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LDCN - Nuclear Waste Management Organization

1. La Soci t Membres du Conseil d administration Gary Kugler Pr sident du Conseil d administration M Gary Kugler a t vice pr sident principal de la division des produits et services nucl aires d EACL o il avait la responsabilit des activit s commerciales d EACL Au cours de ses 34 ann es de service EACL il a occup diverses fonctions techniques de gestion de projets de d veloppement des affaires et de direction Avant de se joindre ACL il a servi comme pilote dans l Aviation canadienne M Kugler est dipl m du Director Education Program de l Institut des administrateurs de soci t s et est membre du Conseil d administration d OPG et de celui de Perma Fix Environmental Services Il est titulaire d un baccalaur at s sciences avec sp cialisation en physique de m me que d un doctorat en physique nucl aire de l Universit McMaster Ken Nash Pr sident et chef de la direction de la SGDN M Ken Nash est administrateur de la SGDN depuis que la Soci t existe ll est le plus r cent pr sident du Conseil d administration de la Soci t II a occup diff rents postes de haute direction Ontario Hydro et OPG dans les domaines des finances de l ing nierie et de la gestion de l envi ronnement Plus r cemment il a occup le poste de vice pr sident principal de la division de la gestion des d chets nucl aires I a aussi pr sid le Conseil d
2. OT Objectifs strat giques de 2014 2018 rT i f TE Jalons de la planification strat gique de la GAP de 2014 2018 difier des relations durables e Communications et programmes de relations m diatiques pour sensibiliser le public au projet de la GAP e Initiatives d engagement d ducation d approche et de renforcement des capacit s pour soutenir la participation multig n rationnelle au projet de la GAP e D veloppement de relations avec les collectivit s int ress es les Premi res nations et les peuples m tis es collectivit s voisines et les r gions potentiellement touch es par le processus de s lection d un site de la GAP e Engagement des peuples autochtones touch s en tant que d tenteurs du savoir traditionnel autochtone usagers des ressources environnementales et gardiens de l environnement participer activement au processus de s lection d un site e Collaboration avec le Conseil des a n s de la SGDN le Forum municipal les organisations des collectivit s locales et les organisations autochtones nationales et provinciales et sollici tation de l avis de ces groupes e D veloppement et maintien de relations avec les gouvernements f d ral et provinciaux et les administrations r gionales et locales Mettre en oeuvre en collaboration le processus de s lection d un site e Engagement largi des collectivit s int ress es des Premi res nations
3. nergie atomique du Canada limit e International Association for Environmentally Safe Disposal of Radioactive Materials Association internationale pour l vacuation cologiquement s re des mati res radioactives nonc des incidences environnementales nergie nucl aire NB F d ration canadienne des municipalit s Gestion adaptative progressive Groupe d examen technique ind pendant Gestion des obligations li es au cycle de vie Hydro Qu bec Conf rence internationale sur le stockage g ologique Loi sur les d chets de combustible nucl aire Loi sur la s ret et la r glementation nucl aires M tis Nation of Ontario Nation m tisse de l Ontario Soci t coop rative nationale pour le stockage des d chets radioactifs Suisse Organisation de coop ration et de d veloppement conomiques Ontario Nuclear Funds Agreement Ontario Power Generation Inc Soci t de gestion des d chets de combustible nucl aire Finlande Programme de responsabilit sociale Retraitement s paration et transmutation Soci t de gestion des d chets nucl aires Sciences jeunesse Canada Soci t de gestion du combustible et des d chets nucl aires Su de University Network of Excellence in Nuclear Engineering R seau d excellence universitaire en genie nucl aire nwWwmoO NUCLEAR WASTE SOCI T DE GESTION MANAGEMENT DES D CHETS ORGANIZATION NUCL AIRES www nwmo ca
4. Co ts pr vus pour la GAP millions Programme 2014 2015 2016 2017 2018 dification de relations 35 4 2 43 4 4 4 4 a Processus de s lection d un site 28 6 40 6 43 0 49 0 38 0 Adaptation aux changements 0 4 0 9 0 6 0 6 0 6 4 Conception et dossier 178 23 3 28 6 28 3 46 6 de s ret Formule de financement eK 0 1 0 1 0 1 s curit financi re Structure de gouvernance 0 6 0 6 0 6 0 6 Dotation en personnel 19 3 203 2575 28 Services communs 8 9 8 5 8 8 9 Rajustement net 1 3 one OKO 00 0 0 Plan propos 77 3 115 9 123 9 Apprendre davantage ensemble Rapport triennal 2011 2013 Co ts pr vus du projet de la GAP La p riode 2014 2018 du plan d affaires correspond aux cinq prochaines ann es de mise en oeuvre de la GAP Le plan strat gique pr sent l annexe 1 Mise en oeuvre de la Gestion adaptative progressive 2014 2018 et le budget associ se fondent sur un ensemble d hypoth ses de planification et de priorit s e La mise en oeuvre de la GAP exige un engagement e La SGDN continuera d affiner les mod les conceptuels soutenu difier des relations La SGDN a entrepris de mettre en oeuvre le plan canadien en collabora tion et avec la participation continue des personnes et groupes int ress s Cette collaboration demeurera essentielle au travail de la SGDN tout au long de la p riode de planification La port e des activit s d di fic
5. nwWwmoO NUCLEAR WASTE SOCI T DE GESTION MANAGEMENT DES D CHETS ORGANIZATION NUCL AIRES apport triennal 11 2013 Soci t de gestion des d chets nucl aires 22 avenue St Clair Est 6 tage Toronto Ontario M4T 283 Canada T l 416 934 9814 Sans frais 1 866 249 6966 www nwmo ca Pr et LT N ax J Ips 2 r e avah Be ens bles Rapport triennal 2011 2013 S M l TnS gt Pr im vs ral D Apprendre davantage ensemble Rapport triennal 2011 2013 nwWwmoO NUCLEAR WASTE SOCI T DE GESTION MANAGEMENT DES D CHETS ORGANIZATION NUCL AIRES L honorable Joe Oliver Ministre Ressources naturelles Canada Ottawa Ontario K1A OA6 Mars 2014 Monsieur le Ministre Nous avons l honneur de vous pr senter le second Rapport triennal de la Soci t de gestion des d chets nucl aires SGDN pour les exercices financiers 2011 2013 Nous pr sentons ce rapport conform ment aux articles 16 1 16 2 18 et 23 1 de la Loi sur les d chets de combustible nucl aire Afin de nous acquitter de nos obligations concernant l article 24 de la Loi nous mettons galement ce rapport a la disposition du public Respectueusement soumis O ae K Nash Gary Kugler Ken Nash Pr sident du Pr sident et Conseil d administration chef de la direction Table des mati res Lettre au ministre Chapitre 1 Guide du Rapport triennal Chapitre 2
6. 8 octobre 2013 Premi re nation de Wabigoon Lake Ont Mise jour sur la GAP 10 octobre 2013 Premi re nation de Constance Lake Ont Mise jour sur la GAP 18 octobre 2013 Village nordique de Cumberland House Sask Mise jour sur la GAP 20 octobre 2013 Prince Albert Grand Council Women s Commission Prince Albert Sask S ance d information sur la GAP 1 novembre 2013 Premi re nation de Wabigoon Lake Ont S ance d information sur l annonce faite par la SGDN au sujet des collectivit s qui passent la Phase 2 de l tape 3 1 novembre 2013 R gion 1 de la Nation m tisse de l Ontario Dryden Ont Pr sentation sur la GAP et sur le Programme 2013 de ressources d di es aux relations avec les Autochtones 13 novembre 2013 Comit de consultation de la R gion 2 de la Nation m tisse de l Ontario Thunder Bay Ont Pr sentation sur la GAP et sur le Programme 2013 de ressources d di es aux relations avec les Autochtones 15 novembre 2013 FSIN APN Conf rence des jeunes et des a n s sur l environnement Saskatoon Sask Pr sentation sur la GAP 17 19 novembre 2013 R union du Conseil des ain s Centre des congr s de Kingbridge King City Ont 21 novembre 2013 Nation nishnawbe aski Thunder Bay Ont S ance d information sur l annonce faite par la SGDN au sujet des collectivit s qui passent la Phase 2 de l tape 3 21 nove
7. des fins de la planification une estimation des co ts associ s au d p t g ologique en profondeur et au syst me de transport du combustible nucl aire irradi a t faite en fonction d un inventaire de 4 6 millions de grappes de combustible CANDU irradi Le volume exact de combustible nucl aire irradi canadien tre plac dans le d p t sera d termin avec la collectivit utilisant les meilleures informations disponibles ce moment et travers un processus de consultation ouvert et transparent faisant participer les collectivit s voisines et ceux qui sont int ress s et potentiellement touch s Le co t estimatif actuel est de 21 2 milliards dollars de 2010 avec une valeur actuelle de 7 7 milliards dollars de 2010 Ces pr visions de co ts incluent les co ts reli s au d veloppement la construction et l exploitation d une installation centrale d entreposage long terme incluant un d p t g ologique en profondeur ainsi que les co ts reli s au transport du combustible nucl aire irradi vers le d p t lesquels sont la responsabilit de la SGDN L entreposage sur les sites des r acteurs est la responsabilit de chaque propri taire de d chets Le co t d finitif du projet pourrait diff rer de ces estimations selon de nombreux facteurs y compris l emplacement de l installation les infrastructures environnantes le type et les caract ristiques de la roche la conception du
8. e La conception et la fabrication de prototypes physiques du conteneur de combustible irradi e l tablissement d une installation d ing nierie et d essai de conteneurs de transport et de stockage e l ach vement d un examen int gr des processus microbiologiques qui pourraient avoir cours au sein de l environnement du d p t e La planification en collaboration avec les propri taires des d chets du transport futur du combustible nucl aire irradi depuis les installations provisoires ou il est actuellement entrepos e La r alisation d une r vision des mod les conceptuels et de l estimation des co ts de la GAP Les projets de recherche et autres activit s men s en collaboration avec des universit s canadiennes et des organisations trang res se poursuivront aussi Pour se tenir au fait des avanc es techniques internationales les plus r centes la SGDN a conclu de nombreuses ententes de recherche avec ses organisations soeurs d autres pays dont celles de Su de de Suisse de Finlande de France et depuis 2013 du Royaume Uni Les projets internationaux de recherche incluent entre autres des exp riences men es dans des installations souterraines de recherche en Su de et en Suisse Assurer la s curit financi re La LDCN exige que la SGDN d termine le co t et qu elle s occupe du financement de la gestion long terme du combustible nucl aire irradi ceci afin que les sommes n cessaires pour
9. l Universit Lakehead de Thunder Bay en Ontario M Gilbert a men une longue carri re dans l enseignement dans la recherche et dans l administra tion aux tats Unis et au Canada l Universit Lakehead l Universit Colorado State l Universit du nord de la Colombie Britannique l Universit Washington State l Universit de Guelph et l Universit du Maine Il a aussi occup plusieurs postes dans la fonction publique dans le domaine de la gestion de l environnement et des esp ces sauvages Il a maintenant pris sa retraite et vit en Nouvelle cosse o il a commenc exploiter une ferme 0011070 UILE 0100100 UCISA Eva Ligeti Eva Ligeti enseigne le droit et la politique de l environne ment au programme d tudes sup rieures en sciences environnementales de l Universit de Toronto titre de directrice administrative du Clean Air Partnership elle a travaill faire de Toronto une ville plus respectueuse de l environnement et une chef de file mondiale de la qualit de l air Avocate de formation elle a t la premi re commissaire l environnement de l Ontario poste qu elle a occup de 1994 1999 Mme Ligeti a fait partie de plusieurs conseils d administration et comit s dont le Conseil du Fonds municipal vert de la F d ration canadienne des municipalit s et le Comit d experts sur l adaptation au changement climatique de l Ontario et elle a t copr
10. valuer dans quelle mesure le projet peut contribuer ou tre n faste leur bien tre tablira et maintiendra sa pr sence dans les collectivit s qui ont d cid de participer au processus de s lection d un site afin de fournir de l information et de soutenir la sensibilisation du public Explorera la n cessit d laborer et de mettre en oeuvre un programme de protection de la valeur des propri t s pour soutenir la mise en oeuvre du projet comme l ont demand certaines collectivit s R alisera des valuations pr liminaires tape 3 Phase 1 des valuations pr liminaires en collaboration avec les collectivit s qui auront r ussi la pr s lection et qui d cideront de proc der Etape 3 Au terme de la Phase 1 des travaux identifiera un plus petit nombre de collectivit s qui pourront avancer la prochaine phase des travaux Etape 3 Phase 2 des valuations pr liminaires et obtiendra leur consentement pour proc der la prochaine phase des travaux Lancera et compl tera des enqu tes pr liminaires sur le terrain et fera participer les collectivit s voisines et les peuples autochtones Etape 3 Phase 2 des valuations pr liminaires Au terme de la Phase 2 des travaux choisira le ou les sites qui seront soumis une caract risation d taill e tape 4 et obtiendra un consentement proc der la prochaine phase des travaux Mise en oeuvre de la Gestion adaptative progressive 2014 a 2018
11. 2013 Faits saillants de 2011 2013 Exig par la Loi sur les d chets de combustible nucl aire LDCN le Rapport triennal 2011 2013 pr sente aux Canadiens le travail accompli par la SGDN au cours des trois ann es pr c dentes en vue de mettre en oeuvre le plan canadien de gestion long terme du combustible nucl aire irradi du pays Conform ment aux exigences de la LDCN ce Rapport triennal pr sente galement les plans futurs de la SGDN telle qu elle a t tablie dans son plan strat gique pour les cing prochaines ann es 2014 2018 Objectifs strat giques La SGDN e difiera des relations durables long terme avec les Canadiens et peuples autochtones du Canada int ress s et sollicitera leur participation l tablissement des orientations futures d une gestion long terme s re du combustible nucl aire irradi Travaillera en collaboration avec les Canadiens la mise en oeuvre du processus de s lection d un site pour un d p t g ologique en profondeur qui servira la gestion long terme s re du combustible nucl aire irradi au sein d une collectivit h te inform e et consentante Continuera de pr parer les concepts techniques et les dossiers de s ret en vue de l ta blissement d un d p t g ologique en profondeur pour combustible nucl aire irradi en roche cristalline ou en roche s dimentaire et m nera un programme de recherche d veloppement t
12. Vue d ensemble de la SGDN 14 2 1 Mandat de la SGDN 16 2 2 Le combustible nucl aire irradi 22 2 8 Vision mission et valeurs 24 2 4 Mot du pr sident du Conseil d administration 26 2 5 Mot du pr sident et chef de la direction Chapitre 3 Faits saillants de 2011 2013 44 8 1 Ce que nous avons entendu dans le cadre de nos changes avec les Canadiens Chapitre 4 Le plan canadien Comment nous en sommes arriv s l Chapitre 5 La Gestion adaptative progressive Chapitre 6 Nos travaux de 2011 2013 70 6 1 difier des relations durables 82 6 2 Mettre en oeuvre en collaboration le processus de s lection d un site 94 6 3 Optimiser les mod les conceptuels et continuer de valider la confiance en la s ret du d p t 106 6 4 Assurer la s curit financi re 108 6 5 Adapter les plans 114 6 6 Assurer une bonne gouvernance et une bonne reddition des comptes 118 6 7 Mettre en place et maintenir une organisation de haut niveau 120 6 8 Autres activit s Projet de d p t g ologique en profondeur d Ontario Power Generation pour d chets de faible et moyenne activit Chapitre 7 Allant de l avant Les cinq prochaines ann es 126 7 1 Aper u du plan strat gique de la Gestion adaptative progressive pour les ann es 2014 2018 132 7 2 Autres activit s R sum du soutien apport au projet de d p t g ologique en profondeur d Ontario Power Generation p
13. WP4 5 Disturbed Undisturbed Host Rock Formations Progress Meeting May 17 18 2011 Barcelona Spain APM REP 04220 30157 UFTP Supporting Document Gap Analysis APM REP 06143 32386 Initial Screening for Siting a Deep Geological Repository for Canada s Used Nuclear Fuel Township of Creighton Initial Screening Report APM REP 06143 32387 Rapport sommaire Evaluation de pr s lection pour le choix d un site pour un d pdt g ologique en profondeur destin a stocker le combustible nucl aire irradi canadien Rapport d valuation de pr s lection Canton de Creighton APM REP 06143 32388 Initial Screening for Siting a Deep Geological Repository for Canada s Used Nuclear Fuel Township of Ear Falls Ontario APM REP 06143 32395 Rapport sommaire Evaluation de pr s lection pour le choix d un site pour un d p t g ologique en profondeur destin stocker le combustible nucl aire irradi canadien Canton d Ear Falls Ontario APM REP 06143 32396 Initial Screening for Siting a Deep Geological Repository for Canada s Used Nuclear Fuel English River First Nation Saskatchewan ERFN APM REP 06143 32397 Rapport sommaire Evaluation de pr s lection pour le choix d un site pour un d pdt g ologique en profondeur destin a stocker le combustible nucl aire irradi canadien Premi re nation d English River Saskatchewan APM REP 06143 32898 Initial Screening for Siting a Deep Geological Repository for Canada s Us
14. d velopper son propre d p t g ologique en profondeur pour d chets de faible et moyenne activit Bien qu aucune disposition l gislative n oblige le Conseil fournir des commentaires sur ce projet il consid re qu il est tr s pertinent aux travaux de la SGDN se rapportant la Gestion adaptative progressive particuli rement en ce qui concerne le crit re d valuation culture d apprentissage du Conseil Certains membres du Conseil ont assist la conf rence de la Soci t nucl aire canadienne sur la Gestion des d chets le d classement et la restauration environnementale pour les activit s nucl aires canadiennes qui s est tenue Toronto du 11 au 14 septembre 2011 La conf rence a fait le point et a propos des orientations futures concernant les aspects techniques r gle mentaires environnementaux sociaux et conomiques de la gestion des d chets radioactifs du d classement des installations nucl aires et de la restauration environnementale pour les instal lations nucl aires canadiennes La conf rence tait centr e sur les activit s canadiennes mais l exp rience des autres pays a aussi t pr sent e 15 Une description des travaux de la SGDN visant aider Ontario Power Generation d velopper un d p t g ologique en profondeur pour d chets de faible et moyenne activit peut tre consult e l adresse www nwmo ca dgr 2 2 Commentaires du Conseil consultatif sur les activit s men es
15. de gestion des d chets nucl aires SGDN 2013 valuation pr liminaire du bien tre de la collectivit de la Phase 1 Canton d Ear Falls Ontario Toronto Canada Soci t de gestion des d chets nucl aires SGDN 2013 valuation pr liminaire du bien tre de la collectivit de la Phase 1 Municipalit de Wawa Ontario Toronto Canada e Soci t de gestion des d chets nucl aires SGDN 2013 valuation pr liminaire du bien tre de la collectivit de la Phase 1 Canton de Schreiber Ontario Toronto Canada Soci t de gestion des d chets nucl aires SGDN 2013 valuation pr liminaire du bien tre de la collectivit de la Phase 1 Canton de Hornepayne Ontario Toronto Canada e Soci t de gestion des d chets nucl aires SGDN 2013 valuation pr liminaire du bien tre de la collectivit de la Phase 1 Ville de Creighton Saskatchewan Toronto Canada Soci t de gestion des d chets nucl aires SGDN 2013 valuation pr liminaire du bien tre de la collectivit de la Phase 1 Village nordique de Pinehouse Saskatchewan Toronto Canada e Soci t de gestion des d chets nucl aires SGDN 2013 valuation pr liminaire du bien tre de la collectivit de la Phase 1 Premi re nation d English River Saskatchewan Toronto Canada Tous ces documents sont disponibles sur le site Web de la SGDN l adresse www nwmo ca Comit s de liaison co
16. de viabilit de la collectivit et ou un plan strat gique visant soutenir leur r flexion approfondie sur le projet Conseils ind pendants Aide financi re offerte aux collectivit s pour solliciter un examen par un tiers engager un consultant faire r aliser des tudes et obtenir des conseils d experts Aide financi re pour permettre aux comit s de liaison communautaires de visiter une installation d entreposage provisoire La SGDN assume les frais de voyage engag s par les comit s des collectivit s participant au processus de s lection d un site pour visiter une installation d entreposage provisoire de d chets en Ontario o une autre installation proximit e Frais de voyage associ s la visite la CCSN par les comit s de liaison communautaires Profils communautaires La SGDN a travaill avec les collectivit s pour tablir les profils communautaires suivants comme point de d part l valuation du bien tre de la collectivit qui fait partie de l tape des valuations pr liminaires Soci t de gestion des d chets nucl aires SGDN 2013 Projet de profil communautaire Canton de 2018 Projet de profil communautaire Canton Hornepayne Ontario Toronto Canada d Ignace Ontario Toronto Canada e Soci t de gestion des d chets nucl aires SGDN Soci t de gestion des d chets nucl aires SGDN 2013 Projet de profil communautaire Ville de 2013 Proje
17. du projet et du processus de s lection d un site La nouvelle exposition mobile sur le transport qui inclut un exemple grandeur nature de colis de transport du combustible irradi homologu par la Commission canadienne de s ret nucl aire CCSN en constitue un exemple loquent Parall lement la recherche d un site le programme de travail de la SGDN vise faire en sorte que nous utilisons les meilleures technologies disponibles au Canada et dans le monde Ce programme est ax sur la s ret et est men en collaboration avec une douzaine d universit s et est compl t par le biais d ententes de collaboration avec des partenaires de France de Su de de Finlande du Royaume Uni et de Suisse Anticipant le r le futur qu assumera l organisme de r gle mentation lorsqu un site aura t choisi des dossiers exposant la m thodologie d valuation que la SGDN entend utiliser pour d montrer la s ret long terme du projet ont t soumis l tude de la CCSN Des plans d optimisation de la conception et d essai de s ret ont t labor s pour optimiser la s ret et l efficacit de la conception et la mettre rigoureusement l preuve avant sa mise en oeuvre mesure que nous mettons en oeuvre la GAP nous continuons d valuer la n cessit d adapter nos plans aux circonstances changeantes en tenant compte notamment des perspec tives qui s ouvrent en mati re de recyclage du combustible nucl aire irrad
18. et qu il r ponde aux normes scientifiques professionnelles et thiques les plus rigoureuses lls voulaient un processus qui assure le bien tre long terme de la collectivit qui allait accepter d accueillir l installation Ils voulaient gale ment un processus guid par la collectivit c est dire que l initiative de s engager et de poursuivre sa participa tion dans le processus devait tre celle de la collectivit et que la d cision d accueillir le projet devait tre prise par une collectivit inform e et consentante En mai 2010 la SGDN a lanc le processus de s lec tion d un site qui avait t labor en collaboration avec les Canadiens Depuis la SGDN a travaill avec les collec tivit s ayant exprim l intention d en apprendre davan tage sur la GAP et de plus en plus avec les collectivit s autochtones et non autochtones de la r gion environnante explorer leur aptitude potentielle par le biais d valuations de pr s lection et d valuations pr liminaires Le projet ne pourra aller de l avant qu avec la participation de la collec tivit int ress e des collectivit s environnantes ainsi que des Premi res nations et des peuples m tis touch s Ce Rapport triennal d crit comment la SGDN travaille mettre en oeuvre le processus de s lection d un site de fa on r pondre aux priorit s des Canadiens qui ont contribu fa onner ce processus ainsi que des priorit s des collectivi
19. galement v Allant de l avant Les cing prochaines ann es chapitre 7 c des p budg taires pour la mise en oeuvre du Pr visions budg taires 2014 2018 chapitre 9 1 ns strat giques d les r sultats des consultations publiques tenues par elle sur les sujets vis s aux alin as a et b et men es par elle au cours des trois derniers exercices Ce que nous avons entendu sur la mise en oeuvre de la Gestion adaptative progressive chapitre 8 voir gale ment Liste des activit s d engagement et de recherche 2011 2013 annexe 2 e les observations du comit consultatif sur les sujets vis s aux alin as a d Rapport du Conseil consultatif chapitre 12 2 tel qu il a t pr par de mani re ind pendante par ses membres et pr sent au Conseil d administration de la SGDN en janvier 2014 aux fins d inclusion dans le pr sent Rapport triennal s Guide du Rapport triennal Autres domaines trait s dans ce rapport En plus de travailler la mise en oeuvre d un plan de gestion long terme s re et s curitaire du combustible nucl aire irradi canadien la SGDN fournit Ontario Power Generation des services de soutien li s au d veloppement d un d p t g ologique en profondeur pour d chets de faible et moyenne activit Ces activit s sont d crites aux sections suivantes e Autres activit s Projet de d p t g ologique en profondeur d Ontario Power Generation pour
20. le personnel de la SGDN les rencontrer et leur offrir des pr sentations dont les a n s et les jeunes du Trait 3 les a n s du Trait 4 en Saskatchewan la F d ration des nations indiennes de la Saskatchewan le Grand conseil de Prince Albert l Union des Indiens du Nouveau Brunswick la Nation nishnawbe aski Trait 9 l Assembl e des Premi res Nations le Conseil tribal de Meadow Lake et le Northeast Superior Regional Chiefs Forum Plusieurs collectivit s ont galement invit la SGDN les rencon trer donner des pr sentations et discuter avec leurs membres Plusieurs ont galement accept l invitation de la SGDN visiter une installation provisoire d entreposage de d chets nucl aires et apprendre davantage sur les travaux de la SGDN La SGDN a galement approch des organisations m tisses en Saskatchewan et en Ontario La M tis Nation of Ontario MNO constitue le principal point de contact de la SGDN avec les collectivit s m tisses de cette province et chaque ann e des membres du personnel de la SGDN ont assist l assembl e g n rale de la MNO La SGDN a des ententes courantes avec la MNO et en novembre 2012 les deux organisations ont sign un accord de liaison visant fournir des fonds suppl mentaires permet tant de soutenir des comit s de consultation dans les r gions entourant les collectivit s participant au processus de s lection d un site En d cembre 2012 les memb
21. pour les h pitaux et les premiers intervenants de la collectivit h te et des environs d tre pr ts intervenir en cas d urgence et aux types de mesures pr ventives qui devraient tre prises au cours des phases de construction et d exploitation pour prot ger les travailleurs contre les risques associ s aux rayonnements Plusieurs des commentaires sous entendaient le souhait d tre rassur quant l aptitude d un d p t isoler le combustible nucl aire irradi pendant une p riode aussi longue Les gens voulaient en savoir plus sur les caract ristiques de s ret du projet telles que les multiples barri res naturelles et ouvrag es ayant pour but d isoler les substances radioactives de l environnement de surface Certaines personnes souhaitaient savoir si l exp rience avait d montr la s ret des d p ts tels que le mod le propos et si des installations semblables avaient t construites ailleurs dans le monde Dans un m me ordre d id es des questions ont t pos es concernant la fa on dont les autres pays planifiaient la gestion s re de leur combustible nucl aire irradi et notamment s il existait des similitudes entre la GAP et les plans adopt s par certains pays Des personnes ont voqu des cas de fuite acciden telle de d chets nucl aires non civils h rit s qui avaient t entrepos s dans des installations souterraines aux tats Unis et en Allemagne La s curit des ressour
22. prestations d termin es et d autres avantages post rieurs l emploi notamment d assurance vie collective d assurance maladie et d assurance invalidit de longue dur e La SGDN a adopt les politiques suivantes l gard de la comptabilisation de ces avantages post rieurs l emploi i La SGDN comptabilise l obligation relative aux r gimes de retraite et autres avantages post rieurs l emploi et le co t ce titre est tabli selon la m thode de r partition des prestations projet es au prorata des services Le co t des prestations est amorti sur la dur e r siduelle moyenne d activit des employ s actifs Toute portion du gain actuariel net ou de la perte actuarielle nette qui d passe de 10 l obligation au titre des prestations ou la juste valeur des actifs des r gimes si ce montant est plus lev est amortie sur la dur e r siduelle moyenne d activit des employ s actifs La dur e r siduelle moyenne d activit des employ s actifs est de 15 ans se reporter la note 8 ii L obligation est tributaire des salaires de l inflation et de la progression des co ts li s des l ments pr cis p ex les r clamations concernant les soins dentaires et les soins de sant L obligation et les co ts relatifs aux r gimes de retraite et autres avantages post rieurs l emploi sont tablis annuellement par des actuaires ind pendants partir des hypoth ses les plus probables de la direction Les taux
23. recevoir des informations suppl mentaires discute des travaux de la SGDN et fournit des conseils Une s ance huis clos est tenue la fin de la plupart des r unions du Conseil afin de permettre ses membres de d lib rer en l absence de l quipe de gestion et du personnel de la SGDN Le pr sident du Conseil consultatif peut assister volont aux r unions du Conseil d administration de la SGDN ce qui assure un change d information complet et permet de maintenir le Conseil consultatif constamment au courant des affaires du Conseil d administration et vice versa Les membres du Conseil et le Conseil d administration se rencon trent habituellement une fois par ann e pour changer de mani re informelle leurs points de vue En plus de satisfaire tous les trois ans aux exigences de la loi en mati re de pr sentation de rapports nous r sumons nos activit s sur une base annuelle aux fins des rapports annuels de la SGDN La SGDN produit galement annuellement des matrices de suivi d taill es qui font tat des mesures prises par la Soci t en r ponse aux recommandations du Conseil consultatif Les matrices de suivi sont publi es sur le site Web de la SGDN 1 3 Cadre d valuation Afin de satisfaire a ses obligations en mati re d examen ind pendant des travaux de la SGDN le Conseil a adopt une s rie de crit res d valuation pr sent s a la page suivante Pour tablir ces crit res le Conseil s est bas
24. sur le mandat et la mission de la SGDN et a port une attention particuli re l exp rience tir e de la Commission Seaborn ainsi qu au Cadre thique et social que s est donn la SGDN Mandat et mission de la SGDN La SGDN a t fond e en 2002 en vertu de la Loi sur les d chets de combustible nucl aire pour tudier des approches possibles de gestion du combustible nucl aire irradi canadien La SGDN a pour mission d laborer et de mettre en oeuvre de concert avec le public canadien une m thode de gestion a long terme du combustible nucl aire irradi canadien qui soit socialement acceptable techniquement s re cologiquement responsable et conomiquement viable La SGDN est guid e par cing valeurs fondamentales l int grit l excellence l engagement la responsabilit et la transparence Les matrices de suivi peuvent tre consult es l adresse www nwmo ca actrackingmatrices 2La Commission Seaborn tait une commission d valuation environnementale pr sid e par Blair Seaborn Elle a si g de 1989 1998 Cette commission a examin le concept d vacuation du combustible nucl aire irradi propos par nergie atomique du Canada limit e EACL Voir www nwmo ca 2 8 3 Pour une description des valeurs de la SGDN voir www nwmo ca vision Commission Seaborn Apr s 10 ans d tude et d audiences publiques sur le concept d vacuation en couche g ologique profonde du combustible nucl aire
25. 2013 de la SGDN Nos travaux de 2011 2013 chapitre 6 Les chapitres suivant imm diatement cet aper u d tail lent les activit s propres chacun des sept objectifs strat giques de la SGDN pour les trois derni res ann es Lexigence de pr senter un sommaire des incidences socio conomiques notables r sultant des activit s de la SGDN est satisfaite aux Chapitres suivants e Edifier des relations durables chapitre 6 1 D crit comment les incidences sociales conomiques et culturelles potentielles du projet influent sur les activit s d engagement de la SGDN e Adapter les plans chapitre 6 5 D crit comment la SGDN assure un suivi des attentes soci tales afin de pouvoir r pondre aux aspirations sociales culturelles et conomiques mesure qu elles voluent e Consid rations sociales conomiques et culturelles chapitre 8 3 D crit le travail r alis pour d ter miner si le projet peut am liorer le bien tre d une collectivit et r pondre ses aspirations sociales culturelles et conomiques b un plan d orientations strat giques pour les cinq exercices suivants pour la mise emoeuvre de la proposition de gestion retenue par le gouverneur en Mise en oeuvre de la Gestion adaptative progressive 2014 2018 annexe 1 ainsi qu un r sum dans Aper u du Plan strat gique de la Gestion adaptative progressive pour conseil les ann es 2014 2018 chapitre 7 1 Voir
26. 2018 NA nNWwWmMmMOoO NUCLEAR WASTE SOCI T DE GESTION MANAGEMENT DES D CHETS ORGANIZATION NUCL AIRES Mise en oeuvre de la Gestion adaptative progressive 2014 a 2018 MARS 2014 Annexes Table des mati res Pr face R sum Progr s accomplis depuis le dernier plan de mise en oeuvre SC DIN Le plan canadien de gestion du combustible nucl aire irradi Priorit s de la planification pour les ann es 2014 2018 Edifier des relations durables Mettre en oeuvre en collaboration le processus de s lection d un site Optimiser les mod les conceptuels et continuer de valider la confiance en la s ret du d p t Assurer la s curit financi re Adapter les plans Assurer la gouvernance et la reddition des comptes Mettre en place et maintenir une organisation de haut niveau Regard vers le futur Glossaire La SGDN est guid e par cing valeurs fondamentales L int grit Nous agirons de fa on franche honn te et respectueuse avec toutes les personnes et les organisations qui seront nos interlocuteurs dans l ex cution de notre mandat L excellence Nous n aurons de cesse de nous assurer que nos analyses nos processus d engagement et nos prises de d cisions soient garants d une expertise in gal e d une intelligence profonde et d un instinct novateur L engagement Nous solliciterons la participation de toutes les
27. 22 f vrier 2013 F d ration des nations indiennes de la Saskatchewan Prince Albert Sask S ance d information Pr sentation sur la GAP 27 f vrier 2013 Comit sur l environnement de APN Toronto Ont Pr sentation sur la GAP 4 6 mars 2013 R union du Conseil des a n s Centre des congr s de Kingbridge King City Ont 9 mars 2013 Conseil des jeunes de APN Ottawa Ont Pr sentation sur la GAP 12 mars 2013 Premi re nation de Constance Lake Constance Lake Ont Pr sentation sur la GAP 18 19 mars 2013 Grand conseil du Trait 3 Conseil ex cutif des jeunes du Trait 3 R union des jeunes et des a n s Winnipeg Man Pr sentation sur le projet de la GAP 20 mars 2013 Clerg anglican du nord de la Annexes Saskatchewan Cath drale de St Albans Prince Albert Sask Pr sentation sur la GAP 20 mars 2013 Nation m tisse de Ontario Sault Ste Marie Ont Comit de consultation r gionale de Sault Ste Marie Pr sentation sur la GAP et sur le Programme 2013 de ressources d di es aux relations avec les Autochtones 2 avril 2013 Conseil des a n s Pr sentation par la Nagra Toronto Ont 2 avril 2013 Nation m tisse de l Ontario Timmins Ont Comit de consultation r gionale de Timmins Timiskaming et Chapleau Pr sentation sur la GAP et sur le Programme 2013 de ressources d di es aux relations avec
28. 25 juillet 2013 Toronto 12 d cembre 2013 Toronto De 2011 a 2013 les membres du Forum municipal ont acquis une meilleure compr hension de la GAP et ont donn leur avis sur le processus de s lection d un site Les interactions de la SGDN avec les associations municipales ont contribu grandement l laboration d une approche colla borative d apprentissage et la mise au point d outils d aide aux municipalit s qui consid rent leur int r t pour le projet et leur participation aux tapes initiales du processus de s lection d un site Associations municipales En participant des congr s annuels titre d exposante des foires commerciales et de soci t commanditaire et en y d l gant des conf renciers la SGDN a d velopp des relations de travail solides avec les associations municipales nationale et provinciales En plus de sa participation des congr s la SGDN a t invit e offrir des s ances d information aux conseils d administra tion de plusieurs associations La SGDN a assist aux conf rences ou congr s annuels num r s ci apr s La SGDN a pu changer des informations avec les participants ces v nements par ses participations fr quentes comme exposante des foires commerciales et par les pr senta tions et les s ances d information qu elle a offertes sur invitation En 2013 la SGDN a bonifi ce programme par le d ploiement d un module d exposition mobile
29. 471 Commentaires du Conseil consultatif dans Choisir une voie pour l avenir L avenir de la gestion du combustible nucl aire irradi au Canada Rapport d tude final www nwmo ca uploads_managed MediaFiles 1172_ rapportdtudefinal pdf 8Voir page 251 du chapitre 14 Commentaires du Conseil consultatif dans Fa onnons l avenir ensemble Rapport triennal 2008 2010 www nwmo ca uploads_managed MediaFiles 1720_rapporttriennal20082010 pdf 2 Activit s de 2011 2013 Le premier objet de cette section est de pr senter les commentaires du Conseil consultatif sur les travaux effectu s par la SGDN de 2011 2013 Mais tout d abord la section 2 1 situera en contexte ces commentaires en r sumant le processus d valuation utilis par le Conseil ainsi que les activit s qu il a men es au cours de cette p riode La section 2 2 sera consacr e l valuation des travaux de la SGDN 2 1 Processus et activit s du Conseil consultatif 2011 2013 De 2011 2013 le Conseil s est r uni quatre fois de mani re officielle chaque ann e en plus de communiquer ensemble par voie de conf rence t l phonique au besoin Les r unions officielles du Conseil comprenaient des rapports d avancement pr sent s par la SGDN et des discussions des plans en cours d laboration la demande du Conseil le personnel de la SGDN lui fournissait r guli rement des mises jour et des valuations des risques potentiels relatifs aux travaux d
30. 6 juin 2013 Nation nishnawbe aski Thunder Bay Ont Programme 2013 de ressources d di es aux relations avec les Autochtones 13 juin 2013 Nation crie de Peter Ballantyne R serve Southend Sask Pr sentation sur la GAP 24 juin 2013 Northern Saskatchewan Trappers Association Toronto Ont Visite d une installation de gestion des d chets nucl aires et pr sentation sur la GAP 27 juin 2013 Premi re nation de Wabigoon Lake Toronto Ont Visite d une installation de gestion des d chets nucl aires et pr sentation sur la GAP 3 ao t 2013 Jackfish M tis Association et Ontario Coalition of Aboriginal People Sault Ste Marie Ont Pr sentation sur la GAP 9 ao t 2013 Association des femmes autochtones du Canada Ottawa Ont Pr sentation sur la GAP 22 ao t 2013 Nation crie de Cumberland House Toronto Ont Visite d une installation de gestion des d chets nucl aires et pr sentation sur la GAP 24 26 ao t 2013 AGA et assembl e des jeunes de la Nation m tisse de Ontario Ottawa Ont Pr sentation sur la GAP 26 28 ao t 2013 R union du Conseil des a n s Montr al Qc 20 septembre 2013 Premi re nation de Pays Plat Toronto Ont Visite d une installation de gestion de d chets nucl aires et s ance d information sur la GAP 21 22 septembre 2013 Assembl e des a n s d n s d English River Premi re nation d English River Sask
31. De plus les tudes sur le terrain qui seront entreprises la Phase 2 des valuations pr liminaires de l tape 3 s appuieront entre autres sur le savoir traditionnel autochtone local Les membres du Conseil consultatif ont appuy et fourni des commentaires sur le processus de restructuration du Forum des a n s Par exemple il a recommand l examen de pr c dents en la mati re pour comprendre comment d autres groupes de cette nature avaient t constitu s telle que la Fondation autochtone de gu rison Il a incit la SGDN inviter un a n du Grand Nord se joindre l quipe du Conseil des a n s Il a galement soulign l importance d une plus grande repr sentativit des femmes au sein du Conseil des a n s peut tre m me en nommant un homme et une femme la copr sidence de ce nouveau groupe Dans ses commentaires sur le processus de restructuration du Forum des a n s le Conseil consultatif a reconnu qu il tait souhaitable de cr er une entit moins grande qui ne d pendrait pas d un groupe de travail Cependant il a not que le Nigani le groupe de travail du Forum des a n s avait t constitu au cours d une c r monie et qu il avait par cons quent un statut qui devait tre c l br lorsque le Forum des a n s serait reconstitu en tant que Conseil des a n s Le Conseil consultatif a convenu que le Conseil des a n s ne devait pas agir titre de promoteur du projet mais qu il de
32. Elle a cr un nouveau microsite Web d di au processus de s lection d un site Des initiatives de sensibilisation multim dias ont t entreprises en 2011 La SGDN a requis les services de Tom Isaacs conseiller en chef de la Blue Ribbon Commission pour la r daction d un article Handle With Care communities collaboration and what Canada can teach the U S about managing used nuclear fuel G rer avec pr caution Les collectivit s la collaboration et ce que le Canada peut enseigner aux tats Unis sur la gestion du combustible nucl aire irradi qui a t pr sent aux m dias et publi dans les journaux Ontario News North et Flin Flon Reminder l automne 2013 lorsque les audiences publiques sur le projet de d p t g ologique en profondeur d Ontario Power Generation pour d chets de faible et moyenne activit ont d but le Conseil a exprim des inqui tudes par rapport une couverture m diatique n gative possible tant au Canada qu aux Etats Unis laquelle pourrait avoir des cons quences d favorables sur le travail de la SGDN relatif la Gestion adaptative progressive Au terme des audiences publiques de la Commission d examen conjoint en octobre 2018 la SGDN a fourni au Conseil quelques observa tions initiales sur son exp rience de participation au projet d Ontario Power Generation 2 2 2 Mettre en oeuvre en collaboration le processus de s lection d un site Les travaux r alis s par la SGDN de 201
33. La France par exemple poss de le programme de retraitement de combustible irradi le plus avanc au monde mais planifie n anmoins la construction d un d p t Cela est d au fait que les d chets de haute activit r siduels doivent tout de m me tre g r s de m me que les d chets de faible et moyenne activit produits au cours du processus de recyclage Apprendre davantage ensemble Rapport triennal 2011 2013 De 2011 2013 la SGDN a continu d assurer un suivi des constats des programmes interna tionaux de recherche d veloppement sur les cycles de combustible avanc s y compris en ce qui concerne le retraitement la s paration et la transmutation RST et sur les questions se rapportant la gestion des d chets Divers programmes ont t financ s par AIEA l AEN de l OCDE l Elec tric Power Research Institute la Blue Ribbon Commission sur l avenir du nucl aire aux Etats Unis le Government Accountability Office des Etats Unis le Nuclear Waste Technical Review Board des Etats Unis et la Nuclear Decommissioning Authority du Royaume Uni Dans le cadre de cette surveillance constante la SGDN a aussi suivi de pr s les conf rences internationales dans le domaine dont les suivantes e La Conf rence mondiale sur les cycles de combustible nucl aire 201 1 La 15 Conf rence internationale sur les syst mes d nergie nucl aire mergents 2011 La Conf rence sur les cycles de combustible nucl
34. La SGDN aide les collectivit s int ress es d terminer si le projet leur convient Pour ce faire elle les soutient chacune dans leurs efforts visant r fl chir initialement leurs objectifs et leurs aspirations long terme et ensuite explorer l aptitude du projet leur permettre de se b tir l avenir qu elles envisagent pour elles m mes Cette collaboration entre la SGDN et chacune des collec tivit s est encadr e par une lettre d entente qui en tablit les modalit s et qui d finit les valeurs et les engagements qui guideront leurs actions De 2011 2013 la SGDN a approch divers leaders des collectivit s participant au processus de s lection d un site Parmi eux on compte des repr sentants des conseils municipaux des comit s de liaison communau taires CLC des bureaux de d veloppement conomique locaux des groupes et services communautaires et des chambres de commerce de ces collectivit s Sur invitation la SGDN a assist et particip des v nements orga nis s dans les collectivit s tels que des salons de lhabi tation des festivals de la p che des foires des festivals des foires commerciales et un rassemblement d ain s Pour aider les collectivit s en apprendre davantage sur le projet et participer aux discussions la SGDN a donn acc s des fonds et des ressources par le biais de son programme En savoir plus qui est d crit en d tail en ligne l adresse www
35. Les commentaires fournis par le biais du formulaire de commentaire en ligne de la SGDN sont consid r s comme tant publics et sont affich s dans la biblio th que de commentaires du site Web qui peut tre consult e l adresse www nwmo ca submissions_library Communication par la SGDN des avis et commentaires re us Au cours des trois derni res ann es la SGDN a r sum les commentaires et les avis re us et en a fait tat r guli re ment par le biais des documents publics suivants e Ce qu on nous a dit Commentaires re us sur la d engagement N 7 janvier 2013 mise en oeuvre de la Gestion adaptative progressive e Ce qu on nous a dit Commentaires re us sur la 2011 2015 N 5 mise en oeuvre de la Gestion adaptative progressive e Ce qu on nous a dit Commentaires re us sur la 2013 2017 N 8 mise en oeuvre de la Gestion adaptative progressive Ce qu on nous a dit Rapport sur les activit s 2012 a 2016 N 6 d engagement N 9 janvier 2014 e Ce qu on nous a dit Rapport sur les activit s Comme il a t mentionn plus haut les rapports des valuations pr liminaires de la Phase 1 pr par s pour huit collec tivit s et publi s en 2013 r sument galement certains des principaux th mes qui ont t entendus en travaillant avec les collectivit s Information et engagement soutenus La SGDN fournit galement des mises jour et maintient une pr sence r guli re d autres
36. Montant au titre de la CSPAAT payer 2 729 242 493 241 Rapport du Conseil consultatif Table des mati res 1 Introduction et mise en contexte el Exigences de la Loi sur les d chets de combustible nucl aire 12 Relations avec la SGDN ico Cadre d valuation 1 4 Rapports pr c dents du Conseil consultatif 2 Activit s de 2011 2013 2 Processus et activit s du Conseil consultatif 2011 2018 22 Commentaires du Conseil consultatif sur les activit s men es par la SGDN de 2011 2013 2 2 1 Edifier des relations durables 2 2 2 Mettre en oeuvre en collaboration le processus de s lection d un site 2 2 3 Optimiser les mod les conceptuels et continuer de valider la confiance en la s ret du d p t 2 2 4 Assurer la s curit financi re 2 2 5 Adapter les plans 2 2 6 Assurer une bonne gouvernance et une bonne reddition des comptes 2 2 7 Mettre en place une organisation de haut niveau 3 Mise en oeuvre de la Gestion adaptative progressive 2014 2018 Sp Cadre thique et social 3 2 Quantit de combustible nucl aire irradi 29 Taille physique du d p t 3 4 Int grit environnementale 816 Transport 8 6 Engagement multig n rationnel Si Engagement des Autochtones 8 8 Perspective r gionale 3 9 Programme En savoir plus 9 110 Adapter les plans Salil Gouvernance et reddition de comptes 4 Conclusions et recommandations A1 Conclusions Al 2 Recommandations Annexe 1 Exemple d ordre du jour d un
37. NWMO TR 2009 02 Projet souterrain Polaris l Observatoire de neutrinos de Sudbury P U PS Rapport final NWMO TR 2009 35 Mesures sur le terrain des taux de transfert de l iode et d autres l ments traces NWMO TR 2011 01 Programme 2011 de RD amp D Programme de recherche d veloppe ment et d monstration de la SGDN pour la gestion long terme du combustible nucl aire irradi NWMO TR 2011 02 Programme technique pour la gestion a long terme du combustible nucl aire irradi canadien Rapport annuel 2010 NWMO TR 201 1 08 L influence de la morphologie des soudures des plaques et bouchons d extr mit des grappes de combustible CANDU sur les facteurs d intensit des contraintes calcul s aux soudures NWMO TR 2011 04 Programme d tude de l int grit du combustible irradi Rapport sommaire NWMO TR 2011 06 Rapport d tape sur le comportement relatif la fissuration par corro sion sous contrainte du cuivre sans oxyg ne dop au phosphore expos des solutions nitriques et ammoniacales NWMO TR 201 1 09 Consid rations li es aux microorganismes situ s en champ loign d un d p t g ologique en profondeur Revue des connaissances scientifiques sur ce sujet NWMO TR 2011 11 Exp riences de sorption en saumures avec des roches s dimentaires et de la bentonite NWMO TR 2011 12 Sorption de certains radionucl ides sur des roches s dimentaires dans des conditions salines Revue de la l
38. Pour les collectivit s int ress es une valuation pr liminaire de l aptitude potentielle est r alis e la demande d une collectivit la SGDN m nera une tude de faisabilit en collaboration avec la collectivit pour d ter miner si un site peut r pondre aux exigences d taill es du projet Les r gions commenceront participer et un examen initial des consid rations pour le transport sera men Les collectivit s int ress es seront encourag es informer d s que possible les collectivit s voisines y compris les collectivit s et gouvernements autochtones potentiellement touch s pour faciliter leur participation Les valuations pr liminaires sont men es en deux phases Phase 1 Etudes de bureau et engagement Phase 2 Etudes sur le terrain et engagement largi Pour les collectivit s int ress es les collectivit s environnantes potentiellement touch es sont consult es si cela n a pas d j t fait et des valuations d taill es de sites sont r alis es Au cours de cette tape la SGDN choisira un ou plusieurs sites propices dans les collectivit s qui auront exprim officiellement leur int r t pour une tude r gionale et ou des valuations d taill es de sites s 6chelonnant sur plusieurs ann es La SGDN collaborera avec ces collectivit s engager les collectivit s voisines potentiellement touch es et les gouvernements autochtones ainsi que le gouvernement provincial dans une t
39. acteurs de Bruce sont lou s Bruce Power qui les exploite En plus des quantit s d taill es au tableau 1 ACL poss de galement quelque 22 000 composants de combustible provenant de r acteurs de recherche et de d veloppement tels que des l ments des pastilles et des d bris de combustible entrepos s a Chalk River Bien que la masse totale de ces composants soit petite en comparaison avec la quantit totale de combustible CANDU la diversit de leurs formes d entreposage de leurs dimensions etc exigera que leur manipulation future soit trait e de mani re particuli re Ce total comprend approximativement 96 000 longues grappes Ce total comprend approximativement 115 000 longues grappes Point Lepreau 122 990 Au total 19 tranches en exploitation en exploitation 7 tranches ferm es de fa on d finitive y compris les r acteurs prototypes et de d monstration En supposant une moyenne arrondie de 20 kilogrammes de m taux lourds par grappe de combustible 2 4 millions de grappes quivalent approximativement 48 000 tonnes de m taux lourds tML 20 Grappe de combustible CANDU gt 2 MmIllIons Il y a actuellement un peu plus de 2 4 millions 3 de grappes de S combustible nucl aire irradi au Canada Si tout ce combustible nucl aire irradi pouvait tre empil comme du bois de chauffage il occuperait un espace de la dimension de
40. aire commandit e par l Institut des ing nieurs chimiques du Royaume Uni 2012 e La 12 R union d change d informations sur la s paration et la transmutation des actinides et des produits de fission de l AEN OCDE 2012 e La 15 Conf rence internationale sur l assainissement environnemental et la gestion des d chets radioactifs du Centre international pour la gestion environnementale 2013 e La Conf rence mondiale sur les cycles de combustible nucl aire 2012 e La Conf rence internationale sur les r acteurs neutrons rapides de l AIEA 2013 e La Conf rence internationale Global 2013 sur les cycles de combustible nucl aire 2013 Comme par les ann es pr c dentes la SGDN a publi annuellement son Rapport de suivi des progr s en mati re de retraitement de s paration et de transmutation sur son site Web l adresse www nwmo ca adaption Politiques nerg tiques Comme elle l a fait par les ann es pass es la SGDN a continu de surveiller la situation concer nant les projets de construction et de r fection de r acteurs pour anticiper les incidences qu ils pourraient avoir sur les quantit s et les types de combustible nucl aire irradi que la Soci t pourrait ventuellement tre appel e g rer chacune des ann es de la p riode 2011 2013 la SGDN a mis jour son inventaire du combustible nucl aire irradi du pays et l a affich en ligne l adresse www nwmo ca technicalresearc
41. autres assurer la surveillance et tudier la s ret et la performance long terme du syst me de d p t La soci t future d terminera la forme et la dur e appropri es de surveillance appliquer Les autorit s r glementaires prendront part toutes les d cisions 65 La SGDN collaborera avec la collectivit et possiblement avec d autres r aliser le d classement des installations Une fois la d cision prise de fermer installa tion la SGDN fera une demande la CCSN pour obtenir un permis de d classe ment Pour que la CCSN puisse d livrer un permis de d classement le site devra subir avec succ s un processus d valuation environnementale La SGDN retirera les quipements souterrains remblaiera et scellera les tunnels et puits d acc s et d mant lera les installations de surface selon une mani re d termin e avec la collectivit les autorit s r glementaires et les autres personnes int ress es La soci t future d terminera la mani re et le moment de fermer d finitivement le d p t ainsi que la forme et la dur e de la surveillance post fermeture Nos travaux i de 2011 2013 3 S ESCHER WYSS ISON SULZER CANADA INC Nos travaux de 2011 2013 Objectifs strat giques de 2011 2013 Au cours des trois derni res ann es la SGDN s est principalement employ e travailler en colla boration avec les collectivit s int ress es mettre en oeuvr
42. chet de combustible nucl aire que lorsqu il a t retir des r acteurs Apprendre davantage ensemble Rapport triennal 2011 2013 m Vue d ensemble de la SGDN Tableau 1 R sum de l inventaire du combustible nucl aire irradi canadien au 30 juin 2013 Stockage en piscine Nombre de grappes 1 513 805 OPG Propri taire Lieu Nombre de grappes ACL Propri taire Lieu Nombre de grappes HQ Propri taire Lieu Nombre de grappes ENNB Propri taire Lieu Nombre de grappes Bruce A 341 331 Bruce B 351 746 Darlington 338 510 Pickering A et B 406 315 Stockage sec Nombre de grappes 910 083 OPG Propri taire Lieu Nombre de grappes Douglas Point 0 Gentilly 1 0 at Whiteshell i EACL Chalk River ACL Propri taire Lieu Nombre de grappes Gentilly 2 35 173 HQ Propri taire Lieu Nombre de grappes Point Lepreau 40 730 NNB Propri taire Lieu Nombre de grappes Bruce A0 97 536 Bruce B 236 534 Darlington 106 711 Pickering A et B 261 324 ACL Energie atomique du Canada limit e HQ Hydro Qu bec Douglas Point 22 256 Gentilly 1 3213 EACL Whiteshell 2268 EACL Chalk River 4921 NNB Energie nucl aire du Nouveau Brunswick NPD r acteur nucl aire de d mons
43. currents l ordre du jour de ses r unions est la pr sen tation par la SGDN d une mise jour sur l volution du contexte externe au Canada et l tranger suivie par une valuation critique des risques potentiels li s au programme de la Gestion adaptative progressive Plusieurs membres du Conseil consultatif ont assist la quatri me Conf rence internationale sur le stockage g ologique organis e Toronto par la SGDN du 30 septembre au 2 octobre 2012 Cet v nement a donn lieu des changes productifs et importants qui ont permis d en apprendre davantage sur les approches adopt es par les diff rents pays pour le d veloppement de leurs propres d p ts Il tait manifeste que les travaux de la SGDN se rapportant la Gestion adaptative progressive taient tenus en haute estime sur la sc ne internationale La SGDN a aussi offert l occasion des repr sentants des collectivit s int ress es d organisations autochtones et du Forum municipal de la SGDN de participer la conf rence Plusieurs membres du Conseil ont assist le 2 avril 2013 une pr sentation Toronto sur le programme suisse de gestion des d chets nucl aires donn e par Lawrence Johnson coordonna teur la RD D la Soci t coop rative nationale suisse pour le stockage des d chets nucl aires Le Conseil a continu d assurer un suivi des travaux de la SGDN associ s au contrat en vertu duquel elle aide Ontario Power Generation
44. d chets de faible et moyenne activit e Autres activit s R sum du soutien apport au projet de d p t g ologique en profondeur d Ontario Power Generation pour d chets de faible et moyenne activit 2014 2018 Vue d ensemble de la SGDN Mandat de ER lee La SGDN fut cr e en 2002 par les propri taires canadiens de d chets conform ment la Loi sur les d chets de combustible nucl aire LDCN Organisme but non lucratif au sens de la Partie Il de la Loi sur les corporations canadiennes la SGDN est responsable d laborer et de mettre en oeuvre le plan canadien de gestion long terme du combustible nucl aire irradi Le combus tible nucl aire irradi r sulte de la production d lectricit par les centrales nucl aires Ontario Power Generation OPG la Soci t d nergie du Nouveau Brunswick et Hydro Qu bec HQ sont les membres fondateurs de la SGDN Ils ont avec Energie atomique du Canada limit e ACL la responsabilit de financer les activit s de la SGDN En vertu de la LDCN la SGDN devait examiner des approches possibles pour la gestion long terme du combustible nucl aire irradi et en recommander une au gouvernement du Canada En 2002 la SGDN a entrepris cette tude et en 2005 apr s trois ann es de dialogue avec les Canadiens d un oc an l autre du pays elle a propos au ministre des Ressources naturelles une approche pour la gestion long t
45. d la formule de calcul du financement que propose la soci t GE gestion pour l exercice suivant hypoth ses et motifs l appui Exigences en mati re de rapports financiers chapitre 9 2 e la quote part verser par chacune des soci t s d nergie nucl aire et nergie atomique du Canada que propose la soci t de gestion pour l exercice suivant avec motifs l appui 23 1 Exigences s appliquant a tous les rapports La soci t de gestion doit dans les trois mois suivant la fin de chaque exercice fournir au ministre des tats financiers v rifi s ses frais par une personne o un organisme ind pendant Exigences en mati re de rapports financiers chapitre 9 2 Rapport A F rificateur et tats financiers chapitre 12 1 18 Exigences s appliquant aux rapports triennaux Tous les trois ans apr s l exercice durant lequel est tomb e la d cision du gouverneur en conseil sur la gestion des d chets nucl aires le rapport annuel de la soci t de gestion doit comporter en outre Exigences de la LDCN en mati re de rapports triennaux a le sommaire des activit s de gestion des d chets l nucl aires des trois derniers exercices y compris l valuation de leurs r percussions socio conomiques notables sur le mode de vie d une collectivit ou sur ses aspirations sociales culturelles ou conomiques L 2 O ces exigences sont satisfaites dans le Rapport triennal 2011
46. de confiance voulu Les collectivit s qui participeront ces valuations ne compl teront pas n cessairement toutes les tudes de la Phase 2 D apr s les bilans r guli rement dress s par la SGDN et la collectivit au fur et mesure de la progression des tudes de la Phase 2 une d cision pourrait tre prise de mettre un terme aux tudes Cela pourrait tre le cas si les tudes indiquaient un moment o un autre que la collectivit n est pas susceptible de r pondre aux exigences du projet Mise en oeuvre de la Gestion adaptative progressive 2014 a 2018 Annexes Savoir traditionnel autochtone Les Autochtones ont un rapport privil gi avec la nature et ce rapport suppose une responsabilit unique d intendance La connaissance qui d coule de cette relation avec le territoire apporte une compr hension particuli re de l ensemble des facteurs qui devront tre pris en compte par les tudes sur le terrain les valuations sociales et l valuation des retomb es et des incidences La SGDN collaborera avec les collectivit s autochtones des r gions h tes potentielles pour appliquer de mani re respectueuse le savoir traditionnel aux l ments de la s ret technique et du bien tre de la collectivit du processus de s lection d un site Le savoir traditionnel guidera galement la SGDN dans la mise en oeuvre de ses activit s d engagement aupr s des collectivit s autochtones et des a n s locaux et la c
47. de l approche du d p t g ologique en profondeur la logique sous tendant l tablissement d un d p t dans la r gion et l aptitude de la collectivit et de la r gion tirer avantage du projet Ceux qui ont initialement mis des pr occupations ont soulev des questions sur la s ret d un d p t g ologique en profondeur et quant la possibilit qu une installation de ce type puisse s harmoniser avec la vision long terme que s est donn e la collectivit Plusieurs visiteurs ont mis l avis que la collectivit devait se renseigner davantage avant que les r sidents puissent prendre une d cision Plusieurs visiteurs ont soulign la n cessit que le processus d cisionnel soit ouvert inclusif et transparent que tous les membres de la collectivit puissent participer au processus d s le d part et que la collectivit puisse s appuyer sur l avis d experts ind pendants pour l aider valuer son int r t et prendre des d cisions cet gard ils ont t rassur s par les multiples tapes du processus de s lection d un site et par les garanties et les protections dont il est assorti et qui permettent aux collectivit s de s instruire sans prendre d engagement d avoir acc s a des ressources les habilitant prendre des d cisions clair es et qui imposent ultimement que le consentement de la collectivit soit d montr une chelle plus large que celle du simple conseil municipal ou triba
48. es en apprendre davantage sur le projet et sur les r percussions qu il pourrait entra ner Pour rendre les informations le plus accessible possible la SGDN s appuie autant sur les m dias tradi tionnels que sur les m dias lectroniques ayant notamment recours des expositions des brochures des bulletins d information et des vid os Publications imprim es Plusieurs des publications produites par la SGDN de 2011 2018 avaient pour objectif de r pondre aux questions soulev es par les r sidents des collectivit s qui s taient engag es en apprendre davantage sur la GAP et le processus de s lection d un site La s rie de rubriques publicitaires Demandez le la SGDN lanc e en 2012 en constitue un bon exemple Publi es r guli rement dans les journaux et sur les sites Web desservant les collectivit s participant au processus de s lection d un site ces rubriques pr sentent des questions fr quemment pos es sur des aspects parti culiers de la GAP ainsi que les r ponses fournies par des sp cialistes de la SGDN En 2013 plusieurs de ces rubriques ont galement t regroup es et r imprim es sous forme de d pliants destin s tre distribu s des congr s via des kiosques brochures install s dans les collectivit s et dans le cadre de divers v nements de la SIC B NE En 2012 la SGDN a publi Description du d p t pour combustible nucl aire irradi et du centre d exper ti
49. es on peut relever les preuves de r sistance la corrosion de l acier forg et soud dans l environnement d un d p t Des chantillons produits au Canada continuent d tre test s au laboratoire du Mont Terri en Suisse Des technologies volu es de soudage ont galement t tudi es Le soudage au laser est actuellement explor au Centre sp cialis de technologie physique du Qu bec une des installa tions de d veloppement des proc d s laser les plus r put es au monde pendant que des essais de soudage par friction malaxage sont men s MegaStir aux Etats Unis De plus le programme de conception technique du d p t a valu diff rentes dimensions de conteneurs sur le plan de la manufacturabilit Encapsulation du combustible irradi Le programme de conception technique du d p t a poursuivi ses travaux d laboration du proc d qui sera utilis pour recevoir et encapsuler le combustible nucl aire irradi dans des conteneurs de longue dur e r sistant la corrosion avant qu il soit stock dans le d p t Un jalon important a t atteint en 2012 avec la pr paration de mod les conceptuels pour la manutention le transfert le chargement et le scellement des conteneurs Alors que les crayons de combustible des r acteurs eau l g re mesurent trois quatre m tres de longueur les grappes de combustible CANDU ne mesurent qu un demi me tre Par cons quent un conteneur plus compact sp
50. jour sur le DGP d OPG pour d chets de faible et moyenne activit 14h 45 13 Observations tir es des audiences du DGP pour DFMA 15h 15 14 Examen du soutien accord par la SGDN au projet de DGP d OPG 15h 25 15 Sujets propos s pour les prochaines r unions 15h 30 Le Conseil consultatif se r unit a huis clos Lev e de la s ance au plus tard 17 h 30 Le Conseil se r unit huis clos de 15 h 30 17 h 30 Heure 8 h 30 10 h 30 11h30 12 h 30 13h 14h 15 h 30 Jeudi 28 novembre 8 h 30 15 h 30 Les membres du Conseil consultatif se r unissent huis clos pour poursuivre leur pr paration des commentaires inclure dans le Rapport triennal 2011 2014 Points 1 Rencontre avec le personnel de la SGDN pour discuter des principales conclusions et recommandations du Conseil consultatif 2 Discussion des changements apport s au rapport triennal du Conseil consultatif en r ponse 1 aux informations et discussions de la r union du 27 novembre du Conseil consultatif et 2 de la r union du 28 novembre avec le personnel de la SGDN 8 Examen de l bauche du rapport triennal de la SGDN D jeuner 4 Examen de la seconde bauche de la section 3 du rapport triennal du Conseil consultatif 5 Examen de la premi re bauche de la section 4 6 Lev e de la s ance Annexes Apprendre davantage ensemble Rapport triennal 2011 2013 Mise en oeuvre de la Gestion adaptative progressive 2014
51. l utilisation de nouvelles technologies nucl aires et le volume de combustible g rer pourraient changer La GAP est flexible et les nouvelles connais sances et priorit s sociales pourront tre incorpor es au plan canadien lequel pourra aussi tre adapt d autres changements ventuels Encadrement r glementaire de la Gestion adaptative progressive La SGDN s engage satisfaire toutes les normes et exigences r glementaires en vigueur en mati re de protec tion de la S de la s ret et de la s curit des humains et de l environnement ou de les d passer La mise en oeuvre d un d p t pour la GAP est de comp tence f d rale et est encadr e par la Loi sur la s ret et la r glementation nucl aires LSRN et ses r gle ments d applications La CCSN en tant qu organisme ind pendant de r gle mentation nucl aire au Canada r glemente l utilisation de l nergie et des mati res nucl aires afin de prot ger la sant et la s curit des Canadiens et de environne ment et veille au respect des engagements internationaux du Canada concernant l utilisation pacifique de l nergie nucl aire L approche de la CCSN en mati re de r glemen tation de la gestion long terme des d chets nucl aires d coule de la ESRN et est articul e dans ses documents P 299 Principes fondamentaux de r glementation P 290 Gestion dessd che syiet G2320 Evaluation de la estion des d chets radioactifs S
52. la roche excav e du d p t souterrain devra tre trait e pour constituer les mat riaux de remblai et de scellement du d p t Les quantit s de roche excav e exc dentaires pourront tre utilis es des fins publiques ou commerciales par la collectivit et la r gion environnante comme granulat de construction On pr voit que l entreposage de cette roche pendant l exploitation de l installation occupera une superficie d approximativement 700 metres par 700 metres et s l vera une hauteur de 3 6 m tres Cette superficie comprendra un bassin de r tention des eaux pluviales qui servira recueillir et traiter les eaux de surface Il est pr sum que l installation de gestion de la roche d excavation sera situ e l ext rieur des limites du site L endroit o sera entrepos e la roche d excavation serait choisi en consultation avec la collectivit et la r gion environnante Le combustible nucl aire irradi sera plac sur les sites des r acteurs dans des conteneurs sp cialement con us cet effet et homologu s et sera achemin vers le site centralis o il sera plac dans des conteneurs anti corrosion avant d tre stock dans le d p t Les conteneurs seront descendus dans un puits et achemin s sous terre vers l une des nombreuses salles de stockage Les conteneurs seront ensuite ins r s dans des trous verticaux o horizontaux for s dans la roche Ces trous seront par la suite scell s avec un mat
53. lection est faite la demande de la collectivit la SGDN valuera l aptitude potentielle de la collectivit par rapport un ensemble de crit res de pr s lection Pour les collectivit s int ress es une valuation pr liminaire de l aptitude potentielle est r alis e la demande d une collectivit la SGDN m nera une tude de faisabilit en collaboration avec la collectivit pour d ter miner si un site peut r pondre aux exigences d taill es du projet Les r gions commenceront participer et un examen initial des consid rations pour le transport sera men Les collectivit s int ress es seront encourag es informer d s que possible les collectivit s voisines y compris les collectivit s et gouvernements autochtones poten tiellement touch s pour faciliter leur participation Les valuations pr liminaires sont men es en deux phases Phase 1 tudes de bureau et engagement Phase 2 tudes sur le terrain et engagement largi Pour les collectivit s int ress es les collectivit s environnantes potentiellement touch es sont consul t es si cela n a pas d j t fait et des valuations d taill es de sites sont r alis es Au cours de cette tape la SGDN choisira un ou plusieurs sites propices dans les collectivit s qui auront exprim officiellement leur int r t pour une tude r gionale et ou des valuations d taill es de sites s chelonnant sur plusieurs ann es La SGD
54. municipal de la SGDN et assiste occasionnellement aux s ances de la F d ration canadienne des municipalit s Le Conseil a continu d examiner les strat gies et les documents de communication de la SGDN fournissant des conseils sur la gestion des risques ainsi que sur la clart et la trans parence de ces documents Engagement des Autochtones L engagement des Autochtones constitue un l ment capital des travaux de la SGDN depuis sa cr ation Au cours des trois derni res ann es le Conseil a continu de s int resser de pr s a ces travaux soulignant l utilit de tirer des apprentissages des enseignements traditionnels et de respecter la spiritualit incarn e par le savoir traditionnel autochtone Le Conseil a incit la SGDN int grer le savoir traditionnel autochtone tous les aspects de ses travaux y compris dans la formation qu elle offre son personnel et dans son travail aupr s des collectivit s Nous avons aussi incit la SGDN recruter des Autochtones pour son personnel et engager les services de sous traitants autochtones Le Forum des a n s a t restructur en 2011 ce qui a donn lieu en 2012 la cr ation d un Conseil des a n s investi d un mandat nouveau Les membres du Conseil consultatif ont particip ce processus en convoquant le personnel de la SGDN une s ance pr paratoire sp ciale en assistant des r unions du Forum et en fournissant des conseils la SGDN sur le choix
55. n rale et approuv chaque ann e les Objectifs et indicateurs de rendement inquennaux produits par la SGDN de 2011 2013 Le Conseil a tenu plusieurs discussions relatives aux d cisions strat giques et l orientation future de la SGDN En 2011 les administrateurs ont visit deux organisations homologues de la SGDN la Soci t de gestion du combustible et des d chets nucl aires de Suede SKB et la soci t finlandaise Posiva Cette mission de collecte d infor mations a t men e en vertu du mandat du Conseil qui consiste entre autres tre au fait des meilleures pratiques a l tranger en mati re de gestion du combustible irradi Le but des visites tait de comprendre de fa on plus d taill e les programmes su dois et finlandais afin de les comparer au programme de la SGDN Les autres activit s du Conseil d administration de 2011 2018 incluaient e l examen et la discussion r guliers des activit s de la SGDN associ es au processus de s lection d un site dont des discussions d taill es sur l ch an cier de suspension de la p riode des expressions d int r t et des s ances d information sur les collec tivit s ayant exprim l int r t d en apprendre da tage sur le projet e des discussions sur les valuations pr lim compl t es de la Phase 1 e des discussions sur le renforcement des capacit s des collectivit s qui ont choisi de passer a la Phase 2 des valuations pr liminaire
56. paration du site et de construction du d p t Pour l exercice 2014 le Conseil d administration de la SGDN a approuv une enveloppe budg taire de 77 3 millions Les co ts annuels au del de 2014 sont sujets r vision Le partage de ces co ts se fera conform ment aux pourcentages pr cis s dans la formule de financement Formule de financement conform ment aux exigences de la LDCN alin a 16 2 d Conform ment aux exigences de la LDCN la SGDN a propos une formule de financement pour r soudre la question des co ts financiers futurs reli s la mise en oeuvre de la GAP Cette proposi tion se trouve dans le Rapport annuel de 2007 de la SGDN publi apr s la s lection par le gouver nement f d ral de l approche de la GAP en juin 2007 pour g rer long terme le combustible irradi Apprendre davantage ensemble Rapport triennal 2011 2013 Les principes de financement utilis s pour mettre au point la formule de financement sont conformes aux intentions de la LDCN l approche utilis e par la CCSN concernant les garanties financi res en vertu de la LSRN et aux m thodes utilis es par d autres pays membres de l Organi sation de coop ration et de d veloppement conomiques Producteur payeur Chacun des propri taires de d chets absorbe le co t en fonction de la quantit de d chets produits et de l utilisation du d p t Prudence financi re L option de mise en oeuvre de la GAP la plus o
57. publiques La Gestion adaptative progressive progressera au rythme permis par les Canadiens par le d veloppement et la d monstration de technologies s res et par les autorit s r glementaires La SGDN aborde son travail avec la vision suivante assurer la gestion long terme des d chets nucl aires du Canada d une fa on qui prot ge la population et respecte l environnement maintenant et pour l avenir Objectifs strat giques La SGDN Edifiera des relations durables long terme avec les Canadiens et peuples autochtones du Canada int ress s et sollicitera leur participation l tablissement des orientations futures d une gestion long terme s re du combustible nucl aire irradi Travaillera en collaboration avec les Canadiens la mise en oeuvre du processus de s lection d un site pour un d p t g ologique en profondeur qui servira la gestion long terme s re du combustible nucl aire irradi au sein d une collectivit h te inform e et consentante Continuera de pr parer les concepts techniques et les dossiers de s ret en vue de l tablissement d un d p t g ologique en profondeur pour combustible nucl aire irradi en roche cristalline ou en roche s dimentaire et m nera un programme de recherche d veloppement technique pour assurer une am lioration continue conform ment aux meilleures pratiques Fera en sorte que les fonds n cessaires la gestion long terme s re
58. res ouvrag es Soci t de gestion des d chets nucl aires Apprendre davantage ensemble Rapport triennal 2011 2013 En 2014 la SGDN Compl tera l valuation des technologies de rev tement de cuivre et de soudage pour les conteneurs du d p t Construira une installation d essais et de d monstration pour les barri res ouvrag es Examinera les autres technologies de mise en place des conteneurs de d p t Etudiera le processus de fabrication des mat riaux de tampon Etudiera davantage le potentiel pour le transport ferroviaire du combustible nucl aire irradi Fera r aliser l examen annuel du programme technique de la Gestion adaptative progressive de la SGDN par le GETI Importance de la s ret Conteneur de stockage du combustible nucl aire irradi Le programme de mise au point technologique du conteneur de stockage vise l application des technologies de pointe en mati re de fabrication et de mat riaux a la r solution des probl mes li s la g om trie la taille et la forme d un conteneur aux barri res contre la corrosion le rev tement et la fabrication au soudage et l inspection en vue de produire et de mettre l preuve les conteneurs robustes qui serviront stocker le combustible nucl aire irradi dans le d p t Un programme exhaustif de mise l preuve des conteneurs et du syst me de barri res ouvrag es sera mis sur pied Pr paration pour le transpor
59. rie de questions sur la s ret du transport Ils ont eu une influence notable sur l int r t manifest par le public aux plans destin s assurer le transport s r du combustible nucl aire irradi et aux l ments de s ret int gr s au CTCI Lors des discussions sur la possibilit d accidents et sur les plans d intervention d urgence labor s les gens ont fr quemment exprim le souhait d avoir plus d infor mations sur les caract ristiques de s ret inh rentes au CTCI et sur les mesures de s curit qui seront prises Ils voulaient en savoir davantage sur la possibilit que les convois puissent subir des attaques terroristes et sur la fa on dont la SGDN et les autorit s responsables interviendraient en cas d accident entra nant une fuite de radioactivit Voici quelques unes des questions qui ont t pos es cet gard e Les v hicules et les conteneurs mettront ils de la radioactivit pendant le transport e A quelle quantit de rayonnements les chauffeurs et ceux qui accompagnent les convois de transport de combustible irradi seront ils expos s e Quels sont les co ts et les risques associ s au transport du combustible irradi sur de longues distances depuis les installations existantes des r acteurs nucl aires e Le transport du combustible nucl aire irradi se fera t il avec ou sans le consentement des collec tivit s voisines o des Premi res nations o peuples m tis concern
60. s En g n ral les membres des collectivit s taient impatients d en savoir plus au sujet de la SGDN et de la GAP ind pendamment de leur inclinaison appuyer le projet ou s y opposer Plusieurs visiteurs revenant aux v nements publics nous ont dit qu ils avaient chang d opinion initialement oppos s au projet ils appuyaient maintenant prudemment la volont de leur collectivit d en apprendre davantage sur la GAP M me certains parmi ceux qui avaient t critiques au regard de la participation de leur collectivit ont exprim un appui g n ral au projet reconnaissant que le combustible nucl aire irradi existait et qu il devait tre g r de mani re s re Apprendre davantage ensemble Rapport triennal 2011 2013 Au cours de Etape 3 les personnes et groupes oppos s la mise en oeuvre de la GAP ont continu de montrer leur d saccord Ils ont continu d exprimer dans le cadre de s ances qu ils avaient organis es dans les collectivit s int ress es sur leurs sites Web dans les m dias et par le biais des m dias sociaux les questions et les pr occupa tions qu ils avaient soulev es l tape 2 Des commen taires additionnels insinuaient que certaines collectivit s taient injustement cibl es pour la mise en oeuvre du projet pr tendaient que la SGDN tait trop pr s de l industrie nucl aire et qu elle se trouvait par cons quent en situation de conflit d int r ts et po
61. s de r pondre aux exigences du projet Dans le cadre de ces tudes initiales des questions ont t soulev es et des incertitudes ont t relev es Ces questions et incertitudes varient d une collectivit une autre et ajoutent la complexit du processus d cisionnel ce stade des travaux Compte tenu de l tat pr liminaire des travaux men s ce point et des incertitudes qui doivent encore tre r solues pour mieux comprendre l aptitude des collectivit s la SGDN a reconnu l utilit de maintenir une certaine diversit au sein des collectivit s choisies et des domaines futurs d tude la lumi re de ce qui a t appris au cours des tudes d valuation pr liminaire la SGDN a jug bon de choisir d lib r ment des r gions pr sentant des configurations g ologiques diff rentes ainsi que des caract ristiques sociales conomiques et culturelles dissemblables ce qui permettra Apprendre davantage ensemble Rapport triennal 2011 2013 la SGDN d explorer activement la possibilit de garantir la s ret du projet par l tude de diverses conditions g ologiques Cela permettra galement d examiner la possibilit de favoriser le bien tre de la collectivit et de d velopper les types de partenariats requis avec les collectivit s locales les peuples autoch tones et les autres collectivit s de la r gion environnante travers l ventail des int r ts et des valeurs de diff rentes collectivi
62. s int ress es les peuples autochtones et les r gions environnantes L application du savoir traditionnel autochtone sera un objectif important tout au long de ces travaux Le transport constitue une consid ration importante dans l valuation d un site Faisant partie du processus de s lection d un site une infrastructure pour le transport s r et s curitaire du combustible nucl aire irradi depuis les sites o il est actuellement entrepos doit exister ou pouvoir tre d velopp e Au del de la s ret le transport est galement un aspect important dans l identification et l valuation des incidences sur le bien tre des collectivit s La SGDN devra d montrer la s ret et la s curit de tout syst me de transport la satisfaction des autorit s r glementaires et des citoyens avant que le transport du combustible nucl aire irradi vers le d p t puisse d buter Les efforts dans ce domaine incluront l engagement des autorit s r glementaires tous les niveaux pour comprendre leurs exigences des experts en transport et ceux qui oeuvrent dans ce secteur pour comprendre les probl mes et pr occupations des collectivit s h bergeant des centrales nucl aires tant donn qu elles seront concern es par tout plan de transport des collectivit s situ es le long de l itin raire de transport afin qu elles fassent part de leurs questions et pr occupations pour qu elles soient prises en compte dans le choix
63. s par actions La filiale a achet certaines concessions de prospection mini re pour un montant de 5 000 soit 1 provenant du capital actions et un montant de 4 999 provenant d un pr t sans int r t accord par la soci t m re Un sommaire du total de l actif du passif et des capitaux propres au 31 d cembre 2013 et des produits des charges du r sultat net et des flux de tr sorerie tir s des activit s de fonctionnement de financement et d investissement pour l exercice termin le 31 d cembre 2013 est pr sent ci dessous 2013 Actif Total de l actif Passif 4 999 Capitaux propres Capital actions Perte nette de fonctionnement 5 000 Total des capitaux propres 4 999 Total du passif et des capitaux propres Produits 2 Charges de fonctionnement 5 000 Perte nette de fonctionnement 5 000 Tr sorerie de la soci t de portefeuille Souscriptions d actions 1 Emprunt sans int r t 4999 Tr sorerie de la soci t de portefeuille 5 000 Tr sorerie affect e aux activit s de fonctionnement 5 000 Tr sorerie au 31 d cembre e Rapport triennal 2011 2013 6 Apports recevoir des membres et apports des membres report s La SGDN re oit des apports de ses membres lesquels constituent sa seule source de financement Les apports provenant des membres tant grev s d une affectation les produits sont comptabilis s lorsque des charges admissibles sont engag es Les montants re us avant
64. s passant l tape 3 du processus de s lection d un site peuvent demander une aide financi re la SGDN pour absorber les d penses administratives d un comit de liaison communautaire CLC et le salaire d un attach administratif mi temps La SGDN fournit gale ment un soutien technique aux CLC pour cr er leurs propres sites Web et publier des bulletins d information Le mandat de chaque CLC est tabli par le conseil municipal de la collectivit qui en choisit aussi les membres Dans certains cas les collectivit s autochtones voisines ont t invit es nommer des membres au CLC local Certains CLC comptent des jeunes parmi leurs membres Les CLC constituent une ressource importante pour les collectivit s Etape 3 du proces sus de s lection d un site Ind pendants de la SGDN ces groupes de travail remplissent plusieurs fonctions importantes dont celle d aider les r sidents en apprendre davantage sur le plan canadien de gestion long terme du combustible nucl aire irradi sur le processus de s lection d un site et sur les valuations pr liminaires r alis es l tape 3 Les CLC se r unissent habituellement au moins une fois par mois et toutes leurs r unions sont publiques Les annonces les ordres du jour et les proc s verbaux de leurs r unions sont affich s sur leurs sites Web respectifs auxquels on peut acc der partir de la page www clcinfo ca Les fonctions importantes remplies p
65. sent plus de 570 demandes d informa tion Des membres du personnel de la SGDN et d OPG et de leurs entrepreneurs sous traitants ont particip de pr s a la pr paration et l examen des r ponses ces demandes et plusieurs ont galement particip des s ances d infor mation technique convoqu es par la Commission Ces s ances ont t organis es pour aider la Commission examiner la documentation pr sent e Toutes les r ponses et les observations ont t pr sent es dans les d lais pr vus La Commission d examen conjoint a subs quem ment tenu l automne 2013 des audiences publiques Kincardine et Port Elgin Ces audiences ont donn l occa sion aux participants d entendre parler du projet et des r sultats de l IE et de pr senter leurs points de vue la Commission La Commission a demand des informations suppl mentaires avant de conclure sa p riode d examen Au cours de l tape suivante qui doit s effectuer dans les 90 jours suivant la fin de la p riode d examen la Commission doit pr senter au ministre f d ral de l Envi ronnement un rapport d valuation environnementale exposant ses conclusions et justifications ainsi que ses recommandations Sous r serve de la d cision du gouver nement du Canada la Commission pourra alors tre autoris e a prendre une d cision concernant la demande de permis pour la pr paration d un site et la construction d un d p t g ologiqu
66. tre exhaustives elles doivent aussi tre concises et r dig es en langage simple afin que les enjeux puissent tre pleine ment saisis Comme il a t not plus haut des commen taires ont fait tat de l importante de donner gratuitement acc s aux collectivit s des informations dignes de confiance sur les risques auxquels elles s exposent afin qu elles puissent prendre des d cisions clair es La d sinformation doit tre mise au jour et contrecarr e Engager de mani re appropri e et efficace la parti cipation des peuples autochtones des collectivit s voisines et des jeunes La SGDN doit noncer de mani re plus pr cise comment elle entend faire participer les peuples autochtones et plus particuli rement comment les d cisions seront prises concernant les questions importantes telles que l valuation de l aptitude des sites potentiels et des itin raires potentiels de trans port Des commentaires refl taient l importance de veiller ce que la SGDN respecte les droits des peuples autoch tones au cours de ses contacts avec eux dans le cadre de la mise en oeuvre de la GAP Les objectifs de sensi biliser les peuples autochtones et de les pr parer partici per ont t identifi s comme des d fis relever Consulter de mani re appropri e les peuples autochtones sur la Apprendre davantage ensemble Rapport triennal 2011 2013 question du savoir traditionnel autochtone a galement t per u co
67. 14 Brockton 9 Elliot Lake 15 Huron Kinloss 10 The North Shore 16 South Bruce Collectivit s Etape 2 En savoir plus Evaluations de pr s lection 17 Central Huron Au 31 d cembre 2013 Nos travaux de 2011 2013 valuations de pr s lection tape 2 De 2011 2013 22 collectivit s ont exprim l int r t d en apprendre davantage sur le projet Dans chacun de ces cas la SGDN a offert une s ance d information d taill e et ensuite apr s avoir re u une demande officielle de la part du conseil municipal local a r alis une valua tion de pr s lection pour d terminer si des conditions videntes permettraient d exclure la collectivit des phases subs quentes du processus de s lection d un site Les valuations de pr s lection taient fond es sur les renseignements disponibles et pour tre admissible l tape suivante du processus de s lection d un site la collectivit devait disposer de terres r pondant aux exigences suivantes 1 tre d une superficie suffisante pour accueillir les instal lations de surface et souterraines 2 tre situ es hors de toute zone prot g e et de tout lieu patrimonial ou parc provincial ou national 3 Ne pas contenir de ressources connues en eaux souterraines la profondeur du d p t 4 Ne pas contenir de ressources naturelles exploitables d apr s les connaissances actuelles 5 Ne pas tre situ es dans un secteur don
68. 2011 2013 Apprendre davantage ensemble pages 94 105 Le programme technique de la SGDN a poursuivi ses travaux de recherche d veloppement dans les domaines cl s de la g oscience de l ing nierie du d p t et de l analyse de dossiers de s ret du d p t Ces travaux donnent lieu a des am liorations graduelles et constantes des mod les conceptuels propos s Par exemple la SGDN a entrepris en 2013 des tudes d optimisation des mod les conceptuels du conteneur de stockage Mark 1 lequel est con u en fonction des caract ristiques du combustible irradi europ en et du conteneur Mark 2 optimis en fonction des grappes de combustible irradi de type CANDU Le Conseil consultatif a t tenu au courant de la progression des travaux techniques de la SGDN et des r sultats de l examen externe de ces travaux par le Groupe d examen technique ind pendant En 2011 les membres du Conseil ont relev les liens troits qui existent entre le choix d un site pour le d p t et les caract ristiques sp cifiques de conception du d p t et les valuations de s ret associ es particuli rement en ce qui concerne les diff rences qui existent entre les forma tions de roche cristalline et les formations de roche s dimentaire La SGDN a mis sur pied un comit interne charg de coordonner et d harmoniser tous les programmes de travaux techniques et sociaux Cette mesure permet d appuyer le processus d cisionnel et d orienter les tra
69. 2013 une nouvelle entente de coop ration a t conclue entre la SGDN et son homologue britannique la Nuclear Decommissioning Authority Bruce McKirdy gauche Decommissioning Authority du Royaume Uni et Ken Nash pr sident et chef de la direction de la SGDN En 2013 les deux organismes ont sign une entente de coop ration Comme par les ann es pr c dentes SKB et Posiva ont collabor en partenariat avec la SGDN au Greenland Analogue Project un projet de recherche continue servant examiner comment la calotte glaciaire influence l coulement des eaux souterraines et la chimie des eaux entourant un d p t en roche cristalline pendant des v nements glaciaires La SGDN a galement continu de participer au Laboratoire de SKB sur la roche dare d Asp en milieu cristallin travers le Groupe de travail sur les syst mes de barri res ouvrag es l Essai long terme des mat riaux tampons et Essai d injection de gaz grande chelle et jusqu en 2013 les essais de r cup ration reli s au Projet de prototype de d p t du site d Asp Nos travaux de 2011 2013 Le projet du laboratoire souterrain du Mont Terri et celui du Site du Grimsel tous les deux en Suisse constituaient deux autres importants projets de collaboration avec des partenaires trangers Depuis 2008 la SGDN est partenaire du projet du Mont Terri auquel taient associ s des chercheurs suisses fran ais espagnols allemands belges e
70. Caine 4 rac ta kd amage anisot ropy in brittle ro Apprendre davantage ensemble Rapport triennal 2011 2013 A cks a Es Ehsan Ghazvinian tudiant au doctorat de l Universit Queen s discutant de sa recherche sur l activation et la propagation des fissures et des fractures induites dans les formations rocheuses s dimentaires LAPS oe Emily Henkemans tudiante au doctorat de l Universit de Waterloo discutant de la recherche qu elle m ne dans le cadre du Greenland Analogue i _ Project une collaboration interna _ tionale cofinanc e par la Soci t su doise de gestion ducombus tible et des d chets nucl aires SKB la compagnie finlandaise Posiva et la SGDN Nos travaux de 2011 2013 Apprendre davantage ensemble Rapport triennal 2011 2013 Partenariats et r seautage internationaux Les partenariats nou s avec d autres organismes de gestion des d chets radioactifs permettent la SGDN de promouvoir la coop ration internationale en recherche d veloppement et d mons tration technologiques de tirer profit de l exp rience acquise l tranger et de se tenir au fait des avanc es dans les domaines de la conception des d p ts et de l laboration de dossiers de s ret pour diverses formations de roche h tes Ces partenariats ont consid rablement enrichi les travaux du programme technique de la GAP au cours des trois derni res ann es En
71. Canada Rapport d tude final Apprendre davantage ensemble Rapport triennal 2011 2013 Consulter le public pour trouver la meilleure fa on de mettre en oeuvre la Gestion adaptative progressive Apr s que le gouvernement e t opt pour la GAP en 2007 la SGDN s est r engag e dans un processus de consultation publique alors qu elle changeait de vocation passant d un organisme d tude un organisme responsable de la mise en oeuvre du plan canadien de gestion long terme du combustible nucl aire irradi produit au pays Elle a invit le public et les groupes qui avaient particip l tude donner leur avis en plus des autres Canadiens y compris les peuples autochtones pouvant s int resser la GAP ou tant susceptibles d tre touch s par sa mise en oeuvre Les particuliers et les groupes qui ont particip ce dialogue ont contribu fa onner les orientations strat giques et les priorit s auxquelles la mise en oeuvre de la GAP allait devoir se subordonner En 2008 la SGDN a commenc travailler en collabo ration avec les particuliers et les groupes int ress s pour tenter de d finir les principes devant guider le processus de s lection d un site Leurs suggestions ont t incor por es au document de discussion d crivant le processus propos qui a ensuite fait l objet d une large diffusion des fins de commentaires publics en 2009 ce moment les participants ont e
72. Gestion adaptative progressive 2014 2018 Les sept objectifs du plan strat gique repr sentent des l ments du programme de travail qui sont essentiels la r ussite de la mise en oeuvre de la Gestion adaptative progressive GAP et qui constituent le point de d part de l examen et de la mise jour annuels du plan strat gique de la SGDN l instar du plan strat gique ces objectifs sont r examin s chaque ann e dans le cadre du processus de consultation sur la mise en oeuvre de la GAP pour en d terminer la pertinence La p riode 2014 2018 sera ax e sur la s lection d un site et la collaboration avec les collecti vit s potentiellement int ress es dans leur cheminement travers les diff rentes tapes du proces sus de s lection d un site Lorsque des collectivit s indiqueront qu elles souhaitent aller plus avant dans le processus la SGDN sera pr te mettre en oeuvre les activit s d apprentissage d valua tion de sites et d engagement requises Nous pr voyons que le processus de s lection d un site progressera au cours de cette p riode de cinq ans avec des tudes progressivement plus d taill es sur l aptitude potentielle La SGDN continuera d affiner les plans d valuation de la s ret post fermeture pour un d p t en formation de roche cristalline ou de roche s dimentaire et soumettra ces plans l examen pr projet de la Commission canadienne de s ret nucl aire L engagement public et la rec
73. Pendant que le processus de s lection d un site avan ait au cours des trois derni res ann es la question du trans port a pris de plus en plus d importance dans les travaux men s par le groupe technique de la GAP Dans le cadre d une analyse distincte relative au colis de transport de r f rence actuel il a t confirm que les niveaux de doses radiologiques seront inf rieurs de plusieurs ordres de grandeur aux limites r glementaires La SGDN a commenc examiner la conception du colis de transport du combustible irradi afin d en optimiser la performance Ces travaux ont permis de diminuer de moiti les doses l eau a fait augmenter la pression m canique sur la roche et le b ton qui confinent l argile Les capteurs install s l int rieur et autour de la roche et du b ton indiquent galement un r tablissement discernable de la pression locale des eaux souterraines proximit et sous le bouchon Les donn es fournies par un ensemble d instru ments indiquent que le bouchon se comporte comme pr vu jusqu maintenant et que les r gions sup rieures et inf rieures du puits sont isol es l une de l autre sur le plan hydraulique pr vues par rapport aux valeurs initiales La Commission canadienne de s ret nucl aire CCSN met r guli rement jour le R glement sur l emballage et le transport des substances nucl aires d apr s les normes internationales pour le transport s r des mati res
74. Pollution Probe Chaque t depuis 2007 des quipes de la SGDN courent et marchent dans le cadre du Toronto Corporate Team Challenge pour la campagne Pour nos enfants du YMCA Les fonds recueillis aident des enfants des adolescents et de jeunes adultes vivre une vie plus heureuse et plus saine Movember vise recueillir des fonds pour contribuer la lutte contre le cancer de la prostate la sensibi lisation du public cette maladie et au traitement des probl mes de sant mentale qu elle soul ve Depuis 2011 les employ s masculins de la SGDN amassent des fonds et sensibilisent la population cette cause en arborant une moustache au cours du mois de novembre Le Clean Air Commute de Pollution Probe est un v nement annuel la SGDN depuis 2010 Ce d fi d une dur e d une semaine est une comp tition amicale entre milieux de travail qui encourage les gens qui voyagent pour se rendre au travail adopter des modes de transport plus cologiques que ce soit la marche le v lo le transport en commun ou le covoiturage ou simplement travailler distance De 2011 2013 la participation de la SGDN a permis de r duire de six tonnes la quantit de polluants mis dans l air Employ s de la SGDN au Corporate Team Challenge 2013 du YMCA PoLLUTioN PROBE CLEAN ALR CLEAN WATER Mettre en oeuvre en collaboration le processus de s lection d un site OBJECTIF STRAT GIQUE La
75. SGDN sur sa strat gie de communication et a appuy ses efforts visant assurer la transparence de ses travaux et tablir un microsite Web enti rement d di au processus de s lection d un site Le Conseil a aussi relev l importance de clarifier et d expliciter les messages concernant la s ret de tous les aspects des travaux de la SGDN Il a not que les m dias num riques pr sentent de nouveaux d fis et cr ent des occasions qui doivent tre pris en consid ration dans le cadre de gestion des risques de la SGDN Il a sugg r la SGDN de r it rer ses engagements envers ses valeurs fondamentales et son cadre thique ainsi qu envers les valeurs sous tendant le processus de s lection d un site Le Conseil a press la SGDN de chercher d autres occasions d largir la sensibilisation ses approches innovantes en mati re de participation publique son type de gestion et ses valeurs ll a sugg r qu il serait utile d obtenir un point de vue am ricain sur les travaux de la SGDN suivant la publication en 2012 du rapport de la commission am ricaine Blue Ribbon sur l avenir du nucl aire aux tats Unis Il a offert des suggestions en mati re de sensibilisation y compris sur la possibilit d utiliser la t l vision ou d autres m dias pour pr senter des segments couvrant des affaires d int r t public national La SGDN a r vis sa strat gie de communication et a incorpor les commentaires du Conseil
76. SGDN travaillera en collaboration avec les Canadiens la mise en oeuvre du processus de s lection d un site pour un d p t g ologique en profondeur qui servira la gestion long terme s re du combustible nucl aire irradi au sein d une collectivit h te inform e et consentante Le processus de s lection d un site mis en oeuvre par la SGDN est issu d un dialogue men pendant deux ans avec les Canadiens int ress s et les peuples autochtones 2008 2009 Au del de la n cessit d assurer la s curit de la population et de l environnement ceux qui ont particip ce dialogue nous ont dit que le processus devait tre guid par les collectivit s et que le projet devait favoriser le bien tre long terme de la collectivit h te et de la r gion environnante C est dans ce but que la SGDN travaille en collaboration avec les collectivit s int ress es les peuples autochtones potentiellement touch s et les autres collectivit s de la r gion environnante VAN La SGDN collabore avec les collectivit s pour explorer l aptitude du projet favoriser le bien tre de la collectivit et de la r gion environnante Elle travaille activement avec les collectivit s int ress es afin d engager les collectivit s autochtones et non autochtones voisines en apprendre davantage sur le projet et participer aux d cisions Cette collaboration est essentielle la r ussite du processus canadien de
77. a t pr sident et chef de la direction de Jonview Canada Inc Auparavant il a fait carri re pendant 25 ans au sein de la fonction publique provinciale et f d rale y compris pendant 15 ans titre de sous ministre de sept minist res ontariens a aussi occup des postes de haut fonctionnaire f d ral notamment au minist re des Affaires indiennes et du Nord canadien et au minist re de la Sant et du Bien tre social M Obonsawin est Ab naquis et membre de la Premi re nation d Odanak Michel R Rh aume Michel R Rh aume est le pr sident directeur g n ral de RHEM Technologies Inc une entreprise sp cialis e en radioprotection situ e Grand M re Qu bec M Rh aume est dipl m en physique de l Universit du Qu bec Trois Rivi res Il entreprit sa carri re Hydro Qu bec en 1975 Jusqu sa retraite il occupa plusieurs postes de gestionnaire dans les domaines de la radio protection des plans d urgence de l environnement de la s ret nucl aire des affaires r glementaires et de la aor gestion des d chets nucl aires De 2007 2011 il a t directeur de la division du g nie nucl aire de la soci t G nivar un cabinet de g nie conseil En 1999 il a re u de l Association nucl aire canadienne le Prix de r alisa tion exceptionnelle en reconnaissance de sa contribution l acceptation par le public de la technologie nucl aire par ses comp tences et ses connaissances en r
78. a n s et pour remerci ee mbres du Forum des ain s En 20 seil deg s et la SGDN ont d cid d accro e de res s du Consei il afin d assure ssurer u tation d hommes et nn femmes ne a a X x x z j A mu Lat a he f at Nos travaux de 2011 2013 Renforcer les relations avec les gouvernements f d ral et provinciaux En tablissant et en consolidant ses relations avec les repr sentants des gouvernements provinciaux et f d ral la SGDN favorise une plus grande compr hension de son travail et facilite l change d information sur des sujets d int r t commun tels que le transport l obligation de consulter les peuples autochtones et l acc s potentiel aux terres de la Couronne Puisque la GAP touche au mandat de plusieurs organismes et minist res la SGDN encourage le d veloppement de liens entre eux En m me temps un minist re principal agit titre de premier point de contact pour les autres minist res et organismes de chaque province En plus de travailler avec les fonctionnaires la SGDN tient inform s les d put s f d raux et provinciaux Engagement des jeunes Canadiens tant donn l ch ancier prolong de mise en oeuvre de la GAP la SGDN reconna t l importance d approcher les jeunes et de les aider comprendre le plan ce qui permettra aux futures g n rations de prendre les d cisions qu il faudra La SGDN offre de multiples possi bilit
79. a 2013 et ses plans pour la p riode 2014 a 2018 Les faits saillants pass s et les plans d avenir sont r sum s dans les sections qui suivent Les activit s pass es et les plans d avenir de la SGDN sont expos s en d tail au fil des chapitres et des annexes du Rapport triennal 2011 2013 Apprendre davantage ensemble Rapport triennal 2011 2013 Aper u Au cours des trois derni res ann es la SGDN a fait des progr s consid rables dans la mise en oeuvre du plan canadien de gestion long terme s re et s curitaire du combustible nucl aire irradi canadien Elle a continu d difier et de renforcer ses relations avec les particuliers et les organi sations int ress s avec les collectivit s participant au processus de s lection d un site et avec les peuples autochtones En m me temps elle a commenc tablir des contacts avec les collectivi t s voisines des collectivit s int ress es Le processus de s lection d un site en neuf tapes lanc en mai 2010 a progress les valuations de pr s lection tape 2 ont t compl t es et 20 collectivit s qui avaient exprim un int r t en apprendre davantage ont choisi de passer l tape 3 la fin de 2013 la premi re phase des valuations pr liminaires tait compl t e dans huit collectivit s et tait en cours dans 12 autres collectivit s Parmi les huit premi res collectivit s dont les valuations ont t compl t es qua
80. activit s d engagement mais des divergences importantes et tenaces de points de vue sont galement apparues Ces divergences taient souvent le reflet de positions fermement ancr es sur la mani re de proc der La SGDN continuera de les examiner et cette fin ses plans et ses processus sont continuelle ment revus afin de confirmer leur conformit avec les valeurs les priorit s et les pr occupations des Canadiens Les sections suivantes font tat des r sultats des activit s d engagement men es par la SGDN de 2011 2018 Ce que nous avons entendu Mise en oeuvre du processus de s lection d un site ce stade peu avanc du processus de s lection d un site les activit s d engagement ont princi palement t ax es sur les collectivit s int ress es qui ont manifest l int r t d en apprendre davantage sur le projet et de participer au processus de s lection d un site Une bonne part de ce que nous avons entendu au cours des trois derni res ann es provient de personnes et de groupes appartenant ces collectivit s Un large ventail d activit s d engagement a t utilis pour soutenir l apprentissage la discus sion et la r flexion sur le projet au sein de la collectivit et pour mieux comprendre le point de vue et les pr occupations des r sidents Ces activit s comprenaient des v nements portes ouvertes des discussions avec des groupes et des personnes influentes des collectivit s la partic
81. alis es pour d terminer si des raisons videntes permettaient d exclure des collectivit s des tapes subs quentes du processus ont t pr par s Des documents d information sur l historique du projet la SGDN le combustible irradi et la nature des risques associ s g rer le processus de s lection d un site et plus encore ont t produits et utilis s pour aider alimenter la discussion Ce que nous avons entendu sur la mise en oeuvre de la Gestion adaptative progressive Peu apr s le d but de l tape 2 du processus de s lection d un site la SGDN a t invit e par des collectivit s rencontrer leurs citoyens et les renseigner sur le plan canadien de gestion long terme du combustible nucl aire irradi et sur le processus de s lection d un site En collaboration avec les dirigeants des collectivit s des v nements portes ouvertes de plusieurs journ es ont t organis s dans chaque collectivit Des campagnes publicitaires locales ont invit les r sidents participer ces v nements jeter un coup d oeil l installation de panneaux d information l exposition mobile et aux documents vid o de la SGDN et discuter avec le personnel de la SGDN et les dirigeants de la collectivit La SGDN a aussi rencontr les groupes de chaque collectivit et de la r gion environnante qui le souhaitaient Ces conversations se sont poursuivies tout au long des activit s d engagement de l E
82. appui de la demande de permis de pr paration du site et de construction pour le projet d OPG e l examen des rapports annuels pr par s par le Groupe d examen technique ind pendant e l examen des valuations g n riques de s ret LL S la Commission canadienne de s ret ucl aire e des discussions sur les diverses technologies de conteneur et les progres enregistr s l tranger dans ce domaine s qui lui a gt ion requise en vertu de an mae Loi TEE Sur les organisations but non lucratif une s ance d information sur la Blue Ribbon ommission sur l avenir du nucl aire aux Etats Unis s s ances d information et des discussions sur la nification du transport camen des mg Een de cor La Soci t Comit s du Conseil d administration Comit de la v rification des finances et des risques Le comit s est r uni 15 fois au total de 2011 2013 Au cours de cette p riode le comit a supervis les v rifications externes des tats financiers de la SGDN Le comit conseille galement chaque ann e le Conseil d administration concernant le choix des v rificateurs pour l exercice suivant ainsi que les dispositions du Plan des services de v rification Le comit rencontre annuellement les v rificateurs pour discuter de leurs constats Le comit a aussi r guli rement examin les tats financiers en cours d exercice et a fait tat de ses constatation
83. aptitude de la collectivit r pondre aux crit res rigoureux de s ret du projet des tudes techniques de plus en plus d taill es ont t men es au cours de ces tapes et des rapports ont t publi s En m me temps les collectivit s ont r fl chi leur vision et leurs objectifs long terme et ont commenc se renseigner sur le projet et discuter de la fa on dont il pourrait tre implant dans la r gion et de son aptitude s harmoniser aux objectifs de la collectivit Afin de soutenir le dialogue et l apprentissage et de favoriser les conversations au sein des collectivit s les CLC tablis localement et la SGDN se sont associ s un large ventail d activit s d engagement En appui ces discussions la SGDN a commandit des v nements et a cr des produits de communication en r ponse aux questions fr quemment pos es Ce que nous avons entendu l tape 2 Pr sentation de la SGDN du projet et du processus de s lection d un site Les collectivit s souhaitant en apprendre davantage ont approch la SGDN pour participer au processus de s lection d un site Les premi res activit s d engagement men es dans chacune des collectivit s avaient pour but de faire conna tre la SGDN le projet et le processus de s lec tion d un site et d amorcer l apprentissage et le dialogue au sein de la collectivit Des rapports de pr s lection r sumant les constats des tudes techniques r
84. au Conseil tion de la s ret et du d veloppement technologique Ses d administration et au Conseil consultatif de la SGDN Les quatre membres ont une expertise reconnue mondiale recommandations fournies par le GETI ont servi de fonde ment dans ces domaines et se rencontrent pour d terminer ment l laboration par la SGDN d une r ponse et d un si les travaux men s dans chacun de ces domaines sont plan d action La SGDN assure le suivi de ces r ponses conformes l tat actuel des connaissances internatio et plans pour v rifier l tat du programme et sa progres nales et si les fondements scientifiques et techniques et les sion Les examens annuels du GETI et les r ponses de la ressources en place sont suffisants pour permettre la mise SGDN peuvent tre consult s sur le site Web de la SGDN en oeuvre de la GAP l adresse www nwmo ca geti Olle Olsson a travaill pendant 30 ans au sein du Programme su dois de gestion des d chets nucl aires principalement sur des questions g oscientifiques li es au stockage d finitif du combustible nucl aire irradi dans un d p t g ologique en profondeur partir de 2002 il a dirig les investigations r cemment achev es de deux sites de d p t potentiels en Su de et a t responsable de la pr para tion de la demande de permis pr sent e au gouvernement su dois en mars 2011 pour le site choisi Allan Hooper pr side le GETI Apr s plus de 30 ans de carri re
85. audiences publiques sur le d p t g ologique en profon deur d Ontario Power Generation pour d chets de faible et moyenne activit Il est tr s vraisemblable qu elle sera de nouveau soulev e dans le cadre d audiences futures sur le d p t g ologique en profondeur de combustible nucl aire irradi de la SGDN Le Conseil a abord cette question dans ses rapports pr c dents de 2005 et de 2010 Par exemple dans son Rapport triennal de 2010 il pressait la SGDN de pr ciser comment elle envisageait de suivre en continu l volution des politiques nerg tiques et comment elle adapterait ses plans en fonction des politiques changeantes de plusieurs provinces quant a la r fection et a la construction de r acteurs nucl aires La SGDN publie une mise a jour annuelle sur les inventaires courants et futurs poten tiels de combustible nucl aire irradi en termes de volume et de types La SGDN s est aussi engag e a solliciter l avis des Canadiens sur la fa on dont la mise en oeuvre de la Gestion adaptative progressive devrait s adapter en r ponse aux inventaires courants et projet s de combusti ble nucl aire irradi Depuis 2005 l Ontario et le Nouveau Brunswick ont pris la d cision de proc der la r fection de certaines centrales nucl aires existantes et le Qu bec a d cid de fermer sa centrale nucl aire Par exemple le gouver nement ontarien a publi en d cembre 2013 Vers un bilan quilibr Le plan
86. aux membres de la collectivit pour les aider acqu rir les connaissances et les comp tences voulues Serons nous en mesure de pr server ce que nous comptons comme pr cieux au sein de notre collec tivit tel que les activit s de chasse et de p che la nature et d autres aspects de notre mode de vie Le projet aura t il des incidences sur les infrastruc tures locales notamment sur les routes e Comment les collectivit s voisines seront elles touch es par le projet En tireront elles des avantages Le projet diminuera t il la valeur des propri t s Le projet nuira t il au tourisme dans la r gion Le souhait fr quemment exprim par les r sidents des collectivit s int ress es et des environs de voir pr server plusieurs aspects de leur mode de vie actuel et de leur conomie locale tait contrebalanc par la volont d explorer les possibilit s associ es un projet d infra structure d une telle envergure Les questions se rapportant aux emplois taient tr s nombreuses dans chacune des collectivit s mais taient souvent d ordre local Dans les collectivit s o les conditions conomiques s taient d t rior es au cours des derni res ann es la perspective d une croissance dans les investissements les infrastructures et les emplois li s la construction et l exploitation de l installation ou aux industries et services connexes requis pendant la dur e du projet a soulev
87. avec fiert que notre collectivit a contribu de mani re impor tante a cet important projet national d infrastructure a d clar Kevin Kahoot le maire d Ear Falls Je tiens particuli rement remercier les b n voles du Comit communautaire d Ear Falls sur les d chets nucl aires et tous nos citoyens qui ont fait part de leurs points de vue de leurs questions et de leurs pr occupations au cours de ces trois derni res ann es Le processus de s lection d un site a produit des rapports et des infor mations qui b n ficieront Ear Falls long terme et je tiens remercier la SGDN pour tout le support et les ressources qu elle a fourni tout au long du processus Le Fonds de r serve pour le bien tre de la collectivit tabli par la SGDN constitue une reconnaissance tangible de la contribution de notre collectivit au processus de la SGDN Hornepayne Nous en sommes toujours au d but d un tres long processus d apprentissage signale Morley Forster le maire de Hornepayne Ultimement la collectivit tout enti re devra d terminer s il est dans son int r t sup rieur d accueillir ce projet et si cela peut contribuer a notre bien tre long terme Nous attendons avec impatience que soient entreprises les tudes de plus en plus d taill es et que les activit s de dialogue dans la collectivit et la r gion s intensifient Nos r sidents peuvent d j tre fiers d avoir con
88. cadre de ce projet En 2012 le comit a visit la mine Timmins West de Lake Shore Gold Ontario et la mine Westwood d IAMGOLD pr s de Rouyn Noranda Qu bec Ces deux visites ont donn l occasion aux membres du comit d observer des sites dont les caract ristiques ressemblent celles du site propos pour le projet de d p t g ologique en profondeur d OPG pour DFMA Dans un cas le puits avait r cemment t achev et tait en exploitation Dans l autre le projet de forage du puits tait en cours de r alisation Le comit tait galement responsable des activit s suivantes de 2017 e la pr sentation de mises jour sur les travaux li s a l examen r conception d taill e e l examen des risques e les discussions sur les plans contractuels e l examen de la politique des proc dures et du rendement concernant l aspect de la sant et de la s curit au travail e examen des objectifs de rendement relatifs aux travaux effectu s pour le d p t g ologique en profondeur pour DFMA e l examen du progr s de la phase d examen r glementaire des travaux y compris des travaux lanc s par la Commission d examen conjoint en 2012 e l examen de la charte du comit Au 31 d cembre 2015 le comit comptait cing membres Gary Kugler pr sident lan Ross Donn Hanbidge jusqu en d cembre 2013 Morris Medd membre non administrateur du comit Wolf Seidler membre non administrateur du comit
89. co ts de la mise en oeuvre de la GAP La formule propos e a t approuv e en avril 2009 par le ministre des Ressources naturelles La LDCN exigeait galement de la SGDN qu elle mette sur pied un Conseil consultatif dont les observations ind pendantes sur les activit s et les rapports triennaux de la Soci t seraient rendus publiques En plus de ses obligations l gales le Conseil consultatif se r unit r guli rement avec la SGDN et lui offre conseil sur ses plans de travail et activit s Le combustible nucl aire irradi Le Canada produit de l lectricit avec de l nergie nucl aire depuis un peu plus d un demi si cle Au cours de cette p riode un peu plus de 2 4 millions de grappes de combustible irradi ont t produites Une grappe de combustible est approximativement de la taille et de la forme d une b che pour le foyer et p se approximative ment 24 kilogrammes Le combustible nucl aire irradi demeure radioac tif pendant une longue p riode et les substances qu il contient doivent tre confin es et isol es de la popula tion et de l environnement pour une dur e essentiellement ind finie Le combustible nucl aire irradi canadien est actuellement g r de mani re s re dans des installations autoris es pour l entreposage provisoire situ es sur les sites des r acteurs nucl aires de l Ontario du Qu bec et du Nouveau Brunswick ainsi que sur le site manitobain et celui des Laboratoires de C
90. collectivit s progresseront dans le processus de s lection d un site la perspective r gionale s accentuera Les travaux ne pourront aller de lavant qu avec la participation des peuples autochtones touch s et des collectivit s voisines Le d p t g ologique en profondeur et le centre d expertise sont un grand projet qui a le potentiel de fournir des avantages une grande r gion La planification une plus grande chelle r gionale permettra d assurer que les avantages associ s au projet sont maximis s Elle aidera galement s assurer que les questions et les pr occupations sont prises en compte et que la fondation est en place pour avancer ensemble dans la mise en oeuvre du projet travers la collaboration avec les collectivit s participant au processus de s lection d un site et une sensibilisation initiale des collectivit s voisines et des peuples autochtones la nature et la forme des partenariats n cessaires la mise en oeuvre collaborative du projet de la Gestion adaptative progressive ont commenc merger Ce projet n ira de l avant qu avec la participation de la collectivit int ress e des peuples autochtones touch s et des collectivit s voisines Dans le cadre de la mise en oeuvre du processus la SGDN est consciente des obligations qui lui incombent Ces obligations sont envers les Canadiens et les peuples autochtones concernant la gestion long terme du combustible nucl aire irradi envers
91. combustible irradi examinant des aspects comme les diff rents modes possibles de transport l exp rience internationale et les travaux men s relativement au syst me de transport de la Gestion adaptative progressive Il a insist sur importance capitale de comprendre les perceptions du public des risques associ s chacun des modes de transport et a press la SGDN de prendre des mesures en temps opportun pour aborder la question La SGDN a fourni une mise a jour sur l valuation de la s ret des conteneurs de transport sur le plan des risques radiologiques un sujet que le Conseil a relev de fa on r p t e comme enjeu capital de communication publique Le Conseil a offert des conseils sur la fa on de fournir des informations appropri es aux collectivit s pour discuter du transport notant l exp rience impor tante d j acquise au Canada et ailleurs dans le monde en mati re de transport de combustible irradi et d autres substances hautement radioactives Le Conseil a fourni des commentaires sur le document de la SGDN sur Le transport s r et s curitaire du combustible nucl aire irradi canadien Les membres du Conseil ont aussi eu l occasion de voir le mod le de remorque colis de trans port du combustible irradi de la SGDN qui pr sente le conteneur de transport qui sera utilis pour acheminer de mani re s re le combustible irradi L volution du contexte externe la demande du Conseil un des points r
92. conform ment la notion selon laquelle tous les points de vue doivent tre entendus et consid r s et que toutes les questions et les pr occupations concernant le plan canadien et le d p t g ologique en profondeur en particulier doivent tre discut es examin es et trait es de mani re pertinente 148 Ce que nous avons entendu sur la mise en oeuvre de la Gestion adaptative progressive Ce que nous avons entendu au terme des valuations de la Phase 1 valuation du bien tre de la collectivit L ach vement des valuations de la Phase 1 dans les huit premi res collectivit s participer au processus fut un jalon important pour elles et pour la SGDN Les r sultats de ces valuations ont t communiqu s aux collectivit s en novembre 2013 La r action des huit collectivit s telle qu elle a t exprim e par les maires les conseils municipaux et les CLC respectifs tait favorable Les valuations et en particulier les parties l laboration desquelles les CLC avaient particip plus troitement l valuation de l aptitude du projet de favoriser le bien tre de la collectivit ont t jug es quitables Les d cisions de la SGDN quant au choix des collectivit s parmi celles l qui pourront faire l objet d tudes plus approfondies et l exclusion des autres ont galement t jug es quitables par les collectivit s concern es Les collectivit s choisies pour passer la prochain
93. congr s et v nements Expo sciences pancanadienne Soci t nucl aire canadienne e Mai 2012 Charlottetown P E e 2012 Congr s annuel e Mai 2018 Lethbridge Alb e 2013 Congr s annuel Association nucl aire canadienne Forum des politiques publiques e 2011 Congr s annuel e 3 mai 2012 Toronto e 11 au 14 septembre 2011 Conf rence sur la gestion des d chets le d classement et la restauration environnementale e 2012 Congr s annuel e 2013 Congr s annuel Apprendre davantage ensemble Rapport triennal 2011 2013 La SGDN donne des pr sentations sur demande et participe un certain nombre de regroupe ments sp cialis s Des membres du personnel de la SGDN sont membres des organismes suivants Conference Board of Canada Conseil canadien des affaires autochtones Agence pour l nergie nucl aire Forum sur la confiance des parties prenantes R union du groupe cadre Agence internationale de l nergie atomique AIEA Groupe de travail sur la r versibilit et la r cup rabilit Pr sentations donn es par le personnel de la SGDN Coll ge Durham Pr sentation sur les consid rations sociales et l engagement 19 juin 2011 AIEA 6 au 10 d cembre 2011 Atelier sur la r versibilit et la r cup rabilit 9 d cembre 2011 Atelier sur le dialogue avec les parties prenantes Conf rence internationale sur la gestion des d chets hautement radioactifs Avril 2
94. consultatif De plus le Conseil consultatif devra aussi compter des membres poss dant ensemble un vaste champ de comp tences scientifiques techniques et sociales ainsi qu une expertise en savoir traditionnel autochtone ainsi que le pr voit la Loi POLITIQUES ET PROC DURES Depuis 2010 la SGDN a maintenu sa certification ISO 9001 2008 qui comprend son syst me de gestion de la qualit pour les activit s l appui du processus de s lection d un site et du d veloppement de d p ts pour la gestion long terme des d chets nucl aires De plus la gouvernance de la SGDN est con ue pour r pondre aux exigences de la norme CSA N286 12 Exigences relatives au syst me de gestion des installations nucl aires applicables l laboration d un d p t g ologique en profondeur En 2012 la SGDN a re u sa certification de conformit de sa gouvernance de la sant et de la s curit aux normes CSA Z1000 2006 Gestion de la sant et s curit au travail ainsi que de la conformit de sa gouvernance environnementale aux normes ISO 14001 2004 Syst mes de gestion environnementale Les activit s de surveillance d audit et d examen de la gestion pour maintenir ces certifications auront lieu en 2014 et au del GROUPE D EXAMEN TECHNIQUE IND PENDANT Le Conseil d administration a mis sur pied en 2008 le Groupe d examen technique ind pendant GETI qui a pour mission d examiner r guli rement le programme de recherche technique de la SGDN
95. d Ontario Power Generation pour d chets de faible et moyenne activit Section 3 10 Commentaire ind pendant Annexe 1 Exemple d ordre du jour d une r union du Conseil consultatif ORDRE DU JOUR DU CONSEIL CONSULTATIF R union 2013 4 Mercredi 27 novembre 9 h 16 h HAE Le Conseil consultatif poursuivra sa r union huis clos jusqu 17 h 30 Jeudi 28 novembre 8 h 30 15 h 30 HAE Lieu SGDN 22 avenue St Clair Est Toronto Ontario Mercredi 27 novembre 9 h 16 h Heure Points 256 9h 1 Ouverture de la s ance approbation de l ordre du jour 9h 2 Proc s verbal de la r union pr c dente 9 h 05 3 Rapport du pr sident 9 h 45 4 Compte rendu du programme de la GAP et de l valuation des risques Processus de s lection d un site Evaluations de la Phase 1 10h 5 tat d avancement du processus de s lection d un site et publication des huit premi res valuations 10 h 40 Pause 10 h 50 6 dification de relations 11h10 7 Rapport sur l engagement des jeunes Evaluations pr liminaires de la Phase 2 11h30 8 valuations pr liminaires de la Phase 2 premi res activit s 12h 9 Renforcement des capacit s en pr vision de la Phase 2 12h 15 D jeuner 13h 15 10 Rapport du Groupe d examen technique ind pendant GETI 13h 45 11 Plan technique de transport de la GAP et mise a jour sur le programme technique de la GAP 14h 15 12 Int grit environnementale Mises
96. d un site Du mat riel de communication continue d tre produit pour soutenir une nouvelle exposition mobile et brochure ainsi que les DVD les documents d information et les activit s d engagement afin de r pondre aux pr occupations soulev es par le Apprendre davantage ensemble Rapport triennal 2011 2013 public et les m dias La SGDN continue d laborer les politiques institutionnelles les pratiques et les structures requises pour soutenir les diff rentes tapes du processus de s lection d un site La SGDN veillera ce que la mise en oeuvre du processus de s lection d un site soit inclusive quitable et transparente et qu elle continue de renforcer la confiance l gard de la SGDN et de son fonctionnement Tout site choisi pour accueillir l installation devra avoir fait l objet d une d monstration de son aptitude confiner et isoler le combustible nucl aire irradi en toute s ret pour une tr s longue p riode La collectivit doit galement tre inform e et consentante accueillir l installation et un partenariat solide doit tre tabli avec les collectivit s locales autochtones et non autochtones Les objectifs du processus de s lection d un site et les principales tapes d valuation des sites sont mentionn s dans la description qui suit Alors que nous continuons la mise en oeuvre du processus de s lection d un site nous sommes conscients que la t che de mettre en oeuvr
97. dans les domaines de l environnement du g nie de la g ologie et des services techniques de tous ordres La SGDN signale qu elle a engag les services de soci t s conseils autochtones exp riment es pour obtenir des conseils sur la fa on d int grer le savoir traditionnel autochtone aux valuations de la Phase 1 et de la Phase 2 des collectivit s La SGDN pr voit chercher des occasions d engager des entrepreneurs autochtones mesure qu avancera le processus de la Gestion adaptative progressive Ces mesures contribuent de mani re importante r pondre nos pr occupations pourvu que la SGDN continue de veiller au respect des valeurs fondamentales qu elle s est fix es Les jeunes Canadiens Dans son pr c dent Rapport triennal le Conseil avait recommand la SGDN de revoir ses programmes de participation des parties prenantes pour veiller ce que les peuples autochtones les jeunes et les municipalit s continuent de contribuer de fa on constructive la mise en oeuvre long terme de la Gestion adaptative progressive Au cours des trois derni res ann es la SGDN a d ploy des efforts consid rables pour engager la participation des peuples autochtones et des municipalit s et a r cemment relanc des discussions pour trouver des fa ons de faire participer les jeunes Le Conseil fournit des commentaires ce sujet aux sections 2 2 2 et 8 7 Communications Le Conseil consultatif a fourni des commentaires la
98. de BIOPROTA un forum international sur la mod lisation de la biosph re pour les installations de gestion des d chets radioactifs Les chercheurs de la SGDN collaborent de plus avec des chercheurs de la Commission g ologique des tats Unis United States Geological Survey de la Commission g ologique de Finlande et de swisstopo le syst me d information g ologique suisse Apprendre davantage ensemble Rapport triennal 2011 2013 Int gration et partage des nouvelles connaissances La base de connaissances de la SGDN s est enrichie gr ce la participation active de la Soci t des ateliers et des conf rences commandit s par des organismes tels que la Soci t nucl aire canadienne SNC AEN de l Organisation de coop ration et de d veloppement conomiques et l Agence internationale de l nergie atomique En 2011 par exemple le personnel de la SGDN a pr sent 11 articles techniques lors de la Conf rence de la SNC sur la gestion des d chets et sur le d classement et la r habilitation environnementale En 2012 des g oscientifiques de la SGDN et des chercheurs associ s ont pr sent 12 articles scientifiques au cours du congr s de l Association internationale des hydrog ologistes Niagara Falls en Ontario De 2011 2013 le personnel technique de la SGDN a en outre particip aux v nements suivants La Conf rence internationale sur la gestion des d chets radioactifs de haute activit 2011 et 2
99. de Creighton www clcinfo ca creighton Comit communautaire d Ear Falls sur les d chets nucl aires www clcinfo ca earfalls Comit de liaison communautaire d Elliot Lake www clcinfo ca elliotlake Comit de liaison communautaire de la Premi re nation d English River www clcinfo ca erfn Comit de liaison communautaire de Hornepayne sur les d chets nucl aires www clicinfo ca hornepayne Comit consultatif communautaire de Huron Kinloss sur les d chets nucl aires Apprendre davantage ensemble Rapport triennal 2011 2013 Comit de liaison communautaire de Spanish Comit de liaison communautaire de The North Shore sur les d chets nucl aires Comit consultatif communautaire de Wawa sur les d chets nucl aires Comit de liaison communautaire de Manitouwadge e Comit de liaison communautaire de White River e Comit de liaison communautaire de Nipigon Comit de liaison communautaire de Saugeen Shores Comit de liaison communautaire d Arran Elderslie Comit de liaison communautaire de Brockton Comit de liaison communautaire de South Bruce D D omit s de liaison communautaires au 31 d cembre 2013 www huronkinloss com nuclear waste committee cfm Comit de liaison communautaire nucl aire d Ignace www clcinfo ca ignace Comit de liaison communautaire de Pinehouse www clcinfo ca pinehouse Comit de liaison communautaire de Schreiber www clcinfo ca schre
100. de b n ficier de la mise en oeuvre du projet de la GAP Toutefois des diff rences ont t not es quant au degr auquel le projet semble s harmoniser avec les aspirations et les priorit s plus long terme de la collectivit prise dans son ensemble Dans certains cas le projet semble s harmoniser plut t bien avec les objectifs les plus importants de la collectivit Dans d autres cas il ne s harmonise qu avec certains des objectifs importants de la collectivit En ce qui a trait aux collectivit s de ce second groupe le projet repr sente un d fi pour la collectivit qui devra faire des choix difficiles parmi ses priorit s et ses objectifs Par cons quent il est plus probable que des divergences se d veloppent autour du projet et que le projet ait des incidences n gatives sur la coh sion de la collectivit Dans ces circonstances la SGDN a jug moindre la possibilit que le projet favorise le bien tre de la collectivit Les huit collectivit s ont fait preuve d une capacit tirer parti du projet de la GAP pour atteindre certains de leurs objectifs importants Cela est d au fait que dans une plus ou moins grande mesure les huit collectivit s ont l espoir d am liorer leur viabilit par le biais du d veloppe ment conomique D apr s ce crit re le projet contribuerait au bien tre de chacune de ces collec tivit s Comme pour d autres projets d envergure le projet de la GAP g n rerait plusieurs
101. de la gauche renseigne des journalistes en langue fran aise au cours de la quatri me Conf rence internationale sur le stockage g ologique qui s est tenue Toronto en Ontario du 30 septembre au 3 octobre 2012 Autres initiatives de communication De 2011 2013 la SGDN a organis cing journ es En savoir plus l intention des m dias des collectivit s et des r gions participant au processus de s lection d un site Ces journ es comprenaient une visite d une instal lation d entreposage provisoire de d chets nucl aires et une s ance d information sur le projet de la GAP et le processus de s lection d un site Depuis 2012 la Soci t a r pondu plus de 90 demandes pr sent es par les m dias desservant les collectivit s participant au proces sus de s lection d un site en plus de mettre disposition ses experts la presse audiovisuelle et crite locale natio nale et internationale En 2012 les travaux de communication de la SGDN ont t enrichis par la construction du centre En savoir plus son si ge social de Toronto Espace de r union tr s bien outill ce centre pr sente des modules d expo sition et des panneaux expliquant la GAP et les mesures de protection et r glements qui seront en place au d p t g ologique en profondeur canadien l espace est utilis pour des r unions et des s ances d information par un large ventail de groupes et de particuliers int ress s e
102. de s lection d un site en neuf tapes La SGDN a galement accru le nombre d employ s autochtones son service Cette initiative avait t recom mand e en 2012 par le Conseil des a n s et le Conseil consultatif et pour y donner suite la SGDN a recrut et engag des membres des peuples autochtones pour soutenir ses travaux son si ge social et dans les collectivit s Comme la Gestion adaptative progressive GAP sera mise en oeuvre sur plusieurs g n rations la planification de la rel ve constitue une activit prioritaire pour la SGDN Pour assurer la pr servation et la transmission de la Aper u d un des bureaux communautaires de la SGDN m moire organisationnelle la SGDN a mis en oeuvre des proc dures syst matiques d archivage et d extraction des politiques rapports techniques notes de terrain et rencon tres d information La SGDN a de plus poursuivi son objectif de pr parer une nouvelle g n ration assumer la responsabilit de la GAP par le biais d un certain nombre d initiatives scien tifiques destin es aux jeunes dont en particulier son programme continu de soutien aux tudiants des cycles sup rieurs offert en collaboration avec le programme de bourses de R et D industrielle du Conseil de recherches en sciences naturelles et en g nie CRSNG Les projets de collaboration entre la SGDN et le CRSNG sont d crits aux chapitres 6 1 et 6 3 difier des relations durables et Optimiser
103. de sp cialistes sera capital pour d velopper et maintenir notre capacit d tudier d valuer et de prendre des d cisions et ainsi soutenir la mise en oeuvre de la Gestion adaptative progressive Le recrutement d experts constituera un l ment essentiel la mise en oeuvre du processus de s lection d un site l veil de l int r t des collectivit s et la cr ation de partenariats ainsi qu la r alisation d tudes techniques et socio conomiques des sites Maintenant que la SGDN proc de la mise en oeuvre de la Gestion adaptative progressive et d veloppe des partenariats pour la faciliter la capacit locale et r gionale participer la mise en oeuvre du d p t g ologique en profondeur et des installations associ es devient un composant essentiel de l organisation plus imposante requise pour mettre en oeuvre la Gestion adaptative progressive Le renforcement des capacit s l chelle locale et r gionale est tr s important Apprendre davantage ensemble Rapport triennal 2011 2013 Allant de l avant De 2014 2018 la SGDN Continuera d augmenter ses effectifs et d veloppera son r seau de sous traitants gr ce des initiatives comme les campagnes cibl es de recrutement s il y a lieu les alliances avec des tablissements d enseignement appropri s le d veloppement d une expertise ind pendante les programmes de formation et de perfectio
104. des d chets nucl aires Apprendre davantage ensemble Rapport triennal 2011 2013 Le d p t g ologique en profondeur Le d p t g ologique en profondeur est un syst me barri res multiples con u pour le confinement et l isolement long terme s r du combustible nucl aire irradi I sera construit une profondeur approximative de 500 m tres une profondeur qui pourrait varier en fonction de la g ologie du site et sera constitu d un r seau de salles de mise en place pour le combustible nucl aire irradi voir le diagramme Les installations de surface n cessitent une superficie r serv e d approximativement 600 m tres par 550 m tres pour les b timents principaux et d approximativement 100 m tres par 100 m tres pour le puits d vacuation de l air Les superficies reposant sur l empreinte souterraine du d p t qui ne seront pas n cessaires pour les installations de surface o pour satisfaire des exigences r glementaires pourraient tre utilis es d autres fins D apr s les projections actuelles en mati re de production de combustible nucl aire irradi le d p t souterrain n cessitera une aire souterraine d approximativement 2 kilom tres par 1 kilom tre 375 hectares 930 acres De plus en raison des exigences r glementaires et autres les activit s dans la zone imm diate autour des installations de surface pourraient devoir tre limit es Outre l aire de surface d crite ci dessus
105. des d cideurs de haut niveau et des membres de collectivit s de 15 pays pour changer des id es sur la fa on de mettre au point des d p ts qui r pondent aux exigences des soci t s qu ils desservent Les repr sentants des collectivit s ont rencontr s par ment John Heaton un ancien l gislateur du Nouveau Mexique qui a pris part la d cision de Carlsbad d accueillir un d p t de d chets transuraniens des tats Unis le Waste Isolation Pilot Plant et Jacob Spangenberg le maire de la municipalit d Osthammar qui a accept d tre l h te du d p t g ologique en profon deur su dois Le programme de la conf rence comprenait entre autres un s minaire anim par des sp cialistes du savoir traditionnel autochtone et pr sid par Phil Fontaine ancien chef national de l Assembl e des Premi res Nations du Canada D autres d tails sur la conf rence ICGR sont donn s au chapitre 6 5 Adapter les plans Il est crucial de bien comprendre les optiques locales pour tre en mesure de concevoir des plans et des processus ad quats de mise en oeuvre du processus de s lection d un site et de les am liorer au besoin cet gard la SGDN a continu au cours de chacune des trois derni res ann es de solliciter des conseils aupr s des collectivit s h tes d installations nucl aires au Canada et des associations municipales des provinces engag es dans le cycle du combustible nucl aire Les premi res comprena
106. des efforts visant appliquer des processus de collabora tion dans toutes ses activit s d engagement et d informa tion dans l laboration de ses programmes et politiques dans ses protocoles d entente et dans ses initiatives pluriannuelles Point crucial la SGDN a commenc largir son programme d dification de relations aux collectivit s qui ont manifest l int r t de participer au processus de s lec tion d un site et aux peuples autochtones et collectivit s voisines Apprendre davantage ensemble Rapport triennal 2011 2013 D velopper des relations avec les collectivit s int ress es et les organisations municipaux Depuis sa cr ation en 2002 la SGDN a cherch laborer des processus et des plans avec la participation des collectivit s int ress es et des peuples autochtones jetant ainsi les bases d un engagement continu et d un d veloppement de partenariats qui seraient respectueux des pratiques et des modalit s d cisionnelles des collec tivit s Depuis qu elle a lanc le processus de s lection d un site en mai 2010 la SGDN a travaill mettre en oeuvre le processus en collaboration avec les collectivit s souhaitant examiner leur int r t pour le projet Cet aspect est d crit de mani re plus d taill e au chapitre 6 2 Mettre en oeuvre en collaboration le processus de s lection d un site L dification de relations constitue une composante importante de ce travail
107. directives sur les questions capitales qui devaient tre r solues avant que le proces sus de d cision puisse se poursuivre Concernant le concept de stockage avanc par EACL la commission concluait que e Sur le plan technique la d monstration de la s ret du concept d EACL a t globalement jug e suffisante pour une tude d avant projet mais non sur le plan social e Un large appui public doit tre tabli au Canada pour assurer acceptabilit d un concept de gestion des d chets de combustible nucl aire e La s ret n est qu un des l ments essentiels de l acceptabilit La s ret doit tre consid r e sous deux angles compl mentaires c est a dire sur le plan a la fois technique et social Le gouvernement a examin le rapport de la Commission Seaborn et y a r pondu En novembre 2002 il a mis en vigueur la Loi sur les d chets de combustible nucl aire LDCN Jalons de la gestion long terme du combustible nucl aire irradi 2005 2007 2008 2009 canadien La SGDN pr sente Le gouvernement du Les Canadiens donnent son tude au minis Canada approuve la leurs avis et commentaires tre des Ressources Gestion adaptative sur un processus de s lec naturelles progressive tion d un site pr liminaire L approche du d p t g ologique en profon deur est celle qui est privil gi e dans le monde parce qu un syst me barri res multiples tabli au sein d une formation rocheus
108. du D cision du gouvernement Loi sur les d chets de combustible nucl aire Mise au point du processus de s lection p i d valuation d un site environne mentale La LDCN exige que Ala suite de la SGDN tudie 3 ann es d tude diff rentes la SGDN m thodes recommande la techniques de Gestion adaptative gestion long progressive terme du comme tant la La SGDN choisit un site optimal qu une collectivit veut bien accueillir Le gouvernement choisit la Gestion adaptative progressive et en confie la mise en oeuvre la SGDN Le processus d obtention d un permis de pr paration de site est amorc par la SGDN qui enclenche centralis appropri cours duquel les une valuation combustible meilleure approche pour l installation collectivit s processus de environnementale nucl aire irradi optionnelle peuvent exprimer s lection de l installation canadien d entreposage leur volont optionnelle souterrain faible d accueillir le d entreposage souterrain faible profondeur de l installation de caract risation et du d p t g ologique en profondeur profondeur et pour d p t g ologique le d p t g ologique en profondeur Soci t de gestion des d chets nucl aires Apprendre davantage ensemble Rapport triennal 2011 2013 Edifier des relations durables La SGDN difiera des relations durables a long terme avec les Canadiens et les peuples auto
109. du combustible nucl aire irradi canadien soient disponibles Adaptera les plans de gestion du combustible nucl aire irradi pour tenir compte des nouvelles connais sances des meilleures pratiques internationales des progr s techniques des perspectives mises en lumi re par le savoir traditionnel autochtone des nouvelles attentes et valeurs soci tales ainsi que des changements dans les politiques publiques Maintiendra une structure de gouvernance qui permettra au public canadien d avoir confiance dans les travaux de la SGDN Continuera d riger et de maintenir une organisation efficace qui aura les capacit s sociales environnementales techniques et financi res requises pour g rer long terme le combustible nucl aire irradi canadien de mani re s re Mise en oeuvre de la Gestion adaptative progressive 2014 a 2018 Annexes Progr s accomplis depuis le dernier plan de mise en oeuvre Chaque ann e dans son Rapport annuel et tous les trois ans dans son Rapport triennal la SGDN rend compte en d tail sur ses progr s dans l aboutissement des activit s d crites dans le plan de mise en oeuvre Certaines grandes lignes sont d crites ci dessous difier des relations La SGDN a continu de travailler avec les divers groupes concern s par la durables gestion long terme du combustible nucl aire irradi canadien au cours de cette phase initiale de travail La SGDN A continu de travailler avec
110. durables Dans tous nos travaux la sant et la s curit de l environnement et de la population auront la priorit la plus lev e Apprendre davantage ensemble Rapport triennal 2011 2013 L engagement des collectivit s autochtones constituait une autre part importante des activit s de l tape 2 Pour chaque collectivit participant l tape 2 la SGDN a envoy des lettres aux collectivit s autochtones de la r gion pour les informer de l int r t manifest par la collectivit candidate et pour offrir des informations additionnelles et des mises jour sur le processus de s lection d un site ce stade initial du processus la SGDN a aussi travaill avec les maires et les conseils municipaux locaux pour les aider engager les collecti vit s autochtones voisines en apprendre davantage sur le projet et sur le processus de s lection d un site Les activit s d engagement men es aupr s de ces collec tivit s sont d crites au chapitre 6 1 Edifier des relations durables Parmi les 22 collectivit s ayant demand la tenue d valuations de pr s lection 21 ont r pondu aux cinq crit res Vingt collectivit s parmi celles ci ont choisi de continuer d en apprendre davantage sur le projet en passant l tape 3 du processus de s lection d un site Une collectivit en est toujours l tape 2 valuations pr liminaires de la Phase 1 tape 3 Pour qu une collectivit puisse tr
111. emplois directs indirects et induits dans la collectivit et la r gion ce qui aiderait la collectivit retenir sa population voire l accro tre et assurer son d veloppement conomique La population accrue constituerait un stimulant pour la collectivit et un catalyseur de retomb es conomiques et de d veloppement dans plusieurs secteurs jug s importants par les collectivit s Puisque le projet de la GAP sera mis en oeuvre sur plusieurs d cennies il contribuerait pendant une longue p riode la viabilit de la collectivit Les valuations pr liminaires semblent indiquer que l afflux de r sidents et l activit conomique accrue qui d couleraient du projet seraient susceptibles de profiter aux collectivit s qui souhaiteraient bonifier leurs infrastructures am liorer leurs services et consolider leur assise d mographique Les collectivit s qui pr f reraient que le projet s tablisse l ext rieur des limites de leur territoire pourraient galement y trouver leur compte si un mod le de site plus loign est mis en oeuvre puisque la collectivit repr senterait tout de m me une source de personnel de services et de soutien indispensables Par contre au sein de quelques collectivit s l ampleur et le type de croissance qui seraient souhaitables long terme suscitent d bats et divisions et le projet serait susceptible d exacerber ces divisions Lorsque le projet cr e de la discorde amplifian
112. en formations de roche cristalline ou en formations de roche s dimentaire A travaill en collaboration avec l organisation suisse de gestion des d chets nucl aires Nagra la mise au point de rev tements de cuivre pour les conteneurs de stockage partir de technologies canadiennes mises au point par le Conseil national de recherche du Canada l Universit d Ottawa l Universit de Windsor et l Universit de Toronto A labor des mod les conceptuels pour la manutention le transfert le chargement et le scellement des conteneurs de combustible nucl aire irradi A continu de collaborer avec d autres organisations de gestion de d chets nucl aires sur des projets de recherche sur les d p ts men s dans des laboratoires souterrains tablis en formations de roche s dimentaire et de roche cristalline A r alis une valuation g n rique de la s ret post fermeture la SGDN a maintenant r alis deux valuations de la sorte une pour un d p t en roche cristalline et l autre pour un d p t en roche s dimentaire A r alis des analyses sur le transport s r et s curitaire du combustible nucl aire irradi lesquelles comprenaient des travaux ayant conduit une am lioration importante de la performance du blindage contre les neutrons d un colis conceptuel de transport du combustible nucl aire irradi A acquis le colis de transport du combustible nucl aire irradi et l a mis niveau
113. en mati re de reddition de comptes afin de d montrer l int grit l excellence l engagement la responsabilit et la transparence qu elle exerce dans la mise en oeuvre de la Gestion adaptative progressive La SGDN fait r guli rement rapport sur ses progr s particuli rement en r ponse aux commentaires des Canadiens et aux changements dans l environnement externe La LDCN oblige la SGDN publier des rapports annuels et triennaux Dans les deux cas les rapports doivent tre pr sent s au ministre des Ressources naturelles Canada et au public en m me temps Le ministre doit d poser les rapports au Parlement et formuler une d claration sur chacun des rapports ENGAGEMENTS INTERNATIONAUX La SGDN continuera de participer aux rencontres internationales reli es la Convention commune sur la s ret de la gestion du combustible us et sur la s ret de la gestion des d chets radioactifs pour faire tat de ses progr s En vertu de la Convention commune le Canada doit d montrer qu il respecte ses engagements internationaux sur la gestion s re des d chets radioactifs et du combustible nucl aire irradi La SGDN fera partie de la d l gation dirig e par la CCSN la r union de 2015 Elle contribuera la pr sentation de rapports par le Canada Apprendre davantage ensemble Rapport triennal 2011 2013 Rapport triennal La Loi sur les d chets de combustible nucl aire tablit des exigences tr s pr cises en mati
114. es aux recommandations du Groupe d examen technique ind pendant Un membre du Conseil a aussi assist la r union inaugurale du Groupe d examen g oscientifique de la Gestion adaptative progressive Aspects techniques de la Gestion adaptative progressive Le Conseil a r guli rement re u des comptes rendus sur l avancement du programme technique de la SGDN qui lui ont permis notamment de discuter de la conception des conteneurs de stockage du combustible irradi en particulier de leur taille de leurs soudures de fermeture et de leurs mat riaux de fabrication et de commencer examiner les le ons apprises du projet de d p t g ologique en profondeur d Ontario Power Generation pour d chets de faible et moyenne activit Lorsque le Conseil a insist sur l importance d harmoniser la conception des conteneurs avec les caract ristiques du d p t la SGDN a tabli un comit de coordination interne charg de super viser cette question Le Conseil a discut de la caract risation des formations de roche cristalline et de roche s dimentaire y compris de leurs possibles propri t s microbiologiques ainsi que du comportement de l argile de bentonite propos e comme mati re tampon enveloppant les conte neurs stock s Le Conseil a t heureux de la mise sur pied du Group d examen g oscientifique ind pendant charg de fournir des avis et des conseils sur l approche les m thodes et les constats des valuations pr liminair
115. es subs quentes continueraient d exiger de la part des membres du Conseil un ensemble semblable de comp tences que par les ann es ant rieures Cependant il a not qu au cours du prochain mandat du Conseil il serait utile d ajouter des comp tences suppl mentaires dans les domaines des sciences sociales particuli rement en thique et de la gestion des incidences sur les collectivit s En r ponse cet avis la SGDN a recrut Wesley Cragg un expert en thique des affaires pour joindre le Conseil en 2012 2 2 7 Mettre en place une organisation de haut niveau Les travaux r alis s par la SGDN de 2011 2018 pour mettre en place une organisation de haut niveau sont d crits dans le document de la SGDN Rapport triennal 2011 2013 Apprendre davantage ensemble pages 118 119 De 2011 2013 le Conseil a not que dans ce domaine la SGDN avait surtout engag du personnel et des sous traitants pour r pondre aux besoins du processus de s lection d un site y compris en recrutant des Autochtones Quinze bureaux locaux ont notamment t tablis dans les collectivit s participant aux valuations pr liminaires 3 Mise en oeuvre de la Gestion adaptative progressive 2014 2018 Dans cette section du rapport du Conseil consultatif le Conseil pr sente son examen de la version pr liminaire de d cembre 2013 du Plan de mise en oeuvre de la SGDN Mise en oeuvre de la Gestion adaptative progressive 2014 2018 et f
116. et d p ts 674 048 677 433 9 316 468 9 478 441 Immobilisations note 4 2 828 844 3 149 378 Autres actifs note 5 5 000 Actif report au titre des r gimes de retraite note 8 15 266 640 13 362 177 27 416 952 25 989 996 Passif A court terme Cr diteurs et charges a payer note 13 8 850 052 8774271 Incitatifs la location report s note 9 130 597 196 229 Apports des membres report s note 6b 434 819 601 941 9 415 468 9 572 441 Apports report s aff rents aux immobilisations note 7 2 828 844 3 149 378 Apports des membres report s note 6c 4 759 646 4 968 770 Passif li aux prestations de retraite et autres avantages post rieurs l emploi note 8 10 412 994 8 299 407 18 001 484 16 417 555 Actif net 27 416 952 25 989 996 Approuv par le Conseil d administration le 20 f vrier 2014 K E Nash Ken Nash Pr sident et chef de la direction ae cee C lan Ross Pr sident Comit de la v rication des finances et des risques Toronto Canada Commentaire ind pendant tat des r sultats et de l volution de l actif net Exercice termin le 31 d cembre 2013 2013 2012 y Produits Apports en esp ces des membres re us note 5 65 452 616 60 906 493 Apports en esp ces des non membres re us 552116 400 793 66 004 732 61 307 286 Variation des apports report s aff rents aux immobilisations note 7 320 534 101 030 Variation des apports des membres report s l
117. fournira des services de construction pour le d p t Faits saillants de 2011 2013 Pr visions budg taires quinquennales de la GAP de 2014 2018 millions 2014 2015 2016 2017 2018 Les activit s annuelles de la SGDN avant l obtention d un permis de construction sont financ es par les propri taires de d chets de combustible nucl aire en dehors des fonds en fiducie d crits ci dessous Le processus budg taire annuel de la SGDN est d crit davantage au chapitre 9 1 Pr visions budg taires 2014 2018 Fonds en fiducie La LDCN exige que les propri taires de d chets de combustible nucl aire tablissent des fonds en fiducie et y versent chaque ann e une contribution pour subvenir aux co ts financiers futurs de la mise en oeuvre de la GAP apr s l obtention d un permis de construction Conform ment la LDCN les contributions ont t vers es annuellement aux fonds depuis 2002 Les soldes des fonds en fiducie de chaque soci t en date de d cembre 2013 sont pr sent s ci dessous Chaque ann e la SGDN doit tablir quelles sommes chaque soci t doit verser aux fonds au cours de l ann e qui suit Les sommes d termin es pour l ann e 2014 sont pr sent es au chapitre 9 2 Exigences en mati re de rapports financiers Sommes vers es aux fonds en fiducie Ann e 2014 104 42 Les versements annuels aux fonds en fiducie doivent se faire au plus tard 30 jours apr s la pr sentation du Rappo
118. gions entourant les collectivit s h tes potentielles a sugg r qu mesure que la SGDN r duit le nombre de collectivit s l tude il sera important que les autres collectivit s continuent de partici per dans le cadre des activit s r gionales d engagement La SGDN a confirm que les travaux li s aux valuations de l tape 3 comprennent des activit s d engagement r gional Les collectivit s int ress es sont encourag es informer les collectivit s environnantes y compris les collectivit s et gouvernements autochtones potentiellement touch s le plus t t possible pour faciliter leur participation Le Conseil a explor le r le des c r monies spirituelles et a soulign leur importance dans le processus de s lection d un site De son avis les plans de la SGDN de travail en partenariat avec les a n s et les collectivit s qui comprennent la tenue de c r monies spirituelles et font appel au respect des lieux ayant une importance spirituelle et culturelle au cours de la Phase 2 de l tape 3 commencent r pondre cette pr occupation Le Conseil a appuy les dispositions prises par la SGDN concernant la r alisation d examens par des tiers et la participation d experts ind pendants au cours de la phase En savoir plus et de celle des tudes de faisabilit du processus de s lection d un site Il a aussi recommand que les d l gations des collectivit s participant aux activit s En savoir plus incluen
119. glements g n raux d finissent les r les et les responsabilit s des membres pour soutenir les objectifs de la LDCN et du mandat de mise en oeuvre de la SGDN La SGDN fait rapport r guli rement ses soci t s membres CONSEIL D ADMINISTRATION Le Conseil d administration est charg de superviser la SGDN et de diriger l laboration de ses orientations strat giques Les membres du Conseil d administration sont nomm s par les soci t s membres Le Conseil d administration est actuellement form de neuf personnes repr sentant un large ventail de comp tences reli es l industrie nucl aire et d autres domaines comme l thique la culture autochtone et la gestion financi re Les membres du Conseil d administration sont pr sent s sur le site Web de la SGDN CONSEIL CONSULTATIF En vertu de la LDCN l organe dirigeant de la SGDN s adjoint un Conseil consultatif destin examiner et commenter ses travaux dans le cadre des rapports triennaux de la SGDN En plus de remplir ses obligations de rapports comme pr vues par la Loi le Conseil consultatif rencontre r guli rement la haute direction de la SGDN suivant de pr s le d roulement des plans et activit s de l organisation et fournissant des conseils et avis de mani re continue tout moment le Conseil consultatif peut choisir de se rencontrer huis clos Le Conseil d administration a constitu le Conseil consultatif en 2002 et a r guli rement renouvel sa compo
120. honorable David Crombie continue de pr sider le Conseil dont les membres sont pr sent s aux pages 204 207 Le Conseil consultatif est tenu par la Loi sur les d chets de combustible nucl aire de commenter tous les trois ans les trois pr c dentes ann es d activit de la SGDN Ces commen taires ind pendants sur les travaux de la SGDN qui comprennent des observations sur les r sultats des consultations publiques de la SGDN et des analyses des possibles effets socio conomiques des activit s de la Soci t doivent tre publi s dans les rapports triennaux de la SGDN le premier de ces rapports tant celui de 2010 Le Conseil a galement le devoir de commenter les plans strat giques quinquennaux et les pr visions budg taires de la SGDN Les commentaires du Conseil consultatif sont pr sent s au ministre des Ressources naturelles du Canada et sont rendus publics en m me temps 1 2 Relations avec la SGDN Le Conseil consultatif suit de pr s l laboration des plans et activit s de la SGDN et lui fournit r guli rement des avis et des conseils Il se r unit g n ralement quatre fois par ann e Le pr si dent aide le personnel tablir l ordre du jour de ces r unions en tenant compte des demandes des membres du Conseil voir l exemple d ordre du jour pr sent l annexe 1 Au cours de ces r unions le personnel donne des pr sentations sur les travaux de la SGDN et le Conseil consulta tif pose des questions demande
121. informations sur la fa on dont le savoir traditionnel autochtone avait t int gr et serait consid r au cours des phases subs quentes a aussi soulign l importance de traiter avec respect les collectivit s qui ne seraient pas invit es passer la Phase 2 En r ponse aux commentaires sur les valuations pr liminaires le personnel de la SGDN a indiqu que le processus de s lection d un site avait t transparent que le processus et les facteurs d valuation avaient t d finis sur la base de deux ann es d engagement puis finalis s et publi s en 2010 et qu ils avaient t subs quemment r examin s en 2011 avec les collectivit s La SGDN a indiqu qu elle continuait de fournir des clarifications sur le processus d cisionnel et les ch anciers dans le cadre de ses discussions avec les collectivit s et des s ances d informa tion qu elle leur donne La SGDN a entrepris de veiller ce que ses rapports sur les constats des valuations incluent suffisamment d information pour que les collectivit s comprennent la teneur des valuations et les conclusions des tudes En novembre 2013 la SGDN a annonc l ach ve ment de la premi re phase des valuations pr liminaires r alis e en collaboration avec huit des 21 collectivit s ayant exprim l int r t d en apprendre davantage sur le projet de la Gestion adapta tive progressive Creighton en Saskatchewan et Hornepayne Ignace et Schreiber en
122. l tude et les recommandations ont t pr sent s en novembre 2005 Dans le cadre de son mandat long terme la SGDN a maintenant la responsabilit de mettre en oeuvre la Gestion adaptative progressive la GAP une m thode que le gouvernement du Canada a choisie pour la gestion du combustible nucl aire irradi La SGDN a officiellement commenc ses activit s le 1 octobre 2002 Les membres fonda teurs de la SGDN sont Hydro Qu bec nergie nucl aire NB et Ontario Power Generation Inc les membres des soci t s canadiennes qui g n rent actuellement du combustible nucl aire irradi en tant que sous produit de la production d lectricit En vertu d un accord conclu entre les membres ceux ci se partagent les co ts li s la GAP de la SGDN au prorata du nombre de grappes de combustible irradi que chacun poss de Les ratios de partage des co ts entre les membres n ont pas chang depuis la conclusion de l accord entre les membres En plus du mandat mentionn ci dessus le 1 janvier 2009 la SGDN a conclu deux nouvelles ententes avec Ontario Power Generation Inc OPG pour inclure de nouvelles activit s telles que les services de gestion du projet d OPG de d p t g ologique en profondeur DGP phase 1 pour d chets de faible et moyenne activit ainsi que certains services en mati re d tablissement du co t de l approvisionnement et de comptabilit li s la gestion des obligat
123. la premi re phase des travaux pour d terminer quelles collec tivit s sont susceptibles de pouvoir r pondre aux exigences du projet et feront l objet de la prochaine phase d tude laquelle explorera l aptitude d une r gion accueillir le projet par le biais de travaux sur le terrain d tudes plus d taill es et d activit s largies d engagement Se pr parer utiliser les constats de la seconde phase des valuations pr liminaires pour guider le choix d une ou possiblement deux r gions et sites devant faire l objet de futures valuations d taill es Pendant que la SGDN continuera de s appliquer apprendre aupr s des collectivit s et colla borer avec elles elle continuera aussi adapter le processus de s lection d un site en fonction des connaissances acquises et de l volution des exigences soci tales L ventail des activit s programm es au cours des cinq prochaines ann es servira faire avancer les futures phases d enqu tes sur le terrain et d valuations d taill es les activit s intensi fi es d engagement des collectivit s int ress es la planification du transport la mise au point fine de la conception du d p t et l laboration des dossiers de s ret Domaines strat giques de mise en oeuvre de la GAP Progr s et plans difier des relations durables Comme la GAP sera mise en oeuvre sur plusieurs d cennies et plusieurs g n rations sa r ussite d pendra de
124. le d p t ne se comporterait pas comme pr vu Comprendre comment la s curit du public et de l environnement sera assur e lors du trans port du combustible nucl aire irradi entre les sites o il est actuellement entrepos et une installation centralis e en tenant compte des sc narios hypoth tiques d accidents routiers et d actes malveillants Comprendre comment la viabilit long terme de la collectivit pourrait tre favoris e par la mise en oeuvre du projet y compris comment les objectifs long terme de la collectivit pourraient tre atteints et comment la SGDN et la collectivit pourraient collaborer ensemble cette fin Les avantages potentiels incluraient la cr ation d emplois les perspectives qui s offriraient aux jeunes l expansion de la population le d veloppement des infrastructures ainsi que l am lioration des services et l largissement des sources de revenus pour la collec tivit Comprendre les incidences possibles du projet sur des activit s importantes de la collectivit telles que la chasse la p che la trappe et le tourisme Comprendre les incidences possibles du projet sur la valeur des propri t s les infrastructures et les sources de revenus e Assurer la participation des peuples autochtones et des collectivit s voisines la mise en oeuvre du projet le cas ch ant et comprendre comment les diff rentes parties prenantes travailleraient ensemble la mise en oeuv
125. le processus de s lection d un site En particulier elle a continu de renforcer ses relations avec les dirigeants municipaux des collectivit s nucl aires actuelles du Canada qui constituent ensemble la Canadian Association of Nuclear Host Communities CANHC Comme ces collectivit s seront directement touch es par la GAP et par le transport du combustible irradi depuis les installations d entreposage actuelles situ es sur les sites des r acteurs jusqu au site du d p t futur la SGDN s est engag e entretenir avec elles un dialogue et les tenir bien au courant des processus en cours Au cours de chacune des trois derni res ann es la SGDN a assist l assembl e g n rale annuelle de la CANHC Ottawa La SGDN a de plus fourni des mises jour r guli res aux comit s consultatifs int ress s des collectivit s nucl aires de la CANHC Durham Nuclear Health Committee DNHC La SGDN a donn des pr sentations aux r unions r guli res du Durham Nuclear Health Committee 15 avril 2011 16 septembre 2011 13 janvier 2012 14 septembre 2012 19 avril 2013 C Planification du dialogue sur le transport mesure que progressera le processus de s lection d un site il sera important de dialoguer avec ceux qui sont int ress s par la question du transport ainsi que ceux qui pourraient tre touch s par le transport Parmi les premi res initiatives en ce sens la SGDN a assist au Congr s et l expositio
126. le transport Ce processus devrait servir sonder les perceptions et les pr occupations du public sur le transport et recueillir des suggestions sur des fa ons de r pondre celles ci section 8 5 Engagement 7 Le Conseil consultatif recommande la SGDN d accorder une priorit lev e l engagement multig n rationnel en laborant et en mettant en oeuvre un plan de travail d taill int grant la participation et le renforcement des capacit s des jeunes tout au long de la mise en uvre du projet de la Gestion adaptative progressive section 3 6 8 Le Conseil consultatif recommande que la SGDN fournisse plus de d tails sur la fa on dont le savoir traditionnel les valeurs culturelles les lois et la spiritualit autochtones seront int gr s aux travaux des cinq prochaines ann es section 3 7 Programme En savoir plus 9 Le Conseil consultatif recommande que des sp cialistes additionnels en radioprotection tels qu un radiohygi niste ou un m decin sp cialis en m decine nucl aire participent au programme En savoir plus afin de fournir plus d information sur les effets potentiels du trans port et de la gestion du combustible nucl aire irradi sur la sant section 3 9 Adapter les plans 10 Le Conseil consultatif recommande la SGDN d entreprendre un examen syst matique des le ons apprises de son exp rience acquise dans le cadre de la mise en oeuvre du projet de d p t g ologique en profondeur
127. les Autochtones 9 10 avril 2013 Conf rence sur le d veloppe ment conomique de Wikwemikong GreenxX2 Conf rence sur les nergies vertes Sudbury Ont Pr sentation sur la GAP et kiosque d exposition 13 avril 2013 Comit de consultation r gionale de la Nation m tisse de Terrace Bay Terrace Bay Ont Pr sentation sur la GAP et sur le Programme 2013 de ressources d di es aux relations avec les Autochtones 20 avril 2013 Nation m tisse de la Saskatchewan R gion du Nord Il R gion du Nord Ill et R gion de l Est Prince Albert Sask Mise jour sur la GAP et sur le Programme 2013 de ressources d di es aux relations avec les Autochtones 8 mai 2013 Nation m tisse de l Ontario Comit de consultation de la r gion 5 et conseils communau taires Sudbury Ont Pr sentation sur la GAP et sur le Programme 2013 de ressources d di es aux relations avec les Autochtones 29 mai 2013 Village nordique de Buffalo Narrows Buffalo Narrows Sask Pr sentation sur la GAP 30 mai 2013 Nation crie de Peter Ballantyne Prince Albert Sask Pr sentation sur la GAP et sur le Programme 2013 de ressources d di es aux relations avec les Autochtones 80 mai 2013 Nation ojibway de Saugeen Ont Pr sentation sur la GAP 31 mai 2013 Village nordique de Cumberland House Sask Pr sentation sur la GAP 8 4 juin 2018 Assembl e des a n s de Pinehouse Pinehouse Sask
128. les collectivit s locales et les peuples autochtones des collectivit s et r gions h tes potentielles concernant le choix d un site appropri pour un d p t g ologique en profondeur et envers les collectivit s et les peuples autochtones situ es le long des itin raires et des carrefours de transport concernant le transport s r et s curitaire du combustible nucl aire irradi Apprendre davantage ensemble Rapport triennal 2011 2013 tapes du processus de s lection d un site Un survol La SGDN publie le processus d finitif de s lection d un site apr s avoir pr sent les activit s de la SGDN aux gouvernements provinciaux au gouvernement du Canada aux organisations autochtones nationales et provinciales et aux agences de r glementation La SGDN continuera de communiquer avec ces instances tout au long du processus de s lection d un site afin que toute nouvelle information soit disponible ou exigence pouvant ressortir soit prise en compte La SGDN lance le processus de s lection d un site et entreprend un vaste programme d activit s visant fournir de l information r pondre aux questions et sensibiliser les Canadiens au projet et au processus de s lection d un site Les activit s de sensibilisation se poursuivront tout au long du processus de s lection Les collectivit s d terminent leur int r t en savoir plus et la SGDN fournit des informations d taill es Une pr s
129. les mod les conceptuels et continuer de valider la confiance en la s ret du d p t Pour aider le personnel et les contractuels demeurer la fine pointe des progr s dans leurs domaines la SGDN a facilit leur participation diverses conf rences de recherche La SGDN a galement poursuivi cet objec tif par l entremise de ses nombreux partenariats avec des universit s et des organisations trang res de gestion de d chets nucl aires Ces deux activit s sont d crites plus haut au chapitre Optimiser les mod les conceptuels et continuer de valider la confiance en la s ret du d p t Pour loger son nouveau personnel la SGDN a ajout de l espace de bureau son si ge social en 2011 Au cours des trois derni res ann es elle a en outre investi dans des syst mes de bureau notamment pour acqu rir des quipements techniques et des outils de mod lisa tion informatique de pointe en 2012 et pour installer des ordinateurs plus puissants pour tout le personnel en 2018 Les investissements les plus importants en logiciels sp cialis s concernaient SolidWorks un progiciel utilis pour concevoir des syst mes et des composants techniques et valuer leur comportement e ANSYS avec calculs de dynamique des fluides un progiciel utilis pour mod liser et pr dire le compor tement thermique hydraulique et m canique des syst mes techniques en fonction de divers sc narios postul s Autres activi
130. membres de nationalit s diff rentes r alise galement depuis 2008 un examen annuel du programme technique de la SGDN afin de d terminer s il int gre les approches scientifiques et techniques n cessaires au soutien de la mise en oeuvre de la Gestion adaptative progressive GAP l externe la SGDN rend des comptes au ministre des Ressources naturelles du Canada par le biais d un rapport annuel conform ment aux exigences de la LDCN Le rapport annuel est d pos par le ministre au Parlement et le ministre publie un nonc sur lui chaque ann e Tous les trois ans une version largie du rapport annuel le rapport triennal est publi conform ment la LDCN et doit en outre comprendre les commentaires du Conseil consultatif Ces commentaires sont publi s au chapitre 12 2 Rapport du Conseil consultatif L aboutissement de la GAP est le d p t g ologique en profondeur lequel sera r glement en vertu de la Loi sur la s ret et la r glementation nucl aires Toute d cision concernant l approbation r glementaire d un d p t doit r pondre aux exigences de la Loi canadienne sur l valua tion environnementale 2012 et cette condition doit tre respect e pour que la Commission canadienne de s ret nucl aire CCSN puisse d terminer si un site peut recevoir un permis chaque tape du processus les travaux de la SGDN respecteront ou d passeront toutes les normes et exigences r glementaires
131. mis en oeuvre en colla boration avec les collectivit s plut t que programm par la SGDN e La SGDN doit fournir plus d informations sur les technologies nouvelles et mergentes et sur la fa on dont celles ci pourraient tre int gr es la GAP Apprendre davantage ensemble Rapport triennal 2011 2013 Suites donn es aux commentaires re us En r ponse aux commentaires re us des r visions ont t faites au plan strat gique pour mieux pr ciser les plans et les engagements de la SGDN correspondant plusieurs des domaines voqu s par les r pondants La SGDN continue d tre press e par les r pondants de d crire plus en d tail ses plans m me s ils sont appel s voluer La SGDN s est efforc e de pr ciser davan tage son plan Cet effort a t compl t par la publication d un ventail de produits d information qui ont t cr s au cours des trois derni res ann es dont Description du d p t pour combustible nucl aire irradi et du centre d expertise canadiens e Le transport s r et s curitaire du combustible nucl aire irradi canadien e Evaluation pr liminaire de l aptitude potentielle Etudes de faisabilit R sum des d cisions prises en novembre 2013 par rapport aux constats des tudes de la Phase 1 Ce r sum d crit les d cisions prises au terme de la Phase 1 de l tape 3 concernant huit collectivit s Il donne un aper u de la fa on dont la SGDN a d term
132. mise en oeuvre du projet n cessitera un engagement long terme relatif au partenariat entre les collectivit s et la SGDN pour s assurer que le bien tre de la r gion et la viabilit du projet dans cette r gion sont conformes une vision d avenir commune La cadence et la mani re de mettre en oeuvre le projet seront d termin es en partenariat avec les collectivit s Ultimement le projet n ira de l avant que sur un site pouvant confiner et isoler en toute s ret le combustible nucl aire irradi et qu avec la collaboration de la collectivit int ress e des Premi res nations des peuples m tis et des autres collectivit s voisines sa mise en oeuvre Optimiser les mod les conceptuels et continuer de valider la confiance en la s ret du d p t OBJECTIF STRAT GIQUE La SGDN continuera de pr parer les concepts techniques et les dossiers de s ret en vue de l tablissement d un d p t pour combustible nucl aire irradi en roche cristalline ou en roche s di mentaire et m nera un programme de recherche d veloppement technique pour assurer une am lioration continue conform ment aux meilleures pratiques i Apprendre davantage ensemble Rapport triennal 2011 2013 L aboutissement technique de la Gestion adaptative progressive GAP est un d p t g ologique en profondeur o le combustible nucl aire irradi canadien sera confin et isol de mani re s re pour une
133. organisations et pays sont elles toutes valu es de mani re efficace et prises en compte par la SGDN Pour r pondre cette question le Conseil value attentivement les conseils du Groupe d examen technique ind pendant du Groupe d examen g oscientifique du Conseil des a n s du Forum municipal du Conseil consultatif de l ancien Forum des a n s du Niigani et de la Table ronde des jeunes Il value aussi l efficacit avec laquelle la compr hension et les connaissances que la SGDN continue d acqu rir sont int gr es tous les niveaux de ses travaux et de ceux de ses agents et sous traitants 2 Equit et quilibre Le processus de s lection d un site est il mis en oeuvre de mani re impar tiale et la SGDN tient elle suffisamment compte de tous les points de vue y compris des points de vue minoritaires 3 Int grit La SGDN exerce t elle son mandat avec ouverture honn tet et constance et offre t elle au public et aux parties prenantes des occasions suffisamment appropri es et tangibles de participer et de collaborer Pour r pondre cette question le Conseil value l efficacit avec laquelle la SGDN donne suite aux commentaires du public et tient compte des points de vue des pr occupations et des valeurs des particuliers des collectivit s et des organisations 4 Transparence Les plans les ch anciers les activit s et les d cisions de la SGDN sont ils clairement saisis par le public et les informatio
134. par la SGDN de 2011 2013 Les commentaires du Conseil consultatif sur les travaux effectu s par la SGDN de 2011 2013 sont pr sent s ci dessous en fonction des sept objectifs strat giques de la SGDN difier des relations durables mettre en oeuvre en collaboration le processus de s lection d un site optimiser les mod les conceptuels et continuer de valider la confiance en la s ret du d p t assurer la s curit financi re adapter les plans assurer une bonne gouvernance et une bonne reddition des comptes et mettre en place et maintenir une organisation de haut niveau Les mesures adopt es par la SGDN en r ponse aux commentaires du Conseil consultatif sont galement bri vement r sum es partir des informations fournies par la SGDN 2 2 1 difier des relations durables Un des principaux l ments du travail du Conseil consultatif de 2011 2013 consistait suivre et valuer les activit s d engagement men es par la SGDN aupr s des nombreux groupes int ress s par la gestion long terme du combustible nucl aire irradi canadien y compris les collectivit s h tes potentielles les organisations autochtones les associations municipales les gouvernements f d ral et provinciaux et les jeunes Canadiens Ce travail est d crit dans le document de la SGDN Rapport triennal 2011 2013 Apprendre davantage ensemble pages 70 81 Gouvernements administrations et repr sentants lus municipaux provin
135. par trois ateliers chacune ayant pour but d aider le personnel de la SGDN acqu rir une meilleure Compr hension du savoir traditionnel autochtone Ces ateliers ont contribu a clairer les processus de la Soci t qu ils se rapportent ses activit s d engagement social ou ses travaux techniques A mesure que progressait le processus de s lection d un site au cours des trois derni res ann es la SGDN a travaill a engager la participation des d tenteurs du savoir traditionnel autochtone des r gions des collectivit s int ress es et a inciter ces collectivit s a d velopper ou a renforcer des relations respectueuses et durables avec les collectivit s voisines des Premi res nations et m tisses En m me temps la SGDN s est appliqu e acqu rir une meilleure compr hension g n rale des terres ances trales et de l usage des territoires qu occupent les collec tivit s des Premieres nations et m tisses des diverses r gions h tes potentielles Par l biais d un effort continu d engagement la SGDN souhaite mieux cerner ce que sont les terres ancestrales des collectivit s autochtones leur savoir traditionnel dans mestre o une collectivit souhaite en faire part les probl mes nes pr occupations les objectifs et les aspirations fSmembres et de leurs r gions Pour favoriser l int autochtone aux val processus de s lect de sous traitants i J tape 3 du sollicit l ai
136. plusieurs autres devaient tre ajout es cette num ration Par exemple il sera important de prendre la mesure et de tirer des le ons de l exp rience acquise par la SGDN dans le cadre du projet de d p t g ologique en profon deur d Ontario Power Generation pour d chets de faible et moyenne activit Les audiences de la Commission d examen conjoint concernant ce projet se sont conclues la fin d octobre 2013 La SGDN a fourni au Conseil certaines observations initiales sur son exp rience ce jour relative au projet d Ontario Power Generation Lorsque la commission publiera son rapport il sera utile d examiner le fournisse plus de d tails sur la fa on dont le savoir traditionnel les valeurs culturelles les lois et la spiri tualit autochtones seront int gr s aux travaux des cinq prochaines ann es Le Conseil souligne qu il est essentiel de comprendre les possibilit s et les d fis probables associ s chacune des r gions entourant les collectivit s h tes potentielles Les aspirations et les relations r gionales pourraient avoir une influence importante sur le processus de s lection d un site ainsi que sur l ensemble du programme de la Gestion adaptative progressive communiquer avec lui Le Conseil consultatif recommande que des sp cialistes additionnels en radioprotection tels qu un radiohygi niste ou un m decin sp cialis en m decine nucl aire participent au programme En savoir plus
137. post fermeture de la SGDN tait conforme aux exigences du guide G 320 de la CCSN valuation de la s ret long terme de la gestion des d chets radioactifs McGill l Universit du Nouveau Brunswick l Universit d Ottawa l Universit Queen s l Universit de Waterloo l Universit Ryerson l Universit de la Saskatchewan l Universit de Windsor et l Universit Western Hors Canada les chercheurs de la SGDN ont collabor avec des coll gues de l Universit de Berne de l Universit d tat de Virginie et de l Universit de Virginie fining Models Advanced Roe Nos travaux de 2011 a 2013 Soutien a la formation postsecondaire Depuis 2009 la SGDN et le Conseil de recherches en sciences naturelles et en g nie du Canada CRSNG offrent un soutien financier aux tudiants des cycles sup rieurs par le biais du Programme de bourses d tudes sup rieures a incidence industrielle du CRSNG Ce financement contribue soutenir des projets de th se qui pr sentent un int r t pour les tudiants leurs superviseurs et la SGDN Le programme couvre les trois premi res ann es des travaux de th se des candidats au doctorat et les deux premi res ann es de travaux dans le cas des tudiants en ma trise Dans le cadre du Programme de bourses d tudes sup rieures incidence industrielle du CRSNG la SGDN a soutenu le travail de trois candidats au doctorat de 2009 2012 Les projets de ce
138. pr paration du site et de construc tion de l installation ainsi que des approbations d OPG lt a eo 5 Etiquetage des chantillons d eau qui seront envoy s a un laboratoire commercial pour y tre analys s Apprendre davantage ensemble Rapport triennal 2011 2013 la conception d taill e de l installation sera achev e les principales infrastructures du site seront mises en place et le site sera pr par en vue des travaux de construction La phase de construction du projet devrait prendre cinq sept ans Elle comprendra la construction de deux puits d acc s au niveau du d p t soit 680 m tres sous terre des 31 salles de stockage des tunnels d acc s associ s et de l infrastructure de soutien ainsi que des installations de surface servant la r ception et la manutention des d chets OPG continuera d tre responsable de la direction strat gique de la supervision et des approbations comme c tait le cas pour tous les pr c dents programmes de travaux et d activit s entrepris par la SGDN dans le cadre de ce projet OPG est d termin e a mener des activit s d engagement aupr s de la population en g n ral et des collectivit s des Premi res nations et m tisses alors qu elle ira de l avant en 2014 Les activit s de soutien du d p t de DFMA d OPG y compris la gestion de la conception de l valuation de la s ret de l valuation environnementale et de la construc ti
139. pr sid par Phil Fontaine ancien chef de l Assembl e des Premi res Nations et incluait Fred Kelly a n de la Premi re nation anishinabe d Onigaming Joanne Barnaby cofondatrice du Dene Cultural Institute et Richard Arnold pr sident de la tribu Pahrump Paiute Etat du Nevada Etats Unis 5 7 novembre 2012 R union du Conseil des a n s et visite d une installation de gestion de d chets nucl aires BMO Institute for Learning Scarborough Ont 1 d cembre 2012 Conseil des jeunes de APN Gatineau Qc Pr sentation sur la GAP 10 11 d cembre 2012 Nation m tisse de Ontario Comit s de consultation r gionale 1 2 3 4 et 5 Toronto Ont Visite d une installation de gestion de d chets nucl aires et pr sentation sur la GAP 22 janvier 2013 Commission du territoire et des ressources de la F d ration des nations indiennes de la Saskatchewan Fort Qu Appelle Sask Mise a jour sur la GAP 6 f vrier 2013 Premi re nation de Lac La Ronge Lac La Ronge Sask Pr sentation sur la GAP 6 f vrier 2013 Nation crie de Montreal Lake Montreal Lake Sask Pr sentation sur la GAP 20 f vrier 2013 F d ration des nations indiennes de la Saskatchewan Regina Sask S ance d information Pr sentation de la GAP 21 f vrier 2013 F d ration des nations indiennes de la Saskatchewan Saskatoon Sask S ance d information Pr sentation sur la GAP
140. profondeur pour d chets de faible et moyenne activit Le travail du Conseil d administration a t g r par quatre comit s le comit de la v rifi cation des finances et des risques le comit sur la s lection d un site le comit des ressources humaines et de la r mun ration et le comit de supervision du d p t g ologique en profondeur pour d chets de faible et moyenne activit En m me temps la SGDN a demand aux groupes suivants de r aliser un examen ind pen dant de ses travaux et de lui faire des commentaires le Conseil consultatif le Groupe d examen technique ind pendant le Groupe d examen g oscientifique de la GAP le Forum municipal ainsi que le Forum des a n s et le groupe qui lui a succ d le Conseil des a n s Comme elle a toujours agi depuis sa cr ation la SGDN a continu de favoriser la participation du public l laboration de ses plans Conform ment l engagement de la Soci t travailler de ee mani re transparente elle fait r guli rement tat de ses activit s Au cours des cinq prochaines ann es la SGDN concentrera ses efforts se rapportant la s lec tion d un site sur un nombre r duit de collectivit s et sur leurs r gions respectives De mani re tout aussi importante elle entend avancer dans le dialogue qu elle a entrepris avec les collectivit s int ress es et les collectivit s environnantes autochtones et non autochtones afin d valuer plus avant la possib
141. provisoires d entreposage Participation de la SGDN des foires commerciales autochtones Invitations assister des v nements portes ouvertes dans les collectivit s int ress es Rencontres avec les conseils municipaux locaux et les groupes reconnus par trait Pr sentations aux assembl es autochtones Participation des c r monies des r unions d ain s et des v nements communautaires tels que des pow wow Invitations aux collectivit s autochtones mener leurs propres recherches Acc s des avis ind pendants Pour d velopper le type de relation requis pour une planification partag e la SGDN a galement travaill avec les maires et les conseils munici paux des collectivit s participant I Etape 3 pour les aider engager les collectivit s autochtones voisines en apprendre davantage sur la GAP Les activit s d engagement de ces collectivit s sont d crites au chapitre 6 1 difier des relations durables Nos travaux de 2011 2013 Apprendre aupr s d experts ind pendants Pour aider les dirigeants des collectivit s en apprendre davantage sur la GAP et sur le processus de s lection d un site la SGDN les encourage activement solliciter l avis d experts ind pendants En 2011 le programme En savoir plus de la SGDN a fourni une aide financi re aux dirigeants des collectivit s pour assister au congr s annuel de la F d ration canadienne des municipalit
142. re de reddition de comptes pour les rapports triennaux Des rapports triennaux ont t publi s en 2011 et en 2014 et le prochain rapport triennal sera publi en 2017 Les rapports triennaux incluent a le sommaire des activit s de gestion des d chets nucl aires de la SGDN des trois derniers exercices y compris l valuation de leurs r percussions socio conomiques notables sur le mode de vie d une collectivit ou sur ses aspirations sociales culturelles ou conomiques b un plan d orientations strat giques pour les cinq exercices suivants pour la mise en oeuvre de la proposition de gestion retenue par le gouverneur en conseil conform ment l article 15 ou approuv e conform ment au paragraphe 20 5 c des pr visions budg taires pour les cinq exercices suivants pour la mise en oeuvre du plan d orientations strat giques d les r sultats des consultations publiques tenues par elle sur les sujets vis s aux alin as a et b et men es par elle au cours des trois derniers exercices e les observations du Conseil consultatif sur les sujets vis s aux alin as a a Allant de l avant De 2014 2018 la SGDN Convoquera r guli rement des r unions des membres de la SGDN du Conseil d administration des comit s du Conseil d administration et du Conseil consultatif Coordonnera l examen annuel du programme technique de la SGDN r alis par le Groupe d examen technique ind pendant et publiera l
143. res f d ral et provinciaux des Transports La SGDN continue de rencontrer les associa tions municipales individuellement et par l interm diaire du Forum municipal Engagement des Autochtones Le Conseil consultatif a continu de fournir des conseils sur le programme d engagement des Autochtones de la SGDN et a press la SGDN de mettre en oeuvre d s que possible ce programme a soulign que les collectivit s h tes potentielles d montreront le s rieux de leur candidature en tablissant des liens d s le d but du processus avec les collectivit s autoch tones voisines plut t qu en pr sumant qu il en reviendrait la SGDN seule d tablir ce type de dialogue Les collectivit s doivent engager activement les groupes autochtones et les collec tivit s voisines participer et permettre aux Autochtones de participer aux comit s de liaison communautaires Le Conseil consultatif a soulign l importance de renforcer les capacit s des peuples autochtones des r gions h tes potentielles Le Conseil consultatif a recommand la SGDN de continuer de dialoguer avec les a n s afin d apprendre comment int grer le savoir traditionnel autochtone ses processus d cisionnels I a soulign que le savoir traditionnel autochtone devrait tre consid r de mani re holistique que ce soit dans les domaines techniques ou sociaux d tude et qu il tait important de reconna tre la dimension spirituelle de toute prise de d cision Il
144. riau de scellement efficace comme l argile de bentonite Le combustible nucl aire irradi sera surveill et pourra tre r cup r pendant toutes les phases de la mise en oeuvre conform ment l orientation donn e par les Canadiens Lorsque la collectivit h te et la SGDN conviendront que le moment est venu de fermer le site la SGDN remblaiera et scellera les tunnels d acc s et sollicitera les autorisations r glementaires appropri es pour entreprendre le d classement du site Lorsque le d classement sera achev la SGDN sollicitera les autorisations r glementaires appropri es pour assurer la surveillance post fermeture Un dossier de s ret solide devra tre mont Celui ci devra d montrer avec assurance que le projet peut tre mis en oeuvre en toute s ret sur le site y compris le volet transport et qu il sera en mesure de satisfaire aux exigences des autorit s r glementaires et de la collectivit voire de les d passer Aucun d chet d autres pays combustible nucl aire irradi hors du Canada ne sera plac dans cette installation Pour une description plus compl te du projet veuillez consulter Description du d p t pour combustible nucl aire irradi et du centre d expertise canadiens au www nwmo ca brochures Le transport du combustible nucl aire irradi Le combustible nucl aire irradi est actuellement entrepos de mani re s re dans des installations autoris es par la CCSN sur les sites o il est
145. s La SGDN surveillera galement de pr s la situation concernant la construction de nouveaux r acteurs et l arriv e en sc ne de nouveaux propri taires de combustible nucl aire irradi appliquant les principes appropri s pour mettre jour la formule de financement en fonction des circonstances qui se pr senteront Le programme de la GAP est mis en oeuvre l aide des fonds des propri taires de d chets qui sont recueillis par l interm diaire de la vente d lectricit et l aide des fonds fournis par Energie atomique du Canada limit e pour g rer la petite quantit de combustible irradi qu elle aura produite La SGDN s engage a une utilisation prudente de ces ressources Conform ment la Loi sur les d chets de combustible nucl aire le Rapport annuel de la SGDN doit pr senter la formule de financement qui sera utilis e au cours de l exercice financier suivant pour faire en sorte que le co t total de la mise en oeuvre de la GAP soit absorb par les produc teurs de d chets Une explication des hypoth ses doit aussi tre fournie Des fonds en fiducie doivent tre maintenus et les producteurs de d chets doivent y verser chaque ann e une contribu tion conform ment la formule de financement tablie Adapter les plans OBJECTIF STRATEGIQUE La SGDN adaptera les plans de gestion du combustible nucl aire irradi pour tenir compte des nouvelles connaissances des meil leures pratiques internationale
146. s Cette m me ann e quelque 50 d l gu s de collectivit s ont pu assis ter avec l aide de la SGDN la conf rence de la Soci t nucl aire canadienne sur la gestion des d chets le d classement et la restauration environnementale En 2012 la SGDN a invit chacune des collectivit s int ress es envoyer deux de leurs dirigeants la Conf rence internationale sur le stockage g ologique ICGR qui se tenait Toronto cette ann e l En plus des repr sentants d organisa tions autochtones la SGDN a aussi invit chaque association repr sent e au sein de son Forum municipal envoyer un repr sentant la conf rence ICGR la conf rence les repr sentants des collectivit s ont rencontr s par ment John Heaton un ancien membre de la l gislature du Nouveau Mexique ayant particip la d cision de Carlsbad d tre l h te d un d p t pour d chets transuraniens la Waste Isolation Pilot Plant et Jacob Spangenberg maire de la municipalit sthammar qui a accept d accueillir le d p t g ologique en profondeur su dois Le programme de la conf rence comprenait un s minaire anim par des experts en savoir traditionnel autochtone et pr sid par Phil Fontaine ancien chef national de l Assembl e des Premi res Nations du Canada Planification du transport Le transport est un l ment capital des tudes scien tifiques et techniques r alis es l tape 3 du processus de s lection d un
147. s lection d un site L initiative de participer au processus et de passer d une tape du processus la suivante doit tre prise par les collectivi t s qui ont exprim l int r t d en apprendre davantage sur le projet et le processus Le processus est con u pour accorder aux collectivit s le temps et les informations dont elles ont besoin pour prendre la d cision qui leur convient Tout au long du processus de s lection d un site la SGDN Apprendre davantage ensemble Rapport triennal 2011 2013 fournit des ressources aux collectivit s pour les aider en apprendre davantage sur la Gestion adaptative progres sive GAP et le processus de s lection d un site Ces ressources peuvent notamment servir solliciter des avis ind pendants Le processus de s lection d un site est divis en neuf tapes La premi re tape un programme largi visant informer les Canadiens au sujet de la GAP et du proces sus lui m me a t lanc e en mai 2010 et se poursuivra pendant toute la dur e du projet Cette tape est suivie par la r alisation d tudes de plus en plus d taill es les valuations de pr s lection tape 2 les valuations pr liminaires tape 3 et les valuations d taill es de sites tape 4 Le processus de s lection d un site est lanc mai 2010 Des collectivit s expriment l int r t d en apprendre davantage et demandent la r ali sation d valuations de pr s lec
148. s annuel et foire commerciale Fredericton N B Ontario Association des municipalit s de l Ontario e 2011 Congr s annuel et foire commerciale London Ont e 2012 Congr s annuel et foire commerciale Ottawa Ont e 2013 Congr s annuel et foire commerciale Ottawa Ont F d ration des municipalit s du nord de l Ontario e 2011 Congr s annuel et foire commerciale Timmins Ont e 2012 Congr s annuel et foire commerciale North Bay Ont e 2013 Congr s annuel et foire commerciale pr sence de l exposition sur le transport Parry Sound Ont Apprendre davantage ensemble Rapport triennal 2011 2013 Association des municipalit s du nord ouest de l Ontario e 2011 Congr s annuel et foire commerciale Toronto Ont e 2012 Congr s annuel et foire commerciale Kenora Ont e 2013 Congr s annuel et foire commerciale pr sence de l exposition sur le transport Thunder Bay Ont Petites municipalit s urbaines de l Ontario e 2011 Congr s annuel et foire commerciale Niagara on the Lake Ont e 2012 Congr s annuel et foire commerciale Huntsville Ont e 2013 Congr s annuel et foire commerciale pr sence de l exposition sur le transport New Tecumseth Ont Association municipale rurale de l Ontario e 2011 Congr s annuel et foire commerciale Toronto Ont e 2012 Congr s annuel et foire commerciale Toronto Ont e 2013 Congr s annuel et foire commerciale Toronto Ont Associatio
149. s aux jeunes de participer ses travaux et d en apprendre davantage sur le combustible nucl aire irradi et le plan canadien de confinement et d isolement s rs et s curitaires de ce combustible au sein d un d p t g ologique en profondeur Au cours des trois derni res ann es la Soci t a largi ses activit s d engagement pour inclure les jeunes r sidents des collectivit s participant au processus de s lection d un site Par le biais de journ es portes ouvertes de pr sentations donn es des tudiants et de la participation des jeunes aux CLC le personnel de la SGDN a rencontr pr s de 1300 jeunes pendant cette p riode leur fournissant des renseignements sur la GAP sur le projet et sur le processus de s lection d un site et r pondant leurs questions Soutien accord par la SGDN a Sciences jeunesse Canada de 2011 a 2013 En 2011 la SGDN a contribu a soutenir Sciences jeunesse Canada SUC en comman ditant la participation d quipe Canada l Expo Sciences Internationale du MILSET un organisme non gouvernemental but non lucratif et politiquement ind pendant qui vise promouvoir une culture scientifique chez les jeunes en favorisant le r seautage et la collaboration internationale l Expo science pancanadienne 2012 la SGDN a subventionn et pr sent des prix m dailles de bronze aux finalistes des cat gories junior interm diaire et s nior En 2013 la SGDN a s
150. sidente du Greening Greater Toronto Task Force Derek Lister Derek Lister est professeur m rite au D partement de g nie chimique de l Universit du Nouveau Brunswick Fredericton o il est galement titulaire de la chaire de recherche en g nie nucl aire Ses recherches portent principalement sur la chimie et la corrosion des syst mes nucl aires et autres syst mes de production lectrique domaines auxquels il a consacr de nombreuses publica tions Il fait partie de plusieurs comit s nationaux et inter nationaux conseillant le gouvernement et l industrie Dougal McCreath Dougal McCreath est professeur m rite la Bharti School of Engineering de l Universit Laurentienne Sudbury Ontario Membre la fois de l Institut canadien des ing nieurs et de l Acad mie canadienne du g nie il a une vaste exp rience en enseignement en recherche et en consultation internationale allant de la conception d exca vations en profondeur au r tablissement de la p rennit des cosyst mes endommag s Il a fait partie de deux groupes d experts de l Agence canadienne d valuation environnementale charg s d tudier des questions reli es l nergie nucl aire Donald Obonsawin Donald Obonsawin est le fondateur et le pr sident de DIRECTIONS un cabinet d experts conseils en gestion qui fournit des services en mati re de politiques de gestion et de planification strat gique De 2008 2007 il
151. site Les valuations de la Phase 1 sur le transport abordent de fa on pr liminaire la possibilit d utiliser les voies de transport existantes o d en cons truire de nouvelles afin d tablir un itin raire s r et s curitaire pour acheminer le combustible nucl aire irradi des sites provisoires d entreposage vers un site h te potentiel Ce facteur sera tudi plus en d tail relative ment aux collectivit s identifi es pour les valuations subs quentes de la Phase 2 On pr voit que des groupes et des particuliers soul veront des questions des pr oc cupations et des pr f rences qu ils voudront voir prises en compte mesure que les valuations se poursuivront au cours de la seconde phase d tude et d engagement La SGDN a mont une exposition mobile qui comprend un colis de transport du combustible irradi homologu par la CCSN ainsi que des vid os des panneaux d infor mation et une brochure Les commentaires du Forum municipal de la SGDN ont contribu faire en sorte que l exposition r ponde aux besoins des municipalit s Le Forum a aussi sugg r des endroits appropri s pour la pr senter L exposition a pour but de mieux faire conna tre et comprendre le mat riel les politiques et les proc dures se rapportant au transport du combustible nucl aire irradi Plusieurs collectivit s ont invit l exposition mobile a des v nements locaux Elle a galement t pr sent e plusieurs co
152. sur le transport pr sentant un conteneur homologu de transport de combustible nucl aire irradi Voir difier des relations durables pour de plus amples informations sur l exposition Annexes Association nationale F d ration canadienne des municipalit s 2011 2011 Conf rence des collectivit s durables Victoria C B Conf rence annuelle et expo municipale Halifax N E 2012 2012 2013 Conf rence des collectivit s durables Ottawa Ont Conf rence annuelle et salon professionnel Saskatoon Sask Conf rence annuelle et salon professionnel Vancouver C B Associations provinciales Saskatchewan Association des municipalit s rurales de la Saskatchewan e 2011 2011 Congr s annuel et foire commerciale Saskatoon Sask e Congr s semestriel Regina Sask e 2012 e 2012 e 2013 Congr s annuel et foire commerciale Regina Sask Congr s semestriel Saskatoon Sask Congr s annuel et foire commerciale Saskatoon Sask Associations des municipalit s urbaines de la Saskatchewan e 2011 e 2012 e 2013 Congr s annuel et foire commerciale Saskatoon Sask Congr s annuel et foire commerciale Regina Sask Congr s annuel et foire commerciale Saskatoon Sask Nouveau Brunswick Union des municipalit s du Nouveau Brunswick e 2011 e 2012 Congr s annuel et foire commerciale Fredericton N B Congr s annuel et foire commerciale Fredericton N B e 2013 Congr
153. t suffisamment d montr e et que la population et l environnement subissent des cons quences d favorables e Limpression que des collectivit s d favoris es et les peuples autochtones ont t injustement cibl s pour ce projet Apprendre davantage ensemble Rapport triennal 2011 2013 La crainte que le projet ne soit pas enti rement financ par les producteurs des d chets La possibilit que les informations fournies puissent tre biais es incorrectes ou partiales et que tous les risques co ts et avantages ne soient pas enti re ment examin s Le bien fond de poursuivre l utilisation de nergie nucl aire et la production de combustible nucl aire irradi De la d sinformation a t circul e aupr s de certaines collectivit s concernant le processus m me de s lec tion d un site le projet et la SGDN Cette d sinformation comprenait notamment des insinuations selon lesquelles la SGDN ciblerait des collectivit s d favoris es et qu il n tait pas fond de pr tendre la s ret long terme d un d p t g ologique en profondeur et son aptitude confiner et isoler de mani res s re et s curitaire le combustible nucl aire irradi pendant la longue p riode requise sera important de faire contrepoids cette d sinformation mesure qu avancera le processus de s lection d un site et que les r sidents des r gions entou rant les collectivit s int r
154. utilis es pour le calcul des co ts et de l obligation au titre des prestations constitu es de la SGDN sont les suivantes R gime de R gime compl mentaire R gimes d autres avantages retraite agr de retraite post rieurs l emploi 2013 2012 2013 2012 2013 2012 Taux d actualisation au d but de l exercice 4 00 4 75 4 00 ATS 4 00 AS Taux de progression dans la grille des salaires 3 3 3 3 Taux d augmentation du co t de la vie 2 2 2 2 Taux tendanciel de l augmentation du co t des soins de sant S 6 5 Taux d actualisation la fin de l exercice 4 8 4 4 8 4 4 8 4 Taux de rendement pr vu de l actif des r gimes 6 5 6 5 Dur e r siduelle moyenne d activit des salari s 15 ans 15 ans 15 ans 15 ans 15 ans 15 ans Commentaire ind pendant 8 R gimes de retraite et autres avantages post rieurs a l emploi suite Les renseignements l gard des r gimes de retraite et des autres avantages post rieurs l emploi de la SGDN y compris l invalidit de longue dur e ILD se pr sentent comme suit R gime de R gime compl mentaire R gimes d autres avantages retraite agr de retraite post rieurs l emploi 2013 2012 2013 2012 2013 2012 Variations de l obligation au titre des prestations constitu es Obligation au titre des prestations constitu es au 1 janvier 54 252 000 41 683 000 2 846 452 2518052 11885000 8 0
155. v rifications annuelles de la conformit aux normes seront r alis es La premi re ronde des v rifications annuelles relatives ces certifications s est effectu e avec succ s en 2013 confir mant que la SGDN maintenait ses trois certifications Mettre en place et maintenir une organisation de haut niveau OBJECTIF STRAT GIQUE La SGDN continuera d riger et de maintenir une organisation efficace qui aura les capacit s sociales environnementales techniques et financi res requises pour g rer long terme le combustible nucl aire irradi canadien de mani re s re Les priorit s et les politiques de la SGDN en mati re de dotation en personnel refl tent le fait que la gestion du combustible nucl aire irradi est une responsabilit long terme n cessitant des comp tences dans un large ventail de domaines Ces domaines incluent la conception et la construction d un d p t l valuation environnementale le savoir traditionnel autochtone la recherche sociale l thique le droit la finance la communication et l engagement du public Toutes ces facettes sont capitales si nous souhaitons r pondre aux besoins et aux pr occupa tions des collectivit s int ress es et potentiellement touch es d velopper des partenariats avec ces collectivit s et tre certains que l valuation des sites potentiels et du site d finitif r pondra aux normes techniques les plus strictes Pour aider les membres de
156. valuations pr liminaires et l engagement des collec tivit s voisines A compl t les valuations pr liminaires de la Phase 1 tape 3 dans huit collectivit s dont quatre ont t choisies pour des tudes subs quentes A continu de fournir des ressources aux collectivit s pour les aider soupeser leur int r t pour le projet et pour faciliter chez elles le dialogue et l apprentissage sur le projet A continu de soutenir l apprentissage au sein des collectivit s en organisant des visites d installations existantes d entreposage provisoire du combustible nucl aire irradi et des r unions et en fournissant des ressources pour solliciter l avis d experts ind pendants 4 Soci t de gestion des d chets nucl aires Optimiser les mod les conceptuels et continuer de valider la confiance en la s ret du d p t Assurer la s curit financi re Apprendre davantage ensemble Rapport triennal 2011 2013 Le programme technique de la SGDN a poursuivi ses travaux de recherche d veloppement dans les domaines cl s que sont l ing nierie du d p t les g osciences et la s ret du d p t Des travaux de recherche et d veloppement se poursuivent concernant le transport du combustible nucl aire irradi La SGDN maintenu et avanc la recherche g oscientifique sur le comportement et l volution a long terme des syst mes d eaux souterraines profondes faible perm abilit situ s
157. 011 Pr sentation d un article Universit de Guelph Pr sentation a une classe de fin de baccalaur at Engagement des collectivit s a la planification publique 19 octobre 2011 F Engagement des Autochtones Associations nationales Assembl e des Premi res Nations APN e APM REP 00611 0003 tablissement d un consensus au sein de l Assembl e des Premi res Nations dans le cadre du processus d cisionnel traditionnel sur la gestion des d chets nucl aires Projet de trousse d outils 25 26 avril 2012 APM REP 0061 1 0004 Rapport de l Assembl e des Premi res Nations sur le document Alternative Exposure Groups Characteristics and Data for the Post Closure Safety Assessment of a Deep Geological Repository mai 2012 APM REP 0061 1 0005 Rapport de l Assembl e des Premi res Nations sur le rapport NWMO TR 2013 08 Aboriginal Lifestyle Characterization octobre 2013 Organisations provinciales r gionales e APM REP 00622 0005 Nation m tisse de l Ontario Rapport sur l Assembl e g n rale annuelle Direction du territoire des ressources et des consultations de la Nation m tisse de l Ontario ao t 2011 e APM REP 00621 0008 R000 F d ration des nations indiennes de la Saskatchewan Secr tariat du territoire et des ressources Rapport de fin d ann e 2011 2012 sur les s ances d information concernant la SGDN 30 avril 2012 e APM REP 00621 0004 Rapport de fin d ann e 2012 2013 de
158. 013 2013 2012 Activit s de fonctionnement Tr sorerie provenant des apports 66 004 732 61 307 286 Int r ts re us 57 042 50 269 66 061 774 61 357 555 Tr sorerie vers e pour les salaires et avantages et en change de fournitures et de services 64 050 522 65 520 775 2 011 252 4 163 220 Activit s d investissement Acquisition d immobilisations 682 581 795 921 Placement dans une filiale 5 000 Diminution augmentation nette de la tr sorerie 1 323 671 4 959 141 Tr sorerie au d but de l exercice 4 976 999 9 936 140 Tr sorerie la fin de l exercice note 3 6 300 670 4 976 999 Notes compl mentaires 81 d cembre 2013 1 Description de l organisme La Soci t de gestion des d chets nucl aires la SGDN est un organisme sans but lucratif sans capital actions constitu conform ment la Loi sur les corporations canadiennes de 1970 la Loi ainsi que l exige la Loi sur les d chets de combustible nucl aire du Canada 2002 la LDCN qui est entr e en vigueur le 15 novembre 2002 Aux termes de la LDCN les soci t s productrices d lectricit qui g n rent du combustible nucl aire irradi doivent constituer un organisme de gestion des d chets Conform ment la LDCN la SGDN a form un Conseil consultatif men une tude et adress des recommanda tions sur la gestion long terme du combustible nucl aire irradi au gouvernement du Canada Les r sultats de
159. 013 La Conf rence internationale sur la r habilitation environnementale et la gestion des d chets radioactifs 2011 La Conf rence V M Goldschmidt 2012 Le Congr s de l Association internationale des hydrog ologistes 2012 Le Symposium sur la gestion des d chets 2012 L atelier international du projet europ en FORGE sur la g n ration et la migration des gaz 2013 Le Symposium sur les dossiers de s ret de l AEN 2013 La SGDN a continu de tenir son Symposium g oscientifique annuel dont la 11 dition a eu lieu en juin 2013 Ce symposium r unit des chercheurs universitaires et de l industrie y compris les g oscientifiques de la SGDN et les tudiants des cycles sup rieurs soutenus par la Soci t par le biais du Programme de bourses d tudes sup rieures incidence industrielle du CRSNG Participants au Symposium g oscientifique 2013 de la SGDN Assurer la securite financi re OBJECTIF STRAT GIQUE La SGDN fera en sorte que les fonds n cessaires la gestion long terme s re du combustible nucl aire irradi canadien soient disponibles Apprendre davantage ensemble Rapport triennal 2011 2013 Les Canadiens s attendent ce que les fonds n cessaires la gestion long terme du combustible nucl aire irradi soient disponibles au moment voulu et consid rent que les producteurs de d chets en sont enti rement responsables La s curit financi re a pour objec
160. 013 1_ _advisory_council_minutes_ _jan_28 pdf concilier les perspectives autochtone et non autochtone et de travailler des int r ts communs tout en respectant les diff rences de chacun Il a insist sur les vertus d une bonne communication et de relations quilibr es ainsi que sur les valeurs de l amiti du respect et de l galit Avis et examens de tiers Les avis et examens de tiers ont occup une grande place dans les discussions du Conseil sur les fa ons de garantir que les activit s de s lection d un site et de conception du d p t soient exhaus tives d int grer les meilleures connaissances disponibles et d utiliser ces connaissances pour examiner et confirmer l valuation de sites Le Conseil a re u des pr sentations sur les activit s des experts sous trait s par la SGDN pour l aider r aliser les valuations pr liminaires des collectivit s int ress es Le Conseil a galement appuy l tablissement d un Groupe d examen g oscientifique ayant pour mandat de fournir des conseils sur les valuations pr liminaires de l aptitude g ologique des sites potentiels Le Conseil a re u des mises jour r guli res sur l avancement du programme technique de la SGDN Il a rencontr M Allan Hooper pr sident du Groupe d examen technique ind pendant pour discuter des constats de ses examens de 2011 et de 2012 du programme technique de la SGDN et a re u des rapports de la SGDN sur les suites qu elle a donn
161. 018 Annexes Assurer la s curit financi re La SGDN fera en sorte que les fonds n cessaires la gestion long terme s re du combustible nucl aire irradi canadien soient disponibles Les Canadiens s attendent ce que les fonds n cessaires la gestion long terme du combustible nucl aire irradi soient disponibles au moment voulu et qu ils soient enti rement assum s par les producteurs de d chets La s curit financi re a pour objectif de d terminer selon toute vraisemblance quels co ts devront tre assum s au cours de la dur e du projet et de pr voir des fonds pour des v nements inattendus et ensuite de concevoir un syst me de financement qui permettra de recueillir suffisamment de fonds aupr s des producteurs de d chets et de les prot ger pour couvrir le co t total du projet en tenant compte des diverses circonstances sociales et conomiques possibles et selon un ch ancier tabli Le projet de la Gestion adaptative progressive sera mis en oeuvre en plusieurs phases et s tallera sur plusieurs d cennies Son co t pr vu sera de 16 milliards 24 milliards dollars de 2010 En 2011 la SGDN a r alis une mise jour compl te de ces estimations Le co t estimatif r vis couvre plusieurs d cennies du cycle de vie entier de la Gestion adaptative progressive li au d p t g ologique en profondeur et au transport associ du combustible nucl aire irradi
162. 1 2013 concernant la recherche d un site sont d crits dans le document de la SGDN Rapport triennal 2011 2013 Apprendre davantage ensemble pages 82 93 La SGDN fait tat d un int r t marqu pour en apprendre davantage sur le projet depuis que le processus de s lection d un site a t lanc en 2010 Vingt deux collectivit s ont demand la r alisation d valuations de pr s lection au terme desquelles 20 collectivit s ont choisi de passer la troisi me des neuf tapes du processus de s lection d un site L tape 3 est une valuation pr liminaire de l aptitude potentielle des collectivit s int ress es Elle se fait en deux phases la Phase 1 s appuie sur des tudes de bureau et des activit s d engagement aupr s des collectivit s pour d terminer quelles collectivit s sont plus susceptibles de se pr ter la r alisation du projet de d p t Si ces collectivit s souhaitent continuer participer au processus d appren tissage elles feront l objet d tudes et d activit s d engagement plus d taill es au cours de la Phase 2 qui d butera en 2014 Cette Phase comprendra des tudes sur le terrain et des activit s d engagement largies l chelle r gionale Le Conseil a continu de souligner l importance de veiller ce que les partenaires de la SGDN collectivit s et entrepreneurs partagent les valeurs de la SGDN int grit excellence engage ment responsabilit et transparen
163. 1 de l tape 3 dans les collectivit s restantes alors qu elle entreprendra une nouvelle phase de travaux dans le nombre r duit de collectivit s qui ont compl t les valuations de la Phase 1 La Phase 2 de l tape 3 comprendra des tudes beaucoup plus d taill es dont des tudes sur le terrain et conduira la s lection d une ou deux collectivit s qui feront l objet d autres valuations Les collectivit s partici pantes les r gions environnantes et les collectivit s autochtones concern es devront montrer un niveau d engagement plus lev qu au cours de la Phase 1 Le Conseil pr voit que les travaux entrepris au cours de la Phase 2 seront vuln rables un niveau croissant de risques potentiels puisque les enjeux deviendront plus importants sera plus facile pour les opposants d orienter leurs pr occupations alors que les objectifs se feront plus clairs et plus pr cis Lorsque la SGDN fera la transition vers la Phase 2 de l tape 3 elle devra maintenir clairement le cap par rapport ses valeurs fondamentales et aux questions pos es dans son Cadre thique et social Cela s applique aux travaux men s par la SGDN aupr s des collectivit s h tes potentielles ainsi qu aux complexit s des relations r gionales et autochtones De plus le Conseil pr voit que les parties prenantes locales r gionales et autochtones commenceront vouloir plus d informa tions sur les mod les possibles d ententes de parte
164. 22 collectivit s se sont employ es en apprendre davan tage sur le processus et ont particip une valuation de pr s lection Un jalon important soumis l examen du Conseil fut le moment et la fa on de suspendre la phase des expressions d int r t du processus de s lection d un site guid par les collectivit s Le Conseil tait favorable une suspen sion de cette phase en septembre 2012 et a donn son avis sur la port e et le contenu des plans et documents de communications associ s De 2012 2013 le Conseil a d lib r activement de l approche qui serait utilis e pour r aliser les valuations pr liminaires des collectivit s et communi quer les r sultats Le Conseil a aussi discut de la gestion du projet y compris des ressources affect es au processus de s lection d un site et de la fa on dont il serait supervis ainsi que des r les respectifs du personnel de la SGDN et des sp cialistes contractuels Engagement et communications Le Conseil a discut des rapports que le personnel de la SGDN lui a pr sent s sur les activit s d engagement men es par la SGDN y compris aupr s des organisations autochtones des divers paliers de gouvernement des organisations int ress es des jeunes et des m dias Les membres du Conseil ont continu de fournir des conseils sur les activit s d engagement men es par la SGDN l chelle municipale Un membre du Conseil assiste r guli rement aux r unions du Forum
165. 28 000 Co t des services rendus au cours de l exercice 3 197 000 2 272 000 283 000 358 000 1 084 000 514 000 Int r ts d biteurs 2 297 000 2 092 000 132 000 142 000 516 000 394 000 Cotisations salariales 890 000 2 721 000 Prestations vers es 738 000 1 240 000 144 000 176 600 80 000 89 000 Profit perte actuarielle net te 7 058 000 6 724 000 85 000 5 000 1336000 3 038 000 Obligation au titre des prestations constitu es au 31 d cembre 52 840 000 54 252 000 3 032 452 2846 452 12 069 000 11 885 000 Variations de l actif des r gimes Juste valeur de l actif des r gimes au 1 janvier 51 073 000 41 053 000 Rendement r el de l actif des r gimes 10 471 000 3 927 000 Prestations vers es 738 000 1 240 000 80 000 89 000 Cotisations patronales 4671 000 4 612 000 80 000 89 000 Cotisations salariales 890 000 2 721 000 z Juste valeur de l actif des r gimes au 31 d cembre 66 367 000 51 073 000 Situation de capitalisation Obligation capitalis e non capitalis e au titre des avantages 13 527 000 3 179 000 3 032 452 2 846 452 12 069 000 11 885 000 Perte actuarielle nette non amortie 1 739 640 16 541 177 648 000 764 045 3946458 5574 000 Actif passif au titre des prestations constitu es 15 266 640 13 362 177 2 384 452 2 082 407 8122542 6311 000 Tranche court terme 5 000 5 000 89 000 89 000 Tranche a long terme 15 266 6
166. 40 ROO mae 2 379 452 2 077 407 8033542 6 222 000 15 266 640 13 362 177 2 384 452 2 082 407 8 122 542 6 311 000 Composantes des co ts constat s Co ts des services rendus au cours de l exercice d duction faite des cotisations salariales 3 197 000 2 272 000 283 000 358 000 1 084 000 514 000 Int r ts d biteurs li s l obligation au titre des prestations constitu es 2 297 000 2 092 000 132 000 142 000 516 000 394 000 Amortissement de la perte actuarielle nette 741 000 487 000 31 000 35 000 293 000 125 000 Rendement pr vu de l actif des r gimes 3 469 000 2 755 000 Co ts constat s 2 766 000 2 096 000 446 000 535 000 1893000 1 033 000 Un montant de 94 000 94 000 en 2012 inclus dans les cr diteurs et charges payer repr sente une partie du montant total de 10 506 994 8 393 407 en 2012 du passif au titre des prestations constitu es la fin de l exercice du r gime compl mentaire de retraite et des r gimes d autres avantages post rieurs l emploi et d ILD Les co ts constat s relativement aux r gimes de retraite et aux r gimes d autres avantages post rieurs l emploi sont pris en compte dans les cat gories respectives des charges dans l tat des r sultats et de l volution de l actif net L information li e la sensibilit des r gimes d autres avantages post rieurs l emploi se pr sente comme suit 2013 2012 Incidence d une augmentat
167. Annexes En Assurera qu elle soit pr te d buter les valuations d taill es de sites tape 4 et les tudes r gionales plus r pandues en collaboration avec les collectivit s Planifiera le lancement de centres d expertise pour soutenir les valuations techniques et sociales et pour permettre la discussion des questions reli es au bien tre de la collectivit D terminera les modes de transport privil gi s et les itin raires potentiels associ s chacun des sites et invitera les collectivit s o sont tablies les centrales nucl aires existantes ainsi que les collectivit s situ es le long des corridors de transport lesquelles forment un vaste groupe ayant des int r ts communs pr senter les questions et pr occu pations qu elles voudraient voir prises en compte par le processus M nera des recherches sur les mod les de partenariat et de partage des d cisions dans le but de structurer l accord qui sera conclu officiellement avec la collectivit les peuples autochtones et la r gion une fois le site choisi Explorera les consid rations li es la transmission long terme du savoir comme les rep res et archives dans le cadre de projets conjoints de recherche internationaux Agence pour l nergie nucl aire 2014 la SGDN Continuera de perfectionner une valuation g n rique des risques reli
168. Envoi postal de documents imprim s S ances d information g n rales S ances d information En savoir plus Organisation de visites de la Commission canadienne de s ret nucl aire CCSN Visites d installations provisoires de gestion de d chets d Ontario Power Generation ce jour l aide accord e aux collectivit s participant au processus de s lection d un site comprend les l ments suivants Aide financi re offerte aux collectivit s pour absorber les d penses administratives associ es la coordination des activit s visant En savoir plus Cela peut inclure les d penses li es un groupe de travail communautaire la publicit par exemple v nements et bulletins d information ainsi que les honoraires ou le salaire d employ s de soutien temps partiel Cela peut aussi inclure une aide aux collectivit s visant couvrir les d penses du personnel municipal associ es la gestion des communications entre le personnel et le conseil municipal du service de la paie des comptes cr diteurs du suivi des re us des appels t l phoniques des messages par t l copieur et par courriel etc li es au processus de la SGDN ainsi que les frais de d placement li s aux rencontres avec les collectivit s voisines ou la r gion Planification communautaire Aide financi re offerte aux collectivit s pour tablir ou laborer une vision long terme de la viabilit de la collectivit un plan int gr
169. GDN offrira galement son soutien aux collectivit s pour les aider comprendre comment le projet peut renforcer o diminuer leur aptitude atteindre leurs objectifs long terme pour engager les citoyens les collectivit s voisines et les peuples autochtones et pour valuer le consentement de la collectivit accueillir le projet Un soutien financier et des ressources seront accord s pour aider les collectivit s int ress es progresser au fil des tapes successives Pour aider les collectivit s renforcer leurs capacit s la SGDN fournira des ressources financi res et du soutien travers un programme labor en collaboration avec les collectivit s participant au processus de s lection d un site mesure que progressera le processus de s lection d un site des ressources financi res et autres seront galement accord es aux peuples autochtones et aux collectivit s de la r gion environnante Parmi les aspects que les collectivit s cherchent approfondir sur le projet et le processus de s lection d un site la d finition de ce qui constituerait une d monstration convaincante du consentement d une collectivit une exigence du processus de s lection d un site rev t une importance particuli re Les r sidents de la r gion environnante cherchent aussi mieux comprendre la nature de leur participation D finir les exigences en la mati re en collaboration avec les participants au proc
170. GP pour DFMA Les objectifs du plan de travail pour le programme de GOCV sont d aider OPG r pondre a ses obligations l gard de Ontario Nuclear Funds Agreement ONFA de la Garantie financi re de la Commission canadienne de s ret nucl aire CCSN de l Ontario Energy Board et en mati re de publication de rapports comptables financiers et pr parer les rapports annuels sur la gestion des obligations li es au cycle de vie tablir les estimations de co ts et les contributions verser au fonds et produire les rapports connexes Le tableau suivant pr sente les co ts totaux projet s des activit s de la SGDN dans ces trois domaines pour la p riode 2014 2018 197 0 Co ts totaux pr vus millions Programmes GAP 145 6 DGP d OPG 134 0 123 9 pour DFMA eps E cocv 115 1 109 5 Plan propos 91 5 98 7 GES 11276 14 7 22 8 28 2 TS se 1 5 SSS 1 7 Ss 17 1 5 Fe 1 6 Ann e 2014 2015 2016 2017 2018 Rapports financiers La section qui suit d taille le budget quinquennal pour la GAP Pr visions budg taires pour la GAP 2014 2018 Les pr visions budg taires visent les principaux objectifs de travail de la GAP d crits dans le plan strat gique quinquennal l annexe 1 Mise en oeuvre de la Gestion adaptative progressive 2014 2018 Le tableau suivant pr sente un sommaire des co ts du programme de travail pour chacun des sept domaines et services communs du programme strat gique
171. Gestion adaptative progressive GAP devra avoir fait l objet d une d monstration de son aptitude confiner et isoler le combustible nucl aire irradi en toute s ret assurant ainsi la protection tr s long terme des humains et de l environnement Le site de pr dilection devra satisfaire des crit res scientifiques et techniques qui tiennent compte du principe de pr caution et qui garantissent la protection de la g n ration actuelle et des g n rations futures Ces exigences sont fondamentales et aucune d cision pouvant compromettre la s ret ne sera prise Une fois tabli avec un degr lev de confiance que les exigences de s ret peuvent tre satisfaites l aptitude du projet contribuer au bien tre ou la qualit de vie de la collectivit et de la r gion o il sera mis en oeuvre devient une consid ration importante ce stade d tude les valuations pr liminaires portant sur cet aspect sont con ues pour explorer l aptitude du projet s harmoniser avec la vision et les objectifs de la collectivit ainsi qu aider la collectivit a progresser vers l avenir qu elle s est trac Il est entendu que ce projet peut ne pas correspondre la vision et aux objectifs de toutes les collectivit s Voil pourquoi ce volet des valuations pr limi naires aura une incidence importante sur le choix d un site L aptitude d une collectivit b n ficier du projet et les ressources qui s
172. N La section 1 r sume le mandat et l approche adopt e par le Conseil consultatif son cadre d valuation ainsi que ses pr c dents rapports La section 2 r sume les activit s qu il a men es aux cours des trois derni res ann es et son valuation du travail entrepris par la SGDN pour atteindre ses sept objectifs strat giques relatifs la Gestion adaptative progressive La section 3 pr sente les commentaires du Conseil sur la planification future de la SGDN d taill e dans son Plan de mise en oeuvre Mise en oeuvre de la Gestion adaptative progressive 2014 2018 Finalement la section 4 pr sente les conclusions et recommandations du Conseil lesquelles sont centr es sur les principaux d fis associ s aux prochaines phases de travaux de la SGDN 1 1 Exigences de la Loi sur les d chets de combustible nucl aire Le Conseil d administration de la SGDN a tabli le Conseil consultatif en 2002 conform ment la Loi sur les d chets de combustible nucl aire La Loi sur les d chets de combustible nucl aire stipule que la composition du Conseil consultatif doit assurer la repr sentation d un large ventail de disciplines scientifiques et techniques se rapportant la gestion des d chets nucl aires ainsi qu une expertise en affaires publiques en sciences sociales et en savoir traditionnel autochtone Depuis 2002 plusieurs membres ont quitt le Conseil et plusieurs nouveaux membres y ont t nomm s voir l encadr L
173. N collaborera avec ces collectivit s engager les collectivit s voisines potentiellement touch es et les gouver nements autochtones ainsi que le gouvernement provincial dans une tude visant valuer les incidences du projet sur la sant la s ret l environnement la soci t l conomie et la culture de la r gion tude r gionale y compris les incidences reli es au transport Leur participation aux d cisions sur la fa on dont le projet sera mis en oeuvre sera sollicit e tout au long du processus de s lection d un site Un centre d expertise sera mis en service au sein o proximit de la collectivit Chaque collectivit poss dant un site jug appropri d cide si elle consent ou non au projet et propose les modalit s en vertu desquelles elle souhaite voir le projet se r aliser La SGDN et la collectivit avec le site choisi concluent un accord officiel pour am nagement du projet La SGDN choisit un site et la SGDN et la collectivit ratifient l accord officiel Les autorit s r glementaires examinent la s ret du projet par le biais d un processus ind pendant officiel et public et si toutes les exigences sont satisfaites en autorisent la r alisation La mise en oeuvre du d p t g ologique en profondeur sera r glement e conform ment la Loi sur la s ret et la r glementation nucl aires et ses r glements associ s afin de prot ger la sant la s ret et la s curit des Canadiens e
174. Ontario ont t jug es plus susceptibles de pouvoir r pondre aux exigences de s lection d un site et ont t choisies pour faire l objet d tudes subs quentes Les collectivit s de la Premi re nation d English River et de Pinehouse en Saskatchewan et d Ear Falls et de Wawa en Ontario n ont pas t retenues pour les tudes plus d taill es La SGDN a indiqu que la r action globale des collectivi t s et des m dias avait t positive Le Conseil consultatif a f licit la SGDN pour la qualit de son processus de communication et pour avoir d velopp des relations solides de collaboration avec les collectivit s Le Conseil a eu des discussions pouss es avec la SGDN au sujet de l importance de veiller a ce que les collectivit s sentent qu elles sont bien trait es par la SGDN autant pendant les valua tions qu au moment o elles pourraient d cider de se retirer du processus ou au moment o elles seraient exclues des valuations subs quentes Diff rentes avenues avaient t consid r es pour faire en sorte que les collectivit s b n ficient de leur participation au processus de s lection d un site pour reconna tre leur contribution au processus et pour att nuer tout effet n faste La SGDN a sollicit l avis du Conseil consultatif sur ses propositions relatives la reconnaissance de la contri bution des collectivit s Le Conseil a discut du calendrier et du contenu des annonces concer
175. a jour le co t estimatif total pour la Gestion adaptative progressive d ici 2017 Continuera de publier les tats financiers v rifi s des fonds en fiducie des propri taires de d chets de combustible nucl aire fournis par les institutions financi res Voir www nwmo ca et de fournir des mises jour pour confirmer que les propri taires de d chets sont en mesure de faire face leurs obligations financi res valuera et publiera les implications financi res de sc narios futurs potentiels en mati re de volume variable de combustible nucl aire irradi lorsqu ils seront disponibles Surveillera tout d veloppement concernant les nouveaux r acteurs et les nouveaux propri taires de combustible nucl aire irradi utilisant les principes appropri s pour la mise jour de la formule de financement lorsque les circonstances sp cifiques se pr senteront Mise en oeuvre de la Gestion adaptative progressive 2014 a 2018 Annexes Adapter les plans La SGDN adaptera les plans de gestion du combustible nucl aire irradi pour tenir compte des nouvelles connaissances des meilleures pratiques internationales des progr s techniques des perspectives mises en lumi re par le savoir traditionnel autochtone des nouvelles attentes et valeurs soci tales ainsi que des changements dans les politiques publiques Un des fondements de la Gestion adaptative progressive est l incorporation constante de nouvelles connaissances
176. a GAP et sur le processus de s lection d un site Toujours dans le cadre du processus d apprentissage la SGDN a durant cette p riode compl t 22 valuations de pr s lection tape 2 et a entrepris l valuation pr liminaire tape 3 de 20 collectivit s Les valuations pr liminaires se font en deux phases et en 2013 la premi re phase s est achev e dans huit collectivit s Parmi celles ci quatre ont t retenues pour des tudes subs quentes ayant t jug es susceptibles de r pondre aux exigences du processus de s lection d un site Le nombre lev de collectivit s ayant manifest l int r t d en savoir plus sur le projet a permis la SGDN de suspendre la phase d acceptation des nouvelles expressions d int r t le 30 septembre 2012 nu Au cours de ces trois ann es la SGDN a fourni aux collectivit s int ress es des ressources et des occasions d en apprendre davantage sur le projet et sur le processus de s lection d un site Ces ressources ont entre autres permis aux collectivit s de solliciter des avis ind pendants notamment aupr s du personnel de la Commission canadienne de s ret nucl aire et de dirigeants de collectivi t s d autres pays ayant particip un processus de s lection d un site pour un d p t g ologique en profondeur Plusieurs collectivit s participant Etape 3 du processus de s lection d un site ont mis sur pied des comit s de liaison communautaires afin de
177. a pour objectif d valuer les aspects pertinents la s ret de tout site candidat lors de son exploitation et long terme afin de pouvoir valuer et am liorer la s ret de l installation propos e court terme avant qu un site candidat ait t propos l objectif de s ret est trait par le biais d tudes de cas et de l am lioration continue de notre compr hen sion des caract ristiques et des processus importants qui ont un impact sur la performance du d p t Les tudes de cas fournissent des informations pr cieuses la SGDN sur la s ret d un d p t g ologique en profondeur Elles permettent galement la SGDN d aiguiller ses travaux en vue d am liorer la conception du d p t et les m thodes utilis es pour valuer la s ret du syst me En 2011 la SGDN a entrepris une valua tion de la s ret post fermeture d un d p t hypoth tique construit dans une formation de roche cristalline En 2012 cette valuation a t soumise la CCSN pour un examen pr projet En 2013 la SGDN a compl t une valuation Partenariats avec les universit s Les partenariats avec les universit s ont continu contribuer de fa on importante s assurer que les travaux techniques de la SGDN sont d une grande rigueur scien tifique Au cours des trois derni res ann es des travaux ont t r alis s en partenariat avec l Universit de Toronto l Universit de l Alberta l Univer
178. a situ dans la collecti vit ou proximit selon ce qui aura t d termin avec la collectivit Il servira de base aux essais et valuations pluriannuels du site relatifs la s ret technique et au bien tre de la collectivit lesquels sont des l ments cl s du processus de s lection d un site Au cours de cette p riode il logera un programme actif de recherche technique et sociale et de d monstration technologique auquel s associeront des scientifiques et autres sp cialistes d un large ventail de domaines dont les g osciences le g nie et l valuation des incidences environnementales socio conomiques et culturelles Les d tails de conception du centre d expertise seront d cid s en collaboration avec la collectivit les peuples autochtones touch s et les collectivit s voisines en tenant compte de leurs pr f rences Les discussions autour des d tails de conception est galement une bonne oppor tunit de faire participer les jeunes Le centre d expertise Apprendre davantage ensemble Rapport triennal 2011 2013 appropri es pour assurer la surveillance post fermeture Un dossier de s ret solide devra tre mont Celui ci devra d montrer avec assurance que le projet peut tre mis en oeuvre en toute s ret sur le site y compris le volet transport et qu il sera en mesure de satisfaire aux exigences des autorit s r glementaires et de la collectivit h te voire de les d p
179. a sugg r que la SGDN tudie des exemples o le savoir traditionnel autochtone a t int gr avec succ s des projets et a not que des travaux consid rables ont t r alis s sur la fa on de concilier les deux perspectives du monde dans des domaines comme le syst me de justice la gestion des ressources naturelles et les soins de sant Il a aussi invit la SGDN a prendre note d exemples pr cis y compris les travaux d Hydro Qu bec aupr s des organisations cries De notre point de vue l engagement continu et croissant des peuples autochtones par le biais d un travail de proximit visant un grand nombre de collectivit s des r gions h tes potentielles d organisations r gies par trait de conseils tribaux et d organisations autochtones provinciales et nationales constitue pour la SGDN une fa on efficace d aborder ces questions La SGDN continue de solliciter l avis des a n s sur le savoir traditionnel autochtone dans le contexte du Conseil des a n s ainsi que des r gions h tes potentielles La SGDN a produit un recueil d articles et de documents de recherche sur le savoir traditionnel autochtone et son personnel y a acc s Comme il a t mentionn plus haut la SGDN a organis en janvier 2013 une r union sp ciale sur le savoir traditionnel autochtone la demande du Conseil consultatif Le conf rencier invit tait Edward Connors La SGDN a recrut du personnel interne et contractuel autochtone
180. aborera avec la collectivit et avec d autres partenaires pour faire en sorte que la mise en oeuvre du projet favorise le bien tre long terme et la viabilit de la collectivit h te et de la r gion Exploitation Surveillance D classe ment et surveillance post fermeture L exploitation de l installation commencera une fois qu un permis d exploitation aura t obtenu de la CCSN Le combustible nucl aire irradi sera achemin depuis les centres d entreposage provisoires dans des ch teaux de transport sp cialement con us et sera remball dans des conteneurs longue dur e et plac dans le d p t L exploitation emploiera des centaines de travailleurs aux comp tences tr s diverses dont des op rateurs d quipements des ing nieurs des scientifiques des experts en s ret du personnel minier des gens de m tier des analystes financiers et des sp cialistes en engagement des collectivit s L exploitation de l installation et les activit s d affaires associ es g n reront de l emploi dans la collectivit h te La SGDN collaborera avec la collectivit et possiblement avec d autres exploiter les installations du projet de mani re favoriser le bien tre long terme et la viabilit de la collectivit h te et de la r gion dans son ensemble conform ment une entente qui sera conclue avec la collectivit La SGDN collaborera avec la collectivit et possiblement avec d
181. activit s techniques concernaient la caract risation hydrog o chimique pore fluide et isotopique la p trophysique lesti mation du coefficient effectif de diffusion la datation de la min ralisation des fractures la thermom trie des inclu sions fluides la sorption la d termination des propri t s thermo hydrom caniques des roches s dimentaires la formation des zones de dommages r sultant de l excava tion la sismicit et la microbiologie D autres recherches ont t entreprises dans le cadre du programme en vue d explorer l utilisation d analogues naturels propres aux sites de telle mani re que la compr hension de l volution future d un site soit fond e en partie sur la compr hension de l volution pass e du syst me et de ses r actions aux perturbations externes telles que les pisodes glaciaires Par cons quent les tudes pal ohydrog ologiques pal osismiques et des analogues propres aux sites ont continu d occuper une place importante au sein du programme technique g oscientifique L tude des analogues a continu de fournir des infor mations sur la r action et la r silience de la g osph re aux perturbations qui affecteront le site et sur les ph nom nes r gissant la migration sous terre des mati res sur de longues p riodes g ologiques Comme par les ann es pr c dentes le programme g oscientifique a soutenu la La s ret du d p t Le programme de s ret du d p t
182. adi En quoi consiste le plan canadien de gestion long terme du combustible nucl aire irradi Qu est ce qu un d p t g ologique en profondeur et sur quoi pouvons nous nous fonder pour affirmer qu un d p t peut confiner et isoler le combustible nucl aire irradi pendant la longue p riode n cessaire Les informations jug es int ressantes concernaient le long programme de recherche qui a conduit l labora tion du plan canadien ainsi que les multiples barri res ouvrag es et naturelles qui constituent un l ment cl de la conception du d p t g ologique en profondeur Comment choisira t on le site du d p t Qui d terminera o s tablira le d p t et si la collectivit h te potentielle consent au projet Comment d finit on le consentement au projet De quelle fa on les citoyens d une collectivit participeront ils au proces sus d cisionnel Le conseil municipal a t il d j pris une d cision sans consulter les citoyens Comment les collectivit s et les peuples autochtones de la r gion environnante participeront ils au processus Les informations jug es pertinentes concernaient les neuf tapes et la s quence de d cisions qui font partie du processus de s lection d un site la s rie d tudes techniques et sociales d taill es qui seront r alis es et le fait qu il faudra 10 ans ou plus pour choisir un site de pr dilection Plusieurs personnes se sont dites int ress es d apprendre qu u
183. adioprotec tion M Rh aume a galement enseign pendant 20 ans la physique nucl aire et la radioprotection l Universit du Qu bec Trois Rivi res Commentaire ind pendant i Rapport du v rificateur et tats financiers Table des mati res Responsabilit de la direction en mati re d information financi re 211 Rapport de l auditeur ind pendant 212 Bilan 213 tat des r sultats et de l volution de l actif net 214 tat des flux de tr sorerie 215 Notes compl mentaires 216 Responsabilit de la direction en mati re d information financi re Les tats financiers ci joints de la Soci t de gestion des d chets nucl aires SGDN et toute l infor mation comprise dans le rapport annuel sont la responsabilit de la direction et ont t approuv s par le Conseil d administration Les tats financiers ont t pr par s par la direction conform ment aux principes comptables g n ralement reconnus du Canada Lorsqu il existe plusieurs m thodes de comptabilit la direc tion a choisi la m thode qu elle jugeait la plus appropri e aux circonstances Les tats financiers ne sont pas pr cis puisqu ils incluent certains montants fond s sur des estimations et des jugements en particulier lorsque des op rations ayant une incidence sur la p riode comptable courante ne peuvent tre comptabilis es avec certitude qu une date ult rieure La direction a d termin ces mo
184. administration de l EDRAM une organisation regroupant les organismes de gestion des d chets de 10 pays dont le Canada Pierre Charlebois M Pierre Charlebois fut vice pr sident directeur et chef des op rations OPG et tait charg des affaires reli es aux centrales nucl aires hydrauliques et combustibles fossiles d OPG De d cembre 2003 novembre 2006 M Charlebois occupait le poste de chef des op rations nucl aires et ce titre tait responsable des affaires et du rendement de la production nucl aire d OPG M Charlebois a obtenu un baccalaur at en sciences appliqu es l Universit d Ottawa en 1975 Il est membre de l Ordre des ing nieurs de l Ontario Apprendre davantage ensemble Rapport triennal 2011 2013 Ronald Ron L Jamieson M Ron Jamieson est membre du Conseil d administration de Ontario Power Authority Avant sa retraite a la fin de 2005 il occupait le poste de vice pr sident principal des Services bancaires aux Autochtones a la Banque de Montr al M Jamieson a exerc plusieurs fonctions de haute direction dans l industrie des services financiers Au cours de sa carri re il a galement pris part a des initiatives de d veloppement conomique en faveur des collectivit s autochtones au Canada M Jamieson a occup le poste de pr sident du Conseil d administration et de pr sident et chef de la direction de la Soci t d nergie de Ontario dont le mandat
185. afin de fournir plus d information sur les effets potentiels du transport et de la gestion du combustible nucl aire irradi sur la sant processus entier pour relever les le ons pouvant tre appli qu es au projet de la Gestion adaptative progressive Le Conseil consultatif recommande la SGDN d entreprendre un examen syst matique des le ons tir es de son exp rience dans le cadre de la mise en oeuvre du projet de d p t g ologique en profondeur d Ontario Power Generation pour d chets de faible et moyenne activit De plus la SGDN est actuellement en mesure de tirer des le ons de son exp rience dans le cadre de la mise en oeuvre de la Phase 1 de l tape 3 du programme de la Gestion adaptative progressive y compris des le ons apprises aupr s des collectivit s int ress es et des peuples autochtones qui ont particip cette phase du programme de la Gestion adaptative progressive Une valuation ind pendante du travail de la SGDN r alis e partir des questions nonc es dans le Cadre thique et social Voir la recommandation du Conseil la section 8 1 de son Rapport triennal pourrait servir mettre en lumi re les am liorations que la SGDN pourrait apporter ses plans futurs 3 11 Gouvernance et reddition de comptes AU cours des quatre prochaines ann es alors que la SGDN commencera travailler de fa on plus intensive avec un nombre r duit de collectivit s h tes potentielles il deviendra
186. al actualis 7 Culture d apprentissage La SGDN est elle l aff t des nouvelles id es et perspectives et adapte t elle ses plans en tenant compte de ce qu elle apprend dans les domaines de la science du savoir traditionnel autochtone de l histoire de l thique de la sociologie et de la culture La SGDN a t elle int gr les le ons apprises dans le monde et dans le cadre du projet d Ontario Power Generation de d p t g ologique en profondeur pour d chets de faible et moyenne activit Les nouvelles connaissances sont elles assimil es par son propre personnel chang es ad quate ment avec les organisations semblables et prises en compte dans tous les aspects du travail et des activit s de la Soci t Dans ce rapport triennal le Conseil pr sente les r sultats de l valuation qu il a r alis e en fonction de ces crit res de l efficacit avec laquelle la SGDN exerce son mandat 1 4 Rapports pr c dents du Conseil consultatif Le rapport d tude final de la SGDN Choisir une voie pour l avenir L avenir de la gestion du combustible nucl aire irradi au Canada a t publi en 2005 Dans ce rapport le Conseil fournis sait des commentaires ind pendants sur les travaux effectu s par la SGDN laquelle recommandait la Gestion adaptative progressive Le Conseil avait conclu que la Gestion adaptative progressive avait merg de fa on logique par suite d une valuation minutieuse et approfondie d
187. anadien des comptables agr s relatives aux organismes but non lucratif ainsi que des normes de comptabilit applicables aux entreprises priv es non prises en compte par les normes sur les organismes but non lucratif En juin 2012 et 2015 une r union mixte du comit de la v rification des finances et des risques et du comit des ressources humaines et de la r mun ration a t tenue pour examiner le finance ment et la viabilit du r gime de retraite de la SGDN Au 31 d cembre 2013 quatre administrateurs composaient le comit lan Ross pr sident Ron Jamieson Jos e Pilon Donn Hanbidge jusqu en d cembre 2013 Comit sur la s lection d un site Ce comit s est r uni 12 fois au total de 2011 2013 Il constitue un moyen pour le Conseil d administration d exercer une surveillance troi processus de s lection d un site tout en assurant une gestion des risques associ s oeuvre De 2011 2013 il tait responsable des activit s suivantes Apprendre davantage ensemble Rapport triennal 2011 2013 l examen des activit s en cours dans les collectivit s participant au proc d un site l examen des valuations initiales de pr s lection men es dans le cadre processus de s lection d un site l examen de l ch ancier et de la communication de la suspension de la phase des expres sions d int r t du processus de s lection d un site la discussion des valuatio
188. anadiennes sur la s ret du transport ferroviaire des marchandises La SGDN cherchera tirer des enseignements de cette discussion en cours Conform ment sa Politique sur la transparence et son processus d engagement la SGDN fait r guli rement rapport de ses progr s dans la mise en oeuvre de la Gestion adaptative progressive et plus particuli rement en ce qui a trait la r ponse aux commentaires des Canadiens et aux changements dans l environnement externe La SGDN tirera aussi profit d occasions officielles comme les rencontres avec les comit s permanents de la Chambre des communes pour soumettre la mise en oeuvre de la Gestion adaptative progressive un examen ouvert et transparent lors d tapes et de points de d cision cl s Allant de l avant De 2014 2018 la SGDN Soutiendra le processus de s lection d un site en cherchant mieux comprendre les meilleures pratiques en mati re d engagement de renforcement des capacit s d valuation des incidences et de maintien du bien tre des collectivit s Collaborera avec les universitaires et organisations int ress s au Canada et dans le monde dont le Comit de la gestion des d chets radioactifs le Groupe d int gration pour le dossier de s ret et le Forum sur la confiance des parties prenantes de l Agence de l OCDE pour l nergie nucl aire pour faire avancer les connaissances et changer des exp riences sur certaines questions comme la r cu
189. annuels la Loi sur les d chets de combustible nucl aire LDCN exige que la SGDN rende publics ses rapports triennaux en m me temps qu elle les pr sente au ministre des Ressources naturelles du Canada Le contenu r pond aux exigences de la LDCN de 2002 Ces exigences sont num r es ci apr s et sont accompagn es d un guide indiquant o elles sont trait es dans le pr sent rapport Guide du Rapport trienna 16 2 Exigences s appliquant tous les rapports Les rapports annuels post rieurs la d cision du gouverneur en conseil sur la proposition de gestion retenir doivent notamment indiquer Exigences de la LDCN en mati re de rapports annuels a la forme et le montant des garanties financi res fournies durant l exercice par les soci t s d ner gie nucl aire et nergie atomique du Canada aux termes de la Loi sur la s ret et la r glementation nucl aires et se rapportant la mise en oeuvre de cette d cision O ces exigences sont satisfaites dans le Rapport triennal 2011 2013 de la SGDN Exigences en mati re de rapports financiers chapitre 9 2 b le co t total estimatif r vis de la gestion des d chets Exigences en mati re de rapports financiers nucl aires chapitre 9 2 c les pr visions budg taires pour l exercice suivant Exigences en mati re de rapports financiers et Pr visions A budg taires 2014 2018 chapitres 9 2 et 9 1
190. ant d tablir une base solide pour ses op rations et d montrer un engagement envers le perfectionnement du personnel La SGDN compte sur un personnel poss dant un ensemble appr ciable de comp tences et de capacit s Il sera important de faire en sorte que ces comp tences soient conserv es et renforc es dans les ann es qui viennent L chelle de temps associ e la gestion du combustible nucl aire irradi soul ve un autre aspect important la gestion de la transmission du savoir entre les g n rations Des ressources humaines qualifi es seront requises pour soutenir la mise en oeuvre du programme et l exploitation du d p t pendant des d cennies La pr servation et la transmission des connaissances et de la m moire institutionnelle travers les g n rations auront une importance cruciale pour le bon fonctionnement des processus d cisionnels de longue dur e et l int gration de l information technique scientifique et sociale sur de longues p riodes Nous aurons besoin d expertise et de savoir faire dans plusieurs domaines notamment dans la conception et la construction de d p ts l valuation environnementale les sciences socio conomiques l thique la finance l engagement public le savoir traditionnel autochtone la s lection de sites la gestion de l information et les technologies de gestion des d chets L investissement dans les ressources humaines la formation de la main d oeuvre et les r seaux
191. ant du partage des co ts entre les propri taires de d chets sont d approxi mativement OPG 90 8 HQ 3 9 NNB 4 2 et ACL 1 2 Ces pourcentages sont sujets tre revus et r vis s p riodiquement Ces pourcentages s appliquent au partage des co ts pr et post construction Les co ts propres un propri taire de d chets de combustible nucl aire par exemple pour un combustible sp cial et les co ts de transport qui ne s appliquent qu un seul propri taire sont attribu s au propri taire R acteurs futurs ventuels la demande du ministre des Ressources naturelles des discussions ont eu lieu avec un certain nombre de parties prenantes pour solliciter leur point de vue sur l laboration d une formule de financement qui s appliquerait aux nouveaux propri taires ventuels de d chets et au combus tible irradi produit par de nouveaux r acteurs Les r sultats de ces discussions sont r sum s ci dessous 1 Les principes utilis s dans la formule de consid ration financement approuv e sont judicieux et 4 La formule de financement actuelle devra devraient tre utilis s pour tenir compte des tre adapt e lorsque les circonstances nouveaux propri taires et des nouveaux particuli res se rapportant aux nouveaux r acteurs r acteurs et aux nouveaux propri taires 2 Les co ts fixes et variables et les inves seront connues tissements r alis s ce jour doivent tre 5 Les change
192. ant que le processus d valuation environnementale n ait t compl t e avec succ s Le transport du combustible nucl aire irradi est r glement conjointement par la CCSN et Transports Canada Bien que la CCSN soit la principale autorit en mati re d octroi de permis elle administre son syst me en coop ration avec des minist res et d autres organismes f d raux et provinciaux responsables de domaines comme la sant l environnement le transport et la main d oeuvre Bien que la r partition constitutionnelle des comp tences au Canada conf re au gouvernement l autorit en mati re de r glementation de l nergie nucl aire elle n exclut pas l autorit des provinces et des territoires pour r glementer les questions connexes relevant de leur comp tence Tous les aspects des travaux de la SGDN r pondront toutes les exigences r glementaires provinciales applicables Par exemple certains aspects de la s lection d un site ou de la construction du d p t et du transport du combustible nucl aire irradi peuvent tre r gis par des lois provinciales La plupart des provinces et territoires incluent les mati res nucl aires parmi les substances dangereuses pour lesquelles le transport l int rieur de leurs fronti res est l gif r Les gouvernements provinciaux sont responsables de la protection de la sant et de la s curit du public des biens ainsi que de l environnement l int rieur de leur territ
193. ar le personnel de la SGDN concernaient la sant et la s curit du public et de l envi ronnement Les gens souhaitaient avoir des pr cisions sur les incidences estim es des rayonnements sur les humains et la faune sur les l ments environnementaux locaux et r gionaux tels que les aquif res et les bassins hydro graphiques et sur les Grands Lacs Certains voulaient galement savoir comment la SGDN pouvait garantir au public la s ret long terme de l installation D autres voulaient comprendre sur le plan scientifique et m dical les incidences de l exposition aux rayonnements et ont demand des informations sur des sujets comme les d bits de dose la distance s curitaire entre une grappe de combustible et les humains et les types de barri res requises pour r duire l exposition Plusieurs questions portaient sp cifiquement sur le degr de radioactivit des grappes de combustible au moment o elles sont pr tes tre stock es dans le d p t Par exemple e La grappe est elle dangereuse et si tel est le cas pendant combien de temps e Quels sont les effets d une exposition une grappe de combustible avec et sans barri re protectrice e Comment les rayonnements se dissipent ils lorsqu ils sont confin s dans un conteneur et un d p t tanches Apprendre davantage ensemble Rapport triennal 2011 2013 Nous avons galement entendu des commentaires et des questions se rapportant la n cessit
194. ar les CLC incluent e Mettre r guli rement la SGDN au courant des activit s de la collectivit e Aider d finir le profil de la collectivit e Aider orienter les activit s d engagement et promouvoir le dialogue au sein de la collectivit e Identifier et approcher les leaders influents de la collectivit e Planifier des v nements portes ouverts locaux et y participer De 2011 2013 19 collectivit s participant au processus de s lection d un site ont tabli leur propre CLC Au cours de cette p riode le personnel de la SGDN a assist plus de 150 r unions de ces CLC Le personnel a travaill sur une base r guli re avec les CLC pour les aider d finir le profil des collectivit s planifier et mettre en oeuvre les activit s d engagement dans les collec tivit s et pour fournir des informations sur des aspects cl s du projet comme le transport et les syst mes barri res multiples Le personnel de la SGDN a galement aid organiser des pr sen tations offertes aux CLC par des repr sentants des Premi res nations Nos travaux de 2011 2013 Ce que les valuations pr liminaires de la Phase 1 explorent Les tudes techniques de la Phase 1 font une exploration pr liminaire de l aptitude potentielle de la g ologie locale confiner et isoler le combustible nucl aire irradi Elles ont comme objectif premier la s curit de la population et de l environnement et ce titre e
195. asser de ces moyens La SGDN devra d montrer la s ret et la s curit de tout syst me de transport utilis aux autorit s r glementaires et aux citoyens avant que le transport du combustible nucl aire irradi vers le d p t puisse commencer Le transport du combustible nucl aire irradi devra satisfaire aux exigences strictes tablies par Transports Canada et la CCSN avant qu un permis puisse tre d livr et il sera continuellement soumis une v rifica tion de conformit pourrait par exemple devenir un point de ralliement pour engager les membres de la collectivit en apprendre davantage sur le projet et observer en personne l volution des travaux scientifiques et techniques reli s l valuation du site par le moyen de galeries d observation et d expositions interactives I pourrait tre con u comme un petit centre scientifique qui mettrait en vidence et d montrerait la science et la technologie utilis es pour d terminer si le site est propice Il pourrait tre d velopp comme un lieu de rencontre et d apprentissage pour la collectivit et servir de point d accueil pour les visiteurs int ress s de la r gion et d ailleurs Si le site devait tre choisi pour h berger le d p t g ologique en profondeur le centre d expertise serait d velopp pour inclure et appuyer la construction et l exploitation d une installation souterraine servant la confirmation des caract ristiques du
196. assurer la gestion long terme de ce combustible soient disponibles au moment voulu La SGDN a continu de r pondre cette exigence de 2011 2018 De 2009 2011 elle a proc d une r vision compl te de l estimation des co ts du cycle de vie du programme de la GAP Cette r vision a port sur les co ts entiers de mise en oeuvre d un d p t g ologique en profondeur et du transport associ du combustible nucl aire irradi Au cours de chacune des trois ann es vis es par ce rapport la SGDN a mis jour les sommes que les propri taires de d chets doivent d poser pour l exercice financier suivant Au cours des cinq prochaines ann es elle continuera d actualiser ses estimations de co t et d ajuster la formule de financement en fonction de ses pr visions Adapter les plans La mise en oeuvre de la GAP se fera sur plusieurs g n rations et au cours de cette p riode la SGDN aura maintes occasions d am liorer la s ret et la performance de ses mod les concep tuels d en accro tre l efficacit de r duire l incertitude et de les affiner en fonction de l volution des exigences soci tales Pour se tenir au fait des nouvelles technologies et des nouvelles fa ons de penser la SGDN se livre un apprentissage continu et invite le public fournir des commen taires sur ses plans quinquennaux de mise en oeuvre Au cours des cinq derni res ann es la SGDN a poursuivi un certain nombre d approches visan
197. atif recommande la SGDN de fournir plus de pr cisions sur la fa on dont elle entend agir dans ses cinq prochaines ann es de travail par rapport aux consid rations environnementales fortement enrichi des laboratoires de Chalk River aux tats Unis Le Conseil consultatif a fr quemment soulev des pr occupations en mati re de transport et les r ponses de la SGDN taient g n ralement ax es sur la s ret technique et la conformit aux exigences r glementaires de Transports Canada et aux normes internationales Le Conseil convient qu il sera essentiel de d montrer la s ret et la s curit de tout syst me de transport la satisfaction des autorit s r glementaires Toutefois il tient souligner que les discussions sur le transport doivent porter aussi bien sur la question de l acceptation sociale que sur les consid rations d ordre technique et que la SGDN doit faire de cet aspect une de ses priorit s au cours des cinq ann es qui viennent Le programme d engagement d crit dans la version pr liminaire de Mise en oeuvre de la Gestion adapta tive progressive 2014 2018 fait r f rence la commu naut touch e par le transport en tant que groupe avec un int r t commun Une des actions planifi es consiste informer les collectivit s canadiennes h tes de sites nucl aires des progr s de la mise en oeuvre de la Gestion 3 6 Engagement multig n rationnel Le Conseil souligne qu une des
198. ation de relations s largira mesure que les collec tivit s r gions et peuples autochtones potentiellement touch s par le processus de s lection d un site seront connus Le processus de s lection d un site ax sur les collec tivit s progressera au cours de la p riode de planifica tion conform ment au document Fa onnons l avenir ensemble Processus de s lection d un site pour le d p t g ologique en profondeur canadien pour combustible nucl aire irradi mai 2010 Les pr visions budg taires pr sument que la SGDN sera en mesure de travailler avec les collectivit s lorsqu elles deman deront des valuations de pr s lection et des tudes de faisabilit plus d taill es Vers la fin de la p riode de planification il est pr vu que la SGDN sera pr te entreprendre les tudes d taill es sur le terrain La gestion adaptative continuera de constituer un l ment essentiel de la mise en oeuvre de la GAP La SGDN poursuivra ses efforts pour approfondir ses connaissances et suivre les meilleures pratiques Le suivi des politiques nerg tiques et des attentes soci tales permettra la SGDN de se tenir au courant des changements qui ont une incidence sur le volume et les types de combustible nucl aire irradi g rer de r f rence et le dossier de s ret pour un d p t g ologique en profondeur et un syst me de transport pour combustible irradi avec l objectif d appliquer les meilleu
199. ation satisfait aux normes de gestion internationalement reconnues En 2011 la SGDN a maintenu et continu d appliquer son syst me de gestion conform ment aux exigences de la norme ISO 9001 2008 relative aux syst mes de gestion de la qualit La Soci t a galement maintenu sa confor mit la norme canadienne CSA N286 05 Exigences relatives au syst me de gestion des centrales nucl aires qui s applique au d veloppement d un d p t de d chets nucl aires Se conformer aux exigences en mati re de gestion de la norme CSA N286 05 est une obligation impos e par la CCSN En 2011 galement la SGDN a proc d a plusieurs v rifications pour confirmer que l organisation se confor mait au syst me de gestion tabli et que ses fournis seurs se conformaient de plus aux exigences de qualit et de s ret de la SGDN Les r sultats de ces v rifica tions internes et externes ont t int gr s aux activit s Apprendre davantage ensemble Rapport triennal 2011 2013 pr sentation sur les progr s accomplis depuis la derni re r union d examen et les plus r centes nouvelles depuis la publication de son quatri me Rapport national aux parties contractantes autres pays participants Le personnel de la SGDN a fourni une mise jour sur les progr s r alis s dans la gestion long terme du combustible nucl aire irradi canadien depuis 2009 l ann e de la plus r cente Convention commune La pr sentation porta
200. ation souhaite b tir des relations long terme avec les peuples autochtones qui pourraient tre touch s par la mise en oeuvre de la Gestion adaptative progressive Elle reconna t respecte et honore le fait que les peuples autochtones les peuples Indiens M tis et Inuits du Canada jouissent d un statut et de droits reconnus et proclam s dans l article 85 de la Loi constitutionnelle 1982 Comprendre la nature des incidences de la mise en oeuvre de la Gestion adaptative progressive sur les droits les trait s et les revendications territoriales autochtones et la mani re dont les peuples autochtones devraient tre accommod s relativement de telles incidences constitue un l ment important du travail de la SGDN La SGDN doit faire en sorte que les peuples autochtones soient consult s en bonne et due forme et que ceux qui sont touch s aient l occasion de participer concr tement La SGDN reconna t que la Couronne a l obligation l gale de consulter et d accommoder et elle aidera la Couronne satisfaire cette obligation Tout au long de toutes les phases de la mise en oeuvre du programme la SGDN cherche travailler avec les d tenteurs de savoir traditionnel afin d apporter cet aspect important et n cessaire au projet Allant de l avant De 2014 2018 la SGDN Continuera de sensibiliser davantage les Canadiens et peuples autochtones du Canada la Gestion adaptative progressive au processus de s lecti
201. ations tablies afin de soutenir la bonne marche du programme Ces activit s comprendront des s ances d information des breffages des projets conjoints et des partenariats avec les administrations municipales et autochtones les gouvernements provinciaux et f d ral et les particuliers et les groupes int ress s La SGDN continuera de travailler avec son Conseil des a n s et son Forum municipal Elle collaborera galement avec les peuples autochtones poten tiellement touch s par le projet Au fur et mesure de l avancement du processus de s lection d un site le programme d engagement de la SGDN a orient progressivement ses efforts vers les collectivit s participantes et leurs r gions respectives Au cours des cinq prochaines ann es les peuples autochtones et les collectivit s voisines de m me que les collectivit s situ es le long des itin raires potentiels de transport lesquelles forment un large groupe partageant un int r t commun feront l objet d une attention particuli re de la part de la SGDN Mettre en oeuvre en collaboration le processus de s lection d un site Le processus de s lection d un site en neuf tapes s est amorc en mai 2010 par le lancement d un programme largi de communication destin renseigner les Canadiens sur la GAP et sur le processus de s lection d un site lui m me tape 1 Au cours des trois derni res ann es les collectivit s int ress es se sont renseign es sur l
202. au Canada et dans le monde notamment en Finlande en France au Japon en Su de en Suisse au Royaume Uni et aux tats Unis ll permet aussi de faire en sorte que le personnel de la SGDN ait les comp tences requises pour mettre en oeuvre le plan adaptatif Dans le cadre du programme technique de la Gestion adaptative progressive la SGDN entreprend des projets de recherche en collaboration avec des organisations trang res homologues en particulier celles de la Su de SKB de la Suisse Nagra de la Finlande Posiva et de la France Andra Les travaux comprennent l essai et la d monstration de technologie et de processus sur l ing nierie de d p ts aux laboratoires de recherches souterraines en Su de Laboratoire sur la roche dure d sp et en Suisse Mont Terri ainsi que les tudes g oscientifiques sur les processus glaciaires De plus la SGDN continue de participer des projets internationaux avec la Commission europ ene et l Agence pour l nergie nucl aire Ces activit s assureront que la SGDN emploie les meilleures pratiques et continue d apprendre pendant la mise en oeuvre de la Gestion adaptative progressive La SGDN renforce son programme technique dans la conception et l optimisation de l ing nierie Au cours des cinq prochaines ann es des prototypes de conteneurs de d p t longue vie seront con us et fabriqu s Ces travaux sont men s en collaboration avec les universit s et les laboratoires de re
203. au processus d cisionnel Nous nous sommes engag s r valuer nos d cisions lorsqu il y a lieu nous r server l option de corriger le tir et nous tenir pr ts agir en fonction de l acquisition de nouvelles connaissances ou informations Les nouvelles donn es qui verront le jour au cours de la mise en oeuvre de la Gestion adaptative progressive pourraient poser des d fis techniques et thiques La mani re dont la SGDN r pondra ces d fis aura une influence capitale sur le succ s de la Gestion adaptative progressive La SGDN a identifi cing valeurs fondamentales l int grit l excellence l engagement la responsabilit et la transparence qui clairent tous ses travaux Un ensemble de principes d fini avec les Canadiens dans le but de guider le processus de s lection d un site compl te ce cadre de r f rence Par le biais d un engagement r gulier de la population des sp cialistes et des collectivit s potentiellement touch es la SGDN suit examine rend compte et discute des d fis de la Gestion adaptative progressive et des changements dans la gestion du combustible nucl aire irradi particuli rement dans les domaines du d veloppement technologique des attentes soci tales et des politiques nerg tiques et environnementales La SGDN continue de tirer profit des pratiques exemplaires et de l exp rience canadienne et internationale en mati re de mise en oeuvre de projets Par sa partic
204. avait obtenu une certification d terminant que sa gouvernance environnementale tait conforme la norme ISO 14001 2004 Syst mes de gestion environnementale la section Edifier des relations durables la SGDN indique qu en 2014 elle continuera de participer des initiatives environnementales r gionales et nationales Le Conseil consultatif a demand la SGDN des pr cisions sur ses plans visant assurer le maintien de l int grit environnementale Le Conseil a appris que la SGDN commen ait d finir les travaux environne mentaux qui seront entrepris au cours de la Phase 2 de l tape 3 Ces travaux comprendront l exploration du savoir traditionnel autochtone local et le parcours du terri toire pour r colter des informations sur les caract ristiques environnementales particuli res des sites y compris sur 3 5 Transport La version pr liminaire de Mise en oeuvre de la Gestion adaptative progressive 2014 a 2018 cite plusieurs acti vit s li es aux itin raires et aux modes de transport qui sont envisag s pour le transport du combustible nucl aire irradi Ces activit s seront entreprises dans un contexte o la perception du public quant la s ret du transport ferroviaire a chang de mani re importante en raison des r cents accidents ferroviaires qui sont survenus au Canada De plus il existe plusieurs exemples de collecti vit s qui s opposent l exp dition de mati res radioactives entre t
205. avons entendu sur la mise en oeuvre de la Gestion adaptative progressive Chaque ann e la SGDN sollicite galement l avis du public en g n ral sur ses sept objectifs strat giques et sur les activit s qu elle pr voit r aliser pour atteindre ces objectifs en publiant une bauche de son prochain plan strat gique quinquennal Les commentaires du public sont abord s au chapitre 8 2 Ce que nous avons entendu Plans strat giques La Conf rence internationale 2012 sur le stockage g ologique La SGDN a organis la Conf rence internationale 2012 sur le stockage g ologique ICGR du 30 septembre au 3 octobre 2012 Accueillie par le gouvernement du Canada la conf rence a eu lieu a Toronto Un de ses principaux objectifs tait de fournir une tribune internationale ou discuter des progr s r alis s dans les pays participants dans l avancement des programmes de gestion long terme s re des d chets radioactifs de haute activit longue vie dans des d p ts g ologiques en profondeur Le th me de la conf rence tait Engagement national Participation locale et r gionale Les s ances exploraient comment les diff rents pays d veloppent leurs propres d p ts g ologiques en profondeur La conf rence tait con ue pour encourager l change d informations et la discus sion sur les orientations politiques la s ret les cadres r glementaires la planification et la mise en oeuvre des programmes de d p ts bas
206. ble sur le site Web de la SGDN au www nwmo ca technicalresearch La SGDN a une obligation l gale d assurer la gestion long terme du combustible nucl aire irradi canadien existant et de celui qui sera produit dans le futur Mise en oeuvre de la Gestion adaptative progressive 2014 a 2018 Annexes Le projet Ce projet national d infrastructure comprendra le d veloppement d un d p t g ologique en profondeur un syst me de transport du combustible nucl aire irradi et un centre national d expertise L GENDE Installations de surface Complexe du puits principal Salles de mise en place Puits d vacuation de l air BRON Ss 0 5m 0 5m s 7 Argile de 4m als te 4m bentonite JU fer l Roche Roche Argile de uy bentonite a 0 1m 1 2 m 1 2m 0 1m Grappes de Conteneur pour Salle de mise en place Salle de mise en place Conteneur pour Grappes de combustible combustible irradi Trou de forage vertical Tunnel horizontal combustible irradi combustible dans le plancher er Les conteneurs seront plac s dans des trous verticaux for s dans le plancher le long de l axe d une salle de mise en place ou dans des tunnels horizontaux perc s dans l enceinte d une salle un choix qui d pendra de la nature de la roche et des caract ristiques du site Soci t de gestion
207. blication avec Springer C lan Ross M lan Ross a oeuvr la Richard Ivey School of Business de l Universit Western de 1997 a 2008 Au cours de cette p riode il tait directeur principal responsable de l administration au bureau du doyen et agissait galement comme administrateur r sident l Institut sur entrepreneuriat l innovation et la croissance de cette cole a galement occup les fonctions de gouverneur de pr sident et de chef de la direction de Ortech Corporation de pr sident du Conseil d Administration et pr sident et chef de la direction de Provincial Papers Inc et de pr sident et chef de la direction de Paperboard Industries Corp Il est actuellement admi nistrateur au sein de plusieurs entreprises dont OPG et est pr sident du Conseil d administration de GrowthWorks Canadian Fund Ltd Il est de plus membre du Barreau du Haut Canada Donn Hanbidge Administrateur du 25 septembre 2008 au 13 d cembre 2013 Les membres de la direction Apprendre davantage ensemble Rapport triennal 2011 2013 Pr sident du Conseil d administration Gary Kugler Pr sident et chef de la direction Kenneth E Nash Vice pr sidents Angelo Castellan valuation environnementale et soutien administratif Michael Hung Tr sorier et administrateur principal des affaires financi res Frank King S ret et permis jusqu en novembre 2013 Patrick Moran Affaires juridiques et secr tai
208. buer laborer et am liorer les plans strat giques e laborer les processus et approches encadrant les tudes laborer des produits de communication destin s aider le public mieux comprendre la GAP et le processus de s lection d un site Relever les domaines qui n cessiteraient des travaux suppl mentaires e Faire en sorte que les d cisions soient prises de fa on clair e La SGDN est tr s reconnaissante de l int r t de la participation et du sens des responsabilit s qu ont manifest s les collectivit s et les Canadiens int ress s au regard de la mise en oeuvre de la GAP Elle invite avec instance le public lui faire part de commentaires de questions et de pr occupations qui contribueront faire progresser le dialogue le processus d apprentissage et la gestion long terme s re du combustible nucl aire irradi canadien Pour plus d informations sur les commentaires re us par la SGDN au cours des trois derni res ann es veuillez consulter le chapitre 8 Ce que nous avons entendu sur la mise en oeuvre de la Gestion adaptative progressive Le plan canadien Comment nous en sommes arriv s l Apprendre davantage ensemble Rapport triennal 2011 2013 Une question de responsabilit Les r acteurs nucl aires de l Ontario du Qu bec et du Nouveau Brunswick alimentent les Canadiens en lectricit depuis des d cennies Pendant ce temps ils on
209. buer a leur bien tre et les aider pr parer l avenir qu elles se sont respectivement fix Voici des exemples d initiatives men es pour r pondre aux questions et pr occupations soulev es par les collectivit s e Description du d p t pour combustible e Le transport s r et s curitaire du combustible nucl aire irradi et du centre d expertise nucl aire irradi canadien Cette brochure a t canadiens Cette brochure a t produite pour cr e pour promouvoir une meilleure compr hen contribuer informer les collectivit s sur le projet et sion des tenants et aboutissants du transport du pour alimenter un dialogue d taill sur les incidences combustible nucl aire irradi ainsi que des techno potentielles du projet sur la collectivit dans le cadre logies des pratiques et du cadre r glementaire mis du processus d valuation en place pour favoriser un transport s r S ances portes ouvertes dans les collectivit s En collaboration avec les collectivit s int ress es plusieurs v nements portes ouvertes ont t organis s au sein de chacune d elles pour mettre en commun les informations disponibles et permettre aux membres de participer au processus de s lection d un site Participation de la SGDN des v nements dans les collectivit s Sur invitation de la part des collectivit s la SGDN a pris part des v nements parrain s par celles ci pour profiter d occasions infor melles de rense
210. c tive plus r gionale s accentuera mesure que le proces sus de s lection d un site avancera la section Mettre en oeuvre en collaboration le processus de s lection d un site la SGDN nonce que Le d p t g ologique en profon deur et le centre d expertise sont un grand projet qui a le potentiel de fournir des avantages une grande r gion 3 9 Programme En savoir plus la section Mettre en oeuvre en collaboration le proces sus de s lection d un site de la version pr liminaire de Mise en oeuvre de la Gestion adaptative progressive 2014 2018 la SGDN reconna t qu il y a un niveau faible de connaissance et de compr hension sur le combustible nucl aire irradi ce qui inspire de la crainte chez certaines personnes Dans le cadre du programme En savoir plus le personnel et les sous traitants de la SGDN ont d ploy des efforts consid rables pour informer le public et pour 3 10 Adapter les plans la section Adapter les plans de la version pr liminaire de Mise en oeuvre de la Gestion adaptative progressive 2014 2018 la SGDN nonce qu elle adaptera ses plans pour tenir compte des nouvelles connaissances des meilleures pratiques internationales des progr s techniques des nouvelles attentes et valeurs soci tales ainsi que des changements dans les politiques publiques Le Conseil convient que ce sont l toutes des influences importantes dont il faut tenir compte Cependant il estime que
211. caract ristiques particu li res du projet de la Gestion adaptative progressive est qu il touchera plusieurs g n rations actuelles et futures Le Conseil estime qu il est essentiel d obtenir la participa tion des jeunes d aujourd hui tant donn qu ils auront la responsabilit un jour de poursuivre le travail de gestion du combustible nucl aire irradi canadien l engagement des jeunes doit tre consid r dans le cadre d une approche multig n rationnelle qui veille assurer la transmission des connaissances des valeurs et des id es entre tous les groupes d ge En 2009 la Table ronde des jeunes a formul un certain nombre de recommandations visant promouvoir la participation des jeunes au projet de la Gestion adapta tive progressive La SGDN a commenc mettre en oeuvre quelques activit s en r ponse ces recomman dations voir la section sur Engagement des jeunes Canadiens dans le document de la SGDN Rapport triennal 2011 2013 Apprendre davantage ensemble La section Edifier des relations durables de la version 3 7 Engagement des Autochtones La section Edifier des relations durables de la version pr liminaire de Mise en oeuvre de la Gestion adaptative progressive 2014 a 2018 nonce que la SGDN continuera de solliciter l avis des a n s et des jeunes Autochtones a l gard des cultures des coutumes des protocoles et de la gouvernance des peuples autoch tones La SGDN a re u des comm
212. ce La SGDN indique qu elle a insist sur ses valeurs et ses exigences aupr s des collectivit s partenaires tout au long du processus de s lection d un site Par exemple la plupart de ces valeurs sont d crites dans les lettres d entente sign es par la SGDN et les collectivit s au moment o les collectivit s s engagent dans l tape 3 du processus La SGDN a aussi indiqu qu elle examine les valeurs thiques et les pratiques ant rieures des fournisseurs avant de les engager s assure qu ils comprennent parfaitement ses attentes et exige qu ils adh rent au Code de conduite de la SGDN Le Conseil a sugg r la SGDN de renforcer les capacit s techniques et sociales locales en offrant des bourses de stage et d tudes des jeunes afin qu ils acqui rent les comp tences requises pour aider leurs collectivit s participer au processus de la Gestion adaptative 17 Le processus de s lection d un site en neuf tapes est r sum au www nwmo ca sitingprocess_overviews5 18 Le Code de conduite de la SGDN est affich en ligne au www nwmo ca uploads_managed MediaFiles 1861_nwmo_ codeofconduct pdf progressive La SGDN a fait peu de progr s cet gard bien qu elle envisage la possibilit d offrir des bourses d tudes dans le cadre d un programme largi de renforcement des capacit s et d investissement dans la jeunesse Le Conseil a explor les moyens que la SGDN pourrait prendre pour faire participer les r
213. ces hydriques en particulier a soulev un int r t particulier Les citoyens ont d clar formellement qu ils souhaitaient voir prot ger leurs ressources hydriques et garantir la qualit de leur eau y compris de l eau des lacs p che locaux des rivi res que se partage la population de la r gion et des Grands Lacs lls voulaient aussi mieux comprendre les incidences du projet sur la qualit de l eau pendant la phase de construction ainsi que les liens qui existent entre leurs nappes phr atiques et l eau saline emprisonn e dans les roches situ es a des centaines de m tres sous terre la profondeur pr vue du d p t Un autre sujet abord fut l coulement de l eau travers le d p t Quelques collectivit s nordiques partici pant au processus de s lection d un site de la SGDN ont par le pass connu des p riodes d exploitation mini re et savent par exp rience que des inondations peuvent se produire dans les mines Cette exp rience directe de l coulement des eaux souterraines a aliment des questions sur les efforts d ploy s par la SGDN pour trouver un site propice et s r qui laisserait circuler tr s peu d eau travers le d p t Plusieurs s int ressaient aux effets que les fractures et les fissures rocheuses pourraient avoir sur l aptitude du d p t demeurer s r pendant des centaines de milliers d ann es Certaines des questions semblaient destin es v rifier la rigueur de la planifica
214. cherche nationaux du Canada lls incorporeront les meilleures pratiques disponibles en conception et les technologies de pointe en mati re de fabrication lls d montreront notre capacit r pondre aux exigences rigoureuses d ing nierie dans l environnement du d p t De plus une installation pour l ing nierie et les essais des conteneurs sera cr e pour le d p t et les conteneurs de transport Cette installation sera utilis e pour continuer examiner les technologies de fabrication et pour les essais des prototypes Au cours de la conduite des tudes d valuation pr liminaire Mise en oeuvre de la Gestion adaptative progressive 2014 a 2018 Annexes les itin raires et modes de transport potentiels seront valu s et discut s La SGDN travaillera galement troitement avec les propri taires de d chets dans la planification du futur transport du combustible nucl aire irradi depuis les installations o il est actuellement entrepos de fa on provisoire On ne pr voit pas que la composante de entreposage provisoire facultatif faible profondeur sur le site central de la Gestion adaptative progressive sera requise et par cons quent ne fera pas l objet de travaux Afin d aider comprendre et de favoriser un dialogue largi sur les consid rations reli es la s ret et en particulier sur l laboration d un dossier de s ret du mat riel de communication sera r dig dans un langage simple Ce ma
215. chtones du Canada int ress s et sollicitera leur participation a l tablissement des orientations futures d une gestion a long terme s re du combustible nucl aire irradi L engagement est une des cinq valeurs fondamentales qui guident les travaux de la SGDN La participation des Canadiens et peuples autochtones du Canada toutes les tapes et aux d cisions importantes est capitale si l on souhaite relever les d fis associ s la gestion long terme du combustible nucl aire irradi En s appuyant sur des processus ouverts transparents et inclusifs la SGDN continuera de renforcer la sensibilisation et la compr hension l gard de la Gestion adaptative progressive de solliciter une diversit de points de vue et de perspectives et d y donner suite L alliance des visions du monde et syst mes de connaissance autochtones avec la Gestion adaptative progressive renforcera la gestion long terme du combustible nucl aire irradi Notre volont de faire participer les parties prenantes et de prendre les d cisions en commun permettra la Gestion adaptative progressive de continuer de r pondre aux valeurs et aux pr occupations des Canadiens Les efforts visant faire conna tre la Gestion adaptative progressive et la SGDN laquelle est charg e de sa mise en oeuvre et renforcer la confiance leur gard se poursuivront au cours de cette p riode de planification De 2014 2018 les activit s d engagement s
216. cialement con u pour le combustible irradi produit au Canada devait tre mis au point En 2013 la firme Automated Tooling Systems Limited de Cambridge en Ontario a entrepris une tude visant a mettre au point un syst me robotis destin au chargement des grappes de combustible CANDU dans ce conteneur de combustible irradi compact Apprendre davantage ensemble Rapport triennal 2011 2013 llement volu ace du puits d acc s constitue un l ment de s ret important pour le d classe ure d un d p t g ologique en profondeur Le projet de scellement volu PSE a J montrer l efficacit de l installation et de surveiller le comportement d un bouchon composite Le projet consiste en l instrumentation et la surveillance d un bouchon de puits au Laboratoire de recherche souterrain d Energie atomique du Canada limit e situ pr s de Pinawa au Manitoba Le bouchon doit constituer une barri re entre les eaux tr s salines qui se retrouvent dans les profondeurs d un puits et les eaux de surface EACL est responsable de l ex cution des travaux Qui sont men s dans le cadre d un projet de recherche conjoint financ par la SGDN la Soci t su doise de gestion du combustible et des d chets nucl aires SKB l entreprise finlandaise de gestion des d chets de combustible nucl aire Posiva et Agence nationale fran aise pour la gestion des d chets radioactifs Andra Le bouchon d une paisseur d
217. ciaux et f d raux Le Conseil consultatif a soulign l importance de soutenir en continu le projet en tissant des contacts avec les repr sentants des divers paliers de gouvernement y compris du gouver nement f d ral et des gouvernements provinciaux des provinces nucl aires Le Conseil a observ qu il sera essentiel pour la SGDN de poursuivre ses efforts largis d engagement afin de tenir inform s les gouvernements f d ral et provinciaux et les administrations municipales Le Conseil a continu d insister sur l importance de communications exhaustives et transmises en temps opportun concernant non seulement le transport local et r gional mais aussi des consid rations interprovinciales Il a signal que le transport ne constituera pas uniquement une question r gionale mais qu il aura une port e interprovinciale et a soulign l importance de poursuivre les efforts largis d engagement pour tenir les provinces et les associations munici pales inform es Les rapports de la SGDN mentionnent que son plan d engagement volutif sur cette question se traduit par des efforts de rapprochement avec les divers ordres de gouvernement Par exemple de nouvelles relations de travail ont t tablies entre divers minist res f d raux et provinciaux pour faciliter la collaboration sur des questions d int r t mutuel li es la s lec tion d un site pour la Gestion adaptative progressive Cela inclut des communications avec les minist
218. cl aire irradi au cours de la phase d tude 2002 2005 Pi La s curit Assurer la s curit des installations des substances nucl aires et de l infrastructure Semble Rapport trier La sant et la s curit de la population Prot ger la sant de la popula tion contre le risque d exposi tion des mati res radioactives ou autres mati res dangereuses et contre les risques de blessure ou de d ces r sultant d accidents La sant et la s curit des travailleurs Prot ger les travailleurs contre les dangers reli s a la gestion du combusti ble nucl aire irradi et les r duire au minimum Le bien tre des collectivit s d Assurer le bien tre de toutes les collectivit s ayant un int r t commun Le plan canadien Comment nous en sommes arriv s l La Gestion adaptative progressive un choix canadien La LDCN stipulait que la SGDN devait tudier les approches possibles en fonction de trois m thodes de gestion long terme du combustible nucl aire irradi l vacuation en couche g ologique profonde dans le Bouclier canadien l entreposage sur les sites des r acteurs nucl aires et le stockage centralis en surface ou sous terre o que ce soit au Canada Au cours de l tude de trois ans que la SGDN a men e il lui est apparu manifeste que chacune de ces trois m thodes pr sentait des avantages particuliers mais aussi
219. collectivit s d int r ts et serons r ceptifs aux points de vue et perspectives les plus vari s Nous communiquerons avec le public et le consulterons activement poussant la r flexion et encourageant un dialogue constructif La responsabilit Nous saurons rendre compte de la gestion avis e prudente et efficiente des ressources nous assumerons nos responsabilit s enti rement La transparence Nous nous efforcerons de proc der communiquer et prendre des d cisions de mani re ouverte et transparente afin que la m thode soit bien comprise de tous les Canadiens Pr face Apprendre davantage ensemble Rapport triennal 2011 2013 La Soci t de gestion des d chets nucl aires SGDN est responsable de la mise en oeuvre de la Gestion adaptative progressive le plan long terme adopt par le Canada pour g rer son combustible nucl aire irradi en toute s ret La Gestion adaptative progressive constitue un imposant projet d infrastructure qui comprendra un d p t g ologique en profondeur ainsi qu un centre d expertise o seront r alis es des tudes techniques environnementales et communautaires La SGDN invite tous les Canadiens et les peuples autochtones du Canada s informer et participer la gestion du combustible nucl aire irradi canadien Pour soutenir cette participation et pour d montrer son engagement envers la transparence et la responsabilit la SGDN publie une mise jour ann
220. combustible nucl aire irradi doit tre confin et isol de la population et de l environnement de mani re s re et s curitaire dans un d p t g ologique en profondeur l int rieur d une formation rocheuse propice au moyen d un syst me barri res multiples Un des fondements du plan canadien est l incorporation de pratiques et de connaissances chacune des tapes afin de guider un processus d cisionnel progressif La Gestion adaptative progressive est con ue pour tre souple afin de pouvoir s adapter aux nouvelles connaissances aux nouvelles priorit s soci tales et l volution des politiques publiques Le d veloppement d une installation de gestion long La Gestion adaptative progressive vise un objectif que terme du combustible nucl aire irradi canadien constitue les Canadiens ont eux m mes d fini le confinement un projet national d infrastructure voir Le projet et l isolement s rs et s curitaires long terme du L installation sera situ e au sein d une collectivit h te combustible nucl aire irradi produit au Canada avec inform e et consentante Le processus servant identifier la souplesse n cessaire pour permettre aux g n rations le site refl te les id es l exp rience et les meilleurs futures d agir en fonction de leur int r t et de s adapter conseils d un vaste chantillon de Canadiens qui ont l exp rience v cue et aux changements soci taux particip a un dia
221. connaissances Construction et exploitation de l installation La SGDN d marre la construction du d p t g ologique en profondeur et des installations de surfaces associ es L exploitation ne commencera qu apr s l obtention d un permis d exploitation des autorit s r glementaires La SGDN continue de travailler en partenariat avec la collectivit h te afin de s assurer que les engagements pris envers la collectivit soient pris en compte pour toute la dur e du projet Mise en oeuvre de la Gestion adaptative progressive 2014 a 2018 Annexes Le plan d activit s pr sume qu au cours de la p riode de cinq ans certaines collectivit s choisiront de progresser travers les tapes d valuations pr liminaires et d valuations de sites mesure que celles ci avanceront dans le processus de s lection d un site les travaux incluront progressivement la participation des peuples autochtones et des collectivit s voisines La SGDN pourrait choisir des sites pour une caract risation d taill e d ici la fin de la p riode de planification Les plans pour la p riode de 2014 a 2018 feront en sorte que la SGDN soit pr te a soutenir tous les aspects du processus de s lection d un site La r ussite de la mise en oeuvre du processus de s lection d un site n cessitera une bonne compr hension des priorit s des r alit s politiques et des acteurs essentiels des r gions La SGDN aidera les collectivit s int ress es a e
222. ction d un site pour la mise en oeuvre de la Gestion adaptative progressive le programme d engagement volue pour porter plus directement sur les collectivit s int ress es accueillir le projet sur les peuples autochtones et les collectivit s voisines ainsi que les collectivit s se trouvant le long des itin raires de transport en tant qu un groupe avec un int r t commun La participation des jeunes demeure galement une priorit compte tenu de la nature long terme du projet et du besoin du transfert interg n rationnel des connaissances afin de soutenir la mise en oeuvre du projet travers tous ses efforts visant d velopper et entretenir des relations la SGDN tient compte de ses obligations envers les Canadiens et les peuples autochtones concernant la gestion long terme du combustible nucl aire irradi envers les collectivit s locales et les peuples autochtones des collectivit s et r gions h tes potentielles concernant le choix d un site appropri pour un d p t g ologique en profondeur et envers les collectivit s et les peuples autochtones situ es le long des itin raires et des carrefours de transport par rapport au transport s r et s curitaire du combustible nucl aire irradi Mise en oeuvre de la Gestion adaptative progressive 2014 a 2018 17 Annexes La SGDN reconna t qu il y a des peuples autochtones dans toutes les r gions du Canada o ses travaux s effectueront L organis
223. d p t le volume de combustible nucl aire irradi tre g r et la p riode de surveillance prolong e apr s la mise en place du combustible nucl aire irradi La SGDN doit d terminer selon toute vraisemblance quels co ts devront tre assum s au cours de la dur e du projet et pr voir des fonds pour des v nements inattendus La SGDN s est engag e fournir r guli rement des valuations de tous les facteurs de co t afin que les fonds n cessaires soient r serv s La SGDN surveillera galement tout d veloppement concernant les nouveaux r acteurs et les nouveaux propri taires de combustible nucl aire irradi utilisant les principes appropri s pour la mise jour de la formule de financement lorsque les circonstances sp cifiques se pr senteront Le programme de la Gestion adaptative progressive est mis en oeuvre l aide des fonds des propri taires de d chets qui sont reccueillis aupr s des contribuables travers la vente de l lectricit et l aide des fonds de l nergie atomique du Canada limit e correspondant sa petite quantit de combustible nucl aire irradi qui devra tre g r La SGDN s engage l utilisation prudente de ces ressources Conform ment la Loi sur les d chets de combustible nucl aire le Rapport annuel de la SGDN doit pr senter la formule de financement utilis e pour l exercice suivant pour faire en sorte que le co t total de la mise en oeuvre de la Gestion a
224. d actualisation utilis s par la SGDN pour d terminer l obligation au titre des prestations constitu es pr vues et les co ts li s aux r gimes de prestations aux employ s de l organisme sont calcul s partir du rendement d obligations de soci t s cot es AA iii L actif des caisses de retraite est valu en fonction d une valeur li e au march aux fins de l tablissement du gain ou de la perte actuariel et du taux de rendement pr vu de l actif des r gimes Lactif des r gimes comprend des titres de grande qualit Le r gime g re les risques de march et de cr dit li s ces titres en mettant l actif des r gimes en fiducie et au moyen de sa politique de placement iv Le Conseil des normes comptables du Canada le CNC a approuv et publi la norme finale chapitre 3463 Communication de l information sur les avantages sociaux futurs par les organismes sans but lucratif pour les organismes sans but lucratif pour les exercices ouverts compter du 1 janvier 2014 La SGDN adoptera cette norme compter du 1 janvier 2014 moins d indication contraire dans le chapitre 3463 la SGDN applique la norme 3462 de la partie Il du Manuel de CPA Canada intitul e Avantages sociaux futurs La date de transition la nouvelle norme est le 1 janvier 2013 L adoption de la nouvelle norme donnera lieu la radiation de tout montant non amorti co t ou cr dit li aux services pass s profits et pertes actuariels
225. d int r t partir du 30 septembre 2012 Cette mesure a permis la SGDN de concentrer ses ressources sur les collectivit s s tant d j engag es en apprendre davantage sur la GAP et sur ce que le projet signifierait pour elles Nos travaux de 2011 2013 tapes du processus de s lection d un site Un survol Les La SGDN publie le processus d finitif de s lection d un site apr s avoir pr sent les activit s de la SGDN aux gouvernements provinciaux au gouvernement du Canada aux organisations autochtones nationales et provinciales et aux agences de r glementation La SGDN continuera de communiquer avec ces instances tout au long du processus de s lection d un site afin que toute nouvelle information soit disponible ou exigence pouvant ressortir soit prise en compte pr paratifs La SGDN lance le processus de s lection d un site et entreprend un vaste programme d activit s visant fournir de l information r pondre aux questions et sensibiliser les Canadiens au projet et au processus de s lection d un site Les activit s de sensibilisation se poursuivront tout au long du processus de s lection Les collectivit s d terminent leur int r t en savoir plus et la SGDN fournit des informations d taill es Une pr s lection est faite la demande de la collectivit la SGDN valuera l aptitude potentielle de la collectivit par rapport un ensemble de crit res de pr s lection
226. dans l actif net et tout montant d coulant de la r valuation comme il est d fini au paragraphe 3462 85 sera constat directement dans l actif net au bilan plut t que dans l tat des r sultats Recherche et d veloppement Les frais de recherche et de d veloppement sont imput s aux r sultats de l exercice au cours duquel ils sont engag s Conversion des devises Les actifs et les passifs mon taires libell s en devises sont convertis en dollars canadiens au taux de change en vigueur la fin de l exercice Le gain ou la perte qui en d coule est pris en compte dans les charges li es l affectation de personnel et l administration Les op rations libell es en devises ayant eu lieu au cours de l exercice ont t converties au taux de change en vigueur la date de l op ration Instruments financiers Les instruments financiers comprennent la tr sorerie les d biteurs ainsi que les cr diteurs et charges payer Les actifs financiers et les passifs financiers sont initialement comptabilis s la juste valeur lorsque la SGDN devient partie aux dispositions contractuelles de l instrument financier Par la suite tous les instruments financiers sont valu s au co t apr s amortissement Les actifs financiers valu s au co t apr s amortissement font l objet d un test chaque date de cl ture afin de d celer des indices de d pr ciation S il y a effectivement d pr ciation la valeur de l actif
227. dans le secteur de la gestion des d chets et du d classement de l industrie nucl aire britannique il travaille actuellement comme consul tant ind pendant sp cialis dans la gestion long terme s re des d chets radioactifs Jusqu tout r cemment il a assum la fonction de conseiller scientifique principal pour la Direction de la gestion des d chets radioactifs de la UK Nuclear Decommissioning Authority Autorit du d classement nucl aire du Royaume Uni En 2008 il a t nomm professeur invit au D partement de science et d ing nierie des d p ts de l Imperial College Londres Lawrence Johnson est expert scientifique principal et coordonnateur la recherche d veloppement la Soci t coop rative nationale de Suisse pour le stockage des d chets radioactifs Nagra o il travaille depuis 1999 sur divers aspects de la performance des barri res ouvrag es Ant rieurement il a t responsable de la direction des technologies de gestion des d chets de combustible aux labora toires de Whiteshell d Energie atomique du Canada limit e Derek Martin est professeur au d partement du G nie civil et environnemental l Universit d Alberta Edmonton depuis 2000 Il a t conseiller principal du directeur du Programme canadien de gestion des d chets de combustible nucl aire ainsi que directeur de la division de la recherche g otechnique au Laboratoire de recherche souterrain de Whiteshell d Energi
228. daptative progressive soit absorb par les producteurs de d chets Une explication des hypoth ses doit aussi tre fournie Des fonds en fiducie doivent tre maintenus et des contributions par les producteurs de d chets doivent y tre vers es annuellement refl tant la mise jour de la formule de financement Apprendre davantage ensemble Rapport triennal 2011 2013 La Loi sur les d chets de combustible nucl aire La planification l laboration et la mise en oeuvre du projet de la Gestion adaptative progressive sont financ es par les principaux propri taires de combustible nucl aire irradi au Canada Ontario Power Generation nergie NB Hydro Qu bec et nergie atomique du Canada limit e En vertu de la Loi sur les d chets de combustible nucl aire LDCN 2002 chacune de ces quatre soci t s est tenue d tablir un fonds en fiducie g r de mani re ind pendante et d y verser des contributions annuelles pour faire en sorte que l argent requis pour financer le projet soit disponible au moment voulu La LDCN comprend des dispositions explicites pour assurer que les fonds en fiducie soient conserv s en toute s curit et utilis s uniquement pour le but pr vu Allant de l avant De 2014 2018 la SGDN valuera annuellement tous les facteurs qui ont une incidence sur l estimation des co ts et les exigences de financement de la Gestion adaptative progressive Mettr
229. de tion de l APN a organi s praticiens du savoir ti fourni des informations etU le atic U Savoir traditionnel et sur la fa on dont il a t appli qu divers projets d exploration p troli re et gazie re d exploitation mini re et de protection de l eau Ils ont galement fait part des exp riences qu ils ont vecues en conseillant les Premi res nations en mati re d valuation environnementale La m me ann e APN a fait des recommandations la SGDN dans deux rapports distincts Le premier Alternative Exposure Groups Characteristics and Data for the Post Closure Safety Assessment of a Deep Geological Repository Autres groupes expos s caract ristiques et donn es pertinentes l valuation de la s ret post fermeture d un d p t g ologique en profondeur partant de l hypoth se qu un d p t g ologique en profondeur pourrait tre potentiellement construit dans un environne ment de plaines conseillait la SGDN de fournir plus de d tails sur les incidences potentielles du projet sur les chasseurs cueilleurs des plaines II lui recommandait galement d tudier de plus pr s les r gimes alimentaires traditionnels et la possibilit qu ils puissent servir de vecteurs d exposition aux rayonnements LAPN a revu ce rapport et a fourni des conseils son sujet en 2013 En 2013 la SGDN a donn suite aux conseils de APN en publiant un document d tude pr liminaire intitul Abo
230. de Science Nord et Scientists in School e Utilisation d un ventail de m dias de communication pour tenir les collectivit s et le public en g n ral inform s sur la SGDN ses travaux et le processus de s lection d un site Mettre en oeuvre en collaboration le processus de s lection d un site e Soutien accord aux collectivit s int ress es pour les aider en apprendre davantage sur la GAP et sur le processus de s lection d un site e Ach vement des valuations initiales de pr s lection tape 2 dans 22 collectivit s et la demande de 20 collectivit s int ress es lancement de la premi re phase des valuations pr liminaires tape 3 de l aptitude potentielle accueillir le projet e partir du 30 septembre 2012 suspension des nouvelles expressions d int r t de la part de collectivit s h tes potentielles afin que la SGDN puisse concentrer ses ressources sur les collectivit s d j engag es dans le processus de s lection d un site e Soutien la formation de comit s de liaison communautaires par les collectivit s rendues l tape 3 pour faciliter l apprentissage au sein des collectivit s et pour fournir des conseils dans des domaines tels que les valuations pr liminaires et l engagement des collectivit s voisines e Ach vement des valuations pr liminaires de la Phase 1 tape 3 dans huit collectivit s dont quatre ont t choisies pour des tudes plus pouss es e Ressource
231. de des Autochtones peuve Sur le processus social et la mise au point technique d un jet En particulier les pr sentateurs ont eu l occasion re part de leurs connais es et de leur exp rience ement au processus de s lection d un site pour une installation de d chets de comb sStible nucl aire et aux activit s s y rapportant Photo prise lors de la s ance Apprendre des peuples autochtones de la Conf rence internatio nale 2012 sur le stockage g ologique Phil Fontaine ancien chef au niveau national de l Assembl e des Premi res Nations du Canada en tait le mod ra teur De gauche a droite a a Richard Arnold pr sident LL JE Al j tribu Pahrump Paiute tats m m ete i F Unis Phil Fontaine Fred s a G as e pS _ ee oe Kelly Premi re nation anishi nabe d Onigaming Canada F et Joanne Barnaby cofon arr dE z ne datrice du Dene Cultural lt Institute Canada Autres contributions Le personnel de la SGDN a continu de participer au Comit de la gestion des d chets radioactifs de l AEN Il a de plus t repr sent au sein de deux groupes de travail du comit le Groupe d int gra tion pour le dossier de s ret sur les d p ts de d chets radioactifs et le Forum sur la confiance des parties prenantes Le Forum a pour but de faciliter la mise en commun d exp riences li es la prise en compt
232. de l int r t Cette perspective a t voqu e par certains dans le contexte d une vision largie o la collectivit pourrait retrouver le niveau d activit conomique ou la population qu elle avait auparavant Au sein des collectivit s situ es proximit d installa tions nucl aires le projet a t discut dans le contexte de leur propre exp rience relative aux avantages et aux incon v nients de la pr sence d installations nucl aires dans la r gion et il tait fr quent d entendre des commentaires appuyant les emplois qui seraient g n r s par le projet m me de la part de personnes critiques son endroit Les r sidents voulaient galement en savoir davantage sur les caract ristiques naturelles particuli res pouvant avoir une incidence sur l aptitude de la collectivit a accueillir une installation s re et s curitaire Comme nous le verrons plus loin ces caract ristiques incluent la proximit de ressources d eau locales ainsi que de territoires de chasse de p che et de trappe Apprendre davantage ensemble Rapport triennal 2011 2013 Mise en oeuvre de la Gestion adaptative progressive Les premi res questions des gens concernaient souvent la GAP ce qui traduisait leur volont de mieux comprendre le projet dans son ensemble ainsi que la SGDN en tant qu organisme responsable de sa mise en oeuvre Bien que les r sidents des collectivit s participant au processus de s lection d u
233. de plus en plus important de porter son attention sur la gouvernance et la reddition de comptes l chelle locale Le Conseil consultatif estime qu il sera important de veiller ce que ces collectivit s partagent les cinq valeurs fondamentales de la SGDN int grit excellence engagement responsabilit et trans parence sera galement important de continuer appliquer le Cadre thique et social Le Conseil consultatif recommande la SGDN de mettre de l avant son Cadre thique et social et ses cinq valeurs fondamentales dans ses communications et ses partenariats avec les collectivit s h tes potentielles les r gions les organisations autochtones ses sous traitants et ses autres partenaires 4 Conclusions et recommandations 4 1 Conclusions En novembre 2013 la SGDN a annonc les conclusions des valuations pr liminaires de la Phase 1 de l tape 3 du processus de s lection d un site r alis es dans les huit premi res collectivit s parmi les 21 collectivit s ayant exprim l int r t d en apprendre davantage sur le projet de la Gestion adaptative progressive Le Conseil consultatif f licite la SGDN pour le travail d avant garde qu elle a accompli aupr s de ces huit collectivit s Les valuations pr liminaires ont t bien ex cut es et les constats ont t communiqu s de mani re claire aux collectivit s et aux m dias La SGDN poursuivra maintenant les valuations pr liminaires de la Phase
234. de se terminant en 2018 augmenteront progressivement Cette croissance progressive attendue se fonde sur l hypoth se que des collectivit s potentiellement int ress es s engageront dans les diverses tapes du processus de s lection d un site dont le renforcement des capacit s les tudes de pr s lection les tudes de faisabilit et ventuellement des tudes g oscientifiques sur le terrain La croissance importante pr vue des d penses pour la fin de la p riode de planification correspond l hypoth se selon laquelle la SGDN doit disposer des ressources n cessaires pour proc der la caract ri sation souterraine d taill e de sites dans le cas o des collectivit s potentiellement int ress es auraient progress jusqu ce stade du processus de s lection d un site Le processus de s lection d un site est con u pour avancer selon un ch ancier tabli par les collectivit s Il est diffi cile de pr dire quand des collectivit s manifesteront un int r t combien s engageront dans le processus et le temps que souhaiteront prendre les collectivit s pour engager leurs citoyens les peuples autochtones et les autres collectivit s voisines consid rer le projet de la GAP Les pr visions budg taires traduisent la volont de la SGDN de se pr parer et de se doter des ressources n cessaires pour aider les collectivit s renforcer leurs capacit s et travailler en collabora tion tout au long de leur cheminemen
235. des a n s des d positaires du savoir traditionnel et des dirigeants et membres des collectivit s pour am liorer le cadre d valuation utilis et pour en largir la port e afin qu il tienne compte des consid rations associ es aux modes de vie et des consid rations spirituelles en vue de pr parer le terrain une discussion approfondie et une participation plus troite au processus d cisionnel Les suites que nous avons donn es aux commentaires re us La SGDN cherche promouvoir un dialogue continu avec les collectivit s et entre les membres des collectivit s Elle r pond leurs questions autant dans le cadre de rencontres en personne que par crit La SGDN a aussi cr un ventail de produits de communication pour r pondre aux questions les plus fr quemment pos es et aux commen taires re us afin d aider les collectivit s prendre des d cisions clair es sur la Gestion adaptative progressive GAP La SGDN comprend l importance capitale de d montrer la s ret du projet aux sp cialistes techniques aux responsables gouvernementaux et aux agents de r glementation et que le projet ne pourra aller de l avant sans un solide dossier de s ret r pondant toutes les exigences tablies Cela est n cessaire mais ne suffit pas Les collec tivit s doivent aussi r fl chir leur propre confiance dans la s ret du projet Elles doivent de plus r fl chir la mesure dans laquelle le projet pourra contri
236. des d chets nucl aires SGDN est responsable de la gestion long terme du combustible nucl aire irradi canadien Mise en oeuvre de la Gestion adaptative progressive 2014 2018 d crit notre programme de travail quinquennal La Gestion adaptative progressive le plan canadien de gestion a long terme du combustible nucl aire irradi est a la fois un syst me de gestion et une m thode technique Le syst me de gestion est fond sur un processus de d cision progressif et adaptatif soutenu par l engagement du public et l apprentissage continu La m thode technique aura comme aboutissement un d p t souterrain construit tr s grande profondeur dans une formation g ologique appropri e o le combustible nucl aire irradi canadien sera confin et isol Un syst me de transport s r et s curitaire sera mis au point pour acheminer le combustible nucl aire irradi depuis les installations o il est actuellement entrepos de fa on provisoire jusqu au site centralis La motivation principale de la SGDN est la s ret pour prot ger la population et l environnement du combustible nucl aire irradi hautement radioactif canadien Cet objectif et cette vision commune sous tend tous les travaux de la SGDN Tous les aspects des travaux de la SGDN satisferont toutes les normes et exigences r glementaires f d rales provinciales et internationales en vigueur en mati re de protection de la sant de la s ret et de la
237. des limites importantes Ce constat l a conduit chercher une approche qui r pondrait davantage aux objectifs jug s importants par les Canadiens la s ret la s curit la protection de l environnement le bien tre des collectivit s l quit et la viabilit conomique Cette approche tait la GAP D autres options qui ont retenu l attention de certains pays un moment ou un autre ont galement t tudi es ll a t d termin que ces options ne satisfaisaient pas certains crit res importants tels que la validation de principe elles ne pourraient pas tre mises en oeuvre aujourd hui ou la l galit Ces options incluaient le recyclage ou la r utilisation du combustible nucl aire qui n cessiteraient le retraitement du combustible irradi afin ultimement de r duire le volume et la toxicit des d chets de haute activit g rer Cela pourrait tre accompli par des proc d s comme la s paration ou la transmutation La SGDN continue de surveiller de pr s l volution de ces technologies et autres approches de gestion du combustible nucl aire irradi dans le cadre de ses efforts continus visant int grer les nouvelles connaissances et d couvertes et examiner et ajuster au besoin la fa on dont nous mettons en oeuvre le plan canadien Pa Les Canadiens ont dit que le plan canadien devait Choisir une voie pour l avenir L avenir de la gestion du combustible nucleaire irradi au
238. des membres du nouveau Conseil des a n s la d finition de son mandat et le r le des jeunes Autochtones relatif au Conseil des a n s Suivant la recommandation d un membre du Conseil consultatif une pr sentation a t donn e par Edward Connors un psychologue travaillant pour la soci t conseil dans le domaine de la sant Onkwatenro shon A sur le savoir traditionnel autochtone intitul e Deux esprits deux perspectives du monde en janvier 2013 Le Conseil a demand M Connors de lui fournir des conseils sur la fa on dont la SGDN devrait int grer le savoir traditionnel autochtone au processus de la Gestion adaptative progressive et sur la fa on d engager de mani re appropri e les collectivit s autoch tones participer au processus de s lection d un site 2 M Connors a parl de diverses fa ons de 11 Le Forum municipal r unit des experts municipaux qui ont pour t che de sugg rer des fa ons appropri es de communiquer avec les administrations et associations locales et de proposer des sujets de recherche qui pourraient int resser les collec tivit s qui choisissent de participer au processus de s lection d un site www nwmo ca municipalengagement 12 Un r sum de la pr sentation de M Connors et de la discussion avec le Conseil consultatif qui a suivi est donn dans le proc s verbal de la r union du 28 janvier 2013 du Conseil consultatif l adresse www nwmo ca uploads_managed MediaFiles 2153_record_2
239. deur e NWMO TR 2012 16 Ing nierie de conception et valuation de la s ret post fermeture d un d p t de combustible irradi en roche crystalline Rapport pr projet e NWMO TR 2012 17 R cup ration des conteneurs de combustible irradi dans un d p t g ologique en profondeur am nag en roche s dimentaire selon une configuration en tunnels horizontaux e NWMO TR 2012 18 Mise au point d un programme de surveillance pour un d p t g ologique en profondeur de combustible nucl aire irradi e NWMO TR 2012 21 Manuel d utilisateur de SYVAC3 CC4 version SCC409 e NWMO TR 2012 22 Th orie du mod le SYVAC3 CC4 version SCC409 e NWMO TR 2012 23 T2GGM Version 3 1 Code d analyse de la production et de la migra tion des gaz e NWMO TR 2018 01 Programme technique pour la gestion long terme du combustible nucl aire irradi canadien Rapport annuel 2012 e NWMO TR 2018 04 Examen de la marge de corrosion du cuivre d termin e par la SGDN e NWMO TR 2013 11 Projections relatives aux d chets de combustible nucl aire au Canada Mise jour 2013 Apprendre davantage ensemble Rapport triennal 2011 2013 Rapports de la Gestion adaptative progressive APM REP 00440 0001 Mise jour sur la conception et l estimation du co t de la GAP Rapport sur la conception du DGP CRISTALLINE CUIVRE APM REP 00440 0008 Rapport sur le co t et le calendrier du cycle de vie d un d p t g ologique en profondeu
240. di pr sente t il un risque pour la population et pour l environnement L eau potable sera t elle touch e Plusieurs ont t int ress s en apprendre davantage sur les rayonne ments gr ce l exposition de la SGDN qui d crit comment les rayonnements nous entourent tous ainsi que sur les mesures prises pour prot ger la population contre leurs effets Plusieurs ont appris avec int r t comment le syst me barri res multiples sera utilis pour confiner le combustible nucl aire irradi et l isoler de la population et de l environnement Qu est ce que la GAP Comment en est on venu a faire de la GAP le plan canadien D autres approches ont elles t envisag es Pourquoi n ont elles pas t choisies Plusieurs personnes ont t int ress es par la port e des travaux de recherche d veloppement r alis s au Canada et dans le monde et des consul tations men es aupr s du public canadien et qui sous tendent le plan Certains ont manifest l opinion que le Canada devrait cesser de produire du combusti ble nucl aire irradi avant de mettre en oeuvre la GAP Quel est le calendrier de mise en oeuvre du projet Le site a t il d j t choisi Combien de temps faudra t il pour choisir une collectivit et un site pour l tablissement du d p t g ologique en profondeur Plusieurs personnes ont t satisfaites d apprendre que le processus de s lection d un site sera long et minutieux et que certaines d c
241. e les d passer suivre les orientations donn es par l Agence internationale de l nergie atomique et tirer les le ons de l exp rience v cue dans d autres pays Le programme technique de la SGDN soutient la Gestion adaptative progressive dans trois domaines cl s la s lection d un site la conception technique et l valuation des co ts l valuation de la s ret Un programme g n ral encadre les travaux dans ces domaines cl s Les activit s techniques de ce programme concernent les domaines de la g oscience de l valuation de la s ret de l ing nierie des d p ts des sciences environnementales et des questions r glementaires et sont r alis es au Canada et avec des partenaires internationaux pour faire en sorte que les meilleures connaissances soient appliqu es Les objectifs du programme technique de la SGDN sont revus et mis jour chaque ann e pour veiller ce qu ils correspondent fid lement aux orientations strat giques donn es par le Conseil d administration de la SGDN et aux hypoth ses de planification reli es l avancement de la mise en oeuvre de la Gestion adaptative progressive Le plan tient compte des commentaires mis du Groupe d examen technique ind pendant GETI Un programme technique solide permet la Gestion adaptative progressive de b n ficier des connaissances et des innovations introduites dans le domaine de la gestion long terme du combustible nucl aire irradi
242. e le transport l environnement et la s ret ainsi que sur des considerei Ks sociales culturelles et economiques e Identification de modes et d itin raires de transport potentiels pour chaque f potentiel valuation en fonction de crit res techniques de s ret et prise en comp des collectivit s e S lection d un ou de deux sites candidats pour des tudes de caract risation et une valua tion d taill es Optimiser les mod les conceptuels et continuer de valider la confiance en laS ret du d p t i e Avancement des activit s du programme technique pour optimiser les mod les conceptuels et les valuations de s ret e laboration de plans d essai de s ret pour d montrer l efficacit des syst mes de barri res ouvrag es canadiens en pr paration de la demande de permis de pr paration du site et de construction e R alisation pr paratoire par la Commission canadienne de s ret nucl aire d examens de projets associ s des formations de roche cristalline et de roche s dimentaire e Poursuite d tudes d analyses et d activit s conjointes avec des partenaires trangers pour mieux comprendre les processus cl s et valider le dossier de s ret d un d p t g ologique en profondeur TN N Assurer la s curit financi re e Mise jour de l estimation du co t de la GAP e Estimation des implications financi res associ es des sc narios de volumes variables ventuels d
243. e 12 m tres est constitu de deux composants en b ton d une paisseur de 3 m tres chacun qui emprisonnent un composant en argile d une paisseur de 6 m tres qui chevauche une zone de fracturation hydrauliquement active situ e une profondeur approximative de 275 metres La construction de cette structure a t achev e la fin de 2009 et on a permis au Laboratoire de recherche souterrain d tre passivement inond depuis ce temps k 48m SD gt Poutre pour les transducteurs de d tection de mouve ment sup rieurs Composant sup rieur en b ton Composant en bentonite sable y Coffrage inf rieur en b ton x Boulons d ancrage de la plateforme inf rieure b Nos travaux de 2011 2013 Les composants de b ton et d argile du bouchon du puits sont instrument s par une s rie de capteurs qui surveillent la temp rature la pression hydraulique la pression totale le contenu en eau et la succion les contraintes b ton et les mouvements dans la partie sup rieure de la structure Apr s trois ans et demi d accumulation passive d eau ces capteurs indiquent que le bouchon est m caniquement stable et que le composant base d argile a absorb une quantit substantielle d eau dans les zones p riph riques alors que des parties du noyau du bouchon demeurent s ches Le gonflement de l argile r sultant de l acc s de tudes sur le transport
244. e admissible aux valuations pr liminaires de l tape 3 elle doit avoir r pondu aux cinq crit res de l valuation de pr s lec tion de l tape 2 Son conseil municipal doit galement adopter une r solution exprimant la d cision de la collec tivit de participer l tape 3 et ensuite prendre une entente avec la SGDN d taillant la nature des travaux tre effectu s au cours de la premi re phase des valuations pr liminaires les activit s d engagement tre men es les ressources que la SGDN fournit pour aider les collectivit s s acquitter de leurs t ches ainsi que les valeurs guidant le processus Les conseils municipaux des collectivit s rendues l tape 3 peuvent demander une aide financi re la SGDN pour les aider poursuivre leur participation au processus de s lection d un site Nos travaux de 2011 a 2018 tivit et du ou des sites associ s accueillir un d p t g ologique en profondeur La s curit de la population et de l environnement est la priorit la plus lev e du processus de s lection d un site mais elle n en constitue pas le seul crit re Le projet doit aussi favoriser le bien tre long terme de la collectivit h te et de la r gion environnante Les valuations pr liminaires par cons quent objectif des valuations pr liminaires est d valuer de mani re pr liminaire l aptitude d une collec consistent en des tudes techniques p
245. e atomique du Canada limit e M Martin est membre de l Acad mie canadienne du g nie et de l Institut canadien des ing nieurs Nos travaux de 2011 2013 Participation pr coce de la Commission canadienne de suret nucl aire ce stade pr coce du projet la SGDN n a pas encore pr sent de demande de permis la CCSN S appuyant sur la meilleure pratique internationale qui consiste inter venir t t sur les nouveaux projets nucl aires en gestation la CCSN fournit des conseils la SGDN et rencontre les collectivit s ventuellement touch es pour les aider comprendre le r le de la CCSN dans la r glementation du secteur nucl aire canadien En vertu d une entente de service en vigueur depuis 2008 la CCSN continue de fournir des conseils r glementaires la SGDN r alise des examens pr projet et participe des r unions publiques et communautaires pour fournir des pr cisions sur son r le d organisme r glementaire ind pendant La SGDN s est engag e solliciter des conseils sur la r glementation t t dans le processus de mise en oeuvre de la GAP Son objectif ce faisant est de confirmer ce stade du projet que son approche par rapport a l valua tion de la s ret post fermeture du d p t est conforme aux exigences du Guide de la CCSN d application de la r glementation G 320 valuation de la s ret long terme de la gestion des d chets radioactifs Dans cette optique deux
246. e combustible nucl aire irradi en fonction des donn es disponibles e Identification le cas ch ant des incidences sur la formule de financement qu aurait l ajout possible de r acteurs ou de propri taires e Poursuite de l tablissement du niveau des contributions annuelles des propri taires de d chets aux fonds en fiducie Adapter les plans e Rapports sur les inventaires projet s de combustible irradi sur les technologies mergentes et sur les implications possibles de l ajout de r acteurs nucl aires pour le plan de la GAP e Poursuite de la publication d examens des progr s r alis s dans le domaine du retraite ment du combustible nucl aire irradi et des technologies de remplacement en mati re de gestion du combustible nucl aire irradi e Recherches sur les attentes du public y compris des jeunes et des organisations int ress es pour faire en sorte que le processus de s lection d un site continue de r pon dre aux besoins et aux attentes adaptation du processus le cas ch ant en fonction de l exp rience acquise e Int gration du savoir traditionnel autochtone ala Mise en oeuvre du programme de la GAP 43 Assurer une bonne gouvernance et une bonne reddition des comptes e Supervision assur e par les soci t s membres de la SGDN le Conseil d administration et ses comit s Avis et commentaires ind pendants du Conseil consultatif Examen du programme technique de la GAP par le Group
247. e d p t g ologique en profondeur propos sera creus approximativement 680 m tres sous terre dans une formation de calcaire de faible perm abilit sous une couche de schiste galement de faible perm abilit d une paisseur de 200 m tres Ces formations s dimentaires du substratum rocheux offrent de multiples barri res naturelles qui permettront de confiner et d isoler de mani re s re les d chets radioactifs pendant plusieurs milliers d ann es ou davantage Lac Huron 1 km Site nucl aire s r de Bruce 2 eee Tour du CN 533 m 1 2 km entre le DGP et le lac Huron e Substrat s dimentaire stable e Formations peu perm ables au dessus et sous le DGP e Des barri res naturelles multiples confinent et isolent DOR les d chets CEO n sous terre Une technologue en environne Trava ux de co n ce pti O n ment descend de l quipement d chantillonnage dans un puits de surveillance des eaux souterraines Des chantillons d eau sont pr lev s divers En 2011 la SGDN a amorc des travaux sur le terrain A MR endroits isol s faible profon dans le cadre de ses activit s de conception d taill e du deur partir de forages projet propos Ces travaux se sont poursuivis en 2012 entourant le site propos pour f le d p t g ologique en profon auquel moment la SGDN a entrepris un programme de inde tiITro soni v rification du coulis au puits de ventilation une profon ee OS une x F3 fA anqu
248. e d veloppement exploit es par nergie atomique du Canada limit e ainsi que dans des centres canadiens de recherche universitaire Si toutes les grappes de combustible nucl aire irradi produites pouvaient tre empil es comme du bois de chauffage elles occuperaient un espace d une dimension d environ six patinoires de hockey depuis la surface de la glace jusqu au haut de la bande La SGDN a une obligation l gale d assurer la gestion long terme du combustible nucl aire irradi canadien existant et de celui qui sera produit dans le futur Il existe aussi d autres d chets exothermiques qui sont produits au Canada tels que les sources de cobalt 60 produites dans les r acteurs canadiens CANDU et utilis es dans des appareils rayonnements industriels et m dicaux mais qui ne rel vent pas du mandat de la SGDN Ces d chets ne sont pas actuellement destin s tre stock s dans le d p t g ologique en profondeur qui sera construit dans le cadre de la Gestion adaptative progressive le plan de gestion long terme s re et s curitaire du combustible nucl aire irradi canadien Le tableau suivant r sume les quantit s de d chets de combustible nucl aire actuellement inventori es au Canada en date du 30 juin 2013 Ces quantit s sont exprim es en nombre de grappes de combustible irradi CANDU et ne comprennent pas le combustible qui se trouve actuellement dans les r acteurs et qui n est consid r comme d
249. e d examen technique ind pendant e valuations et v rifications de la gouvernance interne pour maintenir et obtenir des certifica tions de conformit du syst me de gestion aux normes de qualit de s curit et de gestion environnementale Inieraction avec la Commission canadienne de s ret nucl aire pour l obtention d informa tons r glementaires et d examens pr alables du projet de la GAP e Pr sentation annuelle et triennale de rapports au ministre des Ressources naturelles et au public t Mettre en place et maintenir une organisation de haut niveau 1 3 e D veloppement continu des capacit s en ressources humaines internes contractuelles et en S N 6 syst mes et processus administratifs CUS Soutien continu au maintien d effectifs en r gion et de bureaux d information locaux requis a pour aider les collectivit s participant au processus de s lection d un site Soutien financement et ressources Continus pour les collectivit s h tes potentielles les Premieres nations et les peuples m tis ainsi que les collectivit s voisines pour renforcer leur capacit de participer au processus de s lection d un site Ce que nous avons entendu dans le cadre de nos changes avec les Canadiens Faits saillants de 2011 2013 De 2011 2013 la SGDN a travaill en collaboration avec les collectivit s int ress es ayant r ussi l valuation initiale de pr s lection et ayant chois
250. e de donn es de deur de 200 metres et a largi le r seau de surveillance Ne on ne oller des eaux souterraines peu profondes par l installation raines afin de confirmer que de 10 nouveaux puits Tous ces travaux ont t men s la pre parationidu site gt la ar construction du d p t n auront en conformit avec le Plan de gestion de la sant et de pas d incidences sous r serve la s curit et le Plan de gestion environnementale de la de l obtention des autorisations r glementaires SGDN pour le projet Ils ont t r alis s dans les d lais selon les budgets pr vus et sans accident entra nant une perte de temps blessure o v nement environnemental signaler En 2012 plusieurs r unions d examen de la concep tion ont t tenues avec des repr sentants des firmes de conception des experts miniers et de l industrie nucl aire des experts en s curit au travail et de la radioprotection et des membres du personnel d OPG Ces r unions ont permis d approfondir la conception du d p t d incorpo rer l exp rience r cente de relever les points am liorer et de v rifier si toutes les exigences de s curit avaient t respect es La SGDN a en outre fait r aliser plusieurs examens de la qualit de ses processus internes de conception et a proc d des v rifications du rendement de ses sous traitants L exposition mobile sur le d p t g ologique en profondeur pr sent e dans le cadr
251. e de la dimension soci tale de la gestion des d chets radioactifs et d explorer les moyens pouvant tre utilis s pour tablir un dialogue efficace avec le public dans le but de renforcer la confiance envers les processus d cisionnels Depuis sa cr ation la SGDN s est engag e se conformer aux normes thiques les plus lev es tant dans ses proc dures que dans son valuation des approches de gestion Pour se guider ce titre la SGDN a form en 2003 une Table ronde d experts en thique Dans le cadre de son mandat cette Table ronde a d fini en 2014 un Cadre thique et social qu elle a r vis en 2005 En d cembre 2011 ce cadre a t examin pour valider sa pertinence pour guider les nouvelles phases de travail de la SGDN et plus particuli rement le processus de s lection d un site En 2012 dans le cadre de ses efforts continus visant obtenir des conseils en mati re thique la SGDN a nomm Wesley Cragg un sp cialiste de l thique des affaires son Conseil consultatif Nos travaux de 2011 2013 Se tenir au fait des questions et des progr s techniques Un programme mis en oeuvre au cours d une longue p riode offrira de nombreuses occasions d am liorer la s ret et la performance Le maintien d un solide programme de recherche est une des fa ons par lesquelles la SGDN s efforce de cerner ces occasions Dans le cadre de ce programme la SGDN participe des projets communs de recherche avec se
252. e des soci t s d nergi Canada que propose la soci t de gestion pour l exerci La LDCN oblige chaque propri taire de d chets nucl aires constituer un fonds en fiducie Ces fonds ont t tablis en 2002 et chaque propri taire de d chets y verse depuis une contribution annuelle La valeur de l ensemble de ces fonds y compris les revenus de placement s tablissait approximativement 2 9 milliards la fin de 2013 Cette somme s ajoute celles d autres fonds distincts et garanties financi res des soci t s membres tablis pour la gestion des d chets nucl aires et le d classement des installations Solde des fonds en fiducie millions Propri taire D cembre 2013 2 668 Ontario Power Generation OPG 105 Hydro Qu bec HQ 104 nergie nucl aire NB ENNB 42 Energie atomique du Canada limit e EACL 2 919 Total L exp rience d autres pays a d montr l importance de prot ger ces fonds afin qu ils soient r serv s aux fins pr vues La LDCN comprend des dispositions exigeant que ces fonds en fiducie soient gard s en s curit et qu ils ne soient utilis s qu aux fins pr vues La SGDN ne peut avoir acc s ces fonds que dans le seul but de mettre en oeuvre l approche de gestion choisie par le gouvernement lorsqu un permis de construction o d exploitation aura t d livr conform ment la Loi sur la s ret et la r glementation nucl aires LSRN Ces obligations p
253. e du salon Maison et jardin 2013 Kincardine Membres du personnel de la SGDN aux audiences publiques de la Commission d examen conjoint Port Elgin en Ontario Apprendre davantage ensemble Rapport triennal 2011 2013 La Commission d examen conjoint La Commission d examen conjoint constitu e en 2012 tait charg e 1 d examiner les incidences environnementales du projet propos pour d terminer s il peut r pondre aux exigences de la Loi canadienne sur l valuation environne mentale et 2 d obtenir les renseignements n cessaires l tude de la demande de permis pr sent e en vertu de la Loi sur la s ret et la r glementation nucl aires aux fins de la pr paration du site et de la construction de l installation du d p t g ologique en profondeur En f vrier 2012 la Commission a annonc la tenue d une p riode de commentaires publics qui a t subs quemment prolong e jusqu au 24 mai 2018 La p riode de commentaires publics tait l occasion pour la Commission les organismes f d raux le public ainsi que les collectivit s des Premi res nations et m tisses d examiner d valuer et de pr senter des commentaires sur la conformit de I Enonc des incidences environne mentales EIE et des documents relatifs la demande de permis aux exigences des lignes directrices pr sent es pour le projet en janvier 2009 Au cours de la p riode de commentaires publics la Commission a pr
254. e en oeuvre de la GAP est ou devrait tre influenc e par les d cisions prises ce sujet Nous avons re u des commentaires de certains selon lesquels la GAP ne devrait pas tre mise en oeuvre avant qu un plan ait t tabli pour mettre un terme l utilisation de l nergie nucl aire D autres nous ont dit qu il tait important que le plan de gestion long terme soit mis en oeuvre le plus rapidement possible et que la SGDN d montre davantage qu elle est consciente de l urgence d agir Nous comprenons que ce dernier point de vue est celui de la majorit des Canadiens lesquels tendent estimer que puisque les d chets existent ils devront tre g r s et qu un plan doit tre mis en place pour le faire ind pendamment de l avenir r serv l ner gie nucl aire au Canada La SGDN a re u un petit nombre de commentaires sugg rant que d autres approches d entreposage et de gestion des d chets nucl aires devraient tre envisag es Certains se sont montr s int ress s par la possibilit de r utiliser le combustible nucl aire irradi Commentaires sur les objectifs strat giques et les activit s planifi es Les plans de mise en oeuvre de la SGDN s articulent autour de sept objectifs strat giques Les objectifs et les initia tives correspondant chaque domaine de mise en oeuvre refl tent les priorit s fix es pour la p riode de planification Globalement les commentaires sur les objectifs
255. e en profondeur Allant de avant Les cinq prochaines ann es WHAT WE DO LASGDN dl y NOS TRAVAUX Aper u du Plan strat gique de la Gestion adaptative progressive pour les annees 2014 a 2018 Apprendre davantage ensemble Rapport triennal 2011 2013 Chaque ann e la SGDN publie un plan strat gique quinquennal pr liminaire Mise en oeuvre de la Gestion adaptative progressive afin de recevoir des commentaires du public Ce processus reconfirme et d montre l engagement de la SGDN de consulter et de solliciter la collaboration des Canadiens afin de tracer ensemble la voie suivre La version pr liminaire est diffus e par la poste et par courriel et est affich e sur le site Web de la SGDN accompagn e d une invitation publique formuler des commentaires Les commentaires et les suggestions re us sont pris en consid ration dans la planification et l affinage du plan strat gique La version pr liminaire du plan strat gique pour la p riode allant de 2014 2018 a t publi e en septembre 2013 et soumise une p riode d examen public Les r sultats de cette p riode d examen sont d crits la section Ce que nous avons entendu Plans strat giques Cette section pr sente les points saillants du plan strat gique 2014 2018 Conform ment la Loi sur les d chets de combustible nucl aire le plan est publi dans son int gralit l Annexe 1 Mise en oeuvre de la
256. e g rer long terme le combustible nucl aire irradi canadien Au cours de ce dialogue la SGDN a consult plus de 18 000 Canadiens dont 2500 Autochtones Les participants provenaient de chaque province et territoire du pays lls nous ont dit en grande majorit que la s ret et la s curit devaient constituer notre plus haute priorit que la g n ration actuelle devait assumer la responsabilit des d chets qu elle a produits que nous devions nous appuyer sur les meilleures pratiques internationales en la mati re et que nous devions pouvoir nous adapter aux circonstances changeantes La Gestion adaptative progressive GAP tait l approche qui se conformait le plus aux valeurs et aux priorit s tablies pour la gestion long terme s re du combustible nucl aire irradi canadien Elle a t approuv e par le gouvernement du Canada en 2007 L aboutissement technique de la GAP consistera isoler de mani re s re le combustible nucl aire irradi au sein d une formation g ologique profonde o il pourra tre surveill et au besoin r cup r Ce concept est conforme aux politiques adopt es par tous les pays dot s de programmes d nergie nucl aire importants La GAP exige de plus la mise en oeuvre d un processus de s lection d un site quitable et transparent qui permettra d identifier une collectivit h te inform e et consentante poss dant une formation g ologique appropri e Le processus de s lectio
257. e la SGDN qui pourraient r sulter de facteurs internes ou externes d ordre sociopolitique technique ou organisationnel Le Conseil a tenu quatre s ances de travail suppl mentaires d une journ e chacune au cours de l automne 2013 ainsi qu une conf rence t l phonique au d but de 2014 pour discuter du contenu de son rapport triennal sa demande les proc s verbaux de ses r unions et des copies de documents produits par ses membres sont affich s sur le site Web de la SGDN De plus des r sum s de ses travaux sont r guli rement publi s dans les rapports annuels de la SGDN De 2011 2013 le Conseil a examin le processus de s lection d un site les activit s d engagement des collectivit s et de communication les activit s d engagement des Autochtones les avis et examens de tiers les aspects techniques de la Gestion adaptative progressive le trans port et l volution du contexte externe Les faits saillants de ses activit s sont pr sent s ci dessous et son valuation des travaux de la SGDN est fournie la section 2 2 Les proc s verbaux des r unions du Conseil consultatif sont disponibles l adresse www nwmo ca advisorycouncilminutes Les rapports annuels de la SGDN sont disponibles l adresse www nwmo ca annualreport Processus de s lection d un site Le Conseil a demand des informations et a fourni des conseils sur la mise en oeuvre du processus de s lection d un site De 2011 2013
258. e la collectivit les peuples autochtones les collectivit s voisines et la SGDN pour faire en sorte de favoriser le bien tre et la viabilit de la r gion selon la conception qu elle se fait de son avenir Le projet n ira de l avant qu avec la participation sa mise en oeuvre de la collectivit int ress e des Premi res nations et des peuples m tis potentiellement touch s ainsi que des autres collectivit s de la r gion environnante Mise en oeuvre progressive Le d p t g ologique en profondeur et le centre d expertise auront un impact important sur toute collectivit et r gion o ils seront situ s Il s agit d un projet multig n rationnel qui sera d velopp en plusieurs phases Le choix d un site pour le d p t et sa construction se feront sur deux ou trois d cennies Les d chets seront plac s dans l installation au cours d une p riode de trois d cennies ou davantage puis seront surveill s pendant une p riode prolong e jusqu la fermeture Gestion adaptative Un principe fondamental du plan canadien veut que l apprentissage et les connaissances soient incorpor s chaque tape de la mise en oeuvre afin d orienter le processus de d cision progres sif Le plan de mise en oeuvre est flexible et pourra tre ajust au besoin Le plan sera r alis sur plusieurs d cennies Au cours de cette p riode les valeurs et pr f rences de la soci t canadienne les avanc es scientifiques et techniques
259. e le plan du Canada ne pourra tre accomplie que par les meilleures connaissances et expertise et par la collaboration de tous Parmi les nombreux d fis relever tout au long de la mise en oeuvre est le niveau faible de connaissance et de compr hension sur le combustible nucl aire irradi ce qui entra ne une peur chez certains gens qui commencent a apprendre davantage sur ce projet L information une communication efficace et le dialogue sont essentiels Mise en oeuvre de la Gestion adaptative progressive 2014 a 2018 Annexes valuation pr liminaire de l aptitude potentielle tape 3 du processus de s lection d un site En 2014 il est attendu que plusieurs collectivit s fassent l objet d valuations pr liminaires dans le cadre de l tape 3 du processus de s lection d un site Ces tudes ont pour but d valuer de fa on pr liminaire l aptitude d une collectivit et d un ou plusieurs sites associ s accueillir le projet Ces tudes constituent une occasion pour la collectivit et la SGDN d explorer ensemble l aptitude de la collectivit Les deux phases des travaux Les travaux seront r alis s en deux phases pendant la p riode planifi e et la collectivit et la SGDN auront l occasion de faire le point sur ces travaux au terme de chaque phase Certaines collectivit s dont l aptitude accueillir le projet est passablement incertaine pourraient tre cart es du processus la fin de la premi r
260. e le processus de s lection d un site de fa on quitable transparente et scientifiquement valable La SGDN a compl t les deux premi res tapes de ce processus qui en compte neuf et la troisi me tape au cours de laquelle les valua tions pr liminaires de l aptitude potentielle sont r alis es est bien engag e En raison du vif int r t manifest par des collectivit s h tes potentielles la SGDN a pris la d cision de suspendre la phase des nouvelles expressions d int r t pour le projet partir du 30 septembre 2012 Jalons de la GAP 2007 2013 2007 Le gouvernement du Canada choisit la Gestion toETelE 11e progressive comme plan de gestion long terme du combustible nucl aire irradi canadien 2008 La SGDN entreprend un dialogue qui durera deux ans et permettra d laborer en collaboration avec les Canadiens le processus qui servira trouver une collectivit inform e qui consentira accueillir le d p t g ologique en profondeur 2009 Le gouvernement du Canada accepte la formule de financement 2010 La SGDN publie EIIE ensemble Processus de s lection d un site pour le d p t g ologique en profondeur canadien pour combustible nucl aire irradi La SGDN entreprend de faire conna tre et comprendre le projet de la GAP comme premi re tape du processus de s lection d un site 2012 2013 La SGDN suspend les Les valuations nouvelles expres
261. e nombre de grappes de combustible qui seront stock es dans le d p t au moment o il entrera en exploita tion et pour savoir si ce nombre continuera de cro tre au fil du temps Des questions ont aussi t pos es sur la possibilit de nouveaux projets de r acteurs nucl aires au Canada Le Conseil a discut des similitudes entre le savoir traditionnel autochtone et la science occiden tale ainsi que de la transmission de l exp rience relative la fa on dont les valeurs les principes et l thique traditionnels ainsi que l attachement aux langues autochtones pourraient tre renforc s par les processus d cisionnels et les travaux de la SGDN Au cours de ces discussions les membres ont entre autres discut de la n cessit de prot ger les droits des Autochtones et issus des trait s et de la n cessit de d velopper l conomie et de pr parer l avenir en offrant aux jeunes la possibilit d acqu rir des comp tences Ils ont aussi parl de l importance de respecter les c r monies traditionnelles des collectivit s tout en respectant galement le fait que ces c r monies puissent diff rer d une collectivit une autre L importance des proph ties des enseignements et des lois sacr es a aussi figur en bonne place dans les discussions initiales du Conseil des a n s La SGDN accordera toute l attention requise aux conseils que le Conseil lui fournira mesure qu il comprendra mieux le sens de sa participation au
262. e nucl aire irradi Continuera de surveiller les changements dans les politiques nerg tiques et environnementales Continuera de suivre d valuer et de discuter des incidences de la construction de nouveaux r acteurs nucl aires sur la gestion long terme du combustible nucl aire irradi Continuera surveiller valuer et planifier les changements dans la poursuite des activit s et des plans concernant la gestion des d chets au sein de l industrie Continuera de d finir et de planifier un ventail de sc narios refl tant l volution possible de la capacit de la soci t mettre en oeuvre la Gestion adaptative progressive dans le futur 2014 la SGDN Continuera de faire avancer le cadre de travail pour les valuations pr liminaires tudes de faisabilit tape 3 Phase 2 avec l avis et les commentaires des organisations autochtones incorporant le savoir traditionnel autochtone transmis par les entrepreneurs autochtones et les d positaires du savoir traditionnel Publiera un examen des d veloppements dans le retraitement du combustible nucl aire irradi et dans les autres technologies de gestion du combustible nucl aire irradi Publiera une mise jour sur les quantit s et types actuels et potentiels de combustible nucl aire irradi Apprendre davantage ensemble Rapport triennal 2011 2013 Assurer la gouvernance et la reddition des comptes La SGDN maintiendra une struc
263. e phase d tude taient heureuses des r sultats les collectivit s exclues taient d ues et dans une certaine mesure soulag es de ne pas avoir d cider un jour si elles accepteraient d accueillir le projet Elles ont toutes d clar avoir b n fici de leur participation au processus de s lection d un site avoir beaucoup appris sur la GAP et sur elles m mes en tant que collectivit s et avoir tir des informa tions pr cieuses sur leur collectivit et leur r gion sous la forme de rapports d valuation qui les aideront mener bien leurs projets futurs Elles ont aussi dit que les processus qu elles avaient mis en place dans la collectivit pour discuter du projet et le consid rer leur seront d un grand secours dans l avenir Creighton a h te de continuer participer au proces sus de s lection d un site de la SGDN a affirm Bruce Fidler le maire de Creighton La prochaine phase des travaux comprendra des tudes techniques et sociales beaucoup plus d taill es et les activit s d engagement s intensifieront dans notre collectivit et aupr s de nos voisins Creighton peut tre fi re d avoir aid faire progresser le plan canadien de gestion long terme du combustible nucl aire irradi Nous appr cions le fait que la SGDN ait reconnu notre travail par sa contribution un Fonds de r serve pour le bien tre de la collectivit Les r sidents d Ear Falls peuvent constater
264. e phase des travaux la fin de la seconde phase des travaux une ou deux collectivit s ou secteurs particuli rement susceptibles de r pondre aux exigences du projet pourraient tre choisis pour la prochaine tape dans le processus de s lection d un site tudes d taill es sur une p riode de trois cinq ans tape 4 Des ressources seront disponibles pour les collectivit s participant au processus de s lection d un site afin d assumer les co ts associ s la participation chacune des phases des travaux Huit collectivit s avaient compl t les tudes de la Phase 1 la fin de 2013 et quatre de ces collectivit s ont t choisies pour les tudes plus d taill es de la Phase 2 D autres collectivit s participent encore actuellement aux tudes de la Phase 1 et quelques unes parmi elles pourraient tre choisies pour les tudes plus d taill es de la Phase 2 d ici la fin de 2014 tudes men es Les tudes d valuation pr liminaires de la Phase 1 touchent de nombreux domaines tudes g oscientifiques Est il plausible qu un site potentiellement apte puisse tre trouv au sein de la collectivit tudes d ing nierie Est il plausible qu une installation s re puisse tre construite dans la collectivit tudes sur le transport Est il plausible qu un syst me de transport s r et s curitaire puisse tre mis en oeuvre tudes sur l environnement et la s ret Est il plausible que t
265. e proprement dit Le processus de s lection d un site est con u avant tout pour faire en sorte de choisir un site qui soit s r et s curitaire et qui soit situ au sein d une collectivit h te inform e et consentante Le processus doit satisfaire aux normes scientifiques professionnelles et thiques les plus rigoureuses La s ret et l aptitude de tout site potentiel seront d termin es par le biais d une s rie d valua tions scientifiques techniques et sociales de plus en plus d taill es suivant des tapes s chelon nant sur plusieurs ann es Un robuste dossier de s ret devra d montrer de mani re convaincante que le projet peut tre mis en oeuvre en toute s ret sur le site et qu il peut respecter ou d passer les exigences des autorit s r glementaires La LDCN exige que les propri taires de d chets de combustible nucl aire OPG HQ Energie NB et ACL constituent des fonds en fiducie distincts pour financer la gestion long terme du combustible irradi Ces fonds ont t institu s en 2002 Des contributions sont vers es annuelle ment aux fonds par les propri taires des d chets et les tats financiers v rifi s sont publi s sur le site Web de la SGDN au www nwmo ca trustfunds En 2008 en vertu des obligations que lui imposait la LDCN la SGDN a propos une formule de financement pour d terminer les contributions que doivent verser annuellement les propri taires de d chets pour subvenir aux
266. e qui sont pertinentes aux valuations g oscientifiques des sites Apprendre davantage ensemble Rapport triennal 2011 2013 Allant de l avant De 2014 2018 la SGDN Continuera d explorer les consid rations reli es la s ret par des exemples d valuations de la s ret post fermeture du d p t g ologique en profondeur et la pr paration d valuations g n riques des risques reli s au transport du combustible nucl aire irradi y compris des sc narios perturbateurs Se pr parera pour le d veloppement des plans d tat de pr paration aux interventions d urgences Continuera d aider les collectivit s d velopper leur aptitude valuer leur int r t envers le processus de s lection d un site Continuera d aider les collectivit s en r pondant aux exigences bas es sur les valeurs tablies du processus dont l engagement appropri des citoyens et la transparence Continuera de solliciter l avis des associations municipales et des organisations autochtones sur le mat riel et les outils cr s en appui un processus de s lection d un site ax sur les besoins des collectivit s Continuera de d velopper des expositions mobiles et des outils adapt s aux collectivit s pour soutenir les discus sions locales et r gionales sur la Gestion adaptative progressive et le proce
267. e r union du Conseil consultatif 230 230 231 231 234 235 235 239 239 242 244 245 245 247 247 248 248 248 250 250 250 251 25l 252 292 252 253 253 253 254 256 M Gary Kugler Pr sident du Conseil d administration Soci t de gestion des d chets nucl aires 22 avenue St Clair Est Toronto Ontario MAT 2S3 F vrier 2014 Monsieur Kugler Au nom du Conseil consultatif de la Soci t de gestion des d chets nucl aires SGDN il me fait plaisir de vous pr senter nos commentaires aux fins d inclusion dans le Rapport triennal 2011 a 2073 de la SGDN Nous vous offrons nos commentaires comme les articles 8 et 18 de la Loi sur les d chets de combustible nucl aire exigent du Conseil consultatif Agr ez je vous prie l expression des sentiments respectueux des membres du Conseil consultatif r j L honorable David Crombie Pr sident du Conseil consultatif Copies Conseil consultatif de la SGDN M David R Cameron D Marlyn Cook M Wesley Cragg M Frederick Gilbert Mme Eva Ligeti M Derek Lister M Dougal McCreath M Donald Obonsawin M Michel R Rn aume 1 Introduction et mise en contexte Le pr sent rapport r pond l exigence de la Loi sur les d chets de combustible nucl aire selon laquelle le Conseil consultatif Conseil doit fournir tous les trois ans des commentaires sur le processus et les constats de la Soci t de gestion des d chets nucl aires SGD
268. e stable constitue la fa on la plus s re de confiner et d isoler le combustible nucl aire irradi pendant de tr s longues p riodes Le Canada et 19 autres pays dont la Finlande la Su de et la Suisse planifient actuellement la construction d un d p t l avenue des d p ts a galement t adopt e comme politique officielle de l Union europ enne En vertu des dispositions de la Directive sur la gestion du combustible us et des d chets radioactifs de 2011 les tats membres ont eu pr senter des programmes nationaux indiquant quand o et comment ils entendent construire et g rer des d p ts g ologiques en profondeur afin de garan tir des niveaux de s ret lev s 2010 2012 Lancement du Suspension des processus de nouvelles expressions s lection d un site d int r t de la part des collectivit s h tes potentielles Apprendre davantage ensemble Rapport triennal 2011 2013 Am liorer notre compr hen sion des d p ts g ologiques en profondeur Depuis 1978 le Canada a investi plus de 1 milliard en recherche en d veloppement et en d monstration des technologies li es aux d p ts de combustible irradi Un certain nombre de questions techniques ont t soulev es au cours du processus d examen de la Commission Seaborn 1998 Ces questions ont t examin es dans le cadre d un solide programme de recherche technique Les progr s r alis s dans
269. ec les Autochtones de la SGDN vise promouvoir le d veloppement de liens avec les collec tivit s et les organisations r gionales des Premi res nations ainsi qu avec les collectivit s m tisses locales et leurs organisations r gionales pour mieux comprendre les points de vue traditionnels et contem porains et r pondre la question Comment les points de vue traditionnels et contemporains sur l intendance du territoire nous aident ils comprendre comment un projet d envergure tel que celui qui est propos par la SGDN peut tre mis en oeuvre Un programme de ressources est offert aux collectivit s des Premi res nations leurs organisations r gio nales aux collectivit s m tisses locales et leurs organisations r gionales dans les r gions o des collectivit s participent au processus de s lection d un site pour expliquer les pratiques culturelles et les lois traditionnelles des peuples autochtones de ces r gions comment les peuples autochtones pourraient tre engag s de mani re respectueuse en apprendre davantage sur le projet et sur le proces sus d cisionnel la vision actuelle et long terme de la r gion l utilisation traditionnelle historique et actuelle des terres et du territoire r gional et les consid ra tions qui doivent servir de base aux d cisions concer nant le lieu o le projet sera tabli et la fa on dont il sera mis en oeuvre et dont le bien tre de la popula tion e
270. echnique pour assurer une am lioration continue conform ment aux meilleures pratiques e Fera en sorte que les fonds n cessaires la gestion long terme s re du combustible nucl aire irradi canadien soient disponibles e Adaptera les plans de gestion du combustible nucl aire irradi pour tenir compte des nouvelles connaissances des meilleures pratiques internationales des progr s techniques des perspectives mises en lumi re par le savoir traditionnel autochtone des nouvelles attentes et valeurs soci tales ainsi que des changements dans les politiques publiques e Maintiendra une structure de gouvernance qui permettra au public canadien d avoir confiance dans les travaux de la SGDN Continuera d riger et de maintenir une organisation efficace qui aura les capacit s sociales environnementales techniques et financi res requises pour g rer long terme le combustible nucl aire irradi canadien de mani re s re Apr s la d cision prise par le gouvernement du Canada en 2007 d adopter le plan de la Gestion adaptative progressive GAP pour la gestion long terme du combustible nucl aire irradi la SGDN a d fini puis valid aupr s du public les sept objectifs strat giques qui constituent depuis ce temps le fondement des plans strat giques qui encadrent la mise en oeuvre de la GAP C est sur la base de ces sept domaines strat giques que la SGDN pr sente la fois ses r ali sations pour la p riode 2011
271. ects y compris le DGP et la GOCV pour OPG pour lesquels des contrats de service sont en vigueur depuis le 1 janvier 2009 et le 1 f vrier 2011 L information sectorielle se pr sente comme suit GAP DGP GOCV Total Exercice termin le 31 d cembre 2013 2012 2013 2012 2013 2012 Produits tir s des apports 45 621 221 37 319 049 19 598 032 26 516 312 65219253 63835361 Int r ts cr diteurs 39 359 28 670 17 683 21 599 57 042 50 269 Total des produits 45 660 580 37 347 719 19615715 26 537 911 65276295 63 885 630 Amortissement des immobilisations 776 265 718 176 135 443 178 775 911 708 896 951 Frais de fonctionnement 44 884 315 36 629 543 19 480 272 26 359 136 64364587 62988 679 Total des co ts 45 660 580 37 347 719 19 615 715 26 537 911 65276295 63885 630 D penses li es aux immobilisations 513 632 734 914 77 542 61 007 591 174 795 921 La r partition des co ts communs au titre de la prestation de services entre chaque fonction des secteurs ci dessus est bas e sur le personnel dans chaque fonction Apprendre davantage ensemble Rapport triennal 2011 2013 13 Sommes remettre l tat Les cr diteurs et charges payer comprennent les montants suivants en ce qui a trait aux sommes remettre l Etat 2013 2012 Montant au titre de la TVH TPS payer 982 800 728 950 Moins les montants au titre de la TVH TPS recevoir 253 558 236 441 Montant net au titre de la TVH TPS payer 729 242 492 509
272. ed Nuclear Fuel Township of Hornepayne Ontario APM REP 06143 32401 Rapport sommaire Evaluation de pr s lection pour le choix d un site pour un d p t g ologique en profondeur destin stocker le combustible nucl aire irradi canadien Canton de Hornepayne Ontario APM REP 06143 324038 Initial Screening for Siting a Deep Geological Repository for Canada s Used Nuclear Fuel The Corporation of The Township of Ignace Ontario APM REP 06143 32404 Rapport sommaire Evaluation de pr s lection pour le choix d un site pour un d p t g ologique en profondeur destin stocker le combustible nucl aire irradi canadien Corporation du canton d lgnace Ontario Annexes APM REP 06143 32405 Initial Screening for Siting a Deep Geological Repository for Canada s Used Nucle site pour un d p t g ar Fuel Northern Village of Pinehouse Saskatchewan APM REP 06143 32406 Rapport sommaire Evaluat ologique en profondeur destin a on de pr s lection pour le choix d un stocker le combustible nucl aire irradi canadien Village nordique de Pinehouse Saskatchewan APM REP 06143 32407 Initial Screening for Siting a Deep Geological Repository for Canada s Used Nucle APM REP 06143 32408 Rapport sommaire Evaluat ologique en profondeur destin a irradi canadien Canton de Schreiber Ontario site pour un d p t g ar Fuel Township of Schreiber O ntario on de pr s lection
273. ellement touch s par lui Les valuations pr liminaires ont soulign la n ces sit d engager tr s t t dans le processus de s lection d un site la participation de la population de la r gion environnante ainsi que pour la SGDN d anticiper cette participation par rapport l ch an cier qu elle avait initialement fix La participation des peuples autochtones et des autres collectivit s de la r gion environnante est essentielle la bonne marche du processus de s lection d un site pour plusieurs raisons Premi rement comme le soulignent les rapports d valuation les tudes initiales ont d montr qu il tait possible de trouver des secteurs au sein des collectivit s tudi es qui sont susceptibles de satisfaire aux crit res g oscientifiques et de permettre que le projet soit mis en oeuvre dans le respect de la population et du milieu naturel Ces secteurs potentiellement propices comprennent des terres proximit des collectivit s qui appartiennent la Couronne ou qui font l objet de reven dications autochtones La SGDN s est engag e respecter les droits et les trait s des peuples autochtones En outre la port e et l envergure du projet de la GAP sont telles que sa mise en oeuvre aura non seulement des incidences sur la collectivit locale h te mais galement sur les collectivit s de la r gion environnante Il est entendu que les peuples autochtones et les autres collectivit s de la r gion environ
274. elon l article 26 de la LSRN aucune activit associ e une installation nucl aire ne peut s effectuer sans l obten tion pr alable d un permis de la CCSN Le d p t de la GAP sera assujetti au r gime exhaustif d octroi de permis de la CCSN lequel couvre l ensemble du cycle de vie du d p t Ce r gime d octroi de permis est administr en coop ration avec des minist res et autres organismes f d raux et provinciaux responsables de domaines comme la sant l environnement le transport et la main d oeuvre L approche comprend plusieurs tapes et exige l obten tion d un permis pour chaque phase du cycle de vie du d p t Aucune d cision par la CCSN sur le d p t ne sera prise avant que l valuation environnementale n ait t conclue conform ment la Loi canadienne sur valuation Mo M Pour des d tails sur le processus de la CCSN sur l obtention de permis veuillez visiter le Www nuclearsafety gc ca Le transport du combustible nucl aire irradi ment en commun par la CCSN et Transports C La plupart des provinces et territoires incluent les mati res nucl aires parmi les substances dangereuses pour lesquelles le transport l int rieur de leurs fronti res est l gif r Les gouvernements provinciaux sont responsables de la protection de la sant et de la s curit du public des biens ainsi que de l environnement l int rieur de leur territoire et se sont g n ralement dot s de lois se
275. ement Valeur Valeur cumul comptable nette comptable nette Mobilier et quipement de bureau 2 015 052 1 229 229 785 823 854 867 Mat riel informatique et logiciels 1 953 018 1 381 864 571 154 590 939 Am liorations locatives 2 234 099 1 095 960 1 138 139 1 440 278 V hicules personnalis s 374 231 40 503 333 728 263 294 6 576 400 3 747 556 2 828 844 3 149 378 Commentaire ind pendant 5 Op rations entre apparent s soldes et autres informations Les op rations et les soldes non pr sent s s par ment ailleurs dans les tats financiers sont les suivants 2013 2012 GAP GOCV DGP Total Total Op rations durant l exercice Apports des membres Ontario Power Generation Inc 42 080 000 19 981 801 62 061 801 57 522 357 nergie NB 1 938 000 1 938 000 1 475 000 Hydro Qu bec 1 452 815 1 452 815 1 909 136 45 470 815 19 981 801 65 452 616 60 906 493 Op rations avec Ontario Power Generation Inc Paiements encaissements Services de communications DGP 100 000 Services de gestion inclus dans les frais d affectation de personnel et d administration 103 534 La SGDN a mis sur pied une filiale en propri t exclusive en Saskatchewan en vue de l achat de droits de prospection mini re pour appuyer le processus de s lection d un site pour la GAP Cette filiale a t constitu e en soci t le 27 mars 2013 et dot e d un capital actions en vertu de la Loi canadienne sur les soci t
276. ement de la SGDN La brochure sur le transport a t remani e et a t examin e par le Groupe interjuridictionnel de planification du transport du combustible nucl aire irradi de la SGDN sur le transport a sa r union de juin 2013 Le Conseil a aussi soulign l importance de comprendre les perceptions du public sur la s ret du transport et de les prendre en compte en commengant par engager le public a lui faire part de ses pr occupa tions et ensuite en cherchant des fa ons d y r pondre voir aussi la section 8 6 2 2 4 Assurer la s curit financi re Les travaux r alis s par la SGDN de 2011 2013 en mati re de s curit financi re sont d crits dans le document de la SGDN Rapport triennal 2011 2013 Apprendre davantage ensemble pages 106 107 Le Conseil consultatif re oit r guli rement des mises jour sur ces travaux ll continue de relever les d fis associ s la pr vision des co ts compte tenu du fait que le volume futur de combustible nucl aire irradi g rer n est pas connu 2 2 5 Adapter les plans Les travaux r alis s par la SGDN de 2011 2013 pour adapter ses plans sont d crits dans le document de la SGDN Rapport triennal 2011 2013 Apprendre davantage ensemble pages 108 113 La SGDN indique qu elle continue de s employer un apprentissage continu afin d tre en mesure d adapter ses plans si de nouvelles technologies voient le jour ou si les exigences soci tale
277. ement indem nis s pour leurs pertes Ils voulaient galement qu on leur garantisse que les municipalit s auraient voix au chapitre concernant les sites potentiels se trouvant sur des terres de la Couronne situ es imm diatement l ext rieur des limites de leurs territoires Les questions et les pr occupations se rapportant aux incidences potentielles du projet sur le bien tre de la collectivit se sont faites plus nombreuses et plus appro fondies Elles ont touch un large ventail de facteurs sociaux culturels environnementaux et conomiques En voici quelques exemples De quelles fa ons le projet pourrait il contribuer la viabilit de la collectivit Le projet pourrait il aider la collectivit retrouver sa taille d autrefois et rebatir les installations et les infrastructures perdues Pourrait il aider la collectivit cro tre et contribuer am liorer sa qualit de vie e Quelles possibilit s le projet offrira t il aux jeunes de demeurer au sein de la collectivit e En quoi consiste le centre d expertise Combien d employ s y travailleraient et pendant combien d ann es serait t il ouvert e Quels seraient les retomb es conomiques et les risques pour les entreprises locales e Combien d emplois nouveaux seraient cr s et ce pendant combien de temps Les gens de la collec tivit auraient ils acc s ces emplois Offrira t on des possibilit s d ducation et de formation
278. emi re nation d English River 2 au 5 avril 2011 Pinehouse 11 au 14 avril 2011 Ignace 9 au 12 mai 2011 Ear Falls 16 au 18 juin 2011 Hornepayne 18 au 22 juin 2011 Schreiber 27 au 30 juin 2011 Creighton 8 au 10 ao t 2011 Ignace 24 au 27 octobre 2011 Wawa 26 et 27 mars 2012 Central Huron 4 avril 2012 Ignace 80 avril 2012 Saugeen Shores 1 mai 2012 Schreiber 3 mai 2012 Hornepayne 9 mai 2012 Ear Falls 23 et 24 mai 2012 Brockton 30 mai 2012 Wawa 6 juin 2012 Creighton 19 juin 2012 Premi re nation d English River 21 juin 2012 Pinehouse 11 et 12 septembre 2012 South Bruce 11 et 12 septembre 2012 Huron Kinloss 17 et 18 septembre 2012 Elliot Lake 17 et 18 septembre 2012 Spanish 20 et 21 septembre 2012 Blind River 20 et 21 septembre 2012 The North Shore 27 au 29 septembre 2012 Saugeen Shores 4 et 5 octobre 2012 Hornepayne 10 et 11 octobre 2012 Arran Elderslie 15 et 16 octobre 2012 Premi re nation d English River 15 et 16 octobre 2012 Ear Falls 17 et 18 octobre 2012 Ignace 21 au 23 octobre 2012 Schreiber 24 et 25 octobre 2012 Wawa 13 et 14 novembre 2012 Creighton 18 et 19 mars 2013 Elliot Lake 18 et 19 mars 2013 Spanish 21 et 22 mars 2013 Blind River 21 et 22 mars 2013 The North Shore 20 juin 2013 Ignace 20 juin 2013 Ignace Exposition sur le transpor
279. en fiducie de la LDCN constitue une partie du Fonds pour le combustible irradi en vertu de ONFA L entente de la Garantie provinciale fournit une garantie inconditionnelle et irr vocable d ajouter aux sommes mises de c t par OPG dans les fonds distincts y compris les fonds en fiducie de la LDCN de fa on satisfaire la Garantie financi re totale exig e par la CCSN OPG a pr sent des documents la CCSN en 2012 pour appuyer sa demande de mise jour de la Garantie financi re pour la p riode allant du 1 janvier 2013 la fin de 2017 Laudience de la CCSN concernant cette demande a eu lieu en octobre 2012 Le 20 d cembre 2012 la CCSN a accept la Garantie financi re propos e par OPG Le Rapport annuel la CCSN pour l exercice 2014 fait tat d une exigence de Garantie financi re de 14 840 millions Celle ci sera satisfaite par un Fonds pour le combustible irradi solde en fin d exercice 2013 de 7 516 millions un Fonds pour le d classement solde de 6 579 millions et une Garantie provinciale 1 551 million pour une garantie totale disponible de 15 646 millions La valeur du fonds en fiducie de la LDCN d OPG la fin de l exercice 2013 s l ve a 2 668 millions Cette somme constitue une partie du solde du fonds distinct susmentionn Apprendre davantage ensemble Rapport triennal 2011 2013 Hydro Qu bec HQ a fourni la CCSN une Garantie financi re pour le d classement d un mon
280. en s Ryerson Guelph Lakehead et Durham Par le biais de son soutien renouvel au programme de bourses de R D industrielle du Conseil de recherches en sciences naturelles et en g nie destin aux universitaires des cycles sup rieurs la SGDN a subventionn les recherches docteralestde plusieurs tudiants de 2011 2013 en plus d leur fournir l occasion de pr senter leurs travaux dans l cadre du Symposium annueMees L de la SGEN et d autres Le i de fesponsabilit sociale de la SGDN Le programme de ie sociale de la SGDN PRS offre un financement aux initiatives qui motivent les jeunes Canadiens s int resser aux sciences et d velopper leurs competences tifiques et technologiques travel des projets scientifiques La SGDN a soutenu le programme Shad Valley de 2011 2013 Shad Valley programme estival d enrichissement de quatre semaines qui s adresse aux l ves exceptionnels d coles secondaires qui se sont distingue s par leur rendement scolaire Offert sur divers campus canadiens le programme est ax sur les sciences le genie la technologie le leadership et entre preneuriat La SGDN a soutenu le programme en accordant des bourses des tudiants de l Ontario de la Saskatchewan du Nouveau Brunswick et du Qu bec En 2012 et en 2013 la SGDN a subventionn les programme externes de Science Nord pour les collectivit s du nord de l Ontario participant au processus de cn d un site Le financeme
281. enir la capacit technique n cessaire la mise en oeuvre s re de la GAP dans ces trois domaines est ensuite donn Conception technique du d p t Les principaux objectifs du programme de conception technique du d p t sont 1 de d velopper les donn es techniques les mod les les m thodes et les outils n cessaires l avancement et optimisation des mod les conceptuels requis pour construire le d p t et les syst mes associ s 2 de fournir les donn es techniques n cessaires l valuation de la s ret des concepts du projet de d p t 3 de soutenir les tudes de caract risation et les tudes souterraines qui seront r alis es sur les sites et 4 de fournir les mod les conceptuels requis pour la r alisation des estimations de co ts du d p t de la GAP Travaux se rapportant aux conteneurs Les conteneurs dans lesquels le combustible nucl aire irradi sera stock devront pouvoir r sis ter long terme la corrosion C est pourquoi le programme de conception technique travaille a mettre l essai diff rents syst mes permettant de recouvrir de cuivre les conteneurs notamment par l application d un rev tement de cuivre et l utilisation de coques de cuivre Au cours des trois derni res ann es la SGDN a travaill en collaboration avec l organisation suisse de gestion des d chets nucl aires la Nagra la mise au point d un rev tement de cuivre pour conteneurs de d p t bas sur de
282. ensemble Rapport triennal 2011 2013 A Travail en collaboration avec les collectivit s int ress es participant au processus de s lection d un site Au cours des trois derni res ann es la SGDN a collabor officiellement avec 22 collectivit s en Ontario et en Saskatchewan qui se sont engag es en apprendre davantage sur le processus de s lection d un site Vingt collecti vit s parmi celles ci sont pass es la Phase 1 des valuations pr liminaires tape 3 d un processus de s lection d un site en neuf tapes En cons quence le personnel de la SGDN et ses sous traitants ont commenc travailler active ment aupr s de ces collectivit s Le personnel et les sous traitants ont rencontr des lus municipaux et des leaders d opinion influents ont rencontr des membres des collectivit s dans le cadre des r unions des comit s de liaison communautaires et d v nements portes ouvertes organis s par la SGDN ont d pouill les sources d information locales pour prendre connaissance des commentaires sur le sujet et ont investi un temps consid rable acqu rir une meilleure compr hension du point de vue et des pr occupations des gens qui habitent ces collectivit s Ces activit s dans les collectivit s ont continu de fournir des clairages pr cieux sur les travaux men s pour s lectionner un site comme le documentent les rapports tels que les valuations sur le bien tre de la collectivit La SGDN a
283. ent d ducation d approche et de renforcement des capacit s pour soutenir la participation multig n rationnelle au projet de la GAP e D veloppement de elton avec les collectivit s int ress es les Premi res nations et les peuples m tis les collectivit s voisines et les r gions potentiellement touch es par le processus de s lection d un site de la GAP e Engagement des peuples autochtones touch s en tant que d tenteurs du savoir tradition nel autochtone usagers des ressources environnementales et gardiens de environnement a participer activement au processus de s lection d un site e Collaboration avec le Conseil des a n s de la SGDN le Forum municipal les organisations des collectivit s locales et les organisations autochtones nationales et provinciales et sollici tation de l avis de ces groupes e D veloppement et maintien de relations avec les gouvernements f d ral et provinciaux et les administrations r gionales et locales Mettre en oeuvre en collaboration le processus de s lection d un site e Engagement largi des collectivit s int ress es des Premi res nations et des peuples m tis ainsi que des collectivit s voisines pour con r flexion plus d taill e sur le projet de la GAP et explorer la possibilit de mettre en suvre TMA dans le cadre d un partenariat e Communications et activit s d engagement public cibl es en appui 2 apprentissage soutenus sur le projet l ing nieri
284. ent Report Township of Ignace Ontario APM REP 06144 0018 Phase 1 Desktop Assessment Environment Report Township of Ear Falls Ontario APM REP 06144 0034 Phase 1 Desktop Assessment Environment Report Township of Schreiber Ontario APM REP 06144 0042 Phase 1 Desktop Assessment Environment Report English River First Nation Saskatchewan APM REP 06144 0050 Phase 1 Desktop Assessment Environment Report Town of Creighton Saskatchewan APM REP 06144 0058 Phase 1 Desktop Assessment Environment Report Northern Village of Pinehouse Saskatchewan Abr viations fr quemment utilis es AEN AIEA Andra APN CANDU CANHC CCSN CLC CRSNG CTCI DFMA ACL EDRAM EIE ENNB FCM GAP GETI GOCV HQ ICGR LDCN LSRN MNO Nagra OCDE ONFA OPG Posiva PRS RST SGDN SJC SKB UNENE Apprendre davantage ensemble Rapport triennal 2011 2013 Agence pour l nergie nucl aire Agence internationale de 6nergie nucl aire Agence nationale pour la gestion des d chets radioactifs France Assembl e des Premi res Nations CANada Deuterium Uranium combustible canadien a base d uranium deut rium Association canadienne des collectivit s h tes d installations nucl aires Commission canadienne de s ret nucl aire Comit de liaison communautaire Conseil de recherches en sciences naturelles et en g nie du Canada Colis de transport du combustible irradi D chets de faible et moyenne activit
285. entaires utiles de la part de l ancien Forum des a n s du Niigani et de la Table ronde des jeunes par le pass L engagement des Autochtones sera particuli rement important au cours de la prochaine phase du processus de s lection d un site Le processus de s lection d un site pr voir l action de adaptative progressive notamment en ce qui concerne les plans pour le transport futur du combustible nucl aire irradi Le Conseil consultatif recommande la SGDN d agir rapidement pour engager les Canadiens et les peuples autochtones participer un dialogue approfondi sur le transport Ce processus devrait servir sonder les perceptions et les pr occupations du public sur le transport et recueillir des sugges tions sur des fa ons de r pondre celles ci pr liminaire de Mise en oeuvre de la Gestion adaptative progressive 2014 2018 indique que la SGDN pr voit laborer une perspective multig n rationnelle de la gestion long terme du combustible nucl aire irradi par le biais d un programme d engagement d ducation et de sensibilisation aupr s des jeunes Canadiens y compris les jeunes autochtones et continuer de d velopper et de mettre en oeuvre une strat gie de la SGDN en mati re d ducation de sensibilisation et de renforcement des capacit s qui visera les jeunes Canadiens et les jeunes autochtones et qui inclura les domaines techniques et sociaux Le Conseil consultatif
286. entant les preuves tr s exigeantes auxquelles ont t soumis les conteneurs ont int ress les visiteurs Ces derniers ont galement t int ress s de savoir comment le combustible nucl aire irradi est r guli rement achemin en toute s ret dans le monde par l interm diaire de divers modes de transport Serait il s curitaire d tablir une telle installation proximit des Grands Lacs et de zones dens ment peupl es Serait il s curitaire d tablir un d p t g ologique en profondeur proximit des Grands Lacs Serait il s curitaire d tablir le d p t dans une zone dens ment peupl e Les gens ont t int ress s par la diversit de facteurs qui seront utilis s pour valuer la s ret d un site pour l installation et par le fait qu un d p t g ologique en profondeur pourrait tre tabli en toute s ret proximit d une grande tendue d eau et au sein d une zone dens ment peupl e Quels sites sont envisag s Une collectivit a t elle t choisie pour accueillir le d p t g ologique en profondeur Des sites potentiels ont ils t d limit s au sein de la municipalit Parmi les informations ayant int ress les visiteurs on peut citer le fait que plusieurs autres collectivit s participent actuellement au processus de s lection d un site et qu aucune d cision concernant une collectivit et un site de pr dilection ne sera prise avant plusieurs ann es Plusieurs ont au
287. entrales nucl aires et installations de gestion de d chets propri t s d OPG y compris celles lou es Bruce Power La Garantie financi re pour le d classement couvre galement la responsabilit reli e la gestion long terme des d chets de faible et moyenne activit ainsi qu au d classement des centrales L tablissement et le maintien de la Garantie financi re tiennent compte des points suivants e La Garantie financi re couvre la responsabilit bas e sur les d chets projet s jusqu la fin d un exercice Par cons quent la valeur de la Garantie financi re associ e au combustible irradi change annuellement pour reconna tre la diff rence de co t reli au combustible irradi additionnel produit au cours de cet exercice e La premi re Garantie financi re pr sent e couvrait la p riode de cing ans se terminant la fin de 2007 Elle a t mise jour deux fois depuis en 2007 et en 2012 La derni re Garantie financi re 2012 approuv e couvrait la p riode commen ant en janvier 2013 et se terminant la fin de 2017 e La Garantie financi re est satisfaite en partie par l accumulation r elle de fonds dans un Fonds pour le combustible irradi et un Fonds pour le d classement dans le cadre de l entente Ontario Nuclear Funds Agreement ONFA conclue entre OPG et la province de l Ontario A cette valeur s ajoute une Garantie provinciale qui engage la Province de l Ontario envers la CCSN Le fonds
288. er pour valuer les travaux de la SGDN En 2010 pour tenir compte de l volution des travaux de la SGDN le Conseil a r vis ces crit res et en a ajout trois les comp tences techniques la capacit financi re et la culture d apprentissage Ils ont t publi s dans le cadre des commentaires ind pendants du Conseil consultatif inclus dans le document de la SGDN Rapport triennal 2008 2010 Fa onnons l avenir ensembles 4Ces documents sur le Cadre thique et social sont disponibles l adresse www nwmo ca ethicalandsocial_framework La fa on dont le Conseil consultatif de la Soci t de gestion des d chets nucl aires compte s acquitter de son mandat est disponible l adresse www nwmo ca uploads_managed MediaFiles 362_Advisory_Council_Statement_012205 pdf S Rapport triennal 2008 2010 Fa onnons l avenir ensemble est disponible l adresse www nwmo ca uploads_managed MediaFiles 1720_rapporttriennal20082010 pdf Au cours des trois ann es suivantes les crit res sur lesquels le Conseil s est fond pour valuer les travaux de la SGDN ont continu d voluer Lactualisation du libell des sept crit res d valuation du Conseil consultatif a pour but de pr ciser de mani re plus claire le r le que jouent ces crit res dans l orientation des travaux actuels du Conseil consultatif 1 Exhaustivit Dans le cadre de l exercice de son mandat les approches raisonnables connues et les exp riences d autres
289. eraient exig es de la SGDN pour aider la collectivit en b n ficier seront consid r es dans le choix d un site apr s que toutes les consid rations de s ret auront t satisfaites Le projet ne sera mis en oeuvre qu au sein d une collectivit au bien tre de laquelle il pourra contribuer Les valuations pr liminaires ce stade des travaux portent sur l aptitude du projet favoriser le bien tre d une collectivit int ress e qui participe au processus de s lection d un site La prochaine phase des travaux commencera a explorer de plus l aptitude du projet s harmoniser la vision et aux objectifs des peuples autochtones et autres collectivit s de la r gion ainsi que l int r t qu elles ont pour la collaboration la mise en oeuvre du projet Ce que nous avons entendu sur la mise en oeuvre de la Gestion adaptative progressive Facteurs sociaux conomiques et culturels pris en compte par les valuations pr liminaires Les tudes de la Phase 1 sur le bien tre de la collectivit avaient pour objet chacune des collectivit s qui avaient exprim l int r t d en apprendre davantage sur le projet Par cons quent ces tudes portaient sur le sous ensemble de facteurs se rapportant la collectivit Les tudes de la Phase 2 largissent la port e de l valuation pour consid rer les facteurs se rapportant la r gion environnante y compris les peuples autochtones qui y vivent Les crit res co
290. erme du combustible nucl aire irradi canadien En juin 2007 le gouvernement du Canada a choisi la Gestion adaptative progressive GAP comme plan canadien pour la gestion long terme du combustible nucl aire irradi Sur le plan technique l objectif ultime de la GAP est le confinement et l isolement du combustible nucl aire irradi dans un d p t g ologique en profondeur construit dans une formation rocheuse appropri e o le combustible irradi sera confin de mani re s re et s curitaire par des barri res ouvrag es et la g ologie environnante Le syst me de gestion comporte des tapes r alistes et g rables chacune marqu e par des points de d cision explicites et la participation soutenue des Canadiens int ress s En 2004 par le biais d un ordre de virement le gouvernement du Nouveau Brunswick a transf r la responsabilit de tous les aspects des actifs de production d nergie nucl aire qui sont propri t s de la province une nouvelle filiale Energie nucl aire NB Apprendre davantage ensemble Rapport triennal 2011 2013 La SGDN est maintenant responsable de la mise en oeuvre de la GAP sous r serve des autorisa tions r glementaires requises Concernant sa mise en oeuvre de la GAP la SGDN s est engag e proc der par tapes de mani re ouverte transparente et inclusive et prendre le temps de planifier et de confirmer chaque tape en concertation avec les Canadiens avant de passer
291. eront ax es sur le renforcement des relations tablies afin de soutenir la progression du processus Ces activit s comprennent des s ances d information des breffages des projets communs et des partenariats avec des gouvernements municipaux provinciaux f d ral et autochtones ainsi que des personnes et organisations int ress es La Soci t continuera de travailler avec le Conseil des A n s et le Forum municipal de la SGDN La SGDN engagera aussi les peuples autochtones touch s qui sont d positaires du savoir traditionnel autochtone utilisateurs des ressources environnementales et gardiens de l environnement participer activement au processus de s lection d un site et faire partager ce savoir la SGDN dans la mesure o ils le souhaitent La SGDN poursuivra galement ses efforts ax s sur le d veloppement des connaissances et de la compr hension l largissement de ses relations et l expansion de son rayonnement aupr s des organisations et du grand public par le biais d activit s d engagement d information et en favorisant le dialogue Au cours des derni res ann es une grande partie du travail de la SGDN a consist laborer des plans des politiques et des processus en collaboration avec les Canadiens en appui la mise en oeuvre de la Gestion adaptative progressive Nos activit s d engagement visaient la population canadienne en g n ral Au fur et mesure que progressent les travaux de s le
292. erritoires diff rents p ex l exp dition de g n ra teurs de vapeur Bruce en Su de le transport d uranium cause y compris la construction possible de nouvelles installations nucl aires la dur e de vie des centrales existantes la capacit du milieu g ologique et ultime ment la politique nerg tique globale des provinces et peut tre du gouvernement f d ral Le Conseil estime qu il est essentiel que la SGDN soit totalement transpa rente quant ces incertitudes au cours du processus de s lection d un site en cours les zones sensibles Le Conseil a sugg r la SGDN de consid rer galement des fa ons de contribuer la viabilit environnementale et une culture en harmonie avec l environnement dans les collectivit s et les r gions h tes potentielles ainsi que dans le cadre du fonctionne ment m me de la SGDN Cela s ajouterait aux tudes sur le bien tre social et conomique que la SGDN m ne d j actuellement Cela permettrait galement la SGDN de d passer la simple conformit r glementaire et la pr ven tion des dommages pour chercher ce que ses plans ses actions et ses partenariats occasionnent m me des bienfaits pour l environnement Un membre du Conseil a fourni des exemples de strat gies canadiennes et trang res pertinentes pour montrer comment les bienfaits environnementaux sont int gr s des projets dans les secteurs municipal et industriel Le Conseil consult
293. erspectives dont son Conseil consultatif le Groupe d examen technique ind pendant le Groupe d examen g oscien tifique de la GAP le Forum municipal le Forum des A n s et le groupe qui lui a succ d le Conseil des a n s Sur le plan organisationnel la SGDN a recrut des employ s et des sous traitants dont les comp tences contribueront la mise en oeuvre des tapes venir du processus de s lection d un site Au cours des cinq prochaines ann es la SGDN continuera de travailler en collaboration avec les collectivit s les organisations int ress es et le public en g n ral mettre en oeuvre le processus de s lection d un site de mani re quitable transparente et scientifiquement fond e Le processus est guid par les collectivit s et ce sont elles qui d terminent la cadence laquelle il avance Il revient chaque collectivit de d cider si elle accepte ou non de passer d une tape la suivante et de d terminer quel moment elle le fera Les principales activit s que m nera la SGDN au cours des cinq prochaines ann es incluent les suivantes e Mener bien la premi re phase des valuations pr liminaires qui comprennent des tudes de bureau et des activit s locales d engagement dans les collectivit s qui ont r ussi l va luation initiale de pr s lection et qui ont demand la SGDN d entreprendre cette tape du processus de s lection d un site Se fonder sur les constats de
294. ertation avec ces collectivit s Offrira des s ances d information et des renseignements aux gouvernements pour soutenir leur participation la mise en oeuvre du processus de s lection d un site et faire en sorte qu ils disposent de l information voulue pour r pondre aux interrogations des collectivit s Rencontrera sur demande les organisations des collectivit s nucl aires et leurs comit s comme la Canadian Association of Nuclear Host Communities CANHC et les comit s r gionaux de la sant Rencontrera les associations municipales s par ment ainsi que dans le cadre d un forum dans des r unions s ances d informations congr s foires commerciales et v nements sp ciaux Continuera de solliciter des suggestions sur la fa on de conjuguer le savoir traditionnel autochtone dans les travaux de la SGDN et d engager respectueusement la participation des peuples autochtones Continuera de tenir au courant de fa on g n rale les organisations autochtones et d engager les A n s Continuera de cr er du mat riel de communication des DVD des expositions et des trousses d information en appui au processus de s lection d un site et ce pour un large ventail d auditoires Continuera de mettre en oeuvre le programme de la SGDN de Responsabilit sociale des entreprises Continuera de d velopper et de mettre en oeuvre une strat gie de la SGDN en mati re d ducation de sensibilisa tion et de renforcement de
295. es la Phase 2 pour tudier de mani re plus approfondie la gamme de consid rations g oscientifiques environnementales techniques et de transport essentielles l valuation de l aptitude d un site et pour en garantir la s ret ce stade initial du processus les collectivit s continuent d apprendre et de dialoguer avec leurs membres et avec les collectivit s voisines II faudra encore beaucoup de temps et de r flexion avant qu elles puissent d terminer de fa on clair e si le projet de la GAP peut contribuer de fa on positive au bien tre long terme de la r gion et si elles consentent l accueillir Rapports financiers LT ee ER Pr visions budg taires 2014 2018 La Loi sur les d chets de combustible nucl aire exige que soient incluses dans le Rapport triennal les pr visions budg taires rela tives la mise en oeuvre du plan strat gique pour la gestion du combustible irradi pour les cinq prochains exercices financiers Ce chapitre pr sente les pr visions budg taires de la SGDN pour le plan strat gique 2014 2018 de la Gestion adaptative progressive GAP pr sent l annexe 1 Mise en oeuvre de la Gestion adapta tive progressive 2014 2018 Processus budg taire annuel de la SGDN Le processus de planification d affaires de la SGDN commence par des discussions de planification entre les membres de la haute direction pour confirmer les orienta tions strat gi
296. es notamment par l ajout de deux nouvelles certifications sa certification existante en mati re de Gestion de la qualit ISO 9001 2008 Syst me de gestion de la sant et de la s curit au travail CSA Z1000 2006 et Syst mes de gestion environnementale ISO 14001 2004 Poursuite de la pr sentation annuelle de rapports au ministre f d ral des Ressources naturelles conform ment la Loi sur les d chets de combustible nucl aire Mettre en place et maintenir une organisation de haut niveau Soutien au processus de s lection d un site par le recrutement de sp cialistes dans des domaines comme la conception et la construction du d p t l valuation environnementale le savoir traditionnel autochtone la recherche sociale la planifica tion municipale l thique la finance les communications et l engagement du public Ouverture de bureaux locaux dans les collectivit s rendues l tape 3 Aide la transmission des connaissances aux g n rations futures en suscitant l int r t des jeunes pour les sciences et en accordant un soutien financier aux tudiants dipl m s par le biais du Programme de bourses d tudes sup rieures incidence industrielle du CRSNG f TE Jalons de la planification strat gique de la GAP de 2014 2018 difier des relations durables e Communications et programmes de relations m diatiques pour sensibiliser le public au projet de la GAP e Initiatives d engagem
297. es approches possibles ayant pris en consid ration le large ventail de points de vue des citoyens des parties prenantes et des sp cialistes sur la gestion long terme des d chets nucl aires Les commentaires du Conseil sur les travaux venir de la SGDN concernaient la gouvernance de la Soci t labo ration du projet de la Gestion adaptative progressive l engagement du public l engagement des Autochtones la composition du Conseil consultatif et les politiques nerg tiques En janvier 2011 le Conseil a fourni des commentaires ind pendants sur les travaux accomplis de 2008 2010 Ils ont t publi s dans une section du document de la SGDN Rapport triennal 2008 2010 Faconnons l avenir ensemble Le Conseil avait soulign que la SGDN avait donn suite aux commentaires formul s dans le premier rapport triennal de la Soci t Le Conseil avait alors galement conclu que les travaux accomplis par la SGDN de 2008 2010 avaient g n rale ment r pondu ses crit res d valuation voir plus haut Le Conseil a fait 21 recommandations pour aider la SGDN dans la r alisation de ses travaux futurs Une matrice de suivi r sumant les recommandations faites par le Conseil dans le Rapport triennal 2008 2010 et les mesures prises par la SGDN en r ponse ces recommandations tait pr sent e l annexe 2 Les informations pr sent es taient group es selon les objectifs strat giques de la SGDN 7Voir pages 452
298. es besoins et les processus des municipalit s participant au processus de s lection d un site de la GAP et des municipalit s qui seront potentiellement touch es par celui ci lls ont en particulier offert de judicieux conseils sur les instruments les plus appropri s pour informer les municipalit s qui envisagent d accueillir un projet national d infrastructure d envergure et pour communiquer avec elles De 2011 2013 la SGDN a aussi particip D l gu s su dois au Congr s annuel 2011 de la F d ration canadienne des municipalit s faisant part de leur participation au processus de s lection d un site mis en oeuvre en Su de 49 congr s tenus par des associations municipales ce qui lui a permis de fournir des informations et des mises jour sur le processus de s lection d un site des municipalit s de la Saskatchewan de l Ontario et du Nouveau Brunswick principalement Des repr sentants de collectivit s participant au processus de s lection d un site ont fr quemment visit les expositions de la SGDN et plusieurs occasions ces visiteurs ont pr sent au personnel de la SGDN des repr sentants de collectivi t s voisines venus les rencontrer pour s instruire sur le projet Des repr sentants d autres collectivit s ont gale ment visit les stands de la SGDN de nombreuses occasions L exposition mobile sur le transport de la SGDN inaugur e en 2013 tait galement pr sente aux congr
299. es g oscientifiques qui font partie des tudes r alis es l tape 3 du processus de s lection d un site Le Conseil a donn son avis sur la composition et le mandat du Groupe d examen g oscientifique et un membre du Conseil a assist une r union du groupe Un certain nombre d tudes de cas sur la s ret du d p t ont t entreprises par la SGDN Au cours de la p riode vis e par ce rapport deux tudes de cas se rapportant un d p t g ologique en profondeur en roche cristalline et un autre en roche s dimentaire ont t r alis es et leurs constats ont t pr sent s au Conseil consultatif Cette analyse r cente d un d p t en roche s dimentaire a commenc r pondre aux pr occupations du Conseil concernant le d s quilibre qui existait entre les tudes disponibles au Canada sur les caract ristiques des d p ts en roche s dimentaire par rapport celles des d p ts en roche cristalline Le Conseil consultatif a examin le rapport pr liminaire de la SGDN sur les le ons apprises de l accident de Fukushima et a fourni des suggestions qui ont t int gr es par la SGDN son site Web Voir la section 2 2 5 du pr sent Rapport triennal pour un r sum 18 Un r sum du processus de s lection d un site en neuf tapes est disponible l adresse www nwmo ca sitingprocess_overview5 14 Voir www nwmo ca faq_fukushima Transport Le Conseil consultatif a explor le sujet du transport du
300. es rapports du Groupe d examen M nera des valuations et v rifications de la gouvernance interne afin de maintenir et d obtenir des certifications pour les normes des syst mes de gestion en mati re de la qualit de la s ret et de la gestion environnementale Collaborera avec la CCSN concernant la Gestion adaptative progressive avant la p riode de demande de permis conform ment aux dispositions de l entente de service selon laquelle la CCSN interviendra d s le d but du projet de la Gestion adaptative progressive avant la pr sentation de la demande de permis Cette intervention inclura la participation de la CCSN a des r unions communautaires ou autres pour fournir de l information sur le r le de l organisme la pr cision des exigences r glementaires s appliquant un d p t et l examen r glementaire des valuations conceptuelles de la s ret de la Gestion adaptative progressive Fera rapport aux Canadiens sur ses progr s dans la mise en oeuvre de la Gestion adaptative progressive La SGDN pr sentera son rapport annuel au ministre des Ressources naturelles Canada et au public au premier trimestre de chaque ann e y compris son deuxi me rapport triennal en mars 2014 et son troisi me rapport triennal en 2017 Publiera son plan strat gique quinquennal Mise en oeuvre de la Gestion adaptative progressive Publiera les proc s verbaux des r unions du Conseil d administration du Conseil consultatif
301. ess es et celles de la r gion environnante avait pour but de relever le large ventail d incidences que pourrait avoir le projet et de r fl chir ce qu elles pourraient impliquer De concert avec la collectivit la SGDN s est employ e acqu rir une compr hension de la collectivit telle qu elle se pr sente actuellement ainsi que de ses objec tifs et de ses aspirations d avenir A cette fin des informations ont t collig es et tudi es par divers moyens dont des activit s de planification strat gique des activit s d engagement des visites des collectivit s des s ances d information des entretiens personnels des observations de consultants des r unions de comit s de liaison communautaires des v nements portes ouvertes et l tablissement du profil des collectivit s Au cours de ces travaux la SGDN et chacune des collectivit s ont tabli un profil de la collectivit qui servira de fondement l valuation ainsi qu une valuation du bien tre de la collectivit qui servira d intrant pour l valuation int gr e Constats concernant les huit premi res collec tivit s ayant compl t les valuations sociales conomiques et culturelles de la Phase 1 En 2013 les valuations pr liminaires de la Phase 1 ont t compl t es pour les huit premi res collectivit s participer au processus de s lection d un site Laptitude potentielle de chaque collectivit int ress e a t exa
302. ess es se livreront un apprentis sage et une r flexion plus approfondis sur le projet Ce que nous avons entendu au d but de l tape 3 Poursuite de l apprentissage profil des collectivit s et valuations pr liminaires partir du d but de 2012 les collectivit s ayant r ussi l valuation initiale de pr s lection taient admissibles poursuivre leur apprentissage dans le cadre de l tape 3 du processus de s lection d un site AU cours de cette tape la collectivit est invit e approfondir plus avant le projet et la port e des activit s d engagement s largit pour inclure les peuples autochtones de la r gion et les collectivit s voisines En travaillant avec chacune de ces collectivit s un profil de la collectivit a t tabli et une valuation pr liminaire de son aptitude potentielle a t r alis e au regard d un certain nombre de facteurs li s la s ret La possibilit pour le projet de contribuer au bien tre de la collectivit a aussi t consid r e Les activit s d apprentissage et d engagement se sont poursuivies dans les collectivit s qui sont pass es l tape 3 du processus de s lection d un site Des CLC ont t mis sur pied dans toutes ces collectivit s et les r unions mensuelles bulletins d information sites Web et v nements de ces comit s ont t autant d occasions de susciter et d entretenir le dialogue entre les membres des col
303. ess s d entendre parler de ce qui distingue l approche les circonstances et le type d installation associ s au projet de la GAP par rapport aux installations touch es par les v nements survenus au Japon Au cours des tapes initiales du processus de s lection d un site des personnes et des groupes oppos s la mise en oeuvre de la GAP se sont manifest s Plusieurs s opposent l utilisation de l nergie nucl aire et en cons quence la mise en oeuvre d une approche long terme Une bonne partie de l intervention de ces groupes visait directement les collectivit s participant au processus de s lection d un site Les questions et les pr occupa tions soulev es par les opposants ont t int gr es aux discussions La SGDN encourage ce type de discussion et pense que tous les points de vue doivent tre entendus et consid r s et que toutes les questions et les pr occupa tions soulev es sur le plan canadien et en particulier sur le d p t g ologique en profondeur doivent tre discut es examin es et trait es en fonction de leur pertinence D apr s l examen des informations publi es par ces personnes et ces groupes et de leurs d clarations publiques les principales objections qu ils ont exprim es concernent e Les risques pour les collectivit s et l environnement associ s au transport du combustible nucl aire irradi e La crainte que la s ret du concept d vacuation n ait pas
304. essus constituera un objectif important au cours de cette p riode de planification AU cours des prochaines ann es le soutien technique au processus de s lection d un site sera ax sur l valuation de l aptitude des sites potentiels par le biais d tudes d valuation g oscientifique r alis es a proximit des collectivit s int ress es Au del de veiller la s ret l engagement de la SGDN consiste faire en sorte que le bien tre long terme ou la qualit de vie de la collectivit et de la r gion soit favoris en participant au projet Le programme technique sera compl t par une valuation par tapes de plus en plus d taill es de l aptitude d un site par rapport des facteurs environnementaux sociaux culturels et conomiques Ces valuations serviront resserrer la liste des secteurs potentiels et possiblement d ici la fin de cette p riode de planification choisir un site qui fera l objet des tudes de caract risation de l tape 4 La SGDN pr voit tre pr te entreprendre l valuation d taill e d un ou de plusieurs sites d ici la fin de cette p riode de planification La caract risation d taill e des sites tape 4 comprendra des tudes g ologiques des valuations de la s ret des valuations environnementales et des valuations des incidences sociales et conomiques plus pouss es Ce travail sera planifi et r alis en collaboration avec les collectivit
305. essus de consultation ouvert et transparent auquel auront particip les collectivit s voisines et tous ceux qui seront int ress s et potentiellement touch s Le co t estimatif actuel est de 21 2 milliards dollars de 2010 avec une valeur actuelle de 7 7 milliards dollars de 2010 Ces pr visions de co ts incluent les co ts reli s au d veloppement la construction et l exploitation d une installation centrale d entreposage long terme qui comprendra un d p t g ologique en profondeur ainsi que les co ts reli s au trans port du combustible nucl aire irradi vers le d p t lesquels sont la responsabilit de la SGDN L entreposage sur les sites des r acteurs est la responsabilit de chaque propri taire de d chets Le co t d finitif du projet pourrait diff rer de ces estimations selon de nombreux facteurs y compris l emplacement de l installation les infrastructures environnantes le type et les caract ris tiques de la roche la conception du d p t le volume de combustible irradi tre g r et la p riode de surveillance prolong e apr s la mise en place du combustible irradi La SGDN doit d terminer selon toute vraisemblance quels co ts devront tre assum s au cours de la dur e du projet et doit pr voir des fonds pour des v nements inattendus La SGDN s est engag e fournir r guli rement des valuations de tous les facteurs de co t afin que les fonds n cessaires soient r serv
306. est assur e que son analyse des risques tenait compte des risques relev s par le Groupe d examen technique ind pendant ainsi que des risques associ s l utilisation des m dias num riques La SGDN a aussi indiqu qu elle avait veill disposer de ressources requises en mati re de personnel interne et contractuel pour pouvoir mener bien ses travaux d valuation Les examens pr projet r alis s par la Commission canadienne de s ret nucl aire sont int gr s aux plans de la SGDN Concernant le transport le Conseil a demand des informations au sujet du r le des chemins de fer du Canadien national CN et du Canadien Pacifique CP et a sugg r que la s ret du trans port ferroviaire soit prise en consid ration par la SGDN dans son analyse des risques associ s au programme de la Gestion adaptative progressive particuli rement compte tenu des r cents accidents ferroviaires survenus au Canada Donnant suite une suggestion du Conseil la SGDN a fait tat des le ons apprises dans le cadre du projet du Waste Isolation Pilot Plant de Carlsbad au Nouveau Mexique o la collectivit demeure tr s favorable accueillir le d p t de d chets transuraniens et explorer la possibilit d un stockage du combustible irradi ventuel La SGDN a aussi pris des dispositions pour qu un repr sentant du Nouveau Mexique s adresse aux participants la Conf rence internationale sur le stockage g ologique tenue Toront
307. est r duite et la perte de valeur qui en d coule est comptabilis e dans l tat des r sultats et de l volution de l actif net Op rations entre apparent s Les op rations entre apparent s sont inscrites la valeur d change Utilisation d estimations La pr paration des tats financiers conform ment aux principes comptables g n ralement recon nus du Canada exige que la direction ait recours des estimations et des hypoth ses qui ont une incidence sur les montants pr sent s des actifs et des passifs et sur la pr sentation des actifs et des passifs ventuels la date des tats financiers ainsi que sur les montants pr sent s des produits et des charges au cours de la p riode vis e tant donn l incertitude inh rente ces estimations les r sultats r els pourraient diff rer des r sultats estimatifs Les comptes qui n cessi tent l tablissement d estimations importantes comprennent les prestations de retraite et les autres avantages post rieurs l emploi certaines charges payer et l amortissement qui se fonde sur la dur e de vie utile estimative des immobilisations 3 Tr sorerie La tr sorerie comprend un montant de 3 960 800 3 073 500 en 2012 qui constitue de l encaisse affect e puisqu il sert de garantie une lettre de cr dit mise aux fins du r gime compl mentaire de retraite se reporter la note 8 4 Immobilisations 2013 2012 Co t Amortiss
308. estion long terme s re et s curitaire du combustible nucl aire irradi L approche de la GAP avait t recommand e par la SGDN au terme d un dialogue entretenu pendant trois ans 2002 2005 avec le public canadien et l aboutissement technique du plan un d p t g ologique en profondeur est reconnu l chelle internationale comme la fa on la plus s re de confiner et d isoler le combustible nucl aire irradi pour de tr s longues p riodes La SGDN proc de actuellement la mise en oeuvre de la GAP Une de ses responsabilit s au regard de la loi au cours de la p riode de mise en oeuvre consiste pr senter un Rapport trien nal au ministre f d ral des Ressources naturelles C est avec grand plaisir que nous pr sentons maintenant le second de ces rapports Au cours des trois derni res ann es le processus de s lection d un site de la SGDN a progress de fa on marqu e Ce processus a merg d une s rie prolong e de dialogues 2008 2009 men s avec des Canadiens int ress s par la question Lanc en mai 2010 il est actuelle ment mis en oeuvre en collaboration avec des collectivit s int ress es Le nombre lev de collectivit s ayant manifest un int r t en Ontario et en Saskatchewan a permis la SGDN de limiter le processus de s lection d un site la fin de septembre 2012 aux 21 collectivit s qui avaient d j entrepris d en apprendre davantage sur la GAP la fin de 2013 20 collecti
309. et des peuples m tis ainsi que des collectivit s voisines pour soutenir une r flexion plus d taill e sur le projet de la GAP et explorer la possibilit de mettre en oeuvre le projet dans le cadre d un partenariat e Communications et activit s d engagement p t public cibl es en appui un dialogue et un apprentissage soutenus sur le projet ne mn e valuation plus d taill e de sites potentiellement propices ware g ologique l ing nierie le transport l environnement et la s ret ainsi que sur des consid rations sociales culturelles et orties des cleat ice e S lection d un ou de deux sites candidats pour des tudes de caract risation et tion d taill es Optimiser les mod les conceptuels et continuer de Valider la Coffiance en la S ret du d p t e Avancement des activit s du programme technique pour optimiser les modeles conceptuels et les valuations de s ret e Elaboration de plans d essai de s ret pour d montrer l efficacit des syst mes de barri r ee ouvrag es canadiens en pr paration de la demande de permis de pr paration du site et de construction e R alisation pr paratoire par la Commission canadienne de s ret nucl aire d examens de projets associ s des formations de roche cristalline et de roche s dimentaire e Poursuite d tudes d analyses et d activit s conjointes avec des partenaires trangers pour mieux comprendre les processus cl s et valider le dossie
310. et du Groupe d examen technique ind pendant et leurs rapports Fera tat sur la sc ne internationale des progr s relatifs la gestion long terme du combustible nucl aire irradi au Canada la r union de 2015 de la Convention commune sur la s ret de la gestion du combustible us et sur la s ret de la gestion des d chets radioactifs Examinera la composition du Conseil consultatif afin de proc der la nomination des membres pour le mandat suivant en veillant ce que le Conseil repr sente un large ventail d expertise Mise en oeuvre de la Gestion adaptative progressive 2014 a 2018 Annexes Mettre en place et maintenir une organisation de haut niveau La SGDN continuera d riger et de maintenir une organisation efficace qui aura les capacit s sociales environnementales techniques et financi res requises pour g rer a long terme le combustible nucl aire irradi canadien de mani re s re La gestion du combustible nucl aire irradi est une responsabilit a tr s long terme La SGDN doit tre forte et stable et ses actions doivent s inscrire dans une perspective a long terme Elle doit pouvoir compter sur un nombre suffisant et viable d employ s qualifi s et comp tents Pour cela il faudra investir dans l organisation afin de s assurer qu elle poss de les ressources la comp tence ainsi que des politiques et pratiques d administration et de gestion saines permett
311. et facile utiliser s il tait adapt en fonction du contexte actuel des travaux de la SGDN Le Conseil consultatif recommande la SGDN d actualiser son Cadre thique et social pour le rendre plus pertinent la phase du processus 3 2 Quantit de combustible nucl aire irradi ll est indiqu dans la version pr liminaire du plan Mise en oeuvre de la Gestion adaptative progressive 2014 2018 que la SGDN est tenue en vertu de la loi d assurer la gestion long terme du combustible nucl aire irradi canadien existant et de celui qui sera produit dans le futur page 8 Cela est conforme aux nonc s publi s dans le Engagement des Autochtones Perspective r gionale Programme En savoir plus Adapter les plans Gouvernance et reddition de comptes de s lection d un site de la Gestion adaptative progressive L examen r alis en 2011 avait aussi soulev la n ces sit d examens impartiaux et ind pendants de la mise en oeuvre du Cadre thique et social La SGDN a franchi une tape importante en novembre 2013 avec l ach vement de la Phase 1 de l tape 3 pour les huit premi res collectivit s participer au processus des valuations pr liminaires Ce jalon permet de faire le point et de tirer des le ons de l exp rience acquise aupr s de ces huit collectivit s afin d orienter les travaux qui se poursuivent aupr s des autres collectivit s int ress es Le Conseil consultatif recommande la SGDN d e
312. eur et sa radioactivit d croissent Au bout de sept a 10 ans les grappes irradi es sont plac es dans des conteneurs silos ou enceintes de stockage sec La dur e de vie nominale des conteneurs est d au moins 50 ans Bien que sa radioactivit d croisse avec le temps la toxicit chimique est persistante et le combustible nucl aire irradi repr sente un risque pour la sant pendant des centaines de milliers d ann es I devra par cons quent tre g r avec soin Approximativement 85 000 grappes de combustible nucl aire irradi sont produites chaque ann e au Canada Au cours des 40 derni res ann es le programme d nergie nucl aire canadien a produit plus de Dion deux millions de grappes de combustible nucl aire irradi Une petite quantit de combustible nucl aire irradi et de composants est galement produite dans les installations de recherche et de d veloppement exploit es par nergie atomique du Canada limit e ainsi que dans des centres de recherche universitaire canadiens Si toutes les grappes de combustible nucl aire irradi produites pouvaient tre empil es comme du bois de chauffage elles occuperaient un espace d une dimension d environ six patinoires de hockey depuis la surface de la glace jusqu au haut de la bande La SGDN publie chaque ann e une mise jour sur le nombre de grappes de combustible actuellement entrepos es ainsi que des projections sur les quantit s futures Ce rapport est disponi
313. favoriser l apprentissage sur le projet aider approcher les peuples autochtones et les autres collectivit s de la r gion environnante et fournir des conseils et des commentaires sur les valuations pr liminaires Au cours des cinq prochaines ann es la SGDN continuera de soutenir et d aider les collectivit s int ress es dans leur apprentissage de la GAP tout en largissant ses activit s d engagement aux collectivit s autochtones et non autochtones de la r gion La SGDN compl tera la premi re phase des valuations pr liminaires et se servira des constats de ces valuations pour choisir les collectivit s qui semblent tre plus aptes ce stade du processus de r pondre aux exigences du projet Dans les collectivit s identifi es pour les tudes subs quentes la SGDN entreprendra des valuations techniques et sociales plus d taill es lesquelles incluront des tudes sur le terrain des sites envisag s Elle travaillera en m me temps avec les collectivit s int ress es prendre contact avec les collectivit s autochtones et non autochtones de leurs r gions respectives A mesure que les valuations pr liminaires seront compl t es la SGDN continuera de concentrer graduellement ses efforts sur les secteurs les plus susceptibles d tre aptes accueillir un d p t Toutes les valuations seront entreprises en collaboration avec les collectivit s Pendant les cinq prochaines ann es du processus de s lection d
314. feront toutes les normes et exigences r glementaires en vigueur en mati re de protection de la sant de la s ret et de la s curit des humains et de l environnement ou les d passeront La mise en oeuvre d un d p t g ologique en profondeur dans le cadre de la Gestion adaptative progressive est de comp tence f d rale et sera r glement e en vertu de la Loi sur la s ret et la r glementation nucl aires LSRN et des r glements connexes La Commission canadienne de s ret nucl aire CCSN en tant qu organisme ind pendant de r glementation au Canada surveille l utilisation de l nergie et des mati res nucl aires afin de prot ger la sant et la s curit des Canadiens et de l environnement et de s assurer que le Canada remplit ses engagements internationaux au regard de l utilisation pacifique de l nergie nucl aire En vertu de l article 26 de la LSRN les activit s associ es une installation nucl aire comme la pr paration la construction l exploitation ou le d classement d un site ne peuvent avoir lieu sans l obtention d un permis de la CCSN Le d p t de la Gestion adaptative progressive sera soumis au processus exhaustif d autorisation de la CCSN lequel s appliquera la vie utile enti re du d p t Avec cette approche progressive chacune des tapes du cycle de vie du d p t n cessitera l obtention d un permis Aucune d cision par la CCSN concernant le d p t ne sera prise av
315. form es des effets possibles du projet et tre en mesure de g rer ces effets l avantage de leurs membres Soutien une collaboration directe et participative Puisque le processus de s lection d un site exige une collaboration directe et participative de la part des collecti vit s la SGDN doit trouver des fa ons de les aider mettre en oeuvre des processus d cisionnels qui leur conviennent et affronter l activisme des groupes d int r ts externes qui pourraient vouloir influencer ce processus guid par les collectivit s Donner gratuitement acc s des informations dignes de confiance sur les risques auxquels s expo sent les collectivit s Puisque la mise en oeuvre de la GAP exige que les collectivit s prennent des d cisions en tenant compte d un certain degr d incertitude et de risque le d fi concernant cet aspect r side dans la fa on dont les diff rents points de vue et renseignements contra dictoires pourront tre concili s de mani re constructive dans le cadre du dialogue et du processus d cisionnel guid s par les collectivit s Les collectivit s doivent pouvoir s appuyer sur des sources neutres et impartiales d informations conformes aux faits pour prendre des d cisions clair es et ces sources doivent tre disponibles et prot g es tout au long du processus de s lection d un site Soutenir la participation des organisations int ress es Le processus de s lection d un site
316. gouvernance et Une bonne reddition des comptes El Supervision assur e par les soci t s membres de la SGDN le Conseil d administration et ses comit s e Avis et commentaires ind pendants du Conseil consultatif e Examen du programme technique de la GAP par le Groupe d examen technique ind pendant e Evaluations et v rifications de la gouvernance interne pour maintenir et obtenir des certifications de conformit du syst me de gestion aux normes de qualit de s curit et de gestion environnementale e Interaction avec la Commission canadienne de s ret auel airepourlobtention d infor mations r glementaires et d examens pr alables du projet de la GAP Presentation annuelle et triennale de rapports au ministre des Ressources naturelles et au public Mettre en place et maintenir une organisation de haut niveau 3 D veloppement continu des capacit s en ressources humaines internes contractuelles y ci et en systemes et processus administratifs e Soutien continu au maintien d effectifs en r gion et de bureaux d information locaux requis pour aider les collectivit s participant au processus de selection d un site d Soutien financement et ressources Continus pour les collectivit s h tes potentielles les Premi res nations et les peuples m tis ainsi que les collectivit s voisines pour renforcer leur Capacit de participer au processus de s lection d un site Autres activites Resu
317. gressive 2014 a 2018 Annexes des tudes scientifiques et techniques progressivement plus d taill es et de la participation des collectivit s D apr s les r sultats de ces travaux identifier les collectivit s particuli rement aptes accueillir le projet voisines et des peuples autochtones Pendant la p riode de planification la SGDN soutiendra les collectivit s et les peuples autochtones apprendre davantage sur le projet et comment le bien tre long terme ou la qualit de vie de la r gion pourrait tre favoris en participant au projet La SGDN s engage examiner et am liorer le processus avec les Canadiens et en particulier avec les collectivit s participant au processus de s lection d un site pour s assurer qu il continue de r pondre leurs besoins et leurs attentes La SGDN tient prendre les D apr s les r sultats des tudes sur le terrain et des d cisions une tape la fois et ne voudra passer une valuations pr liminaires identifier le ou les sites nouvelle tape qu apr s un examen approfondi et avec devant faire l objet de la phase de caract risation l appui des collectivit s engag es dans le processus d taill e La SGDN continuera d toffer son organisation pour renforcer ses ressources et capacit s internes et soutenir les programmes de recherche technique et sociale afin de s am liorer et de s adapter continuellement aux nouvelles connaissances confor
318. h Planifier pour le long terme Dans le cadre de ses travaux men s sur la sc ne internationale la SGDN a continu de partici per au projet de Collaboration internationale sur la pr servation des archives des connaissances et de la m moire travers les g n rations de l AEN Lanc en 2011 ce projet a pour objectif de soutenir les processus d cisionnels prolong s et complexes qui sont inh rents aux longs ch an ciers d exploitation et post exploitation des d p ts de d chets radioactifs Le but est de mettre en commun les informations des pays participants de comparer leurs approches de mettre l preuve les solutions qu ils envisagent et de faire conna tre les d cisions qu ils prennent Assurer une bonne gouver nance et une onne reddition des comptes OBJECTIF STRAT GIQUE La SGDN maintiendra une structure de gouvernance qui permettra au public canadien d avoir confiance dans les travaux de la SGDN Lint grit de la SGDN dans l ex cution de ses travaux est garantie par de multiples niveaux de surveillance et par l examen par des pairs l interne la SGDN est r gie par son Conseil d administration La Loi sur les d chets de combustible nucl aire LDCN exige galement que le Conseil d administration constitue un Conseil consul tatif ayant comme mandat d examiner et de commenter publiquement le travail de la SGDN De plus un Groupe d examen technique ind pendant GETI form de quatre
319. halk River en Ontario tous deux propri t s d Energie atomique du Canada limit e Les centrales nucl aires canadiennes sont aliment es par de l uranium naturel comprim en pastilles de c ramique ench ss es dans des tubes en zircaloy Ces tubes sont soud s ensemble pour former une grappe de combustible cylindrique Lorsqu une grappe de combusti ble est puis e c est dire qu elle ne peut plus produire de l lectricit elle est retir e du r acteur Elle a ce moment la m me apparence physique que lorsqu elle tait neuve Le combustible nucl aire irradi retir d un r acteur est consid r comme un d chet il est radioactif et requiert une gestion prudente On le place d abord dans une piscine remplie d eau o sa chaleur et sa radioac tivit d croissent Au bout de sept 10 ans les grappes irradi es sont plac es dans des conteneurs silos ou enceintes de stockage sec La dur e de vie minimale des conteneurs de stockage sec est d au moins 50 ans M me si sa radioactivit d croit avec le temps le combustible irradi demeurera un risque pour la sant pendant des centaines de milliers d ann es Il devra par cons quent tre g r avec soin Approximativement 85 000 grappes de combustible nucl aire irradi sont actuellement produites chaque ann e au Canada Une petite quantit de combustible nucl aire irradi est galement produite dans les installations de recherche et d
320. herche sociale se poursuivront tout au long de la p riode de planification Nous continuerons d assurer une gouvernance solide et le financement requis L investissement dans le personnel et dans les comp tences propices au succ s et la continuit demeurera une priorit Voici les principales activit s qui seront r alis es au cours de la prochaine p riode quinquennale de planification e Mener des valuations pr liminaires de bureau pour les collectivit s ayant r ussi valuation de pr s lection et qui choisiront de passer a la prochaine tape dans le processus de s lec tion d un site e Engager les peuples autochtones et les autres collectivit s de la r gion environnante en apprendre davantage sur le projet et le consid rer e D apr s les r sultats de ces travaux identifier les collectivit s les plus aptes accueillir le projet pour proc der la prochaine phase des travaux qui comprend des tudes pr limi naires sur le terrain et la participation des peuples autochtones et des autres collectivit s de la r gion environnante afin d tablir une fondation pour proc der la mise en oeuvre du projet ensemble Entreprendre ces travaux en collaboration avec les collectivit s concern es Selon les r sultats des tudes sur le terrain et des valuations pr liminaires identifier une ou deux collectivit s pour proc der la phase de caract risation d taill e du site e permis par les
321. hnologie d un rev tement de cuivre pour les conteneurs du d p t Compl tera le concept pr liminaire la fabrication et les essais de prototypes de conteneurs pour le d p t Compl tera la mise jour aux mod les conceptuels et aux pr visions des co ts pour la Gestion adaptative progressive Compl tera un examen int gr du processus microbiologique qui pourrait se produire dans l environnement du d p t pour appuyer les mod les sur la corrosion Poursuivra les travaux d exploration des consid rations sur la s ret technique en pr parant des valuations g n riques des risques du transport du combustible nucl aire irradi y compris une valuation des modes de trans port du combustible nucl aire irradi Mettra au point et am liorera les mod les pour l valuation de la s ret y compris pour l coulement des eaux souterraines le rejet et le transport des radionucl ides et les processus thermo hydro m caniques coupl s Am liorera notre compr hension scientifique des processus qui peuvent avoir une influence sur la s ret du d p t Maintiendra la participation de la SGDN des activit s de recherche communes et des programmes internationaux en roche cristalline au Laboratoire sur la roche dure d Asp en Su de et en roche s dimentaire au Laboratoire du Mont Terri en Suisse Mettra sur pied une installation pour les essais des prototypes pour les valuations sur les barri
322. i ainsi que de leurs implications Les constats scientifiques des trois derni res ann es ont continu d indiquer que les technologies de recyclage actuelles sont d un co t prohibitif particuli rement en ce qui a trait au combustible non enrichi de type CANDU utilis dans les centrales nucl aires canadiennes En raison du co t de recyclage lev et des inqui tudes relatives la prolif ration nucl aire la plupart des pays qui ont exploit un cycle nucl aire o le combustible irradi est retrait puis recycl dans des r acteurs classiques eau l g re ont cess cette pratique Depuis sa cr ation la SGDN s est montr e r solue travailler en collaboration avec les Canadiens pour relever un d fi qui nous concerne tous Cette collaboration nous a permis de faire progresser le processus de s lection d un site au cours des trois derni res ann es et contribuera ce que le site ultimement choisi obtienne l approbation d une collectivit inform e et consentante AU cours des cinq prochaines ann es alors que le processus de s lection d un site gravitera de plus en plus autour d un nombre r duit de sites possibles la collaboration avec les collectivit s int ress es les collectivit s autochtones et non autochtones de la r gion environnante et le grand public demeurera la pierre angulaire des travaux de la SGDN K E Nash Ken Nash Pr sident et chef de la direction Faits saillants de 2011
323. i dans le cadre du processus de s lection d un site d en apprendre davantage sur le projet et de r fl chir leur int r t pour celui ci De plus la SGDN a r alis les valuations de la Phase 1 dans huit des 20 collectivit s participant aux valua tions pr liminaires tape 3 du processus de s lection d un site en neuf tapes et a collabor avec elles au cours de ces tudes promouvoir un apprentissage et une r flexion sur leur capacit maintenir leur int r t pour le projet La SGDN a aussi examin avec les collectivit s leur aptitude r pondre aux rigoureuses exigences de s ret du projet ainsi que la possibilit que le projet puisse favoriser leur bien tre tel que d fini par chacune d elles Au cours de ces trois ann es de collaboration d apprentissage sur le projet et de r flexion sur l int r t des collectivit s les collectivit s ont soulev plusieurs questions qui ont permis de faire avancer le dialogue et de mieux saisir la port e du projet Les principaux th mes abord s taient les suivants e Comprendre ce qu est le combustible nucl aire irradi et les risques associ s y compris ce que sont les rayonnements et quels sont leurs effets sur la sant s ils ne sont pas g r s de mani re ad quate Comprendre comment la s curit du public et de l environnement sera assur e par la conception du d p t g ologique en profondeur en tenant compte des sc narios hypoth tiques o
324. i avaient t choisies pour passer la prochaine phase de travaux De plus la SGDN continue de d velopper ses relations avec les peuples autochtones les collec tivit s int ress es et d autres afin de mieux relever les d fis associ s la mise en oeuvre de la GAP ce qui se refl tera dans l am lioration des processus et des activit s de la SGDN ce qui se refl tera dans les futurs plans de la Soci t Consid rations sociales conomiques et culturelles Apprendre davantage ensemble Rapport triennal 2011 2013 La SGDN a adopt une approche int gr e pour ses valuations pr liminaires Comme le d crit le document Fa onnons l avenir ensemble Processus de s lection d un site pour le d p t g ologique en profondeur canadien pour combustible nucl aire irradi 2010 les valuations portent sur la s ret et le bien tre de la collectivit et se font par le biais d tudes traitant des nombreuses exigences techniques scientifiques et sociales du projet Les valuations pr liminaires men es Etape 3 du processus de s lection d un site en neuf tapes constituent une occasion pour la collectivit et la SGDN d explorer quatre questions cl s 1 Est il plausible qu un site s r puisse tre 3 Est il plausible que les membres trouv Cette question est importante parce que la s ret la s curit et la protection de la population et de l environnement sont des axes prioritaire
325. iber Comit de liaison communautaire de Spanish www clcinfo ca spanish Comit de liaison communautaire de The North Shore sur les d chets nucl aires www clcinfo ca thenorthshore Comit consultatif communautaire de Wawa sur les d chets nucl aires www clcinfo ca wawa Bureaux communautaires avec heures d ouverture au public au 31 d cembre 2013 Wawa 3 rue Maple Wawa Ont Hornepayne 35 avenue Fourth Hornepayne Ont Creighton 300 rue 1 Est Creighton Sask Schreiber 204 rue Alberta Schreiber Ont Ignace 102 rue Main Ignace Ont Ear Falls Willow Crescent Ear Falls Ont Elliot Lake 99 rue Spine Bureau 101 Elliot Lake Ont Blind River 3 5 avenue Woodward Bureau 101 Blind River Ont Spanish Gignac s Square 107 rue Front Bureau 3 Spanish Ont South Bruce 1220 rue Bruce 12 Bureaux 1 et 3 Formosa Ont Huron Kinloss 80 rue Huron Ripley Ont Saugeen Shores 606 rue Goderich Port Elgin Ont Arran Elderslie 258 rue Queen Nord Paisley Ont Brockton 324 rue Durham Est Walkerton Ont Annexes B Collectivit s h tes d installations nucl aires Canadian Association of Nuclear Host Communities Association canadienne des collectivit s h tes d installations nucl aires Au cours des trois derni res ann es la SGDN a continu de travailler avec les collectivit s h tes d installations nucl aires lesquelles sont galement concern es par
326. ie du Canada Mise en oeuvre de la Gestion adaptative progressive 2014 a 2018 Annexes La SGDN La vision de la SGDN la gestion long terme des d chets nucl aires du Canada d une fa on qui prot ge la population et respecte l environnement maintenant et pour l avenir Le gouvernement du Canada conform ment la Loi sur les d chets de combustible nucl aire 2002 a confi la SGDN la responsabilit de la gestion long terme du combustible nucl aire irradi canadien La SGDN a t cr e dans un but non lucratif par les principaux propri taires canadiens de d chets de combustible nucl aire soit Ontario Power Generation OPG Hydro Qu bec et Energie NB La SGDN a pour mission d laborer et de mettre en oeuvre de concert avec le public canadien une m thode de gestion long terme du combustible nucl aire irradi canadien qui soit socialement acceptable techniquement s re cologiquement responsable et conomiquement viable Au cours des ann es 2002 2005 la SGDN a men une tude aupr s de citoyens de tous horizons afin d examiner des options pour la gestion long terme du combustible nucl aire irradi canadien L tude et la recommandation pr sent e par la SGDN au gouvernement canadien peuvent tre consult es sur le site Web de la SGDN au www nwmo ca En 2007 le gouvernement du Canada conform ment aux recommandations de la SGDN d termina que la Gestion adapta
327. ie financi re est satisfaite par trois fonds distincts un Fonds pour le combustible irradi un Fonds pour le d classement de la centrale et le Fonds en fiducie de la LDCN e La valeur marchande totale des fonds tait d environ 587 millions au 31 d cembre 2018 et tait r partie de la fa on suivante Fonds pour le combustible irradi 293 millions Fonds pour le d classement de la centrale 190 millions Fonds en fiducie de la LDCN 104 millions Energie atomique du Canada limit e EACL n est pas membre de la SGDN Sa garantie financi re prend la forme d un engagement explicite du gouvernement du Canada envers la CCSN combin a des estimations de la responsabilit financi re et des fondements de ce calcul Le fonds en fiducie de la LDCN d ACL se chiffrait approximativement 42 millions au 31 d cembre 2013 La Soci t Soci t s membres Conseil d administration membres de la direction LES SOCI T S MEMBRES La SGDN a t fond e en 2002 par les producteurs canadiens d lectricit d origine nucl aire suivant l adoption par le gouvernement f d ral de la Loi sur les d chets de combustible nucl aire LDCN Ontario Power Generation OPG la Soci t d nergie du Nouveau Brunswick et Hydro Qu bec HQ sont les membres fondateurs et avec nergie atomique du Canada limit e ACL ont la responsabilit de financer les activit s de la SGDN Conseil d admini
328. ient entre autres la Canadian Association of Nuclear Host Communities Association canadienne des collectivit s h tes d installations nucl aires et le Durham Nuclear Health Committee Comit de sant nucl aire de Nos travaux de 2011 2013 Durham qui ont continu d clairer et de conseiller la SGDN sur la fa on dont elle pourrait largir ses activit s de sensibilisation et d approche des municipalit s tant dans les provinces nucl aires qu l chelle nationale En 2009 conform ment au mandat et aux valeurs de la SGDN en mati re d engagement le Forum municipal a t tabli avec le soutien de la FCM Le Forum est une assembl e de repr sentants d associations municipales ayant de l exp rience et des comp tences relatives aux enjeux et aux d fis qui se posent aux municipalit s Il offre une tribune impartiale dont le but est de guider la SGDN dans l laboration de produits et d outils qui aideront les municipalit s et collectivit s canadiennes participer et aider guider le processus visant choisir un site pour ce projet national d infrastructure De 2011 2018 le Forum s est r uni plusieurs fois par ann e fournissant un clairage sur les meilleures pratiques de communication et de collaboration avec les administrations et les associa tions locales tout en servant de lien entre les associations municipales et leurs membres Les membres du Forum ont aid la SGDN mieux comprendre l
329. if Activit s du Conseil consultatif Le Conseil consultatif se r unit r guli rement avec la SGDN pour examiner les plans de la Soci t et fournir des conseils sur divers sujet chaque r union les membres du Conseil consultatif sont renseign s sur les plans en cours d laboration les jalons des programmes de recherche technique et sociale et les activit s et constats du programme d engagement L ordre du jour de ces r unions comprend souvent des sujets de discussion propos s par le Conseil consultatif et inclut des pr sentations de l quipe de gestion et du personnel destin es clairer les d lib rations du Conseil consultatif Chaque r union du Conseil consultatif comprend une s ance huis clos au cours de laquelle les membres discutent en priv en l absence du personnel et de l quipe de gestion de la SGDN la demande du Conseil consultatif les proc s verbaux officiels de ses r unions sont r dig s et affich s sur le site Web de la SGDN l adresse www nwmo ca advisorycouncilminutes titre individuel les membres du Conseil consultatif participent souvent aux activit s de la SGDN autres que les r unions du Conseil afin de pouvoir observer directement le d roulement des activit s d engagement et consid rer les questions soulev es par les participants aux consultations Le pr sident du Conseil consultatif a acc s aux r unions du Conseil d administration de la SGDN ce qui assure un change d
330. if de la personne Wesley Cragg Wesley Cragg est dipl m des universit s de l Alberta B A avec sp cialisation et M A et d Oxford B Ph et D Ph o il tait inscrit titre de boursier Rhodes Il a t le premier professeur titulaire de la chaire George R Gardiner en thique des affaires la Schulich School of Business de l Universit York 1992 2006 Il a mis sur pied le programme de M B A en thique des affaires la Schulich School Il a t le pr sident directeur g n ral fondateur de Transparency International Canada 1998 2006 pr sident de la John Howard Society of Canada et de l Association canadienne de philosophie et membre pendant plusieurs ann es des conseils d administration de Sudbury de l Ontario et du Canada de la John Howard Society M Cragg est actuellement chercheur principal l Universit York professeur d thique des affaires la Schulich School of Business et directeur du CBERN le r seau canadien de recherche en thique des affaires un r seau national de recherche financ par le Conseil de recherches en sciences humaines M Cragg est l auteur et r dacteur de plusieurs ouvrages portant sur divers aspects des affaires et de l thique appliqu e ainsi que de la philosophie du droit et a t largement publi dans des revues sp cialis es canadiennes et trang res Frederick Gilbert Frederick Gilbert a occup les postes de pr sident et de vice chancelier
331. igner le public et de faire participer les membres des collectivit s au processus Exposition mobile sur le transport Cette exposi tion itin rante a t cr e pour pr senter concr te ment ce en quoi consiste le colis qui serait utilis pour transporter le combustible nucl aire irradi Modules additionnels pour l exposition interactive de la SGDN De nouveaux modules ont t ajout s l exposition interactive de la SGDN pour aborder certains domaines qui int ressent particuli re ment les membres des collectivit s Encarts Demandez le la SGDN ins r s dans les journaux locaux Ces encarts servaient r pondre aux questions fr quemment pos es par les membres des collectivit s Organisation d exp riences d apprentissage Pour faciliter l apprentissage la SGDN a offert aux collectivit s l occasion d envoyer des d l gu s visiter une installation provisoire o le combustible nucl aire irradi est actuellement entrepos rencontrer le personnel de la Commission canadienne de s ret nucl aire pour mieux comprendre le cadre r glemen taire assister des conf rences o les questions li es au combustible nucl aire irradi sont discut es et l exp rience internationale est mise en commun et rencontrer des repr sentants de collectivit s ayant particip des processus semblables et qui sont h tes d installations de gestion de d chets nucl aires Financement et ressources offerts aux c
332. ilit que le projet puisse favoriser leur bien tre Au nom de la SGDN je vous invite lire ce Rapport triennal pour en savoir plus sur nos travaux sur nos Valeurs et sur les progr s que nous avons r alis s en collaboration avec les Canadiens dans la mise en oeuvre socialement acceptable techniquement s re cologiquement responsable et conomiquement viable de la GAP Je vous invite galement consulter r guli rement notre site Web www nwmo ca pour prendre connaissance des derni res nouvelles concernant cet important projet national d infrastructure La gestion long terme s re et s curitaire du combustible nucl aire irradi du pays concerne tous les Canadiens et la SGDN vous encourage y participer et vous tenir inform G Gary Kugler Pr sident du Conseil d administration Mot du pr sident et chef de la direction Cela fait un peu plus de 10 ans que la SGDN a t fond e dans le but d laborer et de mettre en oeuvre une approche long terme pour la gestion s re et s curitaire du combustible nucl aire irradi du pays Alors que la SGDN amorce sa seconde d cennie d activit il est important de prendre le temps de r fl chir aux moments et aux principes qui ont orient son mandat ainsi qu au r le pr pond rant que la collaboration a jou depuis le tout d but La SGDN a men pendant ses trois premi res ann es 2002 2005 un dialogue pancanadien pour d terminer la meilleure fa on d
333. in quelles collectivit s passeraient la prochaine phase d tudes e Reconnaissance du leadership des collectivit s Ce programme sert reconna tre le leadership manifest par les collectivit s en participant la mise en oeuvre de la GAP au nom de tous les Canadiens et fournit des sommes qui seront vers es dans un Fonds de r serve pour le bien tre de la collectivit pour aider r aliser des projets Outre les documents tels que le profil de la collectivit et les tudes techniques qui sont laiss s aux collectivit s et qui peuvent tre utilis s aux fins jug es appropri es par celles ci le Fonds de r serve pour le bien tre de la collectivit assure que chaque collectivit tire avantage de sa participation au processus de s lection d un site Etudes et activit s d engagement de la Phase 2 Ce document d information fait suite la description donn e du processus de s lection d un site dans le document de mai 2010 Fa onnons l avenir ensemble Processus de s lection d un site pour le d p t g ologique en profondeur canadien pour combustible nucl aire irradi et le document valuation pr liminaire de l aptitude potentielle Il fournit des d tails suppl mentaires sur la fa on dont les travaux se d rouleront au cours de la prochaine phase de travaux de la SGDN Le document est affich sur le site Web de la SGDN et tait destin aux collectivit s qui avaient compl t la Phase 1 d tudes et qu
334. information complet et permet de maintenir le Conseil consulta tif constamment au courant des affaires du Conseil d administration et vice versa Les membres du Conseil consultatif et les administrateurs se rencontrent annuellement pour changer leurs points de vue Apprendre davantage ensemble Rapport triennal 2011 2013 Composition du Conseil consultatif Le mandat actuel des membres du Conseil consultatif est de trois ans et le choix de membres est bas sur plusieurs crit res le type de travail qui attend la SGDN au cours des ann es qui viennent l expertise requise pour effectuer ce travail et les dispositions applicables de la LDCN Puisque le travail de la SGDN est maintenant principalement ax sur la mise en oeuvre du processus de s lec tion d un site le Conseil d administration a demand au Conseil consultatif de le conseiller sur le type de comp tences qu il devrait rechercher pour le choix des nouveaux membres Le Conseil consultatif a notamment sugg r de trouver des candidats ayant des ant c dents en thique C est ce titre que M Wesley Cragg a t nomm au Conseil consultatif au d but de 2012 En 2011 les membres du Conseil consultatif ont examin les r visions apport es au mandat du Conseil consultatif qui allaient tre soumises l tude du Conseil d administration Pour en savoir plus sur le travail effectu par le Conseil consultatif au cours des trois derni res ann es veuillez consulter so
335. insinuait entre autres que la SGDN ciblait davantage les collectivit s d favoris es et que la confiance en la s ret long terme d un d p t g ologique en profondeur et en son aptitude confiner et isoler de mani re s re et s curitaire le combustible nucl aire irradi pour de tr s longues p riodes ne repose sur aucun fondement Il sera important de faire contrepoids cette d sinformation mesure qu avancera le processus de s lection d un site et que les r sidents des r gions entourant les collectivit s int ress es se livreront un apprentissage et une r flexion plus approfondis sur le projet Les peuples autochtones ont fourni la SGDN des avis et des directives sur la fa on d int grer le savoir traditionnel autochtone aux processus globaux de la SGDN et en particulier l valua tion de l aptitude des sites potentiels Au fur et mesure que progressera le processus de s lection d un site la participation des peuples autochtones aux tudes d valuation et aux d cisions s inten sifiera l chelle locale et l int gration du savoir traditionnel autochtone aux activit s d valuation s largira et se renforcera Finalement la SGDN continue de solliciter la participation des collectivit s participant au proces sus de s lection d un site ainsi que les Canadiens int ress s l laboration et l am lioration de ses plans Cette participation est notamment sollicit e pour contri
336. ion de 1 du co t des soins de sant sur les l ments suivants Obligation au titre des prestations constitu es 2 856 000 2 683 000 Co t des services rendus et int r ts d biteurs 462 000 230 000 Incidence d une diminution de 1 du co t des soins de sant sur les l ments suivants Obligation au titre des prestations constitu es 2 127 000 2 007 000 Co t des services rendus et int r ts d biteurs 338 000 169 000 Le r gime compl mentaire de retraite n est pas capitalis mais il est garanti par une lettre de cr dit se reporter la note 3 9 Incitatifs la location report s 2013 2012 Incitatifs la location 408 242 408 242 Moins amortissement cumul 277 645 212 013 130 597 196 229 10 Garanties Dans le cours normal de ses activit s la SGDN conclut des ententes qui r pondent la d finition d une garantie a La SGDN a accord une indemnisation en vertu de diff rents contrats Aux termes de ces contrats la SGDN accepte d indemniser la contrepartie relativement divers l ments incluant sans s y limiter tous les passifs toutes les pertes toutes les poursuites et tous les dommages survenus pendant ou apr s la dur e des contrats b La SGDN accorde une indemnisation tous les administrateurs membres de la direction et employ s agissant au nom de la SGDN relativement divers l ments incluant sans s y limiter des montants pour r gler des pou
337. ion pr liminaire de l aptitude potentielle Etudes et activit s d engagement de la Phase 2 2013 Demandez le la SGDN 2012 2013 Quel est le plan du Canada Choisir un site pour le d p t national de combustible irradi du Canada Engagement des Autochtones valuation de la s ret d un site S curit financi re Le syst me barri res multiples Pourquoi la SGDN planifie t elle la construction d un d p t g ologique en profondeur Bien tre de la collectivit Conception du d p t Le cadre r glementaire Le transport e Demandez le la SGDN compilation 2013 e valuations pr liminaires de la Phase 1 du bien tre de la collectivit Premi re nation d English River Saskatchewan 2013 Municipalit de Wawa Ontario 2013 Village nordique de Pinehouse Saskatchewan 2013 Ville de Creighton Saskatchewan 2013 Canton d Ear Falls Ontario 2013 Canton de Hornepayne Ontario 2013 Canton d Ignace Ontario 2013 Canton de Schreiber Ontario 2013 e valuations pr liminaires de la Phase 1 R sum des constats et d cisions 2013 e Remorque des colis de transport du combustible irradi 2013 Expositions et kiosques dans les collectivit s Exposition mobile sur le transport 2013 Exposition physique Le transport s r et s curitaire 2013 Exposition physique Favoriser le bien tre de la collectivit 2013 Kiosques dans les collectivit s Creighton 2011 Arra
338. ions li es au cycle de vie GOCV des d chets nucl aires Avec prise d effet le 1 f vrier 2011 la SGDN a conclu un accord avec OPG pour la gestion de l ing nierie de l approvisionnement et de la construction pour les phases 2 conception et 8 construction du projet de DGP Les services de conception couvrent l ing nierie d taill e les caract risations g oscientifiques l valuation environnementale et de la s ret l engagement des collectivit s et les affaires r glementaires La phase 3 construction est en attente jusqu ce que le gouvernement donne son approbation et que les deux parties OPG et la SGDN s entendent mutuellement pour aller de lavant avec ce service 2 Principales conventions comptables Mode de pr sentation Les tats financiers de la SGDN constituent des d clarations de la direction et sont pr par s conform ment aux normes comptables canadiennes pour les organismes sans but lucratif d crites dans la partie Ill du Manuel des comptables professionnels agr s du Canada CPA Canada et les apports grev s d une affectation sont pr sent s selon la m thode du report Les principales conventions comptables adopt es par la SGDN sont les suivantes Pr sentation des entit s contr l es et apparent es dans les tats financiers Le placement dans l entit contr l e est pr sent selon la m thode de la comptabilisation la valeur de consolidation note 5 Immobilisatio
339. ipation des r unions de leurs comit s de liaison communautaires CLC et des conversations avec des participants des v nements communautaires et avec des visiteurs aux bureaux locaux de la SGDN L apprentissage des collectivit s a galement t soutenu par la participation des conf rences traitant des enjeux des pratiques et des approches ayant cours dans d autres pays en mati re de gestion de d chets nucl aires des visites de sites provisoires d entreposage o le combustible nucl aire irradi est actuellement g r la tenue de s ances d information et le soutien accord pour participer des rencontres avec la Commission canadienne de s ret nucl aire CCSN afin de se renseigner sur le cadre r glementaire r gissant le projet de la Gestion adaptative progressive GAP Certaines collectivit s ont galement engag les services d experts ind pendants grace au financement offert par la SGDN dans le cadre de son programme En savoir plus pour les aider se d finir une vision ou un plan strat gique et ou examiner la documentation technique produite sur la s ret du projet Apprendre davantage ensemble Rapport triennal 2011 2013 La SGDN a galement commenc approcher les peuples autochtones et autres collectivit s voisines des collectivit s participant au processus de s lection d un site pour les engager se renseigner et dialoguer sur le projet et sur le processus en plusieurs
340. ipation continue aux activit s de l Agence de l Organisation de coop ration et de d veloppement conomiques OCDE pour l nergie nucl aire la SGDN fait r guli rement tat de ses travaux et participe l change des meilleures pratiques internationales dans les domaines comme l laboration des dossiers de s ret les processus de s lection de sites en partenariat avec les collectivit s et l engagement des citoyens Cela inclut sa participation aux diff rents groupes de l Agence de l OCDE pour l nergie nucl aire dont le Comit de la gestion des d chets radioactifs le Groupe d int gration pour le dossier de s ret et le Forum sur la confiance des parties prenantes La SGDN participe galement des projets de recherche internationaux Comme le programme se r alisera sur une longue p riode plusieurs occasions se pr senteront pour en am liorer la s ret et la performance en accro tre l efficacit acqu rir une meilleure compr hension r duire l incertitude et r pondre aux pr occupations de la soci t Lun des points forts de la Gestion adaptative progressive est l incorporation de nouvelles connaissances Les changements dans les politiques environnementales nerg tiques sont particuli rement pertinents pour la Gestion adaptative progressive Par exemple les projets de r fection de r acteurs nucl aires et de construction de nouveaux r acteurs auraient pour effet d ajouter des quantit s de co
341. irradi 1989 1998 une commission d valuation environne mentale pr sid e par Blair Seaborn a conclu dans son rapport de 1998 que le concept tait techniquement valable mais qu il ne b n ficiait par d un appui public suffisant pour permettre au gouvernement de le mettre en oeuvre La commission a relev comme probl me important l absence de tout cadre thique et social permettant d valuer les diff rentes approches envisage ables Cadre thique et social de la SGDN Lorsque la SGDN a t cr e en 2002 elle a mis sur pied une Table ronde d experts en thique pour consid rer des fa ons d aborder cette question La Table ronde a d fini un Cadre thique et social destin guider les travaux de la SGDN Les membres de la Table ronde d experts en thique taient Georges Erasmus un des chefs autochtones les plus exp riment s au Canada David MacDonald ministre de l glise unie et ancien ministre f d ral Andrew Brook un philoso phe ayant plus de 30 ans d exp rience en thique de la gestion des d chets nucl aires et trois des plus minents thiciens au Canada Wesley Cragg Arthur Schafer et Margaret Somerville La Table ronde a achev ses travaux la fin de 2005 Le Cadre exprime les normes thiques tablies sous la forme d une s rie de 11 questions que la SGDN doit se poser Il a t publi par la SGDN en 2004 et a t r vis en 2006 En d cembre 2011 un atelier a t organis pour
342. ise en population de la r gion oeuvre du projet dans la r gion Plus tard ce cadre pourrait se d velopper lorsque la port e des activit s d engagement s largira notamment en fonction de consid rations li es la science aux modes de vie et la spiritualit des Autochtones Le cadre d valuation conduit explorer le projet travers cinq perspectives diff rentes 1 Les gens ou le capital humain Quelles incidences 4 La soci t et la culture ou le capital social la mise en oeuvre du projet pourrait elle avoir sur les Quelles incidences la mise en oeuvre du projet pourrait gens elle avoir sur le sens d appartenance des r sidents 2 L conomie ou le capital conomique Quelles la collectivit et sur les services et le r seau d activit s incidences la mise en oeuvre du projet pourrait elle cr s pour satisfaire aux besoins des membres de la avoir sur l activit conomique et la sant financi re collectivit de la r gion 5 Le milieu naturel ou le capital naturel Quelles 3 Linfrastructure ou le capital physique Quelles incidences la mise en oeuvre du projet pourrait elle incidences la mise en oeuvre du projet pourrait elle avoir sur le milieu naturel et la relation entre la collecti avoir sur l infrastructure et les constructions de la vit et ce milieu collectivit Apprendre davantage ensemble Rapport triennal 2011 2013 Le dialogue men ce jour avec les collectivit s int r
343. isions ne seront prises que dans plusieurs ann es Les visiteurs ont t int ress s d apprendre que la collectivit pourra prendre le temps de r fl chir son int r t pour le projet et que tout le temps requis pour valuer de mani re rigoureuse la s ret long terme du site sera gale ment pris Quels avantages et quelles incidences n gatives aura le projet Quels types d emplois seront requis pour la mise en oeuvre du projet Les travailleurs seront ils en s curit sous terre Quels types de perspectives s ouvriront aux entreprises locales Plusieurs se sont montr s int ress s par le nombre et les types d emplois que le projet g n rera pendant 13 14 15 16 plusieurs d cennies et par la volont de la SGDN d investir localement dans la formation le recrutement et l approvisionnement Quelles seraient les incidences du projet sur le mode de vie de la collectivit Quelles incidences aura t il sur notre mode de vie sur la viabilit long terme de la collectivit sur les perspectives d avenir des jeunes et sur les activit s comme la chasse et la p che Plusieurs ont t int ress s d apprendre que le projet pourrait tre mis en oeuvre de mani re pr server les l ments importants du mode de vie de la collectivit tout en cr ant une base solide pour la crois sance Certains ont appris avec int r t que l examen des incidences potentielles du projet sur le bien tre de la c
344. it sur un large ventail de sujets dont les inventaires de combus tible nucl aire irradi le co t de l installation les activi t s de dialogue et d engagement des collectivit s et les prochaines tapes du processus de s lection d un site Il a t not dans le cadre de l examen par des pairs r alis par les parties contractantes que le Canada avait mis en place un plan solide de gestion long terme de son combustible nucl aire irradi d am lioration continue de l organisation qui incluaient des am liorations au syst me de gestion AU cours de l ann e 2011 l organisation a en outre d fini les politiques les proc dures et les normes n cessaires pour renforcer le syst me de gestion et pr parer l organisation g rer les questions se rapportant la sant la s curit et l environnement en appliquant les normes de gestion reconnues Ces efforts ont t couronn s en 2012 par les certifi cations CSA Z1000 2006 pour son syst me de gestion de la sant et de la s curit au travail et ISO 14001 2004 pour son syst me de gestion environnementale Celles ci s ajoutent la certification ISO 9001 2008 obtenue par la Soci t en 2010 Ces trois certifications d montrent que le syst me de gestion de la SGDN a effectivement mis en oeuvre des processus de gestion de la qualit de la s curit de la sant et de l environnement Afin de s assurer que la Soci t maintient le cap des
345. ite Roche heal 0 1 m 1 2 m Grappes de Conteneur pour Salle de mise en place combustible combustible Trou de forage vertical irradi dans le plancher des r acteurs dans des conteneurs sp cialement con us cet effet et homologu s et sera achemin vers le site centralis ou il sera plac dans des conteneurs r sistant a la corrosion avant d tre stock dans le d p t Les conte neurs seront descendus dans un puits et achemin s sous terre vers l une des nombreuses salles de mise en place Les conteneurs seront ensuite ins r s dans des trous for s verticalement ou horizontalement dans la roche Ces trous seront par la suite scell s avec un mat riau de scellement dont l efficacit a t d montr e comme l argile de bentonite Le volume exact de combustible irradi devant tre stock dans le d p t sera d cid avec la collectivit a la lumi re des meilleures informations disponibles ce moment et suivant un processus de consultation ouvert et transparent auquel participeront les collectivit s voisines et toutes les parties int ress es et potentiellement touch es Les processus d examen et approbations r glementaires qui selon la loi actuelle doivent tre tablis avant que le projet d bute seront bas s sur un volume d termin de combustible et se feront en association avec un processus de consultation ouvert et transparent L GENDE Installations de surface 2 Complexe du p
346. itt rature NWMO TR 2011 13 Mod lisation du transport r actif en milieu de roche s dimentaire Phase II Am liorations au code MIN3P et exemples de simulation pour un sc nario glaciaire NWMO TR 2011 14 Etat des tudes sur la corrosion des conteneurs de combustible irradi en cuivre en conditions de faible salinit NWMO TR 2011 15 Tests de gonflement deux composants men s sur des p riodes de Annexes trois neuf et vingt sept mois e NWMO TR 2011 16 Radioactivit environnementale au Canada Mesures e NWMO TR 2011 17 Revue de la radioactivit environnementale au Canada e NWMO TR 2011 19 Estimation des fractions des rel ches instantan es en utilisant les codes ORIGEN S et FEMAXI e NWMO TR 2011 25 Projections relatives aux d chets de combustible nucl aire au Canada Mise a jour 2011 e NWMO TR 2011 26 Activit sismique dans la portion du nord de l Ontario du Bouclier canadien Rapport d tape annuel pour la p riode du ter janvier au 31 d cembre 2010 e NWMO TR 2012 01 Programme technique pour la gestion long terme du combustible nucl aire irradi canadien Rapport annuel 2011 e NWMO TR 2012 02 Consid rations li es la microbiologie en champ proche d un d p t g ologique en profondeur de combustible nucl aire irradi Revue de l tat des connais sances e NWMO TR 2012 03 R cup ration de conteneurs de combustible irradi d un d p t g ologique en profondeur en roche cri
347. ivit s concern es R aliser des tudes sur le terrain et des valuations pr liminaires en vue d identifier une ou deux collectivi t s devant passer la phase de caract risation d tail l e du site Concevoir et fabriquer des prototypes physiques du conteneur de combustible nucl aire irradi Apprendre davantage ensemble Rapport triennal 2011 2013 Construire une installation d ing nierie et de mise l preuve des conteneurs de stockage et de transport R aliser un examen int gr des processus microbiologiques pouvant avoir cours au sein de l environnement du d p t Collaborer avec les propri taires des d chets la planification du transport futur du combustible nucl aire irradi depuis les installations provisoires o le combustible nucl aire irradi est actuellement entrepos R aliser une mise jour de la conception technique et de l estimation des co ts de la Gestion adaptative progres sive Le plan pour les cinq prochaines ann es est d fini selon sept objectifs strat giques qui sont d crits dans les pages suivantes Ce Plan strat gique 2014 2018 est un document volutif qui est r guli rement valu renforc et r orient pour tenir compte des nouvelles informations des progr s scientifiques et technologiques des perspectives mises en lumi re par le savoir traditionnel autochtone des nouvelles valeurs soci tales et des changements dans les politiques
348. jout des documents d information brochures proc s verbaux des r unions du Conseil consultatif et du Conseil d admi nistration rapports techniques communiqu s de presse rapports annuels et plans de mise en oeuvre tant sous leur forme pr liminaire aux fins d examen public qu en version d finitive Ainsi le site Web de la SGDN permettait au public d en apprendre davantage sur la Soci t et ses travaux et constituait un moyen d assurer la transparence de ses activit s La SGDN s est galement servie de son site Web pour donner acc s divers conf rences et s minaires En 2011 par exemple elle a affich une pr sentation donn e par des repr sentants de la Su de qui avaient particip au processus de s lection d un site de ce pays Cette pr sen tation a t offerte dans le cadre du Congr s annuel de la F d ration canadienne des municipalit s La m me ann e la SGDN a affich des documents issus d une s rie d ate liers techniques anim s par son personnel dans le cadre de la Conf rence de la Soci t nucl aire canadienne sur la gestion des d chets La quatri me Conf rence interna tionale sur le stockage g ologique organis e par la SGDN en 2012 a encore une fois permis la Soci t de diffuser des connaissances et diverses perspectives en fournissant des liens vers une web mission compl te de l v nement w CCR ay Un membre du personnel de la SGDN le troisi me partir
349. l Les principaux l ments de discussion seront d crits ici et donnent une id e sommaire de la fa on dont les r sidents ont entrepris le processus d apprentissage sur le projet ainsi que de leurs principales questions et pr occupations Ces discussions se sont poursuivies tout au long des activit s d engagement de l tape 2 Les membres des collectivit s souhaitaient obtenir des informations et des r ponses relatives un ensemble divers de questions 1 Qu est ce que la SGDN La SGDN est elle une entit gouvernementale est elle un organisme sans but lucratif et quel est son lien avec l industrie nucl aire Des gens se sont dits int ress s d apprendre entre autres choses que la SGDN avait t tablie en vertu d une loi f d rale et qu elle fonctionnait comme un organisme sans but lucratif Qu est ce que le combustible nucl aire irradi Qu est ce que le combustible nucl aire irradi quelle quantit y en a t il et o est il actuellement entrepos Les gens souhaitaient voir une maquette de grappe de combustible irradi Ils ont t int ress s d apprendre que le combustible irradi est un produit solide plut t que liquide ou gazeux et qu il tait entrepos de fa on provisoire sur les sites des centrales nucl aires Plusieurs personnes pensaient que le combustible nucl aire irradi tait une mati re liquide et ont t rassur es en voyant et en touchant la maquette solide de combustible irr
350. l atteinte de nos objectifs de croissance et de prosp rit J aimerais remercier la SGDN pour sa contribution un Fonds de r serve pour le bien tre de la collectivit que nous utiliserons judicieusement conform ment nos aspirations long terme Premi re nation d English River M me si la Premi re nation d English River ne participera plus au processus de s lection d un site de la SGDN nous sommes fiers de la contribution que nous avons apport e cette discussion nationale a d clar Marie Black chef de la Premi re nation d English River L tablissement d un Fonds de r serve pour le bien tre de la collectivit offrira nos membres l occasion de travailler ensemble et de continuer difier une collectivit vigoureuse fond e sur une vision commune des valeurs traditionnelles que nous d fendons Schreiber Schreiber a hate de continuer explorer l impact que cet important projet national d infrastructure pourrait avoir sur notre collectivit et notre r gion a signal Don McArthur le maire de Schreiber Il reste encore beaucoup de travail faire et d tudes r aliser avant que nous soyons en mesure de d terminer si un d p t g ologique en profon deur pourrait s harmoniser avec notre collectivit et notre region Les r sidents de Schreiber peuvent tous tre fiers de la contribution que notre collectivit a apport e au processus de s lection d un
351. l aptitude de la SGDN difier et entretenir des relations qui permettront de soute nir et d orienter cette mise en oeuvre jusque dans un avenir loign Au cours des trois derni res ann es la SGDN a largi ses activit s d engagement pour non seulement inclure les collectivit s participant au processus de s lection d un site mais pour commencer aussi dialoguer avec les collectivit s autochtones et non autochtones des r gions environnantes En m me temps elle a continu de travailler avec des groupes tels que les organisations municipales les collectivit s et organisations autochtones les fonctionnaires du gouvernement f d ral et des gouvernements provinciaux et les jeunes La SGDN a lanc quelques nouvelles initiatives de communication dont une animation en ligne pr sentant le combustible nucl aire irradi et la GAP une exposition mobile sur le transport qui montre comment le combustible nucl aire irradi est transport de mani re s re et s curitaire au Canada et ailleurs dans le monde et des publications expliquant les principaux volets de la GAP Le programme de responsabilit sociale qui vise susciter l int r t des jeunes pour la science a ajout trois nouvelles initiatives les programmes externes de Science Nord Scientists in School et Science Ambassadors celles qu il subventionne d j Au cours des cinq prochaines ann es les activit s d engagement de la SGDN viseront consolider les rel
352. la suivante Tout le combustible nucl aire irradi du Canada est entrepos en s ret sur une base provi soire l o il est produit l int rieur d installations autoris s situ s sur les sites des r acteurs nucl aires de l Ontario du Qu bec et du Nouveau Brunswick et dans les installations d EACL au Manitoba et en Ontario Le combustible nucl aire irradi demeure radioactif pendant des centaines de milliers d ann es Le plan canadien la GAP s appuie sur les meilleures connaissances disponibles y compris les connaissances li es aux sciences naturelles aux sciences sociales et au savoir traditionnel autochtone est con u pour faire en sorte que ces substances demeurent confin es et isol es de mani re s re de la population et de l environnement pour une dur e essen tiellement ind finie Une des premi res tapes importantes de la mise en oeuvre de la GAP tait l laboration en collaboration d un processus destin choisir un site pour le d p t canadien de combustible nucl aire irradi et le centre d expertise associ Ce processus s est achev en 2010 au terme d une large consultation de la population canadienne et au mois de mai de la m me ann e la SGDN a amorc la premi re tape du processus de s lection d un site en lan ant un vaste programme visant informer les Canadiens r pondre leurs questions et les sensibiliser sur la GAP et sur le processus de s lection d un sit
353. la F d ration des nations indiennes de la Saskatchewan 11 juin 2013 e APM REP 00622 0004 rev 00 Compte rendu de la r union sur le document Mise en oeuvre du plan de gestion long terme du combustible nucl aire irradi canadien septembre 2010 Annexes Le Forum des a n s et le Niigani APM REP 0067 1 0004 Rapport sur le Forum des A n s 9 pr par par Joanne Barnaby animatrice et rapporteuse du Forum 18 20 juillet 2011 APM REP 0067 1 0005 Rapport sur le Forum des A n s 10 pr par par Joanne Barnaby animatrice et rapporteuse du Forum 8 9 novembre 2011 Bulletin d information du Nigani juin 2011 Processus de restructuration du Forum des a n s de la SGDN 2012 Conseil des a n s Mandat du Conseil des a n s mars 2012 APM REP 00676 0001 Proc s verbal du 1 Conseil des a n s juin 2012 APM REP 00676 0002 Proc s verbal du 2 Conseil des a n s pr par par Joanne Barnaby animatrice et rapporteuse du Forum novembre 2012 APM REP 00676 0003 Proc s verbal du 3 Conseil des a n s mars 2013 APM REP 00676 0004 Proc s verbal du 4 Conseil des a n s ao t 2013 APM REP 00676 0005 Proc s verbal du 5 Conseil des a n s novembre 2013 Ateliers et pr sentations 24 mars 2011 Conseil tribal des Premi res nations de Mawiw Fredericton N B Mise jour sur la GAP 13 avril 2011 Groupe de travail autochtone sur le nucl aire des Chefs de l O
354. la mise en oeuvre du programme de la GAP pour g rer 8 6 milions de grappes de combustible nucl aire irradi est de 17 9 milliards dollars de 2010 ou de 7 milliards en valeur actuelle dollars de 2010 Ce co t estimatif servira de base pour calculer le co t estimatif de tout inventaire sup rieur 3 6 millions de grappes de combustible irradi En valeur actualis e au 1 janvier 2014 le co t estimatif de la GAP est de 8 4 milliards pour les d penses engag es partir de 2014 De cette somme approximativement 7 milliards couvrent le co t estimatif du d veloppement et de la construction d un d p t du transport du combustible irradi et de l exploitation du d p t pour les 2 4 millions de grappes de combustible produites la fin de juin 2018 Le co t estimatif de 7 milliards en valeur actualis e d un d p t g ologique en profondeur pour les 2 4 millions de grappes de combustible irradi inclut la somme de 2 milliards pour le d veloppement du d p t jusqu l obtention d un permis de construction et la somme de 5 milliards laquelle couvre la construction du d p t le transport du combustible jusqu au d p t et l exploitation la fermeture et la surveillance du d p t Rapports financiers Les co ts de l entreposage provisoire sur les sites des r acteurs et de la r cup ration du combusti ble irradi entrepos ne sont pas compris dans le co t estimatif de 8 4 milliards puisque ce son
355. le Forum municipal acqu rir une meilleure compr hension des besoins et des processus des municipalit s participant au processus de s lection d un site ainsi que des collectivit s des r gions environnantes A travaill troitement avec le Conseil des a n s int grer le savoir tradition nel autochtone ses travaux A continu de renforcer ses liens avec les gouvernements f d ral et provin ciaux et renseigner les d put s sur le projet et le processus de s lection d un site A soutenu des initiatives visant nourrir l int r t des jeunes pour la science et favoriser leur participation des activit s scientifiques dont les programmes Sciences jeunesse Canada Shad Valley Science North School Outreach et Scientists in School A utilis un vaste ventail de m dias de communication pour tenir les collec tivit s et le public en g n ral inform s sur ses travaux et sur l volution du processus de s lection d un site Mettre en oeuvre en En collaboration avec les collectivit s la SGDN a continu de travailler collaboration le processus l avancement du processus de s lection d un site La SGDN de s lection d un site ene i Ay oe continu de soutenir la formation de comit s de liaison communautaires dans les collectivit s rendues l tape 3 pour faciliter l apprentissage des membres de chaque collectivit et pour fournir des conseils dans des domaines tels que les
356. le gouvernement f d ral et avec les gouvernements provinciaux et locaux des provinces nucl aires pour aider coordonner et soutenir leurs r les l gard de la mise en oeuvre de la Gestion adaptative progressive D veloppera et entretiendra des relations avec les organisations autochtones nationales provinciales et r gionales et les tiendra au courant des progr s de la mise en oeuvre de la Gestion adaptative progressive et du processus de s lection d un site Continuera de solliciter l avis des A n s et des jeunes autochtones et de cr er des occasions de sensibilisation et d apprentissage au profit du personnel de la SGDN l gard des cultures des coutumes des protocoles et de la gouvernance des peuples autochtones Continuera de b tir la base de connaissances afin d assurer que les collectivit s autochtones puissent faire des choix inform s En Apprendre davantage ensemble Rapport triennal 2011 2013 Continuera de collaborer avec les peuples autochtones touch s y compris les d positaires du savoir traditionnel autochtone dans la reconnaissance de la diversit des cultures et langues pratiques et approches propre aux collectivit s autochtones de l identification des terres sacr es de la compr hension des lois des pratiques et de l utilisation de la terre ancestrales de la protec
357. le justifient des forages profonds et des analyses des carottes rocheuses for es Les membres de la collectivit et la population de la r gion seront engag s participer au choix parmi les secteurs potentiels de sites socialement acceptables Les valuations environnementales et de s ret se concentreront sur des secteurs pr cis en tenant compte de la volont de la collectivit int ress e des peuples autochtones et des collectivit s voisines Des tudes sur le terrain et des discussions avec la collectivit locale et les peuples autochtones seront requises pour bien saisir les caract ris tiques environnementales de ces secteurs potentiels d limit s Les itin raires et modes de transport potentiels relatifs chaque site seront d termin s en fonction de crit res techniques de s ret La planification du transport et les valuations connexes devront galement tenir compte de lavis de la collectivit La conception technique du d p t g ologique en profondeur l valuation de la s ret l valuation du transport et l valuation environnementale se d velopperont et s affineront au cours de la Phase 2 en fonction des sites l tude L objectif sera de d terminer si tous les crit res techniques et de s ret peuvent tre respect s Les activit s de dialogue au sein de la collectivit des Premi res nations et des peuples m tis et des collectivit s voisines s intensifieront pour parvenir une
358. lectivit s respectives Les principaux points discut s sont d crits ci dessous et donnent une id e de la fa on dont les r sidents des collectivit s int ress es ont poursuivi leur apprentissage ont acquis une meilleure compr hension du projet ont engag des conversations et ont r fl chi l aptitude du projet s harmoniser aux objectifs que la collectivit souhaite atteindre long terme Ce que nous avons entendu sur la mise en oeuvre de la Gestion adaptative progressive Consid rations locales risques et possibilit s Plusieurs commentaires et questions concernaient la g ologie locale Les r sidents souhaitaient savoir ce que r v laient les tudes de la SGDN ce sujet Ils voulaient savoir quelle profondeur se situait la couche profonde de granite si la r gion tait active sur le plan sismique et comment l aptitude potentielle des formations rocheuses locales se comparait celle des autres collectivit s partici pant au processus de s lection d un site La question des terres a galement soulev des inter rogations et des pr occupations Les gens voulaient savoir comment les terres n cessaires la construction du d p t seraient acquises Ils voulaient qu on leur garan tisse que la municipalit ou la SGDN n exproprieraient pas de terres pour r aliser le projet mais que les terres seraient plut t acquises par le biais de n gociations avec leurs propri taires lesquels seraient ad quat
359. lementaires et consultatifs ayant un lien avec la quantit et le type de combustible nucl aire irradi qui devra tre g r 2 Pour d autres informations sur cette question voir les rapports du Conseil consultatif www nwmo ca uploads_managed MediaFiles 1 172_rapport dtudefinal pdf et www nwmo ca uploads_managed MediaFiles 1720_rapporttriennal20082010 pdf et le Cadre thique et social tabli en 2005 par la Table ronde des experts en thique www nwmo ca cadreethiqueetsocial 3 3 Taille physique du d p t La description du projet dans Mise en oeuvre de la Gestion adaptative progressive 2014 2018 fournit quelques indications sur la taille pr vue du d p t et des installations connexes Comme il a t not plus haut le volume exact de combustible irradi qui sera stock dans le d p t n est pas connu Le Conseil reconna t que ce volume d pendra de la quantit de grappes de combus tible g rer et que cette question est difficile et proba blement litigieuse compte tenu des diff rents facteurs en 3 4 Int grit environnementale Une des valeurs identifi es par les Canadiens au cours de la phase d tude tait l int grit environnementale assurer le maintien de l int grit environnementale long terme la section Gouvernance et reddition de comptes de la version pr liminaire du document Mise en oeuvre de la Gestion adaptative progressive 2014 2018 la SGDN note qu en 2012 la Soci t
360. les domaines suivants notamment sont document s dans une s rie de rapports annuels qui peuvent tre consult s l adresse www nwmo ca technicalresearch e La mise au point du conteneur de combustible irradi e La mod lisation et l tude exp rimentale de la corro sion du cuivre e Les propri t s et les comportements des mat riaux de scellement e La caract risation et les instruments et m thodes de surveillance de la masse rocheuse e La mise au point de la conception du d p t e La mod lisation des changements climatiques en vue de l valuation des d p ts g ologiques en profondeur e La mod lisation de l coulement et du transport des eaux souterraines r gionales e Les tudes d valuation de la s ret post fermeture et l laboration d un mod le de s ret La coop ration et l change d informations l chelle inter nationale sont favoris s par des ententes conclues entre la SGDN et ses homologues en Finlande en Su de en Suisse en France et depuis 2013 au Royaume Uni 2013 Les valuations pr liminaires de la Phase 1 tape 3 sont compl t es dans huit collectivit s Le plan canadien Comment nous en sommes arriv s l Travailler ensemble l labo ration d un plan canadien La LDCN exigeait que les producteurs canadiens d lectricit d origine nucl aire Ontario Power Generation OPG Energie Nouveau Brunswick et Hydro Qu bec tablissent un
361. les collectivit s des Premi res nations et les collec tivit s m tisses des r gions entourant les collectivit s h tes potentielles En travaillant aupr s des collectivit s autochtones potentiellement touch es la SGDN cherche compren dre la nature des incidences que pourrait avoir la mise en oeuvre de la GAP sur les droits les trait s et les revendi cations autochtones De plus la SGDN souhaite tirer des enseignements des collectivit s et commencer saisir leurs objectifs et leurs aspirations concernant ce projet ainsi que ses r percussions potentielles sur leurs collec tivit s dans le cas o l installation y serait construite Les objectifs et les aspirations de chaque collectivit autoch tone sont aussi uniques que son histoire sa culture et ses modes de vie traditionnels ou contemporains De 2011 2018 la SGDN a entrepris de prendre contact avec toutes les collectivit s autochtones et m tisses des r gions entourant les collectivit s h tes potentielles Au cours de cette p riode elle a relev 80 collectivit s avec lesquelles elle a pris contact D autres d tails sont fournis au chapitre 6 2 Mise en oeuvre en collaboration du processus de s lection d un site En 2018 la SGDN a invit les collectivit s autoch tones fournir leur propre r cit sur des sujets tels que leurs priorit s en mati re d am nagement du territoire et la vision pr sente et future qu elles peuvent avoir d elles
362. les sont ax es sur des tudes de bureau et des activit s d engagement de la collectivit Faisant suite l valuation de pr s lection men e Etape 2 du processus de s lection d un site les tudes scientifiques et techniques r alis es ce stade servent explorer plus avant la possibilit de r pondre aux exigences de s ret et cibler avec plus de pr cision les secteurs potentiellement propices l tablissement du d p t En m me temps le personnel de la SGDN appuy par des sous traitants experts dans le domaine travaille avec les autorit s responsables de la collectivit r unir des informations sur les conditions sociales conomiques et culturelles de la collectivit ainsi que sur ses objectifs et ses d fis long terme Ces informations aident tablir une base de discussion avec la collectivit pour explorer les effets potentiels du projet sur la collectivit et pour aider d terminer initiale ment les plans qui devraient tre labor s pour mettre en oeuvre le projet de fa on favoriser le bien tre de la collectivit Les valuations pr liminaires de la Phase 1 offrent galement l occasion de renforcer les relations entre les collectivit s en situation d apprentissage et les autres collectivit s autochtones et non autochtones de la r gion Ces partenariats jouent un r le de premier plan dans la mise en oeuvre de la GAP Comit s de liaison communautaires Les collectivit
363. li en mai 2010 et disponible sur le site Web de la SGDN au www nwmo ca Le processus est le fruit de deux ann es de dialogue avec les Canadiens et est con u pour guider le choix d une collectivit h te inform e et consentante Le processus de s lection d un site comprend neuf tapes dont les premi res portent sur les collectivit s se renseignant sur le projet et dont les derni res tapes portent sur la construction et l exploitation Le processus est con u pour tre dirig par l int r t des collectivit s Fera en sorte que les fonds n cessaires la gestion long terme s re du combustible nucl aire irradi canadien soient disponibles Adaptera les plans de gestion du combustible nucl aire irradi pour tenir compte des nouvelles connaissances des meilleures pratiques internationales des progr s techniques des perspectives mises en lumi re par le savoir traditionnel autochtone des nouvelles attentes et Valeurs soci tales ainsi que des changements dans les politiques publiques Maintiendra une structure de gouvernance responsable qui permettra au public canadien d avoir confiance dans les travaux de la SGDN Continuera d riger et de maintenir une organisation efficace qui aura les capacit s sociales environnementales techniques et financi res requises pour g rer long terme le combustible nucl aire irradi canadien de mani re s re Mise en oeuvre de la Gestion adaptative pro
364. lit de retirer le combustible nucl aire irradi de l endroit o on l a mis La r cup rabilit est un l ment important de la Gestion adaptative progressive et a t incorpor e sous la direction des Canadiens Elle fait partie d une approche de gestion des risques pour permettre de prendre des mesures correctives si le d p t ne fonctionne pas comme pr vu ou pour tirer profit des nouvelles technologies qui pourraient survenir dans le futur par exemple les technologies qui pourraient r duire les risques associ s au combustible nucl aire irradi sur le long terme S ret protection des individus de la soci t et de l environnement contre les effets dommageables ou dangereux du combustible nucl aire irradi maintenant et pour l avenir Mise en oeuvre de la Gestion adaptative progressive 2014 a 2018 Annexes Pour plus de renseignements veuillez contacter Soci t de gestion des d chets nucl aires Lisa Frizzell Directrice des affaires g n rales T l 647 259 3012 T l c 647 259 3692 Courriel contactus nwmo ca 22 avenue St Clair Est 6 tage Toronto Ontario MAT 2S3 Canada T l 416 934 9814 Sans frais 1 866 249 6966 www nwmo ca Apprendre davantage ensemble Rapport triennal 2011 2013 nwWwmoO NUCLEAR WASTE SOCI T DE GESTION MANAGEMENT DES D CHETS ORGANIZATION NUCL AIRES Liste des activit s d engagement et de recherche 2011 2013 Apprendre davantage
365. llectivit peut il tre am lior si elle est choisie pour la mise en oeuvre du projet e Est il probable que des pressions sociales ou conomiques aient tre prises en compte Ces pressions peuvent elles tre g r es avec succ s Les r sultats des huit premi res valuations de la Phase 1 peuvent tre consult s au www nwmo ca sitingoprocess_phase1 Reconnaissance du leadership des collectivit s L ach vement des huit premi res valuations pr limi naires de la Phase 1 a constitu une tape importante du processus de s lection d un site Par leur engage ment pluriannuel les huit collectivit s participantes ont fait avancer la mise en oeuvre du plan canadien de gestion long terme s re du combustible nucl aire irradi Chacune d elles a contribu faire comprendre le projet orienter et organiser les activit s d engagement et promouvoir la participation active des citoyens En reconnaissance de cette contribution importante au processus la SGDN a fournit une aide de 400 000 chacune des huit collectivit s d s l tablissement par chacune d elles d un Fonds de r serve pour le bien tre de la collectivit Administr s par les collectivit s ces fonds auront pour but de soutenir les efforts visant promouvoir la viabilit et le bien tre de ces collectivit s Ils pourraient par exemple servir soutenir des projets des programmes ou des services qui profiteraient a
366. llectivit s situ es le long des itin raires de transport seront elles consult es e Le public sera t il au courant des itin raires de trans port qui seront d termin s une fois qu une collec tivit h te consentant accueillir le d p t aura t choisie Les discussions sur le transport ont t soutenues par une remorque de d monstration et un module d exposition sp cialement con us cet effet Ils ont commenc faire le tour d un certain nombre de collectivit s au printemps de 2013 La remorque qui comprend une plateforme d observation int gr e pr sente un colis de transport du combustible irradi CTCI homologu soit un conteneur en acier inoxydable pesant pr s de 35 tonnes con u pour transporter jusqu 192 grappes de combustible irradi sur un camion de transport Cette exposition mobile qui pr sente notamment le limiteur d impact de 1400 kilogrammes a pour but de montrer le type de mesures de s ret redondantes qui seront employ es lors du transport du combustible nucl aire irradi au Canada Pr sent e pour la premi re fois une s rie de congr s municipaux et dans le cadre de visites dans les collec tivit s l exposition a suscit des r actions favorables de la part des visiteurs et a aliment plusieurs discussions approfondies sur la s curit du combustible nucl aire irradi Les gens ont t impressionn s par la taille et la solidit du CTC ainsi que par les vid o
367. lles explorent entre autres les questions suivantes e Les caract ristiques de la roche du site sont elles aptes assurer le confinement et l isole ment long terme du combustible nucl aire irradi de la population de l environnement ainsi que des perturbations de surface caus es par l activit humaine et les v nements naturels e La formation rocheuse est elle g ologiquement stable et est il vraisemblable qu elle le demeure tr s long terme de sorte que le d p t ne puisse tre perturb de fa on appr cia ble par des processus g ologiques et changements climatiques tels que les s ismes et les cycles glaciaires e Ses caract ristiques se pr tent elles la construction l exploitation et la fermeture s res du d p t e L intrusion humaine future par exemple par l exploration ou l exploitation mini re est elle peu probable e l tude et la description des conditions g ologiques sont elles praticables une chelle suffisante pour en d montrer la s ret long terme e Est il possible de d terminer un itin raire par lequel le combustible nucl aire irradi pourra tre achemin de mani re s re et s curitaire depuis les installations o il est actuellement entrepos En 2011 la SGDN a tabli un Groupe d examen g oscientifique de la GAP compos de cinq membres ayant pour mandat de fournir des avis et des conseils sur l approche les m thodes et les constats des valuations g
368. logue au cours d une p riode de deux ans afin d laborer le processus de s lection d un site La Gestion adaptative progressive Confinement et isolement du combustible Possibilit d un entreposage provisoire faible profon nucl aire irradi dans un d p t g ologique en profon deur sur le site central au besoin deur centralis situ dans une formation rocheuse Intendance long terme assur e par une surveillance appropri e en continu du combustible irradi Une s rie d tapes et de d cisions claires qui peuvent Possibilit de r cup rer le combustible irradi pendant tre adapt es au besoin au fil du temps une p riode prolong e au cas o il deviendrait n ces Un processus de s lection d un site ouvert inclusif et saire d y avoir acc s ou de tirer profit de nouvelles quitable permettant de choisir une collectivit h te technologies qui soit inform e et consentante Garanties financi res et financement long terme L occasion pour la population et les collectivit s de du programme afin que les sommes n cessaires participer chaque tape du processus de mise en la gestion du combustible nucl aire irradi soient oeuvre disponibles au moment voulu 8 Lentreposage provisoire faible profondeur sur le site du d p t g ologique en profondeur est facultatif et ne fait pas actuellement partie du plan de mise en oeuvre de la SGDN Apprendre davantage ensemble Rappo
369. ls d usage courant qui ont t contamin s par une radioactivit de faible intensit pendant les activit s de nettoyage et d entretien dans les centrales nucl aires Les d chets de faible activit incluent les vadrouilles torchons essuie tout couvre planchers temporaires balayures v tements de protection et autres mat riels comme les outils Ces objets sont faits de papier plastique m tal caoutchouc coton et autres mat riaux Les d chets de faible activit peuvent tre manipul s de fa on s curitaire en employant les m thodes et quipements industriels habituels sans protection sp ciale contre les rayonnements D chets nucl aires de moyenne activit consistent principalement en des composants us s du coeur des r acteurs ainsi que des r sines et filtres employ s pour purifier l eau des syst mes Ils n cessitent l utilisation par les travailleurs d quipements de protection lors de leur manutention Les d chets de moyenne activit sont principalement entrepos s dans des conteneurs de b ton rev tus d acier ins r s dans le sol D p t g ologique en profondeur une installation pour le stockage profond ment sous terre du combustible nucl aire irradi o des barri res tant naturelles qu ouvrag es le confinent et l isolent des humains et de l environnement Sa conception peut permettre le retrait du combustible nucl aire irradi Gestion a long terme du combustible nucl aire ir
370. luations de la s ret post fermeture pour un d p t en roche cristalline ou en roche s dimentaire et les pr senter la Commission canadienne de s ret nucl aire pour en discuter en pr vision du processus d autorisation L engagement public et la recherche sociale se poursuivront tout au long de la p riode de planification Nous continuerons d assurer une gouvernance solide et le financement requis L investissement dans le personnel et les comp tences propices au succ s et la continuit demeurera une priorit Les jalons cl s de la prochaine p riode quinquennale de planification comprennent Compl ter des valuations pr liminaires de bureau pour les collectivit s ayant r ussies l valuation de pr s lection et qui choisissent de proc der la prochaine tape dans le processus de s lection d un site Faire participer les collectivit s voisines et les peuples autochtones apprendre davantage sur le projet et le consid rer D apr s les r sultats de ces travaux identifier les collectivit s particuli rement susceptibles d tre aptes accueillir le projet pour passer la prochaine phase des travaux qui comprennent des tudes pr liminaires sur le terrain et la participation des peuples autoch tones et des collectivit s voisines afin d tablir une fondation pour proc der la mise en oeuvre du projet ensemble Entreprendre ces travaux en collaboration avec les collect
371. m ment aux meilleures pratiques La SGDN continuera aussi d engager les Canadiens participer concr tement ces activit s Pour s assurer que les ressources seront disponibles au moment voulu pour g rer les besoins en information et en acquisition de connaissances la SGDN a identifi quelques jalons pour la prochaine p riode quinquennale de planification Ces jalons comprennent Compl ter des valuations pr liminaires de bureau pour les collectivit s ayant r ussies l valuation de pr s lection et qui choisissent de proc der la prochaine tape dans le processus de s lection d un site pour proc der la prochaine phase des travaux laquelle comprend des tudes pr liminaires sur le terrain et la participation des collectivit s voisines et des peuples autochtones au processus en vue d tablir une collaboration la mise en oeuvre du projet Entreprendre ces travaux en collaboration avec les collectivit s concern es La s lection d un site pour le projet de la Gestion adaptative progressive est con ue de fa on ce qu elle soit un processus dirig par les collectivit s dans lequel les collectivit s potentiellement int ress es d cident de collaborer avec la SGDN pour en apprendre davantage et explorer leur aptitude potentielle accueillir le projet Les progr s accomplis travers le processus de s lection d un site volueront par cons quent sur un ch ancier d fini par les collecti
372. m mes Ces r cits aideront la SGDN orienter ses travaux lorsqu elle commencera approcher plus syst ma tiquement les collectivit s autochtones potentiellement touch es Lorsque possible les collectivit s autochtones voisines ont t invit es participer des journ es portes ouvertes organis es par la SGDN et y rencontrer la Soci t et les dirigeants des collectivit s h tes potentielles Pendant que la SGDN d veloppait de nouvelles relations avec les collectivit s autochtones potentielle ment touch es elle a continu d entretenir et de renforcer ses liens avec les organisations autochtones nationales provinciales et r gionales Ces organisations ont contribu guider la SGDN dans la fa on d aborder leurs membres Leurs ententes avec la SGDN ont pour but de soutenir une large participation des Autochtones le renforcement de leurs capacit s et l change d informations chaque stade de la mise en oeuvre de la GAP Chacune des ententes sign es refl te les besoins les priorit s et les protocoles culturels et politiques uniques chacune de ces organisa tions autochtones La SGDN a emprunt une grande diversit de moyens pour approcher les peuples autochtones dont des s ances d information des ateliers la participation des foires commerciales autochtones et la rencontre d ain s et de chefs ainsi que de leaders et de citoyens m tis Plusieurs organisations des Premi res nations ont invit
373. mbre 2013 Association m tisse de Jackfish Schreiber Ont S ance d information sur l annonce faite par la SGDN au sujet des collectivit s qui passent la Phase 2 de l tape 3 21 novembre 2013 Forum des chefs r gionaux du Nord Est du lac Sup rieur S ance d information sur l annonce faite par la SGDN au sujet des collec tivit s qui passent la Phase 2 de l tape 3 21 novembre 2013 Premi re nation de Wabigoon Lake Ont S ance d information sur l annonce faite par la SGDN au sujet des collectivit s qui passent a la Phase 2 de l tape 3 21 novembre 2013 Premi re nation de Hornepayne S ance d information sur l annonce faite par la SGDN au sujet des collectivit s qui passent la Phase 2 de l tape 3 21 novembre 2013 Nation nishnawbe aski S ance d information sur l annonce faite par la SGDN au sujet des collectivit s qui passent la Foires commerciales Assembl e nationale 2011 de l APN Moncton N B Assembl e g n rale annuelle 2011 de la Nation m tisse de l Ontario Parry Sound Ont Assembl e g n rale annuelle 2012 de la Nation m tisse de l Ontario Sault Ste Marie Ont Assembl e g n rale annuelle 2012 de l Assembl e des Premi res Nations Toronto Ont Assembl e sp ciale 2012 des chefs de l Assembl e des Premi res Nations Gatineau Qc Congr s 2013 de l Association des agents financiers autochtones Toronto Ont Plans de
374. mbreuses ann es sur les sites des r acteurs o le combustible irradi est refroidi avant d tre plac en s ret dans des installations d entreposage provisoires L approche choisie par le Canada pour g rer long terme ce combustible le confinement et l isolement au sein d un d p t g ologique en profondeur construit dans une formation rocheuse appropri e est appuy e par plus de 30 ann es de recherche de d veloppement et de d monstration de technologies et de techniques au Canada aux tats Unis en Suisse en Su de en France au Royaume Uni et ailleurs Des d p ts de divers types de d chets radioactifs ont t construits et sont exploit s de par le monde En 1978 les gouvernements du Canada et de l Ontario ont institu le Programme canadien de gestion des d chets de combustible nucl aire pour tudier et d velopper les technologies d entreposage de transport et de stockage permanent du combustible nucl aire irradi canadien Subs quemment en 1989 la Commission d valuation environnementale du concept de gestion et de stockage des d chets de combustible nucl aire a amorc une p riode longue et intense de d lib rations Cette commission pr sid e par Blair Seaborn avait pour mandat de r aliser une valuation environnementale d une proposition de stockage g ologique en profondeur pr sent e par nergie atomique du Canada limit e ACL En 1998 la Commission Seaborn a donn son avis et des
375. mbustible depuis les sites des r acteurs jusqu un d p t g ologique en profondeur et passant n cessaire ment par un certain nombre de collectivit s Des questions concernant les itin raires et modes de transport p ex par train camion etc envisag s taient fr quentes et anticipaient les d cisions qui devront tre prises un jour concernant le choix d un site Pendant ce temps les r sidents des collectivit s h tes potentielles et ceux des collectivit s situ es le long des itin raires possibles de transport voulaient qu il leur soit confirm que les colis de transport seront achemin s de mani re s re depuis les installations nucl aires existantes jusqu la collectivit h te Les r sidents des collectivit s participant au processus de s lection d un site voulaient particuli rement savoir comment la SGDN pr voyait acheminer le combustible nucl aire irradi des sites des r acteurs au d p t Voici certains des questions qui ont t pos es cet gard e Quel mode ou quels modes de transport camion train ou bateau seraient utilis s e De nouvelles routes seront elles requises Qui paierait pour leur construction Quels types de rev tements seraient envisag s e Combien de temps faudra t il pour acheminer tout le combustible irradi au d p t e Combien d exp ditions seront n cessaires Combien d exp ditions devront tre effectu es chaque semaine e Comment et quand les co
376. mbustible nucl aire irradi suppl mentaires dont les caract ristiques seraient potentiellement diff rentes si de nouveaux types de combustible taient utilis s La SGDN s est dot e d un processus pour constamment suivre valuer et discuter des implications potentielles de ces changements sur les quantit s et les caract ristiques du combustible nucl aire irradi qu elle pourrait tre appel e g rer dans le futur On pr voit qu au cours de ce quinquennat les projets de construction de nouvelles centrales par l industrie pourraient amener la SGDN devoir d montrer sa compr hension de la gestion de divers types et d un volume additionnel de combustible nucl aire irradi et de son tat de pr paration relativement ces nouvelles donn es La SGDN travaillera troitement avec les propri taires de d chets pour se tenir au courant des plans de construction La SGDN collaborera avec l industrie pour changer des plans les meilleures pratiques et l exp rience acquise dans la gestion de diff rents types de d chets radioactifs au Canada Comme par les ann es pass es la SGDN continuera de surveiller de pr s tout ce qui concerne l volution technologique du retraitement du combustible nucl aire irradi La SGDN continuera d engager les Canadiens pour s assurer qu elle respecte leurs valeurs et attentes Apprendre davantage ensemble Rapport triennal 2011 2013 Apprentissage continu L une de
377. me du soutien apport au projet de d p t g ologique en profondeur d Ontario Power Generation pour d chets de faible et moyenne activit 2014 2018 Au cours des cinq prochaines ann es la SGDN continuera de soutenir Ontario Power Generation OPG dans ses efforts pour obtenir les approbations r glementaires requi ses et se pr parer en vue de la mise en oeuvre de son projet propos de construction d un d p t g ologique en profondeur d di la gestion long terme s re des d chets de faible et moyenne activit DFMA Ce soutien comprend la gestion de la phase des approbations r gle mentaires a laquelle la SGDN travaille depuis 2009 en vertu d un contrat conclu avec OPG Une d cision concer nant la demande des permis de pr paration du site et de construction des installations devrait tre prise en 2014 La SGDN poursuivra ses activit s de pr paration des phases de conception et de construction de l installation lesquelles ont fait l objet d une seconde entente conclue en f vrier 2011 et seront compl t es sous r serve de l obtention des approbations r glementaires requises Les objectifs court terme de ces travaux comprennent la d finition des t ches de gouvernance pour l ex cution du projet la gestion de la collecte de donn es brutes de surveillance environnementale et la pr paration des lots de pr qualification et d approvisionnement contractuels Sous r serve des permis de
378. mentaires seront respect es a toutes les tapes pr c dentes du processus de s lection d un site La documentation produite dans le cadre des tapes pr c dentes ainsi que toute autre documentation requise pour une demande de permis seront examin es officiellement par les autorit s r glementaires cette tape dans le cadre d une valuation environnementale et si cette valuation est compl t e avec succ s alors dans le cadre d audiences reli es la demande de permis pour la pr paration du site et la construction possible des installations associ es au projet Divers aspects du transport du combustible nucl aire irradi devront galement tre approuv s par les autorit s r glementaires tape 8 La construction et l exploitation d une installation souterraine de d monstration d marrent La SGDN mettra sur pied le centre d expertise dont le d veloppement aura t lanc l tape 4 pour inclure et soutenir la construction et l exploitation d une installation souterraine de d monstration destin e confirmer les caract ristiques du site avant de pr parer la demande du permis d exploitation aux autorit s r glementaires Con u en concertation avec la collectivit le centre d expertise deviendra un carrefour canadien et international de partage des connaissances tape Q Construction et exploitation de l installation La SGDN d marre la construction du d p t g ologique en profon deur et des ins
379. ments la formule de finance pris en consid ration dans l laboration ment applicables aux nouveaux propri taires de toute nouvelle formule de financement de nouveaux r acteurs pourraient diff rer propos e pour tenir compte des nouveaux des changements applicables aux nouveaux propri taires et des nouveaux r acteurs r acteurs appartenant des propri taires 3 Les caract ristiques de tout nouveau type actuels de combustible doivent tre prises en La SGDN a propos d appliquer les principes ci dessus aux circonstances propres aux nouveaux propri taires et aux nouveaux r acteurs au moment o elles surviendront Contributions vers es aux fonds en fiducie de 2009 2013 conform ment aux exigences de la LDCN alin a 16 2 e Depuis 2002 les propri taires de combustible nucl aire irradi versent des contributions annuelles aux fonds en fiducie de la LDCN Le tableau suivant pr sente les contributions vers es par chaque propri taire de d chets Contributions aux fonds en fiducie de la LDCN Versements aux fonds en fiducie Propri taire millions 153 OPG 9 HQ 2009 14 _ _ NNB Les contributions de 2 ACL 2009 incluent les a 178 Total sommes addition nelles requises pour 2008 conform ment a la formule de finance ment approuv e en avril 2009 136 OPG ENNB 2010 ae 2 EACL 149 Total D 139 OPG 7 HQ 5 NNB 2011 o 2 ACL 2 ACL 153 To
380. min e par l exploration des domaines de la s ret et du bien tre de la collectivit d crits la pr c dente section Les constats se rapportant chacune des collec tivit s ont t pr sent s par le biais d une s rie de rapports d valuation portant sur des aspects particuliers d tude et r sum s au sein d un Rapport d valuation pr liminaire qui r unit en un seul document les constats des valuations de port e plus pr cise Les constats de ces valuations sont r sum s dans les paragraphes qui suivent Les tudes ont r v l que les huit collectivit s taient susceptibles de r pondre aux exigences de s ret se rapportant aux domaines de l ing nierie du transport et de l environnement et de la s curit Elles ont galement r v l que les huit collectivit s taient relativement susceptibles de r pondre aux exigences du projet en ce qui concerne l aptitude g oscientifique une exigence prioritaire de s ret et les consid rations sociales conomiques et culturelles Cependant des diff rences importantes observ es entre les collectivit s ont influenc la d cision de la SGDN quant au choix des collectivit s devant faire l objet d tudes plus d taill es Des diff rences ont t not es par rapport aux caract ristiques g oscientifiques des collec tivit s et des r gions y compris par rapport au milieu g ologique et l histoire structurale et aux complexit s et aux incertitudes s
381. mise en oeuvre Apprendre davantage ensemble Rapport triennal 2011 2013 Phase 2 de I Etape 3 27 novembre 2013 Premi re nation de Pays Plat S ance d information sur l annonce faite par la SGDN au sujet des collectivit s qui passent la Phase 2 de I Etape 3 28 novembre 2013 Premi re nation ojibway de Pic River Heron Bay Ont S ance d information 3 d cembre 2013 Village nordique de Cumberland House Toronto Ont Visite et s ance d information En savoir plus Installation de gestion de d chets de Pickering 10 d cembre 2013 Commission des femmes du grand conseil de Prince Albert Toronto Ont Visite et s ance d information En savoir plus Installation de gestion de d chets de Darlington 11 d cembre 2013 Premi re nation de Serpent River Ottawa Ont Mise a jour sur le projet 19 d cembre 2013 Association des trappeurs du nord de la Saskatchewan Prince Albert Sask Mise a jour Forum Embrace Life 2013 de la Nation nishnawbe aski Thunder Bay Ont Conf rence 2013 sur le d veloppement conomique de Wikwemikong GreenX2 Conf rence Energie et d veloppement durable Sudbury Ont Conf rence 2013 sur l exploitation mini re la Nation nishnawbe aski Timmins Ont Conf rence 2013 sur l exploitation mini re Fort William Premi re nation de Fort William Ont Semaine 2013 de sensibilisation culturelle de Pays Plat Premi re nation de Pay
382. mme un d fi Les questions et les pr occupations des collectivit s voisines doivent tre ad quatement prises en compte et les avantages pour elles doivent tre d montr s Des commentaires ont soulign l importance de faire participer les collectivit s de la r gion entourant chacune des collectivit s int ress es et le d fi que repr sentent cette exigence et le fait de devoir d montrer que les avantages l emportent sur les risques et que tous les risques seront g r s de mani re ad quate L importance de faire participer les jeunes a continu d tre relev e compte tenu de la p riode tr s longue au cours de laquelle la GAP sera mise en oeuvre et la n ces sit de transmettre les connaissances d une g n ration la suivante L importance d obtenir la participation des jeunes des Premi res nations et des peuples m tis a en particulier t soulign e Garantir le plein financement du projet Des commen taires ont soulign la n cessit de continuer de faire en sorte que la mise en oeuvre du plan canadien soit ad qua tement financ e par les propri taires des d chets Continuer de prendre en consid ration les tr s longs ch anciers en cause Des commentaires ont soulign que les tr s longs ch anciers associ s la mise en oeuvre du processus de s lection d un site la GAP et la gestion long terme du combustible nucl aire irradi en g n ral posent un d fi court terme par rappo
383. mmunautaires et bureaux communautaires au 31 d cembre 2013 La SGDN a travaill avec le comit de liaison communautaire de chaque collectivit pour l aider coordonner les activit s d apprentissage au sein de la collectivit et pour collaborer dans la mesure du possible aux tudes des valuations pr liminaires Cela s est traduit par la participation des r unions mensuelles Les dates les ordres du jour et les proc s verbaux de ces r unions sont affich s sur le site Web de chaque comit de liaison La SGDN a galement tabli dans chaque collectivit un bureau communautaire les heures d ouverture bien en vue afin d assurer une pr sence soutenue au sein de la collectivit Comit s de liaison communautaires Sites Web des c Comit de liaison communautaire de Blind River Comit de liaison communautaire de Creighton Comit communautaire d Ear Falls sur les d chets nucl aires Comit de liaison communautaire d Elliot Lake Comit de liaison communautaire de la Premi re nation d English River Comit de liaison communautaire de Hornepayne sur les d chets nucl aires Comit consultatif communautaire de Huron Kinloss sur les d chets nucl aires Comit de liaison communautaire nucl aire d Ignace Comit de liaison communautaire de Pinehouse Comit de liaison communautaire de Schreiber Comit de liaison communautaire de Blind River www clcinfo ca blindriver Comit de liaison communautaire
384. mporelle de la valeur du dollar Le passif futur repr sente le co t diff rentiel du transfert vers le d p t de l agrandissement des installations et des co ts additionnels reli s l exploitation et la surveillance pour toutes les grappes de combustible irradi qui seront produites chaque ann e Chaque grappe de combusti ble irradi future co tera la m me somme en valeur actuelle compte tenu de l volution temporelle de la valeur du dollar Les sommes verser aux fonds en fiducie en 2014 sont pr sent es au tableau suivant Contributions totales aux fonds en fiducie Ann e 2014 Soldes des fonds en fiducie millions OPG 2 668 HQ 105 NNB 104 ACL 42 as Total 2 919 D cembre 2013 Contributions aux fonds en fiducie grappes engag es et futures millions 161 OPG 9 HQ 6 NNB 2 ACL 178 Total 2014 Les versements annuels aux fonds en fiducie doivent se faire au plus tard 30 jours apr s la pr sentation du Rapport annuel Une date de versement du 30 avril est suppos e des fins d illustration Rapports financiers Annexe 1 tat des garanties financi res Propri taires de combustible irradi Ontario Power Generation Inc Le 31 juillet 2003 OPG pr sentait la CCSN une Garantie financi re pour le d classement laquelle incluait une garantie reli e la gestion long terme du combustible irradi r sultant du fonctionne ment des c
385. n reuse est utilis e Analyse d incertitudes Couvrir les v nements raisonnablement pr visibles et impr vus une r serve pour ventualit s est incluse dans les pr visions de co ts quit interg n rationnelle Les fonds seront recueillis au cours de la vie conomique pr vue des r acteurs nucl aires qui produisent les grappes de combustible irradi Croissance des fonds Des hypoth ses raisonnables sont utilis es pour valuer la croissance r elle des fonds requis pour la gestion long terme du combustible irradi La formule de financement bas e en partie sur les projections de production de combustible irradi par chaque propri taire de d chets attribue chaque soci t sa part de responsabilit pour le co t total estimatif Elle pr cise les contributions que chaque propri taire de d chets nucl aires doit verser aux fonds en fiducie en vertu de sa part du co t total estimatif La formule de finance ment a t approuv e par le ministre des Ressources naturelles en avril 2009 Partage des co ts Le partage des co ts absorb s par la SGDN s est fait initialement d apr s le nombre de grappes de combustible produites jusqu au 30 juin 2006 et a t ajust pour tenir compte du d but pr vu du transfert du combustible irradi vers le d p t Pour OPG on pr voit que ce transfert commencera en 2035 Pour HQ NNB et EACL le transfert est pr vu d buter en 2050 Les pourcentages r sult
386. n savoir plus sur le processus de s lection d un site Pour aider les collectivit s se renseigner sur le projet l quipe responsable des communications la SGDN a galement aid les CLC mettre sur pied des sites Web et des bulletins d information pour communiquer avec les r sidents Ce travail a t entrepris en 2012 et s est poursuivi en 2013 On peut acc der au site Web de chaque comit en visitant la page www cicinfo ca Les employ s de la SGDN et leurs familles ont poursuivi leur tradition d offrir b n volement leur savoir faire pour soutenir l apprentissage scientifique des jeunes En 2018 par exemple des employ s de la SGDN et leurs familles ont fait office de juges pour l Expo sciences de Toronto qui a eu lieu l Universit de Toronto Scarborough Le programme de l Expo science de Toronto encourage les l ves de la maternelle la 12 ann e entreprendre de v ritables recherches scientifiques et innovations technologiques P f TORONTO ffiliated Regional Science Fair P po sciences r gionale affili e CWSF FESPC Apprendre davantage ensemble Rapport triennal 2011 2013 Redonner nos collectivit s Depuis sa cr ation en 2002 la SGDN a constamment encourag et soutenu ses employ s qui cherchent contribuer leurs collectivit s La SGDN participe annuellement des v nements associ s aux initiatives Strong Kids Movember et
387. n Elderslie 2012 Schreiber 201 1 White River 2012 Hornepayne 2011 Blind River 2012 Wawa 2011 Elliot Lake 2012 Nipigon 201 1 The North Shore 2012 Brockton 2012 Spanish 2012 Saugeen Shores 2012 Manitouwadge 2012 Huron Kinloss 2012 Central Huron 2012 South Bruce 2012 Apprendre davantage ensemble Rapport triennal 2011 2013 Bulletins d information H Nouvelles de la SGDN Vol 9 n 1 Juin 2011 Nouvelles de la SGDN Vol 10 n 1 Janvier 2012 Nouvelles de la SGDN Vol 10 n 2 Mars 2012 Nouvelles de la SGDN Vol 10 n 3 Juin 2012 Nouvelles de la SGDN Vol 10 n 4 Octobre 2012 Nouvelles de la SGDN Vol 11 n 1 Hiver 2013 Nouvelles de la SGDN Vol 11 n 2 Printemps t 2013 Nouvelles de la SGDN Vol 11 n 3 Et automne 2013 Nouvelles de la SGDN Vol 11 n 4 Automne hiver 2013 Rapports techniques Le programme de recherche technique soutient la mise en oeuvre de la GAP notamment par le perfectionnement et la mise au point des mod les conceptuels g n riques et des dossiers de s ret pour un d p t de combustible nucl aire irradi en formation de roche cristalline et en formation de roche s dimentaire Les r sultats de ces travaux ont t publi s et sont accessibles sur le site Web de la SGDN Voici une liste des rapports techniques publi s par la SGDN au cours de la p riode 2011 2018 Rapports techniques
388. n annuels 2013 de l Association des transports du Canada D Travail avec les associations municipales des provinces nucl aires De 2011 2013 la SGDN a continu engager les associations municipales des quatre provinces associ es au cycle du combustible nucl aire en apprendre davantage sur la mise en oeuvre du plan canadien et a sollicit leur avis sur la fa on de communiquer avec les collectivit s Apprendre davantage ensemble Rapport triennal 2011 2013 Forum municipal En 2008 avec la collaboration de 18 responsables d associations municipales provinciales et de la F d ration canadienne des municipalit s la SGDN a mis sur pied un Forum municipal Avec leur exp rience collective des affaires municipales dans les r gions rurales et urbaines des provinces participant au cycle du combustible nucl aire les membres du Forum municipal fournissent un clairage pr cieux sur la fa on de communiquer et de travailler avec les municipalit s locales Les membres servent galement d interm diaires entre la SGDN et les associations municipales et leurs membres qui comptent des centaines d administrations municipales Le Forum municipal de la SGDN s est r uni aux dates suivantes 7 avril 2011 Ottawa 11 mai 2011 Conf rence t l phonique 21 juillet 2011 Toronto 27 octobre 2011 Ottawa 29 mars 2012 Toronto 26 juillet 2012 Ottawa 13 d cembre 2012 Toronto 18 avril 2013 Ottawa
389. n d un site a t lanc en 2010 Il a t con u pour tre guid par les collectivit s ayant d cid d en apprendre davantage sur le projet et d examiner la possibilit d h berger les installations de gestion du combustible nucl aire irradi canadien En collaboration avec la SGDN les collectivit s participantes ont activement guid l apprentissage et le dialogue sur ce plan d envergure nationale Leur int r t l gard de la s ret long terme et de la responsabilit envers les g n rations futures est conforme aux valeurs et aux priorit s de ceux qui ont particip notre p riode initiale d tude de trois ans En novembre 2013 la SGDN a achev la premi re phase d valuations pr liminaires dans huit des 21 collectivit s participant au processus de s lection d un site Les huit collectivit s ont apport une contribution pr cieuse la mise en oeuvre du plan de gestion long terme s re du combustible irradi canadien Quatre d entre elles Creighton Hornepayne Ignace et Schreiber ont t choisies pour faire l objet d tudes plus d taill es et d activit s de dialogue largies Les quatre autres Ear Falls Pinehouse la Premi re nation d English River et Wawa n ont pas t retenues pour des tudes plus approfondies Par le biais de nouvelles initiatives de communication la SGDN a tenu les collectivit s et le grand public au courant des activit s de la Soci t
390. n des bonnes routes de l Ontario e 2011 Congr s annuel et foire commerciale Toronto Ont e 2012 Congr s annuel et foire commerciale Toronto Ont 2013 Congr s annuel et foire commerciale Toronto Ont Congr s municipaux connexes Conseil des d veloppeurs conomiques de l Ontario e 2011 Congr s Toronto Ont e 2012 Congr s Toronto Ont e 2013 Congr s London Ont Association municipale du district de Kenora e 2011 Congr s Red Lake Ont e 2012 Congr s Sioux Lookout Ont Congr s r gional du nord ouest de l Ontario e 2011 Congr s Thunder Bay Ont e 2012 Congr s Thunder Bay Ont e 2013 Congr s Thunder Bay Ont Congr s des municipalit s de l ouest de l Ontario e 2011 Congr s London Ont e 2012 Congr s London Ont 2013 Congr s et foire commerciale London Ont Association municipale de Rainy River e 2012 Congr s La Vall e Ont Annexes E Entretenir un dialogue soutenu avec les Canadiens int ress s Lettres et commentaires De 2011 2013 la SGDN a re u des centaines de lettres et de commentaires de particuliers et d organisations souhaitant donner leur avis sur ses travaux Ces commentaires ont t transmis par la poste par t l copie et par courriel ainsi que dans le cadre d v nements portes ouvertes de foires commerciales de rencontres formelles et informelles de s ances d information d entrevues et d autres v nements
391. n et du nationalisme qu b cois il a plus r cem ment port son attention sur les processus constitution nels li s aux situations de conflit et d apr s conflit du Sri Lanka de l Iraq de la Somalie du Sahara Occidental et de J rusalem Il est actuellement doyen par int rim de la Facult des arts et des sciences de l Universit de Toronto Marlyn Cook La Dre Marlyn Cook travaille actuellement au sein de la collectivit de la Premi re nation de Pikangikum dans le nord ouest de l Ontario et de sa collectivit d origine de Grand Rapids Elle a t m decin chef et directrice du programme de traitements traditionnels l h pital g n ral Weeneebayko Moose Factory en Ontario Elle est membre de la Premi re nation crie de Grand Rapids un peuple autochtone du nord du Manitoba Elle a pratiqu la m decine dans la communaut mohawk d Akwesasne dans le Sioux Lookout Zone et dans plusieurs collectivit s autochtones du nord du Manitoba Elle joue un r le actif dans sa communaut en tant que conseill re et membre du conseil d administration de plusieurs organisations Reconnue pour sa pratique m dicale alliant m decines occidentale et traditionnelle elle fait partager des tudiants en m decine et des m decins de l ensemble du Canada le savoir qu elle a acquis au fil de ses ann es de pratique Elle est convaincue que la gu rison doit passer par tous les aspects spirituel mental physique et affect
392. n rapport ind pendant au chapitre 12 2 Rapport du Conseil consultatif Le Conseil consultatif Membres du Conseil consultatif sy De gauche droite Michel R Rh aume Donald Obonsawin Dougal McCreath Wesley Cragg Eva Ligeti David Crombie Marlyn Cook Derek Lister Frederick Gilbert David R Cameron Apprendre davantage ensemble Rapport triennal 2011 2013 206 David Crombie Pr sident honorable David Crombie est pr sident de David Crombie and Associates pr sident du conseil d admi nistration de la Toronto Lands Corporation et ancien pr si dent du conseil d Ontario Place Il fut pr sident et chef de la direction de l Institut urbain du Canada Ancien maire de Toronto et membre du Conseil priv M Crombie a t le premier chancelier de l Universit Ryerson et est titulaire de doctorats honorifiques en droit qui lui ont t d cern s par l Universit de Toronto et l Universit de Waterloo M Crombie est Officier de l Ordre du Canada et de l Ordre de l Ontario David R Cameron David Cameron membre de la Soci t royale du Canada est professeur de sciences politiques l Universit de Toronto Sa carri re professionnelle s est partag e entre des charges dans l administration publique Ottawa et Queen s Park en Ontario et l enseignement universi taire Int ress depuis longtemps tude du f d ralisme canadie
393. n site aient t inform s au cours de l tape 2 sur la SGDN et son mandat ils se sont montr s int ress s en apprendre davantage sur l organisme Les gens voulaient en savoir plus sur le mandat de la SGDN ses propri taires son financement et ses obligations de reddition de comptes Des questions ont t fr quemment pos es sur les liens unissant la SGDN et les autres acteurs de l industrie nucl aire canadienne et les gens se sont particuli rement int ress s aux exigences de la SGDN en mati re de pr sentation de rapports au ministre f d ral des Ressources naturelles et au r le de la CCSN Les assises financi res du projet ont soulev un int r t consid rable Les questions les plus fr quentes ce sujet avaient pour but d obtenir des pr cisions concernant les co ts estimatifs du projet et les diff rences entre les valeurs actuelles et futures voqu es dans les publications de la SGDN Les co ts de transport ont galement t abord s tout comme la provenance des sommes requises pour financer le projet et les mesures qui sont prises pour faire en sorte qu elles seront disponibles tout au long de la longue p riode de gestion du combustible nucl aire irradi Au del des questions de co ts les gens voulaient souvent savoir qui tait propri taire de la SGDN et la finangait lls souhaitaient aussi savoir si la SGDN relevait du domaine de la Loi sur la responsabilit nucl aire du Canada et si elle demeurera pro
394. nant des contributions financi res faites aux collectivit s en relation avec l annonce des d cisions se rapportant aux valuations pr liminaires La SGDN a indiqu qu elle travaillait en troite collabo ration avec toutes les collectivit s int ress es pour veiller ce que leurs besoins soient satisfaits de mani re respectueuse au cours du processus d valuation et pour pr parer des strat gies appro pri es de retrait en cas de besoin En novembre 2013 la SGDN a annonc qu elle reconnaitrait le leadership et la contribution des collectivit s au processus en offrant 400 000 chacune des huit collectivit s pour financer des projets destin s promouvoir le bien tre de la collectivit mesure que les discussions ont avanc avec les collectivit s h tes potentielles et les peuples autochtones les membres du Conseil ont propos que la SGDN demeure ouverte la possibilit d une cogestion du projet Les sc narios de partenariat peuvent diff rer entre les peuples autoch tones et le reste des collectivit s La SGDN tudie un ventail de mod les de partenariat dans le cadre de son travail de collaboration avec les collectivit s et les peuples autochtones 2 2 3 Optimiser les mod les conceptuels et continuer de valider la confiance en la s ret du d p t Les travaux r alis s par la SGDN de 2011 2013 concernant la conception et la s ret du d p t sont d crits dans le document de la SGDN Rapport triennal
395. nante doivent participer aux d cisions sur le projet et sa planification si le projet va de l avant dans la r gion Ce n est qu en travaillant ensemble que la r gion pourra tirer le plus grand b n fice du projet que les incidences n gatives pouvant en r sulter pourront tre g r es et que le bien tre long terme et la viabilit pourront tre assur s d une mani re qui est conforme la vision d avenir que s est forg e la r gion Bien qu au cours de la premi re phase d tude l accent soit mis sur l engagement des collectivi t s participant au processus de s lection d un site de la GAP il est entendu qu un partenariat largi incluant les collectivit s voisines et les peuples autochtones devra tre tabli pour que le projet puisse tre r alis Gr ce au travail accompli jusqu maintenant avec les collectivit s participant au processus de s lection d un site et aux activit s d approche des peuples autoch tones et des collectivit s voisines la nature et la forme des partenariats requis pour mettre en oeuvre la GAP commencent a se dessiner Ce projet ne pourra aller de l avant qu avec la collabora tion de la collectivit int ress e des peuples autochtones potentiellement touch s et des collectivi t s environnantes la mise en oeuvre du projet G rer l incertitude travers les tudes de la Phase 1 la SGDN a acquis une compr hension pr liminaire de la capac it des collectivit
396. nariat et de cogestion du projet Elles voudront aussi se pr valoir d un ventail de possibilit s de d velopper leur capacit interagir avec la SGDN et participer pleinement au projet de la Gestion adaptative progressive Les comit s de liaison communautaires joueront un r le d importance croissante et auront besoin d un soutien constant pour fonctionner efficacement Reconnaissant la nature multig n rationnelle du projet de la Gestion adaptative progressive la SGDN devra accro tre ses efforts pour obtenir la participation des jeunes en g n ral et des jeunes Autochtones en particulier 2 Le processus de s lection d un site en neuf tapes est r sum au www nwmo ca sitingprocess_overview5 Un des aspects les plus probl matiques du processus de la Gestion adaptative progressive est l identification d une collectivit h te consentante Jusqu ce point 20 collectivit s taient consentantes en apprendre davantage sur le projet mesure que progressera l tape 3 la d finition du consentement voluera pour s appliquer au consentement accueillir le projet L engagement des int r ts locaux r gionaux et autochtones deviendra par cons quent tr s important pour d terminer comment le consentement d une collectivit h te sera d fini et valu Comme le Conseil l a not la section 3 2 de ce rapport alors que la SGDN focalisera ses efforts sur des travaux plus d taill s dans un nomb
397. nces sur d autres questions d battues de longue date la SGDN a galement not une faible volont d en apprendre davantage sur le projet Dans le cas des collectivit s o des difficult s importantes doivent tre r solues afin de maintenir l int r t la SGDN a estim que la possibilit d un apprentissage soutenu et ultimement d un consentement inform a l int rieur de l ch ancier pr vu du projet tait moindre La mise en oeuvre du projet de la GAP n cessite un partenariat long terme s tablissant initialement avec la collectivit int ress e et s tendant ensuite seulement aux peuples autochtones et aux autres collectivit s de la r gion environnante L engagement de ces groupes est un stade tr s peu avanc et fera partie int grante des valuations de la Phase 2 r alis es dans les collecti vit s qui auront t choisies pour passer aux tudes plus d taill es Lharmonisation du projet avec d une part les valeurs les priorit s et les objectifs des peuples autochtones et des autres collecti vit s de la r gion environnante et d autre part leur volont d apprendre constituera ultimement une consid ration cruciale dans l valuation de l aptitude de tout site Ce projet n ira de l avant qu avec la collaboration de la collectivit int ress e des collectivit s voisines et des peuples autochtones sa mise en oeuvre L analyse a r v l un certain nombre d incertitudes li es la na
398. ne d monstration convaincante du consentement de la population de la collectivit sera requise pour qu une collectivit puisse tre choisie pour y tablir le projet Les visiteurs ont t int ress s d apprendre que le processus de s lection d un site exige la participation des peuples autochtones et des autres collectivit s de la r gion environnante au processus d cisionnel Ils ont aussi t int ress s par les crit res d taill s de s ret et les ann es d essais qui seront utilis s pour choisir un site Apprendre davantage ensemble Rapport triennal 2011 2013 Le transport du combustible irradi est il s r Le combustible nucl aire irradi peut il tre transport de mani re s re Qu arriverait il en cas d accident Quelle serait la probabilit que des rayonnements puissent tre lib r s au cours d un accident de trans port quel point le transport est il vuln rable aux attaques terroristes et aux sc narios d accident Parmi les informations ayant int ress les visiteurs on peut citer la port e du cadre r glementaire qui r gira le transport du combustible nucl aire irradi la concep tion des conteneurs de transport et les rigoureuses preuves impos es par Transports Canada et l Agence internationale de l nergie atomique et le fait que la s ret des itin raires potentiels de transport sera prise en compte par le processus de s lection d un site Les vid os pr s
399. nerg tique long terme de l Ontario Ce plan nonce que l Ontario n ira pas de l avant ce stade avec la construction de nouveaux r acteurs nucl aires la centrale de Darlington Toutefois il est pr vu que la r fection des centrales de Darlington et de Bruce d butera en 2016 La centrale nucl aire de Pickering devrait demeurer en service jusqu en 2020 la section Assurer la s curit financi re de Mise en oeuvre de la Gestion adaptative progressive 2014 2018 la SGDN pr cise que le volume exact de combustible irradi canadien tre plac dans le d p t sera d ter min avec la collectivit utilisant les meilleures informa tions disponibles ce moment et travers un processus de consultation ouvert et transparent faisant participer les collectivit s voisines et ceux qui sont int ress s et poten tiellement touch s Le Conseil reconna t l importance de consulter les collectivit s int ress es et les collectivi t s environnantes et de conclure des ententes avec elles Toutefois il insiste sur le fait que le public canadien en g n ral et les peuples autochtones y compris les collec tivit s situ es le long des itin raires potentiels de transport ont aussi int r t de savoir quelle quantit de combustible nucl aire irradi sera stock e Le Conseil note que toute d cision qui occasionnerait des changements importants dans la quantit ou le type de combustible irradi g rer pou
400. ngager la participation des collectivit s voisines de la r gion et des gouvernements provinciaux et autochtones concern s a une tude r gionale des incidences environnementales sociales culturelles et conomiques ainsi qu des tudes de site d taill es La participation de repr sentants r gionaux contribuera ce que le large ventail d incidences potentielles tant positives que n gatives associ es la mise en oeuvre du projet sur un site particulier soit reconnu et pris en compte La participation de ceux se trouvant le long de l itin raire de transport en tant qu un large groupe ayant un int r t commun assurera que les incidences associ es au transport du combustible nucl aire irradi soient prises en compte dans la d cision pour un site de pr dilection La SGDN doit s efforcer d aider les gouvernements provinciaux s informer et se pr parer appuyer les collectivit s int ress es ainsi qu r pondre aux requ tes concernant les terres publiques ainsi que les r glementations et autorisations provinciales Tout au long du processus de s lection d un site la SGDN offrira son soutien aux collectivit s pour les aider mieux comprendre la Gestion adaptative progressive et pour r pondre leurs questions et leurs pr occupations y compris sur la fa on dont le combustible nucl aire irradi sera confin et isol des eaux souterraines de la population et de l environnement La S
401. ngr s municipaux dont ceux de Asso ciation des municipalit s du nord ouest de l Ontario Thunder Bay de la F d ration des municipalit s du nord de l Ontario Parry Sound et de l Association des petites municipalit s urbaines de l Ontario Alliston En 2018 galement l exposition a t pr sent e au congr s annuel de l Association des transports du Canada Winnipeg Le personnel de la SGDN a particip des conf rences et des forums internationaux destin s mieux comprendre les meilleures pratiques dans le domaine du transport du combustible nucl aire irradi En 2013 la SGDN a publi deux examens des pratiques internationales un examen des preuves de chute et d impact impos s aux colis de transport du combustible irradi et un examen de la performance des colis de transport homologu s de type B lors de v ritables accidents entra nant des incendies intenses Apprendre davantage ensemble Rapport triennal 2011 2013 Allant de avant Les valuations pr liminaires de la premi re phase serviront a guider le choix des collectivit s devant faire l objet d tudes plus d taill es Phase 2 Pour les collectivit s passant a la Phase 2 les valuations comprendront des activit s plus intensives d apprentissage et d engagement La port e des travaux s largira la r gion pour inclure les Premi res nations les peuples m tis et les autres collectivit s de la r gion environnante Des
402. nnement et la planification de la rel ve Continuera de promouvoir les valeurs de la SGDN dans la mise en oeuvre des activit s et processus visant renforcer sa capacit en ressources humaines internes et externes y compris en ce qui a trait la formation la culture autochtone et la communication de l historique des approches et du cadre thique et social de la Soci t Continuera d investir dans des syst mes et processus de gestion pendant toute la dur e du plan d activit s pour servir son organisation en croissance Continuera de faire en sorte que les plans d embauchage incluent le recrutement de nouveaux dipl m s universitaires ainsi que ceux ayant des dipl mes d tudes sup rieures appropri s afin de pr server la m moire institutionnelle de l organisation et le transfert d information aux g n rations futures Tiendra compte des besoins futurs en termes de personnel et de bureaux d information en r gion pour soutenir le processus de s lection d un site dans les collectivit s qui choisissent de s engager dans le processus Continuera de travailler avec les collectivit s et les r gions h tes potentielles pour les aider participer au processus de s lection d un site et en fin de compte avec la collectivit et la r gion h tes pour faciliter leur participation la mise en oeuvre et l exploitation du d p t g ologique en profondeur et des installations associ es par le biais d un soutien adminis
403. nous ont d clar que la SGDN devait continuer de s efforcer de communiquer de fa on faciliter la compr hension du public particuli rement en ce qui concerne les termes techniques notamment en continuant de produire des documents de communication en langues autochtones Les jeunes et les a n s autochtones ont t directement nomm s comme sous groupes pour lesquels des efforts particuliers de communication devaient tre faits Les gens ont galement soulev des questions qui devront tre prises en compte mesure que le processus de s lection d un site avancera Par exemple Donner acc s des ressources aux membres de la collectivit et des peuples autochtones qui souhaitent tre employ s au d p t et qui doivent pour cela obtenir une certification de personnel de construction en surface ou souterraine et les degr s d agr ment de s curit requis ou suivre un programme de formation pour adultes ou d duca tion postsecondaire Permettre aux membres de la collectivit de partici per ala mise en oeuvre du projet notamment par le biais d accords de partenariat pour la construction et l exploitation de l installation Concevoir et communiquer le projet d une mani re qui refl te le point de vue les connaissances et la compr hension de la collectivit int ress e et des collectivit s autochtones S curit Les commentaires et les questions sans doute les plus fr quemment entendus p
404. ns Les immobilisations sont comptabilis es au co t et sont amorties selon la m thode de l amortisse ment lin aire sur leur dur e de vie utile estimative comme suit Mobilier et quipement de bureau 7 ans Mat riel informatique et logiciels 3 ans V hicules 5 ans Am liorations locatives Dur e initiale du bail plus une p riode de renouvellement Imp ts sur les b n fices La SGDN est un organisme sans but lucratif et en vertu de l article 149 1 1 de la Loi de l imp t sur le revenu elle n est pas assujettie l imp t Constatation des produits Les apports re us des membres sont trait s comme des apports grev s d une affectation et ils ne sont donc comptabilis s en produits que lorsque des frais connexes ont t engag s Les apports exc dentaires des membres ou les montants manquants sont comptabilis s titre de produits report s ou d apports recevoir des membres respectivement Les apports utilis s aux fins de l achat d immobilisations de la SGDN sont report s et amortis dans les produits un taux correspondant au taux d amortissement des immobilisations auxquelles ils se rapportent 2 Principales conventions comptables suite Prestations de retraite et autres avantages post rieurs l emploi Les programmes d avantages post rieurs l emploi offerts par la SGDN comprennent un r gime de retraite contributif prestations d termin es agr un r gime compl mentaire de retraite
405. ns d examen et de commentaires publics une version pr li minaire de son plan quinquennal de mise en oeuvre Cette occasion qu a le public de participer aux travaux de la SGDN lui permet d orienter les objectifs strat giques de la Soci t et fait en sorte qu ils continuent de correspondre aux buts et aux priorit s des Canadiens Objectifs strat giques 2013 Les progr s r alis s au regard de ces objectifs strat giques sont d crits dans les sections qui suivent difier des relations durables OBJECTIF STRAT GIQUE La SGDN difiera des relations durables long terme avec les Canadiens et peuples autochtones du Canada int ress s et sollicitera leur participation l tablissement des orientations futures d une gestion long terme s re du combustible nucl aire irradi En raison du caract re long terme de la Gestion adaptative progressive GAP il est essentiel que la SGDN d veloppe et entretienne des relations qui viendront soute nir et orienter ses travaux jusque dans un avenir loign Le large ventail de ces relations avec les collectivit s h tes potentielles les organisations municipaux les organisations autochtones les minist res et organismes f d raux et provinciaux les jeunes et l ensemble du public canadien refl te le fait que la gestion s re du combus tible nucl aire irradi est une question qui pr occupe un large spectre de la soci t canadienne En informa
406. ns pr liminaires des collectivit s Etape 3 du proces s lection d un site et la planification de la phase des travaux sur le terrain n les mises jour r guli res sur l environnement externe dans lequel volue le processus de s lection d un site et les travaux men pour d velopper des relations pour faire en sorte que le site choisi se 1e les discussions sur le bien tre dl l examen de la prise en consid sus de s lection d un site qui collectivit s int ress es sollici SUS la discussion de l int g des travaux de la SGDN l examen des processus d acquisition des terres de la Couronne examen de la transition du Forum des a n s au Conseil des ain s l examen de la charte du comit sur la s lection d un site l examen des valuations pr liminaires compl t es de la Phase 1 les pr paratifs en Vue des prochaines tapes du processus de s lec la reconnaissance de la contribution apport e par les collectivit s la plan canadien de gestion long terme du combustible nucl aire irradi discussion des pra d renforcement des capacit s pour l ensemble r duit c de er la participation des collectivit s autoc raditionnel autochtone tous les lit s passant a la phase des travaux sur le terrain Phase 2 des valuations pr hiStrateurs composaient le comit 192 Comit des ressources humaines et de la r mun ration Ce comit
407. ns sont elles transmises aux citoyens aux parties prenantes et aux partenaires en temps opportun afin qu ils puissent participer de mani re efficace 5 Comp tence technique La SGDN poss de t elle les ressources humaines requises pour aborder les dimensions scientifiques de la caract risation des sites de la conception du d p t et de l valuation de la s ret De plus la SGDN poss de t elle les ressources humaines n cessaires pour appr hender avec justesse les dimensions soci tales et autochtones du processus de s lec tion d un site ainsi que le trac et l valuation des possibles corridors de transport Le Conseil value galement sur ce plan si des dispositions sont prises pour s assurer de la main d oeuvre sp cialis e requise l chelle locale pour r pondre aux besoins et aux int r ts court et long terme de toutes les collectivit s participant au processus de s lection d un site 6 Capacit financi re La formule de financement refl te t elle ad quatement les co ts de la Gestion adaptative progressive des d chets nucl aires canadiens La SGDN a t elle cern et pris en compte tous les facteurs importants et les incertitudes dans son estimation des co ts tels que la quantit et les types de combustible irradi g rer la g ologie du site et le taux de rende ment des fonds vers s Le co t estimatif est il actualis et les contributions financi res sont elles r vis es en fonction du co t tot
408. nsh ip of Nipigon Ontario APM REP 06143 32775 Initial Screening for Siting a Deep Geological Repository for Canada s Used APM REP 06143 32785 Rapport som site pour un d p t g ologique en prof irradi canadien Canton de Spanish APM REP 06143 32786 Rapport so site pour un d p t g o irradi canad APM REP 06143 32788 Rapport som site pour un d p t g ologique en prof irradi canad m O ogique en profond ien Canton de North Shore Ontario on ien Canton de Blind River Ontario APM REP 06143 32798 Rapport som site pour un d p t g ologique en prof irradi canad m ond Ontario m m d m ond Nuclear Fuel Town of Spanish Ontario uati aire va eur destin aire va eur destin ire Eval a eur destin aire va eur destin ien Ville d Elliot Lake Ontari O uati uati uati on de pr s lection pour e choix d un stocker le combustib e nucl aire ix d un re e cho ai on de pr s lection pour stocker le combustible nuc ix d un re e cho ai on de pr s lection pour stocker le combustible nuc ix d un re e cho ai on de pr s lection pour stocker le combustible nuc APM REP 06143 32799 Initial Screening for Siting a Deep Geological Repository for Canada s Used Nuclear Fuel City of Elliot Lake Ontario APM REP 06143 32801 Ini
409. nsid r s dans les tudes sur le bien tre de la collectivit sont les suivants e Les incidences sociales conomiques et culturelles pour la collectivit potentielles au cours de la phase de mise en oeuvre e La capacit des infrastructures physiques et sociales du projet de s adapter aux changements occasionn s par le e La probabilit que la viabilit long terme de la projet collectivit et de la r gion soit am lior e par la mise e La possibilit d viter ou d att nuer au minimum en oeuvre du projet les incidences li es au transport du combustible e La probabilit que soient vit s les secteurs nucl aire irradi depuis les installations d entrepo cologiquement vuln rables et les sites importants sage actuelles jusqu au site du d p t Les facteurs relev s par le savoir traditionnel autochtone ont pour but de contribuer clairer cette valuation au fur et mesure de la progression des travaux Afin d adopter une approche large inclusive et holistique l valuation dans ces r gions un cadre d valuation du bien tre de la collectivit a t d fini pour mieux saisir et mesurer les incidences potentielles du projet de la GAP Ce cadre a t utilis pour Explorer le projet e Relever les occasions de tirer profit du projet pour Comprendre comment les collectivit s et la r gion atteindre d autres objectifs jug s importants par la environnante pourraient tre touch es par la m
410. nt de la SGDN offre aux coles la possibilit d enrichir leurs programmes d enseigne t scientifique existants par la mise en oeuvre de projets pratiques interactifs Le oh cag dans les classes SGDN a commenc a subventionner Scientists in School en 2013 Cet organisme dispense de l enseignement scientifique dans les classes du sud de l Ontario Laide financi re de la SGDN tait destin e aux coles des collectivit s h tes potentielles de cette r gion h La SGDN a commenc subventionner le programme Science Ambassador en 20173 Une initiative de l Universit de la Saskatchewan c programme accorde des bourses des t ts en sciences de premier cycle et de cycles sup rieurs afin qu ils animent des activit s scienti ifiques dans des coles fr quent es en A importante par des jeunes d ascendance autochtone 7 s gramme se Nos travaux de 2011 2013 Faire comprendre et conna tre le travail de la SGDN Le programme de communication de la SGDN contribue renseigner le public sur le plan canadien de gestion long terme s re du combustible nucl aire irradi du pays Il permet aussi de r pondre aux questions que le public peut se poser sur ce plan Au fur et mesure de l avancement du processus de s lection d un site au cours des trois derni res ann es la SGDN a adapt ses programmes de communication en r ponse aux questions soulev es par les collectivit s qui s taient engag
411. nt et le scellement des conteneurs de combustible irradi e R alisation d tudes sur les analogues naturels des sites envisag s pour aider pr voir l volution future des sites partir de l volution pass e de syst mes et de leur comportement sous l effet de perturbations externes e Collaboration avec d autres organisations de gestion de d chets nucl aires sur des projets de recherche sur les d p ts men s dans des laboratoires souterrains tablis en formations de roche s dimentaire et de roche cristalline e Ach vement de deux valuations g n riques de la s ret post fermeture une pour une formation de roche cristalline et l autre pour une formation de roche s dimentaire e R alisation d analyses sur le transport s r et s curitaire du combustible nucl aire irradi comprennent des travaux ayant conduit une am lioration importante de la performance du blindage contre les neutrons d un colis conceptuel de transport du combustible irradi e Acquisition du colis de transport du combustible irradi et mise niveau du certificat conform ment aux r glements actuels de la Commission canadienne de s ret nucl aire Assurer la s curit financi re e R alisation d une r vision compl te de l estimation du co t du cycle de vie d un d p t g ologique en profondeur et du transport associ du combustible nucl aire irradi e R vision des contributions verser aux fonds en fiducie pour
412. nt r guli rement tous les particuliers et les groupes int ress s et potentiellement touch s sur la GAP et en les invitant r guli rement participer sa planifi cation et sa mise en oeuvre la SGDN d veloppera et entretiendra des relations qui contribueront soutenir et orienter la mise en oeuvre jusque dans un avenir lointain favoriser la participation continue des Canadiens et faire en sorte que la gestion long terme du combustible nucl aire irradi canadien repose sur la transparence la collaboration et les valeurs ch res aux Canadiens L dification de relations n cessite un dialogue soutenu sur les valeurs les principes et la s ret ainsi que sur le large ventail de questions qui devront tre abord es chaque tape de la mise en oeuvre En comptant sur les conseils et la bonne volont des particuliers des groupes et des collectivit s participant au processus la SGDN pourra continuer apprendre comment difier des relations et comment cheminer ensemble dans la mise en oeuvre du plan canadien Tout au long la SGDN s est efforc e de mettre en place des m canismes permettant de faire en sorte que les relations tablies aujourd hui puissent se maintenir dans l avenir et ce d une mani re qui contribue renforcer l aptitude de la soci t relever les d fis qui se poseront dans le cours de la mise en oeuvre de la GAP Cela comprend des efforts de sensibilisation ainsi que
413. ntants par ailleurs raisonnablement fond s pour que les tats financiers donnent une image fid le sous tous les aspects importants d apr s les renseignements disponibles en date du 20 f vrier 2014 La direction s est dot e d un syst me de contr le interne dans le but de fournir une assurance raisonnable que l information financi re fournie est exacte et compl te sous tous les aspects impor tants Le syst me de contr le interne comprend une politique d affaires tablie qui s applique tous les employ s La direction estime que les syst mes fournissent l assurance raisonnable que les op rations sont d ment autoris es et enregistr es que les renseignements financiers sont pertinents fiables et exacts et que l actif de la Soci t est comptabilis de mani re appropri e et ad quatement pr serv Le Conseil d administration est responsable de veiller ce que la direction s acquitte de ses obligations en mati re de rapports financiers et est responsable de l examen et de l approbation des tats financiers assume cette responsabilit par l interm diaire de son Comit de la v rifica tion des finances et des risques le Comit Les membres du Comit sont nomm s par le Conseil d administration et rencontrent p riodiquement la direction de m me que le v rificateur externe pour discuter de points concer nant les contr les internes sur le processus de communication de l information financi re et de q
414. ntario Toronto Ont Atelier sur la GAP 20 avril 2011 Union des Indiens du Nouveau Brunswick Comit d orientation technique Moncton N B S ance d information sur la GAP 8 6 mai 2011 F d ration des nations indiennes de la Saskatchewan Centre de gouvernance du Trait 4 Meadow Lake Sask S ances d informa tion Conseil tribal de Meadow Lake Grand conseil de Prince Albert et Premi res Nations Ind pendantes Premi re nation d Onion Lake Premi re nation Peter Chapman et Premi re nation Chakastapasin 16 19 mai 2011 F d ration des nations indiennes de la Saskatchewan Fort Qu Appelle Sask S ances d information Conseil tribal de Touchwood Agency TATC Conseil tribal de Yorkton YTC Conseil tribal de File Hills Qu Appelle FHQ et Premi res Nations Ind pendantes Premi re nation de Fishing Lake Southeast Treaty 4 SET4 Premi re nation de Cowessess Premi re nation de Chacachas et Premi re nation de Pheasant Rump Nakota 26 mai 2011 Assembl e des A n s du Trait 6 Saskatoon Sask Pr sentation sur la GAP 80 juin 2011 Union des Indiens du Nouveau Brunswick Mise jour sur la s lection d un site pr sent e aux chefs 5 juillet 2011 le la Crosse Sask Pr sentation sur la GAP 6 juillet 2011 Village nordique de Beauval Sask Pr sentation sur la GAP 7 juillet 2011 Youth Outdoor Wellness Conference Ce
415. ntes les rem des les animaux et l humanit dapr s les i De sept enseignefhe tg universels que sont aour la gt i confiance le part ge honn tet l humilit le re F et la sagesse ATN r i Le Conseil des a n s a Suc sd auForum des ain s qui a conselll la SGD d la fin de 204 Le Forum r eee apres Que les eee ke Forum eyren relev le besoin d am lioret ail qu ils CR effectuaient En cons quence un groupe de travail d a n s a t form pour travailler avec le personnel le Conseil d administration et le Conseil consultatif de la SGDN Surla base de ces discussions d un dialogue avec les organisations autochtones et d un examen des meilleures pratiques en la mati re une Proposition pour la restructuration du Forum des ain s de la SGDN a t r dig e La proposition discut e par le Forum des a n s lorsqu il s est r uni en juillet 2011 comprenait l bauche d un mandat pour un nouveau Conseil des a n s Lorsque le processus de s lection des membres du Conseil des a n s a t lanc plusieurs a n s du Forum original ont exprim clairement le souhait d y participer et des recommandations ont t re ues de la part d organisations autochtones 7 La r union inaugurale du Conseil s est tenusy n dh 2012 Des c r monies traditionnelles y ont t c l br es pour souhaiter la bienvenue aux nouveaux membres du Conseil des
416. ntre Friendship d ile a la Crosse le la Crosse Sask Pr sentation sur la GAP 18 20 juillet 2011 R union du Forum des a n s de la SGDN Toronto Ont 10 ao t 2011 Premi re nation de Peter Ballantyne et Grand conseil de Prince Albert Prince Albert Sask Pr sentation sur la GAP 19 ao t 2011 Nation m tisse de l Ontario Parry Sound Ont Atelier et mise jour sur la GAP 8 octobre 2011 Rassemblement des a n s du Trait 3 Dryden Ont Pr sentation sur la GAP 4 octobre 2011 Assembl e des chefs du Trait 3 Premi re nation de Wabauskang Ont Pr sentation sur la GAP 8 4 novembre 2011 Groupe de travail autochtone sur le nucl aire FNNWG des Chefs de l Ontario Toronto Ont S ance de formation et visite d une installation de gestion de d chets nucl aires 8 9 novembre 2011 R union du Forum des a n s de la SGDN Toronto Ont 24 25 novembre 2011 F d ration des nations indiennes de la Saskatchewan S ance d informa tion et visite d une installation de gestion de d chets nucl aires Toronto Ont 6 8 d cembre 2011 Conseil des Premi res nations de Mawiw S ances d information ouvertes Premi re nation d Elsibogotog N B 6 d cembre Premi re nation de Tobique N B 8 d cembre 7 d cembre 2011 Union des Indiens du Nouveau Brunswick Moncton N B Mise jour donn e aux chefs 13 mars 2012 Premi
417. nvisager les approches possibles pour la r alisa tion d valuations ind pendantes des travaux qu elle m nera au terme de la Phase 1 de l tape 3 en fonction des questions cit es dans le Cadre thique et social Il recommande que toute valuation r alis e comprenne une valuation des perceptions qu ont les collectivit s du processus de s lection d un site et de la fa on dont elles ont t trait es ce jour Rapport d tude final de la SGDN Choisir une voie pour l avenir L avenir de la gestion du combustible nucl aire irradi au Canada 2005 Cependant le Conseil demeure pr occup vis vis de l absence d informations relatives la quantit et au type de combustible irradi qui pourrait tre g n r dans le futur au del de celui qui sera produit par les installations nucl aires existantes Cela introduit des risques potentiels dans les travaux de la SGDN et influence la capacit de la SGDN de planifier de mani re efficace la gestion long terme des d chets de combus tible nucl aire canadiens Par exemple il est difficile de d terminer de quelle taille le d p t g ologique en profon deur devrait tre la fa on dont le combustible nucl aire irradi devrait tre transport et quels itin raires de trans port devraient tre emprunt s entre autres facteurs Le Conseil observe qu une pr occupation similaire concernant la quantit de d chets avait t soulev e au cours des
418. nwmo ca invitation_to_learn_more Parmi le large ventail d activit s et de ressources offertes pour soutenir l apprentissage et la r flexion des collectivit s la SGDN a invit chaque collectivit parti cipant au processus de s lection d un site envoyer des repr sentants la conf rence annuelle de 2011 de la F d ration canadienne des municipalit s FCM pour assister des pr sentations donn es par des repr sentants de collectivit s participant au processus de s lection d un site su dois La s ance commandit e par la SGDN tait intitul e D cider d accueillir un d p t national de combustible nucl aire irradi L exp rience su doise Au cours de cet v nement des repr sentants de municipalit s canadiennes ont rencontr en priv et ont entendu dans le cadre d un atelier pl nier les repr sen tants de deux municipalit s qui avaient accept d accueillir le projet de d p t g ologique en profondeur su dois Les processus d cisionnels guid s par les collectivit s et les choses qui avaient fonctionn et celles qui avaient moins bien fonctionn y ont t les principaux sujets abord s La SGDN a aussi invit chaque collectivit partici pant au processus de s lection d un site envoyer deux repr sentants chacune la Conf rence internationale 2012 sur le stockage g ologique ICGR Tenue Toronto et organis e par la SGDN la conf rence a r uni des agents de r glementation
419. o l automne 2012 et a entrepris de trouver des occasions de permettre aux collectivit s h tes potentielles canadiennes d entendre des repr sentants de collec tivit s engag es dans des projets similaires dans le monde leur parler de leur exp rience Le Conseil a appuy la proposition de la SGDN d examiner les le ons apprises des v nements r cents survenus a Fukushima au Japon Il a examin un rapport pr liminaire de gestion sur les le ons apprises de l accident de Fukushima et a recommand la SGDN de fournir plus de pr ci sions sur les diff rences qui existent entre l exploitation d une centrale nucl aire et l exploitation d un d p t g ologique en profondeur La SGDN a tenu compte de l avis du Conseil lorsqu elle a pr par du contenu sur Fukushima pour son site Web L examen r alis par la SGDN des le ons apprises par rapport aux v nements r cents survenus au Japon mettait en relief les points suivants e l incidence potentielle des v nements naturels extr mes concerne davantage la p riode d exploitation de l installation que la p riode post fermeture puisque les v nements majeurs ne sont pas susceptibles d influencer les conditions qui pr valent la profondeur du d p t e La SGDN doit valuer avec soin les accidents non pr vus la conception et en tenir compte de mani re ad quate dans la conception technique la construction et l exploitation d un d p t g ologique en pr
420. ofondeur et la mise en place d un syst me de transport du combusti ble irradi e Les analyses de s ret et les plans d intervention d urgence doivent prendre en compte l ensemble des v nements a faible probabilit ayant des cons quences potentielles impor tantes e La m thode de gestion du combustible irradi bas e sur les barri res multiples et la d fense en profondeur constitue un l ment cl de la conception visant contrer l occurrence et les incidences des v nements faible probabilit et cons quences importantes Le Conseil consultatif a examin le Plan d affaires 2013 2017 de la SGDN et a demand des pr cisions sur un certain nombre d l ments cet gard le Conseil a discut des valuations pr liminaires de l importance de pr voir le temps n cessaire pour obtenir les permis requis pour r aliser les tudes sur le terrain et de l importance de continuer de renforcer les capacit s des r gions h tes potentielles et des Premi res nations La SGDN a pr cis le contenu de son Plan d affaires en tenant compte de l avis et des suggestions du Conseil avant de le soumettre au Conseil d administration La SGDN indique que ses programmes de travaux pour la s lection d un site prennent en consid ration les ch anciers d obtention des permis n cessaires et pr voient la poursuite des programmes de renforcement des capacit s des collectivit s h tes potentielles et des peuples autochtone
421. ogramme a atteint un certain nombre de jalons au cours des trois derni res ann es Ceux ci incluent e La r alisation d une r vision de la conception et de l estimation du co t d un d p t g ologique en profondeur et d un syst me de transport de combustible irradi e La r alisation de deux valuations g n riques de s ret post fermeture une pour un d p t en roche cristalline et l autre pour un d p t en roche s dimentaire e Laffinement des tudes sur les analogues naturels qui aident anticiper l volution future des sites envisag s d apr s l volution et la r action dans le pass de syst mes semblables en fonction des perturbations externes e Une am lioration importante du comportement du blindage contre les neutrons du mod le conceptuel de colis de transport du combustible irradi et la pr paration des mod les concep tuels pour la manutention le transfert le chargement et le scellement des conteneurs de combustible irradi Les travaux en cours incluent des tudes sur le comportement du dioxyde d uranium du cuivre et de l argile relatif certaines conditions g ologiques et sur les effets d une glaciation sur la stabilit des syst mes profonds d eaux souterraines Au cours des cinq prochaines ann es le programme d ing nierie du d p t de la GAP sera de plus en plus ax sur des projets d ing nierie et de d monstration grande chelle Il aura les objectifs suivants
422. ogu par la Commission canadienne de s ret nucl aire ainsi que des crans tactiles et des panneaux qui renseignent les visiteurs sur des sujets tels que les preuves rigoureuses de s ret auxquelles est soumis le CTCI la supervision et le exigences r glementaires les mesures de s curit et le bilan de s ret du Canada et des autres pays qui trans portent r guli rement des substances radioactives L exposition a fait sa premi re apparition au congr s de la Northwestern Ontario Municipal Association en avril 2013 Parmi les visiteurs figuraient les maires et les repr sentants municipaux de collectivit s participant au processus de s lection d un site Pendant le reste de l ann e l exposition s est d plac e plusieurs autres congr s annuels dont le Congr s et la foire commer ciale des Ontario Small Urban Municipalities Alliston en Ontario et le Congr s et l exposition de l Association des transports du Canada Winnipeg au Manitoba Elle a galement t pr sent e dans un certain nombre de collectivit s participant la phase des valuations pr liminaires tape 3 du processus de s lection d un site gt Nos travaux de 2011 2013 Communications Web Comme par les ann es pass es la SGDN a r guli rement mis jour son site Web www nwmo ca affichant ses nouvelles publications et ses documents de discussion mesure qu ils devenaient disponibles On y a donc a
423. oire et se sont g n ralement dot s de lois se rapportant la pr paration aux urgences Les gouvernements provinciaux sont responsables de la r glementation de l exploitation et extraction des ressources p ex le forage et l exploitation mini re souterraine et de la gestion des terres publiques p ex allocation des terres provinciales Des lois provinciales commandant l valuation des incidences environnementales potentielles d une activit d un plan ou d un programme peuvent s appliquer a des aspects de ces travaux Certaines lois portant sur les esp ces prot g es la protection environnementale la protection ou la pr servation du patrimoine la protection des ressources en eau la sant et la s curit au travail les normes de recrutement ou les relations de travail peuvent tre pertinentes Divers permis licences et approbations seront requis et des politiques et directives provinciales pourraient s appliquer l tape de la s lection d un site Les municipalit s qui tirent leur autorit des lois provinciales peuvent galement avoir des exigences tenir compte telles que des permis codes normes o r glements Mise en oeuvre de la Gestion adaptative progressive 2014 a 2018 Annexes Le plan canadien de gestion du combustible nucl aire irradi Le plan canadien de gestion long terme du combustible nucl aire irradi est la Gestion adaptative progressive En vertu de ce plan le
424. ollectivi t s pour soutenir leur participation au processus de s lection d un site Un programme de renforce ment des capacit s a t mis sur pied pour couvrir les co ts associ s la participation des collectivit s au processus de s lection d un site Il finan ait notamment des exercices visant d finir la vision des collectivit s des travaux de planification strat gique et l engagement d experts ind pendants valuation pr liminaire de l aptitude potentielle tudes de faisabilit Cette brochure fait suite la description du processus de s lection d un site que donne le document publi en mai 2010 Fa onnons l avenir ensemble Processus de s lection d un site pour le d p t g ologique en profondeur canadien pour combustible nucl aire irradi fournit des d tails suppl mentaires sur la fa on dont les tudes li es aux valuations pr liminaires de l tape 3 sont Apprendre davantage ensemble Rapport triennal 2011 2013 men es Le document a t publi sur le site Web de la SGDN et remis aux collectivit s ayant r ussi l valuation initiale de pr s lection et qui r fl chis saient la possibilit de participer l tape suivante du processus de s lection d un site Financement et ressources offerts aux collecti vit s et organisations autochtones pour soutenir leur participation au processus de s lection d un site Le Programme de ressources pour les relations av
425. ollectivit constituait un l ment important du processus de s lection d un site et qu il se fera dans le cadre d une collaboration entre la collectivit et la SGDN Qu est ce qu un d p t g ologique en profondeur Comment le combustible irradi sera t il confin et isol de l environnement Comment fonctionneront les barri res Comment les conteneurs de combus tible irradi seront ils fabriqu s et scell s Plusieurs personnes se sont montr es int ress es par l tendue des recherches r alis es au Canada et dans le monde et par le consensus qui existe dans le monde concer nant les meilleures pratiques utiliser dans ce domaine Comment peut on faire participer plus de gens au processus Comment nous y prendrons nous pour obtenir la participation des jeunes aujourd hui afin qu ils se pr parent assumer un jour des r les de d cideurs Comment ferons nous pour transmettre les informations fournies dans le cadre des s ances portes ouvertes ceux qui n y seront pas all s Plusieurs ont indiqu que ceux qui sont pr occup s par le projet trouveraient r ponse plusieurs de leurs questions et pr occupations s ils pouvaient consulter les infor mations fournies sur le projet et s entretenir avec le personnel de la SGDN Quelles sont les cons quences des v nements survenus au Japon sur ce projet Comment la sismicit sera t elle prise en compte par le projet de la GAP Plusieurs ont t int r
426. on permettront a la SGDN de renforcer sa capacit organisationnelle a mettre en oeuvre la Gestion adaptative progressive SS Des chercheurs au Laboratoire souterrain du Mont Terri examinent des carottes rocheuses extraites sous le site nucl aire de Bruce q Ce que nous avons entendu sur la mise en oeuvre de la Gestion adaptative progressive Ce que nous avons entendu sur la mise en oeuvre de la Gestion adaptative progressive La SGDN s est engag e laborer et mettre en oeuvre en collaboration le plan canadien de gestion long terme du combustible nucl aire irradi Par suite du lancement du processus de s lection d un site en mai 2010 la SGDN a commenc faire participer les collectivit s poten tiellement int ress es collaborer la mise en oeuvre de ce plan En m me temps la Soci t a continu de travailler avec les collectivit s l laboration et l am lioration du processus de s lec tion d un site Ce processus a t l objet des activit s d engagement de la SGDN au cours des trois derni res ann es Les activit s d engagement ont t men es dans le cadre d un long processus de dialogue entretenu avec les Canadiens un dialogue portant sur les valeurs en cause ainsi que sur les principes les priorit s et les pr occupations qui doivent orienter les processus et les plans en cours d laboration Beaucoup de terrains d entente se sont d gag s de ces
427. on pour les ann es 2014 2018 Pour guider la mise en oeuvre de la Gestion adaptative progressive la SGDN s est dot e de sept objectifs strat giques Ces objectifs encadrent les diff rents programmes qui soutiennent la mise en oeuvre de la Gestion adaptative progressive et les priorit s de la planification pour les ann es 2014 2018 Ayant d abord t labor s en 2007 les objectifs strat giques ont t soumis l examen public et des discussions en 2007 et 2008 L volution subs quente des objectifs strat giques illustre la progression de la mise en oeuvre de la Gestion adaptative progressive travers les tapes importantes de la planification et l volution des priorit s du programme de gestion du combustible nucl aire irradi Chaque ann e la SGDN publie aux fins d examen et de commentaires le Plan quinquennal de mise en oeuvre de la Gestion adaptative progressive pour confirmer l appui aux orientations strat giques et solliciter des suggestions sur les programmes de travail associ s Les objectifs strat giques fournissent galement un cadre de r f rence pour la planification et la pr sentation de nos rapports annuels Les sept objectifs strat giques sont pr sent s bri vement au tableau suivant En mai 2010 la SGDN a lanc un processus pluriannuel qui servira choisir une collectivit inform e Objectifs strat giques 2014 2018 La SGDN Edifiera des relations durables l
428. on avec la collectivit h te la SGDN r alisera des tudes et valua tions d taill es du site pour en d terminer la s ret et ses effets sur le bien tre de la collectivit et tayer la demande d approbation r glementaire Le travail comprendra des tudes sur le terrain et en laboratoire le forage de carottes des activit s de surveillance des analyses de s ret ainsi que des tudes socio conomiques Un centre d expertise sera tabli sur le site Ce centre emploiera des douzaines de travailleurs aux comp tences tr s diverses notam ment des chercheurs techniques et sociaux des op rateurs d quipements et d autres ouvriers et techniciens sp cialis s La SGDN aidera les collectivit s potentiellement int ress es approfondir leurs connaissances sur le projet participer au processus d valuation de sites et engager leurs citoyens pour valuer et ultimement d montrer leur int r t accueillir le projet Une fois qu un site aura t choisi la SGDN devra soumettre son projet aux exigences de la Loi canadienne sur l valuation environnementale et de la Commission canadienne de s ret nucl aire CCSN pour obtenir un permis pour la pr paration et la construction du site Cela comprendra une valuation officielle et publique de la s ret du site La SGDN poursuivra ses travaux sur le site tout au long de cette p riode afin d tre pr te aller de l avant lorsque le permis aura t d livr A
429. on d un site et la SGDN Mettra en oeuvre le programme de communication et de relations avec les m dias afin d aider les personnes et organisations int ress es a comprendre la Gestion adaptative progressive Sollicitera l avis de personnes et d organisations int ress es sur les plans de la SGDN et la mise en oeuvre de la Gestion adaptative progressive Informera les propri taires de d chets des plans pour la mise en oeuvre de la Gestion adaptative progressive afin d assurer que leurs strat gies concernant le combustible nucl aire irradi soient align es avec la mise en oeuvre de la Gestion adaptative progressive Informera les collectivit s canadiennes h tes de sites nucl aires des progr s de la mise en oeuvre de la Gestion adaptative progressive notamment en ce qui concerne les plans pour le transport futur du combustible nucl aire irradi vers le d p t g ologique en profondeur D veloppera et entretiendra des relations avec les collectivit s qui choisissent de s engager dans le processus de s lection d un site les collectivit s voisines et les peuples autochtones Cela pr voit une collaboration dans la conduite des tudes D veloppera et entretiendra des relations avec les associations municipales pour mieux comprendre le point de vue des gouvernements locaux et collaborera avec eux la mise en oeuvre de la Gestion adaptative progressive D veloppera et entretiendra des relations avec
430. on et de son Conseil consultatif les rapports annuels du GETI et les r ponses de la SGDN ceux ci ses plans quinquennaux de mise en oeuvre pr liminaires pour commentaires publics des articles de recherche les r sultats de ses activit s d engagement et les tudes p ex les valuations de pr s lection et valuations pr liminaires r alis es dans le cadre du processus de s lection d un site La SGDN a rempli chacune de ces obligations au cours des trois derni res ann es et continuera de le faire au cours des ann es qui viennent Mettre en place et maintenir une organisation de haut niveau La mise en oeuvre de la GAP n cessite une expertise dans un large ventail de domaines les g osciences la finance la recherche sociale l engagement des collectivit s l engagement des peuples autochtones le savoir traditionnel autochtone les communications et plusieurs autres La main d oeuvre interne et contractuelle de la SGDN a volu au cours des trois derni res ann es pour r pondre ces exigences et a t compl ment e par des investissements dans de nouveaux syst mes d entreprise en particulier de syst mes de mod lisation informatique En m me temps plusieurs initiatives compl mentaires ont contribu assurer le soutien crucial de l organisation au cours des g n rations pendant lesquelles la GAP sera mise en oeuvre Ces initiatives incluent le financement de programmes destin s nourrir l int r
431. oncevoir des proc dures d audit appropri es aux circonstances et non dans le but d exprimer une opinion sur l efficacit du contr le interne de l entit Un audit comporte galement l appr ciation du caract re appropri des m thodes comptables retenues et du caract re raisonnable des estimations comptables faites par la direction de m me que l appr ciation de la pr sentation d ensemble des tats financiers Nous estimons que les l ments probants que nous avons obtenus dans le cadre de notre audit sont suffisants et appropri s pour fonder notre opinion d audit Opinion notre avis les tats financiers donnent dans tous leurs aspects significatifs une image fid le de la situation financi re de la Soci t de gestion des d chets nucl aires au 31 d cembre 2013 ainsi que des r sultats de son fonctionnement et de ses flux de tr sorerie pour l exercice termin cette date conform ment aux normes comptables canadiennes pour les organismes sans but lucratif Deloitte SEN CR L sel Comptables professionnels agr s Comptables agr s Experts comptables autoris s Le 20 f vrier 2014 Toronto Ontario Bilan au 31 d cembre 2013 Apprendre davantage ensemble Rapport triennal 2011 2013 2013 2012 Actif court terme Tr sorerie note 3 6 300 670 4 976 999 D biteurs 2 216 2 216 Apports recevoir des membres note 6a 2 339 534 3 821 793 Charges pay es d avance
432. ong terme note 6c 209 124 1 213 150 Variation des apports recevoir des membres note 6a 1 482 259 3 821 793 Variation des apports des membres report s note 6b 167 122 181 598 Total des produits tir s des apports note 12 65 219 253 63 835 361 Int r ts cr diteurs note 12 57 042 50 269 Total des produits 65 276 295 63 885 630 Charges Gestion adaptative progressive Affectation de personnel et administration note 5 21 733 506 17 055 421 Processus de s lection d un site 10 402 992 7 119 676 Dossier de s ret li la conception et au d veloppement 9 314 742 9 256 369 Renforcement des relations 2 650 228 2 306 274 Structure de gouvernance 5791527 514 296 Adaptation au changement 203 320 Sn S507 44 884 315 36 629 543 D p t g ologique en profondeur Etape d examen r glementaire 10 205 583 7 632 470 tape de conception 2 392 939 9 888 536 Affectation de personnel et administration 5 466 293 7 477 553 18 064 815 24 998 559 Gestion des obligations li es au cycle de vie Contrat de service 34 544 180 843 Affectation de personnel et administration 1 380 913 1 179 734 1 415 457 1 360 577 Amortissement 911 708 896 951 Total des charges note 12 65 276 295 63 885 630 Exc dent des produits sur les charges de l exercice Actif net au d but de l exercice Actif net la fin de l exercice tat des flux de tr sorerie Exercice termin le 31 d cembre 2013 Apprendre davantage ensemble Rapport triennal 2011 2
433. ong terme avec les Canadiens et les peuples autochtones du Canada int ress s et sollicitera leur participation l tablissement des orientations futures d une gestion long terme s re du combustible nucl aire irradi Travaillera en collaboration avec les Canadiens la mise en oeuvre du processus de s lection d un site pour un d p t g ologique en profondeur qui servira la gestion long terme s re du combustible nucl aire irradi au sein d une collectivit h te inform e et consentante Perfectionnera et continuera de d velopper les mod les conceptuels et les dossiers de s ret en vue de l tablisse ment d un d p t g ologique en profondeur pour combus tible nucl aire irradi en roche cristalline ou en roche s dimentaire et m nera un programme de recherche d veloppement technique pour assurer une am lioration continue conform ment aux meilleures pratiques qui consentira accueillir une installation nationale pour la gestion long terme du combustible nucl aire irradi Au cours de la p riode de 2014 2018 la SGDN continuera de mettre en oeuvre le processus visant d terminer o sera confin et isol long terme le combustible nucl aire irradi canadien Le processus de s lection d un site est d crit dans Fa onnons l avenir ensemble Processus de s lection d un site pour le d p t g ologique en profondeur canadien pour combustible nucl aire irradi pub
434. onseillera en mati re spirituelle et culturelle de m me que sur la fa on de promouvoir des relations fructueuses et significatives entre les g n rations au sein des collectivit s et entre ces derni res La SGDN pr voit que l int gration du savoir traditionnel autochtone au processus de s lection et d valuation des sites potentiellement aptes largira la gamme des consid rations prises en compte dans l valuation de l aptitude des sites suscitera de nouvelles et diff rentes approches en mati re de r colte et d interpr tation des donn es et apportera une perspective unique en mati re de modes de vie ce qui permettra d clairer davantage les tudes d taill es ult rieures Examen par le Groupe d examen g oscientifique Les tudes g oscientifiques sont examin es par le Groupe d examen g oscientifique de la Gestion adaptative progressive GEG GAP et les rapports respectifs sont publi s sur le site Web de la SGDN l adresse www nwmo ca sitingprocess_preliminaryassessments_apm grg Ce groupe a t cr par la SGDN pour fournir des conseils et une orientation sur l approche les m thodes et les r sultats des valuations g oscientifiques pr liminaires qui font partie des tudes men es l tape 3 du processus de s lection d un site Les cinq membres du GEG GAP sont des experts reconnus internationalement du Canada de la Suisse de la Su de et de l Australie Ils fournissent un ventail d expertise et d exp rienc
435. onstration d un syst me de transport s r et s curitaire doit r pondre aux exigences de la population canadienne Elle doit aussi r pondre ses pr occupations comme la protection des humains et de l environnement l quit et l encadrement r glementaire La collaboration le partage du pouvoir de d cision et le consentement sont les fondements du processus de s lection d un site Le choix d un site appropri s effectuera suivant une s rie d tapes voir tapes du processus de s lection d un site Un survol et la description compl te du processus de s lection d un site cit plus haut Le processus pr voit que chaque collectivit pourra passer d une tape une autre la cadence et de la mani re qui refl tent ses besoins et ses pr f rences Le processus de s lection d un site d bute avec une p riode d apprentissage et de renforcement des capacit s pour les collectivit s Des valuations pr liminaires tudes de faisabilit pour valuer les sites potentiels seront r alis es en partenariat avec les collectivit s qui manifesteront leur int r t Toute collectivit peut se d sengager du processus tout moment et ce jusqu ce que l accord d finitif soit sign Avec le temps des ajustements au processus de s lection d un site pourront s av rer n cessaires en tenant compte de l exp rience acquise et l exercice est con u pour tre adaptatif Au fur et mesure que les
436. onsultatif comptait 10 membres et tait pr sid pour une autre ann e par l honorable David Crombie Tous les membres actuels du Conseil consultatif sont pr sent s aux pages 204 207 Le Conseil consultatif Les membres du Conseil consultatif poss dent de bonnes connaissances dans le domaine de la gestion des d chets nucl aires et ont une exp rience pertinente de travail avec les citoyens et avec les collectivit s concernant des questions de politiques publiques tr s vari es L ventail de l exper tise des membres du Conseil consultatif inclut les affaires gouvernementales les g osciences les communications strat giques l thique appliqu e et le savoir traditionnel autochtone Exigences l gislatives en mati re de pr senta tion de rapports En vertu de la LDCN le Conseil consultatif est tenu de fournir des commentaires ind pendants sur le travail effectu lesquels seront int gr s aux rapports triennaux de la Soci t Ces commentaires doivent comprendre des observations sur le r sultat des travaux men s par la SGDN au cours des trois ann es pr c dentes le r sultat des consultations publiques effectu es par la SGDN au cours de ces ann es le plan strat gique adopt par la SGDN pour les cinq ann es suivantes ainsi que les pr visions budg taires li es la mise en oeuvre du plan strat gique Les commentaires du Conseil consultatif sont pr sent s au chapitre 12 2 Rapport du Conseil consultat
437. ont dans une certaine mesure usage du retraitement L tape suivante possible est la transmutation qui consiste a convertir certains radionucl ides longue vie du combustible irradi en radionucl ides a vie plus courte par irradiation ou fission dans un r acteur habituellement un r acteur avanc par exemple un r acteur a neutrons rapides Ce proc d n est pas actuellement utilis bien que des tudes pour d montrer sa faisabilit soient en cours dans plusieurs pays Les constats scientifiques tablis au cours des trois derni res ann es indiquent toujours que le co t des technologies actuelles de retraitement est prohibitif particuli rement dans le cas du combustible non enrichi CANDU utilis dans les centrales nucl aires canadiennes En raison des co ts lev s de retraitement et des pr occupations en mati re de prolif ration la plupart des pays qui se sont engag s dans un cycle nucl aire o le combustible irradi est retrait et ensuite recycl dans des r acteurs eau l g re classiques ont mis un terme cette pratique De plus les sc narios de retraitement ou de cycles de combustible avanc s n liminent pas la n cessit d un d p t g ologique en profondeur tant donn qu ils donnent lieu un certain nombre de flux de d chets radioactifs chimiquement complexes contenant des radionucl ides longue vie Ces d chets sont souvent plus difficiles g rer que le combustible irradi original
438. orer avec la SGDN au cours de l tape des valuations pr liminaires Les ressources financi res peuvent couvrir les d penses administratives associ es la coordination des activit s organis es dans les collectivit s pour aider leurs membres en apprendre davantage sur la GAP et le processus de s lection d un site les travaux de d finition de la vision a long terme de la viabilit de la collectivit l engagement d experts ind pendants reconnus dans le domaine pour conseiller les collectivit s et des visites d tude d une installation provisoire d entreposage et de la Commission canadienne de s ret nucl aire CCSN Ottawa Le programme de Ressources pour les relations avec les Autochtones de la SGDN vise le d veloppe ment de liens avec les collectivit s et les organisations r gionales des Premi res nations ainsi qu avec les collec tivit s m tisses locales et leurs organisations r gionales situ es proximit des collectivit s participant l tape 8 pour en apprendre davantage sur la GAP afin de mieux comprendre les points de vue traditionnels et contempo rains et r pondre la question Comment les points de vue traditionnels et contemporains sur l intendance du territoire nous aident ils comprendre comment un projet d envergure tel que celui propos par la SGDN peut tre mis en oeuvre Ce programme offre des ressources aux collectivit s des Premi res nations leurs organisa
439. organisme de gestion des d chets qui aurait pour mandat d tudier diverses approches de gestion long terme du combustible nucl aire irradi canadien de proposer une approche privil gi e au gouvernement du Canada et de mettre ensuite en oeuvre l approche choisie par le gouvernement Cet organisme de gestion des d chets la SGDN a t fond en 2002 En vertu de ce mandat la SGDN a entrepris une tude d une dur e de trois ans 2002 2005 laquelle ont particip des milliers de citoyens de sp cialistes et de membres des peuples autochtones de chaque province et territoire du Canada Ce dialogue avait pour but de d finir une approche de gestion long terme qui soit socialement acceptable techniquement s re cologiquement responsable et conomiquement viable Le plan issu de ce dialogue la Gestion adaptative progressive GAP permettra notre g n ration de proc der d une mani re mesur e et concert e jeter les bases d une intendance long terme du combustible nucl aire irradi canadien qui sera s re et s curitaire La GAP consiste confiner et isoler le combustible nucl aire irradi dans un d p t g ologique en profondeur dans une forma tion rocheuse appropri e Le combustible nucl aire irradi sera confin et isol de mani re s re et s curitaire de la population et de l environnement au moyen d un syst me barri res multiples Le plan pr voit la possibilit de r cup re
440. ortance d accorder un r le aux jeunes et a propos que la SGDN en conjonction avec le Conseil des a n s revoie la m thode et le fonde ment d une participation de jeunes au nouveau Conseil des a n s Il a sugg r que la nomination de jeunes se fasse de mani re ind pendante celle des a n s I a aussi sugg r que permettre aux jeunes d avoir leur propre forum ayant des liens avec le Conseil des a n s pourrait tre une fa on productive de faire en sorte qu ils aient voix au chapitre En 2013 la SGDN a commenc tablir un processus favorisant la participation des jeunes Autochtones en dialogue avec le Conseil des a n s Ce processus comprenait deux r unions avec le Conseil des jeunes de l Assembl e des Premi res Nations Le Conseil consultatif a conseill la SGDN d accroitre ses efforts de recrutement de personnel autochtone et d tre souple dans les horaires et les lieux de travail qu elle propose Le Conseil note que la SGDN a fait des progr s importants en mati re de recrutement de personnel autochtone tant son si ge social qu en r gion et que cela a eu plusieurs avantages notamment d ouvrir des canaux de communication avec les collectivit s autochtones Le Conseil a press la SGDN d laborer une politique d approvisionnement et de prendre d autres initiatives pour faciliter la participation d entreprises autochtones ayant une exp rience d int gration du savoir traditionnel autochtone
441. ortant l empreinte superficielle et la science sur laquelle se baserait le choix du cuivre ou de toute autre substance pour la composition des conteneurs servant a stocker le combustible irradi dans le d p t Les questions aussi d taill es que celles la trouvent souvent r ponse aupr s des sp cialistes de divers domaines de la SGDN et ont t particuli rement fr quentes lors des s ances portes ouvertes organis es par la SGDN et des autres v nements o le personnel tait pr sent pour distribuer des documents d information et r pondre aux questions Certaines questions concernaient l installation apr s sa fermeture Des personnes souhaitaient en savoir plus sur les contr les institutionnels et sur les plans de surveillance long terme de l installation y compris de la corrosion des conteneurs Ce que nous avons entendu sur la mise en oeuvre de la Gestion adaptative progressive Le processus de s lection d un site Des gens souhaitaient savoir comment la SGDN assurait la mise en oeuvre du processus de s lec tion d un site et non seulement au sein des collectivit s h tes potentielles Certaines personnes estimaient que le processus tait trop long et que les jalons du processus d cisionnel devraient tre atteints plus rapidement Les gens manifestaient fr quemment ce type de r action apr s avoir entendu qu il pourrait se passer encore cing a 10 ans avant que soit choisie une collectivit h te propice La plupar
442. ortant sur la s ret et en des tudes sociales conomiques et culturelles qui vont au del de la s ret pour tenter de d terminer la possibilit que soit favoris le bien tre de la collectivit et de la r gion environnante et que l int r t d en apprendre davantage se maintienne ox Environnement et s curit CO 4 Est il plausible Aptitude g oscientifique Ing nierie Transport P Est il plausible Est il plausible Est il plausible D assurer un transport s r et s curitaire De construire Pinstallation de mani re s curitaire De trouver un site propice De g rer les effets environnemen taux ventuels et de garantir la sant et la s curit de la population et de l environnement Les valuations pl l environnement e ollectivit valuation pr liminaire de la Phase 1 es l ing nierie le transpoi AU DEL DE LA S RET Consid rations sociales conomiques et culturelles Est il plausible De favoriser le bien tre de la collectivit et de la r gion et de jeter les bases de la mise en oeuvre du projet Apprendre davantage ensemble Rapport triennal 2011 2013 Les valuations pr liminaires sont r alis es en deux phases cons cutives et les collectivit s et la SGDN ont l occasion de dresser un bilan au terme de chacune d elles Les valuations de la Phase 1 peuvent prendre jusqu deux ans pour se r aliser El
443. oscientifiques pr liminaires de la Phase 1 de l tape 3 du processus de s lection d un site Les tudes de la Phase 1 sur le bien tre de la collectivit ont pour but d acqu rir une meilleure compr hension de la collectivit et des incidences que le projet pourrait avoir sur son bien tre social culturel et conomique R alis es en collaboration avec la collectivit elles explorent la possibilit que le projet puisse s harmoniser avec les valeurs et les aspirations long terme de la collectivit et contribuer au bien tre de la collectivit et de la r gion environnante Les principales activit s de cette premi re phase comprennent l examen des rapports sur la collectivit et d autres informations publiques ainsi que des discussions avec la collectivit concernant sa vision ses priorit s et ses objectifs Les questions cl s guidant ces valuations sont e Quelles capacit s poss de la collectivit d accueillir le projet par exemple les processus d cisionnels l infrastructure et la main d oeuvre ou quelle est la possibilit qu elle puisse d velopper sa capacit d accueillir le projet avec le soutien de la SGDN e Comment le projet s harmonise t il avec les objectifs et ou la vision tablis par la collectivit ses valeurs sensibilit s et pr occupations et de quelle fa on la collectivit devrait elle pouvoir b n ficier du projet tant court terme qu long terme e Le bien tre de la co
444. our d chets de faible et moyenne activit 2014 2018 Chapitre 8 Ce que nous avons entendu sur la mise en oeuvre de la Gestion adaptative progressive 152 8 1 Les suites que nous avons donn es aux commentaires re us 154 8 2 Ce que nous avons entendu Plans strat giques 160 8 3 Consid rations sociales conomiques et culturelles Chapitre 9 Rapports financiers 170 9 1 Pr visions budg taires 2014 2018 174 9 2 Exigences en mati re de rapports financiers Chapitre 10 La Soci t 188 10 1 Soci t s membres Conseil d administration membres de la direction 198 10 2 L quipe de la SGDN Chapitre 11 Le Conseil consultatif Chapitre 12 Commentaire ind pendant 210 12 1 Rapport du v rificateur et tats financiers 228 12 2 Rapport du Conseil consultatif Annexes 260 Annexe 1 Mise en oeuvre de la Gestion adaptative progressive 2014 2018 308 Annexe 2 Liste des activit s d engagement et de recherche 2011 2013 330 Annexe 3 Abr viations fr quemment utilis es Guide du Rapport triennal Toutes les trois ann es financi res la SGDN pr sente un rapport triennal Le pr sent rapport constitue le second rapport triennal de la SGDN Il d crit ce que la SGDN a accompli au cours des trois derni res ann es de 2011 a 2013 et ce qu elle pr voit accomplir au cours des cinq prochaines ann es 2014 2018 Tout comme c est le cas pour ses rapports
445. ournit des commentaires et des recommandations sur les travaux venir Le Plan est inclus l annexe 1 du document de la SGDN Rapport triennal 2011 2013 Apprendre davantage ensemble Ces commentaires sont regroup s sous les rubriques suivantes Cadre thique et social Quantit de combustible nucl aire irradi Taille physique du d p t int grit environnementale Transport Engagement multig n rationnel 3 1 Cadre thique et social Comme il a t not la section 1 3 de ce rapport la Table ronde des experts en thique a publi en 2005 un Cadre thique et social pour guider les travaux de la SGDN Un atelier tenu en 2011 a conclu que ce cadre tait coh rent exhaustif et bien articul Les participants l atelier ont aussi observ que le cadre avait t cr dans le contexte du processus menant l adoption de l approche de la Gestion adaptative progressive et qu il devrait tre mis jour pour am liorer son efficacit au regard du processus de s lection d un site Ils ont fait un certain nombre de suggestions concernant cette mise jour La SGDN indique qu elle continue d utiliser le Cadre pour guider ses travaux et qu elle s est appuy e sur lui pour d finir en 2010 les valeurs et le processus pour le document sur le processus de s lection d un site et pour concevoir en 2012 les tudes de faisabilit Cependant le Conseil consultatif estime que le Cadre serait plus perti nent
446. ous avons discut avec les gens de collecti vit s locales des lus locaux provinciaux et nationaux des peuples autochtones des sp cialistes techniques et sociaux des groupes environnementaux et religieux ainsi que des gens d affaires au sujet des nombreuses questions sociales techniques conomiques environnementales et thiques soulev es par la gestion du combustible nucl aire irradi Un grand sentiment de responsabilit s est d gag de ces conversations La g n ration actuelle souhaite aller de l avant et r gler la question du combustible nucl aire irradli estimant qu il serait imprudent et injuste pour les g n rations futures d attendre plus longtemps avant d agir L adaptabilit Maintenir une capacit d adaptation au fil du temps en fonction des nouvelles connaissances et conditions j VA La viabilit conomique Assurer la viabilit conomique du syst me de gestion des d chets tout en contribuant l essor de l conomie locale Lint grit environnementale Assurer le maintien de l int grit environnementale long terme a L quit Assurer l quit sur le fond et sur la forme dans la r partition des co ts des avantages des risques et des responsabilit s au sein de la g n ration actuelle et entre les g n rations Les objectifs d finis par les Canadiens au regard de la gestion long terme du combusti ble nu
447. outes les incidences environnementales puissent tre g r es et que la s curit de la population et de l environnement puisse tre assur e tudes sociales conomiques et culturelles Est il plausible que le bien tre de la collectivit et de la r gion soit favoris et qu on puisse jeter les bases de la mise en oeuvre du projet Objet des valuations pr liminaires de la Phase 2 La Phase 2 est la continuation de I Etape 3 du processus de s lection d un site L objectif des tudes des dialogues et de l apprentissage pluriannuels de la Phase 2 sera d orienter le choix d un site pour la mise en oeuvre du projet de la Gestion adaptative progressive Pour pouvoir d terminer qu un site est propice la SGDN devra acqu rir la conviction qu un dossier de s ret solide peut tre mont pour l tablissement du projet cet endroit que la collectivit int ress e peut d montrer son consentement une fois que toutes les tudes auront t r alis es qu elle peut nouer un partenariat troit avec les collectivit s locales autochtones et non autochtones et que le combustible nucl aire irradi peut tre achemin en toute s ret jusqu au site de pr dilection Au terme des valuations de la Phase 2 un ou plusieurs sites seront choisis pour la Apprendre davantage ensemble Rapport triennal 2011 2013 r alisation des valuations d taill es de l tape 4 Les tudes de l tape 4 pourraient se r ali
448. p rabilit la surveillance et la transmission interg n ra tionnelle du savoir Continuera de sonder les Canadiens au sujet de leurs priorit s et de leurs pr occupations l gard de la Gestion adaptative progressive Cherchera bien comprendre comment incorporer la mise en oeuvre le savoir traditionnel autochtone et d autres m thodes d valuation Examiner et mettre jour le cadre thique et social et tenir compte des d fis mergents et potentiels Mise en oeuvre de la Gestion adaptative progressive 2014 a 2018 Annexes En Affichera sur son site Web les rapports d tudes et les rapports sur ses activit s d engagement Publiera des comptes rendus sur les progr s dans le retraitement du combustible nucl aire irradi et les nouvelles technologies de gestion du combustible nucl aire irradi Publiera une mise jour annuelle sur les quantit s et types actuels et potentiels de combustible nucl aire irradi Publiera une valuation technique pr liminaire du combustible nucl aire irradi produit par les r acteurs de G n ration Ill type CANDU et autres en relation avec la conception du d p t g ologique en profondeur et la s ret Sollicitera l avis des Canadiens sur la fa on dont la mise en oeuvre de la Gestion adaptative progressive devrait s adapter pour tenir compte des volumes actuels et projet s de combustibl
449. p riode ind finie Par l optimisation et l am lioration des mod les conceptuels la r alisa tion d analyses de s ret hypoth tiques et le perfectionnement des m thodes techniques et scien tifiques associ es le programme technique de la GAP a comme objectif de veiller ce que le d p t r ponde aux normes techniques les plus rigoureuses Pour atteindre cet objectif le programme technique de la GAP m ne des projets de recherche en collaboration avec des universit s canadiennes des organismes internationaux ainsi que ses homologues d autres pays dont la Su de la Suisse la Finlande la France et partir de 2013 le Royaume Uni Ses travaux sont examin s annuellement par le Groupe d examen technique ind pendant GETI mis sur pied en 2008 par le Conseil d administration de la SGDN Une part importante du mandat du GETI consiste valuer la capacit du programme r pondre aux exigences de la mise en oeuvre de la GAP Le travail du programme technique de la GAP se r partit en trois grandes cat gories la conception technique du d p t le volet g oscientifique et la s ret du d p t Les principales r ali sations du programme au cours des trois derni res ann es sont d crites ci dessous pour chacune de ces cat gories Un bref compte rendu des divers moyens rapports articles congr s collabo rations de recherche avec les universit s et projets en commun avec des organismes trangers employ s pour maint
450. par rapport aux normes actuelles fix es par la Commission canadienne de s ret nucl aire pour l obtention d un permis Une exposi tion mobile sur le transport a t mont e et a t exhib e dans le cadre de plusieurs v nements organis s dans des collectivit s participant au processus de s lection d un site et d un certain nombre de congr s munici paux La SGDN conform ment la Loi sur les d chets de combustible nucl aire a continu de surveiller les fonds distincts dont le seul but est de financer la mise en oeuvre du d p t g ologique en profondeur et du centre d expertise une fois qu un permis de construction est octroy par la Commission canadienne de s ret nucl aire plusieurs ann es dans le futur Cela comprenait la r vision des contributions aux fonds en fiducie pour tenir compte des derni res estimations du co t du cycle de vie et des soldes actuels des fonds en fiducie Mise en oeuvre de la Gestion adaptative progressive 2014 a 2018 5 Annexes Adapter les plans Assurer une bonne gouvernance et une bonne reddition des comptes La SGDN s est livr e un apprentissage continu pour tre en mesure d adapter ses plans en fonction des nouvelles connaissances des meilleures pratiques internationales des progr s techniques de l volution des attentes et des valeurs des changements dans les politiques publiques et des perspectives mises en lumi re par le savoir traditionnel autoch
451. pour combustible nucl aire irradi en formations de roche cristalline et de roche s dimentaire continu de pr senter des rapports annuels au ministre f d ral des Ressources naturelles conform ment la Loi sur les d chets de combus tible nucl aire Mettre en place et maintenir une organisation de haut niveau Apprendre davantage ensemble Rapport triennal 2011 2013 La SGDN a continu de renforcer ses effectifs et de d velopper son r seau de sous traitants par le biais de diverses initiatives dont des partenariats de recherche avec des universit s la formation et le d veloppement du personnel et l investissement dans les syst mes et les processus de gestion La SGDN soutenu le processus de s lection d un site par le recrutement de sp cialistes de domaines comme la conception et la construction des d p ts l valuation environnementale le savoir traditionnel autoch tone la recherche sociale l thique la finance les communications et l engagement du public A ouvert des bureaux locaux dans les collectivit s rendues l tape 3 continu de promouvoir la transmission des connaissances aux g n ra tions futures en suscitant l int r t des jeunes pour les sciences et en accordant un soutien financier aux tudiants dipl m s par le biais du Programme de bourses d tudes sup rieures incidence industrielle du Conseil de recherches en sciences naturelles et en g n
452. pour le choix d un stocker le combustible nucl aire APM REP 06143 324089 Initial Screening for Siting a Deep Geological Repository for Canada s Used Nucle APM REP 06143 32410 Rapport som site pour un d p t g o ir site pour un d p t g o irradi canad X ir te pour un d p t g o radi canad site pour un d p t g o radi canadien Municipa APM REP 06143 32753 ien Corporati APM REP 06143 32754 ien Municipa APM REP 06143 32756 Rapport som ogique en pro ogique en pro ogique en pro ogique en pro it de Wawa Ontario Rapport som it de Brockto maire Evaluat fondeur destin maire valuat fondeur destin on de la municipalit d Arran Elderslie Ontario Rapport som maire Evaluat ondeur destin a n Ontario maire Evaluat ondeur destin irradi canadien Canton de Nipigon Ontario ar Fuel Municipality of Wawa Ontario on de pr s lection pour e choix d un stocker le combustib i e nucl aire ix d un re on de pr s lection pour le cho stocker le combustible nucl ai ix d un re on de pr s lection pour le cho stocker le combustible nucl ai ix d un re e cho ai on de pr s lection pour stocker le combustible nuc APM REP 06143 32757 Initial Screening for Siting a Deep Geological Repository for Canada s Used Nuclear Fuel Tow
453. pr s l obtention des permis appropri s la SGDN commencera la construction d une installation souterraine de d monstration pour poursuivre la caract risation du site et tayer la demande de permis d exploitation Ces travaux n cessiteront les services de plusieurs centaines de travailleurs chaque ann e sur le site pour construire et exploiter l installation souterraine Le centre d expertise sera agrandi et deviendra un centre de connaissances d envergure nationale La SGDN construira le d p t g ologique en profondeur et les installations associ es Les activit s de construction n cessiteront chaque ann e sur le site les services d environ 600 800 travailleurs aux comp tences tr s diverses notam ment des op rateurs d quipements des ing nieurs des scientifiques du person nel minier des gens de m tier des chercheurs sociaux des administrateurs finan ciers et des sp cialistes en communication La SGDN collaborera avec la collec tivit pour d velopper les infrastructures requises La construction g n rera de nombreuses possibilit s d emplois directs dans la collectivit h te pour assurer divers services de soutien comme le transport la restauration et la fourniture d quipements Selon la r gion conomique h te la phase de construction aura des retomb es sous forme de profits d entreprises et de revenus d emploi de l ordre de centaines de millions de dollars dans l ensemble de la r gion La SGDN coll
454. pri taire du combustible nucl aire irradi une fois qu il aura t plac dans le d p t Les questions les plus fr quemment pos es sur l exploitation des installations nucl aires canadiennes concernaient la gestion actuelle du combustible nucl aire irradi le nombre de grappes devant tre g r es et les conditions qui existent dans les piscines d eau o le combustible nucl aire irradi refroidit D autres personnes s int ressaient la quantit d nergie r siduelle que contiennent les grappes de combustible irradi et leur composition chimique voulant entre autres savoir si le combustible nucl aire irradi tait une mati re solide liquide ou gazeuse et s il pouvait tre utilis pour fabriquer des armes Des questions sur l historique de la GAP ont continu d tre pos es Par exemple plusieurs visiteurs aux v nements publics qui n taient pas auparavant au courant du projet voulaient en savoir plus sur la fa on dont la GAP avait t labor e apr s la cr ation de la SGDN en 2002 Les options consid r es au cours de la p riode d tude de la SGDN 2002 2005 ont encore suscit un int r t consid rable Les gens ont aussi demand des pr cisions sur le d p t g ologique en profondeur propos et sur les concepts technologiques et techniques qui le sous tendent L objet de ces questions variait des conditions physiques qui existent la profondeur du futur d p t jusqu aux d tails se rapp
455. produit Pour stocker tout le combustible nucl aire irradi canadien dans un m me lieu il faudra l acheminer depuis ces installations provisoires d entreposage vers le site centralis du d p t g ologique en profondeur Selon l endroit o sera situ le site centralis le transport s effectuera par camion par train ou par bateau ou par une combinaison de ces moyens La SGDN devra d montrer la s ret et la s curit de tout syst me de transport utilis aux autorit s r glementaires et aux citoyens avant que le combustible nucl aire irradi ne puisse commencer tre achemin vers le d p t Le transport du combustible nucl aire irradi devra satisfaire aux exigences strictes d emballage et de transport de la Commission canadienne de s ret nucl aire CCSN et aux r glements de Transports Canada avant d obtenir le certificat pour la conception du colis et qu un permis de transport soit d livr Pour de plus amples informations veuillez consulter le document Le transport s r et s curitaire du combustible nucl aire irradi canadien au www nwmo ca brochures Mise en oeuvre de la Gestion adaptative progressive 2014 a 2018 Annexes Le centre d expertise Un centre d expertise sera tabli dans une ou plusieurs collectivit s o un site aura t choisi pour r aliser une valuation d taill e tape 4 du processus de s lection d un site Le centre sera situ dans la collectivit ou proximit selon ce
456. progres sive ce plan d crit comment la SGDN mettra en oeuvre la Gestion adaptative progressive GAP au cours de la p riode de planification vis e La SGDN invite tous les particuliers et groupes qui le souhaitent participer la gestion long terme du combustible nucl aire irradi Pour faciliter l examen public et la cueillette de commentaires sur le plan la SGDN l affiche chaque ann e sur son site Web et transmet par la poste des exemplaires imprim s aux particuliers et aux groupes qui ont manifest un int r t pour les activit s de la SGDN aux ministres et d put s provinciaux et f d raux aux minist res concern s et aux organisations autochtones Dans le cadre de ce dialogue un sondage de cinq questions est affich sur le site Web de la Soci t et est post sous forme imprim e Un dialogue poursuivi avec les Canadiens Le Plan pr liminaire est articul selon sept objectifs strat giques Les objectifs que nous avons d finis sont ils appropri s Pour faciliter Avons nous omis des l ments importants l examen public et la cueillette de Le Plan pr liminaire d crit des activit s que nous nous commentaires proposons d entreprendre pour atteindre ces objectifs sur son plan la Avons nous d crit les activit s appropri es SGDN propose de r pondre aux cinq Le Plan pr liminaire est destin anticiper les d fis venir et questions planifier les mesures requises pour r pondre ces d fis A
457. que en profondeur est facultative et ns le plan de mise en oeuvre La Gestion adapte Le d p t g ologique en profondeur Le d p t g ologique en profondeur est constitu d un syst me barri res multiples con u pour confiner et isoler long terme de mani re s re le combustible nucl aire irradi Il sera construit une profondeur approximative de 500 m tres selon la g ologie du site et sera constitu d un r seau de salles de mise en place pour le combusti ble irradi voir le diagramme a la page suivante Ce projet necessite une superficie en surface d di e d approxima tivement 600 m tres par 550 m tres pour les b timents principaux et de 100 m tres par 100 m tres pour le puits de sortie de la ventilation Les terrains au dessus de empreinte souterraine qui ne seraient pas occup s par des installations de surface ou pour r pondre aux exigences r glementaires pourraient servir d autres usages D apr s les pr visions actuelles de l inventaire le d p t en profondeur n cessitera une aire souterraine d approximativement 2 kilom tres par 1 kilom tre 875 hectares 930 acres dans une formation rocheuse propice De plus en raison des exigences r glementaires et autres les activit s dans la zone imm diate autour des installations de surface pourraient devoir tre limit es Le combustible nucl aire irradi sera plac sur les sites er Argile de benton
458. que les charges admis sibles soient engag es sont comptabilis s titre d apports des membres report s Les engage ments au titre d apports que la SGDN n a pas encore re us sont comptabilis s titre d apports recevoir lorsque le montant peut tre d termin et que la r ception finale est probable a Apports recevoir des membres Les apports recevoir des membres comprennent les l ments suivants 2013 2012 Ontario Power Generation 2 339 534 8 812 994 nergie NB 8 799 2 339 534 21820199 b Apports des membres report s Les apports des membres report s comprennent les l ments suivants 2013 2012 nergie NB 69 847 Hydro Qu bec 215 541 484 186 Energie atomique du Canada limit e 149 431 rares 434 819 601 941 c Apports des membres report s long terme Les apports des membres report s long terme repr sentent les montants suivants re us d avance aux fins du financement d avantages sociaux futurs 2013 2012 Actif report au titre des r gimes de retraite 15 266 640 18862177 Autres avantages post rieurs l emploi 10 412 994 8 299 407 Passifs li s aux prestations de retraite et aux autres avantages post rieurs l emploi court terme note 8 94 000 94 000 4 759 646 4 968 770 Commentaire ind pendant 6 Apports recevoir des membres et apports des membres report s suite d volution des apports des membres repo
459. ques et les objectifs propos s pour la p riode de planification quinquennale L laboration de chaque plan quinquennal tient compte des commentaires re us dans le cadre des examens publics des plans de mise en oeuvre et des activit s d engagement Chaque ann e le plan d affaires quinquennal est pr sent aux membres du Conseil d administration pour tre examin et discut Les budgets sont approuv s sur une base annuelle Chaque automne le Conseil d administration approuve le budget pour l exercice financier suivant Le plan strat gique 2014 2018 pour la GAP est pr sent l annexe 1 Mise en oeuvre de la Gestion adaptative progressive 2014 2018 En plus de la gestion de la mise en oeuvre de la GAP la SGDN dirige deux autres programmes d activit s soit le d veloppement du Projet de d p t g ologique en profon deur DGP d Ontario Power Generation OPG pour d chets de faible et moyenne activit DFMA et les Services de gestion des obligations li es au cycle de vie GOCV La SGDN g re la phase d approbation r glementaire du projet de DGP pour DFMA dans le cadre d un contrat accord par OPG Entente de services du DGP pour DFMA OPG a accord un second contrat a la SGDN en vertu duquel la SGDN g re la phase de conception et de construction du projet de DGP pour DFMA La SGDN fournit OPG des Services de GOCV du d p t en vertu d un contrat dont les dispositions sont similaires a celles du D
460. qui aura t d termin avec la collectivit Il servira de base aux essais et valuations pluriannuels du site relatifs la s ret technique et au bien tre de la collectivit lesquels sont des l ments cl s du processus de s lection d un site Au cours de cette p riode il logera un programme actif de recherche technique et sociale et de d monstration technologique auquel s associeront des chercheurs et autres sp cialistes d un large ventail de domaines dont les g osciences le g nie et l valuation des incidences environnementales socio conomiques et culturelles Les d tails de conception du centre d expertise seront d cid s en collaboration avec la collectivit les peuples autochtones touch s et les collectivit s voisines en tenant compte de leurs pr f rences La discussion des d tails de conception du projet constitue galement une occasion exceptionnelle pour les jeunes de s impliquer Le centre d expertise pourrait par exemple devenir un point de ralliement pour engager les membres de la collectivit en apprendre davantage sur le projet et observer en personne l volution des travaux scientifiques et techniques reli s l valuation du site par le moyen de galeries d observation et d expositions interactives Il pourrait tre con u comme un petit centre scientifique qui mettrait en vidence et d montrerait la science et la technologie utilis es pour d terminer si le site est propice Il po
461. r Environnement de roche cristalline conteneur en cuivre APM REP 00440 0008 Mise jour sur la conception et l estimation du co t de la GAP Rapport sur la conception du transport APM REP 00440 0006 Mise jour sur la conception et l estimation du co t de la GAP Rapport sur les co ts de transport APM REP 00440 0009 Mise jour sur la conception et l estimation du co t de la GAP D p t g ologique en profondeur en roche cristalline Donn es de la SGDN pertinentes l estimation du co t de la GAP APM REP 00440 0011 Conception technique et estimation du co t de la GAP pour un d p t g ologique en profondeur en roche cristalline R sum APM REP 00622 0005 Rapport final pour la SGDN APM REP 01520 32560 2012 2013 Report of the NWMO Adaptive Phased Management Geoscientific Review Group GRG Preliminary Geoscientific Assessments APM REP 01601 0008 Projet de scellement volu PSE Rapport de construction et d instrumentation du bouchon de scellement APM REP 01601 0004 Projet de scellement volu PSE Rapport sur l tat du projet et sur les donn es collig es pour la p riode se terminant le 31 d cembre 2010 APM REP 01601 0005 Projet de scellement volu PSE Rapport sur l tat du projet et sur les donn es collig es pour la p riode se terminant le 31 d cembre 2011 APM REP 08640 26782 Forge 1 2 Benchmark Modelling Meeting October 10 11 2011 Irsn Paris France APM REP 03640 26783 FORGE
462. r examiner le Cadre pour d terminer sa pertinence par rapport aux nouvelles phases de travaux qu allait entre prendre la SGDN Les participants l atelier taient Wesley Cragg Andrew Brook Frances Abele Jim Cooney et Donald Obonsawin Leur examen leur a permis de conclure que le cadre tait coh rent exhaustif et bien articul Les participants avaient t impressionn s par la fa on dont la logique du cadre thique avait t int gr e au processus de consultation qui avait g n r le processus de la Gestion adaptative progressive lls avaient soulign le d fi que constituait le fait de comprendre et d accepter que l int gration du cadre constituait un processus continu qui n ces siterait un engagement et un d vouement soutenu l gard de toutes les dimensions du projet jusque dans un avenir ind fini Les participants l atelier ont aussi sugg r la SGDN des fa ons d actualiser le cadre et de l appliquer de mani re efficace la phase de s lection d un site du processus de la Gestion adaptative progressive Crit res d valuation du Conseil consultatif En 2005 le Conseil consultatif a r dig un nonc La fa on dont le Conseil consultatif de la Soci t de gestion des d chets nucl aires compte s acquitter de son mandat Cet nonc tablis sait quatre crit res d valuation l exhaustivit l quit et l quilibre l int grit et la transparence sur lesquels le Conseil allait se fond
463. r flexion et une valuation plus d taill es La Phase 2 constituera une occasion pour tous de mieux cerner les avantages du projet d apprendre travailler ensemble et de comprendre comment les incidences n gatives potentielles du projet peuvent tre g r es La SGDN explorera l int r t de la collectivit et de la r gion et continuera de les aider conna tre et comprendre le projet La SGDN la collectivit int ress e les peuples autochtones de la r gion et les collectivit s voisines chercheront ensemble d terminer si la r gion est apte accueillir le projet et si les fondements d une collaboration la mise en oeuvre du projet peuvent tre pos s Les activit s d engagement serviront explorer la probabilit que ces parte nariats puissent s tablir Un des principaux objectifs des travaux de la Phase 2 sera de d finir les conditions dans lesquelles un partenariat de travail peut tre d velopp pour la mise en oeuvre du projet La Phase 2 servira aussi d terminer si un plan de mise en oeuvre peut tre labor pour assurer la s ret s harmoniser avec les attentes de la collectivit et tre conomiquement viable Les valuations de la Phase 2 pourraient prendre trois ou quatre ans voire plus Du temps suppl mentaire pourrait tre requis pour r aliser les valuations visant d limiter plus pr cis ment les secteurs prometteurs et pour choisir les secteurs les plus propices avec le degr
464. r de s ret d un d p t g ologique en profondeur UN Assurer la s curit financi re Mise jour de l estimation du co t de la GAP Estimation des implications financi res associ es des sc narios de volumes variables ventuels de combustible nucl aire irradi en fonction des donn es disponibles e Identification le cas ch ant des incidences sur la formule de financement qu aurait l ajout possible de r acteurs ou de propri taires e Poursuite de l tablissement du niveau des contributions annuelles des propri taires de d chets aux fonds en fiducie Adapter les plans e Rapports sur les inventaires projet s de combustible irradi sur les technologies mergentes et sur les implications possibles de l ajout de r acteurs nucl aires pour le oi gt plan de la GAP Cn Be e Poursuite de la publication d examens des progr s r alis s dans le domaine du retraitement du combustible nucl aire irradi et des technologies de remplacement en mati re de gestion du combustible nucl aire irradi e Recherches sur les attentes du public y compris des jeunes et des organisations int ress es pour faire en sorte que le processus de s lection d un site continue de r pondre aux besoins et aux attentes adaptation du processus le cas ch ant en fonction de l exp rience acquise e Int gration du savoir traditionnel autochtone a la mise en oeuvre du programme de la GAP Assurer une bonne
465. r et de mettre en oeuvre de concert avec le public une m thode de gestion long terme du combustible nucl aire irradi qui soit socialement acceptable techniquement s re cologiquement ole et conomiquement viable leurs rit ous agirons de fa on franche honn te et respectueuse avec toutes les personnes organisations qui seront nos interlocuteurs dans l ex cution de notre mandat Excellence Nous n aurons de cesse de nous assurer que nos analyses nos processus d engagement et nos prises de d cisions soient garants d une expertise in gal e d une intelligence profonde et d un instinct novateur Engagement Nous solliciterons la participation de toutes les collectivit s d int r ts et serons r ceptifs aux points de vue et perspectives les plus vari s Nous communiquerons avec le public et le consulterons activement poussant la r flexion et encourageant un dialogue constructif Responsabilit Nous saurons rendre compte de la gestion avis e prudente et efficiente des ressources nous assumerons nos responsabilit s enti rement Transparence Nous nous efforcerons de proc der communiquer et prendre des d cisions de mani re ouverte et transparente afin que la m thode soit bien comprise de tous les Canadiens Mot du pr sident du Conseil d administration En 2007 le gouvernement f d ral a approuv la Gestion adaptative progressive GAP le plan canadien de g
466. r le combustible irradi pendant une p riode prolong e jusqu ce qu une soci t future d cide de la fermeture d finitive du d p t ainsi que de la forme et de la dur e de la surveillance post fermeture Ayant comme aboutissement technique un d p t g ologique en profondeur la GAP adopte l avenue technique admise inter nationalement en mati re de gestion long terme du combusti ble nucl aire irradi Comme plan de gestion elle est adaptative en ce qu elle permettra de tenir compte des nouvelles techno logies qui mergeront mais aussi de l volution des attentes et des besoins soci taux des Canadiens En 2005 la SGDN a formul ses recommandations au gouvernement du Canada qui en juin 2007 a adopt la GAP consid rant qu il s agissait de la meilleure approche au Canada pour prot ger la population et l environnement durant la tr s longue p riode au cours de laquelle le combustible nucl aire irradi doit faire l objet d une gestion rigoureuse 1 En 2004 par le biais d un ordre de virement le gouvernement du Nouveau Brunswick a transf r la responsabilit de tous les aspects des actifs de production d nergie nucl aire qui sont propri t s de la province une nouvelle filiale nergie nucl aire NB La SGDN a rencontr des milliers de citoyens provenant de tous les segments de la soci t canadienne pour connaitre leur avis et enten dre leurs suggestions sur la marche a suivre N
467. radi comprend le confinement et l isolement des substances radioactives La radioactivit diminue substantiellement avec le temps principalement en raison de la d sint gration des radionucl ides a vie courte La radioactivit du combustible nucl aire irradi diminue jusqu a environ un pour cent de sa valeur initiale au bout d un an a environ 0 1 pour cent apr s 10 ans et a environ 0 01 pour cent au bout de 100 ans Apr s environ un million d ann es la radioactivit du combustible nucl aire irradi est sensiblement quivalente celle de l uranium naturel Apprendre davantage ensemble Rapport triennal 2011 2013 Grappe de combustible utilis e dans les r acteurs nucl aires CANDU elle est fabriqu e en agglom rant de l oxyde d uranium pour en faire des pastilles Les pastilles sont ins r es dans des tubes en Zircaloy alliage du m tal zirconium lesquels sont soud s pour constituer une grappe de tubes autrement dit une grappe de combustible Chaque grappe contient environ 1000 pastilles d oxyde d uranium Installation optionnelle d entreposage souterrain faible profondeur consistera en la construction d une installation d entreposage au sein d une caverne rocheuse faible profondeur sur le site choisi pour le d p t g ologique en profondeur Cela est incluse en option dans la Gestion adaptative progressive au besoin dans le cas de circonstances impr vues R cup rabilit possibi
468. radi conform ment aux exigences r gle mentaires actuelles Ces travaux ont t compl t s en 2013 Communication des progr s l chelle internationale l chelle internationale la SGDN fait tat de ses progr s lors des r unions de la Convention commune sur la s ret de la gestion du combustible us et sur la s ret de la gestion des d chets radioactifs Convention commune La SGDN pr sente ses rapports la Convention commune sous les auspices de la CCSN Il s agit d une des exigences de la Convention impos es au Canada et aux autres pays signataires pour d montrer qu ils r pondent leurs engagements internationaux relatifs la gestion s re des d chets radioactifs et du combustible nucl aire irradi La quatri me r union d examen s est tenue au mois de mai 2012 La d l gation canadienne dirig e par la CCSN comprenait des repr sentants de Ressources naturelles Canada d Energie atomique du Canada limit e d Ontario Power Generation et de la SGDN Le Canada compte parmi 63 pays participant la Convention commune Le 15 mai 2012 la d l gation canadienne a donn une Gestion de la qualit L Excellence et l Engagement constituent deux des valeurs fondamentales de la SGDN Conform ment ces valeurs la SGDN a mis au point un syst me de gestion qui garan tit que les avis et les points de vue des collectivit s et des groupes int ress s sont pris en compte et que l organi s
469. radio actives En 2013 la SGDN a mis niveau les caract ris tiques de son colis de transport du combustible irradi afin qu il r ponde aux exigences d homologation actuelles et a obtenu le renouvellement de l homologation de la concep tion du colis Le programme technique g oscientifique Le programme technique g oscientifique a quatre objectifs principaux chacun visant mieux comprendre l volution de la g osph re en vue de l laboration d un dossier de s ret pour le d p t de la GAP Ces objectifs sont 1 de mieux comprendre la stabilit la pr visibilit et la r sistance aux perturbations de la g osph re sur le long terme 2 d tayer sur des bases g oscientifiques les dossiers de s ret de la GAP pr par s par la SGDN 3 de mener des activit s de caract risation de sites l appui d un dossier de s ret pour la GAP et 4 de maintenir l expertise technique du programme en associant des sp cialistes nationaux et internationaux ses travaux Au cours des trois derni res ann es le programme technique g oscientifique a continu de soutenir des activit s de recherche d veloppement visant appliquer les techniques de caract risation en profondeur au bouclier cristallin et aux formations s dimentaires Les l ments principaux de ce programme taient ax s sur l aspect tr s particulier des activit s de caract risation en milieux peu perm ables Plus sp cifiquement les
470. rapportant la pr paration aux urgences Les gouvernements provinciaux sont responsables de la r glementa Certains aspects de la s lection d un site ou de la construction de l installation et du transport peuvent tre r gis par des lois provinciales tion de l exploitation et de l extraction des ressources p x le forage et l exploitation mini re souterraine ainsi que de la gestion des terres publiques p ex allocation des terres provinciales Des lois provinciales commandant l valuation des incidences environne mentales potentielles d une activit d un plan ou d un programme peuvent s appliquer des aspects de ces travaux Certaines lois portant sur les esp ces prot g es la protection environnementale la protection ou la pr servation du patrimoine la protection des ressources en eau la sant et la s curit au travail les normes de recrutement ou les relations de travail peuvent tre pertinentes Divers permis licences et approbations seront requis et des politiques et directives provinciales pourraient s appliquer l tape de la s lection d un site Les municipalit s qui tirent leur autorit des lois provinciales peuvent avoir des exigences dont il faut tenir compte telles que des permis codes normes ou r glements 64 Phases de la mise en oeuvre valuation du site Approbations r glemen taires Construction En collaborati
471. rapports ont t pr par s le premier en 2012 et l autre en 2013 et pr sent s la CCSN aux fins d un examen pr projet Les deux tudes peuvent tre consult es en ligne l adresse www nwmo ca technicalresearch la demande des collectivit s int ress es en apprendre davantage sur la GAP le personnel de la CCSN a fournit des s ances d information ind pendantes sur le r le de l organisme r glementaire dans l octroi de permis pour une installation de la GAP Ces s ances d information ont d but en 2010 et continuent d tre fournies Planification du transport de combustible nucl aire irradi compter de 2012 la COSN Transports Canada et les minist res provinciaux des transports ont particip un groupe de planification form pour r pondre aux questions et aux pr occupations soulev es par le trans port du combustible irradi Cette participation constitue un volet important de la d marche visant confirmer la compr hension des exigences et des attentes r gle mentaires associ es au transport du combustible irradi Ult rieurement la SGDN devra d montrer aux autorit s r glementaires la s ret et la s curit d un syst me de transport avant que l exp dition du combustible nucl aire irradi puisse d buter En 2012 la SGDN a franchi un pas important dans cette direction en commen ant les travaux visant faire r homologuer le colis de transport du combustible ir
472. re de projets de d p ts du monde entier pour discuter de la meilleure fa on de r pondre aux exigences soci tales se rapportant au d veloppement de d p ts Au cours des cing prochaines ann es la SGDN continuera de suivre et d examiner la recherche men e l exp rience acquise et les v nements se produisant au Canada et dans le monde pour tirer des le ons et pour saisir les occasions qui se pr senteront d apporter des am liorations la GAP Elle poursuivra son exploration des meilleures pratiques d engagement de renforcement des capacit s et de promotion du bien tre des collectivit s et travaillera mieux comprendre comment int grer le savoir traditionnel autochtone au processus de s lection d un site Pour se tenir au fait des derni res avanc es techniques elle continuera de s associer des projets conjoints de recherche avec des universit s canadiennes et les organisations de gestion de d chets nucl aires d autres pays Elle continuera galement de participer activement des organisations internationales telles que l AEN Elle publiera une valuation technique pr liminaire de l incidence du combustible irradi des r acteurs de troisi me g n ration CANDU et autres sur la conception et la s ret d un d p t g ologique en profondeur et continuera de suivre de pr s l volution des politiques nerg tiques et environnementales Comme par les ann es pass es elle continuera de surveiller les progr
473. re du projet Ceci inclut une discussion concernant le partage des risques des co ts et des b n fices Au cours des trois derni res ann es la SGDN a cr du mat riel d exposition des brochures et d autres produits d information pour soutenir cet apprentissage et ce dialogue Elle a aid organiser pour les collectivit s un ventail de situations d apprentissage auxquelles ont particip des agents de r glementation des universitaires et des experts conseils dans le domaine de m me que des changes avec des collectivit s engag es dans des processus similaires dans d autres pays Elle a aussi labor et peaufin des programmes de ressources pour r pondre aux besoins exprim s par les collectivit s et les peuples autochtones ainsi que des expositions et autres outils d apprentissage destin s aider les membres de la collectivit discuter du projet Plus globalement et particuli rement parmi les personnes plus critiques envers le projet des discussions se sont poursuivies quant savoir s il n existerait pas de meilleures approches techniques pour g rer long terme le combustible nucl aire irradi et s il ne serait pas opportun de cesser de produire du combustible irradi Apprendre davantage ensemble Rapport triennal 2011 2013 De la d sinformation a t circul e dans certaines collectivit s au sujet du processus m me de s lection d un site le projet et la SGDN Cette d sinformation
474. re ex cutif Sean O Dwyer Ressources humaines Kathryn Shaver Engagement et s lection d un site pour la GAP Derek Wilson Conception et construction Comit de direction Kenneth E Nash Pr sident et chef de la direction Angelo Castellan valuation environnementale et soutien administratif Chris Hatton Mise au point de la conception du d p t pour la GAP Michael Hung Tr sorier et administrateur principal des affaires financi res Frank King S ret et permis jusqu en novembre 2013 Patrick Moran Affaires juridiques et secr taire ex cutif Sean O Dwyer Ressources humaines Sean Russell Recherche d veloppement pour le d p t de la GAP Kathryn Shaver Engagement et s lection d un site pour la GAP Derek Wilson Conception et construction De gauche droite Kenneth E Nash Angelo Castellan Chris Hatton Michael Hung Patrick Moran Sean O Dwyer Sean Russell Kathryn Shaver Derek Wilson L quipe de ER Au 31 d cembre 2013 la SGDN comptait 130 employ s temps plein SI GE SOCIAL 22 avenue St Clair Est 6 tage Toronto Ontario MAT 283 Canada vt A f tuii PE MA EE D 4 ERTE l Hil Ut f H Le Conseil consultatif y n mi Conform ment la Loi sur les d chets de combustible nucl aire LDCN le Conseil d administration de la SGDN a constitu un Conseil consultatif en 2002 En 2018 le Conseil c
475. re nation de Black Lake FSIN Black Lake Sask Pr sentation sur la GAP 26 27 avril 2012 Conseil des relations entre les entreprises et les Autochtones du Conference Board of Canada Cranbrook C B Pr sentation Processus de s lection d un site pour la GAP et engagement des Autochtones 24 juillet 2012 Premi re nation d Island Lake Ministikwan ILFN Sask Pr sentation sur la GAP 25 juillet 2012 Premi re nation de Flying Dust Flying Dust Sask Pr sentation sur la GAP 14 ao t 2012 Nation d n e de Buffalo River Dillon Sask Pr sentation sur la GAP 15 ao t 2012 Premi re nation de Lac La Ronge Sask Direction du territoire et des ressources La Ronge Sask Pr sentation sur la GAP 16 ao t 2012 Premi re nation crie de Missinabie Ont Assembl e communautaire 10 septembre 2012 Premi re nation de Mississauga Assembl e n 8 Comit sur le territoire et les ressources Ont Pr sentation sur la GAP 19 mars 2012 Conseil tribal de Yorkton FSIN Yorkton Sask S ance d information 20 mars 2012 Conseil tribal de Saskatoon FSIN Saskatoon Sask S ance d information 10 11 juin 2012 Forum des chefs r gionaux du nord est du lac Sup rieur NESRCF a la Premi re nation crie de Chapleau Ont NESRCF et Conseil des A n s S ance d information 26 juin 2012 Grand chef et comit sur l environne ment du grand conseil d
476. re r duit de collectivit s h tes potentielles la Phase 2 devra aussi comprendre un programme d engagement et de communications clairs qui s appliquera aux collectivit s potentielles du transport et aux Canadiens en g n ral Les discussions sur le transport feront n cessairement intervenir plusieurs nouveaux acteurs tels que des orga nismes gouvernementaux et des entreprises ayant des responsabilit s dans les domaines de la planification de la construction d infrastructures de l intervention d urgence et de l exploitation du transport La SGDN devra se montrer vigilante et veiller ce que le Cadre thique et social et les cinq valeurs fondamentales de la SGDN soient accept s et utilis s par tous ses partenaires La SGDN devra galement veiller continuer changer des informations et collaborer avec la communaut internationale pour faire en sorte que ses travaux soient clair s par ce qui se fait ailleurs et pour comprendre les pr occupations pouvant surgir l ext rieur des fronti res canadiennes par exemple dans les collectivit s am ricaines des Grands Lacs Il sera de plus utile de montrer aux Canadiens comment les travaux de la SGDN s inscrivent dans le contexte interna tional et de d montrer que les experts et les organismes d autres pays reconnaissent le bien fond de l approche canadienne Les audiences de la Commission d examen conjoint pour le projet de d p t g ologique en profondeur d Ontario Po
477. recommande a la SGDN d accorder une priorit lev e l engagement multig n rationnel en laborant et en mettant en oeuvre un plan de travail d taill int grant la participation et le renforcement des capacit s des jeunes tout au long de la mise en uvre du projet de la Gestion adaptative progressive perfectionner ses outils et m thodes d valuation des sites en fonction de facteurs environnementaux sociaux culturels et conomiques y compris les facteurs d finis par le biais du savoir traditionnel autochtone Le Conseil consultatif note que la compr hension que se fait la SGDN des occasions d incorporer les perspectives autochtones volue pour inclure aujourd hui les valeurs culturelles et la spiritualit ainsi que le savoir traditionnel autochtone Toutefois le Conseil continue de solliciter des pr cisions sur l int gration de ces l ments aux travaux de la SGDN en mati re de s lection de site et de transport Par exemple l utilisation du savoir traditionnel autochtone 21 www nwmo ca uploads_managed MediaFiles 1073_advisorycouncilpresentation fi pdf n a pas t clairement d montr e en ce qui concerne le processus de pr s lection et les valuations pr liminaires des incidences environnementales Le Conseil consultatif recommande que la SGDN 3 8 Perspective r gionale La version pr liminaire de Mise en oeuvre de la Gestion adaptative progressive 2014 2018 note qu une perspe
478. relatives la protection de la sant et de la s curit de la population et de l environne ment La SGDN tient rendre des comptes au grand public en publiant des documents cl s sur son site Web notamment les rapports annuels les rapports triennaux les proc s verbaux des r unions du Conseil d administration et du Conseil consultatif les rapports du GETI et la r ponse de la SGDN ceux ci les rapports de recherche et les r sultats des activit s d engagement de la SGDN Apprendre davantage ensemble Rapport triennal 2011 2013 Rapport annuel au ministre des Ressources naturelles Conform ment la LDCN la SGDN a fait tat chaque derni res ann es Chaque ann e le ministre a formul ann e de ses travaux au ministre des Ressources une d claration sur le plus r cent rapport Ces d cla naturelles Elle a pr sent des rapports annuels en 2011 rations et les rapports correspondants sont publi s sur et 2012 et en 2013 pr sente un Rapport triennal le site Web de la SGDN l adresse www nwmo ca d crivant les progr s enregistr s au cours de ces trois rapportannuel Examen technique Le GETI r alise chaque ann e un examen des activit s Le GETI a r alis trois examens techniques de 2011 de recherche d veloppement que m ne et que projette la 2013 Dans chacun des cas un rapport d taillant les SGDN dans les domaines des g osciences de valua constats du GETI a t pr par et pr sent
479. res de cinq comit s de consultation r gionale ont visit l Instal lation de gestion de d chets Western d Ontario Power Generation sur le site nucl aire de Bruce en Ontario Cette visite a t suivie en 2013 par des s ances d informa tion communautaires dans les six r gions environnantes des collectivit s h tes potentielles lesquelles taient organis es par les comit s de consultation r gionale et auxquelles ont particip les membres des collectivit s de la M tis Nation et le personnel de la SGDN Lorsque cela tait possible et appropri des membres du Conseil des a n s voir la page suivante accompagnaient le personnel de la SGDN aux rencontres avec chacune des collectivit s m tisses et des Premi res nations LL Fe wats tes Re pere x A i nS P d bons me g Roe travaux we 2011 LA bH e LA gt nu 2 ne t 3 La Prendre conseil aupr s des a n s Re Ri Le Batai des a n s agit DNS organe con ai 2 aupr s de l quipe de gestion DAME QUE Ai m sant des conseils Sur l int gration du savoir traditi nnel autochtone la mise en oeuvre de la GAP L Conseil des ain s offre galement des fecommanhdations ala SGDN pour oie d velopper et maintenir de bonnes relations avec les collectivit s autochtones Par ses conseils le Conseil fravaille PA et pr server toute la Cr ation l air Ja terr le Teau les pla
480. res connaissances Elle continuera de participer des projets communs avec ses partenaires interna tionaux en vue d approfondir sa compr hension des processus en jeu et d tayer le dossier de s ret du d p t g ologique en profondeur La SGDN a la responsabilit constante de veiller ce que les pr visions de co ts soient jour et que la formule de financement permette d assurer le finance ment de tous les aspects de la GAP Les contributions seront ajust es p riodiquement afin qu elles refl tent les nouvelles projections du co t total de la GAP et le nombre de grappes de combustible que produira chacun des propri taires de combustible irradi Une mise jour compl te de l estimation de co t pour le cycle de vie du programme de la GAP sera conclue au plus tard en 2017 Elle servira de r f rence pour d finir la formule de financement et les contributions verser aux fonds en fiducie pour la p riode de planification La SGDN travaille riger une organisation de mise en oeuvre dot e de toutes les capacit s requises pour mettre en oeuvre la GAP Le plan de dotation en personnel tient compte des besoins futurs en person nel et bureaux d information tablis en r gion pour soutenir le processus de s lection d un site dans les collectivit s qui choisissent de participer au processus Le processus de s lection d un site pour la GAP ayant t lanc en 2010 les pr visions budg taires pour la p rio
481. rescrites par la loi incombent aux soci t s individuelles nomm es et non la SGDN Les fonds en fiducie sont mentionn s ici en raison de leur importance relativement aux dispositions prises pour assurer la gestion long terme des d chets nucl aires Conform ment la LDCN la SGDN rend publics les tats financiers v rifi s des fonds en fiducie lorsqu ils sont fournis annuellement par les institutions financi res Ils sont affich s au www nwmo ca trustfunds Apprendre davantage ensemble Rapport triennal 2011 2013 Garanties financi res conform ment aux exigences de la LDCN alin a 16 2 a Comme l exige la LDCN le pr sent rapport indique la forme et le montant des garanties financi res que toutes les soci t s membres de la SGDN OPG HQ et ENNB ont fournies la Commission canadienne de s ret nucl aire CCSN Ces garanties pour l ann e 2014 s l vent 16 9 milliards et quivalent au co t total valeur actualis e de la gestion du d classement de tous les r acteurs et de la gestion permanente de l ensemble des d chets nucl aires y compris du combustible nucl aire irradi produits ce jour Une grande part de ces garanties approximativement 14 8 milliards la fin de 2013 se retrouve dans des fonds distincts r serv s la gestion des d chets nucl aires et au d classement et le reste existe sous forme de garanties provinciales Les d tails concernant ces garanties sont pr sen
482. riginal Lifestyles Characterization Caract risation des modes de vie autochtones Ce document abordait certains sc narios additionnels La SGDN a demand a APN de commenter le document r vis ce qu elle a fait dans le cadre d un rapport officiel qu elle a pr sent l SGDN Assembly of First Nations Report on Aboriginal Lifestyle Characterization Rapport de l Assembl e des Premi res Nations sur la caract risation des modes de vie autochtones NWMO TR 2013 08 octobre 2013 Le deuxi me rapport Assembly of First Nations Nuclear Waste Management Traditional Decision Making Consensus Building Draft Tool Kit tablissement d un consensus au sein de l Assembl e des Premieres Nations dans le cadre du processus d cisionnel traditionnel appli qu a la gestion des d chets nucl aires Projet de trousse d outils d crivait les principes qui sous tendent les processus traditionnels de d cision et de recherche de consensus et offrait a ce titre un clairage pr cieux sur la mani re dont la SGDN devrait s y prendre pour solliciter la participation des collectivit s des Premi res nations aux dialogues avec les collectivit s et aux d cisions En 2012 les organisations autochtones ont t invit es er un repr sentant pour assister la comf rence 2012 Une s ance sp ciale Apprendre A autochtones explorait les questions autochtones ment la fagon dont le savoir traditionnel le conceptions du mon
483. ril 2011 OPG a pr sent la Commission canadienne de s ret nucl aire CCSN son nonc des incidences environnementales son Rapport pr liminaire de s ret et d autres documents pr par s par la SGDN Ces documents ont t produits l appui de la demande de permis de pr paration d un site et de construction du DGP d OPG et ont subs quemment t fournis aux trois membres de la Commission d examen conjoint mise sur pied en 2012 par Environnement Canada et par la CCSN En juin 2018 apr s 15 mois d examen public la commission a d termin que la documentation ainsi que les informations suppl mentaires fournies par OPG taient suffisamment toff es pour permettre la tenue de quatre semaines d audiences publiques compter de septembre 2013 Dans les 90 jours suivant la fin de la p riode de registres publics pour le projet de DGP la commission pr sentera au ministre f d ral de l Environnement un rapport d valuation environne mentale d crivant ses conclusions ses justifications et ses recommandations Sous r serve de la d cision du gouvernement du Canada la commission pourra alors tre autoris e prendre une d cision concernant la demande de permis pour la pr paration d un site et la construction d un d p t g ologique en profondeur sur le site nucl aire de Bruce situ dans la municipalit de Kincardine Si un permis est d livr la SGDN poursuivra la conception d taill e de l installation et
484. rradi Le combustible nucl aire irradi est un r sidu de la production d lectricit dans les centrales nucl aires Il demeure radioactif pendant une longue p riode et doit tre confin et isol de la population et de l environnement pour une dur e essentiellement ind finie Actuellement le combustible nucl aire irradi canadien est g r en toute s ret dans des installations autoris es pour l entreposage provisoire situ es sur les sites des r acteurs nucl aires en Ontario au Qu bec et au Nouveau Brunswick ainsi qu aux centres de recherche nucl aire d Energie atomique du Canada limit e Whiteshell au Manitoba et ses Laboratoires de Chalk River en Ontario Les centrales nucl aires canadiennes sont aliment es par de l uranium naturel qui est transform en des pastilles c ramiques lesquelles sont ins r es dans des tubes en zircaloy qui sont soud es ensemble pour prendre sensiblement la forme d une b che pour le foyer pesant environ 24 kilogrammes Une fois que la grappe de combustible a t utilis e pour produire de l lectricit on la retire du r acteur L apparence physique d une grappe irradi e est identique celle d une grappe qui n a pas encore t ins r e dans le r acteur Le combustible nucl aire irradi retir d un r acteur est consid r comme un d chet il est radioactif et requiert une gestion prudente On le place d abord dans une piscine remplie d eau o sa chal
485. rrait avoir des implica tions au regard de la recherche d un site pour l valua tion long terme des d chets g n r s par les installa tions existantes aussi bien que des d chets produits par toute installation nouvelle propos e Traiter des politiques publiques et des questions thiques associ es aux changements en mati re de production d nergie nucl aire pouvant influencer de mani re importante la quantit ou le type de combustible irradi g rer d passe le cadre du mandat de la SGDN ind pendamment de leur importance relative la capacit de la SGDN remplir ce mandat Le Conseil tient souligner qu il existe bien actuellement des valuations environnementales et d autres exigences r gle mentaires li s aux d cisions en mati re d nergie nucl aire et que ceux ci sont associ s des processus auxquels participe le public Cependant le Conseil r it re son point de vue que ces changements importants devraient tre pris en compte par des processus appropri s afin d assurer la participation du public Le Conseil estime par cons quent qu il serait utile que la SGDN fournisse un plan de route expliquant comment les d cisions en mati re d nergie nucl aire et d valuation des d chets nucl aires sont prises au Canada et comment elles sont influenc es par le public Le Conseil consultatif recommande la SGDN de pr parer un plan de route d taillant les processus politiques r g
486. rs La direction est responsable de la pr paration et de la pr sentation fid le de ces tats financiers conform ment aux normes comptables canadiennes pour les organismes sans but lucratif ainsi que du contr le interne qu elle consid re comme n cessaire pour permettre la pr paration d tats financiers exempts d anomalies significatives que celles ci r sultent de fraudes ou d erreurs Responsabilit de l auditeur Notre responsabilit consiste exprimer une opinion sur les tats financiers sur la base de notre audit Nous avons effectu notre audit selon les normes d audit g n ralement reconnues du Canada Ces normes requi rent que nous nous conformions aux r gles de d ontologie et que nous planifiions et r alisions notre audit de fa on obtenir l assurance raisonnable que les tats financiers ne comportent pas d anomalies significatives Un audit implique la mise en oeuvre de proc dures en vue de recueillir des l ments probants concernant les montants et les informations fournis dans les tats financiers Le choix des proc dures rel ve du jugement de l auditeur et notamment de son valuation des risques que les tats financiers comportent des anomalies significatives que celles ci r sultent de fraudes ou d erreurs Dans l valuation de ces risques l auditeur prend en consid ration le contr le interne de l entit portant sur la pr paration et la pr sentation fid le des tats financiers afin de c
487. rsations avec les r sidents dans le cadre d activit s portes ouvertes Ces discussions ont t tenues avec Les dirigeants politiques locaux par exemple le maire et les conseillers Les membres des comit s de liaison communautaires Des propri taires gestionnaires d entreprises locales Des fournisseurs de services locaux par exemple services d urgence services sociaux et services d ducation Des groupes communautaires par exemple clubs associations et organismes Les dirigeants des collectivit s voisines Des r sidents Les Premi res nations et les collectivit s m tisses de la r gion Annexes Portes ouvertes organis es par la SGDN De 2011 2018 la SGDN a organis des v nements portes ouvertes au moins une occasion dans chacune des 20 collectivit s ayant d cid de passer aux valuations pr liminaires de la Phase 1 Dans certaines des collectivit s participant depuis plus longtemps au processus de s lection d un site telles que les huit collectivit s ayant r cemment compl t les valuations pr liminaires de la Phase 1 de nombreux v nements portes ouvertes ont t tenus et ont attir des r sidents des collectivit s des membres des peuples autochtones et d autres de la r gion environnante Liste chronologique des v nements portes ouvertes organis s par la SGDN dans les collectivit s partici pant au processus de s lection d un site e 28 mars au 1 avril 2011 Pr
488. rsuites judiciaires l gard de services fournis la SGDN sous r serve de certaines restrictions La nature de ces ententes d indemnisation ne permet pas la SGDN de faire une estimation raisonnable du montant maximal qu elle pourrait devoir payer en raison des difficult s que comporte l valuation du passif difficult s qui traduisent l impr visibilit des v nements futurs et la couverture illimit e offerte aux contreparties Historiquement la SGDN n a pas effectu de paiements en vertu de ces ententes ou d ententes semblables et par cons quent aucun montant n a t comptabilis relativement ces ententes La SGDN a galement pris des dispositions relativement une lettre de cr dit de soutien visant garantir son r gime compl mentaire de retraite se reporter la note 8 Commentaire ind pendant 11 Contrats de location La SGDN a conclu des contrats de location de locaux qui viennent ch ance diverses dates jusqu en juillet 2017 Pour la dur e initiale des contrats de location les paiements annuels minimaux estimatifs jusqu leur ch ance s chelonnent comme suit 2014 685 178 2015 753 897 2016 757 019 2017 396 794 2 592 888 12 Information sectorielle Les deux secteurs isolables de la SGDN sont les suivants e Programme autoris par le gouvernement f d ral GAP e Autres mandats hors du champ de ses programmes autoris s visant des services dir
489. rt s durant l exercice L volution des apports des membres report s durant l exercice se pr sente comme suit 2013 2012 Solde au d but de l exercice Apports des membres report s court terme 601 941 420 343 Apports des membres report s long terme 4 968 770 3 755 620 Sys 7 1 4175 963 Apports re us 66 004 732 61 307 286 Apports recevoir 2 339 534 3 821 793 Produits constat s tir s des apports 65 219 253 63 835 361 Montants re us constat s pr c demment 3 821 793 Variation des apports aff rents aux immobilisations 320 534 101 030 5 194 465 SEO TA Solde la fin de l exercice Apports des membres report s court terme 434 819 601 941 Apports des membres report s long terme 4 759 646 4 968 770 7 Apports report s aff rents aux immobilisations 2013 2012 Solde au d but de l exercice 3 149 378 3 250 408 Ajouts au titre de l achat d immobilisations 591 174 195 921 Moins l amortissement dans les produits 911 708 896 951 Solde la fin de l exercice 2 828 844 3 149 378 8 R gimes de retraite et autres avantages post rieurs l emploi Avec prise d effet le 1 janvier 2009 la SGDN offre certains r gimes d avantages sociaux ses employ s et retrait s Un aper u de ces r gimes figure ci dessous a R gime de retraite agr Le r gime de retraite agr est un r gime contributif prestations d termin es couvrant la plupart des emplo
490. rt annuel Apprendre davantage ensemble Rapport triennal 2011 2013 Jalons de la GAP atteints de 2011 2013 difier des relations durables e Collaboration troite avec les collectivit s int ress es l exploration du projet de la GAP pour faire avancer le processus de s lection d un site au nom de tous les Canadiens e Travail avec le Forum municipal acqu rir une meilleure compr hension des besoins et des processus des municipalit s participant au processus de s lection d un site et des collectivit s voisines e Collaboration troite avec le Forum des a n s et ensuite avec le Conseil des a n s pour int grer le savoir traditionnel autochtone aux travaux de la SGDN e Collaboration avec les collectivit s autochtones et les organisations autochtones r gio nales provinciales et nationales en vue d organiser des s ances d information et de solliciter la participation des peuples autochtones la conception au d veloppement et aux d cisions se rapportant la GAP e Poursuite du renforcement des relations avec le gouvernement f d ral et les gouver nements provinciaux et des s ances d information donn es aux lus sur le projet et le processus de s lection d un site e Soutien aux initiatives con ues pour accro tre l int r t des jeunes pour les sciences et leur participation des projets scientifiques dont les programmes Sciences jeunesse Canada Shad Valley les programmes externes
491. rt au d ve loppement et au maintien de relations avec les collectivit s h tes potentielles les collectivit s voisines et les peuples autochtones Sur le plan du long terme les commentaires portaient sur le d fi que constitue l exigence de s assurer que le combustible nucl aire irradi sera effectivement confin et isol pendant la tr s longue p riode de temps envisag e D montrer la s ret du transport du combustible nucl aire irradi et renforcer la confiance son gard Traiter les pr occupations des collectivit s associ es au transport a t relev comme un des princi paux d fis relever dor navant et on a sugg r la SGDN de relever ce d fi en publiant des tudes d taill es sur les risques associ s aux diverses m thodes de trans port envisag es et en engageant les collectivit s situ es le long des itin raires potentiels de transport D finir les plans et les proc dures d intervention d urgence Des commentaires ont soulev l importance de d finir les plans et les proc dures d intervention d urgence qui seront examin s relativement au transport du combustible nucl aire irradi et son transfert dans le d p t g ologique en profondeur Ce que nous avons entendu sur la mise en oeuvre de la Gestion adaptative progressive La SGDN continue galement de recevoir des commen taires et d tre t moin du d bat concernant l avenir de l nergie nucl aire et la fa on dont la mis
492. rt triennal 2011 2013 Les objectifs des Canadiens en mati re de gestion long terme du combustible nucl aire irradi tels que d finis au cours de la phase d tude L quit Assurer l quit sur le fond et sur la forme dans la r partition des co ts des avantages des risques et des responsabilit s au sein de la g n ration actuelle et entre les g n rations La sant et la s curit de la population Prot ger la sant de la population contre le risque d exposition des mati res radioactives ou dangereuses et contre les risques de blessure ou de d c s r sultant d accidents La sant et la s curit des travailleurs Prot ger les travailleurs contre les dangers reli s la gestion du combustible nucl aire irradi et les r duire au minimum Le bien tre des collectivit s Assurer le bien tre de toutes les collectivit s ayant un int r t commun La s curit Assurer la s curit des installations des substances nucl aires et de l infrastructure Lint grit environnementale Assurer le maintien de l int grit environnementale long terme La viabilit conomique Assurer la viabilit conomique du syst me de gestion du combustible nucl aire irradi tout en contribuant l essor de l conomie locale Ladaptabilit Maintenir une capacit d adaptation au fil du temps en fonction de nouvelles connaissances et conditions Le combustible nucl aire i
493. s Le Conseil consultatif a examin les versions pr liminaires du Plan de mise en oeuvre de la SGDN Mise en oeuvre de la Gestion adaptative progressive 2014 2018 a soulev des questions et a fourni un certain nombre de suggestions D autres commentaires sont fournis a la section 3 de ce rapport 19 Voir www nwmo ca faq_fukushima 2 2 6 Assurer une bonne gouvernance et une bonne reddition des comptes Les travaux r alis s par la SGDN de 2011 2013 en mati re de gouvernance et de reddition de compte sont d crits dans le document de la SGDN Rapport triennal 2011 2013 Apprendre davantage ensemble pages 114 117 La SGDN indique que plusieurs niveaux de supervision et d examen par des pairs compl t s par des certifications internationales valid es par des v rifica teurs externes contribuent garantir que les travaux de la SGDN sont transparents et qu ils sont guid s par les normes scientifiques et professionnelles les plus rigoureuses Les activit s du Conseil consultatif du Groupe d examen technique ind pendant du Groupe d examen g oscientifique et du Conseil des a n s contribuent examiner les travaux de la SGDN partir d un large ventail de perspectives In 2011 la SGDN a invit le Conseil consultatif discuter de la composition du Conseil tant donn que les mandats existants se terminaient le 31 d cembre 2011 Le Conseil tait d avis que les travaux que m nerait la SGDN au cours des ann
494. s e l examen r gulier des risques d affaires de la SGDN et des d cisions strat giques du Conseil e l examen r gulier du co t total projet du projet jusqu l obtention d un permis de construction e l examen de l estimation du co t du cycle de vie de la Gestion adaptative progressive GAP e l laboration de politiques et de proc dures de sant et de s curit au travail en pr paration aux travaux sur le terrain e examen annuel des recommandations du Conseil consultatif y compris des recommandations figurant au pr sent Rapport triennal e l examen du mandat et de la composition du Conseil consultatif puisque le mandat de plusieurs membres prenait fin et que le processus de s lection d un site allait de l avant e l examen de l application des ententes de service avec OPG concernant les travaux li s au projet de d p t g ologique en profondeur d OPG pour d chets de faible et moyenne activit e des discussions sur les hypoth ses de planification d affaires de la SGDN concernant la fourniture de services se rapportant aux phases d approbation r glementaire et de conception et construction pour le projet de d p t g ologique en profondeur d OPG pour d chets de faible et moyenne activit e des pr sentations sur le processus d audiences publiques de la Commission d examen conjoint examinant l nonc des incidences environnemen tales et les autres documents pr sent s l
495. s est r uni 12 fois au total de 2011 2013 Il a galement particip de ions mixtes avec le comit de la v rification des finances et des risques pour discuter du financement et de la viabilit du r gime de retraite de la SGDN ll est charg de surveiller les fonctions de la SGDN li es aux ressources humaines dont les pratiques en mati re de r mun ration la politique en mati re de ressources humaines la structure organisationnelle les relations de travail et le r gime de retraite Au 31 d cembre 2013 quatre administrateurs le composaient lan Ross pr sident Pierre Charlebois Jos e Pilon Deborah Poff Comit de supervision du d p t g ologique en profondeur pour d chets de faible et moyenne activit DEMA Ce comit s est r uni huit fois au total de 2011 2013 Le comit de supervision du d p t g ologique en profondeur pour DEMA est charg de surveiller les activit s de la SGDN se rapportant la gestion des approbations r glementaires de l ing nierie de l approvisionnement et de la construction du Projet de d p t g ologique en profon deur d OPG a Kincardine en Ontario Cela comprend l examen du rendement de la SGDN selon les dispositions de Entente de services relative au d p t g ologique en profondeur et de Entente sur la gestion de l ing nierie de l approvisionnement et de la construction conclues avec PG ainsi que de la gestion de risques effectu e dans le
496. s curit des humains et de l environnement o les d passeront La p riode 2014 2018 sera ax e sur la recherche de sites et l accompagnement des collectivit s potentiellement int ress es travers les diff rentes tapes du processus de s lection d un site Pour les collectivit s qui iront de l avant dans le processus la SGDN sera pr te mettre en oeuvre les activit s d apprentissage d valuation de sites et d engagement Vingt collectivit s ont subi avec succ s une valuation initiale de pr s lection et ont choisi de se soumettre aux valuations pr liminaires tape 3 Phase 1 du processus de s lection d un site Un processus d limination s est ensuite amorc en fonction des r sultats de cette premi re phase d valuations pr liminaires Actuellement 15 collectivit s continuent d explorer leur int r t pour le projet de la Gestion adaptative progressive et les peuples autochtones et les collectivit s de leurs r gions respectives sont progressivement engag s se renseigner sur le projet et prendre part aux d cisions Nous pr voyons que le processus de s lection d un site progressera au cours de ces cinq ann es de telle sorte que la SGDN aura compl t les valuations pr liminaires permettant d identifier un ou possiblement deux sites devant faire l objet d tudes de caract risation tape 4 La SGDN continuera de travailler l avancement des mod les conceptuels et des va
497. s des progr s techniques des nou velles attentes et valeurs soci tales ainsi que des changements dans les politiques publiques Le d veloppement d un d p t g ologique en profondeur pour combustible nucl aire irradi constitue un projet long terme qui se r alisera sur plusieurs d cennies En raison des longs ch anciers propres un tel projet la Gestion adaptative progressive GAP pr voit de nombreuses occasions d affiner et d ajuster les plans pour tenir compte des changements qui peuvent survenir que ce soit sur le plan soci tal ou technologique Pour atteindre cet objectif la SGDN s est engag e un apprentissage continu et incorporer les nouvelles connaissances acquises chaque tape du processus Chaque tape en d autres termes constitue une occasion de faire le point et d apporter des ajustements avant de passer l tape suivante CD Apprendre davantage ensemble Rapport triennal 2011 2013 Se tenir au fait des changements dans les exigences soci tales Pour que sa planification tienne compte de l volution des valeurs soci tales la SGDN souhaite recevoir la contribution des nombreuses parties prenantes au projet notamment les collectivit s participant au processus de s lection d un site les collectivit s autochtones les particuliers et les groupes int ress s ou potentiellement touch s et le public en g n ral Leurs commentaires sont d taill s au chapitre 8 Ce que nous
498. s Canadiens puissent continuer de consid rer avec confiance les activit s de s lection d un site et de mise en oeuvre de la SGDN Adapter les plans est g n ralement acquis que la SGDN devra adapter ses processus et ses plans tout au long de la mise en oeuvre de la GAP Cependant alors que la SGDN proc de la mise en oeuvre du processus de s lection d un site et que celui ci se d roule davantage a l chelle locale des questions sont soulev es concernant ce que seraient les implications du projet pour les collecti vit s qui pourraient souhaiter l accueillir Le d fi consiste la fois se tenir pr t r agir aux changements qui peuvent survenir et prendre des engagements fermes aupr s des collectivit s concernant la nature du projet qui doit tre mis en oeuvre afin qu elles puissent prendre des d cisions en pleine connaissance de cause Soutenir l ouverture et l inclusivit tout au long de la mise en oeuvre du processus Des commentaires ont soulign l importance pour la SGDN de maintenir sa politique d ouverture et de consultation publique dans le cadre de ses activit s Alors que le dialogue commence se tourner davantage vers les collectivit s potentiellement int ress es les peuples autochtones et les collectivit s voisines les informations deviennent aussi de plus en plus techniques et d taill es Bien que les informations fournies aux collectivit s et aux Canadiens en g n ral doivent
499. s Plat Ont G Documentation de communication Mise en oeuvre de la Gestion adaptative progressive 2011 a 2015 2011 Mise en oeuvre de la Gestion adaptative progressive 2012 a 2016 2012 Mise en oeuvre de la Gestion adaptative progressive 2012 2016 Version pr liminaire pour examen public octobre 2011 Mise en oeuvre de la Gestion adaptative progressive 2013 a 2017 2013 Mise en oeuvre de la Gestion adaptative progressive 2013 2017 Version pr liminaire pour examen public octobre 2012 Mise en oeuvre de la Gestion adaptative progressive 2014 a 2018 Version pr liminaire pour examen public septembre 2013 Rapports brochures d pliants et autres documents imprim s Apprendre davantage ensemble Rapport annuel 2011 e Apprendre davantage ensemble Rapport annuel 2012 Annexes Description du d p t pour combustible nucl aire irradi et du centre d expertise canadiens 2012 Le transport s r et s curitaire du combustible nucl aire irradi canadien 2012 Documents d information laboration d une vision du d veloppement durable d une collectivit Guide 2011 S curit financi re et estimation r vis e des co ts du cycle de vie de la Gestion adaptative progressive 2013 valuation pr liminaire de l aptitude potentielle Huit valuations de la Phase 1 compl t es 2013 Reconnaissance du leadership des collectivit s 2013 Evaluat
500. s allemandes et britanniques pr sentant les preuves d explosion et de collision avec une locomotive que doivent subir des colis semblables Les gens pour qui la GAP tait plus famili re ont galement dit qu il leur avait t utile de pouvoir toucher et voir de pr s le CTCI Plusieurs questions ont t pos es sur l int grit des CTCI et des grappes de combustible en cas d accident Les gens taient curieux de savoir comment le CTCI avait t con u qui l avait homologu et selon quels crit res et quels dommages il pourrait subir lors d un accident grave lls voulaient savoir ce qui pourrait survenir si un CTCI se rompait en route et qui serait responsable du nettoyage occasionn Plusieurs participants aux v nements communautaires ont pos des questions sur les proto coles de s curit qui seraient mis en place pour pr venir les accidents par exemple la surveillance des conditions environnementales et routi res et le suivi des v hicules Un certain nombre de questions se rapportaient la r glementation encadrant le transport tant au Canada qu l tranger Les gens voulaient savoir si le Canada collaborait avec d autres pays l laboration de normes communes sur le transport du combustible nucl aire irradi En 2013 des accidents et des d raillements ont fait la manchette notamment l accident ferroviaire survenu a Lac M gantic au Qu bec Ces v nements ont ouvert la voie une nouvelle s
501. s au transport du combustible nucl aire irradi Travaillera en partenariat avec les collectivit s qui s engageront dans le processus de s lection d un site Mettra en oeuvre soutiendra et d veloppera davantage le programme En savoir plus ax sur le renforcement des capacit s des collectivit s afin de r pondre aux besoins des collectivit s r gions voisines et peuples autochtones R alisera des valuations pr liminaires de bureau la demande des collectivit s int ress es ayant des sites poten tiellement aptes tape 3 Phase 1 Continuera les travaux de bureau pour valuer les facteurs g oscientifique sur l ing nierie sur le transport et sur l environnement et la s ret ainsi que l aptitude favoriser le bien tre de la collectivit des peuples autochtones et de la r gion environnante y compris les facteurs identifi s par le savoir tradi tionnel autochtone M nera des tudes sur le terrain la demande des collectivit s int ress es qui ont un bon potentiel satisfaire les exigences du projet tape 3 Phase 2 Des tudes sur le terrain contribueront faire progresser l valuation des facteurs g oscientifiques d ing nierie de transport et de l environnement et de la s ret ainsi que du potentiel favoriser le bien tre de la collectivit des peuples autochtones et de la r gion environnante y compris les facteurs identifi s par le savoir traditionnel autochtone D veloppera e
502. s aux autres membres du Conseil d administration Il a examin le r gime de retraite et les tats financiers v rifi s de la SGDN et en a recommand l approbation Le comit a en outre examin es plans d affaires de la SGDN es risques d affaires es estimations actualis es du co t de la GAP es strat gies utilis es pour communiquer publiquement les estimations actualis es du co t de la GAP e les d penses communiqu es par le pr sident du Conseil d administration le pr sident et chef de la direction de la SGDN et les cinq principaux cadres de la Soci t es rapports sur la situation financi re de la SGDN e registre des niveaux d autorit li s aux travaux contractuels effectu s par la SGDN pour le projet de d p t g ologique en profondeur d OPG pour d chets de faible et moyenne activit es objectifs et les indicateurs de mesure du rendement de la Soci t es politiques financi res de la SGDN es registres des niveaux d autorit de la SGDN e rendement du r gime de retraite et les affaires connexes e plan de v rification du programme d engagement de la GAP es plans de mise jour des plans de r f rence pour le Ontario Nuclear Funds Agreement es travaux se rapportant la gestion des obligations li es au cycle de vie a charte du comit es contributions vers es aux fonds en fiducie tablis en vertu de la LDCN adoption en 2012 des nouvelles normes de comptabilit de l Institut c
503. s candi dats ont permis de mieux comprendre les processus glaciaires La SGDN soutient actuellement deux tudiants au doctorat dont les projets permettront d approfondir la m canique la pr diction la v rification et les possi bilit s d att nuation des risques li s aux zones endom mag es par l excavation ainsi qu un tudiant en ma trise Qavm O erification qui travaille un projet de caract risation de la composi tion des infiltrations min rales des fractures rocheuses La SGDN soutient galement un candidat au doctorat qui est en train de mettre au point une nouvelle technique visant d terminer de mani re fiable la composition chimique et isotopique des eaux interstitielles pr sentes dans les carottes rocheuses faible porosit La SGDN subventionne depuis 2000 en collaboration avec le CRSNG une Chaire de recherche industrielle sur la chimie du combustible irradi en stockage l Universit Western De 2011 2018 ce programme a aid quatre candidats au doctorat et un tudiant en ma trise Des membres du personnel technique de la SGDN apportent en outre leur soutien des tudiants univer sitaires titre de mentors en participant aux comit s de th se de doctorat et en partageant leur expertise par l examen de leurs propositions et projets de recherche et par leur assistance directe a la conception et a la mise au point d exp riences ou de m thodes particuli res DELLES
504. s capacit s qui visera les jeunes Canadiens et les jeunes autochtones et qui inclura les domaines techniques et sociaux Continuera de solliciter le point de vue de la population canadienne par le biais d outils Web et d autres activit s Continuera de participer des projets environnementaux r gionaux et nationaux Mise en oeuvre de la Gestion adaptative progressive 2014 a 2018 Annexes Mettre en oeuvre en collaboration le processus de s lection d un site La SGDN travaillera en collaboration avec les Canadiens a la mise en oeuvre du processus de s lection d un site pour un d p t g ologique en profondeur qui servira la gestion a long terme s re du combustible nucl aire irradi au sein d une collectivit h te inform e et consentante En 2010 la SGDN a lanc le processus de s lection d un site l laboration du processus a commenc en 2008 par diff rentes activit s d engagement r alis es pour faire en sorte qu un large ventail de points de vue soit pris en consid ration Le fruit de ce processus de collaboration est d crit dans Fa onnons l avenir ensemble Processus de s lection d un site pour le d p t g ologique en profondeur canadien pour combustible nucl aire irradi publi en mai 2010 lequel est disponible sur le site Web de la SGDN au www nwmo ca La mise en oeuvre du processus y compris le choix d une collectivit h te inform e et consentante et la d m
505. s changent Cet apprentissage se refl te dans les mises jour apport es aux plans de mise en oeuvre et d affaires de la SGDN et dans divers documents dont les rapports Ce qu on nous a dit les documents d information et les documents techniques de la SGDN De 2011 2013 le Conseil a continu de souligner l importance d assurer un suivi du contexte externe afin de d terminer ses incidences possibles sur le programme de la Gestion adaptative progressive En 2011 la demande du Conseil la SGDN a commenc fournir des examens r guliers des risques potentiels pour le programme de la Gestion adaptative progressive aux r unions du Conseil Ces pr sentations taient suivies par des discussions du Conseil qui donnait son avis sur des fa ons d att nuer ces risques Le Conseil a demand la SGDN de consid rer tout autre risque pouvant tre relev par le Groupe d examen technique ind pendant dans son examen du programme technique Il a soulign l importance de veiller ce que les capacit s en ressources et en personnel soient suffisantes pour mener les valuations dans les diff rentes r gions du pays ainsi que du r le important de la Commission canadienne de s ret nucl aire et de ses examens pr projet Le Conseil a aussi recommand que le cadre d valuation des risques soit actualis pour tenir compte des d fis associ s l utilisation des m dias de masse pour les communications de la SGDN La SGDN s
506. s de la Northwestern Ontario Municipal Association de la Federation of Northern Ontario Municipalities et des Ontario Small Urban Municipalities Parmi les congr s municipaux auxquels la SGDN a r guli rement particip de 2011 2018 figure la conf rence annuelle de la FCM chacun de ces congr s la SGDN a fourni aux municipalit s des mises jour sur l avancement du processus de s lection d un site En m me temps la SGDN a contribu de cr er des liens entre les collectivit s participant au processus de s lection d un site et entre celles ci et des collectivit s de l tranger et les a aid es mettre en commun leurs exp riences En 2012 la SGDN a invit chaque association membre du Forum municipal envoyer un repr sentant la conf rence ICGR Apprendre davantage ensemble Rapport triennal 2011 2013 Obtenir la participation des collectivit s et des organisations autochtones Depuis sa cr ation en 2002 la SGDN s est attach e a laborer ses processus et ses plans avec le concours des collectivit s int ress es et des peuples autochtones jetant ainsi les assises d un engagement continu et de la conclusion de partenariats qui sont respectueux des pratiques et des processus d cisionnels des collectivi t s A mesure que le processus de s lection d un site a progress au cours des trois derni res ann es la SGDN a largi ses activit s d engagement des Autochtones pour inclure
507. s du processus de s lection d un site Est il plausible que le bien tre de la collectivit soit favoris par la mise en oeuvre du projet et quels l ments devront tre mis en place en ce qui a trait par exemple aux infrastructures aux ressources ou aux mesures de planification pour atteindre cet objectif Cette question est importante parce que le projet doit tre mis en oeuvre de mani re favoriser le bien tre long terme de la de la collectivit continuent d avoir l int r t d explorer ce projet aux tapes subs quentes du processus de s lection d un site Cette question est importante parce que la collectivit doit d montrer qu elle est inform e et qu elle consent accueillir le projet Est il plausible que le bien tre de la r gion environnante soit favoris et qu il soit possible de jeter les bases qui permettront d aller de l avant avec le projet Cette question est importante parce que le projet sera mis en oeuvre de fa on favoriser le bien tre long terme de la r gion environnante collectivit Ces grandes questions sont trait es par le biais d une s rie d tudes multidisciplinaires Ces tudes valuent des facteurs se rapportant l aptitude g oscientifique l ing nierie au transport l envi ronnement et la s curit ainsi qu des consid rations sociales conomiques et culturelles Tout site choisi pour accueillir le projet de la
508. s fournies aux collectivit s pour solliciter des avis ind pendants notamment par le biais de rencontres avec la Commission canadienne de s ret nucl aire et de forums tels que la Conf rence 2011 de la F d ration canadienne des municipalit s la Conf rence 2011 de la Soci t nucl aire canadienne sur la gestion des d chets le d classement et la restauration environnementale et la Conf rence internationale 2012 sur le stockage g ologique Faits saillants de 2011 2013 Optimiser les mod les conceptuels et continuer de valider la confiance en la s ret du d p t e Ach vement d une r vision des mod les conceptuels et de l estimation des co ts d un d p t g ologique en profondeur et du syst me de transport du combustible irradi e Maintien et avancement de la recherche g oscientifique sur le comportement et l volution long terme des syst mes d eaux souterraines profondes faible perm abilit situ s en forma tions de roche cristalline ou en formations de roche s dimentaire e Travail en collaboration avec l organisation suisse de gestion des d chets nucl aires Nagra sur la mise au point de rev tements de cuivre pour les conteneurs de stockage partir de technologies canadiennes mises au point par le Conseil national de recherche l Universit d Ottawa l Universit de Windsor et l Universit de Toronto e laboration des mod les conceptuels pour la manutention le transfert le chargeme
509. s organisations homologues d autres pays et avec des universit s canadiennes et trang res Les partenariats de recherche de la SGDN sont d crits en d tail au chapitre 6 3 Optimiser les mod les conceptuels et continuer de valider la confiance en la s ret La SGDN suit galement les faits nouveaux qui pourraient avoir une incidence sur la mise en oeuvre de la GAP dans les domaines du retraitement du combustible irradi et des politiques nerg tiques canadiennes Suivi en continu des avanc es dans le domaine du retraitement du combustible nucl aire irradi Une des questions les plus fr quemment pos es la SGDN concerne le recyclage ou la r utilisa tion possible du combustible nucl aire irradi et du combustible CANDU irradi en particulier En 2005 la SGDN s tait engag e tenir un dossier de suivi sur les progr s technologiques dans le domaine et elle publie des mises jour sur la question sur son site Web depuis 2008 Le retraitement et la s paration impliquent la s paration des mati res potentiellement fissiles comme le plutonium du combustible nucl aire irradi par l application de proc d s chimiques et physiques Une partie de la mati re r cup r e peut ensuite tre recycl e dans certains types de r acteurs actuels en combustible d oxyde mixte MOX Le reste est entrepos comme d chet radioactif Plusieurs pays qui exploitent des r acteurs eau l g re tels que la France et le Japon f
510. s pierres angulaires du programme de la Gestion adaptative progressive est l engagement l apprentissage continu des progr s et nouvelles exp riences et l adaptation et au peaufinage des plans pour tous les aspects du plan de gestion long terme du combustible nucl aire irradi canadien La SGDN surveille et examine continuellement la recherche l exp rience les activit s et les v nements internationaux pour en tirer des le ons et pour saisir l occasion de d terminer si des am liorations nos plans sont n cessaires En plus de sa responsabilit l gard de la mise en oeuvre du plan canadien de gestion long terme du combustible nucl aire irradi la SGDN aide Ontario Power Generation OPG obtenir l approbation r glementaire pour la construction d un d p t g ologique en profondeur DGP propos pour la gestion long terme des d chets de faible et moyenne activit DFMA produites par les r acteurs qu OPG poss de ou exploite La SGDN a acquis des connaissances et une exp rience pr cieuses qu elle met en application pour am liorer la conception et la mise en oeuvre de la Gestion adaptative progressive La SGDN continue galement de tirer des le ons des processus d examen r glementaire pour un d p t de combustible nucl aire irradi mis en oeuvre actuellement en Su de Les v nements tragiques survenus Lac M gantic en juillet 2013 ont soulev un d bat public notamment au sein des municipalit s c
511. s r alis s dans le domaine du retraitement du combustible nucl aire irradi et de se tenir au fait des projets potentiels de construction de nouvelles centrales afin de se pr parer r agir aux changements qui pourraient survenir au regard du volume et du type de d chets qu elle doit g rer La SGDN continuera galement de solliciter lavis du public sur ses travaux y compris sur ses plans strat giques quinquennaux Assurer une bonne gouvernance et une bonne reddition des comptes Depuis sa cr ation l int grit des travaux de la SGDN a t pr serv e par de multiples niveaux de surveillance l interne la SGDN est gouvern e par son Conseil d administration La LDCN exige que ce Conseil d administration compose un Conseil consultatif ayant pour mandat d examiner et de commenter les travaux de la Soci t Un Groupe d examen technique ind pendant GETI form de quatre membres effectue en outre depuis 2008 des examens annuels du programme technique de la GAP l externe la SGDN fait annuellement tat de ses travaux au ministre des Ressources naturelles du Canada Elle pr sente chaque ann e au ministre un rapport annuel et tous les trois ans elle soumet un rapport triennal La SGDN se tient galement responsable de ses actions envers le public en g n ral en publiant ses documents importants sur son site Web notamment ses rapports annuels ses rapports triennaux les proc s verbaux des r unions de son Conseil d administrati
512. s sur la participation de la soci t ainsi que sur les travaux men s ce moment par les organisations internationales La conf rence a t organis e en collaboration avec Ressources naturelles Canada l Agence pour l nergie nucl aire AEN de l Organisation de coop ration et de d veloppement conomiques OCDE l Agence internationale de l nergie atomique AIEA la Commission europ enne et l Association internationale pour l vacuation cologiquement s re des mati res radioactives La conf rence ICGR 2012 a attir plus de 200 participants provenant de 15 pays Parmi les partici pants se trouvaient des repr sentants de l industrie des fonctionnaires et des responsables d organismes de r glementation Ont galement t invit s des repr sentants des collectivit s canadiennes participant au processus de s lection d un site des associations municipales canadiennes et d organisations autochtones qui ont un int r t pour les travaux de la SGDN Incorporer le savoir traditionnel autochtone Comprendre et int grer le savoir traditionnel autochtone aux travaux de la SGDN constitue une des plus hautes priorit s de la Soci t Pour appuyer cet objectif la SGDN a organis une s ance de formation culturelle pour son personnel en d cembre 2011 Parmi les sujets abord s figuraient les pratiques et protocoles traditionnels et l his toire des Premi res nations de l Ontario Cette s ance a t suivie en 2012
513. s technologies mises au point au Canada par le Conseil national de recherches l Universit d Ottawa l Universit de Windsor et l Universit de Toronto Des essais l Universit Western consistaient soumettre les rev tements des conditions conformes celles qui existent au sein d un d p t o le passage d un milieu sec a robie a un milieu humide ana robie est anticip D autres exp riences ont t con ues l Universit de Nos travaux de 2011 2013 Toronto pour v rifier la performance des rev tements dans des milieux grande salinit correspon dant ce que l on retrouve dans les formations de roches s dimentaires du sud de l Ontario Tous les essais confirment l excellente capacit protectrice du rev tement de cuivre contre la corrosion En 2012 la SGDN a pr sent ces r sultats Prague lors de l assembl e annuelle de la Soci t internationale d lectrochimie En 2013 la SGDN a confi deux chercheurs ind pendants un de l Universit de Virginie l autre de l Institut polytechnique et de l Universit d tat de Virginie le mandat d entreprendre un examen ind pendant de la marge de corrosion du cuivre sur une p riode d approximativement 1 million d ann es sur laquelle se fonde la SGDN Ils ont conclu dans leur rapport que la marge de corrosion tait valable pour la p riode de temps sp cifi e Parmi les autres travaux r alis s au cours des trois derni res ann
514. s transf rables La mise en oeuvre du projet n cessitera la participation de scientifiques d ing nieurs d ouvriers sp cialis s et de plusieurs autres types de travailleurs Le projet peut augmenter les tensions sociales et conomiques lesquelles devront tre g r es avec soin pour assurer la sant et la viabilit long terme de la collectivit Par exemple l influx potentiel de travailleurs temporaires de la construction pourrait accro tre la demande de services sociaux et d infrastructures mat rielles Afin de r duire au minimum les co ts sociaux et d aider les collectivit s s adapter aux occasions et aux d fis li s au projet l assistance dont elles auront besoin notamment en mati re de formation professionnelle de logements abordables et d infrastructures devra tre valu e La mise en oeuvre du projet n cessitera l tablissement d un partenariat long terme entre la collectivit les peuples autochtones les collectivit s voisines et la SGDN pour faire en sorte de favoriser le bien tre et la viabilit de la r gion selon la conception qu elle se fait de son avenir Le projet n ira de l avant qu avec la participation sa mise en oeuvre de la collectivit int ress e des Premi res nations et des peuples m tis potentiellement touch s ainsi que des autres collectivit s de la r gion environnante Apprendre davantage ensemble Rapport triennal 2011 2013 Priorit s de la planificati
515. se d roulant de plus en plus l chelle locale des commen taires ont soulign la n cessit pour la SGDN de continuer de promouvoir la tenue d un dialogue et d une discussion publics largis afin de soutenir l int r t des particuliers et des groupes Le d fi consiste trouver les meilleures fa ons de promouvoir cette conversation largie tout en veillant ce que les collectivit s participantes aient la latitude permise pour continuer d apprendre et de r fl chir leur int r t pour le projet Renforcer la confiance accord e la SGDN et garan tir la reddition des comptes Consid rant que la SGDN commence orienter ses efforts relationnels vers les collectivit s int ress es par le projet et les collectivit s de leurs r gions respectives des commentaires ont soulign la n cessit pour la SGDN de veiller demeurer transpa rente et de continuer rendre des comptes au grand public concernant ses actions Le d fi sera de maintenir un quilibre appropri entre 1 la latitude dont les collec tivit s ont besoin pour r fl chir et prendre leurs propres d cisions et 2 le fait que la SGDN doive faire tat de mani re ouverte et transparente des activit s d taill es entreprises dans le cadre du processus de s lection d un site Maintenir une structure de gouvernance responsable et d montrer l utilisation prudente des ressources sont des exigences qui ont t jug es essentielles pour que le
516. se canadiens R dig e l intention du grand public cette brochure fournit une description de l am nagement des installations de surface des installations souter raines et du centre d expertise qui font partie du projet de la GAP ainsi qu un calendrier de mise en oeuvre et une estimation du nombre d emplois associ s chaque phase du projet Au cours des trois ann es 2011 2013 la SGDN a continu de publier son bulletin d information qui fait tat des derni res nouvelles concernant le processus de s lection d un site le programme technique de la GAP et les employ s de la SGDN qui se distinguent dans leur domaine d expertise ou au sein de leur collectivit Expositions Pour chaque collectivit participant au processus de s lection d un site la SGDN a install des kiosques et des pr sentoirs documents locaux pour offrir des infor mations aux r sidents int ress s en savoir plus sur le projet et le processus de s lection d un site Depuis 2010 la SGDN dispose d une d exposi tion mobile qu elle peut d ployer lors d v nements organis s dans les collectivit s comme les journ es portes ouvertes par exemple En 2013 le groupe des communications a ajout deux modules a exposition le premier fournissant des informations suppl mentaires sur le transport du combustible nucl aire irradi et l autre donnant des renseignements sur le r le que tient le bien tre de la collectivi
517. ser sur une p riode de trois cinq ans et serviront confirmer le choix du site qui fera ensuite l objet d un processus d approbation r glementaire dirig par la Commission canadienne de s ret nucl aire Les valuations de la Phase 2 seront la prolongation des tudes de la Phase 1 Le programme pluriannuel d tude et d engagement facilitera l acquisition de connaissances aidera mieux comprendre le projet et servira explorer l aptitude potentielle de la r gion l tude Cet apprentissage et cette r flexion s largiront pour inclure les Premi res nations et les peuples m tis de la r gion et les collectivit s voisines Au cours de cette phase L valuation technique des sites potentiellement aptes se poursuivra de mani re plus d taill e Elle portera sur des consid rations li es la conformit g oscientifique l ing nierie au transport l environnement et la s ret Des tudes g ologiques sur le terrain fourniront des informations sur chaque site lesquelles seront ensuite utilis es pour d terminer si un site appropri peut tre identifi pour l tablissement du d p t g ologique en profondeur qui assurera le confinement et l isolement long terme s r et s curitaire du combustible nucl aire irradi Les activi t s incluront une s rie de lev s g ophysiques a roport s des travaux de cartographie g ologique des tudes environnementales et si les constats de ces tudes
518. sions pr liminaires de d int r t de la part de collectivit s h tes potentielles le 30 septembre 2012 la Phase 1 sont compl t es dans huit collectivit s Pendant ce temps le personnel du programme technique de la GAP a travaill l optimisation et l am lioration de la conception technique la pr paration d analyses g n riques de s ret et l avancement des proc d s techniques et scientifiques associ s afin que le d p t r ponde aux normes techniques les plus rigoureuses Le plan canadien pour la gestion long terme s re et s curitaire de son combustible nucl aire irradi s appelle la Gestion adaptative progressive GAP Sa mise en oeuvre est guid e par sept objectifs strat giques Initialement d finis en 2007 ces objectifs concernent les principaux aspects se rapportant la mise en oeuvre de la GAP l engagement le processus de s lection d un site la recherche d veloppement technique l adaptation aux nouvelles technologies et l volution des exigences soci tales les consid rations financi res la gouvernance et la capacit organisationnelle Les sept objectifs strat giques ont fait l objet en 2007 et en 2008 d un processus d examen et de commentaires publics Depuis les objectifs strat giques ont volu mesure que les jalons de la planification ont t atteints et que la nature et la port e des travaux de la SGDN ont chang Chaque ann e la SGDN publie aux fi
519. sit de la Colombie Britannique l Universit Laval l Universit Apprendre davantage ensemble Rapport triennal 2011 2013 participation de g oscientifiques canadiens aux travaux de laboratoires trangers de recherche souterraine pour se tenir au fait des pratiques scientifiques et collaborer des exp riences pertinentes Le programme a galement contribu la pr para tion d tudes de cas de r f rence qui examinent la perfor mance post fermeture long terme d un d p t pour la GAP tabli en milieu cristallin et s dimentaire Ces tudes sont d crites la prochaine section de la s ret post fermeture pour un d p t hypoth tique en roche s dimentaire Cette valuation a galement t soumise la CCSN pour un examen pr projet L tude de cas r alis e en 2012 prenait en consid ra tion diverses conditions g ologiques repr sentatives d un milieu cristallin typique du Bouclier canadien et servait calculer les incidences radiologiques et non radiologiques potentielles pour les humains et le biote non humain en fonction de multiples sc narios futurs Ces sc narios incluaient l volution normale pr vue du d p t des variantes de caract ristiques cl s du d p t d v nements et de processus ainsi qu un certain nombre d v nements perturbateurs ou de sc narios hypoth tiques L tude avait principalement pour but de d montrer que l approche d valuation de la s ret
520. site Le centre d expertise deviendrait un carrefour canadien et interna tional d change de connaissances La Gestion adaptative progressive Une approche bas e sur le partenariat Le projet engendrera des retomb es conomiques importantes Il procurera des emplois directs sur le site des centaines de travailleurs pendant plusieurs d cennies ainsi qu un nombre encore plus grand d emplois indirects dans la r gion et la province h tes Il permettra galement de d velopper des comp tences et des capacit s transf rables La mise en oeuvre du projet n cessitera la participation de scientifiques d ing nieurs d ouvriers sp cialis s et de plusieurs autres types de travailleurs Le projet pourrait avoir pour cons quence d augmenter les tensions sociales et conomiques lesquelles devront tre g r es avec soin pour assurer la sant et la viabilit long terme de la collectivit Par exemple l influx potentiel de travailleurs temporaires de la construction pourrait accro tre la demande de services sociaux et d infrastructures mat rielles Afin de r duire au minimum les co ts sociaux et d aider les collectivit s s adapter aux occasions et aux d fis li s au projet l assistance dont elles auront besoin notamment en mati re de formation professionnelle de logements abordables et d infrastructures devra tre valu e La mise en oeuvre du projet n cessitera l tablissement d un partenariat long terme entr
521. site de la SGDN quelle qu en soit l issue ventuelle 149 Wawa Les r sidents de Wawa peuvent tre fiers de la contri bution substantielle que notre collectivit a apport e a cet important projet national d infrastructure a not Linda Nowicki la mairesse de Wawa Notre Comit b n vole local de conseils communautaire sur les d chets nucl aires a d ploy des efforts consid rables la mise en oeuvre de ce processus et m rite d tre reconnu publique ment La contribution de la SGDN un Fonds de r serve pour le bien tre de la collectivit constitue une reconnais sance tangible de la participation importante de Wawa au processus de s lection d un site Ce que nous avons entendu sur la mise en oeuvre de la Gestion adaptative progressive Ce que nous avons entendu au sujet de l int gration du savoir traditionnel autochtone La SGDN reconna t que les a n s autochtones portent en eux la sagesse qui reliait leurs peuples l ensemble de la cr ation depuis que le Cr ateur les a plac s sur l le aux tortues La SGDN recon na t galement que les a n s ont une compr hension privil gi e de notre m re la Terre laquelle constitue la science traditionnelle qui a permis leurs anc tres de vivre en harmonie avec la nature De plus la SGDN respecte le fait que les a n s soient les gardiens des traditions des coutumes et des valeurs de leurs soci t s respectives et qu ils forment
522. sition En 2012 la composition du Conseil consultatif a t renouvel et comprend la nomination d un nouveau membre M Wesley Cragg expert de renomm e internationale en thique appliqu e La composition actuelle du Conseil consultatif repr sente un large ventail d expertise notamment en g osciences g nie nucl aire communication strat gique thique des affaires environnement m decine science politique et savoir traditionnel autochtone Les membres du Conseil consultatif poss dent de bonnes connaissances dans le domaine de la gestion des d chets nucl aires et ont une exp rience utile du travail avec les citoyens et les collectivit s sur des questions de politiques publiques tr s vari es Les membres du Conseil consultatif sont pr sent s sur le site Web de la SGDN Le Conseil d administration de la SGDN continue de veiller ce que les nominations r pondent aux exigences de la LDCN et tient galement compte des domaines d expertise requis pour appuyer les activit s r gionales et locales associ es la s lection d un site pour la Gestion adaptative progressive A mesure que les travaux de la SGDN se concentreront sur le choix d une collectivit h te inform e et consentante et que les collectivit s autochtones touch es et la r gion h te se pr ciseront la LDCN exigera que des repr sentants de ces collectivit s si gent au Conseil Mise en oeuvre de la Gestion adaptative progressive 2014 a 2018 Annexes
523. six patinoires de hockey depuis la surface de la glace jusqu au haut de la bande la fin de l exploitation pr vue des r acteurs nucl aires canadiens actuels le nombre des grappes de combustible nucl aire irradi totalisera environ 4 6 millions Chaque grappe de combustible CANDU a sensiblement la taille et la forme d une bdche pour le foyer Laboratoires de Whiteshell Manitoba Ou est actuellement le combustible nucl aire irradie 21 Centrale nucl aire de Gentilly Qu bec Centrale nucl aire de Darlington Ontario Centrale nucl aire Laboratoires de Chalk River de Point Lepreau Ontario Nouveau Brunswick Tout le combustible nucl aire irradi du Canada est actuellement entrepos en s ret sur une base provisoire l o il est produit l int rieur d installations autoris s situ s sur les sites des r acteurs nucl aires de l Ontario du Qu bec et du Nouveau Brunswick et dans les installations d Energie atomique du Canada limit e Centrale nucl aire de Bruce Ontario Centrale nucl aire de Pickering au Manitoba et en Ontario Ontario Vision mission valeurs Apprendre davantage ensemble Rapport triennal 2011 2013 SEE 5 BME j LL 1 rer la gestion long terme des d chets nucl aires du Canada e la population et respecte l environnement maintenant et pour de l SGDN est d labore
524. son personnel d velopper leurs comp tences la SGDN leur a offert de nombreuses possibilit s de formation notamment e La pr sence et la participation au Canada et l tranger des conf rences et projets li s aux activit s de la SGDN e Une s ance de formation culturelle sur les pratiques traditionnelles les protocoles et l histoire des Premi res nations de l Ontario e Une s rie d ateliers destin s aider le personnel mieux comprendre le savoir traditionnel autochtone Une formation en gestion de projets Une formation en sant et s curit Une formation en communication Une formation sur les techniques de pointe de projection froid e Une formation sur la simulation par ordinateur volu e sur la conception des appareils a pression utilis s dans l industrie nucl aire Au cours des trois derni res ann es la SGDN a principale ment engag du personnel et des contractuels dont les sp cialit s r pondent aux complexes exigences sociales et techniques du processus de s lection d un site Au cours de cette p riode le nombre de personnes travaillant pour la Soci t tant son si ge social Toronto que sur le terrain est pass de 120 130 Comme la mise en oeuvre du processus de s lection d un site est de plus en plus ax e sur les collectivit s la SGDN a ouvert 15 bureaux satellites dans les collectivit s wparticipant aux valuations pr liminaires tape 3 du processus
525. ssi t int ress s d apprendre qu une s rie d tudes techniques et sociales doit tre men e pour relever des sites potentiels au sein des collectivit s int ress es que ces tudes sont r alis es en collaboration avec la collectivit et qu elles doivent se faire avec la participa tion des r sidents Pourquoi la collectivit est elle int ress e par le projet Pourquoi notre conseil a t il d cid de partici per au processus En savoir plus Pour r pondre ces questions les dirigeants des collectivit s avaient tendance mentionner trois l ments i la gestion long terme du combustible nucl aire irradi canadien constitue une question de politique gouvernemen tale importante pour le Canada ii la collectivit est Ce que nous avons entendu sur la mise en oeuvre de la Gestion adaptative progressive 10 11 12 peut tre en mesure de contribuer r gler cette question de par sa g ologie son exp rience mini re la possibilit d y acheminer facilement le combustible irradi ou d autres caract ristiques et iii le projet peut possiblement contribuer la viabilit long terme de la collectivit et l aider am liorer et pr server sa qualit de vie jusque dans un avenir lointain Comment peut on tre certain de la s ret d un tel projet Que sont les rayonnements et quels sont leurs effets sur la sant humaine Pendant combien de temps le combustible nucl aire irra
526. ssions indiquent que des conflits fondamentaux peuvent appara tre entre le projet et ces aspects du bien tre de la collectivit ou lorsque l harmonisation des deux est incertaine la SGDN estime que la possibilit de favoriser le bien tre de la collectivit dans son ensemble s en trouve diminu e Les valuations indiquent que chacune des huit collectivit s est au moins quelque peu suscep tible de pouvoir maintenir la volont d en apprendre davantage sur le projet pendant une p riode prolong e Par contre des diff rences se sont r v l es entre les collectivit s quant l ampleur du d fi qui se pose pour soutenir leur int r t un constat qui refl te les dynamiques sociales et politiques et les int r ts particuliers qui animent chacune d elles Les difficult s peuvent tre des divergences pr existantes au sein de la collectivit se rapportant par exemple aux priorit s de la collectivit ou des exp riences n gatives v cues pr c demment en lien avec d autres indus tries ou projets qui suscitent de l appr hension ou de la m fiance l gard du projet de la GAP Lorsque des divergences fondamentales existent au sein d une collectivit concernant ses orien tations futures la SGDN a not que la volont globale d en apprendre davantage sur le projet tait moindre De plus lorsque les divergences au sein de la collectivit par rapport ce projet refl tent des divergences anciennes ou des diverge
527. ssus de s lection d un site Pr parera des options types pour le transport du combustible nucl aire irradi depuis les sites d entreposage provisoires vers une installation de gestion long terme des fins d valuation des sites potentiels et des voies de transport Am liorera et renforcera les m thodes d valuation du consentement Am liorera et renforcera les moyens pris pour engager les peuples autochtones et les collectivit s de la r gion environnante prendre part aux d cisions dans un esprit de partenariat Perfectionnera ses outils et m thodes d valuation g oscientifique des sites candidats qu ils soient compos s de roche cristalline ou s dimentaire Produira des mod les conceptuels pour soutenir l valuation des sites candidats Fournira des valuations pr liminaires sur l environnement et la s ret pour soutenir l valuation des sites candidats Perfectionnera ses outils et m thodes d valuation des sites en fonction de facteurs environnementaux sociaux culturels et conomiques y compris les facteurs d finis par le biais du savoir traditionnel autochtone et les approches traditionnelles reli es la cartographie et la planification de l utilisation du territoire Perfectionnera les outils et m thodes utilis s pour informer et engager les citoyens au processus de d cision Engagera les collectivit s int ress es faire un apprentissage plus intensif du projet et explorera et aidera
528. stalline employant la configuration des trous for s la verticale e NWMO TR 2012 04 Mod le d intrusion humaine pour les Quatri me et Cinqui me tudes de cas HIMv2 0 e NWMO TR 2012 05 Utilisation de pastilles a base d argile pour remblayer les galeries et remplir les cavit s d un d p t g ologique en profondeur caract risation des propri t s thermom caniques e NWMO TR 2012 07 Simulation de la corrosion ana robie des conteneurs de combustible irradi en acier au carbone l aide du Steel Corrosion Model Mod le de corrosion de l acier version 1 0 GCM V1 0 e NWMO TR 2012 08 Quatri me tude de cas Donn es et codes de r f rence e NWMO TR 2012 09 Corrosion du combustible nucl aire UO l int rieur d un conteneur de combustible nucl aire d fectueux Revue de la recherche effectu e dans le cadre de l entente sur la Chaire de recherche industrielle conclue entre la CRSNG la SGDN et Univer sit Western janvier 2006 a d cembre 2010 e NWMO TR 2012 11 Donn es utilis es pour la s lection des radionucl ides et des l ments chimiques e NWMO TR 2012 13 Projections relatives aux d chets de combustible nucl aire au Canada Mise a jour 2012 e NWMO TR 2012 14 Quatri me tude de cas Caract ristiques v nements et processus e NWMO TR 2012 15 Incidences li es au stockage de pi ces de combustible a taux de combustion lev au sein d un d p t g ologique en profon
529. strat giques taient g n ralement favorables et la plupart des gens ont estim que les objectifs et les activit s associ es taient appropri s Voici les principaux th mes abord s par les commentaires publics e La SGDN doit fournir plus de d tails dans le plan sur la mise en oeuvre du processus de s lection d un site Elle doit entre autres reconna tre les difficult s et les incertitudes associ es la mise en oeuvre du plan y compris le consentement les r les et les responsabilit s des divers participants au processus et en particulier des peuples autochtones et de ceux qui r sident dans la r gion entourant une collectivit int ress e et d crire le processus qui sera utilis pour choisir une collectivit parmi plusieurs collectivit s consentantes et propices e La SGDN doit mieux refl ter et aborder les d fis associ s au transport du combustible nucl aire irradi dans la mise en oeuvre de la GAP e La SGDN doit d velopper davantage et se montrer plus transparente concernant la fa on dont les questions telles que la s ret la sant publique et les risques seront trait es dans le cadre du plan La compr hension des co ts associ s la mise en oeuvre de la GAP a galement t une source de commentaires e La SGDN doit d crire avec plus de pr cision les ch anciers de mise en oeuvre de la GAP Une certaine frustration s est manifest e concernant un processus con u pour tre
530. stration Le Conseil d administration est charg de surveiller la Soci t et de diriger l laboration de ses orientations strat giques Au 31 d cembre 2013 le Conseil d administration tait compos de huit administrateurs M Gary Kugler pr sidait le Conseil et M Ken Nash assumait la fonction de pr sident et chef de la direction Parmi les sept autres administra teurs Mme Jos e Pilon a t nomm e par HQ M Darren Murphy a t nomm par la Soci t d nergie du Nouveau Brunswick et M C lan Ross M Ron Jamieson Mme Deborah Poff et M Pierre Charlebois ont t nomm s par OPG Toutes ces personnes taient membres du Conseil pendant l ensemble de la p riode couverte par ce rapport 2011 2013 Apprendre davantage ensemble Rapport triennal 2011 2013 Au cours de cette p riode le Conseil d ailleurs les quatre comit s du Conse commentaires sur le Rapport trienna les rapports annuels de l ann e pri v rifi s lesquels ont t subs quemm annuelle Les administrateurs ont en o de la SGDN ainsi que les trois plans d affa inistration s est r uni 12 fois en personne et une fois par t l conf rence Par t r unis au total 47 fois pendant ce temps En 2011 le Conseil a fourni des IDN pour les ann es 2008 2010 et en 2012 et en 2013 il a comment ective chacune des trois ann es il a approuv les tats financiers t s aux soci t s membres de la SGDN lors de l Assembl e g
531. stulaient qu aucun plan de gestion de d chets nucl aires ne devrait tre mis en oeuvre avant qu un plan pr voyant la cessation de la production d nergie nucl aire et de combustible nucl aire irradi ait t tabli D autres positions ou pr occupations ont t exprim es par les personnes critiques envers le projet e Une opposition la construction de deux d p ts g ologiques en profondeur un pour les d chets de faible et moyenne activit et un autre pour le combustible nucl aire irradi e Des pr occupations concernant la proximit possible du futur d p t avec les Grands Lacs e Une opposition l approche de gestion choisie revendiquant par exemple la mise en oeuvre d autres approches de gestion du combustible irradi ou le combustible irradi serait conserv en surface ou plus pr s de la surface Des pr occupations relatives a la s ret concernant par exemple la fiabilit de la technologie de scelle ment du puits l ventualit de sc narios d v ne ments perturbateurs tels que les inondations la validit de la mod lisation informatique par rapport aux longs ch anciers envisag s les propri t s des barri res de cuivre et d argile la conception des conteneurs le comportement du syst me sur une p riode de centaines de milliers d ann es e La transparence de la documentation et des communications de la SGDN La SGDN a continu d encourager ce type de discus sion
532. sur le combustible nucl aire irradi Le GETI proc de des examens annuels pour indiquer au Conseil d administration et au Conseil consultatif si le programme technique de la SGDN se fonde sur des approches et m thodologies scientifiques et techniques cr dibles se compare aux pratiques internationales permet d largir et d avancer les connaissances techniques de la SGDN afin de soutenir ad quatement la mise en oeuvre de la Gestion adaptative progressive Les quatre membres apportent une vaste expertise de renomm e internationale dans les technologies associ es aux projets de d p ts g ologiques de d chets nucl aires expertise acquise au Canada au Royaume Uni en Su de et en Suisse Les membres du GETI sont d sign s par le Conseil d administration de la SGDN pour un mandat de trois ans La composition a r cemment t renouvel e pour un mandat additionnel de trois ans Ils sont pr sent s sur le site Web de la SGDN Les rapports du groupe sont galement publi s sur le site Web EXAMENS PAR DES PAIRS La SGDN continuera de soumettre l examen de ses travaux des pairs et solliciter des commentaires ind pendants Le Groupe d examen g oscientifique d crit plus haut en est un exemple Cela contribuera la qualit globale du programme et contribuera accro tre la confiance du public dans les plans de mise en uvre et les d cisions de la SGDN REDDITIONS DE COMPTES La SGDN se conforme des normes tr s lev es
533. t int grer les meilleures pratiques tablies et l exp rience acquise dans le cadre de projets mis en oeuvre au Canada et ailleurs dans le monde En plus de s associer des projets conjoints de recherche avec des universit s canadiennes et des organisations de gestion de d chets nucl aires d autres pays elle continue de participer aux travaux de l Agence pour l nergie nucl aire AEN de l Organisation de coop ration et de d veloppement conomiques aupr s de laquelle elle a r guli rement fait tat de ses travaux et avec laquelle elle a chang des informations sur les meilleures pratiques dans des domaines tels que l laboration de dossiers de s ret les processus de s lection d un site guid s par les collectivit s et l engagement des citoyens La SGDN continue de suivre l volution des politiques environnementales et nerg tiques qui pourraient influer sur la mise en oeuvre de la GAP notamment la construction de nouvelles centrales nucl aires Pour adapter ses plans aux nouvelles exigences soci tales la SGDN a continu de solliciter lavis des d tenteurs du savoir traditionnel autochtone concernant la meilleure fa on d int grer ce savoir ses activit s En 2012 elle a organis une conf rence la quatri me Conf rence interna tionale sur le stockage g ologique qui a r uni des dirigeants de collectivit s des repr sentants d autorit s de r glementation et des responsables de la mise en oeuv
534. t dans le processus de s lection d un site wmm HHIH En savoir plus transport s r et s curit du combustible nucl aire irradi Au cours du d roulement du processus des collectivit s ont manifest le souhait d en conna tre davantage sur la fa on dont sera effectu le transport s r et s curitaire du combustible nucl aire irradi depuis les sites d entreposage provisoire jusqu au site d un d p t g ologique en profondeur Pour commencer r pondre leurs questions la SGDN a pr par plusieurs nouveau produits de communication qui d crivent la r glemen tation qui doit tre respect e avant que l exp dition du combustible irradi puisse d buter et qui pr senten un aper u de la fa on dont le Canada et d autres pays g rent actuellement ce type d exp dition En 2012 la SGDN a publi une brochure intit Le transport s r et s curitaire du combustible nuc irradi canadien Elle a ensuite publi en 2013 un d pliant sur le colis sp cialement con u pour transporte le combustible nucl aire irradi En avril 2013 la SGDN a inaugur une exposition mobile fabriqu e sur mesure sur le transport L exposition permet de d couvrir de pr s les p labor s pour transporter de mani re s re et S curitaire le combustible nucl aire irradi canadien Elle comprenc un colis de transport du combustible irradi CTCI pleine chelle qui a t homol
535. t des sites h tes potentiels a galement t voqu e Certains se demandaient si des valuations allaient tre men es en continu pour d terminer quel point les r sidents sont renseign s afin de s assurer que la collectivit h te potentielle est aussi bien inform e que consentante La SGDN a entendu plusieurs commentaires sur la fa on dont elle communique et transmet les informations sur la GAP au public en g n ral Plusieurs personnes ont relev l importance de communiquer avec le public et de recourir des campagnes ducatives pour mieux expliquer certains des aspects les plus complexes ou techniques du projet Des gens ont appuy la tenue de s ances portes ouvertes comme celles que la SGDN a organis es plusieurs fois au sein de chaque collectivit de m me que la participation de la Soci t des v nements communautaires tablis Certains ont recommand la SGDN de participer des v nements tels que des assem bl es d bats locales Les bureaux de poste librairies et h tels de ville locaux ont tous t recom mand s comme lieux pour afficher des informations La distribution postale d informations tous les membres de la collectivit a aussi t fr quemment demand e De nombreux commentaires soulignaient la n cessit d approcher les collectivit s autoch tones et d int grer le savoir traditionnel autochtone au processus de s lection d un site Certains membres de collectivit s autochtones
536. t 21 juin 2013 Ear Falls Exposition sur le transport 14 juillet 2013 Hornepayne Exposition sur le transport 15 juillet 2013 Wawa Exposition sur le transport 16 juillet 2013 Schreiber Exposition sur le trans port Participation de la SGDN a des v nements sp ciaux dans les collectivit s Jours du patrimoine de Schreiber 16 juillet 2013 Tournoi de p che de Hornepayne e 14 juillet 2013 Nuit de la s curit familiale d Ear Falls 10 mai 2012 e 16 mai 2013 Rassemblements des ain s de Pinehouse e 5 avril 2011 e 5 au 7 juin 2012 e Set 4 juin 2013 Rassemblements des ain s de la Premi re nation d English River 10 juillet 2012 21 et 22 septembre 2013 Salon des loisirs de Creighton 26 au 28 avril 2012 25 au 27 avril 2013 Apprendre davantage ensemble Rapport triennal 2011 2013 Programme En savoir plus En 2009 la SGDN a cr un programme En savoir plus pour donner acc s des informations et du financement aux collectivit s aux organisations et aux particuliers qui avaient besoin d aide pour en apprendre davantage sur la SGDN et le projet de la Gestion adaptative progressive GAP La SGDN a observ un int r t de la part des collectivit s pour ce programme et continue de r pondre aux demandes de renseignements et de s ances d information pr sent es par les groupes int ress s La r ponse aux demandes d information s est faite par les moyens suivants
537. t La SGDN s est engag e mettre en oeuvre un processus d cisionnel progressif et bas sur la collaboration et n entreprendra aucune tape sans avoir auparavant soigneusement consid r la question et seulement lorsque les conditions sociales seront satisfaisantes Exigences en mati re de rapports financiers La Loi sur leS d chets de combustible nucl aire LDCN traite de fa on explicite des obligations financi res futures reli es la gestion long terme du combustible irradi Les exigences de la Loi sont d crites dans encadr ci dessous La pr sente section du Rapport triennal est pr sent e en conformit avec les exigences d finies au paragraphe 16 2 de la LDCN Exigences de la LDCN 2002 La SGDN est tenue de fournir divers renseignements financiers dans chacun de ses rapports annuels suivant la d cision du gouvernement en vertu du paragraphe 16 2 de la LDCN 4 16 2 Les rapports annuels post rieurs la d cision du gouverneur en con sition de gestion retenir doivent notamment indiquer a la forme et le montant des garanties financi res fournies durant l exercice par les soci t s d nergie nucl aire et Energie atomique du Canada aux termes de la Loi sur la s ret et la a c les pr visions budg taires pour l exercice suivant d la formule deealeukdu financement que propose las suivant hypoth ses et motifs l appui e la quote part verser par chacun
538. t l environnement ainsi que pour respecter les engagements internationaux du Canada envers l utilisation pacifique de l nergie nucl aire Les exigences r glementaires seront respect es toutes les tapes pr c dentes du processus de s lection d un site La documentation produite dans le cadre des tapes pr c dentes ainsi que toute autre documentation requise pour une demande de permis seront examin es officiellement par les autorit s r gle mentaires cette tape dans le cadre d une valuation environnementale et si cette valuation est compl t e avec succ s alors dans le cadre d audiences reli es la demande de permis pour la pr paration du site et la construc tion possible des installations associ es au projet Divers aspects du transport du combustible nucl aire irradi devront galement tre approuv s par les autorit s r glementaires La construction et l exploitation d une installation souterraine de d monstration d marrent La SGDN mettra sur pied le centre d expertise dont le d veloppement aura t lanc l tape 4 pour inclure et soutenir la construction et l exploitation d une installation souterraine de d monstration destin e confirmer les caract ris tiques du site avant de pr parer la demande du permis d exploitation aux autorit s r glementaires Con u en concertation avec la collectivit le centre d expertise deviendra un carrefour canadien et international de partage des
539. t les propri taires de d chets qui en sont responsables La prochaine r vision compl te du co t estimatif de la GAP est cens e tre achev e au plus tard en 2017 En plus de fournir des mises jour r guli res sur les co ts estimatifs de base selon un cycle de cing ans la SGDN s est engag e produire chaque ann e une valuation de tous les facteurs qui influencent ces estimations Tout changement notable dans l estimation des co ts sera valu et divulgu dans les rapports annuels de la SGDN Co ts devant tre financ s par le biais des Fonds en fiducie de la LDCN La LDCN exige que les co ts post permis de construction actuellement estim s 5 milliards soient financ s par le biais de contributions aux fonds en fiducie de la LDCN institu s par OPG HQ NNB et ACL En date de d cembre 2013 la valeur totale de ces fonds y compris les revenus de placement s levait approximativement 2 9 milliards Pr visions budg taires pour 2014 conform ment aux exigences de la LDCN alin a 16 2 c En plus de prendre des dispositions financi res pour les co ts post permis de construction la SGDN devra consacrer environ 2 milliards selon une valeur actualis e au 1 janvier 2014 la s lection d un site pour la m thode de gestion long terme l laboration de sa conception d taill e l valuation de ses effets sur l environnement et l obtention aupr s de la CCSN d un permis de pr
540. t riel inclura des rapports p riodiques sur les travaux r alis s ainsi qu un expos sur les param tres et les hypoth ses utilis s dans les valuations de la s ret et sur la fa on dont les informations d taill es sur un site une fois connues seront utilis es pour affiner le travail dans le futur Allant de l avant De 2014 2018 les activit s du programme technique porteront sur la mise jour de la conception du d p t et des valuations de la s ret sur la r alisation de l examen pr projet par la CCSN la fois en roche cristalline et s dimentaire et sur le commencement d un plan d essai afin de qualifier un syst me barri res ouvrag es canadien en pr vision de la pr sentation de la demande de permis de pr paration du site et de construction des installations D autres tudes analyses et activit s communes se poursuivront avec des partenaires internationaux pour am liorer la compr hension des processus cl s et renforcer la confiance l gard du dossier de s ret pour un d p t g ologique en profondeur De 2014 2018 la SGDN Compl tera les examens pr projet de la CCSN des valuations de la s ret post fermeture d un d p t g ologique en profondeur pour combustible nucl aire irradi en roche cristalline et s dimentaire Compl tera l tude d optimisation de la g om trie et la capacit des conteneurs du d p t du combustible nucl aire irradi Evaluera la tec
541. t s Projet de d p t g ologique en profondeur d Ontario Power Generation pour d chets de faible et moyenne activit Q N v Apprendre davantage ensemble Rapport triennal 2011 2013 Depuis 2009 la SGDN travaille sous contrat avec Ontario Power Generation OPG pour l aider mettre au point un d p t g ologique en profondeur pour la gestion long terme de d chets de faible et moyenne activit sur le site nucl aire de Bruce dans la municipalit de Kincardine En 2011 OPG a de plus engag les services de Les d chets de faible la SGDN pour g rer la conception d taill e du futur d p t La SGDN fournira des activit sont des articles services de construction lorsqu un permis aura t d livr pour le d p t industriels qui ont t Le travail que fait la SGDN pour OPG ne concerne pas le mandat qui lui a contamin s par de faibles t confi de mettre en oeuvre la Gestion adaptative progressive et le d p t qui niveaux de radioactivit lors sera construit sur le site de Bruce ne servira pas stocker ou g rer du combusti des activit s normales de ble nucl aire irradi Le d p t d OPG servira confiner et isoler de mani re s re nettoyage et d entretien des les d chets de faible et moyenne activit provisoirement entrepos s sur le site centrales nucl aires nucl aire de Bruce dans l installation de gestion des d chets Western ainsi que les d chets de faible et mo
542. t s Cette approche a de plus l avantage d assurer la SGDN la latitude voulue pour recentrer ses efforts si les tudes subs quentes dans une r gion particuli re aboutissent des r sultats inatten dus Cette latitude aidera la SGDN adapter le processus de s lection d un site en r ponse ce qu elle apprendra au fil des tudes En diversifiant les r gions l tude et en s allouant la latitude qu il faut pour pouvoir s adapter aux r sultats de ces tudes le fondement d une d cision clair e quant au choix d un site ne pourra tre que renforc Phase initiale d tude Bien que quatre collectivit s aient t choisies pour les tudes subs quentes de la Phase 2 il n est pas pour autant confirm que ces collectivit s soient aptes accueillir le projet de la GAP De plus aucune collectivit n a confirm son consentement accueillir le projet Sur le plan de la s ret il faudra encore plusieurs ann es d tudes sur le terrain et d valuations d taill es de sites avant que la SGDN une collectivit et les autorit s de r glementation puissent d terminer qu un site est s r En attendant il reste encore beaucoup d informations rassembler de donn es analyser de questions r soudre et d incertitudes explorer en collaboration avec les collectivit s pour mieux comprendre la possibilit pour les sites de r pondre aux exigences D autres questions de recherche seront examin
543. t s ci dessous Co t total estimatif conform ment aux exigences de la LDCN alin a 16 2 b En vertu de la LDCN la SGDN doit valuer le co t et le financement de la gestion long terme du combustible nucl aire irradi La derni re r vision compl te du co t estimatif de la Gestion adapta tive progressive GAP a t achev e en 2011 Cette estimation servira de base la planification financi re et l tablissement des sommes verser aux fonds en fiducie pour les ann es venir Pour calculer le co t estimatif aux fins de la planification long terme du programme de la GAP la SGDN a adopt un certain nombre d hypoth ses conceptuelles et financi res pour encadrer ses projections Ces hypoth ses incluent les suivantes A Des hypoth ses d ing nierie et de conception technique relatives au d p t g ologique en profondeur et aux modalit s de transport du combustible B L hypoth se relative la capacit du d p t de 3 6 millions de grappes de combustible c La date pr vue de mise en service du d p t g ologique en profondeur 2035 D La date de fermeture pr vue du d p t 2160 Tous les l ments du co t de la GAP ont t syst matiquement consid r s pour estimer l ensem ble du cycle de vie du programme Des provisions et ventualit s ont galement t comptabilis es dans l estimation des co ts de la GAP pour tenir compte de facteurs d incertitude Le co t estimatif de 2011 de
544. t s qui y participent La Gestion adaptative progressive La Gestion adaptative progressive Le plan canadien encadrant la gestion a long terme du combustible nucl aire irradi se nomme la Gestion adapta tive progressive GAP Le combustible irradi sera confin et isol de mani re s re et s curitaire de la population et de l environnement dans un d p t g ologique en profondeur situ au sein d une formation rocheuse propice renforc e d un syst me barri res multiples Un principe fondamental de ce plan veut que l apprentissage et les connaissances soient incorpor s chaque tape de la mise en oeuvre afin d orienter le processus de d cision progressif Description du plan de la Gestion adaptative progressive La gestion long terme du combustible nucl aire irradi canadien n cessitera le d veloppement d un d p t g ologique en profondeur d un syst me de transport du combustible irradi et d un centre d expertise national Cet important projet d infrastructure g n rera des milliers d emplois dans la r gion h te et potentiellement des centaines d emplois dans la collectivit h te pendant des d cennies Son co t pr vu est de 16 24 milliards Apprendre davantage ensemble Rapport triennal 2011 a 2013 Les pierres angulaires de la Gestion adaptative progressive ae we i Ee 7 posage provisoire faible profon ji
545. t am ricains Situ 300 m tres sous terre dans une formation de roche s dimentaire en Suisse ce laboratoire est une installation souterraine o des exp riences sont r alis es pour mieux comprendre les processus associ s l vacuation g ologique long terme des d chets nucl aires Ce laboratoire permet galement au personnel technique ainsi qu aux chercheurs et aux tudiants universitaires d acqu rir une formation pratique En 2013 la SGDN a organis la r union annuelle d orientation des partenaires du projet d Des chercheurs du projet Mont Terri lors de leur visite en 2013 du site nucl aire de Bruce La SGDN a continu de participer activement au Projet de la Commission europ enne sur le sort des gaz des d p ts qui vise la mise au point et la comparaison en collaboration de mod les de diffusion des gaz dans des exp riences sur le terrain et dans un d p t g n rique La SGDN a continu de contribuer au Projet de base de donn es thermodynamiques de l Agence pour l nergie nucl aire AEN qui a pour but de d velopper une base de donn es de qualit assur e sur les l ments cl s des syst mes de gestion de d chets radioactifs Elle continue aussi de participer au Groupe d int gration pour le dossier de s ret de l AEN Une des r centes activit s de ce groupe consistait r diger un rapport sur les pratiques utilis es actuellement pour r aliser les valuations de s ret La SGDN est membre
546. t de combustible nucl aire irradi Le programme technique de la SGDN comprend la planification du transport de combustible nucl aire irradi dans le futur Ces travaux comprennent la mise l preuve et l am lioration de la conception du colis en consid rant entre autres des sc narios au del de la conception la mise au point de sc narios pour les modes et itin raires de transport et l laboration de processus et de plans de gestion des urgences y compris en pr vision du cas improbable d une rupture du colis Sant et s curit du public et des travailleurs La conception de la SGDN du d p t prot gera la sant du public et la s curit des travailleurs La conception sera optimis e de fa on r duire au minimum les risques d exposition des substances radioactives ou dangereuses et les risques d accidents La conception sera mise l preuve en partie par le biais d valuations de s ret qui examineront le comportement des mod les conceptuels relatif des sc narios plausibles et improbables La SGDN a r cemment pr sent la CCSN des valuations g n riques de s ret pour illustrer sa m thodologie d valuation de la s ret long terme Elle continue d appliquer et d am liorer son approche en mati re d valuation de la s ret en tenant compte la fois des aspects li s l exploitation du site et la s ret long terme Mise en oeuvre de la Gestion adaptative progressive 2014 a 2
547. t de l environnement de la r gion sera assur Ressources financi res et soutien pour l tablissement de comit s de liaison commu nautaires CLC Des ressources financi res ont t accord es aux collectivit s pour tablir leurs propres comit s afin de favoriser l apprentissage et la discus sion au sein de la collectivit tablissement de bureaux dans les collectivit s Des bureaux locaux de la SGDN ont t tablis dans chaque collectivit pour fournir d autres occasions d apprendre et d interagir avec la SGDN et les autres membres de la collectivit Examen des travaux d valuation en cours Pour la r alisation des valuations pr liminaires de la Phase 1 la SGDN s est bas e sur une conception de la collectivit qui a t d finie avec elle sous la forme d un profil de la collectivit La SGDN a cherch communiquer des parties importantes de l valuation qui en taient encore au stade d bauche dans le cadre d v nements portes ouvertes et de r unions des CLC Ce que nous avons entendu Plans strategiques Apprendre davantage ensemble Rapport triennal 2011 2013 Depuis 2007 la SGDN sollicite l avis du public sur ses sept objectifs strat giques et sur les activi t s associ es qu elle pr voit entreprendre en publiant l bauche de son plan strat gique quinquen nal volutif aux fins d un examen public Intitul Mise en oeuvre de la Gestion adaptative
548. t de profil communautaire Canton d Ear Creighton Saskatchewan Toronto Canada Falls Ontario Toronto Canada Soci t de gestion des d chets nucl aires SGDN Soci t de gestion des d chets nucl aires SGDN 2013 Projet de profil communautaire Village 2013 Projet de profil communautaire Municipalit nordique de Pinehouse Saskatchewan Toronto de Wawa Ontario Toronto Canada Canada Soci t de gestion des d chets nucl aires SGDN Soci t de gestion des d chets nucl aires SGDN 2018 Projet de profil communautaire Canton de 2015 Projet de profil communautaire Premi re Schreiber Ontario Toronto Canada nation d English River Saskatchewan Toronto Soci t de gestion des d chets nucl aires SGDN Canada Tous ces documents sont disponibles sur le site Web de la SGDN l adresse www nwmo ca Annexes valuations du bien tre des collectivit s Dans le cadre des valuations pr liminaires la SGDN a travaill avec les collectivit s et des consul tants dans le but d valuer de fa on pr liminaire la possibilit de favoriser le bien tre de la collec tivit travers la mise en oeuvre du projet de la GAP Au terme de 2013 les valuations suivantes avaient t compl t es e Soci t de gestion des d chets nucl aires SGDN 2013 valuation pr liminaire du bien tre de la collectivit de la Phase 1 Canton d lgnace Ontario Toronto Canada Soci t
549. t des d bats d j en cours qui susci tent des divergences au regard de la vision long terme de la collectivit la SGDN a jug que la possibilit que le projet puisse s harmoniser avec la vision de la collectivit s en trouvait diminu e et que perp tuer ces d bats pourrait avoir une incidence n gative sur la coh sion de la collectivit Un projet de cette port e et de cette envergure est susceptible de transformer une collectivit et une r gion sous maints aspects Les collectivit s ont aid la SGDN saisir que les incidences potentielles du projet sur d autres aspects de la vie de la collectivit doivent tre prises en compte notamment le lien avec le territoire et avec les autres membres de la collectivit e la possibilit de s adonner des activit s telles que la chasse la p che la cueillette et le pi geage lesquelles peuvent rev tir une importance spirituelle culturelle et personnelle le sentiment de responsabilit qui dicte un comportement protecteur l gard de la plan te des g n rations futures et de toutes les cr atures e d autres aspects importants du mode de vie de la collectivit Apprendre davantage ensemble Rapport triennal 2011 2013 La mesure dans laquelle le projet est susceptible de s harmoniser avec le bien tre de la collectivit est une question laquelle doit r fl chir et r pondre la collectivit elle m me Lorsque les r flexions et les discu
550. t des jeunes pour les sciences et le soutien accord aux tudiants dipl m s dans le cadre du programme de bourses d tudes sup rieures incidence industrielle du Conseil de recherches en sciences naturelles et en g nie CRSNG Au cours des cinq prochaines ann es la SGDN continuera de veiller disposer des ressources et de l expertise n cessaires pour assurer la bonne marche du processus de s lec tion d un site tant donn que son travail sera de plus en plus ax sur les collectivit s il est pr voir que le recrutement par la SGDN d employ s dans les r gions h tes potentielles augmente galement Pour soutenir leurs efforts la SGDN agrandira les bureaux locaux dans les collectivit s les plus aptes satisfaire aux exigences du projet Autres activit s En 2009 Ontario Power Generation OPG a engag la SGDN pour lui fournir des services techniques et autres en vue d obtenir les approbations r glementaires pour son projet de d p t g ologique en profondeur DGP pour d chets de faible et moyenne activit g n r s par les r acteurs appartenant OPG ou exploit s par elle Ce d p t est distinct du d p t de la GAP destin la gestion long terme du combustible nucl aire irradi En 2011 OPG a engag de nouveau les services de la SGDN pour g rer la conception d taill e du DGP De 2011 2013 la SGDN a r alis des progr s importants dans la conception d taill e du d p t d OPG En av
551. t des personnes non lues en plus des conseillers et des maires La SGDN indique qu elle a relay cet avis aux collecti vit s lesquelles ont largi la composition de leurs d l gations En 2012 le Conseil a donn son avis la SGDN concernant le moment l approche et les communications associ s la suspension de la phase des expressions d int r t du processus de s lection d un site La SGDN a donn suite cet avis en pr parant un document de commu nication expliquant le raisonnement et les consid rations justifiant la suspension de la phase des expressions d int r t Le Conseil a donn son avis la SGDN sur ses valuations pr liminaires de l aptitude potentielle des collectivit s candidates Il a soulign l importance de communiquer les crit res de s lection d un site sur lesquels les d cisions seraient bas es Il a demand la SGDN de pr ciser l approche qu elle entendait mettre en oeuvre pour int grer et valuer les constats des divers l ments d valuation technique et sociale Il a soulign la n cessit de communiquer les constats des valuations de mani re claire de les tayer par des informations solides recueillies dans le cadre d une d marche empreinte de transparence et de tra abilit et en fonction de crit res uniformes Il a sugg r que les rapports d montrent comment les valuations s taient faites en dialogue avec les collectivit s Le Conseil a press la SGDN d inclure des
552. t du temps cependant ils faisaient confiance la marche suivre propos e et estimaient que la nature du projet exigeait que nous prenions le temps n cessaire pour le mettre en oeuvre de mani re s re Voici certaines des questions qui ont t fr quemment pos es sur le processus de s lection d un site e Quelles provinces participent au processus e Quelles sont les tapes suivre pour participer au processus ou s y retirer e Quel est le r le des scientifiques ind pendants relativement l examen des tudes et la prestation de conseils aux collectivit s int ress es aux collectivit s voisines et l ensemble de la r gion e Quand et comment les d cisions relatives au choix d une collectivit seront elles prises Comment les simples r sidents de la collectivit pourront ils d cider s ils consentent accueillir le d p t Le sujet du consentement de la collectivit h te potentielle a t fr quemment abord Les gens voulaient savoir quel serait le seuil ou le pourcentage d appui citoyen n cessaire pour d montrer de fa on convaincante le consentement de la collectivit aux fins de ce projet et quels moyens seraient pris pour valuer ce consentement Des pr occupations ont pr cis ment t soulev es concernant les m thodes de consultation qui pourraient tre prises pour juger du consentement de la collectivit L importance du consentement des peuples autochtones vivant proximi
553. t les caract ristiques g ologiques ou hydrog ologiques connues emp cheraient le site d tre s r L tape 2 fournissait galement une occasion pr cieuse aux collectivit s int ress es d en apprendre davantage sur le plan canadien de gestion long terme du combustible nucl aire irradi du pays Le programme En savoir plus de la SGDN a soutenu un large ventail d initiatives destin es commencer faire conna tre et comprendre le projet Ces ressources sont mises la disponibilit des collectivi t s chacune des tapes du processus la demande des collectivit s participant l tape 2 la SGDN a en outre rencontr les tudiants de l endroit et donn des pr sentations aux organismes de services aux premiers intervenants aux chefs d entreprises et d autres groupes int ress s La SGDN et le renforcement des capacit s des collectivit s Le programme En savoir plus de la SGDN donne acc s des ressources informations et ressources financi res pour soutenir la participation aux premi res tapes du processus de s lection d un site Les collectivit s qui souhaitent en apprendre davantage peuvent demander la SGDN un soutien ressources financi res et exper tise au renforcement des capacit s et la participation pour les aider en apprendre davantage sur le projet r fl chir leur int r t inciter leurs membres discuter et d battre de la question et collab
554. t mettra en oeuvre des plans de sensibilisation locaux et r gionaux afin de mieux comprendre les perspectives r gionales et de b tir des relations dans la r gion Continuera de trouver des occasions de faire participer les Premi res nations et les peuples m tis aux niveaux local et r gional en travaillant en collaboration avec les collectivit s les organisations issues de trait s et les organisations autochtones r gionales ou provinciales concern es par la s lection d un site Continuera faire avancer la coordination et la collaboration avec les gouvernements provinciaux servant identifier des m canismes et des processus pour r pondre des questions d int r t provincial Continuera de d velopper du mat riel de communications pour soutenir l apprentissage et le dialogue sur la description du projet la s ret du d p t et les consid rations reli es au transport Continuera poursuivre un dialogue sur les consid rations reli es au transport avec les autorit s r glementaires de chaque ordre de gouvernement les experts en transport et ceux qui oeuvrent dans le domaine Continuera de solliciter les conseils d associations municipales sur les fa ons de communiquer les plans de transport et d engager les collectivit s qui pourraient se trouver dans un ventuel corridor de transport du combustible nucl aire irradi Continuera d examiner l exp rience et les meilleures pratiques dans le domaine du transport des ma
555. t produit un peu plus de 2 4 millions de grappes de combustible irradi Si on pouvait corder toutes ces grappes comme du bois de chauffage elles pourraient tre contenues dans le volume qu occupent six patinoires de hockey de la surface de la glace jusqu la hauteur des bandes Lorsqu on retire le combustible nucl aire irradi d un r acteur il est consid r comme un d chet radioactif qui doit tre g r avec soin Bien que sa radioactivit d croisse au fil du temps sa toxicit chimique persiste et le combustible irradi continuera de poser un risque potentiel pour la sant pendant des centaines de milliers d ann es Par cons quent le combustible irradi devra tre g r avec soin pour une p riode essentiellement ind finie Le combustible nucl aire irradi canadien est provisoirement entrepos en toute s ret dans des installations autoris es situ es l o il est produit Comme plusieurs autres pays dot s de programmes d nergie nucl aire le Canada planifie l avenir La mise en oeuvre d un plan de gestion long terme s re et s curitaire du combustible nucl aire irradi qui prot gera la population et l environnement est une responsabilit importante que nous partageons entre Canadiens Le plan canadien Comment nous en sommes arriv s l Le concept du d p t g ologique en profondeur Les technologies d entreposage du combustible irradi ont fait leurs preuves pendant de no
556. tait d investir dans des projets nerg tiques partout au Canada ou d y participer Il est de plus pr sident du Conseil d administration de la Canadian Council for Aboriginal Business et a r cemment t nomm pr sident de First Canadian Property Investments Ltd Darren Murphy En juin 2012 M Darren Murphy a t nomm vice pr sident des services d entreprise et administrateur principal des affaires financi res a nergie NB Il est responsable des finances des ressources humaines des syst mes informatiques des services vocaux et des affaires environne mentales et r glementaires Il est devenu cadre d Energie NB en 2007 et en plus d assumer sa fonction actuelle il a occup divers postes de responsabilit dont ceux de vice pr sident de la distribution et du service la client le et de vice pr sident du transport Il a travaill pendant plus de 17 ans dans le domaine des activit s de distribution sur le terrain avant de se joindre l quipe de la direction Il est actuellement membre du Conseil d administration de la Soci t de gestion des placements du Nouveau Brunswick et de la Corporation de commercialisation d nergie du Nouveau Brunswick Jos e Pilon Mme Jos e Pilon est titulaire d une ma trise en administration des affaires MBA de l Universit Laval Elle fait partie du comit directeur pour le projet d valuation de la r fection de Gentilly 2 A titre de gestionnaire de projets sp cia
557. tal 149 _ OPG 8 HQ 5 NNB 2012 En 1 ACL 163 Total 154 OPG 8 HQ E 2013 5 ENNB 1 ACL 168 Total Contributions verser dans les fonds en fiducie en 2014 conform ment aux exigences de la LDCN alin a 16 2 e Les contributions aux fonds en fiducie de la LDCN cit es ici pour l ann e 2014 ont t calcul es d apr s la formule de financement approuv e Selon cette formule de financement les co ts post permis de construction sont divis s en deux parties 1 Les co ts associ s aux grappes de combustible irradi d j produites passif engag 2 Les co ts associ s au combustible irradi qui sera produit chaque ann e passif futur Le passif engag repr sente tous les frais qui seront support s qu il y ait ou non production de grappes de combustible irradi dans le futur Ce passif comprend tous les co ts fixes associ s l installation et les co ts variables attribu s aux grappes de combustible irradi d j produites Les contributions pour les co ts engag s doivent tre amorties jusqu 2085 en paiements gaux en valeur actualis e La justification de cette p riode d amortissement est que 2085 correspond la date la plus h tive laquelle le d p t g ologique en profondeur pourrait tre disponible Cette m thode de financement a l avantage de r partir les exigences de versement en parts gales chaque ann e compte tenu de l volution te
558. tallations de surfaces associ es L exploitation ne commencera qu apr s l obtention d un permis d exploitation des autorit s r glementaires La SGDN continue de travailler en partenariat avec la collectivit h te afin de s assurer que les engagements pris envers la collectivit soient pris en compte pour toute la dur e du projet De 2011 2013 22 collectivit s ont compl t les valuations de pr s lection tape 2 du proces sus de s lection d un site la fin de 2013 20 collectivit s avaient entrepris les valuations pr li minaires tape 3 la fin de 2018 la premi re phase avait t compl t e dans huit collectivit s Creighton en Saskatchewan et Hornepayne Ignace et Schreiber en Ontario ont t jug es susceptibles de r pondre aux exigences du processus de s lection d un site et ont t identifi es pour faire l objet d tudes plus pouss es Les collectivit s de Pinehouse et de la Premi re nation d English River en Saskatchewan et d Ear Falls et de Wawa en Ontario n ont pas t retenues pour les tudes plus d taill es Ces constats n ont aucune incidence sur les travaux en cours dans les autres collectivit s rendues des tapes moins avanc es du processus de s lection d un site Collectivit s la Phase 1 de l tape 3 valuations pr liminaires 3 Nipigon 11 Spanish 5 Manitouwadge 12 Arran Elderslie 7 White River 13 Saugeen Shores 8 Blind River
559. tant de 685 millions valeur actualis e au 30 juin 2016 laquelle comprend une garantie reli e au combustible irradi r sultant du fonctionnement de Gentilly 2 et le co t du d classement de la centrale y compris de la gestion long terme des d chets de faible et moyenne activit e La garantie totale est constitu e de 340 millions pour le d classement et la gestion long terme des d chets de faible et moyenne activit et de 345 millions pour le combustible irradi e La garantie prend la forme d un engagement explicite de la province de Qu bec envers HQ qui assure une garantie de paiement e Le fonds en fiducie de la LDCN d HQ totalisait 105 millions au 31 d cembre 2018 et avait une juste valeur estimative de 117 millions nergie nucl aire NB ENNB a fourni la CCSN une Garantie financi re pour le d classement qui inclut les co ts de la gestion long terme du combustible irradi que l on pr voit tre produit par la Centrale nucl aire de Point Lepreau et le co t du d classement de la centrale y compris de la gestion long terme des d chets de faible et moyenne activit e La garantie financi re actuelle reli e au combustible irradi est bas e sur la valeur actualis e des co ts futurs de gestion du combustible irradi produit jusqu la fin de 2014 Le fonds augmentera annuellement en fonction des pr visions futures de production de combustible irradi e Lexigence d une garant
560. tape 2 c est dire pendant plusieurs mois pour la plupart des collectivit s Tout le contenu utilis lors de ces v nements portes ouvertes a t communiqu aux membres des collectivit s dans le cadre des conversations men es ce stade et a t publi sur le site Web de la SGDN sous la forme d une s ance d information portes ouvertes offerte aux visiteurs du site La plupart des personnes qui ont assist aux s ances portes ouvertes ou aux rencontres et discussions nous ont dit que l information fournie tait utile comme l tait l occasion offerte de poser des questions et de s entretenir directement avec le personnel de la SGDN AU cours de ces conversations certains r sidents ont fait part de leurs objections la mise en oeuvre du projet dans leur collectivit alors que d autres envisageaient favorablement les perspectives qu il ouvrait La vaste majorit des personnes se sont montr es favorables en apprendre davantage sur la GAP et sur le processus entrepris pour trouver une collectivit inform e qui consentirait accueillir un d p t g ologique en profondeur Au cours de cette phase initiale plusieurs n ont manifest aucune opinion marqu e sur le projet mais souhaitaient en revanche recueillir de l information et voir le personnel de la SGDN r pondre leurs questions et pr occupations Les commentaires formul s par ceux qui taient initialement favorables au projet se rapportaient au bien fond
561. tapes d valuation et de prise de d cision Ces efforts n en sont qu un stade tr s embryonnaire et s intensifieront au cours des trois prochaines ann es Par cons quent la description qui suit fait tat de ce que nous ont dit les collectivit s int ress es Comme le dialogue avec les peuples autochtones les collectivit s voisines et les collectivit s situ es le long des itin raires potentiels de transport prendra de l ampleur dans les ann es qui viennent le prochain rapport triennal pr sentera plus en d tail ce dont nous auront fait part ces participants importants au processus de s lection d un site La SGDN continue galement de dialoguer avec le public canadien en g n ral par le biais de s ances d information et de pr sentations offertes des tudiants ainsi qu des particuliers et des groupes int ress s d affichages d expositions interactives et d v nements portes ouvertes de bulletins d information de la participation du personnel diverses conf rences et de contenus interactifs sur son site Web Ces activit s sont d crites au chapitre 6 1 difier des relations durables Apprendre et explorer De 2011 2012 22 collectivit s ont particip l tape 2 du processus de s lection d un site Parmi celles ci 20 se sont engag es dans les valuations pr liminaires de l tape 3 suivant l adop tion de r solutions par les autorit s comp tentes locales Afin de mieux mesurer l
562. tenir compte de l estimation actualis e du co t du cycle de vie et du solde actuel des fonds en fiducie Adapter les plans e Poursuite de la sollicitation de l avis du public pour faire en sorte que la mise en oeuvre de la GAP tienne compte de l volution des exigences soci tales e Poursuite du suivi des changements en mati re de retraitement du combustible nucl aire irradi et pr sentation annuelle des constats au public e Poursuite des partenariats avec des universit s canadiennes et trang res des organisa tions trang res de gestion de d chets nucl aires et des organismes internationaux pour demeurer au fait des avanc es les plus r centes dans le domaine Apprendre davantage ensemble Rapport triennal 2011 2013 Assurer une bonne gouvernance et une bonne reddition des comptes Poursuite de la sollicitation d examens ind pendants des travaux de la Soci t aupr s du Groupe d examen technique ind pendant du Conseil consultatif du Forum municipal et d un forum d ain s autochtones Poursuite des mises jour fournies la CCSN et de la sollicitation d avis aupr s de cet organisme dans le cadre d une entente visant obtenir un examen de la CCSN des valuations g n riques de s ret pour un d p t pour combustible irradi en formations de roche cristalline et de roche s dimentaire Travaux visant maintenir la conformit du syst me de gestion de la Soci t aux normes les plus lev
563. ti res dangereuses notamment au transport des d chets nucl aires au Canada et l tranger pour relever les le ons pouvant s appliquer la Gestion adaptative progressive Soci t de gestion des d chets nucl aires Apprendre davantage ensemble Rapport triennal 2011 2013 Optimiser les mod les conceptuels et continuer de valider la confiance en la s ret du d p t La SGDN perfectionnera et continuera de d velopper les mod les conceptuels et les dossiers de s ret en vue de l tablissement d un d p t g ologique en profondeur pour combustible nucl aire irradi en roche cristalline ou en roche s dimentaire et m nera un programme de recherche d veloppement technique pour assurer une am lioration continue conform ment aux meilleures pratiques Laptitude d un d p t g ologique en profondeur confiner et isoler en toute s ret le combustible nucl aire irradi d pend de la forme et des propri t s des d chets des barri res ouvrag es qui entourent les d chets et des barri res naturelles qu offre la formation rocheuse dans laquelle le d p t sera construit Le site privil gi sera dans une formation rocheuse dont les caract ristiques g ologiques hydrog ologiques chimiques et m ca niques favorisent le confinement du combustible et l efficacit du d p t de fa on satisfaire aux exigences r glementaires de la Commission canadienne de s ret nucl aire CCSN voir
564. tial Screening for Siting a Deep Geological Repository for Canada s Used Nuclear Fuel The Municipality of Brockton Ontario APM REP 06143 32802 Initial Screening for Siting a Deep Geological Repository for Canada s Used site pour un d p t g ologique en pro irradi canadien Canton de Huron K APM REP 06143 32808 Rapport sommaire valuati ondeur destin stocker le combustible nucl aire unicipalit de Saugeen Shores Ontario site pour un d p t g ologique en pro irradi canadien Corporation de la m Nuclear Fuel The Corporation of the Municipality of Arran Elderslie Ontario APM REP 06143 32804 Rapport sommaire valuati ondeur destin inloss Ontario on de pr s lection pour le choix d un stocker le combustible nucl aire on de pr s lection pour le choix d un APM REP 06143 32810 Initial Screening for Siting A Deep Geological Repository for Canada s Used Nuclear Fuel Townshi p of Huron Kinloss Ontario Apprendre davantage ensemble Rapport triennal 2011 2013 APM REP 06143 32811 Rapport sommaire Evaluation de pr s lection pour le choix d un site pour un d p t g ologique en profondeur destin stocker le combustible nucl aire irradi canadien Municipalit de South Bruce Ontario APM REP 06144 0002 Phase 1 Desktop Assessment Environment Report Township of Hornepayne Ontario APM REP 06144 0010 Phase 1 Desktop Assessment Environm
565. tif de d terminer selon toute vraisemblance quels co ts devront tre assum s au cours de la dur e du projet et de pr voir des fonds pour des v nements inattendus et ensuite de concevoir un syst me de financement qui permettra de recueillir suffisamment de fonds aupr s des producteurs de d chets et de les prot ger pour couvrir le co t total du projet en tenant compte des diverses circonstances sociales et conomiques possibles et selon un ch ancier tabli Le projet de la Gestion adaptative progressive GAP sera mis en oeuvre en plusieurs phases et s talera sur plusieurs d cennies Son co t pr vu sera de 16 milliards 24 milliards dollars de 2010 En 2011 la SGDN a r alis une mise jour compl te de ces estimations Le co t estimatif r vis couvre plusieurs d cennies d activit s associ es au cycle de vie de la GAP ce qui comprend les activit s li es au d p t g ologique en profondeur et au transport associ du combustible irradi des fins de la planification une estimation des co ts se rapportant au d p t g ologique en profondeur et au syst me de transport du combustible irradi a t faite en fonction d un inven taire de 4 6 millions de grappes de combustible CANDU irradi Le volume exact de combustible irradi canadien tre plac dans le d p t sera d termin avec la collectivit d apr s les meilleures informations disponibles ce moment et par le biais d un proc
566. tion Ce que nous avons entendu sur la mise en oeuvre de la Gestion adaptative progressive de la SGDN comme en t moigne la question a savoir ce qui arriverait si le d p t tait inond Outre les questions se rapportant aux effets des rayonnements sur la sant plusieurs personnes voulaient avoir des pr cisions par rapport aux aspects de s curit nucl aire entourant la gestion du combustible nucl aire irradi Des questions ont souvent t pos es sur les cons quences de possibles d faillances accidents ou actes malveillants et sur les mesures qui devront tre prises et la planification d urgence qui devra tre faite pour pouvoir intervenir s il y a lieu Certaines personnes voulaient avoir la confirmation que des mesures pr ven tives seraient en place pour lutter contre les actes de vandalisme de vol ou d usage abusif de mati res nucl aires pouvant tre perp tr s par des criminels ou des terroristes Les gens souhaitaient aussi avoir des d tails concernant les mesures pr ventives qui seraient prises au cours de la p riode d exploitation de l installation Certains voulaient avoir la confirmation que les intervenants d urgence seront ad quatement form s pour r pondre a un accident au d p t ou une menace visant le site Transport Le transport figurait en bonne place dans les questions de s curit Des gens voulaient comprendre les aspects de s curit qui sont associ s au transport des grappes de co
567. tion d valuations ind pendantes des travaux qu elle m nera au terme de la Phase 1 de l tape 3 en fonction des questions cit es dans le Cadre thique et social Il recommande que toute valuation r alis e comprenne une valuation des perceptions qu ont les collectivit s du processus de s lection d un site et de la fa on dont elles ont t trait es ce jour section 3 1 3 Le Conseil consultatif recommande la SGDN de mettre de l avant son Cadre thique et social et ses cinq Valeurs fondamentales dans ses communications et ses partenariats avec les collec tivit s h tes potentielles les r gions les organisations autochtones ses sous traitants et ses autres partenaires section 3 11 Quantit de combustible nucl aire irradi 4 Le Conseil consultatif recommande la SGDN de pr parer un plan de route d taillant les processus politiques r glementaires et consultatifs ayant un lien avec la quantit et le type de combustible nucl aire irradi qui devra tre g r section 3 2 Int grit environnementale 5 Le Conseil consultatif recommande la SGDN de fournir plus de pr cisions sur la fa on dont elle entend agir dans ses cinq prochaines ann es de travail par rapport aux consid rations environnementales section 3 4 Transport 6 Le Conseil consultatif recommande la SGDN d agir rapidement pour engager les Canadiens et les peuples autochtones participer un dialogue approfondi sur
568. tion dans le cadre de l tape 2 du processus Des valuations de pr s lection sont r alis es dans les collectivit s rendues l tape 2 Les r sultats sont transmis aux collectivit s et publi s sur le site Web de la SGDN b d Un aper u du processus de s lection d un site depuis mai 2010 re sur le transport 2018 s lection d un site Bss Une description des valuations pr liminaires tape 3 est publi e novembre 2011 Des brochures et d autres produits d information sont fournis en r ponse aux demandes des collectivit s Ceux ci incluent Description du d p t pour combusti ble nucl aire irradi et du centre d expertise canadiens 2012 Le transport s r et s curitaire du combustible nucl aire irradi canadien 2012 et une exposition mobile La SGDN suspend les nouvelles expressions d int r t septembre 2012 afin de i concentrer ses ressources sur les collectivit s d ja engag es dans le processus de La premi re phase des valuations pr liminaires Etape 3 est entreprise en collabo ration avec les collectivit s int ress es I Yy Les r sultats de la premi re phase des valuations pr liminaires sont annonc s pour huit collectivit s novembre 2013 et des documents connexes sont publi s En raison du nombre lev de collectivit s ayant demand de participer au processus la SGDN a d cid de suspendre les nouvelles expressions
569. tion des esp ces pour soutenir la vie communautaire Continuera de collaborer avec Ressources naturelles Canada la mise en oeuvre du protocole d entente sur les obligations de la SGDN concernant le devoir constitutionnel de la Couronne de consulter laborera une perspective multig n rationnelle de la gestion long terme du combustible nucl aire irradi par le biais d un programme d engagement d ducation et de sensibilisation aupr s des jeunes Canadiens y compris les jeunes autochtones valuera l efficacit du site Web de la SGDN et d autres instruments de communication pour trouver des possibilit s d am lioration et apportera les changements qui s imposent valuera l efficacit des activit s d engagement de la SGDN et continuera d apporter les changements qui s imposent Continuera de rendre public les commentaires et suggestions re us par la SGDN et les suites donn es ces propositions 2014 la SGDN Offrira des s ances d information et des renseignements sur demande aux personnes et groupes int ress s sur la Gestion adaptative progressive et le processus de s lection d un site Continuera de soutenir les collectivit s et les r gions qui soup sent leur int r t ventuel pour le projet et le processus de s lection d un site y compris en facilitant l engagement de sp cialistes ind pendants pour les aider se renseigner sur le projet la forme que prendra ce soutien sera d termin e en conc
570. tions r gionales aux collectivit s m tisses locales et leurs organisations r gionales dans les r gions o des collecti vit s participent au processus de s lection d un site pour expliquer les pratiques culturelles les lois traditionnelles les processus et les protocoles d cisionnels les langues et la culture des peuples autochtones de ces r gions ainsi que leur utilisation du territoire et de sa protection DE aN Oz LT gt Le Int grit environnementale La Gestion adaptative progressive est con ue pour assurer la protection de l environnement par le biais de la conception du d p t des valuations de s ret et des valuations environnementales lesquelles visent ce que toutes les normes et exigences r glementaires soient satisfaites ou surpass es en mati re de protection long terme de la sant et de la s curit de la population et de l environnement Pour chacune des collectivit s participant aux valua tions pr liminaires de la Phase 1 la SGDN recueille des informations sur les caract ristiques g n rales du milieu naturel les zones prot g es l utilisation des terres les esp ces en p ril en voie de disparition menac es ou pr occupantes les sites arch ologiques connus etc Les rapports d valuation de la Phase 1 font tat de fa on pr liminaire des effets que pourrait avoir le projet de la GAP sur l environnement atmosph rique souter rain aquatique terres
571. tive progressive tait la m thode qui prot gerait le mieux le public et l environnement pendant la tr s longue p riode durant laquelle le combustible nucl aire irradi devra tre g r La mise en oeuvre d un d p t g ologique en profondeur pour la Gestion adaptative progressive sera r glement e par la Commission canadienne de s ret nucl aire CCSN conform ment la Loi sur la s ret et la r glementation nucl aires et ses r glements d application En 2010 la SGDN a lanc le processus de s lection d un site apr s deux ann es de dialogue avec les Canadiens en vue d laborer un processus ax sur les d cisions des collectivit s visant trouver un endroit o tablir le d p t g ologique en profondeur En 2011 2012 et 2013 plusieurs des activit s de la SGDN taient ax es sur la collaboration avec les collectivit s qui ont choisi de participer dans le processus de s lection d un site travers les tapes initiales d apprentissage sur la Gestion adaptative progressive le processus de s lection d un site et le projet La SGDN continue mettre sur pied une quipe multidisciplinaire pr sentant un vaste ventail d exp rience dans les domaines de la recherche sociale de la recherche d veloppement technique de l engagement public des communications de la finance et de la gouvernance Nous continuons collaborer avec un vaste r seau d experts conseils de praticiens et d universitaires de
572. tone La SGDN a continu de collaborer avec des sp cialistes canadiens et trangers La Se BI E A continu de solliciter l avis du public y compris par rapport a ses objec tifs strat giques et son plan de mise en oeuvre afin que l volution des attentes soci tales soit prise en compte par la Gestion adaptative progres sive continu de tenir jour un dossier sur l volution du retraitement du combustible nucl aire irradi et de publier ses constats sur une base annuelle A continu de travailler en partenariat avec des universit s et d autres organisations de gestion de d chets nucl aires pour se tenir au fait des derni res avanc es dans le domaine Plusieurs niveaux de surveillance et d examen par des pairs compl t s par des certifications internationales v rifi es de mani re ind pendante ont contribu s assurer que les travaux de la SGDN taient transparents et guid s par les normes scientifiques et professionnelles les plus rigoureuses La SGDN continu de solliciter des examens ind pendants de ses travaux aupr s du Groupe d examen technique ind pendant du Conseil consultatif et d un forum d a n s autochtones A continu de renseigner r guli rement la Commission canadienne de s ret nucl aire CCSN et de solliciter son avis dans le cadre de l entente visant obtenir un examen par la CCSN des valuations g n riques de s ret pour un d p t
573. tous les coins du pays et du monde pour nous assurer que nos travaux s appuient sur les meilleures informations disponibles En plus de sa responsabilit l gard de la mise en oeuvre du plan canadien de gestion a long terme du combustible nucl aire irradi la SGDN aide OPG obtenir l approbation r glementaire requise pour la construction d un d p t g ologique en profondeur DGP propos pour la gestion long terme des d chets de faible et moyenne activit DFMA produits par les r acteurs qu OPG poss de ou exploite La SGDN a fourni son expertise pour la conception et la mise en oeuvre du projet d OPG 1 En 2004 par le biais d un ordre de virement le gouvernement du Nouveau Brunswick a transf r la responsabilit de tous les aspects des actifs de production d nergie nucl aire qui sont propri t s de la province une nouvelle filiale Energie nucl aire NB 2 En plus du combustible nucl aire irradi l exploitation d un r acteur nucl aire produit des d chets radioactifs de faible et moyenne activit qui sont g r s sur les sites des r acteurs et l installation de gestion des d chets Western d Ontario Power Generation Consulter le glossaire pour en conna tre davantage sur les d chets de faible et moyenne activit Apprendre davantage ensemble Rapport triennal 2011 2013 Encadrement regl mentaire de la Gestion adaptative progressive Tous les aspects des travaux de la SGDN satis
574. tratif et d un programme d allocation de fonds et de ressources Mise en oeuvre de la Gestion adaptative progressive 2014 a 2018 Annexes Regard vers le futur La SGDN invite tous les Canadiens et les peuples autochtones du Canada continuer de participer la Gestion adaptative progressive du combustible nucl aire irradi canadien Le plan Mise en oeuvre de la Gestion adaptative progressive sera mis jour annuellement pour guider les cinq prochaines ann es de planification Le plan de mise en oeuvre sera r guli rement valu renforc et r orient selon les nouvelles informations que nous poss dons La Gestion adaptative progressive progressera selon le rythme correspondant aux attentes des Canadiens et permis par la d monstration de technologies s res ainsi que par les autorit s r glementaires La mise en oeuvre du processus de s lection d un site pour le d p t g ologique en profondeur pour combustible nucl aire irradi a commenc Ce processus dirig par les collectivit s est soutenu par les ressources et programmes de travail d crits dans ce plan Soci t de gestion des d chets nucl aires Glossaire Combustible nucl aire irradi d signe les grappes de combustible us retir es d un r acteur fission nucl aire commercial o de recherche Le combustible nucl aire irradi est class d chet nucl aire de haute activit D chets nucl aires de faible activit articles industrie
575. tration Gentilly 2 93 060 Ontario Power Generation Point Lepreau 2 260 Apprendre davantage ensemble Rapport triennal 2011 2013 Nombre total de grappes 2 423 888 0 xe Propri taire Lieu Nombre de grappes Situation actuelle ACL Propri taire Lieu Nombre de grappes Situation actuelle Bruce A 4 tranches en 438 867 exploitation Bruce B 4 tranches en 588 280 exploitation Darlington 4 tranches en 445 2219 exploitation A 2 tranches en exploitation Pickering A et B 2 tranches ferm es 667 639 de fa on d finitive B 4 tranches en exploitation HQ Propri taire Lieu Nombre de grappes Situation actuelle Douglas Point 22 256 Gentilly 1 3213 EACL Whiteshell 2268 ACL Chalk River 4921 NNB Propri taire Lieu Nombre de grappes ferm e de fa on d finitive ferm e de fa on d finitive ferm de fa on d finitive voir note 1 comprend surtout le combus tible du NPD ferm de fa on d finitive et une petite quantit provenant d autres r acteurs CANDU voir note 3 Situation actuelle Gentilly 2 ferm e de fa on 128 233 d finitive fin 2012 d chargement termine au 3 trimestre 2013 360 grappes de Whiteshell sont de tyoe CANDU standard Le reste est constitu de grappes de divers mod les de recherche et d essai et de prototypes de tailles et de formes similaires aux grappes CANDU standard Les r
576. travaill avec les dirigeants et les membres de toutes les collectivit s participant au processus de s lec tion d un site et a engag un dialogue avec les collectivit s voisines et les Premi res nations organisations autochtones de la r gion par diff rents moyens notamment e En organisant plusieurs v nements portes ouvertes dans les collectivit s En assistant r guli rement aux r unions des comit s de liaison communautaires En interrogeant de mani re informelle et structur e les membres des collectivit s En aidant les comit s de liaison communautaires cr er des sites Web et des bulletins d information En pr parant de la documentation crite En visitant de mani re informelle les collectivit s et les r sidents En participant des foires commerciales et des v nements communautaires locaux En publiant des rubriques Demandez le la SGDN dans les journaux r gionaux En rencontrant les Premi res nations voisines En assistant des rencontres et des congr s r gionaux En organisant des visites d installations de gestion de d chets nucl aires Dans chacune des collectivit s participantes des leaders ont t rep r s par le biais de recherches documentaires et de recommandations faites au fil des discussions pour faciliter un dialogue avec un ventail repr sentatif de leaders des collectivit s de s ances d information et de conversations avec des groupes communautaires et de conve
577. travaux pr liminaires sur le terrain seront galement entrepris dont des lev s a roport s et des forages pour valuer plus avant l aptitude de la g olo gie et des sites en fonction des exigences techniques de s ret La Phase 2 comprendra des occasions de faire le point sur l aptitude des r gions participant au processus r pondre aux exigences techniques et sociales li es au projet Des collectivit s pourraient tre exclues du processus au cours de cette phase mesure que des tudes seront compl t es et que la SGDN focalisera graduellement son attention sur les secteurs les plus suscep tibles d tre propices l tablissement d un d p t On pr voit qu il faudra encore plusieurs ann es pour compl ter les tudes n cessaires la s lection d un site au sein d une collectivit h te inform e et consentante Les collectivit s peuvent d cider de mettre un terme leur participation tout moment du processus d valuation jusqu ce qu une entente d finitive soit sign e sous r serve du respect de toutes les exigences r gle mentaires et de l obtention des approbations n cessaires Tout site ventuellement choisi devra se trouver au sein d une collectivit inform e et consentante r pondre des crit res scientifiques et techniques exigeants en mati re de protection tr s long terme de la population et de l environne ment et respecter ou surpasser les exigences r glementaires La
578. tre etc pendant et apr s le processus de s lection d un site Au cours des tudes de la Phase 2 la SGDN pr pa rera des plans d taill s pour la collecte de nouvelles donn es environnementales Ces activit s de collecte de donn es concerneront les interactions possibles des activit s de la GAP avec l environnement biophy sique et contribueront d gager des m thodes permet tant d att nuer tout effet n gatif Parmi les activit s de collecte de donn es envisag es la SGDN pr voit mener des enqu tes sur le terrain pour valider les donn es de bureau et obtenues par lev s a roport s et recueillir de nouvelles donn es environnementales de r f rence Ces tudes seront men es avec la participation des peuples autochtones de la r gion et des efforts seront engag s pour int grer le savoir traditionnel autochtone Ces tudes offriront aussi l occasion de faire participer la collectivit locale et de lancer un d bat largi sur la viabilit environnementale Le processus de s lection d un site reconna t l impor tance d oeuvrer avec les peuples autochtones sur les terres ancestrales desquels nous nous proposons de travailler ainsi que de la n cessit de veiller ce que ces peuples autochtones participent r guli rement aux d cisions qui les concernent La SGDN travaillera avec les collectivit s autochtones la mise en oeuvre d un processus d cisionnel menant des partenariats solides et
579. tre ont t jug es susceptibles de pouvoir r pondre aux exigences de s lection et ont t choisies pour faire l objet d tudes plus approfondies Pendant ce temps les travaux d optimisation et d am lioration de la conception les analyses g n riques de s ret et la mise au point des proc d s techniques et scientifiques connexes ont contribu faire en sorte que le d p t r ponde aux normes techniques les plus lev es Le travail du programme technique de la GAP s est enrichi par une collaboration troite avec des universit s et des partenaires trangers Ces partenariats ont permis de faire en sorte que les meilleures connaissances soient appliqu es aux travaux de la SGDN Sur le plan financier la SGDN a rempli ses obligations d coulant de la LDCN en r alisant une r vision compl te de l estimation des co ts du cycle de vie du programme de la GAP y compris du co t de transport du combustible nucl aire irradi et en continuant de r viser les contributions aux fonds en fiducie en fonction des estimations de co t les plus r centes et des soldes courants des fonds en fiducie Pour faire en sorte que la GAP tire avantage des avanc es scientifiques les plus r centes et s adapte l volution des exigences soci tales la SGDN a mis en oeuvre un programme d appren tissage continu Faits saillants de 2011 2013 Elle a sollicit l avis de groupes ind pendants repr sentant un large ventail de p
580. tribu fa onner cet important projet national d infrastructure quelle qu en soit l issue ventuelle Ignace Notre Comit de liaison communautaire sur le nucl aire et les membres de notre collectivit qui ont particip a ce processus m ritent d tre f licit s pour leur contribu tion a d clar le maire d Ignace M Lee Kennard M me s il faudra encore plusieurs ann es avant qu une d cision d finitive soit prise nous sommes impatients de continuer de travailler et d apprendre en collaboration avec la SGDN Au cours des quelques ann es qui viennent nos r sidents pourront s attendre a ce que les activit s d tude d engagement de la collectivit et de dialogue r gional s intensifient alors qu Ignace poursuivra son apprentissage sur cet important projet national d infrastructure et sur ce que ce projet pourrait repr senter pour notre r gion si nous devions en tre l h te Pinehouse Je tiens remercier tous les membres de notre collec tivit qui Ont particip au processus d apprentissage de la SGDN a d clar Mike Natomagan le maire de Pinehouse Quels que soient les diff rents points de vue exprim s par nos membres Pinehouse a jou un r le important dans le cadre des efforts d ploy s au Canada pour r soudre cette question complexe Je suis impatient de travailler au sein de notre collectivit autochtone nordique unie vigoureuse et autod termin e
581. ture de gouvernance responsable qui permettra au public canadien d avoir confiance dans les travaux de la SGDN La gouvernance de la SGDN comprend les organisations les engagements internationaux du Canada l gard membres le Conseil d administration et son Conseil de l utilisation pacifique de l nergie nucl aire Aucune consultatif La SGDN doit se conformer aux exigences de d cision sur le d p t de la Gestion adaptative progressive la Loi sur les d chets de combustible nucl aire LDCN ne sera prise par la Commission canadienne de s ret et agit sous la surveillance du ministre des Ressources nucl aire CCSN avant que ne soit r alis e l valuation naturelles Canada La mise en oeuvre par la SGDN environnementale exig e par la Loi canadienne sur d un d p t pour la Gestion adaptative progressive sera l valuation environnementale Tous les aspects des r glement e conform ment la Loi sur la s ret et la travaux de la SGDN satisferont aux normes et exigences r glementation nucl aires LSRN et ses r glements r glementaires en vigueur en mati re de protection de la d application pour prot ger la sant la s ret et la sant de la s ret et de la s curit des humains s curit des Canadiens et l environnement et respecter et de l environnement ou les d passeront MEMBRES Ontario Power Generation nergie NB et Hydro Qu bec sont les membres fondateurs de la SGDN La convention d affiliation et les r
582. ture pr liminaire des travaux ce stade du processus Ces incertitudes num r es ci dessous devront tre r solues aux tapes subs quentes des travaux e Des secteurs plus pr cis qui seraient acceptables pour la population devront tre d limit s e La mise en oeuvre du projet traitant des l ments tels que l ing nierie la logistique et le bien tre de la collectivit doit s harmoniser avec les aspirations particuli res de la collecti vit e L int r t de la collectivit d en apprendre davantage sur le projet devra se maintenir e Des itin raires et des modes de transport devront tre d termin s et configur s en tenant compte des valeurs sociales de la collectivit e Les valuations environnementales et de s ret doivent tenir compte des renseignements et commentaires fournis par la collectivit Plusieurs ann es d tude et d engagement seront encore n cessaires avant qu un site de pr dilec tion puisse tre choisi et qu une collectivit d cide si elle consent accueillir l installation Ce que nous avons entendu sur la mise en oeuvre de la Gestion adaptative progressive R flexion sur l apprentissage fait ce jour L importance d une approche r gionale Au cours de ses tudes initiales la SGDN a beaucoup appris des collectivit s sur la fa on de travailler ensemble imaginer le projet et sur la fa on de le mettre en oeuvre en collaboration avec ceux qui seront potenti
583. u suivantes cours des cing prochaines ann es quels sont les principaux d fis qui doivent tre abord s ae eC Que devra mettre en place la SGDN pour r pondre ces d fis Avez vous d autres commentaires questions ou suggestions La SGDN est tr s reconnaissante des commentaires et des suggestions qu elle re oit sur ses programmes de travaux et ses plans Tous ceux qui ont contribu par leur temps et leurs id es a l laboration de ces plans ont t officiellement remerci s par la SGDN Ce que nous avons entendu sur la mise en oeuvre de la Gestion adaptative progressive R action globale et principaux d fis Globalement les commentaires re us taient favorables au plan mesure que nous avons proc d la mise en oeuvre du processus de s lection d un site les commentaires ont commenc porter sur les d fis plus d taill s et actuels que pose la mise en oeuvre d un plan g n ralement bien jug Les commentaires portaient sur un certain nombre de d fis Ils ont contribu entretenir un dialogue sur certains des d fis qui doivent tre abord s dans le cadre de la mise en oeuvre du plan strat gique et s inscrivent dans la conversation engag e pour orienter et am liorer le plan au fil du temps Veiller ce que les collectivit s int ress es soient aptes participer pleinement Les petites collectivit s int ress es par ce projet peuvent ne pas avoir les capa cit s voulues po
584. u Trait 3 Toronto Ont S ance d information sur la GAP 26 juillet 2012 A n s du Trait 4 Saskatoon Sask Pr sentation sur la GAP 22 ao t 2012 Assembl e des jeunes et des a n s du Trait 3 Kenora Ont Pr sentation sur la GAP 29 ao t 2012 R union des chefs du Grand conseil de Prince Albert Edmonton Alb Pr sentation sur la GAP 10 mars 2012 Corporation des femmes autoch tones de la Saskatchewan Regina Sask Pr sentation et atelier sur la GAP 21 mars 2012 Atelier de l APN sur le savoir tradi tionnel autochtone Toronto Ont 26 juin 2012 Union des Indiens du Nouveau Brunswick Moncton N B Mise jour donn e aux chefs 27 29 juin 2012 R union du Forum des a n s et du Conseil des ain s de la SGDN Centre des congr s de Kingbridge King City Ont 25 27 ao t 2012 Assembl e g n rale de la Nation m tisse de Ontario Sault Ste Marie Ont Atelier sur la GAP et kiosque d exposition Apprendre davantage ensemble Rapport triennal 2011 2013 14 septembre 2012 New North Prince Albert Sask Pr sentation sur la GAP 1 2 octobre 2012 Conf rence internationale sur le stockage g ologique ICGR Toronto Ont Repr sentants d organisations autochtones invit s a la conf rence la conf rence comprend une s ance sp ciale intitul e Apprendre des peuples autoch tones dont le panel de discussion tait
585. u l occasion de fouiller plus en profon deur les questions soulev es au cours des dialogues de l ann e pr c dente et d apporter des suggestions plus pr cises sur les am liorations qui pourraient tre apport es pour consolider le processus Au cours de ces deux ann es de dialogue les Canadiens ont tr s clairement fait savoir qu ils s atten daient a ce qu un processus soit d fini comme feuille de route d cisionnelle En m me temps il tait convenu qu une feuille de route ne constituait pas une fin en soi et qu il n tait pas n cessaire qu elle pr cise chaque tape du processus Leurs commentaires ont t examin s avec soin et incorpor s au document final Fa onnons l avenir ensem ble Processus de s lection d un site pour le d p t g ologique en profondeur canadien pour combustible nucl aire irradi En 2010 le document a t publi et le processus de s lection d un site a t lanc au mois de mai de la m me ann e Il s agit de la m me feuille de route sur laquelle se guide la SGDN aujourd hui dans le travail qu elle m ne en collaboration avec les collectivit s int ress es pour d terminer o le combustible nucl aire irradi canadien pourra tre confin et isol de mani re s re et s curitaire Les Canadiens ont dit la SGDN que le processus de s lection d un site devait faire en sorte avant tout que le site choisi pour tablir un d p t soit s r et s curitaire
586. ubventionn la participa tion des jeunes des collectivit s participant au processus de s lection d un site aux expo sciences r gionales de SJC Elle a aussi aid financi rement les jeunes de ces collectivit s se rendre aux expo sciences r gionales Dans le cadre de cette initiative communautaire la SGDN a de plus subventionn l inscription des tudiants de la r gion dont les projets s taient qualifi s pour l Expo science pancanadienne 201S En outre la SGDN a tenu un kiosque l Expo science pancanadienne de SJC afin d aider les jeunes mieux comprendre le travail de la SGDN 1 Mouvement International pour le Loisir Scientifique et Technique Y Pr sentation du Premier prix lors de l Expo scientifique et technologique r gionale de Bluewater 2013 cat gories s nior et interm diaire Apprendre davantage ensemble Rapport tri nnal2011 2073 Sensibilisation des tudiants de niveau postsecondaire En engageant les tudiants universitaires la SGDN contribue a informer les Canadiens sur la GAP tout en les incitant galement a d velopper les types de comp tences requises pour assurer sa mise en oeuvre A cette fin les sp cialistes de la SGDN donnent r guli rement des pr senta tions dans des A Cett ique s est poursuivie de 2011 a 2013 p riode durant laquelle les sp cial de la SGDN O au total 26 pr sentations dans 12 universit s diff rentes dont les universit s de Toronto Que
587. ude visant valuer les incidences du projet sur la sant la s ret l environnement la soci t l conomie et la culture de la r gion tude r gionale y compris les incidences reli es au transport Leur participation aux d cisions sur la fa on dont le projet sera mis en oeuvre sera sollicit e tout au long du processus de s lection d un site Un centre d expertise sera mis en service au sein o proximit de la collectivit Chaque collectivit poss dant un site jug appropri d cide si elle consent ou non au projet et propose les modalit s en vertu desquelles elle souhaite voir le projet se r aliser tape 6 La SGDN et la collectivit avec le site choisi concluent un accord officiel pour am nagement du projet La SGDN choisit un site et la SGDN et la collectivit ratifient l accord officiel tape 7 Les autorit s r glementaires examinent la s ret du projet par le biais d un processus ind pendant officiel et public et si toutes les exigences sont satisfaites en autorisent la r alisation La mise en oeuvre du d p t g ologique en profondeur sera r glement e conform ment la Loi sur la s ret et la r glementation nucl aires et ses r glements associ s afin de prot ger la sant la s ret et la s curit des Canadiens et l environnement ainsi que pour respecter les engagements internationaux du Canada envers l utilisation pacifique de l nergie nucl aire Les exigences r gle
588. uelle de son plan d activit quinquennal intitul Mise en oeuvre de la Gestion adaptative progressive Le plan est r guli rement valu renforc et r orient pour tenir compte des nouvelles informations disponibles et des commentaires que nous recevons dans le cadre de nos activit s d engagement La version pr liminaire de Mise en oeuvre de la Gestion adaptative progressive 2014 2018 a t publi e afin d tre examin e et comment e par le public de septembre d cembre 2013 Apr s cette p riode d examen le plan a t r vis de fa on tenir compte des commentaires re us Un r sum des commentaires re us sur la version pr liminaire du plan ainsi que sur la fa on dont ces commentaires auront aid am liorer le plan peut tre consult au www nwmo ca Vos commentaires et id es se rapportant aux travaux de la SGDN et sur la mani re dont nous pourrions vous aider en apprendre davantage sur la Gestion adaptative progressive sont les bienvenus Vous pouvez joindre la SGDN par la poste Mme Jo Ann Facella Directrice Recherche sociale et dialogue Soci t de gestion des d chets nucl aires 22 avenue St Clair Est 6 tage Toronto Ontario MAT 2S3 Canada T l copieur 647 259 3692 Courriel ensavoirplus nwmo ca Ou par le biais de notre site Web au www nwmo ca Mise en oeuvre de la Gestion adaptative progressive 2014 a 2018 Annexes R sum La Soci t de gestion
589. uestions de v rification et de rapports financiers pour s assurer que chaque partie s acquitte de ses responsabilit s et pour examiner les tats financiers et le rapport du v rificateur externe Le Comit soumet ses constatations l examen du Conseil d administration lorsque celui ci approuve les tats financiers en vue de les transmettre aux Soci t s membres de la SGDN Le Comit doit aussi proposer l examen du Conseil d administration et l approbation des Soci t s membres l attribution ou le renouvellement du mandat de v rificateur externe Les tats financiers ont t v rifi s par Deloitte s r l le v rificateur externe ind pendant conform ment aux principes comptables g n ralement reconnus du Canada au nom des Soci t s membres Le 20 f vrier 2014 KE Nash Ken Nash Michael Hu Pr sident et Administrateur principal chef de la direction des affaires financi res Rapport de l auditeur ind pendant Aux membres de la Soci t de gestion des d chets nucl aires Nous avons effectu l audit des tats financiers ci joints de la Soci t de gestion des d chets nucl aires qui comprennent le bilan au 31 d cembre 2013 et les tats des r sultats et de l volu tion de l actif net et des flux de tr sorerie de l exercice termin cette date ainsi qu un r sum des principales m thodes comptables et d autres informations explicatives Responsabilit de la direction pour les tats financie
590. uits principal Salles de mise en place 4 Puits d vacuation de l air Conteneur pour combustible irradi 4 Surveillance et r cup rabilit Le combustible irradi sera surveill et pourra tre r cup r pendant toutes les phases de la mise en oeuvre conform ment la direction donn e par les Canadiens Lorsque la collectivit h te et la SGDN conviendront que le moment est venu de fermer le site la SGDN remblaiera et scellera les galeries d acc s et sollicitera les autori sations r glementaires appropri es pour entreprendre le d classement du site Lorsque le d classement sera achev la SGDN sollicitera les autorisations r glementaires Transport Le combustible nucl aire irradi est actuellement entrepos de mani re s re dans des installations autoris es par la Commission canadienne de s ret nucl aire CCSN sur les sites o il est produit Pour stocker tout le combustible nucl aire irradi canadien dans un m me lieu il faudra l acheminer depuis ces instal lations provisoires d entreposage vers le site centralis du d p t g ologique en profondeur Selon l endroit o sera situ le site centralis le transport s effectuera par camion par train o par bateau o par une combinaison Centre d expertise Un centre d expertise sera tabli dans une ou plusieurs collectivit s o un site aura t choisi pour r aliser une valuation d taill e Le centre ser
591. un lien entre le pass et l avenir Les a n s ont un vaste savoir traditionnel transmettre et un de leurs r les consiste contribuer la prise de d cisions en s appuyant sur ce savoir ancestral Depuis plusieurs ann es la SGDN a grandement b n fici des conseils des a n s des d positaires du savoir traditionnel ainsi que des dirigeants et des membres des collectivit s et des organisations autochtones et elle souhaite renforcer cette relation de soutien et de respect mutuels afin de continuer mener bien sa mission en accord avec les enseignements traditionnels des peuples autochtones La SGDN a commenc recevoir des conseils du Conseil des a n s qui a succ d au Forum des a n s Le Conseil a vu le jour en juillet 2012 au cours d une c r monie traditionnelle au cours de laquelle tous les anciens membres du Forum des a n s ont t honor s et remerci s pour les conseils et l aide pr cieuse qu ils ont fournis pendant des ann es la SGDN ainsi qu aux organisa tions et collectivit s autochtones participant aux travaux de la SGDN AU cours des deux premi res r unions du Conseil des pr occupations ont t exprim es concernant l incertitude quant l avenir et l entreposage des d chets nucl aires Ses membres ont soulign que tous ceux qui pourraient tre touch s doivent comprendre la fois les aspects positifs et n gatifs des d chets nucl aires Ils ont pos des questions concernant l
592. un site la port e des activit s d engagement et d tude s largira galement aux r gions entourant les collectivit s h tes potentielles et concernera de plus en plus la planification du transport Les changes s accroitront avec les autorit s de r glementation et les diff rents paliers de gouvernement les experts du trans port et les collectivit s situ es le long des itin raires potentiels de transport lesquelles constituent un groupe important partageant des int r ts communs Ultimement le projet n ira de lavant que sur un site apte confiner et isoler en toute s ret le combustible nucl aire irradi et qu avec la collaboration de la collectivit int ress e des Premi res nations et des peuples m tis et des collectivit s environnantes sa mise en oeuvre Optimiser les mod les conceptuels et continuer de valider la confiance en la s ret du d p t Le programme technique de la GAP a pour but d am liorer le dossier de s ret pour un d p t g ologique en profondeur o le combustible nucl aire irradi canadien sera tre confin et isol en toute s ret pour une dur e ind finie Il le fait par l interm diaire de trois programmes compl men taires qui visent l optimisation de la conception la validation de la compr hension des processus g ologiques et autres qui influent sur la s ret long terme du d p t et la r alisation d valuations g n riques de la s ret du d p t Le pr
593. ur assumer le leadership requis par le processus de s lection d un site o pour supporter les pressions que les m dias et les divers groupes d int r ts hors de la collectivit peuvent exercer sur elles Le soutien offert par la SGDN pour renforcer la capacit de ces collectivit s participer pleinement au processus et aborder et g rer avec succ s ces pressions externes est consid r comme tr s important S assurer que les collectivit s sont consentantes Les commentaires ont soulign l importance de s assurer que la collectivit h te consent de mani re clair e au projet et que ce consentement se maintienne tout au long de la p riode de construction et d exploitation de l installation Des pr occupations ont t soulev es quant la fa on dont le consentement sera mesur et valu D autres pr occupations ont t exprim es quant la possibilit qu une collectivit puisse parvenir un tel consentement S assurer que les collectivit s sont aptes tirer avantage du projet Puisque le projet peut de par son envergure transformer compl tement la collectivit h te il est important de garder l esprit l objectif du bien tre global de la collectivit lorsque viendra le temps d valuer et de pallier les incidences potentielles du projet y compris les incidences d ordre spirituel et culturel et non seulement d ordre conomique Les collectivit s doivent tre la fois pleinement in
594. urrait tre d velopp comme un lieu de rencontre et d apprentissage pour la collectivit et servir de point d accueil des visiteurs int ress s de la r gion et d ailleurs Si le site devait tre choisi pour h berger le d p t g ologique en profondeur le centre d expertise serait d velopp pour inclure et appuyer la construction et l exploitation d une installation souterraine servant la confirmation des caract ristiques du site Le centre d expertise deviendrait un carrefour canadien et international d change de connaissances Une approche bas e sur les partenariats Le d p t g ologique en profondeur et le centre d expertise auront un impact important sur toute collectivit et r gion o ils seront situ s Il s agit d un projet multig n rationnel qui sera d velopp en plusieurs phases Le choix d un site pour le d p t et sa construction se feront sur deux ou trois d cennies Le combustible nucl aire irradi sera plac dans l installation au cours d une p riode de trois d cennies ou davantage puis sera surveill pendant une p riode prolong e jusqu au d classement du d p t Le projet engendrera des retomb es conomiques importantes procurera des emplois directs sur le site des centaines de travailleurs pendant plusieurs d cennies ainsi qu un nombre encore plus grand d emplois indirects dans la r gion et la province h tes et sera une occasion de d velopper des comp tences et des capacit
595. ux elle est responsable de l valuation des occasions d affaires li es aux nouvelles sources d nergie d velopp es par le secteur priv dont l olien la biomasse et l hydro lectricit Elle participe galement l valuation de l impact financier des nouveaux projets hydro lectriques sur les municipalit s Avant d assumer ses fonctions actuelles elle a occup plusieurs postes de d veloppement des affaires dans le cadre de projets internationaux La Soci t Deborah C Poff Mme Deborah Poff occupe les postes de pr sidente et de vice chanceli re l Universit de Brandon au Manitoba Auparavant elle tait professeure de philosophie et de sciences politiques l Universit de Northern British Columbia UNBC De 1994 a 2004 Mme Poff a assum les fonctions de vice pr sidente et de doyenne l UNBC En 2004 elle a obtenu le titre de membre d honneur en politique gouvernementale du Sheldon Chumir Foundation in Ethical Leadership Elle a cofond le Journal of Business Ethics dont elle est galement r dactrice et est r dactrice en chef du Journal of Academic Ethics Elle est r dactrice de Business Ethics in Canada et r dactrice de la section thique commer ciale et conomique pour Encyclopedia of Applied Ethics publi e en 2012 par Elsevier Mme Poff a r cemment particip a la r daction de Citation Classics from the Journal of Business Ethics Celebrating the First Thirty Years of Pu
596. ux jeunes ou aux a n s ou encore des initiatives destin es renforcer la viabilit l efficience nerg tique ou le d veloppement conomique de la collectivit D autres collectivit s participant au processus seront reconnues de la sorte au terme de leur partici pation aux tudes de la Phase 1 Apprendre davantage ensemble Rapport triennal 2011 2013 Engagement accru des collectivit s autoch tones voisines L engagement des collectivit s autochtones constitue un volet capital du travail de la SGDN Cet engagement s est largi mesure que des collectivit s int ress es sont pass es l tape 3 valuations pr liminaires du processus de s lection d un site Dans chaque cas la SGDN a envoy des lettres toutes les collectivit s autochtones potentiellement touch es de la r gion environnante Les lettres servaient leur faire part de la d cision prise par la collectivit int ress e d en apprendre davantage sur le processus et solliciter aupr s d elles l occa sion de les informer sur les travaux en cours et de discuter du r le qu elles pourraient souhaiter assumer L objectif tait de promouvoir une collaboration et un apprentissage mutuel cette fin la SGDN a aussi activement sollicit l occasion d engager les collectivit s autochtones voisines en apprendre davantage sur le projet Voici certaines des initiatives entre prises en ce sens Visites d installations
597. vait favoriser l change d informations communiquer les apprentissages tir s du savoir traditionnel autochtone et encourager le dialogue sur la Gestion adaptative progressive La SGDN a pris des mesures s rieuses pour donner suite aux commentaires des a n s et du Conseil consultatif La SGDN a tenu compte de ces commentaires lorsqu elle a pr par un document de discussion sur la restructuration du Forum des ain s et le mandat du nouveau Conseil des a n s La SGDN a tudi une s rie de pr c dents et a rendu disponible ses constats pour tayer la discussion par le Forum des a n s sur les mod les possibles adopter Donna Augustine a t lue pr sidente en 2012 Le Conseil des ain s cherche d autres femmes qui souhaiteraient se joindre a ses rangs 16 Des notes sur la r union avec M Connors sont disponibles l adresse www nwmo ca uploads_managed MediaFiles 2153_record_2013 1_ _advisory_council_minutes_ _jan_28 pdf Les membres du Conseil consultatif ont assist des r unions du Conseil des a n s titre d obser vateurs Le Conseil a aussi pos des questions et chang des informations pertinentes avec les a n s lorsqu il le jugeait appropri Il explore actuellement des fa ons d changer des informations et des apprentissages par voie d une compr hension commune respectueuse des relations entre le Conseil consultatif et le Conseil des a n s Le Conseil consultatif a continuellement soulign l imp
598. vaux de conception technique Le Conseil a soulign l importance d engager le public le plus t t possible sur la question du transport notamment par la pr paration de documents de communication appropri s y compris une vid o pour r pondre aux pr occupations et aux questions soulev es par le public Il a recom mand que les pr occupations du public li es aux questions d acceptation sociale du transport du combustible irradi soient identifi es au stade le plus pr coce possible que leur l gitimit soit reconnue et qu elles soient prises en compte Il a fourni des commentaires sur la version pr limi naire d une brochure sur le transport et a press la SGDN de continuer de communiquer tous les d tails concernant la robustesse des conteneurs et des syst mes de transport Le Conseil a aussi demand la SGDN de lui fournir plus d informations sur les carrefours de transport et sur les raisons qui justifient de dialoguer avec eux avant que des itin raires de transport aient t identifi s ll a not que le transport pourrait se faire par camion par train ou par bateau et a recommand que tous les moyens de transport soient trait s dans les produits de communication de la SGDN La SGDN a tenu compte des suggestions du Conseil dans les nouveaux produits de communication pr par s au cours des derni res ann es et des vid os sur le transport ont t diffus es a de multi ples endroits dans le cadre du programme d engag
599. vit s de ce groupe avaient demand la SGDN de r aliser une premi re phase d valua tions pr liminaires tape 3 d un processus en neuf tapes En 2013 guid e par les r sultats des huit premi res valuations pr liminaires de la Phase 1 la SGDN a amorc le processus visant r duire le nombre de collectivit s participant au proces sus de s lection d un site D autres d cisions seront prises en 2014 mesure que les valuations pr liminaires de la Phase 1 seront compl t es dans d autres collectivit s Au cours des trois derni res ann es la SGDN a continu de remplir le mandat qui lui a t confi en vertu de la LDCN La SGDN a tabli le montant des contributions que doivent verser les propri taires des d chets et a proc d la r vision de son estimation du co t de la GAP Elle a continu de revoir la composition du Conseil consultatif afin qu elle corresponde le mieux possible la port e actuelle de ses travaux di fl En collaboration avec l quipe de gestion le Conseil d administration a labor l orientation strat gique de la Soci t Ce travail s est organis autour de cing axes les activit s se rapportant la s lection d un site les tudes g oscientifiques la conception d un conteneur la gestion des obligations financi res li es au cycle de vie et la prestation des services Ontario Power Generation dans le cadre de son projet de d p t g ologique en
600. vit s et non par la SGDN des fins de planification l organisation a pr vu des activit s pour les cinq prochaines ann es afin de faire en sorte que la SGDN soit pr te faire avancer la mise en oeuvre du programme lorsque les collectivit s proc dent travers les diff rentes phases du processus de s lection d un site Un ventail de programmes des travaux et d activit s est pr vu pour 2014 2018 pour faire en sorte que l organisation soit pr te pour les phases futures d enqu tes sur le terrain et d valuations d taill es de planification du transport et de conception raffin e du d p t et de d veloppement du dossier de s ret Faire participer les collectivit s voisines et les peuples autochtones apprendre davantage sur le projet et le consid rer ch ancier de la Gestion adaptative progressive 2002 2008 2009 10 ans ou plus Etude de D CISION la SGDN S lection d un site Processus d obtention des permis et La mise en oeuvre se poursuit Evaluation des sites potentiels Mise en oeuvre du processus de s lection d un site mai 2010 La SGDN travaille La SGDN met en La SGDN r alise en collaboration oeuvre le processus des tudes de avec les citoyens de s lection d un faisabilit et de la conception d un site en collaboration caract risation processus de avec les Canadiens pour valuer les s lection d un site int ress s au sites potentiels identifi s lors
601. wer Generation pour d chets de faible et moyenne activit ont t tr s utiles pour lucider plusieurs des perceptions et des pr occupations du public que la SGDN aura prendre en compte au cours du processus de la Gestion adaptative progressive Le Conseil attend avec impatience l occasion de pouvoir explorer avec la SGDN les le ons tir es de cette exp rience 4 2 Recommandations Dans cette section le Conseil num re ses recommandations formul es la section 3 Il conclut que les travaux de la SGDN r pondent g n ralement aux crit res du Conseil consultatif que sont l exhaustivit l quit et l quilibre l int grit la transparence la comp tence technique la capa cit financi re et la culture d apprentissage Ces recommandations ont pour but de mettre en relief certains aspects qui prendront une importance particuli re de l avis du Conseil au cours de la prochaine phase de travaux de la SGDN Pour des explications plus d taill es sur ces recommandations veuillez vous reporter la section inscrite entre parenth ses la fin de l nonc de chacune d elles Cadre thique et social 1 Le Conseil consultatif recommande la SGDN d actualiser son Cadre thique et social pour le rendre plus pertinent la phase du processus de s lection d un site de la Gestion adaptative progressive section 3 1 2 Le Conseil consultatif recommande la SGDN d envisager les approches possibles pour la r alisa
602. x travaux de la SGDN Apprendre davantage ensemble Rapport triennal 2011 2013 Les relations qu entretient la SGDN avec les organisations autochtones nationales et provinciales ainsi que les relations qui sont actuellement nou es avec les collectivit s des Premi res nations et des peuples m tis situ es proximit des collectivit s participant au processus de s lection d un site sont d crits au chapitre 6 1 Edifier des relations durables L examen des travaux de la SGDN par des sous traitants autochtones a aid la Soci t relever les occasions de r orienter et d am liorer ses travaux actuels et futurs par l int gration d l ments du savoir traditionnel autoch tone au processus de s lection d un site Par exemple un des l ments importants des activit s pr vues la Phase 2 consiste engager les collectivit s autochtones de la r gion lui fournir des commentaires sur les activit s d valuation technique et sociale notamment en parcourant le territoire pour comprendre les caract ristiques et les processus associ s au territoire et en collaborant avec ces collectivit s l interpr tation des constats Ainsi la SGDN a pu commencer comprendre la culture les traditions l utilisation du territoire les processus d cisionnels et les pratiques des collectivit s autochtones voisines Concernant l valuation de la possibilit de favoriser le bien tre de la r gion la SGDN sollicitera l avis
603. y s et des retrait s Il s agit d un r gime capitalis et les actifs du fonds comprennent des fonds de placement g r s par Connor Clark and Lunn Le co t des presta tions et les actifs au titre de ce r gime sont comptabilis s dans les tats financiers de la SGDN b R gime compl mentaire de retraite Les r gimes compl mentaires de retraite sont des r gimes prestations d termin es couvrant certains employ s et retrait s Le r gime est non capitalis c R gimes d autres avantages post rieurs l emploi Les r gimes d autres avantages post rieurs l emploi offrent une protection au titre de l assurance maladie de l assurance dentaire et de l assurance vie collective pour certains groupes d employ s temps plein qui ont pris leur retraite de la SGDN L valuation actuarielle la plus r cente du r gime de retraite agr du r gime compl mentaire de retraite et des r gimes d autres avantages post rieurs l emploi conform ment au chapitre 3461 du Manuel de CPA Canada a t effectu e le 31 d cembre 2012 Le passif au 31 d cembre 2013 est fond sur une extrapolation de l valuation pr c dente Une valuation actuarielle qui a t effectu e pour le r gime de retraite au 1 janvier 2015 a rendu compte d un surplus de 14 millions sur la base de continuit d exploitation et d un d ficit de 14 5 millions selon l approche de solvabilit Les principales hypoth ses actuarielles
604. y rapportant Les r gions caract ris es par de plus grandes incer titudes et complexit s ont t jug es moins susceptibles de r pondre aux exigences du projet tant donn qu il serait plus difficile de constituer un solide dossier de s ret leur gard Des diff rences ont aussi t relev es quant la possibilit que le projet de la GAP puisse s harmoniser avec les priorit s et les objectifs de la collectivit et que l int r t de la collectivit de mieux comprendre le projet puisse se maintenir Il est entendu que l int r t soutenu des collectivit s candidates sera essentiel si elles entendent un jour d montrer leur consentement clair au projet L harmonisation du projet avec le bien tre de la collectivit et la possibilit que la collectivit maintienne son int r t pour le projet constitueront des consid rations importantes une fois les exigences de s ret satisfaites Lorsqu il n y a pas correspondance troite avec les aspirations de la collectivit ou lorsque cette correspondance n est pas nettement observable et lorsque l apti tude de la collectivit maintenir son int r t est faible ou incertaine la SGDN consid re qu il est moins probable qu un consentement clair puisse tre d montr un stade ult rieur Ce que nous avons entendu sur la mise en oeuvre de la Gestion adaptative progressive Les valuations indiqueraient que chacune des collectivit s tudi es est susceptible
605. yenne activit qui continuent d tre produits dans le cadre Les d chets de moyenne de l exploitation et de la r fection des centrales nucl aires des sites de Bruce de activit sont principalement Pickering et de Darlington des composants us s des La SGDN a fourni 46 rapports techniques en appui la demande de permis r acteurs nucl aires des pr sent e par OPG en 2011 Ces rapports ainsi que d autres documents se r sines changeuses d ions rapportant ce projet sont disponibles l adresse www opg com power nuclear et des filtres utilis s pour waste dgr purifier les syst mes d eau des r acteurs OPG obtient un permis d exploitation autorisant le stockage des colis de d chets au DGP pour DFMA P riode de construction 5 7 ans D livrance du permis de pr paration du site construction anticip e Audience publique devant la Commission d examen conjoint D but de la p riode de commentaires publics Commission constitu e nonc des incidences environnementales et Rapport pr liminaire de s ret pr sent s Investigations de site termin es Publication des lignes directrices de EE Approbation du programme de suivi de l E Lancement d s Audience de cadrage de l E investigations de site Pr sentation de la description du projet d EE Sondage favorable au sein de la collectivit pour la construction d un DGP pour DFMA Nos travaux de 2011 2013 L

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