w0 r ld h ealth organisation mondiale organization de la santé
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1. Davidson G 1962 The interpretation of mosquito susceptibility tests Communi cation to WHO Hamon J amp Garrett Jones C 1963 La r sistance aux insecticides chez les vecteurs majeurs du paludisme et son importance op rationnelle Bull Org mond Sant 28 1 1 24 luen S C amp Shalaby A M 1962 Preliminary note on the development of DDT resistance in culicifacies Giles in Panchmahals District Gujerat State India Bull Org mond Sant 26 1 128 134 Muir D 1962 Communication personnelle Patel T B Ramachandra R T amp Bhatia S C 1961 Results of a rapid suscep tibility survey of Anopheles culicifacies in Bombay State India during 1959 revealing continued susceptibility to DDT except in a few scattered pockets Indian J _ Malar 15 57 70 Samotra K G 1961 Insecticide susceptibility status of A culicifacies in representative arcas of Maharashtra Gujerat and Rajasthan States Bull nat Soc India Malar 9 417 420 Organisation mondiale de la Sant 1960 Sixi me r sum des zas de r sistance aux insecticides chez les moustiques anoph les document de travail non publi WHO Ma1 266 Rev l WHO Insecticides 117 Organisation mondiale de la Sant 1961 Septi me r sum des cas de r sistance aux insecticides chez les moustiques anoph les document de travail non publi WHO Mal1 325 WHO Insecticides 129 Le but des documents de la S rie WHO Mal est le suivant a2. et reste horizontale jusqu la plus forte concentration utilis e il est manifeste que seule une fraction de l ensemble du groupe soumis l preuve _ peut tre tu e par la m thode adopt e et il est possible de dire que les survi vants sont r sistants Cette situation se pr sente tr s fr quemment avec la dieldrine et n offre pas de difficult d interpr tation Avec le DDT l infl chissement de la ligne 1d p est habituellement moins prononc et on ne l observe d abord qu au niveau des fortes mortalit s Etant donn que en raison de la m thode graphique la d termination de l emplacement des points est plus al atoire dans cette zone il se pr sentera presque certainement une ambigu t On a formul un certain nombre de suggestions pour aider les exp rimentateurs qui tra vaillent souvent dans des installations de fortune avec uniquement les n cessaires d preuve fournis par 1 OMS 4 WH0 Vector Control1 29 WHO Ma1 300 Page 3 a En 1960 on a sugg r les crit res suivants i s il n y a pas d augmen tation de la CL o0 c est que la sensibilit reste constante ii s il ya augmentation de la CL o0 sans que l on observe pour autant un nombre signifi catif de survivants apr s une heure de contact avec des papiers de DDT ou avec des papiers impr gn s 1 6 de dieldrine on dit que la sensibilit est interm diaire iii si la moiti au moins des individus survit apr s une heure
3. mettre le personnel de 1 OMS les instituts nationaux les chercheurs et les travailleurs de la sant publique au courant de l volution des recherches sur le paludisme et des progr s de l radication du paludisme au moyen d expos s succincts relatifs quelques probl mes en cause b distriouer aux cat gories de lecteurs indiqu es ci dessus les rapports d op rations et autres communications qui pr sentent un int r t particulier mais qui ne sont pas normalement imprim s dans les publications de l OMS c communiquer aux int ress s diff rents articles qui sont destin s la publication mais qui en raison de leur actualit m ritent d tre rapidement connus e La parution d un article dans cette s rie ne constitue donc pas une publi cation officielle et un tel article peut donc avec l accord de l auteur et de 1 OMS tre publi dans un p riodique de l OMS ou ailleurs Les articles sign s n engagent que leurs auteurs La mention des manufac tures et des produits commerciaux n implique pas que ces maisons ou leurs produits soient recommand s ou approuv s par l Organisation mondiale de la Sant de pr f rence d aAutres o u _ nt N
4. WORLD HEALTH ORGANISATION MONDIALE ORGANIZATION pu DE LA SANT WHO Vector Control 29 a LS WHO Ma1 390 22 Jui ITeT 1965 ORIGINAL ANGLAIS LES EPREUVES PRATIQUEES AVEC LES NECESSAIRES D EPREUVE DE L OMS POUR MOUSTIQUES ADULTES CR TERES A APPLIQUER ET INTERPRETATION DES RESULTATS par W M Hoskins n D partement d Entomologie et de Parasitologie Universit de Californie Berkeley Californie Etats Unis d Am rique L utilisation des proc dures d preuves de l OMS sur les larves et les ax ph les adurtes repose sur un postulat savoir qu une gamme des concentrations insec ticides et une dur e de l exposition qui entrafnent pour les souches sensibles d une esp ce donn e une mortalit s chelonnant d une faible fraction la tota lit fournissent une courbe de r f rence partir de laquelle il sera possible de comparer la r action de toute autre population d anoph les Ces preuves sont tout fait arbitraires en ce sens que la gamme des concentrations auxquelles il est possible de recourir d pend de la dur e de l exposition et de la p riode apr s laquelle la mortalit est valu e ces concentrations seraient videmment tr s diff rentes si les conditions de l preuve se trouvaient sensiblement modifi es l cette tude a b n fici de l appui conjoint du Service de Sant publique des Etats Unis United States Public Health Service qui a attribu une subven tion de reche
5. culicifacies A sundaicus et A gambiae dans leurs r gions d habitat respectives il r sulte que l apparition croissante d individus r sistants dans les populations anoph liennes est fr quemment due l emploi de ces insecticides par les agriculteurs Ce processus se trouve bien entendu acc l r par la campagne intensive de pulv risations men e dans le cadre du programme d ra dication du paludisme Il est f cheux que dans beaucoup de r gions impalud es les ing nieurs agronomes et les agents responsables de la sant publique ne se soient gu re mis en rapport pour arr ter de concert leurs programmes respectifs IL est possible de formuler quelques conclusions et recommandations Le Le n cessaire d preuve fourni actuellement par L OMS pour d truire les moustiques adultes et son mode d emploi sont satisfaisants mais l utilisation d un papier impr gn 3 de DDT serait utile pour renforcer les conclusions qui se d gagent des r sultats obtenus avec un papier impr gn 2 2 Il y aurait lieu de comparer les effets obtenus apr s une et deux heures d exposition afin de d terminer si dans ce dernier cas on pourrait obtenir plus de renseignements sur la pr sence de g notypes hybrides et de g notypes homozygotes r sistants D Il y aurait lieu de multiplier les donn es quantitatives sur les effets des diff rences de temp rature observ es pendant et apr s l exposition car ce facteur peut amener les ex
6. de contact sur observation faite 2 heures plus tard avec des papiers 4 de DDT ou avec des papiers 1 6 de dieldrine il faut conclure que la souche est r sistante WHO Ma1 266 Rev 1 WH0O Insecticides 117 1960 b Ces crit res ont t modifi s comme suit en vue de tenir compte des diff rences dans les r actions au DDT et la dieldrine Cat gorie R action au DDT R action la dieldrine sensible CL o0 voisine de la valeur Comme pour le DDT pour la normale de la courbe de r f plupart des esp ces la CL o0 rence en g n ral 4 x 1h est 0 x1h pour l esp ce consid r e pr sence occasionnelle d un survivant admissible Interm diaire Une forte proportion mais Comme pour le DDT mais lt 50 lt 50 survivent la CL de survivants 1 6 xili he 00 de la courbe de r f rence CL P la 50 est en g n ral voisine de la valeur de la courbe de r f rence R sistante 50 ou plus de survivants 50 ou davantage de survie 4 x 1 h ou quelle que 1 6 Bx1h soit la courbe CL oo pour l esp ce R sum d apr s WHO Ma1 525 WHO Insecticides 129 1961 WHO VWector Control 29 WHO Ma1 390 _ Page c Patel et ses collaborateurs 1961 sugg rent d adopter les crit res suivants pour les femelles A culicifacies i une mortalit de plus de 75 apr s une heure d exposition des papiers impr gn s 2 de DDT est un indice de sensibilit ii u
7. indre mesure il y a chevau chement dans l amplitude des r actions aux insecticides Il ne peut donc y avoir proprement parler de concentration discriminante mais on utilise parfois une concen tration approximative qui tue tous les insectes sensibles mais seulement quelques uns des hybrides On use souvent du terme de r sistance r cessive pour caract riser ces cas de sensibilit s chevauchements Dans toute preuve qui porte sur les deux g notypes la ligne ld p ne peut tre une droite mais doit pr senter n cessairement une inflexion cor respondant au pourcentage des insectes sensibles pr sents La mortalit correspondant une concentration donn e sera inf rieure celle qui int resse exclusivement le g notype sensible La r duction de la mortalit est fonction du pourcentage des hybrides pr sents mais cette relation est complexe et l effet varie selon la concentration utilis e et la pente de la ligne ld p pour chaque g notype Le calcul suivant met en vidence la r action d un groupe compos de 80 d individus sensibles CL 0 3 de 19 d hybrides CL 3 0 et de 1 d homo zygotes r sistants qui ne sont pas affect s dans l intervalle des concentrations La pente des deux lignes ld p qui passent par les points exp rimentaux est de 3 0 mortalit en probits los unit de concentration Ces donn es se rapportent typiquement aux femelles A culicifacies La mortalit de chaque g notype es
8. ne mortalit de 20 75 indique une tol rance moyenne iii une mortalit inf rieure 20 est l indice d une r sistance d Samnotra 1961 a sugg r une l g re variante applicable galement A culicifacies papier impr gn 2 de DDT mortalit gt 50 sensibles papier impr gn 2 de DDT mortalit lt 50 interm diaires papier impr gn 4 de DDT mortalit lt 50 r sistantes La dur e de l exposition tant d une heure dans tous les cas e Des crit res se rapportant en particulier A culicifacies et A annularis ont t adopt s en 1961 par la Conf rence indienne des Entomo logistes Indian Conference of Entomologists pour le programme national d ra dication du paludisme Tol rance mortalit inf rieure 80 au contact de papiers impr gn s 2 de DDT mais sup rieure 50 avec des papiers 4 de DDT R sistance mortalit inf rieure 50 au contact de papiers y de DDT pendant une heure Krishnamurthy 1962 f En Indon sie lorsqu il n y a pas mortalit totale des A sundaicus ou A _aconitus la suite d une heure d exposition aux papiers 4 de DDT ou aux papiers 1 6 de dieldrine l exp rience est r p t e en portant l expo gition 2 ou 4 heures Muir 1962 Si la mortalit est alors compl te le ph nom ne est d nomm vigour tolerance tol rance physiologique et si la mortalit est de 95
9. ou inf rieure on dit qu il y a r sistance g Les crit res les plus pr cis ont t propos s par Davidson 1962 Ces crit res reposent sur l utilisation de concentrations discriminantes discri minating dosages c est dire de certaines concentrations de DDT ou de WHO Vector Control 29 WHO Ma 1 390 Page 5 dieldrine sur les papiers qui ont permis selon 25 constatations d liminer plus ou moins compl tement les individus sensibles ou les individus sensibles et moyennement r sistants d un groupe soumis l preuve dans ce dernier cas seuls restent les insectes les plus r sistants Comme on utilisera selon les esp ces des concentrations diff rentes cu des dur es d exposition plus ou moins prolong es cette mcthode une fois conpl toment mise au point convient pour d terminer la cemposition de l ensemble de la population plut t que pour d celer simplement la r sistance La multiplicit m me des crit res utilis s par diff rents exp rimentateurs prouve quel point il est souvent difficile d interpr ter les r sultats Cette difficult provient en partie de la nature de la ligne 1d p qui en th orie ne peut tre une droite que si la distribution de la sensibilit l int rieur d un groupe test cadre avec la distribution normale On a montr que la r sistance aux FACE chez un nombre d esp ces toujours croissant est d termin e g n tique ment et que le facteur isol qui intervient da
10. p rimentateurs modifier selon les circonstances la concentration requise pour obtenir un pourcentage d termin de mortalit tel que la Le 4 Il faut galement enrichir nos connaissances sur les variations saison ni res de la sensibilit de tous les g notypes afin de pouvoir comparer les r sultats obtenus diff rentes poques de l ann e 5 Il y aurait lieu de d terminer les caract ristiques de la sensibilit des hybrides notamment de ceux qui r sistent au DDT aussi bien pour les anoph les que pour d autres esp ces qui n ont pas encore t tudi es WHO Vector Control 29 Page 10 6 Il conviendrait d tudier le g notype r sistant en ce qui concerne les handicaps biologiques en effet de tels renseignements seront utiles pour pr voir la rapidit et l tendue de l apparition d une r sistance lev e et sa disparition lorsque la lutte anti noph lienne prend fin 7 Il para t de la plus haute importance de se procurer des renseignements quantitatifs sur le rapport existant entre les r sultats obtenus avec les n cessaires d preuve d une part et l efficacit pratique des pulv risations d autre part compte tenu des complications dues l effet irritant qu exercent sur les moustiques les d p ts d insecticides pulv ris s et compte tenu des habitudes endophiles et exophiles diff rentes des diverses esp ces WHO Vector Control 29 WHO Ma1 300 Page LIL REFERENCES BTBLIOGRAPETQUES
11. r ciable par exemple 10 15 d une population anoph lienne WHO Vector Control1 29 WHO Ma1 390 Page 8 On pourrait r sumer l expos ci dessus en disant que la faible diminution de la mortalit souvent observ e avec des papiers impr gn s d insecticide 2 et qui a parfois caus de vives pr occupations aux agents charg s de la lutte contre les moustiques est simplement l indice de la pr sence de certains pourcentages d hybrides Dans le cas de la dieldrine cette pr sence laisse pr sager une augmentation rapide de la proportion des individus irr ductibles les hybrides tant en effet dans leur quasi totalit immu nis s contre les pulv risations d insecticides des concentrations praticables Mais avec le DDI les hybrides sont tu s presque aussi facilement que les autres individus et un long intervalle peut s couler avant que n apparaisse une population d homozygotes r sistants assez nombreuse pour compromettre l efficacit de la lutte Si ces homozygotes sont biologiquement en tat d inf riorit cause notamment d un faible taux de repro duction d une long vit r duite Etes se PR que cette efficacit ne f t pas dans la pratique s rieusement compromise On notare que tcutes les fois qu un g notype pr sente un tel handicap la formule de Hardy Weinberg ss 2 sr rr l jn est pas va lable et que la composition d une population ne peut tre valu e en utilisant une seule concentra
12. rche No EF 194 fournie par les Natioral Institutes of Health et de l Organisation mondiale de la Sant WH0 ector Control1 20 WHO Ma1 390 3 Page 2 Dans la pratique on s est heurt plusieurs difficult s au nombre desquelles il y a lieu de mentionner les suivantes a Aucune esp ce m me si elle est plac e dans les conditions les plus natu relles ne r agit d une mani re invariable par cons quent la base de la courbe de r f rence varie en fonction de nombreuses conditions telles que la saison de l ann e la nutrition l intervalle qui s est coul depuis le dernier repas de sang le stade de d veloppement l ge etc Les conditions dans lesquelles l preuve a lieu affecteront elles aussi les r sultats par exemple la temp rature l intensit de la lumi re ou tout autre facteur influant sur l activit des insectes soumis l preuve b Les populations anoph liennes vis es par des mesures de lutte ou par tout autre processus de s lection donnent souvent des courbes de r actions qui diff rent non seulement par la position mais encore par la forme des droites repr sentatives de la mortalit exprim e en probits en fonction du logarithme des concentrations 1d p dans la population de r f rence Il se produit fr quem ment une Situation dans laquelle on observe une orientation marqu e vers des concentrations plus fortes au dessus d une certaine mortalit Si la ligne devient
13. rs la plupart des cas est l origine de trois g notypes dont les diff rences en mati re de sensibilit se manifestent dans les ph notypes correspondants Si deux ou m me trois g notypes de sensibilit diff rente sont pr sents dans un groupe d insectes la Lene 1d p rui en r sulte ne peut tre une droite elle s infl cnit ou pr sente des piar eaux qui correspondent aux pourcentages du groupo auxgucls contribue echaoue g rotype Dars le cas des aoe eE femelles il a v d montr par des tosts pra tiqu s avec lcs g notypes respectifs que les trois cat gories se diff rencient nettement par la nz2ture de icuis r actions la dici rire de sorte qu il est possible de graduer les concentratic s discririnantes viilisor a pour tuer tous les insectes sensibles en ne laissant survivre que les hybrides et les r sistants et b pour tuer les insoctcs sonsibles ect les hybri c s en ne laissant survivre que les r sistants Ainsi donc la corposition d un groupe quelconque peut tre d termin e sans ambigu t Toute propri t h r ditairement transmissible savoir dans le cas pr sent la r sistance l insecticide qui se manifeste de cette mani re re oit souvent la d nomination caract ristique de dominante WHO Vector Control 29 WHO Me 1 390 7 Page 6 Par contre chez les anoph les et chez beaucoup d autres insectes les g no types sensibles diff rent des g notypes hybrides en une mo
14. t le produit de la mortalit chaque degr de concentration telle qu elle r sulte de la ligne ld p multipli e par le pour centage du g notype dans le groupe La mortalit totale est la somme de ces deux facteurs WHO Vector Control1 29 WHO Ma 1 390 Page 7 6 Mortalit totale 2 Mortalit des ss 1 Concentration 7 Colonnes 2 6 4 Mortalit des sr 6 4 1 6 24 0 6 0 40 0 10 0 60 4 14 6 69 8 16 7 77 6 16 4 86 9 12 1 91 8 8 2 94 5 oo D 32 i ss g notype sensible j sr g notype hybride St On peut constater d apr s la colonne 7 que la plus forte diminution de la mortalit se produit avec une concentration voisine de 1 Toutefois la diff rence est encore marqu e avec une concentration de 2 Z qui tue la quasi totalit des individus sensibles Telle est sans aucun doute la raison pour laquelle plusieurs exp rimentateurs ont sugg r d adopter une concentration de 2 pour diff rencier les tats que l on a d sign s par sensibilit interm diaire tol rance mod r e ou par des termes analogues Si le groupe test comprend une plus forte proportion d individus poss dant un g notype homozygote r sistant la mortalit totale sera r duite encore davantage notamment avec une concentration de 4 laquelle est pour cette raison particuli rement utile pour d pister la pr sence d un haut degr de r sistance dans une fraction app
15. tion discriminante On veut toutefois la d terminer d apr s l emplacement des inflexions sur l ensemble de la ligne 1d p La pratique qui consiste exprimer l tat d une population anoph lienne d une r gion d termin e une certaine poque en fonction de la proportion de chaque g notype est un pas dans la bonne direction condition que les tests soient pratiqu s avec rigueur Tout r cemment l apparition d une r sistance au DDT chez A culicifacies dans le district de Panchmahals Etat du Gujerat Inde a fait l objet d une tude critique de Luen amp Shalaby 1962 Le point le plus int ressant est que l apparition de la r sistance chez les femelles A culicifacies n a t observ e qu apr s dix ann es d utilisation du DDT vrai dire ce ph nom ne n est pas surprenant puisque la campagne intensive de pul v risations n a commenc qu en 1958 l poque o le programme d radication du paludisme a t lanc Ant rieurement cette petite fraction d hybrides de la population avait chapp au d pistage par les tests Comme en outre les femelles vitaient les surfaces trait es o s en loignaient rapidement il n a pas t possible d op rer une s lection tr s rigoureuse WHO Vector Centrol 29 HEo Ma1 390 Page 9 D une vaste enqu te conduite par Hamon amp Garrett Jones 1963 sur la situation au point de vue de la r sistance la dieldrines et au DDT chez A Sacharovi A stephensi A
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