Ville de lillers
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1. Agent sp cialis principal de premi re classe des coles maternelles Auxiliaire de pu riculture principal de premi re classe Auxiliaire de soins principal de premi re classe Op rateur principal des activit s physiques et sportives Garde champ tre chef principal Class s l chelle 6 en leur permettant ainsi d acc der l chelon sp cial dot de l indice brut 499 Cet acc s l chelon sp cial ne suit pas la proc dure d avancement d chelon classique mais rev t les caract ristiques d un avancement de grade Aussi l acc s cet chelon sp cial s effectue apr s inscription un tableau d avancement tabli au choix apr s avis de la Commission Administrative Paritaire d partementale aux fonctionnaires ayant au moins trois ans d anciennet me dans le 7 chelon de leur grade class s en chelle 6 par appr ciation de la valeur profession nelle et des acquis de l exp rience professionnelle des agents Toutefois il convient au pr alable que les membres du conseil municipal apr s avis du Comit Technique Paritaire d lib rent quant au nombre maximum de fonctionnaires pouvant tre promus cet chelon sp cial par application d un taux de promotion l effectif des agents promouvables Le Comit Technique Paritaire r uni le 15 f vrier 2013 s est prononc favorablement pour que soit appliqu le taux de promotion de 100 des agents promouvables Consid2. l unanimit 4 Centre Social La Maison Pour Tous Vacances en famille t 2013 Engagement de l action et participation des familles Monsieur le Maire rappelle l assembl e que dans le cadre du contrat de projet animation collective famille et des ateliers mis en place par le Centre Social La Maison Pour Tous un projet de vacances en famille est organis et port par les acteurs et intervenants dudit Centre 6 le Conseil de la Cit mars 2013 n 100 D lib rations budg taires Centre social vacances en familles suite Social Ce projet s adresse aux familles qui participent r guli rement aux activit s aux actions aux groupes et comit de r flexion du Centre social et de l association d usagers Le projet a pour objectifs de permettre l acc s aux vacances aux familles lill roises et de les mobiliser sur des actions collectives En 2013 les vacances familles s organiseront en un seul s jour Le co t du s jour comprend le voyage l h bergement les taxes diverses et l alimentation Afin de financer ce projet le conseil municipal doit autoriser la pr sentation dudit projet dans le cade de diff rents dispositifs de financement Il convient galement de fixer les tarifs de participation des familles au co t du s jour Dans le cade de l investissement des familles des actions d autofinancement seront organis es par l association d usagers La somme globale r
3. coles publiques e les actions en faveur de la s curit seront amplifi es dans le respect d une m thode claire qui vise privil gier l information et la pr vention la r pression e sur certaines situations tr s ponctuelles nous poursuivrons la concertation directe avec les personnes concern es comme nous l avons fait encore r cemment Manqueville afin que nos services puissent intervenir apr s la signature de conventions Les choix politiques et budg taires de r sorber les friches notamment en c ur de ville nous permettent de disposer aujourd hui d emprises fonci res importantes Si certaines friches comme celle de Tous les bois ont t r affect es la construction de logements d autres font l objet de discussions avec des promoteurs int ress s par le positionnement et les quipements dont dispose la commune 4 A ce titre nous porterons une attention particuli re la concr tisation du dossier p le d changes ce quartier de la Gare devant s inscrire dans la strat gie d largissement et de dynamisation du c ur de ville en pleine coh rence avec les programmes d actions de nos partenaires que sont le Conseil R gional et le Conseil G n ral avec qui via l intercommunalit nous nous engageons sur un nouveau contrat territorial Notre strat gie durable de d veloppement pourrait s inscrire dans une triple orientation L habitat tant dans sa dimension de constructi
4. d autres sont venus nous demander de l arr ter car travaillant la nuit ils ne parvenaient pas dormir Petit Papa No l hantant leurs tympans Il conviendra sans doute d largir la palette des interpr tations pour que la bande musicale puisse fonctionner en continu mettant une ambiance qui ne tourne pas au cauchemar car une chose est de l entendre de fa on ponctuelle une autre est de l couter pendant de longues heures chaque jour 15
5. en toute d mocratie le Conseil de la Cit mars 2013 n 100 Communication La r forme des rythmes scolaires Carole Dubois s adresse au conseil en ces termes Ce mardi 12 mars 2013 parents d l ves et enseignants ont t convi s par nos soins une ren contre afin d en savoir plus sur les modalit s de la r forme des rythmes scolaires et d changer sur les enjeux de celle ci Afin que chacun puisse avoir la m me connaissance des enjeux les grandes lignes du d cret n 2013 77 du 24 janvier 2013 relatif l organisation du temps scolaire dans les coles mater nelles et l mentaires ont t pr sent es l assistance Pour rappel les principes fix s par le texte sont passer de 144 jours de classe 180 jours 24 heures de classe par semaine sur 9 demi journ es Pause m ridienne de 1 h 30 minimum 5 jours de classe lundi mardi jeudi vendredi et mercredi matin le samedi matin sur d rogation 1 Journ e de classe 5 h 30 maximum une demi journ e 3 h 30 maximum l cole maternelle peut avoir une autre organisation que l cole l mentaire en particulier pour les jeunes enfants sieste des activit s p dagogiques compl mentaires sont dispens es par les enseignants 36 heures r partir sur l ann e et organis es en groupes restreints des temps d activit s p riscolaires sont mis en place par les collectivit s et organis s sur la base
6. mun ration du personnel d animation Monsieur le Maire expose l assembl e la n cessit de recruter du personnel d animation pour les centre de loisirs d t 2013 Pour tre en conformit avec les dispositions de l article 3 de la loi n 84 53 du 26 janvier 1984 il convient d une part de d terminer approximativement le nombre d emplois cr s et d autre part de fixer la r mun ration des agents par rapport un indice de la Fonction Publique Territoriale le Conseil de la Cit mars 2013 n 100 D lib rations budg taires Centre social centre de loisirs d t r mun rations suite Sont propos s les l ments suivants e Nombre approximatif d emplois qui seront cr s pour les mois et juillet et ao t 2013 Emplois de direction temps plein 5 Emplois de direction adjoint temps plein 9 Emplois d animateurs temps plein 60 dont 10 avec BAFA en cours maximum Emplois d animateurs non qualifi s temps plein 10 maximum Emplois d intendance temps plein 2 e R mun ration Type d emplois Formation Indice Brut IB Correspondances Temps de travail Indice major IM Grille FPT IB IM Animateurs non Aucune 297 309 Adjoint d animation Temps plein Qualifi s de plus de 2 classe 18 ans 1 chelon chelle 3 Animateur Validation de stage Adjoint d animation Pratique pendant le 297 309 2 classe Tem
7. rant que la Collectivit a la volont de valoriser les agents exp riment s et de faciliter les d roulements de carri re Monsieur le Maire propose aux membres du conseil municipal de se prononcer sur ce dispositif en fixant un taux de promotion de 100 des agents promouvables gt Vot l unanimit 10 le Conseil de la Cit mars 2013 n 100 D lib rations budg taires suite 8 Ressources Humaines Loi n 2012 347 du 12 mars 2012 Monsieur le Maire fait part aux membres du conseil municipal des dispositions de la loi n 2012 347 du 12 mars 2012 qui pr voit notamment un dispositif de r sorption de l emploi pr caire en deux tapes La premi re de ces tapes est une tape de cdlsation transformation de contrats dur e d termin e d agents non titulaires en contrats dur e d termin e sous r serve que ces agents remplissent un certain nombre de conditions La seconde de ces tapes est une tape de titularisation cr ation de voies professionnalis es de titularisation pour les agents en contrat dur e ind termin e ou d termin e sous r serve qu ils remplissent l galement certaines conditions 7 assistants territoriaux d enseignement artistiques non titulaires intervenant au sein de l cole municipale de musique remplissent les conditions pour tre cdls s L un d entre eux remplit les conditions pour tre titularis Ces l ments ont t port s l ordre
8. du jour du dernier Comit Technique Paritaire qui s est r uni le 15 f vrier 2013 Les membres du Comit Technique Paritaire au regard du rapport portant sur la situation des agents et programme pluriannuel d acc s l emploi titulaire ont mis un avis favorable quant aux dispositifs et plus pr cis ment sur le volet titularisation au cours de l ann e 2013 Aussi Monsieur le Maire propose aux membres du conseil municipal de se prononcer galement au regard du rapport portant sur la situation des agents et programme pluriannuel d acc s l emploi titulaire ci annex et sur les preuves de s lections professionnelles en vue de la titularisation de l assistant territorial d enseignement artistique concern qui seront organis es par le Centre de Gestion du Pas de Calais gt Vot l unanimit 9 Ressources Humaines Indemnit d Exercice de Mission des Pr fectures Nouveaux montants de r f rence L arr t du 24 d cembre 2012 publi au Journal Officiel du 27 d cembre 2012 fixe de nouveaux montants de r f rence de l Indemnit de Missions des Pr fectures applicables aux personnels des pr fectures Cet arr t transposable aux fonctionnaires territoriaux prend effet au 1 janvier 2012 Il abroge l arr t du 26 d cembre 1997 qui fixait les montants de l IEMP depuis la cr ation de l indemnit en 1997 Toutefois pour certains grades l application des nouveaux montants de
9. du volontariat des familles les l ves peuvent repartir apr s le temps scolaire Le d cret autorise les maires intervenir la fois sur les horaires d entr e et de sortie des classes la dur e de la pause m ridienne mais aussi et l est la nouveaut sur les modalit s d articulation des temps d enseignements et des temps p riscolaires Partant de ces r gles quelles sont les projections sur les implications de cette r forme sur l organi sation g n rale un besoin accru d animateurs qui interviendraient sur une p riode quotidienne de 45 minutes pour Lillers qui dispose de 9 coles il faudrait recruter de 50 animateurs des contraintes li es aux locaux pour l accueil des l ves sur le temps p riscolaire le n cessaire recentrage sur le temps p riscolaire des activit s d veil musical dispens es par un personnel communal aujourd hui sur le temps scolaire des charges suppl mentaires r elles assum es par la commune qui percevrait une enveloppe financi re de 50 par enfant Cette liste n est pas exhaustive Les parents d l ves ont exprim bien d autres contraintes Mais plus globalement nous pensons que la r forme des rythmes scolaires marque le d sengagement de l Etat Elle nous semble tre un pr texte pour transf rer progressivement la scolarit vers les municipalit s et sans galit entre les territoires N y a t il pas l la recherche d un nouveau partage
10. 013 n 100 D lib rations budg taires Centre social Contrat enfance jeunesse suite L organisation de camps itin rants lors des vacances scolaires Monsieur le Maire demande au conseil municipal de l autoriser signer les conventions d objectifs et de financement du Contrat Enfance Jeunesse engager des actions nouvelles pr sent es ci dessus un Club Ados pour les plus de 11 ans une passerelle jeunesse entre les structures de la Ville et de la Communaut Artois Lys formation des futurs animateurs et directeurs de Centres la mise en place d une fonction pilotage donc d un poste de coordinateur jeunesse l organisation de s jours et de camps itin rants engager les d penses inh rentes ces actions nouvelles gt Vot l unanimit 7 Ressources Humaines Echelon sp cial de la cat gorie C hors fili re technique de la Fonction Publique Territoriale Le d cret n 2012 552 du 23 avril 2012 relatif l chelon sp cial de la cat gorie C de la Fonction Publique Territoriale donne ouvrir compter du 1 mai 2012 de nouvelles perspectives aux fonctionnaires territoriaux de cat gorie C autres que ceux de la fili re technique appartenant l un des grades suivants Adjoint administratif principal de premi re classe Adjoint d animation principal de premi re classe Adjoint du patrimoine principal de premi re classe Agent social principal de premi re classe
11. 13 et ce pour la 8 ann e cons cutive Pour 2013 sur le plan de la commune avec une fiscalit taux constants nous poursuivrons nos efforts 4 le Conseil de la Cit mars 2013 n 100 D bat d Orientations Budg taires suite budg taires tant en d penses qu en recherche de nouvelles recettes en particulier au travers les subventions inh rentes la d clinaison de programmes via l intercommunalit Nous nous attacherons poursuivre la transformation et le d veloppement de notre ville en veillant conforter nos services la population 3 Les r unions de quartiers ont permis de pr senter aux habitants quelques uns des projets qui se concr tiseront en 2013 sachant que sans n gliger les hameaux nous concentrerons l essentiel de nos interventions sur le centre ville avec notamment e la mise en place d un cheminement pour personne mobilit r duite e la d molition de l ancienne P M I maintenant que les nouvelles chaufferies sont op rationnelles avec l am nagement d un nouveau parking proximit de la salle Charles anticipant les volutions du secteur avec la mont e en puissance du p le d changes e la poursuite des am nagements pour favoriser les modes de d placement doux en parall le avec la d clinaison trame bleue trame verte sur le territoire e la r novation et le gros entretien du patrimoine communal avec une attention particuli re accord e aux 9
12. Monsieur le Maire expose l assembl e la possibilit de signer avec la CAF un Contrat Enfance Jeunesse CEJ Le CEJ est un contrat d objectifs et de co financement pass entre la CAF et un partenaire la Ville de Lillers Sa finalit est de poursuivre et optimiser la politique de d veloppement en mati re d accueil des moins de 18 ans Les familles ont des besoins croissants en mati re d accueil pour la petite enfance et les jeunes Poursuivre le d veloppement de l offre d accueil figure donc au rang des priorit s pour la branche Famille et l ensemble des acteurs du champ social Les contrats enfance et jeunesse ont deux objectifs principaux e Favoriser le d veloppement et optimiser l offre d accueil par Un soutien cibl sur les territoires les moins bien servis au regard des besoins rep r s Une r ponse adapt e aux besoins des familles et de leurs enfants Un encadrement de qualit Une implication des enfants des jeunes et de leurs parents dans la d finition des besoins la mise en uvre de l valuation des actions Une politique tarifaire accessible aux enfants des familles e Contribuer l panouissement des enfants et des jeunes et leur int gration dans la soci t par des actions favorisant l apprentissage de la vie sociale et la responsabilisation pour les plus grands Les financements consentis par la CAF concernent prioritairement les actions sp cifiques la fonction d accueil I
13. Ville de lillers D partement du Pas de Calais Arrondissement de B thune Canton de Lillers le Conseil d l2 Cit Compte rendu mars 2013 100 Le conseil municipal s est r uni le 14 mars 2013 salle d honneur de l H tel de Ville sous la pr sidence de Monsieur Pascal Barois Maire Nous vous pr sentons ci apr s le contenu des d lib rations qui ont t vot es par l assembl e Quant au compte rendu int gral des d bats il peut tre consult en mairie sur simple demande taient pr sents M Barois Maire Mmes Dubois M Lelong Mmes Margez Merlin MM Boillet Descamps Lefebvre Adjoints M Andri s Mmes Mullet Delbarre M Paquet Mme Fa s M Danel Mme Ternoy M Legras Mme Catouillart M Tartare Mme Fontaine MM Maillet Demandrille Mme Canda Conseillers Municipaux taient excus s et repr sent s Mme Philippe M Montvoisin taient excus es Mme Leroy MM Harrock Evrard Mmes Boulanger Vedel D mocratie mode d emploi Toutes les propositions qui ont fait l objet de d lib ration au Conseil Municipal ont t pr alablement pr sent es et d battues dans les commissions respectives Les diff rents groupes au Conseil Municipal ont des repr sentants dans chaque commission Ces repr sentants ont la possibilit de faire des remarques des suggestions et des propositions Cette fa on de proc der permet aux uns et aux autres d exercer normalement leur mandat d lu
14. ant hauteur de 100 du reste charge d s lors que les activit s sur lesquelles seraient recrut s les jeunes correspondraient aux priorit s r gionales Monsieur le Maire pr cise que dans le cadre de ce nouveau type de contrats de droit priv les employeurs devront mettre l accent sur l encadrement et l int gration des jeunes salari s notamment via l identification de tuteurs et sur la mise en uvre d actions de formation permettant aux jeunes d tablir un v ritable parcours d insertion et de qualification Monsieur le Maire demande aux membres du conseil municipal de l autoriser inscrire la Commune de Lillers dans le dispositif des Emplois d Avenir dans un premier temps pour 3 5 postes intervenir la signature des conventions inh rentes au dispositif avec l Etat la R gion et tout autre organisme susceptible d intervenir dans la mise en place l instruction le suivi ou le financement du dispositif gt Vot l unanimit 1 12 le Conseil de la Cit mars 2013 n 100 R ponses aux questions orales pos es lors du conseil municipal du 17 janvier 2013 Question de M Demandrille du groupe Avec vous pour une ville dynamique La Communaut Artois Lys a cr une taxe d enl vement des ordures m nag res Elle concerne tous les propri taires de biens immobiliers de l ensemble du territoire Les Lill rois ont d couvert ce pr l vement lors de la r ception de l
15. ation aux communes de 3500 habitants et plus d organiser dans les deux mois qui pr c dent l examen du budget primitif un d bat d orientations budg taires La d lib ration permettra de prendre acte de la tenue de ce d bat L article L2312 1 du CGCT institue qu un d bat a lieu au conseil municipal sur les orientations g n rales du budget de l exercice ainsi que sur les engagements pluriannuels envisag s Il s agit donc pour l assembl e municipale de prendre connaissance du contexte des hypoth ses et des orientations du budget La pr paration du budget s inscrit dans un cadre national et international particuli rement pr occupant la croissance du ch mage plus de 4 millions d inscrits P le Emploi un taux jamais atteint et en croissance continue depuis pr s de 2 ans Une situation sociale d grad e avec plus de 8 millions de personnes vivant sous le seuil de pauvret Des milliers de postes supprim s dans les services publics l instar des pays europ ens qui subissent la crise conomique et financi re Des collectivit s locales inqui tes qui voient l Etat se d sengager Une crise financi re accentu e et un syst me bancaire qui s effondre Une crise europ enne g r e au moyen d une rigueur qui accentue la d gradation de la situation Sur ces aspects force est de constater que nous allons engager ce d bat d orientation budg taire sur un fonds de redites comme nous le fai
16. colt e sera un apport suppl mentaire pour organiser les loisirs sur le lieu du s jour sorties activit s animations diverses Le co t global et pr visionnel du projet vacances en famille est estim 25 000 Pour toutes ces raisons Monsieur le Maire demande l autorisation du conseil municipal D engager les d penses inh rentes au projet De demander des financements et d poser des dossiers de demandes de subventions au Conseil G n ral au Conseil R gional la Caisse d Allocations Familiales dans le cadre du R seau d Ecoute d Appui et d Accompagnement des Parents CAF REAAP 62 au dispositif des Ch ques Vacances Vacances Ouvertes ANCV et tout autre organisme et dispositif pouvant financer le projet pr sent De fixer les tarifs de participation des familles au co t des s jours comme suit Un tarif unique pour tout participant de 50 De permettre aux familles de s acquitter du tarif avec des ch ques vacances ANCV De permettre aux familles de verser leurs participations en plusieurs fois de mars juin 2013 De valider le principe de la gratuit pour les accompagnateurs animateurs du centre social De rembourser la somme de 50 aux personnes qui ne pourraient pas se rendre au s jour et ayant donn un justificatif certificat m dical attestation d employeur gt Vot l unanimit 5 Centre Social La Maison Pour Tous Centre de Loisirs t 2013 R
17. des responsabilit s entre l Etat et les collectivit s territoriales le Conseil de la Cit mars 2013 n 100 Communication suite Restons persuad s que la r ussite des l ves d pend de bien d autres facteurs des effectifs raisonnables par classe des programmes adapt s la formation des enseignants La mise en uvre d une telle r forme n cessite une concertation approfondie Il n y a aucune urgence et il faut prendre le temps de faire une r forme au service de la r ussite de tous les l ves sur tout le territoire Et il faut des moyens pour am nager le temps de l enfant l cole Au regard des probl matiques soulev es et du peu de temps imparti pour la mise en application d s la rentr e 2013 2014 nous proposons tout prochainement la mise en place de groupes de travail associant pleinement les enseignants les parents les lus les acteurs de la vie scolaire au d bat sur le sens que l on apporte cette r forme qui peut para tre contraire la construction d une cole de l galit et de l mancipation et pla ant avant tout l enfant au c ur du projet d une refondation de l cole r ussie et partag e s accompagnant de moyens pour tre efficaces D bat d orientations budg taires 1 D bat d Orientations Budg taires Ann e 2013 pr sent par Mme Dubois 1 Adjointe charg e du budget Le code g n ral des collectivit s territoriales fait oblig
18. eur taxe fonci re Pour diff rentes raisons un grand nombre de logement sont vacants et la taxe reste n anmoins redevable pour ces Lill rois qui n utilisent pas de fait le service de ramassage Pouvez vous revoir la question pour que ces Lill rois b n ficient d un d gr vement total ou partiel R ponse de M Boillet Adjoint au cadre de vie l environnement aux affaires rurales et agricoles Votre question nous permet une fois encore d apporter des pr cisions concernant la politique de collecte de traitement et de valorisation des d chets sur le territoire de l intercommunalit tout en soulignant que les lus locaux ne font pas les lois mais les appliquent et ne peuvent que les appli quer m me s ils ne les cautionnent pas Tout d abord sachez que sur 10 ans le tonnage global des d chets est pass de 14 700 tonnes en 2001 11 800 tonnes en 2012 soit une r duction de 2 900 tonnes Cette r duction de 19 72 est d autant plus appr ciable que la population n a cess de croitre sur le territoire notamment avec l arriv e de Lillers et d Allouagne en 2002 au sein de la C A L puis la progression d mographique continue du territoire De m me il faut appr cier la part croissante des d chets recyclables dans les tonnages collect s Malgr ces volutions positives il n en restait pas moins vrai que le co t du service restant charge de la communaut tait toujours particuli rement i
19. ins est l arr t de fond musical dans les rues de la ville Pour quelle raison avez vous renonc cette tradition R ponse de M Lefebvre Adjoint au d veloppement urbain et conomique Une fois de plus nous constatons et pouvons d plorer que dans le pr ambule de votre question vous accommodez la v rit pour vous permettre d exprimer un point de vue souvent tr s personnel Puisque vous avez vot la d lib ration vous savez comment s organise le partenariat des manifes tations locales lors des temps forts commerciaux dont les f tes de fin d ann e Nous pensons qu effectivement il devient difficile d avoir l esprit faire la f te quand ce sont les difficult s qui au quotidien assaillent une grande majorit de la population De nombreuses enqu tes sur la consommation des m nages lors de la p riode de fin d ann e ont confirm une tendance nette un repli malgr les sacrifices consentis pour que les enfants soient g t s par le P re No l C est d abord le pouvoir d achat de chacun qui fait le chiffre d affaire du commerce pas le fait d tre spectateur d animations aussi sophistiqu es soient elles Concernant la bande musicale elle seule est elle l animation qui selon vous fait d faut Nous en doutons __ 4 le Conseil de la Cit mars 2013 n 100 R ponses aux questions orales suite Sachez cependant que si certains Lill rois en ont d plor l absence
20. ique et social Ce n est pas l aust rit rig e en dogme de la gouvernance sous le contr le de la commission europ enne et des agences de notation qui va restaurer une croissance cr atrice d emplois Ce n est pas la lutte contre les d ficits publics notamment par le d lestage des missions de l Etat vers les collectivit s territoriales la r forme des rythmes scolaires tant un exemple d actualit qui va aider l investissement public et donc l activit conomique Mesurons le nombre d heures de travail que repr sentent les quelque 25 millions d Euros investis par la commune depuis le d but du mandat celui de 2008 notamment dans la r alisation d quipements mis disposition des associations des coles et plus g n ralement de la population Sachant que le pouvoir d achat des actifs est mis mal et le sera encore plus avec l accord honteux dit de comp titivit Sachant que les retraites vont faire l objet de pr l vements suppl mentaires puisque l article 11 de la loi de financement de la s curit sociale pour 2013 instaure une Contribution Additionnelle de Solidarit pour l Autonomie C A S A sur les pensions des retrait s imposables Cette nouvelle taxation pr vue 0 15 puis 0 30 des quelque 8 millions de retrait s imposables rapportera 700 millions d Euros Chacun comprendra ais ment que nous n envisageons pas l volution des taux d imposition locaux pour l ann e 20
21. ls doivent repr senter au minimum 85 du montant de la prestation vers e par la CAF Un maximum de 15 peut tre affect la fonction de pilotage Le contrat est fond sur deux exigences principales L efficacit offrir une meilleure visibilit sur les actions et moyens mettre en place l quit territoriale et sociale la priorit est donn e aux territoires et publics les moins bien couverts La dur e du contrat est de 4 ans Le taux de financement est de 55 des d penses de la ville en ne d passant pas les prix plafonds de la CAF sur les accueils de mineurs et dans le cadre d actions nouvelles La Ville de Lillers organise l Accueil Collectif des Mineurs dans le cadre des Centres de Loisirs des mercredis des petites vacances et de l t La Ville de Lillers proposerait des actions nouvelles dans le cadre d un CEJ Ces actions seraient L accueil des jeunes au Centre de Loisirs dans le cadre de la cr ation d un Club Ados pour les plus de 11 ans La mise en place d une passerelle jeunesse entre les structures de la Ville et de la Communaut de communes Artois Lys La formation des futurs animateurs et directeurs de Centres BAFA et BAFD La coordination du projet enfance et jeunesse pour la mise en place d une fonction pilotage donc d un poste de coordinateur jeunesse L organisation de s jours lors des vacances scolaires xoi le Conseil de la Cit mars 2
22. mportant plus de 2 1 millions d Euros en 2007 1 9 million d Euros en 2008 2 3 millions d Euros en 2009 et 2010 Ces co ts sont rapprocher des recettes fiscales 4 millions d Euros en 2007 4 3 millions d Euros en 2008 4 6 millions d Euros en 2009 A l unanimit les lus du Conseil Communautaire se sont donc engag s par l adoption d une d lib ration dans un programme local de pr vention des d chets en partenariat avec l Agence de l Environnement et de la Ma trise de l Energie Cette d cision s inscrit dans les objectifs de la loi Grenelle du 03 08 2009 qui en mati re de d chets fixe deux obligations R duire de 7 en 5 ans la quantit des ordures m nag res collect es Identifier le co t et le financement du service A l issue d une quinzaine de r unions le groupe de travail rassemblant lus des communes et techniciens a formul des propositions qui ont t soumises au Conseil Communautaire Sachant que 95 des collectivit s ont mis en place un mode de financement sp cifique de collecte et de valorisation des d chets soit la T E O M soit la R E O M c est lors de sa r union du 10 octobre 2011 que le Conseil Communautaire a d cid unanimement d instituer et de percevoir la T E O M avec effet au 1 janvier 2012 C est lors de sa r union du 19 d cembre 2011 avec la m me unanimit que le Conseil Communautaire a d cid de mettre en place une redevance sp ciale pour les professio
23. nnels qui utilisent des bacs de 660 litres Sur les quelques 700 professionnels personne physique ou morale en dehors des m nages du territoire une petite centaine a recours des bacs de 660 litres Parmi cette centaine il y a les communes qui elles aussi s acquitteront de la redevance sp ciale Dans la m me unanimit il a m me convenu qu il fallait vraiment poursuivre la n cessaire r duction des tonnages d o la poursuite des efforts et la recherche de solutions alternatives comme par exemple 13 le Conseil de la Cit mars 2013 n 100 R ponses aux questions orales suite la mise en place de la ressourcerie Je peux m me vous pr ciser que depuis le renouvellement lectoral de 2008 les consultations lanc es dans le cadre des march s publics ont toutes abouti une r duction globale des co ts de valorisation ou d limination malgr une volution croissante de la Taxe G n rale sur les Activit s Polluantes une T G A P qui diff re en fonction du mode d limination Si les lus communautaires n ont pas souhait la mise en place de d gr vement c est aussi parce qu ils ont baiss de plus de 18 des taux d imposition intercommunaux et que ces taux resteront fig s pour 2 ans D autre part ces m mes lus ont adopt un taux de T E O M limit 8 alors que le taux moyen national est de 10 Enfin vous savez que de par la loi la perception de la T E O M n est pas li e au
24. ons nouvelles que dans l action contre l habitat d grad Le d veloppement conomique tant par un accompagnement de l existant en mati re de commerce et d artisanat que par une aide avis e la transmission d activit s De m me dans le cadre du futur P L U si nous envisageons de confirmer la vocation agricole d une cinquantaine d hectares jusqu pr sent positionn s en zone conomique pour autant nous entendons poursuivre le d veloppement de nos zones Les services Aujourd hui la qualit des services propos s la population de la petite enfance aux a n s est un des facteurs d attractivit d un territoire De ce point de vue la diversit des services publics locaux est un atout pour notre commune C est pourquoi nous avons engag ne pouvant nous satisfaire du statu quo la d marche qualit des services la personne gt Le D bat d Orientations Budg taires ne fait pas l objet d un vote le Conseil de la Cit mars 2013 n 100 D lib rations budg taires 2 Exercice budg taire 2013 Budget Ville Produits irr couvrables Madame la Tr sori re Municipale fait savoir qu elle n avait pu recouvrer certains produits au titre des ann es ant rieures pour le budget de la commune Monsieur le Maire demande au conseil municipal de bien vouloir d cider l admission en non valeur de ces produits irr couvrables et d imputer cette somme l article 654 per
25. ps plein Centre BAFA en cours 1 chelon chelle 3 Animateur BAFA complet ou 333 316 Adjoint d animation Temps plein Equivalence 1 classe 6 chelon chelle 4 Directeur adjoint BAFA complet ou 374 345 Animateur 5 me Temps plein Equivalence Echelon Directeur adjoint BAFD en cours ou 398 358 Animateur 6 Temps plein Equivalence Echelon BAFD complet ou Equivalence Directeur BAFD complet ou 457 400 Animateur 9 Temps plein Equivalence Echelon Intendant Permis B de 2 ans 297 309 Adjoint d animation Temps plein Niveau Bac 2 classe 1 Echelon chelle 3 Il est propos que 5 jours maximum soient pay s aux personnels d animation afin de r mun rer le travail de pr paration et cela selon un tat de pr sence Une indemnit de 7 sera vers e par nuit de camping suivant un tat de participation des personnels d animation Une indemnit de 10 sera vers e par nuit de s jour suivant un tat de participation des personnels d animation Monsieur le Maire sollicite l approbation des membres du conseil municipal quant la cr ation des emplois et la r mun ration de ceux ci pour les Accueils de Mineurs de l t 2013 en Centres de Loisirs campings camps itin rants et s jours gt Vot l unanimit le Conseil de la Cit mars 2013 n 100 D lib rations budg taires suite 6 Centre Social La Maison Pour Tous Contrat Enfance Jeunesse
26. r f rence peut se r v ler d favorable aux agents Il convient donc de d lib rer pour maintenir pour les agents qui seraient d favoris s par l application des nouveaux bar mes l ancien montant de r f rence ceci en application du troisi me alin a de l article 88 de la loi du 26 janvier 1984 Monsieur le Maire propose aux membres du conseil municipal de se prononcer favorablement quant aux dispositions ci dessus expos es gt Vot l unanimit plie le Conseil de la Cit mars 2013 n 100 D lib rations budg taires Emploi d avenir suite 10 Emplois d Avenir Monsieur le Maire fait part l assembl e d lib rante des dispositions de la loi n 2012 1189 du 26 octobre 2012 et du d cret n 2012 1210 du 31 octobre 2012 qui mettent en place une nouvelle forme d emplois aid s dont l objectif est de faciliter l insertion professionnelle et l acc s la qualification des jeunes peu qualifi s sans emploi g s la signature du contrat de travail de 16 25 ans ou de moins de 30 ans s ils sont reconnus travailleurs handicap s Les collectivit s territoriales et leurs groupements font partie des employeurs potentiels et peuvent b n ficier dans le cadre de recrutements de jeunes sur ce nouveau dispositif d une aide de l Etat correspondant dans l tat actuel des choses 75 du SMIC La R gion Nord Pas de Calais par ailleurs compl terait l aide de l Etat en particip
27. r atteindre ses objectifs l Etat va stabiliser en 2013 ses concours financiers aux collectivit s puis les diminuer de 750 M en 2014 et 750 M en 2015 Cette d marche mise en uvre par le gouvernement comporte un risque important celui de mettre compl tement en arr t l activit conomique en premier lieu le b timent et le secteur des travaux publics dans une conjoncture d j difficile pour les carnets de commande des entreprises et la tr sorerie des entreprises Ne faudrait il pas travailler trouver des recettes nouvelles et notamment en s attaquant au monde de la sp culation financi re Ne conviendrait il pas mieux de chercher de nouvelles recettes en taxant les actifs financiers permettant ainsi une v ritable strat gie de d veloppement en faveur des territoires La loi de finances pour 2013 est bas e sur une hypoth se de croissance du PIB en volume de 0 8 M me si ce taux de croissance est pr sent comme r aliste et volontaire le rapport conomique social et financier de la loi rappelle toutefois que l hypoth se est tout de m me sup rieure de 0 5 point par rapport la croissance de 2012 valu e 0 3 La crise conomique et la strat gie financi re de l Etat pour y faire face sont tr s pr occupantes Les recettes sont gel es ou en diminution et les charges elles sont de plus en plus lourdes 2 Nous ne pouvons d connecter la pr paration budg taire de ce contexte conomique polit
28. service rendu Les propri taires de logements vacants y sont donc astreints La lutte contre la vacance prolong e des logements est un des objectifs que nous nous assignons C est le sens de la d lib ration adopt e l unanimit le 28 juin 2012 Aussi en pleine coh rence avec les d lib rations unanimes tant communautaires que municipales nous n envisageons pas de demander au conseil communautaire de revenir sur les d lib rations avant la fin de la mandature Dans le contexte de multiplicit des r formes et du manque de lisibilit de leurs impacts financiers sur les collectivit s court moyen et long terme aucun lu s rieux ne veut se pr cipiter dans une modification de l quilibre fiscal des collectivit s De ce point de vue je vous invite lire les diff rents communiqu s de l Association des Maires de France qui au del de tout esprit partisan pointe la r alit des enjeux et leurs probl matiques pour l avenir des collectivit s en particulier des plus petites Question de M Demandrille du groupe Avec vous pour une ville dynamique Beaucoup de Lill rois sont tonn s du peu d animations dans notre ville pendant les f tes de fin d ann e En effet si Lillers certaines actions ont eu lieu cela n a pas suffi marquer les esprits No l semble dispara tre un peu plus chaque ann e au regret de nombreux habitants La preuve flagrante remarqu e de tous et soulign e par certa
29. sions d j en 2011 et en 2012 Le contexte de pr paration du budget 2013 est donc marqu par une situation conomique difficile et une crise des finances publiques qui ne se r sout pas Selon des rep res officiels il convient de retenir que l volution du produit int rieur brut illustre une stagnation de l conomie que l inflation tend diminuer mais que la faiblesse de la consommation se confirme te le Conseil de la Cit mars 2013 n 100 D bat d Orientations Budg taires suite 1 La dette des administrations publiques en France est un niveau jamais atteint 91 3 du PIB pour 2013 Ce ratio s tablissait 55 en 2001 et 64 en 2007 Les crit res de convergence de Maastricht fixaient 60 la limite ne pas d passer Rappelons que ces crit res de convergence taient d j source de rigueur et d aust rit Cette dette est le r sultat du d ficit des administrations publiques qui a atteint 7 5 du PIB en 2009 5 2 en 2011 Ce poids de la dette en France et dans les autres pays de l Union Europ enne n est plus soutenable et la monnaie europ enne est affaiblie Le gouvernement issu des lections de mai et juin 2012 s est fix comme objectif de ramener ce d ficit au niveau maximum des crit res de Maastricht soit 3 d s l exercice 2013 puis progressivement 0 3 en 2017 afin de diminuer la dette Mais cette d marche va impacter les finances des collectivit s car pour pouvoi
30. tes sur cr ances irr couvrables Ann e 2004 881 58 Ann e 2005 65 32 Ann e 2006 354 40 Ann e 2007 1 109 30 Ann e 2008 1 336 30 Ann e 2009 104 68 Ann e 2010 361 00 Soit un total de 4 212 58 gt Vot l unanimit 3 Demande de subvention du FLJEP Tennis de Table pour intervention en milieu scolaire Monsieur le Maire rappelle aux membres de l assembl e d lib rante que depuis 2002 le conseil municipal accorde une subvention au FLJEP Tennis de Table pour interventions en milieu scolaire cole Desnos En effet le club pongiste d finit chaque ann e en lien avec les enseignants concern s des activit s physiques et motrices encadr es par des entra neurs dipl m s avec pour support le tennis de table Aussi l association a fait parvenir la commune de Lillers une demande de subvention afin que celle ci apporte son soutien financier aux interventions que l association pr voit l cole Desnos pour l ann e scolaire 2012 2013 Compte tenu de l int r t des interventions de l association et au regard de la politique de l quipe municipale en direction des scolaires Monsieur le Maire propose aux membres du conseil municipal d attribuer l association une subvention d un montant de 614 Le versement de cette subvention sera subordonn la pr sentation par l association d un bilan moral p dagogique et financier gt Vot
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