du fait que prescrire un m dicament est toujours un acte potentiellement dangereux j observerai toujours les AMM comme par le pass et je piocherai avec d termination et d lectation parmi les 8000 m dicaments auxquels vous avez donn une AMM Sans restriction mais uniquement toujours pour le bien de mes patients Mai
38. la physioth rapie d congestive n est pas efficace elle a souvent recours a la chirurgie plastique qui n est pas sans risque de d g ts lymphatiques car apr s une longue volution il peut appara tre des alt rations du syst me lymphatique entra nant un r el lymph d me avec troubles trophiques et des complications de l insuffisance veineuse L indication chirurgicale s il y a un cedeme www sfmv fr Photo 11 lipoed me associ au d but de cette affection doit donc se faire apr s lymphoscintigraphie pour liminer une pathologie lymphatique sous jacente Avant et apr s tout traitement il est n cessaire d avoir une appr ciation du volume du lymph d me La technique de r f rence est la volum trie eau mais sa mise en uvre est difficile car demande du temps du personnel et une standardisation elle est remplac e par la mesure volum trique estim e par calcul Les mesures p rim triques prises intervalles r guliers tous les 10 cm au membre inf rieur partir du point de rep re repr sent par la pointe de la rotule permettent de calculer un volume par assimilation des segments de membre des troncs de c ne selon la formule suivante V h C2 Cc c2 12 n C est la grande circonf rence du c ne c la petite et h l intervalle entre 2 mesures Cette technique est fiable et reproductible Il existe aussi la volum trie infrarouges ou encore au laser n cessitant un appareillage sophistiqu
39. la conqu te du dicom pourquoi pour qui comment A DIARD 220525022 P54 M fions nous des associations B GUILBERT p62 Le r leur la liste J P LAROCHE p64 Courrier des lecteurs Varices perin ales point de vue d un radiologue interventionnel J L LASRY i HERE Can IET TRATE 100401 RA 07 09 0116 INSUFFISANCE VEINOLYMPHATIQUE 2 comprim s par jour Ps R Fraction fAlavono aue purifife micronis e CE lt gt gt WMicromias e ps La E E d L LIL a l L i da VETUES EL ELE Troubles digestits banats el troubles neurcv g tat s n obligeant pas Par s du traitement ER 0 A A el n F Te em a AA AA A EN LL BK LA WA RB I ii CL n UI Ca P k d ki Dafion 500 mg li Fraction flavonoique si a It purifi e micronis e i z Hs j Pr sentation comprime x Se j pellicul saumon Composition bar age F G Fraction flavono que parifi e microni e eh se 500 mo correspondant 450 mg de E a E ET EZ pa Amine 50 mg de favongides exprim s en a L Leg e hesp ridine Propri t s En pharnacologie V t mi af phamiacoragie clique Da on 500 mo diminue la distensbllt et emm la stase veneuse normale la z seal LL perm abild el renforce la resistance capilaira En cinque ell WM des tudes ciniques contr l es double ingu c
40. notre passion pour les usines gaz Dans cette histoire la communication n a pas t la hauteur or cette liste des 77 a jet le trouble parmi les soign s et les soignants Donner cette liste en p ture au grand public est totalement incompr hensible et irresponsable les journalistes devraient un peu plus r fl chir et je suis gentil Nous devons cependant faire avec et expliquer nos patients et nos confr res que prescrire un m dicament c est conna tre son AMM ses indications ses effets secondaires Rien de plus expliquer que le surdosage d un m dicament c est dangereux comme son m susage Expliquer aussi que les nouveaux m dicaments mis sur le march doivent tre surveill s toute chose qui est r alis e au quotidien rien d exceptionnel et il ne faut pas sortir de ce cadre Les 77 c est 0 01 de tous les m dicaments prescrits en France alors relativisez Il existe des m dicaments que nous prescrivons tr s r guli rement qui sont les plus dangereux de tous qui arrivent en t te du nombre de morts par iatrog nie les AVK 4000 d c s par an en France Donn es AFSSAPS et ils ne sont pas sur la liste et pourtant ils tuent 40 000 d c s en 10 ans qui dit mieux La revue PRESCRIRE qui a fait la une suite cette publication de la liste des 77 a pris une position qui est la bonne m me si nous ne sommes pas toujours en phase avec ses prises de position Il faut apporter les l ments
41. outomatis gestion et impression des ordonnances dupli int gration de documents suppl mentaires ou dossier patient relev journaber d honoraires avec ventilation et to talisation des actes 15 045 20007f Phl bologie description graphique pour l tat initial et chaque traitement historique Angiolog a maquettes personnalis es pour les comptes rendus Tarif TTC Logiciel Angiolog version 2 postes YPF Euros Poste suppl mentaire 287 Euros instollotion sur site sur devis i3m 16 bis foss s Saint Julien BP200 14011 CAEN Cedex T l 02 31 50 29 30 Fax 023150 01 37 ou 0811 00 21 12 tarif local partir d un poste fixe invisible FABRIQUE EN FRANCE Radiante SAS membre du groupe BSN medical Liste des r unions vasculares 16 18 MARS 2011 PARIS Maison de la Chimie _ 45 congr s du Coll ge Francais de Pathologie Vasculaire Organisation CFPV amp NEX COM RP Congr s 159 rue de Silly 92100 BOULOGNE BILLANCOURT T l O1 46 43 33 00 Fax 01 46 43 33 24 E mail s garafoli nex com com _ Site www cfpv fr 24 26 JUIN 2011 NANTES Cit Internationale des Congr s 26 congr s de la Soci t de Chirurgie Vasculaire de Langue Francaise Organisation Nantes M tropole 5 rue de Valmy 44000 Nantes T l 02 51 88 20 00 Fax 02 51 88 20 20 Mail contact lacite nantes fr _ Site www vasculaire com 26 29 AO T 2011 _ VIEN
42. preuve dynamique test d Allen et man uvres positionnelles Cet acte est galement compatible avec un acte d cho doppler lequel utilise une autre technique ll est par exemple associable le deuxi me acte 50 un EDTSA Noter toutefois qu il n est pas associable un cho doppler art riel ou veineux des membres sup rieurs car m me finalit diagnostique dans le m me territoire D autres actes de technique exploratoire sont galement associables l cho doppler comme la pl thysmographie la capillaroscopie etc Des actes th rapeutiques sont aussi cumulables aux actes d exploration en ayant toujours en t te la facturation du 2 me acte 50 et la gratuit du 3 me ainsi que les r gles d association dict es par les Dispositions G n rales chacun de faire un pas vers une meilleure connaissance des textes en vigueur N oublions pas que les CPAM ne manqueront pas en cas d inobservation de ces r gles non pas d adresser des lettres d information ou des rappels l ordre mais de mettre en uvre directement des proc dures de R cup rations d Indus qui consistent tout simplement r cup rer directement aupr s des praticiens les sommes qu elles estiment avoir engag es de fa on abusive Les m decins vasculaires ne sont pas les seuls m decins exercice sp cialis tre confront s cette probl matique et des actions communes sont actuellement men es au plus haut niveau de l Assura
43. ritable passion pour la m decine vasculaire Cet enseignement il faut le souligner tait destin uniquement aux membres de la SAMEV de plus jour de leur cotisation La SAMEV a renouvel son bureau au cours de ces journ es le professeur Mansour Brouri a t reconduit en tant que Pr sident avec comme Secr taire G n rale le professeur Rachida Guermaz et Tr sori re le Professeur Samia Zekri La SAMEV a l ambition de cr er un dipl me d tudes compl mentaires en m decine vasculaire qui devrait voir le jour courant 2011 ou d but 2012 www sfmv fr La SFMV tait repr sent e par le Dr Alain Viard et par le Dr Jean Pierre Laroche Comme pour tous nos d placements en Alg rie le 2 me pour Alain Viard le 7 me pour Jean Pierre Laroche nous avons t accueillis en Amis en v ritable Ami L hospitalit alg rienne la convivialit les changes font de ce s jour un de ceux que l on n oublie pas et qui en appelle d autres Nous avons eu la chance le vendredi matin de d couvrir Tipaza ville c ti re romaine 68 km d Alger o Albert Camus crivit Noces Tipaza en 1939 Une st le rappelle son passage avec cette belle citation Je comprends ici ce que l on appelle gloire le droit d aimer sans mesure Le 4 me congr s national de la SAMEV aura lieu Alger les 20 21 et 22 mai 2011 avec deux th matiques principales les complications vasculaires du diab te et les satines Les
44. sensibilisation le cas ch ant la n cessit d une prise en charge d une ob sit et la reprise d une activit physique 2 la phase d entretien vise maintenir le volume r duit voire poursuivre la r duction volum trique gr ce une orth se de compression port e r guli rement le jour l application des r gles d hygi ne de vie et d auto soins en particulier la r alisation de bandages peu lastiques multicouches pour la nuit et des DLM une fr quence moindre La surveillance m dicale de ces patients doit se faire tous les deux trois mois jusqu obtenir une stabilit de leur ced me Il convient de renouveler aussi souvent que n cessaire les bas de compression pour qu ils restent efficaces Dans la grande majorit des gros Iymphoed mes ceux ci doivent tre faits sur mesure par des pharmaciens form s aux prises de mesures L ducation th rapeutique permet au patient d acqu rir progressivement un mode de vie adapt pour viter les complications les diagnostiquer et autog rer autant que possible son lymph d me Signes cliniques Cas dificiles LO Stemmer LO tardifs ou debut proximal L vident Confirmation Lymphoscintigraphie IRM Diagnostic ehologique LO aire ou Zaire Prise en charge 1 Compression bandages ou bas 2 Drainage lymphatique manuel 5 Education du patient 3 Soins de peau 6 Soutien psychologique Recommand s EDVMI pour voir sl association maladie veine
45. tellement on en redemande Lyon aura renou avec sa vocation de capitale des Gaules rassemblant plus de 50 participants venus des six coins de la nation et aura elle aussi marqu son empreinte dans le grimoire de ces journ es D but des festivit s le vendredi soir avec un accueil chaleureux et m morable au sein du Georges Five Club o nombre d entre nous c deront volontiers la coutume du lieu la d gustation de spiritueux Samedi 8 h tout le monde r pondra cependant sans faille l appel de Christine Jurus grande organisatrice du week end et de Gilles Miserey Programme un peu remodel pour cette nouvelle dition DPC oblige Les modules sont plus nombreux que les ann es pr c dentes Aux classiques initiations la p dagogie animation outils et m thodes se rajoutent deux modules orient s vers le D veloppement Professionnel Continu autour de l valuation tape incontournable et la conception d un programme La recherche documentaire est remise l ordre du jour utile dans le fonctionnement des groupes d change de pratiques et un module gestion d une ARMV est propos par la FARMV Une belle journ e de travail conclue par la visite de la www sfmv fr colline de Fourvi re une ascension et une vue couper le souffle et un d ner dans une vieille institution lyonnaise Dimanche matin derni re tape des ateliers avant la r union pl ni re permettant une synth se du travail
46. vention et traitement jambes lourdes Electrostimuloteur sp cifique du retour veineux VENOPLUS 129 euros TTC Solution d aide aux proc dures endoveineuses PACK CHENILLARD 697 ewros TTC Tables d examen lectriques de phl bologie partir de 1 817 92 euros TTC TETE PA ros TIC ros TTC Capture iogicie sul les Pack logiciel mat riel et minipc Eid Solution compl te de capture vid o Option corte d acquisition vid o USB2 0 104 02 Euros Cable vi o composite 10 m BNC 30 euros ou c ble 5 VHS longueur 10 m 35 euros Jusqu 9 images cho doppler sur une simple feuille Ad un prix de revient imbattable Possibilit d imprimer l image complete en n gatif ou de d terminer une zone pertinente pour optimiser volre image r elle conomie d encre Possibilit d impression automatique L gendes des images totalement parom trables Possibilit de sauvegarder une image ou une vid o 1490 Euros TTC Enti rement compatible avec le logiciel ANGIOLOG ANGIOLOG 997 Euros me Logiciel de gestion de cabinet pour l angiologie et la Phlebologie Gestion des dossiers patients pour l Angiologie el la Phl bologie Logiciel multi postes multi proticions permettant une utilisation en cabinet de groupe mais avec code person nel pour g rer sa propre client le Un poste peut tre attribu ou secr tariat Etat civil d taill ant c dants avec items hi rorchis s texte libre et alarme courrier
47. AN DES PROJETS ET DES PUBLICATIONS 2 Le d pistage des an vrismes de l aorte abdominale a Analyse et r daction des premiers r sultats de 4A b Collaboration avec le Pr Eric Allaire chirurgie vasculaire en r ponse l appel d offre national du PHRC 2011 c Projet EMAU 3 L art riopathie des membres inf rieurs a Projet EVART Pr Patrick Carpentier b Projet COPART Projet sur les st noses carotidiennes a Projets RACS Lors du congr s de la SFMV 2010 de Paris les investigateurs de r seau de la SFMV ont recu le book des publications de la SFMV Il contenait 17 publications scientifiques en langue anglaise issues des tudes de la SFMV OPTIMEV et POST pour l essentiel ce stade et des travaux de recherche soutenus par les bourses de recherche clinique Ces travaux sont maintenant en ligne sur le site de la SFMV De nombreux autres essais acad miques soutenus ou 4 coordonn es par la SFMV sont en d veloppement des niveaux d laboration diff rents dans les th matiques majeures de la SFMV Une quipe qui s engage dans la pr vention du risque cardiovasculaire Nous sommes fiers d etre l une des dernl res soci t s d ultrasons developper r aliser et fabriquer ses produits en France et en Europe Le d veloppement de nouveaux outis Le segment de l imagerie ul trasonore d die y l exploration vasculaire re presente pour Esaote France une activit importante et une position de l
48. Anarymiser Rechercher Effacer les lignes s lectionn es Compresser les objets DICOM s lectionn s C compresser les objets DICOM s lectionn s Reconstruire la base de donn es enti re Reconstrulre le fichier Index SOL Reconstrulre les vignettes selectionn es Fermer la fen tre Format d impression Irap irer CD OOAD ADO 1 132 bringe Mapport dom Gd escroc T visu 3D RO ED Aide de donn es locale Users Macaptoenel Documents Osiris Dara Databas Fi 7 sa P Ajouter des etudes Euporter le Hm Anompmiser Graver Weta donn es Eaa Fiugins Fenetre 843 images b It ge Acceso Number Aude Description biole a Exporter vers un n ud r seau DICOM MS Exporter vers Quicktime MS Exporter vers TIFF Exporter vers un des fichler s DICOM St Exporter vers Courriel Pi Exporter vers Disk Exporter la liste des bases de donn es affich es sous P o i P 56 y unnamed US EW die de la wi 3 I E Local er E m 98 59 Le m decin vasculaire R DONSE DU QUIZ Ces l sions correspondent des ulc res perforants ath romateux UPA ou ruptures sous adventicielles fig 1 Elles sont la cons quence d une rupture de plaque ath romateuse avec effraction intimale et constitution d un faux chenal qui peut voluer vers e une dissection e un h matome pari tal e une ectasie sacciforme plus ou moins thrombos e con
49. C CHU Rangueil Service de M decine Vasculaire 1 Avenue Jean Poulh s TSA 50032 31059 TOULOUSE Cedex 9 T l 05 61 32 29 45 Fax 05 61 32 26 34 E mail SFMV id wanadoo fr LISTE DES ANNONCEURS ATYS ESAOTE DJO EUTHERAPIE 12M INNOTHERA RADIANTE SIGVARIS TONIPHARM LES PARTENAIRES DE LA SFMV RADIANTE gt Qo LIFE FOR LEGS P DIAPHANE 2 pour JEANNE Dr v iza Fin L den asi C i HU Tesch op EAR 5 brad rider msn AE OU TR UE H Sat cs regio ran m SAME 3 Geer Gdl i ri canti made LITT FOR UE dii la Fe ES DER RE rc ns MU can T y Z LI i a E RE i un ue PP p p j d h FA Wa F Pali V F r A E F FA d J k 4 E E k ji FFAA L Wf k i RL P 7 f LA COMPRESSION M DICALE QUI ME RESSEMBLE www sigwaris fr
50. CNAM Une modification marquante de nos pratiques en mati re de traitement de la maladie variqueuse se profile avec la reconnaissance de l efficacit de l choscl rose mousse et des techniques thermiques Nous avons t sollicit s par la Caisse Nationale d Assurance Maladie pour nous exprimer sur les modifications scientifiquement appropri es qui pourraient tre apport es la nomenclature C est le groupe veine qui a t en charge de l criture du rapport appuyant nos propositions Celles ci ont re u un accueil favorable et pourraient entrainer des modifications avant l t ACTIVIT S INTERNATIONALES Des liens ont t tiss s avec l Alg rie SAMEV avec plusieurs missions effectu es par des m decins vasculaires avec le Vietnam les liens continuent de se structurer avec plusieurs pays europ ens pour l instant dans le cadre de l UIA La r flexion sur une soci t europ enne de m decine vasculaire est en cours La SFMV poursuit ses sessions dans le cadre des congr s de l UIA SYNTH SE Ainsi les trois ann es coul es auront t marqu es par le combat pour notre discipline par l mergence et la structuration des groupes de travail et par l criture du trait de m decine vasculaire La mise en place des structures de DPC s est poursuivie contre vents et mar es de m me que la d marche qualit de notre soci t avec o sans r gles institutionnelles claires mais dans l exigence parfois
51. Les auteurs comparent galement le co t des explorations 400 dollars vs 100 dollars CONCLUSION Cette tude montre que l exploration des art res caverneuses peut tre r alis e en routine par un cho Doppler sur une verge l tat flaccide avec une pr cision diagnostique de 80 par rapport au pharmaco cho Doppler Le PSV au repos permettrait de d pister chez les patients diab tiques une baisse de la r serve coronaire mais cela reste confirmer sur de plus larges tudes LIMITES ET DE L TUDE ET COMMENTAIRES Peut on vraiment s affranchir d une injection intra caverneuse IIC lors qu on r alise un cho Doppler p nien Un des int r ts de l IIC est la meilleure visualisation des art res caverneuses et de leurs variations anatomiques qui concoure une plus fiabilit de l exploration S agissant d un examen d pendant d un op rateur qui selon certains auteurs a la n cessit de pratiquer au minimum 200 explorations par an pour tre performant 2 l IIC apparait comme n cessaire la s curit diagnostique compte tenu de la faible utilisation globale de cette exploration qui n est pas recommand e de premi re intention en France galement 3 Outre la reconnaissance de l origine vasculo tissulaire d une DE un objectif important de l cho Doppler p nien est de d pister les patients ayant une DE avec un ou plusieurs facteurs de risque cardio vasculaire la recherche notamment d une c
52. Les patients ayant un PSVr lt 13 cm s pr sentaient plus souvent une DE s v re OR 1 46 de m me que les patients ayant un PSVpi lt 25 cm s OR 1 77 ou lt 35 cm s OR 1 37 p lt 0 05 dans tous les cas Apr s ajustement par rapport au poids et au BMI la testost rone totale et la testost rone libre n taient pas corr l es aux PSV Un risque CV gt 20 selon le Progetto Cuore individual score tait pr dicteur d un PSV bas 63 des cas pour PSVr et 66 pour le PSVpi p lt 0 0001 En analyse multivari e les sympt mes d anxi t taient n gativement corr l s avec le PSVpi mais pas avec le PSVr 9 des 20 patients 45 diab tiques explor s par scintigraphie myocardique de stress avaient une r serve coronaire diminu e dont 4 avec gt 10 de d fauts de perfusion La pr valence de la DE s v re tait similaire chez les patients avec ou sans r serve coronaire diminu e Le PSV tait concomitamment enregistr avant et apr s administration d ad nosine II augmentait de fa on significative chez tous les patients mais chez les patients avec r serve coronaire diminu e les PSV avant et apr s injection d ad nosine taient significativement plus bas que chez les patients avec r serve coronaire normale La sensibilit et sp cificit d un PSVr lt 13 cm s pour d tecter une r serve coronaire diminu e tait respectivement de 67 et 73 et la pr cision diagnostique de 80 DISCUSSION Les assoc
53. M PR REQUIS TECHNIQUES Il est imp ratif que 1 P chographe a dispose de l option DICOM voir avec l installateur b qu il soit reli votre intranet par un c ble r seau RJ45 reli sur la prise du m me nom sur le modem de l chographe 2 il existe un intranet Dans beaucoup de cabinet les m decins sont reli s par un r seau intranet avec leur secr taire et l internet Ils disposent des l ments suffisant pour y int grer l chographe Pour ceux qui sont totalement hostiles l id e d avoir un c ble de plus il est possible de faire circuler l information par de simples prises de courant en utilisant des boitiers CPL courant porteur de ligne Les Freebox par exemple sont livr es avec des boitiers CPL 3 l ordinateur poss de un logiciel DICOM pas simplement un viewer DICOM comme ceux livr sur les CD des IRM ou des TDM pour simplement lire les fichiers m Sur Mac il existe un logiciel gratuit qui permet de r cup rer les images et de les archiver voire de les imprimer ou de les exporter par exemple Osirix http www osirix viewer com m Sur PC il existe plusieurs solutions disponibles avec des prix variables en fonction des prestations Par exemple Medseen Personal environ 500 http www softwaymedical fr index832c html option com_content amp view article amp id 51 amp Itemid 133 Les installateurs de machines sont en principe tous form s la technologie DICOM et n
54. Mai PIERRE PASCAL 2 s ries A10010374724 454 AIO010124717 SCANNER TAP CT 16554 CLAUSTRES ERIGITTE Z s ries L01470 56 y ARGIOSCON SEDO INF CT 17074 b VIEN AOS LE s ries 21903445 31 y 2224650008 5ABFE CT 41252 CLAVERIA SOLANCE 10 series 2192218 5 y 223405004 SARRE CT 443956 E CHARZIERE at ANE 10 s ries AIMIIISI7E2 614 IRM CERVICALE WA 11241 E BIORTEL VIKG F Ch Sesia DR 150 1 464 1 sa y ANO IRMA FELVIO Na Al WI P GALMARDO MICHEL 7 series H L4 301456 45 y 1442201503 EURO ATH HA L DIN F WDEK OT ISABELLE 1 s ries i ar y unama US L F ACCADEBLEN ER 5 stos AT y dinars US L pr SANIEZ JEAN CL s ries DU unnamed us l F HOH BS ALAN JAMES 15 armas 07451 00616 unna rme d Un d 508 CARREY MICHEL CR s rie da y unnamed Us 1 MOKDOUT JEAN LOUIS 4 s ries Sr unnamed us L Calab re TEO MALES Seta See Per image SEC CE SANS P SEI les LEESE TTT CRT Lsap Ti age CS ETRE DD Cen oke Z ken LI reen EF i www sfmv fr export Osirix AS M i Asualisalmns Je ase de donnee bom du patient PIERRE PASCA CLAUSTRES BI VIEN BORIS 1 CHARMERE 51 MORTEL VIRG GALHARDO M LOUDENOT 15 b ACCADEBLED SANIEZ JEAN HO ES ALAN CARREY MICH MONECHOUT JE CO aj T EE d je e diter Visu 2D Afficher la fen tre de base de donn es R seau Fonmat Nouveau dossier de base de donn es Ouwrir le dossier de base de donn es Compte rendu Importer Graver
55. NE Autriche 23 me Congr s EUROSON et 13th World Congress in Ultrasound WFUMB associ au 23 me Congr s EUROSON Congr s EUROP EN ET MONDIAL EFSUMB ET WFUMB 21 24 SEPTEMBRE 2011 _ LILLE Palais des Congr s 10 Congr s de la SFMV Th me Parcours de soins vasculaires Organisation Jean Charles CROMBEZ et l ARMV Nord Pas de Calais 22 25 JUIN 2012 PARIS Maison de la Chimie 27e congr s de la Soci t de Chirurgie Vasculaire de Langue Fran aise 13 15 SEPTEMBRE 2012 LYON Palais des Congr s lle Congr s de la SFMV Th me Les vaisseaux de l extr me La pathologie vasculaire de l enfant du sportif et du sujet g Organisation Christine JURUS et l ARMV Rh ne Alpes Les lymph d mes du membre inf rieur Marl ne COUP es Ve SE E E ES PAS DEE o b i n mm em em e rm em e em e rm e em em rm em _ _ em em em em rm _ rs e d Z HEAR A Fo E eY nr gt d Les Lymphoedemes du membre unf rteur Marl ne COUP marlene coupeQwanadoo fr 1 INTRODUCTION Le lymphod me est la cons quence d un dysfonc tionnement du syst me lymphatique responsable d une stase de la lymphe dans les tissus interstitiels se traduisant par l augmentation de volume du membre Le lymphoed me est un d me riche en prot ines d une r duction de la capacit de transport du syst me lymphatique Toutes les r gions anatomiques po
56. O LICE ER 177 Er Correrson en DICO 56 57 Le m decin vasculaire ou s lectionner et envoyer les images par CREER IE mai Jr garg LI LU ou encore les enregistrer sur votre disque dur dans un fichier JPEG pour une pr sentation LES M MES FONCTIONS SOUS MAC Emplacements ad k Tout montrer Param trage diresse AMET itle Fort DAR R ti En TES Deseription 127 0 0 1 Deeg 4444 Met M Mon Ceciesrun om 172 17 9 74 52000_2011 5 104 Y CGT A Non Description 172 17 9 50 DERINAD 11112 Y CEET 4 Mon Description z Erprpemrrer sii je Cha rger de E iria Ss chrontser automacquernent la liste de n uds DICO depuls cette URL x Rechercher d autres n uds DCOM avec ie protocole honor Ne pis autoriser Pauto r cup ratioo Red marer les r glages de l Auto De feu de caract res d encodage piur le Demander scug rer CKoidortal Europdra Ia ER 100 R seau Bases de donn es Dstrif avec adresses face post tcplip 87801 Agrette Tre gar 172 17 9 74 LP DO DEIA CE Work List Hase de donn es locales Users Macanigdines Gecumenta sirik Cate Dotnbase sof MAY a y a 7 e e S ai BR Mugida impar Eater COCHES Hoi Chera de pi ep diene pures dur Esparta le Dien dernier ras Mers donn es Baci Vue 21 HA ce mul Base de donn es locale Pas d album s lectionn Resultat ES tudes 94 443 images Bos des perl en pre r s i S ID ii D se Am ES Sad Dio ran lira A o Corsia res
57. Roussillon les fondateurs sont les Docteurs Bernard Heckel pr sident et le Docteur Pierre Tapon tr sorier La devise de l poque qui demeure la n tre tait de rassembler dans une perspective de formation continue tous les angiologues qualifi s de la r gion et de constituer une structure repr sentative de notre profession dans la perspective d une reconnaissance de l angiologie comme une sp cialit De nombreux angiologues ont fait voluer au cours des ans cette association Ne citons ici que les pr sidents Pierre Marie No l de la Paquerie 1987 1990 Christine Charras 1990 1994 Marl ne Coup 1994 1997 Jean Louis Barri re 1997 2000 Martine Moulini 2000 2003 Dominique Brisot 2003 2009 Isabelle Duncan actuelle pr sidente www sfmv fr LANGUEDOC ROUSSILLON R gionales M decine Vasgsgculairt Notre r gion compte une moyenne de 65 membres Elle assure trois r unions de formation continue annuelle conf rences cas cliniques ateliers pratiques en chographie contention ainsi qu un week end annuel qui permet une meilleure coh sion du groupe dans une ambiance plus festive mais sans oublier pour autant le travail Des r unions inter r gions ont eu lieu avec PACA et Midi Pyr n es ainsi que deux r unions avec nos amis angiologues espagnols Barcelone et sur la Costa Brava L ARMV LR a su maintenir une relation troite avec les universitair
58. S D AM LIORATION DES PRATIQUES On peut concevoir un registre DPC de diff rentes mani res Soit avec une intervention d experts du theme en r union pr sentielle ou distance qui avec le groupe laborent des protocoles des audits modifient le registre selon les constatations du retour d information et proposent une mise en uvre des pistes d am lioration 1 S engager individuellement aupr s de la structure professionnelle constitu e de pairs qui propose ce programme Des informations g n rales concernant l activit et les pratiques du professionnel peuvent galement tre recueillies 2 Participer au registre l observatoire ou la base de donn es Les donn es issues de sa pratique sur un th me donn sont enregistr es selon des conditions d finies pr cis ment nombre de cas inclure renseignement des items demand s respect des modalit s d inclusion et des d lais etc Des indicateurs utilisant des donn es particuli rement significatives sont renseign s et suivis 3 Prendre connaissance du retour d informations qui lui est d livr intervalles r guliers Il s agit des r sultats et de l analyse des donn es enregistr es et des indicateurs suivis Ces informations peuvent tre ventuellement compl t es par une lettre infos le rappel des recommandations mettre en uvre des situations cliniques analys es et comment es par des experts du th me des messages d alerte ventuels
59. UX La Roche sur Yon Pr Philippe LACROIX Limoges CONCEPTION GRAPHIQUE J r me DURAND jeromedurand 9online fr PHOTO DE COUVERTURE Jean Pierre LAROCHE charte de La revue S paration entre l information s lection et relecture par le comit de r daction et les articles scientifiques ou didactiques s lection et relecture par les comit s scientifique et de r daction Existence d une bibliographie r f renc e dans les articles le n cessitant R sum implications pour la pratique et QCM dans les rubriques FMC et Analyses bibliographiques Identification de toute promotion de m dicaments et de mat riels y compris en ce qui concerne les r dactionnels ne devant pas interrompre la continuit des articles Identification et mention des conflits d int r ts des auteurs ou r dacteurs nous contacter contact Imv sfmv fr pub Imv sfmv fr redaction Imv sfmv fr La lettre du M decin Vasculaire est une publication interne de la Soci t Frangaise de M decine Vasculaire Une publication d Angionet M dia SARL au capital de 9000 Si ge social 4 rue Galvani 75838 Paris Cedex 17 N SIRET 440 425 957 00014 SOMMAIRE NUM RO 14 LA LETTRE DU M DECIN VASCULAIRE Les actualites de La SFMV A LA UNE Edito G COPPE J CONSTANS Activit 2008 2011 des conseils FMC qualit et DPC M FESOLOWICZ J C SABY P CHANTEREAU et les autres D P7 Activit du Conseil Scientifique I QUERE EE p9
60. ager ou changer des documents professionnels et obtenir rapidement un avis diagnostic th rapeutique aupr s d un confr re ou d un r f rent la m me prouesse r alis e partir d un chographe num rique regorgeant pourtant de hautes technologies reste encore aujourd hui trop rare est l heure de passer au DICOM L TAT DES LIEUX ACTUEL DE LICONOGRAPHIE Les reprographes papier thermique noir et blanc o couleur sont encore largement utilis s et ce en d pit de co ts de production rapidement prohibitifs incluant le prix d achat du reprographe et surtout le co t du consommable De plus cette solution est chronophage n cessitant de d couper les images pour transmettre au final une iconographie v ritablement archa que Si l on ajoute cela l in vitable image perdue en fin de rouleau la d gradation du support avec le temps l impossibilit de conserver une trace titre personnel ou de l utiliser pour une pr sentation on mesure rapidement les limites et le caract re obsol te de cette solution Les syst mes de capture d images partir du signal vid o de l chographe comme au bon vieux temps du magn toscope restent une alternative courante Cette solution n cessite la pr sence proximit de l chographe soit d un reprographe et un syst me d impression int gr ou d port soit un ordinateur d di muni d une carte d acquisition vid o appropri e un logiciel sp cifiqu
61. ane Database Syst Rev 2004 18 4 CDOO3141 28 The diagnosis and treatment of peripheral lymphedema 2009 Consensus document of the International Society of Lymphology Lymphology 2009 42 51 60 29 Guedes Neto HJ Surgical treatment of penile scrotal lymphedema Lymphology 1996 29 132 3 30 Vignes S Boursier V Trevidic P Int r t de la r section cutan e apr s r duction volum trique par physioth rapie d congestive des lymphoed mes primitifs volumineux des membres inf rieurs J Mal Vasc 2005 30 181 5 Campisi C Boccardo F Alitta P Tacchella M Derivative lymphatic microsurgery indications techniques and results Microsurgery 1995 16 463 8 32 Becker C Traitements actuels des lymphoed mes Perspectives e m moires de l Acad mie Nationale de chirurgie 2008 7 55 64 LA ba Le diagnostic est essentiellement clinique mais dans certaines situations la lymphoscintigraphie isotopique et l IRM sont n cessaires pour le confirmer La prise en charge par traitement physique associant DLM et bandages ou bas de compression forte doit tre propos e le plus t t possible pour viter l aggravation Les surinfections cutan es sont fr quentes et n cessitent une antibioth rapie de fa on urgente car elles sont source d aggravation Il s agit d une maladie chronique handicapante et alt rant la qualit de vie l ducation th rapeutique vise aider le patient mieux accepter sa diff rence et devenir acteur
62. ansducers in routine clinical use and cost effective ways reduce contamination Clin Radiol 2007 62 694 698 8 KAC G J Hosp Infect 2007 9 Sykes A An Investigation of the microbiological contamination of ultra sound equipement British Journal of infection control August 2006 vol 7 N 4 16 20 10 Bello T O Rsik of nosocomial bacteria transmission evaluation of cleaning methods of probes used for routine ultrasonography WAJM vol 24 N 2 april june 2005 167 70 11 Karadenz M Evaluation of the role of ultrasound machines as a source of nosocomial and cross infection Investigative Radiology September 2001 vol 36 pp 554 558 12 Fowler C Us probes Risk of cross Infection and Ways to reduce It Comparison of cleaning Methods Radiology oct 1999 213 299 300 13 J Fleurette Guide pratique d antisepsie et de d sinfection Editions Eska Paris 1997 14 R f rentiel sur le traitement endovasculaire des varices par injections cho guid es de mousses fibrosantes Le consensus d experts de Grenoble Version 2010 la mousse com Le m decin vasculaire zoom F gLon Languedoc RousstlLon Martine MOULINI moulinieg aol com A R M V A esgocialilon L ARMV Languedoc Roussillon une r gion entre mer et montagne cinq d partements Pyr n es Orientales Aude H rault Gard et Loz re L ARMV LR existe depuis novembre 2003 mais o est la gen se Le 12 mars 1982 na t l ARFCA Languedoc
63. ate clinical significance in the assessment of the arterial supply in patients with erectile dysfunction Int J Androl 2000 Aug 23 4 199 204 2 Aversa A Sarteschi LM The role of penile color duplex ultrasound for the evaluation of erectile dysfunction J Sex Med 2007 Sep 4 5 1437 47 3 AIHUS Association Inter Hospitalo Universitaire de Sexologie Recommandations aux m decins g n ralistes pour la prise en charge de premi re intention de la dysfonction rectile 2005 42 43 Le m decin vasculaire Michel DADON Comment je fais L hygi ne chographique au cabinet m dical Jo lle Decamps LE CHEVOIR Zoom r gion Languedoc Roussillon Martine MOULINI Boite outils DPC Registres mode d emploi Philippe CHANTEREAU la conqu te du dicom Pourquoi pour qui comment Antoine DIARD M fions nous des associations Bruno GUILBERT Le r leur La liste Jean Pierre LAROCHE Courrier des lecteurs Varices perin ales point de vue d un radiologue interventionnel Jean Louis LASRY Michel DADON m dadon orange fr S bastian STROER DEUX COUPES TRANSVERSALES DE L AORTE SOUS R NALE QUELLES SONT CES L SIONS Le m decin vasculaire comment je facts L hygt ne chographique au caBtnet m dical Jo lle DECAMPS LE CHEVOIR jdecampslechevoir free fr Pascal GIORDANA giordana pascal wanadoo fr Le th me de l hygi ne chographique au cabinet m dical est un
64. auront aucune difficult faire communiquer leur machine avec votre PC ou MAC s ils sont pr sents sur le r seau intranet Les l ments param trer e ADRESSAGE RESEAU e Adresse IP de l ordinateur et de l chographe Cf didacticiel e AET TITLE du logiciel et de l chographe e PORT utilis par l ordinateur et l chographe 94 55 Le m decin vasculaire CONCLUSION Il est enfin vraisemblable qu terme avec l volution du futur dossier m dical personnel il faille pouvoir exporter vers le dossier patient les images les plus significatives L exp rience pass e a montr qu il ne fallait pas attendre des institutions qu elles nous fournissent l outil adapt et tout au plus une tr s faible indemnisation cf l informatique m dical du cabinet et la t l transmission L valuation des pratiques m dicales et les d veloppements terme des proc dures d accr ditation et ou de certification rendront t t ou tard n cessaire la migration vers des outils DICOM DIDACTICIEL CONFIGURATION DU R SEAU Un poste sur un r seau est identifi par son adresse P G n ralement sous la forme 192 168 0 1 pour les r seaux domestiques d velopp s partir d une BOX permettant d acc der internet Les ordinateurs peuvent se connecter automatiquement car il existe une fonction Via DHCP qui permet la box d attribuer b nn Edo tage Pet Cable T 5 CO GF Feet 7 Ima en LE Sr de Lan qua mia
65. ct ris par des ongles jaunes dystrophiques pais et poussant lentement associ s un Iymphoed me et une atteinte respiratoire la maladie de Waldmann Iymphoed me souvent des 4 membres associ des lymphangiectasies intestinales primitives une ascite chyleuse un panchement pleural chyleux Le lymph d me secondaire est d la destruction du r seau lymphatique par curage ganglionnaire ex r se chirurgicale radioth rapie traumatisme ou par obstruction par des cellules tumorales infectieuses ou filaires et l volution de certaines insuffisances veineuses chroniques L interrogatoire oriente facilement vers son diagnostic L tiologie dominante dans les pays occidentaux est le traitement des cancers de la r gion pelvienne cancer du col ut rin endom tre ovaire vulve vessie prostate lymphomes cancer du testicule et du p nis La fr quence de ces lymphoed mes est moins bien connue que pour ceux du membre sup rieur Pour les cancers gyn cologiques le lymph d me appara t pr cocement 5 au cours de la premi re ann e avec une incidence de 20 40 pour les cancers ut rins et des ovaires de 36 apr s cancer vulvaire zi Les cancers de la prostate et des testicules se compliquent de lymphoed me dans 8 39 des cas les carcinomes p niens dans 50 La filariose repr sente l tiologie la plus fr quente dans le monde avec 120 millions de patients atteints Une tiol
66. ction sont difficiles avec des r sultats tr s variables en fonction des auteurs et restent donc valuer CONCLUSION Les lymphoed mes des membres inf rieurs qu ils soient primaires ou secondaires font partie des maladies chroniques qu il est indispensable de diagnostiquer et prendre en charge pr cocement afin d viter l aggravation Les complications les plus fr quentes sont des infections cutan es qui sont traiter en urgence par antibioth rapie adapt e Un Iymphoed me douloureux doit faire rechercher une TVP une infection une tumeur ou une r cidive tumorale La physioth rapie d congestive est le traitement le plus utilis il est long et contraignant et doit tre expliqu au patient afin qu il y adh re et y participe pour devenir le plus autonome possible et am liorer sa qualit de vie R SUM Les lymph d mes des membres inf rieurs sont de deux types Les lymph d mes primaires sont dus une anomalie de la lymphangiog n se li e pour certains des mutations g n tiques des genes VEGFR3 FOXC2 ou SOX18 Ils sont d apparition pr coce avant 35 ans dans 65 80 des cas Ils peuvent tre associ s d autres malformations vasculaires ou faire partie de syndromes malformatifs complexes Les lymphod mes secondaires sont dus soit la destruction ou l obstruction du r seau lymphatique la principale cause en Occident tant le traitement de cancers www sfmv fr Les Lymphoedemes du membr
67. d mes cause ou r v lation d un d ficit lymphatique pr existant 3 10 LYMPH D ME PRIMAIRE Le d but est distal int ressant le pied et les orteils l d me est variable r gressif la nuit maximal en fin de journ e donnant un aspect du dos du pied bomb en verre de montre et des orteils carr s Le signe du godet est pr sent mais pas de fa on constante Les plis transverses des orteils sont marqu s avec comblement inter tendineux et non visualisation des veines superficielles Photo 1 et 2 Photo 2 M me signes que photo 1 plus orteils boudin s Lymphoed me primaire du MID stade 2 Photo 4 Lymphoed me primaire du MIG stade 3 Photo 5 Lymph d me primaire du MID d but proximal Jeune fille 13 ans Cette phase de d but est progressive et spontan e ou parfois initi e par un traumatisme minime entorse piq re d insecte ou une grossesse Puis cet ced me progresse vers la cheville avec comblement r tro mall olaire le mollet avec perte du galbe de la jambe et la cuisse La consistance de l oed me se modifie il se fibrose et il devient Impossible de pincer la peau de la face dorsale du 2 me orteil il s agit du signe de Stemmer pathognomonique du Iymphoed me Photo 3 Au stade suivant le volume s accro t avec apparition de complications cutan es la peau est paissie indur e avec pr sence de sillons cutan s transversaux papillomes et v sicules lymphatiques l o
68. d 2008 5 2623 2634 Analyse Christophe BONNIN chr bonnin wanadoo fr et Patrick BOUILLY pbouilly wanadoo fr car il peut induire une DE ou diminuer la r ponse aux inhibiteurs de la phosphodiest rase 5 IPDE5 Les facteurs reliant DE hypo gonadisme syndrome m tabolique et le risque cardiovasculaire global sont probablement l adiposit visc rale et l insulino r sistance CONTEXTE La dysfonction rectile DE est une pathologie fr quente li e l ge Plus qu un sympt me elle peut consid r e comme le reflet de la sant globale et notamment cardiovasculaire d un patient et sa d couverte tre l opportunit d un d pistage des facteurs de risque cardio vasculaire R cemment la DE a notamment t associ e au syndrome m tabolique et au d ficit androg nique Le syndrome m tabolique est troitement associ l hypogonadisme chez les sujets ayant une DE La reconnaissance d un d ficit en testost rone est important Il a galement t montr que l existence ou l apparition d une DE est associ e une augmentation des v nements cardio vasculaires et que l origine vasculo tissulaire 40 41 Bibliographie d une DE tablie par le Pharmaco Echo Doppler P nien PEPD tait pr dictive de ces v nements cardio vasculaires Le PEDP est actuellement consid r comme le gold standard pour tablir la nature vasculo tissulaire d une DE Bien que peu invasif il est relativement p
69. de Framingham identique un patient avec un PSVpi lt 25 cm s a en effet un risque d ECVm 2 fois plus lev qu un patient avec un PSVpi gt 25cm s Il serait galement possible de stratifier le risque de ces patients qui augmente de 5 pour chaque diminution du PSVpi de bcm s LIMITES DE L TUDE ET COMMENTAIRES Les auteurs reconnaissent n anmoins certaines limites l tude le nombre limit de patients tudi s 957 l absence de repr sentativit de ces patients par rapport la population g n rale li e au mode de recrutement clinique sp cialis e le mode de recueil des ECV registres et la pr valence lev e de certains facteurs de risque cardio vasculaires Cette tude dont les r sultats doivent tre valid s par d autres R F RENCES Corona G Fagioli G Mannucci E Romeo A Rossi M Lotti F Sforza Morittu S Chiarini V Casella G Di Pasquale G Bandini E Forti G Maggi M Penile doppler ultrasound in patients with erectile dysfunction ED Role of peak systolic velocity measured in the flaccid state in predicting arteriogenic ED and silent coronary artery disease J Sex Med 2008 5 2623 34 Thompson IM Tangen CM Goodman PJ et al Erectile dysfunction and subsequent cardiovascular disease JAMA 2005 294 23 2996 3002 Inman BA Sauver JL Jacobson DJ McGree ME Nehra A Lieber MM Roger VL Jacobsen SJ A population based longitudinal study of erectile dysfunction and
70. de sa propre sant 1 Le signe de Stemmer permet de faire le diagnostic de Iymphoed me CT QUI CT NON 2 Un rysip le constitue une urgence th rapeutique CT QUI CT NON 3 Un Iymphoed me n cessite un traitement par diur tiques CT QUI CT NON TEST DE LECTURE 4 Une lymphoscintigraphie est indispensable pour faire le diagnostic 1 OUI NON 5 Le DLM est suffisant pour traiter un lymph d me 1 OUI NON NON S NON i NON INO Z INO I LISTE ALPHABETIQUE DES PRINCIPAUX CENTRES DE TRAITEMENT LYMPHOLOGIQUE Dr Patrick BRUNEL Centre R gional de R ducation C3RF Rue des Capucins BP 40329 49103 ANGERS Cedex 2 Dr Patrice BAUDOIN LO Il Polyclinique Bordeaux Nord Aquitaine Unit de lymphologie 1 33 rue Claude Boucher 33000 BORDEAUX T l 05 56 43 74 28 Dr Myriam FINGER Service de r ducation CHR CHOLET 14 rue Marengo 49300 CHOLET T l 02 41 49 64 66 02 41 49 69 53 Dr B atrice VILLEMUR Institut de R ducation Pr P ninnou CHU de Grenoble Site H pital Sud Av de Kimberley 38130 ECHIROLLES T l 04 76 76 60 25 Dr Patrick JONAS CH Intercommunal des Andaines Unit de Lymphologie LD LES TILLEULS DU FAY Rue S ur Marie Boitier 61600 LA FERTE MACE T l 0233382005 Dr Anne Laure ESQUIS Centre Hospitalier de MACON Boulevard Louis Escande 71018 MACON Cedex T l 03 85 21 78 09 03 85 27 57 11 Pr Isabelle QUERE Service des Maladies Vasculaire
71. de toute aventure scientifique Albert Einstein Nous avons besoin de l industrie pharmaceutique de ses chercheurs c est vident mais sa charge de mettre en place des autocontr les et des contr les externes permanents le minimum exigible en 2011 e Les experts scientifiques Afficher leurs conflits d int r t Il s agit l d un probl me difficile car en fait nous avons tous des conflits d int r t Plus que cela l adh sion officielle une charte de bonne conduite thique commune tous les essais th rapeutiques est certainement la solution Mais ne nous leurrons pas l homme reste un tre fragile et un roseau pensant e L AFSSAPS Elle a besoin de plus de transparence et surtout elle doit PLUS informer les prescripteurs sur les nouvelles mol cules et ne pas autoriser la mise sur le march des variantes inutiles des mol cules les plus importantes ll est urgent de renforcer la communication entre l AFFSAPS et les m decins Le principe de l AMM doit tre sans cesse expliqu r expliqu On r ve mais non le d tournement des AMM est pour certains un sport passionnant e L Universit Elle doit plus insister et enseigner toute l importance des AMM avant toute prescription La d cision m dicale doit tenir compte des AMM et des recommandations e Les Soci t s savantes Elles ont un r le jouer dans la diffusion des nouvelles acquisitions scientifiques mais en tant critiques saluer
72. des sept groupes Initiation la p dagogie reste un piller incontournable une fois de plus tr s appr ci par les participants ravis de leurs d couvertes et impatients de les mettre en uvre M thodes et outils p dagogiques avec en particulier l apprentissage du maintenant c l bre syst me Powervote et un questionnaire de d monstration pr par par le groupe sous forte influence cenologique Animation grand classique donnant toujours droit a une d monstration live tr s amusante Pour les deux modules consacr s au DPC un groupe s est montr enthousiaste d j pr t en d coudre pour mettre en place des registres et monter des GEP et l autre plus circonspect s interrogeant encore pour certains sur faire ou ne pas faire suivre Recherche Documentaire s est d roul sans accroc avec les moteurs vrombissants de recherche sur internet Enfin Gestion d une ARMV a permis aux cadres de nos ARMV de red couvrir toutes les subtilit s des obligations administratives et financi res des associations 1901 plus particuli rement d volues la FMC Deux jours intenses de travail et de convivialit hors pair Un grand merci Christine et sa team de choc pour son accueil tous les intervenants pour leur d vouement et tous les aventuriers qui ont tent le voyage l ann e prochaine Nancy qui doit relever le d fi toujours plus haut 5 tor CG je TO
73. des sp cialit s m dicales redonne de l espoir car le projet de DES de m decine vasculaire le r f rentiel m tier ont t pour le moment bien accueillis Nous esp rons chapper une nouvelle d ception et permettre d ainsi d am liorer la prise en charge de nos patients au travers d une formation performante et d une reconnaissance assurant la p rennit de notre discipline RAPPORTS o AVEC LES AUTRES SOCI T S SAVANTES e Avec la SFP les relations se sont am lior es notamment gr ce l organisation de deux sessions communes SFMV SFP de FMC Toulouse et Paris en collaboration avec le groupe veines de la SFMV et de par la constitution de l OBPMV Les responsables des deux soci t s savantes ont pu se rencontrer et reconna tre le r le de chacune Avec la Soci t Fran aise de Cardiologie il existait une ambigu t concernant le groupe vasculaire de la SFC qui devait tre un groupe d interface SFMV SFC Les objectifs et la situation de ce groupe n avaient jamais t claircis l occasion du lobbying des responsables de la cardiologie aupr s du minist re de la sant et des d put s contre la m decine vasculaire le bureau de la SFMV l unanimit puis le CA ont consid r qu il tait pr f rable que la SFMV se retire de ce qui est maintenant le groupe vasculaire filiale de la SFC La SFMV souhaite reb tir autour d un respect mutuel et d objectifs clairs un espace de dialogue et
74. doxe existant entre un examen consid r comme anodin car sans irradiation et le risque non n gligeable de transmission infectieuse Au s nat Mme M T Hermange interpellait en d cembre 2007 Madame le ministre de la sant de la jeunesse et des sports sur ce sujet laquelle r pondait en s appuyant sur la publication de recommandations de la HAS Le Parisien du 07 02 2008 titrait Le radiologue du Nord interdit d exercice Le m me journal du 12 02 2008 signait Echographies le cri d alarme d un m decin hygi niste Enfin une association de patients Le LIEN revendique apr s analyse de la litt rature un risque viral majeur stigmatise l h t rog n it des recommandations selon les pays le non respect du principe de pr caution et note la meilleure efficacit des traitements de st rilisation physique UV Le CTINILS est saisi de cette mission en f vrier 2008 Celui ci mandate l Afssaps Les fabricants r agissent en commercialisant des sondes plus tol rantes aux 46 47 Le m decin vasculaire ann a h TEIG kiip elias 773 ri pron tr CETTE Zar wire agenda 2021 Binkis Gui Somme F Editorial Dura tats G rer Lic d s een f ri s di Dia dos rara ne Eri Cale bo die BUS ai Pepes oa du devil d id es det Se Kg dara la qualit ter 24744 pur Pina ble det LE BEM Bienvenue B cunt du palet miny Medis recem er e ES enl G Teirim l per du LIES Fermer Di
75. e retrouve 49 de sondes contamin es 18 sondes pour 69 pr l vements Dans une autre tude Mirza compare sur 75 pr l vements 3 m thodes de nettoyage essuyage simple avec lingette s che st rile lingette avec solution saline 0 9 et nettoyage au savon La r duction de la contamination est respectivement de 45 76 et 98 Les r sultats sont identiques dans les tudes men es par Mullaney et Kac La source de contamination ne se limite pas aux sondes clavier et supports de sonde sont aussi de magnifiques foyers Les appareils utilis s pour les explorations non invasives sont plus contaminants que les appareils vou s aux actes invasifs et la contamination semble tre plus fr quente pour les patients hospitalis s que pour les patients externes De ce fait un nettoyage simple peu suffire pour les patients externes alors qu un double nettoyage semble souhaitable pour les patients hospitalis s quel que soit le statut du patient Un nettoyage simple ou avec lingette imbib e d alcool reste Elape 6 Friction en rotation en mouvement de va et vient avec les doigts wats de la mam droite dans la paume gauche vice versa insuffisant pour les r gions axillaires et inguinales est pr f rable d utiliser un essuyage par papier simple dans un premier temps pour enlever le gel et le faire suivre d un lavage avec lingette imbib e 4 Ces diff rents travaux montrent bien le para
76. e d extension est beaucoup plus important que celui de thromboses musculaires isol es survenues en post chirurgical R F RENCES 1 MacDonald PS Kahn SR Miller N Obrand D Short term natural history of isolated gastrocnemius and soleal vein thrombosis J Vasc Surg 2003 37 523 7 2 Schwarz T Schmidt B Beyer J Schellong SM Therapy of isolated calf muscle vein thrombosis with low molecular weight heparin Blood Coagul Fibrinolysis 2001 12 597 9 pysfonction rectile et risque d v nements carduo vasculatres de 7 tudes de cohortes A propos d une m ta analyse erectile pysfunctton and Risk of clinical cardiovascular events A meta analysis of seven cohort studtes Guo W Liao C Zou Y Li F Li T Zhou Q Cao Y Mao X J Sex Med 2010 7 2805 2816 Analyse Christophe BONNIN chr bonnin wanadoo fr et Patrick BOUILLY pbouilly wanadoo fr L origine vasculo tissulaire est actuellement consid r e comme pr pond rante dans la physiopathog nie de la Dysfonction Erectile DE dont les facteurs de risque HTA dyslipid mie diab te tabagisme sont communs avec ceux de la coronaropathie de l art riopathie oblit rante des membres inf rieurs AOMI et des accidents vasculaires c r braux AVC La DE doit tre aujourd hui consid r e comme un indicateur de la sant vasculaire et notamment un pr dicteur de coronaropathie d AOMI et d AVC Plusieurs tudes r centes ont mis en vidence la DE comme
77. e la Soci t Tunisienne de M decine Vasculaire tr s r cemment cr e d bute son histoire dans le tumulte et l exaltation d une r volution que l on peut esp rer la plus pacifique possible afin de pouvoir partager avec nos confr res tunisiens notre passion de la M decine Vasculaire La qualit des changes avec les pays du Maghreb du fait de la langue fran aise et de nombreux confr res venant se former en France doit pouvoir tre reproduite avec les pays francophones d Afrique Noire La SFMV est aussi l pour soutenir les actions individuelles o accueillir des stagiaires dans un esprit de compagnonnage comme c est le cas par exemple avec des confr res de C te d Ivoire Sur le plan europ en via sa participation la F d ration Fran aise des Ultrasons FFU la SFMV int grera en 2011 l EFSUMB F d ration Europ enne des Ultrasons en M decine et Biologie et nous ne pouvons qu encourager les M decins Vasculaires f rus d explorations cho doppler participer au congr s mondial de la WFSUMB Vienne du 26 au 29 ao t a Vienne Last but not least apr s l Eurochap de l IUA en septembre 2010 il reste participer la cr ation d une Soci t Europ enne de M decine Vasculaire afin d tre mieux reconnus dans chaque pays et d tre partie prenante dans l laboration des normes europ ennes qui pourraient r gir une part toujours plus grande de notre environnement Et Patrick s y empl
78. e JN Jr Intersticial gold and external beam irradiation for prostate cancer J Urol 1988 139 985 8 9 Okeke AA Bates DO Gillat DA Lymphoedema in urological Cancer Eur Urol 2004 45 18 25 Review 10 Vignes S Coup M Baulieu F Vaillant L et le groupe de recommandations de la Soci t Francaise de Lymphologie Les lymph d mes des membres diagnostic explorations complications J Mal Vasc 2009 34 314 22 11 Classification des lymphoed mes Lymphology 2001 34 2 84 12 Baulieu F Vaillant L Baulieu JL Secchi V Barsotti J Place actuelle de la lymphoscintigraphie dans l tude d un lymphoed me JMV 1990 15 152 6 13 Pecking AP Alb rini JL Wartski M EdelineV Cluzan RV Relationship between lymphoscintigraphy and clinical findings in lower limb lymphedema toward a comprehensive staging Lymphology 2008 41 1 10 14 Boursier V Pecking A Vignes S Analyse comparative de la lymphoscintigraphie au cours des lip d mes et des lymph d mes primitifs des membres inf rieurs J Mal Vasc 2004 29 257 61 15 Machet L Ossant F Bleuzen A Gr goire JM Machet MC Vaillant L L chographie cutan e haute r solution utilit pour le diagnostic le traitement et la surveillance des maladies dermatologiques J Radiol 2006 18 471 8 16 Naouri M Samimi M Atlan M Perrodeau E Vallin C Vaillant L Machet L High resolution cutaneous ultrasonography to differentiate lipoedema from lymphoedema Br J dermatol 2010 163 296 301 17
79. e chaque ann e ensoleill e et agr able Je remercie en tant que pr sident la formidable quipe du comit d organisation de Lille 2011 pour le travail d j r alis et pour celui qui reste faire Merci galement au CA de la SFMV de nous avoir fait confiance Merci aux organisateurs des congr s pr c dents pour leurs pr cieux conseils Merci nos fid les sponsors et partenaires de l industrie pharmaceutique qui apportent un soutien financier indispensable pour l organisation de notre congr s et nous soutiennent encore cette ann e par l organisation de symposiums et de d jeuners d bat Merci Sophie Garafoli de l agence Nex amp Com pour son professionnalisme et sa gentillesse Merci Lille grand palais pour leur accueil Et surtout merci au soutien sans faille et indispensable d Isabelle et de Nadia nos deux secr taires de la SFMV tr s bient t Lille MESURE DE LA PRESSION SYSTOLIQUE A L ORTEIL D pistage de l art riopathie des membres inf rieurs Surveillance de l art riopathie chez le diab tique l insuffisant renal et le sujet g Diagnostic de l isch mie critique _ Evaluation des chances de cicatrisation d un trouble trophique APPAREIL COMPLETEMENT AUTOMATIQUE A Atys medical 17 Parc d Arbora 69510 SQUCIEU EN JARREST FRANCE T l 04 78 05 69 69 Fax 04 78 05 69 60 E mail atysBatysmedical com http www atysmedical com Les actualit s de la SFMV
80. e concerne pas les seuls m decins et sa mise en uvre est un processus naturel bien souvent d j pr sent dans la vie professionnelle de tous Outre les voies d j prouv es Philippe turbine pr parer un DPC en ligne qui permettra au m decin connect de construire son DPC notamment par la tenue de registres permettant la fois une auto valuation et la constitution de banques de donn es sur de multiples th mes De beaux jours en perspectives pour les passionn s de m decine vasculaire encore un peu de patience Les journ es Jean Paul Chantereau De Bordeaux a Lyon en passant par La Rochelle elles www sfmv fr 15 11 11 10 47 16 16 12 12 13 11 24 43 11 24 21 99 21 21 18 18 39 39 76 88 127 127 127 221 283 336 357 357 119 139 151 148 727 ont r uni les acteurs les plus motiv s au sein des r gions avec des modules d abord recentr s sur la conception des actions de FMC puis r ouverts l valuation indispensable au DPC la recherche documentaire la gestion des associations r gionales EVALUATION DES CONGR S Enfin en marge de ses t ches naturelles l valuation des congr s de la soci t est revenu dans le panier du conseil Juge et parti Pas tout fait il s agit d un comit d valuation interne la soci t mais externe au Comit d Organisation Votre serviteur a t surnomm Robespierre lors du congr s de Versailles lui e
81. e et un syst me d impression En dehors de la majoration du co t ceci encombre nos salles d examen et requiert en g n ral un boitier de plus toujours pr t tomber de l chographe et obligeant le plus souvent une gymnastique acrobatique pour acqu rir et v rifier en permanence que l image ait bien t captur e S il est ais d acqu rir une image fixe cela l est beaucoup moins pour une s quence vid o la qualit d pendant du prix de la carte d acquisition vid o Ces syst mes vieillissent www sfmv fr avec l informatique et doivent donc tre r guli rement renouvel s Les solutions logicielles ne sont pas p rennes permettent pour certaines un archivage des images le plus souvent au format JPEG voire des s quences en AVI mais n offrent peu ou pas de solution d export direct vers l internet pour le cas ou l ordinateur serait y serait reli En dehors des co ts annexes de ces mat riels logiciels et du consommable papier imprimante etc de l encombrement spatial et de son ergonomie le principal reproche reste la qualit tr s variable fonction de la carte d acquisition vid o et de la d gradation des images par les diff rentes compressions inflig es l image native num rique cette imagerie ne pourrait tre utilis e pour le diagnostic m dical Enfin existent aussi les solutions int gr es l chographe permettant la pagination sur l chographe et l impression vers une im
82. e patient lui m me Le directeur du programme m dical d chographie de l universit de Lowa City insiste rapport de Letchell sur l ducation qui doit tre faite aux tudiants leur signifiant d tre aussi propre que possible et de bien montrer aux patients qu ils se lavent les mains pr cautions qui rassurent le patient lorsqu elles sont prises devant lui www sfmv fr D s 2007 La HAS ditait une recommandation sur ce th me d crivant les pr cautions prendre par le praticien e La fa on optimale de se laver les mains e De les s cher e Les produits utiliser ou proscrire e Les soins quotidiens utiles et n cessaires e Leur fr quence en arrivant au cabinet en le quittant entre chaque patient en cas d interruption de soin pour un m me patient t l phone par exemple avant et apr s utilisation de gants e La n cessit d utiliser un prot ge sonde chez les patients ayant une hygi ne d fectueuse source de contamination et en cas de plaie ou d ulc re afin de diminuer le risque de contamination de la sonde elle m me ou de contaminations crois es entre patients 3 e La n cessit d utiliser un gel st rile unidose en cas d ulc re Le caract re risque infectieux de l chographie est li au mat riel d chographie appareil et sonde la technique endo cavitaire externe accompagn e ou non d un geste invasif mais aussi au gel En 2009 Eshraghi a r al
83. e r gle s applique sous deux conditions e que les actes en question ne fassent pas l objet d une exception la r gle g n rale e que l association de ces actes ne soit pas en contradiction avec les r gles d incompatibilit s article l 12 Nous voyons que tout ceci est complexe et peu accessible a l intellect des modestes m decins que nous sommes Pour ce qui nous concerne retenons en r sum que hors les cas d associations d chographies d j voqu es qui constituent une exception il est toujours possible d associer deux actes techniques s ils sont compatibles entre eux Les actes incompatibles sont le plus souvent pr cis s par une note dans les tableaux de la CCAM Ainsi il est possible d associer des actes d explorations vasculaires s ils utilisent des techniques et appareillages diff rents Pour exemple rappelons qu il persiste la nomenclature deux libell s concernant le doppler continu e EQQMOO6 Mesure de la pression intra art rielle d un membre en au moins 3 points par doppler transcutan ou pl thysmographie Cet acte que nous appelons couramment Mesure des IPS est donc compatible avec l cho doppler art riel des membres inf rieurs qui lui est contemporain mais galement avec tout autre acte d cho doppler effectu dans un autre territoire doit alors tre tarif 50 de sa valeur ECQMOO1 Examen doppler continu des art res des membres sup rieurs avec
84. e unf rteur BIBLIOGRAPHIE 1 Damstra RJ Van Steensel MA Boosma JH Nelemans P Veraart JC Erysipelas as a sign of subclinical primary lymphoedema a prospective quantitative scintigraphic study of 40 patients with unilateral erysipelas of the leg Br J Dermatol 2008 158 1210 5 2 Orphanet portail des maladies rares et m dicaments orphelins www orpha net 3 Qu r Coup M Soulier Sotto V Evrard Bras M Laroche JP Janbon C La g n tique du lymphoed me de la maladie de Milroy aux applications en canc rologie Rev Med Int 2002 23 3 379 87 4 Ghalamkarpour A Debauche C Haan E Van Regemorter N Sznajer Y Thomas D et al Sporadic in utero generalized edema caused by mutations in the lymphangiogenic genes VGFR3 and FOXC2 J Pediatr 2009 155 90 3 5 Werngren Elgstrom M Lidman D Lymphoedema of the lower extremities after surgery and radiotherapy for cancer of the cervix Scand J Plast Hand Surg 1994 28 289 93 6 Beesley V Janda M Eakin E Obermair A Battistuta D Lymphedema after gynecological cancer treatment prevalence correlates and supportive care needs Cancer 2007 109 2607 14 7 Konno Y Todo Y Minobe S Kato H Okamoto K Sudo S Takeda M Watari H Kaneuchi M Sakuragi N A Retrospective Analysis of Postoperative Complications With or Without Para aortic Lymphadenectomy in Endometrial Cancer Int J Gynecol Cancer Feb 2011 21 2 385 390 8 Boileau MA Dowling RA Gonzales M Handel PH Benson GS Corrier
85. eader dans innovation Un cabinet d Angiologie sur trois utilise un cho graphe Esaote Les principales raisons de cette reussite sont Un bon rapport performance prix de nos produits Le sawolr falre d Esaote 15 ann es de pr sence active sur le marche Francas Une societ leader en technologie d imagerie medicale Ce positionnement a t possible gr ce a une politique de proximit entre le d partement Recherche et D veloppement l quipe technico commerciale et notre clientele travers une coute continue de ses besoins ESAOTE France en temps r el d di s la detection pr coce des risques cardio vasculaines apporte aujourd hui un complement indiscutable dans le diagnostic clinique et permet un examen fiable dans un minimum de temps Volla notre volont de continuer tre le leader francais en vasculaire et cr er un pole francas de developpe ment recherche et fabrication a Saint Germain en Laye Pour que ces objectifs se realisent venez nous Soutenir par vos conseils venez tester nos materiels continuez comme pendant ces 25 derni res om n es nous faire confiance en vous quipant de nos chographes Dominique Martin Directeur vasculaire France LA du Bel Air 10 rue de Tamara CS 40143 78105 Saint German en Lis e Cedex Tel 01 62 04 87 50 Fas O 14 51 24 20 E mail nfo esaote fr activit du consell international une SFMV tourn e vers L
86. ecommande au m decin de veiller la st rilisation et la d contamination des dispositifs m dicaux qu il utilise La classification selon le type de contact est la r f rence pour guider le traitement des dispositifs m dicaux DM e tout mat riel qui doit tre introduit dans le syst me vasculaire o dans une cavit ou tissu st rile quelle que soit la voie d abord est un mat riel consid r comme critique haut risque infectieux qui doit tre trait par la st rilisation ou en cas d impossibilit par une d sinfection de haut niveau e un dispositif m dical entrant en contact avec une muqueuse sans effraction de celle ci ou avec la peau l s e superficiellement est dit semi critique risque infectieux interm diaire et doit tre trait par une d sinfection de niveau interm diaire ou par la st rilisation e un dispositif m dical entrant en contact avec la peau intacte du patient ou n ayant pas de contact avec le patient est dit non www sfmv fr L TOi G e E iiri dii IFRS recente gi ds la SET D Ce eni ll laut rra lr L IncA pubie use fiche rep re hip aa cares Ainas lina lee 47 046 1 54 Pbi pulll ia beh rtpera giicosi pi taferer j y e M Gangi j ZA me de ly 93100 Badeg Ailani rE Ol 5 59 04 45 Feamapen Lis Puta Oran critique bas risque infectieux et doit tre trait par une d sinfection de bas niveau R 35 Il est recommand d u
87. ement logiciel des images et archiv es Storage Dicom Il existe aujourd hui des outils simples et peu on reux qui permettent de transformer un PC personnel de bureau en une station DICOM de stockage et de visualisation des fichiers DICOM d s lors que l on dispose d un intranet et de pouvoir les diffuser vers l internet Le syst me de fichier DICOM est une option Les constructeurs sont oblig s de facturer l achat de la licence mais son prix toujours n gociable est rapidement compens e pas d investissement dans un reprographe ni dans du papier thermique ni ordinateur suppl mentaire c t de votre chographe pour imprimer vos images ni renouvellement r gulier du mat riel Il ne faut qu une interface software sur l ordinateur de bureau pour g rer vos images et vous la conservez vie e une seule imprimante partag e pour le cabinet la fois pour imprimer les images et les comptes rendus e am lioration de l ergonomie de travail du temps et de l energie consacr s la r alisation de l iconographie Pour chaque patient une fois que son identit est saisie sur l chographe et l examen d but a chaque fois que l on appuie sur la touche d di e l enregistrement de l image cette fois ci sur le clavier de votre chographe elle est export e Push DICOM sans aucune intervention de la part de l examinateur via le r seau vers votre logiciel DICOM install dans l o
88. en 2003 fruit de la collaboration avec nos amis h matologues hospitaliers Et plus r cemment dans la prise en charge des facteurs de risque vasculaire HTA Vasc regroupe les diff rentes sp cialit s et acteurs de sant autour du patient vasculaire Mais derri re ces sigles un peu abstraits se cache une formidable exp rience de travail en commun aboutissant concr tement sur le terrain une am lioration de nos pratiques et de la prise en charge de nos patients Et pour nous m decins vasculaires lib raux ces liens ont permis de nous imposer cot des autres sp cialit s comme r f rent dans le domaine vasculaire vis vis de nos patients C est cette exp rience que nous souhaitons vous faire partager lors de ces quatre jours de congr s de la SFMV Depuis presque trois ans que nous pr parons votre congr s le programme a bien avanc Apr s quelques petites modifications de notre programme initial destin es l ajuster aux imp ratifs de la SFMV le contenu est sur les rails 8 mois du congr s th mes titres timing sont d finis Intervenants et mod rateurs ont donn leur accord Vous d couvrirez tout cela dans la premi re annonce Le sch ma g n ral du congr s vous sera familier avec la session ann e vasculaire la session du conseil scientifique et la s ance recommandations Les sessions pl ni res autour du th me central du congr s vous apporteront des r ponses pr cises aux questions que v
89. er pour les patients faible risque qui ne seraient pas trait s par HBPM COMMENTAIRES ET R SERVES L autorisation de poursuivre un traitement anticoagulant pr ventif qui a pu s appliquer aux patients vus au d cours d une chirurgie r cente 1 3 de l effectif total et pr s de la moiti de l effectif du groupe compression seule a pu fausser le comparatif puisqu il a t montr en chirurgie orthop dique que cette posologie suffisait faire dispara tre les thromboses distales L auteur met d ailleurs des propositions plus prudentes pour les thromboses musculaires isol es survenues chez des patients canc reux ou ayant plusieurs facteurs de risque Les r sultats de cette tude randomis e viennent contredire ceux rapport s dans une tude pr c dente par la m me quipe 2 avec le m me design mais non randomis e qui avait inclus des patients risque plus lev 21 4 avec cancer et avait conclu au b n fice du traitement HBPM De nouvelles tudes sont donc indispensables et appel es par tous les auteurs pour r pondre la question du b n fice du traitement HBPM non seulement des thromboses musculaires du mollet mais galement de l ensemble des thromboses distales L tude Cactus multicentrique randomis e en double aveugle contre placebo apportera la r ponse si les effectifs autorisent une analyse de divers sous groupes thromboses sur cancer connu thromboses inexpliqu es dont le risqu
90. er une surinfection une thrombose veineuse profonde une affection tumorale et en cas de lymphod me secondaire une r cidive canc reuse mais aussi une radiculalgie une art rite ou une st nose veineuse post radique Le lymphod me est aggrav par le surpoids et par l insuffisance veineuse qu il est n cessaire de rechercher syst matiquement 4 EXAMENS COMPL MENTAIRES En g n ral la clinique suffit pour faire le diagnostic d un Iymphoed me mais certaines situations n cessitent le concours d explorations compl mentaires qui sont la lymphoscintigraphie isotopique l cho Doppler veineux et art riel l chographie le scanner La lymphangiographie directe avec injection de produit de contraste iod a t abandonn e car elle aggrave le lymphoed me Elle est remplac e par la lymphoscintigraphie isotopique examen atraumatique r alisable des l enfance Elle consiste en l injection dans le premier espace interdigital de 0 2 ml de Sulfure de Rh nium collo dal marqu au 99Tc cette substance est de haut poids mol culaire identique celui des prot ines capt es par le syst me lymphatique Le traceur radioactif est suivi par gamma cam ra et permet de donner des informations fonctionnelles mais non anatomiques du r seau lymphatique Elle confirme le diagnostic en montrant du c t atteint une asym trie ou une absence d impr gnation des ganglions la racine du membre inf rieur quelquefois la mise
91. es 77 m dicaments sous surveillance renforc e jette le trouble parmi les patients et l incompr hension des m decins En fait il ne s agit pas d une liste noire mais de m dicaments qui font l objet d un suivi renforc de pharmacovigilance Ce qui reste surprenant dans cette liste c est qu elle va du Subutex au Pradaxa de l Aetoxyscl rol au Xarelto etc Effet MEDIATOR ou la MEDIATORISATION du m dicament bref une fois de plus le battement de l aile de papillon est par effet domino l origine de ce tsunami pharmacologique Un tout petit tsunami cependant Dans cette affaire on reste sur notre faim l AFSSAPS agence officielle du m dicament l ve enfin le voile sur son mode de www sfmv fr fonctionnement mais de mani re tr s maladroite et c est dommage Cette liste est h t rog ne aucun mode d emploi n est d livr et chacun l interpr te sa fa on Cette liste int gre des m dicaments qui devraient tre retir s du march des m dicaments tr s efficaces mais manier avec pr caution des m dicaments encore dans des tudes et des m dicaments de base dont le b n fice risque est r valuer pour chaque prescription Tout ceci n est pas tr s s rieux et jette le discr dit sur une institution n cessaire utile brillante mais qui est une usine gaz de plus Trop de tuyaux trop de niveaux de responsabilit le syst me fran ais dans toute sa splendeur le monde entier envie
92. es et notamment pendant des ann es avec le Pr Charles Janbon auquel un grand nombre d angiologues de la r gion doivent leur formation et une aide pr cieuse dans leur pratique ult rieure notamment par l instauration de soir es de discussion de cas cliniques h pital ville La succession est assur e par le Pr Isabelle Qu r de nombreuses udes scientifiques sont en cours dans la r gion gr ce l aide des angiologues lib raux Voil en quelques mots une pr sentation de notre ARMV qui repose toujours sur le b n volat et la bonne volont des membres des bureaux successifs Souhaitons pour les ann es futures de nombreuses r unions toujours fructueuses en savoir et en relations amicales La classe Ill qui sait doser sa pression La nouvelle gamme Actys est la seule classe Ill qui offre le choix du dosage en fonction du degr de s v rit de la maladie veineuse Actys 25 offre une grande facilit d enfilage Actys 35 permet de traiter les pathologies les plus s v res Actus CLASSE II d CA 1 x PR t a de i Er eL E La a ta n i CR 18 d j E Pu e a 11 i j J li I E A Ek r T Hr Den r e Za e LL FFE a lE KR LUTTE FT kel Z a a Pai per PAL n Lea mm tri Pad i ra m Le da 4 P inn Lat pei dla T E gii na st f Ti mi LF F Run Se E A i T d Re Zi n EW i i Ae HAE U valeria ig x 7 E i Z r EN ir ge ky i i z AW Ex
93. et cher avec mesures automatiques En attendant l usage courant de ce type de mesures lors des consultations les mesures p rim triques permettent de suivre l volution du volume du lymph d me sous traitement Les mesures doivent toujours tre faites de fa on comparative aux deux membres selon un protocole rigoureux sur un patient allong le membre inf rieur 15 d abduction apr s avoir marqu les rep res Photo 12 Lip d me ancien associ une insuffisance veineuse 7 COMPLICATIONS DES LYMPH D MES La plus fr quente est la pouss e infectieuse 7 1 LES INFECTIONS BACT RIENNES L RYSIP LE OU DERMOHYPODERMITE L rysip le complique 20 30 des Iymphoed mes Il a un d but souvent brutal par des signes g n raux nets fi vre gt 38 5 C frissons malaise g n ral Les signes locaux surviennent dans les heures suivantes avec placard inflammatoire rouge chaud douloureux d extension centrifuge Photo 13 Photo 13 Dermohypodermite Le diagnostic est clinique et aucun examen compl mentaire n est n cessaire Aucune autre bact rie que le streptocoque n a d montr sa responsabilit dans l rysip le Le lymphodeme est le principal facteur de risque d rysip le risque multipli par 71 Les portes d entr e qui peuvent tre des plaies minimes sont la deuxi me cause d rysip le risque multipli par 24 Il existe des formes plus frustes souvent non diagnostiqu
94. etc 4 Mettre en uvre des actions d am lioration de la qualit de ses pratiques Cela n cessite la participation des sessions formalis es d changes entre professionnels engag s dans le programme avec un expert du th me sessions pr sentielles o distance via les NTIC et la mise en uvre des actions pr conis es mise en place ou actualisation de protocoles de chemins cliniques organisation de la prise en charge cas cliniques renseigner etc Dans tous les cas l impact sur les pratiques est mesur et valu r guli rement suivi d indicateurs audit bilan d activit enqu te Soit en auto valuation ce qui peut se rapprocher du suivi d indicateurs en suivant uniquement l volution du registre dans le temps par p riodes successives pour valuer comment le m decin modifie sa pratique L le retour d information est le seul instrument qui peut conduire une am lioration de la pratique mais il est souvent plus efficace dans l appropriation des recommandations que l intervention ponctuelle d un expert Pour reprendre l exemple de l AOMI le questionnaire d valuation est bas sur des recommandations valides 4 5 6 il doit tre court compr hensible et acceptable La saisie doit tre facile et rapide Nous testons actuellement la saisie en ligne qui simplifie grandement la saisie et l analyse de ces registres mais qui demande un minimum de pr requis informatique connexion haut
95. etto Cuore individual score Les patients ont galement t soumis au Middlesex Hospital Questionnaire modifi MHQ pour screener les troubles psychiques Tous les patients ont b n fici d un PEPD avec mesure du PSVr puis d un PSV enregistr 20 mn apr s injection de 10 ug de PGE1 PSVpi L insuffisance art rielle tait d finie par un PSVpi lt 25 cm s Par ailleurs de Septembre 2007 F vrier 2008 une s rie cons cutive de 20 patients pr sentant un diab te de type Il non compliqu indemnes de coronaropathie diagnostiqu e par ECG de repos a t explor e par scintigraphie myocardique de stress ad nosine la recherche d une coronaropathie silencieuse en accord avec les recommandations de www sfmv fr l American Diabetes Association et r alis e et interpr t e selon les crit res de l American Society of Nuclear Cardiology R SULTATS Une corr lation significative a t retrouv e entre le PSVr et le PSVpi avec en choisissant comme cut off 13 cm s des sensibilit et sp cificit de respectivement 67 et 92 pour un PSVpi lt 25 cm s et des sensibilit et sp cificit de respectivement 72 et 75 pour un PSVpi lt 35 cm s Les patients rapportant une DE s v re selon le questionnaire SIEDY rection suffisante pour une p n tration dans moins de 25 des occasions avaient des PSVr et PSVpi significativement plus bas respectivement 14 7 vs 15 9 cm s et 43 9 vs 50 1 cm s p lt 0 001
96. eu utilis en raison de son co t et de l absence de standardisation ll est galement op rateur d pendant comme toutes les explorations ultrasonores et est soumis des causes d erreur d interpr tation comme l hyperadr nergie du patient et les variantes anatomiques des art res caverneuses Mancini 1 avait montr qu un Pic Systolique de Vitesse au repos PSVr gt 12 5 cm s tait pr dictif d un Pic Systolique de Vitesse post injection PSVpi gt 30 cm s L absence d injection intra caverneuse IIC entra ne un moindre co t une dur e d examen plus courte et l absence d effet ind sirable telle qu une rection prolong e N anmoins les art res caverneuses et leurs variations anatomiques sont mieux individualisables apr s injection 2 OBJECTIF DE L TUDE Etablir la validit de la mesure du PSV au repos et sa corr lation avec le PSV post injection dans une cohorte de patients non s lectionn s consultant pour une DE M THODOLOGIE 1 346 patients consultant pour DE pour la premi re fois ont t inclus de Janvier 2001 F vrier 2008 et soumis un questionnaire SIEDY Structured Interview on Erectile Dysfunction Le questionnaire SIEDY analyse 3 domaines de la DE organique relationnel et psychique Les facteurs de risque CV taient relev s en accord avec le National Cholesterol Education Project Adult Treatment Panel III L estimation du risque CV global 10 ans tait r alis e selon le Prog
97. gue des Actes M dicaux avait cours en secteur hospitalier Dans les deux cas les actes taient mal r pertori s non cod s et les organismes payeurs taient contraints de prendre en charge ces actes techniques de fa on aveugle www sfmv fr Par ailleurs ces nomenclatures n taient pas jour Certains actes devenus obsol tes n taient plus pratiqu s alors que des actes nouvellement apparus n taient pas r pertori s et devaient tre factur s de fa on approximative par assimilation Le grand chantier de cette r forme attendue des nomenclatures qui a consist hi rarchiser les actes s est donc achev en 2005 Chaque acte technique est maintenant r pertori cod tarif ils sont plus de 7500 L Assurance Maladie sait donc enfin pr cis ment ce que nous pratiquons collectivement et individuellement pour quels volumes pour quels co ts Ainsi est n e la Classification Commune des Actes M dicaux v ritable codage des actes applicable de fa on obligatoire depuis avril 2005 dans les cabinets de ville et dans les h pitaux Les r gles de cotation de nos actes techniques dont les actes d cho doppler sont donc prescrites par cette CCAM d une part et par les Dispositions G n rales et Dispositions Diverses de la CCAM d autre part Les praticiens connaissent en g n ral bien les tableaux de la CCAM avec leurs libell s qu ils utilisent quotidiennement Ils connaissent moins les Di
98. he Krimpen Study 2008 20 92 9 6 Inman BA et al A population based longitudinal study of erectile dysfunction and future coronary artery disease Mayo Clin Proc 2009 84 108 13 7 Araujo AB et al Erectile dysfunction and mortality J Sex Med 2009 6 2445 54 8 Ponholzer A et al Is erectile dysfunction a predictor of cardiovascular events or stroke A prospective study using a validated questionnaire Int J Impot Res 20102220291 38 39 Bibliographie L e cho poppler p nten permet il de s lecttonner parmi Les patients ayant une De ceux pr sentant un haut risque d v nements cardio vasculalres male sexuality and cardiovascular Risk A cohort study tn patients wtth erectile pysfunctton Corona G Monami M Boddi V Cameron Smith Lotti F de Vita G Melani C Balzi D Sforza A Forti G Mannucci E Maggi M J Sex Med 2010 7 1918 1927 Analyse Christophe BONNIN chr bonnin wanadoo fr et Patrick BOUILLY pbouilly wanadoo fr CONTEXTE Le lien entre dysfonction rectile DE facteurs de risque et maladies cardio vasculaires est connu depuis le d but des ann es 80 mais ce n est que r cemment que le sympt me DE est consid r comme un facteur pr dicteur de risque cardio vasculaire Le pharmaco cho Doppler p nien PEDP est aujourd hui l examen gold standard pour tablir l origine vasculo tissulaire d une DE S il peut contribuer d pister les patients particuli rement risque de coronaropa
99. iations europ ennes et am ricaines d Urologie ne recommandent pas le PEPD en premi re intention dans le bilan d une DE consid r comme un examen chronophage couteux op rateur d pendant et non standardis ll a t sugg r que le PEDP pourrait tre utile dans le d pistage des patients haut risque cardio vasculaire Cependant ce test une grande sp cificit mais une faible sensibilit dans cette indication ce qui ne le rend pas performant La comparaison entre PSV au repos et apr s injection a fait l objet de tr s peu d tudes Dans ce travail incluant la plus grande s rie publi e de patients les auteurs d montrent une corr lation significative entre PSVr et le PSVpi Un PSVr lt 13 cm s est pr dictif d un PSVpi diminu avec une pr cision diagnostique gt 80 89 si lt 25cm s et 82 si lt 35 cm s Les critiques concernant l enregistrement du PSV au repos ne reposent d apr s les auteurs sur aucun argument convaincant avait t rapport une valeur discriminante faible de cette m thodologie mais elle avait t effectu e sur une s rie de seulement 6 patients Des PSVr et PSVpi diminu s sont tous deux associ s un risque cardio vasculaire lev Pour la premi re fois les auteurs d montrent galement ou un PSVr lt 13 cm s pr dit une baisse de la r serve coronaire valu e par scintigraphie de stress avec une pr cision diagnostique de 80 Ces r sultats n cessitent n anmo
100. ins d tre confirm s sur de plus larges tudes notamment chez les patients non diab tiques Les auteurs signalent galement que chez ces patients non seulement les PSVr sont plus bas mais galement les PSV apr s administration d ad nosine lors de la scintigraphie Chez les patients diab tiques l ge le BMI la dur e d volution du diab te la qualit du contr le glyc mique et le risque cardiovasculaire n taient pas corr l s avec la pr sence ou l absence d une baisse de la r serve coronaire confirmant de pr c dentes tudes n ayant pas montr d association entre pr sence s v rit d une coronaropathie silencieuse et nombre de facteurs de risque En revanche les ant c dents familiaux de coronaropathie lAOMI la microalbuminurie et la r tinopathie talent pr dictifs de coronaropathie silencieuse Il a t montr qu au cours du pharmacotest l anxi t pouvait r duire la relaxation des cellules musculaires lisses caverneuses et induire un diagnostic faussement positif Dans cette tude le PSVpi est n gativement corr l avec les sympt mes d anxi t contrairement au PSVr Il semble donc que le PSVr soit moins sensible au stress Enfin si le Doppler p nien au repos ne permet pas de donner de renseignement quant l existence d une fuite veineuse les auteurs objectent que le PEDP ne permet pas non plus d affirmer une fuite veineuse et ne remplace pas la caversonom trie caversonographie
101. insi d sign par le Comit d organisation et le conseil scientifique de la SFMV e Un jury d attribution des bourses de la SFMV appel d offre annuel pour financement de projet par la bourse SFMV annuel et bourse de th se ou de financement de projet l tranger dans le cadre d une promotion de carri re universitaire en M decine Vasculaire sous la responsabilit du Pr Jean Luc Bosson e Un repr sentant des groupes de travail de la SFMV dont l objectif est de favoriser l mergence de projets de recherche clinique des diff rents groupes th matiques e Un responsable de la communication et de l expression du conseil scientifique au sein du site de la SFMV e Un comit responsable de l mergence et du renouvellement des centres investigateurs au sein du r seau des investigateurs de la SFMV pour les essais institutionnels de la SFMV et les essais industriels de phase III Drs Pierre Ouvry et Dominique Brisot e Constitution d une cellule de valorisation professionnelle des r sultats des essais th rapeutiques DES COLLABORATIONS TR S DYNAMIQUES Le conseil scientifique de la SFMV participe largement au bureau du GIRC ses membres appartenant aux deux coll ges publics et priv s de la SFMV La SFMV a ainsi particip la r ponse l appel d offre national grand emprunt Cohorte de ANR qui malgr un classement dans les 15 projets retenus sur 44 r ponses recevables l appel d offre n a finalement pas t re
102. ir se connecter la BOX Si vous voulez cr er un r seau pour communiquer en DICOM il faudra attribuer a chaque l ment du r seau une adresse P fixe l adresse de la box tant g n ralement 192 168 0 1 on pourra attribuer le 192 168 0 2 l ordinateur 192 168 0 3 l chographe 192 168 0 4 l imprimante et ainsi de suite Il faudra que le masque sous r seau soit le m me pour tous les l ments pr sents sur le r seau en g n ral 255 255 255 0 L image ci dessous montre comment param trer l adressage IP de votre PC sous XP dans panneau de configuration connexion au r seau local Clic droit propri t puis double clic sur protocole internet TCPIP La passerelle par d faut correspond l adresse du point d acc s internet Comme les valeurs de DNS elles sont fournis par l assistance technique de votre BOX au besoin Pour param trer l adressage IP de votre chographe le plus simple est de demander votre technicien mais cette fonction est souvent accessible dans le menu configuration r seau DICOM de la machine Une fois que l adressage r seau est r alis et que l chographe et le PC sont pr sents physi quement sur le r seau pour qu ils puissent communiquer et changer des fichiers en DICOM il faut leur apprendre s appeler et s identifier Prep ri de Preimc lz Infes noi IOFAP Gens La crane P Frost Rina rif reni a dirmi MI Anai a Nd ei mal sarei
103. is une tude sur la d sinfection des sondes usage externe apr s 192 patients La moiti des sondes taient essuy es avec un papier doux absorbant l autre avec une lingette imbib e d alcool 70 Aucune contamination n tait retrouv e dans le bras lingette imbib e contre 66 de sondes contamin e dans l autre bras staphyloccus epidermis 50 94 staphylococcus Aureus 22 6 et Pseudomonas aeruginosa 9 4 sans diff rence entre sondes lin aires et sondes convexes Toujours en 2009 Durr e Sabih germitec com tude N 16 a tudi le risque infectieux li aux sondes Figure AFNOR Lavage mains Etape 1 Paume contre paume Etape 2 Paume de la mam drone sur le dos de la mam gauche Etape 3 Faume contre paume avec les doigts entrelac s et paume de la mam gauche sur le dos de la main droite Etape 4 Dos des doigts contre la paume oppos e avec les doigts emboit s Etape 5 Fnction en rotation du pouce droit enchiss dans la paume gauche et ICE NETTA d chographie externes avec d sinfection de bas niveau Apr s examen sur peau intacte en conditions r elles et nettoyage des sondes avec une lingette s che 38 pr l vements sur les sondes ont t r alis s 27 avant examen 11 en fin de journ e 7 des sondes taient contamin es avant examen 27 3 en fin de journ e Dans un service de r animation qui utilise l chographie pour faciliter la pose de cath ter Lytl
104. le dossier un CR EDE de moins de 5 ans On retrouve dans le dossier un ECG ou une consultation cardiologique 9 On retrouve dans le dossier un dosage de LDL de moins dl an 10 On retrouve dans le dossier un dosage de glyc mie ou d HbAlc de mois d un an NA si BIO1 ou 0 N OO 01 P OJ N H 11 Statut actuel vis vis du tabac 12 Traitement par statine 13 Traitement par IEC Sartans 14 Traitement anti plaquettaire La SFMV vous propose plusieurs bases de donn es registres ou observatoires sur le mod le de AOMI adapt s votre pratique pour lesquels je vous donne uniquement les crit res d inclusions les objectifs principaux et les sources INR Patient trait par AVK pour MTEV et pr sentant un INR gt 5 Diminution du taux d accident h morragique Diminution du taux d INR gt 5 HAS Surdosage AVK R f rentiel 2006 HAS Surdosage en AVK situations a risque et accidents h morragiques Synth se des recommandations Sang Thromb Vaiss 3 AIT Patients vus pour AIT Diminution du d lai v nement clinique EDE HAS Pr vention vasculaire apr s un infarctus c r bral ou un accident isch mique transitoire HAS Prise en charge diagnostique et traitement imm diat de l accident isch mique transitoire de l adulte AAA Patient pr sentant un AAA a l ED Augmentation du taux de d pistage des AAA SFMV d pistage des an vrismes de l aorte abdominale Rapport final sur le D pistage des an vrysmes de l ao
105. les groupes de travail seront n anmoins maintenus les jeudi et vendredi Les actions des r gions taient pour bon nombre soumises validation aupr s du conseil de FMC qui en rendait compte aupr s de la HAS Le cadre de l obligation et l obtention assortie de points de cr dits de formation permettaient surtout un suivi et un retour sur la qualit des actions retour aupr s des organisateurs que le conseil s est efforc de mettre en uvre en 2008 et 2009 Ce bel effort pr s d tre payant sur la qualit s est vu contrari l occasion de la loi HPST et de la perspective du D veloppement Professionnel Continu qui a d stabilis le dispositif de la FMC obligatoire et validante Ainsi 27 actions r gionales taient valid es au titre de 2007 33 pour 2008 et seulement 16 pour 2009 Pour 2010 il ne faudra plus les trois mains pour les compter I serait dommage au vu du trajet parcouru depuis des ann es de ne pas poursuivre l accompagnement des r gions et le suivi de leurs actions de FMC qui outre le DPC restera une part importante de leur activit C T EPP Philippe et le Conseil Qualit n ont pas t en reste et ont continu d engager peu peu les m decins vasculaire dans la d marche valuative Les EEP th matiques associant audits de pratiques et plusieurs r unions pr sentielles dont une formative constituent le mode d entr e traditionnel Des formations valuatives ont t lanc es
106. lgies et qui sont le plus souvent li es une reprise du processus tumoral n cessitant des explorations compl mentaires sp cifiques 8 QUALIT DE VIE PSYCHOLOGIE ET LYMPH D ME La maladie va modifier la qualit de vie du patient et le traitement devra prendre en compte l individu dans sa globalit et non seulement le sympt me Le traitement de la p rim trie ou de la volum trie n est donc pas suffisant et les th rapeutes doivent conna tre et prendre en compte toutes les r percussions aussi bien physiques sociales et psychologiques d un Iymphoed me afin de le faire adh rer une strat gie th rapeutique discut e avec lui pour qu il se l approprie et devienne actif dans sa prise en charge Le lIymphoed me entra ne une modification de l image corporelle parfois majeure non corr lable avec la gravit de l augmentation de volume du membre et chaque patient vit sa maladie en fonction de ses ant c dents personnels et familiaux ses relations avec son entourage et son terrain psychologique Le bilan du handicap doit tre fait et confront la vie socioprofessionnelle il peut tre n cessaire de modifier le poste de travail d envisager des am nagements horaires d aider un jeune dans son orientation professionnelle Les troubles psychologiques ventuels anxi t angoisse d pression troubles du sommeil perte d estime de soi doivent tre rep r s car ils peuvent se d
107. maladie de Milroy la mutation de FOXC2 entra ne un distichiasis double rang e de cils la mutation de SOX18 peut donner le syndrome HLT hypotrichose lymph d me et t langiectasies 22 23 M DICALE FORMATION i CONTINUE Les Lymphoedemes du membre unf rteur Chez l enfant il peut tre accompagn par d autres malformations vasculaires comme dans e le syndrome de Klippel Tr naunay formes intriqu es avec des malformations veineuses lymphatiques et osseuses et une infiltration cutan e par des v sicules e le syndrome de Parkes Weber malformation art rio veineuse diffuse d un membre avec augmentation du volume de ce membre et risque d insuffisance cardiaque Il peut aussi faire partie de syndromes malformatifs complexes e le syndrome de Turner monosomie A ou d faut structural d un chromosome X ces filles n ont pas d ovaires une petite taille un pterygium colli une implantation basse des cheveux des naevus multiples une coarctation aortique dans 1 4 des cas dans 30 des cas un lymph d me des mains et des pieds la naissance et disparaissant vers l ge de 2 3 ans le syndrome de Noonan ou pseudo syndrome de Turner car le caryotype est normal retard de croissance visage triangulaire face de ch rubin oreilles rondes et bas implant es pterygium colli cheveux laineux sourcils clairsem s ou absents retard mental et lymphoedeme inconstant le syndrome des ongles jaunes cara
108. mbre 2010 au congr s de Paris le second devant para tre en mars 2011 au moment du congr s du CFPV Ce travail repr sente un ouvrage de r f rence mais aussi une vitrine de notre discipline dont l tendue du champ d activit et la maturit scientifique apparaissent au grand jour La SFMV a support le poids financier de cet ouvrage en s engageant l achat de plusieurs centaines d ouvrages destin s aux auteurs mais aussi adress s nos responsables institutionnels et aux soci t s amies ACTIVIT SCIENTIFIQUE OPTIMEV a t pour les m decins vasculaires une tude structurante pour la recherche clinique d montrant que les lib raux aux c t s des hospitaliers peuvent contribuer une recherche clinique de qualit Les tudes POST et CALISTO sous l gide de la SFMV ont fait consid rablement progresser les connaissances sur la TVS d bouchant sur la premi re tude randomis e contr l e d montrant l efficacit d un traitement Dans le domaine art riel aussi le conseil scientifique de la SFMV a produit des travaux scientifiques tels que l tude 4A sur le d pistage de l an vrisme de l aorte abdominale ou le soutien apport l tude des polyvasculaires de l art riopathie jeune ou des art riopathes hospitalis s Les projets court terme du conseil scientifique concernent le syndrome post thrombotique veineux mise en place d une cohorte tude d un mode de compression lastique LA
109. membres de la SFMV sont attendus en nombre La SAMEV et la SFMV sont unis Ensemble Pour les Vaisseaux depuis 3 ans autour du congr s national et des Journ es d enseignement en pathologie vasculaire Nous avons t jusqu pr sent une trentaine avoir franchi la M diterran e Au fil des ans la SAMEV jeune soci t est de plus en plus professionnelle avec une grande rigueur scientifique Chaque ann e nos amis alg riens participent soit au Coll ge Fran ais de Pathologie Vasculaire soit au congr s de la SFMV et m me souvent aux deux La m decine vasculaire au Maghreb est une r alit la SAMEV a montr la voie nos amis marocains viennent de cr er la Soci t Marocaine des Maladies Vasculaires et nos amis tunisiens sont en train de d poser les statuts de la Soci t Tunisienne de M decine Vasculaire La SFMV est partie prenante dans ces trois soci t s un grand merci toutes celles et tous ceux qui s investissent dans ces changes toujours passionnants chacun apportant une pierre la construction de la m decine vasculaire dont chaque pays ressent un besoin r el ce rythme la sp cialit de m decine vasculaire sera une r alit de l autre c t de la M diterran e avant qu elle ne le devienne en France F licitations au Pr Mansour Brouri et toute son quipe pour avoir fait de la SAMEV une soci t scientifique digne de ce nom en perp tuant la qualit le s rieux la convivialit
110. mit e des fins de recherche essentiellement et lorsqu il y a une r sistance inexpliqu e au traitement lls permettent de localiser les zones d engraissement avec comme signes une peau paissie et la graisse sous cutan e agenc e en rayon de miel au scanner et contribuent au diagnostic diff rentiel avec le lipoed me et l insuffisance veineuse chronique g n ratrice d oed me Des techniques d IRM plus r centes pourraient donner des renseignements similaires la lymphoscintigraphie BILAN DE L TAT ART RIEL La th rapeutique majeure d un lymphoed me tant la compression m dicale il est imp ratif de conna tre l tat art riel des membres inf rieurs du patient pour choisir la compression adapt e L interrogatoire recherche une claudication intermittente l auscultation un souffle sur le trajet vasculaire du membre inf rieur La palpation des pouls est difficile en cas de Iymphoed me il est donc n cessaire de r aliser un cho Doppler art riel avec mesure de l index de pression orteil bras pour valuer la gravit d une art riopathie qui est soit d origine ath romateuse soit post radique Photo 8 chographie d me sous cutan sous forme de trav es tr s an chog nes images en rayon de miel Diagnostic diff rentiel avec e TVP e IVS e lipoed me Photo 9 Scanner e Peau paissie e Graisse sous cutan e agencement en rayon de miel e diagnostic diff rentiel avec lip d me
111. n d un cho Doppler limit en proximal semble tout de m me tendre augmenter le risque d ev nement thrombo embolique clinique 3 mois prise en charge des thromBoses sol atres et gastrocn miennes Lsol es Management of tsolated soleal and gastrocnemtus vetin thrombosts Sales CM Haq F Bustani R et al J Vasc Surg 2010 52 1251 4 TYPE D TUDE Analyse r trospective de 2 groupes de patients hospitalis s dans un h pital du New Jersey USA non randomis s l un ayant b n fici d un traitement anticoagulant curatif l autre non www stmv fr POPULATION TUDI E e patients symptomatiques ou d pistages syst matiques effectu s en r animation motifs de demande d examen non relev s e ayant b n fici d un cho Doppler m thodologie non pr cis e e pr sentant une thrombose musculaire isol e du mollet sol aire et ou gastrocn mienne sans localisation tibiale ou fibulaire associ e e ayant b n fici d un suivi cho Doppler de leur thrombose 1 mois e effectifs n 141 dont trait s par anticoagulant n 76 versus sans anticoagulant n 65 e ge moyen 71 7 ans cancer actif ds 35 a 37 des cas hospitalis s en r animation dans 37 des cas chirurgie r cente dans 47 54 des cas ant c dent de thrombose dans 8 9 des cas e pas de diff rence significative des caract ristiques de population entre les 2 groupes PRISE EN CHARGE Pas de protocole de prise en cha
112. nce Maladie afin d aboutir une volution de la r glementation Le Syndicat National des M decins Vasculaires travaille sur ce sujet et a rencontr le Directeur G n ral de l UNCAM qui a pris conscience de l incoh rence de certaines situations et de l inad quation de la r glementation face certaines pathologies importantes Il est pr vu de rencontrer les responsables du D partement des Actes M dicaux pour n gocier soit des autorisations de certaines associations soit des proc dures adapt es certains bilans lourds afin de trancher cette question et de rendre compatibles la bonne pratique m dicale et l absence de contentieux futurs 62 63 Le m decin vasculaire Le r leur La Liste monsteur Le purecteur de L AFFSAPS Je ne preseriral plus aucun des 77 m dicaments de La LISTE Mats par contre pour Les 7923 restant c est Bon Jean Pierre LAROCHE echoral pOfree fr Le monde est un chaos et son d sordre exc de tout ce qu on voudrait y apporter de rem de Pierre Corneille La Veuve Le terme de LISTE est hautement symbolique La liste des lus la liste des gagnants la liste de Schindler la liste des perdants la liste des s lectionn s la liste des recal s toute liste est synonyme de restriction et d atteinte la libert ici de prescription La publication par l AFFSAPS sous la pression m diatique compte tenu des fuites dans la presse grand public d
113. nt une dur e de suivi de moins de 7 ans contre 1 37 dans celles avec une dur e de suivi sup rieure 7 ans Cette diff rence pourrait tre expliqu e selon les auteurs par la prise d IPDE5 Comme soulign par les auteurs malgr l absence de prise en compte de tous les facteurs confondants malgr le caract re limit de la population tudi e USA et Europe et l utilisation de d finitions diff rentes de la DE cette m ta analyse confirme le niveau d augmentation du risque d v nements cardio vasculaires de la mortalit cardio vasculaire et de la mortalit toutes causes confondues des patients ayant une DE Ces r sultats justifient la fois un d pistage pr coce de la DE et la poursuite de plus larges tudes pid miologiques R F RENCES 1 BlumentalsWA et al Is erectile dysfunction predictive of peripheral vascular disease Aging Male 2003 6 21 7 21 2 BlumentalsWA et al Should erectile dysfunction be considered as a marker for acute myocardial infarction Results from a retrospective cohort study nt J Impot Res 2004 16 350 3 3 Thompson IM et al Erectile dysfunction and subsequent cardiovascular disease JAMA 2005 294 2996 3002 4 Frantzen J et al Cardiovascular risk among men seeking help for erectile dysfunction Ann Epidemiol 2006 16 85 90 5 Schouten BW et al Erectile dysfunction prospectively associated with cardiovascular disease in the Dutch general population Results from t
114. ogie de plus en plus fr quente ces derni res ann es est la cons quence d injections de drogues ou de substituts de drogues dans la peau entra nant des infections cutan es it ratives des ulc rations et des l sions progressives des vaisseaux lymphatiques C est l quivalent des mains bouffies aux membres inf rieurs auquel il faut penser en fonction du contexte Le lymph d me peut appara tre sous une forme d embl e douloureuse la racine de la cuisse il doit faire rechercher un cancer dont il est le r v lateur Les pontages art riels de revascularisation en cas d isch mie critique sont fr quemment suivis par un lymphoed me qui apr s traitement peut dispara tre ou au contraire devenir chronique Lymphoedeme Primaire Secondaire Congenital lt lan Aplasie lymphatique LO bilat ral distal Insuffisance veineuse chronique Filariose Infection r currente LO primaire 1 a 35 ans Hypoplasie lymphatique LO Unilat ral Lesion chirurgicale Radioth rapie LO tardif gt 35 ans Tumeur maligne Traumatisme Figure 1 Classification tiologique des lymphoed mes www sfmv fr Photo 1 Dos du pied bomb non visualisation des tendons et des veines superficielles Augmentation des plis cutan s transverses Lymphoed me primaire du MID stade 1 UJ Photo 3 Signe de Stemmer s il est n glig Les veinages de varices saph niennes peuvent aussi se compliquer de lymph
115. ogique ni d ailleurs pour le bilan veineux L chographie est suffisante pour poser l indication de la phl bographie pr alable l embolisation et d finit au mieux l anatomie et les anomalies des quatre axes veineux COMMENT TRAITER LES VARICES P RIN ALES La scl rose percutan e et la chirurgie des points de fuite ne suppriment pas les colonnes de pression incontinentes abdomino pelviennes avec comme cons quence possible d augmenter les douleurs par la stase et les varices par h mod tournement para t alors logique de les associer a l embolisation surtout dans le contexte des r cidives de varices des membres inf rieurs et ou des douleurs pelviennes EN R SUM Varices p rin ales signifient anomalies veineuses abdomino pelviennes La constatation en chographie d une veine ut ro ovarienne gauche dilat e suffit souvent tablir leur origine Si des douleurs pelviennes sont pr sentes chographie et ou IRM sont n cessaires pour liminer une autre tiologie La scl rose percutan e et la chirurgie des points de fuites ne r glent pas le probl me si elles ne sont pas associ es l embolisation abdomino pelnienne R F RENCES Lasry J L Copp G Balian E Borie H Insuffisance veineuse pelvip rin ale et varices des membres inf rieurs Diagnostic par chographie Doppler et traitement endoluminal chez trente patientes J Mal Vasc 2007 32 23 31 gt www DJOglobal fr
116. oie avec la m me conviction qu il a mis pour poser les fondations de notre SFMV 10 11 Les actualit s de la SFMV 3e Journ e d ensetgnement pathologie vasculatre organts par La SAMEV soci t ale rienne de m decine vasculatre en partenartat avec La SFMv Jean Pierre LAROCHE echoraljp free fr Alain VIARD av09F wanadoo fr Ces 3 journ es ont eu lieu Alger du 17 d cembre au 19 d cembre 2010 Les principaux th mes abord s taient le r glage des appareils d chographie la thrombose veineuse profonde l insuffisance veineuse superficielle la maladie veineuse post thrombotique la compression m dicale Il s agissait d expos s th oriques associ des ateliers de pratiques sur le rep rage des veines saph nes en cho Doppler le diagnostic de la thrombose profonde le Doppler transcr nien l cho Doppler des art res r nales mais aussi des ateliers interactifs avec des cas cliniques notamment sur MTEV et Cancer Le Pr Rachida Guermaz a pr sent un vaste projet soutenu par la SAMEV H pital sans Thrombose projet ambitieux mais tout fait r alisable un projet dont on pourrait s inspirer Sensibiliser les quipes soignantes des h pitaux et les patients afin de mettre en place une thrombo prophylaxie veineuse efficace en m decine Un projet de cette envergure fait honneur la SAMEV Plus de 100 m decins ont assist ces trois jours d enseignement avec une grande assiduit et une v
117. olution d une pathologie d observer un groupe de patients mais bien d valuer la pratique du m decin Ainsi pour prendre l exemple de l AOMI on n interpr tera pas le chiffre de l IPS mais on s int ressera uniquement au fait de savoir si celui ci a t mesur ou non Cette gymnastique n est pas vidente et l on a souvent tendance vouloir analyser les donn es scientifiques et pas la pratique des m decins bien que parfois ces deux objectifs se rejoignent La m thodologie HAS pour qu une base de donn e un registre o un observatoire soit ligible au DPC est simple en voici le texte int gral de la synth se encadr 1 Le support est un formulaire d valuation que le participant doit renseigner chaque fois qu il rencontre un patient r pondant aux crit res d inclusion Le caract re r p titif de la saisie participe bien entendu l appro priation des recommandations et la modification progressive de la pratique il s agit d une valuation formative La p riode d valuation est fix e au d part soit en nombre de cas inclure soit en dur e Pendant cette p riode le m decin engag www sfmv fr dans le programme re oit un retour d information qui lui permet de comparer sa pratique aux groupes de m decins engag s Ce retour d information est indispensable il suffit souvent lui seul entrainer une modification significative des pratiques LA MISE EN UVRE DES ACTION
118. on aurait eu mauvais gr de se plaindre En m me temps la r glementation continuait de virevoltait tous vents et les obligations devenaient distinctes entre FMC et Evaluation des Pratiques Professionnelles Qu a cela ne tienne la SFMV jamais distanc e et m me plut t en avant avait en poche les deux agr ments et bient t deux conseils FMC d une part qualit de l autre pour la mise en oeuvre de EPP promise une place grandissante C T FMC les t ches les plus imm diates taient l organisation des ateliers lors des congr s l accompagnement des actions des r gions la formation des formateurs lors des journ es annuelles Jean Paul Chantereau Les ateliers victimes de leur succ s s taient multipli avec un risque de redondance de th mes de formation initiale d encombrement des congr s et une qualit qui n tait plus totalement garantie Le conseil de FMC fort de la participation active de tous ses membres s est attach une valuation plus fouill e de ces ateliers un suivi des responsables invit s un retour r gulier d exp rience A Lille et sur les congr s suivant les ateliers de pratique quotidienne se d rouleront sur une demi journ es d di e le mercredi apr s midi Cela permettra aux participants comme aux responsables d assister plus facilement aux sessions des jours suivants Certains ateliers cibl s en ad quation avec les th mes du congr s ou de besoins point s par
119. ont effectu s incompl tement COMMENT RECONNA TRE L INSUFFISANCE VEINEUSE PELVIPERINEALE Les douleurs pelviennes ne constituent pas un motif de consultation pour angiologue Par contre les varices p rin ales de topographie si particuli re vulvaire face interne et post rieure de cuisse doivent inciter rechercher une IVPP par l chographie abdominale sonde 3 5Mhz La constatation d une veine ut ro ovarienne gauche dilat e diam tre gt 8mm et incontinente reflux gt 2sec de loin la plus concern e suffit tablir le lien avec les varices p rin ales Hobbs JT On value dans le m me temps le degr d une ventuelle pince m sent rique et la pr sence d anomalies ilio caves qui peuvent contre indiquer le traitement La recherche des varices param triales et ut rines n cessite une sonde endovaginale elles sont alors faciles identifier Quand aux points de fuites inguinaux et p rin aux d crits par C Franceschi la technique est peu pratiqu e www sfmv fr un raduologue LA RELATION ENTRE ANOMALIES VEINEUSES ABDOMINALES ET VARICES PERINEALES ETANT ETABLIE DOIT ON FAIRE D AUTRES EXAMENS Oui si elles sont associ es des douleurs pelviennes car il faut liminer les autres pathologies de la sph re g nitale masses ut ro ovariennes endom triose par l cho graphie et ou l IRM Non s il n y a pas de douleurs Le scanner n a pas sa place dans cette recherche tiol
120. ontre placebo ont mis en i di vidence l activit th rapeutique du m dicament en ph bologi dans i Wi a trallement de Mnut sete veineusa Chronique das membres inferi gt n fonctionnelle et a Posologie et dup n mode d administration nes fanci c en garde GH insuffisance veinalymphatique ise h merodare l administration de ce produit ne dispense pas du traitement sp cifique 2 comprim s par jour soit 1 midi et 1 le sor des autres maltes anales Le traitement doit tre de couta dur e Si les symot mes ne c dant au momant des tapas Crise h morroidaire pes rapidement un examen prociologique dot tre pratiqu et e traitement doit tre revu 6 comprim s par jour les 4 premiers jours pus 4 comprim s Grossesse el allaitement Grossesse des lues exp mentales chez l animal mont par jour pendant 3 jours Bote de 60 comprim s AMM 383 419 3 pes mis en vidence d effet t ratog ne Par ailleurs dans l esp ce humaine aucun effet n faste Non rembours S curit sociale Non agr s Collectivit s Information m dicale n a t rapport ce jour ANafement en l absence de donn es sur le passage dans le lat Euth rapie T L 01 55 72 60 00 Les Laboratoires Servier 22 rue Gamier 92576 maternal l alaitement est d conseill pendant amp dur e du traltement Effets ind sirables Neuilly sur Saine Cedex Pour une information compl te cf ACP sur le sita F Wan ataapa Pr ou d faut sur demande aupr
121. oronaropathie silencieuse Dans cette tude Corona d montre la fois que le PSV de repos est corr l au PSV apr s injection de PGE1 avec une bonne pr cision diagnostique et qu un PSVr lt 13 cm s est pr dictif d une baisse de la r serve coronaire en scintigraphie de stress Mais ce dernier r sultat concerne une tr s petite s rie de patients diab tiques et sera confirmer sur de plus larges s ries de patients diab tiques et non diab tiques Par ailleurs les auteurs soulignant l effet moins anxiog ne de la mesure du PSVr il aurait t int ressant de connaitre la valeur pr dictive d un PSV apr s injection de PGE1 sur la baisse de la r serve coronaire chez ces patients le PSV n ayant semble t il t enregistr qu apr s administration d ad nosine Enfin le co t est voqu comme argument en faveur de l absence d injection mais il faut pr ciser que le surcout est en France celui de la PGE de l ordre de 25 30 Euros Quant au risque d rection prolong e il est peu fr quent lorsqu est utilis e une dose de 10ug de PEGI 0 1 Dans le futur une standardisation du PEDP sera n cessaire dans ses conditions d enregistrement notamment son timing et dans la nature et la dose de la drogue inject e R F RENCES 1 Mancini Bartolini Maggi Innocenti Villari amp Forti Duplex ultrasound evaluation of cavernosal peak systolic velocity and waveform acceleration in the penile flaccid st
122. ous vous posez sur les diff rents sujets concernant le domaine de la microcirculation du lymphoed me de la thrombose et de la thrombophilie de l insuffisance veineuse pelvienne de la prise en charge des facteurs de risque cardiovasculaire et de l hypertension art rielle et des explorations ultrasonores sur le plan th orique et pratique Et bien s r deux s ances de communications libres v ritable reflet de la vitalit d une soci t scientifique sont pr vues La date limite de r ception de ces communications est fix e au 31 mai 2011 Le samedi matin votre congr s se cl turera par une session FMC pratique et interactive sur le th me de l ulc re dans laquelle nous esp rons vous apporter une vision novatrice de la prise en charge multidisciplinaire Quelques grands changements par rapport aux congr s pr c dents le congr s de Lille d butera par les ateliers le mercredi 21 septembre La s ance du vendredi 23 septembre s organisera en multisessions Une session sera anglophone avec discussion traduite Les plus anciens d entre vous s en souviennent depuis 1996 l accueil de notre r gion est festif et m morable Lille a la r putation d tre une ville magnifique et anim e La soir e de gala promet un merveilleux moment convivial Les accompagnants sont bien entendus les bienvenus Un programme hors congr s sera pr vu pour eux en fonction de la demande Et j esp re qu en 2011 la fin de l t sera comm
123. primante d di e mais pour exporter des images il est n cessaire d utiliser une clef USB ou graver un CD donc rien d instantan a tout cela et chacun sait combien la simplicit d utilisation est un facteur important de l appropriation d un outil logiciel POURQUOI VOLUER VERS UNE SOLUTION DICOM POUR L ICONOGRAPHIE Depuis le d veloppement de l imagerie num rique en coupe TDM IRM et celui des logiciels de reconstruction d image il a t n cessaire de d finir un format d di l imagerie m dicale Ce format a recu le nom de DICOM Digital Imaging and COmmunications in Medicine Les chographes num riques ob issent la r gle et sont con us pour s int grer dans l imagerie m dicale num rique Ils savent donc faire transiter l iconographie d un patient au format DICOM vers une station de travail pour analyse diagnostique post traitement impression et archivage des images Dans ce format DICOM un examen est constitu d une s rie de valisettes comprenant pour l une l identifiant du patient pour l autre l identification de l examen et les param tres de la machine et enfin les images acquises Ces diff rentes valisettes sont li es dans un ordre pr cis et cheminent comme une sorte de petit train sur le r seau entre la machine qui les produit et les stations de travail sur lesquelles elles peuvent tre visualis es Viewer ou visionneuse Dicom trait es station de travail post trait
124. que ou plus rapproch e tous les trois mois Au stade Il si le volume augmente et au stade III il est licite de proposer une physioth rapie d congestive compl te avant de prescrire la compression d finitive Elle se divise en deux p riodes successives 1 la phase initiale dite intensive destin e r duire le volume du Iymphoed me gr ce l association de DLM et de bandages r ducteurs peu lastiques ou non lastiques multicouches soins de peau et exercices sous bandages Cette phase peut tre effectu e en hospitalisation dans des centres sp cialis s cf liste des principaux centres pour les cas les plus s v res avec handicap ou contexte socio psychologique d favorables de 5 jours ou deux trois fois 5 jours avec des bandages gard s 24h 24 mais aussi en ambulatoire en particulier dans les cas moins s v res par un kin sith rapeute lib ral bien form ces techniques En fin de r duction maximale de l oed me l orth se de compression d finitive sera mise en place Au membre inf rieur la compression peut tre tr s forte jusqu la classe 8 n cessitant la superposition de deux bas Au cours de cette p riode sont trait es les complications cutan es ulc rations mycoses En cas de papillomatose invalidante une pr paration la chirurgie de r section est mise en uvre L apprentissage des auto drainages et auto bandages ainsi que des mesures d hygi ne de vie est effectu ainsi qu une
125. r quente est l angiosarcome de Stewart Tr ves d crite initialement au membre sup rieur mais il peut aussi survenir sur des lymphoed mes primaires et secondaires du membre inf rieur L aspect clinique comprend au d but des aspects pseudo ecchymotiques puis des macules violac es des l sions phlyct nulaires s ro h matiques et des ulc rations Des douleurs sont fr quemment associ es doit tre diff renci des m tastases avec nodules de perm ation cutan s Le diagnostic est confirm par l histologie Le pronostic reste tr s mauvais malgr les diff rents traitements propos s amputation du membre radioth rapie externe polychimioth rapie syst mique D autres tumeurs malignes peuvent se d velopper maladie de Kaposi lymphomes malins m lanomes carcinomes pidermo des baso ou spinocellulaires La stase lymphatique et le d ficit immunitaire local sont incrimin s dans la survenue de ces tumeurs malignes www sfmv fr Les Lymphoedemes du membre unf rteur 7 4 LES COMPLICATIONS ART RIELLES ET VEINEUSES Les complications art rielles et veineuses ne sont pas rares il peut s agir d une thrombose veineuse profonde d une claudication veineuse li e une st nose veineuse ou d une claudication art rielle post radique pure ou associ e une art riopathie ath romateuse 7 5 LES ATTEINTES RADICULAIRES Plus rares sont les atteintes radiculaires sous forme de cruralgies et ou sciata
126. rapie syst mique mettre en place de fa on urgente Aucun traitement local n est n cessaire Le traitement de premi re intention est une antibioth rapie per os La pristinamycine Pyostacine 3 g j est le traitement de r f rence On peut aussi utiliser l amoxicilline 3 4 5 g j La dur e du traitement est de 14 jours Les AINS et les cortico des ne doivent pas tre utilis s en traitement adjuvant car ils majorent le risque de fasciite n crosante Les anticoagulants ne sont utiles que pour les membres inf rieurs et en cas de facteurs de risques surajout s la p riode aigu de l rysip le il est raisonnable d arr ter les drainages lymphatiques manuels et la pressoth rapie pneumatique Une compression mod r e peut continuer tre utilis e Le risque de r cidive d rysip le sur lymphoed eme est lev 50 dans l ann e qui suit le premier pisode Apr s un rysip le il faut renforcer le traitement du Iymphoed me car sa r duction diminue le risque de 28 29 FORMATION MEDICALE CONTINUE r cidive Le traitement des portes d entr e doit tre syst matique par le lavage l eau du robinet et au savon l utilisation d antiseptique n a jamais fait la preuve de son efficacit La pr vention fait aussi appel l hydratation r guli re de la peau apr s lavage et s chage En cas de deux pisodes d rysip le s par s de moins de 6 mois ou de r cidives plus espac es mais nombre
127. rdinateur de bureau Lorsque l examen est termin il suffit de retourner a son bureau d ouvrir la workliste du logiciel DICOM de cliquer sur le nom du patient Les images apparaissent et il est possible de s lectionner les images a imprimer en quelques clics de les exporter pour les archiver avec une identification par pathologie par exemple et enfin de les exporter la plupart du temps directement par mail vers l adresse de son choix e aucune perte de donn e Les images num riques sont conserv es sur l ordinateur de bureau ou mieux sur un disque dur externe et transitoirement sur l chographe S il existait un d faut de communication entre l chographe et le PC les donn es tant enregistr es sur le disque dur de l chographe d s que la connexion se r tablit l chographe r exportera spontan ment les images vers la station DICOM Les logiciels DICOM sont parfaitement capables de g rer les images fixes mais aussi les s quences de cin Les images DICOM natives sont parfaitement adapt es au diagnostic m dical contrairement aux images compress es JPEG et autres Ces logiciels DICOM vont permettre en g n ral d importer les images de scanner et d IRM de vos patients lorsqu ils ont le CD avec eux Pour les passionn s vous pourrez d s lors r cup rer les images et faire instantan ment des pr sentations associant et comparant les images d une m me l sion COMMENT VOLUER VERS UNE SOLUTION DICO
128. rge ni de compte rendu cho Doppler standardis et pr cis des localisations par axe veineux thrombose dite distale ou m diane ou proximale CRIT RES DE JUGEMENT 1 MOIS Evalu s sur une relecture comparative des enregis trements vid o des 2 explorations cho doppler initiale et de suivi 1 mois pour chaque patient L extension cho doppler proximale de la thrombose aux collecteurs tibiaux ou fibulaires ou poplit e 2 extension totale extension proximale ou augmentation cho Doppler de la charge thrombotique des seules veines musculaires R SULTATS 1 Extension proximale 1 mois dans groupe trait 13 10 76 dans groupe non trait 11 7 65 Pas de diff rence significative entre les 2 groupes p 0 83 2 Extension totale 1 mois dans groupe trait 33 25 76 dans groupe non trait 28 18 65 Pas de diff rence significative entre les 2 groupes p 0 50 La pr sence d une insuffisance r nale s v re ou d un AVC augmentait significativement le risque d extension COMMENTAIRES ET R SERVES La relecture comparative de vid o pour faire un diagnostic d extension n a jamais t valid e et laisse perplexe L absence de randomisation emp che de conclure bien que les patients des 2 groupes ne semblent pas significativement diff rents pour les facteurs de risque test s Les taux d extension sont lev s mais concernent des patients hospitalis s dont plus d
129. rigine de lymphorrh es Le signe du godet dispara t L volution se fait vers l hyperk ratose la pachydermie et l extr me l l phantiasis Photo 4 Les ongles jaunissent et peuvent tre le si ge de dystrophies ongles retourn s vers le haut D autres pr sentations sont possibles dans 10 des cas le d but est proximal Photo 5 ou l oed me est suspendu la partie sup rieure de la cuisse et peut atteindre les organes g nitaux 24 25 M DICALE FORMATION i CONTINUE Photo 6 Lymphoed me cong nital bilat ral enfant Chez l enfant l d me a une consistance lastique d pressible sans godet Photo 6 Dans ce cas le diagnostic est plus difficile et il est imp ratif de rechercher une cause de compression par scanner abdomino pelvien et examens biologiques Chez l enfant il est important de noter tous les autres signes pathologiques pour d terminer s il s agit d un Iymphoed me isol ou associ d autres anomalies afin d am liorer la prise en charge et de susciter une consultation g n tique 5 des lymph d mes primaires tant h r ditaires LYMPH D ME SECONDAIRE Apr s un temps de latence tr s variable apr s l v nement causal il d bute en g n ral d un c t la racine de la cuisse puis il descend plus ou moins rapidement vers la distalit Il n y a pas de signe de Stemmer quand le pied n est pas touch Mais il peut aussi d buter par le pied et tre
130. rte abdominale et surveillance des petits an vrysmes de l aorte abdominale argumentaire et recomman dations de la Soci t Fran aise de M decine Vasculaire Puisqu il faut bien parler de choses qui n existent pas encore les registres observatoires bases de donn es et je rajouterai les suivis d indicateurs sont des m thodes valid es par la HAS qui permettent d engager un grand nombre de m decins dans une d marche d am lioration des pratique continue ou permanente et au final de simplifier la t che des participants comme des organisateurs R F RENCES 1 HAS bases de donn es observatoires registres guide m thodologique Registres observatoires bases de donn es et EPP mai 2008 2 HAS suivi d indicateurs guide m thodologique 3 Surdosage en AVK situations risque et accidents h morragiques Argumentaire Sang Thromb Vaiss 2008 20 N sp cial juillet 2008 4 chographie doppler dans l art riopathie oblit rante des membres inf rieurs 2002 5 Art riopathie chronique oblit rante des membres inf rieurs AOMI 16 11 2006 6 Prise en charge de l art riopathie chronique oblit rante ath roscl reuse des membres inf rieurs Indications m dicamenteuses de revascula risation et de r ducation Le m decin vasculaire A LA CONQU TE DU DICOM DOUrQUOL pour Qut comment Antoine DIARD antoine diard gmail com Si les Phone ou autre smartphones sont quotidiennement utilis s pour part
131. s CHU de Montpellier H pital St Eloi 34295 MONTPELLIER Cedex 05 T l 04 67 33 70 28 04 67 33 70 24 Dr St phane VIGNES Unit de lymphologie H pital Cognacq Jay 15 rue Eug ne Million 75015 PARIS T l O1 45 30 81 35 Dr Dominique EVENO La Tourmaline Centre de R ducation Boulevard Allende BP 249 44818 SAINT HERBLAIN Cedex T l 02 40 38 57 47 Pr Jean Fran ois RODIER LO Il Service de Chirurgie Oncologique Centre Paul Strauss BP 30042 3 rue Porte de l H pital 67065 STRASBOURG Cedex T l 03 88 25 24 27 Pr BURA RIVIERE M decine Vasculaire CHU Rangueil B timent H1 1 avenue du Pr Jean Poulh s TSA 50032 31059 TOULOUSE cedex 9 Pr Lo c VAILLANT Service de Dermatologie Pr Lorette H pital Trousseau CHRU de Tours Avenue de la R publique 37044 CHAMBRAY LES TOURS T l 02 47 47 90 32 33 nd es du mollet non tr 27 e Se veu d de e p E E Les ThromBoses velneuses distales symptomatiques quot de neuf 3 articles a propos des thromBoses vetneuses distales Analyse par Marie Th r se Barrellier barrellier mth chu caen fr Depuis vingt ans la question de la pertinence clinique et de l opportunit du traitement des thromboses veineuses distales et par suite de leur recherche en cho Doppler reste pos e Elle est abord e par deux types d tudes 1 Des tudes de suivi de thromboses distales 2 Des tudes de suivi de populations ayant b n
132. s pendant 3 mois e poursuite autoris e d un ventuel traitement anticoagulant posologie pr ventive effectifs non pr cis s dans le groupe compression lastique seule e suivi cho doppler J 3 J 10 12 1 mois et 3 mois CRIT RES DE JUGEMENT D EFFICACIT 3 MOIS e extension cho Doppler proximale aux collecteurs tibiaux fibulaires ou poplit ou embolie pulmonaire clinique confirm e e recanalisation disparition compl te de la thrombose musculaire l cho Doppler CRIT RES DE JUGEMENT DE S CURIT 3 MOIS H morragies majeures ou d c s non li s une embolie pulmonaire R SULTATS Extension proximale 3 mois e dans le groupe Fraxodi chaussettes classe Il 3 1 2 54 e dans le groupe Chaussettes classe Il 3 8 2 53 Pas de diff rence significative entre les groupes p 0 99 RECANALISATION 3 MOIS e dans le groupe Fraxodi chaussettes classe Il 66 36 54 e dans le groupe Chaussettes classe Il 60 32 53 Pas de diff rence significative entre les groupes p 0 23 S CURIT e Aucune h morragie majeure ni d c s Malgr l absence de sup riorit d un traitement HBPM durant 10 jours compar au port d une chaussette de compression de classe 2 durant 3 mois l auteur propose une approche individuelle avec un traitement HBPM durant 1 mois pour les patients ayant un cancer actif ou plusieurs facteurs de risque www sfmv fr et un suivi cho doppl
133. s une question encore Mr le Directeur a t on vraiment besoin de 8000 m dicaments Une question laquelle il faudra un jour r pondre une question essentielle mais cela ne nous regarde pas Pour terminer faisons r f rence Jean de Kervasdou et son dernier ouvrage la peur est au dessus de nos moyens o pour en finir avec le principe de pr caution Ed Plon 2011 tout est dit l esprit des Lumi res s teint dans le pays qui l a vu na tre Progressivement mais s rement moins que 64 65 Le m decin vasculaire courrier des Lecteurs varices perin ales point de vue d interventionnel Jean Louis LASRY jean louis lasty orange fr Voila sept ans que nous travaillons avec G rard Copp sur les varices pelviennes Notre tude concerne l implication des varices p rin ales dans les varices des membres inf rieurs et leurs r cidives Elle a pour objectif de simplifier la reconnaissance de l insuffisance veineuse pelvip rin ale IVPP par l chographie et de v rifier l efficacit de son traitement par embolisation Posters ateliers et publications ont rapport successivement notre exp rience dans ce domaine afin de sensibiliser la sp cialit vasculaire aux varices p rin ales Or je constate dans la plupart des communications et des articles que la porte d entr e dans l IVPP reste la douleur pelvienne que l on complique les explorations et que les traitements s
134. s du laboratoire CRISE H MORRO DAIRE 6 COMPRIM S PAR JOUR PENDANT 4 JOURS PUIS 4 COMPRIM S PAR JOUR PENDANT 3 JOURS Premier m dicament veinotonique en unit s IMS Health septembre 2008 edutortal G rard COPP coppeg aol com Jo l CONSTANS joel constans chu bordeaux fr Le renouvellement du conseil d administration de la SFMV donnera lieu la d signation d un nouveau bureau au mois de mars Avant de pr senter f licitations v ux et encouragements la nouvelle quipe voici un bilan du trajet parcouru au fil de ces trois ann es 2008 2011 BILAN DU BUREAU DE LA SFMV RECONNAISSANCE DE LA M DECINE VASCULAIRE Ces trois derni res ann es furent difficiles pour la reconnaissance de la m decine vasculaire La SFMV a jou son r le aux c t s des autres instances CNU CEMV CNPMV dans ce difficile combat de la reconnaissance de la m decine vasculaire comme sp cialit m dicale part enti re avec un cursus de formation initiale adapt Apr s l espoir d u d une solution rapide pour la formation initiale les m decins vasculaires se sont mobilis s avec force pour d fendre leur profession Ainsi plus de 1 16000 p titions ont t recueillies et adress es aux minist res concern s pour le soutien de la m decine vasculaire l initiative de la SFMV et du SNMV Le travail actuel de la CNIPI Commission Nationale sur l Internat et le Post Internat sur la r forme de la formation initiale
135. s et ses inconv nients La chronicit de la maladie fait proposer au malade une strat gie th rapeutique adapt e chaque cas et laquelle il adh re le traitement le plus adapt tant celui qui apporte la meilleure qualit de vie et pas forc ment le plus de r duction volum trique Le patient ne doit pas devenir d pendant du DLM ou de son kin sith rapeute ce qui risquerait de le confiner dans une attitude de passivit et de r signation plut t que d activit Ceci permet de n gocier avec lui le contrat th rapeutique pour s assurer de sa compliance au traitement qui est long et contraignant mais ce n est que dans ces conditions qu il s av rera efficace Les modalit s d application de cette th ra peutique se font avec quelques variantes par des kin sith rapeutes ou des infirmi res sp cialis s en fonction du degr de s v rit clinique Ainsi au stade il est propos le port d une chaussette ou bas de force 2 ou 3 avec surveillance annuelle ou bisannuelle pour voir si l ed me est stable ou au contraire volue avec apparition de v sicules sur les orteils ce qui n cessite de mettre en place l appren tissage des auto bandages des orteils et du pied Au stade Il avec augmentation de volume inf rieure 20 par rapport au c t sain le bas de compression doit tre de force 3 et peut tre associ a des DLM raison d une s ance par semaine ou tous les 15 jours La surveillance est identi
136. spositions G n rales document fondamental d une soixantaine de pages repr sentant le mode d emploi un peu complexe de cette nomenclature CE QUI N EST PAS ASSOCIABLE Ainsi r gle fondamentale et finalement simple un acte d chographie ne peut pas tre associ un autre acte d chographie Dispositions G n rales Livre Articles l 11 et 1 12 et Livre III Article 111 3 B 2 d Les seules d rogations possibles concernent la possibilit d associer une chographie d organes intra abdominaux a une chographie de la thyro de des seins ou des testicules ce qui concerne surtout nos confr res radiologues Les actes d chographie doppler sont assimil s aux actes d chographie dans la nomenclature de m me que les cho dopplers de contr le qui ne peuvent porter galement que sur un seul territoire Dans notre pratique vasculaire deux actes d cho doppler ne sont donc jamais cumulables en dehors de l association EDTSA et EDAMI pr vue sous le libell EBQMO02 dit acte de proc dure II convient alors en cas d association de ces 2 actes dans la m me s ance d utiliser ce libell unique EBQMOO2 et non EBQMOO1 EDQMOO1 En dehors de ce cas pr cis il est donc impossible de tarifer dans la m me s ance deux cho dopplers portant sur des territoires diff rents Si deux examens sont prescrits et justifi s il n y a pas d autre possibilit que celle de faire revenir le patient m me si la caisse doi
137. st imp ratif d avoir un descriptif pr cis du niveau de risque thromboembolique de la population d origine et de bien prendre en compte en particulier le taux de cancers actifs dans les groupes compar s puisque c est un facteur de risque d extension bien identifi et consensuel 1 Trois nouvelles tudes apportent quelques pierres plut t dans le camp des contre leur diagnostic Palareti G 2010 ou contre leur traitement par anticoagulant Sales CM 2010 et Schwarz T 2010 evolution des thromBoses velneuses profondes du mollet non tratt es chez Les patients externes symptomatiques de haut risque etude CALTHRO prospective et en aveugle evolution of untreated calf deep vetn thromBosts in high risk symptomatic outpattents the Blind prospective cALTHRO study Palareti G Cosmi B Lessiani G et al Thromb Haemost 2010 104 1063 70 TYPE D TUDE e Prospective dans 2 centres italiens d exploration vasculaire ayant compar la s curit 3 mois d un cho Doppler proximal r p t n gatif vs un cho Doppler complet unique n gatif POPULATION TUDI E e patients externes adress s par leur m decin traitant pour suspicion de thrombose veineuse profonde sans signes d embolie pulmonaire 34 35 Bibliographie e patient ligible si le 1er cho Doppler limit en proximal tait n gatif alors que le score de probabilit clinique tait lev ou les D Dim res gt 500 ng ml e
138. t ventuellement payer deux transports Si on souhaite vraiment effectuer les deux actes dans le m me temps le deuxi me ne peut tre que gratuit Faire revenir nos malades pour effectuer la totalit du bilan en plusieurs temps ne va pas dans le sens de la bonne pratique m dicale diront la plupart d entre nous Il appara t certes illogique de reconvoquer un patient souvent g parfois peu mobile avec un deuxi me transport la charge de l assurance maladie Concernant les honoraires la r gle g n rale tant de tarifer le deuxi me acte la moiti de sa valeur et ventuellement de r aliser le troisi me gratuitement il y a videmment surco t pour l assurance maladie si l on doit recevoir le patient deux fois voire trois fois pour la r alisation d un acte plein tarif Par ailleurs nous sommes tenus de respecter l article 8 du Code de D ontologie repris par l article R 4127 8 du Code de la Sant Publique qui pr cisent que le praticien a obligation de limiter ses prescriptions et ses actes ce qui est n cessaire la qualit la s curit et l efficacit des soins A l incoh rence s ajoute donc une contradiction CE QUI EST ASSOCIABLE La r gle g n rale nous dit L association de deux actes au plus peut tre tarif e L acte dont le tarif hors modificateurs est le plus lev est tarif taux plein le second est tarif 50 de sa valeur Article 111 3 B 1 Mais cett
139. t son fid le ami Powervote n auront pas peur de faire tomber d autres t tes EN CONCLUSION Le DPC est une belle promesse que nous avons pris le pari de suivre n tant pas du genre regarder les trains passer en regrettant le bon vieux temps Loin des pol miques et atermoiements administratifs et professionnels le mode d entr e des m decins pourrait tre bien plus simple qu il n y para t et la mise en place du DPC ne fera que formaliser des pratiques souvent d ja tablies La seule inqui tude tient ce vide r glementaire transitionnel naturellement d mobilisateur o la qualit de notre FMC risque d tre d laiss e Esp rons cette crainte infond e et qu ayant go t le meilleur on ne puisse plus s en passer On compte sur votre exigence activit du conseil scientifLque Isabelle QU R i quere chu montpellier fr Depuis trois ans sous la pr sidence du Pr Joel Constans le conseil scientifique a poursuivi sa politique de diffusion des connaissances et de promotion de la recherche clinique en m decine vasculaire UNE STRUCTURATION INTERNE DU CONSEIL SCIENTIFIQUE Le conseil scientifique a structur pour ce faire une organisation qui repose sur le partage des responsabilit s au sein du conseil scientifique Il existe ainsi e Un comit d organisation du programme scientifique des congr s de la SFMV sous la responsabilit du Pr Gilles Pernod Le comit scientifique de chaque congr s est a
140. tenu pour un financement UNE VOLUTION DES ORGANISATIONS La s ance du conseil scientifique lors des congr s de la SFMV est destin e aux membres de la SFMV et son objectif est que chacun puisse tre inform partager et participer d une fa on ou d une autre aux diff rents projets de la SFMV Cette s ance a v cu sous sa forme actuelle Lors du congr s de Lille nous proposerons une nouvelle forme de s ance avec un focus sur les grands choix et projets de recherche strat giques de la SFMV de 45 min puis une s ance de type hotline centr e sur les Les actualit s de la SFMV d veloppements diagnostics et th rapeutiques r cents en collaboration et compl ment des ann es vasculaires La forme sera celle d une pr sentation courte en 10 1 Th matique Maladie thromboembolique veineuse min d un essai suivie de sa critique m thodologique en a Cactus en cours d inclusion il reste 144 5 min par un autre expert Ces formes de communication patients inclure en France inclusion de 13 s av rent tr s p dagogiques Les r sultats des travaux nouveaux patients depuis la reprise des scientifiques seront syst matiquement pr sent s en inclusions en D cembre 2010 Il faut s ances de communication libres ou en s ances maintenir l effort pl ni res th matiques b Projet syndrome post thrombotique en cours de recherche de financement r ponse aux appels d offre institutionnels et recherche de cofinancement BIL
141. tenue par l adventice fig 2 L histoire naturelle est mal connue et l volution peu pr visible Ces UPA peuvent rester longtemps stables mais un traitement sera propos en cas douleur de progression pas de crit re de diam tre d fini voire de rupture Les endoproth ses couvertes permettent maintenant une prise en charge peu invasive de ces l sions qui touchent le plus souvent Figure 1 angioscanner des UPA 1 et 2 vus en chographie des sujets g s R F RENCES 1 Batt M Haudebourg P Planchard PF et al Penetrating atherosclerotic ulcers of the infrarenal aorta life threatening lesions Eur J Vasc Endovasc Surg 2005 29 35 42 2 Eggebrecht H Plicht B Kahlert P et al Intramural hematoma and penetrating ulcers indications to endovascular treatment Eur J Vasc Endovasc Surg 2009 38 659 665 3 Vilacosta Roman JA Acute aortic syndrome Heart 2001 85 365 368 4 Ventura M Mastromarino A Cucciolillo L et al Abdominal aortic intramural hematoma related 5 to penetrating ulcer an inappropriate indication for endovascular A repair J Endovasc Ther 2003 10 392 396 A 6 Coady MA Rizzo JA Hammond GL et al Penetrating ulcer of the thoracic aorta what is it How do we recognize it How do we A 7 Eggebrecht H Baumgart D Herold U et al Multiple penetrating atherosclerotic ulcers of the abdominal aorta treatment by endovascular stent graft placement Heart 2001 85 526 for penetrating a
142. therosclerotic ulcer in the infrarenal abdominal aorta J Vasc Surg 2003 38 383 388 9 Palombo Mambrini 2009 manage it J Vasc Surg 1998 27 1006 1016 1 8 Tsuji Y Tanaka Y Kitagawa A et al Endovascular stent graft repair gt a 10 Hylick D rr 2010 Figure 2 histoire naturelle des UPA www sfmv fr Les fiches de La Lettre du m decin vasculaire Nous lancions au congr s de Nice il y a deux ans les fiches de la LMV Nous avions imagin s des fiches pratiques utiles lors de la consultation couvrant tous les domaines d expertises de notre m tier Vous pourrez encore vous procurer un classeur ou en contactant Nadia Dauzat et Isabelle Dauriac Le m decin vasculaire MefLons nous des assoctattons Bruno GUILBERT guilbert angio wanadoo fr La pratique m dicale r pond des r gles impos es par notre art et nos techniques r gles que nous avons bien en t te et que nous respectons de fa on naturelle Elle est aussi faite de r glementations parfois complexes que les cliniciens que nous sommes peu form s et peu enthousiastes au maniement des textes ont parfois tendance ignorer ou interpr ter de fa on erron e Les actes m dicaux dits techniques par opposition aux actes cliniques taient autrefois r gis par des textes diff rents suivant le statut du praticien La Nomenclature G n rale des Actes Professionnels s imposait au secteur lib ral alors que le Catalo
143. thie silencieuse aucune tude n avait t r alis e jusqu pr sent sur son r le potentiel dans le d pistage des patients haut risque d v nements cardio vasculaires majeurs M THODOLOGIE 1 687 patients cons cutifs d ge moyen 53 ans et consultants pour DE pour la premi re fois ont t inclus entre 2000 et 2007 Un sous groupe de 957 patients a b n fici apr s 2002 d un PEDP avec enregistrement du Pic Systolique de Vitesse PSV au repos et 20mn apr s injection de 10ug de prostaglandine El PGE1 L insuffisance art rielle rectile tait d finie par un PSV post injection PSVpi lt 25 cm s et par un PSV au repos PSVr lt 25 cm s Le recueil des v nements majeurs concernait les v nements coronaires fatals et non fatals les morts subites les AVC l AOMI utilisation des registres hospitaliers et de la ville de Florence pour les d c s R SULTATS Sur une dur e de suivi de 4 3 2 6 ans 139 v nements majeurs ont t collig s taux annuel de 0 23 dont 85 cardiaques 40 c r braux et 14 AOMI Une DE s v re d finie par la difficult obtenir une rection dans plus de 75 des cas tait significativement www sfmv fr associ e une augmentation du risque d v nements cardiovasculaires majeurs ECVm OR 1 75 IC 1 10 2 78 de m me que la difficult d obtenir une rection mais non de la maintenir ainsi que la diminution du d sir sexuel chez la partenaire OR 2
144. tiliser au minimum quotidiennement un support non tiss impr gn d un produit d tergent d sinfectant pour la d sinfection des dispositifs m dicaux non critiques ou semi critiques r utilisables ne supportant pas l immersion niveau de preuve 4 UTILISATION ET ENTRETIEN DES SONDES ET DES GELS 1 LES SONDES D CHOGRAPHIE Elles sont de 2 types e Petit calibre sondes endo vaginales Elles doivent tre prot g es par un pr servatif livr emball de fa on unitaire il est propre mais non st rile ce qui suffit en g n ral e Moyen calibre type chographie abdominale Elles doivent galement tre prot g es par un pr servatif de taille adapt e qui sera propre emball dans un emballage unitaire s il s agit d chographie externe St rile en emballage unitaire galement s il s agit d chographie per op ratoire Dans les deux cas apr s utilisation le pr servatif est limin et la sonde d chographie d sinfect e avec une lingette usage unique impr gn e de d tergent d sinfectant type BACTINYL Il faut viter absolument le rangement des sondes d chographie t te en bas dans une rainure ou un logement impossible a d sinfecter Les nouveaux chographes comportent des rangements de sondes d chographie verticaux t te en haut ce qui est tout fait correct 2 LES GELS D CHOGRAPHIE Le texte du 6 f vrier 1996 2 pr cise que les grands flacons de gels sont
145. un tiers taient en r animation Traltement de La thrombose vetneuse surale une tude randomis e contr l e therapy of usolated calf muscle ven thrombosts a randomized controlled study Schwarz T Buschmann L Beyer J et al J Vasc Surg 2010 52 1246 50 TYPE D TUDE e analyse comparative monocentrique Allemagne prospective contr l e randomis e en ouvert entre 2 bras 1 traitement HBPM compression lastique vs 2 compression lastique seule POPULATION TUDI E e consultants externes dans 89 des cas e adress s pour suspicion de thrombose et pr sentant une thrombose musculaire isol e du mollet sol aire ou gastrocn mienne e effectifs n 109 dont n 55 dans le bras HBPM compression vs n 54 dans le bras compression seule e ge moyen 55 ans cancer actif dans 4 6 des cas chirurgie r cente dans 33 6 des cas alitement immobilisation dans 17 6 des cas e suivis et analys s a 3 mois n 107 2 perdus de vue 36 37 Bibliographie e pas de diff rence significative des caract ristiques de population entre les 2 bras sauf pour le facteur de risque traumatisme chirurgie r cente plus souvent observ 47 dans le groupe compression vs 20 dans le groupe HBPM p 0 03 PRISE EN CHARGE e cho Doppler effectu jambes pendantes pour l tage distal et poplit e Fraxodi curatif pendant 10 jours et chaussettes lastique classe II pendant 3 mois vs chaussettes classe Il seule
146. urvues de lymphatiques peuvent tre atteintes de Iymphoed me mais l atteinte des membres est la plus fr quente Au niveau des membres inf rieurs on distingue les Iymphoed mes primaires et secondaires 2 PHYSIOPATHOLOGIE Le syst me lymphatique a deux r les o l limination des prot ines de haut poids mol culaire que le syst me veineux est incapable d vacuer En cas de lymphod me ces mol cules stagnent dans le liquide interstitiel et sont l origine de l oed me Ceci explique que les lymphoed mes ne r agissent pas au traitement par diur tiques qui en liminant uniquement l eau et le sodium entra nent une concentration de ces macromol cules e un r le immunologique qui intervient dans la formation des anticorps la d fense contre les infections et l limination de corps et cellules trangers dont les cellules canc reuses Le retentissement du lymphodeme est essentiellement dermatologique avec fibrose cutan e hyperplasique car l accumulation des prot ines stimule l activit des fibroblastes l paississement du derme infiltr d eau et l augmentation des lobules graisseux de l hypoderme Par ailleurs la diminution de l immunit locale favorise la survenue de dermo hypodermites bact riennes essentiel lement streptococciques qui aggravent la maladie 3 ETIOLOGIE Le lymphodeme primaire est li une malformation constitutionnelle du syst me lymphatique dysplasie aplasie
147. use EDAMI pour liminer AMI d Exercices physiques Figure 2 Arbre d cisionnel pour la prise en charge m dicale d un lymph d me 30 31 M DICALE FORMATION i CONTINUE 8 2 PLACE DU TRAITEMENT CHIRURGICAL De nombreuses techniques chirurgicales ont t propos es avec deux objectifs diff rents la chirurgie de r section et la chirurgie de reconstruction du circuit lymphatique La premi re comporte les r sections cutan es 29 30 la deuxi me les anastomoses lympho veineuses la greffe de canaux lymphatiques 31 et le transfert ganglionnaire autologue 32 Les indications sont rares et difficiles poser en g n ral lors de consultations multidisciplinaires car elles ne sont pas consensuelles et font l objet de doute quant leur efficacit et innocuit Cependant les chirurgies de r section cutan e sont utiles dans les Iymphoed mes volumineux des membres et g nitaux r sistant la physioth rapie ou apr s physioth rapie d congestive Dans les deux situations l objectif est d enlever l exc s de peau atteinte par le Iymphoed me ex r se plastie du scrotum ou de la peau d un membre circoncision plastie de la verge des grandes l vres excision de papillomes Cette chirurgie symptomatique est un outil suppl mentaire dans la strat gie th rapeutique et am liore la qualit de vie mais n cessite la poursuite des traitements habituels contention compression Les microchirurgies de reconstru
148. uses une antibioth rapie prophylactique est propos e par la p nicilline per os Oracilline 3 millions Ul j ou en intramusculaire profonde Extencilline 2 4 millions Ul associ Xylocaine 1 3ml tous les 14 21 jours La dur e de l antibioth rapie prophylactique n est pas codifi e En cas de r cidive malgr une antibioth rapie prophylactique il n est pas n cessaire de changer d antibiotique ni de l arr ter car aucune r sistance du streptocoque la p nicilline n a t rapport e dans l rysip le et elle a toujours une efficacit dans la pr vention des r cidives m me apr s une r cidive sous p nicilline Dans tous les cas il est n cessaire de v rifier la vaccination antit tanique 7 2 LES COMPLICATIONS MYCOSIQUES Les complications mycosiques sont fr quemment observ es aux membres inf rieurs type d intertrigos Elles sont secondaires l augmentation de la mac ration naturelle des plis cutan s favoris s par les troubles trophiques du Iymphoed me fibrose cutan e hyperk ratose par la contention compression la diminution de l immunit locale due l insuffisance lymphatique et une mauvaise hygi ne Tous ces facteurs expliquent le caract re volontiers r cidivant et chronique des mycoses qui doivent tre trait es au long cours 7 3 LES COMPLICATIONS TUMORALES L apparition d une tumeur maligne sur un lymph d me est rare mais d une grande gravit La tumeur la plus f

LMV 14 - Société Française de Médecine Vasculaire

Contents

Download Pdf Manuals

Related Search

Related Contents

LMV 14 - Soci&eacute;t&eacute; Fran&ccedil;aise de M&eacute;decine Vasculaire

Contents

Download Pdf Manuals

Related Search

Related Contents

LMV 14 - Société Française de Médecine Vasculaire