Dossier documentaire
Contents
1. 3 trimestre 2009 p 22 24 gt Document disponible sur http www adapeidurhone fr Copyright R seau Uniopss Uriopss Janvier 2010 14 a CU masse FEIM Congres ititi Les solidarit s preuve de la crise int r t g n ral ou comp tition a 30 Congr s de l Uniopss 27 28 29 janvier 2010 gt R sum Tous les tablissements ou services m dico sociaux doivent concevoir un projet d tablissement pour chaque usager L id e novatrice du Foyer l tape est de mettre en place une m thodologie donnant les moyens chaque usager de formuler ses besoins et ses attentes travers une r elle prise de conscience des mots projets et avenir L article pr sente la d marche et la m thodologie globale gt Braque une association pour d fendre des usagers particuliers Alain F dou Patrick G lis Jean Vignes Marie Rajablat article issu de la revue Empan n 64 Editions Er s 2007 gt R sum Pr sentation d une association de patients d un centre hospitalier sp cialis cr e la suite de l explosion d d azf qui se donne pour objectifs de d fendre et de promouvoir les droits des plus d munis des plus d pendants du fait de la maladie mentale ou du handicap gt Entre l exclusion et l inclusion quelle place pour l mancipation des usagers les GEM Mich le Drancourt revue Empan n 64 Editions Er s 2007 gt R sum partir2. a CU masse FEIM Congres LLC Les solidarit s l preuve de la crise int r t g n ral ou comp tition a 30 Congr s de l Uniopss 27 28 29 janvier 2010 parole aux acteurs soignants th rapeutes responsables d tablissements militants d associations et usagers qui tentent de comprendre en quoi les injonctions l gislatives l volution des mentalit s et des repr sentations les conduisent modifier leurs pratiques en profondeur ou simplement modifier les formes et les apparences Au moment o la loi reconnait l usager et lui accorde une place dans les instances le nombre de personnes exclues du syst me social et m dico social augmente des structures ferment Qu en est il du droit des usagers gt Contribution l histoire des associations dans le secteur du handicap Le groupe des 21 et la plateforme commune de propositions un consensus associatif de circonstance dans le cadre de l laboration entre 1973 et 1975 de la loi d orientation en faveur des personnes handicap es Patrick GUYOT Bulletin d information n 292 du CREAI Bourgogne mai 09 22 pages D Disponible sur le site http www creaibourgogne org gt R sum Dans cette contribution l auteur s int resse la mani re dont certaines associations repr sentant les personnes handicap es le groupe des 21 ont labor dans les ann es 1973 1975 une plateforme commune de proposition au Gouvernement lors
3. URIOPSS Nord Pas de Calais http www uriopss npdc asso fr URIOPSS Normandie Basse http www uriopss basse normandie asso fr URIOPSS Normandie Haute http www uriopss hautenormandie asso fr URIOPSS Pays de la Loire http www uriopss pdl asso fr URIOPSS Picardie http www uriopss picardie asso fr URIOPSS Poitou Charentes http www uriopss poitou charentes asso fr URIOPSS Provence Alpes C te d Azur et Corse http www uriopss pacac asso fr URIOPSS Rh ne Alpes http www uriopss ra asso fr URIOPSS La R union http www uriopss reunion asso fr gt A g gt gt D gt a gt a D gt D gt gt D D g D D UNIOPSS http www uniopss asso fr Copyright R seau Uniopss Uriopss Janvier 2010
4. m dico social qu il repr sente une perte d autonomie ou non La loi du 11 f vrier 2005 envisage la participation sociale du citoyen ayant un handicap Bien s r la personne qui est au c ur de ces dispositifs est la m me Bien entendu l objectif poursuivi par ces textes pr sente des similitudes en cherchant rendre la personne actrice de son existence Pour autant la posture n est pas la m me et il y aurait danger confondre les enjeux de la participation de la personne en perte d autonomie selon qu elle cherche exercer ses droits fondamentaux en tant que citoyen fran ais ou qu elle b n ficie d un accompagnement la r alisation de son choix de vie gt Le projet personnalis dans les tablissements et services pour personnes handicap es Patrick GUYOT Bulletin d information n 283 CREAI Bourgogne juillet 2008 11 pages gt Disponible sur le site http www creaibourgogne org gt R sum Projet personnalis projet individualis sont des formules utilis es fr quemment dans les services et tablissements du secteur m dico social pour souligner l attention port e la situation particuli re des personnes qui y sont accueillies Cette logique d individualisation des prestations a t renforc e par les textes l gislatifs qui encadrent d sormais ce secteur loi 2002 2 et loi 2005 102 Patrick Guyot conseiller technique du Creai nous livre le fruit d un travail r alis en lien avec les profe
5. article ainsi qu une exp rience en Belgique gt Participation et responsabilit s sociales un nouveau paradigme pour l inclusion des personnes avec une d ficience intellectuelle Association internationale de recherche scientifique en faveur des personnes handicap es mentales A I R H M Lausanne Editions Peter Land 2009 513 pages gt R sum L objet de cet ouvrage fruit du 1077 congr s de l Association internationale de recherche scientifique en faveur des personnes handicap es mentales AIRHM est centr sur un paradigme occupant actuellement une position centrale au sein de la communaut internationale la participation Dans un contexte o se dessinent l inclusion et la pleine participation de tous il est imp ratif de s interroger aujourd hui sur les retomb es d une telle volution pour les personnes avec une d ficience intellectuelle qui vivent des situations de handicap Cet ouvrage rassemble donc l exp rience de chercheurs praticiens de personnes en situation de handicap de parents de gestionnaires de diff rentes parties de la francophonie Les contributions de chacun sont propos es en respectant le m me itin raire de questionnement que celui choisi pour le congr s en quoi la participation est elle un paradigme incontournable dans le champ de la d ficience intellectuelle introduction qu entendre par participation quel sens accorder ce paradigme premi re partie quelles forme
6. bureaux des permanences d information Directeur de la CNSA d l gu au r seau Jean Louis Loirat apporte E 11049 US n 227 mai09 indd 25 un b mol les associations gestionnai res ne doivent pas faire leur march parmi les usagers au sein des MDPH Tous les GIP indique M Prier ne sont pas investis l identique partout en France si certains fonctionnent bien d autres semblent purement d co ratifs La participation aux instances n cessite du temps et de l engagement la CDA de Loire Atlantique se r unit toutes les 3 semaines celle de l Indre tous les 15 jours En Eure et Loire les r unions de la Comex sont compl t es par d autres r unions entre acteurs asso ciatifs ou avec d autres acteurs En outre les sujets complexes abord s en r union n cessitent souvent une formation des acteurs associatifs Autant d investis sements plus accessibles aux grandes associations qu aux petites moins pr sentes donc en MDPH La concertation menac e Le bilan du fonctionnement des MDPH ne para t pas optimal comme le sou ligne la CNSA dans son rapport 2008 Outre Ix instabilit des personnels mis disposition elles peinent couvrir l ensemble de leur champ d action largi par rapport aux CDES et Cotorep accueil et suivi des r ponses prise en compte du handicap psychique Ces dysfonctionnements ont entrain une remise en question du statut de Groupement d int r t publi
7. dans un service social ou m dico social il est remis la personne ou son repr sentant l gal un livret d accueil auquel sont annex s Un contrat de s jour est conclu ou un document individuel de prise en charge est labor avec la participation de la personne accueillie ou de son repr sentant l gal Ce contrat ou document d finit les objectifs et la nature de la prise en charge ou de l accompagnement dans le respect des principes d ontologiques et thiques des recommandations de bonnes pratiques professionnelles et du projet d tablissement Il d taille la liste et la nature des prestations offertes ainsi que leur co t pr visionnel o Article 10 L article L 311 6 du code de l action sociale et des familles est ainsi r dig Art L 311 6 Afin d associer les personnes b n ficiaires des prestations au fonctionnement de l tablissement ou du service il est institu soit un conseil de la vie sociale soit d autres formes de participation Les cat gories d tablissements ou de services qui doivent mettre en uvre obligatoirement le conseil de la vie sociale sont pr cis es par d cret Ce d cret pr cise galement d une part la composition et les comp tences de ce conseil et d autre part les autres formes de participation possibles gt Pour l ensemble des outils garantissant les droits des usagers voir page 10 la r f rence aux cahiers de l Uniopss n 18 gt LOI n 2005 102 du 11 f vrier
8. de l exp rience singuli re d une association d usagers en sant mentale l article tente de d gager les dits et non dits de la circulaire du 29 ao t 2005 instaurant les groupes d entraide mutuelle GEM Cette nouvelle institution ne constitue t elle qu un outil pour le syst me de sant mentale permettant d enrayer le processus d exclusion des personnes l ch es par la psychiatrie Ou peut elle repr senter une opportunit pour l mancipation des usagers la reconnaissance de leurs droits et de leur citoyennet gt L Unit de Logements et de Services du r seau GIHP Ile de France Description du dispositif L Unit de Logements et de Services ULS est un concept innovant cr et mis en uvre depuis plus de 30 ans par le Groupement pour l Insertion des personnes Handicap es Physiques GIHP notamment en Ile de France L ULS apporte une r ponse non institutionnelle aux personnes handicap es tr s d pendantes sur le plan moteur mais autonomes dans leur capacit de g rer leur existence d sireuses de vivre en milieu ordinaire et de fa on ind pendante Les personnes occupant un logement au sein de PULS sont des locataires comme les autres Leur appartement est accessible adapt et domotis reli une permanence 24h 24 s curisante assur e par un service d aide domicile du GIHP Dans l Oise le projet ULS initi depuis quelques mois pr sente une configuration in dite En effet le projet ULSO
9. du handicap JO n 261 10 11 09 Fiche n 52804 gt Pr sentation Il est cr un comit interminist riel du handicap pr sid par le Premier ministre ou par d l gation de celui ci par le ministre charg des personnes handicap es Le comit est charg de d finir coordonner et valuer les politiques conduites par l tat en direction des personnes handicap es ainsi que les actions conduites en application du droit la solidarit de l ensemble de la collectivit nationale de toute personne handicap e en r f rence l article L 114 1 du CASF Il adopte le rapport sur la mise en uvre de la politique nationale en faveur des personnes handicap es suite aux travaux de la conf rence nationale du handicap organis e tous les trois ans en r f rence l article L 114 2 1 du CASF Le comit se compose des ministres charg s des personnes handicap es de la solidarit de la famille de la jeunesse de l ducation de l enseignement sup rieur de la recherche du travail de l emploi de la formation professionnelle de la consommation de l conomie de la Copyright R seau Uniopss Uriopss Janvier 2010 9 5 d Eey atita Les solidarit s l preuve de la crise int r t g n ral ou comp tition i 30 Congr s de l Uniopss 27 28 29 janvier 2010 sant de la s curit sociale des affaires sociales des personnes g es du logement des transports de la cu
10. est port par trois associations issues du Collectif Handicap Oise CHO A brache kor GIHP 60 la d l gation AFM 60 la d l gation APF 60 et soutenu par l AFTC Picardie Aucune d entre elles n est gestionnaire de services de soins infirmiers domicile ou d aide domicile et ne souhaite s y engager Par contre chacune a choisi d agir pour et avec les personnes en situation de handicap Ces associations ont ainsi d cid d unir leur force politique ainsi que leurs comp tences partir du m me constat de carence dans l Oise face la demande de certains de leurs adh rents vivant seul e s ou en couple avec ou sans enfants d sireux de devenir plus autonomes d sireux et capables d acc der leur ind pendance en milieu de vie ordinaire dont la grande d pendance physique n cessite le recours aux aides humaines ne souhaitant pas pour autant une pr sence permanente leur c t Copyright R seau Uniopss Uriopss Janvier 2010 15 au FEL masse FEIM cage kitita Les solidarit s preuve de la crise int r t g n ral ou comp tition e 30 Congr s de l Uniopss 27 28 29 janvier 2010 Cette alliance permet aux associations de ne parler que d une seule voix aupr s des partenaires bailleurs sociaux lus etc et ainsi d avoir plus de poids chaque tape de la r alisation du projet Les associations ont travaill l laboration d un cahier des charges cons quent Ell
11. les pratiques en fonction de l int r t des usagers m C cile Bettendorff 26 05 09 14 11 27 Hi FT shit Les solidarit s preuve de la crise int r t g n ral ou comp tition 30 Congr s de l Uniopss 27 28 29 janvier 2010 Copyright R seau Uniopss Uriopss Janvier 2010 19 Congres LLC Les solidarit s preuve de la crise int r t g n ral ou comp tition 30 Congr s de l Uniopss 27 28 29 janvier 2010 Retrouvez tous les dossiers documentaires du Centre de Ressources sur le site internet du Congr s d s le 8 f vrier 2010 http www congres uniopss fr Les sites internet du R seau Uniopss Uriopss URIOPSS Alsace http www uriopss alsace asso fr URIOPSS Aquitaine http www uriopss aquitaine asso fr URIOPSS Auvergne Limousin http www uriopss auvergnelimousin asso fr URIOPSS Bourgogne http www uriopss bourgogne asso fr URIOPSS Bretagne http www uriopss bretagne asso fr URIOPSS Centre http www uriopss centre asso fr URIOPSS Champagne Ardenne http www uriopss ca asso fr URIOPSS Franche Comt http www uriopss f comte asso fr URIOPSS lle de France http www uriopss idf asso fr URIOPSS Languedoc Roussillon http www uriopss lr asso fr URIOPSS Lorraine http www uriopss lorraine asso fr URIOPSS Martinique http www uriopss martinique com URIOPSS Midi Pyr n es http www uriopss midipyrenees asso fr
12. personnes handicap es et de leurs familles La loi n 2005 102 du 11 f vrier 2005 implique une augmentation et une diversification de la repr sentation associative des personnes en situation de handicap dans deux types d instances e celles charg es de d finir les politiques nationales et locales du handicap CNCPH CDPH commissions communales d accessibilit et d organiser des r ponses dans le champ de la compensation CNSA MDPH e celles charg es d ouvrir des droits au regard de situations individuelles commissions des droits et de l autonomie Il en est de m me pour la loi r formant l h pital et relative aux patients la sant et aux territoires HPST au sein de la conf rence nationale de sant et de l autonomie et du conseil de surveillance des agences r gionales de sant ARS Les associations se concertent en amont de la d signation de ces repr sentations afin de proposer des candidatures communes En cas de d saccord les associations listent l ensemble des candidatures et essayant d identifier les cas ch ant celles concernant les postes titulaires et les postes suppl ants gt Cinq ans apr s quel bilan de la mise en place des dispositifs issus de la nouvelle loi 2005 102 La loi 2005 102 a d j 5 ans Quel bilan peut on aujourd hui dresser Si Xavier Darcos a r cemment point devant le nouveau conseil de la CNSA le d fi de l galit des droits et des chances des personnes handicap es
13. qui ont lieu la fin du mois de novembre et qui repr sentent la fois un temps de r flexion de rencontre et d changes pour les parents et familles qui souhaitent y participer Le GNP est galement l origine de publications et vid os abordant les diff rents th mes d velopp s Afin d informer r guli rement toutes les familles de l APF un groupe de parents du GNP participe l laboration d un journal Inter parents Le Groupe National Parents se mobilise pour que soient reconnus la sp cificit l exp rience et les savoirs des parents d enfants en situation de handicap et que soient entendues leurs revendications pour leurs enfants et leur place d aidants familiaux UNAF Union Nationale des Associations Familiales COFACE Conf d ration des Organisations Familiales de la Communaut Europ enne gt Synth se de l valuation du projet et des actions RECORD R seau de Ressources Coordonn es pour l int gration professionnelle des personnes en situations de handicap au service de la Maison D partementale des Personnes Handicap es 16 Octobre 2008 79 pages gt Document disponible sur http www fagerh fr partenaires php gt R sum du projet 5 grands r seaux nationaux Com te pour le secteur sanitaire la FAGERH pour le secteur m dico social la FNATH repr sentative des personnes en situations de handicap la FNMF pour la mutualit et l UNITH pour l accompagnement l emploi ont pris l ini
14. s engageant ce que tous les textes d application de la loi du 11 f vrier 2005 soient publi s avant le 5 anniversaire de la loi le dossier ci apr s pointe quelques l ments de bilan plus en lien avec la probl matique retenue gt Les maisons d partementales des personnes handicap es sur la bonne voie premier bilan quatre ans apr s la loi du 11 f vrier 2005 Rapport d information n 485 Paul BLANC Annie JARRAUD VERGNOLLE commission des affaires sociales SENAT 24 juin 2009 Fiche n 5110 gt Commentaire du r seau Uniopss Uriopss Le constat pos par les s nateurs est le suivant si 3 ans apr s leur mise en place les MDPH donnent globalement satisfaction la survenance de difficult s financi res et de gestion des personnels entrave leur d veloppement et justifie un nouvel examen de leurs conditions de fonctionnement ce titre ce rapport propose 25 recommandations pour am liorer le fonctionnement des maisons d partementales pour personnes handicap es gt Bilan de l application de la loi pour l galit des droits et des chances la participation et la citoyennet des personnes handicap es D bat d initiative parlementaire Assembl e nationale 13 l gislature Session ordinaire de 2008 2009 Compte rendu int gral Disponible sur le site www assemblee nationale fr gt Rapport du Gouvernement au Parlement relatif au bilan et aux orientations de la politique du handicap Secr
15. territoire partir d un tat des lieux partag Une posture au service des MDPH qui a permis d ancrer les actions partir des besoins exprim s par leurs responsables Copyright R seau Uniopss Uriopss Janvier 2010 17 rz FEL masse FEIM ititi Les solidarit s preuve de la crise int r t g n ral ou comp tition a 30 Congr s de l Uniopss 27 28 29 janvier 2010 Cette recherche action appel e RECORD fut soutenue par la Caisse Nationale de Solidarit pour l Autonomie CNSA et se d veloppa initialement dans 7 d partements Haute Garonne Gironde Loire Morbihan Pas de Calais Seine et Marne Val d Oise Elle est aujourd hui en cours d extension dans une dizaine de nouveaux d partements Aisne Doubs Dr me Eure Loiret Marne Bas Rhin Sarthe Yvelines et Haute Vienne La pr sentation de la phase RECORD 2 est disponible l adresse suivante http actionrecord fr gt L aventure du Gate Argent Angers Issu de l ouvrage Le handicap en France Chronique d un combat politique Jean Claude CUNIN Editions Dunod octobre 2008 p 71 76 Pour en savoir plus http portail afm france org ewb _pages l les dix ans gate argent php gt Extrait Au del des grandes actions de revendications et des mouvements de masse les volutions du droit sont aussi n es d initiatives port es par des groupes de personnes en situations de handicap Elles ont tout mis en uvre
16. 2005 pour l galit des droits et des chances la participation et la citoyennet des personnes handicap es Journal officiel n 36 du 12 f vrier 2005 gt Extrait TITRE III COMPENSATION ET RESSOURCES Chapitre I Compensation des cons quences du handicap Copyright R seau Uniopss Uriopss Janvier 2010 3 a CU masse FEIM Congres LLC Les solidarit s l preuve de la crise int r t g n ral ou comp tition 30 Congr s de l Uniopss 27 28 29 janvier 2010 Article 11 Apr s l article L 114 1 du code de l action sociale et des familles il est ins r un article L 114 1 1 ainsi r dig Les besoins de compensation sont inscrits dans un plan labor en consid ration des besoins et des aspirations de la personne handicap e tels qu ils sont exprim s dans son projet de vie formul par la personne elle m me ou d faut avec ou pour elle par son repr sentant l gal lorsqu elle ne peut exprimer son avis TITRE VI CITOYENNET ET PARTICIPATION LA VIE SOCIALE gt La personne en situation de handicap usager ou citoyen Marie Sophie DESSAULLE revue G rontologie et soci t n 115 Fondation nationale de G rontologie d cembre 2005 p 63 74 gt R sum Deux lois deux repr sentations de la place et du r le des personnes en situation de handicap La loi du 2 janvier 2002 traite de la question de l usager ayant recours un accompagnement
17. LT LUS Les solidarit s l preuve de la crise int r t g n ral ou comp tition 30 Congr s de l Uniopss 27 28 29 janvier 2010 B4 gt Handicap Participation des personnes handicap es avons nous r ellement progress depuis 5 ans Sommaire gt La probl matique de la participation et du projet de vie personnalis au regard des deux lois majeures 3 gt Les diff rentes instances participatives sur les diff rents chelons territoriaux 5 gt Cinq ans apr s quel bilan de la mise en place des dispositifs issus de la nouvelle loi 2005 102 8 gt La participation des usagers et de leur famille exemples d outils et d exp riences 10 1 R flexions g n rales et crits sur la probl matique 10 2 Les recommandations de bonnes pratiques de lAnesm qui participent la probl matique 12 3 Retours sur les pratiques et d marches innovantes 13 Copyright R seau Uniopss Uriopss Janvier 2010 Gt pe shit Les solidarit s preuve de la crise int r t g n ral ou comp tition 30 Congr s de l Uniopss 27 28 29 janvier 2010 Copyright R seau Uniopss Uriopss Janvier 2010 2 rz FEL masse FEIM tititik Les solidarit s preuve de la crise int r t g n ral ou comp tition a 30 Congr s de l Uniopss 27 28 29 janvier 2010 gt La probl matique de la participation et du projet de vie personnalis au rega
18. avorables et freins de ces volutions devait permettre de mieux comprendre l ampleur du changement en jeu S il n tait pas envisageable de proc der une v ritable valuation de politique si peu de temps apr s l adoption des lois il tait int ressant de suivre la mise en uvre de ces lois et ce d autant plus que les IME et les ITEP sont des composantes essentielles de la prise en charge des enfants handicap s gt Retraite paisible pour personnes handicap es revue Direction s n 66 septembre 2009 p 16 17 gt R sum Coulonges sur l Autize Deux S vres D s 1996 la maison d accueil pour personnes handicap es g es Mapha innovait D abord avec un statut exp rimental elle a r pondu l volution des besoins des usagers d frich un terrain encore inexploit et essaim gt SAVS lieu de citoyennet on ferme Thierry TRUSCHEL article issu de la revue Empan n 64 Editions Er s 2007 gt R sum Un participant d un SAVS confront la fermeture prochaine de ce service s adresse aux lecteurs pour dire combien ce lieu est vital pour lui car il permet un double change usagers personnel et usagers usagers La possibilit m me de prendre ainsi la parole t moigne de l importance de cet espace de reconnaissance et de vie collective gt L laboration d un projet d accompagnement au foyer l tape le bulletin de l Adapei du Rh ne n 218 Adapei du Rh ne
19. c GIP i la MDPH de Paris l agent et les usagers dialoguent en langue des signes UNION SOCIALE Mai 2009 N 227 25 La CNSA voque une d partementalisa tion des MDPH p 88 du rapport Johan Priou directeur de l Uriopss Centre craint que les Conseils g n raux ne cherchent reprendre la main pour ne plus s encombrer de la concerta tion avec les associations ses yeux l enjeu se situe au niveau des Comex o ils doivent expliquer leurs d cisions notamment en termes de financements La Comex pr cise t il est le lieu des choix de priorit s et des modalit s de travail on y suit par exemple les lis tes d attente des usagers Aujourd hui il y a concertation pour proposer une solution un demandeur Demain les Conseils g n raux imposeront ils dof fice aux tablissements les personnes accueillir au risque de choisir des lieux inadapt s Se pose aussi la question de l quit territoriale comment assurer une galit de traitement pour tous sur le territoire d partemental et entre les d partements si les Conseils g n raux ont seuls le pouvoir d cisionnaire M Prier craint quant lui que les associations ne soient plus consult es en amont des d cisions mais sollici t es pour une validation a posteriori l vidence il importe pour l Uniopss que les associations gardent toute leur place au sein des MDPH de fa on pou voir infl chir les choix et
20. ccueillir e attribution pour l enfant ou l adolescent de l allocation d ducation de l enfant handicap et ventuellement de son compl ment Copyright R seau Uniopss Uriopss Janvier 2010 6 a CU masse FEIM Congres LLC Les solidarit s l preuve de la crise int r t g n ral ou comp tition a 30 Congr s de l Uniopss 27 28 29 janvier 2010 e attribution de la carte d invalidit CIN e attribution de l allocation aux adultes handicap s AAH et du compl ment de ressources e l attribution de la prestation de compensation e reconna tre la qualit de travailleur handicap RQTH e statuer sur l accompagnement des PH g es de plus de 60 ans h berg es dans les structures pour personnes handicap es adultes Source Minist re de la Sant et des Solidarit s gt La Commission des droits et de l autonomie MDPH Maisons d partementales des Personnes Handicap es CNSA Lettre d information n 2 CNSA f vrier 2009 gt La Caisse Nationale de Solidarit pour l Autonomie CNSA e Les missions La Caisse nationale de solidarit pour l autonomie est un tablissement public cr par la loi 2004 626 du 30 juin 2004 relative la solidarit pour l autonomie des personnes g es et des personnes handicap es La loi sur l galit des droits et des chances des personnes handicap es du 11 f vrier 2005 a pr cis et renforc ses missions Source Site interne
21. de coordonner d animer d informer de r fl chir et de d fendre les droits des personnes en situation de handicap et des familles travers des revendications et des actions Ce groupe se r unit 6 7 fois par an et tout au long de l ann e il se divise en sous groupes de travail pour pr senter les revendications des familles participer des instances de travail ou de r flexion des programmes et des actions concernant les politiques familiales sur le plan national et europ en Copyright R seau Uniopss Uriopss Janvier 2010 16 au FEL masse FEIM cage kitatik Les solidarit s preuve de la crise int r t g n ral ou comp tition e 30 Congr s de l Uniopss 27 28 29 janvier 2010 Il porte aupr s du Conseil d Administration et de la Direction g n rale les points de vue les interrogations les pr occupations et les propositions des parents Les membres lus de ce groupe participent ainsi nombre de sous groupes de travail au sein de l Association et en dehors de l association dans des instances telles que l UNAF la COFACE ou des groupes de travail mis en place par les minist res Il choisit un sujet de r flexion sur deux ans issu des interrogations et des pr occupations des familles l annonce du handicap la fratrie la sexualit le droit au r pit Le fruit de son travail et de ses r flexions est pr sent chaque ann e lors des Journ es Nationales des Parents
22. des travaux d laboration de la loi d orientation en faveur des personnes handicap es du 30 juin 1975 Ce retour historique permet de mieux comprendre les enjeux en pr sence cette poque et montre qu un certain nombre des avanc es de la loi du 11 f vrier 2005 taient d j contenues dans cette plateforme de propositions Le premier chapitre pr sente une chronologie des faits marquants et le r le des associations le second la gen se et les caract ristiques de trois associations APF APAJH UNAPEI porte parole de la plateforme Le troisi me d crit la mani re dont s est construite cette plateforme et son contenu gt Lifestreaming le projet de vie de la personne handicap e au centre du syst me Issu de l ouvrage l ann e de l action sociale 2008 Pierre MATT Ed Dunod f vrier 2008 p 221 231 2 Les recommandations de bonnes pratiques de l Anesm qui participent la probl matique gt Concilier vie en collectivit et personnalisation de l accueil et de l accompagnement Recommandations de bonnes pratiques professionnelles ANESM Septembre 2009 52 pages Fiche n 53018 gt Document disponible sur http www anesm sante gouv fr gt Commentaire du r seau Uniopss Uriopss L Agence Nationale de l valuation Sociale et M dico sociale vient de mettre en ligne le 19 novembre dernier une nouvelle recommandation intitul e Concilier vie en collectivit et personnalisation de l accueil et de
23. e de veille pour les Soins infirmiers Source Minist re de la Sant et des Solidarit s 08 02 2007 gt Les Maisons D partementales des Personnes Handicap es d un d partement l autre Revue de la CNSA n 1 juin 2008 et n 2 f vrier 2009 CNSA 4 pages gt Disponible sur le site www cnsa fr rubrique La CNSA les publications gt Pr sentation Documents de 4 pages r alis s en collaboration avec l Assembl e des d partements de France et qui pr sentent les actions et initiatives r centes de MDPH gt Commissions des Droits et de l Autonomie des Personnes Handicap es CDAPH Les Commissions des droits et de l autonomie des personnes handicap es CDAPH ont t cr es par la loi n 2005 102 du 11 f vrier 2005 pour l galit des droits et des chances la participation et la citoyennet des personnes handicap es Elles r sultent de la fusion des Commissions techniques d orientation et de reclassement professionnel COTOREP et des Commissions d partementales d ducation sp ciale CDES Les CDAPH sont comp tentes pour e se prononcer sur l orientation de la personne handicap e et les mesures propres assurer son insertion scolaire ou professionnelle et sociale e d signer les tablissements ou les services correspondant aux besoins de l enfant ou de l adolescent ou concourant la r ducation l ducation au reclassement et l accueil de l adulte handicap et en mesure de l a
24. e donner une r ponse uniquement administrative il s agit de r orien ter vers des solutions alternatives Par ailleurs chaque usager re oit les coor donn es d un correspondant identifi la r ponse n est plus anonyme Les associations constituent aussi un contre pouvoir politique de poids M Hartmann repr sente les organis mes gestionnaires au del de l aspect technique il apporte sur les dossiers un clairage en terme de places disponibles dans les structures du d partement II joue ainsi un r le d alerte aupr s des administrations De son c t M Prier raconte que lors d une r cente Comex les repr sentants de l tat ont fait part du d sengagement de ce dernier maintien des cr dits de fonctionnement et des postes non assur s et de leur intention de voter contre le budget de la MDPH Les associations ont alors menac d un recours en tribunal du contentieux administratif les repr sentants de l tat se sont finalement abstenus et les cr dits tat ont t reconduits Des GIP d coratifs La CNSA dresse un bilan plut t positif de la participation des associations m me si elle reconna t la diversit des situations locales L implication dit elle est r elle et g n ralis e notamment au niveau du nombre de places occup es dans les ins tances Mieux encore les associations sont parfois entr es physiquement dans les Maisons d partementales en y ins tallant des
25. ement des savoirs et des pratiques qui sans supprimer les statuts permette chacun une reconnaissance 3 Retours sur les pratiques et d marches innovantes gt Le CVS conseil de la vie sociale Papillonnages Journal de l Adapei de Loire Atlantique n 31 ADAPEI de Loire Atlantique septembre 2009 p 8 9 gt Le CVS Ca Vous Stimule les structures revue Faire face n 680 APF Association des Paralys s de France novembre 2009 p 58 59 gt Pr sentation Dans chaque structure de l APF le CVS est une illustration de la d mocratie Avec le m me principe plus l on s en sert plus tout le monde en profite Deux guides bient t disponibles en donnent le mode d emploi et incitent les usagers s y engager Une question de vitalit gt Conseils de la vie sociale Vers une nouvelle dynamique Dossier le bulletin de l Adapei du Rh ne n 218 Adapei du Rh ne 3 trimestre 2009 p 17 21 gt Document disponible sur http www adapeidurhone fr Copyright R seau Uniopss Uriopss Janvier 2010 13 a CU masse FEIM Congres LLC Les solidarit s preuve de la crise int r t g n ral ou comp tition a 30 Congr s de l Uniopss 27 28 29 janvier 2010 gt R sum Il s agit d un bilan de l tude r alis e en juin 09 au sein des tablissements de l Adapei 69 en direction des membres du CVS gt instaurer un conseil de la vie sociale en ESAT et e
26. es veillent ce que ce projet bien sp cifique puisse aboutir sans tre d natur ce qu il rel ve le plus possible du droit commun r sistant solidairement aux demandes du bailleur encore un peu frileux l id e de loger des personnes en situation de grande d pendance Une premi re enqu te de besoins relay e fin 2008 par la MDPH ainsi que par le Collectif Handicap Oise est venue confirmer l existence d une demande substantielle Une deuxi me enqu te a t men e aupr s des demandeurs retenus par les associations courant de l t 2009 Un comit de pilotage a t constitu par les associations la MDPH l OPAC et le conseil g n ral qui soutiennent officiellement le projet ULSO Le projet ULSO avec sa permanence 24h 24 laquelle les personnes pourraient avoir recours en dehors des interventions en aide humaine programm es par leurs soins repr sentent ainsi l alternative qu elles n osaient imaginer gt La participation des b n ficiaires L exemple du Centre Ad la de Perrin Lyon Martine BUGEAUD Dominique PIERRAIN revue Les Cahiers de l actif n 388 389 septembre 20068 p 205 209 gt Pr sentation Le centre accueille des adultes de 20 ans porteurs d une d ficience intellectuelle jusqu en fin de vie La volont politique nonc e dans le cadre de la r novation de la loi de 75 encourage les professionnels resituer la personne en situation de handicap au c ur de la vie institut
27. et ouvrage est issu d un s minaire associant professionnels et chercheurs con u par la chaire de travail social du Centre national des arts et m tiers Cnam le Laboratoire interdisciplinaire pour la sociologie conomique Lise le Groupement de coop ration de recherches en action sociale et m dico sociale d le de France Grif qui rassemble plusieurs instituts de formation en travail social et le Centre d conomie sociale travail et soci t Cestes du Cnam gt Les diff rentes instances participatives sur les diff rents chelons territoriaux La participation des associations du secteur des personnes en situation de handicap gestionnaires ou d usagers aux politiques publiques les concernant participe galement de la probl matique de ce dossier Cette participation renvoie diff rentes d clinaisons territoriales nationale et d partementale ces derni res ann es avec un enjeu r gional plus fort partir de 2010 NATIONAL gt Le Conseil national Consultatif des Personnes Handicap es CNCPH Cr en 1975 le CNCPH est une instance nationale qui agit en lien direct avec le ministre charg des personnes handicap es Il doit assurer la participation des personnes handicap es l laboration et la mise en uvre des politiques les concernant Composition Le CNCPH qui se r unit au moins deux fois par an comprend 65 membres titulaires et 62 suppl ants dont 50 repr sentants e d associatio
28. ex explique qu en plus de ces temps officiels elles se concertent en amont afin de bien comprendre les enjeux et d changer leurs points de vue sur les sujets l ordre du jour Les associations font d abord pression pour un accueil adapt des usagers lequel entra ne une meilleure prise en charge du handicap En Loire Atlantique explique Michel Claude directeur d ITEP CDA le nombre de recours au tribunal des contentieux s est effondr car le dialogue avec la famille par notre entremise permet des compromis Les associations acc l rent la mise en uvre des projets dans l Indre leur pression a abouti au d m nagement de la MDPH dans des locaux plus accessibles au public en Eure et Loire c est une pla quette de communication sur la MDPH et une liste de m diateurs homologu s qui ont t r alis s en Loire Atlantique un guide bar me pour compenser le sut 26 05 09 14 11 20 co t des s jours de loisir adapt s a t labor En Eure et Loire les militants ont mis en d bat l valuation de la situation des demandeurs au del des l ments mesu rables comment prendre en compte le v cu des personnes Deux usagers qui ont le m me handicap n ont pas la m me histoire ni le m me niveau de vie si les professionnels en prennent connaissance ils peuvent adapter leurs explications et la solution propos e En Loire Atlantique on s attache la forme des refus plut t que d
29. handicap e au centre des dispositifs la loi du 11 f vrier 2005 provoque une profonde modification du paysage du handicap On assiste d sormais un vaste mouvement de d cloisonnement entre les institutions et le domicile d passant souvent les Copyright R seau Uniopss Uriopss Janvier 2010 10 a CU masse FEIM Congres LLC Les solidarit s l preuve de la crise int r t g n ral ou comp tition a 30 Congr s de l Uniopss 27 28 29 janvier 2010 fronti res traditionnelles du social et du m dico social Cet article rassemble les propos de chercheurs J sus SANCHEZ CTNERHI directeurs d tablissements acteurs du secteur m dico social Jo lle MARZIO Pascal SOLOGNY Emile BRUNEL Bernard GALY Rose Marie BALMES Laurence THABARET Jean Michel CHARLES Daniel REVENU Philippe CALMETTE qui t moignent de cette mutation gt Familles et professionnels au d fi du partenariat Marion LEOTOING revue TSA n 8 d cembre 2009 janvier 2010 p15 22 gt R sum Coop ration alliance partenariat Autant de concepts qui traduisent l ambition du secteur m dico social quant l am lioration des relations entre familles d usagers et professionnels Sa concr tisation d licate et complexe r v le l ampleur des progr s restant accomplir pr s de huit ans apr s la parution de la loi 2002 2 Les exemples de mise en place de partenariat dans deux institutions viennent compl ter cet
30. ionnelle Au Centre Ad la de Perrin nous avons eu la volont de promouvoir une culture de la personne au centre d un dispositif technique et humain mis au service de chaque individu modulable et adaptable chacun selon ses attentes ses besoins ses potentialit s En 2001 en supprimant la r union de synth se au profit des Projets Individuels d Accompagnement PIA l objectif a t de rompre d lib r ment avec une mani re de penser et de travailler qui avait le risque de placer la personne accueillie comme objet d tude et de SOINS La r union de projet qui associe la personne accueillie comme partenaire de l quipe permet de bouger les repr sentations qui sous tendent les pratiques En effet si l institution reste sourde la parole du sujet le pouvoir d agir de celui ci reste inexistant La mise en place des PIA est donc une occasion de repenser les pratiques professionnelles et de mettre la personne au c ur du dispositif d aide une place de sujet de droit comme le r clame la loi du 2 janvier 2002 et plus r cemment celle du 11 f vrier 2005 gt Le Groupe National Parents GNP de l APF Pour en savoir plus http www apf asso fr gt Description du dispositif Le Groupe National Parents GNP de l APF repr sente tous les parents d enfants handicap s moteurs ou polyhandicap s qui veulent se faire entendre et s engager au plan local d partemental r gional et ou national Son r le est
31. l accompagnement Cette recommandation a pour objectif de promouvoir des pratiques professionnelles permettant de concilier la vie en collectivit et la personnalisation de l accueil en envisageant les tensions entre l individuel et le collectif et en articulant ces dimensions En effet si la vie en collectivit peut constituer un v ritable apport pour la personne accueillie elle g n re aussi des contraintes diverses qui ne doivent pas remettre en cause l objectif d individualisation des prestations ni gommer les droits des personnes Cette recommandation conduit interroger les rapports entre l individu et le collectif au regard du projet d tablissement suivant trois parties e intimit vie priv e et personnalisation Copyright R seau Uniopss Uriopss Janvier 2010 12 au FEL masse FEIM cage tititik Les solidarit s preuve de la crise int r t g n ral ou comp tition a 30 Congr s de l Uniopss 27 28 29 janvier 2010 e l individu au sein de la vie collective e le cadre de la vie collective Elle met en vidence des points de rep re qui permettent de construire les articulations entre sph re individuelle et sph re collective De plus elle vient compl ter et pr ciser les recommandations portant sur Les attentes de la personne et le projet personnalis Ouverture de l tablissement et sur son environnement et La bientraitance d finition et rep res p
32. lture de la communication des sports du tourisme de la justice des collectivit s territoriales de la ville de la fonction publique du budget de l outre mer des affaires trang res et europ ennes de la d fense et des anciens combattants Son secr taire g n ral est plac aupr s du Premier ministre qui le nomme Pr parant les travaux et les d lib rations du comit le secr taire g n ral est charg de coordonner et de suivre la mise en uvre des d cisions qui y sont prises gt Texte disponible sur notre site internet Fiche n 52804 gt La participation des usagers et de leur famille exemples d outils et d exp riences La r flexion g n rale comme crite concernant la probl matique de la participation et du projet des personnes a progress depuis 5 ans jusqu son inscription m me dans les recommandations de l Anesm Sur le terrain les initiatives citoyennes se sont multipli es allant dans le sens du sur mesure et touchant divers domaines mise en place des CVS participation des personnes leur parcours de vie en structure pour enfant dans le logement dans le cadre de leur mancipation ou encore de la retraite 1 R flexions g n rales et crits sur la probl matique gt Les droits des usagers dans les tablissements et services d action sociale Les cahiers de l Uniopss n 18 Uniopss mai 2006 306 pages gt Pr sentation Sous l impulsion notamment du monde associatif la l
33. n foyer L atelier d mocratique ASH magazine n 24 novembre d cembre 2007 p 38 41 gt R sum Depuis la loi 2002 2 les conseils de la vie sociale sont obligatoires dans presque tous les tablissements et services du secteur Lieu d information et d change entre les usagers et la direction ils instaurent une nouvelle forme de participation d mocratique Cette institution est elle transposable partout en particulier avec un public pr sentant des d ficiences intellectuelles L exp rience men e dans un ESAT et un foyer du Puy en Velay Haute Loire montre que cela fonctionne condition de mettre en place des am nagements gt Diversification de l activit des tablissements et adaptation au parcours de l enfant Rapport final Pascale ROUSSEL Dominique VELCHE Editions CTNERHI avril 2007 69 pages gt Document disponible sur www ctnerhi com fr fichiers ouvrages Diversification Roussel Velche pdf R sum L objectif de ce travail tait d tudier comment les instituts m dico ducatifs IME et les instituts th rapeutiques ducatifs et p dagogiques ITEP les plus innovants cherchent atteindre les objectifs nonc s par les lois de 2002 et de 2005 en mati re d individualisation des prises en charge et d int gration en milieu ordinaire des enfants et adolescents dont ils ont la charge Une analyse de l volution r cente de l organisation de ces structures des prestations offertes des facteurs f
34. ns organismes locaux de s curit sociale parents d l ves Les repr sentants des associations de personnes handicap es occupent un quart des pos tes de la Commission ex cutive Comex instance politique qui g re la MDPH On y valide les orientations budg taires on y d bat du plan de travail pour l ann e venir des conventions entre la MDPH et les organismes partenaires Dans la Commission des droits et de l autonomie CDAPH si gent 7 repr sentants des associations de personnes handicap es 24 N 227 Mai 2009 UNION SOCIALE E 11049 US n 227 mai09 indd 24 Sam Albaric hi t a i i i k P 5 4 doivent y rester EE Un enjeu pour les associations am liorer l accueil des personnes et 2 d associations gestionnaires La CDA traite les demandes des usagers elle propose des solutions en fonction des handicaps du v cu et des moyens de la personne d cide de l attribution des aides etc Dans les textes donc les asso ciations ont une place importante dans les MDPH Qu en est il sur le terrain Un contre pouvoir politique Les repr sentants associatifs interrog s confirment la forte implication des asso ciations dans leurs d partements dans l Indre Maurice Hartmann AIDAPHI CDA rel ve une pr sence assidue aux r unions d instance qui se double d une vraie coute de la part des admi nistrations En Eure et Loire M Prier APF Com
35. ns regroupant les personnes handicap es ou leurs familles e d associations ou organismes uvrant dans le domaine du handicap Le ministre charg des personnes handicap es nomme e le vice pr sident pour 1 an renouvelable une fois parmi les repr sentants des associations ou organismes regroupant les personnes handicap es ou leurs familles Source Minist re de la Sant et des Solidarit s R cemment divers arr t s ont pr cis la composition du Conseil national consultatif des personnes handicap es en dressant la liste des associations ou des organismes repr sent s et en nominant leurs repr sentants Le Pr sident et le Vice Pr sident du CNCPH sont respectivement Messieurs Patrick Gohet et R gis Devoldere Source Arr t du 5 octobre 2009 fixant la liste des associations ou organisme repr sent s au Conseil national consultatif des personnes handicap es JO du 06 10 09 Textes disponibles sur notre site internet Fiche n 52226 Copyright R seau Uniopss Uriopss Janvier 2010 5 a CU masse FETE Congres LUN Les solidarit s l preuve de la crise int r t g n ral ou comp tition a 30 Congr s de l Uniopss 27 28 29 janvier 2010 DEPARTEMENTAL gt Conseil D partemental Consultatif des Personnes Handicap es CDCPH Le CDCPH est une instance charg e de se prononcer sur les orientations de la politique du handicap mise en uvre sur le plan d partemental Son b
36. oi du 2 janvier 2002 a souhait mieux affirmer les droits des personnes accueillies ou accompagn es par les tablissements et services sociaux et m dico sociaux Plus de cinq ans apr s presque tous les d crets d application ont t pris sur le sujet Pour une mise en uvre associative des droits des usagers ce cahier refait le point sur ce volet de la loi r novant l action sociale et m dico sociale e Quels sont les droits des personnes accueillies ou accompagn es e Quels sont les diff rents instruments destin s les mettre en uvre Cet ouvrage propose par ailleurs des outils pratiques tels que des trames de r glement de fonctionnement de contrats de s jour etc gt D marche participative Usagers une place encore conqu rir dans l valuation revue ASH n 2583 2584 28 novembre 08 p 43 46 gt R sum Bien que plac e au rang d imp rieuse n cessit par le l gislateur la participation des usagers l valuation des services qui leur sont rendus reste encore tr s modeste dans le champ social et m dico social Pris en tau entre l histoire du secteur et les contraintes manag riales les acteurs sociaux peinent investir ce d bat o se jouent de nouvelles exigences d mocratiques et citoyennes gt Sortir du pr t porter pour accompagner sur mesure les personnes handicap es Michel PAQUET revue ASH n 2514 2515 29 juin 2007 p 43 45 D R sum En pla ant la personne
37. our la mise en uvre Une lettre de cadrage accompagne la parution de cette recommandation et en rappelle la probl matique les enjeux et le champ tout en d finissant le cadre m thodologique et pr sentant les questions qui ont t l origine de cette publication Les r sultats de l tude qualitative men e de septembre 2008 mars 2009 en amont de la r daction de cette recommandation ainsi qu une bibliographie sont galement mis disposition sur le site de l ANESM gt Les attentes de la personne et le projet personnalis Recommandation de bonnes pratiques professionnelles ANESM d cembre 2008 47 pages gt Document disponible sur http www anesm sante gouv fr Extrait des pages 9 10 et 11 3 le contexte et les enjeux 3 1 Le renforcement des droits des usagers Et plus sp cifiquement Le droit de participation directe de l usager ou de son repr sentant l gal la conception et la mise en uvre du projet d accueil et d accompagnement qui le concerne 3 3 Un confusion s mantique Le terme de projet personnalis a t retenu dans cette recommandation pour qualifier la d marche de co construction du projet entre la personne accueillie accompagn e et son repr sentant l gal et les quipes professionnelles 4 Les objectifs de la recommandation JLa recommandation s inscrit dans cette finalit en proposant d adopter une posture d alliance supposant un crois
38. particuli rement point l enjeu de construction de positions communes notamment pour la repr sentation du secteur dans les nouvelles instances r gionales en lien avec la mise en place des ARS Extraits de la charte de la repr sentation des personnes handicap es et de leurs familles dans les diff rentes instances nationales r gionales et d partementales Comit d entente La loi HPST cr e quant elle un nouvel chelon au niveau r gional pour la mise en uvre des politiques publiques concernant fortement les personnes handicap es et pour lesquelles elles sont appel es tre repr sent es au sein des agences r gionales de sant et conf rence r gionale de la sant et de l autonomie notamment Dans ces conditions la repr sentation associative se doit d tre encore plus que par le pass garante de la prise en compte des besoins de toutes les personnes en situation de handicap et de leurs familles quelles que soient leurs d ficiences Elle doit par ailleurs veiller ce qu aucune minorit ou aucune sp cificit ne soient exclue Copyright R seau Uniopss Uriopss Janvier 2010 T rz FEL masse FEIM kitti Les solidarit s preuve de la crise int r t g n ral ou comp tition a 30 Congr s de l Uniopss 27 28 29 janvier 2010 Article 1 De l int r t du travail et des actions inter associatives Article 2 Organiser la repr sentation associative des
39. pour que soit reconnu leur projet de vie et que les r ponses n cessaires sa r alisation leur soient apport es J ai retenu de mon exp rience deux exemples la mise en place du projet d habitat service du quartier Gate Argent Angers conduit avec l AFM En 1991 un groupe de personnes adultes atteintes de maladies neuromusculaires a mis le souhait de r fl chir une autre solution de vie que l tablissement m dical VIENT DE PARAITRE Faire soci t Les associations de solidarit par temps de crise Sous la direction de Robert Lafore Ed Dunod Uniopss 2010 Copyright R seau Uniopss Uriopss Janvier 2010 18 Utiles en MDPH les associations Tr s pr sentes dans les instances des MDPH les associations n y jouent pas toujours le r le qu elles ambitionnent Mais dans nombre de cas elles r ussissent obtenir une meilleure prise en charge des usagers un maintien des moyens malgr le d sengagement de l tat Avec la remise en cause du statut des MDPH c est cette place qu il leur faudra d fendre a loi handicap de f vrier 2005 a cr les Maisons D partementales des Personnes Handicap es MDPH sous la forme de Groupements d Int r t Public GIP Ce sont donc des personnes morales part enti re non des admi nistrations leur statut juridique permet la concertation entre des acteurs aussi divers que d partement syndicats asso ciatio
40. rd des deux lois majeures Rappel les deux lois majeures qui encadrent le secteur des personnes en situation de handicap Loi 2002 2 et Loi 2005 1002 ont remis en exergue les principes cl de la participation des personnes et du projet de vie personnalis Le dossier s applique les cerner plus pr cis ment et pointe deux articles de professionnels allant dans ce sens gt LOI n 2002 2 du 2 janvier 2002 r novant l action sociale et m dico sociale Journal officiel du 3 janvier 2002 124 pages gt Extrait e Chapitre ler Principes fondamentaux o Section 2 Des droits des usagers du secteur social et m dico social L article L 311 3 du code de l action sociale et des familles est ainsi r dig Art L 311 3 L exercice des droits et libert s individuels est garanti toute personne prise en charge par des tablissements et services sociaux et m dico sociaux Dans le respect des dispositions l gislatives et r glementaires en vigueur lui sont assur s 7 La participation directe ou avec l aide de son repr sentant l gal la conception et la mise en uvre du projet d accueil et d accompagnement qui la concerne o Article 8 L article L 311 4 du code de l action sociale et des familles est ainsi r dig Art L 311 4 Afin de garantir l exercice effectif des droits mentionn s l article L 311 3 et notamment de pr venir tout risque de maltraitance lors de son accueil dans un tablissement ou
41. rs presse quatre ans apres loi du 11 fevrier 2005 bilan etape html gt R sum Le gouvernement remet un rapport au Parlement sur la mise en uvre de la politique du handicap 4 ans apr s le vote de la loi du 11 f vrier 2005 pour l galit des droits et des chances la participation et la citoyennet des personnes handicap es gt Utiles en MDPH les associations doivent y rester revue Union sociale n 227 Uniopss mai 2009 p 24 25 gt Voir l int gralit de cet article disponible en annexe gt Chapitre 12 Personnes handicap es et personnes g es La mise en uvre de la loi 2005 quatre ans apr s Issu de l ouvrage enjeux politiques Rentr e sociale des associations sanitaires sociales et m dico sociale 2009 2010 Uniopss septembre 2009 p 122 126 gt Les limites de la nouvelle politique du handicap Issu de l ouvrage l ann e de l action sociale 2008 G rard ZRIBI Pr sident d Andicat et Vice pr sident d Arfi Europe Ed Dunod f vrier 2008 p 111 119 gt Chapitre 12 Les MDPH le pari de la gouvernabilit d un risque d centralis Issu de l ouvrage l ann e de l action sociale 2009 G rard BERNHEIM Vice pr sident du Conseil g n ral de Seine et Marne charg des solidarit s Christine DUPRE Directrice de la MDPH 77 Ed Dunod f vrier 2009 p 105 114 gt D cret n 2009 1367 du 6 novembre 2009 portant cr ation du comit interminist riel
42. s la participation peut elle prendre deuxi me partie comment l environnement peut il contribuer une participation de qualit chez les personnes ayant une d ficience intellectuelle troisi me partie quelle responsabilit sociale choit aux personnes faisant partie de l environnement de la personne handicap e et cette derni re quelle implication attendre des pouvoirs publics et politiques quatri me partie quelles perspectives les connaissances actuelles peuvent elles ouvrir conclusion En raison de l abondance de textes ils sont r partis entre un ouvrage papier et un CD Rom Le livre pr sente les tudes scientifiques et les textes portant sur les approches conceptuelles du paradigme de participation Les textes rassembl s sur le CD Rom traitent des services ou des dispositifs des pratiques professionnelles des t moignages des recherches en projet gt Droits des usagers et citoyennet R el contre pouvoir ou collaboration aseptis e Un nouveau pouvoir ou une autonomie mise en pratique revue Empan n 64 Editions Er s 2007 gt R sum Ce num ro a pour objet de s interroger sur l volution r cente des droits des usagers et sur leur impact dans le champ du social et du m dico social de ses acteurs et de ses pratiques Apr s une r flexion sur les notions de dignit citoyennet droits des usagers ce dossier donne la Copyright R seau Uniopss Uriopss Janvier 2010 11
43. ssionnels des commissions r gionales qu il anime en Bourgogne et les formations qu il a conduites sur cette question Son article vise resituer le sens et la place du projet personnalis dans les tablissements et services pour personnes handicap es gt Penser la participation en conomie sociale et en action sociale Marcel JAEGER Brigitte BOUQUET et Jean Fran ois DRAPERI Dunod 2009 272 p gt R sum La participation renvoie un mod le de soci t qui prend ses distances avec la division du travail et la soci t salariale Elle red finit les principes pr sidant l action publique Et pour l action sociale l assistance tant jug e trop passive et l tat providence engendrant trop l assistanat une l gislation instaurant la participation entend lui substituer un mod le Copyright R seau Uniopss Uriopss Janvier 2010 a CU masse FEIM LLC Les solidarit s l preuve de la crise int r t g n ral ou comp tition e 30 Congr s de l Uniopss 27 28 29 janvier 2010 d appartenance plus actif plus individuel et mieux ma tris par chacun Pour autant quelle est la r alit de la participation Comment comprendre sa notori t et v rifier sa pertinence Peut on r inventer une nouvelle citoyennet gr ce la participation et si oui comment et dans quel cadre La participation ne cache t elle pas un nouveau projet normatif par une conomie lib rale dominante C
44. t de la CNSA http www cnsa fr Lors de sa s ance exceptionnelle du 20 octobre 2009 le conseil de la CNSA a lu son nouveau pr sident Francis IDRAC Il a par ailleurs renouvel Janine DUJAY BLARET et Jean Marie BARBIER comme vices pr sidents repr sentant respectivement les associations de personnes g es et celles repr sentant les personnes en situation de handicap et leur famille Source Discours et communiqu s de presse de la CNSA gt Documents disponibles sur notre site internet Fiche n 52441 REGIONAL gt Le Comit d entente Au niveau national le Comit d entente des associations repr sentatives de personnes handicap es et de parents d enfants handicap s est un regroupement informel de 67 associations nationales anim par lUnapei Cette instance permet aux associations de d finir une strat gie commune vis vis des diff rents financeurs du handicap Plus largement il constitue un interlocuteur important des pouvoirs publics Au niveau r gional le Comit d Entente pourrait avoir une d clinaison r gionale partir de 2010 De fait des r unions ont lieu en r gion la demande des grandes f d rations relay es par leur chelon r gional APF UNAPEI et partir de la charte nationale du comit d entente voir ci dessous Elles pr sident la pr paration et la mise en place de ce Comit d Entente R gional en r gion Les URIOPSS peuvent tre associ es aux d marches et il est plus
45. tariat d Etat la solidarit Ed La documentation fran aise f vrier 2009 130 pages gt Disponible sur le site www ladocumentationfrancaise fr Copyright R seau Uniopss Uriopss Janvier 2010 8 a CU masse FEIM Congres LLC Les solidarit s l preuve de la crise int r t g n ral ou comp tition 30 Congr s de l Uniopss 27 28 29 janvier 2010 gt R sum La loi n 2005 102 du 11 f vrier 2005 pour l galit des droits et des chances la participation et la citoyennet des personnes handicap es pr voit dans son article 3 que le Gouvernement d pose sur le bureau des assembl es parlementaires l issue des travaux de la Conf rence nationale du handicap apr s avoir recueilli avis du CNCPH un rapport sur la mise en uvre de la politique nationale en faveur des personnes handicap es article L 114 2 1 du code de l action sociale et des familles Tel est l objet du pr sent rapport qui fait suite la premi re Conf rence nationale du handicap qui s est tenue le 10 juin 2008 conform ment aux dispositions pr voyant la tenue de cette conf rence tous les trois ans gt Quatre ans apr s la loi du 11 f vrier 2005 le bilan d tape Dossier de presse Minist re du travail des Relations sociales de la Famille de la Solidarit et de la Ville 13 f vrier 2009 8 pages Disponible sur le site http www travail solidarite gouv fr actualite presse dossie
46. tiative en 2006 de conduire une recherche action pour une mise en r seau de Ressources Coordonn es au service des MDPH De quoi s agissait il L objectif principal tait de contribuer l am lioration des processus d accueil information valuation orientation des personnes en situations de handicap en vue de faciliter leur parcours vers l emploi L originalit de la recherche action a tenu aux l ments suivants e L entr e des personnes en situations de handicap dans une action ne s est pas faite partir d un statut mais d une demande e La mise en uvre des actions a t construite avec l implication des personnes concern es qui ont galement t associ e leur valuation Par exemple dans deux d partements le Morbihan et le Pas de Calais il y a eu une co intervention de professionnels et d usagers dans des formations destin es des agents de MDPH e L coute de personnes en situations de handicap comme pr alable au d marrage des actions dans la majorit des d partements et la constitution de groupe d usagers qui ont apport leur point de vue en d passant leur situation particuli re Dans le d partement de la Loire par exemple la commission des usagers a t associ e des r unions sur le th me Comment d finir un accueil de qualit e Des actions men es non pas au nom d une structure mais au titre d un r seau d acteurs coordonn s et qui acquiert de ce fait une cr dibilit sur le
47. ut recenser les personnes handicap es formuler des propositions pour am liorer la situation locale Il soumet chaque ann e au CNCPH une valuation qui contribue la r flexion nationale Source Minist re de la Sant et des Solidarit s gt La Maison D partementale des Personnes Handicap es MDPH un lieu unique d accueil La MDPH a 8 missions principales e Elle informe et accompagne les personnes handicap es et leur famille d s l annonce du handicap et tout au long de son volution e Elle met en place et organise l quipe pluridisciplinaire qui value les besoins de la personne sur la base du projet de vie et propose un plan personnalis de compensation du handicap e Elle assure l organisation de la Commission des droits et de l autonomie des personnes handicap es CDAPH et le suivi de la mise en uvre de ses d cisions ainsi que la gestion du fonds d partemental de compensation du handicap e Elle re oit toutes les demandes de droits ou prestations qui rel vent de la comp tence de la Commission des droits et de l autonomie e Elle organise une mission de conciliation par des personnes qualifi es e Elle assure le suivi de la mise en uvre des d cisions prises e Elle organise des actions de coordination avec les dispositifs sanitaires et m dico sociaux et d signe en son sein un r f rent pour l insertion professionnelle Elle met en place un num ro t l phonique pour les appels d urgence et une quip
Download Pdf Manuals
Related Search