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1. 7 biol2. ee Jules D partement de sociologie Universit de Bouira Karim MEKIRI Yahoo fr MAAREF Revue acad mique partie2 2 7 F Ann e N 13 D cembre 2012 2012 13 MEKIRI Karim 4 Abstract At the beginning of its apparition psychoanalysis did not give a primordial place to the structure notion of the personality because Freud was too much overwhelmed on the theorization of the transfer neurosis After Freud s death his disciples focused their thought to psychoanalytic classification according to personality structure The same as for TAT Murry was far to think of analy
3. Cheating on Exams A justifiable behavior 2 A Case Study in Causes and Remediation Abdelhak Hammoudi Abstract Academic honesty has been a perennial issue in higher education Unfortunately the advent of technological devices has spurred much concern regarding the inappropriate use of these tools and their impact on the ethical behavior of the students This study is designed to a obtain an estimate of the extent of cheating in examinations from the perspective of university students And b to find out the whys which push the students to resort to cheating The results based on a sample of 100 hundred students from the English language department indicate that 85 the students have cheated during their higher education examinations 70 of the sample admit that they will cheat whenever an opportunity develops 75 of the population held the perception that cheating in exams is caused by the focus on memory rather comprehension 64 think that they cheat on exams because they are not prepared The currents results might be applicable to students in other academic disciplines Key words Assessment examinations cheating in exams causes remediation Multiple Intelligences theory Introduction Historically academic honesty has been a crucial element in the advance of research and education However with the advent of technological Universit de S tif MAAREF Re
4. 13 MEKIRI Karim 18 rimportance du contenu latent auquel renvoient les planches et de l histoire manifeste donn e par le sujet dans le d gagement de l hypoth se structurale Elles montrent ainsi en s tayant sur une vignette clique l importance d effectuer un travail de comparaison entre le contenu latent de la planche et l histoire racont e par le sujet dans l analyse de la probl matique de l histoire Aujourd hui l id e de V Shentoub et ses collaborateurs quant la r f rence a la notion de structure telle qu elle est d finie ci dessus repr sente l objectif principal de l utilisation du TAT dans le champ de la psychologie clinique Toutefois il reste d montrer comment arrive t on d gager cette structure avec ses caract ristiques travers analyse du TAT Avant de r pondre cette question pr cisons que D gager les l ments caract risant telle ou telle structure du TAT ne rel ve pas d un simple travail d agencement syst matique mais il s agit d un vrai travail de synth se de donn es dans le sens o les l ments recueillis dans analyse ne se donnent pas voir d une mani re claire et syst matique dans le protocole Il s agit donc de faire un double travail d attention et d interpr tation pour pouvoir d gager ce que les sp cialistes appellent une hypoth se structurale Ainsi l analyse du TAT ne peut se faire qu on passant par trois
5. Lad marche clinique en psychologie Perspectives critiques Paris P U F 10 Chabert C 1997 Le Rorschach en clinique adulte interpr tation sychanalytique Paris nod 1 Nicolaidis N 1993 La force perceptive de la repr sentation de la pulsion Paris PUF 2 Donnet J _ L Green A 1973 L enfant de a psychanalyse d un entretien La psychose blanche Paris Les Editions De Minuit 3 Douville O 1999 La m diation projective l exemple du Rorschach et du MAAREF nartie2 Lettres et Sciences Humaines et Sociales 2 Psychanalyse TAT et structure de la personnalit Rapport historico th orique et modalit d analyse 27 TAT In La d marche clinique en psychologie humaine documents m thodes probl mes Ed Dunod 4 Foucault M 1997 Maladie mentale et psychologie Paris Quadrige PUF 5 Freud 5 1915 Pulsions et destins des pulsions In M tapsychologie Paris Gallimard 6 Freud S 1915 Le refoulement In M tapsychologie Paris Gallimard 1968 7 Freud S 1915 L Inconscient In M tapsychologie Paris Gallimard 1968 8 Freud 5 1932 Nouvelles conf rences sur la psychanalyse Paris Gallimard 1971 9 Green A 1990 La folie priv e Paris Gallimard 20 Laplanche J Pontalis 8 1967 Vocabulaire de la psychanalys
6. Rapport historico th orique et modalit d analyse 19 Pr cisons d embl e que le manuel d utilisation du T A T de 1990 V shentoup et All et le nouveau manuel du TA T de 2003 sous la direction de F Brelet Foulardb et C Chabert qui repr sente une relecture et un renouvellement du pr c dent constituent les principales sources 0 r f rence dans ce qui suit La feuille de d pouillement utilis e dans cette analyse sera celle de V Shentoub 1990 Dans les deux manuels cit s ci dessus analyse du T A T se fait travers les tapes suivantes 1 Analyse planche par planche Cette parie est constitu e de trois tapes diff rentes D pouillement et d cryptage des proc d s d fensifs utilis s par le sujet valuation de la lisibilit du discours Analyse de la probl matique de chaque planche Sachant qu une illustration d analyse sera donn e durant chaque tape pr cisons d embl e que l histoire donn e la planche 1 par un de nos patients appel Mourad 1 sera choisie durant cette illustration L histoire donn e par le patient est la suivante PI 1 15 Il prend la planche il la remet sur le bureau il regarde le clinicien Je risque de tarder un peu a ne fait rien 7 Comme vous voulez Est ce que je vous raconte une histoire que j imagine ou je vous dis ce qu ils sont en train de penser Vous me racontez une histoire travers ce que vous voyez dans la planche Qu es
7. contr le participe aussi a l appauvrissement du discours et l emp chement d un laisser aller En plus de l absence des proc d s de la s rie labile B le discours conna t un d rapage d l mergence de processus primaires E20 partir de ces consid rations le clinicien pourra d duire que la lisibilit du discours est m diocre La probl matique Chaque planche renvoie une probl matique pr cise en r f rence l dipe comme organisateur des stades libidinaux Le psychologue doit voir si la probl matique de la planche est per ue abord e et trait e par le patient Si c est le cas comment est elle trait e 7 En d autre terme il s agit de suivre les solutions d fensives pour lesquelles le patient opte afin d viter ou d aborder la probl matique de la planche En fait chaque planche traite d une probl matique diff rente selon le principe de fixation tel ou tel stade durant le d veloppement Cette probl matique est d duite a partir des sollicitations latentes auxquelles renvoie la planche Quant la planche elle renvoie pr f rentiellement l identification un individu jeune en situation d immaturit fonctionnelle qui se trouve confront un objet pouvant tre consid r comme un objet d adulte dont les significations symboliques sont transparents La question qui se pose ici est la suivante dans quelle mesure cet enfant dont limmaturit fonctionnelle doit tre connu
8. Cet ordonnancement se fait travers les stades du d veloppement libidinal dont l tude constitue l apanage de la m tapsychologie d o la conclusion de Freud qui stipule que la sant ne se laisse pas d crire autrement que m tapsychologiquement cit par P L Assoun 1997 p 342 Selon Assoun 1997 cette m tapsychologie peut tre consid r e elle m me autant que th orie comme psychologie structurale Les auteurs qui sont venus apr s Freud ont eu plus d gard l id e du rapport existant entre les stades du d veloppement libidinal les diff rentes organisations structurales de la personnalit et les entit s pathologiques de Padulte en tendant la r flexion sur les n vroses d autres entit s pathologiques comme les psychoses et les psychopathies Ainsi d un c t M Klein a essay de reprendre l id e freudienne qui d montre la relation entre les n vroses de l adulte et la n vrose infantile pour placer l hypoth se du passage de l homme par une psychose consid r e comme normale durant son enfance C est ainsi que M Klein et son cole postulent le passage de l enfant par une position schizo paranoide et une position d pressive durant son volution De l autre c t Abraham a tent de renforcer l id e de stades de d veloppement libidinal bauch s par Freud en cherchant le fondement tio pathog nique de toute la psychopathologie D s lors cette id e des stades du d veloppement l
9. La lisibilit g n rale du protocole Apr s avoir r parti tous les proc d s de d fense utilis s par le sujet dans la construction des histoires TAT sur la feuille de d pouillement en construisant un nuage de croix il faut ensuite valuer la pr valence et la vari t de ces proc d s l int rieur de chaque rubrique A B E en se r f rant ce nuage Enfin il faut aussi prendre en consid ration les lisibilit s de toutes les histoires du protocole afin d avoir une id e de l volution de la lisibilit travers les diff rentes planches du protocole 7 Ann e N 13 D cembre 2012 2012 13 MEKIRI Karim 24 La probl matique g n rale du protocole Si l analyse de la probl matique se fait d j a travers l analyse planche par planche dans la synth se le psychologue proc de a une confrontation des diff rentes probl matiques du protocole C est le r sultat de cette confrontation qui d cide de la probl matique du protocole 3 Hypoth se concernant l organisation psychique C est la derni re tape de l analyse du protocole Cette derni re consiste formuler une hypoth se concernant l organisation psychique et les diverses modalit s de fonctionnement dont le sujet dispose V Shentoub 1990 p 133 Cette hypoth se est le r sultat de tout le travail d analyse allant du d cryptage des proc d s d fensifs
10. rapeutique Il s agit souvent pour ne pas dire tout le temps de partager avec le lecteur une exp rience particuli re d un fragment de dur e dans la psychoth rapie de ce que nous appelons les cas lourds tels que les autistes les traumatis s les d ficients mentaux etc ou bien des psychoth rapies de couple de famille et de groupe d enfants de femmes etc Or il est claire que les psychologues cliniciens qui pratiquent la prise en charge individuelle avec les tout venants n vrotiques psychotiques tat limites et m me avec ceux qui somatisent sont tr s nombreux mais ils sont tr s r ticents quand il s agit de lever le voile sur ce qui se fait l int rieur du cadre th rapeutique en particulier sur le travail th rapeutique qui contrairement a investigation est d pourvue d un support protecteur th oris et admis par les sp cialistes o le psychologue se trouve avec ce qu il poss de comme outils intellectuels et psychiques confront aux critiques Enfin il est tr s b n fique pour nous psychologues alg riens d avoir une ma trise th orique et pratique de la plupart des techniques d investigation et cela pour mieux cerner le sujet et comprendre la nature du terrain concern par nos interventions Il est aussi recommand de porter notre int r t sur le travail qui se fait entre nous et nos patients dans les s ances de psychoth rapie afin de pouvoir apporter des claircissements sur les
11. tapes importantes ll faut dans un premier temps revenir la feuille de d pouillent afin de d gager les proc d s d fensifs sous jacents au travail de construction du r cit Dans un deuxi me temps il faut d terminer la mani re dont ces proc d s contribuent l laboration du discours afin d valuer la lisibilit des histoires Dans un troisi me temps il faut d gager les diff rentes probl matiques en revenant aux contenus latent des planches afin de d duire la nature du conflit le type d angoisse et la relation objectale Et c est la synth se finale de ces trois tapes qui juge de la nature et la particularit de l organisation d fensive et permet ainsi de construire une hypoth se structurale concernant le fonctionnement psychique d un sujet lll Deuxi me partie Modalit d analyse du TAT et d gagement d une hypoth se structurale de la personnalit Il s agit dans cette partie de montrer comment se fait l analyse du TAT en d crivant les principales tapes menant au d gagement d une hypoth se structurale de la personnalit en s tayant sur des exemples cliniques tir s de notre pratique face des jeunes adolescents qui ont subi des v nements traumatog nes M AREF nartie2 Lettres et Sciences Humaines et Sociales 2 Psychanalyse TAT et structure de la personnalit
12. apparition l ge adulte des sympt mes de la n vrose authentique est un signe d un chec du refoulement et de l d un retour du refoul Freud constate apr s que l apparition de la n vrose de transfert dans la cure favorise la gu rison et la disparition des sympt mes de la n vrose authentique lhyst rie dans ce cas ce qui l aide d montrer l existence d un lien entre les deux entit s Sachant qu il existe un lien entre la n vrose infantile et la n vrose authentique dans le sens o cette derni re n est que le retour de la premi re sous une autre forme l ge adulte Sachant aussi qu il existe un rapport entre la n vrose authentique et la n vrose de transfert dans le sens o cette derni re vient prendre la place de la premi re dans la cure sous l effet de la r gression et du transfert partir de ces deux vidences Freud d duit l quation de la psychopathogen se de la n vrose authentique Ihyst rie qui est devenu la pierre angulaire et la r f rence primordiale pour l interpr tation non seulement des n vroses mais de toutes les autres psychopathologies savoir les psychoses et les perversions Cette quation stipule que l enfant passe durant son d veloppement par une phase dipienne repr sent e par une constellation d affects responsables 1 La n vrose de transfert se rapporte toujours la cure psychanalytique Il s agit d une n vrose artificielle dans laquelle tend
13. comment le d finir quels sont ses objectifs ses fondements th oriques les limites de son champ d intervention etc Ce n est qu en d passant ces d bats que l id e de d montrer la capacit du TAT faire la diff rence entre le normal et le pathologique est venu Surtout avec l int r t que donnait l cole Fran aise V Shentoub et ses collaborateurs cet instrument D s Particle de 1955 intitul Th matique apperception test en Neuropsychiatrie Infantile V Shentoub commence mettre le point sur la capacit du TAT en plus de faire la diff rence entre le normal et le pathologique d gager la structure de la personnalit travers l tude des m canismes de d fense sollicit s par le moi face a une situation de conflit impos e par la situation de l examen TAT Toutefois soulignons que dans ses premiers articles V Shentoub se montre encore h sitante quant sa r f rence th orique Ainsi dans la pr sentation de concepts faisant partie de la th orie psychanalytique on constate quel point elle est tiraill e par les diff rents courants psychologiques de l poque comme la psychiatrie la psychanalyse et la ph nom nologie Comme tous les concepts utilis s par V Schentoub l poque l utilisation du mot structure de la personnalit se montre si impr cise 1 Au fur et mesure que les id es de V Shentoub voluent surtout avec la collaboration d autres auteurs tels que R Debray et C C
14. de 1963 intitul Conflits et Structure dans le TAT chez l Enfant gt l auteur pr cise que les images du TAT sont loin d tre qualifi es comme des stimuli neutres elles sont objets de toutes les projections elles sugg rent sinon imposent l expression d un conflit C est en ce moment que l auteur pr sente un exemple du contenu manifeste de la planche trois PL 3 ainsi que son contenu latent qui selon elle se rapporte la triangulation cedipienne En 1969 V Shentoub et R Debray r organisent les planches du TAT de la plus structur e a la moins structur e et affirment que toutes les planches renvoient a l vocation de situations conflictuelles et sont g n ratrices d angoisse En 1971 les deux auteurs pr cisent que le contenu manifeste des planches TAT est en rapport avec ce qui sp cifie la condition humaine Ce contenu qui sp cifie la diff rence de sexes et la diff rence de g n rations fait qu il renvoie essentiellement sinon exclusivement l dipe Pr cisons en se r f rant ces deux auteurs qu il ne s agit pas de l cedipe en tant que p riode volutive mais en tant que mod le structural Dans ce m me article les deux auteurs soulignent que le mat riel est constitu de 13 planches poss dant chacune un contenu manifeste et un contenu latent Enfin dans l article de 1978 ces deux auteurs soulignent fermement 7 Ann e N 13 D cembre 2012 2012
15. de limage pr cipite des d fenses galement massives ce qui perturbe et ventuellement d sorganise le cours de la pens e La nature des proc d s mis en uvre leur valeur conomique et dynamique et surtout leurs constellations sont autant de t moins des modalit s du fonctionnement psychique La lisibilit est galement consid r e comme alt r e si des histoires apparemment construites se r v lent d pourvues de toute r sonance fantasmatique p 132 Ainsi en reprenant l histoire donn e la premi re planche la lisibilit se pr sente comme suit Toute cette panoplie de proc d s d inhibition savoir l vitement C P1 et C P5 le recours au comportement C C1 et C C2 le repli narcissique C N1 et le recours maniaque C M2 prouve la difficult qu a Mourad construire son histoire En plus de linhibition la seule trace d un conflit intra personnel A2 17 est contr l e par un rem chage A2 8 et une pr caution verbale A2 3 Ce dernier se servant de la m taphore de l criture pour rendre compte du mouvement d une s ance d analyse crit En somme le crit re de r ussite r side ici moins dans la construction du contenu du texte que dans la construction du texte lui _ m me dans les formations des traces de son criture V Shentoub 1990 131 7 Ann e N 13 D cembre 2012 2012 13 MEKIRI Karim 22
16. freudienne sur la psychopathologie travers ce mod le Jackson cit par Foucault 1997 explique l atteinte psychotique en disant que Dans toute folie il existe une atteinte morbide d un nombre plus ou moins grand de centres c r braux sup rieurs ou ce qui est synonyme d un niveau d volution le plus lev de l infrastructure c r brale en toute folie une grande part des centres c r braux sup rieurs est mise hors de fonctionnement d une mani re temporaire ou permanente par quelques processus pathologiques p 24 Afin de sch matiser ce mod le M Foucault 1997 repr sente les centres c r braux en quatre couches A 8 C D et il dit que dans la premi re forme de la folie la plus b nigne la structure c r brale perd sa couche la plus 7016 Ann e N 13 D cembre 2012 2012 13 MEKIRI Karim 12 superficielle A et l on aura A B C D La totalit de la nouvelle structure devient en fait B C D Beaucoup de structuralistes et de psychopathologistes de l poque en Poccurrence Freud Piaget Binet Wallon et Janet ont pris ce mod le comme support a leurs th orisations Ainsi en s inspirant du mod le biologique du d veloppement Freud adopte l id e dont il est consid r comme pr curseur d un ordonnancement lin aire du d veloppement de l appareil psychique partir d une origine vers un tat d ach vement qui le finalise
17. me selon cette nouvelle optique induit une r flexivit complexe consid r e comme lune des conclusions majeures de la m tapsychologie P L Assoun 1997 1 2 Notion de stades de d veloppement libidinal De la clinique psychanalytique et plus pr cis ment des processus dans la cure o r sultent les mod les du d veloppement qui permettent d interpr ter la n vrose de transfert de sa propre auto analyse et enfin de quelques observations directes des enfants souffrants de troubles psychiques en plein d veloppement tels que le petit Hans Freud d duit la pr sence de stades de d veloppements qui traduisent une hi rarchisation de la sexualit du niveau le moins volu au niveau le plus volu g nital La pr sence de telle th orisation dans l uvre de Freud est corrobor e par la pr sence d autres mod les comme le mod le darwinien 1809 1882 sur l volution des esp ces et celui de Jacobson 1835 1911 sur l organisation hi rarchique du syst me nerveux central Concernant le mod le darwinien B Brusset 1992 dit qu la fin du XIX si cle la psychologie comme la toute jeune psychopathologie a trouv un fondement tr s f cond dans le grand mod le de la th orie de l volution des esp ces animales C Darwin le pathologique t moigne du retour d une tape d pass e int gr e p 11 Quant au mod le de Jacobson ce dernier t moigne d un grand apport la r flexion
18. pathologique chez l enfant Psychiatrie de l enfant 1 241 266 31 Shentoub V Debray R 1970 Fondement th oriques du processus TAT Bulletin de psychologie 12 15 903 908 32 ShentoubV Debray R 1971 Diagnostic diff rentiel entre des tats pathologiques chez le jeune adulte tude de quatre cas contribution du TAT et des preuves d efficience intellectuelle Psychiatrie de l enfant 233 272 33 Shentoub V 1973 A propos du normal et du pathologique dans le TAT S tif University 7016 Ann e N 13 D cembre 2012 2012 13 MEKIRI Karim 28 Psychologie Fran aise 4 251 259 34 Shentoub V 1982 Test de projection de la personnalit Encyclop die m dico chirurgicale 14 35 Shentoub V 1987 Th matique aperception test TAT Th orie et m thode Psychologie Fran aise T32 3 117 12426 36 Shentoub V et Al 1990 Manuel d utilisation du T A T Approche psychanalytique Paris Dunod 37 Tisseron S 1995 Psychanalyse de l image De limago aux images virtuelles Paris Dunod 38 Widl cher D 1979 Les n vroses l homme et ses conflits Saint Germain du Puy TCHOU 39 Winnicott D W 1974 Processus de maturation chez l enfant Paris Petite Biblioth que Payot MAAREF nartie2 Lettres et Sciences Humaines et Sociales 2
19. pouvant donner un sens au TAT D ailleurs F Brelet 1986 le pr cise MAAREF nartie2 Lettres et Sciences Humaines et Sociales 2 Psychanalyse TAT et structure de la personnalit Rapport historico th orique et modalit d analyse 15 bien quand elle rappelle e postulat de d part de V Shentoub a savoir la correspondance entre les registres de fonctionnement que permet disoler une psychopathologie d inspiration psychanalytique et les proc d s d organisation du r cit TAT p 39 Il faut cependant souligner que l amalgame th orique qu ont connu les interpr tations de V Shentoub tout au long de l volution du TAT n tait pas d seulement l h sitation de V Shentoub mais il y avait aussi une grande divergence entre les sp cialistes de la psychologie projective quant aux interpr tations donn es au TAT Ces divergences th oriques ont constitu une forme d entrave l introduction de sa nouvelle conception de l analyse du TAT savoir L int r t port non pas au contenu des histoires donn es au TAT mais plut t la forme de ces derni res Et la r f rence la th orie psychanalytique quant la d finition de la personnalit normale et pathologique Il n est sans doute pas utile de rouvrir une parenth se sur la pol mique si souvent voqu e dans les rappels historiques de l volution des
20. thanks to the appropriate use of the different intelligences the students can solve the problem This strategy helps the teacher forget the memory tests and urges him or her to help students assess their knowledge of any subject as well as their problem solving logic Knowing how they solve a given problem students grow rich in the development of their multiple abilities to solve any problem they might encounter in any other domain In this context assessment instead of focusing on memory encourages students to promote insight and challenges them to make creative use of their many intelligences not only in class but in their daily life as well Appendix Survey Date SSeS Gender male __ Female _ Instruction Please tick the appropriate box or complete the answer Choose the answer which represents your opinion Question 1 Why do students cheat in exams 1 Low instructor vigilance 2 Exams focus on memory rather than comprehension _ 3 Heavy overload _ 4 Narrowly spaced exam seating _ 5 Lack of self confidence that they can pass _ 6 Students are not prepared for the examination _ 7 Students like cheating _ 8 Students believe everyone cheats Question 2 Have you ever cheated in exams Yes ase f Nos Question 3 If the teacher leaves the exam hall for one reason or another and you notice that students start cheating will you do the same Nes fof NOE re Jia MAAREF nartie2 Let
21. to cheat and got what want MAAREF nartie2 Lettres et Sciences Humaines et Sociales 2 Cheating on Exams A Justifiable behavior A Case Study in Causes and Remediation 33 My poor neck who used to obey the position of my head would say YOUR head won its liberty Of course thanks to cheating it could stretch either ways to search for answers It s become a true gymnast can say that cheating has improved my kinesthetic intelligence Teacher my ears were allergic to knowledge They turned sick and deaf whenever they heard YOUR voice Cheating healed them It gave them their true role they became sensitive to the softest whispers and got what schoolmates said Cheating has developed my auditory learning style Teacher YOU wanted me to learn everything by heart to store YOUR huge futile stuff in my brain YOU wanted me to become a parrot But cheating taught me that the best place to store information is the cell phone and the MP3 did it and these devices helped me to cheat on exams and get high scores Now technology is my partner love it and can manipulate it efficiently Before was technology illiterate hated to use it YOU were the cause teachtator Cheating has turned me Healthy Smart and successful It has solved my problems and has helped me develop my multiple intelligences Sincerely yours Rec
22. towards cheating As can be seen in the table 75 of the participants believe that item b Exams focus on memory rather than comprehension is the main factor behind cheating Item f Students are not prepared for the examination comes as close second with 64 The lack of self confidence with 46 is another important factor behind misbehaviour during exams When the respondents were asked whether they had ever cheated on 7016 Ann e N 13 D cembre 2012 2012 13 Abdelhak Hammoudi 32 exams it was found that an alarming rate 85 had cheated on exams Answers to the last question which surveyed the students readiness and willingness to cheat on exams whenever possible 70 of the students responded with yes We may deduce that cheating is a causing so much harm to education and we have to think deeply and scientifically about how to reduce it because eradicating it appears to be an impossible mission Teacher should remember that cheating is an art and a skill It is not an easy task It requires a war like training Students use it as a response to a threat and they have the right to defend themselves Remove this threat and students will stop cheating We might learn a lesson from a student cheater who sent the following letter to his teacher explaining why students are motivated to cheat on exams D
23. Hammoudi 34 traditional and MI based assessment we suggest the following table Traditional Assessment MI Based Assessment Mastery of Facts and Contents Genuine understanding of the process of learning Facts are mastered for a test Facts are used 35 tools for solving problems Testing memory Comprehension and problem solving Table 3 Traditional and MI Based Assessment Thus in order not to get lost teachers should focus on the features of MI based assessment table above whenever designing a test They should also bear in mind that testing based on MI should be closely related to authentic assessment It should link classwork to authentic experiences According to teachervision 2012 MI based assessment offers efficient tips to design a fair assessment Emphasize ongoing assessment and progress Introduce assessment to your students as a regular part of classroom life Make assessment a part of the learning process not a stressful intimidating event Try to use instruments tools and procedures that embrace some if not all of the multiple intelligences Use a wide range of assessment tools to measure students skills and abilities Furthermore to create efficient assessment strategies educators should familiarize themselves with students multiple intelligences Knowing these intelligences can help teachers build tests accordingly and successfully They can help you choose approaches that will reach them most ef
24. MAAREF Revue acad mique UAMOB partie n 2 Lettres et Sciences Humaines et Sociales 13 3 Num ro D cembre 2012 2012 7 E Ann e DIRECTEUR de Publication Pr Kamel BADDARI Redacteur en chef kamel edine KARI membres de Redaction Rachid FERRAH Rabah MELLOUK pol Nacer HAMOUDI Fatma MESSANI 1112 7007 ISSN amp 026938843 165 227 026930924 www univ bouira dz Karikamal2008 yahoo fr aise Universit Akli Mohand Oulhaj UAMOB BOUIRA ALGERIE Psychanalyse TAT et structure de la personnalit Rapport historico th orique et modalit d analyse MEKIRI Karim
25. a phase g nitale de l volution Durant cette phase l enfant vit le conflit dipien avec toutes ses particularit s o le Moi cherche des compromis entre les exigences du a et les interdits du Sur moi Ainsi la structure n vrotique est caract ris e par l apparition de toutes les instances de la personnalit le m canisme de d fense principal demeure le 7 Ann e N 13 D cembre 2012 2012 13 MEKIRI Karim 14 refoulement avec bien s r tous les autres m canismes qui en d coulent comme la d n gation et la formation r actionnelle La menace de castration d finie l objet de l angoisse n vrotique La relation d objet s inscrit dans la diff rence des sexes l objet prend une position proximale par rapport au sujet c est dire qu il existe et il est cherch en tant que tel La structure psychotique La structure psychotique est d finie par une d faillance de l organisation narcissique primaire le conflit dans ce cas se joue entre les besoins pulsionnels l mentaires et la r alit Le m canisme de d fense le plus dominant est le d ni de la r alit ainsi que le clivage du Moi La relation objectale plus ou moins fusionnelle la m re fait que le Moi n est jamais complet et se trouve morcel ce qui explique que l angoisse cette phase soit aliment e par des id es de morc lement de mort et de destruction Les tats limit
26. au diagnostic 7 Ann e N 13 D cembre 2012 2012 13 MEKIRI Karim 16 diff rentiel entre le normal et le pathologique chez l enfant Shentoub parle d instance qui contribue l organisation de la personnalit de la notion d int grit du moi de m canismes de d fense et ceux du d gagement par r f rence D Lagache 1961 et enfin de l efficacit de ces m canismes faire face au conflit suscit par la situation TAT Enfin ce n est qu en 1982 dans un article publi dans l encyclop die m dico chirurgicale de psychiatrie sous le titre de Test de projection de la personnalit que Shentoub retrace les grandes lignes de l volution de ses travaux sur le TAT en confirmant ainsi avec N Rausch sa r f rence la th orie psychanalytique quant l analyse du TAT Dans cet article Shentoub pr cise que les th matiques de l histoire donn e au TAT peuvent tre prises en compte travers le recours la nature du conflit de la nature de l angoisse et du type de relation d objet P 5 Les facteurs constitutifs d une structure tels qu ils sont d finis par les psychanalystes d j cit s sont chercher dans deux l ments constitutifs du TAT il s agit de la feuille de d pouillement et des contenus manifeste et latent des planches 2 1 La feuille de d pouillement Dans l article de 1958 publi sous le titre
27. de Contribution la recherche de la validation du TAT Feuille de d pouillement V Shentoub pr sente sa premi re feuille de d pouillement du TAT Ce qui peut tre d duit de cet article c est l impr cision de Shentoub quant au choix de l arri re plan qui explique le processus TAT Elle se r f re la psychopathologie classique la psychologie dynamique l analyse existentielle et la psychiatrie fran aise selon ses propos Dans cette feuille il est remarquable que les items pr sent s ne soient pas en rapport avec la notion de m canismes de d fense telle qu elle se pr sente dans la th orie psychanalytique Shentoub pr cise qu elle s est appuy e sur l valuation statistique de la pr sence de certains signes structuraux dans les diff rents groupes cliniques et la d termination de leurs inters corr lation chez un m me sujet normal ou pathologique Au fur et mesure que la conception de V shentoub vis vis de la th orie psychanalytique volue elle attribue aux items de la feuille de d pouillement des noms en rapport avec la th orie psychanalytique comme Les m canismes de d fense qui sont remplac s apr s par les proc d s d fensifs Ces derniers sont selon Shentoub les analogons des m canismes de d fense sauf que les proc d s d fensifs r pondent des processus de pens e et de discours permettant l organisation d un discours M AREF narti
28. de toutes les planches jusqu la probl matique finale du protocole C est en se r f rant la nosographie psychanalytique des troubles psychiques que l on formule cette hypoth se Cette nosographie comprend les diff rentes entit s d j cit es savoir une organisation n vrotique obsessionnelle ou hyst rique par exemple d une organisation psychotique schizophr nie m lancolie paranoia ou encore d un fonctionnement limite V Shentoub 1990 p 134 IV Quelques remarques pour conclure Il est rappeler en guise de conclusion que le TAT mest qu une technique d investigation parmi tant d autres qui sont utilis es par les psychologues dans le but de mettre en vidence tel ou tel aspect de la personnalit A elle seule cette technique ne peut se r v ler efficace ce qui oblige l investigateur apr s chaque analyse du TAT de confronter les r sultats obtenus avec ceux d autre techniques telles que l entretien le Rorschach les tests d intelligence etc En revanche une investigation quelque soit sa pertinence ne constitue pas le principal objectif vis par le psychologue except dans les cas des investigations de recherche et quand l investigation vise une s lection ou un classement pour des fins d embauche ou autres dans la mesure o construire une id e sur le fonctionnement psychique d une personne constitue une premi re tape du processus th rapeutique Ce dernier ne peut tre consid
29. divergences les difficult s les incapacit s et les impasses dans lesquelles le psychologue peut se retrouver quand il se met dans une situation tr s peu d finie telle que celle de la psychoth rapie Mais il est aussi souhaitable voir indispensable de comprendre la nature du lien entre les deux tapes celle de l investigation et celle du travail th rapeutique Entre ces deux situations fusionn es pour certains ou s par es pour d autres une relation existe toujours et dans une relation c est l tude des liens qui se montre parfois m me plus importante que l tude des termes unis 7 Ann e N 13 D cembre 2012 2012 13 MEKIRI Karim 26 par ces liens investigation et th rapie Green 1990 ll s agit travers ce genre d cris de montrer en quoi les l ments recueillis de linvestigation peuvent tre utilis s dans la th rapie comment peuvent ils guider le th rapeute dans ses interventions dans ses prises de d cisions concernant le choix du type de psychoth rapie la fin du processus th rapeutique etc Ainsi des r ponses qui versent dans ce champ relationnel constituent l essence de la technique et de la pratique psychologique Rappelons enfin que l analyse du TAT visant investigation et la mise en vidence des caract ristiques du fonctionnement psychiques des sujets a t pens e pour des fins d investigations cliniques et
30. e Paris PUF 2 Lebovici S 1980 L exp rience du psychanalyste chez l enfant et chez l adulte devant le mod le de la n vrose infantile et de la n vrose de transfert Revue fran aise de psychanalyse 5 6 732 857 22 Le Guen C 1992 Le refoulement que sais je Paris PUF 23 Samai Haddadi D 1998 Que faire de implication dans l examen psychologique Psychologie N 6 40 60 24 Shentoub V 1956 Le thematic apperception test en neuropsychiatrie infantile Revue de neuropsychiatrie infantile et d hygi ne mentale de l enfance V 4 245_ 262 25 Shentoub V Rausch De Traubenberg N 1958 Les techniques projectives probl me th orique de validation Psychiatrie de l enfant 1 238 246 26 ShentoubV 1957 Le TAT et la schizophr nie juv nile Consid rations m thodologiques Psychologie Fran aise 3 185 189 27 ShentoubV Shentoub S A 1958 Contribution la recherche de la validation du TAT feuille de d pouillement Revue de psychologie appliqu e 4 275 341 28 Shentoub V Shentoub S A 1960 Recherche exp rimentale et clinique du th me banal dans le TAT Psychiatrie de enfant 2 404 _ 524 29 Shentoub V 1963 Conflits et structure dans le TAT chez l enfant Revue de neuropsychiatrie infantile 6 6 305 309 30 Shentoub V Debray R 1969 Contribution du TAT au diagnostic diff rentiel entre le normal et le
31. e m lancolie parano a ou encore d une organisation du style tat Limite Ainsi le TAT fournit des donn es qui semblent parfaitement convenir ce type d analyse diff rentielle V Schentoub 1982 p 6 Toutefois il faut souligner que cette triade Psychanalyse TAT et structure de personnalit ne s est pas faite d une mani re aussi vidente et syst matique et elle est encore loin d tre parfaite et homog ne Ainsi il s agit dans cet article de r pondre une double attente travers une perspective th orique il serait d montr d une mani re lapidaire comment la notion de structure de la personnalit a pu trouver sa M AREF nartie2 Lettres et Sciences Humaines et Sociales 2 Psychanalyse TAT et structure de la personnalit Rapport historico th orique et modalit d analyse 5 place dans la nosographie psychanalytique et comment le TAT est arriv tre pens selon les termes de cette notion travers une perspective pratique il serait question de pr senter les modalit s d analyse du TAT la lumi re de la nosographie psychanalytique c est dire visant le d gagement d une hypoth se structurale La conclusion de l article se veut une sorte de remarques pratiques concernant les limites des techniques d investigations en occurrence le TAT leurs relations la pratique t
32. e peut il tre repr sent capable d utiliser son instrument V Shentoub 1990 p 45 Quand on revient l histoire donn e par notre patient on constate qu au d but il y a une sorte de focalisation sur l aspect narcissique valence n gatif sans pour autant qu elle soit en relation avec l objet Ce dernier sans tre nomm est per u comme un objet affect n cessitant une r paration Quant tenu de ce qui est stipul par les sollicitations latentes de la planche notamment l insistance sur le fait que l enfant et le violon soient per us dans leur int grit on peut d duire que le fonctionnement d fensif du sujet s inscrit en de de la probl matique cedipienne laquelle renvoie la planche Et donc cette derni re n a pu tre per ue par le sujet 2 Synth se de l analyse Dans cette deuxi me partie de l analyse le psychologue doit passer par les tapes suivantes Le regroupement des proc d s d fensifs utilis s dans toutes les histoires MAAREF nartie2 Lettres et Sciences Humaines et Sociales 2 Psychanalyse TAT et structure de la personnalit Rapport historico th orique et modalit d analyse 23 La lisibilit g n rale du protocole La probl matique g n rale du protocole Le regroupement des proc d s d laboration du discours En pratique le regrou
33. e la cure analytique encouragent le transfert et font appara tre une n vrose de transfert Cette n vrose de transfert permet via l analyste d expliquer le lien existant entre les sympt mes hyst riques et la crise intrapsychique v cue durant l enfance la n vrose infantile et donne ainsi un sens l apparition de l hyst rie Ce qui constitue l essence de toute la th orie et la th rapie psychanalytique Dans un second temps Freud d duit que toutes les psychopathologies qui ob issent au m me facteur de transformation que celui que l on retrouve chez l hyst rie sont appel es psychon vroses ou n vroses authentiques ou n vroses de transfert ou encore n vroses transfert les autres troubles sont soit des n vroses actuelles soit des n vroses narcissiques Ce sont les destins et les figures de ces transformations qui d cident du type de la psychon vrose Ainsi Dans l hyst rie de conversion les id es refoul es sont transform es en sympt mes somatiques travers le court circuit de la pens e Dans la n vrose obsessionnelle elles sont transform es en id es et acts compulsifs via les formations r actionnelles Et dans lhyst rie d angoisse n vrose phobique elles sont transform es en vitement de l agent phobique sur le quel un d placement projection est effectu Finalement ce qu on peut retenir de cette d monstration est que le recours au mod le du d veloppe
34. e2 Lettres et Sciences Humaines et Sociales 2 Psychanalyse TAT et structure de la personnalit Rapport historico th orique et modalit d analyse 17 coh rent se d roulant dans le temps en fonction d un certain espace les m canismes de d fense r pondent dans l instant et de mani re st r otyp e au mouvement du d sir F Brelet 1986 p 39 Enfin et d s l article de 1982 V Shentoub et N Rausch pr cisent clairement que la feuille de d pouillement avec ses proc d s d fensifs se rapporte directement la notion de structure telle qu elle est d finie par J Bergeret 1976 Cette feuille permet l appr ciation des proc d s du discours utilis s par le sujet dans la construction des histoires successives les proc d s correspondant aux diff rents modes de fonctionnement correspondant aux registres r put s normaux n vrotiques et psychotiques auxquels nous avons ajout r cemment des modalit s qui chappent aux crit res classiques et qui peuvent rendre compte des organisations qui diff rent des n vroses et des psychoses mentales et correspondent au large cadre des tats limites V Shentoub N Rausch 1982 p 5 2 2 Les contenus des planches Apr s l article de 1960 sur le theme banal V Shentoub commence a construire une id e sur le contenu manifeste des planches Dans larticle
35. ear teachtator Yes know you are bored to death by academic dishonesty YOU are complaining about my cheating in exams YOU are working hard to prevent me from cheating YOU can t do it simply because YOU are the source of cheating Remember Cheating is unstoppable It ends only when YOU end Check Cheat and Teach are one same word same letters and a same meaning YOUR examinations are boring and painful They caused my breakdowns No one can help Cheating is my saver my aspirin the killer of the pain Teacher YOU should remember that cheating is an art and a skill It is not an easy task It is a war job Students use it as a response to a threat and they have the right to defend themselves And the threat is YOU Remove this threat and students will stop cheating You covered my eyes with blinkers to keep me looking in the direction YOU are dictating Cheating rescued me It taught me how to roll my eyes here and there to see the answer sheets of my schoolmates My visual style has considerably improved YOU trained me how to keep quiet and stick to my seat like the statue of liberty Cheating broke my handcuffs and freed me My hands moved everywhere to gather answers They copied the answers smarter and faster than ever They broke the record They are very useful now My feet engaged their brain and became practical and helpful They kicked the chairs the tables and the legs of my classmates to let them know that want
36. el lisibilit 1 et c est le degr 1 Pr cisons l occasion que cette notion a t emprunt e A Green Ce M AREF nartie2 Lettres et Sciences Humaines et Sociales 2 Psychanalyse TAT et structure de la personnalit Rapport historico th orique et modalit d analyse 21 de r ussite d un tel travail qui d cide de la nature de la lisibilit bonne ou m diocre Il s agit en d autre terme d identifier la nature des proc d s d fensifs la mani re dont ils s articulent entre eux la mani re dont l histoire est construite il s agit d tudier apr s l existence ou non d une r sonance fantasmatique en racontant l histoire de chaque palanche Ainsi en reprenant textuellement les propos de V Shentoub 1990 Une lisibilit est synonyme d un travail de liaison lorsque Les histoires sont construites Les proc d s mis en uvre sont pr sents sur un mode souple et vari et suffisamment solides pour participer l laboration du r cit Les affects li s aux repr sentations apparaissent moulus en fonction des variations du stimulus La r sonance fantasmatique est en rapport avec les sollicitations latentes de l image Sur un continuum r gr dient la lisibilit s alt re et la limite se d t riore un trop fort impact fantasmatique prouv par les sollicitations latentes
37. ent s organiser les manifestations de transfert Elle se constitue autour de la relation avec l analyste J Laplanche et J B Pontalis 1967 p 280 2 S Lebovici 1980 a d montr que la n vrose infantile telle qu elle est d finie est diff rente de la n vrose de l enfant Tandis que la n vrose de l enfant co ncide avec les sympt mes n vrotiques que l on observe chez l enfant la n vrose infantile telle qu elle se d gage de l analyse du transfert constitue au contraire un mod le une reconstruction qui r organise dans un syst me intemporel les multiples conflits et fixations ayant marqu le d veloppement gt D Widlocher 1979 p 15 7 Ann e N 13 D cembre 2012 2012 13 MEKIRI Karim 10 d un conflit intrapsychique connu sous le terme de n vrose infantile L chec du refoulement se trouve responsable d une fixation de l enfant cette phase Durant la phase de latence l enfant semble d passer cette crise et effectue ce que Freud appelle une amn sie infantile A l ge adulte ce dit enfant peut se retrouver face a une adversit consid r e comme facteur d clenchant suscitant en lui un conflit impossible a g rer qui de son c t se trouve responsable de la reviviscence de la n vrose infantile qui jusque l semble dispara tre sous forme de n vrose authentique I hyst rie Les conditions d
38. es Astructurations Dans ce genre d organisation le moi a d pass le danger de la psychogen se du type psychotique mais il na pas pu parvenir la psychogen se du type n vrotique D o leur appellation tats limites Dans ces organisations la relation objectale est caract ris e par une tr s grande d pendance l objet mais contrairement aux psychotiques elle demeure v cue et jou e deux il s agit d une relation anaclitique dont laquelle le sujet doit tre fortement aim par l objet et il reste au m me temps s par de lui Le conflit est pr g nital et se joue principalement vis a vis de l id al du Moi L angoisse de perte de l objet fait que le sujet lutte d une fa on permanente contre la d pression Les m canismes de d fense caract risant les tats limites sont moins labor s et moins efficaces mais aussi moins co teux en contre investissement il s agit de l vitement la forclusion la projection et surtout le clivage de l objet 2 Le TAT et la structure de la personnalit Bien que l volution de la th orie du TAT travers le mod le pr sent par l cole Fran aise V Shentoub et ses collaborateurs ait connu beaucoup d entraves en rapport avec les h sitations et les allers et retours entre des th ories divergentes qui contribuaient aux interpr tations de cet instrument V Shentoub n a pas cach son int r t port a la psychanalyse comme arri re plan th orique
39. es and Remediation 31 The survey was randomly distributed to second year students in the department of English during class time This manner of distribution was an attempt to ensure the participation of most of the students Out of the 120 surveys distributed only 100 were returned By combining each student s individual results we could determine the factors which motivate students to cheat and student s attitude to cheating Finally the results were tabulated as percentages Results Following the collection of data it was found that 85 of the students surveyed had personally engaged in cheating Another very high number 70 expressed their readiness and willingness to cheat on exams whenever possible As for the factors which motivated students to cheat analysis yielded the following results Motivating factors Percentages a Low instructor vigilance 17 b Exams focus on memory rather than comprehension 75 c Academic overload 45 d Narrowly spaced exam seating 14 e Lack of self confidence that they can pass 46 f Students are not prepared for the examination 64 g Students like cheating 28 h Students believe everyone cheats 18 Table 1 Motivating factors Attitudes towards cheating Percentages 1 Have you ever cheated in exams Yes 85 2 If the teacher leaves the exam hall for one reason or Yes 70 another and you notice that students start cheating will you do the same Table 2 Attitudes
40. evaient du mental Ce sont les troubles mentaux qui taient constitu s par toute la gamme des psychoses Rappelons ici que ce qui est connu actuellement sous le terme de n vrose obsessionnelle tait consid r jadis comme faisant partie des psychoses Il s agissait de la folie du doute Dans une deuxi me rubrique on regroupait les maladies d origine nerveuse Ce sont les troubles nerveux comme l hyst rie Ces troubles ont t consid r s comme relevants de la pathologie interne Soulignons que l id e de recourir une telle classification tait aliment e par le fait que la r flexion psychiatrique reposait sur des tudes descriptives fond es sur la ressemblance des traits et sur des tudes pr dictives fond es sur l volution naturelle des maladies mentales Widlocher 1979 p 14 c est dire d crire le sympt me et suivre son volution Le second concerne le sens donn la pathologie Cette derni re tait consid r e comme un tat qui Quand il advient un moment de la vie d une personne il appara t comme ind pendant et d pourvu de lien avec sa vie ant rieure consid r e comme normale En ce sens les sp cialistes de l poque se r f raient au point de vue qualitatif c est dire en d finissant la pathologie comme une rupture et une interruption de la normale Freud est venu avec des id es r volutionnaires qui ont jou un r le d cisif dans l volution de la
41. fectively Here are some very important strategies that can make assessment fair and intelligent teachervision ibid Linguistic Ask students to write in a journal regularly Give oral exams and or essay tests Emphasize creative writing have students write poems plays and stories Logical Mathematical Have students complete logic problems and games MAAREF nartie2 Lettres et Sciences Humaines et Sociales 2 Cheating on Exams A justifiable behavior A Case Study in Causes and Remediation 35 Bodily Kinesthetic Challenge students to write and perform plays Have students build models or use other hands on techniques to show what they learned Visual Spatial Invite students to create collages murals and posters Encourage students to illustrate their ideas using maps charts and graphs Help students use school equipment to make a video or slide show Interpersonal Stage a classroom debate Have students work collaboratively to brainstorm and prepare a project Intrapersonal Ask students to identify their own academic strengths and weaknesses Have students think of personal goals and give progress reports Musical Challenge students to identify and explain patterns in music or poetry Ask students to write new lyrics to familiar melodies or to compose anew song Naturalis
42. h rapeutiques et enfin une remarque d ordre d ontologiques quant leur utilisation ll Premi re partie rapport historico th orique Concernant le rapport entre psychanalyse et structure de la personnalit il faut pr ciser que le concept de structure n est pas utilis d s l invention de la psychanalyse et m me son utilisation actuelle ne fait pas l unanimit des tenants de cette th orie Il faut souligner tout de m me que les pr mices de cette notion existaient d j dans les cris de Freud sous forme de m taphore du cristal 1 C est cette m taphore qui a permis aux successeurs de Freud de d velopper leurs id es sur la notion de structure de la personnalit et c est cette m taphore qui a permis aussi ces psychanalystes de raffiner la nosographie psychanalytique sur le mod le structural bas sur la pr sence de deux structures psychotique et n vrotique et d une organisation limite Concernant le rapport entre le TAT et la structure de la personnalit le moins que l on puisse dire c est que le d gagement d une hypoth se structurale de la personnalit par r f rence la nosographie psychanalytique ne figure pas dans les travaux de Murray En effet ce dernier ne pr tendait pas faire la diff rence entre le normal et le pathologique via son test et il tait encore loin de pr tendre faire la diff rence entre les diff rentes entit s pathologiques Le souci 1 Freud n a pas donn une d f
43. habert les concepts en rapport avec la d finition de structures psychopathologiques prennent forme et 1 La preuve que le terme de conflit qui est connu actuellement comme un facteur important dans la diff renciation du type de structure selon l arri re plan psychanalytique est d fini par V Shentoub dans son article dat de 1959 comme un produit de l environnement Et selon son origine et son intensit elle distingue trois cat gories Conflit abstrait m taphysique religieux politico sociale Conflit de base familiale plus ou moins aigu et insoluble Conflit socialement acceptable conflit mineur plus ou moins banal M AREF nartie2 Lettres et Sciences Humaines et Sociales 2 Psychanalyse TAT et structure de la personnalit Rapport historico th orique et modalit d analyse 7 ipso facto la r f rence a la psychanalyse quant a la d finition de cette structure s av re in vitable 1 Psychanalyse et structure de la personnalit Avant Freud les id es en rapport avec la nosographie des troubles mentaux s appuyaient sur deux points importants Le premier concerne la classification des troubles psychiatriques Selon un point de vue organog n tique les sp cialistes de l poque classaient les troubles sous deux rubriques Dans une premi re rubrique on rangeait les troubles qui rel
44. ibidinal constitue un mod le de r f rence dans la nosographie car c est partir de ce mod le que les diff rentes pathologies sont interpr t es en termes de structure de la personnalit Cette derni re correspond ce qui dans un tat psychique morbide ou non se trouve constitu e par les l ments m tapsychologiques profonds et fondamentaux de la personnalit fix s en un assemblage stable et d finitif J Bergeret 1996 p 47 1 3 Notion de structure de la personnalit C est partir de tous ces travaux sur la notion de normalit et celle du stade du d veloppement que l id e de structure de personnalit ait vu le jour MAAREF nartie2 Lettres et Sciences Humaines et Sociales 2 Psychanalyse TAT et structure de la personnalit Rapport historico th orique et modalit d analyse 13 Ainsi une structure est d finie par des l ments internes et stables qui nob issent pas au degr de quilibre de la personnalit Selon l optique et la conception que donne chaque auteur la notion de structure varie les l ments constituants de cette derni re Les l ments retenus pour le d gagement de la structure dans le TAT sont aussi ceux qui sont d sign s par Bergeret 1976 1996 savoir La nature de l angoisse latente Le mode de relation d objet Les m canismes de d fense principau
45. id es sur le TAT Ce qui fait que dans ce qui suit notre int r t va tre focalis sur ce qui a permis l volution des id es sur le TAT et plus pr cis ment sur l apparition du concept de structure de la personnalit Comme il est d j pr cis dans l introduction d s l article de 1955 V Schentoub critique la m thode de Murry bas e sur l analyse des besoins du h ros du milieu o il volue des contraintes qu il subit et de ses r actions vis vis de ces contraintes et propose en contrepartie en r f rence aux travaux de Symond une analyse du TAT bas e sur la fa on de concevoir la personnalit Cette derni re dit elle se base sur les deux dimensions dynamique et synth tique En se r f rant la dimension dynamique V Shentoub dit que la personnalit est constitu e d une structure repr sent e par un ensemble de trais qui s articulent et s interf rent dans leur fonctionnement Dans la dimension synth tique l agencement de ces trais de la personnalit prend l aspect de globalit En 1957 Schentoub pr sente le conflit la culpabilit et l agressivit comme l ments constitutifs de la personnalit et selon elle c est la mani re d utiliser les l ments en pr sence de les int grer ou d tre d bord par eux qui permet d op rer le diagnostic positif et en partant de l le diagnostic diff rentiel p 187 Dans l article de 1969 intitul Contribution du TAT
46. inition claire de la structure de la personnalit la preuve que ce concept ne trouve pas de place dans le Vocabulaire de la Psychanalyse mais il s est content d en faire allusion en se r f rant la m taphore du cristal Afin de sch matiser la d compensation d une structure Freud dans les Nouvelles Conf rences datant de 1932 pr cise que l o la pathologie nous montre une br che ou une f lure il y a peut tre normalement un clivage Jetons par terre un cristal il se brisera non pas n importe comment mais suivant ses lignes de clivage en morceaux dont la d limitation quoique invisible tait cependant d termin e auparavant par la structure du cristal Cette structure f l e est aussi celle des malades mentaux 1971 p 80 7 Ann e N 13 D cembre 2012 2012 13 MEKIRI Karim 6 de Murray tait de d gager le conflit entre les besoins du sujet et les obstacles venant de l environnement que ce dernier rencontre Les auteurs qui sont venus apr s Murray dont la plupart sont des Am ricains tels que Symond Balkin Rapaport Holt Schafer Bellack et Hartman pour ne citer que ceux qui en ont contribu le plus taient pr occup s par lid e de prouver l efficacit et la vis e scientifique d un tel outil d investigation Les cris formul s par ces auteurs traitent souvent de ce genre de pr occupations c est dire
47. k and the trend is on the rise Almost everybody has succumbed to the use of inappropriate resources to get high grades in exams Grades have become the major focus of most students Verily cheating has turned a big dilemma and has reached epidemic proportions in our schools It is not stopping On the contrary it is skyrocketing What is wrong with higher education today How can we remedy This article is an attempt to highlight the main causes of this academic misconduct its causes and suggest some solutions to plummet it Research questions What are the main motivations behind cheating in class What are the factors that influence dishonest academic behavior What if anything should be done to prevent it Method The study was conducted by formulating a survey consisting of twelve multiple choice items pertaining to academic cheating see appendix The purpose of these questions was to analyze whether cheating is more common on examinations in the English language department as well as to find out the main motivations behind this academic dishonest behavior The study stressed confidentiality and the student s anonymity in order to increase students participation and obtain reliable responses MAAREF nartie2 Lettres et Sciences Humaines et Sociales 2 Cheating on Exams A justifiable behavior A Case Study in Caus
48. ment pour la compr hension de la pathologie a permis Freud de d tecter que la seule diff rence entre le normal et le pathologique la n vrose r side dans la mani re de r soudre le conflit oedipien c est dire l efficacit du refoulement Il s agit du m me conflit dipien et du m me m canisme refoulement utilis par les normaux ainsi que par les n vrotiques la diff rence r side dans le degr d ad quation et la souplesse du jeu de ces m canismes Il en r sulte que le pathologique dans l application simple de ce mod le nest pas l anormalit c est la normalit ant rieure Il se d finit par anachronisme Le MAAREF nartie2 Lettres et Sciences Humaines et Sociales 2 Psychanalyse TAT et structure de la personnalit Rapport historico th orique et modalit d analyse 11 sympt me est la manifestation d un niveau fonctionnel ant rieur normal Brusset 1992 p 13 Ces consid rations ont pouss Freud crire dans l Abr g de psychanalyse qu il est impossible d tablir scientifiquement une ligne de d marcation entre tats normaux et anormaux c est dire n vrotique C est de cette mani re que la psychopathologie est pass e de l tude descriptive du sympt me au r le dynamique qu il joue et la place qui lui est attribu e dans chaque entit pathologique Le sympt
49. n C C1 Je risque de tarder un peu a ne fait rien C C2 Comme vous voulez C P5 Est ce que je vous raconte une histoire que j imagine ou je vous dis ce qu ils sont en train de penser C C2 Vous me racontez une histoire travers ce que vous voyez dans la planche C P5 Qu est ce que je vous dis Un enfant celui l pauvre il n a pas o se procurer de quoi manger C M2 Qu est ce qui lui est arriv Il est en train de r fl chir A2 17 comment faire Il est d sempar C N1 il na pas o se procurer de quoi manger Il est en train de r fl chir A2 8 peut tre A2 3 qu il va la r parer il met son doigt sur le violon C C1 Je vous rajoute C C2 Comme vous voulez C P5 C est bon moi a me suffit E 20 1 et 30 La lisibilit Selon N Jeammet 1995 quelqu un qui entreprend de raconter son histoire ob it deux principes un principe d intelligibilit de soi la recherche d une logique du r cit dans une exigence d viter le d plaisir C est le plus ou moins grand quilibre entre ces deux exigences qui donne au texte sa plus ou moins grande coh rence faisant prendre sens au choix des v nements racont s et surtout la mani re de les raconter p 114 Ainsi donc le travail qui consiste trouver un compromis entre ces deux principes afin de construire une histoire coh rente sur le plan de la forme et r sonante sur le plan fantasmatique est app
50. n vrose et r sultat des deux points pr c dents tend sacrifier la psychogen se une organogen se p 335 Cette inversion des r les fait que dans la nouvelle lecture freudienne de la psychopathologie l clairage de la psychose ne peut tre d duit qu partir de l interpr tation de ce qui s est jou dans la n vrose Dans sa clinique face aux malades souffrants de n vroses et en s appuyant sur le point de vue psychog n tique Freud ne se contente pas seulement d investigation et du traitement mais il essaye aussi de d duire une th orie de la personnalit en donnant sens au sympt me travers l tude de sa gen se et au d veloppement psychique dont la notion de fixation et de r gression Il d duit en cons quence un mod le d interpr tation des troubles dans lequel la diff rence entre le normal et le pathologique perd de sa valeur dans le sens o les singularit s du d veloppement normal sont expliqu es de la m me fa on que celles qui sont consid r es comme pathologiques La seule diff rence qui existe est de l ordre du quantitatif de la rigidit de la st r otypie et de la r p tition comme entrave au changement facteur de d veloppement Examinons pr sent comment Freud est parvenu de telles conceptions En traitant les psychon vroses ou 761 0565 de transfert ou n vroses authentiques selon J Bergeret 1974 ou encore n vroses transfe
51. non taxinomiques C est dire qu elle aide le praticien mieux ajuster son intervention th rapeutique et le chercheur mieux v rifier ses hypoth ses de d part mais elle ne peut en aucun cas tre un moyen visant classer et surtout vulgariser les probl mes psychiques d un sujet demandeur d aide dans un cadre th rapeutique ou proposant de l aide dans le cadre de la recherche Bibliographie A t Sidhoum M 1992 Processus d laboration de la r ponse Rorschach Psychologie N 3 113 131 2 Assoun P _L 1997 Psychanalyse Paris PUF 3 Aulagnier Castoriadis P 1975 La violence de l interpr tation du pictogramme a l nonc Paris PUF 4 BergeretJ 1976 Abr g de psychologie pathologique th orique et clinique Paris Ed Masson 5 Bergeret J 1996 La personnalit normale et pathologique les structures mentales le caract re les sympt mes Paris Ed Dunod 6 Brelet F 1986 Le TAT Thematic Apperception Test Fantasme et situation projective Narcissisme fonctionnement limite d pression Paris Dunod 7 Brelet Foulard F Chabert C 2003 Nouveau Manuel du TAT approche psychanalytique Paris Dunod 8 Brusset B 1992 Le d veloppement libidinal que sais je Paris PUF 9 Chabert C 1995 Contribution des m thodes projectives dans la recherche en psychologie clinique et en psychopathologie In 0 Bourguignon et M Byllowski
52. ommendations Suggestions A lot of developed countries educational authorities are now targeting schools with detection equipment designed to identify pupils using illegal technological devices Still they are unsuccessful students cheat beat the records and succeed They must know that cheating cannot be stopped as far as exams design encourages and motivates students to cheat We can suggest tips to eliminate cheating until doomsday but cheating remains omnipresent Abolishing it starts with providing students with exams which offer a variety of questions that appeal to the various intelligences that exist in the average classroom Then all the students will have exercises that appeal to them based on their multiple intelligences When they feel they are likely to be successful in these activities they do not think of cheating at all On the contrary the feeling of success enhances additional learning Hence teachers should avoid tests which put too much emphasis on rote learning Instead they should emphasize higher order thinking which sets students to analyze synthesize and create Traditional testing methods are inherently biased in favor of students with strong linguistic and mathematical skills and do not reflect the diversity of intelligences in the classroom teachervision 2012 To differentiate between 7016 Ann e N 13 D cembre 2012 2012 13 Abdelhak
53. pement des proc d s dans le protocole revient les cocher sur la feuille de d pouillement en tenant compte de la fr quence de leur apparition et ou de leur poids dans le processus associatif V Shentoub et all 1990 P 127 De ce fait le psychologue va recourir aux deux approches l approche quantitative travers laquelle il rep re chaque proc d utilis par le patient sur la feuille de d pouillement par une croix On aura ainsi les particularit s suivantes Pr sent Fr quent Massivement utilis On obtient ainsi une valuation qui permet grace aux nuages de croix sur la feuille de d pouillement de rep rer le poids de certains proc d s les r partitions op r es au sein de chaque cat gorie les circulations entre les diff rents registres de fonctionnement V Shentoub 1990 p 128 L approche quantitative apr s avoir distribu les proc d s sur la feuille de d pouillement le psychologue passe l tape suivante qui consiste en l appr ciation de l ventail des proc d s utilis s par le sujet et leur nature ainsi que leur articulation avec des proc d s de la m me s rie ou d une autre s rie V Shentoub 1990 p128 C est dans un mouvement et une dynamique de va et vient qu il faut lire les diff rents positionnements pris par ces proc d s et c est ce qui explique la diff rence quant au fonctionnement psychique d un sujet l autre
54. r comme accompli que lorsque la demande du patient d tre soulag de sa souffrance s av re satisfaite Donc toute investigation quelques que soient ses vis es reste incontournable dans le travail du psychologue mais son importance et son efficacit reste tributaire ce qu lle apporte comme claircissement et comme guidance au travail th rapeutique M AREF nartie2 Lettres et Sciences Humaines et Sociales 2 Psychanalyse TAT et structure de la personnalit Rapport historico th orique et modalit d analyse 25 En Alg rie quand on examine les cris en psychologie clinique on constate souvent qu ils sont focalis s d une mani re disproportionn e sur deux th matiques La majeure partie est consacr e a linvestigation surtout celle qui s appuie sur l entretien et les techniques projectives Il s agit en quelque sorte de vignettes cliniques via lesquelles on pr sente les diff rentes entit s pathologiques et cela prouve l importance l int r t et surtout le temps qu on consacre ces techniques Mais malheureusement on tend souvent conclure ces vignettes d s qu on pr sente les r sultats de l investigation et qu on arrive tablir un diagnostique et on n en parle point de l entame de la th rapie Le reste des cris tr s peu compar s ceux de l investigation est consacr la technique th
55. r flexion autour de la psychopathologie De fait un v ritable r am nagement se donnait voir tant sur le plan de la nosographie psychiatrique que sur le plan de la conception du normal et du pathologique Ainsi travers l id e de ce qui est manifeste est consid r comme un produit d une s rie de transformations effectu par le travail d un appareil psychique de ce qui tait latent Freud a r ussi supprimer le foss entre la conception du normal et celle du pathologique Et a travers l id e de l existence d un lien troit entre les n vroses authentiques et la n vrose infantile il a introduit l id e des stades du d veloppement libidinal d o la notion de 7 Ann e N 13 D cembre 2012 2012 13 MEKIRI Karim 8 structure de la personnalit qui a vu le jour 1 1 Notion de normalit Dans ses travaux Freud s int resse aux n vroses ce qui veut dire que toute conception de la pathologie dans l uvre de Freud se rapporte aux d compensations n vrotiques aux am nagements vis vis du complexe d dipe et au degr de la r ussite du refoulement Ainsi et selon Assoun le premier geste de Freud en ce domaine celui de la psychopathologie est dinverser le sens de la logique de la psychopathologie psychiatrique qui la fois privil gie la psychose sous estime ou d nie purement et simplement la r alit psychopathologique de la
56. rt selon S Lebovici 1980 1 lhyst rie en particulier Freud se retrouve face une probl matique majeure en rapport avec l apparition d une n vrose 1 Il s agit de la cat gorie des n vroses franches ou n vroses cliniques o les sympt mes sont l expression symbolique d un conflit psychique trouvant ses racines dans l histoire infantile du sujet et constituant des compromis entre le d sir et la d fense J Laplanche et J B Pontalis 1967 p 267 D un point de vue structural on distingue trois types de n vroses de transfert I hyst rie de conversion hyst rie d angoisse phobie et n vrose obsessionnelle MAAREF nartie2 Lettres et Sciences Humaines et Sociales 2 Psychanalyse TAT et structure de la personnalit Rapport historico th orique et modalit d analyse 9 de transfert 1 durant la cure Puis et en cherchant une r ponse ses questionnements autour de la nature de ce genre de manifestation durant la cure analytique Freud d couvre que durant son d veloppement le petit de l homme ne peut atteindre l ge adulte sans passer par une situation oedipienne normale mais tr s conflictuelle caract risant la n vrose infantile 2 C est le non d passement de cette derni re par un refoulement r ussi qui instaure des fixations plus ou moins rigides autour de ce stade de l volution L
57. t Invite students to lead classmates on a nature walk to point out interesting plants and animals they found during independent study Ask students to keep environmental journals and to share their observations Cheating is a problem we will continue to face It undermines integrity and fairness at all levels It can lead to weak life performance and corrode our society Educational testing services should remember that students are not born to cheat They are pushed to cheat because of the way teachers design tests Implementing multiple intelligences assessment strategies would solve the problem and ensure better performance Combining authentic assessments with multiple intelligence strategies provides students with the appropriate opportunity to meet high performance standards Thanks to them students attention switches from mastery of facts and contents 7316 Ann e N 13 D cembre 2012 2012 13 Abdelhak Hammoudi 36 to a genuine understanding of the process of learning Facts and figures are mastered not for a test but as efficient tools for solving problems achieving projects and above all exploring new dimensions of learning Assessment according to the theory of multiple intelligences begins with a focus on problem based learning This type of learning starts with the assumption that students whatever the grade may know a little about a particular problem but
58. t ce que je vous dis Un enfant celui l pauvre il n a pas o se procurer de quoi manger Qu est ce qui lui est arriv Il est en train de r fl chir comment faire Il est d sempar il n a pas o se procurer de quoi manger Il est en train de r fl chir peut tre qu il va la r parer il met son doigt sur le violon Je vous rajoute Comme vous voulez 1 Il s agit d un patient Mourad g de 30 ans qui nous a t orient par un coll gue psychiatre pour une prise en charge psychologique Dans la lettre d orientation il est pr cis que Mourad a subi des atrocit s durant le terrorisme 7 Ann e N 13 D cembre 2012 2012 13 MEKIRI Karim 20 C est bon moi a me suffit 1 et 30 D cryptage des proc d s Il s agit dans cette tape de revenir a la feuille de d pouillement afin de relever les proc d s de d fense et de d gagements utilis s par le patient au moment o il raconte l histoire Chaque expression verbale ou non et m me le silence est en rapport avec un item sur la feuille de d pouillement Pour effectuer le d pouillement il suffit de faire correspondre chaque expression un proc d de la feuille de d pouillement Ainsi le d pouillement de l histoire donn e ci dessus se fait comme suit PI 1 15 C P1 Il prend la planche il la remet sur le bureau il regarde le clinicie
59. tres et Sciences Humaines et Sociales 2 Cheating on Exams A justifiable behavior A Case Study in Causes and Remediation 37 References College of Earth and Mineral Sciences EMS 2002 Academic integrity Precedent tables Penn State Retrieved September 10 2005 from http www ems psu edu students integrity tables html Dorff Victor 2012 Today s kids view cheating as part of the path to success Retrieved from http Awww allvoices com news 12633098 victor dorff todays kids view cheating as part of the path to success CNN investigation 2012 Retrieved from http edition cnn com 2012 01 13 health prescription for cheating index html Graham M A et al 1994 Cheating at small colleges An examination of student and faculty attitudes and behaviors Journal of College Student Development Livosky M amp Maline M B 1993 Views of cheating among college students and faculty Psychology in the Schools Smileytext Cheating in exams Retrieved April 14 2012 from http smileytext com sms exam sms cheating in exams html Teachervision Using Multiple Intelligences in Testing and Assessment RetrievedJune 13 2012 from http Avwww teachervision fen com intelligence resource 4933 html Thelndependent 201 2 45 000caught cheating atBritain s niversities Retrievedfrom http Awww independent co uk news education education ne
60. vue acad mique partie2 2 7 F Ann e N 13 D cembre 2012 2012 13 Abdelhak Hammoudi 30 devices cheating has become omnipresent in our classrooms This academic misbehavior though considered illogic immoral and even sinful for some students has invaded schools and is destroying the ethics of education Recent estimates indicate that most of the students all over the world cheat to some extent and the number of cheater is rising more and more Paton 2010 The USA the cradle of education development and innovation is also suffering from this phenomenon A CNN investigation 2012 has found that For years doctors around the country taking an exam to become board certified in radiology have cheated by memorizing test questions creating sophisticated banks of what are known as recalls In an article entitled Today s kids view cheating as part of the path to success Dorff 2012 wrote that Students parents teachers and administrators complain that there is too much cheating going on in our schools but they tend to point at each other when asked who should be responsible for fixing the problem In UK the situation is not different at all According to an investigation by the Independent 2012 Tens of thousands of students in universities across Britain have been caught cheating in exams and coursewor
61. ws 45000 caught cheating at britains universities 7555109 html 7 Ann e N 13 D cembre 2012 2012 13 Abdelhak Hammoudi 38 MAAREF nartie2 Lettres et Sciences Humaines et Sociales 2
62. x Le mode d expression habituelle du sympt me En se r f rant ces crit res J Bergeret 1976 1996 d gage deux grandes structures de base qui sont La structure psychotique avec ses sous structures la schizophr nie la m lancolie et la parano a La structure n vrotique avec ses sous structures la structure obsessionnelle la structure hyst rique d angoisse et de conversion Soulignons que pour Bergeret 1996 existe une diff rence entre lhyst rie d angoisse comme structure n vrotique o la phobie constitue le principal sympt me en cas de d compensation et ce qui est connu sous le terme de n vrose phobique Cette derni re n est pas une structure c est un ensemble de manifestations phobiques qui peut tre rencontr dans les structures n vrotiques les structures psychotiques et elle peut m me se rapporter des r actions d pressives non encore structur es Cette n vrose phobique est consid r e comme une fausse n vrose au m me titre que la n vrose d angoisse traumatique d abandon d chec hypochondriaque d pressive de caract re Entre les deux grandes structures de base Bergeret pr sente la rubrique des Astructurations ou ce qui est connu sous le terme de Tronc commun des tats limites La structure n vrotique Pour J Bergeret 1976 1996 dans la structure n vrotique la personnalit s organise autour de l
63. zing the personality structure by his experiment it was just after his death that specialists such as V Shentoub succeeded to render put such an aim possible Thus referring to the notion of the personality structure that TAT adopted the psychoanalysis like an exclusive pattern of his data s interpretation That s to say that the notion of the personality structure has been considered as a kind of a bridge linking TAT to the psychoanalysis When how and to which level this bridge has taken place This article has brought elements to answer these questions through adopting a hystorico theoric perspective besides it helps the reader to use an investigative tool such TAT analysis Finally this article is an imminent working tool for both theorical and practical reference for young students researchers and practitioners inspired by psychoanalytic pattern l Avant propos L utilisation actuelle du TAT par les cliniciens s inspirant de la th orie psychanalytique vise essentiellement a d gager le mode de fonctionnement psychique des sujets par r f rence au mod le structural con u par cette th orie Dans ce m me sens l initiatrice de la m thode actuelle d analyse du TAT V Schentoub pr cise qu en r f rence cette nosographie les donn es recueillies au TAT permettent suivant le cas de faire l hypoth se d une structure n vrotique obsessionnelle ou hyst rique par exemple d une structure psychotique schizophr ni
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