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I I - IRC

1. un niveau de 67 pour cent dans le primaire on arrive 18 dans le troisi me degr en passant par 38 dans le deuxi me degr 69 4 pour cent des tablissements rel vent de l ordre public tandis que les priv s confessionnel et la c font respectivement 25 0 pour cent et 5 6 pour cent En ce qui concerne l accessibilit c est le parcours de longues distances qui constituent le probl me majeur Le rayon moyen d action est 19 8 km e 3 mm mm mm Mmm RD a US om amp a 12 Dans les tablissements du troisi me degr on ne rencontre pas de toit couvert de paille Cependant 8 pour cent de ces tablissements sont construits en claie 1 2 5 Universit En 1994 l universit du B niycomptait cinq amphith tres pour environ 6598 tudiants dont 4611 gar ons et 1987 filles Tablcau I Caract ristiques de P chantllon selon le degr d enscignement en pour cent DEGRE D ENSEIGNEMENT CARACTERISTIQUES Deuxi me degr Troisi me degr Ordre d enseignement Public Priv confessionnel Priv laic Rapport Filles Gar ons Effectif moyen par classe Public Priv Accessibilit g ographique Difficult s d acc s Oui Non Obstacles l accessibilit Cours d eau For l Distance gt 5 Km Nature des toits des salles Paille T le B ton Paille et T le T le et B ton Nature des murs Dur Banco Paillasson Claie Vide Type de mobilier Table banc Brique
2. IL Oui 2 Non 11 Si oui quelle est la p riodicit de cet entretien 9 Sans objet 12 Utilisez vous des produits ou moyens pour rendre les lieux d aisance moins malodorants 1 Oui 2 Non 13 Si non pourquoi 14 Disposez vous d un moyen de destruction ou de conservation des ordures 1 Oui 2 Non III SOINS DE SANTE 15 Quelle est la qualification du responsable de la structure de soins au sein de l universit 1 M decin 2 Infirmier 16 Qui finance le fonctionnement de cette structure 1 Etat Togolais 2 ONG pr ciser 17 L universit dispose t elle d un moyen d vacuation des malades 1 Oui 2 Non 18 Si oui lequel 1 Ambulance 2 Autre v hicule 19 Combien de cas de maladies avez vous enregistr pendant cette ann e scolaire 20 Quelles sont les trois 3 maladies les plus fr quentes dans votre universit Paludisme fi vre Maux de t te Maladies des ycux Maladies des oreilles Maux de ventre Toux D2 AU r We D 21 Combien de cas de d c s avez vous enregistr au cours de l ann e 22 Qui finance vos approvisionnements en m dicaments 1 Etat 2 ONG pr ciser 23 Avez vous eu des ruptures de stocks au cours de l ann e 1 Oui 2 Non 24 Quelles sont les raisons de cette rupture 1 Manque de fonds 2 Mauvaise gestion 25 Quelles solutions adoptez vous en cas de rupture de stock IV SURVEILLANCE SANITAIRE ET E
3. ne alimentaire cela se r duit le plus souvent quelques visites des enseignants pour voir si les aliments vendus sont couverts 11 1 2 3 Au niveau de l universit Sur le plan alimentaire les tudiants disposent d une cantine qui fonctionne A des mm heures bien pr cises et les aliments sont contr l s par un comit charg de la surveillance de la restauration des tudiants Mais pendant les pauses entre les cours r cr ations les tudiants se servent chez les vendeuses de denr es alimentaires o il n existe aucune surveillance des denr es vendues 18 Tableau 2 Hygi ne du milieu dans les tablissements scolaires par degr DEGRE D ENSEIGNEMENT HYGIENE DU MILIEU Premier degr Dcuxi me degr Dimensions normales des classes Largcur Our Non Les deux Longucur Oui Non Les deux Hauteur Ou Non Les deux Eclairage des salles Oui Non Incommodation des salles Oui Non Existence du point d eau Oui Type de point d cau Eau courante Borne fontaine Puits Forage avec pompe Marigot Rivierc Citerne Barrage HYGIENE DU MILIEU Existence de toilettes Oui Non Type de toilettes Avec chasse d cau Fosse tanche Puits perdu Sans objet D f cation en brousse Oui Non Entretien des toilettes Oui Non P riodicit Bihcbdomadaire Hebdomadaire Autre Utilisation de produits d entretien Oui Raisons de non utilisation de d odorisant Manguc de moyen financier Pa
4. ves Car ces endroits peuvent constituer des lieux de prolif ration de certains agents nuisibles Phomme 11 1 1 3 Universit Vingt six 26 cabines de toilettes avec chasse cau desservent les tudiants Ces toilettes sont plus ou moins bien entretenues r guli rement avec des produits pour rendre les lieux d aisance moins malodorants Mais le nombre de cabines tant insuffisants certains tudiants continuent aller en brousse aux alentours de Puniversit pour leurs besoins En mati re de destruction et de conservation des ordures l universit ne poss de aucune structure 11 1 2 Hygi ne alimentaire H 1 2 1 Au niveau pr scolaire Le principal syst me d alimentation des enfants l cole est la vente des denr es alimentaires par les bonnes femmes vendeuses 97 pour cent Le syst me de cantine est not seulement dans 3 pour cent de Jardins d Enfants Les denr es vendues aux enfants sont en g n ral contr l es par un comit de surveillance des denr es alimentaires dans 92 pour cent des cas Le syst me de surveillance consiste essentiellement contr ler la carte d hygi ne de la revendeuse son o hygi ne corporelle et la protection des denr es contre les mouches Notons que dans 92 pour cent de Jardins d Enfants les revendeuses mettent de Peau et du savon la disposition des enfants pour se laver les mains 17 va S agissant de la surveillance de Thygi ne corporelle des enfa
5. 61 pour cent des coles ont une bo te pharmacie dont 47 pour cent sont en rupture de stock Le manque de fonds est ici aussi la principale raison expliquant cette situation II 2 4 A Puniversit L universit dispose d une structure de soins dirig e par un m decin et fianc e par l Etat Notons que louverture du CHU CAMPUS au sein de l universit constitue galement un atout pour la r solution des probl mes de soins de sant aux tudiants L universit a une ambulance pour l vacuation des malades en cas d urgence P L approvisionnement de Pinfirmerie en m dicaments est financ par l Etat Mais des ruptures fr quentes de stocks sont enregistr es cause du manque de fonds li la crise dans laquelle le pays est plong ces derni res ann es Lorsqu il y a rupture le Centre National des Oeuvres Universitaires CNOU qui coiffe le service m dical s adresse aux autorit s de l universit pour tudier les mesures d urgence prendre Contrairement aux autres degr s scolaires les malades sont enregistr s ici car d s son entr e l universit tout tudiant suit un certain nombre d examens m dicaux et a sa fiche m dicale Pinfirmerie Ainsi les trois maladies les plus fr quentes enregistr s au pr s des tudiants durant l ann e 1994 sont le paludisme les maux de t te et les maux de ventre Au total deux cas de d c s ont t not s durant l ann e 1994 W 32 113 SURVEILL
6. A propos des distances sup rieures ou gales 5 Km le rayon moyen d action national de 2 6 Km ne semble pas du tout tre des distances ais es parcourir par les enfants L effectif moyen des classes qui est de 52 l ves au niveau national pr sente des disparit s tant au niveau r gional que pr fectoral C est ainsi que les fortes concentrations sont observ es dans la r gion maritime avec des effectifs variant entre 60 et 75 alors que dans la r gion des savanes ces effectifs atteignent difficilement 40 Le rapport entre filles et gar ons est de 67 pour l ensemble du pays II varie entre 32 et 89 respectivement pour les pr fectures de Kpendjal et de la Kozah Bien que dans 3 tablissements sur 4 les toits des salles de classes soient couvertes de t le on rencontre une proportion 20 6 pour cent non n gligeable d coles avec des toits en paille S agissant des murs au moins un tablissement sur deux est construit en ciment Les cas extr mes o Pon construit des apatams pour salle de classe aussi existent et se rencontrent dans 25 pour cent des cas Les tables bancs comme type de mobilier utilis par les l ves ne se rencontrent uniquement que dans 2 tablissements sur 3 Dans le tiers des tablissements les l ves se servent des briques des troncs d arbres ou des planches comme mobilier Rayon moyen d action Superficie du territoire Nombre d coles x 3 14 11 1 2 3 Enseignement du Deuxi
7. Diarrh e grave 4 Oreillon 8 Conjonctivite Apollo 16 Varicelle 32 Pian 63 Quelles ont t les mesures prises cet effet 1 Traitement au sein de P tablissement Evacuation dans une formation sanitaire 4 Mesures pr ventives viction de l enfant malade fermeture de l tablissement vaccination et mesures d assainissement 8 Education pour la sant 99 Autre pr ciser 64 Adressez vous des rapports de statistiques sanitaires la direction pr fectorale de la sant 9 1 Oul 2 Non 65 Si non pourquoi 9 VII COUVERTURE VACCINALE 66 Vos l ves possedent ils des carnets de sant scolaire 1 Oui 2 Non 07 Existe t il dans votre tablissement un syst me de v rification de l tat vaccinal des l ves 1 Qui 2 Non 68 Si oui quelle est la couverture vaccinale des l ves de votre tablissement en 1 Rougeole 2 BCG 3 VAT 4 Fi vre jaune 5 Polio 6 M ningite 7 DTCoq 9 Sans objet VIII HYGIENE ALIMENTAIRE 69 Quel est le syst me d alimentation au sein de votre tablissement 2 1 Cantine 2 Vendeuse de denr es alimentaires 9 Autre pr ciser 70 Existe t il un comit de surveillance des denr es alimentaires dans l tablissement 1 Oui 2 Non 71 Si oui comment s effectue cette surveillance 2 1 Contr le de carte de revendeuse de denr es alimentaires 2 Contr le d hygi ne corporelle vestimentaire et de la propret des vaisselles 4 Protection des aliments contre
8. EPIDEMIQUES Centrale Savanes Ensemble 38 En face de ces cas d pid mie pr cit s les mesures suivantes sont prises par les responsables d coles pour viter la propagation parmi les l ves le traitement de l l ve en fonction de la maladie pour les coles qui ont une infirmerie l vacuation des l ves malades la maison la vaccination des l ves demand e parfois par le responsable de l cole tr s rarement r alis e S agissant du syst me de v rification de l tat vaccinal des l ves 24 pour cent des responsables des coles secondaires ont d clar que leurs l ves poss dent un carnet de sant mais la v rification m me ne se fait que dans 4 pour cent des tablissements secondaires au Togo II faut souligner que le non enregistrement des cas de maladies et la non laboration des statistiques sanitaires au sein des tablissements scolaires sont surtout dus au manque d information dans ce domaine d apr s les donn es de l enqu te les responsables d coles ne sont pas inform s ni sur Putilit de ces donn es ni qui adresser les rapports 11 3 2 4 Niveau universitaire D apr s le responsable de la structure sanitaire de l universit aucun cas de maladie pid mique ma t enregistr durant l ann e 1994 Mais au cas o cela arrivait les malades seront vacu s dans une formation sanitaire CHU CAMPUS par exemple comme pour les cas
9. ORGANISATION DE L ENQUETE I 1 1 Cadre institutionnel 1 1 2 Les objectifs de Penqu te I 1 3 D marches administratives I 1 4 Les Questionnaires 1 1 5 Enqu te pilote 1 1 6 Echantillonnage 1 1 7 Manuel du personnel de terrain I 1 8 Recrutement formation des enqu teurs et collecte des donn es 1 1 9 Exploitation des donn es 1 1 10 Les difficult s rencontr es I 2 CARACTERISTIQUES DE L ECHANTILLON 1 2 1 Enseignement Pr scolaire 1 2 2 Enseignement du Premier Degr 1 2 3 Enseignement du Deuxi me Degr 1 2 4 Enseignement du Troisi me Degr 1 2 5 Universit IL ETAT DE LA SITUATION SANITAIRE EN MILIEUX SCOLAIRE ET UNIVERSITAIRE 0 II 1 HYGIENE DU MILIEU ET ALIMENTAIRE 11 1 1 Hygi ne du milieu 11 2 II 3 11 1 1 1 Enseignement Pr scolaire 11 1 1 2 Enseignement des Premier Deuxi me et Troisi me Degr s 11 1 1 3 Universit 11 1 2 Hygi ne alimentaire II 1 2 1 Au niveau pr scolaire 11 1 2 2 Au niveau scolaire 11 1 2 3 Au niveau de l universit LES SOINS DE SANTE EN MILIEU SCOLAIRE ET UNIVERSITAIRE 444 nao 11 2 1 Niveau pr scolaire II 2
10. Pann e 1994 54 pour cent des coll ges du deuxi me degr ont recu la visite de l quipe d ducation pour la vie familiale Au regard du tableau 11 il ressort que des grossesses ont t enregistr es dans peu de coll ges de la r gion maritime par rapport aux autres r gions Cette situation pourrait tre li e aux diff rentes activit s de sensibilisation en mati re de planification familiale et de lutte contre les MST Sida men es par les diff rentes institutions et ONG dans cette r gion et particuli rement dans les coles secondaires de la ville de Lom Au troisi me degr des grossesses ont t enregistr es dans pr s du tiers des tablissements bien que 72 pour cent des coles ont t visit es par l quipe d ducation pour la vie familiale durant l ann e 1994 42 IL6 ACTIVITES SPORTIVES ET ASSOCIATIVES DANS LES ETABLISSEMENTS SCOLAIRES Les tablissements scolaires offrent habitucllement la possibilit de pratiquer du sport et de mener des activit s associatives ce qui est tres important non seulement pour maintenir la forme physique mais aussi pour apprendre travailler en quipe et utiliser ses loisirs de fagon constructive Ces activit s sportives et associatives apportent beaucoup la sant des l ves Au niveau pr scolaire c est surtout par les jeux que les enfants apprennent la conversation et Pexp rience qui influent sur leur croissance intellectuelle Au Togo d apr s
11. Paracetamol Alcool Objet de pansement ADAN 49 Combien de cas de d c s avez vous enregistr au cours de l ann e 53 Parmi ces m dicaments de base citez les trois premiers fr quemment utilis s 1 2 3 54 Qui finance Papprovisionnement de votre boite pharmacie Etat Etablissement Parents d l ves ONG pr ciser Autre pr ciser ARANA 55 Avez vous eu de rupture de stocks au cours de Pann e 1 Oui 2 Non 56 Quelles sont les raisons de cette rupture 1 Manque de fonds 2 Mauvaise gestion 4 Probl me d acheminement 57 Quelles solutions adoptez vous en cas de rupture de stock V SURVEILLANCE SANITAIRE 58 Vos l ves b n ficient ils de la visite m dicale syst matique annuelle du m decin 1 Qui 2 Non 59 En dehors du m decin recevez vous la visite d un autre agent de sant 1 Oui 2 Non sn B em Gm em em em em gem wm N SU ER Mo M 60 Ouels sont les domaines couverts par cet agent lors de sa visite IEC Eau et assainissement Bucco dentaire ORL 16 Ophtamologie 32 Vaccination 99 Autre A pr ciser D B NR 61 Quelle est la p riodicit de cette visite 1 Trimestriclle 2 Semestrielle 4 Annuelle 8 Autre pr ciser 99 Sans objet VI SURVEILLANCE EPIDEMIOLOGIQUE 62 Avez vous enregistr des cas de maladies pid miques suivantes dans votre tablissement cette ann e 1 M ningite 2
12. Planche Tronc d arbre 14 II ETAT DE LA SITUATION SANITAIRE EN MILIEUX SCOLAIRE ET UNIVERSITAIRE 11 1 HYGIENE DU MILIEU ET ALIMENTAIRE 11 1 1 Hygi ne du milieu H 1 1 1 Enseignement Pr scolaire S agissant de la dimension des salles de classes il faut souligner que la plupart ont respect les normes pr vues largeur 6 7m longueur 9m et hauteur 2 80 3 20 m Ainsi 79 pour cent des Jardins d Enfants ont respect les 3 dimensions et 13 pour cent ont respect la largeur et la hauteur Si la majorit des salles de classes 92 pour cent sont bien clair es le jour pendant la p riode les pluies elles sont en grande partie incommod es 61 pour cent Quant aux toilettes 76 pour cent en ont Cette situation am ne les enfants aller en brousse surtout l int rieur du pays pour satisfaire leur besoins avec tous les risques que cela comporte pour l enfant morsure de serpent plaies et pour le milieu la pollution de la nature Moins de la moiti 40 pour cent ont un point d eau potable Les moyens de destruction et de conservation des ordures font d faut dans 47 pour cent d coles Environ 40 pour cent des Jardins d Enfants ne sont pas cl tur s ceci constitue un danger pour les enfants surtout pendant les r cr ations pour les coles situ es au bord des grandes routes 11 1 1 2 Enseignement des Premier Deuxi me et Troisi me Degr s L cole a un r le tr s important jouer dans la prom
13. de polio dans 69 pour cent de coll ges et les malformations cong nitales 12 pour cent constituent les principales infirmit s enregistr es au niveau du deuxi me degr Au troisi me degr la situation est presque identique celle du deuxi me degr En effet 31 pour cent des tablissements du troisi me degr poss dent une structure de soins dont 25 pour cent sont op rationnelles et tenues par des infirmiers 19 pour cent ou des enseignants 6 pour cent Un seul tablissement du troisi me degr a une structure de soins dirig e par un m decin 30 Le financement de ces structures est support par les tablissements Dans 95 pour cent des tablissements du troisi me degr lorsqu un l ve tombe malade au sein de l cole il est envoy la maison ou conduit dans une formation sanitaire et il n existe pas de moyen d vacuation des l ves malades La prise en charge des malades est ici aussi du ressort des parents et les trois principales maladies contract es par les l ves du troisi me degr sont les maux de t te la li vre et les maux de ventre Les d c s d l ves durant les deux derni res ann es sont en moyenne 121 pour 100 mille par an dans les tablissments du troisi me degr au Togo Les causes de ces d c s ne sont pas identifi es puisqu il n existe aucun syst me de gestion de l information sur les statistiques sanitaires au sein des tablissements scolaires en g n ral
14. de sant Ces visites concernent surtout les activit s de vaccination Les autres domaines tels que la sant bucco dentaire l ophtalmologie eau et assainissement etc ne sont pas couverts par ces visites 33 IT 3 1 3 Au niveau secondaire Au deuxi me degr la visite syst matique d un m decin est n gligeable 1 pour cent des tablissements en ont re u Dix huit pour cent des coll ges ont re u la visite d un autre agent de sant part le m decin PIEC et la vaccination sont les domaines couverts par leur visite avec une p riodicit g n ralement annuelle Au troisi me degr 30 pour cent des tablissements ont re u la visite d un agent de sant une fois dans l ann e 1994 et PIEC tait le domaine le plus couvert par cette visite 11 3 1 4 A l universit En dehors des examens m dicaux obligatoires que les tudiants font en d but d ann e pour l inscription aucune visite m dicale ne se fait ni par le m decin ni par autre agent de sant durant toute l ann e scolaire 11 3 2 Surveillance pid miologique 11 3 2 1 Niveau pr scolaire Des cas de maladies pid miques enregistr es dans les tablissements pr scolaires durant l ann e 1994 sont la conjonctivite les diarrh es graves les orcillons df la varicelle La non tenue de registre de malades au sein des tablissements ne permet pas d avoir une id e sur le nombre moyen de cas enregistr s par malad
15. jug s inqui tants S agissant des rapports statistiques envoyer la m decine scolaire cela ne se fait pas sauf pour quelques cas jug s inqui tants 39 I 4 COUVERTURE VACCINALE DANS LES ETABLISSEMENTS SCOLAIRES L information collect e sur la vaccination s est limit e surtout au fait de savoir si les l ves possedent un carnet de sant et si P cole poss dait un syst me de v rification de l tat vaccinal des l ves C est quand l cole dispose d un moyen de v rification de l tat vaccinal que les couvertures vaccinales suivantes sont demand es Rougeole BCG VAT Fi vre jaune Polio M ningite et DTCog Comme soulign plus haut en milieu scolaire togolais du pr scolaire au secondaire la non possession de carnet de sant par les l ves relev travers les r sultats de l enqu te la quasi inexistence d un syst me de v rification de l tat vaccinal des l ves ne permettent pas d avoir une id e pr cise des couvertures vaccinales pr cit es pour la population scolaire Or la vaccination est l une des activit s de sant d importance capitale en milieu scolaire et universitaire o plusieurs vaccinations devraient tre en principe obligatoires le BCG les vaccinations contre la poliomy lite la coqueluche la dipht rie le t tanos la rougeole et la fi vre jaune devraient normalement tre exig s avant toute inscription l cole Certaines vaccinations doivent tre
16. les mouches 8 Visite p riodique des agents d hygi ne 99 Sans objet 72 Sil existe une cantine dans votre tablissement quel est le prix moyen journalier d un repas 999 Sans objet 10 73 Les revendeuses disposent elles d eau et de savon pour se laver les mains avant et apr s le repas 1 Oui 2 Non 3 Ne sait pas IX EDUCATION A LA VIE FAMILIALE 74 Avez vous enregistr des cas de grossesse chez les l ves au cours des 2 derni res ann es dans votre cole 1 Oui 2 Non 75 Si oui combien 99 Sans objet 76 Dans le domaine de P ducation la vie familiale EVF et de la lutte contre les maladies sexuellement transmissibles MST et le SIDA avez vous re u une quipe d informateurs 1 Oui 2 Non 77 Si oui quand 78 Existe t il au sein de votre tablissement un comit de sensibilisation en mati re de lutte contre les MST et le SIDA 1 Oui 2 Non 79 Si oui depuis quand X ACTIVITES SPORTIVES ET ASSOCIATIVES 80 Quelles sont les infrastructures sportives de votre tablissement 1 Terrain de football 2 Terain de basket volley Hand 4 Poids Grimper Sauts 8 Tennis 16 Autre pr ciser 81 Est ce que vos l ves pratiquent le sport 1 Oui 2 Non 82 Combien de vos l ves sont dispens s du sport cette ann e 11 A DH PI u 83 Quelles sont les associations qui existent dans votre cole 2 1 Scout 2 Club UNESCO 4 Troupe th trale 8 Folkl
17. maison 2 Il est conduit dans une formation sanitaire 4 Tl est trait au sein de P tablissement 8 Rien Dites pourquoi vous ne faites rien 42 Dans le cas o V l ve est adress une formation sanitaire qui prend en charge les frais de consultation 1 Le patient 2 L tablissement 4 Les parents 8 Etat 16 Autre pr ciser 43 Dans le cas o le traitement se fait dans une formation sanitaire quelle est la distance approximative par rapport votre P tablissement lt 1 Km 1 moins de 3 Km 3 moins de 5 Km 5 Km ou plus Run 44 L tablissement dispose t il d un moyen d vacuation des malades 1 Oui 2 Non I 6 TN 45 Si oui lequel i 1 V lo 2 Moto 4 V hicule 46 Combien de cas de maladies avez vous enregistr pendant cette ann e scolaire 47 Quelles sont les trois 3 maladies les plus fr quentes dans votre tablissement 1 Corps chaud fi vre 2 Maux de t te 4 Plaies 8 Maladies des yeux 16 Maladies des oreilles 32 Morsures 64 Maux de ventre 128 Maux de gorge 256 Toux 48 Quel genre d infirmit s avez vous dans votre tablissement Polio Malformations cong nitales Borgne Autre pr ciser CORN 50 Disposez vous d une boite pharmacie 1 Oui 2 Non 51 Si oui depuis quelle ann e 99 Sans objet 52 Si oui quels sont les m dicaments de base qui s y trouvent Chloroquine Nivaquine Aspirine Acide ac thyl salicylate
18. malades 2 Dans pratiquement toutes les coles au Togo il n existe pas de syst me d enregistrement des donn es sur la sant des l ves Ainsi pour une meilleure gestion de Pinformation sur la statistique sanitaire scolaire et universitaire chaque tablissement doit enregistrer tous les cas de maladies survenues en son sein les diff rentes maladies avec le 46 nombre de cas les autres activit s de sant qui y sont r alis es de m me que les autres v nements li s la sant et qui sont survenus dans l tablissement Le Service National de la Sant Scolaire et Universitaire devra laborer des supports cet effet 3 Les trois maladies les plus fr quentes chez les l ves sont les maux de t te dans 77 pour cent d coles primaires la fi vre 67 pour cent d coles primaires et les maux de ventre 61 pour cent Ces r sultats montrent bien la n cessit de disposer au niveau des coles des bo tes pharmacie contenant r guli rement les m dicaments contre ces maladies pr cit es et qui peuvent tre trait es au sein des coles 4 Concernant les genres d infirmit la poliomy lite constitue le principal genre d infirmit qu on retrouve dans les tablissements scolaires dans 51 pour cent d coles primaires 69 pour cent d coles du deuxi me degr et 59 pour cent du troisi me degr Il va sans dire que la vaccination contre la poliomy lite devra tre exig e ct v rifi e avan
19. me Degr L ordre public repr sente 88 2 pour cent du sous chantillon du deuxi me degr tandis que le priv confessionnel et le priv la c se taillent respectivement les 6 1 pour cent et 5 7 pour cent Le rapport filles gar ons qui est de 67 dans le primaire passe 38 dans le deuxi me degr L effectif moyen par classe varie d un ordre un autre et d une pr fecture ou r gion une autre Il varie entre 44 62 dans la r gion maritime et de 13 22 dans la r gion des savanes Les forts effectifs 75 l ves par classe ou plus se rencontrent dans le public et surtout dans la r gion maritime Dans le priv ces effectifs ne d passent pas 35 quelle que soit la r gion Dans le deuxi me degr le rayon moyen d action national est de 8 0 Km Le niveau relativement lev de cet indicateur confirme la distance sup rieure ou gale 5 Km avanc e par certains chefs d tablissement comme tant le principal obstacle d acc s l tablissement Les salles de classes sont pour la plupart 95 5 pour cent couvertes de t le ou de dalle Quant au mur le banco ne repr sente que 0 8 pour cent Ce pourcentage tr s faible mais significatif est le m me pour certains tablissements o le type de mobilier n est pas le table banc 1 2 4 Enseignement du Troisi me Degr A mesure que l on progresse dans le degr d enseignement le nombre de filles pour 100 gar ons ne cesse de s amenuiser C est ainsi qu
20. miques enregistr es durant l ann e 1994 par r gion R partition en pour cent des coles du troisi me degr selon les maladies pid migues enregistr es durant l ann e 1994 par r gion R partition en pour cent des coles selon la survenue d une grossesse par r gion et par degr d enseignement vii D ED O mm EM HH D SR EF ER HF EE OR 0 O ER OR am INTRODUCTION Les enfants des coles constituent un l ment important de la population et c est de cet l ment que d pendent la prosp rit future et la survie de la nation Il existe donc une relation troite entre la sant et V ducation P ducation est aussi utile la sant que la sant Pest P ducation Ainsi les incidences du facteur sant sur le rendement du syst me ducatif ne sont plus d montrer En effet le mauvais tat de sant de V l ve a pour cons quence Pindisponibilit de V l ve Pabsent isme les d penses excessives des parents en mati re de sant les checs les abandons L am lioration de l tat de sant en milieu scolaire et universitaire permettra de r duire sensiblement le taux d absent isme en classe cause d checs pour beaucoup d l ves conduisant le plus souvent Pabandon des tudes La sant scolaire et universitaire vise donc promouvoir la sant et le bien tre de la population scolaire Dans ce contexte le service de sant en milieu scolaire et univers
21. offert toutes les facilit s durant la phase de la collecte des donn es sur le terrain Nous remercions particuli rement POMS pour Vint r t qu elle accorde la sant scolaire et pour son appui financier cette tude Nos remerciements s adressent galement aux consultants pour leur dynamisme et leurs qualit s pour mener bien ce travail toute l quipe de la r daction de ce rapport final aux enqu teurs qui n ont m nag aucun effort pour mener bien la collecte des donn es sur le terrain V guipe de la partie informatique de cette tude et au secr taire pour le s rieux avec lequel ils ont travaill jusqu la fin de cette tude tous les autres qui ont contribu d une mani re ou d une autre la bonne r alisation de cette tude Le Chef du S N S S U iii EQUIPE DE LETUDE Dr KAMPATIBE Nagbandja Chef de la Division de la Sant Familiale DSF Dr DABOU TAFAMBA Dr KPOTSRA Koffi Dr JIBIDAR Ayit Consultants Mr EDAH Komlan Nyuito Mr KOTOKOU Kodjo Chef Service National de la Sant Scolaire amp universitaire Service National de la Sant Scolaire et Universitaire Chef SMI PF DSF Statisticien D mographe Statisticien D mographe SOMMAIRE REMERCIEMENTS EOUIPE DE UETUDE LISTE DES TABLEAUX INTRODUCTION 2 0 eee eee eee een nenn I CADRE DE L ENQUETE ET CARACTERISTIQUES DE VECHANTILLON 44 4 ee eee eee I 1
22. qui sont anim es par les l ves au sein des tablissements scolaires du premier au troisi me degr Rappelons que ces associations divulguent tr s souvent des informations portant sur des sujets en rapport avec la sant comme l hygi ne corporelle le sport la lutte contre les MST Sida etc A l universit il existe plusieurs associations d tudiants Nous citerons ici quelques unes comme le Club Unesco les Troupes Th trales la Croix Rouge le Comit de sensibilisation en mati re de lutte contre les MST Sida form depuis 1991 Ces diff rentes associations m nent beaucoup d activit s d information de sensibilisation d ducation des tudiants la vie familiale bref des activit s en rapport avec la sant des jeunes surtout 44 HI VUE D ENSEMBLE ET RECOMMANDATIONS Cette tude a permis de faire P tat des lieux en mati re de sant scolaire et universitaire au Togo De l analyse des donn es de cette enqu te des constats ont t faits dans divers domaines de la sant scolaire A la lumi re de ces r sultats quelques propositions sont faites pour redynamiser le syst me national de sant scolaire et universitaire afin d assurer aux l ves et tudiants des conditions de d veloppement physique et mental qui am liorent leurs fr quentations et leurs capacit s d apprentissage l cole HLI LITYGIENI EN MILIEUX SCOLAIRE ET UNIVERSITAIRE La promotion de l hygi ne en ces milieux rest
23. renforc es rappel du vaccin antit tanique par exemple au cours de la scolarit et d autres introduites en fonction du milieu chol ra m ningite dans le nord du pays par exemple Malgr que les tudiants poss dent tous une fiche de sant il n existe pas un syst me de v rification de V lat vaccinal des tudiants Comme pour les autres degr s scolaires la couverture vaccinale des tudiants est galement difficile saisir dans P tat actuel du fonctionnement du service m dical de Universit 40 ILS VISITE DINFORMATION ET DE SENSIBILISATION DANS LES ETABLISSEMENTS SCOLAIRES En mati re d ducation pour la vie familiale EVF il ressort des r sultats de Penqu te que les coles ne re oivent pas la visite du personnel de sant charg de cette activit Or ce sont les l ves qui risquent le plus de donner naissance des enfants non d sir s Ils sont tr s impulsifs et Pacte sexuel est aussi impr vu que la grossesse qui en r sulte Les r sultats de PEngu te D mographique et de Sant EDS effectu e en 1988 ont montr une grande pr cocit de la f condit au Togo Sur Pensemble des femmes enqu t es en 1988 6 pour cent ont eu leur premier enfant avant P ge de 15 ans 30 pour cent avant 18 ans et 50 pour cent avant 20 ans Lune des raisons de cette situation est le fait que la sexualit reste toujours un sujet tabou dans notre soci t et les jeunes en g n ral ne savent pas grand chose d
24. scolaire Dans le pr scolaire le public repr sente 60 pour cent les la cs 32 pour cent et les confessionnelles 8 pour cent Le nombre moyen d enfants par classe est 27 24 dans le public 17 dans les la cs et 35 dans les confessionnelles 25 pour cent des Jardins d Enfants ont leur propres b timents et 70 pour cent sont h berg s dans les salles de classes des coles primaires L accessibilt certaines coles pose probl me pour les enfants En effet pour 8 pour cent des Jardins d Enfants la distance est sup rieure Skm et l eau for t constituent la pricipale difficult d acc s pour 3 pour cent d entre eux Concernant les toits des classes 89 5 pour cent sont en t le et 2 6 pour cent en paille Les murs sont en majorit en dur 89 5 pour cent ceux en banco repr sentent 5 3 pour cent et 2 6 pour cent sont faits en claies Pour ce qui est du mobilier 70 pour cent des Jardins d Enfants n ont pas de tablettes et 38 pour cent n ont pas de petites chaises 1 Nombre de filles inscrites dans le degr pour 100 garcons 10 1 2 2 Enseignement du Premier Degr Les tablissements du premier degr sont compos s de 76 3 pour cent de public 19 4 pour cent de priv confessionnel et 4 3 pour cent de priv laic Les difficult s d acc s ne sont pas exclues Les flaques d eau en temps de pluie ainsi que des distances sup rieures ou gales 5 Km sont dans les 80 8 pour cent des cas les raisons voqu es
25. 1 1 Structure de soins 11 2 1 2 Disponibilit de bo te pharmacie et son contenu 11 2 2 Niveau primaire 11 2 2 1 Structure de soins dans les coles primaires 11 2 2 2 Disponibilit de bo te pharmacie et son contenu 11 2 3 Niveau secondaire 11 2 3 1 Structure de soins au niveau du secondaire 11 2 3 2 Disponibilit de boite pharmacie et son contenu 11 2 4 A Vuniversit SURVEILLANCE SANITAIRE ET EPIDEMIOLOGIQUE DANS LES ETABLISSEMENTS SCOLAIRES 11 3 1 Visites m dicales syst matiques dans les tablissements scolaires 11 3 1 1 Au niveau pr scolaire 11 3 1 2 Au niveau primaire 11 3 1 3 Au niveau secondaire II 3 2 Surveillance pid miologique 11 3 2 1 Niveau pr scolaire 11 3 1 4 A Puniversit 14 16 16 16 17 17 co mm MG mm WH D HH EEE HE GEM GE EN EN EN ED S 11 3 2 2 Niveau primaire 11 3 2 3 Niveau secondaire 11 3 2 4 Niveau universitaire II 4 COUVERTURE VACCINALE DANS LES ETABLISSEMENTS SCOLAIRES H S VISITE D INFORMATION ET DE SENSIBILISATION DANS LES ETABLISSEMENTS SCOLAIRES IL6 ACTIVITES SPORTIVES ET ASSOCIATIVES DANS LES ETABLISSEMENTS SCOLAIRES IL VUE D ENSEMBLE ET RECOMMANDATIONS II 1 LHYGIE
26. ANCE SANITAIRE ET EPIDEMIOLOGIOUE DANS LES ETABLISSEMENTS SCOLAIRES La surveillance sanitaire constitue l une des actions primordiales que doit mener le service national de la sant scolaire et universitaire En effet Paction essentiellement pr ventive est bas c sur les visites m dicales r guli res de d pistage et de contr le 11 3 1 Visites m dicales syst matiques dans les tablissements scolaires Les visites m dicales syst matiques permettent de prot ger et surveiller la sant de la population scolaire et universitaire Ces visites devront se faire r guli rement au cours de l ann e scolaire par un agent de sant Mais le nulicu scolaire togolais re oit il r guli rement cette visite m dicale syst matique 11 3 1 1 Au niveau pr scolaire D apr s les r sultats de l enqu te men e aupr s des pr scolaires ces derniers ne re oivent la visite ni d un m decin ni d un autre agent de sant pour le contr le m dical des enfants seulement 5 pour cent des Jardins d Enfants ont re u la visite d un m decin et 13 pour cent ont re u la visite d un autre agent de sant pour la vaccination durant l ann e 1994 11 3 1 2 Au niveau primaire Le constat est le m me que chez les pr scolaires Les coles primaires ne re oivent pas de visite syst matique 2 pour cent des coles primaires ont re u la visite d un m decin durant l ann e 1994 et 16 pour cent ont re u la visite d un autre agent
27. Comme au deuxi me degr les sympt mes de polio 59 pour cent des coles du troisi me degr les malformations cong nitales sont galement les principales genres d infirmit s qui sont enregistr s au troisi me degr La non tenue de registre de statistique sanitaire au sein des tablissements ne permet pas de comptabiliser le nombre de cas de polio et de malformations cong nitales qui sy trouvent 11 2 3 2 Disponibilit de bo te pharmacie et son contenu Au niveau du deuxi me degr 48 pour cent des coles poss dent une boite pharmacie financ e pour la plupart 31 pour cent par les tablissements et les parents d eleves 2 pour cent l Etat n intervient dans le financement de ces bo tes pharmacie que seulement dans 8 pour cent des coles du deuxi me degr Les produits de base qui sy trouvent sont chloroquine aspirine alcool objet de pansement et rarement parac tamol l l l l l I l l l l l l Ii l I a 31 La plupart de ces bo tes pharmacie sont actuellement vides 88 pour cent des tablissements qui poss dent une bo te pharmacie sont en rupture de stocks La principale raison voqu e est le manque de fonds pour l approvisionnement Certains tablissements du deuxi me degr 29 pour cent arrivent quand m me trouver une solution d attente en achetant souvent quelques m dicaments sur les fonds de la mutuelle scolaire Au troisi me degr
28. E FAMILIALE ET ACTIVITES ASSOCIATIVES 36 Existe t il au sein de l universit un comit de sensibilisation en mati re de lutte contre les MST et le SIDA 1 Oui 2 Non 37 Si oui depuis quand 38 Quelles sont les associations qui existent dans votre cole 1 Scout 2 Club UNESCO 4 Troupe th trale 8 Folklore 16 Croix Rouge 32 Autre pr ciser 39 Fxiste t il des tudiants qui ont regu une formation en secourisme Oui 2 Non 40 Quelles sont vos suggestions pour assurer une meilleure sant aux tudiants mm mm eH HH mm om Y HH Y Y Y HE FF a ii O OVN H RO er uge TEP Ee ee mma Mmm mm mm UN U HH U HE U D mm M Y Y mm 0 Lu p
29. MINISTERE DE LA SANTE REPUBLIQUE TOGOLAISE DE LA POPULATION ET Travail Libert Patrie DE LA SOLIDARITE NATIONALE SERVICE NATIONAL DE LA SANTE SCOLAIRE ET UNIVERSITAIRE Ro lt ibro and Say atone Tel a tation q Water Fax ca Zo 30 Entre 64 ENQUETE SUR LA SITUATION SANITAIRE GN MILIEU SCOLAIRE ET UNIVERSITAIRE AU TOGO RAPPORT FINAL MAI 1995 824 TG 14343 mm mm MINISTERE DE LA SANTE REPUBUQUETOGOLAISE DE LA POPULATION ET Travail Libert Patrie DE LA SOLIDARITE NATIONALE SERVICE NATIONAL DE LA SANTE SCOLAIRE ET UNIVERSITAIRE ENQUETE SUR LA SITUATION SANITAIRE EN MILIEU SCOLAIRE ET UNIVERSITAIRE AU TOGO RAPPORT FINAL LIBRARY IRC PO Box 93190 2509 AD THE HAGUE Tel 31 70 30 689 80 Fax 31 70 35 899 64 BARCODE ZU 2 24 tear MAI 1995 3 REMERCIEMENTS Cette tude sur la sant scolaire et universitaire au Togo a t r alis e par le Service National de la Sant Scolaire et Universitaire S N S S U avec Pappui financier de Organisation Mondiale de la Sant La r ussite de la pr sente tude est due la participation de nombreuses personnes et institutions auxquelles nous tenons pr senter nos sinc res remerciements Nos remerciements vont au Minist re de l ducation nationale et de le recherche scientifique au Minist re de Penseignement technique et de la formation professionnelle au Minist re de V conomie et des Finances pour nous avoir
30. NE EN MILIEUX SCOLAIRE ET UNIVERSITAIRE 111 2 LES STRUCTURES SANITAIRES SCOLAIRES 111 3 LES BOITES A PHARMACIE e 1114 SURVEILLANCE SANITAIRE ET EPIDEMIOLOGIOUE HI S EDUCATION SANITAIRE SCOLAIRE REFERENCES BIBLIOGRAPHIQUES ANNEXES Tableau l Tableau 2 Tableau 3 Tableau 4 Tableau 5 Tableau 6 Tableau 7 Tableau 8 Tableau 9 Tableau 10 Tableau 11 LISTE DES TABLEAUX Caract ristiques de l chantillon selon le degr d enseignement en pour cent 4 444esese Hygi ne du milieu dans les tablissements scolaires par degr Hygi ne alimentaire dans les tablissements scolaires par degr R partition en pour cent des coles primaires selon l existence ou non de structure de soins op rationnelle par r gion R partition en pour cent des coles primaires selon les genres d infirmit s qui existent et par r gion R partition en pour cent des coles primaires selon la disponibilit d une bo te pharmacie par r gion R partition en pour cent des tablissements du deuxi me degr selon l existence ou non de structure de soins op rationnelles par R partition en pour cent des coles primaires selon les maladies pid miques enregistr es durant l ann e 1994 par r gion R partition en pour cent des coles du deuxi me degr selon les maladies pid
31. PIDEMIOLOGIQUE 26 Vos tudiants b n ficient ils de la visite m dicale syst matique annuelle du m decin I Oui 2 Non 27 Avez vous enregistr des cas de maladies pid miques suivantes dans Puniversit cette ann e 1 M ningite 2 Diarrh e grave 4 Oreillon 8 Conjonctivite Apollo 16 Pian mm mm HE 28 Quelles ont t les mesures prises cet effet 1 Trait ment au sein de Puniversit 2 Evacuation dans une formation sanitaire 4 Mesures pr ventives viction de Penfant malade fermeture de l universit vaccination et mesures d assainissement 8 Autre pr ciser 29 Adressez vous des rapports de statistiques sanitaires la m decine scolaire 1 Oui 2 Non 30 Si non pourquoi 31 Vos tudiants poss dent ils des carnets de sant scolaire 1 Oui 2 Non 32 Existe t il dans l universit un syst me de v rification de l tat vaccinal des tudiants 2 1 Oui 2 Non V HYGIENE ALIMENTAIRE 33 Quel est le syst me d alimentation au sein de l universit 1 Cantine 2 Vendeuse de denr es alimentaires 34 Existe t il un comit de surveillance des denr es alimentaires dans l universit 1 Oui 2 Non 35 Si oul comment s effectue cette surveillance 1 Contr le de carte de revendeuse de denr es alimentaires 2 Visite p riodique des agents d hygi ne 9 Sans objet com mo M Em Y FEE GE M GE amp M a Fr 5 4 VI EDUCATION A LA VI
32. acc s l cole pour les l ves 1 Oui 2 Non 10 Si oui lesquelles Cours d eau For t Distance plus de 5 Km Autre pr ciser Sans objet Serum 11 Combien de salles de classes compte votre tablissement cette ann e 12 Quelle est la nature des toits des salles de cours 1 Paille 2 Tole 4 Autre pr ciser 13 Quel est la nature des murs Dur Banco Paillasson ou claie Autre pr ciser o A Ne 14 Quel est le mobilier qui est utilis par vos l ves Table banc Brique Planche Autre pr ciser co E N 15 Combien d enseignants compte votre tablissement cette ann e Combien d l ves sont inscrits cette ann e dans votre tablissement 2 16 Nombre total 17 Nombre de gar ons 18 Nombre de filles HI HYGIENE DU MILIEU DANS LETABLISSEMENT SCOLAIRE Quelles sont les dimensions des classes 19 Largeur 6 7 m 1 Oui 2 Non 20 Longueur 9m 1 Oui 2 Non 21 Hauteur 2 80 3 20 m 1 Oui 2 Non 22 Les salles de classses sont elles bien clair es le jour 1 Oui 2 Non 23 Etes vous incommod s par les temps de pluie 1 Oui 2 Non 24 Existe t il un point d eau potable dans P tablissement 2 I Oui 2 Non 25 Quel type de point d eau utilise t on dans votre tablissement 2 Eau courante Borne fontaine Puits 8 Forage avec pompe 16 Marigot rivi re tang 32 Citerne 64 Autre pr ciser BRN F 26 Existe t il de
33. alim Togo DGPE 1994 Statistiques scolaires annuaire national 1993 1994 Direction G n rale de la Planification de Education Lom pp 1 31 DHS TOGO 1989 Enqu te D mographique et de Sant au Togo Columbia Maryland USA pp 97 113 Engelhard P 1988 Vivre et Mourir en Afrique Sant Population et D veloppement Ed ENDA Dakar S n gal 313 p Kantarama G 1993 Sant scolaire et universitaire au Togo Rapport de mission OMS 11 24 d cembre 1993 Lom Togo Maupas D 1984 L cole en accusation Ed Albin Michel Paris France 242 p Niang M 1985 Population et Education le cas du S n gal Etudes et travaux de PUSED N 3 Dakar S n gal 73 p Oludayisi S 1971 La sant des enfants nig rians d ge scolaire OMS Brazzaville 1975 140 p OMS 1989 La sant des jeunes communication discussions techniques Mai 1989 Lom Togo WCEFA 1990 D claration mondiale sur P ducation pour tous et Cadre d action pour r pondre aux besoins ducatifs fondamentaux 5 9 mars 1990 Jomtien Thailand 25 p ANNEXES MINISTERE DE LA SANTE REPUBLIQUE TOGOLAISE DE LA POPULATION ET Travail Libert Patrie DE LA SOLIDARITE NATIONALE SERVICE NATIONAL DE LA SANTE SCOLAIRE ET UNIVERSITAIRE ENQUETE SUR LA SITUATION SANITAIRE EN MILIEU PRESCOLAIRE AU TOGO I IDENTIFICATION 1 R gion 1 Maritime 2 Plateaux 3 Centrale 4 Kara 5 Savanes 2 Pr
34. ance des denr es alimentaires dans l tablissement 2 1 Oui 2 Non 69 Si oui comment s effectue cette surveillance 2 Contr le de carte de revendeuse de denr es alimentaires Contr le d hygi ne corporelle vestimentaire et de la propret des vaisselles Protection des aliments contre les mouches Visite p riodique des agents d hygi ne Sans objet xs 70 S il existe une cantine dans votre tablissement quel est le prix moyen journalier d un repas 999 Sans objet 10 _ 71 Les revendeuses disposent elles d eau et de savon pour se laver les mains avant et apr s le repas 1 Oui 2 Non 3 Ne sait pas IX HYGIENE CORPORELLE ET VESTIMENTAIRE DES ENFANTS En arrivant les matins les enfants de votre tablissement sont ils propres 72 Sont ils lav s 1 Oui 2 Non 73 Portent ils des habits propres 1 Oui 2 Non 74 Sont tous chauss s 1 Oui 2 Non 75 V rifiez vous la propret des ongles et des cheveux 1 Oui 2 Non 76 Vos enfants ont ls souvent des poux ou la teigne 1 Oui 2 Non X AMENAGEMENT DE LA COUR DU JARDIN D ENFANTS 77 Votre tablissement est l cl tur 2 1 Oui 2 Non 78 La cou de votre tablissement est elle am nag e en jeux de cour 2 I 2 Oui Non 79 Si oui lesquels 80 Vos enfants aiment ils les activit s de gymnastique 82 Existe t il des enseignants qui ont regu une formation en secourisme 83 Quelle est la contributi
35. c la d pense calorique plus importante pendant la r cr ation Etant fatigu notre l ve rentre en classe mais ne peut plus suivre correctement le cours Ces probl mes qui se posent avec acuit ne cessent de s accentuer par une croissance d mographique rapide Quant l assainissement les installations sanitaires font cruellement d faut surtout dans le primaire 2 tablissements sur 3 ne disposent pas de toilettes Cette insuffisance peut expliquer du moins partiellement la faiblesse du r rt filles garcons dans les deuxi me et troisi me degr Il semblerait que les filles se sentent moins laise pour AAA prendre le chemin de la brousse de V cole pour satisfaire leurs besoins Il faut signaler que la d f cation en brousse ne se fait pas seulement par les l ves des coles sans toilette Les raisons avanc es sont les insuffisances de cabines le mauvais tat des latrines et l habitude de d f quer dans la nature Parmi les tablissements qui disposent de toilettes on rencontre des pourcentages non n gligeables qui ne les entretiennent pas et font savoir que ce n est pas n cessaire L N 16 La destruction des Gaure avec tous ses avantages est malheureusement peu pratiqu e dans les tablissements scolaires Pourtant nous ne sommes pas sans savoir que l accumulation des d tritus dans des endroits non indiqu s au sein de V tablissement peut constituer un danger pour la sant des l
36. cale circonstancielle action imm diate il wy a pas un syst me op rationnel de v rification de l tat vaccinal des l ves au sein des coles Afin d apporter un certain nombre de solutions ces probl mes des mesures suivantes peuvent tre prises pour une meilleure surveillance sanitaire et pid miologique la n cessit de faire p riodiquement des visites syst matiques dans toutes les coles afin d tablir le bilan m dical pour chaque l ve Ces visites peuvent se faire au moins tous les ans Des visites de contr le peuvent tre organis es tout moment dans les coles par le personnel de sant au cas ol une pid mie est d clench e dans le milieu Le personnel enseignant qui est souvent ignor en sant scolaire est galement concern par ces diff rentes visites m dicales pr cit es Les coles doivent tre incluses dans les programmes de vaccination de masse 48 Le BCG les vaccinations contre la Poliomy lite la Coqueluche le T tanos la Dipht rie la Rougeole la fi vre jaune Pantim ningocoque doivent tre exig s avant toute inscription l cole et chaque l ve doit poss der un carnet de sant dans lequel toutes les informations sur sa sant devront y figurer Toutes les coles doivent disposer d un registre qui renfermerait les statistiques sur la couverture vaccinale de leur population scolaire du moins pour les 6 maladies suivantes tuberculose pol
37. de montrent que 16 pour cent des Jardins d Enfants au Togo disposent d une structure de soins au sein de l cole Cette structure de soins est constitu e g n ralement d une pi ce qui permet d isoler temporairement Venfant malade pour qu il se repose apr s lui avoir donn les premiers soins Il est souligner que les rares structures de soins qui existent sont tenues par les enseignants qui le plus souvent ne sont pas form s pour donner les premiers soins appropri s C est surtout Lom qu on retrouve la plupart des Jardins d Enfants qui ont une structure de soins surtout chez les priv s laies l int rieur du pays les quelques Jardins d Enfants qui existent sont d pourvus de structure de soins Dans la plupart des cas lorsqu un enfant tombe malade au sein de l cole il est conduit dans une formation sanitaire dont la distance moyenne est d environ 3 km alors que les moyens d vacuation des enfants malades font d faut 22 Quand bien m me les coles ne disposent pas de registre de statistiques de sant des leves selon les responsables les maladies les plus fr quemment d velopp es par les enfants sont par ordre d importance la fi vre Ja toux les maux de t te les maux de ventre Les sympt mes de poliomy lite et les malformations cong nitales constituent les principaux genres d infirmit s enregistr s au niveau des Jardins d Enfants 11 2 1 2 Disponibilit de bo te phar
38. e Pun des grands objectifs du service de sant scolaire et universitaire Cette hygi ne int resse le milieu et les aliments La construction des b timents des coles doit respecter les normes pr vues pour tre bien a r s __ Concernant Papprovisionnement en eau potable il est important que toutes les coles soient dot es d un point d eau saine pour desservir la population scolaire Dans les coins recul s les villages la construction d un puits ou Pinstallation d une citerne dans chaque cole serait souhaitable Actuellement les l ves et tudiants continuent aller dans la brousse pour faire s leur besoin par manque de toilettes ou insuffisance de cabines Il est donc indispensable que chaque cole dispose de toilette bien entretenue le nombre de cabines pr voir d pendra de l effectif des l ves Des inspections p riodiques doivent tre effectu es dans ce cadre pour contr ler entretien et pour la lutte contre la pollution Presque toutes les coles ne poss dent pas de moyen de conservation et de destruction des ordures A cet effet il est sugg r que chaque cole ait un incin rateur as o 45 I faudra mettre en place un syst me de contr le des denr es vendues aux l ves tudiants au sein des tablissements scolaires Les revendeuses doivent subir aussi une visite m dicale pour un bilan complet Elles doivent tre assujetties toutes les vaccinatio
39. e dans V tablissement 1 Oui 2 Non 23 Quel type de point d eau utilise t on dans votre tablissement 1 Eau courante 2 Borne fontaine 4 Puits 8 Forage avec pompe 16 Marigot rivi re tang 32 Citerne 64 Autre pr ciser 24 Existe t il des toilettes dans votre tablissement 1 Oui 2 Non 25 Si oui combien de cabines 26 Quel type de toilettes utilise t on dans votre tablissement 1 Avec chasse d eau 2 Fosse tanche 4 Puits perdu 4 27 Les enfants vont ils en brousse pour leurs besoins 1 Oui 2 Non 28 Si oui pourquoi 29 Entretenez vous p riodiquement les toilettes 1 Oui 2 Non 9 Sans objet 30 Si oui quelle est la p riodicit de cet entretien 9 Sans objet 31 Utilisez vous des produits ou moyens pour rendre les lieux d aisance moins malodorants 2 1 Oui 2 Non 9 Sans objet 32 Si non pourquoi 2 9 Sans objet 33 Disposez vous d un moyen de destruction ou de conservation des ordures 1 Oui 2 Non IV SOINS DE SANTE 34 Disposez vous d une structure de soins au sein de votre tablissement 1 Oui 2 Non 35 Si oui est elle op rationnelle I Oui 2 Non 9 Sans objet 36 Si non pourquoi 2 9 Sans objet 37 Si oui quelle est la qualification du responsable M decin Infirmier Aide soignant Agent itin rant Autre pr ciser Sans objet NOU P WN 38 Qui finance le fonctionnement de cette structure Etablisse
40. e la contraception ni des aspects fondamentaux de la conception Au niveau du primaire seulement 19 pour cent des coles ont re u durant l ann e 1994 la visite de l quipe de V ducation pour la vie familiale Cette activit reste tr s importante dans la mesure o de nos jours les enfants commencent tr s t t d j l cole primaire les activit s sexuelles Durant les deux derni res ann es 1993 94 des grossesses ont t enregistr es dans 30 pour cent d coles primaires au Togo Ces r sultats d notent un besoin r el de sensibilisation des l ves en mati re de sexualit Le manque d information sur la sexualit expliquerait cette situation avec tout ce qu elle comporte comme cons quence n faste sur la sant de la jeune fille et sa scolarit dans la plupart des cas elle abandonne V cole 41 Tableau 11 R partition en pour cent des coles selon la survenue d une grossesse par r gion et par degr d enseignement DEGRE D ENSEIGNEMENT Dans le deuxi me degr des grossesses ont t enregistr es durant les deux derni res TEC ann es 1993 94 dans 54 pour cent de coll ges comme Pindique le tableau 11 La visite d information et de sensibilisation en mati re d ducation pour la vie familiale est tr s insuffisante dans les coles seconduires car c est ici que cette activit trouve plus son importance par la tranche d ge concern e par le niveau secondaire 12 20 ans Durant
41. ent des coles du deuxi me degr soit par des enseignants 3 3 pour cent et elles sont enti rement financ es par les tablissements m mes Le manque de fonds pour approvisionnement des m dicaments et le manque de personnel constituent ici aussi les principales raisons voqu es par les responsables des tablissements qui poss dent des structures de soins non op rationnelles Les l ves qui tombent malades au sein de l tablissement sont en g n ral envoy s dans une formation sanitaire dans 93 pour cent des tablissements Or les moyens d vacuation des malades sont pratiquement inexistants Les frais de m dication sont enti rement pris en charge par les parents 95 pour cent La contribution de l tablissement dans la prise en charge des l ves mulades est presque nulle 29 Tableau 7 R partition en pour cent des tablissements du deuxi me degr selon Pexistence ou non de structure de soins op rationnelle par r gion EXISTENCE DE STRUCTURE DE SOINS REGIONS Gp rationnelle Non ersten No p TOTAL Les maux de t te dans 85 pour cent de coll ge la fi vre 85 pour cent et les maux de ventre 70 pour cent sont ici aussi les trois plaintes les plus fr quentes chez les l ves du deuxi me degr Concernant les d c s d l ves au cours des deux derni res ann es 57 d c s pour 100 mille sont enregistr s en moyenne par dans les coll ges au Togo Les sympt mes
42. es de d c s Des d c s d enfants ont t enregistr s dans 34 pour cent d coles mais les raisons de ces d c s ne sont pas enregistr es au niveau des coles En g n ral il meurt en moyenne chaque ann e dans les tablissements primaires 233 l ves pour 100 mille S agissant des genres d infirmit s qui existent dans les coles primaires les sympt mes de polio sont les plus fr quents dans 51 pour cent d coles C est ce qui ressort ymp p p p g du tableau 5 gui pr sente la situation par r gion Tableau 5 R partition en pour cent des coles primaires selon les genres d infirmit s qui existent et par r gion A REGIONS GENRES D INFIRMITES A oi i Savanes Ensemble Au niveau des r gions dans la r gion centrale des sympt mes de polio sont enregistr s dans 62 pour cent d coles primaires 54 pour cent dans la r gion de la Kara 52 pour cent dans la maritime 48 pour cent dans les Savanes et 40 pour cent dans les Plateaux D 26 Ces r sultats ne sont que la cons quence de la non exigence de la vaccination contre la polio avant toute inscription V cole au Togo 11 2 2 2 Disponibilit de bo te pharmacie et son contenu Le but poursuivi en instituant ces pharmacies scolaires est de fournir des soins de sant de premi re n cessit aux l ves malades surtout dans les coles tr s loign es des formations sanitaires L installation de ces bo tes phar
43. espectivement aux responsables des Jardins d Enfants des tablissements des premier deuxi me et troisi me degr s et aux responsables des tablissements du quatri me degr Ces questions renferment des informations d identification des caract ristiques d ordre g n ral sur l tablissement telles que l accessibilit le nombre d l ves par sexe la nature des murs et des toits des salles de classes des informations relatives l hygi ne alimentaire et du milieu au sein de l tablissement scolaire aux soins de sant aux surveillances sanitaire et pid miologique la couverture vaccinale P ducation la vie familiale et aux activit s sportives et associatives La finalisation des questionnaires s est effectu e l issue d une table ronde r unissant les sp cialistes de V ducation et d enqu te les inspecteurs ainsi que les directeurs des diff rents degr s d enseignement du Togo 1 1 5 Enqu te pilote La n cessit d une enqu te pilote est de recueillir lors de Pinterview les difficult s ventuelles des enqu t s r pondre correctement certaines questions Ces difficult s sont rapport es aux superviseurs qui en tiendront compte au cours de la formation des enqu teurs et de la mise au point du questionnaire L enqu te pilote s est d roul e le 06 10 94 dans 2 coles maternelles 4 tablissements primaires et 2 coll ges de la commune de Lom soit en tout 8 tablisseme
44. eurs de conseillers p dagogiques et d inspecteurs d enseignement du premier degr Pourquoi cette strat gie Nous nous sommes dit qu en milieu scolaire les conseillers p dagogiques sont dans la hi rarchie sup rieurs aux enseignants et cout s par ceux ci Et compte tenu du s rieux que n cessite l op ration nous avons donc jug utile de nous adresser aux inspecteurs qui dans le planning de leurs activit s devraient en principe programmer visiter des tablissements cette rentr e scolaire 7 Les enqu teurs ne sont pas tous r unis en un lieu fixe pour suivre collectivement la formation Cette derni re a t effectu e par deux quipes mobiles de supervision Cette strat gie impose des dates de d marrage de la collecte variables en fonction du recrutement et de la formation Le programme de formation a port sur la pr sentation de l enqu te les objectifs poursuivis ainsi que les commanditaires un inventaire des difficult s probables et les possibilit s de solutions Pinitiation aux questionnaires et au manuel d instructions des exercices de remplissage des questionnaires Pour s assurer que les enqu teurs posent correctement et de la m me fagon chaque question une importance particuli re a t accord e aux simulations Ainsi expos de chaque section tait toujours suivi de simulation de cas pratiques o les agents jouaient tour tour les r les d enqu teurs et d enqu t s Une foi
45. fecture 3 Nom de la localit 4 Nom de V tablissement 5 Date de cr ation de l tablissement 6 Ordre d enseignement 1 Public 2 Priv Confessionnel 3 Priv Laic H CARACTERISTIQUES GENERALES 7 Existe t il des difficult s d acc s au Jardin pour les enfants 2 1 Oui 2 Non 8 Si oui lesquelles Cours d eau For t Distance plus de 5 Km Autre pr ciser 99 Sans objet CORN ra 9 Combien de salles de classes compte votre tablissement cette ann e 10 Quelle est la nature des toits des salles de cours 1 Paille 2 Tole 4 Autre pr ciser 11 Quel est la nature des murs Dur Banco Paillasson ou Claies Autre pr ciser ov BUN ra 12 Ouel est le mobilier gui est utilis par vos l ves Petites tables et petites chaises Tabourets Briques Planches ZX SS 13 Combien d enseignants compte votre tablissement cette ann e Combien d enfants sont inscrits cette ann e dans votre tablissement 14 Nombre total 15 Nombre de gar ons 16 Nombre de filles lll HYGIENE DU MILIEU DANS VETABLISSEMENT SCOLAIRE Quelles sont les dimensions des classes 17 Largeur 6 7 m 1 Oui 2 Non 18 Longueur 9m 1 Oui 2 Non 19 Hauteur 2 80 3 20 m I Oui 2 Non 20 Les salles de classes sont elles bien clair es le jour 1 Oui 2 Non 21 Etes vous incommod s par les temps de pluie 1 Oui 2 Non 22 Existe t il un point d eau potabl
46. gern Trimestrielle Semestrielle Annuelle Autre pr ciser Sans objet VI SURVEILLANCE EPIDEMIOLOGIQUE 60 Avez vous enregistr des cas de maladies pid miques suivantes dans votre tablissement cette ann e OC RAN nm 16 32 M ningite Diarrh e grave Orcillon Conjonctivite Apollo Varicelle Pian 61 Quelles ont t les mesures prises cet effet 1 2 4 8 99 Traitement au sein de l tablissement Evacuation dans une formation sanitaire Mesures pr ventives viction de Penfant malade fermeture de l tablissement vaccination et mesures d assainissement Education pour la sant Autre pr ciser 62 Adressez vous des rapports de statistiques sanitaires la direction pr fectorale de la sant 1 2 Oui Non 63 Si non pourquoi 9 VI COUVERTURE VACCINALE 64 Vos enfants poss dent ils des carnets de sant scolaire 1 Oui 2 Non 65 Existe t il dans votre tablissement un syst me de v rification de l tat vaccinal des l ves 2 1 Oui 2 Non 66 Si oui quelle est la couverture vaccinale des l ves de votre tablissement en 1 Rougeole 2 BCG 3 DTCoq 4 VAT 5 Fi vre jaune 6 Polio 7 M ningite 99 Sans objet VII HYGIENE ALIMENTAIRE 67 Quel est le syst me d alimentation au sein de votre tablissement I Cantine 2 Vendeuse de denr es alimentaires 9 Autre pr ciser 68 Existe t il un comit de surveill
47. ie pr cit e 34 En cas de maladie pid mique au sein de P tablissement des mesures sont quand m me prises pour viter la contagion Parmi ces mesures on peut citer la vaccination des enfants tr s rarement Penvoi des malades la maison le plus souvent Penvoi des malades dans une formation sanitaire Pour une surveillance sanitaire au sein de V tablissement chague l ve doit avoir un carnet de sant d s sa premi re admission P cole et ce carnet ne doit souffrir d aucune n gligence Mais quel est le constat au Togo Au niveau des pr scokures dans 55 pour cent des tablissements les enfants ne poss dent pas de carnet de sant Or sans le carnet de sant il est difficile de v rifier P tat vaccinal des enfants Seulement 5 pour cent des tablissements pr scolaires poss dent vraiment un systeme de v rification de V tat vaccinal des enfants bas sur la tenue r guli re du carnet de sant 11 3 2 2 Niveau primaire Au niveau du primaire le constat est identique celui du pr scolaire il n existe pas de rapports sur les cas de maladies enregistr s au sein des tablissements 3 pour cent des coles primaires ont d clar faire des rapports sur les statistiques sanitaires qu ils envoient la Direction Pr fectorale de la Sant N anmoins d apr s les d clarations des responsables d coles les quelques maladies pid miques enregistr s au sein des tablissements dura
48. ien du milieu qu alimentaire et les visites sanitaires dans les structures scolaires et enfin analyser le circuit de soins dans les tablissements scolaires La couverture de ces domaines constitue une sorte d tat des lieux n cessaire pour P laboration et la mise en oeuvre d un programme national de sant scolaire om mm Hm HH HH ON HE GE H 1 1 3 D marches administratives Pour faciliter un bon d roulement de Penqu te des demandes d autorisation ont t adress es au minist re de l ducation nationale et de la recherche scientifique au minist re de Penseignement technique et de la formation professionnelle et aux directeurs des enseignements des premier deuxi me troisi me et quatri me degr s et de l enseignement technique et de la formation professionnel d une part et d autre part compte tenu de la lenteur administrative avant que les lettres ne parviennent aux inspecteurs locaux ceux ci ont t inform s par t l phone de l op ration Il leur a t demand d identifier des personnes pouvant mener bien l op ration dans un d lai de 10 jours Ces personnes doivent de pr f rence disposer d une moto pour faciliter les t ches C est ainsi que certains inspecteurs se sont rendus disponibles pour la collecte d faut de proposer leurs administr s 1 1 4 Les Questionnaires L enqu te a utilis trois types de questionnaires presque identiques Ils s adressent r
49. inissement leurs tablissements sont marginalis s et il ne sert rien de les d ranger avec ces questions Malgr insistance de l enqu teur celui ci est purement plement refoul Au niveau de l exploitation des donn es les probl mes de sant du personnel ont fait que la saisie et Panalyse ont accus de retard par rapport aux ch ances pr vues En dehors de ces difficult s les op rations se sont d roul es techniquement de fa on satisfaisante Sur le terrain les quelques enqu teurs qui ne sont pas du corps enseignant y ont pu eux aussi bien int grer sans trop de peine Les remarques et suggestions relev es lors de la pr enqu te ont t bien exploit es I 2 CARACTERISTIQUES DE L ECHANTILLON L enqu te a port sur 2210 coles qui se r partissent en 39 Jardins d Enfants 1889 coles primaires 245 tablissements du deuxi me degr 36 tablissements du troisi me degr et l Universit du B nin Les caract ristiques enregistr es sur ces 2210 tablissements sont consign es dans le tableau 1 II s agit des caract ristiques d ordre g n ral recueillies aupr s des responsables des coles Elles concernent l ordre d enseignement Peffectif moyen par classe le rapport de f minit scolaire l accessibilit g ographique les obstacles l accessibilit la nature des toits et des murs des salles de classes et le type de mobilier utilis s par les l ves 1 2 1 Enseignement Pr
50. io dipht rie t tanos coqueluche rougeole Ceci est tr s important surtout au niveau du pr scolaire et du primaire 11 5 EDUCATION SANITAIRE SCOLAIRE Dans le domaine de Education la Vie Familiale EVF il ressort des r sultats que les coles ne re oivent pas la visite de l quipe de Pinformation charg e de cette activit Des grossesses pr coces sont enregistr es tous les niveaux de l enseignement au Togo du primaire au secondaire II avere donc indispensable d laborer un programme d ducation pour la sant scolaire qui offrirait une possibilit de transmettre des informations d importance capitale pour la sant pendant le jeune ge et l adolescence informations en mati re de nutrition d hygi ne du milieu et corporelle sur les maladies infectieuses courantes en milieu scolaire amp et les signes avertisseurs la pr vention des maladies la r gulation de la f condit va os Sig L ducation sexuelle fera partie int grante de ce programme Un comit devra tre mis en place pour r fl chir sur le contenu de ce programme qui sera int gr aux programmes de formation des l ves et m me des enseignants Soulignons que V ducation pour la sant doit viser essentiellement pr venir la maladie et promouvoir la sant mama D Y Y OR Y OR RD ER ER gem 49 III 6 ACTIVITES SPORTIVES ET ASSOCIATIVES En mati re d ducation physique les r sultats ont montr que dans presque tou
51. itaire doit pouvoir suivre m dicalement les l ves et leur garantir une bonne sant en les pr servant des maladies Dans le but de r pondre cet objectif et aux besoins r els des populations scolaris es il est apparu n cessaire d laborer une politique nationale de sant scolaire et universitaire mm em SD OR SD OR HE HE D HEH HF ED GEM WH OR LE GEM ER 2 Ainsi afin d asseoir un plan d action dans ce domaine il s est av r indispensable de faire V tat des lieux en mati re de sant scolaire et universitaire au Togo C est dans ce cadre que s inscrit cette tude qui couvre les 5 r gions du pays et tous les degr s de Penseignement Ce rapport est structur en trois points Le premier pr sente le cadre et les caract ristiques de V chantillon le second d crit la situation sanitaire en milieux scolaire et universitaire et le dernier conclut et propose quelques pistes d am lioration de la sant scolaire et universitaire Les consid rations d ordre m thodologigue ainsi que les caract ristigues de P chantillon travers les diff rents degr s d enseignements sont d velopp es au premier point Quant au second Panalyse des r sultats est ax e sur quatre l ments fondamentaux qui sont les suivants Phygi ne du milieu et alimentaire dans les tablissements scolaires les soins de sant dans les tablissements scolaires la surveillance sanitaire et pid miologique les activi
52. les r sultats de Penqu te pres de 60 pour cent de Jardins d Enfants ont des cours non am nag es en jeux I faut souligner que les jeux qu on retrouve fr quemment sur les cours des Jardins d Enfants au Togo sont Toboggan Balan oire Pneus grimper Tronc d arbre avec des objets de r cup ration tels que Pneus bo tes vides vieux journaux ballons etc Dans le primaire presque toutes les coles disposent d espace am nag o les l ves font du sport Soixante dix pour cent des coles primaires disposent de terrain de football 1 pour cent poss dent un terrain de basket et volley ball 0 2 pour cent ont un espace pour le lancer du poids et le grimper Si le sport est pratiqu dans beaucoup d coles primaires il y en a 6 pour cent o les l ves ne font pas du sport cause de Pinexistence d infrastructures sportives Au deuxi me degr le sport est pratiqu dans presque tous les coll ges 89 pour cent des coll ges Les activit s sportives pratiqu es sont le football le volley ball le basket ball Pathl tisme etc Au troisieme degr le sport se fait dans tous les tablissements et les activit s sportives pratiqu es par les l ves sont identiques celles cit es pour les deuxi me degr 43 Concernant les activit s associatives il faut noter que le Scout le Club Unesco la troupe th trale le groupe folklorique la croix rouge le comit MST Sida sont les principales associations
53. macie a t appuy e par l UNICEF qui leur avait fourni un approvisionnement de d marrage Mais depuis que l UNICEF a commenc mettre en place Initiative de Bamako il a suspendu cet appui des pharmacies scolaires et les tablissements ont actuellement du mal s approvisionner Comme soulign plus haut Pune des principales raisons voqu es par les responsables des coles primaires o il existe une structure de soins mais non op rationnelle est le manque de produits pour traiter les malades Ceci est galement ressorti au niveau des tablissements scolaires qui disposent d une bo te pharmacie Sur l ensemble des coles primaires 29 pour cent poss dent une bo te pharmacie tableau 6 Les m dicaments de base que contiennent g n ralement ces bo tes pharmacies sont chloroquine alcool objet de pansement Les principales sources de financement de ces bo tes pharmacie sont les tablissements scolaires les parents d l ves les ONG UNICEF surtout Sur les 29 pour cent d coles primaires qui en poss dent 24 pour cent sont en rupture de stocks depuis longtemps le plus souvent la boite est compl tement vide 27 L approvisionnement des boites pharmacie constitue donc le gros probl me que rencontrent les tablissements qui en poss dent Les raisons voqu es pour expliquer cette situation sont le manque de fonds pour Papprovisionnement probl me d achemineme
54. macie et son contenu Pr s de la moiti des Jardins d Enfants 48 pour cent disposent d une bo te pharmacie et les m dicaments de base qui sy trouvent sont Alcool Chloroquine Aspirine Objet de pansement Parac tamol tr s rarement Mais les m dicaments les plus sollicit s sont chloroquine aspirine et parac tamol Aucune subvention de la part de l tat n est faite pour Vapprovisionnement de ces bo tes pharmacie tout repose sur les tablissements qui font un effort consid rable pour viter les ruptures de stock et garantir de ce fait les premiers soins Penfant malade 2 23 11 2 2 Niveau primaire 11 2 2 1 Structure de soins dans les coles primaires Tr s peu d coles primaires disposent de structures de soins sur l ensemble des coles du premier degr seulement 11 pour cent en poss dent La situation est pratiquement la m me au niveau des diff rentes r gions comme on peut le constater sur le tableau 4 dans les Plateaux 8 pour cent des coles primaires ont une structure de soins et dans la maritime cette proportion est de 11 Mais Pop rationnalit de ces structures pose probl me En effet seulement 1 pour cent d coles primaires disposent de structures de soins op rationnelles Tableau 4 R partition en pour cent des coles primaires selon Pexistence ou non de structure de soins op rationnelles par r gion EXISTENCE DE STRUCTURE DE SOINS REGIONS Op ration
55. ment Etat Togolais ONG pr ciser Parents d l ves Autre pr ciser Sans objet Lian 39 Que faites vous au cas o un enfant tombe malade au sein de l tablissement 2 Il est conduit la maison Il est conduit dans une formation sanitaire Il est trait au sein de P tablissement Rien Dites pourquoi vous ne faites rien CO PS FM r 40 Dans le cas o Penfant est adress une formation sanitaire qui prend en charge les frais de consultation L tablissement Les parents Etat Autre pr ciser DO BU F 41 Dans le cas o le traitement se fait dans une formation sanitaire quelle est la distance approximative par rapport votre P tablissement I lt I Km moins de 15 minutes 2 1 moins de 3 Km 15 moins de 30 minutes 3 3 moins de 5 Km 30 moins de 60 minutes 4 5 Km ou plus 60 minutes ou plus 42 L tablissement dispose t il d un moyen d vacuation des malades 1 Qui 2 Non 43 Si oui lequel 1 V lo 2 Moto 4 V hicule 44 Combien de cas de maladies avez vous enregistr pendant cette ann e scolaire 45 Quelles sont les trois 3 maladies les plus fr quentes dans votre tablissement 1 Corps chaud fi vre 2 Maux de t te 4 Plaies 8 Maladies des yeux 16 Maladies des oreilles 32 Morsures 64 Maux de ventre 128 Maux de gorge 256 Toux 46 Quel genre d infirmit s avez vous dans votre tablissement Polio Malformations cong nitales B
56. nelle Non op rationnelle TOTAL ee OT Savanes Ensemble L examen du tableau 4 donnant les pourcentages par r gion montre que dans pratiquement toutes les r gions seulement 1 pour cent des coles primaires ont une structure de soins op rationnelle tenue soit par des enseignants soit par des agents a 24 itin rants Les agents de sant m decin infirmier aide soignant font d faut et tr s peu d coles ont des enseignants form s en secourisme 2 pour cent Les pourcentages lev s des structures de soins non op rationnelles au niveau de toutes les r gions tableau 4 illustrent bien le probl me que pose le fonctionnement de ces structures Le manque de produits ajout aux effets de la crise que le pays a connus ces derni res ann es constituent les principales raisons voqu es par les responsables de certains tablissements pour la non op rationnalit de leurs structures de soins Ajoutons que ces structures de soins sont g n ralement financ es par PEtat des Organisations Internationales comme UNICEF OMS d autres ONG comme Aide et Action etc Au cas o un l ve tombe malade au sein de V tablissement il est envoy la maison 26 pour cent des coles o dans une formation sanitaire 46 pour cent Or les formations sanitaires qui desservent les localit s sont tr s distantes des coles environ 3 plus de 5km et il ny a pas de moyen d vacuation du malade se
57. ns obligatoires Enfin il faudra analyser la possibilit d avoir des cantines au se n des coles surtout pour celles qui sont tr s loign es des habitations 1112 LES STRUCTURES SANITAIRES SCOLAIRES 1 Les donn es de l enqu te ont montr que dans l ensemble les tablissements scolaires ne disposent pas de structures de soins en leur sein pour traiter les l ves malades Au niveau du pr scolaire seulement 16 pour cent disposent de structures op rationnelles I pour cent pour le primaire 5 pour cent pour le deuxi me degr et 25 pour cent pour le troisi me degr Il ressort de ce constat que des mesures doivent tre prises pour r soudre ce probl me qui doit tre trait suivant trois aspects pour des tablissements qui ont un effectif lev il faudra cr er une infirmerie en leur sein dirig e par un personnel m dical avec des quipements ad quats pour traiter les l ves malades pour des tablissements de petits effectifs non loin des formations sanitaires il faudra demander Passistance du personnel de ces formations sanitaires en cas de besoin pour des tablissements scolaires tr s loign s des formations sanitaires ce qui est le cas de la plupart des coles surtout Pint rieur du pays la disponibilit d une bo te pharmacie s av re indispensable et le personnel enseignant devra tre form Putilisation des m dicaments essentiels pour les premiers soins aux l ves
58. nt Pann e 1994 sont la conjonctivite 43 pour cent d coles les oreillons 23 pour cent la varicelle 23 pour cent mm om mm mm Mmm mm mm OS Y mm em Y Y Y Y OS mm A NEED 35 Le tableau 8 indique les principales maladies pid miques enregistr es au niveau du primaire dans chaque r gion Ainsi en analysant ce tableau on constate que dans toutes les r gions la conjonctivite constitue la premi re maladie pid mique suivie de la varicelle et les oreillons Tableau 8 R partition en pour cent des coles primaires selon les maladies pid miques enregistr es durant Pann e 1994 par r gion MALADIES EPIDEMIQUES Des cas de m ningite sont enregistr s dans les coles primaires des r gions Centrale Kara et Savanes Parmi les mesures prises au sein des tablissements pour viter la propagation on peut citer L vacuation des malades dans une formation sanitaire le plus souvent au dispensaire de la localit pour les coles de l int rieur du pays La vaccination des l ves tr s rarement Mesures d assainissement Mesures d information et d ducation pour la sant aux l ves 36 En mati re de v rification de l tat vaccinal des l ves sur l ensemble des coles primaires seulement 16 pour cent de leurs responsables ont d clar que leurs l ves poss dent un carnet de sant mais c est seulement 6 pour cent qui v rifient r ellement l tat vaccinal de
59. nt des produits Dans l tat actuel des choses certains tablissements 10 ont adopt des approches de solutions pour rem dier ce manque de produits dans les bo tes pharmacie afin de continuer fournir les premiers soins aux l ves malades par Pachat des produits avec la mutuelle scolaire Mais dans la plupart des cas Penfant malade est renvoy imm diatement la maison ou conduit dans une formation sanitaire bo te pharmacie par r gion Tableau 6 R partition en pour cent des coles primaires selon la disponibilit d une DISPONIBILITE DE BOITE A PHARMACIE n o RE RE 28 11 2 3 Niveau secondaire Au niveau secondaire la situation est pratiquement identique pour le deuxi me que pour le troisi me degre 11 2 3 1 Structure de soins au niveau du secondaire Au deuxi me degr les r sultats du tableau 7 montrent que seulement 8 pour cent des coll ges poss dent une structure de soins et contrairement au premier degr 70 pour cent de ces structures sont encore op rationnelles ce qui repr sente 5 pour cent de l ensemble des tablissements du deuxi me degr Soulignons que les tablissements du deuxi me degr sont pour la plupart situ es dans des grandes agglom rations o il existe une formation sanitaire pas trop loign e environ 1 km Ces quelques structures de soins qui sont Pint ricur des coles sont tenues soit par des infirmiers dans 3 3 pour c
60. nts Au cours de ce passage trois questions ont suscit des h sitations ou des remarques Ce sont les questions relatives au point d eau utilis dans l tablissement au toit et au mur des salles de classe et la couverture vaccinale A propos du point d eau les enqu t s pensent que celui ci ne peut jamais tre hors de l tablissement donc les modalit s comme marigot ou barrage n ont pas leur raison d tre S agissant des murs et des toits des salles de classe certaines salles de classe n ont pas de mur ce qui d ailleurs s est v rifi l int rieur du pays o la plupart des hangars ou apatams ne disposent pas de murs Quant la couverture vaccinale les l ves ne disposent souvent pas de carnet et dans ce cas la couverture vaccinale serait difficile calculer 1 1 6 Echantillonnage D chantillonnage concerne uniquement le premier degr et les Jardins d Enfants Pour les autres degr s le d nombrement est exhaustif Etant donn l absence d une base de sondage centralis e P chantillon se constitue au fur et mesure que l on arrive dans inspection du premier degr de la pr fecture Dans cette derni re les tablissements de la base de sondage sont class s par ordre alphab tique Un num ro est affect chaque unit Le tirage s est effectu l aide de la Table des Nombres au Hasard La lecture a t r alis e au 37 mille 17 colonne 79 ligne partir de la gauche ver
61. nts les enseignants RD contr lent chaque matin la propret de leur corps de leurs habits des ongles et cheveux le port des chaussures dans 13 pour cent des Jardins d Enfants les l ves ne portent pas tous des chaussures et v rifient si les enfants ont des War ou la teigne Sur ce dernier l ment dans 23 pour cent des coles les enfants ont don Le 11 1 2 2 Au niveau primaire et secondane L hygi ne alimentaire devrait relever des r les de P cole en tant que centre d ducation pour la sant A cet gard quel que soit le syst me d alimentation des l ves V cole devrait vei l hygi ne alimentaire dont les r sultats de la situation en milieu scolaire togolais sont consign s dans le tableau 3 Au Togo la cantine scolaire malgr ses avantages inestimables est pratiquement I m nn inexistante Les quelques rares que Pon rencontre fixe le prix du repas entre 25 et 150 FCFA soit en moyenne 93 FCFA De plus Thygi ne n est pas contr l e pour les y aliments dans toutes les coles Et pour preuve certains responsables d cole primaire r pondent qu ils ne savent pas si les vendeuses de denr es alimentaires disposent de savon et eau pour laver les mains avant et apr s avoir mang Tableau 3 Ces genres de r ponses 4 n gligentes montrent d j la n cessit de sensibiliser les enseignants aux probl mes de sant des l ves M me dans les coles ou se fait le contr le de Phygi
62. on de la communaut aux activit s de sant dans votre cole 84 DAC AN 64 128 256 512 999 IAN 6 Y AN 1 2 4 Toboggan Balangoire Bascule Tunnel Pneus grimper Pont suspendu Pas de g ant Bac sable Troncs d arbre Autres pr ciser Sans objet Libres Dirig es Lin salle Dans la cour Avec de petits mat riels Avec de gros mat riels Autre a pr ciser Oui Non Apport en main d ceuvre pour Pentretien dans P tablissement Prise en charge de la bo te pharmacie Autre pr ciser 11 En tant que responsable d un tablissement scolaire quelles sont vos suggestions pour assurer une meilleure sant vos l ves MINISTERE DE LA SANTE REPUBLIQUE TOGOLAISE DE LA POPULATION ET Travail Libert Patrie DE LA SOLIDARITE NATIONALE SERVICE NATIONAL DE LA SANTE SCOLAIRE ET UNIVERSITAIRE ENQUETE SUR LA SITUATION SANITAIRE EN MILIEU SCOLAIRE AU TOGO I IDENTIFICATION 1 R gion 1 Maritime 2 Plateaux 3 Centrale 4 Kara 5 Savanes 2 Pr fecture 3 Nom de la localit 4 Nom de V tablissement 5 Date de cr ation de V tablissement 6 Ordre d enseignement I Public 2 Priv Confessionnel 3 Priv Laic 7 Type d enseignement 1 G n ral 2 Technique 3 M nager 8 Degr d enseignement 1 Premier degr 2 Deuxi me degr 3 Troisi me degr 4 Quatri me degr II CARACTERISTIQUES GENERALES 9 Existe t il des difficult s d
63. ore 16 Croix Rouge 32 Autre pr ciser 88 Aucune 84 Existe t il des enseignants ou des l ves qui ont re u une formation en secourisme 2 l Oui 2 Non 85 Quelle est la contribution de la communaut aux activit s de sant dans votre cole 1 Apport en main d uvre pour Pentretien dans P tablissement 2 Prise en charge de la bo te pharmacie 4 Autre pr ciser 86 En tant que responsable d un tablissement scolaire quelles sont vos suggestions pour assurer une meilleure sant vos l ves D mm s MINISTERE DE LA SANTE REPUBLIOUE TOGOLAISE DE LA POPULATION ET Travail Libert Patrie DE LA SOLIDARITE NATIONALE SERVICE NATIONAL DE LA SANTE SCOLAIRE ET UNIVERSITAIRE ENQUETE SUR LA SITUATION SANITAIRE A L UNIVERSITE DU BENIN TOGO I CARACTERISTIQUES GENERALES 1 Combien damphith tres compte l universit cette ann e 2 2 Combien d enseignants compte Puniversit cette ann e Combien d tudiants sont inscrits cette ann e Puniversit 3 Nombre total 4 Nombre de gar ons 5 Nombre de filles Jl HYGIENE DU MILIEU DANS L ETABLISSEMENT SCOLAIRE 6 Combien de cabines de toilettes dispose l universit 7 Quel type de toilettes utilise t on dans votre universit 1 Avec chasse d eau 2 Fosse tanche 8 Les tudiants vont ils en brousse pour leurs besoins 1 Oui 2 Non 9 Si oui pourquoi 10 Entretenez vous p riodiquement les toilettes
64. orgne Autre pr ciser oof NR 47 Combien de cas de d c s avez vous enregistr au cours de l ann e 48 Disposez vous d une boite a pharmacie 1 Oui 2 Non 49 Si oui depuis quelle ann e 99 Sans objet 50 Si oul quels sont les m dicaments de base qui s y trouvent 1 Chloroquine Nivaquine 2 Aspirine Acide ac thyl salicylate 4 Paracetamol 8 Alcool 16 Objet de pansement 51 Parmi ces m dicaments de base citez les trois premiers fr quemment utilis s 52 Qui finance l approvisionnement de votre boite pharmacie Etat Etablissement Parents d l ves ONG pr ciser Autre pr ciser DANA 53 Avez vous eu de rupture de stocks au cours de l ann e 2 1 Oui 2 Non 54 Quelles sont les raisons de cette rupture 1 Manque de fonds 2 Mauvaise gestion 4 Probl me d acheminement 55 Quelles solutions adoptez vous en cas de rupture de stock V SURVEILLANCE SANITAIRE 56 Vos enfants b n ficient ils de la visite m dicale syst matique annuelle du m decin 1 Oul 2 Non 57 En dehors du m decin recevez vous la visite d un autre agent de sant 1 Out 2 Non 58 Quels sont les domaines couverts par cet agent lors de sa visite 00 BU F 16 32 64 99 Eau assainissement Bucco dentaire ORL Ophtamologie Vaccination Poids et taille des enfants Autre pr ciser Sans objet 59 Quelle est la p riodicit de cette visite
65. otion de la sant des l ves Le milieu scolaire devrait tre sain Cependant force est de constater qu au Togo la situation laisse d sirer comme le montre le tableau 2 Les dimensions normales des salles de classes ne sont pas toujours respect es les classes sont mal clair es les l ves sont incommod s CI Nr 15 par temps de pluie les services sanitaires sont en nombre tr s insuffisant Peau potable est rare En effet le respect des dimensions normales des salles de classe permet une bonne a ration n cessaire pour la sant un bon clairage le jour si les ouvertures sont bien orient es II vite Pincommodation des l ves par temps de pluie S agissant de l eau potable elle est dramatiquement inaccessible dans 70 pour cent des tablissements primaires alors qu il est bien connu qu un grand nombre d affections peuvent tre pr venues par un acc s convenable l eau potable De tout Evidence l absence de point d eau au sein de V tablissement pose essentiellement deux probl mes Phygi ne et P nergie Par exemple lorsqu un enfant se rend dans une maison pour boire pendant la r cr ation la salubrit de cette eau d pend de son origine de son traitement et des conditions de conservation Et il se pourrait qu il ne trouve pas de Veau et serait contraint de se d placer de concession en concession la qu te d eau Ceci d bouche sur le second probl me qui est le d ploiement de V nergie et don
66. s l ves travers leur carnet de sant Dans la r gion maritime les l ves ne poss dent leur carnet de sant que dans 13 pour cent des coles 15 pour cent dans les plateaux 12 pour cent dans la centrale 34 pour cent dans la Kara et 5 pour cent dans les Savanes 11 3 2 3 Niveau secondaire Dans les deuxi me et troisi me degr s la situation est pratiquement la m me que chez les primaires Les cas de maladies survenus au sein des tablissements ne sont pas enregistr s 2 pour cent des coles secondaires ont d clar envoyer des rapports sur les maladies pid miques survenues au sein de leurs tablissements la Direction Pr fectorale de la sant D apr s les responsables des coles secondaires durant l ann e 1994 les maladies pid miques enregistr es au sein de leur tablissement sont pratiquement les m mes que chez les primaires II s agit des maladies suivantes la conjonctivite la varicelle les oreillons les diarrh es graves la m ningite comme le montrent les tableaux 9 et 10 37 Tableau 9 R partition en pour cent des coles du deuxi me degr selon les maladies pid miques enregistr es durant l ann e 1994 par r gion MALADIES EPIDEMIQUES me MCE IC AC EEE 3 Centrale 0 I Kara 1 Tableau 10 R partition en pour cent des coles du troisieme degr selon les maladies pid miques enregistr es durant Pann e 1994 par r gion MALADIES
67. s la droite 6 La taille pr vue au d part pour P chantillon tait de 2000 tablissements primaires Cette taille tait retenue avec l hypoth se qu il y aurait des refus de r ponse d environ 10 pour cent Avec un taux de sondage de 70 pour cent P chantillon est repr sentatif g ographiquement stratifi et auto pond r A Vissue des interviews 1889 tablissements du premier degr et 39 Jardins d Enfants enregistr s avec succ s le taux de r ponse repr sente 97 0 pour cent Des non r ponses sont galement observ es dans les deuxi me et troisi me degr s Ce qui fait que les tailles respectives de ces degr s deviennent 245 et 36 1 1 7 Manuel du personnel de terrain Un manuel d instruction Vintention du personnel de terrain a t labor en tenant compte de l exp rience pass e et du r sultat de Penqu te pilote Il a servi comme document de base durant Pinitiation du personnel enqu teur qui de par son profil semble d ja se retrouver Aussi est il utilis pendant la collecte des donn es sur le terrain comme outil permanent de r f rence 1 1 8 Recrutement formation des enqu teurs et collecte des donn es Apres avoir constitu l Echantillon les agents identifi s pour le travail ont t initi s au remplissage des questionnaires Dans chaque pr fecture deux agents sont recrut s et form s pour ex cuter la collecte soit en tout 60 enqu teurs Ils sont surtout compos s d institut
68. s la simulation termin e le mat riel de travail est remis aux enqu teurs avec des instructions Le lendemain le superviseur repasse pour le contr le et la rectification des erreurs ventuelles Ainsi la collecte s est d roul e du 20 octobre au 10 novembre 1994 sur toute P tendue du territoire national 1 1 9 Exploitation des donn es La plupart des questions taient pr cod es si bien que l op ration de codification des donn es n apparait plus syst matique Ceci tant apr s la v rification des questionnaires deux agents de saisie sont recrut s et form s pour la manipulation du programme de saisie crit en EPI INFO Cette derni re a d marr le 15 d cembre 1994 et devrait durer trois semaines Malheureusement l un des agents n a pas pu continuer le travail pour des raisons familiales et de sant II a fallu attendre sept semaines pour que la saisie ne soit achev e 8 Apr s V puration des donn es en F vrier les tableaux sont aussit t confectionn s pour Panalyse dont les r sultats constituent Possature de ce rapport 1 1 10 Les difficult s rencontr es Au niveau de la collecte l accessibilit peu vidente de certaines localit s et le refus de certains directeurs de coll ges et lyc es r pondre aux questions sont les probl mes majeurs rencontr s sur le terrai apres avoir cout Penqu teur sur le but de sa visite lui r pondent souvent qu en mati re d eau potable et d assa
69. s n cessaire Destruction des ordures Oui Non 33 2 66 8 Tableau 2 Hygi ne du milieu dans les tablissements scolaires par degr DEGRE D ENSEIGNEMENT 19 HYGIENE ALIMENTAIRE Syst me d alimentation Cantine Vendeuses de denr es alimentaires Les dcux Domicile Existence d un comit de surveillance Our Non Sans objet Contr le d hygi ne Oui Sans objet Prix moyen d un repas la cantine Existence d eau et de savon Oui Non Ne sait pas Sans objet 20 Tableau 3 Hygi ne alimentaire dans les tablissements scolaires par degr DEGRE D ENSEIGNEMENT Troisi me degr mm om mm HH mm Ee MM ee f i sd mm mm EN ER a 21 II 2 LES SOINS DE SANTE EN MILIEU SCOLAIRE ET UNIVERSITAIRE Dans un programme de sant scolaire P cole doit pouvoir donner des soins aux l ves qui tombent malades ou ont un accident au sein de P tablissement A cet effet chaque cole devrait disposer d une infirmerie contenant les mat riels et m dicaments _ qea M essentiels pour les premiers soins Qu en est il de la situation au Togo en mati re de soins donn s aux leves dans les tablissements scola res 1 2 1 Niveau pr scolaire 11 2 1 1 Structure de soins Nous entendons ici par pr scolaire les Jardins d Enfants qui le plus souvent sont autonomes mais dans certaines zones sont l int rieur des coles primaires Au niveau des pr scolaires les r sultats de P tu
70. s toilettes dans votre tablissement 1 Oui 2 Non 27 Si oui combien de cabines 28 Quel type de toilettes utilise t on dans votre tablissement 1 Avec chasse d eau 2 Fosse tanche 4 Puits perdu 29 Les l ves vont ils en brousse pour leurs besoins 1 Oui 2 Non 30 Si oui pourquoi 31 Entretenez vous p riodiquement les toilettes 1 Oui 2 Non 9 Sans objet 32 Si oui quelle est la p riodicit de cet entretien 9 Sans objet 33 Utilisez vous des produits ou moyens pour rendre les lieux d aisance moins malodorants 1 Oui 2 Non 9 Sans objet 34 Si non pourquoi 9 Sans objet 35 Disposez vous d un moyen de destruction ou de conservation des ordures 1 Oui 2 Non IV SOINS DE SANTE 36 Disposez vous d une structure de soins au sein de P tablissement 1 Oui 2 Non 37 Si oui est elle op rationnelle 1 Oui 2 Non 9 Sans objet 38 Quelle est la qualification du responsable M decin Infirmier Aide soignant Agent itin rant Autre pr ciser Sans objet OU P WN rh 5 39 Qui finance le fonctionnement de cette structure l Etablissement 2 Etat Togolais 4 ONG pr ciser 8 Parents d l ves 16 Autre pr ciser 99 Sans objet 40 Si non la Question N 37 dites les raisons pour lesquelles votre structure de soins n est pas op rationnelle 41 Que faites vous au cas o un l ve tombe malade au sein de P tablissement I Il est conduit A la
71. t toute admission scolaire 111 3 LES BOITES A PHARMACIE L tude a r v l que beaucoup d coles ne disposent pas de boites pharmacie Dans le pr scolaire 48 pour cent de Jardins d Enfants ont une boite pharmacie 29 pour cent pour les primaires 48 pour cent pour les deuxi me degr et 51 pour cent pour les troisi me degr Chloroquine aspirine alcool objet de pansement sont les principaux m dicaments que contiennent ces bo tes pharmacie Mais le probl me de r approvisionnement de ces bo tes se pose et tr s souvent ces bo tes sont vides Par exemple des 29 pour cent d coles primaires qui disposent de bo tes pharmacie 4 sur 5 sont en rupture de stocks E 47 Pour r soudre le probl me de premiers soins donner aux l ves malades il est recommand que toutes les coles du pr scolaire Vuniversit en passant par le primaire et le secondaire soient dot es de bo tes pharmacie Et pour le probl me crucial de r approvisionnement de ces boites pharmacie il serait souhaitable de les faire fonctionner sur le m me mod le que I Initiative de Bamako IB 111 4 SURVEILLANCE SANITAIRE ET EPIDEMIOLOGIOUE Sur le plan de la surveillance sanitaire et pid miologique V tude a permis de faire les constats suivants les visites m dicales syst matiques dans les coles ne sont pas r alis es en cas d pid mie survenue au sein de l cole il n y a pas de visite m di
72. t s sportives et associatives dans les tablissements scolaires Pour chaque l ment le bilan de la situation est d velopp suivant les diff rents degr s d enseignement pr scolaire primaire secondaire et universitaire Au regard de l analyse des donn es un certain nombre de suggestions qui seront formul es pour aider la conception de la politique nationale en mati re de sant scolaire au Togo constitueront l ossature du troisi me point D D A ED ee D NN U GM D OR D ER EB HMM GR EmN EP UM fF me I CADRE DE LENQUETE ET CARACTERISTIQUES DE PECHANTILLON 11 ORGANISATION DE LENQUETE I 1 1 Cadre institutionnel L enqu te sur la situation en milieu scolaire et universitaire est une enqu te nationale initi e par le Service de la M decine Scolaire et Universitaire de la Division de la Sant Familiale et financ e par POrganisation Mondiale de la Sant OMS au Togo L accord de r alisation du projet a t sign entre POMS et le Minist re de la Sant de la Population et de la Solidarit Nationale LIZ Les objectifs de l enqu te L enqu te se propose de cerner la situation sanitaire dans les tablissements scolaires et universitaire En visant un tel objectif global Penqu te se fixe des objectifs sp cifiques suivants y appr cier l tat des infrastructures sanitaires dans les tablissements scolaires tablir un bilan des activit s pr ventives notamment l hygi ne aussi b
73. tes les coles les l ves pratiquent du sport hormis quelques cas de dispense dont les chiffres sont mal appr ci s par les interview s et le manque d infrastructures soulev par les responsables d coles Sur ce point il est indispensable que toutes les coles soient dot es d quipements ad quats en terrain et mat riels de jeux surtout chez les pr scolaires Des visites d aptitude P ducation physique et au sport doivent tre faites au d but de chaque ann e dans chaque cole pour classer les l ves selon qu ils peuvent faire tous les sports partiellement ou tre totalement dispens s Et le certificat d aptitude ou d inaptitude l preuve d ducation physique sera d livr sans complaisance Concernant les activit s associatives elles doivent tre encourag es et peuvent servir de canaux pour faire passer le message sur l ducation pour la sant scolaire en g n ral et V ducation la vie familiale en particulier 50 REFERENCES BIBLIOGRAPHIQUES Belloncle G 1984 La question ducative en Afrique noire Ed KARTHALA Paris France 273 p Celis G R 1990 La faillite de lenseignement blanc en Afrique noire Ed UHARMATTAN Paris France 167 p DEPD 1991 Analyse des recommandations de V valuation des pharmacies scolaires et laboration d un plan d action de suivi S minaire atelier Rapport final Direction de l Enseignement du Premier Degr 27 29 Mai 1991 Kp
74. ulement 2 pour cent des coles disposent de v lo ou de voiture personnelle des enseignants pour vacuer les l ves malades en cas d urgence Lorsque V l ve est conduit dans une formation sanitaire ce sont les parents qui prennent en charge les frais dans 77 pour cent des coles II faut noter quand m me que certains tablissements contribuent la prise en charge de l l ve 1 8 pour cent des coles primaires prennent en charge les frais de m dication de l l ve malade et 16 pour cent aident les parents couvrir les d penses de soins de l l ve Malgr le non enregistrement des cas de maladies au niveau des tablissements les responsables d coles ont quand m me list quelques maladies qui sont les plus fr quentes chez leurs l ves Ainsi les trois maladies les plus fr quentes chez les l ves du primaire sont Maux de t te dans 77 pour cent d coles primaires Fi vre 67 pour cent Maux de ventre 61 pour cent I l I I I 25 Le d c s est un v nement rare et Pest davantage lorsque Pon s int resse une sous population particul re telle que celle des l ves g s de 6 ans au moins Car c est avant 5 ans d ge que Penfant est plus expos au d c s Passer ce cap et rentrer l Ecole qui est cens tre une unit d ducation pour la sant le risque de d c s est en ce moment amoindri Ce que confirme d ailleurs les statistiqu

I I - IRC

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