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Concours du second degré – Rapport de jury Session 2009

1. CHARGES hors taxes Montants PRODUITS hors taxes Montants Charges d exploitation Produits d exploitation Achats de marchandises Vente de marchandises Variation de stocks de marchandises Production vendue 3521200 Achats de mati res premi res et 1144110 Production stock e 16164 autres approvisionnements Variation de stocks de mati res 32790 Production immobilis e premi res et autres approvisionnements Autres achats et charges externes 688525 Subventions d exploitation Imp ts taxes et versements 72000 Reprise sur d pr ciation et 2848 assimil s provisions Salaires et traitements 657537 Autres produits Charges sociales 275121 TOTAL 1 3540212 Dotations aux amortissements 285921 Produits financiers depreciations et aux provisions Autres charges 252 De participation TOTAL 1 3090676 D autres valeurs immobilis es 1022 Charges financi res Autres int r ts Dotations aux amortissements Reprises sur d pr ciations et d pr ciations et aux provisions provisions Int r ts et charges assimil s 12715 Produits nets sur cession de 14258 VMP Charges nettes sur cession de VMP TOTAL 1 15280 TOTAL 1 12715 Produits exceptionnels Charges exceptionnelles Sur operations de gestion 3000 Sur operations de gestion 512 Sur operations en capital 75000 Sur operations en capital 13000 Reprises sur depreciations et provisions Dotations aux amortissements 1 5000 TOTAL III 78000 d
2. 1 5 XT 121294Je auozue d uoz po uoz aauno1ajeq u noL 86
3. Tableau 3 ANALYSE SATISTIQUE DE L ADMISSION Admission Admis Public R partition admis public Option A Option B Option C Option D R partition admis CAER Option A Option B Option C Option D Total admis 2006 38 pas de LC Barre 37 80 soit 9 25 20 Barre 36 80 soit 9 20 des 43 17 10 13 3 Pas de LC LC Liste compl mentaire NS Non significatif 2007 38 pas de LC Barre 38 5 80 Soit 9 63 20 Barre 36 50 80 Soit 9 13 20 43 9 11 21 2 Pas de LC 2008 38 pas de LC Barre 38 80 Soit 9 50 20 Barre 36 50 80 Soit 9 13 20 40 12 12 14 2 Pas de LC 2009 38 pas de LC Barre 41 80 Soit 10 25 20 Barre 38 80 Soit 9 20 44 10 16 16 2 Pas de LC Variation 08 07 Epreuves d admissibilite Premiere epreuve Exploitation pedagogique d un theme Exploitation p dagogique d un theme relatif l conomie et la gestion des entreprises et des organisations portant sur l une des quatre options selon le choix formul par le candidat au moment de l inscription Dur e 6 heures Coefficient 1 Options propos es au concours Option A conomie et gestion administrative Option B conomie et gestion comptable et financi re Option C conomie et gestion commerciale Option D conomie informatique et gestion Seconde preuve Composition Dur e 6 heures
4. CONCOURS DE L AGREGATION INTERNE ECONOMIE ET GESTION x SESSION 2009 SECONDE PREUVE R SOLUTION DE PROBL MES COMPORTANT L UTILISATION DE TECHNIQUES DE GESTION Option A ECONOMIE ET GESTION ADMINISTRATIVE SUJET N 7 Dur e de pr paration 4 heures Vous disposez d une dur e maximale de 30 minutes pour pr senter oralement la solution de l tude qui vous est propos e Au cours de l entretien qui suivra de 30 minutes maximum outre les pr cisions qui peuvent tre demand es sur votre expos vous seront pos es des questions d ordre p dagogique et didactique en liaison avec le th me tudi 53 CAS UROBIO La soci t UroBio est fond e en 1998 par deux chercheurs venant de laboratoires universitaires de recherche qui d sirent f d rer et valoriser les travaux de recherche dans le domaine du cancer de la prostate Ces deux scientifiques b n ficient du soutien de leurs laboratoires respectifs qui les hebergent dans un premier temps et facilitent le transfert de main d uvre entre la structure acad mique et la nouvelle entit priv e L Etat est aussi un partenaire essentiel dans l volution d UroBio travers l accueil dans une p pini re publique d entreprises des subventions aux recrutements de chercheurs et des soutiens au d veloppement label de jeune entreprise innovante en 2000 et 2003 et aide financi re sous la forme de Bons de Souscription d Ac
5. L volution du r le traditionnel des institutions financi res impos e par l int gration financi re internationale A Le maintien du r le traditionnel des institutions financi res dans la r gulation conjoncturelle 1 Le r le clef des banques dans la cr ation mon taire rappeler le principe le probl me des fuites de capitaux et la n cessit de mettre en place un m canisme de compensation dont la fonction est assur e par la banque centrale et la gestion de l pargne des m nages livret A 2 le r le clef des institutions financi res dans la croissance th ories de la croissance endog ne par exemple le r sultat de Buiter 1991 selon lequel le rythme de croissance est aussi fonction de l efficacit des interm diaires financiers le risque de resserrement du cr dit credit crunch B la n cessaire adaptation des institutions financi res aux nouvelles donn es internationales 1 l volution du r le des institutions financi res dans la gestion de l pargne via l utilisation des march s financiers ce r le s est accru depuis la p riode de d r gulation OPCVM fonds commun de placements fonds de pension fonds souverains Int r t r le clef de ces institution dans la 30 mutualisation des risques on d tient une partie d un portefeuille diversifi constitu par l institution financi re l inverse microcr dit pour les plus pauvres 2 L volution du r le des
6. de d finir et probl matiser un sujet afin de mettre en place une vraie d monstration Le candidat doit d tailler l introduction contextualiser le sujet le circonscrire en d finir les termes poser une probl matique noncer un plan de r aliser des d veloppements structur s autour d une id e directrice probl matique et non pas de juxtaposer des th ories propos es par des auteurs plus ou moins connect es au sujet de produire des d veloppements de haut niveau scientifique les principaux travaux issus de la recherche universitaire y compris les plus r cents doivent tre connus et int gr s la r flexion de d tailler les quelques exemples cit s afin qu ils prennent une part enti re dans la d monstration les exemples peuvent certes illustrer un concept une th orie mais attention de bien en montrer les conditions d application et les limites R ussir cette preuve suppose donc une pr paration approfondie et un entra nement r gulier les candidats sont encourag s suivre la formation d un centre de pr paration au concours Commentaires relatifs la partie p dagogique Commentaires sur le fond Le sujet exigeait une bonne connaissance des r f rentiels des classes de TS commerciales La seule connaissance du r f rentiel de TS MUC tait tr s insuffisante De nombreux candidats ont voulu tout prix utiliser ce r f rentiel m me si le sujet ne s y pr tait pas sp cifiquement
7. sp cifique la vente en milieu industriel gt Les facettes de la relation de l acheteur avec le d taillant DETAILLANT TRANSACTIONS RE ENCHANTEMENT RELATIONS ACHETEUR 73 Annexe 11 Donn es relatives l entreprise Aux D lices Glac s Le Bilan comptable de l exercice 2007 ACTIF Brut Amortissement Net PASSIF Montants et d pr ciation avant r partition ACTIF IMMOBILISE CAPITAUX PROPRES Immobilisations Capital 127000 incorporelles Frais d tablissement Prime d mission de fusion d apport Frais de recherche et Ecarts de r valuation d veloppement Brevets licences et droits 12000 4000 8000 R serves similaires Fonds commercial R serve l gale 9744 Autres immobilisations R serves statutaires 1634416 incorporelles Avances et acomptes R serves r glement es Immobilisations Autres corporelles Terrains Report nouveau Constructions R sultat de l exercice 298560 Mat riels et outillages 1450500 645250 805250 Subventions investissement 57500 industriels Autres immobilisations 477000 243010 233990 Provisions r glement es corporelles Immobilisations TOTAL 1 2127220 corporelles en cours Avances et acomptes PROVISIONS mmobilisations Provisions pour risques
8. Se familiariser avec une grande vari t de situations r soudre L entra nement a la r solution de cas r els et leur pr sentation orale est a syst matiser Une culture g n rale tendue dans les domaines appr hend s est indispensable la ma trise de ces situations Les candidats doivent s informer de l actualit professionnelle des entreprises et des organisations s interroger sur l actualit conomique tre en mesure de concevoir les exigences du terrain Optimiser le temps de pr paration en loge Le candidat dispose de sa documentation personnelle et des ouvrages de la biblioth que du concours Cette apparente facilit peut se transformer en pi ge si le temps de compilation l emporte sur celui de la r flexion l convient donc de ne pas privil gier la recherche documentaire au d triment d une r flexion sur la probl matique ou sur Papplication des fondements th oriques au cas propos e Le jury encourage le candidat mener une pr paration approfondie du concours alliant Pactualisation des connaissances la r solution de cas r els en particulier dans le cadre de pr parations acad miques et universitaires La r ussite brillante chaque ann e de candidats admissibles la session pr c dente confirme l efficacit d une pr paration largement anticip e Pr sentation orale et communication avec le jury La dimension orale de l preuve est importante Elle requiert de la part du candidat
9. Secretariat General MINIST RE minist Direction g n rale des ressources humaines DE D ENSEIGNEMENT SUPERIEUR Educa ET DE LA RECHERCHE 157 Sous direction du recrutement Concours du second degr Rapport de jury Session 2009 AGR GATION INTERNE D CONOMIE ET GESTION Rapport de jury pr sent par Madame Brigitte DORIATH Pr sidente de jury Sommaire Presentation du concours 3 G mp silon d zl y aaa a A ea s adas 3 Observations g n rales sur concours 2 seins R YR RAR YARA AR LARA RYaz dan 4 Donn es statistiguU S Lana Man baya den 5 Epreuves d admissibilit 8 Option A conomie et gestion administrative 9 Option B Economie et gestion comptable et financi re 15 Option C Economie et gestion administrative commerciale 18 Option Economie informatique et gestion 22 Composition portant sur les l ments g n raux du droit et sur le droit de l entreprise etdes affaileS ins m an 24 Composition portant sur l conomie generale 29 Epreuves orales d admission 34 TES 0 0080807900 2000000000 00 Len en 35 Option A action et communication
10. ce sujet et au fil des ann es dans les rapports de jury de tr s nombreux candidats continuent proposer des titres tiroirs de parties et de sous parties qui s emboftent les uns dans les autres d une fa on qui n est pas toujours coh rente Bibliographie Les ditions les plus r centes des ouvrages suivants constituent une bibliographie indicative qui doit tre compl t e par la lecture r guli re de la presse pour suivre l actualit conomique Pour une premi re approche ou pour r viser rapidement Christian DESCAMPS Analyse conomique Vuibert Fran oise DUBOEUF Introduction aux th ories conomiques La D couverte Rep res Jacques GENEREUX Economie politique 3 vol Hachette Gregory MANKIW Principes de l conomie trad fr Economica Daniel MARTINA La pens e conomique 2 vol A Colin Marc MONTOUSSE Th ories conomiques Br al Joseph STIGLITZ Principes d conomie moderne trad fr De Boeck Les candidats ne sauraient se contenter de ces l ments introductifs ils trouveront dans les manuels suivants les l ments d analyse indispensables Gilbert ABRAHAM FROIS Economie politique Economica David BEGG Stanley FISHER et Rudiger DORNBUSCH Macro conomie adaptation fran aise Ediscience International David BEGG Stanley FISHER et Rudiger DORNBUSCH Micro conomie adaptation fran aise Ediscience International Olivier BLANCHARD et Daniel COHEN Macro conomie Michel BURD
11. cela les a conduits construire des s ances mal calibr es voire peu adapt es une classe de TS MUC Cette partie exploitation p dagogique est souvent trait e de mani re tr s superficielle Les constats les plus fr quents sont les suivants propos peu op rationnel parce que les objectifs atteindre sont peu ou mal d finis En outre les r sultats attendus sont souvent oubli s quoi servira la s ance de TD de deux heures en demi groupe propos e par certains candidats Quelle trace va t il en rester Quelle forme prendra t elle l aspect n gociation qui l emporte sur la pr sentation du prix et inversement La s quence tait alors d s quilibr e et les objectifs attendus difficiles atteindre l ne s agissait pas de monter un TD sur les techniques de n gociation La place du prix sa pr sentation dans la n gociation devaient tre au c ur de la construction de la s ance Par ailleurs certains candidats ont confondu n gociation du prix et fixation du prix des ressources mobilis es scenarii de vente qui ne sont qu enoncees Le candidat doit les d crire m me succinctement afin den montrer la pertinence dans l exploitation p dagogique demand e et d en montrer le caract re op rationnel dans une s ance de TD de 2 h en demi groupe par exemple place de l enseignant dans l ensemble du dispositif propos est oubli e 20 Commentaires sur la fo
12. en ce qui concerne l actualit de la question pos e La probl matique doit ensuite permettre au candidat de d rouler son raisonnement de fa on progressive l objectif tant toujours de fournir une d monstration au besoin avec les nuances n cessaires Au total trop de copies ne sont pas probl matis es ce qui aboutit souvent un catalogue d id es sans r elle d monstration Conseils aux candidats Sur le fond les candidats au concours interne poss dent des atouts en raison notamment d une pratique souvent longue d enseignement Ces atouts de nature p dagogique doivent cependant tre compl t s en particulier par une actualisation des connaissances l analyse conomique a continu voluer depuis que certains sont pass s du statut d tudiant celui d enseignant De nombreux manuels permettent de r viser les notions et les raisonnements de base en micro et en macro conomie ces l ments doivent toutefois tre compl t s par la lecture de textes plus avanc s mais pas n cessairement techniques au sens de la formalisation math matique disponibles dans les articles de synth se publi s dans les revues acad miques dans certains manuels de th orie conomique ou encore dans des rapports th matiques et documents de synth se Sur la forme il est prudent de pr senter des titres explicites qui servent de points de rep re permanents au correcteur A l inverse bien que des r serves soient mises
13. la clause p nale ou encore la clause compromissoire Les contraintes du partenariat Le partenariat ne peut se r aliser sans respecter certaines contraintes li es la protection de l int r t g n ral ou des int r ts en pr sence Lors de la mise en uvre du partenariat les parties doivent respecter les contraintes impos es par le droit des march s financiers Une obligation de transparence est de rigueur avec les r gles de d claration de franchissement de seuils ou encore l absence de d lit d initi Des informations pr cises doivent tre fournies informations renforc es par la directive concernant les march s d instruments financiers directive MIF et sa transposition par la loi du 21 avril 2008 Les partenaires sont galement tenus de respecter les r gles du droit de la concurrence Le partenariat peut avoir pour effet de modifier les structures de march Par cons quent le droit de la concurrence va r glementer les op rations de concentration Depuis la loi LME loi de modernisation de l conomie du 4 ao t 2008 l autorit de la concurrence autorise ou non les op rations d passant certains seuils Au niveau europ en c est la commission europ enne qui assure ce travail Le partenariat ne doit pas avoir pour effet de conduire les entreprises s entendre pour se partager le march car l encore l autorit de la concurrence serait amen e condamner cette pratique et prononcer des amendes Enfin le pa
14. Il s agit bien de r pondre a la probl matique pos e en introduction et d envisager si possible des ouvertures au sujet Commentaires sur la forme Les meilleures copies pr sentaient une composition structur e autour d un plan g n ralement apparent et qui r pondait une probl matique pr cise Le jury d plore des fautes d orthographes dans de nombreuses copies Certaines copies contiennent jusqu trois ou quatre fautes par page ce qui nuit leur qualit g n rale L expression se r v le parfois maladroite Un certain nombre de copies sont illisibles et parfois tr s peu soign es ce qui rend leur compr hension difficile Des copies contiennent des abr viations des id es exprim es sous forme telegraphique ou encore des sch mas alors que la composition attendue l preuve est un exercice de style r dig La longueur n est pas synonyme de qualit Une r flexion bien conduite et structur e tay e par des connaissances acad miques actualis es est privil gier Les attentes du jury Le jury attendait qu une r flexion soit conduite sur les interactions entre GRC et strat gie de prix Si l int r t du sujet sur le plan op rationnel appara t clairement il convient de mieux en approfondir les contours afin de construire une vraie r flexion argument e s appuyant sur des r f rences et travaux acad miques Quelques questions auraient d tre soulev es afin de mieux montrer les enje
15. L ensemble de ces co ts se r v le au final plus lev que les avantages fiscaux tir s de l endettement L int gration des co ts de faillite permet de mieux comprendre pourquoi les entreprises ont recours la fois l emprunt et aux fonds propres Si on peut consid rer que la structure financi re r sulte d un compromis entre les conomies d imp t li es aux int r ts de l emprunt et les risques de faillite cons cutifs un ratio d endettement trop lev Pasymetrie d information entre les dirigeants de l entreprise et le march peut aussi jouer un r le dans la hi rarchisation des moyens de financement Deux hypoth ses conditionnent la pertinence de cette th orie dite du financement hi rarchique les dirigeants sont mieux inform s que le march quant la sant financi re de l entreprise les dirigeants agissent dans l int r t des actionnaires actuels Les dirigeants optent en priorit pour l autofinancement puis pour l mission d emprunts et enfin pour des missions d actions nouvelles L autofinancement est le mode de financement le plus confortable car il d pend du bon vouloir du seul dirigeant l est ensuite fait appel plut t l emprunt qu l augmentation de capital car celle ci est mal per ue par le march Dans la mesure o le dirigeant est consid r comme mieux inform que le march on peut penser que celui ci ne proc dera une augmentation de capital que s il consid re que
16. La notion conomique de concurrence pure et parfaite trouve un pendant imm diat avec les dispositions prohibant les ententes illicites les abus de position dominante et organisant le contr le des concentrations selon la m thode du bilan concurrentiel Les candidats pouvaient b tir leur r flexion partir de cette relation entre r glementation et mod le de concurrence pure et parfaite en s interrogeant sur le caract re univoque ou non de cette relation Le plan retenu pouvait alors faire une distinction entre la r glementation portant sur les structures de march dites traditionnelles et la r glementation selon les structures de march dans la r alit Les diff rents aspects de la r glementation pouvaient tre mis en relation avec les hypoth ses normatives du mod le de concurrence pure et parfaite atomicite de l offre avec le contr le assur par l autorit de la concurrence mise en place par la loi LME du 04 Ao t 2008 atomicite de la demande mhomogeneite de la demande avec une r f rence a la notion de march pertinent et la mise en place du march unique mobilit parfaite des facteurs de production avec une prohibition des ententes susceptibles de restreindre l acc s au march art 81 du trait CE et des sanctions pr vues r f rences galement la notion de facilit s essentielles information parfaite avec la r f rence la loi LME Reference l conomie industrielle col
17. cessaires la mise en uvre des d cisions strat giques et op rationnelles Le Jury a not une bonne connaissance des modes traditionnels de financement et de leurs caract ristiques l regrette cependant que ces connaissances n aient pas toujours t valoris es une probl matique structurante susceptible d initier une r flexion approfondie sur l arbitrage entre les diff rents modes de financement Ainsi une pr sentation catalogue des modes de financement ne permettait pas de r pondre de fa on satisfaisante aux attentes du Jury L insuffisance d exemples pertinents puis s dans la vie des entreprises a souvent t pr judiciable la qualit des compositions qui ont parfois pris l allure de cours didactiques destin s des tudiants de BTS Le Jury regrette aussi que la r flexion des candidats ne se soit pas suffisamment appuy e sur les travaux men s par de grands auteurs en finance Pourtant l arbitrage entre les modes de financement a t abondamment trait dans la litt rature financi re D s 1958 Modigliani et Miller se sont interrog s sur l existence d une structure financi re optimale Ils montrent que dans un march de capitaux parfait sans asym trie d information sans imp t et sans co ts de transaction li s lachat et la vente de titres la r partition du financement entre les dettes et les fonds propres est sans incidence sur la valeur globale de l entreprise Se pla ant du c
18. cosm tiques traditionnels ethniques en France e Points d velopper positionnement plan de march age labellisation d marche export marque WWF Activit champ th matique probl mes pos s par le greenwashing strat gie de communication e Probl matique D velopper des strat gies de communication innovante e Points d velopper strat gies de communication des associations m dias tactiques lobbying Aux d lices glac s Activit champ th matique produits alimentaires d velopp s par une PME r gionale strat gies de distribution e Probl matique Choisir l option la plus pertinente pour le cas entre la cr ation d une franchise de distribution la commercialisation par un site marchand ou le r f rencement en grande distribution e Points d velopper Positionnement circuit de distribution et concept associ la marque le r f rencement budget et analyse de la sant financi re d une entreprise Porcelaine Frelon Activit champ th matique Arts de la table Diagnostic strat gies et actions marketing e Probl matique Comment d velopper une entreprise familiale sans remettre en cause son positionnement e Points d velopper Positionnement diagnostic interne et externe choix strat giques de PME l ments statistiques Nombre de candidats pr sents 37 Moyenne 8 54 Ecart type 3 54 Note de la meilleure prestation 18 Note la plus basse 03 R p
19. de la communication et de la psychologie sociale Les illustrations se r f rant aux pratiques d entreprises renforcent l argumentation il convient de les mobiliser bon escient Un temps significatif d analyse consacr au libell du sujet permettrait d en trouver la sp cificit et de d gager une probl matique qui en articule bien les termes 11 La structuration du d veloppement est revelatrice des qualit s de logique et rigueur du candidat qui s efforce de bien rester au c ur du sujet sans plaquer des connaissances hors sujet sans tomber dans des propos d une port e extr mement g n rale Les simples citations de noms de courants de pens es trop allusives sont insuffisantes si elles ne disent pas en quoi elles sont utiles l argumentation ou l expos d id es Les r f rences th oriques restent dans bien des cas actualiser convient de s lectionner celles qui tayent les arguments en rapport avec le sujet En conclusion la discrimination entre copies s est tablie partir de la qualit de l analyse du libell du sujet la d limitation de son traitement la mobilisation ma tris e et adapt e de r f rences th oriques ou de courants de pens e Cet exercice r dactionnel n cessitant un entra nement r gulier les candidats sont encourag s suivre la formation d un centre de pr paration au concours a consulter les r f rences bibliographiques a la fin de ce rapport La lecture d ouvrage
20. gislative et urisprudentielle ce qui nuit la compr hension du sens de la r gle de droit Le sujet faisait appel des connaissances de droit des soci t s de droit commercial de droit de la distribution de la concurrence et du droit des contrats Au del de la ma trise des concepts juridiques on peut regretter une v ritable pauvret du vocabulaire juridique de candidats qui le remplacent par un vocabulaire courant ou relevant de l conomie du management ou encore de la gestion S agissant d une preuve de droit le candidat doit analyser le sujet du point de vue juridique et adopter la terminologie juridique ad quate De plus de trop nombreux candidats choisissent par manque de r flexion ou de connaissances de recopier des passages du Code sans justifier de ce choix ou bien de restituer des le ons apprises par c ur balayant l ensemble du programme de l agr gation Ainsi ces candidats se dispensent de r flexion et d analyse du sujet pour ne pr senter qu une succession d l ments en rapport ou avec le sujet afin de remplir leur copie Le jury rappelle aux agr gatifs que la composition de droit est un exercice de r flexion et d analyse partir d un sujet et qu il convient d utiliser les connaissances pour d montrer et illustrer une th se une vision du sujet ou en d velopper les aspects critiques De trop nombreuses copies ne pr sentent aucune probl matique Enfin le jury rappelle aux candidats qu
21. journaux et magazines pour les revendre ensuite des entreprises et des particuliers Dans le but de financer son d veloppement elle souhaite s introduire en bourse Elle s adresse alors votre cabinet comptable pour valuer sa valeur Le capital est compos d un million d actions Les informations comptables et financi res sur la soci t sont pr sent es en annexes Question 1 A l aide des informations pr sentes dans l annexe 1 votre cabinet comptable vous demande de r aliser le calcul du co t moyen pond r du capital CMPC Par la suite nous admettrons un CMPC de 14 Question 2 Evaluer la valeur d une action l aide de la formule de Gordon Shapiro Votre rapport devra contenir un commentaire critique de cette m thode et du r sultat Question 3 Pour compl ter votre tude le directeur du cabinet comptable vous demande d valuer la valeur d une action de Presse diffusion au moyen de la m thode des cash flows actualis s Free cash flows Les renseignements se trouvent dans l annexe 3 Question 4 Presse diffusion a l intention de se d velopper en Espagne L investissement repr sente un montant de 25 millions d euros L amortissement est lin aire sur cinq ans La ressource en fonds de roulement normatif est estim e 36 jours de CA Presse diffusion conserve la m me structure financi re que pr c demment pour financer cet investissement Les co
22. non noncer des id es Pour cela la pr paration des candidats ne doit en aucun cas n gliger la r vision des connaissances de base en th orie conomique micro et macro conomie par exemple et en droit droit des contrats de la consommation ou de la concurrence par exemple Le jury conseille aux candidats un travail sur des ouvrages de base afin de consolider les fondamentaux Un sujet faisait r f rence la d cision conomique Or cette notion n a t que tr s rarement d finie et exploit e alors qu elle reposait sur des connaissances l mentaires Ces connaissances th oriques et conceptuelles ne constituent pas une fin en soi elles sont un moyen pour analyser les id es et ou les faits qui sont directement concern s par le sujet pos Les candidats ne doivent pas perdre de vue le fait que l expos doit satisfaire un objectif de pluridisciplinarit m me si certains sujets pr sentent une dominante conomique juridique ou sociale Il faut absolument respecter les r gles du jeu de l preuve sa dur e sans se sentir oblig de prolonger inutilement son expos pour occuper tout le temps disponible son esprit mise en d bat de mani re pluridisciplinaire du th me propos sa forme il s agit d une r elle situation de communication n cessitant une utilisation efficace de moyens et des comportements adapt s Enfin cette ann e encore nombreux sont les candidats qui ont r ussi ce concours apr s plusie
23. pr ciations et aux provisions TOTAL III 18512 Imp t sur b n fice IV 213029 Participation des salari s aux r sultats de l entreprise TOTAL DES CHARGES I I III IV 3334932 TOTAL DES PRODUITS 3633492 Solde cr diteur BENEFICE 298560 Solde d biteur PERTE TOTAL GENERAL 3633492 TOTAL GENERAL 3633492 Quelques l ments compl mentaires concernant l entreprise Aux D lices Glac s FRNG 1473273 BFR 602480 CAF 524633 EBE 732861 Ratio De l entreprise Du secteur CAF Dettes financi res stables hors concours bancaires courants 1 28 0 5 Dettes financi res hors concours bancaires courants Capitaux 0 19 1 propres EBE Chiffre d affaires 0 208 0 17 R sultat d exploitation Capitaux investis dans l exploitation 0 176 0 12 R sultat Capitaux propres 0 14 0 11 BFRE Chiffre d affaires 0 175 0 177 75 CONCOURS DE L AGR GATION INTERNE ECONOMIE ET GESTION x SESSION 2009 SECONDE PREUVE R SOLUTION DE PROBL MES COMPORTANT L UTILISATION DE TECHNIQUES DE GESTION Option ECONOMIE INFORMATIQUE ET GESTION SUJET N 2 Dur e de pr paration 4 heures Vous disposez d une dur e maximale de 30 minutes pour pr senter oralement la solution de l tude qui vous est propos e Au cours de l entretien qui suivra de 30 minutes maximum outre les pr cisions qui peuvent tre demand es sur votre expos vous seront pos es des quest
24. t des investisseurs ils estiment que dans un march efficient les arbitrages conduisent une galisation de la valeur des actifs ind pendamment de leur mode de financement Comme l avait expliqu Merton 15 Miller lorsqu il re ut le prix Nobel d Economie la taille d une pizza ne d pend pas de la fa on dont on la coupe En 1963 Modigliani et Miller reformulent leur mod le en incorporant l impact d une imperfection du march l imp t sur les soci t s La valeur de l entreprise endett e correspond alors la valeur de l entreprise non endett e laquelle il faut ajouter l conomie d imp t sur les frais financiers actualis e sur une dur e infinie D s lors il est possible d en d duire qu il est de l int r t de la soci t de se financer int gralement par dettes Pourtant la structure financi re de la majorit des entreprises s apparente une combinaison de dettes et de fonds propres Cela s explique par le fait que le risque de faillite s accro t avec l endettement de l entreprise Le risque de faillite peut tre apprehende travers l estimation de la probabilit que l entreprise se trouve dans l incapacit faire face a ses engagements La faillite s accompagne de co ts importants frais de liquidation d avocats etc et induit des cons quences dommageables sur la valeur de l entreprise une perte de confiance des fournisseurs et des clients et la d motivation des salari s
25. vitant soigneusement les contresens n s pas exemple des inversions fr quentes des fl ches lt lt extend gt gt prendre garde ne pas oublier la finalit de telles repr sentations laquelle d passe l vidence les simples aspects graphiques ce titre le jury n a pas t pleinement satisfait du traitement de la question 6 purement textuelle mais r ellement importante Les autres volets du sujet enjeux organisationnels d ploiement requ tes SQL taient ici simples et leur traitement sans tre parfait tait satisfaisant Conseils aux candidats l semble naturel que les candidats privil gient dans les deux sous disciplines que sont le d veloppement et les r seaux celle qu ils enseignent d j Mais ils ne peuvent raisonnablement pas ignorer l autre sachant que le sujet d oral comme les questions compl mentaires pourront contenir des l ments provenant de ces deux domaines Le jury est alors en droit d esp rer que les connaissances du candidat soient sur l ensemble de la sp cialit au moins gales celles que l on attendrait d un tudiant sortant de STS Concernant les outils de conception il est vident que le formalisme UML pr sente l avantage d une certaine souplesse de repr sentation celle ci toutefois ne saurait excuser une personnalisation excessive qui si elle tait employ e devant des tudiants pourrait induire dans leur esprit un doute quand la n cessit de rigueur en mo
26. 5000 financieres Participations Provisions pour charges Creances rattachees a TOTAL II 5000 particip Autres titres immobilises 28200 28200 DETTES Pr ts Emprunts obligataires convertibles Autres immobilisations Autres emprunts obligataires financi res TOTAL I 1967700 892260 1075440 Emprunts aupres des 75300 etablissements de credit ACTIF CIRCULANT Emprunts et dettes financi res 348200 divers Stock Avances et acomptes re us Mati res premi res et 227730 2200 225530 Dettes fournisseurs et comptes 468570 autres approvision rattach s En cous Prod Biens 12250 12250 Dettes fiscales et sociales 292820 services Produits interm et finis 35320 980 34340 Dettes sur immob et comptes rattach s Marchandises Autres dettes 12890 Avances et acomptes REGULARISATION verses creances Creances clients et 1 732500 2560 731140 Produits constates d avance comptes rattaches Autres cr ances 367760 367760 TOTAL 11 1197780 Valeurs mobili res de 803000 803000 placement Disponibilit s 80540 80540 REGULARISATION Charges constat es 1200 d avance TOTAL II 2260300 5740 2254560 TOTAL GENERAL 4228000 1 898000 3330000 TOTAL GENERAL 3330000 dont concours bancaires courants et soldes cr diteurs des banques CBC 12747 74 Le compte de r sultat de Pexercice 2007
27. La GRH La communication est au d part tr s conviviale Mais la croissance des effectifs et Paffirmation du r le des managers introduisent une separation entre les unites de l entreprise La communication reste ensuite informelle dans les quipes de recherche pour favoriser l innovation mais devient beaucoup plus formelle au niveau de l entreprise r unions pour informer des volutions strat giques plusieurs types de r unions selon les niveaux hierarchiques L organisation du travail renvoie la division et la sp cialisation du travail h rit es de l univers de la recherche acad mique Les premiers chercheurs et techniciens recrut s nous d crivent une organisation du travail au d part mue par la polyvalence et l autonomie tout en reconnaissant les sp cialit s de recherche de chacun Les techniciens sont petit petit affect s des t ches routini res en conservant une certaine autonomie dans la mani re d atteindre leurs objectifs Les chercheurs g rent la mise en place des manipulations des projets et interpr tent les r sultats Je m occupe de 2 techniciennes J ai un r le important Si elles ne sont plus motiv es pour l organisation du temps on s assoit si quelque chose ne va pas Chaque chercheur qui encadre doit jouer ce r le Dans mon quipe on g re nos techniciens mais notre sup rieur ne les g re pas Chacun est a sa place a va du bas vers le haut et l inverse Dans le
28. Les correcteurs ont t surpris du manque de soin apport la pr sentation de certaines copies de la part de professeurs en exercice Conseils aux candidats Nous ne pouvons que rappeler les pr ceptes formul s dans les pr c dents rapports pr sence d un sujet de synth se fr quent dans l preuve de droit le candidat doit viter de se noyer dans des connaissances de d tail doit ma triser et mettre en vidence les principes et les r gles de base l est donc conseill de consolider sa formation en mati re de th orie g n rale du droit de droit des soci t s de droit fiscal de droit du travail de droit des contrats et des affaires de droit p nal etc dans leurs dimensions communautaires et nationales Les codes ne doivent tre utilis s qu en appoint pour v rifier une r gle particuli re et non pour les transcrire purement et simplement de mani re syst matique Le jury conseille d ailleurs aux candidats de se familiariser avec leur consultation et leur maniement afin d en faire une utilisation intelligente lors de l preuve de composition de droit La recopie des codes ne peut se substituer a la r flexion du candidat plan m thodologique il importe imp rativement de consacrer un temps suffisant l analyse du sujet pour en identifier l tendue et les composantes Les candidats ne doivent pas perdre de vue qu il s agit dune preuve de droit et que le vocabulaire utilis dans
29. argumentee qui est attendue et non pas un catalogue d id es ou encore moins une liste d exemples manag riaux voire un digest d auteurs en marketing qui n ont le plus souvent qu un lien fort lointain avec le sujet abord Ainsi de nombreux candidats n h sitent pas mobiliser des th ories en relation avec le sujet propos l ann e pr c dente On se demande pourquoi Les d veloppements sont souvent limit s et ne traitent g n ralement le sujet que dans une seule des deux parties annonc es Les approches th oriques sont limit es et rarement en relation directe avec les termes du sujet On assiste de nombreuses contorsions pour ramener quelques vagues connaissances notions ou auteurs au c ur du sujet Le r sultat est rarement probant Les exemples le plus souvent ne font que remplacer les th ories ou les concepts absents D une mani re plus sp cifique les copies parmi les plus faibles souffrent d un manque de connaissances ou d actualisation de celles ci sur les domaines couverts par le sujet Tr s peu de copies font tat de lecture d articles extraits de revues acad miques D cisions Marketing Revue Fran aise du Marketing ou d auteurs traitant des probl matiques du prix Hermann SIMON Pierre DESMET Monique ZOLLINGER ou de la GRC Marketing Relationnel Fidelisation Pierre VOLLE Gilles MARION Jean Marc LEHU Christophe BENAVENT La conclusion est souvent trop rapidement construite
30. candidat doit montrer son aptitude capter l attention d un auditoire Le rythme ne doit pas tre ni trop lent ni trop rapide L utilisation de transparents permet d viter de perdre un temps pr cieux recopier au tableau des calculs fastidieux Quant a la forme des expos s le jury a constat que la grande majorit des candidats a fait un effort de pr sentation avec notamment une introduction au cas trait De m me un certain soin a souvent t apport la pr paration de transparents Pour la majorit d entre eux les candidats poss dent ind niablement un certain savoir faire en mati re de communication orale acquis au travers de leur exp rience professionnelle Quant au fond le jury a constat qu un nombre relativement important de candidats ne disposent pas de la totalit des connaissances n cessaires pour r soudre les cas propos s Ces insuffisances 44 apparaissaient parfois encore plus cruellement lors de l entretien Les concepts sont alors expos s de fa on impr cise parfois m me confuse et les candidats prouvent des difficult s les relier aux techniques mises en uvre Recommandations aux futurs candidats Le champ de l preuve est assez tendu et les sujets propos s chaque ann e le couvrent tr s largement Le candidat devra donc s entra ner porter leur r flexion sur une grande vari t de th mes D autre part la pr paration ne doit pas se fonder uniquement sur des manu
31. candidats devaient ensuite proposer une s quence p dagogique destin e une classe de leur choix niveau secondaire ou STS Partie scientifique Le constat Le contenu de l introduction t moigne souvent des fragilit s de la partie scientifique L accroche de port e g n rale passe partout qui d veloppe les probl mes de la mondialisation l environnement instable ou turbulent des organisations pr sente peu d int r t quand elle est sans lien direct avec le sujet L absence de d finitions des termes du sujet ou les d finitions approximatives ne permettent pas d analyser puis explorer le lien demand Ainsi la notion de veille informationnelle est souvent assimil e de la recherche documentaire parfois l information ou communication en g n ral Toute la richesse qu evoque la veille informationnelle posture d une organisation proactive qui se place en situation de recherche de signaux en provenance de son environnement interne comme externe dans le domaine de la GRH est donc perdue De m me l approche de la GRH est parfois dat e et r ductrice les volutions r centes de ses missions sont ignor es La pr sentation qui en est faite reste dans certains cas loign e des r alit s professionnelles livresque th orique voire na ve Or depuis quelques ann es si les auteurs s int ressent au r le des ressources humaines et leur relation avec la strat gie c est qu ils reconnaissent la partici
32. de distribution comme Carrefour Auchan ou Casino s entendre avec quelques fabricants de grandes marques Danone Nestl L Or al etc pour fixer des niveaux de prix de monopole sur les produits les plus couramment consomm s Les tr s distingu s distributeurs d j cit s on pourrait dans une certaine mesure y ajouter les enseignes des grands ind pendants Leclerc Syst me U etc nous en donnent d j un avant go t Les NIP nouveaux instruments promotionnels dont ils usent et abusent par exemple sous les appellations anodines de carte de fid lit et d innombrables campagnes de promotion ont progressivement rod la notion m me de prix Or un v ritable march c est un lieu o s tablissent des prix correspondant la r alit conomique Le public au contraire de certains experts la mode I ne s y trompe pas l en veut pour son argent un point c est tout Aujourd hui il a trop souvent le sentiment justifi qu on lui a fait perdre ses rep res L engouement pour le hard discount s explique en partie par cela les prix sont plus lisibles et donc le choix facilit parce que moins ou pas du tout manipul A son tour la commission Attali invite poser la question que l on a formul e au d but de cette chronique au sujet de la fausse solution qui consisterait confondre concurrence par les prix le but atteindre et multiplication des prix sur le m me produit en m m
33. des proc dures relatives la s curit des denr es alimentaires Le r glement CE n 852 2004 tablit les principes g n raux de l hygi ne des aliments D une mani re plus sp cifique le Code des pratiques loyales des glaces alimentaires donne les caract ristiques de composition des diff rentes cat gories de glaces ainsi que leurs d nominations l est le fruit de la collaboration des industriels du SFIG Syndicat des Fabricants et Industriels de Glaces avec les artisans glaciers Ce document bas sur le Code EUROGLACES r f rentiel de la profession au niveau de l union europ enne a t reconnu par la Direction g n rale de la concurrence consommation et r pression des fraudes en ao t 2000 67 2 Reglementation du froid Les differents maillons reliant le fabricant au consommateur sont a leur niveau astreints a respecter une reglementation qui leur est propre Transport Arr t du 20 Juillet 1998 fixant les conditions techniques et hygieniques applicables au transport des aliments Entreposage Arr t du 06 Juillet 1998 relatif aux r gles d hygi ne applicables aux tablissements d entreposage de certaines denr es alimentaires Distribution Arr t du 09 Mai 1995 r glementant l hygi ne des aliments remis directement au consommateur Restauration collective Arr t du 29 Septembre 1997 fixant les conditions d hygi ne applicables dans les tablissements de restauration collective car
34. en cr ant plusieurs ambiances Nous avons notamment travaill les effets de mati re pour exprimer la qualit la texture particuli re de la marque En boutique comme en grande distribution l offre joue en effet le renouvellement notamment par des s ries limit es Les trois parfums du d but les classiques vanille chocolat et caf ont fait des petits Mais le principe de s lection des ingr dients de la vanille de Madagascar la noix de macadamia d Hawa s est maintenu Les sp cialit s adapt es aux go ts f tiches locaux se sont fait une place comme le th vert au Japon ou le dulce de leche en Am rique latine Et l aspect naturel sans colorants est un des points en train d tre mis en avant dans l Hexagone L inspiration crois e entre les pays fonctionne aussi C est ainsi Hong Kong qu a t puis e l id e de la fondue base de glace et de chocolat d velopp e dans les boutiques hexagonales Dans la vaste famille des glaces Haagen Dazs est d abord une marque pour adultes L autre axe est d alimenter la modernit de la marque un terrain sur lequel le concurrent Ben amp Jerry s Unilever s affiche au travers notamment d une communication d cal e Parts de march PDM des industriels de la glace en France en fin 2007 Marques PDM en Marques PDM en Unilever 27 4 Mars 5 5 Nestl 22 1 Marques de 29 3 distributeurs H agen Dazs 7 7 Autres 8 Annexe 6 Donn e
35. encastr s de sol TERRA quip s de selfs ferromagn tiques 18 encastr s de sol BEGA quip s de selfs ferromagn tiques 3 encastr s de sol EXT RIEUR VERT quip s de selfs lectroniques 2 projecteurs PHILIPS DIAMANT quip s de selfs ferromagn tiques tat de l existant Le service des clairages est l un des services de la Mairie a sa t te un responsable de service 4 agents de terrain et un secr tariat Le syst me d information SI de la ville dispose d j d une application de gestion des clairages publics qui permet de g rer les interventions et le stock d quipement d entretien des clairages Cette application est disponible via l intranet de la Mairie La base de donn es support de cette application d velopp e en php est g r e par le service informatique de la ville sur un serveur SalServer 2000 bas sur un serveur Windows 2003 Seul le responsable du service clairage a acc s cette application L ensemble des points d clairage de la ville est r parti dans des zones il en existe 25 Tous les matins le responsable donne une liste de points d clairage valider en r gle g n rale une zone ses diff rents agents de terrain Au cours d une semaine l ensemble des points d clairage est test Les agents de terrains testent le fonctionnement de ces diff rents quipements en se rendant sur place Puis ils remettent le bilan des dysfonctionnements constat s au responsabl
36. entre eux 44 des franchiseurs r alisent un chiffre d affaires inf rieur 10 millions d euros Les r seaux sont implant s dans la France enti re 16 dans la r gion parisienne et 82 en province Les types d implantations favorisent tr s largement le local commercial 98 et les implantations en centre ville dans de beaux emplacements 86 avec pignon sur rue De 2006 2007 les r seaux s accroissent en moyenne de 5 unit s franchisees 7 cr es ou transmises 2 disparues contre 6 dans la p riode 2005 2006 De leur c t les franchis s sont sensibles la conjoncture et cr ent moins d emplois 1 3 emploi cr en moyenne de juin 2006 juin 2007 contre 1 8 en moyenne de septembre 2004 septembre 2005 Les r seaux sont aussi nombreux qu en 2007 se d velopper l tranger 29 essentiellement en Europe et au Maghreb mais beaucoup moins nombreux envisager de le faire 14 en 2007 contre 29 en 2006 compte tenu des difficult s d adaptation au march et des questions de r glementation La d marche d internationalisation reste encore tr s empirique Le recours l emprunt bancaire ne cesse de prendre de l ampleur et 6 franchis s sur 10 y ont recours pour le financement de leur projet Le Groupe Banque Populaire confirme sa place de premier banquier des franchis s et des franchiseurs avec un taux de p n tration de 27 aupr s des franchis s et de 50 aupr s des franchiseurs Les fran
37. et dynamique faisant l objet d une mise disposition personnalis e et p riodique de donn es ou d informations trait es selon une finalit propre au destinataire faisant appel une expertise en rapport avec le sujet ou la nature de l information collect e Dictionnaire de l information S Cacaly F Le Coadic qui n cessite une surveillance de la parution de l information pertinente un sujet par des actions de recherche de traitement et de diffusion en vue de son exploitation ventuelle par des personnes pour qui elle s avere utile et peut repr senter un avantage concurrentiel La veille sur les ressources humaines fait partie int gralement de la veille strat gique car sans acteurs mobilis s inform s et faisant vivre le syst me d information un dispositif de veille strat gique ne peut pas fonctionner de mani re efficiente Le concept de veille strat gique est donc d clinable au niveau de la GRH en effet dans un contexte de mutations du travail et de responsabilit sociale des entreprises de nouvelles exigences sont assign es a la GRH assurer entre autre une gestion qualitative de l emploi en coh rence avec les strat gies de comp titivit d une part avec le management de l entreprise ou l organisation d autre part 10 3 quelques questions posees par la mise en relation des deux notions debouchant sur une proposition de plan coherent Le d veloppement pouvait contribuer clai
38. flexion insuffisant Cela peut r sulter soit de la m connaissance de l une des dimensions essentielles du sujet soit d une compr hension insuffisante du sujet Dans le premier cas cette lacune est souvent relev e en droit faute de r f rences des notions fondamentales telles que justice ou quit ou encore des dispositifs sp cifiques certains domaines du droit tels que le droit de la propri t intellectuelle le droit de la concurrence ou le droit de la consommation Elle est galement assez fr quente en conomie absence de r f rences pr cises aux structures de march la structure de la fiscalit ou encore au r le du prix en conomie Les th ories de base sont souvent survolees et certains m canismes fondamentaux mal compris ou expliqu s L expose est alors desequllibre et les r ponses aux questions r v lent un certain nombre de lacunes dans la construction de raisonnements Dans le second cas celui d une compr hension insuffisante du sujet cette lacune est alors souvent le r sultat d une d marche du candidat consistant plaquer des connaissances sans r fl chir suffisamment leur pertinence avec le sujet et ou sans d montrer cette coh rence des prestations jug es tr s insuffisantes en raison de lacunes importantes Cette situation peut r sulter d un manque flagrant de connaissances et de tr s lourdes confusions sur le sens des termes du sujet et de leur association Dans des cas extr
39. fond e au regard des objectifs de l enseignant La lecture de ce rapport met en vidence des constats r currents d j formul s lors des sessions pr c dentes dont les candidats devraient mieux s impr gner Citons pour exemples le temps n cessaire accorder l analyse d un sujet la d finition et le rapprochement de ses termes sa probl matisation qui en fondera le traitement citons aussi la pertinence et la justification attendues des r f rents th oriques mobilis s plut t que l exhaustivit de connaissances maladroitement plaqu es Rappelons enfin la n cessit absolue d une expression crite et orale de qualit Le jury souhaite saluer la d marche de candidats qui en plus de leur charge de travail quotidienne consacrent du temps la pr paration du concours et viennent se confronter aux exigences du jury l f licite les candidats qui ont r ussi Il veut aussi signifier ceux qui ont chou parfois avec une moyenne tout fait honorable que leurs efforts ne sont pas vains En premier lieu parce que toute pr paration ce concours les nourrit en connaissances et en rigueur Et aussi parce que chaque ann e des candidats reviennent mieux pr par s et r ussissent Le jury regrette le peu de candidatures l option informatique et gestion ou de professeurs de lyc e professionnel PLP alors que chaque session voit de belles r ussites de ces candidats Ce rapport comme la rencontre propos e ch
40. il n est pas toujours adapt de proposer une utilisation dans une formation bien connue par celui ci Consid rations sur la forme des expos s Supports La plupart des candidats utilisent le r troprojecteur et ou le tableau Cependant certains transparents sont parfois illisibles et leur utilisation n est pas toujours pertinente Quelques candidats utilisent de fa on tr s parcimonieuse les transparents C est parfois un inconv nient quant au suivi du plan dans les notes du candidat En effet des parties pr par es n ont pas t pr sent es au jury Les meilleures utilisations du r troprojecteur du tableau et des supports propos s au jury permettent surtout de bien structurer les propos et de synth tiser les propositions Gestion du temps Le temps est parfois mal ma tris au d triment de la fin de l expos derni res proposition et conclusion Communication Les candidats maftrisent relativement bien leur stress Une attitude sereine un esprit ouvert une bonne coute et expression sont les principales qualit s reconnues aux meilleurs candidats Certains candidats ne regardent pas les membres du jury ou vitent leur regard D autres plus rares montrent parfois un certain agacement face aux questions du jury ce qui traduit une faible capacit d coute pourtant attendue de la part d un p dagogue Conseils aux futurs candidats Pr paration g n rale Les observations figurant dans les rapports des ann es
41. l impasse sur les aspects th oriques ou se limitent quelques r f rences sans r els rapports avec les autres l ments d velopp s En outre le lien entre les concepts d velopp s et la vie des affaires est trop rarement mis en exergue Dans l exploitation p dagogique il est demand de transposer la r flexion th orique dans une d marche didactique L objectif doit tre choisi en ad quation avec la probl matique pos e et nettement pr cis Les applications propos es aux tudiants sont parfois trop calculatoires et ne consacrent pas une part suffisante l analyse des r sultats Les qualit s de pr sentation des travaux d expression et de respect des r gles d orthographe ainsi que de grammaire sont naturellement exig es Le jury appr cie galement les copies qui sont parfaitement lisibles Le jury recommande enfin aux candidats de se pr parer cette preuve en effectuant des entra nements crits et en travaillant particuli rement la m thodologie ainsi que la r flexion conceptuelle L int r t port l actualisation des connaissances ne doit pas ob rer une ma trise approfondie des diff rents concepts de base mobilis s Le programme de l option B est tr s vaste le jury en est parfaitement conscient il n est pas possible de tout conna tre comptabilit finance gestion math matiques informatique ce qui est attendu et que le jury essaie d valuer ce sont des qualit s d analyse de r
42. le cours est sur valu A l inverse le march peut penser que si les dirigeants estiment que le cours est sous valu ils ne lanceront pas une augmentation de capital mais auront recours l emprunt Enfin selon la th orie du signal l information diffus e par les dirigeants est constitu e d un ensemble de grandes d cisions augmentation de capital emprunts rachats d actions etc qui constituent autant de signaux dirig s vers la communaut financi re Ainsi le recours la dette est plut t consid r comme un signal positif l entreprise est performante puisqu elle est capable de supporter un tel niveau d endettement Les candidats pouvaient compl ter utilement l approche th orique par une vision plus pragmatique qui consid re la structure financi re comme une r sultante soit de choix strat giques exerc s par l quipe de direction soit de contraintes externes subies par l entreprise La structure financi re peut alors d couler d un arbitrage exerc par le dirigeant entre rentabilit et risque qui d pend la fois des objectifs qu il a fix s en mati re de rentabilit des capitaux propres et de son degr d aversion pour le risque Le choix de modes de financement peut aussi d cliner d options strat giques une strat gie de croissance impose un rythme qui n cessite des besoins de financement li s au cycle d investissement et au cycle d exploitation et donc des modes de financement adapt s Toutefois cett
43. le libell du sujet est un vocabulaire juridique qui a un sens pr cis De plus dans cette preuve le travail du candidat doit tendre rechercher et d montrer une probl matique qui justifie le plan propos et conditionner en permanence la r flexion et Pordonnancement des id es Un soin tout particulier doit donc tre apport l introduction qui afin de d limiter le sujet avec rigueur et de le replacer dans une perspective plus large conomique sociologique Elle doit imp rativement d finir les termes du sujet exposer la probl matique retenue la justifier et annoncer le plan qui en d coule logiquement En ce domaine il ne faut pas oublier que le plan est avant tout un element de communication qui permet d exprimer la structure et la progression de la pens e d o l int r t d une division en parties et sous parties Les agr gatifs doivent imp rativement effectuer un travail d approfondissement des connaissances juridiques Ce travail peut se faire partir des ouvrages universitaires de base cit s en r f rence dans la bibliographie indicative La lecture seule de manuels de BTS est insuffisante l importe galement de ma triser le vocabulaire juridique et de prendre l habitude pendant la p riode de pr paration d utiliser du vocabulaire juridique pr cis L utilisation cette fin d un dictionnaire des termes juridiques est imp rative vocabulaire juridique Cornu dit d sormais en
44. licieuse boisson tait alors appel e sharbet gla on fruit en arabe Un nom et une recette qui allaient bient t faire le tour du monde et donner naissance aux sorbetti et autres sorbets Quatre si cles avant J sus Christ apparaissent les premi res glaces aux fruits la Cour du c l bre Alexandre Le Grand Anc tres de nos glaces actuelles il s agissait alors de mac doines de fruits m lang es du miel et refroidies au contact de la neige Un ing nieux principe qui palliait l absence de la technologie actuelle Trois si cles plus tard la glace tait toujours la mode chez les empereurs romains Au XII me si cle de retour de Chine avec une sorbeti re dans ses bagages l aventurier Marco Polo largit le cercle des initi s Le royaume italien d couvrit les premi res v ritables recettes de glaces Le sorbetto devenu tr s populaire en Italie fait un tabac en France apr s le mariage de la florentine Catherine de M dicis avec Henri Il Peu peu les glaces descendent dans les rues En 1660 le Sicilien Procopio di Coltelli ouvrit Paris le premier caf y vendait du cafe et des glaces 1 80 vari t s VVAFFLES aux parfums tous plus tonnants les uns que les autres rose sureau fleurs d oranger grill es Face un tel engouement du public en 1676 la corporation des limonadiers re oit officiellement le droit de fabriquer des glaces A la fin du XIX me si cle apparaissent les premi
45. lt 8 9 8 lt notes lt 10 6 10 lt notes lt 12 6 note gt 12 9 Total 30 Commentaires de la commission Chaque th me propos permettait au candidat de d montrer qu il tait capable d analyser un cas en utilisant les d marches et les principes propres a la sp cialit et en mobilisant de fa on pertinente les fondements th oriques des sciences de gestion organisation communication gestion des ressources humaines strat gie pilotage de la performance qu il pouvait formuler des pr conisations propositions r alistes et argument es en coh rence avec le diagnostic effectu quil pouvait r aliser en prolongement du cas au moment de l entretien une proposition p dagogique dans une classe de son choix Pour cette session il convient de noter des progr s concernant la connaissance des th ories et concepts notamment dans les champs de la communication et de la gestion des ressources humaines Le jury a not une meilleure pr paration des candidats qui s est traduite concr tement par une moyenne g n rale en hausse par rapport 2008 Une prestation r ussie se caract rise par la structuration de l expos L introduction Elle permet de situer le contexte de l organisation en privil giant uniquement les donn es significatives Elle doit restituer au jury des donn es analys es sp cificit s du contexte ou de Porganisation qui alimentent l nonciation d une probl matique sans paraphrase
46. mes quelques candidats modifient le sujet pour l amener en terrain connu il est alors totalement transform et il n est donc ni compris ni trait ou alors en r duisent le traitement une compilation de quelques dossiers restitu s sans recul lors de l expos Dans cette cat gorie nous trouvons des prestations marqu es par un respect insuffisant des formes et des contraintes d un expos coh rent d finition superficielle ou erron e des termes du sujet probl matique artificielle qui aurait t appliqu e quel que soit le sujet plan approximatif et non respect absence de liaisons entre les parties d veloppement d cousu catalogue d affirmations etc Les r ponses souvent tr s imprecises ou fausses aux questions confirment l existence de ces insuffisances dans la formation et la pr paration de ces candidats Observations sur le fond Le jury a not une volution de la qualit des prestations En particulier une prise en compte de l actualit conomique et juridique loi de modernisation de l conomie par exemple a t not e et appr ci e Cependant cette ann e encore le jury a pu observer qu un grand nombre de candidats ont des connaissances globalement anciennes Cela se traduit pour le droit par des approximations sur les principes fondamentaux et par des anachronismes pour des textes en volution Pour l conomie cela transpara t dans le recours une argumentation fond e sur des th ories
47. milieu de matin e peut acc der la liste des interventions qu il doit traiter L intervention tant d crite et concernant un lieu d clairage bien d fini il acc de a la liste des mat riels n cessaires cette intervention qu il va retirer au magasin Remarque la gestion des stocks ne fait pas partie de cette tude le responsable du magasin dispose d une application de gestion de stock qui n est pas encore int gr e celle de la gestion des interventions L agent de terrain scanne le tag RFID afin de v rifier qu il est bien sur le point d clairage associ la demande d intervention Si tel est le cas une fois l intervention effectu e il saisit un rapide commentaire et cl ture la demande d intervention Si la r paration du lieu d clairage n est pas possible pour quelque raison que ce soit l intervention est mise en attente et un commentaire horodat explique la raison de non r solution de la panne Les interventions mises en attente restent la charge de l agent de terrain initial l pourra ajouter autant de commentaires que n cessaire chaque tentative de r solution du probl me 4 Suivi statistique Le responsable du service dispose d un tableau de bord sur le suivi des interventions 79 Travail a faire 3 Proposer dans le formalisme de votre choix une representation du processus de gestion des interventions du constat du dysfonctionnement jusqu sa r solution Vous montrerez en quoi cett
48. pr c dentes restent encore valables Une pr paration individuelle ou assist e est indispensable Cette pr paration ne doit pas se limiter aux preuves crites Elle doit tr s vite avant les crits aborder cet oral qui fait appel aux m mes fondamentaux en termes d auteurs de concepts et de th ories mais n cessite un entra nement leur mobilisatioin dans un contexte diff rent Le jury rappelle l importance des connaissances de gestion au del des fondamentaux du marketing On ne peut pas traiter un cas sans se poser la question budg taire et selon les donn es disponibles celle de la coh rence avec la situation financi re de l organisation tudi e En outre la pr paration doit aussi porter sur l approche p dagogique l est indispensable d avoir une r flexion pr alable sur les exploitations didactiques et p dagogiques possibles du cas Les points de vigilance pour la pr paration sont la structuration l quilibre general la coh rence avec le contexte la coh rence entre les propositions l esprit de synth se et la r flexion personnelle en se fondant sur des bases scientifiques solides Pr paration en loge Pour r pondre ces exigences il faut bien g rer le temps de pr paration en loge Trop de candidats ne semblent pas avoir eu le temps suffisant pour aller au bout de leur analyse Cette r alit est visible souvent a la fin de l expos mais aussi dans les supports pr par s pour le jury De m m
49. rajout e l intranet de la Mairie serait d velopp e en suivant une approche MVC Mod le Vue Contr leur Apr s tude des diff rents frameworks existants le choix s est port sur le framework ZEND Une formation des agents de terrain l usage du terminal mobile ainsi que l criture du manuel d utilisation Une formation du responsable du service clairage et du secr tariat ainsi que la livraison du manuel d utilisation de la nouvelle application de gestion des interventions Contraintes techniques Les tourn es d inspection ont lieu d s la tomb e de la nuit Au d part de l agent de terrain le soir et son retour le matin les deux bases de donn es sont synchronis es par le responsable du service De la sorte agent emporte sur son terminal mobile les derni res donn es connues et les interventions r aliser de m me que le SI int gre tous les dysfonctionnements constat s et toutes les op rations effectu es La pose des tags RFID devra tre la plus discr te possible par exemple par le respect de la couleur du support La r ception des donn es de la puce RFID devra pouvoir se faire hauteur d homme cependant pour viter tout acte de vandalisme la puce devra tre pos e au minimum une hauteur de 3 m tres en qui concerne les points d clairage de type mat 78 Travail a faire 1 Pr senter les enjeux organisationnels de ce projet pour l organisation Mairie et pour le serv
50. scientifiques Le recrutement en 2001 par les investisseurs d un manager au poste de CEO ancien dirigeant dans le secteur pharmaceutique affirme le r le de profils gestionnaires dans l entreprise Plusieurs postes sont cr s DAF2 RRH3 business developer pour renforcer le p le fonctionnel de la jeune biotech Il n y a pas d opposition majeure entre ce groupe et les scientifiques du fait d une r partition du travail assez claire pour les premiers la gestion de l entreprise et pour les seconds la recherche les chercheurs se positionnant comme relais entre les techniciens et les fonctionnels Le r le des investisseurs UroBio ne d gage quasiment pas de chiffre d affaires jusqu en 2004 Les besoins financiers pour poursuivre la recherche tant importants l appel aux investisseurs est indispensable Ces acteurs financiers sont s duits par les perspectives de jackpot de l activit de cette jeune biotech Ils esp rent la mise au point d un m dicament concernant les pathologies urologiques L influence des investisseurs est saillante dans le choix du CEO et le repositionnement du fondateur a un poste de CSO dans la nomination de l ancienne directrice du laboratoire au poste de RRH et dans la mise en place de certaines pratiques de GRH niveau des r mun rations recrutement de profils sp cifiques DAF Directeur Administratif et Financier RRH Responsable des Ressources Humaines 56
51. tences mobiliser aussi bien techniques qu en organisation et communication doivent tre pr cis s La structure du cas propos ainsi que les l ments de corrig permettent au jury de comprendre la construction p dagogique suivie par le candidat Enfin des modalit s d valuation pr sent es sont galement appr ci es Le jury a relev un nombre de prestations satisfaisantes plus important que les ann es pr c dentes Ces candidats r ussissent mobiliser leur exp rience et leur savoir faire pour convaincre le Jury de l efficacit de leur d marche Dans ce cas les objectifs p dagogiques sont bien cern s le processus d apprentissage clairement explicit et les th mes d exploitation souvent pertinents comme par exemple l impact de l endettement sur la rentabilit Conseils aux candidats l convient de cerner le sujet propos et de consacrer du temps a la d finition des termes essentiels Certains candidats ont tendance sauter cette tape en se limitant des consid rations trop g n rales Le libell du sujet propose pourtant une base de r flexion partir de laquelle il convient de faire merger une r elle probl matique le plan propos devant en tre l aboutissement Le jury n attend pas n cessairement un expos exhaustif de tous les aspects du sujet mais il appr cie une d monstration convaincante et argument e dans le champ de la comptabilit de la gestion et de la finance Trop de copies font
52. transmises leurs destinataires dans la recherche d information l op rateur sait pertinemment ce qu il cherche l objet de la recherche est d limit Tel n est pas le cas de la veille Par d finition le veilleur ignore ce qu il cherche Quelques propositions de s quences manquent de r alisme Exemples dur e chronophages plusieurs s ances sur plusieurs semaines enqu tes d l ves aupr s de panels de DRH dont la disponibilit est trouver Les attentes du jury La didactique consiste s interroger sur les savoirs enseigner dans un ensemble coh rent qui pr cise le positionnement du th me par rapport un niveau d tude et les points du r f rentiel correspondant les objectifs de la s ance et pr requis la situation de la s ance dans une progression les notions associ es que les l ves ou tudiants doivent acqu rir en r f rence avec le niveau de classe retenue La p dagogie s int resse au comment enseigner Les attentes du jury portent sur la m thode envisag e le dispositif pr vu cours ou travaux d application action mener en stage modalit s d valuation 12 Concernant le sujet de cette ann e Veille informationnelle et GRH quelques propositions de construction d une s quence sont compl tes d roulement supports fournis moyens mis disposition pour faire travailler les l ves ou tudiants activit s leur fai
53. xn ulumnnulog d po xneurwnquiodedAL Jenoubr T 1 p uy pun i 1 1 T I l H elq puw xn uluin n lod d 3 I p uu pun xn ulumnnulod po xn ulumnnulod ssod I Uonu Al lul p un pun aezu wwo _ pauljepun alleJuaWW0 2 eq a1jejuaWWOT p sa1IeJU2WWO07 0151 10 1173 30 293 3utuonep yiy eq ju uone213233eq p uu pun viuebe p u pun zu ywoy qu Hn e i beilepa d nioddnsin ineH 0104 beirep3 d l ll qin q d43 101155929 q dyuennu pi
54. 12 13 1 12 lt Notes lt 15 7 0 15 lt Notes 2 1 Note la plus basse 1 1 Note la plus lev e 15 16 Commentaires de la commission Cette ann e 143 candidats ont choisi la composition portant sur les l ments g n raux du droit et sur le droit de l entreprise et des affaires La moyenne des notes 6 28 sur 20 est en l g re baisse par rapport la session 2008 La meilleure note du concours 2009 s l ve 16 La proportion de copies tr s faibles 70 copies inf rieures 6 reste importante ces copies r v lent une r elle incompr hension du sujet une conceptualisation tr s insuffisante un manque de connaissances juridiques fondamentales et une carence inacceptable au plan m thodologique 48 copies ont obtenu une note comprise entre 6 et 9 Elles montrent g n ralement une compr hension du sujet mais des carences au niveau des connaissances ou de l analyse 24 copies ont obtenu une note sup rieure ou gale dix Elles d montrent une capacit agr ger des connaissances solides et le plus souvent actualis es Analyse du sujet Une d finition des termes du sujet ainsi qu une r flexion sur le sens du sujet s imposent Le sujet portait sur les instruments juridiques du partenariat professionnel l convenait de d finir les termes du sujet Les instruments juridiques sont toutes les formes modes types d actes ou techniques juridiques utilis s dans un but pr cis Le partenariat peut tre d fi
55. 6 340 271 50 321 273 55 328 2 18 Option B 376 54 430 326 51 377 286 442 328 280 38 318 3 05 Option C 425 84 509 370 76 446 386 76 462 359 74 433 6 28 Option D 77415 92 66 13 79 48439 57 59 11 70 22 81 Totaux par option 1183 220 1046 196 991 177 971 178 1 63 1403 1242 1168 1149 Les pr sents 2 Public Priv 06 Public Priv 07 Public Priv 1 Public Priv 09 Variation 08 08 07 Droit 132 30 162 136 27 163 112 25 138 124 20 144 4 35 96 conomie 496 98 594 414 4 76 490 418 60 477 406 75 481 0 63 Totaux Droit co 628 128 756 550 103 653 530 4 85 615 530 4 95 625 1 63 96 Option A 176 41 217 151431 182 15131 182 154 28 182 Option B 202 34 236 178 29 207 162 19 181 157 25 182 0 55 96 Option C 236 52 288 213444 257 207 37 244 210 39 249 2 05 Option D 50 8 58 37 7 44 27 4 31 29 7 36 16 13 96 Totaux par 664 135 799 579 111 690 547 91 z 638 550 99 649 1 72 96 Les 2006 2007 2008 2009 Variation 08 admissibles 09 92 90 95 90 Admissibles Public barre barre 19 40 barre 19 40 barre 18 5 40 5 26 18 50 40 Admissibles Priv 17 14 9 12 barre 17 40 barre 18 40 barre barre 19 5 40 33 33 17 5 40 Total admissibles 109 104 104 102 1 92
56. 66 50 Charges d exploitation 40 30 35 30 20 Autres charges 2015 3 1 3 64 CONCOURS DE L AGREGATION INTERNE ECONOMIE ET GESTION SESSION 2009 l SECONDE PREUVE R SOLUTION DE PROBL MES COMPORTANT L UTILISATION DE TECHNIQUES DE GESTION Option C ECONOMIE ET GESTION COMMERCIALE SUJET N 1 Dur e de pr paration 4 heures Vous disposez d une dur e maximale de 30 minutes pour pr senter oralement la solution de l tude qui vous est propos e Au cours de l entretien qui suivra de 30 minutes maximum outre les pr cisions qui peuvent tre demand es sur votre expos vous seront pos es des questions d ordre p dagogique et didactique en liaison avec le th me tudi 65 AUX DELICES GLACES C est en 1946 qu est cr Aux D lices Glac s un petit magasin de fabrication de glaces dans une petite ville du sud de la France Ses produits sont labor s partir de constituants naturels ils sont fabriqu s base de lait entier d uf de sucre et de saveurs naturelles ou de fruits ce qui apporte au produit une saveur unique et une texture velout e incomparable Les recettes sont la fois classiques vanille chocolat fraise et tr s originales marron lavande violette Bailey s Toblerone M amp M s Les glaces sont pr sent es dans une vitrine r frig r e pouvant contenir jusqu 24 bacs de parfums diff r
57. A et Charles VVYPLOSZ Macro conomie une perspective europ enne tr fr De Boeck Pierre CAHUC La nouvelle micro conomie La D couverte Rep res Michel DEVOLUY Th ories macro conomiques A Colin 32 Anne EPAULARD et Aude POMMERET ntroduction la macro6conomie La D couverte Rep res Xavier GREFFE et ali Dictionnaire des grandes oeuvres conomiques Dalloz Bernard GUERR EN Dictionnaire d analyse conomique La D couverte Philippe HUGON Economie politique internationale et mondialisation conomica P KRUGMAN et M OBSTFELD conomie internationale 3 me diction De Boeck Universit Gr gory MANKIW Macr oconomie De Boeck Anne PERROT Les nouvelles th ories du march du travail La D couverte Rep res Edmund S PHELPS Economie politique tr fr Fayard Michel RAINELLI La nouvelle th orie du commerce international La D couverte Rep res Brian SNOWDON Howard VANE et Peter WYNARCZYK La pens e conomique moderne trad fr Ediscience International ouvrage plus approfondi Hal R VARIAN Introduction la micro conomie tr fr De Boeck Revues Les Cahiers fran ais Probl mes conomiques fournit une s lection d articles dont certains peuvent tre tr s utiles aux candidats Revue Fran aise d Economie certains articles de synth se en particulier la lettre de tr sor co disponible sur internet 33 Epreuves orales d admission Premiere preuve T E J S pre
58. Coefficient 1 Le candidat compose obligatoirement sur le sujet correspondant au choix qu il a exprim lors de son inscription Composition portant sur les l ments g n raux du droit et sur le droit de l entreprise et des affaires ou Composition portant sur l conomie g n rale Option A Economie et gestion administrative Sujet Veille informationnelle et gestion des ressources humaines Dans un premier temps vous analyserez ce sujet en prenant appui sur des pratiques d entreprises et sur des rep res th oriques Dans un second temps en vous pla ant dans une classe de votre choix vous d finirez vos orientations didactiques et vous proposerez une exploitation p dagogique de ce sujet l ments statistiques Concours interne CAER Nombre d inscrits 273 55 Nombre de copies corrig es 153 27 Moyenne 6 72 7 28 Ecart type 3 11 2 58 Notes lt 5 36 3 5 lt Notes lt 8 67 14 8 lt Notes lt 10 26 6 10 lt Notes lt 12 12 2 12 lt Notes lt 15 10 2 Notes x 15 2 0 Note la plus basse 0 5 1 5 Note la plus lev e 16 14 Commentaires de la commission Le sujet proposait aux candidats de r fl chir a l articulation de deux notions veille informationnelle et gestion des ressources humaines Ce lien pour tre correctement tabli n cessitait au pr alable une d finition de chacun des termes puis la formulation claire d une probl matique adapt e Les
59. DALEM DEPOERS DOUSSY DREZET DROUHIN DUBART DUTRAIVE FESTRE GALINDO GALLOUJ GARAUDE GAUTHIER HAUSSAIRE IZARD KAUFFMANN KREISS LACROUX LARCENEUX LARCHEV QUE LASSUS LENHOF MAILHOS MASSABI MAURUS MERLE MERVILLE MOINE PAGUET PERRON PLANE POUTINEAU PRAT dit HAURET ROY SIMORRE THOMAS VASLIN nspectrice g n rale de Peducation nationale A IPR Maitre de conferences Professeur agrege Professeur agrege Professeur agrege Professeur agrege A IPR Maftre de conferences Maftre de conferences Professeur agrege Professeur agrege Maftre de conferences A IPR Professeur agrege Maftre de conferences Professeur agrege Maftre de conferences Maftre de conferences Maftre de conferences Professeur des universites Professeur agrege Professeur agrege A IPR Professeur agrege Professeur agrege Professeur agrege Professeur agrege Enseignant chercheur Professeur agrege Professeur agrege Maftre de conferences Professeur agrege Professeur agrege Professeur agrege Professeur agrege Maftre de conferences Professeur agrege A IPR Maftre de conferences Professeur des universites Professeur des universites Professeur des universites Maftre de conferences Professeur agrege Maftre de conferences Maftre de conferences Observations generales sur le concours Le constat general de cette session est celui d une stabilisation des effectifs presents au concours pour un nombre de postes quasiment identique 1 p
60. Les meilleures propositions sont celles qui s appliquent au cas propos et qui sont argumentees et r alistes ce titre trop de candidats ludent trop rapidement les aspects budg taires de leurs propositions qui doivent rester coh rents avec les moyens r els et potentiels de l entreprise ou organisation concern e Enfin ce d veloppement doit tre bien structur et le plus synth tique possible Les meilleures prestations sont rarement les plus longues Fondements th oriques Connaissances techniques 47 La meconnaissance des auteurs academiques des ouvrages de reference de la specialite est encore le cas de nombre de candidats L tude r guli re de la litt rature acad mique et des revues sp cialis es en marketing semble l apanage d un trop petit nombre de candidats l faut savoir r pondre de fa on pr cise aux demandes de d finition des concepts Les r ponses apport es aux questions sur la communication le positionnement le r f rencement le marketing exp rientiel la notori t et la marque par exemple ont t parfois surprenantes l ments p dagogiques Peu de candidats profitent de la pr paration pour r fl chir aux exploitations p dagogiques possibles du cas alors que le jury value aussi les capacit s p dagogiques et didactiques des candidats travers les r ponses propos es La connaissance des r f rentiels et programmes est parfois approximatives Et selon l exp rience du candidat
61. N COMPTABLE ET FINANCI RE SUJET N 2 Dur e de pr paration 4 heures Vous disposez d une dur e maximale de 30 minutes pour pr senter oralement la solution de l tude qui vous est propos e Au cours de l entretien qui suivra de 30 minutes maximum outre les pr cisions qui peuvent tre demand es sur votre expos vous seront pos es des questions d ordre p dagogique et didactique en liaison avec le th me tudi AVERTISSEMENT Si le texte du sujet de ses questions ou de ses annexes vous conduit formuler une ou plusieurs hypoth ses il vous est demand de la ou de les mentionner explicitement lors de votre expos Cette tude est constitu e de deux parties que le candidat doit obligatoirement traiter Ces deux parties sont ind pendantes l n est pas demand aux candidats de d finir une probl matique les articulant Cas Fisco et Cas Presse Diffusion Premi re partie Cas Fisco Section 1 Questions a Donnez une d finition du contr le interne b D veloppez la notion de s paration des fonctions c D taillez les principales tapes de la proc dure achats 60 Section 2 Une entreprise d veloppe une activit de n goce de c r ales Ces capitaux propres se pr sentent de la mani re suivante Ann e N Ann e N 1 Capital 14 000 14 000 R serves 9 000 9 200 R sultat 1 560 3 000 Provision pour hausse des 7 000 7 500 prix Total 31 560 33 700 C
62. PME qui fabriquent les produits bas de gamme vendus sous la marque des distributeurs Le vrai danger c est la guerre des prix la spirale d flationniste qu une d r gulation irr fl chie et tous azimuts risquerait fort de d clencher 72 Annexe 10 Quelques elements th oriques Source La distribution organisation et strategie M Filser V Des Garets G Pache gt Relations entre la longueur du canal et le march le produit le fabricant et les intermediaires Canal court si Canal long si Le marche Taille du marche etroit large Dispersion geographique faible lev e Densit des clients lev e faible Pr paration de la vente longue courte Niveau hi rarchique de clients lev faible Taille moyenne des commandes importante faible Le produit Volume du produit lev faible P rissabilit lev e faible Valeur unitaire lev e faible Standardisation faible lev e Technicit lev e faible Marge brute faible lev e Le producteur Taille importante faible Capacit financi re lev e faible Volont de contr le lev e faible Expertise manag riale lev e faible Connaissance du client final lev e faible Les facteurs li s aux interm diaires Distributeurs disponibles peu beaucoup Co t des interm diaires lev faible Qualit des interm diaires faible lev e
63. act re social Annexe 3 Donn es sur le march D apr s Netmarketing Avec des marques comme Miko Carte d Or et Ben amp Jerry s dans son portefeuille Unilever est depuis longtemps le leader du march de la glace Mais le retour en force de Nestl menace cette domination Produit gourmand dont l acte d achat est le plus souvent impulsif les glaces repr sentent un march de plus de 1 6 milliard d euros dans l Hexagone Pourtant les Fran ais sont plut t en froid avec ce dessert ils n en consomment en moyenne que 6 litres par personne et par an contre 12 dans les pays d Europe du Nord et plus de 20 aux Etats Unis Le march des glaces est plut t atone ses ventes perdaient ainsi 0 3 en volume et 1 1 en valeur en 2007 La consommation de glaces domicile est estim e 1038 millions d euros et la consommation hors domicile a 648 millions d euros Comme tout produit de grande consommation les marques de distributeurs sont venues attaquer les marques nationales poussant celles ci reagir Si l essentiel des glaces consomm es en France sont vendues par la grande distribution 67 1 par les grandes et moyennes surfaces et 9 2 par le hard discount de nouveaux acteurs se font une place les magasins sp cialis s et la livraison domicile Les premiers passent ainsi de 8 8 du march en 2005 10 en 2007 et les seconds de 12 7 13 1 La livraison domicile pourrait tout particuli rement r ve
64. administratives 40 Option B comptabilit et gestion 44 Option C action et communication commerciales 46 Option D informatique et gestion Sea a BR nement 50 Annexes Exemples de sujets d preuves d admission 52 Les rapports des jurys sont tablis sous la responsabilit des pr sidents de jury Presentation du concours Composition du jury Pr sident du concours Madame Brigitte Vice pr sidents Monsieur Thierry Madame Sabine Membres du jury Monsieur Tony Monsieur Jean Jacques Madame Odile Monsieur Olivier Monsieur Dominique Madame P n lope Madame Aude Madame Karine Monsieur David Madame Florence Madame Madeleine Madame Christine Monsieur Nicolas Madame Fabienne Madame V ronique Madame Agn s Madame G raldine Monsieur Camal Madame Jo lle Monsieur Fr d ric Monsieur Alain Monsieur Laurent Madame Marie Odile Monsieur Christophe Monsieur Alain Monsieur Fabrice Monsieur Fr d ric Madame Annick Monsieur Jean Baptiste Madame Corine Madame Martine Monsieur ric Monsieur Florence Madame Anne Dominique Monsieur Camille Monsieur Jean Michel Madame Fr d rique Monsieur Jean Michel Monsieur Jean Christophe Monsieur Christian Monsieur Yves Madame Nadia Monsieur Vincent Monsieur Jacques Marie DORIATH LEFEUVRE S PARI ALBERTO BENA EM BONARDEL CATINAUD CATOIR CODELLO D ANDRIA DANIEL
65. ans la mise en uvre de la strat gie Si une DRH s int resse la veille alors l impact devrait tre global En effet qui mieux qu une DRH devrait pouvoir lever les freins parfois culturels qui emp chent l entreprise d tre en veil Trop souvent la veille est encore ressentie comme une menace pour les cadres et la hi rarchie qui la consid rent parfois comme un second canal d information pouvant leur faire perdre du pouvoir voire les desservir Force est constater qu une veille efficace suppose l adh sion de tous et ne peut pas fonctionner si une partie du personnel en rejette les principes et les modalit s On comprend alors ais ment que dans les entreprises o les relations sociales sont tendues la veille informationnelle ne peut tre une r alit tant que la veille sur les ressources humaines n existe pas ou n a pas les moyens n exister Sinon ces tensions auraient t trait es d s le d part La question des moyens est importante aussi bien pour la veille technologique que pour la VRH et c est pourquoi un v ritable soutien de la direction g n rale est absolument n cessaire L evocation du recours aux technologies pour la mise en uvre d une veille efficace est incontournable Trop peu de candidats s y r f rent e Les recommandations aux futurs candidats Le niveau de ce concours exige une r flexion personnelle s appuyant sur des travaux issus de la recherche dans les sciences des organisations
66. aque ann e l issue de la proclamation des r sultats ont pour objectif de guider les candidats que le jury souhaite encourager et invite a un entra nement r gulier soutenu par le suivi d une formation pr paratoire au concours Pour le jury Brigitte DORIATH nspectrice g n rale de l ducation nationale Pr sidente du concours Donnees statistiques Tableau 1 STATISTIQUES GLOBALES DE LA SESSION 2009 preuves crites 2006 2007 2008 2009 Variation 08 09 Nombre de postes Concours Public 38 38 38 38 Concours Priv 12 7 7 6 14 29 Inscrits Public 1183 1046 991 973 1 82 nscrits Prive 220 196 177 178 0 06 Total inscrits 1403 1242 1168 1151 1 46 C Pr sents Public 17 epreuve 664 579 547 530 3 11 Pr sents priv 1 preuve 135 111 91 95 4 40 Total pr sents 1 preuve 799 690 638 649 1 72 96 Tableau 2 ANALYSE STATISTIQUE DE L ADMISSIBILITE Les inscrits Public Priv 06 Public Priv 07 Public Priv 1 Public Priv 09 Variation 08 08 09 Droit 271 58 329 271 56 327 229 51 280 235 39 274 2 14 Economie 9124162 1074 775 140 915 762 126 888 736 139 875 1 46 5 1183 220 1046 196 991 177 971 178 1 63 96 Totaux Droit Eco 1403 1242 1168 1149 Option A 305 67 372 284 5
67. artition des notes Nombre de candidats note lt 4 4 lt note lt 6 G lt note lt 8 8 lt note lt 10 10 lt note lt 12 12 lt note lt 14 14 lt note lt 16 note gt 16 ol AINI gt ON Total 46 Commentaires de la commission Analyse des prestations des candidats Considerations generales Les r sultats restent h t rog nes Le jury a pu appr cier deux excellentes prestations et cinq tr s bonnes Quelques r sultats sont tr s faibles Beaucoup de candidats repassent cette preuve Certains ont manifestement progress mais d autres ne savent toujours pas r pondre aux exigences de l preuve Les tr s bons expos s sont bien structur s 15 comportent une probl matique claire un diagnostic adapt et synth tique et des pr conisations en coh rence avec le contexte Les prestations les plus faibles d notent des difficult s de compr hension de la probl matique du cas et de son contexte Les propositions sont alors trop g n rales et donc peu ou pas adapt es au cas propos Les champs d analyse et d action sont insuffisamment cern s Dans la majorit des expos s les concepts marketing fondamentaux en relation avec le cas sont mal maftrises Quelques auteurs sont cit s mais leurs travaux sont restitu s de fa on imprecise et peu contextualis e Cependant le jury a appr ci les prestations des candidats montrant une bonne maitrise des concepts mobiliser da
68. banques centrales dans la conduite de la politique mon taire et la surveillance du syst me financier opposition du mod le franco anglais et du mod le allemand mise en uvre de l ind pendance des banques centrales dans les PDEM qui a renforc leur r le dans la lutte contre l inflation modalit de gestion de la liquidit taux d int r t directeur et non plus base monetaire Le n cessaire renforcement du r le de surveillance des institutions financi res publiques et internationales La crise actuelle a modifi le comportement de certaines institutions financi res dont la fonction est de surveiller le bon fonctionnement du syst me financier A L volution du r le des institutions financi res dans l conomie a accru le risque de syst me Les fonctions de gestion de l pargne se sont d velopp es et les banques ont pris des risques inconsid r s probl me du d sajustement du bilan pour b n ficier de placements plus avantageux et risque d illiquidite qui peut se transformer en insolvabilit mod le Diamond Dybvig 1983 probl me actuel de la crise des sub prime pr ts gag s sur la sp culation la hausse des prix de l immobilier B ce qui tend renforcer le r le des institutions financi res charg es de la supervision financi re 1 Les banques centrales ont elles encore les moyens de leur r le de preteur en dernier ressort cf la nationalisation de certaines banques n
69. bre de copies corrig es 403 75 Moyenne 6 47 6 25 Ecart type 3 2 3 3 Notes lt 5 116 27 5 lt Notes lt 8 164 27 8 lt Notes lt 10 54 7 10 lt Notes lt 12 35 9 12 lt Notes lt 15 29 3 Notes x 15 5 2 Note la plus basse 0 1 Notes la plus elevee 17 17 Commentaires de la commission La moyenne des notes de la session 2009 est sup rieure celle des trois pr c dentes sessions Le jury se r jouit de cette tendance observ e depuis quelques ann es d j l am lioration g n rale de la performance des candidats Cette remarque doit cependant tre assortie de quelques r serves car les copies d un niveau tr s insuffisant restent trop nombreuses Commentaires relatifs au fond Le sujet propos cette ann e porte a la fois sur la macro conomie l analyse mon taire et la finance internationale Son actualit est pr gnante une partie du traitement du sujet pouvant faire r f rence la crise bancaire actuelle Les candidats soucieux de suivre l actualit disposaient ainsi de nombreux l ments pour traiter le sujet de mani re adapt e Toutefois si la relation du sujet l actualit est claire il tait n cessaire de le replacer au c ur des d bats qui animent de mani re r currente l analyse conomique Ainsi pour les correcteurs plusieurs points importants devaient tre abord s clairement d s l introduction la diff rence entre finance directe via le march et finance in
70. cessit d un renforcement de la fonction r glementaire en amont 2 les institutions financi res internationales au chevet des PDEM au cours de la derni re d cennie les institutions telles que la BRI et le FMI sont intervenues pour aider des pays revenu interm diaire d sormais elles se r orientent vers les PDEM Le traitement du sujet par les candidats Les remarques g n rales concernant la partition des copies en trois groupes reprennent celles d j publi es l an dernier Les mauvaises copies sont celles qui pr sentent de graves d ficiences tant au plan de la forme que du fond les notes obtenues ne vont pas au del de 5 20 Les copies de niveau interm diaire sont tr s diverses mais pr sentent cependant un point commun le sujet est trait de fa on partielle souvent en faisant appel des th ories tr s anciennes et sans lien av r avec le sujet De plus la forme y est en g n ral peu acad mique avec en particulier des plans v ritablement incompr hensibles Les bonnes copies celles qui recueillent une note gale ou sup rieure 10 20 sont celles de candidats qui ont compris le sujet qui posent des questions la fois th oriques et pratiques et qui indiquent les r ponses apport es par les conomistes aux questions ainsi pos es Le jury tient rappeler que la reformulation du sujet par les candidats dans un sens qui leur convient est p nalis e Le jury note que cette an
71. chiseurs sont par ailleurs 53 recommander la Banque Populaire leurs franchis s Annexe 7 Plus de protection pour le contrat de franchise D apr s Les Echos du 23 01 08 Tout franchis est naturellement frapp d une esp ce de schizophr nie commer ant ind pendant il est affili un r seau dont l image et la discipline tablissent pour lui une v ritable d pendance Et son statut balance ainsi constamment entre ind pendance juridique et d pendance conomique Le droit s est avis de ce tiraillement par un certain nombre de mesures protectrices du franchis Ainsi la c l bre loi Doubin de 1989 a t elle impos aux franchiseurs de d livrer aux candidats la franchise un document d information pr contractuelle cens permettre ces derniers de s affilier en pleine connaissance de cause Pour lors le l gislateur est toutefois rest extr mement timide Contrairement d autres acteurs du droit de la distribution agents commerciaux VRP etc le franchis n a pas fait l objet d un dispositif l gislatif d ensemble Qu cela ne tienne la jurisprudence a pris le relais manifestant au besoin son pouvoir cr ateur L arr t rendu le 9 octobre 2007 par la chambre commerciale de la Cour de cassation participe ainsi clairement de l laboration d un statut protecteur du franchis En l esp ce six contrats de franchise avaient t conclus pour une dur e de deux ans Apr s plusieurs renouvellements le f
72. compliqu il a t cr de toutes pi ces et ne refl te en rien le patronyme du fondateur Reuben Mattus Lorsqu en 1961 apr s avoir travaill dans le commerce de glaces cr par sa m re New York il lance sa propre entreprise il choisit une d nomination consonance nordique li e aux imaginaires du froid et du naturel allant jusqu d corer les premiers cartons d une carte de Scandinavie Une invitation au voyage pour son public am ricain Aujourd hui la marque qui occupe un cr neau haut de gamme est diffus e dans pr s de 70 pays Elle jongle entre son image internationale et ses clins d oeil locaux A Paris la nouvelle formule du magasin des Champs Elys es rouvert au printemps en est l illustration Situ e sur un axe tr s fr quent et connu dans le monde entier se voulant lieu de rendez vous l enseigne sur plusieurs niveaux a aussi vocation renvoyer aux Fran ais un sentiment de modernit C est la fois un navire amiral global pour la marque et un lieu dans lequel nous comptons voir 1 million de personnes s arr ter chaque ann e Nous esp rons que de retour dans leur pays les consommateurs fassent part de leur exp rience indique le directeur g n ral de General Mills France L espace cherche r pondre diff rents moments de consommation du caf du matin au go ter en passant la nuit avec un Ice Bar o se pr parent des cocktails Il s agissait de donner une impression d crin tout
73. d lisation Afin d viter au candidat de s garer sur des pistes de peu d int r t le sujet pr sent sous forme de cas est souvent assez directif Les questions constituent alors comme autant de jalons signalant les points techniques qui ne peuvent tre lud s En revanche que le candidat fasse preuve d un peu de recul en remettant en perspective le contexte et ses contraintes comme en discutant les ventuels choix propos s dans le cas ne peut qu influencer favorablement le jury pour autant que cette discussion soit non seulement coh rente mais aussi respectueuse des r gles de l art 50 A ce tire s il est naturel que le candidat privil gie les formalismes paradigmes et m thodes les plus r pandus il se doit de conna tre au moins l existence et le nom d alternatives plus r centes Pour la question 3 de ce sujet l usage de BPMN Business Process Modelling Notation sans tre nullement exig aurait pu tre voqu Pour terminer le jury rappelle au candidat que sont valu es en sus de ses connaissances techniques ses comp tences p dagogiques Employer des termes techniques dans une telle discipline n est pas critiquable a la condition toutefois de se souvenir que des tudiants de BTS ne les connaissent pas n cessairement et que ces termes doivent pouvoir tre d finis simplement et en peu de temps en r ponse une question impromptue 51 ANNEXES Exemples de sujets d epreuves d admission
74. de la rigueur et de la conviction une attention port e aux membres du jury une capacit se d tacher des notes et des documents crits de la r activit et du recul dans les r ponses aux questions Les transparents lorsqu ils sont utilis s doivent tre a la fois utiles contenir des informations pertinentes et lisibles ne pas tre surcharg s s agit bien d un expos mettant de lavant une argumentation des exemples une coh rence une volont explicite de transmettre La forme de l expos contribue largement la clart du fond Les candidats doivent apprendre intervenir devant un public adulte sans perdre les moyens qui leur permettent habituellement d intervenir efficacement dans leur classe 43 Epreuve orale portant sur les techniques de gestion Option B comptabilit et de la gestion Sujets L preuve consiste en une tude compos e de deux parties ind pendantes que le candidat doit obligatoirement traiter Les sujets portaient cette ann e sur La d termination du p rim tre et la comptabilisation d ecritures de consolidation L laboration et le commentaire du tableau de flux de tr sorerie de l Ordre des Experts comptables La mise en uvre du co t cible et la d termination du prix de vente optimal compte tenu de coefficients d elasticite simple et d lasticit crois e Le choix d investissement en univers al atoire Le contr le interne et l enregistreme
75. directe via une institution financi re m me si cette dichotomie est plus floue aujourd hui Donner une d finition pr cise des institutions financi res x ce sont les unit s institutionnelles dont la fonction principale est de financer c a d de collecter transformer et r partir les moyens de paiements et ou g rer les produits financiers Prendre en compte les diff rentes formes que rev t cette notion les banques les OPCVM les investisseurs institutionnels voire les compagnies d assurance qui vont aller sur le 29 march apr s avoir collect l pargne les banques centrales les institutions financi res internationales FMI BRI _ D finir les PDEM dans le contexte financier international actuel De trop nombreux candidats ont n glig cette d finition des institutions financi res et ont de ce fait trait le sujet de mani re partielle Connaissances mobiliser Partant de ce double constat concept contexte le traitement du sujet devait aborder principalement les points suivants Les diff rentes fonctions que les institutions financi res remplissent au sein des PDEM le r le traditionnel des banques dans la fourniture des liquidit s et des moyens de paiements le r le des banques centrales dans la r gulation mon taire qui affecte notamment l volution conjoncturelle et structurelle des PDEM via la sant financi re de l conomie et via l investissement finance par
76. du de mani re cr dible aux questions du jury Le dernier candidat a fait une prestation int ressante mais n a trait que partiellement le sujet en commettant de plus quelques contresens Commentaires de la commission Le jury a pu constater qu au regard des sessions pr c dentes les connaissances des candidats sur les formalismes UML la conception et la programmation par objets s taient accrues Mais si l usage des diagrammes de cas d utilisation semble ma tris ce n est pas toujours le cas pour la mod lisation des processus En particulier les confusions sont fr quentes entre diagrammes de flux hors UML d activit ou d etats transitions pour ce qui concerne les processus De m me la distinction entre diagrammes de composants ou de d ploiement et dans ces derniers entre n uds et composants m riterait un peu plus de rigueur Quelques r miniscences de MERISE ou de formalismes plus anciens apparaissent ici et l sans tre proprement parler incorrect un tel m lange susceptible d introduire le doute dans l esprit des tudiants devrait tre maintenant vit Plus g n ralement et m me si le formalisme UML ou le mod le MVC sont tr s souples le candidat serait bien avis de se souvenir qu ils ont t con us pour favoriser de bonnes pratiques de d veloppement En cons quence un usage d tourn reprenant des pratiques plus anciennes est difficilement acceptable De m me le candidat devrait tout en
77. e lors du questionnement beaucoup de candidats avouent ne pas avoir eu le temps de faire telle analyse tel calcul ou de pr parer tel support Si un aspect du sujet n est pas familier au candidat ce dernier peut utiliser la biblioth que du jury Mais il faut faire attention ne pas consacrer trop de temps l exploitation de la documentation disposition en loge Ce doit tre une ressource compl mentaire mobilisable mais pas forc ment indispensable 48 Expose l doit tre quilibr et clair Par exemple certains sujets demandaient de faire un diagnostic rapide et certains candidats y ont consacr la majorit du temps d expose Les supports pr sent s doivent tre lisibles et utiliser des m thodes et techniques pertinentes avec le cas Ces choix doivent pouvoir tre justifi s au jury L expose fait appel des qualit s de synth se de clart et de communication 49 Epreuve portant sur les techniques de gestion Option D Informatique de gestion Sujet Le sujet est report en annexe l s agissait d un cas int ressant le service entretien d une grande ville baln aire et proposant le projet d une application de saisie mobile faisant usage de la technologie RFID en couplage avec la base de donn es d un intranet El ments statistiques Trois candidats ont t auditionn s Deux d entre eux ont fait preuve de bonnes connaissances techniques ont convenablement trait le sujet et ont r pon
78. e de Harvard Approche de la concurrence vue comme un processus La r glementation pouvait galement tre mise en relation avec les diff rentes structures de march rencontr es monopolistique en France le droit appr hende l existence de monopole tout bien ou activit qui vient constituer un monopole ou acquiert les qualit s de service public doit tre nationalis Aux Etats Unis la lutte contre les monopoles est tr s ancienne et proc de non de la nationalisation mais de leur d mant lement Sherman Act concurrence monopsonique le droit am nage des m canismes particuliers afin que l Etat organise les relations avec les offreurs appels d offres par lesquels il met en concurrence les offreurs Les relations entre les offreurs sont r glement es et les pratiques dites des offres de couverture sont sanctionnables L 210 1 du code de commerce et article 81 du trait de Rome March oligopolistique le droit illustre par des volutions r centes la lutte contre les changes d informations sans qu il y ait pourtant entente affaires des Palaces parisiens marquant un alignement du Conseil de la concurrence sur la position communautaire March de concurrence monopolistique les offreurs sont soumis une r glementation et sont susceptibles d tre sanctionnes au titre des ententes tant en droit interne qu en droit communautaire D autres aspects pouvaient tre abord s par la volont d
79. e de l nonc Les candidats doivent porter une attention particuli re la phase de justification de la probl matique D veloppement La compr hension du contexte particulier de l entreprise ou de l organisation du cas est d terminante Un simple rappel de la situation ne suffit pas Le jury attend une v ritable analyse fond e sur des outils et des connaissances th oriques bien pr cis Ainsi tout diagnostic doit s appuyer sur des elements conceptuels des grilles d analyse ou des m thodologies qui peuvent structurer la d monstration Nombreux sont les candidats qui proposent des solutions ou pr conisation trop g n rales Ce n est pas ce qu attend le jury Le candidat doit s engager dans ses propositions et les justifier Il pourra lors du questionnement revenir ventuellement sur celles ci s il le juge utile et pertinent Les questions du jury sont des opportunit s saisir l ne faut pas avoir une position trop d faitiste lorsque celles ci semblent montrer aux candidats que les choix faits n ont pas t suffisamment justifi s ou que les pr conisations sont relativement incoh rentes entre elles La ou les solutions retenue s selon le contexte du cas doivent se fonder aussi sur des r f rences marketing ma tris es et en phase avec l analyse et les choix op r s Les questions du jury cherchent aussi le v rifier Les pr conisations doivent correspondre au moins a la moiti du temps imparti pour l expos
80. e du service clairage Celui ci en d duit les interventions r aliser et les sorties de stock effectuer Le responsable affecte alors un agent de terrain l intervention en lui fournissant une fiche d intervention et une fiche de sortie de stock pour le magasin d quipement L agent de terrain effectue l intervention dont il a la charge et retourne au responsable le bilan de cette intervention Dysfonctionnements constat s La premi re difficult tient la lourdeur du processus les agents de terrains se plaignent du temps pass saisir les bilans d clairage car la saisie papier de chaque dysfonctionnement est longue De plus il faut tre s r d avoir bien localis le point d clairage d fectueux afin que l agent de terrain charg de l intervention ne se trompe pas de lieu de r paration 77 Enfin de nombreuses erreurs sont constatees des points d clairages restent d fectueux plus d une semaine et les riverains se plaignent des erreurs de sortie de stock du mat riel n cessaire l intervention surviennent r guli rement du fait d erreur dans l identification du point d clairage Afin d am liorer ce SI la d cision a t prise de lancer un projet de tra abilit des interventions de maintenance sur les clairages public gr ce la mise en uvre d une application pour terminaux mobiles et la pose de tags RFID sur les clairages public Une SSII dont vous faites partie a obtenu
81. e genre d epreuve il doit tre clair pour le candidat que chaque terme ou expression du sujet a pour le jury une signification pr cise qu il a tent de transcrire aussi fid lement que possible Le candidat serait donc bien inspir de ne pas se contenter d une impression globale de la question pos e et au contraire de commencer par lister puis de d finir ce qui dans l nonc constitue un point qu il devra traiter De m me le sujet sugg re souvent un plan type dont le jury pense tort ou raison qu il permet de traiter convenablement le sujet Le candidat est bien videmment libre de passer outre et de proposer une autre vision aux conditions toutefois qu il annonce en r ponse une probl matique claire qu il s y tienne effectivement que le r sultat soit raisonnablement quilibr et surtout que le plan choisi ne le conduise pas faire l impasse sur certains des points figurant dans le sujet Le corps du d veloppement n appelle qu un commentaire il s agit d une preuve de sp cialit et il est donc n cessaire que le candidat montre au jury qu il ma trise ce domaine l doit donc viter soigneusement quatre cueils trop fr quemment rencontr s s en tenir des g n ralit s qui ne seraient dignes que de la presse grand public se contenter d un catalogue de noms ou d acronymes sans autre pr cision d tailler exag r ment une solution technique en oubliant de prendre du rec
82. e la pens e doit tre claire et organis e Les concepts juridiques doivent tre utilis s avec rigueur La confusion l approximation le manque de clart traduisent des tournures d esprit peu acceptables a un tel concours Commentaires sur la forme Le concours 2009 montre que de nombreux candidats savent faire un plan en deux parties toutefois le d veloppement ne comporte qu un catalogue de notions non rattach es a la th se propos e La formulation des intitul s reste souvent nigmatique traduisant ainsi un contenu confus ou hors sujet 26 Par ailleurs il convient de noter nouveau les difficult s rencontr es par les candidats m me dans les meilleures copies pour construire l introduction dont les fonctions et correlativement le contenu ne semblent pas connues et ma tris es Cette carence majeure t moigne de la difficult des candidats d crypter ou pr ciser une probl matique la fixer dans un cadre rigoureux et y structurer logiquement et m thodiquement les d veloppements qu elle implique Un nombre significatif de copies ne comporte pas de probl matique labor e ce qui rend impossible par les correcteurs la reconstitution de la r flexion men e par le candidat faute de fil directeur et de transitions Enfin l expression reste souvent confuse et trop approximative voire de fa on marginale heureusement famili re La syntaxe est parfois mal ma tris e et l orthographe d faillante
83. e nouvelle organisation r pond aux insuffisances constat es du syst me existant 4 Compte tenu de ce contexte compl ter le diagramme de cas d utilisation voir Annexe 2 pour la partie concernant l application mobile Vous proposerez une description r sum e de chacun des cas d utilisation Reprise de l application existante La phase d analyse de la reprise de l application existante a t r alis e voir mod le du domaine en Annexe 3 Chaque jour le responsable d finit la tourn e affectation des agents aux zones v rifier Lors d un constat de dysfonctionnement d un point d clairage agent cr e une demande d intervention Cette intervention sera affect e un agent par le responsable apr s la synchronisation des terminaux mobiles Cette intervention peut tre affect e n importe quel agent Gr ce son terminal mobile agent peut conna tre la liste des interventions qui lui sont affect es interventions nouvelles ou en cours de traitement L intervention est li e un point d clairage dont on conna t le type des points lumineux lanternes le constituant Il peut ainsi en d duire la liste des mat riels n cessaires l intervention qu il doit sortir du magasin avant de se rendre sur les lieux Travail faire 5 Proposer un diagramme machine d tat ou diagramme tats transitions de la classe intervention 6 Proposer une description d taill e du cas d utilisation Affect
84. e peut avoir deux orientations majeures en fonction du choix de la direction g n rale une veille orient e vers la vigilance ou la surveillance active d un p rim tre d observation d fini a priori une veille orient e sur l veil des diff rents acteurs aux enjeux de l entreprise La premi re orientation se traduit dans les dispositifs d observation sociale Destin e pr venir les conflits la veille sociale s efforce de recenser et d interpr ter les signes de tensions au sein des entreprises Mais celles qui formalisent compl tement l exercice sont encore rares Franchet 2004 La deuxi me orientation s int gre dans une d marche d organisation strat gique de l entreprise Chalus Sauvannet 2002 De m me cette vigilance s exerce aussi bien l int rieur de l entreprise qu l ext rieur Un DRH doit tre capable de capter ces signaux faibles et pour cela il doit orienter et sensibiliser son quipe l coute active l environnement int rieur x tel un m decin qui ausculterait sans cesse Si Ansoff puis Lesca abordent avec force ce concept de signaux faibles c est qu une fois que ce signal devient fort il est d une certaine mani re trop tard Sous notre angle RH cela pourrait prendre la forme d une gr ve mais aussi du d part surprise d un cadre important ou plus simplement encore de services passifs de la faible motivation g n rale des acteurs de l entreprise de probl mes d
85. e recherche optimale de structure financi re se heurte de nombreux facteurs de contingences l en est ainsi du respect de certaines r gles pour acc der au march financier en mati re de taille de r sultats ou en termes de taux de rentabilit de parts de march et de mode de gouvernance Ces r gles peuvent tre v cues comme des contraintes mais peuvent aussi tre d tourn es en favorisant des comportements opportunistes Certains choix peuvent tre dict s par les cr anciers qui imposent des crit res en mati re de garantie de respect de r gles d orthodoxie financi re ou de certains ratios d endettement Ces r gles et principes induisent des pratiques standardis es et une d pendance vis vis des organismes financiers notamment pour les PME qui sont le plus souvent contraintes de financer leur croissance par autofinancement ou par emprunt bancaire Finalement le choix d une structure financi re appara t comme le fruit d un compromis entre le respect de contraintes impos es par le march financier et l environnement de l entreprise et les choix du dirigeant qui arbitre entre la rentabilit et le risque 16 Exploitation pedagogique l convenait de situer le choix d un mode financement dans le r f rentiel du BTS CGO Le sujet se rapportait principalement au processus n 6 relatif la gestion de la tr sorerie et du financement Dans cette partie p dagogique les objectifs recherch s ainsi que les comp
86. e rendre les march s contestables avec pour objectif de limiter les surprofits m me si les hypoth ses de concurrence pure et parfaite ne sont pas toutes respect es Le sujet amenait aussi naturellement une r flexion sur les limites de la r glementation r f rence aux approches du Public Choice par exemple et sur l ambig it de cette notion d r glementer pour r glementer autrement Plusieurs candidats ont fait r f rence au th or me de Coase mais cette r f rence n cessitait des pr cautions et des hypoth ses 38 Conseils aux candidats Avant toute chose il convient de rappeler que cette preuve exige une solide pr paration et un entra nement r gulier afin de g rer au mieux les 5 heures de pr paration l convient d viter toute pr cipitation due au fait que certains termes du sujet rappellent des l ments rencontr s ici ou l De m me le r flexe consistant avant toute r flexion chercher des r ponses dans la documentation disponible a pour risque principal de privil gier le th me que feront ressortir les documents consult s l est donc recommand de se donner le temps de mener une r flexion pr alable qui permettra de mieux orienter la recherche de filtrer les informations de les structurer et finalement d viter de pr senter un expos fait de morceaux assembl s sans lien entre eux Le jury attend des candidats que ceux ci construisent de v ritables raisonnements destin s d montrer et
87. e temps l est vrai que sagement elle reprend comment pourrait il en tre autrement les conclusions d analyses r centes mais elle y ajoute au moins une recommandation nouvelle propre d tourner de l essentiel ne s agit videmment pas de la suppression des fameuses marges arri re qu elle r clame aussi Sans que 71 personne ne s en emeuve on a vu au cours de ce mois deux des plus grands beneficiaires de la rente norme et scandaleuse que lesdites marges repr sentent en preconiser dans la presse l abolition imm diate Jacques Attali et son quipe prennent bien soin d assortir leur recommandation de suppression des marges arri re d une ferme invitation visant introduire enfin une authentique concurrence susceptible de briser l actuel oligopole Ce que l on entend critiquer ici est une autre suggestion particuli rement significative 15 veulent notamment permettre aux consommateurs de b n ficier de soldes toute l ann e Mais sait on que les soldes telles qu elles sont pratiqu es supposent un viol syst matique de la loi On fait croire l acheteur que celle ci exclut pour les objets sold s le service apr s vente et la possibilit de les rendre en cas de d faut manifeste La loi serait elle respect e que resterait l objection essentielle le commerce libre ne consiste pas pratiquer des prix de promotion toute l ann e 1 consiste assurer un approvisionnement r gulier a des prix corresp
88. els scolaires mais s appuyer sur des ouvrages et articles de fond permettant de prendre du recul par rapport au maniement des techniques pour ne pas tre d rout par des questions pos es par des esprits critiques De m me la connaissance des textes de base de la r glementation comptable et pas seulement des solutions pratiques auxquelles elle conduit est requise car elle permet au candidat d avoir une vision approfondie de la discipline Enfin un candidat l agr gation doit s efforcer de pr senter des connaissances actualis es et conna tre les principaux avis et r glements des organismes de normalisation Pour v rifier leur ma trise des techniques et am liorer la qualit de leur prestation les candidats doivent imp rativement s entra ner notamment en traitant les th mes propos s lors des derni res sessions Cet entra nement doit porter la fois sur la structure de l expos la r solution du cas la qualit de l expression et l utilisation des outils p dagogiques Aucun de ces aspects ne doit tre n glig 45 Epreuve portant sur les techniques de gestion Option C action et communication commerciales Sujets Quatre cas ont t propos s aux candidats lls couvraient des aspects g n raux et des l ments techniques du marketing Acarthage Activit champ th matique Produits de soins tunisiens Positionnement et plan de march age e Probl matique Commercialiser des produits naturels
89. endre ailleurs et de vendre des comp tences Comme le souligne la RRH il ny a pas de gestion de carri res dans UroBio mais simplement une adaptation par rapport aux besoins de l entreprise et aux ventuels d parts de salari s4 La GRH reste secondaire dans les pr occupations de la jeune biotech Le CSO r sume cette position Pour tre clair la GRH l entreprise en a besoin Mais ce n est qu un moyen Au risque de vous choquer dans cette notion on a celle d humanit mais il faut prendre en compte aussi le chacun pour sa gueule Quand on a restructur chacun naviguait pour soit Moi je n ai pas d tat d me a licencier C est la loi du march Je consid re que pour les jeunes dipl m s on les a form s et comme on a une bonne r putation de gens s rieux qui n ont pas trop depenses a leur donne une carte de visite Question Vous analyserez l volution de cette organisation de fa on multidimensionnelle strat gie structure RH Neuf salari s sont licenci s pour motif conomique la fin de l ann e 2002 D autres salari s sont positionn s un poste puis r int gr s dans leur poste initial cas de la RRH selon l urgence des besoins de la soci t 59 CONCOURS DE L AGREGATION INTERNE ECONOMIE ET GESTION x SESSION 2009 SECONDE PREUVE R SOLUTION DE PROBL MES COMPORTANT L UTILISATION DE TECHNIQUES DE GESTION Option B CONOMIE ET GESTIO
90. ents selon la saison A travers son ventail de parfums de cr mes glac es ou de sorbets la soci t souhaite montrer sa cr ativit qui l am ne proposer des glaces uniques Les produits sont appr ci s et la client le est fid le La soci t poss de cinq points de vente r partis sur le littoral languedocien Elle distribue aussi ses produits aux clients CHR Caf s H tels Restaurants sur le Languedoc Roussillon principalement des grossistes du sud de la France ainsi qu aux particuliers habitant proximit du site de production Pendant plus de cinquante ans la soci t se contente d un rayonnement local et le dirigeant limite volontairement le d veloppement de la soci t Le cr ateur manage son quipe de fa on paternaliste g re de fa on saine son entreprise qui dispose de moyens financiers relativement importants De ce fait l entreprise dispose d un appareil de production r cent et sophistiqu Les ventes sont irr guli res et l entreprise conna t des pics d activit en t et en fin d ann e L entreprise emploie une cinquantaine de personnes de fa on permanente et l encadrement se distingue par un savoir faire technique En 2008 la soci t est reprise par Jean Pierre Robert qui est convaincu du potentiel de la soci t et qui d sire revoir la strat gie de la soci t Aux D lices Glac s Directeur commercial d un grand groupe alimentaire pendant plus de quinze ans il conna t les rouag
91. er intervention 7 Repr senter un diagramme de classe de conception de type MVC correspondant la r alisation de cas d utilisation ce diagramme sera ind pendant du langage de programmation et du framework cible 8 Pour le cas d utilisation Consulter tableau de bord suivi interventions r aliser la requ te SQL qui permet de calculer sur les 6 derniers mois glissants un taux d intervention par type de points lumineux en part relative du parc install 80 ANNEXE 1 Exemples de type de point d clairage MAT ROQUEBRUNE LANTERNE TEMPORE M t acier peint couleur RAL 650 sable Hauteur 3 50 Metres b z La saisie des informations doit pouvoir se faire 33 fois c t voirie que c t promenade pi tonne _L appareillage lectronique se trouve dans l embase de la lanterne Mat en aluminium de couleur grise Hauteur 6 m tres La saisie des informations doit pouvoir se faire partir du parking hauteur d homme L appareillage ferromagnetique de la lanterne se trouve du c t de la fixation sur le m t 81 ENCASTRE DE SOL TERRA Projecteur encastr dans le sol avec une ossature en fonte d aluminium Le projecteur est plac dans un coffrage perdu en carton et b tonn autour La saisie des informations doit pouvoir se faire une distance minimale de 60 cm Il ne sera pas obligatoire d tre la verticale du projecteur pour Lire cri
92. ers marchands de glaces ambulants et des progr s notables sont faits en mati re de A bd 8 conservation ap de Les Am ricains ouvrent la premi re usine en 1851 LL Fer Sa on ou RES En 1862 lors de l exposition universelle de Londres l ing nieur fran ais Ferdinand Carr pr sente une machine permettant de fabriquer en continu des cubes de glace 200 kg heure Quelques ann es plus tard Charles Tellier invente la premi re armoire conservatrice En 1904 lors de l exposition universelle de Saint Louis aux Etats Unis apparaissent les premiers cornets Vingt ans plus tard les b tonnets invent s par l am ricain Christian Nelson d barquent en France En 1929 l am ricain Clarence Birdseye met au point le principe de la surgelation COLD refreshing ICE CREAM Annexe 2 Quelques informations sur la r glementation D apr s la f d ration des producteurs de cr mes glac es 1 R glementation applicable aux glaces La r glementation g n rale des produits s applique tant en terme d tiquetage que d hygi ne et de s curit Le Code de la consommation par ses articles R 112 1 et suivants pr cise les points auxquels doivent se conformer les denr es alimentaires pour assurer une bonne information du consommateur Le r glement CE n 178 2002 tablit les principes g n raux et les prescriptions g n rales de la l gislation alimentaire institue l Autorit europ enne de s curit des aliments et fixe
93. es cas d utilisation Encoder Tag Permet au secr tariat d affecter l identifiant RFID au tag Synchroniser terminaux mobiles Permet au responsable de synchroniser les terminaux mobiles des agents suite aux tourn es et apr s les mises jour G rer tourn es Permet au responsable d affecter les agents de terrain aux zones v rifier Suivre interventions Permet au responsable de suivre l tat d avancement des interventions de leur cr ation par un agent de terrain leur cl ture On pourra voir les interventions cl tur es de moins d un mois Pour les interventions ouvertes et non affect es le responsable pourra s il le souhaite les affecter un agent Affecter intervention Permet au responsable d acc der directement la liste des interventions ouvertes affect es et de les affecter un agent Consulter tableau de bord suivi interventions Permet au responsable de consulter chaque mois le nombre d interventions prises en charge par agent le nombre d interventions par zone et par mois nombre d interventions par type d clairage la dur e moyenne en nombre de jours de r solution d intervention la dur e moyenne de r solution d intervention par agent le d tail des interventions prises en charge par un agent le d tail des interventions non r solues 85 Modele du domaine ANNEXE 3 p un pun s simny 0
94. es du r f rencement en grande distribution et peut s appuyer sur les contacts qu il a nou s ainsi il compte faire appel un sp cialiste de la logistique et du transport r frig r l a convaincu quatre membres de son ancienne quipe de le rejoindre dans son aventure et a d j restructur la gamme en trois p les p le traditionnel et classique vanille chocolat le p le d couverte de la region lavande le p le moderne Toblerone M8 M s6 D sirant d velopper son entreprise Jean Pierre Robert h site entre plusieurs optiques strat giques soit cr er une franchise de distribution 5 commercialiser les produits par l interm diaire d un site marchand soit r f rencer les produits en grande distribution Apr s un rapide diagnostic de la situation Jean Pierre Robert vous demande de l aider pr ciser les diff rentes strat gies que peut envisager la soci t en mettant en exergue les avantages et les risques de chacune et de d gager celle qui serait la plus pertinente pour la soci t 66 Annexe 1 Historique sur les glaces D apr s la f d ration des producteurs de cr mes glac es Tout commence en Chine et en Arabie Les premiers entremets glac s ont en effet t invent s par les Chinois et les Arabes il y a plus de 2000 ans Pr curseurs les Khalifes de Bagdad buvaient des sirops refroidis avec de la neige Cette d
95. ette soci t est la filiale d un groupe anglais qui tablit les comptes consolid s en appliquant les normes IFRS 61 Les retraitements suivants ont t effectu s La provision pour indemnit de fin de carri re a t comptabilis e dans le jeu de comptes en IFRS L incidence sur les comptes est la suivante o Montant de la provision au 31 12 N 500 o Montant de la provision au 31 12 N 1 450 Un contrat de cr dit bail a t retrait ce qui a g n r un cart dans les capitaux propres de o R serves au 31 12 N 1 300 o R sultat de l ann e N 50 Le r sultat fiscal de la soci t de n goce de c r ales pour l ann e N est le suivant R sultat comptable 1 560 Charges non d ductibles 80 Imp t sur les b n fices 1 000 Provisions non d ductibles sur N Organic 80 Participation des salari s 400 Provisions non d ductibles en N 1 Organic 70 Dividendes de filiales r gime m re filles 7 5 D ficit imput 100 R sultat fiscal 2 942 5 Taux d imp t sur les soci t s 34 Imp t sur les b n fices exigible 1 000 Questions a Recensez les bases d imp ts diff r s b D terminez les imp ts diff r s actifs et passifs c Contr lez le rattachement des charges et des produits Preuve d imp t 62 Deuxieme partie Cas presse diffusion Presse diffusion est une entreprise qui a pour objet l achat en gros d abonnements a des
96. eux fonder les analyses et les propositions 42 Si les outils d analyse et de gestion gestion du temps tableau de bord budget doivent tre connus il importe d avoir men une r flexion sur leurs conditions de mise en place pour tre pleinement efficaces En outre les relations entre les technologies de l information et de la communication et l organisation doivent tre clarifi es en vitant toute vision d terministe ou instrumentale de leur interaction L impact de l volution de ces technologies sur les m thodes de travail administratif est notamment approfondir Enfin la pr paration ne peut absolument pas se fonder uniquement sur les manuels scolaires elle doit s appuyer d abord et avant tout sur des ouvrages acad miques et des revues sp cialis es propres approfondir les connaissances th oriques et la pratique des entreprises au del des exigences des programmes de formation des classes dans lesquelles les candidats enseignent S informer sur les pratiques d entreprises ou d organisations La connaissance de la r alit de leur structuration de leur fonctionnement et de leurs contraintes permet de mieux fonder les analyses et propositions d actions demand es Les nouveaux programmes de formation demandent une connaissance de plus en plus pr cise de la r alit des entreprises et des organisations et les exigences en ce domaine s accentuent Il est important que les candidats en prennent la mesure
97. flexion de compr hension des outils et des techniques utilis s l ments bibliographiques Ouvrages de fond de niveaux master et DSCG relatifs aux diff rents champs de la gestion comptable et financi re comptabilit financi re fiscalit comptabilit et contr le de gestion finance d entreprise et finance de march math matiques appliqu es la gestion Revues de recherche telles que Comptabilit Contr le Audit de l Association Francophone de Comptabilit AFC Finance Contr le Strat gie La Revue Fran aise de Gestion G rer et Comprendre Revues caract re plus professionnel La Revue Fran aise de Comptabilit La Revue Fiduciaire Comptable La Revue du Financier Option Finance changes de l Association des Directeurs financiers et des Contr leurs de gestion ADFCG 17 Option C Economie et gestion commerciale Sujet Gestion de la relation client et strat gie de prix Dans un premier temps vous traiterez ce th me sous la forme d une dissertation en mobilisant les r f rences th oriques ad quates Dans un second temps vous procederez l exploitation p dagogique de ce th me en vous pla ant dans une section de techniciens sup rieurs commerciale de votre choix A cet effet vous proposerez une s ance de travaux dirig s consacr e la pr sentation du prix dans le cadre d une n gociation commerciale Vous en pr ci
98. h ories et applications Ed d Organisation ABRIC J C Psychologie de la communication A Colin FISCHER G N La psychologie sociale Points Seuil D ANZIEU ET J Y MARTIN La dynamique des groupes restreints PUF MATTELART A ET M Histoire des th ories de la communication Rep res La D couverte WINKIN Y Anthropologie de la communication Essais Points A MUCCHIELLI La nouvelle communication A Colin D introduction aux sciences de l information et de la communication Ed d Organisation MUCCHIELLI A Les sciences de l information et de la communication Hachette MUCCHIELLI A La communication interne A Colin DUTERME C DE BOECK La communication interne dans l entreprise Universite T LIBAERT La communication de l entreprise Gestion Poche Economica P D HUMIERES Management de la communication d entreprise Eyrolles DETRIE P Conduire une d marche qualit Ed D organisation AKOKA A Conception de bases de donn es relationnelles Vuibert ALIM F L entreprise Intranet Eyrolles J L PEAUCELLE Informatique Vuibert REIX R Syst mes d information et management des organisations Vuibert Harward Business Review Ed d Organisation Tome 1 les syst mes de mesure de la performance le leadership les opportunit s de croissance le knowledge management Tome 2 la cha ne de valeur les strat gies de l incertain le changement le management des hommes 14 Option B conomie et gestion co
99. i suppose que les candidats aient des connaissances solides sur les pratiques des organisations publiques ou priv es auxquelles ils doivent se r f rer pour faire des propositions r alistes donc cr dibles Les visites ou les stages en entreprise contribuent parfaire la connaissance du milieu professionnel L entretien L entretien qui suit l expos a pour fonction de faire clarifier ou expliciter par le candidat certains aspects de l argumentation qu il a d velopp e et du raisonnement qu il a conduit Des d finitions de notions fondamentales exemples indicateur tableau de bord emploi carri re comp tence ou des lucidations th oriques sont alors demand es Le jury fait galement souvent r f rence l actualit et aux pratiques d entreprise Le candidat doit donc se pr parer faire la synth se de donn es parfois contradictoires et prendre parti Les candidats performants d montrent leur qualit d coute en vitant le contournement des questions ou les r ponses c t et en ne coupant pas la parole au jury Lorsque les questions portent sur l approche p dagogique il s agit d tre en mesure de proposer une transposition de tout ou partie du cas souvent il faut en pr voir la simplification dans un enseignement relevant du champ de l organisation de la communication de la GRH ou de la m thodologie de conduite de projet ou atelier professionnel Cela exige donc d une part une bonne connaissa
100. ice des clairages 2 Pr senter un diagramme de d ploiement de l infrastructure technique mettant en vidence les n uds et les composants h berg s du syst me futur Analyse fonctionnelle du syst me futur 1 Tag des points d clairage Chaque tag tiquette RFID est pr encod par le secr tariat juste avec un identifiant RFID puis confi aux agents de terrain pour tre coll sur le point d clairage l aide du terminal mobile l agent de terrain scanne le tag RFID puis proc de louverture d une fiche pour ce point d clairage et la mise jour des informations propres a ce point d clairage et aux points lumineux correspondants 2 Tourn es d inspection L utilisation d un terminal mobile doit permettre de r duire le temps n cessaire l inspection d une zone de point d clairage L agent charg de l inspection de la zone dispose de la liste des points d eclairages inspecter ainsi que de leur localisation Il passe en voiture devant chacun des points et s il constate un dysfonctionnement scanne le tag de ce point d clairage et le d clare en tat de demande d intervention 3 Suivi des interventions Tous les matins le responsable constate le r sultat des tourn es effectue les mises jour suite la synchronisation du terminal mobile et affecte les interventions r aliser un agent de terrain L agent de terrain suite la synchronisation de son terminal mobile en
101. iller l app tit des Fran ais pour les glaces C est un circuit de distribution alternatif souligne Christian Millet secr taire g n ral de la SFIG Syndicat des Fabricants et Industriels de Glaces l progresse fortement car il offre aux consommateurs la praticit de la livraison domicile et la garantie de qualit avec le respect de la cha ne du froid Avec ses 367 millions d euros de chiffre d affaires le groupe Toupargel Agrigel domine ce circuit de distribution Le march est dynamique et les fabricants proposent r guli rement des nouveaut s Le parfum cr mes br lees de La Laiti re la gamme Folies de Carte d Or ou Le Craquant de Nestl investissent ce segment qui a fait et continue d assurer la fortune d H agen Dazs Au milieu de ces d veloppements marketing nombreux 9 des produits en vente en 2007 n existaient pas il y a deux ans lanc s grand renfort de publicit s les PME essaient de tirer leur pingle du jeu en misant sur des produits de niche Annexe 4 L alimentaire met l authenticit au go t du jour D apr s Les Echos du 24 04 07 Dans les rayons agroalimentaires des grandes surfaces fleurit une nouvelle g n ration de packagings Leur forme n a rien de r volutionnaire mais ce qu ils racontent marque une volution dans le discours des industriels Le message destin au consommateur est le suivant nous nous rapprochons du fait maison tout en r alisant des efforts pour vendre des prod
102. ion des objectifs organisationnels en voquant des flux de documents ou workflow la probl matique de l archivage et de la GED les collaborations internes ou inter entreprises les liens institutionnels et l e administration le commerce Ceci se traduisant par des enjeux clairs productivit rapidit flexibilit et time to market qualite Le candidat ne pouvait pas manquer non plus la notion de conformit et le respect des contraintes l gales droit de la preuve et r glementaires tra abilit Ce qui devait le mener naturellement aux acteurs de cette d mat rialisation fournisseurs de plateformes tiers de confiance d archivage notarisation 22 Le plan technique objet de la seconde partie suggeree tait tout aussi riche et surtout d une maturit suffisante pour tre largement connu L ED et ses d clinaisons Web XML ebXML web services les outils de GED dont ceux de num risation et d OCR ou de workflow les formulaires informatis s la signature num rique et plus g n ralement la cryptographie Ces m mes outils fournissaient enfin condition d tre raisonnablement choisis et convenablement sc naris s des th mes de s quence p dagogique faciles proposer Comme indiqu le sujet tait con u de sorte qu il ne puisse y avoir d chec complet et aucun n a d tre d plor L anciennete tant des techniques que des pratiques de d mat rialisation permettait m me d e
103. ions d ordre p dagogique et didactique en liaison avec le th me tudi AVERTISSEMENT Si le texte du sujet de ses questions ou de ses annexes vous conduit formuler une ou plusieurs hypoth ses il vous est demand de la ou de les mentionner explicitement lors de votre expos 76 Presentation du contexte Afin d ameliorer la qualite de service rendu a ses concitoyens le service des clairages publics d une ville baln aire a d cid de mettre en uvre un syst me de tra abilit des historiques de maintenance des clairages publics Ce syst me permettra d am liorer la rapidit de d tection et de r paration des points d eclairages d fectueux Pour cela l ensemble des points d eclairages de la ville sera quip d tiquettes ou tags RFID Et les agents de terrain auront leur disposition quatre terminaux mobiles leur permettant de g rer les dysfonctionnements et saisir les interventions r alis es L quipement d une premi re zone la zone casino servira de projet pilote La zone casino comporte 147 points lumineux divers et vari s r partis de la fa on suivante voir Annexe 1 110 m ts ROQUEBRUNE hauteur 3 5 m RAL brun 650 quip s d une lanterne TEMPORE avec self lectronique 1 mat alu hauteur 6 m quip d une lanterne MARBELLA avec self ferromagn tique 1 m t acier galvanis hauteur 4 m quip d une boule avec self ferromagnetique 12
104. la qualit de leur expos Et d autres candidats ont renforc l impression que les membres du jury ont pu avoir au cours de l expos ils ne ma trisent en r alit que tr s imparfaitement les arguments de leur propre d veloppement ils m connaissent des notions ou m canismes conomiques l mentaires ou des concepts juridiques basiques les th ories sont parfois convoqu es sans en pr ciser le champ d investigation sans nuance par rapport leurs hypoth ses en y appliquant le vocabulaire courant et en en m connaissant les outils Enfin toutes choses gales par ailleurs mieux vaut avouer ne pas conna tre la r ponse la question pos e plut t que d affirmer quelque chose de faux 37 Analyse d un sujet propos Le sujet structure de march et r glementation n cessitait de d finir les notions de march au niveau macro conomique par exemple en distinguant le march des biens et services le march du travail et le march de la monnaie au niveau juridique avec la r f rence au march pertinent ou de r f rence la notion de structure de march la typologie de Stackelberg pouvait tre une entr e possible condition d en conna tre l utilit en termes de pouvoir de march notamment et celle de r glementation ensemble de suj tions juridiques ou non guidant et orientant les relations entre les sujets de droit L identification des diff rentes sources de r glementation devait tre assur e
105. la r elle et donc du prix exig du consommateur le prix de seuil en g n ral tr s sup rieur au vrai prix de revient du distributeur plus la marge officielle dite marge avant L origine de cette rente extraordinaire est d sormais connue sur la place publique Cette rente s analyse comme un pr l vement priv sur le pouvoir d achat du consommateur Il est vrai qu elle est suppos e avoir pour contrepartie certains services sp cifiques emplacement en t te de gondole etc rendus par de distributeur La Cour de cassation qualifie d exorbitant depuis 1990 l avantage que ce dernier retire de cette pratique Le consommateur a ainsi financ l expansion du groupe Carrefour sur les cinq continents Vive le champion national Me Hugues Vallette Viallard avocat d affaires sp cialis dans ce secteur parle de la formidable pression que l oligopole continue d exercer sur les industriels pour obtenir des prix d achats extr mement bas Du fait du nombre tr s restreint de distributeurs cinq le double en Allemagne chaque fournisseur risquerait de perdre entre 15 et 25 de son chiffre d affaires s il s avisait poursuivre en justice un des puissants acheteurs Le droit n a pas encore eu raison d un rapport de force aussi disproportionn S en tirent les fabricants des grandes marques indirectement le syst me leur permet de contr ler le prix au consommateur mais aussi terminons sur cette note optimiste les
106. le cr dit le r le des institutions de contr le sur les march s et le r le des institutions financi res internationales dans la pr vention et la r sorption des crises le r le de pr teur en dernier ressort des banques centrales et ne pas s arr ter a la crise bancaire actuelle Le contexte institutionnel actuel loi bancaire de 1984 en France l augmentation du poids des march s financiers dans le financement des activit s financement qui entre en concurrence ou intervient en compl ment des banques crise bancaire actuelle et les d bats sur le renforcement de la r glementation des institutions financi res L importance de la globalisation financi re pour les PDEM augmentation de la mobilit internationale des capitaux importance des comportements sp culatifs Probl matisation et traitement du sujet l n existe pas une seule mani re d aborder le sujet au vu des elements de th orie et des faits conomiques mobilis s Le jury sugg re ici une proposition d organisation des id es La probl matique g n rale pouvait tre Au vu de Tinternationalisation des flux financiers du d veloppement et de l int gration des march s des capitaux pour les PDEM les institutions financi res ne doivent elles pas faire voluer leurs r les traditionnels voire en d velopper de nouveaux Sans exclusive le plan suivre pour traiter cette probl matique pouvait tre le suivant
107. le march de ce projet P rim tre du projet Phase 1 du projet projet pilote zone casino date de d but septembre 2008 date de livraison avril 2009 elle comprend L analyse voir chapitre Analyse fonctionnelle la conception les tests et la mise en exploitation de l application pour terminaux mobiles des agents de terrain Pour cette phase pilote vous disposerez d un terminal mobile avec t te RFID UHF de type NordiclD PL3000 Sur ce terminal l application cliente sera d velopp e en en utilisant le Compact Framework version all g e du Framework Net ainsi que SQL CE version all g e de SQL Server pour la base de donn es mobile Les noms des champs de la base de donn es mobile devront tre coh rents avec ceux de la base existante Vous disposerez galement de 147 tags RFID UHF durcis IP67 de type Deister UDC160 La conception de la base de donn es de l application mobile pourra avoir des r percussions sur la base actuelle de l application Il conviendra donc de mettre en coh rence celles ci mise en uvre et test d une proc dure de synchronisation de la base de donn es mobile SQL CE avec la base de donn es de l application existante reprise de l application existante de gestion des interventions Le service informatique se trouve dans une phase d industrialisation de ses processus de d veloppement Il a t d cid depuis cette ann e que toute nouvelle application en PHP
108. le parfois tr s construite et approfondie On regrette alors le manque de connaissances th oriques et on encourage ces candidats poursuivre leurs efforts de pr paration Les attentes du jury L introduction pouvait comporter 1 une accroche personnelle pr cisant l int r t du theme et son actualit Exemple Evocation de l environnement concurrentiel et de la forte volution technologique qui impose aux organisations de r agir en temps r el pour s imposer face aux concurrents plus flexibles La veille informationnelle propose des m thodes des outils des proc dures et des formes d organisation qui permettent aux organisations partir de signaux faibles d identifier et de traiter les opportunit s et les risques notamment dans le domaine de la GRH La veille informationnelle peut tre mise au service des diff rentes politiques de GRH la politique d emploi des RH la politique de r mun ration politique de valorisation des RH la politique de participation 2 une d finition des notions composant le libell du sujet permettant par la suite de rester au c ur du theme et d viter les digressions ou le hors sujet La veille strat gique d signe le processus informationnel par lequel l entreprise se met anticipative des signaux faibles de son environnement dans le but cr atif d ouvrir des fen tres d opportunit s et de r duire son incertitude Lesca 1994 Processus continu
109. le sujet mobiliser les travaux concernant la mercatique transactionnelle afin de montrer l mergence de nouvelles strat gies de prix diff renci s selon l espace le temps les situations d achat et les clients On pouvait galement imaginer des r flexions autour des strat gies de conqu te et de fid lisation ayant la strat gie de prix comme levier Un pr ambule sur la notion d elasticite du prix ainsi que sur la place du prix dans les crit res d achat ou encore sur la perception du prix par l acheteur pouvait para tre pertinent voire n cessaire Notons galement qu un vrai travail sur le contexte entourant ce sujet aurait t int ressant mener l est en effet d solant de lire que l on ne s int resse la strat gie de prix qu en situation de crise De nombreuses copies oublient de poser une probl matique le plan comme le d veloppement qui le suit deviennent alors peu compr hensibles M me en modifiant l ordre des termes du sujet une fois 18 a l endroit une fois a envers en guise de plan le r sultat reste peu satisfaisant L absence de r flexion personnelle sur le sujet est alors vidente L introduction n est pas un simple exercice de style Les sujets d agr gation sont de vrais sujets de r flexion qui doivent conduire le candidat une analyse personnelle afin de bien d celer le ou les liens qui peuvent exister entre les termes du sujet Par ailleurs cest bien une d monstration
110. les mises en situation permettront de r ussir et de faire face parfois des p riodes de d couragement devant l ampleur de la t che Bibliographie indicative Les ditions les plus r centes des ouvrages couvrant le programme du concours dans les collections suivantes sont recommand es Terr Introduction g n rale au droit pr cis Dalloz Terr D Fenouillet droit civil Pr cis Dalloz Terr Y Lequette Ph Silmer droit des obligations pr cis Dalloz Carbonnier Droit civil les biens PUF Th mis J Mestre et M E Pancrazi droit commercial LGDJ Cozian A Viandier F Deboissy droit des soci t s Litec Merle soci t s commerciales Pr cis Dalloz Gavalda G Parleani droit des affaires de l Union Europ enne Litec Delebecque A Jacquet droit du commerce international Dalloz Cozian pr cis de fiscalit des entreprises Litec P Serlooten droit fiscal des affaires Dalloz GA Supiot J P lissier Jeammaud droit du travail pr cis Dalloz Ray droit du travail droit vivant d Liaisons Calais Auloy F Steinmetz droit de la consommation pr cis Dalloz 28 Composition portant sur l conomie g n rale Sujet Quels r les pour les institutions financi res aujourd hui l ments statistiques Concours interne CAER Nombre d inscrits 737 139 Nom
111. livre de poche par exemple La lecture de revues juridiques telles que le recueil Dalloz le JCP les petites affiches liaisons sociales est fortement conseill e elle permet de se familiariser avec le vocabulaire juridique de r fl chir sur les concepts juridiques et d appr hender les questions que se posent les professionnels du droit Le jury conseille galement aux candidats d adopter une attitude de veille juridique permanente des r formes entreprises en droit des affaires Car si les fondamentaux du droit et leur logique restent p rennes tout une partie du droit est en volution et plus particuli rement en ce qui concerne le droit de l entreprise posant des questions et ouvrant des d bats destin s en appr hender les enjeux Trop de copies montrent que les candidats ne suivent pas cette actualit juridique et ne per oivent pas le sens de l volution de la r gle de droit 27 La pr paration au concours de l agr gation demande du temps et des sacrifices personnels mais elle apporte beaucoup dans l exercice du m tier d enseignant meilleure ma trise des concepts et donc meilleure assurance face aux l ves tudiants passerelles avec d autres champs disciplinaires r flexion plus rigoureuse Le jury conseille aux candidats de s inscrire aux pr parations organis es dans les acad mies L int gration dans un groupe de travail l organisation d un plan de travail la rencontre avec les formateurs et
112. lles sont avant tout appr ci es au cours de l expos clart et intelligibilit du propos coh rence et structuration du raisonnement fluidit et dynamisme du discours utilisation des concepts dans des acceptions exactes etc De mani re g n rale les candidats ne doivent pas h siter regarder le jury rechercher l interaction indispensable toute bonne communication orale Conseils aux futurs candidats Le champ de l preuve est relativement tendu il touche la communication l organisation la GRH et leur lien avec la strat gie d entreprise l prend un appui non n gligeable sur les th ories et les pratiques de management La r ussite suppose une pr paration planifi e et implique le respect de quelques recommandations Bien cerner la probl matique l convient pour chacun des cas de d gager une probl matique propre la situation d crite et non d appliquer une trame pr alablement pens e concernant un theme g n ral pr par l avance La pertinence de la probl matique conditionne la suite de l expos Sa formulation permet au jury de v rifier l appropriation des donn es du cas par le candidat S approprier les fondements th oriques formules dans le programme Outre la connaissance des th ories des organisations de la communication et de l information la ma trise des textes de base en mati re de gestion du personnel des emplois et des relations sociales est requise car elle permet de mi
113. maines Personnel Les Cahiers Fran ais L Expansion Management Review Probl mes conomiques num ros consacr s Revue Economie et mangement CNDP l entreprise Ouvrages BENCHEMAM F GALINDO G Gestion des ressources Humaines Gualino diteur 2006 CADIN L GUERIN F PIGEYRE F Gestion des Ressources Humaines Pratiques et l ments de th orie Dunod 2004 CITEAU J P Gestion des Ressources Humaines principes g n raux et cas pratiques Armand Colin 2002 LOUART P Gestion des ressources humaines Pearson Education 2006 PERETTI J M Ressources Humaines et gestion des personnes Vuibert 2005 13 BERIOT Manager par l approche syst mique Eyrolles ed d Organisation2008 BOYER L 50 ans de Management des organisations Editions d Organisation Nota bene2005 CROZIER M Friedberg F 1977 et le Syst me Seuil LIVIAN Y F Organisations Th ories et pratiques Dunod 2 dition 2001 MINTZBERG H Structure et Dynamique des Organisations Editions d Organisation 1982 MINTZBERG H Le management Voyage au centre des organisations Editions d organisation 1990 ROVOT J Th orie des organisations Eska 2003 THEVENET ET BOURION 2006 le management de proximit une question d apprentissage motionnel Eska PLANE J M Management des organisations Dunod CORIAT B O WEINSTEIN Les nouvelles th ories de l entreprise Le Livre de Poche BOYER L N EQUILBEY Organisation T
114. mission d mat rialis e des documents Ensuite dans le cadre d une classe de techniciens sup rieurs Informatique de gestion vous proposerez une s quence p dagogique portant sur un ou plusieurs aspects technologiques en liaison avec ce sujet Vous justifierez vos choix Tous les termes techniques employ s devront tre pr cis s convenablement l ments statistiques Concours interne CAER Nombre d inscrits 59 11 Nombre de copies corrig es 29 7 7 4 7 5 Ecart type 2 83 2 38 Notes 5 6 2 5 lt Notes lt 8 10 1 8 lt Notes lt 10 7 3 10 lt Notes lt 12 4 1 12 lt Notes lt 15 2 0 Notes x 15 0 0 Notes la plus basse 3 4 Note la plus lev e 14 5 10 36 copies ont t corrig es aucune n tait blanche et toutes contenaient au moins un d but d argumentaire Certaines toutefois trahissaient des connaissances manifestement superficielles et surtout sans r el rapport avec le sujet Seules sept copies ont m rit plus que la moyenne dont deux ont favorablement impressionn les correcteurs Commentaires de la commission Le plan tait fortement sugg r dans le sujet lui m me comme TFetaient les th mes aborder l semblait ainsi naturel que la probl matique s appuie sur un aper u de la richesse documentaire des organisations en interne comme dans leurs changes Cette probl matique devait se retrouver dans la descript
115. mptable et financi re Sujet La mani re dont une entreprise se finance constitue une question centrale autant dans la vie de l entreprise qu en th orie financi re l vous est demand dans un premier temps de mener sous forme d une dissertation une r flexion sur la politique de financement de l entreprise et ses incidences comptables et financi res Dans un deuxi me temps vous transposerez votre r flexion th orique dans une d marche didactique A cet effet vous proposerez le contenu d une exploitation p dagogique dans une classe de techniciens sup rieurs comptabilit et gestion des organisations Vous aurez soin de justifier vos choix d expliciter vos objectifs les comp tences mises en uvre et d exposer clairement votre d marche l ments statistiques Concours interne CAER Nombre d inscrits 281 38 Nombre de copies corrig es 158 25 Moyenne 6 9 7 62 Ecart type 3 36 2 94 Notes 5 48 4 5 lt Notes lt 8 52 10 8 lt Notes lt 10 24 5 10 lt Notes lt 12 19 3 12 lt Notes lt 15 14 2 Notes x 15 1 1 Note la plus basse 0 5 2 5 Notes la plus elevee 15 5 15 5 Commentaires de la commission Le sujet de la session 2009 proposait une r flexion sur la politique de financement de l entreprise tait demand au candidat d analyser les choix auxquels l entreprise se trouve confront e pour se procurer les ressources financi res n
116. n e plus qu avant les th ories essentielles apparaissent connues et que les faits conomiques r cents sont g n ralement mentionn s Toutefois il subsiste un manque g n ral de connaissance des th ories conomiques r centes Commentaires relatifs la forme La forme retenue pour r pondre la question pos e ne peut tre d tach e du fond En particulier le plan adopt dans la copie qui doit tre clairement pr sent en faisant appara tre un titre r sumant bri vement l id e essentielle de chaque partie et sous partie doit aider le candidat appr cier sa r ponse la question pos e Cette ann e encore le jury d plore l existence de copies r dig es sans plan ou simplement avec une apparence de plan qui n est pas respect par la suite 31 Les termes du sujet doivent tre d finis a l inverse le z le ne doit pas tre pouss jusqu la d finition des articles et de la ponctuation L omission de cette tape ob re quelquefois assez lourdement la suite de l expos car les termes du sujet sont alors utilis s mauvais escient sans qu aucune probl matique n ait t d gag e La probl matique doit appara tre de mani re naturelle dans l introduction et le candidat doit y r pondre en pr sentant une proposition de plan Elle doit tre pr sent e apr s que le candidat a d gag l int r t du sujet pos tant sur le plan de l histoire des faits ou des id es conomiques qu
117. n adapt e qui ne soit pas exag r ment analytique Dans le sujet intitul fiscalit et choix conomiques par exemple certains candidats ont d fini s par ment les termes choix et conomique alors que l expression pertinente tait celle de choix conomiques La m me erreur a t constat e dans le sujet intitul structure de march et r glementation pour lequel une d finition s par e des termes structure et march n apporte rien la compr hension du sujet Observations sur la forme Dans la grande majorit des cas les candidats ont sur ce point montr d indeniables qualit s Des d finitions des termes du sujet sont propos es une d limitation assortie de justifications est pr sent e Et enfin un plan est annonc et g n ralement respect La structuration d un expos doit comporter trois moments une introduction le d veloppement et une conclusion L introduction qui est d une importance strat gique doit tre compos e e d une accroche qui sait montrer l int r t et Pactualite du sujet et le contextualiser e de la pr sentation du sujet avec non seulement la d finition acad mique des termes cl s du sujet mais aussi et surtout la sp cification de son principal enjeu soulignons ici que pour la d finition des termes du sujet le recours aux dictionnaires usuels de la langue fran aise est insuffisant et qu il faut n cessairement se r f
118. nce des r f rentiels et d autre part une r flexion sur la relation savoir savant savoir enseign 41 L preuve orale est bien naturellement une tape qui g n re un grand stress chez de nombreux candidats Pourtant le jury tient leur rappeler que les sujets propos s ont pour unique finalit de leur permettre de pr senter leurs connaissances certains ont pass avec succ s les preuves crites plusieurs reprises de mettre en uvre leurs qualit s d analyse leurs comp tences p dagogiques et leur exp rience d enseignant G rer le stress des oraux fait partie int grante de la pr paration pour tre plus serein le jour des preuves et mettre en valeur savoirs et savoir faire Observations sur la forme Structuration des expos s Les expos s sont dans l ensemble bien construits pr sence d une introduction avec formulation dune probl matique et d une annonce de plan deux parties le plus souvent bien articul es une conclusion concise La pr sentation du plan au r troprojecteur ou au tableau fournit une grille d analyse utile au jury Les titres concis et explicites sont appr ci s ainsi que la lisibilit de l criture Utilisation des auxiliaires p dagogiques Le tableau et le r troprojecteur sont g n ralement utilis s bon escient leur objectif de mettre en vidence la coh rence et la logique du propos ou de l illustrer est bien assimil Les candidats doivent trouver un compromis e
119. nditions de financement ne changent pas L imp t sur les soci t s reste 33 5 00 L entreprise souhaite revendre cette filiale la fin de la cinqui me ann e pour une somme de 35 millions d euros Au moyen de la VAN pouvez vous dire si l investissement est rentable Les renseignements compl mentaires se trouvent en annexe 4 63 Annexe 1 Bilan simplifi de l entreprise Actif Passif Immobilisations 60 Fonds propres 30 Actif circulant 40 Dette 20 Passif circulant 50 100 100 Le directeur financier a trouv trois entreprises ayant la m me activit et qui cotent en Bourse Leur b ta moyen est de B 1 3 Le taux sans risque est de 4 Les investisseurs attendent une rentabilit du march de 14 L entreprise emprunte au taux moyen de 9 Le taux d imp t sur les soci t s est de 33 Annexe 2 L entreprise verse depuis 10 ans un dividende qui croit de 4 par an Le prochain dividende sera vers dans un an et a t fix 10 Annexe 3 Le compte pr visionnel laisse appara tre les informations suivantes en million d euros p Ann e 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 R sultat net 5 5 7 8 10 11 13 12 9 7 Investissements 12 10 3 Amortissement 4 4 4 4 1 1 On estime la valeur de revente de l entreprise a 300 millions d euros la onzi me ann e Annexe 4 Ann e 1 2 3 4 5 CA 20 40 70
120. ni comme les relations conomiques de coop ration entre personnes publiques ou priv es en vue de la r alisation d un objectif commun La relation de partenariat suppose une relation quilibr e qui exclut la subordination m me si cette relation n est pas toujours galitaire Le terme professionnel voque les relations d affaires mais est plus large que celui ci tout en excluant les relations d ordre priv L analyse du sens du sujet appelait s interroger sur les outils propos s par le droit qui permettent la mise en uvre du partenariat convenait de montrer que ces instruments peuvent tre de deux natures soci taire ou contractuelle Leur utilisation d pend des finalit s recherch es dans le partenariat mais galement des contraintes qui les entourent Un questionnement sur le choix de la technique utilis e au regard des finalit s et des contraintes s imposait donc Plusieurs plans permettaient de traiter le sujet l tait possible d inventorier successivement les deux types de 24 techniques ou dans une premiere partie de les presenter puis dans une seconde d en inventorier les contraintes Points de contenu Les instruments juridiques du partenariat Deux grands types d instruments juridiques peuvent tre utilis s lors de la mise en place d un partenariat l s agit des techniques soci taires et des techniques contractuelles Les techniques soci taires font appel au droit des soci t s Le partena
121. ns les cas propos s Ce qui d montre aussi une bonne appr hension de la probl matique l oppos trop de candidats ne parviennent pas une bonne compr hension de cette probl matique et ou en font une interpr tation trop g n rale sans tenir compte des l ments de diagnostic Celui ci est d terminant et doit tre soign ce qui n est pas toujours le cas l est imp ratif de comprendre et d exploiter les donn es de gestion de base ce que trop peu candidats sont en mesure de faire Cette ann e cas proposait des annexes financi res s agissait de caract riser la bonne sant financi re d une PME travers son bilan son compte de r sultats son BFR son FRNG sa capacit d autofinancement son EBE et quelques ratios compar s Trop de candidats n y ont m me pas fait r f rence dans leur expos et ont t mis en difficult lors du questionnement sur ces aspects l est pr cis en page de garde des sujets que le jury posera des questions d ordre p dagogique et didactique Trop de candidats sont encore pris au d pourvu faute d anticipation lors du temps de pr paration en loge et font des propositions incompatibles avec le r f rentiel et le programme d enseignement des classes choisies Consid rations sur la teneur des expos s Introduction L introduction est souvent trop rapide voire inexistante La probl matique du cas n appara t pas toujours clairement ou n est que la reprise de cell
122. nt des imp ts diff r s dans une soci t appliquant les normes IFRS L valuation du titre d une soci t de presse l ments statistiques Nombre de candidats pr sents 32 Moyenne 10 69 Ecart type 3 74 Note la plus haute 17 Note la plus basse 04 R partition des notes Nombre de candidats Note lt 5 5 lt Note lt 8 8 lt Note lt 10 10 lt Note lt 12 12 lt Note lt 14 Note 214 Total DONS Commentaire de la commission Ces sujets abordaient comme les ann es pr c dentes un large ventail des disciplines de la comptabilit et de la gestion techniques comptables et fiscales analyse financi re contr le de gestion et outils math matiques appliqu s Le jury attend du candidat qu il soit en mesure de proposer une solution pertinente aux tudes propos es mais aussi de porter un regard critique sur les outils gestion mobilis s Le candidat ne peut se contenter de la stricte r solution des cas propos s il doit aussi conna tre les principes qui sous tendent les calculs et tre en mesure d en exposer les limites L expose doit donc viter deux cueils un discours g n ral autour du cas en en gommant les aspects techniques un travail exclusivement technique o les questions de fond et la r flexion scientifique se trouvent occult es Le Jury est aussi attentif aux qualit s p dagogiques dont fait preuve le candidat au travers de l expos Le
123. ntre le recours excessif aux transparents qui les conduit paraphraser les annexes du sujet et l absence de tout recours cet outil L usage des transparents soutient la d monstration quand ils sont lisibles taille des caract res criture soign e et de qualit disposition a r e clart des titres sch mas IIs ne doivent pas pr senter les donn es brutes du cas mais des donn es analys es Gestion du temps La dur e maximale de l expos est de trente minutes la majorit des candidats utilisent bien ce temps sans d passement Une prestation plus courte est envisageable condition de ne pas r sulter d une indigence de l analyse ou des connaissances Nous attirons l attention des candidats sur la n cessit d une v ritable r flexion p dagogique sur le th me propos pendant le temps de pr paration en loge qui doit lui permettre lors de l entretien de r pondre aux questions du jury Lors de la session 2009 la plupart des candidats ont pris le temps d organiser cette r flexion mais les propositions p dagogiques restent toujours globalement insuffisantes Communication Les candidats disposent en majorit d un bon niveau de communication et d une clart d elocution ls font preuve d aisance relationnelle m me si certains ont du mal canaliser leur stress Enfin les comp tences p dagogiques ne sont pas seulement valu es au travers des r ponses aux questions sp cifiques ce domaine e
124. oivent avoir une connaissance r elle des niveaux et contenus d enseignement auxquels le sujet fait r f rence La partie p dagogique vise les BTS commerciaux NRC MUC C CE TC et galement la Terminale STG Les candidats doivent s immerger dans les contenus de ces r f rentiels et programmes pour bien en appr hender les objectifs et les contenus p dagogiques l est aussi essentiel de prendre du recul par rapport la question pos e afin de ne pas calquer des solutions pr format es mais au contraire de proposer des dispositifs supports et sc narii originaux Enfin il est important que cette partie soit structur e et ne se limite pas la pr sentation par exemple d un tableau sans introduction ni commentaires Il est aussi essentiel de contextualiser cette partie par rapport la r flexion th orique men e dans la premi re partie de l preuve 21 Option D Economie informatique et gestion Sujet La d mat rialisation des documents comptables fiscaux sociaux commerciaux etc ainsi que la mise en place de proc dures de t l diffusion de t l d claration et de t l r glement sont aujourd hui au c ur de la modernisation des entreprises Apr s avoir d fini les termes principaux du sujet vous pr senterez 15 enjeux les impacts et les contraintes de la d mat rialisation des documents administratifs et commerciaux les principales technologies qui permettent la mise en uvre de la trans
125. on sur le tas est dans un premier tas privil gi e On ne fait pas de la formation pour a formation C est un m tier o on fait d j de la formation permanente le CSO La RRH de l entreprise prend l initiative de d velopper cette pratique et met en place un plan de formation C est la premi re fois que Fon en fait un cette ann e On a demand les attentes et on en a labor un qui n est pas fig car on aura toujours des formations qui viendront s ajouter ce plan initial participations a des colloques des congr s enfin pour des choses inh rentes l activit scientifique Ou des formations n cessaires pour des choses non pr vues en d but d ann e et que lui m me n aurait pas imagin Elle est cependant confront e au peu de retours des salari s une dizaine de fiches de demande de formation remplies sur l entreprise La gestion des carri res Maintenant on est plus g rer des comp tences dune part parce que les gens n ont pas une carri re lin aire lls ne vont pas rester 20 ans dans une entreprise a n existe plus defa En fait on va g rer les personnes par rapport a ce qu ils savent faire et apporter l entreprise en terme de formation on va les former pour r pondre aux besoins de l entreprise et pour lui permettre 58 d voluer Le jour o la personne nous quitte effectivement elle part avec tout a et quelque part ce qu elle aura acquis cela lui permettra de se v
126. ondant au plus pr s possible leur co t de revient major d un profit lui m me r gul par la concurrence Les pratiques supprimer on le sait sont li es l usage abusif que l on a fait de l interdiction par le droit fran ais de la revente perte A priori cette interdiction est suspecte On vient de le rappeler un march concurrentiel s il fonctionne dans de bonnes conditions tend de lui m me faire graviter le prix de vente l acheteur autour du co t de revient Du reste la loi fait porter la prohibition sur le seul prix de revente la revente par le commer ant du produit qu il a lui m me achet au producteur Elle n prouve pas le besoin d interdire aux fabricants de vendre perte leurs produits Lesquels d entre eux seraient assez insens s pour le faire Ce qu il s agit d emp cher c est la g n ralisation des prix d appel en effet d sastreuse pour le consommateur lui m me Toute la ruse on le sait a consist jouer du seuil de revente perte SRP Les oligopoles obtiennent de leurs fournisseurs diverses remises et ristournes dont certaines seulement sont d duites du prix factur pour calculer le SRP La marge arri re correspond une ristourne qui ne figure pas sur la facture qui fait foi pour ce calcul Autrement dit le distributeur ach te le produit qu il va revendre moins cher que le co t factur qui va servir de base pour le calcul de sa marge officielle tr s inf rieure
127. oste pour le concours prive et d une elevation du niveau des candidats re us la barre d admission Pagregation interne tant de 10 25 9 pour le CAER Cette am lioration des performances s explique principalement par des prestations de candidats de mieux en mieux pr par s sur le fond comme aux exigences des preuves L agregation est en effet un concours extr mement exigeant qui pour le concours interne porte son attention non seulement sur l excellence scientifique des candidats mais sur leurs comp tences didactiques et p dagogiques caract ristiques de concours internes qui assurent la promotion des enseignants Les sujets propos s sont donc de vrais sujets de r flexion qui doivent conduire le candidat une analyse personnelle argument e la lumi re des notions concepts et th ories les plus actuels et des faits conomiques et sociaux C est ce rapprochement constant et rigoureux entre le r el et le th orique qui caract rise tout a la fois les sciences de gestion et l excellence de l enseignement technologique l ne peut y avoir de didactique sans cette ma trise des fondements le r el et le th orique de nos disciplines ma trise qui permet au professeur en fonction du niveau d enseignement et du public enseign de construire ses progressions l ne peut y avoir de qualit p dagogique sans fondements didactiques au risque sinon d une mise en sc ne p dagogique de forme d apparence peu
128. out de trois ans l entreprise commence se structurer en recrutant de nombreux chercheurs et en commen ant instituer des r gles ere du d veloppement Les chercheurs et techniciens sont alors sp cialis s dans un domaine de recherche interagissent de mani re variable pour d velopper des projets de recherche Avec l acquisition de l entreprise de chimie l effectif d UroBio atteint 53 salari s en 2003 Cette taille incite le CEO1 ancien manager dans une grande entreprise structurer l organisation x re de l apprentissage des r alit s selon un des deux fondateurs devenu CSO en d limitant les sp cialit s en instaurant des r gles et en affirmant le r le de fonctions support direction financi re direction des ressources humaines business development face aux scientifiques Le CSO r sume le fonctionnement d UroBio Elle est a la fois organis e par d partements qui ont des majors technologiques et ensuite il y a des projets totalement transversaux Des chefs de projets pas forc ment hi rarchiques Qui ont une responsabilit envers le comit scientifique Les acteurs de l organisation Le fondateur CSO d tient du pouvoir dans UroBio du fait de son statut de fondateur mais aussi d expert scientifique pour tous les scientifiques Sa l gitimit et son charisme le positionnent dans un r le de m diateur puisque tous les salari s n h sitent pas aller le voir quand ils on
129. p son juridisme un franchis a beau tre juridiquement ind pendant la cessation de son contrat ne s en traduit pas moins souvent pour lui par une perte de client le attach e la marque du r seau dont il faisait partie Dans ce cas il subit donc bien un pr judice qu aucune raison aucune cause d apr s l arr t du 9 octobre ne justifie En ce sens l arr t du 9 octobre 2007 prend opportun ment en compte la d pendance conomique dans laquelle se trouve la plupart des franchis s Il s agit d viter cette injustice qui consiste priver le franchis du fruit de ses efforts De la m me mani re qu un bailleur ne saurait vincer son locataire commercial sans payer une indemnit d viction correspondant la valeur de son fonds de commerce un franchiseur ne saurait faire main basse sur le fonds de son ancien partenaire sans lui payer une indemnit compensatrice du pr judice subi Nul besoin de prouver un abus du franchiseur 70 l indemnit de client le ne sanctionne pas une faute mais un tat de fait savoir la depossession du franchis Tel est le cas comme dans l arr t comment lorsque la clause de non concurrence stipul e dans le contrat de franchise n est compens e par aucune contrepartie financi re Quoi qu il en soit la r gle pos e dans l arr t du 9 octobre 2007 est d autant plus importante que sa formulation extr mement large permet d en envisager l extension d autres types de distributeurs que les f
130. pation des acteurs la cr ation de valeur et que la fonction RH joue l un r le majeur Le qualificatif de majeur doit tre entendu de deux fa ons d une part comme une fonction g rant un capital qui s av re de plus en plus critique dans un environnement concurrentiel o l innovation permanente devient une condition de survie et d autre part une fonction ayant renforc son professionnalisme dans les d marches et les outils d velopp s au service de ses clients internes ou externes Beysseyre des Horts 2004 p 200 Malgr tout les RH ne sont sources d avantage concurrentiel qu condition que des pratiques de GRH appropri es soient mises en place dans les entreprises Wright et a 1994 Quelques plans incoh rents traitent s par ment les deux notions en deux points distincts ou d veloppent l une des notions en ignorant l autre Certains plans du type enjeux limites r duisent l exploration du th me Ceci traduit les difficult s des candidats tablir un lien et s y tenir dans le d veloppement Autant la veille mercatique est vocatrice autant la veille dans le domaine des GRH semble difficile pr senter de fa on concr te l convient de rappeler que le traitement scientifique du sujet doit tre distinct de la proposition p dagogique comme indiqu dans la d finition de l preuve Certains candidats tentent de compenser leur manque de r f rences th oriques par une r flexion personnel
131. r le sujet et ses annexes Pr senter la probl matique consiste interroger la situation dans ses diverses dimensions gestion administrative gestion des ressources humaines management communication strat gie lien 40 strategie gestion des ressources humalnes et porter un regard personnalis sur l organisation tudi e et les ventuelles pistes de solutions C est cette interrogation qui constitue le fil directeur de l expos et qui donne sens l analyse et aux propositions L analyse Les th ories sont utilis es comme grille de lecture des donn es du cas et ou comme voie d exploration pour proposer des solutions Les grands courants des th ories des organisations de la gestion des ressources humaines de la communication et de l information de l analyse strat gique fournissent des cadres interpr tatifs adapt s La difficult pour le candidat consiste mettre en avant ses connaissances th oriques sans tomber dans le travers de l expos panoramique de diff rents courants de pens es ou celui de la multiplication des r f rences th oriques deconnectes du cas dont il ne maftriserait pas les contenus Mieux vaut quelques r f rences th oriques bien amen es et ma tris es dans leurs fondements qu une liste d auteurs pr sentant des liens parfois tr s lointains avec le sujet Il convient d autre part de se m fier des outils d analyse ex analyse en termes de forces et faiblesses diagramme d lshika
132. ranchis s Ainsi des concessionnaires exclusifs par exemple Les tribunaux auront s rement l occasion de le confirmer Annexe 8 Les sites marchands se multiplient sur la Toile fran aise D apr s Les Echos du 25 01 08 Le succ s appelle le succ s Pas moins de 13 000 nouveaux sites marchands actifs sont apparus sur la Toile fran aise en 2007 soit une augmentation de 54 par rapport 2006 a calcul la F d ration du e commerce et de la vente distance Fevad qui pr sentait hier son bilan annuel Des commer ants attir s par le potentiel des quelque d j 20 millions de cyber acheteurs et qui entendent bien se tailler une part de g teau sur un march toujours en forte croissance Ce sont presque deux sites marchands par heure qui ont t cr s en 2007 a comment Marc Lolivier le d l gu g n ral de la Fevad soulignant aussi l arriv e de nouveaux acheteurs Selon un panel constitu de 7 plates formes de paiement l organisation professionnelle a recens quelque 37 000 sites ayant r alis des ventes sur Internet en France l an dernier pour un montant global estim de 16 1 milliards d euros en hausse de 35 Et rien que pour la p riode de No l pas moins de 2 millions d internautes ont effectu leur premier achat en ligne selon l tude M diam trie NetRatings La Fevad confirme sa pr vision d un nouveau doublement du chiffre d affaires des ventes en ligne en France pour atteindre 31 4 milliards d eu
133. ranchiseur avait refus de reconduire cinq des contrats arriv s leur ch ance et r silie le sixi me sans pr avis Le franchis l assigne alors en lui demandant le paiement d une indemnit de client le li e la cessation des contrats D bout par la cour d appel de Paris le franchis forme un pourvoi qui sur ce point est accueilli par la Cour de cassation aux motifs suivants Alors qu elle constatait tout la fois que le franchis pouvait se pr valoir d une client le propre et que la rupture du contrat stipulant une clause de non concurrence tait le fait du franchiseur ce dont il se d duisait que l ancien franchis se voyait d poss d de cette client le et qu il subissait en cons quence un pr judice dont le principe tait ainsi reconnu et qu il convenait d valuer au besoin apr s une mesure d instruction la cour d appel a viol le texte susvis C est dire qu un franchis a droit une indemnit de client le lorsque la cessation du contrat n est pas de son fait d une part conduit le d poss der de sa client le d autre part A l vidence cette d cision est une petite r volution Et pour cause cela faisait plusieurs d cennies que les franchis s r clamaient le b n fice d une indemnit qui f t ind pendante des dommages et int r ts accord s lorsqu un franchiseur rompt abusivement le contrat Or jusqu pr sent la Cour de cassation l avait refus Ce rejet sentait n anmoins par tro
134. re les informations de la puce ENCASTR DE SOL BEGA Projecteur encastr dans le sol avec une ossature en acier Le projecteur est plac dans un coffrage perdu en PVC et b tonn autour La saisie des informations doit pouvoir se faire une distance minimale de 60 cm Il ne sera pas obligatoire d tre la verticale du projecteur pour Lire crire les informations de la puce 82 ENCASTRE DE SOL EXT RIEUR VERT Projecteur encastr dans le sol avec une ossature en fonte d aluminium Le projecteur est plac dans un pot encastrer en fonte d aluminium La saisie des informations doit pouvoir se faire une distance minimale de 60 cm Il ne sera pas obligatoire d tre la verticale du projecteur pour Lire crire les informations de la puce PROJECTEUR PHILIPS DIAMANT 42 La saisie des informations doit pouvoir se faire hauteur d homme _L appareillage du projecteur est de type ferromagn tique et est situ l arri re 83 ANNEXE 2 Fonctionnalit s de l application intranet fo nctionnalites Ed Application intranet Secretariat Encoder Tag Synchroniser terminaux mobiles G rer tourn es H lt lt extend gt gt Responsable Suivre interventions 4 Affecter intervention Consulter tableau de bord suivi interventions Application terminal mobile Agent 84 Description r sum e d
135. re r aliser Des propositions d activit sont bien en phase avec le sujet mise en situation proposant aux tudiants une veille juridique sur des articles de lois r cents et leur application dans les entreprises mise en situation se situant en phase d exploitation de donn es sociales r sultant d une veille informationnelle r flexion sur les indicateurs et laboration de tableaux de bord sociaux mise en place d une d marche de veille m thodologique en s ance de travaux dirig s Toute initiation pla ant les tudiants l ves en situation concr te de veille apr s les avoir familiaris s sur le plan notionnel la signification et aux enjeux de la veille est formatrice L utilisation d outils gratuits et simples d usage en salle informatique constitue une d marche incontournable pour tester en r el la notion de veille Les candidats familiers des classes de STS pouvaient ventuellement proposer leurs tudiants l exp rimentation d outils plus complets comme les agr gateurs de contenu Les outils comme Netvibes et Google Reader v ritables portails personnels d information permettent de rassembler d organiser et mettre en coh rence des flux RSS dans une logique de type push ou encore de syndication de contenu le fait pour un veilleur de souscrire aupr s d un site un flux d information tabli en tant r el et centr sur un th me objet de la veille Toute la difficult de ces outils r side dan
136. rer des d finitions scientifiquement admises e de la probl matique du candidat et non plusieurs qui est la fa on de penser le sujet traiter en le questionnant de mani re ni partielle ni partiale et non une simple redite de l intitul du sujet sous forme interrogative Elle doit d couler des questions soulev es autour des termes du sujet e et enfin de l annonce du plan Le plan adopt doit tre justifi par ce qui pr c de Le d veloppement comportant deux parties voire trois doit tre compos de mani re quilibr e et ordonn e l ne doit tre ni trop long ni trop court mais tre dense et dynamique l ne s agit pas d tre exhaustif mais bien de r pondre une question Sauf cas tr s particuliers il faut viter de traiter de l conomie dans une partie et du droit dans l autre La conclusion doit au del du r sum des principaux arguments avanc s dans le d veloppement r pondre la probl matique et permettre de prendre un peu de champ et de recul par rapport au sujet Enfin faute d un entra nement suffisant certains candidats pr sentent des expos s tr s d s quilibr s en raison de difficult s bien g rer le temps aussi bien celui imparti lors de la phase de pr paration que celui accord lors de la pr sentation de l expos aux membres du jury Par leurs r ponses aux questions pos es la suite de leur expos un nombre non n gligeable de candidats ont confirm
137. rer quelques unes des questions suivantes Quels sont les enjeux de la veille informationnelle dans le domaine de la GRH Quels sont les objets de la veille dans ce domaine Qui en sont les acteurs La veille informationnelle contribue t elle l adaptation de la GRH aux mutations du travail de l organisation du travail la logique des comp tences comp tence et organisation qualifiante management des savoirs Qu apporte le support de la fonction Ressources Humaines dans l accompagnement de la veille strat gique dans une organisation Quelle m thode quelles ressources technologiques faut il mobiliser pour percevoir les changements qui interviennent dans l environnement Comment exercer une influence sur eux ou les int grer comme l ments du contexte au service du pilotage de la GRH Comme le souligne Chalus Sauvannet 2002 la veille sur les ressources humaines semblait tre un effet de mode li au contexte conomique et social des ann es 80 correspondant au d but des vagues de licenciements et de restructurations La veille sur l aspect social refl te aussi une r elle inqui tude des entreprises quant au suivi de leur climat social et de la satisfaction des salari s dans l entreprise ou en mati re de pr vention de conflits Aussi la veille se caract rise par un dispositif d coute dont la finalit est l anticipation de la r gulation sociale entre les diff rents acteurs de l organisation Ce dispositif d cout
138. riat est mis en place par l interm diaire de la cr ation d une soci t dot e ou non de la personnalit morale Le but de ces techniques est de prendre part au capital du partenaire Les techniques utilis es sont celles de la prise de participation de la cession de contr le ou encore de la fusion Des modalit s financi res telles que l offre publique d achat ou d change permettent galement cette entr e dans le capital La soci t en participation est un outil qui a l avantage de pr server l anonymat puisque cette soci t est occulte et fonctionne comme une soci t en nom collectif D autres techniques telle la coentreprise ou le groupement d int r t conomique permettent une association galitaire Elles n cessitent la cr ation d une personne morale nouvelle qui fonctionne selon le principe un partenaire une voix L objectif est ici de mettre en commun des moyens afin d atteindre un but conomique pr cis Au del de l tude exhaustive de ces instruments de partenariat il est primordial de s int resser aux diff rentes clauses permettant de faire vivre le partenariat et d en pr voir Peventuel d nouement On peur citer la clause d agr ment qui a pour objectif l accord de tous les membres pour l entr e de nouveaux partenaires La clause de pr emption oblige quant elle les partenaires souhaitant c der leurs parts les proposer aux autres Le partenariat peut galement se nouer par l interm diaire de contra
139. rme La partie p dagogique repr sente une part non n gligeable de la note Elle doit donc tre trait e avec beaucoup de soin et de rigueur Bien souvent les candidats ne proposent ni introduction ni conclusion cette partie qui doit pourtant tre reli e la partie th orique Les attentes L exploitation p dagogique telle qu elle a t formul e demandait aux candidats de pr ciser l organisation d une s ance de travaux dirig s li e la pr sentation du prix dans le cadre de la n gociation commerciale Cette s ance devait tre construite pour une classe de TS Commerciale L analyse de cette demande devait conduire le candidat s interroger sur la sp cialit de la classe de TS dans laquelle serait conduite la s ance La pr sentation du prix dans le cadre de la n gociation commerciale devait conduire la construction d une s ance de TD dans des sections o la n gociation du prix est r ellement enseign e et pratiqu e comme en TS NRC ou TS Technico Commercial Le sequen age devait faire appara tre la dur e l organisation du groupe classe les outils n cessaires la s quence la r partition des t ches entre l enseignant et les l ves ainsi que la production attendue de ces derniers L valuation devait pr ciser si l objectif nonc en introduction de la s ance tait atteint ou non Un travail de rem diation tait galement envisager Les conseils aux futurs candidats Les candidats d
140. ros en 2010 en se fondant sur l volution du profil des acheteurs et sur le retard que notre pays rend encore des pays comme le Royaume Uni o plus de une personne sur deux fait ses courses sur Internet et l Allemagne 44 Le commerce en ligne s installe dans nos habitudes de consommation s est f licit Marc Lolivier en soulignant qu une des cibles qui progresse le plus est celle des plus de cinquante ans traditionnellement m fiants sur l usage d Internet et le paiement en ligne Praticit et prix bas expliquent le succ s de ce canal de vente sur lequel les 15 sites les plus visit s en France au 4 e trimestre sont essentiellement fran ais deux seulement tant d origine trang re eBay num ro un toute cat gorie et Amazon cinqui me D une mani re g n rale compar au classement il y a un an on constate une baisse sensible du nombre de visiteurs uniques celui de la deuxi me site le plus visit tombant par exemple de 10 93 millions a 7 1 millions Parmi les mouvements relev s par M diam trie on note la mont e la 3 e place de PriceMinister qui d loge redoute fr celle de vente priv e com qui entre dans le top 10 et l arriv e au classement d Eveil et Jeux et Darty qui font sortir Mistergooddeal et Dell Annexe 9 Baisse ou querre des prix D apr s Les Echos du 02 11 07 Le syst me est pervers et on ne peut plus anti conomique On voit en France quelques grands groupes
141. rtenariat ne doit pas non plus engendrer des situations d abus de domination elles aussi r prim es par le droit tant national que communautaire Le partenariat est rarement galitaire aussi convient il de prot ger les int r ts de la partie qui se trouve en position de faiblesse 25 Lors de la mise en place du partenariat par l utilisation de techniques soci taires il convient de prot ger les actionnaires minoritaires lls ont la possibilit de se regrouper afin d exercer des actions communes et ils b n ficient d un droit de retrait et d une garantie de cours pour c der leurs actions Dans les contrats de distribution le partenaire le plus faible est galement prot g Diff rentes mesures du droit de la concurrence interdisent les pratiques discriminatoires les d r f rencements abusifs ou encore les ruptures abusives de relations commerciales tablies Dans le contrat de franchise le juge veille la consistance du savoir faire et la protection des droits de propri t intellectuelle Commentaires sur le fond Le sujet n a pas toujours fait l objet d une analyse approfondie et r fl chie l a souvent t mal compris des candidats qui ont assimil le terme partenaire celui de parties prenantes Ces candidats ont r alis un traitement du sujet sous un angle managerial et non juridique D autres candidats n ont pas per u l aspect quilibr du partenariat et ont consacr une partie au partenariat
142. s 2 sens une charg e de recherche Les scientifiques sont rassembl s dans des unit s selon la sp cialisation acquise au cours de leur formation Ils travaillent parall lement sur des projets associant plusieurs sp cialit s de recherche La r mun ration est depuis toujours fix e par n gociation individuelle avec chaque recrut l ny a pas de grille de r mun ration On n a pas de grille de salaire On na pas envie d entrer dans un syst me o de fa on automatique les gens ont des augmentations au bout de deux ans la RRH La r mun ration la performance est privil gi e On essaie de la fa on la plus objective possible de revaloriser les salaires par rapport au m rite et performances de l individu la RRH Des augmentations individuelles des primes sont d cid es par les responsables d unit s de recherche et les dirigeants et des BCE bons de cr ateur d entreprise sont distribu s aux salari s 57 Le recrutement est formalis rapidement dans l entreprise Les chercheurs concern s sont charg s de d finir le profil de poste et apr s accord de la RRH et du CSO doivent s lectionner environ cinq candidats la cooptation les annonces les candidatures spontan es sont utilis es indiff remment La RRH d UroBio r sume la proc dure Lorsqu il y a une offre d emploi La demande mane soit d un chercheur soit d un directeur de groupe C est lui qui identifie le profil de po
143. s apportant les fondamentaux dans le domaine des sciences des organisations de la communication et de la psychologie sociale est indispensable Partie p dagogique Le constat Le libell de l preuve demandait au candidat de d finir ses orientations didactiques et de proposer une exploitation p dagogique du sujet dans une classe de son choix Quelques candidats ne traitent pas cette partie p dagogique et compromettent d finitivement leur chance d obtenir une note moyenne l preuve Pour les autres le jury observe une am lioration des propositions concernant le cadrage p dagogique Le contenu des r f rentiels est convenablement ma tris ce qui conduit un positionnement recevable du th me dans les programmes quel que soit le choix du niveau de la classe retenue Par contre les propositions pertinentes concernant l exploitation p dagogique sont rares De nombreux candidats proposent des s quences sans rapport avec le sujet veille informationnelle et GRH exemple mise en place d une proc dure de recrutement ou font une confusion persistante entre veille et recherche d informations Or il y a une distinction entre recherche et veille informationnelle qu il convient de pr ciser recherche d information correspond un besoin identifi r pondant une demande ponctuelle alors que la veille est un processus continu par lequel les informations doivent tre p riodiquement collect es pour tre
144. s le fait de choisir les flux RSS les plus productifs A d faut les tudiants tombent dans la surinformation voire la non information Le veilleur est in vitablement amen ainsi mettre en place une v ritable maintenance de son agr gateur limination des flux se r v lant peu productifs ajout et validation de nouveaux flux dont il convient d valuer r guli rement la pertinence Commentaires relatifs la forme La majorit des copies sont clairement r dig es et comportent peu de fautes d orthographe et de syntaxe Peu de copies sont difficiles d chiffrer ou manquent de soin Les d veloppements sont le plus souvent construits autour d un plan structur m me si celui ci est parfois contestable Des efforts de pr sentation avec des parties bien rep rables facilitent la concentration du correcteur sur le contenu Les introductions manquent trop souvent de pr cision de d finition des termes et ne d limitent pas le sujet selon une probl matique personnelle elles m ritent donc d tre plus r fl chies car elles engagent la suite de la dissertation l est noter que la longueur des d veloppements n est pas une garantie de qualit certains excessifs ne font que t moigner de la difficult du candidat cerner le sujet et s y tenir Indications bibliographiques Revues Revue Fran aise de Gestion Liaisons sociales Revue de Gestion des Ressources Humaines Sciences Hu
145. s sur la franchise D apr s la f d ration fran aise de la franchise Fin 2007 on compte 1 037 r seaux actifs de franchise Matures ils ont en moyenne 8 ans de contrat Quelques tendances observ es dans les pr c dentes enqu tes se confirment la franchise se f minise lentement 40 de femmes en 2007 contre 33 en 2004 et la proportion de salari s en reconversion reste cons quente 72 en 2007 Le chiffre d affaires annuel moyen se stabilise autour de 1 040 KE apr s la baisse enregistr e en 2005 et 2006 Cette fluctuation a sans doute eu un impact sur les embauches effectu es en moyenne moindres en 2007 et sur les intentions d ouvrir un autre point de vente seuls 10 des franchis s exploitent 2 points de vente sous la m me enseigne contre 17 en 2005 Le revenu individuel mensuel net des franchis s augmente et il est l g rement sup rieur la moyenne globale des artisans commer ants et chefs d entreprise A noter que la perception de la f d ration fran aise de la franchise fait un bond quantitatif et qualitatif 58 des franchis s la connaissent contre 48 seulement en 2006 69 Les r seaux ont en moyenne 11 ans Penseigne qui les a cr s 20 Ils font de plus en plus confiance a la qualite du concept et a la pertinence des services apportes a leurs franchises Ce sont de grosses PME maloritairement patrimoniales 5596 qui ont choisi la franchise pour accelerer le d veloppement de Penseigne pour 88 d
146. savoirs Une seule probl matique suffit mais elle doit tre solide et justifi e Enfin une erreur encore trop fr quente tient en une analyse insuffisante des termes du sujet qui conduit un traitement trop partiel ou au contraire trop extensif ou encore sans rapport direct avec le th me Le plan est parfois attractif dans sa formulation mais il ne tient pas ses promesses Les choix doivent tre justifi s et coh rents les uns avec les autres Cette analyse insuffisante se refl te galement par la difficult rencontr e par les candidats s parer ce qui appartient la cat gorie des 36 faits a celle du raisonnement conceptuel et celle bien diff rente des opinions toutes faites Les candidats doivent construire rigoureusement leurs analyses selon les r gles de l argumentation scientifique Certains expos s en restent au niveau descriptif avec de surcro t des informations peu actualis es d autres r v lent un manque de logique par l accumulation de contradictions ou de confusions voire des d faillances conceptuelles Le jury recommande aux candidats d organiser de structurer leur argumentation en privil giant les arguments essentiels et scientifiquement admis Une accumulation d anecdotes ou un catalogue d id es re ues sont pr judiciables et ne sont pas compatibles avec les attentes de cette preuve En ce qui concerne les d finitions des termes du sujet il est important de s attacher une d finitio
147. serez les conditions de pr paration et le d roulement l ments statistiques Concours interne CAER Nombre d inscrits 360 74 Nombre de copies corrigees 205 39 Moyenne 6 23 6 87 Ecart type 3 07 3 21 Notes lt 5 69 11 5 lt Notes lt 8 73 10 8 s Notes lt 10 32 8 10 lt Notes lt 12 20 9 12 s Notes lt 15 11 1 Notes x 15 0 0 Note la plus basse 1 1 Note la plus lev e 15 12 Commentaires de la commission Le sujet de cette session 2009 permettait d etudier la relation existant entre la gestion de la relation client d une part et la strat gie de prix d autre part l demandait une r flexion pr cise partir d une probl matique que le libell du sujet n explicitait pas totalement Concernant la partie p dagogique le sujet tait recentr sur la pr sentation du prix dans le cadre de la n gociation commerciale Les classes de Techniciens Sup rieurs N gociation et Relation Client ou Technico commercial semblaient plus naturellement se pr ter ce type d approche Commentaires relatifs la partie th orique Commentaires sur le fond Apr s avoir clairement d fini c Gestion de la relation client CRM d une part et strat gie de prix d autre part le sujet conduisait r fl chir sur les liens entre les deux notions en vitant bien entendu de traiter les deux th mes s par ment On pouvait par exemple afin d clairer rapidement
148. souvent d connect es du sujet En particulier et quel que soit le sujet certains candidats consid rent comme passage oblig la r f rence au carr magique de Kaldor les asym tries d information la th orie des choix publics ou encore la traditionnelle opposition entre lib raux et keyn siens Il faut souligner cet gard que la r flexion conomique ne se ram ne pas un exercice de classification des conomistes dans une grille pr tablie Etat ou march Une cons quence regrettable de cette attitude est l oubli des aspects essentiels du sujet Il faut ici rappeler que le jury appr cie particuli rement le soin que les candidats mettent d limiter le sujet et construire un ensemble coh rent en revanche une juxtaposition des connaissances sans v ritable fil conducteur est sanctionn e en particulier lorsque le candidat se r v le incapable d expliquer des notions de base sur lesquelles son expos s est largement appuy Par ailleurs il ne s agit pas d une nouvelle preuve d conomie et d une nouvelle preuve de droit ou m me d une preuve o il s agirait seulement de juxtaposer des r flexions tir es de deux types d analyse ou a fortiori de dresser un catalogue de mod les ou de r f rences th oriques II convient au contraire de montrer les enjeux de poser un probl me les d bats ouverts par le sujet pos en exploitant les diff rents liens logiques qui r unissent les diff rents corpus de
149. sp rer quelques contributions de tr s bon niveau Sur ce point le jury na pas t pleinement satisfait Les lacunes principales peuvent tre r sum es dans la liste ci dessous Certains candidats heureusement peu nombreux font encore l impasse sur une vraie probl matique et sur un plan structur On trouve en revanche trop de d veloppements hors sujet m me si ces technologies sont utiles le rapport entre HTML ou le client serveur et le sujet est assez lointain Et cette constatation est flagrante pour la s quence p dagogique laquelle est d ailleurs souvent superficielle et rarement replac e convenablement dans le r f rentiel impos Tout en sachant que naturellement les candidats ont un profil plut t technique le jury regrette que les questions de Syst mes d Information soient souvent trait es soit de fa on journalistique soit par trop terre terre Les envol es lyriques sont assur ment hors de propos dans une telle preuve a contrario limiter l impact de la d mat rialisation une conomie de timbre poste est un peu r ducteur Provenant l encore de sp cialistes certaines erreurs r p titives comme TFinversion des r les des cl s priv es et publiques dans la cryptographie asym trique surprennent Pour finir quelques oublis presque syst matiques les aspects l gaux et r glementaires le r le des tiers l archivage la signature num rique Conseils aux candidats Pour c
150. ste a me revient pour mettre en place la diffusion de l offre rechercher Mais jusqu a pr sent le responsable fait lui m me son fri dans le vivier de candidatures spontan es C est lui qui se charge de convoquer les candidats a un premier entretien Ensuite sur l ensemble de ces candidats deux ou trois personnes sont retenues et passent un second entretien avec la responsable RH et le directeur general A la suite de quoi on d cide On utilise l association B Gregory l ANPE on diffuse sur notre site Internet et sur des sites plus sp cifiques et de la chasse de t tes pour le directeur du d veloppement industriel et pour le directeur du groupe biochimie Les scientifiques et les managers d cident ensuite du candidat embauch de mani re coll giale L valuation Maintenant on passe juste avec notre N 1 et c est devenu plus encadr et professionnalis lls valuent vraiment le travail C est un peu plus pointu mais ils n avaient pas communiqu assez pas assez dit que a allait changer ce qui a surpris beaucoup de gens Comme le souligne ce technicien la d marche d valuation est adapt e progressivement dans UroBio Le guide initial est r vis chaque ann e depuis 2002 pour valuer au mieux le travail des scientifiques et pour lier cette proc dure aux d cisions concernant la politique salariale et de promotion La formation met en vidence les caract ristiques des scientifiques La formati
151. subordonn et des aspects sociaux qui n entraient pas dans le cadre de ce sujet Certains candidats ont galement confondu instruments juridiques et droits De fa on g n rale les candidats se sont peu interrog s sur les finalit s du partenariat sur sa cr ation mais galement sur son d nouement Trop de candidats ont pr sent des catalogues d exemples d pourvus du sens juridique indispensable pour proposer un plan coh rent et appropri une probl matique juridique Dans ces copies les candidats cherchent pr senter l ensemble du droit de l entreprise afin encore une fois de restituer tout prix tout le programme du concours De trop nombreux candidats n ont pas fait une analyse correcte du sujet Toutefois le jury a pu appr cier des introductions correctes pr sentant une accroche pertinente et des entr es vari es volution doctrinale voire jurisprudentielle actualit juridique d finitions juridiques et analyse pertinente du sujet d bouchant sur une probl matique Le jury d plore nouveau l absence de d finition des termes du sujet dans bon nombre de copies et rappelle l importance de cette tape dans la construction du devoir Par ailleurs le jury d plore un manque de connaissances juridiques portant sur les concepts fondamentaux qui font l objet des programmes d enseignement en classe de STG et de BTS Certains candidats n ont pas actualis leurs connaissances depuis de longues ann es volution l
152. t un probl me ou une question Chercheur devenu entrepreneur il quitte en 2004 UroBio pour cr er une nouvelle biotech il fait en sorte de conserver dans UroBio certaines pratiques sociales issues de son pass de scientifique motivation par la recherche changes entre scientifiques tout en introduisant les notions de r sultats et de performance La GRH est selon lui un moyen de g rer le travail des scientifiques et il participe activement la structuration de cette dimension Les scientifiques Le CSO est le chef de file des chercheurs d UroBio Ces derniers deviennent rapidement des managers de la recherche ils encadrent au moins un technicien et sont responsabilis s sur la gestion de leur quipe de leur budget et des r sultats de recherche Un foss s installe au fil du temps avec les techniciens cantonn s des travaux extr mement techniques Ces diff rences ne sont pas synonymes de conflits dans l entreprise mais affirment plut t une hi rarchie et une division du travail entre les scientifiques x apr s fout nous ne sommes que des petites mains une technicienne CEO Chief Executive Officer PDG Chief Scientific Officer directeur scientifique Ici Le deuxi me fondateur a pr f r revenir un poste de chercheur acad mique et y a t incit par les investisseurs 55 Le r le des managers Une autre categorie d acteurs s affirme peu a peu dans UroBio les non
153. tions La strat gie affich e La jeune biotech se positionne comme une baby pharma en affichant sa volont de devenir un acteur pharmaceutique majeur dans les domaines urologiques en premier lieu pour soigner le cancer de la prostate Afin de r duire les co ts de recherche et sous la pression des investisseurs UroBio noue en 2002 des partenariats avec des laboratoires pharmaceutiques de recherche et acquiert une entreprise de chimie qui doit lui permettre de confronter les mol cules optimis es des mod les d valuation in vivo et in vitro Progressivement UroBio essaie de passer d une phase de diagnostic des prot ines susceptibles de jouer un r le dans ces cancers urologiques une phase de mise au point de traitements curatifs Mais l chec d une troisi me lev e de fonds en 2004 oblige les dirigeants vendre deux programmes de recherche et sa plate forme de recherche une grande entreprise fran aise pharmaceutique avec laquelle UroBio a des partenariats de recherche Cette cession est synonyme de fermeture de la jeune entreprise de biotechnologie et du licenciement conomique d une vingtaine de salari s les autres 34 sont reclass s dans la soci t acheteuse 54 5 5 L organisation de l entreprise L activit d UroBio d bute avec une dizaine de salari s qui s investissent dans de multiples voies de recherche le fondateur qualifie cette phase re de a passion Au b
154. ts Le droit de la distribution en fournit de nombreux exemples Le contrat de concession exclusive permet un fabricant de distribuer ses produits par l interm diaire de concessionnaires exclusifs Le contrat de distribution s lective permet au fabricant de s lectionner ses distributeurs selon des crit res pr cis Le contrat de franchise oblige le franchiseur transf rer son savoir faire et ses signes distinctifs au franchis moyennant un droit d entr e et une redevance Dans le domaine industriel l exemple du contrat de sous traitance peut tre choisi Le sous traitant s engage ex cuter une prestation pour le donneur d ordre suivant un cahier des charges extr mement pr cis Dans la plupart de ces contrats la relation entre les partenaires est in galitaire l une des parties tant sous la domination conomique de l autre Un certain nombre de clauses illustrent ces propos La clause de non concurrence interdit au partenaire de se r installer proximit de son territoire d origine en cas de rupture de contrat La clause d exclusivite contraint l un des partenaires s approvisionner exclusivement chez l autre et le plus souvent atteindre des quotas de vente La clause de confidentialit permet de pr server les int r ts des parties en vitant une fuite des informations et du savoir faire D autre part certaines clauses peuvent anticiper le d nouement du partenariat on pense par exemple la clause de hardship
155. uits plus quilibr s Les photos ont chang d optique Le visuel doit tre le plus pr s possible de la r alit pour exprimer l authenticit et viter toute d ception La nouvelle approche passe aussi par des volutions dans l incarnation des marques Dans le secteur des produits laitiers Gervais Danone a fait appel pour se repositionner l auteur de livres culinaires Sophie Dudemaine Dans un souci de modernisation le personnage historique Charles Gervais dispara t au profit d une contemporaine r put e pour la simplicit de ses recettes La marque devient Gervais par Sophie Sur les emballages de ses produits revisit s la jeune femme appara t en tablier une cuill re la main ou dans la bouche comme le ferait n importe quel consommateur Elle y prend la parole en r sumant comment elle a con u la cr me sa fa on et donne une astuce pour agr menter le dessert d une criture au style videmment manuscrit 68 Annexe 5 Un concurrent maitrisant ses canaux de distribution Source Les Echos 09 09 07 mpronon able 1 S il devait passer aujourd hui au crible des tests consommateurs le nom Haagen Dazs aurait de bonnes chances d affronter ce verdict s v re Et serait probablement cart Pourtant sa singularit constitue l une des forces de la marque Sa cr ation tient d ailleurs enti rement de la r flexion marketing puisque contrairement ce que l on pourrait penser devant un nom aussi
156. ul ce qui peut induire le jury soup onner une connaissance trop parcellaire du sujet e enfin ce qui est difficilement admissible pour un p dagogue construire son argumentaire sur des contresens manifestes La s quence p dagogique doit tout la fois respecter le sujet tre r aliste et correspondre au r f rentiel en vigueur dans la formation indiqu e On attend en particulier du candidat qu il soit capable de pr ciser les pr requis que l l ve devra ma triser pour profiter de l enseignement d expliquer dans quel cadre celui ci s ins re et quels en sont les objectifs en termes d acquisition de comp tences Le r alisme est appr ci sur plusieurs points la longueur de la s quence ni une demi heure ni plusieurs mois la pr cision des l ments techniques voqu s la disponibilit des ressources n cessaires Enfin le sujet est bien ici l informatique de gestion ce qui exclut d embl e de simples expos s th matiques ou autres recherches sur Internet 23 Composition portant sur les elements generaux du droit et sur le droit de Ventreprise et des affaires Sujet Les instruments juridiques du partenariat professionnel l ments statistiques Concours interne CAER Nombre d inscrits 236 39 Nombre de copies corrig es 123 20 Moyenne 6 5 5 18 Ecart type 3 31 3 64 Notes lt 5 41 10 5 lt Notes lt 8 38 7 8 lt Notes lt 10 22 1 10 lt Notes lt
157. urs tentatives et une am lioration nette en TEJS C est donc la preuve que cette preuve difficile n est pas inaccessible il revient chacun de ne pas se d courager et de s inscrire dans une d marche de pr paration et de progression 39 Epreuve portant sur les techniques de gestion Option A Action et communication administratives Sujets propos s Lors de la session 2009 les candidats ont eu traiter un des trois sujets suivants Le sujet n 1 se situait dans le contexte d une entreprise sp cialis e dans la logistique du froid implantation europ enne L actualit de ce sujet permettait d aborder les questions et politiques d ploy es relatives l emploi et l int gration des travailleurs handicap s Le sujet n 2 se situait dans le contexte d un h tel de grand luxe Il s agissait d analyser l impact de changements organisationnels leur accompagnement au niveau de la communication interne l influence du leadership l gitimit du manager insuffisance de l encadrement interm diaire management de proximit Le sujet n 3 en annexe se situait dans le contexte d une soci t orient e vers la recherche pharmaceutique soumise une forte croissance dans un secteur innovant l ments statistiques Nombre de candidats pr sents 30 Moyenne 9 3 Ecart type 2 2 Note la plus lev e 3 Note la plus basse 16 R partition des notes Nombre de candidats notes
158. uve portant sur un Theme conomique Juridique ou Social comportant des aspects p dagogiques Dur e de la pr paration 5 heures Dur e de l preuve 1 heure Coefficient 1 L preuve comprend un expos sur un th me conomique juridique ou social dur e quarante minutes maximum un entretien permettant d appr cier la r flexion p dagogique de candidat dur e vingt minutes Seconde preuve preuve portant sur les techniques de gestion Comportant des aspects p dagogiques cette preuve porte sur les domaines suivants en fonction de l option choisie par le candidat lors de l inscription au concours action et communication administratives pour les candidats inscrits dans l option A comptabilit et gestion pour les candidats inscrits dans l option B action et communication commerciales pour les candidats inscrits dans l option C informatique et gestion pour les candidats inscrits dans l option Dur e de la pr paration 4 heures Dur e de l preuve 1 heure Coefficient 1 L preuve comprend la pr sentation d une tude comportant l utilisation de techniques de gestion dur e trente minutes maximum un entretien permettant d appr cier la r flexion p dagogique du candidat et de prendre en compte sa pratique et son exp rience dur e trente minutes 34 preuve de 5 Sujets propos s 1 Structure de march et r glementation 2 Pri
159. ux du sujet Comment volue la strat gie de prix dans une perspective de marketing relationnel A quelles conditions une strat gie de prix diff renci s est elle possible souhaitable voire cr atrice de valeur Pour quels clients Quelles sont les limites d une GRC assujettie une strat gie de prix diff renci s Les strat gies de prix classiques cr mage p n tration ont elles encore un avenir dans cette perspective Les strat gies de prix peuvent elles doivent elles oublier le client Pourquoi Comment 19 La gestion de la relation client permet elle d optimiser la strategie de prix Faut il recruter fideliser par le prix Comment Le jury attendait donc cet effort de questionnement et d ouverture de la part des candidats afin qu ils mettent clairement en perspective les deux l ments forts du sujet GRC STRATEGIE PRIX Charge ensuite aux candidats de mobiliser leurs connaissances pour apporter des l ments de r flexion voire de r ponse dans un corpus acad mique d velopp autour de chacun des l ments Les recommandations aux futurs candidats Le jury souhaite rappeler aux futurs candidats que le traitement de la partie th orique de l preuve repose sur la pr sentation d une r flexion personnelle et structur e de haut niveau s appuyant sur les travaux des chercheurs et sp cialistes ainsi que sur les pratiques marketing des organisations l s agit alors
160. vi d un entretien d une dur e maximale de 20 minutes entretien au cours duquel les membres du jury posent au candidat une s rie de questions tr s vari es dominante conomiques et juridiques Ces questions ont une double finalit permettre au candidat de pr ciser des notions utilis es lors de l expos et v rifier la capacit de r flexion du candidat en TFinvitant prolonger et approfondir ses analyses Les membres du jury sont particuli rement attentifs au respect de la terminologie conomique et juridique la rigueur du raisonnement et a la clart des propos L entretien est galement marqu par des questions destin es r v ler les qualit s p dagogiques des candidats Comme les ann es pr c dentes les prestations peuvent se r partir en trois groupes distincts des prestations comportant un expos clair et fluide abordant les dimensions juridiques conomiques et sociales du sujet quitte mettre parfois l accent sur Pune d entre elles sans pour autant luder les autres Les concepts voqu s les analyses propos es les r f rences cit es sont g n ralement correctement ma tris s et servent une probl matique justifi e coh rente et solide Les r ponses aux questions pr cisions sur des d finitions de concepts 35 des auteurs des raisonnements ou des representations graphiques confirment les qualites demontrees lors de l expos des prestations caract ris es par un niveau de r
161. vva qui ne s av rent pas adapt s tous les cas Les candidats doivent approfondir leurs connaissances en mati re de th ories de la communication faire l effort de s approprier les courants th oriques r cents et d apporter un regard critique sur certaines th ories d j anciennes Toute analyse reposant sur le bon sens est est loin d tre suffisante pour traiter correctement un sujet Les propositions de solution Une bonne prestation pr sente une ou des solutions argument es reposant sur des fondements th oriques pr cis et prenant appui sur les donn es du cas l s agit d am liorer le fonctionnement de l organisation observ e ou de fournir une expertise technique en utilisant les concepts m thodes et ou outils qui semblent les plus pertinents en lien avec la r alit de l organisation pr sent e dans le cas Le jury appr cie la conviction du candidat tay e par des arguments pour d fendre ses choix Les propositions sont donc argument es adapt es sp cifiquement au cas Elles se r f rent d abord des principes d action qui sont ensuite d clin s en solutions concr tes op rationnelles mobilisant si besoin est des outils de gestion Les solutions apport es doivent tre formul es en coh rence avec l analyse conduite par exemple dans le sujet 3 les notions d quit d implication au travail permettaient d argumenter en faveur d une r vision des crit res de performance Cec
162. x et information 3 Fiscalit et d cision conomique 4 Droits de propri t et croissance l ments statistiques Nombre de candidats pr sents 102 Moyenne 7 54 Ecart type 3 22 Note la plus lev e 17 Note la plus basse 3 R partition des notes Nombre de candidats 0 notexs2 0 2 lt note s 4 17 4 lt note lt 6 28 6 lt note s 8 25 8 lt note s 10 14 10 lt note lt 12 8 12 lt note lt 14 6 14 lt note lt 16 3 16 lt note 1 Total 102 La moyenne de la session de 2009 est la plus lev e depuis six ans et son cart type galement Cela s explique par d excellentes prestations qui ont permis d attribuer quelques notes tr s lev es Commentaires de la commission Chaque jour un m me sujet est propos l ensemble des candidats interrog s pour cette preuve Ceux ci disposent de 5 heures de pr paration pour conduire leur r flexion sur le sujet propos et organiser leur prestation lls ont leur disposition des ouvrages de la biblioth que du concours et ont galement acc s leur documentation personnelle Dans tous les cas les sujets permettent aux candidats d aborder des dimensions conomiques juridiques et sociales notamment en rapport avec un contexte d actualit 15 n cessitent un effort important de r flexion et de probl matisation L preuve de TEJS commence par un expos d une dur e maximale de 40 minutes expos sui

Concours du second degré – Rapport de jury Session 2009

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