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La correction de copies d`examens : du support - LIRIS

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1. Fig 1 Architecture G n rale Le syst me propos adopte l architecture de la figure 1 Initialement l expert du domaine alimente le syst me par des connaissances du domaine et d finit le profil de l apprenant Ces derniers sont utilis s en temps r el par le module de raisonnement pour g n rer des sc narios p dagogiques adapt s l apprenant et ses objectifs ducatifs Durant l interaction entre l apprenant et le syst me toutes les actions de l apprenant sont r cup r es par le module de gestion des interactions puis repr sent es sous formes de traces mod lis es Ces traces sont utilis es en off line par le module de gestion de traces pour mettre jour les connaissances du domaine et le profil de l apprenant Repr sentation des connaissances du domaine et du profil de l apprenant Le mod le du domaine couvre l ensemble des connaissances et des informations n cessaires d une part l laboration des sc narios d apprentissage adapt s l apprenant et ses objectifs ducatifs d autre part la mise jour du profil de l apprenant en fonction de ses traces d interaction L id e fondamentale de notre approche est d organiser les connaissances du domaine sous forme d un r seau Bay sien Reye 2004 dont les n uds repr sentent les concepts enseigner et les liens repr sentent des relations hi rarchiques entre les concepts Ainsi les n uds de plus
2. 141 Auxepaules Ludovic 143 B Barhoumi Zaara 131 Ben Sassi Manel 145 C Capelle Camille 123 Champalle Olivier 103 Chebil Hajer T3 Compant la Fontaine Marie Laure 147 Courdavault Charlotte 149 D Danquigny Thierry 153 Delomier Florent 153 Dyke Gregory 155 E Etche Ogeli Ramia 117 G Gicquel Pierre Yves 95 Grandbastien Monique 19 H Hartwell Laura M 23 Hassan Djama M 157 Hussaan Aarij Mahmood 159 K Kien Quach Tat 161 L Lefevre Marie ies 35 Lekira Ananas 29 M Marfisi Schottman Iza 55 Mariais Christelle 43 Marion Nicolas 89 Michelet Sandra 63 O Ouraiba El Amine 83 P Pham Thi Ngoc Diem 69 S Settouti Lemya 163 T Tarrit Claude Ren 165 Thomas Pradeepa 49 V Vezian Nicolas 109 3 mes Rencontres Jeunes Chercheurs en EIAH 169 M Programme SO George Louis Baron EDA Universit Paris 5 Marie Laure Betbeder LIFC Univ Franche Comt
3. design p dagogique Henri 2007 Cette approche sugg re une continuation de la conception des artefacts dans l usage Les usagers doivent tre capables d agir sur les artefacts pr tablis pour r soudre leurs intentions et d laborer leurs propres instruments Les artefacts propos s doivent tre suffisamment ouverts pour permettre un double processus de gen se instrumentale instrumentation et instrumentalisation Mod le d un sc nario p dagogique ouvert Notion d un sc nario ouvert Dans la pratique les enseignants ne suivent pas aveugl ment des sc narios d apprentissage pr dictifs qui ne constituent qu une base de d part Zarraounandia 2006 Selon Rogalski 2003 l enseignant dans son activit doit g rer un environnement dynamique ouvert Dynamique parce que l apprentissage des apprenants volue m me sans intervention de l enseignant on parle alors d volution spontan e Ouvert parce que l enseignant ne peut pr voir ni l volution spontan e des apprenants ni l effet de ses interventions Roditi 2003 En fait pendant le d roulement d un sc nario ouvert certains l ments obligatoires doivent tres pris en compte mais leur organisation est libre par exemple les r les doivent r aliser des activit s pour atteindre leur but en toute libert Les r les doivent tre libres d agir dans le cadre des r gles le d roulement du sc nario peut toujours diverger
4. Jacques B ziat EDA Universit Paris 5 Jean Fran ois Bourdet LIUM Universit du Maine Gr gory Bourguin LIL Univ du Littoral Calais Amel Bouzeghoub GET INT Evry Eric Bruillard STEF ENS Cachan Jean Marie Burkhardt ECI Universit Paris 5 Pierre Andr Caron CIREL Universit Lille 1 Hamid Chaachoua LIG Universit Grenoble 1 Philippe Cottier LIUM Universit du Maine Amaury Daele CSE Universit de Lausanne Pr sidente Viviane Gu raud LIG Universit Grenoble 3 S bastien Iksal LIUM Universit du Maine St phanie Jean Daubias LIRIS Universit Lyon 1 Mona Laroussi INSAT Tunis Elise Lavou CR Magellan Universit Lyon 3 Pascal Marquet LISEC Universit Strasbourg 1 Ludovic Morge IUFM Auvergne Elke Nissen LIDILEM Universit Grenoble 3 Thierry Nodenot LIUPPA IUT de Bayonne Yvan Peter LIFL Universit Lille Laurent Petit LabSIC Universit Paris 6 C line Qu nu Joiron MIS Universit de Picardie Christophe Reffay UMR STEF INRP ENS Cachan Michel Sala LIRMM Universit Montpellier 1 Bruno De Li vre UTE Universit de Mons Hainaut Emmanuel Sander Lab Paragraphe Univ Paris 8 Elisabeth Delozanne LUTES Universit Paris 6 Christophe Despr s LIUM Universit du Maine S bastien George LIESP INSA Lyon Nathalie Guin LIRIS Universit Lyon 1 Richard Hotte LICEF UQAM Montr al Andr Tricot IUFM Toulouse Luc Trouche EducTi
5. Samoulean d di l apprentissage de la m thode Lean centr sur le diagnostic et l utilisation d indicateurs qualit les apprenants se retrouvent dans la peau d un apprenti Samoura qui doit s initier la d marche Lean dans un temple et la mettre en pratique au fur et mesure dans une entreprise japonaise La m me id e a t utilis e pour l apprentissage des m thodes de r solution de probl mes la gestion des flux la gestion des stocks la maintenance Nous avons pu constater en accord avec le retour d exp rience apport par des enseignants a l INRP que ces SG avaient des effets positifs sur les l ves en difficult avec les techniques d enseignement traditionnelles sans affecter les r sultats des bons l ves Dans cet article nous allons d abord expliquer les probl mes rencontr s lors de la cr ation de SG et identifier les besoins des auteurs Ensuite nous exposerons nos objectifs et notre d marche scientifique travers 3 axes principaux la collecte de composants g n riques la mise en place d outils d aide la conception et la definition d un protocole d interop rabilit pour int grer les composants de diff rents partenaires Les outils d velopp s et ceux en cours de d veloppement seront d crits pour chaque objectif Nous finirons en rappelant l apport scientifique de notre travail et les challenges venir Des investissements co teux et risqu s
6. La contrepartie des SG est sans conteste leurs co ts de production qui peuvent avoisiner celui des jeux vid o 15 000 par heure de jeu apprenant pour nos SG La d pense est d autant plus risqu e pour les SG cibl s sur des comp tences expertes que le public vis est tr s r duit De plus un bon SG est un quilibre d licat entre les aspects ludiques et ducatifs pour atteindre un apprentissage humain significatif Cette symbiose n est pas facile obtenir Dans un contexte scolaire les SG jug s trop ludiques ont du mal tre accept s comme support de travail par les enseignants Toutes les phases de jeu doivent tre justifi es comme faisant partie d un m canisme d apprentissage mais ce rouage doit tre transparent pour l l ve qui doit tre absorb et port par le jeu Si le SG n est pas assez ludique ou si le concept n est pas assez bien expliqu et que les l ves s attendent un jeu vid o les SG peuvent s av rer pire qu un cours normal discours de Ben Sawyer SG expo 2008 3S Rencontres Jeunes Chercheurs en EIAH 55 Iza Marfisi Schottman Pour viter la prise de risque et r duire les co ts les auteurs essaient de reprendre certains l ments de leurs pr c dents SG qui se sont montr s performants Seulement avec les techniques dont ils disposent actuellement ils n arrivent pas extraire ces l ments de fa on efficace et finissent souvent soi
7. la technique la d finition des objectifs de l activit et son contr le restant du ressort des utilisateurs Ibid Nous d sirons mesurer l apport de la participation des acteurs la configuration du syst me d accompagnement et d terminer les degr s d appropriation n cessaires pour que soit optimis un outil d aide la d cision centr sur l utilisateur Nous travaillons la param trabilit du syst me pour qu il soit accept efficace et applicable Dans ce syst me utilis industriellement est travaill e une perspective artisanale Qu il soit accept revient d finir les limites conatives qu il soit efficace signifie que l intention soit transmise de fa on ad quate et qu il soit applicable signifie que le syst me soit r alisable techniquement administrativement et financi rement Par sa probl matique transversale cette applicabilit est du domaine de la complexit des syst mes La recherche repose sur le besoin de mieux comprendre les articulations entre une plateforme d apprentissage les diff rents acteurs et syst mes op rants le type des interactions et les r sultats au niveau de l apprentissage Hypoth ses Dans une relation complexe entre dispositif artefacts action et activit nous d finissons la trace comme le r sultat informatique dans notre cas de l activit r alis e par l utilisateur pour atteindre un objectif d un point de vue syst me Mille 2006 Elle est u
8. un outil pour valider la conception du sc nario d apprentissage avant m me la phase de programmation En effet une fois que le sc nario du SG est mod lis sous forme de graphe il peut tre test de diff rentes fa ons avec des outils informatiques Dans un premier temps l tude des propri t s des graphes du sc nario peut aider d tecter des chemins sans issue ou des parcours qui ne permettent pas aux apprenants d atteindre les comp tences cibl es Pour des tests plus approfondis nous avons mis au point des joueurs virtuels qui vont agir en fonction de leurs niveaux de connaissances et de profils comportementaux pr d finis prudent fonceur curieux George ef al 2005 Manin ef al 2006 Pour le moment cette m thode n existe que pour les SG de type jeu plateau qui poss de des structures tr s formalis es mais elle devrait pouvoir tre tendue d autres types de jeu L objectif de ces simulations est d exp rimenter le d roulement d un jeu afin de juger statistiquement de l atteinte des objectifs p dagogiques Sans la remplacer cette tape permet de gagner norm ment de temps par rapport la m thode classique qui consiste tester le syst me sur un chantillon d apprenants la fin de la r alisation et qui implique souvent de revoir la conception diteur multi vues de sc narios Durant ces derni res d cennies les entreprises de jeu vid o sont devenues expertes en
9. 3mes Rencontres Jeunes Chercheurs en EIAH 31 Aina Lekira un apprenant passe par question est ce qu il teste ou compile son programme les indicateurs sp cifiques lies un sujet de TP exemple est ce que les r gles de l encapsulation sont respect es Le tuteur a la possibilit de d crire ses besoins d observation via les indicateurs suivant un certain formalisme qui lui permet de pr ciser le moment de l observation le moment o il veut avoir les informations concernant son besoin d observation donc le moment du calcul de l indicateur correspondant ainsi que les l ments point s dans son observation La figure 2 montre un exemple de description d un besoin d observation cr ation d une classe publique nomm e Point ayant 2 variables d instance r elles et priv es et un constructeur sp cifique avec deux param tres visant calculer un indicateur sp cifique li la question 1 lt xml version 1 0 encoding UTF 8 2 gt lt descriptions gt lt description question 1 gt lt classe gt lt nom gt Point lt nom gt lt visibilite gt public lt visibilite gt lt superClasse gt java lang Object lt SuperClasse gt lt constructeurs gt lt constructeur gt lt nom gt Point lt nom gt lt parametres gt lt parametre gt double lt parametre gt lt parametre gt double lt parametre gt lt parametres gt lt exceptions gt lt constructeur gt lt constructeurs gt
10. Delotte O David B and Chalon R Task Modelling for Capillary Collaborative Systems ACM SIGCHI Workshop TAMODIA 2004 Prague p 15 16 Mann S Humanistic Intelligence Humanistic Computing Wearcomp as a New Framework Proc IEEE vol 86 no 11 Nov 1998 p 2123 2151 Mori G Paterno F Santoro C CTTE Support for Developing and Analyzing Task Models for Interactive System Design In IEEE Transactions on software engineering vol 28 no 9 September 2002 p 787 813 Norman D A The Psychology of Everyday Things Basic Books New York 1988 In paperback as The Design of Everyday Things Doubleday New York 1990 Ullmer B Ishii H 2000 Emerging Frameworks for Tangible User Interfaces in IBM Systems Journal Vol 39 Nos 3 amp 4 2000 154 Lyon 6 et 7 mai 2010 Quels indicateurs pour l utilisation en bin me d un environnement de d veloppement int gr Gregory Dyke Ecole des Mines de Saint Etienne 158 Cours Fauriel 42023 Saint Etienne dyke Oemse fr R sum Dans cet article nous d crivons une exp rimentation visant am liorer le suivi d tudiants effectuant en bin me des travaux pratiques de programmation Nous avons mis en place un dispositif de tra age d environnement de d veloppement int gr permettant de collecter non seulement les erreurs de compilation mais aussi les erreurs d ex cution ainsi que des indicateurs tenant compte de la pr sence de de
11. Les questions originales qui se posent pour l impl mentation de notre solution se situent dans le niveau des donn es structur es et dans celui des structures visuelles Au niveau des donn es structur es nous lions chaque trace l ve l l ment de sc nario qui lui correspond Prefuse ne permet pas de r aliser de telles liaisons c est pourquoi nous avons con u un objet nomm Aggregate afin de remplir ce r le en disposant d une liste de pointeurs vers des traces l ve Nous cr ons un Aggregate pour chaque couple lt l ve l ment de sc nario gt et le lions aux traces relatives ce couple Au niveau des structures visuelles pour chaque trace l ve nous cr ons un Visualltem qui la repr sentera l cran et pour chaque Aggregate nous cr ons un Aggregateltem Les Aggregateltem vont servir cr er les portions d interface accueillant les traces l ves ex intersection de lignes et colonnes Ils sont reli s aux Visualltem correspondants aux traces li es l Aggregate dont ils sont issus Lors des ajustements de sc nario il s agit de cr er ou modifier les Aggregate et Aggregateltem qui correspondent aux l ments adapt s 3 mes Rencontres Jeunes Chercheurs en EIAH 113 Nicolas Vezian Conclusion Dans cet article nous avons pr sent notre probl matique portant sur l adaptation en temps r el d une interface de suivi suite aux ajustements du sc nario la structu
12. Mauvaise r ponse Bonne r ponse Figure 8 Repr sentation multiple illustrant 1 la progression chronologique d un tudiant 2 le r sultat de sa production 3 le niveau de difficult des questions 4 la classification des questions selon les comp tences 5 le temps moyen pass sur chaque question 3 mes Rencontres Jeunes Chercheurs en EIAH 135 Zaara Barhoumi L int r t de cette repr sentation est de rendre visible plusieurs indicateurs en superposant des valeurs indivi duelles progression d un tudiant r sultat d une question sur des valeurs d ensemble la dur e moyenne le niveau de difficult Il reste savoir com ment rendre ce graphique dynamique et interactif et comment le g n raliser Conclusion et perspectives Dans cette exp rience nous avons trait les donn es temps issues de stylos num riques utilis s par les r pondants des tests d valuation de comp tence en tableur Ces donn es constituaient une trace du processus mis en uvre par les r pondants pour produire leurs r ponses Notre objectif tait de proposer des retraitements de ces donn es qui facilitent leur exploitation et des repr sentations visuelles qui aident leur analyse Ces repr sentations visuelles seraient d pendantes de l objectif de l analyse Nous avons montr que la production de ces repr sentations n cessite des transformations sur les donn es brutes Nous mettons au point
13. etc Tableau 2 Conseil client en cr dit immobilier Phase 1 introduction 3mes Rencontres Jeunes Chercheurs en EIAH 47 Christelle Mariais Le sc nario LRPG propos est orchestr autour de trois grandes phases e Phase 1 un jeu de mission sensibilisant aux enjeux du conseil client e Phase 2 un jeu de communication pour l entra nement l entretien client e Phase 3 un jeu de mission visant la formalisation et le partage de connaissances relatives au conseil client en cr dit immobilier r glementation concurrence objections client Dans le tableau 2 nous d crivons la phase 1 du dispositif afin de mettre en vidence ses ressorts de jeux significatifs et expliciter leur r le par rapport aux objectifs du dispositif de formation Conclusion et Perspectives La description pr sent e tableau 2 montre que le choix des ressorts de jeu et les m canismes associ s peuvent tre directement li s aux sp cifications de la formation en terme d objectifs de formation ex faire prendre conscience des attentes client d intentions ex motiver et engager les collaborateurs dans la formation de sp cificit s du public cible et du contexte professionnel faire collaborer les conseillers financiers Ces l ments apparaissent comme centraux dans le processus de conception qui sera mod lis et mis en uvre dans l environnement d assistance ScenLRPG en facilitant la formalisation des sp
14. inscrit Ces retours du syst me d observation sont r alis s suite l valuation par un composant appel analyseur d un ensemble de r gles pr d finies Les traces peuvent aussi tre utilis es en diff r pour une analyse globale de l activit La station d observation peut galement tre utilis e pour assister des analyses externes Courtin et Talbot 2009 par exemple un chercheur utilisant TATIANA pour analyser une s ance d apprentissage peut associer des cat gorisations manuelles aux l ments de la trace qui sont ensuite g r es automatiquement par la station d observation Ce travail est possible car les traces TATIANA peuvent tre import es dans CARTE ce d veloppement a t effectu en collaboration entre les deux projets La figure 2 sch matise l architecture de CARTE centr e sur la trace La station d observation r cup re des traces d interaction provenant des outils collaboratifs par exemple l diteur Jibikipedia et permet de les analyser et visualiser en utilisant l outil d analyse TATIANA D autre part la station d observation CARTE peut automatiser des cat gorisations faites manuellement dans TATIANA et ceci est d la compatibilit des formats de repr sentation des traces par CARTE et TATIANA Une action sur le court terme consistera r aliser un couplage entre les traces de CARTE et celles collect es par l outil de tra age et d analyse des traces
15. observation Les stagiaires peuvent tre amen s utiliser compl ter et saisir un panel tr s vari de documentation papier prenant une place pr pond rante dans l observation de leur activit proc dures QCM fiches d analyse 3 L aide l observation du comportement des stagiaires sur simulateur Dans cette section nous dressons en premier lieu un r capitulatif des besoins de notre partenaire industriel avant de mettre en avant nos propositions et concepts de recherche 3 1 D finition des besoins Dans les ann es venir EDF doit r pondre des nouveaux enjeux d adaptation et de renouvellement de ses comp tences du fait de l accroissement du nombre de d parts en inactivit dans la plupart des ses m tiers et des futurs d fis de l entreprise Dans ce cadre plusieurs besoins ont t d finis Am liorer les moyens des formateurs pour l observation de l activit des stagiaires sur simulateur par la mise disposition d outils novateurs notamment pour aider aux d briefing section 2 1 Phase 5 Instrumenter et optimiser la boucle du retour d exp rience REX afin d en tirer des enseignements pour b tir les programmes de formations des ann es venir Etendre les outils d aide a l observation vers des outils d auto diagnostic sur des simulateurs en libre service afin de permettre aux stagiaires de s auto former s auto diagnostiquer de rep
16. tudiantes ayant d clar tre presque pr te 12 85 ou p 0 001 Le concept d tre pr t e est subjectif car chacun e a ses propres objectifs et ses fa ons de d clarer ses sentiments Mais le parall le entre la capacit de travail constat e lors du travail en autoformation et le manque de repr sentations ad quates dans les logiciels commerciaux met en relief cette d claration de manque de confiance chez les femmes en situation d preuve La confiance en soi peut tre un autre facteur de comp tence langagi re Barr et Syverson 1999 Taillefer dans une recherche r cente sur la formation aux strat gies de lecture met en avant le rapport entre la confiance en soi et la prise de risque oser deviner inf rer se tromper etc Si la confiance est un facteur influen ant la performance lors des preuves il semblerait utile que cette question soit davantage prise en compte la fois dans la recherche et en situation d enseignement Discussion travers l cran le corps enseignant et les concepteurs trices transmettent des images du genre qui sont des facteurs dans la construction du contexte d apprentissage C est dire que l impact du contenu des supports ne se limite pas d finir le sujet il modifie la nature m me de l activit de l apprentissage Narcy Combes pr cise Il serait sans doute plus juste de consid rer les ressources non comme des supports mat riels mais comm
17. une s ance informatique et nous ont donn l id e de commencer par r colter les gestes les plus r p t s D autres recherches auxquelles nous participons s inspirent d une m thode math matique pour valuer l interaction homme machine Giannopulu et Pradel 2009 tudient l interaction enfant robot durant un jeu selon un protocole et analysent cette interaction a travers un mod le bas sur la th orie des catastrophes de Thom pour repr senter les changements de comportement de l enfant L tude code deux variables la perception sensorielle d tection du regard le toucher ou manipulation et le mouvement avancer vers le robot reculer et pivoter 360 Nous voulons tablir un protocole d observation homme robot qui rep re les gestes de la communication homme machine et comparer les r sultats de l interaction enseignant ordinateur l ve avec ceux de l interaction adulte robot enfant Observation et ses outils Nous avons employ l observation directe afin de prendre en compte les formes d interaction enseignant enfant machine Deux outils d observation sont utilis s Camtasia et le stylo num rique Leurs r le est de r colter le plus de d tails possibles afin d obtenir des informations sur la nature des t ches effectu es et de mettre en vidence les signes de communication pendant l interaction enfant enseignant Capteur d cran Nous avons install Camtasia publi p
18. valuation ou la carri re des enseignants chercheurs afin de concourir une repr sentation quilibr e des femmes et des hommes dans ces organes L UNESCO et le Conseil de l Europe reconna t le r le du corps enseignant dans l limination des st r otypes dans tous les supports p dagogiques Elle incite les institutions et le corps enseignant participer cette r volution en encourageant l analyse et la remise en cause des st r otypes afin d aider liminer les distorsions que les manuels les supports et les produits pourraient entretenir dans le contenu le langage et les illustrations Brugeilles et Cromer 2008 Conseil de l Europe 1986 Conseil de l Europe 1995 Conseil de 3mes Rencontres Jeunes Chercheurs en EIAH 23 Laura M Hartwell l Europe 2007 UNESCO 2003 L Education Nationale n est pas rest e muette sur les questions de sexisme Un arr t intitul Action ducative contre les pr jug s sexistes publi le 12 juillet 1982 explique Les ducateurs doivent relever et critiquer dans l ensemble des outils p dagogiques manuels scolaires fiches diapositives films cassettes etc la persistance ventuelle de st r otypes sexistes qui perp tuent une image in galitaire des femmes Le 24 f vrier de l ann e suivante le minist re met la note de service n 83 105 qui demande aux enseignants es et aux chefs d tablissement de choisir uniquement des
19. C11 3 e7 3 cp6 4 FIG 2 Exemple de vecteurs de diagnostic Nous allons tudier ces vecteurs selon 2 axes l ment d tect et degr de croyance Pour cela partir des vecteurs de diagnostic nous construisons 3S Rencontres Jeunes Chercheurs en EIAH 65 Sandra Michelet des vecteurs de degr de croyance associ une conception nomm s V_Degr Croyanceap cp compos des degr s de croyance mis respectivement par E Ey Ez Ey pour l apprenant A le probl me P le contexte de diagnostic C et l l ment d tect D En consid rant les vecteurs de diagnostic de la figure 2 nous obtenons les vecteurs de degr s de croyance suivants V_Degr Croyance a1 p2 TpElec c1io 0 0 2 0 V_ Degr Croyance i p2 TpElec e11 2 3 4 3 V_ Degr Croyanceai p2 rpelec e7 3 2 4 3 V_ Degr Croyancear p2 TrElec e14 0 0 1 0 V_ Degr Croyanceai p2 rpElec cp6 4 4 3 4 V_ Degr Croyancear p2 TPElec ep21 0 1 0 0 FIG 3 Exemple de vecteur de degr de croyance D finition d accord entre experts humains Pour chaque l ment d tect nous calculons partir du vecteur V_Degr Croyance les 3 diff rences entre les degr s de croyance des experts humains que nous d signons respectivement par dj d et d3 Nous d finissons la convergence globale entre experts humains ainsi z Zz 2 CGiobais Humains d di dy Nous dirons qu il y a convergence tot
20. Cette association nous permettra de les caract riser Par exemple selon les cat gories de jeu nous caract riserons les actions par des attributs tels que inutile pour progresser dans le jeu pr coce tardive ou encore hypoth se non pertinente dans une situation de raisonnement hypoth tico d ductif Ensuite nous interrogerons les joueurs et les tuteurs sur leurs besoins en termes d indicateurs de suivi et de d briefing A l aide de ces indicateurs nous tenterons de d finir un mod le g n rique de suivi pour certains types de jeu en particulier pour ceux de type builder dont l objectif est de construire un syst me complexe en y ajoutant des l ments et ou des fonctionnalit s Pour ce type de jeu nous distinguerons les connaissances valid es manquantes et erron es Comme nous l avons mentionn pr c demment les serious games objets de notre analyse sont ceux susceptibles d tre rejou s Nous avons donc besoin de d finir une m thodologie d analyse non seulement pour une partie d un joueur mais aussi de l ensemble des parties d un joueur et de l ensemble des parties de tous les joueurs Enfin nous testerons les mod les et indicateurs produits sur diff rents serious games L Int gration d un Serious Game dans un LMS Comment Int grer un Serious Game dans un LMS Dans la mesure o le serious game ne doit pas tre un dispositif stand alone et q
21. De m me l observation des parcours de recherche au travers de ressources et outils d acc s l information montre que l utilisation de Google n intervient jamais en premi re mais plut t en troisi me ou quatri me position apr s l exploration et l exploitation syst matiques de portails et sites sp cialis s de logiciels documentaires ou d encyclop dies en ligne on peut donc mettre l hypoth se de l existence chez ces tudiants d une sorte de sch me professionnel d engagement dans la recherche particuli rement dans une situation de recherche vocation professionnelle Conclusion Les PLCI enqu t s ont sur le fonctionnement des moteurs de recherche des connaissances qu ils ne mettent pas toujours en uvre dans leurs pratiques L apprentissage des connaissances th oriques se fait essentiellement en formation et l acquisition de comp tences op ratoires est plut t empirique Malgr quelques freins certains transferts s op rent entre ces deux contextes d appropriation Les tudiants enqu t s ont des d marches strat giques et tactiques et sont capables de d finir les facteurs d efficacit de leur d marche Toutefois cette tude dont les conclusions ne sont pas g n ralisables du fait du faible nombre d tudiants enqu t s m riterait d tre prolong e par une tude sur un plus large chantillon R f rences Beaufils A and Blondel F M 2001 Les pratiques de recherche d informations sur
22. Nous d taillerons ensuite ces axes en les confrontant aux situations d apprentissage d crites dans les articles que nous avons choisis Apprentissage Authentique et Informatique Ubiquitaire Lorsque l on con oit un EIAH il est important de pr ciser le cadre th orique dans lequel on se place De Vries et Baill 2006 Nous allons donc nous pencher ici sur l apprentissage authentique formalis dans Brown et al 1989 qui nous parait le plus adapt pour d crire une situation d apprentissage ubiquitaire L apprentissage authentique s inscrit dans une perspective constructiviste de l apprentissage Nous allons donc commencer par rappeler les principes du constructivisme Le constructivisme est une th orie g n rale de la connaissance initi e par Piaget en r action au behaviorisme Si la th orie initiale tait centr e sur la psychologie d veloppementale de la petite enfance le constructivisme a t par la suite adapt aux apprentissages adultes L id e fondamentale du constructivisme est que l apprenant construit ses propres connaissances au sein d activit s physiques ou mentales qui vont bousculer ses conceptions Un enseignement constructiviste va alors favoriser cette remise en cause par l apprenant de ses connaissances en le pla ant dans le cadre d une situation probl me caract ris e par le fait que l apprenant ne peut la r soudre l aide de ses seules connaissances actuelles Le
23. cifications du projet et l exploration d une biblioth que de mod les de sc narios et de ressorts de jeu l environnement guidera le concepteur dans ses choix et la fa on dont ils peuvent tre mis en uvre dans le LRPG Nous travaillons actuellement la sp cification du premier prototype de ScenLRPG qui doit tre soumis une dizaine de concepteurs p dagogiques de diff rents domaines du tertiaire et de diff rentes organisations soci t de e learning organisme de formation service formation de grands groupes en vue de v rifier Putilisabilit de l outil et la pertinence de la m thodologie propos e En fonction des r sultats de ces premiers tests nous ajusterons les sp cifications de l environnement Les finalit s du processus de conception mod lis et de sa mise en uvre dans l environnement d assistance ScenLRPG sont de e renforcer la confiance du concepteur et du commanditaire dans l ad quation de la solution propos e avec le contexte sp cifi e acc l rer le temps de conception en favorisant la r utilisation de sc narios et la capitalisation d exp riences e faciliter la mise en uvre du sc nario en mettant disposition un ensemble de donn es directement op rationnalisables Nous pr voyons une validation de ces diff rents points travers un autre test d utilisation de l environnement ScenLRPG une quipe de concepteurs devra laborer un sc nario LRPG complet r p
24. d interaction TrAVis Tracking Data Analysis and Visualization tools May et al 2008 Les traces provenant de TrAVis pourront alors tre analys es par TATIANA et vice versa 3S Rencontres Jeunes Chercheurs en EIAH 77 Hajer Chebil Cotpus de aces Figure 2 CARTE Architecture centr e Trace Afin de construire un corpus de traces d interaction qui permettrait des chercheurs de valider ou dupliquer une analyse nous partirons du mod le th orique de la trace mod lis e propos dans SBT pour la repr sentation des traces Celles ci tant l l ment central du corpus elles sont collect es et manipul es par un SBT CARTE sera un exemple de SBT utiliser pour la collecte des traces d interaction g n r es par les outils de EIAH et leur repr sentation dans le format XML Les traces peuvent avoir d autres formats tels que des fichiers audio vid o des documents produits au cours d une s ance d apprentissage des brouillons scann s etc Pour qu un corpus soit exploitable par d autres chercheurs celui ci doit contenir le maximum d informations permettant de comprendre la s mantique des donn es collect es En effet il est int ressant d associer aux traces des informations sur le contexte donnant une description g n rale de l exp rimentation des objectifs p dagogiques et de recherche qui ont motiv une exp rimentation Il est aussi pertinent d associer le sc nario
25. dagogique en utilisant les outils actuels qui pour la plupart supportent la sp cification IMS LD tels que Reload Editor et Reload Player Reload 2004 et CopperCore Vogten and Martens 2005 etc et ne permettent pas d op rationnaliser le niveau B dynamique et le niveau C v nementiel de cette sp cification afin d adapter la structure et la m thode de l apprentissage en temps r el Cette adaptation n cessite en effet une prise en main des outils et une ma trise des concepts de l EML et implique par cons quent de consid rer les enseignants comme des sujets ayant prise sur le dispositif plus que comme de simples agents Pour cela nous nous int ressons dans notre travail de recherche l instrumentation de processus d ing nierie et de r ing nierie des sc narios p dagogiques que nous qualifions d ouverts c est dire qui puissent s adapter aux volutions du contexte dans lequel ils sont ins r s tres modifi s en fonction de l volution de l activit de leurs usagers Nous envisageons en effet de donner des moyens conceptuels et informatiques pour aider les enseignants sp cifier et adapter leurs sc narios p dagogiques EE 3S Rencontres Jeunes Chercheurs en EIAH 83 El Amine Ouraiba La premi re section de cet article de positionnement d crit notre contexte de recherche Nous pr sentons ensuite le cadre th orique de notre travail avant de pr ciser la notion et la st
26. eM diatheque STICEF 14 Gee J P 2003 What video games have to teach us about learning and literacy Comput Entertain 1 1 20 20 Hollnagel E 2004 Barriers and accident prevention p 260 Ashgate Publishing Ltd Labat J M 2002 Quel retour d informations pour le tuteur Colloque TICE p 81 88 Marty J C Heraud J Carron T amp France L 2004 A quality approach for collaborative learning scenarios Learning Technology Newsletter of IEEE 6 24 Muratet M Torguet P Jessel JP Viallet F 2009 Towards a serious game to help students learn computer programming in International Journal of Computer Games Technology p 1 12 Pham Thi Ngoc D Iksal S Choquet C Klinger E 2009 UTL CL A Declarative Calculation Language Proposal for a Learning Tracks Analysis Process In The 9th IEEE International Conference on Advanced Learning Technologies p 681 685 Riga Lettonie Settouti L Pri Y Mille A amp Marty J C 2006 Syst mes a base de traces pour l apprentissage humain in Actes de TICE 2006 Toulouse Shute V amp Spector J 2009 SCORM 2 0 White Paper Stealth Assessment in Virtual Worlds http www adInet gov Technologies Evaluation Librar y Additional 20Resources LETSI 20White 20Pape rs Shute 20 20Stealth 20Assessment 201n 20Vir tual 20W orlds pdf Derni re consultation le 24 janvier 2010 Shute V Ventura M Bauer M amp Zapa
27. el Le sc nario narratif est e tr s r aliste r aliste e fictionnel tr s fictionnel Le participant joue un r le identique son r le professionnel r el e diff rent de son r le professionnel r el Pouvoirs sp ciaux associ s Les r les un r le Choix des r les Les r les sont Permanence des r les Le r le jou par un participant L intervention du hasard a e positif Etre soumis au Effet de l intervention du hasard alea un effet Sujet auquel s appliquent les effets s appliquent G rer une Qualification de la situation Le participant est situation de crise de crise confront ilinx Les effets du hasard e ont tous des pouvoirs similaires e offrent parfois des pouvoirs sp cifiques ex un espion peut acc der des informations sans tre vu e choisis librement e impos s e est le m me sur l int gralit du sc nario e change au cours du sc nario e n gatif e d stabilisant e un participant sp cifique e un groupe e tous les participants e une crise mineure existence de proc dure s de gestion de crise e une crise majeure on est hors des proc dures usuelles AUTRES RESSORTS DE MOTIVATION Agir Type de l activit collective Les activit s sont collectivement La collaboration ou coop ration a lieu N Modalit s Etre reconnu Personnalisation FR possibilit de ZO personnaliser
28. finis pr c demment deviennent d autant plus int ressants qu ils s int grent dans une analyse diff rentielle Celle ci consiste comparer les indicateurs au travers des diff rentes parties du joueur Ainsi lorsqu il choue un niveau tient il compte des conseils donn s sur les actions trop t t lors du feedback par exemple Le tuteur obtient ainsi un bilan tr s fin de la progression de l apprenant A priori en rejouant plusieurs fois une m me partie le joueur devrait apprendre de ses erreurs Si ce n est pas le cas le tuteur pourra proposer une rem diation appropri e Dans ce cas l apprenant peut recourir une base de connaissances ext rieure au jeu lui pr sentant les diff rentes activit s du groupe Enfin l tude des donn es de l ensemble des parties de tous les joueurs peut permettre d identifier des strat gies et des styles d apprentissage sp cifiques aux SG ainsi que des erreurs au niveau de la conception du jeu telles que par exemple un niveau trop difficile passer Perspectives et Travaux Futurs Par la suite nous continuerons nos travaux en d finissant d autres indicateurs d analyse des conceptions erron es des apprenants qui puissent correspondre aux cat gories de SG que nous souhaitons tudier Notre objectif tant de fournir un mod le aussi g n rique que possible pour l valuation et le feedback des joueurs mais aussi destination du tuteur Nous nous
29. interrupteur sur la circulation de courant dans un circuit s rie Or les experts humains pour cet exemple n ont pas diagnostiqu cette comp tence De plus nous avons tudi pour cette cat gorie d accord le nombre de connaissances comp tences et erreurs d tect es chez au moins un expert humain ou automatique Ainsi pour chaque cat gorie d experts nous ne comptabilisons qu une fois la conception d tect e m me si elle le fut chez plusieurs apprenants Les r sultats de la figure 6 montrent que le nombre de conceptions d tect es par les experts humains ou DiagElec sont presque similaires et ce quelque soit la cat gorie des conceptions Cependant on peut noter que DiagElec a tendance d tecter plus de conceptions m Experts humains E DiagElec Connaissance Comp tence Erreur FIG 6 Comparaison du nombre de d tection Humain VS DiagElec Evaluation de DiagElec dans les cas Convergence Partielle et Divergence Totale Nous avons regroup ces cat gories puisqu il subsiste un d saccord entre experts humains Ainsi nous tudions le comportement de DiagElec par rapport celui de chaque expert humain Les r sultats sont pr sent s dans le tableau 3 o m o met M d signent respectivement moyenne cart type minimum et maximum Les r sultats confirment le fait que DiagElec met des degr s de croyance plus forts que les experts humains on notera une exception po
30. l ve est comparable Nous avons comptabilis les gestes de quatre enseignants et de quatre l ves r partis comme suit Structure Forme Activit E M Temps IME Indiv clic lire 1 1 45 mn ES Vall e collect pepit 3 3 60 mn Nous avons compt l ensemble des gestes utilis s par chaque acteur les quatre enseignants et les quatre enfants afin de d terminer d abord le geste le plus fr quent dans une s ance informatique Dans un deuxi me temps nous avons fait une analyse qualitative en exploitant les donn es synchronis es Analyse quantitative Donn es du stylo num rique Comme il a t mentionn ant rieurement nous avons cod certaines actions des deux acteurs enseignant M et l ve E qui sont 1 M pointe cran PE tient souris TS pointe clavier PC guide souris avec E GS 2 E pointe cran PE regarde M RM tape clavier TC l che souris LS 60 m PE 50 40 320 ES 20 4 BTS 10 7 mas mPC ol action Figure1 Actions ma tresse La figure 1 montre que les quatre enseignants pointent plus souvent l cran que le clavier On peut se demander si le pointage est un moyen de communication entre le ma tre et l l ve et quelles significations il porte En ce qui concerne l l ve autiste nous avons remarqu que le geste le plus utilis par les quatre l ves est de regarder l enseignant figure 2 Nous 6
31. offre la possibilit de cr er un sc nario LRPG partir d une structure mod le elle propose galement d y int grer des situations p dagogiques classiques ou des activit s de jeu ainsi que des ressorts de jeu L environnement d assistance vise tre utilis par un public non sp cialiste en programmation informatique concepteurs p dagogiques de soci t s de e learning ou ing nieurs p dagogiques au sein de services de formation de grands groupes Fonctionnalit s de l Environnement d Assistance L environnement d assistance ScenLRPG propose un processus de conception qui repose sur l utilisation de mod les de sc narios Dans ce contexte les propri t s attendues pour ScenLRPG sont les suivantes e Capacit a expliciter le contexte d utilisation du LRPG ex d finition du contexte professionnel du contexte organisationnel etc e Capacit expliciter les intentions p dagogiques ex comp tences vis es e Capacit guider le choix de sc narios mod les et de ressorts de jeu capacit faciliter l exploration d une biblioth que de sc narios e Capacit modifier et r organiser les sc narios choisis e Capacit d crire de fa on pr cise les sc narios en vue de leur op rationnalisation Cette op rationnalisation est principalement envisag e sur des plateformes lectroniques de type Learning Management System LMS augment es de fonctionnalit s sp cif
32. op rationnalisation gr ce a des r gles de transformation Nous travaillons actuellement sur une tude de cas d ing nierie et de r ing nierie des sessions de travaux pratiques de la programmation Java d ploy es sur un EIAH d j existant nomm Hop3x Ouraiba et al 2010 Nous avons l intention de pr parer une exp rimentation sur des cas r els d utilisation Pour cela nous allons d finir un m ta mod le qui d crit le langage m tier des enseignants et nous devons en cons quence d velopper un diteur convivial qui leur permet de concevoir et d adapter dynamiquement des sc narios d apprentissage en fonction de l volution de contexte Toutefois la caract risation et la reconnaissance de contexte d usage de m me que la compr hension des traces d ex cution ne sont pas assez faciles pour des enseignants usagers Pour cela d autres membres de REDiM travaillent actuellement sur la mod lisation de contexte et le calcul des indicateurs partir des traces R f rences Bonnardel N et Rech M 1998 Les objets sources d inspiration dans les activit s de conception chapitre in Les objets dans la conception edited by trousse and Zreik dition Choquet C 2007 Ing nierie et r ing nierie des EIAH L approche REDiM Habilitation diriger les recherches en informatique Universit du Maine 2007 Cottier P Choquet C et Tchounikine P 2008 Repenser l ing nierie des EIAH pour des en
33. ou encore pour des raisons de confidentialit Il n y a donc pas de possibilit de valider les r sultats des exp riences publi es ni de r pliquer les exp riences D autre part sur un m me corpus de donn es diff rentes exp rimentations pourraient tre men es selon diff rents objectifs d observation Afin de pallier ce probl me qui entrave une volution grande chelle des EIAH le projet MULCE MUltimodal Learning and teaching Corpora Exchange propose 1 une structure pour les corpus d apprentissage et d enseignement sp cialement pour les traces d interaction en tenant compte du contexte p dagogique du contexte de recherche de l exp rimentation ainsi que des r gles d thique concernant les donn es priv es des individus et ii une plateforme pour le partage de ces corpus Reffay et Betbeder 2009 En ce qui concerne les syst mes de type tuteur intelligent Pittsburgh Science of Learning Center Datashop PSLC 2010 repr sente un entrep t de donn es des interactions entre les apprenants et les outils d apprentissage offrant un ensemble d outils d analyse et de reporting Syst mes Base de Traces Mod lis es Traces Plusieurs d finitions de la trace ont t propos es suivant les besoins et objectifs des recherches men es Lund et Mille 2009 la d finissent comme suit Suite temporellement situ e d observ s qui rel ve soit d une interaction entre humains m diatis e e
34. plusieurs mots clefs pour pr ciser la recherche limitant ainsi le bruit documentaire qu entra nerait une strat gie de recherche trop large Mittermeyer et Quirion 2003 Ils connaissent aussi les op rateurs bool ens dont l op rateur par d faut AND les filtres qu ils exploitent n anmoins peu et la recherche d expression exacte Cependant les requ tes observ es ne correspondent pas toujours la th orie et nous constatons une non utilisation de certaines possibilit s de recherche des moteurs de recherche dont la connaissance est exprim e lors des entretiens ainsi de la recherche avanc e d clar e utile pour des quations complexes mais peu utilis e car la majorit de leurs besoins se satisfont d une recherche simple l aide de plusieurs mots clefs Il se peut que dans certains cas 3 mes Rencontres Jeunes Chercheurs en EIAH 147 Marie Laure Compant la Fontaine l explication soit chercher dans le temps d appropriation de l outil n cessaire pour cr er un r flexe d usage Le contexte de la situation de recherche doit galement jouer son r le engendrant des besoins d information diff rents de nature la recherche personnelle portant davantage sur des informations tr s cibl es pratiques et factuelles plut t dans le registre du divertissement On peut galement penser un difficile transfert de comp tences d un contexte d usage un autre Fluckiger et Bruillard 2008 Concernant les r sul
35. re fine au moyen de la d finition d une grille de notation La notation de la copie pourra ainsi tre d une certaine mani re automatis e En 2007 et 2008 une exp rience de d mat rialisation des copies a pu tre men e dans quatorze acad mies de France pour diff rents types d examens baccalaur ats g n raux techniques professionnels CAP BEP BTS Notre tude long terme vise montrer quels sont les changements qui interviennent de la correction sur papier celle par ordinateur Nous cherchons plus particuli rement identifier les m canismes op r s par le correcteur sur support papier afin de rendre compte des changements concernant le processus par ordinateur Nous consid rons deux faits majeurs en termes d volution dans le travail du correcteur le passage d une activit de r flexion et d criture sur support papier une activit instrument e sur un support num rique d aide et d accompagnement la r flexion Ihe projet est une recherche de doctorat en Sciences du Langage en contrat CIFRE avec la soci t NEOPTEC conceptrice de la plateforme de correction VIATIQUE 2 L harmonisateur est le responsable charg de d finir une note finale pour une copie qui a fait l objet d une double ou multi correction 3 mes Rencontres Jeunes Chercheurs en EIAH 123 Camille Capelle le passage d une activit isol e une activit coordonn e par la mise en rela
36. rer leurs axes de progr s et d organiser leur mont e en puissance Afin de r pondre ces probl matiques nous discutons dans la partie suivante de quelques unes de nos propositions valid es par plusieurs formateurs et reposant sur la th orie des traces mod lis es Laflaqui re 2009 Settouti 2006 3 2 Propositions et concepts base de trace Dans un but d am lioration des moyens des formateurs dans le cadre des formations nous pensons int ressant d ajouter des syst mes de trace aux simulateurs de formation des agents de conduite L exploitation des traces ainsi instrument e offrirait aux formateurs une aide l observation afin de leur permettre de limiter le nombre des Non Observ s au cours des simulations section 2 2 1 Pour ce faire nous proposons le concept de Trace parfaite sorte de processus complet dit de r f rence comportant l ensemble des actions et observables attendus devant tre accomplies par les stagiaires Ainsi les traces des actions des stagiaires pourraient tre affich es et compar es en temps r el au d roulement de la trace parfaite mettant automatiquement en vidence leurs bonnes ou mauvaises actions et permettant aux formateurs d intervenir directement en d viant un param tre pour confirmer les observations ou en gelant le simulateur pour faire le point avec les stagiaires Afin de faciliter la phase d briefing et analyse des s ances de formations l
37. rique pour le calcul des indicateurs Elle se compose de quatre tapes 1 La premi re tape consiste mod liser les donn es brutes du contenu du fichier de logs Afin d obtenir une donn e brute UTL compatible avec le calcul des indicateurs il est n cessaire de pouvoir collecter des fichiers de traces qui contiennent au moins les l ments suivants temps codeAction acteur O temps concerne la date de d but d une action codeAction concerne une action acteur Concerne une personne qui fait une action 2 Ensuite nous cr ons si n cessaire des donn es additionnelles DA et ou des donn es de production DP Les donn es additionnelles sont vari es et nombreuses une ontologie une taxonomie du domaine un curriculum acad mique etc Les donn es de production sont obtenues lors de la session d apprentissage rapports exercices etc Elles sont par cons quent toujours clairement identifiables y compris celles non pr vues dans le sc nario pr dictif 3 La troisi me tape se compose de la mod lisation des indicateurs et ventuellement des donn es interm diaires n cessaires au calcul Dans cette tape UTL est employ comme langage de mod lisation pour d crire et d finir des indicateurs DCL4UTL est utilis comme langage de formalisation de la m thode de calcul des indicateurs partir de donn es brutes et d autres donn es Cette tape est d crite en d tail dans Iksal et al
38. s UML qui d crit l encha nement attendu des actions de l apprenant dans l environnement ou encore l tat attendu de l environnement objectif de r alisation 2 Dans un deuxi me temps le formateur peut enrichir cette premi re description en ajoutant des informations p dagogiques concernant l activit traitement des erreurs classiques consignes particuli res etc Il s agit de d crire des situations particuli res rep rer observables et de d signer une action pr conis e dans cette situation action p dagogique Pour cela POSEIDON fournit au formateur un ensemble de primitives modifier l apparence d une entit la valeur d un attribut changer l attribution des r les etc pouvant tre instanci es et combin es pour cr er des actions p dagogiques enrichissement d gradation etc Lourdeaux 2001 Ces informations enrichissent la description de la t che afin de l adapter aux caract ristiques de l exercice niveau des apprenants points importants difficult s particuli res etc Le formateur dispose d une palette de primitives lui permettant de cr er des activit s p dagogiques vari es qu il peut sc nariser sa guise De ce point de vue POSEIDON n impose pas de strat gie p dagogique inductive d ductive interrogative efc Les informations p dagogiques contenues dans les sc narios constituent des connaissances qui peuvent ou non tre prises en compte par le formateur
39. s d apprentissage de l apprenant l enseignant peut donc continuellement valuer ou adapter son sc nario p dagogique Romero et Ventura 2007 Zinn et Scheuer 2006 qui est une description du d roulement d une situation d apprentissage Pernin et Lejeune 2004 Dans un EIAH il est difficile d valuer l apprentissage de l tudiant En effet l enseignant peut ne pas savoir exactement 1 ce qui est fait par l tudiant pendant la session Quelle activit est r alis e Qui a r alis effectivement l activit 2 si le sc nario p dagogique est appropri pour l tudiant 3 si certaines activit s du sc nario sont plus populaires que d autres 4 s il est n cessaire d am liorer le sc nario 5 ce qui doit tre modifi etc En fait dans un EIAH l observation et l valuation d une session d apprentissage sont souvent bas es sur l analyse de grands volumes de donn es collect es pendant ou apr s la session d apprentissage Romero et Ventura 2007 De nombreux travaux concernant l analyse d utilisation d un EIAH sont r alis s pour aider l enseignant mieux comprendre les activit s de l apprenant Heraud ef al 2005 am liorer la pr sentation des concepts l valuation et les exercices pratiques Stefanov et Stefanova 2005 ou encore am liorer l enseignement Merceron etYacef 2003 etc De plus la comp tence et la connaissance de l enseignant dans l analyse d une session d apprentissage devraien
40. sont analys s Le premier constat est une surrepr sentation num rique des hommes dans les 180 images des trois supports Le genre des 332 sujets est notamment plus masculin 63 4 que f minin 36 6 ce qui est significatif p 0 001 Seul Clarity Study Skills Success comporte plus de femmes 56 que d hommes 44 cela peut s expliquer par le fait que les images de Clarity Study Skills Success servent souvent de d cor sans lien v ritable avec le contexte ou le message Dans les deux autres sources les images sont li es au sens des documents oraux Nous sommes clairement dans un cas de masculinit excessive Une analyse des comportements linguistiques des sujets est n cessaire afin de comprendre le message transmis travers les images En tout 168 sujets sont en acte de communication dont 73 femmes et 95 hommes On remarque d abord une diminution de l cart entre la repr sentation de l homme 56 55 et de la femme 43 45 compar aux chiffres globaux de repr sentation Un t test montre que la diff rence entre les deux moyennes p 0 172 n est pas significative Les femmes crivent y inclus la prise de notes n 17 63 presque deux fois plus souvent que les hommes En contraste les hommes sont plus repr sent s en train de parler n 24 77 4 un auditoire visible ou hors champ cf Tableau 1 Ce ph nom ne de lier les femmes l criture et les hommes au discours n est pas un
41. tier des plateformes de formation distance L approche DSM sera galement exploit e pour la g n ration de langages et outils propres aux plateformes tels que les diteurs graphiques L hypoth se g n rale de nos travaux est qu une telle approche outill e de la conception p dagogique permettra de simplifier l activit de conception des enseignants concepteurs en leur vitant les difficult s et contraintes li es l appropriation et l utilisation des fonctionnalit s des IHM et des moyens de conception propos s par ces plateformes M thodologie Notre m thodologie est la fois centr e sur les praticiens et les plateformes Nous allons interroger les praticiens et les communaut s de pratiques des plateformes de formation distance afin de pr ciser les constats sur lesquels notre probl matique est bas e Nous analyserons leurs besoins au travers d enqu tes et d entretiens portant sur la sp cification de situations d apprentissage sur les plateformes les besoins difficult s en terme de sc narisation p dagogique d adaptabilit des sc narios d diteurs graphiques de sc narios etc Du point de vue plateforme nous analyserons la plateforme MOODLE par diverses m thodes et techniques pour parvenir identifier expliciter puis cristalliser sous forme de m ta mod le tout ou partie de son m tier Ce m ta mod le servira en se basant galement sur les besoins des enseignants identifi
42. utilis par les autres quipes du projet ou des quipes externes sans avoir besoin de donn es compl mentaires Il convient de prendre cela 3S Rencontres Jeunes Chercheurs en EIAH 79 Hajer Chebil en consid ration au moment de la d finition des m tadonn es collecter pour la construction du corpus afin qu elles offrent une vision la plus objective et exhaustive possible sur les donn es collect es ainsi que sur les analyses d j effectu es Afin de garder un aspect g n rique et multidisciplinaire nous souhaiterons l exemple de MULCE utiliser les standards existants et utilis s par la communaut pour d crire les corpus de donn es Ainsi en offrant aux chercheurs la possibilit d exprimer leurs donn es dans des formalismes standards qu ils ma trisent une utilisation plus largie du corpus pourrait tre assur e Afin de traiter les probl mes d thique et de protection de la vie priv e des participants nous nous int resserons la question de l anonymisation des donn es partag es Le travail venir sera de proposer un mod le de corpus valider par les diff rentes quipes du projet Un prototype de gestion des corpus en ligne sera ensuite d velopp permettant de d poser un corpus conforme au mod le proposer consulter le contenu d un corpus et t l charger un corpus en vue de l analyser R f rences Courtin C Talbot S 2009 Automatic Analysis Assistant fo
43. valuer des adaptations effectu es sur son sc nario p dagogique La nouvelle version du sc nario doit tre g n r e en int grant des adaptations positives de la version initiale Cette int gration reste sous la ma trise de l enseignant o il d cide si une nouvelle variante mergeante permet d am liorer ou non le sc nario Dans le cas o cette variante correspond un nouveau contexte pour lequel elle est pertinente ou qu elle est meilleure qu une existante l enseignant peut l int grer dans la deuxi me couche des alternatives du sc nario Si l enseignant remarque qu une variante se r p te dans la majorit des contextes il peut l int grer dans la couche statique du sc nario Les variantes qui ne sont jamais ou tr s rarement utilis es peuvent tre supprim es pour viter le probl me de scalabilit caus par la surcharge de l entrep t des variantes Toutefois la caract risation et la captation des variantes mergeantes et notamment de leurs contextes de pertinence peuvent tre difficiles pour l enseignant La figure 3 illustre le processus d ing nierie et de r ing nierie d un sc nario p dagogique ouvert r KT A Partie statique Ensei 4 nseignant i concepteur I Capitalisatio ns ee Entrep t if m i 1 MU Ph a Pa x R ins nieri ing nierie A Indicateurs Figure 3 Le processus d ing nierie et de r ing nie
44. 1 repr sente notre d marche et l architecture de l application Indicateurs d actions Jeu Module de r cup ration des actions de jeu PHP Flash AS3 Indicateurs d actions Mod le d expertise du moteur de jeu Serveur de Base de Donn es Analyse et caract risation bilan des Diagnostic et des actions comp tences acquises et manquantes Figure 1 L architecture de l application Dans un premier temps toutes les actions du joueur ont t stock es dans la base de donn es en sp cifiant la date laquelle elles ont eu lieu dans le jeu Nous entendons par actions de jeu la cr ation des diff rents services de la banque le d veloppement de nouvelles fonctions ou activit s Pour le moment nous ne traitons pas les mouvements de souris ou les changements d cran Nous enregistrons en fait les clics d clenchant un traitement au niveau du code source du jeu Ainsi il est possible pour un tuteur ou un syst me de rejouer int gralement la partie Nous stockons galement pour chacune des actions la valeur avant et apr s des indicateurs du tableau de bord cit pr c demment Ces l ments sont calcul s dans le code m me du jeu puis export s dans un fichier XML Celui ci est ensuite pars en PHP de mani re alimenter la base de donn es Notre objectif est d valuer l impact d une action du joueur sur les indicateurs qui contribuent l valuation de la perf
45. Beck J 2006 Some useful tactices to modify map and mine data from intelligent tutors Natural Language Engineering Special Issue on Educational Applications 12 3 195 208 N ssli M A Jermann P Sangin M and Dillenbourg P 2009 Collaboration and abstract representations towards predictive models based on raw speech and eye tracking data CSCL 2009 Rhodes Rodrigo M T Baker R S Jadud M C Amarra A M Dy T et al 2009 Affective and behavioral predictors of novice programmer achievement TiCSE 09 Paris France 156 160 156 Lyon 6 et 7 mai 2010 Mod lisation des comp tences mobilis es dans une m thode p dagogique la m thode MAETIC Djama M Hassan Laboratoire MIS 33 rue St Leu 80 000 Amiens France djama u picardie fr R sum Cet article pr sente la mod lisation selon le formalisme MOT du mod le de comp tences de la m thode p dagogique MAETIC L objectif de ce travail de recherche est de d velopper un outil d assistance l enseignant en fonction de ses objectifs p dagogiques de ses contraintes organisationnelles dur e forme du cours etc il choisira dans le r f rentiel de comp tences de MAETIC celles qu il souhaite mobiliser chez l tudiant En retour l outil proposera des conseils pour la sc narisation de ses activit s p dagogiques Introduction Nous pr sentons dans cet article notre travail de th se concernant la mod lisation des c
46. Connaissance Comp tence a lt o hh N a v_Tot3 Cv_Tot4 FIG 5 Etude du comportement de DiagElec dans le cas de Convergence Totale Il y a accord parfait entre DiagElec et les experts humains ie leurs degr s de croyance sont identiques dans 83 97 des 13204 cas tudi s Si on regarde les cas de non accord parfait on remarque que DiagElec a tendance a mettre des degr s de croyance plus lev s que ceux des experts humains Ce constat se justifie par le fait que lorsque nous avons mod lis les r gles impl ment es nous leur avons mis un degr de croyance qui est moins fin que celui mis par les enseignants Par exemple la r gle qui mod lise la comp tence savoir comment brancher un voltm tre est d finie avec un degr de valeur 4 si l apprenant sait comment le faire ou 0 s il ne sait pas Cependant nous n avons pas proc d de cette fa on binaire pour toutes les r gles par exemple nous avons d fini un degr de valeur 2 dans les cas o l apprenant ne r pond pas assez explicitement Nous avons aussi regard de pr s les cas o DiagElec d tecte une conception avec un degr de croyance de 4 l o les experts humains sont tous d accord 0 Par exemple lorsque les apprenants mettent l hypoth se que la boite noire contient un interrupteur ferm DiagElec d tecte entre autre que celui ci sait reconna tre l impact de l tat d un
47. Data Le champ Format d finit la mani re dont les instances des donn es dans la signification d UTL sont repr sent es 0 1 And Or lt an On x Derived datum E Component Discussion Example Location Description DCL4UTL formula Example Pedagogical context fDesenpiin Figure 1 Mod le d information de l indicateur 70 Lyon 6 et 7 mai 2010 Calcul d indicateur en utilisant UTL et DCL4UTL une fois qu elles sont produites Le champ Data stocke les instances calcul es en prenant en compte ce format DCL4UTL se compose de deux l ments les op rateurs et les op randes En g n ral un op rande peut tre une donn e collect e par un dispositif d apprentissage En ce qui concerne UTL il correspond l un des l ments du champ Using data des donn es Un op rateur peut tre un symbole par exemple etc ou une fonction pr d finie par exemple sort filter compare etc De plus DCLAUTL se compose galement de mots cl s par exemple cal as where etc La syntaxe principale du langage est la suivante cal lt Expressions as lt Conditions gt gt where lt Data gt O Expressions sont les expressions l ments du champ Using data calculer Conditions sont les conditions ex cut es avant le calcul Data sont les donn es n cessaires pour le calcul concernant Int gration des op
48. El ve 1 Il s agit nouveau de l l ve 1 L extrait se situe peu de temps apr s celui du tableau 1 L l ve a d marr le navigateur Web il est all sur le site PEPITS pour effectuer certains exercices Mais en m me temps il d marre le logiciel Tux paint en le superposant sur la page du site PEPITS Nous avons d tect un regard de sa part vers l enseignant et pour comprendre sa signification nous avons synchronis les deux donn es SN ActivityLens El ve 1 surveille l enseignant E Regarde l enseignante Superpose la fen tre de Tux paint sur celle de navigateur Internet explorer M travaille avec un autre enfant E travaille sur Tux paint regarde l enseignante Tableau 4 El ve surveille l enseignant D apr s cet extrait le regard de l enfant vers l enseignant ne correspond pas une demande d aide mais signifie plut t qu il surveille l enseignante Son but est de se d tourner de l activit propos e par l enseignante pendant qu elle s est mise observer le travail d un autre enfant c t C est un regard qui n est pas dirig vers les yeux de l enseignante il n est pas suivi d une interaction avec l enseignante mais d une action autonome avec un autre logiciel El ve 3 La prise en charge dans cette classe est collective il y a trois l ves L enseignante se met c t de l l ve 3 pour travailler sur l activit de lecture sur le sit
49. Enseignant est un outil de supervision destin aux tuteurs et leur permettant de g rer un groupe d apprenants de suivre en temps r el ce que l apprenant est en train de faire d envoyer un message un apprenant d annoter une partie du code d un apprenant Figure 3b eoo Etudiant V1 5 SCT 2 G38B TP1G1 Fichier Edition Outils Assistance ele gt Explorateur nf Revoir la consigne D TPL Question 7 12 Main java D Point java Ecrire la classe Droite une droite tant d finie par deux Droite java ZAI r els a et b repr sentant les coefficients de l quation de gt gt droite y ax b D Triangle java Editeur Main java Point javar 3 Droite java 3 Triangle java gt author Thomas ss version 0 1 Date Tue Jan 20 09 11 54 CET 2009 see Droite public class Point 4 3 private int x y 11 pun 12 Constructeur de la classe 13 param x Abscisse du point 14 param y Ordonnee du point 7 16 public Foint int x int y this x x 18 this y y 19 21 i 22 fonction permettant de tester si deux points sont egaux 23 paran p point tester 24 return true si les deux points sont egaux 26 public boolean equals Point p return x p x 66 y Console compilation OK Fin Figure 3a Interface Hop3x Etudiant Figure 3b Interface Hop3x Enseignant 00 o
50. First International Conference on Educational Data Mining 157 166 Montr al Qu bec Canada Lund K and Mille A Hermes Lavoisier Eds 2009 Analyse de traces et personnalisation des environnements informatiques pour l apprentissage humain Chapitre 1 21 66 May M George S Pr v t P 2008 Students Tracking Data An Approach for Efficiently Tracking Computer Mediated Communications in Distance Learning In proceedings of the eighth IEEE International Conference on Advanced Learning Technologies 783 787 Noras M Reffay C Betbeder M L 2007 Structuration de corpus de formation en ligne en vue de leur change Actes d EIAH 2007 59 64 Lausanne Suisse OAI PMH 2010 http www openarchives org OLAC 2010 http www language archives org PSLC 2010 https pslcdatashop web cmu edu Reffay C Chanier T Noras M Betbeder M L 2008 Contribution la structuration de corpus d apprentissage pour un meilleur partage en recherche Revue Sciences et Technologies de l Information et de la Communication pour l Education et la Formation Vol 15 185 220 Reffay C Betbeder M L 2009 Sharing corpora and tools to improve interaction analysis In Proceedings of the Fourth European Conference on Technology Enhanced Learning Learning in the Synergy of Multiple Disciplines 196 210 Nice France Settouti L S Pri Y Marty J C Mille A 2007 Vers des Syst mes Base de Traces mod li
51. Les dispositifs ubiquitaires pr sentent quant eux des caract ristiques pervasives et de mobilit Cependant dans la pratique la plupart des dispositifs pr sentent un niveau variable des caract ristiques mobiles et pervasives C est pourquoi dans la suite nous appellerons indiff remment ubiquitaires les dispositifs pervasifs mobiles ou ubiquitaires L utilisation de ces nouveaux dispositifs pour la formation permet alors la mise en place d un apprentissage ubiquitaire D apr s Ogata et Yano 2004 l apprentissage ubiquitaire se distingue de l apprentissage standard par le contr le que garde l apprenant sur les informations qui lui sont pr sent es et par l int gration de l apprentissage au sein d une situation r elle Cette deuxi me caract ristique est la plus importante il s agira en effet de permettre l apprenant d acc der des informations pertinentes in the right time in the right place Nous tudierons dans la suite les justifications th oriques de cette approche Nous allons pr senter ici une premi re analyse des situations d apprentissage que permettent ces dispositifs terme notre objectif est de proposer un mod le permettant de faciliter la conception de nouvelles situations d apprentissage ubiquitaire Caract riser les Situations d Apprentissage Ubiquitaire Si l utilisation de dispositifs ubiquitaires dans l apprentissage semble prometteuse la de
52. Paris The RELOAD Project The University of Bolton The University of Strathclyde and JISC 2004 Disponible sur http www reload ac uk editor html Vignollet L David J P Ferraris C Lejeune A et Martel C 2006 Learning design of Collaborative Learning Activities Languages Models and Tools In Proceedings of IEEE ICALT 06 Kerkrade Vogten H et Martens H 2005 CopperCore Open University of the Netherlands Trouv sur www coppercore org Yongwu M 2005 Enabling learning designers to model dynamic learning processes In ICALT 05 Koahsiung Pages 399 401 Zarraonandia T Dodero J M and Fernandez C 2006 Crosscutting runtime adaptations of LD execution Educational Technology amp Society 9 1 123 137 88 Lyon 6 et 7 mai 2010 Mod lisation de sc narios p dagogiques pour les EVAH Une approche orient e m ta mod lisation Nicolas Marion LISyC ENIB UEB CERV 29280 Plouzan France marion enib fr R sum Cet article concerne la conception d activit s p da gogiques se d roulant en environnement de r alit virtuelle pour l apprentissage humain EVAH Notre objectif est de rendre possible la conception la mise en place et l utilisation de telles activit s par des forma teurs non informaticiens Pour cela nous proposons POSEIDON un mod le g n rique de sc nario p dago gique pour les EVAH POSEIDON permet de d crire les environnements d apprentissage
53. Quant l Exp diteur il attend le r sultat des requ tes du client d introspection Quand il le re oit il transforme galement ce r sultat en donn es de production d UTL UTL DP qui sont ensuite stock es dans la base de donn es Puis il fait appel l interpr teur pour calculer les indicateurs bas s sur ces donn es de production L interpr teur calcule ces indicateurs capitalise leur r sultat dans la base de donn es et les renvoie au R cepteur qui envoie ces r sultats Hop3x Le r sultat des indicateurs est adress l enseignant comme dans la Figure 6 Il s agit d une version temporaire du r sultat qui sera remplac e terme par des outils de visualisation L enseignant utilise ensuite ces r sultats pour valuer son sc nario ou ses apprenants et pour proposer des actions tutorales appropri es afin d am liorer la session d apprentissage Concr tement en se basant sur l indicateur est ce qu une m me erreur revient souvent ou est ce que l tudiant a assimil qu il s agissait d une erreur l enseignant peut donner des conseils ou de l aide aux tudiants qui n arrivent pas assimiler ces erreurs Dans un autre exemple si l indicateur le temps moyen pass par question donne g n ralement une valeur qui est plus grande que la valeur de r f rence l enseignant peut modifier son sc nario pour la prochaine session ou proposer des solutions afin d aider des tudiants r sou
54. Zaara Barhoumi coordonn es de la position de son impact sur le papier Cette technologie permet en plus de la num risation de l criture de recueillir le temps et la position unique de l crit dans la page La technologie Anoto fournit des solutions techniques SDK Anoto permettant de visualiser les donn es sous plusieurs formats num riques html xls csv ou XML Une application mergente de la technologie Anoto est le traitement de formulaires pr imprim s La trame permet de rep rer et identifier les zones de remplissage du formulaire Toute criture dans une zone peut donc tre automatiquement compl t e de donn es associ es la zone de saisie dans le formulaire C est la techno logie que nous avons utilis e dans une collaboration avec l entreprise Kayentis dans le projet Eneide Kayentis nous fournit un ensemble d outils permettant l instrumentation l impression la publication et l exportation des tests d valuation au format XML L tat des recherches Le stylo num rique en ducation L utilisation du stylo num rique est encore rare dans les travaux de recherche A notre connaissance les recherches s int ressant cette utilisation en duca tion concernent la technologie Anoto Heidy Brian et Scott 2006 ont utilis le stylo num rique dans le cadre du travail collaboratif pour l change des id es spontan ment exprim es sur papier dans des cours de conception informatiqu
55. afin d am liorer la qualit d apprentissage d op rationnaliser sur la plate forme les adaptations faites dans un niveau abstrait d valuer la pertinence des adaptations effectu es suivant l objectif p dagogique global de d cider la capitalisation de ces adaptations car elles constituent une connaissance strat gique tr s importante et r utilisable dans le cadre de d veloppements futurs de nouveaux sc narios ou de corrections voire d am liorations des sc narios existants dans un contexte de r ing nierie Il est pr f rable que l enseignant utilise son propre langage m tier et dispose d un outil convivial de mod lisation pour pouvoir g rer contr ler et adapter le sc nario ouvert dans un niveau lev d abstraction travers tout son cycle de vie On distingue alors quatre phases principales dans ce cycle conception initiale d ploiement ex cution et r ing nierie figure 3 Conception initiale C est dans cette phase que la partie fig e et la partie adaptable figure 1 du sc nario p dagogique doivent tres sp cifi es Cela en d finissant l ensemble des l ments statiques garantissant l objectif p dagogique global du sc nario dans la partie fig e Quant la partie adaptable elle doit tre d finie en repr sentant explicitement un ensemble d alternatives gr ce des points de variation selon les contextes pr vus en amont sachant que cela est difficile dans la pratique habituelle d
56. agents de conduite de syst mes industriels complexes Dans cet article nous proposons une premi re r flexion sur des outils et des mod les permettant d apporter aux formateurs une aide l observation des stagiaires lors des s ances de simulation d optimiser la capitalisation pour b tir les futurs stages et de tendre vers des possibilit s d auto formation Nos premiers r sultats sont orient s sur la conception des mod les de trace du d roulement des simulations con us sur la base de plusieurs de nos propositions telle la possibilit de Rejouer ou de Plonger dans les traces d interactions Nos perspectives de recherche sont ax es sur la poursuite du d veloppement des mod les de traces et leur int gration un Syst me Base de Trace dans le cadre du d veloppement d une application d montrant l int r t de nos propositions dans l aide l observation base de trace 1 Introduction Le travail que nous pr sentons porte sur la repr sentation et l exploitation des traces d utilisation dans le contexte des EIAH et en particulier sur les simulateurs pleine chelle d EDF utilis s pour la formation et le perfectionnement des agents de conduite Pastr 2005 Dans le cadre de ce projet de recherche men en partenariat il s agit de proposer des outils et des mod les permettant d apporter aux formateurs une aide l observation et l analyse des actions et carts des stagiair
57. aggregation model version 1 3 1 Report of the Advanced Distributed Learning Initiative July Fielding Roy T 2000 Architectural Styles and the Design of Network based Software Architectures Ph D diss Dept of Computer Science Stanford Univ George S Titon D Pr v t P 2005 Simulateur de comportements d apprenants dans le cadre de jeux d entreprise In Proceedings of the EIAHOS Environnements Informatiques pour l Apprentissage Humain Montpellier France 389 394 LGF 2009 Format standard d un composant R f rence interne projet LGF publi le 21 07 2009 LIESP 2010 Jeux d entreprise multim dia Site http criportl insa lyon fr gi index php Rub 176 LOM 2002 Standard for Learning Object Metadata IEEE 1484 12 1 Manin N George S Pr v t P 2006 Virtual Learners Behaviours in Educational Business Games Lecture Notes in Computer Science Innovative Approaches for Learning and Knowledge Sharing Vol 4227 Heidelberg 287 301 Marfisi Schottman I Sghaier A George S Pr v t P Tarpin Bernard F 2009 Vers une industrialisation de la conception et de la production de Serious Games In Proccedings of EIAH09 Environnements Informatiques pour l Apprentissage Humain Workshop Serious Games Le Mans France 75 84 Paquette G et al 1997 M thode d ing nierie d un syst me d apprentissage MISA Cognito num ro 6 1997 Paquette G eds 2005 Innovations et tendances en technologies
58. apprendre par exemple pour des gestes Introduction Les serious games jeux s rieux ou learning games terminologie plus pertinente dans notre cas donnent la possibilit d apprendre de fa on adapt e une population ayant grandi dans un environnement o les artefacts num riques sont tr s largement r pandus Ce concept apparu r cemment s appuie sur l id e qu une situation d apprentissage utilisant des techniques issues du jeu vid o motive l apprenant et l implique davantage Ces syst mes pr sentent des atouts tels que l adaptation l apprenant une patience sans limite ou la possibilit de rejouer une sc ne Vinfini Cependant les serious games montrent des limites lorsque les situations sont trop caricaturales ou ne profitent pas des richesses technologiques Sur ce dernier point l utilisation de techniques de r alit mixte pourrait rendre une situation plus proche de la r alit et plus immersive pour l apprenant Non seulement le jeu serait alors encore plus motivant de par le c t novateur de la technologie mais certaines connaissances jusque l difficiles aborder par le jeu vid o seraient plus naturelles apprendre Contexte Dans le cadre du volet num rique du plan de relance en r ponse l appel projets visant d velopper des outils professionnels innovants recourant des techniques issues du jeu vid o le projet SEGAREM a vu le jour avec pour objec
59. avec des types de contraintes de g n ration particuli res et donc une interface de g n ration adapt e 3mes Rencontres Jeunes Chercheurs en EIAH 37 Marie Lefevre Patrons c d exercices Organisation d l ments ct c2 Classement Groupement d objets d objets L gende gt Patron Structures a C d exercices Structure C1 001 Structure C1 002 Patron op rationnel Ranger les nombres Remettre un texte dans l ordre croissant dans l ordre Exemple de structure Exemple dexercice Exercices a a Rangerles nombres Classer ces nombres par Enum ration complete plus petit au plus grand ordre croissant 1 33 0 33 des composants 1 7 4 8 3 9 5 1 32 1 32 0 32 1 33 Enum ration de quelques exemples Figure 3 Personnalisation d activit s papier avec l approche GEPPETOp partir de ce patron op rationnel le syst me mettant en uvre l approche GEPPETOp pr sente l enseignant une interface lui permettant de sp cifier les contraintes de g n ration d exercices C est ce moment l que l enseignant formule son souhait de travailler sur des nombres relatifs et sp cifie que l organisation de ces nombres doit se faire par ordre croissant Il pr cise galement des contraintes sur le choix des nombres qui seront contenus dans l exercice par exemple pas de fraction pas de multiple de 10 Toutes ces contraintes sont m moris es dans une structu
60. baserons par exemple sur les travaux de Mark Core et al sur le feedback apr s la simulation dans le domaine de la n gociation chez les militaires am ricains Core et al 2006 Remerciements Nous remercions la R gion Ile de France et le projet FEDER SESG dans lequel s int gre notre projet Nous tenons galement remercier KTM Advance pour sa collaboration 2 Ce choix peut tre contestable du point de vue p dagogique mais dans la mesure o nous travaillons sur un jeu existant nous nous sommes conform s ses principes 3 mes Rencontres Jeunes Chercheurs en EIAH 33 Pradeepa Thomas R f rences Carron T Marty J amp Mangeot M 2009 How to Bring Immersion into Learning Games in proceedings of the Ninth IEEE International Conference on Advanced Learning Technologies 358 360 Riga Lettonie Conlan O Hampson C Peirce N amp Kickmeier Rust M 2009 Realtime Knowledge Space Skill Assessment for Personalized Digital Educational Games in proceedings of the Ninth IEEE International Conference on Advanced Learning Technologies 538 542 Riga Lettonie Core M Traum D Lane H C Swartout W Gratch J van Lent M 2006 Teaching Negotiation Skills through Practice and Reflection with Virtual Humans SIMULATION 82 11 685 701 Cram D Jouvin D Mille A 2007 Visualisation interactive de traces et r flexivit application VEIAH collaboratif synchrone
61. calcul s par l interpr teur Une deuxi me gestion de dialogue est int gr e afin d changer entre le client d introspection Java d Hop3x et notre interpr teur via le composant Exp diteur Le client d instrospection a pour objectif d analyser le code tap par les tudiants et d en retenir un certain nombre de caract ristiques le nombre de m thodes leurs prototypes le nombre de variables de classe d instance etc Le R cepteur transforme toutes les traces de Hop3x en donn es brutes d UTL UTL DB qui sont stock es dans la base de donn es Nous nous int ressons aux traces li es aux v nements s lection d une question compilation manuelle et ex cution du programme Les indicateurs sont calcul s et leur r sultat est envoy Hop3x chaque fois qu une trace d un de ces v nements est obtenue Apr s l enregistrement des donn es brutes dans la base de donn es le R cepteur fonctionne de la fa on suivante Premi rement si l v nement est de type compilation manuelle s lection de question ou ex cution du programme le R cepteur envoie un message au composant Exp diteur sollicite le client d introspection afin d obtenir les informations d taill es des fichiers Java d un tudiant un instant donn Ensuite le R cepteur demande l interpr teur le calcul des indicateurs bas s sur ces donn es brutes Finalement il envoie le r sultat des indicateurs Hop3x
62. candidats et s accompagne de la prise en main imm diate des copies 1 3 4 5 Les valuations dans la conversation ont t observ es comme des l ments permettant de reconstituer l activit dans son contexte Goodwin et 3s Rencontres Jeunes Chercheurs en EIAH 125 Camille Capelle Goodwin 1992 Ici valuation g n ralise le fait que certaines copies soient tr s mal crites La prise en main des copies confirme la mise en situation du correcteur et doit lui permettre de justifier son point de vue L valuation implique donc une r trospection sur l action et tient en m me temps un r le de projection li aux attentes par son r cepteur dans la conversation Bonu 2001 Nous observons ici que cette exclamation est suivie des rires de son r cepteur et du pointage de la premi re copie qui permet l valuation situ e a c est bien crit voil il y a les points sur le c t La copie permet au correcteur de d crire son activit en situation Les d ictiques portent sur les marquages visuels pos s sur la copie Michael Lynch 1988 parle d image id tique ou math matis e pour d crire la fa on dont les participants une activit s attachent faire ressortir des l ments visuels rendant ainsi lisible et reconnaissable par chacun les caract ristiques et l ments propres la structure tudi e Ici les marquages points sur le c t de la copie d clench
63. cat gories de Simonnot 2009 la performance rapidit d ex cution qui permet de gagner du temps et quantit des r sultats vitant le silence documentaire la r putation due sa notori t l ergonomie de son interface permettant de saisir des requ tes plusieurs mots clefs l habitude engendrant un rapport de familiarit l outil Cette pr f rence d clar e est nuanc e par l utilisation effective d autres outils le choix n tant pas fig dans une routine mais d pendant soit de la disponibilit des outils sur l interface de recherche soit de l chec d une recherche pr c dente soit du contexte de la recherche Les PLCI enqu t s consid rent la qualit de leur requ te et en particulier des mots clefs comme un facteur d terminant du succ s ou de l chec de leur recherche l aide d un moteur de recherche C est pourquoi s appuyant sur leurs connaissances du fonctionnement du moteur indexation classement des r sultats syntaxe de requ te et contrairement d autres internautes UCL 2008 Simonnot 2009 ils consacrent un temps important la traduction de leur sujet de recherche en mots clefs significatifs d termin s non seulement par la th matique du sujet de recherche mais aussi par la nature de l information recherch e et de sa mise en forme De mani re empirique ils connaissent l importance de l ordre des mots pour la restitution et l affichage des r sultats et ont tendance employer
64. comment une approche outill e DSM Domain Specific Modeling centr e sur les plateformes de formation distance existantes peut aider r pondre des besoins r currents d op rationnalisation de sc narios p dagogiques L activit de sc narisation consiste d crire les intentions des enseignants et les situations d apprentissage pr vues pour leurs enseignements en pr sentiel ou distance sous forme de mod les appel s sc narios p dagogiques Ces derniers sont sp cifi s soit de fa on narrative soit en utilisant des EML Educational Modeling Language dont certains sont graphiques appel s VIDL Visual Instructional Design Language Botturi et Stubbs 2007 Les VIDL interviennent pour d passer les limites de la mod lisation par les EML g n ralement bas e sur une notation XML eXtensible Markup Language Ensuite les sc narios p dagogiques con us sont mis en place sur des EIAH tels que les plateformes de formation distance MOODLE Ganesha etc par diverses approches Dans notre cas nous adoptons l approche DSM Le DSM est une m thodologie pour la conception et le d veloppement de syst mes Elle implique l utilisation syst matique de langages graphiques pour repr senter les diff rentes facettes d un syst me Kelly et Tolvanen 2008 Le DSM est capable d apporter une valeur ajout e pour l explicitation la mod lisation graphique la sp cification formelle de sc narios p dagogiques ai
65. concepteur d un EIAH afin de lui faciliter sa t che d analyse des traces en vue de la mod lisation de l apprenant Ainsi un concepteur du diagnostic de l EIAH pourra dans le cadre de cette plateforme expliciter le mod le des traces issues de son EIAH le mod le de l apprenant qu il souhaite constituer et les connaissances pouvant intervenir pour calculer et ou inf rer les l ments du profil Cadre d laboration de profils d apprenants partir de traces mod lis es Mod le RDF de PR e description des Mod le de connaissances de connaissances diagnostic de diagnostic MCD pour un EIAHx Profil de l apprenant Processus de Diagnostic inf rer les caract ristiques Mod le RDF de Mod le de description du ene individuelles de mod le de L 4 l apprenant calculer des Papprenant MA Trace Mod lis e transform e TMaan indicateurs requ ter les ESE traces mod lis es etc Processus de Transformation filtrage abstraction s mantique etc Mod le de Trace A transform e N MTAcianx Mod le RDF de Trace premi re Mod lis e TMejaiix description des N Traces d Activit s a Trace premi re CA Mod le de la g Processus de Cr ation Fr ee y interactions de 7 l apprenant avec l EIAH Apprenant EIAHx Figure 1 Cadre d laboration de profils d apprenants a partir de traces d activit s mod lis es Le c
66. d anonymisation respecter afin de prot ger la vie priv e Une partie de la licence est priv e et contient les preuves de l existence r elle des participants ainsi que les droits des auteurs du corpus Le composant analyse contient les travaux d analyse fait sur les donn es d interaction du composant instanciation un exemple d analyse est la transcription d une vid o Pour rendre la structure du corpus LETEC Learning and TEaching Corpus la plus standard possible MULCE propose d utiliser nombre de standards existants Le standard content packaging IMS CP 2010 est utilis pour empaqueter un corpus entier ou une partie afin de l exporter Ce standard d compose chaque composant du corpus en trois parties la premi re partie contient les descriptions et les m ta donn es n cessaires la deuxi me partie contient les ressources primaires par exemple les liens vers les fichiers de traces pour le composant instanciation et la troisi me partie appel e index des ressources permet de lier les ressources primaires leurs descriptions et m ta donn es 78 Lyon 6 et 7 mai 2010 Corpus de traces d interaction Le projet MULCE utilise le format standard IMS LD IMS LD 2010 pour repr senter les sc narios p dagogiques et permet de d crire en XML l ordonnancement des activit s r aliser lors d une formation Les licences sont conformes aux licences creative commons
67. dagogique des param tres du composant en cours d ex cution Cette fonction est accessible au tuteur pour qu il puisse adapter le d roulement du SG la vol e Dans les SG du LIESP nous avons trouv utile de court circuiter certaines parties du sc nario ou de donner une partie des r ponses aux l ves en difficult De la m me fa on il s est av r utile d ajouter des difficult s ou des activit s d attente aux l ves qui seraient trop en avance e Observabilit des traces d ex cution et r cup ration des variables internes du composant Cette fonctionnalit sert la fois aux tuteurs qui peuvent observer l ex cution en temps r el et aux analystes qui se serviront des donn es apr s coup Mais elle est surtout indispensable pour g rer la continuit du sc nario puisque les donn es ainsi Adaptation Moissonnabilit p dagogique Param trabilit Observabilit a Ly gt amp w a El 2 2 z a E o o Figure 1 Format standard d un composant recueillies sont utilis es pour param trer les composants suivants La figure 2 montre la base de composants qui est remplie petit petit par des fournisseurs de composants La plupart du temps il s agit des auteurs eux m mes qui lors de la conception sauvegardent certaines interactivit s ou modules sous formes de composants Avant de les stocker ils doivent videment les mettre au format standard et
68. dagogiques est galement une th matique bien repr sent e 7 soumissions Vous retrouverez ces th matiques et bien d autres au fil des sessions La session jeux s rieux donne l occasion de prendre la mesure des travaux des jeunes chercheurs sur ce sujet mergent et de prendre conscience des liens qu ils offrent avec toutes les th matiques cit es pr c demment La session posters illustre galement la vari t des travaux chaque auteur ayant eu pour consigne d expliciter le c ur de sa th matique et les apports sp cifiques av r s ou attendus de sa th se La conf rence invit e de Monique Grandbastien LORIA Nancy ouvre les journ es par une analyse de l volution des travaux Du guidage p dagogique au soutien personnalis l apprentissage dans les EIAH et des questions ouvertes associ es Les journ es font galement place l information et aux conseils de la Communaut aux jeunes chercheurs relativement la demande de qualification aupr s du CNU aux publications dans la revue STICEF et plus g n ralement l valuation des chercheurs au travers de leurs publications Pour finir nous remercions les membres du comit de programme 38 personnes STIC ou SHS qui ont fait des commentaires souvent tr s d taill s afin d aider au mieux les doctorants les membres du comit d organisation qui ont tout mis en uvre pour la r ussite de ces journ es ainsi que tous les chercheurs conf
69. de d coupler les activit s de conception Il est en effet possible de r partir les activit s de sc narisation entre diff rents experts experts du domaine p dagogue mod lisateur 3D etc Un m me environnement peut alors tre r utilis pour diff rents exercices 6Mod le Association Repr sentation Sc nario 3 mes Rencontres Jeunes Chercheurs en EIAH 93 Nicolas Marion Les principales perspectives que nous envisageons concernent l assistance la sc narisation p dagogique L approche orient e m ta mod lisation que nous pro posons permet d affranchir le mod le de sc nario et les outils qui l accompagnent d une d pendance un domaine particulier Cependant la g n ricit des outils d dition et de suivi de sc nario a comme inconv nient le fait que ces outils sont plus difficiles prendre en main voire accepter par les formateurs En effet pour tre utilis s de mani re efficace par les formateurs les outils propos s doivent prendre en compte les sp cificit s du domaine des utilisateurs etc Nous tudions diff rentes appoches pour la production d outils sp cialis s chaque domaine Gu raud 2005 propose le d veloppement d un framework utilis par des experts pour le d veloppement de tels outils auteurs Murray 2003 quant lui voque la cr ation de m ta environnements auteurs permettant l instanciation d outil adapt s Dans ces deux d marches
70. de d tection de la position pour en d duire des l ments de l activit Par exemple dans Ogata et Yano 2003 pour l apprentissage des langues le dispositif d tecte que l utilisateur est au restaurant et lui propose des phrases typiques d un sc nario de commande de plats Le dispositif peut galement prescrire dans une certaine mesure l activit de l utilisateur Ainsi dans Kittl et Petrovic 2008 des tudiants re oivent des instructions du type tudier la viabilit conomique du magasin XXX via leur dispositif ubiquitaire Notre m tamod le de l activit devra alors comporter une description de l activit prescrite et un indicateur rendant compte de l activit r elle ces deux descriptions n tant pas superposables Dans tous les cas il faudra associer l activit prescrite et r elle les l ments du contexte spatio temporel le syst me d duit en effet l activit r elle de l utilisateur en fonction essentiellement de ce contexte et du mod le ventuel de l activit dont il dispose La prise en compte de l activit de l utilisateur via un mod le de son activit nous semble int ressante deux niveaux Tout d abord l utilisateur peut recevoir et changer des informations li es sa situation ce qui peut cr er une incitation pour lui aller plus loin dans ses recherches apprentissage opportuniste ou incident cet apprentissage est alors authentique car faisant
71. de l aide l observation des actions des stagiaires sur les simulateurs pleine chelle d EDF Les contraintes de l application ont t d finies ainsi que nos propositions de solutions et notre d marche bas es sur plusieurs concepts innovants tel la possibilit de Rejouer ou de Plonger dans les traces d interactions Les premiers r sultats pr sent s ont port sur la conception des mod les de trace des sessions de formations socle important de notre travail et que nous avons d taill s dans leur premi re repr sentation Nos perspectives court terme sont orient es sur la poursuite du d veloppement des diff rents mod les de trace et de transformations pr sent s L objectif plus long terme est d int grer nos mod les de trace un Syst me Base de Trace dans le cadre du d veloppement d une application d montrant l int r t de nos concepts pour r pondre aux probl matiques Remerciements Les travaux d crits dans cet article sont men s dans le cadre d une th se CIFRE en collaboration avec le Service Projets Ing nierie Ren CRENN Marc DOBLER et Alain MAZET de l Unit de Formation Production et Ing nierie d EDF et l quipe SILEX du LIRIS Alain MILLE Karim SEHABA et Yannick PRIE R f rences Clauzel D Sehaba K and Pri Y 2009 Modelling and visualising traces for reflexivity in synchronous collaborative systems In Proceedings of INCoS 2009 16 23 Ba
72. des classifications personnalisables Introduction Le stylo num rique est un dispositif mobile permettant de capturer et num riser l criture manuelle Dans le cas du dispositif Anoto que nous utilisons dans notre recherche le stylo est utilis en combinaison avec un papier tram Il d tecte et m morise les coordonn es sur le papier ainsi que l instant heure et minute de la d pose de l encre Un tel dispositif nous semble prometteur pour am liorer et faciliter le recueil de donn es pour la recherche en ducation Deux types d utilisation nous int ressent parti culi rement la prise de notes d observation et l exploitation de questionnaires L objet de notre re cherche est l tude de l apport du traitement des donn es temps dans des dispositifs d observations et des tests d valuation Dans cet article nous d velop pons le travail d j r alis dans le cas de l admi nistration des questionnaires Contexte d tude test tableur Des travaux de recherche d velopp s au STEF portent sur l valuation des comp tences TIC des l ves du secondaire Dans le cadre du projet DidaTab Bruillard et al 2008 divers outils ont t exploit s pour capturer et valuer les comp tences tableur des l ves Des tests d valuation sur papier et sur machine ont t administr s plus de 800 l ves Blondel et Tort 2007 L analyse des r ponses des l ves a montr que leurs connaissances
73. difficilement exploitables pour des non experts et dans le cadre d une action collective ne permettent pas de retracer l action de chaque stagiaire nominativement Autre source d observations parmi les plus importantes il s agit de la vid o Le Pupitre Instructeur est en effet dot d un mat riel d acc s des cam ras orientables permettant de zoomer sur un stagiaire en particulier et ou une partie de la Salle de commande Les formateurs b n ficient aussi de la possibilit d annoter les vid os par du texte saisi au clavier afin de rep rer des points importants pour la phase de d briefing de d pouillement des r sultats entre formateurs et ou pour enrichir le REX Retour d Exp rience Durant la simulation les stagiaires portent des micros individuels autorisant les formateurs entendre et suivre les diff rents points de communication entre les stagiaires pr sents dans la Salle de commande Source d observation potentielle r guli rement utilis e durant les simulations il s agit de la t l phonie Au cours d une session de formation les stagiaires peuvent en effet tre amen s r pondre ou directement solliciter certains types de personnels Agents de terrain Chef d exploitation Ing nieur Suret etc dont les r les sont endoss s par les formateurs au travers de la t l phonie 104 Lyon 6 et 7 mai 2010 Utilisation des traces comme outils d aide l
74. du serious game en tant qu outil de formation doit tre prouv e Les informations issues du suivi du joueur d montrant l acquisition de savoirs et de savoir faire par le jeu peuvent y contribuer Quels indicateurs d finir pour mesurer les connaissances apport es par un serious game Comment fournir un feedback pertinent l apprenant mais aussi au tuteur De plus comme la plupart des entreprises dispose d une plateforme d apprentissage LMS il est possible d en tirer profit pour int grer le SG dans un dispositif complet d apprentissage Or dans ce domaine il convient de prendre en compte le standard SCORM dans la mesure o la majorit des LMS l impl mente Nous montrons plusieurs limites de ce standard et comment les contourner et pr sentons une d marche d analyse des parties afin d aider le joueur dans sa progression et le tuteur dans la compr hension des erreurs de l apprenant Introduction Le serious gaming est une approche r cente pour mener des activit s s rieuses telles que communiquer sensibiliser ou apprendre en utilisant les techniques mises en uvre dans les jeux vid o Nous pouvons d composer l objectif des serious games en trois cat gories e Outil de communication Endangered Animals d velopp pour MacDonald s en vue de prot ger les animaux Le jeu met en sc ne des figurines distribu es dans les menus enfant e Outil de sensibilisation Secret Hapy Ni
75. en 3 ann e de Licence Deux tuteurs ont particip cette exp rimentation Pour une session d apprentissage les tuteurs ont suivi simultan ment distance en mode synchrone chaque groupe d apprenants Cette premi re exp rimentation nous a permis de recueillir des donn es pour alimenter notre corpus de traces mais aussi d prouver aupr s des tuteurs les avantages de l instrumentation des travaux pratiques Lors de cette premi re exp rimentation le module calculant les indicateurs n avait pas encore t mis en place Les r sultats de cette premi re exp rimentation sont encourageants puisqu apr s une enqu te post exp rimentation men e aupr s des tuteurs les constats sont les suivants le suivi synchrone via l EIAH apporte un plus aux tuteurs puisqu il leur tait d sormais possible de suivre en temps r el et donc au fur et mesure la production de l apprenant Ainsi ils pouvaient d tecter certaines erreurs qu ils n auraient pas pu voir dans le cadre des travaux pratiques en pr sentiel Gr ce aux traces et la possibilit de rejouer le parcours de l apprenant qu offre l environnement enseignant de Hop3x les tuteurs purent faire des retours aux apprenants post s ances sur le travail r alis au cours du TP ou encore annoter durant la session une partie du code d un apprenant pour ainsi pouvoir monter un cas d cole lors des 800 Liste des indicateurs Thomas MON Indicateurs s
76. en charge est individuelle et vise l apprentissage de la lecture et de l criture autour d activit s con ues par l enseignante elle m me clic lire Nous avons suivi un enfant g de 13 ans la s ance dure 45 minutes tous les vendredis de 14h15 15h00 3 l cole sp cialis e ES de la Fondation 3 mes Rencontres Jeunes Chercheurs en EIAH 117 Ramia Etche Ogeli Vall e situ e dans le centre hospitalier Fondation Vall e de Gentilly nous avons suivi sept enfants g s de 8 13 ans La prise en charge est collective par groupe de trois Les activit s sont centr es sur le site PEPITS qui propose des activit s pour chaque niveau scolaire ainsi que des activit s pour l enseignement sp cialis M thodologie de la recherche Les m thodologies de recherche utilis es dans diverses tudes se servent des donn es r cup r es partir de vid os et d entretiens Heimann amp al 1995 ont cod 9 minutes d but milieu fin de chaque vid o Ce codage concerne la fr quence de cinq cat gories d action l ex cution d une t che activit hors t che expression d amusement demande d aide et expression verbale Dans une autre tude Orit amp al 2004 ont compt le nombre d cholalies durant la s ance informatique en comparaison avec ce m me comportement des enfants dans la classe Ces recherches nous ont aid e envisager l ensemble des actions possibles lors d
77. en le transcendant Texts and utterances do not emerge deterministically from an environmental context a positivist or behaviourist perspective nor are they independent of that context a postmodernist or interpretive perspective but are all creative acts which may be strongly based on certain parameters but which can at any time transcend them and give rise to new possibilities En d autres mots les nonc s sont des actes cr atifs qui prennent forme dans un contexte donn sans y tre confin s L environnement ne d termine pas un nonc mais il n y est jamais compl tement d connect R coltes des Donn es et M thodologies Crois es Plusieurs m thodes de r colte de donn es ont t employ es afin de cerner l impact du genre sur les supports et les pratiques en autoformation D abord 180 images pr sentes dans trois logiciels ont t 24 Lyon 6 et 7 mai 2010 Analyse selon le genre r colt es pour une analyse s miologique et quantitative Puis un questionnaire a permis d aborder de mani re quantitative et qualitative les pratiques et les impressions de travail de 70 tudiants es en Master scientifique Enfin les r sultats des s ances de travail en autoformation de 142 tudiants es en licence scientifique r colt s automatiquement sur un serveur ont servi de base une analyse quantitative La plupart des sujets observ s pour la pr sente tude poursuivaient des tud
78. enfant donn es sons ainsi que toutes les actions de l enseignant et de l l ve avec l ordinateur donn es cran Entretien Nous nous sommes servie d entretiens post observation semi dirig s afin de mieux comprendre les objectifs de la s ance informatique son contexte et les ressources utilis es D autre part nous voulions approfondir notre compr hension de certains comportements produits par les enfants durant cette s ance Construction de la grille d observation L int r t de la grille d observation est de noter un maximum d l ments d interaction enseignant enfant machine Elle permet de prendre des notes qui sont enregistr es par le SN en temps r el il faut donc que la prise de notes soit la plus rapide possible Puisque la premi re phase de notre recherche est exploratoire plusieurs grilles d observation ont t produites pendant la p riode de prise de contact avec le terrain Cette laboration est pass e par deux phases la premi re sans Camtasia la deuxi me avec En ce qui concerne la grille nous en avons con u quatre Elles ont chaque fois t test es pour tre adapt es aux besoins sp cifiques de chaque classe en prenant galement en compte l avis de l enseignant La premi re grille nous a permis de r colter les informations de base sur les actions de chaque acteur enseignant enfant durant une s ance informatique Pour ce faire nous avons cod trois
79. enfants autistes dans un cadre ducatif Mise en place d indicateurs et observation suivie instrument e avec un stylo num rique RJC EIAH2010 en cours Foulin J N 1995 Pauses et d bits les indicateurs temporels de la production crite In L ann e psychologique 95 3 483 504 Grant J T et al 2000 Response Time Methodology for Survey Research In the Annual Meeting of the Midwest Political Science Association 27 29 Avril 2000 Chicago Illinois Heidy M Brian L et Scott K 2006 Technology for desing education a case study Conference on Human Factors in Computing Systems Montr al Qu bec Canada 2006 pp 1067 1072 Olive T Alves R A amp Castro S L 2007 La production de textes Quels processus sont activ s lors des pauses de production et des phases d criture In J M Hoc 8 Y Corson Eds Actes du Congr s National 2007 de la Soci t Francaise de Psychologie pp 65 72 Oviatt S L Arthur A M et Cohen J 2006 Quiet interfaces that help students think In Proceedings of UIST 06 Montreaux Switzerland ACM pp 191 200 Malacria S Lecolinet E 2008 Espace de caract risation du stylo num rique Proc IHM OS ACM Press sept 2008 Tort F Blondel F M et Bruillard 2009 From error detection to behaviour observation first results from screen capture analysis In D Ward amp G Croll Eds The Role of Spreadsheets in Organisational Excellence Procee
80. exercice Probl mes pos s par l ajustement en temps r el des sc narios Notre probl matique concerne l impact de l ajustement en temps r el des sc narios sur Vinterface de suivi Nous avons vu que les sc narios p dagogiques structurent une partie de interface de suivi Une des difficult s pos es est que la visualisation du travail des l ves est alt r e par la co existence de plusieurs versions du sc nario structurant la s ance Dans l exemple de la figure 4 l tape 2 de l exercice 1 a t supprim e L interface de suivi doit permettre de diff rencier les l ves qui au moment de la suppression se trouvaient au del du point d ajustement et qui ont pu laisser des traces dans l tape 2 de ceux qui se trouvaient en de et qui ne sont pas concern s par l tape 2 Il est de plus imp ratif de ne pas perdre les donn es concernant le travail d j effectu par les l ves Exercice 1 Ex2 Ex3 Va La Figure 4 Exemple d adaptation de l interface de FORMID Suivi en fonction d un ajustement du sc nario p dagogique ici suppression d une tape Adaptation du mod le tendu en regard du probl me pos Nous avons vu que les tables structur es de traces l ves sont cr es en fonction du sc nario Si le sc nario change selon un flux de modification il faut que les tables soient modifi es en cons quence Le mod le de Hurter et Conversy 07 ne permet pas de pren
81. exercise of control Handbook of self regulation eds Freeman Boekaerts M Pintrich P R amp Zeidner M New York 2000 Bembenutty H 2007 Teachers self efficacy and self regulation http www thefreelibrary com Capa Aydin Y Sungur S Uzuntiryaki E 2009 Teacher self regulation examining a multidimensional construct Educational Psychology vol 29 n 3 p 345 356 Despr s C 2001 Mod lisation et conception d un environnement de suivi p dagogique synchrone d activit s d apprentissage distance Th se de doctorat Universit du Maine 286 p Despr s C Leroux P 2003 Tutorat synchrone distance Actes de la conf rence Environnement Informatique d Apprentissage Humain EIAH 03 Strasbourg France Emin V 2009 Sc narisation p dagogique dirig e par les intentions Actes de la conf rence Environnement Informatique d Apprentissage Humain EIAH 09 Le Mans France Gu raud V Adam J M Pernin J P Calvary G David J P 2004 L exploitation d Objets P dagogiques Interactifs distance le projet FORMID Revue STICEF Volume 11 ISSN 1764 722 Gu raud V Adam J M Lejeune A Mandran N V zian N Dubois M 2009 Sc narisation p dagogique dirig e par les intentions Actes de la conf rence Environnement Informatique d Apprentissage Humain EIAH 09 Le Mans France Hameline D 1979 Les objectifs p dagogiques En formation initiale et cont
82. fin du chevauchement est signal e par un crochet simple droite Enonc s continus Quand il n existe aucun intervalle entre les nonc s adjacents le second est produit imm diatement apr s le premier sans chevauchement Ils sont li s par des signes d galit continuit Les signes d galit sont aussi utilis s pour lier diff rentes parties d un nonc produit par un m me locuteur Intervalles l int rieur des nonc s et entre les nonc s Quand les intervalles surviennent lors d un flot de conversation ils sont not s de la mani re suivante selon la longueur de la pause intervalle bref intervalle plus long Caract ristiques de la production de parole Deux points signalent une extension du son ou de la syllabe qui pr c de qui Les autres signes de ponctuation sont utilis s comme suit Un point indique une intonation descendante pas n cessairement la fin d une phrase Une virgule indique une intonation continue pas n cessairement les propositions de phrase Un point d interrogation indique une inflexion croissante et pas n cessairement une question Un point d exclamation indique un ton anim et pas n cessairement une exclamation L emphase est signal e par le soulignement le mien Les lettres en majuscules indiquent ce qui est dit avec un volume plus haut que la conversation en cours Le signe de degr est utilis pour indiquer un passage de la c
83. fonctionnalit s du SG Il peut s agir de barre d outils d outils de communication de fonctionnalit s pour le tuteur e Les composants outils qui peuvent tre mis la disposition des joueurs ind pendamment du sujet du SG Il s agit l d outils de prise de notes de calcul de dessin de prise de decision Ces composants peuvent galement tre de diff rentes granularit s Nous avons repris les trois niveaux de SCORM asset SCO sharable content object et agr gation Dodds et Thropp 2004 largement utilis s dans le milieu du e learning Les composants peuvent donc tre de simples ressources ou des SG complets Le mod le que nous avons mis au point est tr s ouvert sans trop de contraintes mais nous avons pris le parti de garder les modules assez petits pour laisser la possibilit de faire des assemblages riches et originaux Les composants ainsi propos s peuvent tre param trables gr ce des outils simples pour aider les auteurs choisir ces param tres et les adapter des besoins sp cifiques sans avoir modifier le code source Ces composants sont dit g n riques Nous en avons d j d velopp quelques uns notamment pour cr er des composants param trables de QCM de puzzles et de quelques minis jeux que nous utilisons souvent dans nos SG Pour chaque diteur nous essayons de fournir un maximum d indicateurs de qualit pour aider les auteurs faire un bon param trage et faire ressortir
84. formation aux moteurs de RI et l exploration sur le web serait utile Par l observation de lyc ens sur des t ches contr l es Beaufils et Blondel 2001 montrent que si les lyc ens sont capables d effectuer des recherches ils ont des difficult s dans la formulation des requ tes et dans la consultation des r sultats Ils manquent de connaissances sur le fonctionnement des moteurs de RL tudiant les pratiques ordinaires de lyc ens Boub e et Tricot 2007 constatent une utilisation importante de l image dans la RI pour juger de la pertinence des pages web et plut t l utilisation de requ tes que la navigation partir des r sultats Ils ont rep r des difficult s de nature orthographique lexicale s mantique et logique chez les lyc ens Vis vis des recherches pr c dentes nous essayons dans notre travail de prendre en compte un ensemble plus complet d actions successives intervenant dans la RIW et nous souhaitons les mettre en relation avec les connaissances du fonctionnement du moteur de recherche que nous tentons d inf rer partir des t ches effectu es et des d clarations des lyc ens M thode Mat riels d preuve Pour cette tude nous avons con u une preuve avec un questionnaire deux t ches de RIW et un entretien e Questionnaire fonctionnement du moteur moteurs utilis s apprentissage sur l utilisation des moteurs strat gie de recherche connaissance du sujet de r
85. formulations en faits ce faisant le diagnostic mis par DiagElec est semi automatique La figure 1 illustre le cycle de vie des traces Exemple e 4 a a r sout e Traces compl t es Traces brutes Algorithme de diagnostic DiagElec FIG 1 De la trace brute la trace compl t e 64 Lyon 6 et 7 mai 2010 DiagElec Diagnostic Informatique en lectricit Exp rimentation Nous avons r alis une exp rimentation en deux phases la premi re avec des apprenants afin de collecter leurs traces de productions la seconde avec des enseignants de Sciences Physiques financ s par VINRP dont la finalit tait d tablir des diagnostics partir des productions collect es Phase 1 d apprenants Collecte de productions Sc nario Le sc nario p dagogique propos aux apprenants tait compos de 2 activit s la premi re sous la forme de QCMs couvrant pratiquement l ensemble des notions l mentaires en lectricit la seconde consacr e des r solutions de probl mes regroup s en 2 th matiques une concernant un cas d tude classique en lectricit celui de la Boite Noire Closset 1989 et l autre concernant les lois l mentaires en lectricit Population et r colte des productions Nous avons r alis cette phase dans deux classes une de quatri me et une de seconde comportant respectivement 25 et 35 l ves Les l ves ont t
86. haut niveau dans la hi rarchie repr sentent des concepts plus g n raux que les concepts plac s en dessous 3 mes Rencontres Jeunes Chercheurs en EIAH 159 Aarij Mahmood Hussaan A D US 342 15 56 4 2456 1 43 5 36 Ex1 Ex2 en Fig 2 R seau Bay sien tendu La figure 2 montre un exemple de notre proposition o 1 Les concepts repr sent s par des cercles sur fond blanc repr sentent les l ments atomiques des connaissances enseigner Dans cette hi rarchie chaque concept est divis en plusieurs sous concepts En m me temps chaque concept du r seau contient un ensemble de d finitions et d exemples relatifs au sujet Ces l ments sont dans diff rentes formes images texte vid os etc 2 Les vidences ou les observations repr sent es par des cercles sur fond gris repr sentent des exercices et des probl mes relatifs aux concepts auxquels ils sont li s Ces exercices et probl mes sont utilis s pour la cr ation des sc narios de tests Le profil de l apprenant est repr sent par un vecteur de composants de la forme lt attribut valeur gt o les attributs correspondent aux variables du r seau concepts des connaissances du domaine et les valeurs correspondent aux probabilit s des variables du r seau correspond une estimation du niveau de connaissance de l apprenant pour le concept en question Mi
87. indique que l l ve ma trise le concept 100 Afin de simplifier nous utilisons la classification suivante Si 0 1 f 0 alors E Very Bad Si 0 3 gt f gt 0 1 alors E Bad Si 0 7 gt f gt 0 3 alors E Average Si 0 9 gt f gt 0 7 alors E Good Si 1 0 gt f gt 0 9 alors E Very Good Principe de l approche La mise jour des connaissances consiste ajouter ou supprimer des concepts et ou des relations entre concepts et la mise jour du profil apprenant consiste calculer les probabilit s des variables du r seau bay sien en fonction des observations Structure dur seaux bayesian Observablest sl vidences 1 Scenario 34265 15456671 4 25698 1495 98 TE A JE Ps Eimer OS ro 3 T Good Average Bad AOS a N Clustering A El T Very Good Average Bad Pr pare du donn Treces T Good WeryGood Average Bad l aralysedestraces gt M thode du Clustering 2 Des Fonction de Distance Utilseteur Nombre des Clusters Good Good Good Average N Y uu propagation des probabilt s en RB 25 Nouveaux concepts g n r s partir Direction des relation en RB Me de l analyse des traces Fig 3 Principe de la mise a jour Pour la mise jour du profil de l apprenant l id e consiste a utiliser la formule de Bayes pour la propagation de l information dans le r seau Soit A 4 4 A lensemble des observations li es au concept B alors P B A
88. jeu r alis es La figure 3 pr sente les objectifs du niveau O et les actions de jeu correspondantes Un joueur termine le niveau 0 s il effectue l ensemble des actions de jeu pr sent N anmoins il est libre d en effectuer d autres et donc de d velopper davantage le groupe en cr ant d autres services tant qu il dispose de liquidit s 52 Lyon 6 et 7 mai 2010 Le suivi de l apprenant dans un serious game Objectifs du Actions de jeu Valeur des niveau 0 correspondantes indicateurs D velopper la Cr ation d agences Nombre client le des d agences 10 particuliers D velopper les Cr ation du service services du point Tenue de de vente Compte Cr ation du service Placement Cr ation du service Pr t Figure 3 Les objectifs du niveau et les actions correspondantes Lorsque le joueur valide le niveau 0 son mod le des connaissances est mis jour Il ma trise d sormais les services de base d une agence bancaire et comprend que le d veloppement de la client le passe par la cr ation d agences Nous nous sommes ensuite pench s sur l analyse des erreurs L objectif tant de favoriser la meta connaissance de l apprenant en lui expliquant quelles sont les causes de son chec dans la partie Nous avons d fini deux types d actions de jeu les actions non pertinentes et les actions interdites i Les actions non pertinentes ce sont des action
89. l tudiant va lire la consigne et les propositions possibles des r ponses Ensuite il va r fl chir en faisant appel ses connaissances et sa m moire Puis il d signe la r ponse Tandis que pour une question ouverte ce processus est suivi de la formulation syntaxique ou logique de la r ponse avant de l crire Pour cela la consid ration du temps de traitement des questions peut tre diff rente par rapport au type de la question 00 02 36 00 02 18 00 02 01 00 01 44 00 01 26 1 Ouverte 00 01 09 Ferm 00 00 52 00 00 35 00 00 17 00 00 00 Test Test2 Test3 Figure 7 La dur amp e moyenne passe sur les questions selon le type ferm ou ouverte tests tableur L3 Repr sentation multiple Dans le contexte d un test tableur le but de l analyse est de v rifier si les tudiants ont acquis des comp tences en tableur selon la classification des comp tences d finies dans le projet DidaTab Blondel et Tord 2007 Dans ce cas l objectif est de repr senter les r sultats du test selon cette classification de comp tences Cependant pour visualiser cette repr sentation nous devons tenir compte d autres param tres comme la difficult et la dur e de r solution d une question La repr sentation illustr e dans la figure 8 est une proposition de graphique multiple dans lequel nous regroupons plusieurs dimensions de visualisation 05 46 08 38 11 31 14 24 17 17
90. l aide E prend la souris va vers l ic ne en bas gauche de la fen tre met le curseur sur la fl che droite attend M regarde l cran oui E appuie sur la fl che un nouveau pop up s ouvre Tableau3 El ve2 forme fine de demander l aide Au travers des tours de parole tableau 3 nous remarquons que l l ve met du temps avant d acc der une nouvelle t che Ce n est que lorsqu il obtient l accord de l enseignante qu il clique sur la fl che ou la vignette Ici l l ve n utilise pas le regard pour communiquer L indicateur attendre peut tre interpr t comme une demande de validation Les actions de l l ve sur la souris la proximit de l enseignante qui suit la position du curseur l cran le dispense la fois du regard et de la verbalisation Par ailleurs sa familiarit avec le logiciel ou son autonomie ne sont pas en cause car il sait faire seul ce geste l et il sait bien d apr s l enseignante travailler sur la plate forme de Clic Lire il vient depuis trois ans dans la classe d informatique Le regard demande d aide Comme nous l avons vu le geste le plus r p t de la part des quatre enfants est de regarder l enseignant figure 2 Pour mettre en vidence les significations diff rentes que ce geste peut prendre nous allons analyser deux s quences pour deux l ves diff rents dans la m me structure ES Fondation Vall e
91. l utilisateur etc que l on aboutira une impl mentation Conclusion Nous avons propos une premi re analyse des l ments qui conditionnent une situation d apprentissage ubiquitaire Nous avons galement soulign l importance des liens entre ces diff rents l ments pour proposer un apprentissage authentique Ce premier travail d tat de l art doit nous permettre maintenant de constituer un m tamod le de la situation d apprentissage ubiquitaire Par ailleurs il reste d terminer comment l apprentissage ubiquitaire pourra devenir un l ment d une formation ou d un cursus Il serait alors int ressant de revenir sur les nombreuses tudes sur la formation distance FAD En effet si l apprentissage ubiquitaire et la FAD sont tr s diff rents un certain nombre de caract ristique les rapprochent On retrouve en particulier dans la FAD l id e de grande libert laiss e l apprenant d acquisition de l autonomie de dispositifs techniques permettant de suppl er l absence Jacquinot Delaunay 2001 L tude des ouvrages analysant les situations de FAD sera alors enrichissante pour mieux pr ciser l utilisation de l apprentissage ubiquitaire R f rences Abowd G and Mynatt E Charting Past Present and Future Research in Ubiquitous Computing 2000 ACM Transaction on Computer Human Interaction 7 29 58 Barbry B Vantroys T and Derycke A 2008 Support l a
92. listes d instructions permettant d adapter les EIAH chaque apprenant Discussion et perspectives Dans cet article nous avons pr sent l approche GEPPETO Cette approche s appuie sur des mod les et des processus g n riques permettant d adapter les activit s en fonction des intentions p dagogiques des enseignants grace a la d finition de contraintes sur activit s Nous avons d clin cette approche pour permettre l adaptation des activit s papier GEPPETOp ainsi que pour l adaptation d activit s logicielles au sein d EIAH GEPPETOs Les deux d clinaisons de l approche ont t mises en uvre dans Adapte un logiciel int gr l environnement informatique EPROFILEA Cette mise en uvre nous a permis d une part de montrer la faisabilit technique de nos propositions et d autre part de les valuer par des exp rimentations concr tes impliquant des enseignants Les valuations men es sur l approche GEPPETO nous ont permis de valider son principe et sa faisabilit Toutefois la typologie des activit s papier sur laquelle s appuie la d clinaison GEPPETO doit encore tre valid e par des experts en sciences de l ducation Pour les activit s logicielles nous avons d fini le cadre d application du m ta mod le AKEPI permettant de d crire les EIAH dans GEPPETOs Ce cadre d application limite l utilisation de l approche l adaptation des logiciels p dagogiques proposa
93. notamment les d crire l aide de m tadonn es figure 1 Par ailleurs nous avons pr vu de cr er une base de ressources graphiques et sonores accompagn es d un outil de recherche adapt Nous commen ons galement collecter un ensemble de mod les de sc narios p dagogiques r utilisables Nous disposerons ainsi d une base semblable PALOMA qui r pertorie des sc narios pour l apprentissage distance Paquette 2005 3 mes Rencontres Jeunes Chercheurs en EIAH 57 Iza Marfisi Schottman Auteur lors de la conception i d un sc nario Composants outils Fournisseur de fonctionnels _ composants sants p dagogiques instanci s et d di s RE J Ajout de metadata parametrage A pr CPI CPI CPD 1 1 1 2 8 Composants _ p dagogiques g n riques Instanciateur de composants Figure 2 Bases de composants de ressources et de scenarios types Nous avons par exemple dans la plupart de nos jeux des modules de formation conceptuelle qui suivent toujours le m me sc nario la notion est pr sent e avec un exemple type l apprenant doit ensuite r soudre quelques exercices du m me type et le module se finit avec un QCM pour v rifier que les notions sont bien comprises avant de les mettre en application dans le jeu Ce sc nario type serait s rement tr s utile
94. permettant de r pondre aux questions de recherche des quipes du projet ISLE EIAH tout en essayant de lui donner une structure la plus g n rique possible et en int grant et liant les analyses aux diff rents composants du corpus La structure de corpus propos e par le projet MULCE contient une partie analyse cependant ils ne proposent pas de formalisme pour la mod lisation de ces analyses Nous souhaiterons traiter plus en profondeur la repr sentation des analyses int grer aux corpus Le projet PSLC datashop dispose d une base de donn es tr s riche de donn es d exp rimentations venant d outils de type tuteurs intelligents ainsi qu un ensemble d outils d analyse et de reporting Cependant il reste sp cifique aux interactions de type action r action et ne prend pas en consid ration les activit s collaboratives D autre part les donn es collect es dans la base de donn es doivent suivre la structure sp cifique du projet qui est le Tutor Message Format La notion de composant de connaissance KC Knowledge Component est tr s int ressante et pourra tre reprise pour repr senter les connaissances qu un apprenant a besoin d avoir pour accomplir une activit d apprentissage Cela peut tre utile pour l quipe de la t che 3 qui s int resse la construction de profils d apprenants partir des traces Il est int ressant qu un corpus construit par une quipe puisse tre r
95. pertinentes Ce sc nario individualis peut tre utilis pour une conception plus fine afin de produire une sp cification ex cutable permettant de g n rer des instances convenables un tel ensemble d exigences Ex cution C est la phase d usage de I EIAH o la partie fig e et la variante choisie du sc nario p dagogique s ex cutent dans le contexte r el de la situation d apprentissage Durant l activit et en r ponse aux nouveaux besoins mergeants des l ments non encore d finis points ouverts le sont en temps r el Plus globalement dans des situations impr vues les l ments adaptables peuvent tre ajust s par les utilisateurs autoris s enseignants ou m me apprenants au cours de l ex cution du sc nario L ajustement ne concerne pas seulement les modifications mais aussi la suppression ou l ajout de nouveaux l ments n cessaires au bon d roulement de la session d apprentissage L ensemble des adaptations effectu es constitue une nouvelle variante mergeante qui doit tre capitalis e avec son contexte associ dans un entrep t pour des raisons de r utilisation de partage et de r ing nierie R ing nierie La r ing nierie d un sc nario p dagogique n est pas ais e pour l enseignant qui doit prendre des d cisions d ordre p dagogique En utilisant les indicateurs calcul s partir des traces de d roulement de la session d apprentissage l enseignant peut
96. ph nom ne neutre pour l ensemble des apprenants es Tableau 1 Fr quence f minine et fr quence masculine moyenne 14 cart type 8 95 Femmes Hommes Actes 36 6 Femmes 63 4 Hommes Noter 8 66 7 4 33 3 crire 9 60 6 40 Lire 13 43 7 17 56 7 Discuter 29 50 29 50 Ecouter 7 31 8 15 68 2 Parler 7 22 6 24 77 4 Total 73 43 45 95 56 55 Afin de cerner les ventuelles diff rences selon le type de comp tence nous avons s par d un c t les actes li s l crit noter crire lire et ceux li s l oralit discuter couter parler Les repr sentations de la lecture et de la discussion impactent fortement les r sultats N anmoins un t test comparant la repr sentation de femmes en situation de comp tence de l crit la moyenne globale montre une probabilit de fr quence de p 0 06 Bien que cela ne soit pas significatif on remarque que les femmes sont sous repr sent es dans les comp tences langagi res notes crire lire qui sont traditionnellement li es l ar ne acad mique Diff rences dans les pratiques en autoformation Nous avons vu qu il existe une diff rence selon le genre dans l ensemble des logiciels Maintenant nous allons voir de l autre c t de l cran Afin de voir si une diff rence selon le genre peut exister en pratique d autoformation j ai mis en place une tude partir des sessions de travail dont les r sultats sont r colt s a
97. pour un apprentissage de savoir faire Revue Internationale des Technologies en P dagogie Universitaire 208 1019 1026 158 Lyon 6 et 7 mai 2010 Utilisation des traces pour la mise jour des connaissances du domaine et du profil de l apprenant dans les EIAH adaptatifs Aarij Mahmood Hussaan Laboratoire LIRIS UMR5205 F 69622 Villeurbanne France aarij mahmood hussaan liris cnrs fr R sum Dans le cadre des EIAH adaptatifs notre article traite la probl matique de la mise 4 jour des connaissances du domaine et du profil de l apprenant En effet avec l volution du profil de l apprenant au cours des s ances d apprentissage notamment ses connaissances et ses comp tences il est important que l EIAH soit capable de mettre jour le profil de l apprenant pour pouvoir lui proposer des activit s adapt es Pour la mise jour des connaissances du domaine repr sent es dans un r seau bay sien notre approche propose d observer les actions de l apprenant au cours de l interaction de les repr senter dans des traces mod lis es puis d analyser ces traces par des techniques de Data Mining Pour la mise jour du profil de l apprenant repr sent par les probabilit s associ es aux variables du r seau nous utilisons la formule de Bayes qui permet de calculer les probabilit s des variables en fonction des observ es les vidences du r seau Introduction Notre travail de recherche vi
98. que l adaptation des activit s propos es aux apprenants dans le cadre de la personnalisation de l apprentissage est tablie par l enseignant soit directement soit par l interm diaire d un EIAH Dans tous les cas ce sont les choix p dagogiques de l enseignant qui sont mis en uvre Pour refl ter cette dualit dans les acteurs effectifs de la personnalisation nous utilisons le terme agent et non enseignant lorsque nous pr sentons notre approche Dans l approche GEPPETO un m ta mod le d activit s cf sur la Figure 1 contraint l expression des connaissances qu un expert doit fournir pour pouvoir d crire des activit s p dagogiques Ces connaissances une fois fournies par l expert forment soit le mod le d une activit papier soit le mod le d un EIAH permettant son adaptation partir d un tel mod le d activit s cf sur la Figure 1 il est possible de d finir des contraintes permettant de contraindre le choix des activit s Ces contraintes sur activit s cf sur la Figure 1 sont d finies par chaque agent enseignant ou EIAH en fonction de ses besoins de personnalisation Ces contraintes sont ensuite interpr t es par un syst me mettant en uvre GEPPETO pour adapter les activit s p dagogiques qui seront fournies aux apprenants cf O sur la Figure 1 GEPPETO 1 _ i i amp M ta mod le Be d activit s ip moce e a
99. qui peut s expliquer par la diff rence de prise en charge individuelle collective car l enseignante est toujours pr sente avec son l ve Cependant celui ci ne respecte pas l ordre pr vu par l enseignant qui est celui du sens conventionnel de lecture L enseignante intervient donc aussi comme pour l l ve 1 pour transformer les pratiques habituelles de l l ve Discussion Le pointage nous para t tre un des modes de communication mis en place entre l enseignante et l enfant travers lequel l enseignante peut guider l enfant d une activit l autre ou corriger sa fa on de travailler lors d une activit sur l ordinateur Ce qui para t difficile d apr s les enseignants dans la classe en l absence d ordinateur Dans les deux exemples le pointage cran est toujours associ un ordre Dans le premier cas la zone point e correspond exactement la zone o l l ve doit aller cliquer avec la souris tandis que dans le second c est la zone avec laquelle l l ve doit travailler et donc ici regarder la zone de clic tant celle qu il doit chercher Forme fine de demande d aide Nous allons expliquer une forme particuli re de communication entre l enfant autiste et son enseignante IME le Guillant que nous n avons pas remarqu e chez les autres neuf enfants 120 Lyon 6 et 7 mai 2010 Utilisation des TIC pour les enfants autistes El ve 2 Forme fine de demande de
100. rateurs externes dans DCLAUTL Dans le domaine de l analyse de traces d utilisation d un EIAH nous pouvons trouver plusieurs outils qui permettent le calcul d indicateurs p dagogiques partir des donn es collect es par les syst mes d apprentissage en ligne DIAS Bratitsis et Dimitracopoulou 2005 a propos cinquante deux indicateurs Synergo Avouris et al 2005 fait des statistiques le nombre de messages chang s par chaque tudiant en session de causerie le nombre d objets r alis s par chaque acteur etc La recherche de Bousbia Bousbia ef al 2009 permet de d tecter le mode d apprentissage des tudiants en calculant l indicateur de la typologie de navigation dans un contexte ducatif bas sur le WEB Syst me Base de Traces Settouti et al 2006 Settouti et al 2009 propose les op rateurs suivants s lection filtrage transformation etc qui sont r utilis s par Djouad et al 2009 dans le cadre des r gles de calcul s appliquant au mod le de trace Ces outils sont limit s un ensemble ferm d op rations Aussi un de nos objectifs est l int gration dans DCL4UTL des op rateurs et ou fonctions externes qui i proviennent d autres outils d analyse ii et ou sont cr es par le d veloppeur qui joue l un des trois r les principaux enseignant analyste et d veloppeur dans le processus d analyse d une session d apprentissage Pham Thi Ngoc ef al 2009 L enseignant d finit des ac
101. s nous avons propos le langage DCLAUTL langage de combinaison de donn es comme une extension d UTL Cet article pr sente une m thode de calcul des indicateurs dans laquelle 1 UTL est employ comme un langage de mod lisation pour d crire et d finir des indicateurs et d autres donn es servant leurs calculs et 2 dans lequel DCLAUTL est utilis comme un langage de formalisation de la m thode de calcul des indicateurs partir des donn es d crites en UTL La prochaine section pr sente le langage UTL et son extension DCL4UTL La m thode de calcul d indicateurs est abord e dans la troisi me section La quatri me section pr sente l interpr teur du langage DCLAUTL et son utilisation en temps r el avec l environnement Hop3x La derni re section conclut et pr sente les futurs travaux 3S Rencontres Jeunes Chercheurs en EIAH 69 Diem Pham Thi Ngoc UTL et DCL4UTL UTL Usage Tracking Language UTL Usage Tracking Language Choquet et Iksal 2007 est un m talangage dont l objectif est de d crire les diff rentes donn es n cessaires l analyse de traces dans une forme ind pendante du langage de sc narisation et du format de repr sentation des traces Concr tement il permet 1 de capitaliser des savoir faire sur les techniques d analyse de l observation de l usage d un EIAH 2 de d finir le besoin d observation et avec l assistance de l informaticien de sp cifier les moyens tec
102. sa propre utilisation de l objet physique peut tre associ e celle de l objet virtuel Les quipes du LIESP ont cr d une part une d marche de conception de Serious Games et d autre part un processus des formalismes et une plate forme pour la conception des environnements de r alit mixte Un premier objectif du projet SEGAREM est de combiner les travaux r alis s par les diff rentes quipes pour les adapter au contexte L objectif ici n est pas d adapter ces travaux mais uniquement de les pr senter Cadre d Etude Les Serious Games sont des logiciels ludiques vis e p dagogique Une quipe du LIESP Akkouche amp Pr v t 98 Sghaier et al 07 travaille sur des processus d laboration de Serious Game Les tapes de la d marche sont la d finition des connaissances et comportements associ s un objectif p dagogique la d finition des aspects ludiques la d finition de sc narii inspir du monde r el puis le d coupage du sc nario en actes avec des points de passages obligatoires pour l utilisateur du Serious Game une d finition des briques p dagogiques OPM lieu de d couverte des connaissances avant la mise en situation dans le jeu et enfin une d finition des interactivit s En associant au Serious Game la r alit augment e cette d marche doit tre compl t e Pour ce faire l adaptation des travaux de l quipe LIESP ECL le processus CoCSys les formalismes ORCHES
103. savoir l ordre et la dur e pass e sur chaque question Cette dur e comp rend le temps d criture dans une zone et le temps de non criture nnn oo Questions se num 00 0253 05 46 03 38 Temps Figure 4 La progression chronologique d un tudiant Test tableur 2 L3 11 31 14 24 17 17 La figure 4 pr sente la progression d un tudiant qui n a pas trait les questions dans l ordre Il est revenu sur la question 4 apr s une premi re tentative De plus il a pass plus de temps sur la question 6 Ces constats m nent se poser la question sur le rapport entre la dur e pass e sur une question et sa difficult Dur e et difficult d une question Nous avons propos de comparer le temps pass sur chaque question avec la r ussite ou l chec d un tudiant pour mieux comprendre son comportement 04 19 03 36 02 53 B 02 10 M Bonne r ponse A E Mauvaise r ponse 01 26 00 43 Il 00 00 Qi 02 03 04 05 Questions 06 o7 as as aid Figure 5 Les dur es des bonnes et mauvaises r ponses pour un tudiant Test tableur 2 L3 134 Lyon 6 et 7 mai 2010 Traitement des donn es temps issues d un stylo num rique Sur le graphique de la figure 5 nous remarquons que l tudiant a pass plus de temps sur les questions auxquelles il n a pas r ussi Il peut y avoir une corr lation entre le temps et la difficult d une question Le chercheur a souhait class
104. semble t moigner de l insuffisance de la grille d aide l interpr tation pour le correcteur et de la n cessit de recourir l aide d un responsable Sur l ensemble des messages manant d un correcteur Co vers un responsable p dagogique RP charg d assurer le suivi des corrections distance 47 ont demand une aide dans la prise de d cision pour la notation dans le cours de l activit en ligne Parmi ce pourcentage 37 5 ont utilis l outil fourni par le dispositif permettant d envoyer directement la question et la r ponse d un candidat pour avis au responsable p dagogique L analyse des interactions en situation nous permet d observer le raisonnement et l activit de correction coordonn e en train de se faire Nous proposons d tudier l un de ces changes dans lequel le correcteur manifeste sa demande par crit 1 Co l ion magn sium Mg est il acceptable 2 RP Les formules des ions ne sont pas exig es donc on compte juste le terme ion magn sium Par contre il faut faire appara tre l erreur sur la copie en rayant ou en surlignant la formule fausse 3 Co Tr s bien merci Figure 2 Echange par messagerie instantan e en cours de correction 6 Nous pr cisons que la situation se produit dans un contexte institutionnel et des exigences particuli res propres l examen du Baccalaur at L outil de communication int gr l interface de c
105. senter des groupes de donn es Sp cificit s des besoins li s au mod le adapt propos Habituellement dans les outils de visualisation d informations con us avec Prefuse une donn e va tre rendue par un l ment visuel l cran un point une forme L interface qui accueille ces l ments visuels et qui sert les contextualiser est simple Par exemple pour l affichage d un graphe cette interface comporte les axes du graphe voir des exemples sur Prefuse Gallery Dans de telles applications l interface est recr e toujours de la m me mani re chaque fois que l application est lanc e et elle reste statique au cours de l ex cution Dans notre probl matique l interface est construite partir du sc nario Les l ments prendre en compte dus aux sc narios sont le sc nario suivre varie d une ex cution l autre le sc nario est ajustable en temps r el au cours du suivi ayant des progressions plus ou moins rapides les l ves ne passent pas tous dans la m me version du sc nario Il s agit de construire l interface pour un sc nario donn puis au cours du suivi d adapter l interface suite aux ajustements du sc nario en prenant en compte la situation de chaque l ve relativement toute modification Nous pr sentons maintenant un aper u de la m thode que nous employons pour r soudre ces probl mes Impl mentation de notre solution
106. session d apprentissage l enseignant a besoin de calculer un ensemble d indicateurs qui sont divis s en deux cat gories Certains indicateurs sont calcul s partir de traces c d les donn es brutes d UTL Par exemple le temps moyen pass par question la fr quence d ex cution du programme que chaque tudiant a ex cut est ce qu une m me erreur revient souvent ou est ce que l tudiant a assimil qu il s agissait d une erreur etc D autres sont calcul s partir du contenu des fichiers Java produits pendant la session c d des donn es de production d UTL comme la pr sence ou absence de commentaires dans le fichier JAVA la d tection de l utilisation d un membre d instance variable ou m thode dans une m thode d instance s il n y a pas de membre d instance la m thode devrait tre une m thode de classe le pourcentage de variables d instances priv es etc 72 Lyon 6 et 7 mai 2010 Calcul d indicateur en utilisant UTL et DCLAUTL Indicateurs interpreter Client Figure 5 Mod le de calcul d indicateurs en temps r el Nous avons d velopp un outil permettant le dialogue entre l interpr teur de DCL4UTL et un environnement de formation ici Hop3x Dans la Figure 5 nous pr sentons une architecture client serveur deux niveaux Une premi re gestion de dialogue entre Hop3x et le R cepteur afin d changer les traces g n r es par Hop3x et les indicateurs
107. stock s chez leurs fournisseurs il nous faudra utiliser un protocole de communication comme OAI PMH pour regrouper les m tadonn es de ces diff rents l ments et construire un outil de recherche pour les auteurs Figure 3 protocole de communication entre serveur Conclusion et perspectives de travail Cette th se a pour but de cr er des outils qui facilitent la cr ation de SG en all geant le travail fastidieux des auteurs et en leur donnant les moyens d explorer des innovations p dagogiques int ressantes Nous essayons de tirer le meilleur des jeux vid o du e learning pour faire un nouveau mod le d di aux SG L exp rience du laboratoire et nos connaissances en informatique et en mod lisation nous ont permis d tablir les fondements d une machine produire des SG dans le souci d assister l auteur et non de le contraindre dans des mod les trop stricts Le champ des SG est encore loin d avoir atteint sa pleine maturit et nous tentons gr ce nos travaux de fournir un tremplin qui lui ouvrira de nouvelles perspectives et largira les domaines d application Les bases de la plateforme globale d assistance la conception et la r alisation de SG sont maintenant bien d finies Il nous faut continuer d velopper les outils d aide pour compl ter la cha ne de production Nous devons aussi finir de convertir nos composants pour qu ils fournissent les 4 services requis par le
108. supports crits et audiovisuels sans st r otypes sexistes Le 10 novembre de cette m me ann e une deuxi me note du minist re pr cise que la lutte pour la mixit et contre les st r otypes doit passer entre autres par le choix de manuels non sexistes dans le cadre des Luttes contre toutes les discriminations l gard des femmes dans les communaut s ducatives Association Europ enne du C t des Filles consult en 2009 1 Rignault et Richet 1997 24 L utilisation de documents authentiques en cours des langues peut tre source de discrimination envers les femmes puisqu elles y sont sous repr sent es Dodd et al 1989 notamment dans les professions Fuertes Oliveira 2007 Une tude men e pendant 30 ans au Canada a constat que les personnes dites minoritaires sont s v rement sous repr sent es dans les m dias et que pour certains groupes il peut y avoir des repr sentations d rogatoires ou st r otyp es MacGregor 1989 cit dans McClelland 1994 228 Rhodes 1993 d crit le manque d attention port e aux femmes noires dans les m dias et dans la recherche et analyse des m dias aux tats Unis L emploi de supports didactiques ou authentiques venant des pays anglophone peut faire rentrer les st r otypes de ces pays en cours de langue Le concept de menace de st r otype a t largement tudi en psychologie sociale et semble op rer dans une multitude de contextes dont les s
109. sur l apprenant sont obtenues moyennant des m thodes de calcul d indicateurs de son comportement Bousbia et al 2009 Popescu 2009 Ces travaux offrent des services pour d crire le calcul des diff rents indicateurs partir des traces ou partir d autres indicateurs mais permettent d obtenir uniquement certains l ments du profil Motivation et objectifs Le diagnostic est une t che propre chaque EIAH et est difficile mettre en place par son concepteur du fait que sa r alisation d pend des traces d interaction issues de cet EIAH des approches et techniques de mod lisation adopter et des connaissances permettant d interpr ter les traces afin d laborer le profil ce qui complexifie sa r utilisation pour un autre EIAH et donc rend sa mise en place encore plus difficile par les concepteurs d EIAH notre connaissance il n existe pas de Framework qui tienne compte de ces difficult s en soutenant le concepteur de l EIAH dans sa t che d laboration du profil de l apprenant int grant les traces les connaissances et les traitements n cessaires pour son accomplissement Notre objectif est donc d essayer de r pondre cette probl matique Pour cela nous proposons un cadre conceptuel qui d crit le processus d laboration de profils d apprenants partir des traces d interaction Ce cadre devra par la suite d boucher sur la r alisation d une plateforme utilisable par le
110. sur une vision socioconstructiviste de l apprentissage Selon cette perspective l apprentissage a lieu lors d interactions sociales en fonction des objets outils ou signes disponibles Erickson 1984 Erickson 1996 Vygotski 1997 D j Vygotski a soulign le r le du langage dans l exp rience d apprentissage en g n ral ainsi que l importance du soutien du maitre ou autre expert La th orie de Bakhtine selon laquelle l nonc se fait toujours en r ciprocit c est dire en conscience de l autre prend alors tout son sens en apprentissage de langues La production de l apprenant e est construite en fonction de la r ception c est a dire dans un cadre de dialogisme Dans le cas de travail sur ordinateur l interaction cesse d tre sociale puisque l apprenant e n a faire qu avec une machine Le terme interaction implique la r ciprocit ce qui n est pas programmable comme l interactivit L interactivit tudi e ici est essentiellement la r ponse suite l coute d un document oral c est dire que j examine non pas les caract ristiques de ce qui est dit mais la r ponse personnelle ce qui est entendu car comme explique Hicks 1996 en s appuyant sur la th orie de Bakhtine tout acte cognitif est aussi personnel Le caract re personnel d acte cognitif est source de cr ativit Whitworth 2006 souligne comment l acte cr atif prend racine dans le contexte mais
111. taient embryonnaires et leurs comp tences tr s l mentaires Des observations r alis es pendant les tests ont r v l que la fa on dont les l ves proc dent est tout 1 Anoto www anoto com aussi int ressante que leur production Afin d tudier ces processus des enregistrements vid o des inte ractions des l ves avec le tableur ont t exploit s Tort et al 2009 L analyse qualitative de ces enre gistrements r v le d autres informations sur les processus de r solution des questions et les compor tements des l ves au cours du test pratique notam ment les comportements consistant explorer syst ma tiquement l interface du logiciel Les questionnaires papier pr sentent l int r t de pouvoir poser des questions sur les concepts et prin cipes du logiciel et de centrer les l ves sur ce qu ils savent sans qu ils aient recours une quelconque aide du logiciel De plus ils peuvent tre administr s une plus large population L instrumentation de question naires avec un stylo num rique permet l enregistrement des temps d criture des r ponses Ce dispositif permet de recueillir des donn es sur le processus de r solution du test notamment la dur e de r ponse chaque question et l ordre de traitement des questions Notre recherche a pour objet l analyse de traces d interaction sur un support papier captur es au moyen d un stylo num rique Notre objectif est de fournir
112. un outil d aide au traitement des donn es Segell qui intervient apr s le recueil des donn es et r alise un retraitement des donn es brutes et une aide automatique ou param trable la production de repr sentations tableaux ou graphiques Sur ce dernier point nous envisageons d int grer un module param trable d dition de graphiques multiples et interactifs Une autre application du stylo num rique nous int resse Il s agit de l utilisation du stylo num rique par le chercheur lui m me pour la prise de notes d observation Nous d veloppons actuellement cette probl matique pour l observation d enfants autistes en situation d usage d applications informatiques Etche Ogeli 2010 R f rences Aoud P 2010 Exploitation des donn es temps recueillies par stylo num rique Perspectives pour la recherche en ducation JOCAIR 2010 en cours Bassili J N amp Fletcher J F 1991 Response Time Measurement In Survey Research A Method for CATI and a New Look at Attitudes Public Opinion Quarterly 55 3 331 346 Bassili J N amp Scott B S 1996 Response Latency as Signal to Question Problems in Survey Research Public Opinion Quarterly 60 390 399 Blondel F M et Tort F 2007 Comment valuer les comp tences des lyc ens en mati re de tableur In T Nodenot J Wallet amp E Fernandes ds Actes de la conf rence EIAH2007 pp 77 82 Bruillard E Blondel F M
113. 0 nombre de fois Figure 2 Acgons l ve voulons savoir si ces gestes ont des significations particuli res dans le contexte d une activit donn e et s il y a des relations entre les gestes de l enseignant et la r action de l l ve sur le logiciel Nous voulons aussi comprendre quand l l ve autiste pointe l cran ou regarde l enseignant s il s agit ou non d un appel la communication Dans ce cas nous tentons de d terminer s il demande de l aide ou une validation s il attend une r compense Pour cela il nous faut prendre en compte les r actions de l enseignante ainsi que l action suivante de l l ve Nous devons donc reconstituer la chronologie d une succession de gestes issues de deux types d enregistrement diff rents Analyse qualitative Pour mieux comprendre le r le et la signification de ces deux gestes pointage de l cran par l enseignant et regard de l l ve vers l enseignant nous avons synchronis les donn es issues du SN avec celles provenant de l annotation des captures d crans pour trois dyades enseignants l ves deux l cole sp cialis e de la Fondation Vall e et une l IME le Guillant 3 mes Rencontres Jeunes Chercheurs en EIAH 119 Ramia Etche Ogeli Le pointage guider l l ve dans l activit Nous avons s lectionn pour visualiser le r sultat de la synchronisation une courte p riode comprenant la succession d
114. 20 650 gt ain ane Tiana abona o cu 17 22 20 een on Intervention textuelle Etudiant Figure 4 Exemples d indicateurs sp cifiques et transversaux calcul s post exp rimentation 3 mes Rencontres Jeunes Chercheurs en EIAH 33 Aina Lekira p dagogiques permet au tuteur de prendre du recul par rapport son activit mais aussi de s auto critiquer et de se remettre en cause Toute cette r flexion m tacognitive tutorale nous semble tr s importante car grande est son influence sur la r gulation de l activit de l apprenant L objectif court terme de notre travail vise mener une deuxi me campagne d exp rimentation et de fournir en temps r el des informations synth tiques concernant l activit de l apprenant son parcours sa poduction un instant t aux tuteurs gr ce l outil de Hop3x Enseignant qui fournit aux tuteurs des indicateurs sp cifiques et transversaux Par ailleurs gr ce aux travaux de Val rie Emin Emin 2009 et Daniel Hameline Hameline 1979 sur l intention p dagogique coupl s aux r sultats de notre premi re exp rimentation et l analyse des traces nous avons pu recueillir des informations pour la caract risation de l intention p dagogique du tuteur qui est l objectif moyen terme de notre travail 6 R f rences Bandura A eds 1977 Social learning theory eds NJ Prentice Hall Publishers Englewood Cliffs Bandura A 1997 Self efficacy The
115. 2010 Chaque m thode de calcul peut inclure des op rateurs internes et externes Ces trois premi res tapes sont effectu es par des analystes de donn es 4 La derni re tape concerne le calcul automatique des indicateurs et de leur capitalisation Cette tape est r alis e par l interpr teur de DCLAUTL pr sent dans la section suivante L interpr teur de DCL4UTL Code DCL4UTL Interpr teur DCL4UTL API DCL4UTL Sp cification de la grammaire DCL4UTL JavaCC Op rateurs externes Figure 3 Architecture de l interpr teur de DCLAUTL En ce qui concerne le calcul des indicateurs en utilisant DCLAUTL nous avons d velopp un interpr teur bas sur JavaCC Java Compiler Compiler qui est le plus utilis des g n rateurs de parseurs pour Java JavaCC lit la sp cification de la grammaire DCLAUTL et la convertit en un programme Java L architecture de l interpr teur de DCL4UTL est illustr e dans la Figure 3 L interpr teur lit la formule de calcul crite en DCLAUTL et l ex cute s il n y a pas d erreurs de syntaxe La complexit des indicateurs calculer d pend de l utilisation d op rateurs internes API Application Programming Interface DCL4UTL ou de l utilisation d op rateurs externes La Figure 4 pr sente le r sultat du calcul de l indicateur pr sent dans la Figure 2 Le r sultat est en XML car nous n avons pas encore d velopp les outils de v
116. Advanced Educational Technology Computer and Systems Sciences vol 115 p 173 195 Carlton K 1999 Teaching electric current and electric potential Physics Education vol 34 n 6 p 341 355 Closset J L 1989 Les obstacles l apprentissage de l lectrocin tique Bulletin de l Union des Physiciens n 716 p 931 950 D marche Scientifique http st creteil iufm fr reperes demarche_ scientifique htm Dupin J J Roustan Jalin M Ben Mim H 1999 Filles et gargons face aux sciences et la technologie des questions pour la didactique Actes des l res rencontres scientifiques de l ARDIST Iqbal A Oppermann R Patel A Kinshuk 1999 A classification of Evaluation Methods for Intelligent Tutoring Systems Software Ergonomie 99 Design von Informationswelten Gemeinsame Fachtagung des German Chapter of the ACM der Gesellschaft fiir Informatik GI und der SAP AG p 169 181 Khider H Sander E Labat J M 2005 DIANE Diagnostic informatique sur l Arithm tique au Niveau El mentaire Conference EIAH 2005 p 81 92 Mark M A Greer JE 1993 Evaluation methodologies for Intelligent Tutoring Systems Journal of Artificial Intelligence in Education vol 4 2 3 p 129 153 Michelet S Adam J M Luengo V 2007 Adaptive learning scenarios for detection of misconceptions about electricity and remediation International Journal of Emerging Technologies in Learning 2 1
117. B Ordre de mise jour lors des modifications de sc nario Figure 5 Extrait du mod le de r f rence adapt pour la prise en compte de sc narios ajustables en temps r el Nous n indiquons pas ici le traitement de la liste des l ves ni les traitements internes aux niveaux de donn es ou les interactions en provenance de l utilisateur Le traitement des donn es de structure s effectue majoritairement dans les niveaux de donn es pr sents sur la colonne de droite du sch ma Le sc nario p dagogique pouvant tre modifi en temps r el nous introduisons un flux de donn es de modifications de sc nario Les donn es de sc nario correspondent aux l ments du sc nario p dagogique initial et de chacun de ses ajustements successifs Du cot des traces l ves le processus est identique celui que nous avons d crit dans la figure 3 Nous avons galement d crit des ordres de mise jour caus s par l arriv e de nouvelles donn es via les 2 flux Ainsi lorsque de nouvelles donn es de modification de sc nario arrivent B elles doivent tre charg es dans les tables structur es des donn es de sc nario Elles doivent ensuite tre utilis es afin de modifier la structure de la table des traces l ves Cela peut impliquer la modification des structures visuelles des traces l ves ainsi qu une mise jour de leurs vues Les nouvelles donn es de sc nario doivent galement tre transform es en st
118. BETA pue BE Actes des troisiemes Rencontres Jeunes Chercheurs en EIAH Environnements Informatiques pour l Apprentissage Humain Rencontres organis es l initiative de l ATIEF Association des ae de l Information pour l ducation et A TI EF la Formation RJC EIAH 2010 Actes des troisi mes Rencontres Jeunes Chercheurs en FIAH Environnements Informatiques pour l Apprentissage Humain dit s par Viviane Gu raud et Marie Lefevre Universit Lyon 1 6 et 7 mai 2010 Rencontres organis es l initiative de 1 ATIEF Introduction Les troisi mes Rencontres Jeunes Chercheurs sur les Environnements Informatiques pour l Apprentissage Humain RJC EIAH 2010 se tiennent Lyon les 6 et 7 mai 2010 Organis e tous les deux ans cette conf rence francophone parrain e par l ATIEF Association des Technologies de l Information pour l ducation et la Formation a pour objectif la promotion de la recherche et la formation des tudiants chercheurs Ces journ es visent donner l occasion aux jeunes chercheurs du domaine de se rencontrer pour pr senter et changer sur leurs travaux entre eux et avec des chercheurs confirm s Nous avons re u 38 propositions de communication pour les rencontres 32 dans la cat gorie article long et 6 dans la cat gorie poster Ce nombre est assez satisfaisant et en l g re progression par rapport 2008 32 soumissions Les dates des prochai
119. Creative Commons 2010 Pour la repr sentation des traces d interaction l quipe propose son propre format qui se veut le plus exhaustif possible et extensible en cas de besoin Pour le partage des corpus un certain nombre de standards sont aussi utilis s Le protocole Open Archives Initiative Protocol for Metadata Harvesting OAI PMH 2010 est utilis pour changer les m ta donn es sur les corpus partag s entre les d p ts de donn es et les moissonneurs fournisseurs de services souhaitant collecter des m ta donn es sur des ressouces qui les int ressent afin de permettre l internaute une recherche plus ais e de donn es relatives aux corpus Pour la description des m ta donn es g n rales sur le corpus le format g n ral Dublin Core Metadata Initiative DCMI 2010 est utilis Pour la description des r les et des langues impliqu es dans le corpus le standard Open Language Archives Community OLAC 2010 est utilis Le standard de la Text Encoding Initiative TEI 2010 est utilis pour l export de donn es textuelles et les interactions verbales PSLC Datashop Datashop est un entrep t de donn es et une application Web destin s aux chercheurs travaillant dans le domaine des sciences d apprentissage L entrep t offre un stockage s curis des donn es tandis que l interface Web fournit un ensemble d outils d analyse et de visualisation PSLC 2010 Koedinger et al 2008 N importe qu
120. Dans cet article nous avons pr sent une approche bas e sur la m ta mod lisation pour la sc narisation d activit s p dagogiques se d roulant en environ nement virtuel Pour cela nous nous sommes appuy s sur MASCARET un m ta mod le d environnement virtuel inform qui fournit POSEIDON une repr sen tation abstraite commune tous les environnements virtuels entit s de l environnement activit humaine etc Cela permet au mod le de sc nario p dagogique de ne pas tre sp cifique un domaine particulier ou type de t che r aliser Notre contribution s inscrit dans la probl matique des syst mes auteurs de simulations p dagogiques Il s agit en effet de proposer des mod les et des outils permettant la cr ation et l exploitation de telles simulations Le processus de production que nous adoptons pr conise la s paration des activit s de mod lisation du domaine de cr ation de l environnement virtuel et de d finition du sc nario p dagogique Ce principe de s paration des activit s est similaire l approche propos e par le mod le MARS Pernin 1996 Dans notre cas le fait de reposer sur un m ta mod le explicite d environnement virtuel permet d automatiser la cr ation des associations entre le mod le du syst me et le sc nario p dagogique Notre approche permet en outre de s parer la production de l environnement virtuel et du sc nario p dagogique Cela offre l avantage
121. Despr s 2001 Martinez 2003 Gu raud 2009 S appuyant sur ces indicateurs et avec un objectif de r gulation de l activit d apprentissage le tuteur peut alors d cider d intervenir aupr s de l apprenant en se basant sur des l ments du contexte d apprentissage tels que le profil de l apprenant les objectifs de l activit le parcours de l apprenant etc Pour que le tuteur puisse mener bien son activit principale qui est de r guler l activit de l apprenant il est indispensable dans ces situations de tutorat instrument qu il puisse mesurer l impact r el de son travail et plus particuli rement de ses interventions lors des sessions d apprentissage ce qui favoriserait une d marche r flexive de sa part quant ses pratiques tutorales ses choix ainsi que ses strat gies didactiques et p dagogiques l amenant ainsi affiner sa pratique et am liorer ses comp tences Denis 2003 ICALTS 2004 Capa et al 2009 Fournir au tuteur des informations sur sa propre activit est donc essentiel puisque les enjeux li s l efficacit de la r gulation de l activit d apprentissage passent par la r gulation des strat gies de rem diation des choix p dagogiques et plus globalement par la r gulation de l activit du tuteur lui m me Proposer au tuteur des outils lui permettant d avoir un retour sur son activit lui permettra de suivre l volution du r sultat de ses interventions et de mesurer ainsi l im
122. En France cette tendance sera d autant plus forte qu elle est soutenue par le gouvernement qui a souhait financer des projets de recherche sur les SG hauteur de 30 millions d Euros en 2009 Dans cet article nous nous int ressons aux SG dont le but principal est de d velopper des comp tences m tier Les SG con us et d velopp s par le LIESP ces 15 derni res ann es sont r guli rement utilis s pour la formation des ing nieurs de l INSA de Lyon ou en formation professionnelle LIESP 2010 Les retours d usage vont largement dans le sens d un pl biscite de ces modes p dagogiques De fa on g n rale nous privil gions ces outils p dagogiques lorsque les mati res abord es concernent directement des comp tences professionnelles ou lorsque les m thodes dites traditionnelles s av rent fastidieuses et peu motivantes pour l apprenant syst mes complexes m thodologies comportements Gr ce aux SG il est possible de mettre en sc ne des cas concrets qui ne pourraient pas tre faits ou difficilement en grandeur nature pour que les apprenants appliquent et assimilent le contenu du cours Nous essayons d impliquer l apprenant dans son propre parcours d apprentissage avec des interactivit s des jeux de r le ainsi que d autres ressorts ludiques comme la comp tition le hasard les r compenses propices favoriser la motivation et activer les capacit s des apprenants Par exemple dans le SG
123. H Afin d am liorer le fonctionnement des EIAH le projet ISLE EIAH de la r gion Rh ne Alpes traite dans sa premi re phase constitu e de quatre t ches diff rentes possibilit s de personnalisation La t che 1 du projet aujourd hui achev e s est int ress e la mod lisation de la trace d interaction et la d finition d un Syst me Base de Trace Settouti et al 2007 Settouti et al 2009 La t che 2 s int resse la mod lisation des sc narios p dagogiques sp cifiant le d roulement attendu d une s ance d apprentissage Un tel sc nario pr voit l encha nement des activit s constituant le processus d apprentissage collaboratif pouvant ainsi donner lieu une confrontation et une comparaison de l activit attendue avec l activit r ellement r alis e Ferraris et Lejeune 2009 La t che 3 vise l analyse des traces d interaction pour d finir des profils d apprenants afin de personnaliser le comportement des EIAH Enfin la t che 4 s int resse l utilisation des traces d interaction pour analyser et am liorer le d roulement d une interaction m diatis e par ordinateur entre les tuteurs et apprenants distance May et al 2008 Le travail pr sent dans cet article donne une id e sur les objectifs de recherche de la t che 5 faisant partie de la deuxi me phase du projet Cette t che a pour but de cr er un corpus multidisciplinaire pouvant r pondre aux diff rentes questions de recherc
124. Internet Les dossiers de l ing nierie ducative 34 31 36 Fluckiger C and Bruillard E 2008 TIC analyse de certains obstacles la mobilisation des comp tences issues des pratiques personnelles dans les activit s scolaires ArchuvesSIC Mittermeyer D and Qurion D 2003 tude sur les connaissances en recherche documentaire des tudiants entrant au ler cycle dans les universit s qu b coises Montr al CREPUQ Serres A and Le Deuff O 2009 Outils de recherche la question de la formation In L entonnoir 95 111 Caen C amp F Simonnot B 2009 De l usage des moteurs de recherche par les tudiants In L entonnoir 33 57 Caen C amp F 148 Lyon 6 et 7 mai 2010 Int gration de la r alit mixte dans les serious games Charlotte Courdavault Universit de Lyon LIESP INSA Lyon F 69621 Villeurbanne Cedex France charlotte courdavault insa lyon fr R sum Les serious games ont pris r cemment une v ritable place comme moyen d apprentissage pour la construction de connaissances et comp tences Ils pr sentent la fois des avantages p dagogie active motion patience sans limite et des limites d contextualisation ou artificialit des mises en situation dans le jeu Pour d passer ces limites nous proposons d int grer de la r alit mixte dans les serious games afin de provoquer une plus grande immersion de l apprenant et de proposer de nouvelles fa ons d
125. J H G 2008 2 edition The Magic Circle Principles of Gaming and Simulation Rotterdam Sense Publishers Kinshuk S Patel A Oppermann R 2006 Special issue Current Research in Learning Design Journal of Educational Technology amp Society 9 Malone T W Lepper M R 1987 Making learning Jun A taxonomy of intrinsic motivations for learning vol 3 pp 223 253 Hillsdale N J Erlbaum Mariais C Michau F Pernin J P 2009 Games classifications and Learning Games design In ISAGA 2009 Proceedings Pernin J P Emin V Gu raud V 2008 ISiS An Intention Oriented Model to Help Teachers in Learning Scenarios Design EC TEL 2008 Proceedings in Times of Convergence Technologies Across Learning Contexts Lecture Notes in Computer Science Springer Volume 5192 2008 p 338 343 Prensky M 2007 Digital Game Based Learning Paragon House Skinner E A Belmont M J 1993 Motivation in the Classroom Reciprocal Effects of Teacher Behavior and Student Engagement across the School Year Journal of Educational Psychology Vol 85 No 4 pp 571 581 Thiagi Group Site web consult en janvier 2010 http www thiagi com 48 Lyon 6 et 7 mai 2010 Le suivi de l apprenant dans un serious game int gr au sein d une plateforme d apprentissage Pradeepa Thomas Laboratoire Lip6 104 Avenue du Pr sident Kennedy 75016 Paris France Pradeepa thomas lip6 fr R sum L efficacit
126. Michelet S Luengo V Adam J M Mandran N 2010 How to take into account different problem solving modalities for doing a diagnosis Experiment and results International Conference on Intelligent Tutoring Systems Pittsburg USA a paraitre Mislevy R J Gitomer D H 1996 The role of probability based inference in an Intelligent Tutoring Systems In User Mediated and user Adapted interaction 5 p 253 282 Murray T 1999 Authoring Intelligent Tutoring Systems An analysis of the State of Art International Journal of Artificial Intelligence in Education 10 p 98 129 Richoux B 2000 R les des exp riences quantitatives dans l enseignement de la physique au lyc e Th se de didactique de la physique Paris VII Ritter F Nerb J 2007 How sequence effects in humans and artificial systems illuminate each other Jn order to learn How the sequence of topics influences learning Chapter 1 Edited by F E Ritter J Nerb E Lehtinen and T M O Shea Oxford University Press Van Joolingen W De Jong T 2003 SimQuest Authoring educational simulations Authoring Tools for Advanced Technology Learning Environments Toward cost effective adaptive interactive and intelligent educational software VanLehn K 1998 Student modeling Foundations of Intelligent Tutoring Systems Polson amp Richardson Eds Lawrence Erlbaum Associates Ltd Hove VanLehn K Lynch C Schulze K Shapiro J A She
127. Nous identifions trois possibilit s pour l ex cution des activit s e Soit le r le du formateur est jou par un formateur humain La plate forme lui fournit les indications pr vues par le sc nario p da gogique mais c est lui qui d cide d ex cuter les actions pr conis es ou d en ex cuter d autres e Soit le r le du formateur est jou par un agent p dagogique intelligent Dans ce cas c est le m canisme de d cision d action de l agent qui choisit quelle action ex cuter e Soit aucun acteur n est fourni pour jouer le r le du formateur Dans ce cas les actions pr co nis es par le sc nario p dagogique sont ex cut es syst matiquement par un agent r actif dont le comportement est sp cifi dans POSEIDON Outils et Applications Afin d exploiter le mod le POSEIDON deux outils ont t d velopp s Le premier est un diteur de sc narios p dagogiques Cet diteur poss de des fonctionnalit s pour la cr ation et la modification des diff rentes composantes d un sc nario les environnements d ap prentissage l organisation p dagogique et les activit s p dagogiques L criture d un sc nario p dagogique se base sur la d finition du mod le m tier import dans l diteur au format XMI La sp cification de l environnement d apprentissage se fait gr ce un diteur d environnement inform Il permet de parcourir le mod le m tier de cr er des entit s et de leur attribu
128. Op Repr sentation graphique de l approche GEPPETO fait appel une structure de patrons qui d crit la structure g n rique et l ensemble des m tadonn es communes huit patrons d exercices Chacun de ces patrons d exercices d crit les l ments n cessaires la g n ration d une des huit cat gories d activit s papier contenues dans la typologie que nous venons de citer Chacun des patrons d exercices peut tre utilis par un g n rateur d exercices pour d finir des structures d exercices Chaque structure d exercices cr e peut son tour tre utilis e par le m me g n rateur pour cr er un ensemble d exercices Les g n rateurs d exercices propos s dans le cadre de l approche GEPPETO sont des g n rateurs semi automatiques respectant tous une m me architecture g n rique Lefevre ef al 2009b Ainsi en utilisant GEPPETOp cr er une structure d exercices consiste associer un patron d exercices des contraintes de g n ration pr cises et cr er un exercice consiste attribuer des valeurs respectant ces contraintes aux param tres de la structure d exercices Les exercices cr s seront constitu s d l ments d nonc et d l ments de r ponse pour l apprenant ainsi que de la solution pour l enseignant Pr cisons que la structure des patrons et les patrons d exercices propos s dans le cadre de GEPPETOp Lefevre 2009 sont ind pendants du domain
129. P A CAES P BI A DE P A La m me formule est utilis e pour la propagation des probabilit s entre les concepts Pour la mise jour des connaissances du domaine le principe est de classer les l ments observ s de la trace en utilisant une m thode de classification K means Les r sultats du classement sont ensuite soumis l expert qui peut ensuite mettre jour la structure du mod le du domaine en fonction de ses r sultats La prochaine tape de notre travail porte sur la sc narisation et l valuation de notre approche R f rence Jim Reye Student Modelling Based on Belief Networks International Journal of Artificial Intelligence in Education v 14 n 1 p 63 96 Jan 2004 160 Lyon 6 et 7 mai 2010 Recherche d information sur le web et moteurs de recherche dans un contexte ducatif profils de lyc ens Quach Tat Kien Laboratoire STEF ENS Cachan INRP UniverSud 61 avenue du Pr sident Wilson 94235 Cachan France qtkien yahoo com R sum Dans le cadre d une th se sur la recherche d information sur le web RIW et les moteurs de recherche dans l enseignement secondaire nous tudions les actions et les d marches de RIW de lyc ens fran ais et vietnamiens ainsi que les liens ventuels entre leurs actions leurs d marches leurs performances en RIW et les facteurs influen ant cette RIW Nous avons con u une preuve comportant un questionnaire deux t ches de RIW et un ent
130. Petrovic 2008 On distingue alors deux approches soit le contexte spatial est consid r comme une contrainte impos e la situation soit il est d fini en fonction de l apprentissage vis La premi re approche se retrouve naturellement dans les dispositifs pour la formation professionnelle l utilisateur tant alors n cessairement sur son lieu de travail Dans le cas o le lieu de travail est suffisamment tendu il est possible de proposer Putilisateur des informations pertinentes suivant sa position par exemple Caron ef al 2008 propose des informations de localisation des apprenants facteurs en tourn e de distribution Plus largement le fait qu un utilisateur se retrouve face un probl me un endroit donn doit lui laisser la possibilit de communiquer sur les l ments de ce probl me Caron et al 2008 propose alors la prise d une photographie pour l identification du probl me par les experts Dans certaines situations le contexte spatial peut tre tr s r duit ou n tre pas utilis Ainsi Barbry et al 2008 d crit un dispositif pour aider les vendeurs dans les magasins d lectrom nager dans lequel la position du vendeur n est pas utilis e La deuxi me approche consiste choisir le contexte spatial en fonction de l apprentissage vis Par exemple dans Kittl et Petrovic 2008 les apprenants doivent visiter des lieux qui leur sont impos s par le syst me Notons par ailleu
131. SS Cr ation de mod les b D finition de contraintes sur activit s G n ration d activit s Figure 1 GEPPETO Repr sentation graphique de l approche 1 Lorsque nous parlons de mod le de l activit il s agit d un mod le informatique formel non exhaustif contenant ce qu il est n cessaire de savoir de l activit pour la personnaliser Il faut noter que cette acception diff re de celle utilis en Sciences Humaines qui correspond des mod les de l activit complets mais non formels Bourguin 2000 36 Lyon 6 et 7 mai 2010 Une approche g n rique pour adapter les activit s Les processus de l approche GEPPETO se d composent selon deux phases La premi re correspond une phase d initialisation cf cadre pointill sur la Figure 1 Elle n est effectu e qu une seule fois Dans cette phase un expert utilise le m ta mod le d activit s pour d finir pour chaque activit papier ou pour chaque EIAH que les agents enseignants ou syst mes souhaitent adapter un mod le d activit s Ce processus de cr ation de mod les d activit s est repr sent par les fl ches a sur la Figure 1 La seconde phase est celle de l utilisation courante de GEPPETO cf cadre plein sur la Figure 1 Dans cette phase un agent se sert d un mod le d activit s cr par l expert pour contraindre l adaptation des activit s propos es ses apprenants Ce
132. T une classe d entit s avec des propri t s particuli res la description d une proc dure m tier etc Ce forma lisme fond sur UML est un langage plus riche que les langages de mod lisation m tier utilis s par des mod les de sc nario comme Van Rosmalen 1994 Van Joolingen et de Jong 2003 par exemple Puis les concepts d finis dans un mod le m tier peuvent tre instanci s pour cr er des environnements virtuels une entit particuli re ex cution d une proc dure etc MASCARET distingue donc trois niveaux de mod li sation le m ta mod le M2 les mod les m tiers M1 et les environnements d ex cution MO Ces environ nements sont qualifi s d inform s puisque MASCARET permet l introspection en ligne des niveaux objet MO et mod le M1 La figure 1 pr sente les liens entre POSEIDON et MASCARET travers les diff rents niveaux de mod lisation dont il est question 1 PedagOgical ScEnario for virtual and informeD envirONment 2 Multi Agent System for Collaborative Adaptive and Realistic Environment for Training Mod le de utilise sc nario M2 M ta mod le d EV Mascaret y se lool instance de Poseidon 1 H instance de M1 Mod le m tier r f rence X Sc nario instance de el p dagogique Environnement lt 6 d roule dans Virtuel Figure 1 Liens entre les diff rents niveaux de mod lisation Concr tement POSEIDON permet un for
133. TRA et IRVO et la plate forme IMERA semble tre une premi re tape 3mes Rencontres Jeunes Chercheurs en EIAH 153 Florent Delomier La plate forme IMERA utilise une technologie de type RFID pour permettre la communication entre diff rents objets fixes ou mobiles Le soutien du grand public ou de l utilisateur est assur par la prescription d op ration r aliser dans un contexte de d pannage La prise en compte des traces assure une meilleure gestion logistique des outils et une am lioration continue du syst me La d marche CoCSys Delotte 06 m thodologie de conception de syst mes capillaires coop ratifs utilise diff rents sc narii pour permettre l laboration d un mod le de comportement collaboratif Cette inf rence permet la construction d arbres de t ches L op ration effectu e est repr sent e en pr cisant plusieurs niveaux de t ches niveau cognitif computationnel et interactionnel Une seconde tape est d identifier les possibilit s d interaction qui existent en fonction des diff rents p riph riques d interaction de l utilisateur selon la d marche utilis e par Mann Mann 98 La conception et la mise en place d interface tangible s appuie sur l utilisation du formalisme IRVO Interacting with Real and Virtual Object Chalon 04 pour mod liser la description du syst me Cette approche centr e utilisateur permet de sp cifier l interaction de l utilisateu
134. WN ae R troactions Notifications Le sc nario pr voit e collaboratives e coop ratives e au sein d un groupe e entre plusieurs groupes e entre tous les participants e des r sultats des participants scores notes Type de partage La reconnaissance se fait e des productions des participants d informations travers le partage ici Les participants ont la e leur environnement de jeu e leur personnage e des r troactions sur les activit s e des notifications sur l volution de l environnement ex activit s des autres participants Tableau 1 ressorts de jeu et de motivation applicables un sc nario LRPG Six Ressorts de Jeu et Motivation Identifi s Les l ments issus de ces diff rents travaux associ s aux sp cificit s de notre objet d tude nous am nent proposer une cat gorisation des principaux ressorts de jeu et de motivation identifiables dans un sc nario LRPG Au final six ressorts ont t retenus les quatre cat gories d finies par Caillois auxquelles ont t ajout es la reconnaissance et l action collective Ag n alea mimicry et ilinx ont t nomm s diff remment pour tre davantage explicites par rapport la conception d un sc nario LRPG De plus le ressort ilinx d signant initialement la recherche du vertige et qui consiste en une tentative de d truire pour un instant la stabilit de la perception et d infliger la conscience lucide un
135. a l identification des zones des r ponses recueillies L instrumentation est r alis e l aide du logiciel Adobe Acrobat Professionnel coupl un plugin sp cifique Dans le cas de notre tude les formulaires trait s sont des questionnaires de tests d valuation de connaissance sur tableur Un test comporte une partie descriptive d un probl me et une s rie de questions ouvertes ou ferm es voir figure 1 Question 1 La recopie de A4 vers A5 par la poign e de recopie va afficher en AS 1097 1998 O 1997 1999 O 1908 1998 O 1998 1999 NB une seule r ponse possible Question 2 La cellule D3 affiche le nombre de jours coul s entre les deux dates de l olympiade de 1996 1997 Quelle formule contient D3 sachant qu elle a t recopi e vers D4 a D15 ps G3 B3 Figure 1 extrait d un test rempli Apr s l administration du test avec les stylos num riques les donn es sont transf r es au moyen d une interface USB et d une connexion Internet vers une plateforme h berg e par la soci t Kayentis Cette plateforme comporte une interface web pr sentant les r ponses aux formulaires sous formes d images Elle permet de valider les reconnaissances de caract res effectu es sur les zones d criture Traitement et transformation des donn es Un export XML des donn es recueillies est fourni par la plateforme Kayentis Il comporte pour chaque test chaque page d exempla
136. a personnalisation de la formation et viter l inf rence des connaissances d j d duites par un autre dispositif de formation Par cons quent la limite majeure que nous avons constat e en analysant ces approches est 3mes Rencontres Jeunes Chercheurs en EIAH 145 Manel Ben Sassi x li es linexistencee d une approche assurant l interop rabilit et la portabilit des traces LIP REQUEST L approche Propos e Pour rem dier au manque de feedback nous avons choisi de tracer l apprenant Et pour faciliter le partage et la r utilisation de cette trace nous proposons d en extrapoler le mod le de l apprenant suivant le standard IMS LIP Ainsi la trace h rite toutes les caract ristiques du standard savoir l interop rabilit l accessibilit la r utilisabilit et la facilit de la maintenance Toutefois un mod le d apprenant peut s taler sur plusieurs pages et sa lecture devient difficile D o l id e de proposer un langage de requ tes qui permet une meilleure exploitation des profils par les acteurs Cette proposition a t motiv e par la n cessit de rem dier quelques lacunes des langages de requ tes existants En effet ces langages requi rent de la part des usagers une connaissance pouss e de la structure des documents qu ils interrogent Ensuite ils exigent une bonne compr hension des fondements syntaxiques pour exprimer leurs besoins en des requ tes valides Pour p
137. abulaire l adolescent moyen a appris environ 5000 nouveaux mots de sa langue maternelle par an sur les 17 premi res ann es de sa vie alors que l apprentissage d une langue en classe ne permet pas d aller au del de 300 mots par an Dans le cadre de notre travail nous pensons qu une situation d apprentissage ubiquitaire peut tre con ue de mani re favoriser un apprentissage authentique Cependant le caract re ubiquitaire des dispositifs ne suffira pas pour assurer l authenticit de l apprentissage Nous essayerons alors de d finir les l ments de notre m tamod le de mani re permettre un apprentissage authentique Axes d Analyse des Situations d Apprentissage Ubiquitaire Une situation d apprentissage ubiquitaire a pour particularit par rapport une situation d apprentissage classique que les processus suscitant l apprentissage prise d information questionnement explication ont lieu au sein d une activit et d un contexte plus large On peut par exemple penser l apprentissage ubiquitaire pour la formation professionnelle o l apprentissage se fait parall lement au travail de l apprenant D crire une situation d apprentissage ubiquitaire impose donc d identifier les activit s de l utilisateur les objets avec lesquels il interagit L ensemble de ces l ments forme le contexte de la situation Abowt et Mynatt 2000 proposent une description mi
138. abulaire et les contraintes d finis sur les observ s de la trace Il est possible d ex cuter des requ tes sur les traces en utilisant la notion de pattern repr sentant les conditions satisfaire La transformation d une M Trace consiste prendre en entr e une ou plusieurs M Traces chacune conforme un mod le de trace et produire une nouvelle M Trace conforme un nouveau mod le de trace en ex cutant un ensemble de r gles de transformation Une r gle de transformation tant un couple pattern template Le pattern servant identifier l ensemble des observ s des traces sources auxquels le template sera appliqu pour produire les fragments de la trace cible Les usages des traces tant vari s leur utilisation en temps r el est parfois n cessaire Pour ceci une diff rence a t faite entre les traces hors ligne et les traces en ligne Les r sultats d une requ te s ex cutant sur une trace en ligne doivent tre r valu s chaque fois que de nouveaux v nements surviennent Cette requ te est dite continue Architecture SBT La figure 1 pr sente l architecture d un syst me base de traces mod lis es Un syst me de tra age commence par collecter les traces des interactions Ces traces peuvent tre collect es la fin pour les traces hors ligne l aide de sources de tra age dites passives ou captur es en temps r el pour les traces en ligne l aide de sources de tra
139. acad miques des TIC THIERRY DANQUIGNY 151 Nouvelles interactions dans les serious games FLORENT DELOMIER e 153 Quels indicateurs pour l utilisation en bin me d un environnement de d veloppement int gr GREGORY DYKE 44 alas ones LG a HAS od ba eb ee AA 155 Mod lisation des comp tences mobilis es dans une m thode p dagogique la m thode MAETIC DIAMA M HASSAN 52 58 44 rasis nas ERD na ka eor ea Ee ue 157 Utilisation des traces pour la mise jour des connaissances du domaine et du profil de l apprenant dans les EIAH adaptatifs AARIJ MAHMOOD HUSSAAN 159 Recherche d information sur le web et moteurs de recherche dans un contexte ducatif profils de lyc ens QUACH TAT KIEN errei we amp a Dumas dues BOA de di aa a a 161 Elaboration de profils d apprenants partir des traces mod lis es issues d EIAH LEMYA SETTOUTL 8 wann sa mis mate Ge an es D ete aie 163 Module d Analyse de d Accompagnement du Parcours d Etude des Apprenants MAAPEA CLAUDE RENE TARRIT reine O Duran a a 165 Index des auteurs 167 3s Rencontres Jeunes Chercheurs en EIAH 13 Conf rence invit e Du guidage p dagogique au soutien personnalis l apprentissage dans les EIAH Evolutions et questions ouvertes Monique Grandbastien LORIA UHP Nancy L objectif des chercheurs en EIAH est de concevoir r aliser exp r
140. ace is composed of observed elements or obsels representing the interaction between the user and the system Each obsel has a set of attributes values that is related to the temporal extension of the trace e g it can be related to an instant or a temporal interval A trace model is then a set of observed element types and relations types Les bases scientifiques de notre approche tant pos es nous nous concentrons sur le vocabulaire de la trace 4 2 2 Vocabulaire de la trace sur simulateur Notre domaine d application tant l aide a l observation du comportement des stagiaires dans le cadre des formations sur simulateur pleine chelle notre approche s appuie sur l exemple des grilles d observables utilis es par les formateurs pour suivre les actions des stagiaires Ainsi nous retenons comme vocabulaire de description de l activit sur simulateur la structure Famille d objectif P dagogique et Attendus EDF emprunt e aux principes des grilles d observation section 2 2 1 Nous consid rons aussi cette hypoth se comme valable pour le REX Doit tre r alis en premier Est suivi Peuvent tre r alis s dans n importe quel ordre du mod le de trace des formations et met en valeur les protos M Traces Familles p dagogiques Enrichie Observable et Premi re Dans la suite de nos d veloppements nous d taillons l ensemble des mod les de trace leurs observ s ainsi qu
141. adre d crit dans la Figure 1 est fond sur le cadre des Syst mes Base de Traces mod lis es SBTm Settouti et al 2009 que nous avons tendu d une part en combinant deux approches de mod lisation de l apprenant la m thode par calcul d indicateurs de comportement et le raisonnement d ductif en utilisant 3 mes Rencontres Jeunes Chercheurs en EIAH 163 Lemya Settouti des syst mes base de connaissances et d autre part en d finissant trois mod les de connaissances vocabulaires RDF permettant de repr senter explicitement les observations sur les interactions de l apprenant avec un EIAH et d exprimer les connaissances n cessaires pour interpr ter les traces en vue de calculer et ou de d duire les l ments du profil e le Mod le de Traces d Activit s d apprentissage MTA permet au concepteur de d crire explicitement les observations des interactions de l apprenant avec un EIAHx Ce mod le est une extension d un travail pr c dent sur la notion de trace mod lis e du cadre des SBTm o le mod le de trace est d fini comme une ontologie g n rale une sorte de m tamod le d crivant et structurant explicitement les traces d activit s issues de tout syst me informatique y compris les EIAH Notre travail ce niveau consiste proposer le mod le MTA qui est une sp cification de ce m tamod le dans le contexte des EIAH supportant les activit s d apprentissage individu
142. age actives Le syst me de tra age construit alors des traces mod lis es dites primaires souvent d un niveau d abstraction bas Le syst me de transformation ex cute des transformations sur les traces en appliquant des filtres r crivant ou agr geant des l ments de traces Ceci peut donner lieu des M 76 Lyon 6 et 7 mai 2010 Corpus de traces d interaction traces plus pertinentes pour une utilisation plus sp cifique Le systeme d interrogation permet d interroger la base de traces mod lis es pour extraire des informations sp cifiques n cessaires une tude donn e r i a ee Applications Users y Q Systems Active Tracing Sources Passive Tracing Sources Tracing System TETOR Fa Jeo aa Primary Trace CSD os Pau zus Off line Modeled Traces Persistent Storage EA On line Mode Working Storage Oo EZ Querying System SB A Transformation System Figure 1 Architecture du SBT Settouti et al 2009 TATIANA TATIANA Dyke 2009 bien que bas sur un mod le diff rent peut tre consid r comme une impl mentation partielle du mod le th orique du SBT d j pr sent L outil TATIANA permet aux chercheurs d analyser les corpus de traces d interaction pour valuer le d roulement d une s ance de travail collaboratif La trace est repr sent e sous forme de rejouable sur lequel quatre cat gories d op rati
143. agogiques que l on pourrait qualifier d ouverts donnant la possibilit aux utilisateurs d effectuer eux m mes la conception et l adaptation notre sens la question pos e par l ing nierie d un sc nario n est donc plus seulement de produire un mod le correspondant une sp cification donn e mais d laborer un mod le adaptable souvent en cours d usage en fonction de l volution du contexte et des besoins des usagers L activit de conception est donc situ e et continue dans l usage Elle ne se r duit pas l acte de mod lisation pr alable de l artefact qui est exog ne au contexte r el de son usage elle se poursuit dans l activit des usagers eux m mes Cottier et EL Kechai 2009 Cela passe par l laboration puis l utilisation des mod les endog nes aux contextes d usage La conception des sc narios p dagogiques requiert des modalit s de conception qui ne soient pas classiques Cottier et EL Kechai 2009 Les sp cifications ne doivent pas s arr ter la phase d instanciation elles doivent tre continu es durant l ex cution en permettant aux usagers de faire les ajustements n cessaires Notre choix d adopter l approche instrumentale Rabardel 1995 comme arri re plan th orique se trouve ici confort Cette approche ouvre en effet une perspective largie et productive pour tudier les pratiques de conception en 84 Lyon 6 et 7 mai 2010 Ing nierie des sc narios p dagogiques ouverts
144. aissances m tiers Notre objet d tude est donc le Learning Game bas sur le jeu de r le que nous d signons sous le nom Learning Role Playing Game jeu de r le pour l apprentissage ou LRPG Afin de lever les fr quentes ambig it s du terme sc nario voici quelques pr cisions sur les sens qu il rev t dans cet article D une part le sc nario narratif d signe l histoire dans laquelle est plong le participant et peut faire office de fil conducteur sur l ensemble du dispositif LRPG D autre part le sc nario d orchestration dont le sens s apparente celui de sc nario p dagogique Hotte et al 2008 est d fini comme un arrangement de phases visant l acquisition ou l am lioration de comp tences et ou de connaissances Il pr cise notamment les acteurs impliqu s leurs r les les r gles d orchestration des diff rentes activit s les fonctions utilis es ressources outils et services et les ressorts de jeu mis en uvre Par d faut dans cet article le mot sc nario utilis seul d signera le sc nario d orchestration Organisation de notre Recherche Notre objectif est de renforcer la confiance du concepteur dans la validit de ses choix et de l assister dans son travail en formalisant un processus de conception de sc narios LRPG qui le guidera notamment au niveau de l utilisation de ressorts de jeu adapt s et facilitera l op rationnalisation du sc nario con u Pour cela nous com
145. aissances proc durale et d clarative dans l interaction m dicale R seaux 8 59 80 Garfinkel H 2007 Recherche en ethnom thodologie Presses Universitaires de France Paris Goodwin C and Goodwin M H 1992 Assessment and construction of context In C Goodwin and A Duranti Rethinking context Cambridge University Press Goodwin C 1994 Professional Vision American Anthropologist 96 3 606 633 Goody J 1979 La raison graphique La domestication de la pens e sauvage Minuit Heath C Knoblauch H Luff P 2002 Technology and social interaction the emergence of workplace studies British Journal of Sociology 51 2 299 320 Latour B 1987 Les vues de l esprit une introduction l anthropologie des sciences et des techniques R seaux 5 79 96 Leroi Gourhan A 1964 Le geste et la parole Tome 1 Technique et langage Albin Michel Lynch M 1988 The Externalized Retina Selection and Mathematization in TheVisual Documentation of Objects in the Life Sciences Human Studies 11 201 234 Mondada L 1999 L accomplissement de l trang it dans et par l interaction proc dures de cat gorisation des locuteurs Langages 33 134 20 34 Mondada L 2005 Espace langage interaction et cognition une introduction Intellectica 2 3 41 42 7 23 Mondada L 2006 Interactions en situation professionnelles et institutionnelles de l analyse d taill e aux ret
146. ale si CGisbalsHwmains 0 convergence partielle si 0 lt CGicbaleHumains lt 0 5 et divergence sinon Le seuil de 0 5 correspond au cas o le degr de croyance donn s par deux experts est le m me et o il y a une diff rence de 1 avec celui donn par le troisi me expert Population statistique Vecteurs de diagnostic Le sc nario propos aux apprenants comportait en tout 15 QCM 10 constructions 61 formulations dont 16 relev s de mesure et 16 valeurs d unit s accompagnant ces mesures Nous avons 7 contextes de diagnostic correspondant l ensemble des combinaisons des 3 outils Soit le contexte de diagnostic Ctxt le diagnostic associ ce contexte est r alis partir des productions d apprenants prenant en compte que les traces issues des outils composant Ctxt A chaque contexte est associ un ensemble de probl mes Ens_Ctxt Soit le nombre total de vecteurs de diagnostics D Card A Card E Card Ens_Ctxt o Card A Card E et Card Ens_Ctxt d signent respectivement le cardinal des apprenants des experts et des probl mes associ s au contexte de r solution En tout nous obtenons 7056 vecteurs de diagnostics Vecteurs de degr de croyance Nous avons 19901 vecteurs de degr s de croyance R sultats et interpr tation Comparaison des accords entre experts humains A partir des 19901 vecteurs de croyance nous avons t pour cette tude les cas o seul DiagEle
147. allier ces inconv nients nous proposons un langage informel et graphique permettant l utilisateur d exprimer son besoin avec des mots clefs et des fourchettes la date la liste des apprenants crit res de s lection et d affichage Le r sultat est une liste de profils r pondant cette requ te sans tenir compte de l endroit o ces mots clefs apparaissent dans le mod le Sc nario de test Nous avons mont une exp rimentation avec la plateforme Moodle L activit p dagogique chat forum s ins re dans le cadre d un cours intitul M ta donn e pour le E service dans une formation distance le mast re e service international Pour entrevoir l utilit de cet outil nous pr sentons ce sc nario de test A la fin de la session le tuteur voulait avoir une id e sur la contribution de ses apprenants dans les activit s de ce cours Il formule sa requ te comme suit Je liste tous les apprenants de ma classe qui ont particip un chat ou ont d pos un devoir Nous avons obtenu les r sultats suivants 67 des apprenants ont particip au moins un chat ou ont d pos un devoir Le tuteur peut d duire que 33 ont abandonn son cours Conclusion et perspectives Nous nous proposons dans ce travail de standardiser les traces recueillies afin d assumer d une part l adaptativit de contenu et d autre part l interop rabilit et le partage de ces traces Dans la perspective de fac
148. alu e gr ce l identification de la source par interpr tation de l URL Au del de l apparente habitude d usage se profile une strat gie souvent bas e soit sur la connaissance empirique de l outil utilis soit sur le degr d efficacit d une exp rience ant rieure La formulation de la requ te est aussi fonction de la nature de l information recherch e et de la connaissance des types de ressources susceptibles de fournir au mieux cette information Les d cisions tactiques quant elles influenc es par la contrainte temporelle sont tr s d pendantes de l chec des requ tes ant rieures Au cours de la recherche la requ te volue de mani re dynamique avec appr hension progressive du sujet de recherche et construction par tapes du besoin d information C est une d marche d aller retour entre interface de requ te et sujet de recherche entre requ te et r sultats entre outil de recherche et ressource documentaire utilis e de mani re heuristique par exemple Wikip dia pour trouver de nouveaux mots clefs Le s quen age des activit s de recherche permet de rep rer des boucles it ratives de lancement de requ te consultation des r sultats modification de la requ te qui se retrouvent galement dans l utilisation d un logiciel documentaire ce qui am ne supposer qu elles puissent relever du sch me dans la mesure o elles sont transf rables d une situation d emploi d outils de recherche une autre
149. and Tort F 2008 DidaTab project main results implications for education and teacher development In K McFerrin R Weber R Carlsen 4 D A Willis Eds pp 2014 2021 Chesapeake USA AACE Callegaro M et al 2006 Response latency as an indicator of optimizing A study comparing job applicants and job incumbents response time on a web survey In C van Dijkum J Blasius amp C Durand Eds Recent developments and applications in social research methodology Proceedings of the RC 33 Sixth International Conference on Social Science Methodology Amsterdam 2004 Opanden amp Farmington Hill Barbara Budrich Dimitracopoulou A 2008 Computer based Interaction Analysis Supporting Self regulation Achievements and Prospects of an Emerging Research Direction In Kinshuk M Spector D Sampson P Isaias Guest editors Technology Instruction Cognition and Learning TICL Dimitracopoulou A Bruillard E 2006 Enrichir les interfaces de forums par la visualisation d analyses automatiques des interactions et du contenu Revue STICEF Volume 13 2006 ISSN 1764 7223 Draisma S Dijkstra W 2004 Response latency and para linguistic expressions as indicators of response error In Methods for testing and evaluating survey questionnaires ed Stanley Presser Jennifer M Rothgeb Mick P Couper Judith L Lessler Elizabeth Martin Jean Martin and Eleanor Singer Etche Ogeli R 2010 Utilisation des TIC pour les
150. ant une interface unique permettant de personnaliser diff rents logiciels p dagogiques Ainsi l enseignant n a plus besoin de conna tre les diff rentes interfaces de personnalisation ou le contenu des fichiers de configuration pour adapter les logiciels il n utilise plus qu un seul outil lui permettant de faire les choix ad quats pour chaque logiciel Cet outil lui propose en sortie dans les cas de AMBRE add et de TRI les fichiers de configuration pour chacun de ses l ves et pour ABALECT autant de listes d instructions que d apprenants leur indiquant les choix faire l interface pour obtenir un ou plusieurs exercices Pour cela le syst me impl mentant GEPPETOS utilise le m ta mod le AKEPI pour permettre l expert du logiciel AMBRE add de cr er le mod le OKEP AMBRE add l expert du logiciel TRI de cr er le mod le OKEP TRI et l expert du logiciel ABALECT de cr er le mod le OKEP ABALECT Ces trois mod les sont ensuite utilis s pour g n rer et g rer trois interfaces de param trage chaque interface est propre un syst me mais poss de une pr sentation homog ne aux deux autres L enseignant peut ainsi d finir des contraintes de param trage pour chacun des syst mes afin d adapter ceux ci ses l ves Mise en uvre de GEPPETO dans Adapte La mise en uvre de l approche GEPPETO et de ses deux d clinaisons a t faite lors du d veloppement du logiciel Adapte Lefev
151. ar Tech Smith un logiciel qui permet de capter l cran de l ordinateur et de passer d une application l autre sans interrompre le processus d enregistrement Pour notre recherche nous avons capt l cran et le son Nous avons ainsi acc s tous les gestes qui ont un impact sur l cran de l ordinateur et aux changes verbaux Il serait possible de synchroniser avec une Webcam mais nous ne l avons pas fait jusqu maintenant Avec ce logiciel nous avons r alis 14 enregistrements concernant dix enfants quatre ont t observ s deux fois Stylo num rique Le stylo num rique SN est une technologie utilis e avec des papiers tram s en parall le de Camtasia En l absence de Webcam l utilisation de cette technologie s av re n cessaire pour parfaire la prise de note pendant l observation de l interaction dans la classe L avantage du SN est que l on peut prendre des notes en temps r el et les synchroniser avec des donn es provenant d autres outils capteur d cran entretiens ex De plus il nous fait gagner du temps en convertissant les donn es en format XLS Transcription Pour transcrire les enregistrements obtenus par Camtasia nous utilisons ActivityLens un logiciel d annotation d velopp par l universit de Patras Nous avons commenc transcrire la premi re s ance celle de l IME Le Guillant dans le but de d tecter toutes les interactions verbales enseignant
152. ar exemple un outil de chat pour les discussions entre apprenants un diteur de texte partag pour les productions collaboratives D autre part les traces collect es peuvent tre utilis es par des outils d analyse et de visualisation ind pendants La collecte des traces se fait par l instrumentation des diff rents outils utilis s l aide d une API Application Programming Interface de collecte n obligeant pas les outils modifier leur fonctionnement de base Le format d une trace CARTE d finit des signaux comme tant des v nements ponctuels associ s une date donn e et des s quences qui peuvent tre constitu es de signaux et ou s quences ayant des dates de d but et de fin Par analogie la trace mod lis e du SBT une trace CARTE est associ e un mod le d utilisation expliquant la s mantique des l ments collect s dans la trace ceci est exprim par le biais de param tres Les traces collect es sont ensuite utilis es pour fournir aux participants des informations qui les int ressent sur l activit des autres participants en temps r el par exemple informer un tuteur des activit s des apprenants ou sur leur propre activit par exemple donner l apprenant la possibilit de visualiser son parcours L autre utilisation des traces consiste en la synchronisation des outils logiciels entre eux par exemple un apprenant ne peut pas joindre un groupe auquel il n a pas t
153. ar tous et elle est favoris e par le travail de groupe Agir Collectivement Le caract re collectif d une activit collaboration ou coop ration s avere tre une source de motivation interpersonnelle au m me titre que la comp tition Malone et Lepper 1987 Cet aspect social de l activit favorise l implication des participants les changes avec les autres utilisateurs Jo Kim 2009 constituent par exemple le c ur des communaut s en ligne Par ailleurs la collaboration ou la coop ration est un ressort de jeu essentiel dans un contexte de formation professionnelle o l esprit d quipe est souvent mis en avant et o la comp tition n est pas toujours adapt e aux objectifs ou au contexte 3S Rencontres Jeunes Chercheurs en EIAH 45 Christelle Mariais Notre cat gorisation de ressorts de jeu et de motivation RESSORTS CARACTERISTIQUES MECANISMES RESSORTS DE JEU Etre en Modalit s de la comp tition La comp tition est comp tition ag n e entre quipes Type de victoire Jouer un r le Proximit du sc nario narratif avec le contexte professionnel mimicry La victoire repose sur Le sc nario narratif est e entre individus eun classement des participants points gagn s l ments collectionn s e la r ussite d une preuve d une mission e proche du contexte professionnel r el e transpos dans un contexte diff rent du contexte professionnel r
154. arios contenues dans des logiciels etc ses buts p dagogiques l enseignant doit apprendre utiliser l interface de nombreux outils car il n existe pas d approche unifi e permettant d assister l enseignant dans cette t che d adaptation des activit s L approche que nous proposons consiste fournir un outil unique permettant entre autres de param trer des activit s p dagogiques de diff rents types sur papier ou contenues dans des EIAH pour qu elles correspondent aux besoins de chaque enseignant GEPPETO ou comment adapter les activit s aux besoins des enseignants Adapter des activit s p dagogiques aux besoins d un enseignant n cessite de contraindre le choix ou la g n ration de ces activit s Pour pouvoir exprimer ces contraintes sur l activit il est n cessaire de disposer d un mod le de l activit l a adapter Comme il n est pas possible d avoir un mod le g n rique d crivant toutes les activit s adapter nous proposons plut t d tablir un m ta mod le qui guidera la mod lisation de l activit Nous proposons pour cela l approche GEPPETO GEnerics models and processes to Personalize learners PEdagogical activities according to Teaching Objectives qui repose sur des mod les et des processus permettant d adapter les activit s p dagogiques propos es aux apprenants en respectant les objectifs p dagogiques de chaque agent de la personnalisation Notons
155. articipants n ont rien trouv 19 ont tout trouv et 41 ont trouv en partie Gr ce aux requ tes r cup r es 991 et aux transcriptions d entretiens nous trouvons deux types de RIW diff rents que l on nomme g n ral et pr cis Dans le type de RIW g n ral les participants commencent par une premi re requ te courte pour explorer le sujet La plupart des requ tes suivantes sont plus longues et plus pr cises Au contraire dans le type pr cis en commen ant par une premi re requ te longue et souvent pr cise les participants ont tendance trouver directement les r ponses Dans la formulation des requ tes 40 des participants ont utilis les guillemets 10 ont utilis la recherche avanc e 2 3 des participants ont rempli le champ un des mots suivants correspondant l op rateur bool en O mais ils ne savent pas comment cet op rateur fonctionne Seulement deux participants sur 59 ont utilis l op rateur inclusion mais leur syntaxe d criture n est pas correcte Sur la strat gie de RIW nous avons le m me r sultat avec Boub e et Tricot 2007 Les participants ont tendance profiter de la formulation de requ tes pour trouver les r ponses En moyenne ils ont formul 0 78 requ te par minute maximum 1 59 minimum 0 29 Gr ce la chronologie d actions nous pouvons tracer les d marches possibles en RIW des participants dans la t che 2 voir la figure 1 des pag
156. at produit Johnson ef al 2003 Les m triques utilis es pour valuer ces pratiques sont bas es sur des indicateurs de bas niveau qui d crivent l effort investi dans le programme la taille du programme ainsi que ses d fauts L effort peut tre valu par le temps pass sur chaque fichier coder ou naviguer L approche prescriptive de PSP peut tre mise en contraste avec diverses approches descriptives particuli rement lors de l observation de programmeurs novices Jadud 2005 montre que la persistance d erreurs de compilation entre deux instance de compilation ainsi que la pr sence r p t e d erreurs de compilation identiques est positivement corr l e avec l chec Rodrigo et al 2009 ajoutent ces mesures des facteurs affectifs et sociaux tels que l ennui la confusion et la discussion au sujet de l IDE mais non en rapport avec la t che accomplir Fenwick et al 2009 confirment les r sultats de Jadud et indiquent que le travail en sessions courtes et multiples est aussi b n fique la note finale Ils ajoutent que le temps pass sur une t che n est pas corr l avec la note les tudiants peuvent passer peu de temps par ennui ou par facilit et beaucoup de temps par perfectionnisme ou par la faute d checs successifs Ils notent aussi que les l ves surestiment la fois leur fr quence de compilation la qualit des tests auxquels leur code a t soumis et le bon d
157. ation d un visiocasque et d un data glove comme interactions avec l univers virtuel source Wikipedia commons La m me situation est possible dans un univers de r alit augment e Cette fois ci l apprenant se trouve dans une usine r elle avec de vraies machines et peut en plus de gants porter des lunettes ou un casque lui donnant les indications utiles son intervention en surimpression du r el de fa on contextuelle et juste temps Ces mises en situations concr tes de r alit mixte int gr es dans un serious game d passent les limites des jeux actuels en prenant en compte de nouveaux paradigmes d interaction L apprentissage de gestes techniques est imaginable et certains concepts peuvent tre plus facilement abord s voire peut tre mieux retenus lorsqu ils sont associ s des gestes r alis s Approche A partir d un tat de l art sur les techniques de r alit mixte d j existantes nous adoptons une d marche de conception it rative et participative Elle inclut des phases de recueil des besoins de propositions de sc narios incluant la r alit mixte et d exp rimentations l aide de tests utilisateurs Les utilisateurs sollicit s sont des enseignants et des l ves de I INSA Une derni re tape de tests utilisateurs permettra de d terminer les apports de la r alit mixte aux serious games que ce soit du point de vue subjectif de l utilisateur ou par une mesure obje
158. ation universitaire le contexte temporel peut tre moins pr cis les utilisateurs tudiants pouvant utiliser le dispositif au gr de leurs activit s courantes Par exemple Ogata et Yano 2003 ne font pas d hypoth ses sur le moment o les tudiants utiliseront le dispositif Le contexte spatio temporel tel que nous l avons d crit apparait donc soit comme une contrainte de conception soit comme d termin par un compromis entre les activit s de l utilisateur et les activit s r serv es l apprentissage Par ailleurs le contexte spatio temporel est toujours utilis en relation troite avec l activit de l apprenant Ces informations ne sont donc pas utiles en elles m mes mais permettent d acc der des donn es qui font sens pour l apprenant Le m tamod le du contexte spatio temporel devra comporter la possibilit de d finir des zones et des moments d int r t en relation avec les activit s de l apprenant On peut noter que dans la perspective d un apprentissage authentique la prise en compte du contexte spatio temporel semble in vitable Relier l activit et les probl mes rencontr s des endroits et des p riodes existantes va favoriser pour l apprenant la construction d une vision personnelle de la situation qui lui sera utile La contextualisation des probl mes propos e par Caron ef al 2008 en est un bon exemple L Activit Pour d crire la dimension de l activit de
159. ations d apprentissage ubiquitaire Pierre Yves Gicquel Laboratoire Heudiasyc UMR 6599 Universit de technologie de Compi gne 60205 Compi gne France Pierre yves gicquel hds utc fr R sum L apprentissage ubiquitaire est devenu un domaine de recherche actif en EIAH ces derni res ann es En s appuyant sur quelques travaux dans ce domaine cet article propose travers quatre axes d analyse de recenser les l ments prendre en compte pour la conception de situations d apprentissage utilisant des dispositifs ubiquitaires Cette analyse se situe dans une perspective d Ing nierie Dirig e par les Mod les IDM les l ments du contexte que nous d crivons devant terme composer un m tamod le de situations d apprentissage ubiquitaire Introduction Les dispositifs informatiques pervasifs mobiles ou ubiquitaires suscitent l int r t croissant des concepteurs d EIAH Ces outils permettent en effet de modifier profond ment la situation d apprentissage en int grant le processus d apprentissage la vie courante personnelle ou professionnelle de l utilisateur En se r f rant Lyytinen et Yoo 2002 on constate que cette int gration du processus d apprentissage se fait essentiellement dans deux directions permettre aux utilisateurs d utiliser ces outils sans contrainte de localisation mobilit et d tecter par ces dispositifs le contexte d utilisation caract re pervasif
160. aux apprenants en pr cisant le contexte dans lequel ceux ci se trouvent les r les de tous les participants les actions accomplir sur les ressources etc Pernin et Lejeune 2004 Les outils permettant de d finir un sc nario ne permettent cependant pas de cr er des ressources Ils permettent d associer des ressources existantes qui sont soit contenues dans l application sur laquelle le sc nario sera mis en uvre soit cr es manuellement par l enseignant soit cr es en utilisant une application sp cifique L adaptation l enseignant concerne donc uniquement l utilisation des ressources Enfin certains logiciels p dagogiques poss dent une partie sp cifique permettant l enseignant de param trer l environnement propos l apprenant contenu p dagogique et ou interface Duclosson et al 2005 Murray 2003 Le probl me de cette approche est que peu de logiciels poss dent une telle interface de personnalisation De plus ces parties r serv es l enseignant sont diff rentes d un logiciel l autre Ainsi un enseignant voulant utiliser plusieurs syst mes devra en ma triser les diff rents outils de param trage Quelle que soit l approche retenue l h t rog n it des syst mes propos s constitue en elle m me une limite du point de vue de l enseignant En effet pour adapter des activit s de diverses provenances issues de g n rateurs d exercices d crites dans des sc n
161. avers cette s quence synchronis e avec les donn es SN nous avons diff renci deux types de regard Au premier regard l l ve sollicite l aide de l enseignante alors qu il essaie sans succ s de prononcer le mot lait Au deuxi me il demande une validation ou l autorisation de cliquer sur l image geste qu il effectue aussit t apr s Discussion Les regards pr sents dans les exemples choisis ont trois significations 1 surveiller M pour d tourner sa demande tableau 4 ce n est donc pas un signe d appel communication 2 demande d aide tableau 5 3 demande de validation tableau 5 On reconna t le premier ce qu il n est pas suivi d une action de M vers E le second au fait que E stoppe son action jusqu ce que M r ponde la demande et le troisi me est toujours suivi d un clic de E Certaines variables peuvent contribuer ces diff rences comme la distance plus ou moins grande de l enseignante le choix du logiciel ou le niveau d autonomie de l l ve Synth se L int r t de combiner deux outils d observation est de prendre en compte un nombre plus grand d indicateurs de communication dans une relation triangulaire enseignant ordinateur enfant En effet la capture d cran nous donne acc s toutes les actions sur le 3mes Rencontres Jeunes Chercheurs en EIAH 121 Ramia Etche Ogeli logiciel et aux verbalisations en temps r el mais ne peut capter le pointage d
162. avers le cycle de vie du sc nario p dagogique Pour cela l approche adopt e dans REDiM est bas e sur IDM Ing nierie Dirig e par les Mod les et DSM Domain Specific Modelling notre sens cette approche permet une grande productivit et qualit en facilitant la g n ration semi automatique du code partir d un mod le sp cifi dans un niveau lev d abstraction Il nous semble que la combinaison entre IDM et DSM repr sente un cadre de conception solide de bonnes pratiques ainsi qu un outillage facilitant l op rationnalisation des mod les adaptables Elle apporte alors des solutions en proposant des m canismes de mod lisation de m tamod lisation de validation et de v rification de la conformit des mod les produits vis vis des m tamod les de d termination de langage m tier DSL pour Domain specific language de transformation de sp cification des contraintes et de prise en compte des plates formes d ex cution etc Cadre th orique En mati re d ing nierie p dagogique la question n est pas celle d laborer un bon ou un mauvais artefact D apr s Simondon 1958 Un bon outil n est pas seulement celui qui est bien fa onn et bien taill Le sens de l objet technique est son fonctionnement Il d finit l objet technique comme le rapport entre le vivant et le milieu naturel L id e est que la conception d un objet technique ne se compl te que dans son usage C
163. ay de d terminer les l ments pertinents de ces situations ainsi que la mani re dont ces l ments taient utilis s Nous proposons donc ici sur la base de quelques articles d crivant des situations d apprentissage ubiquitaire un ensemble d l ments de description de ces nouvelles situations d apprentissage qui nous permettra par la suite de concevoir un m tamod le de ces situations Pour cette tude nous avons consid r six articles d crivant des situations d apprentissage ubiquitaire Devant le nombre de publications tant au niveau fran ais qu international nous avons d op rer une s lection n cessairement arbitraire Nous avons ainsi retenu les articles nous paraissant d crire avec le plus de pr cision les situations Par ailleurs les articles retenus pr sentent une vari t relativement importante 3mes Rencontres Jeunes Chercheurs en EIAH 95 Pierre Yves Gicquel de types d apprentissage puisqu on y retrouve l apprentissage professionnel universitaire et comportemental C est partir de ces articles que nous allons d terminer les l ments de notre m tamod le de la situation Nous d crirons tout d abord le cadre th orique sous jacent aux dispositifs d apprentissage ubiquitaire Cela nous am nera ensuite consid rer une premi re description des situations d apprentissage ubiquitaire Cette tude nous permettra de proposer des axes d analyse de ces situations
164. bilit Les SG se d mocratisent et de nombreuses entreprises venant du jeu vid o ou du e learning commencent d velopper des SG en collaboration troite Nous avons pu constater cette tendance au sein de notre projet LGF o les partenaires ressentaient le besoin de partager leurs composants Pour rendre cette collaboration efficace nous avons d d finir un protocole de communication entre les diff rents serveurs puisque les composants doivent rester chez leurs fournisseurs pour des raisons de droits De plus certains de ces composants ne peuvent s ex cuter qu avec un moteur de jeu interne Au d but de l ex cution du SG le serveur du SG doit donc s abonner par le biais d une architecture REST Fielding 2000 aux v nements propos s par les serveurs fournisseurs des composants int gr s dans le SG Au moment de lancer le composant le serveur du SG fait une requ te http au serveur fournisseur pour qu il ex cute le bon composant et lui envoie les param tres modifier en fonction du profil de l apprenant figure 3 Une fois l ex cution du composant termin ce dernier renvoie ces traces d utilisations son serveur fournisseur qui les envoie son tour au serveur central su SG afin qu il mettre jour le profil apprenant et les donn es stock es dans son propre serveur de donn es 3S Rencontres Jeunes Chercheurs en EIAH 59 Iza Marfisi Schottman tant donn que les composants sont
165. binons deux approches crois es D une part nous effectuons un travail th orique d tude du processus de conception dans le but d identifier puis de mod liser les relations entre les ressorts de jeu mobilis s dans les sc narios LRPG et les apprentissages vis s Cette tude est aliment e par des travaux sur la sc narisation p dagogique Kinshuk et al 2006 Pernin et al 2008 ainsi que par l observation de pratiques de conception p dagogique mises en uvre au sein de la soci t Symetrix D autre part nous d veloppons selon une d marche incr mentale un environnement prototype d assistance qui permettra au concepteur de manipuler le mod le cr Cet environnement appel ScenLRPG vise guider le concepteur tant dans la phase de conception proprement dite que durant la phase de capitalisation indispensable pour alimenter le syst me d assistance avec des composants r utilisables Les deux approches s alimentent mutuellement les retours d exp riences des utilisateurs du prototype permettant d prouver et d affiner notre mod le Un Environnement d Assistance la Conception On peut distinguer deux approches dans la conception de jeux pour la formation la premi re consiste 4 cr er un nouveau jeu int grant des contenus p dagogiques sp cifiques la seconde consiste a enrichir une structure de jeu g n rique l aide de contenus p dagogiques existants ou a cr er Notre approche est hybride elle
166. c l volution des jeux en ligne et la d mocratisation des usages d Internet on constate un regain d int r t pour l utilisation du jeu des fins d apprentissage Prensky 2006 Gee 2007 aujourd hui aussi d sign sous le terme Serious Game C est ainsi que de nombreux secteurs de la formation professionnelle se tournent vers ce type de dispositifs avec comme principal objectif d accro tre la motivation des apprenants Dans ce contexte les soci t s de e learning et services formation des grandes entreprises se trouvent de plus en plus souvent face des demandes de conception de formations sur mesure utilisant le jeu Notre probl matique de recherche se fonde sur des verrous identifi s travers l tude de l tat de l art du domaine des interviews d ing nieurs p dagogiques au sein de services de formation ainsi qu un recueil de besoins au sein de la soci t Symetrix sp cialis e dans l ing nierie p dagogique multim dia et partenaire de cette th se CIFRE Le principal verrou identifi est l absence de m thodologie et d outils adapt s pour soutenir le processus de conception de formations utilisant le jeu D une part de tels outils permettraient d am liorer la confiance du concepteur dans l ad quation du dispositif con u avec les sp cifications du projet d autre part ils optimiseraient les co ts et temps de conception aspect essentiel pour les soci t s de e learning Dan
167. c a d tect quelque chose cas o les vecteurs sont de la forme 0 0 0 a az 0 Notre population statistique passe ainsi de 19901 18306 vecteurs Les r sultats obtenus sont repr sent s dans la figure 4 80 00 70 00 60 00 50 00 40 00 30 00 20 00 10 00 0 00 Convergence Convergence Divergence totale Partielle FIG 4 Etude des accords entre experts humains Nous remarquons que les enseignants sont majoritairement d accord entre eux Cependant les r sultats obtenus montrent qu il existe des cas de d saccord entre enseignants au niveau du diagnostic Ainsi nous allons regarder s il existe un lien entre la cat gorie d accord et la cat gorie des l ments d tect s connaissance comp tence erreur Les r sultats de cette tude se trouvent dans le tableau 1 Sur la derni re ligne nous indiquons entre parenth ses le nombre de vecteurs V_DegreCroyance_Humain associ chaque cat gorie d accord Convergence Totale Convergence partielle Divergence Connaissance Comp tence Erreur TOTAL TAB 1 Etude des accords selon la cat gorie de d tection Les cas de non convergence totale se retrouvent majoritairement dans les erreurs puis les connaissances et les comp tences On remarque que l on a relativement peu de cas de divergence 9 65 mais il est int ressant de noter l existence de cette cat gorie qui r v le que pour un m me apprenant des dia
168. cas exceptionnel d un homme qui a travaill 6 minutes 16 heures le jour de No l On constate que le travail en autoformation peut tre rythm selon le genre Diff rences dans les d clarations selon les aspects cognitifs et affectifs Nous avons pu constater des diff rences selon le genre la fois dans les supports et dans la fa on de travailler Jusqu maintenant l analyse se porte sur des ph nom nes ext rieurs comme la quantit d exercices ou l horaire mais laisse de c t des ph nom nes int rieurs qui peuvent modifier le travail ou la performance Nous avons donc distribu un questionnaire lors de l examen de fin de semestre aupr s de 70 tudiants es en Master de pharmacie L objectif des enseignantes ayant r dig le sujet d examen tait de reproduire une conference scientifique authentique avec prise de notes par les tudiants es suivi de la r daction d une synth se Les images anim es du document vid o de 20 minutes pr sentaient une chercheuse et des dispositifs authentiques Afin de r duire les difficult s li es la contiguit le sujet d examen comportait uniquement les consignes sans questions secondaires voir Hamon 2007 Erhel et Jamet 2006 Le questionnaire a permis de prendre en compte des facteurs affectifs tels que la perception de difficult Est ce que les images PowerPoint vous ont aid comprendre la pr sentation ou Est ce que la vid o vo
169. ce INRP et LEPS Lyon 1 Lucile Vadcard LSE Universit Grenoble 2 Emmanuelle Villiot Leclerq IUFM Grenoble 1 TECFA Gen ve Jacques Wallet CIVIIC Universit Rouen Am lie Cordier LIRIS Universit Lyon 1 Nathalie Guin LIRIS Universit Lyon 1 St phanie Jean Daubias LIRIS Universit Lyon 1 Sylvie Oudot LIRIS CNRS Pr sidente Marie Lefevre LIRIS Universit Lyon 1 Organisation Les troisi mes Rencontres Jeunes Chercheurs en EIAH RJC EIAH 2010 organis es l Universit Lyon 1 les 6 et 7 mai 2010 succ dent aux rencontres de 2008 Lille Tous les deux ans cette conf rence francophone parrain e par l ATIEF Association des Technologies de l Information pour l ducation et la Formation offre aux jeunes chercheurs travaillant dans les diff rentes disciplines concern es par le champ des EIAH une occasion privil gi e de pr senter leurs travaux et d changer entre eux et avec des chercheurs confirm s sur toutes les th matiques des ElAH Photo de couverture Quai Tilsit Lyon par Mauricio Meurer
170. ciences les math matiques et les sports S appuyant sur une s rie d exp riences aupr s de la communaut noire universitaire Steele et Aronson 1995 ont constat que le ph nom ne de menace du st r otype o la peur de se conformer un st r otype n gatif qui caract rise leur groupe social les noirs sont moins intelligents cr e une pression qui d range leur concentration et entrave leur performance dans les t ches susceptibles de faire appel l intelligence Steele et Aronson 1995 Depuis de nombreuses tudes confirment cette hypoth se Chalabaev et al 2008 D sert et al 2002 Schmader et al 2008 Steele 1997 Williams 2006 Selon D sert 2004 33 De l ensemble des tudes men es dans ce domaine il ressort que chaque fois que l identit sociale ethnique de genre d une personne devient saillante dans une situation donn e o que des x r putations n gatives li es cette identit sont mises l preuve cela diminue les chances de r ussite de la personne Une exploration du contenu de nos supports ducatifs devient alors essentielle Il est pertinent d analyser les images d tres humains int gr es dans les logiciels de langues Ces images viennent pour une grande partie de pays anglophones Elles v hiculent des faits culturels notamment en ce qui concerne les st r otypes Fondement Th orique Le cadre th orique de ce projet de recherche est bas
171. coupage de leur code en modules A ces indicateurs nous pouvons ajouter quelques indicateurs hypoth tiques issus de notre propre exp rience d enseignement respect de conventions de nommage utilisation des capacit s de PIDE navigation indentation automatique refactoring suggestions de corrections d erreurs de compilation et fr quence d ex cution la compilation tant automatique sous Eclipse 3S Rencontres Jeunes Chercheurs en EIAH 155 Gregory Dyke Indicateurs du Mode de Collaboration Dans un d sir de ne tracer que ce qui est ais ment collectable c est dire les v nements dans PIDE Eclipse nous passons n cessairement c t de toute l interaction langagi re et gestuelle N ssli et al 2009 ont cependant montr des r sultats encourageants sur l analyse de collaboration bas e sur des donn es de bas niveau oculom trie et pr sence absence de parole Ces r sultats sugg rent qu il pourrait tre b n fique de tracer l activit de la souris indicatrice de d ictiques ainsi que celles du clavier et des changements d onglet i e changement de fichier qui pourraient tre indicatrices de potentielles pertes d alignement et d accord Baker 2002 au sein du bin me bien qu il ne soit pas possible d identifier l auteur de ces op rations Collecte et Analyse de Donn es Plusieurs outils ont t propos s pour r colter des donn es sur l activit de progra
172. cran ou les regards que nous notons gr ce au stylo Nous pouvons ainsi mieux comprendre les significations des interactions Certains enseignants ont pu mieux prendre conscience des actions des l ves autistes partir de l analyse des enregistrements Nous constatons que l ordinateur repr sente un m diateur en effet l l ve l utilise pour envoyer des messages dirig s vers l enseignant dont il attend une r ponse Parfois son envoi prend une forme indirecte tableau 3 d autres fois il fait une demande directe pour obtenir une aide ou une validation de sa r ponse tableau 5 De plus il accepte l intervention de l enseignant il n envisage pas de r sistance nous sugg rons que la pr sence de l ordinateur facilite cet acc s il accepte mieux que l enseignant le guide donne certaines explications intervienne dans son travail selon l affirmation de cinq enseignants Perspectives Nous allons largir notre analyse pour aborder le travail de tous les enfants observ s tout en continuant observer dans d autres lieux Nous voulons aussi filmer la s ance afin d obtenir des informations sur certains l ments d interaction le regard de l enseignant et vers les camarades que nous n avons pas pu observer Ces nouvelles observations auront pour but la validation des crit res d observations n cessaires pour que ces observations soient comparables entre elles et dans un deuxi me temps comparables au
173. ct ristiques avec lesquels nous sommes n s es 2002 202 Le terme genre souligne que la division sexu e du travail est une construction sociale et non pas le fruit d un d terminisme biologique Baurens para tre Bourdieu 1998 Fraisse 1984 Mercader 2005 Perrot 1998 Perry 2003 Varikas 2003 L analyse selon le genre gender mainstreaming a t d finie par le Conseil de l Europe comme tant l organisation l am lioration le d veloppement et l valuation des directives afin d assurer qu une perspective d galit entre les hommes et les femmes soit incorpor e tous les niveaux et toutes les tapes des politiques par ceux et celles qui sont habituellement impliqu s es dans les d cisions politiques L expression gender mainstreaming a une connotation dynamique en anglais alors que la volont d agir positivement ne se retrouve pas dans la d finition de l expression fran aise l analyse selon le genre En France on voque plus facilement l importance de la parit ou l quilibre hommes femmes comme dans le r cent d cret du Journal Officiel 2009 modifiant les dispositions statutaires communes applicables aux enseignants chercheurs des distinctions peuvent tre faites entre les femmes et les hommes en vue de la d signation par les autorit s qui en sont charg es des membres des jurys et des comit s de s lection ou instances constitu es pour le recrutement l
174. ction Le partage des donn es et des analyses permet la r plication la v rification et la contradiction de r sultats de recherche d j tablis Un corpus est d fini comme suit Ensemble de donn es et de traces issues d une exp rimentation enrichies par des informations techniques humaines p dagogiques et scientifiques permettant leur analyse en contexte Noras et al 2007 En effet pour que les donn es d exp rimentations produites par une quipe de recherche donn e puissent faire sens pour un chercheur n ayant pas assist aux exp rimentations il est indispensable pour lui d avoir une id e sur le contexte dans lequel ces exp rimentations ont eu lieu pour pouvoir construire ses analyses suivant son domaine d expertise La structure du corpus MULCE se pr sente comme suit Le noyau du corpus est appel instanciation et repr sente l objet d tude L instanciation contient l ensemble des traces d interaction ainsi que les productions des participants Le composant contexte de l exp rimentation est form du sc nario p dagogique et du protocole de recherche ce dernier tant un l ment facultatif La partie du contexte donnant les noms des outils logiciels utilis s ainsi que des informations sur les participants se trouve dans la partie instanciation Le composant licence indique les droits du responsable ainsi que des utilisateurs du corpus et nonce les r gles de l thique et
175. ctive de son efficacit sur l acquisition des connaissances Conclusion La r alit mixte est un v ritable atout exploiter dans le domaine des serious games Au cours de ce projet la r alisation d un d monstrateur et son valuation par rapport des m thodes actuelles d apprentissages nous permettra de pr ciser les apports des serious games int grant la r alit mixte Les r sultats de nos travaux et du projet ont pour vocation de faire voluer les mod les des environnements de conception g n riques des serious games en y int grant cette technologie R f rences Akkouche I Pr v t P 1998 Conception et g n ration de jeux d entreprise Colloque Nouvelles Technologies de l Information et de la Communication NTICF 98 Rouen France Broug re G 2005 Jouer apprendre Paris Economica Anthropos 176 p Fenouillet F Kaplan J Yennek N 2009 Serious Games et motivation Actes de l Atelier Jeux serieux conceptions et usages Conf rence Environnements Informatiques pour l Apprentissage Humain EIAH 23 juin 2009 Le Mans 41 52 MEN 2008 Minist re de l ducation Nationale Le socle commun de connaissances et de comp tences http www education gouv fr cid2770 le socle commun de connaissances et decompetences html Derni re visite le 21 janvier 2010 Milgram P Kishino F 1994 A taxonomy of mixed reality visual displays IEICE Transactions on Information S
176. ctives peuvent tre mod lis es diff rent niveau de granularit du plus global graphes conceptuels au plus d taill code De plus cet diteur devra fournir des outils diff rents en fonction du r le des auteurs cogniticien expert p dagogique codeur Il serait probablement int ressant de visualiser ces l ments en m me temps en multi crans et de synchroniser leurs affichages en fonction des actions et des mises jour Outil de recherche de composant Les auteurs peuvent avoir besoin de consulter les composants dans la base diff rents moments Ils peuvent bien s r reprendre certains composants au moment de la production mais ils peuvent aussi les consulter avant lors de la conception pour leur donner des id es de sc narios ou d interactivit s ludiques Dans les deux cas nous allons concevoir un outil de recherche sp cifique leurs besoins Nous avons choisi de partir des m tadonn es LOM LOM 2002 largement utilis es comme base pour d crire les modules de e learning et d y ajouter les extensions suivantes relatives aux SG Nature des composants p dagogique fonctionnel ou outil voir figure 2 Degr s de param trage possibles aucun g n rique adaptation de la pr sentation l ments de suivi fournis par le composant taux de compl tion exactitude des r ponses ou le temps mis r pondre Il s agit d informations pouvant tre remont es par le composant pou
177. ctivit s p dagogiques L h t rog n it des situations p dagogiques s explique notamment par la diversit des types d acteurs et des r les que ceux ci peuvent avoir sur l activit d apprentissage Ainsi l acteur enseignant peut avoir un r le de prescripteur de l activit et ou de tuteur tandis que l acteur apprenant intervient dans des situations d apprentissage individuelles collectives ou encore collaboratives L h t rog n it des activit s p dagogiques r sulte tout d abord du support sur lesquelles elles sont propos es activit faire sur une feuille papier ou au sein d un EIAH De plus les logiciels p dagogiques sont divers de par le type d environnement propos mais galement de par le contenu de cet environnement Bruillard 1997 Wenger 1987 Ainsi les logiciels p dagogiques peuvent prendre la forme d un tuteur intelligent d un micromonde d un simulateur d un hypertexte etc chacune de ces formes sont associ s un mode d utilisation parcours libre ou guid un contenu s quence d activit s pr d finies ensemble d objets pouvant tre manipul s mais galement des buts p dagogiques vari s acquisition d une m thode d une connaissance d une pratique Cette double h t rog n it exige que l enseignant puisse d une part construire le type de profils qui lui permettra de g rer la situation p dagogique des apprenants et d aut
178. d apprenants distants Nous nous int ressons aux outils de suivi dont l interface est g n r e en fonction de la situation d apprentissage suivie Dans cet article nous tudions le probl me de l effet de l ajustement en temps r el de la situation d apprentissage sur l interface de suivi Nous nous appuyons sur le mod le de r f rence en visualisation d informations adapt par Hurter et Conversy 07 Ce mod le est utilis dans le domaine de la visualisation d informations afin de structurer les applications de visualisation de donn es Notre cas d tude est FORMID Suivi un logiciel de suivi dont l interface est g n r e dynamiquement partir de la structure de chaque s ance d apprentissage Nous montrons que le mod le de r f rence ne permet pas de prendre en compte les cas o l activit prescrite aux apprenants subit des modifications en cours de s ance Sur cette base nous proposons un mod le de r f rence adapt qui puisse r pondre notre probl matique Introduction Aujourd hui de nombreux travaux s int ressent aux apprentissages m diatis s distance Dans ce type d apprentissage les interfaces informatiques de suivi sont un des outils essentiels la disposition des enseignants tuteurs pour contr ler le travail de leurs l ves Mazza et Dimitrova 03 Mazza et Dimitrova 05 Despres et Leroux 03 L activit que les apprenants doivent mener bien lors d une s a
179. d o le questionnaire la feuille de r ponses et les notes d observation par chercheur ont t collect s Nous avons aussi collect les programmes informatiques scolaires le classement des lyc es participants des r sultats scolaires la discipline principale et des exploits individuels des participants Traitement des donn es La synchronisation et la combinaison entre le fichier vid o avec le son et l image gr ce une webcam et des informations d observation d entretien nous permettent de mieux revoir presque toutes les actions d taill es du participant pendant sa RIW dans leur contexte d ex cution Le logiciel Activity Lens nous a permis de r cup rer et d coder les dur es les actions les requ tes selon le processus de recherche Dans l analyse de fichiers vid o 19 actions significatives de RIW ont t r pertori es Ces actions sont group es en cinq groupes principaux e lecture relecture de t che formation reformation de requ tes consultation de pages des r sultats consultation de pages web notation v rification des r ponses Les transcriptions d entretiens les r ponses au questionnaire les r sultats trouv s dans la recherche sont mis en perspective avec les actions effectu es par chacun des participants Premiers r sultats Les participants ont tous utilis Google pour leur recherche Tr s peu de participants ont utilis d autres moteurs Pour la t che 2 18 p
180. d investigation pour d crire et comprendre le r el et qui repose sur le questionnement D marche scientifique 2009 place l exp rimentation en son c ur dont l impact sur la d stabilisation des l ments d tect s est reconnue Carlton 1999 Le mod le de cette d marche comporte les 5 tapes suivantes 1 Probl me de d part Presentation d un probl me ne poss dant pas de r ponse triviale 2 Emission d hypoth ses l apprenant doit formuler des hypoth ses afin d expliquer le probl me de d part 3 Exp rimentation et r sultat il exp rimente afin de tester ses hypoth ses et d bouche sur des r sultats 4 Interpr tation il interpr te les r sultats au regard de ses hypoth ses et du probl me de d part 5 Conclusion il conclut sur le probl me de d part 1 TPElec http tpelec imag fr 3S Rencontres Jeunes Chercheurs en EIAH 63 Sandra Michelet Pr sentation de DiagElec Nous pr sentons ici bri vement les particularit s de DiagElec ainsi que le cycle de vie des traces de leur collecte leur prise en compte dans DiagElec Degr de croyance Dans la r alit de l apprentissage il y a de nombreux cas o on ne peut pas dire cet apprenant a ou n a pas tel l ment de connaissance de fa on tranch e On peut supposer que l apprenant poss de l l ment de connaissance cibl e par l apprentissage sans pour autant l affirmer Boohan 1991 M
181. dans le m me esprit qu un syst me de gestion de base de donn es Settouti et al 2009 3 mes Rencontres Jeunes Chercheurs en EIAH 75 Hajer Chebil Ensuite TATIANA Trace Analysis Tool for Interaction ANAlysts Dyke et al 2007 Dyke 2009 un exemple d impl mentation partielle du SBT est expos Ce travail consiste en la proposition et l impl mentation d un mod le pour la gestion et la capitalisation d analyses de traces d activit en interaction collaborative Il permet de construire des analyses sous forme d objets li s aux traces mais distincts de celles ci Un autre exemple d impl mentation du SBT qui est le syst me CARTE Collection activities Analysis and Regulation based on Traces Enriched est ensuite pr sent CARTE consiste en une station d observation ayant pour objectif la collecte et l exploitation des traces d activit pour l am lioration des interactions entre un apprenant et un outil d apprentissage collaboratif ou entre outils collaboratifs Courtin 2008 Afin d valuer un EIAH les analystes et chercheurs ont besoin d analyser les donn es d interactions enregistr es au cours d exp rimentations r alis es au sein de cet EIAH En effet chaque quipe pour valuer son syst me effectue des exp rimentations tr s co teuses en terme de temps Et dans la majorit des cas ces quipes ne souhaitent pas partager ce travail qui leur a beaucoup co t
182. dans un Serious Game Pour suivre l apprenant il convient de tracer ses actions Nous d finissons la trace comme une s quence temporelle d observ s Settouti et al 2006 L analyse des traces a fait l objet de nombreuses recherches dans le domaine des EIAH Pham Thi Ngoc et al 2009 Cram et al 2007 Les donn es issues du tracking peuvent tre utiles pour diff rentes raisons Tout d abord le tracking est principalement utilis pour valuer la performance de l apprenant Gee 2003 Mais au lieu de n valuer que le jeu il est souhaitable d utiliser ces donn es pour aider la progression dans le jeu en donnant par exemple des indices au joueur Shute et al 2009 L apprenant a aussi besoin de comprendre pourquoi il elle a perdu quelles sont ses erreurs et comment y rem dier Ces indicateurs sont galement utiles pour le tuteur De plus ces l ments peuvent galement aider le concepteur du jeu l am liorer en mettant en vidence des erreurs de conceptions comme c est d j le cas pour les EIAH Marty et al 2004 Enfin le tracking peut aussi contribuer une adaptation dynamique des parcours possibles en fonction des actions de jeu de l apprenant Conlan et al 2009 Analyse et Caract risation des Actions dans un Serious Game Dans un premier temps nous analyserons quelques serious games afin de voir comment sont associ es les actions de jeu aux objectifs p dagogiques
183. de consulter les v nements en rap port avec l ex cution en cours observables d clench s messages re us efc Elle autorise en outre le forma teur agir dans l environnement par le biais des actions p dagogiques La figure 8 pr sente une capture de cette interface Le mod le POSEIDON a t appliqu la cr ation de sc narios p dagogiques pour diff rentes applications Un premier exemple est un EVAH qui a pour contexte l apprentissage de la physique en premier cycle universitaire Beney et Guinard 2004 Un second EVAH ayant t utilis avec POSEIDON est S cuR Vi Querrec et al 2003 un environnement de formation des sapeurs pompiers aux proc dures de lutte contre les feux d hydrocarbures sur des sites risques Suivi d exercice POSEIDON Apprenti chef de colonne Apprenant Formateur pompier Staff Mon Compte Sc nario P dagogique Suivi du sc nario Gestion du sc nario e Suivi du sc nario global Suivi des apprenants e Nicolas Marion Presentation du site Suivi des activit s e Elaboration Solutions e Simulation Solutions e Presentation des solutions Elaboration Solutions Activit s r aliser e Presentation du site Activit s en cours Ev nements Simulation Solutions Messagerie Actions p dagogiques Presentation des solutions Figure 8 Interface formateur de suivi des apprenants Bilan discussion et perspectives
184. de de cat gories souvent tr s sp cifiques et peu efficaces pour classifier les jeux Le travail de Caillois se distingue ainsi des autres il a pour objectif de proposer un principe de classement qui permette de r partir tous les jeux en un petit nombre de cat gories bien d finies Caillois 1958 En s int ressant plus pr cis ment au caract re fondamental du jeu qui pousse le joueur s y adonner et le positionne dans une attitude de jeu sp cifique Caillois d gage quatre cat gories a Ag n pour les jeux bas s sur la comp tition ex le football b Alea pour ceux dans lesquels le joueur est soumis au hasard ex les jeux de d s c Mimicry pour les jeux dans lesquels les joueurs endossent des r les ex jouer la poup e d Ilinx pour les jeux reposant sur la poursuite du vertige ex la balan oire D apr s les d finitions pr sent es pr c demment les crit res identifi s par Caillois 1958 apparaissent comme des ressorts de jeu ag n alea mimicry et ilinx sont en effet d finis comme des l ments qui poussent le joueur s engager dans un jeu Autres Ressorts de Motivation Les r centes volutions technologiques jeux vid o en ligne massivement multi joueurs univers virtuels ne remettent pas en cause les quatre cat gories d finies par Caillois pour d crire les jeux cette classification s av re robuste et alimentera notre travail Toutefois notre objet d tu
185. de formation et d apprentissage Presse se l cole polytechnique de Montr al eds S Pierre pp 1 Sawyer B 2004 Serious Games Market Size Serious Games initiative Forum 01 04 2004 60 Lyon 6 et 7 mai 2010 Session 3 Diagnostics et Traces DiagElec Diagnostic Informatique en Electricit Sandra Michelet Laboratoire d Informatique de Grenoble 961 rue de la Houille Blanche 38402 Grenoble France Sandra Michelet imag fr R sum Le travail de recherche pr sent dans ce papier rel ve des syst mes informatiques de diagnostic int gr des environnements mettant 4 disposition divers outils informatiques l apprenant pour mener bien l activit propos e Il traite particuli rement de la d tection automatique de connaissances comp tences et erreurs chez l apprenant lorsque celui ci est plac dans une situation de r solution de probl mes en lectricit Afin d valuer notre outil DiagElec nous avons men deux exp rimentations la premi re en milieu scolaire et la seconde avec des enseignants Cet article pr sente les caract ristiques de DiagElec ainsi que son valuation en utilisant des comparaisons selon la m thode dite gold standard o les diagnostics de r f rence sont ceux issus des experts humains Introduction Nous nous int ressons tablir une cartographie des connaissances comp tences et erreurs mises en place par l apprenant lorsque celui ci r sout des p
186. de lier des articles aux donn es publi es pouvant contenir plus de description concernant les exp rimentations stock es Les analyses offertes par PSLC s appuient en grande partie sur la notion de composant de connaissance KC Knowledge Component Cette notion repr sente toute connaissance pouvant tre acquise par un apprenant et qui lui sera utile pour la r solution d un exercice Synth se Les syst mes pr sent s dans cet article nous serviront de base pour notre travail En effet le SBT donne un cadre th orique pour la mod lisation et l exploitation de la trace celle ci tant plac e dans le c ur du mod le de corpus que nous proposerons Les syst mes TATIANA et CARTE ont des formats de traces compatibles mais n associent pas aux traces des m tadonn es sur le contexte de l exp rimentation permettant un chercheur n ayant pas particip l exp rimentation de comprendre le contenu du corpus construit L utilisation d outils d analyse comme TATIANA TrAVis ou autres nous permet de d finir un objet analyse int grer au corpus en plus des traces et qui permettra de garder une trace des analyses faites sur le corpus Ensuite le syst me MULCE propose une approche tr s int ressante qui propose plusieurs formats standards pour la description de la s mantique du contenu du corpus Nous comptons nous appuyer sur le mod le de MULCE pour proposer une structure de corpus multidisciplinaire
187. de mod liser des indicateurs et leurs formules de calcul ensemble R f rences Avouris N Komis V Fiotakis G Margaritis M et Voyiatzaki E 2005 Logging of fingertip actions is not enough for analysis of learning activities Workshop AIED 2005 Amsterdam Pays bas Bousbia N Labat J M Rebai I et Balla A 2009 Indicators for Deducting the Learners Learning Styles Case of the Navigation Typology Indicator Proceedings of The 9th IEEE International Conference on Advanced Learning Technologies ICALT 2009 Riga Latvia Bratitsis T et Dimitracopoulou A 2005 Data Recording and Usage Interaction Analysis in Asynchronous Discussions The D LA S System Proceedings of the AIED 05 Workshop on Usage Analysis in Learning Systems Amsterdam Choquet C 2007 Ing nierie et r ing nierie des EIAH l approche REDiM HDR Universit du Maine Choquet C et Iksal S 2007 Modeling Tracks for the Model Driven Reengineering of a TEL System The Journal of Interactive Learning Research JILR 18 2 161 184 Delozanne E 2005 D32 6 1 the structured set of design patterns In Kaleidoscope Deliverables Dimitrakopoulou A et contributeurs 2004 D26 1 1 State of the art on Interaction and Collaboration Analysis In Kaleidoscope Deliverables Djouad T Mille A Reffay C et Benmohamed M 2009 Ing nierie des indicateurs d activit s a partir de traces mod lis es pour un Environnement I
188. de poss de une sp cificit non tudi e par Caillois nous nous int ressons aux jeux utilis s pour la formation et ceci dans un contexte technologique o les relations sociales prennent de nouvelles formes Notre travail nous am ne donc une sp cialisation de la classification de Caillois pour Pappliquer notre objet d tude et fait par ailleurs appara tre des ressorts de motivation suppl mentaires L tude de la litt rature portant sur la motivation et l engagement par le jeu notamment en lien avec la formation nous a en effet permis d identifier des ressorts de motivation essentiels 4 consid rer dans un contexte de formation Etre Reconnu Dans les travaux de Malone et Lepper 1987 sur les l ments de motivation caract ristiques des jeux la reconnaissance est mise en vidence comme ressort de motivation I consiste notamment rendre visible aux autres les r sultats des activit s des utilisateurs visibilit du classement des r sultats des productions etc Les m canismes de r troaction notifications du syst me sur les changements valuations commentaires et annotations des pairs sur les actions ou productions des utilisateurs Jo Kim 2009 Charles et al 2009 permettent de mat rialiser cette reconnaissance Il en est de m me des m canismes relatifs au facteur d identit Charles et al 2009 la motivation passe par le fait de confier au joueur un r le clairement d fini et visible p
189. dings of the EuSpRIG 2009 Annual Conference pp 119 132 136 Lyon 6 et 7 mai 2010 Posters Approche Domain Specific Modeling pour l op rationnalisation de sc narios p dagogiques sur des plateformes de formation distance Aymen Abedmouleh LIUM Laboratoire d Informatique de l Universit du Maine IUT de Laval 52 Rue des drs Calmette et Gu rin 53020 Laval Cedex 9 France aymen abedmouleh univ lemans fr R sum Cet article aborde une r ing nierie des EIAH centr e sur l op rationnalisation de sc narios p dagogiques sur les plateformes de formation distance Cette activit est encore trop souvent r alis e de mani re manuelle par l intervention d un ing nieur p dagogique ou d un expert de la plateforme Notre objectif est de faciliter l activit de conception et d op rationnalisation des sc narios Notre d marche se base sur l approche DSM Domain Specific Modeling pour la sp cification d un langage de mod lisation p dagogique d di MOODLE et pour la g n ration d un diteur graphique de sc narios op rationnalisables Mots cl s EIAH Op rationnalisation Plateformes de Formation A Distance Sc nario P dagogique DSM Introduction et contexte de recherche Le travail pr sent dans cet article s inscrit dans le cadre des travaux de recherche du laboratoire LIUM Laboratoire Informatique de l Universit du Maine Il consiste tudier en quoi et
190. distance entre la situation r elle et celle d apprentissage L utilisation conjointe de r alit mixte et des Serious Games permet une perception et une manipulation augment e qui pourrait amener un meilleur apprentissage Nous pr senterons les formalismes les d marches et plate forme d j cr s par diff rents membres du laboratoire pouvant permettre d associer Serious Game et r alit mixte Contexte du Projet Dans le cadre du volet num rique du plan de relance en r ponse l appel projets visant d velopper des outils professionnels innovants recourant des techniques issues du jeu vid o le projet SEGAREM a vu le jour gr ce l tude conjointe du SErious Game et de la REalit Mixte Le projet est financ par le minist re de l conomie de l industrie et de l emploi pour la p riode scolaire 2009 2013 Probl matique Les Serious Games sont des logiciels ludiques vis e p dagogique Cependant l apprentissage par le Serious Game semble souffrir de la distance entre la situation d apprentissage et la situation r elle Pour pallier du moins en partie ce probl me l utilisation de techniques d interaction issues de la r alit mixte est envisag e La r alit mixte d signe des syst mes interactifs associant objets r els et donn es informatiques de mani re coh rente Chalon 04 Deux aspects sont tudi s augmentation des acteurs par des dispositifs port s et
191. dre cela en compte Pour rem dier ce probl me nous proposons de l adapter voir extrait 3 mes Rencontres Jeunes Chercheurs en EIAH 111 Nicolas Vezian figure 5 afin qu il permette de mod liser des applications de visualisation dont la table structur e des donn es visualiser peut voluer en temps r el Dans notre proposition nous distinguons deux types de donn es e celles que l on souhaite visualiser dans notre cas les traces du travail des l ves e celles qui servent donner sens aux donn es visualis es en structurant la lecture que l utilisateur peut en faire dans notre cas la liste des l ves ainsi que les diff rentes versions courantes du sc nario nous les appellerons donn es de structure Nous illustrons la prise en compte de ces deux types de donn es figure 5 par son application sur FORMID Suivi Pour simplifier les explications nous ne pr sentons pas les traitements relatifs la liste des l ves Dans un second temps nous en proposerons une g n ralisation en Flux de donnees de A Flux de traces l ve modification de sc nario Traces l ves Donn es brutes de sc nario Tables E Tables structur es structur es des donn es des traces l ve de sc narios Structures Structures visuelles des traces l ve sc narios visuelles des Vues Vues des traces l ve des sc narios A Ordre de mise jour lors d arriv e de traces l ve
192. dre leurs probl mes plus rapidement etc Indicator calculation OX Add an UTL file to the database Choose an indicator Add i AAA PEDALO 1 BadMethodReturnType y Data transformation to UTL Load Calculate Results Indicateur Est ce qu une m me erreur revient souvent ou est ce que l tudiant a assimil qu il s agissait d un Etudiant KAMONDA GUEI Session Expe 2009 Java TP1 Groupe A Temps 2010 01 27 11 45 04 Total 5 Class Point Line 10 Error illegal start of expression N Class Point Line 23 Error class interface or enum expected Class Point Line 29 Error class interface or enum expected Class Point Line 35 Error expected Class Point Line 36 Error reached end of file while parsing J I RD AD 1D Indicator PEDALO RD Ajo v gt PEDALO ID w PEDALO 1 Compitaionkate N Figure 6 R sultat interpr table des indicateurs Conclusion Ce papier pr sente une m thode de calcul d indicateurs dans laquelle UTL est employ comme un langage de mod lisation pour structurer des indicateurs et DCLAUTL est utilis pour sp cifier une mani re de calculer des indicateurs partir de donn es brutes et d autres donn es d crites en UTL Nous avons d velopp un interpr teur permettant d ex cuter DCL4UTL Cet interpr teur peut calculer plusieurs types d indicateurs pendant ou apr s une session d apprentissage Il e
193. duction en nous inspirant des m canismes des jeux vid o des mod les du e learning et des m thodes industrielles de production 3 Afin de cr er des SG avec des composants provenant d origines diff rentes nous avons d fini des normes d interop rabilit entre la plateforme centrale du SG et les diff rents serveurs qui fournissent les composants Les m thodes et les outils d velopp s pour chacun de ces axes seront d crits en d tail dans la suite de cet article Pour valider notre travail nous fournirons les outils d velopp s et une base de composants aux auteurs de SG et notamment des groupes d l ves de la fili re G nie Industriel En comparant leur productivit celle des groupes des ann es pr c dentes nous aurons des indications quant aux outils les plus utiles et ceux qui peuvent tre am lior s 1 Capitalisation de composants de ressources et de sc narios types Pour couvrir le besoin de capitalisation des acquis nous avons cr une biblioth que de composants de 56 Lyon 6 et 7 mai 2010 Environnement informatique pour les Serious Games SG Nous avons trouv 3 types de composants qu il serait int ressant de rassembler e Les composants p dagogiques pour lesquels il y a un but ducatif ou ludique Il peut s agir de jeux de r le de QCM de puzzle d interactivit s types de vid o e Les composants fonctionnels qui composent une partie de l interface ou des
194. e Ils ont montr que cette technologie hybride qui maintient la souplesse des cahiers et du papier pour communiquer les id es peut assurer la fluidit n cessaire entre les co quipiers dans des projets de conception Dans l enseignement des math matiques Oviatt Arthur et Cohen 2006 ont compar l utilisation de cette technologie dans la r solution de probl me par des l ves des coll ges avec d autres technologies ordinateur avec clavier tablette graphique avec stylo Les auteurs ont utilis les temps recueillis avec le stylo num rique pour calculer la dur e totale de r solution d un probl me Leurs r sultats montrent que les l ves prennent moins de temps pour r soudre les probl mes avec le stylo num rique qu avec le clavier et la tablette graphique Dans notre tude nous exploitons des temps tr s fins li s chaque criture d une zone d limit e et ex plorons ce que ces temps apportent comme infor mation suppl mentaire sur les r ponses un question naire papier Le temps de latence Des travaux portant sur l analyse des questionnaires d enqu tes par t l phone ont tudi le facteur temps de r ponse appel latence pour comprendre les comportements et les attitudes politiques des r pon dants Bassili et Fletcher 1991 Plus r cemment Grant et al 2000 ont coupl les enqu tes par t l phone une technique informatis e de recueil des temps L analyse de ces temp
195. e PEPIT Pour cet l ve nous avons not trois regards vers l enseignante durant l ex cution de la t che et un geste de l enseignante pointer l cran La figure 4 indique la synchronisation les donn es du stylo num rique pour l enseignant SN M et pour l l ve SN E et leurs r actions annotation Nous avons d sign les actions de l l ve sur une ligne de stylo num rique gauche de la ligne l annotation sa droite Par contre les actions de l enseignante sont indiqu es sur une autre ligne une fl che lie les deux actions M E met curseur lait L RM pte ist re Atl a failt al _ 1 Al laitie ar L A a fait lar lal RM er ait ait TRE Clique image Figure 4 Donnees synchronisees ES Fondation Valee L eleve a tent de prononcer le mot lait tableau 5 il a mis le curseur sur le mot et a commenc lire lait regarder l enseignante qui son tour lui a expliqu que les lettres A I donnent le son ai El ve 3 prononciation de mot lait E L Met curseur sur le mot lait commence prononcer L E regarde M M A plus I a fait quoi un ai pointe l cran E Ai regarde M E latil regarde l cran M quand on met L Ai a fait lai E Lai M lait E lait regarde M E clique sur le mot lait Tableau 5 Enfant prononce le mot lait tr
196. e un op rateur n aura pas les m mes observables attendus qu un chef d exploitation les familles p dagogiques restant les m mes dans les deux cas Durant la simulation les formateurs renseignent les grilles d observables en utilisant 3 types d annotations possibles R R alis gt l observable a t r alis par le stagiaire NR Non r alis gt l observable n a pas t r alis par le stagiaire NO Non Observ gt le formateur n a pu constater la r alisation de l observable par le stagiaire pour des raisons li es soit la qualit et la faisabilit de l observation soit d une perturbation g n r e par un autre stagiaire ou intervenant Certains observables bas s plus sur le comportemental que sur des faits ou des points op ratoires par exemple prise en compte visuelle d une alarme peuvent tre plus difficiles que d autres d tecter et risquent d engendrer un nombre de NO importants 2 2 2 Les sources d observation Le simulateur tant pilot en temps r el par les interactions des stagiaires sur ce dernier afin d intervenir le cas ch ant pour geler l tat du syst me d clencher des pannes ou toute autres actions adapt es au sc nario de formation du moment Au terme de la simulation le journal de bord peut tre conserv sous forme de log permettant de retracer l ensemble de l activit de la session a posteriori Les logs sont cependant
197. e 1 4 et le nombre de formateurs de 1 2 Une session de formation et ou de perfectionnement comporte en r gle g n rale plusieurs phases pouvant varier en fonction des types et des niveaux des stages Phase 1 Accueil briefing des stagiaires pr sentation de la simulation choix au hasard d un sujet et d un r le 30 mn Phase 2 Pr paration d un transitoire 1 heure Les stagiaires pr parent leurs interventions sur le simulateur en fonction des consignes des formateurs Phase 3 R alisation du transitoire 2 heures R alisation de la conduite du transitoire sur le simulateur d ensemble Les stagiaires conduisent l installation selon les objectifs p dagogiques g n raux suivants Conna tre et surveiller l installation Conduire l installation Assurer la continuit de service Travailler en quipe Phase 4 Analyse du transitoire 45 mn Les stagiaires pr sentent l historique du transitoire les carts par rapport l attendu et l tat final de l installation Les formateurs v rifient que les stagiaires ont compris les actions qu ils ont r alis es Phase 5 D pouillement calcul des r sultats 30 mn Les formateurs mettent en commun leurs observations pour pr parer la phase de d briefing Phase 6 D briefing de la s ance de simulation restitution des r sultats 30 mn Les formateurs rendent compte de leurs observations aux stagiaires 2 2 Principes d
198. e Diagram men e l automne 2008 M thode d Appariement ACDC L utilisation d au moins une solution valide d finie par un expert du domaine est incontournable actuellement pour analyser automatiquement le mod le courant construit par l apprenant partir de la comparaison de ces deux mod les les approches classiques Moritz 2008 Baghaei et Mitrovic 2006 fournissent des aides sp cifiques relatives aux erreurs des apprenants un niveau g n ral le recouvrement de plusieurs mod les s apparente un processus d appariement Le diagnostic dans Diagram repose ainsi sur l appariement du mod le labor par l apprenant un mod le de r f rence fourni par l enseignant Mais contrairement aux approches classiques notre m thode num re les diff rences entre les mod les et non pas des erreurs La m thode d appariement ACDC Auxepaules 2009 est automatique et param trable Elle prend en entr e des mod les ici des diagrammes de classes et retourne en sortie un mapping de leurs constituants exprim diff rents niveaux de granularit et une liste de diff rences exprimant leurs carts ACDC est un apparieur hybride qui exploite et combine des crit res multiples et des techniques individuelles d appariement aussi bien syntaxiques bas es sur les cha nes de caract res des noms des l ments et des contraintes de type que structurelles La m thode se focalise la fois sur les l ments e
199. e des d clencheurs d activites cognitives mais aussi langagi res organis es donc comme des d clencheurs de processus qui permettront de r aliser des actes sociaux en interaction de l interlangue une autre 2005 128 L apprentissage n est pas l accumulation de r flexes conditionn s dans un cadre neutre comme la th orie du behaviorisme peut le laisser supposer Au contraire il s agit un acte d clench en fonction des ressources et de l environnement En apprentissage des langues l environnement informatique et la qualit dialogique des nonc s modifient le d roulement de cet acte complexe Les r sultats de la pr sente tude montrent que la notion du genre doit tre prise en compte Les directives nationales et internationales sont fond es sur le principe que la construction du genre se fait dans l enfance et l adolescence Mais l universit devrait tre un lieu de r flexion sur les id es re ues Comme 2008 le conclut Worthman l apprentissage l identit le pouvoir sont toujours une question de discours et donc de comment nous employons une langue et comment nous pr parons nos apprenants es l utiliser La repr sentation des hommes et des femmes reste st r otyp e dans les produits commerciaux destin s l apprentissage de langue et donc ne font que d affirmer des repr sentations n gatives de la production langagi re Pourtant un avertissement sur
200. e informatique fond e sur les mod les de connaissances que nous avons exprim s dans le langage ontologique RDF R f rences Bousbia N Labat J M Rebai I and Balla A 2009 Indicators for Deducting the Learners Learning Styles Case of the Navigation Typology Indicator ICALT 09 Proceedings of the 20 Ninth IEEE International Conference on Advanced Learning Technologies 385 389 Popescu E 2009 Learning Styles and Behavioral Differences in Web Based Learning Setting ICALT 09 Proceedings of the 2009 Ninth IEEE International TE on Advanced Learning Technologies 446 Py D 1998 Quelques m thodes d intelligence artificielle pour la mod lisation de l l ve Sciences et Techniques Educatives 5 2 123 140 Settouti L S Pri Y Marty J C and Mille A 2009 A Trace Based System for Technology Enhanced Learning Systems Personal sation ICALT 09 Proceedings of the 2009 Ninth IEEE International Conference on Advanced Learning Technologies 93 97 Sison R Shimura M 1999 Student Modeling and Machine Learning International Journal of Artificial Intelligence in Education 164 Lyon 6 et 7 mai 2010 Module d Analyse et d Accompagnement du Parcours d tude des Apprenants MAAPEA Claude Ren Tarrit Equipe Trigone Laboratoire Cirel Universit des Sciences et Technologies de Lille 1 France Claude tarrit pucpr br R sum Nous pr sentons dans ce poster les objectifs de
201. e l mergence d un KA chez lui Dans une perspective constructiviste de l apprentissage tenter de mod liser l utilisateur peut 98 Lyon 6 et 7 mai 2010 Vers une mod lisation des situations d apprentissage ubiquitaire paraitre paradoxal Cependant ce mod le ne d finit pas de but atteindre pour l utilisateur mais doit favoriser le processus de construction de connaissances Le Dispositif Ubiquitaire On s int resse l outil avec lequel l utilisateur apprenant interagit directement PDA Ultra Mobile PC par exemple les autres dispositifs serveurs par exemple ne faisant pas partie de la situation d apprentissage proprement parler En revenant sur la description par Lyytinen et Yoo 2002 de l informatique ubiquitaire trois axes nous paraissent alors int ressants dans la description de l outil les possibilit s d interaction la mobilit et la mani re dont l outil prendra en compte le contexte caract re pervasif L activit de Putilisateur va fortement contraindre ses possibilit s d interaction avec l outil Ainsi si l outil pour l apprentissage universitaire peut proposer des interactions relativement lentes impliquant par exemple la saisie de texte Kittl et Petrovic 2008 les dispositifs pour la formation professionnelle doivent proposer des interactions rapides assurant un acc s l information qui ne soit pas contraignant pour l activit La d tection des pr
202. e l enseignant Un point de variation peut tre indiqu 86 Lyon 6 et 7 mai 2010 Ing nierie des sc narios p dagogiques ouverts de diverses mani res Il peut s agir par exemple d une activit sp ciale d un r le d un objectif d une ressource d un encha nement etc Un mod le qui repr sente un sc nario p dagogique adaptable contient g n ralement de nombreux points de variations qui correspondent des d cisions qui peuvent tres prises selon certains crit res d un contexte donn En fait Vapproche par definition d alternatives permet d tudier la logique de conception des sc narios p dagogiques en anglais Design Rationale Elle peut favoriser l adoption de pratiques communes ou prouv es dans un domaine sp cifique et permettre de r duire l effort de mod lisation pour l enseignant Ainsi quant la partie ouverte l enseignant laisse certains l ments non d finis sous forme de points ouverts jusqu a la phase d ex cution Ces l ments ne peuvent pas tre connus avant le d but de d roulement de la session d apprentissage D ploiement Avant son ex cution un sc nario p dagogique doit tre configur selon le contexte consid r Cette configuration s effectue travers le choix de la variante la plus appropri e parmi l ensemble des variantes pr sp cifi es Le sc nario est donc individualis en supprimant les variantes qui ne sont plus
203. e le lien avec le mod le sous jacent tudi Notre environnement propose l apprenant de r soudre des probl mes de niveau coll ge lyc e concernant le courant continu en mettant sa disposition plusieurs outils informatiques Formulation en langage naturel utilisation du micromonde TPElec et de r pondre des questions choix multiples QCM que nous prenons en compte dans le diagnostic Cet ventail d outils permet de ne pas limiter l apprenant dans ses activit s et ainsi de d tecter les l ments de connaissances mis en jeu par celui ci lors de celles ci En effet nous pensons que se limiter des situations d apprentissage fort guidage restreint la richesse du diagnostic et appauvrit m me celui ci Par exemple dans une situation o l apprenant est guid en terme chec r ussite avec ventuellement message d aide aboutit fr quemment une r ussite de l apprenant mais sans que celui ci ait int gr les connaissances n cessaires il essaie on lui dit que c est faux et on l oriente vers la solution finale force de t tonnement l l ve y arrivera mais y a t il eu apprentissage Richoux 2000 Patron de nos probl mes Les probl mes r soudre propos s par notre environnement sont bas s sur le m me patron que ceux propos s en classe traditionnelle savoir le mod le de la d marche scientifique exp rimentale Cette d marche d finie comme un outil
204. e les transformations associ es 4 3 1 Propri t s g n riques des Mod les de trace Les M Traces propos es poss dent toutes leurs propres particularit s mais dans le cadre de nos recherches et sur la base des contraintes d finies en section 3 2 il existe des propri t s communes Dur e Date d but Date fin Cat gorie de formation Formation Individuelle ou collective Travaux pratiques Perfectionnement Nom de la simulation Phase de perfectionnement collectif sur un simulateur de conduite d un syst me industriel complexe Phase R alisation Pr paration Analyse Type de Sujet g n rateur de l observ Individu ou Groupe Sujet g n rateur de l observ identifiant de la personne ou du groupe nominatif concern R le du sujet si individu OP Op rateur CE Chef d Exploitation IS Ing nieur Suret Identifiant simulateur Simulateur 1 Simulateur 2 Origine la ou les transformations l origine de Figure 3 Proposition de mod le de trace des simulations 4 3 Premiers r sultats Sur la base de notre d marche nous sommes en mesure de proposer 4 proto M Traces leurs observ s associ s ainsi que les transformations envisag es La Figure 3 suivante pr sente succinctement la structure l observ 4 3 1 M Trace premi re La M Trace premi re est construite directement partir des sources de collecte d taill es dan
205. e mobile immuable exprimant l id e selon laquelle l objet transite facilement travers des r seaux d change tout en conservant son aspect original Dans le cas des copies d examen il s agit de documents qui voluent tout au long de leur cycle de circulation En effet dans les modalit s traditionnelles les copies sont g n ralement fournies par le personnel administratif compos es uniquement des l ments de base de type cartouche d identification du candidat et titre de l preuve Elles sont ensuite remplies par les candidats lors de l examen Puis elles sont remises au correcteur qui son tour ajoute ses marquages annotations et la note finale Enfin notes et copies sont report es de fa on ind pendante l administration Les copies sont stock es pour un temps et ne seront consult es qu en cas de recours pour contestation par le candidat Elles seront finalement soit d truites soit remises aux candidats pour consultation des annotations Le document papier tient donc un r le essentiel de vecteur d informations permettant l obtention des r sultats l examen Pour autant le risque de perdre une copie entre l preuve et le report de la note rend d licate la circulation des documents pour le correcteur La trajectoire reste donc la plupart du temps limit e un seul correcteur Le document papier constitue bien un support de r flexion et d action limit toutefois un seul interve
206. e pour lequel un exercice va tre g n r Ce sont des mod les g n riques en quelque sorte des bo tes vides qui donnent un cadre de travail que les enseignants configurent avec les contenus correspondant leurs besoins Ainsi lorsqu un enseignant va utiliser un g n rateur qui utilise lui m me un patron d exercices l enseignant va cr er une structure d exercices contenant ses propres contraintes Ces structures d exercices ne sont donc pas g n riques Elles contiennent des donn es propres un enseignant pour une discipline donn e et pour un niveau d tude donn Les exercices cr s partir d une structure ne seront donc pas non plus g n riques et porteront sur la discipline correspondant la structure d exercices Pour mieux comprendre l approche GEPPETOp donnons un exemple de son utilisation par un enseignant souhaitant personnaliser les activit s papier qu il propose ses l ves Prenons un enseignant qui veut cr er des exercices pour que ses l ves travaillent en math matiques sur la relation d ordre dans l ensemble des nombres relatifs Pour cela il s lectionne le patron Organisation d l ments cf C sur la Figure 3 puis affine son choix en choisissant le patron op rationnel Classement d objets cf Cl sur la Figure 3 2 Un patron op rationnel sp cifie une sous cat gorie d activit s papier se g n rant avec le g n rateur d un patron mais
207. e sc nario au cours m me de son d roulement Nous nous pla ons dans l hypoth se o l enseignant tuteur est capable d ajuster le sc nario p dagogique lors de la s ance en fonction des constats qu il peut faire sur la progression des l ves La question que nous traitons concerne l adaptation dynamique en temps r el de l interface de suivi suite aux ajustements du sc nario Le domaine de la visualisation d informations vise cr er des repr sentations visuelles interactives afin d aider la compr hension de donn es abstraites Card et al 99 Dans ce domaine le mod le de r f rence Card et al 99 sert structurer les applications Il pr sente l avantage de s parer les donn es repr senter leur structure leur repr sentation visuelle et les contr les interactifs qui permettent de les manipuler Nous fondons plus particuli rement notre travail sur le mod le de r f rence tendu par Hurter et Conversy 07 qui est d di aux applications dont les donn es sont mises jour en temps r el Cet article pr sente l utilisation et l adaptation du mod le de r f rence afin de prendre en compte notre probl matique La premi re partie est consacr e la pr sentation de l environnement FORMID et plus particuli rement de FORMID Suivi l environnement d observation qui sert d objet d tude notre travail Nous pr sentons ensuite le mod le de r f rence en visualisatio
208. e sorte de panique voluptueuse Caillois 1958 est ici sp cialis aux jeux pour la formation Il est rapproch des jeux de formation fond s sur la gestion de crise ou de catastrophe qui font vivre aux participants une situation de panique avec perte des rep res usuels dans une situation simul e et donc sans risque 46 Lyon 6 et 7 mai 2010 Ressorts de jeu et conception de Learning Games Des M canismes Associ s aux Ressorts de Jeu En nous basant sur des pratiques existantes d utilisation du jeu dans la formation et dans l optique d une mise en uvre dans un environnement num rique nous avons d fini des m canismes ou modalit s de mise en uvre associ s chaque ressort tableau 1 Par ailleurs l tude de travaux r cents sur les m canismes de jeu favorisant motivation fid lisation et implication dans les r seaux sociaux et les jeux massivement multi joueurs Jo Kim 2009 alimente notre identification de m canismes attach s au ressort de comp tition la collection d l ments des amis sur le r seau social Facebook des objets d quipement pour les personnages dans le jeu en ligne massivement multi joueur World of Warcraft et le gain de points attribu s par le syst me game points ou par d autres utilisateurs social points sont des m canismes de comp tition dans le sens o ils incitent les utilisateurs faire mieux que leurs pairs avoir le plus grand nombre d a
209. earning Consortium Lourdeaux D 2001 R alit Virtuelle et Formation Conception d Environnements Virtuels P dagogiques Th se de doctorat Ecole des Mines de Paris Murray T 2003 An overview of intelligent tutoring system authoring tools Authoring Tools for advanced technology learning environments 491 544 Springer Netherlands OMG 2009 Unified Modeling Language 2 2 specification Rapport Technique Object Management Group http www omg org spec UML 2 2 Superstructure Payr S 2003 The virtual university s faculty An overview of educational agents Applied Artificial Intelligence 17 1 1 19 Pernin J P 1996 Un mod le op rationnel de conception de simulations p dagogiques Th se de Doctorat Universit Joseph Fourier Grenoble 1 Querrec R Buche C Maffre E et Chevaillier P 2003 S cuR Vi virtual environment for fire fighting training In Proceedings of 5 virtual reality inter national conference VRIC 03 169 175 Laval France Van Joolingen W et de Jong T 2003 SimQuest authoring educational simulations Authoring tools for advanced technology educational software Towards a cost effective production of adaptive interactive and intelligent educational software 1 31 Van Rosmalen P 1994 SAM Simulation and Multimedia Design and production of multimedia and simulation based learning material 167 187 94 Lyon 6 et 7 mai 2010 Vers une mod lisation des situ
210. echerche utilisation d ordinateur la maison et apprentissage de l informatique e T che 1 avec un premier mot cl donn les participants doivent choisir un deuxi me mot cl pour augmenter ou diminuer le nombre de r sultats fournis par le moteur L objectif principal est d appr cier la connaissance des participants sur le fonctionnement du moteur e T che 2 t che de RIW sur un sujet ouvert et scolaire L objectif principal est d tudier les liens entre les actions les d marches et la performance de RIW e Entretien en lien avec la t che 1 chaque participant doit expliquer comment il a fait et pourquoi il a fait comme a Pour la t che 2 les questions principales portent sur les actions les d marches Nous avons fait aussi des entretiens avec des enseignants sur l utilisation de TIC dans l enseigne ment les caract ristiques des lyc es des classes et des participants Population tudi e Notre tude a t r alis e avec des lyc ens fran ais et vietnamiens En 2009 59 lyc ens vietnamiens ont particip notre tude Ils diff rent par le type de 3 mes Rencontres Jeunes Chercheurs en EIAH 161 Quach Tat Kien lyc e la classe la discipline scolaire principale l apprentissage de l informatique l utilisation de TIC et leur situation socio conomique Donn es r cup r es L preuve a t pass e individuellement Pour chaque participant le fichier vi
211. efficace des EIAH il s av re urgent et important de pouvoir partager des corpus de donn es permettant de reproduire et valider des exp rimentations publi es Cela doit pouvoir tre effectu par des chercheurs objectifs n ayant pas particip la mise en place de l exp rimentation Ces corpus contiennent les traces d interaction et les productions enregistr es au cours de l activit d apprentissage mais aussi des informations concernant le contexte de l tude comme le sc nario p dagogique et les objectifs de recherche voire des analyses d j effectu es Il est tout aussi important de fixer des r gles quant l aspect respect de la vie priv e et aux droits d acc s aux donn es Contexte Avec l mergence du r seau Internet et l accessibilit des outils de communication et de travail collaboratif un grand int r t a t accord la conception et l impl mentation d Environnements Informatiques pour l Apprentissage Humain EIAH En effet ces environnements offrent des possibilit s de collaboration int ressantes en d passant les contraintes g ographiques en permettant des personnes situ es dans des endroits diff rents de collaborer Cependant des probl mes de compr hension entre les participants ou des lacunes dans les fonctionnalit s offertes par l outil informatique mis en place peuvent engendrer des difficult s dans le d roulement d une session d apprentissage d un EJA
212. el chercheur travaillant dans le domaine d apprentissage m diatis par ordinateur peut stocker ses donn es dans PSLC datashop afin de les partager avec d autres chercheurs et d utiliser les outils d analyse et de visualisation offerts par la plateforme Pour ceci le chercheur doit exprimer ses donn es selon le format tutor message format Tutor Message Format 2010 structur es dans un document XML respectant un sch ma XML sp cifi Il est aussi possible d acc der des corpus de donn es publics ou de demander l acc s d autres priv s La plateforme PSLC permet d exporter des donn es concernant l activit des apprenants comme les transactions structur es dans des documents textes et d limit es par des tabulations ceci afin de les analyser avec d autres outils d analyse et ou de visualisation Le stockage des donn es dans PSLC datashop peut tre fait directement dans les serveurs de PSLC Par exemple les syst mes tuteurs intelligents con us partir des outils d velopp s par CTAT projet de recherche Carnegie Mellon University ayant pour but de d velopper des outils permettant le d veloppement simplifi de tuteurs intelligents CTAT 2010 donnent la possibilit de tracer directement vers les serveurs PSLC et ceci par un simple param trage Les donn es personnelles enregistr es sont anonymis es garantissant ainsi le respect de la vie priv e PSLC donne aussi la possibilit
213. ela n cessite une prise en main et une ma trise de l objet technique par des utilisateurs Selon Simondon l adoption des objets techniques par les sujets s labore dans ce qu il d signe comme une individualisation Il affirme L individualisation des tres techniques est la condition du progr s technique Cette individualisation est possible par la r currence de causalit dans un milieu que l tre technique cr e autour de lui m me et qui le conditionne comme il est conditionn par lui Ce milieu la fois technique et naturel peut tre nomm milieu associ Simondon 1958 Pour les technologies ducatives ce milieu associ repr sente le contexte d apprentissage qui correspond selon Pernin Pernin 2007 Une configuration particuli re organisationnelle et temporelle des moyens humains et mat riels construite partir des moyens offerts de fa on g n rale par le dispositif de formation La multitude possible et l volution continuelle de ces contextes d apprentissage exigent l accessibilit des moyens utilis s pour permettre les r ajustements n cessaires des sc narios p dagogiques afin que les usagers puissent r aliser leurs activit s avec souplesse et d velopper leur cr ativit dans une perspective anthropocentrique s appuyant selon Rabardel 1995 sur leurs comp tences existantes et cherche les d velopper Il est ainsi n cessaire de penser concevoir des sc narios p d
214. elles Le mod le MTA fournit donc un vocabulaire riche permettant de d crire et de donner du sens aux traces et servira par la suite de support pour les diff rents traitements permettant d exploiter et de manipuler les l ments des traces mod lis es en vue d obtenir le profil de l apprenant e le Mod le de l Apprenant MA permet au concepteur de d crire les informations sur l apprenant calculer et ou inf rer partir des l ments de la trace des indicateurs de son comportement temps moyen pour r soudre un exercice taux de r ussite un exercice etc ses strat gies de r solution de probl me ses misconceptions et des estimations qualitatives ou quantitatives du niveau de ses connaissances et de ses comp tences e le Mod le des Connaissances de Diagnostic MCD permet au concepteur de d crire les types de connaissances requises pour accomplir le diagnostic exprimer des requ tes pour interroger les traces mod lis es des patterns de calcul d indicateurs et des r gles d inf rences pour d duire des informations sur les strat gies de r solution de probl mes appliqu es par l apprenant et sur ses connaissances et ses comp tences L laboration du profil de l apprenant s effectue en trois tapes Pour chaque tape le concepteur doit d finir les mod les n cessaires en utilisant les vocabulaires RDF propos s au sein de notre architecture La premi re tape est le processus de c
215. elles Le mod le d activit s de la figure 1 a t obtenu Ce mod le repr sente les cinq tapes de MAETIC Lancement Cadrage Planning Pilotage et Cl ture Les tapes sont r gies par un principe de pr c dence lien P Il faut avoir termin l ensemble des activit s d une tape donn e pour passer la suivante Elaborer le cadre du projet diger un r ponse PC Cr er un JE P UP P Elaborer un plan de com Cadrage UP UP K P c Elaborer un planning gt Planification ETAPE Lancement ur P Zaliser une charte graphique finir les r les Figure 1 Le mod le des activit s MAETIC 3 mes Rencontres Jeunes Chercheurs en EIAH 157 Djama M Hassan Ensuite ces habilit s ont t regroup es entre elles pour tablir des niveaux afin de faire ressortir les habilet s transversales Les agencements obtenus des habilet s ont t assembl s par domaines de connaissances class s par G Paquette en domaines cognitif psychomoteur social et affectif Paquette 2002 Le mod le de comp tences MAETIC Les comp tences obtenues sont toutes des composantes de la comp tence Savoir adopter une d marche de projet qui est la principale comp tence de MAETIC Pour respecter le format de l article nous allons d couper le mod le suivant ces trois comp tences La comp tence Savoir d velopper un savoir faire cognitif elle est con
216. en plus l utilisation de jeux pour l apprentissage L absence de m thodologie et d outils de conception appara t probl matique pour les soci t s de e learning et services de formation en charge de ce type de projets Dans ce contexte nous nous int ressons la conception de sc narios de jeux de r le pour la formation Learning Role Playing Games ou LRPG Notre objectif est de guider le concepteur dans ses choix notamment au niveau de l utilisation de ressorts de jeu adapt s et de faciliter la mise en uvre du sc nario con u Pour cela notre travail combine deux approches d une part l tude et la mod lisation d un processus de conception de sc narios LRPG bas sur la r utilisation de mod les d autre part la sp cification d un environnement d assistance la conception bas sur le mod le labor Dans cet article apr s avoir expliqu l objectif de nos travaux nous en pr sentons une tape sp cifique la d finition de ressorts de jeu utiles la description d un sc nario LRPG ce qui constitue un l ment fondamental du processus de conception Introduction Learning Game et Formation Professionnelle L engagement est un facteur cl dans la r ussite d un apprentissage Skinner et Belmont 1993 L engagement est galement la principale caract ristique des jeux justifiant leur utilisation des fins de formation et d apprentissage Gee 2003 Garris et al 2002 Ave
217. ences suppos es d apprentissage des tudiants Avec la ballado ou l usage de l internet l universit tente donc utiliser fin d enseignement des technologies d usage personnel ou domestique Le postulat semble tre qu en favorisant l emploi des TIC connues des jeunes g n rations les apprentissages en seraient facilit s La question que nous posons est de v rifier s il est possible pertinent ou adapt d utiliser les TIC usage Personnel l universit comme facteur facilitant l apprentissage et donc de d finir les formes de l innovation num rique dans le domaine p dagogique 1 L volution des contextes d usage technologique Depuis plus de dix ans les universit s int grent le num rique dans l enseignement Les pratiques mergeantes ont t les cellules TICE les ENT les campus num riques ou les UNT Les r sultats concrets en termes de production furent et sont la notion de ressources num riques et leurs mises disposition dans des plateformes dites p dagogiques L objectif initial des pr curseurs des pionniers Albero Linard Robin 2008 tait de r duire la fracture num rique d am liorer la qualit d apprentissage et de penser la concurrence num rique entre tablissements ou entre nations Dans les ann es 90 les exp rimentations num riques en p dagogie se d veloppaient dans un contexte de non g n ralisation des usages technologiques l ensemble de la
218. ent imm diatement sa cat gorisation par le correcteur Louis Qu r 1997 se base sur les travaux de protagonistes de l action situ e pour expliquer que dans la vie courante les agents vitent des op rations cognitives complexes de manipulation de symboles de calcul d inf rence d interpr tation ou de repr sentation en prenant appui sur des indices perceptuels disponibles dans leur environnement dont le sens et la port e pratique sont imm diatement donn s Qu r 1997 173 Ces indices ou rep res nomm s affordances 4 actualisent l environnement spatial et permettent d acqu rir des routines L entretien d explicitation nous apprend que l activit de correction prend appui sur ses rep res de math matisation Le correcteur est ainsi capable en quelque sorte d automatiser ou de rendre plus fluide le traitement de la copie pour le comptage de la note finale Le recours la copie dans l entretien signale la pr sence de marquages attribu s pour chaque question L interruption est d clench e par l explicitation 1 9 du choix de l interview dans la mani re de corriger les diff rentes questions d une m me copie Le correcteur prend appui sur ce constat et utilise les marqueurs comme 1 9 puis toujours 1 11 qui tendent rendre le raisonnement intelligible La gestuelle contribue la stabilisation du discours Nous notons que les mains se figent sur toujou
219. entions r gissant la sp cification du projet objectifs p dagogiques contexte d utilisation public cible etc vise guider les choix du concepteur Ressorts et M canismes Nous proposons ici de clarifier notre utilisation des termes ressorts et m canismes souvent associ s au jeu Dans son sens figur un ressort est d fini comme ce qui fait agir mouvoir et a pour synonyme moteur source TLFI De son c t un m canisme est d fini comme un ensemble d l ments de structures dont l organisation assure une fonction une activit ce fonctionnement ce processus lui m me source TLFT Dans le cadre d un jeu nous appellerons donc ressort une caract ristique fondamentale qui pousse le joueur jouer agir qui le motive s investir dans le jeu Les m canismes de jeux d signeront quant eux la fa on dont les diff rents ressorts sont mis en uvre leurs propri t s d un point de vue pragmatique La Classification de Caillois La d finition de notre grille de description de sc narios de jeux est issue d une tude pr alable Mariais et al 2009 de classifications portant sur les jeux de mani re g n rale les jeux vid os les Serious Games et les jeux pour la formation Cette tude a abouti un constat d j effectu par Caillois 1958 les crit res de classification sont g n ralement h t rog nes et peu discriminants ce qui entra ne la d finition d une multitu
220. ents de l INSA Pour ces productions nous mettons contribution les l ves de la fili re G nie industriel qui prennent en charge une partie de la conception ou de la production du SG Des groupes de 8 10 l ves ing nieurs doivent r pondre comme une entreprise aux demandes d un vrai client Il faut en g n ral 3 ann es pour couvrir le cycle conception sc narisation production retour d usage d un SG du fait que ces tudiants ne sont l origine ni experts des comp tences m tiers apprendre ni informaticiens professionnels et qu il faut du temps suppl mentaire pour que chaque groupe s approprie le sujet Cela repr sente en tout environ 10 000 heures 8 tudiants x 380 heures x 3 ans 450 heures de tutorat et d accompagnement 80 heures graphiste 400 heures d ing nieur Par le biais du projet FEDER Fond Europ en de D veloppement R gional Learning Game Factory www learning games factory com auquel nous participons nous avons pu recueillir les besoins de quelques entreprises sp cialis s en e learning et confronter nos id es d autres laboratoires de recherche ayant des pr occupations proches Enfin gr ce aux des groupes de travail PINRP de Lyon nous avons pu nous familiariser avec les besoins des enseignants qui souhaitent mettre en place des SG dans leurs cours Les besoins recens s peuvent se regrouper en 3 cat gories B1 Capitaliser et partager l
221. ents mod les de traitement de la trace Discussion Les mod les de traitement pr c demment recens s permettent d am liorer le contenu de la trace et de le rendre plus exploitable par le syst me pour procurer un feedback Suite cette tude nous constatons que ces approches proposent de transformer la trace brute essentiellement en une trace structur e qui peut tre sous une de ces trois formes e Cat gorie 1 Statistiques qui sont g n r es pour pr senter des donn es relatives au comportement de l usager la dur e de la connexion le score de l apprenant Mais ils ne permettent pas de les trier et de les afficher selon une logique qui facilitera la prise en compte rapide et contextuelle de l tat de la situation Cat gorie 2 Indicateurs p dagogiques nous entendons par un indicateur p dagogique une variable qui d crit une information en lien avec la modalit ou la qualit des interactions entre les acteurs et le syst me cognitif e Cat gorie 3 Conseils et directives qui d rivent d un processus d analyse et d inf rence Les traces g n r es par ces approches sont propres au syst me de traitement con u Il est difficile en cons quence de r utiliser cette trace structur e en dehors de l EIAH m re N anmoins le partage de ces traces structur es est consid r comme un aspect important pour enrichir l adaptativit dans les EIAH Ces dispositifs r cup rent ces donn es pour acc l rer l
222. equel l utilisateur ou l utilisatrice r pond Lors de son travail sur le roman Bakhtine 1986 a apport la notion de dialogisme ou de r ciprocit dans l analyse de l interaction langagi re Dans la pr sente tude nous examinerons d abord les directives concernant le genre et feront un rappel de l approche socioconstructiviste et la th orie de dialogisme Bakhtine a galement fourni un travail fondamental sur la notion des genres litt raires mais ici nous voquons le terme genre en r f rence la construction homme femme Ensuite nous analyserons les images des hommes et des femmes dans les logiciels d apprentissage en langue les diff rences de pratiques en autoformation selon le genre et enfin les diff rences de d claration de confiance lors d une valuation partir d un document audio visuel En conclusion nous verrons la menace qui p se sur l enseignement des langues par un manque de prise en compte du genre comme filtre d analyse Directives et Recherche Concernant P Analyse Selon le Genre En 1955 le psychologue am ricain John Money employa le terme genre pour d signer le fait psychologique par lequel un sujet se sent femme ou homme et se comporte comme tel le Mercader 2005 125 Sanders explique que le terme genre englobe ce que nous apprenons sur la fa on convenable de se comporter what we learn about the proper way to behave et le terme sexe d signe les cara
223. er des indicateurs sous forme de patrons de conception et de d crire les diff rentes donn es n cessaires l ment Component dans la Figure 1 l analyse de traces dans une forme ind pendante du langage de sc narisation et du format de repr sentation des traces Cependant la description des moyens d observation l ment Method n est pas formelle ce qui ne permet pas la cr ation d outils d analyse automatique De plus nous consid rons que les patrons de donn es UTL devraient pouvoir tre ex cut s C est pour cette raison que nous avons propos une extension d UTL appel e DCL4UTL Data Combination Language for UTL Pham Thi Ngoc ef al 2009 Ce langage est g n rique inspir des langages de requ tes classiques SQL Xquery et int gr dans UTL Son objectif est de combiner les donn es pour tablir une nouvelle donn e d riv e et de capitaliser les m thodes de combinaison pour les r utiliser Nous utilisons le champ Method Tool Description de la facette Obtention Getting cf Figure 1 pour d crire formellement comment obtenir une donn e d riv e partir des donn es brutes et ou d autres donn es avec DCL4UTL Le langage permet l analyste de d crire une mani re de combiner les donn es sp cifi es dans les l ments Component de la facette Obtention Ce langage op re aussi sur la facette Utilisation des donn es UTL La facette Utilisation de chaque donn e a un champ Format et un champ
224. er les questions a posteriori en trois niveaux de difficult d apr s le taux de r ussite des r pondants difficile mois de 1 3 moyenne entre 1 3 et 2 3 difficile plus de 2 3 Le graphique de la figure 6 pr sente la moyenne des dur es pass es sur chaque question par niveau de difficult Nous remarquons que la question 4 class e difficile a pris le plus du temps par la majorit des r pondants Cependant il y a aussi eu un temps important pass sur les questions class es faciles Les tests contiennent des questions ouvertes et des ques tions ferm es la diff rence des dur es de traitement de chaque type de questions est donc consid rable 04 19 03 36 02 53 02 10 pres B Moyenne 01 26 B DDifficile 00 43 00 00 a d z Qi 02 G3 as QS as or as a9 am Questions Figure 6 La dur e moyenne sur chaque question en fonction de sa difficult tests tableur L3 Dur e Question ouverte et question ferm e En effet le graphique de la figure 7 montre clairement la diff rence en dur e moyenne entre les questions ferm es et les questions ouvertes dans les trois tests trait s Cela peut tre d au fait que pour chaque type de question le processus de r solution est diff rent Pour a10 ag as Q7 Q6 as Q4 Q3 Q2 Q1 04 19 03 36 02 53 02 10 01 26 00 43 00 00 00 00 02 53 O Facile moyenne Difficile les questions ferm es
225. er une apparence Le formateur peut ensuite les placer dans l environnement modifier leurs attributs en fonction de leur classe etc La figure 6 montre une capture de cet diteur Comme nous l avons expliqu pr c demment POSEIDON rend possible la liaison entre une ressource p dagogique et des l ments de l environnement virtuel L diteur permet de sp cifier ces liens La cr ation des activit s p dagogiques s effectue en suivant les deux phases d crites pr c demment L espace de cr ation des activit s p dagogiques de l diteur propose aux formateurs une visualisation et une manipulation simples en leur masquant les con cepts UML sous jacents L diteur propose galement la cr ation d actions p dagogiques combinaisons de 3 XML Metadata Interchange 92 Lyon 6 et 7 mai 2010 Sc anrisation p dagogique pour les EVAH Stock8rest al Environm m amp 5 lo Joso A Aatteen quipes Extracteur Lampadaire Citerne Sirene Site O Propri t s de l entit EE fl Propri t s Position Associations Etats Attributs operations Attributs string Nom cuve_12 double quantiteActuelle 65 E double quantiteMex 120 ok cancel Delete Figure 6 Visualisation et modification des attributs d une entit avec l diteur d environnement inform primitives de manipulation La figure 7 pr sente Vinterface graph
226. es l aune du mod le du jeu et des connaissances acqu rir Nous entendons ici par mod le de jeu non seulement les r gles pour jouer mais aussi les liens entre les diff rents indicateurs l impact des actions de jeu sur les indicateurs de jeu les conditions de passage de niveau etc Enfin il convient ici de tenir compte du fait qu une des particularit s du jeu est sa rejouabilit Nous nous int ressons donc non seulement aux connaissances mais aussi leur volution dans le cadre d une partie puis travers une analyse diff rentielle portant sur plusieurs parties De plus comme la plupart des entreprises dispose de plateforme d apprentissage LMS il est pertinent d en tirer partie et d ins rer le serious game dans un dispositif complet d apprentissage ce niveau nous montrons en quoi le standard SCORM Shareable Content Object Reference Model adopt par la majorit des LMS est inadapt aux serious games Dans ce papier nous pr sentons notre m thodologie de recherche pour la th se puis le d but de nos travaux Pour mettre en vidence les probl matiques nous avons d fini des indicateurs de suivi dans un serious game Star Bank The Game d velopp par KTM Advance une entreprise de e learning sp cialis e dans la conception de serious games 3 mes Rencontres Jeunes Chercheurs en EIAH 49 Pradeepa Thomas Notre M thodologie de Recherche Le Suivi de l Apprenant
227. es au sein de cette structure correspondent aux traces du travail des apprenants dans les diff rents exercices propos s par le sc nario Trois niveaux d observation sont accessibles aux tuteurs Au niveau 1 FORMID Suivi pr sente une vue g n rale et synth tique de la progression des apprenants dans la s ance Le bandeau sup rieur de l interface voir extrait figure 1 pr sente la structuration de la s ance en exercices eux m mes divis s en tapes Le cadre de gauche pr sente la liste des l ves inscrits pour la s ance Au centre de l cran sont affich es les informations de suivi Pour chaque apprenant et chaque tape une barre horizontale color e rouge verte repr sente la r ussite ou l chec l tape Sous cette barre une liste de marqueurs donne des informations sur le travail de l l ve dans l tape Exercice 1 Ls JL2 amp 2 Ex3 dl ts Figure 1 Extrait du niveau 1 de FORMID Suivi Le niveau 2 est affich en r ponse la s lection d une tape particuli re par le tuteur FORMID Suivi effectue un zoom s mantique sur cette tape et pr sente alors une vision plus fine du travail des apprenants dans l tape La s lection d un apprenant unique dans une tape particuli re permet d atteindre le niveau 3 Celui ci donne des informations sur le travail de l apprenant de mani re chronologique Enfin tout moment et n importe quel niveau de visualisation le t
228. es de we r sultats 2 Formulation reformulation de requ te 4 Consultation web Figure 1 D marches possibles en RIW 1 Lecture relecture de t che 15 59 participants n ont pas d etape 5 notation v rification car ils n ont pas trouv de r ponse Un seul participant n a pas effectu l tape 4 consultation web car il a trouv ses r ponses dans les pages de r sultats fournies par le moteur La plupart des d marches 43 59 ont les 5 tapes Environ 3400 d placements entre les groupes d actions principales ont t compt s La boucle entre l etape 2 et 3 est la plus fr quente 44 Celle entre l tape 3 et 4 est la deuxi me 33 La d marche qui commence en 1 qui finit en 5 et comportant ces deux boucles est la d marche la plus fr quente Perspectives Le fichier vid o l entretien et l observation permettent d analyser plus profond ment les actions en RIW La quantification des r ponses permet d tudier l efficacit de RIW des diff rentes cat gories de participants selon plusieurs crit res Cela permet de mieux percevoir les liens ventuels Des analyses plus d taill es sur les actions dans la s ance de recherche et les donn es vari es r cup r es seront effectu es pour expliquer les liens trouv s R f rences Beaufils A 2001 Aide la recherche d informations sur internet au coll ge et au lyc e Cinqui me Colloque Hyperm d
229. es et Technologies de l Information s rie Techniques et Sciences Informatiques RTSI TSI 28 6 7 715 740 Chou C Y Chan T W et Lin C J 2003 Redefining the learning companion the past present and future of educational agents Computers amp Education 40 3 255 269 Fuchs P et Moreau G 2006 Le trait de la r alit virtuelle Les Presses de 1 Ecole des Mines de Paris Gerbaud S Mollet N Ganier F Arnaldi B et Tisseau J 2008 GVT a platform to create virtual environments for procedural training In Proceedings of IEEE Virtual Reality 225 232 Reno Nevada USA Gu raud V 2005 Approche auteur pour les Situations Actives d Apprentissage sc narios suivi et ing nierie Habilitation diriger des recherches Universit Joseph Fourier Grenoble 1 Gu raud V et Cagnat J M 2006 Automatic semantic activity monitoring of distance learners guided by pedagogical scenarios Dans Innovative approaches for Learning and Knowledge Sharing 476 481 Springer Henri F Compte C et Charlier B 2007 La sc narisation p dagogique dans tous ses d bats Revue internationale des technologies en p dagogie universitaire 4 2 14 24 Koper R 2001 Modeling units of study from a pedagogical perspective Educational Technology Expertise Centre Open University of the Netherlands First Draft Koper R Olivier B et Anderson T 2003 IMS Learning Design Information Model IMS Global L
230. es gestes associ s plusieurs pointages de l cran par l enseignante Sur la figure 3 nous avons indiqu les actions de l enseignant sur un axe temporel vertical obtenues avec le stylo num rique gauche de l axe et avec l annotation droite La r action de l l ve est repr sent e sur un autre axe Une fl che qui relie les deux axes M et E indique les d calages temporels entre les actions PE sort de l GREEN Es gt Ferme la fen tre PE Se Md _ Clique oui gt BE o re AAA A RSR LE i D marre navigateur E ___ ___ ___ ___ ___ ___ explorer Be pr gt crire PEPIT Figure 3 Donn es synchronis es ES Fondation Val e Nous nous demandons si la r action de l enfant l injonction de l enseignant est pertinente ou non El ve 1 ES Fondation Vall e Pour ce premier l ve de l cole sp cialis e Fondation Vall e l enfant doit travailler partir du site de jeux ducatifs PEPIT sur un exercice de pr lecture de mots niveau maternelle de 4 6 ans L enfant a commenc par une autre activit peindre avec le logiciel situ sur le bureau de l ordinateur TuxPaint L enseignante qui s occupe de trois enfants s est rendue compte que l l ve ne travaille pas sur l activit demand e elle se dirige alors vers l enfant et pointe l cran en lui demandant de sortir de TuxPaint et d aller sur PEPITS El ve 1 E
231. es lors des s ances de simulation Dans la continuit de tels outils seraient exploit s dans un but de capitalisation afin d optimiser la conception de futurs cursus de formation et de tendre vers des possibilit s d auto formation par un accompagnement au plus pr s de la progression des stagiaires Dans la suite de cet article nous d crivons tout d abord le cadre et l organisation des formations sur les simulateurs puis dans une seconde partie nous d finissons les contraintes de l application ainsi que nos propositions associ es Dans la derni re partie de l article nous pr sentons notre d marche de recherche avant de faire le point sur nos premiers r sultats puis de conclure par nos futures perspectives de recherche 2 Description du contexte des simulations Aspect essentiel de nos travaux nous d crivons dans cette section le cadre et l organisation globale des s ances de formation et de perfectionnement sur les simulateurs pleine chelle 2 1 Cadre global Les sessions de formation et de perfectionnement des stagiaires prennent forme syst matiquement sur un seul transitoire action de faire passer le simulateur d un tat physique E 0 un instant TO un tat attendu et connu E n Tn Un transitoire tant propre un simulateur en particulier Les stagiaires ne tiennent qu un seul r le pendant toute la dur e de la simulation Le nombre de stagiaires pr sents en m me temps peut varier d
232. es mod lis es premi res ou transform es comme entr e Le concepteur pourra d crire les requ tes les calculs d indicateurs et ou les r gles d inf rence permettant d obtenir le profil de l apprenant partir du mod le de connaissances de diagnostic Conclusion Dans cet article nous avons pr sent un cadre conceptuel pour l laboration de profils d apprenants partir de traces d activit s d apprentissage mod lis es Nous avons d fini au sein de ce cadre trois mod les de connaissances pouvant tre utilis s par le concepteur du diagnostic pour d crire les traces issues de son EIAH les l ments du profil qu il souhaite obtenir et les connaissances n cessaires pour obtenir le profil Concernant nos perspectives nous souhaiterions d finir au sein de notre architecture des patterns de requ tes et des patterns de calcul d indicateurs g n riques pouvant tre appliqu s et calcul s directement partir des l ments du mod le MTA ou partir d autres indicateurs Le concepteur du diagnostic pourra par la suite les r utiliser afin de manipuler les observ s de la trace mod lis e de son EIAH pour calculer et ou d duire des l ments du profil Ensuite nous prouverons les mod les de connaissances pour diff rents EIAH proposant diff rentes activit s d apprentissage et utilis s dans diff rents domaines Notre derni re perspective consistera en la mise en place d une plateform
233. es primaires DB DA DP et ou d autres donn es d riv es I DD Les indicateurs p dagogiques sont n cessairement identifi s par les enseignants Pham Thi Ngoc et al 2009 lors de la d finition de leur sc nario En nous appuyant sur ces informations nous vous proposons une m thode cal tl end R E T as sort R Se R E K as filter R E T Sv R user as filter R E T externe ut errorType externe ut errorLine SclassN errorClass externe errorType tp sin StypeN num numberErro for each k in num do where I l external hop3x CompilationErrorDetection 4 R E S as filter R user l external hop3x CompilationErrorDetection 4 R E S as filter R user v and R E T t1 externe utl external hop3x CompilationErrorDetection R E S as filter R user v and R E T t1 utl external hop3x CompilationErrorDetection 4 umber R E S as filter R user externe utl external hop3x CompilationErrorDetection 4 r R E S as filter R user v and R E T t1 I value time t1 student v session s event e errors total num position class index classN k line index 1n k errorType index tp k index typeN k PEDALO I CompilationRate using data indicator R PEDALO RD CompilationManuelle using data rawDatum v and R E T t1 v and R E T t1 4 Figure 2 Code DCL4UTL 3 mes Rencontres Jeunes Chercheurs en EIAH 71 Diem Pham Thi Ngoc g n
234. es questionnaires ou r aliser des calculs cela ne convient pas pour d crire des activit s pendant lesquelles les apprenants sont en forte interaction avec l environnement Gu raud et Cagnat 2006 comme c est le cas avec les EVAH l inverse si la plupart des simulations p dagogi ques et a fortiori des EVAH d crivent les infor mations relatives l activit attendue des apprenants dans l environnement peu d entre elles int grent des informations p dagogiques relatives cette activit situations rep rer assistances fournir etc Quelques simulations cependant explicitent ces info rmations Lourdeaux 2001 Gerbaud et al 2008 mais le font g n ralement de mani re sp cifique une t che un domaine ou une strat gie d apprentissage De ce fait le mod le de description des activit s p dagogiques ne peut tre r utilis pour une autre application Notre proposition s attache rendre possible la description de sc narios permettant le contr le de l activit en environnement virtuel de mani re g n ri que 3 mes Rencontres Jeunes Chercheurs en EIAH 89 Nicolas Marion Proposition Nous proposons POSEIDON un mod le de sc nario p dagogique g n rique pour les EV AH POSEIDON rend possible la description d activit s p dagogiques permettant le contr le de l activit d apprenants en interaction au sein d un environnement virtuel de mani re g n rique dan
235. es scientifiques ou technologiques l Universit Joseph Fourier Grenoble 38 et Valence 26 Le contexte institutionnel est un public de formation en LANgues pour Sp cialistes d Autres Disciplines ou LANSAD que Petit d finit comme tant l ensemble du secteur institutionnel d enseignement o l on enseigne les langues trang res des tudiants engag s dans des tudes ne relevant pas du domaine des sp cialit s en langues m decine droit sciences etc 2006 4 Repr sentations st r otypes des actes de communication dans les logiciels commerciaux Afin de mener une analyse selon le genre des supports multim dias commerciaux trois sources de niveau universitaire ont t choisies La premi re Clarity Study Skills Success Clarity Study Skills Success Language Consultants ann e inconnue est un logiciel pour l autoformation l anglais acad mique Technology in Context est un logiciel d anglais scientifique bas sur six documents vid o de la BBC Technology in Context 2003 Enfin Practice Tests for the TOEIC Oxford Publications 2000 est un livret d valuation de niveau dont j ai extrait les sections de compr hension de l oral b ties partir d un CD et de photos en noir et blanc Soixante images de chaque support ont t retenues Un maximum de trois sujets par photo est compt afin de ne pas exag rer le poids des images de foule En tout 332 sujets de 180 images
236. es traces des stagiaires pourraient tre stock es et Rejou es posteriori par les formateurs Il pourrait aussi tre envisageable de Plonger en temps r el dans la trace dynamique d un stagiaire ou d un groupe dans un but d enqu te et ou de p dagogie afin de cibler les manques et difficult s de chacun Ce m me proc d de Plonger prendrait aussi une place importante dans la capitalisation et l alimentation du REX pour b tir les programmes des futures formations Dans ce m me but il deviendrait ainsi possible de compl ter modifier enrichir les traces de r f rence des formations partir de traces pr c dentes jug es pertinentes par les formateurs Une exploitation de type reporting l chelle nationale de toutes les traces des stagiaires pourrait tre envisag e permettant d identifier des parties de trace comme bonne pratique ou mauvaise pratique d enqu ter et de d gager des indicateurs d volutions sur plusieurs ann es enrichissant et facilitant par la m me le REX Le potentiel des traces ainsi exploit pourrait tre tendu la conception de Profils d apprenants base de trace d Extraction de connaissances partir des traces Sehaba er al 2008 et de r flexivit Cram et al 2007 afin d aider ces derniers situer leur niveau de connaissance et monter en comp tences au travers de sc narii de formation ou de perfectionnement ajust s le
237. est galement un l ment essentiel dans l acte d explicitation Cela nous aidera nous focaliser sur la fa on dont le correcteur explique et d fend ses choix pour d crire l activit de correction Notre tude s inscrit dans les travaux de l Analyse de Conversation Drew et Heritage 1992 de Workplaces Studies Heath Knoblauch et Luff 2002 qui analysent les situations d interactions professionnelles au sein d organisations complexes et de l Action Situ e Suchman 1987 1996 Goodwin et Goodwin 1996 Scollon 2001 Bonu 2004 Mondada 2008 Charnet para tre Dans la situation d entretien l examen des interactions situ es nous permettra d apporter des pistes pour mieux comprendre l activit de correction Pistes d analyse La situation de correction de r ponses r dig es sur une copie d examen peut tre analys e comme une situation complexe dans laquelle le correcteur doit r duire les l ments pour rendre compte de son appr ciation par une note chiffr e Cette t che se base pour une part sur des connaissances explicites corrig de la question instructions institutionnelles pour la correction bar me de notation De plus une question projetant une r ponse r dig e et d velopp e par un candidat implique l intervention d l ments qui sortent du cadre strict de la r ponse attendue Voyons comment l interview l d crit et explique son activit l intervieweur Ir da
238. et conna tre des variantes Pr voir un certain nombre d l ments obligatoires est cependant n cessaire c est ce qui permet de conserver une coh rence du sc nario sans avoir tre trop dirigiste Selon Pernin et Lejeune Pernin et Lejeune 2004 Un sc nario ouvert ou adaptable d crit dans les grandes lignes les activit s r aliser et permet de d l guer aux acteurs humains les choix ne pouvant tre anticip s sans nuire la qualit des objectifs d apprentissage poursuivis Dans le contexte des scripts d apprentissage collaboratif Dillenbourg et Tchounikine Dillenbourg et Tchounikine 2007 ont constat qu un script doit tre flexible c est dire adaptable par les apprenants et ou les enseignants pour viter le scripting plus que le n cessaire overscripting qui inhibe des m canismes naturels d interaction et limite la collaboration entre les membres des groupes Les auteurs ont distingu deux cat gories de contraintes intrins ques relatives la raison d tre du script et extrins ques relatives un ensemble de facteurs qui d finissent l espace d adaptation Nous distinguons ainsi deux cat gories d l ments d un sc nario ouvert La premi re cat gorie est rigide au contraire de la seconde qui est modifiable Cette derni re cat gorie comporte des points de variation qui permettent de sp cifier diff rentes mani res opportunes de d rouler une session d apprentissage que l on les d signe
239. exp rience acquise Notre quipe de production interne et les industriels ressentent le besoin de tirer partie des SG existants et notamment de r utiliser des modules ou des interactivit s qui peuvent s appliquer plusieurs SG pour en acc l rer la production B2 Aider la formalisation des connaissances Comme pour les formations de e learning les auteurs des SG ressentent le besoin d organiser les connaissances apprendre dans un SG B3 Aider l utilisation des ressorts du jeu De fa on g n rale il y a une forte demande de la part des auteurs experts comme des novices pour savoir comment utiliser les ressorts du jeu comme catalyseur dans leurs SG Comment provoquer aupr s des l ves une envie d apprendre en d veloppant en juste utile le plaisir du jeu Pour couvrir ces besoins nous avons organis notre travail autour de 3 grands axes 1 Nous avons d cid de capitaliser et de rendre g n riques certains composants qui pourraient tre repris dans d autres SG Il peut s agir de mini jeux comme d un puzzle d un jeu de l oie d activit s plus formelles comme un QCM ou de modules fonctionnels comme une barre d outils des modules d aides 2 Pour aider les auteurs nous voulons mettre en place une plateforme qui assiste les diff rentes phases de la conception et production Nous avons donc planifi les phases de cr ation d un SG sous la forme d une cha ne de pro
240. f study from a pedagogical perspective the pedagogical meta model behind EML Open University of the Netherlands Ouraiba E A Choquet C Cottier P Despr s C and Jacoboni P 2010 Engineering of open learning scenarios the case of Hop3x learning scenarios In Proceedings of IEEE ICALT 10 Tunisia accept Pernin J P et Lejeune A 2004 Dispositifs d apprentissage instrument s par les technologies vers une ing nierie centr e sur les sc narios In actes du colloque TICE p 407 414 Compi gne Pernin J P 2007 Mieux articuler activit s pour l apprentissage artefacts logiciels et connaissances vers un mod le d ing nierie centr sur le concept de sc nario In M Baron D Guin L Trouche Eds Environnements informatis s et ressources num riques pour l apprentissage p 161 190 Herm s Paris Rabardel P 1995 Les hommes et les technologies Approche cognitive des instruments contemporains Colin Paris Roditi E 2003 R gularit et variabilit des pratiques ordinaires d enseignement Le cas de la multiplication des nombres d cimaux en sixi me Recherches en Didactique des Math matique 23 2 Rogalski J 2003 Y a t il un pilote dans la classe Une analyse de l activit de l enseignant comme gestion d un environnement dynamique ouvert Recherches en Didactique des Math matiques 23 3 342 348 Simondon G 1958 Du mode d existence des objets techniques Aubier
241. format standard propos Le challenge suivant est de mettre au point un diteur multi vues de sc nario et de valider le protocole de communication notamment pour le cas o le tuteur veut adapter le composant pendant son ex cution A moyen terme nous voulons mettre au point la base fonctionnelle de tous les outils n cessaires pour suivre la cr ation d un SG du d but la fin en int grant des composants externes pour v rifier l encha nement des tapes et la fluidit de l ex cution Il sera ensuite possible d toffer les outils avec des fonctionnalit s suppl mentaires en fonction des besoins Remerciements Ce travail de recherche et les perspectives offertes n auraient pas pu se r aliser sans la coop ration riche et productive avec les partenaires du projet Learning Game Factory financ par les fonds europ en de d veloppement r gional www idf pref gouv fr dossiers europe_FEDER_07_13 htm References Alhadeff E 2008 Reconciling Serious Games Market Size Different Estimates Futurlab Business amp Games Magazine 9 04 2008 Babari M Mahi A Pr v t P 2000 Approche g n rique pour la conception et l ing nierie de jeux d entreprise multim dias coop ratifs Cas du jeu de la maintenance multim dia In Proceedings of the International Symposium TICE Troyes France 377 384 Caillois R eds 1992 Les Jeux et les hommes France Gallimard Dodds P and Thropp S E 2004 SCORM content
242. g in the frame of a social context forming via the technology based learning environment Notre contexte de travail apprentissage de la programmation orient e objet POO distance dans le cadre des travaux pratiques nous am ne identifier trois types d activit s que le tuteur est amen faire lors de la r gulation de l activit d apprentissage de l apprenant g rer le temps et l avancement du TP faire acqu rir et mettre en uvre par les apprenants les connaissances et comp tences li es la POO vues en cours et en TD et enfin faire acqu rir aux apprenants des comp tences m tiers li es la programmation Pour permettre au tuteur d avoir des informations concernant ces trois activit s qu il doit faire lors de la r gulation de l activit de l apprenant nous identifions deux types d indicateurs qui refl tent de mani re quantitative et qualitative l activit de l apprenant Les indicateurs transversaux qui ne sont pas li s un sujet de TP exemple est ce que l apprenant respecte les r gles de la programmation javaStyle est ce que les m thodes cr es sont comment es par des commentaires JavaDoc combien de temps IPour les projets ICALTS et IA les attributs d un indicateur sont le concept qu il repr sente ses d pendances sa valeur son domaine de validit son objectif les personnes qui vont l utiliser le moment de son utilisation l EIAH utilis et les utilisateurs de cet EIAH
243. ght d velopp pour la ville de Nantes pour sensibiliser les jeunes aux effets de Valcoolisme e Outil de formation Hairz s Island d velopp pour l Or al afin de former les coiffeurs aux diff rentes teintures ou Prog amp Play Muratet et al 2009 dont l objectif est d enseigner la programmation en premier cycle universitaire Notre travail porte uniquement sur les serious games pour la formation professionnelle En effet ils sont devenus aujourd hui un l ment incontournable de la formation en ligne car de nombreuses entreprises de e Learning traditionnel se tournent vers ce type de support du fait de l engouement des entreprises Est ce un effet de mode ou un r el changement dans le domaine de la formation L efficacit du serious game en tant qu outil de formation doit tre prouv e Les informations issues du suivi du joueur d montrant l acquisition de savoirs et de savoir faire par le jeu peuvent y contribuer Notre travail de th se portera sur ce sujet Notre objectif est travers l tude de diff rents jeux s rieux de d terminer un mod le g n rique de suivi et d valuation des connaissances de l apprenant Cela soul ve une probl matique nouvelle car contrairement un dispositif de e Learning dans lequel le lien est direct entre les actions de l apprenant et les connaissances qu il doit acqu rir dans un serious game les actions du joueur doivent tre interpr t
244. gnostics peuvent diverger Evaluation de DiagElec dans le cas Convergence Totale Dans l analyse suivante nous nous pla ons en cas de convergence totale la population est de 13204 vecteurs Dans une telle situation nous savons que les experts humains sont d accord entre eux sur le degr de croyance mais nous ne savons pas la valeur de celui ci Ainsi nous d signerons par CvTot_V la valeur V de ce degr de croyance De m me nous d signerons par DiagElec_V la valeur V du degr de croyance donn par DiagElec Dans le tableau 2 nous tudions la valeur de 66 Lyon 6 et 7 mai 2010 DiagElec Diagnostic Informatique en lectricit CvTot V selon l chelle de valeur du degr de croyance et la cat gorie de l l ment d tect Connaissance Comp tence Erreur CvTot_1 0 55 1 53 3 24 CvTot_2 10 04 17 75 13 72 CvTot_3 12 86 16 85 31 34 CvTot_4 76 55 63 88 51 70 100 3668 100 4474 TOTAL 100 5062 TAB 2 Etude du degr de croyance des experts humains dans le cas de Convergence Totale Nous nous int ressons la valeur du degr de croyance mise par DiagElec pour les diff rentes valeurs de CvTot Nous pr sentons les r sultats dans la figure suivante u v DiagElec_4 BDiagElec_3 MDiagElec_2 Cv MDiagElec_1 MDiagElec_0 _ Erreur Connaissance Connaissanc Comp tenc Connaissance _ Comp tence Comp tence
245. gr au sein d une plateforme d apprentissage PRADEEPA THOMAS e cu ana ns ne ee en dates Dire ee ee 49 Environnement informatique pour la conception la production et le suivi de Serious Games IZA MARFISI SCHOTTMAN eee 33 Session 3 Diagnostics et Traces 61 DiagElec Diagnostic Informatique en lectricit SANDRAsMICHELET 224 44 4m tee ie We de Sele en cap ws uns WON Bw Den 63 Calcul d indicateur pour la r ing nierie de sc nario p dagogique en utilisant UTL et DCL4UTL DIEM PHAM THI NGOC e 4 4 4 44 8 4 du ae a us ss 69 R flexions autour de la cr ation d un corpus de traces d interaction au sein du projet ISLE EIAH HAJER CHE BIL au oe mel dou age dt eee a li aa 75 3 5 Rencontres Jeunes Chercheurs en EIAH 11 Session 4 Sc narios 81 Ing nierie des sc narios p dagogiques ouverts EL AMINE OURAIBA 4 4 4 un a 4 e 6 bon me pou ew 0 83 Mod lisation de sc narios p dagogiques pour les EVAH une approche orient e m ta mod lisation NICOLAS MARION u amet e es ae M eww 89 Vers une mod lisation des situations d apprentissage ubiquitaire PIERRE Y VES GICQUEL 44 444 95 Session 5 Suivi 101 Utilisation des traces d interaction comme outils d aide l observation sur simulateur OLIVIER CHAMPALLE 1 ee a 103 Adaptation du mod le de r f rence en visualisation d informations pour le suivi de situations p da gog
246. hacun de ces param tres peut tre d crit gr ce un formalisme commun pour pouvoir tre pr sent de fa on uniforme un enseignant et ainsi permettre une personnalisation plus ais e d EIAH h t rog nes La personnalisation d un EIAH n cessite donc de disposer d une description de l ensemble des param tres relatifs aux activit s aux s quences d activit s aux fonctionnalit s et ou l interface de VEIAH De plus pour tre capable d agir sur un EIAH il faut pouvoir modifier les fichiers permettant sa personnalisation Il est donc n cessaire d avoir les informations techniques concernant l EIAH comme la pr sence ou non d un g n rateur d exercices la place et le contenu des fichiers de configuration L tude des normes et standards existants DublinCore 1995 LOM 2002 SCORM 2001 Reba 2006 nous a permis de voir que ceux ci ne permettaient pas un expert de d crire un EIAH selon cette granularit GEPPETO M tamod le 4 AKEPI Mod le OKEPX Contraintes i sur activit s OPIKSI Figure 4 GEPPETOs Repr sentation graphique de l approche Dans l approche GEPPETOs cf Figure 4 nous proposons le m ta mod le AKEPI Acquisition of Knowledge Enabling Personalization of Interactive learning environments un m ta mod le pour l acquisition des connaissances permettant la personnalisation des EIAH Lefevre et al 2009c Nous associons ce m ta mod
247. he des quipes des t ches pr c dentes donnant lieu un benchmark offrant des outils permettant des analyses crois es Dans la construction de ce corpus nous nous int ressons particuli rement l aspect analyse En effet il est tr s int ressant de d finir un objet analyse associer aux donn es partag es dans le corpus permettant la capitalisation des analyses effectu es par diff rents chercheurs Ce m me corpus id alement servira des analyses non pr vues au moment de sa cr ation Il doit donc contenir toutes les informations qui renseignent au mieux un chercheur n ayant pas contribu au recueil des traces sur la s mantique des donn es partag es Le corpus construit et partag doit permettre de valider une exp rimentation en reprenant l ensemble des analyses d j effectu es et stock es avec les autres donn es et de retrouver les m mes conclusions d crites et publi es par le chercheur ayant construit le corpus Dans cet article nous pr sentons des travaux qui se rapprochent de nos questions de recherche La premi re partie s int resse la formalisation traitement et analyse de la trace La deuxi me partie traite la construction de corpus La trace d interaction tant plac e au centre du corpus la premi re partie pr sente une formalisation de la trace mod lis e ainsi que son exploitation dans un syst me th orique appel Syst me Base de Trace SBT ce dernier est con u
248. hniques pour l acquisition des donn es observer et 3 de structurer les donn es g n r es par le dispositif d apprentissage depuis la donn e brute jusqu l indicateur dans une forme ind pendante des formats de traces g n r es UTL propose deux types de donn es La donn e primaire DP et la donn e d riv e DD La donn e primaire n est pas calcul e ou tablie avec l aide d autres donn es et se compose de la donn e brute DB la donn e de production DP et la donn e additionnelle DA La donn e d riv e est soit une donn e interm diaire DI soit un indicateur I est calcul e ou tablie l aide des donn es primaires et ou d autres donn es d riv es Chaque type de donn e UTL est d fini selon les trois facettes du mod le DGU Defining Getting Using la facette D finition Defining permet de mod liser le besoin d observation la facette Obtention Getting de la trace permet de mod liser le moyen d observation et la facette Utilisation Using pr cise l utilit de la donn e d observation et d crit l utilisation qui en sera faite Tous les mod les d information de ces types de donn es ont t pr sent s dans Choquet et Iksal 2007 Pour mieux comprendre la suite nous pr sentons ici le mod le d information de l indicateur selon ces trois facettes Figure 1 DCLAUTL Data Combination Language for UTL Comme nous l avons pr cis UTL permet de structur
249. hopler amp G B Mesibov Eds Behavioral issues in autism New York Plenum 193 205 Moore M Calvert S 2000 Brief Report Vocabulary Acquisition for Children with Autism Teacher or Computer Instruction Journal of Autism and Developmental Disorders vol 30 n 4 2000b 359 362 Panyan M 1984 Computer technology for autistic students Journal of Autism and Developmental Disorders n 4 375 382 Sik L nyi C amp Tilinger 2004 Multimedia and virtual reality in the rehabilitation of autistic children Lecture Notes in Computer Science 3118 22 28 Tina R Goldsmith Linda A LeBlanc 2004 Use of Technology in Interventions for Children with Autism JEIBI Volume 1 Issue Number 2 Tjus T Heimann M Lund lv M 2003 Multimedia Enhancement of Language and Reading Skills In Proceedings of International Congress Autism Europe Lisbone 14 16 novembre Lisbone APPDA 278 280 Ben Chaim H M Josman N Friedrich S amp Weiss P L 2006 Virtual reality for teaching street crossing skills to children with autism In Proceedings of the 11th Annual Cyber Therapy Conference 12 15 juin Gatineau Gu bec Canada Chen M C Tsai Y H amp Wu T F 2005 Comparing Three Different Text Representations for Students with Autism In Electronic Proceedings of the 11th International Conference on Human Computer Interaction Dautenhahn K 2000 Design Issues on Interactive Environme
250. hotos The Psychological Record 39 325 331 Erhel S and Jamet E 2006 Using Pop up Windows to Improve Multimedia Learning Journal of Computer Asisted Learning 22 137 147 Erickson F 1996 Going for the Zone The Social and Cognitive Ecology of Teacher student Interaction in Classroom Conversations Discourse Learning and Schooling Hicks D d New York Cambridge University Press 29 62 Erickson F 1984 School Literacy and Civility An Anthropologist s Perspective Review of Educational Research 54 4 525 546 Fuertes Oliveira P A 2007 A Corpus based View of Lexical Gender in Written Business English English for Specific Purposes 26 2 219 234 Fraisse G 1984 Un dangereux anachronisme questions sur l analyse de la reproduction du sexisme L empire de la sociologie Collectif R voltes Logiques ds Pairs La D couverte 117 128 Journal Officiel de la R publique Fran aise n 0097 2009 D cret n 2009 460 du 23 avril 2009 modifiant le d cret n 84 431 du 6 juin 1984 fixant les dispositions statutaires communes applicables aux enseignants chercheurs et portant statut particulier du corps des professeurs des universit s et du corps des ma tres de conf rences et portant diverses dispositions relatives aux enseignants chercheurs 7137 Hamon L 2007 Inventaire d aides dans les environnements multim dias d apprentissage et propositions d aides multimodales Apprentissage des langues et sys
251. hteenth International Conference on Data Engineering 117 128 Moritz S H 2008 Generating and Evaluating Object Oriented Designs in an Intelligent Tutoring System Ph D diss Lehigh University Bethlehem USA 144 Lyon 6 et 7 mai 2010 LIP Request un outil pour aider interpr ter et partager les traces des apprenants Manel Ben Sassi Laboratoire RIADI GDL ENSI Campus Universitaire Manouba bensassi manel enet tn R sum Dans cette publication nous nous int ressons l analyse des traces pour rem dier au manque de feedback et offrir un outil qui aide le tuteur interpr ter les parcours de ses apprenants Une tude approfondie de l tat de l art nous a permis de d gager les lacunes des approches propos es pour la mod lisation de la trace et son usage au sein d un EIAH l appropriation des traces mod lis es et la difficult trouv e pour l exploiter Pour contourner ces lacunes nous proposons une approche qui se base sur la mod lisation des traces brutes suivant le standard de mod le de l apprenant IMS LIP Nous proposons galement un langage de requ tes graphique et informel sur cette trace structur e pour offrir au tuteur la possibilit d interroger la trace suivant des mots clefs Introduction Le tuteur dans la formation distance perd une certaine perception de l activit de l apprenant et ne peut alors sp cifier le d roulement de l activit Une voie prometteuse
252. i es pendant la conception initiale Pour chaque point de variation l enseignant peut adapter son mod le en pr cisant l alternative la plus appropri e Une fois toutes ces d cisions d finies le sc nario adaptable est individualis en supprimant les variantes qui ne sont plus pertinentes conduisant un 3mes Rencontres Jeunes Chercheurs en EIAH 85 El Amine Ouraiba modele de sc nario contextualis Ce dernier peut tre utilis pour avoir une conception plus fine afin de produire une sp cification ex cutable satisfaisant un ensemble d exigences La couche contextuelle ouverte C est la couche des exceptions o le sc nario est ex cut dans un contexte impr vu Dans cette partie de nouvelles variantes vont merger La sp cification de cette partie ouverte est alors laiss e au moment du d roulement de la session d apprentissage en temps r el Dans la plupart des cas il n est pas pratique voire impossible de d finir une description compl te de mod le qui repr sente un sc nario p dagogique En raison de l absence d un mod le complet l adaptation dynamique doit tre n cessaire durant l ex cution En fait certains l ments ne peuvent tre d finis compl tement que dans l action in situ comme par exemple les ressources disponibles qui peuvent tres utilis es dans une activit Le sc nario effectif r sultant pourrait tre capitalis et dans certains cas cela pourrait
253. i que la possibilit de la saisie en direct des s quences d enseignement pour permettre a l enseignant un plus grand contr le Dans la pratique il est parfois difficile voire impossible de cr er une description compl te d un sc nario d apprentissage avant le d but de son ex cution Zarraounandia 2006 D ailleurs des tudes en mati re de conception ont montr que le concepteur ne peut compl ter et pr ciser sa repr sentation mentale que progressivement Bonnardel et Rech 1998 En fait le sc nario r el d apprentissage est unique et situ dans son propre contexte En raison des chargements dynamiques et de sp cificit de ce contexte il est difficile donc de mener le sc nario d apprentissage exactement suivant le mod le de conception d apprentissage prescrit sans d vier Yongwu 2005 Cette d viation est g r e par l enseignant usager qui joue le r le de superviseur de la session d apprentissage Selon Dessus et K Schneider 2006 Tout enseignant sait justement op rer des changements importants par rapport ses intentions initiales selon les impr vus survenant Pour nombre de praticiens la litt rature le souligne galement il existe un profond foss conceptuel entre les outils de mod lisation des sc narios p dagogiques actuellement disponibles et les besoins des enseignants notamment les non experts Griffiths et al 2005 Dodero et al 2008 Ces praticiens ne peuvent pas faire le design p
254. iantes mergentes pendant le d roulement de la session d apprentissage suivant des circonstances inattendues qui d finissent des contextes impr vus La figure 2 montre le mod le conceptuel qui pr sente les l ments des deux parties d un sc nario p dagogique ouvert E St naio ouvert H Partie non pr sp ct e Y 0 N Ih E vairte emergente pende texte mau E Corteste pen E Vaiantepiedeine E E ments statiques H intenten p dagogque d pond de grat objec p dagecque i F d fnt u fi r E Comportement ind srable E Comportement d srable E Comportement sige Figure 2 Le mod le conceptuel d un sc nario ouvert Processus d ing nierie et r ing nierie d un sc nario p dagogique ouvert On peut consid rer un sc nario p dagogique ouvert comme une entit en volution continue en fonction des contextes dans lesquels il est ins r Son tat doit d pendre fortement des circonstances de son utilisation Cela pose plusieurs enjeux l enseignant Il doit tre capable de pr coniser et de sp cifier toutes les parties du sc nario ouvert l ments rigides l ments adaptables et l ments ouverts de d finir les strat gies d adaptation qui permettent aux utilisateurs autoris s de d tourner le sc nario
255. ias et apprentissage Blondel F M 2001b La recherche d information sur internet par des lyc ens analyse et assistance l apprentissage Cinqui me Colloque Hyperm dias et apprentissage Paris INRP EPI 119 133 Boub e N Tricot A 2007 La formulation de requ te une pratique ordinaire des l ves du secondaire 6 me international de chapitre fran ais de PISKO Toulouse Fidel R amp Davies RK amp Douglass MH amp Holder JK amp Hopkins CJ amp Kushner EJ amp Miyagishima BK amp Toney CD 1999 A Visit to the Information Mall Web Searching Behavior of High School Students Journal of the American society for information science and technology 50 1 24 37 1999 162 Lyon 6 et 7 mai 2010 laboration de profils d apprenants partir de traces mod lis es issues d EIAH Lemya Settouti Universit de Lyon CNRS Universit Lyon1 LIRIS UMR 5205 F 69622 France R sum Nous proposons dans cet article un cadre conceptuel pour d crire le processus d laboration de profils d apprenants partir des traces d interaction issues d EIAH supportant une situation d apprentissage individuel Ce cadre inclut des mod les de connaissances permettant de repr senter explicitement les observations sur les interactions de l apprenant avec un EIAH et d exprimer les connaissances permettant d interpr ter les traces d interaction en vue de calculer et ou de d duire
256. il est n cessaire d identifier au pr alable les invariants concernant la structure des applications produire Or c est le r le du m ta mod le d environnement que nous utilisons Notre approche tant bas e sur un m ta mod le formel d environnement virtuel nous pensons qu il est de plus possible d automatiser un certain nombre de t ches concernant les tapes de cr ation d outils sp cifiques un domaine Une autre perspective envisag e concerne la v rifi cation de la coh rence des sc narios p dagogiques cr s En effet pour d crire l activit attendue de l apprenant le formateur peut agencer comme il le souhaite les actions d crites dans le mod le m tier Or il se peut que l enchainement d crit soit incoh rent d un point de vue temporel les actions ne peuvent tre r alis es dans le temps imparti ou logistique plusieurs actions simultan es mobilisent la m me ressource Il s agit alors d outiller le mod le afin d exploiter les informations contenues dans le mod le m tier pour guider le formateur dans la conception de son sc nario p dagogique R f rences Beney M et Guinard J Y 2004 L valuation de Pefficacit du guidage dans les travaux pratiques de DEUG un probl me m thodologique complexe Didaskalia 24 29 64 Chevaillier P Querrec R et Septseault C 2009 VEHA un m ta mod le d environnement virtuel inform et structur Revue des Scienc
257. iliter l exploitation des profils construits nous proposons un langage de requ tes graphique et informel Comme perspectives de notre travail nous avons identifi Exploiter notre approche pour adapter un ou plusieurs aspects dans un EIAH Exploiter les r sultats des requ tes pour inf rer de nouvelles connaissances qui seront exploit es pour assister le tuteur dans ses interpr tations R f rences Champin P Pri Y and Mille A MUSETTE Modeling USEs and Tasks for Tracing Experience In Workshop 5 From Structured Cases to Unstructured Problem Solving Episodes For Experience Based Assistance ICCBR 03 pp 279 286 Juin 2003 Diagne F MTSA Un Mod le de Traces pour la Supervision de l Apprentissage In Mod lisation des connaissances 6 journ es francophones Extraction et Gestion des Connaissances 2006 Egyed Zsigmond E Mille A and Pri Y Trefle A Use Trace Model Springer Berlin Heidelberg Vol 2689 2003 Janvier 2003 Jermann P Soller A and Muehlenbrock M From mirroring to guiding A review of state of the art technology for supporting collaborative learning In Proceedings of the First European Conference on Computer Supported Collaborative Learning pp 324 331 2001 Pernin J P Sc narios et traces d apprentissage Institut national de recherche p dagogique Laboratoire CLIPS IMAG Grenoble f vrier 2005 146 Lyon 6 et 7 mai 2010 Pratiques d utilisatio
258. imenter d ployer observer des environnements qui permettent et facilitent des apprentissages Ces environnements reposent sur des donn es et connaissances de natures diff rentes qui sont embarqu es et repr sent es de fa on plus ou moins explicite Ces connaissances seront dites p dagogiques et l expos tendra d montrer que l expertise p dagogique est toujours au c ur des recherches en EIAH en r f rence un papier intitul Teaching Expertise is at the Core of ITS Research IJAIED 10 335 349 1999 Dans une premi re partie nous analyserons ces connaissances dites tutorielles p dagogiques de guidage ou d adaptation selon les cas nous en chercherons les sources nous passerons en revue les principales implantations les analyses d usages et les critiques et nous les illustrerons par des exemples Dans une seconde partie nous observerons les principales tentatives propos es ces derni res ann es pour offrir des environnements plus flexibles et plus facilement adaptables aux besoins d apprenants travaillant dans des contextes de plus en plus vari s Beaucoup de ces propositions utilisent des donn es permises par des progr s technologiques comme la r alit virtuelle ou la reconnaissance des tats affectifs L essentiel est videmment de savoir comment la facette p dagogique a volu et si des am liorations significatives sur les apprentissages sont observ es par rapport l existant Dans u
259. inue eds ESF 14 me edition 2005 IA 2005 D livrables 1 2 et 3 du JEIRP IA Interaction Analysis Supporting participants in Technology based Learning participants r seau d excellence Kal idoscope http www rhodes aegean gr ltee kaleidoscope ia ICALTS 2004 D livrables 1 2 et 3 du JEIRP ICALTS Interaction and Collaboration Analysis supporting Teachers and Students s self regulation r seau d excellence Kal idoscope http www rhodes aegean gr ltee kaleidoscope icalts Labat J M 2002 EIAH Quel retour d informations pour le tuteur Actes du colloque international Technologies de l Information et de la Communication dans les Enseignements d ing nieurs et dans l industrie TICE 02 Lyon France Martinez A Dimitriadis Y Gomez E Rubia B De La Fuente P 2003 Combining qualitative and social network analysis for the study of classroom social interactions Computers and Education special issue on Documenting Collaborative Interactions Issues and Approaches vol 41 no 4 pp 353 368 Rabardel P 1995 Les hommes et les technologies Une approche cognitive des instruments contemporains eds Armand Colin Paris Zimmerman B 2000 Attaining self regulation A social cognitive perspective Handbook of self regulation ed M Boekaerts P R Pintrich amp M Zeidner Academic Press San Diego 2000 34 Lyon 6 et 7 mai 2010 GEPPETO une approche g n rique perme
260. ion des sc narios gr ce l externalisation de l diteur qui est capable de sp cifier des sc narios externes de la plateforme mais bas s sur son m tier L approche DSM pour la g n ration des outils adapt s la plateforme pourra tre exploit e pour des objectifs d interop rabilit entre plateformes R f rences Botturi L and Stubbs S T 2007 Handbook of Visual Languages for Instructional Design Theories and Practices Information Science Reference Kelly S and Tolvanen J P 2008 Domain Specific Modeling ISBN 978 0 470 03666 2 March 2008 Wiley IEEE Computer Society Press Laforcade P Zendagui B and Barr V 2008 A Domain Specific Modeling Approach to Support Scenarios Based Instructional Design In proceedings of the 3rd European Conference on Technology Enhanced Learning ECTEL 08 Netherlands El Kechai H 2008 Conception collective de sc narios p dagogiques dans un contexte de r ing nierie Doctorat de l universit du Maine 142 Lyon 6 et 7 mai 2010 valuation de la m thode d appariement ACDC appliqu e au diagnostic dans Diagram un EIAH de la mod lisation orient e objet Ludovic Auxepaules LIUM Institut Claude Chappe Avenue La nnec 72085 Le Mans France Ludovic Auxepaules O lium univ lemans fr R sum Cet article expose la premi re valuation du module de diagnostic ACDC Automatic Class Diagrams Comparator depuis son int gration dans Diagra
261. ique de cr ation des activit s p dagogiques Description de l activit Actions m tier j _ a a be D but Fin Transition Condition Simultan it Observable Validit Text Y Roles manipulateur manipulateur enseignant gt Procedures Expliquer mise en phase Y mesureVitesseLi PlacerMilieuSurSupport PlacerMileusurs Le DeplacerMiroirfl mia Noterositionmir MettreCourbesEl gt DeplacerMiroirar DeplacerMiroirAPositiont lt lt Observable gt gt Mesurerpheseer A oo e ostiont Actions Pedago NoterPositionMiroir Afficher rayon lumineux Tourne Bouton MettreCourbesEnPhase DepiacerMiroirAPosition2 Y cy MesurerPhaseEntreCourbes Figure 7 Interface de cr ation d une activit p dagogique a partir du mod le des activit s m tiers Afficher rayon lumineux IeterachaBaldiianea host position2 tuhe_eau longueun Le deuxi me outil que nous avons d velopp est un outil de suivi de l ex cution des sc narios Cet outil se pr sente sous la forme d une interface Web qui une fois connect e au serveur sur lequel s ex cute le sc na rio permet au formateur de suivre l avancement des apprenants dans le sc nario p dagogique Le formateur peut donc voir quels apprenants sont connect s et quelles activit s sont en cours de r alisation L interface permet
262. iques ajustables en temps r el NICOLAS VEZIAN 4640404 aS wR SO SEE RA ae a we Es en 109 Session 6 Usages 115 Utilisation des TIC pour les Enfants Autistes dans un Cadre Educatif RAMIA ETCHE OGELI s s s wini ia e 4440 117 La correction de copies d examens du support papier la gestion par ordinateur CAMILLE CAPELLE 4 4 Auen Je SAME ANS e hk Pao en a ae sr 123 L apport du traitement des donn es temps issues d un stylo num rique pour l analyse de tests d va luation ZAARA BARHOUMI aoa s wu ai a a a A a dr ew 131 Posters 139 Approche Domain Specific Modeling pour l op rationnalisation de sc narios p dagogiques sur des plateformes de formation distance AYMEN ABEDMOULEH eee 141 valuation de la m thode d appariement ACDC appliqu e au diagnostic dans Diagram un EIAH de la mod lisation orient e objet LUDOVIC AUXEPAULES ec as do de a ue ee je ew we Hew 143 LIP Request un outil pour aider interpr ter et partager les traces des apprenants MANEL BEN SASSI o u u ua a u an na ose dun we nf de ww ut ww Be we we 145 Pratiques d utilisation des outils de recherche sur Internet connaissances et strat gies MARIE LAURE COMPANT LA FONTAINE 147 12 Lyon 6 et 7 mai 2010 Int gration de la r alit mixte dans les serious games CHARLOTTE COURDAVAULT 44444 149 Le P de TIC usages personnels et usages
263. iques pour g rer les ressorts de jeu Toutefois la souplesse des sc narios con us devrait permettre leur mise en uvre dans des univers virtuels plus immersifs tels que Second Life La premi re tape de notre travail a consist construire une grille de description Klabbers 2008 Mariais et al 2009 cadre de description formel servant de base la sp cification de l environnement d assistance cette grille outillera la m thodologie de conception de sc narios mise en uvre dans l environnement et supportera l indexation de sc narios dans une biblioth que ainsi que leur description d taill e n cessaire l op rationnalisation 44 Lyon 6 et 7 mai 2010 Ressorts de jeu et conception de Learning Games Identification de Ressorts de Jeu et de Motivation L un des l ments essentiels auxquels nous nous sommes int ress s lors de la construction de cette grille est l identification de ressorts de jeu Elle est au c ur de la description d un sc nario LRPG dans la mesure o elle constitue la sp cificit la plus importante de ce type de sc narios par rapport aux sc narios p dagogiques classiques Les ressorts de jeu sont identifi s comme source d engagement et de motivation des apprenants dans les activit s Charles et al 2009 Dans le cadre de la sp cification de l environnement ScenLRPG l tablissement de corr lations entre les ressorts de jeu d un sc nario LRPG et les int
264. ires remplis et pour chaque page les noms de chaque zone la valeur crite criture valid e pour un champ texte code de la r ponse choisie pour un champ ferm et les instants de d but et de fin d criture de chaque zone Nous avons con u un outil Segell automatisant le transfert des donn es de l export XML dans une base de donn es MySQL et r alisant un retraitement de ces donn es Un module de Segell se charge du re calcul des dur es des critures En effet avec la technologie Kayentis nous avons acc s aux instants des d buts d criture et aux instants des fins d criture de chaque champ Ces donn es nous permettent d estimer les dur es dites dur es d criture pass es sur chaque zone pour crire les r ponses Nous supposons galement que la dur e pass e entre la fin de l criture dans une zone et le d but de l criture dans une deuxi me zone a t consacr e en grande partie lire et r fl chir la r ponse li e la deuxi me zone pour plus de d tail sur Administration E Imprimante R pondant Chercheur Imprimer sur papier remplir le questionnaire Instrumenter tram Recueil des donn es kayentis gt Stylo num rique Plateforme Forms Transfert des donn es Recueil des donn es amp Segell i Classification calcul des donn es rf Gestion et repr sentation Des donn es Chercheur Analyser et i
265. irm s qui viennent contribuer la richesse des discussions Nous remercions galement l ATIEF et les diff rents sponsors pour leur soutien ainsi que l Universit Lyon 1 et plus particuli rement le d partement Informatique de la Facult des Sciences et Technologies pour avoir accueilli les rencontres Enfin nous remercions les jeunes chercheurs en EIAH sans qui ces journ es n existeraient pas Les diteurs Viviane Gu raud et Marie Lefevre Table des mati res Introduction 7 Conf rence invit e 17 Du guidage p dagogique au soutien personnalis l apprentissage dans les EIAH volutions et questions ouvertes MONIQUE GRANDBASTIEN 19 Session 1 21 Une analyse Bakhtinienne du genre en didactique de l anglais de sp cialit LAURA M HARTWELL ion ar Re aus re ea dre ee du dt ee a du 23 Les indicateurs la base de l aide l auto r gulation tutorale AINA LEKIRAs 3 tog kalea des pou a ME le le toast 29 GEPPETO une approche g n rique permettant d adapter les activit s des apprenants aux intentions p dagogiques de chaque enseignant MARIE LEFEVRE coso 2 20 0 0 ta a eS te ge de D a ele nue ni a 35 Session 2 Jeux S rieux 41 Des ressorts de jeu pour une assistance a la conception de sc narios Learning Role Playing Games CHRISTELLE MARIAIS s 4 4 2 00 pu a sn Ss 45 45 46 a pe bee ak 43 Le suivi de l apprenant dans un serious game int
266. isamment faible nous pourrons reconduire cette exp rience l ann e prochaine en tentant d utiliser nos r sultats pour d tecter les bin mes en besoin de soutien En effet toutes les donn es tant r colt es automatiquement le calcul de pr diction pourra se faire d une s ance l autre Enfin l utilisation de l outil Tatiana Dyke et al 2009 nous permettra d examiner de plus pr s certaines s ances de programmation c est dire reproduire et annoter l activit de production de code une date ult rieure afin de g n rer des hypoth ses sur de nouveaux indicateurs qui nous permettraient d am liorer la performance de notre mod le pr dictif En particulier l valuation par QCM nous permettra d tablir pour chaque tudiant un mod le d apprenant bas sur ses connaissances en programmation et mod lisation orient e objet Il sera int ressant d examiner s il est possible de pr dire ce mod le partir des donn es collect es Conclusion Dans cet article nous avons pr sent une exp rience en cours sur des tudiants programmant en bin me avec le langage Java et PIDE Eclipse Les donn es r colt es ont t choisies d apr s les r sultats d tudes similaires et ont t compl t es par des donn es de bas niveau qui nous esp rons nous informeront sur le mode de travail collaboratif et seront aussi pr dictrices de r sultats lors d valuations de travail de grou
267. islevy et Gitomer 1996 Nous avons choisi de repr senter la notion d incertitude par le biais d un degr de croyance associ chaque l ment d tect X selon l chelle suivante e 1 je soup onne que l apprenant poss de X e 2 je suis moyennement s r que l apprenant poss de X e 3 je suis pratiquement s r que l apprenant poss de X e 4 je suis s r que l apprenant poss de X Dans notre outil chaque connaissance comp tence et erreurs sont mod lis es l aide d un Code de la forme Lettre Nombre o Lettre e c cp ej o c cp e repr sentent respectivement connaissance comp tence erreur et o Nombre permet l identification de l l ment Le diagnostic fourni par DiagElec est un vecteur de diagnostic V d fini par un ensemble de Couple Code Degr Croyance o Degr Croyance repr sente le degr de croyance associ la conception Soit E un expert humain ou automatique A un apprenant P un probl me et C un contexte de diagnostic nous d signons par Ve 1p c le vecteur de diagnostic tabli par l expert E concernant A pour le probl me P dans le contexte C Par exemple V q p2 51 TPElec C11 2 e7 3 cp6 4 Prise en compte du contexte de r solution Nous appelons contexte de r solution tout outil informatique utilis par l apprenant pour mener a bien une activit p dagogique et contexte de diagnostic tout outil informatique ou combinaiso
268. issements de formation Bien que destin s une utilisation concr te dans un contexte pratique ils sont encore tr s fr quemment con us de mani re tr s technocentrique repoussant les ignorant parfois certaines caract ristiques fondamentales des usagers finaux Ces technologies ducatives n ont pas toujours la souplesse requise pour une utilisation dans le cadre ducatif qui demande bien souvent des adaptations rapides des v nements nouveaux et souvent impr vus Cottier et al 2008 En effet la pr occupation d un enseignant qui souhaite utiliser l informatique pour son enseignement est de concevoir une situation d enseignement sous forme d un sc nario qui r ponde au probl me p dagogique qu il se pose Cottier et al 2008 Pour ce faire il d crit des unit s d apprentissage g n ralement en utilisant un langage de mod lisation p dagogique EML pour Educational Modeling Langage Koper 2001 tel que la sp cification IMS LD IMS LD 2003 et LDL Vignollet et al 2006 Selon Dessus et K Schneider 2006 les EML sont destin s normalement rationaliser le travail de l enseignant et le rendre plus efficace Toutefois ils pr supposent que toute situation d enseignement est statique d coupable et ais ment descriptible Les auteurs poursuivent les EML doivent prendre en compte le caract re dynamique et contextualis de toute situation d enseignement sans jouer sur l interop rabilit ains
269. iste d l ves Vue des l ves visuelles des visuelles du traces l ves u sc nario Vue des traces Vue du sc nario l ves Figure 3 FORMID Suivi vu au prisme du mod le de r f rence adapt par Hurter et Conversy 07 Par souci de clart nous n affichons pas les traitements internes aux niveaux de donn es ni les interactions en provenance de l utilisateur Lors du choix de la s ance suivre la liste des l ves de la s ance et son sc nario sont lus et plac s en m moire dans des tables de donn es d di es Le contenu de ces tables est utilis pour g n rer l interface de suivi Par exemple pour le niveau 1 de suivi une ligne sera g n r e pour chaque l ve et des colonnes seront g n r es de fa on ad quate avec les exercices et tapes du sc nario Le flux de traces l ves correspond aux traces g n r es par ceux ci durant leur activit et enregistr es dans une base de donn es A l tape suivante du traitement ces donn es sont alors plac es dans les tables structur es en fonction des l ments de la s ance sc nario et l ves L tape suivante g n re les repr sentations abstraites des traces qui sont ensuite transform es en vues Ces transformations visuelles d pendent directement des structures visuelles des l ments de la s ance Par exemple les traces enregistr es dans la table qui correspond l exercice 1 appara tront visuellement dans la colonne de cet
270. isualisation destination de l enseignant lt indicator type PEDALO I CompilationRate gt lt position class Point line 10 errorType illegal start of expression gt 1 lt position gt lt position class Point line 23 errorType class interface or enum expected gt 1 lt position gt lt position class Point line errorType class interface or enum expected gt 1 lt position gt lt position class Point line lt position class Point line 36 errorType reached end of file while parsing gt 1 lt position gt lt errors gt lt value gt Figure 4 Instance d un indicateur Calcul d indicateurs en temps r el Nous avons tendu le mod le de la Figure 3 au mod le client serveur permettant de calculer des indicateurs en temps r el partir de traces produites par l environnement Hop3x La Figure 5 pr sente ce mod le Hop3x est une plate forme qui aide des tudiants de troisi me ann e de licence informatique l Universit du Maine apprendre les techniques de programmation orient e objet en Java Hop3x enregistre toutes les activit s des tudiants pendant la session d apprentissage Ces activit s sont typ es selon les v nements suivants l insertion d un texte la suppression d un texte l insertion d un projet la suppression d un projet le choix d une question la compilation manuelle la compilation automatique l ex cution d un programme etc Pendant la
271. it par exemple l enseignant doit r p ter les 5 mots que l on vient de lui dire Ces t ches furent identiques aux enseignants 4 La collecte des diagnostics s est faite lors d entretiens individuels que nous avons enregistr s Nous disposons de 146 heures d enregistrement Evaluation de DiagElec Dans cette partie nous allons comparer les diagnostics tablis par DiagElec expert automatique avec ceux r alis s par les enseignants experts humains Pour cela nous avons utilis la m thode gold standard o les diagnostics de r f rence sont ceux des experts humains Le choix de cette m thode se justifie par le fait qu elle est classiquement utilis e lors de comparaisons de tests diagnostiques Murray 1999 Iqbal et al 1999 De plus nous introduirons les notations E Ez Ez afin de d signer les experts humains et E4 pour d signer DiagElec Quadruplet de vecteurs de diagnostic associ s aux experts Pour un apprenant donn un probl me donn et un contexte de r solution donn nous avons 4 vecteurs de diagnostic un par expert Un exemple de quadruplet de vecteurs de diagnostic associ s l apprenant A lors de la r solution du probl me P l aide de TPElec est donn dans la figure suivante V a1 p2 81 TPElec C11 2 e7 3 cp6 4 V A1 P2 E2 TPElec C11 3 e7 2 cp6 4 cp21 1 Vai p2 B3 rpelec C10 2 c11 4 7 4 e14 1 cp6 3 Vat p2 E4 TPElec
272. ivity context and culture in which it is developed Afin de faciliter l tude des diff rentes situations nous proposons de r organiser ces axes en consid rant l utilisateur et les personnes impliqu es dans l activit who le contexte spatio temporel where when l activit what why et le dispositif ubiquitaire en lui m me Ces dimensions recouvrent les axes propos s par Abowd et Mynatt 2000 et y ajoutent le dispositif ubiquitaire celui ci faisant en effet partie int grante de la situation d apprentissage Nous proposons donc maintenant une analyse de situations existantes selon chacun de ces axes Nous essayerons chaque fois de d finir pr cis ment l axe consid r la mani re dont il est pris en compte dans les diff rentes situations et son lien avec un apprentissage authentique Le Contexte Spatio temporel Il s agit ici du contexte spatio temporel dans lequel prend place l activit Si ce contexte est relativement troit lors d un apprentissage classique ex le lieu et l heure d un cours il est beaucoup plus large dans le cas des dispositifs ubiquitaires Concernant le contexte spatial on peut le d finir comme l ensemble des lieux o l utilisation du dispositif est pr vue Les dispositifs ubiquitaires peuvent ainsi avoir une utilisation pr vue l chelle de la maison Gustafsson et Baang 2008 d un magasin Barbry et al 2008 ou m me d une ville Kittl et
273. l 2009 Des m canismes tels que le classement des dix meilleurs joueurs du meilleur joueur ou l attribution de coupes ou de m dailles comme dans le cas des XBoxLive ou PSNetwork permettent de stimuler la motivation et donc la performance Ces l ments peuvent tre d finis dans un LMS pour chaque joueur mais ne pourront tre vus par les autres pour des raisons de confidentialit intrins ques au fonctionnement m me des LMS Les deux premi res limites pr sent es peuvent tre contourn es par le recours une base de donn es externe autorisant une grande libert en termes de d finition des indicateurs La troisi me peut tre r solue en impl mentant un web service Nous n approfondirons pas ce domaine dans le cadre de notre travail Une Etude de Cas Star Bank The Game Le Contexte L objectif de StarBank The Game est de pr senter le groupe BNP Paribas aux nouveaux entrants dans le groupe Il s agit plus d un projet mixte interm diaire entre de la formation et de la simple information Par l interm diaire du jeu les nouveaux employ s doivent tre sensibilis s aux diff rents m tiers et services rendre et donc comprendre quel moment un m tier ou un service doit tre introduit pour permettre le d veloppement du groupe Il s agit donc de v rifier la compr hension de l organisation bancaire autour de la demande de la client le et des caract ristiques du march Pour cela le joueu
274. l augmentation de l environnement par des capteurs metteurs sur les objets ou les outils La perception et la manipulation d objet r el sont augment es par l association d information issue du monde num rique ajout d l ments non perceptibles naturellement L usage de la r alit mixte dans les Serious Game est pour le moment encore inexploit SEGAREM vise apporter des premi res r ponses sur le plan des m thodes mod les et outils pour la production de dispositifs interactifs de formation innovants dits Serious Games Mixtes Les l ments produits sont m ta mod lis s pour tre r utilis s dans un processus industrialis de conception des Serious Games Le parti pris par le projet est d utiliser les interfaces tangibles comme un aspect particulier de la r alit mixte Les interfaces tangibles sont des objets physiques coupl s des senseurs et des effecteurs permettant la fois de se repr senter contr ler et manipuler l information Ullmer et Ishii 97 il en d coule une distance plus faible entre objet r el et objet virtuel L espace physique les surfaces et les objets permettent en simultan la repr sentation et la manipulation d objets num riques De plus la richesse de l interaction est am lior e gr ce l association de la repr sentation physique et les m canismes permettant cette interaction Aussi l affordance Norman 90 capacit d un objet sugg rer
275. l utilisateur d un syst me d apprentissage ubiquitaire il est important de faire la distinction entre l activit prescrite et l activit r elle L activit prescrite est l ensemble des t ches que doit r aliser l utilisateur elle peut tre d crite de mani re formelle dans des documents ou prescrite oralement par le commanditaire L activite r elle est ce que fait effectivement l utilisateur Dans le cas de l apprentissage sur le lieu de travail il existe toujours une activit prescrite celle ci pouvant 3 mes Rencontres Jeunes Chercheurs en EIAH 97 Pierre Yves Gicquel alors faire l objet d une mod lisation Disposant d un mod le de l activit le dispositif peut proposer des t ches d apprentissage que l utilisateur d clenchera quand il le souhaite selon sa charge de travail par exemple Barbry ef al 2008 propose aux utilisateurs d acc der des informations en dehors des moments o ils traitent avec les clients Le dispositif peut aussi d tecter o en est l activit r elle de l utilisateur et lui proposer des informations pertinentes sur la base du mod le de l activit prescrite dans Caron ef al 2008 on propose l utilisateur postier des informations en fonction de l tat de sa tourn e En ce qui concerne l apprentissage universitaire les informations sur l activit prescrite sont moins nombreuses Le dispositif peut cependant utiliser les moyens
276. lby R Taylor L Treacy D Weinstein A and Wintersgill M 2005 The Andes Physics Tutoring System Lessons Learned International Journal of Artificial Intelligence and Education 15 3 68 Lyon 6 et 7 mai 2010 Calcul d indicateur pour la r ing nierie de sc nario p dagogique en utilisant UTL et DCL4UTL Diem Pham Thi Ngoc Laboratoire LIUM 52 rue des docteurs Calmette et Gu rin 53020 Laval Cedex 9 diem pham_thi_ngoc univ lemans fr R sum Le travail pr sent dans ce papier porte sur l analyse des traces concernant les activit s des apprenants collect es par des EIAH en vue d assister l enseignant dans la r ing nierie de son sc nario p dagogique Nous abordons dans cet article une m thode de calcul des besoins d observation en termes d indicateurs de l enseignant partir de traces L enseignant peut les utiliser pour analyser et ou valuer une session d apprentissage et donc pour am liorer le sc nario p dagogique qu il a con u Nous proposons un langage de description du calcul des indicateurs en vue d une instrumentation appel DCLAUTL Ce langage est bas sur UTL Usage Tracking Language Nous pr sentons galement l outil d velopp qui permet d ex cuter ces indicateurs ainsi qu une application dans l environnement Hop3x Introduction Dans un environnement d apprentissage traditionnel en pr sentiel l enseignant peut directement contr ler et observer les activit
277. le deux processus le premier le processus AKASI permet d instancier le m ta mod le AKEPI avec les connaissances propres un EIAH x afin d obtenir le mod le OKEP x Operational Knowledge Enabling Personalization of the ILE x un mod le des connaissances op rationnelles permettant la personnalisation de PEIAH x et l autre le processus OPIKSI permet d utiliser le mod le OKEP x afin de personnaliser PEIAH x Donnons un exemple concret d utilisation pour mieux comprendre l approche GEPPETOs Prenons un enseignant de CE2 Celui ci souhaite utiliser diff rents logiciels en classe avec ses l ves le logiciel AMBRE add Nogry et al 2004 pour que ses l ves travaillent sur les probl mes additifs le logiciel TRI Jean Daubias 2007 pour sensibiliser ses l ves au tri des d chets et le logiciel ABALECT Chev 2005 pour faire travailler ses l ves en lecture Le logiciel AMBRE add poss de un module apprenant mais aussi un module enseignant qui permet entre autres de cr er des exercices adapt s aux besoins p dagogiques d un enseignant de combiner ces exercices pour cr er des s quences de travail et d affecter les s quences un apprenant donn Tous les choix effectu s par l enseignant dans le module enseignant sont m moris s dans des fichiers de configuration servant au module apprenant Ainsi lorsque notre enseignant veut cr er des exercices les choix qu il fait l interface sont t
278. le meilleur du composant Nous mettons aussi disposition 2 ou 3 exemples de composants p dagogiques instanci s partir de cet diteur pour inspirer les auteurs Cf figure 2 Quand un composant est int gr un SG il doit tre possible de le param trer avant son lancement en fonction du profil de l apprenant et de l avancement du SG De la m me fa on le SG doit pouvoir r cup rer les traces d utilisation du composant pour mettre jour le profil de l apprenant Pour faciliter ces changes de donn es chaque composant doit satisfaire le mod le d crit dans la figure 1 avec 4 connecteurs d entr es et de sorties LGF 2009 e Moissonnabilit des m tadonn es du composant c est dire la possibilit de faire des recherches pr cises sur les caract ristiques d crites par l auteur e Param trage des donn es du composant pour le configurer avant son lancement Par exemple pour les composants g n riques l auteur pourra utiliser cette fonctionnalit et modifier les l ments de l interface le contenu ou le contr le en fonction des possibilit s donn es par l diteur Dans certain cas et si l auteur lui en a laiss la possibilit le tuteur pourra lui aussi changer certains param tres pour l adapter ses l ves Enfin c est gr ce cette fonctionnalit que le composant s adapte aux actions effectu es par l apprenant dans les composants pr c dents e Adaptabilit p
279. le o l apprenant d couvre chaque brique au fur et mesure et doit ensuite reconstruire le tout en un ensemble de connaissances coh rent e Le jeu d aventure dans lequel le joueur livr lui m me part la d couverte d un micro monde et le d couvre en fonction de ses envies eLe jeu poup e russe dans lequel pour diff rents sujets le joueur peut choisir d approfondir ses connaissances petit petit Pour rendre la t che des fournisseurs de composants plus facile nous avons d velopp un diteur de m tadonn e LOM SG en reprenant l outil open source LomPad http helios licef ca 8080 LomPad d velopp par le LICEF Cet diteur est facilement maniable donne la possibilit de cacher les l ments optionnels et g n re des fichiers HTML et XML automatiquement Retour d usage et d marche qualit globale Pour chaque composant de SG nous pr voyons de demander chaque utilisateur auteurs commanditaire tuteur et apprenant de r pondre des tudes de satisfaction Coupl des tudes statistiques sur les traces d utilisation notre objectif est de pouvoir faire de la r ing nierie et ainsi am liorer nos composants et nos outils d aide la conception et production Notre mod le se construit sur l exp rience Plus il y aura de SG de composants et d apprenants et plus les auteurs auront des biblioth ques riches en exemple et en retour d usage 3 Favoriser l interop ra
280. le temps jeux rendez vous ou encore pour gagner en autonomie r seau t l phonie t l chargement tv diff r e L environnement personnel est donc solution pour vivre avec autonomie agilit instantan it rapidit r activit et fluidit dans une soci t g n ralisant de mani re croissante l usage au quotidien des technologies num riques Personnel dans ce contexte signifie pour nous un usage intime car au plus proche de la demande de l utilisateur et au plus pr t du corps dans le cas de la miniaturisation croissante des composants lectroniques Pour une bauche de cartographie nous proposons l acronyme TICP o P accol a TIC signifierait Personnel Les TICP seraient les technologies utilis es au quotidien fins personnelles priv es et intimes Dans le cadre d une organisation d di e l enseignement comme l universit se rencontrent donc les usages h rit s du quotidien et les usages propos s aux tudiants dans un cursus 4 La r ponse de l universit Nous d crivons le d veloppement du num rique en deux temps Premier temps comme nous l avons d j 3S Rencontres Jeunes Chercheurs en EIAH 151 Thierry Danquigny soulign cf section 1 dans les ann es 90 l universit offrait un acc s d mocratis au num rique et une opportunit d apprendre la technologie Deuxi me temps la g n ralisation croissante des technologies dans la soci
281. lematics and Information Systems 6 Jacquinot Delaunay G 2001 Le Sentiment de Pr sence In Proceedings of Deuxi mes Recontres R seaux Humains R seaux Technologique 183 191 Lyytinen K and Yoo Y 2002 SPECIAL ISSUE Issues and challenges in ubiquitous computing Communication of the ACM 45 62 65 Ogata H and Yano Y 2004 Context Aware Support for Computer Supported Ubiquitous Learning In Proceedings of Second IEEE International Workshop on Wireless and Mobile Technologies In Education 27 34 Ogata H and Yano Y How ubiquitous computing can support language learning 2003 In Proceedings of First International Conference on Knowledge Economy and Development of Science and Technology KEST 2003 1 6 Pham Nguyen C and Garlatti S 2008 Un syst me d apprentissage pervasif int grant des activit s de travail et de formation In Proceedings of the 4th French speaking conference on Mobility and ubiquity computing 65 72 100 Lyon 6 et 7 mai 2010 Session 5 Suivi Utilisation des traces d interaction comme outils d aide l observation sur simulateur Olivier Champalle Universit de Lyon CNRS Universit Lyon 1 LIRIS UMR5205 F 69622 France Olivier Champalle liris cnrs fr R sum Le travail pr sent porte sur la repr sentation et l exploitation des traces dans le contexte des EIAH de type simulateur pleine chelle d di s la formation et au perfectionnement des
282. les l ments du profil de l apprenant Introduction La mod lisation de l apprenant dans les EIAH appel e aussi diagnostic consiste en l ensemble des traitements permettant d laborer et de mettre jour des informations sur l apprenant ses connaissances ses pr f rences etc partir de l analyse de son comportement Pour analyser le comportement de l apprenant il faut observer et donc tracer les informations sur ses interactions avec le syst me durant une session d apprentissage Toutefois le tra age s av re souvent une activit difficile du fait que les observ s obtenus ne sont pas toujours directement exploitables d o la n cessit de les traiter et de les transformer pour obtenir des observ s significatifs pour effectuer le diagnostic Plusieurs approches de mod lisation de l apprenant sont utilis es dans les EIAH Py 1998 Sisson et Shimura Sisson et Shimura 1999 les ont classifi es dans deux cat gories 1 les approches synth tiques qui sont guid es par les traces d interaction et qui utilisent les techniques du data mining pour inf rer les caract ristiques individuelles de l apprenant et 2 les approches analytiques qui outre les traces sont guid es par des mod les mod le de l apprenant mod le du domaine mod le de l expert et qui utilisent en g n ral des syst mes base de connaissances pour inf rer des informations sur l apprenant Certaines informations
283. les questions de recherche suivantes Quels indicateurs de suivi d finir pour un SG afin de fournir un feedback pertinent non seulement pour le joueur mais aussi pour le tuteur Par exemple dans Climway SG destin sensibiliser aux probl matiques cologiques que peut on d duire en termes d apprentissage lorsque l on compare un joueur ayant gagn avec un score de 11247 pts un joueur B ayant gagn avec 9927 pts Comment peut on faire correspondre les diff rentes strat gies adopt es au mod le des connaissances de l apprenant De m me comment peut on interpr ter que lors de la partie suivante le joueur B ait gagn mais avec un nombre de points inf rieur Joue t il mieux ou moins bien A t il tir une expertise de sa pr c dente partie 1 http climeity cap sciences net consulter php 50 Lyon 6 et 7 mai 2010 Le suivi de l apprenant dans un serious game Dans les dispositifs de formation classiques le tuteur dispose de peu d informations concernant l apprenant qui effectue seul et souvent distance son parcours de formation Labat 2002 Il en est de m me pour les SG le tuteur a besoin d indicateurs pertinents pour lui permettre de prendre en compte la progression des apprentissages et ventuellement apporter les rem diations appropri es Les indicateurs que nous proposons devront donc tre int gr s dans le LMS de mani re fournir une vue synth tique pour le t
284. les r les et les activit s p dagogiques en environnement virtuel POSEIDON est g n rique dans le sens o il ne d pend pas d un domaine d un type de t che ou d une strat gie p dagogique particuli re Cette g n ricit est obtenue en s appuyant sur MASCARET un m ta mod le d envi ronnement virtuel inform Probl matique De nombreux dispositifs d apprentissage ont pour but l immersion de l apprenant dans un environnement au sein duquel il va apprendre par l action Certains de ces dispositifs utilisent les technologies de la r alit virtuelle Fuchs et Moreau 2006 qui proposent des capacit s d interaction et d immersion toujours plus pouss es Ces environnements peuvent tre regroup s sous l acronyme EVAH Environnements de r alit Virtuelle pour l Apprentissage Humain Nous nous int ressons l activit du formateur qui souhaite concevoir et mettre en place des sessions d ap prentissage dont les activit s se d roulent en environ nement virtuel Dans ce cadre le r le du formateur consiste pr parer et exploiter les interactions entre l apprenant et le dispositif d apprentissage Henri et al 2007 Pour cela il crit un sc nario p dagogique dont l ex cution doit permettre la construction des con naissances vis es chez les apprenants Un sc nario p dagogique d crit g n ralement Koper 2001 e les objectifs p dagogiques qui d crivent les connaissances ou c
285. les risques du st r otype peut en limiter les effets n gatifs en milieu universitaire Johns ef al 2005 Une approche proactive de l enseignement serait l occasion de s adresser au manque de travail chez certains tudiants et au manque de confiance chez certaines tudiantes R f rences Association europ enne du c t des filles Du C t des filles France L gislation sur la mixit scolaire et le sexisme a l cole Consult en f vrier 2009 http www ducotedesfilles org fr cote_filles htm Bakhtine M 1978 Esth tique et th orie du roman Paris Gallimard Barr M A and Syverson M A 1999 Assessing Literacy with the Learning Record Portsmouth NH Heinemann Baurens M A paraitre D chiffrer et d fricher le genre en classes de langues quelques pistes Les Apr s midi de LAIRDIL Bourdieu P 1998 La domination masculine Paris Editions du Seuil Brugeilles C and Cromer S 2008 Comment promouvoir l galit entre les sexes par les manuels scolaires Paris Organisation des Nations Unies pour l ducation la science et la culture Consult en f vrier 2009 http www unesco org fr human rights education projects gender equality Bulletin Officiel 1982 Action ducative contre les pr jug s sexistes Arr t du 12 juillet 1982 Paris Bulletin Officiel 29 Chalabev A Sarrazin P Stone J and Cury F 2008 Do Achievement Goals Mediate Stereotype Threat An I
286. lopp s pour Blender et 3DSMax 4 http www adinet gov Organisation p dagogique Au sein d une session d apprentissage diff rents acteurs humains ou agents artificiels peuvent interagir Ces acteurs peuvent jouer des r les distincts apprenant formateur accompagnateur perturbateur efc Chou et al 2003 Payr 2003 Un des buts du sc nario p da gogique est d organiser l activit des diff rents acteurs qui y prennent part POSEIDON propose un mod le d organisation permettant d exprimer les r les et leur lien avec les activit s Pour cela POSEIDON s appuie sur le mod le organisationnel de MASCARET lui m me bas sur les collaborations UML Ce mod le permet de d crire des organisations quipes d finissant un ensemble de r les impliqu s dans la r alisation de t ches col laboratives Dans le cadre du sc nario p dagogique le formateur d finit une organisation p dagogique qui d crit des r les p dagogiques l instar d IMS LD POSEIDON d finit deux types de r le p dagogique apprenant et encadrant Chaque activit du sc nario doit tre r alis e par les acteurs jouant les r les qui y sont associ s Chacun de ces r les peut tre jou par un humain ou par un agent autonome La figure 4 pr sente un exemple d organisation p dagogique POSEIDON d crite sous forme d un diagramme de collaboration De plus dans le cadre d activit s p dagogiques en environnement virtuel durant les
287. lt champs gt lt champ nom x type double visibilite private isStatic false isFinal false gt lt champs gt lt classe gt lt description gt lt descriptions gt Figure 2 Exemple de description de besoin d observation li un indicateur sp cifique Nous avons identifi des moments int ressants pour d clencher le calcul des indicateurs lorsque l apprenant compile ou ex cute son programme d clenchement du calcul des indicateurs transversaux lorsqu il passe d une autre question une autre d clenchement du calcul des indicateurs sp cifiques Gr ce la description des indicateurs par le tuteur le module de comparaison peut par exemple lorsqu un apprenant aura termin la question 1 v rifier que tous les l ments point s par la description sont pr sents dans le code de l apprenant Si cela n est pas le cas une alerte avec un indicateur li ce besoin d observation sera envoy e l enseignant Tous les manquements aux contraintes pos es par le tuteur y seront list s 4 Description de l EIAH Hop3x et de notre Premi re Exp rimentation Dans le cadre de notre premi re exp rimentation nous avons utilis l ELAH Hop3x L EIAH Hop3x est compos de 3 environnements Hop3x Etudiant permet aux apprenants d diter du code de le compiler et de l ex cuter Figure 3a Hop3x Serveur collecte les traces d interactions de l apprenant sous forme d v nements Hop3x
288. m un EIAH d di la mod lisation L valuation d ACDC a t men e en analysant les diagnostics automatiques produits lors d une exp rimentation de Diagram men e l automne 2008 en conditions cologiques Nous avons utilis quatre mesures de qualit standard pour valuer les appariements et les diff rences produits par PACDC Le diagnostic a bien fonctionn dans Diagram mais il peut tre am lior dans certaines situations particuli res Introduction Diagram est un environnement d apprentissage d di la mod lisation et en particulier avec des diagrammes de classes UML Il int gre des modalit s d interaction et des aides sp cifiques aux novices Alonso et al 2008 et r ifie une m thode de mod lisation en trois tapes 1 la lecture et compr hension de l nonc int gr l interface 2 la conception du diagramme et 3 la relecture de l nonc et la v rification du diagramme l issue des tapes l apprenant valide son travail et le module ACDC Automatic Class Diagrams Comparator est appel pour valuer la validit du mod le Des conseils et des suggestions sont produits partir des sorties d ACDC et sont affich s L apprenant peut alors soit retourner l tape 2 et modifier son diagramme ou soit consid rer qu il est achev Dans cet article nous nous focalisons uniquement sur ACDC et son valuation dans Diagram lors d une exp rimentation d
289. main TICE Colloque international en Technologies de l Information et de la Communication dans l Enseignement Sup rieur et l Entreprise Toulouse Settouti L S Prie Y Marty J C et Mille A 2009 A Trace Based System for Technology Enhanced Learning Systems Personalisation Proceedings of The 9th IEEE International Conference on Advanced Learning Technologies ICALT 2009 Riga Latvia Stefanov K et Stefanova E 2005 Analysis of the Usage of the Virtuoso System Proceedings of the AIED 05 Workshop on Usage Analysis in Learning Systems Amsterdam Zinn C et Scheuer O 2006 Getting to know your learner in distance learning contexts Innovative Approaches Innovative Approaches for Learning and Knowledge Sharing Proceedings of the First European Conference on Technology Enhanced Learning EC TEL 2006 Lecture Notes in Computer Science LNCS 4227 pp 437 451 Springer 2006 74 Lyon 6 et 7 mai 2010 R flexions autour de la cr ation d un corpus de traces d interaction au sein du projet ISLE EIAH Hajer Chebil Laboratoire G2V RIM Ecole des Mines de Saint Etienne 158 Cours Fauriel 42023 Saint Etienne France chebil O emse fr R sum Cet article propose quelques r flexions autour de la construction de corpus de traces d interaction dans le domaine des Environnements Informatiques pour l Apprentissage Humain EIAH En effet pour parvenir une utilisation plus large et surtout plus
290. maine p dagogique donn Structure d un sc nario ouvert Selon la pr dictibilit du contexte d ex cution nous distinguons trois couches dans la structure d un sc nario p dagogique ouvert figure 1 La couche statique Elle est appel e intrins que par Dillenbourg et Tchounikine 2007 Cette partie basique du sc nario est relative sa raison d tre Elle doit tre pr sp cifi e contient un ensemble d l ments obligatoires et des contraintes qui pr cisent des comportements exig s afin de garantir l atteinte de l objectif global du sc nario p dagogique en consid ration Selon Roditi Roditi 2003 l enseignant garantit une ligne directrice forte qui lui permettra de rester dans ce que Rogalski 2003 appelle l enveloppe des trajectoires acceptables du d roulement La couche contextuelle pr d finie Les l ments de cette partie adaptable sont pr sp cifi s en fonction d un contexte pr vu d ex cution du sc nario En fait cette partie contient des multirepr sentations structurelles et s mantiques du sc nario o l enseignant d finit explicitement en amont diff rents points de variation et les alternatives convenables aux contextes qui peuvent tre anticip es Un point de variation peut tre indiqu de diverses mani res Un mod le d un sc nario adaptable contient g n ralement de nombreux points de variation correspondants des d cisions qui doivent tre sp cif
291. mateur de sc nariser des activit s p dagogiques se d roulant dans un environnement inform d crit en MASCARET La figure 2 montre le processus de cr ation d un sc nario p dagogique POSEIDON en pr cisant les acteurs impliqu s dans chaque phase du processus Les apports de POSEIDON pour la mod lisation de sc narios p dagogiques concernent principalement trois points que nous d crivons maintenant les environ nements d apprentissage les r les de l organisation p dagogique et les activit s p dagogiques Outil de mod lisation MASCARET E Tol Acteur Environnement ret Inform Sie nir Apprenants Ps hr Formateur Agent pedago Figure 2 Processus de cr ation d un sc nario p dagogique POSEIDON 90 Lyon 6 et 7 mai 2010 Sc anrisation p dagogique pour les EVAH Environnements d apprentissage Dans POSEIDON une activit p dagogique se d roule dans un environnement virtuel Un environnement d ap prentissage POSEIDON EducationalEnvironment contient la description d un environnement virtuel inform tel que d fini par MASCARET La cr ation de l environnement virtuel n cessite des comp tences particuli res infographie animation etc De ce fait 11 est souvent cr au pr alable et li avec les concepts d finis dans le mod le metier Le formateur peut ensuite apporter des modifications sp cifiques l exercice positionnement de
292. mation avec les r sultats collectifs valuation du travail en bin me et individuels valuation par QCM Bien que l analyse de cette exp rimentation n ait pas encore d but e nous consid rons instructif de terminer par une pr sentation des analyses que nous ferons et des buts que nous visons l avenir Contexte L exp rience en cours se d roule sur une promotion en premi re ann e de Grande Ecole d ing nieurs comprenant 108 tudiants Lors du cours de Programmation Orient e Objet en Java et Mod lisation UML les tudiants effectuent sept sc ances de TP de 2 heures en Java par groupe de deux l ves derri re chaque poste C est leur deuxi me cours de programmation et leur premi re exp rience avec le langage Java C est aussi leur premi re exp rience avec l Environnement de D velopement Int gr IDE ou Integrated Development Environment Eclipse Cet IDE effectue une compilation en continu et nous permet de tracer une vari t d informations que nous d velopperons dans les sections venir Les l ves sont valu s au travers de certains de leurs TPs note de bin me et d un QCM final note individuelle Indicateurs de Succ s en Programmation L utilisation lors de l enseignement de la programmation des meilleures pratiques telles que celles d crites par PSP Personal Software Process Humphrey 1995 peut mener de fortes am liorations dans la qualit du r sult
293. mis poss der le meilleur quipement tre le mieux not etc ou se comparer aux autres pour donner le meilleur d eux m mes Les m canismes ainsi identifi s visent affiner la description d un sc nario LRPG et relier l utilisation des ressorts de jeux aux intentions et au contexte sp cifiques du projet dans le but de soutenir et guider le travail du concepteur De plus l explicitation de ces m canismes favorise l identification des fonctionnalit s n cessaires lors de la mise en uvre du sc nario Exemple Description d un Sc nario LRPG Afin d illustrer l utilisation des ressorts de jeu dans la description d un sc nario LRPG nous nous appuyons sur un exemple inspir d un sc nario propos par Courau 2006 con u pour r pondre une demande dont voici les sp cifications e Commanditaire service formation d un groupe bancaire e Th me de la formation immobilier e Public cible les conseillers financiers du groupe e Objectifs de la formation conseiller les clients de mani re efficace bien identifier les besoins tre l coute de leur demande bien positionner l offre par rapport la concurrence etc observer analyser et prendre en compte des informations fluctuantes en lien avec la vente de cr dits immobiliers conna tre les profils et objections clients et adapter les r ponses conna tre la r glementation le contexte financier etc e Intentions s
294. mmation dont Clocklt Fenwick et al 2008 et HackyStat Johnson et al 2003 Nous avons avons modifi ce dernier pour inclure le tra age de l activit de souris de l activit du clavier l activit d ex cution l activit d utilisation de fonctions propres l IDE en plus des l ments trac s la base tels que le nombre d erreurs la taille des fichiers et le temps d activit L outil HackyStat se pr sente sous la forme d un plugin pour Eclipse et d un serveur de r colte de donn es Une fois les donn es r colt es nous les organiserons comme conseill s par Mostow et Beck 2006 en pr paration l application d algorithmes de fouille de donn e Ainsi chaque v nement ou indicateur calcul partir de cet v nement peut tre associ avec le r sultat en sortie la note du bin me et les notes individuelles Nous esp rons ainsi montrer quels facteurs sont les pr dicteurs les plus importants d chec ou de r ussite Au del de ces premi res analyses nous souhaitons aussi identifier les bin mes disparates o seul un des l ves obtient une bonne note et tenter de classifier des bin mes rencontrant des probl mes similaires afin de proposer une meilleure r partition en salle de TP Il sera aussi int ressant d essayer de minimiser la quantit de donn es n cessaires pour pr dire le r sultat d apprentissage avec une fiabilit similaire Si cette quantit est suff
295. mod liser permettant ainsi aux auteurs de le r utiliser dans leurs SG 2 Assister les auteurs de SG Nous avons d abord mod lis les tapes du processus de cr ation d un SG en identifiant pour chaque tape les acteurs internes les acteurs externes et les t ches accomplir Marfisi et al 2009 Les grandes phases sont similaires la m thode MISA propos par Paquette et al 1997 pour la conception de syst mes d apprentissage mais nous avons choisi de viser un protocole plus l ger Seul le sc nario doit tre d crit sous forme de document norm l autre partie du SG n tant pas obligatoire mais conseill Nous avons aussi pari sur la mise en place d outils informatiques et d aide contextuels pour assister les concepteurs Voici les l ments sur lesquels nous travaillons et qui seront int gr s la plateforme d assistance globale Base de ressources et de documents types Nous avons mis au point des formats types pour certains documents importants tels que le cahier des charges la charte de description des sc nes pour les graphistes ou les fichiers d aides pour les apprenants et les tuteurs Nous esp rons ainsi que les auteurs seront beaucoup plus productifs Outil de validation de la conception du sc nario Nous avons pr vu une tape de validation la fin de chaque tape importante de la cr ation du SG pour rectifier les erreurs le plus vite possible Nous avons notamment cr
296. module partenaire de l enseignant pour cr er des problems 353 358 EIAH 2005 Jean Daubias S 2003 Exploitation de profils d apprenants 535 538 EIAH 2003 Jean Daubias S 2007 Logiciel Tri http liris cnrs fr stephanie jean daubias projets logiciel TriSelectif html derni re visite septembre 2009 Lefevre M 2009 Processus unifi pour la personnalisation des activit s p dagogiques m ta mod le mod les et outils Th se de doctorat Universit Claude Bernard Lyon 1 Lefevre M Cordier A Jean Daubias S and Guin N 20094 A Teacher dedicated Tool Supporting Personalization of Activities Chesapeake VA AACE 1136 1141 ED MEDIA 2009 Lefevre M Jean Daubias S and Guin N 2009b Generation of pencil and paper exercises to personalize learners work sequences typology of exercises and meta architecture for generators 2843 2848 E Learn 2009 Lefevre M Mille A Jean Daubias S and Guin N 2009c A Meta Model to Acquire Relevant Knowledge for Interactive Learning Environments Personalization Adaptive 2009 LOM V1 0 2002 http ltsc ieee org wg12 derni re visite novembre 2008 Murray T 2003 Eon Authoring Tools for Content Instructional Strategy Student Model and Interface Design Authoring Tools for Advanced Technology Learning Environments T Murray S Blessing and S Ainsworth eds Nogry S Jean Daubias S and Duclosson N 2004 ITS Evaluation in Classro
297. n d informations et une lecture de FORMID Suivi la lumi re de ce mod le de r f rence Nous pr cisons ensuite les probl mes pos s par 3 mes Rencontres Jeunes Chercheurs en EIAH 109 Nic olas Vezian l ajustement en temps r el des sc narios et nous proposons une adaptation du mod le de r f rence qui permette d y r pondre Nous donnons enfin des l ments sur l impl mentation de ce nouveau mod le pour notre cas d tude en utilisant le framework Prefuse qui sert fabriquer des logiciels de visualisation d information dont l architecture est bas e sur le mod le de r f rence L environnement FORMID L environnement FORMID se d cline en plusieurs outils FORMID Auteur qui est l outil de conception de sc narios conformes au m ta mod le de sc nario FORMID FORMID El ve qui d livre aux l ves les exercices d une s ance et capte leurs traces d apprentissage et enfin FORMID Suivi qui est un outil sp cifiquement d di au tuteur figure 1 Ce dernier outil permet de percevoir le travail effectu dans une s ance de travail c est dire l avancement d un groupe d l ves dans un sc nario donn Son interface est construite dynamiquement relativement au groupe d l ves et au sc nario concern lors du choix par le tuteur de la s ance qu il souhaite suivre Le groupe d l ves et le sc nario structurent ainsi l interface de suivi Les donn es repr sent
298. n charge dans cette classe est individuelle L l ve fait les activit s concernant la lecture du niveau 2 unit Automne Tableau ci dessous Il doit mettre en ordre les images ci dessous le logiciel prononce le nom de l image une fois celle ci plac e en dessous de l image convenable El ve 2 Correction de la r ponse SS EN oc A a E d place la vignette de chataigne M j aimerais bien qu on commence par la premi re Elle pointe la vignette de fleur E remet la vignette de ch taigne prend celle de Fleur M a apprend faire en ordre apr s la fleur Tableau 2 E corrige la r ponse L enfant a commenc par l image de ch taigne et l enseignante intervient en demandant l enfant de commencer par la premi re image qu elle d signe en m me temps en pointant avec l index l image de la fleur en haut gauche l enfant remplace alors l image de la ch taigne en dessous et va chercher l image de la fleur L ordre qui ne joue pas de r le particulier pour la suite d images est important en lecture ce que l enseignante vise implicitement dans l explication qu elle donne l l ve a apprend faire dans l ordre Les modalit s de communication choisies par l enseignante sont 1 communication verbale pointage d cran 2 communication verbale seule Contrairement l l ve 1 l l ve 2 travaille sur le logiciel propos par l enseignante ce
299. n d outils pris en compte pour r aliser un diagnostic a partir des traces d activit collect es par ces outils Dans des exp rimentations ant rieures ot l apprenant pouvait formuler des r ponses et r pondre des QCMs nous avions mis en vidence des contradictions intra l ves entre la formulation et le QCM au sein d un m me probl me Michelet et al 2007 Le diagnostic doit r soudre cette probl matique de contradiction pour cela la solution propos e et int gr e dans DiagElec est de donner des poids aux diff rents outils poids qui seront pris en compte dans le calcul du diagnostic Dans des comparaisons r alis es selon les diff rents contextes de diagnostic entre les diagnostics de DiagElec avec ceux r alis s par des enseignants nous avons mis en vidence d une part que cette prise en compte est cruciale pour le diagnostic et d autre part que les enseignants eux m mes pond rent leur diagnostic en fonction du contexte de diagnostic Michelet er al 2010 Prise en compte de l historique Lorsqu un apprenant r sout une suite de probl mes la r solution du probl me P a une influence sur celle du probl me P 1 Ritter et Nerb 2007 DiagElec permet d attribuer plus de poids au probl me courant qu au probl me pr c dent de fa on param trable En effet cette influence est une variable qui peut tre d finie par l informaticien le didacticien l enseignant L ajustement de ce
300. n des outils de recherche sur Internet connaissances et strat gies Marie Laure Compant la Fontaine UMR STEF cole normale Sup rieure de Cachan 61 avenue du Pr sident Wilson F 94235 Cachan cedex marielaure compantlafontaine caen iufm fr Resume partir de l observation des pratiques de PLCI Documentation de l IUFM de Caen nous avons tent d identifier leurs connaissances th oriques et pratiques des outils de recherche afin d identifier le cas ch ant les comp tences leur en assurant une utilisation efficace Introduction Les objectifs de notre enqu te aupr s de professeurs des lyc es coll ges 1 re ann e PLCI en Documentation de l IUFM de Caen sont rep rer les pratiques identifier les connaissances th oriques et empiriques en mati re de recherche d information sur Internet et tester une m thodologie de recherche sur ces objets Les connaissances th oriques sur les m canismes de la recherche d information et le fonctionnement d un outil de recherche influent elles sur les pratiques Y a t il transfert d un contexte d utilisation un autre Cadre et M thodologie de l Enqu te De nombreux travaux s int ressent 1 au comportement de recherche des jeunes internautes montrant que faute d une compr hension labor e d Internet et des moteurs de recherche de requ tes efficaces les recherches sont inefficientes UCL 2008 Simonnot 2009 2 aux comp tences des tudiants qui n ont pas le ni
301. n op rateur contribue la standardisation des crit res sp cifiques l activit professionnelle pour les participants et peut tre examin e comme un v nement interactionnel Nous nous appuyons sur cette tude pour analyser l entretien d explicitation entre l interview enseignant correcteur et l intervieweur doctorante salari e travaillant en partenariat avec la soci t conceptrice des technologies pour l valuation L entretien que nous 3 Nous notons ici que le double statut de l intervieweur peut influencer Porientation des participants et se manifester sous la forme d une double cat gorisation des interlocuteurs entre eux Nous ne traiterons pas la question ici Il faudra se r f rer Bonu Mondada et Relieu 1994 pour plus de pr cisions ce sujet 124 Lyon 6 et 7 mai 2010 La correction de copies d examens proposons d observer a lieu dans une salle de cours Les deux participants sont assis en face face une table Il a t demand l enseignant de bien vouloir apporter ses copies d examens Diff rents paquets de copies sont empil s sur la table L interaction observ e engage les participants dans l activit d entretien visant identifier les proc dures de correction La situation a t film e afin de pouvoir observer l attention conjointe des participants orient e au contexte pour expliciter l activit de correction Le recours la gestuelle
302. n r sultat tangible des actions l mentaires r alis es par les diff rents acteurs au moment de r pondre une 3S Rencontres Jeunes Chercheurs en EIAH 165 Claude Ren Tarrit demande sous la forme de la r alisation d une t che ces actions peuvent laisser une ou plusieurs traces Pour que la trace soit porteuse de sens elle doit poss der une s mantique proche de l activit de r f rence Laflaqui re et Pri 2009 Demander une participation active des acteurs pour son laboration devrait offrir un apport significatif cette contextualisation Cependant nous faisons galement l hypoth se que l instrumentation d une activit par le biais d un EIAH demande que la perception de l effort n cessaire son usage effort cognitif mais aussi professionnel soit inf rieur au b n fice per u perception conative Contexte de l tude Notre contexte d tude est celui de l usage industriel de EUREKA L Universit utilise la plateforme comme une extension de son espace de travail de fa on syst matique une salle de cours une salle virtuelle La plateforme est adopt e par la presque totalit des tudiants plus de 35 000 utilisateurs actifs Y sont sc naris es par l entremise du syst me des situations p dagogiques et d apprentissage Cadre de l tude Le cadre de notre tude peut tre repr sent comme une poup e Russe matriochka de la mani re suivante i une plateforme info
303. nant La d mat rialisation du papier offre de nouvelles opportunit s en mati re de traitement des copies Une fois num ris e la copie est identifi e pour tre associ e automatiquement au candidat correspondant avant d tre envoy e aux correcteurs suivant des r gles strictes d anonymat La plateforme de d mat rialisation r unit l ensemble des participants au traitement des corrections distance de l administrateur qui param tre l preuve au jury qui d lib re de la note tout moment du traitement l envoi rapide et s curis d une r ponse pour consultation est donc possible La copie et chacun de ses l ments ind pendamment peuvent ainsi tre dupliqu s partag s annot s comment s corrig s sans restriction L environnement num rique permet de disposer instantan ment d informations sous forme graphique sur les performances de notation des correcteurs en fonction des heures de travail ainsi que des moyennes de l ensemble des correcteurs Cette activit int gr e permet au superviseur d intervenir en temps r el pour ajuster le param trage des notes en fonction des r sultats La d mat rialisation assure galement l archivage de l aspect original de la copie fig e sous la forme d une image num ris e Une fois corrig e la copie peut soit tre consult e par Internet par le candidat soit recouvrir son support initial par r impression du document Ce processus largit la
304. nce de travail est g n ralement d crite de mani re plus ou moins explicite dans ce que l on nomme un sc nario p dagogique Un sc nario peut tre d fini comme la description effectu e a priori ou a posteriori du d roulement d une situation d apprentissage ou unit d apprentissage visant l appropriation d un ensemble pr cis de connaissances outils services et r sultats associ s la mise en uvre des activit s Pernin et Lejeune 04 Nous consid rons ici des environnements dans lesquels les interfaces de visualisation de la progression des apprenants sont g n r es dynamiquement en fonction de la structure d un sc nario p dagogique d fini a priori Le projet FORMID FORMation Interactive Distance Gu raud et al 04 a pour but d assister le formateur depuis la phase de sc narisation des activit s jusqu la phase o il en sera le tuteur Il concerne des situations d apprentissage distance de type r solution de probl mes dans lesquelles les apprenants sont amen s manipuler individuellement des simulations Un sc nario p dagogique organise et structure chaque s ance ainsi que l interface de suivi d di e aux tuteurs pour l observation de la progression des apprenants Selon un ph nom ne classique Altet 94 la situation d apprentissage v cue est souvent d cal e par rapport la situation d apprentissage pr vue a priori l enseignant est ainsi amen ajuster l
305. nd es sur un principe d homog n it lui permettant de rendre sa d marche intelligible et sens e d un point de vue du contexte institutionnel dans lequel il se place En ce sens nous avons vu comment la d mat rialisation du papier projette le document travers un r seau de manipulation et de coordination qui 3 mes Rencontres Jeunes Chercheurs en EIAH 127 Camille Capelle replace l activit de correction dans son contexte interactionnel et social L analyse d un change par messagerie instantan en situation a notamment montr la n cessit constante de prendre en compte les l ments contextuels pour red finir la r gle de mani re coh rente Si les ressources mobilis es par le correcteur dans ce nouveau contexte de travail n cessitent d tre observ es plus sp cifiquement les changes tudi s montrent comment les participants utilisent l environnement commun du dispositif en ligne pour le raisonnement int gr vers la stabilisation des r gles de correction Cette premi re tude nous a sugg r des pistes quant la disposition du correcteur prendre appui sur des rep res permettant de math matiser la copie et de faciliter le d clenchement de routines dans le comptage de la note finale La poursuite de nos recherches visera rendre compte de la mani re de proc der du correcteur en fonction du contexte d activit support papier support num rique et des outils dispo
306. ndicateurs calcul s partir de la trace de l apprenant et qui sont li s aux objectifs p dagogiques une phase de r action o le tuteur adopte une strat gie de rem diation gr ce une intention p dagogique et r agit en intervenant ou pas aupr s de l apprenant en fonction des valeurs des indicateurs qu il a jug es critiques lors de la phase d valuation Le processus d auto r gulation tutorale trois phases est cyclique et se d finit comme suit une phase d auto observation qui consiste fournir au tuteur un outil lui permettant de faire un suivi de ses interventions self monitoring et des conditions qui l entourent 30 Lyon 6 et 7 mai 2010 Laide l auto r gulation tutorale et les indicateurs Auto Observation SE Observation Evaluation Auto Evaluation Auto R action Figure 1 Le processus de r gulation de l activit de l apprenant et celui d auto r gulation tutorale une phase d auto valuation qui consiste fournir au tuteur les r sultats du module de comparaison qui lui donne des informations sur les effets de ses interventions pour qu il puisse valuer les effets de ses actions ainsi que sa performance et sa progression dans l atteinte de son objectif une phase d auto r action qui permet au tuteur de valider une intervention ou de la remettre en cause en ajustant ses strat gies et en adoptant une nouvelle strat gie de
307. ne troisi me partie nous essaierons de situer les th matiques des RJC EIAH dans ce paysage mouvant de la formation en ligne mobile juste ce qu il faut et juste temps au travers d un Web 2 0 omnipr sent Session 1 Une analyse Bakhtinienne du genre en didactique de l anglais de sp cialit Laura M Hartwell Laboratoire Interuniversitaire de Didactique en Langue 118 route de Narbonne 31062 Toulouse Cedex 4 France hartwell ujf grenoble fr R sum Les directives nationales et internationales imposent qu une perspective d galit entre les hommes et les femmes soit incorpor e dans les supports p dagogiques afin de promouvoir l galit des chances ducatives Les approches de socioconstructivisme de Vygotski et de dialogisme selon Bakhtine offrent un cadre th orique la prise en compte de cette probl matique sociopolitique Dans la pr sente tude nous mettons en parall le d une part la repr sentation st r otyp e des actes de communication dans les logiciels des langues et d autre part les diff rences de pratiques de performance et de d clarations des apprenants es Le filtre du genre dans l analyse de l apprentissage humain a toute sa pertinence dans le cadre d environnements informatiques Introduction L environnement informatique d apprentissage modifie sans d terminer l exp rience de l apprenant En autoformation l cran devient l interlocuteur devant l
308. nes rencontres en 2012 devraient toutefois tre fix es de fa on viter la proximit de certains autres appels communications du domaine notamment internationaux qui ont pu cette ann e avoir la pr f rence de certains doctorants Les rencontres jeunes chercheurs repr sentent n anmoins une occasion unique d change et sont donc largement pl biscit es par la communaut EIAH en g n ral et les jeunes chercheurs en particulier Chaque soumission a t examin e par 2 relecteurs 3 pour quelques unes un relecteur tant du domaine des STIC et l autre en SHS Le comit de programme a retenu 17 travaux pour une pr sentation orale et article long et 18 pour une pr sentation sous forme de poster et papier court La plupart des articles accept s proviennent de France 32 mais d autres pays sont galement repr sent s Alg rie 1 Br sil 1 et Tunisie 1 Lors de la s lection le comit de programme s est efforc d valuer les travaux soumis en fonction de l avanc e de la th se Ainsi un travail en fin de th se a t valu avec les crit res scientifiques habituels probl matique m thodologie r f rences aux autres travaux validit des r sultats etc et le niveau d exigence tait proche de celui d une conf rence nationale Pour un travail de d but de th se le comit de programme n a pas cherch valuer les r sultats mais s est attach mesurer l originalit du travail l int r
309. nformatique d Apprentissage Humain STICEF vol 16 Heraud J M Marty J C France L et Carron T 2005 Helping the Interpretation of Web Logs Application to Learning Scenario Improvement Proceedings of the AIED 05 Workshop on Usage Analysis in Learning Systems Amsterdam Iksal S Choquet C et Pham Thi Ngoc D 2010 A generic modeling of indicator with UTL The collaborative action function example The 2 International Conference on Computer Supported Education CSEDU 2010 Valencia Spain A paraitre Merceron A et Yacef K 2003 A Web based Tutoring Tool with Mining Facilities to Improve Learning and Teaching Proceedings of the International conference in Artificial Intelligence in Education Sydney Pernin J P et Lejeune A 2004 Dispositifs d apprentissage instrument s par les technologies vers une ing nierie centr e sur les sc narios Colloque TICE 2004 Compi gne Pham Thi Ngoc D Iksal S Choquet C et Klinger E 2009 UTL CL A Declarative Calculation Language Proposal for a Learning Tracks Analysis Process Proceedings of The 9th IEEE International Conference on Advanced Learning Technologies ICALT 2009 Riga Latvia Romero C et Ventura S 2007 Educational data mining A survey from 1995 to 2005 Expert Systems with application Vol 33 July 2007 pp 135 146 Settouti L S Prie Y Mille A et Marty J C 2006 Syst me base de traces pour l apprentissage hu
310. ng ujf grenoble fr enigma Varikas E 2003 Conclusion Le Genre comme cat gorie d analyse sociologie histoire litt rature Fourgeyrollas Schwebel D Plante C Riot Sarcey M and Zaidman C ds Paris L Harmattan 197 209 Vygotski L S 1997 Pens e et Langage Paris Editions la Dispute Whitworth A 2006 Dynamic but Prosaic A methodology for Studying e learning Environments International Journal of Research amp Method in Education 29 2 151 163 Williams K B 2006 The Effects of Stereotype Threat on Test Performance of Male and Female College Students College Student Journal 40 3 679 684 Worthman C 2008 The positioning of adult learners Appropriating learner Experience on the Continuum of Empowerment to Emancipation International Journal of Lifelong Education 27 4 443 462 28 Lyon 6 et 7 mai 2010 Les indicateurs la base de l aide l auto r gulation tutorale Aina Lekira LIUM Avenue La nnec 72085 Le Mans Cedex 9 France aina lekira lium univ lemans fr Resume Notre travail se situe dans le domaine de l instrumentation des activit s du tuteur Les nombreux travaux dans ce domaine proposent g n ralement des mod les et des outils au tuteur pour qu il supervise et r gule l activit de l apprenant Dans cet article nous proposons d utiliser des indicateurs calcul s partir de la trace de l apprenant pour aider le tuteur r guler l activit de l apprena
311. nibles dans ce nouvel environnement pour optimiser le comptage de la note R f rences Bonu B Mondada L et Relieu M 1994 Harvey Sacks une approche proc durale de la cat gorisation In B Fradin L Qu r et J Widmer eds Raisons Pratiques L enqu te sur les cat gories 129 148 Paris ed de l EHESS Bonu B 2001 Les valuations conversationnelles dans la narration Revue qu b coise de linguistique 29 1 51 69 Bonu B 2004 Proc dure d objectivation dans un entretien de recherche Activit s 1 2 96 102 Button G and Sharrock W 1998 The Organizational Accountability of Technological Work Social Studies of Science 28 73 102 Charnet C Bonu B 2007 Les espaces num riques de travail favorisent ils le changement de la formation distance dans l enseignement sup rieur fran ais In Colloque international TICE M diterran e TICEMED L humain dans la formation distance la probl matique du changement Facult des Sciences et Techniques Marseille du 31 mai au 02 juin 2007 1 12 Charnet C para tre Constitution de collections transversale et verticale la recherche de pratiques d usages dans un Espace Num rique de Travail ENT en milieu universitaire Cahiers de prax matique 50 Drew P and Heritage J eds 1992 Talk at Work Interaction in Institutional Settings Cambridge Cambridge University Press Fornel M de 1990 Qu est ce qu un expert Conn
312. nimale permettant de rendre compte du contexte de la situation en informatique ubiquitaire Le contexte selon Abowt et Mynatt peut se d finir selon 5 axes e Who L utilisateur du dispositif dans la situation mais galement les autres personnes impliqu es dans l activit What Ce que l utilisateur est actuellement en train de faire Un dispositif ubiquitaire sensible au contexte doit pouvoir d terminer cette information Where La position physique de l utilisateur et les informations associ es cette position When La dimension temporelle de l activit c est dire quel moment l utilisateur a effectu telle activit mais galement combien de temps cela lui a pris Cette information peut tre coupl e la position Why Les raisons pour lesquelles l utilisateur est dans cette situation et effectue cette activit ici et maintenant On atteint ici une certaine limite dans les possibilit s actuelles On peut remarquer que la plupart des dimensions d analyse sont ici fortement coupl es Ce couplage entre les diff rentes dimensions s il rend le mod le de situation plus complexe concevoir correspond bien l articulation entre connaissance et situation dans 96 Lyon 6 et 7 mai 2010 Vers une mod lisation des situations d apprentissage ubiquitaire l apprentissage authentique propos e par Brown et al 1989 knowledge is situated being in a part a product of the act
313. notre recherche sur un EIAH R troactions et changes relationnels laissent des traces dans les syst mes informatiques Le mode de capture de cette trace est d terminant lors de son analyse L apport de la participation des acteurs enseignant tudiant la configuration d un syst me d accompagnement base de trace est un facteur d appropriation et de d veloppement m tacognitif au niveau utilisateur Nous travaillons sur la param trabilit et ses cons quences sur l accompagnement des apprenants dans la plateforme EUREKA de la PUCPR dans un contexte d usage industriel Introduction Les changes relationnels les r troactions et les valuations sont centraux dans les strategies d enseignement et repr sentent des indices d activit effectivit qualit Se situer dans sa progression permet l auto connaissance et la r flexion sur sa d marche d apprentissage Tardif 2006 Cette prise de conscience r flexive du chemin parcouru de celui qui reste parcourir Dufresne ef al 2003 combin l accompagnement du professeur contribue mettre en place des strat gies r paratrices Les Syst mes Base de Trace permettent l accompagnement des apprenants sur une plateforme de formation Les probl mes pos s par ces syst mes sont de deux sortes le traitement informatique des activit s des apprenants n cessite une interpr tation par un expert du domaine enseign et elles sont difficilement accessible
314. nourrir la r ing nierie du sc nario pr dictif par l ajout d une nouvelle variante et plusieurs points de variation Dans chaque variante pr vue ou impr vue l enseignant peut d finir des comportements d sirables et ou ind sirables en sp cifiant respectivement ce que l apprenant doit penser faire et ou ce qu il ne doit pas faire La figure 1 illustre les trois couches d un sc nario ouvert imbriqu es suivant le degr de pr dictibilit Vv g ES 33 eo ao 25 D Ze o 8 2 ES Zo Couche des variantes pr d finies s pour des contextes pr vus EE sp cification en amont des comportements 22 d sirables et ou ind sirables a vo 3 A 2E Couche statique 3 sp cification en amont des comportements exig s E pour garantir l atteinte de l objectif p dagogique Ea a Figure 1 Les trois couches d un sc nario ouvert On peut distinguer deux parties dans un sc nario ouvert La premi re est pr sp cifi e pendant la phase de conception initiale Elle comporte les l ments de la couche statique qui sont obligatoires et d finissent le comportement exig des apprenants afin de garantir la r alisation de l objectif p dagogique global du sc nario ainsi que les l ments des diff rentes variantes pr d finies du sc nario qui peuvent tres anticip es en amont selon des contextes pr vus En revanche la seconde ne peut pas tre sp cifi e a priori elle comporte des nouvelles var
315. ns Lien direct entre les M Traces les transformations permettent de cr er une trace et ses observ s sur la base des observ s d une ou de plusieurs autres traces et suivant des crit res tablis par avance Ces crit res sont d finis dans des connaissances de transformation Figure 2 Dans cette section nous d taillons titre d exemple les r gles de la transformation T8 Figure 3 conditionnant la cr ation de l observ Chronologie action d attribut OK ou KO permettant de v rifier si le stagiaire accompli un ensemble d attendu dans un ordre pr cis Chronologie action OK Acquittement alarme OK et Contr le quipement OK et R glage de vitesse OK et Date fin Acquittement alarme OK lt Date fin Contr le quipement OK et Date fin Contr le quipement OK lt Date fin R glage de la vitesse OK Chronologie action KO Acquittement alarme KO ou Contr le quipement KO ou R glage vitesse KO ou Date fin Acquittement alarme OK gt Date fin Contr le quipement OK ou Date fin Contr le quipement OK gt Date fin R glage vitesse OK ou Date fin Acquittement alarme OK gt Date fin R glage vitesse OK 5 Bilan et perspectives Nous avons expos dans cet article notre projet de recherche ax sur l application de la th orie des traces mod lis es au contexte des formations du perfectionnement et
316. ns le cadre de l entretien Ls Ir d accord donc c est du r dactionnel 2 et ils crivent l 3 gt AH c est du r dactionnel 4 et y en a qui crivent lt TRES SE MAL tr s tr s mal 6 Tr rires 1 Z Ta a c est bien crit voil 8 il y a les points sur le c t et alors je je comme il 10 y plusieurs questions en g n ral TT je note toujours 12 PAR QUESTION 135 donc je fais une question 14 pour tout le monde 15 et puis je reprends une deuxi me 16 question reprenant la m me trace horizontale 17 parce que il faut vraiment se 18 mettre 12 fin pour moi il 20 faut que j me mette a 21 DANS la question 22 de fa on c que a devienne un peu 23 routine 24 le d accord Gui 25s I bon c est pour quarante tudiants 26 mais quand m me il faut tre 27 4 vraiment dans dans le bain Figure 1 S quence d explicitation La consigne d aborder le sujet de l criture des candidats dans l valuation des copies d examen est lanc e par l intervieweur La coparticipation dans l entretien se manifeste par la contiguit des termes r dactionnel 1 1 et crivent 1 2 reprises par l interview dans l ordre propos par l intervieweur Toutefois il s agit d un chevauchement ponctu par une exclamation qui attire notre attention Cette exclamation porte sur l valuation de la fa on d crire des
317. ns l exp rience du test EuSpRiG tait de voir la r partition chronologique des r ponses des participants afin de savoir s il existe un lien entre l ordre de traitement des questions et la familiarit des r pondants auto d clar e au d but du test Le graphique de la figure 3 que nous proposons pr sente l ordre de traitement des questions par un groupe de participants familiaris s au sujet du test Cette repr sentation permet de voir que la premi re question tait g n ralement trait e en premier mais l ordre de traitement n tait pas toujours respect De plus cer tains r pondants prennent plus de temps que d autres Ce graphique permet d avoir des informations sur des strat gies de r solution des questions par diff rents participants Sur un grand nombre de r pondants il permet de voir si une tendance du groupe existe Questions 5 a e had FARY Z y y 4 Al N f 4 00 9 4 o Pe b a sya f od F 1 3 o o O gt 5 4 8 e di Beet a A al lua 2 o 4 gt Pen vu A NM at E O 4 1 o ee Temps m 1 nn 1 4205000002000 BIS SESRSRSRERE LIL BRAS RL RE IR RESERE RSS ERE 18 8 S Se oa o 2 299 29 56 9 2 ooo gt 2 9 6 2 9 090 gt So 2 hse Figure 3 R partition chronologique des r ponses d un groupe de 5 participants Test EuSpRiG Dur e de traitement d une question Sur les tests tableur L3 le but du chercheur est de
318. ns le cadre de notre travail nous avons mis en vidence trois limites i Il n est pas possible de stocker des indicateurs d taillant les types d erreurs Par exemple si l on souhaite mener des analyses proches de celles d Hollnagel Hollnagel 2004 en d finissant les actions erron es celles qui ne contribuent pas la progression dans le jeu et les actions interdites celles que le syst me refuse d ex cuter pour non respect des r gles du jeu le seul champ possible libre est actuellement le champ suspend data qui est insuffisant car limit 255 caract res Il est donc impossible dans le LMS de stocker diff rents indicateurs de suivi du joueur 11 Les SG pour la formation professionnelle ont souvent t con us pour tre rejou s plusieurs fois ventuellement en empruntant des parcours diff rents Par cons quent le tuteur devrait pouvoir suivre la progression de l apprenant travers ses diff rentes tentatives Il devrait tre en mesure de d finir ses points forts et ses points faibles d analyser l volution des conceptions erron es et surtout observer si le joueur apprend de ses erreurs Or un LMS enregistre uniquement les informations sur la derni re ou la meilleure tentative d un apprenant pour un SCO ce qui rend impossible toute analyse diff rentielle 111 La mise en avant de la dimension sociale d un SG peut contribuer am liorer l immersion du joueur Carron et a
319. ns une moindre mesure Kittl et Petrovic 2008 propose aux apprenants un parcours sous la forme d une suite de missions r aliser dans un ordre pr d fini La question du lien entre les diff rents utilisateurs du dispositif entre eux et avec une communaut plus large est essentielle C est en effet par ces changes didactiques et p dagogiques que la communaut des utilisateurs pourra construire une expertise Les dispositifs ubiquitaires permettent d am liorer la communication en permettant aux utilisateurs de mieux d finir sur quoi porte leurs communications En effet pour un apprenant il peut tre difficile de formuler la question qu il se pose En permettant d associer la prise de photographies et des l ments de l activit le dispositif pourra donc favoriser cette communication Le lien entre utilisateurs peut galement tre favoris en aidant les utilisateurs se construire un Knowledge Awareness KA Ogata et Yano 2003 Le KA est la prise de conscience par l utilisateur des situations d utilisation de certaines connaissances Cette prise de conscience est facilit e dans Ogata et Yano 2003 en proposant aux utilisateurs de se renseigner sur les actions pr sentes et pass es des autres utilisateurs et sur les connaissances impliqu es dans ces actions Disposer d un mod le de l utilisateur de son tat instantan et de son parcours semble donc particuli rement int ressant pour permettr
320. nseignants l expertise de D Leclet et B Talon en termes de comp tences mobilis es par MAETIC Conclusions Nous avons pr sent dans cet article la probl matique g n rale de notre de travail de th se savoir la conception d un environnement eMallette Lab pour le d veloppement des comp tences techniques et transversales Ensuite la mod lisation des comp tences mobilis es dans l apprentissage de la m thode MAETIC a t expos e ainsi qu une premi re tendance des comp tences identifi es Ce travail de mod lisation constitue la premi re phase pour la conception d un outil d assistance la mise en place de dispositifs bas s sur les principes de la m thode MAETIC Le d veloppement de cet outil ainsi que sa validation sont en cours R f rences Djama M H Leclet D Talon B 2009 An Online Laboratory in a Context of Project Based Pedagogy In Proceedings of 2009 Ninth IEEE International Conference on Advanced Learning Technologies 128 130 Riga Letvia Leclet D Talon B 2008 Assessment of a Method for Designing E Learning Devices Proceedings of World Conference on Educational Multimedia Hypermedia and Telecommunications ED MEDIA AACE Springer Verlag Ed Vienna Austria Paquette G 2002 Mod lisation des connaissances et des comp tences un langage graphique pour concevoir et apprendre Presses de l Universit du Qu bec Talon B Leclet D 2008 Dispositif p dagogique
321. nseignants pour adapter les activit s p dagogiques leur besoin puis nous soulignons les limites de ces propositions lorsque l on souhaite adopter une approche g n rique Nous pr sentons ensuite notre approche GEPPETO permettant cette adaptation des activit s p dagogiques avant d expliquer comment nous l avons d clin e pour l adaptation d activit s papier et pour l adaptation d activit s logicielles Nous expliquons enfin bri vement comment nous avons impl ment ces deux d clinaisons de l approche GEPPETO dans le logiciel 3 mes Rencontres Jeunes Chercheurs en EIAH 35 Marie Lefevre Adapte avant de conclure sur les perspectives de recherche que soul ve ce travail tat de Part Pour prendre en compte les besoins et habitudes p dagogiques des enseignants plusieurs propositions ont t faites l utilisation d outils auteurs la d finition de sc narios p dagogiques ou le param trage des logiciels p dagogiques Tout d abord les outils auteurs permettent de cr er des ressources exercices feuilles d exercices ou logiciels adapt es chaque enseignant David et al 1996 Van Joolingen et De Jong 2003 Pour cela l enseignant doit d finir enti rement le contenu p dagogique L utilisation d outils auteurs pour adapter le contenu propos aux apprenants est donc co teuse en temps Ensuite les sc narios p dagogiques permettent de d finir les activit s propos es
322. nsi que pour la d finition de VIDL Laforcade et al 2008 centr e sur le m tier des praticiens des standards et des plateformes Dans le cadre de cette th se nous nous int ressons l activit de mise en uvre des sc narios p dagogiques sur les plateformes de formation distance Op rationnalisation de Sc narios P dagogiques L op rationnalisation des sc narios p dagogiques consiste exploiter l ensemble des fonctionnalit s fournies par les plateformes pour permettre la diffusion ou la mise en place des sc narios sp cifi s l aide d EML ou VIDL Plusieurs approches visent automatiser l op rationnalisation des sc narios p dagogiques Nous citons des approches propri taires par les EML tels que CopperCore moteur d ex cution de sc narios p dagogiques crits en IMS LD et Collage outil auteur qui permet de cr er des sc narios p dagogiques collaboratifs en IMS LD Il existe encore des approches propri taires par les plateformes telles que LDI Learning Design Infrastructure qui permet d op rationnaliser les sc narios sp cifi s en LDL Learning Design Language et LAMS Learning Activity Management System qui permet de cr er et de jouer des sc narios p dagogiques Nous citons galement les approches exploitant PIDM Ing nierie Dirig e par les Mod les comme le projet Bricole qui propose une approche dispositive permettant d op rationnaliser quelques concepts de sc nario
323. nt des 2 Dans ce probl me on pr sente l l ve un circuit s rie comportant un g n rateur 2 lampes et une Boite Noire situ e entre celles ci et o une des 2 lampes brille et l autre non Le but de ce probl me est de savoir ce que peut comporter la boite noire afin d expliquer ce ph nom ne lectrique notions de base en lectricit Ce choix se justifie par le fait que nous voulons voir ult rieurement l impact du sc nario sur le diagnostic en effectuant des comparaisons entre apprenants de m me niveau ce test En proc dant ainsi nous avons ramen notre population 18 apprenants Protocole Nous avons fait visualiser aux enseignants les productions des 18 apprenants en les rejouant selon les 7 contextes de diagnostic Lors de cette visualisation nous avons suivi le protocole suivant 1 Les productions visualis es ont t anonym es afin que l enseignant ne fasse pas de corr lation entre les diff rents contextes et un apprenant 2 Les enseignants ont visualis cons cutivement toutes les productions li es un contexte Afin que les enseignants ne fassent pas d inference et d apprentissage nous avons distribu al atoirement au sein de chaque contexte les productions des 18 apprenants Cette distribution fut identique pour tous les enseignants 3 Entre deux calculs de diagnostic nous avons demand l enseignant de r aliser une t che ayant pour but de lui a rer l espr
324. nt des activit s individuelles d apprentissage Toutefois le m ta mod le AKEPI est ouvert et peut donc tre tendu afin de prendre en compte des EIAH proposant des situations d apprentissage collectives et ou collaboratives Une perspective imm diate pour ce travail est donc de d crire cette nouvelle cat gorie d EIAH avec notre m ta mod le AKEPI Il faudra ensuite essayer d adapter les activit s des logiciels de ce type suivant notre m thodologie afin de v rifier que les mod les et les outils que nous proposons permettent de surmonter les nouveaux obstacles inh rents aux sp cificit s de ces logiciels 3mes Rencontres Jeunes Chercheurs en EIAH 39 Marie Lefevre R f rences Bourguin G 2000 Un support informatique l activit coop rative fond sur la Th orie de l Activit Le projet DARE Th se de doctorat Universit des Sciences et Technologies de Lille Bruillard E 1997 Les machines enseigner Paris Herm s Chev P 2005 Logiciel Abalect http pagesperso orange fr philippe cheve abalect htm derni re visite septembre 2009 David J P Cogne A and Dutel A 1996 Hypermedia exercises prototyping and modelising 252 260 Computer Aided Learning and Instruction in Science and Engineering DublinCore 1995 http dublincore org documents dcmi terms derni re visite septembre 2009 Duclosson N Jean Daubias S and Riot S 2005 AMBRE enseignant un
325. nt et d asc se intellectuelle comment pour les DN s op re la d marcation Plus loin peut il ou doit il y avoir une d marcation Y a t il chez les natifs du num rique un clivage entre le ludique et l acad mique Alb ro 2008 6 D marche d analyse Dans notre recherche nous proposons de v rifier si l usage des TICP est toujours transposable et ou quelles conditions dans l apprentissage acad mique l universit Le champ d tude concernera l universit de Lille 1 La premi re partie de la d marche consistera en une enqu te sur les usages des TICP par les tudiants universitaires en formation initiale sur des populations cibl es La deuxi me partie concernera l analyse du v cu num rique de ces m mes populations dans des dispositifs utilisant les TIC dans l enseignement 7 R sultats attendus De analyse crois e des pratiques num riques personnelles quotidiennes des populations qualifi es de DN et des contraintes acad miques nous esp rons pouvoir ouvrir des pistes innovantes pour la cr ation num rique et d finir les meilleurs conditions pour l innovation en e p dagogie L enjeu de l innovation est de cr er des ponts entre l volution soci tale les jeunes g n rations le contexte politique de l universit et la mission ducative tout en mesurant l impact des volutions technologiques r centes sur l apprentissage humain En lien avec ces volu
326. nt mais aussi r guler sa propre activit Dans un contexte de travaux pratiques distance dans le domaine de la programmation orient e objet fournir au tuteur des informations synth tiques via les indicateurs sur l activit de l apprenant lui permet de prendre des d cisions strat giques de rem diation lors de la session d apprentissage Par ailleurs en suivant l volution des valeurs de ces indicateurs dans le temps le tuteur peut mesurer l impact qu a eu son action aupr s de l apprenant i e il peut voir si les effets de son intervention rejoignent bien son intention initiale 1 Introduction Notre travail s ins re dans le cadre des travaux de recherche men s au LIUM Laboratoire d Informatique de l Universit du Maine dans le domaine des EIAH et plus particuli rement dans celui de l instrumentation des activit s du tuteur puisqu il consiste apporter une aide au tuteur lors de son activit tutorale Etudier la probl matique de l instrumentation Rabardel 1995 et plus particuli rement celle du tuteur consiste notamment proposer des mod les et des solutions permettant au tuteur de superviser et de r guler l activit de l apprenant Ces travaux ont le plus souvent abouti la r alisation d outils permettant de visualiser un ensemble d indicateurs t moins de l avanc e et de l tat de la t che dans laquelle l apprenant est investi et plus g n ralement r v lateur de l activit de l apprenant
327. nterpreter Figure 2 Les tapes du processus de traitement des traces avec Segell Nous avons compl t les fonctionnalit s de Segell par la possibilit donn e l utilisateur d ajouter des informations suppl mentaires sur les zones du formulaire notamment d affecter ces zones une classification personnalis e Par exemple dans le test de comp tence en tableur les zones sont class es par cat gorie de comp tences d finies au pr alable Il est possible galement de faire une classification a posteriori selon les r ponses obtenues comme par exemple le taux de r ussite une question Repr sentation des donn es Dans un outil d analyse des interactions le mode de visualisation des donn es peut correspondre une des trois cat gories de repr sentations la visualisation des indicateurs en fonction du temps la visualisation de la co variation entre deux indicateurs crois s la visualisation multiple de plusieurs indicateurs Dimitracopoulou 2008 Nous proposons diff rentes repr sentations des indicateurs d finis par rapport aux donn es collect es r ponses temps et par rapport des classifications personnalis es par l utilisateur Des repr sentations simples soit tabulaires soit sous forme de diagramme en lignes ou en histogramme permettent de montrer les corr lations entre les donn es recueillies et le temps Des repr sentations croisent les donn es temps comme la dur e m
328. nterview L explicitation peut comporter une valuation et le recours aux objets permettant de recontextualiser l action De mani re plus g n rale l explicitation se caract rise par des marqueurs logiques et marqueurs de cause qui soutiennent une structure normalis e de l action L explicitation cherche rendre compte d une pratique stabilis e coh rente et justifiable 3 Participation intervention en retour de Pintervieweur La participation se manifeste la plupart du temps par des marqueurs de r ception mmh ou d accord oui d accord Elle peut se manifester par la participation directe l explicitation par chevauchement de tour 4 Poursuite de l explication argument additionnel soutenu par des marqueurs logiques parce que si alors donc ou argument att nuateur introduit par des formules telles que bon mais quand m me La poursuite par l interview prolonge l explicitation et vise formaliser la description La situation d interaction dans l entretien a permis la mise en vidence des proc dures standardis es 5 Ce point sera trait dans un prochain article croisant le regard de l intervieweur et de l interview sur le d roulement et l analyse d un entretien de recherche 126 Lyon 6 et 7 mai 2010 La correction de copies d examens permettant la description marqueurs logiques adverbe de g n ralisati
329. nts du contexte Nous avons vu que les donn es de position et de temps sont particuli rement utilis es elles permettent en effet en relation avec un mod le de l activit de d duire des informations sur la situation de l utilisateur D autres types d informations sur l environnement peuvent tre r cup r s par le dispositif selon les capteurs dont il dispose temp rature luminosit etc Cependant dans le cas des dispositifs mobiles pour l apprentissage que nous avons tudi s il n y a pas r ellement d autres moyens d valuation du contexte Un dispositif pervasif immobile est d crit dans Gustafsson et Baang 2008 pour contr ler les d penses d nergie d une famille Le dispositif permet aux utilisateurs d avoir une vue sur leurs d penses nerg tiques en temps r el et de suivre leurs volutions Ce dispositif est par nature immobile mais permet bien aux utilisateurs de se construire une repr sentation de leurs d penses nerg tiques en fonction de leurs comportements laisser une lumi re allum e etc Il faut souligner que dans une d marche IDM nous devrons disposer d un mod le particulier du dispositif ubiquitaire Le Plateform Description Model PDM d crira ainsi les caract ristiques pervasives et les possibilit s d interaction du dispositif C est par un processus semi automatique de transformation et de composition entre le PDM et les autres mod les de la situation de
330. nts for Children with Autism In Proceedings of the 3rd International Conference on Disability Virtual Reality and Associated Technologies ICDVRAT 2000 Alghero Sardaigne Italie 23 25 P 153 161 Giannopulu I Pradel G 2009 Mobile toy robots can be used in autism therapy an example of application IROS 2009 Workshop Green S J 1990 A Study of the Application of Microcomputers to Aid Language Development in Children with Autism and Related Communication Difculties PhD Thesis Sunderland Polytechnic 122 Lyon 6 et 7 mai 2010 La correction de copies d examens du support papier la gestion par ordinateur Camille Capelle Laboratoire PRAXILING UMR5267 Universit de Montpellier 3 CNRS 17 rue Abb de l Ep e 34090 Montpellier France camille capelle univ montp3 fr R sum Notre tude porte sur l observation des pratiques de correction de copies d examen en vue d une analyse sur l volution de celles ci dans leur relation avec les nouvelles technologies Les enjeux de la notation pour les candidats un examen impliquent une grande pr cision dans la correction D ordinaire cette activit est r alis e par un enseignant qui a recours sa propre d marche en isolement Les technologies de d mat rialisation des copies permettant le traitement des images num ris es par ordinateur offrent un environnement de travail nouveau Dans cette premi re tude nous montrerons commen
331. nvestigation on Females Soccer Performance Journal of Sport and Exercise Psychology 30 143 158 Clarity Study Skills Success Language Consultants Ann e inconnue Clarity Study Skills Success logiciel Hong Kong Clarity Study Skills Success Language Consultants Conseil de l Europe 1986 R solution 855 relative a l galit entre les hommes et les femmes Consult en janvier 2009 http assembly coe int mainf asp Link documents adoptedtext ta86 fres855 htm Conseil de l Europe 1995 Recommandation 1281 relative l galit des sexes dans le domaine de l ducation Consult en janvier 2009 http assembly coe int mainf asp Link documents adoptedtext ta95 frec1281 htm Conseil de l Europe 2007 Recommendation CM Rec 2007 13 of the Committee of Ministers to Member States on Gender Mainstreaming in Education Consult en octobre 2007 https wcd coe int View Doc jsp Ref CM Rec 2007 13and Language D sert M 2004 Les effets de la menace du stereotype et du statut minoritiare dans un groupe Diversit ville cole int gration 138 31 37 D sert M Croizet J C and Leyens P 2002 La menace du st r otype une interaction entre situation et 3 mes Rencontres Jeunes Chercheurs en EIAH 27 Laura M Hartwell identit L Ann e psychologique 102 555 576 Dodd D K Harcar V Foerch B J and Anderson H T 1989 Face ism and Facial Expressions of Women in Magazine P
332. o et le d veloppement d un prototype fonctionnel A travers diff rentes exp riences nous tudierons la plus value de l interface tangible pour l apprentissage puis nous chercherons g n raliser l approche utilis e Perspectives Le couplage entre Serious Game et r alit mixte constitue un apport par rapport l approche classique des Serious Games qui utilise une approche int gralement virtuelle de la mise en situation Deux approches diff rentes pourront tre employ es pour am liorer l apprentissage soit utiliser une m taphore pour apprendre l utilisateur une connaissance ou un savoir faire ind pendant de l environnement d apprentissage soit permettre l utilisateur d avoir une meilleure utilisabilit de l environnement d apprentissage ce qui pourrait permettre un meilleur apprentissage Les apports de la r alit mixte pourraient devenir un avantage concurrentiel important dans la commercialisation de Serious Games Mixtes R f rences Akkouche I Pr v t P Conception et g n ration de jeux d entreprises Colloque NTICF 98 1998 Rouen Chalon R 2004 R alit mixte et travail collaboratif IRVO un mod le de l interaction homme machine Th se de doctorat Ecole Centrale de Lyon Champalle O David B Chalon R Masserey G Ordinateur port support de r alit augment e pour des activit s de maintenance et de d pannage In proceedings of Ubimob 06 p 103 106 Paris
333. objectif et planifier les strat gies pour l atteindre performance or volitional control self control qui aide se concentrer sur la t che et optimiser les efforts et self observation qui consiste au suivi des performances des conditions qui l entourent ainsi que des effets qu ils produisent et self reflection self judgment qui implique l auto valuation de sa propre performance et de sa progression dans l atteinte de l objectif et self reaction qui permet d ajuster ses strat gies pour assurer l atteinte des objectifs avec succ s Adaptant cette vision socio cognitive notre travail nous adoptons une d finition de la r gulation de l activit de l apprenant et l auto r gulation de l activit du tuteur en trois phases Figure 1 Pr c d d une phase qui consiste pr parer la session d apprentissage en d finissant explicitement les besoins d observation li s aux objectifs p dagogiques et planifier des strat gies pour les atteindre le processus de r gulation se d roule lors de la session d apprentissage il est cyclique et se d finit comme suit une phase d observation monitoring qui consiste fournir au tuteur un outil de supervision lui permettant de suivre l activit de l apprenant son parcours sa progression sa production un instant tu une phase d valuation qui consiste fournir au tuteur des informations synth tiques sur l activit de l apprenant gr ce aux i
334. obl mes d utilisabilit sur le lieu de travail du dispositif est complexe Les dispositifs destin s tre utilis s en situation professionnelle peuvent alors faire l objet de test en laboratoire Barbry et al 2008 ou sur le terrain Caron et al 2008 pendant la conception Ces tests ont fait apparaitre plusieurs probl mes d utilisabilit li s l activit professionnelle des utilisateurs L implication des utilisateurs tant fondamentale Caron et al 2008 propose le terme de co construction pour d crire la d marche de conception de l outil La mobilit correspond la possibilit pour Putilisateur de se d placer effectivement avec le dispositif L utilisateur consid re alors comme allant de soi la possibilit de rechercher des informations de communiquer de recevoir des messages en tous lieux et tous moments Il y aura dans le choix du dispositif un compromis faire entre mobilit et facilit d interaction Un dispositif devant afficher un nombre important d informations et permettre l interaction tactile doit en effet disposer d un cran de taille suffisante et peut donc tre moins pratique transporter Si ce probl me n est pas particuli rement important dans le cas de la formation universitaire la taille du dispositif ne doit pas perturber l activit dans le cas professionnel Le caract re pervasif correspond l existence de moyens pour le dispositif d valuer des l me
335. observation Introduit pr c demment l observation de l activit des stagiaires est le point central de toute s ance de 3 mes Rencontres Jeunes Chercheurs en EIAH 103 Olivier Champalle formation et ou de perfectionnement sur simulateur Il s agit pour les formateurs de recueillir le plus d informations au travers de diff rents modes et sources d observations sp cifiques Figure 1 Salle de commande Interaction direct Stagiaire Manager i Stagiaire Stagiaire Acteur s Op rateur 1 Op rateur 2 compl mentaire s optionnel s Stagiaire Superviseur formateurs une premi re source d observations r side dans le journal de bord de la Station Instructeur L ensemble de ces informations permet de suivre les changements d tat du simulateur ainsi que les Figure 1 Description d un simulateur pleine chelle de conduite de syst mes industriels complexes 2 2 1 Les grilles d observables V ritable fil conducteur des simulations les grilles d observables sont remplies par les formateurs au Pupitre Instructeur et contiennent un ensemble d observables auxquels les actions des stagiaires doivent pouvoir satisfaire Les grilles d observables sont des listes d observables attendus et class s suivant des familles d objectifs p dagogiques fix es intervenant dans un ordre pr cis et sont sp cifiques la formation ainsi qu au r le du stagiaire A titre d exempl
336. ogi que de la r ponse Pour cela le temps de pause avant l criture d une r ponse fait partie de la dur e totale de traitement d une question Nous souhaitons instrumenter le calcul de dur e d criture et de pause pour aider analyser finement le comportement d un r pondant un test sur papier L analyse des traces sur un support papier Les outils d analyse des interactions dans les EIAH concernent l interaction de l utilisateur avec un ordina teur Dimitracopoulou 2008 Dans notre cas l inter face d interaction est moins sophistiqu e et plus habituelle Il s agit de l interaction avec un papier et un stylo Cependant la trace est num ris e et enregistr e avec le stylo Cette trace a la particularit de corres pondre la t che effective d criture de l utilisateur Contrairement d autres interfaces n cessitant un en semble d actions avant d aboutir la t che d criture le papier et le stylo permettent de simplement crire La dur e d criture ou de pause de l utilisateur repr sente la dur e de traitement cognitif et effectif de la t che notre connaissance ce type de traces n a encore jamais t exploit finement pour tudier les comporte ments dans l interaction Participant une recherche exploratoire nous proc dons une conception partici pative o les chercheurs qui repr sentent nos utilisateurs accompagnent r guli rement cette concep tion Gr ce cette m thode n
337. om The Case of AMBRE AWP 511 520 ITS 2004 Pernin J P and Lejeune A 2004 Dispositifs d apprentissage Instrument s par les Technologies vers une ing nierie centr e sur les scenarios TICE 2004 Rebai I 2006 Conception et d veloppement d une plate forme permettant la capitalisation de composants logiciels pour les environnements d apprentissage humain Th se de doctorat Universit Ren Descartes Paris V SCORM 2001 http www adinet gov scorm index aspx derni re visite novembre 2008 Van Joolingen W R and De Jong T 2003 Simquest Authoring educational simulations Authoring tools for advanced technology educational software Toward cost effective production of adaptive interactive and intelligent educational software T Murray S Blessing amp S Ainsworth eds 1 31 Wenger E 1987 Artificial Intelligence and Tutoring Systems Los Altos CA Morgan Kaufmann 40 Lyon 6 et 7 mai 2010 Session 2 Jeux S rieux Des ressorts de jeu pour une assistance la conception de sc narios Learning Role Playing Games Christelle Mariais Laboratoire Informatique de Grenoble 961 rue de la Houille Blanche B timent B BP 46 38402 GRENOBLE Cedex France Soci t Symetrix 34 Avenue de l Europe 38100 Grenoble France christelle_mariais symetrix fr R sum La motivation des apprenants est au centre des pr occupations de la formation en entreprise qui s int resse de plus
338. omb es pratiques Revue Fran aise de Linguistique Appliqu e 2 XD 5 16 Mondada L 2008 Production du savoir et interactions multimodales Une tude de la mod lisation spatiale comme activit pratique situ e et incarn e Revue d anthropologie des connaissances 2 219 266 Qu r L 1990 Opinion l conomie du vraisemblable Introduction une approche prax ologique de l opinion publique R seaux Communication Technologie Soci t 8 33 58 Qu r L 1997 La situation toujours n glig e R seaux 15 163 192 Scollon R 2001 Action and Text Toward an Integrated Understanding of the Place of Text in Social inter action In R Wodak amp M Meyer Ed Methods of Critical Discourse Analysis 139 183 Londres Sage Souchier E 1996 Lecture d cran pratiques d criture et informatique Communication et langages 107 107 105 119 Suchman L 1987 Plans and Situated Actions Cambridge Cambridge University Press Suchman L 1993 Technologies of accountability of lizards and airplanes In G Button Ed Technology in Working Order Studies of Work Interaction and Technology London Routledge 113 126 128 Lyon 6 et 7 mai 2010 La correction de copies d examens Notations de transcription utilis es dans cet article Enonc s en chevauchement Le moment o un nonc en cours en rencontre un autre est signal par un crochet simple gauche La
339. ommunication pour l Education et la Formation Volume 11 2004 Jeffrey Heer Stuart K Card and James A Landay prefuse a toolkit for interactive information visualization In CHI 2005 Human Factors in Computing Systems 2005 Hurter C Conversy S Extension d un mod le de visualisation pour la caracterisation d interfaces graphiques dynamiques Actes de la 19 me Conf rence Francophone sur l Interaction Homme Machine pages 39 42 Paris 12 15 novembre ACM 2007 Mazza R Dimitrova V CourseVis Externalising Student Information to Facilitate Instructors in Distance Learning In Proc AIED 2003 pp 279 286 Amsterdam The Netherlands IOS Press 2003 Mazza R Dimitrova V Generation of Graphical Representations of Student Tracking Data in Course Management Systems in proc of IV 05 pp 253 258 IEEE Computer Society Pernin J P et Lejeune A Mod les pour la r utilisation de sc narios d apprentissage actes en ligne du colloque TICE M dit rran e p 48 Nice novembre 2004 Prefuse Gallery http prefuse org gallery 114 Lyon 6 et 7 mai 2010 Session 6 Usages Utilisation des TIC pour les Enfants Autistes dans un Cadre Educatif Mise en place d indicateurs et observation suivie instrument e avec un stylo num rique Ramia Etche Ogeli UMR STEF ENS Cachan INRP 61 rue pr sident Wilson ENS de Cachan Bat Cournot ramiao O gmail com R sum L autisme est ca
340. omp tences mobilis es dans l apprentissage de la m thode p dagogique MAETIC M thode p dAgogique intrumEnt e par les TIC Pour ce faire nous nous sommes appuy s sur le formalisme du langage MOT Mod lisation par Objets Typ s pour mod liser ces comp tences Ce travail constitue la premi re phase dans le d veloppement d un outil d assistance l enseignant La mod lisation de comp tences mobilis es lors de l apprentissage de la m thode p dagogique MAETIC s inscrit dans un cadre plus g n ral celui de la conception et l exp rimentation d un laboratoire d informatique en ligne dans un contexte de p dagogie active de projet Nous avons mis en place un environnement appel eMallette Lab en r f rence aux travaux de D Leclet et B Talon Talon et Leclet 2008 Cet environnement compos d un dispositif technique bas sur les technologies de virtualisation et d un dispositif p dagogique s appuyant sur les principes de la m thode p dagogique MAETIC vise d velopper d une part des comp tences transversales chez des tudiants en informatique l Universit de Djibouti et d autre part de trouver une solution technique pour r pondre aux insuffisances des ressources informatiques de cette Universit Cette mod lisation vise contribuer une meilleure d finition des objectifs et des sc narii p dagogiques dans la mise en uvre des environnements bas s sur cette m thode Dans la lit
341. omp tences que les appre nants qui terminent le sc nario sont suppos s avoir acquis e les pr requis qui d crivent les connaissances ou les comp tences que les apprenants doivent poss der pour tirer parti du sc nario p da gogique e les activit s p dagogiques et leur encha ne ment e les r les qui d crivent la participation des utili sateurs aux activit s p dagogiques e les environnements qui d crivent les outils et ressources n cessaires la r alisation des acti vit s p dagogiques par les utilisateurs Dans le domaine des EIAH il existe de nombreux mod les de sc nario p dagogique Une des plus impor tantes propositions de la communaut est la publication de la norme IMS Learning Design ou IMS LD Koper et al 2003 Dans IMS LD un sc nario est consid r comme un enchainement d activit s p dagogiques Chacune de ces activit s est d crite par un texte ou un ensemble de documents expliquant le but de l activit la t che r aliser les consignes respecter etc Du fait de cette description textuelle le d roulement des activit s p dagogiques est consid r du point de vue de la plate forme ex cutant le sc nario comme une bo te noire dont on ne conna t que les entr es ressources et sorties productions Si ce type de description peut tre suffisant pour la r alisation de t ches ne n cessitant pas le contr le de l activit des apprenants par exemple remplir d
342. on deictiques et l explicitation marqueur de cause modalisation individualisation de l activit de correction en tant que pratique reposant sur des op rations de rep rage et de marquage pour le d compte de l valuation et de la note de la copie Mise en perspective Nous avons observ les proc dures d ploy es dans l activit de correction de copies sur support papier Il s agira dans une prochaine analyse de confronter cette situation avec une situation de correction sur support num rique Cela nous permettra de rendre compte de la fa on par laquelle le correcteur mobilise de nouvelles ressources travers le contexte de travail fourni par le dispositif et de voir quels sont les nouveaux automatismes qui se mettent en place L interface d aide la correction en ligne permet le param trage de la correction et la d composition des points en sous l ments contenus dans la r ponse en vue du d compte automatique de la note Cela se mat rialise par une grille de guidage et d aide l interpr tation et la conversion des l ments textuels en notation chiffr e d taill e Nous nous interrogeons sur la mani re selon laquelle l accompagnement par le dispositif num rique la correction peut permettre l optimisation de cette t che La r colte d changes envoy s par messagerie synchrone travers le dispositif lors des exp rimentations de corrections du Baccalaur at de 2007 et 2008
343. ondant un besoin client r el R f rences Caillois R 1958 Les jeux et les hommes Gallimard Charles M T Bustard D Black M 2009 Experiences of Promoting Engagement in Game Based Learning In ECGBL 2009 Proceedings Courau S 2006 Jeux et jeux de r le en formation cl s pour r aliser des formations efficaces ESF Edtiteur Druckman D Ebner N 2008 Onstage or behind the scenes Relative learning benefits of simulation role play and design Simulation and Gaming An Interdisciplinary Journal 39 465 497 Garris R Alhers R Driskell J E 2002 Games motivation and learning A research and practice model Simulation and Gaming An Interdisciplinary Journal 33 441 467 Gee J P 2003 What video games have to teach us about learning and literacy New York Palgrave Macmillan Gee J P 2007 Good video games good learning Collected essays on video games learning and literacy New York Peter Lang Hotte R Godinet H Pernin J P 2008 Sc nariser l apprentissage une activit de mod lisation Num ro Sp cial Revue Internationale des Technologies en P dagogique Universitaire Montr al INTERACT Handbook 2009 Consult en janvier 2010 http www statvoks no interact handbook_on_cd handb ook_uk htm Jo Kim A 2009 Putting the Fun in functional pr sentation Google TechTalk 2009 http www slideshare net amyjokim fun in functional 2009 presentation src embed Klabbers
344. ons principales peuvent tre effectu es la transformation la synchronisation la visualisation et l analyse de rejouables Un exemple de transformation serait la transcription d une conversation depuis une vid o La synchronisation se fait entre diff rentes visualisations de rejouables permettant d associer par exemple une s quence d une vid o un v nement de la trace d interaction La visualisation peut tre tabulaire pour repr senter les diff rents v nements de la trace ou sous forme vid o pour rejouer une partie film e de l interaction L analyse consiste effectuer des transformations d crites par des scripts ou des op rations telles que l ajout d annotations et de cat gories par le chercheur aux diff rents v nements de la trace L op ration d analyse est d finie comme tant it rative en effet tant qu un chercheur estime qu il n a pas encore atteint ses objectifs il peut cr er un nouvel artefact et poursuivre ses analyses CARTE Le syst me CARTE Courtin 2008 repr sente une station d observation se basant galement sur le mod le th orique de Syst me Base de Traces Mod lis es pr c demment pr sent La station d observation a pour r le de collecter des traces d interaction et d effectuer des transformations dessus et ceci d une fa on ind pendante des outils utilis s dans la r alisation d une s ance d apprentissage collaboratif p
345. onversation plus calme que le reste de la conversation en cours Um Une partie de l nonc est prononc e un rythme plus rapide que la conversation en cours est indiqu e par des pointes gt les manifestes lt Symboles suppl mentaires Un texte signal entre double parenth ses donne des indications suppl mentaires sur le contexte et les l ments qui participent l interaction gestes 3mes Rencontres Jeunes Chercheurs en EIAH 129 L apport du traitement des donn es temps issues d un stylo num rique pour l analyse de tests d valuation Zaara Barhoumi UMR STEF ENS Cachan 61 avenue du pr sident Wilson 94235 Cachan zaara barhoumi ens cachan fr R sum Notre recherche est une tude exploratoire sur le traitement et la repr sentation des donn es notamment temporelles issues d un stylo num rique Dans ce papier nous tudions le cas du remplissage de tests d valuation sur papier tram par des tudiants dans un contexte ducatif partir de besoins exprim s par le chercheur d sirant analyser et valuer ces productions crites nous pr sentons une m thodologie et un outil informatique permettant de transformer les donn es brutes issues du stylo num rique en des donn es ditables Nous proposons des repr sentations crois es des diff rents indicateurs sp cifi s par le chercheur concernant les textes crits les dur es d criture l ordre en utilisant
346. organisation et r utilisation notamment en regroupant les fonctions r utilisables dans de v ritables moteurs de jeux En ce qui concerne les SG il serait dommage de ne pas tirer partie des moteurs de jeux existants sur le march La plupart des moteurs de jeu requiert une connaissance de la programmation informatique mais il en existe des plus accessibles utilisant des graphes visuels et des m canismes de glisser d poser pour diter le sc nario Ceux ci ne permettent pas toujours des r sultats visuels aussi perfectionn s mais conviennent tout fait pour concevoir des SG Dans la suite de notre travail nous pr voyons de reprendre un de ces diteurs et d y ajouter des fonctionnalit s pour identifier les comp tences et l apprentissage vis dans chaque sc ne de SG Nous avons d j commenc faire des maquettes de cet outil multi vues en nous inspirant de principes et mod les du e learning et notamment d IMS LD pour modeliser les sc narios d apprentissage http www imsglobal org Il sera 58 Lyon 6 et 7 mai 2010 Environnement informatique pour les Serious Games sans doute n cessaire d ajouter un niveau plus fin comme un mod le de t che CTT Concurrent Task Tree pour d tailler les types d interaction utilis s L diteur de sc nario proposera donc au moins 3 vues diff rents l interface du jeu les interactions li es aux m canismes internes et le sc nario p dagogique Ces perspe
347. ormance du syst me bancaire construit La figure 2 pr sente le sch ma de donn es utilis idPartie datePartie TypeAction idAction z idType precocite descriptif interdite dateJeu idObjectifs libell Objectifs idindicateur libell indicateur idQuartier nomQuartier Figure 2 Le mod le des donn es Le mod le d expertise du jeu a pour le moment t int gr directement dans le code Nous avons par exemple pour chaque niveau de jeu list les objectifs atteindre pour passer au niveau suivant Nous avons galement d fini les valeurs atteindre par des indicateurs cl s tels que le nombre d agence pour les particuliers ou le nombre de clients professionnels Ensuite l aide du mod le des connaissances du jeu nous avons d fini des indicateurs permettant de caract riser les actions de jeu Dans la mesure o notre projet consistait int grer un jeu existant dans un LMS en apportant le minimum de modifications au code source nous avons adopt une d marche de reverse engineering Nous nous sommes pos s la question suivante partir du game design et du level design du jeu quels sont les indicateurs de suivi de l apprenant qu il est possible de d finir Nous avons choisi d indiquer non seulement au tuteur si le joueur avait pass ou non le niveau mais aussi comment en indiquant les valeurs des indicateurs du tableau de bord ces tapes et les actions de
348. ormations chang es et les documents produits visent tre utilis s dans le travail quotidien Les r les d finis sont repr sentatifs de la client le r elle cat gorie socio professionnelle situation familiale etc et le contexte d crit est proche de la r alit du terrain afin de produire des chartes qui refl tent la diversit des attentes clients de chaque cat gorie jeunes adultes et seniors Etre en comp tition Y Comp tition par quipes Victoire par classement Cr er l mulation et engager Agir Dl collectivement Activit s collaboratives Au sein d un groupe Engager et favoriser la collaboration Une mission commune est donn e chaque groupe cr er une charte client Pour chaque cat gorie de client la meilleure charte est d sign e par vote des participants Etre reconnu Le LUN La reconnaissance se fait travers le partage des productions et des r sultats des participants Engager et motiver par la reconnaissance sociale Les chartes produites sont pr sent es tous les participants qui expriment leur avis par un vote Le dispositif propose des notifications sur l volution de l environnement Engager et motiver en fournissant des informations pertinentes sur l avancement du sc nario et les activit s Les participants sont inform s lorsqu une charte est d pos e par un groupe lorsqu un vote est effectu
349. orrection d finit le cadre des changes entre responsables p dagogiques et correcteurs La concision de la question pos e par le correcteur t moigne du contexte partag entre les deux interlocuteurs La question fait sens pour le responsable p dagogique qui est en mesure de donner une r ponse satisfaisante Si nous reformulons la question de mani re plus explicite voil quoi cela pourrait ressembler L l ve a r pondu l ion magn sium mais il a donn la formule MG au lieu de Mg2 Lui attribue t on les points pour une bonne r ponse Michel De Fornel 1990 explique que lorsqu un expert rencontre une situation nouvelle pour laquelle il n a pas directement de solution il sait mettre profit ses exp riences ant rieures pour r soudre le probl me L expert s appuie sur une connaissance proc durale mais galement sur une connaissance tacite lui permettant d appliquer la r gle dans une situation nouvelle Face la question soulev e par le correcteur le responsable p dagogique mobilise l instruction implicitement connue du correcteur qui nonce que les formules ne sont pas exig es dans la r ponse En se basant sur cette r gle il reconstruit une nouvelle r gle ad hoc principe g n rique localisation de l l ment traiter points et annotations attribu s pour la r ponse Les outils de communication disponibles sur l interface en ligne sont donc utilis s lorsqu une sit
350. otre travail est l instrumentation des activit s du tuteur pour qu il r gule lui m me sa propre activit Cela n cessite une explicitation de ce qu est l auto r gulation Une d finition largement accept e dans le domaine des sciences de l ducation et plus particuli rement de la psychologie ducative est celle de Bandura Bandura 1977 dans sa th orie sur l apprentissage social destin aux apprenants pour tre efficace notion de self efficacy Bandura 1997 Bembenutty2007 que Bandura d finit comme tant les beliefs in one s capabilities to organize and execute the courses of actions required to produce given attainment Cette th orie propose trois aspects du concept d auto r gulation self observation suivi des activit s self judgment auto valuation des performances self reaction auto r action aux r sultats d interpr tation Sur la lign e de Bandura Zimmerman Zimmerman 2000 adopte aussi une vision socio cognitive de l auto r gulation qui est beaucoup plus large que la vision purement m tacognitive dans laquelle l accent est mis uniquement sur l tat des connaissances et le raisonnement d ductif Il d finit alors l auto r gulation comme se r f rant aux self regulated thoughts feelings and actions that are planned and cyclically adapted to the attainment of personal goals et propose un mod le cyclique d auto r gulation en trois phases forethought fixer un
351. otte Courdavault Augment e o l oppos on part du virtuel et on l enrichit par le r el R alit Mixte r 1 Environnement Environnement R el Virtuel R alit Virtualit Augment e Augment e Figure 1 La r alit mixte Milgram et Kishino 1994 Apport de la r alit mixte dans les serious games Le Minist re de l ducation Nationale d finit la comp tence comme une combinaison de connaissances fondamentales de capacit s les mettre en uvre dans des situations vari es et d attitudes indispensable tout au long de la vie MEN 2008 Afin d avoir une d finition plus fonctionnelle nous prenons la d finition suivante de comp tence m tier un ensemble organis coh rent et finalis de savoir faire savoirs et de strat gies de raisonnement s exergant dans un contexte et contr lables par des r sultats Pr v t 2009 La comp tence est donc bien li e l action dans un contexte donn d o l int r t d utiliser des techniques de r alit mixte pour l enseigner Nous pouvons par exemple imaginer une situation de virtualit augment e dans laquelle l apprenant est muni d un data glove et doit dans un univers virtuel recr ant une usine effectuer le bon geste pour r parer une machine en panne Gr ce au gant le syst me peut savoir ce qui est corriger dans le mouvement et le r expliquer l apprenant Figure 2 L utilis
352. ous partons des besoins exprim s par les utilisateurs et nous adaptons notre m thode et outil selon leurs retours concernant les repr sentations produites Processus de traitement des traces D apr s Dimitracopoulou 2008 et Dimitracopoulou et Bruillard 2006 un processus d analyse des interactions se passe en quatre tapes majeures 1 la s lection et le recueil des donn es production et 132 Lyon 6 et 7 mai 2010 Traitement des donn es temps issues d un stylo num rique interaction 2 le traitement des donn es pour la transformation l indexation ou le calcul des donn es 3 l application de ce traitement pour produire des indicateurs appropri s et 4 une repr sentation lisible et visible de ces indicateurs Nous d taillons ces tapes pour notre approche en regroupant les tapes 2 et 3 Instrumentation d un formulaire et recueil des donn es L utilisation de la technologie Anoto pour des formulaires pr remplis n cessite une phase d instru mentation Elle consiste dans la d limitation sur le document des zones et des champs qui vont tre reconnus par le stylo Les champs de saisie de textes sont nomm s et le type de la reconnaissance utiliser est pr cis chiffres lettres ou symboles Pour les champs r ponse ferm e exemple case cocher ou bouton radio le code des r ponses est d clar La nomenclature de ces champs doit tre soigneusement choisie car elle servir
353. oyenne 3 mes Rencontres Jeunes Chercheurs en EIAH 133 Zaara Barhoumi pass e sur une question et l ordre de traitement avec les classifications d finies comme les cat gories des comp tences la difficult d une question le nombre de bonnes r ponses ou encore la population Il reste d terminer quelles sont les illustrations les plus exploitables selon l objectif de l analyse de donn es L outil Segell incorpore un module d dition en cours de d veloppement de repr sentations param tra bles qui permet de choisir interactivement les donn es int ressantes croiser tude de cas Nous avons effectu des tests d valuation dans deux contextes tr s diff rents Un premier test lors de la conf rence EuSpRiG le 2 et 3 juillet 2009 PENS Cachan a t administr aupr s d une trentaine des conf renciers Le test portait sur une classification des erreurs en tableur suppos e connue par la communaut de la conf rence Une deuxi me exp rience a t effectu e aupr s des tudiants en licence 3 d conomie gestion l ENS Cachan Neuf personnes parmi les tudiants qui ont suivi un cours et des travaux pratiques sur tableur ont pass trois tests successifs Pour chaque cas nous montrons quel choix de repr sentation de donn es a t adopt qui r pondait au mieux aux objectifs de l exp rience L ordre de traitement des questions Le besoin du chercheur da
354. oyens au tuteur de prendre conscience de sa propre activit Aider le tuteur en lui fournissant un feedback sur sa propre activit lors de situations d apprentissage instrument est l objectif de notre travail A nsi en se basant sur les indicateurs et sur l volution de leurs valeurs dans le temps le tuteur a un aper u tra able de l efficacit de ses interventions Par ailleurs favoriser une d marche de r flexion sur ses strat gies et ses choix av Indicateurs Transversaux Intitul Loc Q H Champ y non r el classe Point Le champ a un type int 8 17 32 20 Champ x non r el classe Point Le champ a un type int 8 17 32 20 Le type des param tres de la m thode est incorrect classe Point methode equals La m thode a comme param tre Point au lieu de java lang Obje 8 17 32 20 Type Nom Valeur information Pourcentage de commentaires JavaDoc 88 89 information Pourcentage de commentaires JavaDoc 33 33 information Pourcentage de commentaires JavaDoc 100 0 erreur MissingFieldGetter erreur MissingFieldSetter erreur MissingFieldGetter erreur MissingFieldSetter armarse MiecinaFialdCarrne B Intervention audio Loc Q TypeEvent H classe Droite 8 CM 17 32 20 650 classe Main 8 CM 17 32 20 650 classe Point 8 CM 17 32 20 650 classe Triangle champ p3 8 CM 17 32 20 650 classe Triangle champ p3 8 CM 17 32 20 650 classe Triangle champ p2 8 CM 17 32 20 650 classe Triangle champ p2 8 CM 17 32
355. p cifiques utiliser des ressorts de jeu pour renforcer la motivation des apprenants mettre en uvre des activit s collaboratives afin de favoriser les changes entre les collaborateurs e Autres contraintes un dispositif suffisamment flexible pour formaliser des informations qui voluent rapidement r glementation et offres de cr dits immobiliers concurrentes e Modalit s de mise en uvre formation distance avec possibilit d activit s collectives synchrones le conseil en cr dit Ressorts M canismes Lien avec les objectifs Mise en uvre dans le sc nario d orchestration Jouer un r le 5 AN PP Le sc nario narratif est proche du contexte professionnel r el Faire prendre conscience des attentes des clients en mati re de conseil en cr dit immobilier Un cabinet d tude est charg d identifier les attentes des clients d un groupe bancaire 6 groupes de clients sont r unis r partis en 3 cat gories jeunes adultes et seniors Afin d identifier leurs attentes en mati re de conseil en cr dit immobilier on demande aux clients d laborer une charte du client satisfait Les participants jouent un r le diff rent de leur r le r el Changement de point de vue pour une meilleure prise de conscience Les participants se mettent dans la peau des clients afin d laborer la charte Le sc nario narratif est r aliste Les inf
356. p dagogique aux traces collect es permettant de comparer l activit r alis e avec celle attendue D autre part il est pertinent de stocker des analyses effectu es par un chercheur sur les donn es afin de permettre de valider contredire ou enrichir ces analyses Dans les travaux venir nous utiliserons TATIANA comme premier outil permettant 4 un chercheur d effectuer des analyses sur des traces donnant lieu a des objets d analyse construits a partir des traces mais distincts de celles ci Dans ce qui suit deux travaux qui se sont int ress s au partage de donn es d apprentissage sont pr sent s Le projet MULCE propose une structure de corpus d apprentissage en favorisant l utilisation de langages standards dans la repr sentation des diff rentes parties du corpus et en soulignant l importance des probl mes d thique et la protection de la vie priv e Le projet PSLC datashop offre un entrep t pour le d p t la consultation et l analyse par des outils de datamining de traces issues de syst mes de types tuteurs intelligents Partage de Corpus de Traces d Interaction MULCE Afin de favoriser les changes des donn es permettant d effectuer des analyses diff rentes dans diverses disciplines de donn es h t rog nes r sultant d interactions dans des environnements d apprentissage collaboratifs le projet MULCE propose de d finir un format commun et g n ral de corpus de traces d intera
357. p3x Ensei V1 0 Fichier Outils Communication Enseignant Thomas Contr leur Etudiants 24 1 17 38 5 Vitesse Compilatio ji E JC CO wy o 1 22 29 Connect s Thomas 4 1 Explorateur Point java CET AT author Thomas Delalonde Bu 3 eversion 0 1 Date Tue Jan 20 09 11 54 CET 2009 Point java 4 see Droite Triangle java al E Droite java 7 public class Point 8 O Main java 9 private int x y 10 11 Jen 12 constructeur de la classe 13 param x Abscisse du point 114 param y Ordonnee du point 15 16 public Po nt int x int y A 17 this x x Non Connect s Ber 19 Alexis 20 21 je Cedrick 22 fonction permettant de tester si deux points sont egaux Emile 23 param p point tester 24 return true si les deux points sont egaux Fran ois Xavier 25 Fr d ric 26 public boolean equals Point p Gregor Jonathan Console Pascal Compilation TP1 OK 32 Lyon 6 et 7 mai 2010 Laide l auto r gulation tutorale et les indicateurs La premi re exp rimentation dans le cadre de la th se s est d roul e entre le 20 janvier et le 30 mars 2009 Le public concern fut r parti en trois groupes comprenant chacun 18 tudiants Quatre sessions d apprentissage ont t mises en place pour chaque groupe Les apprenants faisaient leurs travaux pratiques dans le cadre de leur module d apprentissage de la programmation orient e objet programmation java dispens
358. pact et les effets de celles ci i e voir si les effets de ses interventions rejoignent bien son intention p dagogique initiale de prendre appui sur sa pratique et son exp rience pass e utiliser les interventions efficaces et viter celles qui ne le sont pas pour l adoption de nouvelles strat gies de rem diation L objectif de notre travail est de fournir au tuteur d une part des informations synth tiques concernant l activit de l apprenant pour l aider la r guler et d autre part des informations sur les effets de ses interventions pour ajuster ses strat gies p dagogiques et pour favoriser des r flexions m tacognitives de sa part awareness ICALTS 2004 Pour atteindre notre objectif nous nous appuierons sur les indicateurs et leurs volutions dans le temps Nous pr sentons dans la partie 2 le contexte de travail ainsi que la probl matique de la th se Dans la partie 3 nous proposons un mod le d crivant le processus de r gulation de l activit de l apprenant et celui de l auto r gulation tutorale Nous d crivons dans la partie 4 notre premi re exp rimentation ainsi que le dispositif utilis Hop3x fond sur ce mod le Nous terminons cet article par une conclusion et des perspectives 3S Rencontres Jeunes Chercheurs en EIAH 29 Aina Lekira 2 Contexte de Travail et Probl matique L objectif affich de nos travaux vise apporter une aide au tuteur dans l exercice de son activit
359. par alternatives ou variantes La repr sentation des diff rentes variantes d un sc nario d apprentissage consiste les combiner dans un seul mod le int gr nomm sc nario p dagogique ouvert Gr ce ce mod le l enseignant concepteur peut rassembler plusieurs alternatives d un m me sc nario qui correspondent certaines variations du contexte Ces alternatives sont d finies gr ce aux points de variation En outre un sc nario ouvert est d fini de mani re tre configur pour r pondre des exigences sp cifiques d un contexte donn par la prise en compte uniquement de la variante la plus pertinente pour le contexte en consid ration Afin d viter les choix inconsistants des variantes qui m nent des situations non souhaitables la validation des adaptations d un mod le qui repr sente un sc nario ouvert doit tre effectu e dans un niveau lev d abstraction gr ce au m ta mod le qui assure la conformit et la coh rence de ce mod le Cela doit permettre l enseignant praticien de travailler un niveau m ta en prenant en compte les connaissances les contraintes et les r gles de son propre domaine m tier Cette approche vite selon nous de concevoir chaque fois nouveau le mod le du sc nario p dagogique Elle peut ainsi am liorer la communication de l expertise et favoriser la r utilisation syst matique des pratiques communes ou prouv es dans un do
360. param tre trouve son int r t selon la construction de la suite de probl mes En effet si celle ci est compos e de probl mes isomorphes probl mes dont le but est identique et atteignable par les m mes proc dures Khider ef al 2005 l influence est plus forte qu en cas de suite de probl mes n ayant aucun lien les uns avec les autres mais dont le but est de faire par exemple une valuation de l apprenant sur les points abord s pr c demment en classe par exemple un probl me par notion v hicul e Ainsi l ajustement de ce param tre permet de prendre en compte l influence de cette construction Cycle de vie des traces Lorsque l apprenant r sout un probl me des traces sont g n r es par les diff rents outils ce sont des traces brutes qui vont permettre au syst me de diagnostic d tudier le comportement de l apprenant afin d obtenir des informations le concernant Mark et Greer 1993 En prenant en compte des m ta donn es sur les probl mes m mes comme par exemple son nonc ses caract ristiques et en enrichissant les traces brutes l aide d un mod le du domaine nous obtenons des traces compl t es qui serviront l mission d un diagnostic cognitif de l apprenant VanLehn 1988 Les r gles mod lis es sont en Prolog cependant afin de s abstraire du probl me du passage du langage naturel des faits Prolog de fa on automatique nous avons retranscrit les
361. partie de l activit m me de l utilisateur Ensuite la mod lisation r alis e avec des experts du domaine permettra d expliciter des processus implicites de l activit Expliciter ces processus permettra alors de pr senter l apprenant des connaissances expertes au moment m me de l activit ou il en aura besoin L Utilisateur et la Communaut Deux aspects nous semblent int ressants prendre en compte chez l utilisateur du dispositif sa motivation dans l emploi de l outil et ses caract ristiques individuelles Nous voquerons ensuite ses relations avec le reste de la communaut d apprenants La question de la motivation l utilisation est essentielle en conception informatique en g n ral et plus particuli rement dans l informatique ubiquitaire Les dispositifs ubiquitaires venant en effet s ajouter une situation d j existante ils risquent de n tre pas utilis s s il n existe pas une motivation importante On distingue trois types de motivation dans les articles choisis motivation conomique ludique et pratique La motivation conomique voqu e par Barbry et al 2008 concerne les vendeurs leurs primes tant index es sur leurs ventes une formation en dehors de leur lieu de travail peut leur faire perdre de l argent La motivation ludique est mise en lumi re dans Gustafsson et Baag 2008 Kittl et Petrovic 2008 et Caron et al 2008 cette motivation r sulte sim
362. partie artisanale nous interroge sur comment l objet est appropri par les acteurs du processus enseignement apprentissage et comment faire que cette appropriation s ins re dans cet apprentissage de fa on constructive R f rences Dufresne A Basque J Paquette G L onard M Lundgren Cayro K Prom Tep S Vers un mod le g n rique d assistance aux acteurs du t l apprentissage Sticef org Volume 10 2003 pg 57 88 Laflaqui re J Pri Y L exp rience trac e des activit s conjointes instrument es 2009 Atelier Interaction Contextes Traces Universit de Caen Rabardel P 1995 Les hommes et les technologies une approche cognitive des instruments contemporains Armand Colin Paris Mille A 2006 From case based reasoning to traces based reasoning Annual Reviews in Control 30 2 223 232 Journal of IFAC Settouti L S Pri Y Mille A and Marty J C 2005 Syst mes base de trace pour l apprentissage humain L objet Volume 8 n 2 2005 p 1 15 Tardif J Une id e puissante mais polys mique l autor gulation des apprentissages Vie p dagogique n 140 Septembre Octobre 2006 p49 Vinck D 2006 Dynamique d innovation et de conception et r le des objets interm diaires cole d ete du GDR TIC soci t Les Supports de la Connaissance Technologies M diatisation Apprentissage Autrans 166 Lyon 6 et 7 mai 2010 Index des auteurs A Abedmouleh Aymen
363. pe de diff rences structurelles identifi es par ACDC La plupart des appariements identifi s sont univoques sans alt ration de structure not Void Ils sont pratiquement parfaits m me si les noms les propri t s locales et les contextes des motifs associ s sont diff rents 70 des appariements multivoques i e les fusions et les clatements sont identifi s par ACDC et 72 des appariements sont corrects Ces r sultats sont bons tant donn que ces diff rences correspondent a des modifications de structure des mod les importantes Diff rences A B C Pr cision Rappel clatement 43 71 23 0 76 0 63 Fusion 6 47 22 0 68 0 89 Void 31 3069 52 0 98 0 99 Remplacement 62 416 33 0 93 0 87 Transfert 141 133 18 0 88 0 49 Figure 2 R sultats d taill s pour chaque type de diff rences La figure 3 montre les r sultats d ACDC en fonction du nombre de diff rences produites par le syst me entre le diagramme de l apprenant et celui de r f rence pour chaque appel du diagnostic chaque point repr sente un score d une mesure de qualit pour un appel du diagnostic et les courbes d crivent les tendances de la Pr cision du Rappel et de l Overall du syst me o 5 10 15 20 25 30 35 40 45 50 55 60 Pr cision Rappel a Overall Panne Lin aire Precision Lin aire Rappel Lin aire Overall Figure 3 Influence des diff rences des diagramme
364. pe et de connaissances individuelles Nous avons enfin pr sent certaines des analyses que nous ferons ainsi que l application que nous esp rons faire des r sultats R f rences Baker M and Lund K 1997 Promoting reflective interactions in a computer supported collaborative learning environment Journal of Computer Assisted Learning 13 175 193 Dyke G Lund K and Girardot J J 2009 Tatiana an environment to support the CSCL analysis process CSCL 2009 Rhodes Greece 58 67 Fenwick J B Norris C Barry F E Rountree J Spicer C J and Cheek S D 2009 Another look at the behaviors of novice programmers SIGCSE 09 ACM New York NY 296 300 Humphrey W S 1995 A Discipline for Software Engineering Addison Wesley Jadud M 2005 A first look at novice compilation behaviour using BlueJ Computer Science Education 15 1 25 40 Johnson P M Kou H Agustin J Chan C Moore C Miglani J Zhen S and Doane W E 2003 Beyond the Personal Software Process metrics collection and analysis for the differently disciplined In Proceedings of the 25th international Conference on Software Engineering IEEE Computer Society Washington DC 641 646 May M George S and Pr v t P 2008 A closer look at tracking human and computer interactions in web based communications International Journal of Interactive Technology and Smart Education 5 3 170 188 Mostow J and
365. pecifiques s ances de TD par exemple Compte tenu du nombre d apprenants les tuteurs pouvaient suivre effectivement ce qu ils taient en train de faire en temps r el et d tecter certaines erreurs et situations critiques mais ils ne pouvaient pas capturer tous les moments int ressants puisqu il y avait trop d informations Ainsi compte tenu du fait qu il y a plusieurs apprenants suivre en m me temps et pour soulager le tuteur la mise en place d un outil de calcul d indicateurs s int grant Hop3x nous a permis post exp rimentation de calculer les indicateurs sp cifiques et transversaux de chaque apprenant pour toutes les sessions d apprentissage La figure 4 est une fen tre ajout e l interface de Hop3x Enseignant elle montre des indicateurs sp cifiques et transversaux calcul s partir de la trace d interaction de l tudiant de la figure 3a Cette fen tre permet d sormais au tuteur d avoir des indicateurs donnant des informations synth tiques sur l activit de l apprenant mais aussi de s lectionner un ou plusieurs indicateurs pour lesquels il veut intervenir soit en mode audio en tablissant une communication audio avec l apprenant soit en mode texte en envoyant un message l apprenant 5 Conclusion et perspectives La perception de l activit de l apprenant via l instrumentation de la supervision est indispensable pour r guler l apprentissage mais r guler l apprentissage c est aussi donner les m
366. plement de l int r t essentiellement pour une population jeune d utiliser des dispositifs technologiquement innovants La motivation pratique renvoie l int r t concret qu a l utilisateur se servir du dispositif dans le cadre de son activit Il semble difficile de prendre en compte la motivation l utilisation dans le m tamod le de la situation toutefois une formation proposant un apprentissage authentique devrait en principe r pondre la question de la motivation pratique La prise en compte des caract ristiques de l utilisateur se fait sur deux axes tout d abord sur ses caract ristiques instantan es et ensuite sur les caract ristiques de son parcours d apprentissage Les caract ristiques instantan es de l utilisateur sont des informations sur son tat mental ou physique un instant donn La charge cognitive de l utilisateur est par exemple une caract ristique instantan e prendre en compte pour la pr sentation des informations Ainsi on pr sente l utilisateur des informations qu il aura la capacit de traiter au moment de leur pr sentation Inversement le parcours d apprentissage est une donn e qui se construit dans la dur e Il correspond aux connaissances acquises par l utilisateur gr ce au dispositif Ce parcours est pris en compte dans Ogata et Yano 2003 les utilisateurs se voyant proposer des informations en fonction des activit s auxquelles ils ont d j acc d s Da
367. pour d nouer cette probl matique est l exploitation des traces laiss es par les apprenants au sein de l EIAH A cet effet plusieurs approches et outils ont t propos s des outils de statistiques et des outils d aide la prise des d cisions Ces outils traitent la trace l tat brut pour offrir une trace interpr t e et propri taire mais difficilement partageable entre les diff rents dispositifs de formation C est dans cette optique que se situe notre travail En premier lieu nous pr sentons d une mani re non exhaustive les travaux dans ce th me de recherche Ensuite nous explicitons notre approche les tests et les r sultats obtenus L analyse des Traces dans les EIAH L tude des diff rents mod les de trace nous a permis de r capituler dans le tableau ci dessous la sp cificit de la trace g n r e Mod le de trace Principales caract ristiques Mod le de JermannlLa trace brute est r cup r e analys e et Mod le MUSETTE R cup re des traces issues de la Pernin 2005 plusieurs sources de tra age pour g n rer des conseils et des directives Mod le TREFLECapitalise les traces d utilisation et les Egyed Zsigmond exploite afin d assister l utilisateur dans sa navigation Structure les traces issues des fichiers log relatives aux actions et aux productions des apprenants et calcule des indicateurs d activit sociaux et cognitifs Tableau 1 tableau comparatif des diff r
368. pprentissage pervasif in situ In Proceedings of Technologie de l Information et de la Communication pour l Enseignement TICE 2008 84 91 Brown J S Collins A and Duguid P 1989 Situated Cognition and the Culture of Learning Educational Researcher 18 1 32 42 Caron P A Le Pallec X Kaddouci S and Ritaine F J 2008 Exp rimentations d apprentissage pervasive juste temps en situation de travail In Proceedings of Environnements Mobiles et Apprentissage Pervasif EMAP 2008 3 mes Rencontres Jeunes Chercheurs en EIAH 99 Pierre Yves Gicquel Caron P A 2007 Ing nierie dirig e par les mod les pour la construction de dispositif p dagogique sur des plateformes de formation Ph D diss Laboratoire d Informatique Fondamentale de Lille De Vries E and Baill J 2006 Apprentissage r f rents th oriques pour les EIAH In Environnements Informatiques pour l Apprentissage Humain Eds 2006 Paris Herm s Lavoisier 27 46 Favre J M Estublier J and Blay Fornarino M eds 2006 L ing nierie dirig e par les mod les Herm s Lavoisier Gustafsson A and Baag M 2008 Evaluation of a pervasive game for domestic energy engagement among teenagers In Proceedings of the 2008 International Conference on Advances in Computer Entertainment Technology 232 239 Kittl C and Pettrovic O 2008 Pervasive Games for Education In Proceedings of the 2008 Euro American Conference on Te
369. pr sente tude est que proportionnellement les femmes ont fait plus d exercices que les hommes On voit qu un fort pourcentage des tudiants es ayant fait au moins une activit a galement fini une deuxi me dont 92 5 des femmes et 82 3 des hommes Mais les femmes ont fait syst matiquement plus d exercices que les hommes Plus de la moiti des sujets masculins 51 6 et presque deux tiers des sujets f minins 63 7 ont travaill sur un troisi me exercice Et pr s d un quart des deux sexes dont 23 6 des hommes et 23 7 des femmes ont travaill sur un cinqui me exercice Apr s chaque activit plus de femmes 4 4 12 1 que d hommes ont continu travailler Mais il n y a pas de diff rence significative entre la quantit d entr es par genre p 0 452 ni entre la quantit de r ponses correctes par genre p 0 238 Un peu moins de la moiti des femmes 43 8 comme des hommes 40 3 a choisi de travailler partir du premier texte de la liste Mais une diff rence selon le genre appara t dans le choix des autres textes Il y a eu notamment plus de femmes 10 que d hommes 1 6 ayant choisi de travailler sur le douzi me texte The Lettre H le seul texte sur la langue Encore plus remarquable 25 1 des femmes contre seulement 13 6 des hommes ont s lectionn le texte sur la gestation The First Six Months lors de l ensemble des premiers et des deuxi mes exercices choisis On peut s
370. processus de d finition de contraintes sur activit s cf b sur la Figure 1 se d compose en deux tapes la proposition d une interface adapt e au mod le d activit s permettant de limiter les possibilit s lors de la d finition des contraintes sur activit s et l enregistrement de ces contraintes sp cifi es par l agent souhaitant adapter les activit s Ensuite le syst me utilise les contraintes sur activit s pour adapter les activit s p dagogiques propos es aux apprenants Ce processus de g n ration d activit s cf c sur la Figure 1 se d compose lui aussi en deux tapes l utilisation des contraintes pour cr er une activit et la mise en forme de cette activit pour tre soit imprim e soit int gr e un logiciel L approche GEPPETO peut tre utilis e pour adapter des activit s papier ou des EIAH comme nous allons le voir dans les deux sections suivantes GEPPETO ou comment g n rer des activit s papier Les mod les en jeu dans la d clinaison de l approche GEPPETO pour l adaptation d activit s papier et les relations entre ces mod les sont repr sent s sur la Figure 2 Cette d clinaison nomm e GEPPETOp avec P pour Paper s appuie sur la proposition d une typologie d activit s papier comportant huit cat gories d activit s Lefevre et al 2009b GEPPETOp Structure de Se i patrons Architecture g n rique des g n rateurs Figure 2 GEPPET
371. pts en jeu Les serious games Le jeu est une situation naturelle pour l enfant et bien souvent m me une situation naturelle d apprentissage Broug re 2005 Cette id e reprise pour des personnes adultes garde encore tout son sens le jeu exerce sur nous un attrait tout particulier et peut susciter l envie d apprendre Fenouillet et al 2009 C est ce qui explique l existence des serious games Dans notre cas le laboratoire se situe dans une cole d ing nieurs l INSA de Lyon Les serious games con us et d velopp s dans le laboratoire sont donc destin s la construction de comp tences m tiers Ils prennent en compte le r le essentiel d un tuteur qui encadre les apprenants replace en perspective les acquis du jeu et peut ventuellement modifier le d roulement du jeu Des quipes du LIESP Akkouche et Pr v t 1998 Sghaier et al 2007 travaillent sur des processus d laboration de serious games Nous nous appuierons sur les d marches qu ils adoptent La r alit mixte En 1994 Milgram et Kishino 1994 ont introduit le terme de R alit Mixte pour d signer le continuum des approches combinant environnements virtuels et environnements r els Ce terme de R alit Mixte regroupe sch matiquement deux composantes la R alit Augment e o l on part du r el et o le virtuel vient ponctuellement l enrichir et la Virtualite 3s Rencontres Jeunes Chercheurs en EIAH 149 Charl
372. quelles interviennent des situations collaboratives POSEIDON permet de d crire l affectation des r les m tiers aux acteurs du sc nario p dagogique En effet le mod le d crivant les organisations m tiers tant r ifi dans le sc nario p dagogique le formateur peut expliciter le fait que dans le cadre d une activit p dagogique particuli re l acteur jouant tel r le dans l organisation p dagogique sera affect tel r le dans une quipe de l environ nement Dans le sc nario le formateur peut de plus sp cifier quels seront les moyens d interaction dont disposera l utilisateur pour jouer ce r le La figure 5 repr sente le mod le simplifi des organisations p dagogiques POSEIDON lt lt EducationalRole gt gt encadrant 1 Formateur lt lt ducatioralRole gt gt apprenant 1 20 Etudiant a7 a lt EJucatlona Organisator gt gt a Organisation TP f lt Educatiorallole gt accompagnate tr AidePedago Figure 4 Repr sentation d une organisation p dagogique POSEIDON sous forme d une collaboration UML Activit s p dagogiques Le sc nario p dagogique d crit un enchainement d activit s p dagogiques A l instar de Lourdeaux 3 mes Rencontres Jeunes Chercheurs en EIAH 91 Nicolas Marion Behave Mascaret Behave OrganisationalStructure EducationalOrganisation InteractionSpecification Figure 5 Mod le simplifi de
373. quelles sont les m thodes mobilis es par chacun pour leur permettre de mener bien leur activit Cette premi re tude s inscrit dans un projet en relation avec les concepteurs d un dispositif de d mat rialisation de copies d examens Nous cherchons observer le changement de pratiques li aux nouvelles technologies Charnet et Bonu 2007 La d mat rialisation des copies implique le processus de num risation des feuilles papier permettant d envoyer les images num ris es et s curis es vers une plateforme de gestion et de correction par Internet Le processus de d mat rialisation a pour principal avantage d all ger les d placements la manutention et les co ts li s l organisation d un examen Cela permet galement la coordination et le suivi synchronis des corrections distance par les organisateurs de l preuve Le dispositif web permet d identifier le candidat correspondant chaque copie de reconna tre les diff rentes questions et de r partir les r ponses traiter vers les diff rents intervenants correcteurs responsables p dagogiques harmonisateurs jurys d examens Le dispositif modifie l organisation des pratiques de correction pour les enseignants tout en conservant la sp cificit du papier et de l criture manuscrite pour le candidat texte formules math matiques sch mas Les r ponses r dig es pourront ensuite tre trait es point par point de mani
374. r ation d une Trace Mod lis e pour un EIAHx TMeranx qui est effectu e partir des l ments observ s issus de cet EIAH et du Mod le de Traces d Activit s qui les d crit MTAgru Pour ce faire le concepteur d crit d abord le mod le MTAgyapx en r utilisant sp cifiant ou en tendant le mod le MTA Une fois le mod le MTAgyapx mis en place le concepteur d finira le moyen d effectuer la collecte i e de d finir comment associer les l ments des traces captur es durant la session d apprentissage aux l ments du MTAgyanx Le r sultat de ce processus est la trace premi re mod lis e au sens des SBTm i e une trace mod lis e de l EIAHx non transform e TMgranx La seconde tape est le processus de transformation d une trace mod lis e qui est n cessaire lorsque le concepteur estime que les observ s assembl s dans la trace premi re ne sont pas ou peu significatifs pour le diagnostic Le concepteur pourra donc exprimer des r gles de transformation en utilisant le langage de transformation du cadre des SBTm pour interpr ter et am liorer la trace premi re produisant ainsi une nouvelle trace mod lis e La troisi me et derni re tape repr sente le processus de diagnostic qui consiste instancier le mod le de l apprenant pour obtenir le profil de l apprenant interagissant avec l ETAHX l aide des connaissances de diagnostic Les traitements effectu s cette tape utilisent les trac
375. r er une m moire organisationnelle de contr ler le d roulement du projet de r diger une documentation et d utiliser les ressources techniques du domaine pour r aliser le produit La comp tence transversale de r daction se d compose en deux comp tences qui correspondent respectivement la production d un document d analyse et d un document de synth se Validation Suivant les recommandations de la m thodologie de conception MAUI Leclet et Talon 2008 nous avons exp riment l environnement eMallette Lab Cette exp rimentation a concern une population cible de vingt deux tudiants de la licence professionnelle MIAGE Nous avons formul un certain nombre d hypoth ses Un protocole exp rimental qui se composait d une observation exploratoire et d un questionnaire questions ferm es a t mis en place pour valider ou invalider ces hypoth ses la suite de cette premi re validation nous avons entam la r flexion pour d velopper l outil d aide aux enseignants Actuellement le travail porte sur la transformation en ontologie du mod le de comp tences afin d laborer des r gles d inf rences en fonctions des comp tences vis es Suivant les r sultats certaines activit s pr conis es par MAETIC seraient prises en compte et d autres liss es pour tre r duites au strict minimum dans la r alisation des sc narios p dagogiques L objectif qui sous tend cet outil est de valider aupr s des e
376. r t reconnu de l utilisation du jeu de r le des fins de formation Druckman et Ebner 2008 Ses caract ristiques r pondent galement des besoins identifi s dans notre contexte une appropriation facile par les formateurs et les apprenants avec des sc narios comportant g n ralement peu de r gles une facilit d adaptation rendue possible par le recours des 3S Rencontres Jeunes Chercheurs en EIAH 43 Christelle Mariais ressources externes ais ment modifiables enfin la mise en uvre d activit s collectives favorisant la co construction de savoirs En nous appuyant sur une analyse de pratiques existantes Thiagi 2010 INTERACT 2010 nous avons choisi de travailler sur deux types de jeux de r le fr quemment utilis s pour la formation professionnelle se diff renciant en termes de modalit s d interaction et d organisation a Des jeux de communication de courte dur e 10 20 minutes simulant des situations de communication synchrone entre deux ou trois protagonistes dans le but d exercer des comp tences interpersonnelles ex la gestion de conflit et ou des comp tences m tiers ex le conseil client b Des jeux de mission plus longs de quelques jours plusieurs semaines confiant une mission une quipe de participants et visant une production commune dans le but d exercer la fois des comp tences transversales ex travailler en quipe et de formaliser des conn
377. r Studies of Computer Supported Human Interactions In Proceedings of the Fourth European Conference on Technology Enhanced Learning Learning in the Synergy of Multiple Disciplines 572 583 Nice France Courtin C 2008 CARTE an Observation Station to Regulate Activity in a Learning Context In Proceedings of the Fifth IADID International Conference Cognition and Exploratory Learning in Digital Age 191 197 Freiburg Germany Creative Commons 2010 http creativecommons org licenses by sa 2 0 fr deed fr CTAT 2010 http ctat pact cs cmu edu DCMI 2010 http dublincore org Dyke G Girardot J J Lund K Corbel A 2007 Analysing Face to Face Computer mediated Interactions In proceedings of the 12th Biennial International Conference EARLI 2007 Budapest Hungary Dyke G 2009 Un modele pour la gestion et la capitalisation d analyses de traces d activit s en interaction collaborative Ph D diss G2I RIM Ecole Nationale Sup rieure des Mines de Saint Etienne Ferraris C and Lejeune A Hermes Lavoisier Eds 2009 Analyse de traces et personnalisation des environnements informatiques pour l apprentissage humain Chapitre 5 219 244 IMS LD 2010 http imsglobal org learningdesign IMS CP 2010 http imsglobal org content packaging Koedinger K R Cunningham K Skogsholm A Leber B 2008 An open repository and analysis tools for fine grained longitudinal learner data In Proceedings of the
378. r avec les outils r els ou virtuels Le contexte collaboratif du projet impose l utilisation d un autre formalisme Orchestra David 2006 pour la mod lisation de syst me Il r pond au besoin de formalisme graphique de l orchestration des t ches des diff rents acteurs ORCHESTRA compl te les mod lisations CTT Mori 2002 et les cas d utilisation UML pour faciliter la mod lisation de situation collaborative afin de permettre la r utilisation du m me mod le Cadre Applicatif Bien que ce choix ne soit pas d finitif l augmentation d un jeu d entreprise sur le LEAN est pour l instant pr vue Ce jeu a pour objectif de construire des comp tences m tiers sur les principes d am liorations de la qualit des biens et des services ainsi que l efficacit op rationnelle des processus Le jeu est bas sur la mod lisation d une cha ne de production o chaque apprenant est un op rateur de la cha ne Nous chercherons la fois conserver les avantages du jeu d entreprise initial tout en ajoutant senseurs et effecteurs Un exemple d OPM pourrait tre la modification de la disposition physique des diff rents postes de la cha ne de production A chaque poste virtuel serait associ un objet physique cartes par exemple et la modification des objets physiques modifiera la disposition des postes Le programme de recherche vise la sp cification d un Serious Game Mixte la mise en place d un sc nari
379. r doit d velopper enti rement une nouvelle banque dans une ville comportant plusieurs quartiers de diff rents types quartier d affaire quartier bourgeois Le jeu se d coupe en six niveaux compos s d objectifs accomplir tels que le d veloppement de la client le des particuliers ou la maitrise des risques Le joueur doit donc tre capable d associer ces diff rents objectifs les actions de jeu correspondantes Il doit de plus respecter les relations d ant riorit entre ses diff rentes d cisions En effet certaines actions de jeu ne peuvent tre ex cut es si d autres n ont pas t lanc es auparavant Pour faire ses choix d actions le joueur dispose d un tableau de bord d indicateurs comportant la tr sorerie le cours de l action la part de march et le 3mes Rencontres Jeunes Chercheurs en EIAH 51 Pradeepa Thomas nombre d employ s Ces indicateurs repr sentent les diff rentes parties prenantes du monde bancaire Ce qui rend le jeu complexe et int ressant est que le moteur de jeu est un syst me dynamique simulant l volution dans le temps de la banque m me en l absence de toute action nouvelle du joueur Ce moteur de jeu est bas sur une simulation r alis e dans un premier temps l aide d un tableur reposant sur les performances r elles du groupe Notre Analyse Pour mener notre analyse nous avons eu recours une base de donn es externe La figure
380. r mettre jour le profil de l apprenant en fonction de ses actions Indicateurs d analyse disponibles individuel comme les l ments cliqu s les temps de pause ou collectif comme le pourcentage la moyenne l cart type le nombre d abandons et d autres statistiques sur le score d un groupe Ces indicateurs pourront tre utilis s par les quipes d analystes pour appr cier l utilisation du SG Objectifs ducatifs acquisition de connaissances de comp tences capacit s logiques personnelles ou uniquement amusement et loisir mise en confiance ou renforcement de lien sociaux Couverture ducative des composants S agit il d une formation compl te ou d une introduction sur un sujet d une valuation des acquis ou d une mise en application de concepts d j appris les ressorts du jeu utilis hasard comp tition mimicry vertige Caillois 1992 M canisme sc naristique du composant pour que l auteur sache s il est possible de l int grer dans son SG Nous avons identifi cinq m canismes mais un jeu peut videment contenir un m lange de ces types Babari 2000 eLe jeu plateau au cours duquel le joueur est confront a une succession d l ments al atoires qu il doit g rer pour arriver au point d arriv e e Le jeu d enqu te pour lequel un probl me initial est pr sent et o le joueur est pouss a d couvrir une solution par lui m me e Le puzz
381. ract ris par une triade de sympt mes anomalies quantitatives de l interaction sociale anomalies quantitatives dans la communi cation int r ts restreints comportements et activit s r p titifs et st r otyp s APA 1993 Notre tude porte sur l usage vis e ducative de l ordinateur par et pour des l ves atteints d autisme Il s agit d tudier les modalit s d utilisation des ordinateurs Plus sp cifiquement notre th se a pour but d observer et de d crire les diff rentes formes de communication dans une relation triangulaire enseignant enfant ordinateur D apr s la litt rature l ordinateur peut jouer un r le pour aider d passer certaines difficult s d apprentissage de l l ve autiste Gr ce une m thodologie qui combine deux instruments synchronises nous pouvons observer et analyser les interactions pendant des s ances d apprentissage assist es par ordinateur dans le contexte scolaire ordinaire de l l ve Nos r sultats montrent l int r t de celle ci pour r cup rer des formes de communication fines et les interpr ter L Ordinateur face certaines difficult s d apprentissage des enfants autistes Plusieurs recherches montrent que la personne autiste manifeste des difficult s d ordre cognitif et relationnel et des besoins sp cifiques d apprentissage 1 difficult s entrer dans une relation interindividuelle Green 1990 2 difficult ras
382. raduits dans un pr dicat Prolog pour tre utilis le moment venu par un 38 Lyon 6 et 7 mai 2010 Une approche g n rique pour adapter les activit s g n rateur de probl me De m me lorsque l enseignant assemble des exercices pour cr er une s quence ses choix sont m moris s dans un fichier XML Enfin lorsqu il affecte des s quences un l ve ses choix sont galement m moris s dans un fichier XML Le logiciel TRI ne poss de lui aucune interface enseignant mais chaque enseignant peut modifier ses fichiers de configuration pour personnaliser les activit s que pourront faire ses l ves Ce fichier de configuration indique les diff rentes tapes cours exercices que doit faire l apprenant ou indique que l apprenant pourra naviguer librement dans le logiciel Le logiciel ABALECT ne poss de lui non plus aucune interface enseignant permettant de configurer le parcours des apprenants mais n est pas non plus param trable par des fichiers de configuration Pour adapter le logiciel ses l ves l enseignant doit donc indiquer chacun le texte choisir selon le niveau scolaire auquel le texte est destin puis leur dire quel exercice faire en leur pr cisant ventuellement la cat gorie laquelle appartient l exercice Ces exemples montrent bien la diversit des personnalisations possibles pour les logiciels p dagogiques Avec l approche GEPPETOs nous fournissons l enseign
383. rant Nous avons pr sent FORMID Suivi qui est notre cas d tude et l avons d crit suivant le mod le de r f rence en visualisation d informations adapt par Hurter et Conversy 07 Nous avons propos une adaptation de ce mod le afin de prendre en compte les cas o les tables structurant les donn es peuvent tre modifi es en temps r el Nous avons propos une mani re de mettre en uvre notre mod le en utilisant le toolkit Prefuse Une premi re maquette suivant les principes d crits a t r alis e dans le cadre de FORMID Suivi Il reste prouver davantage notre proposition en effectuant un passage l chelle et en la testant avec d autres cas d application R f rences Altet M Comment interagissent enseigants et l ves en classe Revue Fran aise de P dagogie num 107 avril mai juin 1994 123 139 Card S K Mackinlay J D Schneiderman B in Readings in Information Visualization Using Vision To Think Morgan Kaufman 1999 Despr s C Leroux P Tutorat synchrone distance EIAH 2003 Strasbourg Avril 2003 pp 139 150 Fekete J D The InfoVis Toolkit in Proceedings of the 10th IEEE Symposium on Information Visualization InfoVis 04 IEEE Press 2004 pp 167 174 Gu raud V Adam J M Pernin J P Calvary G David J P L exploitation d Objets P dagogiques Interactifs distance le projet FORMID Sciences et Technologies de l Information et de la C
384. ravaill individuellement pendant 90 120 minutes Nous attribuons un identifiant chaque l ve afin de ne conserver aucune information telle que le pr nom puisque des tudes ont montr que dans le domaine de l lectricit il n existait pas de diff rence notables entre filles gar ons tant aux niveaux des taux de r ussite aux items qu aux niveaux des conceptions test es et des modes de raisonnement utilis s pour r soudre les probl mes pos s Dupin et al 1999 Phase 2 Collecte de diagnostics faits des enseignants T che demand e Nous avons vu que 1 l apprenant disposait de 3 outils pour mener bien l activit propos e QCM Q Formulation F et TPElec T soit 7 contextes de r solution Q F T Q T Q F F T Q F T 2 DiagElec prenait en compte le contexte de diagnostic dans ses algorithmes Ainsi afin de voir l impact de ce contexte nous avons r alis un diagnostic pour chacun d eux Nous avons demand la m me t che aux enseignants faire 7 diagnostics par apprenant en termes de connaissances comp tences et erreurs S lection d apprenants Les exp rimentations ayant concern en tout 60 apprenants il n tait pas r alisable de demander aux enseignants de travailler avec le corpus complet Ainsi un algorithme de s lection des apprenants a t mis en uvre Nous avons choisi de s lectionner des groupes d apprenants ayant les m mes diagnostics au Test QCM concerna
385. rcelona Spain Cram D Jouvin D and Mille A 2007 Visualizing interaction traces to improve reflexivity in synchronous collaborative e learning activities In Proceedings of the 6th European Conference on e Learning 147 158 A C Limited Ed Laflaqui re J 2009 Conception de traces num riques dans les environnements informatiques documentaires Ph D Universit de Technologie de Troyes Pastr P Dir 2005 Analyse d un apprentissage sur simulateur des jeunes ing nieurs aux prises avec la conduite de centrales nucl aires Apprendre par la simulation de l analyse du travail aux apprentissages professionnels Toulouse Octares 241 265 Sehaba K Encelle B Mille A 2009 Adaptive TECHNOLOGY ENHANCED LEARNING based on Interaction Traces In Proceedings of AIED 09 workshop TUMAS A Brighton UK Settouti L 2006 Syst mes base de trace pour l apprentissage humain In Proceedings of 1 Rencontre Jeunes Chercheur sur les EIAH INT Paris SUD 108 Lyon 6 et 7 mai 2010 Adaptation du mod le de r f rence en visualisation d informations pour le suivi de situations p dagogiques ajustables en temps r el Nicolas Vezian LIG MeTAH 961 rue de la Houille Blanche 38402 Grenoble France nicolas vezianOimag fr R sum Dans le domaine des environnements informatiques pour l enseignement et l apprentissage humain les outils de suivi pr sentent des enseignant tuteurs le travail
386. re ces derni res Les transformations successives sont gard es en m moire pour Plonger dans les traces Les fl ches encadrant les transformations marqu es T symbolisent les sens de plong e autoris s appelons aussi la d finition de Settouti 2006 Formellement un mod le de Trace est une structure Oc Or ou Oc est un ensemble fini de classes d objets ou types d objets Bci classe au sens du paradigme orient objet d crivant les objets observ s de la trace Or est un ensemble fini de types de relations entre classes Oc Or E Oc x Oc Formellement une Trace est un 4 uplet T race Dp Otr Rt Rs ou Dp est un domaine temporel Dp T lt o T est l ensemble fini d intervalles et lt est une relation d ordre dans T Les intervalles de temps sont d crit par Td et Tf repr sentant l instant de d but et de fin de l intervalles et sont not s Td Tf Otr est un ensemble fini des l ments O de la Trace Otr 00 ol on Otr est l ensemble des instances des Oci Otr est l ensemble des observ s de la trace Pour compl ter notre hypoth se de d part nous en uns TES Observables 5 Wr M 106 Lyon 6 et 7 mai 2010 Utilisation des traces comme outils d aide l observation Dans le but d enrichir nos connaissances sur les observ s nous retenons la d finition suivante emprunt e Clauzel er al 2009 A tr
387. re d exercices cf Structure C1 001 sur la Figure 3 C est partir de cette structure d exercices que le syst me g n re les exercices Il peut ainsi g n rer des exercices diff rents partir d une m me structure d exercices GEPPETOsg ou comment param trer des EIAH vari s Les mod les en jeu dans la d clinaison de l approche GEPPETO pour l adaptation d activit s logicielles et les relations entre ces mod les sont repr sent s sur la Figure 4 Cette d clinaison nomm e GEPPETO avec S pour Software permet l adaptation d activit s logicielles que nous d finissons comme une s quence d activit s sur un logiciel p dagogique Adapter une activit logicielle revient donc param trer le contenu de la s quence mais aussi le logiciel pour qu il soit adapt l apprenant Une tude syst matique de trente logiciels p dagogiques de types de provenances de publics cibles et de domaines vari s nous a permis d tablir que Lefevre et al 2009c la personnalisation d un EIAH peut porter sur 5 facettes le choix ou la cr ation des activit s l agencement de ces activit s pour former des s quences de travail les fonctionnalit s offertes a l apprenant l interface et les r troactions propos es par PEIAH les param tres agissant sur ces facettes peuvent tre repr sent s dans des fichiers de configuration ou modifiables via l interface de l EIAH c
388. re et al 2009a Le logiciel Adapte s int gre dans l environnement EPROFILEA associ au projet PERLEA Jean Daubias 2003 Le r le de cet environnement est d assister l enseignant dans sa gestion de profils cr s par l enseignant lui m me ou issus d EIAH Ces profils peuvent porter sur toutes les disciplines et tous les niveaux scolaires ou universitaires EPROFILEA comporte deux parties la constitution de profils conformes l environnement et leur exploitation Le logiciel Adapte est une des exploitations possibles des profils il permet de fournir chaque apprenant des activit s adapt es son profil tout en respectant les choix p dagogiques de son enseignant Ces activit s peuvent tre des activit s papier crayon propos es par le syst me ou des activit s logicielles g r es par un EIAH externe l environnement Pour pouvoir proposer des activit s imprimer Adapte est dot de huit g n rateurs d exercices associ s aux huit patrons d exercices propos s dans GEPPETOp Trois de ces g n rateurs sont pleinement op rationnels les autres sont en cours de d veloppement Pour pouvoir personnaliser les EIAH Adapte poss de un module permettant de cr er pour chaque EIAH personnaliser un mod le OKEP de l EIAH Ce mod le est ensuite utilis par Adapte pour proposer l enseignant une interface destin e param trer VEIAH puis pour cr er les fichiers de configuration et ou les
389. re part qu il puisse adapter les activit s ses propres objectifs Dans nos travaux de recherches nous nous sommes int ress es la mani re de traiter cette double h t rog n it dans un contexte g n rique Lefevre 2009 Dans cet article nous parlons uniquement de la mani re d adapter une activit p dagogique pour prendre en compte les besoins et habitudes p dagogiques d un enseignant et ceci dans un contexte g n rique Cette adaptation concerne la fois les activit s papier et les activit s logicielles Pour les activit s papier la question est de savoir comment g n rer un exercice correspondant au besoin d un enseignant Pour les activit s logicielles il faut savoir comment param trer un logiciel p dagogique pour que son contenu ainsi que l environnement qu il propose correspondent aux attentes de l enseignant Pour permettre cette adaptation des activit s p dagogiques de mani re g n rique nous proposons l approche GEPPETO Cette approche s appuie sur des mod les et des processus g n riques permettant d adapter les activit s en fonction des intentions p dagogiques des enseignants gr ce la d finition de contraintes sur activit s Nous avons d clin cette approche pour permettre l adaptation des activit s papier GEPPETOp et pour l adaptation d activit s logicielles au sein d EIAH GEPPETOs Dans cet article nous faisons une revue des solutions propos es aux e
390. re recherche ii un projet de remodelage fusion de tous les crans li s l accompagnement des tudiants iii un projet de remodelage ergonomique et fonctionnel du plan de travail de fa on y instrumentaliser les r troactions Les actions venir sont au niveau plateforme 1 une tude de l inclusion ou de l activation du traitement des contenus didactiques scormables ii l tude de l optimisation de la recherche et du traitement de donn es d un point de vue informatique Au niveau recherche nous r alisons parall lement i un tat des lieux sur l accompagnement des tudiants dans les EIAH ii un tat des lieux sur les Syst mes Base de trace compl mentation du travail d velopp lors du Master II sur ce m me th me Toujours au niveau recherche les actions venir sont 1 une mise en relation de mod les et types de trace informatique 11 l tude des objets fronti res et de leurs implications dans l appropriation de l artefact partir de ces actions des mod les adapt s notre probl matique pourront tre d finis l objectif tant de donner corps l analyse en tenant compte des contextes Conclusion Nous avons pr sent des consid rations li es notre recherche sur l appropriation des artefacts et des consid rations ing nieristes sur la plateforme d accueil EUREKA Une recherche constante d quilibre entre industrialisation des proc d s et sa contre
391. rem diation pour assurer l atteinte de son objectif L efficacit de l auto r gulation tutorale se r f re la capacit du tuteur avoir un effet positif sur l apprentissage cet gard il doit pouvoir prendre conscience awareness des effets de son tutorat diagnostics valuations interventions etc et ainsi pouvoir par la suite arriver un metacognitive assessment i e s auto critiquer voire se remettre en cause en adaptant si besoin ses actions tutorales et ses strat gies p dagogiques pour un better learning effects ICALTS 2004 3 2 La Notion d Indicateur Les indicateurs sont un moyen de rendre compte de l activit de l apprenant En effet compte tenu du nombre d apprenants g rer lors des sessions d apprentissage les tuteurs ont besoin d informations synth tiques avec un certain niveau d abstraction concernant l activit des apprenants Cela leur permet d appr cier quantitativement et qualitativement le travail de l apprenant sans avoir explorer la trace d taill e Labat 2002 Nous adoptons dans notre travail la d finition que les JEIRP ICALTS et IA donnent d un indicateur et de ses attributs Un indicateur est d fini comme une variable that describes something related to the mode the process or the quality of the considered cognitive system activity the features or the quality of the interaction product the mode or the quality of the collaboration when actin
392. retien Cette preuve a t pass e par 59 lyc ens vietnamiens de quatre lyc es diff rents La s ance de RIW a t enregistr e avec un logiciel de capture d cran et compl t e par des notes d observation Les premiers r sultats obtenus permettent notamment de caract riser les d marches de recherche et d identifier les plus fr quentes Introduction Si les lyc ens effectuent de plus en plus de recherches sur internet on ne sait pas quelles d marches ils suivent comment ils ont appris effectuer des recherches et ce qu ils sont capables de trouver l aide des moteurs de recherche Toutefois ils utilisent le plus souvent la RIW recherche d information sur le web assist e par les moteurs de RI Nous faisons l hypoth se de liens possibles entre les connaissances des lyc ens sur le fonctionnement du moteur et leur RIW De m me nous pensons que d autres facteurs ont une influence sur leurs performances de recherche des facteurs scolaires par exemple les fili res les r sultats scolaires les d marches de recherche utilis es etc La th se a pour but d tudier ces diff rents facteurs tat des recherches Des tudes mettent l accent sur des mani res des strat gies des habitudes des difficult s des lyc ens qui utilisent des moteurs pour faire leurs recherches sur le web Dans le cadre scolaire Fidel et al 1999 ont analys le comportement des lyc ens en RIW et ont montr qu une
393. rie d un sc nario p dagogique ouvert Conclusion Nous nous appuyons sur l approche instrumentale parce qu elle procure un cadre th orique permettant de d crire efficacement la conception des sc narios p dagogiques que nous d signons comme ouverts Nous distinguons trois couches dans la structure de ce type de sc narios une couche statique une couche des variantes pr vues et une couche des impr vus Le processus d ing nierie d un sc nario ouvert se d roule sur quatre phases principales la conception initiale le d ploiement l ex cution et enfin la r ing nierie Actuellement il existe un profond foss conceptuel entre les moyens disponibles de mod lisation EML et outils et les besoins des praticiens Il est donc n cessaire d instrumenter les enseignants par les supports conviviaux afin qu ils puissent accomplir ais ment le processus d ing nierie des sc narios ouverts La mise en uvre de ce processus dans la pratique n est pas toujours facile Dans cet article nous n avons pos que des bases th oriques de son instrumentation Afin de les concr tiser l approche adopt e est la combinaison entre DSM Domain Specific Modelling et IDM Ing nierie Dirig e par les 3s Rencontres Jeunes Chercheurs en EIAH 87 El Amine Ouraiba Mod les pour permettre aux enseignants de sp cifier le sc nario sous forme d un mod le d fini dans un niveau abstrait et ensuite faciliter son
394. rmatique d apprentissage qui offre des modules fonctionnels de collaboration de communication et de m diatisation entre autres ii un module d accompagnement des tudiants objet du travail d ing nierie li notre recherche iii des objets fronti res outils tels que des graphes ou tableaux fortement investis par les diff rents acteurs Vinck 2006 Actions en cours et envisag es Nous nous proposons de mettre en relation mod les et types de trace informatique afin de d gager une taxonomie des actions caract ris e par des intrants input automatiques quand transposables au monde informatique et manuels pour lesquels l intervention param trage d un professeur ou d un apprenant est requise Nous envisageons de v rifier par une recherche action l effectivit de l appropriation de nos instruments par les professeurs et les apprenants La transmission des savoirs est en entr e et l acquisition des objectifs en sortie de notre processus le tout est constamment aliment par l homme les activit s de transmission et de r ception tant elles m diatis es par des artefacts Nous d sirons mesurer l attractivit d un artefact qui n automatise pas mais questionne Pour atteindre cet objectif nous pr parons actuellement EUREKA recevoir le module d accompagnement les actions en cours sont 1 la diffusion d un questionnaire d valuation de EUREKA aupr s des professeurs de l Universit th matique li e not
395. robl mes l aide de diff rents outils Cette cartographie est construite l aide d un syst me de diagnostic s appuyant sur un mod le d apprenant Dans cet article nous pr sentons le contexte de la r solution de probl mes en g n ral et dans notre environnement Puis nous pr sentons le mod le de diagnostic DiagElec en exposant quelques uns de ces fondements Ce mod le informatique est impl ment et afin de l valuer nous avons r alis deux exp rimentations 1 la premi re en milieu scolaire avec des apprenants afin de collecter des traces 2 la seconde avec des enseignants dont la t che fut de r aliser des diagnostics partir des productions r colt es Nous pr sentons dans cet article diff rentes comparaisons entre les diagnostics provenant des enseignants et ceux fournis par DiagElec afin d valuer notre outil La r solution de probl mes De nombreux travaux concernant la r solution de probl mes dans les EIAH et dans le domaine de la physique existent Parmi ces derniers on peut citer ANDES VanLehn ef al 2005 o l apprenant est amen r soudre des probl mes en utilisant plusieurs registres comme l criture d quations le tra age de vecteurs SimQuest Van Joolingen et De Jong 2003 un environnement de simulation qui permet l apprenant travers la manipulation de variables pertinentes d observer l impact de celle ci sur le ph nom ne observ et de fair
396. rs puis s animent sur par question passant de gauche droite Le correcteur met en vidence le fait que l ordre adopt pour la correction ne suit pas le d roulement vertical des questions par copies mais suit au contraire un d roulement horizontal la m me question est trait e successivement pour chaque copie avant de reprendre l ensemble des copies pour traiter la seconde question Cette description est ensuite justifi e avec le marqueur parce que 1 17 qui s appuie sur le principe g n ral l infinitif il faut vraiment se mettre avant de s interrompre pour modaliser le principe la premi re personne du sujet Ici le correcteur prend position pour 4 En r f rence la notion emprunt e de la psychologie de James Gibson et qui s est g n ralis e par la suite justifier ce choix Nous faisons observer que ce changement de position ne se manifeste qu une fois dans l entretien Louis Qu r 1990 met en avant l id e selon laquelle le jugement d un membre d un groupe n est pas individualis lorsqu il porte sur des faits ou caract ristiques fond es qui permettent de configurer une action de mani re intelligible et sens e Dans l entretien d explicitation le correcteur tend revendiquer implicitement un sens partag d une r alit commune pour les choix qu il d fend Ce changement de positionnement t moigne d une prise de recul par rapport aux autres correcteu
397. rs concernant sa fa on de proc der la correction Ce choix lui permet de se d tacher de la copie en tant qu unit afin de se concentrer sur chacune des questions en tant qu l ment d une s rie Le correcteur explique de fa on ce que a devienne un peu routine 1 22 23 Le traitement en s rie se caract rise ici par la notion de routine qui m ritera d tre claircies Les proc dures mises en uvre par le correcteur tendent stabiliser un certain nombre de raisonnements qui fluidifieront un traitement plus homog ne de la notation L explicitation est valid e 1 24 par l intervieweur qui signale sa r ception Pourtant l interview poursuit 1 25 en relativisant la g n ralisation pr sent e l aide des marqueurs bon mais quand m me La poursuite de l explicitation en pr sence de la validation de l intervieweur est tr s souvent observ e au cours de l entretien Cela t moigne d une certaine sym trie entre les participants l interaction La situation de l entretien ne se restreint pas au cadre de l entretien et une simple situation de question r ponse Nous relevons la structure sch matique suivante dans le cours de l activit 1 Sollicitation demande de l intervieweur de d crire un l ment X La sollicitation se manifeste soit par une question soit par une amorce de phrase en suspend 2 Explicitation reprise de l l ment X par l i
398. rs que certains syst mes ne font que tr s peu d hypoth ses sur le contexte spatial Ces syst mes associent cependant certains lieux certaines activit s de l utilisateur et proposent alors un apprentissage en fonction d une activit Ainsi dans Ogata et Yano 2003 par exemple le contexte spatial est l chelle d une ville mais des lieux d int r ts ont t d finis et sont associ s des informations qui seront pr sent es l utilisateur Sur le mod le du contexte spatial on peut d finir un contexte temporel Si pour un cursus classique le temps accorder l apprentissage est explicitement d fini le contexte temporel de l apprentissage ubiquitaire est plus difficile valuer On peut cependant consid rer en premi re approche le contexte temporel comme la dur e d utilisation du dispositif et le temps moyen d interaction par jour On va voir cependant que le moment auquel est utilis le dispositif peut tre reli la position pour d terminer l activit de l utilisateur Comme pour le contexte spatial le contexte temporel peut tre conditionn par une activit professionnelle voir Barbry et al 2008 Pham Nguyen et Garlatti 2008 Caron ef al 2008 Dans ce cas le concepteur a des hypoth ses pr cises sur le contexte temporel il saura par exemple que son dispositif sera utilis de 9 h 18h les interactions ne devant pas d passer 3 minutes Dans le cas d une form
399. ructure d un sc nario ouvert Nous proposons enfin un processus d ing nierie et de r ing nierie d un sc nario p dagogique ouvert Nous concluons en apportant quelques pr cisions sur nos futurs travaux Contexte de recherche Dans le cadre du projet REDiM men au LIUM Laboratoire d Informatique de l Universit du Maine notre objectif principal est d int grer troitement les enseignants et les formateurs dans le processus de conception d un EIAH afin de faciliter leur prise de d cisions d adaptation et de r ing nierie p dagogique Nous consid rons donc des situations d ing nierie d un EIAH o le concepteur est un enseignant ou un formateur La position scientifique g n rale est de consid rer la conception comme continue support e par un processus it ratif alternant des phases d analyse des usages et de r ing nierie de l EIAH dans une approche dirig e par les mod les Choquet 2007 Les mod les manipul s sont ici les sc narios p dagogiques qui sont conformes aux m tamod les d crivant les EML tant donn que ces langages permettent aux enseignants concepteurs de mod liser le d roulement des situations d apprentissage nous consid rons la sc narisation comme une activit de mod lisation Mettre ainsi l enseignant au c ur du processus d ing nierie et de r ing nierie des sc narios p dagogiques n cessite son instrumentation par des supports informatiques lui facilitant la t che tr
400. ructures visuelles puis avoir un rendu visuel Les structures visuelles des sc narios par exemple colonne exercice 1 influent galement sur les structures visuelles des traces l ves emplacement visuel des traces l ves pour cet exercice G n ralisation du mod le adapt Notre mod le adapt peut tre g n ralis afin d tre utilisable dans les cas o l application de visualisation doit modifier la vol e la structure de sa table interne de stockage de donn es voir figure 6 Notre mod le prend en compte les deux types de donn es que nous avons d crits pr c demment Les donn es de structure servent la fois structurer les tables des donn es visualiser au niveau des tables structur es mais aussi g n rer l interface qui accueillera les repr sentations visuelles des donn es aux niveaux structures visuelles et vues 112 Lyon 6 et 7 mai 2010 Suivi de situations p dagogiques ajustables en temps r el Flux de donn es de Flux de donn es structure Donn es de structure Donn es brutes Tables Tables structur es structur es des donn es de des donn es structure Structures visuelles des donn es de structure Structures visuelles des donn es Vues Vues des donn es de des donn es structure A Ordre de mise jour lors d arriv e de donn es B Ordre de mise jour lors des modifications des donn es de structure Figure 6 Extrai
401. s travers l enqu te r alis e la construction d un langage de mod lisation p dagogique EML sp cifique MOODLE Pour des objectifs d interop rabilit de r utilisation d change etc cet EML devra proposer un binding vers le formalisme XML Puis pour faciliter l utilisation de cet EML nous ajouterons une syntaxe concr te ou notation graphique cet EML afin de proposer un VIDL d di MOODLE et nous d velopperons un diteur graphique d di pour lequel l appropriation et l utilisation devront tre adapt es aux besoins des enseignants concepteurs Ensuite une interface d import export sera ajout e la plateforme Elle permettra la fois l op rationnalisation automatis e du sc nario p dagogique partir d un fichier ex cutable et l export des sc narios d j existants sur la plateforme Enfin l ensemble de nos contributions sera tudi et valid avec les praticiens quotidiens des plateformes dans le but de mesurer la valeur ajout e des diteurs graphiques ext rieurs aux plateformes Conclusion Dans cet article nous avons abord le probl me de la mise en uvre des sc narios p dagogiques centr e sur les plateformes de formations distance Nous proposons une conception et une op rationnalisation automatis e des sc narios p dagogiques en vue de d passer les difficult s et les limites de l utilisation directe de la plateforme Elle permettra aussi la r utilisat
402. s x Plus les mod les apparier sont diff rents plus la qualit d ACDC d cro t Des erreurs se produisent essentiellement lorsque le diagramme de l apprenant est tr s diff rent de la r f rence la fois du point de vue de la structure et des noms des classes ou des relations ou lorsque plusieurs classes ont des noms voisins La non qualification d un appariement survient souvent lorsque les noms de plusieurs l ments apparier sont des synonymes ou des hyperonymes et que la structure de leur contexte est galement alt r e La Pr cision et le Rappel d croissent similairement Toutefois la Pr cision du syst me reste sup rieure au Rappel des appariements erron s se substituent d autres appariements que le syst me devrait relever Les appariements ne doivent pas seulement tre assez bons mais leur obtention doit galement tre suffisamment rapide pour des besoins en temps r el Giunchiglia ef al 2007 ici la production de r troactions p dagogiques synchrones Le diagnostic est assez rapide car le calcul par diagramme est r alis en moins de 6 secondes en moyenne 2 secondes Conclusion L valuation du syst me ACDC int gr Diagram confirme nos premiers r sultats pr sent s dans Auxepaules 2009 ACDC fonctionne bien dans Diagram mais requiert des am liorations dans certaines situations sp cifiques Il faut toutefois garder l esprit qu un diagnostic parfait es
403. s Le mod le de trace d finit les observ s leurs attributs ainsi que les relations qu ils peuvent entretenir entre eux Familles d objectifs P dagogiques Trace de haut niveau Finale pt de vue grille R gulation Temp rature Position des vannes Acquittement Alarme Contr le quipement gt Observ s 1 Prise en compte de l tat du syst me 2 Surveillance 3 Application documents et gestes professionnels 4 Communication Connaissances de transformations Figure 2 Sch ma r capitulatif de la d marche de recherche Observables correspondant ont t ex cut s convenablement par les stagiaires Dans la Figure 2 nous faisons appara tre l exemple Prise en compte de l tat du syst me 2 Les Observables sont des observ s de plus bas niveau entrant dans la validation des familles d objectifs p dagogiques La figure 2 fait appara tre une partie des Observables composant la famille p dagogique Prise en compte de l tat du syst me 3 Les traces interm diaires et leurs observ s potentiels que nous ne connaissons pas encore et que notre d marche nous permet d atteindre 4 Les sources de collecte connues extension des sources d observation des formateurs section 2 2 2 et prises en compte dans notre d marche de conception du mod le de trace 5 Les connaissances de transformations ext rieures aux traces forment les liens essentiels ent
404. s es pour les EIAH Num ro Sp cial Analyses des traces d utilisation dans les EIAH STICEF Settouti L S Pri Y Champin P A Marty J C Mille A 2009 A Trace Based Systems Framework Models Languages and Semantics HAL CCSD TEL 2010 http www tei c org index xml Tutor Message Format 2010 http pslcdatashop web cmu edu dtd guide the_tutor_ message_format htm 80 Lyon 6 et 7 mai 2010 Session 4 Sc narios Ing nierie des sc narios p dagogiques ouverts El Amine Ouraiba LIUM IUT de Laval 52 rue des Drs Calmette et Gu rin 53020 Laval cedex France el_amine ouraiba univ lemans fr R sum Le travail que nous pr sentons dans cet article s inscrit dans le contexte du projet REDiM R ing nierie des EIAH Dirig e par les Mod les Il porte plus pr cis ment sur l instrumentation de processus d ing nierie et de r ing nierie des sc narios p dagogiques ouverts qui puissent s adapter en fonction de l volution du contexte d usage Les langages de mod lisation p dagogique et les outils actuellement disponibles demeurent selon nous assez inaccessibles aux enseignants Dans cet article apr s avoir pr cis ce que nous d signons par sc nario ouvert nous en proposons un processus d ing nierie et de r ing nierie Introduction Malgr leurs qualit s tr s peu d EIAH Environnement Informatique pour l Apprentissage Humain sont adopt s effectivement dans les tabl
405. s p dagogiques sur une plateforme de formation en utilisant des Services Web Nous avons constat par l analyse des approches cit es en premier lieu que les enseignants sont contraints de s approprier les fonctionnalit s et les services fournis par la plateforme pour la mise en uvre de leurs sc narios p dagogiques car il est rare qu ils puissent tre assist s d un expert de la plateforme En second lieu un obstacle fr quemment rencontr au cours de la phase d op rationnalisation concerne la dissimilarit entre les concepts composants les sc narios et les fonctionnalit s de la plateforme Cela entraine une perte d informations et donc de s mantique du sc nario initial et dans d autres cas la modification des sc narios El Kechai 2008 Ainsi le principal challenge est d op rationnaliser un sc nario tout en conservant sa s mantique initiale 3 mes Rencontres Jeunes Chercheurs en EIAH 141 Aymen Abedmouleh Ces faiblesses ont entrain la pr dominance de approche manuelle malgr les difficult s d appropriation et d usage des plateformes la plupart des sc narios sont informatis s manuellement en effectuant la main les manipulations n cessaires sur la plateforme comme la cr ation des utilisateurs l attribution des acteurs leurs r les l int gration des ressources p dagogiques etc Probl matique et Propositions Notre objectif consiste faciliter la conception e
406. s aux enseignants Cependant tudier les indications obtenues par ces syst mes permet d organiser un dispositif d analyse Settouti et al 2005 qui favorise la personnalisation de l enseignement et facilite pour les enseignants la visualisation des activit s p dagogiques r alis es de fa on centralis e mais facile d acc s Comme support de recherche est utilis e la plateforme informatique d apprentissage EUREKA de l Universit Pontif cia Universidade Cat lica du Paran PUCPR au Br sil Probl matique La probl matique abord e dans cet article a deux aspects le c t recherche et le c t ing nierie qui se nourrissent mutuellement Nous pr tendons expliquer les conditions d appropriation d un l outil de suivi de l apprenant avec toutes ses implications technico socio culturelles et par cons quent le besoin de d monter dans le contexte les processus qui y sont impliqu s pour mieux les expliquer et les reconstruire dans une optique qualitative et fonctionnelle partir des traces actuellement relev es et relevables nous pensons que certaines appr ciations sur les donn es n cessaires une analyse appartiennent uniquement au professeur ou l apprenant En cela nous situons notre recherche dans une perspective instrumentale qui est n cessairement centr e sur l homme anthropocentrique Rabardel 1995 Cette approche favorise l appropriation valorisant la comp tence humaine en relation
407. s de latence a t utilis e pour Kayentis http www kayentis com Projet ENEIDE http www capdigital com eneide tester l efficacit et la bonne formulation des questions Bassili et Scott 1996 Elle a t exploit e comme un indicateur d erreurs pour Draisma et Dijkstra 2004 Enfin dans l analyse d une enqu te web effectu e aupr s de demandeurs d emploi d une part et d emp loy s d autre part Callegaro et al 2006 ont utilis la mesure de la latence comme indicateur de la motiva tion du r pondant La latence est donc consid r e comme un indicateur important pour conna tre l effica cit et la difficult des questions mais aussi l exac titude des r ponses l attitude et la motivation du r pondant Des travaux en psychologie cognitive s int ressant principalement la t che d criture ont tudi particuli rement les dur es des pauses Foulin 1995 Ils ont montr que les dur es de pauses taient des indicateurs d un traitement cognitif Leur dur e est r v latrice d une t che cognitive riche recherche des savoirs structuration syntaxique et grammaticale de la phrase conception de la phrase Olive et al 2007 Dans le cas de questionnaire sur le web ou sur papier o le r pondant doit crire lui m me la r ponse la mesure de la latence commence partir du moment de lecture de la question Le processus cognitif du r pondant comprend la formulation syntaxique et l
408. s entit s tats initiaux etc Par ailleurs les mod les de sc nario p dagogique existants en EIAH d finissent un environnement d apprentissage comme un ensemble de ressources p dagogiques POSEIDON prend en charge l int gration de ressources p dagogiques dans un environnement d apprentissage Il peut s agir d un fichier multim dia texte audio vid o etc ou de ressources au format SCORM La r ification du mod le de l environnement dans le sc nario donne la possibilit au formateur de faire le lien de mani re explicite entre une ressource p dagogique LearningObject et l l ment de l envi ronnement inform qu elle concerne Par exemple il peut exprimer le fait qu un fichier au format paf est le manuel d utilisation d un ensemble d entit s lien entre un LearningObject et un Element de l environ nement Ce lien peut alors tre exploit lors de l ex cution pour fournir aux apprenants des ressources adapt es la situation Pour que cette exploitation soit possible le lien comporte des m ta donn es sur la nature de la ressource et sur son utilisation ResourceUse La figure 3 repr sente le mod le simplifi des environnements d apprentissage POSEIDON Poseidon LearningObject EducationalEnvironment InstanceSpecification Figure 3 Mod le simplifi des environnements d appren tissage POSEIDON 3 Des plug ins permettant la cr ation d environnements inform s MASCARET ont t d ve
409. s la section 4 1 A 3s Rencontres Jeunes Chercheurs en EIAH 107 Olivier Champalle ce stade de nos travaux les types et les observ s de la M Trace Premi re n ont pas tous t d tect s et leur mod le respectif reste encore d finir La Figure 3 en propose donc une repr sentation non fig e qui sera amen e changer en fonction de l avanc e de nos recherches 4 3 2 M Trace Point de vue observable Types d observ s R gulation Temp rature Position des vannes Acquittement alarme Contr le quipement R glage vitesse Utiliser les bonnes consignes V rifier la r ception du message en demandant une reformulation Attributs des observ s OK ou KO Relations entre observ s chronologique 4 3 3 M Trace Enrichie Il s agit ici d une M Trace obtenue par transformation d taill e en section 4 3 5 Types d observ s Les types d observ s sont les m mes que ceux de la M Trace Point de vue observable enrichis du nouvel observ Chronologie action obtenu par transformation Attributs des observ s OK ou KO Relations entre observ s chronologique 4 3 4 M Trace Famille p dagogique Types d observ s Prise en compte de l tat du syst me Application documents et gestes professionnels Communication Attributs des observ s OK ou KO Relations entre observ s chronologique 4 3 5 Transformatio
410. s le sens o il n est pas sp ci fique un domaine d tude une strat gie p da gogique ou une plate forme d ex cution Pour atteindre ce niveau de g n ricit POSEIDON s appuie sur une repr sentation abstraite des environnements virtuels Cette repr sentation d finit une structure d environnement commune diff rents domaines d ap prentissages Dans le cadre de nos travaux cette repr sentation est fournie par MASCARET Chevaillier et al 2009 un m ta mod le d environnement virtuel pour l apprentissage MASCARET consiste en une exten sion d UML 2 1 OMG 2009 permettant de d crire e la structure de l environnement virtuel MASCARET introduit la notion d entit et rend possible la mod lisation de ses propri t s son comportement et des interactions possibles e les activit s qu il est possible de r aliser dans l environnement virtuel MASCARET d finit un ensemble d actions primitives humaines pouvant tre instanci es et combin es pour cr er des actions et des proc dures m tier e l organisation sociale des agents et des humains dans l environnement MASCARET introduit les notions de r le et d quipe permettant ainsi la mod lisation d activit s collaboratives en environnement virtuel partir du m ta mod le MASCARET des mod les m tiers sp cifiques un domaine particulier peuvent tre cr s Ces mod les correspondent une instan ciation des concepts d finis dans MASCARE
411. s organisations p dagogiques POSEIDON 2001 Gu raud 2005 nous consid rons que le r le d une activit p dagogique n est pas seulement de d crire les actions que l apprenant doit faire pour r aliser une t che en environnement virtuel mais galement d exprimer les sp cificit s de cette t che d un point de vue p dagogique erreurs classiques situations de danger efc ainsi que les solutions g n ralement mises en uvre pour assister l apprenant dans des situations particuli res POSEIDON d finit l organisation des activit s dans le sc nario p dagogique sous forme d un diagramme d activit s UML Activity Chaque activit p dagogique est repr sent e par une activit dans ce diagramme Nous distinguons deux cas soit cette activit peut tre consid r e comme une bo te noire ce qui est int ressant pour des activit s hors environnement virtuel ou pour lesquelles le formateur ne veut pas d crire le contr le de l activit de l apprenant ou comme un sous diagramme d activit s d crivant le d roulement de l activit p dagogique dans l environnement virtuel Dans ce deuxi me cas la description d une activit p dagogique avec POSEIDON se d roule en deux phases 1 Dans un premier temps le formateur agence les actions ou proc dures d finies dans le mod le m tier M1 pour d crire la t che qui doit tre r alis e dans l environnement virtuel Cette tape r sulte en un diagramme d activit
412. s qui ne contribuent pas l accomplissement des objectifs du niveau Elles sont m me pr judiciables puisqu elles consomment des ressources et du temps Elles sont caract ris es comme ayant lieu trop t t dans le processus de jeu Lors du d briefing du joueur nous lui montrons via l cran ci dessous figure 4 l impact des services cr s sur le volume d affaire global et leur contribution au d ficit r StarBank est en faillite Recettes Charges Pan Rentabilite 7 97 M Financements Structur amp s 50 Figure 4 La rentabilit des services cr s ii Les actions interdites ce sont des actions tent es par le joueur mais refus es par le syst me Le refus est d au non respect des r gles de pr c dence dans la cr ation des diff rents services bancaires Elles r v lent une non compr hension du m canisme bancaire Par exemple il est impossible de cr er un service de pr t aux particuliers si l on n a pas auparavant cr un service de placement pour r colter les fonds des pargnants 2 Pour le tuteur nous avons ajout la liste des actions manquantes pour permettre de r ussir chacun des objectifs non remplis par l apprenant Cela permet d affiner l analyse de l chec lors de la partie et d encourager l apprenant dans son apprentissage En cliquant sur chacun des services le joueur comprend pourquoi il tait pr matur de les cr er Les indicateurs d
413. s une premi re partie cet article d crit de mani re d taill e nos travaux dont l objectif est d am liorer la confiance des concepteurs dans leurs choix et de faciliter la conception d une part en formalisant un processus de conception de sc narios de jeux de r le pour la formation ou Learning Role Playing Game LRPG d autre part en sp cifiant un environnement d assistance la conception Dans une seconde partie nous abordons un point central de nos travaux l identification de ressorts de jeux pouvant tre mis en uvre dans un sc nario LRPG Pour conclure nous voquons les perspectives li es l utilisation de ces ressorts de jeu dans le processus de conception et l environnement d assistance Objectif de nos Travaux El ments cl s et D finitions Afin de clarifier notre propos nous pr sentons tout d abord les l ments cl s sur lesquels portent nos recherches le Learning Game et le jeu de r le Dans nos travaux nous d finissons le Learning Game comme un dispositif technologique et humain mettant en uvre des ressorts de jeu pour cr er une exp rience collective d apprentissage qui vise l acquisition ou la formalisation de connaissances ou de comp tences professionnelles Les Learning Games auxquels nous nous int ressons sont utilis s dans un contexte de formation enti rement distance ou mixte Nos travaux se focalisent sur le jeu de r le Ce choix est motiv par l int
414. scription des nouvelles situations d apprentissage qu ils permettent est quant elle probl matique L apprentissage ubiquitaire prenant place dans un contexte plus large et moins clairement d fini que celui de l apprentissage classique il semble l gitime de chercher d terminer les caract ristiques propres ces nouvelles situations Par ailleurs les situations d apprentissage ubiquitaire pr sentent comme nous allons le voir de grandes variabilit s Ces variabilit s peuvent concerner non seulement l objet de l apprentissage mais galement un ensemble de param tres ext rieurs l apprentissage en lui m me La capitalisation de l exp rience de conception de dispositifs parait donc plus d licate dans le cadre de l apprentissage ubiquitaire C est pourquoi nous souhaitons utiliser une approche d Ing nierie Dirig e par les Mod les IDM dans la conception de situations d apprentissage L IDM est un paradigme de programmation proposant la g n ration d applications par raffinements successifs transformations et compositions de m ta mod les Favre et al 2006 Une d marche IDM peut alors nous permettre d abstraire les variabilit s et de proposer un m tamod le r utilisable de situation p dagogique Caron 2007 Afin de d terminer les l ments essentiels de ce m tamod le nous avons tudi plusieurs situations d apprentissage ubiquitaire dans la litt rature Nous avons ess
415. se concevoir un EIAH adaptatif capable 1 de mettre jour les connaissances du domaine et le profil de l apprenant et 2 de proposer des sc narios p dagogiques adapt s au profil et aux besoins de chaque apprenant Ce travail entre dans le cadre du projet CLES Cognitive Linguistic Elements Stimulations qui vise d velopper un environnement serious games dans le cadre des troubles d apprentissage des handicaps et des soins domicile Dans cet article nous pr senterons dans un premier temps l architecture g n rale de notre syst me Par la suite nous donnons le principe que nous avons adopt pour mettre jour les connaissances du domaine et le profil de l apprenant partir de l analyse des traces d interaction Architecture g n rale Afin d apporter une souplesse et une volutivit dans l accompagnement individualis VEIAH doit permettre de suivre l volution de chaque apprenant pour lui proposer des sc narios adapt s ses besoins et ses comp tences Pour cela l architecture que nous proposons regroupe des boucles de contr le plus ou moins longues aussi bien en temps r el pour l adaptation du sc nario en fonction du comportement de l apprenant qu en off line pour la mise jour des connaissances du domaine et du profil de l apprenant partir de l analyse des traces d interaction Connaissances du domaine Y Xe Base de traces Interface
416. se jour des connaissances du domaine et du profil de l apprenant Dans cette section nous pr sentons dans un premier temps notre mod le de trace Par la suite nous donnons le principe de notre approche de mise jour des connaissances du domaine et du profil de l apprenant Mod lisation des traces Durant chaque session le module de raisonnement g n re un sc nario d exercice et ou de probl mes adapt s l apprenant Il s agit d une suite d observables d vidences du r seau bay sien Une trace est une suite d observ s repr sentant les actions de l apprenant sur les exercices et ou probl mes du sc nario Chaque session est donc associ e une trace Formellement une trace T est repr sent e comme suit T O 0 0 O chaque observ O est caract ris par le 5 uplet suivant O lt Q R T S E gt Q Exercice Probl me c est une vidence ou observation dans du r seau bay sien R R ponse de l apprenant T Temps de R ponse temps coul pendant l affichage de la question et la r ponse de l apprenant S R ponse juste de la question et E Evaluation de la r ponse de l apprenant E est une fonction f qui calcule l cart entre la r ponse de l apprenant et la r ponse juste Cette fonction prend en compte la dur e T Les valeurs de cette fonction sont d finies dans l intervalle 0 1 o Z ro indique que l l ve ne conna t pas le concept et Un
417. seignants concepteurs In Usages usagers et comp tences informationnelles au XXI me si cle J r me Dinet ed p 159 193 dit par Hermes Lavoisier ISBN 978 2 7462 2193 2 Cottier P et EL Kachai H 2009 L usager concepteur en situation Conception collective d un livret lectronique d apprentissage LEA In Ing nierie des syst mes d information ISSN1633 1311 vol 14 no3 p162 Dessus P et K Schneider D 2006 Sc narisation de l enseignement et contraintes de la situation Actes du colloque organis dans le cadre de la 8 me Biennale de l Education Lyon Dillenbourg P et Tchounikine P 2007 Flexibility in macro scripts for CSCL Journal of Computer Assisted Learning 23 1 1 13 Dodero J M Tattersall C Burgos D and Koper R 2008 Transformational Techniques for Model Driven Authoring of Learning Designs H Leung et al Eds LNCS 4823 pp 230 241 Springer Verlag Berlin Heidelberg Griffiths D Blat J Garcia R Vogten H and Kwon K 2005 Learning Design Tools In Learning Design A Handbook on Modeling and Delivering Networked Education and Training E J R Koper and C Tattersall Editors Springer Verlag Berlin p 114 116 Henri F 2007 Mod les du sujet pour la conception Revue de l ducation distance vol 22 n 1 101 106 IMS Learning Design Specification Version 1 2003 disponible sur http www imsglobal org learningdesign Koper R 2001 Modeling units o
418. sembler les diff rents morceaux d informations dans un ensemble coh rent Frith 1989 3 difficult d coder des informations abstraites Frith 1989 4 besoin de stimulus externe Goldsmith et al 2004 5 besoin d un environnement ducatif structur et concret Mesibov Schopler amp Hearsey 1994 Des recherches ont montr que l ordinateur peut aider d passer certaines de ces difficult s L enfant peut explorer sans risque et contr ler la machine Dautenhahn 2000 Panyan 1984 Murray 1997 il peut s entra ner dans des situations similaires des situations r elles Sik Lanyi amp Tilinger 2004 Ben Chaim amp al 2006 il peut d velopper des comp tences langagi res Moor amp Calvert 2000 Tjus et al 2003 Chen et al 2005 l usage de l ordinateur peut stimuler l interaction sociale Hetzroni amp Tannous 2004 Grynszpan et al 2006 C est ce dernier point que nous allons approfondir dans notre th se au niveau de l interaction enfant machine enseignant analyser le r le jou par l enseignant dans ce type d interaction ainsi que celui du contenu d apprentissage But de la recherche Nous consid rons que l apprentissage assist par l ordinateur pour les autistes constitue un mode d interaction triangulaire enseignant ordinateur enfant Pour Green 1990 la machine facilite les interactions pour l enfant autiste Et d apr s Panyan 1984 et M
419. soci t Dans un contexte de non g n ralisation nous expliquons que l universit et l cole se sont appropri es les TIC et ont cherch en diffuser les usages Par g n ralisation des usages technologiques nous d crivons un environnement d usage personnel des TIC connu des nouvelles g n rations d tudiants d s leur naissance et nomm es dans les ann es 2000 les digital natives 2 Les digital natives Le concept de digital natives en criture simplifi e DN Prensky 2006 Tapscott 2009 Palfrey 2008 d crit les nouvelles g n rations n es avec les technologies web jeux vid o sur consoles ou la t l phonie mobile Pour ces auteurs et pour la recherche se pose la question de J influence des nouveaux objets techniques sur les capacit s cognitives CERI 2006 Nous ajoutons que les g n rations successives de DN sont influenc es de mani re variable par l volution technologique Chaque nouvelle g n ration volue dans un quotidien num rique changeant et s approprie un milieu technique donn comme tant un milieu de vie naturel Ellul 1977 et in fine impliquant des usages non stabilis s 3 Environnement num rique personnel et milieu de vie Le milieu de vie des DN est un ensemble de moyens techniques constituant autant de solutions pour communiquer de mani re synchrone messagerie instantan e ou asynchrone r seau mail pour structurer
420. socioconstructivisme complete la theorie constructiviste en introduisant l importance des interactions sociales dans le processus d apprentissage Dans une perspective socioconstructiviste les apprenants co construisent leurs connaissances au long de leurs interactions entre eux et avec l enseignant Dans le prolongement de ces th ories constructivistes se trouvent les d finitions de l apprentissage authentique et de la cognition situ e par Brown et al 1989 Les auteurs d fendent l id e que non seulement l apprenant construit ses connaissances au sein d une situation mais galement que le caract re authentique de l activit dans laquelle est engag l apprenant est d terminant pour la p rennit des connaissances acquises Les activit s authentiques sont alors caract ris es de la mani re suivante dans Brown et al 1989 coherent meaningful and purposeful activities are authentic Authentic activities then are most simply defined as the ordinary practices of the culture Les activit s authentiques se distinguent donc par le fait qu elles sont int gr es dans le monde r el leur caract re op rationnel et le fait qu elles soient proches des consid rations des apprenants Lors d une activit authentique l apprentissage est bien plus rapide et p renne que lors d une activit d apprentissage classique On trouve par exemple dans Brown et al 1989 le cas de l apprentissage du voc
421. st galement largi pour int grer les op rateurs externes L analyse de traces utilisant UTL et DCLAUTL aide produire des indicateurs sous la forme de patrons de conception de donn es ex cutables et capitalisables Les sp cifications de tous les indicateurs et leurs instances sont stock es et capitalis es Ceci facilite la r utilisation et le partage des comp tences des enseignants sur l analyse d une session d apprentissage Les r sultats de ces indicateurs sont employ s par des enseignants pour valuer et analyser une session afin de modifier ventuellement leur sc nario en vue de la prochaine session Nous pr sentons galement une application d UTL et DCL4UTL dans le cadre de travaux pratiques utilisant l environnement Hop3x Des indicateurs ont t calcul s partir des traces de Hop3x pendant la session pour aider les enseignants observer et analyser le d roulement de leur session d apprentissage des fins d valuation et de r ing nierie de leur sc nario p dagogique L environnement autour de DCL4UTL est d velopp pour faciliter l activit de l enseignant mais UTL et DCL4UTL sont principalement con us pour des analystes de donn es Ils ne sont pas d un acc s vident 3 mes Rencontres Jeunes Chercheurs en EIAH 73 Diem Pham Thi Ngoc pour des enseignants Actuellement nous nous int ressons au d veloppement d un diteur permettant l enseignant et l analyste
422. st ensuite valu e l aide de quatre mesures de qualit partir des cardinalit s des trois ensembles A Bet C La Pr cision B IBI ICI mesure l exactitude Le Rappel IBI IB 141 mesure la compl tude La F Mesure 2 B ICI 2 IBI IAI est la moyenne harmonique de la Pr cision et du Rappel L Overall IB ICI IBI IAI introduit dans Melnik et al 2002 quantifie les efforts n cessaires pour corriger les erreurs et oublis du mapping propos 3 mes Rencontres Jeunes Chercheurs en EIAH 143 Ludovic Auxepaules Analyse des R sultats de l valuation Les r sultats sont bons dans l ensemble l chelle de tous les diagrammes compar s lors des 144 appels du syst me ACDC cf figure 1 92 des diagnostics sont pertinents 85 et 38 des diagnostics produits sont parfaits cf les valeurs de la F Mesure Cependant ACDC omet au moins un appariement dans 58 des diagnostics cf le Rappel et commet au moins une erreur dans 28 des diagnostics cf la Pr cision Intervalle de valeurs Pr cision Rappel F Mesure Overall Val 1 103 60 55 55 0 85 lt Val lt 1 30 65 78 59 0 7 lt Val lt 0 85 11 19 10 22 Figure 1 R sultats g n raux de l ensemble des diagrammes Le tableau de la figure 2 expose plus pr cis ment le nombre d appariements identifi s en faux n gatifs vrais positifs et faux positifs pour chaque ty
423. stitu e principalement des comp tences mobilis es dans l activit d laboration du cadre de projet ainsi que de celles exerc es dans l activit d laboration d un tableau de bord de l tape de Pilotage Ces activit s font appel des comp tences d analyse et de pr vision La comp tence Savoir d velopper un savoir faire social elle est compos e de comp tences li es la communication la mobilisation d une quipe et l animation Les comp tences communicationnelles sont celles d velopp es dans l activit d laboration d un plan de communication de l tape de Cadrage Les comp tences Savoir former un collectif Savoir instrumenter une information communicationnelle permettent le d veloppement de la comp tence Savoir renforcer la coh sion de groupe qui est compos e des comp tences exerc es dans l activit d laboration de charte graphique La comp tence d animation est le troisi me sous ensemble de comp tences que l on retrouve dans le savoir faire social Elle est compos e de la comp tence de n gociation qui intervient dans les activit s comme la cr ation du journal de bord ou la r union La n gociation est essentiellement compos e des comp tences associ es aux interactions sociales exerc es lors de la d finition des r les de r unions ou de r daction des documents de projet La comp tence Savoir d velopper un savoir faire op rationnel elle rassemble les comp tences qui permettent de c
424. t civile rend toujours n cessaire une p dagogie des techniques num riques mais leur usage est acquis de plus en plus t t par les nouvelles g n rations L universit pense alors toujours initiation technologique et s adapte des pratiques suppos es des tudiants Cette adaptation prend des formes vari es comme l usage de la vid o des r seaux sociaux des ressources interactives des jeux des quiz anim s des ambiances d apprentissage ludiques ou encore de la ballado diffusion Ces deux premiers temps annoncent un troisi me temps posant le cadre de l innovation num rique dans le domaine p dagogique 5 Innovation num rique TICP et apprentissage Les nouvelles g n rations sont porteuses de pratiques num riques L universit doit elle s inscrire dans ces volutions et proposer des environnements d apprentissage adapt s Faut il int grer les TICP dans les modalit s d enseignement En termes concrets la ballado diffusion utilis e pour la musique peut elle tre un outil d apprentissage L ordinateur utilis pour le jeu vid o peut il tre un outil pour apprendre L usage des r seaux sociaux pour le divertissement ou la rencontre est il un vecteur pour l acquisition planifi e et organis e des connaissances Pour la succession de g n rations de DN se pose la question de la fonction privil gi e des moyens techniques Si une technologie peut avoir la double fonction de divertisseme
425. t l op rationnalisation des sc narios p dagogiques sur les plateformes de formation L hypoth se sur laquelle nous nous basons est que chaque plateforme embarque un m tier qui lui est propre travers les fonctionnalit s les services et les interfaces homme machine IHM qu elle fournit ses usagers Notre proposition porte sur l tude et la cristallisation du langage m tier de la plateforme lors de la sp cification des sc narios L originalit de notre travail est d exploiter le m tier de la plateforme et de le rendre accessible de l ext rieur de la plateforme Ainsi des VIDL et autres outils peuvent s appuyer sur ce m tier afin de proposer aux enseignants un environnement de sp cification de sc narios p dagogiques adapt s aux fonctionnalit s et aux services des plateformes L objectif de cette externalisation est de s affranchir des difficult s li es l exploitation de la plateforme et de sa s mantique bas niveau lors de l impl mentation de la plateforme Un module de communication sera ajout la plateforme pour permettre l import des sc narios con us par les VIDL Notre contribution devra permettre un enseignant de concevoir it rativement par adaptations successives de types ajout modification suppression des sc narios p dagogiques Ainsi l op rationnalisation doit tre adaptative pour r pondre aux pr occupations des enseignants selon une approche DSM centr e sur le m
426. t m di e de diverses fa ons par ordinateur soit d une suite d actions et r actions entre un humain et un ordinateur La collecte des traces peut offrir diff rents services selon son destinataire ainsi dans Settouti et al 2007 quatre utilisations principales des traces d interaction ont t identifi es 1 prendre conscience awareness en anglais de l activit par l apprenant et l enseignant 2 refl ter l activit de l apprenant en lui offrant la possibilit de visualiser son activit mirroring 3 utiliser les traces pour guider l apprenant dans son activit d apprentissage en lui proposant par exemple l action suivante r aliser 4 assister les analystes chercheurs ces traces pr sentent g n ralement un niveau d abstraction lev permettant une analyse de la situation d apprentissage en fonction des objectifs et hypoth ses de recherche Traces Mod lis es Dans Settouti et al 2009 les concepts de mod le de trace trace mod lis e langage d interrogation et langage de transformation ont t d finis formellement Un mod le de trace d finit le domaine temporel de la trace associ e les classes d v nements observables dans la trace ainsi que leurs attributs et les relations pouvant exister entre les classes d v nements de la trace Une trace mod lis e M Trace est une trace telle que d finie pr c demment munie d un mod le de trace contenant le voc
427. t mes d information et de communication 10 1 111 127 Hicks D 1996 Learning as a Prosaic Act Mind Culture and Activity 3 2 102 118 Johns M Schmader T and Martens A 2006 Knowing is Half the Battle Teaching Stereotype Threat as a Means of Improving Women s Math Performance Psychological Science 16 3 175 180 MacGregor R M 1989 The Distorted Mirror Images of Visible Minority Women in Canadian Print Advertising Atlantis 15 1 137 143 McClelland J R 1993 A Review of Research in Mass Communication Women in Mass Communication Creedon P J d Newbury Park Sage Publications Inc 220 234 Mercader P 2005 Le genre la psychanalyse la nature r flexions partir du transsexualisme Hommes femmes la construction de la diff rence Narcy Combes J P 2005 Didactique des langues et TIC Vers une recherche action responsable Gap Ophrys Oxford Uuniversity Press 2000 Oxford Practice Tests for the TOEIC Test Volume Two Oxford Oxford University Press Perrot M 1998 Les femmes ou les silences de l histoire Paris Champs Flammarion Perry V 2003 Le relativisme culturel de genre en didactique des langues et cultures F minin Masculin Du genre et des identit s sexu es marro C d Pratiques Psychologiques 3 21 37 Petit M 2006 Les descripteurs du Cadre quelle conception de la langue de sp cialit Pr publication Consult en janvier 2009 h
428. t rature un certain consensus s est tabli pour associer la comp tence l action savoir agir dans des situations complexes n cessitant la mobilisation des connaissances et des habilet s d une personne Nous avons choisi de nous appuyer sur la d finition suivante formul e par G Paquette pour mod liser les comp tences vis es par la m thode MAETIC G Paquette d finit ainsi la comp tence Une comp tence est un nonc de principe qui r git une relation entre un public cible ou acteur une habilet et une connaissance Paquette 2002 D marche de mod lisation Dans cette perspective un premier travail a donc consist repr senter l aide du langage MOT la m thode p dagogique MAETIC Le mod le r alis vise comprendre les interactions entre les acteurs tudiants enseignants les activit s des diff rentes tapes et les outils pr conis s par la m thode p dagogique Notre travail a permis d aboutir un mod le de la m thode p dagogique MAETIC Djama et al 2009 Par la suite pour d terminer les comp tences mobilis es nous avons dans un premier temps consid r les habilet s exerc es dans chacune des activit s qui composent les cinq tapes de MAETIC Nous avons entrepris la r alisation de la mod lisation des tapes et des activit s de la m thode L objectif tant d avoir une granularit assez fine des activit s pour d terminer les habilet s mobilis es dans chacune d
429. t de demain Bibliographie Albero B e p dagogie l universit Amue 2008 Albero B Linard M Robin JY Petite fabrique de l innovation l universit L harmattan 2009 Bateson G Vers une cologie de l esprit Points 1977 Bruillard E Les machines enseigner Herm s 1997 Castel R La mont e des incertitudes Seuil 2009 CERI Comprendre le cerveau OCDE 2007 Don Tapscott Grown up digital Mc Graw Hill 2009 Ellul J Le syst me technicien Calman Levy 1977 Flichy P L innovation technique La d couverte 1995 Lipovetsky G Le bonheur paradoxal Gallimard 2006 Lipovetsky G Charles S Les temps hypermodernes Grasset 2006 Piaget J Psychologie et p dagogie Folio 1969 Polanyi K La grande transformation Gallimard 1972 Prensky M Don t bother me Mom I m learning 2006 Parangon House Rabardel P Les hommes et les technologies 1995 Simondon G Du mode d existence des objets techniques Aubier 1958 Valenduc G 2005 La technologie un jeu de soci t AB 152 Lyon 6 et 7 mai 2010 Nouvelles interactions dans les serious games Florent Delomier Laboratoire LIESP ECL 36 av Guy de Collongue F 69134 LYON ECULLY Cedex FRANCE florent delomier ec lyon fr R sum L utilisation des Serious Games en entreprise est de plus en plus courante pour permettre l apprentissage de nouvelles comp tences ou connaissances Cependant cet apprentissage est limit par la
430. t du mod le de r f rence adapt pour les applications de visualisation dont la table des donn es structur es est modifiable en temps r el Nous n indiquons pas les traitements internes aux niveaux de donn e ni les interactions en provenance de l utilisateur Nous pr sentons maintenant la mani re dont nous impl mentons notre mod le adapt Mise en uvre du mod le adapt Il existe plusieurs toolkits pour la cr ation d applications de visualisation d informations Heer 05 Fekete 04 Parmi ceux ci Prefuse Heer 05 a attir notre attention car ce toolkit java dispose d une architecture bas e sur le mod le de r f rence en visualisation d informations et qu il est tr s modulable Notre but est d impl menter notre mod le adapt en utilisant Prefuse Cela nous permettra de voir comment ce toolkit est capable de supporter notre nouveau mod le et le cas ch ant d int grer de nouveaux l ments Prefuse afin qu il supporte notre mod le adapt Pour les besoins de cette pr sentation nous pr cisons les concepts de Visualltem et d Aggregateltem proposes par Prefuse Ces l ments se situent au niveau des structures visuelles Un Visualltem est li une donn e que l on souhaite visualiser et il recense ses attributs visuels Un Aggregateltem est un type particulier de Visualltem qui dispose d une liste de pointeurs vers d autres Visualltems Il est habituellement utilis pour repr
431. t hors d atteinte dans le contexte de la MOO et que des valeurs aux alentours de 0 8 en Pr cision ou en Rappel sont tr s bonnes dans d autres domaines tels que l appariement de sch mas ou d ontologies de grande taille Do et Rahm 2007 R f rences Alonso M Py D Lemeunier T 2008 A Learning Environment for Object Oriented Modeling Supporting Metacognitive Regulations In Proceedings of the Eighth IEEE ICALT 08 69 73 Alonso M and Py D 2009 valuation des r troactions dans DIAGRAM un EIAH pour la mod lisation orient e objet In Proceedings of the Third Conference on EIAH 09 61 68 Auxepaules L 2009 Analyse des diagrammes de l apprenant dans un EIAH de la mod lisation orient e objet le syst me ACDC Ph D diss LIUM Universit du Maine Le Mans France Baghaei N and Mitrovic A 2006 A Constraint Based Collaborative Environment for Learning UML Class Diagrams In Proceedings of the Eighth Conference on ITS 06 LNCS 4053 176 186 Do H H and Rahm E 2007 Matching Large Schemas Approaches and Evaluation Journal on Information Systems 32 6 857 885 Giunchiglia F Yatskevich M and Shvaiko P 2007 Semantic Matching Algorithms and Implementation Journal on Data Semantics IX LNCS 4601 1 38 Melnik S Garcia Molina H and Rahm E 2002 Similarity Flooding Versatile Graph Matching Algorithm and its Application to Schema Matching In Proceedings of the Eig
432. t l analyse d un entretien d explicitation permet d identifier des m thodes de correction tr s peu explor es jusqu alors En nous basant sur l Analyse de Conversation d inspiration ethnom thodologique le WorkPlace Studies et l Action Situ e nous proposons d explorer les m thodes mises en uvre dans le cours de l action en contexte Nous montrerons plus particuli rement comment le recours des proc dures sp cifiques permet une stabilisation de la correction Nous mettrons en perspective cette analyse avec l examen de l activit de correction de copies support e par le dispositif technologique L volution des pratiques de correction La correction de copies d examen est un travail d licat qui requiert beaucoup d attention de la part de l enseignant correcteur Pour de nombreux examens en France les sujets se composent de questions projetant des r ponses r dig es par le candidat L enseignant correcteur doit faire preuve d une grande concentration pour pouvoir valuer puis noter un ensemble de copies de mani re quitable Il doit s efforcer d tre le plus pr cis et le plus impartial possible Ce travail minutieux requiert en g n ral un environnement calme et isol Il repose sur le contr le de la fatigue et de l humeur Pourtant pour la plupart des enseignants cette activit rel ve davantage de l empirisme plut t que d une formation particuli re Dans ce cas
433. t les structures nomm s motifs structurels dans nos travaux des mod les compar s et est capable d associer une ou plusieurs structures d un mod le une ou plusieurs structures d un autre mod le et r ciproquement 1 e des appariements multivoques valuation ACDC Diagram et ACDC ont d j fait l objet d valuations cibl es Alonso ef al 2008 Auxepaules 2009 mais l exp rimentation de Diagram r alis e l automne 2008 est la premi re depuis l int gration d ACDC et des r troactions p dagogiques Elle s est d roul e avec 18 tudiants de deuxi me ann e de DEUST Informatique Syst mes et R seau qui ont travaill avec Diagram durant quatre s ances de trois heures de TP int gr es leur cursus Une tude des r troactions a d j t men e Alonso et Py 2009 Nous nous concentrons ici sur les r sultats d ACDC M thode d valuation et Mesures de Qualit Nous avons tudi l ensemble des traces enregistr es pour quatre exercices issus des deux derni res sessions Nous avons ainsi analys 69 exercices d tudiant pour un total de 144 appels diff rents du diagnostic Les r sultats de l apparieur automatique ACDC ont t pour cela compar s aux appariements r els d termin s manuellement et class s selon trois ensembles les faux n gatifs A des oublis les vrais positifs B et les faux positifs C des erreurs La qualit des r sultats produits e
434. t par reprendre la production du SG z ro soit par reprendre toute l ossature sc naristique du SG en changeant uniquement le contenu Ceci pose probl me quand il s agit de construire des comp tences diff rentes impliquant d autres m canismes d apprentissage De plus du fait de leurs co ts de production lev s les SG sont des produits souvent d di s des domaines de formation touchant un large public ou et r serv s aux grosses entreprises En France ce sont majoritairement des multinationales et des banques qui les utilisent et quelques coles dans le secteur de la sant du commerce ou de l ing nierie En am liorant les processus de conception afin de diminuer les co ts ces outils trouveraient s rement leur place dans les PME et les tablissements d enseignement public Objectif et d marche Notre objectif est de proposer des environnements et des outils appropri s pour pallier les probl mes de conception et de production de SG Nous avons d abord cherch approfondir les probl mes rencontr s et les besoins des auteurs de SG Cette tude a t faite en grande partie gr ce l exp rience et la production interne de SG au LIESP L quipe de recherche participe en effet r guli rement la cr ation de SG avec des entreprises partenaires SEB Thal s CNES HP CALOR COGIX compl t s par des SG maison qui sont utilis s pour les enseignements de plusieurs d partem
435. t pour la communaut et la capacit pr senter clairement le travail Au final un bon quilibre s est fait dans la s lection Par exemple les articles longs retenus ont t crits par 5 tudiants en 1 re ann e 6 tudiants en 2 me ann e 5 tudiants en 3 me ann e ou plus et 1 tudiant ayant soutenu r cemment Le champ scientifique des EIAH touche diff rentes disciplines que nous appelons traditionnellement toutes soumettre afin de favoriser les rencontres et des collaborations fructueuses Si l informatique est encore majoritairement repr sent e 21 soumissions la proportion des SHS est en progression Sciences de l Education 9 soumissions Sciences du langage 4 Didactiques 3 Sciences Cognitives 2 et Sciences de la Communication 2 Les efforts doivent donc tre poursuivis dans le sens de la pluridisciplinarit Ces rencontres sont aussi l occasion d observer les tendances th matiques et les pr occupations de recherche de la communaut Les questions d ing nierie et de conception des EIAH sont bien pr sentes 13 soumissions Les traces d activit s et d interactions au c ur de la journ e de travail du th me 5 du GDR I3 pr c dant ces rencontres sont galement largement cit es 10 soumissions qu elles soient objet central d tude ou sources de recherches vari es analyse des usages 7 suivi des apprenants 6 ou adaptativit des syst mes 6 La conception des sc narios p
436. t pouvoir tre partag es et r utilis es par la communaut pour faciliter l analyse du d roulement d une situation d apprentissage Le projet DPULS Design Patterns for collecting and analysing Usage of Learning Systems Delozanne 2005 fournit les patrons de conception permettant l enseignant et au tuteur de pouvoir capitaliser et r utiliser le savoir faire de collecte et d analyse d utilisation d un EIAH vers un autre Cependant ces patrons se limitent la description et ce projet n a pas propos d outil d analyse automatique r utilisable pour ex cuter ces patrons Bas sur les id es et les r sultats de ce projet et d autres projets europ ens tels qu ICALTS Dimitrakopoulou ef al 2004 le langage de mod lisation UTL Usage Tracking Language Choquet et Iksal 2007 a t propos Il est principalement d di la mod lisation des indicateurs et leur capitalisation sous une forme proche des patrons de conception Un indicateur est un observable signifiant sur le plan p dagogique calcul ou tabli l aide d observ s et t moignant de la qualit de l interaction de l activit et de l apprentissage dans un EIAH Choquet 2007 Le calcul de ces indicateurs peut aider l enseignant dans l observation et l valuation d une session d apprentissage et donc lui permettre d am liorer ventuellement son sc nario p dagogique pour la prochaine session Pour que ces indicateurs puissent tre ex cut
437. ta Rivera D 2009 Melding the Power of Serious Games and Embedded Assessment to Monitor and Foster Learning Flow and Grow Dans The Social Science of Serious Games Theories and Applications Reading PA Routledge LEA Torrente J Moreno Ger P Martinez Ortiz I Fern ndez Manj n B 2009 Integration and Deployment of Educational Games in e Learning Environments The Learning Object Model Meets Educational Gaming in Educational Technology amp Society 12 4 359 371 54 Lyon 6 et 7 mai 2010 Environnement informatique pour la conception la production et le suivi de Serious Games Iza Marfisi Schottman Universit de Lyon LIESP INSA Lyon F 69621 Villeurbanne France iza marfisi insa lyon fr R sum On assiste un essor impressionnant des Serious Games SG dans beaucoup de domaines Ces environnements ducatifs sont en effet tr s prometteurs mais ils posent aussi des probl mes en termes de co t et de temps pour les tapes de conception et de production Nous proposons un ensemble d outils informatiques et de d marches principalement organis es autour de composants interop rables et g n riques qui visent surmonter ces barri res Introduction En 2004 le march des SG s levait d j 1 milliard de dollars Sawyer 2004 Six ans plus tard les experts parlent de 9 11 milliards Alhadeff 2008 et les ann es venir nous r servent une croissance exponentielle
438. tats les tudiants enqu t s sachant que le moteur de recherche met en relation la requ te avec son index automatique et restitue en r sultats les pages web contenant les mots graphiques correspondant aux mots clefs font porter leur analyse d abord sur la pr sence des mots clefs de la requ te dans les l ments constitutifs que sont l intitul et l extrait de la page web dans lesquels ces mots sont mis en vidence en caract res gras Leurs connaissances th oriques et empiriques sur les modalit s de classement et d affichage des r sultats notamment le page rank de Google les incitent ne consulter le plus souvent que les deux premi res pages de r sultats car ils ont la conviction que sont affich s en premier les r sultats les plus pertinents du moment que leur requ te est correcte attitude qui les rapproche de la plupart des internautes UCL 2008 Simonnot 2009 Cette consultation se caract rise par une lecture survol ou lecture horizontale UCL 2008 consid r e comme une comp tence d identification rapide des indices r v lateurs de la qualit des r sultats affich s Contrairement un grand nombre d tudiants belges qui pense que la qualit d un site est refl t e par sa rapidit d acc s Thirion et Pochet 2008 les trois tudiants ont comme crit res essentiels de s lection d un r sultat la pertinence suppos e de la page web valu e partir de l intitul et ou de l extrait et sa fiabilit v
439. tif l tude conjointe du SErious GAme et de la REalit Mixte Le projet est financ par le minist re de l conomie de l industrie et de l emploi pour la p riode 2010 2012 SEGAREM vise mettre au point un prototype d environnement de conception de production et d ex cution de serious games utilisant la r alit mixte Cette technologie utilisera des interfaces tangibles qui enrichiront l interaction homme machine De plus les l ments fa onn s devront tre m ta mod lis s de fa on pouvoir tre r utilis s ult rieurement dans un processus industrialis de conception des serious games Nos travaux s inscrivent dans ce projet et portent sur l identification des techniques de r alit mixte utiliser dans un serious game l ments de probl matique Il s agit de d terminer quelles technologies de r alit mixte sont utilisables dans le cadre d un Serious Game SG et quelle est leur valeur ajout e sur les plans sc naristiques p dagogiques et interactionnels Une des questions principales consistera d terminer comment int grer les mod les de la r alit mixte dans les mod les sc naristiques et p dagogiques qui existent actuellement pour les SG En particulier quelle est la part de la personne augment e prolongement personnalis des capacit s de la personne quelle que soit la situation et de la r alit augment e sp cifique de la situation Les conce
440. tion des diff rents participants au sein d une m me plateforme de gestion Les nombreux chercheurs qui se sont int ress s au r le du support papier en milieu professionnel soutiennent que l activit est indissociable des objets qui l accompagnent et la soutiennent Mondada 2005 11 Le document papier et l criture sont souvent au centre des pratiques et influencent l organisation collective Jack Goody 1979 s appuyant sur les travaux d Andr Leroi Gourhan 1964 met en vidence le r le de l criture comme technologie de l intellect permettant la r solution de t ches complexes par la coordination de l il et de la main L criture est per ue comme une instrumentation physique qui affecte les op rations cognitives et intellectuelles Qu en est il alors de la correction assist e par ordinateur Emmanu l Souchier 1996 souligne la mani re avec laquelle l utilisateur face l ordinateur doit incorporer de nouvelles routines et de nouveaux automatismes Des sens concern s ne reste que l il qui a pris un ascendant certain sur les rapports face lecture et main graphie La mutation corporelle est radicale l crit ne s adresse plus la main que pour la frappe et la sph re du regard se disperse en trois espaces distincts cran clavier et document qui ne requi rent pas les m mes processus cognitifs ibid 1996 109 Bruno Latour 1987 d signe le document papier comm
441. tions nous posons que les DN des ann es 90 ne sont pas les m mes que ceux des ann es 2000 d o un questionnement sur la p rennit d une enqu te ponctuelle Ces caract ristiques environnementales li es un milieu technique en constante transformation n cessiteront de cr er un cadre pour une veille r guli re 8 Domaines de connaissances concern s La recherche porte sur une analyse de l volution des usages technologiques par les natifs du num rique une analyse d un tat pr sent et une mise en perspective Lille 1 Nous pressentons le besoin de questionner diff rents champs de pens e bauch s ci apr s Neuropsychologique pour questionner l apprentissage et les repr sentations mentales des environnements num riques Bateson 1977 Instrumentale pour questionner vie mort et s lection des outils technologiques Rabardel 1995 Simondon 1958 Anthropologie des techniques et sociologie Ellul 1977 Simondon 1958 Conclusion Le poster s attachera donc a pr senter un projet de recherche dans le domaine de l innovation num rique en mati re de p dagogie universitaire Nous d velopperons la fois une mise en question de l usage du num rique en p dagogie et une recherche de pistes innovantes Entre TICE et TCIP nous poserons la x question de quels outils et m thodes inventer pour quels tudiants dans les cellules TICE des universit s d aujourd hui e
442. tivit s d apprentissage informatis es Le d veloppeur est responsable du d ploiement d un environnement d apprentissage selon le sc nario p dagogique et les besoins d observation de l enseignant Et l analyste doit formaliser ces besoins d observation et les calculer afin de fournir des retours sur la session d apprentissage Actuellement nous avons largi la grammaire de DCLAUTL pour atteindre ce but Elle est cons quente nous pr sentons donc ici quelques r gles de production principales pour cette extension la syntaxe utilis e est la forme de Backus Naur Expression Call_External_Operators Call_External_Operators external ClassName MethodName Arguments ClassName Identifier Identifier MethodName Identifier Arguments Expression Expression L utilisation d op rateurs externes n cessite de fournir le nom de la classe qui inclut le nom du paquet aussi bien que le nom de la classe le nom de la m thode et une liste d arguments La Figure 2 correspond la formule repr sentant le calcul de l indicateur taux d erreurs de compilation obtenu lors de la derniere compilation dans une session de programmation Java d un tudiant en temps r el Ici des op rateurs internes aussi bien que des op rateurs externes sont employ s M thode de calcul des indicateurs Comme nous l avons pr sent ci dessus les indicateurs sont tablis partir de donn
443. trajectoire de la copie papier Nous nous interrogeons alors sur l apport des changes et de la circulation des copies dans la transformation du processus de correction M thodologie d observation des pratiques Pour observer l volution de pratiques nous devons dans un premier temps comprendre comment l enseignant correcteur proc de pour la correction de copies sur support papier Cela nous permettra de mieux appr hender la correction outill e sur ordinateur L ethnom thodologie explique que les participants un dispositif organis sont sans cesse amen s juger reconna tre prouver rendre vident le caract re rationnel i e coh rent cons quent choisi intentionnel efficace m thodique ou bien inform de ce qu ils font Garfinkel 1967 2007 93 Pour cela les membres ont recours des proc dures observables et descriptibles dans le cours de l action Cette th orie nous permet d analyser la pratique de correction en situation d interaction La situation d interaction observ e se place dans le cadre d un entretien d explicitation entre un enseignant correcteur et un intervieweur L objet d tude porte ici sur la fa on de faire et de dire des coparticipants dans l entretien pour fournir une description intelligible et sens e de l activit de correction Le travail de Bruno Bonu 2004 montre comment une situation d entretien de recherche entre un intervieweur et u
444. ttant d adapter les activit s des apprenants aux intentions p dagogiques de chaque enseignant Marie Lefevre Universit de Lyon CNRS Universit Lyon 1 LIRIS CNRS UMR5205 F 69622 France Marie Lefevre Oliris univ lyon1 fr R sum La personnalisation de l apprentissage est une t che complexe mettre en uvre tout particuli rement si l on souhaite adopter une d marche g n rique puisqu il existe d une part des situations p dagogiques tr s diverses et d autre part une grande vari t d activit s p dagogiques Pour assister les enseignants lors du param trage de ces activit s nous proposons l approche GEPPETO Cette approche regroupe des mod les et des processus permettant d adapter les activit s p dagogiques propos es aux apprenants en fonction des objectifs d apprentissage d un agent enseignant ou EIAH mettant en place la personnalisation de l apprentissage Cette approche a t d clin e en GEPPETO pour la personnalisation des activit s papier et en GEPPETOs pour la personnalisation des EIAH Introduction Dans le domaine des EIAH la personnalisation de l apprentissage consiste adapter les activit s que l on propose chaque apprenant en fonction d une situation p dagogique donn e Cette personnalisation est une t che complexe mettre en uvre puisqu il existe d une part des situations p dagogiques tr s diverses et d autre part une grande vari t d a
445. ttp www languesvivantes ubordeaux2 fr frsa pdf 06MPetit CadreEuropeen pdf Rieffel R 2001 Sociologie des medias Paris Collection Infocom Ellipses Rignault S and Richert P 1997 Rapport au Premier ministre sur la representation des hommes et des femmes dans les livres scolaires Paris Collection des rapports officiels Rhodes J 1993 Falling through the Cracks Studying Women of Color in Mass Communication Women in Mass Communication d par Pamela J CREEDON Newbury Park Sage Publications 24 31 Sanders J 2002 Something is Missing from Teacher Education Attention to Two Genders Phi Delta Kappan 241 244 Schmader T Johns M and Forbes C 2008 An Integrated Process Model of Stereotype Threat Effects on Performance Psychological Review 115 2 336 356 Steele C 1997 A threat in the air How stereotypes shape the intellectual identities and performance of women and African Americans American Psychologist 52 613 629 Steele C and Aronson J 1995 Stereotype Threat and the Intellectual Test Performance of African Americans Journal of Personality and Social Psychology 69 797 811 Technology in Context Publishers 2003 Technology in Context logiciel London Technology in context UNESCO 2003 Cadre de mise en oeuvre de la strat gie de l UNESCO en mati re de g n ralisation de l analyse selon le genre 2002 2007 Upjohn J 2007 Engima Plus Consult en f vrier 2009 http ela
446. tutorale en lui fournissant des informations sur l activit de l apprenant et sur sa propre activit Comment rendre compte de l activit du tuteur dans un contexte de travaux pratiques distance telle est la probl matique g n rale de notre th se Pour cela nous nous appuierons sur les indicateurs et leurs volutions dans le temps pour rendre compte la fois de l activit de l apprenant et des effets des interventions tutorales est ce que les effets d une intervention rejoignent l intention initiale du tuteur Par cons quent des questions de recherche se posent comment d finir les indicateurs r v lateurs de l activit de l apprenant partir de besoins d observation comment les calculer comment identifier les indicateurs l origine de l intervention tutorale Une autre question de recherche essentielle li e notre probl matique g n rale mais que nous ne traiterons pas dans cet article est celle de la caract risation de l intention p dagogique du tuteur Nous avons un contexte de travail acad mique puisque notre situation d apprentissage se situe dans le cadre de travaux pratiques distance l Universit dans le domaine de l Informatique et plus particuli rement dans le domaine de l apprentissage de la programmation orient e objet avec un mode de tutorat exclusivement synchrone 3 Proposition 3 1 Le Mod le d Auto r gulation Tutorale La th matique qui est au c ur de n
447. uation particuli re se pr sente et permettent d en reconstruire le cours Lucy Suchman 1987 a galement montr que l action n est pas organis e en suivant un plan pr tabli Au contraire elle est d pendante du contexte et des l ments qui peuvent en perturber le cours L action n est donc pas fig e et se r ajuste constamment Dans la correction de r ponses des questions ouvertes et r dig es par le candidat le correcteur est constamment confront la prise en compte d l ments nouveaux La d mat rialisation de la copie et l instrumentation de la correction par ordinateur offre un environnement de recontextualisation de la correction travers les outils de guidage et la coordination en ligne Conclusions L entretien d explicitation a mis en vidence des proc dures propres la stabilisation de la correction de copies d examens sur support papier Nous avons observ la fa on dont le correcteur se place en tant qu individualit alors qu il d crit en m me temps son activit suivant un sens partag r pondant des exigences communes dans l activit de correction de copies d examens En effet les diff rents moyens marqueurs de cause de logique d ictiques proc dures de modalisation de g n ralisation ainsi que le d roulement temporel de l interaction dans l entretien tendent confirmer l id e selon laquelle le correcteur prend appui sur des ethno m thodes fo
448. uatri me grille nous avons effectu quelques modifications l action regarder objet mat riel devient taper clavier et enseignante regarde enfant devient enseignante pointe clavier enseignante utilise objet mat riel devient enseignante guide souris avec enfant Ces modifications sont n cessaires pour s adapter la pratique informatique de l cole sp cialis e de la Fondation Vall e et celle de la CLIS de La Plaine Par contre la troisi me version de la grille est toujours valable pour l IME Le Guillant Par exemple certains gestes comme enseignant regarde l enfant ont t supprim s soit cause de la difficult l observer quand l observatrice se situe derri re l enseignant Soit parce qu ils peuvent tre not s gr ce la position du curseur dans l cran Enfant regarde l cran Dans la suite de cet article nous allons discuter deux exemples caract ristiques montrant le type d interpr tation qui peut tre faite partir des donn es produites par notre m thodologie d observation Analyse des donn es Il s agit dans le premier temps de pr senter les r sultats quantitatifs issus des seules donn es du SN qui donnent acc s l ensemble des gestes de l enseignant et de l l ve tels qu ils sont d finis dans la quatri me grille Nous avons pris en compte les deux structures IME Le Guillant et ES Fondation Vall e o la proximit de l enseignant vis vis de l
449. ue la plupart des entreprises dispose d un LMS il parait opportun d y ins rer celui ci en tant qu unit d apprentissage En effet le LMS g re l authentification la cr ation des parcours de formation le tracking et le feedback Or comme la plupart des LMS sont compatibles au standard SCORM il convient de tenir compte des contraintes qu il impose Notre id e est que le LMS consid re le SG comme un Shareable Content Object SCO et l int gre dans un processus complet d apprentissage L apprenant peut donc suivre des contenus de e Learning classiques puis jouer et ventuellement retourner sur des contenus classiques Chaque unit d apprentissage est consid r e comme un SCO A l issue de la le on ou du jeu le SCO envoie des informations au LMS telles que le statut la dur e et le score r alis l valuation ou dans le jeu Les indicateurs cit s pr c demment sont consid r s comme pertinents dans le cas de contenus classiques mais s av rent insuffisants pour les SG Probl matique Le th me de l int gration d un serious game dans un LMS a d j t trait sur l aspect technique Torrente et al 2009 mais l interpr tation des traces au niveau p dagogique n a pas t envisag e En effet la m taphore consistant en transformer les objectifs p dagogiques en objectifs ludiques oblige beaucoup plus d explications sur les r sultats d un jeu Se posent alors
450. ues Les vues correspondent l interface finale de l outil de visualisation 110 Lyon 6 et 7 mai 2010 Suivi de situations p dagogiques ajustables en temps r el Le mod le de r f rence d finit galement les transformations en r ponse aux interactions de Putilisateur Par exemple l utilisateur peut intervenir lors du mappage visuel afin de s lectionner les caract res visuels qui doivent tre li s aux donn es Dans le cas o de nouvelles donn es arrivent en flux continu celles ci passent par chacune des tapes suivant l ordre de mise jour FORMID Suivi vu au prisme du mod le de r f rence tendu Nous pouvons maintenant d crire FORMID Suivi en nous basant sur le mod le de r f rence tendu figure 3 L interface de FORMID Suivi est g n r e lors de son initialisation en fonction des composants de la s ance suivie que sont le sc nario et le groupe d l ves Afin de d crire cette sp cificit nous pr sentons un mod le de r f rence adapt pour FORMID Suivi qui prend en compte 3 types de donn es e la liste des l ves e le sc nario de la s ance e les traces du travail des l ves Flux de traces l ves Base de traces l ves Tables structur es des traces l ves Liste d l ves Table de stockage de la liste d l ves Sc nario p dagogique Table de stockage du sc nario Structures Structures Structures visuelles de la l
451. une assistance l analyse quantitative et qualitative de ces traces Dans le cas particulier des tests d valuation sur tableur les chercheurs d sirent observer les parcours de r solution des questions par les r pondants Ils souhaitent s appuyer sur les donn es temps pour construire des indicateurs int ressants Comment traiter ces donn es temps en les couplant aux contenus manuscrits num ris s pour concevoir des indicateurs et comment les repr senter Le format num rique des donn es issues du stylo num rique n tant pas directement exploitable par le chercheur nous d veloppons une m thode et un instrument informatique aidant leur analyse La technologie du stylo num rique Le stylo num rique est un dispositif mobile permettant de capturer d interpr ter et de m moriser la trace des mouvements de sa pointe sur un papier Ce dispositif transf re la trace sous forme num rique d autres dispositifs informatiques ordinateur PDA t l phone portable etc Malacria et Lecolinet 2008 La technologie Anoto repose sur l utilisation coupl e d un papier tram et d un stylo num rique Une trame constitu e d une matrice des n uds donnant des coordonn es uniques chaque point du papier est imprim e sur une feuille de papier normal Chaque page ainsi tram e est unique Le stylo num rique muni d une cam ra infrarouge rep re et enregistre les 3S Rencontres Jeunes Chercheurs en EIAH 131
452. upposer que les jeunes femmes sont plus interpell es par un sujet qui peut les toucher intimement Autre diff rence lors de leur deuxi me exercice les hommes 33 4 ont utilis toute la gamme des neuf autres textes alors que seulement 23 des femmes ont utilis la gamme des neuf autres textes Il y a donc une diff rence dans les choix des textes selon le genre d s la premi re activit Lorsque l utilisateur trice a continu travailler il existe toujours des diff rences selon le genre Le choix de sujets peut tre donc un facteur de motivation mais l horaire peut l tre aussi Les 142 utilisateurs trices ont travaill entre 8 heures du matin et 23 heures le soir le mode c est dire l heure la plus fr quemment cit e tant 13 heures Mais le mode est 16h chez les hommes et 10h chez les femmes Alors que plus d un tiers des femmes 36 3 n 29 a travaill le matin moins d un cinqui me des hommes a travaill avant midi 19 4 n 12 En soir e les hommes ont travaill surtout autour de 18h et les femmes autour de 20h Un quart des sujets dont 23 8 des femmes n 19 et 27 4 des hommes n 17 a travaill le samedi le dimanche ou un jour f ri La diff rence est que les hommes n 2 n ont pas travaill apr s 18 heures pendant la fin de semaine contrairement aux femmes dont la moiti qui a travaill en fin de semaine l a fait apr s 18 heures n 9 On peut noter le
453. ur le degr de croyance concernant les connaissances Ce constat est confirm par des carts types assez proches pour tous les experts 3 mes Rencontres Jeunes Chercheurs en EIAH 67 Sandra Michelet Connaissance 1257 Erreur 2736 Comp tence 1109 Tas 3 Etude du degr de croyance mis par les experts lors de d saccord entre experts humains Conclusion et perspectives Les diff rentes analyses d valuation de notre outil DiagElec montre que 1 celui ci a un bon taux de d tection des l ments de connaissances 2 ses degr s de croyance ont tendance tre plus affirmatifs que ceux des experts humains Ainsi pour raffiner le calibrage du degr de croyance dans les r gles impl ment es dans DiagElec nous allons partir des donn es obtenues des experts humains reprendre nos algorithmes afin que ceux ci fassent de l apprentissage partir de ces donn es Parall lement nous travaillons avec une statisticienne afin de montrer l invariance ou non du comportement des experts humains entre eux d une part et d autre part de comparer le comportement de chacun d eux avec celui de DiagElec De plus l aide d algorithmes de datamining nous cherchons trouver les bons param tres de r ajustement pour DiagElec R f rences Boohan R 1991 Using computer based questionnaires to Diagnose Student s models of Electricity Learning Electricity and Electronics with
454. ur les informations manquantes et les points bloquants Figure 2 Notre d marche se verra pilot e de mani re gale par l ensemble des contraintes de l application d finies en section 3 1 A savoir l aide l observation de l activit des stagiaires les besoins du REX et d enqu tes sur les actions des utilisateurs en plongeant 4 2 D roulement de la d marche Dans cette section nous mettons en pratique notre d marche de recherche pr sent e en section 4 1 4 2 1 Trace mod lis e et observ Afin de d crire le concept de Trace Mod lis e ou M Trace nous retenons principalement la d finition de Laflaqui re 2009 dans leurs traces et ou exploitant des indicateurs Le sch ma de la Figure 2 pr sente globalement notre d marche en faisant appara tre les diff rents observ s structur s suivant l organisation des sessions de formations pr sent es en section 2 1 Nous en faisons une br ve description 1 Trace Familles d observ s de hauts gt UR 4 Traces interm diaires a p dagogiques compos e niveaux valid s si les N N Observes intermediaires N Sources de collecte ne de VIDEOS SONS LOGS IDE NOTES DOCUMENTS TELEPHONIE YOR Une M Trace est l association d une collection d observ s temporellement situ s structur e par leurs relations et d un mod le explicite de cette collection d observ
455. urray 1997 cela s explique par le fait que la machine peut s adapter la vision monotopiste tunnel sp cifique des personnes autistes Notre tude vise d crire d une part les diff rentes formes de communication et les comportements r p titifs de l autiste lors d une s ance informatique d autre part les actions de l enseignant qui encourage l interaction de l autiste avec l ordinateur La question est alors de pouvoir observer et trouver des indicateurs d interaction enseignant enfant sous ses diff rentes formes verbale non verbale Est ce que la reconnaissance de ces signes peut aider augmenter l interaction Quel est le rapport entre le contenu de l activit sur l ordinateur et P interaction triangulaire enfant machine enseignant Le but est de comprendre comment l ordinateur peut tre un m diateur entre l utilisateur autiste et son environnement Contexte de l tude Notre tude concerne l ensemble des l ves avec autisme et leurs enseignants pendant des activit s assist es par ordinateur Ils sont scolaris s dans trois lieux 1 une CLIS de La Plaine Cachan dans laquelle il y a deux enfants avec autisme une fille un gar on int gr s temps partiel un jour par semaine La classe est surveill e par deux adultes la ma tresse et une auxiliaire de vie scolaire AVS 2 l institut m dico ducatif IME de Louis le Guilland Villejuif la prise
456. urs profils respectifs Dans la continuit et sur la base du concept de trace parfaite nous pourrions imaginer des sc narii s adaptant automatiquement en temps r el au niveau et au profil des stagiaires dans un cadre d auto formation 4 Conception du mod le de trace Point central de nos recherches actuelles nous commentons dans cette partie la m thodologie adopt e pour b tir les mod les de trace du d roulement des simulations 4 1 R sum de la d marche de recherche Dans un premier temps il est avant tout n cessaire de d finir le vocabulaire de l activit sur simulateur pleine chelle Il s agit de pouvoir formaliser les actions de haut et bas niveau des stagiaires sur la base d un vocabulaire exploitable et compr hensible par les formateurs Dans un second temps nous posons les d finitions sur lesquelles nous nous basons pour d finir les concepts de ce qu est une trace son mod le ainsi que les observ s associ s Par la suite fort de ces hypoth ses de d part notre strat gie est de constituer le mod le de la trace de simulation en partant des familles d objectifs p dagogiques pour redescendre jusqu aux sources de collecte Cette m thode nous permet de d terminer les 3S Rencontres Jeunes Chercheurs en EIAH 105 Olivier Champalle observ s interm diaires leurs relations les mod les de trace ainsi que les transformations entre traces et nous permet de nous interroger s
457. us a distrait de votre t che d coute les pratiques en autoformation Quels supports avez vous utilis s afin de pr parer cet examen suivi d une liste de supports cocher ou encore la confiance Vous sentiez vous pr t e passer cet examen En ce qui concerne la perception de difficult la vaste majorit des hommes 72 6 comme des femmes 74 6 a d clar que les images ont aid la compr hension Une analyse crois e selon le genre montre des diff rences de la perception de la difficult g rer simultan ment des informations provenant d un canal visuel ou oral Mais les hommes 37 5 d clarent tre plus distraits par le document vid o que les femmes 26 6 Pourtant autant d hommes 76 19 que de femmes 76 92 de la population cible ont d clar consulter des sources audio visuel lors du semestre Chez les hommes la note varie entre 5 et 17 avec une moyenne de 12 19 c est dire inf rieure la moyenne g n rale alors que chez les femmes celle ci est de 12 96 mais la diff rence n est pas significatif galement la moyenne des notes des tudiants es ayant d clar tre pr t e est de 15 pour les hommes et 15 5 pour les femmes encore sans signification En 26 Lyon 6 et 7 mai 2010 Analyse selon le genre revanche la moyenne des notes pour les tudiants ayant d clar tre presque pr t 10 est significativement plus basse que celle des
458. uteur Quels Indicateurs de Suivi Pour r pondre cette question nous avons mis en correspondance le mod le des connaissances du domaine et le game design Chaque l ment du mod le des connaissances a t traduit en une ou plusieurs actions de jeu et ou des valeurs temporellement situ es d indicateurs de jeu Les objectifs p dagogiques sont consid r s comme atteints lorsque toutes les actions de jeu correspondantes ont t r alis es et que les indicateurs ont atteint le seuil ad quat au bon moment du jeu Du point de vue du LMS les objectifs p dagogiques sont stock s dans le champ objectif pr vu par le standard SCORM A la fin de la partie une API javascript r cup re les donn es du jeu sur l ach vement des objectifs et les envoie vers la base de donn es du LMS Celui ci construit ensuite le feedback pour le tuteur en indiquant pour chaque niveau s il a t r ussi ou pas puis en d taillant pour chacun des objectifs une performance en pourcentage en fonction des seuils atteints par les indicateurs de jeu Dans ce cas le mod le de l apprenant se r duit aux objectifs p dagogiques de chaque niveau Au sein du LMS notre analyse ne peut aller plus loin du fait des limites de SCORM Les Limites Impos es par SCORM Certaines limites de SCORM ont d j t mises en vidence Shute amp Spector 2009 Nous apportons ici d autres l ments accentuant les lacunes de ce standard Da
459. uteur peut effectuer un survol d un marqueur pour qu une info bulle fournisse des d tails suppl mentaires Le mod le de r f rence tendu Le mod le de r f rence de visualisation d informations Card et al 99 d finit un processus permettant de passer des donn es brutes leur forme graphique Ce processus passe par 4 niveaux de donn es le passage d un niveau l autre se faisant par le biais de transformations Nous d crivons ci apr s la version de ce mod le adapt par Hurter et Conversy 07 qui prend en compte un flux de donn es arrivant en temps r el Flux de donn es Donn es brutes Transformation de donn es donn es e structur es Mappage Ordre de Structures ea mise jour visuelles des donn es Transformation en vues Figure 2 le Mod le de r f rence de Card et al 99 modifi par Hurter et Conversy 07 Le premier niveau correspond aux donn es brutes Elles disposent d un format d enregistrement propre fichier base de donn es Les donn es brutes sont transform es pour devenir des donn es structur es selon une repr sentation interne propre au logiciel de visualisation Une op ration de mappage visuel permet de passer des donn es structur es aux structures visuelles Le mappage consiste associer aux donn es des caract res visuels tels qu une forme une taille Finalement les structures visuelles sont transform es en v
460. utomatiquement par voie informatique Les tudiants es en deuxi me ann e de licence Grenoble I avaient comme obligation dans le cadre de l autoformation de travailler partir d au moins deux t ches d Enigma Plus Il s agit d une tude de pratique d autoformation authentique est non pas d une tude en laboratoire Le premier objectif du programme est la r vision de vocabulaire vu en classe tir du manuel du cours et annonc comme central l examen de fin de semestre Lors d une activit d Enigma Plus l apprenant e 3 mes Rencontres Jeunes Chercheurs en EIAH 25 Laura M Hartwell visionne un document audio visuel de trois quatre minutes Les enregistrements oraux sont accompagn s d une s rie de supports multim dias L utilisateur trice tente ensuite de reconstruire le texte partir d un squelette pr sent l cran L analyse porte sur les donn es de 142 personnes 62 utilisateurs 43 7 et 80 utilisatrices 56 3 qui ont travaill chacun e plus de 5 minutes Chaque entr e de chaque exercice de la population tudi e a t enregistr e par ordre chronologique sur une base de donn es pendant le semestre Le sexe des participant es tait d termin en fonction du pr nom Trois sujets ayant un pr nom pouvant indiquer soit une femme soit un homme n ont pas t retenus Une diff rence majeure entre les modes de travail des hommes et des femmes de la
461. ux l ves derri re le m me ordinateur activit s de souris et de clavier En corr lant ces indicateurs avec le r sultat d valuation humaine des TP et les notes individuelles lors d valuations sommatives nous esp rons mettre en vidence les pr dicteurs de performance les plus fiables Introduction La probl matique de suivi de l apprenant permettant aux tuteurs de suivre de nombreux l ves ou groupes de mani re efficace n est pas nouvelle e g May et al 2008 Dans le cadre de l enseignement de la programmation plusieurs auteurs ont trac l activit de programmation divers niveaux afin de corr ler cette activit avec la performance finale et ainsi de proposer aux tudiants des pratiques optimales e g Jadud 2005 Johnson et al 2003 Fenwick et al 2009 Or dans ces tudes les tudiants sont seuls derri re leur ordinateur Cependant pour des raisons p dagogiques ou de limitation de ressources il est fr quent que les travaux pratiques de programmation se fassent en bin me facteur qui n est pas pris en compte Il appara t d s lors important de d terminer si l activit du bin me m ne une bonne compr hension Dans cet article nous examinons les indicateurs utilis s pour mesurer la qualit de programmation et y rajoutons des m triques indicatrices du travail en bin me Nous pr sentons une exp rimentation en cours qui vise correler ces traces d activit de program
462. veau requis pour effectuer un travail documentaire efficace Mittermeyer et Quirion 2003 Thirion et Pochet 2008 Simonnot 2009 3 aux difficult s rencontr es par les l ves du secondaire en termes d utilisation des outils et de formulation des requ tes Beaufils et Blondel 2001 4 la question du transfert des comp tences d velopp es dans les pratiques personnelles vers les pratiques scolaires Fluckiger et Bruillard 2008 Pour cette recherche exploratoire pratiqu e en juin 2009 aupr s de trois tudiants admissibles au concours nous avons mis en uvre une m thodologie de type qualitatif avec des observations d activit s de recherche suivies d entretiens d auto confrontation L analyse des vid os de capture cran a consist en un s quen age de l activit afin d identifier d ventuels invariants dans la d marche de recherche ou la mani re d utiliser les outils de recherche Les entretiens ont fait l objet d une analyse de contenu portant sur les repr sentations connaissances les pratiques ainsi que l explicitation des actions men es Quelques R sultats Si les trois tudiants connaissent th oriquement les diff rentes cat gories d outils de recherche sur Internet ils d clarent toutefois utiliser principalement les moteurs de recherche GoogleWeb en particulier l instar de la plupart des internautes Sarmiento 2005 UCL 2008 Serres et Le Deuff 2009 Leurs justifications s inscrivent dans les
463. x cute les demandes de M M sort de l toute de suite Elle se met c t de l l ve Pointe avec l index la fen tre de Tux Paint E clique sur la croix rouge un message sort veux tu vraiment quitter le jeu M la pointe avec l index la r ponse oui E appuie sur la r ponse oui un autre message s affiche si tu quitte ton image sera perdue Tu sauvegardes M pointe la r ponse non non ce n est pas la peine E clique sur la r ponse Non M allez sur Pepits E d marre l Internet explorer de la barre d outils M P pointe avec l index le clavier la lettre P E cherche la lettre P tape sur le clavier Pe Tableau 1 E ex cute la demande de M en gris sont not es les donn es issues du SN Nous remarquons que l enseignante utilise trois modalit s pour guider l enfant 1 pointage cran communication verbale 2 communication verbale 3 pointage de clavier communication verbale Elle obtient pendant cette s quence que l enfant change d activit puisque l enfant ex cute au fur et mesure les consignes de l enseignante El ve 2 IME le Guillant Pour cette s quence le pointage de l enseignante intervient dans un contexte diff rent son r le est de guider l enfant pendant l activit Ici l enfant travaille sur des activit s con ues par l enseignante Clic Lire dans le but d apprendre lire et crire La prise e
464. x observations faites avec le robot La palette des signes d interactions enfant adulte robot devrait tre plus riche et avec des enjeux de communication vers le robot plus symboliques que cognitifs Nous pourrons chercher lequel de ces deux contextes d interaction est le plus favorable la communication avec l adulte ou l enseignant Remerciements Nous remercions les tablissements cit s et les enseignants pour leur accueil et pour permettre la poursuite de ce travail Bibliographie Frith U 1989 Autism Explaining the Enigma Oxford Basic Blackwell Murray D K C 1997 Autism and information technology therapy with computers In Autism and Learning a guide to good practice David Fulton Publishers London UK 100 117 APA American Psychiatric Association 1994 Diagnostic and Statistical Manual of Mental Disorders Fourth Edition DSM IV Washington D C American Psychiatric Association Heimann M Nelson K E Tjus T Gillberg C 1995 Increasing Reading and Communication Skills in Children with Autism through an Interactive Multimedia Computer Program Journal of Autism and Developmental Disorders Vol 25 No 5 Hetzroni Juman Tannous 2004 Effects of a Computer Based Intervention Program on the Communicative Functions of Children with Autism Journal of Autism and Developmental Disorders Vol 34 No 2 95 113 Mesibov G B Schopler E amp Hearsey K A 1994 Structured teaching In E Sc
465. ystems E77 D 12 Pr v t P 2009 Jeux S rieux Architectures Principes p dagogiques et construction de Comp tences M tier communication lors d un s minaire INRP 23 avril 2009 Sghaier A Pr v t P Tarpin Bernard F 2007 Towards A Generic Environment For The Design Of Serious Games Learning With Games 2007 24 26 September Sophia Antipolis France 2007 295 300 150 Lyon 6 et 7 mai 2010 Le P de TIC Usages personnels et usages acad miques des TIC Thierry Danquigny Cirel Trigone Lille 1 thierry danquigny univ lille1 fr R sum L universit accueille de mani re croissante des populations tudiantes utilisatrices de technologies de l information et de la communication TIC comme les t l phones portables l internet ou les consoles de jeux Ces populations naissent dans un milieu technologique pr existant et en volution constante Le nom qui est g n ralement associ ces nouvelles g n rations est digital natives n es dans un environnement num rique L universit quant elle ne s est pas constitu e dans un milieu num rique mais constate le d veloppement des TIC et se pose la question de leurs usages dans l enseignement L mergence des campus num riques est une tentative historique d usage des TIC L usage de la ballado diffusion et de la mise disposition de ressources num riques semble tre une recherche d adaptation des pr f r
466. zones 1 Qui l acteur 2 Quoi l action r alis e 3 un champ pour noter plus de d tails sur l interaction entre l enfant et l enseignant L analyse de cette grille nous a guid e pour en produire une deuxi me avec laquelle nous avons pu noter plus vite A l aide de ces grilles nous avons d limit les signes essentiels de l interaction enseignant enfant machine 118 Lyon 6 et 7 mai 2010 Utilisation des TIC pour les enfants autistes La troisi me grille code les actions principales durant une s ance informatique en permettant toujours de noter une nouvelle action dans un champ commentaire Les actions cod es au niveau de l enfant sont pointer l cran regarder l enseignante regarder objet mat riel pointer objet mat riel Au niveau de l enseignante pointer l cran tenir la souris guider la souris avec l enfant utiliser des objets mat riels correspondant aux th mes ou aux images des logiciels Cette grille facilite beaucoup la prise de notes tant donn qu il suffit de cocher dans la case li e l action L instant o l on coche la case est enregistr ce qui permet la synchronisation avec les donn es issues de Camtasia PoEcra Re adM lappe clavier LS Point ecran T souris I Pomtclavier Guide Save cE Aaa aaa aa aaa aaa aa O Figure 1 Extrait de la grille d observation n 3 Pour la q

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