Home

Projet de Fin d`Etudes - Bienvenue sur Catalogue des mémoires de

1. Marie RENAULT C EBT P El ve ing nieur de 5 ann e Sp cialit G nie Civil SIN D Interactions entre tudes g otechniques et tudes environnementales A Ti M thodes d investigation tudes compl mentarit et limites de prestation s STRASBOURG CEBTP Remerciements Avant toute chose je tiens remercier l INSA de Strasbourg et l ensemble des professeurs qui nous a dispens une formation de qualit r el atout au sein du monde professionnel Nous avons ainsi acquis une culture compl te du G nie Civil qu il nous faudra maintenant peaufiner au gr de nos exp riences Pour ces quatre mois de Projet de Fin d Etudes PFE je remercie l ensemble des quipes de l agence Normandie de Ginger CEBTP pour leur accueil Merci aux services G otechnique et Expertise Environnementale de m avoir int gr e leur travail et de m avoir transmis leur savoir faire Merci aux assistantes pour leur aide et leur bonne humeur Merci galement au responsable de l agence M LEFEBVRE mon tuteur qui m a permis de r aliser mon PFE dans ces conditions et qui m a guid e dans ma r flexion Enfin je remercie mon tuteur l INSA M REGENASS professeur de M canique des Sols pour sa pr sence et ses conseils tout au long de cette p riode Marie Renault INSA de Strasbourg D partement G nie Civil Promotion 2014 25 INSR Interactions entre tudes g otechniques et tudes environnementa
2. L gende r4 r action frontale d placement relatif de l l ment de fondation Figure 8 Loi de r action frontale Marie Renault INSA de Strasbourg D partement G nie Civil Promotion 2014 67 Interactions entre tudes g otechniques et tudes environnementales IN D M thodes d investigation tudes compl mentarit et limites de prestation STRASBOURG CEBTP Le pieu est consid r comme une poutre reposant sur des appuis lasto plastiques dont la raideur est caract ris e parK le module lin ique de mobilisation de la pression frontale de courte dur e d fini par 12Eu lorsque B 2 B K ke a 4 B 2 65 B i a 3 8 B E est le module pressiom trique de M nard B est la largeur de l l ment perpendiculairement au sens de d placement B est une largeur de r f rence prise gale 0 60 m est le coefficient rh ologique du terrain dans la m thode pressiom trique il est fourni par les tableaux 1 1 3 1 et 1 1 3 2 de la norme NF P 94 262 joints en annexe 20 On consid rera en premi re approximation que les caract ristiques m caniques prendre en compte pour l valuation des efforts et des moments en t te de pieu sont celles de la formation 1 argile soit Module pressiom trique de M nard Eu 2 5 MPa z Coefficient rh ologique amp 2 3 Pression de fluage nette p 0 125 MPa Pour justifier cette approximation et le cal
3. tude historique et documentaire et investigations o Enfin la mission EVAL peut faire appara tre la n cessit de planifier la gestion des d chets mission PG puis de r aliser un suivi durant la phase d ex cution des travaux afin de contr ler la bonne pratique des entreprises ex cutrices mission CONT investigations Finalement on peut donc constater que sauf cas sp cifiques optimisation des moyens mobilis s contr le et gestion en phase ex cution les missions d ordre environnemental sont r alis es de pr f rence en amont afin d anticiper au maximum les r percussions qu elles vont avoir sur le projet Marie Renault INSA de Strasbourg D partement G nie Civil Promotion 2014 43 INSR Interactions entre tudes g otechniques et tudes environnementales pir ipii M thodes d investigation tudes compl mentarit et limites de prestation CEBTP Pour ce qui est des cas o les missions environnementale et g otechnique sont enti rement coupl es on retiendra les interactions et sp cificit s suivantes chaque tape de la mission e Etape Devis Appel d offre o Interaction la r ponse peut tre commune et l aspect organisationnel mobilisations mat rielle et humaine doit tre valid apr s concertation des deux services Il peut galement y avoir une relation de sous traitance entre les deux services o Sp cificit les normes cadrant chacune des prestations sont dif
4. 1 malgr le relief en goutti re du secteur qui impose au projet de nombreux d blais et remblais Marie Renault INSA de Strasbourg D partement G nie Civil Promotion 2014 38 INSR Interactions entre tudes g otechniques et tudes environnementales pr M thodes d investigation tudes compl mentarit et limites de prestation CEBTP D apr s la notice d Incidences r alis e par Ing tec la hauteur de d bordement du Vieux Fr vrier pour l v nement centennal le plus d favorable n atteint pas l emprise du projet remblais compris le projet ne r duit donc pas le champ d expansion de la rivi re son coulement n est pas modifi E i Su l la 5 u h Le E i ky 46ilb rdi re E Ta SL Fr f py 7 Y Ai l d A es y l Bassn versare ou projet F m Faf a S s a el riyy 19e du prot g D f LA f A EA A i aS Vore de laron RD 61 8 RO 973 a Charbonni R saa hyrographnue r 7 De X N d s Zone bumite CG 50 4 i A A T E aN Zone pr dispos e la pr sence de zone humide oure OMEAL Basse Norrorngiej pa au lt z a SA A EN V Probabilt raite ASS 1 4 RE le Moriciers 27 i ZA SIN Hs ji 3 D TT La figure de recensement ci dessus montre que de nombreuses zones humides sont travers es par le projet Celui ci provoque le remblaiement de 1 05 ha de zones humides Le Ma tre d Ouvrage entend app
5. A STRASBOURG CEBTP Annexe n 4 Principe du p n trom tre dynamique Cet essai non reconnu par les normes de dimensionnement g otechnique permet n anmoins d avoir une premi re approche sur la r sistance du sol en fonction de la profondeur Dispositif de mesurage de l enfoncement de la pointe pour chaque coup Compteur pour la mesure de la profondeur atteinte par la pointe du nombre de coups Mouton Enclume ___ Guidage des tiges ler Figure 2 Sch ma de principe d un p n trom tre dynamique d apr s la norme NF P 94 063 Le principe de cet appareil est de comptabiliser le nombre de coups n cessaires enfoncer une tige de 20 cm dans le sol En fonction de ce nombre de coups on peut en d duire la r sistance de pointe not e qa calcul e d apr s la formule des Hollandais ci dessous _ MgH M Ae M M qa O M est la masse du mouton M la somme des masses du train de tiges de la pointe de l enclume et de la tige guide H est la hauteur de chute e la p n tration moyenne par coup A est la section droite de la pointe et g l acc l ration de la pesanteur Marie Renault INSA de Strasbourg D partement G nie Civil Promotion 2014 51 SIN D Interactions entre tudes g otechniques et tudes environnementales A Ti M thodes d investigation tudes compl mentarit et limites de prestation s STRASBOURG CEBTP Annexe n 5 D tail de dimensionnement d
6. Da be a 100237 de 0 60 d Pie 2 00 fa D etla DA z pi 237 elia 060 zls p es 2 37 12 50 2 37 12 00 0 60 14 00 0 60 12 50 2 00 Pi 1 04 MPa Marie Renault INSA de Strasbourg D partement G nie Civil Promotion 2014 on Interactions entre tudes g otechniques et tudes environnementales 07 NS M thodes d investigation tudes compl mentarit et limites de prestation amp STRASBOURG CEBTP S Annexe n 15 Tableau F 2 1 de la norme NF P 94 262 Valeur des coefficients de mod le pour la m thode pressiom trique Proc dure du pieu mod le utilisation des coefficients ou de l annexe D de la norme NF EN 1990 Proc dure du mod le de terrain Proc dure du mod le de terrain TR d1 TR d1 YR d2 TR d2 Compression Traction Compression Traction Pieux non ancr s dans la craie de classe 1 7 hors pieux de cat gorie 10et15 Pieux ancr s dans la N 1 1 craie de classe 1 7 l RES 1 7 hors pieux de cat gorie 10 15 17 16 19 et 20 Pieux de cat gorie 10 1 15 14 Marie Renault INSA de Strasbourg D partement G nie Civil Promotion 2014 74 Interactions entre tudes g otechniques et tudes environnementales JINSA M thodes d investigation tudes compl mentarit et limites de prestation STRASBOURG Annexe n 16 Tableau F 5 2 1 de la norme NF P 94 262 Choix des valeurs d
7. Marie Renault INSA de Strasbourg D partement G nie Civil Promotion 2014 Ea annexe GINGER SONDAGE PRESSIOMETRIQUE FPA CEBTP Chantier GONFREVILLE L ORCHER 76 INGENIERIE EUROPE R alisation de sondages pressiom triques Client YARA FRANCE Dossier DRN2 D 2096 GROUPE Ech Prof Sondeuse BE 3050 d te de fin de sondage rgile sableuse gris fonc TT e Argile vasarde grise BO Sable gris compact 8 60 Sable gris verd tre compact 10 50 DQ E158 V 1 du 07 09 2011 Taillant 66 mm Sable gris verd tre compact 180 pinpin Sable gris moins compact PTT saia an 04 2013 D pouillement d essais pressiom triques selon norme NF P 94 110 1 Sable gris compact 26 80 Arr t du sondage Logiel DEPRESS Version 3 81 du 15 Observations Nappe niveau d eau 0 6 m la date d ex cution du forage annexe GINGER SONDAGE PRESSIOMETRIQUE FPB CEBTP Chantier GONFREVILLE L ORCHER 76 INGENIERIE EUROPE R alisation de sondages pressiom triques F Client YARA FRANCE Dossier DRN2 D 2096 GROUPE GINGER CEBTR Ech Prof Sondeuse BE 3050 date de fin de sondage 01 07 2013 param tres de forage i RESULTATS P PL E Lu P 94 1101 en MPa VIA FI p m h da bar X Pfluage 0 PLimite O Module E Argile vasarde grise Sable gris compact 8 40 Sable gris verd tre compact 10 00 DQ E158 V 1 d
8. e Le service Expertises Environnementales Ce sont dans les deux derniers services que j ai pu travailler dans le cadre de mon PFE L organigramme de l agence est joint en annexe n 1 1 2 2 Pr sentation des services concern s par le PFE Service Expertises Environnementales Le Service Expertises Environnementales est rattach la Cellule Environnement de la R gion Grand Nord qui regroupe les agences de Strasbourg Caen sans compter Paris Ses prestations sont les suivantes e Etudes pour la Gestion des Eaux Pluviales e Dossiers Loi sur l Eau e Diagnostic Pollution des Sols et des Eaux Service G otechnique Ce service r pond l ensemble des missions de la norme NF P 94 500 G1 G5 Ces missions peuvent concerner toutes les phases d un projet de construction ou d am nagement Esquisse APS APD DCE EXE etc Pour chaque phase des objectifs diff rents vont tre donn s aux tudes Marie Renault INSA de Strasbourg D partement G nie Civil Promotion 2014 NS Interactions entre tudes g otechniques et tudes environnementales 4 Ti M thodes d investigation tudes compl mentarit et limites de prestation CEBTP STRASBOURG 1 2 3 Certifications Ginger CEBTP est certifi ISO 9001 management de la qualit et OHSAS 18001 management de la sant et de la s curit au travail sur l ensemble de ses activit s ET y OHSAS 18001 amp amp ISO 9001 BUR
9. arsenic c est uniquement cette substance qui sera recherch e dans les analyses des eaux en laboratoire Plan de pr vention Un plan de pr vention g n ral l usine existe afin de prendre en consid ration les risques dus l exploitation du site et la co activit avec d autres entreprises Il exige que le charg d affaires et les quipes intervenantes respectent le protocole suivant e Le charg d affaires doit participer au plan de pr vention et la visite d ouverture du chantier afin de s informer des risques sp cifiques l intervention et l environnement de travail e Ensuite il doit informer et former les quipes ex cutantes e Par ailleurs tout intervenant doit poss der une habilitation s curit niveau 1 ou niveau 2 formations sp cifiques validit limit e Marie Renault INSA de Strasbourg D partement G nie Civil Promotion 2014 29 INSR Interactions entre tudes g otechniques et tudes environnementales STRASBOURG M thodes d investigation tudes compl mentarit et limites de prestation CEBTP De plus compte tenu de la pollution en arsenic pr sente sur le site des mesures de s curit et de protection de l environnement sp cifiques doivent tre prises Pour cela un plan de pr vention sp cifique doit tre r dig par l usine avec les suggestions de l entreprise qui r alise les travaux Ce document a pour but de pr venir tout contact corporel dir
10. une valuation sp cifique partir des donn es pr c dentes en int grant les liaisons m caniques existantes en t te des pieux Ne disposant pas d information sur les liaisons m caniques l estimation de l effort tranchant limite T et du moment fl chissant M en t te de pieu est tablie pour un pieu long et flexible encastr en t te et soumis un effort horizontal en t te et dans le cas o l on consid rerait le module de r action horizontal constant avec la profondeur On admet que le sol exerce en chaque section de l l ment une r action perpendiculaire l axe de celui ci qui est fonction du d placement relatif transversal de la section consid r e et que cette r action se compose e De pressions frontales que l on mod lise par une pression uniforme s exer ant sur le diam tre du pieu not B e D efforts de frottements transversaux s exer ant sur les parties du p rim tre parall les au sens du d placement toutefois une part de ces frottements tant d j int gr e dans les pressions frontales cit es ci dessus on retranche la valeur B chacune de ces parties pour l valuation du frottement L gende L L B longueur de calcul des frottements lat raux Figure 7 Longueur de calcul des frottements lat raux Norme NF P 94 262 Figure 1 1 2 La loi de mobilisation de la r action frontale de courte dur e est d finie conform ment la figure suivante Ki
11. une tranch e d infiltration des eaux pluviales Toute d abord d apr s les r sultats des essais Porchet le calcul du coefficient de perm abilit est donn par geg S avec Q le d bit d eau infiltr tel que Volume inject dur e de mesure et S la surface d velopp e d infiltration 2 S 7DH 2 O D est le diam tre du forage o est r alis l essai et H est la hauteur d eau maintenue constante 160 mm L tude d infiltration des eaux pluviales va d pendre du d partement dans lequel le projet va voir le jour En Seine Maritime les objectifs atteindre quantitativement sont infiltrer l quivalent du volume d cennal ruissel le plus d favorable si la perm abilit des sols le permet K gt 1 10 m s assurer la vidange du volume de stockage des eaux pluviales en moins de deux jours pour un v nement centennal le plus d favorable Dans notre cas l tude d infiltration indique que la perm abilit est relativement homog ne sur l ensemble du site celle ci est favorable l infiltration la perm abilit retenue est de l ordre de 500 mm h soit 1 4 10 m s valeur maximale mesurable par l essai Porchet Le volume de stockage V du syst me de gestion des eaux pluviales dans notre cas il s agit d une tranch e d infiltration est donn comme suit V Ventrant Vsortant Le volume entrant est d termin partir de la surface active du bassin versant surface d
12. D partement G nie Civil Promotion 2014 71 on Interactions entre tudes g otechniques et tudes environnementales e1INSA M thodes d investigation tudes compl mentarit et limites de prestation amp STRASBOURG e CEBTP Annexe n 13 Tableau A 1 de la norme NF P 94 262 Classes et cat gories de pieux O eeo 5 o eee o ferar merane amn ounan marre re ET e NF EN 12699 Ci mme KE KE x EE e KE KE KE x KE ON TE NF EN 12699 15 Profil H battu inject Palplanches battues NF EN 12699 17 Micropieu type 1 bis Micropieu type Il NF EN Pieu ou micropieu inject mode IGU type III PIGU MIGU ASIE Pieu ou micropieu inject mode IRS type IV PIRS MIRS Marie Renault INSA de Strasbourg D partement G nie Civil Promotion 2014 on Interactions entre tudes g otechniques et tudes environnementales 07 ISA M thodes d investigation tudes compl mentarit et limites de prestation o STRASBOURG CEBTP Annexe n 14 Calcul de la pression limite nette quivalente pe 1 D 3a g Pie Pi z dz avec b min a h b 3a 2 O aest pris gal la moiti de la largeur B de l l ment de fondation si celle ci est sup rieure 1 00 m et 0 50 m dans le cas contraire h d signe la hauteur de l l ment de fondation contenue dans la formation porteuse Dans notre cas a 0 50 m h 6 10 m Donc b 0 50 m D 12 50 m Pons 1 14 00
13. Rock Re En traction 0 7 Ra 0 7 1159 811 kN R cr k R cr k Ka cr k d Valeurs de calcul en compression et en traction Les valeurs de calcul sont donn es dans le tableau suivant les calculs sont d taill s en annexe 21 Portance du Portance du R sistance de R sistance de Charge de fluage de Charge de fluage terrain R terrain R traction R traction R compression x de traction x 1933 kN 2126 kN 1008 kN 1104 kN 1223 kN 541 kN Ainsi titre indicatif un pieu de type for simple de 1 0 m de diam tre et ancr 12 5 m de profondeur par rapport au terrain actuel pr sente une capacit portante en compression d environ 1223 kN 122 t aux ELS soit environ 1933 kN 193 t aux ELU et une r sistance de traction d environ 541 kN 54 t aux ELS soit environ 1008 kN 101 t aux ELU Le m me pieu pr sente une portance d environ 2126 kN 213 t et une r sistance la traction d environ 1104 kN 110 t sous sollicitations sismiques Ces valeurs sont bien sup rieures aux sollicitations retenues en hypoth ses Marie Renault INSA de Strasbourg D partement G nie Civil Promotion 2014 66 r Interactions entre tudes g otechniques et tudes environnementales IN ja M thodes d investigation tudes compl mentarit et limites de prestation STRASBOURG CEBTP e Efforts horizontaux La d termination des charges horizontales admissibles sur les structures doit faire l objet d
14. cents non stabilis s par exemple On observe donc une diff rence de vitesse de tassement qui induit des mouvements relatifs en sens contraire Ce ph nom ne s appelle frottement n gatif Marie Renault INSA de Strasbourg D partement G nie Civil Promotion 2014 85 Interactions entre tudes g otechniques et tudes environnementales 0 el M thodes d investigation tudes compl mentarit et limites de prestation STRASBOURG CEBTP Annexe n 24 Extrait du Code de l Environnement Tableau des rubriques par lesquelles le projet de Sartilly est concern En rose il s agit de la configuration du projet Rubriques Enonce Rejet d eaux pluviales dans les eaux douces superficielles ou sur SUpericie projet collect s 13 3 ha lesol ou dans le sous sol la surface totale du projet ne de oo la surface correspondant la partie du bassin naturel dont les Superficie impluvium ext rieur coulements sont intercept s par le projet tant intercept e pi le projet 71 5 h Superficie totale intercept e par Sup rieure 1 ha mais inf rieure 20 ha D claration le projet 85 4 ha Installations ouvrages remblais et pis dans le lit mineur d un cours d eau constituant Les ouvrages cadres du projet r tablissent les coulements en crue et la continuit cologique du ruisseau du Vieux Fr vrier et de ses affluents Pas concern par cet article Un obstacle la continuit
15. e du projet Lev e de doute pour savoir si un Identifier les sites qui n ont pas t pollu s par des EVE site rel ve ou non de la activit s industrielles et ou de service sites industriels m thodologie nationale des sites zones de stockage d charges etc ou par des activit s pollu s d pandage des effluents ou de d chets Marie Renault INSA de Strasbourg D partement G nie Civil Promotion 2014 ET INSA Interactions entre tudes g otechniques et tudes environnementales Re M thodes d investigation tudes compl mentarit et limites de prestation Code Offres globales de prestations Objectifs Identifier quantifier et hi rarchiser les impacts Evaluation ou audit environnementaux sur les sols et les eaux souterraines EVAL environnementale des sols et des traduisant un passif r sultant d activit s pass es ou eaux souterraines lors d une pr sentes sur le site vente acquisition d un site D terminer les cons quences conomiques li es aux constats Conception de programmes D finir un programme d investigations ou de d investigations ou de surveillance surveillance R alisation du programme Mettre en uvre le programme de pr l vements TPE Interpr tation des r sultats Interpr ter les r sultats Elaboration de sch mas Elaborer en cas de besoin un bilan quadriennal et conceptuels de mod les de proposer une d finition ou une modification des fonctionn
16. fastessur plus sensibles plus sensibles d eau sensibles ou l abondance veus des sols toutes les notamment 5 F diminution de tous les z pr dominance alcalins ou esp ces pour les For d abondance sols ie d esp ces neutres juv niles j tol rantes Analyses en laboratoire Arsenic ug l 10 100 10 100 2000 1 10 100 270 5 7 5 10 100 Arsenic ug l 10 100 10 100 2000 L 10 100 270 5 7 5 10 100 Arsenic ug l 10 100 10 100 2000 1 10 100 270 5 7 5 10 100 Tableau 1 Synth se des r sultats des campagnes de janvier f vrier et mars 2014 respectivement de haut en bas Evolution des concentrations d arsenic PZz1 As Pz12 As PZB As D g o fas Q o o f vr 14 date de pr l vement Figure 3 Evolution des teneurs en arsenic dans les eaux souterraines Marie Renault INSA de Si E G nie Civil Promotion 2014 58 o g Interactions entre tudes g otechniques et tudes environnementales 9 INS M thodes d investigation tudes compl mentarit et limites de prestation e E STRASBOURG CEBTP Annexe n 9 Principe du pressiom tre et coupes des sondages Pr alablement la r alisation des essais pressiom triques il faut effectuer un forage la profondeur souhait e Les param tres de forage peuvent tre enregistr s afin d obtenir des informations compl mentaires sur la nature du sol a
17. imperm abilisation de la parcelle et de l intensit de la pluie d termin e avec les coefficients de Montana not s a et b Ces coefficients d pendent la fois de la localisation du projet de l occurrence et de la dur e de la pluie consid r e Dans le cas pr sent il s agit des coefficients de Montana pour la pluie la plus d favorable d une occurrence de 100 ans sur la station de ROUEN BOOS donn s en annexe 6 Marie Renault INSA de Strasbourg D partement G nie Civil Promotion 2014 25 INSR Interactions entre tudes g otechniques et tudes environnementales 4 Ti M thodes d investigation tudes compl mentarit et limites de prestation 9 STRASBOURG CEBTP On a donc Ventrant H X Sa avec S la surface active en m ici Sa 198 m H la hauteur de pluie en m d finie par H mm a xt t la dur e de la pluie en minutes a et b les coefficients de Montana gout o consid r comme constant pendant la phase de remplissage et la phase de vidange de l ouvrage de r tention D o Viortant K X t X Sinfitration avec K la perm abilit du sol en m h t la dur e de la pluie en heures On consid re que les eaux pluviales sont propres qu un regard de d cantation sera mis en place entre les descentes de goutti res et la tranch e d infiltration et que l entretien de ce regard sera r gulier La surface d infiltration correspond alors la moiti des surfaces des p
18. annexe 19 e Pour les ELS en combinaisons quasi permanentes _ 811 t cr d 1 5 R 541 kN terad Marie Renault INSA de Strasbourg D partement G nie Civil Promotion 2014 82 Interactions entre tudes g otechniques et tudes environnementales IN D M thodes d investigation tudes compl mentarit et limites de prestation STRASBOURG CEBTP Annexe n 22 Calcul de la longueur de transfert de l effort tranchant et du moment fl chissant l aide du Fascicule 62 titre V La longueur de transfert est d finie comme suit E est le module de d formation longitudinale du b ton x D I est l inertie du pieu Z 0 0491 m K est le module lin ique de mobilisation K 10 64 MPa et K 5 32 MPa B est le diam tre du pieu B 1 00 m Les modules de d formation longitudinale instantan e du b ton E et diff r e consid rer sont donn s par E 11000 f et E 3700 f min Taslan f est la r sistance conventionnelle du b ton f kick f g est la r sistance caract ristiques du b ton 28 jours f 4 30 MPa Fm est donn e par le tableau ci dessous extrait du fascicule 62 titre V fym 25MPa GROUPE A fu A Semelles superficielles et radiers Pieux ou parois pr fabriqu s mis en place dans un forage Pieux tubulaires pr contraints Pieux pr fabriqu s battus en b ton arm Puits avec b ton vibr Puits avec b t
19. arsenic devra tre effectu avec un traitement appropri Fondation de la structure L exploitation des sondages et des essais r alis s am ne aux caract ristiques m caniques suivantes Valeurs pressiom triques Formation Nature du sol Prof Base m TN 7 p MPa Em MPa n 1 Remblais 1 5 1 8 n 2 Argile vasarde grise 6 0 6 4 0 25 2 5 n 3 Sable gris vert compact 12 5 16 5 2 37 29 0 n 4 Sable gris vert peu compact gt 26 8 0 60 6 0 Compte tenu de l h t rog n it de la formation n 1 des faibles caract ristiques de la formation n 2 et des descentes de charge lev es de la structure une solution de fondations superficielles semi profondes ou par radier ancr es dans ces formations ou dans les remblais de substitution n apparait pas envisageable pour cet ouvrage du fait de tassements pr visibles totaux et diff rentiels jug s trop importants Pour cet ouvrage on devra donc s orienter vers une solution de fondations profondes sur pieux ancr s dans les sables compacts de la formation n 3 Etant donn la pr sence de pollution en arsenic dans la nappe superficielle cr e par l horizon argileux de la formation n 2 il est recommand d isoler les premiers m tres de terrains par la mise en place d un tubage ancr jusqu au moins 3 m de profondeur dans cette formation argileuse La profondeur d ancrage d pendra de la profondeur de terrain pollu Il fa
20. cologique entramant une diff rence de niveau sup rieure ou gale 20 cm mais inf rieur 50 cm pour le d bit moyen annuel de la ligne d eau entre l amont et l aval de l ouvrage ou de l installation D claration Installations ouvrages travaux ou activit s conduisant modifier le profil en long ou le profil en travers du lit mineur d un cours fanati it mi d eau l exclusion de transport naturel iii t su Deviation d un affluent du Vieux Fr vrier sur 120 m Sur une longueur de cours d eau inf rieure 100 m D claration Installations ou ouvrages ayant un impact sensible sur la luminosit n cessaire au maintien de la vie et dela circulation aquatique dans un cours d eau sur une longueur Couverture des ouvrages cadres OH3de120m OH 7 de 100 m Sup rieure ou gale 10 met inf rieure 100 m D claration Installations ouvrages remblais dans le lit majeur d un cours d eau da Pas concerne Surface soustraite 0 ha par cet article Surface soustraitesup rieure ou gale 400 m et inf rieure 10 000 m D claration Assechement mise en eau imperm abilisation remblais de zones humides ou de marais la zone ass ch e ou mie en eau tant nE Superficie zone humide remblay e de 1 ha Sup rieure 0 1 ha mais inf rieure 1 ha D claration Marie Renault INSA de Strasbourg D partement G nie Civil Promotion 2014 on Interactions entre tudes g otechniques
21. d irrigation e Les valeurs limites d aptitude la biologie dans les cours d eau e Les valeurs limites des diff rentes classes de qualit d une eau Enfin dans le pr sent cas d tude un seuil limite en arsenic dans les rejets aqueux est fix 0 05 mg L par jour pour l ensemble de l usine selon l arr t pr fectoral sp cifique au site d tude Un tableau de comparaison des valeurs mesur es aux valeurs de r f rence est fourni en annexe 8 Marie Renault INSA de Strasbourg D partement G nie Civil Promotion 2014 57 Interactions entre tudes g otechniques et tudes environnementales M thodes d investigation tudes compl mentarit et limites de prestation Annexe n 8 Tableau et diagramme d volution des teneurs en arsenic de janvier mars 2014 Usage irrigation Aptitude la biologie dans les cours d eau Qualit Risque d effets Er Eau Risque d effets es a Eaux destin es Eaux brutes permettant Risque chroniques Risque d effets it utilis es Valeurs guide permettant TE D i subl taux A Param tre Unit AIE ANO l irrigation n gligeable subl taux pour i l taux sur les PZ1 PZ12 PZB pour la OMS l irrigation des 5 possible consommation k des plantes d effets les esp ces les i esp ces les r PY production plantes tr s j r duction de s Tr s bonne bonne moyenne m diocre humaine tol rantes ou n
22. est cependant inf rieure au seuil des eaux brutes utilis es pour la production d eau la qualit de l eau est alors m diocre Au vu du seuil en arsenic fix pour les rejets journaliers aqueux de l ensemble l usine 50 ug L les eaux analys es ne sont pas conformes l arr t pr fectoral sp cifique au site d tude Recommandations Au vu des teneurs en arsenic observ es en PZ1 et en PZ12 ainsi que des variations de concentration au cours du temps dans les diff rents ouvrages il est recommand de poursuivre la surveillance des eaux souterraines sur le site Quant la r alisation du projet les terres devant tre excav es peuvent tre contamin es en arsenic Ainsi il est n cessaire d anticiper les contraintes financi re planning etc que le caract re non inerte des terres d blay es pourrait engendrer le cas ch ant via des sondages et des analyses de sols qui permettraient de pr ciser le risque vis vis du projet et les fili res d vacuation Dans le cadre de la r alisation de fondations profondes il est n cessaire de prendre en compte la probl matique de mise en contact des deux nappes superficielle et profonde lors de la r alisation des pieux et ventuellement du rideau de palplanche de m me que la probl matique des d chets constitu s par les boues de forage des pieux En cas de pompage des eaux contamin es le traitement des eaux d exhaure devra tre pr vu Des disposit
23. g otechniques terrassements sout nements pentes et talus fondations etc Elle fournit une bauche dimensionnelle o Pour la mise au point du Projet la phase Projet PRO qui d finit les hypoth ses g otechniques prendre en compte au stade du projet valeurs caract ristiques des param tres g otechniques en particulier Elle tablit les notes techniques donnant les choix constructifs des ouvrages g otechniques et des notes de calcul de dimensionnement niveau projet de ces ouvrages Marie Renault INSA de Strasbourg D partement G nie Civil Promotion 2014 11 INSR Interactions entre tudes g otechniques et tudes environnementales STRASBOURG M thodes d investigation tudes compl mentarit et limites de prestation CEBTP o Pour l tablissement du DCE et l ACT la phase Dossier de Consultation des Entreprises Assistance l tablissement des Contrats de Travaux DCE ACT qui tablit ou participe la r daction des documents techniques n cessaires la consultation des entreprises et leurs tudes de r alisation des ouvrages g otechniques Elle assiste le ma tre d ouvrage ou la ma trise d uvre pour la s lection des entreprises e l tape 3 de r alisation des ouvrages g otechniques la supervision g otechnique d ex cution G4 r alis e en collaboration avec la ma trise d uvre comprend deux phases interactives o la phase Supervision de l tude g otechnique
24. loi sur l eau du 3 janvier 1992 qui a renforc l imp ratif de protection de la qualit et de la quantit des ressources en eau Elle a mis en place de nouveaux outils de la gestion des eaux par bassin les SDAGE Sch ma Directeur d Am nagement et de Gestion des Eaux et les SAGE Sch ma d Am nagement et de Gestion des Eaux e La loi sur l eau et les milieux aquatiques LEMA du 30 d cembre 2006 qui impose la ma trise des eaux pluviales la fois sur le plan quantitatif et qualitatif dans les politiques d am nagement de l espace En effet les extensions des zones urbaines et des infrastructures de transports sont susceptibles d aggraver les effets n fastes du ruissellement pluvial L imperm abilisation des sols entra ne e Une concentration rapide des eaux pluviales et une augmentation des pointes de d bit aux exutoires pouvant s accompagner de probl mes de d bordement e Des apports de pollution pouvant tre tr s perturbants pour les milieux r cepteurs La constitution d un Dossier Loi sur l Eau DLE s appuie sur les articles L 214 1 L 214 6 du Code de l Environnement Ces articles d finissent quels types de projets sont soumis la r daction d un DLE En r sum il s agit des installations non class es pour la protection de l environnement les installations class es pour la protection de l environnement font l objet d autres proc dures et des projets r alis s des fins non domest
25. lorsqu on a atteint la rupture du sol le volume de la sonde alors augmente sensiblement pour de faibles variations de pression En profondeur les essais sont effectu s intervalle r gulier 75 cm au minimum afin d obtenir un profil repr sentatif du sol pr sent au niveau du forage Le pressiom tre est quip d un manom tre et d une bouteille d azote pour contr ler la pression et le volume Il est conforme au sch ma repr sent la page suivante Marie Renault INSA de Strasbourg D partement G nie Civil Promotion 2014 2INSA STRASBOURG Interactions entre tudes g otechniques et tudes environnementales M thodes d investigation tudes compl mentarit et limites de prestation CEBTP N E E ir RELO00000000000004E EE M M A KaR S fa ER BE S e a L gende 4 Contr leur pression volume CPY 13 Saisie Stockage impression des donn es ib Conditionneur indicateur dc Syst me de mise en pression et d injection 2 Tubes pour injection 3 Syst me de rep rage de la profondeur 4 Tige de man uvre 5 Sonde pressiom trique 5a Cellule de garde sup rieure 5b Cellule centrale de mesure 5c Cellule de garde inf rieure 6 Terrain 7 Forage pressiom trique 8 me m tallique creuse 9 Raco rdsonde Tige de manoeuvre Figure 4 Sch ma d un pressiom tre d apr s la Norme NF P 94 110 1 Marie Renault INSA de Strasbourg D partement G nie Civil Pr
26. o Elles ont toujours lieu en amont des tudes g otechniques o Elles peuvent influer sur le projet et donc sur les tudes g otechniques e Les tudes environnementales d infiltration des eaux pluviales sont toujours post rieures aux tudes de projet car elles peuvent en modifier l essence Pour autant elles peuvent tre simultan es la G1 voire la G2 AVP ce qui est m me pr f rable afin o D optimiser le planning et les mobilisations humaines et mat rielles o De garantir la qualit des r sultats obtenus avec une concertation et un partage des savoir faire e Les tudes environnementales de diagnostic pollution du sol de l eau peuvent tre r alis es plusieurs stades du projet o Alors qu aucun projet n est d fini lors de la vente d un terrain il s agit alors de missions de type LEVE tude historique et documentaire et investigations o En amont du lancement du projet pour conna tre les contraintes que la pollution ventuelle va g n rer sur le d roulement du projet LEVE ou EVAL tude historique et documentaire et investigations o En parall le l tude g otechnique d avant projet nous avons pu voir que la pr paration du chantier peut tre men e dans la m me optique et les investigations peuvent avoir lieu en m me temps mais les r sultats de l tude de pollution seront un l ment essentiel aux conclusions g otechniques et doivent donc tre connus auparavant EVAL
27. permet galement un gain de temps partage des recherches et transmission des informations d un service l autre Pour le reste du rapport il doit tre conforme aux objectifs de la mission vendue Environnement L tude d infiltration des eaux pluviales va d pendre du d partement dans lequel le projet va voir le jour En Seine Maritime les objectifs atteindre quantitativement sont e Infiltrer l quivalent du volume d cennal ruissel le plus d favorable si la perm abilit des sols le permet K gt 1 10 m s e Assurer la vidange du volume de stockage des eaux pluviales en moins de deux jours pour un v nement centennal le plus d favorable Dans le cadre de ce projet pour une surface imperm abilis e de 198 m le dimensionnement de la tranch e d infiltration am ne un volume g om trique de 10 m r parti sur 10 m de longueur Le d tail du dimensionnement est fourni en annexe 5 On v rifie enfin que la surface disponible sur la parcelle est suffisante pour y disposer un lin aire total de tranch e de 10 m G otechnique Le rapport G otechnique d une mission G1 PGC est limit aux l ments suivants e Synth se des r sultats des sondages r alis s la tari re description des horizons rencontr s nature g ologique profondeur paisseur e Synth se des r sultats des essais r alis s au p n trom tre dynamique fourchette pour les valeurs de la r sistance de pointe q en foncti
28. plus d favorable si la perm abilit des sols le permet K gt 1 10 6 m s e Assurer la vidange du volume de stockage des eaux pluviales en moins de deux jours pour un v nement centennal le plus d favorable et en moins d une journ e pour un v nement d cennal le plus d favorable Si la perm abilit des sols ne permet pas l infiltration des eaux K lt 1 10 m s il faut alors rejeter ces eaux dans les r seaux demande d autorisations Les investigations ont pour but de d terminer la perm abilit du sol plus ou moins superficiellement A partir de cette perm abilit de la surface d imperm abilisation engendr e par l ouvrage ainsi que de la dur e et de la p riode de retour de la pluie consid r e on peut estimer le volume stocker Le volume g om trique de la tranch e est ensuite d termin d apr s le volume stocker et la porosit du mat riau de la tranch e Enfin les dimensions de la tranch e sont d duites de son volume et de l espace disponible sur la parcelle Marie Renault INSA de Strasbourg D partement G nie Civil Promotion 2014 15 INSR Interactions entre tudes g otechniques et tudes environnementales STRASBOURG M thodes d investigation tudes compl mentarit et limites de prestation CEBTP Sites et sols pollu s Les missions dans le domaine des sites et sols pollu s sont encadr es par la Norme NF X 31 620 de juin 2011 qui d finit entre au
29. prestation 9 STRASBOURG CEBTP 2 1 3 Intervention sur terrain Afin d optimiser le temps de travail des quipes mais galement pour simplifier l organisation du client tout comme celle de l Agence les interventions g otechnique et environnementale vont avoir lieu le m me jour De plus ceci permet aussi l entraide entre les 2 quipes par exemple si les forages manuels pour les essais Porchet sont contraignants r aliser l quipe de g otechnique peut les effectuer rapidement avec sa tari re m canique Enfin les reconnaissances g otechniques peuvent ventuellement d tecter la pr sence d eau faible profondeur ce qui rend impossible la r alisation d un essai Porchet Ces essais sont r alis s de la mani re suivante e Forage la tari re de 150 mm de cavit s de 60 cm de profondeur e Alimentation en eau continue du sondage en vue d une saturation du sol sur une dur e suffisante par un syst me d alimentation niveau constant hauteur d eau maintenue 160 mm dans le sondage e Mesure du volume d eau infiltr pendant une dur e minimale de 10 mn suite cette saturation 2 1 4 Interpr tation des essais Dans les 2 cas g otechnique et environnement et jusqu des profondeurs diff rentes on devra fournir un faci s g ologique du sol investigu Environnement Les essais r alis s vont permettre de calculer la perm abilit des couches de sol superficielles voir d t
30. profil tudi dessiner la g ologie profondeur des diff rentes couches sur le profil en travers e Rep rer les coordonn es de tous les points du profil pour pouvoir le repr senter sur TALREN V rification de la stabilit des talus du profil l aide du logiciel TALREN l utilisation du logiciel passe par plusieurs tapes qui sont d taill es en annexe 26 Le logiciel apr s avoir entr les hypoth ses permet de calculer la valeur du coefficient de s curit Fin le plus d favorable pour un profil donn Pour avoir Fmin gt Fiim 1 5 pour un talus d finitif on peut jouer sur e La g om trie du talus o Adoucir la pente o Mettre en place une banquette en pied de talus e Les caract ristiques du sol o S ils agit d un remblai on peut ventuellement traiter le mat riau o Sinon on peut substituer un mat riau m diocre par un autre de meilleure qualit Marie Renault INSA de Strasbourg D partement G nie Civil Promotion 2014 PE INSR Interactions entre tudes g otechniques et tudes environnementales STRASBOURG M thodes d investigation tudes compl mentarit et limites de prestation CEBTP Dans le cas du pr sent projet on rappelle que la pr sence de zones humides proximit des talus et l espace foncier limit ne permet pas de modifier la g om trie du profil dans ces zones Ceci va donc directement conditionner les solutions envisager qui sont alors de type
31. que du type de sol et des valeurs de p fut lap 5 f e a b et c sont des param tres d pendant du type de sol et d finis dans le tableau F 5 2 2 de la norme NF P 94 262 joint en annexe 17 f d Puis qp o Vrai DIS et Yi 1 1 en compression Vrai Yr a2 Yra L4et Yra 11 en traction Le tableau suivant synth tise les r sultats obtenus pour les 2 formations travers es argile et sable A Epaisseur Courbe P Olpieu ds ds ik kPa six kPa Formation a b c fol hs m fol MPa sol kPa comp trac 2 Argile 3 4 Q1 0 003 0 04 3 5 0 25 0 024 1 1 26 Eole Cee e bolee Le Les nee sont n glig s sur 3 0 m pour la partie tub e Marie Renault INSA de Strasbourg D partement G nie Civil Promotion 2014 65 r Interactions entre tudes g otechniques et tudes environnementales HN ja M thodes d investigation tudes compl mentarit et limites de prestation STRASBOURG CEBTP Enfin R 4 JA d siik A est la surface de la section transversale du f t de la fondation d o R 4 T 1 00 i Dh i sk i R m 1 00 3 4 21 6 1 62 Rx 1412 kN En traction Ru T 1 00 3 4 17 6 1 51 R 1159 kN c Valeurs caract ristiques de la charge de fluage de compression et de traction Pour les l ments de fondation mis en uvre sans refoulement du sol En compression 0 5 R 0 7 Ro 0 5 714 0 7 1412 1345 kN Rs
32. servent de base pour choisir quels chantillons doivent tre analys s Marie Renault INSA de Strasbourg D partement G nie Civil Promotion 2014 19 INSR Interactions entre tudes g otechniques et tudes environnementales STRASBOURG M thodes d investigation tudes compl mentarit et limites de prestation CEBTP e Concernant les tudes g otechniques les essais en laboratoire sont r alis s d s lors que des travaux de terrassement en d blais remblais interviennent En effet les essais en laboratoire identification GTR essais Proctor IPI aptitude au traitement essai Triaxial etc vont permettre de caract riser le sol et d adapter ainsi son utilisation en phases provisoire et d finitive 1 4 2 Le terrain sondages chantillonnages et essais in situ La pr paration D s le stade de la r ponse un appel d offre ou la r daction d un devis la pr paration de l intervention commence En effet il faut au plus t t s assurer que les machines n cessaires aux investigations peuvent p n trer sur le site tudi gabarit Une fois la commande pass e le technicien en charge du chantier peut lancer les DICT D claration d intention de Commencement de Travaux il s agit de pr venir de notre intervention les exploitants des diff rents r seaux cette d marche est obligatoire Ensuite gr ce aux plans de r seaux communiqu s les diff rents sondages peuvent tre implant s avec un r
33. tes ssnte ns entntetessnne nie e dec ERO OORO O tient 36 2 3 3 Contexte de la mission seems 37 2 3 4 Prise en compte du Dossier Loi sur l Eau 38 2 3 5 Etude G otechnique d Ex cution phase Etude G4 sssssesssssrrssrrssrssrrssrrssrrssressressee 41 2 3 6 Conelusi N secede ee e e e a tie aE e tree tte A E EE EA 42 3 Bil net sch mas d interaction Sereia re naine ngeten aae taadaa kadena aeaee taida da kania nee aaiae Ri 43 CONCUSSION EE E EEE A EE 45 Bibliographie inner ire nie a E a E E E E tiques menace ES de 46 Marie Renault INSA de Strasbourg D partement G nie Civil Promotion 2014 9 INSA STRASBOURG Annexes Annexe n 1 Annexe n 2 Annexe n 3 Annexe n 4 Annexe n 5 Annexe n 6 Annexe n 7 la qualit des Annexe n 8 Annexe n 9 Annexe n 10 dans le cadre Annexe n 11 Annexe n 12 Annexe n 13 Annexe n 14 Annexe n 15 Annexe n 16 Annexe n 17 Annexe n 18 Annexe n 19 Annexe n 20 Annexe n 21 Annexe n 22 Annexe n 23 Annexe n 24 Annexe n 25 Annexe n 26 Mari Interactions entre tudes g otechniques et tudes environnementales M thodes d investigation tudes compl mentarit et limites de prestation de ee be la ae De te ee ee een 47 Organigramme de l agence Ginger CEBTP Normandie 48 Feuille de route des investigations de terrain 49 Fiche de quart d heure de pr paration de chantier
34. 6 02 2014 annule et remplace la version V4 du 08 01 2014 Page 1 1 Direction r gionale GRAND NORD Directeur R gional Olivier JONQUOIS Responsable Administratif et Financier Philippe VANDAMME Directeur Qualit amp S curit Val rie LEMAIRE Animateur Qualit amp S curit National Sandrine AMARO Responsable M trologie National Laurent FRASCA Agence de NORMANDIE Chef d agence Fr d ric LEFEBVRE Responsable Technique et D veloppement Abdeljalil ZRI Assistante M lanie MAHIEU Accueil V ronique FARCY Correspondant qualit Laurent LAVAUD Correspondant m trologie Nicolas GALLET Correspondant s curit Fr d ric LEFEBVRE P le Sondage Responsable de Production Fabien SERIN Op rateurs G otechniciens Conducteur de travaux Claude DEWEER Alexis BARRE Lhoucine EL GHAZOUANI Mohamed JAMAL Yohann LABOURIER Mohammed OUCHEOU 1 Bas sur le site de IFS DR AE lien fonctionnel lien hi rarchique o g Hi F STRASBOURG e Interactions entre tudes g otechniques et tudes environnementales M thodes d investigation tudes compl mentarit et limites de prestation Annexe n 2 Feuille de route des investigations de terrain Marie Renault INSA de Strasbourg D partement G nie Civil Promotion 2014 CEBTP 49 ENREGISTREMENT E123 FICHE D INSTRUCTIONS DE CHANTIER Version 3 03 10 2013 SONDAGE GEOTECHNIQUE ee CEB
35. DAGE ECHANTILLONS technique impos e qualit du trou souhait e en vue des essais pr vus de diagraphies ventuelles d instrumentations etc REBOUCHAGE L En t te O Rebouchage sobranite L Cimentation compl te La remise en tat du site est imp rative apr s travaux une fiche de d g t PS E508 est tablir au besoin VIIL REVUE DES EXIGENCES Cocher la case correspondant la complexit de la mission Difficult de r alisation Mission de complexit faible Revue des exigences et essais valider par l op rateur g otechnicien forte Mission de complexit moyenne forte moyenne Revue des exigences et essais valider par le conducteur de travaux Enjeu et Mission de complexit tr s forte exceptionnelle taipe nsque technique Revue des exigences et essais valider par la direction du P le sondage faible moyen fort R dacteur de la fiche Avant le d part en chantier A la remise des r sultats charg d affaire validation P le sondage charg d affaire Nom Date et Signature Nom Date et Signature Nom Date et Signature Commentaires Commentaires Commentaires 110 Interactions entre tudes g otechniques et tudes environnementales o l ai eeri M thodes d investigation tudes compl mentarit et limites de prestation CEBTP Annexe n 3 Fiche de quart d heure de pr paration de chantier Marie Renault INSA de Strasbourg D partement G n
36. EAU VERITAS Certification BUREAU VERITAS Certification TIYIS De plus le Groupe poss de une qualification OPQIBI il s agit d une reconnaissance externe de la comp tence de Ginger CEBTP en mati re d expertise et d ing nierie OPQOI IBi L ING NIERIE QUALIFI E Enfin l agence de Normandie pr sente la sp cificit d tre certifi e MASE Manuel d Am lioration S curit des Entreprises Cette certification est indispensable pour l agence qui travaille de plus en plus avec les entreprises p trochimiques de la r gion A MASE Marie Renault INSA de Strasbourg D partement G nie Civil Promotion 2014 10 INSR Interactions entre tudes g otechniques et tudes environnementales jir ipii M thodes d investigation tudes compl mentarit et limites de prestation CEBTP 1 3 D finition de la mission r aliser cadre r glementaire 1 3 1 Missions G otechniques Les missions g otechniques sont encadr es par la Norme NF P 94 500 qui d finit les missions d ing nierie g otechniques classification et sp cification elle a t r vis e en novembre 2013 Ce document pr cise le contenu et les limites des missions d ing nierie g otechnique ainsi que leur encha nement au cours de la conception de la r alisation et de la vie d un am nagement de site ou d un ouvrage afin de contribuer la ma trise des risques g otechniques L attribution d une missio
37. GU PIGU PIRS et MIRS les valeurs propos es correspondent une ex cution stricte et soign e de l injection correspondante Les essais de conformit Section 8 9 permettront de d finir pr cis ment les valeurs de frottement axial unitaire consid rer Il convient ensuite d appliquer les valeurs T et Z du tableau C2 3 1 On attire l attention que cette recommandation est d autant plus importante dars les argiles et les marnes que les performances dans ces terrains sont tr s sensibles toute irsuffsance lors de la mise en ceuvre b Pour les micropieux et les pieux de cat gorie 17 et 48 il convient de consid rer les valeurs de frottement axal unitaire des techniques de pieux ou de micropieuxles plus proches sur le plan de la technologie c Les valeurs mentionn es pour les fondations profondes de cat gorie 6 sont donn es pour des pieux r alis s avec un enregistrement continu des param tres de forage et de b tonnage table au 6 4 1 1 Note 1 Dare le cas contraire on s expose des discontinuit s et des d t riorations du pieu lors de sa r alisation d Les valeurs mentionn es pour les fondations profondes de cat gorie 7 mises en uvre avec une technique de b tonnage directement la pompe b ton sont donn es pour des pieux r alis s avec un enregistrement continu des param tres de r alisation du pieu Dans le cas contraire on s expose des di continuit s et des d t riorations du pieu lors de sa r alis
38. Le rapport Une fois les investigations et les essais r alis s on peut alors les exploiter pour r diger le rapport synth se de l tude remettre au client D pouillement des investigations et des essais ventuellement Lorsque qu il y en a les r sultats des investigations et des essais tant bruts il faut d abord les exploiter Bien souvent ce sont les techniciens de l agence qui d pouillent les essais et les remettent au propre aux charg s d affaires Pour se faire un logiciel interne de Ginger CEBTP GeoWin est disponible II permet de d pouiller les r sultats directement moyennant quelques adaptations de l op rateur et la mise en page se fait automatiquement Pour ce qui est des r sultats d analyses de pollution en laboratoire ext rieur les r sultats arrivent sous forme de tableau de synth se de l ensemble des valeurs La r daction du rapport Le charg d affaire r cup re ensuite les r sultats des investigations et des essais pour les int grer son rapport d tude Ces r sultats sont alors exploit s pour r pondre aux objectifs de la mission d finie Chaque rapport fait l objet d une relecture interne par un autre charg d affaire habilit en fonction de la complexit du projet Ce syst me permet d assurer le suivi qualit des tudes Marie Renault INSA de Strasbourg D partement G nie Civil Promotion 2014 IN D Interactions entre tudes g otechniques e
39. Pieux for s tari re continue CFA rr EA A A A LE EE EE conforme aux tableaux AG 3 AS de l annexe de NF EN 1997 1 Jeu R2 Tableau C 2 3 2 Facteurs partiels de r sistance fp pour les pieux Situations accidentelles Pieux la o tari re R sistance Symbole Pieux fonc s Pieux for s continue CFA us ds Marie Renault INSA de Strasbourg D partement G nie Civil Promotion 2014 78 SIN Interactions entre tudes g otechniques et tudes environnementales ISA M thodes d investigation tudes compl mentarit et limites de prestation STRASBOURG CEBTP Annexe n 19 Tableaux 14 2 1 1 et 14 2 1 2 de la norme NF P 94 262 Facteurs partiels de r sistance yr pour les fondations profondes ELS Tableau 14 2 1 1 Facteurs partiels de r sistance gt pour les fondations profondes ELS Combinaisons caract ristiques F t en compression Ver 0 9 F t en traction y compris Yger 1 1 micropieux Tableau 14 2 1 2 Facteurs partiels de r sistance pour les fondations profondes ELS Combinaisons quasi permanentes R sistance Symbole Valeurs F t en compression F t en traction y compris micropieux Marie Renault INSA de Strasbourg D partement G nie Civil Promotion 2014 79 Interactions entre tudes g otechniques et tudes environnementales INS M thodes d investigation tudes compl mentari
40. Strasbourg D partement G nie Civil Promotion 2014 14 INSR Interactions entre tudes g otechniques et tudes environnementales STRASBOURG M thodes d investigation tudes compl mentarit et limites de prestation CEBTP Un DLE d autorisation doit comporter les m mes renseignements avec des pr cisions notamment e L valuation syst matique des incidences du projet sur un ou plusieurs sites Natura 2000 au regard des objectifs de conservation de ces sites e La justification de la compatibilit du projet avec le SAGE ou le SDAGE et avec les dispositions du plan de gestion des risques d inondation et de sa contribution la r alisation des objectifs vis s l article L 211 1 ainsi que des objectifs de qualit des eaux pr vus par l article D 211 10 Etudes d infiltration des eaux pluviales Les tudes d infiltration des eaux pluviales peuvent tre rendues obligatoires par la r glementation ou plus petite chelle par la commune En effet la construction d un ouvrage sur un terrain nu entra ne une imperm abilisation qu il faut contrebalancer par la mise en place de tranch es ou de bassins d infiltrations Par exemple la doctrine de la Police de l Eau de Seine Maritime indique qu en termes de gestion des eaux pluviales les objectifs atteindre quantitativement sont e Infiltrer l quivalent du volume d cennal ou centennal en fonction des communes ruissel le
41. TP Processus AFFAIRES R f DICT R f ARRETE DE VOIRIE I DESIGNATION DE L AFFAIRE PROJET ADRESSE INGENIEUR CHARGE DE L AFFAIRE T Bureau IL OBJECTIFS DE LA MISSION programme d taill en page 2 Probl me mettre en vidence HI IMPERATIFS D EXECUTION SOUHAIT Semaine N Dur e estim e pour la mission ATELIER demand CONTACT AVANT intervention pr venir u essse Au moins jours l avance 2 APPELS IMPERATIFS C Apr s ler sondage Tous les jours L Avant de partir Ing nieur contacter avant d part vers le chantier C OUI CI NON Pendant les travaux en cas de probl me pr venir CRITERES D ARRET Ne jamais s arr ter sur une rechute marqu e de r sistance Par exemple Pressio suite de x essais gt x bars P n tro refus x coups 20 cm en dynamique x bars sur x m tres en statique Si profondeur gt au programme demander avis 4 suis O SEET EREE EEEE EEEE NIVEAUX D EAU A RELEVER L Dans les sondages L Dans les pi zom tres L Matin L Soir RESULTATS A FOURNIR L Fin de chantier L Fin de semaine SNSS9p 19 ND2 Q0 9 SUDP 2 1199p 9179 JU9WIAIYDAIdUN pop aWWD18014 9 suvp 29710ddb uoyvoifipou mo J STI EI 9P UONLIYNUPI p OJQUNU 49 WOU ISHN R resso p SOIN sots
42. UE E 10 5 195 0 606 p_____ 20 5 963 0606 en 00 EE L a M 2 D __ 50 A 0608 __ TS CT a o 90 _ Marie Renault INSA de Strasbourg D partement G nie Civil Promotion 2014 56 IN D Interactions entre tudes g otechniques et tudes environnementales M thodes d investigation tudes compl mentarit et limites de prestation o g sig E STRASBOURG CEBTP Annexe n 7 Valeurs de r f rences utilis es pour d terminer la qualit des eaux souterraines Les r sultats d analyse des eaux souterraines sont compar s aux valeurs de r f rence r glementaires de qualit des eaux d finies par l arr t du 11 janvier 2007 fixant e Les valeurs limites et les valeurs r f rences de qualit des eaux destin es la consommation humaine l exclusion des eaux conditionn es e Les valeurs limites de qualit des eaux brutes de toute origine utilis es pour la production d eau destin e la consommation humaine l exclusion des eaux de source conditionn es Ensuite les teneurs mesur es sont galement confront es aux valeurs guides de l Organisation Mondiale de la Sant OMS provenant des directives de qualit pour l eau de boisson 2006 Par ailleurs on utilise aussi les valeurs seuils tablies lors du programme Syst me d valuation de la qualit des eaux souterraines SEQ eaux souterraines fixant e Les valeurs limites de qualit des eaux destin es usage
43. ail en annexe 5 G otechnique En plus de la lithologie du site fournie par les sondages la tari re les r sultats des essais au p n trom tre dynamique aboutissent des courbes donnant la r sistance de pointe qa en fonction de la profondeur A ce stade de la mission il est important que les 2 services communiquent afin de s assurer de la corr lation de leurs r sultats notamment en ce qui concerne les couches lithologiques et la pr sence d eau L unicit des rendus doit tre de mise afin de cr dibiliser le travail vis vis du client mais galement afin de garantir un suivi qualit L interaction des 2 entit s est alors une force Marie Renault INSA de Strasbourg D partement G nie Civil Promotion 2014 INSR Interactions entre tudes g otechniques et tudes environnementales STRASBOURG M thodes d investigation tudes compl mentarit et limites de prestation CEBTP 2 1 5 R daction des rapports Les rapports vont galement pr senter des informations similaires dont il faudra assurer l homog n it Ceci est valable notamment pour les donn es suivantes e Situation du projet e Nature du terrain et de l ouvrage construire e G ologie du site avant investigations d apr s le Bureau de Recherche G ologique et Mini re BRGM e Risques naturels cavit s et mouvements de terrain inondations retrait gonflement des argiles sismicit La concertation des 2 services
44. am tres n cessaires pour une recherche automatique sont explicit s dans le manuel d utilisation de TALREN Le param tre principal est le nombre de d coupages c est lui qui d termine la densit du maillage automatique il correspond au nombre de directions au nombre de distances et au nombre de rayons calcul s pour chaque balayage Par exemple avec un nombre de d coupages de 10 le nombre de cercles calcul s au terme des 2 balayages sera gal 2 x 10 x 10 x 10 2000 Le positionnement des centres diff rentes distances selon une m me direction se fait de la fa on suivante e Soit L la longueur du segment reliant le point de passage impos pour le 1 cercle d fini par l utilisateur l autre point d intersection avec le talus cf Figure 5 e Le centre le plus proche du talus se trouve une distance L 2 de ce segment e Le second centre se trouve L 2 du premier e Pour les suivants l espacement entre 2 centres sur la m me direction est gal L e Le nombre de centres positionn selon une direction est gal au nombre de d coupages Remarque Il convient d tre prudent dans l analyse des r sultats d une recherche automatique Il peut notamment arriver que le premier niveau de balayage d tecte 2 minima du coefficient de s curit me quasiment gaux dans des zones diff rentes Le 2 niveau de balayage raffinera ensuite uniquement la zone correspondant au minimum absolu alors qu un
45. arge e 0 6 m de profondeur dont 0 5 m de hauteur utile de stockage remplie d un mat riau de porosit minimum de 30 Compte tenu des param tres cit s ci dessus la section de la tranch e sera alors de 2 0 x 0 5 1 0 m La surface d infiltration prise en hypoth se est de 15 m2 Par cons quent nous obtenons 0 5 x 2 x Lx 0 5 2 0 x L 15 m d o L 10 ml Ce lin aire de tranch e est valable uniquement pour une surface parcellaire imperm abilis e consid r e gale 198 m Le volume g om trique de la tranch e correspondante est alors de 10 m On v rifie finalement que la surface disponible sur la parcelle est suffisante pour y disposer un lin aire total de tranch e de 10 m Enfin le d bit de vidange Q K X Sinfitration tant de 2 1 10 m s nous obtenons un temps de vidange de 0 4 heures ce qui est inf rieur au seuil de 48h fix par le d partement de la Seine Maritime Marie Renault INSA de Strasbourg D partement G nie Civil Promotion 2014 55 IN Interactions entre tudes g otechniques et tudes environnementales 4 nr M thodes d investigation tudes compl mentarit et limites de prestation CEBTP Annexe n 6 Coefficients de Montana pour les dur es de pluie consid r es STATION DE ROUEN BOOS 76 PERIODE 1957 2000 100 ans Dur e de retour en ann e 6 minutes 2 heures ER us POS NN n_ __ 2 3 260 ___ 0 510 __ n a R
46. arois et de la base de la tranch e afin de prendre en compte le ph nom ne de colmatage soit 1 Sinfiltration a S Pour calculer le volume de stockage il faut donc consid rer une certaine surface d infiltration et en d duire ensuite la g om trie de la tranch e d infiltration On pose ici Sinfiltration 15 m On trace alors les courbes du volume de stockage en fonction de la dur e de la pluie et on obtient un volume de stockage maximum pour une dur e donn e Les dur es des pluies tudi es sont choisies en fonction des donn es pour les coefficients de Montana fournis par M t o France et de telle sorte qu on obtienne des dur es de pluie s talant sur une journ e ici de 6 minutes 24 heures Marie Renault INSA de Strasbourg D partement G nie Civil Promotion 2014 25 INSR Interactions entre tudes g otechniques et tudes environnementales E 4 R M thodes d investigation tudes compl mentarit et limites de prestation CEBTP L utilisation des coefficients de Montana pour une pluie de 1 heure 24 heures d occurrence centennale a 20 712 et b 0 842 nous donne le graphe suivant i p Ventrant Estimation du volume de r tention pour une 5 A Vsortant pluie de 1 24 h d occurrence centennale Vstockage Volume m3 D 123 4 5 6 7 8 9 10111213 14 15 16 17 18 19 20 21 22 23 24 Temps heures Les r sulta
47. asbourg D partement G nie Civil Promotion 2014 17 25 INSR Interactions entre tudes g otechniques et tudes environnementales E A h M thodes d investigation tudes compl mentarit et limites de prestation CEBTP Les offres l mentaires compl mentaires aux offres globales sont list es dans le tableau ci dessous les missions r alis es par l agence de Normandie apparaissent en couleur pourpre Offres l mentaires de prestations Diagnostic de l tat des milieux Visite du site Etudes historiques documentaires et m morielles Etude de vuln rabilit des milieux Pr l vements mesures observations et ou analyses sur les sols Pr l vements mesures observations et ou analyses sur les eaux souterraines Pr l vements mesures observations et ou analyses sur les eaux superficielles et ou s diments Pr l vements mesures observations et ou analyses sur les gaz du sol Pr l vements mesures observations et ou analyses sur l air ambiant et les poussi res atmosph riques Pr l vements mesures observations et ou analyses sur les denr es alimentaires Pr l vements mesures observations et ou analyses sur les terres excav es Evaluation des impacts sur les enjeux prot ger Analyse des enjeux sur les ressources en eaux Analyse des enjeux sur les ressources environnementales Analyse des enjeux sanitaire
48. ation Ce Il convient de se r f rer l article 10 pour le choix des p rim tres et des aires des pieux consid rer dans les calcu Cf D autres valeurs peuvent tre utilis es condition de satisfaire les conditions de la clause 9 de la section 1 Marie Renault INSA de Strasbourg D partement G nie Civil Promotion 2014 on Interactions entre tudes g otechniques et tudes environnementales INSA 07 M thodes d investigation tudes compl mentarit et limites de prestation amp STRASBOURG S CEBTP Annexe n 17 Tableau F 5 2 2 de la norme NF P 94 262 Valeurs num riques des param tres a b et c des courbes f a M thode pressiom trique Argile CaCO lt Sols Marne et Roche posa 30 interm diaires Craie Calcaire alt r e ou Limon Sob Sable Grave Marneux fragment e interm diaires courbe D ES EE ER 2 D A A NE EN ES Marie Renault INSA de Strasbourg D partement G nie Civil Promotion 2014 77 on Interactions entre tudes g otechniques et tudes environnementales e1INSA M thodes d investigation tudes compl mentarit et limites de prestation amp STRASBOURG CEBTP Annexe n 18 Tableaux C 2 3 1 et C 2 3 2 de la norme NF P 94 262 Facteurs partiels de r sistance yg pour les pieux Tableau C 2 3 1 Facteurs partiels de r sistance fp pour les pieux Situations durables et transitoires Pieux la R sistance Symbole Pieux fonc s
49. attus Marie Renault INSA de Strasbourg D partement G nie Civil Promotion 2014 63 Interactions entre tudes g otechniques et tudes environnementales IN D M thodes d investigation tudes compl mentarit et limites de prestation STRASBOURG CEBTP e EBAUCHE DIMENSIONNELLE D UN PIEU DE 1000 MM DE DIAMETRE POUR LA COLONNE Le diam tre la longueur et donc le nombre de pieux r partis sous le futur ouvrage pourront varier en fonction de la m thode de forage choisie et des descentes de charges au droit de chaque appui Au stade de l tude avant projet une bauche dimensionnelle selon la proc dure du mod le de terrain de la norme NF P 94 262 de juillet 2012 Eurocode 7 pour un pieu for simple de 1 0 m de diam tre descendu 12 5 m est donn e ci apr s a Valeur caract ristique de la r sistance de pointe de la fondation profonde R x Il faut tout d abord calculer la pression de rupture du terrain sous la base de la fondation profonde partir de l expression suivante d k Pi k est le facteur de portance dont le calcul est d taill en annexe 11 On obtient k 1 1 Ps est la pression limite nette quivalente dont le calcul est d taill en annexe 14 On obtient p 1 04MPa Donc la pression de rupture du terrain sous la fondation q k P 1 1 1 04 Soit q 1 15 MPa Ensuite on calcule la valeur caract ristique de la pression r sistante limite la
50. ax 7 2 125 4 lin mo soit To max 304 KN pour une sollicitation de courte dur e ELU Tomax LAR soit Tomax 275 kN pour une sollicitation de longue dur e ELS T Et enfin Momax oho 2 304 4 M max la soit M pma 739 kN m pour une sollicitation de courte dur e ELU 275 4 4 M max Le soit M omas 606kN m pour une sollicitation de longue dur e ELS Le moment maximum se situe en t te du pieu Marie Renault INSA de Strasbourg D partement G nie Civil Promotion 2014 ga Interactions entre tudes g otechniques et tudes environnementales IN M thodes d investigation tudes compl mentarit et limites de prestation STRASBOURG CEBTP Annexe n 23 D finition du frottement n gatif Un pieu de fondation est soumis diff rents efforts en t te notamment en compression verticale Lorsque la charge est appliqu e sur le pieu il se produit une l g re d formation du sol sous sa pointe entra nant un d placement de celui ci Le fonctionnement habituel du pieu et optimal que l on recherche est celui pour lequel la charge de compression est quilibr e par la capacit de pointe et la r sistance mobilis e le long du f t Cette r action pieu sol est dirig e de bas vers le haut Elle est couramment appel e frottement positif Il peut arriver que certaines couches de terrain entourant le pieu tassent elles m mes plus rapidement que le pieu du fait de couches compressibles ou de remblais r
51. base de la fondation profondeur d apr s la formule suivante d x E Vrai Vr a2 Vr a est le coefficient partiel de mod le li la dispersion du mod le de calcul V8 Est le coefficient partiel de mod le li au calage des m thodes de calcul Leurs valeurs d pendent du type de pieu de la nature du sol d ancrage et du type de sollicitation du pieu traction ou compression Ces valeurs sont fournies dans le tableau F 2 1 de la norme NF P 94 262 joint en annexe 15 On prend donc Yra 115 et Yra 11 Marie Renault INSA de Strasbourg D partement G nie Civil Promotion 2014 64 r Interactions entre tudes g otechniques et tudes environnementales Ogi M thodes d investigation tudes compl mentarit et limites de prestation d e STRASBOURG CEBTP 1 15 D o UE aa x 115 11 Qyx 909 kPa Et enfin Rx aox A tant la surface de la base de la fondation profonde 2 Donc Ros TL 909 R 714 kN b Valeur caract ristique de la r sistance de frottement axial de la fondation profonde R x4 Il faut tout d abord d terminer les valeurs du frottement axial unitaire limite qs pour chaque formation qe 2 Q peust Fealpi z est un param tre adimensionnel qui d pend la fois du type de pieu et du type de sol d fini identifi e sachant que a pieu sol dans le tableau F 5 2 1 de la norme NF P 94 262 joint en annexe 16 f a est une fonction qui ne d pend
52. blais 1 5 1 8 n 2 Argile vasarde grise 6 0 6 4 0 25 2 5 n 3 Sable gris vert compact 12 5 16 5 2 37 29 0 n 4 Sable gris vert peu compact gt 26 8 0 60 6 0 Les niveaux d eau relev s ont t rencontr s des profondeurs comprises entre 0 4 et 0 9 m au moment des investigations Ces niveaux d eau semblent correspondre au niveau de la nappe e SOLUTION DE FONDATION RETENUE Compte tenu de l h t rog n it de la formation n 1 des faibles caract ristiques de la formation n 2 et des descentes de charge lev es de la structure une solution de fondations superficielles semi profondes ou par radier ancr es dans cette formation ou dans le remblai de substitution n appara t pas envisageable pour cet ouvrage du fait de tassements pr visibles totaux et diff rentiels jug s trop importants Pour cet ouvrage on devra donc s orienter vers une solution de fondations profondes sur pieux ancr s dans les sables compacts de la formation n 3 Compte tenu de la pr sence de la nappe et de terrains majoritairement sableux les pieux seront r alis s selon une technique permettant une bonne tenue des parois des forages sur toute leur hauteur for la boue for tub for tari re creuse viss par exemple et compatible avec la pose d un tubage traversant les terrains superficiels La proximit des ouvrages avoisinants conduit rejeter toute solution de fondation par pieux de type b
53. ci s g ologiques o Sp cificit les calculs et les synth ses sont propres chaque m tier e Etape Etude r daction du rapport o Interaction l homog n it des parties communes aux deux rapports est indispensable et n cessite un partage entre les deux services Par ailleurs les r sultats environnementaux pouvant influer sur les solutions g otechniques la communication entre les deux charg s d affaires est primordiale o Sp cificit les tudes de chacun des services pr sentent bien entendu des sp cificit s puisqu elles n ont pas les m mes objectifs Marie Renault INSA de Strasbourg D partement G nie Civil Promotion 2014 44 INSR Interactions entre tudes g otechniques et tudes environnementales STRASBOURG M thodes d investigation tudes compl mentarit et limites de prestation CEBTP Conclusion L objectif de ce PFE tait d tudier les interactions existant entre tudes g otechniques et tudes environnementales Pour conna tre le contexte o s appliquent ces interactions il a tout d abord fallu d finir un cadre e Cadre r glementaire avec les normes d finissant chacune des missions g otechniques d une part et environnementales d autre part ces normes permettent galement de distinguer les limites de prestation e Cadre organisationnel avec un d roul de chaque mission qui s organise selon plusieurs tapes cl s pr paration du chantier interve
54. cle R 214 32 du Code de l Environnement un DLE de d claration doit comprendre un document e indiquant les incidences du projet sur la ressource en eau le milieu aquatique l coulement le niveau et la qualit des eaux y compris de ruissellement en fonction des proc d s mis en uvre des modalit s d ex cution des travaux ou de l activit du fonctionnement des ouvrages ou installations de la nature de l origine et du volume des eaux utilis es ou affect es et compte tenu des variations saisonni res et climatiques e Comportant lorsque le projet est de nature affecter de fa on notable un site NATURA 2000 au sens de l article L 414 4 l valuation de ses incidences au regard des objectifs de conservation du site e justifiant le cas ch ant de la compatibilit avec le SAGE ou le SDAGE et de sa contribution la r alisation des objectifs vis s l article L 211 1 ainsi que des objectifs de qualit des eaux pr vus par l article D 211 10 e Pr cisant s il y a lieu les mesures correctives ou compensatoires envisag es Ce document est adapt l importance du projet et de ses incidences Les informations qu il doit contenir peuvent tre pr cis es par un arr t du ministre charg de l environnement Par ailleurs les moyens de surveillance ou d valuation des pr l vements et des d versements pr vus sont galement fournis avec le dossier de d claration Marie Renault INSA de
55. code 7 Calcul g otechnique Partie 1 R gles g n rales Annexe Nationale la NF EN 1997 1 2005 Norme NF X 31 620 de juin 2011 Prestations de services relatives aux sites et sols pollu s Arr t du 11 janvier 2007 relatif aux limites et r f rences de qualit des eaux brutes et des eaux destin es la consommation humaine Directives de qualit pour l eau de boisson 2006 de l Organisation Mondiale de la Sant Syst me d valuation de la qualit des eaux souterraines SEQ eaux souterraines Norme FD X 31 615 de d cembre 2000 Pr l vements et chantillonnage des eaux souterraines dans un forage Marie Renault INSA de Strasbourg D partement G nie Civil Promotion 2014 o g 8 SINS E STRASBOURG e Interactions entre tudes g otechniques et tudes environnementales M thodes d investigation tudes compl mentarit et limites de prestation Annexes Marie Renault INSA de Strasbourg D partement G nie Civil Promotion 2014 CEBTP 47 110 Interactions entre tudes g otechniques et tudes environnementales A l i eeri M thodes d investigation tudes compl mentarit et limites de prestation CEBTP Annexe n 1 Organigramme de l agence Ginger CEBTP Normandie Marie Renault INSA de Strasbourg D partement G nie Civil Promotion 2014 48 ORGANIGRAMME AGENCE V4 du 13 09 2012 Processus RH Date de mise jour 0
56. cul simplifi qui en r sulte on v rifiera ensuite que la longueur de transfert L obtenue reste inf rieure ou du m me ordre de grandeur que l paisseur de la formation 1 On a donc kenn r 4 0 6 2 65 1 0 A 2 3 1 0 0 6 3 K 10 64 MPa j re 1 Pour une longue dur e d application K K 2 K 5 32 MPa Par ailleurs r est le seuil de plasticit de r action frontale d fini par r B p r 125 kN m Marie Renault INSA de Strasbourg D partement G nie Civil Promotion 2014 68 Interactions entre tudes g otechniques et tudes environnementales IN D M thodes d investigation tudes compl mentarit et limites de prestation 4 STRASBOURG CEBTP Les r sultats obtenus partir de ces hypoth ses sont les suivants les calculs sont d taill s en annexe 22 Sollicitations de courte dur e ELU Sollicitations de longue dur e ELS Lo m 4 86 4 40 To kN 304 275 Mo kN m 739 606 La longueur de transfert L est du m me ordre de grandeur que l paisseur de la formation 1 ce qui justifie les hypoth ses prises en compte Remarque la d termination des charges horizontales admissibles sur les structures doit faire l objet d une valuation sp cifique partir des donn es pr c dentes et selon les recommandations du fascicule 62 titre V en int grant les liaisons m caniques existantes en t te des pieux f Remarques D une mani re g n
57. d favorable et le cercle de rupture associ Marie Renault INSA de Strasbourg D partement G nie Civil Promotion 2014 LT Interactions entre tudes g otechniques et tudes environnementales o INSR M thodes d investigation tudes compl mentarit et limites de prestation e E STRASBOURG ar ET AT Echelle 205 ve eo 210 20 50 Rs 1a iae ca 2700 20 00 1700 2700 1 47 aao 197 Fmin 1 17 cik Pa ENT 550 300 300 6 88 BofkPsm 00 000 000 000 enr 119 Phase Ddiritiue 1 Situation Situation 1 1 P M thode de calcu Bishop Eu 120 Syst me durit s kN kPa kNim3 131 L 14 1 Pond ratiens Tradticanel Sit d finitive Le a 14 1 2000000 2 12 D060006 mon Ar ne granitique Argile Remblai limoneux Figure 11 Exemple de calcul l aide du logiciel TALREN D apr s le r sultat du calcul pr c dent on obtient un coefficient de s curit F 1 17 en situation permanente ce qui est insuffisant Fin 1 50 Pour avoir Fin gt Fim ON peut jouer sur e La g om trie du talus o Adoucir la pente o Mettre en place une banquette en pied de talus e Les caract ristiques du sol o S ils agit d un remblai on peut ventuellement traiter le mat riau o Sinon on peut substituer un mat riau m diocre par un autre de meilleure qualit Dans le cas du pr sent projet on rappelle que la pr sence de zones humides proximit d
58. d ex cution qui donne un avis sur la pertinence des hypoth ses g otechniques de l tude g otechnique d ex cution des dimensionnements et des m thodes d ex cution des adaptations des ouvrages g otechniques propos es par l entrepreneur et du plan de contr le o la phase Supervision du suivi g otechnique d ex cution qui par interventions ponctuelles sur le chantier donne un avis sur la pertinence du contexte g otechnique du comportement de l ouvrage et des avoisinants de l adaptation ou de l optimisation de l ouvrage g otechnique propos e Par ailleurs il existe une mission d ing nierie g otechnique qui doit tre r alis e par l entreprise ex cutrice des travaux sur les donn es g otechniques fournies par le ma tre d ouvrage la phase G2 DCE ACT Cette mission l tude et suivi g otechniques d ex cution G3 qui doit tre r alis e l tape 3 comprend deux phases interactives o la phase tude qui tablit la note d hypoth ses g otechniques et donne le dimensionnement des ouvrages g otechniques leurs m thodes et conditions d ex cution leurs phasages g n raux o la phase Suivi qui par un suivi en continu des travaux g otechniques permet d une part de valider le mod le g ologique et les hypoth ses g otechniques du site et d autre part de s assurer que le comportement en cours d ex cution de l ouvrage et des avoisinants concern s est conforme aux pr visions ou de
59. des d investigation tudes compl mentarit et limites de prestation CEBTP Les moyens Concernant la G otechnique les interventions de terrain sont pour la plupart r alis es par le P le Sondage du groupe Il s agit d un service interne qui effectue les prestations de terrain il intervient avec ses propres machines et son propre personnel Les moyens affect s l agence de Normandie sont les suivants e 1 sondeuse de faible puissance quip e d une tari re et d un p n trom tre dynamique e 3 sondeuses de moyenne puissance capables de r aliser des forages de 60 150 mm de diam tre des pr l vements d chantillons carottages et essais pressiom triques Chaque machine fonctionne gr ce une quipe de 2 sondeurs Ces moyens peuvent varier en fonction de la demande machine suppl mentaire p n trom tre statique etc Concernant l Environnement d autres moyens sont mobilis s aupr s des entreprises ext rieures pelles m caniques pour les essais MATSUO ou les pr l vements d chantillons de sol pour la pollution par exemple Enfin l agence de Normandie dispose galement de son propre mat riel e Tari res et pelles manuelles e Tubes pour Essai Porchet e Mat riel de nivellement Pr l vements et essais in situ Les principaux pr l vements et essais qui peuvent tre r alis s sur site sont les suivants e Pour la G otechnique Pr l vements d chantillon
60. e 20 en France d outre mer et 25 l international 15 juin 2010 Ginger rejoint le groupe n erlandais Grontmij Ce rapprochement a donn naissance au quatri me acteur europ en de conseil en ing nierie en Europe avec un effectif de pr s de 10 000 personnes un chiffre d affaires de 1 1 milliard d euros et plus de 350 agences dans le monde 2013 Grontmij projette pour sa filiale fran aise Ginger un changement de cap radical annon ant son intention de se s parer de la branche expertise CEBTP l ment principal du r seau d agences Ginger Cela constitue un revirement strat gique destin assainir la sant financi re de la maison m re et recentrer l activit Septembre 2013 Ginger CEBTP redevient ind pendant 1 12 Domaines d activit s GINGER CEBTP intervient pour l ensemble de la cha ne de la construction en y apportant son expertise technique scientifique et humaine dans de nombreux domaines b timent ouvrages d art routes ouvrages industriels monuments historiques logements GINGER CEBTP est reconnu comme un acteur majeur avec plus d une vingtaine de domaines de comp tences dont notamment e La g otechnique o le groupe occupe une place de leader en France avec pr s d une centaine d ateliers de sondage et de laboratoires de m canique des sols e Les diagnostics de pathologie des structures et des mat riaux e les essais et certifications pour les produits de la construction e La ve
61. e Civil Promotion 2014 Echelle 1 500 88 T Interactions entre tudes g otechniques et tudes environnementales o INSR M thodes d investigation tudes compl mentarit et limites de prestation 2 E STRASBOURG CEBTP Annexe n 26 V rification de la stabilit des talus sur TALREN l utilisation du logiciel passe par plusieurs tapes e Description de l tude o Nom du projet caract ristiques succinctes o Limites g om triques du profil Xmin Xmax Ymin Et Ymax o Jeu de coefficients de s curit utilis en phase provisoire F 1 3 d finitive F 1 5 e D finition de la g om trie du profil o Coordonn es de l ensemble des points du profil tudi o Segments n cessaires pour relier les points selon la g om trie du projet e D finition de la g ologie du profil o Caract ristiques des formations en pr sence coh sion et angle de frottement interne long terme o Emplacement des formations en pr sence Pr paration du calcul o Cr ation de phases par exemple phase provisoire phase d finitive avec banquette avec merlon etc on peut modifier la g om trie du profil en activant ou en d sactivant certaines zones de sol o Au sein d une m me phase cr ation de situation diff rentes par exemple variation des caract ristiques du sol variation de la zone de passage du cercle de rupture Calcul Le logiciel TALREN repose sur la m th
62. e Q ieu so M thode pressiom tri Argile h Technique de CaCOs lt Sob ee ppt mise en uvre 3 interm diaires A larneux fragment e Limon Sols Sable Grave interm diaires Abr viation For simple pieux et barrettes For boue TE barrettes Fo r tub P For tub virale r cup r e EF simple ou PU rainurage ou puits For tari re continue F g 3 TED simple rotation ou double rotation Battu b ton pr fabriqu ou pr contr aint Battu enrob b ton mo rtier Battu acier ferm Battu acier ouvert Hbattu H battu inject IGU ou IRS Palplan ches m mes gt eu ou micropieu inject type EN BPF BPR N o N W b H h g 7 N Pieu ou micropieu inject type I Marie Renault INSA de Strasbourg D partement G nie Civil Promotion 2014 CEBTP n Interactions entre tudes g otechniques et tudes environnementales e1INSA M thodes d investigation tudes compl mentarit et limites de prestation STRASBOURG CEBTP convient de se reporter Tarticle A10 pour le calcul du p rim tre Pour les pieux de type BAO HB et PP mis en ceuvre par vibrofon age et pas par battage il y a lieu de faire un abattement de 30 sur les valeurs de Pour les pieux de grande longueur il convient d appliquer la clause 6 de la pr sente section Ca Pour les micropieux BE HBi MI
63. e cas contraire NE PAS INTERVENIR Puis v rifier la pr sence claire des points de sondage marquage n de sondage jalonette En cas d absence de l un des trois l ments ci dessus appeler l ing nieur charg d affaires CONSIGNES PARTICULIERES SUR LA SECURITE ET LES CONDITIONS DE TRAVAIL SUR LE CHANTIER SCHEMA D ACCES Joindre sch ma ou plan pour trouver rapidement et acc der facilement sur le site ou autres d tails utiles VIL REALISATION ET SUIVI DE CHANTIER IMPLANTATION C Imp rative comme plan L D j faite sur le terrain Toute modification d implantation d un sondage doit tre faite avec l accord de l ing nieur charg d affaire l implantation d finitive sera relev e pr cis ment et report e sur les plans fournis ou sur un sch ma NIVELLEMENT L Par topographe g om tre technicien L Par le sondeur Rep re pris par le sondeur point NGF tampon PTT EDF GDF tampon d assainissement axe de route seuil de porte AVANT TROUS C Pelle Pioche A la tari re main C Au marteau piqueur jusqu la profondeur de 1 30m EAU DISPONIBLE A C Citernage pr voir O Indiquer sur plan COMPRESSEUR i L Non Puissance ati Eea NT OEO EAn T APPROVISIONNEMENT EN CONSOMMABLES C Caisses carottes _ PVC pour EI Equipement pi zom tre Equipement inclinom tre Autre IMPERATIFS SUGGESTIONS DE SON
64. e en compte de ce crit re est galement important investigations ant rieures recherche documentaire connaissances du client etc L impact financier ce crit re n est pas n gliger l id e est d optimiser au mieux le programme pour r pondre qualitativement la mission tout en restant le plus comp titif possible Par exemple les essais de type p n trom tre dynamique sont plus rapides r aliser et moins co teux que les essais pressiom triques mais ces derniers permettent d obtenir des caract ristiques reconnues exploitables par les normes de calculs Il en est de m me pour les essais Porchet qui donnent une perm abilit superficielle et les essais MATSUO pour obtenir une perm abilit plus profonde et repr sentative Programme de laboratoire De la m me mani re la d finition du programme de laboratoire va tre directement li e la nature et l avancement du projet Concernant les tudes de pollution le choix des compos s analyser en laboratoire va d pendre de l histoire du site mais aussi du type de mission r aliser Par exemple pour une mission de diagnostic dans le cadre d une vacuation des terres en d charge un Pack ISDI Installations de Stockage des D chets Inertes est pr conis car il permet d analyer les polluants concern s par l arr t du 28 octobre 2010 relatif aux ISDI Par ailleurs les indices visuels et olfactifs rencontr s lors des investigations
65. e niveau du ruisseau du Vieux Fr vrier est cependant beaucoup plus bas que ceux de la zone du projet L atlas r gional dress par la DIREN Basse Normandie indique que le projet n est pas situ a priori dans une zone de remont e de la nappe un niveau pouvant pr senter un risque pour les am nagements sup rieur 5 0 m de profondeur 2 3 3 Contexte de la mission Ginger CEBTP a rejoint le projet en 2012 dans le cadre de l avant projet A ce stade il avait t r alis e Une tude d blai remblai de l ensemble des tron ons pour d terminer les quantit s et les m thodes et pour dimensionner la chauss e e Une mission d avant projet par tron on 12 au total e Une synth se g otechnique des investigations mission G5 Suite cette premi re phase l encha nement des missions g otechniques aurait voulu qu une mission G2 PRO soit r alis e afin de justifier les stabilit s des talus et de d finir les m thodes de mise en uvre Une campagne d investigations compl mentaires aurait galement pu tre effectu e Cependant cette mission n a pas t r alis e puisque le client a sollicit de nouveau Ginger CEBTP au stade o l entreprise ex cutrice des travaux avait d j t d finie Le contournement n tait donc plus au stade Projet mais au stade Ex cution phase Etude Il s agit donc d une mission Supervision g otechnique d Ex cution G4 Phase Etude qui a pour objecti
66. e pour le dimensionnement g otechnique permet n anmoins d avoir une premi re approche sur la r sistance du sol en fonction de la profondeur De la m me mani re que pour les sondages la tari re la quantit d essais au p n trom tre dynamique r aliser va d pendre de la surface de l ouvrage Pour un pavillon classique on en effectue bien souvent 4 5 sur l emprise du futur b timent Enfin les essais relatifs l tude d infiltration des eaux pluviales r alis s pour ce projet sont des essais Porchet Ces essais permettent de d terminer la perm abilit des couches de surfaces jusqu 0 50 m de profondeur environ ce qui est suffisant pour dimensionner l ouvrage de gestion des eaux pluviales d un pavillon DICT Elle est obligatoire d s lors que les sondages descendent plus de 0 80 m de profondeur L entreprise intervenante est tenue de r diger des DICT et de les envoyer aux diff rents concessionnaires concern s La parcelle appartenant un particulier l implantation des r seaux va surtout tre fournie par le propri taire auquel on demande bien souvent de signer une d charge Lorsqu il y a intervention simultan e des deux services la DICT peut tre commune Marie Renault INSA de Strasbourg D partement G nie Civil Promotion 2014 ETS SIN D Interactions entre tudes g otechniques et tudes environnementales A Ti M thodes d investigation tudes compl mentarit et limites de
67. ect et d emp cher la p n tration l int rieur du corps par une voie quelconque des poussi res et ou substances arsenicales Il comporte le respect des l ments suivants e N cessit d une aptitude m dicale pour chacun des intervenants confirmant la non contre indication l exposition d arsenic Ce certificat doit pr ciser le type de travaux le contexte et la dur e il est valable 1an e Un suivi urinaire doit galement tre mis en place pour v rifier que les travailleurs n ont pas t contamin s e Le responsable travaux de lusine remplit une fiche d exposition une substance canc rog ne mutag ne ou toxique pour la reproduction qui sera conserv e e Les travailleurs doivent porter une combinaison sp cifique jetable des gants et un masque adapt s Les l ments usag s sont stock s dans des r cipients r serv s cet effet selon qu ils soient jetables ou non e lusine doit mettre disposition un r cipient proximit des pi zom tres pour le rejet des eaux Elle prend galement en charge la d contamination de la pompe de pr l vement par lavage l eau claire e Les machines font l objet d un nettoyage entre chaque sondage et avant de quitter la zone de travail afin d viter d emmener de la terre contamin es l int rieur et l ext rieur de l usage e Directement apr s l exposition les travailleurs doivent se doucher en insistant sur le visage les cheveux
68. ement et de bilans prescriptions des arr t s pr fectoraux imposant une quadriennaux surveillance des milieux D finir des modalit s de r habilitation et Plan de gestion dans le cadre d un a a d am nagement d un site pollu PG projet de r habilitation ou or n a j Supprimer ou d faut ma triser les sources de d am nagement d un site pollution et leurs impacts Distinguer les milieux avec des usages d j fix s qui ne n cessitent aucune action particuli re _ E P peuvent faire l objet d actions simples de gestion pour IEM Interpr tation de l tat des milieux NES 2 K r tablir la compatibilit entre l tat des milieux et leurs usages constat s n cessitent la mise en uvre d un plan de gestion V rifier la conformit des travaux ex cution des Contr le NAP ouvrages d investigations ou de surveillance de la mise en uvre du programme d investigation ou de CONT Contr ler au fur et mesure de leur avancement que surveillance f Di g les mesures de gestion op rations de d pollution de la mise en uvre des mesures Lin oo i r alisation des am nagements etc sont r alis es de gestion conform ment aux dispositions pr vues T Expertise dans le domaine des sites R aliser une revue critique de l int gralit du dossier ou et sols pollu s r pondre des questions sp cifiques Marie Renault INSA de Str
69. es talus et l espace foncier limit ne permet pas de modifier la g om trie du profil C est pourquoi les solutions envisager sont de type traitement et ou substitution de sol On substitue donc une partie de l argile et du limon et on met en place un prisme en pied du remblai tout cela en remblai trait pr sentant de meilleures caract ristiques intrins ques caract ristiques des mat riaux pr cis es dans le tableau en haut gauche de chaque figure Marie Renault INSA de Strasbourg D partement G nie Civil Promotion 2014 2 110 Interactions entre tudes g otechniques et tudes environnementales e1INSA STRASBOURG M thodes d investigation tudes compl mentarit et limites de prestation CEBTP gt pe EU 1 Echelle 282 8 10 170 f A 7 i Fmin 1 52 oikPa EN 3 I e 35 amp tkPaim 0 00 on LT a Phase Diritive 1 Situation Situetion 1 M thode de calcu Bishop Syst me d unit s kNKPa kNm Pond rations Tradtionnel Sit d finitive Remblai limoneux Remblai trait Ey am 210 10 10 2700 20 00 1700 2700 25 00 oika 30 500 300 3 00 Aok Paim 00 000 000 0 00 Phase D iritive 1 Situation Situation 1 M thode de calcu Bishop Syst me d urit s kN kPa kNim3 Pond rations Tradtionnel Sit d finitive F Echelle 322 io Fnin 1 54 Limon Ar ne granitique Argi
70. es missions coupl es dont nous allons d velopper ici un exemple Le projet tudi porte sur la construction d un logement individuel Saint Pierre l s Elbeuf 76 Dans ce cadre le propri taire de la parcelle nous a mandat s pour r aliser e Une tude g otechnique pr alable phase Principes G n raux de Construction G1 PGC e Une tude d infiltration des eaux pluviales Marie Renault INSA de Strasbourg D partement G nie Civil Promotion 2014 23 25 INSR Interactions entre tudes g otechniques et tudes environnementales 4 Ti M thodes d investigation tudes compl mentarit et limites de prestation STRASBOURG CEBTP 2 1 2 Pr paration du chantier D finition du programme Pour ce type d ouvrage et ce stade du projet les investigations du sol peuvent uniquement reposer sur la r alisation de sondages la tari re et d essais au p n trom tre dynamique Les sondages la tari re permettent d identifier la lithologie des terrains en pr sence Pour un pavillon ils sont descendus jusqu 5 m ce qui est dans la majorit des cas suffisant semelles superficielles Leur quantit d pend de la surface d emprise de l ouvrage pour ce type de projet on en r alise en g n ral 2 3 Les essais au p n trom tre dynamique fournissent une id e sur la r sistance du sol Le principe du p n trom tre dynamique est d taill en annexe 4 Cet essai non exploitabl
71. et tudes environnementales y M thodes d investigation tudes compl mentarit et limites de prestation STRASBOURG Annexe n 25 Coupes des zones humides cr es le long du projet CEBTP COUPES DES ZONES HUMIDES CREEES Projet Abs 875 1950 2 x 2 V0 83 Section Courante Abs 875 Housses M Zone de compensation N 4 arf Zoiie Avant Bases Humide Sel sitera ju Bou Hot VE 2 50 m ras 2 59 m mpa i S i PT nes SE ia Pentes 66 3 2 0 gt D 2 x 2 voies Section Courante Abs 1950 VE Zone de compensation N 3 gi A Cours d ea aii pna a poi Zone Humide cr e a existante pe 14 50 m 38 m mari Echelle 1 500 Marie Renault INSA de Strasbourg D partement G nie Civil Promotion 2014 37 r amp Interactions entre tudes g otechniques et tudes environnementales sig z a A 2 INSA M thodes d investigation tudes compl mentarit et limites de prestation e STRASBOURG CEBTP COUPES DES ZONES HUMIDES CREEES Projet Abs 2300 2550 2 x 2 voies Section Courante Abs 2300 EE sv Zone de compensation N 2 Cours d u Le Fr vrir y corps Zone Huricie mitata Zone Humide cr e 2 x 2 voies Section Caurante Abs 2550 Zone de compensation N 1 i n Coure d sss Zone Humide Lo Fai 1 F ariran Apea cr e mn cu M 23 m 15 50 m Ne ann anai Marie Renault INSA de Strasbourg D partement G ni
72. et en vapeur d eau Ces produits sont destin s l agriculture comme aux applications industrielles Le projet porte sur la r alisation des ouvrages suivants e Une colonne de r g n ration e Une structure m tallique support de tuyauteries e Un rack de liaison Ces ouvrages seront situ s en lieu et place de deux ouvrages existants d molir Suite un incident survenu en janvier 2009 la nappe superficielle a t contamin e en arsenic et en potassium proximit du projet Des mesures r alis es en mai 2013 au droit de 3 pi zom tres entourant le projet ont montr que les teneurs en arsenic de l eau ont fortement diminu Cependant les nouveaux r sultats des essais sur des chantillons d eau pr lev s en janvier 2014 montrent des teneurs en arsenic tr s lev es aux abords du projet sup rieurs au seuil de l arr t pr fectoral sp cifique au site d tude et aux valeurs de r f rences Le contrat a t conclu pour 2 types de missions e Campagne de surveillance des eaux souterraines au droit de trois pi zom tres e Etude g otechnique d avant projet Marie Renault INSA de Strasbourg D partement G nie Civil Promotion 2014 28 INSR Interactions entre tudes g otechniques et tudes environnementales STRASBOURG M thodes d investigation tudes compl mentarit et limites de prestation CEBTP 2 2 2 Pr paration du chantier D finition du programme Com
73. eur de portance il d pend de la hauteur d encastrement effective D d finie selon la formule suivante 1 D D h Pie p P est la pression limite nette quivalente elle est calcul e l annexe 8 D d signe la longueur d encastrement de la fondation par rapport au terrain naturel ici 12 5 m h d signe une longueur gale 10B o B est la plus petite dimension de la fondation ici 1 0 m P z est la pression limite la profondeur z Au minimum l encastrement effectif dans la couche porteuse est pris gal 3 diam tres ou 1 50 m pour des pieux de diam tre sup rieur 0 5 m 1 12 5 ef 104h pi z dz D TAE 0 25 de 2 37 de Dec roz 25 z 2 37 2125 Ds T 6 4 0 25 2 5 2 37 12 5 2 37 6 4 D 1484m Lorsque l encastrement effectif D B est sup rieur 5 k D B k pmax Lorsque l encastrement effectif D B est inf rieur 5 k D pajeng Sa e k max est fourni d apr s le tableau F 4 2 1 de la norme NF P 94 262 joint en annexe 12 il d pend du terrain mais galement de la classe de pieu d finie par le tableau A 1 galement joint en annexe 13 Dans notre cas il s agit d un pieu for simple de classe 1 et le terrain d ancrage de la fondation est un sable donc k 1 1 p max Puis D B 1484m gt 5m d o k D B k pmax On obtient k 1 1 P Marie Renault INSA de Strasbourg D partement G nie Civi
74. f rentes et les objectifs des missions sont donc d finis ind pendamment Pour ce qui est du chiffrage il a lieu s par ment chacun sollicitant sa propre exp rience e Etape DICT cette tape peut tre trait e en pleine concertation Une seule DICT pour les deux services est suffisante e Etape D finition du programme d investigations elle est plut t r alis e ind pendamment afin de r pondre aux exigences propres chacun des domaines Ensuite les programmes de chaque service peuvent tre compar s pour savoir si certains sondages peuvent tre mutualis s e Etape Pr paration du chantier elle doit tre faite dans la concertation afin d optimiser au mieux le planning et les moyens engag s Les contraintes communes doivent galement tre abord es et g r es ensemble e Etape Intervention o Interaction si c est possible l intervention doit avoir lieu le m me jour afin de favoriser l entraide des quipes ou bien m me de n engager qu une seule et m me quipe polyvalente ceci d pend des qualifications n cessaires o Sp cificit le mat riel utilis va tre propre chaque m tier De plus les qualifications protocoles de pr l vement r alisation des essais sont multiples et diff rentes en fonction du service concern e Etape Interpr tation des r sultats o Interaction certains r sultats doivent tre confront s pour garantir une homog n it du rendu notamment les fa
75. fs e La justification de la stabilit des talus e La mod lisation des b ches et redans ventuels e Les pr conisations de mise en uvre stabilit en phase travaux galement L ensemble de ces calculs sera r alis l aide du logiciel TALREN Contractuellement compte tenu de l avancement du projet il s agit d une mission phase Ex cution Mais si l on tient compte du fait qu il n y a pas eu d tude g otechnique en phase Projet cette mission G4 Phase Etude doit galement pallier l absence de mission G2 PRO Marie Renault INSA de Strasbourg D partement G nie Civil Promotion 2014 37 INSR Interactions entre tudes g otechniques et tudes environnementales STRASBOURG M thodes d investigation tudes compl mentarit et limites de prestation CEBTP 2 34 Prise en compte du Dossier Loi sur l Eau Le projet est soumis autorisation au titre des rubriques 2 1 5 0 3 1 2 0 3 1 3 0 et 3 3 1 0 de la nomenclature du Code de l Environnement conform ment l annexe 18 Il est noter que dans le cadre de la conception de ce projet le Ma tre d Ouvrage a choisi de mettre en uvre une d marche sp cifique o les pr occupations environnementales ont t int gr es tr s en amont La notice d Incidences r alis e par un autre bureau d tudes expose les l ments voqu s ci apr s En effet une analyse de l tat initial du site a permis de faire ressortir p
76. ie Civil Promotion 2014 50 SECURITE SANTE ENVIRONNEMENT Va HEURE PREPARATION CHANTIER NORMANDIE E67 V1 22 01 14 CEBTP Infra amp Moyens 1 1 Libell de l intervention N de dossier Charg d affaire Pr paration initiale ou compl mentaire Ce document est renseigner par le charg d affaires et pr senter tous les intervenants pr alablement l intervention Documents mis disposition syst matique des intervenants Registre de Presqu accidents Fiche d cart et ou d immobilisation E288 Fiche d Am lioration E33 N Points de contr les Observations 1 Fiche d instruction de chantier DICT 2 Plan de pr vention r alis avec le client 3 Analyses des risques sp cifiques au chantier 4 PPSPS sp cifique au chantier 5 Personnel d appoint et sous traitant 6 Mat riel mat riel interne ou location 7 Moyens de secours sur chantier trousse pharmacie extincteurs infirmerie 8 Autres points particuliers Ci dessus nom pr nom de chaque intervenant LS iii d die Contr les Ci dessous date et signature de chaque intervenant 0 Ses cree O SAFEEEEEEEEESEEEEEEEEEEE Ce document doit tre pr sent sur chantier puis conserv dans le dossier SIN D Interactions entre tudes g otechniques et tudes environnementales Ti M thodes d investigation tudes compl mentarit et limites de prestation
77. ille r glementaire GINGER CEBTP offre ainsi un p le d expertise au service de tous les acteurs de la construction ma tres d ouvrages ma tres d uvre entreprises du BTP bureaux d tudes bureaux de contr les industriels experts collectivit s locales architectes etc 1 PEN rit e A z P x Ppa Holding financi re Soci t souvent li e un groupe bancaire qui finance les entreprises ou participe la formation de groupes Marie Renault INSA de Strasbourg D partement G nie Civil Promotion 2014 SIN D Interactions entre tudes g otechniques et tudes environnementales A Ti M thodes d investigation tudes compl mentarit et limites de prestation e STRASBOURG CEBTP 1 13 Moyens du Groupe GINGER CEBTP emploie environ 1100 personnes et dispose de l un des plus importants potentiels d ing nieurs et de techniciens dans son secteur Le groupe met en uvre toutes ses comp tences humaines et mat rielles pour accompagner ses clients dans la r alisation de leurs projets e 1100 collaborateurs e 50 implantations quip es de laboratoires de proximit e 6 laboratoires nationaux d di s aux mat riaux et aux produits de la construction e Plus de 150 mat riels de pr l vement et de forage e Mat riels de mesure et instrumentation pour diagnostic in situ 1 1 4 Implantations g ographiques L activit op rationnelle de Ginger CEBTP s exerce au travers de plusieurs en
78. ions de s curit propres la probl matique des sols contamin s devront tre mises en uvre pour la s curit des travailleurs et de l environnement de m me que pour viter la dispersion de la contamination Ainsi il est recommand la r alisation d un plan de gestion PG qui aura pour objet de d finir les moyens de r habilitation possibles en corr lation avec l tat de pollution des milieux et les voies d exposition aux substances au regard des activit s et des usages futurs Marie Renault INSA de Strasbourg D partement G nie Civil Promotion 2014 32 25 INSR Interactions entre tudes g otechniques et tudes environnementales A Ti M thodes d investigation tudes compl mentarit et limites de prestation 9 STRASBOURG CEBTP G otechnique Drainage en phase chantier et rabattement de nappe D apr s les relev s venues d eau observ es entre 0 4 et 0 9 m de profondeur une purge des remblais sur 2 3 m de profondeur apr s mise en place d un rideau de palplanches devraient recouper la nappe phr atique ce qui n cessitera un pompage permanent en fond de fouille Ce pompage pourrait par exemple tre r alis dans des tranch es ou cunettes p riph riques ou dans des puits remplis ou non de grave Etant donn e la proximit d avoisinants un rabattement de nappe pr alable par pointes filtrantes ou puits filtrants ne semble pas envisageable Le rejet de l eau pollu e en
79. iques valeurs seuils pr cis es l article R 214 1 qui entra nent des pr l vements ou des rejets sur les eaux superficielles ou souterraines une modification de l coulement des eaux la destruction de zones d habitat faune et flore Les projets hydro lectriques ne sont pas soumis la r daction d un DLE autres autorisations Marie Renault INSA de Strasbourg D partement G nie Civil Promotion 2014 13 INSR Interactions entre tudes g otechniques et tudes environnementales jtir ipii M thodes d investigation tudes compl mentarit et limites de prestation CEBTP Par ailleurs il existe 2 types de DLE e l autorisation qui concerne les projets susceptibles de pr senter des dangers pour la sant et la s curit publique de nuire au libre coulement des eaux de r duire la ressource en eau d accro tre notablement le risque d inondation de porter gravement atteinte la qualit ou la diversit du milieu aquatique e La d claration qui concerne les projets n tant pas susceptibles de pr senter de tels dangers mais qui doivent n anmoins respecter les prescriptions dict es par le Code l Environnement Il faut savoir que les DLE d autorisation peuvent faire l objet d un rejet d une abrogation ou d une modification par application des objectifs du SDAGE par exemple risque sur les milieux aquatiques inondations salubrit publique etc Conform ment l arti
80. isque d incident moindre Cette tape est importante dans la cha ne qualit et s curit afin de garantir la p rennit des ouvrages en place mais surtout d assurer la s curit des intervenants Enfin selon les chantiers et les clients les exigences de pr paration de chantier peuvent varier On peut par exemple mettre en place un Plan De Pr vention PDP auquel l ensemble des intervenants doit participer celui ci identifie les principaux risques et fixe les r gles respecter pour garantir la s curit Ce type de dispositif est indispensable pour les sites pr sentant de la coactivit sites industriels ports etc Quel que soit le type de chantier 2 documents sont obligatoires e La feuille de route cf Annexe n 2 elle fait part du programme des investigations et transmet aux quipes de sondeurs des informations pratiques acc s contact etc e La fiche quart d heure de pr paration de chantier cf Annexe n 3 le charg d affaire donne le relai aux sondeurs techniciens Il leur pr sente le site ainsi que les risques qui peuvent survenir et les moyens mis en uvre pour les viter Ce n est qu apr s l ensemble de ces d marches que l intervention peut commencer dans les meilleures conditions Marie Renault INSA de Strasbourg D partement G nie Civil Promotion 2014 20 25 INSR Interactions entre tudes g otechniques et tudes environnementales E A ey popin M tho
81. l Promotion 2014 70 1 Interactions entre tudes g otechniques et tudes environnementales NSR M thodes d investigation tudes compl mentarit et limites de prestation STRASBOURG CEBTP Annexe n 12 Tableau F 4 2 1 de la norme NF P 94 262 Valeur du facteur de portance pressiom trique kmax Terrain Argile Mame et ar CaCO lt a0 miem iia rakare anene E a pieu Limon Sols marneux g interm diaires sable Grave pour les pieux de type BAO HB et PP mis en uvre par vibrofon age au lieu de battage il y a lieu de faire un abattement de 50 sur le facteur kp a La valeur de k pour les roches alt r es et fragment es doit tre prise gale celle de la formation meuble du tableau laquelle le mat riau concem s apparente le plus Dans le cas des roches saines il convient F 1 2 Note 1 d appr cier si une justification bas e sur les m thodes de la pr sente annexe F et l vidence pessimiste est suffisante ou bien s il convient d avoir recours aux m thodes sp cifiques de la m canique des roches b Pour les micropieux la r sistance de pointe n est normalement pas pris en compte c Il convient de se r f rer l article 4 10 pour le choix des p rim tres et des aires des pieux consid rer dans les calculs d D autres valeurs de kms peuvent tre utilis es condition de satisfaire les conditions de la clause 9 de la section 1 Marie Renault INSA de Strasbourg
82. le Remblai limoneux Remblai trait Figure 13 Profil permettant d obtenir un coefficient de s curit suffisant Marie Renault INSA de Strasbourg D partement G nie Civil Promotion 2014 793
83. les mr M thodes d investigation tudes compl mentarit et limites de prestation Sommaire R MErCICMENES onnen NN NM A nn Met sine inSs 2 1 dre 0 LOT ol RE EE CE E E R E E 6 1 Etat des lieux dans l entreprise ins 7 1 1 Pr sentation du groupe GINGER CEBTP iii 7 A a a HIStOrQUE nn nana AM niet en naines 7 1 1 2 Domaines d ACtiVit S pisestini inaani eani aaa a E nE RE E ERANA RAAE nent 7 1 1 3 Moyens du Groupe ns nhesenenieeidenne dalles nie 8 1 1 4 Implantations g ographiques 8 1 2 L agenc de Normandi 1 5 666 u are00sanntaeitunce rite sn ete ee e eiae Eaa eaS 9 1 21 G n ralit s Essen nent ne Men aa aiaa iaaa aad anp tie nn iaaa araia teens 9 1 2 2 Pr sentation des services concern s par le PFE 9 1 2 3 Certifications didie ea aiai daaa ensenieteeli 10 1 3 D finition de la mission r aliser cadre r glementaire 11 131 Missions GeotechnigU S acean Ea in tisse 11 1 3 2 Missions Environnementales rs 13 1 4 Le d roul des missions cadre organisationnel 19 14 1 D finition du pr ogr mmMe sais A ea hrs rien atees 19 1 4 2 Le terrain sondages chantillonnages et essais in situ 20 1 4 3 l laboratoire sieste ain a R tennenm e 22 TAA L TAPhOFt sent nm ne ei este de A tetes 22 2 Interactions entre missions G otechnique et Environnementale ssssenssesenssenessennnsseenssernnsse 23 2 1 Const
84. les mains et les ongles Ils doivent galement se laver la bouche 2 2 3 Intervention sur terrain Influence du crit re environnemental sur les investigations g otechniques Le plan de pr vention sp cifique mis en place exige le respect de certaines r gles de s curit voir paragraphe ci dessus Ces r gles primordiales pour la s curit des travailleurs peuvent n anmoins s av rer une contrainte lors de l intervention sur le site Les sondages g otechniques et les essais pressiom triques ont donc dus tre r alis s des conditions qui complexifient le travail des quipes port d une combinaison nettoyage syst matique des machines entre chaque sondage grandes eaux Le principe de l essai pressiom trique est d taill en annexe 9 Marie Renault INSA de Strasbourg D partement G nie Civil Promotion 2014 30 IN D Interactions entre tudes g otechniques et tudes environnementales M thodes d investigation tudes compl mentarit et limites de prestation STRASBOURG CEBTP Protocole de pr l vement des eaux souterraines Les pr l vements sont r alis s sur la base de la norme FD X 31 615 de D cembre 2000 Pr l vements et chantillonnage des eaux souterraines dans un forage Au pr alable le niveau des eaux souterraines et la hauteur d eau sont relev s par rapport au niveau rep re de l ouvrage Dans un second temps une purge de l eau contenue dans le forage est effec
85. lus est impos e et la stabilit doit alors tre assur e par d autres moyens Marie Renault INSA de Strasbourg D partement G nie Civil Promotion 2014 40 SIN D Interactions entre tudes g otechniques et tudes environnementales E A pr M thodes d investigation tudes compl mentarit et limites de prestation 9 CEBTP 2 3 5 Etude G otechnique d Ex cution phase Etude G4 Compte tenu de l tude environnementale pr alable on a pu voir que certaines contraintes se sont d gag es e Contrainte environnementale zones humides de compensation respecter e Contrainte g om trique espace foncier limit Il a donc fallu r pondre au mieux la mission en tenant compte de ces contraintes afin de garantir l ad quation entre environnement et g otechnique D un point de vue purement technique la mission s est d roul e de la mani re suivante D finition des profils en travers v rifier Le choix est souvent port vers e Les profils pr sentant les hauteurs de d blais ou de remblais les plus importantes e Les profils pr sentant des particularit s o Mise en place d un merlon en t te de talus o Contexte g ologique d favorable mat riau peu coh rent par exemple o Pr sence d eau proximit ou dans le talus Pr paration des profils Avant d utiliser le logiciel TALREN un travail amont est n cessaire e En fonction des sondages r alis s dans la zone du
86. lusieurs l ments prendre en compte qui se sont traduits dans le calage du trac par les orientations suivantes e La pr servation du profil en long du ruisseau du Vieux Fr vrier tel qu l existant e Limiter au maximum les impacts sur le patrimoine naturel les zones humides e Limiter la nuisance pour les riverains e Augmenter le confort et la s curit des usagers Cette d marche a donc permis de rep rer tr s en amont les principales atteintes potentielles du projet sur l environnement en g n ral et les milieux aquatiques en particulier de telle mani re en minimiser les impacts en fonction des contraintes techniques conomiques fonci res sociales et des nuisances g n r es par le projet Parmi les dispositions prises pour viter de perturber l environnement on trouve e La mise en place de deux bassins pour g rer les eaux pluviales de la plate forme du nouveau trac e Les travers es du ruisseau du Vieux Fr vrier et ses affluents seront assur es par des ouvrages cadres permettant l coulement en crue ainsi que la continuit cologique e La collecte des ruissellements sera effectu e sur l ensemble des tron ons routiers du projet par des foss s de part et d autre de la voirie dimensionn s pour transiter les coulements issus d une pluie d cennale e Les pentes au d but du projet n exc dent pas 4 et s adoucissent apr s la travers e du Vieux Fr vrier en variant entre 1 5
87. mettre en uvre temps les adaptations n cessaires Enfin il existe une mission d ing nierie g otechnique particuli re qui n est pas forc ment int gr e l encha nement ci dessous Le diagnostic g otechnique G5 convient l tude d un ou plusieurs l ments g otechniques sp cifiques dans le cadre d une mission ponctuelle par exemple causes g otechniques de la survenance d un d sordre tude des solutions de renforcement d un ouvrage existant recherche de cavit s souterraines Marie Renault INSA de Strasbourg D partement G nie Civil Promotion 2014 12 INSR Interactions entre tudes g otechniques et tudes environnementales STRASBOURG M thodes d investigation tudes compl mentarit et limites de prestation CEBTP 1 3 2 Missions Environnementales Dossiers Loi sur l Eau Les premiers textes modernes concernant le droit de l eau remontent aux codes napol oniens Leur objectif principal tait de d terminer le r gime de propri t de l eau La qualit de l eau distribu e est rapidement devenue un enjeu majeur de sant publique face aux risques d pid mie Cependant les fondements de la politique de l eau actuelle sont essentiellement issus de trois lois e La loi sur l eau du 16 d cembre 1964 qui a organis la gestion d centralis e de l eau par bassin versant C est cette loi qui a cr les agences de l eau et les comit s de bassin e La
88. mment o Etind pendantes en ce qui concerne les parties sp cifiques chaque domaine Une attention particuli re doit tre port e aux missions d s lors qu elles sollicitent les deux services Si les prestations coupl es peuvent tre un point fort elles peuvent galement pr senter des points critiques organisation et communication coh rence homog n it des r sultats pour lesquels chacun doit rester vigilant Par ailleurs il faut garder l esprit que l tude d infiltration des eaux pluviales peut influer sur l essence m me du projet En effet les surfaces d infiltration n cessaires pour contrecarrer l imperm abilisation peuvent s av rer importantes dans un espace foncier limit et le projet peut s en trouver modifi Il convient donc de la r aliser au maximum en amont de la phase Projet Marie Renault INSA de Strasbourg D partement G nie Civil Promotion 2014 27 IN D Interactions entre tudes g otechniques et tudes environnementales jgn ppf M thodes d investigation tudes compl mentarit et limites de prestation CEBTP 2 2 Extension industrielle Fondations profondes et pollution de la nappe phr atique 2 2 1 Pr sentation du projet Le site tudi se situe proximit du Havre 76 dans une usine acheminant de l ammoniac de l ur e technique et de l AdBlue solution permettant de convertir 85 des oxydes d azote contenus dans les gaz d chappement en azote
89. n d ing nierie g otechnique va donc d pendre de l avancement du projet En effet pour chaque phase du projet une mission d ing nierie g otechnique avec des objectifs sp cifiques doit tre entreprise par le ma tre d ouvrage e tape 1 l tude g otechnique pr alable G1 comprend deux phases o Avant APS la phase tude de Site ES qui permet de d finir un mod le g ologique pr liminaire du site avec ses principales caract ristiques g otechniques et une premi re identification des risques g otechniques majeurs pour un futur ouvrage non encore tudi o Pour la mise au point de l APS la phase Principes G n raux de Construction PGC qui synth tise les donn es g otechniques prendre en compte ce stade et propose certains principes g n raux de construction envisageables pour les ouvrages g otechniques Elle ne comprend pas d bauche dimensionnelle e Les contraintes g otechniques de site tant conditionn es par la nature de l ouvrage g om trie sollicitations et variables dans le temps phasage des travaux notamment une fois l ouvrage d fini il faut proc der l tape 2 l tude g otechnique de conception G2 r alis e en collaboration avec la ma trise d uvre qui comprend trois phases o Pour la mise au point de l APD la phase Avant projet AVP qui d finit les hypoth ses g otechniques prendre en compte ce stade et les principes de construction des ouvrages
90. ndamentales 714 1412 ead maa vE ET Riu 1933 kN e Pour les situations accidentelles ELU en combinaisons sismiques 714 1412 BAT ne aA 10 10 Rey 2126 kN Valeurs de calcul de la r sistance de traction de la fondation profonde Vs 7 est un facteur partiel qui d pend des situations de calcul et qui est fourni dans les tableaux C 2 3 1 et C 2 3 2 de la norme NF P 94 262 joints en annexe 18 e Pour les situations durables et transitoires ELU en combinaisons fondamentales _1159 54115 R 4 1008kN e Pour les situations accidentelles ELU en combinaisons sismiques _ 1159 nd 105 Ra 1104kN Marie Renault INSA de Strasbourg D partement G nie Civil Promotion 2014 81 Interactions entre tudes g otechniques et tudes environnementales IN M thodes d investigation tudes compl mentarit et limites de prestation STRASBOURG CEBTP Valeur de calcul de la charge de fluage de compression R Rx cerd Yer 7 est un facteur partiel qui d pend des situations de calcul et qui est fourni dans les tableaux 14 2 1 1 et 14 2 1 2 de la norme NF P 94 262 joints en annexe 19 Pour les ELS en combinaisons quasi permanentes _ 1345 c cr d 1 1 Rora 1223 kN Valeur de calcul de la charge de fluage de traction R Rea sonk Kiir Y est un facteur partiel qui d pend des situations de calcul et qui est fourni dans les tableaux 14 2 1 1 et 14 2 1 2 de la norme NF P 94 262 joints en
91. ne pas les remonter lors du forage soudure puis de les d couper apr s r alisation des pieux pour araser Ce protocole pr sente des inconv nients pour la s curit du personnel Par ailleurs m me s il est attach il y a toujours un risque pour que le tube remonte lors du forage e Les entreprises proposent donc d une part d augmenter l tanch it du rideau de palplanche en mettant en place des joints hydrogonflants dans les serrures des palplanches e D autre part elles sont plusieurs proposer une technique de pieux viss s moul s Cette solution pr sente plusieurs avantages o Tr s peu de d blais sont produits 300 400 L par pieu contre 7000 8000 L pour un pieu for simple o Technique par refoulement ce qui augmente la densit du sol et diminue donc les vides par lesquels l eau pourraient s couler o Le b ton est ensuite coul sous pression et le sol n est donc jamais d comprim e Enfin compte tenu de la pr sence d arsenic les entreprises pr conisent l utilisation d un b ton de classe XA3 forte agressivit chimique conform ment la norme NF EN 206 1 Marie Renault INSA de Strasbourg D partement G nie Civil Promotion 2014 34 25 INSR Interactions entre tudes g otechniques et tudes environnementales E A ser popin M thodes d investigation tudes compl mentarit et limites de prestation CEBTP 2 2 7 Conclusion Cet exemple en milie
92. nir e Le nombre de d coupages ce param tre d termine la pr cision de la recherche automatique et conditionne la fois le nombre de directions utilis es le nombre de positions des centres utilis s sur chaque direction et le nombre d incr ments sur le rayon e __L incr ment sur le rayon m TALREN effectue automatiquement une incr mentation positive et n gative augmentation et diminution des rayons e L abscisse mergence limite X m valeur de l abscisse en de de laquelle les surfaces de rupture ne sont pas prises en compte si ces surfaces sont enti rement en de de X La valeur X permet dans le cas de talus complexe d liminer certains cercles parasites e Type de recherche 2 choix sont possibles point de passage impos et cercles tangents une couche Il s agit d un crit re de d termination du premier cercle associ chaque centre Pour les cercles suivants associ s au m me centre il y a incr ment sur le rayon et le crit re n est donc plus respect Le type de recherche conditionne les donn es suppl mentaires demand es l utilisateur o Point de passage impos dans ce cas il faut d finir ce point de passage impos o Cercles tangents une couche de sol dans ce cas il faut choisir dans la liste des couches d finies dans le projet la couche de tangence pour les cercles On peut alors lancer le calcul afin de d terminer le coefficient de s curit le plus
93. ns contraintes Ce premier travail va permettre de cadrer le sujet pour ensuite aborder les interactions existantes entre ces deux services On pourra alors tenter d avoir une r flexion sur les moyens d optimiser les prestations o interviennent ces interactions Suite cette analyse la finalit de ce PFE va tre de d finir un sch ma d interactions privil gier Ceci permettra de mieux encadrer ces prestations coupl es G otechnique et Environnement interactions et sp cificit s chaque m tier Marie Renault INSA de Strasbourg D partement G nie Civil Promotion 2014 25 INSR Interactions entre tudes g otechniques et tudes environnementales Ti M thodes d investigation tudes compl mentarit et limites de prestation STRASBOURG CEBTP 1 Etat des lieux dans l entreprise 1 1 Pr sentation du groupe GINGER CEBTP 1 1 1 Historique 1999 Cr ation du Groupe Ginger acronyme de Groupe Ing nierie Europe qui regroupe CEBTP S chaud Bossuyt P le Construction du Groupe et la Holding Financi re K2 Ann es 2002 2005 Ginger Groupe conna t une forte croissance externe se mat rialisant par le rachat d une quinzaine de soci t s en France et l tranger dans les secteurs de la construction de l environnement et des t l communications 2009 Ginger r alise un chiffre d affaires de 269 5 millions d euros avec pr s de 2 000 collaborateurs r partis sur 133 sites en Franc
94. ntion essais interpr tation des r sultats et r daction du rapport Ces tapes sont ensuite plus ou moins peaufin es en fonction de l adaptation au projet e Cadre du projet en question en effet selon l essence du projet les niveaux d interactions vont varier et tre plus ou moins importants On a donc pu constater que s il existe un sch ma g n ral avec des points d interactions quasi permanents il faut n anmoins adapter des sch mas sp cifiques en fonction du type de projet et du type de missions demand es En effet selon ces crit res l encha nement et les interactions entre g otechnique et environnement vont diff rer Et quand bien m me les interactions peuvent tre d finies en fonction du type de projet chaque projet tant unique il demande une vigilance sur des l ments toujours diff rents organisation de l intervention s curit objectifs tudes On retiendra donc finalement qu il est pr f rable d avoir une r flexion adapt e chaque projet Cette r flexion pourra tre men e de grand en petit c est dire e D finition des cadres r glementaire organisationnel et projet e En fonction du type de projet et des missions d finition de l encha nement privil gi entre environnement et g otechnique et des interactions possibles e En fonction du projet en lui m me prise en compte des particularit s et du fil rouge suivre Ce PFE a donc men un travail de
95. ode de Bishop qui permet de calculer le coefficient de s curit propre un cercle de glissement donn De plus ce logiciel va permettre de trouver le cercle le plus d favorable c est dire celui qui pr sente le coefficient de s curit le plus faible ce qui est fastidieux et incertain la main L int r t du logiciel est qu il balaye de fa on automatique l ensemble de l espace possible pour les centres des cercles avec un pas plus ou moins important param trable par l utilisateur Cette recherche automatique vite l utilisateur de d finir les param tres n cessaires dans le cas d une recherche manuelle Le principe de la recherche automatique est illustr sur les 2 figures suivantes e Un premier balayage automatique permet de d tecter un cercle critique correspondant au minimum absolu du coefficient de s curit obtenu sur tous les cercles calcul s e TALREN effectue ensuite syst matiquement un deuxi me balayage automatique dans la zone autour du cercle critique d tect lors du 1 balayage e Le coefficient de s curit affich est le minimum obtenu sur l ensemble de ces 2 balayages Marie Renault INSA de Strasbourg D partement G nie Civil Promotion 2014 amp Interactions entre tudes g otechniques et tudes environnementales d g E js on 7 DAF 5 e1INSA M thodes d investigation tudes compl mentarit et limites de prestation STRASBOURG S CEBTP Les par
96. omotion 2014 60 T Interactions entre tudes g otechniques et tudes environnementales IN a M thodes d investigation tudes compl mentarit et limites de prestation STRASBOURG CEBTP A partir de chaque essai r alis on peut tracer la courbe pressiom trique qui donne l volution du volume V de la sonde en fonction de la pression p V f p o p d signe la pression appliqu e au terrain par la sonde V est le volume de liquide inject dans la sonde et mesur la fin du palier de pression p 60 secondes V P p Figure 5 Exemple de courbe pressiom trique d apr s la norme NF 9 94 110 1 Les valeurs des pressions et des volumes relev s au cours de l essai doivent tre corrig es afin de tenir compte de e La pression due la charge hydraulique pr e La r sistance propre de la sonde pe L expansion propre de l appareillage sous l effet des augmentations de pression dilatations des tubes et du syst me de mesure etc Ces corrections sont effectu es gr ce la connaissance des caract ristiques de la sonde et l talonnage et au calibrage effectu s Marie Renault INSA de Strasbourg D partement G nie Civil Promotion 2014 61 on Interactions entre tudes g otechniques et tudes environnementales IN ja M thodes d investigation tudes compl mentarit et limites de prestation 4 s RG gt e STRASBOURG CEBTP La courbe pressiom trique
97. on des formations profondeur paisseur qa e Interpr tation des r sultats profondeur d assise des fondations pr conis e type de fondation superficielles profondes semi profondes e En fonction des objectifs d finis au contrat des pr conisations de mise en uvre dallage sur terre plein r alisation des terrassements peuvent tre fournies A ce stade du projet aucune bauche dimensionnelle des fondations ne peut tre fournie Marie Renault INSA de Strasbourg D partement G nie Civil Promotion 2014 26 25 INSR Interactions entre tudes g otechniques et tudes environnementales E A ser popin M thodes d investigation tudes compl mentarit et limites de prestation CEBTP 2 1 6 Conclusion Finalement on retient de cet exemple tude pavillonnaire que la mission g otechnique G1 PGC et l tude d infiltration des eaux pluviales peuvent avoir lieu en m me temps moyennant la prise en compte des interactions suivantes e Un programme d fini en concertation afin d optimiser le planning et les mobilisations humaines et mat rielles e Une intervention sur le chantier simultan e afin de favoriser l entraide entre les quipes ou bien de mobiliser une seule et m me quipe polyvalente e Des tudes interpr tation des r sultats et rapports la fois o En interaction pour ce qui est des parties communes et de l homog n it des r sultats coupes g ologiques nota
98. on non vibr Pieux battus pilonn s 1 Pieux battus moul s Pieux et barrettes for s simples Pieux for s tub s b tonn s sec b tonn s sous l eau Pieux for s la tari re creuse 1 type 1 type 2 type 3 Pieux et barrettes b tonn s sous boue parois moul es 1 Sauf dispositions diff rentes du march ces types de pieux ne peuvent tre utilis s pour les fon dations des ponts Marie Renault INSA de Strasbourg D partement G nie Civil Promotion 2014 83 T Q Interactions entre tudes g otechniques et tudes environnementales IN M thodes d investigation tudes compl mentarit et limites de prestation STRASBOURG 2 o CEBTP k l est galement fourni par le tableau pr c dent k 1 20 pieu for simple k prend les valeurs suivantes e El ments du groupe A 1 00 e El ments du groupe B o dont le rapport du diam tre D la longueur L est inf rieur 1 20 1 05 o dont le diam tre D est inf rieur 0 60 m 1 30 d 2 o r unissant les deux conditions pr c dentes 1 35 d 2 o autres cas 1 00 d o k 1 00 ERR min 30 25 1 20 1 00 f 20 83 MPa Puis E 30267 67 MPa et E 10180 94 MPa D o Ly 4 86 m pour une sollicitation de courte dur e ELU et L 4 40 m pour une sollicitation de longue dur e ELS Ensuite en assimilant le pieu encastr en t te dans un chev tre rigide une poutre on a r Ly Tom
99. orter les mesures compensatoires li es la destruction de zones humides via une ma trise fonci re des terrains et une gestion cologique long terme Les mesures compensatoires concernent des cr ations de zones humides pour une surface de 1 24 ha soit 118 de surfaces recr es par rapport aux zones humides remblay es Marie Renault INSA de Strasbourg D partement G nie Civil Promotion 2014 IN D Interactions entre tudes g otechniques et tudes environnementales pr epii M thodes d investigation tudes compl mentarit et limites de prestation L gende Bassin versant du projet D ROLE EE Cours d eau 5 Emprise du projet Zone humide suppnm e 1 05 ha Voie de Iason RD 61 8 RD 973 Zone Compensation la destruction des CPF7A Zone rembiay e zones humides 124ha FF Bassin projet Sondage tan e Plan des zones humides cr es On peut constater sur la figure ci dessus mais galement sur les coupes jointes en annexe 25 que les zones humides cr es se trouvent proximit imm diate du trac du projet routier On peut donc imaginer l interaction directement pr sente entre les tudes Environnementales et les tudes G otechniques sur ce type de projet En effet la pr sence de zones humides non modifiables compensation r glementaire et espace foncier limit va restreindre les adaptations envisageables la g om trie des talus Leur emprise n tant pas flexible la pente des ta
100. ournement de Sartilly 50 avec la cr ation d une section 2x2 voies de largeur totale de 26 m sur un lin aire de longueur totale de 2970 m Zone tudi e Pour faciliter les tudes le projet a t divis en 12 tron ons selon qu ils soient en d blais en remblais ou en profil rasant Au sein de chacun des tron ons plusieurs profils en travers significatifs ont t retenus intervalle r gulier 2 3 2 Description du site Le site concern par l tude est recouvert de champs d exploitation topographiquement tr s Variables D apr s la carte g ologique du MONT SAINT MICHEL le site serait constitu des formations suivantes de haut en bas e Des limons de couverture e Des alluvions modernes e De ar ne granitique e Dugranite L paisseur de l ar ne granitique peut tre tr s variable d un point un autre car elle d pend du degr de fracturation de la roche donc des efforts tectoniques subis ainsi que du contexte hydrog ologique de sa densit etc Marie Renault INSA de Strasbourg D partement G nie Civil Promotion 2014 36 INSR Interactions entre tudes g otechniques et tudes environnementales STRASBOURG M thodes d investigation tudes compl mentarit et limites de prestation CEBTP Le ruisseau du Vieux Fr vrier est pr sent en partie Est du projet et rejoint le ruisseau La Lerre pour alimenter des retenues d eau plus au sud L
101. permet d obtenir les caract ristiques de suivantes pour la profondeur laquelle l essai a t effectu e La pression de fluage p en MPa pression d termin e sur le diagramme de fluage p Avs0 30 avec V60 30 la Variation de volume inject dans la sonde entre les temps t 30 s et t 60 s apr s le d but du palier de pression p AV 5020 0 5 Figure 6 Exemple de courbe de fluage pressiom trique d apr s la norme NF P 94 110 1 pr est l abscisse de l intersection des deux droites retenues pour sch matiser le diagramme x A e La pression limite pe en MPa pression correspondant par convention celle qui entra ne le doublement du volume de la cavit V V 2 V O V est le volume initial de la cellule centrale de mesure de la sonde calcul par exploitation de la courbe d expansion talonnage Il peut arriver qu au cours d un essai le volume de liquide inject soit insuffisant la pression limite est alors extrapol e e Le module pressiom trique E en MPa il s agit du module de d formation calcul sur le segment P1V p2V2 en admettant que le comportement du terrain est r gi par une loi lastique lin aire Il est calcul partir de la formule Bu 209 v 2 pi 2 Av O v est le coefficient de Poisson pris conventionnellement gal 0 33 e Le rapport E Pie sans unit il renseigne en fonction du type de sol sur l tat de consolidation
102. pte tenu des sollicitations apport es aux fondations et de la qualit m diocre des sols jusqu une profondeur d au moins 6 0 m les fondations seront a priori de type profondes Les investigations g otechniques seront alors de 25 0 m de profondeur avec r alisation d un essai pressiom trique tous les 2 0 m de profondeur En effet il faut assurer une reconnaissance jusqu au moins 5 0 m sous la pointe des pieux Par ailleurs les essais pressiom triques permettent d obtenir les valeurs de r sistance valables pour le dimensionnement l Eurocode 7 La localisation des sondages d pend de l implantation du projet On les place en g n ral proximit des appuis du futur ouvrage Par ailleurs les pr l vements des eaux souterraines ont t r alis s dans les pi zom tres d j pr sents sur le site En effet le client a impos l utilisation de ces pi zom tres Toutefois cette contrainte peut s av rer d cisive car il se peut que les pi zom tres ne soient pas r alis s en conformit avec les exigences de pr l vements de pollution Par exemple le cr pinage peut ne pas tre plac au bon endroit et il se peut qu on ne capte pas que la nappe que l on souhaite tudier Dans le cadre de ce projet les pi zom tres taient globalement conformes aux besoins mais ce n est pas toujours le cas Enfin compte tenu de l incident survenu et des pr c dentes investigations ayant r v l des taux inhabituels d
103. r flexion autour des sch mas d interactions suivre entre tudes g otechniques et tudes environnementales S il est parvenu d finir des sch mas types il conviendra toutefois de les adapter au cas par cas en fonction des projets o ont lieu ces interactions Marie Renault INSA de Strasbourg D partement G nie Civil Promotion 2014 45 25 INSR Interactions entre tudes g otechniques et tudes environnementales Ti M thodes d investigation tudes compl mentarit et limites de prestation STRASBOURG CEBTP Bibliographie Norme NF P 94 500 de novembre 2013 Missions g otechniques Classification et sp cifications Code de l Environnement Minist re de l cologie du D veloppement durable et de l nergie Norme NF P 94 063 de juin 2011 Contr le de la qualit du compactage M thode au p n trom tre dynamique nergie constante Norme NF P 94 110 1 de janvier 2000 Essai pressiom trique M nard Dossier Loi sur l Eau du contournement de Sartilly 50 r alis par un autre bureau d tudes Fascicule n 62 Titre V de mai 2012 Minist re de l quipement du logement et des transports R gles techniques de conception et de calcul des fondations des ouvrages de G nie Civil Norme NF P 94 262 de juillet 2012 Justification des ouvrages g otechniques Normes d application nationale de l Eurocode 7 Fondations profondes Norme NF EN 1997 1 NA de septembre 2006 Euro
104. raffinement de l autre zone aurait pu conduire un coefficient de s curit plus faible qui n aura ainsi pas t d tect L affichage d isovaleurs permet de v rifier rapidement si le minimum du coefficient de s curit est localis dans une seule zone ou est approch dans plusieurs zones diff rentes Nombre de directions nombre de d coupages Nombre de dstances nombre de d coupages distances les plus bign es non repr sent es ici Limite gauche du mod le Figure 9 Principe de balayage lt paint de passage pour la recherche automatique du impose cercle critique avec point de passage impos pour le 1 cercle Nombre de myns premier niveau de balayage nombre de d coupages Marie Renault INSA de Strasbourg D partement G nie Civil Promotion 2014 on Interactions entre tudes g otechniques et tudes environnementales INSA M thodes d investigation tudes compl mentarit et limites de prestation STRASBOURG CEBTP Minimum strict localis lors du premier balayage automatique Zone de zoom autour du minimum strict localis lors du premier balayage automatique Figure 10 Principe de balayage pour la recherche automatique du cercle critique avec point de passage impos pour le 1 cercle se E hi Nombre de rayons deuxi me niveau de balayage zoom ET Es nombre de d coupages TT Finalement l utilisateur doit donc d fi
105. rale la capacit portante des pieux est limit e vis vis du taux de travail admissible du b ton 5 6 MPa mais cette valeur peut tre sup rieure en fonction de la formulation du b ton et de la m thode de forage employ e En fonction de l cartement entre les pieux retenu et des charges appliqu es on devra tenir compte d un ventuel effet de groupe minoration de la capacit portante des pieux du fait de leur nombre et de leur rapprochement cf NF P 94 262 Aucun frottement n gatif n a t pris en compte pour l bauche dimensionnelle propos e du fait de l absence de surcharges notables pr vues aux abords des pieux et du d caissement des terrains sur plusieurs m tres de hauteur Cette hypoth se devra n anmoins tre v rifi e car elle conditionne le dimensionnement des pieux En effet si des charges importantes sont pr vues aux abords imm diats des pieux des efforts parasites tels que des frottements n gatifs ou des efforts horizontaux seront consid rer dans la justification des fondations Une d finition succincte du frottement n gatif est donn e en annexe 23 Marie Renault INSA de Strasbourg D partement G nie Civil Promotion 2014 69 00 Interactions entre tudes g otechniques et tudes environnementales s INSA M thodes d investigation tudes compl mentarit et limites de prestation STRASBOURG CEBTP Annexe n 11 Calcul du facteur de portance kp k est le fact
106. ram tres de forage et les r sultats des essais pressiom triques sont joints en annexe 9 o l on explique galement chacune des valeurs mesur es ou calcul es Il faut savoir que les sondages consid r s pour l tude ont t r alis s en 2013 dans le cadre d une autre mission g otechnique un autre endroit de lusine Compte tenu des contraintes d intervention et des teneurs en arsenic lev es de nouveaux sondages n ont pu tre effectu s M me si ces r sultats devraient a priori tre proches de ceux qu on aurait pu observer au droit du futur projet ils sont toutefois consid rer avec pr caution Marie Renault INSA de Strasbourg D partement G nie Civil Promotion 2014 INSR Interactions entre tudes g otechniques et tudes environnementales STRASBOURG M thodes d investigation tudes compl mentarit et limites de prestation CEBTP 2 2 5 R daction des rapports Environnement Interpr tation des r sultats Les r sultats des mesures de mars 2014 mettent en vidence les points suivants e Les teneurs en arsenic relev es dans l eau en PZ1 7010 ug L 1 et en PZ12 7200 ug L 1 sont sup rieures l ensemble des valeurs seuils retenues elles sont significatives d une mauvaise qualit de l eau e La teneur en arsenic dans l eau en PZB 12 2 ug L 1 est sup rieure aux valeurs seuils de l arr t du 11 01 2007 pour les eaux destin es la consommation humaine elle
107. ronnement ss 86 Coupes des zones humides cr es le long du projet 87 V rification de la stabilit des talus sur TALREN 89 e Renault INSA de Strasbourg D partement G nie Civil Promotion 2014 25 INSR Interactions entre tudes g otechniques et tudes environnementales Ti M thodes d investigation tudes compl mentarit et limites de prestation STRASBOURG CEBTP Introduction Dans l acte de construire ou d am nager le sol est l interface directe entre le projet et le milieu naturel En effet le sol plus ou moins superficiellement en fonction du projet est le support de l ouvrage et il peut ce titre tre sollicit structurellement M canique des Sols mais il peut galement tre impact de mani re physico chimique Environnement La probl matique de notre poque est principalement de continuer construire et am nager des projets la fois de plus en plus pouss s techniquement mais aussi plus respectueux de l environnement Face l industrialisation et l urbanisation le sol dans sa globalit la g ologie l hydrog ologie et l hydrologie est vuln rable ce qui se r percute sur le milieu naturel pollutions souterraine et superficielle des sols et des eauxet imperm abilisation croissante perturbant l cosyst me inondations faune et flore etc Plus ou moins r cemment de nouvelles r glementations sont venue
108. ruction d un pavillon Etudes de sol et d infiltration 23 2 1 1 Pr sentation du contexte 23 2 1 2 Pr paration du chantier icerisine seisean oeiia iaaea aE Raa fete 24 2 13 Intervention sur Terrains fentes nent en EEES EEES 25 2 1 4 Interpr tation des essais iii 25 2 1 5 R daction des rapports iiiiienrnrresrnesseeneeeenensn 26 2 1 6 CONCIUSION soser sentons Ru dan entamer dame ntm re nn mate Nr nets tea einen 27 Marie Renault INSA de Strasbourg D partement G nie Civil Promotion 2014 SIN Interactions entre tudes g otechniques et tudes environnementales E H Er M thodes d investigation tudes compl mentarit et limites de prestation 2 2 Extension industrielle Fondations profondes et pollution de la nappe phr atique 28 2 2 1 Pr sentation duprojeti 4 5smeme anis nine rien reine litres en EEEE SERS 28 2 2 2 Pr paration du chantier sise 29 2 2 3 Interv ntion S r terrains sde nn she nn nd a 30 2 2 4 Interpr tation des essais siennes 31 2 25 R daction des rapportsi sssssssnissitessiienei in nes etes scene re tient EiS i a 32 2 2 6 Propositions des entreprises ex cutrices des piEUX 34 22 72 CONCIUSION h ere destine ses ns scene ds n etes rames donnee sets dreams dede dise es en 35 2 3 Contournement routier stabilit de talus et zones humides 36 2 3 1 Pr sentation du projet ini terne nn Nine nn 36 2 32 Description du Ste street
109. s Identification des diff rentes options de gestion possibles et r alisation d un bilan co ts avantages Autres comp tences Dossiers de restriction d usage de servitudes Marie Renault INSA de Strasbourg D partement G nie Civil Promotion 2014 18 5 INSA STRASBOURG Interactions entre tudes g otechniques et tudes environnementales M thodes d investigation tudes compl mentarit et limites de prestation CEBTP 1 4 Le d roul des missions cadre organisationnel 1 4 1 D finition du programme Programme des investigations Le choix des investigations r aliser va d pendre du projet En effet plusieurs crit res interviennent La surface d emprise du projet l ensemble de cette surface doit tre convenablement balay e pour tenter d tre le plus exhaustif et repr sentatif possible L tat d avancement du projet et les objectifs de la mission r aliser en fonction du stade du projet les caract ristiques d terminer ne seront pas les m mes Ceci va conditionner par exemple le type d essais r aliser in situ et la profondeur des sondages L histoire et l exp rience du site ce crit re intervient syst matiquement dans le cadre des tudes de pollution l histoire du site nous informe sur les polluants pouvant tre rencontr s et leur localisation approximative Dans le cadre des autres missions environnementales ou g otechniques la pris
110. s encadrer ces am nagements Des processus d tudes d impacts de mesures compensatoires obligatoires et de contr les ont t instaur s afin de ma triser au mieux les risques engendr s sur le milieu naturel et donc sur la sant et la s curit humaine animale et v g tale C est dans ce cadre que des Bureaux d Etudes d Expertises Environnementales interviennent maintenant sur une large palette d am nagements bien en amont des tudes de Projet Qu elles concernent des projets petite ou grande chelle ces tudes environnementales sont de plus en plus fr quentes en phase m me de devenir syst matiques Il faut savoir que ces tudes sont susceptibles d impacter l essence m me d un projet En effet les mesures compensatoires peuvent imposer des installations non pr vues initialement qui peuvent tre incompatibles avec certaines parties du projet C est dans ce contexte que d marre le pr sent Projet de Fin d Etudes PFE Interactions entre Etudes G otechniques et Etudes Environnementales Ce PFE r alis au sein de l entreprise Ginger CEBTP aura pour but de d finir ces interactions en termes de m thodes d investigation d tudes de compl mentarit et de limites de prestation Pour se faire un tat des lieux de l entreprise et des deux services concern s G otechnique et Expertises Environnementales sera n cessaire organisation des missions investigations laboratoire tudes moye
111. s remani s o Pr l vements d chantillons intacts o Essais au p n trom tre dynamique ou statique o Essais pressiom triques e Pour l Environnement Pr l vements de sol pour analyse Pollution o Pr l vements d eau surveillance pi zom trique o Essais Porchet o Essais MATSUO Marie Renault INSA de Strasbourg D partement G nie Civil Promotion 2014 21 SIN D Interactions entre tudes g otechniques et tudes environnementales 4 Ti M thodes d investigation tudes compl mentarit et limites de prestation s STRASBOURG CEBTP 1 4 3 Le laboratoire Pour ce qui est des analyses de sol ou d eau pour la pollution elles sont sous trait es un laboratoire ext rieur l entreprise Concernant la G otechnique l ensemble des essais peut tre r alis par Ginger CEBTP L agence de Normandie dispose de 2 laboratoires un Rouen et un Caen capables de r pondre aux demandes en termes d essais d identification teneur en eau VBS limites d Atterberg granulom trie par tamisage par s dimentation masses volumiques etc ou encore en termes d essais d aptitude au traitement Quant aux essais m caniques essais de cisaillement la bo te triaxiaux essais oedom triques etc ils sont trait s par le laboratoire de Ginger CEBTP situ Elancourt 78 L ensemble des essais r alis s r pond aux protocoles d finis par les normes correspondantes 1 4 4
112. said s amuwewd q stress s p no 988puos np yuowans 3ou p Id L x anopuo fo4d od wssq 28Dpuos p edf amp S R o o p 28pd s jqounuosuos u Su10 2q 104 AWNNWNVADOANd AI Sondage N V CONDITIONS DE CHANTIER Utiliser la Fiche de pr visite de chantier E126 au besoin L Travaux de nuit ACCES Clefs chez Adresse ACCES SOUMIS A O Autorisation Arr t municipal pr fectoral Autres restrictions ACCES PREVOIR Piste L Rampes d acc s L Tas bloc enlever O Bastaings L D molition Grutage Barge L Protection du sol EXIGUITES L Passage H Hauteur travail C ble a rien H sol ETAT DU TERRAIN VI SANTE SECURITE ENVIRONNEMENT Plan de pr vention ou PPSPS oui _ si oui joindre le plan de pr vention ou le PPSPS RESEAUX ENTERRES 1 _ DICT jointes au pr sent document v rifier sa pr sence 2 _ Pr sence d un r seau proximit lt 50 m d un point de sondage _ Electrique Gaz Fibre optique Eaux C Autres pr ciser ssieeiireieeeeeeeee Dans ce cas joindre obligatoirement 3 _ Plan de positionnement des points sondages et du des r seaux enterr s ATTENTION Dans le cas o la consigne n 2 est coch e l op rateur g otechnicien doit v rifier que le les plans des points de sondage et du des r seaux sont pr sents dans le dossier Dans l
113. ssssnnssennnnsnessennnssennnsssennnssenenssene 50 Principe du p n trom tre dynamique 51 D tail de dimensionnement d une tranch e d infiltration des eaux pluviales 52 Coefficients de Montana pour les dur es de pluie consid r es 56 Valeurs de r f rences utilis es pour d terminer s sssssnnssesenssnnssenerssnnnnssenenssennnssrne 57 eaux SOUT FrAINES 352 5528 crier es a a a at 57 Tableau et diagramme d volution des teneurs en arsenic de janvier mars 2014 58 Principe du pressiom tre et coupes des sondages 59 D tail de bauche dimensionnelle d un pieu s sssssnnssssnnsssenssennnssnnenssennnnssennessernnssnne 63 duproj t tudi sariini iRE nn ANE nn Miniatures 63 Calcul du fact ur de Bora sas needed ren anis 70 Tableau F 4 2 1 de la norme NF P 94 262 71 Tableau A 1 de la norme NF P 94 262 ins 72 Calcul de la pression limite nette quivalente P ke EE 73 Tableau F 2 1 de la norme NF P 94 262 er 74 Tableau F 5 2 1 de la norme NF P 94 262 75 Tableau F 5 2 2 de la norme NF P 94 262 us 77 Tableaux C 2 3 1 et C 2 3 2 de la norme NF P 94 262 78 Tableaux 14 2 1 1 et 14 2 1 2 de la norme NF P 94 262 79 Tableaux 1 1 3 1 et 1 1 3 2 de la norme NF P 94 262 80 Valeurs de calcul en compression et en traction 81 Calcul de la longueur de transfert de l effort tranchant et du moment fl chissant 83 D finition du frottement n gatif un 85 Extrait du Code de l Envi
114. t et limites de prestation STRASBOURG Annexe n 20 Tableaux 1 1 3 1 et I 1 3 2 de la norme NF P 94 262 Coefficients rh ologiques a M thode pressiom trique Tableau 1 1 3 1 Coefficients rh ologiques g M thode pressiom trique Fous Ave umon sme me Ea EP ua eO 9 16 8 14 1 2 7 12 1 3 CESSE ea pres Eu a terrain surconsolid ou tr s serr Terrain Il terrain normalement consolid ou normalement serr III terrain sous surconsolid alt r et remani ou l che Tableau 1 1 3 2 Coefficients pour les terrains rocheux M thode pressiom trique Rocher Tr s peu fractur 213 Normal 1 2 Tr s fractur 143 Tr s alt r 213 Marie Renault INSA de Strasbourg D partement G nie Civil Promotion 2014 CEBTP 80 on Interactions entre tudes g otechniques et tudes environnementales IN M thodes d investigation tudes compl mentarit et limites de prestation 4 s JRG e STRASBOURG CEBTP Annexe n 21 Valeurs de calcul en compression et en traction Valeurs de calcul de la portance du terrain sous une fondation profonde compression R R e Esk R B T Y VA 7 et y sont des facteurs partiels qui d pendent des situations de calcul et qui sont fournis dans les tableaux C 2 3 1 et C 2 3 2 de la norme NF P 94 262 joints en annexe 18 e Pour les situations durables et transitoires ELU en combinaisons fo
115. t tudes environnementales ETRAS ADORE M thodes d investigation tudes compl mentarit et limites de prestation CEBTP 2 Interactions entre missions G otechnique et Environnementale Afin d illustrer au mieux les interactions qui peuvent survenir entre les services g otechnique et environnemental nous d velopperons ici 3 exemples repr sentatifs des diff rents types de projet auxquels ces services peuvent tre confront s e Un projet de construction de maison individuelle e Un projet d extension en milieu industriel e Un projet de contournement routier 2 1 Construction d un pavillon Etudes de sol et d infiltration 2 1 1 Pr sentation du contexte Depuis plusieurs ann es maintenant les constructions de maisons individuelles sont soumises de nouvelles exigences __L infiltration des eaux pluviales sur la parcelle du projet est rendue obligatoire par de nombreuses collectivit s territoriales Il s agit de compenser l imperm abilisation engendr e par la construction en mettant en place des tranch es drainantes ou des bassins d infiltration e l tude g otechnique de conception phase avant projet G2 AVP est devenue syst matique afin de pouvoir assurer son bien En effet les experts en assurance se sont rendu compte qu un grand nombre de sinistres tait d des risques g otechniques mal ou non anticip s Face ces dispositions Agence Normandie est donc amen e intervenir pour d
116. tit s sur l ensemble du territoire de la mani re suivante e 35 agences majeures en France m tropolitaine ainsi que de nombreuses agences locales e 4 agences dans les DOM TOM Fort de France Cayenne Noum a et Papeete Ces implantations permettent la repr sentation de toutes les comp tences de Ginger CEBTP l chelon national et local sous l gide d un directeur g n ral Chaque agence dispose d un service administratif prenant en charge l ensemble de la gestion client le tout moment Figure 1 Implantations de Ginger CEBTP France M tropolitaine et DOM TOM Source www groupe cebtp com Marie Renault INSA de Strasbourg D partement G nie Civil Promotion 2014 SIN D Interactions entre tudes g otechniques et tudes environnementales A mr M thodes d investigation tudes compl mentarit et limites de prestation CEBTP 1 2 L agence de Normandie 1 2 1 G n ralit s L agence de Normandie poss de deux sites e Le site de Rouen qui s occupe des affaires situ es en Haute Normandie e Le site de Caen pour les affaires localis es dans la r gion Basse Normandie Les deux sites changent constamment notamment pour pr voir leur planning mais aussi pour partager leurs exp riences et comp tences Plusieurs services interviennent dans cette agence e Le service Essais Contr les Route et Certification e Le service Expertise et Pathologie e Le service G otechnique
117. traitement et ou substitution de sol afin de garantir le coefficient de s curit avec des pentes sup rieures celles qui auraient pu tre retenues avec une emprise fonci re plus importante 2 3 6 Conclusion Conform ment cet exemple d am nagement routier l tude environnementale savoir la constitution du Dossier Loi sur l Eau a toujours lieu bien en amont On ne parle pas alors d interaction mais il existe n anmoins une action unilat rale cette fois ci c est dire que seule l tude environnementale va agir sur l tude g otechnique sans r ciproque En effet on a pu voir que pour ce type de projet de grande ampleur la prise en compte des contraintes environnementales est primordiale et va directement influencer les choix techniques retenus Marie Renault INSA de Strasbourg D partement G nie Civil Promotion 2014 42 INSR Interactions entre tudes g otechniques et tudes environnementales prir ipii M thodes d investigation tudes compl mentarit et limites de prestation CEBTP 3 Bilan et sch mas d interactions Sur l appui des exemples voqu s nous avons pu voir pr c demment que les interactions entre tudes g otechniques et tudes environnementales ne peuvent pas tre parfaitement r sum es au moyen d un seul et m me sch ma N anmoins on pourra retenir les g n ralit s suivantes e Concernant les tudes environnementales de Dossier Loi sur l Eau
118. tres les prestations de services relatives aux pollutions des sols et des eaux L encha nement des missions d ing nierie environnementale doit suivre les tapes d laboration et de r alisation de tout projet pour contribuer la ma trise des risques environnementaux Chaque mission s appuie sur des investigations environnementales sp cifiques Il appartient au Ma tre d ouvrage ou son mandataire de veiller la r alisation successive de toutes ces missions par une ing nierie environnementale Les prestations fournies par les prestataires de gestion des sites pollu s sont divis es en trois domaines e Domaine A Etudes assistance contr le e Domaine B Ing nierie des travaux de r habilitation e Domaine C Ex cution des travaux de r habilitation Le service Expertises Environnementales de l agence de Normandie ne travaille que sur des missions appartenant au domaine A Les prestations couvertes par le domaine A Etudes assistance et contr le se d composent suivant 2 approches diff rentes e _ En8 offres globales de prestation e En 15 offres de prestations l mentaires sous missions Les offres globales et leurs objectifs sont r sum s dans le tableau ci dessous les missions r alis es par l agence de Normandie apparaissent en rouge Offres globales de prestations Objectifs AO Assistance ma trise d ouvrage Assister et conseiller son client pendant tout ou partie AMO de la dur
119. ts obtenus sont t 1 heure V100 ans 7 0 33 m l utilisation des coefficients de Montana pour une pluie de 6 minutes 2 heures d occurrence centennale a 7 712 et b 0 607 nous donne le graphe suivant g g g Ventrant Estimation du volume de r tention pour une sn i Vsortant pluie de 6 min 2 h d occurrence centennale Vstockage Volume m3 0 1 0 2 0 3 0 4 0 5 0 6 0 7 0 8 0 9 1 1 1 1 2 1 3 1 4 1 5 1 6 1 7 1 8 1 9 2 Temps heures Les r sultats obtenus sont t 0 2 heures 12 minutes 3 Viooans 2 6 m Par s curit on prend en compte la valeur la plus forte soit 2 6 m pour une pluie de dur e 0 2 heure obtenue sur l intervalle de pluie de 6 minutes 2 heures Pour ce volume stocker de 2 6 m la surface d infiltration n cessaire sera alors de 15 m Marie Renault INSA de Strasbourg D partement G nie Civil Promotion 2014 54 INSR Interactions entre tudes g otechniques et tudes environnementales STRASBOURG M thodes d investigation tudes compl mentarit et limites de prestation CEBTP Sachant que la tranch e sera remplie d un mat riau dont la porosit sera au minimum de 30 grave 20 40 par exemple le volume g om trique de la tranch e devra tre au minimum de 8 7 m 2 6 0 3 8 7 Ensuite on d finit que la tranch e propos e poss dera les caract ristiques suivantes e __2 0mde l
120. tu e selon un minimum de 3 fois le volume de l eau dans le forage Cette tape permet de ne pas pr lever l eau stagnant dans le pi zom tre qui s est mise en quilibre avec l air ambiant mais de pr lever l eau telle qu elle est pr sente dans la nappe Les pr l vements ont t effectu s l aide d un pr leveur jetable Afin de ne pas contaminer les chantillons d eau un pr leveur jetable diff rent a t utilis pour chaque pi zom tre 2 2 4 Interpr tation des essais Environnement Les analyses r alis es en laboratoire vont permettre de comparer les teneurs en arsenic aux valeurs de r f rences En effet dans le cadre d un diagnostic pour d limiter et ou qualifier une pollution le recours des valeurs de comparaison permettant de replacer dans leur contexte les valeurs mesur es ou calcul es est indispensable Les valeurs de r f rence utilis es pour cette tude sont d finies en annexe 7 Le tableau et le diagramme d volution des concentrations en arsenic entre les mois de janvier et mars 2014 sont joints en annexe 8 G otechnique En plus de la lithologie du site fournie par les sondages et des enregistrements des param tres les r sultats des essais au pressiom tre aboutissent des courbes donnant en fonction de la profondeur e La pression de fluage pr e La pression limite ple e Le module pressiom trique E e LerapportE Pie Les coupes de sondages les pa
121. u 07 09 2011 Sable verd tre compact 12 50 Taillant 66 mm Sable gris vert peu compact Sable gris clair peu compact Version 3 81 du 15 04 2013 D pouillement d essais pressiom triques selon norme NF P 94 110 1 Sable gris clair 26 30 Arr t du sondage Logiciel DEPRESS Observations Nappe niveau d eau 0 9 m la date d ex cution du forage g INSA STRASBOURG Interactions entre tudes g otechniques et tudes environnementales M thodes d investigation tudes compl mentarit et limites de prestation CEBTP Annexe n 10 D tail de l bauche dimensionnelle d un pieu dans le cadre du projet tudi Etant donn le caract re redondant du calcul seul le dimensionnement des fondations de la colonne de r g n ration sollicitations les plus importantes sera d velopp ci apr s e DONNEES D ENTREE Les sollicitations fournies par le client pour la colonne charges sur appuis ponctuels sont les suivantes o Etat Limite de Service ELS quasi permanent Vmax 100 T Vmn 30 T et H 4 7 T o Etat Limite Ultime ELU fondamental Vmax 150 T Vmn 80 T et H 7T o Etat Limite Ultime ELU sismique Vmax 130 T Vmin 65 T et H 4 1 T Les caract ristiques m caniques retenues pour les calculs sont fournies dans le tableau suivant 3 Valeurs pressiom triques Formation Nature du sol Prof Base m TN z p MPa Em MPa n 1 Rem
122. u industriel a d montr qu il existe des interactions entre tude de pollution et tude g otechnique au niveau De la pr paration du chantier notamment avec la prise en compte des protocoles de s curit plan de pr vention engendrant des contraintes de planning et de mobilisations humaine qualification sp cifique et mat rielle EPI sp cifiques e Des tudes qui ne peuvent cependant pas avoir lieu en m me temps o Le diagnostic de pollution intervient en amont afin de d finir les potentiels risques prendre en compte o L tude g otechnique doit ensuite proposer des solutions adapt es aux contraintes environnementales Ces interactions sont donc d cisives pour le bon d roul de chacune des missions Par ailleurs les interventions en elles m mes bien qu elles reposent sur les m mes contraintes s curit qualification sont forc ment ind pendantes du fait qu elles requi rent des comp tences sp cifiques chaque domaine protocole de pr l vement rigoureux et essais pressiom triques Marie Renault INSA de Strasbourg D partement G nie Civil Promotion 2014 35 E STRASBOURG Interactions entre tudes g otechniques et tudes environnementales M thodes d investigation tudes compl mentarit et limites de prestation CEBTP 2 3 Contournement routier stabilit de talus et zones humides 2 3 1 Pr sentation du projet Le projet porte sur la r alisation du cont
123. u moyen de e La vitesse d avancement VIA en m h elle est g n ralement inversement proportionnelle la r sistance m canique des sols travers s lev e dans les horizons mous l ches et faible dans les formations compactes En la comparant avec la vitesse mesur e lors de l talonnage vide on peut d terminer si le sol pr sente ou non des passages d comprim s alt r s voir des vides e La pression d injection PI en bars elle est globalement lev e dans les terrains peu perm ables argile limon roche non fractur es et elle chute dans les formations plus perm ables fractur es grave sable e La pression sur outil PO en bars e Le couple de rotation CR en bars Ces deux derniers param tres sont maintenus quasi constants dans la mesure du possible au cours des op rations de forage Une fois le forage obtenu les essais pressiom triques peuvent avoir lieu Ces essais sont r alis s conform ment la Norme NF P 94 110 1 essais pressiom trique M nard consistent dilater dans le terrain une sonde cylindrique selon le protocole suivant e Application par paliers d une pression uniforme 50 bars au maximum sur la paroi du forage par l interm diaire de la sonde e Mesure de la variation du volume de la sonde dans le temps 15 30 et 60 secondes en fonction de la pression qui lui est appliqu e L essai s arr te soit lorsque on a atteint la pression maximale de 50 bars soit
124. udra donc r aliser des pr l vements de terrain afin d valuer la dispersion de la pollution avec la profondeur Le diam tre du tube sera sup rieur au diam tre du pieu Compte tenu de la pr sence de la nappe et de terrains majoritairement sableux les pieux seront r alis s selon une technique permettant une bonne tenue des parois des forages sur toute leur hauteur for la boue for tub for tari re creuse viss par exemple et compatible avec la pose d un tubage traversant les terrains superficiels La proximit des ouvrages avoisinants conduit rejeter toute solution de fondation par pieux de type battus Le d tail de l bauche dimensionnelle des pieux est joint en annexe 10 Marie Renault INSA de Strasbourg D partement G nie Civil Promotion 2014 SIN D Interactions entre tudes g otechniques et tudes environnementales E A ser popin M thodes d investigation tudes compl mentarit et limites de prestation CEBTP 2 2 6 Propositions des entreprises ex cutrices des pieux Suite l tude g otechnique d avant projet la consultation des entreprises a eu lieu Une analyse des propositions faites dans le rapport g otechnique a amen aux conclusions et variantes suivantes e La mise en place d un tube m tallique par vibrage puis l excavation des terres contenues l int rieur du tube sont contraignantes En effet ce dispositif n cessite de solidariser les tubes pour

Projet de Fin d`Etudes - Bienvenue sur Catalogue des mémoires de

Contents

Download Pdf Manuals

Related Search

Related Contents

Projet de Fin d`Etudes - Bienvenue sur Catalogue des m&eacute;moires de

Contents

Download Pdf Manuals

Related Search

Related Contents

Projet de Fin d`Etudes - Bienvenue sur Catalogue des mémoires de