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Snam.infos n° 4 - Snam-Cgt

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1. Philippe OGOUZ Vice Pr sidents du Coll ge Vari t s Karim KACEL a Epia ie Ea G aaa a A a A Marc OGERET Vice Pr sident du Coll ge COS Olivier HOLT Secr taire G n ral Alain PREVOST Secr taire G n rale Adjointe Catherine ALMERAS M SONIBF srt renszer mess that Michel JOUBERT Tr sori re adjointe Sonia NIGOGHOSSIAN CONSEIL D ADMINISTRATION Coll ge Coll ge Coll ge chefs d orchestre artistes dramatiques artistes de vari t s et solistes du chant et de la danse ALMERAS Catherine FONFREDE Claude CHARRIRAS Alain BIDEAU Jean Luc HAUROGN Jacques HOLT Olivier BRIONE Benoist JOSSIC Jean Louis LOCKWOOD Didier CRETON Michel JOUBERT Michel NIGOGHOSSIAN Sonia FEIT Sylvie KACEL Karim PETRO Fran oise FONTANEL Genevi ve KAJDAN Jean Michel PREVOST Alain MENEZ Bernard LAZLO Viktor RICHARD Claire OGOUZ Philippe MILTEAU Jean Jacques SOLVES Jean Pierre PISANI Bernard OGERET Marc TIMMEL Xavier SANTINI Pierre TOPALOFF Patrick ZEGHOUDI Faizal SIMMONET Mich le TIMSIT Roland TRIBOUT Jean Paul WANKA Irina Responsables des syndicats locaux du SNAM CGT E AMIENS SAMPIC R Jean Paul GIRBAL 17 Rue du Docteur Leno l 80080 Amiens fax 03 22 43 49 36 e mail jean paul girbal2 libertysurf fr E ANGERS SAMML R Jean PONTHOU 28 rue Louis Legendre 49100 Angers 02 41 81 06 09 AVIGNON SAMA
2. Etude sur la mise en application des directives europ ennes L Artiste Enseignant Renouvellement CA de PADAMI L unanimit Edito L unanimit d une profession l unanimit d une branche d activit Le 25 f vrier l appel de la F d ration du spectacle CGT et de ses syndicats la gr ve g n rale a t quasiment unanime Par centaines les salles de spectacle les studios les auditoriums les cin mas et les lieux de tournage sont rest s ferm s Par dizaines de milliers artistes techniciens ouvriers r alisateurs professionnels du th tre de la musique de l op ra du spectacle des arts de la rue du cirque du cin ma et de l audiovisuel sont descendus dans la rue Ce mouvement unanime des artistes et des techniciens a r pondu au m pris affich contre nous M pris d tre tous accus s d tre des fraudeurs et des tricheurs M pris du MEDEF qui continue par ses projets vouloir nous exclure du r gime interprofessionnel M pris du rapport Roigt Klein et de la Cour des Comptes qui embo tant le pas du MEDEF et de ses chiffrages pr conisent de vider les annexes cin ma spectacle de toutes nos sp cificit s professionnelles M pris des partenaires sociaux si geant l UNEDIC qui refusent de d battre de l accord FESAC qu ils nous ont demand de n gocier Un pays qui laisse m priser ses artistes court la d sertification cultu
3. Union Nationale des Syndicats d Artistes Musiciens de France CGT SNAM 14 16 rue des Lilas 75019 Paris En France 01 42 02 30 80 Fax 01 42 02 34 01 International 33 1 42 02 30 80 Fax 33 1 42 02 34 01 e mail snamf free fr Pr sidents d Honneur Jean BERSON Marcel COTTO BUREAU EXECUTIF COMITE de GESTION du SNAM Pr sident Raymond SILVAND Vice Pr sidente Olenka WITJAS Secr taire G n ral Marc SLYPER Secr taires G n raux Adjoints Philippe GAUTIER Danielle SEVRETTE Tr sorier Georges SEGUIN Tr sorier adjoint Nicolas CARDOZE Secr taire aux affaires internationales Antony MARSCHUTZ Secr taires nationaux Yann ASTRUC Claudie BOISSELIER Jean Pascal BORDAGARAY Gilles BRAMANT Laurence BRIDARD Genevi ve DE RIDDER Bernard FRANCAVILLA Fran ois LUBRANO Dominique MONTAMAT Philippe PORTIGLIATTI Alain PREVOST Pierrot ROMASZKO Yvon ROUGET Laurent TARDIF Michel VIE COMITE TECHNIQUE du SNAM BRANCHE NATIONALE DE LA DANSE Secr taire Philippe GERBET Secr taires adjoints Val rie CHERITTWIZER Sylvie DAVERAT Bernard HORRY Martine VUILLERMOZ BRANCHE NATIONALE DE L ENSEIGNEMENT Secr taire Marc PINKAS Secr taires adjoints Laurence BRIDARD Yves CAUTRES Jean Jacques FLAMENT Maud GERDIL Luc LAINE Alain LONDEIX Alain PREVOST Danielle SEVRETTE BRANCHE NATIONALE DES ENSEMBLES PERMANENTS Secr taire Jean HAAS BRANCHE NATIONALE DES INTERMITTENTS
4. e mail samso_fr yahoo fr E TOULON Section du SAMMAR Marseille Op ra Karine HENOT 06 09 69 80 67 E TOULOUSE SAMMIP Musiciens R Bernadette SILVAND 31330 Galembrun Q fax 05 61 85 55 78 e mail bernadette s club internet fr Danseurs ballets RTLF Philippe GUILLOT 21 route de Labastide Saint Sernin 31150 Gratentour Q fax 05 61 82 65 94 Choeurs Genevi ve DE RIDDER 30 rue B teille 31500 Toulouse 05 61 48 52 87 06 88 49 23 70 e mail gene6 wanadoo fr intermittents vari t s Michel VIE Le Lials 82230 Monclar de Quercy 05 63 30 83 29 e mail raw wanadoo fr Orchestre de Chambre National Renaud GRUSS 49 avenue de Courr ge 31400 Toulouse 05 62 47 12 83 e mail sammip wanadoo fr Permanence le jeudi de 10 h 12 h au 05 61 23 11 56 TOURS STAM R Yannick GUILLOT 2 rue du Prieur Sainte Anne 37510 Savonni res 02 47 43 59 47 e mail malletw aol com
5. Une fois de plus notre r gime d assurance ch mage est menac par le MEDEF Des secteurs entiers des milliers de professionnels risquent d tre exclus du champ de notre protection sociale Pourtant depuis des d cennies les pouvoirs publics tant au niveau national qu au niveau local ont int gr dans le financement de la Culture les ASSEDIC qui sont de fait devenues un des l ments constitutifs de la cr a tion musicale et artistique sa production sa diffusion Dans une p riode marqu e par des reculs succes sifs du budget de la culture et de la communication nous sommes menac s de disparition sans que les pouvoirs publics ne prennent leurs responsabilit s pour garantir un avenir la culture de notre pays Menac s les salles de concerts de spectacle les th tres les cabarets les clubs les cirques les audito riums et les studios la radio la t l Menac s de fait l ensemble du spectacle vivant et enregistr Essayez de vous imaginer Un monde sans musique Pour ce faire il a t d cid de rencontrer la FESAC afin de d cider avec eux du contenu des groupes de travail et tout particuli rement de celui qui doit exper tiser les pr conisations du rapport Roigt Klein aux ordres du MEDEF En effet il appara t de plus en plus clairement que ce rapport est bien un rapport de com mande pilot par le MEDEF et le Minist re des affaires sociales On ne peut que s tonner de la convergence entre le rapport d
6. t lanc par John Morton pr sident aupr s des syndicats membres pour que ceux ci fassent des propositions ventuelles de candidature C est ainsi que le SNAM a propos la candidature de Beno t Machuel secr taire g n ral du Syn dicat des artistes musiciens des Alpes Maritimes et que Beno t occupe depuis le 1er octobre 2002 pour une premi re p riode d un an le poste de secr taire g n ral de la FIM Le SNAM ne peut que se f liciter de ce choix et souhaite Beno t que l essai soit transform U S S S Q 7 amp Le S 73 S W n 4 4 me trimestre 2002 sham infos o Frais professionnels mode d emploi La d claration des frais professionnels r els engag s par les artistes RAPPEL Une d duction forfaitaire de 10 est appliqu e automatiquement par les services des imp ts tout contribuable qui n a pas opt pour la d claration de ses frais r els Par contre lorsque le contribuable choisit de d clarer ses frais r els la d duction forfaitaire de 10 ne s ap plique plus Xx O D Ce 2 s S Kej X Pour les artistes interpr tes instrumentistes choristes et chor graphiques le SNAM a n goci avec le Minist re des finances l am nagement de certains frais professionnels C est ainsi que l instruction du 30 d cembre 1998 Bulletin Officiel des Imp ts n 4 du 7 janvier 1999 a instaur deux for
7. 96 METZ SAMMLOR R Laurent TARDIF 5 rue Lasalle 57000 Metz Q fax synd 03 87 18 84 41 e mail sammlor wanadoo fr mE MONACO SAMPS R Robert COUTET La Batiste du Pian 4384 route de Menton 06500 Gorbio 04 93 57 40 07 E MONTPELLIER SAMOPM R Michel SOULIE Mas d Avellan 34150 Gignac O 04 67 57 93 39 m MULHOUSE SAM 68 Musiciens R Roland FOURNIER 16 rue Sainte Genevi ve 68100 Mulhouse 03 89 46 22 57 Musiciens enseignants Yves CAUSTRES 37 rue du Printemps 68100 Mulhouse 06 08 10 98 47 e mail yves cautres wanadoo fr Musiciens intermittents Jean Fran ois SANTENAY 33 rue du Beau Site 68400 Riedisheim E NANCY SLAMD R Nicolas TACCHI 15 rue Charles de Foucauld 54000 Nancy fax 03 83 35 67 98 Choeurs Pascal DESAUX 4 bld Charles V 54000 Nancy Q 03 83 37 04 00 Danseurs Gilles KANERT 16 rue de Guise 54000 Nancy Q 03 83 35 84 99 Musiciens enseignants Laurence BRIDARD 254 avenue de la Lib ration 54000 Nancy 03 83 96 16 43 Musiciens intermittents Nathana l BRIEGEL UD CGT 2 rue Drouin 54000 Nancy fax 03 83 27 22 86 Permanence le mardi de 10 h 12 h 30 au 03 83 30 03 83 e mail slamd free fr site www cgt nancy com E NANTES SPLAM Musiciens R Jacques DRIN Maison des Syndicats CP 1 44276 Nantes cedex 2 fax 02 28 08 29 65 Permanence le mardi de 10 h 12 h au 02 40 71 75 14 e mail splam cgt laposte net E NARBONNE SAM
8. Sapir Nous consta tons en effet que le recours aux CDD se g n ralise de fa on abusive de nombreux emplois occup s par des artistes intermittents tant de fait des emplois perma nents Il est de la responsabilit des employeurs et des tutelles en particulier du Minist re de la culture de mettre un terme une situation intol rable dans laquelle on uti lise sans scrupule les caisses de l UNEDIC pour financer indirectement les structures permanentes Face cette r alit nous ne devons pas tre com plices d une certaine perversion d un syst me qui terme menace la fois le r gime sp cifique d assurance ch mage et la permanence de l emploi Il est noter ce propos que le rapport des inspecteurs de l IGAS et de PIGAC sur le r gime d assurance ch mage des intermit tents du spectacle pingle les employeurs du spectacle vivant et de l audiovisuel sur le recours abusif aux CDD Le SYNOLYR qui pourtant r affirme son attachement la permanence de l emploi refuse de passer aux actes quand il s agit de l crire Nous ne nous laisserons pas endormir par le double jeu des employeurs et appelons tous les artistes rester vigilants une action d envergure dans les mois qui viennent n tant pas exclure Il est clair que pour nous la question de la permanence de l emploi doit tre un axe majeur de nos revendications Une annexe sp cifique pour les artistes permanents n a de sens que si lavenir l usage
9. Secr taire Serge CROZIER Snam infos Bulletin trimestriel du SNAM Correspondance 14 16 rue des Lilas 75019 Paris En France Snam 01 42 02 30 80 Fax 01 42 02 34 01 International Snam 33 1 42 02 30 80 Fax 33 1 42 02 34 01 Tarifs et abonnement Prix du num ro 4 Euros port en sus tarif lettre Abonnement 15 Euros 4 num ros Directeur de la publication Raymond Silvand R dacteur en chef Marc Slyper Maquette photocomposition Nadine Hourlier Photogravure impression EB REPRO 12 route des Postillons 92310 S vres Routage TROMAS Commission paritaire 0105 S 06341 D p t l gal 4 me trimestre 2002 Union Nationale des Syndicats d Artistes Musiciens de France CGT SNAM F d ration Nationale des Syndicats du Spectacle de l Audiovisuel et de l Action Culturelle FNSAC CGT F d ration Internationale des Musiciens FIM Sommaire JJ Aillagon valide le rapport Roigt Klein p Le CNR de Lyon contre les musiciens professionnels p Attention danger L emploi permanent est menac Ballet du Nord russes Choeur de l Op ra de Nantes p 9 Frais professionnels mode d emploi p Une histoire de conte qui finit mieux pour la musicienne que pour le producteur Les demoiselles de Rochefort Transposition de la directive 2001 29 Le SNAM solidaire du Syndicat des Musiciens de Grande Bretagne
10. aaa I l i Adresse ass de iee E a e A ee ne a E E i i i I aikeenaan aa a a aa a a a a aa a a a E a a a a A A a a a a a a A E a a A I l Code postal el VIe EE PR ME RIM A Me a a E EE nie 1 l l PrOfESSIOM Sa pae mior aia araa a AG E h A E aa pa dan a E A A ad da bas T A i i i i i i i A renvoyer au SNAM 14 16 rue des Lilas 75019 Paris i I l J Play back n 4 4 me trimestre 2002 sham infos o1 Transposition de la directive 2001 29 CE du 22 mai 2001 Le SNAM le SFA et l ADAMI ont adress le 31 d cembre 2002 leurs observations communes sur les modifications qu ils souhaitent apporter au projet de transposition de la Directive 2001 29 labor par le Minist re de la culture _ S lt POSITION DES ARTISTES INTERPRETES SUR LA COPIE PRIVEE 1 En France depuis 1985 et dans 12 des 15 Etats membres de l Union Europ enne le public a le droit d ef fectuer des copies usage priv d enregistrements sonores ou audiovisuels 2 Depuis le 22 d cembre 2002 en application d une directive europ enne il est interdit d emp cher de telles copies priv es sauf si elles sont effectu es dans le cadre de l acc s des services la demande sur Internet 3 Tous les pays qui reconnaissent ce droit de faire de la copie priv e doivent cr er comme en France un syst me de r mun ration quitable des auteurs des artistes interpr tes et des producteur
11. avec l activit professionnelle frais d instruments de musique et frais p riph riques tels que l acquisition d un piano et les frais accessoires ainsi que les frais d acquisition et d utilisation de mat riels techniques 2 N B Au cas o le montant des frais num r s ci dessus d passerait le forfait de 14 celui ci peut tre abandonn et les frais sont alors d clar s pour leur montant r el qui doit alors tre justifi B ABATTEMENT FORFAITAIRE DE 5 Calcul sur le salaire tel que d fini au chapitre A il repr sente les frais suivants pour l ensemble des professions artistiques artistes dramatiques lyriques cin matographiques ou chor graphiques aux artistes musiciens aux choristes aux chefs d orchestre ainsi qu aux r gisseurs de th tre frais vestimentaires et de coiffure de repr sentation de communications t l phoniques caract re professionnel frais de fournitures diverses tels que partitions m tronome pupitre frais m dicaux sp cifiques autres que ceux engag s par les artistes chor graphiques et les artistes lyriques solistes et S choristes MEN L N B Au cas o le montant des frais num r s ci dessus d passerait le forfait de 5 celui ci peut tre abandonn et les c 8 frais sont alors d clar s pour leur montant r el et justifiable N amp S 1 Les artistes dont l enseignement est la principale activit ne b n ficient des forfaits de 14 et
12. d emploi dans le spectacle et tenant compte de la pr carit inh rente nos activit s est indispensable 2 Le syst me actuel ne peut tre prorog en l tat Les d rives observ es quels qu en soient les respon sables sont de nature lui faire perdre sa l gitimit 3 Une r forme doit donc tre mise en oeuvre Les propositions communes labor es par certaines orga nisations syndicales et la FESAC doivent servir de base cette r forme Elles prennent en effet en compte les d fauts principaux du m canisme actuel et ouvrent des pistes pour y rem dier Toutes autres pro positions utiles pourront galement tre prises en compte d s lors qu elles peuvent contribuer une meilleure ma trise des co ts 4 La FESAC est dispos e poursuivre les dis cussions sur ces bases avec les partenaires sociaux interprofessionnels 5 Le CNPS a vocation analyser toute question du domaine social int ressant les professions du spectacle Le dispositif sp cifique d assurance ch mage en fait videmment partie Le CNPS est donc fond tudier y compris sous forme de groupes de travail les questions li es ce dispositif et ses cons quences sur le fonctionnement des diff rentes branches du spectacle Toutefois le CNPS ou ses groupes de travail ne sauraient se substituer aux partenaires sociaux inter professionnels lesquels sont seuls en charge du dis positif de solidarit interprofessionnelle qu
13. la r elle sp cificit des annexes cin ma spectacle au sein du r gime interprofessionnel Le 22 f vrier un grand rassemblement est organis devant le Ch telet l occasion de la c r monie des C sars Denys Fouqueray SFA y intervient au nom de la F d ration du Spectacle CGT Aujourd hui le gou vernement nous refuse ce d bat contradictoire de fa on abrupte et syst matique Monsieur le Ministre de la v D E v S S a a ST Culture je suis d sol d avoir dire ce soir que nous n avons jamais t trait s avec autant de m pris C est pourquoi nous appelons l ensemble des professionnels du spectacle une journ e de gr ve le 25 f vrier prochain dans tous nos secteurs d activit Oui le mot gr ve p se lourd dans la bouche d un artiste Mais cette journ e morte du spec tacle est pour nous l ultime moyen de nous faire entendre Enfin l heure o le bruit des bombes se rapproche n ou blions jamais que l art et la culture sont des instruments de paix qu il faut prot ger tout prix Le 25 f vrier journ e histo rique de gr ve g n rale du spectacle du cin ma et de l audiovisuel organis e l appel de la F d ration du spectacle CGT et de ses syndicats malgr l opposition de l ensemble des autres organisations syndicales et patronales l exception notoire du SYNDEAC a t plus que largement suivie et quasiment unan
14. per ues x O D Ce 2 bomn S Kej X fos n 4 4 me trimestre 2002 snam in 5 Frais de documentation frais d achat d ouvrages professionnels et frais d abonnements des publications professionnelles ex Lettre du musicien 6 Frais de local professionnel Les services des imp ts admettent que certains salari s affectent une partie de leur habitation leur activit profession nelle C est ainsi qu il est admis que pour les artistes musiciens l affectation d une pi ce de la r sidence principale des fins professionnelles sera justifi e par la disposition au domicile d instruments de musique d di s aux r p titions ou par la r alisation d agencements sp cifiques comme l insonorisation Cette pi ce peut tre affect e en partie ou en totalit lac tivit professionnelle Ainsi il peut tre admis que la partie d un logement affect e l exercice de la profession repr sente pour un logement comportant plus d une pi ce d habitation une pi ce de ce logement pour un studio la moiti au plus de la surface de celui ci Le salari qui souhaite la prise en compte d une surface sup rieure ce qui peut tre admis doit justifier sa revendication Le pourcentage d termin entre le local professionnel et la surface totale de l habitation s applique aux d penses d entretien de r paration et d am lioration aux d penses des
15. pour un pro fesseur d enseignement artistique avoir le BAC et une formation sp cialis e de 13 15 ans pour tre assis tant 15 17 ans pour tre assistant sp cialis et pour le grade de professeur de classe normale entre 20 et 22 ans de formation m me pour un directeur g n ral des services ou un docteur une formation aussi longue n est pas n cessaire Tout ceci pour un salaire mensuel brut de 1321 8 659 F pour un assistant 1334 8 745 F pour un assistant sp cialis et 1666 10 912 F pour un professeur de classe normale condition d tre sur un temps complet ce qui n est pas le cas pour la plu part des enseignants En r sum pour le directeur du centre de gestion M Blachon et les autorit s territoriales de La Roche de Glun et de Chateauneuf sur Is re il serait normal que les enseignants de la fili re artistique aient une dimi nution de 21 22 de leur salaire Ceci devrait m me tre un exemple suivre par les autres collectivit s D o l importance de ce r f r suspensif qui vient de nous tre accord contre la collectivit de La Roche de Glun et celle de Chateauneuf sur Is re Nota L article 18 du d cret 91 298 permet un agent fonctionnaire de refuser une modification d horaires Dans ce cas il est mis au bout d un an disposition du centre de gestion Selon son affiliation la collectivit aura reverser au centre de gestion 1 une fois et demi
16. rapport Roigt Klein et propos trois groupes de travail qui de fait reprennent et mettent en oeuvre les dispositions du rapport Roigt Klein concernant le gouvernement Nous avons lors de cette r union tout tenter pour faire reculer le Ministre et obtenir la concertation que r clame l ensemble de nos professions Rien n y a fait bien au contraire En validant le rapport Roigt Klein Jean Jacques Aillagon a laiss les coud es franches au MEDEF pour casser les annexes 8 et 10 Ne s arr tant pas l il a ajout qu il y avait trop de compagnies de regroupements d artistes dans notre pays et que le plus souvent ceux ci ne cr ent que des spectacles m diocres Devant un tel m pris et une telle attitude la d l gation de la F d ration CGT du spectacle et de ses syndi cats a quitt avec fracas le CNPS L heure est aujour d hui l organisation de la gr ve g n rale du 25 f vrier journ e morte du spectacle du cin ma et de l audiovisuel Nous devons faire reculer le gouverne ment aux ordres du MEDEF Bonsoir j ai deux minutes pour vous dire que les ASSEDIC c est de la dynamite Les artistes qui vont tre r compens s ce soir ceux qui ont t nomm s les cadreurs les techniciens qui travaillent la production de cette mission et au del tous les artistes et techniciens qui font la vitalit de la musique et de la chanson sont la plupart des intermit tents du spectacle du cin ma de l audiovisuel
17. s 38138 Les C tes d Arey d fax 04 74 58 86 15 e mail olivier ducatel wanadoo fr Musiciens intermittents Fran ois LUBRANO 23 ch des Eglantiers 69750 Lissieu fax 04 78 47 65 97 Musiciens enseignants Alain LONDEIX 50 rue de S ze 69006 Lyon Q 04 78 24 92 24 fax 04 78 52 96 10 e mail alain londeix wanadoo fr O N L Claudie BOISSELIER 154 rue M Moncey 69003 Lyon fax 04 78 62 28 51 Op ra Orch Nicolas CARDOZE Les Bruy res 38270 Bellegarde Poussieu 04 74 84 83 53 Fax 04 74 84 86 86 Op ra Choeur G rard BOURGOIN 7 place des Terreaux 69001 Lyon 04 78 27 36 76 Op ra Ballet Bernard HORRY 165 route de Lyon 69390 Vernaison 04 72 30 16 63 e mail sampl snam wanadoofr site http perso wanadoo fr sampl Perm vend matin 04 78 60 45 56 Responsables des syndicats locaux du SNAM CGT suite E MARSEILLE SAMMAR Musiciens classiques R Georges SEGUIN 17 bld de la libert 13001 Marseille fax bureau 04 91 55 51 96 Choristes Daniel DE DONCKER 115 avenue de la Timone 13010 Marseille 04 91 25 90 04 Musiciens enseignants Marc PINKAS 10 route de Cornillon Quartier Le Caraon 13250 Saint Chamas Q fax 04 90 50 78 24 e mail marcpinkas free fr Musiciens intermittents Florence TU HONG 49 boulevard P cout 84120 Pertuis fax 04 90 09 71 10 e mail florence tuhong wanadoo fr Permanence le mardi et le jeudi de 17 h 19 h au 04 91 55 51
18. une convention collective Maintenant ces deux cat gories de personnel ont une grille sp cifique les heures de service obligatoires ont t supprim es et doivent d sormais tre r mun r es en heures suppl mentaires enfin l employeur a obliga tion de mentionner dans le contrat le nombre de semaines de fonctionnement de l ann e scolaire Grille sp cifique Animateurs techniciens niveau A indice 220 Professeurs niveau B indice 254 Valeur du point 5 02 euros Malheureusement ces avanc es n ont pu tre obtenues que par l abandon d avantages acquis En effet l an ciennet automatique n est plus accord e que tous les deux ans et non plus tous les ans ce qui signifie qu il n y aura pas d anciennet en 2003 date d application de l avenant et que l augmentation de salaire sera deux fois plus lente Il faut cependant noter deux aspects int ressants la prise en compte imm diate et non plus tal e de an ciennet en cas de changement d entreprise mais plafonn e 40 points et la possibilit de cumuler de courtes p riodes de travail Mais l avenant 67 fait intervenir un nouveau crit re avec la notion de d roulement de carri re dont les moda lit s d attribution doivent tre inscrites l ordre du jour de la n gociation annuelle des salaires Ces modalit s d attribution tant d finies dans chaque entreprise on ne peut que craindre les effets pervers de cette mesure d autant plus que le d rouleme
19. 5 que sur leurs activit s d ar Q Di tiste interpr te condition qu ils appliquent la d claration des frais professionnels r els pour l ensemble de leurs revenus Lettre Cs du Directeur de la L gislation Fiscale Herv LE FLOC H LOUBOUTIN du 19 f vrier 1999 VES 2 Les int r ts d emprunts contract s pour l acquisition d un instrument ne sont pas compris dans le forfait de 14 ils sont d duc tibles pour leur montant r el acquitt au cours de l ann e d imposition _ Les forfaits comme leur nom l indique n ont pas tre justifi s Par cons quent c est tort que les services de l admi nistration fiscale pourraient malgr tout exiger des justificatifs Les forfaits de 14 et 5 sont ind pendants l un de l autre Les artistes peuvent opter pour les deux forfaits ou pour un seulement ou pour aucun selon le montant des frais r ellement engag s C FRAIS PROFESSIONNELS SPECIFIQUES aux artistes intermittents Ceux ci peuvent d duire les d penses li es la recherche de leurs emplois successifs frais de d placement de photo graphie de confection et d envoi de CV d inscription des annuaires professionnels ainsi que celles relatives l entre tien et au d veloppement de leurs connaissances ou de leur pratique professionnelle D AUTRES FRAIS PROFESSIONNELS 1 Frais de transport entre le domicile et le lieu de travail Deux cas de figure peuvent se pr senter la dista
20. AS R Christian LORENTE Les Rabonni res 34210 Olonzac 04 68 91 23 14 fax 04 68 90 66 47 e mail ulcgt narbonne wanadoo fr Permanence un jeudi sur deux au 04 68 32 04 10 NICE SAMNAM R Georges THIERY Domaine des Monges 628 chemin du Gabre 06810 Auribeau sur Siagne 04 93 60 96 88 e mail snam nice free fr PARIS SAMUP CGT R Jean Marie GABARD Marc SLYPER SAMUP CGT 14 16 rue des Lilas 75019 Paris 01 42 02 20 49 01 42 02 32 90 fax 01 42 02 34 01 Musiciens enseignants D SEVRETTE A PREVOST Musiciens intermittents Olenka WITJAS Danseurs Philippe GERBET RODEZ SMAR R Pierre ROMASZKO UL CGT Esplanade Jean Jaur s 12300 Decazeville 05 65 43 13 72 fax 05 65 43 20 08 E ROUEN R Nathalie DEMAREST 16 rue du Paradis 76530 Grand Couronne 02 35 69 57 97 fax 02 35 68 54 52 E SAINT ETIENNE SAML R Claude DEVUN 6 lotissement le Petit Bois 42340 Veauche fax 04 77 94 75 83 SMIL intermittents Bourse du Travail porte 100 cours Victor Hugo 42000 Saint Etienne Q 04 77 34 08 61 E STRASBOURG SAMBR R Gilles BRAMANT 15 rue d Upsal 67000 Strasbourg fax 03 88 60 38 02 E SUD OUEST SAMSO R Marcial COUCE Ortiac 65260 Villelongue O fax 05 62 92 25 21 e mail Martial Couce wanadoo fr BAYONNE Musiciens intermittents Philippe PLOTKIN 06 81 05 74 91 TARBES Musiciens intermittents Arnaud CARMOUZE O 06 80 44 92 99
21. R Fabrice DURAND 510 route de Saint Victor 30290 Laudun 04 66 79 40 30 fax 04 90 82 67 26 e mail alafose wanadoo fr E BEZIERS SHAM R Jean Bernard LOPEZ B P 10 34370 Maraussan 06 68 03 73 76 E BORDEAUX SAM GIRONDE Musiciens R Mayorga DENIS 21 rue Vauban BP 95 33025 Bordeaux fax 05 56 06 27 92 Musiciens enseignants Luc LAINE 06 71 62 75 27 e mail Luc Lain wanadoo fr Musiciens intermittents Jean FOUSSAT 11 route J Longueville 33760 Romagne fax 05 56 23 96 11 Choristes Anibal BRESCO 41 Les Verts Coteaux Chemin des Plateaux 33270 Floirac Q fax 05 56 32 28 96 Danseurs Sylvie DAVERAT 20 rue Caulets 33000 Bordeaux 05 56 90 09 62 Permanence le mardi de 17 h 30 19 h au 05 56 94 19 22 E BRETAGNE SBAM Rennes Patrice PAICHEREAU Le Fertay 35137 B d e fax 02 99 06 11 92 e mail PPaichereau aol com LORIENT R Marc GUILLEVIC 4 rue Berthe Morisot 56600 Lanester 02 97 81 25 23 SAINT BRIEUC R Jean Pol HUELLOU UD CGT 17 rue Vicairie 22000 Saint Brieuc Q UD 02 96 68 40 60 QUIMPER JAOUEN Mona Bot Spern 29930 Pont Aven 02 98 06 04 17 fax 02 98 06 16 20 e mail soamcgt nomade fr CAEN SAMUC R Thierry TISSERAND 23 avenue de la Marne 14150 Ouistreham 02 31 96 29 14 E CANNES Section du SAMNAM Nice Orch R g de Cannes Jean Pierre BERRY 40 avenue Picaud 06400 Cannes 04 93 90 91 41 EH CARCASSONNE
22. SAMAS R Fabienne BOURREL SAMAS Bourse du Travail 15 rue Voltaire 11000 Carcassonne 04 68 11 20 80 fax 04 68 11 20 89 e mail ulcgt narbonne wanadoo fr Permanence un jeudi sur deux m CHATELLERAULT SYPCAM Musiciens enseignants R Beno t WEEGER 30 rue de la Vincenderie 86180 Buxerolles 06 24 54 76 17 E CLERMONT FERRAND SAPS R Philippe BONNET 10 rue Vercing torix 63540 Romagnat 04 73 62 02 93 e mail philbonn club internet fr E DIJON SAMB Musiciens intermittents R Yann ASTRUC 1 rue du 4 Septembre 21000 Dijon fax 03 80 73 64 96 E GRENOBLE SAMDAS Musiciens intermittents Bourse du Travail UD CGT 32 avenue de l Europe 38030 Grenoble Cedex 2 Q 04 76 23 56 31 Fax 04 76 33 13 99 Bernard FRANCAVILLA 48 rue E Varlin 38400 Saint Martin d Heres fax 04 76 24 52 21 06 13 42 77 96 e mail samdas cgt voila fr E LILLE R Daniel SCHIRRER 79 rue Manuel 59000 Lille Q 03 20 40 26 02 Musiciens enseignants Jean Jacques FLAMENT 24 ave de Meerseman 59122 Hondschoote 03 28 62 57 43 e mail les flament wanadoo fr Musiciens intermittents Franck TERLAT 15 rue Allent 62500 Saint Omer Q fax 03 21 98 36 18 E LIMOGES R Marcel CHAVAGNE 15 all e des Platanes Les For ts 87140 Chamboret Q fax 05 55 53 58 55 E LYON SAMPL Bourse du Travail salle 24 place Guichard 69003 Lyon Q fax 04 78 60 45 56 R Olivier DUCATEL impasse Les M rari
23. abli par l expert en relation avec les textes des directives et envoy s aux syndicats des Etats membres Des r unions de concertation seront enfin organis es au niveau national afin de d finitivement formaliser les r ponses au questionnaire L ensemble des r ponses sera ensuite trait et constituera la mati re du rapport final qui devrait tre publi l automne 2003 La charge financi re de cette tude est totalement assur e par la Commission Europ enne f bond S n 4 4 me trimestre 2002 snam infos N Les enseignants passent de difficiles moments dans les collectivit s de la Dr me Certains titulaires et contractuels r mun r s sur 41 semaines au lieu de 52 ont une diminution de salaire de 21 22 depuis le 1er octobre 2002 lt S lt D ab 7 lt ab LT K S lt por refuser envers notre profession cette nouvelle offensive de nos autorit s territoriales pour r soudre en partie le financement des coles de musique les enseignants titulaires ne peuvent que refuser les nouvelles dispositions Pour cela ils doivent accepter d tre en surnombre pendant un an puis mis disposition du centre de gestion la prochaine rentr e scolaire et perdre leurs emplois Les agents contractuels eux n ont pas la pos sibilit de conserver leurs salaires lls n ont que deux solutions partir ou accepter les nouvelles condit
24. constant dans les orchestres choeurs et ballets est l emploi permanent McoLas CARDOZE ORCHESTRE DE L OP RA NATIONAL DE LYON SAMPL CGT Ballet du Nord victoire d finitive et totale ans notre dernier num ro nous faisions tat de la gr ve organis e par les danseurs les techniciens et le personnel administratif du Ballet du Nord contre l attitude despotique de sa directive Maryse Delente Le conseil d administration du Ballet du Nord a d finitivement donn raison aux gr vistes en licenciant Maryse Delente La gr ve des personnels dans l unit l appel du SNAM et de la CGT aura eu raison de la directrice de son m pris des artistes et de l ensemble des salari s Les pouvoirs publics et tout particuli rement le Minist re de la culture n ont pu que prendre acte de cette situation de donner raison nos camarades et de valider le licenciement de Maryse Delente Choeur de l op ra de Nantes en danger D le 1er janvier 2003 un syndicat mixte regroupant les villes d Angers et de Nantes appel A N O remplace les r gies municipales qui faisaient fonctionner les th tres lyriques de ces deux villes Ce changement s accom pagne d un projet ou d une certitude de r duction de l effectif du choeur 24 personnes Le nouveau directeur M Jean Paul Davois semble vouloir pro duire des spectacles genre Mozart sic pour lesquels cet ensemble all g peut lui suffire il pr voit toutefois l embauche ponctuelle d
25. ctacle et aux artistes en les accueillant alors qu en fait les conditions minimales du financement d une production ne sont pas r unies Les artistes sont souvent contraints d accepter ces conditions d emploi lamentables qui sont la cons quence de politiques de subventionnement bas es sur le saupoudrage Mais l je m gare car on a quitt le terrain du juridique PHILIPPE G Les demoiselles de Rochefort le SNAM contre le play back l utilisation de bandes son dans le spectacle vivant et la publicit mensong re Depuis quelques ann es de nombreuses com dies musicales sont produites sans musicien et sans choriste Malgr l afflux du public et les b n ficies substantiels r alis s par les producteurs l emploi d artistes musiciens et de choristes est aujourd hui mis mal dans le spectacle vivant Loin d tre un ph nom ne passager cette pratique anti musicale continue de se d velopper n aurait pu attendre de Michel Legrand qu il ne se pr te pas ces parodies de spectacles musicaux Pour tant il cautionne cette pratique dans le montage des Demoiselles de Rochefort Non seulement aucun musicien ne sera pr sent sur le plateau ou dans la fosse mais les bandes son ont t enregistr es Bratislava en Slovaquie et en Grande Bretagne L ensemble des artistes musiciens de notre pays s l ve avec nergie contre la d rive des spectacles musicaux et se mobilise d s aujourd hui pour redonner toute sa
26. ctoires de la Musique Vari t s Marc Slyper est intervenu en direct l antenne au nom de l ensemble des artistes et des techniciens voir encadr page ci contre Le 18 f vrier plus d un millier de professionnels ont manifest de l Op ra au Palais Royal l occasion de la r union du Conseil National des Professions du Spectacle Des manifestations et actions avaient lieu le jour m me en r gions des DRAC occup es Rennes Poitiers Nantes la DDTE de Tarbes la CGPME Caen et des manifestations ont eu lieu Toulouse et Avignon La r union du CNPS s est parti culi rement mal d roul e Nous avions demand que soient port es l ordre du jour l organisation d une concertation nationale et notamment la mise en place de groupes de travail portant sur une r elle expertise des chiffrages de l UNEDIC et des diff rences avec ceux des autres caisses sociales de nos secteurs d activit la reprise du plan Cabanes et les mesures concernant le gouvernement sur notre environnement social Guichet Unique lutte contre le travail ill gal licence d entrepreneur de spectacle pratique ama teur enfin un groupe de travail sur la r forme des annexes 8 et 10 notamment travers une analyse cri tique des dispositions du rapport Roigt Klein ainsi que l appr ciation porter l accord FESAC Loin de reprendre ces propositions le Minist re de la culture a ent rin et valid les dispositions du
27. d duits pour leur montant r el sur le fondement des dispositions du septi me alin a du 3 de l article 83 du code g n ral des imp ts telles qu elles ont t pr cis es par l instruction du 30 d cembre 1998 B O 5F 1 99 notamment dans sa section 4 en ce qui concerne les professions artistiques s tablissent comme suit pour l imposition de mes r mun rations de l ann e 2002 NATURE DES FRAIS MONTANTS FORFAITAIRES Frais d instrument s de musique et frais accessoires Artistes musiciens Frais de formation frais m dicaux et frais d instrument s de musique et p riph riques artistes chor graphiques lyriques et choristes 14 de R 1 soit Frais vestimentaires et de coiffure de repr sentation de communications t l phoniques professionnelles de formation et de fournitures diverses partitions pupitre 5 de R 1 soit Artistes intermittents Frais pour recherche d emploi D1 Frais de transport entre le domicile et le lieu de travail 2 D2 Autres frais de transport 2 D3 Frais suppl mentaires de repas sur le lieu de travail D4 Frais de repas et d h bergement en d placement D5 Frais de documentation D6 Frais de local professionnel D7 Frais de mat riel mobilier et fournitures autres que celles vis es au B ci dessus D8 Cotisations professionnelles D9 Autres frais TOTAL DES FRAIS DEDUITS reporter la ligne correspondan
28. deux fois le total des traitements indice brut augment s des cotisations sociales pen dant deux ans et trouver un rempla ant sur le nouvel emploi ou arr ter son cole de musique 2 la 3 me et 4 me ann e une fois le total des trai tements 3 les ann es suivantes 3 4 de ce montant tout ceci dans lattente que l agent trouve dans le d partement un nouvel emploi de cat gorie B cor respondant celui qu il a perdu Affaire suivre Lyon le 24 12 2002 Alain Londeix S ao CT D ab 2 en W 05 2 D lt a infos n 4 4 me trimestre 2002 snam in _ S G D ab 7 f w a et 2 b pa lt q ar infos n 4 4 me trimestre 2002 sham In N R duction du temps de travail ou la longue marche Chers enseignants divers et vari s de ce pays qui lisez les journaux ou regardez la t l vision qui entendez parler de toute part de RTT d ARTT ou autre compte pargne temps quand remonte votre derni re r duction du temps de travail Cherchez bien C est dur trouver Normal c est introuvable our les enseignants artistiques de la Fonction Publique Territoriale c est m me le mouvement inverse qui s est produit ces trente derni res ann es 12h puis 16h puis 20h Quant au cadre conventionnel de l animation pour le secteur priv les n gociations sont bloqu es sur une inter pr tation crousti
29. e constitue l assurance ch mage dans son ensemble 6 La FESAC estime l gitime qu l occasion de l examen du rapport Roi gt Klein par le CNPS le 18 f vrier prochain soient cr s des groupes de travail sur les donn es statistiques d une part sur les cons quences des propositions nonc es dans ce rapport d autre part Par ailleurs le Minist re de la culture nous donnait un rendez vous notamment par rapport aux annonces faites dun gel de son budget En effet le mardi 4 f vrier lors de la s ance de l Assembl e Nationale M Alain Lambert Ministre d l gu au budget d cla rait Le budget de la culture fait aussi l objet de mises en r serve de cr dits qui portent notamment sur 10 de la dotation du titre IV Des red ploiements sont possibles De plus le gouvernement veillera ce que les cr dits finan ant les projets r gionaux soient m nag s Rappelons que le budget 2003 adopt l automne 2002 est d j en baisse de pr s de 5 Lors de cette r union avec le cabinet du ministre il nous a t affirm que le nouveau gel budg taire ne serait pas appliqu au budget de la culture Ce premier arbitrage favorable M Aillagon demande tre confirm par les faits Pour autant il n emp che pas que les bud gets de la culture sont en r gression depuis de nom breuses ann es Le samedi 15 f vrier les professionnels qui manifes taient ont accueilli les invit s des Vi
30. e la Cour des Comptes command par le MEDEF rapport qui anticipe les pr conisations du rapport Roigt Klein En effet ce rapport adopt avant le d but de la mission Roigt Klein arrive aux m mes conclusions est d ailleurs agr ment d une r ponse du Ministre des affaires sociales du travail et de la solidarit dat avant la remise des conclusions du rapport Roigt Klein et qui pr cise Les grandes orientations relev es par la Cour des Comptes co incident d ores et d j avec les pr conisations de la mission confi e conjointement par le Ministre de la culture et le Ministre des affaires sociales du travail et de la solidarit MM Roigt et Klein leur rapport d finitif devant tre remis aux deux ministres le 2 d cembre 2002 La boucle est boucl e il y a bien publication de deux rapports sur la seule base des chiffrages de lUNEDIC reprenant l ensemble des pr conisations du MEDEF Le Ministre Aillagon et le gouvernement ont pris aujourd hui fait et cause pour les positions du MEDEF et ont d cid d accompagner la casse de la cr ation artistique de sa production et de sa diffusion C est bien la mobilisation de l ensemble des profes sionnels par toutes formes de manifestations ou d ac tions et de gr ves et la prise de positions de nos O nul ne peut chanter Finies les romances Rien que du silence Avec Eddy Mitchell et Jean Pierre Bourtayre d fen dons les romances et
31. ernier Journal Officiel du gouvernement Jospin semble avoir t publi dans l urgence Nous surveillerons ses ventuelles applications Tribunal administratif TA Attention une modification assez r cente de la comp tence g ographique d un tribunal administratif qui veut que soit pris en consid ration le lieu d affectation de l agent Notation Il existe effectivement des services ou communes qui ne prati quent toujours pas la notation alors que c est un droit pour les agents contractuels compris L obligation de noter tous les fonctionnaires est un principe imp ratif d fini par l article 1er du d cret n 86 473 du 14 mars 1986 qui tend l obligation d tre not aux agents non titulaires locaux recrut s sur le fondement des articles 3 126 136 et 137 de la loi n 84 53 du 26 janvier 1984 En cas de non respect de cette obligation il faut interpeller la pr fecture qui n a pas forc ment les moyens d tre au courant d une telle situation En raison de l absence des l ves le fait qu un ensei gnant de la Fonction Publique Territoriale b n ficie des cong s scolaires reste une disposition qui est r guli rement reproch e tout ce personnel Il faut savoir que les enseignants ont des statuts parti culiers Pour cette raison l article 7 du d cret du 12 juillet 2001 nous exclut de l Am nagement et de la R duction du Temps de Travail et des cycles de tra vail Les r gimes d
32. es de travail ou de l loignement Ces d penses ne sont pas prises en compte s il existe une cantine ou un restaurant d entreprise moins d une n cessit m dicale Compte tenu de ce que les frais de nourriture constituent une d pense d ordre personnel la d pense r elle est diminu e de la valeur du repas qui aurait t pris au domicile soit 2 91 pour le premier semestre 2002 et 2 95 pour le second semestre lorsque la r mun ration annuelle ne d passe pas le montant du plafond de la S curit Sociale 29 184 en 2002 ou 4 37 pour le premier semestre 2002 et 4 43 pour le second semestre lorsque la r mun ration d passe le montant dudit plafond En l absence de justificatifs suffisamment pr cis la d pense suppl mentaire peut tre valu e par repas 2 91 pour le premier semestre 2002 et 2 95 pour le second semestre lorsque la r mun ration ne d passe pas le montant du plafond de la S curit Sociale ou 4 37 pour le premier semestre 2002 et 4 43 pour le second semestre lorsque la r mun ra tion d passe le montant dudit plafond La d pense suppl mentaire est diminu e de la participation de l employeur le cas ch ant l acquisition de titres restau rant 4 Frais de repas et d h bergement en d placement D penses de repas et d h bergement engag es pour toute activit professionnelle en dehors du lieu de travail Lorsque l artiste per oit certaines allocations indemnit
33. estre il faudrait faire payer les musiciens Alors scandale Courrier G rard Collomb Maire de Lyon E mail Abraham Bengio directeur de la DRAC C est le coup de pied dans la fourmili re R unions en urgence la mairie coup de gueule tout le SAMPL est sur le pont avec le syndicat CGT des culturels Ville de Lyon L H tel de Ville tremble la mairie a subventionn l v nement hau teur de 230 000 Euros on est cinq jours de l v nement les l ves ont commenc les r p titions Patrick Vernay Becouarn du Cabinet du Maire fait des propositions dont nous prenons acte mais nous mainte nons la pression en demandant l annulation de la participation des l ves L inspection du travail fait un contr le la G n rale il se trouve qu un choeur amateur est dans le m me bain Outre le probl me de concurrence d loyale se pose la question de l thique un tablissement d enseignement artistique doit il faire parti ciper ses l ves une manifestation commerciale avilissante et sexiste comme l a qualifi e une lue socialiste lyonnaise Barbara Romagnan La charte de l enseignement artistique ne favorise t elle pas ce genre d initiative Finalement la mairie accepte de r mun rer les l ves et nous atten dons dans les prochains jours un accord pr voyant entre autres la r mun ration des jeunes un recadrage des activit s de concert au CNR et des r unions d information sur la l g
34. faits pour les revenus des professions artistiques A ABATTEMENT FORFAITAIRE DE 14 Calcul sur le salaire net imposable auquel s ajoutent ventuellement les r mun rations per ues au titre d une activit d enseignement 1 les indemnit s vers es par le r gime sp cifique d assurance ch mage les remboursements et ou allocations pour frais professionnels hors d fraiements et jusqu au plafond de 124 370 pour les revenus de 2002 il repr sente les frais suivants pour les artistes musiciens frais d achat d entretien et de protection notamment les primes d assurance des instruments de musique 2 frais d achat de mat riels techniques affect s partiellement ou totalement un usage professionnel tels que platines disques casques micros s il y a lieu un second instrument un piano par exemple pour les artistes chor graphiques et lyriques frais de formation tels que les cours de danse ou de chant selon le cas les cours de piano les cours de solf ge les hono raires de pianiste r p titeur les cours de langues trang res pour les choristes selon les n cessit s du r pertoire frais m dicaux restant la charge effective des int ress s tels que les soins de kin sith rapie d ost opathie d acupunc ture les soins dentaires notamment de proth se les frais m dicaux li s au contr le ou l entretien des cordes vocales tous autres soins m dicaux en relation
35. grosses r parations aux charges de copropri t aux diverses d penses caract re locatif telles que les frais de nettoyage de gardiennage de ramonage d clairage de chauffage de primes d assurance aux d penses d agencements sp cifiques l exercice de la profession concurrence du montant de la d pr ciation subie aux imp ts locaux telles que taxe fonci re sur les propri t s b ties taxe d habitation taxes facultatives institu es par les collectivit s locales ex taxe d enl vement des ordures taxe de balayage au loyer proprement dit pour les locataires augment des sommes rembours es au bailleur aux int r ts pour les propri taires des emprunts contract s pour l acquisition de la r sidence principale ou son agran dissement ou pour sa reconstruction partielle Exemples de justificatifs fournir sur demande des services administratifs a acte d acquisition ou de location de l habitat principal faisant appara tre la superficie des pi ces b contrat et ch anciers des emprunts contract s c quittances de loyer de gaz et lectricit de t l phone d assurance d factures de fournisseurs installateurs entrepreneurs comportant les dates de r alisation et de paiement des travaux le montant du prix acquitt et la p riodicit des versements x O D Con v S S Le X 7 Frais de mat riel mobilier et fournitures autre
36. ier la prestation de l orchestre des l ves du CNR de Lyon dirig par Ren Cl ment Pendant trois heures en direct sur TF1 ils ont assur l animation musicale des d fil s des Miss en bikinis dans le Palais des Sports plein craquer comme un vrai orchestre de plateau professionnel Tout le Palais des Sports applaudissait des deux mains bravo les jeunes faut dire que le CNR s tait donn les moyens trente heures de r p titions effectu es en une semaine en plus du coll ge ou du lyc e et des cours au CNR non pas pour monter un programme de concert classique comme on aurait pu imaginer mais pour jouer des jingles de G rard Presgurvic et des extraits de sa com die musicale Rom o et Juliette Alert s par les professeurs et des parents d l ves nous menons notre enqu te Ce projet n apparaissant pas dans le programme men suel des auditions et concerts du CNR ce devait tre logiquement un cacheton Alors devinez combien taient r mun r s les neufs ser vices Devinez combien taient rachet s les droits de diffusion en prime time sur TF1 Devinez aussi combien taient rachet s les droits pour la r alisation du vid ogramme du commerce Pas mille pas cent pas dix pas un mais z ro Euro Normal c est dans le projet p dagogique du CNR c est pour faire conna tre le CNR aupr s des jeunes dit le Cabinet du Maire Si on veut trouver moins cher comme orch
37. ime Cette journ e a donn lieu des manifestations massives sans pr c dent dans tout le pays cette occasion nous avons lanc l appel solennel voir ci contre Jean Pierre Raffarin Aujourd hui 27 f vrier au lendemain des Victoires de la musique classique notre Parce qu aujourd hui par dizaines de milliers artistes techniciens ouvriers r alisateurs professionnels du th tre de la musique de l op ra du spectacle des arts de la rue du cirque du cin ma et de l audiovisuel sont en gr ve Parce que par centaines des salles de spectacles des studios des audito riums et des lieux de tournage sont rest s ferm s le 25 f vrier nous nous adressons solennellement vous Depuis des mois nous demandons une concertation sur les r gimes d in demnisation du ch mage accus s de co ter trop cher sur la base de chiffres discutables et fallacieux alors que dans le m me temps nos caisses de retraite compl mentaire exc dentaires contribuent la solidarit interprofes sionnelle Parce que les films les concerts les pi ces de th tre les op ras et les ballets les revues les enregistrements les missions de radio et de t l vi sion les spectacles de cirque et de rues rel vent d arts collectifs l ensemble des m tiers qui contribuent la cr ation artistique et la r alisation de ces oeuvres sont indispensables Parce que si l on veut assurer l existence de ces professionne
38. intermittents pour des oeuvres plus importantes Cette conception allant l encontre de la qua lit artistique attendue de la part d un tablissement d sign comme le p le lyrique du grand ouest ne peut tre admise Elle est d ailleurs assez surpre nante dans le cadre de la mise en place de cette nouvelle structure cens e apporter une plus grande aisance financi re Nous n avons t inform s de ce projet de r duction d effectif uniquement par la presse dans un premier temps puis au cours d une r union du comit de suivi charg du transfert vers le nouvel tablissement Pourtant un rapport a t r dig entre 1999 et 2000 par Jean Paul Davois lui m me Ces cachotteries ne nous font augurer rien de bon pour lavenir Nous appelons tous ceux qui se sentent concern s par la d fense d une activit lyrique de qualit dans l ouest comme ailleurs manifester leur oppo sition de telles mesures qui menacent l emploi permanent au profit de la pr carit et qui peuvent frapper terme d autres th tres en France La menace est grande de voir l avenir les ensembles permanents seulement compos s d un petit noyau de permanents et renforc s par une majorit d artistes intermit tents DANIEL CHASSEAU D L GU DU CHOEUR DE L OP RA DE NANTES SPLAM CGT F d ration Internationale des Musiciens FIM Suite l annonce de son d part de la FIM par Jean Vincent secr taire g n ral un appel avait
39. ions D o le changement de certains professeurs Maintenant dans certaines communes pour le m me travail il y aura deux r mun rations diff rentes celle des titulaires sur 52 semaines en ch mage d ici peu et celle des contractuels sur 41 semaines Pour avoir une r mun ration sur un temps complet dans ce nouveau dispositif du fait de l annualisation et du lissage de salaire il sera n cessaire pour un enseignant de faire 25 heures de travail effectif par semaine mais les dispositions du d cret du 20 mars 1991 ne permettent pas de d passer 23 heures Ainsi plus personne n est en droit d tre r mun r sur un temps plein 20 heures Ces nouvelles dispositions sont donc inapplicables mais elles existent maintenant dans la Dr me n 4 4 me trimestre 2002 sham infos Tout ceci se fait en dehors de la l galit et avec l aide d une interpr tation erron e des textes Pour faire valoir leurs droits les enseignants ne peuvent que demander une requ te pour exc s de pouvoir au Tribunal Administratif de Grenoble Le jugement se fera dans deux ou trois ans avec possibi lit pour chaque requ rant de faire appel Il faudra donc attendre 5 6 ans au moins pour conna tre le d nouement de cette situation Un espoir dans cette grisaille nous avons demand au tribunal un r f r suspensif de suspendre les nouvelles dispositions impos es par les d lib rations Aujourd hui nous venons de
40. islation du spectacle vivant et enregistr organis es par le SAMPL en direction des jeunes musiciens A suivre OLIVIER DUCATEL LYON LE 17 01 03 Disparition Nous apprenons avec tristesse la disparition de notre amie coll gue et camarade Annie GARCIA CARILLO musicienne de l orchestre de chambre de Grenoble Elle f t une militante d vou e r solument attach e la d fense de notre profes sion Jusqu au bout elle a lutt Saluons son courage face la maladie qui l aura emport e l ge de 54 ans Pour le SAMPL Nicolas CARDOZE Y _ D Le v O S 2 S S n 4 4 me trimestre 2002 sham infos 2 S S Q a 2 S 74 S W n 4 4 me trimestre 2002 snam infos Attention danger Orchestres choeurs ballets L emploi permanent est menac La situation dans les ensembles permanents ne pr sage rien de tr s r jouissant pour l avenir En effet l emploi permanent dans les orchestres choeurs et ballets semble aujourd hui menac Nous connaissons d j le cas de orchestre de chambre de Grenoble qui n emploie plus que huit musiciens permanents alors que les productions lyriques programm es avec Les musiciens du Louvre n cessitent r guli rement un nombre consid rable de musiciens intermittents Nous connaissons aussi des situations similaires dans diff rents orchestres comme To
41. la musique Assez de sc nario catastrophe non la France ne deviendra pas un d sert culturel Loin de d fendre des privil ges nous artistes et techniciens entrons en r sistance contre les menaces de liquidation Nous appelons le mardi 25 f vrier une journ e de gr ve nationale journ e morte du spectacle du cin ma et de l audiovisuel Nous serons tous ce jour l 18 h place de la Bas tille Nous avons besoin de vous notre public N allez pas au concert au th tre au spectacle au cin ma le 25 f vrier rejoignez nous place de la Bastille Vous et nous exigeons des pouvoirs publics la sau vegarde de notre r gime sp cifique d assurance ch mage garantie de l exception culturelle et leur engagement pour que soit organis e une grande concertation nationale contre la casse de la culture pour donner un avenir la cr ation artistique sa pro duction et sa diffusion Je c de la place avec plaisir un des artistes r v lations de la soir e en souhaitant que la r v lation de leur talent ne soit pas sans lendemain Merci D Fe o S 5 2 73 lt fos n 4 4 me trimestre 2002 snam in a employeurs qui seront m me de faire reculer le Ministre Aillagon le gouvernement Raffarin pour obtenir lou verture d une concertation nationale sur le financement des activit s culturelles et l engagement ferme des pou voirs publics pr server
42. le b n fice jusqu alors r serv aux femmes fonction naires d une annuit suppl mentaire par enfant lev Nous attendons dans les mois venir une modifica tion en cons quence du r glement int rieur de la CNRACL Au m me chapitre la limite d ge 68 ans des pro fesseurs et directeurs recrut s avant 1984 a t revi sit e ces cas particuliers restent assez rares dans la profession des grandes villes comme Chalon ou Lyon qui ont un service juridique ne le contestent pas Depuis longtemps nous devons d j am nager notre temps de travail pour recevoir les l ves la sortie de l cole nous n avons pas des horaires de bureau 9h 12h 14h 17h Notre temps de travail effectif ne correspond pas au travail suppl mentaire qu implique tr s souvent une pr sence qui ne peut tre obligatoire mais qui lest dans les faits lors des auditions des concours des r unions ou lors d animations diverses La formation instrumentale et artistique de l enseignant est une formation personnelle et journali re qui n est pas prise en compte dans notre temps effectif de tra vail La formation continue de notre enseignement est accept e sous r serve qu elle soit en dehors de notre temps de travail Un grand nombre d enseignants viennent travailler avec leurs instruments personnels sans m me savoir qu ils ne sont pas assur s pour ce mat riel par les employeurs Il est bon de savoir qu il faut maintenant
43. lier tout fait respect les 4 5 mes de 16 heures quivalent plus de 12 heures de m me les 4 5 mes de 20 heures repr sen tent plus de 15 heures N anmoins consid rant les informations que vous m avez adress es le conseil d administration sera saisi de ce dossier aux fins d examiner s il y a lieu de faire voluer le seuil d affiliation des personnels ici concern s Dans cette attente je vous prie de croire monsieur le pr sident l assurance de ma consid ration distingu e L analyse d velopp e ici fait appara tre une r f rence vi dente la r daction de l article 2 de nos cadres d emplois C est bien partir de ces dispositions r glementaires sta tutaires que se porteront nos revendications tant sur la RTT que sur la reconnaissance de notre r gime particulier de cong s annuels Parution de l arr t portant nomination la com mission pr vue l article 4 de la loi Sapin relatif la reconnaissance de l exp rience profession nelle Cette commission comprend 11 membres titu g laires 11 membres suppl ants La pr sidence est assur e par Mme Marianne Laigneau suppl ant 2 M Bernard Pignerol tous deux ma tres de O requ tes au Conseil d Etat Si gent au titre des Q lus locaux Mrs Baleynaud et Roussel sup pl ants M Delaby et Mme Chevalier Si gent au titre des repr sentants des fonctionnaires des cadres d emplois concern s Pour les professeurs ter
44. llante du patronat la RTT ne doit intervenir que dans le temps de pr paration des cours et en aucun cas sur les temps de cours eux m mes Chez nos coll gues de l Education Nationale l UNSEN CGT nous a bien confirm qu eux aussi ont tous t soigneusement pargn s par le progr s social en question niet ARTT Pourtant certaines collectivit s particuli rement bien inten tionn es n ont pas h sit utiliser ces dispositions les d tourner tr s intentionnellement de leurs vocations d ori gines c est dire cr er des emplois et donner un nou veau coup aux salari s temps non complet voir article sur La Roche de Glun Nous avons interrog la Caisse Nationale de Retraite des Agents des Collectivit s Locales CNRACL sur ce cas pr cis des agents temps non complet quant savoir si les seuils d affiliation rabaiss s de 31h31 28 heures pour tous les fonctionnaires normaux l avaient t aussi pour les enseignants artistiques La r ponse intervenue presque huit mois apr s excusez du peu a le m rite d tre assez claire Caisse des D p ts et Consignations Bordeaux le 16 septembre 2002 Monsieur le pr sident Par lettre MP NH 02 50 du 24 janvier 2002 vous m interrogez sur l incidence de la d cision du conseil d administration de la CNRACL en date du 3 octobre 2001 relative l abaissement du seuil d affiliation des fonctionnaires territoriaux temps non com plet pour les profe
45. ls dont le m tier ne s improvise pas il faut bien nous permettre de vivre entre deux contrats d o la n cessit d un r gime sp cifique d assurance ch mage des intermittents C est ce r gime que depuis des d cennies les pouvoirs publics ont int gr dans le financement de la culture tant au niveau national qu aux niveaux local et r gional Mais c est cela aussi que le MEDEF s vertue vouloir d truire depuis des ann es malgr les propositions constructives qui ont t faites par les organisations professionnelles du spectacle de la musique du cin ma et de l audiovisuel Dans une p riode marqu e par des reculs successifs des budgets de la culture et de la communication nous ne pouvons accepter d tre menac s de disparition sans que les pouvoirs publics ne prennent leurs responsabilit s pour garantir un avenir la culture de notre pays Loin de d fendre des privil ges nous techniciens ouvriers artistes et r alisateurs entrons en r sistance contre les menaces de d sertification cul turelle Parce que c est ce d bat contradictoire que le gouvernement nous refuse aujourd hui de fa on abrupte et syst matique Parce que jamais nos professions n ont t trait es avec autant de m pris nous avons unanimement r pondu l appel la mobilisation la gr ve le 25 f vrier et aux manifestations Monsieur le Premier Ministre vous ne pouvez laisser mettre mal la cr a tion artistique sa productio
46. mes s l vent en tout environ 8 000 euros ce que le producteur doit consid rer tre une sanction raisonnable car il ne fait pas appel de la d cision Cette histoire finalement assez banale appelle plusieurs commentaires Le paiement des r p titions effectu es pour un producteur dans le cadre d une cr ation est une obligation Ne pas les r mun rer ni les d clarer entra ne entre autres cons quences financi res pour l employeur que je ne d taille pas ici la condamnation au versement de l indemnit de 6 mois de salaire pr vue par le Code du travail Il faut le savoir et le faire savoir Ensuite il est bon de rappeler une fois de plus que le fait patronal ne doit pas tre accept comme une fatalit par les artistes Des lois et des conventions collectives nous prot gent et lorsqu on en demande l application devant des tribunaux nos employeurs sont condamn s La peur de se retrouver sans travail gouverne les rapports entre les intermittents et leurs patrons Cette peur doit changer de camp pour devenir celle d tre condamn pour non respect du droit du travail Enfin pour largir un peu la vision et les conclusions que l on peut tirer de cette affaire il faut bien parler des conditions dans lesquelles s effectuent trop souvent les r sidences qu on voit se d velopper un peu partout Ces r sidences permettent des municipalit s ou des salles de communiquer peu de frais sur le soutien qu elles apportent au spe
47. n et sa diffusion Nous vous demandons de vous engager avec votre gouvernement dans les prochains jours la sauvegarde de notre r gime d assurance ch mage garantie de l exception culturelle Des r formes sont n cessaires nous les r clamons depuis des ann es et nous avons fait des propositions qui ont d ailleurs fait l objet d un accord professionnel comme l avait demand E A RIRE Seilli res nos employeurs Mais le MEDEF ignore ces propositions et en DR appel semble avoir t impose d autres qui bafouent les sp cificit s de nos m tiers entendu Nous attendons Nous attendons que vous organisiez une grande concertation nationale dans les prochains jours la contre la casse de la culture pour donner un avenir la cr ation artistique RE parole du gouvernement qui sa production et sa diffusion e doit revenir sur l adoption Ensemble artistes ouvriers et techniciens accompagn s de notre public NES des pr conisations du rap nous nous engageons pr server la culture de notre pays Nous attendons Ci port Roigt Klein et qu il s en sans d lai la parole de votre gouvernement la r ponse notre appel V gage la concertation solennel nationale a Le CNR de Lyon contre les musiciens professionnels Lors de la soir e Miss France Lyon le 14 d cembre outre l intervention remarqu e de Serge Crozier pour la d fense du r gime intermittent chacun a pu appr c
48. nce entre le domicile et le lieu de travail est a inf rieure ou gale 40 km b sup rieure 40 km Dans le premier cas les frais de d placement sont consid r s comme inh rents la fonction ou l emploi et sont donc d ductibles sur justificatifs notamment l utilisation du v hicule personnel et le nombre d allers et retours dans la journ e Dans le second cas la prise en compte de la totalit des frais de transport sera effective si l loignement ne r sulte pas d un choix personnel pr carit ou mobilit de l emploi contraintes familiales ou sociales A d faut la d duction des frais de transport est limit e 40 km Les frais engendr s par l utilisation d un v hicule personnel sont calcul s selon le bar me administratif du prix de revient kilom trique des v hicules automobiles ou deux roues moteur Dans le cas d un v hicule achet cr dit il est possible de d duire la proportion des int r ts correspondant l utilisation professionnelle du v hicule 2 Autres frais de transport D penses engag es pour toute activit professionnelle en dehors des frais cit s au pr c dent paragraphe par exemple dans le cadre d un contrat avec un employeur occasionnel ou l occasion du d placement d un ensemble permanent 3 Frais suppl mentaires de repas sur le lieu de travail Il s agit des d penses support es lorsque les repas ne peuvent pas tre pris au domicile en raison des horair
49. nt de carri re des professeurs et animateurs techniciens est plus lent que pour les autres cat gories de personnels Dans les coles de musique associatives o le personnel est peu nom breux mal prot g dont la marge de n gociation est troite il sera donc tr s facile de faire rentrer la subjec tivit et d attribuer ces points au m rite c est dire en fonction de la docilit du salari C est pour toutes ces raisons que la CGT n a pas sign cet avenant Un nouveau d cret Le 31 octobre 2002 tait sign le d cret n 2002 1318 portant statut particulier du corps des inspec teurs et conseillers de la cr ation des enseignements artistiques et de l action culturelle Ce d cret pr sente une r daction amplifi e du d cret du 3 mars 1993 modifiant le titre puisqu il s agit d inspecteurs et conseillers int grant de nouvelles donn es telles que l Europe pr cisant les missions mais surtout introduisant trois nouvelles sp cialit s le livre cin ma et audiovisuel l action culturelle Nous aimerions tre assur s que tous les inspecteurs qui visitent nos tablissements poss dent bien ce titre et remplissent bien leur mission qui est d appr cier le travail des enseignants des tablisse ments d enseignement artistique d pendant des collectivit s territoriales l gard desquels ils exercent une mission permanente de conseil et d assistance p dagogique car malheureusement il nous revient enco
50. obligation de service sont pour les personnels qui y sont soumis ceux d finis dans les statuts particuliers Ainsi nos statuts particuliers ne nous permettent pas de b n ficier des dispositions de la r duction et de l am nagement du temps de travail mais ils d fendent la sp cificit de notre emploi Nota C est cet article qui est ignor et refus Mais Suppression de l examen professionnel Les enseignants r agissent le SNAM suit le dossier Projet de loi et r forme constitutionnelle du gouvernement Raffarin Les cons quences possibles sur le statut des enseignants artistiques Par l exp rimentation de la loi et la d centralisation de certains pouvoirs r glementaires il deviendra techniquement possible de modifier l unicit de la Fonction Publique Territoriale grosse inqui tude sur notre avenir et sur les multiples disparit s possibles De plus si la r forme propos e de l article 72 de la Constitution va plut t dans le bon sens en propo sant une inversion des termes dans les conditions pr vues par la loi qui passerait en d but de phrase la proposition des s nateurs qui demandent la sup pression des mots dans le cadre de la loi est inad missible Les collectivit s s administrent librement par des conseils lus et dans les conditions pr vues par la loi Retraite Une d cision r cente du Conseil d Etat transposant le droit europ en a accord un agent masculin
51. on de lem ploi est une revendication prioritaire exprim e par les artistes europ ens Dans l attente de soutien envisage de rencontrer l ambassadeur de Grande Bretagne Paris Etude sur la mise en application des directives europ ennes E aval de l tude r alis e en 2002 pour le compte de la FIM de la FIA et de Euro Mei sur les r gimes d em ploi et de protection sociale des travailleurs du spectacle en Europe la Commission Europ enne a confi une seconde tude aux m mes partenaires sur l tat de la mise en oeuvre des directives sociales dans le sec teur du spectacle et des m dias Afin de r aliser cette tude et pour ce qui concerne plus particuli rement les artistes musiciens deux d cisions ont d ores et d j t prises la FIM en sera l op rateur un expert Richard Polacek a t choisi pour en coordonner la r alisation et un comit de pilotage a t mis en place Au sein de ce comit et au c t de la FIM les musiciens sont repr sent s par Raimo Vikstr m Finlande et Antony Mar schutz SNAM France Une premi re r union de ce comit s est tenue Bruxelles le 13 janvier 2003 au si ge de la CES Conf d ra tion Europ enne des Syndicats avec pour ordre du jour le choix parmi 32 directives sociales de celles sus ceptibles de s appliquer plus pr cis ment aux personnels du spectacle et des m dias A la suite de ce premier travail de compilation un questionnaire sera t
52. poser la casse de la culture L assembl e g n rale du 27 janvier au Th tre National de Chaillot l appel de la F d ration CGT du Spectacle et de ses syndicats a rencontr un succ s sans pr c dent Plus de 2500 artistes et techniciens r unis ce jour l ont valid le programme d actions propos par notre f d ration et ses syndicats Il s agit en fait d amplifier la mobilisation et de rejeter les pro jets de casse du spectacle du cin ma et de l audiovi suel Le 31 janvier un rassemblement a eu lieu devant le Centre Pompidou qui nous a permis d intervenir dans le cadre du colloque sur la d centralisation culturelle organis par la F d ration nationale des collectivit s territoriales pour la culture A la suite de ce colloque il a t d cid un rendez vous entre le bureau de la FNCC notre f d ration et ses syndicats pour travailler ensemble et d gager des points de vue communs sur le dossier assurance ch mage et sur le projet de loi d orientation sur la culture Le 7 f vrier une journ e nationale d actions Paris et en r gions a permis d obtenir des claircissements sur la position de nos employeurs sur ce dossier C est ainsi que la FESAC F d ration des entreprises du spectacle vivant de la musique de l audiovisuel et du cin ma par un courrier sign par son pr sident pr cisait 1 La FESAC consid re qu un dispositif sp ci fique adapt aux modalit s particuli res
53. r gulation qui d faut d accords professionnels statue sur la conformit des mesures techniques de protection au droit fran ais et europ en avant leur mise en application Date d entr e en vigueur de la Directive Europ enne 2001 29 du 22 mai 2001 sur certains aspects des droits d auteur et des droits voisins dans la soci t de l information Extension l Allemagne des principes d assurance ch mage contenus dans les textes fran ais convention UNEDIC et annexes 8 et 10 Lors d une discussion informelle qui s est tenue Bruxelles l occasion de la r union du comit de pilo tage M Heinrich Bleicher Nagelsmann responsable des Arts et de la Culture au sein du regroupement allemand de syndicats Ver di a exprim son int r t et son accord pour promouvoir sur le territoire alle mand un syst me d assurance ch mage pour les techniciens et les artistes similaire celui qui est appliqu en France n 4 4 me trimestre 2002 sham infos Oo Le SNAM solidaire du syndicat de Grande Bretagne des Musiciens Le gouvernement anglais a d cid de proposer un projet de loi remettant en cause les conditions de diffusion de la musique dans les petits lieux en Grande Bretagne Le SNAM s associe aux initiatives du BMU afin de valoriser l emploi d artistes et outre le courrier ci contre Nous accusons r ception de votre communiqu concer nant le projet de loi britannique sur l attribu
54. re aux oreilles des cas d inspecteurs dont le r le a surtout t de fournir un rapport n gatif pour ne pas dire plus aboutissant au non renouvellement du contrat d un enseignant or nous savons tous qu une collectivit territoriale n a pas fournir d explication sur le non renouvellement d un contrat que cela ne permet pas d obtenir des indemnit s de licenciement et que c est le ch mage qui est au bout du compte r sultat indigne de la mission d un inspecteur S G a D DO 2 a ui D LI A Der lt Eu infos n 4 4 me trimestre 2002 snam in N ADAMI n 4 4 me trimestre 2002 sham infos N N Renouvellement du conseil d administration de PADAMI S au vote par correspondance qui a eu lieu en novembre et d cembre 2002 le conseil d administration de ADAMI lu pour quatre ans a t renouvel ll est noter la liste dite ind pendante l initiative du SAMUP autonome de FO et de l as sociation D fense des ayants droit qui par ailleurs ne cesse de r clamer l envoi de fac ture la SPEDIDAM qui a eu pour cons quence une minoration de la pr sence des artistes musiciens au sein du conseil d administration Pour autant le SNAM ne peut que se f liciter du soutien des artistes la liste parrain e notamment par le SNAM et le SFA BUREAU Pr sident 5 2048248 80 Jp ne Jus Pierre SANTINI Vice Pr sident du Coll ge Dramatique
55. recevoir la d ci sion du 20 d cembre 2002 du Tribunal Administratif qui ordonne de suspendre l ex cution des d lib rations prises par le conseil municipal de La Roche de Glun et de Chateauneuf sur Is re Cette d marche avait t tout particuli re ment mal accueillie par M Merandat maire de La Roche de Glun et M Buis maire de Chateauneuf sur Is re En repr sailles ils demandaient chaque requ rant de ce r f r une indemnit de 500 550 euros demandes rejet es Le Directeur du centre de gestion M Bla chon instigateur de ce dysfonctionnement envisagerait de r unir le 21 janvier les maires des communes de la Dr me pour parler de cette situation et si possible je le pense convaincre le plus grand nombre de communes prendre les m mes disposi tions La d lib ration du r f r suspensif risque de mettre en attente de telles d ci sions Enseignement et animation D cret n 2002 883 du 3 mai 2002 du Minist re de la jeunesse et des sports relatif la protection des mineurs dans les centres de loisirs les articles 12 et 14 concernent le profil des animateurs et des encadrants de ces centres la fili re cultu relle a t voqu e l occasion de consultations pour l labo ration de la circulaire d application du d cret sans qu aucune organisation professionnelle n ait t contact e Ce glissement de nos missions vers l animation est pr occupant Ce texte brouillon paru au d
56. relle C est ce qu unanimement nous avons exprim dans la rue le 25 f vrier C est le sens de l appel solennel que nous avons adress au Premier Ministre Le gouvernement doit dans les prochains jours s engager sauvegarder notre r gime d assurance ch mage garantie de l exception culturelle Nous r clamons des r formes depuis des ann es mais ne pouvons accepter que seules les propositions du MEDEF ou des rapports circonstanci s aux ordres soient la base des n gociations propositions qui bafouent les sp cificit s de nos m tiers et qui nous entra nent vers la d sertification culturelle Par ailleurs nous attendons que les pouvoirs publics organisent une grande concertation nationale contre la casse de la culture pour donner un avenir la cr ation artistique sa production et sa diffusion Nous n attendrons pas des mois la r ponse notre appel D s le 10 mars dans les assembl es g n rales qui auront lieu dans toute la France nous prendrons toutes les dispositions pour continuer notre lutte L unanimit contre le m pris pour la d fense de la cr ation artistique de notre pays dans la concertation Marc SLYPER Secr taire G n ral du SNAM n 4 4 me trimestre 2002 sham infos o to D o S 3 7a 7a lt n 4 4 me trimestre 2002 snam infos a Jean Jacques Aillagon valide le rapport Roigt Klein Tous en lutte pour s op
57. ri toriaux titulaires Mrs Jean Fran ois Boukobza CNR Aubervilliers 93 et G rard Durand CNR Toulouse 31 suppl ants Mme Rosine Cadier EMA Saint Denis 93 M Eric Demange CEFEDEM Rh ne Alpes 69 Pour les assistants territoriaux sp cialis s titulaires Mmes Fr d rique EPIN EMA Saint Ouen 93 France Maumy ENM Argenteuil 95 suppl ants M David Louverse CNR Rouen 76 Mme H l ne Aubier CM Saint Ouen 93 Si gent au titre des repr sentants du minist re charg de la culture pour les cadres d em plois des professeurs territoriaux d enseignement artis tique et des assistants territoriaux sp cialis s d enseignement artistique titulaires Mme Marie Madeleine Krynen M Jean Pierre Tronche Sup pl ants Mme Mireille Faye Mora M Daniel Blanc Avenant 67 de la convention collective de l animation Comme nous vous l indiquions dans le pr c dent num ro de l Artiste Enseignant l avenant 67 a t sign par la CFDT FO et la CFTC Trois points sont concern s par cet avenant 1 les salaires 2 l anciennet 3 le d roulement de carri re Depuis 1998 date de la signature de l avenant 46 les professeurs et animateurs techniciens ne d pendant pas d une grille sp cifique mais d un salaire de d part bloqu n avaient b n fici d aucune revalorisation sala riale ainsi la r mun ration des techniciens animateurs tait descendue sous la barre du SMIC ce qui est un comble pour
58. s hormis pour les forfaits de 14 et 5 doivent tre tenus la disposition de l inspection des imp ts Cela ne signifie pas qu ils doivent tre joints la d claration des revenus mais ils doivent tre conserv s jusqu la fin de la 3 me ann e suivant celle au titre de laquelle l imposition est due ce d lai est appel d lai de reprise afin de pouvoir les pr senter l inspection des imp ts en cas de contr le Exemple pour les revenus de 2002 d clar s en 2003 les justificatifs pourront tre demand s par l inspection des imp ts jusqu au 31 d cembre 2005 date d expiration du d lai de reprise De la m me fa on les contribuables b n ficient du m me d lai pour exposer leurs r clamations notamment lorsque les services fiscaux ne tiennent pas compte de la d claration des frais r els et appliquent la d duction for faitaire de 10 infos n 4 4 me trimestre 2002 snam in RAYMOND SILVAND 21 01 2003 N NOTE ANNEXE A LA DECLARATION DES REVENUS ETAT DETAILLE DES FRAIS PROFESSIONNELS DEDUITS POUR LEUR MONTANT REEL Professions artistiques Nom et Pr NOM E iessen eaa eea eaea e EAE a EEE neue EEE EE R Aaa R EAE EEE EEEa EEEE EERE x lt 5 O D ra 2 S D amp D Q lt TO RER RTE ES A Profession exerc e Revenu imposable Mes frais professionnels
59. s licence l gale Les lois nationales fixent de quelle fa on cette r mun ration est partag e entre les auteurs les artistes inter pr tes et les producteurs 4 En France le Conseil d Etat vient de confirmer la l galit des tarifs de cette r mun ration en ce qui concerne la copie sur supports num riques et dispositifs amovibles 5 Les mesures techniques de protection qui interdisent la possibilit d effectuer des copies titre priv ou qui d gradent la copie obtenue utilis es par l industrie du disque sous le pr texte de lutte contre la piraterie sont donc contraires au droit communautaire Quant aux mesures techniques concernant le contr le de la copie priv e dans le cadre des services la demande elles sont galement contraires au droit communautaire si elles sont utilis es sans l accord des auteurs et des artistes interpr tes NOUS DEMANDONS e L arr t imm diat de l utilisation en France de dispositifs anti copie sur le march du disque en violation de la Directive 2001 29 et du droit fran ais et du principe du libre acc s du public en mati re de droit copie priv e e La conclusion d accords professionnels entre organisations d auteurs d artistes interpr tes et de produc teurs pour d finir d ventuelles normes de contr le des mesures techniques de protection et garantir lavenir du droit et de la r mun ration pour copie priv e e La cr ation par l Etat d un organisme ind pendant de
60. s ou remboursements de frais de la part de l employeur ces sommes sont int grer aux salaires per us et les d penses sont d clar es pour leur montant r el et justifiable Cependant il est admis par l administration fiscale que ne sont pas int grer aux salaires l allocation de saison servie en compensation des frais de double r sidence support s lors des engagements ainsi que les remboursements de frais de d placement allou s pendant la dur e de la saison aux artistes musiciens chefs d or chestre et autres professionnels du spectacle engag s par les casinos ou les th tres municipaux les allocations et remboursements de frais allou s aux musiciens chefs d orchestre et choristes au titre des frais de trans port et de s jour h bergement et repas qu ils exposent lors de leurs d placements professionnels notamment l occa sion des tourn es des orchestres en France ou l tranger ou de la participation des festivals les indemnit s journali res de d fraiement vers es en compensation des frais suppl mentaires de logement et de nour riture qu ils supportent l occasion de leurs d placements aux artistes dramatiques lyriques et chor graphiques ainsi qu aux r gisseurs de th tre qui participent des tourn es th trales instruction minist rielle du 30 d cembre 1998 Dans ce cas bien videmment l artiste ne peut pas d duire les d penses cens es tre couvertes par les sommes
61. s que celles vis es au 2 ci dessus Ce sont des frais se rapportant l exercice de la profession frais de fournitures et d imprim s frais de communication t l phone t l copie d penses de mobilier de mat riel et d outillage En cas d utilisation mixte la d pense doit tre r duite en proportion de l utilisation des fins priv es 8 Cotisations professionnelles a Les cotisations syndicales sont d clar es pour leur montant r el sans limitation b Les cotisations pour assurance professionnelle peuvent tre d duites sous certaines conditions notamment lorsque l as surance est obligatoire convention collective accord d tablissement Concernant la possibilit de d duire les cotisations relatives l assurance professionnelle lorsque celle ci n est pas obligatoire le Minist re des finances n a pas de position claire Nous ne pouvons donc pas donner d indication pr cise ce sujet mais le SNAM estime l gitime de d duire ces coti sations 9 Autres frais a Les d penses engag es pour l exercice du mandat de repr sentation du personnel d l gu syndical d l gu du per sonnel ont le caract re de frais professionnels d duction faite des allocations pour frais ou remboursements de frais de la part de l employeur b Tous autres frais ayant un caract re professionnel ne figurant pas dans les rubriques de ce mode d emploi JUSTIFICATIFS Tous les justificatifs des frais list
62. sseurs et assistants territoriaux d enseignement artistique Ces personnels b n ficient en effet de seuils sp ci fiques fix s respectivement 12 et 15 heures hebdomadaires en application de la d cision du conseil du 1er octobre 1980 Je tiens tout d abord vous pr ciser que la d cision du 3 octobre 2001 s inscrit dans le cadre de la mise en oeuvre des 35 heures dans les collectivit s locales Elle a t formul e de telle sorte que le seuil d affiliation au r gime sp cial de retraite applicable compter du 1er janvier 2002 corresponde aux 4 5 mes de la dur e l gale de travail soit 28 heures pour une dur e hebdomadaire de 35 heures Toutefois cette d lib ration n a pas eu pour effet de modifier les seuils propres aux professeurs et aux assistants d enseignement artistique A cet gard j observe que les articles 2 des d crets n 91 857 et 91 859 du 2 septembre 1991 portant statuts particuliers des cadres d emplois de ces fonctionnaires mentionnent express ment que les professeurs territoriaux d enseignement artistique assurent un enseignement hebdomadaire de 16 heures Les assistants terri toriaux d enseignement artistique exercent quant eux leur acti vit raison de 20 heures par semaine A ce jour aucun texte r glementaire n a diminu ces temps de travail Or force est de convenir que le principe retenu par le conseil d ad ministration dans sa d cision du 3 octobre 2001 est au cas parti cu
63. te de la d claration 1 R R mun ration d clar e au titre de l activit artistique concern e c est dire nette notamment de cotisations sociales obligatoires et de la part d ductible de la CSG le cas ch ant plafonn e 124 370 2 Le cas ch ant applications des bar mes administratifs du prix de revient kilom trique des v hicules automobiles ou deux roues moteur Puissance fiscale du des v hicule s cv ou cm3 cv ou cm3 Kilom trage professionnel parcouru Frais d ductibles reporter lignes 4 et ou 5 n 4 4 me trimestre 2002 snam infos Juridique n 4 4 me trimestre 2002 sham infos gt A Une histoire de conte qui finit mieux pour la musicienne que pour le producteur Dans une affaire plaid e par le SPLAM CGT Syndicat des Pays de la Loire des Artistes Musiciens le conseil de prud hommes de Nantes vient de rendre un jugement qui sanctionne un producteur de spectacle notamment parce qu il n avait pas pay et d clar toutes les r p titions effectu es lors d une r sidence C est la cons quence de l application de l article L 324 11 1 du Code du travail qui depuis la loi de 1997 pr voit une indemnit de 6 mois de salaire pour le salari victime de travail dissimul Les faits qui sont l origine de ce jugement n ont malheureusement rien d exceptionnels La musicienne travaillait tr s r guli rement pour une associa
64. tion sp cialis e dans la diffusion de spectacles de conte Le conteur avec qui elle se produisait depuis plusieurs ann es avait d cid en 2001 de cr er un nouveau spectacle La musicienne avait cru devoir accepter de travailler gratuitement pour ces r p titions aux motifs que les d bouch s du spectacle lui offriraient de nombreux engagements et que le producteur n avait pas le budget suffisant pour la salarier en r p tition Le travail s tait d roul en r sidence dans une salle qu une ville de la r gion avait mise disposition Si l association ne payait pas les interpr tes elle salaria it cependant une chor graphe et une metteur en sc ne qui dirigeaient les r p titions Evidement lorsque le spectacle a t pr t c est elle qui payait tout le monde pour les repr sentations qu elle vendait ici ou l C est pour cela qu il a t ais de d montrer au tribunal que l association tait bien le producteur du spectacle et qu elle devait en assumer toutes les responsabilit s Tout a commenc tr s mal tourner lorsque quelques temps apr s le d but des repr sentations le conteur a d cid de virer la musicienne pour transformer le spectacle en solo Ce que le producteur a ent rin En r action la musicienne a videmment exig le respect de tous ses droits et donc saisi le tribunal avec l assistance juridique du syndicat Le montant des condamnations prononc es par le conseil de prud hom
65. tion de licence pour les petits lieux de musique en discussion au Parlement de West minster Ce communiqu pr cis et circonstanci a retenu toute notre attention Sur l ensemble du territoire europ en des modalit s nouvelles d organisation du temps de travail sont au centre d une r flexion laquelle les syndicats apportent leur indispensable contribution Cette volution vers une civilisation o le loisir sera amen prendre une place de plus en plus importante ne peut qu tre favorable au domaine culturel et notamment au secteur musical dont la langue par essence internationale est appel e d passer les fronti res des Etats Le SNAM en cons quence appuie sans r serve l initiative du BMU qui consiste favoriser par l emploi d artistes la pr sence de musique vivante dans les petits lieux votre combat ne peut qu tre le n tre et ceci d autant plus que nous avons des pro bl mes similaires dans notre propre pays Nous pensons d ailleurs que vu l aspect international de cette question il serait judicieux si cela n est d j fait de mener une action de sensibilisation coordonn e par la FIM aupr s du Par lement Europ en et de sa commission culturelle Porteuse de ce courrier nous nous rendrons en d l gation l Ambassade de Grande Bretagne Paris afin de faire valoir aupr s des autorit s britanniques notre opinion et apporter notre soutien votre action consid rant que la pr servati
66. ulouse Cannes et l op ra de Lyon dont les effectifs sont notoirement insuffisants et ne correspondent pas non plus aux missions qui leur sont d volues Ai certains ensembles de choeurs subissent une rosion sensible et alarmante du nombre de leurs artistes L op ra de Marseille a vu ses effectifs s ame nuiser petit petit pour atteindre 44 postes au lieu de 54 au d part sans compter les artistes en longue maladie qui ne sont pas remplac s C est l op ra de Nantes que la situation est aujourd hui pr occupante puisque le projet de la nouvelle structure syndicat mixte pr voit une r duction de l effectif du choeur 24 au lieu de 35 pr c demment Dans tous les cas il est noter que ces dimi nutions d effectif ne s accompagnent pas d une baisse de l activit des structures permanentes ni d une modification de leur programmation les postes manquants tant rem plac s au coup par coup par des artistes intermittents C est dans ce contexte que se d roulent actuellement les n gociations d annexes sp cifiques artistes lyriques et artistes musiciens permanents la convention collective nationale dite Syndeac La volont du SNAM ayant tou jours t de d fendre l emploi permanent nous propo sons d inclure dans l annexe de la convention une clause pr voyant une proc dure obligatoire de requalification en emplois permanents des emplois occup s par des CDD voir Snam infos n 3 article d Yves
67. vitalit la musique vivante notamment dans les com dies musicales Pour ce faire ils engageront la mobilisation de nos professions et du public d s les premi res repr senta tions la rentr e 2003 pour attirer l attention des pouvoirs publics sur ce fl au Nous exigeons que les spectacles qui se donnent sur bande enregistr e soient oblig s de le faire figurer sur toutes les publicit s bandes t l vis es affiches tracts articles de journaux dans une p riode o nos emplois subissent la concurrence d loyale de la pratique amateur du travail ill gal et o notre r gime d assu rance ch mage est remis en cause Nous appelons l ensemble de nos professions la mobilisation pour la d fense de nos emplois Aucune subvention aucun dispositif de reversement de la taxe parafiscale ne peut aujourd hui aller des spectacles qui refusent la pr sence d artistes musiciens et de choristes Les pouvoirs publics les associations de consom mateurs doivent nous entendre et exiger que soit pr cis lors des pr sentations de ces spectacles qu ils auront lieu en play back sur bandes son Les artistes musiciens CGT de la r gion parisienne se donnent d j rendez vous au Palais des Congr s pour les g n rales et la premi re des Demoiselles de Rochefort PAS DE SPECTACLES MUSICAUX SANS MUSICIENS VIVANTS E SN EU EEE EE Sn so nn eu le GS SAGE 7 l l l 7 I Demande d adh sion i i i i A NOM CL penom mra e E a a dot I Di a a

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