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Fenêtre sur - Le cardiologue

1. n 350 Mars 2012 ISSN 0769 0819 d l Caro lio ogue Not stri e cahi ie A a Fm en pages centrales La sr Les biomarqueurs n quatre dimensions en cardiologie La prot omique pour les non initi s H pit al Principes de l valuation des biomarqueurs bili r 1 r du risque cardiovasculaire Un patrimoine immo 1 ler neg 19 Troponine hypersensible Tn HS principe et mode d emploi D lais de rendez vous Un arr t pr occupant de la Cour de Cassation alistes des Maladies du C ae minces Calaanan O E TEI i et ia b 1 i l JF 11H LA PLAN ST Bai eun LR D AFIT ICT TANT D L UFCV et les associations locor gionales vous proposent leurs sessions de formation R capitulatif des conditions s minaires FPC DPC OGC Un th me FPC Formation pr sentielle 1 journ e sur 1 th me DPC Soir e Formation pr sentielle 1 programme 1 soir e sur 1 th me 2 audits cliniques 1 webconf rence GAP Formation pr sentielle 1 cycle 4 soir es pr sentielles sur 1 dossier ou 1 pathologie Indemnisation OGC FPC 1 jour 345 euros DPC 1 programme 690 euros GAP 1 cycle 690 euros Forfait d placement et h tellerie uniquement pour 2 journ es de FPC cons cutives Vous tes plus de 150 km du lieu de la formation l UFCV prend en charge hauteur de 100 euros les frais occasionn s pour le d placement et ou l h berg
2. ABONNEMENT Gestion des abonnements Annick Le Bohec SNSMCV 13 rue Niepce 75014 Paris T l 01 45 43 70 76 Fax 01 45 43 08 10 Email coeur club internet fr TARIF 2012 1 an 10 num ros France 140 CEE hors France 160 Tout autre pays 275 Prix Sp cial adh rent au syndicat jour de cotisation 70 Prix unitaire 20 Adh rent au Cessim et au SPEPS Mensuel r serv au corps m dical Impression Barbou Impressions 8 rue Marcel Dassault Bondy RCS Bobigny B 572 188 357 D p t l gal parution Commission partitaire 0114 G 81182 ISNN 0769 0819 CAN E gt Recommandations importantes d p ts des manus crits les articles originaux r dig s en fran ais sont adresser au r dacteur en chef de la revue Docteur Christian Avi rinos Le Car diologue 13 rue Niepce 75014 Paris Pr sentation Les auteurs pourront s en procurer les lignes g n rales par simple demande au pr s du Cardiologue Les opinions mises dans la revue n engagent que leurs auteurs Les indications ventuelles de marques adresses ou prix figurant dans les pages r dactionnelles sont soumises titre d information La reproduction des textes et illustrations imprim s dans Le Cardiologue est soumise autorisation pour tous pays la r daction n est pas tenue de retourner les manuscrits illustrations et photos non sollicit s Christian Ziccarelli La r mun
3. Prise en charge nutritionnelle du patient cardiaque Prise en charge des patients atteints de Fibrillation Auriculaire Prise en charge du risque cardiovasculaire des diab tiques Prise en charge de l isch mie myocardique silencieuse chez un diab tique de type 2 haut risque cardiovasculaire Traitement non pharmacologique de l insuffisance cardiaque terminale transplantation cardiaque et assistance circulatoire OA PE Bonne pratique de l chocardiographie en groupe de pairs Bonne pratique des groupes d changes de pratique entre pairs w ufcv org n 350 Mars 2012 La cardiologie Les biomarqueurs en quatre dimensions en cardiologie Un patrimoine immobilier n glig Un arr t pr occupant de la Cour de Cassation Les de leg pans au mes de nee de Ta de en CARDIOLOGUE PRESSE 13 rue Niepce 75014 Paris T l 01 45 43 70 76 Fax 01 45 43 08 10 Pr sident et directeur de la publication Dr Christian Avi rinos Directeur adjoint Dr Serge Rabenou R dacteur en chef Dr Christian Avi rinos Rubrique nomenclature Dr Vincent Guillot EDITEUR D L GU R gifax 45 47 rue d Hauteville 75010 Paris T l 01 47 70 00 96 Fax 01 48 24 15 05 Directeur Renaud Samakh Publicit Fran ois Bondu Coordination de la r daction Renaud Samakh Directeur artistique Pascal Wolff Responsable de la strat gie Alain Sebaoun Cr dits photo Cardiologue Presse Pascal Wolff Fotolia Phovoir
4. 01 55 72 60 00 S A R L au capital de 264 000 euros 402 232 169 RCS Nanterre Profession Catherine Sanfourche Entretien Pr Albert Hag ge La cardiologie fran aise doit garder la place importante qu elle occupe Chef du d partement de cardiologie m dicale de H pital europ en Georges Pompidou le Pr Albert Hag ge vient de succ der au Pr Genevi ve Derumeaux la pr sidence de la Soci t fran aise de cardiologie Pour Le Cardiologue il pr cise les sujets prioritaires qu il entend d fendre durant son mandat jour de leurs connaissances C est un congr s qui a une visibili t europ enne majeure et qui donne la cardiologie fran aise une place importante qu elle ne doit pas perdre Les autorit s sont conscientes qu il faut pr server ces activit s Nous devons int grer les nouvelles r formes venir et l ensemble de la pro fession dans toutes ses composantes doit se rassembler pour Quelles vont tre vos priorit s en tant que nouveau Pr sident de la Soci t fran aise de cardiologie Albert Hag ge D abord pour suivre le travail de ceux qui m ont pr c d la t te de la principale soci t savante nationale dont les r les sont de rassembler opti miser les pratiques en laborant des recommandations de prises en charge contribuer au rayonne ment de la recherche nationale et enfin permettre aux d cideurs de mieux d cider gr ce la contri bution majeure de la SFC a
5. Syndicat de la Presse auquel nous adh rons a alert les pou voirs publics La chance du journal Le Cardiologue est d avoir de vrais abon n s et il insiste sur l importance pour tout cardiologue syndi qu de soutenir le journal en s abonnant I 15 y N Q as a Profession UECV bilan des actions 2011 Docteur Patrick Assyag A Docteur Assyag tient remer cier vivement tous les cardiolo gues qui participent et animent les formations dispens es par l UFCV Le Docteur Assyag rappelle les diff rentes lettres informatiques qui sont envoy es par l UFCV les newsletters les lettres m dico conomiques les chroniques sur l ducation th rapeur tique et enfin para tre des lettres sur l observance th rapeutique Cette ann e les s minaires 2011 ont t r alis s avec 24 th mes dans le cadre de l OGC FPC 4 th mes dans le cadre de l OGC DPC et 7 th mes dans le cadre du FAF PMI En pratique il y a eu 90 r unions pour 1 200 participants Pour le DMP en attente depuis 2004 les cardiologues peuvent ouvrir un DMP condition d avoir la derni re version d un logiciel m tier compa tible Hello Doc et CLM pour l instant ou par internet sur le site www dmp gouv fr La plate forme METIS poursuit son bonhomme de chemin avec ce jour 2343 appels des patients car diaques ou coronariens pour un suivi d ducation th rapeutique et de coor dination en pr vention
6. fendus en d montrant que la cardiologie ne pouvait tre responsable d une telle catastrophe sanitaire Notamment il nous a t reproch de ne pas avoir inform nos coll gues suite aux diff rents courriers de l AfSSAPS Heureusement lors de cette alerte un mailing avait t diffus d s le lendemain par l UFCV l ensemble des cardiologues les avertissant des risques iatro g nes du benfluorex Cette information tait galement pr sente dans la newsletter du mois de l UFCV Gr ce en grande partie la flexibilit des cardiologues li b raux les patients ont pu rapidement tre pris en charge Cela nous a permis de souligner aupr s des responsables des institutions sanitaires l int r t d une cardiologie de proxi mit qui a parfaitement r pondu au surcro t de la demande d chocardiographies Toujours est il que l une des cons quences de cette catas trophe sanitaire telle qu elle a t d nomm e est l ori gine d une loi relative au renforcement de la s curit sani taire du m dicament et des produits de sant paru au JO le 29 12 2011 y N Q as s Le a Profession Les conflits avec les ARS Il a fallu dans le m me temps r pondre aux directeurs d ARS dont les d cisions taient et restent tr s en faveur de l hospitalisation publique Dans le Nord Pas de Calais Da niel Lenoir voulait ni plus ni moins transf rer des lits d USIC de trois tablissements
7. fense de la profession Quitus est donn l unanimit au tr sorier Le Docteur Arnold pr sente ensuite le budget pr visionnel pour l ann e 2012 Le montant des cotisations pour la part nationale des cotisations pour l ann e 2012 est inchang de 155 pour la cotisation taux plein 75 pour la 1 ann e d ins tallation 90 pour la 2 ann e et 55 pour les retrait s Par contre le montant de l abonnement d un an au journal Le Cardiologue est port comme vot lors de l AG de 2011 70 pour les syndiqu s et 140 pour les non syndiqu s L abonnement est gratuit pour les 1 et 2 ann es d installation ainsi que pour les retrait s Le Docteur Avi rinos rappelle l importance de l abonnement au journal Le Cardiologue le nombre d abonne 12 ments payants permet une diffusion gratuite plus importante et ainsi une audience plus importante et rappelle la bonne place au CESSIM une nou velle fois pour cette ann e 2011 II souligne galement l importance et la n cessit de l ind pendance finan ci re de la revue car la parution de la loi du 29 d cembre 2011 cause un tort norme la presse m dicale et il faut bien trouver des recettes dif f rentes de celles de la publicit in dustrie pharmaceutique Le Docteur Perchicot insiste sur ce point la survie du journal et donc l information faite aux cardiologues par le biais de ce seul journal socio professionnel Il es
8. pr occupations des soignants sans renier pour autant les progr s des sciences biom dicales qui ont tant fait pour la progression de la sant depuis 50 ans Jean Fran ois Matt i n est pas en reste qui dans son introduction d nonce la d shumanisation de la m decine en partie li e aux ser vitudes techniques o le sa voir faire remplace de plus en plus le savoir tout court mais aussi aux servitudes conomiques o la recherche de l efficience entra ne la 30 m decine sur les rivages de la ma trise comptable L enseignement de l humanisme aux futurs professionnels de sant Pour illustrer leur d monstration les auteurs ont fait appel plusieurs personnalit s minentes connues pour leur approche plus humaniste de la sant qui formulent au fil des chapitres une s rie de recommanda tions sur les r formes n cessaires l intention des d cideurs de notre pays Plusieurs th mes majeurs alimen tent leur r flexion L enseignement de l humanisme aux futurs professionnels de sant certes en principe d j dispens dans les 33 facult s de m decine doit tre abondamment remani en modifiant notamment les crit res de s lection des futurs m decins et insistant lors des stages hospitaliers sur les pratiques d humanisme et de bientraitance des patients Il en est de m me de l ducation pour la sant l cole o tout reste faire ou presque selon les auteur
9. ration sur objectifs une R volution culturelle La cardiologie sera la premi re sp cialit exp rimenter cette nouvelle forme de r mun ration bas e sur des objectifs de sant publique Devions nous faire l impasse et refuser de participer sa conception Cela me para t aujourd hui impensable Lors de la signature de la convention je vous rappelle que l une des principales demandes du SNSMCV tait la revalorisation du co t de la pratique toujours au m me niveau depuis 2005 Une situation inacceptable alors que les charges ne cessent d augmenter Pass e aux oubliettes la majorit du CA a pr conis l abstention La convention sign e nous ne pouvions pas rester immobiles Malgr quelques oppositions le SNSMCV a d cid de s impliquer dans le paiement la performance Il fallait choisir des indicateurs acceptables par la profession et par la CNAM Cela n a pas t facile Ces indicateurs devaient faire partie de notre activit quotidienne tout en ciblant une am lioration des pratiques Ils concernent les maladies chroniques post SCA et insuffisance cardiaque la pr vention HTA antiagr gants plaquettaires et l efficience IEC ARAII statines Nos interlocuteurs ont t sensibles nos arguments l efficience n tait pas leur seule pr occupation Cette r mun ration sur objectifs de sant publique va t elle r volutionn e notre activit J en doute Est ce la panac e je ne
10. ses projets des qualit s d invention in dites pour son poque Pour parfaire son ducation il voyage de 1769 1771 et devient membre de l Acad mie en 1773 gr ce la protection de Madame de Pompadour A la r volution il cherche d sesp r ment des protections consid r comme suspect par le tribunal r volutionnaire il est incarc r puis finalement lib r sous le Directoire I publie un premier volume sur l architecture en 1804 mais il faudra attendre 1847 pour que l ensemble de ses crits et plans soit enfin publi en deux vo lumes l architecture de C N Ledoux sa mort tant survenue le 18 novembre 1806 La saline d Arc et Senans Situ e dans le d partement du Doubs en Franche Comt entre Besan on et Dole la sa line d Arc et Senans est un t moignage unique dans l architecture industrielle Destin e la production de sel elle fut construite entre 1775 et 1779 par un architecte de g nie A l poque beaucoup d crivains de philosophes et d ar tistes r vaient d une cit id ale alliant esth tique et bonheur de vivre en son sein F Pal r k T Ergani PELO i Lt Le i Maison du directeur Claude Nicolas Ledoux recevant le titre d ins pecteur aux salines de Lorraine et de Franche Comt en 1771 reprend son compte cette id e I d cide que son usine serait accoupl e une ville d une conception nouvelle qui int grerait dans une
11. voluer au fur et mesure que chaque indicateur est ind pendant D La Parole aux R gions U tour de table permet chaque r gion d exprimer les probl mes rencontr s loca lement A l issue de ce tour de table il en ressort quelques points principaux m la d mographie semble stable avec m me des installations et le cumul emploi retraite dans la plupart des r gions sauf dans la r gion Centre galement en Aqui taine en dehors des grandes agglo m rations mais il faut noter une moyenne d ge un peu plus lev e maintenant E les nouveaux install s n ont pas le r flexe syndicat et il faut que chacun se mobilise pour augmenter le nombre de ses cotisants m d une mani re assez g n rale se retrouve le probl me des urgences et du SAMU qui privil gie les h pi taux publics par rapport aux struc tures priv es il est rappel qu il faut avoir une convention crite avec le SAMU dans laquelle sera mentionn que le choix du patient doit tre pris en compte par le SA MU Ces conventions doivent tre valid es par les ARS De ce fait en Lorraine un patient passant devant la clinique pour aller au CHR va 14 porter plainte contre le SAMU pour perte de chances Le Docteur Zic carelli souligne son action aupr s des ARS pour obtenir des chiffres bien pr cis quant l adressage et a publi des communiqu s de presse avec Alliance du C ur sur ce fait depuis il semblerait que cela com me
12. Berme oucst l enfant un uf signe de sant une pinc e de sel symbole de sagesse En Bresse lors de la nuit de la Saint Jean les filles jetaient une pin c e de sel dans le brasier S il se mettait cr piter elles taient assur es de trouver un mari dans l ann e En Franche Comt et dans le Jura Suisse le soir de No l on disposait sur une table douze parts d oignon saupoudr es de sel Les portions sur lesquelles le sel avait fondu in diquaient le mois de l ann e o le temps serait pluvieux On raconte qu l poque de Bernard Palissy les pouses insatisfaites salaient dans l ombre complice des alc ves leurs maris im puissants au bon endroit pour leur redonner vigueur La sali re renvers e est consid r e comme un signe de mal diction ce que n a pas manqu de peindre L onard de Vinci dans sa c l bre C ne de Milan Claude Nicolas Ledoux Rapport joint ses vues et perspectives Claude Nicolas Ledoux dans son aspiration rendre les hommes meilleurs et plus heureux pr voyait dans son projet non seulement l installation d un march de bains de terrains de jeu pour les enfants mais aussi une maison des plaisirs sorte de temple phallo de o seraient tal s les exc s de vices pour mieux les fustiger 1 1 La fabuleuse histoire du sel Andr Besson Collec tions Archives vivantes 1998 21 Claude Nicolas Ledoux l uvre la vie La Taillan derie 2006 animeler
13. Chodez Haute Savoie Etaient excus s les Docteurs Assouline Alpes Maritimes Dentan Bourgogne Morice Ile de France Verdonck Haute Normandie et Tafanelli Provence Le Docteur Ziccarelli a inaugur ce s minaire de travail en rap pelant que depuis quelques ann es ces r unions du vendredi apr s midi non statutaires permettent d voquer de fa on plus compl te certains points de notre exercice professionnel Une premi re table ronde intitul e La cardiologie et les nouvelles technologies anim e par les Docteurs Arnold et Pouchelon a r uni les experts suivants le Professeur Philippe Arbeille qui a parl du suivi des cosmonautes en temps r el et dont l intervention a permis un voyage inhabituel le Docteur Jacques Lucas qui comme son habitude a rappel avec talent les droits qui sont li s la t l m decine et enfin le Docteur Jean Brami qui a rapport l impact de la t l sant sur la qualit et la s curit des soins Une deuxi me table ronde intitul e D mographie et exer cice du m tier de cardiologue anim e par les Docteurs Guenoun et Perchicot a r uni les experts suivants le Pro fesseur Jean Claude Daubert qui a fait un brillant expos sur l volution de la d mographie expos suivi par celui du Docteur Christian Avi rinos sur l avenir du m tier de cardio logue clinicien et enfin le Docteur Christian Ziccarelli a conclu cette table ronde sur la n cessit d quilibrer le
14. LEEM contre l valuation des m dicaments en France Le LEEM Les Entreprises du M dicament a de nouveau critiqu l valuation faite en France des nouveaux m dicaments notamment par la Commission de la transparence CT jugeant que la situation s tait d t rior e en 2011 lors d une conf rence de presse consacr e au progr s th rapeutique l ann e derni re Ses responsables ont ainsi relev un d calage entre l homologation de m dicaments innovants aux Etats Unis et en Europe et la reconnaissance insuffisante selon eux du progr s th rapeutique par la suite en France 2011 fut une ann e excellente en innovation avec 48 nouveaux m dicaments approuv s par la Food and Drug Administration FDA am ricaine et 41 par l Agence europ enne du m dicament EMA contre une vingtaine par chaque agence en 2010 a d clar Patrice Zagam pr sident de la commission des affaires scientifiques du Leem et pr sident de Novartis France Pour autant la France n a pas t une terre d accueil pour l innovation th rapeutique en 2011 a t il d clar La CT n a attribu qu une seule note d am lioration du service m dical rendu ASMR de niveau majeure aucune de niveau Il importante cinq de niveau III mod r e et 17 de niveau IV mineure l essentiel des m dicaments ne s tant pas vu accorder d ASMR niveau V En cons quence pour la premi re fois en sept ans le Leem a d cid de pr senter son bila
15. Le Cardiologue 13 rue Niepce 75014 Paris HYPERCHOLEST ROL MIE PRIMAIRE ET DYSLIPID MIE MIXTE NON CONTR L ES DE FA ON APPROPRI E PAR UNE STATINE SEULE ET LE R GIME LORSQUE L UTILISATION D UNE ASSOCIATION EST APPROPRI E La th rapie HYBRIDE 2 m canismes d action compl mentaires INEGY 10 mg 20 mg 10 mg 40 mg comprim PRESENTATION ET COMPOSITION z timibe 10 mg simvastatine 20 mg ou 40 mg butylhydroxyanisole acide citrique monohydrat croscarmellose sodique hypromellose lactose monohydrat st arate de magn sium cellulose microcristalline gallate de propyle INDICATIONS Hypercholest rol mie INEGY est indiqu comme traitement adjuvant au r gime chez les patients ayant une hypercholest rol mie primaire familiale h t rozygote et non familiale ou une dyslipid mie mixte lorsque l utilisation d une association est appropri e patients non contr l s de fa on appropri e par une statine seule ou patients recevant d j une statine et de l z timibe INEGY contient de l z timibe et de la simvastatine La simvastatine 20 40 mg a montr une r duction de la fr quence des v nements cardiovasculaires cf rubrique 5 1 Des tudes d montrant l efficacit d INEGY ou de l z timibe dans la pr vention des complications de l ath roscl rose sont en cours Hypercholest rol mie familiale homozygote HFHo INEGY est indiqu comme traitement adjuvant au r
16. a rachet une clinique l a ferm et transf re ses activit s dans un autre tablissement une heure de route en Savoie ce qui pose probl me aux cardiologues de la clinique qui va fermer ils vont devoir licencier leur infirmi re leur contrat pr voit des indemnit s Par contre il faut faire attention la position de la clinique qui risque de dire qu il ne s agit pas d une rupture mais d une poursuite d ac tivit Le Syndicat suit cette affaire qui est en cours actuellement et ne manquera pas si besoin tait de communiquer sur le sujet On peut faire reculer les ARS mais cela implique de changer totalement notre fa on de travailler en ayant en premi re ligne le syndicat r gional le national ne venant qu apr s Il faut donc pouvoir r unir une cellule de crise r gionale rapidement La principale difficult est d tre reconnus par l ARS la seule solution est d tablir un rapport de force il faut s attaquer tout de suite au DRAS de fa on nominale faire du bruit avec tous nos partenaires centrales syndicales URPS Les litiges ont des int r ts vitaux pour la cardiologie et il faut donc pr venir les coll gues et pr voir un budget de communication Le Syndicat National lui a un r le de conseil aupr s du r gional intervient aupr s des centrales syndicales et du minist re Les demandes d informations sont habituelles par contre on a eu pour la premi re fois une question d un patient qui ne comprenai
17. avis toute convention conclue avec des professionnels de sant ou des tudiant en m decine et le tenir inform de leur mise en uvre Contrat d objectifs et de performance pour l INPES L Institut National de Pr vention et d Education pour la Sant a sign 7 avec l Etat son premier contrat d objectifs et de performance pour trois ans 2012 2014 Il comprend cinq grandes orientations strat giques L INPES doit d finir les strat gies de pr vention de promotion et d ducation la sant les plus adapt s pour contribuer l atteinte des objectifs de la politique nationale de sant Il doit aussi organiser et renforcer la comp tence scientifique au service de l institut et d velopper son r le de r f rent pour faciliter la d clinaison r gionale par les ARS de cette politique nationale L INPES n devra galement renforcer ses capacit s de r ponse en situation d urgence sanitaire renforcer son efficience et optimiser son fonctionnement pour l adapter aux choix strat giques et aux enjeux futurs Les d penses hors soins de l Assurance Maladie A la demande du S nat la Cour des comptes a men e une tude sur les d penses de l Assurance Maladie hors prise en charge des soins Un agr gat de d penses extr mement diverses par leur nature comme par leur importance qui se monte 21 milliards d euros Une somme dont il convient de soustraire les quelque 13 milliards de contribution de r gime g n ral de
18. de Dossier M dical Pi ton Surpoids maladies cardiovasculaire et diab te 3 priorit s pour l Alsace Apr s 18 mois de r flexion et de concertation l ARS d Alsace a boucl son Projet R gional de Sant PRS Il d cline 15 priorit s du Plan Strat gique R gional de Sant PSRS autour de quatre axes Le premier de ces axes vise diminuer la pr valence et l incidence des pathologies ayant l impact le plus fort sur la mortalit en Alsace Avec trois priorit s diminuer la pr valence du surpoids et de l ob sit des enfants et des adolescents pr venir et limiter les complications du diab te et le l HTA et am liorer la prise en charge des accidents cardio neuro vasculaires responsables de plus de 4000 d c s annuels dans la r gion 20 Catherine Sanfourche L Ordre est pr t pour le Sunshine Act Gr ce l informatisation de notre service nous sommes en mesure de publier chaque ann e tous les contrats pass s entre les m decins et les industriels mais aussi le montant de leur r mun ration a indiqu le pr sident de l Ordre Michel Legmann l occasion de ses v ux la presse Selon l article 2 de la loi de renforcement de la s curit sanitaire de d cembre 2011 les entreprises pharmaceutiques ont l obligation depuis le 1 janvier dernier de rendre publics les avantages et r mun ration vers s aux acteurs de sant Elles doivent aussi communiquer l Ordre pour
19. de mise sur le march AMM europ enne centralis e de son antiangoreux Procoralan ivabradine Procoralan est d sormais galement indiqu dans le traitement de l insuffisance cardiaque chronique de classe NYHA II IV avec dysfonction systolique chez les patients en rythme sinusal et dont la fr quence cardiaque est sup rieure ou gale 75 battements par minute en association au traitement standard comprenant les b tabloquants ou en cas de contre indication ou d intol rance aux b tabloquants Cette extension d indication fait suite un avis favorable du Comit des m dicaments usage humain CMUH de l Agence europ enne du m dicament EMA lors de sa r union de d cembre 2011 Procoralan tait jusqu pr sent indiqu dans le traitement symptomatique de l angor stable chronique chez l adulte coronarien en rythme sinusal rappelle t on Dans son communiqu Servier pr cise que dans le cadre de cette modification d AMM la contre indication de Procoralan en cas d insuffisance cardiaque NYHA III IV a t supprim e et remplac e par une contre indication en cas d insuffisance cardiaque instable 32 ou aigue Le groupe ajoute qu une demande de remboursement dans cette nouvelle indication va tre soumise prochainement Actilyse Autorisation d extension de la fen tre th rapeutique de 3 heures 4 heures 30 dans le traitement de l AVC isch mique la phase aigue Actuellement A
20. de la maladie Or on tait arriv l ch ance de ces 10 ans et la Cour en tire la conclu sion que ne pas avoir tenu compte de ce d lai constitue une faute certaine la charge de ce praticien I s agit quand m me d une conception tr s math matique de la pr vision m dicale tr s loign e de l exp rience quotidienne m Ne pas avoir tenu compte de l aggravation du diab te et de l hypertension art rielle La Cour estime que le fait que d autres m decins n aient pas r percut au Dr Y les infor mations concernant M X est d nu de pertinence pour sa d fense Comment le Dr Y aurait elle pu conna tre cette volution des facteurs de risque chez ce patient qui rappelons le ne l avait consult que quatre fois en neuf ans La Cour a sa r ponse elle devait s enqu rir de ce facteur d aggra vation m Au total ne pas avoir exerc une sur veillance adapt e l tat du patient Commentaires Les d lais de rendez vous des cardiologues n atteignent pas ceux des ophtalmologistes mais ils deviennent critiques et cet arr t de la Cour de Cassation pourrait tr s bien les concerner s installer pour Il faut videmment d plorer l apparition de listes d attente chez certains sp cialistes On doit regretter ce retard de diagnostic et ses cons quences On comprend bien s r les in terrogations que cela suscite N anmoins ce jugement va bien au del de ce probl me Il ne f
21. de surveillance et d organi sation du parcours de soins des hyper tendus s v res 10 Cr ation d un groupe de r flexion sur le futur m tier de cardiologue sous la pr sidence de Jean Claude Daubert destin tre publi et d clin en plusieurs chapitres d mographie m dicale et cardiologie cardiologue clinicien et sursp cialit compl mentarit s entre m tiers Stage de sensibilisation et intervention lors des journ es du DES Il devient urgent devant le peu d affection actuelle pour l exercice lib ral des futurs jeunes dipl m s en cardiologie de les sensibiliser l exercice de la cardiologie dite de ville En effet ces deux derni res ann es plus de 95 des sp cialistes en cardiologie et m decine vasculaire ont choisi l exercice salari Cela ne peut qu entra ner plus ou moins court terme un d s quilibre entre une cardiologie de proximit lib rale et une cardiologie salari e en r gle g n rale hospitali re dont l activit est le plus souvent orient e vers les sursp cialit s Devant la m connais sance de l exercice en ville il est aujourd hui n cessaire de sensibiliser les jeunes g n rations en les incitant passer une semaine 5 jours au sein d un cabinet lib ral de ville pratiquant la cardiologie clinique Il s agit de leur faire d couvrir cette mo dalit d exercice m connue par les tudiants qui ne voient au cours de leur internat que
22. fois le 7 janvier 2002 Il n est pas constat alors de r tino pathie diab tique Le texte de l arr t pr cise que M X est n gligent dans son suivi m dical En mai 2002 il pr sente des troubles visuels Il n obtient pas de rendez vous aupr s du Dr Y avant mai 2003 Il n est pas pr cis s il y avait eu ou non intervention du m decin traitant pour avancer la date En novembre 2002 M X consulte son m decin traitant qui l adresse un autre ophtalmologiste Ce lui ci le voit le 27 f vrier 2003 et diagnostique une r tinopathie diab tique oed mateuse prolit rante bilat rale compliqu e d une h morragie du vitr gauche n cessitant plusieurs traitements et interventions qui laisseront subsis ter d importantes s quelles Proc dure m Saisie par M X de la CRCI Com mission r gionale de conciliation et d indemnisation des accidents m dicaux des affections iatrog nes et des infections nosocomiales qui conclue en la responsabilit du Dr 26 m Indemnisation de M X par l ONIAM Office national d indem nisation des accidents m dicaux des affections iatrog nes et des infections nosocomiales qui se retourne ensuite contre le Dr Y et son assureur m D cision de la Cour d Appel de Versailles 14 mai 2010 condam nant le Dr Y m Arr t du 6 octobre 2011 concluant une faute du Dr Y et le condamnant verser une somme de 3 000 l ONIAM les sommes r clam es
23. le pense pas car si vous arrivez remplir 100 des objectifs le gain esp r ne d passera pas 4 100 vers s en 2013 ce qui correspond en moyenne une augmentation de l ordre de 2 de la masse des honoraires Ne soyons pas dupes l organisation du cabinet doit tre revu il faudra poss der les logiciels m tiers agr s ad quats Tout cela a un co t non n gligeable Mais a contrario c est rendre plus performant notre outil de travail Dans le contexte de la crise conomique qui secoue l Europe il est vident que la r mun ration sur objectifs de sant publique est le seul moyen d avoir un compl ment d honoraires Alors pourquoi ne pas s impliquer d autant que le choix des indicateurs est libre et qu il n y aura aucune sanction en cas de non atteinte des objectifs Ceux qui ont initialement refus de participer pourront tout moment revenir sur leur d cision Le risque est bien s r une p rennisation du syst me avec un gel de la valeur des actes Le SNSMCV en est parfaitement conscient Le paiement l acte l un des fondements de l activit lib rale doit rester le mode de r mun ration privil gi Pascal Wolff La recherche m dicale est complexe La d couverte d une mol cule sa mise au point ses tudes pr et post AMM requi rent de votre part rigueur et professionnalisme Les cardiologues exercent eux aussi une activit complexe faisant appel une grande rigueur
24. m me harmonie le travail des hommes mais aussi leur vie sociale et fami liale Des difices monumentaux sont dispo s s en demi cercle Au centre la maison du di recteur est con ue comme un temple classique pr c d d un p ristyle imposant De son lieu d habitation il pouvait ainsi brasser d un seul regard l ensemble du lieu II faut tout voir tout entendre il faut que l ouvrier ne puisse se soustraire la surveillance de ses chefs par la faveur d un pilier Sur les c t s du portail d entr e sont dispos s l atelier des tonneliers des mar chaux et di verses habitations pour les berniers ouvriers du sel chacun ayant une grande chambre avec chemin e et un petit lopin de terre Tous les b timents sont s par s les uns des autres pour viter la propagation des incendies La maison du directeur est en forme de temple dorique pr c d d un p ristyle imposant Une esth tique originale o les seuls l ments d coratifs sont des urnes dispos es sur les fa ades d o ruisselle le sel se figeant comme un morceau de glace Cette architecture colossale et magnifique est tr s inspir e de Palladio et de Piran se Le Cardiologue 350 Mars 2012 Produire le sel L eau salif re la saumure parcourt deux canaux parall les dits saumoducs faits de troncs de sapin vid s dits bourneaux sur une distance de 24 km de Salins val d Armour Arc et Senans Embo t s les u
25. ont fait que je me suis dirig vers cette pratique J avais tous les dipl mes qui me permettait d exercer comme praticien hospi Dr Olivier Fichaux Le seul point noir r side dans ce conflit entre le public et le priv qui r sulte d ailleurs surtout de l ignorance des uns pour ce que font les autres talier mais il se trouve que parall lement j ai t contact pour travailler dans le priv Et en fait c est la gestion hospitali re de venue du grand n importe quoi apr s l entr e en vigueur des 35 heures qui m a fait opter pour le secteur priv A plus long terme l h pital ne me permettait pas d arriver m exprimer dans le priv je peux prendre des initiatives faire des vid os p dagogiques pour mes patients par exemple sans tre entrav par la bureaucratie je peux mieux affirmer ma personnalit A l h pital on est d pendant de la hi rarchie dans laquelle il n est pas facile de trouver une place Quels sont vos rapports avec vos autres confr res cardiologues 0 F L organisation est harmonieuse avec les cardiologues de ville Nous ne consultons pas la clinique et nous ne voyons que les patients qu ils nous adressent Avec l h pital les relations sont moins faciles Par exemple nous avons cr le CRAC Club R gional des Angioplasticiens du Centre o nous changeons sur des cas cliniques entre confr res du priv et du public et nous d plorons que nos confr r
26. par la Cour d Appel taient bien plus importantes et de 2 000 la CPAM Griefs formul s contre le Dr Y m Surcharge du ca binet qui pour la Cour ne constitue pas une excuse m Ne pas avoir di rig le patient vers un autre confr re mais existe t il des ophtalmologistes ayant des d lais rapides m Ne pas avoir respect la p riodi cit annuelle des contr les pr coni s e par les recommandations Il est noter que la Cour reconna t qu il s agit d un patient n gligent qui Les motifs de condamnation totalement d connect s de la vie r elle n inciteront certainement pas les jeunes m decins am liorer l offre de soins 5 y r J Vincent Guillot n aura consult que quatre fois entre 1993 et 2002 mais c est le m decin qui est reconnu comme responsable m Ne pas avoir tenu compte de la n gligence du malade qui aurait n cessit une intensification de la surveillance Mais comment est il possible de faire prendre ses rendez vous p rio diques quelqu un qui ne le souhaite pas En outre il s agit ici d un sp cialiste qui travaille en acc s secondaire la demande du m decin traitant et il n est pas d ontologiquement habi tuel de relancer les patients qui restent libres de consulter ou non m Ne pas avoir anticip les complications qui taient pr vi sibles car est il pr cis dans le jugement elles surviennent apr s un d lai de 10 ans d volution
27. place au sein du CNPC une structure qui va assurer la gouvernance de ce DPC Deux Le Cardiologue 350 Mars 2012 repr sentants seront nomm s pour si ger la commission scientifique in d pendante SCSI au niveau du DPC Le Docteur Th baut rappelle que le DPC est l affaire des professionnels et non pas de la HAS Le r le de la HAS dans la mise en uvre du DPC d finir des m thodes des modalit s qui pr cisent la participation effective un programme II faut valoriser ce qui est efficace et qui existe actuellement Pour la HAS le v ritable interlocuteur est celui qui repr sente toute la pro fession c est dire le Conseil National Professionnel de la sp cialit Certes les d crets sont sortis mais tout est loin d tre clair ce jour En 2011 le CNPC a demand galement l inscription de nouveaux actes en juin gr ce au travail de Jacques Cl menty et d Arnaud Lazarus sur la t l surveillance des DAI et des stimulateurs sans r ponse ce jour Un rendez vous doit nous tre propos dans les semaines qui viennent semble t il On devrait galement parler du FFR qui a montr ses b n fices Pour le TAVI l exp rimentation a t prolong e Le Docteur Ziccarelli tient souligner les bons rapports qui existent entre la SFC et le Syndicat depuis des ann es avec les diff rents pr sidents Le Professeur Hag ge souligne qu il tient ce que ces rapports se poursuivent dans la m me ligne E Actu
28. priv s l h pital de Tourcoing en avan ant des argu ments pour le moins incompr hen sibles Il voulait supprimer la pra tique de l angioplastie coronaire dans un tablissement de l agglo m ration lilloise alors que celui ci r pondait aux normes Dans trois bassins de vie sur quatre l autorisa tion de la pratique de la cardiologie interventionnelle rythmologique a t syst matiquement refus e l hospitalisation priv e et accord e l hospitalisation publique Sans compter sur son intervention dans l organisation des cardiologues au sein de leur tablissement En Champagne Ardenne le Direc teur de l ARS voulait imposer sans concertation aux cardiologues du groupe Courlancy tablissement priv de pratiquer d sormais la rythmologie interventionnelle au CHU sous pr texte qu ils ne res pectaient pas ant rieurement les normes impos es alors qu ils r pon dent aux exigences de la sp cialit Des probl mes identiques se po saient en Basse Normandie Soute nus par l UMESPE nous avons ren contr le 1 avril Monsieur Fran ois Xavier Selleret directeur de cabinet de la secr taire d Etat charg e de la Sant Nora Berra Fr d ric Fossati et Bernard Carette m ont accompa gn ce rendez vous ce qui a per mis de d bloquer la situation Ce fut l occasion de lui signaler le compor tement du SAMU qui d tournait de plus en plus fr quemment au profit de l h pital public les syndromes co
29. r v 29 09 2009 Prix 60 24 Remb S c Soc 65 AM M 34009 390 957 3 8 bo te de 90 cps 2005 r v 29 09 2009 Prix 163 71 Remb S c Soc 65 Agr Collect Agr Collect e A M M 34009 567 140 8 7 bo te de 50 cps 2005 r v 29 09 2009 Conditionnement exclusivement hospitalier Agr Collect TITULAIRE DE L A M M MSD SP LTD Hertford Road Hoddesdon HERTFORDSHIRE ENT 1 9BU Royaume Uni EXPLOITANT MSD France 34 avenue L onard de Vinci 92400 Courbevoie Information m dicale 01 80 46 40 40 Pour une information compl te consulter le R sum des Caract ristiques du Produit sur le site internet de l Afssaps http Avmw afssaps fr Des tudes d montrant l efficacit d INEGY ou de l z timibe dans la pr vention des complications de l ath roscl rose sont en cours Avant de prescrire pour des informations compl tes consulter le RCP disponible sur le site www afssaps fr 2 MSD CARDIOLOGIE 12 12 INE 11 F 0700 J D cembre 2011
30. remise plat de l organisation de la permanence des soins souhait e par la DGOS s est heurt e l intransigeance de la FHF Je vous rappelle que 700 millions taient attribu s l hospitalisation publique pour 70 millions l hospitalisation priv e Une enveloppe r duite d sormais 700 millions devait tre mutualis e entre les tablissements publics et priv s Il semble que l heure actuelle les r mun rations des gardes soient effectives dans la grande majorit des r gions Dor na vant toutes les lignes de gardes et astreintes seront financ es compter du 1 janvier 2012 par le Fonds d Intervention R gional FIR Dans l attente de la mise en uvre des SROS PRS une enveloppe de 15 millions sera d l gu e aux ARS lors du premier semestre 2012 au titre d une MIG Le projet d arr t fixe les montants d indemnisation forfaitaire en fonction de leur dur e Malgr tout le paiement des astreintes semble ren contrer des difficult s dans nombre de r gions Je souhaite que vous me remontiez les difficult s rencontr es dans vos r gions n N Q a s Le a Profession Les autres interventions du SNSMCV Protocole 51 Selon la loi HPST le protocole 51 concerne la mise en place de d l gation de t che via une demande de l ARS transmise la HAS qui peut ensuite autoriser une d cli naison nationale Si le Syndicat des cardiologues avec Christian Avi rinos tait
31. secondaire Les r sultats donnent des b n fices positifs ressentis 6 mois de 83 Le Docteur Assyag parle du pro gramme d observance th rapeutique au d cours d un syndrome coronaire aigu il s agit d un programme tout fait innovant qui sera d velopp en 2012 par l UFCV Le Docteur engage ceux qui ont des logiciels m tier corrects ouvrir des DMP rapidement maintenant Questions Diverses L Docteur Th baut a d missionn de son poste d admi nistrateur Selon les statuts la d signation d un nouveau membre est faite lors de l assembl e g n rale statutaire sui vante les Docteurs Huberman et Guedj Meynier lus la 41 place avaient obtenu le m me nombre de voix lors de l lec tion de janvier 2011 Le Docteur Dominique Guedj Meynier a donc t d sign e au poste d administrateur apr s d fection du Docteur Huberman en sa faveur Le Docteur Ohayon annonce un congr s Sant avec l URPS URML les 9 10 et 11 novembre 2012 Bordeaux o les car diologues seront invit s si certains ont des id es de commu nication elles seront les bienvenues Le Docteur Ziccarelli lui sugg re de contacter le Docteur Lucas au CNOM Quant au Multao il faut suivre les indications de la SFC Mais il n est plus rembours partir du 1 janvier 2012 La s ance est lev e 18 h 30 m Le Docteur Ziccarelli remercie une fois encore les pr sents de leur attention et de leur assiduit W Docteur Eric Perchicot S
32. vous d pendrez d elle pour le futur de votre usage Archos par exemple en voulant cr er sa structure a eu bien du mal g n rer du flux de qualit au d part malgr l appel fait aux d veloppeurs Apple toujours elle caracole en t te avec un nombre impressionnant d Apps Elle a l immense avantage d avoir t la premi re toujours cette id ologie de la vision du futur avoir cr l AppleStore pour un certain iPhone E 1 La 4G install e dans l iPad3 fait grand bruit Les Etats Unis et l Europe n ayant pas les m mes bandes de fr quence l iPad3 tel qu il est actuellement n est pas compatible avec les bandes qui seront d ploy es en France La prise en charge devrait se faire par une mise jour Des pr cisions seront apport es prochainement 2 Airplay est le syst me de communication sans fil d Apple 25 ON Nomenclature D lais de rendez vous Un arr t pr occupant de 1 Par un arr t du 6 octobre 2011 prononc Pen contre d un ophtalmologiste la Cour de Cassation a estim que la surcharge d un cabinet m dical ne constitue pas une excuse pour refuser d avancer un rendez vous Au del de la conclusion il convient de lire et d ana lyser en d tails les termes de cet arr t qui pourraient concerner des cardiologues D roulement des faits M X est diab tique Il a consult le Dr Y ophtalmolo giste en 1993 1998 2000 et la derni re
33. 70 07 06 15 ou calvayrac guy wanadoo fr AC 348 1 M tropole Lille 59 Recherche successeur sans apport d un associ pour une activit lib rale de cardiologie Consultant et toutes explorations non invasives Contact 06 80 87 86 85 AC 348 2 Dreux 28 Cause d part retraite cardiologue c de gratuitement juin 2012 client le tenue 35 ans dans cabinet de groupe Explora tions non invasives et PM T l le soir 06 12 58 68 68 Vente mat riel VM 350 1 Cardiologue vend chocardio graphe Kontron imagjic mis en service sep tembre 2007 sonde cardiaque vasculaire imprimante HP prix 4 000 T l 06 06 40 96 21 VM 348 1 Cardiologue vend Echocardio graphe Philips Endvisor C I mis en service janvier 2008 sondes cardiaque vasculaire et Pedofi reprographe Sony 897 Exc Etat Prix 8 000 T l 01 30 73 04 45 L 348 1 Paris Propri taire loue pour cabi net pluridisciplinaire 210 m en 1 tage quar tier Op ra 30 m de Mogador Informations et plan Jean Guermont Dom 0143730957 Mail jeanlucguermont gmail fr O Perharid y www perharidy fr Recherche Centre de soins de suite et de r adaptation sp cialis s priv but non lucratif participant au service public hospitalier d une capacit totale de 255 lits et places pour son service de r adaptation et de soins de suite cardiovasculaires de 60 lits et places Poste pourvoir imm diatement en CDI temps plei
34. C isch mique la phase aigue L extension d AMM d Actilyse se fonde sur les r sultats de l tude ECASS 3 European Cooperative Acute Stroke Study qui ont t publi s dans le New England Journal of Medicine en septembre 2008 L tude ECASS 3 essai randomis en double aveugle contr l contre placebo a d montr pour la premi re fois que la thrombolyse par Actilyse peut augmenter les chances de survie avec un handicap nul ou mineur apr s un AVC isch mique lorsque le m dicament est administr pendant une fen tre th rapeutique tendue de 3 4 heures 30 apr s l apparition de sympt mes Cette tude a inclus 821 patients dans 15 pays europ ens XXII Journ es Europ ennes de la Soci t Fran aise de Cardiologie Remise de la Bourse de recherche Les syndromes coronaires aigus par Daiichi Sankyo France et Lilly France Sous la pr sidence du Pr Genevi ve DERUMEAUX les labora toires Daiichi Sankyo France et Lilly France ont remis la Bourse de recherche de la Soci t Fran aise de Cardiologie SFC sur le th me Les syndromes coronaires aigus samedi 14 janvier 2012 dans le cadre des Journ es Europ ennes de la SFC Le jury pr sid par le Pr Philippe Gabriel STEG a d cern cette bourse d un montant de 20 000 au Dr Johanne SILVAIN cardiologue Chef de Clinique Assistant H pital Piti Salp tri re Paris pour son travail intitul N phropathie induite par les produits d
35. Herpin je crois beaucoup aux vertus de la formation partag e au sein des EPU pour maintenir ces changes entre tous les cardiologues Comment voyez vous l volu tion de cette fonction D H On ne peut chapper l volution de la soci t vers la performance L avenir des CHU et leur pr sent d ailleurs est d aller vers l excellence Cela im plique que cette modulation des diff rentes valences soit dirig e et efficiente Dans le domaine de la recherche par exemple cela signifie que le profil des enseignants chercheurs m decins se rapproche de celui des enseignants chercheurs et que certains d entre nous fassent de la recherche temps plein en consti tuant des quipes pour ce faire Cependant dans un h pital la priorit est de r pondre la demande de soins d assurer la PDS de r pondre l urgence L quilibre entre soins enseignement et recherche est donc organiser au sein de grandes quipes En tant que PU PH quels sont vos rapports avec vos confr res 23 La cardiologie en quatre dimensions ELEC dm gt 24 cardiologues lib raux L hypersp cialisation qui se d ve loppe en cardiologie n est elle pas un frein la coordination entre les diff rents praticiens D H A Poitiers peut tre parce que le CHU n est pas tr s impor tant les liens avec le priv sont bons et les changes se passent bien Nous avons tous nos correspondants en ville d
36. Procoralan 5 mg 34009 371 676 2 8 EU 1 05 316 003 56 cp 63 35 34009 567 208 1 1 EU 1 05 316 006 100 cp mod le hosp Procoralan 7 5 mg 34009 371 679 1 8 EU 1 05 316 010 56 cp 63 35 34009 567 209 8 9 EU 1 05 316 013 100 cp mod le hosp Collect Remb S c soc 65 dans le traitement symptomatique de l angor stable chronique chez l adulte coronarien en rythme sinusal pr sentant une intol rance ou une contre indication aux b tabloquants Non remboursable la date du 14 02 2012 dans le traitement de la maladie coronaire en association aux b tabloquants chez des patients insuffisamment contr l s par une dose optimale de b tabloquants et dont la fr quence cardiaque reste sup rieure 60 bpm dans le traitement de l insuffisance cardiaque chronique Info m d Biopharma 35 rue de Verdun 92284 Suresnes Cedex T l 01 55 72 60 00 Titulaire Exploitant Les Laboratoires Servier 50 rue Carnot 92284 Suresnes Cedex AMM du 25 10 2005 r v 02 2012 12 PA 5037 GF Pour une information compl te consulter le RCP disponible sur le site Internet de PEMA SI DTC 12 PA 37 P 02 2012 Les Laboratoires Servier BIOPRARMA Cher Confr re Nous avons le plaisir de vous informer que l Agence Europ enne du M dicament vient d accorder notre sp cialit Procoralan ivabradine une nouvelle indication dans l insuffisance cardiaque chronique stable Procoralan est d sormais indiqu c
37. a Turque Qui sait d guster ne boit plus jamais de vin mais go te des secrets y En accord avec le Languedoc La richesse et l exub rance de ce vin pour raient faire craindre des alliances difficiles avec les mets mais d licieuse surprise il va au contraire s adapter et s accorder avec de nombreuses pr parations et en premier lieu la grande cuisine languedocienne daube gar dianne c te de sanglier aux poires tripes lan guedociennes cassoulet aux f ves Un faisan Souvaroff aux truffes et foie gras un li vre en saupiquet l pouse ront avec d lice Gr ce ces plats si le fruit et la struc ture de Sylvie restent marqu s ses tanins semblent plus fon dus son caract re g n reux a tendance s effacer sa compo sante cacao devient moins imposante Mais plus rustiquement un poulet aux herbes de Provence un lapin aux olives un navarin d agneau lui feront f te Salvador Dali Laissons conclure Robert Creus force de critiquer les vins des autres il me fallait r aliser le mien Effectivement l essai est un coup de ma tre et chappe toute critique D le coin des cardiologues nophiles ii E s e 2 Derni res els D LE 2 a Ta EE Extension d AMM europ enne pour Procoralan dans l insuffisance cardiaque Le groupe Servier a annonc dans un communiqu publi le 17 f vrier 2012 l obtention d une extension de l autorisation
38. ables nous a t il dit leur reversement n est pas possible Un dossier a t d pos par la CNAMTS la HAS pour va luer si certaines de ces associations sont justifi es en tenant compte de la pathologie Suite aux nouvelles mesures d conomie demand es par le plan Fillon 2 la cardiologie avec la radiologie et la biologie est l une des sp cialit s concern e et notamment lacte associant PETT l ECG Cette association tait une mesure transitoire selon la note de factura tion de la CCAM de 2005 La CHAP en d cembre 2011 a ent rin sans vote cette demande de suppression Elle est actuel lement sur le bureau du ministre pour avis pour une mise en application au mois de mai 2012 L conomie selon la CNAM sera de l ordre de 7 millions d en 2012 et selon mes calculs de pr s de 10 millions d en 2013 Cette mesure est mettre en parall le avec une augmentation de la valeur de l ETT pour atteindre sa valeur cible soit 96 49 une augmentation de 0 83 cts Celle ci ne pourra survenir que 6 mois apr s la paru tion au JO de l avenant la convention Lors de notre rencontre avec Yves Ginard nous avons protest contre cette mesure et les avons avertis du risque de ne pas avoir l effet escompt bien au contraire Notre demande de forfaitisation d un acte de t l suivi des PM et DAI semble tre en bonne voie Quant l acte de FFR c est beaucoup plus compliqu Les gardes et astreintes Une
39. alit s conventionnelle et politique Docteurs Christian Ziccarelli et Eric Perchicot e Docteur Ziccarelli rappelle les points essentiels de la convention qui a t sign e par les centrales dans laquelle les sp cia lit s m dico techniques ont t les grandes oubli es Le probl me des astreintes forfai taires dues aux m decins lib raux participant la mission de perma Le Cardiologue 350 Mars 2012 nence des soins en tablissement de sant devrait tre r gl rapidement maintenant puisqu un arr t doit pa ra tre prochainement Il faudra faire tr s attention aux contrats liant l ARS la direction de l tablissement et les m decins concern s et la tenue des tableaux de gardes et astreintes La loi de finance de la S curit Sociale LFSS 2012 a t vot e le 29 novembre 2011 avec un ONDAM fix 2 5 171 milliards la r partition de l effort 34 pour la ville 1 4 pour l h pital apr s avoir t pr vu 2 8 Les 500 millions d conomies suppl mentaires sont r partis ainsi m 100 millions fonds de restructuration de l h pital m 290 millions par la baisse des prix des m dicaments m 90 millions par la baisse des tarifs de biologie radiologie et cardiologie E 20 millions sur le m dico social Il est noter la cr ation d un Fonds d intervention R gional FIR qui va permettre de financer la PDS une hausse de 1 6 de la contribution sur le chif
40. ambulatoire Le but est l appropriation par le monde cardiologique de ces indicateurs Ainsi suite une demande du minist re partir de ces donn es a t cr un indicateur agr g mis la disposition des tablissements pour mieux conna tre la qualit de leur prise en charge des SCA Cet indicateur est mis la disposition du public sur le site Platine plate forme d information sur les tablissements de sant Le CNPC va jouer un r le consid rable dans le futur DPC en effet il d signera son repr sentant et son suppl ant la Com mission Scientifique Ind pendante il proposera au minist re les th mes de cardiologie devant faire l objet du programme annuel en choisissant les m thodes apr s avis de la HAS et en fin il soumettra le ou les organismes effecteurs Le tout avec un passage oblig par la FSM interlocuteur unique de l organisme de gestion du DPC et du minist re Depuis le mois de juillet CARDIORISQ organisme agr pour Le Cardiologue 350 Mars 2012 l accr ditation des quipes est fonc tionnel et vous pouvez vous inscrire pour faire votre accr ditation en sa chant que ce n est pas une obligation Le probl me majeur reste comme toujours celui du financement pour rendre CARDIORISQ op rationnel Un dossier sp cial actualit s et pra tiques en cardiologie a t mis en ligne sur le site de la HAS un dossier th matique consacr aux coop ra tions de la cardiologie avec
41. anque d appareils a indirectement profit Samsung et autres constructeurs Le Cardiologue 350 Mars 2012 de l usage dont vous allez en faire Pour les fonctions de base que sont le mail la consultation de sites la lecture de vid o le visionnage de photos la tablette est par faitement adapt e c est dire l usage cou rant Elle vous suit partout est solide ne su bit pas les contraintes physiques des disques durs a un syst me d di et stable En la connectant vos propres appareils person nels t l vision cha ne hifi instruments de musique via wifi ou Airplay 2 Denon entre autres communique via Airplay votre tablette devient la source principale de votre maison Ne manquent plus que la chaudi re ou l alarme mais a existe d j chez Somfy et vous voil devant une domotique person nalis e et extr mement puissante Le force est avec elle La force de la tablette est qu elle peut conve nir tous les membres d une m me famille chacun ayant ses propres applications D s le mois prochain nous vous proposerons un tableau des diff rentes marques afin de vous rep rer dans ce qui commence devenir une pl thore de mat riel et d applications Les applications Les constructeurs Apple en t te ont pris les devants de la sc ne en proposant leurs ap plications via leur propre store Apple Store Android Market Archos Appslib etc Il faudra faire attention l offre car
42. antes si les tribunaux s engagent dans la voie ouverte par cet arr t de la Cour de Cassation Une enqu te de la DREES a montr que les m decins lib raux ont les horaires de travail les plus lourds de leur cat gorie socioprofession nelle Pour beaucoup de cardiolo gues il se surajoute des gardes la nuit ou le dimanche Ce n est pas avec de telles d ci sions que l on incitera les jeunes m decins s installer pour am lio rer l offre de soins I a Cour de Cassation Extraits de l arr t de la Cour de Cassation Aux motifs propres que Monsieur Alain X pr sentait bien au jour de l examen du 7 janvier 2002 un tableau de nature imposer Madame le Docteur Y la mise en place d une surveillance accrue alors m me que la r tinopathie n avait pas t constat e que lorsque le diagnostic d un diab te est pos un bilan ophtalmologique est recommand une fois par an et une fois par semestre ou trimestre en cas de r tinopathie mod r e ou s v re que le fait que d autres m decins n aient pas r percut au Docteur Y l information est d nu de pertinence qu il convient de juger que le d faut de mise en place du contr le accru recommand dans un tel contexte cette date qui correspondait sensiblement l ch ance du d lai de dix ans constitue une faute certaine la charge de ce praticien qu elle le Dr Y ne devait pas ignorer que Monsi
43. ates Associations n cessitant des pr cautions d emploi e anti acides cholestyramine ciclosporine e danazol e niacine amiodarone v rapamil diltiazem acide fusidique anticoagulants oraux e jus de pamplemousse GROSSESSE ET ALLAITEMENT INEGY est contre indiqu EFFETS SUR L APTITUDE A CONDUIRE DES VEHICULES ET A UTILISER DES MACHINES des tourdissements ont t rapport s EFFETS IND SIRABLES c phal es flatulences douleurs abdominales diarrh e myalgies fatigue constipation naus es pancr atite h patite ict re myopathie rhabdomyolyse r actions d hypersensibilit incluant rash urticaire anaphylaxie angio d me thrombocytop nie lithiase biliaire chol cystite augmentation des transaminases et des CPK d pression PROPRIETES PHARMACOLOGIQUES Classe pharmaco th rapeutique inhibiteurs de l HMG CoA reductase en association d autres agents hypolip miants DONNEES ADMINISTRATIVES Liste VEGY 10 mg 20 mg e AM M 34009 369 613 7 1 bo te de 30 cps 2005 r v 29 09 2009 Prix 54 52 Remb S c Soc 65 Agr Collect e AM M 34009 390 956 7 7 bo te de 90 cps 2005 r v 29 09 2009 Prix 147 42 Remb S c Soc 65 Agr Collect IA M M 34009 567 138 3 7 bo te de 50 cps 2005 r v 29 09 2009 Conditionnement exclusivement hospitalier Agr Collect IVEGY 10 mg 40 mg e A M M 34009 369 616 6 1 bo te de 30 cps 2005
44. aut pas se contenter d en lire la conclusion et il faut l analyser en d tail car les motifs de condamnation de notre confr re sont effrayants Ils d notent une m connaissance totale de la pratique et sont totalement d connect s de la Le Cardiologue 350 Mars 2012 vie r elle de sorte que l on ne voit pas comment trouver des mesures pr ventives surtout avec un pa tient n gligent Les juges ont refus de tenir compte des sp cificit s du sp cia liste en acc s secondaire qui ne voit un patient que de fa on occa sionnelle quatre fois en neuf ans ici qui ne dispose pas des informa tions au jour le jour dont dispose le m decin traitant et n a pas les possibilit s de contacts rapproch s et r p t s qui permettent d avoir une influence sur le comportement du malade Ils ignorent les diff rentes tudes qui d montrent que beaucoup de patients ne suivent pas les conseils qui leur sont donn s I ne faut pas en tirer des conclusions culpabilisa trices leur gard mais on ne peut pas non plus en rejeter la responsa bilit sur un m decin Il y a eu effectivement par rapport une prise en charge satisfaisante un certain nombre de dysfonction nements mais tous les l ments du dossier ont t relev s charge contre notre confr re alors que sur la plupart d entre eux il n avait pas la possibilit d intervenir Le tableau relat ici est fr quent en pratique cardiologique Nous ne s
45. aux questions non r solues L institut du Thorax r unit soins enseignement et recherche Le besoin de croiser les savoirs est essentiel et il existe un conti nuum entre recherche clinique et recherche fondamentale Par la recherche nous apportons des connaissances et des nou velles pratiques qui ont des applications dans la pratique quo tidienne de tous les cardiologues Certes nous manions des concepts que les cardiologues de ville ne g rent pas au quoti dien mais il leur est facile de s apercevoir que leurs pratiques et leurs prescriptions aujourd hui r sultent de recherches men es dix ou quinze ans plus t t Malheureusement je consid re qu au jourd hui la recherche cardiovasculaire est le parent pauvre en France par rapport d autres pays Elle re oit peu de soutien ins titutionnel par rapport d autres domaines et peine donc faire merger des sujets de recherche fondamentale Un Plan c ur am liorerait il cette situation selon vous H L M je suis favorable un meilleur financement et une meilleure organisation de la recherche cardiovasculaire mais je me m fie du tron onnage par plan Si c est la seule solution pourquoi pas mais je ne suis pas s r que la d fense par cat gorie et l hypertrophie d un secteur de recherche par rapport d autres soit une bonne chose Il importe de structurer la recherche autour des grands organismes existants en se posant la question O sont les grands enje
46. ctilyse alt plase rt PA est la seule option th rapeutique autoris e pour les patients la phase aigu de l AVC isch mique La rapidit d instauration de la thrombolyse demeure fondamentale et permet d accro tre le b n fice pour les patients souffrant d un AVC isch mique lors de la phase aigu Boehringer Ingelheim France a annonc l obtention de l allongement de la fen tre th rapeutique d Actilyse jusqu 4 heures 30 au lieu de 3 heures pr c demment apr s l apparition des premiers sympt mes dans le traitement fibrinolytique de l accident vasculaire c r bral AVC isch mique la phase aigu apr s exclusion pr alable d une h morragie intracr nienne Cette extension d AMM est en accord avec les recommandations de bonne pratique de la Haute Autorit de Sant HAS publi es en 2009 sp cifiant que la thrombolyse intraveineuse par rt PA des infarctus c r braux est recommand e jusqu 4 heures 30 apr s l apparition des premiers sympt mes Par ailleurs dans le cadre de cette proc dure l Afssaps a demand une modi fication des conditions de prescription et d utilisation du m dicament de fa on permettre l instauration et le suivi du traitement sous la responsabilit d un m decin form et exp riment en pathologie neurovasculaire Les dispositions initiales pr voyaient que seuls les sp cialistes en neurologie taient autori s s prescrire ce traitement dans l indication de l AV
47. d un titre L as pect visionnaire de son archi tecte Claude Nicolas Ledoux dont on d couvre les maquettes r unies au sein d un mus e qui lui est consacr n a pas fini de vous tonner de par sa modernit Claude Nicolas Ledoux Claude Nicolas Ledoux fils de Claude Ledoux marchand et de Fran oise Dominot na t Dormans dans la Marne le 27 mars 1736 Il fait ses tudes Paris Passionn de dessin il suit les cours d architecture enseign s par Jacques Fran ois Blondel et re oit les conseils de Fran ois Trouard grand admirateur de Pal ladio qui avait une pr dilection pour les ordres grecs en les adaptant pour cr er une archi tecture originale Ledoux est l auteur de nom breuses uvres mais rares sont celles qui sont parvenues jusqu nous citons outre la saline d Arc et Senans le ch teau de Benouville les b timents subsistants de l enceinte de Paris les colonnes du bureau d octroi place de la Nation la rotonde de Monceau la rotonde de Reuilly l octroi de la Villette qui taient Maison des banniers le coup de ceur du Cardiologue crist zeeen une barri re fiscale et douani re voulue par la Ferme G n rale Il fut un architecte parti culi rement inventif en avance sur son temps Il travaille les perspectives avec une utilisation intensive de maquettes Le nombre d or pour les proportions entre les pleins et les vides les colonnes et les entrecolonnements donne
48. de r gions remercient vivement le Doc teur Guillot qui les a aid s tout au long de l ann e pour r soudre des contentieux D Politique des Centrales en 2011 Le point de vue du SNSMCV e Docteur Ziccarelli rappelle que les cotisations que le Syn dicat verse chaque ann e aux centrales sont des cotisa tions de soutien la politique des centrales et que le Syndicat attend en retour que ces m mes centrales nous soutiennent et nous aident UMESPE CSMF Le Docteur Perchicot est membre du Bureau de l UMESPE l UMESPE est une structure qui a un vrai discours politique et qui soutient les cardiologues avec un pr sident le Docteur Rey qui est tr s r actif Mais ce n est pas l UMESPE qui signe la convention mais la CSMF d o certaines surprises lors de parutions d avenants sur lesquels nous n tions pas au courant C est gr ce Jean Fran ois Rey que la cardiologie a t un pionnier pour le P4P Le Docteur Ziccarelli soutient les propos du Docteur Perchicot le Docteur Rey a toujours r pondu pr sent et a soutenu les demandes des cardiologues SML Le Docteur Ayrivi est le repr sentant des cardiologues au SML il souhaite que le Syndicat continue adh rer au SML Le Docteur Ziccarelli regrette que le SML soutienne les MEP FME Sp Le Docteur Ziccarelli a rencontr le Docteur Hamon qui a pris la direction de la FMF en sachant que les probl mes juridiques ne sont pas encore r gl s et qu il y a eu cr a
49. e contrastes dans le traitement des infarc tus du myocarde trait s par angioplastie primaire marqueurs diagnostiques et pronostiques Apr s avoir d cern d s 2007 trois prix r compensant des travaux de recherche sur le th me de l agr gation plaquettaire Daiichi Sankyo France et Lilly France ont poursuivi leur engagement de puis avec notamment la remise d une bourse de recherche de la SFC sur la maladie coronaire et des prix r compensant des pos ters dans les congr s de cardiologie interventionnelle Le Cardiologue 350 Mars 2012 Une valuation du t lesuivi des d fibrillateurs implantables plus t t que pr vu n est pas exclue HAS La Haute Autorit de Sant HAS esp re pouvoir initier l valuation du t l suivi des d fibrillateurs et stimulateurs cardiaques implan tables prochainement comptant sur la mise disposition imminente des r sultats d une tude m dico conomique fran aise La HAS a annonc d but f vrier au Conseil national professionnel de la cardiologie qui l avait saisie sur ce sujet qu elle n avait pu l inscrire son programme de travail 2012 mais qu il pourrait l tre dans le pro gramme 2013 Cette d cision a suscit l incompr hension des profes sionnels soulignant un manque de coh rence alors que les dispositifs poss dant un syst me de t l suivi sont rembours s et que la t l m de cine est un chantier prioritaire D une part l Union nationale des ca
50. e et l enseignement Ces objectifs me semblaient difficiles atteindre en dehors de l h pital public J ai eu la chance de pouvoir m engager dans cette voie et d avoir les r ponses mes attentes Etre PU PH c est assumer trois valences soins recherche et enseignement auxquelles il convient d en ajouter une quatri me et qui a pris de plus en plus d importance ces derni res ann es la valence administrative c est dire la parti cipation divers comit s et commissions dans lesquels il importe de faire entendre notre point de vue Toutes ces activit s ont leur int r t et l on attend des m decins qu ils s impliquent dans toutes Or nous travaillons beaucoup mais il est difficile de tout faire dans tous les domaines et les PU PH privil gient en g n ral une ou deux de ces valences Personnellement lorsque j tais PH j tais tr s impliqu dans le soin je faisais beaucoup de recherche clinique et un peu d enseignement au lit du patient J ai fait en suite davantage de recherche et d enseignement Et depuis dix ans je suis surtout tr s investi dans l enseignement Le Cardiologue 350 Mars 2012 Je m occupe notamment du DES de cardiologie au niveau natio nal L investissement dans l une ou l autre activit est affaire de conjoncture et de go t personnel Ce qui est certain c est que la fonction de PU PH offre une riche diversit modulable Cela restera t il ainsi Ce n est pas s r Pr Daniel
51. ecr taire G n ral PROCORALAN 5 mg comprim s pellicul s s cables PROCORALAN 7 5 mg comprim s pellicul s Gomposition lvabradine 5 mg ou 7 5 mg EEN lactose Indications Traitement de la maladie coronaire Traitement symptomatique de l angor stable chronique chez l adulte coronarien en rythme sinusal L ivabradine est indiqu e chez les adultes pr sentant une intol rance ou une contre indication aux b tabloquants ou en association aux b tabloquants chez des patients insuffisamment contr l s par une dose optimale de b tabloquants et dont la fr quence cardiaque reste sup rieure 60 bpm Traitement de l insuffisance cardiaque chronique L ivabradine est indiqu e dans le traitement de l insuffisance cardiaque chronique de classe NYHA II IV avec dysfonction systolique chez les patients en rythme sinusal et dont la fr quence cardiaque est sup rieure ou gale 75 bpm en association au traitement standard comprenant les b tabloquants ou en cas de contre indication ou d intol rance aux b tabloquants Posologie et mode d administration Traitement de la maladie coronaire la posologie initiale recommand e est de 5 mg d ivabradine 2 fois j par voie orale une prise le matin et une le soir au cours des repas Apr s 3 4 semaines de traitement la poso peut tre augment e 7 5 mg 2 fois j selon r ponse th rapeutique Si la fr quence cardiaque FC de repos descend en dessous de 50 bpm ou si sympt mes l
52. ement envoi de justificatifs originaux obligatoires Possibilit de remplacement FPC Antiagr gants plaquettaire en pathologie coronaire hors syndromes coronaires aigus Bilan d une HTA r sistante ou secondaire Bon usage de la r adaptation cardiaque chez le patient cardiaque Bon usage de l implantation percutan e de bioproth se aortique sur r tr cissement aortique calcifi TAVI Bon usage du traitement lectrique chez l insuffisant cardiaque Cardiopathies cong nitales de l adulte Cardiopathies et grossesses Cardiopathies et pathologies rhumatismales C ur et dysfonction rectile C ur et ob sit C ur et voyages D pistage et suivi de l insuffisance coronaire stable ECG d effort et mesure de la VO en cardiologie Echocardiographie 1 valvulopathies aortiques Echocardiographie 2 insuffisance mitrale et proth ses valvulaires Echocardiographie 3 fonction VG et insuffisance cardiaque Echocardiographie 4 sources cardiaques d embolie et fibrillation auriculaire Echocardiographie 5 pathologie coronaire Echocardiographie 6 c ur droit et p ricarde Echocardiographie 7 HVG cardiomyopathies hypertrophiques et restrictives Echocardiographie 8 chocardiographie en r animation chirurgie et cath r risme interventionnel Explorations non invasives vis es coronaire Identification et prise en charge des complications sp cifiques apr s IDM Imagerie en coupe dans les pathologies cardiaques et des gros va
53. ement ou totalement la Cour des comptes fait le bilan de la gestion du patrimoine immobilier des h pitaux vit La FHP MCO demande que soient mis sous administra tion provisoire tous les h pitaux dont le d ficit est important et durable Quand une clinique priv e conna t des difficult s financi res le tribunal de commerce nomme un mandataire pour aider l tablissement se redresser argumente le d l gu g n ral de la FHP Jean Loup Durousset Bien videmment la FHF d nonce les proc s d intention per manents faits au secteur public par la FHP Son d l gu g n ral G rard Vincent souligne que les h pitaux en d ficit ne se satisfont pas de cet tat de choses mais doivent faire respecter des r gles de gestion assurer des t ches plus difficiles que les cliniques et donc faire face des surco ts objectifs par rapport au secteur priv Contrats performance un impact conomique de 72 millions d euros Comme en r ponse aux critiques de la FHP l Agence Natio nale d Appui la Performance des tablissements de sant et m dico sociaux ANAP fait savoir qu la fin d cembre 2011 l impact conomique des 25 premiers contrats perfor mance sign s avec des tablissements hospitaliers s levait 72 millions d euros provenant des recettes des tablissements et d conomies de charges Ces 25 contrats repr sentent plus de 10 des lits de MCO en France et plus de 200 chantiers d a
54. enaires externes Alors que en moyenne sur la derni re d cennie les recettes des budgets consolid s retra ant l exploitation du patrimoine non affect se sont lev es 100 millions d euros par an et que les cessions ont pro cur en moyenne 70 millions d eu ros par an la Cour des comptes estime que le potentiel de valori sation du patrimoine priv pourrait s inscrire dans une fourchette tr s large de 1 11 milliards d euros Pour autant le pr sident de la 6 chambre de la Cour des comptes Antoine Durrleman souligne que les sommes qui pourraient tre tir es d une politique de valorisa tion de la DNA ne suffiraient ni combler l endettement hospitalier 24 milliards d euros ni satis faire le montant annuel des inves tissements hospitaliers 6 milliards d euros Mais elles pourraient ap porter une contribution d cisive au montage d un plan de financement La FHP pr conise la mise sous administration provisoire des h pitaux d ficitaires La guerre continue entre l hospita lisation publique et l hospitalisa tion priv e D non ant le manque d efficience et la d sorganisation des h pitaux le pr sident de la FHP MCO Lamine Gharbi estime qu il faut mettre fin au puits sans fond qu est l h pital public avec le surco t qu il impose la collecti Grischa Georgiew Fotolia Locaux lou s bas prix mal entretenus sites d saffect s et abandonn s partiell
55. es cardiolo gues comme des m decins g n ralistes Avec l hypersp cialisa tion il est vrai que le risque de segmentation existe mais il n est pas in vitable et les changes doivent tre maintenus D ailleurs les interconnexions existent et par exemple le rythmologue intervient pour resynchroniser un ventricule apr s le diagnostic pos par l chocardiographiste En outre je crois beaucoup aux vertus de la formation partag e au sein des EPU pour maintenir ces changes entre tous les cardiologues Vous tes donc optimiste quant lavenir D H Oui tant qu il y aura dans les h pitaux et ailleurs des per sonnes qui auront envie de donner le meilleur d eux m mes et d changer Je crois plus aux hommes qu aux institutions J ai la chance de par ma fonction d tre chaque ann e au contact d tudiants et d internes au d but de leur carri re et si par hasard mes id aux devaient s effriter je serais tr s vite remotiv On n a pas le droit de baisser les bras face des jeunes avides de r ponses D Pr Herve Le Marec Recherche et soins Croiser les savoirs est essentiel Professeur l universit de Nantes et directeur de l Institut du Thorax unit mixte INSERM le Pr Herv Le Marec a opt d s son internat pour la recherche qu il ne con oit pas d connect de la cardiologie clinique Comment avez vous choisi de vous orienter vers la recherche Herv Le Marec J ai fait ce choix t
56. es cardiologues lib raux ou hospitaliers G G Dans l ensemble mes relations avec mes confr res se sont toujours bien pass es et j ai toujours trouv discuter avec eux Je n ai pas trop senti mon isolement Aujourd hui certains de mes coll gues sont en coordination plus formelle avec des g n ra listes du sud du d partement en recourant notamment la vi d otransmission sur des cas particuliers et il est certain que nous allons voluer vers cela E Densit de cardiologues par r gion en 2012 par rapport la densit nationale lt de 20 lt de 10 20 M lt 10 et 10 H gt 10 a 20 H gt 20 lle de la R union Guadeloupe Martinique Guyane DREES f vrier 2012 Dr Olivier Fichaux cardiologue interventionnel dans le secteur prive Il faut en finir avec les antagonismes d hier Cardiologue interventionnel la clinique de La Reine Blanche Orl ans le Dr Olivier Fichaux y a trouv la libert de s exprimer professionnelle ment Mais il n entend pas pour autant alimen ter le conflit public priv un combat d arri re garde selon lui Comment avez vous t amen pratiquer la cardiologie interventionnelle et le faire dans le cadre de l hospitalisa tion priv e Olivier Fichaux Le choix de la cardiologie interventionnelle est le fruit du hasard J ai choisi la sp cialit de cardiologie et en suite ce sont des opportunit s qui
57. es chroniques politiques professionnelles ou syndicales un barom tre beira Fi ig Dre MOE E Biarea T i S Fii ita riein Cd Es L z D 2 Le sms EL es Le mme 28 Cr Le er Nous ne pouvons en aucun cas vous communiquer l adresse des confr res Nous serions par ailleurs reconnaissants tous les m decins de bien vouloir r pondre aux lettres qui leur sont adress es m me si l affaire a d j t conclue l auteur de l annonce gr ce au contact pr cis Les petites annonces du Car diologue sont r serv es aux cardiologues titre personnel Elles sont offertes pour trois pas sages maximum aux cardiologues abonn s ou adh rents au SNSMCV jour de cotisation sous r serve qu elles n aient pas un caract re commercial Pour les SCM soci t s commerciales cliniques ou tablis sements les rubriques annonces class es offres d emploi forma tion immobilier sont factur es sur devis Adh rent Abonn Non adh rent Non abonn see see eee eee eee eee ee Q Q Q Une ligne 30 caract res signes et espaces O Je suis abonn adh rent _Mon num ro d abonn jadh ren O Je joins un ch que de euros l ordre de Cardiologue Presse O Je d sire une facture Coupon renvoyer
58. es d un des h pitaux de la r gion aient Le Cardiologue 350 Mars 2012 du mal y participer Mais il s agit de combats d arri re garde qui n appartiennent pas ma g n ration Au sein du CRAC mes confr res qu ils soient du public ou du priv n ont pas la menta lit se d nigrer les uns les autres et c est une tr s bonne chose Nous devrions travailler ensemble et nous respecter Et ce n est pas toujours le cas malheureusement Mais encore une fois je crois que ce sont des antagonismes d hier qui disparaissent dans les jeunes g n rations L argument financier a t il compt dans votre choix du priv 0 F Certes l aspect financier est entr aussi en ligne de compte Le salaire est plus important dans le priv que dans le public ceci pr s que dans le priv l achat de parts dans une soci t re pr sente une prise de risque et qu il y a toujours des craintes inh rentes l activit Cela tant dit la clinique de La Reine Blanche nous sommes neuf cardiologues nous exer ons tous en secteur 1 et nous fonctionnons en SCP c est dire que nous nous mettons les recettes en commun que nous touchons un salaire identique en fin de mois et que nous nous r partissons les dividendes en fin de mois s il y en a La cardiologie invasive qui g n re le plus d argent ne profite donc pas ceux qui la pratiquent mais tous L attrait financier du priv ne rentre donc pas en ligne de compte A t
59. es du rythme ventriculaire Prise en charge d un patient sous antivitamines K Prise en charge d une hyponatr mie en pathologie cardiovasculaire Prise en charge nutritionnelle du patient cardiaque St noses carotidiennes et pr vention des accidents vasculaires c r braux Suivi ambulatoire des patients porteurs d un stimulateur ou d un d fibrillateur car diaque simple ou double chambre T l m decine un nouvel enjeu pour les professionnels de sant Traitement non pharmacologique de l insuffisance cardiaque terminale transplanta tion cardiaque et assistance circulatoire Valvulopathies m dicamenteuses DPC Bon usage de la r adaptation cardiaque chez le patient cardiaque Bon usage de l implantation percutan e de bioproth se aortique sur r tr cissement aortique calcifi TAVI Bonne pratique de l chocardiographie doppler Observatoire INDIQCARD d v nements porteurs de risques en pathologie cardiovasculaire Prise en charge ambulatoire de l insuffisant cardiaque Prise en charge ambulatoire de l infarctus du myocarde avec ou sans sus d calage du segment ST Prise en charge de la bicuspidie aortique Prise en charge de la cardiomyopathie dilat e Prise en charge de la cardiomyopathie hypertrophique Prise en charge de la maladie veineuse thrombo embolique Prise en charge des complications cardiovasculaires des chimioth rapies Prise en charge des syncopes Prise en charge d une hyponatr mie en pathologie cardiovasculaire
60. eur X qui ne se soignait pas de fa on rigoureuse puisqu il ne lavait consult que quatre fois en quatre ans les 25 novembre 1993 31 juillet 1998 21 septembre 2000 et 7 janvier 2002 fait constant n avait pas suivi de r gime durant toutes ces ann es elle devait s enqu rir de ce facteur d aggravation et dans tous les cas pr voir une surveillance accrue que la surcharge des cabinets ne constitue pas plus une excuse que selon les recommandations de l Agence Nationale d Accr ditation et d Evaluation en Sant ANAES en vigueur au moment des soins d livr s par le Docteur Y Monsieur X un bilan ophtalmologique effectu par un ophtalmologiste doit tre pratiqu d s le diagnostic puis une fois par an chez le diab tique de type 2 non compliqu que la surveillance de Monsieur X par le Docteur Y n a pas t satisfaisante ni conforme aux bonnes pratiques qu il il s agit de l expert note en effet que Monsieur X n a pas b n fici d une surveillance annuelle du fond d oeil depuis sa prise en charge par l ophtalmologue en 1993 qu ainsi il est av r que le Docteur Y n a pas exerc une surveillance adapt e l tat de son patient O Le ins Li S L v Z Arc et Senans une manufacture royale La saline d Arc et Senans clas s e au patrimoine mondial de PUNESCO depuis 1982 est sur prenante plus
61. fre d affaires des entreprises pharmaceu tiques destin financer le DPC un renforcement de l analyse m dico conomique des actes et des produits de sant par la HAS et enfin l intensification de la lutte contre les fraudes aux prescriptions Notamment vont faire l objet d une surveillance les actes d chographie l implantation d endoproth se chez les patients n ayant pas fait d infarctus l ablation par radiofr quence et les actes lectrophysiologiques En effet il y a d normes dispa rit s r gionales dans la pratique de l exercice cardiologique et le CNPC a t sollicit par la HAS et la CNAMTS pour expliquer ces disparit s r gionales Un courrier de l Assurance Maladie re u par le Syndicat indiquait que l association des actes d cho et d ECG tait de 1 700 000 contre 3 000 000 d actes ECG seul Ce qui veut dire que pour cer tains cardiologues 53 l acte de base est devenu cho ECG L Assurance Maladie rappelle qu il s agissait d une mesure transi toire et qu partir du mois de mai vraisemblablement cette asso ciation serait supprim e I a donc t demand la Caisse de bien vouloir r fl chir pour que cette association d actes puisse tre pos sible dans certains cas pour le bien des patients Le Docteur Guillot rappelle que ce qui pose probl me est la r p titivit de l cho Ce que confirme le Docteur Ziccarelli avec une grande disparit r gio nale Si les caisses s inqui tent ce n est pas p
62. gime chez les patients ayant une HFHo Ces patients peuvent recevoir galement des traitements adjuvants exemple aph r se des LDL POSOLOGIE ET MODE D ADMINISTRATION Suivre un r gime hypolipid miant adapt La posologie usuelle est 10 20 mg ou 10 40 mg une fois par jour le soir Tous les dosages peuvent ne pas tre commercialis s La posologie doit tre individualis e si n cessaire ajustements intervalles d au moins 4 semaines e En association une r sine changeuse d ions INEGY sera pris soit gt 2 h avant ou gt 4 h apr s En association avec de l amiodarone ou du v rapamil la posologie d INEGY ne devra pas d passer 10 20 mg j En association avec de la ciclosporine du danazol ou de la niacine doses hypolip miantes gt 1 g la posologie d INEGY ne devra pas d passer 10 10 mg non disponible Non recommand chez l enfant et l adolescent insuffisant r nal s v re prudence pour des posologies sup rieures 10 mg 10 mg j C T J 1 64 1 82 INEGY 10 mg 20 mg 1 82 2 01 INEGY 10 mg 40 mg CONTRE INDICATIONS Hypersensibilit l z timibe la simvastatine ou l un des constituants du m dicament Grossesse et allaitement voir rubrique 4 6 Affection h patique volutive ou l vation prolong e inexpliqu e des transaminases s riques Administration concomitante avec des puissants inhibiteurs du CYP3A4 par exemple itraconazole k t
63. i j a m be a za pe i m i f Doa Ea Commis tical 29 le coup de ceur du cardiologue Wes Carat La sant et le sens de l humain Sant Egalit Solidarit Coordonn par les Professeurs Jean Fran ois Matt i et Claude Dreux l ouvrage a t pr sent l Acad mie nationale de m decine le 18 janvier 2012 lors d un colloque consacr aux in galit s de sant n conna t bien Jean Fran ois Matt i ancien Ministre de la Sant professeur de g n tique m dicale membre de l Acad mie nationale de m decine ancien ministre de la sant et actuel pr sident de la Croix Rouge fran aise C est l occasion de la publication de son dernier ouvrage intitul humaniser la vie qu il rencontra Claude Dreux ancien Pr sident de l Acad mie nationale de pharmacie professeur m rite de biochimie membre de l Acad mie nationale de m decine et pr sident du comit d ducation sanitaire et sociale de l Ordre des pharmaciens Tous deux envisag rent de conce voir ce livre dans l espoir que selon la jolie formule utilis e par Claude Dreux l humanisation de la sant participe humaniser la vie Ce dernier dresse un constat par ticuli rement s v re les progr s scientifiques et technologiques sou vent mal ma tris s deviennent peu peu une fin en soi aux d pens du sens de l humain et de la n cessit de replacer l individu au centre des
64. i s la bradycardie la dose doit tre diminu e en sachant qu une posologie de 2 5 mg 2 fois j peut tre envisag e Le traitement doit tre interrompu si la FC reste lt 50 bpm ou si les sympt mes li s la bradycardie persistent Traitement de l insuffisance cardiaque chronique instaurer traitement uniquement chez les insuffisants cardiaques stables La poso initiale recommand e est de 5 mg d ivabradine 2 fois j Apr s 2 semaines de traitement la poso peut tre augment e 7 5 mg 2 fois j si FC de repos persiste au dessus de 60 bpm ou diminu e 2 5 mg 2 fois j si FC de repos persiste en dessous de 50 bpm ou en cas de sympt mes li s la bradycardie Si la FC est comprise entre 50 et 60 bpm la poso de 5 mg 2 fois peut tre maintenue Si durant le traitement la FC de repos descend de fa on persistante en dessous de 50 bpm ou en cas de sympt mes li s la bradycardie la dose doit tre diminu e la poso inf rieure Si la FC de repos persiste au dessus de 60 bpm la poso peut tre augment e la poso sup rieure Le traitement doit tre interrompu si la FC reste inf rieure 50 bpm ou si les sympt mes li s la bradycardie persistent instaurer le traitement 2 5 mg 2 fois j chez le sujet g de 75 ans et plus Utiliser avec pr caution chez l insuffisant h patique mod r et l insuffisant r nal si Clor at lt 15ml min Pas de donn es disponibles chez les enfants de moins de 18 ans CTJ 2 26 Co
65. ication de leur traitement antihypertenseur contient du lactose Interactions Assoc contre indiqu e inhibiteurs puissants du CYP3A4 Assoc d conseille inhibiteurs mod r s du CYP3A4 diltiazem v rapamil M dicament allongeant le QT Assoc n cessitant des pr cautions d emploi autres inhibiteurs mod r s du CYP3A4 Jus de pamplemousse Inducteurs du CYP3A4 Grossesse et allait Contre indiqu s Conduite et utilisation de machines prise en compte de possibles phosph nes Effets ind sirables Tr s fr quent Phosph nes Fr quent Bradycardie BAV allongement de l intervalle PQ l ECG extrasystoles ventriculaires vision trouble c phal es sensations vertigineuses pression art rielle non contr l e Peu fr quent Hyperuric mie osinophilie syncope vertiges palpitations extrasystoles supraventriculaires hypotension dyspn e naus es constipation diarrh e angio d me rash crampes musculaires asth nie fatigue l vation de la cr atinin mie Rare ryth me prurit urticaire malaise Tr s rare Fibrillation auriculaire BAV du 2 et du 3 degr maladie du sinus Propri t s ATC CO1EB17 L ivabradine agit en r duisant uniquement la fr q cardiaque par inhibition s lective et sp cifique du courant pacemaker qui contr le la d polarisation diastolique spontan e au niveau du n ud sinusal et r gule la fr quence cardiaque Prescription et d livrance Liste I
66. illions pr vus dans la convention sur la ma trise m dicalis e 90 millions seront pr lev s sur la baisse des tarifs des sp cialit s m dicales dont les revenus sont les plus lev s principalement les radiologues et les biologistes les cardiolo gues n ont pas t oubli s puisqu il ne sera plus possible de coter l association ETT ECG La progression de l Ondam est pass e de 2 8 2 5 2 1 pour les d penses de soins de ville et 2 4 pour les d penses des tablissements Pour l an n e 2011 l Ondam sera respect et probablement galement en 2012 Toutefois le seuil de d clenchement de l alerte en cas de risque s rieux de d passement de l ONDAM fix en 2011 0 70 sera de 0 60 en 2012 et de 0 5 d s 2013 noter galement dans la LFSS la cr ation d un FIR Fonds d Intervention R gional g r par les ARS qui financera entre autres les PDS ambulatoires et en tablissement de sant la pr vention et la promotion de l ducation la sant les mai sons et centres de sant La lutte contre les fraudes sera accentu e En 2010 le mon tant total d tect des fraudes aux prestations tait de 272 mil lions en hausse de 27 par rapport 2007 La loi relative au renforcement de la s curit sanitaire du m dicament et des produits de sant Publi e fin d cembre cette loi est loin d tre anodine pour 11 n N Q a s Le a Profession notre activi
67. iomarqueurs du risque cardiovasculaire Troponine hypersensible Tn HS principe et mode d emploi Biomarqueurs et insuffisance cardiaque en 2012 Etat des lieux et perspectives 6 18 19 20 21 25 28 30 31 32 34 Vie syndicale Compte rendu de l assembl e g n rale 7 Rapport moral du Pr sident 12 Rapport financier 12 Conseil National Professionnel de Cardiologie 13 Actualit s conventionnelle et politique 14 La Parole aux R gions 14 Politique des Centrales en 2011 point de vue du SNSMCV 15 Litiges et contentieux 15 Cardiologue Presse 16 UFCV bilan des actions 2011 16 Questions Diverses Profession Entretien du Pr Albert Hag ge Dotation Non Affect e DNA Un patrimoine immobilier n glig Actualit en bref D AANI S T moignages La cardiologie en quatre dimensions Tous vos tablettes Nomenclature D lais de rendez vous Un arr t pr occupant de la Cour de Cassation Le coup de c ur du cardiologue Arc et Senans une manufacture royale du XVII si cle La sant et le sens de l humain Sant Egalit Solidarit Les cardiologues nophiles Terre Inconnue Sylvie 2006 Derni res nouvelles Les petites annonces Profession Compte rendu de l assemb Les 27 et 28 janvier 2012 Paris Le Docteur Ziccarelli ouvre la s ance ce samedi 28 jan vier en remerciant les pr sents Il remercie galemen
68. isseaux Isch mie silencieuse chez le diab tique de type 2 Le diab te de type II haut risque cardiovasculaire Maladies veineuses thrombo embolique Pathologie de l aorte Pathologie iatrog ne m dicamenteuse chez le sujet g en cardiologie Pathologies cardiovasculaires et syndrome d apn e hypopn e obstructive du sommeil P ricardites et endocardites infectieuses Prescription de l activit physique risques et pathologies cardiovasculaires Prescription des statines Pr vention du risque cardiovasculaire en chirurgie non cardiaque Pr vention secondaire apr s infarctus du myocarde non compliqu Prise en charge ambulatoire de l insuffisant cardiaque par le cardiologue Prise en charge cardiologique ambulatoire de l insuffisant cardiaque g Prise en charge de la bicuspidie aortique Prise en charge de la cardiomyopathie dilat e Prise en charge de la cardiomyopathie hypertrophique Prise en charge de l art riopathie chronique oblit rante des membres inf rieurs Prise en charge de l HTA essentielle du sujet adulte Les dates des sessions vous sont communiqu es sur le site de l UFCV T l 01 45 42 74 19 email unfcv wanadoo fr Prise en charge de l hypertension art rielle pulmonaire Prise en charge des complications cardiovasculaires des chimioth rapies Prise en charge des masses et tumeurs cardiaques Prise en charge des syncopes Prise en charge des tachycardies supra ventriculaires Prise en charge des troubl
69. isses d assurance maladie Uncam bien qu int ress e par le sujet ne l a pas jug prioritaire et la HAS a d cid partir de 2012 de ne traiter que les saisines d valuation manant de l Uncam et non des soci t s savantes afin que ces valuations soient suivies d effet en termes de remboursement D autre part nous allons avoir des productions sur l valuation de la t l m decine et il ne faut pas que cela interf re avec la t l cardiolo gie souligne l APM Jean Patrick Sales directeur de l valuation m di cale la HAS Mais surtout les donn es fran aises sur le b n fice m dico conomique de cette strat gie valu dans une tude financ e dans le cadre du pro gramme de soutien aux technologies innovantes et co teuses Stic ne sont pas encore disponibles Elles devraient l tre tr s br ve ch ance estime t il et partir de ce moment l l Uncam pourrait remonter le niveau de priorit de ce sujet et saisir la HAS Boston Scientific annonce la premi re implantation et la commercialisation du stent promus l ment Plus en Europe Le stent coronaire en platine chrome avec syst me de mise en place optimis est d sormais disponible en Europe et dans d autres pays Boston Scientific Corporation NYSE BSX annonce la premi re implan tation et la commercialisation en Europe de PROMUS Element Plus stent coronaire en platine chrome lib ration d everolimu
70. itre indicatif je gagne presque 2 5 fois moins que ce que je produis Mais ce syst me est optimal pour ce qui est de la prise en charge du malade ce ne peut jamais tre l int r t financier qui pr vaut dans les d cisions Vous tes donc pleinement satisfait de votre exercice 0 F Je n ai aucun regret J ai la chance de faire le m tier que je fais Il a des contraintes normes il est assez stressant et parfois m me angoissant mais c est un m tier valorisant J ai fait ce que je voulais faire mes choix n ont pas t des choix par d faut mais toujours des choix positifs Le seul point noir pour moi r side dans ce conflit entre le public et le priv qui r sulte d ailleurs surtout je crois de l ignorance des uns pour ce que font les autres Il faut que les gens arr tent de ne penser qu en fonction de leur pr carr I Pr Daniel Herpin Enseignement et soins en h pital public On ne peut pas perdre ses id aux au contact de jeunes internes PU PH au CHU de Poitiers le Pr Daniel Herpin a assur les trois valences de la fonction Ces der ni res ann es l enseignement occupe une place pr pond rante dans son activit Comment s est fait votre cheminement vers cette fonction de PU PH que vous assumez au sein du CHU de Poitiers Daniel Herpin Travailler dans un CHU tait pour moi l occasion privil gi e de travailler en quipe et la possibilit d aller tr s na turellement vers la recherch
71. l un des pionniers aujourd hui les verticalit s sont le plus souvent ignor es et mises de vant les faits accomplis Le risque est de voir se multiplier ces proto coles au d triment de la sp cialit Le SNSMCV a exig l arr t imm diat des protocoles en cours d la boration et la modification urgente de la loi Bachelot sur ce point Vers un plan c ur La F d ration Fran aise de Cardiolo gie et Alliance du C ur dont le pr sident est Jean Claude Boulmer ont sollicit tous les acteurs intervenants de pr s ou de loin dans le domaine de la pr vention cardiovasculaire pour laborer un plan c ur pour le moment d nomm vers un plan c ur La premi re tape consis tant faire des tats g n raux qui auront lieu en 2012 puis de publier un Livre Blanc et enfin d essayer d obtenir des financements publics Le Syndicat est membre du Comit strat gique et participe ainsi toutes les d marches d cisionnelles Suppression de l ALD HTA s v re Suite la volont de l Assurance Ma ladie de ne plus prendre en charge au titre de l ALD l hypertension art rielle s v re le Syndicat a soutenu Alliance du C ur et les associations de patients par un communiqu propre et un com muniqu commun avec Alliance du C ur Il semble que cette situation va se d bloquer le Directeur g n ral de la sant a t charg de mettre en place un groupe de travail afin d tablir les modalit s
72. la HAS avec notamment toutes les publica tions en cardiologie La RCP D s le 1 janvier 2012 les contrats d assurances responsabilit civile professionnelle couvriront le risque jusqu 8 millions Pour les pr judices au del de ce chiffre un fonds sera cr Aliment par une cotisation de tous les professionnels et auxiliaires m dicaux lib raux il prendra en charge les indemnit s sup rieures 8 millions accord es aux victimes de dommages cons cutifs des actes de pr vention de diagnostic ou de soins dispens s par des professionnels de sant lib raux et relevant de l al a th rapeutique ou de la responsabilit sans faute La cotisation de chaque profession nel sera de 15 25 en fonction de sa r mun ration et de son niveau de risque Le fonds ne pourra pas inten ter d action r cursoire contre les pro fessionnels de sant responsables des dommages concern s Le Cardiologue 350 Mars 2012 Les modifications de la loi HPST suite la loi du 10 08 2011 dite loi Fourcade L une des mesures phares est cer tainement la cr ation de Soci t s interprofessionnelles de Soins Ambulatoires SISA permettant aux professionnels de sant de se regrouper en sachant qu elles doi vent comporter au moins 2 m de cins et un auxiliaire m dical avec pour but de recevoir des finance ments publics Etat Assurance Ma ladie collectivit s territoriales de redistribuer ces somme
73. le volet hospitalier de la profession Ce n est pas un stage Stricto sensu mais une information sur le m tier dans toutes ses composantes la fois m dicales administratives et financi res Cette sensibilisation doit tre appel e devenir obligatoire dans le cursus de tout interne souhaitant obtenir le dipl me de Cardiologie et M decine Vasculaire Elle se fera lors de la 3 ann e d internat lors du 5 ou 6 semestre Au stade de l exp rimentation elle se fera sur volontariat Elle d marre dans le grand Ouest gr ce Jean Claude Daubert Jean No l Trochu et Daniel Herpin et nombre de cardiologues lib raux qui se sont port s volontaires Le Conseil National Professionnel de Cardiologie Sous la pr sidence de Genevi ve Derumeaux en 2011 il sera en 2012 pr sid comme stipul dans les statuts par le Pr sident du Syndicat L une des principales missions du CNPC en 2011 a t de demander l inscription la nomenclature de nouveaux actes un forfait de t l suivi des stimulateurs cardiaques et des d fi brillateurs implantables la cr ation d un acte de FFR Nous avons essay de cr er un acte pour les TAVI mais sans succ s puisque l exp rimentation est poursuivie jusqu en 2014 avec des restric tions d indication rapport de la HAS Une convention vient d tre renouvel e avec la HAS pour la cr ation d indicateurs concernant la prise en charge des SCA depuis la phase hospitali re jusqu la phase
74. les quatre choisi la cardiologie comme sp cialit mais le premier est clinicien et exerce seul dans un cabinet de ville le second pratique la cardiologie interventionnelle dans le secteur priv Le troisi me a choisi l h pital public pour pouvoir notamment enseigner et le quatri me a opt d s son internat pour la recherche cardiovasculaire n cessaire la com pr hension des pathologies et le d veloppement de l innovation Ils parlent de leur parcours et t moignent du sentiment qu ils ont d tre reli s les uns aux autres par del la diversit de leurs pratiques Dr G rard Granger cardiologue de ville Je ne regrette pas mon parcours mais c est du passe Install Issoudun Indre le Dr G rard Gran ger y exerce la cardiologie de ville en solo depuis 1979 Un choix qu il ne regrette aucunement mais qu il ne r it rerait pas s il devait s installer aujourd hui Pouvez vous nous d crire votre activit G rard Granger J exerce seul dans un cabinet de ville Is soudun o je suis le seul cardiologue et trois heures par jour j exerce l h pital o je suis aussi le seul cardiologue Mon ac tivit hospitali re repr sente peu pr s un tiers de mon temps de travail Au d but de mon activit hospitali re je m occupais de tous les malades de cardiologie aujourd hui je n ai plus de secteur personnel l h pital o je fonctionne comme un consul tant c est dire q
75. llo et serine c page rare ances tral de la syrah Il est maintenant propri taire d un petit vignoble de 4 ha morcel autour de Saint S ri s au nord de Lunel dans l H rault Un phalanst re familial Le travail s effectue en famille avec l aide de ses parents et en particulier de Lucien son p re qui cultive m ticuleusement les vignes avec une ferveur de jardinier ce qui permet Robert de continuer travailler temps partiel la chambre de commerce du Languedoc Ce phalanst re familial s ex prime dans la d nomination des cuv es Los Abuelos les grands parents en espagnol Sylvie du nom de son pouse Robert Creus refusant tout carcan adminis tratif commercialise tous ses vins sous la simple appellation vin de table fran ais mais il faut reconna tre que ses grandes cuv es Leonie pur carignan Los Abue los 100 grenache et Sylvie 50 syrah Le Cardiologue 350 Mars 2012 50 serine ne peuvent pr tendre la classifi cation AOC Languedoc La vigne pousse sur un terroir argilo calcaire recouvert sur certains sites de galets roul s comme Ch teauneuf La viticulture est rai sonn e mais les Creus refusent les contraintes Bio d sherbant et traitant chimiquement lorsque cela leur appara t justifi une ven dange au vert est habituellement effectu e limitant les rendements g n ralement 20 25 hl ha et de fa on drastique 10 hl ha pour la cuv e Sylvie La date de
76. logues cherche un successeur Locaux r cents dans important p le de consultations multidiscipli naires qq pas d une clinique OMC de 340 lits avec UPATOU scanner IRM labo analyses Toutes activit s non invasives de consultation Possibilit exercice dans clinique pour hospit non invasive et pose PM Comp tence vasculaire et p diatrique appr ci es Contact t legendre free fr AC 350 2 Ile de la R union C de cabi net de cardiologie T l 06 93 30 93 61 mail amirantesse hotmail com AC 349 1 R gion toulousaine Cardiolo gue cabinet priv et clinique recherche associ T l 05 61 92 50 06 AC 349 2 Marseille 8 Retraite juin 2012 c dons cabinet de cardiologie Explorations non invasives Drs Gaudy et D Journo T l 04 91 76 04 83 06 09 12 99 80 AC 349 3 Orl ans 45 Cardiologue lib ral cherche successeur pour 2013 SCM de 3 car diologues Importante patient le Toutes activit s non invasives avec EE au sein de la clinique Dr Dufour 06 70 75 32 O5 AC 349 4 Clermont L H rault 34 Car diologue lib ral au sein d une SCP recherche confr re en vue d une succession pour raison de sant Pratique au sein d un cabinet plu ridisciplinaire locaux neufs RDC et parking priv Explorations non invasives Vacations hospitali res CHU Montpellier Excellentes conditions de travail Cadre de vie exceptionnel au bord du lac du Salagou 30 km de Montpel lier et de la mer Contact 06
77. m p tence Je ne peux que regretter la moindre pr sence d Elisabeth Pouchelon devenue une incondi tionnelle de la politique heureuse ment elle reste disponible pour me donner ses avis pertinents Patrick Le Cardiologue 350 Mars 2012 Assyag qui a obtenu la pr sidence de la FFC de l Ile de France reste un atout majeur pour la bonne marche de l UFCV o il accomplit un travail consid rable Enfin je ne voudrais pas oublier Christian Avi rinos pour sa vision politique et ses conseils Ma pens e va aussi aux membres de notre conseil d administration pour leurs observations et leur sou tien devant les preuves que nous avons d affronter Soyez tous ici remerci s car sans vous le Syndicat ne pourrait pas accomplir sa mis sion premi re qui est la d fense de la profession Les syndicats loco r gionaux sont les relais indispensables pour trans mettre et expliquer nos coll gues les d cisions nationales Je les re mercie au nom du Conseil d Admi nistration pour leur travail et leur implication car nous savons tous malheureusement comme il diffi cile et parfois ingrat de faire passer certains messages nos coll gues Revenons sur cette ann e parti culi rement riche en v nements j avoue que je ne m attendais pas avoir autant de probl mes r soudre L affaire M diator l absence d quit des directeurs d ARS ayant une forte tendance privil gier le public au d triment du priv la
78. m lioration engag s Ces chantiers portent sur l am liora tion de la gestion des lits la r duction des co ts de logistique g n rale le d veloppement de la chirurgie ambulatoire l infor matisation du dossier patient ou encore la r duction des d lais de rendez vous L ANAP devrait signer cinq nouveaux contrats d ici la fin du mois pr par s dans le cadre de la vague III des projets qui concernera 20 tablissements I 19 Dossier m dical sur cl USB Des d put s press s Tous les articles de la loi Fourcade n ont pas t censur s par le Conseil constitutionnel l t dernier Parmi les rescap s l article 30 pr voit d ici au 31 d cembre 2013 l exp rimentation d un dossier m dical implant sur une cl USB pour un chantillon de patients souffrant d une ALD sous l gide de l Asip Sant Mais le d cret qui devait para tre avant le 12 octobre 2011 est toujours attendu et les d put s porteurs du projet dont Jean Pierre Door s impatientent Les partisans de cette solution l estiment plus s re que le DMP sur Internet dont l h bergeur unique S apparentera un nouveau Big Brother selon G rard Bapt PS Haute Garonne contrario ses d tracteurs le jugent anachronique et selon le Dr Jean Jacques Fraslin webmaster du blog Observatoire des technologies et des syst mes d information de sant avec le dossier m dical sur cl USB le DMP devient l acronyme
79. n Formations et DIU possibles Centre de Perharidy Mme Josette Kerneis Responsable des Ressources Humaines 29684 Roscoff cedex T l 02 98 29 39 05 Fax 02 98 29 33 50 e mail ressources humaines perharidy fr Bulletin d abonnement Je souhaite m abonner O Prix sp cial adh rents au syndicat jour de cotisation 70 Joindre un justificatif d adh sion votre r glement la revue Le Cardiologue O Tarifs normaux France 140 O CEE hors France 160 O Tout autre pays 275 Le ch que doit tre tabli l ordre de Cardiologue Presse CIONO ES E a ue Adresse en E ER E mn aak Le Hoia AAMU Ta Dp asa 70 au O LS ar H a Votre cachet Line hapu Td Farm cag labh ra Sardiologue bep ET 0 y i de l Panto ma de personnalit s etc Vous tes int ress par une petite annonce Merci de bien vouloir r diger une lettre pour chaque an nonce vous int ressant sans oublier de la mettre sous enveloppe cachet e sur laquelle vous indiquez le num ro de r f rence adresser vos r ponses au Service Petites Annonces Il est aussi possible de joindre directement En alternance et en compl ment de la revue Le Cardiologue Cardionews est une lettre socio professionnelle envoy e par email V ritable espace de communication avec des interviews r guli res de pr sidents de r gions Cardionews offre galement une revue de presse d
80. n des innovations th rapeutiques en s appuyant non sur les notes d ASMR de la CT mais sur les AMM europ ennes Il y a un r el divorce de concept a d clar Patrice Zagam Le dirigeant a voqu un blocage du dialogue avec les autorit s sur l innovation th rapeutique et sa d finition et r affirm le sentiment d un manque de lisibilit des crit res d valuation fr quemment mis en avant par le Leem Il a aussi voqu un contexte peu propice au progr s avec une suspicion permanente de conflits d int r ts tous les tages mais aussi une profusion d incoh rences li es la loi relative au renforcement de la s curit sanitaire du m dicament et son application En outre le Leem souligne que la France est de moins en moins pays rapporteur dans le cadre de l valuation des m dicaments en vue de leur Autorisa tion de Mise sur le March au niveau europ en soit par d cision de l EMA de ne pas confier de nouveaux dossiers la France soit pour les proc dures d centralis es parce que les industriels ne choisissent pas la France Le Cardiologue 350 Mars 2012 33 mn COUT meme TE CR an hu nl en mm j ii mA many ipi res Lis 34 viL mpm Bah Tri mers Pia bkm Erime gi aT pamm Ei Fr mieu nil hr u i 350 03 2012 T ER OUT BAT N ME amm Associations et cessions AC 350 1 ANGERS 49 cause d part retraite 07 2012 cabinet de 4 cardio
81. nce s arranger dans certaines r gions E les relations avec les ARS ne sont pas tr s harmonieuses et pour cer taines le Syndicat n existe pas E pour la cardiologie intervention nelle les fermetures de services de structures priv es au b n fice de l h pital public avec demande faite aux cardiologues lib raux des structures priv es de venir exercer l h pital m en Champagne Ardenne les lib raux ne sont plus interdits de ryth mologie et il s agit l d une victoire du Syndicat si maintenant il y a un service de rythmologie en priv et l h pital public m des probl mes avec des MG qui passent des DU divers et convo quent les patients pour des consul tations sp cialis es post AVC par exemple E l mise en place de SROSS a eu des r percussions diverses soit ignorance du Syndicat soit travail en commun E il est noter la mise en place dans le Grand Ouest Bretagne et Pays de la Loire de la sensibilisation des internes la cardio logie lib rale avec le volontariat des deux c t s m par contre les stages d internes en milieu clinique sont plus difficiles obtenir mais il faudra insister et cela se fera un moment donn E certaines r gions d plorent l absence de remplacements faits par les internes m le Midi Pyr n es et le Poitou Charentes seraient volontaires pour essayer de cr er des Conseils R gionaux Professionnels de Cardiologies m enfin les pr sidents
82. non plus accepter tous les indicateurs vous aurez toujours la possibilit de faire votre choix au sein d une liste qui fera l objet d un avenant la convention Cette liste sera auparavant soumise au CA pour approbation ou refus Les probl mes de nomenclature Associations d actes d chographie Comme vous le savez en d but d ann e derni re nous avions obte nu un moratoire concernant les as sociations d actes d chographie permettant un report ventuel des pr tendus indus et tout du moins leur non versement tant qu une so lution acceptable par tous ne serait pas trouv e Certains de nos coll Le Cardiologue 350 Mars 2012 gues les avaient d j revers s leur CPAM les p nalisant par rapport ceux qui ont fait du forcing Le Syndicat avait en effet conseill sans doute un peu rapidement de reverser cet indu car nos yeux la cause tait ind fendable Nous avi ons fait une proposition en mars 2011 en ciblant les associations d actes que nous jugions plausibles en fonction de la pathologie Celle ci n a pas t rejet e par la CNAMTS qui en avait pris bonne note mais elle est pass e au second plan suite l laboration de la convention Nous avons rencontr le 13 janvier dernier Yves Ginard responsable des actes la CNAM M me s il r prouvait cette in galit entre ceux qui avaient vers les indus et ceux qui ne l avaient pas fait pour des raisons juridiques compt
83. ns dans les autres cercl s par des frettes en fer pour assu rer leur solidit ces canaux restaient toutefois d une tanch it toute relative n cessitant de fr quents remplacements Arriv es dans le b timent de graduation les eaux salif res subis sent une premi re vaporation dans des gout ti res Le sel est ensuite recueilli dans un grand r servoir o il est achemin vers les bernes b timents des sels On proc de au dess che ment de la saumure dans des po les par r duction de l eau durant environ 48 heures Les cristaux de sel sont ensuite transport s dans un autre b timent pour un ultime s chage et tre mis en forme soit en grains soit en pains Ne l oublions pas le sel avait cette poque une importance capitale il permettait aux po pulations de garder les denr es alimentaires et ainsi de se nourrir pour l hiver Le roi disposait d un droit monopole et pr levait sur sa vente un imp t la gabelle Quand le sel devient symbole D s le d but de la civilisation le sel passa pour une substance myst rieuse dot e de pouvoirs Plan de la Salines Marechallenc Herm rs est mi Mim Commis csi Le Cardiologue 350 Mars 2012 Atelier de fabrication des sels Berne est gt du XVII si cle surnaturels C est l aide du sel extrait des eaux primordiales baratt es par sa lance qu Izanagi divinit masculine japonaise constitua la pre mi re le centrale l Onog
84. ntre indications Hypersensibilit connue la substance active ou l un des excipients Fr quence cardiaque de repos lt 60 bpm avant le traitement Choc cardiog nique Infarctus aigu du myocarde Hypotension s v re lt 90 50 mmHg Insuffisance h patique s v re Maladie du sinus sick sinus syndrome Bloc sino auriculaire Insuffisance cardiaque instable ou aigu Patient pacemaker d pendant fr quence cardiaque exclusivement impos e par le pacemaker Angor instable Bloc auriculo ventriculaire du 3 degr BAV III Association des inhibiteurs puissants du cytochrome P450 344 tels que les antifongiques azol s k toconazole itraconazole les antibiotiques de la famille des macrolides clarithromycine rythromycine per os josamycine t lithromycine les inhibiteurs de prot ases nelfinavir ritonavir ou la n fazodone Grossesse allaitement Mises en garde et pr cautions d emploi arythmies cardiaques patients avec BAV du 2 degr patients pr sentant une bradycardie Assoc avec inhibiteurs calciques r duisant la FC v rapamil diltiazem l insuffisance cardiaque doit tre stabilis e avant d envisager un traitement avec l ivabradine insuffisants cardiaques de classe NYHA IV AVC fonction visuelle patients hypotendus fibrillations auriculaires patients pr sentant un QT long cong nital ou trait s par des m dicaments allongeant le QT patients hypertendus n cessitant une modif
85. oconazole rythromycine clarithromycine t lithromycine inhibiteurs de prot ase du VIH et n fazodone voir rubriques 4 4 et 4 5 MISES EN GARDE SP CIALES ET PR CAUTIONS PARTICULI RES D EMPLOI Des cas d atteinte musculaire et de rhabdomyolyse ont t rapport s Informer les patients du risque d atteinte musculaire Doser la CPK e avant le d but du traitement chez les patients ayant des facteurs pr disposant la survenue d une rhabdomyolyse Ipendant le traitement chez tout PUISSANTE CONTRE LE LDL C GR CE LA DOUBLE ACTION z timibe simvastatine patient pr sentant des sympt mes musculaires Arr ter le traitement si une atteinte musculaire est suspect e Surveiller troitement les patients sous acide fusidique et suspendre ventuellement le traitement Des tests h patiques doivent tre pratiqu s avant le d but du traitement et ensuite si cela s av re n cessaire cliniquement Non recommand en cas d insuffisance h patique mod r e ou s v re ou de prise de fibrates Prudence en cas de prise de ciclosporine ou d AVK ou de fluindione En raison de la pr sence de lactose contre indiqu en cas de galactos mie cong nitale de syndrome de malabsorption du glucose et du galactose ou de d ficit en lactase INTERACTIONS AVEC D AUTRES M DICAMENTS ET AUTRES FORMES D INTERACTIONS Associations contre indiqu es puissants inhibiteurs du CYP3A4 Association d conseille fibr
86. omme traitement de l insuffisance cardiaque chronique de classe NYHA II IV avec dysfonction systolique chez les patients en rythme sinusal et dont la fr quence cardiaque est sup rieure ou gale 75 bpm en association au traitement standard comprenant les b tabloquants ou en cas de contre indication ou d intol rance aux b tabloquants Cette d cision fait suite aux r sultats de l tude de morbimortalit SHIFT r alis e chez 6 505 patients et publi e dans le Lancet en septembre 2010 Une demande de remboursement dans cette nouvelle indication va tre soumise prochainement Dans le cadre de cette modification d autorisation de mise sur le march la contre indication de Procoralan en cas d insuffisance cardiaque NYHA III IV a t supprim e et remplac e par une contre indication en cas d insuffisance cardiaque instable ou aigu Nos quipes d di es l information m dicale restent mobilis es votre service pour vous fournir toute information et r pondre toute question ventuelle Nous vous prions de croire Cher Confrere l expression de notre consid ration distingu e Docteur Philippe Gonnard Directeur G n ral 1 LK Swedberg M Komajda et al Ivabradine and outcomes in chronic heart failure SHIFT a randomised placebo controlled study The Lancet 2010 376 9744 875 885 Merci d adresser toute correspondance au Si ge social 35 rue de Verdun 92284 Suresnes cedex T l
87. ommes pas dans le cadre de l urgence horaire ou m me de l ur gence du jour pour lesquelles l at titude est bien codifi e avec pos sibilit d adresser le malade vers des structures publiques ou priv es adapt es Il s agit ici de la situation tr s im pr cise d une demande de rendez vous rapide que nous rencon trons de plus en plus souvent en Le Cardiologue 350 Mars 2012 raison de l anxi t l gitime des patients due nos d lais et de plus en plus difficile satisfaire compte tenu de la lourdeur de nos horaires journaliers et hebdomadaires Dans une m me ville les d lais sont sen siblement identiques ce qui rend illusoire de diriger le patient vers un autre confr re Quelques pistes bien insuffisantes pour limiter ce risque m dico l gal M Pr voir chaque semaine des plages de rendez vous qui ne sont lib r es que quelques jours aupara vant sur des crit res d finir ap pel du m decin traitant patients que l on sait fragiles R sister la tentation de les remplir trop vite constitue un d fi redoutable pour les secr taires m Mentionner dans la lettre les re commandations de suivi et pr ciser que l on en a inform le patient mais celui ci d ment inform reste libre de les respecter ou non m Cultiver les contacts avec les cor respondants pour recueillir le maxi mum d informations Ces pr cautions n cessaires ris quent de se montrer bien insuffi s
88. ons aujourd hui Bien s r nous n en sommes qu aux versions 2 ou 3 mais les puissances augmentent les m moires prennent de l essor et la communication fait fi de la 3G pour passer la 4G 1 L re du num rique bat son plein gr ce d une certaine fa on Apple qui a su cr er nos besoins et donner aux r calcitrants de l informatique l occasion enfin de toucher la haute sph re d internet Une copie des ann es 1990 Car ce qui se passe dans le march des ta blettes aujourd hui n est qu une copie de ce nous avons v cu depuis les ann es 1990 Le PC de bureau r serv aux soci t s a investi nos domiciles et les tablettes vont leur tour se charger d envahir nos maisons Car les tablettes nous proposent de nou veaux usages l instar des smartphones qui servent bien plus se servir des applications qu t l phoner L immense avantage des tablettes est simplement la mobilit l er gonomie et la r cup ration ais e des infor mations On retrouve en quelque sorte les concepteurs qui ont voulu cr er l informa tique facile pour les incultes du clavier ceux qui n auraient jamais cru un jour pouvoir surfer Et tout cela va bien plus loin car ils pourront galement regarder avec aisance leurs albums photos piloter leur cran de t l vision voir la m t o ou la Bourse lire des revues en les t l chargeant directement etc et ceci avec une facilit d concertante Le r veil des dinosaures Ap
89. orojima La vertu purificatrice et protectrice du sel est utilis e dans la vie courante nippone o sa r colte fait l objet d un important rituel En Egypte on le r pandait poign es autour d une place assi g e pour attiser la soif chez les d fenseurs A Sodome et Gomorrhe pour avoir bafou son serment l pouse de Loth fut chang e en sta tue de sel Il symbolise aussi l incorruptibilit Le L vitique 2 13 fait allusion au sel qui doit accompagner les oblations en tant que sel de l alliance tout sacrifice doit en tre pourvu Consommer ensemble le pain et le sel signifie pour les S mites une amiti indestruc tible Il est aussi voqu dans la liturgie bap tismale comme sel de la sagesse et par l m me le symbole de la nourriture spirituelle Chez les H breux toute victime devait tre consacr e par le sel Dans l Antiquit quand un h te accueillait un visiteur il lui offrait sur le seuil de sa demeure un morceau de pain et une pinc e de sel en signe de bienvenue L absence de sel sur la table des Romains est non seule ment une faute de go t mais aussi un signe de mauvais pr sage En Franche Comt apr s les relevailles les mamans allaient pr senter leur nouveau n leur voisine Celles ci offraient Hatiment d entres a FE l i To g ag a T x A NE f er E Anr Ra pi Maison du Ecuries direcieur pt a Alclier de fabricaat des sels
90. our les bonnes pra tiques mais pour les d viations Pour l instant on est dans la phase ducative et elles se sont engag es nous envoyer le visuel qui sera remis aux cardiologues par les DAM Paiement la performance ou mieux la r mun ration sur 13 n N Q a s Le a Profession objectifs de sant publique Cette r mun ration sur objectifs de sant publique est un moyen d augmen ter les revenus des m decins tout en sachant que le paiement l acte reste la premi re r mun ration du m decin mais que ce syst me per met une r mun ration en fonction de l atteinte d objectifs de sant publique et d efficience pour les m decins qui le souhaitent D s mainte nant les cardiologues qui n ont pas d nonc la convention avant le 31 d cembre 2011 peuvent pr tendre au paiement des indicateurs d orga nisation du cabinet condition de t l transmettre pour au moins 2 3 des consultations et actes La discussion est ensuite large ment ouverte et les points suivants sont abord s comment va t on juger les indicateurs alors que les m decins traitant ne suivent pas toujours les indications des cardio logues La valeur des actes risque de ne pas voluer et il faudra donc tre tr s attentifs et faire savoir que les cardiologues n accepteront pas une stagnation de la valeur des actes Ne pas oublier qu il s agit d une exp rimentation pour l instant que le travail va
91. p en Georges Pompidou service du Pr M Desnos professeur des universit s en 2001 il est aujourd hui chef du d partement de cardiologie m dicale de l HEGP Albert Hag ge est membre de l unit INSERM U633 depuis 2006 et pr sident du Comit cardiovasculaire de la Fondation de France depuis l ann e derni re Le nouveau pr sident de la Soci t Fran aise de Cardiologie est membre du Groupe insuffisance cardiaque et cardiomyopathies de la SFC centr sur la g n tique des cardiomyopathies cr par M Komajda et K Schwartz Il est l origine de l introduction en France de l chographie cardiaque sur la souris et de l chographie tridimensionnelle en clinique ainsi que d applications cliniques pionni res de la th rapie cellulaire dans l insuffisance cardiaque On lui doit la mise en place d un r seau transatlantique USA Europe sur les pathologies mitrales Le Cardiologue 350 Mars 2012 Catherine Sanfourche Dotation Non Affect e DNA Un patrimoine immobilier n glig Selon un rapport de la Cour des comptes le patri moine des h pitaux non affect aux soins est m con nu mal utilis et mal valoris h pital manque de moyens et est endett mais il dort sur un tr sor non n gligeable son patrimoine immobilier Fin 2010 la commission des finances du S nat a demand la Cour des comptes de r aliser une enqu te sur la ges tion de ce patrimoine Vue l am ple
92. ple a finalement r veill tout le monde depuis la sortie de sa premi re tablette on pourrait d ailleurs pousser la r flexion en se disant que la premi re tablette tait l iPhone lui m me Les autres constructeurs se sont engouffr s dans la br che avec plus ou moins de bonheur et d innovations les diteurs de jeux de livres de musique ont galement suivi car le march est gigan tesque Le futur est leurs pieds Lib ration des contraintes d impression et de distribu tion rapidit de mise en place l information devient bien plus rapide et change la donne du monde tel qu on le vit actuellement Alors ces tablettes me direz vous que valent elles compar es aux ordinateurs portables ou de bureau La r ponse n a pas franchement de valeur car tout d pend Une fois n est pas coutume Apple contre courant en Chine C est en Chine qu il faut aller pour voir Apple la tra ne sur son concurrent direct Samsung En ne d tenant que 7 5 du march int rieur chinois des smartphones Apple se place au cinqui me rang Samsung quant lui en d tient 24 3 Apple n aurait pas voulu signer de partenariat avec China Mobile qui utilise une norme 3G particu li re et qui aurait demand une modification de l iPhone interdisant du coup d approcher une partie du milliard de Chinois poss dant un t l phone mobile Autre coup dur Apple n a pas t capable de suivre la tr s forte demande de l iPhone 4S et le m
93. pour poser un diagnostic pr cis et proposer un traitement L encore le ma tre mot est Professionnalisme diteur depuis plus de 45 ans de l organe d expression du SNSMCV le Syndicat National des Sp cialistes des Maladies du C ur et des Vaisseaux Cardiologue Presse fait appel des experts choisis pour leurs comp tences r dactionnelles leur rigueur et leur professionnalisme Au c ur de nos ditions sp ciales on retrouve toujours une quipe compos e d experts r dacteurs C est ainsi que Cardiologue Presse diteur chevronn en cord e avec les Editions Regifax diteur d l gu du Cardiologue vous propose d avancer ensemble dans un monde d experts Tel est le chemin que Le Cardiologue vous propose en tant qu industriel du monde dela Sant de parcourir ensemble dans un partenariat clairement d fini au sein d un cahier des charges pr alable pour la E r alisation d un suppl ment ou d une dition har sp ciale de la revue La revue du 5 dicat National des Dr HBGIPFAX EDIT g HS FRE WE r Mieti r E aa Contact AEWA ER A E EE 13 rue Niepce 75014 Paris www fnps fr 45 47 rue d Hauteville 75010 Paris MOAUELEETUONL T l 01 47 70 00 96 www lecardiologue fr www regifax fr n 350 Mars 2012 m pr pi igean CUS y ji 278 et 282 fes 5012 Te dd Tespi omarqueurs en cardiologie La prot omique pour les non initi s Principes de l valuation des b
94. puis 2006 la Caisse Nationale de Solidarit pour l Autonomie CNSA Le montant r el des d penses hors soins se monte 8 2 milliards d euros comparer aux 140 milliards de prise en charge des soins a soulign Antoine Durrleman pr sident de la 6 chambre de la Cour des comptes lors de son audition par le S nat Et la quasi totalit de cette enveloppe de 8 2 milliards La majorit de ces d penses est en relation avec l Assurance Maladie Elle abonde notamment le Fonds National d Action Sanitaire et Sociale FNASS et le Fonds National de Pr vention d Education et d Information Sanitaire FNPEIS et parmi les recommandations que formule la Cour des comptes deux concernent la clarification des p rim tres de ces deux fonds Quatre autres recommandations ont trait la fa on dont pourrait tre r examin e la prise en charge conventionnelle des cotisations des praticiens et auxiliaires m dicaux qui fait partie de ces d penses hors soins hauteur de 2 milliards d euros ce sujet Antoine Durrleman a dit la crainte de la Cour des comptes que le secteur optionnel qui se traduira par une prise en charge suppl mentaire de cotisations au profit des m decins de secteur 2 qui le choisiront n attire que des praticiens pratiquant des d passements peu fr quents et peu lev s Le Cardiologue 350 Mars 2012 Catherine Sanfourche T moignages La cardiologie en quatre dimensions Ils ont tous
95. r s t t au cours de mon in ternat la fin des ann es 1970 alors m me que l organisation de la recherche n tait pas aussi Pr Herv Le Marec claire qu elle l est aujourd hui Je MN e Aem aa Consid rais que les m decins de de l imm diatet vaient s investir dans ce domaine AE NU ce pour comprendre les pathologies ER Cr ue et parce que sans recherche il ne peut y avoir de d veloppement et d innovation J ai donc pass un DEA au cours de mon internat et soutenu une th se de science en fin d internat Puis je suis parti travailler aux Etats Unis dans un laboratoire de recherche car Nantes il n y avait pas de recherche cardiovasculaire Ensuite dans les ann es 1990 avec Denis Escande professeur Orsay et cardiologue de formation nous avons fusionn nos quipes pour cr er l Institut du Thorax qui a d marr avec 15 personnes et qui en compte 150 aujourd hui ce qui signifie que nous avons quelques moyens C est une belle structure qui fonctionne bien avec une belle production de connaissances Comment maintient on le lien avec les autres confr res car diologues lorsqu on est chercheur H L M J ai eu un cursus normal de cardiologue et j ai t chef d un service de 110 lits jusqu un pass tr s r cent o j ai c d la place un jeune confr re La recherche n est pas un domaine isol au contraire elle doit tre tr s proche des pr occupations cliniques et r pondre correctement
96. r ce qui est le mieux pour la cardiologie fran aise Je suis raisonnablement optimiste L tes vous de m me quant la cr ation d un Plan c ur A H C est une initiative commune de la F d ration Fran aise de Cardiologie de l association de patients L Alliance du C ur et de la SFC La cr ation d un Plan C ur d pendra cependant des finances de l Etat Mais l encore il est important que toute la profession regroup e montre o il faut aller pour la cardiologie Car paradoxalement la cardiologie s est un peu fait oublier en raison de ses succ s dans le domaine de la pr vention et de la prise en charge de l infarctus Mais malgr ces succ s l insuffisance cardiaque reste le premier motif d hospi talisation apr s 65 ans et les maladies cardiovasculaires restent la deuxi me cause de mortalit en France Les autorit s doivent tre conscientes que au del de ces succ s dus chacun des cardiologues il faut aller plus loin et ne pas rel cher l effort I Rep res biographiques Apr s des tudes de m decine la facult Cochin et un internat de 18 mois Lariboisi re chez Robert Slama Albert Hag ge est Chercheur en 1986 la Harvard Medical School aux Etats Unis puis travaille en 1987 au laboratoire d chocardiographie du Massachussetts General Hospital Boston En 1988 il est chef de clinique l h pital Boucicaut service du Pr C Gu rot Praticien hospitalier en 2000 l H pital euro
97. ronariens aigus sa demande nous lui avons transmis les statis tiques sur les deux derni res ann es de la prise en charge des SCA par les tablissements priv s qui nous 8 avaient envoy leurs donn es Cette lettre est demeur e sans r ponse En fait ce probl me n est pas r gl r guli rement nous constatons que les directeurs d ARS avantagent sans arguments solides l hospita lisation publique derni rement le probl me se pose Toulouse et Nancy Les difficult s rencontr es avec le SAMU Aujourd hui les SAMU d tournent au profit de l hospitalisation pu blique la tr s grande majorit des patients atteints de SCA alors que beaucoup d entre vous assurent avec leurs quipes des astreintes en res pectant la l gislation en vigueur Si il y a moins d un an seules certaines r gions semblaient tre touch es par ce ph nom ne aujourd hui j entends les plaintes de toutes les r gions pra tiquement sans exception On a donc d cid de r agir en envoyant tout d abord un communiqu de presse qui interpell les journalistes ce qui a permis de montrer notre col re et notre d termination Les r actions ne sont pas fait attendre le pr sident du SAMU de France Marc Giroud ne comprenait pas une telle attaque pour lui injustifi e mais a tout de m me fait comprendre demi mot en r pondant une journaliste d APM qu ils adressaient les pa tients dans les services les plus com p ten
98. s Ce nouveau stent qui associe l alliage platine chrome et le design in novant du stent PROMUS Element b n ficie d un syst me optimis de mise en place con u pour faciliter le traitement des patients atteints d une maladie coronaire La soci t pr voit de d buter imm diatement la commercialisation du produit dans un certain nombre de pays euro p ens ou relevant de la r glementation du marquage CE Le plein lance ment interviendra au cours du deuxi me trimestre Le stent PROMUS Element commun au syst me de stent PROMUS Ele ment et au syst me de stent PROMUS Element Plus est constitu d un alliage platine chrome brevet sp cifiquement con u pour le stenting coronaire offrant une visibilit renforc e un moindre retour lastique une excellente conformabilit et une force radiale plus lev e Le stent PROMUS Element Plus b n ficie d une technologie avanc e de syst me de mise en place bas profil avec un ballonnet bicouche con u pour assurer une mise en place pr cise du stent dans les l sions compliqu es et pour diminuer la compliance du ballonnet pendant son inflation de fa on faciliter le d ploiement du stent haute pression La soci t a obtenu le marquage CE du stent PROMUS Element en 2009 et du stent PROMUS Element Plus en 2011 Aux Etats Unis le stent PROMUS Element Plus a t approuv par la FDA Food and Drug Administration en 2011 Dernieres nouvelles Nouvelle charge du
99. s notamment sur la connaissance des facteurs influen ant la sant ou la lutte contre les comportements risque tels le tabac l alcool la suralimentation L un des chapitres les plus embl matiques est sans doute celui qu a r dig le Pr Pierre B gu sur la vaccination alors que le b n fice individuel et collectif des vaccins n est pas r ellement contestable pr vention de la maladie pour la personne vaccin e et diminution ou limination de la maladie gr ce la g n ralisation de la protec tion la contestation face aux risques connus ou suppos s des vaccinations est toujours aussi vive L aussi pour l auteur l infor mation commence l cole tout autant qu aupr s des m decins et des m dias Les grands d bats de soci t Les autres sujets abord s sont autant de grands d bats de soci t qui touchent des th mes aussi primordiaux que sont la prise en compte de la douleur l am lioration du niveau des connaissances des troubles mentaux et des toxicomanies la lutte contre les in galit s sociales de sant et bien d autres tout aussi passionnants Ce sont les deux auteurs eux m mes qui reprennent la plume en fin d ouvrage pour dresser une synth se des recommandations propos es au fil des chapitres et plaider nouveau sur la n ces saire r conciliation entre le sanitaire et le social On ne saurait trop recommander ce livre tous ceux qui s l vent contre la d rive technocra
100. s 1990 et l affaire a donc t r gl e rapidement par le Syndicat un refus de cumul DE MPC la caisse avait raison mais CS MCS DE possible refus de rembour sement d un ECG en soins continus la demande de l anesth siste l association d actes s entend pour le m me patient par le m me m decin c est donc le point sur lequel le Syndicat souhaitait s appuyer avec information au directeur de la CNAM au directeur de la CPAM locale pour l instant il n y a pas eu de suite et donc pas de jurispru dence le C2 pour un b n ficiaire de la CMU venant avec une lettre Le Cardiologue 350 Mars 2012 du m decin traitant alors que ce dernier n avait pas t d clar un contentieux en cours celui de deux actes pratiqu s deux moments diff rents de la m me journ e un cumul ETT ED vasculaire il est rappel le moratoire actuel en Ile de France refus d une ID avec une V2 mais circulaire du 25 mars 2011 sur le C2 les frais de d placement habituels peuvent tre factur s en cas de d livrance d avis ponctuel de consultant au domicile du pa tient Le responsable du DIM d un ta blissement priv contestait pra tiquement toutes les cotations concernant la rythmologie inter ventionnelle Ce responsable avait pr vu de demander l arbitrage de la CPAM locale Cela concerne la notion de l acte global et un ar ticle est paru dans Le Cardiologue n 345 d octobre 2011 La G n rale de Sant
101. s entre leurs membres de facturer certains actes l Assurance Maladie Renforcement du statut des Maisons de sant et r gime du partage des donn es relatives aux patients Elles assurent des activit s de soins sans h bergement et sont consti tu es entre des professionnels de sant des auxiliaires m dicaux et dor navant des pharmaciens L laboration de projets de sant doit tre conforme aux sch mas r gionaux labor s par les ARS Les informations concernant une per sonne prise en charge par un pro fessionnel de sant au sein d une maison ou d un centre de sant sont r put es confi es par la per sonne aux autres professionnels de sant de la structure sous r serve du consentement de la personne qui peut tout moment le retirer LA LESS 2012 Elle a t vot e en une deuxi me lecture au Parlement le 29 novembre apr s des allers retours pour le moins ubuesques entre S nat et Parlement Je vous rappelle que le d ficit du r gime g n ral avait atteint en 2010 23 9 milliards pour des raisons en partie conjoncturelles du fait de la baisse de la masse salariale ce qui n avait pas t observ depuis 1945 Le d ficit en 2011 serait proche de 18 2 milliards et en 2012 voisin de 13 9 milliards Suite la r vision de l hypoth se de croissance du PIB pass e successivement de 2 5 1 75 puis 1 il a fallu trouver 500 millions d conomies suppl mentaires au 551 m
102. s sursp ciali t s en cardiologie et la cardiologie clinique De gauche droite les Docteurs Arnold et Perchicot Le Pr Hag ge et le Dr Ziccarelli l e g n rale Samedi 28 janvier Les Docteurs Galland et Malquarti sont nomm s secr taires de s ance Rapport moral du Pr sident Docteur Christian Ziccarelli e dois pour la premi re fois J vous pr senter mon rapport moral un exercice difficile mais n cessaire la bonne marche de notre syndicat Le dimanche suivant l Assembl e G n rale de l an dernier le CA m a apport sa confiance en me faisant l honneur de m lire en tant que Pr sident Une lourde t che dans cette p riode d incertitude cono mique que j essaierai de remplir en r pondant au mieux toutes vos pr occupations et aux difficult s que vous pouvez rencontrer lors de votre exercice quotidien Avant toute chose je voudrais remercier Eric Perchicot qui m ac compagne de r unions en r unions sans la moindre grogne Vous pou vez deviner combien elles ont t fr quentes au cours de cette ann e Eric a su montrer une disponibilit toute preuve d commandant souvent au dernier moment ses consultations pour tre pr sent mes c t s Jacques Berland Jean Pierre Binon Vincent Guillot Ar naud Lazarus Jean Louis Neimann m ont aid et soutenu chaque fois que j prouvais des difficult s pour r pondre sur des points sp cifiques touchant leur domaine de co
103. s vendanges est soigneusement d ter min e par Robert sur la maturit des raisins et plus encore des p pins lorsqu il croque un go t de noix La r colte videmment manuelle est faite en petites ca gettes pour viter l crasement des grains Les grappes ra l es 70 b n ficient d un l ger sulfitage la r ception La fermentation par parcelles est longue sur 4 semaines avec remontage manuel pigeage l ger mouillage quotidien du chapeau A la mise en barriques vins de presse et de jus sont assembl s l levage avec 30 50 de bois neuf pour la cuv e Sylvie est long 18 24 mois sans soutirage La mise en bouteille au gr s du patron s op re sans collage ni filtration Une explosion de saveurs Par e d une robe grenat l g rement trouble du fait de l absence de filtration cette Terre Inconnue Sylvie 2006 pur syrah et serine est explosive des parfums de fleurs domi n es par la violette de cassis d pices poivre blanc noix de muscade submergent le nez La bouche riche glyc rin e soyeuse exprime des ar mes pr gnants de cacao et de jus de viande accompagn s par des tanins crayeux serr s mais d une finesse voluptueuse La finale cha leureuse li e au degr alcoolique reste fra che min rale avec une caudalie impressionnante Ce vin hors norme monstre de puissance em ball dans un crin de taffetas pourrait mon avis tre compar au mythique C te R tie L
104. signature d une nouvelle convention les d tournements quasi syst matiques des SCA vers l hospitalisation publique les SA Assembl e G n rale MU ne respectant pas le choix du patient la mise en place du paiement la performance sont en partie les probl mes auxquels nous avons t et sommes confront s L affaire benfluorex Au d but d ann e 2011 un cyclone s est v ritablement abattu sur la cardiologie des rapports accablant taient publi s ren dant le benfluorex responsable de plusieurs milliers de morts suite des atteintes valvulaires Ni la Commission de transpa rence de la HAS ni le Vidal de 2009 ne signalaient ces effets jatrog nes Les cardiologues ont t entra n s dans la tour mente et les premiers accus s alors qu ils n ont jamais t les prescripteurs Il fallait un bouc missaire Il tait tout trouv Apr s multiples demandes nous avons finalement pu tre membres du Comit de suivi au minist re Notre pr sence n a pas t inutile Elle a permis d viter l enregistrement syst ma tique en boucle des fuites valvulaires d s le stade 1 et d insister sur les difficult s donner un diagnostic pr cis car l analyse chocardiographique permet rarement d affirmer sans qui voque l origine m dicamenteuse d une fuite valvulaire Le Professeur Eric Brochet a t pour nous dans ce d bat un sou tien important Convoqu s l Assembl e Nationale nous nous sommes d
105. t quotidienne Deux articles de loi ont surtout retenu mon attention la prescription hors AMM qui devient une contrainte difficilement acceptable et les d clarations de liens d int r ts que nous devrons r guli rement tenir jour sous risque de lourdes sanc tions p nales Les stages des internes en tablissements priv s Ils sont d sormais possibles gr ce aux arr t s du 4 f vrier 2011 en sachant que la proc dure n est pas simple signature d une convention entre le CHU la facult le doyen et l tablissement contractualisa tion avec l ARS et obtention d un agr ment de stage pour la sp cia lit accord par l ARS Entre 30 et 40 internes seront accueillis ce jour au sein de ces tablissements Il me reste f liciter les nouveaux lus au CA de la SFC Jacques Ber land Serge Kownator Arnaud Mau di re et Dany Marcadet Je vous remercie pour votre coute E Le rapport moral est adopt l unanimit W Rapport financier Le Docteur Arnold tr sorier pr sente les comptes v rifi s et approuv s par l expert comptable Monsieur Didier Basson L nombre de cotisations par rap port l an dernier a diminu de 5 sans doute le fait d une syndi calisation beaucoup plus faible des jeunes install s par rapport leurs a n s Il est demand aux Pr sidents de r gions d insister aupr s de nos jeunes confr res pour leur montrer le r le jou par le Syndicat en termes de d
106. t les laboratoires sanofi aventis qui ont bien voulu parti ciper l organisation de ces journ es l assembl e g n rale du samedi et le s minaire de travail du vendredi apr s midi Le Docteur Ziccarelli rappelle les d c s des Docteurs La boux et Wach parmi les premiers membres du C A du Syndicat ainsi que ceux des confr res des Docteurs Per chicot et C bron Etaient pr sents les Drs Ziccarelli et Perchicot les Drs Abichacra et Sarzotti Alpes Maritimes Arnold Lang Michel Roos et Zaehrin ger Alsace Ducoudr Grimard Ohayon Pedebosca Pel et Pra deau Aquitaine Binon Pailloncy et Pignol Auvergne Fouch res Bourgogne Carette Hulin et Thomas Champagne Ardenne Abensour Assyag Dervaux Guedj Meynier Hoffman Khaznadar Lazarus Ouazana Rabenou Th baut et Walch Ile de France Grosclaude Is re Ayrivi et Ter Schiphorst Languedoc Rous sillon Richard Loire Breton Chevrier Neimann Olier et Serri Lorraine Courtault Flores et Pouchelon Midi Pyr n es Fossati Guillot Lemaire Michaux Perrard et Vigne Nord Berland et Do ret Hte Normandie Maheu Marette et Paulet Ouest Caillard Cebron Du Peloux Fraboulet et Lefebvre Pays de la Loire Bau pl Durandet et Haldenwang Poitou Charentes Avi rinos Billor Bouchlaghem Guenoun Jullien Malaterre et Rapha l Provence Calmettes et Maudi re R gion Centre Galland et Malquarti Rh ne Doucet Savoie et
107. t pas pourquoi il ne pouvait avoir le m me jour une cho et un doppler E Cardiologue Presse Docteur Christian Avi rinos e Docteur Avi rinos remercie le Docteur Th baut Il rappelle le 1 prix re u une fois encore pour le meilleur article de formation paru dans les revues de m decine sp cialis e le Best Of de janvier 2011 par le Docteur Ha at Un second article avait t nomin celui du Professeur Aboyans sur Tabagisme et cardiologie Le Cardiologue est galement bien plac au CESSIM d automne 2011 puisqu en t te des mensuels sur la cible des cardiologues lib raux et mixtes et la seule revue qui progresse en audience Le bilan conomique est difficile avec une baisse d abonne ments puisqu il y a moins de cotisations mais il y a environ 15 des cardiologues qui ne s abonnent pas Certaines r gions ont pratiquement des taux d abonnement de 100 et d autres 55 E Le site cardionews est de plus en plus fr quent avec une pointe plus de 70 000 visiteurs uniques mois au cours de l ann e 2011 m La newslettercom parvient chaque mois 4 700 cardiologues m Le Docteur Maudi re a accept la responsabilit d une ru brique Zoom sur dans la partie FMC du journal et donc d entrer dans le comit ditorial Un grand danger actuellement la loi sur le m dicament pa rue le 29 d cembre 2011 p se lourdement sur la presse m dicale Les d crets d application ne sont pas encore parus Le
108. t propos de repasser l article du Docteur Guillot sur le th me Si le Syndicat n existait pas pour montrer le travail qui est fait depuis des ann es Les montants des cotisations sont accept s l unanimit D Conseil National Professionnel de Cardiologie Professeur Albert Hag ge et Docteur Christian Ziccarelli vant de commencer cette partie de l Assembl e G n rale le Docteur Ziccarelli tient f liciter le Professeur Hag ge pour son lection au poste de Pr sident de la SFC Le Professeur Hag ge souligne que la SFC souhaite s entou rer de cardiologues lib raux et la meilleure preuve en est que le tr sorier est un cardiologue lib ral Il remercie galement les cardiologues lib raux qui travaillent sur les recommandations de la SFC Les diff rentes instances cardiologiques doivent travailler ensemble Pour la FMC les cardiologues ont montr l exemple en ayant une FMC transparente et de qualit La prise en charge des patients est qualifi e de bonne Il nous faut travailler ensemble en toute clart Le CNPC est parit entre la SFC et le Syndicat I va avoir une mission importante concernant le DPC car il sera l interlo cuteur de la F d ration des Sp cialit s M dicales FSM qui re groupe tous les conseils nationaux professionnels l exception de la m decine g n rale La FSM est l interlocuteur privil gi voire unique du Minist re et de la HAS Nous allons tre oblig s de mettre en
109. tion d une antenne sp cialistes rivale de celle du Docteur DIB Le Cardiologue 350 Mars 2012 Vote des cotisations 2012 aux Centrales Pour l ann e 2012 l assembl e g n rale vote le principe de cotisa tions l UMESPE et au SML UEMS Le Docteur Perrard fait le point sur l UEMS dont le principal but est d harmoniser la pratique m dicale en Europe et surtout le dipl me eu rop en de cardiologie qui corres pond toute la vie du dipl me avec recertification la cl En pratique la cardiologie fran aise a deux repr sentants l un pour les hospitalo universitaires l autre manant d un syndicat pour les li b raux le Docteur Perrard E Litiges et contentieux Docteur Vincent Guillot e Docteur Guillot avec son brio habituel rapporte les litiges de l ann e 2011 avec les caisses les cliniques les ARS et des demandes d information Les litiges avec les caisses por taient sur les lettres non fournies par le m decin traitant au m de cin consultant ce qui n est pas obligatoire des actes techniques deux moments diff rents de la journ e application du code d as sociation 5 et donc possible des refus de cotation cho ECG 2 ce qui est encore possible pour l ins tant une demande d indu pour une consultation C0 8 chez un patient hospitalis le jour d une corona rographie pratiqu e par un autre cardiologue la jurisprudence est claire en faveur des cardiologues depui
110. tique de notre syst me de sant et qui regrettent que nos tablissements de soins et parfois nos confr res centrent parfois leur activit sur la maladie plus que sur le malade E Claude Dreux Jean Fran ois Matt i Editeur Springer Verlag France Parution 15 d cembre 2011 315 pages Prix 15 00 Le Cardiologue 350 Mars 2012 L abus d alcool est dangereux pour la sant consommez avec mod ration J Helen Terre Inconnue Sylvie 2006 Vin de table S Creus 34400 Saint S ri s Quelle chance que Robert Creus le g nie de Saint S ri s soit to talement ignor par les grands guides nologiques car sa toute petite production ne pourrait satisfaire le raz de mar e des innombrables amateurs qui d couvriraient ses magnifiques cuv es Sa r putation reste donc heu reusement confidentielle et c est gr ce un caviste averti Fran ois Adam 57 Plappeville que j ai pu conna tre ses vins enthousiasmants Roe Creus chimiste de formation an ien bourlingueur a toujours t un grand d gustateur connu sur les forums internet pour ses avis tr s tranch s C est en 1996 qu il se lance dans l aventure Terre Inconnue dans son esprit joyau prot ger n tait ce pas pr monitoire de la s rie t l vis e Terra Nova lorsqu il ach te quelques ares de vieux carignans qu il compl tera progressive ment par le grenache la syrah et plus r cem ment temprani
111. ts Un courrier a t adress tous les directeurs d ARS pour qu ils m adressent les statistiques d adressage des SCA ST avec un double au pr sident des URPS pour soutenir cette demande La convention m dicale C est un autre grand chapitre de l ann e 2011 o le Syndi cat a essay aupr s des grandes centrales et notamment de l UMESPE d obtenir malgr le contexte conomique une reva lorisation du co t de la pratique Malgr notre insistance les sp cialit s m dico techniques ont t les grandes oubli es et cette revalorisation est pass e aux oubliettes Apr s multiples allers retours la CSMF le SML et un ralli de la derni re heure MG France se mettaient autour de la table des n gociations pour signer en pr sence de l UNOCAM une nouvelle conven tion pour les 5 ans venir Un franc succ s pour Fr d ric Van Roekeghem qui a r ussi obtenir l assentiment de pr s de 70 des m decins D autant que la FMF vient galement il y a peu d apposer sa signature Le CA du Syndicat s est lui par contre abstenu dans sa majorit comme la radiologie et la gastro ent rologie Sign e le 26 juillet 2011 elle a t publi e au JO le 26 septembre 2011 Que devons nous retenir La disparition de la notion d actes perdants et leur maintien leur valeur actuelle La red fini tion de nouveaux tarifs cible ainsi dans l avenant n 6 la convention non encore publi l ETT sera revaloris e son ni
112. ue je r ponds la demande de tous les services qui me sollicitent pour un avis cardiologique Mais j ai obtenu qu un cardiologue de l h pital de Ch teauroux vienne l h pital d Issoudun une demi journ e par semaine pour des consultations externes Nombre de cardiologues et leur r partition Etab Etab priv priv ESPIC lucratif Centre Cardiologie et maladies vasculaires Cabinet de sant individuel CEE EEE DREES 2012 Rapport Daniel Sicart f vrier 2012 les m decins au 1 janvier 2012 Avec le recul tes vous satisfait de ce mode d exercice G G Je ne regrette pas du tout mon parcours Ici ce n est pas la vie tr pidante d une grande ville Issoudun est un gros village o tout le monde se conna t je vais l h pital en 5 minutes et je ne sais pas ce que c est qu un embouteillage C est le choix d un mode de vie J ai voulu que mon cabinet jouxte ma maison pour pouvoir avoir une vie de famille et mon pouse est ma secr taire Mais cela c est du pass Aujourd hui bien s r je ne viendrais pas m installer tout seul ici dans une ville de 15 000 habi tants et qui en draine 20 000 Je m installerais dans une grande ville avec des associ s Mais j ai vu une vari t de cas et de situations extraordinaires dont s tait tonn un chef de clinique aujourd hui chef de service l h pital J ai fait de la belle m decine je me suis r gal de ce point de vue La
113. ur du sujet l enqu te a t restreinte au d but de l ann e 2011 au patrimoine priv des tablisse ments non affect aux soins c est dire logements terrains vignes etc appel Dotation Non Affect e DNA Le r sultat est un rapport de 130 pages qui conclut que cette DNA est mal connue mal utilis e et insuffisamment valoris e m La premi re critique porte sur la mauvaise connaissance du pa trimoine priv des h pitaux li e notamment aux insuffisances de la comptabilit des h pitaux qui ne permet pas d tablir une base de donn es exhaustive pourtant n cessaire toute strat gie globale m La seconde critique a trait l uti lisation parfois contestable de ce patrimoine Sollicit s des h pitaux accueillent dans ces locaux des institutions diverses li es ou pas aux probl matiques de l tablisse ment Quant la politique de loge ment des personnels elle est mal ma tris e insuffisamment en cadr e et d roge souvent aux r gles d attribution des logements de fonction m Enfin troisi me critique la DNA est le plus souvent insuffisam ment valoris e locaux lou s bas prix mal entretenus sites d saffect s et abandonn s partiel lement ou totalement accueillant Le Cardiologue 350 Mars 2012 des activit s de soins ou une acti vit m dico sociale pour lesquelles ils sont inadapt s ou encore lais s s gratuitement la disposition de part
114. ux registres nationaux Mais nous vivons actuellement une p riode difficile d abord pr lectorale et d autre part la suite des affaires r centes concernant m dicaments et proth ses et de la loi qui a sui vi Des d cisions vont tre prises concernant le financement des or ganismes de formation m dicale et de la FMC en g n ral L id e du l gislateur n est pas l origine de d truire ce qui fonctionne mais il faut bien dire qu un flou certain demeure apr s la lecture des pro jets de loi et nous attendons avec int r t les circulaires d application venir qui devraient claircir r les et obligations de chacun La SFC maintiendra bien s r ses activit s de formation le financement de la recherche en particulier travers les bourses qu elle attribue chaque ann e aux jeunes cardiologues et la tenue des registres qui regrour pent actuellement plus d un million de patients L industrie nous aide pour se faire depuis des ann es Elle doit tre consid r e comme un partenaire avec au centre de notre int r t commun le patient Les Journ es europ ennes de la SFC congr s organis tous les ans depuis plus de vingt ans restent un congr s national phare dans la sp cialit qui en trois journ es permet aux cardiologues de tirer l essentiel n cessaire la mise Il est important que toute la profession regroup e montre o il faut aller pour la cardiologie 18 faire abouti
115. ux de soci t Nous sommes face au probl me majeur d une population qui vieillit avec des maladies chroniques qui engendrent des co ts de sant normes partir de 60 65 ans Investir massivement dans des outils de pr vention et de d pistage de ces maladies chro niques est un enjeu crucial pour notre soci t et c est ce que nous nous effor ons de faire Mais tr s peu de moyens sont investis pour cela Cela rel ve de d cisions politiques Or les politiques veulent de l imm diatet et la recherche s inscrit dans le long terme E Le Cardiologue 350 Mars 2012 Pascal Wolff Tous vos tablettes La nouvelle r volution de l informatique La sortie de l Ipad3 montre quel point les tablettes vont inonder le march et remplacer dans un premier temps les ordinateurs domestiques e grand atout d Apple et de son d funt Pr sident Steve Jobs c est ce don d tre visionnaire La firme la pomme a su anti ciper gr ce son approche marketing bas e sur l innovation les besoins des utilisateurs et imposer ses produits dans notre vie de tous les jours Souvenez vous de l Apple II premier ordinateur personnel produit en grande s rie qui a su r volutionner sa fa on l informatique grand public Puis sont venus l iPod l iPhone l iPad L iPad dernier n des r flexions de Cuper tino pourrait donner un s rieux lifting dans les ann es venir l ordinateur tel que nous le connaiss
116. veau cible soit 96 49 Le secteur 2 est maintenu L option de coordination persiste avec la prise en charge des taxes sociales par l Assurance Maladie comme en secteur 1 et un rel vement 20 au lieu de 15 des possibilit s de d passements sur les actes techniques rembours s par les mutuelles la possi bilit de r aliser un CS de synth se apr s le C2 de consultant suite la demande d un bilan compl mentaire ou lorsque les actes techniques sont r alis s par un autre praticien Mais la p rennisation de l ASV en conservant le rapport 2 3 1 3 peut elle r ellement tre consid r e comme la grande victoire an nonc e par les signataires Je vous laisse juge Enfin un nouveau mode de r mun ration entre en sc ne avec l apparition du paiement la performance La cardiologie Le Cardiologue 350 Mars 2012 est la premi re sp cialit charg e de sa mise en uvre Financ e sur un budget hors ONDAM c est une possibilit de compensation financi re variable en fonction d objectifs pr d finis Les indica teurs concernent l organisation du cabinet la pratique clinique la pr vention et l efficience point particu li rement sensible notamment pour trouver des indicateurs m dico co nomiques pertinents acceptables par la profession Chacun avait la possibilit de refuser jusqu au 26 d cembre de souscrire ou non ce processus N avoir pas envoy de lettre de refus ne vous engage pas
117. vie a chang la cardiologie a volu et je comprends tout Dr G rard Granger La vie a chang la cardiologie a volu et je comprends tout fait que les jeunes confr res n aient pas envie de se retrouver tout seuls dans leur coin Cabinet de groupe Rempla ants Pr vention ou soci t Autre Total secteur La cardiologie en quatre dimensions 22 gt fait que les jeunes confr res n aient pas envie de se retrouver tout seuls dans leur coin Je travaille de 8h30 21h30 voire 22h00 Exer ant seul on n a pas le droit d tre fatigu malade ailleurs Mais j ai 63 ans et je ne suis pas s r du tout de trouver un suc cesseur quand je partirai d ici trois ans La population devra aller consulter Ch teauroux ou Bourges Le cabinet de trois cardio logues de Ch teauroux cherche un autre associ depuis quatre ans et ne l a toujours pas trouv Aviez vous envisag l volution de la cardiologie quand vous vous tes install G G Oui j avais un peu l id e de l volution du m tier L cho graphie cardiaque en tait ses d buts et des techniques mer geaient qui ont profond ment transform l exercice J ai d ailleurs beaucoup fait pour me maintenir au top En trente ans j ai renou vel toutes mes connaissances et je continue participer des formations des congr s Il faut tre de plus en plus performant Quels liens avez vous avec vos confr r

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