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1. valuation du statut des pays au regard de la peste bovine s est tenue du 20 au 22 octobre 2004 au si ge de l OIE Paris La premi re partie de la r union lignes directrices pour la surveillance et l valuation du statut des pays a t pr sid e par le Professeur Vincenzo Caporale Pr sident de la Commission scientifique de l OIE pour les maladies animales Commission scientifique et la seconde partie par le Docteur Arnon Shimshony La fonction de rapporteur a t assur e par le Docteur Peter Roeder L ordre du jour et la liste des participants figurent respectivement dans les annexes I et II 1 Aspects et activit s d coulant du rapport de la r union pr c dente 7 et 8 janvier 2004 du Groupe ad hoc de l OIE pour l valuation du statut des pays au regard de la peste bovine Deux questions relatives au chapitre du Code sanitaire pour les animaux terrestres le Code terrestre sur la peste bovine devaient tre d battues durant la r union La premi re portait sur les modifications 4 apporter en mati re d utilisation du vaccin contre la peste bovine lors des d placements internationaux de bovins Le second th me concernait le regroupement des tapes relatives l absence de maladie et l absence d infection de la Proc dure de l OIE pour obtenir un seul statut indemne au regard de la peste bovine Comme convenu la premi re r union du Groupe ad hoc en janvier la discussion devait s inspirer d une p
2. La Commission a tudi un courrier adress par le Taipei China concernant certaines recommandations sur les normes de surveillance de l influenza aviaire et a conclu que ces recommandations avaient d j t prises en compte dans les propositions de lignes directrices pour la surveillance 7 7 R union sp ciale OTE FAO sur la situation de la p ripneumonie contagieuse bovine dans les pays de la Communaut de d veloppement de I Afrique australe CDAA La Commission a examin le rapport de la r union sp ciale OIE FAO qui s est tenu lors de la Session g n rale en mai 2004 concernant la situation alarmante de la p ripneumonie contagieuse bovine dans certains pays de la CDAA Elle a recommand qu il soit demand a la Zambie de faire un rapport sur les actions de suivi men es dans ce pays conform ment la requ te formul e dans le rapport de la r union Le rapport de la r union est pr sent l Annexe V 7 8 La fi vre aphteuse chez les cam lid s La Commission a examin un article synoptique sur la pr disposition des cam lid s a la fi vre aphteuse L article pose notamment la question de l inclusion des cam lid s en tant qu esp ces sensibles la fi vre aphteuse dans le Code terrestre Il a t d cid de solliciter l avis sur ce point de certains laboratoires de r f rence de l OIE savoir les laboratoires de Pirbright PANAFTOSA et AARIAH 7 9 Mandat des Groupes ad hoc La Commission a
3. Bon Cisne ae i 3 ession n rale Comit international Qie Organisation mondiale de la sant animale Paris 22 27 mai 2005 7 73 SG 12 CS3 B Original anglais janvier 2005 RAPPORT DE LA R UNION DE LA COMMISSION SCIENTIFIQUE DE L OIE POUR LES MALADIES ANIMALES Paris 14 19 janvier 2005 Une r union de la Commission scientifique de l OIE pour les maladies animales Commission scientifique d sign e ci apr s par la Commission s est tenue au si ge de l OIE Paris France du 12 au 19 janvier 2005 Le Docteur Alejandro Schudel Chef du Service technique et scientifique de l OIE a accueilli les participants au nom du Docteur Bernard Vallat Directeur g n ral de OIE et a nonc l ordre du jour de la r union La liste des participants et l ordre du jour figurent dans les Annexes I et II La r union a t pr sid e par le Professeur Vincenzo Caporale Pr sident de la Commission scientifique Toutefois en raison de l arriv e tardive du Professeur Caporale par suite de circonstances ind pendantes de sa volont une partie de la r union a t pr sid e par le Docteur Kenichi Sakamoto Vice Pr sident de la Commission Le Docteur F Stoessel a t nomm rapporteur 1 Rapports des r unions de Groupes ad hoc 1 1 Approbation des rapports La Commission a examin et approuv les rapports suivants e Groupe ad hoc sur l Elimination des carcasses mai juin 2004 73 SG 12 CS3B AHG
4. Les r sultats de laboratoire doivent tre examin s en tenant compte du contexte pid miologique Pour compl ter la surveillance s rologique et valuer la possibilit d une circulation virale il est n cessaire d obtenir entre autres les informations compl mentaires suivantes a caract risation des syst mes de production existants b r sultats de la surveillance clinique sur les animaux suspects et les populations d origine c quantification des vaccinations effectu es sur les sites touch s d protocole sanitaire et historique des exploitations contamin es e contr le de l identification et des d placements des animaux f autres param tres d importance r gionale dans la transmission historique du virus de la NAI L ensemble de la proc dure d investigations doit tre consign dans les dossiers sous forme de proc dure op ratoire standard dans le cadre du programme de surveillance pid miologique mise en oeuvre du syst me Figure 1 Repr sentation sch matique des examens de laboratoire n cessaires pour d tecter une infection par la NAI au cours ou la suite de la surveillance s rologique S rosurveillance Populations non vaccin es Populations vaccin es DIVA Anticorps anti NP M fe __ Vaccin pr par a partir 2 ELISA AGID o ST RE de virus inactiv s entiers N N gt N el s Vaccin NA gt Vaccin NA Fa SES N homologue SS h t rologue J_ Sentinelle
5. OIE pour les maladies animales Le Docteur John Kellar a t nomm rapporteur Pendant ses d lib rations Le Groupe a pris en compte des informations issues d un certain nombre de sources parmi lesquelles figuraient entre autres e Le Rapport et le projet d Annexe de la R union du Groupe ad hoc qui s est tenue du 27 au 29 septembre 2004 e Le Chapitre 1 3 6 du Code terrestre sur l pid miosurveillance e Le Chapitre 1 3 3 du Code terrestre sur l valuation des Services v t rinaires e Le Manuel des tests de diagnostic et des vaccins pour les animaux terrestres Manuel Terrestre Edition 2004 Commission scientifique Janvier 2005 69 Annexe III suite 73 SG 12 CS3B AHG 4 Le Groupe a formul les observations suivantes 70 Code terrestre chapitre 2 6 7 sur la peste porcine classique G n ralit s Au del des observations sp cifiques formul es lors de la r union de septembre le Groupe a mis en lumi re un certain nombre d incoh rences suppl mentaires qui portent entre autres sur les conditions de recouvrement du statut indemne ind pendamment de la strat gie de contr le employ e Marchandises Le Groupe a observ que dans le chapitre du Code terrestre sur l enc phalopathie spongiforme bovine ESB il est admis que certaines marchandises peuvent faire l objet d un commerce quel que soit le statut au regard de l ESB du pays dont elles sont issues Cette tol rance s explique par la con
6. Pays zone indemnes de peste porcine classique chez les porcs domestiques et sauvages 1 Statut historiquement indemne L appr ciation du risque mentionn e I Article 2 6 7 2 doit tre r vis e chaque fois qu apparaissent de preuves indiquant un changement dans l une de ses composantes qui est susceptible de modifier l hypoth se sous jacente d un statut historiquement indemne permanent Ces changements sont entre autres e L apparition de la peste porcine classique ou une augmentation de sa pr valence dans des pays ou des zones partir desquels des porcs vivants ou des produits sont import s e Un accroissement du volume des importations ou un changement survenu dans leur pays ou zone d origine e une augmentation de la pr valence de la peste porcine classique chez les porcs domestiques ou sauvages de pays ou de zones contigus e une p n tration accrue de populations de porcs sauvages provenant de pays ou de zones adjacents ou une exposition ces populations Commission scientifique Janvier 2005 65 Annexe III suite 73 SG 12 CS3B AHG 3 Annexe III suite 2 Statut indemne acquis grace l application d un programme d radication Un Pays Membre demandant tre reconnu indemne de la peste porcine classique sur tout ou partie zone compartiment de son territoire que la vaccination soit pratiqu e ou pas doit non seulement satisfaire les conditions g n rales d crites dans le chapitre 2 6 7 du
7. de tester la mortalit journali re normale pour assurer la d tection pr coce de l infection en pr sence d animaux vaccin s ou dans les tablissements pid miologiquement li s un foyer Commission scientifique Janvier 2005 145 Annexe III suite 73 SG 12 CS3B AHG 8 Annexe III suite Surveillance s rologique La surveillance s rologique vise d tecter les anticorps dirig s contre le virus de la NAI La positivit d un test de d tection des anticorps peut avoir quatre origines diff rentes a une infection naturelle par le virus de la NAT b une vaccination contre la NAI c la pr sence d anticorps maternels ces anticorps provenant d un parent vaccin ou infect sont fr quemment retrouv s dans le jaune d oeuf et peuvent persister dans la descendance jusqu 4 semaines d le manque de sp cificit du test Pour la surveillance de la NAI on peut utiliser du s rum recueilli 4 d autres fins pour autant que soient respect s les principes de surveillance d crits dans les pr sentes lignes directrices ainsi que la validit statistique du protocole de recherche du virus On peut observer un regroupement des levages positifs aux tests s rologiques ce qui peut traduire diff rentes s ries d v nements entre autres la d mographie de la population chantillonn e l exposition vaccinale ou I existence d une infection Etant donn qu un regroupement peut signaler une infect
8. l Annexe III Analyse du document soumis par le Docteur Dr Domenico Rutilli sur l identification des dangers viraux virus de la peste porcine classique Le Groupe a reconnu que la quantit des informations disponibles concernant l identification des dangers viraux d pendait tr s largement du produit concern On dispose d un important volume d informations pour certains produits tandis que pour d autres il existe peu de donn es ou pas de donn es du tout En outre les pr c dents rapports portant sur le laps de temps n cessaire pour l inactivation du virus de la peste porcine classique reposaient sur des techniques d isolement in vitro Cette m thode est imparfaite puisqu il a t d montr que des chantillons de produit soumis avec r sultat n gatif des preuves d isolement in vitro du virus demeuraient infectants pour les porcs De ce fait la recommandation du Groupe la Commission scientifique est la suivante d autres recherches sont n cessaires avant qu il soit possible de proposer des lignes directrices pour la conservation maturation des produits d origine porcine permettant d inactiver le virus de la peste porcine classique Commission scientifique Janvier 2005 73 SG 12 CS3B AHG 3 Annexe III suite Le Groupe pr conise l utilisation de la valeur D ou temps requis pour constater une diminution de la charge virale de 1 logo pour d terminer la s curit sanitaire des produits d
9. l inspection ante mortem et post mortem pour la recherche de la tuberculose bovine effectu e par les Services v t rinaires dans un abattoir agr 2 les pr cautions n cessaires ont t prises apr s le traitement pour viter que les produits n entrent en contact avec une source potentielle de M bovis 136 Commission scientifique Janvier 2005 Annexe III suite 73 SG 12 CS3B AHG 8 Original anglais Novembre 2004 RAPPORT DE LA REUNION DU GROUPE AD HOC DE L OIE SUR LA SURVEILLANCE DE L INFLUENZA AVIAIRE Teramo Italie 11 13 novembre 2004 Le Groupe ad hoc de l OIE sur la surveillance de l influenza aviaire s est r uni l Institut de zooprophylaxie exp rimentale G Caporale des Abruzzes et du Molise Centre collaborateur de l OIE Teramo en Italie du 11 au 13 novembre 2004 Le Docteur Dewan Sibartie adjoint au chef du Service scientifique et technique de l OIE a accueilli les membres du Groupe au nom du Directeur g n ral de l OIE et a remerci le Professeur V Caporale pour avoir aimablement organis la r union l Institut de zooprophylaxie de Teramo en Italie Il a expliqu l importance de l laboration de lignes directrices sur l influenza aviaire afin d aider les Pays Membres de l OIE organiser la surveillance de la maladie et interpr ter le chapitre modifi propos pour inclusion dans le Code sanitaire pour les animaux terrestres le Code terrest
10. origine porcine pour ce qui concerne le virus de la peste porcine classique Cela supposerait de calculer la valeur D pour chaque produit dans diff rentes conditions de pH de temp rature etc 3 Rapport sur l enqu te pid miologique sur les cas de peste porcine classique apparus au Japon en mars en juillet et en ao t 2004 suite l utilisation d un vaccin non autoris Le Docteur Fukusho a pr sent au Groupe des informations de base concernant la d tection du virus de la peste porcine classique associ e l utilisation d un vaccin non autoris contre la maladie au Japon La conclusion selon laquelle le virus tait d origine vaccinale quand le virus n tait pas isol du vaccin en raison de sa non disponibilit du vaccin pour analyse suscite des interrogations Annexes Commission scientifique Janvier 2005 55 73 SG 12 CS3B AHG 3 Annexe III suite Annexe I RAPPORT DE LA REUNION DU GROUPE AD HOC DE L OIE SUR LA PESTE PORCINE CLASSIQUE Paris 27 29 septembre 2004 Ordre du jour 1 Code sanitaire pour les animaux terrestres chapitre 2 6 7 sur la peste porcine classique 2 Analyse du document soumis par le Docteur Domenico Rutilli sur identification des dangers viraux virus de la peste porcine classique 3 Rapport sur l enqu te pid miologique sur les cas de peste porcine classique apparus au Japon en mars en juillet et en ao t 2004 suite l utilisation d un vaccin non aut
11. que la Commission scientifique envisage de recommander au Comit international la reconnaissance du B nin de l rythr e de la Mongolie du S n gal du Togo et de la Turquie comme pays indemnes d infection par la peste bovine de m me que la reconnaissance du statut de pays indemne de peste bovine du Nigeria Le Groupe a recommand de reporter l examen de la demande manant de l Ouganda et de solliciter l envoi des informations suivantes aupr s des autorit s ougandaises e la description de la m thodologie employ e dans le cadre de la surveillance clinique al atoire e la liste des incidents vocateurs de la peste bovine survenus au cours des 5 derni res ann es ainsi que le r sultat des enqu tes r alis es e les enqu tes s rologiques et leurs r sultats sous forme tabulaire pour les ann es 2003 et 2004 accompagn s d explications sur les cas de s ropositivit Annexes Commission scientifique Janvier 2005 155 Annexe IV suite 73 SG 12 CS3B AHG 9 Annexe I RAPPORT DU GROUPE AD HOC DE L OIE POUR L EVALUATION DU STATUT DES PAYS AU REGARD DE LA PESTE BOVINE Paris 20 22 octobre 2004 Ordre du jour 1 Aspects et activit s d coulant du rapport de la r union pr c dente 7 et 8 janvier 2004 du Groupe ad hoc de l OIE pour l valuation du statut des pays au regard de la peste bovine 2 Cons quences de l preuve immunoenzymatique indirecte i ELISA sur le d pistage de la
12. soumis avec r sultat n gatif au moins deux intradermotuberculinations effectu es 6 mois d intervalle Article 2 3 3 4 Centre d ins mination artificielle indemne de tuberculose bovine Un centre d insemination artificielle est consid r comme indemne de tuberculose bovine s il satisfait les conditions stipul es l article 2 3 3 3 Article 2 3 3 5 Les Administrations v t rinaires des pays importateurs tiennent compte pour les bovins de reproduction ou d levage de la pr sentation d un certificat v t rinaire international attestant que les animaux 1 ne pr sentaient aucun signe clinique de tuberculose bovine le jour de leur chargement 2 proviennent d un troupeau indemne de tuberculose bovine qui est situ dans un pays une zone ou un compartiment indemnes de tuberculose bovine ou 3 ont t soumis avec r sultat n gatif une intradermotuberculination pendant les 30 jours ayant pr c d leur chargement et proviennent d un cheptel indemne de tuberculose bovine ou 4 ont t isol s durant les 3 mois ayant pr c d leur chargement et soumis avec r sultat n gatif deux intradermotuberculinations effectu es au moins 60 jours d intervalle 134 Commission scientifique Janvier 2005 73 SG 12 CS3B AHG 7 Annexe III suite Annexe III suite Article 2 3 3 6 Les Administrations v t rinaires des pays importateurs tiennent compte pour les bovins de boucherie de la pr senta
13. taient bien examin s dans le dossier soumis en mars 2004 Absence de circulation virale Le dossier pr sent par le pays est tr s d taill concernant les aspects suivants 1 Informations relatives l enqu te s rologique r alis e en 2003 pour la premi re pr sentation l OIE incluant les Unit s d chantillonnage primaires les exploitations le nombre de pr l vements r alis s dans les Unit s d chantillonnage primaires et dans les levages ainsi que les r sultats obtenus l poque 11 Suivi des groupes d animaux dans lesquels un ou plusieurs r agissants ont t d tect s gr ce entretien avec les propri taires analyse des entr es et sorties d animaux examen clinique des animaux les nouveaux pr l vements effectu s sur les animaux pr sentant une r action positive un pr l vement oeso pharyng l aide d une curette pharyngienne 81 pratiqu chez les 68 animaux qui ont pr sent une r action positive au deuxi me EITB iii Recherche s rologique compl mentaire dans les Unit s d chantillonnage primaires positives Pr l vements pratiqu s sur les animaux sensibles non vaccin s y compris les bovins g s de 6 12 mois et les petits ruminants pour rechercher la pr sence de NSP syst me I Elisa 3ABC EITB chez les bovins preuve VIAA chez les petits ruminants Deux pr l vements sanguins chez les bovins g s de 6 24 mois tranche
14. viter de produire des r sultats soit d une fiabilit insuffisante pour tre accept s par l OIE ou par les partenaires commerciaux internationaux soit trop co teux et compliqu s d un point de vue logistique Par cons quent la conception des programmes de surveillance n cessite la participation de professionnels comp tents et exp riment s dans ce domaine La population soumise une surveillance visant identifier la maladie ou l infection doit tre constitu e des populations de porcs domestiques et sauvages se trouvant l int rieur du pays ou de la zone devant tre reconnu e indemne de l infection Cette surveillance peut englober des tests r alis s sur des chantillons soumis dans d autres buts mais une strat gie plus efficace et plus rentable consiste int grer une surveillance cibl e 62 Commission scientifique Janvier 2005 73 SG 12 CS3B AHG 3 Annexe III suite Annexe III suite En fonction de la situation pid miologique locale une surveillance cibl e peut tre consid r e comme plus efficace qu une strat gie de surveillance al atoire La surveillance vise la population porcine expos e au plus haut risque d infection par exemple les levages nourris avec des eaux grasses les porcs lev s en ext rieur les levages situ s proximit de porcs sauvages infect s Chaque pays doit identifier ses propres facteurs de risque Il peut s agir de la distribution temporelle et spatial
15. 100 tape 3 identifier et num rer toutes les options d limination envisageables valuer quantitativement chaque option par rapport chacun des facteurs en lui attribuant une valeur utile comprise entre 1 et 10 Ce chiffre est attribu en fonction du degr d ad quation de l option au r sultat id al vis pour chaque facteur exemple 1 option la moins adapt e et 10 option la mieux adapt e tape 4 pour chaque facteur et chaque option d limination multiplier le facteur de pond ration F par la valeur utile U pour obtenir une valeur num rique d quilibre V V F x U tape 5 les sommes des valeurs d quilibre obtenues pour les diff rentes options indiquent la valeur globale de chaque option La somme la plus lev e tend indiquer l option correspondante repr sente le choix le mieux quilibr Exemple un exemple d utilisation de cette proc dure est pr sent dans le tableau 1 Dans cet exemple l quarrissage correspond la somme maximale et serait donc consid r comme l option la mieux quilibr e et la mieux adapt e compte tenu des facteurs pris en compte Commission scientifique Janvier 2005 37 Annexe III suite 73 SG 12 CS3B AHG 1 Annexe IV suite Tableau 1 Proc dure de prise de d cision Incin rationen Incin ration a ciel Enfouissement Incin ration sur Mise en M thode quarrissage Compostage E installation fixe ouvert en masse site soe IE AE Z
16. 6 3 tudes pid miologiques origine diffusion Conclusion Commission scientifique Janvier 2005 97 Annexe III suite 73 SG 12 CS3B AHG 5 Annexe III suite PAYS INDEMNE DE FIEVRE APHTEUSE PRATIQUANT LA VACCINATION RESUME DU RAPPORT Rapport pr senter par les pays pratiquant la vaccination et souhaitant tre d clar s indemnes de fi vre aphteuse conform ment au chapitre 2 2 10 du Code sanitaire pour les animaux terrestres 1 Notification r guli re et imm diate des maladies animales D crire ici le syst me national appliqu et indiquer les instances internationales auxquelles les maladies sont d clar es 2 a Absence de foyer de fi vre aphteuse dans le pays au cours des deux derni res ann es Indiquer la date du dernier foyer et se reporter la partie consacr e l radication de la fi vre aphteuse 2 d Conformit des vaccins aux normes de OIE D clarer que les vaccins employ s contre la fi vre aphteuse sont conformes et se reporter la partie consacr e l radication de la fi vre aphteuse 3 Surveillance et r glementation A Surveillance D crire bri vement le syst me en place et se reporter la partie consacr e a la surveillance de la fi vre aphteuse 98 Commission scientifique Janvier 2005 73 SG 12 CS3B AHG 5 Annexe III suite Annexe III suite B R glementation D crire bri vement les dispositions en vigueur et se reporter la partie consacr e l
17. Ainsi l incin ration ciel ouvert produit des fum es et des odeurs l enfouissement peut entra ner des formations gazeuses avec chappement de gaz et production d odeurs ainsi qu un risque de contamination de l air du sol et des eaux superficielles ou souterraines L allongement des heures de travail et l augmentation de la production dans une unit d quarrissage risquent d accentuer les odeurs ou de perturber le fonctionnement normal du traitement des eaux us es et d autres installations de protection de l unit Capacit s disponibles pratiquement toutes les technologies d limination des carcasses ont des capacit s limit es Lorsqu il y a un grand nombre de carcasses liminer la capacit des technologies acceptables est rapidement d pass e Il est tr s important d valuer les possibilit s et les capacit s en temps de paix afin de pouvoir prendre des d cisions rapides en cas d urgence La conservation temporaire des carcasses dans des chambres froides peut parfois pallier le manque de capacit de traitement Commission scientifique Janvier 2005 73 SG 12 CS3B AHG 1 Annexe III suite Annexe IV suite e Co ts les technologies d limination des carcasses et notamment celles qui font appel des mat riels sophistiqu s sont tr s co teuses Des provisions financi res doivent tre constitu es pour les cas d urgence Quand des Services v t rinaires cherchent s adjoindre la collabor
18. Article 3 x x 6 Utilisation et interpr tation des preuves s rologiques et des tests de d tection virale isolement du virus ou d tection des acides nucl iques Les preuves s rologiques et les tests de recherche virale recommand s pour la surveillance de la NAI sont d crits dans le Manuel terrestre Les animaux infect s par le virus de la NAI d veloppent des anticorps dirig s contre l h magglutinine HA la neuraminidase NA les prot ines non structurales NSP les nucl oprot ines prot ines matricielles NP M et les prot ines du complexe polym rase La d tection des anticorps contre les prot ines du complexe polym rase n est pas trait e ici Les tests de recherche des anticorps anti NP M font appel la m thode ELISA directe ou bloquante et aux tests d immunodiffusion en g lose Les tests de recherche des anticorps anti NA incluent l inhibition de la neuraminidase NI les tests d immunofluorescence indirecte et les tests ELISA directs Pour la HA les anticorps sont d cel s par des tests d inhibition de l h magglutination HI et des tests de s roneutralisation SN Les tests d inhibition de l h magglutination sont fiables dans les esp ces aviaires mais non chez les mammif res Les tests de s roneutralisation peuvent tre utilis s pour d celer les anticorps anti h magglutinine sp cifiques d un sous type particulier Il s agit de la m thode pr f r e chez les mammif res et dans certaines
19. Le texte a t reformul afin de regrouper davantage les sections consacr es au diagnostic s rologique L int r t relatif de la surveillance s rologique p riodique par rapport a la surveillance clinique continue a t mieux explicit car le texte actuel semble ne pas attacher suffisamment d importance cette derni re Le Groupe ad hoc craint que l efficacit d une surveillance clinique tendue pour d tecter les incursions de fi vre aphteuse n chappe au lecteur L exp rience acquise dans diff rents pays tend indiquer que contrairement la surveillance s rologique la surveillance clinique r v le in vitablement les incursions de fi vre aphteuse dans les populations na ves Les pr valences nationales extr mement faibles font en effet chouer les approches de s rosurveillance limit es intervenant pr cocement apr s l clatement d un foyer Une importance accrue a t attach e aux plans d urgence sanitaire au d but de la surveillance s rologique afin de mieux prendre en compte les faux positifs pr visibles g n r s par les tests de diagnostic actuellement utilis s dont la sp cificit est inf rieure 100 En continuant de mettre l accent sur les param tres des tests le Groupe pr conise l application de tests de d pistage hautement sensibles suivis par des tests de confirmation en s rie pr sentant une sensibilit sup rieure ou gale et une sp cificit plus lev e Le texte a t rendu
20. Woking ITALIE Surrey GU24 ONF T l 39 06 5705 4637 ROYAUME UNI Fax 39 06 5705 3023 T l 44 1483 23 24 41 E mail peter roeder fao org Fax 44 1483 23 24 48 E mail john anderson bbsrc ac uk AUTRE PARTICIPANT Docteur Gavin R Thomson Membre de la Commission scientifique de l OIE pour les maladies animales AU IBAR P O Box 30786 Nairobi KENYA T l 254 2 31 80 85 Fax 254 2 22 65 65E mail gavin thomson oau ibar org BUREAU CENTRAL DE L OIE Docteur Alejandro Schudel Docteur Dewan Sibartie Chef du Service scientifique et technique Adjoint au chef du Service scientifique et technique E mail a schudel oie int E mail d sibartie oie int Commission scientifique Janvier 2005 159 160 Commission scientifique Janvier 2005 Annexe V R union sp ciale OIE FAO sur la situation de la p ripneumonie contagieuse bovine dans les pays de la SADC Si ge de l OIE Paris France 24 mai 2004 Une r union sp ciale a t organis e le 24 mai 2004 par l OIE et la FAO lors de la 72 Session g n rale de OIE Paris France pour d battre de la situation actuelle de la p ripneumonie contagieuse bovine PPCB dans les pays de la SADC en mettant particuli rement l accent sur le caract re mergent de la maladie en Zambie La r union tait co pr sid e par le Docteur F Thiaucourt du CIRAD EMVT repr sentant l OIE et par le Docteur W Amanfu de la FAO Le Docteur G K Br
21. cuirs et peaux Les normes pour les preuves de diagnostic sont fix es dans le Manuel terrestre Article 2 3 3 2 Pays zone ou compartiment indemne de tuberculose bovine Pour tre reconnus indemnes de tuberculose bovine un pays une zone ou un compartiment doivent satisfaire les conditions suivantes 1 La tuberculose bovine doit tre une maladie d claration obligatoire 2 Le d pistage r gulier et p riodique de tous les troupeaux de bovins a montr qu au moins 99 8 des cheptels et 99 9 des animaux pr sents dans le pays la zone ou le compartiment sont indemnes de tuberculose bovine depuis 3 ans 3 Un programme de surveillance reposant sur un contr le l abattoir bas sur Pinspection d crite dans PArticle 2 3 3 9 doit tre en place pour permettre de d celer la pr sence ventuelle de la tuberculose bovine dans le pays la zone ou le compartiment De plus une preuve prescrite peut galement tre utilis e des fins de surveillance En cas de constatation d une r action positive une preuve prescrite ou de d couverte Pabattoir ou en tout autre lieu de l sions de nature tuberculeuse chez un animal avant d j quitt le pays la zone ou le compartiment consid r s l Administration v t rinaire doit pouvoir remonter au cheptel d origine de Panimal et soumettre ce cheptel ladite preuve prescrite Commission scientifique
22. e et harmonis e afin de distinguer la zone pour laquelle est sollicit le statut indemne de la zone du Chiquitania qui a d j t reconnue comme telle par l OIE Des informations compl mentaires sont n cessaires concernant les tests r alis s avant un d placement et les cons quences des infractions Commission scientifique Janvier 2005 73 SG 12 CS3B AHG 6 Annexe III suite 5 d Demande de reconnaissance d une zone indemne de la fi vre aphteuse avec vaccination d pos e par le Br sil Rappel des faits En mars 2004 le Br sil a pr sent l OIE un dossier relatif extension de la zone indemne du pays incluant le territoire de l tat d Acre et deux municipalit s de l tat d Amazon ainsi que la r gion m ridionale de l tat de Par A cette occasion la Commission scientifique apr s examen du rapport du Groupe ad hoc pour la fi vre aphteuse a demand des informations compl mentaires permettant de d montrer I absence de circulation virale Lors de cette r union le document pr sent par le Br sil se limite confirmer absence de circulation virale dans l tat d Acre et dans les deux municipalit s de l tat d Amazon en pr sentant les r sultats obtenus pour les travaux r alis s entre mai et octobre 2004 En cons quence le document et l analyse ne traitent pas les aspects li s a la Structure de soutien au Syst me de surveillance de routine et au Contr le aux fronti res qui
23. esp ce et d autres peut tre diff rente de celle observ e chez les poulets La possibilit existe donc que des autorit s se sentent tenues d appliquer aux ratites par exemple l ensemble des mesures prescrites dans les normes de l OIE ce qui peut aboutir des exigences et des politiques irr alistes et ind fendables sur le plan scientifique La Commission a galement sugg r que l OIE s appuie sur ses m canismes existants pour traiter des questions li es la surveillance et au commerce des diff rentes esp ces animales ainsi qu au potentiel zoonotique des virus de l influenza qui affectent les animaux e La Commission a discut d un document conceptuel sur la compartimentation et a conclu qu il contenait des informations de fond sur les questions essentielles La Commission a toutefois recommand d en largir la port e afin de prendre en compte plusieurs esp ces et d autres maladies animales Il convient de mettre davantage l accent sur l approbation et la surveillance des compartiments par les services v t rinaires nationaux sur un syst me de v rification pour la cr ation et le maintien de compartiments sur l valuation de la couverture et de la qualit vaccinales et sur les services de diagnostic offerts par les laboratoires Il a t d cid de proposer la Commission du Code que le Groupe ad hoc sur l pid miologie s assure le concours de certains membres de la Commission du Cod
24. vre aphteuse EUFMD concernant la surveillance de la fi vre aphteuse apr s une vaccination d urgence La Commission a examin un document portant sur la surveillance de la fi vre aphteuse apr s une vaccination d urgence pr sent par la Commission europ enne de lutte contre la fi vre aphteuse EUFMD qui demande la modification de certains l ments des lignes directrices propos es pour la surveillance de la fi vre aphteuse Apr s examen des suggestions la Commission a d cid que les lignes directrices pour la surveillance ne pouvaient pas tre modifi es comme propos M thode de Frenkel employ e pour la production des vaccins antiaphteux La Commission a t inform e d un courrier en provenance du Paraguay sollicitant des informations sur la validit de la m thode de Frankel pour la production de vaccins antiaphteux La Commission a appuy les remarques du Groupe ad hoc sur la fi vre aphteuse selon lesquelles la m thode de Frenkel utilis e pour la production des vaccins antiaphteux ne r pondait pas aux normes tablies dans le Manuel terrestre de OIE la principale raison invoqu e tant qu il tait presque impossible avec cette m thode de garantir l application des Bonnes pratiques de fabrication Courrier du Docteur Klaas Johan Osinga concernant la vaccination et la s curit sanitaire des viandes et des produits laitiers La Commission a pris connaissance d une demande crite adress e par le Docteu
25. 1 Diagnostic 4 1 1 Diagnostic clinique proc dures de notification et d enqu te donn es r centes 4 1 2 Diagnostic de laboratoire proc dures nombre d chantillons trait s et r sultats 4 2 Surveillance s rologique 4 3 Donn es d mographiques et conomiques sur le cheptel 4 4 Abattoirs et march s 4 5 Supervision par l Autorit v t rinaire Pr vention de la fi vre aphteuse 5 1 Coordination r gionale avec les pays voisins 5 2 Contr le des importations 5 2 1 Politique et analyse des risques 5 2 2 Gestion des risques inh rents aux animaux et aux produits ports fronti res nombre et localisation d chets internationaux animaux mat riel g n tique semence et embryons produits d origine animale destin s la consommation humaine par exemple le lait et les produits carn s e produits d origine animale non destin s la consommation humaine par exemple les aliments pour animaux de compagnie les cuirs et les peaux e les m dicaments v t rinaires par exemple les produits biologiques 5 3 S curit biologique des laboratoires et des installations de production et de tests 5 4 Supervision par l Autorite v t rinaire Mesures appliquees en cas d apparition d un foyer 6 1 Politique plans d urgence et d intervention y compris les dispositions pr vues pour la vaccination d urgence dispositions financi res 6 2 Utilisation des ressources humaines et mat rielles
26. 15 2 pour pouvoir tre reconnu comme indemne de p ripneumonie contagieuse bovine et a d cid de recommander au Comit international que la Suisse soit ajout e la liste des pays indemnes de p ripneumonie contagieuse bovine 3 Rapport du Groupe ad hoc sur la notification des maladies agents pathog nes La Commission a examin le rapport du Groupe ad hoc sur la notification des maladies agents pathog nes ainsi que la nouvelle liste OIE des maladies et a formul les recommandations suivantes e la liste comprend le virus Nipah mais pas le virus Hendra La Commission a estim que ces deux infections pr sentent des similitudes et que le virus Hendra est un agent pathog ne mergent ayant un potentiel zoonotique prouv des cas ont r cemment t signal s chez l homme Plus de trois pays sont indemnes de la maladie et il existe un risque de propagation international li aux d placements des animaux atteints En cons quence la Commission a sugg r d inscrire cette infection sur la liste e la liste comprend le virus Maedi Visna mais pas l ad nomatose pulmonaire ovine La Commission a recommand de chercher 4 obtenir plus d informations sur les implications commerciales de ces deux maladies voir section 4 0 sur le virus Maedi Visna D ici l les deux maladies devront continuer de figurer sur la liste e la cysticercose bovine est une maladie grave qui s vit dans certains pays en d veloppement et constitue souvent un
27. Annexe III suite 73 SG 12 CS3B AHG 5 3 88 Recommandation Le Groupe recommande que le dossier soit r introduit lorsque les informations requises dans le questionnaire de l OIE auront t communiqu es Questions diverses 3 1 3 2 3 3 Chapitre 2 2 10 fi vre aphteuse Le Groupe a pris acte des changements apport s ce chapitre en vue d introduire le concept d absence de circulation du virus de la fi vre aphteuse pour les pays et les zones qui cherchent obtenir la reconnaissance de leur statut indemne avec vaccination Les membres du Groupe ont constat qu il existait des incoh rences tant l int rieur qu entre les chapitres du Code terrestre en ce qui concerne les termes de maladie cas qui dans certains chapitres s applique plusieurs animaux infection et foyer qui se r f re uniquement la maladie clinique dans certains chapitres et la fois la maladie clinique et l infection dans d autres chapitres Recommandation Le Groupe recommande que la Commission du Code r examine la d finition des termes maladie cas infection et foyer de mani re obtenir le plus de coh rence possible quant l emploi et la d finition de ces termes dans les diff rents chapitres du Code terrestre Chapitre 1 3 6 surveillance de la sant animale Les membres du Groupe se sont pench s sur le chapitre 1 3 6 et ont propos plusieurs changements et
28. Anticorps l anti NSP dirig s contre la NA h t rologue Recherches virologiques amp pid miologiques 150 Commission scientifique Janvier 2005 73 SG 12 CS3B AHG 8 Annexe III suite Annexe III suite Figure 2 Repr sentation sch matique des examens de laboratoire n cessaires pour d tecter une infection par la NAI a Paide de m thodes virologiques D tection des antig nes d pistage des cas cliniques Isolement du virus NP M gt NPM sp cifiques du sp cifiques du Virus de Pinfluenza de type A Virus de Virus de Pinfluenza Pinfluenza de type A de type A S quence HA HPNAI Les diagrammes ci dessus pr cisent les tests recommand s pour les recherches sur les levages de volailles L gende AGID Immunodiffusion en g lose DIVA Diff renciation entre animaux infect s et animaux vaccin s ELISA Dosage immuno enzymatique HA H magglutinine HI Inhibition de h magglutination NA Neuraminidase NI Inhibition de la neuraminidase NP M Nucl oprot ines et prot ines matricielles NSP Prot ines non structurales SN S roneutralisation Commission scientifique Janvier 2005 151 152 Commission scientifique Janvier 2005 Annexe IV 73 SG 12 CS3B AHG 9 Original anglais Octobre 2004 RAPPORT DU GROUPE AD HOC DE L OIE POUR L EVALUATION DU STATUT DES PAYS AU REGARD DE LA PESTE BOVINE Paris 20 22 octobre 2004 Une r union du Groupe ad hoc de OIE pour l
29. Article 2 3 3 12 du chapitre propos sur la tuberculose bovine La Commission n a pas estim que les cuirs et les peaux constituent un risque et a propos que la Commission du Code envisage de supprimer l article consacr aux cuirs et peaux en attendant l adoption de d finitions plus claires de ces marchandises En outre la Commission a soulign qu aux fins de la surveillance de la tuberculose les inspections ante mortem et post mortem r alis es l abattoir doivent relever de la responsabilit des services v t rinaires officiels e La Commission a d cid qu en raison des propositions de modification du chapitre sur la peste porcine classique et des similitudes avec le chapitre sur la peste porcine africaine ce dernier sera r examin Il a t demand au Docteur Gideon Brukner membre de la Commission de passer en revue ce chapitre en consultation avec des experts internationaux de la maladie et de proposer un projet de chapitre r vis sur la peste porcine africaine pour l inclure dans le Code terrestre La Commission a galement approuv une recommandation du Groupe ad hoc sur la peste porcine classique ayant pour objet d int grer le concept de compartimentation dans le nouveau chapitre sur la maladie Les d tails relatifs la r union conjointe seront pr sent s dans le rapport de la Commission du Code Commission scientifique Janvier 2005 5 7 Questions diverses 7 1 7 2 7 3 7 4 7
30. CDS CSR GIP Maladies transmissibles Surveillance et Action 1211 Gen ve 27 SUISSE Mobile 41 0 79 1 10 55 Courriel croisiera who int Docteur Vincent Martin FAO Animal Production amp Health Division Viale delle Terme di Caracalla 00100 Rome ITALIE T l 39 06 570 54184 Fax 39 06 570 53023 Courriel Vincent Martin fao org Docteur Wolf Amo Valder Vice P resident Commission des normes sanitaires de l OIE pour les animaux terrestres Commission europ enne Rue de la Loi 200 B 1049 Bruxelles BELGIQUE Tel 32 2 295 8916 Fax 32 2 295 3144 Courriel wolf arno valder cec eu int BUREAU CENTRAL DE L OIE Docteur Yoshihiro Sakoda Hokkaido University Department of Disease Control Kita 18 Nishi 9 Kita ku Sapporo 060 0818 JAPON Docteur A Giovannini Istituto Zooprofilattico Sperimentale dell Abruzzo e del Molise G Caporale Via Campo Boario 64100 Teramo ITALIE T l 39 0861 33 22 33 Fax 39 0861 33 22 51 Courriel giovannini izs it Docteur Dewan Sibartie Adjoint au chef du Service scientifique et technique Courriel d sibartie oie int Commission scientifique Janvier 2005 141 73 SG 12 CS3B AHG 8 Annexe III suite Annexe III Annexe 3 X X LIGNES DIRECTRICES SUR LA SURVEILLANCE REQUISE A L APPUI D UNE DEMANDE DE RECONNAISSANCE OU DE RECOUVREMENT DU STATUT INDEMNE D INFLUENZA AVIAIRE A DECLARATION OBLIGATOIRE POUR UN PAYS UNE ZONE OU UN
31. Code terrestre mais aussi apporter la preuve de l existence d un programme de surveillance efficace La strat gie et la conception du programme de surveillance seront fonction des circonstances pid miologiques du moment et seront planifi es et mises en uvre conform ment aux M thodes et conditions g n rales stipul es dans les pr sentes Lignes directrices pour d montrer l absence d infection par le virus de la peste porcine classique parmi les populations de porcs domestiques et sauvages Cette obligation requiert l assistance d un laboratoire national ou autre capable de proc der l identification de l infection par le virus de la peste porcine classique gr ce la d tection des acides nucl iques de l antig ne du virus et aux tests de recherche des anticorps d crits dans le Manuel terrestre Pays ou zone compartiment indemnes de peste porcine classique chez les porcs domestiques mais dont la population de porcs sauvages est infect e Dans ce cas l objectif de la surveillance consiste d montrer que les deux sous populations sont efficacement s par es gr ce l application de mesures assurant la bios curit des porcs domestiques Un compartiment indemne de peste porcine classique doit appliquer un programme de bios curit qui englobe entre autres les dispositions suivantes Le confinement appropri des porcs domestiques Le contr le des d placements de v hicules avec au besoin nettoyage e
32. Directeur Coordinateur pour la fi vre aphteuse Centro Panamericano de Fiebre Aftosa Caixa Postal 589 20001 970 Rio de Janeiro BR SIL T l 55 21 3661 9003 Fax 55 21 3661 9001 E mail ecorreaO panaftosa ops oms org Docteur David Mackay Head of Laboratory Institute for Animal Health Pirbright Laboratory Ash Road Pirbright Woking Surrey GU24 ONF T l 44 1483 23 10 01 Fax 44 1483 23 10 42 E mail david mackay Obbsrc ac uk Docteur Juan Lubroth Senior Officer Infectious Disease Group Animal Health Service Animal Production amp Health Division Viale delle Terme di Caracalla 00100 Rome ITALIE T l 39 06 570 54184 Fax 39 06 570 53023 E mail juan lubroth fao org Docteur Bernard Vallat Directeur g n ral 12 rue de Prony 75017 Paris FRANCE T l 33 0 1 44 15 18 88 Fax 33 0 1 42 67 09 87 E mail oie O oie int Commission scientifique Janvier 2005 Docteur Alejandro Schudel Chef du Service scientifique et technique E mail a schudel oie int Docteur Dewan Sibartie Adjoint au chef du Service scientifique et technique E mail d sibartie oie int 93 73 SG 12 CS3B AHG 5 Annexe III suite Annexe III PAYS INDEMNE DE FIEVRE APHTEUSE NE PRATIQUANT PAS LA VACCINATION I RESUME DU RAPPORT Rapport pr senter par les pays ne pratiquant pas la vaccination et souhaitant tre d clar s indemnes de fi vre aphteuse conform ment au chapitre
33. Director Veterinary Services Agriculture Western Cape Private Bag X1 Elsenburg 7607 AFRIQUE DU SUD Tel 27 21 808 5001 Fax 27 21 808 5000 E mail GideonB elsenburg com Dr Bernard Vallat Directeur g n ral 12 rue de Prony 15017 Paris FRANCE T l 33 0 1 44 15 18 88 Fax 33 0 1 42 67 09 87 E mail oie oie int Commission scientifique Janvier 2005 Dr Alejandro Schudel Chef du Service scientifique et technique E mail a schudel oie int Dr Dewan Sibartie Adjoint au Chef du Service scientifique et technique E mail d sibartie oie int 11 Annexe III RAPPORTS DES REUNIONS DE GROUPES AD HOC DE L OIE APPROUVES PAR LA COMMISSION SCIENTIFIQUE e Groupe ad hoc sur l limination des carcasses mai juin 2004 73 SG 12 CS3B AHG 1 e Groupe ad hoc sur l pid miologie juin 2004 73 SG 12 CS3B AHG 2 e Groupe ad hoc sur la peste porcine classique septembre et d cembre 2004 73 SG 12 CS3B AHG 3 amp 4 e Groupe ad hoc charg d valuer le statut des pays au regard de la fi vre aphteuse octobre 2004 et janvier 2005 73 SG 12 CS3B AHG 5 amp 6 e Groupe ad hoc sur la tuberculose bovine novembre 2004 73 SG 12 CS3B AHG 7 e Groupe ad hoc charg des lignes directrices relatives a la surveillance de l influenza aviaire novembre 2004 73 SG 12 CS3B AHG 8 Commission scientifique Janvier 2005 13 Appendix I contd 14 Commission scientifique Janvier 2005 Annexe III 73 SG 1
34. Janvier 2005 73 SG 12 CS3B AHG 5 Annexe III suite 3 4 Document du Centre PANAFTOSA sur les marchandises Ce document propose une d marche d analyse des risques inh rents au commerce des marchandises qui rappelle la d marche propos e la derni re r union conjointe des Commissions r gionales de OIE pour le Moyen Orient et l Afrique organis e au Caire du 11 au 13 octobre 2004 en collaboration avec l UA BIRA On y trouve une proposition de modification du Code terrestre de OIE pour y inclure un chapitre consacr sp cifiquement 4 la r duction des risques li s au commerce des produits d origine animale selon la d finition actuelle du Code terrestre le terme marchandises comprend les animaux vivants Le Groupe s est prononc en faveur d une tude de faisabilit de cette recommandation 3 5 Questionnaire de POIE Les membres du Groupe ont examin le questionnaire utilis pour l envoi d informations l OIE l appui des demandes de reconnaissance du statut relatif la fi vre aphteuse Une version r vis e avec la fonction de suivi des modifications est pr sent e l Annexe III du pr sent rapport Annexes Commission scientifique Janvier 2005 89 73 SG 12 CS3B AHG 5 Annexe III suite Annexe I REUNION DU GROUPE AD HOC DE L OIE POUR L EVALUATION DU STATUT DES PAYS AU REGARD DE LA FIEVRE APHTEUSE Paris 18 20 octobre 2004 Ordre du jour 1 Rapport de la derni re r
35. Les points num r s ci apr s doivent tre trait s avec concision 1 R action des Services v t rinaires en cas de foyers de fi vre aphteuse e Politique plans d urgence et d intervention y compris les dispositions pr vues pour la vaccination d urgence dispositions financi res Utilisation des ressources humaines et mat rielles tudes pid miologiques origine diffusion 2 Syst me v t rinaire e L gislation e Services v t rinaires e R le de la soci t des leveurs et de l industrie agroalimentaire dans la surveillance et la prophylaxie de la fi vre aphteuse e R le des v t rinaires priv s dans la surveillance et la prophylaxie de la fi vre aphteuse 3 Secteur de P levage 4 Structure du programme r gional 5 Autres rapports internationaux sur la situation de la fi vre aphteuse dans votre pays Commission scientifique Janvier 2005 113 Annexe III suite 73 SG 12 CS3B AHG 5 Annexe III suite 114 Commission scientifique Janvier 2005 Annexe III suite 73 SG 12 CS3B AHG 6 Original anglais janvier 2005 RAPPORT DE LA REUNION DU GROUPE AD HOC DE L OIE POUR L EVALUATION DU STATUT DES PAYS AU REGARD DE LA FIEVRE APHTEUSE Paris 10 13 janvier 2005 Le Groupe ad hoc de l OIE pour l valuation du statut des pays au regard de la fi vre aphteuse s est r uni au si ge de POIE a Paris du 10 au 12 janvier 2005 La r union tait pr sid e par le Docteur Gideon Briickner membre d
36. a t recommand e 3 1 4 Liban La demande du Liban a t re ue tardivement Son approbation a t recommand e Les membres du Groupe ont souhait que lors de la communication de la suite r serv e une demande l attention du pays demandeur soit attir e sur le point 3 c du premier paragraphe de l annexe 3 8 2 du Code terrestre o sont stipul es les conditions n cessaires l obtention de la reconnaissance du statut de pays indemne d infection par la peste bovine Il convient de porter l attention du Liban que sa demande de reconnaissance de statut de pays indemne d infection a pu tre d pos e dans le cadre de la r gle des 10 ans 3 2 Infection par la peste bovine 3 2 1 Bhoutan L approbation de la demande a t recommand e 3 2 2 Turquie La demande turque a t examin e mais jug e peu cr dible faute d informations suffisamment d taill es Le pays sera invit fournir des informations compl mentaires et repr senter sa demande Ce compl ment d informations portera sur l analyse des donn es s rologiques d sagr g es la r partition g ographique des animaux s ropositifs et les actions de suivi envisag es Proposition d amendements du chapitre et de l annexe du Code sanitaire pour les animaux terrestres de l OIE relatifs la peste bovine Les membres du Groupe ont examin un texte pr par par le Docteur Roeder Il s agissait en l occurrence d une proposition de
37. animales D crire ici le syst me national appliqu et indiquer les instances internationales auxquelles les maladies sont d clar es 2 a Absence de foyers de fi vre aphteuse dans le pays au cours des 2 derni res ann es Indiquer la date du dernier foyer et se reporter la partie consacr e l radication de la fi vre aphteuse 2 d Conformit des vaccins aux normes de OIE D clarer que les vaccins employ s contre la fi vre aphteuse sont conformes et se reporter la partie consacr e l radication de la fi vre aphteuse 3 Limites de la zone indemne de la zone de surveillance et de la zone tampon ventuelles Fournir des informations g ographiques succinctes sur la zone indemne la zone de surveillance et la zone tampon Joindre une carte montrant les zones en pr cisant l chelle utilis e Commission scientifique Janvier 2005 107 Annexe III suite 73 SG 12 CS3B AHG 5 Annexe III suite 4 Zone indemne A Surveillance D crire bri vement le syst me en place et se reporter la partie consacr e la surveillance de la fi vre aphteuse dans la zone indemne B R glementation D crire bri vement les dispositions en vigueur et se reporter la partie consacr e la pr vention de la fi vre aphteuse dans la zone indemne C D monstration de l absence d activit virale D crire bri vement le syst me en place et se reporter la partie consacr e la surveillance de la fi vre
38. appellations et d nominations employ es et la pr sentation du mat riel utilis dans ce rapport n impliquent aucunement expression d une opinion quelle qu elle soit de la part de l OIE concernant le statut juridique de tout pays territoire ville ou zone relevant de son autorit ni concernant la d limitation de ses fronti res ou de ses limites La responsabilit des opinions exprim es dans les articles sign s incombe exclusivement leurs auteurs Le fait de citer des entreprises ou des produits de marque qu ils aient ou pas re u un brevet n implique pas qu ils ont t approuv s ou recommand s par l OIE pr f rentiellement d autres de nature similaire qui ne sont pas mentionn s
39. argument es visant prouver avec un niveau de confiance acceptable l absence d infection par la fi vre aphteuse ou de circulation du virus La surveillance de la fi vre aphteuse doit s inscrire dans le cadre d un programme permanent visant tablir l absence d infection ou de circulation virale sur tout ou partie du territoire Dans le cadre des programmes de surveillance de la fi vre aphteuse les d finitions des termes cas et foyer seront celles des Chapitres 2 2 10 et 1 3 6 du pr sent Code terrestre Aux fins du pr sent chapitre en entend par circulation virale la transmission du virus aphteux prouv e ou d montr e par des signes cliniques l isolement du virus ou les r sultats s rologiques Article 3 8 7 2 Conditions g n rales et m thodes 1 Tout syst me de surveillance Chapitre 1 3 6 du pr sent Code terrestre doit tre plac sous la responsabilit des Services v t rinaires Chapitre 1 3 3 du pr sent Code terrestre qui doivent faire preuve de grandes comp tences en mati re de fi vre aphteuse Il doit exister une proc dure assurant le recueil des pr l vements suspects et leur transport dans les meilleurs d lais vers un laboratoire dot des quipements adapt s et du personnel comp tent pour r aliser les tests n cessaires au diagnostic de la fi vre aphteuse comme d crit dans le Manuel terrestre Commission scientifique Janvier 2005 45 Annexe III suite 73 SG 12 CS3B AH
40. au laboratoire de r f rence r gional de OIE en vue de leur caract risation g n tique et antig nique Surveillance s rologique La surveillance s rologique vise d tecter des anticorps dirig s contre le virus de la peste porcine classique Des r sultats positifs un test de d tection des anticorps dirig s contre le virus de la peste porcine classique ont cinq causes possibles a infection naturelle par le virus de la peste porcine classique b vaccination l gale ou ill gale contre la peste porcine classique c pr sence d anticorps maternels si la m re tait immunis e en g n ral on peut d celer les anticorps maternels chez les porcs jusqu l ge de 4 5 mois mais chez certains individus ces anticorps peuvent tre d cel s pendant un laps de temps beaucoup plus long d existence de r actions crois es avec d autres pestivirus e animaux pr sentant des r actions positives non sp cifiques L infection des porcs par d autres pestivirus peut compliquer une strat gie de surveillance fond e sur la s rologie En raison de l existence d antig nes communs on peut obtenir des r sultats positifs aux preuves s rologiques de d tection de la peste porcine classique en r alit attribuables des anticorps dirig s contre le virus de la diarrh e virale bovine ou contre le virus de la maladie de Border BDV Il conviendra de pratiquer des tests diff rentiels sur ces pr l vements pour en
41. bri vement les dispositions en vigueur et se reporter la partie consacr e la pr vention de la fi vre aphteuse dans la zone de surveillance 6 Zone tampon ventuelle A Surveillance D crire bri vement le syst me en place et se reporter la partie consacr e la surveillance de la fi vre aphteuse dans la zone de surveillance B R glementation D crire bri vement les dispositions en vigueur et se reporter la partie consacr e la pr vention de la fi vre aphteuse dans la zone de surveillance PJ 1 Partie consacr e la pr vention de la fi vre aphteuse 2 Partie consacr e la surveillance de la fi vre aphteuse 3 Partie consacr e l radication de la fi vre aphteuse 4 Partie consacr e au secteur de l levage et au syst me v t rinaire NB LES ANNEXES AUX SECTIONS SUIVANTES NON REDIGEES DANS L UNE DES TROIS LANGUES OFFICIELLES DE L OIE DOIVENT COMPORTER UN BREF RESUME DANS L UNE DE CES LANGUES 102 Commission scientifique Janvier 2005 73 SG 12 CS3B AHG 5 Annexe III suite Annexe III suite Il SOMMAIRE COMPLET DU RAPPORT 11 1 PARTIE CONSACREE A LA PREVENTION DE LA FIEVRE APHTEUSE A ZONE INDEMNE DE FIEVRE APHTEUSE R sumer ici les mesures de pr vention de la fi vre aphteuse dans la zone indemne Les lois et reglements nationaux ainsi que les directives de l Administration v t rinaire peuvent tre mentionn s et annex s Les points num r s ci apr s doivent
42. carcasses est un processus naturel de d composition biologique qui se produit en pr sence d oxyg ne Pendant la premi re phase la temp rature du tas de compost s accroit les mati res organiques se d gradent en constituants relativement petits les tissus mous se d composent et les os se ramollissent partiellement Dans la seconde phase les mati res qui subsistent principalement des os se d gradent totalement en un humus marron fonc ou noir contenant essentiellement des bact ries non pathog nes et des nutriments v g taux Les syst mes de compostage requi rent une s rie d ingr dients dont des sources de carbone des agents de charge et des couches biofiltrantes Les sources de carbone peuvent tre constitu es de sciure de bois paille cannes de ma s ensil es liti res de volailles pis de ma s broy s paille de bl foin copeaux papier feuilles vermiculite et compost m r Un m lange 50 50 de mati res solides s par es de fumier et d une source de carbone peut tre utilis comme substance de base pour le compostage des carcasses Le compost m r retient pr s de 50 du carbone initial qui peut tre recycl dans le processus de compostage Un rapport carbone azote C N allant de 25 1 40 1 g n re suffisamment d nergie et produit peu d odeurs lors du processus de compostage En r gle g n rale le poids des mati res carbon es par rapport aux carcasses est d environ 1 1 pour les mati res dont le r
43. cas Les signes cliniques et l anatomo pathologie de l infection par le virus de la peste porcine classique sont galement tr s variables selon la souche virale et les facteurs li s l h te tels que l ge l tat nutritionnel et l tat de sant Ces facteurs ainsi que les effets aggravants d infections ou maladies concomitantes caus es par des pestivirus des ruminants imposent de proc der des tests de laboratoire afin de clarifier le statut des cas suspects de peste porcine classique d tect s gr ce la surveillance clinique Les difficult s pos es par la d tection de la maladie chronique qui se manifeste par des signes cliniques non sp cifiques et une s roconversion tardive et l existence de porcelets pr sentant une r action s rologique n gative et infect s en permanence mais pouvant tre cliniquement normaux font que les examens virologiques sont essentiels Dans le cadre d une enqu te portant sur un troupeau ces animaux seront probablement minoritaires et ne risqueront pas de mettre en chec un diagnostic reposant sur la s rologie Cependant individuellement ou au sein de lots r cemment panach s ces animaux peuvent chapper la d tection par cette m thode Les enqu tes r alis es selon une approche holistique en prenant en compte les ant c dents du troupeau les d placements des porcs du personnel et des v hicules et le statut sanitaire dans les zones ou les pays voisins p
44. commercialisation et de la transformation permettant la d claration des cas suspects Les leveurs et les agents zoosanitaires qui sont au contact quotidien avec les porcs de m me que les sp cialistes du diagnostic doivent tre encourag s a signaler rapidement toute suspicion de peste porcine classique Ils doivent tre aid s directement ou indirectement par ex par l interm diaire de v t rinaires du secteur priv ou de personnel para v t rinaire par des programmes d information gouvernementaux et par l Administration v t rinaire Comme de nombreuses souches du virus de la peste porcine classique ne produisent pas de l sions macroscopiques ou de signes cliniques pathognomoniques les cas pour lesquels le diagnostic de peste porcine classique ne peut tre carter doivent faire l objet d investigations imm diates en faisant appel au diagnostic clinique anatomo pathologique et biologique Il en d coule la n cessit de mettre des trousses de pr l vement et autres mat riels la disposition des personnes responsables de la surveillance Ces derni res doivent pouvoir demander l assistance d une quipe comp tente en mati re de diagnostic d valuation pid miologique et de contr le de la peste porcine classique b inclure s il y a lieu des contr les cliniques et des tests s rologiques r guliers et fr quents effectu s sur les groupes d animaux haut risque par exemple quand les animaux sont nourris pa
45. conduite sur le site ne requiert pas de transport et s utilise pour lutter contre la propagation de la maladie Elle requiert cependant une valuation environnementale en raison de la contamination potentielle des eaux de surface ou des nappes aquif res si les eaux d infiltration ne sont pas contr l es Cette m thode n inactive pas les agents pathog nes e Mise dans une aire de d charge agr e exploit e le cas ch ant par une soci t commerciale cette m thode consiste 4 d poser les carcasses sur des sites de d charge pr d termin s ayant recu l agr ment environnemental Les sites ayant t pr alablement agr s toutes les r percussions sur l environnement telles que les probl mes li s aux eaux d infiltration aux gaz la conception du confinement aux inondations et aux nappes phr atiques ont d ja t prises en consid ration Inconv nients de cette m thode la zone est ouverte et non couverte pendant une dur e prolong e les missions d a rosols ne sont pas exclues et le public met des r ticences sur cette approche e Entassement Il s agit d un enfouissement en masse au dessus du sol qui donne lieu aux m mes consid rations que l enfouissement en masse et le compostage e Fermentation il s agit d un syst me ferm de d composition microbiologique ana robie qui requiert un traitement m canique et thermique pr alable et se traduit par la production de biogaz Cette m thode n inactive pas l
46. d finir le statut des populations haut risque en mati re de NAI Le pays demandeur doit montrer que la strat gie de surveillance choisie permet de d tecter les infections par le virus de la NAI conform ment au Chapitre 1 3 6 et en fonction de la situation pid miologique pr valente La surveillance clinique peut par exemple tre cibl e sur des esp ces particuli res susceptibles de pr senter des signes cliniques univoques poulets De m me les tests virologiques et s rologiques pourraient tre cibl s sur des esp ces ne pr sentant pas n cessairement de signes cliniques canards par exemple Si un Pays Membre souhaite faire reconna tre l absence d infection par le virus de la NAI dans une zone ou une r gion donn e de son territoire le protocole de surveillance et la proc dure de pr l vement doivent viser la population pr sente dans cette zone ou cette r gion 144 Commission scientifique Janvier 2005 73 SG 12 CS3B AHG 8 Annexe III suite Annexe III suite Dans le cas de la surveillance al atoire le protocole d chantillonnage devra int grer une pr valence d infections adapt e la situation pid miologique La taille de l chantillon s lectionn pour les tests devra tre suffisante pour d celer une infection si elle se produisait une fr quence minimale pr d termin e La taille de l chantillon et la pr valence escompt e de la maladie d terminent le niveau de confiance des r sult
47. de foyers de type A en 1996 Ces informations donnent penser que l infection par ce virus a t jugul e Toutefois le Code terrestre exige que des preuves soient apport es quant a existence d une surveillance portant la fois sur la maladie et l infection virale et de mesures r glementaires destin es lutter contre la fi vre aphteuse Contr le aux fronti res Une description d taill e des contr les v t rinaires r alis s dans le pays et ses fronti res est toujours en attente de r ception Des informations sur l tendue et la nature des pouvoirs d tenus par les autorit s v t rinaires sont galement requises afin de d terminer comment de nouvelles incursions pourraient tre pr venues ou ma tris es cet gard il serait utile de disposer de donn es sur la nature et l importance de ce commerce ainsi que sur les mesures introduites pour contr ler ces changes Conclusion Aucun l ment n a donn de raison de suspecter la pr sence d une infection par la fi vre aphteuse sur le territoire de la Communaut d tats Serbie et Mont n gro Toutefois les membres du Groupe ont jug que les informations relatives la structuration et au fonctionnement des syst mes de contr le et de surveillance taient insuffisantes et ne leur permettaient pas d avoir toutes leurs assurances quant leur conformit aux exigences du Code terrestre de OIE Commission scientifique Janvier 2005 87
48. de la zone reconnue indemne Le Groupe d plore que les informations n ont pas t communiqu es l OIE pour justifier les modifications apport es Le Groupe recommande qu il soit demand au Pays Membre de pr senter de toute urgence un dossier pr cisant et justifiant les changements apport s aux limites de la zone indemne de la zone de surveillance et de la zone tampon La d monstration de l adoption de mesures appropri es pour confirmer l absence d infection dans la zone qui souhaite le maintien de la reconnaissance par l OIE de son statut indemne de fi vre aphteuse sans vaccination rev t une importance particuli re Annexes Commission scientifique Janvier 2005 73 SG 12 CS3B AHG 6 Annexe III suite 5 a 5 b Annexe I REUNION DU GROUPE AD HOC DE L OIE POUR L EVALUATION DU STATUT DES PAYS AU REGARD DE LA FIEVRE APHTEUSE Paris 10 13 janvier 2005 Ordre du jour Probl mes soulev s lors de la pr c dente r union Examen du dossier pr sent par la Serbie et Mont n gro Courrier en provenance du Paraguay concernant la m thode de Frenkel appliqu e la production des vaccins antiaphteux Courriers divers relatifs la situation de la fi vre aphteuse en Am rique du Sud valuation du statut des pays Notification de la fi vre aphteuse l OIE Demande manant du P rou pour la reconnaissance d une zone indemne de fi vre aphteuse sans vaccination Demande de reconnaissance d u
49. de recherches al atoires la strat gie de pr l vement devra prendre en compte la pr valence escompt e en fonction de la situation pid miologique L chantillon s lectionn pour effectuer les examens devra tre d une taille suffisante pour d tecter l infection si elle appara t une fr quence minimum pr d termin e La taille de l chantillon et la pr valence escompt e de la maladie d terminent le niveau de confiance des r sultats de la surveillance Le pays demandeur doit justifier le choix de la pr valence escompt e et du niveau de confiance en fonction des objectifs de la surveillance et de la situation pid miologique conform ment au chapitre 1 3 6 Il est clair que le choix de la pr valence estim e doit d pendre de la situation pid miologique actuelle et pass e Ind pendamment du protocole d tude choisi la sensibilit et la sp cificit des preuves de diagnostic employ es sont des l ments essentiels de la conception la d termination de la taille de l chantillon et l interpr tation des r sultats obtenus En principe la sensibilit et la sp cificit des tests doivent tre valid es en fonction des ant c dents de vaccination d infection et de la classe de production laquelle appartiennent les animaux dans la population cible Quel que soit le syst me de d pistage utilis la conception du syst me de surveillance doit pr voir l apparition de faux positifs Cela vaut en par
50. de son territoire que la vaccination soit pratiqu e ou pas doit non seulement satisfaire les conditions g n rales d crites dans le chapitre 2 6 7 du Code terrestre mais aussi apporter la preuve de l existence d un programme de surveillance efficace La strat gie et la conception du programme de surveillance seront fonction des circonstances pid miologiques du moment et seront planifi es et mises en uvre conform ment aux M thodes et conditions g n rales stipul es dans les pr sentes Lignes directrices pour d montrer l absence d infection par le virus de la peste porcine classique parmi les populations de porcs domestiques et sauvages Cette obligation requiert l assistance d un laboratoire national ou autre capable de proc der l identification de l infection par le virus de la peste porcine classique gr ce la d tection des acides nucl iques de l antig ne du virus et aux tests de recherche des anticorps d crits dans le Manuel terrestre Pays ou zone indemnes de peste porcine classique chez les porcs domestiques mais dont la population de porcs sauvages est infect e Un Pays Membre demandant tre reconnu indemne de la peste porcine classique sur tout ou partie de son territoire que la vaccination soit pratiqu e ou pas doit non seulement satisfaire les conditions g n rales d crites dans le chapitre 2 6 7 du Code terrestre mais aussi apporter la preuve de l existence d un programme de surveilla
51. des anticorps au niveau du troupeau sera lev e Les porcs atteints d infection chronique peuvent pr senter des titres d anticorps ind tectables ou fluctuants Il est possible d utiliser du s rum recueilli pour d autres types de surveillance sous r serve de ne pas compromettre les principes du protocole de surveillance d crits dans la pr sente Annexe et les imp ratifs d une surveillance statistiquement valable La d couverte d un regroupement de r actions s rologiques positives doit tre pr vue Elle peut s expliquer entre autres par l un des l ments suivants les caract ristiques d mographiques de la population soumise aux pr l vements l exposition vaccinale ou la pr sence de l infection par des souches isol es sur le terrain ou par d autres pestivirus tant donn qu une concentration de r actions positives peut indiquer l existence d une infection par une souche isol e sur le terrain l investigation de tous les cas doit tre int gr e dans le protocole d tude Un regroupement d animaux porteurs est toujours significatif d un point de vue pid miologique et doit donc faire l objet d investigations Dans les pays ou les zones qui s orientent vers un statut indemne la s rosurveillance peut fournir des informations utiles sur la situation sanitaire et sur l efficacit de tout programme de lutte contre la maladie La surveillance cibl e des jeunes animaux r v lera la pr sence vent
52. des technologies applicables Les Pays Membres pourront ainsi parvenir une d cision clair e sur la solution la mieux adapt e dans les circonstances particuli res pr valentes sur leur territoire Les facteurs de risque suivants essentiels cette prise de d cision qui doit d boucher sur la technologie la mieux adapt e l limination des carcasses ont t identifi s vitesse de r solution du probl me s curit professionnelle en ce qui concerne les proc dures appliqu es par les op rateurs inactivation de l agent pathog ne aspects environnementaux capacit s disponibles pour r pondre aux contraintes de la technique envisag e co t du recours une technologie sp cifique r percussions des r actions du public acceptation de la technologie choisie par le secteur industriel touch influence des transports disponibles sur l application de la technique choisie risque ventuel de propagation de la maladie aux animaux sauvages par la technologie retenue 2 Aspects juridiques li s au d versement des carcasses en mer Le Groupe a t rejoint par le professeur Yves Gaudemet conseiller juridique de l OIE et Monsieur Boris Stoykov juriste stagiaire l Office pour une discussion sur les aspects juridiques internationaux et les conventions internationales li s l limination des carcasses en mer Une consultation l gale a t demand e par le Directeur g n ral de l OIE
53. e de toutes les esp ces sensibles se trouvant dans le pays ou la zone devant tre reconnu e indemne du virus aphteux infection ou circulation La strat gie peut reposer sur des pr l vements al atoires impliquant une surveillance pouvant d montrer l absence d infection ou de circulation du virus avec un niveau de confiance statistique acceptable La fr quence d chantillonnage doit tre d termin e en fonction de la situation pid miologique Une surveillance sp cifique fond e par exemple sur le risque accru d infection dans certains sites ou chez certaines esp ces peut aussi constituer une strat gie appropri e Le pays demandeur doit montrer que la strat gie de surveillance choisie permet de d tecter les infections par la fi vre aphteuse ou la circulation du virus conform ment au Chapitre 1 3 6 et en fonction de la situation pid miologique La surveillance clinique peut par exemple tre cibl e sur des esp ces particuli res susceptibles de pr senter des signes cliniques univoques bovins et porcs par exemple Si un Pays Membre souhaite faire reconna tre l absence de virus aphteux infection circulation dans une zone ou une r gion donn e de son territoire le protocole de surveillance et la proc dure de pr l vement doivent viser la population pr sente dans cette zone ou cette r gion Dans le cas de la surveillance al atoire le protocole d chantillonnage devra int grer une pr valence d infections
54. eau Les eaux de ruissellement doivent tre collect es et trait es Le site doit tre en aval des vents balayant les r sidences voisines Il doit tre totalement accessible et interf rer au minimum avec la circulation et les autres op rations Le temps de conservation des animaux morts doit tre r duit au minimum Les mati res compost es simultan ment doivent tre broy es une taille de 2 5 5 0 cm et m lang es Les mati res composter doivent tre soulev es et pos es et non pouss es sur le tas Les tas de compost doivent tre recouverts d un biofiltre lors des deux phases de compostage La teneur en humidit des tas doit tre de 40 60 base humide Une sonde de temp rature doit tre ins r e verticalement dans chaque cadran du tas et les temp ratures internes doivent tre surveill es chaque jour et chaque semaine lors des deux phases du compostage Lors de la premi re phase la temp rature au coeur du tas doit atteindre au moins 55 60 C en l espace de 10 jours et rester ce niveau pendant plusieurs semaines Une temp rature de 65 au coeur maintenue pendant un deux jours r duit l activit des bact ries pathog nes et la germination des graines d herbac es Cependant les bact ries sporog nes telles que Bacillus anthracis et d autres agents pathog nes comme Mycobacterium tuberculosis survivront Une a ration correcte est importante pour maintenir une temp rature et une humidit uniformes dans l
55. esp ces aviaires Les tests d immunodiffusion en g lose sont fiables pour d tecter les anticorps anti NP M chez les volailles et les dindons mais non dans les autres esp ces aviaires Des tests ELISA bloquants ont galement t d velopp s comme autre approche pour d celer les anticorps anti NP M dans toutes les esp ces aviaires Les tests d inhibition de h magglutination ou d inhibition de la neuraminidase peuvent tre utilis s pour d terminer le sous type du virus parmi 15 sous types d h magglutinine et 9 sous types de neuraminidase Ces informations sont utiles aux recherches pid miologiques et la classification des virus de l influenza aviaire Les animaux peuvent tre vaccin s par toute une s rie de vaccins dont les vaccins pr par s partir de virus inactiv s entiers et les vaccins reposant sur l expression de l h magglutinine actuellement l tude l OIE Les anticorps dirig s contre l h magglutinine conf rent une protection sp cifique d un sous type particulier Diff rentes strat gies peuvent tre utilis es pour diff rencier les oiseaux vaccin s des oiseaux infect s dont la s rosurveillance sur les oiseaux sentinelles non vaccin s ou des tests s rologiques sp cifiques chez les volailles vaccin es Une infection par le virus de l influenza aviaire chez des oiseaux non vaccin s y compris chez des sentinelles se d tecte d apr s les anticorps anti NP M les anticorps
56. l influenza aviaire doivent tre examin es pour d terminer le sous type d HA et de NA et doivent tre test es in vivo chez des poulets et ou analys es par s quen age du site de clivage prot olytique de HA pour les sous types HS et H7 afin de les classer comme virus de la HPNAI de la LPNAI ou de la LPAI pas de d claration obligatoire Des tests de d tection des acides nucl iques ont galement t d velopp s et valid s ils ont la m me sensibilit que l isolement du virus et l avantage de fournir des r sultats en quelques heures Les pr l vements dans lesquels les sous types HS et H7 de l h magglutinine ont t d cel s par les m thodes de d tection des acides nucl iques doivent tre soumis l isolement et l identification du virus et des tests in vivo chez des poulets ou bien tre soumis au s quencage des acides nucl iques pour d terminer s il s agit de virus HPNAI ou LPNAI d apr s le site de clivage prot olytique Les syst mes de d tection des antig nes en raison de leur faible sensibilit sont mieux adapt s au d pistage des cas cliniques d infection par une souche de terrain de type A en recherchant les prot ines NP M Les pr l vements positifs doivent tre soumis l isolement et l identification du virus ainsi qu la d termination de son indice de pathog nicit Commission scientifique Janvier 2005 149 Annexe III suite 73 SG 12 CS3B AHG 8 Annexe III suite
57. la PPCB et les moyens de b n ficier du soutien de la communaut internationale L objet de la r union tait donc de se faire une id e de la situation sanitaire en Zambie en particulier et dans la r gion de la SADC en g n ral d valuer la capacit des pays contenir les foyers de PPCB et de formuler un plan d action pour faire face la situation sanitaire en Zambie Le Docteur Amanfu a soulign la participation de la FAO qui s est engag e contribuer r gler la situation Il a communiqu aux participants la r union les informations obtenues lors d une r cente mission technique men e en Zambie en insistant sur les points suivants e assistance la Zambie avait pour objectif d appuyer les programmes de contr le afin d emp cher I apparition en Zambie occidentale de nouveaux foyers de maladies animales notamment de PPCB r sultant de l afflux de bovins appartenant aux r fugi s angolais e malgr les interventions du projet pour le contr le des maladies animales transfrontali res le pays a continu d enregistrer des foyers en particulier de PPCB e des foyers de la maladie ont t d tect s dans la province du nord ouest en f vrier 2003 en particulier dans le district de Mufumbwe situ dans la r gion de Kashima et en juin 2003 dans le district de Kaoma e On pense que le lieu d origine du foyer apparu dans le district de Katima Caprivi oriental de Namibie octobre 2003 est le sud
58. la tuberculose bovine 2 Questions apparent es Commission scientifique Janvier 2005 129 73 SG 12 CS3B AHG 7 Annexe III suite Annexe IT GROUPE AD HOC DE L OIE SUR LA TUBERCULOSE Paris 17 19 novembre 2004 Liste des participants MEMBRES Pr Vincenzo Caporale Pr sident de la Commission scientifique pour les maladies animales de l OIE Director Istituto Zooprofilattico Sperimentale dell Abruzzo e del Molise G Caporale Via Campo Boario 64100 Teramo ITALIE T l 39 0861 33 22 33 Fax 39 0861 33 22 51 E mail caporale izs it Dr B Garin Bastuji AFSSA Alfort Unit Zoonoses Bact riennes Lab OIE FAO de r f rence pour la brucellose animale Laboratoire d tudes et de recherches en pathologie animale et zoonoses 23 avenue du G n ral de Gaulle 94706 Maisons Alfort Cedex FRANCE T l 33 0 1 49 77 13 00 Fax 33 0 1 49 77 13 44 E mail b garin bastuji afssa fr BUREAU CENTRAL DE L OIE Dr Bernard Vallat Directeur g n ral 12 rue de Prony 75017 Paris FRANCE T l 33 0 1 44 15 18 88 Fax 33 0 1 42 67 09 87 E mail oie oie int M K Jahans VLA Weybridge New Haw Addlestone Surrey KT15 3NB ROYAUME UNI T l 44 1932 34 11 11 Fax 44 1932 34 70 46 Email k jahans vla defra gsi gov uk Dr Thomas Jemmi Head international Affairs Research Management Swiss Federal Veterinary Office Schwarzenburgstrasse 161 CH 3003 Bern
59. les Annexes I et II La r union a t pr sid e par le Professeur Vincenzo Caporale Pr sident de la Commission scientifique et M K Jahans a t nomm rapporteur 1 Examen du chapitre 2 3 3 du Code sanitaire pour les animaux terrestres consacr a la tuberculose bovine Le Groupe ad hoc a examin le chapitre 2 3 3 du Code terrestre et a pass en revue les changements propos s la lumi re des nouveaux concepts scientifiques et en prenant en compte les commentaires regus des Pays Membres sur le projet de chapitre qui a t diffus l an dernier Les changements propos s ont t d finis sur les principes suivants e Le terme bovins englobera Bos taurus Bos indicus Bos grunniens et Bubalus bubalis e Aucune denr e crue ne devrait tre import e sans aucune restriction Toutefois il a t n cessaire de solliciter l avis d experts concernant la pr sence de M bovis dans certains produits d origine animale par ex collag ne ou g latine e La r f rence au statut indemne a t tendue aux compartiments il n tait donc pas n cessaire de formuler des recommandations relatives la surveillance de la faune sauvage e Ace stade rien ne justifiait d int grer la vaccination dans le chapitre bien que la vaccination puisse tre mise en uvre dans le futur dans certains pays Les animaux et les produits d origine animale issus de troupeaux indemnes pr sents dans un pays une zone ou un comp
60. m me que sont fournies des lignes directrices permettant de d montrer le maintien du statut indemne de peste porcine classique Ces lignes directrices sont destin es d velopper et expliquer les conditions stipul es dans le chapitre 2 6 7 du Code terrestre La peste porcine classique a des cons quences et une pid miologie tr s variables selon les diff rentes r gions du monde il est donc impossible de proposer des lignes directrices sp cifiques applicables toutes les situations Il est vident que les strat gies de surveillance employ es pour d montrer l absence de peste porcine classique un niveau de confiance acceptable devront tre adapt es la situation locale Par exemple l approche doit tre ajust e afin de prouver l absence de peste porcine classique dans un pays ou une zone o les porcs sauvages constituent un r servoir potentiel de l infection ou bien dans un pays ou une zone adjacent un pays o la maladie est pr sente La m thode doit examiner l pid miologie de la peste porcine classique dans la r gion concern e et tre adapt e aux facteurs de risques sp cifiques rencontr s Des l ments justificatifs scientifiquement tay s doivent galement y tre pr sent s Par cons quent les Pays Membres disposent d une marge de man uvre pour pr senter des donn es bien argument es visant prouver que l absence d infection par le virus de la peste porcine classique est assur e av
61. mise en vidence de la source virale sont d pendantes de la d tection des animaux contamin s Il est essentiel que les souches de virus aphteux soient r guli rement adress es au Laboratoire r gional de r f rence en vue de leur caract risation g n tique et antig nique Surveillance s rologique La surveillance s rologique vise d tecter des anticorps dirig s contre le virus aphteux La positivit d un test de d tection des anticorps peut avoir quatre origines diff rentes a une infection naturelle par le virus aphteux b une vaccination contre la fi vre aphteuse c la pr sence d anticorps maternels si la m re tait immunis e chez les bovins on ne d tecte g n ralement les anticorps maternels que jusqu l ge de six mois mais chez certains individus et dans certaines esp ces ces anticorps peuvent tre d cel s beaucoup plus longtemps d des r actions h t rophiles crois es Commission scientifique Janvier 2005 47 Annexe III suite 73 SG 12 CS3B AHG 2 Annexe III suite Il est important que les preuves s rologiques incluent si n cessaire des antig nes permettant de d celer les anticorps dirig s contre les variants viraux r cemment apparus dans la r gion concern e types sous types lign es topotypes etc Quand on ne connait pas l identit probable du virus aphteux ou quand on suspecte la pr sence de virus exotiques il convient d utiliser des preuves permet
62. moins prescriptif en termes d objectifs de surveillance afin de laisser une plus grande souplesse d approche aux responsables de la mise en oeuvre Parall lement cette modification une responsabilit accrue a t attribu e aux concepteurs des plans de surveillance en mati re de validation pid miologique et statistique des approches suivies Conform ment aux modifications r cemment adopt es en d autres parties du Code terrestre le Groupe a ajout dans le texte existant le terme compartiment apr s toutes les r f rences la notion de zone Autre interpr tation propos e sur l absence de circulation virale dans les populations vaccin es Le Groupe a examin une proposition soumise par la PANAFTOSA sur l Annexe 3 8 7 actuelle propos de l utilisation et de l interpr tation des tests s rologiques La r vision tient compte du rappel de la PANAFTOSA qui estime que les conclusions associ es doivent prendre en compte toutes les donn es importantes Le principe de cette proposition a t int gr en largissant la base d interpr tation des r sultats positifs pour inclure tous les aspects pid miologiques importants dans le contexte consid r Le texte r vis pr conise la prise en compte de l volution des titres s riques en termes de niveau de pr valence et de distribution non seulement chez les animaux touch s mais aussi dans le groupe test et plus largement dans la population r gionale d origin
63. obstacle important aux changes ainsi qu une perte de revenu d e la saisie des carcasses infest es par le parasite La Commission a recommand de solliciter l avis d experts sur cette question avant de l exclure d finitivement de la liste Commission scientifique Janvier 2005 3 e le coryza gangreneux ne figure pas sur la liste Si la Commission a admis que la forme de la maladie associ e aux ovins ne m rite pas de figurer sur la liste la forme associ e au gnou en revanche est une maladie susceptible d tre l origine d une mortalit importante chez les bovins et de se propager par les d placements de certaines esp ces de gnous Plus d informations devront tre fournies par la Commission d ici l il a t recommand que la forme associ e au gnou soit incluse dans la liste La Commission a examin les d finitions suivantes propos es par le Groupe ad hoc et recommand qu elles soient transmises la Commission du Code pour inclusion dans le Code terrestre Cas d signe un animal infect par l un des agents pathog nes figurant sur la liste de l OIE Maladie mergente d signe une nouvelle infection r sultant de l volution ou de la modification d un agent pathog ne existant une infection connue s tendant une nouvelle zone g ographique ou une nouvelle population ou un agent pathog ne non identifi pr c demment ou bien une maladie diagnostiqu e pour la premi re fois su
64. ou pour une zone ou un compartiment donn e doit justifier de l existence d un programme efficace de surveillance con u et appliqu conform ment aux conditions g n rales et aux m thodes expos es dans les pr sentes lignes directrices Il doit d montrer l absence de forme clinique de la maladie dans le pays la zone ou le compartiment au cours des 2 derni res ann es La surveillance doit en outre tablir que le virus aphteux n a pas circul dans les populations sensibles vaccin es ou non vaccin es au cours des 12 mois coul s ce qui suppose que la surveillance s rologique inclue des tests de d tection des anticorps dirig s contre les prot ines non structurales NSP comme d crit dans le Manuel terrestre Dans ce guide on entend par vaccinations celles qui font partie d un programme officiel de prophylaxie men sous le contr le de l Administration v t rinaire dans le but d interrompre la transmission du virus aphteux dans le pays la zone ou le compartiment concern e Le niveau d immunit des troupeaux n cessaire pour interrompre la transmission virale d pend de la taille de la composition esp ces et autres caract ristiques et de la densit de la population sensible Il n est donc pas possible d tre prescriptif en la mati re mais l objectif g n ral doit tre de vacciner au moins 80 de la population sensible selon les modalit s et la fr quence prescrites Le vaccin doit galement tre c
65. par la m thode de Frenkel et ce le plus t t possible La Commission a approuv la proposition du Groupe ad hoc de recommander au Comit international en mai 2005 que 1 une zone du P rou d crite par le D l gu de ce pays dans un dossier soumis l OIE soit reconnue indemne de fi vre aphteuse sans vaccination par POIE 2 l tat d Acre ainsi que deux municipalit s adjacentes situ es au Br sil soient reconnus indemnes de fi vre aphteuse avec vaccination par l OIE 3 les zones centrale et m ridionale de la Colombie d crites par le D l gu de ce pays dans un dossier soumis l OIE soient reconnues par celui ci comme tant indemnes de la fi vre aphteuse avec vaccination En ce qui concerne les vaccins utilis s dans ce pays la Commission a pris note de l assurance donn e par la D l gation de Colombie qu l avenir seuls les vaccins produits conform ment aux crit res d finis dans le Manuel des tests de diagnostic et des vaccins pour les animaux terrestres Manuel terrestre de l OIE seront utilis s La Commission a not que la demande formul e par un Pays Membre de reconnaissance de son statut indemne de fi vre aphteuse sans vaccination ne pouvait pas tre prise en consid ration par le Groupe ad hoc celui ci n ayant pas obtenu les compl ments d information sollicit s Elle a galement approuv la proposition du Groupe ad hoc de demander un autre Pays Membre qui avait soumis un
66. poursuite des investigations sur le terrain voir plus loin pour recueillir des l ments diagnostiques partir de l unit d chantillonnage initiale et dans les levages susceptibles de pr senter des liens pid miologiques avec celle ci Les principes appliqu s la surveillance des maladies et des infections sont techniquement bien d finis Les programmes de surveillance visant prouver l absence de virus de la NAI infection circulation doivent tre soigneusement con us pour viter les r sultats insuffisamment fiables pour tre accept s par OIE ou les partenaires commerciaux internationaux ainsi que les proc dures trop co teuses ou trop lourdes sur le plan logistique La conception des programmes de surveillance n cessite par cons quent la participation de professionnels comp tents et exp riment s en ce domaine Surveillance clinique La surveillance clinique vise d tecter les signes cliniques de NAI dans les levages La valeur diagnostique du d pistage s rologique de masse est largement soulign e mais il ne faut pas sous estimer l int r t d une surveillance fond e sur l inspection clinique Le suivi des param tres de production tels qu un accroissement de la mortalit une diminution de la consommation de nourriture ou d eau la pr sence de signes cliniques d affection respiratoire ou une chute de la production d ufs est essentiel la d tection pr coce du virus de la NAI et doit condu
67. pr sence de la peste porcine classique est grandement major par cette d marche Dans les zones ou pays o ces maladies existent il convient de proc der au suivi clinique et virologique de ces cas Les signes cliniques et l anatomo pathologie de l infection par le virus de la peste porcine classique sont galement tr s variables selon la souche virale et les facteurs li s l h te tels que l ge l tat nutritionnel et l tat de sant Ces facteurs ainsi que les effets aggravants d infections ou maladies concomitantes caus es par des pestivirus des ruminants imposent de proc der des tests de laboratoire afin de clarifier le statut des cas suspects de peste porcine classique d tect s gr ce la surveillance clinique Les difficult s pos es par la d tection de la maladie chronique qui se manifeste par des signes cliniques non sp cifiques et une s roconversion tardive ainsi que la s ron gativit observ e chez les porcelets infect s en permanence pouvant tre par ailleurs cliniquement normaux font que les examens virologiques sont essentiels Dans la cadre d une enqu te portant sur un troupeau ces animaux seront probablement minoritaires et ne risqueront pas de mettre en chec un diagnostic reposant sur la s rologie Cependant Commission scientifique Janvier 2005 79 Annexe III suite 73 SG 12 CS3B AHG 4 Annexe III suite individuellement ou au sein de lots r cemment panach s ces anim
68. propos que le mandat des Groupes ad hoc charg s de l valuation du statut des pays au regard de certaines maladies soit examin lors de sa prochaine r union 8 Dates des prochaines r unions Le Bureau de la Commission se r unira du 30 au 31 mai 2005 et la r union de la Commission se tiendra du 16 au 20 janvier 2006 Annexes Commission scientifique Janvier 2005 7 Annexe I REUNION DE LA COMMISSION SCIENTIFIQUE DE L OIE POUR LES MALADIES ANIMALES Paris 13 19 janvier 2005 Ordre du jour provisoire 1 Rapports des r unions des Groupes ad hoc Groupe ad hoc sur l limination des carcasses 31 mai 2 juin 2004 Groupe ad hoc sur les banques d antig nes et de vaccins de la fi vre aphteuse 23 25 juin 2004 Groupe ad hoc sur I pid miologie 28 30 juin 2004 Groupe ad hoc sur l valuation des tests de recherche des prot ines non structurales pour le diagnostic de la fi vre aphteuse 6 8 septembre 2004 Groupe ad hoc sur la peste porcine classique 27 29 septembre et 8 d cembre 2004 Groupe ad hoc charg d valuer le statut des pays au regard de la fi vre aphteuse 18 20 octobre 2004 Groupe ad hoc charg d valuer le statut des pays demandant tre reconnus indemnes de peste bovine 20 22 octobre 2004 Groupe ad hoc sur la surveillance de l influenza aviaire 11 13 novembre 2004 Groupe ad hoc sur la tuberculose 17 19 novembre 2004 2 Rapport de la r un
69. recouvrer son statut indemne de peste porcine classique pour tout ou partie zone compartiment de son territoire doit non seulement satisfaire les conditions g n rales d crites dans le chapitre 2 6 7 du Code terrestre mais aussi faire la preuve de l existence d un programme de surveillance active de la maladie et de l absence d infection par le virus de la peste porcine classique Les populations vis es par ce programme de surveillance doivent inclure entre autres Les tablissements situ s dans la zone touch e par le foyer Les levages pr sentant des liens pid miologiques avec le foyer Les animaux utilis s pour le repeuplement des tablissements affect s et tout tablissement pratiquant l abattage contigu Les populations de porcs sauvages vivant dans la zone atteinte par le foyer Dans tous les cas un Pays Membre ou une zone compartiment renouvelant sa demande de statut indemne de peste porcine classique avec ou sans vaccination doit faire tat des r sultats d un programme de surveillance active et passive dans lequel la population porcine est soumise 4 des examens cliniques anatomo pathologique virologiques et ou s rologiques r guliers pr vus et r alis s conform ment aux M thodes et conditions g n rales des pr sentes Lignes directrices La surveillance doit tre effectu e sur un chantillon statistiquement significatif repr sentatif des populations risque Pays ou zone indemnes de peste porci
70. reformulation du chapitre 1 3 14 et de l annexe 3 8 2 du Code terrestre Ce document a donn lieu de longs d bats Finalement le Pr sident du Groupe ad hoc Pr sident de la Commission scientifique pour les maladies animales de l OIE a pris la d cision de demander au Directeur g n ral de l OIE de r unir sous forme d un groupe ad hoc le groupe d experts concern s afin d laborer un projet de nouveau chapitre Commission scientifique Janvier 2005 73 SG 12 CS3B AHG 9 Annexe IV suite 5 Probl mes connexes Les membres du Groupe ont constat que plusieurs Pays Membres taient consid r s avoir atteint un stade avanc dans la pr paration de leur demande de reconnaissance par l OIE de leur statut de pays indemne de maladie ou d infection alors que le Bureau central de OIE m avait pas encore re u leur dossier Dans l ventualit o ces dossiers parviendraient OIE avant le 15 novembre 2004 le Groupe ad hoc a recommand que les informations soient diffus es ses membres par voie lectronique et en cas de consensus que l acceptation des demandes soit pr conis e la Commission scientifique lors de sa r union de janvier 2005 6 Suivi de la r union Dans le cadre du suivi de la r union et du point 5 le Groupe a proc d l valuation des dossiers re us par voie lectronique des pays suivants B nin Erythr e Mongolie Nigeria S n gal Togo Turquie et Ouganda Le Groupe a pr conis
71. risques Le Groupe a not que l OIE apporte son soutien l application des m thodes d valuation du risque en tant que composante du processus global par lequel un pays d finit les mesures scientifiquement justifi es qu il convient d appliquer pour garantir la s curit biologique de ses importations d origine animale L importance relative de l valuation du risque dans le processus de d cision est d termin e par les connaissances accumul es sur la les maladie s concern e s et par l exp rience acquise Le chapitre sur ESB met l accent sur l importance capitale que rev t l valuation du risque dans le cadre des changes de marchandises sensibles l ESB en raison des manifestations r centes de la maladie de sa p riode de latence prolong e et de sa nature unique et difficile diagnostiquer Par contre le chapitre sur la fi vre aphteuse ne fait pas r f rence cette mesure ce qui t moigne de l tendue des connaissances et de l exp rience sur cette maladie et son diagnostic Le Groupe a estim que la peste porcine classique correspond plus la fi vre aphteuse qu l ESB en termes de connaissances accumul es sur son histoire naturelle sa pathogen se et son diagnostic Compte tenu de cela le Groupe propose que le chapitre sur la peste porcine classique soit plus en concordance avec le chapitre sur la fi vre aphteuse qu avec celui sur l ESB en supprimant la r f rence
72. s ni fabriqu s une fois obtenu des stocks suffisants de vaccins produits en culture tissulaire L objectif national fix par le programme est une couverture vaccinale de 100 mais le dossier ne donne aucune indication sur le pourcentage r ellement obtenu En interrogeant la d l gation nationale le Groupe apprend que la couverture vaccinale atteint actuellement 95 97 et un document tayant cette affirmation est pr sent pour la vague de vaccination de mai 2004 Syst mes de surveillance de routine Il existe un sous programme sur la surveillance pid miologique contenu dans le Programme national d radication Des donn es sont pr sent es concernant la fois la surveillance active de la circulation virale gr ce des enqu tes s rologiques pr ventives et la surveillance passive pour la d tection et le suivi des cas de suspicion de maladie v siculeuse visant confirmer ou r futer l apparition de la fi vre aphteuse Commission scientifique Janvier 2005 121 Annexe III suite 73 SG 12 CS3B AHG 6 122 Absence d infection ou de circulation virale Plusieurs enqu tes s rologiques visant d tecter une circulation virale ont t men es depuis 2002 dans diff rentes r gions qui r unies couvrent l ensemble du pays Des informations concernant les enqu tes r alis es avant 2004 n ont pas t fournis mais aucun signe de circulation virale n a t d tect Des renseignements ont t fournis sur la de
73. soumis une intradermotuberculination annuelle La viande tait consid r e comme un produit propre 4 la consommation humaine condition que des inspections ante mortem et post mortem soient effectu es Le Groupe a insist sur la n cessit qu il appartienne a des v t rinaires agr s par les Services v t rinaires de d cider au final si les viandes sont propres a la consommation humaine bien que les inspections ante mortem et post mortem soient r alis es sous le contr le des Services v t rinaires Les bovins destin s l abattoir doivent provenir d levages qui ne sont pas vis s par un programme d radication de la tuberculose En outre un d pistage tait exig pour les bovins provenant de troupeaux non indemnes afin de r duire le risque d apparition de l sions tuberculeuses dans les abattoirs en particulier dans les pays les zones ou les compartiments o la pr valence de la maladie est lev e Quand il existe un programme de surveillance de la tuberculose en vigueur l inspection v t rinaire repr sente un niveau de surveillance suffisant pour garantir la s curit du lait cru et des produits base de lait cru pour des esp ces autres que les bovins s agissant de M bovis Le chapitre propos figure dans l Annexe III Le Groupe a galement formul les observations suggestions suivantes En ce qui concerne l annexe 3 2 1 portant sur la collecte et le traitement de la semence de taur
74. sumer ici les mesures de surveillance de la fi vre aphteuse dans la zone de surveillance Les lois et r glements nationaux ainsi que les directives de l Administration v t rinaire peuvent tre mentionn s et annex s Les points num r s ci apr s doivent tre trait s avec concision B 1 Diagnostic B 1 1 Diagnostic clinique proc dures de notification et d enqu tes donn es r centes B 1 2 Diagnostic de laboratoire proc dures nombre d chantillons trait s et r sultats B 2 Surveillance s rologique B 3 Donn es d mographiques et conomiques sur le cheptel B 4 Abattoirs et march s B 5 Supervision par l Autorit v t rinaire 104 Commission scientifique Janvier 2005 73 SG 12 CS3B AHG 5 Annexe III suite Annexe III suite 11 3 PARTIE CONSACREE A L RADICATION DE LA FIEVRE APHTEUSE D crire sur une page environ comment la fi vre aphteuse a t limin e de la zone indemne Les lois et r glements nationaux ainsi que les directives de l Administration v t rinaire peuvent tre mentionn s et annex s Les points num r s ci apr s doivent tre trait s avec concision 1 Historique description pid miologique des v nements Commission scientifique Janvier 2005 105 Annexe III suite 73 SG 12 CS3B AHG 5 Annexe III suite 11 4 PARTIE CONSACREE AU SECTEUR DE L ELEVAGE ET AU SYSTEME VETERINAIRE Cette section doit contenir toute information suppl mentaire qui vous sem
75. tre trait s avec concision A 1 Coordination nationale et internationale ventuelle A 2 Contr le des importations dans la zone A 2 1 Politique et analyse des risques A 2 2 Gestion des risques inh rents aux animaux et aux produits ports fronti res nombre et localisation d chets nationaux et internationaux animaux mat riel g n tique semence et embryons produits d origine animale destin s la consommation humaine par exemple le lait et les produits carn s e produits d origine animale non destin s la consommation humaine par exemple les aliments pour animaux de compagnie les cuirs et les peaux e les m dicaments v t rinaires par exemple les produits biologiques A 2 3 S curit biologique des laboratoires et des installations de production et de tests A 3 Supervision par l Autorit v t rinaire B ZONE DE SURVEILLANCE R sumer ici les mesures de pr vention de la fi vre aphteuse dans la zone de surveillance Les lois et r glements nationaux ainsi que les directives de l Administration v t rinaire peuvent tre mentionn s et annex s Les points num r s ci apr s doivent tre trait s avec concision B 1 Coordination nationale et internationale ventuelle B 2 Contr le des importations dans la zone B 2 1 Politique et analyse des risques B 2 2 Gestion des risques inh rents aux animaux et aux produits ports fronti res nombre et localisation d chets nationau
76. un d lai appropri ii Apr s l examen clinique des chantillons s riques doivent tre pr lev s sur un nombre repr sentatif de bovins qui ont t au contact physique de l unit d chantillonnage primaire En l absence de circulation du virus l importance et la pr valence de la r activit immunologique observ e ne devraient pas diff rer de mani re statistiquement significative de celles de l chantillon primaire iii Apr s l examen clinique les troupeaux pr sentant un lien pid miologique doivent tre soumis des tests s rologiques En l absence de circulation du virus les r sultats doivent tre satisfaisants iv Des animaux sentinelles peuvent galement tre utilis s Il peut s agir d animaux jeunes non vaccin s ou d animaux chez lesquels l immunit maternelle a disparu et appartenant aux m mes esp ces que celles des unit s d chantillonnage initiales positives Les r sultats s rologiques devraient tre n gatifs en l absence de circulation du virus Si d autres ruminants sensibles non vaccin s sont pr sents ovins caprins ils pourraient jouer le r le de sentinelles et fournir des preuves s rologiques compl mentaires 50 Commission scientifique Janvier 2005 73 SG 12 CS3B AHG 2 Annexe III suite Annexe III suite Les r sultats de laboratoire doivent tre examin s en tenant compte du contexte pid miologique Pour compl ter la surveillance s rologique et valuer la possibilit d
77. une circulation virale il est n cessaire d obtenir entre autres les informations compl mentaires suivantes a caract risation des syst mes de production existants b r sultats de la surveillance clinique sur les animaux suspects et les populations d origine c quantification des vaccinations effectu es sur les sites touch s d protocole sanitaire et historique des exploitations comptant des animaux s ropositifs e contr le de l identification et des d placements des animaux f autres param tres d importance r gionale dans la transmission historique du virus aphteux L ensemble de la proc dure d investigations doit tre consign dans les dossiers sous forme de proc dure op ratoire standard dans le cadre du programme de surveillance mise en oeuvre du syst me S rosurveillance Population non vaccin e Population vaccin e Infect Non infect Le diagramme ci dessus indique les tests recommand s pour les investigations sur les unit s d chantillonnage o un r sultat positif a t obtenu Lorsqu elle est possible la recherche du virus dans les pr l vements oeso pharyng s peut galement servir de test compl mentaire dans les unit s o un test NSP s est r v l positif Mots cl s ELISA M thode de dosage immuno enzymatique VNT Test de neutralisation virale NSP Prot ine s non structurale s du virus de la fi vre aphteuse 3ABC Test de recherche des a
78. union du Groupe ad hoc de l OIE pour l valuation du statut des pays au regard de la fi vre aphteuse 8 9 mars 2004 2 Evaluation du statut des pays au regard de la fi vre aphteuse 2 1 Demande de l Argentine en vue du recouvrement pour une zone du statut indemne de fi vre aphteuse avec vaccination 2 2 Demande de reconnaissance du statut de pays indemne de fi vre aphteuse sans vaccination de la Communaut d Etats Serbie et Mont n gro 3 Questions diverses 3 1 Chapitre 2 2 10 la fi vre aphteuse 3 2 Chapitre 1 3 6 surveillance de la sant animale 3 3 Annexe 3 8 7 3 4 Document du Centre PANAFTOSA sur les marchandises 3 5 Questionnaire de OIE Commission scientifique Janvier 2005 91 73 SG 12 CS3B AHG 5 R UNION DU Annexe III suite Annexe II GROUPE AD HOC DE L OIE POUR L EVALUATION DU STATUT DES PAYS AU REGARD DE LA FIEVRE APHTEUSE MEMBRES Paris 18 20 octobre 2004 Liste des participants Docteur Gideon Briickner Directeur des services v t rinaires Agriculture Western Cape Private Bag X1 Elsenburg 7607 AFRIQUE DU SUD T l 27 21 808 5001 Fax 27 21 808 5000 E mail GideonB elsenburg com Docteur Alf Eckbert Fuessel Commission europ enne D G VI B IL 2 Rue Froissard 101 3 64 B 1049 Bruxelles BELGIQUE T l 32 2 295 0870 Fax 32 2 295 3144 E mail alf eckbert fuessel cec eu int BUREAU CENTRAL DE L OIE Docteur Eduardo Correa Melo
79. vaccination Structures de soutien Le dossier fait tat d un service v t rinaire bien organis plac sous la direction d une structure centrale Il existe une Commission inter institutionnelle qui coordonne la gestion des fonds destin s au Programme national d radication de la fi vre aphteuse La structure et les syst mes du Programme d radication semblent convenir pour l ex cution d une campagne d radication et la gestion d ventuels foyers n cessitant une intervention d urgence Le syst me a t test et les mesures appliqu es lors de l apparition de foyers en 2002 et 2003 se sont av r es efficaces Des ressources ad quates sont d crites en termes d infrastructures v t rinaires et de capacit diagnostique et logistique des laboratoires Tous les vaccins utilis s qu ils soient produits dans le pays ou import s sont soumis un contr le de qualit national Des informations sont fournies sur le nombre de doses import es et produites dans le pays La production nationale de vaccins repose actuellement sur la m thode de Frenkel et sur la croissance en culture tissulaire Le Groupe fait observer la d l gation nationale que le vaccin produit par la m thode de Frenkel n est pas consid r e comme conforme aux normes de l OIE La d l gation donne l assurance que l utilisation des vaccins obtenus par la m thode de Frenkel cessera imm diatement et que ces vaccins ne seront plus achet
80. vaccination est interdite dans le pays pr ciser la date d entr e en vigueur de cette mesure et en d crire bri vement le mode d application 2 d Mesure destin e contr ler les d placements d animaux vaccin s vers la zone indemne de fi vre aphteuse sans vaccination Indiquer la date d entr e en vigueur de cette mesure et pr ciser le mode d application dans la partie consacr e la pr vention de la fi vre aphteuse 3 Limites de la zone indemne de la zone tampon et de la zone de surveillance ventuelles Fournir des informations g ographiques succinctes sur la zone indemne la zone tampon et la zone de surveillance ventuelles Joindre une carte montrant les zones et l utilisation ventuelle des fronti res naturelles Commission scientifique Janvier 2005 101 Annexe III suite 73 SG 12 CS3B AHG 5 Annexe III suite 4 Zone indemne A Surveillance D crire bri vement le syst me en place et se reporter la partie consacr e la surveillance de la fi vre aphteuse dans la zone indemne B R glementation D crire bri vement les dispositions en vigueur et se reporter la partie consacr e la pr vention de la fi vre aphteuse dans la zone indemne 5 Zone de surveillance ventuelle A Surveillance D crire bri vement le syst me en place et se reporter la partie consacr e la surveillance de la fi vre aphteuse dans la zone de surveillance B R glementation D crire
81. 00 ce qui se r percute sur la sensibilit Bien que l quarrissage 133 C et 3 bars pendant 20 mn corresponde une norme d finie la r duction de l infectivit par cette technologie varie entre environ 1 200 et 1 1000 Les incin rateurs industriels permettent un taux d inactivation de l ordre de 10 alors que l incin ration ciel ouvert apporte un taux de r duction de 90 il faut noter que cette m thode n est pas utilisable pour les ovins en raison de la laine et de la graisse L hydrolyse alcaline produit une r duction de l infectivit de 3 4log sur trois heures La mise en d charge et l enfouissement profond permettraient une r duction de l infectivit de 98 99 8 sur trois ans Sur la base de ces informations il appara t que l quarrissage l incin ration et l hydrolyse alcaline sont les technologies actuellement les 36 Commission scientifique Janvier 2005 73 SG 12 CS3B AHG 1 Annexe III suite Annexe IV suite plus fiables La pr sence d une faible infectivit reste significative puisqu il a t montr exp rimentalement que l exposition d esp ces sensibles 4 des quantit s aussi faibles que 1 0 0 1 ou m me 0 01 gramme de tissu nerveux infect peut induire une infection Compte tenu de ce qui pr c de il faut reconna tre qu exception faite de l incin ration totale dans des fours ferm s aucune m thode ne se r v le efficace 100 sur l infectivit des agents des enc p
82. 04 789 20 38 E mail jpasick inspection gc ca Dr Cristobal Zepeda Sein USDA APHIS VS CEAH Centers for Epidemiology amp Animal Health OIE Collaborating Center for Animal Disease Surveillance Systems and Risk Analysis 2150 Center Ave Building B Fort Collins CO 80526 8117 ETATS UNIS D AM RIQUE T l 970 494 7294 Fax 970 472 2668 E mail cristobal zepeda aphis usda gov Dr Otlotleng Comfort Phiri Onderstepoort Veterinary Institute Exotic Diseases Division Private Bag X 5 Onderstepoort 0110 AFRIQUE DU SUD T l 27 12 5299 560 Fax 27 12 5299 595 E mail PhiriC arc agric za Dr Domenico Rutili National Reference Centre for Classical and African Swine Fever Istituto Zooprofilattico Sperimentale Dell umbria E Delle Marche Via G Salvemini 1 06126 Perugia ITALIE T l 39 075 34 32 38 Fax 39 075 34 32 90 E mail d rutili pg izs it Dr P Vannier AFSSA Ploufragan Laboratoire d tudes et de recherches avicoles et porcines UR Station de pathologie porcine Zoop le Beaucemaine Les Croix BP 53 22440 Ploufragan FRANCE Tel 33 0 2 96 01 62 22 Fax 33 0 2 96 01 62 53 E mail p vannier ploufragan afssa fr Dr Bernard Vallat Directeur g n ral 12 rue de Prony 75017 Paris FRANCE T l 33 0 1 44 15 18 88 Fax 33 0 1 42 67 09 87 E mail oie oie int Commission scientifique Janvier 2005 Dr Alejandro Schudel Chef du Service scientifique et techniq
83. 1 e Groupe ad hoc sur l pid miologie juin 2004 73 SG 12 CS3B AHG 2 e Groupe ad hoc sur la peste porcine classique septembre et d cembre 2004 73 SG 12 CS3B AHG 3 amp 4 e Groupe ad hoc charg d valuer le statut des pays au regard de la fi vre aphteuse octobre 2004 et janvier 2005 73 SG 12 CS3B AHG 5 amp 6 e Groupe ad hoc sur la tuberculose bovine novembre 2004 73 SG 12 CS3B AHG 7 e Groupe ad hoc charg des lignes directrices relatives la surveillance de l influenza aviaire novembre 2004 73 SG 12 CS3B AHG 8 Ces rapports figurent dans I Annexe III OIE 12 rue de Prony 75017 Paris France Tel 33 0 1 44 15 18 88 Fax 33 0 1 42 67 09 87 www oie int oie oie int 1 2 1 3 Approbation du statut des pays au regard de la fi vre aphteuse Sur la base des recommandations du Groupe ad hoc charg d valuer le statut des pays au regard de la fi vre aphteuse la Commission a approuv que 1 une zone d Argentine situ e au nord du 42 parall le recouvre son statut ant rieur de zone indemne de fi vre aphteuse avec vaccination statut prenant effet imm diatement 2 le Paraguay recouvre son statut ant rieur de pays indemne de fi vre aphteuse avec vaccination statut prenant effet imm diatement En prenant cette d cision la Commission a pris en compte l assurance donn e par la D l gation du Paraguay de l arr t progressif de l utilisation des vaccins antiaphteux produits
84. 2 2 10 du Code sanitaire pour les animaux terrestres 1 Notification r guli re et imm diate des maladies animales D crire ici le syst me national appliqu et indiquer les instances internationales auxquelles les maladies sont d clar es 2 a Absence de foyer de fi vre aphteuse dans le pays au cours des 12 derniers mois Indiquer la date du dernier foyer et se reporter la partie consacr e l radication de la fi vre aphteuse 2 b Absence de toute preuve d infection par le virus de la fi vre aphteuse au cours des 12 derniers mois 2 c Absence de vaccination contre la fi vre aphteuse au cours des 12 derniers mois Indiquer si la vaccination est interdite dans le pays pr ciser la date d entr e en vigueur de cette mesure et en d crire bri vement le mode d application 3 Aucune introduction d animaux vaccin s dans le pays depuis Parr t des vaccinations Indiquer la date d entr e en vigueur de cette interdiction d entr e des animaux vaccin s et pr ciser le mode d application dans la partie consacr e la pr vention de la fi vre aphteuse 4 Surveillance et r glementation A Surveillance D crire bri vement le syst me en place et se reporter la partie consacr e la surveillance de la fi vre aphteuse fournir des d tails sur les cas r els et suspect s 1 Les termes en italique sont d finis dans le Code sanitaire pour les animaux terrestres Commission scientifique Janvier 2005 95
85. 2 398 572 de t tes On compte galement 13 565 t tes de bovins et 431 454 t tes d ovins Il existe 17 608 leveurs Structures de soutien La structure sanitaire du d partement d Oruro est g r e par un chef de district du SENASAG Le Programme d partemental pour l radication de la fi vre aphteuse est dirig par un coordinateur d partemental un pid miologiste un responsable des postes de contr le 5 v t rinaires responsables des Services v t rinaires provinciaux et 17 inspecteurs des postes de contr le r partis sur 7 postes En outre il existe des postes mobiles qui sont mis en place pour faire face aux urgences sanitaires et la fr quence des v nements Les chantillons pr lev s sur des cas suspects dans des foyers ou dans le cadre de la surveillance pid miologique sont analys s par le laboratoire de r f rence charg du diagnostic des maladies v siculeuses l aide de la technique ELISA qui permet de d terminer le type et le sous type du virus O A et C De plus les virus de la stomatite v siculeuse de types Indiana et New Jersey sont galement d tect s La technique VIAA preuve l antig ne associ l infection virale qui permet de d tecter l existence d une activit virale est encore employ e pour l examen des chantillons s riques pr lev s sur les ovins les caprins et les porcs Le test ELISA de d tection des anticorps 3ABC et l EITB ont pour objectif de confirme
86. 2 CS3B AHG 1 Original anglais mai juin 2004 RAPPORT DE LA REUNION DU GROUPE AD HOC DE L OIE SUR L LIMINATION DES CARCASSES Paris 31 mai 2 juin 2004 La r union du Groupe ad hoc sur l limination des carcasses s est tenue au si ge de l OIE Paris du 31 mai au 2 juin 2004 Le Docteur Alejandro Schudel chef du Service scientifique et technique de l OIE a accueilli les participants au nom du Directeur g n ral de l OIE le Docteur Bernard Vallat Il a rappel que le Groupe ad hoc fonctionnait sous les auspices de la Commission scientifique pour les maladies animales Commission scientifique et qu il devait par cons quent tre pr sid par un membre de cette derni re Le Docteur Schudel a fait tat de la r union de novembre 2002 du Groupe ad hoc pr c dent sur l limination des carcasses en pr cisant que le Groupe actuel pouvait si n cessaire utiliser les recommandations ant rieures pour conduire ses d lib rations Il a galement rappel que l on attendait du Groupe une annexe sur l limination des carcasses destin e tre int gr e la Section 3 6 du Code sanitaire de l OIE pour les animaux terrestres le Code terrestre Le Docteur Schudel a demand au Groupe de suivre une approche pratique pour la proposition de lignes directrices destin es aux Pays Membres de l OIE sur la question de l limination des carcasses Le Docteur Gideon Br ckner membre de la Commission scientifique a t nomm pr s
87. 5 Evaluation du statut des pays au regard de l enc phalopathie spongiforme bovine et de la p ripneumonie contagieuse bovine La Commission a t inform e du fait que quelques dossiers de pays souhaitant obtenir la reconnaissance de leur statut au regard de l ESB ont t re us r cemment l OIE Elle a recommand que ces dossiers soient valu s lors de la prochaine r union du Groupe ad hoc sur la reconnaissance du statut pour ESB en pr cisant que les amendements au chapitre du Code terrestre sur la maladie susceptibles d tre approuv s lors de la prochaine Session g n rale seront pris en compte La Commission est partie du principe qu au cas o de nouvelles cat gories de statut au regard de l ESB seraient approuv es la r vision du statut des pays d j d clar s provisoirement indemnes sera adopt e par une R solution appropri e Elle a galement recommand que les dossiers pr c demment soumis par deux Pays Membres soient r examin s par le Groupe pour conformit aux dispositions du Code La Commission a galement t inform e de l int r t manifest par plusieurs pays pour l examen de leur demande de reconnaissance de l absence de p ripneumonie contagieuse bovine sur la base de la R solution XXIII adopt e lors de la 72 Session g n rale ainsi que de la constitution par ces pays du dossier requis qui sera soumis l OIE Position de la Commission europ enne de lutte contre la fi
88. AHG 1 Annexe III suite Annexe I GROUPE AD HOC DE L OIE SUR L ELIMINATION DES CARCASSES Paris 31 mai 2 juin 2004 Ordre du jour 1 Plan propos pour l annexe du Code terrestre consacr e l limination des carcasses 2 Aspects juridiques li s au d versement des carcasses en mer 3 Recommandation 4 Prochaine r union du Groupe ad hoc Commission scientifique Janvier 2005 21 73 SG 12 CS3B AHG 1 Annexe III suite Annexe IT GROUPE AD HOC DE L OIE SUR L ELIMINATION DES CARCASSES Paris 31 mai 2 juin 2004 MEMBRES Liste des participants Docteur Gideon Briickner Pr sident Director Veterinary Services Agriculture Western Cape Private Bag X1 Elsenburg 7607 AFRIQUE DU SUD T l 27 21 808 5001 Fax 27 21 808 7619 Mobile 27 83 6415163 Courriel GideonB elsenburg com Docteur Frits Pluimers Oyseweg 6 7384 CD WILP PAYS BAS Tel 31 0 571 26 2010 Mobile 31 0 6 461 66184 Courriel hogeland xs4all nl BUREAU CENTRAL DE L OIE CENTRAL Docteur Norman G Willis The Norm Willis Group Inc Ancien Pr sident du Comit international de l OIE 13 Ballymore Avenue Ottawa Ontario K1T 3Z5 CANADA Mobile 1 613 2 97 3933 Fax 1 613 247 1701 Courriel nwillisgrp on aibn com Monsieur Yves Gaudemet 9 rue de Thann 75017 Paris T l 01 42 27 47 67 Fax 01 42 27 20 63 Docteur Alejandro A Schudel Chef du service scientifique et technique Courr
89. Animaux sauvages risques pour l environnement imm diat expertise disponible pour l abattage des animaux sauvages disponibilit d quipes de capture Technologies recommand es pour limination des carcasses Les diff rentes technologies sont pr sent es par ordre de fiabilit pour l inactivation de l agent pathog ne 32 quarrissage il s agit d un syst me ferm de traitement m canique et thermique des tissus animaux produisant des produits st rilis s stables c est dire des graisses animales et des prot ines animales dess ch es La technique consiste broyer les tissus et les st riliser la chaleur sous pression dans des locaux fixes Elle s utilise dans les conditions de routine normales et permet une inactivation efficace de tous les agents pathog nes l exception des prions dont le pouvoir infectieux est r duit Une unit d quarrissage de taille moyenne pourrait traiter 12 tonnes l heure Les capacit s disponibles doivent tre d termin es l avance Ce type d unit peut fonctionner en respectant les normes de protection de l environnement Incin ration cette technologie peut prendre la forme suivante incin ration des carcasses enti res dans une installation fixe incin ration des carcasses enti res dans une unit mobile rideau d air incin rateur communal Co incin ration L incin ration des carcasses enti res dans une installation fixe a lieu dans un t
90. Annexe III suite 73 SG 12 CS3B AHG 5 Annexe III suite B R glementation D crire bri vement les dispositions en vigueur et se reporter la partie consacr e la pr vention de la fi vre aphteuse PJ Sommaire complet du rapport NB LES ANNEXES NON REDIGEES DANS L UNE DES TROIS LANGUES OFFICIELLES DE L OIE DOIVENT COMPORTER UN BREF RESUME DANS L UNE DE CES LANGUES 96 Commission scientifique Janvier 2005 73 SG 12 CS3B AHG 5 Annexe III suite Annexe III suite ll SOMMAIRE COMPLET DU RAPPORT Les points num r s ci apr s doivent tre trait s avec concision Les lois et r glements nationaux ainsi que les directives de l Administration v t rinaire peuvent tre mentionn s et annex s Avant propos 1 Introduction 1 1 Contexte r gional 1 2 Secteur de l levage Syst me v t rinaire 2 1 L gislation 2 2 Services v t rinaires 2 3 R le de la soci t des leveurs et de l industrie agroalimentaire dans la surveillance et la prophylaxie de la fi vre aphteuse 2 4 R le des v t rinaires priv s dans la surveillance et la prophylaxie de la fi vre aphteuse radication de la fi vre aphteuse 3 1 Historique 3 2 Strat gie 3 3 Vaccins et vaccination 3 4 Organisation de la campagne d radication 3 5 Ex cution 3 6 Identification et contr le des d placements d animaux 3 7 Supervision par l Autorit v t rinaire Surveillance de la fi vre aphteuse 4
91. COMPARTIMENT Article 3 x x 1 Introduction Le pr sent document d finit des principes et fournit des orientations pour la surveillance de l influenza aviaire d claration obligatoire NAT conform ment au Chapitre 1 3 6 pour les pays se d clarant indemnes de NAL avec ou sans vaccination Il peut s agir de l ensemble du territoire d un pays ou encore d une zone ou d un compartiment donn e l int rieur de celui ci Ce texte fournit galement des orientations pour les pays souhaitant recouvrer le statut indemne de NAI pour l ensemble de leur territoire ou pour une zone ou un compartiment donn e avec ou sans vaccination la suite de la survenue d un foyer Il contient enfin des lignes directrices pour le maintien du statut au regard de la NAL Ces lignes directrices sont destin es mieux pr ciser et expliquer les obligations nonc es au Chapitre 2 7 12 du pr sent Code terrestre La pr sence de la NAI chez les oiseaux sauvages constitue un probl me particulier Par essence aucun pays ne peut se d clarer indemne d influenza aviaire chez les oiseaux sauvages Cependant la d finition de la NAI dans le Code de l OIE se r f re exclusivement aux volailles celles ci tant d finies comme suit Tous les oiseaux lev s ou d tenus en captivit en vue de la production de viande d ufs de consommation ou d autres produits commerciaux de la fourniture de gibier de repeuplement et de la reproductio
92. Franco De Simone Istituto Zooprofilattico Sperimentale della Lombardia e dell Emilia Romagna B Ubertini Via A Bianchi n 9 25124 Brescia ITALIE T l 390 30 229 03 10 Fax 390 30 229 03 67 Courriel fdesimone bs izs it Vitor Salvador Pic o Goncalves Prof Adjunto Epidemiologia Veterinaria FAV Universidade de Brasilia ICC Sul C P 4508 Campus Darcy Ribeiro Asa Norte Brasilia DF Cep 70 910 970 BRESIL T l 55 61 30 72 824 ext 19 Fax 55 61 27 36 593 Courriel vitorspg unb br Docteur John A Kellar Directeur national Surveillance des maladies Division scientifique Inspection canadienne de l alimentation 3851 Fallowfield Road Room C305 OTTAWA K2H 8P9 CANADA T l 1 613 228 66 98 Fax 1 613 228 66 75 Courriel jkellar inspection gc ca Docteur Crist bal Zepeda Sein USDA APHIS VS CEAH Centers for Epidemiology amp Animal Health OIE Collaborating Center for Animal Disease Surveillance Systems and Risk Analysis 2150 Centre Ave Building B Fort Collins CO 80526 8117 TATS UNIS D AMERIQUE T l 970 494 7294 Fax 970 472 2668 Courriel cristobal zepeda aphis usda gov Docteur Armando Giovamnini Istituto Zooprofilattico Sperimentale dell Abruzzo e del Molise G Caporale Via Campo Boario 64100 Teramo ITALIE T l 39 0861 33 21 Fax 39 0861 33 22 51 Courriel a giovannini izs it BUREAU CENTRAL DE L OIE Docteur Bernard
93. G 2 Annexe III suite 2 Un programme de surveillance de la fi vre aphteuse doit r pondre aux conditions suivantes a Il doit inclure un syst me d alerte pr coce sur l ensemble de la cha ne de production de commercialisation et de transformation afin d assurer la d claration des cas suspects Les leveurs et les agents zoosanitaires au contact quotidien avec le b tail ainsi que les laboratoires de diagnostic doivent tre encourag s signaler rapidement toute suspicion de fi vre aphteuse Ils doivent tre aid s directement ou indirectement par l interm diaire de v t rinaires du secteur priv ou de paraprofessionnels v t rinaires par exemple par des programmes d information gouvernementaux et par l Administration v t rinaire Toutes les suspicions de fi vre aphteuse doivent tre imm diatement examin es Si le cas ne peut tre r solu par les investigations pid miologiques et cliniques des chantillons doivent tre pr lev s et soumis un laboratoire agr Des trousses de pr l vement et d autres mat riels doivent par cons quent tre mis la disposition des responsables de la surveillance qui doivent pouvoir se faire assister par une quipe comp tente en mati re de diagnostic et de lutte contre la fi vre aphteuse b Le programme doit aussi inclure si n cessaire des contr les cliniques et des tests s rologiques r guliers et fr quents sur des groupes d animaux haut risque co
94. HG 2 Annexe III suite Dans les zones o des animaux ont t vaccin s des tests de recherche des anticorps anti SP peuvent tre utilis s pour surveiller la r ponse s rologique a la vaccination Cependant les tests de recherche des anticorps anti NSP doivent tre employ s pour surveiller les infections par la fi vre aphteuse ou la circulation du virus La m thode ELISA NSP peut tre utilis e pour d pister les signes s rologiques d infection ou de circulation du virus quel que soit le statut vaccinal de l animal Tous les troupeaux comportant des animaux s ropositifs doivent tre examin s Les donn es pid miologiques et les r sultats des tests de laboratoire compl mentaires doivent d montrer le statut de chaque troupeau positif en mati re d infection ou de circulation du virus aphteux Les tests utilis s pour la confirmation doivent pr senter une sp cificit diagnostique lev e pour liminer dans toute la mesure du possible les faux positifs aux tests de d pistage La sensibilit diagnostique du test de confirmation doit tre au moins gale celle du test de d pistage Le test EITB ou une autre preuve accept e par l OIE doivent tre utilis s pour la confirmation Il convient de fournir des informations sur les protocoles les r actifs les performances et la validation de tous les tests utilis s i Suivi assurer en cas de r sultat positif en l absence de vaccination en vue d obtenir ou de reco
95. Janvier 2005 133 Annexe III suite 73 SG 12 CS3B AHG 7 Annexe III suite 4 Les bovins introduits dans le pays la zone ou le compartiment consid r s doivent tre accompagn s d un certificat tabli par un v t rinaire officiel attestant qu ils proviennent d un pays d une zone d un compartiment ou d un cheptel indemnes de tuberculose bovine Article 2 3 3 3 Cheptel indemne de tuberculose bovine Pour tre reconnu indemne de tuberculose bovine un cheptel bovin doit satisfaire les conditions suivantes 1 il doit tre situ dans un pays une zone ou un compartiment indemnes de tuberculose bovine et son statut indemne doit tre certifi par les Services v t rinaires ou 2 tous les animaux du troupeau doivent a ne pr senter aucun signe clinique de tuberculose bovine b pour les bovins g s de plus de six semaines avoir t soumis avec r sultat n gatif au moins deux intradermotuberculinations effectu es 6 mois d intervalle la premi re ayant t r alis e 6 mois apr s Pabattage du dernier animal atteint c tre soumis avec r sultat n gatif une intradermotuberculination annuelle afin de s assurer de Pabsence de tuberculose bovine oF tous les bovins introduits dans le troupeau proviennent d un cheptel indemne de tuberculose bovine Cette condition peut tre lev e pour les animaux qui ont t isol s et qui avant leur introduction dans le troupeau ont t
96. SUISSE T l 41 31 323 85 31 Fax 41 31 324 82 56 E mail thomas jemmi Obvet admin ch Dr Alejandro Schudel Chef du Service scientifique et technique E mail a schudel oie int Dr Dewan Sibartie Adjoint au Chef du Service scientifique et technique E mail d sibartie O oie int Dr Antonio Petrini Charg de mission Service du commerce international E mail a petrini oie int Commission scientifique Janvier 2005 131 73 SG 12 CS3B AHG 7 Annexe III suite Annexe III Projet final CHAPITRE 2 3 3 TUBERCULOSE BOVINE Article 2 3 3 1 Les recommandations figurant dans le pr sent chapitre visent uniquement a g rer les risques pour la sant humaine et la sant animale associ s l infection par Mycobacterium bovis M bovis chez les bovins Bos taurus Bos indicus Bos grunniens et Bubalus bubalis En autorisant l importation ou le transit des warchandises qui sont num r es ci apr s les Administrations v t rinaires doivent satisfaire les exigences stipul es dans le pr sent chapitre int ressant la tuberculose bovine dans le pays la zone ou le compartiment exportateur a animaux vivants b semence ovules et embryons collect s in vivo qui ont t pr lev s et manipules selon les recommandations de la Soci t internationale de transfert d embryons c viande et produits carn s d ait et produits laitiers e
97. Vallat Directeur g n ral 12 rue de Prony 75017 Paris FRANCE T l 33 0 1 44 15 18 88 Fax 33 0 1 42 67 09 87 Courriel oie oie int Commission scientifique Janvier 2005 Docteur Alejandro Schudel Chef du service scientifique et technique Courriel a schudel oie int Docteur Dewan Sibartie Adjoint au chef du Service scientifique et technique Courriel d sibartie oie int 43 73 SG 12 CS3B AHG 2 Annexe III suite Annexe II ANNEXE 3 8 7 LIGNES DIRECTRICES SUR LA SURVEILLANCE REQUISE POUR OBTENIR OU RECOUVRER LE STATUT DE PAYS OU ZONE INDEMNE DE FIEVRE APHTEUSE Article 3 8 7 1 Introduction Le pr sent document d finit les principes et donne des orientations en mati re de surveillance de la fi vre aphteuse conform ment au Chapitre 1 3 6 pour les pays qui demandent tre reconnus indemnes de fi vre aphteuse par OIE avec ou sans vaccination Il peut s agir de la totalit d un pays ou encore d une zone ou d un compartiment l int rieur de ce pays Des lignes directrices sont galement fournies pour les pays souhaitant recouvrer leur statut indemne de fi vre aphteuse pour l ensemble de leur territoire ou encore pour une zone ou un compartiment donn e avec ou sans vaccination apr s la survenue d un foyer Les conditions de conservation du statut en mati re de fi vre aphteuse y sont galement d crites Ces lignes directrices sont destin es 4 d velopper et expliquer les condit
98. a robie cette m thode est adapt e aux op rations a grande chelle Elle r duit les odeurs et la pollution par les gaz effet de serre dus la combustion du m thane Elle permet d liminer les carcasses tout en produisant de l nergie mais peut n cessiter le d coupage et la st rilisation pr alables des carcasses sur le site La digestion ana robie transforme les d chets en fertilisants Bien que la digestion ana robie soit moins co teuse avec des organismes m sophiles 35 C il est pr f rable de recourir des organismes thermophiles 55 C car la chaleur compl mentaire d truit certains agents pathog nes Il est n cessaire d utiliser un traitement thermique compl mentaire la fin de l op ration pour inactiver totalement les agents pathog nes sachant que les prions ne seront pas inactiv s Les carcasses ont une plus forte teneur en azote que la plupart des autres d chets ce qui se traduit par une concentration lev e d ammoniaque pouvant inhiber la digestion ana robie La vitesse de chargement des digesteurs ana robies utilis s pour le traitement des d chets de carcasses est limit e par ce facteur Technologies nouvelles et non traditionnelles e Pr traitement il s agit du pr traitement sur site avant le transport des carcasses vers une installation centrale effectu en raison de la complexit et des co ts quarrissage ou incin ration Un pr traitement pourrait inclure le concassage des carcas
99. a fi vre aphteuse dans la zone indemne Les lois et r glements nationaux ainsi que les directives de l Administration v t rinaire peuvent tre mentionn s et annex s Les points num r s ci apr s doivent tre trait s avec concision A 1 Coordination nationale r gionale et ventuellement internationale A 2 Contr le des importations dans la zone A 2 1 Politique et analyse des risques A 2 2 Gestion des risques inh rents aux animaux et aux produits ports fronti res nombre et localisation d chets nationaux et internationaux animaux mat riel g n tique semence et embryons produits d origine animale destin s la consommation humaine par exemple le lait et les produits carn s produits d origine animale non destin s la consommation humaine par exemple les aliments pour animaux de compagnie les cuirs et les peaux les m dicaments v t rinaires par exemple les produits biologiques A 2 3 S curit biologique des laboratoires et des installations de production et de tests A 3 Supervision par l Autorite v t rinaire A 4 Emploi de vaccins contre la fi vre aphteuse A 4 1 Utilisation des vaccins A 4 2 Production des vaccins chapitre 2 1 1 du Manuel A 4 3 Contr le de la qualit des vaccins chapitre 2 1 1 du Manuel B ZONE TAMPON R sumer ici les mesures de pr vention de la fi vre aphteuse dans la zone tampon Les lois et r glements nationaux ainsi que les directiv
100. a pr vention de la fi vre aphteuse PJ Sommaire complet du rapport NB LES ANNEXES NON REDIGEES DANS L UNE DES TROIS LANGUES OFFICIELLES DE L OIE DOIVENT COMPORTER UN BREF RESUME DANS L UNE DE CES LANGUES Commission scientifique Janvier 2005 99 Annexe III suite 73 SG 12 CS3B AHG 5 Annexe III suite ll SOMMAIRE COMPLET DU RAPPORT Les points num r s ci apr s doivent tre trait s avec concision Les lois et r glements nationaux ainsi que les directives de l Administration v t rinaire peuvent tre mentionn s et annex s Avant propos 1 100 Introduction 1 1 Contexte r gional 1 2 Secteur de l levage Syst me v t rinaire 2 1 L gislation 2 2 Services v t rinaires 2 3 R le de la soci t des leveurs et de l industrie agroalimentaire dans la surveillance et la prophylaxie de la fi vre aphteuse 24 R le des v t rinaires priv s dans la surveillance et la prophylaxie de la fi vre aphteuse radication de la fi vre aphteuse 3 1 Historique 3 2 Strat gie 3 3 Vaccins et vaccination pri re de se r f rer au chapitre 2 1 1 du Manuel terrestre 3 3 1 Politique vaccinale fr quence esp ces type et valence des vaccins couverture etc 3 3 2 Production et ou importation des vaccins informations d taill es sur les producteurs et les importateurs 3 3 3 Contr le de la qualit des vaccins 3 3 4 Campagne de vaccination contr le de la r partition cha ne du f
101. ablissement dans lequel des carcasses enti res ou des portions de carcasses peuvent tre enti rement incin r es et r duites en cendres Les agents pathog nes sont efficacement inactiv s Sans technologie compl mentaire les missions gazeuses produites ne sont pas soumises aux contr les environnementaux Elles peuvent cependant faire l objet de proc dures visant a la propret de l air pour r pondre des normes environnementales L incin ration dans des installations fixes a t utilis e pour liminer les carcasses contamin es par l enc phalopathie spongiforme bovine ESB ainsi que les farines de viande et d os et le suif d origine bovine obtenus par quarrissage et consid r s comme 4 risque d ESB Les incin rations en installations fixes sont totalement confin es et g n ralement tr s contr l es Le combustible est en principe du gas oil du gaz naturel ou du propane Les vacuations peuvent tre munies de chambres de post combustion afin d achever la combustion des gaz hydrocarbon s et des particules provenant de la chambre de combustion principale L limination des carcasses enti res peut tre probl matique en raison des contraintes d alimentation par lots de la plupart des usines d incin ration de d chets biologiques De nombreuses usines d incin ration des d chets refusent les animaux Commission scientifique Janvier 2005 73 SG 12 CS3B AHG 1 Annexe III suite Annexe IV suite entiers qui sont cons
102. actuelle du Code sur l appr ciation du risque pour mettre l accent sur les mesures normatives reconnues Code terrestre chapitre 1 3 6 sur l pid miosurveillance Le Groupe a reconsid r la position adopt e par la r union de septembre concernant la proposition de lignes directrices pour la surveillance des populations de porcs sauvages Le Groupe a d cid que la question serait mieux trait e en l abordant sur un mode g n rique toutes les populations sauvages et maladies en l ajoutant aux dispositions actuelles du chapitre 1 3 6 Commission scientifique Janvier 2005 73 SG 12 CS3B AHG 4 Annexe III suite 3 R vision des nouvelles Lignes directrices propos es commentaires suppl mentaires Compte tenu de l importance attribu e par le chapitre sur la peste porcine classique l utilisation de nouveaux vaccins en vue d att nuer les effets d un foyer le Groupe a estim que sa limitation doit tre valu e d un il critique sur la base des publications r centes Les termes utilis s dans le document de septembre ont t ajust s en cons quence Le Groupe a estim que l introduction du concept de compartimentation serait conforme aux principes g n raux nonc s au chapitre 1 3 5 sur le zonage la r gionalisation et la compartimentation am liorerait le chapitre sur la peste porcine classique et serait dans la logique du chapitre sur la fi vre aphteuse Toutefois comme le concept de compartimen
103. adapt e la situation pid miologique La taille de l chantillon s lectionn pour les tests devra tre suffisante pour d celer une infection circulation virale si elle se produisait une fr quence minimale pr d termin e La taille de l chantillon et la pr valence escompt e de la maladie d terminent le niveau de confiance des r sultats de la surveillance Le pays demandeur doit justifier du choix de la pr valence int gr e au protocole ainsi que du niveau de confiance sur la base des objectifs de la surveillance et de la situation pid miologique conform ment au Chapitre 1 3 6 Ainsi la s lection de la pr valence doit clairement reposer sur la situation pid miologique pr valente ou historique 46 Commission scientifique Janvier 2005 73 SG 12 CS3B AHG 2 Annexe III suite Annexe III suite Quelle que soit l approche choisie pour la surveillance protocole la sensibilit et la sp cificit des tests de diagnostic utilis s sont des facteurs cl s du protocole de la d termination de la taille de l chantillon et de l interpr tation des r sultats Dans les conditions id ales la sensibilit et la sp cificit des tests appliqu s doivent tre valid es en fonction de l historique des vaccinations infections et du type de production animale concern par la population cible Ind pendamment du syst me de tests utilis le protocole de surveillance doit anticiper les r actions faussement positives La fr
104. age al atoire ou de la surveillance cibl e ax e sur la s rologie sont importants en cela qu ils permettront d apporter la preuve tangible qu aucune infection par le virus de la peste porcine classique n est pr sente dans le pays ou la zone consid r e Il est donc essentiel que la surveillance soit soigneusement tay e Pays zone indemnes de peste porcine classique chez les porcs domestiques et sauvages 1 Statut historiquement indemne Le statut indemne doit tre r vis chaque fois qu apparaissent des preuves indiquant que des changements susceptibles de modifier l hypoth se sous jacente d un statut historiquement indemne permanent sont intervenus Ces changements sont entre autres e L apparition de la peste porcine classique ou une augmentation de sa pr valence dans des pays ou des zones a partir desquels sont import s des porcs vivants ou des produits e Un accroissement du volume des importations ou un changement survenu dans leur pays ou zone d origine e une augmentation de la pr valence de la peste porcine classique chez les porcs domestiques ou sauvages de pays ou de zones contigus e une p n tration accrue de populations de porcs sauvages provenant de pays ou de zones adjacents ou une exposition ces populations 2 Statut indemne acquis gr ce l application d un programme d radication Un Pays Membre demandant tre reconnu indemne de la peste porcine classique sur tout ou partie
105. ait es savoir la r partition g ographique de la maladie et son impact sur le commerce international Elle a donc recommand que le document soit adress des experts de la maladie il sera galement demand ces experts d valuer le statut de l ad nomatose pulmonaire ovine en appliquant les m mes crit res que pour l infection par le virus du maedi visna 5 Rapport sur la fi vre aphteuse tabli par des Laboratoires de r f rence de l OIE La Commission a examin les rapports sur la fi vre aphteuse tablis par le Laboratoire de r f rence de l OIE de Pirbright Royaume Uni et par le Laboratoire de r f rence de OIE du PANAFTOSA Br sil et f licit ces laboratoires pour la qualit de leurs travaux Les documents seront adress s au Groupe ad hoc sur les banques d antig nes et de vaccins 4 Commission scientifique Janvier 2005 6 R union conjointe avec la Commission des normes sanitaires pour les animaux terrestres La Commission a pris connaissance de la liste des l ments qui doivent tre discut s avec la Commission des normes sanitaires pour les animaux terrestres la Commission du Code et formul des commentaires sur certains points entre autres les suivants e La d finition de volailles pr sent e dans la proposition de chapitre consacr l influenza aviaire inclut d autres oiseaux tels que les ratites Cela tant la pathog nicit des virus de l influenza aviaire chez cette
106. animaux pouvant tre chass s pour permettre un repeuplement naturel sacs de battue Pour mettre en oeuvre le programme de surveillance il sera n cessaire de d finir les limites du territoire sur lequel sont r partis les porcs sauvages afin de d limiter les compartiments risque ou les unit s pid miologiques dans le cadre de ce programme Il est souvent difficile de d finir des unit s pid miologiques pour les animaux sauvages La m thode la plus pratique consiste utiliser les barri res naturelles et artificielles Le programme de surveillance doit galement prendre en compte les animaux trouv s morts les animaux tu s sur la route ceux qui ont un comportement anormal ou qui pr sentent des l sions macroscopiques au moment de l habillage des carcasses Commission scientifique Janvier 2005 67 Annexe III suite 73 SG 12 CS3B AHG 3 Annexe III suite Dans certaines situations un programme de surveillance plus cibl peut fournir des garanties suppl mentaires Les crit res utilis s pour d finir les zones haut risque dans le cadre d une surveillance cibl e peuvent tre les suivants Zones avec ant c dents de peste porcine classique Sous r gions forte densit de porcs sauvages R gions jouxtant des pays des zones ou des compartiments touch s par la peste porcine classique Zones de contact entre des sous populations Zones de picnic et de camping Zones situ es autour d levages d
107. aphteuse dans la zone indemne 5 Zone tampon A Surveillance D crire bri vement le syst me en place et se reporter la partie consacr e la surveillance de la fi vre aphteuse dans la zone tampon B R glementation D crire bri vement les dispositions en vigueur et se reporter la partie consacr e la pr vention de la fi vre aphteuse dans la zone tampon 6 Zone de surveillance A Surveillance D crire bri vement le syst me en place et se reporter la partie consacr e la surveillance de la fi vre aphteuse dans la Zone tampon B R glementation D crire bri vement les dispositions en vigueur et se reporter la partie consacr e la pr vention de la fi vre aphteuse dans la zone tampon PJ 1 Partie consacr e la pr vention de la fi vre aphteuse 2 Partie consacr e la surveillance de la fi vre aphteuse 3 Partie consacr e l radication de la fi vre aphteuse 4 Partie consacr e au secteur de l levage et au syst me v t rinaire NB LES ANNEXES AUX SECTIONS SUIVANTES NON REDIGEES DANS L UNE DES TROIS LANGUES OFFICIELLES DE L OIE DOIVENT COMPORTER UN BREF RESUME DANS L UNE DE CES LANGUES 108 Commission scientifique Janvier 2005 73 SG 12 CS3B AHG 5 Annexe III suite Annexe III suite Il SOMMAIRE COMPLET DU RAPPORT 11 1 PARTIE CONSACREE A LA PREVENTION DE LA FIEVRE APHTEUSE A ZONE INDEMNE DE FIEVRE APHTEUSE R sumer ici les mesures de pr vention de l
108. aphteuse par un examen minutieux des animaux sensibles La valeur diagnostique du d pistage s rologique de masse est largement soulign e mais il ne faut pas sous estimer l int r t d une surveillance fond e sur l inspection clinique Celle ci peut en effet permettre de d tecter la maladie avec un niveau de confiance lev si l on examine un nombre suffisant d animaux cliniquement sensibles La surveillance clinique et les examens de laboratoire devraient toujours tre appliqu s en s rie pour clarifier les cas suspect s de fi vre aphteuse d tect s par l une ou l autre de ces approches compl mentaires Les tests biologiques peuvent en effet confirmer une suspicion clinique et la surveillance clinique peut contribuer confirmer une s rologie positive Toute unit d chantillonnage dans laquelle des animaux suspects ont t d tect s doit tre consid r e comme infect e jusqu preuve du contraire Diff rents aspects doivent tre pris en compte pour la surveillance clinique de la fi vre aphteuse Le caract re fastidieux des examens cliniques et les difficult s logistiques qui en d coulent sont presque toujours sous estim s et devraient tre mieux pris en compte L identification des cas cliniques est fondamentale pour la surveillance de la fi vre aphteuse La d termination des caract ristiques mol culaires et antig niques l identification des autres caract res biologiques du virus pathog ne et la
109. apport carbone azote est lev sciure de bois par exemple de 2 1 pour un rapport moyen liti re et de 4 1 pour les mati res faible rapport paille par exemple Les agents de charge se caract risent par des tailles de particules plus grosses que les mati res carbon es et assurent une a ration ad quate porosit d environ 25 35 l int rieur du tas de compost en vitant le tassement des mati res Agents de charge possibles liti re de chevaux utilis e copeaux de bois balles de foin en d composition coquilles de cacahu tes ou d chets de taille des arbres Le rapport entre ces agents et les carcasses doit se traduire par une densit vrac du m lange final n exc dant pas 600 kg m Le poids du m lange dans un seau de 19 litres ne doit pas d passer 11 4 kg Un biofiltre est une couche constitu e d une source de carbone ou d un produit de charge qui stimule l activit microbienne gr ce une humidit un pH des nutriments et une temp rature ad quats Il d sodorise les gaz lib r s au niveau du sol et repousse les insectes et les oiseaux r duisant ainsi au maximum la transmission des agents pathog nes Crit res de s lection du site de compostage zone bien drain e situ e 90 cm au dessus du niveau maximal de la nappe aquif re au moins 90 m tres des ressources hydriques sensibles caract ris e par une pente ad quate 1 3 pour permettre un drainage correct et viter l accumulation de l
110. ar e dans le Code b Le Groupe a remerci l Institut de zooprophylaxie exp rimentale G Caporale des Abruzzes et du Molise ainsi que le professeur Caporale et ses collaborateurs pour l excellente organisation de la r union et la g n reuse hospitalit offerte aux membres Annexes Commission scientifique Janvier 2005 73 SG 12 CS3B AHG 8 Annexe III suite Annexe I RAPPORT DE LA REUNION DU GROUPE AD HOC DE L OIE SUR LA SURVEILLANCE DE L INFLUENZA AVIAIRE Teramo Italie 11 13 novembre 2004 Ordre du jour 1 Lignes directrices sur la surveillance 2 Questions diverses Commission scientifique Janvier 2005 139 73 SG 12 CS3B AHG 8 Annexe III suite Annexe II RAPPORT DE LA REUNION DU GROUPE AD HOC DE L OIE SUR LA SURVEILLANCE DE L INFLUENZA AVIAIRE Teramo Italie 11 13 novembre 2004 MEMBRES Liste des participants Docteur H Kida Graduate School of Veterinary Medicine Hokkaido University Department of Disease Control Kita 18 Nishi 9 Kita ku Sapporo 060 0818 JAPON Tel 81 11 706 52 07 Fax 81 11 706 52 73 Courriel kida vetmed hokudai ac jp Professeur Vincenzo Caporale President de la Commission scientifique de l OIE pour les maladies animales Directeur Istituto Zooprofilattico Sperimentale dell Abruzzo e del Molise G Caporale Via Campo Boario 64100 Teramo ITALIE Tel 39 0861 33 22 33 Fax 39 0861 33 22 51 Courriel caporale izs
111. aration financi re le m canisme d indemnisation destin venir en aide aux leveurs touch s la disponibilit de fonds d urgence permettant une action rapide et efficace et l acc s des ressources humaines largies par des accords avec des v t rinaires priv s sont les facteurs critiques du succ s Pour garantir l efficacit ces facteurs doivent tre tudi s et r solus avant l apparition d une maladie La transparence relative aux crit res d indemnisation et les d lais de r glement sont aussi des points critiques essentiels pour s assurer de la coop ration des leveurs touch s e Partenariats pr tablis les relations avec l industrie sont essentielles pour obtenir le respect des politiques de sant animale Les partenariats doivent inclure non seulement les associations d leveurs ou les repr sentants des secteurs conomiques mais galement les organisations de protection animale les structures d assistance telles que les services de s curit les services de gestion des catastrophes naturelles relevant de l tat les m dias et les groupements de consommateurs Ces relations sont encourag es car elles sont essentielles pour am liorer la r ceptivit une communication future sur les risques Dans certains pays le tourisme contribue significativement l conomie nationale et peut subir les cons quences pr judiciables d une op ration d limination d animaux et d une action conduite dans l urgenc
112. artiment indemnes ne doivent pas faire l objet de mesures de protection suppl mentaires e Les chiffres cit s dans la section 2 de l Article 2 3 3 2 correspondant au pourcentage des cheptels ou des animaux pouvant tre consid r s indemnes de tuberculose n ont pas t modifi s compte tenu de l absence de lignes directrices de l OIE pour la surveillance de la maladie Il a toutefois t d cid de ramener le d lai requis de 6 3 ans puisqu il n existe apparemment aucun l ment en faveur d un laps de temps de 6 ans Il a galement t estim qu ce stade l OIE ne doit pas entreprendre l laboration de ces lignes directrices sauf si le Comit international en faisait express ment la demande e Si un animal est maintenu isol il pourrait tre int gr dans un troupeau indemne de tuberculose condition qu il ait t pr alablement soumis des tests selon le m me protocole recommand Commission scientifique Janvier 2005 127 Annexe III suite 73 SG 12 CS3B AHG 7 128 Le mot annuel a t supprim des paragraphes d crivant les programmes de surveillance ax s sur la tuberculination tant donn que certains pays effectuent le test tuberculinique moins souvent et que d autres d cident d augmenter la fr quence de l preuve afin de favoriser les exportations Toutefois il a t d cid qu un troupeau indemne situ dans un pays ou une zone non indemne de tuberculose bovine doit tre
113. assique Ils doivent tre aid s directement ou indirectement par ex par l interm diaire de v t rinaires du secteur priv ou de personnel para v t rinaire par des programmes d information gouvernementaux et par l Administration v t rinaire Comme de nombreuses souches du virus de la peste porcine classique ne produisent pas de l sions macroscopiques ou de signes cliniques pathognomoniques les cas pour lesquels le diagnostic de peste porcine classique ne peut carter doivent faire l objet d investigations imm diates en faisant appel au diagnostic clinique anatomo pathologique et biologique Il en d coule la n cessit de mettre des trousses de pr l vement et autres mat riels la disposition des personnes responsables de la surveillance Ces derni res doivent pouvoir demander l assistance d une quipe comp tente en mati re de diagnostic d valuation pid miologique et de contr le de la peste porcine classique b inclure s il y a lieu des contr les cliniques et des tests s rologiques r guliers et fr quents effectu s sur les groupes d animaux haut risque par exemple quand les animaux sont nourris par des eaux grasses ou sur ceux qui se trouvent proximit d un pays ou d une zone infect e par la maladie par exemple proximit d une zone o se trouvent des porcs sauvages infect s Un programme de surveillance efficace permettra d identifier p riodiquement les cas suspects qui e
114. ation de soci t s priv es offrant les capacit s n cessaires apr s la survenue d une catastrophe sanitaire les co ts peuvent augmenter de mani re consid rable Il est donc n cessaire de n gocier des contrats avec ces fournisseurs en temps de paix lors de la pr paration des strat gies d radication en stipulant les capacit s et les co ts e R action du public l limination des carcasses conduit facilement des r actions n gatives de la part du public qui voit des images de carcasses demi br l es ou hiss es la t l vision ou dans la presse Les populations urbaines trang res aux pratiques rurales r agissent souvent de mani re tr s motionnelle ces images Dans les pays pauvres la destruction de viande pr cieuse provenant d animaux encore sains peut provoquer l incompr hension du public e Acceptation par les exploitants les propri taires des exploitations infect es pr f rent g n ralement les technologies appliqu es distance celles qui se d roulent dans leur propre tablissement Les leveurs ext rieurs une zone infect e pr f rent en revanche que l limination intervienne hors de la zone infect e Tous les exploitants sont tr s sensibles aux mesures de s curit prises pour viter la propagation de la maladie qui serait imputable la technologie utilis e ou au transport des carcasses vers le site de traitement ou d limination L indemnisation correcte des propri taires po
115. ats de la surveillance Le pays demandeur doit justifier du choix de la pr valence int gr e au protocole ainsi que du niveau de confiance sur la base des objectifs de la surveillance et de la situation pid miologique conform ment au Chapitre 1 3 6 Ainsi la s lection de la pr valence doit clairement reposer sur la situation pid miologique pr valente ou historique Quelle que soit l approche choisie pour la surveillance la sensibilit et la sp cificit des tests de diagnostic utilis s sont des facteurs cl s du protocole de la d termination de la taille de l chantillon et de l interpr tation des r sultats Dans les conditions id ales la sensibilit et la sp cificit des tests appliqu s doivent tre valid es en fonction de I historique des vaccinations infections et des esp ces constituant la population cible Ind pendamment du syst me de tests utilis le protocole de surveillance doit anticiper les r actions faussement positives La fr quence potentielle des faux positifs peut tre calcul e l avance condition de conna tre les caract ristiques du syst me de tests Dans tous les cas une proc dure efficace de suivi des r sultats s rologiques positifs doit tre mise en place afin de d terminer avec un niveau de confiance lev si ces donn es sont ou non r v latrices d une infection par le virus Cette proc dure doit pr voir la fois des examens de laboratoire compl mentaires et la
116. att nuation exerc par celles ci La consignation d informations sur l cologie de la population de porcs sauvages Le confinement appropri des porcs domestiques Le contr le des d placements de v hicules avec au besoin nettoyage et d sinfection Le contr le du personnel qui p n tre dans les tablissements et la sensibilisation au risque li la propagation par les objets L interdiction d introduire dans les tablissements des produits de la chasse La tenue d un registre consignant les d placements d animaux entrant et sortant des tablissements Des programmes d information et de formation destin s aux leveurs aux chasseurs aux industries alimentaires aux v t rinaires etc Le programme de bios curit appliqu devra galement faire l objet d un contr le interne et externe exerc par les autorit s v t rinaires Ces l ments doivent comprendre entre autres Un suivi clinique et s rologique p riodique des troupeaux pr sents dans le pays ou dans la zone ainsi que des populations de porcs sauvages voisines conform ment aux pr sentes lignes directrices L enregistrement des animaux L accr ditation officielle du programme de bios curit Le suivi et la r vision p riodiques Le contr le du statut des populations sauvages au regard de la peste porcine classique pr sentera un int r t pour Vappr ciation du risque qu elle constitue pour la population domestiq
117. aux lev s ou d tenus en captivit en vue de la production de viande d ufs de consommation ou d autres produits commerciaux de la fourniture de gibier de repeuplement et de la reproduction de ces cat gories d oiseaux Cette d finition exclut par cons quent les oiseaux sauvages et permet de reconna tre des pays et zones indemnes de NAI Le Groupe consid re que la d monstration de l absence d infection est scientifiquement impossible dans l absolu mais que la d monstration de l absence de circulation virale est possible Lors des discussions sur la reconnaissance des tablissements indemnes de NAI le Groupe a not que le chapitre propos pour le Code autorise la commercialisation de la viande et des oeufs de consommation provenant des tablissements indemnes de NAI l int rieur de pays zones ou compartiments indemnes de HPNAI La commercialisation de la viande est par ailleurs possible dans certaines conditions fix es l Article 2 7 12 21 Ce concept peut se r v ler utile pour la commercialisation des oeufs de consommation des oeufs couver et des volailles d un jour Le Groupe souligne que l OIE la FAO et POMS ont mis une d claration commune dans laquelle la surveillance des populations d oiseaux sauvages est cit e dans le cadre de la lutte globale contre l influenza aviaire Le Groupe consid re que le risque que constituent les populations d oiseaux sauvages pour les volailles domestiques
118. aux peuvent chapper 4 la d tection par cette m thode Les enqu tes r alis es selon une approche holistique en prenant en compte les ant c dents du troupeau les d placements des porcs du personnel et des v hicules et le statut sanitaire dans les zones ou les pays voisins peuvent galement aider cibler la surveillance afin d augmenter l efficacit et accro tre les chances d une d tection pr coce Dans le pass on a privil gi le d pistage s rologique de masse en tant que meilleure m thode de surveillance en raison de la main d oeuvre nombreuse qu exige la r alisation des examens cliniques anatomo pathologiques et virologiques ainsi que des possibilit s r duites de d tection du virus par rapport celle des anticorps Il ne faut cependant pas sous estimer la surveillance fond e sur l examen clinique et anatomo pathologique et sur les tests virologiques Si elle est sp cifiquement cibl e sur les groupes haut risque cette surveillance offre des possibilit s de d tection pr coce susceptibles de r duire consid rablement la propagation ult rieure de la maladie Les troupeaux essentiellement compos s d animaux adultes tels que les noyaux de b tail et les animaux des centres d ins mination artificielle sont des groupes particuli rement utiles surveiller puisque l infection par des virus de faible virulence dans ces groupes peut tre cliniquement inapparente mais le degr de propagation peut tre
119. ble utile pour compl ter le rapport Des annexes peuvent tre mentionn es et incluses s il y a lieu Les points num r s ci apr s doivent tre trait s avec concision 1 R action des Services v t rinaires en cas de foyers de fi vre aphteuse e Politique mesures d urgence plans financement e Utilisation des ressources humaines et mat rielles e Etudes pid miologiques origine diffusion 2 Syst me v t rinaire L gislation Services v t rinaires e R le de la soci t des leveurs et de l industrie agroalimentaire dans la surveillance et la prophylaxie de la fi vre aphteuse e R le des v t rinaires priv s dans la surveillance et la prophylaxie de la fi vre aphteuse 3 Secteur de l levage 4 Structure du programme r gional 5 Autres rapports internationaux sur la situation de la fi vre aphteuse dans votre pays 106 Commission scientifique Janvier 2005 73 SG 12 CS3B AHG 5 Annexe III suite Annexe III suite ZONE INDEMNE DE FIEVRE APHTEUSE OU EST PRATIQUEE LA VACCINATION I RESUME DU RAPPORT Rapport a pr senter par les pays indemnes de fi vre aphteuse et pratiquant la vaccination ou encore partiellement infect s et souhaitant qu une partie de leur territoire soit reconnue comme une zone indemne de fi vre aphteuse o est pratiqu e la vaccination conform ment au chapitre 2 2 10 du Code sanitaire pour les animaux terrestres 1 Notification r guli re et imm diate des maladies
120. ce La population cible d une surveillance visant identifier la maladie ou l infection doit tre constitu e de toutes les esp ces sensibles de volailles telles que d finies dans les pr sentes lignes directrices se trouvant dans le pays la zone ou le compartiment devant tre reconnu e indemne d infection par le virus de la NAI La surveillance active et passive de la NAI doit tre permanente La surveillance active doit tre exerc e au moins tous les 6 mois l int rieur d un pays d une zone ou d un compartiment La surveillance doit tre constitu e d approches al atoires et cibl es reposant sur des m thodes virologiques s rologiques et cliniques La strat gie peut reposer sur des pr l vements al atoires impliquant une surveillance suffisante pour d montrer l absence d infection par le virus de la NAI avec un niveau de confiance statistique acceptable La fr quence d chantillonnage doit tre d termin e en fonction de la situation pid miologique La surveillance al atoire est conduite l aide des tests s rologiques d crits dans le Manuel terrestre Les r sultats s rologiques positifs doivent tre suivis de m thodes virologiques Une surveillance sp cifique fond e par exemple sur le risque accru d infection dans certains sites ou chez certaines esp ces peut aussi constituer une strat gie appropri e Des m thodes virologiques et s rologiques doivent tre employ es concurremment pour
121. cements humains s curit sur le site d limination vaccination des animaux pour supprimer l excr tion virale capacit des unit s d quarrissage cong lation et conservation avant l quarrissage co t de la conservation surveillance du transport d placement des carcasses calendrier d quarrissage et d incin ration ad quation et disponibilit du mat riel n cessaire limination ventuelle des animaux sauvages Commission scientifique Janvier 2005 73 SG 12 CS3B AHG 1 Annexe III suite Technologies Les technologies pr sent es par le Groupe ad hoc pr c dent de m me que celles qui sont publi es dans la litt rature actuelle seront utilis es comme r f rences afin d harmoniser la description des technologies adapt es aux circonstances particuli res efficacit de l inactivation de l agent pathog ne pour certaines maladies sp cifiques Les technologies suivantes ont t identifi es pr c demment quarrissage incin ration en incin rateur fixe en incin rateur rideau d air ou en incin rateur de collectivit s locales incin ration ciel ouvert compostage enfouissement enfouissement group enfouissement la ferme entassement mise dans une aire de d charge agr e exploit e le cas ch ant par une soci t commerciale fermentation Prises de d cision Un processus de prise de d cision souple est propos afin que les facteurs de risque cl s puissent tre confront s chacune
122. cid des conditions applicables aux produits issus de ces carcasses 28 Commission scientifique Janvier 2005 73 SG 12 CS3B AHG 1 Annexe III suite Annexe IV suite Il peut arriver que l option d limination choisie porte sur une zone frontali re Dans ce cas les autorit s comp tentes du pays limitrophe seront consult es et des solutions l gales seront arr t es conjointement afin d viter tout diff rend ou conflit Si la capacit de traitement des carcasses est insuffisante dans le pays touch et si les autres options d limination sont limit es il peut tre envisag d effectuer les op rations dans un autre pays Toutefois lorsqu un foyer de maladie animale infectieuse survient dans un pays les gouvernements prennent des mesures pr ventives contre l importation d animaux et de produits susceptibles d tre contamin s en provenance de la r gion touch e Ces mesures emp chent alors aussi l importation et le transport des carcasses vers une unit de traitement Si l exportation est l option retenue les conditions doivent tre bien tablies entre les deux pays concern s et tous les aspects l gaux doivent tre r gl s au pr alable Les autorit s doivent s attendre 4 une forte r action de la part des leveurs du pays importateur qui s opposeront de tels transports La signature d une convention et l tude des aspects l gaux en temps de paix am lioreront les d lais d application d une telle solutio
123. cinctes applicables l limination des carcasses de pr ciser les grandes lignes des obligations r glementaires et de la jurisprudence d identifier les principaux facteurs de risque associ s l limination des carcasses d num rer les facteurs sociaux et les consid rations pratiques connexes de pr senter des lignes directrices sur les technologies envisageables et de guider le processus de prise de d cision conduisant au choix de la technologie convenant le mieux aux circonstances sp cifiques rencontr es Comme indiqu dans certains chapitres du Code la vaccination des animaux associ e ou non une politique d abattage sanitaire pour contenir le foyer pourrait tre pr f r e la destruction de masse La d cision finale de recourir une destruction et une limination de masse des animaux pour contenir un foyer doit tre soigneusement mise en balance avec les alternatives existantes les pr occupations environnementales socio politiques et socio conomiques les implications commerciales ainsi que les principes thiques les croyances et les pr f rences qui pr dominent D finitions Aux fins de la pr sente Annexe on appliquera les d finitions suivantes pour l limination des carcasses e Carcasse le corps d un animal devant tre d truit dans des conditions de s curit apr s l euthanasie ou la mort e Elimination inactivation de l agent pathog ne avec transformation de la carcasse et des mati
124. ckner a fait fonction de rapporteur Les d l gu s d Afrique du Sud d Angola du Botswana du Swaziland de Tanzanie de Zambie du Zimbabwe ainsi qu un repr sentant de la FAO ont particip la r union Participants Docteur Thiaucourt OIE CIRAD Co Pr sident Docteur Amanfu FAO Co Pr sident Angola Docteurs Simao et Visesse Botswana Docteur Chimbombi Namibie Docteur Norval R publique d Afrique du Sud Docteur Br ckner Rapporteur Swaziland Docteur Thwala Tanzanie Docteurs Kimaryo et Bahari Zambie Docteur Mangani Zimbabwe Docteur Hargreaves FAO Docteur Domenech AVIS Royaume Uni Docteur Mark Rweyemamu Contexte Le Docteur Thiaucourt a ouvert les d bats en indiquant que la d couverte r cente de la PPCB dans les r gions nord est de la Zambie qui n avaient jusque l jamais t touch es par la maladie a suscit de vives inqui tudes La c te sud ouest de la Zambie longe les pays limitrophes Botswana Namibie et Zimbabwe Le Docteur Thiaucourt a rappel les craintes d une propagation de la maladie vers l Est ce qui aurait pour cons quence probable le d veloppement end mique de la PPCB en Zambie et le danger potentiel qui en d coulerait de sa propagation d autres pays tels que le Botswana le Zimbabwe et ventuellement le Mozambique et Afrique du Sud Il a indiqu que la Zambie et I Angola ont demand l assistance de l OIE pour d finir des strat gies de lutte contre
125. commentaires Titre 2 Les termes Syst me de d tection pr coce et Surveillance ont d j t d finis Recommandation Le Groupe recommande de modifier la d finition des termes Syst me de d tection pr coce et Surveillance du chapitre 1 1 1 pour tenir compte de la d finition propos e dans le projet de chapitre 1 3 6 Titre 4 5 D monstration de l absence d infection Paragraphe 3 Toutefois la d couverte d une preuve de l infection n importe quel niveau de la population cible invalide toute all gation d absence d infection Dans le cas de la fi vre aphteuse cette formulation pourrait tre interpr t e comme signifiant une remise z ro des d lais d attente de certification d j entam s en cas de d couverte dans le cadre de la surveillance s rologique men e cons cutivement l apparition d un foyer d une preuve d infection ant rieure Une telle interpr tation aurait un effet pr judiciable sur la publication des r sultats d une surveillance effectu e apr s la survenue d un foyer Recommandation La phrase suivante a t ajout e au paragraphe 3 du titre 4 5 Sauf si des enqu tes de suivi pid miologique ont t r alis es et des mesures de contr le adopt es pour garantir la disparition de l agent infectieux Annexe 3 8 7 Le Groupe a examin le projet r vis r cemment de l annexe 3 8 7 Commission scientifique
126. confirmer l identit Bien que les porcs infect s permanents immunotol rants soient eux m mes s ron gatifs ils excr tent continuellement le virus ainsi la pr valence des anticorps au niveau du troupeau sera lev e Les porcs atteints d infection chronique peuvent pr senter des titres d anticorps ind tectables ou fluctuants Il est possible d utiliser du s rum recueilli pour d autres types de surveillance Toutefois il ne faut compromettre ni les principes du protocole de surveillance d crits dans la pr sente Annexe ni les imp ratifs d une surveillance statistiquement valable 80 Commission scientifique Janvier 2005 73 SG 12 CS3B AHG 4 Annexe III suite Annexe III suite La d couverte d un regroupement de r actions s rologiques positives doit tre pr vue Elle peut s expliquer entre autres par l un des l ments suivants les caract ristiques d mographiques de la population soumise aux pr l vements l exposition vaccinale ou la pr sence de l infection par des souches isol es sur le terrain ou par d autres pestivirus tant donn qu une concentration de r actions positives peut indiquer l existence d une infection par une souche isol e sur le terrain l investigation de tous les cas doit tre int gr e dans le protocole d tude Un regroupement d animaux porteurs est toujours significatif d un point de vue pid miologique et doit donc faire l objet d investigations Dans le
127. corpor e Une d finition possible figure dans le paragraphe 5 de l introduction du projet d Annexe sur les Lignes directrices pour la surveillance requise pour tayer la reconnaissance ou le recouvrement du statut de pays ou de zone indemne de peste porcine classique Commission scientifique Janvier 2005 53 Annexe III suite 73 SG 12 CS3B AHG 3 54 L Article 2 6 7 2 2 doit tre modifi comme suit la peste porcine classique est une maladie d claration obligatoire dans tout le pays et toute suspicion de peste porcine classique doit faire l objet d investigations sur le terrain et en laboratoire Dans I Article 2 6 7 4 2e le Groupe met des doutes quant l efficacit d appliquer I absence de foyers d clar s en tant que crit re unique sur lequel fonder le statut indemne de fi vre porcine classique suite l application de mesures d abattage sanitaire sans recours la vaccination Compte tenu du risque que la peste porcine classique circule sous une forme cliniquement inapparente ou sous une forme clinique qui ne peut pas tre diff renci e d un certain nombre d autres pathologies r pandues dans d autres pays le Groupe pr conise l application d une s rosurveillance active cibl e ou al atoire en compl ment de la surveillance clinique d crite Le Groupe souligne galement l incoh rence concernant le laps de temps n cessaire pour recouvrer le statut indemne de peste p
128. cteur Funes a indiqu que l identit de tous les propri taires de ces exploitations tait connue et que leurs levages taient soumis des contr les draconiens La r gion frontali re b n ficie d un soutien suppl mentaire de la part de Organisation des Nations unies sous la forme de financements et de moyens de transport et de communication Une saine coordination a vu le jour dans le cadre des programmes de vaccination avec les pays voisins Commission scientifique Janvier 2005 73 SG 12 CS3B AHG 5 Annexe III suite Le Docteur Funes a pr cis que d autres mesures de contr le avaient t mises en place pour pr venir Pabattage de bovins import s ill galement dans les abattoirs de la r gion frontali re A la suite du renforcement des contr les la d tention d animaux sensibles 4 proximit des abattoirs est d sormais soumise a des restrictions Conclusion Des mesures de contr le et de surveillance conformes au Code terrestre de l OIE ont t introduites apr s l apparition d un seul foyer dans une zone ant rieurement reconnue indemne de fi vre aphteuse avec vaccination Une enqu te structur e r alis e conform ment aux prescriptions n a r v l aucune circulation du virus dans la zone pour laquelle est sollicit le statut de zone indemne de fi vre aphteuse avec vaccination Recommandation Le Groupe recommande que la zone propos e soit reconnue indemne de fi vre aphteuse avec vacc
129. ction des vaccins antiaphteux Le Groupe est invit conseiller l OIE concernant une demande de renseignements formul e par le Paraguay pour savoir si la m thode de Frenkel de fabrication des vaccins antiaphteux r pond aux normes tablies par OIE Cette m thode ne figure plus dans le chapitre du Manuel terrestre de OIE consacr la fi vre aphteuse Aussi le Groupe estime t il que les Pays Membres doivent exclusivement employer des vaccins pr par s avec des antig nes produits en culture tissulaire et cesser d s que possible l utilisation des vaccins fabriqu s selon la m thode de Frenkel La production virale par la m thode de Frenkel repose sur l utilisation d pith lium lingual g n ralement obtenu aupr s d abattoirs commerciaux Le Groupe est d avis que cette m thode de fabrication n est pas en conformit avec les normes de l OIE puisque l approvisionnement permanent en pith lium lingual frais souvent d origine incertaine ne r pond pas aux exigences des Bonnes pratiques de fabrication GMP Le statut sanitaire des animaux dont on utilise l pith lium lingual n est pas d fini et les tests n cessaires pour contr ler la qualit des cellules primaires employ es dans ce proc d de production ne sont pas r alisables Commission scientifique Janvier 2005 115 Annexe III suite 73 SG 12 CS3B AHG 6 4 Courriers divers relatifs a la situation de la fievre aphteuse en Am rique du Sud Le Gr
130. d veloppement de lignes directrices e Aucun commerce de volailles vivantes ou de produits crus n est autoris partir de pays zones ou compartiments infect s par la HPNAI Le commerce des produits issus de volailles contamin es par la HPNAI n est autoris que si celles ci ont t trait es pour d truire le virus et si des mesures ont t prises pour viter une recontamination e Les volailles vivantes les poussins d un jour et les ufs couver peuvent tre commercialis s partir des pays zones ou compartiments indemnes d influenza aviaire d claration obligatoire NAI Dans les pays zones ou compartiments indemnes de HPNAI les poussins d un jour et les oeufs couver peuvent tre commercialis s partir des tablissements indemnes de NAI e La viande et les produits destin s la consommation humaine doivent provenir d un pays d une zone ou d un compartiment indemne de NAI Commission scientifique Janvier 2005 137 Annexe III suite 73 SG 12 CS3B AHG 8 138 e Les pays zones ou compartiments indemnes de HPNAI peuvent commercialiser la viande si celle ci provient d un tablissement indemne de NAI ou si l absence de virus a t d montr e par des m thodes de d tection virale adapt es 7 10 jours avant l abattage sous r serve que les animaux se trouvent depuis leur closion ou depuis 21 jours dans un tablissement o aucun signe de NAI n est apparu depuis 21 jours Cette pr caution
131. de prendre en compte certaines caract ristiques de l pid miologie de la peste porcine classique notamment les cons quences de l alimentation des porcs avec des eaux grasses et l impact des diff rents syst mes de production sur la propagation de la maladie le r le jou par la semence dans la transmission du virus l absence de l sions macroscopiques et de signes cliniques pathognomoniques la fr quence des infections cliniquement inapparentes l apparition d infections persistantes et chroniques enfin la variabilit pr sent e par les diff rentes souches de virus de la peste porcine classique sur le plan g notypique antig nique et de la virulence Lors de l interpr tation des donn es issues des enqu tes s rologiques il faut tenir compte de la possibilit d une r activit s rologique crois e avec d autres pestivirus Une source classique d infection des porcs par des pestivirus de ruminants est constitu e par l utilisation de vaccins contamin s par le virus de la diarrh e virale bovine BVDV Dans le cadre du programme de surveillance les d finitions de cas et de foyer de peste porcine classique seront les m mes que celles propos es dans les chapitres 2 6 7 et 1 3 6 du Code terrestre Dans le cadre du pr sent chapitre une infection virale correspond la pr sence du virus de la peste porcine classique mise en vidence directement par isolement du virus par d tection de l antig ne viral ou de l acide
132. deurs de tenir des repr sentants la disposition du Groupe ad hoc qui seraient charg s lors de l examen de leur dossier de fournir des informations compl mentaires ou de r pondre aux questions Par ailleurs le Groupe ad hoc devra prendre position par rapport au document manant du Centre PANAFTOSA et concernant une nouvelle strat gie d analyse des risques pour les produits d origine animale Les membres du Groupe ont convenu de la m thode de travail suivante Dans la mesure du possible les candidats seront inform s de la date limite de d p t de leur dossier pour que ce dernier soit examin lors d une r union sp cifique du Groupe ad hoc En g n ral les dossiers seront d pos s jusqu un mois environ avant la r union Toutefois des d lais court s seront envisag s au cas par cas et ventuellement accept s en cas d urgence et sous r serve d une justification valable Le pr sident attribuera la responsabilit d un dossier un seul membre du Groupe qui en deviendra le rapporteur Les autres membres apporteront leur contribution en posant des questions Le rapporteur s efforcera autant que faire se peut de dresser une liste sommaire des questions probl mes environ une semaine avant la r union Cette liste sera adress e au demandeur Les demandeurs seront avis s du fait qu elle renferme des informations sur les th mes susceptibles d tre d battus au sein du Groupe et pour lesquels des documents suppl men
133. deux ans La population bovine Oruro est vaccin e dans une proportion d environ 86 et repr sente environ 1 de la population sensible les autres animaux sensibles tant les cam lid s et les ovins Les animaux de la zone ne sont pas soumis un marquage sp cifique permettant de les identifier comme tels On ne sait pas vraiment si les animaux entrant dans la zone sont soumis un test ELISA de d tection des anticorps 3ABC ou une autre preuve ni si les tests sont pratiqu s sur l ensemble du troupeau et ces questions n ont pas t lucid es par les discussions avec la d l gation nationale Il en a d coul des inqui tudes concernant le niveau global de contr le des d placements d animaux entrant et sortant de la zone tampon en particulier autour de la municipalit d Oruro Les param tres statistiques utilis s pour le d pistage s rologique ne sont pas clairs et ne permettent pas d tayer l hypoth se d une absence de circulation virale En g n ral le nombre de pr l vements est insuffisant et aucun d pistage clinique n a t entrepris en compl ment Recommandations Le Groupe recommande la Commission scientifique qu il soit demand au Pays Membre de r examiner sa strat gie de pr l vement et de mettre en place une surveillance plus active dans la zone pour laquelle est sollicit le statut indemne La l gislation sur les d placements d animaux dans la zone doit tre clarifi
134. dossier en vue de la reconnaissance du statut indemne de fi vre aphteuse avec vaccination pour une zone de son territoire des informations compl mentaires en vue de leur examen lors de la prochaine r union du Groupe ad hoc La Commission a galement approuv que le projet de questionnaire soumis par le Groupe ad hoc sur la fi vre aphteuse soit int gr dans les documents que doivent pr senter les pays sollicitant la reconnaissance de l absence de la maladie par I OIE Rapports d autres Groupes ad hoc 1 3 1 Banques d antig nes et de vaccins La Commission a examin le rapport du Groupe ad hoc sur les banques d antig nes et de vaccins de la fi vre aphteuse Elle a f licit le Groupe pour avoir propos des lignes directrices relatives la cr ation de banques d antig nes et de vaccins mais a not que le Groupe n avait pas dispos de suffisamment de temps pour traiter de fa on satisfaisante les questions li es la caract risation des souches de virus aphteux En cons quence la Commission a recommand que le Groupe poursuive les travaux entam s et les ach ve lors de sa prochaine r union pr vue en avril 2005 D ici la la Commission a recommand que le rapport soit soumis la Commission des normes biologiques de l OIE pour examen et commentaires 1 3 2 valuation des tests de recherche des prot ines non structurales pour le diagnostic de la fi vre aphteuse La Commission a pris connaissance du rappo
135. e e Plan de communication Y Administration v t rinaire doit accepter que les informations sur toute op ration d abattage de masse et de destruction d animaux ne peuvent et ne doivent tre cach es au public Le partage constant des informations reposant sur des faits scientifiques est essentiel Si la communication avec les responsables politiques et les m dias est indispensable les responsables officiels impliqu s dans le foyer les leveurs touch s et les organisations professionnelles sont tout aussi importants cet gard bien qu ils soient souvent n glig s ou oubli s Un porte parole bien inform doit tre pr sent tout moment pour r pondre aux questions manant des m dias et du public Il est fondamental que les informations fournies soient coh rentes et qu elles s appuient sur un ensemble de questions r ponses longuement pr par es l avance et actualis es chaque jour Une condition pr alable essentielle est que les responsables politiques s approprient les strat gies appliqu es la destruction et l limination de masse des animaux en vue de contenir un foyer de maladie Leur soutien doit tre obtenu d s la formulation des strat gies et des proc dures budg taires par l Administration v t rinaire du Pays Membre Commission scientifique Janvier 2005 29 Annexe III suite 73 SG 12 CS3B AHG 1 Annexe IV suite quipement le mat riel d urgence essentiel doit tre imm diatement disponib
136. e Le recours des animaux sentinelles aux examens virologiques et l valuation des esp ces sensibles contigu s est galement recommand Tout comme l ensemble de l Annexe r vis e Annexe III du pr sent rapport cette partie est moins prescriptive laissant une plus grande latitude pour les investigations tout en contraignant les pays demandeurs valider leurs m thodes r sultats et interpr tations conform ment des principes scientifiques reconnus Recommandations aux autres groupes ad hoc Lors de la r vision de l Annexe 3 8 7 le Groupe a not qu il serait utile d int grer de nouvelles d finitions ou d en d velopper certaines comme propos dans le nouveau Chapitre 1 3 6 savoir relation entre pr valence r elle et pr valence apparente pr valence seuil tests sur pr l vements regroup s cadre d chantillonnage chantillonnage fond sur les risques ou chantillonnage cibl hypoth se nulle strates et confiance statistique Annexes Commission scientifique Janvier 2005 73 SG 12 CS3B AHG 2 Annexe III suite Annexe I REUNION DU GROUPE AD HOC DE L OIE SUR L PID MIOLOGIE Paris 28 30 juin 2004 Ordre du jour 1 Code terrestre Chapitre 2 2 10 sur la fi vre aphteuse 2 Lignes directrices sur l obtention ou le recouvrement du statut de pays ou de zone indemne de fi vre aphteuse Annexe 3 8 7 3 Autre interpr tation propos e sur l absence de circulation virale dan
137. e des foyers apparus par le pass des donn es d mographiques sur les porcs des d placements de ces animaux etc Pour des raisons financi res compte tenu de la dur e de persistance des titres d anticorps de m me que de l existence d infections cliniquement inapparentes et des difficult s li es au diagnostic diff rentiel pouvant faire voquer d autres maladies la s rologie est souvent la m thode de surveillance la plus efficace et la plus efficiente Dans certaines circonstances qui seront examin es ult rieurement la surveillance clinique et virologique peut galement pr senter un int r t La pays demandeur doit justifier le choix de sa strat gie de surveillance en d montrant qu elle est de nature d tecter la pr sence de l infection par le virus de la peste porcine classique conform ment aux dispositions du chapitre 1 3 6 et la situation pid miologique Au fil du temps les r sultats cumul s des enqu tes conjugu s aux r sultats de la surveillance passive augmenteront le niveau de confiance associ la strat gie de surveillance Si un Pays Membre souhaite demander la reconnaissance de l absence d infection par le virus de la peste porcine classique pour une zone r gion sp cifique situ e l int rieur du pays la conception de la strat gie de surveillance et la base de la proc dure de pr l vement doivent viser la population se trouvant l int rieur de la zone r gion Dans le cadre
138. e et produise avec l appui du Bureau Central un document qui pourrait tre pr sent pour discussion au Comit international en mai 2005 e En ce qui concerne les commentaires formul s par les pays sur les documents de l OIE diffus s cet effet la Commission a constat qu un Pays Membre demande syst matiquement qu il soit indiqu dans chaque chapitre que dans le cadre du commerce international le certificat v t rinaire international ne doit pas pr voir des garanties sur l absence d agents pathog nes ou de maladies animales pr sents sur le territoire du pays importateur et qui ne font l objet d aucun programme officiel de prophylaxie La Commission a estim que cette condition est d j satisfaite dans Article 1 2 1 2 du chapitre consacr aux Obligations g n rales du Code terrestre et qu il n est donc pas n cessaire qu elle soit rappel e dans tous les chapitres e Compte tenu des commentaires re us la Commission a sugg r d apporter certaines modifications au chapitre propos 1 3 6 sur les Principes g n raux de l pid miosurveillance et du suivi pid miologique continu Ces modifications ont t examin es avec la Commission du Code afin de lui permettre de soumettre un document final aux Pays Membres avant la Session g n rale de mai 2005 e La Commission a d cid de demander la Commission du Code de r examiner la d finition des cuirs et des peaux sur la base de I
139. e fi vre aphteuse sans vaccination pour une zone qui couvre environ 33 de la superficie totale du P rou Cette zone est situ e au sud du pays d limit e par la Bolivie le Chili I Oc an Pacifique et par Lima au nord Il s agit de la premi re zone du territoire p ruvien faisant l objet d une demande de reconnaissance par l OIE de l absence de fi vre aphteuse l id e dominante tant de faciliter les changes et les exportations de cam lid s partir de la zone souhaitant tre reconnue indemne C est galement la premi re r gion pr sent e la Commission scientifique o les zones tampon prot geant la zone souhaitant tre reconnue indemne sont situ es hors du pays en Bolivie ce qui t moigne de la politique r gionale de contr le des maladies en Am rique du Sud et de la volont de respecter l accord tripartite sur la coop ration en mati re de fi vre aphteuse conclu entre les gouvernements de Bolivie du P rou et du Chili La derni re apparition d un foyer de fi vre aphteuse au P rou remonte 2000 Les dossiers pr sent s au Groupe contenaient les l ments requis pour l examen de conformit vis vis des dispositions du Code et ont t compl t s lors de longues discussions avec une d l gation du P rou destin es lever des incertitudes Structures de soutien Les donn es fournies dans le dossier et les informations compl mentaires d coulant des discussions avec la d l gation on
140. e la Commission scientifique de l OIE pour les maladies animales Commission scientifique Le Docteur David Mackay a t nomm Rapporteur L ordre du jour et la liste des participants figurent dans les Annexes I et II Le Docteur Bernard Vallat Directeur g n ral de l OIE a accueilli les participants du Groupe ad hoc et les a compliment s pour le travail accompli lors de leurs pr c dentes r unions Le Docteur Vallat a soulign l importance cruciale que rev t l valuation du statut des pays en particulier au regard de la fi vre aphteuse pour les Pays Membres et la n cessit pour les membres du groupe de r aliser leurs valuations de mani re transparente et ind pendante afin d assurer la cr dibilit internationale de I OIE 1 Probl mes soulev s lors de la pr c dente r union Le compte rendu de la pr c dente r union ne fait tat d aucun probl me particulier Examen du dossier pr sent par la Serbie et Mont n gro Lors de la pr c dente r union tenue en octobre 2004 le groupe a valu un dossier pr sent par la Serbie et Mont n gro en vue de la reconnaissance de son statut de pays indemne de fi vre aphteuse sans vaccination et a demand des informations compl mentaires afin de prendre une d cision d finitive Les donn es compl mentaires n ayant pas t re ues ce point est ajourn Courrier en provenance du Paraguay concernant la m thode de Frenkel appliqu e la produ
141. e les directives de l Administration v t rinaire peuvent tre mentionn s et annex s Les points num r s ci apr s doivent tre trait s avec concision C 1 C 2 C 3 CA 110 Coordination nationale et internationale ventuelle Contr le des importations dans la zone C 2 1 Politique et analyse des risques C 2 2 Gestion des risques inh rents aux animaux et aux produits ports fronti res nombre et localisation d chets nationaux et internationaux animaux mat riel g n tique semence et embryons produits d origine animale destin s la consommation humaine par exemple le lait et les produits carn s e produits d origine animale non destin s la consommation humaine par exemple les aliments pour animaux de compagnie les cuirs et les peaux e les m dicaments v t rinaires par exemple les produits biologiques C 2 3 S curit biologique des laboratoires et des installations de production et de tests Supervision par l Autorit v t rinaire Emploi de vaccins contre la fi vre aphteuse C 4 1 Utilisation des vaccins C 4 2 Production des vaccins chapitre 2 1 1 du Manuel C 4 3 Contr le de la qualit des vaccins chapitre 2 1 1 du Manuel Commission scientifique Janvier 2005 73 SG 12 CS3B AHG 5 Annexe III suite Annexe III suite 11 2 PARTIE CONSACREE A LA SURVEILLANCE DE LA FIEVRE APHTEUSE A ZONE INDEMNE DE FIEVRE APHTEUSE R sumer ici les mesures de surveilla
142. e porcs vivant en libert Zones comportant un risque certain d fini par les autorit s v t rinaires locales D charges de d chets 68 Commission scientifique Janvier 2005 Annexe III suite 73 SG 12 CS3B AHG 4 Original anglais d cembre 2004 RAPPORT DU LA REUNION DU GROUPE AD HOC DE L OIE SUR LA PESTE PORCINE CLASSIQUE Paris 8 d cembre 2004 La r union du Groupe ad hoc de l OIE de la Commission scientifique pour les maladies animales Commission scientifique sur la peste porcine classique s est tenue le 8 d cembre 2004 au si ge de l OIE Paris pour examiner le rapport du Groupe ad hoc sur la peste porcine classique qui s tait r uni en septembre 2004 L ordre du jour et la liste des participants figurent respectivement dans les annexes I et II Le Docteur Bernard Vallat Directeur g n ral de POIE a accueilli les membres du Groupe ainsi que le Docteur A Thiermann Pr sident de la Commission des normes sanitaires pour les animaux terrestres qui a accept d assister a la r union pour donner des avis qui sont du ressort de sa Commission Le Directeur g n ral a f licit le pr c dent Groupe ad hoc pour l excellent travail qui a t accompli Il a toutefois expliqu que bien que l OIE apporte son soutien Y application des m thodes d valuation du risque en tant que composante du processus global par lequel un pays d finit les mesures scientifiquement justifi es qu il convient d app
143. e possibilit de contacts directs ou indirects avec des oiseaux sauvages au regroupement de plusieurs classes d ge dans un m me levage au habitudes commerciales locales entre autres l existence de march s d oiseaux vivants l utilisation d eaux de surface susceptibles d tre contamin es la pr sence de plusieurs esp ces dans l tablissement et aux mauvaises conditions de bios curit en place 146 Commission scientifique Janvier 2005 73 SG 12 CS3B AHG 8 Annexe III suite Annexe III suite Les pays qui ne peuvent r unir les conditions n cessaires pour se d clarer indemnes de NAI peuvent se d clarer indemnes de HPNAI la seule condition qu aucune infection par la NAI n ait t caract ris e comme une infection virus hautement pathog ne Exigences compl mentaires pour les pays zones ou compartiments o la vaccination est pratiqu e Dans ces lignes directrices toute r f rence la vaccination signifie que l option de vaccination est autoris e dans le cadre d un programme officiel de prophylaxie men sous le contr le de l Administration v t rinaire dans le but d interrompre la transmission du virus de la HPNAI dans le pays la zone ou le compartiment concern e Le niveau d immunit des levages n cessaire pour interrompre la transmission virale d pend de leur taille et de leur composition esp ces et autres caract ristiques ainsi que de la densit de la populatio
144. e viande et d os des d chets de traitement d aliments d autres substances compostables des papiers ou des mat riaux analogues et des pailles de c r ales ces mati res pouvant tre trait es s par ment ou ensemble Dans le cycle de d shydratation la vapeur d eau est condens e et utilis e d autres fins ou rejet e Chaque cycle dure 4 heures La capacit de chaque r acteur est de 20 000 tonnes de mati res brutes par an L op ration inactive tous les agents microbiologiques Elle est actuellement en cours d valuation pour tudier son efficacit dans l inactivation des prions l origine des enc phalopathies spongiformes transmissibles Consid rations particuli res pour les maladies prions L une des difficult s li e la d monstration de l efficacit de l inactivation des prions est le manque de test simple rapide et peu co teux pour d tecter la pr sence de l agent infectieux notamment faibles concentrations Le test ultime est le dosage biologique dans une esp ce d tectrice sensible en utilisant une voie d inoculation efficace mais cette approche ne convient g n ralement qu aux travaux de recherche G n ralement on utilise des s ries de souris produites pour tre sensibles des types particuliers d enc phalopathie spongiforme transmissible Il faut cependant se rappeler que la barri re inter esp ce qui existe entre les souris non modifi es g n tiquement et les bovins a t valu 5
145. eaux la r f rence aux preuves de d pistage des maladies ne doit pas tre utilis e et le lecteur doit tre renvoy au chapitre consacr la maladie sp cifique Le Groupe a galement not que l Annexe ne prend pas en compte la semence par rapport au risque de tuberculose Il a par ailleurs observ que le principe fondamental selon lequel les animaux doivent tre cliniquement sains n est pas nonc dans toutes les annexes du chapitre Chapter 3 2 Le Groupe a souhait faire connaitre ses pr occupations concernant la transmission de la maladie des animaux tous les animaux y compris sauvages l homme et a propos que toutes les esp ces de Mycobacterium ayant un potentiel zoonotique soient prises en compte par OIE Questions apparent es Le groupe s est pench sur le probl me de la transmission des maladies pendant le transport des animaux et a propos que l OIE envisage de formuler la recommandation g n rale consistant s abstenir de r unir lors du transport les animaux destin s l abattoir et les reproducteurs ces groupes d animaux tant g n ralement import s dans des conditions diff rentes Annexes Commission scientifique Janvier 2005 73 SG 12 CS3B AHG 7 Annexe III suite Annexe I GROUPE AD HOC DE L OIE SUR LA TUBERCULOSE Paris 17 19 novembre 2004 Ordre du jour provisoire 1 Examen du chapitre 2 3 3 du Code sanitaire pour les animaux terrestres consacr
146. ec un niveau de confiance acceptable La surveillance de la peste porcine classique doit s inscrire dans le cadre d un programme permanent visant tablir l absence d infection par le virus de la peste porcine classique dans l ensemble du pays ou dans la zone Il convient de prendre en compte certaines caract ristiques de l pid miologie de la peste porcine classique notamment les cons quences de l alimentation des porcs avec des eaux grasses et l impact des diff rents syst mes de production sur la propagation de la maladie le r le jou par la semence dans la transmission du virus l absence de l sions macroscopiques et de signes cliniques pathognomoniques la fr quence des infections cliniquement inapparentes l apparition d infections persistantes et chroniques enfin la variabilit pr sent e par les diff rentes souches de virus de la peste porcine classique sur le plan g notypique antig nique et de la virulence Lors de l interpr tation des donn es issues des enqu tes s rologiques il faut tenir compte de la possibilit d une r activit s rologique crois e avec d autres pestivirus Une source classique d infection des porcs par des pestivirus de ruminants est constitu e par l utilisation de vaccins contamin s par le virus de la diarrh e virale bovine BVDV Dans le cadre du programme de surveillance les d finitions de cas et de foyer de peste porcine classique seront les m mes que celles
147. eillance il sera n cessaire de d finir les limites du territoire sur lequel sont r partis les porcs sauvages afin de d terminer les unit s pid miologiques dans le cadre de ce programme Il est souvent difficile de d finir des unit s pid miologiques pour les animaux sauvages La m thode la plus pratique consiste utiliser les barri res naturelles et artificielles Le programme de surveillance doit galement prendre en compte les animaux trouv s morts les animaux tu s sur la route ceux qui ont un comportement anormal ou qui pr sentent des l sions macroscopiques au moment de l habillage des carcasses Dans certaines situations un programme de surveillance plus cibl peut fournir des garanties suppl mentaires Les crit res utilis s pour d finir les zones haut risque dans le cadre d une surveillance cibl e peuvent tre les suivants Zones avec ant c dents de peste porcine classique Sous r gions forte densit de porcs sauvages R gions jouxtant des pays ou des zones touch s par la peste porcine classique Zones de contact entre des sous populations Zones de pique nique et de camping Zones situ es autour d levages de porcs vivant en libert Zones comportant un risque certain d fini par les autorit s v t rinaires locales D charges de d chets Commission scientifique Janvier 2005 83 Annexe III suite 73 SG 12 CS3B AHG 4 Annexe III suite 84 Commission scientifique Janvi
148. elier sur l valuation comparative des tests ELISA pour la d tection des anticorps anti NSP dans la fi vre aphteuse Brescia 3 15 mai 2004 1 Code terrestre Chapitre 2 2 10 sur la fi vre aphteuse Le Groupe a examin et estim acceptables les modifications apport es l Article 2 2 10 21 du Chapitre 2 2 10 du Code terrestre sur la fi vre aphteuse concernant les viandes fra ches et les produits base de viande de porc et de ruminants autres que les bovins import s de pays ou de zones indemnes de fi vre aphteuse ot la vaccination est pratiqu e Commission scientifique Janvier 2005 39 Annexe III suite 73 SG 12 CS3B AHG 2 2 40 Lignes directrices sur l obtention ou le recouvrement du statut de pays ou de zone indemne de fievre aphteuse Annexe 3 8 7 A l occasion de la r vision de cette annexe le Groupe a sugg r un certain nombre de modifications paraissant n cessaires pour assurer que le texte refl te bien les donn es et observations issues des sources d informations d crites plus haut Les principales modifications ont concern la n cessit de proc der une validation globale des tests et de les soumettre une d marche d assurance qualit dans les conditions d utilisation locales L importance de la conformit aux principes de surveillance de la validit statistique des protocoles et des autres principes pid miologiques d coulant du Chapitre 1 3 6 propos a galement t mise en exergue
149. emande pr sent e est indemne d infection par le virus de la NAI Aux fins du programme de surveillance les d finitions des termes infection cas et foyer de NAI seront celles des Chapitres 1 1 1 1 3 6 et 2 7 12 du pr sent Code terrestre Article 3 x x 2 Conditions g n rales et m thodes 1 Tout syst me de surveillance Chapitre 1 3 6 du pr sent Code terrestre doit tre plac sous la responsabilit des Services v t rinaires Chapitre 1 3 3 de ce Code qui doivent faire preuve de grandes comp tences en mati re de NAI e La NAI doit tre d claration obligatoire dans le pays la zone ou le compartiment concern e e Un syst me officiel permanent doit tre en place afin de pouvoir d tecter les foyers de maladie et mener les investigations n cessaires e Il doit exister une proc dure assurant le recueil des pr l vements suspects et leur transport dans les meilleurs d lais vers un laboratoire dot des quipements adapt s et du personnel comp tent pour r aliser les tests n cessaires au diagnostic de la NAI comme d crit dans le Manuel terrestre e Un syst me d enregistrement de gestion et d analyse des donn es de diagnostic et de surveillance doit tre en place Commission scientifique Janvier 2005 143 Annexe III suite 73 SG 12 CS3B AHG 8 Annexe III suite 2 Le programme de surveillance de la NAI doit r pondre aux conditions suivantes a Il doit inclure un syst me d alerte pr coce
150. emment Structures de soutien La description et la nature des structures d appui ont t jug es ad quates Syst mes de surveillance de routine Un syst me efficace de surveillance de routine est en place Selon les informations fournies ce syst me a t utilis pour d tecter et lucider des cas suspects de maladie v siculeuse Absence d infection ou de circulation virale Les contr les d efficacit des lots concernent uniquement deux souches O Campos et A argentina 2001 SUL les quatre souches pr sentes dans les vaccins utilis s les vaccins renferment galement les souches A et A200 Le Docteur Gaston Maria Funes repr sentant de I Argentine a expliqu que ce choix avait t dict par des consid rations pratiques et qu il se fondait sur l hypoth se selon laquelle une r action ad quate des souches test es s accompagnerait vraisemblablement d une r action analogue de la part des autres souches Contr le aux fronti res Le Docteur Funes a communiqu de nouvelles informations sur les mesures adopt es pour contr ler l alimentation avec des eaux grasses et notamment des produits provenant des voyages internationaux Le traitement dans des conditions bios curis es des eaux grasses issues des abattoirs est supervis par le SENASA Les eaux grasses provenant du transport international sont totalement cart es de la cha ne alimentaire L tude cibl e r alis e dans la zone de protectio
151. emne Demande de statut indemne de fi vre aphteuse pour un pays une zone ou un compartiment sans vaccination Outre les conditions g n rales d crites au Chapitre 2 2 10 du pr sent Code terrestre un Pays Membre demandant a tre reconnu indemne de fi vre aphteuse pour l ensemble de son territoire ou pour une zone ou un compartiment o la vaccination n est pas pratiqu e doit apporter la preuve de l existence d un programme de surveillance efficace La strat gie et le protocole du programme de surveillance d pendent des circonstances pid miologiques dominantes et seront con us et mis en oeuvre conform ment aux conditions g n rales et m thodes expos es dans ces lignes directrices pour d montrer l absence d infection par la fi vre aphteuse dans les populations sensibles vaccin es ou non au cours des 12 mois coul s Cette obligation requiert l assistance d un laboratoire national ou autre capable d identifier l infection en d tectant le virus aphteux l un de ses antig nes ou son g nome et d effectuer des tests de recherche des anticorps tels que d crits dans le Manuel terrestre Article 3 8 7 4 Demande de statut indemne de fi vre aphteuse pour un pays une zone ou un compartiment avec vaccination Outre les conditions g n rales d crites au Chapitre 2 2 10 du pr sent Code terrestre un Pays Membre demandant tre reconnu indemne de fi vre aphteuse avec vaccination pour l ensemble de son territoire
152. ensemble du tas Apr s la premi re phase de compostage le volume et le poids du tas peuvent avoir diminu de 50 75 Apr s la premi re phase l ensemble du tas doit tre m lang d plac et reconstitu pour la seconde phase Si n cessaire il convient de le r humidifier Commission scientifique Janvier 2005 73 SG 12 CS3B AHG 1 Annexe III suite Annexe IV suite La fin de la seconde phase est marqu e par une temp rature interne de 25 a 35 C une diminution de la densit vrac d environ 25 une couleur marron fonc noire et l absence d odeur d plaisante Bien que la chaleur g n r e lors du compostage des carcasses entra ne une certaine destruction microbienne elle n est pas suffisante pour st riliser totalement le produit final L activit bact rienne pathog ne est r duite lorsque la temp rature au milieu du tas atteint 65 C en un deux jours Une temp rature moyenne de 55 60 C pendant un jour ou deux r duit l activit pathog ne des virus bact ries protozoaires y compris sous forme enkyst e et oeufs d helminthes 4 un niveau faible et acceptable mais les endospores produites par les bact ries sporog nes ne seront pas inactiv es e Enfouissement en tranch e et enfouissement en masse dans ce syst me les carcasses enti res sont d pos es en dessous du niveau du sol et recouvertes de terre sans autre inactivation des agents pathog nes Il s agit d une proc dure tablie qui si elle est
153. ent accessibles alors que l on s est fix des objectifs d radication l chelle mondiale et de certification de l absence de maladie Selon eux la formulation du paragraphe est ambigu et plusieurs aspects li s aux performances de la m thode souffrent d un manque de clart Par exemple s interrogent ils quelle est la version de la m thode ELISA indirecte envisag e la formulation bas e sur le conjugu l anti IgG ou celle employant un conjugu la prot ine G Quelles sont les modalit s de r alisation de l preuve et quelle est la valeur de seuil positif n gatif recommand e Quel est le degr de performance de l preuve avec la formulation recommand e Le maintien de cette recommandation pourrait placer l OIE dans une situation d plaisante notamment si les dossiers accompagnant les demandes de reconnaissance du statut de pays indemne de peste bovine soumis l OIE contenaient uniquement des donn es bas es sur la m thode ELISA indirecte Par ailleurs les membres du Groupe ad hoc ont demand la Commission des normes biologiques de d terminer si le paragraphe en question constituait une recommandation d emploi de l preuve valuation du statut des pays au regard de la peste bovine 3 1 Peste bovine 3 1 1 Ethiopie L approbation de la demande a t recommand e 3 1 2 Soudan L approbation de la demande a t recommand e 3 1 3 Tanzanie L approbation de la demande
154. ents l origine de pathologies pouvant mimer la peste porcine classique font que l examen clinique en tant que seul outil de surveillance n est pas tr s efficace Toutefois le tableau clinique ne doit pas tre n glig en tant qu outil de d tection pr coce en particulier tous les cas chez lesquels des l sions ou des signes cliniques vocateurs de la peste porcine classique s accompagnent d une morbidit et ou d une mortalit lev e doivent tre examin s imm diatement Dans les infections dues des souches peu virulentes du virus de la peste porcine classique une forte mortalit ne peut tre observ e que chez les jeunes animaux Commission scientifique Janvier 2005 63 Annexe III suite 73 SG 12 CS3B AHG 3 Annexe III suite Dans le pass l identification clinique des cas tait l l ment essentiel de la d tection pr coce de la peste porcine classique Toutefois l apparition de souches peu virulentes du virus et de nouvelles maladies en particulier du syndrome cachectique multisyst mique du post sevrage et du syndrome dermatite n phropathie porcin a diminu Vefficacit de la l identification clinique et dans les pays o les deux maladies pr cit es sont tr s r pandues le risque de masquer la pr sence de la peste porcine classique est grandement major par cette d marche Dans les zones ou pays ou ces maladies existent il convient de proc der au suivi clinique et virologique de ces
155. er 2005 Annexe III suite 73 SG 12 CS3B AHG 5 Original anglais Octobre 2004 RAPPORT DE LA REUNION DU GROUPE AD HOC DE L OIE POUR L EVALUATION DU STATUT DES PAYS AU REGARD DE LA FIEVRE APHTEUSE Paris 18 20 octobre 2004 Le Groupe ad hoc pour l valuation du statut des pays au regard de la fi vre aphteuse s est r uni au si ge de l OIE Paris du 18 au 20 octobre 2004 Le Docteur Gideon Br ckner membre de la Commission scientifique de l OIE pour les maladies animales la Commission scientifique a pr sid les d bats la fonction de rapporteur ayant t confi e au Docteur David Mackay L ordre du jour et la liste des participants figurent dans les annexes I et IL Le Docteur Bernard Vallat Directeur g n ral de l OIE a accueilli les membres du Groupe ad hoc Il a constat que la r union du Groupe intervenait peu apr s l laboration du projet d annexe r vis e contenant des lignes directrices en mati re de surveillance de la fi vre aphteuse 3 8 7 Les membres du Groupe ont t invit s 4 examiner ce projet avant de proposer des changements ventuels Ils seraient ainsi en mesure durant la r union d tudier les dossiers des deux pays demandeurs 4 la lumi re des lignes directrices r vis es et de soumettre des recommandations ad quates 4 la Commission scientifique de OIE Deux autres questions devront retenir l attention du Groupe La premi re concerne la possibilit pour les pays deman
156. ernementaux nationaux et locaux comp tents pour la protection de l environnement doivent avoir autoris cette option au pr alable et avoir adopt le cadre l gal n cessaire pour l autoriser e toutes les autorit s impliqu es doivent avoir donn leur avis sur les conditions de retrait des cendres Si l enfouissement group l entassement ou l enfouissement la ferme est l option pr f r e e les services v t rinaires doivent disposer de l autorit n cessaire pour d cider du lieu d enfouissement en accord avec les autres autorit s concern es e les services gouvernementaux nationaux et locaux comp tents pour la protection de l environnement et des r serves aquif res souterraines doivent avoir approuv cette solution et adopt la l gislation n cessaire e toutes les autorit s impliqu es doivent avoir d cid ensemble du r gime applicable au site apr s l enfouissement Si l quarrissage ou tout autre traitement centralis est l option pr f r e e les Services v t rinaires doivent disposer de l autorit voulue pour requ rir la capacit n cessaire aupr s de la soci t de traitement et d terminer les priorit s e les services gouvernementaux nationaux et locaux r glementant ce type de traitement doivent avoir autoris au pr alable l accroissement du volume de production et les cons quences en r sultant et avoir pr vu les aspects l gaux e toutes les autorit s concern es doivent avoir d
157. es agents pathog nes mais est en principe utilis e pour les produits d quarrissage non s ch s e Hydrolyse alcaline l hydrolyse alcaline un fait appel de l hydroxyde de sodium ou de l hydroxyde de potassium pour catalyser l hydrolyse des mati res biologiques en une solution aqueuse st rile constitu e de peptides courts d acides amin s de sucres et de savons Le processus est acc l r par la chaleur 150 C Les seuls produits solides sont les constituants min raux des os et des dents des vert br s Ce r sidu 2 du poids initial de la carcasse est st rile et facilement broy en poudre La temp rature et les conditions alcalines d truisent les enveloppes prot iniques des virus et les liaisons peptidiques des prions Ce proc d d grade la fois les lipides et les acides nucl iques Bien qu elle les st rilise l hydrolyse alcaline ne permet pas la digestion des grosses mol cules d hydrates de carbone telles que la cellulose papiers ficelles fibres v g tales non dig r es ou copeaux de bois par exemple L op ration se d roule dans une cuve sous pression calorifug e en acier inoxydable chauff e par circulation de vapeur dans une double paroi avec un couvercle herm tique Elle fonctionne 70 psig 70 livres par pouce carr pression mesur e pour obtenir 150 C Il n en r sulte pas d missions dans l atmosph re et la production d odeurs est minime La solution finale obtenue peut tre vacu e dan
158. es d placements et garantir la synchronisation des campagnes de vaccination La d l gation confirme que les animaux pr sents dans les exploitations qui sont situ es de part et d autre de la fronti re sont marqu s de fa on ad quate pour identifier la comp tence territoriale dont ils rel vent Conclusion Plus de 18 mois se sont coul s depuis l apparition du dernier cas de fi vre aphteuse au Paraguay Les donn es ont t pr sent es pour d montrer que le Paraguay dispose d un programme efficace d radication de la fi vre aphteuse reposant sur la vacciantion de masse des bovins Des enqu tes ont t r alis es qui n ont d tect aucune preuve de circulation virale Recommandation Le Groupe recommande la Commission scientifique que le Paraguay recouvre son statut de pays indemne de la fi vre aphteuse avec vaccination Questions diverses la demande du Bureau central le r cent foyer d au s rotype SAT2 apparu en Afrique du Sud a t voqu Lors du premier foyer survenu en juillet 2004 une partie de la zone reconnue par l OIE comme tant indemne a t red finie par les autorit s sud africaines dans le cadre d une mesure d urgence et int gr e dans la zone de contr le o des foyers ult rieurs ont t signal s Il a t fait mention de cette action dans des sections de rapports tablis par le pays sans notification sp cifique l OIE de son intention de modifier les limites
159. es de l Administration v t rinaire peuvent tre mentionn s et annex s Les points num r s ci apr s doivent tre trait s avec concision B 1 Coordination nationale et internationale ventuelle B 2 Contr le des importations dans la zone B 2 1 Politique et analyse des risques B 2 2 Gestion des risques inh rents aux animaux et aux produits ports fronti res nombre et localisation d chets nationaux et internationaux animaux mat riel g n tique semence et embryons produits d origine animale destin s la consommation humaine par exemple le lait et les produits carn s produits d origine animale non destin s la consommation humaine par exemple les aliments pour animaux de compagnie les cuirs et les peaux les m dicaments v t rinaires par exemple les produits biologiques B 2 3 S curit biologique des laboratoires et des installations de production et de tests B 3 Supervision par l Autorit v t rinaire Commission scientifique Janvier 2005 109 Annexe III suite 73 SG 12 CS3B AHG 5 Annexe III suite B 4 Emploi de vaccins contre la fi vre aphteuse B 4 1 Utilisation des vaccins B 4 2 Production des vaccins chapitre 2 1 1 du Manuel B 4 3 Contr le de la qualit des vaccins chapitre 2 1 1 du Manuel C ZONE DE SURVEILLANCE R sumer ici les mesures de pr vention de la fi vre aphteuse dans la zone de surveillance Les lois et r glements nationaux ainsi qu
160. es pr sent es et a sollicit des informations suppl mentaires Pour les deux zones les donn es compl mentaires visaient r futer la possibilit d une circulation virale permanente et pour la seule zone m ridionale le compl ment d information demand portait sur les infrastructures existantes pour le contr le de la fi vre aphteuse Structures de soutien Les informations compl mentaires fournies ont donn l assurance que les infrastructures v t rinaires pr sentes dans la zone m ridionale sont adapt es au contr le de la fi vre aphteuse compte tenu notamment de la faible densit d animaux d levage dans la r gion de l acc s uniquement routier et du syst me de production ferm Syst mes de surveillance de routine Ces donn es ont t examin es dans le cadre de l valuation pr c dente avec des r sultats satisfaisants Absence d infection ou de circulation virale Des actions suppl mentaires de surveillance active ont t men es pour d montrer l absence de circulation virale dans les exploitations dans lesquelles des animaux poss dant des anticorps anti NSP ont t d tect s lors de la premi re enqu te s rologique L tude s rologique visait examiner l hypoth se selon laquelle le nombre de pr l vements associ s des r sultats s rologiques positifs par exploitation dans la deuxi me enqu te n tait pas significativement sup rieur celui observ dans la premi re enqu
161. est similaire dans le monde entier exception ventuelle des pays recevant ou accueillant des oiseaux migrateurs sauvages o ce risque peut tre saisonni rement accru Cet aspect a galement t pris en compte dans le projet de lignes directrices pr sent l Annexe III Le Groupe a galement recommand que le Chapitre 2 1 14 du Manuel des tests de diagnostic et des vaccins pour les animaux terrestres le Manuel terrestre soit r vis afin de prendre en compte la validation des tests pour les esp ces autres que les poulets et d int grer les d couvertes r centes sur l influenza aviaire en se r f rant la HPNAT et la LPNAI Questions diverses a Le pr sident a fait circuler un document pr par sa demande sur application de la compartimentation et a demand aux membres du Groupe d adresser leurs commentaires au Bureau central de l OIE dans les 10 jours Il a demand que le Groupe d cide rapidement si la notion de compartimentation devait tre incluse dans les lignes directrices sur la surveillance relative 4 chaque maladie ou si ce concept devait tre pr sent dans un chapitre part du Code terrestre tant donn que la compartimentation repose en grande partie sur la bios curit que la plupart des mesures requises ne sont pas sp cifiques d une maladie particuli re et qu elles peuvent varier d un pays l autre le Groupe a estim qu il serait pr f rable de pr voir une section s p
162. eurs politiques et du public efficacit et disponibilit du mat riel pr paration technologies applicables ressources financi res partenariats pr tablis comp tences du personnel et des autres groupes int ress s par exemple ceux impliqu s dans le tourisme Facteurs de risque Il conviendra de consid rer les facteurs de risque li s aux transports inhalation des poussi res et la diss mination par l air des agents pathog nes aux mesures de bios curit aux risques pour la sant humaine a l inhalation aux zoonoses aux blessures des assistants et l impact sur l environnement a Facteurs sociaux li s l limination des carcasses Les questions telles que les croyances et les pr f rences traditionnelles la perception du public les aspects li s a la s curit les poursuites judiciaires possibles et les relations entre l leveur et ses animaux devront tre trait es Consid rations pratiques Toutes les questions li es au site d limination doivent tre r solues savoir disponibilit des donn es m t orologiques transports s lection du site quipements et v hicules 4 usage mixte pr paration logistique limination des produits autres que les carcasses fumier oeufs aliments du b tail lait fromage produits d origine non animale appr ciation du risque sur le site d limination utilisation d antiseptiques et d autres mesures de protection pour le personnel contr le des d pla
163. euvent galement aider cibler la surveillance afin d augmenter l efficacit et accro tre les chances d une d tection pr coce Dans le pass on a privil gi le d pistage s rologique de masse en tant que meilleure m thode de surveillance en raison de la main d oeuvre nombreuse qu exige la r alisation des examens cliniques anatomo pathologiques et virologiques ainsi que des possibilit s r duites de d tection du virus par rapport celle des anticorps Il ne faut cependant pas sous estimer la surveillance fond e sur l examen clinique et anatomopathologique et sur les tests virologiques Si elle est sp cifiquement cibl e sur les groupes haut risque cette surveillance offre des possibilit s de d tection pr coce susceptibles de r duire consid rablement la propagation ult rieure de la maladie Les troupeaux essentiellement compos s d animaux adultes tels que les noyaux de b tail et les animaux des centres d ins mination artificielle sont des groupes particuli rement utiles surveiller puisque l infection par des virus de faible virulence dans ces groupes peut tre cliniquement inapparente mais le degr de propagation peut tre important Si on examine un nombre suffisamment important d animaux sensibles sur le plan clinique le suivi clinique et virologique peut galement permettre la d tection rapide de la maladie avec un niveau de confiance lev En particulier les m thodes mol culaires de d
164. exes Commission scientifique Janvier 2005 71 73 SG 12 CS3B AHG 4 Annexe III suite Annexe I RAPPORT DE LA REUNION DU GROUPE AD HOC DE L OIE SUR LA PESTE PORCINE CLASSIQUE Paris 8 d cembre 2004 Ordre du jour 1 Code sanitaire pour les animaux terrestres chapitre 2 6 7 sur la peste porcine classique 2 Code sanitaire pour les animaux terrestres chapitre 1 3 6 sur l pid miosurveillance 3 R vision des nouvelles Lignes directrices propos es commentaires suppl mentaires 4 Manuel des tests de diagnotic et des vaccins pour les animaux terrestres chapitre 2 1 13 5 Amendement des Lignes directrices pour la surveillance de la peste porcine classique Commission scientifique Janvier 2005 73 73 SG 12 CS3B AHG 4 RAPPORT DE LA REUNION Annexe III suite Annexe IT DU GROUPE AD HOC DE L OIE SUR LA PESTE PORCINE CLASSIQUE MEMBRES Paris 8 d cembre 2004 Liste des participants Prof Vincenzo Caporale Pr sident Director Istituto Zooprofilattico Sperimentale dell Abruzzo e del Molise G Caporale Via Campo Boario 64100 Teramo ITALIE Tel 39 0861 33 22 33 Fax 39 0861 33 22 51 E mail caporale izs it Dr T W Drew Head of Mammalian Virology VLA Weybridge Woodham Lane New Haw Addlestone Surrey KT15 3NB ROYAUME UNI T l 44 1932 35 76 37 Fax 44 1932 35 72 39 E mail tw drew vla defra gsi gov uk tdrew vla gtnet gov uk Dr A Fukusho Director Depa
165. existence d un programme de surveillance active de la maladie et de l absence d infection par le virus de la peste porcine classique 82 Commission scientifique Janvier 2005 73 SG 12 CS3B AHG 4 Annexe III suite Annexe III suite Les populations vis es par ce programme de surveillance doivent inclure entre autres Les tablissements situ s dans la zone touch e par le foyer Les levages pr sentant des liens pid miologiques avec le foyer Les animaux utilis s pour le repeuplement des tablissements atteints et tout tablissement pratiquant l abattage contigu Les populations de porcs sauvages vivant dans la zone atteinte par le foyer Dans tous les cas un Pays Membre renouvelant sa demande de statut indemne de peste porcine classique pour tout ou partie de son territoire avec ou sans vaccination doit faire tat des r sultats d un programme de surveillance active et passive dans lequel la population porcine est soumise des examens cliniques anatomo pathologique virologiques et ou s rologiques r guliers pr vus et r alis s conform ment aux M thodes et conditions g n rales des pr sentes lignes directrices La surveillance doit tre effectu e sur un chantillon statistiquement significatif repr sentatif des populations 4 risque Pays ou zone indemnes de peste porcine classique chez les porcs sauvages Les m mes principes s appliquent mais la surveillance des porcs sauvages comporte des diffic
166. ftosa Caixa Postal 589 20001 970 Rio de Janeiro BRESIL T l 55 21 3661 9003 Fax 55 21 3661 9001 E mail ecorrea panaftosa ops oms org Dr David Mackay Head of Laboratory Institute for Animal Health Pirbright Laboratory Ash Road Pirbright Woking Surrey GU24 ONF ROYAUME UNI T l 44 1483 23 10 01 Fax 44 1483 23 10 42 E mail david mackay Obbsrc ac uk Dr Juan Lubroth Senior Officer Infectious Disease Group Animal Health Service Animal Production 4 Health Division Viale delle Terme di Caracalla 00100 Rome ITALIE T l 39 06 570 54184 Fax 39 06 570 53023 E mail juan lubroth fao org Dr Alejandro Schudel Chef du Service scientifique et technique E mail a schudel oie int Dr Dewan Sibartie Adjoint au Chef du Service scientifique et technique E mail d sibartie oie int 125 126 Commission scientifique Janvier 2005 Annexe III suite 73 SG 12 CS3B AHG 7 Original anglais novembre 2004 RAPPORT DE LA REUNION DU GROUPE AD HOC DE L OIE SUR LA TUBERCULOSE Paris 17 19 novembre 2004 Le Groupe ad hoc de l OIE sur la tuberculose s est r uni au si ge de l OIE Paris France du 17 au 19 novembre 2004 Le Docteur Alejandro Schudel Chef du Service scientifique et technique a accueilli les participants au nom du Directeur g n ral de l OIE et a expos l ordre du jour de la r union L ordre du jour et la liste des participants figurent dans
167. halopathies spongiformes transmissibles et qu une infectivit r siduelle subsiste apr s traitement Lignes directrices sur les prises de d cision en mati re d limination des carcasses Les strat gies d limination des carcasses exigent une pr paration qui doit intervenir bien avant que l urgence ne survienne afin de maximiser l efficacit de la r ponse Les principales questions li es l limination des carcasses peuvent concerner le nombre d animaux impliqu s les questions de bios curit lors du transfert des animaux contamin s et expos s le personnel le mat riel les questions environnementales ainsi que la d tresse psychologique et l anxi t extr mes des leveurs et des auxiliaires sanitaires qui interviennent dans l urgence L limination d un grand nombre de carcasses est on reuse Les co ts fixes et variables sont galement fonction de la m thode d limination retenue Toutes les m thodes utilis es entra nent des co ts indirects pour l environnement l conomie locale les producteurs et le secteur de l levage Les d cideurs doivent cerner l impact conomique des diff rentes technologies d limination Une hi rarchisation des options d limination risque d tre inop rante pour cerner et syst matiser totalement les dimensions importantes en jeu et les d cideurs sont parfois contraints d envisager les moyens les moins souhait s Il est par cons quent n cessaire d avoir une compr hen
168. hets et consulter les tats voisins Les conventions exposent un principe fondamental que tous les pays doivent respecter m me s ils n en sont pas signataires Les conventions internationales n interdisent pas directement l limination des carcasses en mer mais d finissent les conditions 4 remplir Le d versement est possible s il est techniquement et scientifiquement prouv que les mati res liminer ne sont pas nocives et si l tat concern a accord son autorisation officielle Recommandation Consid rant l importance de ces informations pour les Pays Membres qui pourraient envisager le d versement des carcasses en mer tel qu exprim lors de la r union de la Commission r gionale de l OIE Noum a le Groupe ad hoc sur l limination des carcasses demande instamment au Directeur g n ral de l OIE d envisager d adresser dans les meilleurs d lais tous les Pays Membres de l OIE les informations contenues dans le pr sent rapport sur l limination des carcasses en mer Commission scientifique Janvier 2005 73 SG 12 CS3B AHG 1 Annexe III suite 4 Lignes directrices g n rales sur l limination des carcasses Le Groupe a d cid de communiquer par voie lectronique et propose un projet d annexe contenant des Lignes directrices g n rales sur l limination des carcasses Le projet de lignes directrices est pr sent l Annexe IV Annexes Commission scientifique Janvier 2005 19 73 SG 12 CS3B
169. i 1 06126 Perugia ITALIE T l 39 075 34 32 38 Fax 39 075 34 32 90 E mail d rutili pg izs it Dr Bernard Vallat Directeur g n ral 12 rue de Prony 75017 Paris FRANCE T l 33 0 1 44 15 18 88 Fax 33 0 1 42 67 09 87 E mail oie oie int Commission scientifique Janvier 2005 Dr Alejandro Schudel Chef du Service scientifique et technique E mail a schudel oie int Dr Dewan Sibartie Adjoint du Chef de Service scientifique et technique E mail d sibartie oie int Dr Alejandro Thiermann Charg de mission C onseiller du Directeur g n ral E mail a thiermann oie int 75 73 SG 12 CS3B AHG 4 Annexe III suite Annexe III ANNEXE X X X _LIGNES DIRECTRICES POUR LA SURVEILLANCE REQUISE POUR ETAYER LA RECONNAISSANCE OU LE RECOUVREMENT DU STATUT DE PAYS OU DE ZONE INDEMNE DE PESTE PORCINE CLASSIQUE Article X X X 1 Introduction Le pr sent document d finit les principes et donne des orientations en mati re de surveillance de la peste porcine classique conform ment aux dispositions du chapitre 1 3 6 dans les pays qui demandent tre reconnus indemnes de peste porcine classique Cette demande peut concerner l ensemble du pays ou une zone situ e l int rieur de celui ci Des orientations sont galement donn es aux pays qui souhaitent recouvrer le statut indemne au regard de la peste porcine classique pour tout ou partie du territoire apr s l apparition d un foyer de
170. icacement que possible Risques professionnels les carcasses en d composition repr sentent rapidement un risque sanitaire pour les personnes qui doivent les manipuler lors de la proc dure d limination L limination doit tre organis e de mani re ce que les op rateurs soient prot g s contre les risques de manipulation d animaux morts d compos s Une attention toute particuli re doit n anmoins tre apport e aux aspects zoonotiques de certains agents pathog nes comme le virus de l influenza aviaire Les op rateurs doivent tre suffisamment bien prot g s contre les infections par un agent pathog ne zoonotique v tements de protection gants masque lunettes vaccination m dicaments antiviraux examens m dicaux r guliers Inactivation de l agent pathog ne la proc dure d limination choisie doit assurer une s curit optimale quant l inactivation de l agent pathog ne Si cet objectif n est pas r alisable instantan ment il est imp ratif de bloquer la diss mination de l agent pathog ne autour du site des op rations Les restrictions portant sur les produits ou les sites ne doivent tre lev es que sur la base d informations scientifiques concernant la r duction de l agent pathog ne dans le temps avec les diff rentes technologies dans les conditions climatiques pr visibles Impact sur l environnement les diff rentes technologies d limination des carcasses ont un effet direct sur l environnement
171. ident du Groupe ad hoc L ordre du jour la liste des participants et la mission du Groupe ad hoc figurent respectivement dans les Annexes I II et m Le pr sident a pr sent la proc dure de travail pr vue pour la r union en indiquant que le Groupe avait essentiellement pour mission d laborer des lignes directrices sur l limination des carcasses venant l appui des mesures sanitaires Il a soulign que les alternatives l abattage de masse des animaux et les questions li es la protection animale et l abattage dans des conditions d centes avaient d j t trait es par d autres groupes ad hoc et ne seraient par cons quent pas rediscut es Il a propos que le Groupe tente d identifier les lignes directrices essentielles qu il convient de pr parer pour l annexe destin e au Code terrestre et qu il s y r f re pour les discussions ult rieures La mission figurant l Annexe III a t discut e et accept e par les participants Commission scientifique Janvier 2005 15 Annexe III suite 73 SG 12 CS3B AHG 1 16 Plan propos pour l annexe du Code terrestre consacr e a l limination des carcasses Sur la base des recommandations du Groupe ad hoc pr c dent des articles publi s et de la documentation disponible sur cette question il a t d cid d tablir un plan pour l annexe propos et de r partir le travail de r daction des diff rentes sous sections entre les membres du groupe Il a t convenu q
172. iel a schudel oie int Commission scientifique Janvier 2005 Docteur Dewan Sibartie Adjoint au chef du Service scientifique et technique Courriel d sibartie oie int Monsieur Boris Stoykov Courriel b stoykov oie int 23 73 SG 12 CS3B AHG 1 Annexe III suite Annexe III MISSION Objectif Elaborer une annexe pour la section 3 6 du Code sanitaire de l OIE pour les animaux terrestres le Code terrestre sur l limination des animaux et des carcasses animales M thode e D finir les concepts d limination des animaux et des carcasses e D finir le champ cadre d application des lignes directrices de l OIE proc dure de routine ou limination apr s survenue d un foyer e Identifier les diff rentes circonstances exigeant l limination des animaux et des carcasses e Identifier les facteurs de risques li s l limination des carcasses e Identifier les liens entre l limination des animaux carcasses et la protection des animaux de l environnement et de la sant humaine e Identifier les parties concern es et les obligations l gales impliqu es dans l limination des animaux et des carcasses e Identifier l approche suivre pour les lignes directrices lignes g n rales ou sp cifiques des proc d s ou des maladies e Elaborer un arbre de d cision pour l limination des animaux et des carcasses e R diger un projet de chapitre destin au Code terrestre qui sera soumis la Commission scien
173. important Si on examine un nombre suffisamment important d animaux sensibles sur le plan clinique le suivi clinique et virologique peut galement permettre la d tection rapide de la maladie avec un niveau de confiance lev En particulier les m thodes mol culaires de d tection offrent de plus en plus de possibilit s de d pistage grande chelle du virus pour un co t raisonnable Les porcs sauvages et en particulier ceux qui vivent en totale libert offrent rarement l occasion d une observation clinique mais ils devraient faire partie int grante de tout programme de surveillance et dans l id al il faudrait les suivre pour rechercher la pr sence du virus ainsi que des anticorps La pr paration des vaccins et les m thodes employ es pour le diagnostic en particulier les m thodes de d tection des virus reposent de plus en plus sur les connaissances actualis es portant sur les caract ristiques mol culaires antig niques et d autres traits biologiques des virus actuellement en circulation et responsables de maladies En outre la connaissance pid miologique des voies de propagation du virus de la peste porcine classique peut tre consid rablement am lior e par l analyse mol culaire des virus pr sents dans les zones end miques ou des virus responsables de foyers dans des zones indemnes Par cons quent il est essentiel que des souches de virus de la peste porcine classique soient r guli rement adress es
174. ination 2 2 Demande de reconnaissance du statut de pays indemne de fi vre aphteuse sans vaccination de la Communaut d Etats Serbie et Mont n gro Une demande manant de la Serbie et Mont n gro avait t examin e a la r union du Groupe ad hoc en mars 2004 Dans la mesure o celui ci n avait pu recommander la reconnaissance de ce statut le Bureau central de T OIE avait adress une demande d informations compl mentaires sur quatre domaines particuliers Structures de soutien Le nouveau dossier ne fournit toujours pas suffisamment de renseignements sur les interactions entre les services v t rinaires de la Communaut d Etats et ceux de la Serbie et du Mont n gro en mati re de prophylaxie des foyers de fi vre aphteuse Syst mes de surveillance de routine Aucune information n a t obtenue sur la mise en charge r cente dans un but d valuation de ses performances du dispositif de surveillance et d tude de cas suspects de maladie v siculeuse que ce soit par l organisation d exercices ou l examen des cas suspects qui se seraient ensuite r v l s n gatifs pour la fi vre aphteuse Aucun rapport ne fait tat d une surveillance al atoire ou cibl e depuis l enqu te organis e apr s l pizootie de 1997 Absence d infection ou de circulation virale Un compl ment d informations a t fourni sur les mesures prophylactiques et de surveillance adopt es apr s apparition
175. ion le protocole de surveillance doit pr voir des investigations sur chacun des cas observ s Le regroupement des levages positifs a toujours une signification pid miologique et doit donc tre analys Si la vaccination ne peut tre exclue comme cause de positivit d une r action s rologique il convient de recourir a des m thodes de diagnostic permettant de distinguer les anticorps d origine infectieuse et d origine vaccinale Les r sultats des recherches s rologiques al atoires ou sp cifiques constituent une preuve fiable de l absence d infection par le virus de la NAI dans un pays une zone ou un compartiment Il est donc essentiel que ces recherches soient rigoureusement tay es Surveillance virologique et s rologique dans les populations vaccin es La strat gie de surveillance d pend du type de vaccin utilis La protection contre l influenza aviaire est sp cifique du sous type d h magglutinine Il existe deux grandes strat gies de vaccination 1 avec un vaccin pr par partir de virus inactiv s entiers et 2 avec un vaccin reposant sur l expression de l h magglutinine Pour les populations vaccin es la strat gie de surveillance doit reposer sur des m thodes virologiques et ou s rologiques et sur la surveillance clinique Des oiseaux sentinelles peuvent tre utilis s cette fin Ils ne doivent pas tre vaccin s ne pas tre porteurs d anticorps dirig s contre le virus de l influen
176. ion du Groupe ad hoc de POTE pour l valuation du statut des pays au regard de la fievre aphteuse 10 13 janvier 2005 3 Evaluation du statut des pays au regard de la p ripneumonie contagieuse bovine dossier soumis par la Suisse 4 Rapport de la r union du Groupe ad hoc de POIE sur la notification des maladies agents pathog nes figurant sur un nouvelle liste OIE des maladies 3 5 novembre 2004 5 Document produit par le Docteur Michel P pin sur l infection par le virus Maedi visna chez les ovins 6 Rapports des Laboratoires de r f rence de l OIE pour la fi vre aphteuse 7 R union conjointe avec la Commission des normes sanitaires pour les animaux terrestres de OIE 8 Questions diverses a valuation du statut des pays au regard de l enc phalopathie spongiforme bovine et de la p ripneumonie contagieuse bovine b Courrier adress par la Commission europ enne de lutte contre la fi vre aphteuse EUFMD concernant la surveillance de la maladie apr s une vaccination d urgence c Courrier en provenance du Paraguay concernant la m thode de Frenkel appliqu e la production des vaccins antiaphteux Commission scientifique Janvier 2005 9 Appendix I contd d Courrier du Docteur Klaas Johan Osinga concernant la vaccination et la s curit sanitaire des viandes et des produits laitiers e Revision de quelques d finitions de l OIE f Courrier en provenance de Taiwan sur les normes de surveillance de l influen
177. ion par le virus de la peste porcine classique pour une zone r gion sp cifique situ e l int rieur de son territoire la conception de la strat gie de surveillance et la base de la proc dure de pr l vement doivent viser la population se trouvant l int rieur de la zone r gion Dans le cadre de recherches al atoires la strat gie de pr l vement devra prendre en compte la pr valence escompt e en fonction de la situation pid miologique L chantillon s lectionn pour effectuer les examens devra tre d une taille suffisante pour d tecter l infection si elle appara t une fr quence minimum pr d termin e La taille de I chantillon et la pr valence escompt e de la maladie d terminent le niveau de confiance des r sultats de la surveillance Le pays doit justifier le choix de la pr valence escompt e et du niveau de confiance en fonction des objectifs de la surveillance et de la situation pid miologique conform ment au chapitre 1 3 6 Il est clair que le choix de la pr valence estim e doit d pendre de la situation pid miologique actuelle et pass e Ind pendamment du protocole d tude choisi la sensibilit et la sp cificit des preuves de diagnostic employ es sont des l ments essentiels de la conception la d termination de la taille de l chantillon et l interpr tation des r sultats obtenus En principe la sensibilit et la sp cificit des tests doivent tre valid es en fonctio
178. ionaux ainsi que les directives de l Administration v t rinaire peuvent tre mentionn s et annex s Les points num r s ci apr s doivent tre trait s avec concision C 1 Diagnostic C 1 1 Diagnostic clinique proc dures de notification et d enqu tes donn es r centes C 1 2 Diagnostic de laboratoire proc dures nombre d chantillons trait s et r sultats C 2 Surveillance s rologique C 3 Donn es d mographiques et conomiques sur le cheptel C 4 Abattoirs et march s C 5 Supervision par l Autorit v t rinaire Commission scientifique Janvier 2005 111 Annexe III suite Annexe III suite 11 3 PARTIE CONSACREE A L ERADICATION DE LA 73 SG 12 CS3B AHG 5 FIEVRE APHTEUSE D crire sur une page environ comment la fi vre aphteuse a t limin e de la zone indemne Les lois et r glements nationaux ainsi que les directives de l Administration v t rinaire peuvent tre mentionn s et annex s Les points num r s ci apr s doivent tre trait s avec concision 1 112 Historique description pid miologique des v nements Commission scientifique Janvier 2005 73 SG 12 CS3B AHG 5 Annexe III suite Annexe III suite 11 4 PARTIE CONSACREE AU SECTEUR DE L LEVAGE ET AU SYSTEME V T RINAIRE Cette section doit contenir toute information suppl mentaire qui vous semble utile pour compl ter le rapport Des annexes peuvent tre mentionn es et incluses s il y a lieu
179. ions stipul es dans le Chapitre 2 2 10 du pr sent Code terrestre Les demandes de reconnaissance adress es l OIE doivent tre pr sent es en suivant le Questionnaire sur la fi vre aphteuse disponible aupr s du Bureau central de l OIE et il doit tre r pondu toutes les questions pos es dans ce texte La fi vre aphteuse a des r percussions et une pid miologie tr s variables selon les r gions du monde et il est donc impossible de proposer des lignes directrices sp cifiques applicables toutes les situations potentielles Il est clair que les strat gies de surveillance employ es pour d montrer l absence de fi vre aphteuse avec un niveau de confiance acceptable devront tre adapt es la situation locale Ainsi la strat gie n cessaire pour prouver l absence de fi vre aphteuse apr s la survenue d un foyer d une souche tropisme porcin est radicalement diff rente de celle visant d montrer ce statut dans un pays ou une zone o les buffles d Afrique Syncerus caffer constituent un r servoir possible d infection Il incombe au pays demandeur de pr senter l OIE un dossier d crivant non seulement l pid miologie de la fi vre aphteuse dans la r gion concern e mais aussi les modalit s de prise en compte de tous les facteurs de risque avec des justifications scientifiquement tay es Les Pays Membres disposent par cons quent d une grande latitude pour pr senter des donn es correctement
180. ire r aliser des investigations La chute de la consommation de nourriture ou de la production d ufs est en effet parfois le seul indicateur de certaines infections par le LPNAI La surveillance clinique et les examens de laboratoire devraient toujours tre appliqu s en s rie pour clarifier les cas suspects d tect s par l une ou l autre de ces approches compl mentaires Les tests biologiques peuvent en effet confirmer une suspicion clinique et la surveillance clinique peut contribuer confirmer une s rologie positive Toute unit d chantillonnage dans laquelle des animaux suspects ont t d tect s doit tre consid r e comme infect e jusqu preuve du contraire L identification des levages suspects est fondamentale pour identifier les sources virales et d terminer les caract ristiques mol culaires et antig niques ainsi que les autres caract res biologiques du virus Il est essentiel que les souches du virus de la NAI soient r guli rement adress es au Laboratoire r gional de r f rence en vue de leur caract risation g n tique et antig nique Surveillance virologique La surveillance virologique vise d tecter le virus l un de ses antig nes ou son g nome l aide des tests d crits dans le Manuel terrestre La surveillance virologique a pour objectif de surveiller les populations 4 risque de confirmer les cas cliniques suspects de suivre les r sultats s rologiques positifs
181. it Docteur Maria Pittman Autorit europ enne de s curit des aliments EFSA Rue de Gen ve 10 6 floor 1140 Evere Bruxelles BELGIQUE T l 00 32 2 337 2 262 Fax 00 32 2 726 68 13 AUTRES PARTICIPANTS Docteur David Swayne Laboratory Director Southeast Poultry Research Laboratory USDA ARS 934 College Station Road Athens Georgia 30605 ETATS UNIS D AMERIQUE T l 1 706 546 3433 Fax 1 706 546 3161 Email dswayne seprl usda gov Docteur Cristobal Zepeda Sein USDA APHIS VS CEAH Centers for Epidemiology amp Animal Health OIE Collaborating Center for Animal Disease Surveillance Systems amp Risk Analysis 2150 Centre Ave Building B Fort Collins CO 80526 8117 ETATS UNIS D AMERIQUE T l 970 494 7294 Fax 970 472 2668 Courriel cristobal zepeda aphis usda gov Docteur Michael L Perdue Research Leader Environmental Microbial Safety Lab ARS USDA Bldg 173 BARC East 10300 Baltimore Avenue Beltsville MD 20705 TATS UNIS D AMERIQUE T l 301 504 5607 Courriel mperdue anri barc usda gov Docteur Robert G Webster Dir WHO Collaborating Centre Virology Division Department of Infectious Disease St Jude Children s Research Hospital 332 North Lauderdale St _ Memphis TN 38105 2794 ETATS UNIS D AMERIQUE T l 1 901 495 3400 Fax 1 901 523 2622 Courriel robert webster stiude org Docteur Alice Croisier Porgramme mondial OMS de lutte contre la grippe WHO
182. ition r elle de la PPCB en Zambie et r aliser une analyse conomique strat gique et institutionnelle d taill e des probl mes que pose le processus dynamique de lutte contre la PPCB en Zambie afin de jeter les bases d un plan plus long terme de contr le et d radication de la PPCB e qu une consultation r gionale soit organis e par l OIE la FAO et la SADC afin de d finir un plan d action long terme pour l radication de la PPCB dans la sous r gion ainsi que les moyens permettant d obtenir le soutien de donateurs pour cette activit Commission scientifique Janvier 2005 163 Annexe V suite 164 Commission scientifique Janvier 2005 O Organisation Mondiale de la Sant Animale OIE 2005 Le pr sent document a t pr par par des sp cialistes r unis par 1 OI Des extraits peuvent tre copi s reproduits traduits adapt s ou pu communication lectronique et tout autre support destin au public condition que l OIE ait pr alablement donn son accord crit E En attendant son adoption par le Comit international de OIE les points de vue qui y sont exprim s traduisent exclusivement l opinion de ces sp cialistes Toutes les publications de l OIE Organisation mondiale de la sant animale sont prot g es par la l gislation sur le droit d auteur bli s dans des revues documents ouvrages moyens de des fins d information p dagogiques ou commerciales Les
183. la suite des recommandations de la 23 Conf rence de la Commission r gionale de l OIE pour l Asie Extr me Orient et l Oc anie qui s est tenue Noum a Nouvelle Cal donie du 25 au 28 novembre 2003 En r ponse une question concernant l limination des carcasses animales en mer soulev e la r union de la Commission r gionale le Groupe ad hoc sur l limination des carcasses propose l interpr tation suivantes Deux conventions internationales concernent la pollution marine par l limination des d chets savoir la Convention de Londres 1972 et la Convention de Montego Bay 1982 Cette derni re est particuli rement importante car il s agit d une Convention des Nations unies consid r e comme une constitution pour les oc ans Il n existe pas de lois maritimes internationales traitant sp cifiquement de la question de l limination des carcasses animales en mer apr s des op rations d abattage sanitaire au cours de l radication d une pizootie Les conventions se r f rent la pollution r sultant du d versement des d chets en mer le probl me tant de savoir si les carcasses sont consid r es comme des polluants La pollution de l environnement marin est d finie comme l introduction directe ou indirecte par l homme de substances ou d l ments g n rant de l nergie dans l environnement marin y compris dans les estuaires entra nant ou pouvant entra ner des effets n fastes entre autres pour les res
184. le et les accords avec les tablissements d quarrissage doivent tre tablis sous forme de contrats cadres permanents Il faut pr voir la possibilit d obtenir du mat riel suppl mentaire des installations de conservation temporaires des v hicules de transport y compris pour les transferts sur l exploitation et avoir des chauffeurs disposition il faut galement pr parer les op rations de d sinfection et disposer d installations mobiles pour manipuler les animaux cages de contention par exemple de mat riel de protection de mat riel jetable et du support logistique n cessaire Les proc dures d obtention du mat riel n cessaire doivent tre simplifi es et des autorisations sp ciales doivent tre d livr es pour l op ration afin de r duire au minimum les d lais d obtention ou de remplacement de l quipement voulu En mati re d quipement il faut galement pr voir le combustible n cessaire pour l incin ration des carcasses ciel ouvert Dans certains pays le bois serait encore disponible en quantit s suffisantes mais son utilisation est soumise une l gislation sur l environnement Les vieux pneus de v hicules repr sentent une alternative peu on reuse et facilement accessible mais risquent d tre polluants et ne doivent tre utilis s que sous couvert de la l gislation locale ou nationale applicable L identification pr alable des sources de combustible pour l incin ration est par cons
185. les toutes les situations Il est vident que les strat gies de surveillance employ es pour d montrer l absence de peste porcine classique un niveau de confiance acceptable devront tre adapt es la situation locale Par exemple l approche doit tre adapt e afin de prouver l absence de peste porcine classique dans un pays ou une zone o les porcs sauvages constituent un r servoir potentiel de l infection o l on peut recourir la compartimentalisation ou bien dans un pays ou une zone adjacent un pays o la maladie est pr sente Il incombe au pays d crire non seulement I pid miologie de la peste porcine classique dans la r gion concern e mais aussi les modalit s de la prise en compte de tous les facteurs de risque Des l ments justificatifs scientifiquement tay s doivent galement y tre pr sent s Par cons quent les Pays Membres disposent d une marge de man uvre pour pr senter des donn es bien argument es visant prouver que l absence d infection par le virus de la peste porcine classique est assur e avec un niveau de confiance acceptable La surveillance de la peste porcine classique doit s inscrire dans le cadre d un programme permanent visant tablir l absence d infection par le virus de la peste porcine classique dans l ensemble du pays ou dans la zone ou le compartiment situ e l int rieur de celui ci ayant fait une demande de reconnaissance de statut Il convient
186. liquer pour garantir la s curit biologique de ses importations d origine animale certains Pays Membres ont encore des difficult s concernant les applications de ce concept Il a soulign que l importance relative de l appr ciation du risque dans le cas de la peste porcine classique doit tre replac e dans sa juste perspective puisque la plupart des facteurs de risque en mati re de peste porcine classique sont d ja bien connus par cons quent il pourrait ne pas tre n cessaire que les Pays Membres proc dent a une valuation obligatoire des risques Il a invit le Groupe 4 traiter cette question de m me que toute autre possibilit d am liorer le chapitre du Code sanitaire pour les animaux terrestres Code terrestre consacr la peste porcine classique concernant notamment les changes de marchandises quel que soit le statut d un pays au regard de la maladie Il a galement conseill au Groupe d envisager l int gration du concept de compartimentation dans les lignes directrices relatives la surveillance et d examiner l utilisation possible des nouveaux vaccins contre la peste porcine classique Conform ment la pratique classique en vertu de laquelle les Groupes ad hoc qui fonctionnent sous les auspices de la Commission scientifique sont g n ralement pr sid s par un membre de cette Commission la r union a t pr sid e par le Professeur Vincenzo Caporale Pr sident de la Commission scientifique de l
187. lit de la zone est soumise une surveillance sanitaire Les bovins infect s et un nombre limit de bovins en contact avec ces animaux sont envoy s l abattage dans des abattoirs locaux Aucune vaccination n a encore t pratiqu e dans la zone m ridionale Livingstone qui jouxte le Zimbabwe et les donn es sur la surveillance ont souvent fait d faut Le d l gu de Zambie a indiqu que le vaccin serait n cessaire pour environ 150 000 bovins dans le sud ouest et qu il faudrait galement pr voir trois mois plus tard une vaccination de rappel pour la population bovine expos e Apr s examen et valuation des informations communiqu es par les d l gu s les membres de la r union ont estim l unanimit qu il tait urgent que la situation sanitaire en Zambie soit d finie et d crite en d tail pour permettre de prendre une d cision clair e sur la suite donner Il a galement t consid r comme capital que la Zambie mobilise de toute urgence les moyens logistiques et autres formes de soutien pour commencer le plus t t possible la vaccination des bovins dans le sud Livingstone proximit du Zimbabwe de la Namibia et du Botswana 162 Commission scientifique Janvier 2005 Annexe V suite R solutions prises pour lutter contre la maladie dans la r gion CONSID RANT e les cons quences graves que pourrait avoir la propagation non ma tris e de la maladie de la Zambie vers les pays voisins e les
188. llance Les principes appliqu s la surveillance de la maladie ou de l infection sont bien d finis d un point de vue technique La conception des programmes de surveillance visant prouver l absence d infection par le virus de la peste porcine classique doit tre scrupuleusement respect e pour viter de produire des r sultats soit d une fiabilit insuffisante pour tre accept s par l OIE ou par les partenaires commerciaux internationaux soit trop co teux et compliqu s d un point de vue logistique Par cons quent la conception des programmes de surveillance n cessite la participation de professionnels comp tents et exp riment s dans ce domaine La population soumise une surveillance visant identifier la maladie ou l infection doit tre constitu e des populations de porcs domestiques et sauvages se trouvant l int rieur du pays ou de la zone devant tre reconnu e indemne de l infection Cette surveillance peut englober des tests r alis s sur des chantillons soumis dans d autres buts mais une strat gie plus efficace et plus rentable consiste int grer une surveillance cibl e En fonction de la situation pid miologique locale une surveillance cibl e peut tre consid r e comme plus efficace qu une strat gie de surveillance al atoire La surveillance vise la population porcine expos e au plus haut risque d infection par exemple les levages nourris avec des eaux grasses les porcs le
189. mme ceux qui se trouvent proximit des pays ou zones infect s sujets proches d une r serve de gibier comprenant des animaux sauvages contamin s par exemple Un syst me de surveillance efficace identifiera p riodiquement les cas suspects qui exigent un suivi et des examens pour confirmer ou r futer que la maladie est due au virus aphteux La fr quence potentielle d apparition des cas suspects d pend de la situation pid miologique et ne peut donc tre pr dite avec certitude Les demandes de reconnaissance de l absence d infection par la fi vre aphteuse ou de circulation du virus doivent contenir des informations d taill es sur l apparition des cas suspects sur les examens pratiqu s et sur les modalit s de prise en charge Ces donn es doivent inclure les r sultats des analyses de laboratoire et les mesures appliqu es aux animaux concern s pendant les investigations quarantaine interdiction de transport etc Pendant la p riode d investigation sur les foyers suspects il convient de prendre des mesures visant confiner infection son site d apparition jusqu ce que le diagnostic soit confirm ou r fut en appliquant par exemple des mesures de quarantaine Les pr sentes lignes directrices ne pr cisent pas la nature des dispositions prendre dans ces situations Strat gies de surveillance La population cible d une surveillance visant identifier la maladie ou l infection doit tre constitu
190. n de ces cat gories d oiseaux Les lignes directrices pour la surveillance sont labor es sous couvert de cette d finition L impact et l pid miologie de la NAI diff rent largement selon les r gions du monde et il est par cons quent impossible de fournir des lignes sp cifiques pour toutes les situations potentielles Il est clair que les strat gies de surveillance employ es pour d montrer l absence de NAI avec un niveau de confiance acceptable devront tre adapt es la situation locale Les variables telles que la fr quence des contacts entre les volailles et les oiseaux sauvages les diff rents niveaux de bios curit les syst mes de production ou le regroupement de diff rentes esp ces sensibles y compris des oiseaux d eau domestiques requi rent des strat gies de surveillance sp cifiques en fonction de chaque situation particuli re Il incombe au pays demandeur de fournir des donn es scientifiques expliquant l pid miologie de la NAI dans la r gion concern e et d montrant la mani re dont tous les facteurs de risque sont pris en charge Les Pays Membres disposent par cons quent d une tr s grande latitude pour fournir une argumentation bien tay e prouvant que absence d infection par le virus de la NAI est garantie avec un niveau de confiance acceptable La surveillance de la NAI doit prendre la forme d un programme permanent destin tablir que tout ou partie du territoire correspondant la d
191. n de volailles sensibles Il n est donc pas possible d tre prescriptif en la mati re Le vaccin doit galement tre conforme aux dispositions pr vues dans le Manuel terrestre sur les vaccins contre la NAI Compte tenu de l pid miologie de la NAI dans le pays la zone ou le compartiment il peut tre d cid de ne vacciner que certaines esp ces ou certains sous groupes de la population de volailles sensibles Dans tous les levages vaccin s il est n cessaire de pratiquer des tests virologiques et s rologiques pour assurer absence de circulation virale L utilisation d animaux sentinelles peut permettre d am liorer le niveau de confiance cet gard Les tests doivent tre r p t s au moins tous les 6 mois ou plus fr quemment en fonction du risque existant dans le pays la zone ou le compartiment La preuve de l efficacit du programme de vaccination doit galement tre fournie Article 3 x x 4 Demande de recouvrement du statut indemne de NAI ou de HPNAI pour un pays une zone ou un compartiment apr s la survenue d un foyer Outre les conditions g n rales d crites au Chapitre 2 7 12 du pr sent Code terrestre un Pays Membre demandant a recouvrer son statut indemne d infection par le virus de la NAI ou de la HPNAI pour l ensemble de son territoire ou pour une zone ou un compartiment donn e doit justifier de l existence d un programme de surveillance active d montrant l absence d infecti
192. n des ant c dents de vaccination d infection et de la classe de production laquelle appartiennent les animaux dans la population cible Quel que soit le syst me de d pistage utilis la conception du syst me de surveillance doit pr voir l apparition de faux positifs Cela vaut en particulier pour le diagnostic s rologique de la peste porcine classique en raison de l existence bien tablie d une r activit crois e avec les pestivirus des ruminants Il doit exister une proc dure efficace pour le suivi des r sultats positifs permettant d tablir avec un niveau de confiance lev s ils r v lent la pr sence d une infection par le virus de la peste porcine classique Ce suivi doit comprendre des tests de confirmation et des tests permettant de faire le diagnostic diff rentiel avec les pestivirus de m me que des tudes plus approfondies concernant l unit de pr l vement originale et les animaux pr sentant des liens pid miologiques possibles avec un foyer de peste porcine classique Surveillance clinique et virologique La surveillance clinique et virologique de la peste porcine classique outre son r le dans la surveillance cibl e vise deux objectifs a raccourcir le laps de temps qui s coule entre l introduction du virus de la peste porcine classique dans un pays ou une zone indemne et sa d tection et b confirmer qu aucun foyer n est pass inaper u La d tection de signes cliniques de la pes
193. n mise en place autour de l exploitation contamin e et l enqu te al atoire destin e valider l absence de maladie dans la zone propos e ont t con ues et ex cut es de mani re ad quate Les membres du Groupe se sont interrog s sur la validit des crit res qui avaient conduit au choix d une pr valence intra levage de 10 20 selon la strate chantillonn e La perte de sensibilit imputable l utilisation de valeurs relativement lev es de pr valence intra levage a toutefois t compens e par le choix d une faible pr valence inter levage 1 avec un niveau de confiance de 95 Une pr valence plus lev e 0 5 a t constat e chez les animaux r action positive de la r gion frontali re par rapport ceux des autres r gions environ 0 1 Ult rieurement toutes les r actions positives avaient produit des r sultats n gatifs Le Docteur Funes a assur aux membres du Groupe que le niveau plus lev de r activit n tait pas statistiquement significatif et qu aucune grappe d animaux r action positive n avait t observ e que ce soit au sein des levages ou des zones g ographiques Il serait utile de disposer d informations sur les contr les effectu s dans les exploitations situ es de part et d autre des fronti res septentrionales avec le Paraguay et la Bolivie afin d appr cier les risques inh rents au transfert de l infection travers la fronti re Le Do
194. n si elle s av re n cessaire Une communication claire sur la proc dure 4 suivre aidera 4 obtenir le soutien du public Actions pr alables la survenue d un foyer La d cision de recourir une destruction et une limination de masse des animaux dans l hypoth se d un foyer majeur de maladie ou 4 une limination massive des animaux en cas de catastrophe naturelle inondation par exemple doit souvent tre prise dans des d lais tr s brefs et les op ration d ex cution doivent aussi se mettre en place sans d lai Le succ s ou l chec est cependant d termin avant tout par les structures les politiques et l infrastructure qui ont t tablies et arr t es bien avant un tel v nement dans le cadre des plans d urgence Les relations de travail et les responsabilit s issues de la phase de pr paration engag e avec d autres structures ont galement une grande importance e Pr paration technique cette phase implique une proc dure de d cision pr d termin e nonc e dans un document la formation du personnel aux aspects techniques des options applicables et la r daction d un manuel d instructions proc dures op ratoires standard par exemple pour les op rations d limination La sensibilit et l attention du public l gard du proc d d limination exigent la pr sence sur site d un responsable officiel form et comp tent connaissant bien les proc dures impliqu es par les technologies choisies e Pr p
195. naire Mesures appliqu es en cas d apparition d un foyer 6 1 Politique plans d urgence et d intervention y compris les dispositions pr vues pour la vaccination d urgence dispositions financi res 6 2 Utilisation des ressources humaines et mat rielles 6 3 Etudes pid miologiques origine diffusion Conclusion Commission scientifique Janvier 2005 73 SG 12 CS3B AHG 5 Annexe III suite Annexe III suite ZONE INDEMNE DE FIEVRE APHTEUSE SANS VACCINATION I RESUME DU RAPPORT Rapport pr senter par les pays indemnes de fi vre aphteuse et ne pratiquant pas la vaccination ou encore partiellement infect s et souhaitant qu une partie de leur territoire soit reconnue comme une zone indemne de fi vre aphteuse sans vaccination conform ment au chapitre 2 2 10 du Code sanitaire pour les animaux terrestres 1 Notification r guli re et imm diate des maladies animales D crire ici le syst me national appliqu et indiquer les instances internationales auxquelles les maladies sont d clar es 2 a Absence de foyer de fi vre aphteuse dans le pays au cours des 12 derniers mois Indiquer la date du dernier pisode et se reporter la partie consacr e l radication de la fi vre aphteuse 2 b Absence de toute preuve d infection par le virus de la fi vre aphteuse au cours des 12 derniers mois 2 c Absence de vaccination contre la fi vre aphteuse au cours des 12 derniers mois Indiquer si la
196. naissance tay e de la pathogen se de la maladie et les effets d montr s des processus industriels sur la survie de l agent causal L examen des publications r centes sur la peste porcine classique pr sent par le Groupe a confirm que le virus de la peste porcine classique est facilement tu dans la viande et les produits carn s chauff s ou cuits la temp rature de base de 65 C pendant 30 minutes ou de 71 C pendant 1 minute Le Groupe a sugg r que le chapitre du Code terrestre sur la peste porcine classique suive le mod le du chapitre sur I ESB en int grant un article reconnaissant ces faits et la s curit du commerce des marchandises ayant subi ce traitement quel que soit le statut au regard de la peste porcine classique de leur pays d origine Compartimentation La compartimentation est pr conis e dans d autres chapitres du Code terrestre en tant qu outil ou mesure suppl mentaire d att nuation du risque de transmission des maladies Le Groupe a propos l introduction parall le du concept de compartimentation dans le chapitre sur la peste porcine classique par souci de coh rence avec d autres chapitres en termes d int gration de cette mesure potentiellement applicable Toutefois en attendant la d cision relative sa recommandation le Groupe a supprim les r f rences la compartimentation qui avaient t introduites dans les Lignes directrices lors de la r union de septembre valuation des
197. nation terre disponible pour recouvrir le site drainage des eaux vents dominants facilit d acc s pour les v hicules de transport disponibilit des donn es m t orologiques situation par rapport aux sites publics sensibles Choix des sous traitants pour le transport disponibilit capacit r pondre tous les besoins emploi exclusif des v hicules ou usage mixte avec risque de transmission de la maladie acc s aux routes existantes ad quation aux besoins Pr paration logistique la technologie adapt disponibilit du mat riel d incin ration bois vieux pneus disponibilit de manutentionnaires en nombre suffisant sites et disponibilit de tentes de d sinfection pour le personnel conservation et limination des v tements de protection h bergement des op rateurs pour leur viter de rentrer chez eux et de diss miner l infection locaux pour le contr le des entr es et des sorties lectricit pour les op rations nocturnes installations destin es au personnel toilettes eau potable r seau de t l phonie mobile protection du personnel vaccination capacit s des unit s d quarrissage chambres froides suppl mentaires et locaux de conservation dans les usines d quarrissage et les abattoirs existence d installations de cong lation avant l quarrissage Proc dures et politiques d limination des autres produits fumier oeufs lait produits d origine non animale aliments du b tail
198. nce de la fi vre aphteuse dans la zone indemne Les lois et r glements nationaux ainsi que les directives de l Administration v t rinaire peuvent tre mentionn s et annex s Les points num r s ci apr s doivent tre trait s avec concision A 1 Diagnostic A 1 1 Diagnostic clinique proc dures de notification et d enqu tes donn es r centes A 1 2 Diagnostic de laboratoire proc dures nombre d chantillons trait s et r sultats A 2 Surveillance s rologique A 3 Donn es d mographiques et conomiques sur le cheptel A 4 Abattoirs et march s A 5 Supervision par l Autorit v t rinaire B ZONE TAMPON R sumer ici les mesures de surveillance de la fi vre aphteuse dans la zone tampon Les lois et r glements nationaux ainsi que les directives de l Administration v t rinaire peuvent tre mentionn s et annex s Les points num r s ci apr s doivent tre trait s avec concision B 1 Diagnostic B 1 1 Diagnostic clinique proc dures de notification et d enqu tes donn es r centes B 1 2 Diagnostic de laboratoire proc dures nombre d chantillons trait s et r sultats B 2 Surveillance s rologique B 3 Donn es d mographiques et conomiques sur le cheptel B 4 Abattoirs et march s B 5 Supervision par l Autorit v t rinaire C ZONE DE SURVEILLANCE R sumer ici les mesures de surveillance de la fi vre aphteuse dans la zone de surveillance Les lois et r glements nat
199. nce efficace La strat gie et la conception du programme de surveillance seront fonction des circonstances pid miologiques du moment Commission scientifique Janvier 2005 81 Annexe III suite 73 SG 12 CS3B AHG 4 Annexe III suite et seront planifi es et mises en ceuvre conform ment aux M thodes et conditions g n rales stipul es dans les pr sentes Lignes directrices pour d montrer l absence d infection par le virus de la peste porcine classique chez les porcs domestiques Cette obligation requiert l assistance d un laboratoire national ou autre capable de proc der lidentification de l infection par le virus de la peste porcine classique grace la d tection des acides nucl iques de l antig ne du virus et aux tests de recherche des anticorps d crits dans le Manuel terrestre Dans ce cas l objectif de la surveillance consiste d montrer que les deux sous populations sont efficacement s par es gr ce al application de mesures assurant la bios curit des porcs domestiques A cette fin un programme de bios curit qui comprend entre autres les dispositions suivantes doit tre appliqu Un programme pour la gestion de la peste porcine classique chez les porcs sauvages La d limitation des zones de contr le de la peste porcine classique chez les porcs sauvages autour de chaque cas de maladie signal chez ces animaux L valuation de la pr sence de fronti res naturelles et le r le d
200. ne classique chez les porcs sauvages Les m mes principes s appliquent mais la surveillance des porcs sauvages comporte des difficult s suppl mentaires par rapport celles pos es par les populations domestiques dans chacun des domaines suivants D termination de la distribution de la taille et des d placements de la population de porcs sauvages Evaluation de la pr sence possible de la peste porcine classique au sein de la population Appr ciation de la faisabilit de la d finition de zones La conception d un syst me de surveillance des porcs sauvages d pend de plusieurs facteurs notamment de l organisation des services v t rinaires et des ressources disponibles La r partition g ographique et la taille approximative des populations de porcs sauvages doivent tre valu es en tant que condition pr alable a la conception d un syst me de surveillance Parmi les sources d informations peuvent figurer les organisations pour la conservation de la faune sauvage les associations de chasseurs et autres L objectif d un programme de surveillance consiste d terminer la r partition g ographique et les effectifs de la population cible L estimation de la population de porcs sauvages peut tre effectu e grace 4 des m thodes pointues radio tracking metteurs radios install s sur les animaux m thode du transect lin aire capture recapture ou par des m thodes traditionnelles fond es sur le nombre d
201. ne coop ration troite entre les Services v t rinaires et ces organes est indispensable pour laborer en temps de paix un ensemble coh rent de mesures l gales sur l limination des carcasses afin de garantir leur applicabilit imm diate en cas d urgence Dans ce contexte les aspects suivants doivent tre clairement r glement s e Droit d entr e sur une exploitation et ses locaux pour le personnel des Services v t rinaires et les sous traitants engag s par ceux ci e Interdiction totale des d placements pour les levages infect s ou suspects et identification de l autorit comp tente pour tablir des dispenses dans certaines conditions de bios curit pour le transport des carcasses vers un autre site d limination par exemple e Obligation pour l exploitant concern sa famille et son personnel de coop rer avec les Services v t rinaires et d appliquer toutes les mesures ordonn es par ceux ci Concernant les animaux infect s ou suspects et leurs produits e Transfert de propri t l autorit comp tente par exemple par confiscation ou achat avec indemnisation de l exploitant e Droit d abattre ces animaux sur l exploitation ou en un autre lieu d termin par les Services v t rinaires Si l incin ration des carcasses est l option choisie e les Services v t rinaires doivent disposer de l autorit n cessaire pour d terminer le site d incin ration ciel ouvert e les services gouv
202. ne zone indemne de fi vre aphteuse avec vaccination d pos e par la Bolivie Demande de reconnaissance d une zone indemne de la fi vre aphteuse avec vaccination d pos e par le Br sil Demande de reconnaissance de deux zones indemnes de la fi vre aphteuse avec vaccination d pos e par la Colombie Demande de reconnaissance du statut de pays indemne de fi vre aphteuse avec vaccination d pos e par le Paraguay Questions diverses Commission scientifique Janvier 2005 123 73 SG 12 CS3B AHG 6 R UNION DU Annexe III suite Annexe IT GROUPE AD HOC DE L OIE POUR L EVALUATION DU STATUT DES PAYS AU REGARD DE LA FIEVRE APHTEUSE MEMBRES Dr Gideon Briickner Director Veterinary Services Agriculture Western Cape Private Bag X1 Elsenburg 7607 AFRIQUE DU SUD T l 27 21 808 5001 Fax 27 21 808 5000 E mail GideonB elsenburg com Dr Alf Eckbert Fuessel European Commission D G VI B IL 2 Rue Froissard 101 3 64 B 1049 Bruxelles BELGIQUE T l 32 2 295 0870 Fax 32 2 295 3144 E mail alf eckbert fuessel cec eu int BUREAU CENTRAL DE L OIE Dr Bernard Vallat Directeur general 12 rue de Prony 75017 Paris FRANCE T l 33 0 1 44 15 18 88 Fax 33 0 1 42 67 09 87 E mail oie oie int Commission scientifique Janvier 2005 Paris 10 13 janvier 2005 Liste des participants Dr Eduardo Correa MeloDirectorFoot and Mouth Disease Coordinator Centro Panamericano de Fiebre A
203. ne zone ou un compartiment donn e avec ou sans vaccination doit communiquer les r sultats d un programme de surveillance active en vertu duquel les populations de volailles sensibles la NAI ou la HPNAI sont soumises des examens cliniques r guliers Ce programme de surveillance doit tre con u et appliqu conform ment aux conditions g n rales et m thodes expos es dans les pr sentes lignes directrices La surveillance doit au minimum assurer le niveau de confiance qui peut tre fourni par un chantillon al atoire repr sentatif des populations risque Article 3 x x 5 tablissements indemnes de NAI l int rieur de compartiments indemnes de HPNAI Les tablissements indemnes de NA se trouvant l int rieur de compartiments indemnes de HPNAI peuvent commercialiser des marchandises faible risque La d claration d tablissements indemnes de NAI dans ces conditions implique la d monstration de l absence d infection par le virus de la NAI Les volailles se trouvant dans ces tablissements doivent tre test es al atoirement par des tests de d tection ou d isolement du virus et par des m thodes s rologiques respectant les conditions g n rales des pr sentes lignes directrices Les tests doivent tre pratiqu s une fr quence d pendante du risque d infection et au moins tous les 21 jours Commission scientifique Janvier 2005 147 Annexe III suite 73 SG 12 CS3B AHG 8 Annexe III suite
204. nnu que l incin ration ciel ouvert est polluante Bien que l impact environnemental d pende d un certain nombre de facteurs il s agit davantage de convictions que de faits tablis L incin ration ciel ouvert peut poser des probl mes psychologiques et conomiques importants Les incin rateurs fixes d truisent les carcasses infect es par des enc phalopathies spongiformes transmissibles et sont tr s performants en termes de bios curit Ils sont cependant on reux et difficiles faire fonctionner et g rer du point de vue r glementaire Les incin rateurs fixes fonctionnant correctement posent moins de probl mes de pollution Commission scientifique Janvier 2005 33 Annexe III suite 73 SG 12 CS3B AHG 1 Annexe IV suite 34 Les incin rateurs rideau d air sont mobiles g n ralement sans danger pour l environnement et adapt s une incin ration combin e avec d autres d bris Ils requi rent cependant beaucoup de combustible posent des probl mes logistiques et n ont pas t valid s pour l limination des carcasses infect es par des enc phalopathies spongiformes transmissibles Il est prouv que la technologie rideau d air provoque en g n ral peu de pollution l incin ration en foyer tant plus propre que la m thode avec tranch e Ces syst mes ont de meilleures performances de combustion et provoquent moins d missions de monoxyde de carbone et de mati res particulaires Le compostage des
205. nregistr s par la surveillance initiale ne sont pas imputables une circulation du virus Toutes les informations pid miologiques doivent tre justifi es et les r sultats collationn s dans le rapport final Dans les unit s primaires d chantillonnage dans lesquelles au moins un animal r agit positivement au test NSP il est sugg r de suivre les strat gies suivantes i Apr s l examen clinique un second chantillon s rique doit tre pr lev au terme d un d lai appropri chez les animaux test s initialement condition que ceux ci soient individuellement identifi s qu ils soient accessibles et qu ils naient pas t vaccin s pendant cette p riode En l absence de circulation du virus les titres d anticorps anti NSP au moment du second test devraient tre statistiquement inf rieurs ou gaux ceux observ s lors du test initial Les animaux test s doivent rester dans l exploitation en attendant les r sultats du test et rester clairement identifiables Si les trois conditions mentionn es ci dessus pour le second test ne peuvent pas tre r unies une nouvelle surveillance s rologique doit tre effectu e sur l exploitation au terme d une p riode appropri e en renouvelant le premier protocole de surveillance et en veillant ce que tous les animaux test s soient identifi s individuellement Ces animaux doivent rester dans l exploitation et ne pas tre vaccin s afin de pouvoir tre retest s apr s
206. ntation d un certificat v t rinaire international attestant que 1 les femelles donneuses e pont pr sent de m me que tous les autres animaux sensibles de leur cheptel d origine aucun signe clinique de tuberculose bovine durant les 24 heures ayant pr c d leur d part pour le centre de collecte e provenaient d un troupeau indemne de tuberculose bovine dans un pays une zone ou un compartiment indemne de tuberculose bovine OU e ont s journ dans un cheptel indemne de tuberculose bovine ont t isol es dans leur exp oitation d origine durant les 30 jours ayant pr c d leur d part pour le centre de collecte et ont t soumises avec r sultat n gatif une intradermotuberculination 2 les embryons ovules ont t collect s manipul s et stock s conform ment aux dispositions de la section 3 3 Commission scientifique Janvier 2005 135 Annexe III suite 73 SG 12 CS3B AHG 7 Annexe III suite Article 2 3 3 9 Les Administrations v t rinaires des pays importateurs tiennent compte pour les viandes fra ches de bovins de la pr sentation d un certificat v t rinaire international attestant que les viandes proviennent en totalit d animaux qui ont t soumis avec r sultat favorable inspection ante mortem et post mortem pour la recherche de la tuberculose bovine r alis e par les Services v t rinaires dans un abattoir agree Article 2 3 3 10 Les Administrations
207. nticorps anti NSP EITB Technique d immuno empreinte pour d tecter les anticorps anti NSP du virus aphteux PO Pr l vement oeso pharyng SP Test de recherche des prot ines structurales Commission scientifique Janvier 2005 51 Annexe III suite 73 SG 12 CS3B AHG 2 Annexe III suite 52 Commission scientifique Janvier 2005 Annexe III suite 73 SG 12 CS3B AHG 3 Original anglais ao t esptembre 2004 RAPPORT DE LA REUNION DU GROUPE AD HOC DE L OIE SUR LA PESTE PORCINE CLASSIQUE Paris 27 29 septembre 2004 La r union du Groupe ad hoc de l OIE de la Commission scientifique pour les maladies animales Commission scientifique sur la peste porcine classique s est tenue du 27 au 29 septembre 2004 au si ge de l OIE Paris L ordre du jour et la liste des participants figurent respectivement dans les annexes I et II Le Docteur Alejandro Schudel Chef du Service scientifique et technique a accueilli les membres du Groupe et expos les attentes du Comit international de OIE concernant la contribution du Groupe notamment pour l Annexe sur les Lignes directrices pour la surveillance requise pour tayer la reconnaissance ou le recouvrement du statut de pays ou de zone indemne de peste porcine classique Il a galement soulign quel point il tait important que les diverses Commissions sp cialis es et les Groupes ad hoc de l OIE travaillent en collaboration afin de produire des documents communs e
208. nucl ique viral ou indirectement par une s roconversion non induite par la vaccination Commission scientifique Janvier 2005 61 Annexe III suite 73 SG 12 CS3B AHG 3 Annexe III suite Article X X X 2 M thodes et conditions g n rales 1 Tout syst me de surveillance chapitre 1 3 6 du Code terrestre doit tre plac sous la responsabilit des Services v t rinaires chapitre 1 3 3 du Code terrestre qui mettent jour les connaissances en mati re de peste porcine classique ou y ont acc s Il doit exister une proc dure suivre pour la notification et l tude rapides des cas suspects de m me que pour le recueil et le transport en toute s curit des pr l vements vers un laboratoire agr de confinement biologique voir chapitre 1 1 2 du Manuel terrestre et chapitre 1 4 6 du Code terrestre dot des quipements adapt s et du personnel comp tent pour la r alisation des tests qui permettent le diagnostic de la maladie tel que d crit dans le Manuel terrestre 2 Le programme de surveillance de la peste porcine classique doit a comprendre un syst me d alerte pr coce tous les stades de la production de la commercialisation et de la transformation permettant la d claration des cas suspects Les leveurs et les agents zoosanitaires qui sont au contact quotidien avec le b tail de m me que les sp cialistes du diagnostic doivent tre encourag s signaler rapidement toute suspicion de peste porcine cl
209. olombie introduirait sous peu une obligation r glementaire imposant aux fabricants d am liorer la puret de l antig ne utilis dans les vaccins pour r duire ou liminer l induction d anticorps anti NSP avant leur autorisation de mise sur le march Le Groupe salue cette action et note que gr ce elle les vaccins utilis s dans le pays seront totalement conformes aux exigences de l OIE Recommandation Le Groupe recommande la Commission scientifique que les zones centrale et m ridionale d crites dans les dossiers pr sent s par la Colombie soient reconnues comme tant indemnes de la fi vre aphteuse avec vaccination Demande de reconnaissance du statut de pays indemne de fi vre aphteuse avec vaccination d pos e par le Paraguay Rappel des faits Le Paraguay a t reconnu par OIE comme tant indemne de la fi vre aphteuse avec vaccination en 1997 La vaccination a cess en 1999 dans le but de solliciter la reconnaissance du statut de pays indemne de fi vre aphteuse sans vaccination mais a t r instaur e peu apr s en raison de la d t rioration de la situation des pays voisins Des foyers dus au type O sont apparus en octobre 2002 puis en juillet 2003 mais ont t rapidement ma tris s gr ce l abattage et la vaccination Aucun foyer n a t signal depuis juillet 2003 cette demande de reconnaissance adress e l OIE vise donc recouvrer le statut de pays indemne de la fi vre aphteuse avec
210. on sachant que ce programme doit tre fonction des circonstances pid miologiques du foyer La surveillance s rologique devra inclure la d tection du virus de l un de ses antig nes ou de son g nome ainsi que les tests de recherche des anticorps comme d crit dans le Manuel terrestre Les strat gies suivantes sont reconnues par OIE pour radiquer les infections par le virus de la NAI HPNAI la suite de l apparition d un foyer 1 En cas d infection par le virus de la HPNAL abattage sanitaire de toutes les volailles infect es et de celles qui ont t au contact de ces derni res puis d sinfection de tous les tablissements Le d lai d attente sera de 3 mois sous r serve qu une surveillance respectant les pr sentes lignes directrices soit appliqu e pendant cette p riode pour d montrer l absence d infection par le virus de la HPNAI 2 En cas d infection par le virus de la LPNAI abattage sanitaire ou abattage de toutes les volailles infect es et de celles qui ont t au contact de ces derni res puis d sinfection de tous les tablissements Le d lai d attente sera de 3 mois sous r serve qu une surveillance respectant les pr sentes lignes directrices soit appliqu e pendant cette p riode pour d montrer absence d infection par le virus de la LPNAI En toutes circonstances un Pays Membre demandant recouvrer son statut indemne de NAI ou de HPNAI pour la totalit de son territoire ou pour u
211. on scientifique Janvier 2005 73 SG 12 CS3B AHG 6 Annexe III suite Contr le aux fronti res Le Groupe ad hoc exprime son inqui tude concernant l efficacit des m thodes de contr le notamment le long de la limite nord avec Lima et de la fronti re septentrionale avec la Bolivie Des garanties suffisantes pour apaiser les craintes du Groupe ad hoc sont fournies Conclusion Le Groupe ad hoc est convaincu que les informations pr sent es dans les dossiers compl t es par les donn es suppl mentaires fournies par la d l gation du Pays Membre sont suffisantes pour recommander la Commission scientifique l acceptation de la demande Recommandation Le Groupe recommande la Commission scientifique que la zone propos e soit reconnue indemne de fi vre aphteuse sans vaccination 5 c Demande de reconnaissance d une zone indemne de fi vre aphteuse avec vaccination d pos e par la Bolivie Rappel des faits Pour r pondre des int r ts conomiques et dans le cadre des programmes nationaux et r gionaux d radication de la fi vre aphteuse la Bolivie a sollicit la reconnaissance d une deuxi me zone indemne de fi vre aphteuse avec vaccination apr s la zone indemne de Chiquitania Cette zone est situ e dans le d partement d Oruro l ouest de la Bolivie jouxtant le Chili et englobe 22 provinces La population des cam lid s l ouest d Oruro atteint 1 075 895 de t tes cheptel national total
212. onforme aux dispositions concernant les vaccins contre la fi vre aphteuse nonc es dans le Manuel terrestre Compte tenu de l pid miologie de la fi vre aphteuse dans le pays la zone ou le compartiment il peut tre d cid de ne vacciner que certaines esp ces ou certains sous groupes de la population sensible Les raisons ayant conduit cette d cision doivent alors figurer dans le dossier adress OIE pour tayer la demande de reconnaissance du statut de pays Zone ou compartiment indemne ou la demande de recouvrement de ce statut Il convient galement d apporter les preuves de l efficacit du programme de vaccination 48 Commission scientifique Janvier 2005 73 SG 12 CS3B AHG 2 Annexe III suite Annexe III suite Article 3 8 7 5 Demande de recouvrement du statut indemne de fi vre aphteuse pour un pays une zone ou un compartiment avec ou sans vaccination apr s la survenue d un foyer Outre les conditions g n rales d crites au Chapitre 2 2 10 du pr sent Code terrestre un Pays Membre demandant recouvrer son statut indemne de fi vre aphteuse pour l ensemble de son territoire ou pour une zone ou un compartiment donn e doit justifier de existence d un programme de surveillance active pour la fi vre aphteuse ainsi que de absence d infection ou de circulation du virus Il en r sulte que la surveillance s rologique devra inclure pour un pays une zone ou un compartiment avec vaccination des test
213. orcine classique apr s des mesures d radication par opposition celui requis la suite de l apparition d un foyer En vertu de l Article 2 6 7 4 2e un pays ou une zone peuvent tre consid r s comme indemnes de peste porcine classique chez les porcs domestiques et sauvages si l abattage sanitaire est pratiqu sans recours la vaccination pour lutter contre la peste porcine classique et si aucun foyer n a t observ chez les porcs domestiques depuis au moins 6 mois Par contre le premier paragraphe de I Article 2 6 7 6 indique que si un foyer de peste porcine classique appara t dans une exploitation situ e dans un pays ou une zone indemnes indemnes chez les porcs domestiques et sauvages ou indemnes chez les porcs domestiques seulement ce pays ou cette zone pourront recouvrer leur statut indemne lorsqu au moins 30 jours se seront coul s apr s l ach vement des op rations d abattage sanitaire Dans l Article 2 6 7 4 2f et 2g le Groupe remet en cause l efficacit de l instauration d un systeme de suivi s rologique seulement si la vaccination a t pratiqu e au cours des cinq derni res ann es Compte tenu du risque que la peste porcine classique circule sous une forme cliniquement inapparente ou sous une forme clinique qui ne peut pas tre diff renci e d un certain nombre d autres pathologies r pandues dans de nombreux pays le Groupe pr conise que la s rosurveillance soit appli
214. oris Commission scientifique Janvier 2005 57 73 SG 12 CS3B AHG 3 RAPPORT DU LA REUNION DU Annexe III suite Annexe IT GROUPE AD HOC DE L OIE SUR LA PESTE PORCINE CLASSIQUE MEMBRES Paris 27 29 septembre 2004 Liste des participants Prof Vincenzo Caporale Pr sident Director Istituto Zooprofilattico Sperimentale dell Abruzzo e del Molise G Caporale Via Campo Boario 64100 Teramo ITALIE Tel 39 0861 33 22 33 Fax 39 0861 33 22 51 E mail caporale izs it Dr T W Drew Head of Mammalian Virology VLA Weybridge Woodham Lane New Haw Addlestone Surrey KT15 3NB ROYAUME UNI T l 44 1932 35 76 37 Fax 44 1932 35 72 39 E mail tw drew vla defra gsi gov uk tdrew vla gtnet gov uk Dr A Fukusho Director Department of Exotic Diseases National Institute of Animal Health 6 20 1 J osuihoncho Kodaira Tokyo 187 0022 JAPON T l 81 42 321 14 41 Fax 81 42 325 51 22 E mail akifuku affrc go jp BUREAU CENTRAL DE L OIE Dr John A Kellar National Manager Disease Surveillance Science Division Canadian Food Inspection Agency 3851 Fallowfield Road Room C305 Ottawa K2H 8P9 CANADA Tel 1 613 228 66 98 Fax 1 613 228 66 75 E mail jkellar inspection gc ca Dr J Pasick Canadian Food Inspection Agency National Centre for Foreign Animal Disease 1015 Arlington Street Winnipeg Manitoba R3E 3M4 CANADA T l 1 204 789 20 13 Fax 1 2
215. ouest de la Zambie Commission scientifique Janvier 2005 161 Annexe V suite e d autres foyers de PPCB ont t signal s Luampungu dans le district de Sesheke en ao t 2003 et Mulobezi en f vrier 2004 Des foyers ont continu de se d clarer en mars 2004 dans les districts de Sesheke Kazungula et Livingstone e la situation sanitaire qui est propre la Zambie a un potentiel de propagation partir de la fronti re occidentale du pays en direction du sud vers le Botswana et le Zimbabwe et aussi de la fronti re orientale vers la Tanzanie de plus la maladie risque de se propager du nord et de l ouest de la Tanzanie vers les zones orientales de la Zambie Les d placements transfrontaliers possibles vers les pays limitrophes ou partir de ceux ci aggravent encore la situation Le Docteur Amanfu a soulign que les Chefs des Services v t rinaires des pays de la SADC se sont r unis en ao t 2003 sous l gide d un programme de coop ration technique TCP de la FAO Pretoria Afrique du Sud o ils ont opt pour une m thode de contr le des maladies animales transfrontali res PPCB et fi vre aphteuse coordonn e chelle r gionale et appliqu e dans le cadre de l initiative GF TADs Programme mondial pour le contr le progressif des maladies animales transfrontali res d velopp e conjointement par la FAO et POIE La r union tenue Pretoria a t facilit e par le TCP RAF 2809 qui donne un degr de
216. oupe prend acte d une note adress e r cemment par les autorit s br siliennes indiquant l OIE que les examens de laboratoire r alis s sur les chantillons pr lev s dans la r gion de Mato Grosse do Sul suite une suspicion r cente de fi vre aphteuse ont fourni des r sultats n gatifs pour la maladie et qu en cons quence la pr sence de la fi vre aphteuse a t cart e Le Groupe exprime sa gratitude au PANAFTOSA pour avoir fourni des informations utiles sur la pr sence de la fi vre aphteuse et d autres maladies v siculeuses en Am rique du Sud et sur la caract risation g n tique et antig nique des souches isol es Evaluation du statut des pays Les dossiers d valuation du statut des pays au regard de la fi vre aphteuse sont examin s par le Groupe en v rifiant leur conformit avec les dispositions du Code terrestre de OIE et en tenant compte des principes nonc s dans Article 3 8 7 6 tel que modifi par le Groupe ad hoc sur I pid miologie 5 a Notification de la fi vre aphteuse l OIE Les donn es relatives la d claration r cente l OIE de foyers de fi vre aphteuse apparus dans des pays qui ont adress une demande de reconnaissance de statut sont examin es 5 b Demande manant du P rou pour la reconnaissance d une zone indemne de fi vre aphteuse 116 Sans vaccination Rappel des faits Les autorit s p ruviennes ont demand la reconnaissance du statut indemne d
217. pes d animaux haut risque comme ceux qui se trouvent proximit de pays zones ou compartiments infect s par la NAI sur des lieux o des oiseaux et volailles de diff rentes origines sont m lang s march s d oiseaux vivants par exemple ou encore proximit de gibier d eau ou d autres sources de virus de NAI Un syst me de surveillance efficace identifiera p riodiquement les cas suspects qui exigent un suivi et des examens pour confirmer ou r futer que la maladie est due au virus de la NAI La fr quence potentielle d apparition des cas suspects d pend de la situation pid miologique et ne peut donc tre pr dite avec certitude Les demandes de reconnaissance de l absence d infection par le virus de la NAI doivent contenir des informations d taill es sur l apparition des cas suspects les examens pratiqu s et les modalit s de prise en charge Ces donn es doivent inclure les r sultats des analyses de laboratoire et les mesures appliqu es aux animaux concern s pendant les investigations quarantaine interdiction de transport etc Pendant la p riode d investigation sur les foyers suspects il convient de prendre des mesures telles que la quarantaine visant confiner l infection son site d apparition jusqu ce que le diagnostic soit confirm ou r fut Les pr sentes lignes directrices ne pr cisent pas en d tail les dispositions prendre dans ces situations Strat gies de surveillan
218. peste bovine 3 Evaluation du statut des pays au regard de la peste bovine 3 1 Peste bovine 3 1 1 Ethiopie 3 1 2 Soudan 3 1 3 Tanzanie 3 1 4 Liban 3 2 Infection par la peste bovine 3 2 1 Bhoutan 3 2 2 Turquie 4 Proposition d amendements du chapitre et de l annexe du Code sanitaire pour les animaux terrestres de OIE relatifs la peste bovine 5 Probl mes connexes 6 Suivi de la r union Commission scientifique Janvier 2005 157 Annexe IV suite 73 SG 12 CS3B AHG 9 Annexe II RAPPORT DU GROUPE AD HOC DE L OIE POUR L VALUATION DU STATUT DES PAYS AU REGARD DE LA PESTE BOVINE Paris 20 22 octobre 2004 Liste des participants MEMBRES Professeur Vincenzo Caporale Pr sident Professeur Arnon Shimshony President de la Commission scientifique de l OIE pour les P O B 13327 maladies animales Tel Aviv 61132 Director Istituto Zooprofilattico Sperimentale dell Abruzzo e ISRAEL del Molise G Caporale T l 972 3 648 15 15 Via Campo Boario Fax 972 3 644 5581 64100 Teramo E mail ashimsh agri huji ac il ITALIE T l 39 0861 33 22 33 Docteur Peter Roeder Fax 39 0861 33 22 51 Secr taire du GREP E mail caporale izs it Animal Health Officer maladies virales EMPRES Docteur J Anderson Animal Health Service Animal Production and Health Institute for Animal Health Division FAO Pirbright Laboratory Viale delle Terme di Caracalla Ash Road 00100 Rome Pirbright
219. portante et diff renci e qu un simple bien conomique Pour un leveur ses animaux repr sentent une r alisation professionnelle reposant sur ses comp tences et celles de ses anc tres De nombreux leveurs amateurs consid rent leur cheptel comme des animaux de compagnie Dans les communaut s traditionnelles les animaux ne sont pas lev s des fins de production mais pour diff rentes autres raisons comme animaux de trait ou b tes de somme pour des raisons rituelles ou comme symboles de richesse Dans certaines religions la mise mort de certains animaux n est pas acceptable L argument conomique li l exportation ne peut convaincre ces propri taires de la n cessit d abattre surtout quand les op rations incluent des animaux ne pr sentant aucun sympt me clinique mais identifi s comme porteurs ou s ropositifs La perte de certains animaux ne peut tre indemnis e financi rement Commission scientifique Janvier 2005 31 Annexe III suite 73 SG 12 CS3B AHG 1 Annexe IV suite Consid rations pratiques Outre l num ration qui pr c de sur les facteurs de risque et les activit s ant rieures la survenue d un foyer il faut garder l esprit diff rentes questions pratiques souvent n glig es ou consid r es comme videntes et non pr par es La liste qui suit n est pas exhaustive mais donne une indication sur certaines consid rations essentielles mais fr quemment oubli es Choix du site d limi
220. pratiques habituelles selon lesquelles les groupes ad hoc fonctionnant sous les auspices de la Commission scientifique sont pr sid s par un membre de celle ci la r union a t pr sid e par le Professeur Vincenzo Caporale pr sident de la Commission scientifique Le Docteur John Kellar a t nomm rapporteur Le Groupe a travaill en collaboration troite avec des membres du Groupe ad hoc de l OIE sur les tests de recherche des prot ines non structurales NSP Cette collaboration a t consid r e comme une avanc e vers la rationalisation des approches scientifiques sur ces questions facettes multiples dont fait partie la surveillance de la fi vre aphteuse Pendant ses d lib rations le Groupe a r uni des informations tir es d un certain nombre de sources importantes parmi lesquelles il faut citer entre autres e le Chapitre 2 2 10 sur la fi vre aphteuse du Code sanitaire de l OIE pour les animaux terrestres le Code terrestre e le Chapitre 1 3 6 tel que nouvellemement propos sur la surveillance de la sant animale dans le Code terrestre e le Chapitre 1 3 3 du Code terrestre sur 1 valuation des Services v t rinaires e le Manuel des tests de diagnostic et des vaccins pour les animaux terrestres dition 2004 e le rapport du Groupe ad hoc de l OIE sur l valuation des tests de recherche des prot ines non structurales NSP pour le diagnostic de la fi vre aphteuse e le rapport pr liminaire d un at
221. priorit lev la lutte contre la PPCB et la fi vre aphteuse lesquelles exigent la mise en place de programmes urgents coordonn s l chelle internationale et b n ficiant d un soutien financier Un appel aux donateurs a t lanc 4 Gaborone Botswana par la SADC et la FAO en octobre 2003 L Union europ enne m ne actuellement une mission d valuation portant sur le contr le de la fi vre aphteuse dans les pays de la SADC Il a mis le souhait que la r union actuellement organis e par 1 OIE FAO constitue l amorce d une telle initiative dans le cadre de laquelle sont prises en compte les actions coordonn es visant r soudre les difficult s techniques les aspects institutionnels les consid rations d analyse conomique et de politique li s au contr le de la PPCB au sein de la r gion Il a soulign qu un soutien des donateurs de m me que des actions nationales collectives sont n cessaires pour emp cher la propagation de la PPCB des pays qui sont indemnes de la maladie depuis pr s d un si cle et pour lutter contre la maladie dans les pays atteints de fa on chronique Statut sanitaire des pays environnants de la SADC Des rapports nationaux sommaires ont t pr sent s par les Chefs des Services v t rinaires ou leurs repr sentants accr dit s pr sents la r union L Afrique du Sud le Botswana le Mozambique et le Zimbabwe ont indiqu que la maladie tait absente dans leur pays alors
222. propos es dans les chapitres 2 6 7 et 1 3 6 du Code terrestre Dans le cadre de la pr sente Annexe une infection virale correspond la pr sence du virus de la peste porcine classique mise en vidence d montr e directement par isolement du virus par d tection de l antig ne viral ou de l acide nucl ique viral ou indirectement par une s roconversion non induite par la vaccination Article X X X 2 M thodes et conditions g n rales 1 Tout syst me de surveillance chapitre 1 3 6 du Code terrestre doit tre plac sous la responsabilit des Services v t rinaires chapitre 1 3 3 du Code terrestre qui mettent jour les connaissances en mati re de peste porcine classique ou y ont acc s Il doit exister une proc dure suivre pour la notification et l tude rapides des cas suspects de m me que pour le recueil et le transport en toute s curit des pr l vements vers un laboratoire agr de confinement biologique voir chapitre 1 1 2 du Manuel terrestre et chapitre 1 4 6 du Code terrestre dot des quipements adapt s et du personnel comp tent pour la r alisation des tests qui permettent le diagnostic de la maladie tel que d crit dans le Manuel terrestre Commission scientifique Janvier 2005 77 Annexe III suite 73 SG 12 CS3B AHG 4 Annexe III suite 2 Le programme de surveillance de la peste porcine classique doit a comprendre un syst me d alerte pr coce tous les stades de la production de la
223. qu e quel que soit le laps de temps coul depuis l arr t de la vaccination L Article 2 6 7 6 4 doit tre d velopp pour inclure un d pistage s rologique chez les animaux ne pr sentant pas de signes cliniques en plus des tests de laboratoires r alis s chez les porcs malades Le Groupe propose de prendre galement en consid ration la situation inverse celle d crite dans 1 Article 2 6 7 5 c est dire pays ou zone indemnes de peste porcine classique chez les porcs sauvages mais dont la population de porcs domestiques est infect e Le groupe consid re que la reconnaissance du statut indemne l o une politique de vaccination a t adopt e d pendra de plusieurs facteurs les plus importants tant la qualit des vaccins disponibles et l efficacit des kits de diagnostic correspondants Les kits valid s sont d sign s express ment mais il n existe pas d organisme officiel habilit valuer les performances de ces kits au niveau international En cons quence les garanties fournies par une politique de vaccination men e dans ces conditions ne peuvent pas tre les m mes que celles apport es par une politique d abattage sanitaire associ e la r alisation d preuves s rologiques en l absence de vaccination Ces points doivent tre pris en compte dans le chapitre et une proc dure de validation doit tre mise en place au niveau international Le projet de Lignes directrices est pr sent
224. que des foyers d infection existent en Angola en Tanzanie en Namibie et en Zambie La Namibie a connu un foyer en 2003 dans la bande du Caprivi oriental qui longe le sud de la Zambie et enregistre encore de rares pisodes de faible intensit tandis que le Botswana a signal qu il a radiqu la maladie en 1995 gr ce l abattage de 320 000 bovins La surveillance troite de la maladie et le contr le des d placements d animaux sont encore maintenus par le Botswana le long de la fronti re septentrionale avec la Namibie et la Zambie L Angola a indiqu qu il tait inform de l existence de mouvements transfrontaliers de bovins entre son territoire et la Zambie alors que la vaccination la surveillance et le contr le des d placements dans la province de Kuanda Kubango ne sont pas possible en raison de la pr sence de mines terrestres La Tanzanie a indiqu qu il existe quelques bovins dans la zone sud est du pays qui jouxte le Mozambique un seul foyer limit ayant t reconnu Dans le reste de la zone qui comprend 20 districts 19 sont infect s Dans ces r gions la vaccination a donn des r sultats variables tant donn que chaque district est responsable de ses propres finances et de son soutien logistique La Zambie b n ficie du soutien de donateurs avec 1 million de doses de vaccin contre la PPCB mis essentiellement disposition pour le contr le prophylactique de la maladie le long des fronti res occidentales La tota
225. quence potentielle des faux positifs peut tre calcul e 4 condition de conna tre les caract ristiques du syst me de tests Dans tous les cas une proc dure efficace de suivi des r sultats s rologiques positifs doit tre mise en place afin de d terminer avec un haut niveau de confiance si ces donn es sont ou non r v latrices d une infection par le virus ou d une circulation virale Cette proc dure doit pr voir la fois des examens de laboratoire compl mentaires et la poursuite des investigations sur le terrain voir plus loin pour recueillir des l ments diagnostique partir de l unit d chantillonnage initiale et chez les animaux susceptibles de pr senter des liens pid miologiques avec celle ci le foyer suspect Les principes appliqu s 4 la surveillance des maladies et des infections sont techniquement bien d finis Les programmes de surveillance visant prouver l absence de virus de la fi vre aphteuse infection circulation doivent tre soigneusement con us pour viter les r sultats insuffisamment fiables pour tre accept s par OIE ou les partenaires commerciaux internationaux ainsi que les proc dures trop co teuses ou trop lourdes sur le plan logistique La conception des programmes de surveillance n cessite par cons quent la participation de professionnels comp tents et exp riment s en ce domaine Surveillance clinique La surveillance clinique vise d tecter les signes cliniques de fi vre
226. quent essentielle afin que ces produits puissent tre obtenus le plus rapidement et le plus simplement possible en cas de n cessit Pr vision des transports les transports n cessaires pour l limination en masse des animaux ne peuvent g n ralement pas tre assum s par le parc de v hicules courant d une Administration v t rinaire Le transport des animaux la r cup ration du combustible n cessaire l incin ration la mise en d charge et la fermeture des sites d limination ainsi que les transports de l exploitation jusqu au site d limination requi rent de gros camions des tracteurs des bulldozers des tractopelles et autres Il est important d assurer que les v hicules ne constituent pas des sources de diss mination de l infection Facteurs de risques Cette liste de facteurs de risque n a pas la pr tention d tre exhaustive D autres param tres peuvent aussi influencer le choix d une technique d limination des carcasses 30 Rapidit la d tection pr coce des nouvelles infections l abattage imm diat des animaux infect s et le retrait rapide des carcasses avec inactivation de l agent pathog ne sont de la plus haute importance pour l radication des maladies infectieuses Les agents pathog nes viraux ne peuvent se multiplier une fois que l h te a t mis mort mais leur propagation active et passive partir des carcasses et de leur environnement doit tre bloqu e aussi rapidement et aussi eff
227. r Osinga du syndicat agricole n erlandais LTO pour solliciter l avis de l OIE concernant la commercialisation des viandes de porc provenant d animaux qui ont t vaccin s contre la fi vre aphteuse La Commission a rappel le point de vue des experts de OIE savoir qu il n existe aucune preuve scientifique indiquant que la viande provenant de bovins vaccin s contre la fi vre aphteuse peut constituer un risque pour la s curit des consommateurs N anmoins il est recommand de solliciter l avis d experts de l OIE sur cette question qui a sp cifiquement trait aux porcs D finitions de POTE La Commission a pris en consid ration une demande du Service du commerce international de l OIE pour que certaines d finitions g n rales figurant dans le Code terrestre soient r examin es Elle a recommand qu l exception de certaines nouvelles propositions de d finitions pr sent es dans la section 3 0 du pr sent rapport toutes les d finitions existantes soient confi es au Groupe ad hoc sur l pid miologie qui doit s appuyer dans toute la mesure du possible sur des textes normatifs ou des dictionnaires des termes d pid miologie Il a t cependant admis que les d finitions en rapport avec des maladies sp cifiques continueront d appara tre dans les chapitres correspondants du Code terrestre Commission scientifique Janvier 2005 7 6 Courrier du Taipei China sur la surveillance de l influenza aviaire
228. r des eaux grasses ou sur ceux qui se trouvent proximit d un pays ou d une zone infect e par la maladie par exemple proximit d une zone o se trouvent des porcs sauvages infect s Un programme de surveillance efficace permettra d identifier p riodiquement les cas suspects qui exigent un suivi et des examens pour confirmer ou r futer que le virus de la peste porcine classique est la cause de l affection La fr quence d apparition des cas suspects d pendra de la situation pid miologique il n est donc pas possible de la pr dire de fa on s re En cons quence les demandes de reconnaissance de l absence d infection par le virus de la peste porcine classique doivent contenir des informations d taill es sur l apparition de cas suspects et sur la fa on dont ils ont t examin s et pris en charge Ces donn es doivent comprendre les r sultats des analyses de laboratoire et les mesures de contr le auxquelles les animaux concern s ont t soumis pendant l investigation quarantaine interdiction de transport des animaux etc Pendant la p riode de surveillance des foyers suspects il convient de prendre des mesures permettant de confiner l infection son lieu d apparition en appliquant des mesures de quarantaine jusqu ce que le diagnostic soit confirm ou r fut Le pr sent guide n indique pas la nature des dispositions qui doivent tre prises dans ces situations Strat gies de survei
229. r l absence d activite virale dans les levages Tous les vaccins antiaphteux A24 01 C3 sont import s Les soci t s importatrices de vaccins sont officiellement enregistr es aupr s du SENASAG et les vaccins doivent respecter les normes de l OIE Dans la zone la vaccination est effectu e une fois par an par des brigades le but tant de vacciner la totalit du cheptel bovin en deux mois juillet ao t Surveillance de routine Depuis 1997 le fonctionnement du Syst me national de surveillance pid miologique repose sur l action coordonn e des capteurs locaux des unit s d information locales et des pid miologistes d partementaux qui analysent et traitent les informations pour les communiquer ensuite au bureau national Commission scientifique Janvier 2005 117 Annexe III suite 73 SG 12 CS3B AHG 6 118 Absence d infection ou de circulation virale Par la pass cette zone ne connaissait pas d pisodes de fi vre aphteuse Depuis 2001 17 foyers ont t enregistr s affectant des bovins lev s l Est du d partement r gion d sormais consid r e comme zone tampon Le SENASAG a conserv des registres qui d montrent l absence de la maladie dans la zone gr ce un r seau d partemental cr cet effet Surveillance passive Depuis 2001 on a enregistr 61 suspicions de maladie v siculeuse ptyalisme et boiterie dans le d partement d Oruro 18 cas ont t tudi s dans la zone
230. re par la Commission des normes sanitaires de l OIE pour les animaux terrestres la Commission du Code Il a galement remerci cette Commission d avoir fourni le projet de chapitre modifi qui servira de base l laboration des lignes directrices sur la surveillance Le Docteur Sibartie a rappel que conform ment aux pratiques habituelles tous les groupes ad hoc fonctionnant sous les auspices de la Commission scientifique pour les maladies animales la Commission scientifique sont pr sid s par un membre de celle ci Le professeur Caporale pr sident de la Commission scientifique a pr sid la r union et le Docteur Crist bal Zepeda Sein a t nomm rapporteur L ordre du jour et la liste des participants figurent respectivement dans les Annexes I et II 1 Lignes directrices sur la surveillance Les membres du Groupe ont discut des modifications apport es au chapitre propos par le Groupe ad hoc qui s est r uni Padoue 20 Italie du 8 au 10 novembre 2004 La version r vis e met l accent sur les diff rences entre l influenza aviaire hautement pathog ne d claration obligatoire HPNAD et l influenza aviaire faiblement pathog ne d claration obligatoire LPNAJ et tablit pour ces deux formes des lignes directrices relatives au commerce des volailles et des produits qui en sont tir s Les aspects ci dessous du nouveau chapitre sur l influenza aviaire ont t consid r s comme importants pour le
231. res qui avait d pos un dossier en vue d tre reconnu indemne de la maladie de peste bovine de fournir quelques claircissements et des donn es compl mentaires La Commission a galement t inform e de la proposition de chapitre r vis du Code terrestre sur la peste bovine et de nouvelle Annexe sur la surveillance de la peste bovine faite par le Groupe ad hoc La Commission a beaucoup appr ci les efforts d ploy s par le Groupe mais a estim que tous ces changements n taient pas justifi s ce stade La Commission a recommand qu un Groupe ad hoc d experts soit cr pour traiter des questions li es l utilisation des vaccins contre la peste des petits ruminants PPR pour lutter contre la peste bovine chez les bovins elle a galement recommand de r viser la Proc dure OIE pour la reconnaissance du statut au regard de la peste bovine La section du rapport traitant de l valuation du statut des pays figure dans l Annexe IV 2 valuation du statut des pays au regard de la p ripneumonie contagieuse bovine La Commission a examin le dossier soumis par le D l gu de Suisse en vue de la reconnaissance par l OIE du statut indemne de p ripneumonie contagieuse bovine de ce pays conform ment la R solution XXIII adopt e lors de la 72 Session g n rale et aux dispositions des chapitres correspondants du Code terrestre La Commission a conclu que la Suisse r pond aux crit res nonc s l Article 2 3
232. res associ es par r duction leurs l ments constitutifs e Technologie proc dure par laquelle on limine les carcasses e Transport transfert dans des conditions de bios curit des animaux des carcasses ou des mati res du site infect vers le site d limination e Bios curit confinement absolu du foyer infectieux e S curit pour l homme limination des risques pour la sant et le bien tre des personnes participant aux proc dures d limination des animaux e Protection animale r f rence aux lignes directrices tablies pour la mise mort des animaux dans des conditions d centes selon la d finition de l Annexe XXX e Destruction de masse destruction et limination en urgence d un grand nombre d animaux pour lutter contre une maladie Commission scientifique Janvier 2005 27 Annexe III suite 73 SG 12 CS3B AHG 1 Annexe IV suite R glementation et juridiction Les lois portant sur la sant animale la pr vention et l radication des maladies animales ainsi que la structure de l Administration v t rinaire doivent conf rer aux Services v t rinaires l autorit et les pouvoirs l gaux n cessaires pour mener bien les actions garantissant l efficacit de l limination des carcasses Pour la plupart des options d limination des textes l gislatifs manant d autres organes gouvernementaux de niveau national ou local sont en vigueur et doivent tre respect s C est pourquoi u
233. ressources disponibles limit es de pratiquement tous les pays potentiellement touch s ou expos s e la difficult pos e par l endiguement rapide de la maladie en raison de la r ponse immunitaire variable induite par les vaccins actuellement disponibles e Le grave impact socio conomique de la maladie sur les leveurs concern s des zones risque LES DELEGUES ONT DECIDE e que la Zambie doit de toute urgence mobiliser les ressources et le soutien logistique pour commencer par vacciner les bovins de la zone sud ouest situ le long de la fronti re avec le Zimbabwe le Botswana et la Namibie e que le Directeur g n ral de OIE en collaboration avec la FAO prescrive la r alisation d une enqu te pid miologique d taill e urgente et d une caract risation du foyer de PPCB apparu en Zambie et au Zimbabwe par une mission d experts d sign s e que la mission des experts d sign s consiste i valuer les besoins imm diats permettant de mettre en place un syst me de surveillance fiable dans le nord et le sud du Zimbabwe et pr parer un plan d urgence au cas o ils constateraient la pr sence d un foyer de PPCB ii valuer les besoins d une campagne de vaccination d urgence contre la PPCB men e dans le sud de la Zambie et ventuellement dans le sud ouest de l Angola afin de r duire le risque de propagation de la maladie vers les pays de la SADC qui en sont encore indemnes 111 d finir la r part
234. rmes environnementales fix es pour l air l eau et le sol La proc dure est assez longue et l inactivation des agents pathog nes n est pas v rifi e Il subsiste en r alit la possibilit d une transmission particulaire partir d une combustion incompl te Les op rations tant visibles elles suscitent des r actions n gatives et une mauvaise acceptation de la part du public Comparaison des m thodes d incin ration Avec les trois m thodes d incin ration d crites ci dessus plus le pourcentage de tissu graisseux est lev plus l incin ration est active les porcs ont une teneur en graisses plus lev e que les autres esp ces Pour les incin rateurs fixes la capacit d pend de la taille de la chambre et peut aller de 50 kilogrammes par heure 10 tonnes de carcasses de volailles par jour Les carcasses pr trait es relativement homog nes sont plus faciles manipuler que les carcasses enti res en grand nombre Selon la conception et la gestion du site les incin rateurs rideau d air peuvent br ler 4 6 tonnes de carcasses par heure L incin ration ciel ouvert peut tre relativement peu co teuse mais elle ne convient pas aux carcasses contamin es par une enc phalopathie spongiforme transmissible Elle n cessite beaucoup de manipulations et de combustible et requiert des conditions m t orologiques favorables Elle pose des probl mes d environnement et est mal per ue du public Il est g n ralement reco
235. rni re enqu te d envergure nationale r alis e en 2004 Des tudes pid miologiques approfondies ont t r alis es dans 13 exploitations contenant des animaux s rologie positive vis vis des NSP elles incluaient des examens cliniques des pr l vements r p t s et des pr l vements effectu s sur d autres esp ces sensibles ainsi que la r alisation de pr l vements l aide d une curette pharyng e La d l gation a fourni des preuves d montrant l absence de regroupement g ographique de r actions s rologiques positives Au vu des l ments pr sent s le Groupe est convaincu qu aucune preuve de circulation du virus aphteux n a t d cel e depuis 2003 Contr le aux fronti res L historique semble indiquer que l infection transfrontali re repr sente le mode d introduction le plus probable du virus aphteux au Paraguay Il existe un syst me de postes de contr le aux fronti res et un volet du Programme d radication qui porte sur le contr le des d placements La d l gation explique que le d pistage s rologique limit des animaux export s 222 pr l vements r alis s en 2003 et 195 en 2004 couvrant la fois les importations et les exportations est d au volume tr s restreint des changes transfrontaliers observ au cours des deux derni res ann es La d l gation donne des informations sur les accords de coop ration qui existent entre le Paraguay et ses voisins visant contr ler l
236. roid etc 3 3 5 Surveillance apr s la vaccination 3 4 Organisation de la campagne d radication 3 5 Ex cution 3 6 Identification et contr le des d placements d animaux 3 7 Supervision par l Autorit v t rinaire Surveillance de la fi vre aphteuse 4 1 Diagnostic 4 1 1 Diagnostic clinique proc dures de notification et d enqu te donn es r centes 4 1 2 Diagnostic de laboratoire proc dures nombre d chantillons trait s et r sultats 4 2 Surveillance s rologique 4 3 Donn es d mographiques et conomiques sur le cheptel 4 4 Abattoirs et march s 4 5 Supervision par l Autorit v t rinaire Pr vention de la fi vre aphteuse 5 1 Coordination r gionale avec les pays voisins 5 2 Contr le des importations 5 2 1 Politique et analyse des risques 5 2 2 Gestion des risques inh rents aux animaux et aux produits e ports fronti res nombre et localisation d chets internationaux animaux mat riel g n tique semence et embryons produits d origine animale destin s la consommation humaine par exemple le lait et les produits carn s e produits d origine animale non destin s la consommation humaine par exemple les aliments pour animaux de compagnie les cuirs et les peaux e les m dicaments v t rinaires par exemple les produits biologiques 5 3 S curit biologique des laboratoires et des installations de production et de tests 5 4 Supervision par l Autorit v t ri
237. roposition r dig e l intention des membres du Groupe par le Docteur Roeder La reconnaissance du statut de pays indemne d infection du Bhoutan figurait aussi parmi les sujets traiter Les contacts avec les autorit s du Bhoutan s taient concr tis s par une demande de reconnaissance de son statut de pays indemne d infection par la peste bovine Le dossier devait tre examin durant la r union 2 Cons quences de l preuve immunoenzymatique indirecte i ELISA sur le d pistage de la peste bovine Les discussions ont port sur une d claration contenue dans le chapitre 2 1 4 du Manuel des preuves diagnostiques et des vaccins pour les animaux terrestres de l OIE le Manuel terrestre 2004 selon laquelle La mise au point d une m thode immunoenzymatique ELISA indirecte pourrait s av rer utile dans le cadre des programmes de surveillance de la peste bovine notamment dans les zones susceptibles d abriter le virus de la peste bovine de lign e II Toutefois des essais de confirmation seront n cessaires pr alablement son utilisation dans la mesure o les caract ristiques de performance de cette preuve laissent entrevoir un probl me de sp cificit En guise de conclusion les membres du Groupe ad hoc ont estim qu il tait inadmissible de Commission scientifique Janvier 2005 153 Annexe IV suite 73 SG 12 CS3B AHG 9 154 pr coniser une preuve dont les crit res de performance ne sont pas librem
238. rt du Groupe ad hoc sur l valuation des tests de recherche des prot ines non structurales pour le diagnostic de la fi vre aphteuse qui fonctionne sous les auspices de la Commission des normes biologiques Elle a not que les tests de recherche des anticorps anti NSP ont t valid s en tant qu preuves de d pistage de la fi vre aphteuse chez les Commission scientifique Janvier 2005 bovins et que le test de d tection des anticorps 3ABC peut tre utilis comme preuve de r f rence La Commission a exprim sa gratitude au PANAFTOSA pour avoir propos trois s rums de r f rence utilisables dans ces tests Elle a galement pris note que la validation des tests de recherche des NSP chez les ovins est en cours 1 3 3 Peste bovine La Commission a examin le rapport du Groupe ad hoc sur l valuation du statut des pays au regard de la peste bovine 73 SG 12 CS3B AHG 9 et accept de recommander au Comit international en mai 2005 que e le Liban le Nigeria la Tanzanie et une zone d Ethiopie d crite par le D l gu de ce pays ainsi qu une zone du Soudan d crite par le D l gu de ce pays soient reconnus indemnes de la maladie de la peste bovine par I OIE e le B nin le Bhoutan l Erythr e la Mongolie le S n gal le Togo et la Turquie soient reconnus par OIE comme indemnes d infection de la peste bovine La Commission a approuv la position du Groupe ad hoc pr conisant de demander un Pays Memb
239. rtment of Exotic Diseases National Institute of Animal Health 6 20 1 J osuihoncho Kodaira Tokyo 187 0022 JAPON T l 81 42 321 14 41 Fax 81 42 325 51 22 E mail akifuku affrc go jp BUREAU CENTRAL DE L OIE Dr John A Kellar National Manager Disease Surveillance Science Division Canadian Food Inspection Agency 3851 Fallowfield Road Room C305 Ottawa K2H 8P9 CANADA Tel 1 613 228 66 98 Fax 1 613 228 66 75 E mail jkellar inspection gc ca Dr J Pasick Canadian Food Inspection Agency National Centre for Foreign Animal Disease 1015 Arlington Street Winnipeg Manitoba R3E 3M4 CANADA T l 1 204 789 20 13 Fax 1 204 789 20 38 E mail jpasick inspection gc ca Dr Cristobal Zepeda Sein USDA APHIS VS CEAH Centers for Epidemiology amp Animal Health OIE Collaborating Center for Animal Disease Surveillance Systems amp Risk Analysis 2150 Center Ave Building B Fort Collins CO 80526 8117 ETATS UNIS D AM RIQUE T l 970 494 7294 Fax 970 472 2668 E mail cristobal zepeda aphis usda gov Dr Otlotleng Comfort Phiri Onderstepoort Veterinary Institute Exotic Diseases Division Private Bag X 5 Onderstepoort 0110 AFRIQUE DU SUD T l 27 12 5299 560 Fax 27 12 5299 595 E mail PhiriC arc agric za Dr Domenico Rutili National Reference Centre for Classical and African Swine Fever Istituto Zooprofilattico Sperimentale Dell umbria E Delle Marche Via G Salvemin
240. s il convient d appliquer les strat gies suivantes i Les oiseaux sentinelles ne doivent pas tre porteurs d anticorps anti NP M S ils sont positifs pour ces anticorps cela signifie qu ils sont infect s par le virus de l influenza aviaire et des tests d inhibition de l h magglutination sp cifiques doivent tre effectu s pour d terminer s il s agit d une infection par un virus H5 ou H7 ii En cas de vaccination par un vaccin pr par partir de virus inactiv s entiers contenant la NA homologue de celle du virus de terrain la pr sence d anticorps anti NSP pourrait tre r v latrice d une infection Des pr l vements doivent tre entrepris pour exclure la pr sence du virus de la NAI par isolement du virus ou par d tection de mat riel g nomique ou de prot ines sp cifiques du virus iii En cas de vaccination par un vaccin pr par partir de virus inactiv s entiers contenant une NA h t rologue par rapport celle du virus de terrain la pr sence d anticorps dirig s contre la NA ou les NSP du virus de terrain serait r v latrice d une infection Des pr l vements doivent tre entrepris pour exclure la pr sence du virus de la NAI par isolement du virus ou par d tection de mat riel g nomique ou de prot ines sp cifiques du virus b Les vaccins pr par s par expression de l h magglutinine contiennent la prot ine ou le g ne HA homologue de la HA du virus de terrain Des oiseaux
241. s chez les bovins La validation dans d autres esp ces est en cours Les vaccins utilis s doivent se conformer aux normes du Code terrestre sur le plan de la puret afin d viter les interf rences avec la recherche des anticorps anti NSP Les tests s rologiques constituent un outil adapt la surveillance de la fi vre aphteuse Le choix d un syst me de s rosurveillance d pend entre autres du statut vaccinal du pays Un pays indemne de fi vre aphteuse sans vaccination peut adopter une s rosurveillance portant sur les sous populations haut risque sur la base du risque g ographique d exposition au virus aphteux par exemple Les tests SP peuvent tre utilis s dans ces situations pour rechercher des preuves s rologiques de la pr sence du virus aphteux infection circulation si une souche particuli re constituant une menace grave a t identifi e et clairement caract ris e Dans les autres cas les tests NSP sont recommand s pour couvrir un ventail plus large de souches et m me de s rotypes Dans les deux cas les tests s rologiques peuvent apporter une aide compl mentaire pour la surveillance clinique Que l on utilise les tests SP ou NSP dans les pays qui ne pratiquent pas la vaccination un protocole de suivi diagnostique doit tre en place pour effectuer des recherches sur tous les r sultats s rologiques positifs pr liminaires pr somptifs Commission scientifique Janvier 2005 49 Annexe III suite 73 SG 12 CS3B A
242. s d ge 6 12 13 18 et 19 24 mois recueillis 60 jours d intervalle les animaux tant identifi s individuellement par un marquage auriculaire Le dossier pr sentait des donn es suffisantes et d taill es permettant de d montrer l absence de circulation virale Conclusion Le dossier original ainsi que les informations compl mentaires fournies a convaincu le groupe de l absence de circulation virale sur le territoire de l tat d Acre et des deux municipalit s adjacentes de l tat d Amazon Recommandation Le Groupe ad hoc recommande la Commission scientifique d accepter la demande du Br sil et de reconna tre que l tat d Acre State et les deux municipalit s adjacentes de l tat d Amazon sont indemnes de fi vre aphteuse avec vaccination Commission scientifique Janvier 2005 119 Annexe III suite 73 SG 12 CS3B AHG 6 5 e Demande de reconnaissance de deux zones indemnes de la fi vre aphteuse avec vaccination 120 d pos e par la Colombie Rappel des faits Deux dossiers ont t pr sent s par les autorit s colombiennes en vue de la reconnaissance du statut indemne de fi vre aphteuse avec vaccination de deux zones distinctes une zone centrale et une zone m ridionale Les demandes de reconnaissance du statut de ces zones ont t examin es par le Groupe lors d une r union tenue en mars 2004 Le Groupe a t incapable de produire des conclusions concernant les donn
243. s de d tection des anticorps dirig s contre les prot ines non structurales NSP comme d crit dans le Manuel terrestre Quatre strat gies sont reconnues par l OIE dans le cadre des programmes d radication des infections par le virus aphteux la suite de l apparition d un foyer 1 abattage de tous les animaux pr sentant des signes cliniques ainsi que des animaux sensibles ayant t au contact de ces derniers 2 abattage de tous les animaux pr sentant des signes cliniques ainsi que des animaux sensibles ayant t au contact de ces derniers vaccination des animaux 4 risque puis abattage ult rieur des animaux vaccin s 3 abattage de tous les animaux pr sentant des signes cliniques ainsi que des animaux sensibles ayant t au contact de ces derniers et vaccination des animaux risque sans abattage ult rieur des animaux vaccin s 4 vaccination sans abattage des animaux atteints ni abattage ult rieur des animaux vaccin s Les d lais dans lesquels une demande peut tre pr sent e pour recouvrer le statut indemne de fi vre aphteuse d pendent de la solution adopt e Les d lais et mesures prendre sont stipul s dans 1 Article 2 2 10 7 du pr sent Code terrestre En toutes circonstances un Pays Membre demandant a recouvrer son statut indemne pour la totalit de son territoire ou pour une zone ou un compartiment donn e avec ou sans vaccination doit communiquer les r sultats d un programme de
244. s explique par la contamination potentielle de la viande au cours de la transformation par des virus diss min s par les voies respiratoires ou le tube digestif lors de la phase infectieuse aigu e Les oeufs de consommation peuvent tre commercialis s partir de pays zones ou compartiments indemnes de HPNAI s ils proviennent d un tablissement indemne de NAI ou ont t d contamin s en surface et s ils sont exp di s dans des emballages neufs 4 usage unique Le Groupe a discut de la strat gie suivre pour pr parer les lignes directrices sp cifiques sur la surveillance de influenza aviaire Il a t d cid de prendre comme mod le le texte de OIE sur la surveillance de la fi vre aphteuse en y int grant les l ments sp cifiques de l pid miologie de la NAI et en supprimant les l ments non pertinents pour l influenza aviaire Le Groupe a discut du probl me particulier pos par la pr sence du virus de l influenza aviaire chez les oiseaux sauvages Il estime que par essence aucun pays ne peut se d clarer indemne d influenza aviaire chez les oiseaux sauvages et qu il ne serait par cons quent pas possible de d clarer un pays ou une zone indemne de NAL m me si cette possibilit existe pour les compartiments Les participants ont fait remarquer que la d finition propos e pour la NAI dans le chapitre du Code terrestre se r f re uniquement aux volailles celles ci tant ainsi d finies Tous les oise
245. s les gouts si le pH et la temp rature sont correctement contr l s conform ment aux directives La dur e totale de l op ration pour des parties de carcasses est de 3 8 heures selon l agent pathog ne d truire 4 heures pour des d chets contamin s par des bact ries ou des virus et 6heures pour des l ments infect s par une enc phalopathie spongiforme transmissible Une unit mobile a une capacit de digestion de 4 000 livres de carcasses toutes les 8 heures e Fermentation lactique la fermentation lactique est un moyen de conserver des carcasses jusqu l quarrissage 25 semaines au plus La fermentation est un processus ana robie Les carcasses sont broy es en fines particules m lang es avec une source d hydrates de carbone et un inoculant bact rien puis transf r es dans une cuve de fermentation Sources d hydrates de carbone utilisables lactose glucose saccharose lactos rum caillebotte ou m lasse La source d hydrates de carbone est transform e en acide lactique par fermentation par Lactobacillus acidophilus Dans les conditions optimales avec une temp rature d environ 35 C le pH des carcasses fra ches est r duit moins de 4 5 en deux jours Certains micro organismes sont d truits par l acidit alors que les autres seront d truits par la chaleur au cours de l quarrissage Commission scientifique Janvier 2005 35 Annexe III suite 73 SG 12 CS3B AHG 1 Annexe IV suite e Digestion an
246. s les populations vaccin es 4 Recommandations aux autres groupes ad hoc Commission scientifique Janvier 2005 41 73 SG 12 CS3B AHG 2 Annexe III suite Annexe IT REUNION DU GROUPE AD HOC DE L OIE SUR L EPIDEMIOLOGIE MEMBRES Paris 28 30 Juin 2004 Liste des participants Docteur Howard Batho Commission europ enne DG Sant et protection des consommateurs Direction E S curit alimentaire E2 Sant et bien tre des animaux Zootechnie Rue Froissart 3rd Floor room 76 B 1049 Bruxelles BELGIQUE T l 32 2 296 29 59 Fax 32 2 295 31 44 Courriel Howard Batho cec eu int Docteur Ingrid Bergmann Centro Panamericano de Fiebre Aftosa OPS OMS Caixa Postal 589 CEP 20001 970 Rio de Janeiro BRESIL T l 55 21 36 61 90 56 Fax 55 21 36 61 90 01 Courriel ibergman panaftosa ops oms org Professeur Vincenzo Caporale Pr sident de la Commission scientifique de l OIE pour les maladies animales Directeur Istituto Zooprofilattico Sperimentale dell Abruzzo e del Molise G Caporale Via Campo Boario 64100 Teramo ITALIE T l 39 0861 33 22 33 Fax 39 0861 33 22 51 Courriel caporale izs it OBSERVATEUR Docteur Kris De Clercq D partement de virologie Section des maladies pizootiques CODA CERVA VAR Groeselenberg 99 B 1180 Ukkel BELGIQUE T l 32 2 3790 512 Fax 32 2 3790 666 Courriel kris de clercq var fgov be Docteur
247. s pays ou les zones qui s orientent vers un statut indemne la s rosurveillance peut fournir des informations utiles sur la situation sanitaire et sur l efficacit de tout programme de lutte contre la maladie La surveillance cibl e des jeunes animaux r v lera la pr sence ventuelle de nouveaux virus circulants bien qu il faille aussi envisager I existence d anticorps maternels Si un vaccin conventionnel virus att nu est actuellement utilis ou l a t r cemment la s rologie visant d tecter la pr sence du virus circulant devra galement tre appliqu e aux animaux non vaccin s apr s la disparition des anticorps maternels Le contr le s rologique syst matique dans ces situations peut aussi tre appliqu pour estimer le taux de couverture vaccinale Il existe aussi de nouveaux vaccins qui utilis s parall lement des tests s rologiques sp ciaux peuvent permettre la discrimination entre les anticorps induits par la vaccination et ceux produits par l infection naturelle Ces outils d crits dans le Manuel terrestre de l OIE devront tre totalement valid s Ils ne conf rent pas le m me degr de protection que celui assur par les vaccins conventionnels en particulier pour la pr vention des infections transplacentaires En outre une s rosurveillance reposant sur cette diff renciation exige une interpr tation prudente r alis e l chelle de l levage Les r sultats de l chantillonn
248. sceptible d avoir un impact important sur la sant publique ou la sant animale Unit pid miologique Groupe d animaux pr sentant une relation pid miologique d finie par une probabilit analogue d exposition un agent pathog ne soit parce qu ils se trouvent dans le m me environnement animaux d un m me enclos par exemple soit qu ils sont soumis aux m mes m thodes d levage Il s agit g n ralement d un troupeau mais une unit pid miologique peut d signer des groupes d animaux appartenant aux habitants d un m me village ou partageant des bassins de d tiquage communaux La relation pid miologique peut tre diff rente d une maladie une autre ou m me d une souche une autre de l agent pathog ne Maladie d claration obligatoire d signe une maladie inscrite sur une liste tablie par l Administration v t rinaire et dont l existence ou la suspicion doivent tre port es imm diatement la connaissance de l Autorit v t rinaire Foyer d signe l apparition d un ou plusieurs cas 4 Infection par le virus du maedi visna chez les ovins La Commission a examin un document scientifique produit par le Docteur Michel P pin concernant une proposition de chapitre du Code terrestre consacr au maedi visna La Commission a f licit le Docteur P pin pour le travail qu il a accompli mais a estim que deux questions importantes n avaient pas t suffisamment tr
249. sentinelles voir ci dessus peuvent tre utilis s pour d celer les infections par l influenza aviaire Chez les oiseaux vaccin s ou sentinelles la pr sence d anticorps anti NP M anti NSP ou dirig s contre la NA du virus de terrain est indicatrice de l infection Des pr l vements doivent tre entrepris pour exclure la pr sence du virus de la NAI par isolement du virus ou d tection de mat riel g nomique ou de prot ines sp cifiques du virus ii Suivi assurer en cas de r sultat positif r v lateur d une infection pour distinguer entre HPNAI et LPNAI La detection d anticorps indicateurs d une infection par le virus de la NAL comme indiqu dans la section i ci dessus doit donner lieu des investigations pid miologiques et virologiques visant 4 d terminer si les infections sont dues au virus de la HPNAI ou de la LPNAI Des pr l vements virologiques doivent tre pratiqu s sur toutes les populations d oiseaux porteuses d anticorps et 4 risque Les pr l vements doivent tre valu s pour rechercher la pr sence du virus de l influenza aviaire par isolement et identification du virus et ou par d tection de prot ines ou d acides nucl iques sp cifiques de l influenza de type A figure 2 L isolement du virus est la m thode de r f rence pour d tecter les infections par le virus de l influenza aviaire la proc dure est d crite dans le Manuel terrestre Toutes les souches isol es du virus de
250. ses un gros concasseur portable peut concasser jusqu 15 tonnes de carcasses animales l heure Le produit obtenu peut alors tre transport dans des containers scell s ou tre mis fermenter ou congel Les objectifs principaux consistent r duire autant que possible les risques de contamination sur site et maximiser le nombre d options d limination possibles e D versement des carcasses en mer l limination en mer dans une zone c ti re ou sur un plateau continental ne peut intervenir sans l autorisation de l tat riverain qui doit r glementer l limination des d chets et consulter les tats voisins Les conventions internationales exposent un principe fondamental que tous les pays doivent respecter m me s ils n en sont pas signataires Ces conventions n interdisent pas directement l limination des carcasses en mer mais d finissent les conditions remplir Le d versement est possible s il est techniquement et scientifiquement prouv que les mati res liminer ne sont pas nocives et si l tat concern a accord son autorisation officielle e Bioraffinage il s agit d une hydrolyse se d roulant haute pression et haute temp rature r alis e dans une cuve pressuris e scell e Les d chets sont trait s 180 C 12 bars pendant 40 minutes chauff s par application indirecte de vapeur au r acteur biolytique Avec cette m thode on peut prendre en charge des carcasses enti res des farines d
251. sion globale de tous les ensembles de technologies d limination Toute d cision doit par ailleurs refl ter une mise en balance des probl mes scientifiques conomiques et sociaux qui entrent en jeu L abattage en temps utile le maintien de la s curit et la pr vention de la propagation de la maladie sont des consid rations essentielles en termes de lutte sanitaire e Proc dure de prise de decision Exemple de proc dure possible pour aider la prise de d cision en rapprochant l ad quation des diff rentes options d limination des facteurs consid r s comme importants pour l v nement sp cifique consid r tape 1 d finir les facteurs consid rer en incluant tous les l ments importants Autoriser suffisamment de souplesse pour permettre des adaptations ou des modifications en fonction des diff rentes situations et localisations Exemples de facteurs possibles s curit des op rateurs pr occupations communautaires acceptation internationale disponibilit des transports normes industrielles rentabilit et vitesse de r solution Ces facteurs peuvent tre modifi s comme indiqu dans l exemple qui suit pour s adapter au mieux aux v nements en cause tape 2 valuer l importance relative des facteurs en pond rant chacun d eux en fonction de l importance qui leur est attribu e face l v nement en question La somme de toutes les pond rations quel que soit le nombre de facteurs doit s lever
252. souhaitant tre reconnue indemne et le diagnostic de fi vre aphteuse a t cart D pistage s rologique L preuve ELISA de d tection des anticorps 3ABC a t utilis e sur 484 pr l vements bovins ce test a donn un r sultat positif pour un seul chantillon qui tait n gatif l EITB On a soumis 275 pr l vements de cam lid s 66 d ovins et 25 de porcs l preuve VIAA qui a donn des r sultats n gatifs Contr le aux fronti res Bien que la zone pour laquelle est sollicit le statut indemne soit bien isol e par des barri res g ographiques les animaux y sont introduits en vue de leur abattage ou de leur emploi comme b tes de trait en agriculture La p n tration dans la zone est contr l e par 6 postes de contr le situ s dans des endroits strat giques Les conditions d entr e sont les suivantes mise en quarantaine avant les d placements contr les s rologiques effectu s sur les animaux absence de maladies v siculeuses au sein et autour de l exploitation d origine certificat de d placement quarantaine apr s un d placement La zone pour laquelle est sollicit le statut indemne est entour e par une zone tampon constitu par 5 provinces et par les municipalit s d Oruro et Caracollo de la province de Cercado qui repr sentent le reste du d partement avec une population bovine de 45 900 t tes Conclusions Aucun foyer ne s est d clar dans la zone propos e depuis au moins
253. sources vivantes et la vie marine des risques pour la sant humaine une g ne pour les activit s maritimes dont la p che et les autres utilisations l gitimes de la mer une d t rioration de la qualit de l eau utilisable et une perte d attractivit du lieu Commission scientifique Janvier 2005 17 Annexe III suite 73 SG 12 CS3B AHG 1 18 e Un d versement pr vu dans des eaux territoriales dans une zone conomique exclusive ou sur le plateau continental peut tre autoris dans certaines conditions fix es par la l gislation nationale de l tat c tier Si le d versement est pr vu dans des eaux internationales ot il pourrait tre consid r comme une source de pollution l autorisation rel ve des tats concern s supposer que les mati res ne soient pas nocives ou dangereuses L autorisation est fonction de la quantit de mati res rejeter et du danger global qu elles repr sentent e Les Conventions obligent les tats cr er un syst me d autorisation pour permettre ou interdire l op ration si elle est consid r e comme dangereuse sur le plan de la pollution Il s agit dans les faits d un m canisme de d claration et d autorisation Cette obligation concerne e les Etats c tiers pour le d versement l int rieur de leurs eaux territoriales de leur zone conomique exclusive ou de leur plateau continental e les tats d immatriculation des navires battant leur pavillon ou inscrits sur le
254. sp cifiques de diff rents sous types d HA ou de NA ou encore les anticorps anti NSP Chez les oiseaux vaccin s avec des vaccins pr par s par expression de l h magglutinine on d c le des anticorps contre PHA sp cifique mais non contre les autres prot ines du virus de l influenza aviaire La pr sence d anticorps anti NP M anti NSP ou dirig s contre la NA sp cifique du virus trouv sur le terrain est r v latrice de l infection Les oiseaux vaccin s par des vaccins inactiv s entiers peuvent d velopper de faibles titres d anticorps anti NSP mais chez les oiseaux infect s ce titre est nettement plus lev L utilisation d une souche vaccinale d un sous type de NA diff rent de celui du virus pr sent sur le terrain peut aussi permettre de diff rencier les animaux vaccin s des animaux infect s par d tection des anticorps anti NA sp cifiques du sous type de terrain Les vaccins utilis s doivent tre conformes aux normes du Manuel terrestre Tous les levages comportant des animaux s ropositifs doivent tre examin s Les donn es pid miologiques et les tests de laboratoire compl mentaires doivent d montrer le statut de chaque levage positif en mati re d infection ou de circulation de la NAI Un test de confirmation doit pr senter une sp cificit sup rieure celle du test de d pistage et une sensibilit au moins quivalente Il convient de fournir des informations sur les performances et la valida
255. sque fait appara tre une corr lation entre les troupeaux haut risque et un pourcentage plus lev d animaux s rologie positive par exploitation en utilisant V EITB L un des facteurs de risque pris en compte est le d placement des animaux p n trant dans les lieux et tous les animaux qui sont transport s dans les march s aux bestiaux ont re u des vaccinations suppl mentaires Compte tenu des donn es pr sent es qui montrent que le vaccin le plus couramment utilis en Colombie induit une s roconversion vis vis des NSP qui peut atteindre 50 chez les animaux vaccin s le Groupe admet que ce ph nom ne est probablement attribuable au fait que les animaux lev s dans les exploitations haut risque ont re u un plus grand nombre de vaccinations que ceux des levages pr sentant un risque moindre Contr le aux fronti res Des informations compl mentaires ont t fournies d montrant qu il existe suffisamment de postes de contr le en activit pour contr ler la p n tration des animaux dans les zones centrale et m ridionale Commission scientifique Janvier 2005 73 SG 12 CS3B AHG 6 Annexe III suite 5 f Conclusion Les D l gu s de Colombie ont fourni des claircissements concernant la base statistique des enqu tes r alis es et les raisons expliquant la pr valence plus lev e d animaux s rologie positive dans les lieux plus haut risque Les D l gu s ont indiqu au Groupe que la C
256. sur l ensemble de la cha ne de production de commercialisation et de transformation afin d assurer la d claration des cas suspects Les leveurs et les agents zoosanitaires qui sont au contact quotidien des volailles ainsi que les laboratoires de diagnostic doivent tre encourag s signaler rapidement toute suspicion de NAI Ils doivent tre aid s directement ou indirectement par l interm diaire de v t rinaires du secteur priv ou de paraprofessionnels v t rinaires par exemple par des programmes d information gouvernementaux et par l Administration v t rinaire Toutes les suspicions de NAI doivent tre imm diatement examin es Si le cas ne peut tre r solu par les investigations pid miologiques et cliniques comme c est fr quemment le cas avec les infections dues la LPNAI il convient de soumettre des pr l vements un laboratoire agr Des trousses de pr l vement et d autres mat riels doivent par cons quent tre la disposition des responsables de la surveillance qui doivent pouvoir se faire assister par une quipe comp tente en mati re de diagnostic et de lutte contre la NAI Lorsque des r percussions potentielles sur la sant publique sont suspect es il est essentiel d en informer les autorit s charg es de la sant publique b Le programme doit aussi inclure si n cessaire des contr les cliniques ainsi que des tests s rologiques et virologiques r guliers et fr quents sur les grou
257. surveillance active appliqu conform ment aux conditions g n rales et aux m thodes expos es dans les pr sentes lignes directrices Article 3 8 7 6 Utilisation et interpr tation des tests s rologiques Les tests s rologiques recommand s pour la surveillance de la fi vre aphteuse sont d crits dans le Manuel terrestre Les animaux infect s par le virus de la fi vre aphteuse d veloppent des anticorps dirig s 4 la fois contre les prot ines structurales SP et les prot ines non structurales NSP du virus Les anticorps anti SP sont recherch s par la technique ELISA SP et le test de neutralisation virale VNT Les tests SP sont sp cifiques du s rotype Pour obtenir une sensibilit optimale ils devraient tre bas s sur un antig ne ou un virus troitement apparent la souche de terrain contre laquelle des anticorps sont recherch s Les anticorps anti NSP sont recherch s par la m thode I ELISA NSP 3ABC et par une technique d immunoempreinte EITB comme recommand dans le Manuel terrestre ou par des tests valid s quivalents Contrairement aux tests SP les tests NSP peuvent d tecter des anticorps dirig s contre tous les s rotypes du virus aphteux Les animaux vaccin s puis infect s par le virus d veloppent des anticorps anti NSP mais chez certains le titre peut tre inf rieur celui trouv chez les animaux infect s non vaccin s Le test I ELISA NSP 3ABC de m me que le test EITB sont tous deux largement utilis
258. t convaincu le Groupe ad hoc du fait que la structure des services v t rinaires en coop ration avec le PANAFTOSA assure un appui suffisant pour maintenir les garanties sanitaires pr sent es par le P rou Syst mes de surveillance de routine Les informations contenues dans le dossier sont convaincantes mais le Groupe ad hoc a mis des r serves quant l efficacit des postes de contr le aux fronti res en particulier dans les zones jouxtant la Bolivie et la Province de Lima au contr le des d placements d animaux vers la zone souhaitant tre reconnue indemne et au risque qu une nouvelle zone indemne encourage les d placements non cibl s d animaux et l afflux d animaux la faveur d exportations Des campagnes de surveillance s rologique reposant sur les preuves ELISA 3ABC EITB ont t men es en 1999 2000 2001 2002 et 2004 Les informations compl mentaires fournies par la d l gation du Pays Membre r pondent aux pr occupations du Groupe ad hoc Absence d infection ou de circulation virale Le Groupe ad hoc interroge la d l gation du Pays Membre sur la strat gie de pr l vement les vaccinations ant rieures le contr le des mouvements d animaux les raisons de l apparition de foyers sporadiques dans d autres r gions du pays et obtient de la d l gation des informations satisfaisantes propres apaiser les craintes d une application sans nuance des m thodes de gestion des risques Commissi
259. t d sinfection Le contr le du personnel qui p n tre dans les tablissements et la sensibilisation au risque li la propagation par les objets Linterdiction d introduire dans les tablissements des produits de la chasse La tenue d un registre consignant les d placements d animaux entrant et sortant des tablissements Des programmes d information et de formation destin s aux leveurs aux chasseurs aux industries alimentaires aux v t rinaires etc Le programme de bios curit mis en place par le compartiment indemne de peste porcine classique devra galement faire l objet d une surveillance interne et externe exerc e par les autorit s v t rinaires Ces l ments doivent comprendre entre autres Un suivi clinique et s rologique p riodique des troupeaux lev s dans le compartiment et des populations de porcs sauvages voisines effectu conform ment aux pr sentes lignes directrices L enregistrement des animaux dans le compartiment L accr ditation officielle du programme de bios curit Le suivi et la r vision p riodiques Quand des porcs domestiques sont lev s en libert l chelle familiale proximit imm diate de zones o existent des porcs sauvages infect s par la peste porcine classique ces populations ne peuvent pas tre reconnues comme tant un compartiment distinct des porcs sauvages Le contr le du statut des populations sauvages au regard de la pes
260. t harmonis s pour I Office Conform ment la pratique classique en vertu de laquelle les Groupes ad hoc qui fonctionnent sous les auspices de la Commission scientifique sont pr sid s par un membre de cette Commission la r union a t pr sid e par le Professeur Vincenzo Caporale Pr sident de la Commission scientifique de l OIE pour les maladies animales Le Docteur Philippe Vannier a remplac le Professeur Caporale a la fonction de pr sident pour une partie de la r union et le Docteur John Pasick a t nomm rapporteur Pendant ses d lib rations Le Groupe a pris en compte des informations issues d un certain nombre de sources parmi lesquelles figuraient entre autres Le Chapitre 2 1 13 du Code sanitaire pour les animaux terrestres consacr la peste porcine classique Le Chapitre 1 3 6 du Code sanitaire pour les animaux terrestres sur l pid miosurveillance Le Chapitre 1 3 3 du Code sanitaire pour les animaux terrestres sur Y Evaluation des Services v t rinaires Le Manuel des tests de diagnostic et des vaccins pour les animaux terrestres Edition 2004 Le rapport du Groupe ad hoc sur l pid miologie Paris 28 30 juin 2004 1 Code sanitaire pour les animaux terrestres chapitre 2 6 7 sur la peste porcine classique Le Groupe a examin le chapitre 2 6 7 et a plusieurs recommandations formuler au Comit scientifique Une d finition de l infection par le virus de la peste porcine classique doit tre in
261. t n est pas actuellement int gr dans le chapitre sur la peste porcine classique le Groupe a pens qu il n tait pas prudent de d finir des lignes directrices relatives la surveillance qui le prennent en compte Ces r f rences ont t supprim es du texte r dig en septembre 4 Manuel terrestre chapitre 2 1 13 Le Groupe a envisag que la reconnaissance d un statut indemne en cas d adoption d une strat gie de vaccination soit subordonn e un certain nombre d l ments Parmi les plus importants de ces l ments figurerait la qualit des vaccins utilis s et les performances des trousses de diagnostic employ es chez ces populations vaccin es La qualit et l efficacit des vaccins r cemment obtenus et des kits de diagnostic ont t valid es conform ment aux normes de l OIE mais parmi les vaccins et les tests de diagnostic d crits dans le Manuel terrestre tous n ont pas t soumis un examen aussi approfondi Le Groupe a recommand qu une valuation compl te des performances des vaccins contre la peste porcine classique et trousses de diagnostic soit r alis e par la Commission sp cialis e de l OIE comp tente la lumi re des publications scientifiques 5 Amendement des Lignes directrices pour la surveillance de la peste porcine classique Les Lignes directrices modifi es relatives la surveillance de la peste porcine classique sont pr sent es dans P Annexe III Ann
262. taires pourraient tre exig s Les membres du Groupe ont estim qu il tait n cessaire de pr parer d autres documents pour mieux conseiller les candidats sur la marche suivre en mati re de d p t des dossiers On y trouvera entre autres i des informations sur le format des fichiers lectroniques le format PDF a t recommand par le Groupe et ii la date limite de d p t des dossiers en fonction des r unions du Groupe ad hoc Commission scientifique Janvier 2005 85 Annexe III suite 73 SG 12 CS3B AHG 5 86 Rapport de la derni re r union du Groupe ad hoc de l OIE pour l valuation du statut des pays au regard de la fievre aphteuse 8 9 mars 2004 Le rapport a t accept en l tat Evaluation du statut des pays au regard de la fievre aphteuse 2 1 Demande de l Argentine en vue du recouvrement pour une zone du statut indemne de fi vre aphteuse avec vaccination Le Docteur Correa a d fini le contexte g n ral dans lequel s inscrit la demande et est revenu sur l histoire r cente de la fi vre aphteuse dans la r gion et notamment en Argentine Un seul foyer tait apparu dans une zone jadis reconnue indemne de fi vre aphteuse avec vaccination L importation en provenance d un pays voisin de bovins contamin s et abattus dans des installations proches de la zone avait probablement t a l origine de l infection Le Groupe a tudi la demande sur la base des rubriques utilis es pr c d
263. tant de d tecter les repr sentants de tous les s rotypes preuves faisant appel aux prot ines virales non structurales par exemple voir ci apr s Pour la surveillance de la fi vre aphteuse il est possible d utiliser du s rum recueilli 4 d autres fins pour autant que soient respect s les principes de surveillance d crits ici ainsi que la validit statistique du protocole de recherche du virus Il faut pr voir que les r actions s rologiques positives apparaissent souvent regroup es traduisant diff rentes s ries d v nements entre autres la d mographie de la population chantillonn e l exposition vaccinale ou I existence d une infection par une souche pr sente sur le terrain Etant donn qu un regroupement peut signaler une infection par une souche de ce type le protocole de surveillance doit pr voir des investigations sur chacun des cas observ s Si la vaccination ne peut tre exclue comme cause de positivit d un test s rologique il convient de recourir des tests de recherche des anticorps dirig s contre les prot ines non structurales NSP du virus aphteux comme d crit dans le Manuel terrestre Les r sultats des recherches s rologiques al atoires ou sp cifiques constituent une preuve fiable de l absence d infection par le virus aphteux dans un pays ou dans une zone Il est donc essentiel que ces recherches soient rigoureusement tay es Article 3 8 7 3 Justification du statut ind
264. te Selon le protocole de surveillance la premi re enqu te visait d tecter une pr valence minimum de 10 et la deuxi me visait d tecter une augmentation significative aboutissant une pr valence sup rieure 25 En plus du d pistage s rologique des tudes pid miologiques d taill es ont t men es comprenant la recherche de signes cliniques les pr l vements r p t s d chantillons s riques sur des sentinelles non vaccin es l aspiration des s cr tions oropharyng es des animaux s rologie positive le d pistage des autres esp ces sensibles pr sentes sur les lieux pour rechercher les anticorps anti VIAA enfin l analyse des risques pour valuer la probabilit d une circulation virale au sein de l exploitation Dans le cadre de l enqu te de suivie la pr valence des animaux s rologie positive par exploitation ne d passait pas le seuil fix partir duquel on consid re qu une circulation virale existe Aucune s roconversion n a t d tect e chez les sentinelles il n a t d couvert aucun animal manifestant des signes cliniques vocateurs de la fi vre aphteuse et les pr l vements oeso pharyng s l aide d une curette pharyngienne ont donn des r sultats n gatifs Le Groupe est convaincu que ces r sultats permettent d affirmer l absence de circulation virale dans les zones centrale et m ridionale Le Groupe observe que pour la zone centrale l valuation du ri
265. te porcine classique par un examen clinique approfondi des animaux sensibles est un des l ments de la surveillance clinique L ventail des signes pathologiques et les l sions macroscopiques observ s dans les infections par le virus de la peste porcine classique ainsi que la multitude des agents l origine de pathologies pouvant mimer la peste porcine classique font que l examen clinique en tant que seul outil de surveillance n est pas tr s efficace Toutefois le tableau clinique ne doit pas tre n glig en tant qu outil de d tection pr coce en particulier tous les cas chez lesquels des l sions ou des signes cliniques vocateurs de la peste porcine classique s accompagnent d une morbidit et ou d une mortalit lev e doivent tre examin s imm diatement Dans les infections dues des souches peu virulentes du virus de la peste porcine classique une forte mortalit ne peut tre observ e que chez les jeunes animaux Dans le pass l identification clinique des cas tait l l ment essentiel de la d tection pr coce de la peste porcine classique Toutefois l apparition de souches peu virulentes du virus et de nouvelles maladies en particulier du syndrome cachectique multisyst mique du post sevrage et du syndrome dermatite n phropathie porcin a diminu l efficacit de la l identification clinique et dans les pays o les deux maladies pr cit es sont tr s r pandues le risque de masquer la
266. te porcine classique pr sentera un int r t pour l appr ciation du risque qu elles repr sentent pour le compartiment indemne de la maladie Les modalit s du syst me de surveillance des porcs sauvages d pendent de plusieurs facteurs tels que l organisation des services v t rinaires et les ressources disponibles L apparition de la peste porcine classique chez des porcs sauvages peut tre tr s variable d un pays un autre Le protocole de surveillance doit tre tabli partir de donn es scientifiques et les pays membres doivent justifier le choix de la pr valence escompt e et du niveau de confiance sur la base du chapitre 1 3 6 La r partition g ographique et la taille approximative des populations de porcs sauvages doivent tre valu es en tant que condition pr alable la conception d un syst me de surveillance Parmi les sources d informations peuvent figurer les organisations pour la conservation de la faune sauvage les associations de chasseurs et autres L objectif d un programme de surveillance quand on sait d j que la maladie existe doit tre de d finir la r partition g ographique et l ampleur de l infection 66 Commission scientifique Janvier 2005 73 SG 12 CS3B AHG 3 Annexe III suite Annexe III suite Recouvrement du statut indemne Demande de recouvrement du statut de pays zone ou compartiment indemne de peste porcine classique apr s la survenue d un foyer Un pays qui demande
267. tection offrent de plus en plus de possibilit s de d pistage grande chelle du virus pour un co t raisonnable Les porcs sauvages et en particulier ceux qui vivent en totale libert offrent rarement l occasion d une observation clinique mais ils devraient faire partie int grante de tout programme de surveillance et dans l id al il faudrait les suivre pour rechercher la pr sence du virus ainsi que des anticorps La pr paration des vaccins et les m thodes employ es pour le diagnostic en particulier les m thodes de d tection des virus reposent de plus en plus sur les connaissances actualis es portant sur les caract ristiques mol culaires antig niques et d autres traits biologiques des virus actuellement en circulation et responsables de maladies En outre la connaissance pid miologique des voies de propagation du virus de la peste porcine classique peut tre consid rablement am lior e par l analyse mol culaire des virus pr sents dans les zones end miques ou des virus responsables de foyers dans des zones indemnes Par cons quent il est essentiel que des souches de virus de la peste porcine classique soient r guli rement adress es au laboratoire de r f rence r gional de OIE en vue de leur caract ristation g n tique et antig nique Surveillance s rologique La surveillance s rologique vise d tecter des anticorps dirig s contre le virus de la peste porcine classique Des r sultats positifs
268. ticulier pour le diagnostic s rologique de la peste porcine classique en raison de l existence bien tablie d une r activit crois e avec les pestivirus des ruminants Il doit exister une proc dure efficace pour le suivi des r sultats positifs permettant d tablir avec un niveau de confiance lev s ils r v lent la pr sence d une infection par le virus de la peste porcine classique Ce suivi doit comprendre des tests de confirmation et des tests permettant de faire le diagnostic diff rentiel avec les pestivirus de m me que des tudes plus approfondies concernant l unit de pr l vement originale et les animaux pr sentant des liens pid miologiques possibles avec un foyer de peste porcine classique Surveillance clinique et virologique La surveillance clinique et virologique de la peste porcine classique outre son r le dans la surveillance cibl e vise deux objectifs a raccourcir le laps de temps qui s coule entre l introduction du virus de la peste porcine classique dans un pays ou une zone indemne et sa d tection et b confirmer qu aucun foyer n est pass inaper u La d tection de signes cliniques de la peste porcine classique par un examen clinique approfondi des animaux sensibles est un des l ments de la surveillance clinique L ventail des signes pathologiques et les l sions macroscopiques observ s dans les infections par le virus de la peste porcine classique ainsi que la multitude des ag
269. tifique pour les maladies animales pour le 28 janvier 2005 Commission scientifique Janvier 2005 25 73 SG 12 CS3B AHG 1 Annexe III suite Annexe IV Annexe 3 6 5 Lignes directrices g n rales sur l limination des carcasses Introduction La destruction en masse et l limination des animaux en cas de foyer de maladie animale font toujours l objet d une grande attention par le public et les m dias L Administration v t rinaire du Pays membre concern doit par cons quent conduire les op rations d limination des carcasses selon des principes scientifiquement acceptables pour d truire l agent pathog ne responsable de la maladie sans omettre les contraintes de protection animale les pr occupations du public et le respect de l environnement Les lignes directrices de la pr sente Annexe sont de nature g n rale et g n rique Il est recommand de les adopter apr s avoir tudi les modalit s d application les mieux adapt es aux circonstances sp cifiques du foyer Le choix d une ou plusieurs technologies parmi celles qui sont recommand es doit tre conforme aux obligations pr vues par les l gislations locales et nationales et compatible avec les ressources disponibles dans le Pays Membre concern Les lignes directrices doivent aussi tre appliqu es en conjonction avec les proc dures d crites pour l abattage d cent des animaux dans l Annexe XXX du Code Le pr sent chapitre a pour but donner des d finitions suc
270. tion d un certificat v t rinaire international attestant que les animaux 1 proviennent d un troupeau indemne ou ont t soumis avec r sultat n gatif une intradermotuberculination pendant les 30 jours ayant pr c d leur chargement 2 ne sont pas limin s dans le cadre d un programme d radication de la tuberculose bovine Article 2 3 3 7 Les Administrations v t rinaires des pays importateurs tiennent compte pour la semence de bovins de la pr sentation d un certificat v t rinaire international attestant que 1 les g niteurs ayant fourni la semence a ne pr sentaient aucun signe clinique de tuberculose bovine le jour du pr l vement de la semence b ont s journ dans un centre d insemination artificielle indemne de tuberculose bovine situ dans un pays une zone ou un compartiment indemnes de tuberculose bovine et qui n accepte que des animaux issus de troupeaux indemnes dans un pays une zone ou un compartiment indemnes OU c ont t soumis avec r sultat n gatif des intradermotuberculinations effectu es 6 mois d intervalle et ont s journ dans un centre d insemination artificielle indemne de tuberculose bovine 2 la semence a t pr lev e manipul e et stock e conform ment aux dispositions de la section 3 2 Article 2 3 3 8 Les Administrations v t rinaires des pays importateurs tiennent compte pour les embryons ovules de bovins de la pr se
271. tion des tests utilis s i Suivi assurer en cas de r sultat positif lorsque la vaccination est pratiqu e En pr sence de populations vaccin es il faut pouvoir exclure que les r sultats positifs sont r v lateurs d une circulation virale cette fin la proc dure ci dessous doit tre respect e pour les investigations faisant suite des r sultats s rologiques positifs obtenus lors d une surveillance sur les populations vaccin es Les investigations doivent examiner toutes les donn es susceptibles de confirmer ou de r futer l hypoth se que les r sultats s rologiques positifs enregistr s par la surveillance initiale ne sont pas imputables une circulation du virus Toutes les informations pid miologiques doivent tre justifi es et les r sultats collationn s dans le rapport final 148 Commission scientifique Janvier 2005 73 SG 12 CS3B AHG 8 Annexe III suite Annexe III suite L laboration d une strat gie reposant sur la s rologie pour distinguer les animaux infect s des animaux vaccin s exige imp rativement la connaissance du type de vaccin utilis a Pour les vaccins pr par s a partir de virus inactiv s entiers on peut utiliser des sous types de neuraminidase homologues ou h t rologues pour diff rencier les souches vaccinales des souches de terrain Si les oiseaux de la population sont porteurs d anticorps anti NP M et s ils ont t vaccin s avec un vaccin virus inactiv s entier
272. titu s de 70 d eau et pr f rent les d chets n en contenant que 25 C est pourquoi une combinaison entre l quarrissage et l incin ration parait une approche prometteuse Les cendres qui en r sultent posent moins de probl mes et sont consid r es comme sans danger Bien qu il s agisse d une proc dure plus contr l e il reste un risque potentiel d incendie Les incin rateurs de collectivit s locales sont des installations pr tablies normalement utilis es pour l incin ration des d chets m nagers ou industriels Ils ne sont pas n cessairement agr s pour incin rer des carcasses Co incin ration op ration dans laquelle des farines de viande et d os des carcasses ou des parties de carcasses sont incin r es en association avec d autres substances telles que des d chets dangereux des d chets d h pitaux et d autres produits industriels issus de centrales lectriques de fours 4 ciment de hauts fourneaux et de fours 4 coke Dans la pratique les farines de viande et d os ont t utilis es comme combustibles secondaires grande chelle dans les cimenteries et les centrales lectriques Incin ration rideau d air l incin ration rideau d air fait appel une machinerie ventilation forc e dans laquelle une masse d air traverse un collecteur cr ant un environnement turbulent dans lequel l incin ration peut tre six fois plus rapide qu ciel ouvert Le mat riel n cessaire peut tre mobile afin d
273. tive ou passive de l infection d autres animaux sauvages ou domestiques Facteurs sociaux li s l limination des carcasses Les abattages sanitaires et les destructions d animaux visant radiquer des maladies infectieuses sont souvent l origine de r actions v h mentes de la part du public Des r actions peuvent tre attendues de la part des propri taires des animaux abattre des leveurs qui craignent que leurs animaux ne contractent la maladie des soci t s de protection animale qui tentent de sauver la vie des animaux des personnes qui d testent voir l abattage des animaux et leur transport l incin ration et l enfouissement des carcasses des organisations qui luttent pour la protection de l environnement de ceux qui per oivent l abattage sanitaire comme un g chis d aliments comestibles etc Une politique d abattage sanitaire est en principe appliqu e pour d fendre les exportations du secteur de l levage et rel ve aussi de motivations conomiques Dans certains pays le grand public et les responsables politiques expriment cependant des doutes ou des oppositions vis vis des raisons conomiques qui constituent le principal moteur de cette strat gie Les leveurs eux m mes ne reconnaissent pas tous la n cessit conomique de l abattage sanitaire Pour nombre d entre eux le retour rapide sur le march de l exportation n a pas d int r t Les animaux repr sentent souvent une valeur beaucoup plus im
274. tre transport sur le site mais les risques d incendie doivent tre pris en compte Dans la mesure o ce type d incin rateur peut tre transport sur le site il n est pas n cessaire de d placer les carcasses Cette m thode assure galement une inactivation efficace des agents pathog nes et permet d atteindre des temp ratures plus lev es 1 000 C Pouss par des moteurs diesel l air est pouss grande vitesse soit dans une chambre r fractaire m tallique soit dans une fosse d incin ration l ments n cessaires bois rapport bois carcasses de 1 1 2 1 gas oil pour le feu et le ventilateur rideau d air et personnel correctement form Pour l incin ration de 500 porcs adultes il faut 30 cordes de bois sec et 200 gallons pr s de 800 litres de gas oil Les mati res sont transform es en cendres Dans la mesure o les op rations ne sont pas totalement confin es elles sont sujettes des facteurs variables tels que les interventions humaines les conditions m t orologiques et les pr f rences communautaires locales Incin ration ciel ouvert il s agit d un syst me ouvert d incin ration des carcasses mis en place sur l exploitation m me ou sur des sites centralis s avec pour combustibles des mati res compl mentaires de haute teneur nerg tique Il s agit d une proc dure bien tablie qui peut tre conduite sur site sans n cessiter de transports Les op rations peuvent cependant tre contraires aux no
275. u S curit des 20 7 op rateurs Rapidit de 20 r solution Inactivation des agents 15 pathog nes Impact sur l environnement R action du public 10 Disponibilit des 5 1 5 transports Acceptabilit pour 5 l industrie KEE TEE Risque pour la 5 faune sauvage a aux 5 contraintes pond rations 100 somme somme somme somme somme somme 100 unit s 38 Commission scientifique Janvier 2005 Annexe III suite 73 SG 12 CS3B AHG 2 Original anglais Juin 2004 REUNION DU GROUPE AD HOC DE L OIE SUR L EPIDEMIOLOGIE Paris 28 30 juin 2004 La r union du Groupe ad hoc sur l pid miologie de la Commission scientifique pour les maladies animales la Commission scientifique s est tenue au si ge de l OIE Paris du 28 au 30 juin 2004 L ordre du jour et la liste des participants figurent respectivement dans les Annexes I et II Le Docteur Bernard Vallat Directeur g n ral de l OIE a accueilli les membres du Groupe et a rappel que le Comit international de l OIE attendait beaucoup des travaux de ce Groupe notamment sur l Annexe contenant les lignes directrices sur la surveillance requise pour obtenir ou recouvrer le statut de pays ou zone indemne de fi vre aphteuse Le Docteur Vallat a galement soulign l importance de la collaboration entre les commissions sp cialis es de l OIE et les groupes ad hoc afin de produire des documents communs et harmonis s pour l OIE Conform ment aux
276. u un premier projet des diff rentes contributions serait communiqu par courrier lectronique au pr sident du Groupe pour le 30 ao t 2004 et que le texte serait rediffus aux membres du Groupe pour le 15 septembre 2004 afin de pouvoir soumettre un projet final la Commission scientifique pour le 30 septembre 2004 Les points suivants ont t retenus comme l ments essentiels retenir pour l annexe proposer pour le Code terrestre Introduction L introduction doit mettre en vidence a l tendue et le champ d application des lignes directrices b les m thodes alternatives telles que la vaccination c l importance des lignes directrices sur l limination des carcasses dans les conditions de routine en dehors de la destruction et l limination de masse des animaux et d la protection des animaux et de l environnement D finitions Il convient de d finir certains concepts ou termes carcasses limination des carcasses technologie transport bios curit s curit pour l homme et destruction de masse tels qu ils doivent tre entendus dans l annexe Regulation et juridiction Les Pays membres doivent tre sensibilis s 4 la n cessit de se doter d un cadre l gislatif et de reconnaitre la l gislation subs quente applicable au niveau international national et infranational Activit s pr alables la survenue d un foyer Aspects traiter strat gie de communication sensibilisation des d cid
277. ue E mail a schudel oie int Dr Dewan Sibartie Adjoint au Chef du Service scientifique et technique E mail d sibartie oie int 59 73 SG 12 CS3B AHG 3 Annexe III suite Annexe III ANNEXE X X X LIGNES DIRECTRICES POUR LA SURVEILLANCE REQUISE POUR ETAYER LA RECONNAISSANCE OU LE RECOUVREMENT DU STATUT DE PAYS OU DE ZONE INDEMNE DE PESTE PORCINE CLASSIQUE Article X X X 1 Introduction Le pr sent document d finit les principes et donne des orientations en mati re de surveillance de la peste porcine classique conform ment aux dispositions du chapitre 1 3 6 dans les pays ou zones qui demandent POIE tre reconnus indemnes de peste porcine classique Cette demande peut concerner l ensemble du pays ou une zone compartiment situ e l int rieur de celui ci Des indications sont galement donn es aux pays qui souhaitent recouvrer le statut indemne de peste porcine classique pour tout ou partie du territoire apr s l apparition d un foyer de m me que sont fournies des lignes directrices permettant de d montrer le maintien du statut indeme de peste bovine classique Ces lignes directrices sont destin es d velopper et expliquer les conditions stipul es dans le chapitre 2 6 7 du Code terrestre La peste porcine classique a des cons quences et une pid miologie tr s variables selon les diff rentes r gions du monde il est donc impossible de proposer des lignes directrices sp cifiques applicab
278. ue indemne de la maladie La conception d un syst me de surveillance des porcs sauvages d pend de plusieurs facteurs notamment de l organisation des Services v t rinaires et des ressources disponibles L apparition de la peste porcine classique chez des porcs sauvages peut tre tr s variable d un pays 4 un autre Le protocole de surveillance doit tre tabli 4 partir de donn es scientifiques et le Pays Membre doit justifier le choix de la pr valence escompt e et du niveau de confiance sur la base du chapitre 1 3 6 La r partition g ographique et la taille approximative des populations de porcs sauvages doivent tre valu es en tant que condition pr alable 4 la conception d un syst me de surveillance Parmi les sources d informations peuvent figurer les organisations pour la conservation de la faune sauvage les associations de chasseurs et autres L objectif d un programme de surveillance quand on sait d ja que la maladie existe doit tre de d finir la r partition g ographique et l ampleur de I infection Recouvrement du statut indemne 1 Demande du recouvrement du statut de pays ou de zone indemne de peste porcine classique apr s la survenue d un foyer Un pays qui demande recouvrer son statut indemne de peste porcine classique pour tout ou partie de son territoire doit non seulement satisfaire les conditions g n rales d crites dans le chapitre 2 6 7 du Code terrestre mais aussi faire la preuve de l
279. uelle de nouveaux virus circulants bien qu il faille aussi envisager l existence d anticorps maternels Si un vaccin classique virus att nu est actuellement utilis ou l a t r cemment la s rologie visant d tecter la pr sence du virus circulant devra galement tre appliqu e aux animaux non vaccin s apr s la disparition des anticorps maternels Le contr le s rologique syst matique dans ces situations peut aussi tre appliqu pour estimer le taux de couverture vaccinale Il existe aussi de nouveaux vaccins qui utilis s parall lement des tests s rologiques sp ciaux peuvent permettre la discrimination entre les anticorps induits par la vaccination et ceux produits par l infection naturelle Ces outils sont assez prometteurs mais ils ne conf rent pas le m me degr de protection que celui assur par les vaccins conventionnels en particulier pour la pr vention des infections transplacentaires De plus une s rosurveillance reposant sur cette diff renciation exige une interpr tation r alis e avec prudence et l chelle d un levage Les r sultats de l chantillonnage al atoire ou de la surveillance cibl e ax e sur la s rologie sont importants en cela qu ils permettront d apporter la preuve tangible qu aucune infection par le virus de la peste porcine classique n est pr sente dans le pays ou la zone consid r e Il est donc essentiel que la surveillance soit soigneusement tay e
280. ult s suppl mentaires par rapport celles pos es par les populations domestiques dans chacun des domaines suivants D termination de la distribution de la taille et des d placements de la population de porcs sauvages Evaluation de la pr sence possible de la peste porcine classique au sein de la population Appr ciation de la faisabilit de la d finition de zones La conception d un syst me de surveillance des porcs sauvages d pend de plusieurs facteurs notamment de l organisation des Services v t rinaires et des ressources disponibles La r partition g ographique et la taille approximative des populations de porcs sauvages doivent tre valu es en tant que condition pr alable la conception d un syst me de surveillance Parmi les sources d informations peuvent figurer les organisations pour la conservation de la faune sauvage les associations de chasseurs et autres L objectif d un programme de surveillance consiste d terminer la r partition g ographique et les effectifs de la population cible L estimation de la population de porcs sauvages peut tre effectu e gr ce des m thodes pointues radio tracking metteurs radios install s sur les animaux m thode du transect lin aire capture recapture ou par des m thodes traditionnelles fond es sur le nombre d animaux pouvant tre chass s pour permettre un repeuplement naturel sacs de battue Pour mettre en oeuvre le programme de surv
281. un test de d tection des anticorps dirig s contre le virus de la peste porcine classique ont cinq causes possibles a infection naturelle par le virus de la peste porcine classique b vaccination l gale ou ill gale contre la peste porcine classique c pr sence d anticorps maternels si la m re tait immunis e en g n ral on peut d celer les anticorps maternels chez les porcs jusqu l ge de 4 5 mois mais chez certains individus ces anticorps peuvent tre d cel s pendant un laps de temps beaucoup plus long 64 Commission scientifique Janvier 2005 73 SG 12 CS3B AHG 3 Annexe III suite Annexe III suite d existence de r actions crois es avec d autres pestivirus e animaux pr sentant des r actions positives non sp cifiques L infection des porcs par d autres pestivirus peut compliquer une strat gie de surveillance fond e sur la s rologie En raison de l existence d antig nes communs on peut obtenir des r sultats positifs aux preuves s rologiques de d tection de la peste porcine classique en r alit attribuables des anticorps dirig s contre le virus de la diarrh e virale bovine ou contre le virus de la maladie de Border BDV Il conviendra de pratiquer des tests diff rentiels sur ces pr l vements pour en confirmer l identit Bien que les porcs infect s permanents immunotol rants soient eux m mes s ron gatifs ils excr tent continuellement le virus ainsi la pr valence
282. ur la perte de leurs animaux ou pour la mise disposition des sites d enfouissement ou d incin ration am liore l acceptabilit e Transport avec toutes les technologies d limination des grues des pelleteuses et des camions sont n cessaires pour le transport des carcasses Or ces mat riels peuvent contaminer d autres exploitations Le nettoyage et la d sinfection de l ext rieur des v hicules quittant un site infect doivent faire l objet d une attention toute particuli re L hygi ne du chauffeur de sa cabine de ses placards de ses v tements et de ses chaussures doit faire partie de cette proc dure Les camions transportant des carcasses doivent tre tanches et enti rement couverts pour viter toute diss mination de l agent pathog ne Il appartient aux Services v t rinaires de contr ler le d part des v hicules du site les itin raires emprunt s et son arriv e l usine ou au point d limination e Animaux sauvages de nombreuses maladies infectieuses peuvent toucher les animaux sauvages ou domestiques Parfois les animaux domestiques sont contamin s par contact avec le gibier mais la faune sauvage peut aussi tre contamin e par un foyer survenu sur une exploitation Lors de l limination des carcasses une attention toute particuli re doit tre accord e la pr vention de la contamination des animaux sauvages Des pr dateurs peuvent aussi tenter d acc der aux carcasses d o un risque de propagation ac
283. ur registre e Tous les tats pour le chargement de d chets ou d autres mati res sur leur territoire ou leurs terminaux offshore La d finition donn e pour l limination des d chets est large et couvre tout rejet d lib r en mer de d chets ou d autres mati res Le principe est le suivant e _ Tl est interdit de d verser certains d chets sp cifi s e Une autorisation sp ciale doit tre pr alablement requise pour le d versement de certains d chets sp cifi s e Une autorisation g n rale doit tre pr alablement requise pour le d versement de tout autre d chet Les d chets sp cifi s ne concernent pas les mati res organiques non contamin es d origine naturelle Cependant la d livrance des autorisations g n rales doit prendre en compte les caract ristiques et la composition des mati res rejeter savoir e Propri t s physiques solubilit et densit par exemple chimiques et biochimiques demande en oxyg ne et l ments nutritifs entre autres biologiques pr sence de virus bact ries levures ou parasites entre autres Toxicit e Probabilit de production de souillures ou d autres modifications r duisant I aptitude la commercialisation des ressources poissons crustac s etc Ainsi l limination en mer dans une zone c ti re ou sur un plateau continental ne peut intervenir sans l autorisation de l tat riverain qui doit r glementer l limination des d c
284. uvrer le statut indemne de fi vre aphteuse sans vaccination Tout test positif qu il s agisse d un test SP ou d un test NSP doit imm diatement faire l objet d investigations cliniques pid miologiques s rologiques et si possible virologiques adapt es portant sur l animal s ropositif concern sur les animaux sensibles appartenant la m me unit pid miologique et sur les animaux sensibles ayant t en contact avec l animal positif ou pr sentant un autre lien pid miologique avec lui Si les investigations de suivi ne montrent aucune preuve d infection par le virus aphteux l animal sera class comme n gatif pour la fi vre aphteuse Dans tous les autres cas ou d faut de telles investigations l animal sera class comme positif pour la fi vre aphteuse ii Suivi 4 assurer en cas de r sultat positif lorsque la vaccination est pratiqu e en vue d obtenir ou de recouvrer le statut indemne de fi vre aphteuse avec vaccination En pr sence de populations vaccin es il faut pouvoir exclure que les r sultats positifs sont r v lateurs d une circulation virale A cette fin la proc dure suivante doit tre respect e pour les investigations faisant suite 4 des r sultats s rologiques positifs obtenus lors d une surveillance portant sur des populations vaccin es Les investigations doivent examiner toutes les preuves susceptibles de confirmer ou de r futer l hypoth se que les r sultats s rologiques positifs e
285. v s en ext rieur les levages situ s proximit de porcs sauvages infect s Chaque pays doit identifier ses propres facteurs de risque Il peut s agir de la distribution temporelle et spatiale des foyers apparus par le pass des donn es d mographiques sur les porcs des d placements de ces animaux etc Pour des raisons financi res compte tenu de la dur e de persistance des titres d anticorps de m me que de l existence d infections cliniquement inapparentes et des difficult s li es au diagnostic diff rentiel pouvant faire voquer d autres maladies la s rologie est souvent la m thode de surveillance la plus efficace et la plus efficiente Dans certaines circonstances qui seront examin es ult rieurement la surveillance clinique et virologique peut galement pr senter un int r t 78 Commission scientifique Janvier 2005 73 SG 12 CS3B AHG 4 Annexe III suite Annexe III suite Le pays doit justifier le choix de sa strat gie de surveillance en d montrant qu elle est de nature 4 d tecter la pr sence de l infection par le virus de la peste porcine classique conform ment aux dispositions du chapitre 1 3 6 et la situation pid miologique Au fil du temps les r sultats cumul s des enqu tes conjugu s aux r sultats de la surveillance passive augmenteront le niveau de confiance associ la strat gie de surveillance Si un Pays Membre souhaite demander la reconnaissance de l absence d infect
286. v t rinaires des pays importateurs tiennent compte pour les produits carn s de la pr sentation d un certificat v t rinaire international attestant que 1 la viande provient d animaux qui satisfont les conditions nonc es dans PArticle 2 3 3 9 2 les pr cautions n cessaires ont t prises apr s le traitement pour viter que les viandes n entrent en contact avec une source potentielle de M bovis Article 2 3 3 11 Les Administrations v t rinaires des pays importateurs tiennent compte pour le lait et les produits laitiers de la pr sentation d un certificat v t rinaire international attestant que les produits proviennent d animaux appartenant un cheptel indemne de tuberculose bovine QU de la pasteurisation ou de la combinaison de mesures prophylactiques d une efficacit quivalente sur la r duction de Mycobacterium bovis dans le lait cru appliqu es aux produits conform ment aux dispositions du Code d usages en mati re d hygiene pour le lait et les produits laitiers du Codex Alimentarius Article 2 3 3 12 Les Administrations v t rinaires des pays importateurs tiennent compte pour les cuirs et les peaux de bovins de la pr sentation d un certificat v t rinaire international attestant que 1 les produits proviennent en totalit d animaux qui ont t soumis avec r sultat favorable
287. x et internationaux animaux mat riel g n tique semence et embryons produits d origine animale destin s la consommation humaine par exemple le lait et les produits carn s e produits d origine animale non destin s la consommation humaine par exemple les aliments pour animaux de compagnie les cuirs et les peaux e les m dicaments v t rinaires par exemple les produits biologiques B 2 3 S curit biologique des laboratoires et des installations de production et de tests B 3 Supervision par l Autorit v t rinaire Commission scientifique Janvier 2005 103 Annexe III suite 73 SG 12 CS3B AHG 5 Annexe III suite 11 2 PARTIE CONSACREE A LA SURVEILLANCE DE LA FIEVRE APHTEUSE A ZONE INDEMNE DE FIEVRE APHTEUSE R sumer ici les mesures de surveillance de la fi vre aphteuse dans la zone indemne Les lois et r glements nationaux ainsi que les directives de l Administration v t rinaire peuvent tre mentionn s et annex s Les points num r s ci apr s doivent tre trait s avec concision A 1 Diagnostic A 1 1 Diagnostic clinique proc dures de notification et d enqu tes donn es r centes A 1 2 Diagnostic de laboratoire proc dures nombre d chantillons trait s et r sultats A 2 Surveillance s rologique A 3 Donn es d mographiques et conomiques sur le cheptel A 4 Abattoirs et march s A 5 Supervision par l Autorit v t rinaire B ZONE DE SURVEILLANCE R
288. xigent un suivi et des examens pour confirmer ou r futer que le virus de la peste porcine classique est la cause de l affection La fr quence d apparition des cas suspects d pendra de la situation pid miologique il n est donc pas possible de la pr dire de fa on s re En cons quence les demandes de reconnaissance de l absence d infection par le virus de la peste porcine classique doivent contenir des informations d taill es sur l apparition de cas suspects et sur la fa on dont ils ont t examin s et pris en charge Ces donn es doivent comprendre les r sultats des analyses de laboratoire et les mesures de contr le auxquelles les animaux concern s ont t soumis pendant l investigation quarantaine interdiction de transport des animaux etc Pendant la p riode de surveillance des foyers suspects il convient de prendre des mesures permettant de confiner l infection son lieu d apparition en appliquant des mesures de quarantaine jusqu ce que le diagnostic soit confirm ou r fut Le pr sent guide n indique pas la nature des dispositions qui doivent tre prises dans ces situations Strategies de surveillance Les principes appliqu s la surveillance de la maladie ou de l infection sont bien d finis d un point de vue technique La conception des programmes de surveillance visant prouver l absence d infection par le virus de la peste porcine classique doit tre scrupuleusement respect e pour
289. za aviaire g R union sp ciale OIE FAO sur la situation de la p ripneumonie contagieuse bovine dans les pays de la CDAA qui s est tenue le 24 mai 2004 au si ge de 1 OIE Paris France h La fi vre aphteuse chez les cam lid s 10 Commission scientifique Janvier 2005 R UNION DE LA Annexe II COMMISSION SCIENTIFIQUE DE L OIE POUR LES MALADIES ANIMALES MEMBRES Paris 13 19 janvier 2005 Liste des participants Pr Vincenzo Caporale Pr sident Director Istituto Zooprofilattico Sperimentale dell Abruzzo e del Molise G Caporale Via Campo Boario 64100 Teramo ITALIE T l 39 0861 33 22 33 Fax 39 0861 33 22 51 E mail caporale izs it Dr Gavin R Thomson Consultant to GALV International Livestock Research Institute P O Box 30709 Nairobi KENYA T l 254 20 422 3000x3629 Fax 254 20 422 3001 E mail g thomson cgiar org BUREAU CENTRAL DE L OIE Dr Kenichi Sakamoto Vice Pr sident Chief of Diagnostic Laboratory Department of Exotic Diseases Research National Institute of Animal Health 6 20 1 J osui honcho Kodaira Tokyo 187 0022 JAPON Tel 81 423 21 14 41 Fax 81 423 25 51 22 E mail skenichi affrc go jp Dr Federico Stoessel Secr taire g n ral Section agricole Ambassade d Argentine 225 avenue Louise B P 8 B 1050 Brussels BELGIQUE T l 32 2 640 33 33 Fax 32 2 640 00 08 E mail fstoessel agricola ue org Dr Gideon Br ckner
290. za aviaire et doivent porter une identification claire et permanente L interpr tation des r sultats s rologiques en pr sence d animaux vaccin s est d crite au Chapitre 3 x x 5 Article 3 x x 3 Justification du statut indemne de NAI ou de HPNAI Demande de statut indemne de NAI ou de HPNAI pour un pays une zone ou un compartiment Outre les conditions g n rales d crites au Chapitre 2 7 12 du pr sent Code terrestre un Pays Membre d clarant tre indemne de NAI pour la totalit de son territoire ou pour une zone ou un compartiment doit apporter la preuve de l existence d un programme de surveillance efficace La strat gie et le protocole du programme de surveillance d pendent des circonstances pid miologiques dominantes Ils devront tre con us et mis en oeuvre conform ment aux conditions g n rales et m thodes expos es dans ces lignes directrices pour d montrer l absence d infection par le virus de la NAI dans les populations sensibles de volailles vaccin es ou non au cours des 12 mois coul s Cette obligation requiert l assistance d un laboratoire national ou autre capable d identifier l infection en d tectant le virus de la NAL l un de ses antig nes ou son g nome et en mesure d effectuer les tests de recherche des anticorps tels que d crits dans le Manuel terrestre Cette surveillance peut tre cibl e sur une population de volailles pr sentant un risque sp cifique li au type de production un

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