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ORNE.GOUV # 2 - AVRIL 2013

1. le 29 mars deg hath se mettre en capacit piloter la consom mation et r pondre aux besoins C est enfin la garantie de pouvoir mettre en uvre des usages plus conomes qui participeront la transition nerg tique a d clar Jean Christophe Moraud apr s avoir visit l expo sition pr sent e sur le site Acteur majeur de la transition nerg tique ERDF est pr sent sur tous les chantiers de la croissance et de la comp titivit La construction d un parc hydrolien au large de Courseulles engage la construction d une fili re d avenir Le pr fet entend que l Orne y soit associ cette fin il a organis une r union le 26 mars avec les CCI la R gion Orne d veloppement et tous les partenaires qui pourront faciliter le positionnement des j ai fait un r ve du 2 au 5 avril zm S 1 Exposition sur le v lo la Maison de la Securite routi re 9 ORNE GOUV Avril 2013 entreprises ornaises sur les appels d offres de l olien off shore et de l hydrolien Derri re les techniques de pointe qui se d veloppent dans la perspective de la tran sition nerg tique le pr fet a salu les hommes et les femmes en bleu fiers de leurs m tiers de service public Sur un effectif national de 12 000 salari s ERDF emploie dans l Orne 180 personnes et compte 173 000 clients Les journ es
2. phle sera ouverte au public pour un r cital au piano de nocturnes au clair de lune La nuit tant propice aux r ves ayons celui que la nuit du 18 mai soit assez douce pour que les nocturnes puissent tre effective ment jou s au clair de lune avec la somp tueuse fa ade XVII me de la pr fecture en toile de fond et pour que soient couron n es de succ s toutes les initiatives et toute l nergie d ploy e par ceux qui se sont in vestis dans l Orne et en Basse Normandie dans l organisation de cette f te La liste des sites et des animations propo s es au public avec les horaires d ouver ture est accessible sur le site www pierresenlumieres fr francet l visions et nations des tr sors architec 0118 212019 THEM erresentu Les partenaires op ration initi e par FONDT ION www fondation patrimoine org WWW 0rne gouv fr PATRIMOINE www orne fr WW
3. LE GOUVERNEMENT EST AUX C T S DES ENTREPRISES POUR RESTAU RER LA CONFIANCE QUI MANQUE AUJOURD HUI POUR FAIRE RED MAR RER L CONOMIE DU PAYS 22 ORNE GOUV Avril 2013 Apr s un accueil r publicain la mairie de Flers o le d put maire Yves Goasdou l attendait avec les lus du d partement et le pr sident du conseil r gional Lau rent Beauvais la journ e a t ponctu e par trois visites d entreprises chacune illustrant dans un format diff rent le sa voir faire d velopp par les entreprises ornaises Il y a ici une base industrielle solide que le ministre a identifi e comme l un des atouts n cessaires pour que la France retrouve la force industrielle qui est la cl de son avenir Thermocoax leader mondial du c ble Le parcours d entreprises a commenc par une visite de Thermocoax Saint Georges des Groseillers La soci t est sp cialis e dans la fabrication de c bles lectriques adapt s des environnements extr mes Avec plus de 50 ans d exp rience dans son domaine Thermocoax emploie pr s de 200 personnes r parties sur ses deux sites de production Saint Georges des Groseillers et Athis de l Orne Elle compte 5 autres sites implant s l tranger Allemagne Royaume Uni Pays Bas tats Unis et Chine et r alise 80 96 de son chiffre d affaires l ex portation dans des secteurs de pointe tels que le nucl aire l a ronautique la d
4. 31 ORNE GOUV Avril 2013 LEE 4 lt gt 2009 2013 AD INFO Cet objectif r pond une urgence a expli qu Jean Christophe Moraud en insistant sur l obligation de retour l quilibre struc turel en 2016 2017 La dette est d tenue pour les deux tiers par des investisseurs trangers ce qui met en jeu notre souve rainet nationale et nous tient la merci de sp culations sur les dettes des tats La dette repr sente cette ann e plus de 9096 du PIB L objectif du gouvernement est d atteindre 8096 en 2017 et de restau rer l quilibre des comptes publics dans un esprit responsable et solidaire La charge des int r ts qui atteint 47 milliards est le premier poste budg taire financier devant le budget de l enseignement scolaire 45 7 Mds Du jamais vu La d marche pour casser la spirale du d ficit t amorc e d s l t 2012 30 milliards d conomies budg taires seront r alis es cette ann e l effort sera r parti parts gales entre les entreprises les m nages et l tat Les 10 milliards d conomies sur le budget de l tat vont se traduire par une baisse des cr dits de fonctionnement de 596 dans tous les minist res et par des r ductions d effectifs dans certains minist res et chez des op rateurs de l tat au profit des mi nist res prioritaires ducation nationale s curit justice et emploi Pour le minist re de l int rieur les
5. est disponible sur le site internet des services de l tat Pour viter des d lais de d livrance in compatibles avec les dates de voyage ou d examen la demande doit tre d pos e au moins un mois avant la date du voyage ou de l examen pour lequel ce titre est n cessaire Le renouvellement peut tre demand dans les trois mois qui pr c dent la date d expiration du document Le minist re de l Int rieur a simplifi les d marches n cessaires l obten tion d une CNI ou d un passeport par ticulierement pour celles et ceux qui d tiennent d j un titre s curis carte d identit plastifi e passeport lec tronique ou biom trique La liste des pi ces fournir est dispo nible sur le site internet du minist re de l Int rieur www interieur gouv fr DANIEL MORFOISE est le nouveau directeur d partemental adjoint de la s curit publique de Orne Jusqu sa prise de fonctions au commissariat d Alen on le 4 f vrier 2013 sa carri re s est d roul e au Havre o il a fait ses d buts comme inspecteur de police 1 succede Jo l Delacour aui a pris le commandement de M lo circonscription de police de Pontarlier Convention communale de coordination de la police municipale et des forces de s curit de l Etat Jean Christophe Moraud pr fet de l Orne et Joaquim Pueyo d put maire d Alencon ont sign le 15 f vrier une conv
6. du patrimoine nerg tique Cette premi re dition des journ es de la transition nerg tique est appel e devenir les journ es du patrimoine nerg tique un rendez vous annuel qui s inscrira comme cette ann e la veille de la semaine du d veloppement durable SDD Organis e par la direction d partemen tale des territoires la SDD donne lieu tous les ans la premi re semaine d avril des animations conf rences visites projections de films la cit adminis trative d Alencon Dans la continuit du d bat engag par les premi res journ es de l nergie le minist re de l Ecologie du D velop pement durable et de l Energie la SDD 2013 s est d clin e sur le th me de la transition nerg tique Un th me dont le Premier ministre a r cemment soulign les enjeux l ind pendance nerg tique de notre pays avec en parall le la promotion de mod les conomiques durables et cr a teurs d emplois CONVENTIONS DE PARTENARIAT POUR LA SECURITE DES SENIORS ET LA PREVENTION DES RISQUES ROUTIERS PROFESSIONNELS ous les cinq ans l occasion de l labora tion du document g n ral d orientation DGO de s curit routi re le pr fet d finit les grands axes des actions mener locale ment pour r duire le nombre des accidents et leur gravit Ces orientations sont d clin es chaque ann e dans les plans d partementaux d actions pour la s curit rou
7. M me si dans l Orne comme dans tous les autres d partements on observe un tassement de la cr ation d associations depuis 2010 un francais sur deux est membre d une association et on enre gistre encore 60 000 cr ations par an au niveau national dont 200 dans notre d partement qui compte par ailleurs 5000 associations actives qui repr sentent un effectif global d environ 12 000 salari s et de nombreux b n voles Le pr fet a soulign le r le reconnu de la MAIA dans la formation des b n voles 160 jours de formation en 2011 qui ont b n fici 812 personnes Le forum a propos ses visiteurs plu sieurs animations qui se sont d roul es tout au long de la journ e une conf rence sur l engagement b n vole anim e par Madame Ferrand Bechmann sociologue de l engagement et professeur m rite l universit de Paris VIII VIE ASSOCIATIVE une pr sentation des dispositifs d en gagement par Monsieur Daumas di recteur r gional adjoint de la jeunesse des sports et de la coh sion sociale de Basse Normandie un atelier de b n vole b n vole employeur sur les relations entre b n voles et salari s un atelier comment accueillir de nouveaux b n voles plusieurs stands d information Les sujets abord s ont port sur les rai sons et les enjeux actuels de l engagement b n vole notamment sur la n cessit d ouvrir la gouvernance et de repenser la r partit
8. l cole de la vie et de la mort illustre cette tendance tout vouloir normer Par nostalgie pour les enterrements chant s par Georges Brassens il est sugg r de suppri mer la r f rence au dipl me national pour les c r monies fun raires extrait du rapport de la mission de lutte contre l inflation normative accessible sur http missionnormes fr Ainsi que le Premier ministre l a rappel lors du lancement de la n gociation du Pacte de confiance et de responsabilit avec les collectivit s territoriales le 12 mars dernier le Gouvernement est r solu agir pour simplifier les normes Dans crise que nous traversons il s agit d un enjeu conomique budg taire mais aussi d mocratique estime Jean Marc Ayrault Un enjeu conomique car l inflation l instabilit et la complexit de notre corpus juridique entravent le dynamisme de l activit conomique en alourdissant les co ts et la dur e des proc dures n cessaires la conduite des projets un enjeu budg taire car la r glementation fait peser des charges sur les acteurs collectivit s territoriales entreprises qui ne sont pas toujours proportionn es aux objectifs poursuivis un enjeu d mocratique car le droit doit tre accessible et compr hensible par tous les citoyens sous peine de cr er de nouvelles in galit s Les propositions pr sent es par MM Lambert et Boulard seront donc tudi es avec la plus gran
9. la r f rence notamment chez les 75 ans et plus Les accidents de v hicule seul en agglom ration et des pi tons en rase campagne sont particuli rement importants et graves De ce fait les seniors repr sentent un enjeu en terme de s curit routi re la fois dans l imm diat et moyen terme puisque suivant l volution d mographique leur part dans la population ornaise pourrait d passer 3296 en 2032 Chef de file en mati re d action sociale en faveur des personnes g es gestionnaire du r seau routier d partemental et autorit or ganisatrice de transport le Conseil g n ral a d cid de s engager aux c t s de l tat dans une d marche visant pr venir et r duire la mortalit des personnes g es sur la route Lobjectif consiste sensibiliser les usagers 4 LES PERSONNES DE 65 ANS ET PLUS QUI CONSTITUENT ACTUELLEMENT 20 DE LA POPULATION D PARTEMENTALE SONT SURREPR SENT ES DANS LES ACCIDENTS DE LA ROUTE L OBJECTIF CONSISTE SENSIBILISER LES USAGERS LEUR PROPRE S CURIT ET AM LIORER LEURS CONNAISSANCES TRAVERS DES ACTIONS D INFORMA TION AU PLUS PR S DES POPULATIONS CONVENTION ENTRE L TAT ET LES CHAMBRES CONSULAIRES sur les risques routiers professionnels leur propre s curit et am liorer leurs connaissances travers des actions d infor mation au plus pr s des populations L tat et le D partement d velopperont conjointe
10. Des r gles de calcul permettent de d termi ner le montant de l enveloppe d partemen tale de la DETR Les cr dits de la DETR sont r partis en fonction de la population de sa densit et de la richesse fiscale du d parte ment C est donc l volution territoriale qui d termine le montant de l enveloppe Le montant de l enveloppe d autorisation d engagement pour 2012 repr sentait 7 545 891 252 dossiers ont t r ception n s dont 202 ont fait l objet d un arr t de subvention du pr fet de l Orne Le montant des mandatements effectu s s est lev 5 758 827 Le montant de l enveloppe d autorisation d engagement pour l ann e en cours est de 7 923 186 6 Le site http www orne gouv fr dans sa ru brique d marches administratives politiques publiques aides de l tat aux collectivit s accompagne les collectivit s dans la constitution de leur dossier DETR et pr cise les coordonn es des agents en charge de leur instruction bureau des ressources humaines des finances et des dotations de l tat CONTRAT DE G N RATION Investir dans l avenir et valoriser l exp rience Avec le contrat de g n ration le gouvernement tourne le dos la fausse logique qui oppose les plus jeunes aux seniors en poussant les uns vers la sortie croyant ainsi faire de la place aux autres Le contrat de g n ration propose une m me solution au double probl me du ch mage aux deux bouts de la chai
11. Employ s par des collectivit s territoriales des associations ou des organismes char g s de la gestion d un service public ils contribuent l am lioration des relations et des rapports sociaux entre les habitants et les services publics ou collectifs des quartiers prioritaires de la politique de la ville Ce programme est soutenu par l tat hauteur de 236 076 R union de programmation du CUCS la Mairie d Alencon ENTRETIEN AVEC RODOLPHE MAUDUIT Le d l gu du pr fet dans les quartiers Coordinateur accompagnant et repr sentant Rodolphe Mauduit est d l gu du pr fet Courteille et Perseigne deux quartiers d Alencon class s en ZUS zone urbaine sensible Bien qu il dispose de trois bureaux un la pr fecture et un autre dans chacun des quartiers qui constituent son p rim tre d intervention il se d crit comme un homme de terrain Un terrain qu il connait bien et qu il a vu voluer sensiblement depuis sa prise de fonction en 2009 gr ce aux travaux r alis s sur le b ti et gr ce aux actions conduites au b n fice des habitants COMMENT POUVEZ VOUS R SUMER VOTRE MISSION En trois mots Coordonner accompagner et repr senter Le d l gu du pr fet coordonne les interventions des services de l tat qui travaillent en interminist riel sur la politique de la ville la direction d partementale des territoires la direction d parte mentale de la coh sion s
12. Le 22 f vrier 2012 apr s une exp rimentation conduite dans quatre d partements Charente Maritime Yvelines Haute Garonne et Bas Rhin le ministre de l Int rieur de l Outre mer des Collectivit s territoriales et de l immigration annoncait la g n ralisation progressive de la pr plainte en ligne l ensemble du territoire national en 2013 Lanc le 7 janvier 2013 dans l Orne le dis positif n a recueilli pour l instant qu une faible adh sion La tendance est la m me au niveau national puisque sur l ensemble des d partements o il est op rationnel le nombre de plaintes faisant suite pr plaintes en ligne repr sente peine 296 de l agr gat des atteintes aux biens Pour au tant les enqu tes r alis es aupr s des per sonnes ayant eu recours la pr plainte en ligne font apparaitre un taux de satisfac tion tr s lev Les plaignants soulignent le gain de temps qu elle permet de r aliser et la simplicit de la d marche Dans quels cas peut on recourir la pr plainte en ligne Ce t l service est destin am liorer l accueil des victimes et r duire le d lai d attente dans les locaux de la police ou de la gendarmerie lors du d p t de plainte qui doit n cessairement faire suite la pr plainte en ligne PPEL La PPEL s applique exclusivement dans le cas d atteintes aux biens vols d gradations escroqueries filouteries par un auteur in connu l exclusio
13. administrative d Alen on pour pr senter les nouveaux dispositifs afin que les b n ficiaires puissent se les approprier et les mettre en pratique dans leur int r t propre et dans celui de la collectivit ces rencontres il convient de donner un nom tra duisant tout la fois l objet et l ambition Ad info qui emprunte l administration et l information pourrait devenir terme l appellation d une tradition en cours d tablissement de rendez vous r guliers entre l tat dans l Orne et tous ceux qui participent au d veloppement conomique du d partement C est une invitation laquelle sont bien videmment associ s les lus S il est devenu n cessaire de clari fier les r les entre l tat et les collectivit s territoriales dans la mise en ceuvre des politiques publiques le contexte de rigueur budg taire dans lequel notre pays est durablement install exigera toujours que les efforts se conjuguent et que les moyens s addi tionnent autour d un objectif commun redonner es poir nos concitoyens et travailler ensemble toutes collectivit s et tous services confondus la relance de notre conomie SOMMAIRE SIGNATURE DU DOCUMENT G N RAL D ORIENTATION DE S CURIT ROUTI RE PARTENARIAT POUR LA SECURITE DES SENIORS ET LA PREVENTION DES RISQUES ROUTIERS PROFESSIONNELS EDITO 3 BR VES 6 PR PLAINTE EN LIGNE 8 JOURN ES DE l NERGIE ET SEMAINE DU D VELOPPEMENT
14. fense l industrie spatiale l nergie solaire du centre d essais dynamiques de Faurecia Caligny La deuxi me tape de la visite a t mar qu e par l inauguration Caligny du Centre d essais dynamiques CED un qui pement unique en Europe qui permet quipementier automobile mondial Pr sent dans 34 pays avec 94 000 collaborateurs dont 14 000 personnes en France et 1400 sur le site de Flers Caligny la plus grande unit du groupe sur le territoire national Faurecia est le premier employeur priv de l Orne Faurecia num ro 1 mondial des si ges auto mobiles de tester ses m canismes dans des conditions aussi proches que possible de la r alit Yann Delabri re PDG de Faurecia a soulign l aide de l tat des collectivit s territoriales et des nombreux partenaires fortement impliqu s dans la r alisation de cet inves tissement majeur Les sept millions d euros n cessaires ont t apport s par la R gion Basse Normandie le D partement de l Orne la Communaut d agglom ration du Pays de Flers et le FEDER Fonds Europ en de d veloppement r gional La gestion a t confi e par d l gation de service public la chambre de commerce et d industrie de Flers Argentan Pierre Moscovici s est d clar heureux et fier d inaugurer cet quipement symbole de la recherche constante d innovation en France dans les secteurs d excellence de notre conomie Elu d
15. ment des outils d information destination du public cible notamment un guide de bonne conduite des personnes g es au volant qui sera r alis cette ann e La convention sign e le 5 avril par le pr fet et le pr sident du Conseil g n ral pr cise par ail leurs les modalit s d changes d information de coordination et de concertation entre l tat et le D partement et formalise les objectifs et les modalit s de leur partenariat La mise en commun des moyens centres de ressources r seaux d acteurs locaux relais ins titutionnels doit permettre de susciter et sou tenir l organisation de r unions de sensibilisa tion des personnes g es la s curit routi re au moins une par canton d ici la fin 2015 Pr s de 4096 des accidents survenus dans l Orne sont li s l activit profession nelle soit un taux comparativement plus lev qu ailleurs C est la raison pour laquelle il n ces saire de mobiliser tous les acteurs au plus pr s des entreprises pour faire voluer les comportements des personnes qui utilisent leur v hicule pour se rendre sur leur lieu de travail ou dans le cadre de d placements professionnels Les chambres de commerce et d industrie d Alen on et de Flers Argentan et la chambre des m tiers et de l artisanat de la r gion Basse Normandie ont sign cette fin des 12 ORNE GOUV Avril 2013 conventions avec l tat Ces conv
16. 20 525 la premi re ann e et 30 790 l ann e suivante 696 de la masse salariale 33 ORNE GOUV Avril 2013 AD INFO ue Publique d Investissement La Banque Publique d investissement t cr e le 1er janvier 2013 pour am liorer le financement des entre prises Son objectif principal est d ac compagner les entreprises dans leur croissance Cr e par la loi n 2012 1559 du 31 d cembre 2012 la Banque publique d investissement au service du financement et du d veloppement des entreprises doit venir en appui aux poli tiques publiques de l tat et des conseils r gionaux Pour soutenir la croissance durable l emploi et la comp titivit de l conomie elle favorise l innovation l amorcage le d veloppement l inter nationalisation la mutation et la trans mission des entreprises en contribuant leur inancement en pr ts et en fonds propres Organisation et gouvernance La est d tenue parts gales par l tat et la Caisse des D p ts Elle va r unir dans chaque r gion partir du mois de juin les services du Fonds strat gique d inves tissement FSI d OS O et de CDC Entre prises groupe Caisse des D p ts Sous la pr sidence du pr sident du Conseil r gional un comit r gional d orientation sera charg de formuler un avis sur les modalit s d exercice par la de ses missions et sur la coh rence de ses orientations av
17. a permis de pousser plus avant un projet d achat de vaches laiti res normandes engag il y a deux ans par des investisseurs priv s de cette r publique du Caucase Le projet annul dans sa forme initialement envisag e a t repris par le gouvernement az ri qui pourrait acheter le cheptel son compte et le r troc der ensuite des agriculteurs Les n gociations qui portent sur 500 1000 t tes de b tail ont conduit le mi nistre la ferme exp rimentale de l INRA au Pin au Haras apr s une visite le matin de l unit de production de la Compagnie des fromages et RichesMonts Pac dans la communaut urbaine d Alen on Le ministre s est rendu ensuite Saint Ouen sur Iton au si ge de l entreprise IMV sp cialis e dans la fabrication d instruments d ins mination Lors de sa rencontre avec la presse la pr fecture de l Orne le ministre a d clar que ce d placement s inscrivait dans une tour n e de d couverte des produits francais dans le but d instaurer des accords indus triels et commerciaux entre les deux pays ANNE MARIE ESCOFFIER Clarifier et simplifier les relations entre l tat et les collectivit s territoriales En avant premi re du calendrier l gislatif Anne Marie Escoffier ministre d l gu e charg e de la d centralisation a trac les grandes lignes du projet de r forme des collectivit s ter ritoriales devant l assembl e g n rale des maires de l Orne r u
18. d clin dans les CUCS contrats urbains de coh sion sociale Pour les deux quartiers cela repr sente une quarantaine d actions chaque ann e Les financements de l tat s chelonnent entre 1000 et 20 000 pour les plus importantes Ils sont abond s par d autres financeurs Ville Conseil g n ral Conseil r gional CAF et autres services de l tat qui interviennent sur des cr dits de droit commun les cr dits de la politique de la ville ayant vocation compl ter ces derniers et ne pas s y substituer 1 de cr dit CUCS g n re par effet levier environ 10 de financements compl mentaires Ce qui traduit une large adh sion des partenaires l action conduite par l tat dans les quartiers Les dispositifs vont toutefois voluer compter de l an prochain Le CUCS actuel sera transform en contrat ville aura vocation mieux cibler les publics prioritaires et concentrer les cr dits sur des actions leur b n fice d l gu du pr fet a vention C est une politique complexe qui exige une coop ration j XA Eur TP constante entre les services de l tat les collectivit s territoriales MENT D organis une rencontre la Conseil g n ral Conseil r gional Ville et Communaut urbaine br fecture entre le pr fet et les associations les entreprises et les bailleurs sociaux z a les d l gu s de classes des F coll ges de Perseigne et de Courteil
19. de la dette il a d velopp tous les aspects induits par la nouvelle donne bud g taire et notamment ses r percussions sur le budget des collectivit s territoriales qui arrivent au premier rang des investisseurs directs de l argent public 66 QUATRE ANS APRES LA CRISE L CONOMIE MONDIALE A TOUJOURS DU MAL S EN REMETRE ET ON N ATTEND PAS D AM LIORATION SUR LE VOLET DE L EMPLOI AVANT 2017 L effort de mobilisation de la recette publique a pour corollaire la r duction des d penses de l tat l explication a port sur les modalit s concr tes pour chaque minist re de la mise en uvre des m canismes de la LFI 2013 Au total 30 ORNE GOUV Avril 2013 la r duction des cr dits de fonctionne ment de l tat va repr senter sur le seul exercice 2013 une conomie de 10 mil liards d euros Quatre ans apr s la crise l conomie mondiale a toujours du mal s en re mettre et on n attend pas d am lioration sur le volet de l emploi avant 2017 Patrick Marzec directeur de la banque de France a pos sans d tour les attendus de la situation La loi de finances 2013 et les perspectives cinq ans s inscrivent dans un contexte pessimiste Rien de nouveau que les m dias n auraient d j largement annonc et comment mais les mauvaises nouvelles en live et de la bouche d un ora teur autoris ont plus d impact qu au jour nal t l vis Les raisons objectives et comptables
20. dit d Imp ts pour la Comp titivit et l Emploi CICE le r le de la Banque Publique d Investissement dans le soutien de la tr so rerie des entreprises les mesures de soutien l emploi et l action du commissaire au redres sement productif taient au menu de cette conf rence laquelle une cinquantaine de personnes ont assist Comment mobiliser le fonds de garantie pour le renforcement de la structure financi re des entreprises Comment b n ficier d un pr fi nancement du cr dit d imp t comp titivit em ploi Quelles sont les missions et les objectifs de la Banque Publique d Investissement Quelles sont les entreprises et les secteurs concern s Quels montants quelles modalit s quelles d marches faut il entreprendre pour actionner les nouveaux dispositifs de soutien 4 LA VOLONT DU GOUVERNEMENT EST D INJECTER DU CASH DANS LES ENTREPRISES Autant de questions auxquelles les interven tions successives de Herv Lelarge directeur r gional d OSEO et de Marc B reau directeur d partemental des finances publiques ont r pondu concr tement en explicitant le mode d emploi des mesures adopt es par le gouver 32 ORNE COUV Avril 2013 nement pour aider les entreprises inves tir et gagner des parts de march Clairement la volont du gouverne ment est d injecter du cash dans les entreprises a r sum le pr fet Am liorer le financement des entreprises stimuler
21. dossier directement vers les services instructeurs Gr ce au tableau de bord de l espace personnalis qui lui est r serv le d clarant peut suivre pas pas le traitement de sa d marche jusqu sa validation Le service instructeur charg du dossier lui adresse alors le r c piss de d claration de son association sous forme d mat ria lis e Gr ce des contr les de saisie tout au long de la d marche en ligne la qualit du dos sier est davantage s curis e ce qui permet d viter les erreurs voire les manques dans les renseignements et pi ces requises qui risquent de retarder la d marche La Mission d accueil et d information aux associations MAIA de l Orne est un r seau coordonn par la d l gu e d partementale la vie associative qui intervient en appui la demande des b n voles lus et professionnels de la vie associative En r unissant tous les acteurs comp tents en mati re de vie associative tat collectivit s territoriales partenaires priv s et publics la MAIA met leurs comp tences disposition des associations et leur propose gratuitement un certain nombre d outils et de services les coordonn es d un r seau de partenaires au service des associations des guides pratiques pour les associations galement disponibles sur www associations gouv fr une aide la gestion des emplois associatifs des formations gratuites pour les b n voles
22. en mati re d emploi fiscalit et comptabilit LE VOLET SOCIAL de la politique de la ville SOCIAL Parall lement au programme de r novation urbaine mis en uvre par l agence nationale de r novation urbaine ANRU les contrats urbains de coh sion sociale CUCS constituent les volets sociaux des programmes de r novation urbaine des quartiers en difficult d finis comme prioritaires Etablis par le pr fet en sa qualit de d l gu territorial de l agence nationale pour la coh sion sociale et l galit des chances Acs et le repr sentant de la collectivit territoriale au sein de laquelle ils sont mis en ceuvre les CUCS d finissent les objectifs les modalit s de mise en ceuvre le suivi et l valuation des actions conduites en faveur des habitants des quartiers dans lesquels ils s appliquent Les actions ainsi retenues portent sur l duca tion l emploi le d veloppement conomique le logement le cadre de vie la sant la culture la citoyennet le lien social la participation la vie publique l acc s aux droits la pr vention des discriminations et la pr vention de la d lin quance au sein des p rim tres vis s Le d partement de l Orne compte en 2013 trois CUCS qui concernent les quartiers prioritaires d Alen con Argentan et Flers Les actions mises en uvre dans le cadre des CUCS font l objet d un examen et d un finan cement concert s par les servi
23. imprim et distribu sur tout le territoire francais ce qui conf rera au projet labellis une visibilit nationale et interna tionale Le m canisme de labellisation ne signifie pas un financement automatique mais plut t une ligibilit au financement qui interviendra en 2014 Enfin le label garantit au porteur de projet un appui de la Mission du centenaire de la Premi re Guerre mondiale pour obtenir des financements aupr s de financeurs publics et ou priv s Actuellement dans l Orne trois dossiers de labellisation sont en cours d instruction Ils sont port s par des collectivit s et des associations mais toutes les initiatives indi viduelles sont galement bienvenues Pour pr tendre au label de la Mission du cente naire les dossiers devront tre pr sent s au movent tandi sont d taill es par ail leurs les modalit s d attribution du label et les conditions de son obtention Les dossiers seront examin s par le comit d partemen tal qui devra les faire suivre la Mission du centenaire au plus tard le 1er juin 2013 Ce qui est attendu une grande participation des jeunes des coles coll ges et lyc es une large implication des collectivit s et de leurs groupements la mobilisation des structures associa tives ou cercles historiques leur adh sion et participation au projet l apport de t moignages par les fa milles correspondances photos objets qui po
24. internes aux entreprises permettront d organiser le tutorat et les transferts de comp tences en fonction des actions d j existantes et des enjeux propres l entreprise Le dispositif prend en compte le fait que les petites entreprises ne disposent pas toujours d un d l gu syndi cal La n gociation sera donc encourag e chaque fois qu elle est possible mais ne sera obligatoire que pour les entreprises de plus de 50 salari s aide de 12 000 r partie sur 3 ans L aide de l tat est de 4000 par an pendant trois ans 2000 pour l embauche d un jeune et 2000 pour le maintien dans l emploi ou l embauche d un s nior Les entreprises de moins de 300 salari s 99 596 des entreprises francaises sont ligibles cette aide sauf si elles appartiennent un groupe de 300 sala ri s ou plus Si le senior part la retraite avant le terme des trois ans l entreprise peut conserver le b n fice de l aide associ e au jeune sur la dur e maximale En revanche l aide est suspendue si le jeune part avant le terme de trois ans sans tre remplac par un autre jeune ou si le senior est licenci Plus de d tails sur www contrat generation gouv fr EMPLOI contrat de g n ration POUR L EMPLOI TOUS ENSEMBLE Pour b n ficier de l aide les entreprises doivent s adresser P le emploi Elles per cevront chaque trimestre 1000 euros sous condition du maintien du jeune et du senior dans leur ef
25. l ianovation favoriser l exportation et for mer les jeunes etles salari s sont les quatre axes qui guident la d marche du gouver nement pour construire avec les collectivi t s territoriales et les banques le nouveau mod le fran ais Le CICE sera financ pour moiti par des conomies sur la d pense publique d ga g es par la Modernisation de l Action Pu blique MAP et pour l autre moiti par des recettes nouvelles hauteur de 2 3 par la refonte des taux de TVA et 1 3 par la nou velle fiscalit environnementale l ensemble des entreprises employant des salari s et soumises l imp t sur les soci t s ou l imp t sur le revenu calcul sur leur b n fice r el sont concern es quel que soit le mode d exploitation entre prise individuelle soci t de personnes etc et quel que soit le secteur d activit agricole artisanal commercial industriel services En b n ficieront galement les entre prises dont le b n fice est exon r de C EST UN DE CROISSANCE ET D EMPLOI Jean Marc AYRAULT mani re transitoire vertu de certains disposi tifs d am nagement du territoire zone franche urbaine et zone de revitalisation rurale ou d encouragement la cr ation et l innovation entreprises nouvelles innovantes et les orga nismes relevant de l article 207 du code g n ral des imp ts partiellement soumis l I5 comme les coop
26. motards et un souci de s curit auquel nous devons r pondre Plusieurs ateliers taient propos s sur le site tout au long de la journ e dont une piste d habilet sur circuit et une mise en pratique sur la route Les participants taient encadr s par des motards de la gendarmerie qui ont prodigu des conseils inspir s de leur formation et de leur exp rience Les pompiers galement impliqu s dans cette journ e de pr vention ont dispens des conseils de prise en charge en cas d accident de deux roues FORUM DE LA VIE ASSOCIATIVE Favoriser l engagement gratuit et le valoriser par la formation amp VIE ASSOCIATIVE Les membres de la Mission d accueil et d information aux associations MAIA de l Orne ont organis le 6 avril Alencon un forum de la vie associative sur le th me le b n volat dans tous ses tats En ouvrant ce forum aux c t s de Joaquim Pueyo d put maire d Alen on Jean Christophe Moraud pr fet a rappel l importance du mouvement associatif et la place qu il a su conqu rir depuis la loi 1901 qui a consacr la libert d association Se retourner sur un peu plus d un si cle de pratique associative c est retracer les aven tures d une libert C est constater que les associations ont enrichi tous les domaines de la vie publique et priv e En accompagnant le d veloppement de la soci t fran aise les associations ont aid les pouvoirs publics pEeS
27. un territoire de la fili re automobile le Doubs o Faurecia a d velopp un site sp cialis dans la production de pots d chap pement et un autre dans les ext rieurs auto mobiles il conna t les difficult s du secteur et sa capacit de d veloppement et d inves tissement pour l avenir Des essais ont t effectu s en pr sence du ministre qui s est dit impressionn Le CED est situ au coeur du campus indus 23 ORNE GOUV Avril 2013 triel de recherche et d innovation appliqu e aux mat riaux ciriam de Caligny qui s orga nise autour de quatre grands ensembles Une usine de production de 40 000 m2 qui dispose des presses les plus modernes du march et produit chaque ann e 50 millions de m canismes de si ges automo biles glissi res articulations et syst mes de r glage de hauteur des si ges autant de produits qui jouent un r le cl dans la s curit et le confort des conducteurs et des passagers Un centre de recherche et de d velop pement de 7000 m2 avec 500 ing nieurs qui d veloppent des nouveaux produits mat riaux et proc d s de fabrication pour le compte des plus grands constructeurs mondiaux Le centre d essais dynamiques de 2000 m2 avec bancs vibrants crash test et une catapulte qui permet gr ce une bat terie de mannequins de tester les diff rents types de chocs et le maintien des corps dans les si ges Un centre de formation d ing nieurs par appre
28. volontaires issus de classe de 4e et 3e et une quipe de 10 jeunes stagiaires de l ta blissement Public d Insertion de la D fense EPIDe d Alencon Au travers d un parcours ponctu de 10 ateliers les coll giens r fl chiront ce qui constitue l action du citoyen l esprit de d fense le devoir de m moire leurs propres engagements dans la vie civique les premiers secours l environnement etc Rallye citoyen Parcours ludique civique 6 ORNE GOUV Avril 2013 DREAL du Loiret en mai 2012 Carte d identit L t approche Renouvellement de carte d identit ou de passeport n attendez pas l t N ATTENDEZ PAS L T Renouvelez des maintenant vos titres d identit si n cessaire wous limitberer alna les d lais d attente et d obtention Ker abu Faeyr core hier pou y L approche des examens de la fin d ann e scolaire ou universitaire et des vacances d t g n re un afflux de demandes de cartes nationales d identit CNI et de passeports ll est recommand aux demandeurs de prendre d s pr sent les dispositions n cessaires en v rifiant les dates d expiration des CNI ou passeports en leur possession en se rendant dans le cas o un renouvellement s av re n cessaire la mairie de leur domicile pour une demande de carte nationale d identit et pour une demande de passeport dans l une des treize communes qui
29. 4 et les condi tions d une p r quation juste Anne Marie Escoffier a conclu son inter vention sur un constat et la formulation d un voeu Nous ne savons plus nous couter ni dialoguer m me en famille Gardons nous de reconstruire une tour de Babel et employons nous nous re trouver en confiance pour construire le monde de demain 27 ORNE GOUV Avril 2013 CONVENTION AVEC LA POSTE pour que les rues affichent leur nom L am lioration de la desserte des habitants de l Orne en particulier des zones rurales est un objectif commun aux diff rents acteurs du territoire afin que chacun administr ou client ait une adresse qui lui permette d tre reconnu par les services secours soins d pannages livraisons distributions du courrier relevages des compteurs etc Dans le cadre de l assembl e g n rale des maires de l Orne une charte d engagement a t sign e entre l tat l AMO le Service d partemental d incendie et de secours et le groupe La Poste pour l am lioration de la d nomination des rues chemins et toutes voies publiques dans l int r t des citoyens Les signataires s engagent conjointement soutenir La Poste aupr s des municipalit s et promouvoir la d marche de d nomi nation et de num rotation des voies dans les communes du d partement o les habitants ne b n ficient pas tous d une accessibilit homog ne et parfaite Les pompiers et les forces de s cur
30. 5000 emplois suppl mentaires affect s aux mis sions de s curit dans les cinq ans venir donneront lieu des ajustements budg taires aux d pens des pr fectures et sous pr fectures Les collectivit s territoriales prendront leur part au redressement des finances publiques par une stabilisation des princi paux concours financiers de l tat Celle ci sera assortie d une p r quation au profit des collectivit s d favoris es ou structu rellement en difficult Marc B reau Directeur d partemental des finances publiques a expos la r forme de la structure des pr l vements La d cli naison des mesures aura sa traduction sur les feuilles d imposition des entreprises et des cible les plus ais s afin de pr server le pouvoir d achat du plus grand nombre la consom mation la croissance et l investissement Mode d emploi AD INFO Le pacte national pour la croissance la comp titivit et l emploi adopt par le gouverne ment la fin de l ann e 2012 se concr tise progressivement travers la mise en ceuvre de 35 mesures destin es restaurer la comp titivit des entreprises et relancer la croissance et l emploi Les mesures phares de ce dispositif ont t pr sent es tants du secteur conomique et financier de l Orne dans le cadre oar le pr fet le 26 f vrier aux repr sen d une conf rence pr sid e Le Cr
31. AI Depuis 2009 o les premi res lumi res se sont allum es sur les belles pierres de l Orne l v nement a pris de l ampleur et s est enrichi d animations diverses Ce rendez vous de mai envisag ses d buts comme une vitrine du patrimoine ar chitectural local est devenu au fil du temps une f te dimension r gionale Les pierres en lumi res sont d sormais en musique Elles sont le d cor d une promenade qui entra ne les visiteurs d un lieu un autre du plus prestigieux au plus modeste Le succ s de cette folle nuit qui co ncide avec la nuit europ enne des mus es est inscrire l actif des nombreux b n voles sans qui elle n aurait pu exister et ne saurait durer Les mairies les associations et les par ticuliers qui ouvrent leurs demeures cette occasion sont les acteurs de son succ s Il est assez convaincant pour que l tat le Conseil g n ral de l Orne et la Fondation du patri moine l initiative de cet v nement en revendiquent fi rement la paternit Avec une cinquantaine d animations dans l Orne autant dans la Manche et une soixan taine dans le Calvados l dition 2013 de vrait tre un bon cru La pluie ayant sensiblement la cuv e 2012 au point que la pr fecture avait d clarer forfait le programme s est organis cette ann e de mani re ce que la m t o ne puisse rien emp cher Le programme beau temps se d roulera dans le parc
32. CONE Le magazine des services de l Etat dans l Orne i a 5 ANNE MARIE ESCOFFIER les collecivit s les chamos et la copitole p blu rum EquE PR FET DE L ORNE i T 1 pa apu ET r E F i f DS 1 uer x pe Le m CD 4 4 At LE la rencontre des industriels de l Orne AGRICULTURE AVR 2 01 ND L INFORMATION DE L TAT DANS L ORNE DITO Jean Christophe MORAUD PREFET DE LORNE ans un contexte de morosit aliment e par les turbulences des plates formes boursi res et des scandales qui me nacent injustement l ensemble de la classe politique aller au contact des citoyens est une d marche essentielle qui doit tre conduite tous les niveaux C est le sens de la visite officielle de Pierre Moscovici ministre de l cono mie et des finances et de ses changes avec les chefs d entreprises de l Orne Flers et Argentan C est l objet du dialogue ouvert le 1er mars la cit administrative d Alencon par Marylise Lebranchu ministre de la r forme de l tat de la d centrali sation et de la fonction publique lor
33. DURABLE 9 LE VOLET SOCIAL DE LA POLITIQUE DE LA VILLE VISITE OFFICIELLE PIERRE MOSCOVICI 4 ORNE GOUV Avril 2013 S VERINE GRAV MADAME 2RM FORUM DE LA VIE ASSOCIATIVE CONVENTION ENTRE L TAT ET LE CONSEIL G N RAL CHAMBRES CONSULAIRES 12 ENTRETIEN AVEC RODOLPHE MAUDUIT 17 APPEL PROJET CENTENAIRE DE LA PREMIERE GUERRE MONDIALE 18 f DOTATION D QUIPEMENT Pa DES TERRITOIRES RURAUX 19 CONTRAT DE G N RATION 20 2013 projet de loi de finances 2017 VISITE OFFICIELLE MARYLISE LEBRANCHU LA LOI DE FINANCES EXPLIQU E AUX ACTEURS D CONOMIQUES DE ENDO l ORNE DE COMP TITIVIT MODE D EMPLOI VISITE OFFICIELLE ANNE MARIE ESCOFFIER VISITE OFFICIELLE ISMAT ABASOV 25 UNE CHARTE POUR QUE LES RUES AFFICHENT LEUR NOM 27 RAPPORT DE LA MISSION DE LUTTE CONTRE LINFLATION NORMATIVE 34 LE DE COMP TITIVIT MODE D EMPLOI 32 E m RENCONTRE AVEC LES JEUNES AGRICULTEURS 34 18 MAI 2013 LA PR FECTURE EN LUMIERE EN FEU ET EN MUSIQUE Magazine publi ONT COLLABOR CE NUM RO CR DITS PHOTOGRAPHIQUES par le pr fet de l Orne Les services de la pr fecture et des Pr fecture de l Orne Service N 2 Avril 2013 sous pr fectures de l Orne les services d partemental de la communication d concentr s de l tat dans interminist rielle DIREC
34. EMENT 3 a n sk t Une matin e suffit pas refaire le monde quand bien m me il ne s agirait que du monde rural mais c est assez pour tablir le contact Plus constructif qu un d versement de lisier ou de paille dans la cour de la pr fecture assure Jean Chri tophe Moraud en invitant les JA venir le rencontrer chaque fois que n cessaire Je ne serai pas toujours d accord avec vous je d fendrai la position du gou vernement mais je serai attentif vos revendications et je les ferai remonter au minist re Christophe de Balorre conseiller g n ral du canton et maire de Saint L ger sur Sarthe s est associ la visite et appuie les demandes de ses administr s On ne peut pas imaginer l Orne sans les le veurs C est l un des param tres essen tiels de l identit de notre d partement Nous comptons sur vous Monsieur le Pr fet pour faire entendre les revendi 35 ORNE GOUV Avril 2013 cations en haut lieu et faire en sorte que la situation volue favorablement dans l int r t des jeunes install s ici et dans l int r t de notre territoire La matin e s ach ve sur un verre de cidre La suite de la journ e de Jean Christophe Moraud se passe Paris Le pr fet de l Orne exerce son m tier entre les champs et la capitale est l agent de liaison entre un territoire qui nourrit des espoirs et le gouvernement qui pour les prendre en compt
35. EURS DAN DANS LES TRAJETS PROFESSIONNELS DOMICILE Ov l entretenir avec des conseils adapt s qui seront dispens s au plus pr s des per sonnes concern es Les responsables des chambres de com merce et d industrie d Alen on et de Flers Argentan et de la chambre de m tiers et de l artisanat de la r gion Basse Normandie ont explicit les actions qui seront d velopp es aupr s de leurs ressortissants pour am lio rer leur s curit et celle de leurs salari s sur les trajets professionnels Cette d marche va servir des objectifs la fois humains et conomiques ont ils d clar en voquant les cons quences lourdes que peut avoir un accident de la route quand il affecte durable ment ou d finitivement un l ment cl dans une entreprise and CONVENTION ENTRE L ETAT ET LE CONSEIL GENERAL pour la s curit routi re des s niors SIGNATURE DU DOCUMENT G N RAL D ORIENTATION DE S CURIT ROUTI RE 2013 2017 CONVENTIONS DE PARTENARIAT Les tudes r alis es sur la p riode 2007 2011 d montrent que les personnes de 65 anset plus qui constituent actuellement 2096 de la population d partementale sont surrepr sent es dans les accidents de la route POUR LA S CURIT DES S NIORS ET LA PR VENTION DES RISQUES ROUTIERS PROFESSIONNELS Dans le bilan des cinq derni res ann es les seniors sont davantage impliqu s dans les accidents en comparaison
36. LE La transition nerg tique au c ur du d bat ENVIRONNEMENT Les premi res journ es de l nergie se sont d roul es du 29 au 31 mars 2013 Elles ont offert au public l opportunit de d couvrir des lieux des initiatives et les acteurs de l nergie de leur r gion A travers ces rendez vous le minist re de l Ecologie du D veloppement durable et de l Energie ouvre le d bat sur la transition nerg tique Les journ es de l nergie ont donn lieu Alencon une op ration portes ouvertes sur le site d ERDF Avec plus de 15 000 kilom tres de lignes dont 20 sont enterr es ERDF est au c ur du sujet L entreprise investit bon an mal an 12 millions d euros dans le d partement et travaille avec ses partenaires notamment au sein de la conf rence d partementale de la distribution lectrique r unie par le pr fet le 19 d cembre 2012 am liorer le r seau le moderniser et le s curiser pour rendre un meilleur service l usager La fiabilit du r seau c est l assurance d une forme de souverainet gr ce l acheminement d un bout l autre de notre territoire de l nergie lectrique En d ployant tous les outils de production de l nergie olien photovoltaique aux c t s des centrales classiques et nucl aires c est G AS FER CR due d F Le AF 1 aL X m La L 1 5 Y jm
37. Le pr fet se d clare impressionn par la techni cit des installations L change est courtois mais ferme 4 34 ORNE COUV Avril 2013 Dans l imm diat la demande porte sur une prise en compte des co ts de produc tion dans le prix de vente du lait et pro duits d riv s Une augmentation de 2 cen times sur le litre de lait UHT sans impact sensible pour le consommateur suffirait selon les jeunes agriculteurs p renniser leurs exploitations demandent que le gouvernement prenne des mesures au plus vite 115 pr viennent qu ils seront vigi lants sur le contenu de la prochaine loi de consommation attendue pour la fin du premier semestre et la loi d avenir pr vue en fin d ann e imi s Har nr Add Le pr fet souligne les efforts du minist re de l agriculture qui a r ussi d gager deux fois 20 millions d euros pour soutenir les leveurs Pas assez conteste un jeune exploitant C est mieux que rien et dans l tat actuel des finances publiques c est tout ce qu on peut faire Au del ce se rait sur le compte de la dette publique r torque Jean Christophe Moraud La pression ascendante des contraintes envi ronnementales Ce ne sont pas que des contraintes cela repr sente galement des opportunit s 5 S IMAGINER Mentis SANS LES LEVEURS C EST L UN DES PARAM TRES ESSENTIELS DE L IDENTIT DE NOTRE D PART
38. TALIR UVERT TOUS f TREE GRATUITE ASS VE 0 FORUM DE LA VIE ASSOCIATIVE RIL 2013 5 Avm ren gs i rig Tm HALLE AUX OILES i CONF RENCE ATELIERS N 14 ORNE GOUV Avril 2013 Li BL t s RNAISE B N VOLAT DANS TOUS SES 5 ALEN ON E SHOO A16H30 2 lmy CU E SL 66e LA RECONNAISSANCE B N VO LAT EST UN AXE D ACTION ESSENTIEL QUE LES POUVOIRS PUBLICS ET LES REPR SENTANTS DU MONDE ASSOCIATIF DOIVENT POURSUIVRE EN COMMUN IL EST ESSENTIEL DE FAVORISER CET ENGA GEMENT GRATUIT ET DE VALORISER LE TEMPS PASS AU SERVICE D UNE ASSO CIATION DANS LE PARCOURS PROFES SIONNEL DE CHACUN mieux percevoir les domaines dans les quels ils devaient changer ou renforcer leurs actions Sur des sujets aussi essen tiels que l exclusion la grande mis re la protection des enfants maltrait s la lutte contre le sida le renforcement de la s curit routi re ou la reconnaissance des droits des handicap s le mou vement associatif a souvent pr c d la loi et inspir le l gislateur en lui faisant entendre la voix des plus faibles Dans la p riode de mutations cono miques que nous traversons notre 50 ci t a besoin du regard et de la parole des associations a ajout le pr fet
39. TEUR DE LA PUBLICATION DDCSPP DDT UT DRECCTE DDSP Matignon Publihebdos Karina Jean Christophe MORAUD Groupement de Gendarmerie de Pujeolle Crazycom l Orne DMD DIRECTRICE DE LA R DACTION Chislaine BLEHER CONCEPTION R ALISATION COORDONNATRICE DITORIALE Agence CRAZYCOM Jo lle MARI m www orne gouv fr 6 Mouvement BR VES ARMELLE CONNESSON a t nomm e chef de l unit teritoriale de la DREAL de Basse Normandie en f vrier 2013 Ing nieur divisionnaire de l industrie et des mines elle vient de la DREAL du Nord Pas de Calais o elle tait charg e du suivi des tablissements risques Elle succ de Pascal Gallon qui a rejoint 6 Citoyennet Un Rallye citoyen pour les coll giens Organis pour la premi re fois dans l Orne un ral lye citoyen va r unir une centaine d l ves des col l ges du d partement mardi 4 juin Alen on de 8 h 17h Cette activit initi e et organis e par le trin me aca d mique de l Orne Rectorat de Caen D l gation Militaire D partementale Institut des Hautes tudes de D fense Nationale de Basse Normandie entre dans le cadre de l enseignement de d fense dispens durant le temps scolaire Elle constitue une opportunit pour les l ves accom pagn s de leurs professeurs de se familiariser avec les valeurs de la R publique travers une d couverte de ses institutions Ce challenge sera disput par 9 quipes de 10 l ves
40. ations En 2012 la direction d partementale de la coh sion sociale et de la protection des populations DDCSPP qui assure le secr tariat de la CCAPEX a enregistr 670 saisines contre 439 en 2011 soit une augmentation de plus de 52 906 principalement d pos es par les bailleurs sociaux la CAF le conseil g n ral la pr fecture ou les sous pr fectures et quelques bailleurs particuliers Cette progression tr s importante traduit d une part l accroissement des difficult s budg taires des m nages et d autre part la meilleure connaissance des missions de la CCAPEX L instruction de ces saisines a donn lieu l organisation de 43 s ances une par mois en moyenne des quatre commissions territoriales d Alencon Argentan Flers et Mortagne au Perche Gr ce au travail de concertation et de pr vention effectu par ces commissions territoriales le nombre de demandes de concours de la force publique pour faire proc der l expulsion a moins progress en 2012 que le nombre des assignations judiciaires en r siliation de bail ou des commandements de lib rer les lieux 59 contre 48 en 201 1 PIERRE MOSCOVICI ministre de l conomie et des finances a la rencontre des industriels de l Orne amp VISITES OFFICIELLES En d placement Flers et Argentan le 18 mars Pierre Moscovici ministre de l conomie et des finances a adress aux dirigeants d entreprise un message de mobilisation 66
41. ce a besoin a t il conclu 66 JE SUIS HEUREUX ET FIER D INAU GURER CET QUIPEMENT SYMBOLE DE LA RECHERCHE CONSTANTE D INNOVATION EN FRANCE DANS LES SECTEURS D EXCELLENCE DE NOTRE CONOMIE MARYLISE LEBRANCHU lance Alen on le chantier de modernisation de l action publique C est dans le cadre de son d placement officiel Alen on le 1er mars que Marylise Lebran chu a lanc la d marche Innover et simplifier avec les agents publics Le gouvernement veut associer les agents publics premiers acteurs du service public et en contact direct avec les usagers un processus de modernisation qui doit s inspirer de leur exp rience Le site internet destin recueillir les propositions des agents pour am liorer et simplifier le fonc tionnement de l administration a t ouvert depuis la cit administrative d Alencon qui a t inaugur e par la ministre l occasion de ce d placement Dans le courant de l apr s midi la ministre s est adress e aux agents des trois d partements bas normands r unis dans l amphith tre de la cit administrative en pr sence des pr fets de la r gion de la Manche et de l Orne Cette rencontre a permis Marylise Lebranchu de r pondre leurs interrogations et de r affirmer sa d termination conduire bon terme le chantier de modernisation de l action publique et la construction du nouveau mod le francais La ministre a visit le bureau de la
42. ces de l tat les collectivit s signataires le Conseil g n ral le Conseil r gional la Caisse d allocations fami liales les bailleurs sociaux En 2012 cette concertation a permis de porter 4 475 676 le montant des cr dits allou s la r alisation des projets inscrits dans les trois CUCS de l Orne A partir de 2014 une r vision de la g ographie prioritaire de la politique de la ville va recentrer des cr dits d intervention de l tat vers les quartiers les plus en difficult Le soutien de l tat l am lioration des condi tions de vie des habitants des quartiers en dif ficult se concr tise galement depuis plusieurs ann es au travers de deux autres programmes particuliers 16 ORNE GOUV Avril 2013 Les programmes de r ussite ducative PRE Sign s par l tat et les collectivit s ter ritoriales au sein desquelles ils sont mis en uvre ils permettent une approche globale sociale familiale psychologique m dicale et individualis e des difficul t s ducatives ou d apprentissage que peuvent rencontrer certains enfants des quartiers prioritaires L tat soutiendra nouveau cette ann e les quatre PRE de l Orne Alencon Argentan Flers et Vimoutiers hauteur de 482 673 Le programme adultes relais Quinze adultes relais g s de plus trente ans et issus des quartiers prioritaires as surent Flers Argentan et Alen on des missions de m diation sociale
43. dant d partemental d aide aux victimes assure le suivi du dispositif et sa bonne mise PORTAIL GENDARMERIE NATIONALE CHOIX DU LIEU DE SIGNATURE DE LA PLAINTE T PORTAIL POLICE NATIONALE Dans le m me temps un message contenant la pr d claration est automatiquement transmis au service de police ou la brigade de gendarmerie s lectionn qui va contacter le plaignant pour convenir avec lui de la date et de l heure d un rendez vous pour la signa ture de la plainte raitement des pr plaintes par les services de police ou de gendarmerie Des bo tes de messagerie fonctionnelles d di es sont ouvertes dans les services afin que les pr d clarations de plaintes soient trait es deux niveaux en uvre dans l ensemble des structures d accueil des plaignants pour la validation des pr plaintes niveau local des fonctionnaires sont d sign s dans chaque structure d accueil pour assurer la r ception des plaignants aux rendez vous convenus pour la finalisation de leur plainte Dans les 24 heures ouvr es de la r ception d un message de pr plainte le service choisi par le plaignant le contacte pour convenir du rendez vous de signature et l informer des pi ces justificatives n ces saires dont il doit se munir lors de ce ren dez vous le plaignant est recu dans un d lai d attente qui ne d passe pas 15 minutes JOURN ES DE L NERGIE SEMAINE DU D VELOPPEMENT DURAB
44. de s inqui ter sont multiples la comp titivit d grad e la France tr s endett e la zone euro o la reprise peut tre compromise par le souhait de d sendettement de nombreux agents conomiques y a cependant des facteurs positifs annonce Patrick Marzec La d mographie est dynamique et le taux d pargne des m nages en France se situe parmi les plus importants de la zone euro Au niveau r gional le focus sur les entreprises qui r alisent plus de 750 000 euros de chiffre d affaires annuel r v le une progression tr s sup rieure la moyenne nationale et l Orne se situe large ment au dessus de la r gion dans les trois secteurs pris en compte industrie manufactu ri re construction vente et r paration auto mobiles et cycles En r sum si la France ne va pas bien la R gion Basse Normandie va plut t mieux et l Orne encore mieux Mais le satisfecit est temp r par trois constats Les entreprises ornaises ont des ratios de structure compa rables ceux des entreprises de la r gion mais globalement moins bons que la moyenne nationale cause du faible niveau des fonds propres et de l endettement financier M me si le chiffre d affaires est sup rieur la rentabilit n est pas meilleure qu au niveau r gional et national D apr s les premiers r sultats d une enqu te en cours une majorit d entreprises indus trielles notamment les plus grandes pro jettent un
45. de attention pour une mise en ceuvre rapide La liste des normes dont il proposent l abrogation sera soumise l expertise des minist res concern s en vue de d cisions qui seront prises dans les semaines venir LA LOI DE FINANCES expliqu e aux acteurs conomiques de l Orne AD INFO Le 21 janvier Jean Christophe Moraud pr fet de l Orne Marc B reau directeur d partemen tal des finances publiques et Patrick Marzec directeur de la banque de France ont pr sent la loi de finances 2013 et la loi de programmation des finances publiques pour les ann es 2012 2017 Cette pr sentation trois voix devant un audi toire d acteurs conomiques rassembl s dans l amphith tre de la cit administrative d Alen con avait pour objet de mettre en perspective le premier budget de la mandature et de rap peler les enjeux poursuivis travers sa mise en ceuvre Partant de la conjoncture mondiale et du contexte national l expos a mis en avant les donn es conomiques locales pour inscrire le d partement dans le cadre budg taire arr t par le gouvernement A travers cet exercice le pr fet a souhait as socier les forces vives de l Orne entreprises lus organisations syndicales d employeurs et de salari s chambres consulaires l effort de redressement des finances publiques Faisant tat des dispositifs qui seront mis en place court et moyen terme pour parvenir l objec tif de r duction
46. del des claireurs ornais de la d marche l invitation s adresse tous les agents de l Etat Un site web participatif national Innover modernisation gouv fr est ouvert leur intention afin qu ils y d posent les propositions qui pourront contribuer rendre les services publics plus simples plus justes et plus efficaces Pilote dans cette d marche le d partement de l Orne poursuit aujourd hui la r flexion collec tive dans le cadre d ateliers qui doivent favoriser l mergence de nouvelles id es depuis le terrain partir de l exp rience des ser vices Le comit interminist riel pour la modernisation de l action pu blique sera l occasion de dresser un bilan de la consultation la fin du premier semestre Toutes les propositions seront analys es et chacune fera l objet d une explication sur la suite qui lui sera donn e amp VISITES OFFICIELLES f ministre de l agriculture d Azerba djan L Azerbaidjan s int resse aux vaches normandes Le 25 f vrier dans le cadre d une d marche de prospection visant am liorer l ind pendance alimentaire de son pays Ismat ABASOV ministre de l agriculture d Azerbaidjan a visit plusieurs entreprises de l Orne CE D PLACEMENT S INSCRIVAIT DANS UNE TOURN E DE D COUVERTE DES PRODUITS FRANCAIS DANS LE BUT D INSTAURER DES ACCORDS IN DUSTRIELS ET COMMERCIAUX ENTRE NOS DEUX PAYS 25 ORNE GOUV Avril 2013 Ce d placement
47. ds avec moins de 6 mois de permis et des vieux routards avec 40 ans d exp rience au compteur et des permis datant de l poque o l apprentis sage se faisait directement sur la route Aujourd hui on apprend manier la ma chine sur plateau et on a gagn en s curi t Les routes sont plus s res les glissi res coupe gorges ont t supprim es mais il reste toujours des dangers les rev te ments de routes us s des casques qui ne prot gent plus les t tes autant qu il fau drait et des comportements inadapt s et dangereux des autres usagers de la route et des motards eux m mes Les rendez vous de Madame 2RM sont l occasion pour les motards de repenser leur s curit Les relais motards sur le trajet des rencontres sportives les actions ponc tuelles sur des th matiques donn es ras semblent de plus en plus de monde L op ration reprise de guidon qui a connu un franc succ s a t reproduite dans la Sarthe et dans la Manche Les motards viennent chercher quelque chose 115 sont tr s attentifs aux informations qu on leur propose De nombreux partenariats se sont instau r s autour de cette op ration initi e par le capitaine Sala n chef de l escadron d par temental de s curit routi re de la gen darmerie de l Orne Initiation aux premiers secours par les pompiers quels quipe ments pour bien se prot ger par la F d ration francaise des motards en col re les co
48. e a besoin de les conna tre La rencontre avec les jeunes agriculteurs fournira quelques images d un film tra vers lequel la d l gation interminist rielle la communication du minist re de l Int rieur veut pr senter tous les aspects de la fonction de pr fet et ses multiples va riantes A sa sortie la s quence sera mise en ligne sur le site de l tat dans l Orne www orne gouv fr Mesures de soutien la fili re laiti re Lors du congr s de la F d ration Natio nale des Producteurs de Lait qui s est tenu le 21 mars dernier St phane Le Foll ministre de l agriculture a annonc les mesures suivantes Mise en place de nouvelles aides cou pl es en faveur de l levage pour l an n e 2013 20 Millions d euros pour la fili re laiti re seront attribu s sur la base du quota lai tier des leveurs aux nouveaux install s et r cents investisseurs soit environ 1 000 par exploitation ligible 20 Millions d euros seront affect s aux nouveaux install s et r cents investisseurs leveurs de bovins allaitants et engraisseurs 4 Millions d euros viendront abonder l enveloppe annuelle de l aide pour le secteur caprin Sur la contractualisation entre produc teurs et transformateurs comme dans la loi de modernisation conomique LME obligation de r vision des prix quand les indicateurs de prix des mati res premi res fluctuent fortement les coop ratives devront rendre c
49. e 41 mais u collect bun hand des CES 34 8155 France EMPLOI 20 209 saris pius de 300 sands eligible l aide d age avec aocond collectif Accord collectit o de Branchia fixant des objectifs et seniors 15 des salaries 44 des salaries en France COMMISSION DE COORDINATION des actions de pr vention des expulsions locatives CCAPEX Importante progression du taux de saisine en 2012 En relais des commissions territoriales par arrondissement qui avaient t mises en place de mani re informelle la commission de coordination des actions de pr ven tion des expulsions locatives CCAPEX de l Orne a t cr e en 2010 suite un d cret qui en a formalis les contours Elle est constitu e de repr sentants des ser vices de l tat des repr sentants des bailleurs publics ou priv s des organismes en charge du versement des aides au logement caisse d allocations familiales mutualit sociale agri cole des services sociaux circonscriptions d action sociale du conseil g n ral centres 21 ORNE GOUV Avril 2013 communaux ou intercommunaux d action so ciale services de tutelles et des associations d aide l h bergement des personnes les plus d munies La CCAPEX pour mission d examiner les cas les plus complexes d impay s de loyer et de d finir les suites donner ces situ
50. e normative viennent de remettre apr s trois mois de traque leur rapport au Premier mi 28 ORNE GOUV Avril 2013 nistre Un rapport en forme de tableau de chasse avec des troph es dignes de Courteline et que les deux auteurs qui se r clament de Montaigne Montesquieu Saint Just et Pierre Dac ont piment d une bonne dose d humour Leurs attaches territoriales autant que leur cursus qui passe pour Alain Lambert par la Cour des comptes et pour Jean Claude Boulard par le Conseil d tat les ont fait tour tour producteurs contr leurs et usagers de normes Cette combinaison d exp riences garantit de fait la pertinence de leur diagnostic et de leurs propositions de traitement pour enrayer l inflation normative Le moment est venu de rompre avec une volution qui conduit la paralysie La p riode est propice une nuit du 4 ao t Les moyens financiers des collecti vit s locales vont diminuer La pr serva tion de leur marge d action implique un all gement des charges et des d lais nor matifs qui leurs sont impos s Pour autant s il s agit de remplacer sans d lai la culture de l accumulation celle de l abrogation il n est pas question de pr ner une d r gulation g n rale dont les dangers en conomie ont t d montr s Une soci t a besoin de normes mais il en est de celles ci comme du poivre et du sel Leur absence comme leur exc s rend le tout inconsommable Il nous faut retrou
51. e rendu au ci toyen la coordination des patrouilles en uniforme effectu es par des repr sentants de la police nationale et de la police municipale va permettre d augmenter le temps de pr sence et la visibilit des forces de l ordre sur l ensemble des quartiers de la ville Dans l Orne les deux roues motoris es repr sentent un quart des accidents corporels de l ann e 2012 650 MOTARD SE SONT TU S SUR LES ROUTES FRANCAISES EN 2012 Dh l approche des beaux jours et des premi res ran donn es moto la S curit routi re renouvelle la t l vision sur Internet et sur le terrain sa cam pagne moto le plus grand danger c est de pen ser qu il n y en a pas 650 motards se sont tu s sur les routes francaises en 2012 ce qui repr sente 1896 des victimes de la route pour seulement 2 du trafic Les motards observent la plus haute attention lorsqu ils circulent en milieu urbain et particuli re ment lorsque les conditions m t orologiques sont d grad es Mais ces m mes motards ont tendance se rel cher et rouler plus vite lorsque le ciel est cl ment sur une route bien d gag e C est pourtant l contrairement une id e recue que la majorit des accidents mortels moto se produit hors des centres urbains en rase campagne par beau temps sur une route s che amp PRE PLAINTE EN LIGNE Un d marrage un peu lent
52. e stabilit ou une diminution de leur CA cette ann e Dans le secteur de la construction on s attend une baisse d acti 66 LA DETTE EST D TENUE POUR LES DEUX TIERS PAR DES INVESTISSEURS TRANGERS CE QUI MET EN JEU NOTRE SOUVERAINET NATIONALE ET NOUS TIENT LA MERCI DE SP CULA TIONS SUR LES DETTES DES TATS vit et une rentabilit d grad e Au travers du barom tre de surendettement la situation des m nages est pr occupante Avec une progression des d p ts de dossiers de l ordre de 2 5 sur l ann e l inverse de la R gion qui enregistre une diminution de 2 296 et du niveau national 596 Les raisons se trouvent dans le taux de ch mage le nombre des divorces et des b n ficiaires du RSA Replacant son propos dans le contexte euro p en Patrick Marzec a point l augmentation de la dette publique entre 2009 et 2013 cf tableau Selon certains conomistes ce niveau d endettement est un niveau de temps de guerre a t il conclu avant de poser l nonc du probl me r soudre dans les ann es qui viennent consolider la dette moyen et long terme sans touffer la croissance 30 milliards d conomie 2013 R duire le poids de la dette pour pr parer l avenir est l objectif qui a pr sid l labora tion de la loi de finances 2013 et du projet de loi de finances jusqu la fin de la mandature Dettes publiques 96 PIB volution 2009 2013 E
53. ec la strat gie r gionale de d veloppement conomique Le commissaire au redressement producti UNE STRAT GIE DE D FENSE POUR PR SERVER LES ENTREPRISES Les commissaires au redressement productif ont t mis en place en juillet 2012 avec charge d aider les entreprises en difficult en mobilisant pour ce faire toutes les formes possibles de soutien En lien troit avec le ministre au redres sement productif Arnaud Montebourg les CRP exercent leur mission aupr s des pr fets de r gion En amont des situations critiques le CRP a aussi vocation mettre en place une cellule de veille pour identi fier les entreprises fragiles et anticiper ses interventions La coordination des disposi tifs d aides fait partie de ses missions avec le croisement des informations l coute des dirigeants et des partenaires les visites d entreprises et les diagnostics financiers sociaux et strat giques 140 structures repr sentant 10 000 emplois font actuellement l objet d un suivi par Eric Noitakis commissaire au redressement pro ductif pour la Basse Normandie R parties sur les trois d partements ces entreprises se retrouvent majoritairement dans les fili res de l automobile de l agro alimen taire et le BTP Elles ont pour la plupart un effectif compris entre 30 et 150 salari s Le domaine de comp tence du CRP s arr te 399 salari s A partir de 400 le comit inter minist riel de restructuration indust
54. ention qui formalise et renforce la coop ration progressivement tablie sur le territoire de la commune entre la police nationale et la police municipale Cette convention ent rine des pra tiques existantes et elle en pr cise les contours et les modalit s dans un esprit de compl mentarit renforc e entre la police nationale et la police municipale Le rapprochement vise optimiser l efficacit des services pour mieux r pondre aux attentes locales en mati re de s curit Tout en restant attach s leurs mis sions respectives les policiers de la ville et ceux de l tat pourront se relayer ou intervenir ensemble dans un certain nombre de domaines notamment la recherche de personnes les op rations de contr le routier et de sensibilisation la s curit routi re ainsi que l enca drement des manifestations sportives et culturelles L CHANGE D INFORMATION ET LA COMMUNICATION OP RATIONNELLE LES DEUX INSTITUTIONSE SERONT ACCENTU S 7 ORNE GOUV Avril 2013 L change d information et la commu nication op rationnelle entre les deux institutions seront accentu s Les ser vices interviendront conjointement dans les op rations destin es assurer la tranquillit pendant les p riodes de vacances lutter contre les hold up prot ger les personnes vuln rables ou dans les relations avec les partenaires notamment avec les bailleurs Dans l int r t du servic
55. entions pr voient un renforcement des changes entre les signataires en mati re de s curit routi re et la d finition d un cadre d actions communes visant sensibiliser les entre prises aux risques routiers professionnels Les chambres s engagent notamment sou tenir et relayer l action de l tat en direc tion de leurs ressortissants pour les inciter sensibiliser leurs salari s aux dangers de la route et les comportements respecter pour conduire en s curit Les chefs d entreprise seront inform s sur les co ts des accidents li s aux trajets des salari s domicile travail et missions 115 seront incit s par ailleurs confier l am nagement int rieur des v hi cules d entreprise des professionnels v rifier les v hicules et les chargements et d velopper des plans de pr vention du risque routier en entreprise en partenariat avec les chambres consulaires SEVERINE GRAVE MADAME 2 La moto une passion ma tris e S verine GRAV est charg e de mission deux roues motoris es pour le d partement de l Orne Ses attributions recouvrent celles des anciens charg s de mission Moto avec une comp tence largie aux scooters et aux petites cylindr es Son r le consiste sensibiliser les conducteurs aux enjeux et aux risques et leur rappeler les fondamentaux qui s oublient tres vite Nomm e le 1er ao t 2012 Madame 2RM est b n vole dans cette fonction Elle
56. fectif salarial Les entreprises peuvent galement solliciter l appui et le conseil de la Direccte pour une aide au diagnostic et l action Entreprise de plus de 300 salari s Les entreprises de plus de 300 salari s sont exclues du b n fice de laide mais elles doivent cependant n gocier et conclure un accord avant le 30 septembre 2013 pr cisant leurs engagements pour l emploi des jeunes objectifs de recrutements de jeunes en CDI modalit s d int gration dans l entreprise d veloppement de l alternance et accueil de stagiaires et leurs engagements pour l emploi des seniors objectifs d embauche et de maintien dans l emploi actions de pr vention de la p nibilit organisation de 18 coop ration interg n rationnelle etc La n gociation devra porter galement sur les actions en faveur de l galit entre les femmes et les hommes et la lutte contre les discriminations Contacts Une bo te lettre d di e aux contrats de g n ration a t ouverte l UT DIRECCTE de l Orne bnorm ut61 contrat de generation direccte gouv fr Toute question formul e cette adresse sera trait e dans les 48 heures lh eir b TE moins de 20 salari s 20 299 salari s 98 1 3 des entreprises des entreprises ERIC TEETE EZ 99 5 96 des entreprises ligibles l aide Dimai P mots 00 5 sal 811 Entreprise 0 5 des entreprises euis EHA Pas d aid
57. ion des responsabilit s au sein des associations Cette gouvernance nouvelle passe par une recherche de transparence de pragmatisme de d l gation et de r partition des responsabilit s Au del d une organisation moins pyramidale un int r t accru doit tre port l valua tion de l utilit sociale et de l efficacit du projet associatif Ce forum a permis aux acteurs du milieu associatif de mieux se connaitre et de par tager des informations des exp riences et de recueillir des r ponses leurs questions Contact Direction d partementale de la coh sion sociale et de la protection des populations de l Orne MAIA D l gu e d partementale la vie associative Pascale FORET Cit administrative Place Bonet CS 50003 61013 Alencon cedex Courriel ddcspp liensocialjeunessesports orne gouv fr T l phone secr tariat 02 33 32 50 21 15 ORNE COUV Avril 2013 E cr ation cr ez votre association Gr ce au service d velopp par la Direction G n rale de la Modernisation de l tat et le Minist re de l Int rieur la cr ation d une association peut aujourd hui tre effectu e en ligne de fa on compl tement d mat rialis e I suffit de se connecter sur compteasso service public fr et de renseigner les de mandes remplissage des demandes cor respondant au formulaire Cerfa int gra tion des pi ces jointes validation et envoi lectronique du
58. it Police et Gendarmerie alerteront La Poste quand les rues seront mal nomm es ou qu elles ne le seront pas 115 participeront dans la mesure du possible et dans leur ressort territorial aux r unions organis es par La Poste pour inciter les lus adh rer cette d marche CHASSE AUX NORMES ABSURDES CHANTIER DE SIMPLIFICATION Rapport de la mission de lutte contre l inflation normative Le chantier de simplification engag par le gouvernement s inscrit dans le cadre du choc de comp titivit lanc par le Pr sident de la R publique passe par un tri s lectif et dra conien des normes qui r gissent l action des collectivit s et des entreprises Leur nombre valu 400 000 tous textes confondus traduit une inflation normative qui complique l exc s la r alisation des projets des plus anodins comme des plus ambitieux Alain Lambert pr sident de la Commission Consultative d Evalua tion des Normes depuis sa cr ation en 2008 ancien ministre du budget et pr sident du Conseil g n ral de l Orne et Jean Claude Boulard maire du Mans pr sident de Le Mans M tropole ont t charg s conjointement par le Premier ministre d valuer les normes existantes et les conditions de leur maintien de leur abandon ou de leur am nagement Usant depuis d but janvier toutes les tribunes pour appeler les lus signaler les normes plus handicapantes qu utiles les deux chasseurs de l incoh renc
59. le QUELLES SONT LES ACTIONS QUI B N FICIENT DES CR DITS DE LA POLITIQUE DE LA VILLE y a d une part la r novation urbaine qui s applique au b ti et Les l ves ont pu cette occasion interroger Jean Christophe Moraud sur son m tier Combien gagne un pr fet combien de temps vous travaillez qu est ce qui vous pla t dans votre travail qu est ce que vous vouliez faire quand vous aviez notre ge 17 ORNE GOUV Avril 2013 APPEL PROJET CITOYENNET M MOIRE Centenaire de la Premi re guerre mondiale Claude Martin Sous pr fet de Mortagne au Perche a t d sign par le Pr fet comme ani mateur du comit de pilotage d partemental du centenaire de la Premi re Guerre mondiale pour l Orne Ce comit est constitu par le Directeur des Archives d partementales la Directrice de l ONACVG le Pr sident du Souvenir Fran cais le D l gu Militaire D partemental des repr sentants de collectivit s territoriales et des enseignants impliqu s dans le travail de m moire sur les grands v nements qui ont marqu l histoire de France Le comit reste toutefois ouvert tous les nouveaux partici pants souhaitant apporter leur collaboration l organisation des manifestations qui s ins criront dans le cadre de ce centenaire Ils sont invit s se manifester et seront convi s aux prochaines r unions Le comit d partemental a vocatio
60. n laborer le programme des comm morations qui sera d clin dans le d partement susciter et sou tenir les initiatives qui pourront tre prises en ce sens et les coordonner entre elles Les projets comm moratifs devront s inscrire dans l esprit du Centenaire promu par la Mission nationale et r pondre aux objectifs suivants valoriser la richesse du patrimoine local l chelle des territoires uvrer la compr hension d une histoire de France partag e 18 ORNE COUV Avril 2013 p c J JI mi CN L 2 7 L RTE D E UN 4 5 oe e acta 6G LE COMIT D PARTEMENTAL VO CATION LABORER LE PROGRAMME DES COMM MORATIONS QUI SERA D CLIN DANS LE D PARTEMENT SUSCITER ET SOUTENIR LES INITIA TIVES QUI POURRONT TRE PRISES EN CE SENS ET LES COORDONNER ENTRE ELLES s inscrire dans la dynamique de la construction europ enne fond e sur un h ritage commun participer au rayonnement culturel de la France sur la sc ne internationale En fonction de leur conformit ces cri t res la Mission du centenaire d cernera des labels qui permettront aux projets ainsi qualifi s de figurer au programme comm moratif officiel du Centenaire Ce programme sera mis en ligne sur le por o P Due P f tail internet de la Mission du Centenaire mais aussi
61. n des situations d urgence qui n cessitent une intervention imm diate des services de police ou de gendarmerie Sont donc exclues les plaintes contre per sonne d nomm e ces derni res pouvant n cessiter une interpellation imm diate de l auteur Que doit faire le plaignant La personne victime d une atteinte aux biens ignorant l identit de l auteur de l infraction peut effectuer une pr d claration via les sites http www pre plainte en ligne gouv fr ou http www service pubplic fr 8 ORNE GOUV Avril 2013 Le plaignant choisit le lieu de signature de sa plainte commissariat ou gendarmerie et renseigne un formulaire comprenant diff rentes rubriques dont certaines sont obliga toires l issue de sa t l d claration il re oit un accus de r ception automatique avec un num ro de dossier et le rappel du lieu de d p t de la plainte La plainte ne prendra effet que lors de la signature au commissariat ou la gendarmerie qui doit intervenir dans un d lai maximum de 30 jours S CURIT PUBLIQUE Au niveau d partemental les messages de pr plaintes doivent faire l objet d une veille permanente assur e par le centre d in formation et de commandement CIC afin de prendre en compte les situations d ur gence qui n cessiteraient une intervention imm diate des services ou le cas ch ant la mise en ceuvre de mesures conservatoires des traces et indices Parall lement le corres pon
62. nduites risques par la Pr vention routi re et des v rifications techniques par des concessionnaires autant d ate liers pour contr ler le bon tat de marche des machines et des hommes et assurer ces derniers une remise en selle en toute s curit Contact severine grave orne gouv fr ou ddt std sr orne gouv fr 13 ORNE COUV Avril 2013 DOSSIER S CURIT Grand succ s de l op ration reprise de quidon Selon une tude r alis e en 2012 sur les accidents de la route dans l Orne les deux roues sont impliqu s dans un tiers des accidents et ces derniers ont lieu pour 65 au cours d une promenade C est sur ce constat que le Bureau de la S curit routi re et la gendarmerie ont d velopp l id e d une journ e de pr vention gratuite pour les deux roues avant les beaux jours Les moteurs et les motards ont besoin d une r vision apr s la p riode hivernale L op ration reprise de guidon qui s est d roul e sur le circuit des Ducs Essay le dimanche 24 mars 2013 a permis aux uns et aux autres de se d rouiller apr s plusieurs mois d arr t Avec 140 motos et 20 voitures soit environ 200 personnes au rendez vous l op ration a suscit un int r t qui a agr ablement surpris les organisateurs Philippe Houppermans du BSR et le capitaine Georges Sala n chef de l Escadron d partemental de s curit routi re Cela d montre qu il y a une prise de conscience des
63. ne des ges permet au senior de ne pas laisser perdre une vie de travail d engagement et de savoir accumul s Pour le jeune il offre l occasion d apprendre les cl s de son m tier de gagner en exp rience et d apporter son dynamisme et sa cr ativit l en treprise Le contrat de g n ration r sulte d un ac cord unanime conclu par les partenaires sociaux le 19 octobre 2012 soit moins de deux mois apr s la remise du document d orientation La loi a t promulgu e le 2 mars dernier Elle vise favoriser le d ve loppement d une gestion active des ges sur le march du travail facteur de d ve loppement et de comp titivit pour les entreprises Le contrat de g n ration poursuit trois ob jectifs permettre l int gration durable des jeunes dans l emploi favoriser le maintien ou le retour l em ploi des seniors faciliter la transmission des comp tences dans un contexte de renouvelle ment important de la population active 600 000 d parts par an en moyenne entre 2010 et 2020 Construit sur une logique pragmatique le contrat de g n ration concerne toutes les entreprises du secteur marchand ainsi que les tablissements publics caract re indus triel et commercial de 300 salari s et plus Les employeurs publics tat collectivit s territoriales tablissements publics adminis o 20 ORNE COUV Avril 2013 tratifs sont exclus du dispositif Les n gociations
64. nels le pr sident du Conseil g n ral de l Orne et les repr sentants des chambres consulaires ont salu la d marche du pr fet qui revient l initiative d avoir f d r des acteurs divers autour d une action d int r t g n ral La p riode d conomies budg taires dans laquelle nous sommes durablement enga g s nous oblige rassembler nos forces et nos moyens pour une plus grande effi cience de l action publique a d clar Alain Lambert en se f licitant du rapprochement de l tat du Conseil g n ral et des acteurs conomiques pour atteindre un objectif 11 ORNE COUV Avril 2013 d une grande noblesse sauver des vies Le pr fet a insist sur le fait que la conven tion portant sur la s curit des s niors n a pas pour objet de stigmatiser le comporte ment des personnes g es sur la route Au tant victimes qu auteurs elles repr sentent dans le d partement 7096 des pi tons et 2696 des automobilistes d c d s dans un accident Alain Lambert a voqu la n cessit de trai ter le sujet avec d termination mais sans perdre de vue les facteurs humains qu il recouvre Le permis de conduire c est la reconnaissance explicite qu on est toujours capable d autonomie Il s agit en l occur rence de pr server cette autonomie et de DOSSIER PR VENTION SERA RENFORC E DURANT LES LES PROCHAINES ANN ES NOTAMMENT AU PROFIT DES S NIORS ET DES CONDUCT
65. nie Mortagne au Perche Au pr fet le r le d expert et d arbitre aux r gions les grands projets strat giques dans le domaine de l conomie de la formation 26 ORNE GOUV Avril 2013 lt de l orientation et de l apprentissage aux d partements proches des lus et des citoyens la solidarit sociale et territoriale Quant aux communes cellules de base de l organisation territoriale elles doivent sorganiser et trouver leur place dans de nou velles structures Donnant acte aux lus de l Orne des avan c es qu ils ont r alis es pour r duire le nombre des structures intercommunales Anne Marie Escoffier les a encourag s poursuivre dans ce sens Pour exemple les 11 communes nouvelles cr es en 2012 au niveau national La formule qui consiste fusionner plusieurs communes en une seule Jean Claude Lenoir E Pan repr sente selon la ministre un moyen de mieux servir les citoyens Revenant aux objectifs de la r forme enga g e Anne Marie Escoffier a rappel les grands principes sur lesquels elle est fon d e l unicit de la R publique qui garantit l galit entre les citoyens la diversit du territoire qui prend en compte leur quoti dien dans un environnement donn et la subsidiarit qui permet de faire ce qui est n cessaire au citoyen l o il se trouve Fin f vrier Projet de texte soumis au Conseil d tat Fin mars Pr sen
66. ntissage mis en place en 2009 ann e de l inauguration du site de Caligny avec l ENSICAEN Ecole nationale d ing nieurs de Caen Les premiers tudiants issus de cette formation qui se d roule sur trois ans ont t dipl m s l t 2012 VISITES OFFICIELLES MF TECH la pointe de l innovation La troisi me et derni re tape de la visite officielle a conduit le ministre Argentan au si ge de MF Tech Cr e en 2004 par Emmanuel Flouvat et Arnaud M nard deux anciens de la MIC M canique Industrie Chimique dont la fermeture avait laiss de nombreux salari s sans emploi MF TECH exerc une activit de maintenance indus trielle et d velopp en parall le un projet d innovation Celui ci aboutit une machine robotis e in dite et tr s performante MF Tech se positionne aujourd hui comme concepteur fabricant et int grateur de machines enroulement filamentaire de nouvelle g n ration sur un march mon dial l entreprise argentanaise s est taill une r putation l international en Asie en Europe et en Am rique du Sud Elle produit des machines et des pi ces pour l a ronau tique l automobile des proth ses pour le domaine m dical et des accessoires pour le sport Pierre Moscovici a salu le courage et l in ventivit des deux jeunes patrons dont l objectif est de d velopper l emploi Une entreprise innovante exportatrice cr a tive c est exactement ce dont la Fran
67. ociale et de la protection des populations l Education nationale l unit territoriale de la DIRECCTE qui inter vient sur le volet de l emploi et la police Je suis galement charg d accompagner les acteurs de terrain associations collectivit s territoriales coles coll ges dans les actions qui sont conduites dans les quartiers Je participe aux d ci sions de financement des actions leur montage leur mise en ceuvre et l valuation du r sultat Enfin je repr sente le pr fet dans les r unions ou manifestations o il ne peut tre pr sent lui m me et je l informe des v nements qui impactent la vie des quartiers et de leurs habitants Actuelle ment nous sommes environ 300 d l gu s en France Nous exer cons nos missions dans les quartiers ZUS class s en cat gorie 1 les plus d favoris s Dans les quartiers relevant des cat gories 2 Flers et Argentan et 3 la coordination de l action de l tat est confi e la DDCSPP QUELLE EST LA FINALIT DE LA POLITIQUE DE LA VILLE s agit de r duire les carts sociaux et territoriaux qui se sont progressivement creus s entre les habitants d une m me ville La politique de la ville englobe le logement avec les programmes de r novation urbaine l emploi l ducation la sant la s curit la pr l infrastructure r novation et constrcution d immeubles am na gement de places ou d espaces verts voirie et d autre part le volet social
68. ompte AGRICULTURE 4 9 des engagements qu elles ont pris pour appliquer r ellement les principes de la contractualisation consolidation progressive des organisations de producteurs constitution d une cellule de veille pour anticiper et traiter les situations des producteurs sans collecteurs Sur le r quilibrage des discussions entre les transformateurs et la grande distribution via des modifications de la LME mise en place de m canismes de r vision des prix li s aux prix des mati res premi res renforcement de la transparence et des sanctions r union en avril d une table ronde entre les producteurs les transformateurs et les distributeurs Sur la fin du syst me des quotas laitiers Rendez vous Bruxelles en septembre prochain pour discuter de l apr s quotas laitiers et objectif de faire merger d ici l une proposition concr te de dispositif d intervention en cas de d s quilibre sur le march PR FECTURE EN LUMI RE EN FEU ET EN MUSIQUE CULTURE 5E EDITION DE PIERRES EN LUMI RES CULTURE LA PR FECTURE EN LUMI RE EN FEU La pr fecture sera ouverte le soir du 18 mai pour la 5e dition de Pierres en lumi res Cinq ans c est l ge des traditions bien tablies c est celui de la maturit f conde o les ini tiatives heureuses se propagent et se reproduisent ET EN MUSIQUE LE SOIR DU 18 M
69. qui sera clair par une florai son de bougie et anim par des jongleurs de feu Quel que soit le temps la salle Christo La nuit europ enne des mus es La Nuit europ enne des mus es mus es aura lieu samedi 18 mai 2013 Tous les ans plus de 3400 mus es de toute l Europe accueillent les visiteurs gratuitement cette occasion 56 seront ouverts en Basse Normandie dont 11 dans Cet v nement organis par le minist re de la culture et de la communication est coordonn par la direction g n rale des patri moines en lien avec les directions g n rales des affaires culturelles l Orne La liste et les horaires sont acces sibles sur le site de la direction gionale des affaires culturelles a pour but de sensibiliser tous les publics la richesse des col lections et l offre culturelle des Rendez vous le 21 juin oour la f te de la musique La pr fecture sera gale ment ouverte le 21 juin pour la f te de la musique Les horaires et le programme seront mis en ligne d but juin sur le site internet de l tat www orne gouv fr Les coles et professeurs de musique seront comme les ann es pass es invit s pr senter leurs l ves devant un 38 ORNE GOUV Avril 2013 public toujours de plus en plus nombreux aux rendez vous de l h tel de Guise a 8 2 gt o m ipm iue 5 LAN TV5 MONDE
70. r gle mentation et des titres install depuis d but f vrier au rez de chauss e de la cit Elle a marqu des pauses aux guichets pour s en qu rir des impressions des agents de leurs appr ciations sur leur nouvel environne ment et sur leurs contacts avec les usagers 24 ORNE GOUV Avril 2013 Ces changes l ont confort e dans l assu rance que les agents de la fonction publique n ont pas une mauvaise image Ce sont les d marches qui d plaisent aux citoyens C est la raison pour laquelle il faut les all ger les simplifier et les rendre plus claires Apr s avoir d voil la plaque inaugurale de la cit qui r unit d sormais 600 agents de l tat sur 20 000 m2 r nov s et redistribu s la ministre est all e recueillir les premi res pistes de la consultation qu elle venait d en gager et qui porte sur trois th mes rendre un meilleur service am liorer le fonction nement interne et simplifier les r glementa tions Amaury Lebreton chef du bureau des lec tions et des collectivit s locales orchestrait depuis le d but de la matin e la r flexion d une douzaine d agents de la pr fecture des sous pr fectures et des directions inter minist rielles charg s de faire merger les premi res id es Ne vous interdisez rien a dit la ministre Dites ce qui vous irrite Vous tes les mieux plac s pour rep rer ce qui ne va pas Nous n arriverons rien sans votre concours Au
71. r la CCEN qui pourrait assurer de mani re p renne la mission qu ils ont conduite pendant ces trois derniers mois Un podium des plus absurdes Pour lancer le mouvement ils ont dress un podium des normes les plus absurdes La palme revient la norme saucisses ufs durs nuggets qui tablit en 80 pages des recommandations sur le poids des aliments susvis s servir dans les can tines en fonction de l ge des enfants Sur la deuxi me marche la norme ouvre la fen tre qu on respire un peu qui impose avec force de loi et d crets d ou vrir les fen tres dans les tablissements recevant du public comme les coles et les centres a r s et enfin la norme sis mique l o la terre ne tremble pas qui a engendr un surco t de 160 000 euros pour la construction d un coll ge au Mans une ville dont l histoire sismique reste dans toutes les m moires ironise son premier magistrat Jean Claude Boulard Un accessit a t d cern la norme qui impose que les agents charg s d assurer les c r monies fun raires soient titulaires d un dipl me natio nal qui pourra leur tre d livr apr s 8 heures de cours sur la psychologie et la sociologie du deuil Ces normes fun raires inspirent la nostalgie des enterrements d antan avec le petit cheval blanc dans le mauvais temps tous derri re et lui devant L introduction de dipl mes pour mettre en ceuvre des fonctions apprises hier
72. ratives et les organismes HLM l assiette du cr dit d imp t est calcul e sur les salaires vers s au cours d une ann e civile qui n exc dent pas 2 5 fois le SMIC sur la base de la dur e l gale du travail augment e le cas ch ant des heures suppl mentaires Le taux est de 496 pour les r mun rations ver s es en 2013 et de 696 partir de 2014 Le CICE sera imput sur 115 ou l IR d par l entre prise et en cas d exc dent sera imputable sur l imp t d au titre des trois ann es suivantes et restituable la fin de cette p riode soit en 2017 pour le CICE au titre des r mun rations vers es en 2013 Dans leur r le de soutien la tr sorerie aux entreprises Os o et la sont en mesure d assurer depuis le 25 f vrier le pr financement du CICE Un fonds de garantie pour le renforce ment de la structure financi re des PME et TPE a galement t constitu avec le soutien de la R gion Il sera affect la consolidation des dettes court terme et l augmentation des encours Dans une PME 20 salari s o 10 d entre eux seraient pay s au SMIC soit une masse salariale de 14 250 brut par mois et 10 salari s r mun r s 2 SMIC par mois soit une masse salariale de 28 500 brut par mois le total des salaires bruts pour un an serait de 513 120 Avec un cr dit d imp t en 2013 qui valent 496 de la masse salariale brute l tat rembourse
73. rielle CIRI prend le relais Apr s 7 mois d activit s il se confirme que les difficult s les plus courantes des entre prises bas normandes sont engendr es par des besoins en tr sorerie li s des contrac tions d activit Le fort niveau d endette ment est une circonstance aggravante Les entreprises ont tr s souvent des besoins en haut de bilan et des probl mes pour recapitaliser leur structure Eric Noitakis regrette qu on le consid re comme l interlocuteur de la derni re chance Dans 5096 des cas l appel l aide est trop tardif et la probabilit de trouver des solutions est alors extr mement faible Plus vous intervenez en amont plus vous avez de chance de rebondir re commande t il aux dirigeants d entreprises 6 Contact eric noitakis direccte gouv fr 06 85 0772 03 RENCONTRE AVEC LES JEUNES AGRICULTEURS Le m tier de pr fet entre les champs et la capitale Le 11 avril l invitation du syndicat des Jeunes agriculteurs qui voulait lui faire part des pro bl mes auxquels le secteur de l levage doit faire face le pr fet a rencontr les repr sentants de la profession sur l exploitation du GAEC du Petit Bouveuche Saint L ger sur Sarthe Le dialogue engag autour d un caf se pour suit dans l table Un troupeau de cent vaches laiti res deux robots de traite automatis e une station de traitement pour les effluents l exploitation s inscrit dans la modernit
74. s la communaut urbaine d Alencon dont la population est sup rieure 50 000 habitants est galement in ligible La DETR a pour but de faciliter la r alisation de tous les projets de d veloppement local portant sur des op rations d investissement des pro jets relevant des domaines conomique social environnemental et touristique des projets favorisant le d veloppement ou le maintien des services publics en milieu rural La commission des lus recompos e en 2011 par arr t pr fectoral du 19 d cembre 2011 a par ailleurs d fini des cat gories d op rations prio ritaires regroup es en quatre grands th mes Equipements scolaires du 1er degr Cadre de vie environnement Equipements sportifs et de jeunesse Patrimoine 19 ORNE GOUV Avril 2013 66 LA DETR A POUR BUT DE FACILITER LA R ALISATION DE TOUS LES PROJETS DE D VELOPPEMENT LOCAL PORTANT SUR DES OP RATIONS D INVESTISSEMENT DES PROJETS RELEVANT DES DOMAINES CONOMIQUE SOCIAL ENVIRONNE MENTAL ET TOURISTIQUE DES PROJETS FAVORISANT LE D VELOPPEMENT OU LE MAINTIEN DES SERVICES PUBLICS EN MILIEU RURAL Les priorit s portent sur les quipements scolaires les travaux de mise en s curit de mise aux normes d accessibilit aux personnes mobilit r duite de protec tion incendie La commission des lus se r unit gale ment pour mettre un avis consultatif pour des subventions sup rieures 150 000
75. squ elle invite les agents de l tat faire des propositions pour innover et simplifier l action publique Enfin c est l ouverture propos e par Anne Marie Escoffier ministre d l gu e charg e de la d centralisation dans sa pr sentation des grandes lignes du projet de r forme des collectivit s territoriales devant l assembl e g n rale de l association des maires de l Orne Plus d efficacit plus de pragmatisme plus de coh rence dans la r partition des r les plus de compl mentarit entre l tat et les collectivit s ter ritoriales plus d conomies et de rigueur pour ra mener la dette publique un niveau acceptable Le cahier des charges pour la construction du nou veau mod le fran ais fait peser sur le chantier de nombreuses contraintes qui seront plus facilement admises si chacun en comprend le sens et la finalit C est pourquoi il convient d expliquer la d marche de m me qu il est indispensable de communiquer sur les outils mis disposition par le Gouvernement pour la mener bien Les dispositifs d aide l em 3 ORNE GOUV Avril 2013 Aller au contact des CItOyens ploi et de soutien aux entreprises ne donneront leur pleine mesure qu condition d tre connus des pu blics auxquels ils s adressent Les services de l tat et les repr sentants des structures charg s de leur d cli naison sur le territoire seront r unis p riodiquement la tribune de l amphith tre de la cit
76. tation au Conseil des ministres Avril Examen par le S nat 1 re lecture Le calendrier de la r forme Avant l t Examen l Assembl e Nationale 1 re lecture A la rentr e 2e lecture l Assembl e Nationale et vote D but 2014 Entr e en vigueur amp VISITES OFFICIELLES 66 NOUS NE SAVONS PLUS NOUS COU TER NI DIALOGUER EN FAMILLE GARDONS NOUS DE RECONSTRUIRE UNE TOUR DE BABEL ET EMPLOYONS NOUS NOUS RETROUVER EN CONFIANCE POUR CONSTRUIRE LE MONDE DE DEMAIN Ces principes au centre de 18 r flexion du gouvernement sur la r organisation de l tat et des collectivit s territoriales doivent permettre d assurer la compl mentarit des actions et des comp tences et d en finir avec une certaine forme de concurrence La ministre a annonc la cr ation d un haut conseil des territoires ouvert aux lus seront voqu s tous les sujets int ressant les collectivit s ter ritoriales et l organisation de conf rences territoriales pour d battre des conditions dans lesquelles les grands blocs de comp tences seront mis en ceuvre Sur la question des financements voqu e diverses reprises par les lus au titre de leurs pr occupations majeures et de leurs craintes devant l inflation galopante des d penses en particulier dans le domaine social la ministre a d clar que le comit des finances locales r fl chit d ores et d j sur les dotations 201
77. ti re PDASR mis en ceuvre par l tat en collaboration troite avec les partenaires institutionnels de proximit qui souhaitent s inves tir dans des actions ciblant des populations rele vant de leurs domaines de comp tence Dans cette perspective le pr fet et le pr sident du Conseil g n ral ont sign le 5 avril 2013 le document g n ral d orientation de s curit routi re 2013 2017 10 ORNE COUV Avril 2013 SIGNATURE DU DOCUMENI D ORIENTATION DE S CURIT 2013 2017 GENERAL ROUTIERE Etabli partir du contexte d partemental do cument d finit des enjeux et cible les cat gories d usagers qui apparaissent travers les bilans des ann es pr c dentes comme particuli rement expos es aux risques routiers Ainsi la pr vention sera renforc e durant les prochaines ann es no tamment au profit des s niors et des conducteurs lors des trajets professionnels domicile travail et missions Les objectifs et actions qui vont b n fi cier ces deux cat gories d usagers sont pr cis s dans des conventions qui consacrent un partena riat renforc entre les signataires tat et D parte ment pour la s curit des s niors tat et Chambres consulaires pour la sensibilisation des entreprises aux risques routiers professionnels D E AVAIL CES 7 Lors de la signature du DGO et des conventions pour la s curit des s niors et des trajets profession
78. travaille par ailleurs dans le service am nagement et environnement de la direction d partementale des territoires Le comportement des conducteurs de deux roues n est pas plus dangereux que celui des automobilistes mais l absence de carrosserie les rend plus fragiles Madame 2RM parle d exp rience Elle a pass son permis moto 19 ans et ses souvenirs de balade sur la moto de son p re remontent la petite enfance d s qu elle fut en ge de monter dessus Tr s vite l engin est devenu passion Elle en prend soin comme d un cheval Elle en change r guli rement Elle a eu comme tout le monde des sportives des petites et des grosses cylindr es une 700 cm3 sur laquelle ses pieds ne touchaient plus au sol De fait on l imagine mal avec son m tre 55 et ses 50 kg chevaucher des machines qui peuvent peser jusqu 230 kg Question de technique explique t elle on apprend manipuler la moto mais la prise au vent est plus importante que sur d autres types de machines Aujourd hui Madame 2RM a troqu les sportives pour une 1200 Harley Davidson la rolls de la moto un style qu elle aime bien et un plaisir qu elle ne pouvait s offrir avant De la passion du sport et de la convivialit c est ce qui caract rise l esprit deux roues L op ration reprise de guidon dans laquelle elle s est impliqu e avec le bureau de la s curit routi re et la gendarmerie a r uni des jeunes motar
79. urront servir de supports des expositions Contact Claude Martin sous pr fet de Mortagne au Perche t l sous pr fecture 02 39 85 20 70 claude martin orne gouv fr Jean Pascal Foucher directeur des Archives D partementales de l Orne t l archives 02 33 81 23 02 archives cg 61 fr http www orne gouv fr 2014 la commemora tion du a5080 html AIDES DE L TAT DOTATION D EQUIPEMENT DES TERRITOIRES RURAUX Soutenir les territoires faible potentiel financier La DETR cr e par l article 179 de la loi de finances pour 2011 r sulte de la fusion de la dota tion globale d quipement DGE des communes et de la dotation de d veloppement rural DDR Cette dotation repose sur un imp ratif de p r quation budg taire pour soutenir les ter ritoires dont les communes et tablissements publics de coop ration intercommunale pr sentent un faible potentiel financier Le v ritable indicateur de richesse d une collec tivit correspond au potentiel fiscal major de la dotation forfaitaire per ue par les communes Le potentiel fiscal r sulte de l application aux bases communales des quatre taxes directes locales d un taux moyen national Au regard de ces crit res d ligibilit pour 2013 pour le d partement de l Orne s agissant des communes seule Alen on avec un potentiel financier par habitant sup rieur 1 250 est in ligible S agissant des groupements de com mune
80. ver l comme ailleurs le sens des proportions Dans le domaine du handicap o les normes d accessibilit p chent par exc s d ambition et d faut de r alisme dans ce lui de l environnement o des associations font des normes une interpr tation rigo riste en mati re d urbanisme d encadre ment des activit s sportives l int grisme normatif se chiffre en millions d euros de d penses sans objet ou de pertes en chiffre d affaires quand l accumulation des normes et la complexit des proc dures n ont pas conduit purement l enterre ment d un projet La commission consultative d valuation des normes a estim le co t des normes nouvelles plus de deux milliards d euros entre 2008 et 201 1 29 ORNE GOUV Avril 2013 CHASSE AUX NORMES ABSURDES T 2 nm T P La m thode propos e pour all ger le stock tient en quatre mots Interpr ter abroger adapter et revisiter sans n gliger les r sis tances au changement qui ne vont pas manquer de se manifester chez les pro ducteurs de normes et les int gristes d une application la lettre Si le Gouvernement r serve une suite po sitive quelques unes de nos propositions une rupture culturelle sera esquiss e es timent les auteurs du rapport Et pour que la traque soit compl te ils proposent que les rabatteurs mobilis s parmi les lus locaux et les parlementaires puissent aler te

ORNE.GOUV # 2 - AVRIL 2013

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