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Mémoire de DEA - Inormac Site

1. Equipes Administration GEOD GETA MRIM MultiCom Projets TIPS Fen tre de la carte Figure 5 interface de e Savoir La fen tre de droite du logiciel est un navigateur traditionnel Une barre de menu lui est associ e avec les fonctions classiques de navigation Pr c dent Suivant Arr ter Actualiser Dans la fen tre de gauche se trace une carte de navigation reprenant sous forme d ic ne chaque page visit e Deux modes de navigation sont disponibles boutons enfoncer dans la seconde barre de menu sur la droite Navigue et Trace le logiciel trace alors la carte au fur et mesure de la navigation et Navigue le logiciel ne trace plus la carte mais 1l est quand m me possible de placer dans la carte une page en cliquant sur le bouton Trace dans le menu navigateur Les ic nes cr es dans la carte sont cliquables et l utilisateur peut acc der automatiquement la page demand e Plusieurs cartes peuvent tre ouvertes ensemble de m me que plusieurs fen tres de navigateurs Ces diff rentes fen tres sont alors accessibles via les onglets en bas Une carte peut tre enregistr e et dit e donc chang e et exploit e avec d autres personnes 1 2 3 2 Qu est ce qu une carte Une carte est un document constitu de n uds et liens orient s fl ches Chaque n ud donne acc s un document lorsque l on clique dessus Les fl ches figurent les l
2. Une ancre elle indique la position de l annotation dans le document elle est compos e de deux parties URL une adresse unique du document Emplacement dans le document l endroit pr cis de l annotation dans le document Une forme de visualisation c est la forme visuelle de l annotation a peut tre un surlignement un petit dessin etc Un contexte il s agit d un ensemble de donn es d crivant le cadre dans lequel t r alis e l annotation Il est structur en six propri t s Pourquoi L objectif de l annotation Pour qui Le destinataire Par qui L auteur Quand L annotation a t plac e O L annotation t cr e Quoi Domaine de validit du document des documents de cours ne sont valables que pour certaines disciplines mais ne le sont pas pour d autres Une valeur Elle est compos e du contenu de l annotation Cela peut tre du contenu pr d fini ou libre ou les deux Ce contenu peut aussi faire r f rence des notions de cours ou d autres documents Un acc s c est l acc s en lecture l annotation il est de trois types Priv il n y a que l auteur de l annotation qui peut la visualiser Groupe l acc s l annotation est r serv un certains utilisateurs appartenant certains groupes pr d finis Publique tout le monde peut acc der l annotation Ce mod le con
3. Utilisabilit L utilisation des patrons permet d automatiser partiellement le processus d annotation Par cons quent le processus d annotation devient tr s simple L utilisateur n a plus qu poser la forme d annotation sur l endroit voulu et l outil compl te les autres propri t s de l annotation La m morisation devient int gr e dans le processus de lecture sans le d concentrer et interrompre son apprentissage Efficacit pour l apprentissage L outil s adapte au contexte d apprentissage de l apprenant En effet selon le contexte de l apprentissage l outil emploiera tel ou tel patron qui sont eux m me li s aux ontologies repr sentant les connaissances d un annotateur Partage L ontologie permet aux annotateur d une m me communaut d utiliser des connaissances commune avec les autres Les patrons par contre leur permettent d utiliser des mod les communs Par cons quent les annotations r alis es manipulent des connaissances coh rentes et les utilisateurs peuvent les partager sur le plan s mantique Bien que notre implantation n en soit qu ses d buts le mod le que nous proposons devrait tre rapide implanter car il est bien sp cifi Ainsi un premier prototype s en tenant des annotations sans forme nouvelle en proposant des couleurs diff rentes sans annoter les ressources elles m mes mais le n ud de la carte conceptuelle devrait tre rapidement dis
4. Qui tudiant Quand date du jour O universit Pour qui soi m me Solution 80 Quoi DEA SI Pourquoi Planifier une action Valeur L action Acc s public 81 IV D VELOPPEMENT L impl mentation s est faite sur la base du code source du logiciel e Savoir fourni par l entreprise Synergie 3R Elle n est pour l instant qu un stade embryonnaire du fait des contraintes de temps du DEA Nous pr sentons en premier lieu la m thode de d veloppement suivie et l outil de d veloppement utilis Nous pr sentons ensuite les structures de donn es utilis es pour implanter les ontologies IV 1 M thode et outil de d veloppement La m thode suivie est du type prototypage Nous avons r alis plusieurs prototypes le d veloppement de chaque prototype est d clench d s qu un nouveau besoin appara t ou lors de l valuation du prototype par les membres de l quipe Le logiciel e Savoir sur lequel nous impl mentons notre outil de d veloppement a t d velopp avec l EDI Environnement de D veloppement Int gr DELPHI version 5 Il s agit d un environnement de d veloppement d applications puissant et haute productivit qui acc l re le d veloppement Delphi fournit un ensemble complet d outils bas s sur des standards pour contr ler et pr senter des donn es Il est base du langage objet POO Pascal Objet IV 2 D tails de d veloppement IV 2 1 Imp
5. 3 Philippe s lectionne dans la palette des annotations l outil de mise en surbrillance choisit la couleur rouge 4 Philippe place le curseur au d but du terme PIN CODES et le fait glisser pour marquer le terme 5 e Savoir ouvre un formulaire d annotation le formulaire est compos de plusieurs champs titre du document auteur passage s lectionn date etc 6 e Savoir affecte des valeurs aux champs du formulaire en utilisant les patrons 7 Philippe v rifie les valeurs affect es 8 Philippe clique sur enregistrer du formulaire d annotation 9 e Savoir valide l annotation et le texte est en surbrillance II 5 Formalisation du mod le Dans cette partie nous sp cifions le formalisme de notre mod le D abord les sp cifications fonctionnelles ensuite les structures de donn es IL S 1 Cahier des charges fonctionnel de l outil D apr s les sc narios pr sent s les fonctions principales de l outil sont les suivantes Annoter o Sans patron Il s agit d utiliser une forme d annotation sur un n ud donn d une carte e Savoir puis de renseigner son contexte manuellement ou semi automatiquement sa valeur et son acc s A priori les formes graphiques d annotations possibles sur les n uds de e Savoir sont r duites Par contre des palettes de couleurs peuvent ajouter une certaine s mantique aux annotations actuelles Bien entendu des volutions sont envisager pour annoter
6. MENELAS gt soit il s agit d ontologies de t che qui contient l ensemble des t ches r alis es dans un domaine donn Ex ONTOLINGUA Les ontologies d application d pendent la fois d un domaine et d une t che Figure 25 Les types d ontologies Ontologie g n rique Ontologie du domaine Ontologie des taches Ontologie applicative 1 5 3 Le r le des ontologies Les ontologies sont utilis es afin d atteindre deux objectifs principaux i le partage et la r utilisation de donn es et 11 l am lioration de la communication entre agents 1 5 3 1 Modularit et r utilisabilit des connaissances Les ontologies sont surtout utilis es pour la repr sentation de connaissance et l application de raisonnements sur ces connaissances Une ontologie poss de des caract ristiques qui favorisent la r utilisation et le partage de donn es En effet ces ontologies permettent l tude de conceptualisations ind pendamment du formalisme choisi pour les repr senter et doivent tre d finies ind pendamment du langage utilis pour la programmation des applications de la plate forme utilis e et des protocoles de communication protocoles r seaux RAN00 1 5 3 2 Communication entre agents La communication dans un projet est de trois types communication homme homme homme syst me ou entre les diff rents modules du syst me Ces trois types poss dent tous des caract ristiques par
7. leur utilit pour le lecteur pour la m morisation des informations Les annotations permettent aussi de relire rapidement un document Il cite le syst me XLibris SCH98 qui met en en relief les mots importants d un document Ce qui permettra au lecteur de parcourir plus rapidement le document avant de l annoter L auteur cite aussi Golovshinsky et al GOL99 qui ont utilis les annotations pour comprendre les int r ts du lecteur et lui sugg rer des documents similaires aux passages annot s Dans ce cas une requ te a t constitu e des mots surlign s puis soumise un moteur de recherche ensuite les meilleurs documents retrouv s seront propos s au lecteur XLibris i bri ring forth ee AE d the fruit tree ci e Ter rose seed is in itself upon the carth andi it was 50 a wma And the canh brought forth grass andfhierb Lee yielding seed after his kind and the tree yielding traiewhosesesdmwasminmesel after his Eu kind and God saw that it was good naa EiT img and the morning were che Figure 17 Conseils de lecture ins r en marge sous forme d ic ne A 2 Partage inopin d annotations Les annotations personnelles sont appr ci des autres lecteurs c est pour cette raison que certains tudiants recherchent des exemplaires de documents annot s ce qui leurs permettra de profiter des commentaires laiss par les autres lecteurs Par contre les tudiants se souvienne
8. tre consid r e comme une trace de l attention du lecteur quand 1il travaille sur un texte difficile et dans une forme narrative En d autres termes l attention est plus facile quand le texte est plus simple Ceci est la conclusion que tire l auteur en observant la densit des annotations dans certains articles narratifs de philosophie ou page apr s page les lecteurs ont utilis le surlignement et le soulignement et cela pour mieux g rer la charge cognitive d une s mantique complexe R flexion fortuite des circonstances mat rielles de la lecture Ces annotations sont faites ind pendamment du texte du document et pour des circonstances externes dues au fait que le lecteur est distrait par autres chose que le document L auteur cite en exemple une op ration de calcul math matique qu elle a retrouv dans un manuel de philosophie ou des annotations en langue arabe retrouv es dans un bouquin le petit prince simplement parce que l auteur de ces annotations apprenait les caract res arabes Cela nous fait sugg rer que nous ne pouvons jamais enti rement pr voir o quand pourquoi ou m me comment l annotation aura lieu L 3 5 2 Les objectifs selon J Virbel M Veron et P Huart respectivement dans VER97 HUA97 ont tous les deux repris les r sultats de Jacques Virbel qui dans le cadre du projet de r alisation d un poste de lecture active pour les lecteurs de la BNF Biblioth que Nationale de France
9. Formal Ontological Distinctions for Information Organization Extraction and Integration Dans Information Extraction A Multidisciplinary Approach to an Emerging Information Technology Summer School on Information Extraction Frascati Italy 1997 Beno t Guay L utilisation des technologies informatiques pour g rer le d veloppement des comp tences Apprendre ou dispara tre colloque sur la capacit d apprendre des organisations ACFP l Association canadienne de la formation professionnelle octobre 2001 http cva acfp org annual conference 2001 _reports Gzara L les patterns pour l ing nierie des syst mes d information produit Th se INPG laboratoire Gestion Industrielle Logistique et COnception GILCO Grenoble Hansen E Knowledge Management Publi sur le site Web du Club d Intelligence Economique amp Knowledge Management http mapage noos fr eric hansen index html Heijst G Van der Spek R Kruizinga E Organizing Corporate Memories 90 HUA97 JEA99 KAB99 LAU02 MARO01 MAR97 MAR98 MEN94 MILO01 Proceedings of Tenth Knowledge Acquisition for Knowledge Based Systems Workshop CIBIT The Netherlands 1996 http ksi cpsc ucalgary ca K A W KAW96 vanheust HTMLDOC html Huart P D finition d un poste de lecture active de documents lectroniques Rapport de Stage 3eme ann e ENIB ENSEEIHT IRIT Laboratoire d accueil Groupe Raisonnement
10. GRN95 Laurent Denoue De la cr ation la capitalisation des annotations dans un espace personnel d informations Th se Universit de Savoie oct 2000 Denoue L Nouvelles applications pour les annotations lectroniques Fuji Xerox Palo Alto Laboratory FXPAL USA Rapport technique propose pour Inforsid 2001 Dessus P Que faire avancer dans l tude des ETAH la technique l ing nierie ou lexp rimentation R ponse au texte de Pierre Tchounikine Ing nierie des ETAH Atelier Fondements des EIAH Plate forme AFIA 2001 L ia informatique de la connaissance LSE Grenoble UPMF Desmoulins C Mille D Pattern Based Annotations on E books From Personal to Shared Didactic Content International Workshop on Wireless and Mobile Technologies in Education WMTE 2002 Vj Su de Ao t 29 30 2002 appara tre Devedzic Vladan Inside Intelligent Tutoring Systems Using Design Patterns University of Belgrade FON School of Business Administration Department of Information Systems Belgrade Yugoslavia International Journal of Knowledge Based Intelligent Engineering Systems Vol 4 No 1 January 2000 pp 25 32 Dieng R Corby O Giboin A Ribi re M Methods and Tools for Corporate Knowledge Management Rapport de recherche de l INRIA Projet ACACIA INRIA SOPHIA ANTIPOLIS http www inria fr rrrt rr 3485 html Dirk R Z llighoven H Understanding and Using Patterns in Software Developmen
11. Mod lisation de la composante annotative dans les documents lectroniques M moire DEA ENIB ENSEEIHT IRIT Laboratoire d accueil Groupe Raisonnement Action et Actes de Langages GRAAL cole Nationale Sup rieure d Electrotechnique d Electronique d Informatique d Hydraulique et des T l communications Toulouse 1997 93 V ANNEXE R sum de la r union avec un utilisateur de e Savoir Date mercredi 29 05 02 Etudiante Mile CHEN Yu chen 2 me ann e th se Formation science du language Universit universit Grenoble 3 D but de la r union 15heures Fin de la r union 16 heures V le Savoir Dans sa formation Mile Vuchen a re u une pr sentation de e Savoir qui a dur une matin e Elle juge que ce n tait suffisant aux tudiants pour bien comprendre ses fonctionnalit s Les tudiants ont eu des cours sur deux types de syst mes les syst mes auteurs et les g n rateurs d activit s Elle juge que e Savoir ne fait partie d aucune des deux classes Elle a utilis e Savoir pour r aliser un parcours p dagogique qui est compos de plusieurs s quences p dagogiques V 2 Avantages et limites de e Savoir Elle trouve qu il offre l avantage de pouvoir int grer des documents de diff rents formats dans la carte conceptuelle Par contre elle trouve dommage qu elle ne puisse pas int grer des programmes de Cd rom dans son parcours p dagogique ce que les aut
12. e ontologie l1 Philippe veut annoter le terme en anglais PIN CODES qu il n a pas compris son objectif est de le relever afin de le traiter plus tard et de le comprendre plus tard 2 Philippe ouvre le document smartcard applications dans e Savoir cet article est repr sent par un n ud dans une carte conceptuelle 3 Philippe s lectionne dans la palette des annotations l outil de mise en surbrillance choisit la couleur rouge 4 Philippe s lectionne le terme PIN CODES 5 e Savoir ouvre un formulaire d annotation le formulaire est compos de plusieurs champs titre du document auteur passage s lectionn date etc 6 Le champ objectif offre un ensemble d objectifs pr d finis qui appartiennent une ontologie Ces objectifs seront partag s par tous les autres utilisateurs Ces objectifs se pr sentent sous la forme d une hi rarchie arborescence Philippe choisit objectif comprendre le document en relevant les termes incompris qui est sous objectif de comprendre le document dans le champ pour qui 1l utilise une autre ontologie pour pr ciser que l annotation est destin lui m me etc 7 Philippe v rifie les autres champs du formulaire la date titre du document tC qui ont t remplies automatiquement 8 Le champ passage s lectionn est automatiquement remplit avec le terme PIN CODES qui t marqu dans le texte Le champ aut
13. est une annotation intelligible claire et compr hensible Par contre plusieurs annotations sont de nature t l graphique cod e incompl tes et tacite C est le cas d une expression surlign e un ast risque sans commentaire etc Ce qui pose des probl mes pour interpr ter ces annotations aux autres personnes sauf leur auteur m me son auteur risque avec le temps d oublier leur sens L annotation comme criture vs l annotation comme lecture L annotation est la preuve de l engagement des lecteurs avec le texte pendant leur lecture dans ce cas c est un acte qui sera consid r plut t comme faisant partie de la lecture dans l autre extr mit de ce continuum on retrouve les hypertextes l annotation par la cr ation de liens vers d autres documents transforme le lecteur en un auteur car il modifie l ordre de lecture L annotation souvent bascule entre ces deux modes de lecture active L annotation hyperextensive extensive intensive Il existe trois types de lecture la premi re hyperextensive est la lecture de plusieurs fragments de textes li s entre eux par des hypertextes La lecture extensive est celle qui concerne la lecture que nous faisons souvent chaque jour quand on essaie de lire plusieurs documents en m me temps enfin la lecture intensive par contre est celle qui concerne la 31 lecture profonde d un seul document Par analogie la pratique d annotation semble tre id
14. finir les propri t s des classes D finir les caract ristiques des propri t s Cr er les instances ON Etape 1 D finir le domaine et la port e de l ontologie Le d veloppement d une ontologie commence par la d finition de son domaine et de sa port e cela revient r pondre aux questions suivantes Quel est le domaine couvert par l ontologie Pour quel usage nous voulons d velopper cette ontologie Pour quelle type de questions l information dans l ontologie devrait apporter des r ponses Qui va utiliser et maintenir l ontologie Cette tape est d une grande importance et d elle d pendent les classes incluses dans une ontologie le niveau de d tail etc Les questions de comp tences Une des fa ons de d terminer la port e de l ontologie est de d terminer une liste de questions que la base de connaissances bas e sur l ontologie devrait pouvoir r pondre ces questions sont appel es les questions de comp tences GRU95 Elles serviront ult rieurement pour v rifier l ontologie car elle doit contenir assez d informations pour r pondre ce type de questions Etape2 Consid rer la r utilisation des ontologies existantes Il est toujours important de v rifier si d autres personnes ont d j d velopp des ontologies du m me domaine et si c est possible de la r utiliser ou de la personnaliser selon notre propre contexte Ceci devient m me une n cessit si notre
15. gt Annotation non structur e L annotation est un document HTML HTML pr sente un jeu limit de balises orient es pr sentation titre paragraphe image lien hypertexte etc et ne permet pas d isoler toutes les informations l mentaires objectif de l annotation auteur etc Rien ne permet un logiciel de conna tre le sens la s mantique du texte gt S mantique limit e de l annotation actuellement e Savoir offre une seule forme possible qui est le commentaire et qui concernerait tout un document l annotateur ne peut pas utiliser des formes diff rentes pour exprimer des objectifs diff rents gt Incoh rence chaque utilisateur annote sa fa on selon ses connaissances ce qui engendre des difficult s de partager les annotations avec d autres personnes chaque utilisateur r f rence ses connaissances sa mani re Solution gt Structurer l annotation d finir une structure pour l annotation les champs sont pr d finis gt Enrichir l outil avec d autres formes d annotation possible cela permet aux utilisateurs d exprimer des s mantiques diff rentes en utilisant des formes diff rentes IL 3 3 Deuxi me sc nario tat actuel annotation structur e 1 Philippe veut annoter le terme en anglais PIN CODES qu il n a pas compris son objectif est de le relever afin de le traiter plus tard et de le comprendre plus tard 2 Philippe ouvre le document smartcard
16. gt bordele w gt T ee all Ce ji E Here df is the visual dissimilarity between two shou whic DNS aada iM IML L M a Figure 10 Exemple de document annot I 3 2 Annoter lectroniquement n cessite t il plus d attention Selon C Marshall MAR98 annoter lectroniquement exige plus d attention et d effort car l outil exige plus d effort qu un simple stylo ou stabilo que l utilisateur manipule plus facilement il est possible de proposer des outils tr s simple utiliser mais moins riche en fonctionnalit s Ce qui limite donc la richesse s mantique des annotations produites Les syst mes qui offrent la possibilit d annoter un document exige souvent un effort de l annotateur pour d crire son annotation auteur objectif date etc Cet effort est souvent un frein ce type d annotation plus riche s mantiquement que de simple marques informelles qui elles offrent moins de possibilit s de traitement Le probl me est alors de l ordre de l utilisabilit de l outil d annotation Afin que a ne soit plus vrai il faut r aliser un outil qui atteindra l objectif suivant Un minimum d effort de la part de l annotateur l annotateur n a pas fournir les valeurs de toutes les propri t s de annotation 1 3 3 Les syst mes d annotations Afin de pouvoir tirer avantage de ce qui existe d j dans le domaine des syst mes d annotations nous pr sentons les fonction
17. ments prendre en compte dans la repr sentation informatique d un EIAH I 1 1 Un peu d histoire Pour situer notre m moire d apprentissage par rapport aux diff rents environnements d apprentissage nous exposons leur volution Selon BRU97 L histoire des EIAH peut tre divis en quatre p riodes l enseignement programm l enseignement assist par ordinateur EAO l enseignement intelligemment assist par ordinateur EIAO et enfin les environnements informatique d apprentissage humain EIAH Enseignement programm EAO LOGO et EAO et IA micromondes Tuteurs Outil Environnements intelligents HS d apprentissage ouverts Syst mes coop ratifs Environnements d apprentissage contr l s Hypertextes i Multim dia Environnements Interfaces interactifs __ multimodales d apprentissage _ R alit virtuelle avec ordinateur ee Figure 1 Principaux courants en informatique et en ducation BRU97 Dans cette figure la premi re colonne r f re des courants qui ont privil gi l enseignement c est dire pour lesquels la machine est principalement amen e jouer le r le du ma tre de l enseignement programm aux tuteurs intelligents La troisi me colonne rend compte de recherches dans lesquelles l ordinateur est un moyen permettant aux apprenants d effectuer constructions explorations et d couvertes La colonne centrale correspond aux tentatives de synth se de ces deux ap
18. moire d entreprise est d finie comme la repr sentation explicite persistante et d sincarn e des connaissances et des informations dans une organisation Elle peut inclure par exemple les connaissances sur les produits les proc d s de production les clients les strat gies de vente les r sultats financiers les plans et buts strat giques etc Dans DIE98 la construction d une m moire d entreprise repose sur la volont de pr server afin de les r utiliser plus tard ou le plus rapidement possible les raisonnements les comportements les connaissances m me en leurs contradictions et dans toute leur vari t Enfin selon Grunstein dans SIM97 le but d une m moire d entreprise est de localiser et rendre visible les connaissances de l entreprise tre capable de les conserver y acc der et les actualiser savoir comment les diffuser et mieux les utiliser les mettre en synergie et les valoriser 1 4 2 Type de connaissances dans une entreprise Dans l entreprise 1l existe une diversit de connaissances que les chercheurs ont essay de cat goriser toute connaissance ou information manipul e dans l entreprise et contribuant 46 l am lioration de sa performance est susceptible d tre a un moment ou un autre int gr e dans une m moire d entreprise SIM97 Grunstein dans GRU95 caract rise les connaissances d une m moire d entreprise en deux grandes cat gor
19. rence une autre ressource Le contexte des ces ontologies est g n rique 1l s agit de l annotation sur le Web alors que le notre est sp cifique l apprentissage et elles ne s adressent pas un type pr d fini d utilisateur Jacques Virbel selon HUA97 propose une ontologie pour les diff rents objectifs d annotations existants Objectif classifier architecturer contextualiser hi rarchiser compl ter reformuler commenter documenter amp planifier annoter indirectement programmer corr ler Il propose aussi une ontologie pour le lieu de l annotation Dans le document Dans la page Dans le texte ex soulign autour du texte ex dans les marges ajout de notes bas de page par dessus ex un coup de stabilo barrer du texte c t du texte entre les pages ex signets intercalaires hors document ex cahier de notes recueil Il est clair que cette ontologie est sp cifique aux documents papiers car la notion de page est ambigu dans le cas des documents lectroniques Dans HUA97 nous trouvons une autre ontologie concernant les diff rents types d annotations 72 Type mise en valeur surignage mise en forme Olien vers partir d un texte liens partir du texte dictionnaire r f rence liens vers le texte margue page index liens double sens sommaire et les
20. tant le fait de marquer le texte de mani re le faire dispara tre vu sa non importance Barr ray ou m me pass au Stabilo Il existe au sein de notre quipe un projet d implanter une m moire d apprentissage dans un e book livre lectronique et cela pour tirer avantage de sa mobilit 35 noir suivant la non importance ou le manque d int r t du passage Faire dispara tre un passage par contre n est plus de surlignage mais de la restructuration A 2 La mise en forme La particularit de cette annotation est qu elle est impossible sur un document en papier Elle consiste modifier la pr sentation du texte dans ses trois composantes v La typographie l aspect du texte vV La couleur v L alignement B Le lien vers partir d un texte L objectif de ce type d annotation est de corr ler deux passages ou l ments du texte pour cela l utilisateur devrait cr er un lien physique entre ces deux passages Ces liens dureront jusqu destruction explicite par l auteur de l annotation Ce type de lien la particularit d tre actives c est dire qu on peut d clencher une action en activant l annotation Il y a trois cat gories les liens partir du texte les liens vers le texte et les liens double sens B 1 Les liens partir du texte B 1 1 la r f rence Il s agit de r f rencer un autre document dans un texte donn Du genre cf dictionnaire Laro
21. tendre les structures de donn es ce qui est important pour un prototype de recherche De plus l exportation actuelle des cartes e Savoir s effectue en XML Pour pouvoir exporter au format XML nous avons utilis une m thode du composant ensemble de donn es ADO ActiveX Data Object ce composant poss de une m thode 82 SaveToFile qui permet d enregistrer les donn es obtenus dans ce composant dans un fichier les donn es sont enregistr es en utilisant un des deux formats propri taire propos s ADTG ou XML Nous indiquons que c est XML l aide de la constante TPersistFormat que nous fixons sur pfXML dans le param tre Format de la m thode SaveToF ile IV 3 Conclusion sur l implantation Bien que notre implantation n en soit qu ses d buts le mod le que nous proposons devrait tre rapide implanter car il est bien sp cifi Ainsi un premier prototype s en tenant des annotations sans forme nouvelle en proposant des couleurs diff rentes sans annoter les ressources elles m mes mais le n ud de la carte conceptuelle devrait tre rapidement disponible Techniquement les deux difficult s sont le format de sortie et la connexion avec le code existant Concernant le format de sortie l outil permet d j d exporter l ensemble des annotations au format standard XML la connexion avec le code source de e Savoir est en cours d tude Ce premier prototype nous permettra de passer l
22. tre accomplie dans une de trois voies en suivant un lien dans le document tant visualis dans le browser en saisissant une adresse URL dans la barre d adresse de CritLink au dessus de chaque cran ou en choisissant un lien utilisant directement l interface visuelle de CritMap Chacune des m thodes de navigation est synchronis e c d quand un nouveau lien est choisi CritLink et CritMap vont afficher tous les deux le nouveau site Quand nous utilisons CritSuite pour annoter un endroit pr cis d un document le texte annot sera entour de deux petits marqueurs color s La couleur du marqueur indique la nature du commentaire e Vert pour le support e Rouge pour un r sultat e Bleu pour un commentaire 22 CritSuite eb rical Discussion Tools for re Webaoa eDeveloped for the Foresight Institute to enable critigal amoran N and enhance praduc CritSuite takes vital steps toward a truly connected Hiteractiwves Web TED po the features of D pes Crittwail 1 Figure 12 CritSuite 1 3 3 4 Vawas Yawas est un outil d annotation de pages Web qui exploitent la technologie DOM il est r alis avec java script Il inclut plusieurs fonctions HIGHLIGHT Pour mettre en surbrillance un texte l utilisateur s lectionne le texte puis par un clic droit choisit HIGHLIGHT alors le texte s lectionn est automatiquement mis en surbrillance jaune Il n est possible pas dans la version actuelle d utiliser une a
23. ventuellement choix de param tres L 3 6 4 Synth se C Marshall compare les annotations formelles et informelle nous nous int ressons dans ce travail aux annotations formelles car elles sont structur es avec des attributs bien d finis 1l s agit donc d une m ta information cr e selon un standard structur ce qui sera informatiquement interpr table par la machine traitement Que a soit sur papier ou sur un document lectronique chaque annotation est porteuse de s mantique cette s mantique doit tre formelle afin que nous puissions y effectuer des traitements informatiques c est pour cette raison que cette s mantique doit tre explicite Le type de l annotation est une composante importante de cette s mantique question note retour id e ajout d accord pas d accord etc L identification d annotations permanentes vs ph m res ressemble aux les informations m moris es par la m moire humaine qui pareillement ont une valeur qui diff rent avec le temps et peut m me cesser d exister La classification de M Veron est plut t une liste des types d annotations offertes par les outils d annotation sur les documents lectroniques P Huart propose une liste exhaustive des types d annotations cat goriser selon leur finalit cette cat gorisation hi rarchique lui a permis d obtenir une classification claire simple et plus coh rente Par contre nous ne consid rons pas comme annotation ce
24. Ces patrons ne sont pas toujours propres chaque personne mais souvent des personnes appartenant au m me groupe communaut reproduisent partage le m me patron C est le cas des enseignants qui corrigent les copies de leurs l ves en utilisant presque le m me patron Couleur rouge pour valuer mention sur la marge entourage des erreurs Notre pr sentation de e Savoir nous fait d couvrir le fait que les annotations r alis es ne sont pas structur es s mantiquement ce qui les rend peu utile Cet outil n est pas efficace pour l apprentissage vu que les connaissances r f renc es par les annotations ne sont pas repr sent es Nous avons aussi tudi les m moires d organisation dont les m moires de formation sont un cas particulier Une m moire d organisation est une repr sentation explicite des connaissances de l organisation et nous avons montr que l annotation contribue l externalisation des connaissances tacites Les ontologies nous sembl es convenir la repr sentation des connaissances en effet dans notre tude des EIAH nous avons vu qu il fallait repr sent les connaissances Les ontologies offre une cat gorisation des connaissances Nous avons vu aussi que les patrons mod lisent bien la relation entre forme et objectifs d annotation Cette relation est une connaissance proc durale de l utilisateur Gr ce au patron il peut r utiliser des proc dures d annotation avec un effor
25. DIDACTIQUE ET SPECIFICATION D UN OUTIL POUR E SAVOIR Dans cette partie nous proposons des formalismes d annotation pour l outil d annotation du logiciel E Savoir partir de l tude bibliographique pr c dente Actuellement l annotation dans cet outil se limite un simple diteur de texte html o l on peut diter du texte libre pos sur un noeud Nous en tirons une sp cification des fonctions et des structures de donn es de l outil d velopper Nous pr cisons d abord les objectifs que l outil et les formalismes qu il utilise doivent avoir Pour aboutir une sp cification de l outil nous pr sentons ensuite de mani re informelle sur des exemples des sc narios successifs d annotation dans e Savoir am liorant chacun le pr c dant par rapport aux objectifs demand s Nous pr cisons ces sc narios d annotation donnant les interfaces entre l annotateur et l outil visant le crit re d utilisabilit Finalement nous donnons de fa on g n rale la sp cification de l outil r aliser II 2 Les objectifs que le mod le doit assurer L outil et les formalismes qu il utilise doivent permettre d atteindre les objectifs suivants Ces objectifs sont inspir s de l article DES02 Utilit l outil devrait tre utile pour son utilisateur lui offrant une multitude de fonctionnalit s assistance pendant le processus d annotation automatisation partielle du processus et fon
26. Il Miar TETT Figure 14 Exemple de document annot avec Amaya 1 3 3 5 Ont o mat Il s agit d un syst me d annotation du Web faisant partie du projet Web s mantique qui vise rajouter de la s mantique au Web afin de permettre le traitement automatique des informations par programme La s mantique est un ensemble de m ta donn e annotation d crivant les ressources du Web Pour cela 1l s appuie sur le Utilisation des langages type XML RDF et DAML pour annoter les documents Utilisation des ontologies et des URI pour unifier des concepts Les domaines d applications sont vastes Rechercher et pr senter l information commerce lectronique Coop ration et partage d informations 24 Il LES E a aioi Fin Edi Wie Tocis Wir baie Ei e LL i AL Piri E 3 3 LIL z z E E Mi pari a CS S GAL hikas o arbi orh d aiae ha ca IM partan es Les Pen 08 Erpin UB rousemmter E Bai SLT m a Ce IS amer P isn i Ja Ene Siegfried Handschuh aTr PGF UER Holecergetucde am henh magng 1110 Engers 11 arai T mi 1 Ontologie Le document Web annot ta danar E g7 Emai GARAN aia LME DE 0 meme E arpani hrir H Rude LD DCR CRE Le a Fardi insis Sen PE H arira iin Sa a r ATMIL Bimma mis Ehk Laaa Tia baira H EST ik isa Figure 15 L interface de Ontobroker I 3 3 6 Conclusion des syst mes d annotation Les syst
27. L auteur Quand L annotation a t plac e O L annotation t cr e Quoi Domaine de validit du document des documents de cours ne sont valables que pour certaines disciplines mais ne le sont pas pour d autres Une valeur nous conservons exactement le formalisme propos Rappelons qu elle est compos e d un contenu de l annotation structur et ou libre Un l ment du contenu structur est pris dans une ontologie qui d pend en g n ral de l objectif du contexte Un acc s nous conservons exactement le formalisme propos qui d crit trois types d acc s Priv Groupe Public II 5 2 1 Les patrons Concernant les patrons nous adoptons une structure simplifi e de celle propos e par Alexander BRO02 Nous avons vu dans l tat de l art la structure d un patron qu elle t sp cifi par l architecte Alexandre est la suivante 66 Nom du patron Exemples Contexte Probl me que le patron essaie de r soudre Solution Forces et compromis Contexte de r solution Raisonnement de conception Nous adoptons ce formalisme en le simplifiant de la fa on suivante Ensemble d ontologies chacune fixant les valeurs Contexte possibles d un champ d une annotation Probl me que le patron essaie Annoter selon un objectif donn pris dans l ontologie de r soudre des objectifs Forme et des attributs d annotation pris dans les ontologies
28. La formalisation de ces solutions aux probl mes r currents dans un contexte est appel e PATRON Les patrons nous permettent de simplifier le processus d annotations en automatisant les processus r currents et en exploitant les relations existantes entre les diff rents composants d une annotation Dans cette partie nous commen ons par pr senter ce qu est un patron sa d finition et les origines de ce concept Il existe diff rents types de patron chacun ayant son propre formalisme Nous proposons une adaptation de ces formalismes notre propre contexte et nous d taillons chaque composant de notre patron Un ensemble de patrons appartenant au m me contexte constitue un langage de patrons ce qui sera pr sent la fin de cette partie L 6 1 Historique C est en 1977 que l architecte en b timent Christopher Alexander introduit la notion de patron BROO2 il avait remarqu que chaque mod le d crit un probl me qui se manifeste constamment dans notre environnement et donc d crit le c ur de la solution ce probl me d une fa on telle que l on puisse r utiliser cette solution des millions de fois sans jamais le faire deux fois de la m me mani re a partir de cela 1l organis un catalogue de probl mes et de solutions de probl mes L 6 2 D finitions Nous avons trouv plusieurs d finitions du concept de patron les unes plus g n riques que les autres dans BRO02 l auteur en cite plusi
29. Science Liverpool Grande Bretagne Chabert Ranwez S Composition Automatique de Documents Hyperm dia Adaptatifs partir d Ontologies et de Requ tes Intentionnelles de l Utilisateur Th se universit de Montpellier sciences et techniques du Languedoc 2000 Retschitzki J Apprendre avec l informatique Vers une r volution La revue universitas friburgensis juin 1995 http www unifr ch spc UF 95juin retschitzki html Rieu D Giraudin J P Saint Marcel C 92 RISO2 SCH98 SH194 SIM97 VER97 R utilisation et patrons d ing nierie Chapitre dans l ouvrage collectif G nie Objet analyse et conception de l volution d objets C Oussalah Ed Hermes 1999 Rising L Manns M L O Callaghan A Introducing Patterns or any new idea into Organizations University of North Carolina at Asheville USA http www cs unca edu manns intropatterns html B N Schilit G Golovchinsky and M Price Beyond Paper Supporting Active Reading with Free Form Digital Ink Annotations Actes de CHI 98 1998 pp 249 256 Shin E C Schallert D L Saveyne W C Effects of Learner Control Advisement and Prior Knowledge on Young Student s Learning in a Hypertext Environment Dans ETR amp D vol 42 No 1 1994 Simon G Mod les et m thodes pour la conception des m moires d entreprise Le syst me DOLMEN une application en m tallurgie Th se UFR STMIA Nancy 1997 Veron M
30. Universit Laboratoire Biblioth que Institut Ecole Autres 75 Le Pour qui Pour qui amp C Tout le monde amp Apprenant 0 tudiant tudiant pr parant un diplome C tudiant en dess 0 tudiant en dea C dea Matis O TSI O GSI dea isc tudiant en deug tudiant en post graduation Oth sard Si post doc stagiaire amp Enseignant CMa tre de Conf rences professeur Enseignant chercheur groupe de travail quipe arcade Si annotation 00100 quipe geta quipe mrim Institution Le Quoi Quoi amp Discipline math matiques alg bre analyse g om trie physique chimie amp Formation dea Matis TSI GSI dea isc dess Ann e scolaire 76 Le Pourquoi Pourquoi C Retrouver des termes Ci classifier architecturer contextualiser hi rarchiser CO compl ter amp C reformuler d velopper interpr ter r sumer amp D commenter critiquer exprimer une id e connexe amp documenter ajouter un clip ajouter un graphe ajouter une image planifier programmer traduire relire r soudre O analyser corr ler R soudre un probl me C Autre La valeur amp CValeur amp Contenu Structur Libre Contrairement au conte
31. Yawas DENOO exploite les mots surlign s afin de g n rer une reproduction concise d un document Dans Yawas les annotations faites sont list es dans une fen tre sp ciale Figure suivante qui permet au lecteur de retrouver ses annotations sur le document d origine Annotations for Fils FAQ Link In Corner Ports PC Keyboard FAQ keyboard eliminator which plugs into the keyboard port Pinout for F 2 keyboard the Pinouts for various connectors in Real Lfettn Sub ToC for other pinouts Keyboard Basics 4 4 annotations Figure 20 Repr sentation concise d un document dans Yawas Yawas exploite aussi ces diff rentes annotations dans son moteur de recherche afin de repr senter chaque document dans la liste des documents retourn s B 2 Classification personnalis e de documents Des tudes ont t men dans ce domaine et ont d montr l utilit des annotations dans la classification automatique de documents L auteur cite une tude qu il men lui m me qui 43 montr que la classification bas e sur les mots surlign s tait meilleur par rapport celle utilisant le texte int gral des documents Comme la classification de r f rence tait produite par l auteur des annotations ce r sultat sugg re de plus que les annotations permettent de g n rer des classifications personnalis es B 3 Interface entre recherche d informations lecture et criture Certains moteurs de recherche dem
32. applications dans e Savoir cet article est repr sent par un n ud dans une carte conceptuelle 3 Philippe s lectionne dans la palette des annotations l outil de mise en surbrillance et choisit la couleur rouge 4 Philippe s lectionne le terme PIN CODES 5 e Savoir ouvre un formulaire d annotation le formulaire est compos de plusieurs champs titre du document auteur passage s lectionn date etc 6 Philippe pr cise la date Le champ passage s lectionn est automatiquement remplit avec le terme PIN CODES qui t marqu dans le texte Le champ auteur prend automatiquement la valeur du nom de Philippe 7 Philippe saisit dans le champ objectif comprendre le document en relevant les mots incompris et dans le champ valeur la notion li e cette annotation saisit pico database Philippe remplit les autres champs sa fa on de la m me mani re 8 Philippe enregistre les informations saisies 9 e Savoir valide l annotation et le texte est en surbrillance Avantages gt Une annotation structur e est plus lisible 61 gt Cette structure facilite aussi la recherche de la valeur des caract ristiques de l annotation Inconv nients gt L auteur remplit les champs sa mani re ses termes peuvent tre incompris mal compris ou interpr t s diff remment par les autres utilisateurs gt Lenteur de la proc dure Philippe est tout de m me oblig
33. de la parole GEOD Figure 13 Les types d annotations possibles avec Yawas 23 1 3 3 3 Amaya Annotea Amaya est un outil complet pour la navigation et la cr ation de pages Web mis en place l instigation du Consortium W3 W3C ce qui assure la parfaite conformit des pages produites avec les standards en vigueur sur la toile Amaya inclut une application d annotation Annotea bas e sur RDF Xlink et Xpointer L annotation peut tre enregistr e en format HTML ou en format XML Le syst me utilis pour d crire les annotations est RDF Du point de vue technique ces annotations sont vues comme des m tas donn s car elles fournissent des informations suppl mentaires sur une partie existante de donn es Des annotations peuvent tre enregistr es localement ou dans des un ou plusieurs serveurs d annotation Amaya emploie XPointer pour conna tre o une annotation devrait tre attach e dans un document Avec cette technique il est possible d annoter n importe quel document de Web d une mani re ind pendante sans devoir diter ce document Enfin Amaya pr sente des annotations avec des ic nes sous forme d un crayon et attributs des attaches XLink ces ic nes Sur un simple clic de l utilisateur sur l ic ne du crayon d annotation le texte qui a t annot est affich S utilisateur double clic sur cette ic ne le texte d annotation et tout autre m ta donn e sont pr sent s dans une fen tre s pa
34. discussion Il s agit de commentaires imbriqu s comparable au News post s par diff rents utilisateurs en r action au document qui les porte ou bien un commentaire pr c dent Ces threads sont plac s en des points appel s crochets pr d finis par l auteur de la page syst me CoNote ou bien la plupart du temps repouss s en fin de document syst mes HyperNews Wit Webd4Groups L auteur les qualifient d annotations r cursives Lelien Il s agit ici de cr er un lien hypertexte vers d autres ressources Certains syst mes permettent comme seule annotation de rajouter un lien vers un autre document Le Tour Il s agit d une suite de liens d finissant un parcours de lecture On retrouve cela surtout dans des applications de manipulation de document mais aussi dans certains syst mes bas s sur l Internet ComMentor Dans la terminologie de M Veron cela correspond la pose de liens successifs li s par une relation de type suivant pr c dent Le label Il s agit d ajouter un court commentaire d crivant le document par exemple pour acc l rer la lecture ou bien pour effectuer des recherches sur un vaste corpus Dans la terminologie de l auteur il consid re le commentaire comme une reformulation de l ensemble du document La note Rating en anglais C est la note que le lecteur attribue un document l issu de sa lecture cette note devrait indiquer l int r t du
35. du contexte pour annoter selon l objectif fix Solution Tel que un utilisateur ayant un probl me op re dans un contexte particulier utilise une solution 7 Op re dans un R sout Figure 27 Les liens s mantiques entre les propri t s d un patron La figure suivante donne une id e g n rale de l utilisation de patrons d annotation et des ontologies dans notre outil L outil d annotation d duit la description de l annotation selon le patron utilis Patron ensemble de relations entre les l ments des L annotateur s lectionne la forme voulue Figure 28 R le des ontologies et des patrons 68 HI DEVELOPPEMENT DES ONTOLOGIES ET DES PATRONS ADAPTE AU CONTEXTE DE E SAVOIR III 1 D veloppement des ontologies Il existe plusieurs m thodes de conception d ontologies elles s appuient sur un processus it ratif qui continue le long du cycle de vie de l ontologie o u elle est am lior e et raffin e chaque 1it ration Nous avons choisi une m thode propos e dans NAT02 III 1 1 Pr sentation de la m thode Cette m thode se compose de sept tapes et chaque tape d un ensemble d actions Nous les pr sentons 1c1 bri vement 1 D finir le domaine et la port e de l ontologie Consid rer la r utilisation des ontologies existantes num rer les termes importants dans l ontologie D finir les classes et la hi rarchie des classes D
36. entreprise qui vise mettre en valeur les connaissances de ses employ s et capitaliser leurs savoirs Dans notre contexte nous consid rons l ensemble des annotations faites par une personne le long de ses diff rentes formations comme une m moire d apprentissage pour lui mais aussi pour l organisation laquelle il appartient La m moire de formation est alors un cas particulier de la m moire d organisation Dans cette partie nous pr sentons d abord ce qu est une m moire d entreprise qui vise capitaliser les connaissances d une entreprise Ces connaissances sont de deux types tacite et explicite La gestion d une de cette m moire est une tache d licate ce qui n cessite le suivi d une m thode pour sa gestion Une des grandes pr occupations d une entreprise est l externalisation des connaissances tacites vers des connaissances explicites Nous montrons ensuite par le mod le de Nonaka comment les annotations permettent la conversion de la connaissance tacite pour la cr ation d une connaissance explicite partageable et accessible 1 4 1 D finitions La capitalisation des connaissances dans une organisation a pour objectifs de favoriser la croissance la transmission et la conservation des connaissances dans cette organisation JEA93 Elle n cessite la gestion des ressources de connaissances de l entreprise afin de faciliter leur acc s et leur r utilisation OLE98 Selon HEI96 la m
37. est important car c est lui l origine de la d cision d annoter Cette information est pertinente aussi dans le cas o plusieurs personnes peuvent annoter le m me document En ce qui concerne l histoire celle c1 intervient tout d abord lors de la pose pose qui s effectue une certaine date devant tre m moris e pour des traitements futurs Ensuite l annotation tant un outil de lecture et de re lecture 1l peut intervenir des modifications de cette annotation ce nouvel tat pour l annotation concern e poss de lui aussi une date Cette gestion de l historique des annotations est comparable une gestion des diff rentes versions d un document Le support de l annotation L auteur rapporte que le support de l annotation est le document lui m me Par contre il propose d enrichir cette notion Pour lui Il s agit d identifier quel est le composant de l architecture textuelle qui supporte l annotation Ce peut tre le document dans son entier ou bien une d finition ou bien une liste etc 26 Le support peut tre identifi au compl ment d objet direct du verbe d action traduisant le but annotatif Par exemple reformuler cette d finition Dans cet exemple cette d finition est le COD de reformuler c est le support de l annotation L 3 4 2 Le mod le du projet MICA Ce deuxi me mod le est beaucoup plus r cent 1l a t propos dans DES02 il propose la structure suivante de l annotation
38. et qui a permis d identifier huit 8 objectifs pour l annotation 1 i rarchiser architecturer Classifier 5 contextualiser 4 reformuler 5 commenter _ Compl ter 6 documenter d cotr let 5 Froerammer Figure 16 les objectifs de l annotation Hi rarchiser c est l affectation d une valeur num rique un objet fin de le situer sur une chelle relativement d autres objets 29 Architecturer c est expliciter les composants de la structure logique du texte en d clarant par exemple qu un passage est une section ou un chapitre etc Contextualiser Il s agit de d clarer un contexte l int rieur duquel l objet support a un certain sens qu il n a pas au del Reformuler C est donner une nouvelle repr sentation de l objet support par exemple une suite num rique peut tre reformul e par un graphe une abr viation peut tre tendue au mot en entier etc Commenter C est faire un commentaire sur l objet support il peut s agir par exemple de critiques de l expression d une id e associ e Il faut tre prudent afin de ne pas retomber dans une des sept autres cat gories Documenter C est ajouter l objet support un autre objet qui compl te celui ci par exemple une photo pour un passage Corr ler Il s agit de lier deux entit s entre elles Il est souhaitable voire n cessaire de sp cifier le lien qui lie ces objets Programmer
39. exp rimentation initialement programm e par l encadrant Celle c1 n a pas eu lieu du faite des contraintes de temps pesant sur le d veloppement mais aussi du fait de l indisponibilit des sujets d exp rimentation cette p riode Il s agit d tudiants en DESS Formateur Concepteur Multim dia en Langues trang res et maternelles qui ont re u une br ve formation sur l utilisation de e Savoir Nous avions pr par l exp rimentation En particulier des rencontres ont eu lieu avec Mile CHEN Yu chen qui ont globalement confort notre approche vis vis des patrons d annotation Cette personne en effet nous a expliqu que lorsque elle apprend pour annoter elle utilise toujours le soulignement avec seulement trois couleurs Le rouge pour souligner ce qui est important Le vert ce qui est mi important Le bleu les notions en rapport avec son travail la th se Mile Yuchen utilise ce m me patron et cela depuis sept ans Advanced Data Table Gram Format binaire compact de repr sentation des jeux de donn es recordset ADO OSI02 Universit Stendhal UFR des Sciences du langage 83 84 V CONCLUSION ET PERSPECTIVES Nous voulons obtenir un m moire de formation constitu s de l ensemble des annotations faites par une personne le long de ses formations Ainsi cet environnement de m moire de formation devrait permettre un individu tout au long de sa vie depuis sa formation
40. initiale jusque son travail quotidien en passant par des pisodes de formation continue de constituer et de retrouver les traces annotations qu il a attribu es des documents pour acqu rir des connaissances Cette m moire externe informatis e doit tirer profit des avantages offerts par l outil informatique afin d atteindre les objectifs suivants Utilit Uftilisabilit Efficacit pour l apprentissage et doit permettre le Partage de ces annotations Nous avons r alis e un tat de l art qui nous permis de bien cerner ce qu est l annotation dans ses diff rents aspects structure et propri t s domaines d applications et son r le dans la formalisation des connaissances Nous n avons pas trouv de d finitions formelles pour l annotation mais nous avons retenu celle qui la consid re comme un objet ajout au document et ne le modifiant pas Plusieurs formalismes sont propos es pour la repr sent e nous adoptons la structure suivante annotation une ancre une forme visuelle un contexte une valeur un acc s le contexte tant lui mme compos de champs Qui Quand O Pour qui Quoi Pourquoi Le fait que les apprenants tudiants etc annotent en utilisant les m mes formes d annotation quand ils veulent signifier la m me chose c est dire atteindre le m me objectif Cela refl te leur application de mod les mentaux qu ils essaient de reproduire chaque fois
41. me page eenenssssssssssssssssssssssssssssss 42 Figure 19 Des discussions li es des ancres dans le document 0000sssseeesessssssssssssssssssssss 43 Figure 20 Repr sentation concise d un document dans Yawas eeenneesssssssssssssssssssssssss 43 Figure 21 R sultat d une recherche intra document et navigation du r sultat vers le document Re S E EEAS EEA EEA A EE EN EE EEEE 44 Figure 22 Le prototype PadPrints permet de visualiser le parcours d un utilisateur pendant sa navigation sur le Web e Savoir int gre la m me fonction 45 Figure 23 Typologie des connaissances d une m moire d entreprise 47 Keure 24 lasprac de Noak Rs a E 48 Figure 25 LES types d ONOIOSISS neden e a a a A 51 Frisure 26 Un patron de Contee Uo isene den ae ne 55 Figure 27 Les liens s mantiques entre les propri t s d un patron 67 Figure 28 R le des ontologies et des patrons anime mn ss 68 Figure 29 Repr sentation d une annotation sur le Web selon DAMLO02 71 Liste des tableaux ADI au tles NV D FENSE eee enr seen on en nes 15 Tableau 2 les diff rents types d annotation MAR98 0nannnennnnnnnnnnnnnnnssssssssssseeereeeesssssssssss 33 Tableau 3 Corr lation entre la forme et la fonction de l annotation selon MAR98 40 Tableau 4 Corr lation entre les objectifs et les formes des annotations 0000nnnnnnneennsnsesss0 41 Tableau 5 L
42. mes d annotations pr sent es offrent des fonctionnalit s permettant la recherche des annotations et le partage des annotations CritSuit se distingue par son explicitation de la s mantique des couleurs des annotations car 1l pr d finit trois types d annotations textuelles avec trois couleurs diff rentes cela restreint la richesse d annotation en obligeants tous les utilisateurs utiliser le m me mod le Yawas illustre l utilit d un syst me d annotation en offrant plein de fonctions permettant de retrouver facilement des mots ou de les mettre en valeurs Enfin Amaya Annotea et ont o mat visent annoter les documents Web afin d augmenter leur s mantique ont o mat se distingue par l utilisation des ontologies ce qui lui offre l avantage d utiliser un vocabulaire commun donc plus d interop rabilit L annotation en utilisant les ontologies dans ont o mat simplifie largement le processus d annotation car l annotateur n a plus que s lectionner une ancre puis choisir dans une ontologie une valeur pr d finie pour l annotation 1 3 4 Structure d une annotation L annotation est caract ris e par un ensemble de propri t s qui permettent de l identifier et de la d crire Nous exposons deux mod les qui se ressemblent globalement et nous justifions pourquoi nous optons pour le deuxi me 25 1 3 4 1 Le mod le de M Veron Dans VER97 Matthieu Veron propose une structure c
43. n ricit relativement au contenu La didactique par contre concerne ce qui est sp cifique d un contenu de connaissance dans le projet d enseignement et d apprentissage Elle est construite autour du probl me de l organisation des interactions entre l l ve et un milieu sp cifique permettant l apprentissage d une connaissance d termin e L apprentissage est consid r comme le r sultat d un processus d adaptation de l apprenant son environnement et que cet environnement peut tre organis pour constituer un milieu permettant des apprentissages sp cifiques Les EIAH se situent au niveau de ce milieu ou plut t celle de r alisation effective d un milieu propice un apprentissage donn 1 1 3 La probl matique informatique des ETAH Selon BAL02 la probl matique informatique des EIAH s organise autour des deux l ments essentiels qui sont gt Les connaissances qu il faut repr senter et qui sont l enjeu de leur utilisation gt Les utilisateurs enseignants et apprenants ces derniers ayant la particularit d voluer du point de vue de leurs connaissances Les Les utilisateurs o connaissances Figure 2 La probl matique des EIAH La conception des EIAH implique trois types de comp tences la r solution de probl mes l explication et l apprentissage ce qu on on retrouveras pas toujours r unis dans le m me EIAH mais toujours au moins l une d entre elle L explication consiste parfois simple
44. propos es 2 L enseignement assist par ordinateur EAO L apparition de l informatique va beaucoup am liorer l enseignement programm et PEAO n est que la combinaison des deux L EAO a permis d abord une plus grande possibilit d expression de l apprenant et sa mise en situation notamment avec le d veloppement de ressources multim dia Mais les logiciels issus des travaux en EAO imposent encore de fortes contraintes sur la conception les questions doivent tre soigneusement sp cifi es par l auteur de m me que l ensemble des r ponses attendues et si un branchement doit intervenir le crit re et le point de continuation doivent tre donn s de fa on explicite C est l intelligence artificielle qu il revient d apporter les outils et les m thodes qui permettront de d passer ces limitations 3 L EIAO c est gr ce l intelligence artificielle qu a t possible la r alisation de syst mes informatiques permettant l apprentissage humain sous le nom de l Enseignement Intelligemment Assist par Ordinateur EIAO qui permet de r aliser des programmes qui connaissent suffisamment ce qu ils enseignent pour g n rer dynamiquement les exercices et leurs solutions ou r pondre des questions Il existe deux axes de recherche des EIAO le premier est la conception et la r alisation de tuteurs intelligents des logiciels ayant une triple expertise celle du domaine enseigner celle de l enseignem
45. rents Une ontologie peut tre utilis e comme un r pertoire dans lequel on stocke et organise des connaissances et des informations Elle peut concerner des donn es simples standardis es dans un domaine particulier ou bien des donn es distribu es gt En acquisition de connaissance les ontologies rassemblent les d finitions des termes d un domaine ce qui permet plusieurs acteurs de communiquer sans ambigu t gt L ontologie doit galement contenir certaines d finitions qui permettent d assurer la consistance de la base de connaissance et son utilisation correcte gt Les ontologies se justifient souvent par la volont de r utiliser la connaissance pour la construction de nouvelles applications gt Enfin une ontologie peut tre utilis e comme la base d un langage de repr sentation des connaissances Les ontologies ont aussi des limites la principale est la notion de point de vue qui reste un point obscur et peu discut dans la litt rature de ce domaine Cette notion traduit le fait qu un concept n est pas consid r de la m me mani re suivant le contexte dans lequel il est utilis Les ontologies apportent des am liorations en permettant de Standardiser le vocabulaire et d uniformiser par la m me le langage d change entre les diff rents acteurs du projet et les composantes du syst me Comparer les diff rents syst mes Structurer la connaissance et simplifier ainsi l analy
46. syst me doit communiquer avec d autres qui impl mente d j des ontologies existantes Il existe d j plusieurs biblioth ques lectroniques d ontologies qui peuvent tre r utilis es par exemple the ONTOLINGUA ontology library http www ksLstanford edu software ontolingua ou the DAML ontology library http www daml org ontologies 69 Etape 3 num rer les termes importants dans l ontolosie Il est tr s utile d num rer la liste de tous les termes qui nous int ressent ceux dont nous voulons d finir ou expliquer l utilisateur Dans cette tape 1l est important d obtenir une liste compr hensive des termes sans se soucier du chevauchement entre les concepts qu ils repr sentent des relations entre les termes des propri t s que les termes puissent avoir ou si les termes sont des classes ou des propri t s Etape 4 D finir les classes et la hi rarchie des classes Il existe trois approches diff rentes pour d velopper une hi rarchie des classes L approche descendante le processus de d veloppement commence avec la d finition des concepts les plus g n raux du domaine puis tends vers leur sp cialisation L approche ascendante le processus de d veloppement commence par la d finition des termes les plus sp cifiques qui repr sentent les feuilles de la hi rarchie puis ces classes sont regroup es en classes plus g n rales Une combinaison des deux approches pr c
47. un individu soient institutionnalis es formalis e au niveau collectif Tableau 5 Les diff rents modes de conversion de la connaissance TACIT TO TACIT socialisation TACIT TO EXPLICIT externalisation Int gration d un nouveau membre par transfert et REX Retour d Exp rience explication directe des connaissances collectives MEREX Mise en R gle de l Exp rience implicites MKSM Method For Knowledge System Management Pr sentation d une quipe un dirigeant ex Le DG est KADS Knowledge Analysis and Design Support en relation avec son r seau d Experts R union d quipe Les Annotations Discussion Dialogue avec une quipe EXPLICIT TO TACIT int riorisation EXPLICIT TO EXPLICIT combinaison Cours S minaires Pr sentation Formation Stages Travaux Pratiques S minaire Conf rence Etudes de Cas Simulation Enseignement Transferts de connaissances Documents Tutorat Monitoring Apprendre dun oi Gestion des annotations 1 4 5 Conclusion sur le r le des annotations dans la conversion des connaissances La connaissance tacite est difficile capturer ce qui rend sa diffusion tr s difficile Une tude cit e par GAO d montre que 80 85 des connaissances sont tacites et 15 20 explicites Une organisation apprenante est une organisation qui fait en sorte de transformer le savoir tacite en savoir explicite Pour ce faire elle encourage et incite les membres du personnel partager leurs c
48. 115 2 Premier secnarnos etat actie kor niet ind on ts 60 I1 3 3 Deuxi me sc nario tat actuel annotation structur e oooosss000oooeeeeeeeeonesnssssse 61 IL 3 4 Troisi me sc nario tat actuel annotation structur e valeurs pr d finies 62 1 3 5 Quatri me sc nario tat actuel annotation structur e ontologie 63 IL 3 6 Cinqui me sc nario tat actuel annotation structur e ontologie patron 63 IA Les interactions avee l intertace d outil Has cn a us 64 IT 4 1 Troisi me sc nario tat actuel annotation structur e ontologie 64 II 4 2 Quatri me sc nario tat actuel annotation structur e ontologie patron 65 IS Tormalhsaton JE Mode ereina a a E 65 IL S 1 Cahier des charges fonctionnel de l outil serisiisrminirsisisiiceiniasinriiisirieinii 65 11 52 LES SIUCIUreS CE ONE SS PR de RME AA EN 66 II DEVELOPPEMENT DES ONTOLOGIES ET DES PATRONS ADAPTES AU CONTE X TEDE E SAVOIR corie a en a te ete cs onu 69 HLI Developpement des OMOIOSI S ae E N O 69 HERT Presentation de la method yaso E RO en tt 69 W12 Uulisauonde la Methodes sasa a EE E 70 Hi2 Ed CONS DHOD des panon aeaa a nedtee mate ee ie nienes 79 IIL 2 1 M thode de conception des patrons sosinsricensriisiiiiiii hii E E E 79 INDE NV COPPRE MIE NES 2 82 IV 1 M thod et outilide GvVelOpDeMent is nena n dote 82 V2 Details OS developpe MEN ES deco AT 82 IV 2 1
49. Action et Actes de Langages GRAAL cole Nationale Sup rieure d Electrotechnique d Electronique d Informatique d Hydraulique et des T l communications Toulouse 1997 Barth s J P Dieng R Kassel G Dossier M moire d entreprise Le bulletin de l AFIA Association Fran aise pour l Intelligence Artificielle n 36 en janvier 1999 S Kabel B Wielinga R Hoog Ontologies for Indexing Technical Manuals for Instruction Workshop on Ontologies for Intelligent Educational Systems Murray T Mizogochi R eds Artificial Intelligence in Education 99 Le Mans France 1999 pp 41 50 Philippe laublet lalicc Vers le Web s mantique Pr sentation au S minaire Ontosurus CNRS universit de paris sorbonne 2002 A D Marwick Knowledge management technology IBM SYSTEMS JOURNAL VOL40 NO 4 2001 http www research ibm com journal sj 404 marwick html Marshall C Annotation from paper books to the digital library Proceedings of the ACM Digital Libraries 97 Conference Philadelphia PA July 23 26 1997 Marshall C Toward an ecology of hypertext annotation Paru dans Proceedings of ACM Hypertext 98 Pittsburgh PA Juin 20 24 1998 pages 40 49 Patrick Mendelsohn Peut on vraiment opposer Savoirs et Savoir faire quand on parle d apprentissage Entretiens Nathan Sorbonne 19 20 novembre 1994 Professeur l Universit de Gen ve Facult de Psychologie et des Sciences de l Education http t
50. BRENOBLE CILIPS Communication Langagi re et P Interaction Personne Syst me CNRS INPG UJF BP 53 38041 Grenoble Cedex 9 France Laboratoire CLIPS IMAG m Communication langagi re et Universit Joseph Fourier Sag U F R Informatique interaction personne syst me amp Equipe ARCADE Math matiques Appliqu es de Grenoble DEA SYSTEMES D INFORMATION Formalismes d annotations didactiques pour une m moire de formation Application au logiciel e Savoir M moire de DEA Projet pr sent Par AZOUAOU Fai al DEA Syst mes d information Option technologie syst me d informations Encadr par Mr Cyrille DESMOULINS Date 25 juin 2002 Remerciements Je remercie tout d abord M Cyrille Desmoulins mon encadreur du stage pour m avoir accueilli au laboratoire CLIPS et m avoir encadr tout au long du stage J adresse aussi mes remerciements tous les membres de l quipe ARCADE pour l accueil qu ils m ont r serv et pour leur disponibilit en particulier Mile Dominique Mille pour ses lectures constructives Je remercie aussi Mme Marie France Bruandet responsable de notre DEA pour ses conseils avant et durant le stage Je remercie galement l entreprise Synergie 3R pour m avoir assister pendant lors du d veloppement En particulier M Guillaume Roubin et Mile Val rie Goyet Je remercie aussi Mile ChenYu chen pour avoir accept de r pondre ses questio
51. IL 3 Les sc narios d utilisation de l outil d annotation IL 3 1 Le d roulement du sc nario Dans les sc narios suivants nous pr sentons le d roulement de l action de cr ation d une nouvelle annotation dans les cartes e Savoir Chaque sc nario se d roule comme ceci Philippe tudiant en DEA Syst mes d informations l UJF Grenoble pr pare son examen de bases de donn es r parties du 23 mars pour cela il tudie un article de recherche fourni par le professeur Michel ADIBA L article d crit un prototype de BDD impl ment dans une carte puce l article est en anglais et comporte un grand nombre de termes techniques Philippe positionne les annotations qui l aident comprendre le contenu de cet article pour cela il rel ve les termes incompris afin de les traiter et de les comprendre ult rieurement L objectif de Philippe est sa propre compr hension du texte Par exemple dans la deuxi me section de l article intitul e smartcard applications Philippe surligne les termes PIN CODES e PURSE IL 3 2 Premier sc nario tat actuel L annotation dans e Savoir actuellement se fait en ditant du texte libre en utilisant un diteur html le d roulement du processus est d crit comme suit 1 Philippe veut annoter le terme en anglais PIN CODES qu il n a pas compris son objectif est de le relever afin de le traiter plus tard et de le comprendre 2 Philippe ouvre le d
52. Il s agit de d clarer que l on pr voit une action par exemple traduire relire analyser etc L 3 5 3 Les objectifs selon D Mille Enfin un travail plus r cent dans notre quipe celui de D Mille MILOI a permis d identifier les objectifs d annotations dans un contexte d apprentissage L auteur a r alis une exp rience o la t che du sujet consiste annoter un document en vue d un examen Apr s analyse des r sultats l auteur a identifi les objectifs suivants Comprendre le document Les sujets annotent afin de comprendre le contenu du document Ils rel vent les notions incomprises ou mal comprises des exemples Cela afin de les traiter et de les comprendre ult rieurement et de mieux les comprendre Retrouver des informations Les tudiants annotent certaines d finitions et mots cl s afin de pouvoir les retrouver rapidement le jour de l examen Certains titrent ou r sument des paragraphes pour pouvoir retrouver des id es sans avoir lire la totalit du passage L 3 5 4 Notre synth se par rapport aux objectifs de Marshall Virbel et Mille Ces cat gories d objectifs sont diff rentes les une des autres du fait de leurs contextes diff rents C Marshall s est int ress e aux annotations personnelles des universitaires am ricains pour cela elle a tudi les livres usag s vendus dans certaines librairies sp cialis es Les travaux de M Veron et de P Huart par contre
53. Impl mentation des ontologies ss 82 IV2 2 bL exportanonrau Torma XML ne a di nc ane 82 VACONCEUSION ET PERSPECTIVES nn manette ion 85 BIDON en di et die cr ni ete 88 NA ANNEE de de en On ls ie a ee 94 R sum de la r union avec un utilisateur de e Savoir nnnnnnesessnsssssssssesettrrrrersessssssss 94 Liste des figures Figure 1 Principaux courants en informatique et en ducation BRU97 9 Hour 2 La probl matique des PEER Sn den st mani 11 Figure 3 les composants d un EIAH 88e tininianemhintnmienaene 11 Howes LAStrucrure de intorna Mansen A nn tn Nue 14 Figure 6 La commande attacher une annotation eeeeeessssssssessesssssssssssssssssssssssssssssssssss 18 Figure 7 Une annotation d un noeud ss 18 Fisures Lediteur hunl annoanONSEs ER E E 18 Figure 9 Une annotation apr s avoir t dit e nominale 19 Figure 10 Exemple de document annot 21 Four Linterace Ge IMarkU Derien a ele 22 PUS CES DR tn te E 23 Figure 13 Les types d annotations possibles avec Yawas ennnnsssssssssssssssssssssssssssssssssssss 23 Figure 14 Exemple de document annot avec Amaya sssssoosooeeeenennsssnsssssserterreeeresssssssss 24 Figure 15 L interface de Ontobroker ss 25 Feur TO 1IeS O6biectrisde lANNOtAUON ES ns a td 29 Figure 17 Conseils de lecture ins r en marge sous forme d ic ne 42 Figure 18 Les annotations sont fusionn es sur la m
54. La r utilisation et le partage du savoir sont des propri t s communes aux ontologies et aux patrons les patrons constituent une base d exp rience r utilisable qu on pourrait exploiter pour construire des programmes r utilisables Les patrons agissent comme des blocs que nous pouvons utiliser pour construire des syst mes plus complexes R utiliser des solutions existantes prouv es et normalis es et leur impl mentation dans les processus r currents permet d obtenir un gain consid rable au niveau du temps et l effort n cessaires son l ex cution de ce processus Impl menter les patrons permet d automatiser la r solution de certains probl mes r currents et donc de simplifier et d acc l rer leur r solution 57 I 7 Synth se de l tat de Part Les points retenir sur chacun des volets de cet tat de l art sont les suivants Concernant les EIAH la m moire d apprentissage est un EIAH Elle doit donc mod liser la s mantique des connaissances de l apprenant qui sont en volution Une m moire d apprentissage doit alors s adapter cette volution E Savoir est un EIAH qui reste au niveau syntaxique pour mod liser les annotations qui de ce fait ne font pas r f rence aux connaissances explicitement Les annotations actuelles de e Savoir ne r alisent donc pas nos objectifs vu qu elles ne sont pas structur es s mantiquement Nous n avons pas trouv de d finition formelle pour les an
55. R96 et cela chaque fois qu il y ait des solutions que nous r utilisons aux probl mes courants Chacun de ces types peut adapter le formalisme g n ral pr sent pr c demment et ne garder que les parties jug es n cessaires L 6 6 L approche base de patrons Une approche base de patron se d roule en deux phases 1 Identification et sp cification des patrons d abord il faut identifier les probl mes r currents dans notre syst me puis sp cifier diff rents patrons proposant des solutions aux probl mes identifi s 2 R utilisation offrir des moyens pour identifier les probl mes r soudre s lectionner les patrons qui r solvent ces probl mes et enfin adapter les solutions propos es au nouveau contexte L 6 7 Langage de patrons Quand un ensemble de patrons partagent le m me domaine d application nous pouvons les regrouper dans des catalogues pour former des langages de patrons Il s agit d une collection structur e de patrons corr l s entre eux dans un domaine particulier Les patrons du m me langage sont reli s entre eux et fournissent un vocabulaire pour aborder un probl me particulier DEVO0 Un langage de patron constitue une base d exp rience r utilisable qu on pourrait exploiter pour construire des programmes r utilisables Les patrons agissent comme des blocs que nous pouvons utiliser pour construire des syst mes plus complexes 56 L 6 8 Conclusion sur les patrons
56. a spirale de Nonaka Ce mod le repr sente leur th orie qui consid re que la fonction premi re de l entreprise est de cr er un avantage concurrentiel bas sur le savoir collectif Leur mod le repose que la distinction entre savoir tacite et savoir explicite Le savoir tacite est enracin dans l action dans les routines dans un contexte sp cifique ce qui peut donner la productivit personnelle au niveau individuel et l avantage concurrentiel au niveau de l entreprise Le savoir explicite par contre est la connaissance codifi e transmissible en un langage formel et syst matique production de donn es au niveau individuel et gestion lectronique documentaire au niveau de l entreprise 47 Il montre que le d veloppement des savoirs dans l organisation implique la transition permanente entre ces diff rents tats comme 1llustr dans le sch ma suivant connaissance Connaissance tacite explicite Socialis ation Externalisation Connaissance RE CRE TE SRE tacite Connaissance explicite Int riorisation Combinaison Figure 24 la spirale de Noanaka 1 Socialisation tacite vers tacite Par exemple l enfant qui apprend marcher donc qui acquiert un savoir tacite en observant et en imitant ses parents Dans les entreprises l acquisition du savoir tacite est souvent assur e par le travail d quipe les relations interpersonnelles et le coaching Les caf t rias et les salles de repos sont souvent des li
57. age humain par l aide et le support qu elle apporte Cette aide s illustre par la facilit qu elle offre l apprenant m moriser et retrouver ses notes dans leur contexte 1 1 2 Th orie de l enseignement et EIAH L objectif de l enseignement est de susciter des apprentissages avec des objectifs explicites des savoirs ou savoir faire ou comp tences d crits dans des curricula des programmes Ces objectifs sont r alis s sous des contraintes de nature sociale ou mat rielles Ces contraintes sont de grande diversit 1l pourrait s agir de l existence de savoirs ou savoir faire de r f rence ces enjeux d enseignement ainsi ce qui est appris devra tre 10 conforme ces r f rences ou acceptable de leur point de vue Ce peut tre des contraintes d organisation telle que l ann e scolaire ou l emploi du temps d une semaine ou mat rielles par exemple lorsqu il s agit d tudier des ph nom nes que l on ne peut facilement reproduire ces contraintes sont aussi li es la nature des apprenants le connaissances ant rieures etc L enseignement aborde deux types de questions la p dagogie et la didactique La p dagogie concerne ce qui est pertinent relativement au projet d enseignement et d apprentissage en soi de fa on ind pendante de ce qui peut tre enseign Les th ories p dagogiques de l enseignement pr sentent un grand int r t pour la conception des EIAH car elles assurent une certaine g
58. ande aux utilisateurs de juger la pertinence des r sultats d une requ te afin d tendre la requ te d origine query expansion Au lieu de cela Laurent Denoue cite GOL98 Golovshinsky qui propose d utiliser les passages annot s pour construire automatiquement une nouvelle requ te soumise un moteur de recherche Les r sultats montrent que l expansion automatique de la requ te utilisant les mots annot s est invariablement meilleure que l expansion automatique utilisant les jugements des utilisateurs C Applications potentielles des annotations C 1 R sum et classification de nouveaux documents Il existe des prototypes qui utilisent les annotations afin de r aliser une repr sentation ou un r sum du document L auteur propose d utiliser ces annotations afin de r sumer de nouveaux documents non annot s Et cela en utilisant les termes de la requ te ayant trouv ces documents Car si on Si l on consid re les annotations comme une requ te long terme qui repr sente les int r ts d un lecteur des techniques similaires seront alors utilisables pour produire des r sum s de nouveaux documents Dans la deuxi me partie l auteur explique comment les annotations peuvent tre utilis es pour avoir une classification personnelle des documents apr s que a soit fait les utilisateurs continueront lire d autres documents qui devront tre class s dans la m me classification pr c dente et cela en u
59. annexes doubl s r f rence double annotations d ajout et de modification annotations d ajout L ajout d un objet annotatif L ajout de remarque fou Mote it les annotations de modification La correction La restructuration Dans VER97 l annotation poss de les propri t s suivantes Une forme aspect visuel Un but objectif Un lieu l endroit annot Un auteur l annotateur Une histoire date des diff rentes versions Un support le composant de l architecture textuelle qui supporte l annotation Ces trois ontologies ont t d velopp dans des recherches s int ressant la lecture active A partir de toutes ces typologies des annotations nous obtenons un ensemble tr s riche et g n ral d annotation en consid rant un seul type au sens de l informatique d annotation celui d finit par DES02 ce type est param tr par des ontologies qui permettent de renseigner ses attributs Bien entendu pour une premi re volution de e Savoir annotations uniquement sur les n uds il faudra restreindre certaines de ces ontologies en fonctions des contraintes de l outil Afin de couvrir l ensemble du champ plus largement que e Savoir et permettre des volutions futures plus large l outil nous d veloppons certaines ontologies de fa on plus large que le strict n cessaire pour e Savoir Ainsi des ontologies correspondant chacune des prop
60. ations et l enseignement 4 Int riorisation explicite vers tacite appel aussi compr hension elle consiste ce que la formalisation et la classification des savoirs ne suffisent pas encore faut il qu on comprenne bien et qu on sache faire ce qu on nous demande de faire D o l importance de se pr occuper de la compr hension des savoirs c est dire des strat gies et des moyens qui vont en assurer l apprentissage l appropriation et l application Il existe des techniques qui peuvent assister et am liorer ce transfert de connaissances ces techniques sont souvent assister par des technologies afin d am liorer et d acc l rer cette 48 conversion et ce transfert de connaissances entre ses diff rents tats Le tableau suivant adapt de HANO2 et de MARO01 indique certaines de ces techniques pour chaque type de conversion L annotation se situe au niveau de l externalisation et de la combinaison elle permet de convertir la connaissance individuelle tacite en une connaissance explicite transmissible aux autres personnes En effet une personne en annotant un document essaie d expliciter certaines de ses connaissances tacites Cela pour r sultat de rendre ces connaissances accessibles aux autres personnes LA gestion des annotations objets complexes n cessite de la m me mani re une combinaison soit pour que l individu classifie ses annotations soit pour que les annotations d
61. aussi les liens et l int rieur des ressources des cartes de e Savoir o Avec patron Il s agit d utiliser une forme donn e qui renseignera automatiquement tout ou partie de l annotation Rechercher des annotations Cette recherche peut porter principalement sur le contexte et le contenu 65 Elle peut se faire en sp cifiant une requ te ou directement sur l interface listant un ensemble d annotations par le choix d un filtre sur tel ou tel attribut Supprimer annotation Classiquement cette fonction peut utiliser au pr alable la fonction de recherche L utilisateur doit poss der les droits sur ces annotations pour les supprimer IL 5 2 Les structures de donn es IL 5 2 1 Les annotations Pour la structure de donn es de l annotation nous implantons le formalisme de DES02 en utilisant une ontologie pour chaque attribut d une annotation L ancre elle indique la position de l annotation dans le document elle est compos e de deux parties URL une adresse unique de carte N ud de la carte La forme de visualisation nous conservons la forme actuelle des annotations dans e Savoir en lui ajoutant une couleur Le contexte nous conservons exactement le formalisme propos Rappelons qu il est structur en six propri t s repr sent s pour notre cas par une ontologie chaque fois Pourquoi L objectif de l annotation Pour qui Le destinataire Par qui
62. avaux sur ce point ont conclu que l obligation d op rer des d cisions de navigation passage d un sujet l autre implique une charge mais que celle ci peut tre profitable l utilisateur dans le sens que cette situation pousse celui ci op rer des mises en relation entre les l ments du texte ce qui est en fin de compte favorable l apprentissage Mais cette libert de navigation doit tre contr l e par l enseignant et modul e en fonction des utilisateurs d L impact des connaissances pr alables sur la navigation dans un hypertexte ce dernier point concerne l impact de la structure d un hypertexte sur des sujets ayant des connaissances pr alables faibles ou lev es du domaine pr sent Pour cela une exp rience a t r alis e par Shin Schallert amp Saveyne SHI94 l id e de d part tait que la connaissance pr alable du domaine pr sent dans un document hypertextuel une influence sur le mode de d placement du sujet dans ce m me document Le but est alors d tablir une corr lation entre le niveau des connaissances pr alables et la structure de l hypertexte Cette exp rience a montr que pour des sujets tr s jeunes un 14 environnement avec un acc s limit structure hi rarchique est plus efficace elle montre aussi que le niveau de connaissances pr alable est essentiel le type d environnement joue un r le moindre que pour le niveau faible d o un acc s limit s av r
63. construction est chaque fois diff rente mais le principe est le m me Sch ma de cr ation l1 Choix d un point d insertion 2 Appel la proc dure de construction C 1 2 L ajout de remarque ou Note it Il s agit d un petit commentaire du genre relire en marge du texte 1l diff re du commentaire du fait qu il est provisoire car d s que l action est effectu e il sera effac Par exemple un Note it commenter sera supprim d s qu un commentaire t rajout et celui de relire sera supprim d s que le passage t relu Le Note it est l dans le but d attirer l attention du lecteur sur un passage avec l objectif sous jacent de l amener effectuer une action et il ne sert pas donner une information qualitative n1 un compl ment d information L auteur d crit aussi un Note It actif qui d clenchera une action d s que nous l activons 1l cite l exemple suivant un passage est annot corriger Lorsqu on active le note it le v rificateur d orthographe est utilis sur ce passage Sch ma de cr ation semblable celui d un objet annotatif C 2 Les annotations de modification L objectif de ce type d annotation est de reformuler et de contextualiser le texte pour cela l annotateur remplacera le texte d origine par sa propre version personnalis e Dans notre contexte de m moire les annotations de modification nous int ressent peu C 2 1 La correctio
64. ctionnalit s de recherche sur les annotations Efficacit l activit d annotation exige un certain effort de la part de l utilisateur qui pourrait renoncer certaines annotations cause de l effort exig Le but est que l outil assiste l utilisateur dans cette activit afin de diminuer cet effort Cela va inciter une automatisation partielle du processus d annotation Cet objectif est associ celui de la simplicit Coh rence une annotation devrait manipuler et r f rencer caract ris e avec des connaissances coh rentes et communes diff rents utilisateurs Adaptabilit l outil est destin au domaine de l apprentissage les annotations r alis es sont des annotations didactiques l outil devrait pouvoir s adapter aux connaissances de chaque utilisateur qui elles m mes voluent par essence Simplicit Le processus d annotation doit tre simple d utilisation n exigeant pas un grand effort de la part de l utilisateur les fonctions de l outil sont facilement accessibles et utilisables Rapidit Le processus d annotation devrait tre rapide afin que l utilisateur se concentre sur le document annoter et pas l outil Actions minimales ce crit re de charge de travail est li aux actions n cessaire l atteinte d un but l accomplissement d une t che Il s agit ici de limiter autant que possible les tapes par lesquelles doivent passer les
65. de cet objet PAETAE LORIE Dergehenune enmetata Figure 6 La commande attacher une annotation Un objet annot est marqu par un petit A en haut gauche de son libell D eE Sciences et Intemet se mit du projet Der Annotation bjet Actrit s Eecherche Figure 7 Une annotation d un noeud L utilisateur peut diter le texte de cette annotation par un clic sur le bouton Editer de la zone annotation Cela va r sulter par l affichage d un diteur HTML qui offre plusieurs fonctionnalit s comme la mise en forme l insertion d images ou de lien EEOCERLR UO A Fichier Edition Ins rer Format H 4 El ala Slo T km BeXxX Ee ii Figure 8 L diteur html d annotations 18 Apr s avoir dit et enregistr l annotation elle est mise jour automatiquement Remarquons que les annotations sont enregistr es s par ment de la carte ce qui engendre un effort suppl mentaire pour l utilisateur AD F y arcane D ARCADE Projets ARIA E MEIM D eE ARCADE Projets D RER eE MRIM Projets eE ARCADE Projets Cognitique ll Editer D tacher 1 2 4 Conclusion sur e savoir L annotation dans e Savoir n est pas structur e s mantiquement Elle n est structur e que sur l aspect de son contenu textuel html Par cons quent les annotations cr es ne sont pas tr s utiles En effet ces annotations vu qu elles ne so
66. de saisir pour chaque champ sa valeur gt La recherche est r alis e en plein texte sur les champs des annotations Solution Les valeurs des champs sont pr d finies Philippe ne fait plus que choisir la valeur ad quate pour chaque champ parmi des valeurs propos es par l outil IL 3 4 Troisi me sc nario tat actuel annotation structur e valeurs pr d finies 1 Philippe veut annoter le terme en anglais PIN CODES qu il n a pas compris son objectif est de le relever afin de le traiter plus tard et de le comprendre plus tard 2 Philippe ouvre le document smartcard applications dans e Savoir cet article est repr sent par un n ud dans une carte conceptuelle 3 Philippe s lectionne dans la palette des annotations l outil de mise en surbrillance et choisit la couleur rouge 4 Philippe s lectionne le terme PIN CODES 5 e Savoir ouvre un formulaire d annotation le formulaire est compos de plusieurs champs titre du document auteur passage s lectionn date etc 6 Philippe pr cise la date Le champ passage s lectionn est automatiquement remplit avec le terme PIN CODES qui t marqu dans le texte Le champ auteur prend automatiquement la valeur du nom de Philippe 7 Philippe choisit dans le champ objectif comprendre le document en relevant les termes incompris Philippe d j organiser ce champ en un ensemble d objectifs ce qui lui permet cha
67. dente le processus de d veloppement est une combinaison des approches ascendantes et descendantes Nous d finissons d abord les classes les plus g n rales puis nous sp cialisons ou nous g n ralisons les autres termes Etape 5 D finir les propri t s des classes Les classes seules ne fournissent pas assez d informations pour r pondre aux questions de comp tences de l tape une c est pour cette raison que nous devons d crire la structure interne de chaque classe Nous avons d j s lectionn les classes de la liste d finie dans l tape 3 la plupart des termes restants sont plut t des propri t s de ces classes Pour chaque propri t nous sp cifions la classe quelle d crit Chaque sous classe h rite les propri t s de sa classe m re Etape 6 D finir les caract ristiques des propri t s Dans cette tape 1l faut sp cifier les caract ristiques de chaque propri t cela veut dire sp cifier Le type de la propri t que telle propri t est de type cha ne de caract res par exemple et qu une autre est de type entier La cardinalit de chaque propri t ce qui signifie d indiquer combien de valeurs une propri t pourrait avoir Domaine de valeurs la valeur d une propri t doit appartenir un ensemble pr d finis Etape 7 Cr er les instances La derni re tape consiste cr er les instances individuelles des classes dans la hi rarchie Cela se pas
68. document Ces notes pourront servir par exemple de futurs lecteurs connaissant la personne qui a donn les notes d indices leur permettant d carter ou non ce document On rencontre ce type d annotation dans le syst me InterNotes Navigator de Lotus galement dans the Tapestry Project de Xerox et un autre syst me similaire Knowledge Pump de Xerox galement 34 Le Seal Of Approval SOAP C est une sorte de marque qu un lecteur utilise pour marquer un document ou un ensemble de documents ex tout un site Web d un sceau seal en anglais indiquant que le lecteur doit remplir des conditions particuli res pour lire ces documents Exemple des documents class s confidentiels ou encore des documents pornographiques etc L auteur indique que la note le label et le SOAP participe tous les trois au partage d exp rience le but tant de faire gagner du temps au futur lecteur au travers de moyens coop ratif Autres objets L auteur cite d autres objets utilis s dans l annotation parmi ces autres objets il cite les signets les clip art les sons les vid os cite aussi le cadre des livres lectroniques e book en anglais syst me WEBSs notamment et des traitements de textes Microsoft Word par exemple o les diff rents objets manipul s sont explicitement typ s et manipulables Le lecteur peut alors ajouter au document n importe lequel de ces objets graphes r sultat de calcul sim
69. du terme PIN CODES et le fait glisser pour marquer le terme 5 e Savoir ouvre un formulaire d annotation le formulaire est compos de plusieurs champs titre du document auteur passage s lectionn date etc 6 Philippe clique sur le champ objectif une nouvelle fen tre s ouvre elle contient une arborescence qui repr sente l ontologie des objectifs 7 Philippe choisit dans l arborescence le terme comprendre le document en relevant les termes incompris qui est sous objectif de comprendre le document 8 Philippe clique dans le champ pour qui la aussi une nouvelle s ouvre contenant l arborescence de son ontologie 9 Philippe choisit moi m me 64 10 Philippe v rifie les autres champs du formulaire la date titre du document tC qui ont t remplit automatiquement 11 Le champ passage s lectionn est automatiquement remplit avec le terme PIN CODES qui t marqu dans le texte Le champ auteur prend automatiquement la valeur du nom de Philippe 12 Philippe clique sur enregistrer du formulaire d annotation 13 e Savoir valide l annotation et le texte est en surbrillance II 4 2 Quatri me sc nario tat actuel annotation structur e ontologie patron 1 Philippe veut annoter le terme en anglais PIN CODES 2 Philippe clique sur le n ud repr sentant le document smartcard applications dans la carte conceptuelle de e Savoir
70. e dans un contexte donn Ce contexte peut tre le type d activit ex cut e l appartenance un groupe ou une quipe de travail personnes participantes au m me projet etc C est ce type de relation qu une m moire de formation devrait utiliser pour atteindre la fois utilisabilit et efficacit Un exemple fort de cette relation est celui des annotations faites par les enseignants lors de la correction des copies de leurs tudiants o l utilisation de la couleur rouge pour souligner et corriger ce qui est erron 1 3 8 Les nouvelles applications pour les annotations lectroniques De m me qu une m moire de formation augmentera les possibilit s des apprenants certaines avanc es de la recherche permettent aujourd hui de nouvelles applications des annotations Laurent DENOUE dans DENOI a ainsi fait l tat de l art des nouvelles applications permises par ces outils et qui taient difficile mettre en uvre sur papier comme le partage et l indexation des annotations que nous reprenons ici 41 Il num re en premier leur les applications li es la visualisation des annotations ensuite cite des applications indirectes des annotations enfin 1l envisage les applications potentielles mais non encore exploit es A les applications li es la visualisation des annotations A 1 Aide la lecture L auteur cite plusieurs travaux concernant certains types d annotations qui ont prouv
71. e entreprise 46 1 4 3 Gestion de la m moire d entreprise sine ie tnne 47 1 4 4 Utilisation du mod le de Nonaka pour la conversion des connaissances 47 1 4 5 Conclusion sur le r le des annotations dans la conversion des connaissances 49 ES LES ONTOLOGIES Soresina EE E EE Ee 50 ES 1 Ourestr e qu une ontolooie lounen a E N A 50 LS5 2 CSS HCAION deS ONMOlIOBISS SR nd a a a a 50 ESS LeTo d s Onolo ES ena E A T A NO 51 LALA conception d Une onto lO i E aein a a a ol a tn 53 1 5 5 Conclusion sur les ontologies oooooosoooooooeeeeeeeeennnsssssssssssssserrrreerosssssssssssssseeeeereeo 53 ko GES PATRONS E N R da ii 54 LOT HISO UE cas E E E A EE 54 PO 2 Denion merrier ra OE E AE 54 1 6 3 Pourquoi les patrons sont ils importants ssnnnneeessssseeeennnssssseseeeesssssssseereessssssee 55 LOA Formals ME cenana a EEEE AE E A O E T A E EA 55 LoS Les difierents ypes de patrols ie RNA NAA E 56 LGG L approchea Dase de paron A N a ace ste eutt 56 BOT LAS de depi ON ne E ee he le 56 1 0 8 Conclusion sur les PITONS ne SR 57 I oynthese deletado Ars SR de etes 58 II PROPOSITION DE FORMALISMES POUR L ANNOTATION DIDACTIQUE ET SPECIFICATION D UN OUTIL POUR E SAVOIR se 59 II 2 Les objectifs que le mod le doit ASSUTOL 2 8a ion in tinNannitirens 59 II 3 Les sc narios d utilisation de l outil d annotation 0 0eesesensseenenesesesnenenesesesrenereseses 60 W31 Le d roulement dUSC NATO ssnssne asian 60
72. e plus efficace Ce qui est synth tis dans le tableau suivant Tableau 1 les hypertextes Niveau de connaissance de l utilisateur Type d acc s appropri Connaissances pr alables lev es Libre acc s Conseils int gr s Connaissances pr alables lev es Acc s limit Structure hi rarchique 1 2 3 Pr sentation de l hypertexte e Savoir e Savoir est un logiciel destin aux enseignants et aux l ves pour les aider naviguer sur le Web et organiser leur navigation en la cartographiant Il est issu du logiciel Nestor qui est un logiciel en anglais proposant en plus d autres fonctionnalit s comme la navigation collaborative ou l change de cartes de navigation sur le Web Il permet d organiser un ensemble de donn es sur un espace unique Sites Web et documents sont organis s en cartes Cette pr sentation permet de rep rer imm diatement des ressources sur un th me donn d y acc der d un simple clic et de communiquer des ensembles coh rents de documents d autres utilisateurs Le principe est de construire une cartographie d un ensemble de ressources soit automatiquement en m morisant la navigation effectu e soit manuellement en cr ant des liens volont Les ressources peuvent tre des documents qui ne sont pas des pages Web feuilles de calcul diaporamas des exercices en ligne Ainsi e Savoir permet la cr ation de parcours de formation de cartes de connaissances et perme
73. e pour am liorer la communication entre les personnes utilisant un syst me donn Par exemple dans le cas des processus o les utilisateurs doivent manipuler des concepts partag s avec d autres personnes les ontologies permettent d unifier le vocabulaire et donc am liorer la communication au sein de ce groupe Le fait que les utilisateurs en utilisant les ontologies utilise un vocabulaire unique permet de simplifier norm ment l ex cution de ces processus car nous pouvons d sormais pr d finir les concepts manipul s En effet c est le cas concernant le partage des annotations qui fait appara tre le besoin d avoir un vocabulaire commun aux diff rents utilisateurs Ce que les ontologies nous permet d obtenir facilement 53 L6 LES PATRONS Nous utilisons tous dans notre vie quotidienne des mod les mentaux que nous avons acquis avec l exp rience et que nous r utilisons pour r soudre des probl mes r currents et cela dans des contextes particuliers En effet au fur et mesure qu on labore des solutions aux probl mes courants ces solutions sont essay es pour des probl mes similaires Ces solutions sont souvent modifi es pour qu elles puissent tre adapt es aussi aux nouveaux cas de probl mes que nous voulons r soudre Quand une solution prouv e est utilis e plusieurs fois pour r soudre le m me type de probl me elle devient alors accept e g n ralis e et normalis e GZA00
74. ecfa unige ch tecfa teaching staf1 1 texts sorbonne _7 html Dominique M Vers une m moire individuelle de formation annotation didactique de ressources 9 NA T02 NON95 NOR00 OLE98 ONT02 OSI02 PEP98 RANO0 RET9S RIE99 p dagogiques M moire de DEA Environnement Informatique d Apprentissage Humain et Didactique Grenoble 2001 Natalya F Noy et Deborah L McGuinness Ontology Development 101 Guide to Creating Your First Ontology Stanford University Stanford 2002 http protege stanford edu publications ontology development ontology101 noy mcguinness html Nonaka I and Takeuchi H The Knowledge Creating Company Oxford University Press New York NY 1995 Noriak I Takahira Y Building Business Applications By Integrating Heterogeneous Repositories Based on Ontologies Dept Computer Science Shizuoka University JAPAN www csd abdn ac uk ebiweb papers izumi pdf E O Leary D Enterprise Knowledge Management University of Southern California Computer IEEE Mars 1998 home att net discon KM EnterpriseKM pdf ONTOLINGUA the ONTOLINGUA ontology library Biblioth que en ligne d ontologies http www ksl stanford edu software ontolingua Glossaire OSInet en ligne initiale A http www osinet fr code glo asp Initial A Pepijn R S Visser et Zhan Cui Heterogeneous Ontology Structures for Distributed Architectures Department of Computer
75. emple de patrons Dans les exemples suivants nous nous restreignons repr senter la corr lation entre le type d annotation et l objectif de cette m me annotation Le premier patron Ce premier exemple de patron concerne les annotation faites par les enseignants qui corrigent les copies de leurs tudiants en particulier quand ils annotent pour indiquer une erreur dans endroit pr cis Nom du patron indiquer des erreur L ontologie du qui enseignant Contexte ARE m L ontologie des formes soulignement rouge Probl me que le patron aede andre Evaluer pris dans l ontologie du pourquoi Forme soulignement en couleur rouge Qui enseignant Quand date du jour O universit Solution Pour qui tudiant Quoi DEA SI Pourquoi Evaluer Valeur r f rence vers le cours Acc s public Le second patron Ce deuxi me exemple concerne les annotations faites par des apprenants qui annotent un article en vue de la pr paration d un examen en particulier quand ils planifient une action future de revoir une partie pour mieux comprendre une notion Pour la conception de ce deuxi me patron nous nous beaucoup inspir s par l exp rience r alis e par D Mille pendant son stage de DEA MILOI Nom du patron comprendre une notion ui apprenant Contexte Q PP f Forme insertion d une note Probl me que le patron essaie de Planifier une action r soudre Forme une note
76. en tant un ensemble de d finitions de primitives de repr sentation de connaissance sp cifique au contenu classes relations fonctions et constantes d objet Le terme qui nous parait le plus vague dans cette d finition est conceptualisation 1l s agit de repr senter formellement un ensemble de connaissances et cela par la description des concepts du domaine et des relations qui peuvent exister entre eux GRU93 b Dans GUA97 a une ontologie est consid r e comme tant une base de connaissances particuli re Nous retrouvons une autre d finition dans GRN9S pour qui une ontologie est une description formelle d entit s et leurs propri t s relations contraintes comportement Une ontologie peut galement tre consid r e comme une convention de vocabulaire et de relations entre les mots de ce vocabulaire pour parler d un sujet donn Les relations sont de plusieurs de type ce peut tre des relations d hyponymie sorte de nominatives a pour nom locatives est situ sur relations de m ronymie partie de ou toute autre relation associative a pour fonction est associ 4 etc RANOO Dans la traduction d un article de Tim Berners Lee BEROI il est dit que l ontologie poss de une taxonomie et un ensemble de r gles d inf rence La taxonomie d finit des classes d objets et les relations entre eux Par exemple une adresse peut tre d finie comme type de lieu
77. ent et celle des comp tence et connaissances correctes et erron es des l ves le deuxi me est celui de la conception et de la r alisation de micro mondes 4 EIAH La fin des ann es 90 est marqu e par une nouvelle volution qui rend compte d une part de l attachement de la probl matique des ETAH aux caract ristiques de l apprentissage humain et d autre part le fait que la r f rence technologique de l informatique d aujourd hui soit moins l ordinateur individuel que les syst mes permettant la communication et l interaction en temps r el ou en temps diff r entre des machines et des humains distribu s dans l espace Ce domaine implique beaucoup de disciplines diff rentes comme l IA mais aussi l Interaction Homme Machine IHM l informatique distribu e les r alit s artificielles le multim dia l ing nierie des langues et bien d autres domaines de recherche informatique doivent collaborer la conception et la r alisation L objectif scientifique et technologique est de cr er des environnements informatiques qui favorisent les apprentissages humains par la nature des situations qu ils permettent de mettre en sc ne et la nature des feed back et contr les qu ils rendent possible Commentaire Notre m moire d apprentissage n appartient pas aux trois premi res cat gories 1l ne s agit pas d un environnement d enseignement par contre il s agit d un EIAH dans la mesure o elle favorise l apprentiss
78. entique Dans les termes de l hypertexte c est la diff rence entre le lien orient annotation dans lequel deux ou plus de documents sont impliqu es ou dans l annotation d une expression pr cise L annotation permanente ph m re Les annotations ne sont pas ternelles si elles refl tent l engagement du lecteur avec le texte leur valeur peut diff rer avec le temps et peut m me cesser d exister Il s agit d un point important concernant les annotations didactiques en effet l apprenant lui arrive de ne plus avoir besoin de certaines annotations car ses connaissances ont volu es L annotation publi e priv e L annotation priv e est celle qui concerne une seule personne et n est pas destin aux autres personnes La plupart des annotations par contre ne sont pas strictement priv es Le fait d emprunter un livre une autre personne transforme toutes les annotations contenues dedans de priv es en publi es Les fils de discussion sur le Web thread sont un exemple d annotations publi es L annotation globale institutionnelle groupe de travail personnelle C est dans ce spectre que l auteur voit l audience de l annotation Les diff rents outils existants se positionnent diff remment sur ce spectre certains se limite proposer des annotations individuelle d autres visent le partage des annotations dans un groupe de travail afin d augmenter la collaboration enfin l hyp
79. er de ces m moires Nous pr sentons ensuite la notion d ontologie car nous estimons qu elle repr sente une solution pour obtenir une formalisation coh rente des connaissances manipul es et r f renc es par les annotations L tat de l art concerne aussi les patrons de connaissances Un patron est une solution pour un probl me dans un contexte particulier Ce contexte l sp cifie les contraintes o le patron est applicable cela vise r utiliser ce qui a prouv son utilit dans un contexte identique En effet nous voulons tudier dans quelle mesure les patrons peuvent tre utiles pour simplifier le processus d annotation L1 LES EIAH Notre travail s ins re dans le contexte des EIAH car en effet une m moire d apprentissage en fait partie elle peut tre d une grande assistance pour un apprenant lors de l apprentissage cela en lui permettant de retrouver ses notes rapidement de retrouver leur contexte date lieu d annoter facilement en r f ren ant ses cours de partager ses notes avec les autres et de recevoir celles des autres et donc d changer des connaissances Afin de situer notre m moire d apprentissage travers l volution des EIAH nous exposons cette volution travers l histoire Etant dans le contexte d apprentissage nous exposons le positionnement des EIAH dans la th orie de l enseignement Ensuite ayant impl menter cette m moire nous pr sentons les l
80. ertexte sur le Web peut tre consid r comme une annotation globale Dans un autre article MAR97 C Marshall d crit une tude qu elle a r alis e sur les annotations personnelles leurs valeurs pour les personnes qui annotent et pour les autres lecteurs leurs caract ristiques et leurs fonctions Le support de l tude est un ensemble de documents support de cours annot s par des tudiants universitaires L auteur a observ trois types de caract ristiques 1 L annotation se trouve elle l int rieur du texte ou plut t dans les marges et les endroits blancs des pages 2 L annotation est elle t l graphique personnelle cod e ou t elle un sens explicite les annotations t l graphiques sont tacite et leur interpr tation est propre leur auteur les annotations explicite par contre est g n ralement textuelle 3 les annotations sont elles d tachables ou plut t fig es les annotations d tachables incluent les post it les signets en papier les pages pli es etc Dans la suite de l tude l auteur ne prend pas en compte la derni re caract ristique Le tableau suivant donne des exemples de des formes annotatives observ sur les documents class selon les deux premiers crit res 32 Tableau 2 les diff rents types d annotation MAR98 Caract ristiques Dans le texte Hors texte dans les marges T l graphique Souligner Parenth ses des querres et des croisillons Surligner A
81. es complications d un probl me Contexte de Un bon pattern d crit quelles forces n ont pas t r solues quels sont les r solution autres patterns utiliser et comment le contexte voluera t 1l apr s Quand les gens savent quel probl me un pattern doit r soudre 1ls savent alors quand ils doivent l utiliser 55 l utilisation du pattern On peut vouloir d crire quel niveau le pattern intervient dans un Raisonnement de d veloppement de logiciels pourquoi les experts l utilisent Cela permet conception d utiliser le pattern de fa on intelligente en comprenant son fonctionnement Ce qu on pourrait interpr ter de la mani re suivante Si vous cherchez dans un CONTEXTE un PROBL ME qui h rite des FORCES par EXEMPLE alors pour des RAISONS appliquer le MOD LE pour construire la SOLUTION en tenant compte d Autres PATTERNS et du NOUVEAU CONTEXTE L 6 5 Les diff rents types de patrons Les patrons les plus connus sont les patrons de conception logicielle plus connus sous le nom DESIGN PATTERNS 1l existe aussi d autres types de patrons les patrons d analyse les patrons d impl mentation les patrons organisationnels En dehors de l informatique 1l existe des patrons dans diff rents domaines patron de confection de d coration en aviation en r alit nous pouvons imagin une infinit de type de patrons dans tous les domaines et sciences psychologie sociologie etc DI
82. es diff rents modes de conversion de la connaissance ososoeeenensssssseeeeressss 49 Introduction A Contexte et probl matique Annoter correspond l action r alis e par la pose d une marque sur un document Cette marque que nous appelons annotation est un objet complexe dans sa r alisation sa compr hension son histoire et son devenir Nous annotons souvent pendant un processus d apprentissage un tudiant qui annote un article pour pr parer un examen un enseignant qui value les copies de ses l ves ou des tudiants qui r visent leurs cours Un apprenant annote g n ralement ce qu il a envie de m moriser et qu il ne veut oublier De cette fa on 1l pourra le retrouver facilement et rapidement Par analogie avec la m moire humaine nous consid rons l ensemble des annotations r alis es par une personne comme une m moire externe et en particulier nous consid rons l ensemble de ces annotations r alis es pendant un processus d apprentissage comme une m moire d apprentissage Avec l augmentation du volume et de la quantit des documents manipul s par les apprenants cons quence d une formation qui est de en plus longue permanente et qui dure tout le long de la vie le besoin de cette m moire externe d apprentissage devient de plus en plus indispensable De plus les documents manipul s sont maintenant disponibles de fa on lectronique ce qui augmente aussi leur quantit En effet il
83. es patrons de qualit Extraction en interviewant les experts Apr s l interview 1l faut documenter le patron et ensuite retourner voir l expert pour v rifier que nous avons r ellement capturer la connaissance C est un processus long et difficile Extraction en empruntant Il faut rep rer les langages de patrons qui traitent des domaines identiques et v rifier si ces patrons ou certains d entre eux sont transposables vers notre contexte Extraction dans des Ateliers Il s agit d organiser des ateliers de r solution de probl mes brainstorming o une personne se voit attribuer la t che de formaliser ce qui est dit avec le formalisme des patrons Extraction de votre propre exp rience L extraction de notre propre exp rience est quelque chose que nous pouvons tous faire Afin de concevoir de bons patrons l auteur de APP97 cite certains crit res que les auteurs des patrons doivent respecter parmi eux e Se concentrer sur la praticabilit les patrons doivent d crire des solutions prouv es de probl mes se reproduisant plut t que les derniers r sultats scientifiques e Indiff rence par rapport l originalit les auteurs des patrons ne doivent pas tre l inventeur original ou le d couvreur des solutions qu ils documentent e Les ateliers d auteur avant que le patron soit valid il vaut mieux que son auteur le soumet l avis des autres utilisateurs afin qu il soit critiqu 79 Ex
84. esse ou encore pour le lieu de travail la ville la rue le num ro etc Dans le temps qui nous tait imparti ce niveau de d tail n a pas t possible 78 IIL 2 La conception des patrons Les patrons permettent de formaliser rendre explicite les relations qui existent entre les diff rentes propri t s de l annotation et en particulier celles entre la forme visuelle et entre le pourquoi c est dire l objectif de l annotation Nous pouvons donc dire que les patrons dans notre cas sont une repr sentation formelle de cette corr lation entre les propri t s de l annotation Un annotateur se trouvant dans le m me contexte utilise souvent le m me patron d annotation cela revient ce que nous concevons des patrons que l annotateur utiliserait selon le contexte o il se trouve III 2 1 M thode de conception des patrons Concevoir des patrons de qualit est tr s difficile APP97 Les patrons ne devraient pas seulement fournir des faits comme un manuel d utilisateur mais aussi raconter une histoire qui capture l exp rience qu il essai de transmettre Un patron doit aider ses utilisateurs comprendre les syst mes existants personnaliser les syst mes pour l adapter leurs besoins et construire de nouveaux syst mes A ce jour aucune approche th orique n a t d velopp e pour l extraction de patrons RISO2 par contre l auteur recommande certaines pratiques afin de garantir d
85. et les codes postaux de ville peuvent tre d finis pour s appliquer seulement des lieux et ainsi de suite Les r gles d inf rence dans les ontologies sont encore plus puissantes Une ontologie peut exprimer la r gle suivante si un code postal de ville est associ un code d tat et qu une adresse utilise ce code de ville alors cette adresse est associ e au code de l tat Un programme pourrait en d duire par exemple que l adresse de l universit Cornell situ e dans l Ithaca doit se trouver dans l tat de New York qui est aux Etats Unis et devrait donc tre format e selon les standards am ricains L ordinateur ne comprend pas vraiment cette information mais 1l peut maintenant manipuler les termes de mani re beaucoup plus efficace et significative pour un usager humain 1 5 2 Classification des ontologies Les ontologies peuvent tre class es selon deux dimensions leur niveau de d tail et leur niveau de d pendance par rapport une t che particuli re Nous distinguons plusieurs niveaux dans les ontologies GUA97 b voir figure 1 50 Les ontologies de haut niveau contiennent les concepts g n raux commun tous les domaines temps espace objet v nement ex Bateman MIKROKOSMOS Les ontologies li es un domaine particulier sont de deux sortes gt soit elles contiennent le vocabulaire sp cifique un domaine bien d fini et sont des sp cialisations d une ontologie de haut niveau ex
86. eur prend automatiquement la valeur du nom de Philippe 9 Philippe enregistre les informations saisies 10 e Savoir valide l annotation et le texte est en surbrillance Inconv nients gt Annoter exige toujours un effort de la part de l utilisateur celui de choisir la bonne r ponse parmi les diff rents l ments d une ontologie gt L ontologie peut comporter plusieurs niveaux Solution Utilisation des patrons IL 3 6 Cinqui me sc nario tat actuel annotation structur e ontologie patron 1 Philippe veut annoter le terme en anglais PIN CODES qu il n a pas compris son objectif est de le relever afin de le traiter plus tard et de le comprendre plus tard 2 Philippe ouvre le document smartcard applications dans e Savoir cet article est repr sent par un n ud dans une carte conceptuelle 63 3 Philippe s lectionne dans la palette des annotations l outil de mise en surbrillance et choisit la couleur rouge 4 Philippe s lectionne le terme PIN CODES 5 e Savoir valide l annotation et le texte est en surbrillance Remarques concernant le cinqui me sc nario e Savoir d tecte que Philippe a surlign en rouge il en d duit que l objectif de l tudiant Philippe est de comprendre le document en relevant les termes incompris et il en d duit aussi qu il a annot pour lui m me etc e Savoir affecte des valeurs aux champs de l annotation sans l inte
87. eurs Un pattern est une id e qui a t utilis e dans un contexte pratique et qui sera probablement utilis e par d autres Les patterns capturent le savoir que les experts appliquent pour r soudre des probl mes r currents Un pattern d crit un probl me devant tre r solu une solution et le contexte dans lequel cette solution est consid r e Il nomme une technique et d crit ses co ts et ses avantages Il permet une quipe de mettre un vocabulaire en commun pour d crire leurs mod les D apr s DIR96 Alexander crivait que chaque patron est une r gle trois parties ce qui signifie une relation entre un certain contexte un probl me et une solution Pour illustrer le concept de patron nous utilisons l exemple de patron de confection vestimentaire Un patron est un mod le de papier ou de toile pr par sur un mannequin et 54 utilis pour cr er des v tements pareils Selon les mesures des personnes ce patron est adapt chaque nouvelle confection par ajustement des dimensions du patron GZA00 comme illustr dans la figure suivante Ure adaptation Une autre 4 k D adsctabon Patron Une troisi me adaptation Figure 26 Un patron de confection Un patron donc capitalise un probl me r curent d un domaine et sa solution de mani re faciliter la r utilisation de cette solution lors d une nouvelle occurrence du probl me RIE99 I 6 3 Pourquoi les patrons sont
88. eux privil gi s o se r alise ce type d apprentissage par exemple pendant les r unions la connaissance tacite des uns est communiqu e aux autres sans qu elle soit explicit e c est le cas quand certaines personnes racontent leurs exp riences aux autres 2 Externalisation tacite vers explicite appel aussi formalisation Par sa nature la connaissance tacite est difficile convertir en une connaissance explicite Il existe certaines activit s o la connaissance tacite de certaines personnes est captur e et convertie vers la forme explicite c est le cas pendant le dialogue entre les membres d une quipe en r ponse aux questions Plus la taille d une organisation augmente plus il devient n cessaire de capturer ou saisir le savoir tacite et d en assurer la diffusion orale et ou crite tous les gestionnaires et employ s concern s 3 Combinaison explicite vers explicite appel aussi la classification c est une tape incontournable pour les savoirs dont la complexit est plus lev e Par exemple l appropriation des proc d s op rationnels des syst mes des m thodes et des normes administratives implique qu elles aient au pr alable fait l objet d un travail de structuration et de syst matisation Sinon chacun risque de les interpr ter et de les appliquer diff remment La connaissance explicite est transmise travers les r unions les documents les form
89. ff rentes composantes et les diff rentes classifications propos es pour les cat goriser Les objectifs d annotation semblent tre au c ur de la question des annotations Nous pr sentons diff rents travaux tudiant ces objectifs et tentons d en donner une synth se Nous montrons aussi l existence d une corr lation entre formes des annotations et ces objectifs nous tudions cette corr lation et nous exposons des exemples de tables de correspondances entre ces deux l ments propos es par certains auteurs Enfin certains auteurs pr sentent des perspectives de nouvelles applications des annotations lectroniques qui supportent de mieux en mieux de nouvelles pratiques d annotation comme le partage et l indexation des annotations 1 3 1 D finitions Nous avons trouv diverses d finitions de l annotation d abord celle des psycholinguistes et cogniciens l annotation se pr sente comme une trace de l tat mental du lecteur et une trace de ses r actions vis vis du document VER97 Cette premi re d finition est int ressante sur plusieurs fronts Elle nous apprend que l annotation est le r sultat de la r action du lecteur avec le document et que cette annotation est une trace de son tat mental une suite de marques refl tant son int r t cela nous m ne dire que l annotation refl te une comportement actif du lecteur et que l annotateur est lecteur un actif ce qui limine la lecture distracti
90. gmente leur potentiel ducatif Il permet de transformer un document en un outil cognitif p dagogique Il vise cr er un environnement de travail favorable la mise en uvre de nombreuses activit s ducatives Il offre aussi la possibilit d augmenter la marge de man uvre de l apprenant sauf qu il faut d terminer la bonne marge d initiative lui octroyer une libert totale ce qui risque de le laisse s garer l assister dans son parcours ou le contraindre suivre un chemin pr d termin Dans cette perspective les auteurs dans ALL97 ont choisi de traiter plusieurs points importants ayant trait la r union du texte et de l informatique toujours dans le contexte des hypertextes pour l apprentissage a La structure de l information lors de la conception d un hypertexte se pose la question de la mani re de structurer l information afin quelle soit plus efficace En g n ral on distingue deux types d hypertextes la structure hi rarchique et celle en r seau Dans la structure hi rarchique chaque noeud d information c est dire chaque bloc de texte est connect un noeud sup rieur et un noeud inf rieur ce qui implique une certaine lin arit dans la lecture C est une structure pareille celle d un document classique et peut para tre priori restrictive 13 Dans la structure en r seau par contre les diff rents blocs de texte sont reli s entre eux sans forc
91. h se d un article nous rencontrons un terme technique incompris que nous n avons pas compris nous le surlignons et cela suivant deux objectifs d abord pour bien le comprendre mais aussi pour le retrouver ult rieurement Notre d finition sera alors tout objet qu une personne ajoute un document avec un ou plusieurs objectifs sp cifiques Dans les deux figures suivantes nous observons que l annotation peut avoir des formes diff rentes elle peut tre textuelle ou graphique des couleurs diverses etc 1U vapuure SUCE OPEULENS CUURIENINE CU VISE SS CON De seg performed uur We La in 5 a Lanei process called the 1 ame En der Le be the dth cluster and w and y be elementy in a chister cach of which is a vides shot we impose the clustering criteria as follows For all z estimated 2 700 rebels afe concentrate around the village of Shatoi deep TN th of Chechnya where rebels hawe a z ng presence Russian forces are whe can move more easily than ther can in the snow and when new leafed foliage gives them better cower There will be na easy road for Federals Fierce battles are in store a Russian Y commander Lt Gen Vladimir Bulgakov was quoted 45 saving by the news agenty ITAR Tass The remaining rebels are diehard who hawe no way out and their desperation is expected to drive them to fight intensely i n J mar ds w 6 ALES 9 pdin sT PRI hu G dis w
92. iens qui existent entre les documents Ces liens peuvent tre 16 e des liens physiques lien hypertexte existant entre deux documents e des liens manuels le cr ateur de la carte construit des fl ches entre les documents pour montrer qu il existe un lien logique s mantique physique etc entre ces documents La carte peut tre sur demande g n r e automatiquement dans ce cas l se sont uniquement les liens hypertextes qui sont montr s par des fl ches Il n existe aucun moyen de distinguer un lien manuel d un lien physique 1 2 3 4 Tracer une carte lors d une navigation Tout en naviguant les r f rences des sites s ins rent dans la carte de l utilisateur gauche de l cran Cette carte se construit progressivement l utilisateur peut modifier les ic nes des sites r f renc s en fonction du th me trait ou de l importance qui leur est accord e L enseignant peut galement ajouter des annotations pour guider les l ves dans leur navigation La carte peut ensuite tre organis e en fonction d un sens de navigation privil gier des mots cl s sont ajout s Les cartes sont ensuite propos es aux l ves qui cliquent sur les ic nes r f renc es afin d acc der aux sites A partir de l si utilisateur va sur un site Web en utilisant la barre d adresses chaque fois qu il clique sur un lien hypertexte la page s affiche dans l cran de navigation et la fin du cha
93. ies des connaissances les savoirs et les savoirs faire dont les grandes propri t s sont pr sent dans le tableau suivant adapt de SIM97 Connaissances de l entreprise Cat gorie SAVOIRS SAVOIRS FAIRE Cont n Connaissances Connaissances tacites explicites formalis es explicitables ou non et sp cialis es adaptatives Soirces Donn es proc dures Talents habilet s tours mod les algorithmes de main secrets de plans m tiers Particularit H t rog ne incompl te Acquise par la pratique redondante transmises oralement contextuelle Figure 23 Typologie des connaissances d une m moire d entreprise 1 4 3 Gestion de la m moire d entreprise La gestion d une m moire d entreprise tant une op ration d licate l entreprise ou l organisation doit se appliquer une m thode rationnelle qui comporte g n ralement les tapes suivantes DIE98 1 D tection des besoins en m moire d entreprise 2 Construction de la m moire d entreprise 3 Diffusion de la m moire d entreprise 4 Utilisation de la m moire d entreprise 5 Evaluation de la m moire d entreprise 6 Maintenance et volution de la m moire d entreprise 1 4 4 Utilisation du mod le de Nonaka pour la conversion des connaissances Nonaka et Takeuchi NON9S d apr s GUY01 de l universit de Tokyo ont propos un mod le de cr ation de connaissances connu sous le nom de l
94. ils importants Les patrons permettent un partage de la connaissance et cela en permettant diff rents utilisateurs d acc der un ensemble de probl mes et de leur solution Selon RIS02 les patrons sont importants pour les raisons suivantes Les patrons fournissent les moyens riches pour une communication efficace entre ceux qui connaissent le langage Les patrons capturent les pratiques importantes de m thodes existantes et des pratiques non codifi es par des m thodes conventionnelles Les patrons offrent aussi bien la forme pour capturer la connaissance ainsi que le processus pour utiliser cette connaissance Les patrons offrent un moyen de capturer la connaissance et de transmettre l exp rience d autres 1 6 4 Formalisme Alexandre propose un formalisme pour d crire les patrons c est celui du tableau suivant BRO02 Nom du pattern Le nom avec lequel le pattern sera appel Exemples Ils doivent tre pr sents dans tous les patterns pour faciliter la Exemples l compr hension Un pattern r sout un probl me dans un contexte particulier Le pattern Contexte Lo peut n avoir aucun sens dans un autre contexte Probl me que le pattern essaie de r soudre On d crit la structure le comportement de la solution pour d finir la Solution fa on d arriver la construction de la solution Forces et Tous les probl mes ne sont pas bien d finis Les forces permettent compromis d claircir l
95. l mentation des ontologies Pour impl menter les ontologies nous utilisons des composants TTreeView de la VCL Visual Composant Library biblioth que des composants visuels de DELPHI Tree View repr sente une fen tre affichant une liste hi rarchique d l ments les parties d un document les entr es d un index ou les fichiers et r pertoires d un disque Nous avons utilis ce composant pour r aliser deux buts R aliser un diteur simple d ontologies que nous utilisons pour diter les ontologies que nous avons con ues TTreeView poss de une m thode SaveToF ile pour enregistrer dans un fichier texte les donn es d une vue arborescente nos ontologies Afficher l ontologie si besoin l utilisateur en utilisant une autre m thode du composant TTreeView LoadFromFile qui permettra aux n uds d tre recharges dans un nouvel objet vue arborescente IV 2 2 L exportation au format XML XML est devenu un langage standard d change de donn es entre les diff rentes applications Nous avons d cid d offrir la possibilit d exporter l ensemble des annotations en XML Cela permettra d changer importer et exporter les annotations que ce soit vers d autres utilisateurs du m me logiciel e Savoir mais aussi vers d autres applications diff rentes pourvu qu elles supportent le langage XML ce qui est le cas de presque toutes les nouveaux logiciels De plus XML offre un la possibilit d
96. les EIAH en particulier l outil e Savoir les annotations au c ur de notre probl matique les m moires d organisation dont les m moires de formation ou d apprentissage sont un cas particulier les ontologies en vue d un partage de connaissance et les patrons qui puissent apporter une utilisabilit l outil A partir de cette tude bibliographique nous proposons des formalismes pour l annotation didactique et nous en d duisons la sp cification de l outil d annotation int grer dans le logiciel e Savoir Nous pr sentons enfin le d but d implantation de cette sp cification et les r sultats d entretiens avec des utilisateurs de la version actuelle d e Savoir I ETAT DE L ART L tat de l art concerne le cadre th orique dans le lequel se situe la recherche Notre travail s ins re dans le contexte des EIAH en g n ral et en particulier des syst mes hypertextes destin s l enseignement comme le logiciel e Savoir dont nous tudions les particularit s et les contraintes En deuxi me lieu nous tudions les annotations sujet central de notre travail dans leurs diff rentes dimensions d finitions formes objectifs En particulier nous tudions la question de la corr lation qui existe entre les formes et les objectifs s mantique des annotations Ensuite nous examinons la question des m moires d organisations un ensemble d annotations tant un cas particuli
97. ment en des textes r dig s l avance et propos s l utilisateur dans certaines circonstances Un EIAH comporte g n ralement trois modules essentiels MODULE MODULE MODULE APPRENANT EXPERT PEDAGOGIQUE Figure 3 les composants d un EIAH 11 gt Le module apprenant prise en compte des pr f rences et des connaissances de l apprenant gt Le module expert mod lisation des objets d enseignement mod lisation de la connaissance gt Le module p dagogique mod lisation des d cisions didactiques 1 1 3 Conclusion sur les EIAH La m moire d apprentissage est un cas particulier d EIAH Elle doit de ce fait repr senter les connaissances de l utilisateur Ces connaissances voluant par d finition elle doit alors s adapter cette volution en permanence Ainsi il nous faut r soudre deux probl mes la mod lisation de ces connaissances puis la gestion de leur volution 12 I 2 LES HYPERTEXTES POUR L APPRENTISSAGE Les hypertextes pour l apprentissage sont un cas particulier d ETAH L outil e Savoir de SYNERGIE 3R rel ve de cette cat gorie Nous donnons tout d abord des d finitions de ce qu est un hypertexte pour ensuite pr senter son int r t pour l apprentissage Enfin nous pr sentons l outil e Savoir de SYNERGIE 3R sur lequel nous impl mentons nos mod les propos s 1 2 1 D finitions Selon BRU97 un syst me hypertexte peut tre d fini comme un dispositif info
98. ment faire partie de la m me branche de l arbre Cette structure offre plus de libert pour le concepteur car les liens entre les diverses parties d un texte paraissent illimit s Plusieurs exp riences ont t men afin de r pondre la question quel type d hypertexte pour quel public et pour quels probl mes Structure hi rarchiaue structure en r seau Figure 4 La structure de l information b Les sp cificit s de la lecture l cran les contraintes de la lecture sur cran am nent un confort de lecture inf rieur celui sur papier Ce support selon les auteurs conduirait une lecture en miettes dans la mesure o la totalit d un texte ne peut plus tre appr hend e dans son ensemble comme lorsqu on tient dans les mains un livre qu on peut feuilleter par exemple c Le probl me de la charge cognitive cette question concerne deux points D abord selon certaines tudes l utilisateur plus de difficult s se situer l int rieur du texte Il faut alors lui faciliter la tache afin de diminuer la charge cognitive c est pour cette raison qu il est important de concevoir des outils ergonomiques et les plus simples possible Le deuxi me point concerne le fait que dans un hypertexte l utilisateur devant tre actif et prendre des d cisions concernant la s quence de lecture du texte ce qui n est pas le cas pour un texte lin aire cela risque d augmenter sa charge cognitive Des tr
99. n Ce type d annotations vise corriger des erreurs dans le texte d origine Pour cela le passage erron sera effac et remplacer par sa correction La correction ne peut s appliquer qu un objet textuel et dure jusqu correction de la part de l auteur Cette correction peut tre effectu e par le lecteur qui s appropriant le texte pour le modifier en profondeur devient alors propri taire et ordonne la correction automatique ou lorsque le lecteur proc de une mise jour du document partir d une nouvelle version auteur Sch ma de cr ation l s lection du passage erron 2 le syst me analyse sa structure ou son type 3 et propose la cr ation d un objet correction du m me type 4 saisie par l utilisateur de la correction 38 C 2 2 La restructuration Cette op ration ne peut pas se r aliser sur le document en papier mais seulement sur les documents lectroniques Il s agit de r organiser le texte selon la volont du lecteur Il peut par exemple fractionner un paragraphe ou en fusionner deux ou m me supprimer des passages qu ils trouvent inutiles Par contre le rajout d information est plut t consid r comme un commentaire et non comme faisant partie de la restructuration A partir de ces op rations de base le lecteur pourrait r aliser d autres actions plus complexes Sch ma de cr ation l Choix du passage 2 Choix de l action effectuer 3 Ex cution de l action avec
100. nalit s de certains Nous avons tenu pr senter des syst mes diff rents et viter de pr senter ceux dont les fonctionnalit s sont identiques 1 3 3 1 iMarkup iMarkup est un programme qui permet aux membres d un groupe d annoter des pages Web d organiser et de partager ces annotations Il inclut d f rents types d annotations tels que les notes collantes Post It des dessins libres et des annotations textuelles sur n importe quelle page Web m me sur des page de format PDF Il permet aussi d annoter avec de la voix et cela en enregistrant des sons qui seront attach s l endroit voulu Il suffit apr s de cliquer sur l ic ne de l annotation pour couter le 21 commentaire Il est possible d attacher des fichiers de tout type un endroit pr cis de la page web Les annotations seront stock dans un serveur d di et a chaque fois que la page annot est appel e le programme r cup re l annotation et l attache l endroit pr cis 3 Markup Workgroup Server Information Microsoft Internet Explorer ERNST RES NAS oj x Fie Edt View Favorites Tool Heip P gt X R EL MM Es a E 3 BA TE 2 Back Forward Stop Refresh Home Sewch Favortes Hitory Mal Prnt Edk tscuss Markup Address e http jnen imarkup coniproducts workgroup esp unis HN 3idyNotes Pank Bush H High gt organize Logn 2 i SET 0P 0 YOUT 8 g st e2 x e Al users annotations are stored
101. nction dans le tableau suivant Tableau 3 Corr lation entre la forme et la fonction de l annotation selon MAR98 Forme Fonction Soulignement ou mettre en surbrillance Proc dure pour signaler une attention une structure de niveau plus lev e comme future des ent tes de section les symboles de marges t l graphiques comme les ast risques les crois Mise en surbrillance courte mots ou Aide M moire et indication d emplacement expressions cercl s d autres inscriptions dans le texte les inscriptions sur la marge comme les ast risques Notation appropri e sur la marge ou R solution du probl me Problem working pr s des figures ou d quations Notes courtes sur les marges de plus Interpr tation longues notes dans d autres interstices textuels mots ou expressions entre les lignes du texte Soulignement ou mise en surbrillance Trace visible de l attention du lecteur tendu Notes petits sch mas sch mas et R flexion fortuite des circonstances d autres inscriptions ind pendantes des mat rielles de la lecture outils eux m mes Tr s petit espace cart entre les l ments constitutifs d un tout Les interstices d une cl ture Le Dictionnaire Universel Francophone En Ligne http www francophonie hachette livre fr 40 P Huart fait le m me constat et fournit un tableau plus d taill que celui de C Marshall Tableau 4 Corr lation entre les objectifs et les formes des annotation
102. nement de m moire de formation devrait permettre un individu tout au long de sa vie depuis sa formation initiale jusque son travail quotidien en passant par des pisodes de formation continue de constituer et de retrouver les traces annotations qu il a attribu es des documents pour acqu rir des connaissances La recherche sur la m moire d apprentissage est essentielle la th matique de P ing nierie des EIAH Environnements Informatiques d Apprentissage Humain Elle permet de constituer un ensemble int gr d outils et de m thodes sur tout le cycle de vie des objets p dagogiques informatiques et pas seulement sur leur cr ation et leur utilisation Ainsi la question des m moires d apprentissage vise donner les moyens d ajouter un objet p dagogique une annotation Etudier la composante p dagogique de l annotation est capital pour obtenir la constitution d une m moire individuelle et collective form e d un ensemble d annotations r alis par une personne et ou un groupe de personnes Cette m moire externe informatis e doit tirer profit des avantages offerts par l outil informatique afin d atteindre les objectifs suivants Utilit L outil doit offrir r ellement les fonctions d une m moire m morisation et recherche d annotation Utilisabilit Cette m moire doit tre utilisable en terme d interface personne syst me Cela signifie une m morisation et une recherche sim
103. ni re Sch ma d ajout d une entr e 36 l s lection du mot 2 s lection du dictionnaire 3 ajout ventuel d une d finition 4 mise Jour de l affichage de la base de donn es Sch ma de cr ation d annexe l s lection d un type d annexe 2 saisie d un nom servant diff rencier l annexe 3 ventuellement d finition d un type d objet sur lequel portera l annexe B 2 Les liens vers le texte B 2 1 Le marque page Il s agit du signet que nous utilisons pour retrouver la position de notre lecture courante c est un point d entr e dans le texte Une des caract ristiques essentielles du marque page est qu il est provisoire 1l peut tre d plac chaque lecture donc remplac par d autres Sch ma de cr ation l s lection du point d insertion 2 ajout ventuel d un commentaire 3 mise jour affichage et base de donn e B 2 2 L index et les annexes d entr es Les annexes d entr es contiennent une liste de points d entr es dans le texte chaque point d entr e porte une annotation de r f rence vers le passage du texte concern L index par contre est plus g n ral car les entr es de l index sont reli es toutes les occurrences du mot qui existent dans le texte Le sch ma de cr ation est semblable ceux des annexes de compulsion B 3 Les liens double sens Dans cette cat gorie nous retrouvons la r f rence double le sommaire et le
104. nnotation La hi rarchie des propri t s est Annot lie l annotation la ressource o elle est appliqu e la relation inverse est poss de une annotation Auteur le nom de la personne ou de l organisation responsable de la cr ation de l annotation Contexte Cr la date et le temps pendant lequel l annotation a t cr e Modifi la date et le temps pendant lequel l annotation a t modifi e Li une relation entre une annotation et des ressources additionnelles qui soient moins sp cifiques que COrps Corps lie la ressource repr sentant le contenu d une annotation la ressource d une annotation Il s agit d une sous propri t de li A XDoc html dcdcate crettiecl 4 2000 01L 10T17 20Z 2000 01 10T17 20 Figure 29 Repr sentation d une annotation sur le Web selon DAMLO02 Une deuxi me ontologie d crit les types des annotations Web Conseil une classe d annotations repr sentant un conseil pour le lecteur Changement une classe d annotations repr sentant une notice ou une proposition de changement 71 Commentaire une classe d annotations repr sentant des commentaires g n raux Exemple une classe d annotations repr sentant des exemples Explication des explications du contenu Question une classe d annotations repr sentant des questions sur le contenu VoirAussi une classe d annotations repr sentant une r f
105. notations Nous d finissons les annotations comme un objet ajout au document et ne le modifiant pas et respectant la structure suivante une ancre une forme visuelle un contexte une valeur un acc s le contexte tant lui mme compos de champs Qui Quand Ou Pour qui Quoi Pourquoi La litt rature montre l existence d une relation entre la forme et les objectifs d une annotation qui d pend entre autres du domaine d apprentissage C est un point important que nous retenons pour la suite de notre travail L tude sur les m moires d entreprise dont la m moire d apprentissage est un cas particulier montre qu une grande partie des connaissances des entreprises est tacite Les annotations d une m moire de formations permettent elles aussi d externaliser cette connaissances c est dire cr er une connaissances explicite partageable partie d une connaissance tacite Les ontologies semblent convenir pour repr senter des connaissances manipul es ou repr sent es dans des annotations cela travers une cat gorisation des connaissances qui soit partag e au sein d une communaut Les patrons mod lisent bien la relation entre forme et objectifs d annotation Cette relation est une connaissance proc durale de l utilisateur Gr ce au patron 1l peut r utiliser des proc dures d annotation avec un effort minimum 58 I PROPOSITION DE FORMALISMES POUR L ANNOTATION
106. ns Finalement je tiens avoir une pens e tr s sp ciale pour ma m re ma famille et mes amis Sommaire AA 4 N0 0 10 COS OI isansa n E a 6 A Contexte EL prob emat gcoinne e a a EE A tt s Doit des 6 B ODJECU T Ne none tee A a dort 6 CoMothodederechere Cassian A AN T L ELAEDE ARTE a E E in re 8 KELES PR ea A nn E nn 8 Per DA 6 4 LEURS M MSO OR Re 8 LL22 Theone d lenscienemente ELAEL ne eh 10 1 3 La probl matique informatique des ELAH 11 LLC Concussion Sur ESEIA urca ne a 12 1 2 LES HYPERTEXTES POUR L APPRENTISSAGE eeeeeeeeesesssssssssssssccceererererereeses 13 2 DS AOIAORS a nt 13 1 2 2 L apport de l hypertexte l apprentissage nnnnon000sosoosoooeeenennnnssssssssssseeeeeeeeesne 13 1 2 3 Pr sentation de l hypertexte e Savoir soniers a e ia 15 124 Conclusion SUr e SAVOIR SEA a ER AS a A 19 PALESANNOFATON S Se eme es cm Gene 20 ESC E a nd D diese ann lie PE E O nu ce 20 1 3 2 Annoter lectroniquement n cessite t 1l plus d attention esssssenneeossssseenessssseee 21 L33 L s syst mes d annotation Seeerei ann net mesrede eat 21 LA Structure d une AO UONM ES Le 25 L36 Cla ssification des annotations nesnesi RASE A A ns 31 1 3 7 Corr lation entre les formes et les objectifs des annotations 40 1 3 8 Les nouvelles applications pour les annotations lectroniques 41 I 4 LES MEMOIRE D ORGANISATION San ne nee 46 RD CAO t EAE AEAEE a E E AE ht A 46 1 4 2 Type de connaissances dans un
107. nt mieux d un document s ils cr ent leurs propres annotations ou qu ils savent mieux qui les a laiss L auteur cite son propre travail sur l annotation des pages Web o il tait observ que l utilit des mots surlign s pour comprendre un document annot par un autre lecteur De m me Marshall MAR98 a montr l utilit des annotations provenant de plusieurs lecteurs afin d identifier les points de consensus sur un document LU EURE SUE EENS CENENE OT VOSS E CHU E ged mme piina Si a clusiering process called the L hich takes into acount both ihel We have i iv ii pq to d ep pq each LA of which is video ahol we impose Shen S follows For all x C max dx m lt 5 Wind 2 max dis y ET L ney gi dim w gt 8 or dat w T forall Ci j i The the AN 1e the visual dissimilarity between iwo shots whic di Fha tonus dilatamas khan deux mms F ile m Figure 18 Les annotations sont fusionn es sur la m me page A 3 Partage intentionnel d annotations Dans ce cas les annotations ne sont plus cr es pour soi m me mais explicitement pour d autres lecteurs L auteur mentionne le fait que l existence des annotations d autres lecteurs 42 peut intimider et modifier le comportement des autres lecteurs Il propose la possibilit de filtrer les annotations dans les syst mes d annotations Les annotations sont aussi des formes de discussions entre le
108. nt pas structur es ne peuvent pas tre exploit es dans des traitements informatiques du genre tri recherche indexation etc sauf de type plein texte non typ Ainsi l outil d annotation n est pas efficace pour l apprentissage car il ne repr sente pas la s mantique des connaissances de l utilisateur Comme nous l avons cit pr c demment les annotations sont enregistr es s par ment de la carte cela diminue l utilisabilit de l outil en faisant subir l utilisateur un effort suppl mentaire Concernant le partage des annotations cela est possible en changeant les cartes qui s exportent au format XML 19 L 3 LES ANNOTATIONS L annotation est le concept central de notre tude Nous essayons tout d abord de d gager de la litt rature une d finition claire de ce qu est une annotation Comme nous l avons indiqu une m moire de formation doit tre utilisable utile sinon l outil d annotation risque de ne pas tre adopt Nous tudions ce propos une comparaison entre l effort n cessaire pour l annotation sur papier et sur des documents lectroniques Des syst mes d annotation existent aujourd hui portant sur des contextes diff rents du n tre Nous les pr sentons afin d en tirer des le ons pour notre propre contexte Nous tudions ensuite l annotation dans ses diff rentes dimensions sa structure qui inclut la fa on de repr senter l annotation ses di
109. nter XPath et DOM de XML Pour toutes ces raisons nous adoptons le deuxi me mod le 1 3 5 Les objectifs d une annotation L annotation n est pas une fin en soi mais elle vise r aliser certains objectifs de l annotateur Plusieurs auteurs C Marshall MAR98 M Veron VER97 P Huart HUA97 et plus r cent le travail de D M ille MIL01 ont essay d identifier les diff rents objectifs d une annotation Ces auteurs insistent sur la corr lation existante entre les objectifs d une annotation et entre sa forme visuelle L 3 5 1 Les objectifs selon C Marshall Commen ons par C Marshall MAR98 Elle a tudi les annotations faites par des tudiants am ricains Le support de son tude est un ensemble de documents support de cours annot s par des tudiants universitaires Elle a tudi leurs valeurs pour les personnes qui annotent et pour les autres lecteurs leurs caract ristiques et leurs fonctions A partir de ses observations elle essaie de faire appara tre les fonctions les plus communes Remarquons que ce sont plus des fonctions que des objectifs Proc dure pour signaler une attention future Dans ce cas l tudiant annote afin d attirer son attention ult rieurement sur un point particulier ou de pr voir une tache qu il devrait faire ult rieurement Par exemple le fait qu il devrait relire un paragraphe L tude des documents de cours annot s par les tudiants donne l impressi
110. nu libre simple texte libre le contenu structur est pr d fini la valeur d une annotation fait r f rence aux connaissances de l utilisateur des concepts particuliers et donc des l ments d ontologies repr sentant les connaissances de cet utilisateur Vu que les connaissances de chaque personne voluent la m moire de chaque personne l ensemble des annotations est en perp tuelle volution ce qui pose le probl me de la mise jour permanente des ontologies repr sentant les connaissances de l utiisateur de notre outil d annotation apprenant ou enseignant 77 Dans BALO02 N Balacheff d crit le double ph nom ne du sujet qui volue au cours de l apprentissage et de l environnement qui lui m me doit voluer pour accompagner cette volution Cette double dynamique est le principal verrou des recherches actuelles sur les EIAH Bien que nous n ayons pas propos de solution cette difficile question dans ce travail le formalisme des ontologies comme attributs d une annotation est une bonne base pour attaquer cette question L acc s peut tre priv r serv un groupe ou public 9 Acc s Priv Public 9 Groupe Equipe de recherche Etudiants en dea Etudiant en dess Participants au projet Dans une bonne ontologie nous devrions aussi d finir les propri t s de chaque concept classe par exemple pour tudiant a serait nom pr nom date de naissance adr
111. ocument smartcard applications dans e Savoir cet article est repr sent par un n ud dans une carte conceptuelle 3 Philippe attache une annotation ce document 4 e Savoir ouvre un diteur html simple 5 Philippe s lectionne le terme en anglais PIN CODES le copie puis le colle dans l diteur html 6 Philippe compl te le commentaire avec d autres informations qui lui semblent importantes il rajoute le num ro de la section 2 cela lui permet de retrouver l endroit de l annotation facilement il rajoute aussi le titre de la m me section smartcard applications e Savoir ne permet pas d attacher une annotation un emplacement pr cis dans le document Philippe ne peut pas annoter le terme lui m me mais seulement le document globalement Philippe ajoute la date du jour 20 03 02 son pr nom Philippe vu que d autres coll gues vont annoter le m me document cela va leur permettre de retrouver l auteur de chaque annotation la date du jour son nom l auteur Il pr cise la nature de son commentaire en indiquant qu il s agit d une synth se du paragraphe donn e 7 Philippe enregistre l annotation 60 8 e Savoir valide l annotation qui appara t sous forme d une petite ic ne au dessus de celle repr sentant le document smartcard applications Avantages gt Simplicit chaque utilisateur annote sa mani re gt Universalit Inconv nients
112. ocument annot l annotation s affiche automatiquement sur la partie gauche ce qui diminue l espace r serv l affichage de la carte conceptuelle qui se trouve sur la gauche Pour r soudre cela elle pr f re que l annotation soit affich e au dessus du document sur la droite et qu ainsi l utilisateur doit la lire puis la fermer pour se focaliser sur le document Concernant l effort n cessaire pour cr er une annotation elle trouve que cr er une annotation est tr s simple et que a n exige pas beaucoup d effort Elle aurait pr f r qu on puisse utiliser des couleurs pour que l annotation soit plus attirante pour l utilisateur mais aussi pour qu elle puisse utiliser des couleurs diff rentes selon le type de l annotation V S L enregistrement de l annotation Dans e Savoir l annotation est enregistr e ind pendamment de la carte et nous devons donc l enregistrer en plus de l enregistrement de la carte Elle donne son avis sur ce sujet Si elle doit r utiliser la m me annotation cela offre l avantage de ne pas ressaisir le texte Et elle n a qu int grer celle d j enregistr e Par contre vu que g n ralement elle utilise chaque fois une annotation diff rente elle pr f re que l annotation s enregistre automatiquement lors de l enregistrement de la carte conceptuelle V 6 L annotation du document Elle souhaite qu il soit possible d annoter le d
113. ocument lui m me comme support pour elle l auteur pendant la phase de conception mais condition que l effort soit minimum par rapport l annotation sur papier Elle aurait aim qu il puisse y avoir des annotations textuelles concernant un endroit pr cis ou un n ud et qui s affichent d s le passage de la souris mais qui disparaissent justes apr s info bulle Elle veut utiliser cela pour pouvoir donner les d finitions de certains termes ce qui permettra l utilisateur d avoir la d finition des termes difficiles sans tre obliger de quitter e Savoir pour chercher le terme dans un dictionnaire ce qui le d concentrera par rapport son parcours p dagogique V 7 Les annotations sur papier Pour annoter Mile Vuchen utilise souvent le soulignement avec seulement trois couleurs Le rouge pour souligner ce qui est important Le vert ce qui est mi important Le bleu les notions en rapport avec son travail la th se Mile Yuchen utilise ce m me patron et cela depuis sept ans 95
114. ompos e de une forme un but objectif un lieu un auteur une histoire et un support tel que La forme Il s agit de l aspect visuel de l annotation de son apparence graphique Elle d pend des outils mis disposition de l utilisateur par le logiciel d annotation Exemple soulign stabilo fl ches sch mas etc Le but de l annotation C est que fait l annotation les buts annotatifs sont diff rents des buts de la lecture qui eux sont des buts de haut niveau c est le but de l annotation qui fixe la s mantique de la marque pos sur le texte Lelieu de l annotation Il s agit de l endroit o a t plac l annotation le lieu de l annotation Il diff re selon le but de cette annotation ainsi le signet permet de retrouver rapidement une page mais pas un mot dans cette page par contre le surlignement permet de retrouver une information de granularit plus fine que la page mais cela ne peut se faire que si l on est d j dans la page Jacques Virbel dans VER97 distingue plusieurs niveaux L annotation est Dans le document Dans la page Dans le texte ex soulign autour du texte ex dans les marges ajout de notes bas de page par dessus ex un coup de stabilo barrer du texte c t du texte entre les pages ex signets intercalaires hors document ex cahier de notes recueil L auteur et l histoire L auteur
115. on est multidimensionnelle chacune de ses diff rentes dimensions devraient tre consid r e plut t comme un continuum non comme une dichotomie Ces dimensions refl tent la forme de l annotation formelle non formelle tacite explicite la fonction de l annotation du point de vue du lecteur jusqu quel degr le lecteur est devenu auteur le genre de lecture que le lecteur est engag avec et la permanence des marques et finalement le r le des annotations dans le processus de communication avec les autres sont elles publi s ou priv es quelle est leur audience Les annotations formelles informelles Une annotation formelle est une annotation structur e avec des attributs bien d finis 1l s agit donc d une m ta information cr e selon un standard structur ce qui sera informatiquement interpr table par la machine traitement Cela constitue une tr s bonne mani re de promouvoir l interop rabilit entre les diff rents outils d annotation Les annotations par contre faites sur les marges d un document pendant sa lecture sont informelles L auteur cite certains outils Dynomite qui utilisent des heuristiques afin d interpr ter ce genre d annotations et de les rendre plus formelles Cela permet de pouvoir y appliquer diff rents traitements requ tes Les annotations explicites implicites Une annotation explicite est une annotation que les autres lecteurs peuvent comprendre et interpr ter c
116. on que les tudiants sont entrain de produire leur propre version du texte qui refl te les circonstances du cours Aide M moire et indication d emplacement Quand nous annotons des petits extraits de texte souvent en le surlignant mais des fois en le soulignant ou en l encerclant c est souvent pour se souvenir de ces extraits car 1ls sont importants et nous devrions les m moriser R solution du probl me Problem working Il arrive que les tudiants pr f rent approcher les probl mes dans leur contexte plut t que de risquer de les reporter et d avoir une discontinuit dans l attention Ainsi souvent dans les livres d exercices la personne note sa solution cot de l exercice souvent sur les marges 28 Interpr tation Les notes sur les marges les interpolations dans les textes sont consid r es comme des annotations interpr tatives L auteur a observ trois types de ces annotations le premier concerne les mots difficiles que le lecteur essaye de donner la d finition c est le cas aussi pour les mots de langues trang res que les lecteurs annotent leurs traductions Le deuxi me type concerne l annotation des structures du texte par exemple dans un document de th tre o le nom des pi ces c l bres sera annot Enfin le troisi me type le plus commun concerne l interpr tation du sens du texte lui m me Trace visible de l attention du lecteur L annotation peut
117. on your There re 8 marks on this page Jarmate E ganze E ype Group by Workgroup Server iworkgr af iMarkup Solutions Testing BD aareas com tead Write Create and Delete permiss sions c ninistrative interface built on Microsoft MMC ost time and decreased productivit ne who gineedste cemmimeste micmaton sheut s an choose from h t annotation 2 e mao b b g tat Figure 11Interface de IMarkup IMarkup inclut une fonction qui permet d extraire l ensemble des annotations faites sur un document ou plusieurs documents et de g n rer une vue synth tique Cette visualisation est alors cens e aider le lecteur acc der rapidement aux points importants du document Toutes les communications requ tes utilisent XML 1 3 3 2 CritSuite Logiciel d annotation de page web Les annotations sont stock es sur un serveur et peuvent tre r cup r es D velopp pour Foresight Institute afin de permettre des discussions critiques et d am liorer la productivit de l utilisation du web CritSuite se compose de trois modules logiciels int gr s qui permettent aux utilisateurs de commenter et de visualiser les documents hypertextes existants CritLink naviguer le Web en utilisant une interface graphique CritMap et enfin archiver les changes des emails en utilisant les caract ristiques des l hypertexte CritMail La navigation de Web utilisant CritSuite peut
118. onnaissances Les annotations constituent un moyen simple et peu co teux qui permet l externalisation et la formalisation des connaissances tacites et de les convertir en connaissances explicites partageables et accessibles par les autres personnes Nous pouvons dire alors que le partage des annotations contribue la diffusion des connaissances au sein des organisations et entre les diff rents apprenants 49 LS LES ONTOLOGIES Par la d finition d un vocabulaire commun au sein d une communaut de personnes et d applications les ontologies facilitent la communication et l interop rabilit entre eux Les ontologies permettent aussi de d finir une s mantique formelle pour l information ce qui facilite son exploitation par un ordinateur Nous commen ons d abord par d finir ce qu est une ontologie nous citons ensuite ses diff rents types Nous d taillons aussi les avantages que permettent les ontologies afin de les exploiter pour atteindre nos objectifs 1 5 1 Qu est ce qu une ontologie En philosophie une ontologie grec ontos tre et logos science 1 Etude de l tre en tant qu tre de l tre en soi 2 Etude de l existence en g n ral dans l existentialisme Petit Larousse 1996 La d finition la plus r f renc e est celle de Gruber GRU93 a une ontologie est une sp cification explicite d une conceptualisation Le m me auteur d taille cette d finition d ontologie
119. pas possible Dans une m moire d apprentissage nous ne nous int ressons pas aux annotations t l graphiques pour plusieurs raisons Elles ne peuvent pas subir des traitements informatiques et elles ne sont pas partageables avec d autres utilisateurs Il faut remarqu qu une annotation t l graphique peut m me perdre son sens pour son auteur et devenir ainsi incompr hensible 33 1 3 6 2 La classification de M Veron Cette classification regroupe les diff rents types d annotations offertes par les outils d annotations de documents lectroniques existants sur le march Tous les outils cit s dans cette classification ont t cit s dans le m moire de M Veron VER97 Sa classification regroupe Le post it Il s agit d une marque qui indique la pr sence d une annotation et qui provoque l ouverture d un document qui lui est li Il peut s agir d une marque pr d finie par le programmeur exemple le trombone dans WinHelp de Microsoft le Post It dans Acrobat ou bien d un clip art choisi par celui qui pose une annotation par exemple l objet Note it de Microsoft Ce type d annotation est en g n ral r serv aux syst mes autorisant la pose des endroits quelconques ou bien en des endroits pr d finis Cet objet est versatile et peut jouer le r le que l utilisateur lui attribut commenter reformuler documenter De mani re g n rale toute annotation se r alisant par du texte Le thread de
120. ple et conviviale proche des pratiques du domaine de l utilisateur La m morisation doit tre int gr e dans le processus de lecture sans le d concentrer et interrompre son apprentissage On parle de lecture active KAB991 Efficacit pour l apprentissage Il s agit d obtenir une m moire qui assiste r ellement l utilisateur dans son apprentissage en particulier en s adaptant ses connaissances qui voluent par d finition Partage Il s agit que diff rents utilisateurs puissent partager tout ou partie des annotations qu ils ont produites La m moire de formation doit ainsi manipuler des connaissances coh rentes au sein d une communaut d apprenants ou d un domaine donn e Plus particuli rement notre travail a pour but d implanter une telle m moire dans un outil commercial existant le logiciel e Savoir de la soci t Synergie 3R en faisant voluer son syst me d annotation La question de recherche est donc Quels sont les besoins en termes d annotations p dagogiques Quelle est la structure informationnelle appropri e de l annotation Quelle est la m thode ad quate de sa cr ation Comment adapter ces mod les aux besoins de l outil e Savoir C M thode de recherche Pour r aliser ce travail de recherche nous tablissons en premier lieu un tat de l art sur cette question notre connaissance encore inexplor e des annotations pour l apprentissage Il concerne
121. ponible Perspectives Nous pensons qu il est tr s int ressant d approfondir le cot collaboratif de l annotation concernant son change et son partage En particulier dans le cas o l change se passe entre deux communaut s utilisant des patrons diff rents ou m me avec d autres syst mes o 1l est possible que les ontologies utilis es soient diff rentes Nous avons d j eu acc s certains articles PEP98 et NOROO traitant le probl me de communication entre des ontologies h t rog nes mais pas dans le domaine des annotations Le partage des annotations pose aussi le probl me des droits d acc s et du choix du format d change de ces annotations Nos connaissances voluent en permanence par cons quent nous m morisons certaines informations mais d s que nous n en avons plus besoin nous les oublions Si nous faisons l analogie avec notre m moire d apprentissage constitu e d un ensemble d annotations nous 86 pouvons remarquer beaucoup de similitudes nous annotons souvent ce que nous ne voulons pas oublier mais 1l arrive un jour o nous assimilons certaines notions et nous ne ressentons plus le besoin d en garder trace Ainsi 1l serait int ressant d essayer de proposer des mod les permettant d implanter l oubli au sein d une m moire de formation Concernant les patrons 1l serait int ressant de trouver des m thodes qui permettent de capturer les patrons et le
122. proches essayant de concilier un certain guidage par la machine dans des environnements largement contr l s par les apprenants BRU97 Ces diff rentes volutions des EIAH sont bien d taill es dans BAL99 qui a pr sent chaque type de syst me d enseignement 1 l enseignement programm son enjeu est de permettre une adaptation de l enseignement aux besoins de chacun et de favoriser une participation active de l l ve L enseignement programm vise l individualisation des apprentissages La connaissance objet d enseignement est d coup e en unit s l mentaires associ es des t ches ou des questions dont la finalit est de couvrir l ensemble des comportements voulus Les sanctions positives ou n gatives permettent peu peu l acquisition des bons comportements La question essentielle est ainsi celle des r troactions qui conditionnent l acquisition de bons comportements Exemple La machine enseigner de Skinner ann es 50 RET95 n est pas implant e dans un ordinateur Elle consiste en une bo te dans laquelle se trouve un rouleau de papier que l on peut peu peu d rouler L l ve d couvre en d roulant la bande des questions auxquelles il r pond Si la r ponse est correcte c est dire conforme une r ponse type qui est affich e un dispositif lui permet de perforer la bande de papier de telle sorte que lors du prochain passage seules les questions ayant eu des r ponses incorrectes sont nouveau
123. qualit s il faut suivre tape par tape une m thode qui sp cifie les taches des diff rentes phases G n ralement la conception de l ontologie comporte les tapes suivantes 1 Identification du sujet 2 Construction de l ontologie l saisie de l ontologie 2 codage de l ontologie 3 int gration ventuelle des ontologies existantes 3 Evaluation 4 Et documentation En plus 1l faut s assurer que l ontologie r sultante satisfait certains crit res ce que propose Grunstein dans GRU93 a la clart une ontologie devrait effectivement communiquer le sens voulu des termes d finis la coh rence les d finitions les r gles et les relations d finis entre les concepts ne doivent pas tre contradictoires l extensibilit l ontologie doit tre con ue pour anticiper l usage du vocabulaire partag e La conceptualisation doit tre sp cifi e au niveau des connaissances sans d pendre du formalisme et de la notation choisis pour repr senter cette ontologie Engagement ontologique minimal la conceptualisation ne doit tre pas pouss e l extr me afin que l ontologie puisse tre sp cialis e par ses diff rents utilisateurs L 5 5 Conclusion sur les ontologies Gr ce aux ontologies nous pouvons obtenir une cat gorisation des connaissances d un domaine au sein d une communaut d utilisateurs et m me d applications Cette particularit peut tre exploit
124. que annotation de choisir un parmi ceux qu il pr d fin1 Philippe remplit les autres champs du formulaire la date l auteur son propre nom le num ro du paragraphe concern 8 Philippe enregistre les informations saisies 9 e Savoir valide l annotation et le texte est en surbrillance Avantages gt rapidit augment les valeurs de certains champs sont d j pr d finis en un ensemble de valeurs permises Philippe n a qu a choisir la bonne valeur au lieu d en saisir gt Cette structure facilite aussi la recherche de la valeur des caract ristiques de l annotation mais la recherche est limit e en plein texte Inconv nients gt L auteur remplit les champs sa mani re ses termes peuvent tre incompris mal compris ou interpr t s diff remment par les autres utilisateurs Cela est d au fait que chaque utilisateur pr d fini lui m me les valeurs de chaque champ 62 gt Lenteur de la proc dure Philippe est tout de m me oblig de choisir les valeurs de chaque champ gt La recherche est faite en plein texte sur les champs des annotations Solution Utiliser les ontologies afin de pouvoir obtenir un langage commun entre les diff rents annotateurs Ce langage vise unifier le vocabulaire utilis dans le domaine des annotations et donc d am liorer la communication entre les diff rents utilisateurs du syst me IL 3 5 Quatri me sc nario tat actuel annotation structur
125. r e Comme avec les annotations les r ponses peuvent tre enregistrer sur des serveurs ou localement Toute l information li e une annotation corps auteur de l annotation titre de l annotation maintenant est stock e au format UTF 8 Fichier dition l ments Liens WUES Style Sp cial notations ide NUE WU E Ae Ba Hi a Ha r FiF FservicesrHtmiDocs Clip sz4 042001 rgetar UO s errmathie d m an ge oth QUIL LOI SUIS SI S OIL TAU S aAa GIL Th L annoteur T x Amaya mmiase le navigate ET inpl mente depuis PEU Un sy st d7 amnnotanons OU encore stocker sif Fichier dition l ments Liens wes Style Sp cial Attrib uts Ann aoatation s Aide en local sans se connecter su seb zhin A TTT A 1 0 et d crites ps ECF Resource Lres cript orl m tadonn es EE permet uwane inf l Title Annotation of Partie B inf orman ons sur le eb RCE faci i p N H B Author manget Source document Partie B Ann Otation type C Omm erit Created z001 09 1 0T 6 1 5 59 HEF oianter Ht Foiater L a aanaguaf langage utilis comme base pourr bas sur Path FPF ath Il p ermer i choix de ses partes internes bas walenrs d attributs les caract res Last modified 2001 09 10T 6 1 5 59 Exemple d anno tationrn H Tout d abord l unlhisateur conf f i CLIN I x C1 LI CLEI LL g7 I m 1 EROTA V O EET ET d Else pp bods html Document
126. r sultats sont int ressants mais ne sont pas compl tement transposables vers l annotation dans les documents lectroniques Reprenons les quatre param tres qui selon C Marshall influent sur l annotation Le type de papier dans l annotation lectronique la notion de papier n existe pas par contre nous pouvons faire une analogie avec les param tres de visualisation du document ses dimensions la qualit de la visualisation Le format de la page la notion de format de la page dans les documents lectroniques est plus riche que sur papier certains documents n ont m me pas de contreparties en papier c est le cas des cartes conceptuelles dans le logiciel e Savoir o chaque n ud est lui m me consid r comme un autre document La disponibilit d outils d annotations contrairement aux annotations sur papier le probl me d indisponibilit des outils d annotations ne se pose pas Sauf dans le cas o l annotation est r alis e gr ce des stylets sur des crans tactiles La mati re travaill e ce r sultat devrait rester transposable sur les documents lectroniques Il signifie que la forme d une annotation d pend du domaine du contexte La distinction que fait C Marshall entre les annotations explicites et implicites est importante dans le cas des annotations sur papier les annotations t l graphiques n tant compr hensible que par leur auteur leur partage avec les autres n est
127. reprenaient celle de J Virbel dont les travaux concernaient la lecture active ind pendamment de l apprentissage ses recherches visaient permettre aux lecteurs de la BNF Biblioth que Nationale de France de pouvoir annoter les livres sans modifier les versions originales en papier C est de la qu a merg l id e de num riser les livres et de r aliser un poste de lecture active qui permette donc aux lecteurs d annoter les versions lectroniques de ces livres Enfin l exp rience de D Mille concernait seulement l annotation didactique d un document consid r comme le support d un examen Nous consid rons que ces diff rentes typologies d objectifs comme compl mentaires n cessitant une g n ralisation et une adaptation notre contexte d apprentissage 30 1 3 6 Classification des annotations Nous avons trouv plusieurs classifications des annotations entre autres celle de C Marshall dans MAR98 M Veron dans VER97 ou de P Huart dans HUA96 Le document de C Marshall peut tre consid r plut t comme une ensemble de classifications selon des crit res diff rents qu elle appelle elle m me dimensions 1 3 6 1 La classification de C Marshall L annotation couvre un large territoire et elle est interpr t e de diff rentes mani res une ligne trac e un commentaire un ast risque indiquant un endroit pr cis ou une m moire de groupe etc Ceci nous am ne dire que l annotati
128. res syst mes auteurs et g n rateurs d activit s permettent de faire Elle aurait pr f r qu on puisse visualiser plusieurs ressources la fois Elle aurait pr f r qu il y ait deux versions de e Savoir une auteur et l autre lecteur ne permettant que de visualiser les cartes mais pas de modifier les cartes qu elle a cr e EF V 3 Les annotations Elle annote pour les tudiants qui vont utiliser ses parcours p dagogiques mais jamais pour elle m me Elle utilise les annotations pour atteindre certains objectifs D crire le document de la carte qui se trouve la droite de la carte vu que le titre et l troitesse de la carte ne lui permettent pas de bien pr senter le document du n ud Ecrire des consignes qui doivent expliquer ce que doit faire l apprenant ou enseignant l ouverture du document V 4 Utilisation des annotations Elle dit qu elle n utilise que peu les annotations et qu elle m me enlev celles qu elle avait pos es au d but et cela pour la raison suivante l annotation cr e est automatiquement affich e sur la gauche au dessous de la carte ce qui fait que l attention de l utilisateur lorsqu il clique sur un n ud se focalise sur le document ouvert qui est sur la droite et par cons quent la plupart des utilisateurs ne lisent pas l annotation qui accompagne le document 94 L autre raison est que d s que l utilisateur s lectionne un d
129. rgement de la page un ic ne appara t sur la carte D s la deuxi me page les liens entre les pages se tracent seuls sous la forme de fl ches qui vont de la page o se trouve le lien la page qui s ouvre en cliquant sur le lien L 2 3 5 Les parcours Les parcours permettent de r aliser un tour guid dans un site par exemple en y adjoignant des exercices L utilisateur doit alors passer d une page l autre un contr le du temps pass sur chaque page est possible pour le concepteur Un parcours est d coup en un ensemble d tapes successives qui sont soit des cartes soit des exercices Il est possible de g rer le temps en obligeant les utilisateurs ne passer que x secondes sur une tape On peut ensuite enregistrer le parcours puis le visualiser On y navigue avec les boutons d but pr c dent suivant fin Le bouton Bilan permet de savoir combien de temps l utiisateur a pass sur chaque page 1 2 3 6 Les exercices Plusieurs types d exercices peuvent tre ins r s dans une carte des QCU Question Choix Unique ou des QCM Question Choix Multiple 1 2 3 7 Les annotations Chaque objet peut galement tre annot L utilisateur peut ajouter une annotation de plusieurs fa ons soit par un clic droit sur l objet qu il veut annoter soit en cliquant sur le bouton Annoter dans la barre de menu e Savoir 17 e EO Lt Duwrir me i Cr er un lien partant
130. ri t s du type param tr annotation sont d velopp es ci dessous 73 Notons que comme mentionn dans l tape deux pour certaines des ontologies suivantes nous nous sommes inspir s dans ontologies de la biblioth que en ligne ONTOLINGUA ONT02 Une ancre L url et le n ud sont des propri t s du concept ancre Ancre URL Nceud Position dans le document Une forme visuelle Forme visuelle Ci annotations d ajout et de modification Ci annotations d ajout L ajout d un objet annotatif L ajout de remarque Ci Texte ajout Ci en rapport direct avec le contenu C Ext rieur au document Remarques personnelles Lien avec le cours Structuration du document amp C Les annotations de modification 0 lien vers partir d un texte 0 liens partir du texte amp Ci liens vers le texte C liens double sens i mise en valeur surignage Mot cl id e Exemple D finition mise en forme 74 Le Oui Qui apprenant 9 tudiant tudiant pr parant un diplome tudiant en dess tudiant en dea tudiant en deug tudiant en post graduation th sard post doc enseignant Ma tre de Conf rences professeur Enseignant chercheur Le Quand Quand Date Heure P riode Le O O Lieu Chez soi e Lieu de travail amp
131. rmatis permettant l interconnexion de documents de divers types ceci non sur la base d un mod le hi rarchique ou relationnel mais par des m canismes associatifs sous contr le de l utilisateur Le terme hypertexte fait r f rence tout texte con u de fa on ce que la lecture soit non s quentielle et varie d un lecteur l autre De tels textes peuvent exister sur support papier cependant dans le cadre de ce travail nous nous int ressons plus sp cifiquement aux textes lus par l interm diaire d un cran d ordinateur L apparition des hypertextes dans les environnements d apprentissage eu pour r sultat d augmenter le contr le de l environnement par l apprenant de rendre l interface plus conviviale et faciliter la gestion des aspects multim dias Il y a eu deux g n rations d hypertextes la premi re tait centr e sur la navigation en tant que moyen de d organiser l information pour l usager la navigation tait simple et bas e sur le cheminement Cette premi re g n ration n est pas guid e et offre deux modes d acc s hi rarchis s arbres ou r f rentiels graphes La seconde g n ration s appuie sur une plus forte structure o les liens sont typ s ils noncent des relations s mantiques entre les informations 1 2 2 L apport de l hypertexte l apprentissage L hypertexte permet de rendre les documents r actifs capables de r agir aux sollicitations du lecteur ce qui au
132. rtains des l ments de sa classification comme les index les entr es du sommaire Cette classification est accompagn e du sch ma de cr ation de chaque type Ces tudes sur les diff rents types d annotations montrent la fois de nombreux points communs et certains points diff rents qui r sultent en particulier d un contexte de recherche diff rent Pour pouvoir concevoir une m moire de formation 1l nous faudra tablir un formalisme couvrant tous ces types et en particulier notre contexte L annotateur pour atteindre un objectif utilise un des moyens propos s par l annotation Encore faut il que cet objectif soit compatible avec ce que peut accomplir la forme l annotation c est dire que le moyen permette d atteindre l objectif 39 1 3 7 Corr lation entre les formes et les objectifs des annotations Que a soit MAR98 ou HUA97 les auteurs ont observ l existence d une corr lation entre les formes utilis es pour annoter et l objectif que l on veut atteindre par la pose de cette annotation Il semble exister des objectifs compatibles avec tel ou telle forme et incompatibles avec telle ou telle autre Par exemple C Marshall apr s avoir num r les diff rents objectifs de l annotation affirme que les annotateurs tudiants universitaires dans ses recherches utilisent souvent les m mes formes visuelles pour exprimer les m mes objectifs Elle r sume cette corr lation entre la forme et la fo
133. rvention de Philippe Philippe la possibilit de visualiser et v rifier le contenu des champs de l annotation et en modifier la valeur Dans le cas o le patron ne sp cifie pas les valeurs de certains champs e Savoir demande Philippe de le faire Avantages gt Simplicit d usage Urilisabilt e du syst me augment e syst me convivial gt Gain de temps consid rable gt Communication facilit e entre les diff rents utilisateurs Ils utilisent des termes appartenant un langage commun mat rialis par les ontologies gt Coh rence des informations vu qu elles appartiennent une ontologie donc un vocabulaire commun l utilisateur n a qu choisir la bonne valeur gt Efficacit les ontologies guident l utilisateur vers des valeurs du contexte g n ral II 4 Les interactions avec l interface de l outil Dans cette partie nous reprenons les deux derniers sc narios et nous les d taillons en proposant des interactions entre l utilisateur et le syst me IT 4 1 Troisi me sc nario tat actuel annotation structur e ontologie 1 Philippe veut annoter le terme en anglais PIN CODES 2 Philippe clique sur le n ud repr sentant le document smartcard applications dans la carte conceptuelle de e Savoir 3 Philippe s lectionne dans la palette des annotations l outil de mise en surbrillance choisit la couleur rouge 4 Philippe place le curseur au d but
134. s objectifs nes architecturer reformuler commenter documenter corr ler programmer indirectemen na D lt QO na au D Annotations S Surlignage mise en forme oul Dictionnaire l ndex Sommaire marque page objet commentaire l mon non non _ fnonfnon non nn non fnonfnon oui non 1 1 1 22 D O D R f rence D D o IB O BE D AE D non on non on non oui on ui oui on owi ouifnon non n n ul ui n 5 5 non non u oui on on n on u on oui Remarque no ui u o on non D D O D z 5 O n O n O n O D D BE D Correction non o non Restructuration fnon non oui non non non non non non Il cite des exemples d incompatibilit s comme par exemple pour commenter un passage on ne peut se contenter de le surligner car on n apporte alors qu un jugement qualitatif donc on hi rarchise ou encore un exemple d quivalence pour commenter un passage l ajout de l objet commentaire remplit parfaitement cette t che non non non non non non oui oui non non Commentaire Nous retenons de ces tudes de C Marshall et P Huart que des relations permettent de d duire la s mantique principalement leur objectif des annotation depuis leur form
135. s annexes doubles B 3 1 La r f rence double Ce sont deux r f rences qui ont la particularit s que l origine de l une et la destination de l autre ce qui permettra une navigation dans les deux sens Cela permettra au lecteur de revenir sa lecture initiale apr s avoir eu acc s la r f rence Le sch ma de cr ation est semblable ceux des annexes de compulsion B 3 2 Le sommaire et les annexes doubles L auteur consid re le sommaire comme une annexe avec des liens doubles car partir de n importe quel point dans le texte nous pouvons retrouver son entr e dans le sommaire et vice versa a partir de n importe quel entr e du sommaire nous pouvons se rendre au d but du paragraphe correspondant Le sch ma de cr ation est semblable ceux des annexes de compulsion 37 C Les annotations d ajout et de modification C 1 Les annotations d ajout L objectif de ce type d annotation est de documenter et de commenter un texte le Note it par contre sert programmer Cette annotation consiste ajouter un objet qui peut tre du texte ou un graphique C 1 1 L ajout d un objet annotatif L objet annotatif est tout objet demandant une construction de la part du lecteur Il peut s agir d un texte commentaire explication traduction d un graphique courbe dessin de donn es tableau base de donn es liste index e de formules d un son de l image fixe ou anim e La proc dure de
136. s des annotations montre que leur implantation contribue atteindre les objectifs de notre m moire l utilit aide la lecture repr sentation concise d un document classification personnalis e des documents et recherche d information l utilisabilit annotation automatique partir des mots d une requ te et simplification d une carte de navigation efficacit pour l apprentissage aide la lecture partage Partage inopin d annotations partage intentionnel Il est alors int ressant d avoir une m moire externe int grant une ou plusieurs de ces applications cit es 45 I 4 LES MEMOIRE D ORGANISATION Le terme m moire d entreprise d signe l ensemble des savoirs et savoir faire en action mobilis s par les employ s d une entreprise pour lui permettre d atteindre ses objectifs produire des biens ou des services Le terme plus g n rique m moire d organisation indique que cette notion de m moire peut s appliquer n importe quel type d organisation qu il s agisse d une entreprise d un service ou d partement au sein de l entreprise ou bien une chelle plus petite d un projet JEA99 L ensemble des annotations constitue une m moire d apprentissage ces annotations assistent l apprenant tout le long de sa vie dans le processus d apprentissage La m moire d apprentissage constitue une m moire pour l organisation et en particulier d une
137. s lecteurs Dans ce cas la forme de l annotation est importante car par exemple repr senter les annotations en bas de page favorise moins la discussion que si elle est repr sent e entre lignes du document Ta EE Men rset Format Hamal Fi colista mT 5 Ehe air ha joined ER sas Did pou lab ko are ol be gibiers aout his mea Armir Les Zos Ha heu krom shat aky Twas eunicks And the asky joer H er Ho n ache skanneff at the n ere the bye ee er Hi 1 Mas TT iz nn FE bis x cari ha s up lt ie Moore ese seang lo kron hese l Let not its bits in temp space i enar omm ue Guard well the Passpass wolios Dosw 5 lt cor Lot that the Jasbenaackp version ol the aNs The durbious Internet internet om z e cand link here s seb page abat t He put his darpal code in rares sureni Long time the decson foe he sought So waited he in the Dirdir treg Figure 19 Des discussions li es des ancres dans le document B Utilisation indirecte des annotations B 1 Repr sentation concise d un document Les annotations lectroniques poss dent l avantage d tre facilement manipulable ce qui a pouss certains outils IMarkup proposer d extraire l ensemble des annotations faites sur un document afin de g n rer une vue synth tique Cela devrait aider le lecteur acc der rapidement aux points importants du document De la m me mani re
138. s mod les qu utilisent les diff rents utilisateurs dans le domaine de l enseignement ou autres car les tudes de la litt rature montrent qu il est tr s difficile de les d couvrir Un projet de recherche dans ce sens a t d pos dans notre quipe en collaboration avec des psychologues du travail Appel d offre Cognitique Cot d veloppement l outil r alis permet d exporter l ensemble des annotations en un fichier XML ce qui augmente son interop rabilit D autres langages convenant mieux la repr sentation de la s mantique mergent et sont de plus en plus int gr s dans les syst mes d annotations sur le Web Il s agit de RDF Resource Description Framework d velopp par le W3C de DAML DARPA Agent Markup Language et de OIL Ontology Inference Layer tous trois bas s sur XML Pour garantir une interop rabilit dans le temps il serait int ressant de les int grer dans l outil ce qui nous permettra entre autres l exportation et l importation des annotations avec d autres syst mes h t rog nes 87 Bibliographie ALL97 APP97 BALO1 BALO2 BER01 BOU01 BRO02 BRU97 Allal L Crahay M Hypertexte et apprentissage Cours DES intitul Apprentissages en contexte 1997 TECFA Facult de Psychologie et des Sciences de l Education de l Universit de Gen ve http tecfa unige ch grob trav2 htm Appleton B Patterns and Software Essen
139. s sont de plus en plus accessibles gr ce aux technologies r seaux Web peer to peer et un co t moindre Par cons quent a quantit des annotations cr es par un apprenant croit exponentiellement ce qui rend leur gestion plus difficile organisation tri recherche etc Par ailleurs gr ce aux technologies r seaux l change de fichiers est de plus en plus facilit et acc l r le partage des documents et de leurs annotations deviennent alors de plus en plus fr quents Cela pose le probl me de la coh rence des connaissances manipul es ou r f renc es par ces annotations entre les diff rents apprenants B Objectifs Le contexte de ce sujet de DEA est le projet MICA M moire Individuelle et Collectives d Apprentissage de l quipe ARCADE du CLIPS L objectif g n ral du projet est de proposer des mod les des m thodes et des outils logiciels pour assister un apprenant dans sa t che au moyen d environnements logiciels de m moire d apprentissage Ce qu on appelle ici environnement de m moire de formation est un espace informatis o individus ou collectifs d individus constituent une m moire externe centr e sur les documents lectroniques qu ils ont manipul s dans leurs t ches de formation Concernant l apprenant cette m moire doit contenir toutes les annotations qu il a r alis es pendant ses p riodes d apprentissage lors de ses formations initiales ou continues Ainsi cet environ
140. se en trois phases d abord il faut choisir la classe ensuite cr er des instances individuelles de chaque classe et enfin compl ter les valeurs de ses propri t s III 1 2 Utilisation de la m thode Nous nous inspirons de la m thode pr sent e ci dessus pour d velopper les diff rentes ontologies dont nous avons besoin Vu que le d veloppement d une ontologie est en lui m me un travail d envergure nous n utilisons pas la m thode en profondeur 70 Tout d abord il faut d finir notre domaine nous qui est celui de l annotation didactique DESO02 L annotation didactique est l annotation r alis e par une personne apprenant enseignant dans le but d apprendre ce qui revient dire que l usage attendu de notre ontologie est l apprentissage Elle sera utilis e par aussi bien par des apprenants que par des enseignants dans le cadre de leurs processus d apprentissage Les enseignants annotent pour eux m mes ou pour leurs tudiants Les tudiants peuvent aussi annoter pour eux m me ou pour leurs enseignants Dans la deuxi me tape nous devons consid rer les ontologies existantes afin de les r utiliser Nos recherches dans les biblioth ques d ontologies www daml org ont abouti deux ontologies La premi re repr sente la classe Web annotation et d finit les propri t s pour d crire les annotations sur le Web La classe annotation gt Le type de cible d une ressource d a
141. se et la synth se des connaissances d un domaine Sp cifier un contexte En repr sentation des connaissances la d finition d ontologies c est dire la description formelle d entit s et de leurs propri t s relations contraintes et comportement dans un domaine particulier offre une base solide au d veloppement de nouvelles m thodes d application de raisonnement sur les connaissances Outre leur apport en mati re de r utilisabilit de modularit et de partage de connaissances les ontologies permettent de d finir un vocabulaire pr cis sur lequel est bas e la communication entre les diff rents acteurs d un projet Elles sont galement utilis es pour la description en langage naturel et l annotation de documents Enfin les ontologies permettent de simplifier l tape d analyse et de synth se d une partie de la connaissance dans le d veloppement de syst mes et diminuent de ce fait le co t de conception de ces syst mes Aucune m thodologie de conception d ontologie n a t clairement d finie ce jour m me si plusieurs tapes cl s sont incontournables identifier le sujet saisir et coder l ontologie en incluant ventuellement des ontologies existantes et enfin valuer et documenter 52 1 5 4 La conception d une ontologie Concevoir une ontologie est une tache qui exige et mobilise beaucoup d effort et de ressources c est pour cette raison que pour atteindre des ontologies de
142. sid re que l annotation ne peut pas tre modifi e et si c est le cas alors il s agit d une nouvelle annotation mais pas d une nouvelle version Notons qu une annotation de fa on g n rale n est pas restreinte une r vision d un texte m me si en particulier son objectif peut tre de r viser un texte De ce fait dans ce mod le g n ral une annotation reste en lecture seule et n est r vis e que par une annotation sur cette annotation 24 L 3 4 3 Synth se des deux mod les Les deux structures se ressemblent dans la plupart des propri t s avec quelques diff rences Dans le mod le de Matthieu Veron nous ne trouvons pas l int r t de la propri t le support Concernant la propri t histoire nous pr f rons consid rer une nouvelle version d une annotation plut t comme une nouvelle annotation l annotation n tant pas un document Le deuxi me mod le est plus g n ral le fait d organiser l ensemble des propri t s du contexte d une annotation comme de sous propri t s de contexte permet de mieux organiser notre connaissance de l annotation La propri t ancre compos e seulement de deux propri t s url et emplacement est plus simple que la propri t lieu du mod le de M Veron Cela est peut tre d au fait qu en 1997 il n tait pas simple de repr senter un endroit pr cis dans un document Ce qui n est plus le cas actuellement gr ce aux techniques XPoi
143. st risques et toiles Cercles et cadres autour des mots et Cercles et cadres autour de pages enti res gt r sg d expressions Fl ches et d autres dispositifs pour relier des inscriptions l int rieur du texte d autres inscriptions sur la marge Explicite Notes sommaires crites entre les lignes Expressions courtes sur la marge Notes en particulier les traductions des mots en tendues dans la marge langues trang res Notes tendues sur les pages blanches la fin du livre Probl mes travaill s dans les marges L utilisation d un type ou d un autre d pend de plusieurs param tres entre autres le type du papier de document annot le format de la page les pages avec de grandes marges est plus facile annot sur les marges la disponibilit d outils d annotation l tudiant ayant sa main un crayon de mise en surbrillance vite de poser des commentaires car ces commentaires ne seront pas claires lire Selon l auteur le type d outil utilis d pend aussi de la mati re travaill e Par exemple le crayon est l outil le plus utilis pour l annotation en math matiques selon MAR98 dans les r cits complexes de philosophie les tudiants utilisent beaucoup le soulignement et la mise en valeur en surbrillance Dans les travaux de litt rature fiction de langue anglaise les tudiants pr f rent les annotations sur les marges Commentaire Nous consid rons que ces
144. t University of Hamburg Germany Publi dans Theory and Practice of Object Systems 2 1 1996 Page 3 13 GOLOVCHINSKY G Emphasis on the Relevant Free form Digital Ink as a Mechanism for Relevance Feedback Actes de ACM SIGIR 98 Melbourne Australie 1998 Golovchinsky G Price M N and Schilit B N From Reading to Retrieval Freeform Ink Annotations as Queries Actes de SIGIR 99 Berkeley CA 1999 Gr ninger M Fox M S 89 GRU93 a GRU93 b GRU9S GUA97 a GUA97 b GUY01 GZA00 HANO2 HE196 Methodology for the Design and Evaluation of Ontologies Workshop on Basic Ontological Issues in Knowledge Sharing IJCAI Montreal 1995 Gruber T R Toward Principles for the Design of Ontologies Used for Knowledge Sharing Stanford Knowledge Systems Laboratory 1993 T R Gruber A Translation Approach to Portable Ontology Specifications Academic Press 1993 ftp ftp ksl stanford edu pub KSL Reports KSL 92 71 ps Gruninger M et Fox M S Methodology for the Design and Evaluation of Ontologies Paru dans Proceedings of the Workshop on Basic Ontological Issues in Knowledge Sharing IJCAI 95 Montreal 1995 Guarino N Some Organizing Principles for a Unified Top Level Ontology AAAI 1997 Spring Symposium on Ontological Engineering LADSEBCNR F vrier 1997 http www ladseb pd cnr it infor Ontology Papers OntologyPapers html Nicola Guarino Semantic Matching
145. t minimum A partir de cet tat de l art nous avons propos un mod le qui comprend d abord une formalisation de l annotation Nous repr sentons l annotation par la structure suivante une ancre une forme visuelle un contexte une valeur un acc s le contexte tant lui mme compos de champs Qui Quand Ou Pour qui Quoi Pourquoi Cette structure est assez g n rale afin de supporter les types d annotations et leur s mantique que nous avons cit s dans l tat de l art 85 Notre mod le emploi ensuite les ontologies qui nous servent repr senter les connaissances manipul es et r f renc es par les annotations Les patrons permettront d am liorer l utiisabilit du syst me et cela en acc l rant l op ration d annotation en fait 1ls seront utilis s afin de d duire certaines donn es partir du contexte Ce contexte inclut l utilisateur lui m me son groupe d appartenance et le domaine sur lequel il travaille Nous reprenons nos objectifs de d part en montrons comment nous avons proc d pour les atteindre Utilit Le formalisme que nous avons adopt fournit une structure riche s mantiquement Cela permet d appliquer des traitement informatiques divers sur les annotations comme la classification selon des crit res diff rents ou une recherche sur les annotations plus riche car les annotations puisent les valeurs de leurs propri t s dans les ontologies etc
146. t une aide la navigation sur des sites pr s lectionn s dans le cadre d une activit de d couverte Il vite l apprenant de se perdre dans l abondance des liens hypertextes et dans la masse d informations Il permet de g rer les favoris et de structurer les ressources issues du Web sous formes de cartes de connaissances De plus 1l est possible de structurer un ensemble de ressources diverses autour d un th me quels que soient le format bureautique page Web ou multim dia 1 2 3 1 L interface L cran se pr sente en trois parties Des barres sur la partie sup rieure Une barre de menus Une barre d ic nes Un cran gauche contenant les cartes Un cran droit dans lequel s affiche les fichiers 15 Barre de menu classique du navigateur g e Savoir Navigateur 1 1 Fichier E TE T 0 A 2 Pr c dente Suivante Arter Actualger Ouvrir Rechercher Imprimer Edition Carte Favoris e Savomon i e mW o GA wA A Nouveau Ouvrir Enregistrer Ins rer Affichage Mode carte Annoter Rechercher EE Adresse http wmm clps imag tr Edition Carte Edition Navigateur Affichage Options Barre de menu e Savoir Choix du mode de navigation GRAVIR CLPS n D G ARCADE C D ARCADE Projets SRT DNE D eE ARCADE Projets eE MRIM Projets cE ARCADE Projets Cognitique 309 rue de la Actualit s
147. tial Concepts and Terminology Object Magazine Online Vol 3 No 5 Mai 1997 Balacheff N Lectures sur les EIAH Cours au DEA EIAH D module I1 Grenoble 1999 http www didactique imag fr CoursDEA1 CoursEIAH index html Balacheff N propos de la recherche sur les environnements informatiques pour l apprentissage humain Cette note a t r dig e en pr paration d une participation au s minaire Cognitique sur les Technologies de l apprentissage organis Poitiers 2001 http www didactique imag fr Balacheff TextesDivers CognitiqueETAH html Berners Lee T Hendler J Lassile O Le Web s mantique Traduit par Elisabeth Lacombe et Jo Link Pezet La lettre de l URFIST de Toulouse N 29 30 3 me trimestre 2001 http www urfist cict fr lettres lettre28 lettre28 22 html Boutros N David B Construction et fonctionnement d une famille de didacticiels hyper et multim dia professionnels Article pr sent pendant le Seme colloque hyperm dia et apprentissage Grenoble 9 11 Avril 2001 Brouard T Mod lisation Objet Ecole d Ing nieurs en Informatique pour l Industrie Tours http www e31 univ tours fr duac OMT index htm cours mod lisation objet pour le dipl me universitaire d actualisation des connaissances 2002 Bruillard E Les machines enseigner HERMES Paris 1997 88 DEN00 DENO1 DES01 DES02 DEV00 DIE98 DIR96 GOL98 GOL99
148. ticuli res qui engendrent certains probl mes auxquels les ontologies peuvent apporter des solutions La communication entre humain pose surtout des probl mes quand les acteurs de cette communication ne sont pas du m me domaine et n utilisent donc pas forc ment le m me langage La r utilisation le partage de connaissance et d ontologies suppose que plusieurs utilisateurs soient d accord sur les ontologies partag es Dans le domaine p dagogique c est la communication entre auteurs et informaticiens qui est parfois difficile d o l int r t d utiliser des ontologies dans les environnements auteur pour la d finition d un vocabulaire convivial et pr cis dans la d finition des t ches p dagogiques 51 Une fois que les acteurs humains d un projet sont d accord sur une ontologie la communication avec le syst me se fait naturellement en utilisant cette ontologie De plus l adaptation des ontologies la description de textes en langage naturel semi structur s am liore la communication dans le sens machine homme Les ontologies peuvent galement tre utilis es pour harmoniser la communication entre diff rentes applications ou entre diff rents agents et cela repose souvent sur une ontologie du domaine Si le r le principal d une ontologie est de favoriser le partage et la r utilisation de la connaissance il faut cependant distinguer plusieurs types d utilisation qui entra nent des besoins diff
149. tilisant les mots surlign s de ce nouveau document C 2 Annotations automatiques partir des mots d une requ te Il s agit ici d annoter automatiquement les document retrouv s partir des termes d une requ te en surlignant touts les termes de la requ te qui apparaisse dans le document searched term annotation NPC SRE aA oc attaching ennobation to dorimenb Fos PR SE S to donments Annotations ste not physi Che documents Bnrnotetions Are nade of t d displey bhe emnotation as this locati E ATLLOT STIOHS AocMENS D petadste no ennotetique SEE associate 509 by ll tha emnotation systons l E on doirur so cho ennorotion positioning al ent content usualy agents ofthe d cur hch used by al the systems l on a HT accech cho enAOocaTions L cha nana C il S US SR US E TRE TA ANE N E f daing zo the postiorung algert to flename change it went attach the 3 the name changes Thus i very fristratne special ammotated documents are Web pages 1wodd ke X Libris to ind out that ta is the same document ewi Location has changed But it s worth asking if we could find scenarios where the ayatem should notre iE the metadata hae changed Maybe some users would Hke to specii tiat tei 5 vewed any for the document located at TEL X or oamed In the following annotations are upposed te be attached to a document content Figure 21 R sultat d une recherche intra doc
150. ulation dessin etc 1 3 6 3 La classification de Patrick Huart P Huart dans son rapport HUA97 expose sa propre classification des types d annotations il s agit d un gros travail tr s d taill cette classification est caract ris e par trois grandes cat gories et ceci suivant la finalit de l annotation gt La mise en valeur gt Le lien vers un autre texte gt La modification du texte A La mise en valeur L objectif voulu par le lecteur est de mi rarchiser et d architecturer le texte pour cela 1l essayera de faire ressortir le passage s lectionn par rapport au reste Dans ce type d annotations l utilisateur ne peut pas d clencher une action en activant l annotation contrairement au lien hypertexte c est pour cette raison qu elle est consid r e comme une annotation passive Elle englobe plusieurs sous classes A 1 Le surlignage Sa forme d pend de la personne qui l effectue utiliser un stabilo un souligner en trait plein en pointill encadrer un passage L auteur identifie le surlignage simple sans aucune s mantique et le surlignage s mantique cette s mantique diff re selon les personnes elle est li e l utilisation par exemple de diff rentes couleurs qui auront des sens diff rents Il est aussi important de noter que cette s mantique peut diff rer chez la m me personne travers le temps L auteur identifie aussi le surlignage n gatif comme
151. ument et navigation du r sultat vers le document Cette fonction de recherche intra document est utile pour valuer rapidement la pertinence d un document retourn par exemple par un moteur de recherche C 3 Simplification des cartes de navigation L auteur propose aussi d exploiter les annotations afin de diminuer l effet de d sorientation sur les cartes de navigation con ue pour le Web qui elle m me visent permettre l utilisateur de mieux se rep rer Dans ces graphes les documents sont repr sent s 44 soit par une image r duite de leur premi re page soit par leur titre Les annotations permettraient de g n rer des repr sentations concises et personnelles de chaque document j i g bar iar m ms m un aa e Figure 22 Le prototype PadPrints permet de visualiser le parcours d un utilisateur pendant sa navigation sur le Web e Savoir int gre la m me fonction Le fait qu un document soit annot pourrait galement tre utilis pour le discerner d autres documents Les historiques de navigation tels que ceux pr sent s actuellement en 2 ou 3 dimensions ne seraient alors plus seulement des outils facilitant l orientation en temps r el ils permettraient galement de retrouver rapidement les lots d informations int ressantes et donc de supporter la recherche d informations par navigation Conclusion sur les nouvelles applications des annotations Cet tat de lart des nouvelles application
152. usse page 321 reportez vous elle pourrait renvoyer ou bien un endroit du m me texte ou d un autre document L auteur la diff rencie de la r f rence bibliographique La r f rence pourrait avoir deux aspects o Entre deux passages de la m me page elle est souvent repr sent e par une fl che qui relie les deux passages o Lorsque les deux passages sont plut t loign s alors elle prendra la forme d un commentaire qui indique les coordonn es du deuxi me passage L hypertexte est la forme informatique de la r f rence il suffirait alors de cliquer sur le lien pour acc der au passage r f renc La cr ation d une r f rence vers un autre passage suit g n ralement les tapes suivantes l s lection du passage ou du point d insertion 2 s lection du passage ou du point en relation 3 mise jour affichage et cr ation du lien dynamique op ration syst me L auteur diff rencie le rappel de la r f rence car ce dernier se traduit par une recopie d un passage en marge du texte D finition formule etc B 1 2 Le dictionnaire et les annexes de compulsion L auteur consid re le dictionnaire comme une annotation de type ajout mais qui est plac hors du texte et qui contient des liens qui sont simples leurs origines sont des mots du texte et leur destination une entr es du dictionnaire chaque entr e du dictionnaire est d finie comment e La bibliographie fonctionne de la m me ma
153. utilisateurs Guidage le syst me devrait offrir des moyens pour orienter l utilisateur dans ses r ponses Ces objectifs sont atteints gr ce l utilisation combin e des ontologies et des patrons En effet les utilisateurs utilisent souvent des termes diff rents pour signifier la m me chose ou au contraire utilisent des termes pareils mais chacun poss de sa propre s mantique de ces termes la cela pose un probl me de la coh rence de la connaissances manipul e par cons quent la qualit de communication entre les utilisateurs du m me syst me est perturb e vu qu ils n utilisent pas le m me vocabulaire et c est la qu intervient l utilisation de 59 l ontologies car c est elle qui permet de d finir un langage commun partageable entre les utilisateurs mais aussi la machine Nous d duisons alors que l utilisation des ontologies nous permet d obtenir un syst me coh rent Les annotateurs utilisent souvent la m me forme et couleur d annotation pour signifier le m me objectif cette constatation nous permet de constituer pour chaque personne ou groupe homog nes d utilisateurs un tableau de corr lation entre leurs objectifs d annotation et les formes qu ils utilisent pour l atteimndre C est ces tableau que nous appelons patrons nous reprenons ici le concept id e des patrons d Alexandre BRO02 pour un contexte donn le syst me utilise un patron ou des patrons particulier
154. utre couleur ANNOTATE Contrairement la fonction pr c dente qui cr e des annotations informelles non structur es s mantiquement ANNOTATE permet de r aliser des annotations formelles explicites et structur es Chacune des annotation se compose de type de document th me genre de s lection commentaire auteur VIEW Cette fonction est utilis e afin de visualiser les annotations existantes sur une page Un des inconv nients de Yawas est que lors de l affichage d une page pr c demment annot les annotations ne sont pas automatiquement affich es et 1l faut utiliser la fonction VIEW qui active toutes les annotations FIND enfin cette fonction permet d annoter toutes les instances d un terme dans un document ce qui permet de les retrouver rapidement a Jboratoire CUPS UMR CNRS UJFIINPG 5524 Highlight AE ue de le Mi ds itl huis Nr ET AO AA urnes te d aen M1 Tt drr m paper classification T Le laboratoire CLIPS domaines suivants definition hi Interactions horn Le site du clips Interactions Aurr des azoauou falcal imag fr ur des th mes Environnements Indexation de de Ing nierie de l interaction et r alit augment e AHM Interaction verbale et dialogue homme machine GEOD Pig Interfaces collaboratives etou multimodales EOD IHM MRIN Recherche d informations et recherche documentaire MRIN Annotate Traduction automatique GETA de la langue multilinguisme GETA
155. ve Une deuxi me d finition de Jacques Virbel dans HUA97 d finit l annotation comme l activit du lecteur qui consiste poser des marques graphiques ou textuelles sur un document papier et ce suivant plusieurs objectifs dans cette d finition l annotation est toujours le r sultat d une activit du lecteur qui vise atteindre un ou plusieurs objectifs La derni re d finition dans DES02 est la plus r cente les auteurs d finissent l annotation comme tant tout objet qu une personne ajoute un document avec un objectif sp cifique Contrairement la deuxi me d finition o l annotation est seulement une marque graphique ou textuelle la derni re d finition est plus pr cise L annotation est plus g n rale et est consid r e comme un objet qui pourrait tre du texte un graphisme un lien hypertexte texte ou image un pointeur vers une autre ressource etc Synth se Ces diff rentes d finitions s accordent sur le fait que l annotation n est pas une fin en soi mais un outil que l apprenant exploite suivant ses besoins et ses objectifs La troisi me d finition est la plus g n rale nous avons d cid de l adopter mais aussi l adapter Cette d finition consid re qu une annotation n a qu un seul objectif alors que Jaques Virbel consid re que nous annotons suivant un ou plusieurs objectifs ce qui nous parait plus juste 20 Par exemple en pr parons la synt

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