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1. 8 rapport d actiuit 2011 rapport d actiuit 2011 9 r forme des cotations r forme des cotations tour d horizon Fruit d un trauail conjoint entre l interprofession FranceAgriMer et La DGPAAT tout au long de l ann e 2011 la r forme des cotations pour les secteurs bouins veaux et ouins est en cours Un nouveau dispositif pour Les cotations Gros Bouins Depuis le mois de juin 2010 la section Bovins d Interbev a entrepris une s rie de travaux et d analyses visant la refonte du syst me des cotations Prenant appui sur la feuille de route confi e la fili re par le Ministre de l Agriculture fin 2010 la r forme des cotations bovines vise une meilleure repr sentativit des abattages ainsi que des types raciaux et des cat gories de bovins Gros Bouins Entr e Abattoir La section a entrepris de r former la m thodologie de fixation des cotations bovines Entr e Abattoir Dans cet objectif elle a travaill notamment la red finition des bassins et de la grille de cotations Ainsi il a t d termin un d coupage du territoire national selon quatre bassins de cotations contre 10 auparavant bas s sur leur pertinence en termes de repr sentativit des abattages et des flux commerciaux des diff rents types d animaux D autre part une nouvelle grille a t propos e par l interprofession puis compl t e par le minist re afin de coter objectivem2. des veaux cot s au regard de l ensemble de ceux abattus en France En 2012 le travail de la section consistera en un accompagnement des professionnels au vu de la r forme du dispositif ainsi qu en une r vision des deux arr t s en vigueur fixant les modalit s d tablissement des cotations pour les march s l un des veaux de boucherie l autre des petits veaux rapport d actiuit 2011 11 r forme des cotations R gions actuelles de cotation Nouveau zonage M Zone NORD 48 M Zone SUD 52 Le sc nario retenu pour Les ouins La refonte des cotations Ouins valid e Suite la proposition d Interbev Ovins quant l volution du dispositif national des cotations ovines FranceAgriMer a arr t les conditions de la r forme le 27 mai 2011 Elles concernent notamment le d coupage territorial en deux zones de cotation et la refonte des grilles nationales de classement conformation poids et tat d engraissement des agneaux et des brebis passant quatre classes pour les premiers et deux pour les secondes Les op rateurs abattant plus de 20 000 t tes par an auront l obligation de remonter les informations de cotation Un cahier des charges doit tre mis en place afin d en d finir les r gles Par ailleurs l arr t d application fixant les modalit s d tablissement des cotations ovines et de transmission des donn es est en cours de finalisation m 12 rapport d activit
3. r alis par Interbev en collaboration notamment avec la FNICGV et le SNIV SNCP avec l expertise technique du CIV 34 rapport d activit 2011 C TESAC TES Comment l interprofession s est elle organis e pour la gestion de crise DOMINIQUE LANGLOIS La gestion de crise fait partie des missions d une interprofession Dans le cadre de sa r organisation strat gique Interbev s est dot e d un service communication comprenant deux d partements l un charg de la communication produit et de la promotion l autre de la communication institutionnelle et des relations ext rieures C est donc au sein de ce second d partement que sont r unies et d velopp es les ressources permettant l interprofession de g rer les crises qui peuvent se pr senter C TESAC TES Concr tement quelles sont ces ressources DOMINIQUE LANGLOIS Le d partement communication institutionnelle et relations ext rieures m ne un travail Important en mati re de relations presse En premier chef de nombreux argumentaires s appuyant sur des l ments de contexte d taill s ont t pr par s sur les sujets pouvant porter pol mique avec l expertise technique du CIV Un programme de m dia training a t mis en place avec l identification de porte paroles cibl s compl t de la formation d un r seau de professionnels t moins G rer les crises c est aussi s organiser pour agir de mani re offensive agir en
4. 7 o a oee o ea Cette structure associative a pour but de E Milan mutualiser les co ts d approche de nouveaux Tutto Food 8 11 mai 2011 K 3 salons Interbeu sur 2011 march s et de favoriser le d ploiement B a eg E Thessalonique ep Detrop 11 14 mars 2011 commercial des op rateurs Le GEF est un outil indispensable dans un contexte conomique de baisse du march domestique en valeur et d rosion terme de la demande europ enne Membre fondateur Interbev a su r unir la Conf d ration de la Coop ration Agricole Coop de France la F d ration Fran aise des Commer ants en Bestiaux FFCB la F d ration Nationale Bovine FNB la F d ration Nationale de l Industrie et du Commerce en Gros de Viande FNICGV la F d ration des March s du B tail Vif FMBV et Races de France principaux membres Des experts repr sentants de l tat tablissements publics et structures priv es d aide l export composent galement le GEF Salons en 2011 Projets Salons en 2012 Foodex Tokyo 6 9 mars Detrop Thessalonique 11 14 mars Tutto Food Milan 8 11 mai Anuga Cologne 8 12 octobre Kazakhstan 3 salons Interbeu SIA Paris 25 f urier 4 mars SIAM Mekn s 25 29 auril SIAL Shanghai 9 11 mai 20 rapport d activit 2011 SIPSA Alger 18 21 mai Conf rence annuelle Races bouines viande Lipietsk Russie 30 mai 1 juin Ap ritif La Fran
5. d entre elles sont Presto Pour que le consommateur trouve en point X de vente les cubes minc s hach steak mini r ti c telines les trois interprofessions ont d velopp des guides de d coupe et mis en uvre un ambitieux programme de formation des ateliers de d coupe et des distributeurs Avec succ s puisque fin 2011 93 des GMS proposaient au moins une r f rence d agneau type Presto et 50 en proposaient au moins trois Et plus de 400 artisans bouchers ont t form s depuis le d but du programme m Agneau Presto Mis part les c telettes la viande d agneau est d abord connue pour ses morceaux embl matiques que sont le gigot et l paule et pour ses recettes comme le navarin Des produits tr s appr ci s mais qui demandent du savoir faire une famille nombreuse et une occasion Sans remettre en cause cette consommation tablie Interbev ovins souhaite faire de l agneau une viande plus quotidienne et adapt e des modes de consommation plus jeunes Elle partage cette approche avec les interprofessions britannique et irlandaise qui sont d importantes contributrices au march fran ais Les trois fili res ont d velopp le concept Agneau Presto Agneau Presto c est une nouvelle ve aus Sa Les Produits Tripiers c est pas compliqu Les produits tripiers se singularisent par une image tr s cont
6. res bas s sur l approche dites des ACV Analyse des Cycles de Vie Ces outils prennent en compte les diff rents volets de l environnement eau GES biodiversit L enjeu pour Interbev est galement de travailler une harmonisation des m thodologies au niveau international car ces valuations environnementales pourraient devenir terme un facteur important de distorsion de concurrence entres produits entres pays etc L ensemble de ces investigations visent mettre en vidence les marges de progr s gestion des d jections fertilisation azot e introduction de l gumineuses alimentation mais aussi int grer les contributions positives de l activit d levage le stockage de carbone par les prairies qui permet une compensation comprise entre 20 et 50 des missions totales de gaz effet de serre ou encore la biodiversit li e l levage L ensemble de ces travaux est essentiel au maintien du niveau d expertise de la fili re viande et permet ainsi la mise au point de syst mes innovants et productifs depuis les levages jusqu aux entreprises d abattage et de transformation m w communiquer pour redonner Le b uf Le go t d tre ensemble En France les fonctions fondamentales du repas vont au del de sa dimension premi re et fonctionnelle se nourrir Le repas poss de une dimension motionnelle forte car il est associ au plaisir gustatif et a
7. vitale la sauvegarde des neuf races de chevaux de trait mal aim e par certains cavaliers pl biscit e par des consommateurs Dans ce cadre il est la fois difficile et n cessaire de communiquer pour apaiser et normaliser le d bat Nous ne voulons pas entrer dans des pol miques st riles zoom sur le Bio C TESAC TES Avec 15 de volumes abattus en 2011 bovins ovins porcins la fili re viande Bio est une fili re dynamique et en plein d veloppement Comment Interbev accompagne ses volutions CELIA PASQUETTI La Commission Bio d Interbev suit de pr s la fili re viande Bio car elle a c ur d accompagner son d veloppement elle porte une attention sp ciale au maintien de l ad quation entre offre et demande Pour cela en premier lieu elle assure un Observatoire des viandes Bio afin de suivre les volutions du march Par ailleurs elle entretient des rapports troits avec les pouvoirs publics et en particulier une veille r glementaire enfin elle travaille en synergie avec l Agence Bio Elle met en oeuvre des tudes pour lever certains questionnements enqu te sur la qualit des cuirs issus d animaux Bio lancement d une tude sur les diff rences de pertes en eaux dans les viandes fra ches conventionnelles et Bio vendues en restauration collective ou encore projet d laboration d un guide pour le d veloppement de la viande Bio en magasins sp cialis s par Michel Beaubois Pr sid
8. 2012 la r glementation volue vers la notification individuelle des mouvements des ovins et des caprins Les leveurs et op rateurs aval devront s quiper d appareils de lecture permettant de lire les num ros individuels des ovins contenus dans les puces et ainsi de tracer les mouvements des animaux Au del de ces exigences r glementaires l iden tification lectronique et la tra abilit constituent 16 rapport d activit 2011 un v ritable outil de progr s la fois pour les leveurs dans le suivi de leur troupeau reproduction suivi sanitaire et pour les op rateurs dans leur activit quotidienne gestion de stocks tri Interbev Ovins a ainsi travaill la mise en uvre de cette nouvelle tape durant le cours de l ann e 2011 application de la r glementation aux op rateurs et aux leveurs mise en place de d rogations pour certains animaux tests mat riels restructuration de la base de donn es Ovinfos g r e par l interprofession et qui centralise la r ception des informations G r e par Interbev Ovins en association avec lAPCA partir de juillet 2012 Ovinfos collecte l ensemble des donn es fournies par les op rateurs aval abattoir op rateur commercial centre de rassemblement march Les leveurs peuvent choisir de confier aux EdE le traitement des notifications de mouvements qu ils leur fournissent ou de d l guer l ensemble de la t che leurs op rateurs de l
9. annexes bouins petits ruminants quins J e Le guide de bonnes pratiques pour la pr sentation de la plaie de saign e et de la goutti re jugulaire des gros bouins l abattoir a t valid par Les professionnels en juin 2011 Ce guide a pour objectif de d finir un mode op ratoire optimal de retrait de la plaie de saign e satisfaisant la fois aux exigences en termes de s curit sanitaire des aliments et de pr sentation des carcasses H En mati re d ad quation de l offre auec la demande la section Bouins tente d apporter des r ponses interprofes sionnelles pour mieux r pondre aux demandes des consommateurs Une tude a permis d engager un projet de refonte et de simplification de la nomenclature des d nominations de vente Cela concerne exclusivement les viandes de boucherie vendues sous la forme d UVC en rayon libre service des grandes surfaces Actuellement les d nominations propos es sont en cours de validation auec les pouvoirs publics rapport d actiuit 2011 19 international l interprofession en qu te de nouveaux march s par Carol Deloume Responsable Export Cr ation officielle du Groupement pour l Export Fran ais Viande B tail et G n tique EEF 4 C est avant tout pour permettre l essor de iE L F E courants d affaires avec les pays tiers dans Cologne n E eE h le secteur bovin que le GEF a vu le jour en Anuga 8 12 octobre 2011 p Novembre 2011
10. aval par d l gation partir du 1 juillet 2012 Ovinfos collectera galement les donn es des EdE Etablissement de l Elevage Au 31 d cembre 2011 la base de donn es compta bilise 239 op rateurs environ 90 d l gataires et 1 1 OO0 leveurs d l gants En 2011 4 360 957 ovins y ont t notifi s ainsi que 80 505 caprins m par Maud Bertrand Animatrice section Ouins notifications directes OVINFOS une base de donn es professionnelle pour la tra abilit rapport d actiuit 2011 17 achat amp enl vement achat et enl vement accord en vue L accord achat amp enl vement des bouins en passe d tre renouvel se dote d un manuel d utilisation Plus de clart et un meilleur accompagnement des op rateurs de la fili re c est ce que propose la r vision de l accord qui r glemente lachat et l enl vement des gros bouins destin s l abattoir a la demande des organisations nationales r unies au sein d Interbev l accord interprofessionnel relatif lachat et l enl vement des bovins de plus de huit mois destin s labattage est en cours de renouvellement approbation en attente Le travail de r criture de cet accord a mobilis toute la profession en 2011 Et pour cause document de r f rence pour les op rateurs de la fili re bovine fran aise ce texte d importance r git les transactions entre professionnels en ce qui conce
11. ci Ce doit tre le lieu d un dialogue constructif bas sur un diagnostic conomique de la situation et d une ambition commune de partage mieux quilibr de la valeur ajout e YVES BERGER Afin de mieux faire conna tre notre organisation son r le et ses objectifs Interbev a pris il y a un peu plus d un an la d cision d organiser un dialogue r gulier avec nos parlementaires qu ils soient d put s ou s nateurs au niveau national o europ en La r cente campagne pour l lection du Pr sident de la R publique nous a conduits rencontrer la plupart des candidats et leur exposer nos 15 propositions pour assurer le devenir de notre fili re Par ailleurs nous maintenons des contacts r guliers avec les partis politiques et les lus Des notes sont r dig es p riodiquement sur des sujets d actualit levage et environnement abattage rituel et adress es l ensemble des parlementaires int ress s par les probl matiques de notre fili re Ces op rations lanc es ces derniers mois compl tent sans les remplacer nos traditionnelles rencontres avec le Ministre ses services et les conseillers de l Elys e ou de Matignon 6 rapport d activit 2011 la nouvelle politique territoriale Durant l ann e 2011 Interbeu a men auec ses comit s r gionaux CRI une r flexion sur la politique territoriale de l interprofession en vue de sa red finition ne valuation en deux temps a
12. dont pr s de 150 nouveaux points de vente recrut s en 1 an Les signes d identification de la qualit et de l origine tels que le Label Rouge l IGP et AOC AOP sont de v ritables rep res pour le consommateur lui permettant de conna tre rapidement les caract ristiques de la viande qui lui est propos e qualit s gustatives sup rieures mode d levage ou zone de production sp cifiques 30 rapport d activit 2011 L AGNEAU agneau SIQO gt 00 Pr s de 40 marques sous signes de qualit font la richesse de loffre en uiande d agneau Interbeu Ouins a souhait favoriser leur mergence aupr s du consommateur Pour La premi re fois en 2011 une campagne de communication a rassembl l ensemble des signes de qualit de l agneau Label Rouge IGP et AOC afin de d livrer un message commun f d rateur identifiable et m morisable par Les consommateurs autour du Bon paur n L CONOMIE LOCALE concept Bon dans votre assiette ce ban d ra votre Assit T et bon pour l conomie locale 980 GMS et 1 200 boucheries artisanales ont mis en place la PLV correspondante et dynamis leur client le auec un jeu consommateur Des relations presse bas es sur de beaux portraits d leueurs ont permis d obtenir plus de 60 articles de fond sur Le sujet Enfin autour du concept des belles journ es de l agneau Interbeu Ouins a accompagn pr s d une vingtaine de d marches d op rateurs dans leu
13. l Eleuage Bilan annuel du secteur viandes boui Oui 2011 tec Gros ZUS Veau C ns Equins Sources France AgriMer d apr s SSP Douanes j tnts aprins 97 7 6 8 Production contr l e 1 404 2 195 6 Solde commerce ext rieur uif 39 7 1 8 4 9 1 8 Abattages contr l s 1 364 5 193 8 92 8 5 0 Solde commerce ext rieur viande 18 8 36 1 101 6 13 0 Consommation contr l e 1383 3 229 9 194 4 18 0 Consommation en kgec par habitant 21 3 3 5 3 0 0 3 Auto approuisionnement 101 5 85 1 50 3 37 8 Gros bouins finis animaux de plus de 300 kg uif destin s la boucherie rapport d activit 2011 37 tendances les niveaux de consommation des Fran ais La derni re tude men e par le CREDOC aupr s de 1 200 m nages r u le Les nouvelles tendances de consommation Mange t on trop de viande en France D cryptage des principaux enseignements Baisse de La consommation des viandes de boucherie Entre 2003 et 2010 la consommation de viande de boucherie a diminu de 15 contrairement la viande de volaille et de charcuterie dont la consommation a l g rement augment Le contexte socio conomique pourrait en partie expliquer cette baisse les consommateurs ayant tendance a remplacer les produits carn s bruts par des petites quantit s r parties dans des pizzas o des sandwichs 663 fois par semaine c est la consommation moyenne en France Des disparit s importantes
14. s et se sentir confort s au sein d une interprofession qui agit Et lorsque ses membres avancent en rang serr cela l gitime l action de l interprofession quand le site la uiande fr ait peau neuve Le 24 f urier 2012 Interbeu a cr l v nement auec la mise en ligne du nouveau site la viande fr auec une vocation clairement affirm e en faire LE site de r f rence de la fili re viande Destin au grand public la viande fr inuite les internautes trauers des parcours interactifs de qualit mieux conna tre la fili re les morceaux les savoir faire culinaires bref se r approprier luniuers de la uiande Huit grandes rubriques abordent l ensemble des th matiques relatives l levage et la viande Cuisine et Achat Nutrition et Sant S curit sanitaire Animal et levage Environnement et thique conomie et M tiers Culture et Viande Communication et Actions 800 recettes de cuisine 180 vid os 40 brochures th matiques et m me une mission de TV en ligne sont propos es sur le site dont Les ma tres mots sont fiabilit s rieux transparence ouverture et bien s r plaisir Le site La uiande fr vient en Lieu et place du site ciu viande org dont il valorise une partie du contenu Un nouveau site ciu viande org exclusivement d di aux publics professionnels est en cours de cr ation m rapport d actiuit 2011 35 chiffres cl s l an
15. 2011 f par Emmanuel Coste Pr sident section Ouins contractualisation tfla contractualisation ne doit pas tre v cue comme une contrainte elle doit au contraire favoriser le renforcement au sein de la fili re ovine des politiques partenariales autour d outils collectifs qui am liorent la sensibilit el une certaine s curit des approvisionnements et des d bouch s pour chaque op rateur Un cadre l gal aux contrats de vente Dur e de contrat r vision ou r siliation volume et caract ristiques des produits modalit s de collecte et de livraison prix conditions de paiement autant de points cadr s par la contractualisation Des contrats de commercialisation pour encadrer Les transactions ouines La Loi de modernisation de l Agriculture et de la P che du 27 juillet 2010 rend obligatoire l tablissement de contrats entre acheteur et vendeur pour les denr es agricoles C est dans ce contexte qu Interbev a labor et sign un accord interprofessionnel permettant d encadrer les contrats n cessaires pour l obtention par les leveurs d une majoration de l aide ovine octroy e par les pouvoirs publics dans le cadre du bilan de sant de la PAC 125 M pour le secteur soit 21 de prime de base et 3 de majoration par brebis Deux accords constituent aujourd hui la cl de vo te du dispositif contractuel dans la fili re ovine e Un accord sur la majoration de l aide ovine qui
16. En 2010 la consommation moyenne adulte tait de 390g semaine mais on observe de fortes disparit s selon les Fran ais Les hommes consomment 435g semaine les femmes 330g La tranche d ge 35 54 ans est celle qui consomme le plus 420g tandis que les seniors consomment de moins en moins avec l ge Les grands consommateurs ne sont que 29 alors que 4 sont de petits consommateurs de viande de boucherie Contribution de La viande de boucherie aux apports nutritionnels L enqu te du CREDOC r v le que les viandes de boucherie contribuent 5 des apports nerg tiques 38 rapport d activit 2011 quotidiens 8 des lipides 16 des prot ines et 11 du fer Notons que les d ficiences d apport en fer sont importantes chez les femmes 58 des femmes en ge de procr er ont des apports inf rieurs au BNM Quant aux prot ines les besoins sont globalement bien couverts dans la population hormis pour un quart des seniors qui ont des apports en prot ines inf rieurs aux ANC Ainsi paradoxalement alors que les besoins des femmes en fer sont 2 fois sup rieurs ceux des hommes elles consomment pr s de 25 de viande de boucherie en moins que ces derniers De m me plus de 50 des seniors sont des petits consommateurs de viande de boucherie alors que leurs besoins en prot ines sont l g rement plus lev s que ceux des adultes plus jeunes En conclusion les niveaux de consommation de viande de boucherie so
17. M CHTERFARCFESSIO NN B TAIL amp VIANDE TA d hor des accords SA En qu te de nouveaux es MUNICATION Aud ce et cr ativit Con Une Habuelts re Our interbeu Te R T 4 me gi MTL PONTS GA A TAIL amp VIAMBE ETEMM Cr dits photos Fotolia Georges Humbert Georges Bartoli FNICGV Institut de l levage Xavier Granet Tour Matte 207 rue de Ber V5587 Paris Cedex 12 sommaire C TESAC TES est une publication de l interprofession B tail amp Viandes Conception Sigmund 2 rapport d actiuit 2011 dito une nouvelle re pour Interbeu La r organisation strat gique L engagement sur Les perspectives La nouvelle politique territoriale La nouvelle organisation de gestion dossiers R forme des cotations tour d horizon Un cadre l gal aux contrats de vente Le veau tout en nuances Tra abilit et identification ovine Achat et enl vement accord en uue international L interprofession en qu te de nouveaux march s interviews Une approche d complex e de la fili re cheualine Zoom sur le Bio Le nouvel accord PCM recherche amp d veloppement R duire les impacts par la R amp D la fili re s engage communication Communiquer pour redonner du statut Vous auez dit pratique Un levage des terroirs Le go t de lenfance Gestion de crise anticiper pour mieux r agir chiffres cl s L ann e 2011 bilan chiffr tendances L
18. Orlianges Animatrice section Veaux nuancier Rouge Ros Ros clair Ros tr s clair Blanc t le nuancier permet aux abattoirs d uniformiser leurs crit res de classement des carcasses de veaux en vue de leur r partition par cat gorie rapport d actiuit 2011 15 tra abilit et identification ouine epuis 2005 la profession travaille avec l administration renforcer la tra abilit des ovins et des caprins avec en ligne de mire leur tra abilit individuelle obligatoire partir du 1 juillet 2012 Le r glement europ en CE 21 2004 d finit les exigences li es la tra abilit notamment concernant les modalit s d identification des petits ruminants et la centralisation de leurs mouvements dans une base de donn es Cette d cision vise assurer un meilleur suivi sanitaire et permettre l identification rapide d un lot d animaux en cas de crise Les animaux n s apr s 2010 sont obligatoirement identifi s avec une boucle lectronique L lectronisation remplacement d une boucle conventionnelle par une lectronique est obligatoire pour les ovins et les caprins n s entre le 1 janvier 2005 et le I juillet 2010 L ensemble de l levage sera ainsi identifi avec une boucle lectronique d ici au 1 juillet 2013 Depuis 2009 tous les d tenteurs d exploitations ont l obligation de notifier les mouvements d entr e et de sortie des animaux par lot Au 1er juillet
19. aise Dubai EAU 11 12 juin Prodexpo Moscou 13 17 f vrier SIAL S o Paulo Br sil 25 28 juin Salon Viandes Rouges Casablanca 6 8 juillet Space 13 16 septembre Sommet de l leuage 2 5 octobre SIAL Paris 21 25 octobre Interbeu en Europe C TESAC TES Comment est repr sent Interbev dans l Union europ enne CAROL DELOUME Interbev m ne deux importantes campagnes d action de promotion de la viande bovine fran aise en Europe en partenariat avec la Sopexa au travers d actions de promotion collectives et associatives Deux marques sont d velopp es en Allemagne Charoluxe et Gourmet naturel Les cahiers des charges JBE Jeunes bovins Export sont valid s par les pouvoirs publics Ainsi le consommateur allemand ach te de la viande qui provient d animaux n s lev s et abattus en France selon des caract ristiques d levage bien pr cises et pr sente les qualit s conformes la r glementation sanitaire La marque Bovillage assure un produit de qualit constante et un approvisionnement r gulier gr ce au suivi d un cahier des charges adapt la demande de march s cibl s tels que la Gr ce l Italie et le Portugal Pour ces actions Interbev a particip en 2011 au travers du CVBE Club Viande Bovine Europe aux salons suivants entre autres Anuga en Allemagne Thessalonique en Gr ce Tuttofood Milan Les salons permettent de rencontrer des distributeurs qui travaillent d j avec ces marqu
20. anitaires car elles portent un enjeu de aujourd hui L interprofession a d autre part d sign sant publique Ce constat est d ailleurs corrobor par un porte parole pour r pondre aux m dias au nom les outils de veille m dia et internet d Interbev dont de la fili re sur les questions de l abattage rituel en la l analyse montre clairement les pics d audience li s personne de Dominique Langlois Pr sident d Interbev ce type d actualit et leur forte r sonnance dans Au final cette gestion de crise aura g n r pr s d une l opinion publique Ce fut le cas en 2011 avec la crise soixantaine d interviews et plus de 2 000 passages li e la bact rie Escherichia coli E coli identifi e dans audiovisuels 900 articles ainsi qu une quarantaine des steaks hach s surgel s fabriqu s par la soci t de d p ches AFP m SEB entreprise agro alimentaire bas e Saint Dizier en Haute Marne entra nant l hospitalisation de dix enfants du Nord et de l Oise g s de 18 mois 8 ans pour des diarrh es h morragiques et des insuffisances r nales Ind pendamment de la gestion par SEB de sa propre responsabilit dans ces cas de contamination l interprofession a souhait rappeler les recommandations en mati re de cuisson du steak hach pour les populations sensibles jeunes enfants personnes g es femmes enceintes Un document d information Le steak hach comment bien le consommer est d sormais disponible
21. aval et en particulier les op rateurs de la restauration Finalement elle a organis le deuxi me Concours Bovin Bio afin de catalyser l change entre amont et aval et a soutenu les op rateurs qui forment les points de vente aux sp cificit s des viandes Bio Quant au grand public la Commission Bio le retrouve au Salon International de l Agriculture ainsi que dans ses animations points de vente En 2011 le message fort tait la place centrale des viandes Bio dans l quilibre du syst me Bio Ce message a t particuli rement diffus aupr s de la presse par le biais de voyages de presse d une table ronde etc 22 rapport d activit 2011 interuieuus le nouvel accord PCM Guy Merieau Pr sident de Normabeu en charge de la v rification de l application de l accord interprofessionnel sur la pes e la pr sentation le classement et le marquage 1 F NTI nl MACHINES CLASSER GUY MERIEAU Au 1 janvier 2012 sur les 220 abattoirs de Gros Bovins en exercice 81 sont concern s par la mise en place d une machine classer 7 nouvelles machines ont t implant es courant 2011 19 sont install es ou en cours d installation sur le premier semestre de 2012 soit 69 machines op rationnelles l ch ance du 30 juin 2012 12 machines le seront au del de cette date en raison essentiellement de travaux en cours o de restructuration qui ont justifi une demand
22. dministration de la gestion et de la finance regroupe d sormais l ensemble des activit s de contr le de gestion de comptabilit d informatique et de ressources humaines m 1 Groupement pour l Export Fran ais viande b tail et g n tique une position rapport d actiuit 2011 5 par Yues Berger Directeur G n ral Interbeu l engagement sur Les perspectives YVES BERGER Aujourd hui notre levage est la crois e des chemins Les effectifs de vaches laiti res continuent leur rosion r guli re et depuis quelques mois c est aussi le cas du troupeau allaitant Alors que les perspectives d exportation n ont jamais t aussi favorables notre pays risque de ne pouvoir y r pondre Les objectifs du plan de relance sont tout simplement d inciter les leveurs non seulement rester producteurs mais aussi accro tre leurs productions en augmentant leur cheptel de vaches nourrices Pour cela il faut leur redonner confiance et s curiser leurs revenus en leur garantissant des d bouch s r mun rateurs Maintenir une production forte et de bonne qualit sur notre territoire c est aussi permettre nos abatteurs de valoriser leurs outils d abattage et de transformation et d tre assur s de pouvoir disposer de viandes exporter Forte du meilleur potentiel europ en en quantit mais aussi en qualit la France doit conserver une fili re dynamique De par sa structure Interbev se trouve au c ur de celle
23. e Pour aider le consommateur prendre conscience de la tupicit et des qualit s de cet levage Interbeu agit aussi par des actions communes englobant l ensemble de ces d marches pour la viande de b uf comme pour celle d agneau SIQO Interbev soutient les actions men es par Fil Rouge F d ration Interprofessionnelle des Label Rouge et Indications G ographiques pour les viandes de b uf de veau et d agneau visant favoriser l mergence des signes de qualit en boucheries artisanales et en GMS Une communication bas e sur l image d excellence des signes de qualit est galement d velopp e via le Cercle des viandes d excellence Ce Cercle v ritable r seau professionnel a encore permis en 2011 d assurer le d veloppement et de valoriser les points de vente engag s dans les d marches de qualit sans oublier les op rations de sensibilisation aupr s des intervenants de l environnement socioprofessionnel territorial et politique des viandes Sous signes de qualit Huit points de vente artisans bouchers ou GMS ont t r compens s dans le cadre des troph es du Cercle des viandes d excellence b n ficiant ainsi de retomb es presse locales et r gionales Deux d entre eux ont re u leur prix au S nat en pr sence de nombreux s nateurs Ces op rations permettent fin 2011 de comptabiliser plus de 2 000 points de vente engag s dans au moins un signe de qualit en b uf veau ou agneau
24. e de report d implantation de quelques mois par Guy Merieau Pr sident Normabeu cc ier bi le premier bilan de la mise SUIVI DES CLASSEMENTS ET DE LA PR SENTATION en place de cet accord est GUY MERIEAU 2 000 visites de suivi sont r alis es annuellement par les 15 techniciens de Normabev encourageant el va dans le sens r partis sur le territoire national Ces visites s appuient des attentes des professionnels sur des proc dures normalis es avec FranceAgriMer dans un objectif d harmonisation des pratiques cal es sur la r glementation en vigueur C TESAC TES Pouvez vous dresser un premier bilan de la mise en place du nouvel accord du 30 juin 2010 GUY MERIEAU Le premier bilan de la mise en place de cet accord est encourageant et va dans le sens des attentes des professionnels CIRCULATION NATIONALE DES INFORMATIONS D ABATTAGE GUY MERIEAU Le taux des notifications dans les d lais fix s par l accord s est rapidement am lior pour se stabiliser entre 90 et 95 du total des animaux abattus Sauf difficult li e aux pannes in vitables du service qui peuvent intervenir tous les abattoirs de plus de 3 000 tonnes de gros bovins qui repr sentent 92 du total des abattages notifient dans les d lais rapport d actiuit 2011 23 recherche amp d veloppement f les tudes que nous engageons visent a identifier les leviers d action pour r duire les impacts environnementaux de L l
25. e manuel d taille en outre les proc dures de conciliation et d arbitrage qui s appliquent en cas de litige et fournit des exemples de jurisprudence pour expliciter certaines dispositions fix es par l accord Il constitue ainsi un support pour les comit s r gionaux charg s d accompagner le r glement des contentieux Ce document est le fruit d un important travail interprofessionnel qui a r uni Interbev ses comit s r gionaux et ses organisations nationales ainsi que le service qualit des viandes de l Institut de l levage et un cabinet d avocats sp cialis s en droit des affaires m par Fabienne Cottret Animatrice section Bouins 1 e Circulation des informations sanitaires apr s l ajourne ment du projet NERGAL Abattoir l interprofession s est engag e initier une r flexion auec la DGAL sur les fondements d un nouveau syst me d information pour la circulation des informations sanitaires au sein de la fili re Un groupe de trauail sp cifique s est r uni pour d finir des bases consensuelles pour un tel syst me Le travail se poursuit c t DGAL et c t interprofession pour monter peu peu ce projet d envergure 2 e Informations sur la Cha ne Alimentaire tout au long de l ann e 2011 Interbeu a particip auec les Organisations Nationales l Institut de lElevage et la DGAL la r daction de l arr t relatif aux informations sur la cha ne alimentaire ainsi qu ses
26. ent l ensemble des bovins pr sents sur le march Des commissions locales de cotation sont charg es de valider ces donn es Par ailleurs la r forme int gre l obligation pour les abatteurs traitant au moins cinq mille gros bovins par an de transmettre leurs donn es de mani re hebdomadaire pour tablir les cotations Ainsi un important travail de mise jour et 1 Direction G n rale des Politiques Agricole Agroalimentaire et des Territoires 10 rapport d activit 2011 d adaptation des syst mes informatiques aux nouvelles grilles a t r alis dans le temps imparti par les op rateurs en collaboration avec les F d rations d abattage et FranceAgriMer L ensemble de ce travail a entra n la parution au JO du 6 f vrier 2012 du d cret n 2012 175 relatif au dispositif d tablissement des cotations pour les march s des viandes et des ufs ainsi que de deux arr t s fixant les modalit s d tablis sement des cotations et portant nomination aux commissions de cotations par bassin pour le march Gros Bovins Entr e Abattoir s par Marc Pages Directeur G n ral Adjoint Interbeu f la r forme des cotations est avant tout le fruit d un travail collaboratif Bassins de cotations Gros Bouins Entr e Abattoir B GRAND OUEST GRAND SUD B CENTRE EST B NORD EST r forme des cotations Gros Bouins Maigres et Gros Bouins March En parall le une tude s
27. ent section quins nous avons choisi d aborder le sujet viande chevaline sous un angle d complex et ludique en parlant de saveur savoir faire et amour du produit En 2011 par exemple nous avons mis en avant les hommes et les femmes qui font la viande chevaline au quotidien restaurateurs et bouchers qui ont expliqu la presse et au grand public avec leurs mots pourquoi ils sont attach s ce produit C TESAC TES On parle beaucoup de la production de jeune cheval de trait quel est le travail d Interbev quins sur ce dossier MICHEL BEAUBOIS Interbev quins a beaucoup travaill en 2011 sur la cr ation d une marque visant valoriser la production fran aise de jeunes chevaux de trait une production n cessaire la sauvegarde de ces races Le sujet est toujours dans les bacs aujourd hui c est un march qui attend son op rateur pour lancer le produit en France BIOLOGIQUE es par Celia Pasquetti Animatrice Commission Bio Finalement elle s attache informer le grand public et le monde professionnel sur les sp cificit s et promesses des viandes Bio C TESAC TES Quelles actions sont men es destination des professionnels Et du grand public CELIA PASQUETTI En 2011 la Commission Bio tait Tech amp Bio et au Sommet de l Elevage pour expliquer aux producteurs l int r t du Bio mais aussi l importance de s engager dans des fili res organis es Au SIRHA elle a pu changer avec l
28. es et de tenter d en trouver des nouveaux C TESAC TES N y a t il pas des actions plus cibl es pour le vivant CAROL DELOUME Interbev pour le vif organise des journ es de travail avec ses homologues europ ens les plus proches comme l Espagne et l Italie par exemple o l on travaille sur les probl matiques techniques ou sanitaires des changes d animaux vivants afin de tenter de les faciliter et de les harmoniser Ensuite ces sujets sont abord s de mani re largie lors du congr s europ en du b tail et des viandes an Tokyo _ Shanghai T E rapport d actiuit 2011 21 interuieuwus une on d complex e de la fili re chevaline C TES C TES Quel est le r le d Interbev quins aupr s des professionnels MICHEL BEAUBOIS Le travail de la section se partage entre une mission de suivi du march de la viande chevaline changes consommation etc et diffusion de l information aupr s des professionnels et de la presse pro une mission de soutien la structuration de la fili re en appuyant les organisations nationales repr sentatives du secteur et une mission d information du grand public sur notre produit C TESAC TES Que met en uvre la section pour sensibiliser le grand public MICHEL BEAUBOIS La viande chevaline est un sujet complexe elle est tout la fois n cessaire l quilibre conomique de la fili re cheval
29. es niveaux de consommation des Fran ais identit visuelle Nouvelle image de l interprofession Une nouvelle re pour Interbeu Dans un monde en mouvement qui va de l interprofession d entretenir le lien entre continuer bouger tous les niveaux et l ensemble des maillons de nos fili res afin en particulier dans le c ur de m tier de que nous puissions construire ensemble nos fili res fran aises notre interprofession notre avenir et r pondre aux d fis de demain se devait de se mettre en ordre de marche savoir nourrir 9 milliards d humains pour r pondre aux d fis qui nous attendent C est ce titre que nous avons souhait une I ne s agit pas d une simple ambition mais nouvelle organisation pour plus d efficacit d une r elle volont de cr er les conditions et de visibilit mais aussi un nouveau logo pour que les fili res que repr sente Interbev et une signature commune pour donner soient la hauteur de ces enjeux et puissent notre interprofession sa nouvelle image trouver dans un monde particuli rement perturb un quilibre conomique de nature Et c est surtout la d termination que nous assurer la p rennit de l ensemble des avons dans l esprit qui a pr valu la cr ation acteurs m Dominique Langlois Pr sident Interbeu rapport d actiuit 2011 3 une nouvelle re la r organisation strat gique L ann e 2011 a t marqu e par une r organisation strat
30. est correct Une plate forme www leboeuflegout com et un partenariat avec youtube ont t d velopp s pour relayer la campagne sur le web g n rant au total 150 OQO visites et plus 305 000 pages vues Un relais en points de vente a t mis la disposition de 6 000 artisans bouchers et 6 000 GMS proposant de gagner des d ners en montgolfi res avec un taux de satisfaction tr s lev Cette action a galement fait l objet de relais par les comit s r gionaux d Interbev m communication vous auez dit pratiq ue Face l offre alimentaire la viande peut souffrir d un d ficit d image sur la praticit notamment aupr s des populations les plus jeunes Interbeu s efforce de leuer Les a priori Actions fa on de cuisiner l agneau pour 4 personnes maximum en de 10 griller et de 30 r tir Sur cette base de nombreuses recettes ont t labor es et diffus es via les nouvelles technologies de l information site web newsletter appli site mobile pour pr s d un million de contacts Ces recettes ont galement t communiqu es la presse lors d v nementiels originaux En 2011 le grand public a ainsi pu d couvrir les Presto Box sur les Presto mobiles Paris Lyon Marseille et Lille et lors d une tourn e des plages Les r sultats sont tangibles gr ce aux relations avec la presse et les blogueurs les recettes d agneau diffus es ont doubl et 50
31. evage mais aussi quantifier les contributions positives et les services cologiques rendus par l levage d herbivores sur nos territoires 7 par Jacques Giroux Service Recherche amp D veloppement r duire Les impacts par la R amp D la fili re s engage A l instar des autres secteurs d activit s la fili re viande est entr e dans l re de la comptabilit cologique Les m thodes d valuation et de quantification sont en plein d veloppement Interbeu s en saisit au trauers de ses tudes R amp D L enjeu pour la fili re est d identifier les marges de progr s pour r duire son impact mais galement d int grer son lien au territoire Lien porteur de services cologiques tels que la pr seruation de l eau de la biodiversit et des stocks de carbone du sol a prise en compte des pr occupations environnementales est un enjeu strat gique majeur pour les fili res bovine et ovine Des efforts payants ont t entrepris par ces fili res depuis une vingtaine d ann es pour r duire l impact de l activit d levage sur la qualit de l eau Plus r cemment les probl ma tiques environnementales se sont largies notamment au travers de la lutte contre le changement climatique et le rench rissement des nergies fossiles Ces pr occupations multidisciplinaires ont conduit 24 rapport d activit 2011 Interbev travailler la concep tion d outils d valuation environ nementale multicrit
32. gi qui coordonne les relations entre les vingt entit s r gionales et la structure nationale Deux nouveaux services consacr s la veille et la recherche ont t cr s afin de poursuivre le travail engag dans ce domaine Recherche amp d veloppement et conomie amp tudes qui ont pour put d appr hender les mutations du secteur et de pr parer l expansion des activit s conomiques de la fili re notamment l international en lien avec le GEF Seruices Comit Economie de Coordination amp Etudes Professionnel Recherche amp D partements Administration amp Finance Communication Communication institutionnelle amp Coordination Nomination d un responsable des comit s r gionaux produit amp promotion relations ext rieures La constitution d une cellule communication repr sente le point cl de cette nouvelle organisation elle r pond une volont forte de renforcer l image de l interprofession en particulier aupr s du grand public via ses deux d partements Communication produit amp promotion et Communication institutionnelle amp relations ext rieures Cette d cision correspond galement au souhait des professionnels de la fili re de renforcer l autonomie du CIV Centre d Information des Viandes en confortant sa mission d expertise et en recentrant son action aupr s des prescripteurs d opinion Enfin un d partement charg de l a
33. gique d Interbeu encore mieux arm e pour relayer la vision partag e par la profession dans un secteur en pleine mutation fin de r affirmer sa mission de d fense des int r ts de la fili re viande Interbev a proc d une r organisation strat gique Le 19 octobre 2011 la Conf rence des Pr sidents d Interbev a ent rin la restructuration des services de l Association nationale interprofessionnelle du b tail et des viandes Effective depuis le 1 janvier 2012 elle vise pr ciser son r le et son p rim tre d intervention pour accompagner le d veloppement de la fili re Cette restructuration permet de mieux r pondre aux attentes des organisations nationales adh rentes et d assumer une position offensive explique Dominique Langlois son pr sident Ainsi de nouvelles fonctions ont vu le jour tant la direction 4 rapport d actiuit 2011 7 nouveaut s une nouvelle re dans l organisation d Interbeu La r organisation stratr gique ent rin e le 19 octobre 2011 par les professionnels de la fili re a notamment conduit la cr ation de 7 nouvelles entit s Concertation D veloppement que dans les diff rents services qui constituent Interbev L interprofession compte d sormais un Comit de coordination professionnel lieu d changes sur les questions transversales et a recrut un Responsable des comit s r gionaux interlocuteur privil
34. mation Ce ph nom ne tient d une part l historique de lESB identifi comme crise sanitaire du si cle dans le domaine agroalimentaire mais aussi d autre part au statut symbolique de la viande dans nos soci t s l accord de M Bruno Le Maire Ministre de l Agriculture d anticiper la mise en application du d cret du 28 d cembre 2011 Initialement pr vues pour entrer en vigueur au 01 07 2012 les mesures qui encadrent de et toutes ses dimensions thiques mani re stricte l ad quation entre l abattage rituel des animaux et les commandes commerciales le justifiant Le secteur de la viande ou de l levage fait ainsi ont t imm diatement appliqu es Cette d cision a t fr quemment l objet de r cup ration politique ou motiv e par la volont d Interbev de valoriser l effort de d instrumentalisation notamment par les activistes transparence initi il y a plus d un an et ayant abouti v g tariens anti sp cistes d fenseurs de l environnement Ce d cret du 28 d cembre 2011 issu de la concertation qui bien que ne poursuivant pas les m mes objectifs entre la fili re viande les cultes les associations de se retrouvent autour du m me discours anti viande protection animale le Minist re de l Agriculture et le Minist re de l Int rieur sous l autorit du Premier Mais les crises qui connaissent les plus fortes r percussions Ministre concertation qui se poursuit d ailleurs sont les crises s
35. n e 2011 bilan chiffr Consommation Nous vivons depuis quelques ann es une p riode difficile pour la viande les attaques m diatiques sont nombreuses et la baisse de consommation r elle D apr s le panel consommateur Kantar Les viandes de boucherie ont ainsi perdu 2 5 en volume entre 2010 et 2011 et cette baisse est plus prononc e chez les consommateurs Les plus jeunes Cette diminution s explique par une l g re diminution des actes d achat et des quantit s achet es lacte Le prix a une influence sur la baisse de consommation de la viande mais Le facteur explicatif Le plus important nous semble tre une moindre valeur accord e La viande par Le consommateur La viande reste un produit brut demandant des connaissances et une mise en uure m me simple Elle est concurrenc e par les produits pr ts l emploi issus des c r ales des produits laitiers de la volaille de la charcuterie E Plus de 500 E De 250 500 E De 100 250 E Moins de 100 36 rapport d actiuit 2011 Par ailleurs la viande subit de nombreuses attaques sur Les th mes environnementaux et du bien tre animal qui p sent sur sa perception par certains consommateurs Il existe fort heureusement des points positifs voire tr s positifs au cr dit des viandes de boucherie tant en termes d image que de performance Les viandes de boucherie restent ainsi des produits plaisir reconnus et appr ci s comme
36. n r sultat parfaitement conforme au prototype initiale ment valid Afin de r pondre l urgence suscit e par la parution au JO du 20 d cembre 2010 de l arr t stipulant que le classement doit se faire sur la base de cinq nuances Interveaux a d cid de la production d un outil temporaire en papier plastifi Une premi re r glette a ainsi t diffus e aux op rateurs en ao t 2011 dont les couleurs se sont av r es impropres au classement des carcasses En effet la perception des teintes peut tre influenc e par la couleur et l intensit de la lumi re ainsi que par la plastification ou le vernis Apr s plusieurs tests imparfaits l interprofession a d termin un nouveau nuancier satisfaisant aux exigences Imprim en deux mille exemplaires il a t envoy aux op rateurs de la fili re et aux agents de FranceAgriMer accompagn d un courrier d explication En outre le fabricant des nuanciers en r sine a livr fin novembre 2011 les exemplaires conformes l talon initialement valid Celui ci a t d pos FranceAgriMer comme outil officiel de classement L interprofession a aujourd hui pour objectif de renforcer la fiabilit du nuancier en r sine en travaillant notamment r duire l influence de la lumi re sur la perception des couleurs A la demande de FranceAgriMer elle r dige galement une notice technique l usage des op rateurs m par Marianne
37. nditionnant les ventes entre producteurs et acheteurs Dans ce cadre la section Bovins d Interbev a souhait r diger un accord d finissant les clauses minimales qui doivent y figurer L accord reste en cours de discussion m rapport d actiuit 2011 13 nuancier le veau tout en nuances par Fabrice Heudier Pr sident section Veaux Conform ment au r glement national la section veaux d Interbeu trauaille la fabrication d un nuancier pour cat goriser la viande selon sa couleur yant fait le constat de l impr cision du catalogue de clas sement de la couleur des carcasses de veaux d fini par l Arr t du 5 juillet 1977 un groupe de travail a t constitu au sein d Interveaux pour r fl chir la cr ation d une nouvelle grille de classement Avec l appui technique de FranceAgriMer la commission a d termin fin 2009 un nuancier en cinq teintes int grant une nouvelle nuance l ancienne classification L outil doit permettre aux abattoirs d uniformiser leurs crit res de classement des carcasses de veaux en vue de leur r partition par cat gorie et de leur marquage Afin de r aliser un nuancier dont les caract ristiques soient le plus pr s de la r alit en termes de 14 rapport d activit 2011 couleur et de texture il a t d cid de la fabrication d une r glette en r sine N anmoins le premier outil con u par le fabricant en juillet 2011 n a pas obtenu u
38. nement bientraitance levage l cole l mentaire D couverte du monde au cycle 2 et Sciences et Technologie G ographie au cycle 3 Education au D veloppement Durable AU coll ge SVT Education civique Physique Chimie G ographie noter galement les circulaires n 204 110 du 8 juillet 2004 et n 2007 077 du 29 mars 2007 demandant aux enseignants de se d marquer nettement des messages catastrophistes ou militants souvent v hicul s par les m dias et permettre aux l ves d amorcer une r flexion personnelle amenant moduler certaines id es re ues 32 rapport d activit 2011 gestion de crise gestion de crise anticiper pour mieux r agir par Dominique Langlois Pr sident Interbeu Le secteur de la viande fait depuis plusieurs ann es L interprofession a d faire face d but 2012 une l objet de nombreuses crises m diatiques sanitaire autre crise li e la question de l abattage rituel nutrition environnement bien tre animal Toute la fili re s est mobilis e pour g rer cette crise Si ces crises sont g n ralement d clench es par une sans pr c dent sur le mode d abattage des animaux actualit sp cifique leur ampleur ou leur traitement Elle a d une part inform par voie de presse de sa d cision sont n anmoins souvent exacerb s voire parfois vot e l unanimit au sein d Interbev et ayant re u caricatur s au regard de la r alit de l infor
39. nt bien plus mod r s que l opinion publique ne l estime Et pour lutter contre une id e de plus en plus r pandue il ne convient pas pour tous de r duire Sa consommation de viande bien au contraire Une attention particuli re doit tre port e aux plus petits consommateurs de viande de boucherie femmes et seniors en particulier qui sont plus expos s des risques d insuffisances en certains nutriments Besoins Nutritionnels Moyens soit 77 des Apports Nutritionnels Conseill s en fer ANC Apports Nutritionnels Conseill s nouvelle image de l interprofession Communication grand public et institutionnelle deux nouvelles identit s visuelles voient Le jour C est avant tout pour donner une visibilit forte reconnaissable et ualorisante Interbeu dans ses prises de parole vis vis de l ext rieur que Le chantier de la nouvelle identit a t lanc L objectif tait d installer une signature commune l ensemble des actions de communication d Interbeu et de ses diff rents secteurs de produits destination du grand public Cette r flexion a conduit tout naturellement La refonte du logo d Interbeu dans le cadre de sa communication institutionnelle Pour la signature grand public une piste cr ative a t retenue l issue d un appel d offre pour ses qualit s de modernit de simplicit de facilit de d clinaison et de lisibilit pour la repr sentation de notre sec
40. on G n rale DES CVO 2011 PAR SECTIONS 8 1 e du suiui juridique des actions E veau e de l ad quation des outils E ovins informatiques et des besoins E quins o E gros bouins de la fiabilit des informations financi res d Interbeu e de la gestion des budgets et des cotisations notamment fili re ont cons dossiers L ann e 2011 a t marqu e par Le lancement de plusieurs dossiers d importance O en est on Quelles sont les prochaines tapes C TES C TES fait le point SSUMET certe t ts en n fer i AAE janvier 2009 tu l assoc leueurs de Rumir m Depuis ao t 2009 celle ci contribue assurer l organisation efficace de l quarrissage colli ransfor et limination pour les ruminants des esp ces bouines ouines et caprines trouv s morts enf me L association est galement en charge de la gestion du financement gr ce une cotisation interprofessionnele T et surtout l aide uers e par FranceAgriMer calcul e sur les encaissements de l taxe d abattage L association est dirig e par un conseil compos de trois membres fondateurs Interbeu l Anicap et Le Cniel et de deux membres associ s la CNE et l APCA Interbeu en assure galement la gestion R forme des cotations tour d horizon 10 x Un cadre l gal aux contrats de vente 13 4 Le veau tout en nuances 14 4 Tra abilit et identification ovine 16 2 e Achat et enl vement accord en vue 18
41. pr vention en diffusant une information pr alable via des communiqu s de presse par exemple ou encore des tribunes pouvant tre sign es de divers acteurs de la fili re L action men e sur internet par ce d partement est galement tr s importante en relais notamment des communiqu s ou tribunes que ce soit sur nos propres sites ou sur les sites et m dias Jjournalistiques et g n ralistes aupr s desquels il est n cessaire d tre pr sent de fa on contextuelle et circonstancielle C TESAC TES Comment l interprofession a t elle abord la crise de l abattage rituel d but 2012 DOMINIQUE LANGLOIS Cette crise laquelle linterprofession a d effectivement faire face a pr cis ment permis de d montrer l efficience de notre nouvelle organisation tant en mati re d anticipation que de r activit Ce qu il faut en retenir c est aussi que l un des facteurs essentiels la gestion de crise pour une interprofession est l unicit du discours Dans le cas de l abattage rituel l interprofession a su apporter des r ponses claires et partag es par l ensemble de la fili re elle a m me su se mobiliser pour voter l unanimit l anticipation de l application du d cret du 28 d cembre 2011 encadrant de mani re stricte ce mode d abattage ce titre il est galement imp ratif de faire conna tre aux membres de la fili re les actions men es afin qu ils puissent s approprier les arguments d velopp
42. rast e aupr s des consommateurs produits rustiques pour les uns ou tendance pour les autres En 2011 un nouvel axe de communication a vu le jour visant valoriser les produits tripiers toujours avec humour afin de donner les cl s pour les cuisiner concr tement chez soi et susciter l acte d achat et les inscrire dans la quotidiennet Un message essentiellement ax sur la praticit destination des familles et des 35 50 ans avec un slogan Les produits tripiers c est pas compliqu Autour de la 11 dition du temps fort Novembre Le mois des produits tripiers relay dans plus de 850 restaurants en France les actions de communication ont t d velopp es suivant deux volets e Volet v nementiel relations publiques partenariat avec L Atelier des chefs d jeuner de presse participatif pr s de 1 300 cours d di s aux produits tripiers r partis sur les 16 ateliers en France organisation de stand atelier sur 20 march s Paris et en r gions e Volet points de vente sensibilisation des centrales challenges chefs de rayons jeux consommateurs kits PLV distribu s dans plus de 5 000 grandes surfaces Chez les artisans bouchers et tripiers mat riels PLV mis disposition afin de relayer l op ration or a TRIPIERS C EST PAS COMPLIQU e x 2 lt L Festival du Veau en GMS un levage des terroirs La France est un pays de grande tradition d leuag
43. rne les gros bovins destin s l abattage C est la r criture de l accord dans sa globalit qu ont travaill l interprofession et ses organisations nationales avec pour objectif d en faciliter la compr hension par les op rateurs Ils ont ainsi pr cis un grand nombre de points qui pouvaient jusqu alors pr ter confusion lors de leur application sur le terrain 18 rapport d activit 2011 par Guu Hermouet Pr sident section Bouins f notre objectif premier a t de gagner en clart tout en accompagnant Les op rateurs de la fili re Pour aller plus loin dans l explication de l accord achat amp enl vement des bovins les organisations nationales ont souhait qu un document d accompagnement lui soit annex Ce vade mecum aura notamment pour vocation d assurer la vulgarisation du texte et d en constituer un v ritable mode d emploi Destin soutenir au quotidien les op rateurs de la profession et les comit s r gionaux il permettra d assurer l quilibre et la s curit des transactions des bovins de plus de huit mois destin s l abattage Didactique ce vade mecum propose des outils pratiques et techniques visant encadrer l ex cution d une vente ou d un transfert mod les de documents commerciaux rappel des r gles de facturation d lais d enl vement et d abattage et apporte de nombreuses pr cisions sur les textes d j en vigueur L
44. rs actions de valorisation conjointe de l agneau de qualit communication le go t de enfan ce Interbeu et le Centre d Information des Viandes sont les interlocuteurs r f rents pour donner des informations sur les th matiques soci tales li es l leuage et la viande Leurs outils p dagogiques destination des tablissements scolaires ont ainsi obtenu l autorisation des pouvoirs publics d apposer leurs logos PNNS Programme National Nutrition Sant et PNA Programme National pour l Alimentation e 8 e LS 8 Des outils p dagogiques a deguster La nutrition et la place de la viande dans l alimentation tout comme la prise en compte de l environnement et de la bientraitance animale dans l activit d levage en France sont des th matiques qui font partie int grante des programmes scolaires De plus l ducation au go t tant encourag e en compl ment d une ducation alimentaire afin d aborder l acte alimentaire dans toutes ses dimensions sociale culturelle environnementale etc il est maintenant d montr qu il est primordial de s appuyer sur la connaissance de l aliment origine production savoir faire plut t que sur une ducation exclusivement nutritionnelle La nutrition l cole l mentaire D couverte du monde au cycle 2 et Sciences et Technologie ainsi que G ographie au cycle 3 Au coll ge SVT Education civique Physique Chimie G ographie EPS L environ
45. sp cifie que chaque leveur b n ficiaire de ce dispositif doit respecter les conditions d un engagement de commercialisation de 50 de sa production aupr s d un MAXIMUM de trois acheteurs avec tablissement d un pr vi sionnel de mise en march des agneaux commerciali s s par l leveur e Un accord d finissant le cadre des relations commerciales entre le vendeur l leveur et son acheteur autour de huit clauses obligatoires devant figurer dans les contrats de vente produits concern s dur e du contrat prix modalit s des r visions modalit de livraison etc Ce dispositif a t soumis l autorit de la concurrence qui a mis un avis favorable son contenu Il permet aux op rateurs de la fili re de disposer d sormais de deux s ries d outils qui sont appel es jouer un r le important dans l organisation des relations commerciales au sein de la fili re e Des pr visionnels de mise en march 11 000 pr visionnels permettent de disposer de donn es sur les sorties de plus de 4 millions d agneaux de boucherie e Un panel de 6 indicateurs conomiques prix la production co ts de production prix de la concurrence charges de collecte des agneaux co t de Main d uvre dans l Industrie prix la consommation Contractualisation pour Les bouins La Loi n 2010 874 du 27 juillet 2010 de Modernisation de l Agriculture et de la P che propose la mise en place de contrats crits co
46. t men e dans le courant de l ann e 2011 En premier lieu l interprofession a r alis une analyse documentaire objective sur la base des actions retenues par les CRI et de leurs donn es budg taires Dans un deuxi me temps des entretiens ont t conduits r unissant des membres des CRI des organisations nationales d Interbev et du CIV portant sur les dysfonctionnements et les questionnements identifi s durant la premi re phase Cette tude a mis en vidence les points repenser en particulier l organisation et la gestion des CRI la communication interne et celle de la fili re Parmi les principales volutions discut es au sein d un groupe de travail ad hoc et valid es par Interbev des prises de d cisions r gionales en coll ge l harmonisation des statuts des CRI et la red finition de leurs missions la mutualisation des comp tences r gionales ou encore l adaptation des budgets de communication En parall le il a t d cid de la cr ation d un poste de coordinateur r gional Lien op rationnel entre les diff rentes entit s il est galement le garant du respect en r gion des orientations nationales de l interprofession par Jean Luc Bouton Responsable des Comit s R gionaux JEAN LUC BOUTON Les comit s r gionaux sont les relais des d cisions et des orientations d Interbev dans les r gions ils donnent de la lisibilit aux actions de l interprofession Cette pr sence for
47. tatistique a t men e afin d analyser les donn es chiffr es concernant les animaux et mouvements d animaux pour le march Gros Bovins Maigres donnant lieu la d finition d une nouvelle carte des bassins de cotations Le travail reste en cours pour la d finition des grilles de cotations et des modalit s de transmission des informations La section a galement entrepris la refonte de la grille de cotations March sur la base des deux pr c dentes La r forme des cotations March a pu tre d ploy e sur le terrain d s le premier trimestre 2012 Cotations veaux la r novation du dispositif est en route Sur la base des analyses et des propositions de FranceAgriMer quant la r forme des cotations veaux l interprofession a r dig en juillet 2011 un positionnement validant un nouveau d coupage du territoire national passant de cinq trois r gions de cotation des veaux de boucherie Par ailleurs une nouvelle segmentation des grilles de cotation sera mise en place comprenant deux types de veaux gras lev s au pis et non lev s au pis et un seul type de veaux nourrissons Un travail de s curisation de la collecte par voie informatique des prix des veaux lev s et abattus en France issus des abattoirs de plus de cinq mille t tes par an doit tre mis en place Interveaux a galement demand la conduite d un bilan annuel ou bisannuel de la repr sentativit
48. te de repr sentants de la fili re sur le terrain permet d adapter les politiques aux contextes locaux de faciliter les changes et donc de donner de la cr dibilit aux actions et aux messages de l interprofession Les CRI jouent galement un r le de sentinelle leur ancrage dans les territoires ainsi qu une bonne connaissance des acteurs de la fili re en font de v ritables courroies de transmission entre les op rateurs de la fili re viande et Interbev JEAN LUC BOUTON Les comit s r gionaux interviennent essentiellement 3 niveaux Ce sont des lieux d change et de concertation entre les membres de la fili re ils ont un r le important d animation Ils repr sentent et d fendent les int r ts de la fili re aupr s des collectivit s et des administrations IIS Sont en charge de l application et du suivi des accords interprofessionnels ce titre les comit s r gionaux g rent les proc dures de conciliation et d arbitrage entre les membres de la fili re Et enfin et c est leur mission la plus connue les comit s mettent en uvre des actions d information et de promotion des viandes d clin es de la strat gie de communication d Interbev rapport d actiuit 2011 7 une nouvelle re la nouvelle organisation de gestion les grandes missions du d partement administratif et financier d Interbeu tre garant e du suiui des proc dures de travail R PARTITION d finies auec la Directi
49. tels Elles font int gralement partie de notre alimentation et 98 des m nages continuent en acheter chaque ann e Les produits labor s ont gagn 5 en volume depuis 2008 prouvant que l ad quation de l offre l volution de la consommation est payante En 2012 Interbeu ua associer les professionnels autour d une r flexion de fond sur Les probl matiques de consommation et d image de la viande pour tracer les Lignes de dynamisation de la fili re et de La viande pour Les prochaines ann es CHEPTEL DE BREBIS EN 2011 en milliers de t tes Source Institut de l Eleuage traitement Carte et donn es d apr s ASP Cheptel en milliers de t tes en d cembre de l ann e pr c dente Source Eurostat 20m Total ouins 6 904 Brebis et agnelles saillies 5 730 e Brebis allaitantes 3 904 e Brebis laiti res 1 827 chiffres cl s Nombres de vaches et de bovins en milliers de t tes au 1 januier Source Eurostat d apr s SSP Vaches laiti res 3 641 Vaches allaitantes 4 173 Total bouins 18 992 VACHES LAITI RES ee NORMANDIE Pr 13 LS LORRAINE BRETAGNE 4 a 20 PAYS DE LA LOIRE VACHES ALLAITANTES PAYS DE LA LOIRE 9 BOURGOGNE 11 POITOU CHARENTES 6 AQUITAINE R partition r gionale du cheptel reproducteur en milliers de t tes gt FRANCE 100 Source Institut de l Eleuage d apr s BDNI Estimation GEB Institut de
50. teur d activit Quant au logo institutionnel il marque une volution dans un objectif de coh rence auec la signature grand public Il capitalise sur les principes du logo actuel tout en tant embl matique de la volont de modernisation de l interprofession Enfin il int gre une information suppl mentaire interprofession b tail et viande permettant ainsi une d clinaison ais e par esp ce et par r gion
51. u plaisir d tre ensemble I repr sente aussi un moment de partage celui mat riel de la nourriture et des plats mais aussi partage de valeurs La viande de b uf dispose de points forts vidents qui facilitent le rassemblement et le partage autour d un plat polyvalence flexibilit et consensus sur son go t C est fort de ce constat que la section Bovins d Interbev a souhait r affirmer la place centrale de la viande de b uf dans l alimentation La campagne de communication anges amp d mons affirme la promesse le b uf le go t d tre ensemble Un film publicitaire de 30 a t diffus la t l vision en deux vagues en 2011 septembre et novembre avec d excellents r sultats Fin 2012 les r sultats du post test r alis l issue de la seconde vague indiquaient de 26 rapport d activit 2011 du statu bons r sultats sur la cible des 25 49 ans avec une bonne mergence 30 score brut et 12 score prouv et un bon score de reconnaissance 76 Le film b n ficie aussi d une bonne compr hension 76 des messages de la cr ation notamment l association des oppos s r concili s gr ce la viande de b uf La capacit du b uf favoriser le bien vivre ensemble est bien per ue par les r pondants La cr ation b n ficie d un bon agr ment 70 avec un fort enthousiasme aupr s des ma tresses de maison Enfin le caract re incitatif de la campagne
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