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Evaluation du schéma conjoint ASE. PJJ. 1997

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1. Quelques crit res ou indicateurs possibles discuter Liste propos e Moyens de mesure Crit res ou indicateurs de coh rence Crit res ou indicateurs de pertinence Crit res ou indicateurs d attractivit Crit res ou indicateurs d impacts Les questions valuatives Comment penser la place des familles dans le champ de la protection et l investir d une exigence professionnelle structurelle et organisationnelle de m me ordre que la prise en charge ducative des mineurs Sur quelles r f rences th oriques et quels mod les d intervention fonder cette offre nouvelle de sorte d passer le risque du statut d activit annexe l action ducative du bricolage faute de moyens de la d qualification professionnelle par d placement du lieu symbolique et concret d intervention de l institution un lieu dans la ville de ce lieu la famille Les pr conisations en 2003 1 valoriser et capitaliser les exp rimentations actuelles chercher les consolider et les tendre sous forme d un maillage territorial plus en proximit des besoins des familles 2 reprendre la question de l offre d un g te et d un couvert comme supports du travail de restauration de la parentalit en vue de son application plus syst matique sur le d partement actuellement seul l accueil de Pau r pond ce souhait du sch ma 3 constituer un groupe de travail et de suiv
2. il est rappel que la commission est une instance technique de r flexion de proposition de mise en uvre technique du sch ma d partemental et non de d cision Les rapports hi rarchiques ne devraient pas exister en son sein Certaines interventions des membres qui exercent par ailleurs des fonctions de contr le sur les tablissements ont t mal v cues par bon nombre de participants Certains regrettent de ne pas avoir pu approfondir d avantage certains th mes abord s durant l ann e d autres pensent que ce travail d approfondissement ne rel ve plus de la commission en particulier mais concerne les quipes de chaque tablissement Faut il aller plus loin Qu en est il de la r flexion sur l laboration d une charte sur la parentalit La commission ne doit pas devenir la commission de la parentalit Il est galement soulign un manque de rigueur et de visibilit du travail de la commission qui touche tout sans trop approfondir B Etat de la question par l expos des points de vue des acteurs B1 point de vue des directeurs Une instance ambigu dans sa d finition et sa composition il s agit de savoir si les niveaux techniques et strat giques doivent tre sans cesse m l s La pr sence des directions de l A S E et de la P J J est interrog e dans la mesure o elle colore diff remment les d bats et donne un enjeu autre aux r unions de la commission Question ressentie c
3. Les registres d valuation Les crit res Les indicateurs Le mode de mesure Ex pour la classe relais En registre d impact Ex pour le signalement En registre de coh rence Soit la reprise d un cursus scolaire en coll ge Soit le rep rage des maisons de la solidarit en premi re instance nombre d l ves de retour dans leur coll ge d origine nombre d l ves de retour dans un autre nombre de situations transmises typologie des situations la somme des fiches de liaison entre la classe relais et les coll ges et exploitation coll ge organisation administrative ad hoc 2 construire la conception op rationnelle du pilotage des objectifs en s attachant caler par avance la structure de mesure des r sultats comme un des fils conducteurs de l action AXE objectif strat gique Objectif R sultats Structure de op rationnel attendus ou mesure recherch s envisag e Plan d action CIRESE rapport d valuation du sch ma conjoint ASE PJJ 1997 2002 des Pyr n es Atlantiques octobre 2003 84 CI du caract re novateur qui mane du pilotage conjoint Premier essai de positionnement des axes du sch ma au regard de deux grandes pr conisations de r orientation du champ de la protection soit le rapport Accueils provisoires et placements d enfants et d adolescents par Mrs Naves et Cathala juin 2000 et le
4. partenaires associ s liste conventions contributions tude de cas Crit res ou indicateurs d impact d veloppement de nouvelles r ponses constitution d une banque de donn es ajustement des prises en charge des jeunes valuation qualit des prises en charge Les questions valuatives e Quels ont t les freins la mise en place des groupes de ressources locales sur un mode coordonn et harmonis d une circonscription l autre l hypoth se d un changement institutionnel au sein de la DSD dans la m me p riode que celle du sch ma question de stabilit dans la vision strat gique des missions et des territoires et changement des sous directions ASE et Circonscriptions L hypoth se d une nouvelle territorialisation des circonscriptions impliquant un travail de positionnement envers les partenaires locaux en cours de d veloppement donc trop r cent pour assurer la fonction de coordination des ressources locales en mati re de protection situation variable d une circonscription l autre L hypoth se d un d ficit en conception manag riale des rapports circonscriptions et service A S E r le et mandat des responsables de circonscriptions relations avec les inspecteurs A S E dans le rapport d cision mise en uvre de la mesure suivi et valuation etc e Que recouvrait pr cis ment le r sultat attendu de relais de la Conf rence D partementa
5. L volution des pratiques passe particuli rement par la capitalisation des nouvelles exp riences et des nouveaux savoirs Une banque de donn es la commande de journ es th matiques caract re institutionnelle une politique de formation commune comme celle venir sur la pr vention des violences institutionnelles sont autant de fa ons de donner M np peer Les pr conisations en 2003 Revoir cet objectif et le maintenir au titre du sch ma condition de lui donner un cadre de valorisation CIRESE rapport d valuation du sch ma conjoint ASE PJJ 1997 2002 des Pyr n es Atlantiques octobre 2003 38 Titre de l action Clarifier les proc dures de signalement AXE n 2 OBJECTIF STRATEGIQUE B tir ensemble des outils communs Rappel de l nonc du sch ma en 1997 Le sch ma a mis en vidence des pratiques de signalement diff rentes et parfois inadapt es qui entra nent des retards de prise en charge Il faut donc mettre en place une grille claire des proc dures de signalement qui soit reconnue et utilis e par tous les professionnels du d partement Sous le pilotage conjoint de ASE et de la DDPJY cette grille sera labor e en concertation avec l E N la P M I le secteur associatif les municipalit s les secteurs psychiatriques les centres hospitaliers les m decins de ville les missions locales les aspects clignotants d alerte parti
6. valuation du sch ma conjoint ASE PJJ 1997 2002 des Pyr n es Atlantiques octobre 2003 45 Les r sultats obtenus 1 la mise en place d un logiciel commun accompagn e d un plan de formation 2 une saisie des donn es en progr s r gulier permettant une am lioration de la connaissance globale des populations mais 3 des irr gularit s et des d fauts dans le travail de saisie des tableaux parfois mal renseign s des transmissions de saisie trop tardives une prise de conscience collective de l enjeu encore difficile Quelques crit res ou indicateurs possibles Liste propos e Moyens de mesure Crit res ou indicateurs de coh rence portage institutionnel du syst me fonction d outil d aide l orientation du travail de la conf rence d partementale en dispositif analyse partag e des donn es Crit res ou indicateurs de pertinence degr de pr cision de l analyse des d veloppement des requ tes de tri besoins Crit res ou indicateurs d attractivit le niveau d int gration du logiciel dans le secteur habilit la qualification des personnels les d lais de r ponses la qualit des saisies taux de r duction des marges d erreur Crit res ou indicateurs d impacts Sur les parcours des jeunes reconstitution des parcours Sur l ajustement du dispositif volution des besoins Les questions valuatives Sur le d veloppement de la fo
7. 3 Pour le Centre D partemental de l Enfance Le lieu de rencontre est localis l ext rieur du centre d partemental Nomm point de rencontre cet accueil est en accompagnement du droit de visite de l enfant plac au centre Le lieu de rencontre est con u comme un lieu de parole L ducatrice en charge de ce lieu fait partie de l quipe du centre et consacre un temps partiel 2 5 Dans la mesure du possible elle assiste aux r unions de synth se qui concerne les situations connues du lieu rencontre Ce travail peut se poursuivre dans le cadre de visites la famille dans ce cas l comment distinguer les fonctions lieu rencontre parents enfants et accompagnement tayage en milieu familial quels sont les m tiers requis pour cette nouvelle fonction du lien parental L activit de ce lieu rencontre est bien distincte des demandes du JAF qui trouve des r ponses dans un lieu ad hoc dans Bayonne Quel enseignement peut on retirer de ces trois types d offre d accueil Les points forts Les points faibles Un lieu d accueil b n ficiant des Le d veloppement trop rapide et infrastructures d tablissement permanent insuffisamment cadr de la formule Un niveau de fr quentation permettant L absence de lien r seau avec la sant l laboration d un vrai service permanent mentale Un encadrement institutionnel pr cis L aspect annexe de l offre face au c ur de m tier de la struct
8. 6 et 12 mois etc Revoir la composition du pilotage largir 2 ou 3 autres coll ges donner une place une repr sentation enseignante Voir faire tourner le portage tous les 2 ou 3 ans sur un autre coll ge compte tenu de la charge que cela repr sente CIRESE rapport d valuation du sch ma conjoint ASE PJJ 1997 2002 des Pyr n es Atlantiques octobre 2003 55 Titre de l action Le service d accompagnement sp cifique AXE n 3 OBJECTIF STRATEGIQUE Structures de jour Rappel de l nonc du sch ma en 1997 Dans la situation actuelle du monde du travail l int gration professionnelle directe est difficile voire impossible pour certains jeunes en grande difficult La n cessit d une re mobilisation dans le cadre d une structure de jour a t mise en avant par certains partenaires il s agit d un lieu transitoire o des jeunes de 16 21 ans ayant rencontr des checs r p t s tant dans leur formation scolaire que professionnelle peuvent effectuer des s jours de trois mois renouvelables l objectif est de leur permettre de se positionner d effectuer un choix et d envisager une orientation de vie personnelle et professionnelle cette passerelle vers l emploi s inscrit en compl mentarit dans le r seau des dispositifs de re mobilisation existants L exp rience pourrait d buter en Pays Basque et il faudra envisager terme sa mise en p
9. Cet aspect de la mission s est r alis dans un contexte plut t contraignant pour tous en parall le la conduite des ateliers de pr paration du nouveau sch ma et un d lai tr s court imparti la mission d valuation se concr tisant par un calendrier impos et fort resserr dans le temps CIRESE rapport d valuation du sch ma conjoint ASE PJJ 1997 2002 des Pyr n es Atlantiques octobre 2003 5 B Faisabilit de l valuation Atouts la lettre Un sch ma reconnu pour l esprit de dialogue qu il aurait favoris entre toutes les parties en pr sence un texte crit sur un mode participatif avec les acteurs du dispositif de protection un texte ouvert aux id es aux d bats aux innovations un texte posant une volont de partenariat large plut t en pointe dans sa philosophie au regard des pr conisations du rapport Naves amp Cathala de 2000 l esprit Une volont de faire ensemble que d montre le pilotage conjoint entre la sous direction lA S E et la direction d partementale de la P J J Un esprit r seau entre institutions entre professionnels des divers secteurs qui a pris corps permettant des ajustements et des r ponses mieux labor es Des actions prises en main telles que la classe relais le signalement le service d accompagnement sp cifique le syst me d information etc Difficult s De mani re g n rale un texte de propos
10. R alisation La r vision du sch ma Premier bilan d taill des r sultats du sch ma La d marche partenariale d laboration d un Double projet de production commune autour du guide du signalement signalement et de la pr vention des violences Le projet de formation action relatif la institutionnelles pr vention des violences institutionnelles R alisation des protocoles d accord Le Conseil G n ral et la Protection Judiciaire de la Jeunesse initient ensemble plusieurs protocoles de travail avec les partenaires du sch ma autour essentiellement des questions soit de signalement avec l Education Nationale avec les Services ext rieurs de l Etat dans le cadre des circulaires successives de 1998 et de 2001 soit concernant certaines actions du sch ma comme la classe relais axe n 3 avec l Education Nationale comme la communication et l information r ciproque axe n 2 avec la Direction D partementale de la Jeunesse et des Sports soit de mani re plus globale sur le th me de la sant mentale des adolescents avec la Direction D partementale des Affaires Sanitaires et Sociales l Agence R gionale Hospitali re et le secteur Psychiatrique du B arn CIRESE rapport d valuation du sch ma conjoint ASE PJJ 1997 2002 des Pyr n es Atlantiques octobre 2003 17 Le point de vue des acteurs Il se r sume en deux grandes cat gories d appr ciations le plus souvent apport es en parall le p
11. Ce qui suppose un savoir faire en management Selon la sous direction PA S E La pratique de G R L a t confondue avec celle de la commission d valuation et a constamment vari e d une circonscription l autre L A S E souhaiterait plus d unit de pratique et se questionne sur l effet territoire dans l interpr tation du concept La s paration fonction logistique fonction d cision pose un probl me en mati re de mise en uvre de la d cision II manque en interne une instance de r gulation pour ajuster la politique de protection et la politique territoriale des services La fonction relais de la conf rence d partementale n a pas t d velopp e Selon des responsables de circonscriptions Le G R L est un concept plus fort que celui de la commission d valuation Mais sa mise en uvre d pend de la richesse d un territoire en mati re de ressources et de comp tences partenariales Les circonscriptions se sont diff remment saisies de ce concept il y a des acquis mais qui n ont pas encore fait l objet d une analyse au sein de l institution La territorialisation permet des initiatives mais isole aussi la circonscription au sein de la DSD e Le point de vue au sein de la D D P J J Selon les services ducatifs les G R L n ont pas t mis en place au sens du sch ma Mais il y a eu du travail en groupe ressources sur des questions pr cises l initiative d autres acteurs soit mis
12. E M O mobiliser le Centre d action ducative r forme des SEAT sur ce concept lors de l laboration de son projet de service retravailler au sein de la DSD Particulation des logiques territoire et institution et travailler la d clinaison de cette articulation dans l criture des projets de G R L Si ce n est des projets de service des circonscriptions re examiner l chelle pertinente du G R L en cherchant distinguer plusieurs niveaux op rationnels Pour les G R L de base ou commissions d valuation largies Pour les G R L sp cifiques qui terme traiteraient aussi des situations confi es la justice et l A S E Pour les G R L relais de la conf rence d p Echelle pertinente le Territoire de la circo Echelle pertinente Le Bassin de vie combinant au moins 2 territoires de circonscription afin de multiplier les ressources pour la r solution des probl mes de situation Echelle pertinente Le Pays Le Pays du B arn et le Pays Basque CIRESE rapport d valuation du sch ma conjoint ASE PJJ 1997 2002 des Pyr n es Atlantiques octobre 2003 28 Titre de l action La commission des directeurs AXE n 1 OBJECTIF STRATEGIQUE Promouvoir l harmonisation des pratiques k Rappel de l nonc du sch ma en 1997 l occasion de la pr paration du sch ma une com
13. Les r sultats obtenus 1 un sch ma global de traitement 2 une approche fonctionnelle des circuits conjoints ASE et EN 3 le positionnement du service social et de l ASE dans le dispositif 4 plus d quit territoriale dans le traitement des signalements 5 deux guides de proc dure celui de l E N et celui du C G Quelques crit res ou indicateurs possibles Liste propos e Moyens de mesure Crit res ou indicateurs de coh rence existence de politique institutionnelle et inventaire des programmes et moyens au sein partenariale de chaque institution tude du degr d appropriation Crit res ou indicateurs de pertinence observation partag e des probl matiques de nombre et typologie des dossiers ayant fait signalement l objet de cette observation croisement des fichiers Justice et ASE Crit res ou indicateurs d attractivit travail d quipe pratique des commissions d valuation d veloppement des r seaux locaux inventaire qualification et spatialisation un cadre conventionnel adapt chaque un inventaire des conventions et des institution protocoles Crit res ou indicateurs d impacts services sociaux mieux rep r s nombre d appels du num ro vert et variation qualit de la r gularit du mode de traitement suivi valuation par la m thode de pr l vement statistique Les questions valuatives Plut t que des questions valuatives des av
14. SU Articulation strat gique au R A P BILAN en 8 Conf rence D partementale e CIRESE rapport d valuation du sch ma conjoint ASE PJJ 1997 2002 des Pyr n es Atlantiques octobre 2003 75 Une analyse dynamique du rapport Atouts Attractivit La m thodologie du rapport ATOUTS ATTRACTIVITE D finitions 1 Les ATOUTS se d finissent par les qualit s intrins ques de l objectif du point de vue de son mode op ratoire 2 L ATTRACTIVITE rend compte de l int r t que repr sente l objectif pour les acteurs 3 le rapport ATOUTS ATTRACTIVITE donne une appr ciation sur la fonction dynamique que d tient l objectif dans un syst me actions M thodes 1 positionner sur un tableau le rapport ATOUTS ATTRACTIVITE AT ATT de chaque objectif tudi en calculant une valeur moyenne en ATOUTS ordonn e et en ATTRACTIVITE abscisse 2 r alisation d un tableau structur en quatre zones dynamiques la zone dite de risque o le rapport AT ATT est fragile les cotes sont basses l objectif est peu porteur la zone dite de fragilit o le rapport AT ATT est au d triment de l ATTRACTIVITE quelques soient les atouts de l objectif celui est peu port par les acteurs la zone dite de consolidation o le rapport AT ATT est au d triment des atouts de l objectif t moignant d une volont d agir des acteurs trop rapide par rapport la qualification m me de l objectif la zo
15. pour essayer de pr venir la d structuration familiale il faut en effet mener des actions ducatives la fois aupr s des enfants et de leurs parents L orientation vers un tel lieu d accompagnement de la relation parent enfant s effectuera sur le conseil et en coordination avec les enseignants des psychologues des professionnels de centre social et de maison de quartier des intervenants des Caisses d allocations familiales cette action innovante serait valu e par l Aide Sociale l Enfance en articulation avec les autres services de la Direction de la Solidarit D partementale mais aussi avec des partenaires ext rieurs tels que les Caisses d allocations familiales Les r sultats attendus en 1997 1 r duction du recours aux mesures administratives ou judiciaires L objectif et son contexte depuis 1997 Trois associations pr sentes au rendez vous valuatif ce qui ne peut en aucun cas signifier que l activit de relations parents enfants en amont de toute d cision est r duite leurs seules activit s Cet objectif du sch ma recouvre l ensemble du champ de la pr vention primaire sur lequel nombres d organismes et pluralit s d intervenants sont en action soit dans un cadre conventionn et contractualis avec les institutions sociales en charge de la pr vention en l occurrence Conseil G n ral et Caisses d allocations familiales soit au travers de leurs missions sp cifiques telles que l e
16. un investissement en pr vention CIRESE rapport d valuation du sch ma conjoint ASE PJJ 1997 2002 des Pyr n es Atlantiques octobre 2003 11 Les axes du sch ma Axe 3 Maintenir la qualit et diversifier le dispositif existant Les objectifs strat giques de chaque axe Les objectifs op rationnels pour chaque objectif strat gique Les r sultats attendus 1 structures de jour 2 lieux d accueil non traditionnels 3 lieux rencontre enfants parents p Favoriser le maintien ou la r int gration dans le syst me scolaire t Favoriser la mise en place de projet professionnel chez des jeunes en situation d chec t Favoriser un accueil temporaire personnalis gt Des lieux centr s sur la relation en amont de toute d cision t En cas de s paration des lieux de rencontre entre parents et enfants Exp rimentation de nouvelles prises en charge Vis e de m diation scolaire pour les 12 16 ans Vis e de m diation professionnelle pour les 16 ans Place des familles Une alternative l h bergement ducatif Place des parents Des passerelles pour les jeunes pour leur projet professionnel Articulation aux dispositifs de l emploi existants localement Evaluation de l exp rience Pr vention de la rupture d finitive dans la prise en charge R duction du recours aux mesures administratives ou judiciaires restaurer les comp tences
17. 1997 2002 des Pyr n es Atlantiques octobre 2003 4 La m thodologie d valuation AlUne valuation vis e structurante qualitative et participative Une valuation vis e structurante pour travailler avec le groupe de pilotage A S E P J J la re formulation du texte du sch ma dans sa partie propositions Il s agissait de distinguer dans le texte ce qui relevait de l objectif et ce qui relevait du r sultat attendu de m me il s agissait de rep rer ce qui relevait des actions des moyens voir des m thodes quand ces aspects taient pr sents dans le texte Gr ce ce travail de r criture un tableau nomm r f rentiel projet a servi de document de base pour l valuation Une valuation qualitative accordant une importance particuli re l esprit de la d marche sch ma tel que d velopp avec des r alisations des faiblesses et des impasses En soulignant le souci constant d une mobilisation des acteurs mobilisation qui a probablement g n r la mise en r seau d un syst me acteurs publics et associatifs Un sch ma qui repose probablement autant sur des orientations de politique de protection que sur la synergie entre les acteurs Une valuation participative par la r alisation de s ances collectives vou es des changes caract re valuatif sur les propositions du sch ma Chaque acteur rencontr a t sollicit sur l objectif qu il travaillait et sur la globalit du sch ma
18. S et les institutions de p dopsychiatrie au titre d une orientation de travail de la Conf rence D partementale g me Ilen ressort 1 la confirmation d un protocole de travail en mati re d valuation partenariale des situations de protection mais dont l intitul est commission d valuation et non groupe de ressources locales 2 le souci tr s rapidement d acter de toutes premi res orientations techniques form es par le sch ma la pr occupation du partenariat avec les quipes publiques de sant mentale mais aussi la formation r ciproque entre techniciens et le souci de d velopper des r seaux institutionnels D cembre 1998 le protocole du Groupe de Ressources Locales G R L source sous direction l A S E document interne transmission la sous direction aux circonscriptions pour avis et remarques validation DSD Ce que dit ce protocole le G R L se veut une op rativit effective sur le terrain du partenariat qui est d cid au niveau directionnel entre le Conseil G n ral Aide Sociale l Enfance les Services de l Etat Protection Judiciaire de la Jeunesse Inspection Acad mique D D A S S D D J S le Conseil R gional Formation Professionnelle et les dispositifs d insertion des mineurs et des jeunes majeurs Une conf rence d partementale r unit l ensemble de ces directions CIRESE rapport d valuation du sch ma conjoint ASE PJJ 1997 20
19. comment les partenaires institutionnels ont ils port cette exp rience CIRESE rapport d valuation du sch ma conjoint ASE PJJ 1997 2002 des Pyr n es Atlantiques octobre 2003 53 Premier bilan synth tique Sur Pau POINTS FORTS un partenariat institutionnel volontaire une implication continue au niveau de VI A un projet p dagogique structur Un pilotage suivi quelques coll ges motiv s qui r int grent un lieu propice la cr ativit un bilan et un suivi des jeunes POINTS FRAGILES un coll ge porteur peu convaincu une fonction de coordination peu d velopp e une localisation excentr e coll ge porteur des jeunes trop g s l entr e des orientations trop tardives pour l ann e scolaire En Pays Basque Il n existe pas actuellement de classe relais malgr les besoins La r ponse actuelle est assur e par un dispositif au sein de la Sauvegarde de l Enfance la Villa Rose comprenant h bergement et inscription au CNED r p titeurs au sein de la structure Bien entendu la philosophie de cette prise en charge ne correspond pas dans la lettre et dans l esprit aux objectifs de la classe relais alternative l h bergement et maintien dans le syst me scolaire de proximit CIRESE rapport d valuation du sch ma conjoint ASE PJJ 1997 2002 des Pyr n es Atlantiques octobre 2003 54 Les pr conisatio
20. d valuation partenariale des situations La logistique du G R L Deux niveaux d interventions la circonscription appara t comme lieu strat gique privil gi et reconnu par tous pour recueillir les premi res demandes de coordination des r ponses face un mineur ou jeune majeur en difficult C est le cas actuellement lors de la r union d valuation si le jeune fait d j l objet d une d cision administrative ou judiciaire confi e lA S E et qu il y a des difficult s importantes relatives l adaptation scolaire par exemple ou relatives au contexte de soin ou relatives au contexte de formation ou enfin relative aux loisirs il est souhaitable que la DSD formalise cette possibilit syst matique reconnue aussi bien par les directions que par les professionnels de terrain de solliciter des r ponses coordonn es en pr vention de plus grandes difficult s Ces rencontres auraient lieu l initiative de l inspecteur Il s agirait l sp cifiquement d un G R L La logistique et le d cisionnel ne sont pas confondus c est la circonscription qui organise et l inspecteur qui d cide dans le cas d une situation qui n est pas connue administrativement ou judiciairement l organisation du G R L et la coordination des r ponses se fait en circonscription dans le cas d une situation connue confi e l A S E l inspecteur r unit le G R L en l
21. de s jours Sachant que la direction d partementale de la Jeunesse et des sports souhaite tirer parti de cette exp rience pour l tendre aux responsables de clubs sportifs avec l I A au tour du guide du signalement des r unions d information se sont mises en place avec les chefs d tablissements avec le concours des services social et sant scolaire CIRESE rapport d valuation du sch ma conjoint ASE PJJ 1997 2002 des Pyr n es Atlantiques octobre 2003 34 Les r sultats obtenus 1 r alisation d interventions dans les lieux de formation 2 prise de conscience la derni re conf rence d partementale de 2002 et lors des entretiens d valuation de l importance d une v ritable politique de communication qui int gre ces interventions Quelques crit res ou indicateurs possibles Liste propos e Moyens de mesure Crit res ou indicateurs de coh rence meilleure connaissance de la politique de n gocier avec les formateurs des centres de protection et du travail partenarial formation Crit res ou indicateurs de pertinence d velopper les repr sentations des jeunes niveau de connaissance th orique lors des professionnels sur ce champ prises de fonction Crit res ou indicateurs d attractivit largissement du partenariat pr sence de l IUFM et de l Institut de travail dimension p dagogique de la formation au social la conf rence d partementale champ de la pr
22. dimension globale Ce type de rencontres pourrait avoir lieu dans un endroit neutre type g te g r par une personne ayant le statut d assistant maternel Cette solution favorise une meilleure couverture g ographique de ces petites cellules d accueil et donc une plus grande proximit pour les familles Les r sultats attendus en 1997 1 Restaurer les comp tences familiales 2 Apprendre ces enfants et leurs parents re former une famille 3 Permettre l accueil des familles avec repas et nuit es L objectif et son contexte depuis 1997 Trois associations ou tablissements assurent aujourd hui la mission d accueil des parents et de rencontre avec l enfant ou le jeune association C H R S Foyer de l Amiti Juran on en convention avec ASE association BRASSALAY Mecs en habilitation conjointe lieu d accueil Maison Sanchette en convention avec l ASE en r seau avec la Maison de la Solidarit d Orthez Le Centre D partemental de l Enfance Anglet pour le service A S E L offre d accueil est diff remment d velopp e sur ces trois sites 1 Pour le foyer de l Amiti CIRESE rapport d valuation du sch ma conjoint ASE PJJ 1997 2002 des Pyr n es Atlantiques octobre 2003 68 Le foyer g re quatre appartements destin s cet accueil l un des quatre est situ au sein de la structure porteuse du CHRS les trois autres sont en ville Une quipe permanente de travaille
23. e Travail de r seau Et pour chacun des trois axes pr ciser Les outils d une offre volutive La commande publique R sultats attendus Pilotage mis en place Mode de suivi valuation R sultats attendus Pilotage mis en place Mode de suivi valuation R sultats attendus Pilotage mis en place Mode de suivi valuation CIRESE rapport d valuation du sch ma conjoint ASE PJJ 1997 2002 des Pyr n es Atlantiques octobre 2003 74 Produire un organigramme de pilotage A un organigramme qui met en phases strat giques la conf rence et son instance de pilotage trois groupes de travail permanents et les territoires Conf rence d partementale du sch ma Le groupe de S coordination d partemental Groupe de Les groupes de pilotage A S F P ressources locales La commission Des territoires pertinents du travail des directeurs en r seau CIRCO MECS Lieux de Vie J E service ASE C A E E N etc B Exemple le th me de la parentalit proposition d un management d une commande en 8 tapes 4 Capitalisation groupe de pilotage S Validation en conf ren e d partementale 3a Commission des directeurs 1 Conf rence D partemental 2 Groune de Pilotage Appel un travail de r flexion production id es et actions 1 nouvel objectif du sch ma Plan d action pour l exp rimentation ONANAN
24. en conformit qui ne croise pas suffisamment les projets associatifs est ce que trop de proximit trop de communication trop de r gulation pourraient d boucher sur une vision trop univoque d une MECS d un service AEMO CIRESE rapport d valuation du sch ma conjoint ASE PJJ 1997 2002 des Pyr n es Atlantiques octobre 2003 30 Une contribution au sch ma qui ne d bouche pas toujours faute de v ritables moyens et d une politique d partementale plus affirm e en mati re de protection Cette remarque rassemble les pr c dentes en quoi cette commission a vraiment vocation de r fl chir la recherche de r ponses pour de nouveaux besoins l innovation etc n est elle pas avant tout un espace pour contenir une politique de protection co t constant malgr les besoins en volution Il en ressort Un sentiment de doute sur le sens de cette commission probablement dans un contexte sensible divers titres la loi de janvier 2002 et l obligation d valuation des projets l valuation du sch ma et l laboration du second dans un moment d interrogation sur les valeurs ducatives le droit des usagers la parentalit mais aussi les centres ducatifs ferm s etc l absence de lisibilit sur la politique de protection du Conseil G n ral et enfin le renouvellement d une partie des directeurs dans un contexte associatif souvent fragile B2 point de vue de l A S E une am lioration notoire d
25. en institution le recensement et l analyse des diff rents outils de pr vention aupr s des familles en difficult le respect du droit des familles Les r alisations du groupe de coordination d partemental Le groupe de coordination a travaill particuli rement sur les trois questions du signalement des violences institutionnelles et de l inspection et contr le en tablissement 1 pour le signalement voir plus pr cis ment la fiche correspondante Axe 2 enrichissement du protocole de 1998 sp cifique l Etat par une convention largie au Conseil G n ral et par extension accompagnement de l E N dans la production de son propre guide du signalement 2 pour les violences institutionnelles lancement d une tude de besoins en formation inter institutionnelles avec le C R E A I d Aquitaine 2002 d bouchant sur la proposition d un plan de formation action en cours d tude et de validation 2003 objectifs de construction d une culture partag e et de production de fiches action 3 pour l inspection et le contr le des tablissements engagement d un travail inter institutionnel pour une harmonisation des proc dures et des m thodes en cours sur 2003 CIRESE rapport d valuation du sch ma conjoint ASE PJJ 1997 2002 des Pyr n es Atlantiques octobre 2003 19 Ilen ressort sur l ann e 2001 une dynamique particuli re entre les acteurs du sch ma qui se distingue de celle propos e
26. es Atlantiques octobre 2003 CONCLUSION 82 AI de la faisabilit de cette valuation L valuation des objectifs du sch ma de 1997 met en lumi re des niveaux d investissement du pilotage variable d un objectif l autre Il est difficile en effet d valuer ce qui n a pas fait l objet d un travail de mise en uvre en terme de pilotage et de suivi Ce qui ne signifie pas pour autant que sur le terrain il ne s est pas pass des choses durant la p riode du sch ma La commande tant pos e au niveau du pilotage conjoint l valuation requ rait des donn es cumul es au niveau des pilotes tout au long de la conduite de l objectif de sorte les traiter pour appr cier le degr de r alisation et expliquer le r sultat obtenu au regard des enjeux pos s par le sch ma Afin de donner un clairage concret sur la faisabilit de cette valuation voici une proposition de classement des objectifs selon le niveau de suivi r alisation tel qu il ressort en fin de mission En classe n 1 les objectifs qui ont b n fici d un travail continu et soutenu de suivi En classe n 2 les objectifs qui ont t ou mis en uvre mais de fa on moins r guli re qu en classe 1 ou amorc s sans suite En classe n 3 les objectifs qui ont exist principalement par le b n fice du fonctionnement normal des dispositifs En classe n 4 les objectifs mis en attente Classe n 1 La commission des directeurs La cla
27. familiales apprendre ces enfants et leurs parents reformer une famille permettre l accueil des familles avec repas et nuit es assurer une meilleure couverture g ographique au moyen de ces unit s d accueil CIRESE rapport d valuation du sch ma conjoint ASE PJJ 1997 2002 des Pyr n es Atlantiques octobre 2003 12 F La grille d valuation des objectifs Titre de l objectif valu axe du sch ma rappel Rappel de l nonc du sch ma en 1997 Extrait du sch ma d finissant la nature de l objectif Certains rappels sont in extenso d autres volontairement partiels compte tenu du volume du texte rappel pour compl ment se r f rer au texte du sch ma b R sultats attendus Reprise de l nonc des r sultats attendus selon les termes du r f rentiel de projet du sch ma labor avec les deux pilotes Pr sentation de l objectif et de son contexte depuis 1997 Description du d veloppement de l objectif depuis 1997 sur la base des documents remis au cabinet et des entretiens r alis s R sultats obtenus R sultats constat s par le cabinet sur la base de la documentation et des entretiens Liste de crit res voir d indicateurs pour la mesure des r sultats Proposition de crit res caract re ou signe permettant d appr cier une chose ou d indicateurs variable de mesure de la chose au titre des quatre registres d valuation acc
28. l action aboutie AI Statut de la classe relais in convention de 1998 La classe relais est administrativement et financi rement rattach e au coll ge Marguerite de Navarre de Pau sous la responsabilit conjointe du chef d tablissement de la Direction de la Solidarit D partementale et de la Direction de la Protection Judiciaire de la Jeunesse les l ves accueillis restent inscrits dans leur coll ge d origine et rel vent toujours de l Education Nationale Une proc dure d admission et de suivi est institu e sur le principe d une demande formul e par l tablissement d origine sur la base d un dossier scolaire Chaque admission ainsi que chaque sortie rel ve de la d cision de lI A sur proposition d un groupe technique E N D S D et D D P J J adh sion des jeunes et accord de l autorit parentale sont requises l quipe ducative de la classe relais assure un suivi des l ves et des bilans de situation individuelle localisation de la classe relais au domaine de Sers soit une quinzaine de kilom tres du coll ge support situ dans l hyper centre de Pau d o d cision d achat d un bus afin de faciliter le transport des l ves dans le cadre des activit s p dagogiques pour partie au domaine de Sers et pour partie au Coll ge B concernant le portage de l exp rience 1 le pilotage Le comit de pilotage rassemble les trois institutions CG DDPJJ et EN le panel des
29. le service ASE dans la proc dure et l information sur les situations relevant de la justice e L information du grand public reste en attente probablement l image de la communication plus g n rale de la politique de protection des mineurs et jeunes majeurs en direction du grand public Les pr conisations en 2003 1 mieux communiquer et de mani re permanente 2 valuer la qualit de traitement des signalements obtenue par le sch ma global et les guides CG et EN 3 d velopper l observatoire des donn es partag es travailler le param tre socio conomique des situations cf le texte du sch ma CIRESE rapport d valuation du sch ma conjoint ASE PJJ 1997 2002 des Pyr n es Atlantiques octobre 2003 42 Titre de l action D velopper le syst me d information AXE n 2 OBJECTIF STRATEGIQUE B tir ensemble des outils communs Rappel de l nonc du sch ma en 1997 L am lioration du syst me d information d partemental suppose un bon rep rage des donn es disponibles un traitement et une valorisation adapt s et efficaces de ces donn es l acc s des outils techniques nombreux par exemple la statistique ou l informatique Par ailleurs le syst me d information doit respecter la loi sur l informatique et les libert s et offrir des garanties thiques lors de la mise disposition et de l utilisation des informations collect es en particulier
30. le travail d laboration collective des r ponses attendues du G R L Novembre 1999 Juin 2002 en Conf rence D partementale sources comptes rendus des conf rences d partementales 1 conf rence d partementale o est rappel l ensemble des objectifs du sch ma d partemental sans qu cette date ne soit mentionn pour l objectif du G R L l tat d avancement des travaux de formalisation et de mise en uvre 4 conf rence d partementale o est dress un premier tat des lieux de la mise en uvre des objectifs du sch ma Il en ressort pour les groupes de ressources locales rappel de l nonc du sch ma Il le G R L est destin l examen des situations les plus difficiles et qui n cessitent des interventions articul es tr s sp cifiques En r alit ce type d action concert e de terrain existe au cas par cas mais ne rentre pas dans la d finition des groupes de ressources locales II semble que l on ait assist une continuation des pratiques existantes beaucoup plus qu une red finition de celles ci A l occasion de l valuation du sch ma il faudra s interroger sur l opportunit de reconduire ou non cette proposition En effet pour l ensemble des partenaires m me l id e est per ue comme pertinente des r sistances demeurent quant l utilisation de cet outil S agit il d un probl me de fond ou de d finition de l objectif recherch e Questions De deux choses
31. lune Soit la pratique des commissions d valuation en circonscription sur la base du protocole de 1996 n a pas eu le succ s attendu par les services de la DSD et en cons quence l id e du G R L de base qu elle introduisait n a pas fonctionn de mani re structurelle dans les circonscriptions Soit cette pratique de G R L de base s est mise en place mais n a pas t valid e comme telle par les membres de la Conf rence d partementale en attente d un autre r sultat donc 1 probl me de d finition du G R L 2 probl me de clart des r sultats attendus 3 probl me de la fonction territoire dans le management du sch ma ou bien il s agit d un manque de capitalisation et de soutien aux pratiques structurantes dans les circonscriptions et par voie de cons quence d une communication insatisfaisante entre les territoires et la conf rence d partementale CIRESE rapport d valuation du sch ma conjoint ASE PJJ 1997 2002 des Pyr n es Atlantiques octobre 2003 25 B Etat de la question par l expos des points de vue des acteurs e Le point de vue au sein de la D S D Selon la direction de la DSD La pratique de groupe de ressources locales est en vigueur dans les circonscriptions au titre de l valuation des situations de protection Elle m riterait d tre plus syst matique et mieux valoris e voir plus ouverte de nouveaux partenaires ventuellement
32. pilotes animent et ma trisent l ordre du jour Est ce une bonne chose Comment viter que cette commission ne poursuive son volution actuelle vers la seule activit d instance de r gulation Associations via les directeurs des tablissements Conseil G n ral A S E Direction D partementale de la P J J B4 autres points de vue B4a pour les juges des enfants La commission des directeurs est un espace d changes et d information r ciproques aussi de formation sur des questions l gales de protection Tout comme la Conf rence d partementale cette commission a permis de d velopper un r seau de connaissances c est un gain de temps pour tous Les juges y sont invit s selon l ordre du jour CIRESE rapport d valuation du sch ma conjoint ASE PJJ 1997 2002 des Pyr n es Atlantiques octobre 2003 31 B4b pour les responsables de circonscription L existence de la commission des directeurs souligne le d faut d une instance quivalente pour les responsables de circonscription en mati re de protection et de pr vention Il y a un r el regret de ne pas avoir t de temps autre associ aux travaux de cette commission Les r sultats obtenus 1 cr ation d un espace de dialogue entre le secteur public et le secteur associatif 2 meilleure structuration du r seau justice ASE tablissements et services 3 d veloppement d une culture partag e m me si elle n est pas
33. pondre l enjeu de modernisation de la commande publique soit le montage d une offre partir des tapes de diagnostic d appel d offre de recherche de financement de partenariat et de pilotage La structure strat gique du SAS 1 un syst me acteurs tel qu abouti en 2002 pour le pilotage DSDASE C Reg FASILD MLJ SEAT Cdv MJC ABS CIPPA UDAF CIAE CS du Pau Pau Pau du La hameau Pour la gestion du dispositif Et Grand C dre INFREP Mission Locale Charg de Formation C Ral 2 un dispositif cal au sein d un syst me local Classe relais Service d accompagnement sp cifique Dispositifs emploi de droit commun formation professionnelle qualifications en entreprise emploi insertion vie sociale 3 un montage en pluri financement FSE C Regional C G n ral FASILD F I V P J J Avec en d but d exp rimentation la contribution de la CAF de Pau Montage financier qui met en vidence une volution majeure dans la prise en charge financi re de la formation des plus de 16 ans du point de vue du Conseil G n ral savoir avant 1997 le C G payait la formation professionnelle mix e l action ducative d o le d veloppement progressif des services de formation internalis s dans les MECS avec le sch ma de 1997 disjonction entre ducatif et formation sur la bas
34. qui compl te les s jours avec h bergement actuellement reconnus dans la convention avec les pilotes L association SPIRALE cette association repose sur la vie d un couple les arts martiaux et est ouverte aux gar ons seulement Fonctionnement permanent toute l ann e CIRESE rapport d valuation du sch ma conjoint ASE PJJ 1997 2002 des Pyr n es Atlantiques octobre 2003 61 placement au coup par coup et en particulier de jeunes via la PJJ comme dernier recours Il semble que le sch ma de 1997 ait quelque peu boust l existence et le statut des lieux de vie en inscrivant leur place dans les orientations de d veloppement du dispositif de protection Le conventionnement et le financement sur une base initiale cal e sur le tarif d assistante maternelle et qui depuis a volu sans toutefois rejoindre les prix de journ e pratiqu s en tablissement ont paradoxalement si on coute les trois associations contribu leur reconnaissance locale mais fragilis leur projet en les liant plus troitement l activit du dispositif En quelque sorte ces lieux servent de plus en plus de primo accueil ou d accueil en voie directe pour certains profils de protection ce titre ils deviennent des r ponses quasi indispensables au syst me ASE principalement le cas de REGAIN voir PJJ le cas de SPIRALE Le processus d coute valuative a t relativement mal ais du fait d une certaine r
35. reconnues dans leur fonction d accueil principalement par les services de l A S E et par l quipe de psychiatrie adolescents du C H P de Pau 2 Une volution certaine de la place des lieux de vie dans le dispositif d accueil comme fili re directe de placement court ou moyen terme En notant 3 Une valuation insuffisante des projets ducatifs dans un contexte paradoxal e comment valuer sans normaliser e comment inscrire ces lieux dans la Loi de 2002 tout en pr servant leur CIRESE rapport d valuation du sch ma conjoint ASE PJJ 1997 2002 des Pyr n es Atlantiques octobre 2003 62 dimension alternative Un besoin d orientation et de placement alternatifs probablement en augmentation qui interroge les notions de placement d h bergement de projet ducatif pour les enfants et les jeunes tr s en difficult Quelques crit res ou indicateurs possibles Liste propos e Moyens de mesure Crit res ou indicateurs de coh rence Sur la fonction relais des tablissements Sur la dur e des s jours Exploitation des fiches parcours des jeunes Crit res ou indicateurs de pertinence typologie des situations orient es Crit res ou indicateurs d attractivit d finition des prescripteurs ASE PJJ Et M S J E Secteur Psy Inventaire typologie des motifs carto etc Crit res ou indicateurs d impacts impacts psy scolaires rel
36. services repr sent s est le suivant C G sous DDPJJ GIP E N direction PASE direction et DSU I A Coll ge M de N Miss Gale SEAT Pau Insert DIVESCO Service social CIO CCSD En 2003 pr occupation principale du financement et de la d finition de ce dispositif recherche de la bonne d nomination classe atelier etc recherche de comparaison en mati re de r sultats r f rences r gionales voir nationales voir question de la contribution partenariale 2 le portage administratif financier et p dagogique La classe relais est accueillie et administrativement port e par le Coll ge Marguerite de Navarre de Pau coll ge de centre ville A ce titre le chef d tablissement est le responsable au titre de l E N de cette classe des heures de DGF en mati re de cours d EPS d arts plastiques et de langues sont attribu es un instituteur sp cialis est nomm Le Conseil G n ral met disposition une ducatrice sp cialis e charg e de la coordination du dispositif et 20 d un ETP de psychologue CIRESE rapport d valuation du sch ma conjoint ASE PJJ 1997 2002 des Pyr n es Atlantiques octobre 2003 50 C Le bilan en donn es de 1999 juin 2003 6 sources classe relais les effectifs les dur es de s jour les ges Isem 8mois l gendes effectif dtr ermsyenne de i LG ann e dur e de s jour 15 ann e A me 14 ann e ag
37. 002 la conf rence ne s est r unie qu au rythme d une session tous les quinze mois Il s agit l de noter le retard l allumage du processus de management du sch ma et de s interroger sur le trou de la p riode janvier 2000 juin 2001 On rel ve au passage l hypoth se que l activit du groupe de coordination d partemental mis en place dans le cadre de la circulaire de 2001 sur la protection a tr s probablement r activ le fonctionnement de la conf rence d partementale au titre de groupe contributif au d bat du sch ma En quelque sorte le pilotage politique du sch ma a connu quatre p riodes successives De novembre 1997 De juin 1999 De novembre 1999 De juin 2001 juin juin 1999 novembre 1999 juin 2001 2002 Pas de conf rence Mise en place de la Pas de conf rence Deux conf rences Quid du pilotage conf rence ___ Quid du pilotage Prise en compte des politique conjoint Lancement du politique conjoint travaux du groupe de pilotage Lancement du group coordination de coordination d partemental d partemental ilan des activit s r paration du nouveau sch ma CIRESE rapport d valuation du sch ma conjoint ASE PJJ 1997 2002 des Pyr n es Atlantiques octobre 2003 18 un souci d une information qualitative que l on retrouve dans le dossier du participant dossier documentaire dossier diaporama ordre du jour centr sur l information sur les obj
38. 02 des Pyr n es Atlantiques octobre 2003 23 Questions Que signifie op rativit effective Quels r sultats concrets sur les territoires sont attendus Quels sont les moyens pour r ussir cet enjeu On peut d j noter que dans les circonscriptions d action sociale il y a les r unions d valuation qui doivent tre ouvertes aux professionnels partenaires et ayant connaissance de la situation voqu e Ce fonctionnement est opportun n cessaire et remplit d j largement ce souci de partenariat promulgu dans le sch ma Le G R L s inspire largement de ce fonctionnement le plus souvent ce pourra tre une commission d valuation dans sa formule traditionnelle Sa sp cificit consistera peut tre en l initiative que prendront les autres professionnels de terrain de solliciter cette instance Questions Si un G R L en d finitive peut tre une commission d valuation pourquoi ne pas avoir renomm les commissions d valuation sp cifiques aux situations de protection groupes de ressources locales Cela aurait eu le m rite de simplifier les strates partenariales de valoriser et soutenir la mise en place de cette pratique partenariale d valuation encore r cente dans l organisation territoriale Mais dans quelle mesure la proposition de la fusion du concept GRL avec celui de la commission d valuation n a pas induit une vision r ductrice de l objectif du sch ma la seule fonction
39. 997 2002 des Pyr n es Atlantiques octobre 2003 89
40. G Cabinet d Ing nierie Sociale Minist re de la Justice Direction d partementale de la Protection Judiciaire de la Jeunesse 64 amp Conseil G n ral des Pyr n es Atlantiques Sous direction l Aide sociale enfance Evaluation du sch ma conjoint ASE PJJ 1997 2002 Rapport au 15 10 2003 Anne Guite BEAU CASTAGNAC 15 octobre 2003 Membre du r seau PLURALIS 13 rue des Arcs Saint Cyprien 31300 TOULOUSE T l 05 34 51 28 60 Fax 05 34 51 28 14 E mail CIRESESARL aol com S AR L au capital de 50 000 F RCS Toulouse 378 564 231 N Siret 378 564 231 00033 Code APE 741 G N Formation 73 3103422 3 SOMMAIRE INTRODUCTION LA COMMANDE D EVALUATION p 4 LA METHODOLOGIE D EVALUATION p 5 A une valuation structurante p 5 B la faisabilit p 6 C les quatre registres p 7 _D le choix des indicateurs p 9 E le r f rentiel p 10 F la grille d valuation p 13 Partie n 1 L EVALUATION DES AXES DU SCHEMA p 15 la conf rence d partementale p 16 les groupes de ressources locales p 22 la commission des directeurs p 24 les interventions en formation p 34 le partage des connaissances p 37 la proc dure de signalement p 39 le syst me d information p 43 favoriser l innovation p 48 la classe relais p 49 le service d accompagnement sp cifique p 54 les lieux d accueil non traditionnels p 61 les lieux rencontre en amont p 64 l
41. Trois propositions de pens e strat gique 1 R aliser une criture strat gique du sch ma Il s agit de repenser les objectifs du sch ma en distinguant leur nature afin de privil gier des niveaux politique strat gique et technique de d finition Ce principe conduit ne pas niveler tous les objectifs sur une seule et m me valeur op rationnelle Ce travail de distinction permet d introduire des priorit s d action des articulations hi rarchis es de mise en uvre et de moduler les termes du pilotage et du suivi du sch ma Proposition d une organisation sch matique de l criture sur la base des objectifs de 1997 2 Produire un organigramme de pilotage Piloter un sch ma requiert de d finir les niveaux de responsabilit les r les des parties sollicit es et les processus de commande de r alisation et de validation L organigramme du pilotage aide traduire cette activit strat gique en une vision fonctionnelle Proposition d un exemple de processus de pilotage appliqu au th me de la parentalit 3 Construire une repr sentation dynamique des objectifs L analyse dynamique des objectifs est r alis e par la mise en relation de deux param tres Atout et Attractivit comme conditions indispensables pour r ussir une action Proposition de la r alisation de cette analyse pour les objectifs de 1997 CIRESE rapport d valuation du sch ma conjoint ASE PJJ 1997 2002 des Pyr n es Atlantiques octobr
42. activit des associations la veille d un second sch ma Cette r activit peut tre exprim e autour de quelques points sensibles 1 le statut du travail ducatif r alis dans ces lieux en comparaison avec les lieux officiels de l intervention ducative 2 le financement et les termes du conventionnement 3 l articulation des parcours entre les prescripteurs les tablissements habilit s et ces lieux 4 les attentes du sch ma futur et leur reconnaissance au titre de la loi de 2002 On ne saurait que trop recommand aux pilotes du sch ma un travail d appr ciation et de cadrage plus pr cis du partenariat entre le dispositif de protection et les lieux de vie non traditionnels cadrage non pas au sens d une rigidit des relations mais au sens d une meilleure communication institutionnelle et d une grille d appr ciation mieux adapt e ces lieux tr s particuliers Compte tenu de leur nature on serait tent de penser qu un suivi pilotage plus collectif permettrait de mettre en d bat les particularit s d accueil et de prise en charge ducatives d velopp es il s agit d une certaine fa on de comprendre un peu mieux au del de la magie des lieux de vie ce qui contribue am liorer certaines situations d enfants de jeunes voir de familles et ne pourrait tre obtenu dans des termes quivalents dans des lieux dits traditionnels Les r sultats obtenus 1 Quatre associations conventionn es et
43. ager connaissances et informations e b tir ensemble des outils communs e innover et valuer avant de d velopper l action 3 Axe 3 Maintenir la qualit et diversifier le dispositif existant e mettre en place des structures de jour e mettre en place des lieux d accueil non traditionnels e mettre en place des lieux de soutien parents enfants La commande de l valuation porte sur trois objectifs e Estimer le niveau de r alisation des propositions du sch ma e Formuler des recommandations m thodologiques pour l laboration du prochain sch ma soit de donner un avis sur la formulation des propositions de proposer des types d indicateurs utilisables pour l valuation du nouveau sch ma sur la mani re de fixer les objectifs strat giques du prochain sch ma e Indiquer les difficult s ventuellement rencontr es pour l valuation de certaines actions susceptibles d un approfondissement en contenu et m thode lors du prochain sch ma Les questions valuatives tournent autour des th mes suivants e a t on fait fonctionner le sch ma comme cadre de d veloppement du dispositif de protection e a t on mis en place un management de sch ma avec suivi et valuation e comment les nouveaux besoins ont ils t pris en compte e comment les acteurs institutionnels ou de terrain ont ils contribu ce management et dans quelle perspective CIRESE rapport d valuation du sch ma conjoint ASE PJJ
44. ant contre la parcellisation des moyens La n cessit de r unir toutes les comp tences et de r fl chir ensemble pour apporter la r ponse la plus adapt e aux besoins de chaque jeune en difficult est apparue tout au long des travaux men s par les diff rents acteurs Les r sultats attendus en 1997 relais de la conf rence d partementale sur les terrains plate forme technique dans diff rents domaines rapidit de mobilisation fournir des solutions pratiques pour les orientations nb L objectif et son contexte depuis 1997 Les groupes de ressources locales ont ils oui ou non fonctionn Cette question est l objet d une quasi controverse tant sont divers les points de vue exprim s sur ce sujet et manquante la constitution d une connaissance partag e de l tat actuel de cet objectif entre les acteurs concern s Qu en est il A Essai de reconstitution du contexte partir des sources documentaires En amont du sch ma 21 novembre 1996 le protocole d valuation en circonscription source sous direction des circonscriptions document labor conjointement avec les sous directions S E P M I A S A valid par la DSD Cr ation de la commission d valuation des demandes sociales applicables aux situations de protection Enfance Famille CIRESE rapport d valuation du sch ma conjoint ASE PJJ 1997 2002 des Pyr n es Atlantiques octobre 2003 22 Protocole de
45. antiques octobre 2003 43 La d finition du logiciel a fait l objet de plusieurs r unions de travail entre les pilotes et le secteur habilit dynamique longue et d licate qui a port quelques fruits pour 2002 mais non l enti re satisfaction des pilotes Sachant que la mise en uvre commune de ce logiciel a fait l objet e d une formation des personnels administratifs e d un cahier des proc dures dit manuel d utilisateur e d une pratique collective d ajustement de l outil sur une p riode de test e d un soutien des personnels PJJ pour harmoniser les crit res entre les pratiques des tablissements et celles du service public Le r sultat atteint en 2002 et les difficult s constat es 1 en mati re de saisie La compilation des donn es des tablissements a r v l des probl mes sur un certain nombre d items in galement renseign s d un tablissement l autre voir m me au sein d un m me tablissement Les raisons sont __l irr gularit des saisies des cat gories de saisie mal adapt es aux situations traiter une saisie faite par des personnels administratifs qui ne connaissent pas tout de la prise en charge ducative d o une interrogation sur les modes de liaison entre l ducatif et l administratif ce qui soul ve la question de la mise jour du logiciel au regard de l volution des probl mes de protection et des modalit s ducatives administratives et judicia
46. ar chacun des acteurs rencontr s Points forts Points faibles un changement majeur dans la qualit trop peu de sessions du dialogue partenarial l absence d un mandat strat gique de un espace d informations r ciproques pilotage une animation conjointe A S E P J J le flou entre l objet de la conf rence et continue dans la qualit l objet du groupe de coordination la possibilit donn e chaque institution d partemental d une contribution sur un sujet le manque de moyens financiers du un r seau de la protection qui a volu Conseil G n ral pour un sch ma en structuration inter institutions ambitieux une direction d partementale de la P J J en qu te d une grande autonomie un manque d outils en mati re de suivi et d valuation du sch ma Ilen ressort une assembl e partenariale large spectre avec une participation effective de ses membres aux sessions et un rythme annuel que l on peut appr cier de deux fa ons diff rentes Soit de mani re positive en notant que d s son lancement en 1999 la Conf rence d partementale s est effectivement r unie entre juin 99 1 r union et d cembre 2002 terme du sch ma 4 reprises soit au rythme d une session tous les dix mois en admettant la pr conf rence comme premi re session Soit de mani re plus critique en notant qu entre la date de signature du sch ma 17 novembre 1997 et son terme de d cembre 2
47. asser le relais des partenaires externes quelles repr sentations ont ils d un dispositif comme celui de la classe relais e Le partenariat institutionnel autour de la question de la difficult scolaire La r gularit des r unions du comit de pilotage le nombre important d acteurs institutionnels associ s et tr s particuli rement en interne de l Education nationale seul regret l absence d enseignants dans ce comit de pilotage donne une CIRESE rapport d valuation du sch ma conjoint ASE PJJ 1997 2002 des Pyr n es Atlantiques octobre 2003 52 dimension particuli re cette exp rience en mati re d enjeu sur l tude du probl me qui croise l chec scolaire et la difficult psychosociale d une frange importante des jeunes scolaris s coll ge unique sur l articulation des dimensions d apprentissage d ducation et de socialisation des jeunes sur la possibilit d une prise en charge sans h bergement en maintenant le groupe familial condition d un accueil de la famille sur le projet de la classe relais voire le probl me plus large du Quelques indicateurs possibles Liste propos e Moyens de mesure Indicateurs de coh rence l activit du comit de pilotage points de vue des partenaires les moyens d valuation de la dimension exp rimentale analyse des ordres du jour recueil des points de vue des juges de
48. ationnels R union de synth se situation Les questions valuatives e dans quelle mesure les principes pos s dans le sch ma ont ils t respect s comment comprendre la place qu ont conjointement gagn s les lieux de vie au sein du dispositif motif structurel ou conjoncturel e quel sera le devenir de ces lieux au titre de la loi de 2002 e Comment les associer sans trop faire intrusion dans leur caract re sp cifique peut on associer sans institutionnaliser Les pr conisations en 2003 1 une valuation plus pr cise des motifs d orientation en ligne directe vers les lieux de vie 2 un groupe de travail sur la place et la fonction ducation alternative des lieux de vie une int gration plus r guli re des ducateurs des lieux de vie dans les groupes de travail du champ de la protection CIRESE rapport d valuation du sch ma conjoint ASE PJJ 1997 2002 des Pyr n es Atlantiques octobre 2003 63 Titre de l action Les lieux rencontre enfants parents en amont de toute mesure de protection AXE n 3 OBJECTIF STRATEGIQUE Lieux rencontre enfants parents Rappel de l nonc du sch ma en 1997 Dans de nombreux cas il serait utile de permettre aux parents et aux enfants de se rencontrer de se reconna tre et de se retrouver dans un lieu interm diaire o ils b n ficieraient de l aide de professionnels
49. ations en 2003 1 clarifier r le et modalit s de fonctionnement de la commission dans le cadre d un nouveau pilotage strat gique du sch ma 2 examiner une activit de la commission autour de cinq figures possibles de management condition de positionner clairement cette commission dans le cadre de l organigramme de pilotage du sch ma pr figuration des 5 figures incontournables N 1 N 2 N 3 N 4 N 5 Le contr le de La coop ration La commande Le diagnostic La l habilitation sur le publique d un partag des capitalisation d veloppement nouveau service besoins des pratiques et qualit d une nouvelle des exp riences r gle 3 voir tendre cette conception au groupe des responsables de circonscription dans le cadre du champ de la protection CIRESE rapport d valuation du sch ma conjoint ASE PJJ 1997 2002 des Pyr n es Atlantiques octobre 2003 33 Titre de l action L intervention au cours de certaines formations AXE n 2 OBJECTIF STRATEGIQUE Intervenir au cours de certaines formations Rappel de l nonc du sch ma en 1997 D velopper les plus pr cocement possible un partenariat coordonn autour du jeune passe par une phase d apprentissage Il est donc important que d s leur formation initiale les futurs professionnels connaissent parfaitement l organisation du dispositif les diff rents acteurs et leurs missions L
50. au cours de certaines formations 5 le partage de connaissances et d informations 6 la construction d outils communs savoir e la clarification des proc dures de signalement 6 et e le d veloppement de syst mes d information 7 8 le soutien aux innovations AXE 3 Maintenir la qualit et diversifier le dispositif 9 la cr ation de structures de jour soit e la classe relais 9 et e le service d accompagnement sp cialis 10 11 les lieux d accueil non traditionnels 12 les lieux rencontres enfants parents soit e en amont de toute mesure 12 soit la suite d une d cision en cas de s paration entre les parents et les enfants 13 CIRESE rapport d valuation du sch ma conjoint ASE PJJ 1997 2002 des Pyr n es Atlantiques octobre 2003 15 Titre de l action La Conf rence D partementale AXE n 1 OBJECTIF STRATEGIQUE Mettre en place une conf rence d partementale Rappel de l nonc du sch ma en 1997 Lieu de coordination d changes d informations et de d finition d objectifs communs une conf rence d partementale permettrait un meilleur fonctionnement et surtout une meilleure connaissance des r seaux et des synergies entre partenaires D finie comme un lieu de r flexion et d laboration de protocoles elle permettra de prolonger la dynamique cons cutive la r alisation du sch ma d partemental Les r sultats attendus en 1997 1 un meille
51. au titre de la conf rence d partementale En effet il s agit cette fois d une r alisation de groupe de travail Dans quelle mesure ce mouvement amorc au d but de l ann e 2001 vient favoriser l objectif n 1 du sch ma au titre du dialogue partenarial alors que la conf rence ne s est pas r unie depuis novembre 1999 7 Au del des marquages de territoire Etat Conseil g n ral peut on admettre que c est compter de ce moment que le d bat sur la mise en uvre du sch ma a connu un r el essor Les r sultats obtenus 1 un partenariat inter institutions enrichi mais diversement investi selon les institutions PON des protocoles d accord pour mettre en uvre les objectifs le coup d acc l rateur donn par le groupe de coordination d partemental des propositions de travail en commun dans un proche avenir Quelques crit res ou indicateurs possibles Liste propos e Moyens de mesure Crit res ou indicateurs de coh rence r alisation de la fonction de pilotage politique articulation du sch ma des enjeux macros existence d un organigramme de pilotage recherche des d cisions communes engageant les institutions membres mise en place d une communication laboration de r f rentiels de r f rence partir des textes l gaux circulaire 2001 loi 2002 des rapports Rapp Naves et Cathala rapp Rom o Crit res ou indicateurs de pertin
52. c l environnement MJC Mission locale e acceptation de soins en sant mentale 5 le d veloppement d un comportement plus autonome assiduit capacit relationnelle en groupe prise de responsabilit ou d initiative A propos d un dispositif articul aux dispositifs de droit commun 6 une passerelle avec la mission locale pour l emploi des jeunes 7 l acc s des formations du Plan R gional de Formation Quelques crit res ou indicateurs possibles Liste propos e Moyens de mesure Crit res ou indicateurs de coh rence dimension dispositif appr ciation de la r alit du pilotage de la m thodologie de projet etc Crit res ou indicateurs de pertinence analyse des besoins des publics observatoire des besoins valuation des manques des autres croisement des valuations des dispositifs r ponses de droit commun formation et emploi de droit commun Crit res ou indicateurs d attractivit type et niveau de participation des analyse des contributions financi res et financeurs des motifs d acceptation ou de refus termes du maillage local analyse des PV du pilotage Crit res ou indicateurs d impacts CIRESE rapport d valuation du sch ma conjoint ASE PJJ 1997 2002 des Pyr n es Atlantiques octobre 2003 typologie des sorties modalit s de suivi de population inscrite enqu te de satisfaction dans un dispositif tude longitudinale valuation de ty
53. cente et re oit des enfants jusqu 6 ans accompagn s de leurs parents L quipe est sur un profil plus cibl petite enfance pu ricultrice ducatrice de jeunes enfants L accueil est ouvert au grand public mais aussi r alis partir d orientations propos es par des quipes sociales ex CHRS Atherbea Maison de la Solidarit etc 3 La Maison des parents Bas e sur Pau elle est un prolongement du centre B arn Toxicomanie comme un lieu d coute et de soutien aux parents dont les enfants sont confront s des pratiques toxicomanes Les trois associations font ressortir de leur accueil divers constats qui pourraient ventuellement servir de trame une valuation qualitative en pr vention primaire l augmentation de la fr quentation par des jeunes m res d s la naissance de leur enfant des situations familiales fortement pr caris es sur les plans social affectif psychique etc des comportements de jeunes 10 12 ans de plus en plus difficiles violence toxicomanie refus scolaire etc un risque de d pendance au lieu d accueil pour certaines personnes l importance d un maillage serr avec les divers lieux d intervention sociale la mise en pace de relais d accompagnement de sorte ne pas changer la nature du lieu d accueil en service social bis la place des p res toujours aussi d licate construire CIRESE rapport d valuation du sch ma conjoint ASE PJJ 1997 2002 d
54. du sch ma conjoint ASE PJJ 1997 2002 des Pyr n es Atlantiques octobre 2003 39 De 1997 aujourd hui le travail institutionnel sur la question du signalement a connu manifestement trois phases e phase n 1 1997 1998 guides et protocoles Tr s rapidement les deux premi res ann es du sch ma voient divers protocoles et conventions prendre forme autour de la question du signalement et de la prise en compte de la maltraitance la plus part du temps dans une logique particuli re chaque institution concern e 1 2 mai 1998 Convention Education Nationale Justice D fense Int rieure venant pr ciser les situations relevant particuli rement d une saisine directe du Parquet la demande de l Education Nationale Convention inscrite dans le cadre du plan d partemental de s curit 2 9 novembre 1998 Protocole d accord entre le Pr sident du Conseil G n ral des P A le Directeur r gional de la Protection Judiciaire de la Jeunesse et l Inspecteur d Acad mie venant pr ciser la mise en uvre au sein des tablissements scolaires de certaines actions pr vues au titre du sch ma d partemental conjoint ASE PJJ et d cidant de la participation de l Inspecteur d Acad mie la Conf rence d partementale 3 1999 mise en place du Guide technique du signalement produit par le Conseil G n ral dont l objectif est de rappeler le cadre d intervention les proc dures et circuit de transmission aux autorit s administrat
55. e que chaque collectivit et institution doivent supporter ses comp tences la formation professionnelle rel ve du Conseil R gional Cons quence pour le dispositif de protection rien de chang pour les acquis ant rieurs 1997 mais obligation fa te pour les nouvelles initiatives de se chercher des financements ad hoc d o ce montage de pluri financement pour le SAS Double Cons quence 1 entr e en lice du Conseil r gional au titre de sa comp tence et par ce biais l mobilisation compl mentaire de fonds europ ens donc croisement int ressant du champ de la protection avec les champs de la formation et de l emploi CIRESE rapport d valuation du sch ma conjoint ASE PJJ 1997 2002 des Pyr n es Atlantiques octobre 2003 57 2 probl matique du montage financier ing nierie de projet comme nouvelle donne de ce volet particulier de la protection acculturation des acteurs et fragilit du montage dans la dur e Quel processus durable peut on envisager Les param tres __ conflit dans les logiques temporelles des d cisions ex temporalit des financements r gionaux sur programmation r gionale n goci e et annuellement r visable ex temporalit du statut de la formation professionnelle pour les jeunes via le CNASEA dur e d termin e ex temporalit des ordonnances de placement variables et r visables ex temporalit des parcours des jeunes plus incertaine au gr de leur
56. e 2003 73 L criture strat gique du sch ma Pour une vision plus manag riale du sch ma bauche Structure crite realis e en 1997 Axe 1 CONCERTATION efficacit qualit Conf rence d partementale Groupes de ressources locaux Harmonisation des pratiques e commission des directeurs groupes d harmonisation Axe 2 OPTIMISATION Intervention en formation initiale Mise en r seau des savoirs et des milieux professionnels B tir des outils communs D velopper le syst me d info Favoriser l innovation Axe 3 Qualit et DIVERSIFICATION Structures de jour Lieux d accueil non traditionnels Lieux rencontre parents enfants En 2003 avec les m mes objectifs de 1997 1 renommer les axes et 2 redistribuer les objectifs selon les axes Axe 1 dit de strat gie PILOTER Axe 2 dit de qualit QUALIFIER Axe 3 dit des services ADAPTER Conf rence d partementale Groupes de ressources locaux Commission des directeurs Le syst me d information Groupes d harmonisation Mise en r seau des savoirs et des milieux professionnels Intervention en formation initiale B tir ensemble des outils communs Favoriser l innovation Les outils du pilotage Caract re opposable du sch ma Structures de jour Lieux d accueil non traditionnels Lieux rencontre parents enfants Les outils d une culture partag
57. e encore une grande messe compte tenu du nombre de participants Mais une grande r union o les changes directs ont leur place de m me les bilans des actions et les informations sur l ensemble de la politique de protection Un espace de circulation de l information et des points de vue e Pourrait on confondre la conf rence d partementale avec le groupe de coordination d partemental Le groupe de coordination d partemental nomm commission de travail de la conf rence par certains ou bien v cu comme une r p tition de la conf rence d partementale par d autres m riterait d tre mieux positionn dans l architecture du pilotage de la politique de protection e Peut on envisager d am liorer le pilotage politique et strat gique du sch ma Cette question soul ve une autre celle du caract re d opposabilit du sch ma pr conis par la loi de janvier 2002 L opposabilit entra ne deux nouveaux aspects 1 l mergence d une commande publique partir des objectifs du sch ma soit le pilotage politique et 2 le management strat gique par la volont conjointe de l A S E et de la P J J reli e au partenariat entre les institutions signataires De l une nouvelle conception du r le et de la place de la Conf rence d partementale vers un aspect plus op rationnel Comment cr er cet aspect et le rendre manifeste pour l ensemble des acteurs de la protection il faut alors re travailler sur des questio
58. e la communication avec les tablissements associatifs dans la continuit des ann es de pr paration du premier sch ma Avec l avantage de travailler cette nouvelle forme de communication avec la P J J D une certaine fa on l animation de la commission est autant une nouvelle forme de dialogue avec les directeurs qu une action concr te de co pilotage avec la D D P J J Un gain de temps dans le traitement de l information de fait des r sultats positifs dans la mise en place d outils tels que les projets d tablissements l informatisation commune avec le logiciel PROGEDIS B3 point de vue de la D D P J J Une r ussite au titre du sch ma m me si elle m rite d tre rediscut e sur le fond L histoire de cette commission fonde sa l gitimit et sa pertinence Quand en 1995 les tablissements ont t conjointement sollicit s par l A S E et la P J J sur leur projet ducatif il s agissait alors de mieux conna tre le dispositif d accueil et ses pratiques ducatives pour orienter le futur sch ma Cette intention apr s quelques r sistances a remport l adh sion des uns et des autres d autant quand il s est agi de poursuivre cette exp rience du dialogue dans le cadre de la r alisation du sch ma Mais l heure actuelle la commission est interrog e sur ce qu elle produit et comment cela se passe On y consomme plus de l information que l on ne produit des id es ensemble Sachant que seul les
59. ectifs du sch ma et leur r alisation Et tr s r cemment le projet de formation action sur la pr vention des violences institutionnelles le partenariat s engagerait il vers de nouvelles modalit s de dialogue dans quelle mesure ce type de proposition peut servir faire voluer les relations et les cultures inter institutionnelles B Le Groupe de Coordination D partemental La circulaire interminist rielle de janvier 2001 Cette circulaire demande aux pr fets de dresser le bilan de l organisation des services de l Etat en mati re de protection de l enfance en lien avec les conseils g n raux Le Pr fet des Pyr n es Atlantiques d cide de d velopper une mission sp cifique au titre de la constitution d un groupe de coordination d partemental pour la protection de l Enfance Avec pour mission 1 art3 arr t du 16 03 01 dresser un bilan de l organisation des services de l Etat en mati re de protection de l enfance dans le d partement fonder son action sur les coop rations d velopp es dans le d partement des P A mise en uvre du sch ma d partemental de l Enfance et de la Famille des P A arr t en d cembre 1997 par le Pr fet et le Pr sident du Conseil G n ral 2 art4 idem le bilan portera essentiellement sur les modalit s de signalement la coh rence des interventions des diff rents services en faveur des mineurs en danger la pr vention et le rep rage des violences
60. ence les questions trait es la fonction de suivi valuation du sch ma analyse des ordres du jour inventaire des actions de suivi Crit res ou indicateurs d attractivit composition de la conf rence et volution de la participation groupes de travail actifs liste des membres niveau de participation accueil de nouveaux membres th mes composition des groupes et production Crit res ou indicateurs d impact d finition et r alisation d objectifs communs entre institutions membres laboration d une commande publique tude des r sultats produits par les protocoles d accord bilan des actions du sch ma proc dure d appel d offres sur de nouveaux projets CIRESE rapport d valuation du sch ma conjoint ASE PJJ 1997 2002 des Pyr n es Atlantiques octobre 2003 20 Les questions valuatives e La conf rence d partementale remplit elle sa mission d espace inter institutions L ensemble des acteurs institutionnels s attache reconna tre l esprit du sch ma au travers de la figure symbolique de la Conf rence d partementale Rencontres changes et concertations sont les trois expressions majeures pour rendre compte de la dynamique n e en 1997 voire en 1995 pour les acteurs d j pr sents cette poque La Conf rence d partementale est l espace symbolique de cette volont de coop ration bien qu elle ne se r unisse qu une fois par an et rest
61. es ex dans la 15 ann e soit de 14ans 14ans12mois 13 ann e sorties les sorties B Coll ges N QU A AA A N 1999 2000 2001 2002 2003 CIRESE rapport d valuation du sch ma conjoint ASE PJJ 1997 2002 des Pyr n es Atlantiques octobre 2003 51 D Les constats 1 le probl me de l ge d entr e et de sortie autour de la quinzi me ann e malgr un effort significatif pour l ann e 2002 2003 vers les 12 ans et plus 2 la baisse sensible de dur e des s jours inf rieure 4 mois de dur e 3 la typologie des sorties qui met en exergue la difficult de tenir l objectif de retour vers le coll ge d origine voir le paragraphe des r sultats obtenus 4 la probl matique g n rale des jeunes l absent isme et l explication qui en est donn e le sens des apprentissages scolaires le d veloppement des comp tences autres que celles formalis es en coll ge 5 la place des familles pas assez travaill au del de l accord de l autorit parental sauf quand la famille prend elle m me l initiative de venir au contact parall le avec le mod le classique de relation cole parents 6 le r seau de la classe relais peu d velopp sur l environnement de la ville semble t il Les r sultats obtenus e la structure d ge de la classe relais objectif des 12 ans 13 ann e Malgr une nette am lioration en 2003 pour int gre
62. es Pyr n es Atlantiques octobre 2003 65 2 3 4 Les r sultats obtenus deux lieux d accueil tr s diff renci s en mati re de conception th orique de la relation enfant parent un territoire in galement couvert un manque d informations pour mesurer la fr quentation et l impact une pratique probablement plus diffuse dans le milieu associatif voir dans les tablissements scolaires via les groupes de parole mais qui souffre d une absence d inventaire et de structuration en tant qu l ments du champ de la pr vention Quelques crit res ou indicateurs possibles revoir avec les pilotes sur la base d une commande plus centr e Liste propos e Moyens de mesure Crit res ou indicateurs de coh rence Crit res ou indicateurs de pertinence Crit res ou indicateurs d attractivit Crit res ou indicateurs d impacts Les questions valuatives Essentiellement sur deux aspects l articulation de cette pr occupation de la parentalit en amont de toute mesure de protection la politique de pr vention primaire du Conseil G n ral la capitalisation des pratiques innovantes sur le th me de la parentalit et la mise en relation entre ces pratiques et les projets des tablissements et des services habilit s CIRESE rapport d valuation du sch ma conjoint ASE PJJ 1997 2002 des Pyr n es Atlantiques octobre 2003 66 Les pr conisa
63. es lieux rencontre en aval p 68 Partie n 2 LA DIMENSION OPPOSABLE DU SCHEMA p 73 Une criture strat gique du sch ma p 74 Produire un organigramme de pilotage p 75 Une analyse dynamique Atouts Attractivit p 76 CONCLUSION de la faisabilit de l valuation p 83 de la question des indicateurs p 84 du caract re innovant du sch ma p 85 Annexes Documentation p 88 Liste des personnes rencontr es p 89 CIRESE rapport d valuation du sch ma conjoint ASE PJJ 1997 2002 des Pyr n es Atlantiques octobre 2003 p 3 p 72 p 82 p 87 INTRODUCTION CIRESE rapport d valuation du sch ma conjoint ASE PJJ 1997 2002 des Pyr n es Atlantiques octobre 2003 La commande d valuation En 1997 le sch ma conjoint A S E P J J est le fruit du travail de deux ann es de concertation entre l ensemble des acteurs institutionnels et professionnels du champ de la protection des mineurs et jeunes majeurs en difficult en danger ou d linquants Ce sch ma prend une dimension op rationnelle par un ensemble de propositions de d veloppement organis en trois axes 1 Axe 1 Organiser la concertation et renforcer l efficacit de l action et sa qualit e mettre en place une conf rence d partementale e cr er des groupes de ressources locales e promouvoir l harmonisation des pratiques 2 Axe 2 Optimiser les outils e intervenir au cours de certaines formations e part
64. eur Meilleur fonctionnement du dispositif Meilleure connaissance des r seaux Synergie entre partenaires institutionnels Un lien pour la conf rence d partementale avec les terrains Plate forme technique dans divers domaines Rapidit de mobilisation Solutions pratiques pour les orientations R union de tous les directeurs caract re permanent Force de proposition Groupe d harmonisation des M volution vers une logique de service adapt et flexible Groupe d harmonisation des gt D veloppement d une analyse collective autour de la place de l enfant de la famille etc Groupe d harmonisation des Bt Pr cision des r les respectifs de internat et du milieu ouvert CIRESE rapport d valuation du sch ma conjoint ASE PJJ 1997 2002 des Pyr n es Atlantiques octobre 2003 Les axes du sch ma AXE 2 Optimiser les outils Les objectifs strat giques de chaque axe Les objectifs op rationnels pour chaque objectif strat gique Les r sultats attendus 1 intervenir au cours de certaines formations 2 partager connaissances et informations 3 B tir ensemble des outils communs 4lred ployer les moyens pour favoriser l innovation D velopper de l intervention institutionnelle sur les formations professionnelles concern es t Etendre l information en direction des jeunes via les mission locales de t Cr er des opportunit s communicat
65. ffre nouvelle 2 l accueil des parents et des enfants en amont de toute d cision Z4 indicateur de mise en uvre 2 indicateur de suivi et de pilotage 1 indicateur d adaptabilit 1 Atouts Attractivit indicateur du syst me acteur 2 indicateur de modernisation 2 indicateur d offre nouvelle 2 l accueil des parents et des enfants en aval de toute d cision Z5 indicateur de mise en uvre 1 indicateur de suivi et de pilotage 1 indicateur d adaptabilit 1 Atouts Attractivit indicateur du syst me acteur 1 indicateur de modernisation 1 indicateur d offre nouvelle 1 CIRESE rapport d valuation du sch ma conjoint ASE PJJ 1997 2002 des Pyr n es Atlantiques octobre 2003 80 ATOUTS Zone FRAGILE Zone REUSSITE Z2 Z1 Zone A CONFIRMER 0 1 2 3 ATTRACTIVITE L gende Dynamique du pilotage Dynamique de la qualit culture partag e Dynamique de l offre X 1 2 Y 1 2 Z 1 2 renvoient aux objectifs du sch ma Commentaire Un pilotage encore fragile une culture partag e mieux qualifier tout en notant la valeur du travail sur la proc dure de signalement Y3 une offre en r elle volution CIRESE rapport d valuation du sch ma conjoint ASE PJJ 1997 2002 des Pyr n es Atlantiques octobre 2003 81 CIRESE rapport d valuation du sch ma conjoint ASE PJJ 1997 2002 des Pyr n
66. fonctionnement transmis aux circonscriptions comprenant objectifs et modalit s typologie de situations notions de programmation incontournable et de programmation pour situation dite complexe composition permanente de la commission et invit s Ilen ressort 1 que l animation de la commission est de la comp tence de la responsable de circonscription 2 que les situations A S E seront trait es en pr sence de l inspecteur A S E non nomm comme membre permanent ni comme invit Au lendemain de la signature du sch ma t 1997 la commission d valuation des situations de protection Source sous direction l A S E document interne transmission la sous direction aux circonscriptions pour avis et remarques validation DSD 1 partie reprise du protocole de la commission d valuation pour confirmation et extension au champ de l A S E 2 partie note d orientation en mati re de partenariat avec la p dopsychiatrie sur deux points proposition du concours r gulier de p dopsychiatre au travail de la commission d valuation proposition d un travail de formation information r ciproques sur les missions des uns et des autres pour tayer la prise en compte des probl matiques ducation sant mentale avec le concours des pilotes A S E et P J J partie note d orientation pour l laboration d un protocole d accord entre les pilotes A S E P J J et la D A S
67. i ad hoc CIRESE rapport d valuation du sch ma conjoint ASE PJJ 1997 2002 des Pyr n es Atlantiques octobre 2003 71 PARTIE n 2 La dimension opposable du sch ma CIRESE rapport d valuation du sch ma conjoint ASE PJJ 1997 2002 des Pyr n es Atlantiques octobre 2003 72 La dimension opposable du sch ma au sens du texte de loi de 2002 rend indispensable l examen approfondi des conditions strat giques de pilotage de suivi et d valuation Le sch ma est un outil strat gique de mise en uvre d une politique publique Le caract re strat gique est exprim au moyen de quatre grands principes a minima 1 La signature du sch ma par l ensemble des institutions concern es 2 La formalisation de protocoles d accord ou conventions d coulant des orientations du sch ma dans le but de mobiliser des missions et des moyens au sein des institutions concern es pour la r alisation du sch ma 3 La mise en place d un pilote du sch ma v ritable instance caract re ex cutif dont l objectif est le management des objectifs du sch ma selon un calendrier fix en accord avec les divers acteurs institutionnels mobilis s 4 Une politique de communication sur les objectifs et les r alisations du sch ma La construction du caract re strat gique n cessite aussi que le pilote du sch ma en l occurrence ici le pilo amp conjoint A S E P J J s appuie sur quelques outils de management
68. ien avec la circonscription Cette r f rence l inspecteur est n cessaire la fois pour garantir la qualit et la diversit des r ponses apport es en concertation avec les autres partenaires mais aussi afin de r guler l utilisation de cette instance G R L e Questions Cette fois le G R L est sp cifiquement d di l activit de traitement des situations confi es l A S E sous la responsabilit de l inspecteur CIRESE rapport d valuation du sch ma conjoint ASE PJJ 1997 2002 des Pyr n es Atlantiques octobre 2003 24 Y aurait il un G R L deux dimensions le G R L de base soit la commission d valuation uniquement sur les situations non trait es administrativement ou judiciairement et le G R L sp cifique sous la responsabilit de l inspecteur pour les situations confi es l A S E Faut il pousser plus en avant l analyse du texte si oui on retiendrait comme autres questions comment l quilibre des fonctions entre responsable de circonscription et inspecteur se r gulent ils l chelle du territoire existe t il un risque que la fonction logistique de la circonscription dans le profil G R L sp cifique soit squeez e de temps autre par les partenaires reprenant en cela les habitudes de saisie verticale des lieux de d cision comment la fonction de d cision individuelle de l inspecteur s accorde t elle aujourd hui avec
69. inspection Acad mique la Direction D partementale de la Jeunesse et des Sports la Direction D partementale du Travail de l Emploi et de la Formation Professionnelle la Direction D partementale des Affaires Sanitaires et Sociales souhaitent favoriser des changes lors des formations initiales ou continues de leurs professionnels Les r sultats attendus en 1997 1 Une implication des institutions dans le cadre de formations initiales ou continues 2 Une communication sur le sch ma et les dispositifs d aide aux jeunes 3 Plus de contacts en direction des jeunes en difficult L objectif et son contexte depuis 1997 Globalement des actions d informations ont t r alis es au sein de FI U F M et de l Institut de travail social de Pau Les contenus portaient essentiellement sur la connaissance des populations relevant de la protection l volution des besoins et la nature des dispositifs A S E et P J J Ce type d information est le fruit du travail normal de promotion de l information qu assurent couramment les institutions aupr s des organismes de formation Par ailleurs et probablement plus fortement incit es par la dynamique du sch ma des actions d information se sont d velopp es avec la D A S S aupr s des soignants du C H P sp cialis sur les questions de sant mentale adolescents avec la D D J S en direction des futurs responsables de centres de loisirs et
70. int ASE PJJ 1997 2002 des Pyr n es Atlantiques octobre 2003 16 Quatre r unions entre 1997 ET 2003 _pr conf rence d partementale du 11 juin 1999 Ordre du jour R alisation Pr paration du lancement de la conf rence R union strat gique pour la d cision de mise en d partementale uvre du tout premier objectif du sch ma sign Liste des membres en 1997 conf rence d partementale du 15 novembre 1999 Ordre du jour R alisation Examen des objectifs du sch ma GRL Rappel de l objet de la Conf rence avoir la proc dures de signalement classe relais connaissance de ce que chaque administration service d accompagnement sp cifique fait chez elle et la relayer amplifier la faire information campagne de pr vention sur la partager par les autres membres maltraitance En notant que la session suivante tait alors propos e pour l t 2000 conf rence d partementale du 14 juin 2001 Ordre du jour R alisation Les r ponses aux situations de jeunes en crise Un ordre du jour charg avec un grand nombre L volution des pratiques de prise en charge de contributions et une co animation A S E P Le bilan du travail du groupe de coordination J J ouverte la mission du groupe de d partemental coordination d partemental Etat La communication et le partenariat sur le dispositif habilit conf rence d partementale du 18 juin 2002 Ordre du jour
71. ion Valoriser les connaissances et les savoir faire des professionnels Se Connecter avec les professionnels du sport t Clarifier les proc dures de signalement t D velopper le syst me d information Rep rage pr coce pr ventif en cole t Ateliers de parole aux coll ges t Lieux d coute pour adolescents t S jours de r conciliation sociale Implication des institutions dans le cadre de formations initiales ou continues Communication sur le sch ma et les dispositifs d aide aux jeunes Plus de contacts en direction des jeunes en difficult Mobilisation d un plus grand public au contact des enfants et des jeunes Mise en r seau maillage des milieux professionnels concern s Partenariat avec le monde de la sant et de l ducation D veloppement de l valuation des besoins D veloppement de la pr vention de l inadaptation sociale Une meilleure valuation de la situation Le guide du signalement Une information du grand public Un logiciel commun Un syst me d informations d partemental sur les parcours sur le nombre d enfants et de jeunes sur les mouvements entre tablissements pr vention des situations risque les professionnels r investissent le r le des parents que chaque jeune puisse acc der tire individuel la possibilit de s exprimer des actions collectives reliant sant et social une m diation nouvelle
72. ion du sch ma Il s agit d appr cier l ensemble des r alisations du sch ma en terme de Coh rence soit l examen du rapport de conformit des actions au regard des valeurs et des enjeux du sch ma Pertinence soit l examen des conditions de prise en compte de l analyse des besoins concernant la population mais aussi les conditions techniques et professionnelles de r alisation de la protection Attractivit soit l examen des conditions d adh sion et de mobilisation de l ensemble des acteurs la mise en uvre du sch ma Impact soit l examen des r sultats produits par chacune des propositions au titre du sch ma CIRESE rapport d valuation du sch ma conjoint ASE PJJ 1997 2002 des Pyr n es Atlantiques octobre 2003 7 Du sch ma on peut d duire du texte g n ral et pr senter de la mani re suivante les fondements de ces quatre registres COH RENCE d velopper une politique de protection de proximit articuler le sch ma aux autres politiques locales sociales mettre en uvre des pr occupations communes A S E et P J J sant s curit moralit ducation privil gier la famille dans la mesure du possible ATTRACTIVIT IMPACT PO Eesch ma diversifier l offre enrichir le milieu social g rer une coordination forte Etat Justice et C G n ral S E ordinaire assurer un soutien aux P J J faire voluer de mani re p
73. iques octobre 2003 88 Liste des personnes rencontr es Pour Mr Domergue Mr Br hier Mr Favreau Mme Buffi re Mme Dourrieu Mr Mialocq Mme de Ravignan Mr Balageas Mme Bussy MmeLorp Laboup Mme Ainciburu MmeSenderens Mme Guerra Mme Pour Mr Bru Mr Teuma Mme Borello Mr Bai le Mr Auffret Mr Bidart Mme Pierruggi Mme Alzeari Mr Dreno Mme Delobel Pour Mme Puyoo Mr Pujol Mr Sordet Mr Laco Mr Etcheverria Mr Brau Mr Ortet Mme Samitier Mme Malbet Dr Lusignan Mme Tallon Mr Nogu s Pour Mme Larrieu Le Conseil G n ral Vice pr sident Conseil G n ral 64 Directeur DSD Directeur adjoint DSD Sous directrice ASE DSD Inspectrice ASE DSD Psychologue Cons technique DSD Inspectrice ASE Inspecteur ASE Inspectrice ASE ducatrice sp cialis e classe relais RC de la M S Oloron Ste Marie RC de la M S Nay RC adjointe de la M S de Pau Centre d partemental Enfance Le Minist re de la Justice Directeur regional PJJ Aquitaine Directeur DDPJJ Conseill re technique DDPJJ Directeur SEAT DDPJJ Directeur SEAT Bayonne Juge des enfants TGI Pau Juge des enfants TGI Bayonne Juge des enfants TGI Pau Procureur de la R publique excus Substitut du procureur excus e L Etat Charg e de mission Pr fecture Chef de service Pr fecture Inspecteur DASS Directeur D partemental DDJS Directeur Adjoint DDJS Capitaine Gendarmerie nationale Commissai
74. ires de traitement et invite rappeler que l outil suit l action mais ne la dirige pas Un exemple d insuffisance de traitement de l information sur 500 dossiers de jeunes seulement 300 correctement renseign s sur l item de suivi scolaire En r sum un logiciel insuffisamment convivial trop de menus d roulant ce qui complique l acc s des connaissances de base consolider pour les personnels traitants une organisation administrative interne dans le secteur habilit performer 2 avec des r sistances en mati re de culture informatique Si le prestataire CDPM a eu du mal se familiariser avec les codes de la protection en retour le secteur habilit a eu des difficult s formaliser des questions et des attentes pour pr ciser le cahier des charges du logiciel PROGEDIS Globalement les personnels ducatifs coincent dans la traduction informatique de certains actes ducatifs d o des fragjilit s dans la transmission des donn es en mati re de contr le Informer les pilotes c est a tre contr ler o se situe la fronti re entre la coop ration institutions secteur habilit et le contr le du dispositif b tre comparer aux autres mais aussi c expliquer d justifier ex de la justification de certains contrats jeunes majeurs CIRESE rapport d valuation du sch ma conjoint ASE PJJ 1997 2002 des Pyr n es Atlantiques octobre 2003 44 3 et une coh rence technique entre
75. is positifs sur am lioration notoire de la question gr ce ce travail continu de concertation e selon les juges pour enfants les circuits du signalement sont plus clairs et mieux connus par les acteurs les services sociaux sont reconnus et bien mobilis s dans le travail d valuation des situations la saisie directe de la justice est bien mieux justifi e Ce r sultat positif est moduler entre l urbain et le rural o le signalement reste encore un acte difficile e selon la charg e de mission aupr s du Pr fet le groupe de coordination a port fortement cette pr occupation d une politique commune en mati re de signalement CIRESE rapport d valuation du sch ma conjoint ASE PJJ 1997 2002 des Pyr n es Atlantiques octobre 2003 41 L Inspection d Acad mie s est bien mobilis e et a r alis un gros travail d information et d aide aupr s des chefs d tablissements Pour autant le secondaire est quelque peu privil gi sur cette question gr ce la pr sence du service social et de sant scolaire qui relaie avec les institutions comp tentes Il reste aujourd hui encore fort faire avec le secteur primaire e Un r sultat pour l essentiel au del des attendus du sch ma le guide de proc dure du Conseil G n ral est en place depuis 1999 et il a bien contribu am liorer la qualit de l valuation des situations le repositionnement du service social de circonscription et
76. isation 1 indicateur d adaptabilit 1 indicateur d offre nouvelle 1 les groupes de ressources locales X2 Atouts indicateur de mise en uvre 0 Attractivit indicateur du syst me acteur 1 indicateur de suivi et de pilotage 1 indicateur de modernisation O indicateur d adaptabilit 1 indicateur d offre nouvelle 0 la commission des directeurs X3 Atouts indicateur de mise en uvre 2 Attractivit indicateur du syst me acteur 2 indicateur de suivi et de pilotage 2 indicateur de modernisation 1 indicateur d adaptabilit 2 indicateur d offre nouvelle 1 le syst me d information partag X4 Atouts indicateur de mise en uvre 1 Attractivit indicateur du syst me acteur 2 indicateur de suivi et de pilotage 3 indicateur de modernisation 2 indicateur d adaptabilit 1 indicateur d offre nouvelle 1 la mise en r seau des savoirs Y1 Atouts indicateur de mise en uvre 1 Attractivit indicateur du syst me acteur 1 indicateur de suivi et de pilotage O indicateur de modernisation 2 indicateur d adaptabilit 1 indicateur d offre nouvelle 2 les interventions en formation initiale Y2 Atouts indicateur de mise en uvre 2 Attractivit indicateur du syst me acteur 1 indicateur de suivi et de pilotage 1 indicateur de modernisation 1 indicateur d adaptabilit 1 indicateur d offre nouvelle 1 la proc dure de signalement Y3 Atouts indicateur de mise en uvre 3 A
77. isations en 2003 1 reprendre l objectif d interventions en formation dans le cadre d une politique de communication plus dynamique et plus syst matique 2 travailler l objectif avec les responsables p dagogiques des centres de formation 3 mobiliser un groupe de travail sur la question de l volution des professions dans le domaine de la protection au sein de la conf rence d partementale CIRESE rapport d valuation du sch ma conjoint ASE PJJ 1997 2002 des Pyr n es Atlantiques octobre 2003 36 Titre de l action Partager connaissances et informations AXE n 2 OBJECTIF STRATEGIQUE Partager connaissances et informations Rappel de l nonc du sch ma en 1997 Objectif introduit par le principe Apprendre aux autres et des autres l organisation de journ es communes d information la multiplication des rencontres lors de sessions de formation continue ou lors de journ es de r flexion entre professionnels s minaire forum devraient permettre aux professionnels de d velopper leurs relations et surtout de partager des informations et d changer leur exp rience sur des pratiques respectives de chacun Les r sultats attendus en 1997 1 mobilisation d un plus grand public au contact des enfants et des jeunes 2 mise en r seau maillage des milieux professionnels concern s 3 partenariat avec le monde de la sant et de l ducation 4 d veloppe
78. itions crit sur un mode non op rationnel confusion entre moyen r sultat objectif r intention tr s g n rale t in gales d finitions d une proposition l autre t manque de hi rarchie entre les propositions r absence d indications op rationnelles sur le pilotage le suivi l valuation la programmation inter institutions des propositions etc t des sources documentaires traces des objectifs in gales mais Un management du sch ma probablement in gal selon les objectifs produisant des perceptions de la fonction sch ma et de son degr de r alisation assez variables d un acteur l autre Des concepts nouveaux groupe de ressource locale parentalit phobie scolaire etc qui gagneraient tre mieux cern s pour enrichir le langage du r seau mais D autres plus incertaines dans leur portage comme les groupes de ressources locales la communication g n rale sur le sch ma etc CIRESE rapport d valuation du sch ma conjoint ASE PJJ 1997 2002 des Pyr n es Atlantiques octobre 2003 6 En notant que Cette commande d valuation est r alis e dans un contexte d cal par rapport la gestion politique du sch ma en effet l valuation du premier sch ma et la pr paration du second sch ma se font en parall le sans s rieusement donner les moyens l valuation de venir fertiliser les futures orientations C Les quatre registres d valuat
79. ives et judiciaires e phase n 2 la fonction valuative de la circulaire de janvier 2001 D s le mois de mars date laquelle le Pr fet signe un arr t de cr ation du groupe de coordination d partementale de protection de l enfance les diverses institutions associ es proc dent une valuation de la fonctionnalit du syst me et conviennent que les protocoles et guides EN et CG ne suffisent pas r guler les circuits divers de signalement dans une vision harmonis e De m me il n existe pas d observatoire partag de donn es Par ailleurs ASE n est pas inform e des situations saisies directement par le Parquet Un groupe de travail est constitu associant troitement l Education nationale une remise plat du dispositif de signalements dans une vision partenariale plus fonctionnel e phase n 3 depuis 2002 un sch ma global de traitement Le 16 mai 2002 une convention de coordination en mati re de signalement de l enfance en danger est sign e entre le Pr fet le Pr sident du Conseil G n ral l Inspecteur d Acad mie et la Justice TGI de Pau et de Bayonne Juges des Enfants et Procureurs Elle dote les partenaires d un sch ma global de traitement du signalement comme cadre de r f rence qualit de la proc dure toutes institutions confondues et tout type de situation possible CIRESE rapport d valuation du sch ma conjoint ASE PJJ 1997 2002 des Pyr n es Atlantiques octobre 2003 40
80. l enfant dans son milieu Cofinanc es et conventionn es par les administrations concern es E N C G Justice ces classes relais ne doivent en aucun cas constituer une forme de scolarisation parall le au droit commun Les r sultats attendus en 1997 1 exp rimentation de nouvelles prises en charge 2 m diation scolaire pour les 12 16 ans 3 une place donn e aux familles 4 une alternative l h bergement ducatif L objectif et son contexte depuis 1997 En 1998 signature du protocole d accord entre Le Conseil G n ral la Direction de la Protection Judiciaire de la Jeunesse et l Inspection d Acad mie protocole qui stipule entre autres choses la cr ation titre exp rimental d une classe relais avec des enseignants et des ducateurs L objectif vis est de favoriser le maintien ou la r int gration dans le syst me scolaire de jeunes adolescents s excluant ou exclus des tablissements d enseignements secondaires en raison de leur attitude incompatible avec les contraintes de la vie scolaire ces jeunes font l objet d une d cision administrative ou judiciaire signature d une convention relative la mise en place d une structure exp rimentale pour adolescents en voie de d scolarisation et de marginalisation appel e classe relais CIRESE rapport d valuation du sch ma conjoint ASE PJJ 1997 2002 des Pyr n es Atlantiques octobre 2003 49 Description de
81. la r gularit Une vingtaine de r unions de 1998 fin 2002 soit en moyenne une par trimestre Sur le principe de la participation de tous les directeurs L analyse de la liste des pr sents jointe chaque compte rendu fait appara tre une r elle constance dans les pr sences Ce qui t moigne de la force d attractivit de cette commission malgr les avis partag s mis par les directeurs lors de la s ance d valuation voir ci dessous On peut expliquer ce ph nom ne de deux fa ons 1 le principe de venir afin de ne pas tre cart de toute information ventuelle qu elle soit informelle et strat gique 2 le caract re nouveau de cette instance dans le champ de la protection et l int r t de participer sa construction CIRESE rapport d valuation du sch ma conjoint ASE PJJ 1997 2002 des Pyr n es Atlantiques octobre 2003 29 Sur la question d une fonction de force de proposition Dont la r alisation est fortement d pendante de la question de l animation et du fonctionnement Sur l animation et le suivi du fonctionnement C est probablement la question majeure l ordre du jour aujourd hui de cette commission et de son avenir D j diverses reprises ces cinq derni res ann es la question de l animation a t soulev e En reprenant la formulation de cette question telle que donn e en septembre 2000 on v rifie comment trois ans apr s le probl me reste toujours en suspens
82. lace en B arn Un bilan devrait tre tabli p riodiquement avec une valuation de l outil des techniques mises en place et de leurs r sultats R alis e en commun par l Aide sociale l Enfance et la Direction D partementale de la Protection Judiciaire de la Jeunesse cette valuation devra galement associer le Conseil R gional d Aquitaine Les r sultats attendus en 1997 1 une m diation professionnelle pour les jeunes de plus de 16 ans 2 des passerelles pour les jeunes pour leur projet professionnel 3 un nouveau service articul aux dispositifs de droit commun 4 une exp rience valu e L objectif et son contexte depuis 1997 Une d marche tout fait innovante dans la modernit de sa construction et de son fonctionnement ayant concr tement contribu faire lien entre le monde particulier de la protection et le monde du droit commun en formation et insertion socio professionnelle Historique d une d marche R pondre l enjeu d une offre nouvelle et adapt e en mati re d insertion professionnelle pour des publics jeunes issus de la protection en retravaillant les pratiques usuelles au sein des tablissements de protection soit l existence de services internes en mati re d insertion de sorte fonder un dispositif plus maill avec les outils du droit commun CIRESE rapport d valuation du sch ma conjoint ASE PJJ 1997 2002 des Pyr n es Atlantiques octobre 2003 56 R
83. le sur les terrains _S agissait il exclusivement de la mise en r seau des acteurs de la protection autour des situations CIRESE rapport d valuation du sch ma conjoint ASE PJJ 1997 2002 des Pyr n es Atlantiques octobre 2003 27 ou S agissait il dune mission plus large de management des axes du sch ma pour les aspects techniques communication harmonisation des pratiques parentalit d veloppement des r ponses en proximit etc Il para t plausible de penser que la r ussite des G R L sur l ensemble des territoires de circonscription aurait introduit le param tre territoires et ressources locales dans la mise en uvre du sch ma avec quels effets moyen terme la prise en compte de l effet territoire dans la conduite du sch ma un management de la protection en m thodologie de d veloppement social local une meilleure reconnaissance du travail des circonscriptions en mati re de protection un dialogue technique Pilotes ASE PJJ commission des directeurs ouvert au groupe des responsables de circonscription Les pr conisations en 2003 clarifier l objectif G R L apr s capitalisation de l ensemble des initiatives sur le terrain se r f rant l esprit du concept confier aux pilotes ASE PJJ le soin de mettre en uvre et de superviser un d veloppement exp rimental du concept avec l ensemble des circonscriptions et le nouveau C A E 2 U
84. les institutions en mati re d informatique qu il reste faire voluer deux types de probl me la PJJ qui dispose de son propre outil national de gestion des donn es d o une double saisie un double traitement et des conflits de d lais dans la mise en commun des informations en notant un r el effort de la DDPJJ pour que cette situation ne soit pas trop pr judiciable au co pilotage du sch ma La Justice qui ne participe pas encore ce projet de syst me d partemental d information Les leviers d am lioration 1 l enjeu du second sch ma Afin de pouvoir sortir des informations statistiques de qualit les pilotes ont sollicit le secteur habilit pour qu il renseigne a minima toutes les cellules de donn es de sorte r aliser un tat des lieux le plus complet Cet appel contribution a plut t r ussi test positif sur le remplissage syst matique mais moins bon sur la qualit des informations R sultat mitig mobilisation possible mais condition de traiter s rieusement les difficult s concr tes de saisie Cette sollicitation portait sur l enjeu concret d avoir les donn es pour avril 2003 sachant que le rapport annuel PJJ ne sera disponible qu en fin d ann e 2003 2 l enjeu de l valuation Il s agit de r fl chir au croisement possible entre des indicateurs d valuation pos s pour les objectifs du sch ma et les cat gories de donn es disponibles ou cr er de PROGEDIS Cette d marche
85. mars 02 pour d velopper l usage de la d l gation de l autorit parentale CIRESE rapport d valuation du sch ma conjoint ASE PJJ 1997 2002 des Pyr n es Atlantiques octobre 2003 86 CIRESE rapport d valuation du sch ma conjoint ASE PJJ 1997 2002 des Pyr n es Atlantiques octobre 2003 Annexes 87 Documentation e Sch ma d partemental document source du sch ma pr sentant les pistes de travail en mati re de nouvelles offres d cembre 1995 texte Sch ma d partemental 1997 e Conf rence d partementale dossiers de documentation et compte rendu pour chacune des quatre conf rences documents des protocoles d accord avec les diverses institutions e Classe relais protocole d accord avec l Education Nationale date convention relative la mise en place de la classe relais 9 novembre 1998 compte rendus des comit s de pilotage portant sur l ann e 2003 bilans chiffr s document sp cifique 2001 2002 bilans population 1999 2003 fiches de pr sentation des projets d action ducative de 2003 articles de presse in le mascaret 2000 in Sud Ouest 1999 e Service d accueil sp cifique Dossiers bilans des activit s de l ann e 1999 2002 e Groupe de coordination d partemental pour la protection de l enfance arr t portant cr ation d un groupe de coordination d partemental pour la protection de l enfance mars 2001 c
86. ment de l valuation des besoins L objectif et son contexte depuis 1997 manque de lisibilit Les r sultats obtenus Situation d licate de l exercice d valuation o la mission de mesure des r sultats se confronte un r el d ficit de suivi et de capitalisation de ce qui repr sente ici une multiplicit des pratiques et des opportunit s Il est vident Qu en circonscription il y a eu des rencontres entre professionnels ne serait ce qu l occasion des commissions d valuation Qu en tablissement voir entre quelques tablissements des initiatives ont t prises ex le groupe de travail sur la sant mentale des adolescents sur la c te basque Qu en tablissement scolaire des groupes de parole associant adultes et l ves se sont r alis s et plus r cemment la commission des directeurs s est engag e dans des r unions r gionales d changes th matiques CIRESE rapport d valuation du sch ma conjoint ASE PJJ 1997 2002 des Pyr n es Atlantiques octobre 2003 37 Quelques crit res ou indicateurs possibles Liste propos e Moyens de mesure Crit res ou indicateurs de coh rence Crit res ou indicateurs de pertinence Crit res ou indicateurs d attractivit Crit res ou indicateurs d impacts Les questions valuatives Comment organiser la valorisation des travaux et des exp riences men s au titre de ce type d exercice
87. mission des directeurs du secteur associatif habilit avait t mise en place pour tre une instance d interpellation au niveau de la m thodologie d analyse des projets p dagogiques des maisons d enfants caract re social et des services d actions ducatives en milieu ouvert En reconduisant cette instance il s agit de maintenir cette capacit de r gulation d interpellation et de proposition propre l ensemble des prestataires du secteur habilit A S E P J J Les r sultats attendus en 1997 1 r unir tous les directeurs des tablissements MECS et des services de Milieu Ouvert habilit s 2 cr er une commission caract re permanent 3 faire de cette commission une force de proposition L objectif et son contexte depuis 1997 Sachant que l objectif strat gique PROMOUVOIR L HARMONISATION DES PRATIQUES comprenait deux objectifs op rationnels 1 la Commission des Directeurs 2 les Groupes d harmonisation des pratiques sur le placement sur les pratiques en AEMO et sur l accueil du jeune majeur en notant que de fait cet objectif strat gique a abouti la fusion des deux objectifs attendus puisque la conduite des travaux des groupes d harmonisation s est quasiment r alis e dans le cadre du fonctionnement de la commission des directeurs A Rapide historique partir des sources documentaires source les comptes rendus des r unions de la commission Sur le principe de
88. n uvre des actions dans un souci de mobilisation et de coordination etc Recherche des indicateurs de r sultats qui exprimeront le degr de mise en uvre d une nouvelle offre envers les enfants les jeunes et les familles etc Quelques rappels s mantiques en mati re d valuation notion d objectif projection court moyen ou long terme d une intention dans le but de transformer la donne de d part On parle d objectif strat gique quand il s agit d une transformation long terme au del de 3 ans ou quand l intention vise une question de nature strat gique On parle d objectif op rationnel quand le registre de l action est de court ou moyen terme et cible un niveau technique de mise en uvre notion de r sultat effet ou impact recherch ou obtenu mesurable et qui donne un sens concret l objectif pos notion d indicateur signe tangible qui donne une mesure du niveau de r alisation de l objectif La mesure d un r sultat peut tre obtenue par la mobilisation d un ou plusieurs indicateurs Il existe des indicateurs quantitatifs d nombrement statistiques et qualitatifs faits tat notion de r f rentiel d valuation outil dit de l arbre d objectif criture de l intention projective par articulation hi rarchique du niveau strat gique au niveau op rationnel de l action Objectif R sultats Objectifs strat gique recherch s et op ratio
89. n entre la Maison de la Solidarit le service ASE et l ducatrice du lieu non sans quelques difficult s dues principalement la nature du public des publics tr s fragilis s au plan social et mental souvent en rupture partielle de droits et en conflits avec les services sociaux des institutions l importance de la demande institutionnelle Au del de la mise en relation parents enfants on attend de ce lieu qu il restaure en quelque sorte un accompagnement social en crise les moyens effectifs de l offre une base tr s limit e en moyens en espace en particulier pour les enfants en dur e etc et isol e par rapport l tablissement porteur donc ne pouvant pas b n ficier des services communs de l tablissement mais en ville les constats un accueil lourd en probl matique sociale reposant sur une seule personne temps partiel la question de l acc s aux droits qui parasite le travail relationnel une pratique isol e au plan structurel CIRESE rapport d valuation du sch ma conjoint ASE PJJ 1997 2002 des Pyr n es Atlantiques octobre 2003 69 les questions faut il envisager d largir la base g ographique d impact du lieu pour tayer son conomieet sortir du registre de la confidentialit faible rayonnement en comparaison avec le L A P E de Juran on faut il estimer un certain nombre de conditions de base remplir pour assurer cette mission
90. nction observatoire de la protection comment le sch ma et son pilotage peuvent ils mieux servir ce projet comment les aspects d tude et de capitalisation des pratiques peuvent ils tre int gr s comment la fonction observatoire peut elle venir sous tendre l valuation Sur le management concert de l outil Que recherchent ensemble les acteurs en mati re de connaissance Quelles sont les capacit s collectives faire voluer le dispositif au regard d une plus grande objectivation des besoins et des dynamiques de prises en charge CIRESE rapport d valuation du sch ma conjoint ASE PJJ 1997 2002 des Pyr n es Atlantiques octobre 2003 46 pour les pilotes en mati re de r orientation de la commande pour le secteur habilit en mati re de dynamisation des projets et des pratiques ducatives Les pr conisations en 2003 1 poursuivre le projet collectif d informatisation en d finissant des tapes nouvelles et en mettant en place un contrat de progr s entre les pilotes ASE PJJ et chaque tablissement 2 mettre en place une cellule permanente de travail associant les tablissements pour manager de concert le d veloppement du progiciel 3 concevoir des priorit s de recueil de donn es en liaison avec des objectifs du sch ma ou pour servir la production d indicateurs d valuation CIRESE rapport d valuation du sch ma conjoint ASE PJJ 1997 2002 des Pyr n e
91. ne dite de r ussite o le rapport AT ATT est quilibr en faveur d un portage dynamique d un objectif qualifi CIRESE rapport d valuation du sch ma conjoint ASE PJJ 1997 2002 des Pyr n es Atlantiques octobre 2003 76 Le tableau de positionnement dynamique ATOUTS 3 Zone FRAGILE Zone REUSSITE QO Zone RISQUE Zone A CONFIRMER ATTRACTIVITE L gende Objectif C positionn sur le tableau selon son attractivit abscisse et ses atouts ordonn e CIRESE rapport d valuation du sch ma conjoint ASE PJJ 1997 2002 des Pyr n es Atlantiques octobre 2003 77 La cotation des ATOUTS et de l ATTRACTIVITE Pour les atouts il s agit de mesurer le degr de mise en uvre de l objectif __le degr de suivi et de pilotage de l objectif le caract re volutif d adaptabilit de l objectif Pour l attractivit il s agit de mesurer le degr de d veloppement du syst me acteurs la fonction de modernisation de l action du champ __l impact en nouvelle offre de service envers les publics La cotation se fait indicateurs par indicateurs partir de la grille num rique suivante valeur 0 signifie absence de valeur Valeur 1 signifie en construction Valeur 2 signifie en consolidation Valeur 3 signifie en confirmation reconductible en l tat les valeurs moyennes sont pour les atouts 3 indicateurs x 3 points au maximum 3 3 pour l attractivit 3 indicate
92. nnels de indicateurs de programmation mesure pr vus valuation CIRESE rapport d valuation du sch ma conjoint ASE PJJ 1997 2002 des Pyr n es Atlantiques octobre 2003 9 E le r f rentiel projet du sch ma Re formulation des orientations du sch ma en objectifs strat giques objectifs op rationnels et r sultats attendus Validation de cette nouvelle criture du sch ma en r union de pilotage de la mission d valuation le 6 juin 2003 En le fs strat giques ou op rationnels qui ont fait l objet d un travail d valuation Les axes du sch ma Axe 1 Organiser la concertation et renforcer l efficacit de l action et sa qualit Les objectifs strat giques de chaque axe Les objectifs op rationnels pour chaque objectif strat gique Les r sultats attendus 1 Mettre en place une conf rence d partementale 2 Cr er des groupes de ressources locales 3 Promouvoir l harmonisation des pratiques Un lieu de coordination d changes et de d finition des objectifs d laboration t L valuation des actions men es et l am lioration de leur coordination t Force de proposition aupr s du C G et des autres autorit s comp tentes t Lieu d laboration de solutions pratiques pour les probl mes des enfants et des jeunes Commission des directeurs pratiques sur le placement pratiques sur l A E M O pratiques sur l accueil du jeune maj
93. ns concr tes telles que le nombre et le rythme des sessions la pr paration des sessions et faire merger l id e de groupes de travail espace o pourrait se placer le groupe de coordination d partemental par exemple la production de d cisions le suivi des d cisions etc Les pr conisations en 2003 1 Une conduite politique du sch ma plus pr gnante et un management d fini avec des objectifs de r sultat 2 Une politique de communication en mati re de protection 3 Une commande publique sur des actions inscrites dans le sch ma CIRESE rapport d valuation du sch ma conjoint ASE PJJ 1997 2002 des Pyr n es Atlantiques octobre 2003 21 Titre de l action Les groupes de ressources locales AXE n 1 OBJECTIF STRATEGIQUE Cr er des groupes de ressources locales Rappel de l nonc du sch ma en 1997 Il est indispensable que la conf rence d partementale garde un lien solide et permanent avec les intervenants du terrain A cet effet elle serait relay e dans chaque circonscription de service social par des groupes de ressources locales anim s et coordonn s par le responsable de circonscription Le coordonnateur clairement identifi dans sa personne et d fini dans son r le d terminera aussi l avenir de ces groupes de ressources locales Lieu de collaboration entre les services existants ces groupes permettront d agir avec plus d efficacit et de rapidit en lutt
94. ns en 2003 Construire une repr sentation partag e en mati re de public concern par la classe relais entre les quipes enseignantes le service social sant scolaire les services ASE et PJJ et l quipe de la classe relais afin d am liorer s rieusement au sein des coll ges la prise de d cision de l orientation crit res d lai valorisation du choix anticipation du retour etc Proc der une valuation partag e des r sultats des quatre ann es d exp rience avec une communication dynamique au sein de l Education nationale pour valoriser le dispositif R examiner la localisation de la classe relais si le domaine de Sers apporte des avantages d environnement et de distanciation imm diate avec le lieu coll ge par rapport l exp rience de l chec terme le maintien distance ne favorise pas les passerelles p dagogiques classe relais classe coll ge et r duit les partenariats p dagogiques Chercher une solution quilibr e Mobiliser les chefs d tablissements autour de cette exp rience il semble que l on puisse corr ler repr sentation positive du chef d tablissement par rapport l orientation temps des jeunes et retour en coll ge d origine Reprendre l exigence d une valuation continue du dispositif comme pr vue dans le sch ma en laborant quelques outils tels que propos s dans la grille de suggestion des indicateurs exemples grille de sorties enqu tes de parcours
95. nseignement Education Nationale le loisir clubs et associations l information citoyenne planning familial union des consommateurs Champ de la pr vention enrichi depuis par le d veloppement des initiatives autour du th me de la parentalit via entre autres les r seaux d appui la parentalit Aussi le travail d valuation est il bien relativis compte tenu de la complexit de ce champ et des r sultats attendus dont la dimension d passe la seule activit des trois CIRESE rapport d valuation du sch ma conjoint ASE PJJ 1997 2002 des Pyr n es Atlantiques octobre 2003 64 associations rencontr es et soul ve d un point de vue th orique la question de la corr lation entre un accueil parental voir familial et l vitement d une mesure Les trois associations rencontr es sont 1 l association des Trois Pommes Inspir e de la d marche de la Maison Verte de F DOLTO cette association existe depuis fort longtemps sur la ville de Pau et am nage un accueil pour les tout petits moins de trois ans avec leurs parents sur la base d un acc s ouvert tout public sans introduction formalis e par un travailleur social L quipe d accueil est essentiellement de formation psychoth rapeutique d veloppe une formation interne d accueillants travaille en r seau avec diff rents lieux en rapport avec la famille et la petite enfance 2 Trait d Union Bas e Bayonne cette association est plus r
96. omme importante dans la mesure o cette pr sence n aurait pas fait l objet d une r gle interne d finie Une r union ne pas manquer tout prix soit l assurance d y tre tous quasiment car cette commission a effectivement servi d espace d informations et de r gulation Elle repr sente en elle m me une certaine r ussite dans la capacit du dialogue entre op rateurs et institutions les directeurs nouvellement arriv s sur le d partement le confirment par comparaison avec d autres d partements Des changes mais qui ne d bouchent pas sur de l action collective les trois th mes pr vus au titre des groupes d harmonisation ont t travaill s et d autres encore Le seul regret c est que l laboration d une information et d une r flexion ne d bouche pas sur des projets dans les tablissements suivis par la commission Mais a t elle effectivement cette mission En quoi cela est il souhaitable Si oui comment la d finir Le sentiment d tre parfois instrumentalis s par les deux pilotes A S E P J J comment dialoguer tout en pr servant l autonomie associative comment faire valoir des diff rences de point de vue ducatif de mani re sous jacente remonte le sentiment que de temps autre le ton change de la part des pilotes qui de l animation passe la commande de faire mettant les directeurs dans une posture de subordination aux institutions La peur d une volont de mise
97. ompagn s de pistes de mesure Remarque g n rale les crit res ou les indicateurs sont propos s en relation avec la d finition des r sultats attendus Pos s en amont de la phase op rationnelle des objectifs ils guideront l organisation de l information caract re valuatif Les questions valuatives Formulation de deux ou trois questions permettant de d velopper la discussion sur l appr ciation des carts entre les r sultats attendus et les r sultats obtenus Les pr conisations en 2003 Propositions pour am liorer le niveau de r sultat de l objectif valu CIRESE rapport d valuation du sch ma conjoint ASE PJJ 1997 2002 des Pyr n es Atlantiques octobre 2003 13 PARTIE n 1 L valuation des axes du sch ma CIRESE rapport d valuation du sch ma conjoint ASE PJJ 1997 2002 des Pyr n es Atlantiques octobre 2003 L valuation des 13 propositions du sch ma rappel AXE 1 Organiser la concertation et renforcer l efficacit de l action et sa qualit 1 la mise en place de la conf rence d partementale 2 la cr ation de groupes de ressources locales 3 la promotion de l harmonisation des pratiques incluant la commission des directeurs et son travail en mati re d harmonisation des pratiques sur le placement sur les pratiques en A E M O sur l accueil du jeune majeur AXE 2 Optimiser les outils 4 l intervention
98. ompte rendu de la premi re r union du groupe de coordination d partemental DDPJJ avril 2001 lettre du Pr fet au Pr sident du Conseil G n ral pr cisant les articulations entre le groupe de coordination et la conf rence d partementale mai 2001 lettre du Pr fet au DDPJJ portant reconnaissance des trois groupes de travail sant mentale signalement et pr vention des violences institutionnelles juillet 2001 document convention de coordination en mati re de signalement de l enfance en danger 2002 document annexes de la convention portant sur la proc dure de signalement 2002 document CREAHI d Aquitaine portant sur la d marche partenariale de pr vention des violences institutionnelles en institution 2002 document CREAHI d Aquitaine fiches actions de pr vention de la maltraitance en institutions sociales et m dico sociales 2003 e Les lieux de vie non traditionnels convention d agr ment entre le Conseil G n ral et les quatre lieux de vie Agora Menaut gia Regain et La Spirale en date de 1999 e La commission des directeurs ensemble des compte rendus des r unions de la commission soit 20 dossiers dossiers documentaires th matiques concernant les groupes d harmonisation des pratiques e Le signalement Guide du signalement du Conseil G n ral Protocole avec l Education nationale CIRESE rapport d valuation du sch ma conjoint ASE PJJ 1997 2002 des Pyr n es Atlant
99. otection Crit res ou indicateurs d impacts liaison avec la formation initiale et continue des conventions des r unions p dagogiques Les questions valuatives De fait il faut admettre que cet objectif strat gique a t fort peu investi par le pilotage conjoint et que principalement les interventions existantes ont t des pratiques continu es voir d velopp es sur la p riode du sch ma A l exception tr s probablement 1 du secteur psychiatrie qui a t saisi par le champ social de la probl matique de sant mentale laquelle se confrontent de plus en plus les acteurs de la protection 2 de l Education Nationale au c ur de la question du signalement Le peu d investissement de cet objectif soul ve des premi res questions valuatives que le pilotage conjoint aurait int r t traiter avant de d cider les conditions de reconduction de cet objectif dans un prochain sch ma e Dans quelle mesure le sch ma a s rieusement renouvel et d velopp cette pratique d intervention dans les formations e Pour quoi est il si difficile de faire le lien entre le champ professionnel et le champ de la formation initiale et continue dans quelle mesure cet aspect p dagogique du d veloppement d un champ est il incontournable d un management dynamique d un sch ma CIRESE rapport d valuation du sch ma conjoint ASE PJJ 1997 2002 des Pyr n es Atlantiques octobre 2003 35 Les pr con
100. pe cognitif sur les apprentissages Les questions valuatives comment le montage financier sp cifique du S A S constitue une ouverture au partenariat institutionnel quelle a t la port e du partenariat p dagogique en quoi cette nouvelle structure compl te les dispositifs de droit commun Les pr conisations en 2003 1 Exp rience poursuivre et tendre sur le Pays Basque en conservant le portage et le pilotage inter institutions et le co financement du Conseil R gional 2 Reprendre de mani re plus suivie le partenariat avec l Education Nationale pour les reprises de scolarit 3 Communiquer sur l existence de ce dispositif 4 Mettre en place un groupe de travail sur les diverses structures de m diation ducative vis e professionnelle du champ de la protection afin de dynamiser les projets et de mieux les articuler avec les dispositifs de droit commun CIRESE rapport d valuation du sch ma conjoint ASE PJJ 1997 2002 des Pyr n es Atlantiques octobre 2003 60 Titre de l action Les lieux d accueil non traditionnels AXE n 3 OBJECTIF STRATEGIQUE Lieux d accueil non traditionnels Rappel de l nonc du sch ma en 1997 Il s agit de mettre en place des lieux de vie pour offrir des adolescents en grande difficult durant des p riodes de dur e variable mais limit e dans le temps crise vacances un accueil temporaire personnali
101. pour respecter le secret professionnel adoption d un logiciel de gestion et d informations statistiques qui soit commun tous les tablissements et services y compris aux instituts de r ducation constituerait un progr s notable notamment pour mieux suivre les mouvements des jeunes entre institutions Les r sultats attendus en 1997 1 un logiciel commun 2 un syst me d informations d partemental e surles parcours e sur le nombre d enfants et de jeunes e sur les mouvements entre les tablissements L objectif et son contexte depuis 1997 La mise en place du dispositif d information d partemental 1 mise en place d une prestation informatique Les pilotes ont fait appel un prestataire informatique CDPM qui a d velopp le logiciel PROGEDIS compter de 2000 sur deux aspects 1 la connaissance quantitative des publics et 2 le cheminement des jeunes le suivi du projet individualis 2 mobilisation des tablissements et des services habilit s D s 2000 tous les tablissements et services habilit s ont t dot s de ce logiciel de mani re quasi directive L argument d velopp par les pilotes reposait sur le principe d un avantage pour chaque partie Pour les pilotes Pour le secteur habilit Les statistiques de population Un outil de suivi des projets et des emplois du temps CIRESE rapport d valuation du sch ma conjoint ASE PJJ 1997 2002 des Pyr n es Atl
102. pourrait tre tendue au secteur habilit d s lors que les tablissements et les services inscriront l valuation dans leur d marche de management Les objectifs moyen terme 1 travailler le cheminement des jeunes Il s agit d tudier les transferts informatiques possibles entre le logiciel GAM de la PJJ et PROGEDIS de sorte d velopper un travail plus mesur sur l ensemble des r ponses apport es aux probl mes des jeunes Probl me le caract re non nominatif pour respecter les libert s informatiques Plus globalement trois enjeux sont ici pos s e l enjeu de l valuation du dispositif pour les registres Pertinence analyse des besoins et Impact les effets obtenus e l enjeu de la reconstitution de l histoire du jeune au sein du dispositif de protection question du Droit des Usagers e l enjeu du contr le de la mission de protection envers le secteur habilit 2 confirmer un syst me d partemental inter institutions bas sur une vraie quantit de donn es permettant des approches de type longitudinale et typologie et des requ tes qualitatives sur des attentes du sch ma ex scolarisation sant mentale etc partir d une mobilisation du secteur habilit plus continue et soutenue par les pilotes fond e sur la n gociation d int r ts partag s en compl ment des fonctions d observation et de contr le compl ter les fonctions techniques de PROGEDIS le tri en particulier CIRESE rapport d
103. r des jeunes dans leur treizi me ann e relativis e malgr tout par le retour des plus de 15 ans on constate que de mani re r currente la tranche d ge de la quinzi me ann e les 14 ans et est la plus repr sentative de la place de la classe relais dans le syst me d orientation du coll ge vers ce dispositif 0 99 3 2000 4 2001 7 2002 4 2003 Rappel la 15 ann e difficult s rieuse de retour en circuit scolaire normal e les sorties Sur 5 ann es scolaires pour un effectif total de 58 jeunes re us en classe relais 28 d entre eux soit 48 ont pu reprendre un parcours en coll ge dont il faudrait pr ciser le contenu En sachant que sur ces 28 l ves 60 7 ont t orient s dans un autre coll ge pour quel motif En r sum sur un strict plan statistique seuls 11 l ves sur 58 ont repris la scolarit dans leur coll ge d origine soit 19 R sultat plut t faible au regard de l objectif pos mais qui une fois corr l l ge moyen des entr es soit la quinzi me ann e ne surprendra personne La question des sorties du dispositif est une question majeure qui ne peut en aucun cas tre dissoci e de celle des orientations l entr e du dispositif Par cons quent l avenir de ce dispositif interroge clairement le positionnement dans les coll ges des quipes enseignantes et des chefs d tablissements en mati re d orientation des l ves en difficult quelles conditions acceptent ils de p
104. r desquels une pr vention efficace peut tre mise en place devront tre galement abord s Les r sultats attendus en 1997 1 une meilleure valuation de la situation 2 la r alisation du guide de signalement du Conseil G n ral 3 une information du grand public L objectif et son contexte depuis 1997 En 1998 dans le cadre du plan d partemental de s curit est sign un protocole entre le pr fet l inspection d Acad mie la police et la gendarmerie Le Conseil g n ral n est pas associ alors qu il termine d crire son propre guide du signalement Par ailleurs les magistrats s inqui tent d tre trop syst matiquement saisis pour des situations qui n ont pas fait l objet d une valuation en service social De plus dans les cas d urgence d impossibilit d valuation de la situation ou de refus de la famille soit en saisine directe du Parquet le service de ASE n est en aucun cas destinataire du signalement S appuyant sur la circulaire de janvier 2001 le pr fet propose d enrichir le protocole de 1998 et met en place un groupe de travail ad hoc En mai 2002 un texte nouveau intitul Convention de coordination en mati re de signalement de l enfance en danger est sign entre le Pr fet le Pr sident du Conseil G n ral l Inspecteur d Acad mie les Pr sidents des TGI de Pau et de Bayonne et les deux Procureurs de la R publique de Pau et de Bayonne CIRESE rapport d valuation
105. rapport du groupe de travail constitu la demande du Minist re d l gu la Famille comprenant 15 fiches actions 2003 Ce premier rapprochement permet de noter 1 la concordance probable entre les axes du sch ma et les orientations nationales en cours de validation 2 et par d faut d attirer l attention des pilotes sur des objectifs structurels engager prochainement voir tableau ci apr s CIRESE rapport d valuation du sch ma conjoint ASE PJJ 1997 2002 des Pyr n es Atlantiques octobre 2003 85 tableau de rapprochement les pr conisations du rapport Naves et Cathala 2000 Mieux coordonner les dispositifs Au sein de chaque institution les actions de l Etat au sein du Min Justice dans les services des Conseils G n raux Entre toutes les institutions cr er instance d partementale d finir des temps de concertation pour les cadres de protection Mieux former les acteurs Renforcer les contenus de formation Renforcer les structures de formation une Mieux articuler la pr vention et les interventions sociales et ducatives mieux pr venir promotion de la famille meilleure valuation des situations mobilisation des ressources locales gestion des tensions TS familles mieux intervenir place et parole des familles solution individualis e La CONF G des D p D p R directeurs savoirs forma
106. re D D S P Secr taire g n rale A A S conseill re technique l A M decin chef service adolescents Pau Cadre infirmier Cadre infirmier Le Conseil R gional Charg e de Mission excus e Formation Pour Mme Mme Cassaing Mme Grassiolet Mr Laine Mme Mme Mme Mme Mr et mme Mr Mr MrDesepringalle Mr Peninou mme Mr Marque Pour Mr Denimal Mr Plinert Mr Roger Mr Maloudi Mr Libres Mr Seuve Mr Seychal Mr Tene Mr Fayolle Mr Batifoulier Mr Hubert Mr Arribes Mr Maliborne Pour Mr de Cluque Mme Spanut Mr Marot Mme Ste Les associations Mission locale Jeunes de Pau INFREP Foyer Amiti de Juran on La Maison du parent Assoc Les 3 Pommes Assoc Les 3 Pommes Responsable de REGAIN Animatrice de REGAIN La SPIRALE Responsable de MENAUTEGIA Educateur Menautegia UPASE Grands Voiles et moteurs Association Trait d Union ABS Le secteur habilit S E Pays Basque AEMO S E Pays Basque Urt Urcuit S E Pays Basque C E B M Et Planterose Association Grand C dre C I A E Pau U D A F AEMO Pau Ens Educatif Jeunesse DEFI Oeuvre Abb Denis MECS St Vincent de Paul Institut C E CESTAC C M P Le Ch teau MECS Brassalay Orthez Les C A F B arn et Basque Conseiller Technique CAF de Pau Chef Action Sociale Pau Directeur adjoint Caf Bye Charg e de Mission Caf Bye CIRESE rapport d valuation du sch ma conjoint ASE PJJ 1
107. rofessionnels 1997 2002 coordonn e et r fl chie entretenir une l ensemble du dispositif mobilisation continue de l ensemble des acteurs 4 PERTINENCE prendre en compte l volution des besoins des enfants des jeunes et de leurs familles en particulier en mati re de e Troubles psychiques en croissance e scolarit difficile e comportements violents e d linquance interroger les pratiques ducatives en internat et relier celles ci au milieu ouvert recentrer l ensemble du dispositif et introduire de l innovation CIRESE rapport d valuation du sch ma conjoint ASE PJJ 1997 2002 des Pyr n es Atlantiques octobre 2003 8 D le choix des indicateurs La typologie des indicateurs est induite par les quatre registres de l valuation savoir Le registre de coh rence Le registre de pertinence Le registre d attractivit Le registre des impacts Recherche des indicateurs qui rendent comptent du rapport aux valeurs du sch ma telles que la politique de proximit la prise en compte de la famille etc Recherche des indicateurs qui d montrent que l action a eu le souci de traiter les l ments du diagnostic pos s dans le sch ma ayant motiv les axes de proposition tels que les questions de sant de scolarit les pratiques ducatives etc Recherche des indicateurs qui indiqueront comment les partenaires sont venus soutenir la mise e
108. s en compl ment de l h bergement ducatif traditionnel s il y a lieu les h tes g rant ces lieux peuvent tout fait tre des assistants maternels qui le souhaiteraient Des proc dures d agr ment et de conventionnement sp cifiques peuvent tre d finies dans ce cadre Les h tes pourraient b n ficier du soutien de personnel sp cialis travailleuse familiale superviseur Il est cependant important d viter de stigmatiser une population difficile et de cr er une d pendance vis vis de ces moments de pause Les r sultats attendus en 1997 1 pr vention de la rupture d finitive dans la prise en charge L objectif et son contexte depuis 1997 Trois des quatre lieux de vie non traditionnels taient pr sents l entretien d valuation L association REGAIN lieu d accueil de type familial l origine ayant r cemment volu vers l accueil collectif des enfants et des adultes Cette association dispose d un petit centre de 6 places et travaille particuli rement avec les services ASE sur le lien m re enfant accueil d urgence placement provisoire L encadrement permanent est assur par des travailleurs sociaux L association MENAUTEGIA association g rant une unit d accueil avec une quipe compos d un couple fondateur et d une quipe ducative Le travail ducatif est m diatis par l activit cheval c est un lieu fortement sollicit en accueil de jour
109. s inspecteurs des familles etc Indicateurs de pertinence rayonnement en carte scolaire coll ges typologie des profils et des motifs l entr e typologie des s jours dur e adh sion l ge moyen d entr e dans la classe relais cartographie et suivi PROGEDIS Sur grille convenue en comit de pilotage Sur grille convenue en comit de pilotage analyse des ges sur 4 ann es voir sch ma Indicateurs d attractivit pour les jeunes adh sion et stabilit pour les familles information et dialogue pour l E N place de la classe relais pour l quipe p dagogique reconnaissance et capitalisation des m thodes pour les J E les inspecteurs ASE le service SEAT entretiens et analyse des parcours comit des familles r unions entretiens enqu te chefs tablissements et profs princ outils p dagogiques nature du r seau des prestataires formation continue nb et nature des orientations Indicateurs d impacts profil des l ves typologie des sorties typologie des parcours 6 mois 1 an Sur grille convenue en comit de pilotage nb de retour en scolarisation coll ge enqu te aupr s des anciens l ves Les questions valuatives comment les objectifs scolaires ont ils t assur s et valu s quel est le bilan ducatif et p dagogique de cette exp rience comment les familles ont elles t associ es
110. s Atlantiques octobre 2003 47 Titre de l action Red ployer les moyens pour favoriser l innovation AXE n 2 OBJECTIF STRATEGIQUE Red ployer les moyens pour favoriser l innovation Rappel de l nonc du sch ma en 1997 La modernisation des outils dont dispose le d partement devra s accompagner de d marches innovantes Un tel processus ne se con oit pas sans valuations adapt es En effet ce n est qu en cas de r sultats positifs que ces innovations pourront tre p rennis es et les cas ch ant g n ralis es l ensemble du d partement Les r sultats attendus en 1997 1 pr vention des situations risque 2 les professionnels r investissent le r le des parents 3 par les ateliers en coll ge les jeunes acc dent titre individuel la possibilit de s exprimer 4 des actions collectives reliant la sant et le social faites en coll ge 5 des s jours de r conciliation pour une m diation nouvelle L objectif et son contexte depuis 1997 manque de lisibilit Les r sultats obtenus M me probl matique que l objectif partager connaissances et informations Soit manque de donn es pour permettre l valuation Quelques crit res ou indicateurs possibles Liste propos e Moyens de mesure Crit res ou indicateurs de coh rence Crit res ou indicateurs de pertinence Crit res ou indicateurs d a
111. s histoires personnelles Strat gie institutionnelle de financement pr ciser Qui cherche et n gocie les co financements sur ce type de projet et quels impacts durables Deux hypoth ses L hypoth se institutionnelle L hypoth se du gestionnaire du dispositif dans le cadre du sch ma au cas par cas selon le projet par les pilotes du sch ma financer n gociation inter collectivit s financement conjoncturel R sultat d finition d une politique publique R sultat r alisation d un projet unique territoriale de formation pour publics temporalit limit e sp cifiques Caract re non p renne de l action Connaissance des besoins d un public particulier La majorit des jeunes suivis par le SAS ainsi qu au sein des services de formation internes des MECS sont bien souvent en r elle difficult pour s inscrire dans un accompagnement de mission locale pour l emploi des jeunes Au del de ce constat qui r interroge tr s s rieusement les conditions actuelles des missions sp cifiques des Missions locales et laisse l observateur pantois devant cet tat des choses il s agit ici d entendre que ces jeunes ne peuvent dans le cadre d une mesure ducative ni s inscrire facilement dans un primo accompagnement de la mission locale __ni adh rer ais ment dans un programme TRACE ni m me trouver leur compte dans une action classique du plan r gional de formation sans omet
112. sion locale soit MECS En sachant que jusqu pr sent la participation des CAE ex SEAT n tait pas pr vue dans le protocole du G R L Selon la direction Les G R L n ont pas fait l objet d une pr occupation la diff rence de la commission des directeurs En effet le protocole de 1998 tait centr sur le fonctionnement propre au Conseil g n ral en mati re soit de pr vention soit de situation confi e l A S E CIRESE rapport d valuation du sch ma conjoint ASE PJJ 1997 2002 des Pyr n es Atlantiques octobre 2003 26 Les r sultats obtenus un objectif inachev dans sa d finition et son mode op ratoire une absence de capitalisation des exp riences de mise en uvre des repr sentations diverses quant l int r t de cet objectif D Quelques crit res ou indicateurs possibles Liste propos e Moyens de mesure Crit res ou indicateurs de coh rence liens entre les G R L et la Conf rence Dale analyse documentaire modes de liaison fonctionnelle etc valeur fonctionnelle attribu e la production organigramme fonctionnel moyens attribu s des G R L au sein des institutions concern es humains temps financiers comp tences Crit res ou indicateurs de pertinence couverture g ographique spatialisation des ressources nouveaux besoins trait s typologie des besoins Crit res ou indicateurs d attractivit
113. sse relais Le service d accompagnement sp cifique Le signalement Le syst me d information Les lieux rencontre parents enfants Classe n 2 La conf rence d partementale Les groupes de ressources locales Classe n 3 Les lieux de vie L intervention sur les formations Classe n 4 Le partage des connaissances L innovation CIRESE rapport d valuation du sch ma conjoint ASE PJJ 1997 2002 des Pyr n es Atlantiques octobre 2003 83 B de la question des indicateurs dans le processus de pilotage de suivi et d valuation des objectifs du sch ma Au terme de ce travail et parce que la question des indicateurs a r ellement soulev maintes interrogations lesquels qui d finit comment les mesurer comment les faire voluer au fil de l action etc et suscit un profond int r t de la part des pilotes et qu en soit cet aspect de l valuation est tr s probablement un v ritable enjeu au titre de la loi de 2002 et de la nouvelle rationalisation des co ts sociaux Deux recommandations pragmatiques probablement pas simples mettre en place dans un premier temps travail de d finition et changement culturel mais plus vident qu il n y para t moyen terme g rer et suivre 1 garder la structure de mesure des r sultats et chercher la d finir le plus pr cis ment possible ce qui compte c est plus la logique du raisonnement que le nombre infini d indicateurs faire valoir
114. ster des r unions sans la pr sence des pilotes si oui comment ne pas confondre avec les instances professionnelles existantes comme Directeurs 64 CIRESE rapport d valuation du sch ma conjoint ASE PJJ 1997 2002 des Pyr n es Atlantiques octobre 2003 32 e Comment viter le risque d instrumentalisation de la commission par les pilotes transfert d un lien de concertation en lien de subordination pour suppl er l absence d un secteur public d accueil exemple la saisie de la commission au titre de l accueil en placement imm diat des jeunes e Comment re d ployer le dialogue institutions pilotes et secteur associatif habilit reprendre le probl me de l habilitation qui cible l tablissement et non l association et son projet ducatif au risque d occulter les valeurs du projet associatif cr er un nouveau dialogue avec les pr sidents des associations e Quel peut tre le statut et la valeur des productions des groupes d harmonisation dans un contexte de r duction des moyens ex le th me des pratiques en AEMO dont il semble que les pr conisations n aient pas eu d cho faute de budget dans l absence actuelle de culture partag e de management qualit ex le th me de la parentalit qui a d bouch sur une journ e riche en changes mais sans perspectives n goci es de mise en uvre dans les tablissements livrant chacun l isolement de son initiative Les pr conis
115. suffisamment capitalis e 4 l instance permanente et r guli re cr e par le sch ma en comparaison avec la conf rence d partementale et les groupes de ressources locales Quelques crit res ou indicateurs possibles Liste propos e Moyens de mesure Crit res ou indicateurs de coh rence r gularit et contenu des travaux dimension prospective des besoins nombre de r unions par an inventaire des ordres du jour et corr lation ceux de la conf rence Crit res ou indicateurs de pertinence accueil de nouveaux publics typologie des publics accueillis Crit res ou indicateurs d attractivit mise en r seau des tablissements et des services adh sion l objet de la commission contribution des participants changes d information pr ts de mat riel participation effective prise d initiative implication dans d autres groupes de travail Crit res ou indicateurs d impacts fluidit du dispositif impact indirect volution de la qualit des projets r duction des temps de r solution des probl mes d accueil mergence des questions de parentalit de projet individualis de sant mentale etc dans les projets Les questions valuatives e Comment am liorer l animation et le suivi de cette commission dans quelle mesure l animation doit elle syst matique tre sous la responsabilit des deux pilotes peut il exi
116. tions en r seau signalement innovations Parents Et enfants De A vie Les 15 fiche famille 20037 Se donner les moyens de bien valuer cr er un observatoire de la protection d velopper des tudes et capitaliser les pratiques am liorer le diagnostic et la m thodologie des pr conisations fonder une structure projet pour d velopper les r f rentiels pour les tablissements d velopper les r f rentiels comme base de l valuation Renforcer des dispositifs et des pratiques existantes mieux accompagner l acc s au dossier pour les parents et les enfants d velopper de l accueil pour les femmes isol es et les parents accompagn s de leurs enfants am liorer les conditions de l AEMO organiser des conf rences d partementales de la protection et de la famille adapter la formation des travailleurs sociaux d velopper l intervention des services de psychiatrie Donner les bases juridiques explicites des dispositifs innovants ou visant fonder de nouvelles m thodes de travail instituer dans le code civil un dispositif de soutien la famille instituer dans le code de l action sociale et des familles une prestation ducative et sociale de soutien la famille introduire une nouvelle prestation d accompagnement budg taire dans le CASF prendre appui sur la loi relative l autorit parentale
117. tions en 2003 1 Une tude pr cise sur le champ de la pr vention pour examiner la mise en r seau des services du Conseil g n ral PMI et circonscriptions avec les associations du secteur social et pr ciser la nature de l offre de pr vention et les populations effectivement concern es Penser cette tude en lien avec le chantier du R seau d appui la parentalit 2 Un projet de formation vis e professionnelle pour les divers intervenants sociaux et ducatifs coles cr ches consultations PMI et p diatriques associations de la petite enfance pour am liorer et harmoniser les pratiques d accueil d coute et de rep rage des difficult s familiales l instar du projet de formation sur la pr vention des violences institutionnelles CIRESE rapport d valuation du sch ma conjoint ASE PJJ 1997 2002 des Pyr n es Atlantiques octobre 2003 67 Titre de l action Les lieux rencontre enfants parents en cas de s paration AXE n 3 OBJECTIF STRATEGIQUE Lieux rencontre enfants parents Rappel de l nonc du sch ma en 1997 Trop souvent la d t rioration des situations familiales emp che les regroupements familiaux entre les enfants et leurs parents quand il y a eu d cision de placement Des structures permettant ces regroupements dans un lieu ad quat auraient pour objectif d apprendre ces enfants et leurs parents reformer une famille et en appr cier la
118. tre les demandes de familles qui souhaitent que le parcours d insertion professionnelle se conduise sous contr le AEMO ces appr ciations n ont pas fait l objet d une valuation par le Cirese sujet hors champ de la commande il est donc ici fait foi aux dires des acteurs rencontr s CIRESE rapport d valuation du sch ma conjoint ASE PJJ 1997 2002 des Pyr n es Atlantiques octobre 2003 58 Les r sultats obtenus Sur une cohorte de 70 jeunes 1999 2002 avec une permanence de 10 jeunes en soutien 67 en sorties dite positives vers l emploi ct apprentissage ct qualification C D D int rim vers la formation infra qualifiante et qualifiante vers la sant vers la reprise d une scolarit 33 pr ciser Sur une d marche de projet inter institutions 1 avoir r ussi la cr ation d un dispositif reposant sur un pluri financement et un partenariat pilote de l exp rience 2 avoir mobilis des cr dits de formation professionnelle du Conseil R gional sur un projet du champ de la protection des mineurs et jeunes majeurs En terme de m diation professionnelle pour les jeunes 3 70 jeunes concern s en 4 ans avec un effectif permanent de 10 jeunes 4 des sorties positives du dispositif vers l emploi contrat d apprentissage ou de qualification CDD int rim vers la formation professionnelle infra qualifiante parfois qualifiante reprise de scolarit plus rare projet social en liaison ave
119. ttractivit Crit res ou indicateurs d impacts Les questions valuatives e Pourquoi cet objectif n a t il pas t investi par le pilotage conjoint Les pr conisations en 2003 Objectif retravailler en vue du prochain sch ma CIRESE rapport d valuation du sch ma conjoint ASE PJJ 1997 2002 des Pyr n es Atlantiques octobre 2003 48 Titre de l action La classe relais AXE n 3 OBJECTIF STRATEGIQUE Structures de jour Rappel de l nonc du sch ma en 1997 Pour un certain nombre d enfants et d adolescents les dispositifs existants dans le secteur habilit constituent une r ponse trop large ou inad quate Il est n cessaire d adapter plus sp cifiquement la prise en charge ducative qui leur est propos e A titre exp rimental des structures de jour pourraient tre mises en place Utilis es dans le cadre de mesures d actions ducatives con ues comme une alternative l h bergement elles auraient pour objectif le maintien ou la r int gration dans le syst me scolaire de jeunes s excluant ou exclus des tablissements en raison de leurs difficult s d apprentissage ou de leurs troubles du comportement recevant des enfants d une intelligence dite normale leur petite taille leur permettant de garder souplesse et adaptabilit le soutien des parents doit pouvoir tre assur pour favoriser une prise en charge de
120. ttractivit indicateur du syst me acteur 2 indicateur de suivi et de pilotage 2 indicateur de modernisation 2 indicateur d adaptabilit 2 indicateur d offre nouvelle 2 le d veloppement des innovations Y4 Atouts indicateur de mise en uvre 1 Attractivit indicateur du syst me acteur 1 indicateur de suivi et de pilotage O indicateur d adaptabilit 1 indicateur de modernisation 1 indicateur d offre nouvelle 1 CIRESE rapport d valuation du sch ma conjoint ASE PJJ 1997 2002 des Pyr n es Atlantiques octobre 2003 la classe relais Z1 Pour la cat gorie dite des outils d une offre publique soit le caract re de commande publique Z Atouts indicateur de mise en uvre 2 indicateur de suivi et de pilotage 3 indicateur d adaptabilit 1 Attractivit indicateur du syst me acteur 2 indicateur de modernisation 2 indicateur d offre nouvelle 3 le service d accompagnement sp cifique Z2 Atouts indicateur de mise en uvre 2 Attractivit indicateur du syst me acteur 3 indicateur de suivi et de pilotage 3 indicateur de modernisation 3 indicateur d adaptabilit 3 indicateur d offre nouvelle 3 les lieux de vie non traditionnels Z3 Atouts indicateur de mise en uvre 2 Attractivit indicateur du syst me acteur 2 indicateur de suivi et de pilotage 1 indicateur d adaptabilit 2 indicateur de modernisation 2 indicateur d o
121. ur fonctionnement du dispositif 2 une meilleure connaissance des r seaux 3 une synergie entre partenaires institutionnels L objectif et son contexte depuis 1997 A La Conf rence D partementale La composition des membres de la Conf rence La liste des membres a t d finie lors de la pr conf rence du 11 juin 1999 soit dix huit mois apr s la signature du sch ma conjoint Cette pr conf rence r unit pour l Etat un repr sentant du Pr fet le directeur d partemental de la P J J un inspecteur de la D A S S de la D D J S l inspecteur d acad mie et son secr taire g n ral et pour le Conseil G n ral son vice pr sident en charge de la commission sociale la directrice de la solidarit les sous directeurs lA S E et aux circonscriptions un conseiller technique de l A S E Ensemble ils arr tent la liste des membres de la conf rence dont la premi re r union se tiendra en novembre de la m me ann e A cette premi re assembl e vont s adjoindre d autres acteurs institutionnels C A F Justice juges des enfants et procureurs service social et de sant scolaire chefs d tablissements du secondaire 1 pour le secteur public 1 pour le secteur priv la direction dioc saine de l enseignement catholique un repr sentant des responsables de circonscription m dico sociale et des acteurs priv s repr sentant le secteur habilit CIRESE rapport d valuation du sch ma conjo
122. ure porteuse compte tenu des enjeux de la demande En synth se Faut il examiner de pr s les conditions indispensables l existence et au bon fonctionnement de ces lieux d accueil L approche comparative des trois sites qu il reste approfondir au plan interne de leur fonctionnement met en vidence cet enjeu structurant A d faut serait on dans le risque d une pratique bancale de ce travail relationnel dont la dimension clinique et symbolique n autorise gu re l approximation des pratiques et des structures Les r sultats obtenus CIRESE rapport d valuation du sch ma conjoint ASE PJJ 1997 2002 des Pyr n es Atlantiques octobre 2003 70 1 une offre nouvelle sur le territoire gr ce quelques initiatives sur Pau Bayonne et Orthez et un impact qui confirme le besoin dont les termes structurels sont loign s de la conception d origine pos e par le sch ma 2 des moyens structurels diff rents d une r ponse l autre avec en cons quence un niveau de r ponse in gal e sur Pau une offre permanente adoss e un tablissement qui assure la p rennit du fonctionnement e sur Bayonne une offre temps partiel qui m riterait d tre d velopp e compte tenu des besoins e sur Orthez une offre en construction mais fragile dans sa structuration une d marche encore en pleine exp rimentation qui m riterait un suivi plus important des pilotes du sch ma
123. urs sociaux est affect e cette mission Les prescripteurs sont de fa on r guli re le service ASE le CIAE et l UDAF pour l AEMO l Oeuvre de l Abb Denis et parfois directement des demandes de particuliers hors champ protection droit de visite du JAF sans oublier des services ASE d autres d partements Choix du foyer de travailler la carte en adaptant au mieux l accueil la situation v cue du WE une dur e plus longue avec accompagnement et observation des relations La demande est en augmentation constante premi re vue de 15 l an ce qui interroge le CHRS dans sa capacit faire face temps plein 24h 24h 7j 7 avec des demandes sur toute l ann e Les constats un public de en d grad mentalement n cessitant un travail long terme des parents en s jour CHP qui demandent voir leurs enfants des rencontres o la notion de danger pour l enfant est au c ur d calage entre la situation annonc e et celle constat e les questions comment tayer sur un plan de sant mentale l offre de service comment inscrire de fa on plus structur e cet accueil au sein du dispositif de protection 2 Pour la maison Sanchette L accueil se fait sur deux studios en ville sur la base d une ouverture mi temps en journ e donc sans h bergement et pas le WE Un poste d ducateur mi temps rattach la MECS Les orientations font l objet d une r union de pr paratio
124. urs x 3 points au maximum 3 3 APPLICATION AU SCHEMA ASE PJJ 1997 2002 Les treize objectifs ont t par cat gorie d analyse strat gique soit Pour la cat gorie dite des outils de pilotage soit le caract re opposable du sch ma la conf rence d partementale les groupes de ressources locales la commission des directeurs le syst me d information partag Pour la cat gorie dite des outils d une culture partag e soit le mode dit du travail en r seau e la mise en r seau des savoirs e les interventions en formation initiale e la proc dure de signalement e les innovations Pour la cat gorie dite d une offre volutive soit le d veloppement de la commande publique e la classe relais e le service d accompagnement sp cifique e les lieux de vie non traditionnels e accueil des parents et des enfants en aval CIRESE rapport d valuation du sch ma conjoint ASE PJJ 1997 2002 des Pyr n es Atlantiques octobre 2003 78 Soit Pour la cat gorie dite des outils de pilotage soit le caract re opposable du sch ma X Pour la cat gorie dite des outils de culture partag e soit le mode de travail en r seau Y l accueil des parents et des enfants en amont la conf rence d partementale X1 Atouts indicateur de mise en uvre 2 Attractivit indicateur du syst me acteur 3 indicateur de suivi et de pilotage 1 indicateur de modern

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