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Bamako, Septembre 2015

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1. pr senter le mod le MME_DNPD v pr senter les quatre comptes macro conomiques secteur r el finances Questions de recherche publiques balance des paiements et situation mon taire permettre aux membres statutaires du CPM de se familiariser le mod le existant initier les participants tout outil pertinent de pr vision macro conomique former aux logiciels associ s e g EXCEL EVIEWS et GAMS former les membres du CPM aux techniques d actualisation ou d int gration des donn es d un mod le Sous la supervision de la Direction nationale de la planification du d veloppement DNPD GREAT repr sent par le professeur Massa Coulibaly ici d sign par le terme consultant aura pour t ches v d laborer le module de pr vision des comptes macro conomiques secteur r el finances publiques balance des paiements et situation mon taire int gr e v d laborer le module simulation des politiques conomiques v d laborer un manuel d utilisation des mod les v d assurer la formation des utilisateurs La formation durera cinq jours avec un expos sur les mod les leurs hypoth ses et leurs quations et des cas pratiques sur les modules informatiques Il faut noter que le consultant r digera un cahier du participant Cependant la reproduction de ces cahiers et du manuel d utilisateurs n incombe pas au consultant Au sortir de la consultation les principaux r sultats attendus sont v la r daction d un rappor
2. Groupe de recherche en conomie appliqu e et th orique AC 001079 01 Juillet 2009 R fl chir changer PPLLLL RSS SSamake Obepiembre 201 BP E1255 Bamako Mali Tel 223 20 28 76 95 66 74 22 20 Email great greatmali net Fa ti 32 3 iS E d PE S A DUE ra LO v A Y DA VA at i S Fran ois Kon Responsable DEF W l Dre Sow TO DIC fl JW LA 1 y f 2 wE 1 fi A di ii 24 27 W l Badi gu Diallo comptable Di n ba Diarra assistante de recherche gt ais gt La ES K A Piar 3 i MES E PR F te 43 i i x Al r e gt yA p LE H Pr Massa Coulibaly Directeur ET Table des mati res ROSES e ed 3 E ar E a cl a NA 5 1 1 D mocratie et Gouvernance s ssesesesensesesesenseseseserseseseserseseseserseseseneesesesesensesesese 5 Ls VAI AMOR SN oi 11 los o a 17 ka Pavice EL PAVOS Ne a a 23 1 5 Offres diverses d tudes t d recherche M an nee 26 2 Engu ls RM as 32 Je Formation et rentorcement des CAPACIT S AE an tra iaEs 35 2 12 NO a a a tn ae ane tne 35 3 24 Rentorcementde Capac piola tits 38 4 CommunicatometintomMmatOl ii 39 Ye PUDHCATIONS ii le le else di ii lit loi le dia 41 5 1 SA 41 J2 COCA SAVOIE en te ae ee D 2 Ce ae Cine ct 42 dos Basede CONNAISSANCES Een Be cree nl bn ne Re et ste le en 44 OS DATA a D a nn 44 Om MASON CE TECHNO ICO SRE RE o 45 6 2 Admimistra
3. Cela semble d autant plus important que le Mali commence sortir de la situation de crise qui a failli remettre en cause les fondements m me de l existence de la nation malienne Enfin l avis des citoyens pourrait donner une 5 Revue de la litt rature M thodologie Donn es utilis es Principaux r sultats Recommandations plus grande l gitimit aux d cisions politiques de sortie de crise GREAT 2013 Le citoyen l Etat et la corruption R sultats du round 5 des enqu tes Afrobarom tre GREAT 2013 La d mocratie l preuve de la crise R sultats du round 5 des enqu tes Afrobarom tre GREAT 2013 Crise d mocratie et participation R sultats du round 5 des enqu tes Afrobarom tre GREAT 2013 D mocratie et participation citoyenne R sultats de sondage d opinion La d marche m thodologique est celle du sondage d opinion sous forme d interviews personnalis es sur la base d un questionnaire aupr s d un chantillon repr sentatif au niveau r gional Les donn es recueillies sont saisies sur CPRO avant de subir un traitement statistique sur les logiciels SPSS et Excel Les donn es proviennent essentiellement des enqu tes Afrobarom tre notamment le Rounds 5 5 Les trois raisons principales d occupation et de conflit du Nord sont les terroristes trangers la corruption et la convoitise des ressources naturelles Toutefois dans les zones jadis occup es la faiblesse de l Etat le dis
4. Dur e Organisateur Formateurs Afrobarom tre Summer School de modules relatifs SNS RS Introduction to Social Statistics Democracy and Public Opinion Democratic Accountability in Africa Gyimah Boadi OR Politics and Religion Corruption from the Grassroots Comparative Research Design and Comparative Methods Advanced Social Statistics Cap Town Afrique du Sud 16 Novembre 13 D cembre 2014 4 semaines UCI v Professeur Rajen Govender 38 Professeur Robert Mattes Professeur Gyimah Boadi Professeur Shaheen Mozaffar Dr Caryn Peiffer Professeur Dirk Berg Schlosser Dr Jean Brou Andre Gu gu houn Samantha Richmond Daniel Moody Thomas Isbell Sohyeon Kim Supports o KS Logiciel SPSS Participants 49 dont 2 du GREAT Certification Attestation de formation 4 Communication et information GREAT a particip la 5 conf rence des ministres de l emploi et de la formation professionnelle de l espace UEMOA Dakar du 26 au 28 mai 2014 organis e par l UEMOA La conf rence tait ax e sur la mobilit professionnelle et g ographique Pr sentations PowerPoint Documentation abondante en fichiers PDF Documentation en copies dures dans l espace UEMOA et la situation des pays par rapport l ing nierie des m tiers GREAT a particip des r unions du Comit de pr vision et de mod lisation CPM GREAT a pris part la restitution de l tude Relever le d fi de l emploi au M
5. PSSA financ par la Banque ouest africaine de d veloppement BOAD et mis en uvre au Mali En mati re de formation et de renforcement de capacit s on distingue les formations dispens es par le personnel de GREAT des formations recues par le personnel GREAT renforcement de capacit Ce sont au total 6 ateliers de formations anim s par GREAT v formation des journalises sur la pr sentation et la communication sur les r sultats des enqu tes Afrobarom tre v formation HHA Harmonization for health in Africa de la soci t civile des parlementaires et des m dias en analyse des budgets et plaidoyer pour la sant de la m re et de l enfant formation OBI Madagascar formation des cadres du CSLP et des CPS en analyse des donn es sous SPSS et r daction de rapport d tudes v formation des OSC en analyse budg taire au Burkina Faso v formation des cadres de la sant du d veloppement social de la promotion f minine et du PNLE o 2 ateliers de renforcement de capacit s du personnel GREAT Y Afrobarometer communication capacity building worshop Cape Town Y Afrobarometer summer school Cape Town SS Au titre des publications 4 rapports de recherche dans Les Great_Cahiers et 12 Policy briefs 1 par mois dans Le Great_Savoir ont t publi s au cours de l ann e 2014 Par ailleurs la mise jour quotidienne de la Base de connaissance sur le site www greatmali net a continu tout au long de l ann e Les
6. ducation dans le total v l g re augmentation du budget des secteurs sociaux hors ducation et sant qui repr sentent moins de 4 des allocations budg taires totales du pays Recommandations Du c t des r alisations Y augmentation des d penses effectives de tous les secteurs v faible part des d penses publiques dans la sant 10 peine difficile dans ces conditions d atteindre les objectifs du PRODESS ou OMD 5 v fort taux d ex cution des d penses d ducation et des autres secteurs sociaux comparativement celui du budget d tat Hors budget v financements extrabudsg taires en faveur de la sant et de l ducation travers PISE III et PRODESS II amp Evaluation des finances publiques de la Tunisie La mission s inscrit dans le cadre du projet conjoint IBP CABRI d valuation des finances publiques des pays membres du r seau CABRI En effet lors de la 47e Assembl e annuelle de la Banque africaine de d veloppement BAD en 2012 les ministres des finances et les Gouverneurs des pays membres ont approuv une d claration politique sur la bonne gouvernance financi re BGF publique Pour mesurer le chemin parcouru CABRI et IBP ont lanc un programme conjoint de trois ans en vue de respecter les engagements pris pour am liorer la Probl matique transparence des finances publiques Dans ce cadre le gouvernement de la Tunisie a initi une revue par CABRIVIBP sur la transparence des finance
7. enqu te Publication Principales activit s SAT SN CLOS 33 Enqu te Fafo TEDT o Objet Islamisme au Mali implications pour les futures politiques publiques Caract ristiques sociod mographiques Conflit S curit Loisirs et r f rence Confiance Gouvernance Corruption Religion Droits et devoirs des femmes Conditions de vie Situation conomique du pays Partenaire Fafo Norv ge Dur e 16 mois P riode Juin 2014 septembre 2015 L enqu te a touch au total 1350 individus g s de 18 ans et plus dans les r gions de Kayes Koulikoro Sikasso S gou Mopti et le district de Bamako Finalisation du questionnaire Reproduction du questionnaire Recrutement et formation des enqu teurs Collecte des donn es sur terrain Saisie et gestion des donn es sur CsPro Cr ation et gestion des bases de donn es sur SPSS Apurement et analyse des donn es R daction du Rapport d enqu te Diss mination et publication des r sultats d enqu tes Domaine d investigation SN A Echantillon Principales activit s A A 34 3 Formation et renforcement des capacit s d activit s et son plan strat gique Ces activit s concernent non seulement les formations dispens es par GREAT au profit de ses partenaires et groupes cibles ateliers de formation mais aussi les formations suivies par le personnel et les collaborateurs de GREAT pour un renforcement de leur capacit en vue de
8. gions 14 conseillers relais sont charg s d analyser les demandes des producteurs afin d aboutir en des projets de formation insertion Ces projets sont remont s au niveau des Conseils r gionaux et leur pertinence conomique est analys e A la suite de ce processus les projets formation insertion sont financ s travers une convention Comme stipul dans les termes de r f rence l objectif g n ral de la pr sente tude est de d crire la situation socio conomique et professionnelle de d part avant les Questions de recherche formations des jeunes concern s par les interventions du programme dans les r gions de Koulikoro et de S gou partir d indicateurs pertinents en vue d en suivre l volution et d en valuer les effets Pour atteindre les objectifs de l tude la m thodologie g n rale est celle de la mesure d impacts de projets sur les b n ficiaires en l occurrence celle du Programme FIBANI sur les ruraux Les indicateurs de mesure concernent aussi bien les conditions de vie des m nages que celle des jeunes eux m mes et probablement les Contexte M thodologie 28 conditions d exploitation de leurs AGR Les donn es n cessaires cette analyse seront collect es par des enqu tes quantitatives par questionnaires un aupr s des m nages et l autre aupr s des jeunes pris individuellement L tude de la situation de d part se fera en les tapes suivantes l chantillonnage le choix des indicateurs
9. utilisateurs des drogues injectables dans la ville de Sikasso v la mesure des niveaux de comportement risque en mati re d IST VIH Sida chez les UDI v la mesure des niveaux de connaissances d attitudes et de pratique en mati re d IST VIH Sida v la cartographie des sites de rencontre des UDI dans la commune urbaine de Sikasso v l estimation de la taille de la population des UDI dans la commune urbaine de Sikasso Le plan de travail comprend en plus du chronogramme proprement dit des activit s la description sommaire de l enqu te de terrain et l activit conjointe de double saisie d apurement et de traitement des donn es Il est galement pr vu que GREAT participe l laboration du protocole de recherche et sa soumission au Comit d thique de l INRSP activit s qui ne rentrent pas en compte dans le d compte de la dur e de la consultation Les outils de collecte de donn es comprennent le questionnaire en nombre suffisant pour l enqu te des bics et des blocs notes et autres GPS pour chacun des agents de terrain Pour ce qui est du questionnaire PSI Mali rendra disponible une premi re version laquelle version devra tre adapt e puis finalis e et pr test e lors de la formation des enqu teurs et superviseurs Le d ploiement sur le terrain n cessitera 2 quipes de superviseurs enqu teurs La norme de travail est fix e a environ 2 UDI par jour et par enqu teur Les enqu teurs comme les superviseur
10. veloppement travers l atteinte des trois objectifs budg taires principaux savoir la discipline budg taire l allocation strat gique des ressources et la prestation efficiente des services publics Aussi est 1l tabli que o la ma trise effective des agr gats budg taires et la gestion des risques budg taires contribuent maintenir la discipline budg taire globale o la planification et l ex cution du budget fond es sur les priorit s nationales facilitent la r alisation des objectifs du gouvernement o la bonne gestion de l utilisation des ressources budg tis es facilite la prestation efficiente des services et l utilisation optimale des ressources Au Mali le processus de pr paration et d ex cution budg taire est encadr d une part par le CSCRP qui pr cise les principales d penses de d veloppement et d autre part par un cadre juridique et r glementaire de gestion des finances publiques loi n 096 60 portant finances publiques au Mali Du coup la diff rence entre les d penses r elles totales et les recettes r elles totales par rapport au budget approuv initialement est relativement faible 2011 2013 N anmoins un effort en mati re d exhaustivit et de transparence reste faire au vu des r sultats des diff rentes valuations Dans l ensemble les syst mes de contr le et de v rification interne comme les mesures de contr le des engagements de d penses sont op ratio
11. Capacity Building Workshop A A A A aaa N Afrobarom tre Round 6 protocole et activit s de diffusion Relations avec les intervenants du b timent Travailler avec les d cideurs La planification des v nements de diffusion Post diss minations et activit s pilotes de communication Comment tirer le meilleur des m dias sociaux S lection d un bon sujet parler de chiffres diff rents publics Introduction aux mod les Afrobarom tre Pr paration d une pr sentation PowerPoint l aide de mod les AB Pr paration d un AB Dispatch Pr paration d un document d orientation Pr paration des communiqu s de presse efficaces D velopper des cartes avec l outil d analyse en ligne de AB Pr sentation des comp tences parler des publics diff rents Pr sentation de la simulation Technique d entrevue efficace Comp tences en mati re de pratique d entrevue Strat gies de communication en situation de crise AB Suivi et valuation Evaluations Wrap up Cape Town 29 31 Octobre 2014 3 jours Afrobarometer en collaboration avec L universit de Cape Town UCT Democracy in Africa Research Unit DARU Centre for Social Science Research CSSR SAS A ANSSSNS Samantha Richmond Gerard Gu d gb Anthony Wafula Mina Okuru Sibusiso Nkomo Carleen Shoy Pr sentations PowerPoint 20 partenaires nationaux dont 1 de GREAT Attestation amp Ecole Afrobarom tre Th me Modules de formation Lieu P riode
12. Durant l exercice 2014 GREAT a men des activit s de mener bien leurs activit s quotidiennes formation et de renforcement de capacit s conform ment son programme 3 1 Ateliers de formation Atelier de Formation des journalistes Th me Modules de formation Lieu P riode Dur e Organisateur Formateur Supports Participants Certification Publication des r sultats d enqu tes Afrobarom tre v Pr sentation du site Afrobarom tre v Travaux pratiques de r daction d article de presse Y Programmation des commandes statistiques Y Analyse des donn es et tabulation v Plans de r daction des rapports th matiques H tel Olympe Bamako 22 avril 2014 1 jour Afrobarom tre et GREAT Massa Coulibaly de GREAT Richard Houessou de IREEP G rard Guedegbe de IREEP Pr sentations PowerPoint Bases de donn es Afrobarom tre Logiciel Excel 22 journalistes IS ANYS Sans objet amp Atelier r gional HHA Harmonization for Health in Africa Th me Modules de formation Lieu Renforcement des capacit s de la soci t civile des parlementaires et des medias dans l analyse des budgets et le plaidoyer pour la sant de la m re et de l enfant Pr sentation de HHA objectifs aper u de l atelier r sultats attendus La sant de la m re et de l enfant en Afrique de l Ouest Redevabilit planification et budg tisation sensible au genre Structurer un plaidoyer pour une budg tisation juste et qu
13. Envoi des questionnaires remplis World Economic Forum Principales activit s Enqu te OBI Objet Mesure de la transparence budg taire Construction d indice de transpence Domaine Y Processus budg taire d investigation Partenaire OBI Dur e 18 mois P riode Octobre 2013 septembre 2015 Echantillon Budget et documents budg taires Y Recueil de documents aupr s du Minist re de l conomie et des finances de l Assembl e nationale et de la section des comptes de la cour supr me Principales activit s Y Remplissage du questionnaire Y Diss mination des r sultats aupr s des d cideurs de la soci t civile et de la presse Enqu te Afrobarom tre Objet Sondage d opinion des maliens g s de 18 ans et plus Y D mocratie Y Gouvernance m S Y Education Domaine d investigation Relison v Ins curit Y R conciliation nationale Partenaire Afrobarom tre Dur e 14 mois P riode Novembre 2014 d cembre 2015 Echantillon 1200 Adultes R unions des stakeholders Adaptation du questionnaire Recrutement et formation des enqu teurs Enqu te sur le terrain Supervision des enqu tes sur le terrain Saisie et gestion des donn es sur CsPro Cr ation et gestion des bases de donn es sur SPSS Apurement de la base de donn s Traitement et analyse de la base des donn es R daction des rapports th matiques et des communiqu s de presse Diss mination et publication des r sultats d
14. Y Neil Cole secr taire ex cutif CABRI Y Paolo de Renzio senior research fellow IBP L atelier avait pour objet de soutenir les r formes en mati re de transparence des finances publiques et de participation en Afrique Les sujets discut s sont la restitution de l tude de transparence en RDC les le ons tir es par le minist re du Kenya le point de la participation des OSC dans le processus budg taire les r formes des finances publiques en RDC l am lioration des m thodologies des valuations la programmation des valuations de la Tunisie et du Ghana UP D ayah Atelier sur le cadrage macro conomique Th me Public cible Date Lieu Animateur Compte rendu Cadrage macro conomique 2014 2016 Y DNPD Y DGB v Partenaires techniques et financiers Y Organisations de la soci t civile 16 17 mai 2014 Bamako Massa Coulibaly La communication a port sur la transition fiscale et a abord les points suivants Y La contexte g n ral de la transition fiscale v La structure de la fiscalit Y Les d terminants de la fiscalit de Publications 5 1 Les Great_Cahiers Titre Les d terminants des d penses de sant des m nages ELIM 2010 Num ro 4 Date de publication Janvier Mars 2014 Auteurs Salah Mahamane Diallo Nombre de pages 33 pages Nombre d exemplaires 200 Support de publication Papier Internet 41 Titre Num ro Date de publication Auteurs Nombre de pages Nomb
15. de l analyse Lieu Tenkodogo Burkina Faso P riode 27 31 octobre 2014 Dur e 5 Jours Organisateur Family Care international Formateur Manuela Garza IBP et Hermann Doanio CIFOEB Boubacar Bougoudogo GREAT Supports Pr sentations PPT Participants OSC membres du projet MACS de FCI Certification Sans objet Atelier de Formation en analyse de donn es sur SPSS Analyse th matique de donn es sur SPSS et techniques de r daction de Th me pr rapports d tudes Y Choix des th mes d tude v Identification de variables et choix d indicateurs v Cr ation de nouvelles variables l v Interface SPSS Modules de formation Y Menus SPSS Y Programmation des commandes statistiques v Analyse des donn es et tabulation v Plans de r daction des rapports th matiques Lieu Amphi II et Amphi III de l INRSP Bamako P riode 17 27 d cembre 2014 Dur e 10 jours Organisateur CPS Sant v Massa Coulibaly de GREAT Formateur v Binta Coulibaly de GREAT v Aoua Saran Demb l de GREAT v Pr sentations PowerPoint Supports Y Bases de donn es EMOP 2011 et MICS ELIM Y Logiciel SPSS Participants 41 cadres de la Sant d veloppement social promotion f minine et PNLE Certification Sans objet 37 3 2 Renforcement de capacit s Afrobarometer Communications Capacity Building Workshop Th me Modules de formation Lieu P riode Dur e Organisateur Formateurs Supports Participants Certification Afrobarometer Communications
16. des 15 requis dans la d claration d Abuja fix comme objectif panafricain L acc s l accouchement assist par du personnel qualifi est positivement li au niveau d instruction de la m re et n gativement li la pauvret mon taire d o l laboration et la mise en uvre de programmes cons quents de formation des femmes et singuli rement l ducation des filles Le syst me national de protection sociale au Mali exclut d j les actifs du secteur informel les ruraux et donc la majorit des enfants il serait important d imaginer des m canismes de prise en charge des exclus du syst me de s curit sociale En ce qui concerne l excision il faut une rupture de cha ne entre la m re et l enfant pour esp rer son abandon significatif au Mali Cette rupture peut tre aliment e par l ducation de la jeune fille l impact des actions de lutte contre l excision que m nent les organisations de la soci t civile et leurs partenaires y compris des organismes internationaux comme l UNICEF Pour la promotion des droits des enfants bien d instruments internationaux et nationaux de protection de l enfance existent et doivent tre appliqu s Qu il s agisse de la Convention relative aux droits de l enfant la Convention sur l limination de toutes formes de discrimination l gard des femmes avec une section portant sur la petite fille la Charte africaine des droits et du bien tre de l enfant et la Politique nationale de p
17. enfants en milieu scolaire au Mali Education for Change Ltd ao t Y Banque Mondiale 2014a La mise disposition effective de biens et services dans les secteurs sociaux ducation et sant Etude sur les contraintes de gestion des finances publiques et des passations de march Bamako avril Y Banque mondiale 2014b Bureau r gional Mali Niger Tchad Aide m moire Revue de la Mali Mission de soutien la mise en oeuvre du projet d urgence sur les filets litt rature sociaux Jigis m jiri Mission du 22 au 30 avril 2014 Bamako le 23 juin Y Banque mondiale 2014c Taux d ach vement de l cole primaire v Banque Mondiale 2011 Mali Social safety nets Washington Human development department Social protection unit Africa region pp 169 v Br hima B ridogo 2002 Etude sur les violences faites aux femmes Y Conseil norv gien pour les r fugi s 2013a Enqu te sur les conditions de vie et la situation abri des personnes d plac es internes au Mali Rapport Bamako mars La m thodologie a combin v analyse documentaire pour d crire le contexte les indicateurs de niveau de vie M thodologie des m nages de bien tre des enfants de moins de 18 ans le traitement et l analyse de donn es d enqu te R daction de rapport Donn es EDSM V 2012 2013 Donn es sur l enqu te nutritionnelle et de mortalit r trospective Donn es de l EMOP Donn es de l enqu te ELIM MICS de 2010 Divers rapp
18. enseignement fondamental plus lev dans les communes abritant des mines ainsi que celles avoisinantes v sites d orpaillage situ s dans des bas fonds le long des cours d eau dans le voisinage imm diat des for ts ou dans les for ts et assez proches des principaux axes routiers posant des probl mes de pollution des cours d eau et nappes phr atiques de d boisement des for ts et de circulation des personnes Il ressort de l analyse qu il faut davantage d appui au d veloppement local des zones mini res avec une plus grande insertion du secteur minier dans les plans et strat gies de d veloppement comme le Cadre strat gique pour la croissance et la r duction de la pauvret CSCRP A cet effet l instar d autres pays Bhushan et al 2012 il faut une v ritable autorit nationale de r gulation de l activit mini re qui puisse prendre Recommandations en charge les questions de redevances de r glement des litiges et autres aspects li s l exploitation mini re Un tel organe serait renforc dans ses missions par la mise disposition d un fonds min ral Il travaillerait par exemple l am lioration de la gouvernance et de la transparence dans le secteur la mutualisation de certains investissements et la formation de ressources humaines locales en faveur de l extraction mini re Principaux r sultats NS EN amp Impacts des APE sur les recettes douani res du Mali Calendrier de d mant lement tarifaire Of
19. ne dispose pas encore d information afin qu ils puissent l tre le long de la phase H L tude privil gie l analyse documentaire et l enqu te sur le terrain L analyse documentaire tablira tous les indicateurs du programme conjoint tels qu ils puissent tre obtenus de la mise en uvre de la phase I 2011 2013 en m me qu elle sera mise en contexte national et r gionale L enqu te sur le terrain comprend une enqu te quantitative par questionnaire et des entretiens qualitatifs aupr s de groupes cibles susceptibles d aider mieux comprendre les obstacles aux changements de comportements d attitudes et de pratiques vis vis de la probl matique des MGF A cet effet deux outils distincts seront d veloppement savoir un questionnaire et un guide d entretiens La population de base de l enqu te sur le terrain est constitu e des m nages des 60 communaut s villageoises qui seront s lectionn es par le PNLE dans les 3 r gions du Programme raison de 20 par r gion Pour chacune de ces 60 communaut s 1l sera retenu un chantillon al atoire de 15 m nages parmi l ensemble des m nages renfermant au moins une fille g e de 0 10 ans soit au total 900 m nages Au pr alable donc la liste des m nages de la communaut avec des filles de 0 10 ans sera tablie pour servir de base de tirage des 15 m nages Il est attendu de cette tude v un r sum ex cutif v les r sultats de traitement de donn es d enqu te quantitative avec d
20. r solution des conflits La justice et la r conciliation L ducation civique Le retour de l administration au Nord La possibilit de diffuser les r sultats dans les universit s et ailleurs A amp Atelier 3 de diss mination des r sultats Afrobarom tre Bamako Th mes Public cible Date Lieu Animateurs Compte rendu L Etat d esprit des maliens refl te un regain d esp rance Perceptions populaire des causes et cons quences du conflit au Mali Presse crite orale et audiovisuelle Les PTF Les universitaires Les ONG Les structures publiques 29 mars 2014 Bamako Massa Coulibaly La pr sentation s est faite suivant le plan suivant v le r le des diff rents acteurs dans le retour la paix v l utilisation des r sultats des lections au niveau de la DGE et autres structures v les causes du conflit v la proportion des femmes dans l chantillon O 40 v la n cessit de la signature d un accord entre le Mali et les groupes arm s v le r le des institutions pour le retour de la paix Y l explication des concepts de bonne direction de violence v la suite donner aux r sultats d enqu te en terme de politiques amp Atelier de mi parcours de CABRI IBP Th me Public cible Date Lieu Animateurs Compte rendu Evaluation mi parcours du projet Y Organisations de la Soci t civile OSC V Les gouvernements 05 06 f vrier 2014 Pretoria Afrique du Sud
21. recherche Analyse documentaire R daction de rapport Dispositions l gislatives et r glementaires organisant les missions des minist res Rapports d entretiens Rapports d tudes et de recherche sur les finances publiques en Tunisie Documents divers Un calendrier institutionnel th oriquement pr cis mais non respect qui ne favorise pas le processus participatif dans la pr paration du budget Peu de respect des r gles tablies pour l ex cution des budgets malgr la mise en uvre de manuels de proc dures de qualit et en particulier le non respect des r gles limitant le recours aux proc dures exceptionnelles de d penses Principaux r sultats v Une transparence insuffisante au niveau de l ex cution du budget statistiques financi res et au niveau des contr les rapports de v rification Y Le manque de coordination des structures de contr le interne et le manque de collaboration entre ces derni res et les structures de v rification externe v La faiblesse des v rifications externes Cour des comptes et Parlement sur l ex cution des budgets v A la lecture du projet de loi organique l quipe de revue recommande de r duire les exceptions au droit d acc s l information qui sont list es au chapitre IV de cette loi organique Y L quipe sugg re d inclure dans le projet de LOB la date du 30 09 comme une date limite de transmission du projet de loi de finances l autorit l gislative ceci ne c
22. sur les services PF re us et l valuation de leur co t Y 99 des clients sont satisfaits de l attitude globale du prestataire Y 97 des clients ont b n fici de la m thode de leur choix Y 98 estiment que le prestataire a tenu compte de leurs pr f rences et souhaits Le prix des services PF n est pas une cause limitative de l utilisation de la contraception Ce sont plut t l accessibilit g ographique les barri res socioculturelles et religieuses et la disponibilit limit e des produits qui freinent l engouement des femmes pour la PE surtout en milieu rural Le perfectionnement professionnel par les mises niveau selon les donn es acquises de la science et la formation de gyn cologues de sages femmes d infirmi res obst triciennes etc sont des voies explorer pour promouvoir l accomplissement correct et efficace de l obligation m dicale et du service public hospitalier en mati re de sant maternelle sant de la reproduction Cela contribuerait viter les manquements l obligation de renseigner et d obtenir le consentement aux fins de l am lioration durable des indicateurs et respecter le secret professionnel 1 3 Analyse budg taire Analyse de la gestion des finances publiques De quoi m diter y PEN LE FLASH Un bon syst me de gestion des finances publiques permet aussi bien la mise en uvre des politiques nationales que la r alisation des objectifs de d
23. tres des ordres modernes plut t guerriers ou religieux A la suite des ordres de l honneur et du m rite une myriade de prix d excellence a t cr e travers le monde Tout ou presque peut tre d sormais r compens l entreprise l quipe sportive le joueur l tudiant etc L honneur est c toy par des m dailles de toutes sortes et des esp ces sonnantes et tr buchantes la gloire est tutoy e par l argent l admiration par le privil ge C est l exaltation de l effort et de la performance un v ritable darwinisme opposant les meilleurs aux loosers ces derniers tant faits coupables de n avoir pas su ou pu grimper l arbre de l excellence pardon sur le podium Le meilleur est d sormais celui qui gagne puisque celui qui gagne est le meilleur Il est heureux que le m rite soit reconnu distingu et valoris Le m ritant n en est que plus fer plus enclin se surpasser perp tuellement pour son bonheur et probablement pour le bien tre de la collectivit ne serait ce que par l exemple et donc la multiplication de singularit s jusqu l largissement de sa base Mais force est de constater que l excellence ne peut ou n a jusqu ici pas pu se g n raliser En cons quence l exaltation de l excellence au tr ne de la cons cration est c l bration de quelques singularit s individuelles m me si la r ussite est d cr t e tre la port e de tout le monde au moins de tous ceux qui se tuent la t che
24. 2011 ED EFA MRT P1 07 juin A l v Analyse documentaire HN v R daction de rapport Y Lois de finances du Mali idas v Situations d ex cution trimestrielles du budget du Mali Y Rapports d tudes et de recherche sur les finances publiques au Mali Y Documents divers vV Le budget total allou aux secteurs sociaux est pass de 212 milliards de fcfa en 2010 171 milliards en 2014 soit une diminution d un peu plus de 5 l an Principaux r sultats V Le budget d Etat a augment de 5 en moyenne par an entre 2010 et 2013 passant de 1 276 milliards de fcfa a 1 481 milliards de fcfa augmentation en faveur des autres secteurs qui ont vu leur budget cro tre en moyenne de 7 en moyenne par 20 an contrairement aux budgets allou s aux secteurs sociaux qui ont diminu de presque 1 en moyenne par an Y Que ce soit les pr visions ou les r alisations la part allou e la sant n atteint pas 10 au Mali Pire l on constate une diminution des d penses de la sant entre 2010 et 2013 soit respectivement 11 pour les pr visions et 9 pour les r alisations contrairement au budget global qui augmente de 5 sur la m me p riode Du c t des pr visions v augmentation continue entre 2010 et 2014 du budget d tat versus diminution des allocations aux secteurs sociaux Y baisse du budget de la sant avec le retrait des partenaires ext rieurs suite aux v nements de 2012 vV baisse de la part relative du budget de l
25. AO UE de l APE ont permis d aboutir des r sultats acceptables pour les deux parties Le taux d ouverture du march de l AO conjointement accept par les deux parties est d sormais de 75 Par contre le d mant lement des droits se fera de fa on progressive sur 20 ans avec une classification des produits Groupes A D Cette tude cherche estimer dans le cas du Mali les pertes de recettes de porte suite l entr e en vigueur de l accord partir du 1 octobre 2014 Quelles seraient les pertes de recettes douani res imm diates et futures la suite de l APE et quelles seraient ces pertes si en plus l union douani re de la CEDEAO entrait en vigueur Les recettes douani res constituent encore une partie importante des recettes publiques du Mali Un d mant lement tarifaire du commerce ext rieur risque de porter un coup la capacit de l Etat financer ses politiques de d veloppement Pour anticiper et trouver des sources alternatives de financement 1l importe de faire au pr alable une valuation des pertes de recettes subir Y Comit minist riel de suivi des APE 2014 compte rendu du r sultat de la r union des n gociateurs en chef du 6 02 2014 Dakar Y Tableaux crois s dynamiques sur Excel Y Donn es de 2013 sur les tarifs et les recettes de porte des douanes maliennes Pertes de recettes douani res pour le Mali estim es Y 96 milliards de francs CFA au titre de l APE s
26. EI E MO VE ET ie A A E CO CERO BC A gi Bao en 2 YN o lt O 5 op S fa Techniques de cadrage macro conomique Mai Juin CE SE Th ses Septembre Eviews GREAT Novembre Ms Project 3 jours Excel 2 jours nn jours PAG E Echantillonnage informatique Novembre 3 jours Ecole Afro J uillet Formation analyse budg taire E DS ES E Capacitation en analyse budget Gestion Base de connaissances Novembre Publications ong s annuels ong s annuels Septembre D cembre 53
27. GET ET PE L EDUCAT OH s WUD Lo NATONALE Les performances relatives du Mali n arrivent pas r duire significativement la pauvret et les in galit s De plus les quelques avanc es significatives macro conomiques jusqu ici obtenues risquent d tre compromises suite la double crise sociopolitique et s curitaire qu a connu le pays en 2012 avec son cort ge de d placements de populations et de destruction d infrastructures et de biens publics et dont les cons quences continuent de miner la paix et la stabilit Il n en demeure pas moins que la satisfaction des droits conomiques et sociaux des citoyens dont l acc s aux services sociaux de base est au c ur de l action publique tant au niveau national que subnational dans un contexte de renforcement de la d centralisation voire de r gionalisation Au cours des cinq derni res ann es le gouvernement alloue pr s de 300 milliards fcfa par an aux secteurs sociaux de base travers un certain nombre de plans et programmes CSCRP OMD PRODESS PRODEC PNG etc Toutefois ce montant a connu une baisse significative entre 2010 et 2014 suite la crise de 2012 qui eu pour cons quence le retrait des partenaires techniques et financiers d o d importants gaps de financement des politiques sociales Cela est d autant plus d plorable que dans le m me temps le budget d Etat dans son ensemble a augment en moyenne de 5 1 entre 2010 et 2014 passant d
28. LANGUE MAIS ON NE DONT PAS PARLER LE M ME f Dans l enqu te Afrobarom tre de d cembre 2012 les maliens mettaient en avant comme tant les premi res causes de la grave crise sociopolitique que traversait leur pays le manque de patriotisme des dirigeants et la faiblesse de l Etat En ce temps la plupart des maliens avaient perdu confiance en la classe politique et en les politiciens Une ann e plus tard cependant une enqu te Afrobarom tre de suivi d cembre 2013 r v le que les terroristes trangers et la corruption sont plut t les deux premi res causes du conflit et de l occupation du Nord Le changement de perceptions sur cette question en l espace d une ann e s explique par le changement dans la nature et l amplitude de la crise La crise est pass e de l occupation des deux tiers du territoire la guerre en passant par l intensification du radicalisme dans la gestion par les occupants des zones occup es et la multiplication de leurs actes d interdiction et de punition Ensuite le changement de perceptions s explique aussi par l organisation pacifique d lections pr sidentielles et l gislatives avec des taux record de participation du citoyen malien de telles op rations depuis l av nement de la d mocratie en 1992 plus de 50 aux pr sidentielles et un peu moins de 50 aux l gislatives Ces lections jug es libres et honn tes expliquent leur tour que la n cessit de recourir la violen
29. MSIS Y Serge PGDI Y Discussions et changes 13 Sans objet Atelier de formation en analyse de donn es Theme Modules de formation Lieu P riode Dur e Organisateur Analyse th matique de donn es sur SPSS et techniques de r daction de rapports d tudes Choix des th mes d tude Identification de variables et choix d indicateurs Cr ation de nouvelles variables Interface SPSS Menus SPSS Programmation des commandes statistiques Analyse des donn es et tabulation Plans de r daction des rapports th matiques Salle de R union de CT CSLP Bamako 18 29 ao t 2014 10 jours Cellule Technique CSLP DR CS CEE CN 36 Massa Coulibaly de GREAT Sira Traor de GREAT Aoua dite Saran Demb l de GREAT Pr sentations PowerPoint Bases de donn es EDS 5 Bases de donn es MICS ELIM Logiciel SPSS Participants 11 cadres des CPS Formateur Supports RE SNS Certification Sans objet amp Analyse budg taire Th me Atelier d analyse budg taire au profit des OSC du Burkina Faso v Introduction au travail budg taire de la soci t civile Y Le processus budg taire et ses acteurs principaux au Burkina Faso Y Les documents budg taires cl s Modules de Y Acc s l information la transparence et la participation dans le processus formation budg taire Y Apprendre lire le budget du Burkina Faso v Calculs budg taires cl s v interpr tation et repr sentation graphique des r sultats
30. Un an plus tard cependant une enqu te de suivi d voile un regain d espoir dans l avenir En d cembre 2013 les deux tiers des Maliens consid rent que le pays se L tat d esprit des maliens refl te un regain d esp rance Comment s explique ce revirement remarquable de l tat d esprit des Maliens Ce volte face de l tat d esprit collectif en l espace d une ann e est attribu e plusieurs avanc es positives Il s agit notamment de l am lioration de la s curit de la restauration d un gouvernement librement lu et de la hausse de la confiance dans la reprise conomique De fa on peut tre inattendue les habitants des trois r gions du nord du Mali ainsi que les personnes d plac es les principaux groupes victimes de la crise sont particuli rement optimistes quant la direction dans laquelle s engage le pays Mais ils restent toutefois confront s des d fis majeurs parmi lesquels figurent l instabilit de la paix et les in galit s persistantes dans le d veloppement r gional dirige dans la bonne direction v Il s agissait de recueillir les perceptions des maliens sur la direction du pays des Probl matique Pertinence politique Revue de la litt rature M thodologie Donn es utilis es SK T probl mes majeurs du pays et sur d autres d fis majeurs Il ressort de tout cela une certaine esp rance des maliens qui pourrait s expliquer par une am lioration d
31. activit s de communication ont port sur o la diss mination des r sultats Afrobarom tre 5 5 Bamako aupr s de la presse des PTE des universitaires des ONG et de l administration publique la diss mination des r sultats de l valuation mi parcours du projet CABRI IBP Pretoria en Afrique du Sud aupr s des OSC et des gouvernements la diss mination de r sultats de recherche de GREAT Bamako aupr s de DNPD DGB des PTF et des OSC Le fonctionnement institutionnel du groupe s est poursuivi normalement avec l ex cution du programme d activit 2014 par la direction ex cutive travers ses 4 d partements sous la supervision du Conseil d orientation qui s est r uni pour valider le rapport d activit s 2013 puis examiner et adopter le programme d activit s 2014 Les r unions du personnel se sont tenues au gr des besoins et pour faire l tat d ex cution et la programmation des activit s dont la r alisation a donn lieu 12 ateliers r sidentiels hors de Bamako La gestion administrative et financi re s est faite travers la tenue de la comptabilit le suivi budg taire avec le logiciel Sage Comptable et l analyse de la structure des d penses et des sources de financement Il faut aussi noter l adoption d un manuel de proc dure administratif et financier P Etudes et recherche 1 1 D mocratie et Gouvernance Perceptions populaires des causes et cons quences du conflit au Mali ON PARLE LA M ME
32. ali organis e par la Cellule technique CSLP du 11 juin 2014 GREAT a aussi particip la r union du Comit ex cutif du r seau Afrobarom tre du 11 au 13 d cembre 2014 au Cape Town en Afrique du Sud 39 amp Atelier 1 de diss mination des r sultats Afrobarom tre Bamako Th mes Public cible Date Lieu Animateurs Compte rendu S La demande pour la d mocratie est en hausse en Afrique mais la plupart des dirigeants politiques ne r pondent pas aux attentes La d mocratie malienne se r tablit le r gime militaire suscite encore une admiration Presse crite orale et audiovisuelle Les PTF Les universitaires Les ONG Les structures publiques 23 avril 2014 Bamako Massa Coulibaly La pr sentation s est faite suivant le plan suivant Y La demande de la d mocratie Y L offre de la d mocratie Y La d mocratie malienne se r tablit V Le r gime militaire suscite encore une admiration SK amp Atelier 2 de diss mination des r sultats Afrobarom tre Bamako Th me Public cible Date Lieu Animateurs Compte rendu Les maliens veulent un pays uni et que Justice soit faite au lendemain du conflit Y Presse crite orale et audiovisuelle Y Les PTF Y Les universitaires Y Les ONG Y Les structures publiques 16 mai 2014 Bamako Massa Coulibaly La pr sentation s est faite suivant le plan suivant La redevabilit La diversit des crimes Les m canismes endog nes de
33. ances publiques v Analyse du budget social de l Etat du Mali Y Evaluation des finances publiques de la Tunisie o Pauvret et privations v Analyse de la situation des enfants au Mali Y Construction d une matrice de comptabilit sociale o Offres diverses d tudes et de recherche Pour fournir les donn es n cessaires aux tudes et recherches les enqu tes suivantes ont t conduites o World Economic Forum WEF Open Budget Index OBI o Afrobarom tre round 6 o FAFO Dans le cadre de la mobilisation de ressources diverses offres ont t adress es des partenaires et collaborateurs On citera entre autres o Offre pour la documentation des indicateurs du cadre logique du Programme conjoint MGF E UNICEF UNFPA et l tude CAP dans 60 villages des r gions de Kayes Koulikoro Sikasso o Offre pour augmenter la performance du mod le de pr vision du cadre budg taire moyen terme Offre pour l appui la mise en place d outils de suivi valuation du FIBANI tude sur la situation de d part o Offre pour l valuation du potentiel de d veloppement conomique local Cas d une Commune urbaine et d une commune rurale o Offre pour la formation des cadres de la DNPD sur les mod les de pr vision macro conomiques o Offre pour une tude sur les utilisateurs de drogue injectable dans la commune urbaine de Sikasso o Offre pour l valuation d impact du Programme sp cial de s curit alimentaire
34. cateurs d ducation et de sant Les pr visions de croissance r elle du PIB sont de 3 9 en 2014 et de 4 6 l horizon 2016 Le PIB courant obtenu devrait s tablir en 2014 5 894 milliards fcfa pour s lever 7 449 en 2017 Les fortes variations de prix et les incertitudes de la demande internationale induisent une forte variabilit des exportations d or et de coton et donc des recettes d exportation Il y a aussi une forte volatilit non seulement dans les recettes fiscales totales mais aussi dans ces l ments constitutifs que sont les imp ts directs et les imp ts indirects En d pit du faible niveau des indicateurs socio conomiques de la volatilit des recettes fiscales et d exportation et du manque de diversification de l conomie l espoir est permis que le pays reprenne le chemin d une croissance durable et quitablement r partie Pour cela il faut une application rigoureuse des r gles budg taires et de passation de march pour r tablir la confiance des entreprises des consommateurs et des bailleurs de fonds Il faut aussi pr server la stabilit macro conomique en maintenant le solde budg taire de base proche de z ro et le solde budg taire global un niveau compatible avec la viabilit de la dette et mettre en uvre des r formes pour am liorer le climat des affaires notamment en renfor ant la gouvernance et en d veloppant les efforts de lutte contre la corruption 12 amp Impact socio conomique de l
35. ce pour une bonne cause soit per ue par actuellement un malien sur cinq contre pr s d un malien sur trois un an auparavant Un des d fis majeurs de la gouvernance au Mali demeure le maintien et l approfondissement de la confiance entre les maliens et leur classe dirigeante Pour ce faire les mesures de perceptions des populations aident traquer la volont populaire et a mettre la politique au service de cette volont et non l inverse Y Exceptionnellement le Mali dans le cadre d Afrobarom tre a men sur le terrain Probl matique Pertinence politique une enqu te sp ciale pour traquer les perceptions populaires des maliens sur D mocratie gouvernance et r conciliation nationale Contrairement aux autres rounds cette enqu te a touch au total 2 486 individus g s de 18 ans et plus dont 200 dans un sur chantillon dans les 3 r gions du Nord et 219 autres individus tous d plac s internes dans les r gions de Koulikoro S gou Sikasso et Bamako Il s agissait de recueillir les perceptions des maliens sur les causes et cons quences des v nements r cents d occupation et de conflit du Nord de m me que la place de la violence en politique ainsi que des voies et moyens de sortie de l enlisement pour une paix durable au Mali Au lendemain de la double crise sociopolitique et s curitaire 1l tait n cessaire pour le Mali de connaitre l avis des citoyens sur un certain nombre d enjeux politico s curitaires
36. cs et minist res pour permettre chacun des ministres de suivre l ex cution de son budget et d en rendre compte au Parlement et au Pr sident de la R publique conomique par nature de d penses ou chapitre de fonctionnement personnel mat riel entretien subventions aux EPA action ducative action conomique action sociale autres d penses 18 Recommandations Nonobstant des progr s le Mali devra faire des efforts dans la collecte des recettes fiscales et douani res dans l am lioration des proc dures d ex cution et de contr le des d penses etc Malgr l augmentation du score du pays dans l OBI le Mali doit faire des efforts en mati re de l exhaustivit du budget et des documents budg taires Au Mali l on a assist une floraison d organismes de contr le 22 au total qui se chevauchent dans l audit et le contr le de la gestion des finances publiques Les bonnes pratiques de pr vention de la corruption dans la gestion des finances publiques sont brandies l chelle internationale r gionale et nationale comme un outil de r duction de la corruption Pour ce faire le Mali travaillerait appliquer les bonnes pratiques en mati re de gestion des finances publiques lesquelles m riteraient tre suivies pour plus d efficacit et d efficience dans la gestion des maigres ressources publiques du pays Analyse du budget social de l Etat du Mali PLUS CA MONTE a PLUS ll LE I CA BASE F BUD
37. diale 2014 Mali Etat de la reprise conomique et perspectives juin v Jamal Bakhti Jean Louis Brilleti Moulay Ali Sadiki 2011 Pr sentation du mod le PRESIMO Mod le de pr vision et de simulation des politiques conomiques de l conomie marocaine Haut commissariat au plan janvier Y BCEAO 2013 Perspectives conomiques des Etats de l Union conomique et mon taire ouest africaine Janvier v Analyse documentaire v R daction de rapport Y Dispositions l gislatives et r glementaires organisant les missions des minist res Y Rapports d tudes et de recherche sur les finances publiques au Mali Y Documents divers Y Au chapitre des d penses r elles totales par rapport au budget initialement approuv il faut dire qu au cours des trois derni res ann es celles ci ont t contenues dans les limites budg taires telles qu approuv es par l Assembl e nationale Les d penses primaires r elles non compris les d penses au titre du service de la dette et le BSI ext rieur ont t sup rieurs de plus de 5 par rapport aux montants initialement pr vus malgr les efforts du gouvernement maintenir une discipline budg taire globale v Au cours des trois derniers exercices 2011 2013 les recettes internes r elles collect es ont t inf rieures aux pr visions inscrites dans la loi de finances initiale Y La classification utilis e est administrative par rapport notamment aux pouvoirs publi
38. du mod le PRESIMO Mod le de pr vision et de simulation des politiques conomiques de l conomie marocaine Haut commissariat au plan janvier v Pierre Yves Cabannes et al 2012 Survol de M sange Un mod le macro conomique l usage du praticien Economie et statistique n 451 453 Y Mireille Razafindrakoto 2000 Un dispositif p renne de suivi macro conomique Le cadre d utilisation du mod le Prestomad Stat co n 95 96 97 Y R publique du Mali 2013 Plan pour la relance durable du Mali 2013 2014 version finale Conf rence internationale Ensemble pour le renouveau du Mali Bruxelles 15 mai La m thodologie a combin v analyse documentaire pour d crire le contexte macro conomique et financier du pays v les techniques de projection et de cadrage macro conomique et financier v les techniques conom triques Y Donn es financi res tir es du tableau des op rations financi res de l Etat Y Donn es sur l conomie r elle tir es du tableau emploi ressources Y Donn es sur les changes ext rieurs tir es de la balance des paiements BCEAO Y Donn es de l quilibre mon taire BCEAO Le contexte conomique est caract ris par la faiblesse et la volatilit de la croissance conomique et du revenu par habitant une quasi absence de cr ation d emplois un taux lev de pauvret des difficult s d acc s aux infrastructures routes lectricit et eau conduisant de faibles indi
39. e Plan pour la relance durable du Mali 2013 2014 PRED convenu avec les principaux bailleurs de fonds du pays bilat raux comme multilat raux Pour atteindre une am lioration du bien tre social le gouvernement travers le Cadre budg taire moyen terme 2014 2016 vise quatre objectifs majeurs savoir v le renforcement de la mobilisation des recettes v l am lioration de l efficacit et de l efficience des d penses v la mise en place des filets de s curit sociale v la mise en uvre de la Politique nationale genre Les cons quences de la crise s curitaire et des troubles sociopolitiques n s des venements militaires coup d Etat du 22 mars et contre coup d Etat du 30 avril 2012 ont perturb le bon d roulement de l activit conomique dans presque tous les secteurs du fait de l attentisme des op rateurs conomiques et de la suspension des financements ext rieurs de la part de la plupart des partenaires au d veloppement Elabor par le PNUD l UNESCO le FNUAP l UNICEF et l OMS lors du sommet mondial sur le d veloppement social en mai 1995 Copenhague le concept de services sociaux de base SSB concerne la fourniture de services dans l ducation la sant y compris la nutrition la sant reproductive et la distribution d eau et Pertinence politique d assainissement un niveau primaire ou de base Ces services sont n cessaires l am lioration de la survie la protection et le d veloppement des enfants t
40. e 1 276 milliards de fcfa 1 559 milliards de fcfa Ainsi le budget allou la sant a t 11 connu une baisse et absorbe toujours moins de 10 du budget total Au niveau du secteur de l ducation la baisse est encore plus importante 51 milliards fcfa en 2010 contre 40 milliards de fcfa en 2014 soit une diminution annuelle moyenne de 6 0 Les r alisations budg taires au niveau central ont concern aussi bien les secteurs sociaux de fa on g n rale que les secteurs de la sant de l ducation et des autres secteurs sociaux tels que la promotion de la femme et de l enfant Les r alisations budg taires ont connu un accroissement sur la p riode aussi bien pour les secteurs sociaux que pour les autres secteurs Mais 19 l augmentation est plus importante tant au autres secteurs 6 comparativement aux niveau du budget g n ral 5 secteurs sociaux avec seulement 2 d accroissement annuel moyen que des La r duction de la pauvret et des in galit s est au centre des orientations politiques depuis le d but des ann es 2000 d une part par l adoption du Cadre strat gique de lutte contre la pauvret puis du Cadre strat gique pour la croissance et la r duction de la pauvret et d autre part par l adoption des OMD C est ainsi que les objectifs d allocation budg taire ont t inscrits dans la mise en uvre du Cadre strat gique pour la croissance et la r duction de la pauvret et depuis la crise de 2012 dans l
41. e des co ts de cession des logements aux b n ficiaires des diff rents Programmes de construction de logements sociaux r alis s par rapport aux co ts effectifs de leur r alisation mesure de l efficience des co ts Enfin des recommandations sont attendues en termes de renforcement de l efficacit et de la p rennisation de la politique en mati re d offres de logements M thodologie R sultats attendus NN Appui la mise en place d outils de suivi valuation du FIBANI tude sur la situation de d part Partenaire Swisscontact Financ par le Royaume des Pays Bas et mis en uvre par Swisscontact le programme Formation insertion dans le bassin du Niger couvre la p riode 2012 2015 Ce programme intervient dans les r gions de Koulikoro et S gou et vise contribuer l am lioration des revenus des producteurs agricoles et ruraux des zones concern es gr ce des dispositifs de formation insertion agricole et rurale performants et adapt s aux besoins du march Le programme FIBANTI vise la formation professionnelle de courte dur e de ruraux actifs environ 8000 dans les secteurs porteurs Il s articule autour de 2 axes savoir l appui aux centres de formation de r f rence et la mise d un fonds de financement d actions de formation collectives des ruraux Le deuxi me qui fera l objet de la pr sente consultation porte sur l offre de formation r pondant la demande des ruraux Au niveau des r
42. e en m me temps des t ches de 46 chercheur La r partition des t ches quotidiennes entre le personnel des diff rents d partements se fait l aide d un tableau de bord qui est mis jour au fur et mesure de l ex cution satisfaisante des activit s Pour chaque activit ce tableau retrace les t ches accomplir les personnes responsables les d lais respecter et d ventuelles observations La Direction ex cutive et le Conseil d orientation se sont tous engag s s investir pour que GREAT ait acc s au financement public 7 2 R unions statutaires Le Conseil d orientation s est r uni le 27 septembre 2014 sous la pr sidence du Directeur ex cutif de GREAT pr sident du Conseil Pour diverses raisons depuis 2012 le Conseil d orientation n a pas pu se r unir plus t t L ordre du jour portait sur l examen et la validation du Rapport d activit s de l ann e 2013 et du Programme d activit s 2014 et les divers Durant l ann e 2014 la Direction ex cutive a fonctionn normalement et tous les d partements ont pu ex cuter les activit s programm es relevant de chacun d eux Les r unions de personnel ont t tenues sous la pr sidence du Directeur ex cutif qui coordonne les activit s des 4 d partements Ces r unions ont port sur la planification des travaux en cours ou soit en instance d ex cution Selon le besoin une partie de l quipe ex cutive s est souvent retir e en ateliers r sidentiel
43. e ethnolinguistique des maliens 046 Octobre 2014 GREAT 4 pages 200 Papier abonnement Internet 43 Titre Pr f rence ethnique versus nationale Num ro 047 Date de publication Novembre 2014 Auteurs GREAT Nombre de pages 4 pages Nombre d exemplaires 200 Support de publication Papier abonnement Internet Titre L Etat et les groupes ethniques Num ro 048 Date de publication D cembre 2014 Auteurs GREAT Nombre de pages 4 pages Nombre d exemplaires 200 Support de publication Papier abonnement Internet 5 3 Base de connaissances AT Yoici MAN CARTE vous e y SL Suez raw Les publications de GREAT sont distribu es en copies dures des partenaires techniques et financiers universitaires et aux services publics et priv s nationaux En plus elles sont toutes disponibles contre une simple 6 Partenariat GREAT a b n fici de l appui de ses partenaires pour participer des r unions et ateliers divers aussi bien l int rieur qu l ext rieur du pays On peut citer les r unions du Comit de pr vision et de mod lisation Bamako avec le inscription sur le site web de GREAT www greatmali net dans la rubrique Base de connaissances De m me le Great Savoir est accessible sur abonnement gratuit via le portail du site et en quelques copies dures et on peut aussi acc der aux archives des bulletins GREAT _ Savoir Les lecteurs de nos publications sont des univ
44. e l tude Relever le d fi de l emploi au Mali CPS sant Atelier de formation en traitement de base de donn es sur SPSS Programme de Master en conomie quantitative calculable R vision des projets d arr t et de r glement int rieur et leur transmission au Rectorat USSGB 6 3 Soci t civile R unions sur la cr ation d un cadre multi acteurs sur les services sociaux de CAD Mali base R unions sur la campagne mondiale pour la transparence budg taire Atelier de mi parcours Soutenir les r formes en mati re de transparence des finances publiques et de participation en Afrique Groupe de suivi budg taire R unions sur la diss mination des rapports de recherche Presse Articles de journaux sur les r sultats de recherche et les ateliers CABRI 6 4 Partenaires techniques et financiers Enqu tes budget ouvert OBI Participation aux lancements d OBI 2014 Formation en GBO gestion budg taire par objectifs et l instauration de quelques budgets programmes IBP dans certains d partements Atelier de formation sur l IBO Madagascar Formation en valuation de la transparence des finances publiques et de la participation citoyenne de la RDC Y Y Y SS 45 Y Analyse de la gestion des finances publiques au Mali UE Y Cad y Mali adrage macro conomique au Mali v Atelier r gional HHA pour le renforcement des OMS capacit s de la soci t civile des parlementaires et des medias dans l analyse des budgets e
45. e la s curit le r tablissement d un gouvernement lu la perception de la reprise conomique etc Au lendemain de la double crise sociopolitique et s curitaire 1l tait n cessaire pour le Mali de connaitre l avis des citoyens sur les perceptions des conditions conomiques la direction du pays les probl mes majeurs etc GREAT 2014 Perceptions populaires des causes et cons quences du conflit au Mali GREAT 2014 Perceptions populaires des acteurs du conflit au Mali GREAT 2013 Le citoyen l Etat et la corruption R sultats du round 5 des enqu tes Afrobarom tre GREAT 2013 La d mocratie l preuve de la crise R sultats du round 5 des enqu tes Afrobarom tre La d marche m thodologique est celle du sondage d opinion sous forme d interviews personnalis es sur la base d un questionnaire aupr s d un chantillon repr sentatif au niveau r gional Les donn es recueillies sont saisies sur CSPRO avant de subir un traitement statistique sur les logiciels SPSS et Excel Les donn es proviennent essentiellement des enqu tes Afrobarom tre 10 Principaux r sultats Recommandations 1 2 ET Evaluation notamment le Round 5 5 Prenant le contrepied des r sultats d une enqu te men e un an plus t t deux Maliens sur trois estiment en fin 2013 que leur pays se dirige dans la bonne direction Environ 60 des citoyens adultes consid rent galement que leur pays est maintenant s r
46. els que d crits dans la Convention des droits de l enfant Pour le cas sp cifique du Mali l analyse de la prise en charge des services sociaux de base sera mesur sur la base des allocations budg taires dans les secteurs sociaux au niveau central pr sentant successivement les secteurs sociaux dans le budget d Etat le secteur de la sant le secteur de l ducation et les autres secteurs sociaux principalement les femmes et les enfants des r alisations budg taires des m mes secteurs sociaux et la mesure des d penses hors budget d Etat telles que ex cut es dans le cadre de divers plans et programmes sectoriels v Agence fran aise de d veloppement Note macro conomique du Mali v Banque africaine de d veloppement 2011 Mali profil du genre pays d cembre Y Banque mondiale 2011 Manuel d analyse des d penses publiques dans l agriculture destin aux professionnels Rapport Num ro 60015 GLB mars Banque mondiale 2013 Mali Rapport conomique bi annuel janvier Annie B lizaire et Philippe Rouzier Les services sociaux de base et les objectifs du mill naire pour le d veloppement en Haiti v Adama Diarra 2013 Coop ration Mali Espagne plus de 3 milliards de fcfa pour financer le secteur de la sant journal L essor Probl matique SK S Revue de la litt rature Y Modibo Dolo 2010 Rapport mondial de suivi sur l ducation pour tous 2011 la crise cach e l ducation et les conflits arm s UNESCO
47. encore plus l chelle des collectivit s territoriales l impact de l exploitation mini re transpara t travers l emploi l investissement l achat de produits locaux et le transfert de technologies des compagnies multinationales aux op rateurs locaux ainsi que la formation du capital humain Par ailleurs l extraction mini re peut tout aussi impacter n gativement l environnement avec l usage de produits toxiques et par la destruction des terres cultivables et la d forestation Il serait int ressant de connaitre l impact final de l extraction mini re son poids et sa place apr s la prise en compte des aspects positifs et des aspects n gatifs Le pr sent rapport traite successivement du poids du secteur minier dans l conomie nationale son importance dans les changes ext rieurs du pays et dans les ressources publiques Il value galement l impact de l exploitation mini re industrielle sur l conomie locale en termes d activit s conomiques connexes d infrastructures et services sociaux de base et de r duction de la pauvret Les r sultats serviraient d aide la d cision pour les autorit s dans la gestion du secteur minier afin que le pays tire le maximum de profit de l extraction mini re Y Chambre des mines du Mali 2013 Programme d organisation et d quipement des orpailleurs du Mali mai CPS SME 2013 Annuaire statistique 2012 mines et g ologie juin ODHD 2011 Mines et d veloppement socio conomique au Ma
48. er l autosuffisance et la s curit alimentaire avec insertion du projet dans le Programme moyen terme de relance de l activit agricole ins rer les femmes et les jeunes dans la vie conomique et fixer les jeunes leur terroir v am liorer les revenus des populations b n ficiaires Questions de recherche M thodologie DSSS R sultats attendus Ze Enqu tes Quel que soit le type d enqu te le Rapport renseigne l objet les domaines d investigation le partenaire de recherche la p riode A F R d enqu te l chantillon et les principales activit s GREAT BAROMETRE assign es DONNER UNE VOIX AU PEUPLE Enqu te aupr s des chefs d entreprises pour le Rapport sur la comp titivit globale Rapport sur la comp titivit globale des entreprises 2014 2015 de World Economic Forum Donn es g n rales sur l entreprise activit s et strat gies Perception globale sur la gouvernance Infrastructures Innovation et technologie Environnement financier Concurrence sur le march domestique Education et capital humain Corruption thique et responsabilit sociale Environnement Ete Objet Domaine d investigation SANTE NS 32 Partenaire World Economic Forum Dur e 3 mois P riode f vrier avril 2014 Echantillon 101 entreprises Y Correspondance aux entreprises Y D p t des questionnaires aupr s des entreprises v R cup ration des questionnaires remplis Y
49. er du processus de retour la stabilit et une paix durable au Mali une enqu te en d cembre 2013 janvier 2014 sur toute l tendue du Probl matique Pertinence politique Revue de la litt rature M thodologie Donn es utilis es Principaux r sultats Y Contrairement aux autres rounds cette enqu te a touch au total 2 486 individus g s de 18 ans et plus dont 200 dans un sur chantillon dans les 3 r gions du Nord et 219 autres individus tous d plac s internes dans les r gions de Koulikoro S gou Sikasso et Bamako v Il s agissait de recueillir les perceptions des maliens sur les acteurs des v nements r cents d occupation et de conflit du Nord en tant qu auteurs ou victimes v IJl a t galement question de la position de certains acteurs selon qu ils constituent un probl me ou une solution au conflit du Nord ainsi qu la confiance des citoyens les uns dans les autres dans le processus de paix et de r conciliation au Mali v Au lendemain de la double crise sociopolitique et s curitaire il tait n cessaire pour le Mali de connaitre les perceptions des citoyens ayant trait aux acteurs des v nements r cents d occupation et de conflit du Nord en tant qu auteurs ou victimes la position de certains acteurs selon qu ils constituent un probl me ou une solution v GREAT 2014 Perceptions populaires des causes et cons quences du conflit au Mali v GREAT 2013 Le citoyen l Etat e
50. ersitaires et chercheurs des d cideurs politiques la soci t civile et des partenaires techniques et financiers Minist re de l conomie et des finances o les r unions sur la campagne mondiale pour la transparence budg taire organis e par le CAD Mali o l atelier CABRI mi parcours du projet sur la transparence des finances publiques Pretoria o la tenue de la r union pr paratoire des enqu tes Afrobarom tre avec les principales parties prenantes 44 le renforcement de capacit des Les divers partenaires de GREAT peuvent chercheurs des partenaires nationaux tre s ri s en 1 institutions de recherche d Afrobarom tre 11 administration publique 111 soci t civile et iv partenaires techniques et financiers 6 1 Institutions de recherche INSTAT Institut national de la statistique Partenariat multidimensionnel Diss mination des r sultats des enqu tes Afro round 5 5 R union du Comit Ex cutif Ecole d t Afrobarom tre en Afrique du Sud FAFO Enqu te sur l islamisme au Mali IFPRI Elaboration de la MCS du Mali PEP SITAN Situation des enfants au Mali Afrobarom tre 6 2 Administration publique DNPD Direction nationale de la planification du Formation en Mod lisation d veloppement CPM Comit de pr vision et de mod lisation R unions statutaires du CPM Atelier de formation en traitement de base de donn es sur SPSS CSLP Atelier de restitution des r sultats d
51. es tableaux et graphiques v les r sultats des focus groupes dont les principales cibles auront t les leaders R sultats attendus traditionnels et religieux les autorit s administratives et politiques les organisations de la soci t civile y compris des communaut s villageoises lorsqu elles existent ce niveau v des recommandations pour l atteinte des objectifs de la phase II non seulement pour le renseignement des indicateurs mais aussi pour l am lioration des strat gies d intervention Questions de recherche M thodologie 26 Augmenter la performance du mod le de pr vision du cadre budg taire moyen terme Partenaire Minist re de l conomie et des finances Le budget d Etat est tabli dans une perspective annuelle mais par sa directive n 06 2009 UEMOA relative la loi de finances l Union conomique et mon taire ouest africaine UEMOA a institutionnalis la programmation budg taire pluriannuelle Cette approche budg taire orient e vers la performance cherche v renforcer le syst me budg taire selon ses objectifs sp cifiques discipline Contexte budg taire allocation efficace des ressources prestation efficience des services publics v placer le budget dans une perspective pluriannuelle v placer la notion de performance au c ur de toute la proc dure budg taire v obtenir une plus grande responsabilisation des gestionnaires qui doivent rendre des comptes L objectif g n ral de la consultatio
52. et sans conflit arm Ils taient 17 le penser en 2012 Mais les Maliens voient encore l instabilit politique comme le probl me le plus important du pays en particulier ceux qui vivent dans les r gions du Nord ou qui ont t d plac s de leurs foyers Les Maliens sont satisfaits de la qualit des lections nationales tenues en 2013 avec 83 d entre eux jugeant l lection pr sidentielle compl tement libre et quitable Bien qu ils restent prudents sur la conjoncture conomique les Maliens per oivent les signes pr curseurs de la reprise et nourrissent de fortes esp rances quant leur bien tre conomique futur Ce changement dans l opinion des Maliens repose essentiellement sur des consid rations conomiques et s curitaires et dans une moindre mesure sur la qualit des lections Il a t tabli que l espoir populaire actuel est li l attitude positive de la population envers la s curit la d mocratie et l conomie avec toutefois un accent mis sur les d fis du renforcement de l tat du d veloppement de la d mocratie et de la croissance quitable de l conomie En outre les maliens en particulier ceux du Nord et les personnes d plac es classent l ins curit politique en t te des probl mes les plus importants Cadrage macro conomique du Mali et de la d linquance financi re en d pit des politiques en cours pour les limiter comme la r cente loi contre l e
53. eul Y 106 milliards de francs CFA au titre de l APE et de l Union douani re CEDEAO cumul s Il est recommand v un suivi strict des r gles de libre change en particulier les r gles d origine les conditions phytosanitaires et d autres barri res non tarifaires v une modernisation des services de douane pour ne pas exacerber les pertes Y une application stricte de la fiscalit int rieure pour limiter les pertes Evaluation du Programme mondial pour le renforcement de la s curisation des produits de sant de la reproduction GPRHCS au Mali Le Programme renforcement de produits de la s curisation des sant de la reproduction GPRHCS est per u par le Minist re de la mondial pour le sant comme l un des plus importants pour les strat gies en mati re de sant de la donn es reproduction La collecte de fiables pour enrichir la prise de d cision en 15 mati re de gestion des produits SR s av re tre d une n cessit absolue L enqu te annuelle GPRHCS s inscrit dans cette optique avec comme objectif de renseigner sur les trois principaux indicateurs de suivi savoir 1 le nombre de points de prestation de services SDP offrant au moins cinq m thodes de contraception modernes 11 le nombre d tablissements de sant assurant des services d accouchement et disposant d une chaine de distribution pour au moins 7 des 10 m dicaments essentiels de sant maternelle sant de la reproduc
54. extraction mini re sur les communaut s locales La mesure d impacts de l extraction mini re en particulier aurif re dans le cas actuel du Mali touche ses dimensions conomique au niveau macro comme au niveau des collectivit s territoriales sociale et environnementale y compris les questions de changement climatique en passant par le maintien de la biodiversit et la pr servation social ainsi qu environnemental La prise en compte de ces enjeux est autant la responsabilit des pouvoirs publics que des op rateurs miniers qui doivent tous les deux rendre compte des impacts de l extraction mini re surtout grande chelle dans le strict respect des droits humains et des normes internationales de comportement Pour ce faire un accent particulier doit tre mis sur les ressources des collectivit s en relation avec l apport des soci t s mini res et les transferts de ressources de l Etat vers ces collectivit s en diff renciant les collectivit s des zones d extraction mini res des autres en termes de communes de cercles et de r gions des ressources naturelles comme l eau et le Sol ces dimensions sont attach s les enjeux de d veloppement conomique et L extraction mini re a un apport conomique certain au Mali Cependant au niveau local l extraction mini re artisanale comme industrielle peut avoir de nombreux impacts tant du point de vue socio conomique qu environnemental Au plan national et
55. fre d acc s au march AO 0 41 0 28 0 02 9 18 18 38 0 73 3 74 0 2 aj 2197 1882 3498 35 77 En signant l Accord de Cotonou en juillet 2000 article 37 paragraphe 1 les Chefs d Etat et de Gouvernement de la CEDEAO ont pris la d cision de n gocier et de conclure un Accord de partenariat conomique APE entre la r gion Afrique de l Ouest AO et l Union europ enne UE Les n gociations r gionales de 14 l APE AO UE ont t lanc es le 6 octobre 2003 conform ment aux dispositions de l Accord de Cotonou et sous la configuration comprenant les Etats membres de la CEDEAO plus la R publique islamique de Mauritanie Il s agissait de trouver un accord qui permette entre autres de supprimer progressivement les barri res commerciales entre PUE et les pays ACP d assurer la compatibilit avec les r gles de l Organisation mondiale du commerce OMC et de prendre en compte le niveau de d veloppement et les capacit s des pays ACP Malgr les efforts et initiatives d ploy s par les deux parties les n gociations ont but sur quelques points de divergence dont en particulier ceux li s Poffre d acc s au march et au financement du PAPED et aux cons quences pr visibles de l entr e en vigueur de l accord Probl matique Pertinence politique Revue de la litt rature M thodologie Donn es utilis es Principaux r sultats Recommandations Les n gociations
56. idal v Il ressort du traitement des donn es Afrobarom tre que les forces arm es maliennes sont largement per ues comme tant tr s utiles la r solution du conflit comme ne pouvant tre tenus responsables si jamais de nouveaux conflits venaient clater au Nord et enfin comme tant le groupe d acteurs qui a le plus de confiance des citoyens dans le processus de paix et de r conciliation D s lors le d fi majeur est de savoir comment l arm e peut elle pleinement jouer son r le tant donn qu elle est sous contr le des autorit s politiques et tenue par des engagement internationaux pris par ces m mes autorit s politiques dans des domaines qui la concernent La question ethnique au Mali Nigeria 1 ethnolinguistique en incluant la pr f rence Mali Benin 9 ethnique ou nationale la cohabitation Malawi Ouganda o Kenya 3 lo ue du 3 Botswana 5 Zambie 5 S n gal 5 Madagascar 6 Lesotho 7 Namibie 7 Mozambique 9 Tanzanie 13 Cap Vert 15 10 3 0 5 10 15 Dans l enqu te Afrobarom tre de d cembre 2013 janvier 2014 les maliens se sont prononc s entre autres sur divers aspects de la question ethnique au Mali Cela va de l identit de groupe y compris de groupe ethnique l appartenance Ge ME interethnique dans ses aspects de tol rance et de perceptions des conditions conomiques des uns v
57. ique saisi l cran au niveau des charges Le paiement des imp ts et taxes est directement imput avec les pi ces de tr sorerie caisse ou banque En fin d exercice les d clarations d imp ts sont rapproch es des comptes d imp ts et les ajustements n cessaires faits amp Les immobilisations Les pi ces d acquisition d immobilisations sont re ues de la m me mani re que les pi ces d achat facture bordereau de r ception bon de commande contrat ou march Comptabilit g n rale Les documents comptables obligatoires sont ceux impos s par la loi pour une plus grande transparence Ce sont v le livre journal tenu au jour le jour v le grand livre 48 la balance le livre d inventaire cot et paraph tout comme le livre journal tous les tats d coulant du SYSCOA savoir le bilan le compte de r sultat le tableau financier des ressources et des emplois l tat annex et l tat suppl mentaire DR La comptabilit du Groupe est enti rement informatis e tenue sur le progiciel SAGE COMPTABLE 8 Suivi budg taire 8 1 Syst me de gestion Dans l optique d un meilleur suivi budg taire GREAT s est toujours servi de l outil informatique de gestion budg taire SAGE COMPTABLE Il permet de o enregistrer r guli rement tous les l ments d ex cution du budget encaissements et d penses lire directement le solde disponible sur chaque ligne du budget faire des pr visions et projection
58. is vis des autres et d impacts du conflit du Nord sur les regards crois s entre ethnies et enfin la relation entre le Gouvernement et les groupes ethniques en termes de traitement et d influence politique Sur toutes ces questions l ducation est apparue comme tant le d terminant majeur de la citoyennet de la tol rance et de l inobservance de l ethnicisme dans les questions sociopolitiques Le d fi majeur reste ainsi l ducation des cette langue n est presque jamais parl e la maliens d fi doubl de l rection du maison n1 d ailleurs ailleurs en dehors de fran ais en langue d administration et l administration publique et de l cole et d enseignement formel alors m me que encore v Il s agissait de recueillir les perceptions des maliens sur la probl matique ethnique au Mali en termes d identit de groupe des individus d appartenance ethnique et linguistique d ethnicit et des regards crois s interethniques Il a t galement question des perceptions des conditions conomiques et politiques des diff rents groupes ethniques et de leur traitement injuste ou non par le Gouvernement Y Les perceptions ainsi recueillies pour ce champ ont port sur la probl matique ethnique au Mali en termes d identit de groupe des individus d appartenance ethnique et linguistique d ethnicit et des regards crois s interethniques Dans le m me temps 1l s agissait d interroger les citoyens sur les perceptions des c
59. itable Les d fis pour acc der aux budgets de la sant Rendre les budgets transparents exp riences et exemples de plaidoyer Elaboration du Plan national du d veloppement sanitaire et simulation de co ts l h tel King Fadh Palace de Dakar Se A a 35 P riode Dur e Organisateur Formateurs Supports Participants Certification 6 8 Mai 2014 3 jours HHA et ses partenaires Dr Alice Soumar HHA Secr tariat J rome Pfaffman UNICEF Wcaro Kadi Tour PMNCH Dheepa Rajan WHO Mbarou Gassama UN Woman Roland Kon Save the Children Babacar Sarr International Budget Partnership Boubacar Bougoudogo Dr Seydou Coulibaly OMS Thi Minh Phuong UNICEF Wcaro Bakari Coulibaly Minist re des Finances Mali Nathalie Van de Maele WHO Geneva Itunu Kuku World Vision Discussions et changes XNNKNSNSNSNSNSNSNSNSSS I NO Sans objet Atelier de formation sur OBI Madagascar Th me Modules de formation Lieu P riode Dur e Organisateur Formateur Supports Participants Certification Atelier de formation sur l IBO v IBO au niveau International et National et Etapes franchies R sultats v Principe et th matiques de l IBO Parties du Questionnaire Y Echanges sur le processus budg taire des EP tenant compte du principe et des th matiques de l IBO Espace Dera Antananarivo 10 13 Juin 2014 4 jours Y Boubacar Y Tsito et Niaina MSIS Y Ratsihosena et Haja
60. itant aux enfants quelques services sp cifiques de sant gratuits peuvent tre consid r s comme tels comme la vaccination contre une douzaine de maladies les soins antipaludiques gratuits la distribution gratuite de moustiquaires la gratuit de la c sarienne A l exp rience interrompue de la bourse maman introduite en exp rimentation pour la premi re fois en 2002 2003 dans 9 coles de Kayes et de Mopti ce sont les filets sociaux du projet Jigis m jiri en tant que transferts mon taires aux m nages les plus d munis des communaut s souffrant plus particuli rement d ins curit alimentaire et sous forme de protection sociale de base genre argent contre travail qui semblent prendre le relais en mati re de protection sociale 23 En d pit des efforts d am lioration des conditions de vie et de bien tre des enfants une proportion encore importante de ceux ci continue tre confront e des privations en mati res de sant de nutrition d acc s l eau d ducation de protection sociale etc Les privations en mati re de sant touchent particuli rement les moins de 5 ans La malnutrition constituant une menace pour la petite enfance contribue au cycle interg n rationnel de la pauvret et de l iniquit y compris dans des zones de s curit alimentaire Or 1l existe une p riode critique de 1000 jours de la grossesse Probl matique l ge de deux ans o les diff rentes formes de maln
61. l laboration des questionnaires d enqu te l laboration des outils d auto valuation la formation des conseillers relais et des formateurs des centres de r f rence la formation des agents de saisie et l appui au traitement des donn es Les principaux r sultats attendus de cette consultation sont ceux inscrits dans les TDR savoir v la proc dure d chantillonnage du groupe cible et du groupe t moin v l laboration des outils d enqu te pour la situation de r f rence et l auto R sultats attendus valuation SD RSS la formation des conseillers relais sur les outils d enqu te de r f rence la formation des formateurs des centres de r f rence l laboration d un masque de saisie et d analyse de donn es des appuis ponctuels SRI Evaluation du potentiel de d veloppement conomique local Cas d une Commune urbaine et d une commune rurale Partenaire MODE Le processus de d centralisation a permis depuis 1996 de cr er des Communes dont 534 rurales 132 semi urbaines et 37 urbaines des collectivit s Cercles et R gions Ce nouveau d coupage administratif du pays a t con u pour mieux initier et mettre en uvre des actions de d veloppement en faveur des communaut s de base donnant du coup une autonomie avec des droits sp cifiques et des responsabilit s propres ce depuis les premi res lections communales de 1999 Au del de la gestion des affaires courantes par les CTD ces entit s prennen
62. l effort et au sacrifice Nous sommes peut tre gaux dans la comp tition au m rite mais seulement une portion atone d entre nous y acc de Heureux si ce ne sont pas toujours les m mes sur le toit du monde dans la science la fortune la guerre et la paix Malheureusement dans un monde o il est demand tout le monde d exceller l chec est alors infamant au lieu d tre per u comme une occasion de correction des imperfections d innovation une occasion de chercher prendre conscience de ses limites pour chercher sereinement les surpasser Le culte de l excellence est mondialis vang lis chez certains f tichis chez d autres et sing ailleurs Personne n y chappe pas plus les vainqueurs du monde que les damn s de la terre Tout le monde peut avoir ses bourses d excellence ses m dailles sportives ses coupes et prix d excellence qui pour r compenser les in galit s l arrogance le pillage ou la collaboration tout y passe En exaltant l excellence certes on cr e l mulation et on encourage l effort et le don de soi mais parall lement on brise l unit du tout au profit d une infime partie et pas seulement l unit des m diocres mais l unit tout court voire l homog n it ou l galit des sujets Et si l on n y prend garde les bonnes intentions de d part peuvent finir par pourrir l environnement pourrir les relations entre Etats entre camarades puisque les derniers ou les mauvais ne sont pas bien
63. le cadrage macro conomique est la traduction chiffr e des politiques conomiques court terme tout en respectant les grands quilibres macro conomiques Ainsi la pr vision chiffr e et le respect des quilibres sous tendent une gestion transparente et efficace des ressources financi res publiques En vue d am liorer la gestion des finances publiques le Mali a labor le PAGAM GFP qui est sa deuxi me phase et vise renforcer la gouvernance conomique et financi re au Mali En plus il s agira d assurer la coh rence entre le cadrage macro conomique les allocations budg taires et les objectifs de Contexte d veloppement Le comit de pr vision et de mod lisation CPM cr par le D cret N 03 366 PM RM du 29 ao t 2003 a pour mission de mener et d harmoniser les travaux de pr vision et de mod lisation macro conomique et de proc der des recherches th oriques et m thodologiques Ce comit r alise des activit s de pr vision et d analyse conomique sur la base des comptes macro conomiques comptes qui r capitulent les activit s du secteur r el du TOFE et de la gestion mon taire Les indicateurs associ s ces activit s doivent tre davantage ma tris s par les utilisateurs ainsi que par les mod lisateurs L objectif g n ral de la consultation est de former les membres du CPM aux outils et modules de cadrage macro conomique et de simulation de politique conomique De fa on sp cifique elle vise
64. li Enjeux et perspectives octobre Y Oxfam America 2006 Tr sor cach A la recherche des revenus de l exploitation aurif re du Mali La m thodologie utilis e comprend M thodologie v la revue documentaire v l analyse statistique Les principales sources de domn es utilis es sont v les annuaires statistiques de la Cellule de planification et de statistique du secteur des mines et de l nergie Y les comptes nationaux de l INSTAT v les statistiques de la BCEAO v les rapports de nombreuses tudes et monographies sur la question Probl matique Pertinence politique Y Revue de la litt rature Y Donn es utilis es 13 Au niveau national Y Contribution hauteur de 7 au PIB et hauteur de 65 la valeur totale des exportations du pays en 2013 v 200 milliards de recettes fiscales soit 25 des recettes fiscales en 2013 v 3635 emplois directs par an en moyenne entre 2008 et 2013 7000 emplois indirects en 2013 v Sur la p riode 2008 2012 137 milliards fcfa d investissement Au plan local v pr s de 5 milliards fcfa au titre des redevances du Programme de d veloppement des ressources min rales PDRM entre 2005 et 2013 formation des femmes dans des activit s g n ratrices de revenu formation des orpailleurs dans les domaines de la promotion de la sant et de l environnement r alisation d quipements marchands et d infrastructures sociaux de base taux net de scolarisation dans le premier cycle de l
65. lis es Principaux r sultats Recommandations interventions publiques et une orientation judicieuse des strat gies plans et programmes de d veloppement conomique et social Cette tude cherche fournir des l ments de r ponse un certain nombre de questions importantes du point de vue macro conomique parmi les quelles quels sont les niveaux actuels et l volution des principaux indicateurs macro conomiques et quelles sont les sources potentielles d instabilit dans quelles mesures les politiques macro conomiques et budg taires contribuent elles la stabilisation du cadre macro conomique quel est le degr de vuln rabilit de l conomie aux chocs ext rieurs et quels sont les efforts de renforcement de la r silience auxdits chocs La pr sente tude met disposition des outils de suivi de la conjoncture conomique du pays et d valuation d impacts des chocs ext rieurs et des politiques conomiques mettre en uvre Cet exercice permettrait ainsi d accro tre l efficacit de l allocation des ressources et d appr cier les implications budg taires des politiques publiques afin de rendre plus compatibles les possibilit s financi res de l Etat avec les contraintes du cadrage macro conomique v C line Allard Prigent et al 2002 Pr sentation du mod le M sange Document de travail Direction de la pr vision du Minist re de l conomie et des finances mai v Jamal Bakhti et al 2011 Pr sentation
66. malnutrition chronique ou le retard de croissance est la forme de malnutrition la plus r pandue au Mali puisqu elle touche pr s d un enfant sur trois 28 Au Mali environ six m nages sur dix ont acc s une source d eau am lior e eau de robinet forage ou puits prot g s raison de neuf sur dix en milieu urbain contre seulement cinq sur dix en milieu rural Malgr les multiples politiques dans le domaine de l ducation et le budget de plus en plus croissant de ce secteur l ducation est caract ris par la baisse de la scolarisation avec 3 enfants sur 5 admis au premier cycle d enseignement fondamental en 2014 contre plus de 7 sur 10 cinq ans auparavant la faible qualit de l ducation moins de la moiti de la derni re classe du premier cycle ont un niveau ad quat en fran ais et moins du tiers en math matiques une disparit genre en d faveur des filles 3 filles sur 10 ach vent le primaire contre 4 gar ons sur 10 l insuffisance des infrastructures scolaires amenant beaucoup d enfants parcourir de longues distances pour acc der une cole et des faiblesses dans la gouvernance de l administration scolaire publique comme priv e La principale contrainte dans l acc s la sant de la population en g n ral et des enfants en particulier tant d ordre financier il importe au Mali de relever le niveau du budget allou aux secteurs sociaux en g n ral et celui de la sant en particulier pour l atteinte
67. n est d am liorer l exhaustivit la coh rence le r alisme et la cr dibilit du budget De fa on sp cifique elle vise appuyer la Direction g n rale du budget en vue d am liorer son mod le de cadrage budg taire par le d veloppement de modules plus performants L laboration du module de projection des recettes et du module de projection et d allocation des d penses se fera en plusieurs tapes Dans un premier temps le consultant proc dera un diagnostic de l outil actuel de pr vision budg taire Le diagnostic consistera d abord en une tude d taill e de l outil pour en d tecter les points forts et les points faibles Cette tude sera compl t e par les points de vue des utilisateurs actuels de l outil sur ses aspects satisfaisants garder dans le nouvel instrument de pr vision d velopper sur ses aspects non satisfaisants corriger compl ter et am liorer selon le cas et enfin sur de nouvelles fonctionnalit s souhait es Dans un deuxi me temps il sera fait une relecture des hypoth ses et des liens entre variables sur la base de la litt rature th orique et empirique et sur la base de la connaissance de l conomie malienne pour une cr dibilit renforc e du mod le et une fiabilit des pr visions r aliser Au sortir de la consultation les principaux r sultats attendus sont v un module de pr vision des recettes sur la base des param tres conomiques tr s pertinents est disponible R s
68. nnels mais ont besoin d am lioration pour la plupart des entit s de l ex cutif et des autres pouvoirs l gislatif judiciaire Dans le cadre du PAGAM il est fait recours l outil informatique au minist re des finances Dans le cadre de l enregistrement 1l fait recours une r gularisation p riodique des 17 comptes mensuellement et quotidiennement en ce qui concerne la BCEAO La mise en uvre du PAGAM concerne l ensemble de la cha ne de la d pense publique de la programmation jusqu la loi de r glement Outre l introduction de la gestion ax e sur les r sultats cette r forme porte galement sur le renforcement de capacit s des services de l assiette par la formation et l acquisition de mat riel informatique Probl matique Pertinence politique Revue de la litt rature M thodologie Donn es utilis es Principaux r sultats Pour la pr sente recherche il s agissait de faire un diagnostic du syst me des finances publiques du Mali travers entre autres la cr dibilit budg taire l exhaustivit et la transparence d analyser le programme de r formes de la gestion des finances publiques et d valuer la performance et la cr dibilit des r formes des finances publiques Dans le cadre de l valuation de la gestion des finances publiques le Groupe sur la gestion des finances publiques du CAD OCDE et ses partenaires ont con u un outil permettant de fournir des donn es fiables sur la
69. non pP UDgUC set it die 45 A A ds M le 45 4 Partenatres techniques LHNANCICES ria 45 Ti Foncuonnement institutionnel ss sen a 46 7 1 Programmation et responsabilisation des activit s 46 Tila IR UMONS SAA to dt Mecs 47 Ls Mangelde POCA UA E iaee 47 Sr SUN DIA O A E A E E 49 Sele A T E 49 S2 MUucture desdepenses sra n 49 So Sources de nando Me E 50 De FrOSTamime d actyites 200 anu oi iria a 50 Avant propos S1 J etals excellent je serais contre l excellence Notre monde est peupl de m daille et de prix internationaux et nationaux Au plan international qu il suffise de citer les prix Nobel physique chimie m decine litt rature paix et sciences conomiques et ceux d Einstein pour la science de Turing pour l informatique de Fields pour les math matiques ou du prix international pour l alimentation Ces prix ont consacr des c l brit s comme R ntgen pour sa d couverte des rayons x les p res du prud homme ou de la Croix Rouge Frisch et Tinbergen pour les sciences conomiques etc Le Mali a institu la m me ann e que la France 1963 son ordre national suivant les m mes stratifications en 3 grades chevalier officier commandeur et 2 dignit s grand officier et grand croix Cela marquait une rupture avec des pratiques ancestrales sans doute pas suffisamment explor es comme le Ciwara b te de labeur dont l origine r side dans les travaux champ tres contrairement aux lointains anc
70. notable peut tre des arabes Y Les touaregs et les arabes sont tort ou raison accr dit s de beaucoup d influence sur la fa on dont le pays est gouvern Comme pour les conditions conomiques sur ce plan politique les bellas damnent le pav sans non plus en Donn es utilis es Principaux r sultats 9 avoir conscience L attachement ethnique au Mali loin derri re la citoyennet malienne est presque de m me intensit dans toutes les r gions et devance partout l appartenance r gionale professionnelle ou de classe sociale Le d fi majeur qui se dresse reste celui de l ducation de masse pour plus de citoyennet de tol rance interethnique et de brassages tous azimuts Le Mali saura 1l lever un tel d fi Il le devra le jour o il aura compris qu il ne Y Recommandations Y Y peut en faire l conomie g Impact lev SCENARIO 2 SCENARIO 1 RUES Peu Probabie b probable et impact mas important impart A fort SCENARIO 4 SCENARIO 3 A AT g Probable F Pau l mais probable impact ebimpact j Faible k faible _ A ASA impact falble Le Incertitude incertitude faible pleter gt A xa 2 L enqu te Afrobarom tre de d cembre 2012 a r v l que les trois quarts des citoyens maliens craignaient que le pays n aille dans la mauvaise direction cette poque plong s dans une crise nationale profonde la plupart des Maliens envisageaient l avenir avec pessimisme
71. nrichissement illicite et la d claration de l ann e 2014 comme ann e de lutte contre la corruption L ins curit est persistante dans le pays au nord comme au sud r duisant encore plus Le processus de stabilisation et de reconstruction du Mali semble en cours au sortir des lections pr sidentielle et l gislative de 2013 et de la reprise avec les partenaires techniques et financier apr s une br ve interruption la suite de manquements aux r gles de bonne gestion macro conomique et financi re Des d fis importants restent n anmoins relever en mati re de gouvernance Il s agit entre autres de la transparence limit e dans la gestion des ressources publiques le niveau lev de la corruption Probl matique l attractivit du pays aux yeux d ventuels investisseurs trangers La reprise des relations du pays avec les bailleurs de fonds est un motif d espoir mais 1l est important de continuer suivre les indicateurs de la situation macro conomique et financi re ainsi que sociale pour une meilleure programmation des interventions publiques et une orientation judicieuse des strat gies plans et programmes de d veloppement conomique et social Des l ments de la situation macro conomique et financi re ainsi que sociale doivent tre r guli rement suivis et analys s pour une meilleure programmation des 11 Pertinence politique Revue de la litt rature M thodologie Donn es uti
72. on Auteurs Nombre de pages Nombre d exemplaires Support de publication Titre Num ro Date de publication Auteurs Nombre de pages Nombre d exemplaires Support de publication Titre Num ro Date de publication Auteurs Nombre de pages Nombre d exemplaires Support de publication Titre Num ro Date de publication Auteurs Nombre de pages Nombre d exemplaires Support de publication Titre Num ro Date de publication Auteurs Nombre de pages Nombre d exemplaires Support de publication Titre Num ro Date de publication Auteurs Nombre de pages Nombre d exemplaires Support de publication Titre Num ro Date de publication Auteurs Nombre de pages Nombre d exemplaires Support de publication Travail des enfants et ch mage des jeunes au Mali 040 Avril 2014 ANPE 4 pages 200 Papier abonnement Internet Estimation et volution du ch mage au Mali 041 Mai 2014 ANPE 4 pages 200 Papier abonnement Internet Dur e du travail et pr carit de l emploi au Mali 042 Juin 2014 ANPE 4 pages 200 Papier abonnement Internet Auteurs et victimes du conflit du Mali 043 Juillet 2014 GREAT 4 pages 200 Papier abonnement Internet R les des acteurs du conflit du Nord 044 Ao t 2014 GREAT 4 pages 200 Papier abonnement Internet Processus de paix et de r conciliation nationale 045 Septembre 2014 GREAT 4 pages 200 Papier abonnement Internet Appartenanc
73. on repr sentatif des points de distribution des produits et services de sant de la reproduction et de sant maternelle l objectif tant de faire le suivi chaque ann e du niveau des indicateurs de performances du programme Cette tude permet de mesurer les progr s r alis s dans la mise en uvre du GPRHS d informer annuellement sur le niveau des indicateurs de performance du programme et de connaitre les perceptions des clients sur les services re us ainsi que leur co t Les d cisions publiques en la mati re s en trouveraient clair es tant bas es sur des r sultats empiriques de recherche Rapport d enqu te GPRH 2013 Loi 02 049 du 22 juillet 2002 portant loi d orientation sur la sant Loi n 02 044 du 24 juin 2002 relative la sant de la reproduction EDS 2012 3013 SONU 2013 tude proc de essentiellement par l analyse documentaire l enqu te aupr s des points de prestations de service PPS l analyse statistique des donn es d enqu te Donn es d enqu te GPRH 2014 au Mali Donn es de la CPS sant US lt IS Au plan de la disponibilit des produits Y 95 des PPS offrent au moins cinq m thodes de contraception modernes v 45 des PPS assurent des services d accouchement et disposent d une chaine de distribution pour au moins 7 m dicaments essentiels v 11 des PPS n ont pas connu de rupture de stocks au cours des 6 derniers mois 16 Recommandations Au plan de la perception des clients
74. on macro conomique Formation en conom trie des assistants de l Universit de Bamako 3 Formation et renforcement de capacit s AS NA NAN RC Y 4 num ros de Les Great Cahiers 5 Publications Y 6 num ros de La Great Formation Y 12 num ros de Le Great Savoir Y Mise jour du plan strat gique Y R unions r guli res des instances 7 Fonctionnement institutionnel 51 amp Tableau de bord 2015 Th mes D lai Responsable Observations Rapports Afro 6 E A Perceptions populaires de la justice Crise du Nord Monde du travail Probl mes de d veloppement Oee MC Genre et activisme civique et politique NOT OMS NAS FE D Le citoyen face la fiscalit Libre FK R partition ethnolinguistique Novembre BC Condition de vie des citoyens Septembre E Perceptions crois es de int gration yY Oe SM G O HAT SYB E L opinion sur la presse Libre Diss minations Septembre novembre woo ooo Etudes et recherche Publication du livre Afro Janvier D cembre_____ MC___ _ Impact du TEC CEDEAO Novembre MC Indicateurs du_march de travail Fin Ao t MC Comp ivi eses e S Cadrage macro conomique et financier es A S T S EE E Analyse du budget communal Probl matique de l emploi des jeunes RGPH 2009 Novembre Mod lisation de l amortissement ES A nu de Jds Sept2015 F vrier2016 A Y A Y EE Nettoyage de bases de donn es Mai Juin COIN
75. onditions conomiques et politiques des diff rents groupes ethniques et de leur traitement injuste ou non par le Gouvernement v GREAT 2014 Perceptions populaires des causes et cons quences du conflit au Probl matique y Pertinence politique Mali Y GREAT 2013 Le citoyen l Etat et la corruption R sultats du round 5 des Revue de la enqu tes Afrobarom tre litt rature Y GREAT 2013 La d mocratie l preuve de la crise R sultats du round 5 des enqu tes Afrobarom tre v GREAT 2013 Crise d mocratie et participation R sultats du round 5 des enqu tes Afrobarom tre v La d marche m thodologique est celle du sondage d opinion sous forme d interviews personnalis es sur la base d un questionnaire aupr s d un chantillon M thodologie repr sentatif au niveau r gional Y Les donn es recueillies sont saisies sur CSPRO avant de subir un traitement statistique sur les logiciels SPSS et Excel Y Les donn es proviennent essentiellement des enqu tes Afrobarom tre notamment le Round 5 5 v Pr s d un malien sur deux 45 se d finit en terme ethnolinguistique Ce score moyen est de 7 adultes sur 10 Tombouctou et presque 3 sur 5 Kayes et Sikasso Ce r sultat tient plus la ruralit du pays et la pr dominance de l analphab tisme qu tout autre facteur v A peine 5 groupes ethniques revendiquent chacun plus de 5 de la population totale et 6 groupes ne renferment que 1 chac
76. onstitue en aucun cas une contradiction la disposition constitutionnelle Cette Recommandations derni re pr voit une date limite 15 10 qui serait respect e si l ex cutif transmettrait ce projet de loi au plus tard le 30 09 Y L quipe de revue recommande de renouveler l exp rience de 2013 en mettant la disposition du public et des m dias un jeu complet des documents du projet de loi de finances titre gratuit et facilement accessible avant sa transmission pour examen et vote PARP une assembl e qui sera constitu e une fois l ANC dissoute Pertinence politique S M thodologie Donn es utilis es DSSS lt lt S lt S 22 1 4 Pauvret et privations Analyse de la situation des enfants au Mali En 2009 le Recensement g n ral de la population et de l habitat avait estim 47 des 14 5 millions d habitants la proportion d enfants de moins de 15 ans dont les 5 14 ans 29 et donc les moins de 5 ans 18 soit aujourd hui pr s de 3 millions d enfants de moins de 5 ans Pour ces enfants la nutrition est l une des trois premi res privations Dans 7 cas sur 9 elle est l une des deux premi res privations et s accompagne g n ralement des privations en sant et assainissement Face ce fl au le Plan d action multisectoriel 2014 2018 vise entre autres assurer la population le droit une alimentation ad quate en vue de satisfaire son bien tre et garantir un d velop
77. orts sur la situation des enfants au Mali En d pit des efforts d ploy s jusqu ici par les m nages comme par les pouvoirs publics et leurs partenaires beaucoup d enfants sont encore victimes au Mali de privations diverses de leurs droits Y En 2013 encore pr s d un enfant sur cinq de moins de 5 ans n tait pas enregistr sa naissance l tat civil Ce chiffre n int gre pas les r gions du Nord quand on sait qu en 2010 les taux dans ces r gions taient particuli rement plus lev s trois enfants sur cinq Tombouctou un sur deux Kidal et un sur trois Gao Y Entre 2006 EDS IV et 2013 EDSM V le taux d accouchement assist par un prestataire form est pass de la moiti des accouchements trois accouchements sur cinq et celui de naissance dans un tablissement de sant peu pres dans les m mes proportions v En milieu rural moins d un accouchement sur cinq se fait avec l assistance du Donn es utilis es KSK SK SIS Principaux r sultats 24 Recommandations personnel qualifi Plus de quatre accouchements sur cinq se font sans assistance ou avec assistance d un personnel non qualifi Les enfants les moins souvent vaccin s sont les enfants dont la m re est non instruite un dixi me d enfants sans aucune vaccination contre un centi me pour les enfants de m res de niveau secondaire ou plus et les enfants venant des m nages les plus pauvres un cinqui me contre un cinquanti me La
78. ourquoi tout le monde n irait pas de l avant est ce une autre s lection darwinienne invisible Si l effort inlassable suffisait acc der un mieux tre comment comprendre autant d in galit s entre une minorit poss dante et une majorit d pourvue in galit s que les crises successives aggravent comme si l ascenseur social tait gripp C est pourquoi la moyennisation aussi de la soci t est un autre paradigme s duisant Pourvu qu elle soit effectivement largissement de la classe moyenne et non retour ou maintien de la pr valence moyen geuse dans bien de domaines de la vie sociale Quoi qu il advienne la base de la classe moyenne sera toujours plus large que celle de l excellence Il vaut encore mieux travailler l galit des chances pour non pas juste acc der au podium mais pour exceller non pas pour soi ou en soi mais pour le bien collectif Il s agit de cette galit qui ne renvoie pas sur les derniers de la comp tition la responsabilit de leur rang et donc qui n accable pas les perdants qu ils ne se sont pas tu s la t che comme les gagnants C est extraordinaire qu il y ait encore vie chez les ternels class s derniers S il y a encore des gens heureux dans des contr es invariablement class es derni res du monde c est qu on peut tre heureux sans tre excellent sans jamais tre premier Il faut vivre sa vie et pleinement sinon comment ferait on encore de la dialectique apr s Hegel jouer de la kora apr
79. pement national durable avec comme objectifs d ici 2021 e la r duction de moiti de la pr valence de la malnutrition aigu chez les enfants de 0 5 ans et d ge scolaire e la r duction de deux tiers de la pr valence de la malnutrition chronique chez les enfants de 0 5 ans et d ge scolaire 6 14 ans e l limination durable des troubles li s aux carences en micronutriments iode fer zinc et vitamine A e l a r duction d un tiers de la pr valence de l an mie chez les enfants de 0 5 ans d ge scolaire et les femmes en age de procr er Les privations en mati re de sant touchent particuli rement les moins de 5 ans Cela va de la naissance sans assistance m dicale la non immunisation des enfants contre la tuberculose la poliomy lite la dipht rie le t tanos et la coqueluche la rougeole lPh patite B la fi vre jaune et le t tanos n onatal en passant par la non protection contre le paludisme et la non utilisation des moustiquaires impr gn es Le pays est caract ris par llabsence de programmes proprement dits de protection sociale pour les enfants quoique ceux ci b n ficient du syst me de protection sociale de leurs parents tuteurs comme les prestations sociales offertes par le r gime de s curit sociale les prestations maladie maternit l Assurance maladie obligatoire et les prestations du R gime de l assistance m dicale r serv es aux personnes class es indigentes et donc prof
80. performance des syst mes des proc dures et des institutions de gestion des finances publiques au fil du temps Cet instrument couvre des domaines tr s vari s des finances publiques de la pr paration du budget l audit en passant par l administration des recettes la passation des march s la gestion de la tr sorerie et la comptabilit A travers une s rie d indicateurs mesurant l volution de la performance des syst mes des proc dures et des institutions de gestion des finances publiques cet outil pr sente un cadre de r f rence permettant de rendre compte de la performance de la gestion des finances publiques telle qu elle ressort de l analyse des indicateurs Sa mise en uvre requiert la participation des principales parties prenantes la planification et la gestion appropri e de l valuation et le suivi des recommandations Cette fois ci l on se focalise sur le diagnostic du syst me actuel de gestion des finances publiques l examen des r formes pass es et en cours et enfin l valuation et la cr dibilit desdites r formes Y AIDCO DEV RELEX 2002 Guide m thodologique pour la programmation et la mise en uvre des appuis budg taires dans les pays tiers v C line Allard Prigent C dric Audenis Karine Berger Nicolas Carnot Sandrine Duch ne Fabrice Pesin 2002 Pr sentation du mod le M sange Document de travail Direction de la pr vision du Minist re de l conomie et des finances mai Y Banque mon
81. pute la convoitise des ressources naturelles Pour l crasante majorit des maliens les rebelles et les islamistes figurent au premier rang des acteurs pr sum s impliqu s dans le trafic de drogue au c t du crime organis transnational Le conflit du nord a entra n un d placement interne de population d environ 6 avec 3 d j de retour au bercail 2 avec intention d y retourner et 1 sans cette intention Ce ph nom ne touche proportionnellement un peu plus les urbains les femmes et les moins de 25 ans ou les 35 44 ans Au total pr s d un malien sur trois aura t affect personnellement ou travers un membre de famille par les v nements r cents d occupation et de conflit du Nord d une des multiples fa ons dont l on a pu tre affect de l expulsion de son domicile la mort en passant par la punition selon la charia ou les agressions physiques en tout genre Pour la tr s grande majorit des maliens de 86 95 trois options majeures aideraient r soudre le conflit savoir l ducation civique la justice et un Etat fort Pour pres de deux maliens sur trois il est probable que la signature d un nouvel accord soit la base d une paix durable au Mali Les populations des zones hier sous occupation jihadiste ou rebelle doivent tre prioritairement cout es en vue d une r conciliation nationale La demande populaire est l organisation d lections libres transparentes et honn tes sans possibili
82. que de transparence s inscrit dans une optique de soumission de l ex cutif certaines obligations l gales De plus en plus d organisations de la soci t civile internationales et nationales se battent pour une plus grande redevabilit de l ex cutif vis vis des citoyens Y FMI 2007a Code de bonnes pratiques en mati re de transparence des finances publiques Y FMI 2007b Manuel sur la transparence des finances publiques v Union europ enne Rapport sur les d penses publiques et la responsabilit financi re PEFA 2010 Y OCDE Consolider la transparence budg taire pour une meilleure gouvernance publique en Tunisie 2013 Y OCDE Examens de l OCDE sur la gouvernance publique examen de l OCDE du Revue de la litt rature cadre d int grit dans le secteur public en Tunisie 2013 Y OCDE Renforcer l int grit en Tunisie l laboration de normes pour les agents publics et le renforcement du syst me de d claration de patrimoine 2013 Y OCDE Analyse du syst me de contr le d audit et de maitrise des risques dans le secteur public tunisien l exemple des entreprises publiques et des douanes CABRI Transparence des finances publiques et participation en Afrique rapport d activit 2012 IBP R sultats de l enqu te Budget Ouvert de l IBP 2012 IBP Mind the gap budgets and services delivery annual report 2013 Entretiens divers Visites d institutions nationales et de structures de
83. re d exemplaires Support de publication Titre Num ro Date de publication Auteurs Nombre de pages Nombre d exemplaires Support de publication Titre Num ro Date de publication Auteurs Analyse de la distribution des d penses de f te ELIM 2010 48 Avril Juin 2014 Alou Adess Dama 35 pages 200 Papier Internet Construction de plaquette ethnolinguistique avec les donn es RGPH 2009 49 Juillet Septembre 2014 GREAT INSTAT 71 pages 200 Papier Internet L islamisme dans le Sud du Mali Implications pour les futures politiques publiques 50 Octobre D cembre 2014 Anne Hatlgy Massa Coulibaly Liu Jing Nombre de pages TI pages Nombre d exemplaires 200 Support de publication Papier Internet 5 2 Le Great Savoir Titre Positionnement des acteurs sur les conflits au Mali Num ro 037 Date de publication Janvier 2014 Auteurs GREAT Nombre de pages 4 pages Nombre d exemplaires 200 Support de publication Papier abonnement Internet Titre Causes et cons quences des conflits au Mali Num ro 038 Date de publication F vrier 2014 Auteurs GREAT Nombre de pages 4 pages Nombre d exemplaires 200 Support de publication Papier abonnement Internet Titre Regain d esp rance dans l tat d esprit des Maliens Num ro 039 Date de publication Mars 2014 Auteurs Afro Nombre de pages 4 pages Nombre d exemplaires 200 Support de publication Papier abonnement Internet 42 Titre Num ro Date de publicati
84. riel l intensification de la production agricole le rel vement du niveau des ressources financi res au profit des collectivit s d centralis es et le renforcement des capacit s des acteurs locaux La d marche Ecoloc est un processus participatif en 3 phases successives que sont le diagnostic y compris le pr diagnostic le dialogue et la mise en uvre du PPDEL Elle d bute par la formation d un noyau dur en analyse conomique locale en am nagement du territoire et en analyse des peuplements Ce noyau met la disposition des acteurs des informations conomiques et sociales spatialis es permettant de b tir des strat gies de d veloppement durable dans une dynamique de concertation et de n gociation entre acteurs locaux Contexte M thodologie 29 Au final l tude doit apporter des l ments de r ponse des questions telles que sur quelles bases les lus et les entrepreneurs locaux pourraient ils ou devraient ils n gocier une strat gie commune afin de relancer l conomie locale Dans quels domaines sous quelles formes et sous quelles conditions la collectivit locale peut elle et doit elle jouer un r le sp cifique pour assurer un environnement porteur aux investisseurs locaux et attractif pour les investisseurs ext rieurs R sultats attendus amp Formation sur les mod les de pr vision macro conomiques Partenaire Minist re de l conomie et des finances Outil d aide la d cision
85. rner au bercail La moiti des d plac s taient originaires de Tombouctou le tiers de Gao et le reste de Mopti et Kidal Y Les maliens ont t affect s par le conflit dans les proportions de 15 personnellement et 23 travers des membres de leurs familles Un malien sur vingt d clare avoir perdu mort d homme un membre de sa famille avec des proportions encore plus lev es Kidal un sur quatre et Tombouctou un sur six Y L unanimit semble faite sur l utilit des forces arm es maliennes et internationales MINUSMA et Serval r soudre le conflit plus de 9 maliens sur 10 A l oppos les 6 groupes islamistes et rebelles du Nord seront tenus responsables par l opinion publique dans l clatement d un nouveau conflit arm au Nord Il en est de m me pour l op ration militaire fran aise Serval pour 2 maliens sur 5 mais 4 sur 5 Kidal et 3 Tombouctou v Dans le processus de paix et de r conciliation les trois premiers acteurs avec le plus de suffrages de confiance des maliens sont les FAMA le Gouvernement et le HCI 9 maliens sur 10 dans chacun des cas Les trois suivants par ordre sont la MINUSMA Serval et la CEDEAO La CVJR et les groupes d autod fense ferment la marche de la confiance avec respectivement 4 maliens sur 5 et 3 sur 5 La confiance aux 6 groupes islamistes et rebelles qui ont pris les armes contre l Etat malien varie de 5 1 avec 3 au MNLA groupe qui recueille 9 de confiance dans son fief de K
86. romotion et de protection de l enfant du Mali 25 1 5 Offres diverses d tudes et de recherche Documentation des indicateurs du cadre logique du Programme conjoint MGF E UNICEF UNFPA et tude CAP dans 60 villages des r gions de Kayes Koulikoro Sikasso Partenaire Programme national de lutte contre l excision Dans le cadre de la phase II de son programme d limination des mutilations g nitales f minines le Programme national de lutte contre l excision et ses partenaires entendent contribuer concr tement et significativement l atteinte de l objectif global fix par la D claration inter agences sur l limination des MGF Ck r affirm e par la r solution de l Assembl e g n rale des Nations unies de 2012 savoir soutenir les gouvernements les communaut s ainsi que les filles et les femmes concern es en vue de l abandon des MGF Aussi le but de la pr sente consultation est il de documenter syst matiquement les indicateurs du cadre logique de cette phase II du programme 1 e d terminer l tat actuel de tous les indicateurs contenu dans le cadre de r sultats du Programme conjoint Conform ment aux TDR l objectif g n ral de l tude est de renseigner les indicateurs du cadre logique du Programme conjoint pour le Mali afin de servir de r f rence pour sa phase IT couvrant la p riode 2014 2017 A cela s ajoute la formulation de recommandations sur les voies et moyens de renseigner les indicateurs sur lesquels l on
87. s valuer les besoins de tr sorerie tablir un rapport financier tout moment Le suivi budg taire est une application qui permet de m moriser les l ments de chaque poste budg taire Toutes les op rations de d penses et de versement peuvent tre r guli rement enregistr es et le solde tabli tout moment pour chaque ligne budg taire et selon les sources de financement 8 2 Structure des d penses Structure des d penses de GREAT en 2014 Imp ts et taxes Charges sociales 4 4 Fonctionnement Institutionnel et Bureautique Formation 1 49 8 3 Sources de financement Source de financement de GREAT en 2014 World Bank Contribution des 5 membres 10 E 9 Programme d activit s 2015 Le programme d activit s de 2015 est labor dans un contexte de consolidation des acquis de nos exp riences Il s ins re galement dans le prolongement des domaines identifi s au cours de 2014 50 Y Rapports Fafo Gouvernance Y Rapports Afrobarom tre Round 5 5 Y Indicateurs du march du travail Emploi Y Probl matique de l emploi des jeunes au Mali RGPH 2009 R gionalisation Y Le revenu r gional Formation en anglais Renforcement de capacit s des OSC Ms Project Logiciel d chantillonnage Inscription et poursuite en th ses de doctorat SPSS Analyse budg taire Ecoles Afrobarom tre en science politique et en communication Formation en techniques de pr visi
88. s pour pr parer ou ex cuter certaines activit s dans le souci de respecter les d lais impartis Au total ce sont 12 ateliers de 5 jours environ chacun qui se sont tenus durant l ann e 2014 7 3 Manuel de proc dure Le nouveau manuel de proc dures administratives financi res et comptables est d sormais l outil de r f rence du groupe bien s r adaptable au fur et mesure de l volution de ses activit s Il examine entre autres le budget les achats la caisse la paie les pr ts au personnel les imp ts et taxes les immobilisations et la comptabilit g n rale Le budget Le principe de pr sentation du budget en tant qu outil estimatif des moyens n cessaires l ex cution des objectifs annuels du groupe repose sur la d finition des rubriques indispensables comme les investissements le programme de recherche le fonctionnement du groupe les impr vus etc amp Les achats Pour les biens consommables et les fournitures GREAT constitue une banque de prix de sorte que les achats soient effectu s dans les conditions les plus favorables Toute demande d achat ou de service fait ainsi l objet de concurrence libre et loyale 47 amp La caisse La caisse est tenue par le comptable qui joue cet effet un r le de caissier Elle est approvisionn e en fonction des pr visions de d penses avec observation d un certain nombre de principes dont o approbation pr alable de toute op ration de cais
89. s Sidiki Diabat ou faire de la litt rature apr s Dj li Baba Sissoko Chevalier Officier Commandeur Grand officier Grand croix R sum ex cutif Ce rapport rend compte des activit s men es par GREAT au cours de l ann e 2014 Parmi ces activit s figurent les tudes et recherche les enqu tes la formation et le renforcement de capacit s la communication et l information les publications Le suivi budg taire le fonctionnement institutionnel de Great ainsi que ses partenariats multiformes se sont aussi poursuivis normalement En plus de l aper u des activit s men es au cours de l ann e coul e le rapport finit par une programmation sommaire des activit s mener au cours de l exercice venir 2015 Les travaux d tudes et de recherche sont regroup s sous 5 th matiques principales savoir D mocratie et gouvernance Evaluation Analyse budg taire Pauvret et privation Ce sont o D mocratie et gouvernance v Perceptions populaires des causes et cons quences du conflit du Nord Y Perceptions populaires des acteurs du conflit du Nord Y La question ethnique au Mali v L tat d esprit des maliens refl te un regain d esp rance Evaluation v Cadrage macro conomique du Mali v Impact socio conomique de l extraction mini re sur les communaut s rurales v Impact des APE sur les recettes douani res du Mali v Evaluation du programme GPRHCS au Mali Analyse budg taire v Analyse de la gestion des fin
90. s publiques en Tunisie du 26 au 30 mai 2014 La mission compos e de Emile Gay CABRI Elena Mondo IBP Boubacar Bougoudogo GREAT du Mali Alassane Samak DGB du Mali Amadou Sangar DGB Burkina Faso Fr d ric Nikiema CGD Burkina Bernard d Almeida DGB du Niger Oumou Moumouni AEC du Niger Christ Paddia Iles Maurices et Sofiane Fakhfakh consultant en finances publiques a eu rencontrer les services du minist re du d veloppement et de la coop ration internationale de l Assembl e nationale et du S nat des bailleurs de fonds des organisations de la soci t civile ainsi que la presse L valuation visait mesurer le niveau de progr s accomplis par la Tunisie en mati re de transparence budg taire depuis l assembl e annuelle de la BAD de 2012 o les 21 ministres des finances s taient engag s assainir leur gestion des finances publiques La notion de transparence pouvant se d finir comme l accessibilit des informations budg taires permet de renforcer la d mocratie la mise en uvre de la volont du plus grand nombre dans le respect de certains standards juridiques Le citoyen pourra donc se faire une opinion de la gestion publique tout en disposant des informations ad quates Il faut noter que l objectif premier de la transparence budg taire est de permettre une gestion saine et efficace des deniers publics d o son utilisation comme instrument de renforcement de la d mocratie La logi
91. s seront tous dot s d un appareil GPS pour le relev des coordonn es g ographiques des sites d enqu tes Il est escompt un chantillon d environ 200 UDI A ces 10 personnes de terrain 1l faut ajouter une personne que GREAT responsabilisera pour tous les aspects protocolaires de cette enqu te un peu sp ciale pour garantir sa r ussite Ce responsable sera v hicul et rencontrera les autorit s administratives de la commune les agents de r pression du trafic de drogue ainsi que les op rateurs des sites privil gier tels que les auto gares les bars et autres maisons closes de la ville Dans bien des cas 1l devra se d placer avec les deux superviseurs en vue du d ploiement futur des enqu teurs sur des sites plus ou moins pr par s l enqu te Il est en outre responsable du recensement des sites d enqu te et d entretiens qualitatifs indicatifs pour clairer les entretiens quantitatifs et documenter toute l tude Au total donc seront remis PSI Mali v la version finale du questionnaire v les deux fichiers bruts de saisie des donn es sur CSPROS v la base de donn es unique issue de la confrontation et de la correction des deux saisies cette fois en format SPSS le programme de traitement des donn es toujours sur SPSS la production des tableaux de r sultats en vue de leur insertion et analyse dans le rapport d tude d valuation v le rapport d tude SO 31 Conception d valuation d impact d
92. se au moyen d une demande d avance de caisse o protection des esp ces dans un coffre fort auquel une seule personne a acc s o des contr les inopin s et document s de caisse o des rapprochements r guliers entre solde physique des esp ces en caisse et des bons de caisse d une part et solde th orique au moyen de la fiche de comptage de la caisse d autre part Lapaie Pour la paie du personnel le comptable pr pare une fiche de paie par agent et les transmet au Directeur ex cutif pour signature Apr s paiement l agent signe une copie est faite pour archivage par le comptable l original est remis l int ress Pr t au personnel En dehors des bons de caisse il peut tre accord chaque agent qui le sollicite un pr t sans int r t dont le montant ne peut exc der la somme totale des mensualit s de remboursement La mensualit de remboursement est plafonn e 20 du salaire net Le remboursement int gral du pr t doit intervenir avant la cl ture de l exercice comptable soit le 31 d cembre de l ann e La mensualit est pr lev e par retenue directe sur le salaire d le reste dudit salaire tant vers l agent endett amp Imp ts et taxes Les pi ces comptables d imp ts et taxes sont re ues en m me temps et suivant les m mes proc dures que les pi ces de salaire pour les imp ts sur salaire Leur saisie informatique est faite dans le journal des op rations diverses avec un code analyt
93. t de falsification des r sultats sortis des urnes La satisfaction des besoins essentiels des populations notamment dans les domaines de la justice du d veloppement et de la s curit pour un meilleur approfondissement de la confiance aux dirigeants Perceptions populaires des acteurs du conflit au Mali A peine une ann e apr s le d clenchement de la guerre en janvier 2013 les maliens se sont territoire national l enqu te a produit des donn es dont le traitement d une partie permet ici de situer un tant soit peu les responsabilit s dans les v nements d occupation et de conflit du Nord d en mesurer les cons quences d en appr cier le r le des acteurs ainsi que la confiance des citoyens dans les acteurs du processus de paix et de r conciliation Le d fi majeur dans cette voie post conflit demeure la confiance des citoyens dans les principaux protagonistes des n gociations venir Ce d autant plus que le d s quilibre de prononc s dans Afrobarom tre sur les auteurs pr sum s du conflit et du chaos qui l a pr c d une autre ann e durant auparavant sur les victimes du conflit ainsi que sur les acteurs du processus de paix et de r conciliation Men e engag depuis confiance populaire aux uns et aux autres est si profond que la pr sence de certains acteurs dans ce processus est tout le moins discutable L enqu te n en r v le pas moins les perceptions populaires verser dans le dossi
94. t de formation v le renforcement des capacit s des membres du CPM sur le mod le MME_DNPD et sur la mod lisation macro conomique plus g n ralement v la ma trise de logiciels de mod lisation et de pr vision macro conomique v la r daction d un manuel d utilisation des mod les SSS M thodologie R sultats attendus 30 amp Etude sur les utilisateurs de drogue injectable dans la commune urbaine de Sikasso Partenaire Contexte Questions de recherche M thodologie R sultats attendus PSI Dans le cadre de la lutte contre l utilisation de drogues injectables PSI envisage de mener une tude dans la ville de Sikasso La ville de Sikasso est le point de jonction de deux routes transfrontali res Burkina Faso et C te d Ivoire Par ailleurs elle abrite plus d une dizaine de sites d orpaillage traditionnel et d exploitation mini re Le ph nom ne de la consommation et de la vente de drogue sur les axes routiers et dans les mines pr occupe plus d un titre L abus de drogue par certains conducteurs de v hicule est la cause principale de nombre d accidents de la circulation sur nos axes routiers entrainant de nombreuses pertes en vues humaines Par ailleurs il ressort des statistiques de l Agence nationale de la s curit routi re que deux tiers des accidents de la route sont dus la consommation des substances psycho actives PSI se propose de faire une tude diagnostic de la situation des
95. t en charge les d penses d ducation de sant et d hydraulique conform ment aux domaines transf r s aux collectivit s locales par les textes de la d centralisation Pour jouer ce r le moteur dans la relance de l conomie locale la mairie est appel renforcer ses propres capacit s de gestion municipale d organisation des acteurs et de programmation long terme de la vie de la cit tout en s appuyant sur des concertations avec les principaux acteurs locaux avec lesquels elle animera un espace de dialogue et d interpellation populaire Sur la base du guide m thodologique simplifi de la d marche Ecoloc l on se propose de r pliquer dans les communes urbaine et rurale de Koulikoro et Maramadougou Pour les deux communes l on proc dera par le diagnostic de la situation conomique politique et social ou profil de l conomie locale Cette tude a pour objectif la relance de l conomie locale et l am lioration de la Questions de recherche fiscalit dans le cadre d une nouvelle gouvernance locale mieux inform e et plus participative dans les communes de Koulikoro et de Maramadougou La d marche Ecoloc initi e par le PDM vise promouvoir une d mocratie de proximit et une citoyennet fond e sur la responsabilisation et la concertation des acteurs autour de projets de d veloppement local Dans ce cadre elle cherche relever des d fis tels que la r duction de la pauvret le renforcement du tissu indust
96. t la corruption R sultats du round 5 des enqu tes Afrobarom tre v GREAT 2013 La d mocratie l preuve de la crise R sultats du round 5 des enqu tes Afrobarom tre Y GREAT 2013 Crise d mocratie et participation R sultats du round 5 des enqu tes Afrobarom tre v La d marche m thodologique est celle du sondage d opinion sous forme d interviews personnalis es sur la base d un questionnaire aupr s d un chantillon repr sentatif au niveau r gional Y Les donn es recueillies sont saisies sur CSPRO avant de subir un traitement statistique sur les logiciels SPSS et Excel Y Les donn es proviennent essentiellement des enqu tes Afrobarom tre notamment le Round 5 5 vV Les trois premiers responsables des v nements d occupation et de conflit du Nord sont les terroristes trangers l Etat et les dirigeants politiques qui ont plong le 7 Recommandations CE pays dans la corruption et ont fini par affaiblir la force publique et les puissances trang res dans leur convoitise des ressources naturelles Aussi les militaires n obtiendraient qu une note de 11 sur 20 quant leur responsabilit notamment par le coup d Etat du 22 mars 2012 v Parmi les cons quences du conflit figurent le d placement interne de population estim environ 6 dont pr s de la moiti taient de retour au moment de l enqu te 46 et 2 sur 5 avec intention de retourner le reste n ayant pas l intention de retou
97. t le plaidoyer pour la sant de la m re et de l enfant PAOSCII Y Formation des OSC en analyse budg taire FNUAP vV Saisie et traitement de donn es Unicef v Atelier de formation MODA v Analyse du budget social v Formation ax e sur l emploi La mobilit UEMOA professionnelle et g ographique dans l espace UEMOA Y Elaboration de mod les conomiques permettant le GIZ calcul de l amortissement des quipements agricoles dans le cadre de l valuation du revenu r gional AERC Y Senior Policy Seminar v Atelier de formation en analyse budg taire au profit Family Care international des OSC du Burkina Faso y S P World Economic Forum Y Enqu tes sur la comp titivit globale des entreprises Y Impact socio conomique de l extraction mini re sur Banque mondiale les communaut s locales 7 Fonctionnement institutionnel En plus des activit s men es au cours de cette ann e le fonctionnement de GREAT en tant qu institution avec ses organes et ses instances est tout aussi important pour l atteinte des objectifs contenus dans le plan strat gique Statutairement l ONG GREAT dispose d une Assembl e g n rale qui d finit ses grandes orientations Le Conseil d orientation se charge de d cliner ses orientations en programmes et de contr ler leur mise en uvre par la Direction ex cutive La direction ex cutive compos e de 4 d partements Etudes et recherche Enseignement et formation Information et communica
98. tion Administration et finances assure la mise en uvre quotidienne du programme d activit annuel Le manuel de proc dure r vis sert d sormais de r f rence pour toutes les activit s li es l administration et la gestion financi re 7 1 Programmation et responsabilisation des activit s GREAT a pour vocation la r alisation de toute activit de formation recherche publication assistance et promotion de la science et de la culture L accent a t mis cette ann e sur la recherche dans les domaines de la d mocratie et gouvernance valuation analyse budg taire pauvret et privations Quant aux enqu tes Great a men les enqu tes Afrobarom tre sondage d opinion sur la d mocratie gouvernance et crise au Mali l enqu te FAFO l islamisme au Mali l enqu te aupr s des chefs d entreprise sur la comp titivit des entreprises et l enqu te sur la transparence budg taire Les r sultats de recherche sont publi s via le site Internet de GREAT www greatmali net Les GREAT Cahiers La GREAT Formation La GREAT Data Le GREAT Savoir et Les GREAT Livres Toutes ces publications sont distribu es des partenaires aussi bien publics que priv s Le Directeur ex cutif de GREAT veille au bon fonctionnement des d partements Administration et finances Etudes et recherche Enseignement et formation Information et communication a Chaque d partement a sa t te un responsable qui assur
99. tion figurant sur la liste du FNUAP 111 le nombre de points de prestation de services n ayant pas connu de rupture de stocks de contraceptifs au cours des 6 derniers mois et d valuer la perception des clients sur les services re us ainsi que leur co t L enqu te 2014 au Mali s est tenue dans un contexte post crise sur l ensemble du territoire l exception de la r gion de Kidal o la situation demeure encore pr caire L tude a cibl les trois niveaux d tablissements sanitaires correspondant aux points de PPS l organisation du syst me sanitaire au Mali NS le planning familial prestation de services selon Probl matique Pertinence politique Revue de la litt rature M thodologie Donn es utilis es Principaux r sultats Depuis 2010 le Mali b n ficie du Programme mondial pour le renforcement de la s curit des produits de sant de la reproduction Global Programme for Reproductive Health Commodity Security GPRHCS du FNUAP Ce programme vise la r duction de la mortalit maternelle et la prise en charge des besoins non satisfaits en mati re de planification familiale travers une plus grande disponibilit des produits de contraception de sant maternelle et de sant de la reproduction dans les structures sanitaires Un rapport d valuation de la mise en uvre de ce programme est r dig chaque ann e sur la base des r sultats d une enqu te aupr s d un chantill
100. u Programme sp cial de s curit alimentaire PSSA financ par la Banque ouest africaine de d veloppement BOAD et mis en uvre au Mali Partenaire 31e Contexte de la proposition v crise alimentaire mondiale de 2008 ayant affect les populations de l Uemoa v le Conseil extraordinaire des ministres du 28 avril 2008 convient de coordonner les actions au niveau de l Union en r ponse la crise alimentaire mondiale v en r ponse cela le PSSA est initi en tant que contribution de la BOAD la E AEAT mise en uvre du plan strat gique de contr le de l inflation et de relance de la production agricole approuv par le Conseil des ministres de juin 2008 v PSSA est un nouveau programme d aide au renforcement de la s curit alimentaire dans les domaines d intervention de la BOAD travers 17 projets dont 3 pour le Mali savoir le Projet d am nagement hydro agricole de Molodo le Projet d am nagement hydro agricole de Molodo 1 extension le Projet de mise en place d une ligne de refinancement en faveur de Kafo Jiginew au Mali Objectifs de la strat gie communautaire v lever les contraintes l accroissement substantiel et durable de la production agricole en vue de v aboutir ne ma trise moyen terme des prix dans l Union M thode d valuation quasi exp rimentale avec contrefactuels pour examiner la cha ne logique causale r pondant aux questions qu est ce qui marche pourquoi comment quel co t contribu
101. ude a pour objectifs de v analyser l impact des Programmes de construction de logements sociaux r alis s 27 Contexte Questions de recherche sur le plan politique financier conomique social notamment en mati re d emploi et de g n ration de revenus culturel et technologique v analyser l impact des Programmes de construction de logements sociaux r alis s sur l atteinte des objectifs de d veloppement urbain au Mali v valuer le montant global des investissements acquisition de services et de biens r alis s et les retomb es sur les entreprises v faire des recommandations visant le renforcement de l efficacit et de la p rennisation de la Politique en mati re d offres de logements La d marche m thodologique utiliser comprend 3 tapes savoir l analyse documentaire la collecte de donn es secondaires et primaires aupr s des m nages et aupr s des entreprises dont entre autres les agences immobili res les bureaux d tudes les architectes et enfin l analyse des donn es collect es A chaque tape sera utilis e une approche sp cifique pour atteindre les objectifs et les r sultats attendus de l tude Au terme de l tude 1l est attendu la mesure de l impact des Programmes de construction de logements sociaux r alis s ou en cours aux plans SOCID CONOMIQUE financier socioculturel technologique politique institutionnel ces diff rentes mesures s ajoute l analyse critiqu
102. ultats attendus v un module de pr vision et d allocation des d penses selon les objectifs des politiques publiques v un manuel d utilisation du mod le v la formation des utilisateurs du mod le Questions de recherche M thodologie L valuation de l impact des programmes de logements sociaux r alis s au Mali pendant la p riode 2002 2012 Partenaire Office malien de l habitat OMH L acc s un logement d cent notamment pour les m nages revenu modeste a toujours t une des priorit s des pouvoirs publics au Mali De l ind pendance nos jours diverses politiques de logement ont t mises en uvre A partir de 2002 un vaste Programme de construction de logements sociaux PROCOLOS l intention des m nages revenu faible ou interm diaire a vu le jour avec deux variantes savoir des Programmes gouvernementaux sur financement public Budget national Budget OMH et appui des Partenaires techniques et financiers et des Programmes en partenariat public priv PPP notamment avec les promoteurs immobiliers priv s locaux ou trangers C est dans ce cadre que 7 367 logements ont pu tre r alis s travers tout le pays dont 6 115 au titre des Programmes gouvernementaux Le succ s des pr c dents programmes de construction de logements a permis la r alisation de nouveaux programmes pour un total de 2 922 logements au titre du programme gouvernemental et 1700 au titre du partenariat public priv L t
103. un de cette population Au total peine 15 groupes ethniques composent le Mali chacun constituant une minorit nationale quelques uns devenant majoritaires l chelle d une r gion comme les sonrha s Gao et les touaregs Kidal Trois langues sont les plus parl es dans les villes savoir le bambara sonrha et peulh 4 locuteurs urbains sur 5 Comparativement d autres pays africains le Mali a un plus fort attachement ethnique c t du Nigeria mais l oppos du Ghana ou de la Tanzanie vV Le mariage interethnique serait moins tol r que le partage d cole de lieu public de pri re ou de voisinage Sans doute cause de leur position de la plus grande minorit 27 de la population contre 13 pour chacun des deux poursuivants imm diats sonrha s et peulhs les bambaras apparaissent comme tant plus tol r s que les arabes ou encore plus que les touaregs Y Au moins la moiti des maliens 64 et 50 pensent que les arabes et les touaregs ont de bien meilleures conditions conomiques que les autres groupes Les arabes semblent le reconna tre volontiers A leur oppos se trouveraient les bellas qui cependant ne semblent pas totalement en avoir conscience v Un des impacts possibles du conflit du Nord aura t davantage de m fiance interethnique chez les jeunes et davantage de haine chez les plus g s Pourtant aucun groupe ne se sent particuli rement trait injustement par le Gouvernement l exception
104. utrition s installent et ont des cons quences irr versibles en terme de survie et de d veloppement Aux limites d acc s l eau potable m me si le Mali a atteint l objectif international de 65 depuis 2012 sans pourtant atteindre son propre objectif de 82 pour encore un certain nombre de m nages se greffent l utilisation plus restreinte d ouvrages d assainissement am lior s moins de deux m nages sur cinq et trois fois plus faible en milieu rural qu en milieu urbain et la disponibilit encore plus rare du savon et de l eau pour le lavage des mains peine un m nage sur quatre Diverses donn es qualitatives et quantitatives ont permis d tablir la situation des enfants au Mali pour l laboration d indicateurs de bien tre des enfants de moins de 18 ans scind s par tranches d ge tels que les 0 23 mois les 24 59 mois les 5 14 ans et les 15 17 ans Ainsi l on a proc d une analyse approfondie des diff rents Pertinence politique domaines de droits des enfants ducation sant nutrition protection sociale et protection de droits etc La situation des enfants ainsi d duite de cette analyse mise en lien avec le contexte g n ral du pays permet d orienter les politiques publiques d aide la survie la scolarisation la protection contre les violences et abus et la participation pleine et enti re des enfants la vie de la communaut et de la soci t v Laetitia Antonowicz 2010 La violence faite aux
105. venus au club de la r ussite Les derniers du classement doivent en plus contempler le club des meilleurs puisqu ils sont coupables de leur chec incapables qu ils ont t d acc der un ouvert ferm la comp tition S1 l excellence n est pas capable de rendre heureux un plus grand nombre d individus alors autant travailler l mergence d individus moyens en plus grand nombre l mergence de la classe moyenne qui enr lerait facilement la moiti de la population Il serait ainsi plus utile de lutter non pas pour l closion des premiers m me Seen Eere Desi esvempr e pas pour aider les derniers mais pour aligner les gens sur la moyenne r duire l in galit au lieu d aiguiser l litisme ou de lutter contre la mis re Au Mali les pauvres seraient aujourd hui 40 de la population et si l on admet que 10 de cette m me population sont des riches on a 50 de maliens moyens pardon de classe moyenne raison de 30 de moyens inf rieurs et de 20 de moyens sup rieurs Donner plus de richesse cette nouvelle majorit serait le chemin de la prosp rit et de l mergence tout court Densis de population Mais quoi bon tre moyen quand on peut exceller Non si l on peut tre excellent pour le bien du groupe sans se d tacher du groupe n1 saper son unit polaire Bien s r la possibilit d ascension sociale par l effort est s duisante mais si tout le monde consent volontairement et effectivement de l effort p

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