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jzsïïsl. journal de jurisprudence et des dérats judiciaires.
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1. S N i i qe te a a puy 23 JUIN 1860 peee TTE DES TRIBUNA JOURNAL DE JURISPRUDENCE ET DES D BATS JUDICIAIRES AB ONNEMENT pans ET LES D PARTEMENTS Un an 72 fr ie ne Lois 36 fr Trois mois fr gis mo TRANGER ah en sus pour les pays sans Er a change postal Sommaire CE avite Cour de cassation ch des requ tes Ruisseau jouissance des eaux convention nterpr t tion Caution d ch ance d action contre allez perte de garantie n gligence du cr ancier fe Servitude action pour la faire reconna tre elle ne peut contre le propri taire actuel elle ne j rio e e tre dirig e qu 24 atteindre le vendeur du fond Action posses stice C i Bulletin Le Soir cumul Assurance contre l incendie r solu tion facultative pour l assur de son engagement juge Je paix comp tence Cour de cassation ch civile palletin Testament olographe renvoi non dat va jidit Reddition de compte jugement refusant de l ordonne appel ex cution de l arr t infirmatif Cour imp riale d Orl ans 1 ch Succession d un filli droits de mutation non privil ge du Tr sor droits ant rieurs des tiers Tribunal civil de la geine 4 ch Contrefa on l tranger transit en france J shc ohiineese Cour d assises de la Marne Ten nive de meurtre Cour d assises du Finist re Vol
2. incendie de r coltes m Il Conscil de guerre de Pa ris Tentative d assassiet sur un Sup rieur condam nation mort H JUSTICE ADMINISTRATIVE RAEM PAU 2 Fe Clermont Tonnerre contre le pr fet de l Eure rivi res non navigables ni flottables autorisation de flottage ans un int r t priv r gime des eaux non modifi droits de police de l administration sur les cours d eau lt non navigables ni flottables exc s de pouvoir de la clause de suppression sans indemnit en tant qu elle s applique tous travaux d utilit publique jurispru dence nouvelle CHRONIQUE td PORN ER RE mt tr cmt mme JUSTICE CIVILE COUR DE CASSATION chambre des requ tes Pr sidence de M Nicias Gaillard Bulletin du 27 juin RUISSEAU JOUISSANCE DES EAUX INTERPR TATION CONVENTION deux riverains l un sup rieur l autre inf rieur ont fait Mentr reux une convention et qu ils ne se sont pas plus tarltrouv s d accord sur l ex cution les juges saisis de ila contestation ont pu fixer le mode de cette jouissance par interpr tation de la convention On ne peut pas leur reprocher bon droit d avoir substitu un r glement deau arbitraire celui qu avaient fait les parties et qui formait leur loi alors que de leur d cision il r sulte vi EC 1 nio demment qu ils ont d en l tat de la cause qui leur tait Loque pour la jouissanc
3. Plaisanterie 4 D p 4 P ch rent de fair e v z r pondu avec vivacit Va t en bien s AV 4 cela ne te regarde pas f pre re connais pas le chasseur Picard et je ne me avoir charg mes armes ns 5 a met vous laisser persister dans un r sident Le donner le conseil de revenir vos d clarations et c est en reconnaissant votre crime rimant le regret de l avoir commis que vous pourrez p elque int r t o e ee a et i p ut tr dur acha sident Voici une circonstance qui peut tre aura ns votre esprit le brigadier Darnis votre j plao ba a parl en patois et dans un langage ner Le a fait comprendre vos torts vous lui avez re pair gee istolet pis Un P 4 C est possible je ne me le rappelle pas patent ident Puisque vous persistez ne pas vouloir M He faute nous allons entendre ies t moins mar chal des logis d pose ainsi Le 18 mai der heures et demie ou sept heures du soir je me chambre que j oceupe en compagnie du ma Lacombe Favrot y entra et nous dit qu il quederchasseur Tabouriech avait charg pistolets pour le tuer Quoique Favrot nous e t ra s a chose presque comme une plaisanterie je me levai co t tivement pour aller voir si cela tait vrai Je trouvai inst ie ia chambre le chasseur Tabouriech dont le main a porta figure annon aient un mauvais dessein Je lui de tien Megi voulait et en m me temps je memis de mandai m
4. RATRICE Aujourd huijeud den 2 010 comptant 96 55 Lu DT mine ral denat du l si Dat en ran i 96 55 nom PEL akeat clown anglais Edwards d but de Ma Thompson CUVE 4 12 ancien compt passa enr VE ARE anghaise d but de Romulus cheval dress en libert q n 4 010 comptant 87 ON SE He du Br silien Mano l d but de Mi Elisa Massotta n Banque de France 12783 CRE AE CS _ D c p aeea EE PROTA CT RQ 1 OQ 7 ACTIONS SI ECTACLES DU 28 JUIN EU O a E i Dern cours Dern cours Fran ais Le Duc Job Fe 4e comptant comptant Op ra ComiQue Fra Diavolo les D sesp r s AU hors edit i S wi ke RS AMENER x 50 Tn arre Lyrgue Gil Blas Pedit mobilier 19 Aulrichiens 53 Cami IDE z Le Roman d un jeune homn y pauvyr Comptoir d escompte 652 50 Victor Emmanuel 415 V r x ean N La Fille du Di bia LRU T T Orl ans tear anA at 18405 Russes s oia ara m de Fe LE PRE E OA Nord anciennes 983 75 Saragoss 530 i sE Les Pattes de mouche Jeanne qui pleure nouvelles 810 Romains MARRE 347 50 Parars Royar Les Trois Fils de Cadet Roussel A E A one 597 50 Sud Autrich Lombards 502 50 Porte Sarnt Martrn Le Gentilhomme de la Montagne Lyon M diterre 877 50 Caisse Mit s 280 Awmiou Le Juif Errant mr EP L ai suit Rivoli Et de 15 Garri Rel che Juesl 4 1 067 Br s
5. ligne ar dom pr s le Conseil Voici le rapport de tient lieu d acte d accusation port qui Le chasseur Tabouriech qui est d j un vieux Soldat trouvait le 18 mai dernier exempt de service pour cause i maladie Par ordre du docteur il devait garder la chamb a mais au lieu de suivre l avis d m decin il s esquiva et te alla boire dans plusieurs cantines o il se grisa en co i gnie du chasseur Bl try A midi ces deux hommes Sr ii r rent 3 pa Vers deux heures l officier de peloton ayant remar le harnachement d Tabouriech n tait pas en tat des reproches au mar chal des logis Favrot qui r primanda fortement le chasseur et vu l tat celui ci se trouvait quoique port malade il lui i tre jours de salle de police Ce ne fut que v rs six heures dit soir que Tabouriech fut pr venu de la punition prononc e par le sous officier ot Aussit t il manifesta un vif m contentement d clara qu il ne ferait pas la puni ion et il ajouta avec le ton de l menace ces paroles Et nous allons voir On ne fit aucune atten tion cette menace mais Tabouriech dont la t te s chauffs de plus en plus monte da s sa chambre prend descartou ches dans la giberne d un camarade et charge ses deug pisto lets Sur ces entrefaites le chasseur Picard entre dans la cham bre voyant son camarade de lit Tabouriech man uvrer seg pistolets en prend un et reconnait qu il est charg et arm Etonn de ce fait
6. opposa aucune r sistance au sieur Fert qui le renversa d un coup de poing et bient t apr s se tier Les deux blessures que la fille Fertavait re ues au niveau des deux vert bres cervicales de chaque c t dela colonne GAZETTE DES TRAUNAUX DU 28 JUIN 1860 couri traitement la fille Feri ste travaux Tr sale Fi an i de aprendes cesblessures ne fussent mortelles DE te j na y P 3 re A one la diregtion et l nombre d s Oups des paroles Mena antes q i les avaient accomp gn s tout r v le une volont homicide Devaux au ai plus Wa pas dissimul ses intentions Apr s l ex cution dibcriMe il disait au sieur Piers n 4 Je viens de donner wols coups de couteau ma blonde et je wen ai pas de regrets Un instant apr s il d clarait devant le sieur Delaitre Jeui ai port deux coups de couteau et je ne nt en wepens pas Si jelne l ai pas th e Cest que je wai pas pu he reusement pour elle elle t nait s n enfant dans ses bras s il en e t t autrement au lieu de la frapper par derri re je l aurai frapp e dans l estomac Devant le commissaire de police il tenait le m me lan gage t if ajoutuit L id e de lui donner la mort ne m est venue qu au moment o je lui ai port les deux Coups de couteau Enfin devant le juge d instruction il a repete que le refus de la fille Fert de le suivre Ch lotis CTSES r ponses s ches Pavaicii exasp r et quete ta
7. ai Le t moin Je n y ai pens que quand j ai t dans ma Ce que vous dites l tait je fus ant le logement des sous x pistolets arm s Je m appro el tait son projet en s armant arde pas dit il allez vous en urs fois avec un ton si menacant autre explication x Et vous n avez pas eu l id e de le DIT 28 JUIN 4859 passa le 27 avril dernier me char suis rev sur mes je lai PATES e oenar mes as et alors je l ai entendu aerie Il faut que cela soit et je le ferai C est dans ce moment qu il a l ch la d tente et la capsul clat sans faire partir le coup Dr jee r COUP i penin Savez vous contre e t moin Contre le mar chal des logis Favr j pronon ait le nom d un ton aaant EEIE ATR A Les autres t moins reproduisent les m mes faits M Boutroy substitut du commissaire imp rial apr s avoir 25 sommairement les circonatances du crime reproch Tabouriech tablit que cet attentat contre la vie d un sup rieur t pr m dit longtemps avant son ex cution Bien que la capsule ait seule pris feu et que le coup d t tre tir travers la porte il est manifeste que Tabounech a voulu douner Ja mort Du moment o ila l ch la d tente de son arme il n tait plus ma tre du coup il ne lui tait plus pos sible de d tourner le projectile et si Dieu avait permis que l arme du coupable partit nous savons sur qui la d charge aurait port Ra En terminant
8. cette rivi re par application de la loi du 14 flor al an XI relative aux cours d eau non nhvigables ni flottables Consid rant que notre ministre de l agriculture du com i merce et des travaux publics et notre ministre des finances reconna ssent que le Roulois n est pas un cours d eau d p adant du domaine public Que dans ces circonstances le pr fet du d partement de l Eure a exc d ses pouvoirs en imposant au duc de Cler mont Tonnerre une redevance au profit de l Etat raison de la prise d eau d irrigation qu il a t autoris tablir En ce qui touche la disposition de l arr t attaqu qui port que le permissionnaire ne pourra pr tendre aucune indemnit dans le cas o pour l ex cution de travaux dont l utilit publique aura t l galement constat e l adminis tratidn reconnaitrait n cessaire de prendre des mesures qui le priveraient d une mani re temporaire ou d finitive de tout bu partie des avantages r sultant de la permission Consid rant qu il r sulte de ce qui pr c de que la rivi re le Raulois n est ni navigable ni flottable Consid rant qu en autorisant le duc de Clermont Ton nerr tablir une prise d eau en vue de l irrigation de prai ries qui bordent cette rivi re l administration n a fait qu u ser d pouvoir de police des eaux qui lui appartient l gard des cours d eau non navigables ni flottables 3 Que si en accordant cette auto
9. comme suspendu par le sommet et ils pensaient avoir encore quelques coups de pioche donner pour d gager compl tement la base afin de d terminer plus promptement la chate de la masse par le seul effet de la pesanteur Tout coup l un d eux remar qua un mouvement d oscillation dans la masse il s loi gna aussit t en criant Sauvons nous sauvons nous Trois de ses camarades le suivirent en toute h te et fu rent bient t t hors de danger avec lui mais le quatri me moins prompt et paraissant h siter sur le parti qu il avait prendre resta la m me place et au m me instant le bloc se d tachant enti rement du haut tomba sur lui et l ensev lit sous les d combres Imm diatement apr s l boulement les quatre ou vriers qui s taient loign s temps et d autres qui se trouvaient dans le voisinage accoururent et s occup rent sur le champ de d gager leur camarade le travail de sauvetage fut pouss avec une louable ardeur et en moins d un quart d heure on put d couvrir et retirer l ouvrier des d combres malheureusement il ne donnait plus d j aueun signe de vie et un m decin appel a reconnu qu il portait plusieurs graves blessures qui avaient d en trainer la mort dans les premiers instants La victime est un sieur Nicolas Fentchi g de cinquante deux ans il laisse une femme et deux enfants L administration du chemin de fer a fait transporter le cadavre dans
10. des lieux Du sieur LACOSTE Pierre entr emeurant epsem enregistr Paris le m me jour fo o il s exploite i nomm e audit acte simple com ble Paris 43 rue d Orl ans il ap en j uanditaire ont form pour l ex pert Qu u toirs dessins montres elt ploitation du commerce de com tif a t form e entre les parties SR IMPRIMERIE DE A GUYOT RUE NEUVE DES MATHURINS 18 Pour extrait Certifi l insertion sous le n E BUISSON F VORBE G VORBE Scipion Joseph Crapet et Jules Eug ne LAFAURE place du Caire 33 aaa aaa FR a CRE EA syndic provisoire Ne 17265 du gr ASSEMBL ES DU 28 JUIN 4860 Du sieur TURELLE Pierre fabr de TRIBUNAL DE COMMERCE aep demeurant Paris rue NEUF HEURES a Gallet et Q des Amandiers 440 ci devant Belle let n g rede ata van ve ville nomme M Binder juge com Casso et C e n g en vins id missaire et M Lefran ois rue de px HEURES Poitevin tailleur 0 Ys ARN Grammont n 16 syndic provisoire Gr sillon boulanger id Morel AVIS N 17266 du gr et C charbons de la Vill r Les cr anciers peuvent prendre Bu sie r GASTINEL n g demeu ls A At Se gratuitement au Tribunal commu Tant Paris rue de Paris 39 ci de k AP rad z se tonte nication de la comptabilit des fail Vant Belleville nomme M Binder bonneterie redd de compte DIX HEURES 112 Bo
11. et y arr t rent Ledue de qui Faure avait d clar tenir les pierres on saisit au do micile de cet individu quarant pierres de diverses gros seurs et couleurs Par Leduc on eut un troisi me individu lenomm Des ferri res au domicile duquel n saisit deux topazes qua tre pierres rouges des reconnaissances du Mont de Pi t dont une constatant l engagement au Mont de Pi t d un lot de pierres enfin vingt deux lettres desquelles il r sul tait qu il vivait en partie aux d pens d une fille Elisa Teys set sur la porte du logement de Des erri res on lisait Achat de reconnaissances du Mont de Pi t Elisa Teysset qui se dit chanteuse comique interrog e d clara avoir vu entre les mains de Desferri res des pier res jaunes violettes grenat vertes des cornalines et des perles blanches mais jamais de faux brillants elle afirma n avoir jamais rien su des engagements de faux diamants fait par son amant au Mont de Pi t Ell d clara qu elle le connaissait depuis fort longtemps qu elle avait t s par e d lui pendant dix huit mois temps pass par Jui la prison de Melun par le fait d une condamnation pour escroquerie Pendant ces dix huit mois elle tait all e chanter dans diff rents caf s concerts de province et de Paris et avait envoy de largent Desferri res apr s sa sortie de prison C est dans cette maison centrale que Desferri res a fait connaissance avec Faure
12. il demande l accus quelles taient ses intentions Tabouriech r pond s chement Cela ne te re garde pas Retire toi il est temps d p chons Ces paroles entrecoup es inspir rent des craintes Pia qui soupconnant quelque mauvais dessein dans l esprit de Tabouriech courut en rendre compte au mar chal des logis Favrot Celui ci tout en donnant l ordre de mettre Tabouriech en prison se retira dans la Ch mbre des sous officiers ses coll gues Aussit t le mar chal des logis Schnabel sortit pour aller voir ce qu il pouvait y avoir de vrai dans le ra pport du chasseur Picard En ouvrant l port il aper oit Tabouriech dont le visage d compos et tout boulevers lui d montre que ce militaire est en proie une tr s Vive motion et qu il peut en effet m diter un crime Il se rappelle qu il y a moins d une demi heure que Tabouriech est venu demander Fa vrot dans la chambre videmment c est ce sous officier qu il en veut Tabouriech ayant entendu la voix de Favrot l int rieur marche vers l Chambre mais Schnab l et le mar chal des logis Lacombe se jettent en avant de l accus pour li barrer le passage Lacombe rentre et pr vient Favrot Tabouriceh qu que adressa SON tour datis lequel nfligea qua qui est dou d une force sup rieure se pr cipite sur l porte et la pousse fortement pour ntrer tandis qu l int rieur on la retient ferme Dans ce moment Fa
13. injurieux et encore bien Mhrs davantage de leleur prouver en les battant C est cependant ce qu a fait M Alonzo Un matin vers cinq heures il aper oit snr les Foss s un jeune homme nomm Gontran Celui ci passait son chemin lorsqu il voit une de ses connaissances causant avec M Alonzo Ge dernier dit cette personne en par Ventes immobili res AUDIENCE DES CRI ES MAISON A BONDY Etude de Me SAHNT AWA HD avou Paris ge des Petits P res 2 Vente en l audience des cri es du Tribunal ti vil de la Seine au Palais de Justice Paris deux heures de relev e le mercredi 18 juillet 1860 D une MAISON ct ses d pendances consis tant en communs cours et jardins sise Bondy pr s Paris rue Saint M d rie 9 Mise prix 8 000 fr S adresser pour les renseignements M SAIYVT AVSANED avou Paris pas sage des Petits P res 2 Me Poupinel avou I rue Croix des Petits 0hamps 35 Me Le let 1860 passa TERRAIN A PARIS Etude de Me DEGOURNAY avou Paris Vente aux cri es de la Seine le samedi 7 D un TERRAIN Paris section de Mont martre 18 arrondissement au lieu dit les Cloys ou chemin des B ufs contenant 6 ares 15 ceniares environ d pendant de la succession du feu sieur Croiset Mise prix 3 600 fr S adresser pour les renseignements lo Audit 84 BEGHUR YAY Moreau avou Paris ru
14. l administration prend ail pour la police et la r partition des eaux de la rivi re des onn res nouvelles qui priveraient le permissionnaire en pa en partie du b n fice de celte permission l se aE t es r serves de police que l administration peut prendre lor s intervient en vertu de ses pouvoirs sur la r glemen ur les cours d eau non C est la publicit qu elle tation des barrages el prises d eau navigables ni flottables cisions antes les premi res tous les Ces d cisions importantes les premieres pour e riverains du cours de l Iton les sermadi PE tou cie usagers des cours d eau non navigables ni totta es aeh intervenues dans une esp ce que fait suffisamment tre le texte scr t ci apr s na tre le texte du d cret PREN D NT Mais nous devons surtout appeler l attention de Saka A teur sur la suppression de la clause qui MN ET Lu nor ladministrationet le Conseil d Etat IE admise par ladminis Le Mit M dot Mr s r glements d usines et de prises tant que les r glemer Pr Lo ps i 4 faito par actes souverains et en vertu i sation ont t faits par actes souve z KA gr laquelle toute entreprise d utilit publique po ee i k i 44 Pps Q N aS supprimer sans indemnit les barrages d usines e p rt ses d eau d irrigation i ei M C est pour la premi re fois que cette ne eare z est formellement et radicalement EIRE ja ue crets rendus par l Empereur en son Conseil i doctrine nouvel
15. les investigations les plus actives ne put tre constat e en aucun lieu n avait quitt sa maison le 30 janvier que pour se pr cipiter dans la Loire o son cadavre fut en effet retrouv le 3 mars suivant n an moins au point de vue l gal aucune certitude de son d c s wayant t acquise ant rieurement c est ce jour Clement qu ce d s peut tre plac La Gazette des Tribunaux a rendu compte cette po que de ces tristes circonstances qui ne sont rappel es en ce moment que parce qu elles sont le point de d part des questions jug es par l arr t de la Cour Tous les h ritiers de M Varnier Roger ont le 19 juil let 1859 renonc sa succession qui est aujourd hui en core en tat de vacance et repr sent e par un curateur Le 44 du m me mois de juillet suivant proc s verbal dress par M le juge commissaire la faillite Varnier Roger il avait t reconnu qu il ne pouvait y avoir de concordat en cons quence les cr anciers se sont trouv s de plein droit constitu s en tat d union D s le 41 mai 1859 suivant exploit de Lefranc huis sier Orl ans administration de l enregistrement a for m entre les mains de M le receveur g n ral du Loiret pr pos la Caisse des d p ts et consignations une op position sur toutes les sommes qui lui avaient t lors vers es o lui seraient vers es dans la suite pour le compte de la faillite de M Varnier Roger et provenant de
16. notaire Paris d positaire des titres et du cahier des charges OR SPC AU ECTS TS LEON Er 914 Soci t s commerciales Fai llites Publications l gales nE t pr senter leurs titres et les d poser contre un COMPAGNIE DES CHENINS o FER DES ARDENNES Le conseild administration a l honneur de pr venir MM les actionnaires qne les int r ts du se mestre ch ant le 15 juillet 1860 soit 10 fr pour les actions anciennes 5 fr pour les actions nouvelles i serant pay s au si ge de la compagnie rue de Provence 68 de onze heures trois heures f tes et dimanches except s ou dans les succursa les de la Banque de France Ce paiement pour les titres au porteur aura lieu sous d duction de l imp t percevoir au pro fit du Tr sor en vertu de la loi du 23 juin 1857 Savoir Pour les actions anciennes 31 c par coupon Pour les actions nouvelles 33 c par coupon Les titres nominatifs n tant pas soumis aux droits les coupons aff rents ces titres seront pay s int gralement 3192 leur servira pour l assembl e g n rale extraordi naire devant avoir lieu dans la second quinzaine de juillet Cette assembl e aura statuer fe sup un nouveau trait avec l ville de Paris pour ly prolongation du privil ge des Omnibus pendant vingt six ans en sus des vingt quatre ann es ras tant courir sur la concession actuelle ce qii porterait la dur e de
17. objecterait on dans la m me espece que l arr t intervenu n est pas infirmatif car S il est vrai qu il aboutit au m me r sultat que le jugement en pro noncant comme celui ci quoique par des motifs diff rents la lib ration du mandataire assign en reddition de compte il infirme en r alit cette d cision en d cidant qu il y avait lieu a compter et en faisant lui m me le compte refus par les premiers juges meet a part de M le conseiller Gaultier et conform ment aux conclusions du m me avocat g n ral d un arr t de la Cour imp riale de Pau en date du 9 d cembre 1857 Plaidants M Marmier pour les poux Co lom s demandeurs en cassation et Me Labord re pour le sieur Etcheleu hi COUR IMP RIALE D ORL ANS 2 ch tes p Sa A Correspondance particuli re de la Gazette des Tribunaux Pr sidence de M Duboys premier pr sident Audience du 9 juin DROITS DE MUTATION NON DROITS ANT RIEURS DES TIERS oi du 2 frimaire an VII notam conf re de privil ge au Tr sor sur clarer d une succession SUCCESSION D UN FAILLI PRIVIL GE DU TR SOR Aucune disposition de lal ment son arlicle 32 ne co les revenus des biens d Dans l hypoth se m me d un privil ge q n Tr sor ce pr vil ge ne pourrait d apr s l article 2098 du Code Napol on ewenge droits ant rieurement acquis d des tiers i re le dessaisissement du el les nantit des il
18. qui y subissait aussi une peine de dix huit mois de prison pour escroquerie apr s avoir subi d j trois condamnations six mois chacu pour abus de confiance et escroquerie De retour Paris les deux anciens camarades de Me lun se retrouv rent et c est par Desferri res que Faure fit la connaissance de Leduc ex bijoutier en faux ruin auquel il restait de son fonds des strass cailloux du Rhin et autres pierres d aussi minime valeur Tels sont les aits raison desquels Faure Leduc et Desferri res comparaissent en police correctionnelle sous pr vention d escroquerie Desferri res rejette sur Leduc l id e d engager comme vrais les faux brillants au Mont de Pi t Leduc de son c t soutient que c est Desferri res qui un jour apr s avoir port des cailloux du Rhin au Mont de Pi t sans les pr senter comme brillants revint en disant lui Le duc et Faure que l employ avait t sur le point de prendre ces cailloux pour de vrais diamants d Lx l id e mise par Desferri res d exploiter les Monts de Pi t Le Tribunal a condamn Faure deux ans de prison Desferri r s quinze mois et Leduc un an et 50 fr d amende Il a de plus ordonn que les deux pr miers seraient l expiration de leur peine plac s pendant cinq ans sous la surveillance de la haut police La nuit derni re vers minuit lessieur Donceaux d coupeur en bois se trouvait dans un baeh t
19. taire d un brevet pris en France peut poursuivre tout individu qui fabriquerait ou vendrail en France des marchandises contrefailes Mais les marchandises qui ne se trouvent en France qu en transit ne sont pas r ellement introduiles en France dans le sens de l article Al Le brevet ne peut donc faire prati quer de saisie dans les entrep ts o elles sont d pos es Nous avons dans notre num ro du 20 juin dernicr rendu compte d une question int ressante soulev e devant M le pr sident tenant l audience des r f r s M L Ep e fabri cant de pi ces musique brevet en France avait fait saisir apr s en avoir obtenu sur requ te l autorisation dans l int rieur des Docks Napol on six caisses venant de Suisse et d pos es en transit au nom de M Bolviller pr tendant que ces aisses contenaient des carillons con trefaits M olviller avait demand en r f r mainlev e de cette saisie sous pr texte d une part que les objets saisis n taient pas une contrefa on d autre part qu il s a gissait de marchandises trang res destin es tre ven dues l tranger traversant seulement la France sans payer de droit M le pr sident avait renvoy l examen de la question la 4 chambre du Tribunal statuant en tat de r f r Me Delorme dans l int r t de M Bolviller a soutenu qu une marchandise trang re d pos e dans un entrep t public pour tre r exp di e l tranger tait e
20. 6 fr A la fin du mois Marie Anne Brousseau fut cong di e par son ma tre et ce renvoi lui causa une profonde irritation en s en allant elle dit Urvoas Tu ne coucheras pas tranquille dans ton lit ces jours ei Cing jours apr s dans la soir e du 5 f vrier vers sept heures le feu clata dans l aire battre d Urvoas dans une certaine quantit de chaume plac entre deux meules de foin et de paille Si levent e t souffl dans la direction du village l incendie pouvait prendre des pro portions consid rables Heureusement dessecours prompts et intelligents arr t rent le feu en peu de temps et la perte qui consista en quatre milliers de foin et trois mil liers de paille ne s l ve qu la somme de 150 160 fr Il fut vident que cet incendie tait le r sultat de la malveillance baire battre d Urvoas ne servait point de lieu d passage et le garcon de ferme qui s y rend habi tuellement ne ferme pas D ailleurs cette circonstance que le feu avait clat entre deux meules tr s rap proch es l une de l autre suffisait elle seule pour d montrer qu il avait t mis volontairement Les soup ons se p rt rent imm diatement sur Marie Anne Brousseau do t on se rappela les menaces Plu sieurs t moins d clar rent qu au moment o ils avaient aper u les flammes ils avaient remarqu en m me temps la fille Brousseau accroupie entre un fouret une maison voisine et
21. Guibal Sommaire syndic provi Du 25 juin 4860 M Ceratto 49 ans rue St Honor 241 Mme on ve Bussard 60 ans rue St Roch Life M Jondot 57 ans rue du Hasat d 1 M H rouard 29 ans Es de S bastopol 80 M Bouchon ans rue ME Qu Temp ES s joe 91 nomme M Binder juge commis artin 27 ans rue de ras i pet demeurant tous deux au si ge saire et M Lacoste tu Chabanais Que 78 Mme Dubettier 58 aie social nomme M Binder Juge com f n 8 syndic provisoire N 47271 du rue de la Verrerie 22 M nee gr ans rue du Th tre 5 Grenel sa M Rambot 68 ans rue Srseveen FODUERION RE TITRES 12 M Nozi re 61 ans TUE MOn tard 165 Mme vense pu Tas ans rue de Savoie 9 M 107 pp Eden Saint Dominiqu s De la soci t CRAPET fr res ayant md de vins li Mmonadier Paris rue de l Ecole de M decine 444 compos e des sieur De la soci t BOUCHER et ARDIL sont invit s produire dant le d LY fabr d articles de caoutchouc et ir he de passementerie dontle si ge est sai de vingt jours d dater de ce jour 3 venin 46 ans rue u urs titres de cr ances accompagn s gt Pichon 50 ans rue Paris rue de Rambutsau 20 compos e g Tor hi in 237 Mme Pichon me Pou partir Herie TR ae 568 1 Pun bordereau sur ier timbr in pu Qfe is 186 Mme Partir des sieurs Fran ois Bazile Boucher et es sau sur papier timbre in Paub
22. ION DE L ARR T INFIRMATIF Aux termes d l article 528 du Code de proc dure ci vile en cas d appel d un jugement qui a rejet une de mande en reddition de compte l arr t infirmatif doit ren voyer pour la reddition et le jugement du compte au Tribunal o la demande a t form e ou du moins un autre Tribunal de premi re instance indiqu par l arr t Jug que cette disposition est applicable au cas o sur l appel d un jugement qui a refus d ordonner une reddi tion de compte en excipant de l indivisibilit de l aveu par lequel le mandataire tout en reconnaissant avoir re u des fonds de son mandant a affirm en avoir fait l emploi d sign une Cour imp riale d cide que l exception ne sau rait tre admise en pr sence des documents produits de vant elle par le mandataire documents desquels il r sulte qu il y a lieu compte entre les parties mais au lieu de renvoyer la cause dans cet tat au juge du premier de gr discute les documents produits et en fait ressortir la lib ration du mandataire qu elle prononce en effet ce qui est r gler en appel un compte non rendu et non jug en premi re instance et m connaitre la r gle de l article 528 laquelle il ne saurait etre d rog que lorsque par Jeurs conclusions respectivement prises les parties peu vent tre pr sum es avoir renonc au premier degr de juridiction fait soutenu mais non tabli dans l esp ce Vainement
23. M le commissaire imp rial a demand au Conseil de vouloir bien car er les circonstances att nuantes Il fait valoir les consid rations de subordination et de dis cipline a rappel au Conseil que c tait le troisi me fait de cette nature qui se pr sentait depuis un mois et a insist Four une condamnation exemplaire qi il a fait feu M Pelvey a pr sent la d fense de l accus et il a sol licit de la bienveillance des juges l admission de circons tances att nuantes Le Conseil a r solu affirmativement et l unanimit la question de tentative d assassinat sur la personne du ma r chal des logis Fayr t et a d clar la m me unanimit qu il n y avait pas de circonstances att nuantes En cons quence le Conseil a condamn le chasseur Tabouriech la peine de mort SE a aaa JUSTICE ADMINISTRATIVE CONSEIL D TAT au contentieux Pr sidence de M Boudet pr sident de la section du contentieux Audiences des 18 mai et 19 juin approbation imp riale du 13 juin M LE DUC DE CLERMONT TONNERRE CONTRE LE PR FET DE L EURE RIVI RES NON NAVIGABLES NI FLOTTABLES AUTORISATION DE FLOTTAGE DANS UN INT R T PRIV R GIME DES EAUX NON MODIFI DROITS DE POLICE DE L ADMINISTRATION SUR LES COURS D EAU NON NAVIGABLES NI FLOTTABLES EXC S DE POUVOIR DE LA CLAUSE DE SUPPRESSION SANS INDEMNIT EN TANT QU ELLE S APPLIQUE A TOUS TRAVAUX D UTILIT PUBLIQUE JURISP
24. RUDENCE NOUVELLE Une rivi re qui n est pas naturellement flottable et n est pas comprise au tableau des rivi res navigables et flotta bles ne prend pas le caract re de domanialil par le fail qu un ancien seigneur f odal a l auloris y exercer le flottage dans son int r t parliculier et qu il y a fait des travaux dans ce but alors m me qu il aurait t stipul dans l acte de concession que le tarif des droits payer parle public serait ult rieurement r gl du flottage qui constitue la domanialit d un cours d eau d s lors la rivi re ne faisant pas partie du domaine public le pr fet exc de ses pouvoirs s il impose un propri taire river ain une redevance au profit de UE tat raison d une prise d eau d irrigation qu il autorise tablir II Est ill gale la clause par laquelle un arr t d autorisation de prise d eau stipule sur les cours d eau non navigables ni floitables qu il ne serait accord aucune indemnit aw per missionnaire dans le cas o pour l ex cution des travaux dont l utilit publique aurait l l galement constat e lad ministralion croirait n cessaire de prendre des sur es qui le priveraient d une mani re temporaire ou d finitive de tout ou partie des avantages r sultat de la permission amp lui donn e Cette clause n e t t valable que s il avait t stipul que i suppression des ouvrages autoris s pourrait tre pa rte sans indemnit au cas o
25. UDES DE NOTAIRES MAISONS A LA FERT ALAIS Etude de Rte HOU F amp avou Paris rue Vente sur licitation en l h tel de la mairie de la Fert Alais le dimanche 8 juillet 1869 heure de midi pr cis en deux lots 1e D une ASUS si et Oise et occup e par la Mise prix D une autre 48 ESON sise audit lieu avec un terrain sis m me commune territoire de Bal a missionnaires en marchandises pour la France et l tranger s fa len nom collectif l gard de MM Delini res et Boudin et i mandite l gard sonne Sa dur e n es qui commenceront le juillet mil huit eent soixante et fini ront oixante huit tabli Paris rue du Faubourg j ne pourront en faire usage que pour Montmartre 4 La raison et la i 1 r gnatur tables chaises LINI RE ministration appartiendront iudis i tinctenent MM Delini res et Bou din ils auront l un et gnature sociale mais ils ne pour jen date Paris du vi ront en affaires de la soci t peine de nullit des engagements m me l gard des tiers manditaire est de cent mille frances Pour extrait chai double mil huit cent soixante enregistr il appert que M Emile I LiT marchand rant Paris rue Gre Victor Louis MAIGNAND n gociant demeurant Paris Beaurepaire 8 ont form entre une soci l exploitation du fonds de commerce leur de fonds p f c 1e de marchand peaussier que poss de soci t est ob
26. UE LES rencni y y 4 5 Le 485 Poe Le EN tous les renseignements qu peuvent instruire o in Z 500 f 300 he 50 Strasbou Sr 3410 22 tresser e par de ee i KANN af SUasbourg B le Ha ape r et ont fait du livre de M Constantin James le Ville de Paris 5 010 1852 1195 Grand Central eu FE TRES ate mecum indispensable de tout baignenr Es 1855 495 nouvelle 10 5 Seine 1857 1 227 50 Lyon Gen ve 7 228 te HSE Orl ans 4 On es ds nouvelles e SAAI EEEE noyod NS UA LE Bourbonnais AE ER 5 pr 15 Bourso de Paris du 27 Smin SOU ELA S E me as I ne UT 3 3o ps B ziers She uns 307 donnae NT ESS 105 3 0 0 Au comptant D 68 70 Hausse LOG TARDE A EE LR 307 ag Ardennes AA TEDS e a 298 7 Fin courant 68 65 Sans chane x NUE Dauphin 297 amp A d ans ang 2 n 7 np 305 Fours autrichiens 3 010 286 x Au comptant Dere 96 55 Sans change oaie uson 3 O0 Lombard V nitien 6202 A ije Fin sp de Pa Si Sms chang 4 Paris Lyon 1020 Saragosse E A a 3 9 i 9 asse t9 C eee 3 0 0 298 75 Romains PrE a Rh ne 5 010 see Marsille 2 ES ler cours Plus haut Plus bas Dern cours 8010 301 25 E D pape cl 68 60 68 70 63 60 63 179 1 00 d fincourant 68 76 68 75 js Gl 58 6 li 0 per Sinon RARE NUE a ji 68 65 CIRQUE DE L MP
27. a loi de frimaire an VII porte quelle Tr sor aura action sur les revenus des biens d clarer Mais ne dit pas que cette action sera privil gi e Que si le mot n y est pas la chose ne s y trouve pas a vantage Qu en effet loin de fonder par la port e et les cons quences de sa disposition un droit de pr f rence au profit du Tr sor le troisi me paragraphe de cet article tel qu il a t interpr t par l avis du Conseil d Etat du 21 septembre 1810 n a eu pour but que de limiter aux revenus des biens d clarer l action en recouvrement ouverte d une mani re g n rale par le premier paragraphe contre les h ritiers donatai res ou l gataires 2 Que ce sens restrictif dudit article trouve son application dans l esprit du temps o la loi a t faite le L gislateur de cette poque apr s les divers actes d mancipation en 89 et 91 et la suppression de toutes les redevances f odales de 9 se pr occupait avant tout d affranchir la propri t et de la pro t ger contre les pr tentions qui auraient pu tendre en alt rer le principe et la base et lorsqu il rempla a les droits de contr le Mines tion et de d fiance et de centi me denier par d autres droits anim d un sentiment der action contre le syst me fiscal de la f odalit qui impliquait comme fe fai ri t de l Etat sur les biens il tint tablir une ligne de d marcation entre l ancien ct le nouveau droit et sans voul
28. ans l instruction aux d ments occupent l auditoire Interrog par M le pr sident Paccuse d g N mer Jacques Tabouriech g de trente se pt an 5 service en 1845 rengag pour le 5 Koia ans entr au cheval Set de Chasseurs M Le Boutroy capitaiiie au 57 de li Esuba commissaire imp rial occupe le we Hi pe ble La d fense de l accus est confi e M Pel P u M l pr sident l accus Vous oiffaissez ton port e contre vous l instruction et l ordre d PCUSa en Jugement donn par M le mar chal commandant Nise vision vous ont appris que le crime le plus gray la di pusse commettre un soldat vous est reproch tie tent de donner la mort au Mm r chaldesTogis F ce west qu apr s une m re r flexion q en vous armant de deux pistolets Que i avez ue v us avez wi L accus Je connais bien l aceusation que l on Se contre moi mais je puis vous assurer que je wai Porte eu la coupable pens e de tuer mon sup rien Fais M le pr sident avec bienveillance Nous verrons sj contraire ne r sulte pas des d positions des t SSL le nous sommes ici pour VOYS juger et vous pouvez dire tout ce que vous voudrez pour tablir Votre s RO de d fense Systeme _Sur l invitation de M le pr sident l adjudant d admi nistration M Philibert greffier du Conseil donne i des pi ces de l information Cette grave instr tion p dirig e par M le capitaine Louvel du 7 r giment m
29. au moyen d une par d ux t moins en se r servant Ja n gatif par l admission du pourvoi contre un jugement du Tribu OUR LA FAIRE RECONNAITRE ELLE NE 35 N ANN E lt w FEUILLE D ANNONCES L GALES 6 ot at ns r soudre son engagement quand il le voudrait aire apres quatre ann es d ex cution de la police dans la forme employ e pour le contracter c e par une d claration sign e comme re pains Zen ER en effet s teignent de la m me ju elles ont t form es nihil tam naturale est quam eo genere quidquid dissolvere quo colligatum est L 35 de Regul jur i wa Ii Le juge de paix comp tent pour statuer sur une e mande en paiement d une prime d assurance montant a minime somme de 4 fr 20 ma pas cess de l tre par cela seul que l assur pour sa d fense aurait soutenu que le contrat qui le liait envers la compagnie avait cess d exister Le juge de l action est juge de l exception A Ainsi jug au rapport de M le conseiller de Belleyme et sur les conclusions conformes du m me avocat g n ral plaidant M Bosviel Rejet du pourvoi de la compagnie d assurance la Bretagne contre un jugement du Tribunal civil de Beaug du 22 juin 1859 r C est dire la premi re par deux de eea COUR DE CASSATION chambre civile Pr sidence de M Pascalis Bulletin du 27 juin TESTAMENT OLOGRAPHE RENVOI NON DAT VALIDIT Un testateur crit
30. az Ce Parisienne FD e Imp rrAL Le Bataillon de la Moselle G h re Hu tre i 400 Omnibus de Paris 907 50 Crou ap SAUTER Dauphin 585 de Londres 42 50 Fortes Les Canotiers parisiens Ardennes anciennes Ce imp des Voitures 61 25 BEAUMARCHAIS FA Hariadan Barberousse i ds nouvelles Ports de Marscille GmQuE pe L Imr rarrice Exercices questres 8 h du soir lancourt chantier des Grouettes 2 000 fr 1A ME MILLIARD notaire V A MS B UTET Meuret Boudin Duval et Lacroix avou s Paris HAISOY A PARIS 945 avenue du 6 place du Tr ne vendre par adjudication m me sur une seule ench re en la chambre des notaires de Paris par d eux rue Saint Honor 45 000 fr 4903 VASTE PROPRI T A PARIS Bel Air de Richelieu 79 Vente sur licitation au Palais de Justice Pa ris le mercredi 18 juillet 1860 deux heures relev e en un seul lot De deux MAISONS avec grand terrain le tout sis Paris rue des Anglaises 3 5 et 7 Superfi cie de la propri t 1 167 m tres 34 centim tres Mise prix 15 000 fr ma tre notaire Paris rue de Rivoli 64 946 MAISON A PARIS Etud de Bie Jules DAVED avou Paris de quartier Montmartre rue Bathelet 7 magne 132 pr s du nouveau march bestiaux b timents cour et terrain contenance 2 068 m tr
31. bouriech retire ses deux pistolets qu il tenait cach s sous sa veste et les tenant dirig s sur le mar chal des logis Schnabel il l somme de seretirer sinon il fait feu sur lui Schnabel intimid fait quelques pas en ar ri re Le brigadier Laign se pr sente il essaie de calmer Ta bouriech qui r pond ses sages exhortations en lui criant Brigadier je ne ferai pas cette punition non je n la ferai pas je veux parler Favrot Un autre brigadierse pr sente et cette fois encore l accus tourne ses pistolets contre ceux qui veulent l emp cher d ex cuter son attentat Tabourieeh attaque de nouveau la porte grands coups de pied puis croyant reconna tre la voix du sup rieur qu il poursuit il dirige un pistolet sur la porte du c t o il croit que e trouve Favrot et l che la d tente mais par un bonheur pro videntiel la capsule seule prend feu La fureur toujours menacante de Tabouriech d j quelque peu redout dans l escadron avait motiv la retraite pa dente de plusieurs individus lorsque parut le brigadier Dat nis pour lequel l accus professe une profonde estime tous deux sont originaires de Saint Chinan H rault Darnis lui parle patois et lui demande ses pistolets Tabouriech lui rend celui dont la apsule a manqu et garde l autre en di sant La capsule de celui ci ne ratera pas Mais Darnis S van r solument et d sarme Tabourech qui fui imm diate ment mis en
32. cession l administration est investie par la disposition de l article 32 de la loi du 22 frimaire an VIT du droit d en pour suivre le paiement sur les revenus des immeubles et sur les int r ts des somm s provenant de cette succession Que ce droit conf r au Tr sor dans les termes les plus formels et les plus g n raux et qu il peut exercer dans quel ques mains que se trouvent les immeubles ne peut recevoir d autre exception que celle sp cifi e par l article 2098 du Code Napol on et r sultant de droits ant rieurement acquis des tiers Que dans l esp ce l administration usant de ce droit a form opposition entre les mains de M le receveur g n ral du Loiret sur le revenu des immeubles de la succession Var nier et sur les int r ts des sommes provenant de cette suc cession mais que les syndics contestent la validit de la sai sie par le motif que le jugement qui a d clar la faillite de Varnier est ant rieur son d c s et que par suite l opposi tion du Tr sor pr judicierait aux dro is acquis la masse des cr anciers sur les biens du failli ant rieurement l ouverture de la succession Que suivant eux en effet le jugement d claratif de la faillite emporterait de plein droit partir de sa date le des saisissement pour le failli de l administration de ses biens et aurait eu pour r sultat de frapper ces biens partir du une mainmis qui en aurait fait le gage excl
33. chambre C tait le chasseur Tabouricch T entr e ti detan SE la lui en tait faite voulait forcer 1 mar e al des nI me parler Son attitude tait telleque Mous cria de te ogis Lacombe tint la porte ferm e et qu il Noulait faire feu ferme en dedans parce q e Tabouriech 3 entendis Ja d t e pistolets sur moi Au m me instant taient en d hos onation d une capsule Les hommes qui iors de la chambre se jet rent sur lui et l em D Rene sa tentative P te con u rs l accus eut a t rieurement cette af usque c tte e vous quelques mauvais sentiments R qu l poque ju stion m est pos e je suis forc de vous dire l ordonnance de te d par de P ronne Tabouriech tan ar cet officier I le lieutenant de Grancey fut renvoy STANLEY me pr a tait m content de son service M de de le fis par AN lui procurer un autre soldat de confiance des Moi Pur AA mo lieutenant Tabouriech s irrita es Intentions a Puis cette poque il a manifest mon gard cela que Mes une esp ce d apimosit et cest unai quatre i0 4 dans la circonstance actuelle je lui MOi m me Sr a salle d potic j vitai detui donner tar Peu de ternp daller en prison iquede la Part ADS auparavant vous aviez t l objet d une at ce chasseur ditesee qui 8e passa cette i GAZETTE DES TRIBUNAUX poque R Je pense allusion une sc ne trouvant de garde au ue monsi ER pe Onsieur le p
34. ctation d autorisation et au fond rapporte l ordonnance rendue par M le pr sident le 4 juin dernier dit en cons quence que nonobstant cette saisie Polvill r au ra la libre disposition des objets saisis l attorise reprendre possession des chantillons d pos s aux mains du greffbr et d clare la pr sente ordonnance commune avec le directeur des Docks Napol on TT JUSTICE CRIMINELLE r sultant d une disposition de la loi que cette distinction ne r sulte ni de la loi ni de la jurisprudence Par ces motifs La Cour re oit les syndics Varnier appelants du juge ment du Tribunal civil d Orl ans du 14 mars 1860 infirme ledit jugement d charge les appelants des condamnations contre eux prononc es ordonne la restitution de l amende consign e Au principal faisant droit Donne acte tant l administration de l enregistrement qu aux syndics de la faillite Varnier de ce que ces derniers ont d clar restreindre leurs conclusions la nullit de la saisie arr t pratiqu e Orl ans l 11 mai 1859 s mains de M le r ceveur g n ral du Loiret au nom et comme pr pos la Caisse des d p ts et consignations de l arrondissement d Orl ans D clare l administration de l enregistrement et des do maines mal fond e r clamer le paiement et le privil ge sur les biens composant en principal revenus fruits o int r ts l actif de la faillite Varnier d ucun des droits de m
35. d u d pendant du do mane public sur lesquels est tabli le service public de la naigation ou celui du flottage Consid rant que la rivi re le Roulois n tait pas natu relement floftable qu elle ne l est devenne qu la suite des trazaux faits par le duc de Bouillon en vertu de l autorisa Ky qui lui a t donu e par l arr t du conseil du 20 mai 119 Que cette autorisation n avait t demand e par le duc de Bouillon et ne lui a t accord e que dans un int r t pri v et pour faire flotter les bois provenant des for ts du comte d vreux qui lui appartenaient Que si dans le m me arr t le roi se r serve de statuer su le tarif des droits tablir au profit du duc de Bouillon surles bois appartenant d autres_qu lui et qui les vou drent faire flotter sur la rivi re de Conches le Roulois et sur la rivi re d Iton cette r serve n a jamais t mise ex cwion Qu aujourd hui encore le droit de pratiquer le flottage n et exerc que par les ayants cause du duc de Bouillon qu l ont c d un entrepreneur 3 Consid rant que la rivi re le Roulois n est pas port e sur le tableau des rivi res navigables et flottables annex lor donnance du 10 juillet 1835 et dress pour l ex cution de la lo du 15 avril 1829 sur la p che fluviale que le droit de p che est exerc par les riverains Que les riverains supportent les frais du curage et du faucardement de
36. e 443 ne consti tuent qu une s rie de mesures conservatoires qui n affectent en rien ce droit de propri t qui n ont qu un Caract re pro visoire et qui sont uniquement destin es sauvegarder tous les int r ts de la faillite et garantir l actif contre la mau vaise administration du failli et contre les engagements irr fl chis ou frauduleux qu il pourrait contracter avec des tiers Qu au jour du d c s l galement constat de Varnier et malgr la date ant rieure de la faillite les valeurs par lui laiss es taient donc encore sa propri t et par cela m me susceptibles d tre atteintes par l action de tout cr ancier te nant son titre non de la volont du failli mais des disposi tions de la loi et plus particuli rement par l action du Tr sor raison des droits de mutation exerc s dans les termes de l article 32 de la loi de frimaire an VII Par ces motifs Le Tribunal d clare bonne et valable la saisie arr t for m e entre les mains de M le receveur g n ral des finances du Loiret la date du 11 mai 1859 Ordonne en cons quence que M le receveur g n ral sera tenu de fournir un certificat non ant la somme qui peut tre due la partie saisie sur les revenus des RE bis et les int r ts des sommes d pos es la Caisse Ordonne que M le receveur g n ral sera tenu de verser entre les mains du receveur de l enregistrement d Orl ans les sommes dont il aura t
37. e Laffitte DEUX MAISONS A PARIS GAZETTE DES TRIBUNAUX DU 28 JUIN lant de M Gontran Voil une figure qui ne me conuen il onvieni d en faire A iM D pas M Gontran s arr te un instant avec la personne en pe Sa tion Alors M Alonzo l apostrophe d une mani re for gt sagr able ct comme on lui r pond il se perm t de don ner quelques coups de pied son antagoniste d On con oit que le sieur Gontran ainsi attaque cherchi se d fendre Il y eut lutte mais dans cette latte M Alonzo se livra une voie de fait fort r pr hensible i mordit son adversaire dr 5 f Les coups et la morsure ont t constat s par un certi ficat de m decin et M Alonzo s est empress de paye des dommages et int r ts M Gontran pour viter lac tion civile que celui aurait eu le droit d exercer contr lui a j Mais l arrangement intervenu entre les parties ne d truit pas l action publique de telle sorte que malgr cd arrangement les sieurs Alonzo et Gontran taient cit devant le Tribunal de simple police pour s tre battus sut l voie publique A l audience le sieur Alonzo cherche excuser sa mor sure en soutenant que le sieur Contran lui avait mis L main dans la bouche pour lui arracher la langue Quan aux coups il soutient n avoir pas fait de mal son adver saire Le sieur Gontran soutient qu il a t provoqu et ni fait que se d fendre Le Tribunal repousse ce syst me de d f
38. e adjudant major qui le premier De a interrog aveux que vous avez renouvel s devant le steu Faurac mar chal des logis L accus Je ne peux pas avoit fait l aveu d un crime qu n avait pas t dans ma pens e Se M le pr sident Vous leur avez dit que vous aviez i g vos deux pistolets dans l intention de vous en servir ua tre Favrot votre sup rieur Ces t moins ont d pos SU fait L accus persiste dans sa d n gation 1 b SeS M le pr sident rappelle l accus qu il M son deux pistolets en allant prendre les cartouches libres n camarade ae lit Piget et qu il a eu grand soin de ren ta t en place dans sa giberne Aon0 i 7 iah iligno Tabouriech r pond avec le plus grand sang froid qu ilig ttre Sur CCUX qui voudraient l arr ter dans l ex cution de sof projet homicide Un grand nombre de cayaliers de plusieurs r git re fous ces d tails ir de z gt E enir M le pr sident Vous devriez cependant avoit so Sicard Ce fait puisque xous avez t surpris par le AE vi quel vous ayant demand ce que vous vouliez renvoy dans ma chambre o je me couchai Il parait A a vant cela j avais eu une petite discussion avec le marecha son effet la capsule seule ayant pris feu mais votre imten M yog tien pr ire ten pouva m f ANA faire craindre un attentat sur votre personne l thal des j toup et COUP
39. e des eaux d un ruisseau soumise pr ciser le sens et la port e du contrat en inter Detant ses termes et l intention des parties Ainsi jug au rapport de M le conseiller de Boissieux sur les conclusions conformes de M l avocat g n ral Blanche plaidant M de Saint Malo Rejet du pourvoi Heu Allongue contre un arr t de la Cour imp riale CAUTION D CH ANCE D ACTION CONTRE ELLE PERTE DE GARANTIE N GLIGENCE DU CR ANCIER T 2 D X Z A P e a peut il tre d chu aux termes de l article A u Code Napol on de son droit contre la caution Ro n glig d acqu rir des garanties que ne lui y a as le titre souscrit son profit par le d biteur Ipal et qui n taient survenues que post rieurement engagement de la caution lt rejug dans le sens res de Saint Leger ea se P rigueux du 98 juillet 1859 ne av oultier rapporteur conclusions conformes du m MAVOCat g n ral plaidant Me Bosviel n SENTUDE ACTION p PEUT TRE Fa e TRE DIRIG E QUE CONTRE LE PROPRI TAIRE ACTUEL LE NE PEUT ATTEINDRE LE VENDEUR DU FOND propri taire Pepe maison qui pr tend avoir une tionen o En f fond voisin ne peut exercer lac P i taire actuel He de son droit que contre le pro FAR lu ond pr tendu assujetti i voulant b tin Due fond a t vendu et que l acqu reur taire de la ser st i ete mp ch par le pr tendu propri Vis de pave ryu e le vendeur auquel l acqu r
40. e l ai entendu faire des menaces ni expri e la haine contre qui que ce soit a AA mar chal des logis au 5e chasseurs Le jour o i re a eu lieu Tabouriech fut puni par moi de quatre ie salle de police Je ne pr vins pas ce chasseur de la R nition que je lui infligeais D un to un tort lorsqu un sup rieur inflige roi eee h doit le faire Payet E asr ie chez cet homme un tr s mau Marla boisson gard et comme il tait un peu surexcit Joe qui adha craignis qu il ne fit queue mauvaise r Ven sont an giai une peine plus s v re Lorsque igk s Tabouriech fut inform de la punition il oi et d un ton arrogant il me demanda s il tait usse puni Je lui r pondis affirmativement Il re des menaces en disant qu il ne ferait pas la pu Wai que j T e fit enten ition D ta au t i Quelles taient ces menaces disait il des paroles qui e r ia qu il disait n avait rien de caract ris et je Yint me pr v MUNE Mais un peu plus tardjun chasseur lets ER nt que Tabouriech tout en chargeant ses pis Tormi s PATIO fois prononc mon nom qu il m enin d ordre e me mettre en garde Autant dans l int r t de Ain la s ret de ma personne je priai le mar 8 vra di e semaine de mettre l accus Ja salle de po 1 dire la menace de cet homme ne m effrayait pas En parlai aux autres sous officiers comme d ung amp la porte jobs Coup nous entendim s un certain bruit Mi malgr Ja de
41. e le droit d en r f rer en cas de difficult que l assignation en police correctionnelle n a pas chang le caract re de l ordonnance qui reste un gte de la juridiction gracieuse et qu en cons quece la demande est recevable Au fond Attendu que l Ep e a obtenu en France un brevet d m vention pour les bo tes musique tablies conform ment aux proc d s d crits dans la demande qui a pr c d la demande dudit brevet 3 Qu en vertu de ce brevet il peut poursuivre tout indivi du qui contrairement son droit privatif fabriquerait v n drait ou ach terait en France des marchandises contrefaites son pr judice Mais que son droit s arr te aux fronti res du pays par lequel il a t brevet et qu il ne peut incontestablement pis l tendre la fabrication vente ou d bit en pays tranger des marchandises m me contrefaites Attendu queles marchandises saisies la requ te del Ep eont t fabriqu es l tranger qu elles ne se trouvent en Fe qu en transit et que loin d tre destin es y tre vendues ou d bit es ell s devaient au contraire tre r exp di eg l tranger qu elles n ont pas t introduites en France dans le sens de l article 41 de la loi de 1844 qui suppose une il troduction faite dans l intention de vendre ou d biter au pr judice du fabricant brevet Dit qu il n y a lieu de renvoyer au principal attendu qu il s agit d une r tra
42. e ponvait l apporter et elle engagea Devaux venir chez ses parents O tait l enfant Devaux ly suivit vers sept heures du soir rien dans son attitude ne trahissait une r solution violente Delaitre le vit causer paisiblement avec sa ma tresse sur le seuil de leur porte ls mont rent en suite dans le logement des poux Fert et apr s une con versation fort calme ils se rendireut dans leur chambre situ e l tage sup rieur La femme Fert les entendit s entretenir tranquillement pendant environ un quart d heure Devaux renouvela ses propositions de d part commun prouvant le m me re fus il ne fit pas myst re de ses soup ons jaloux Jos phine Fert persista dans sa r sistance et finit m me par lui dire Tu peux ten aller je suis ici chez moi puisque la chambre est lou e en mon nom A peine avait elle prononc ces mots que Devaux s cria Ah c est que bien s r tu en as un autre Il se leva pr cipitamment passa rapidement derri re la fille Fert qui assise pr s de son lit tr le sein son enfant la saisit de la main gauche par les cheveux et de la droite tirant de son pantalon un couteau ouvert len frappa deux fois la partie post rieure du cou en disant Tu n en feras plus d autres Il leva encore le bras pour la frapper une troisi me fois lorsque l arriv e des poux Fert et du sieur Delaitre accourus aux cris de la victime arr ta sa fureur l jeta son arme n
43. en mati re de r clamations dirig es par la r gie de l enregis trement pour toutes les perceptions qui lui sont con fi es Il n y a pas lieu constitution d avou de sa part ni de la part des actionn s en recouvrement des droits L ins Var truction doit se faire sur simples m moires signifi s res pectivement et sans plaidoiries le jugement est rendu au rapport d un juge apr s conclusions du minist re public en audience publique mais il n est pas susceptible d ap pel et ne peut tre attaqu que par voie de recours en cassation Telle est la marche l gale lorsque la r clamation est dirig e directem nt contre le d biteur du droit ou ses ayants cause Mais si la poursuite concerne un tiers comme dans l esp ce la jurisprudence a tabli comme r gle aujour d hui bien fix e que ce tiers ne peut tre priv du b n fice de l instruction ordinaire ni du double degr de juri diction ERREA C est ce qui explique comment apr s avoir ete objet d une sentence man e du Tribunal d Orl ans cette sen tence a pu sans difficult aucune et sans fin de non re cevoir propos e par la r gie tre frapp e d appel Toutefois dans la circonstance on na suvi ces don n es qu avec h sitation j L administration avait cru d abord devoir constituer avou et les syndics Varnier s taient conform s de leur c t cette conduite puis l administration a pr sent re qu
44. enir habiter avec elle un logement situ au second tage de la maison dont ils occupaient le pr mier Le 16 janvier dernier Jos phine Fert accoucha d un enfant qu elle nourrit peu de temps apr s Devaux an non a l intention de se rendre Ch lons sur Marne o il pr tendait trouver des salaires plus lev s qu Reims il voulait que sa concubine l y accompagn t mais elle re fusa nettement en d clarant qu elle tait r solue ne plus se s parer de ses parents Ce refus surexcita la ja lousie de Devaux qui se montra fort irrit Le 4 mars confiant la veuve Descloux ses projets de d part et la s paration qui devait en tre la suite il di sait Je me figure qu elle doit avoir un amant et comme cette femme cherchait len dissuader il ajou tait C est possible mais je ne peux pas m emp cher d avoir de la doufance Il laissait d ailleurs percer son irritation en priant la veuve Descloux d aller chercher Jo s phine Fert et son enfant afin qu il p t leur dire adieu craignant disait il s il y allait de faire un malheur La veuve Descloux ayant refus de se charger d cette com mission Devaux se rendit vers cing heures et demie du soir chez le sieur Delaitre dont l atelier se trouve en face de la maison habit e par les poux Fert Delaitre envoya un apprenti chercher Jos phine Celle ci s empressa de venir mais elle d clara que son enfant tant malade elle n
45. ense il con damne M Alonzo un jour de prison et M Gontran 1 fr 75 c d amende et tous deux aux d pens 00 La 4 dition du Guide pratique aiteaux min rales du docteur Constantin James est un conseiller d autant plus s r que l auteur a visit lui m me tous les tablisse ments de bains de la France et de l tranger Cei ou vrage que la clart de son style met parfaitement h port e des personnes du monde pour lesquelles du reste il est surtout crit est divis en deux parties essentielles l une comprend l tude des sources proprement dites de leur composition de leur mode d emploi et des doses o Mise prix S adresser la Fert Alais rue de Richelieu 102 juil M GOSSAR T lin 217 le 10 juillet 1860 Mise prix M Oscar 921 2 rh des nomb lement sources les mieux ce sont par de leur ressort APPropri es au traitement de chacnne consequent des ordor 1860 usage l autre est un v ritable tableau reuses maladies qui sont plus sp cia avee l indication en regard des OBLIGATIONS i qu ompl nt inances toutes faites Cours nf PXD 11H00 Le Obl fonci r 1009 f 3 00 l Oacst Comtal Enfin une excellente carte itin raire des eaux et de chat coupons 1007 00 al pes terre orale mantes Vues des principales r sidences thermales compl Z Z F B QD ST PiS aaa Q
46. es VENTES PAR AUTORIV DE JUSTIC Le 27 juin Place du Marche aux Chevaux Consistant en 4812 2 juments sous poil gris pom mel Chauss e du Maine 85 1813 Coimptoirs casiers balances mesures tables pendule ete Le 28 juin g Enl h teldesComimissaires Priseurs rug Rossini 6 4344 Table chaises commode vaisselle malle caisse ele Rue Montholon 45 1815 Table ronde chaises glaces rideaux Comptoir banquetites etc Rue des Charbonniers 24 4816 Commode gu ridon tables chaises pendule bois ele Aubervilliers rue de Moutier 52 4817 Bureau en ch ne tables se cr taires commodes ete Rue Neuve Coquenard 8 4818 Chaises tables armoires com modes glaces fauteuils ete e 29 juin En l h tel des Comimissaires Priseurs rue Rossini 6 4319 Piano et biblioth que en aca somme ss La publication l gale des actes de des quatre journaux suivants n ral d affiches dit Petites Affiches SOCI T S Cabinet MM RIOUBLANT fr res Montmartre 70 Par acte sous seing priv fait tri ple Paris le vingt trois juin mil huit cent soixante enregistr le vingt six juin mil huit cent soixante folio 476 recto cases 5 8 par le S adresser pour les renseignements 15 Me BELORME avou poursuivant 2 M J E Delapalme notaire Paris rue Neuve Saint Augustin 5 CHAMBRES ET T
47. es vendre m me sur une seule ench re en la chambre des notaires de Paris le 47 juillet 1860 Mise prix 70 000 fr S adresser Me RAGOT notaire Paris rue de Flandre 20 892 rue Gaillon 14 Vente au Palais de Justice Paris le 4 juillet 1860 deux heures de relev e ji D une MAWSON avec jardin sise Paris quar tier Montmartre rue Bachelet 7 d une conte i nance totale de 270 m tres Revenu net 1 900 fr Mise prix 8 000 fr S adresser pour les renseignements A Ms Jules DAVID ct Foussier avou s Paris 948 MAISON sane roncre 14 PARIS Etude de M GU4mOY avou Paris rue Neuve des Petits Champs 66 Vente sur licitation en l audience des cri es du Tribunal civil de la Seine le 7 juillet 1860 D une BASON sise Paris rue Saint Hono 1S r 114 Mise prix 80 000 fr Revenu net 8 400 fr a S adresser pour les renseignements i Ms GUrDOU Ernest Moreau et Delessart Io pe avou s Paris 932 Avis d opposition Vente par les cr anciers du sieur GUILLAUME marchand de vins f traiteur rue de Gessaint 8 cession naire du fonds de commerce de ce divers et F dernier de ce m me fonds M etl toronto A Mi DN ts Fate 4828 Comptoirs en ch ne corps de M PLETSIER rue Beautre llis 10 rayons glace pendule Re ete 1 suivant acte du quinze juin nul hu
48. et signe en marge de son testament olographe mais omet de dater un renvoi ainsi con u Je donne M R les objets restants de mon mobilier tels que glaces ete ete Jug que ce renvoi n est pas valable comme n tant pas dat par le motif qu il ne se relie pas n cessairement au testament pour l expliquer l claireir ou le compl ter mais qu il contient une disposition sp ciale et distincte une lib ralit nouvelle en un mot un v ritable codicille et que telle tant sa port e il devait tre dat peine de nullit art 970 et 1001 C Nap L esp ce jug e pr sentait cette particularit que l arr t d f r la Cour r pondant la demande d une expertise o d une enqu te l effet d tablir que le renvoi avait t ajout au testament plusieurs jours apr s la confection de celui ci avait cart ce chef de conclusions comme inutile par le motif qu il tait de la derni re vidence que le renvoi avait t crit post rieurement la date du testament Cassation au rapport de M le conseiller Moreau de la Meurthe et conform ment aux conclusions de M lavo cat g n ral de Raynal d un arr t de la Cour imp riale de Dijon en date du 24 mars 1859 V et demoiselle Puvis contre poux Rondot Plaidant M Demay avocat pour les demanderesses en cassation REDDITION DE COMPTE JUGEMENT REFUSANT DE L OR DONNER APPEL EX CUT
49. eur a re dide Que Pe prix raison dudrouble r sultant pour Connaissance zi eh ne peut pas tre assign en Te Lette action ak seryitude par celui qui Ja r clame l tre intent x up nous l avons dit plus haut ne peut ap que contre l acqu reur gt en ce sens du pourvoi des poux Labre Contre UN arr t de la Cour imn r gt _ lt embre 1859 t de la Cour imp riale de Paris du 10 d 1100 ACTION POSSESSOIRE CUMUL Petion Poss ssoire n est elle revevable LE Home un dommage Possessoire te Juge de paix peut il sans cumuler le A se fondant hi P litoire carter l action en complainte _Wexercer un dr e que l auteur du trouble n aurait fait pau eote de Propi i Neutre pas d ocen SOulever une question qui n appartient _Au au fond du droit a Cour A r t rdit vi pens qu un tel motif gg Par l article que lorsque le u impliquait le cumul IS an rapport d 25 du Code de proc dure ct elle a T conc UBionis ca de M le conseiller de Boissieux et sur i Costa conformes du m me avocat g n ral plai y ment du dent du sieur Bodor contre un juge ASSURA Neg CONT al civil de C ret du 23 ao t 1859 Pour L ASSU RE L L INCENDIE R SOLUTION FACULTATIVE R DE SON NCE AON ENGAGEMENT JUGE DE PAIX TT Un assur i er a d e c gt donn ntre l incendie qui ne sachant pas si ration son adh sion l ia adh Slon l assurance
50. ge de gage qui lesdits biens leur tre diminu par sp cialement par d une h r dit ui appartiendrail au s les dispositions de r au pr judice des La faillile d clar e avant le d c s apit ii failli met les cr anciers en PIREN piens de leur d biteur d s lors le pri esl la cons quence de celle anme Pat donne un droit de pr f rence qui aha aucun cr ancier post rieur a la fai re le droit du Tr sor cr ancier as Faillite dont l ouverture n a eu lieu qu apres Ces questions tr s graves en pr j r ciaires ou m me comme dans sence delimportance ds droits de mutation r clam s dans la circonstance beaucoup plus gr ves par les cons quences m mes du p incipe que la r gie de l enregistrement a voulu faire d clarer se sont lev es par suite des faits tr s simples qe voici M Varnier Roger la t te de la maison de banque la pus importante d Orl ans ayant succursale Paris dis piraissait de son domile le 30 janvier 1859 apr s avoir fit sa famille la confidence solennelle du mauvais tat de ses affaires Le 31 janvier cette nouvelle r pandue dans toute la ville avec la rapidit particuli re ces sortes de catastro pes y jetait la consternation et motivait une d claration de faillite qui fut en effet prononc e dans la m me Journ e par jugement du Tribunal de commerce d Or l ans Il est peu pr s d montr que M Varnier Roger dont la pr sence malgr
51. htr lui P fic on we A ritoire tranger L article 47 qui perm ts ES 1 partout sans aucune distinction sans cr e r Aa tt profit des marchandises pl mbh es on sait se ren T toujours possible en acquittant les droits de si iwen A marchandises de l entrep t un n gociant qui voud a ii i duire des objets contrefaits et qui craindrait la vigi ma th brevet pourrait donc facilement faire entrer cette marg 1al dise l entrep t et l en retirer quelque temps apr s en quittant les droits et sans que le brevet p t 4 Fier i question S est A rest pr sent e d j et Je14 juillet 8 L la Cour de Paris propos de capsules de Chasse sur lesqueles on avait appos une fausse marque de fabrique d un n 0 ciant fran ais a d cid que les marchandises quelles qu eles soient ne sont admises aw transit que sous la r serve tes droits des tiers et que la d claration n prot ge pas la cinn lation de produits portant les noms et les marques usutpes de fabricants fran ais La Cour de cassation par arr t dh 7 d cembre 1854 a adopt cette jurisprudence en rejetant le pourvoi et reconnu que les lois en vigueur sur le transitne font pas obstacle l action litigieuse des fabricants fran ais Le Tribunal a statu en ces termes amp En la forme h Attendu que l ordonnance du pr sident qui a autoris L p e faire saisir les marchandises d pos es aux Docxs Napol on a r serv la partie saisi
52. iciairement s l Ancry 4 3 et une autre personne dit sieur Vinot si ge est Paris Petite Rue de Reuil 4347 ly 23 et qui devait avoir une dur e de dix ans partfr du remier juil let mil huit cent cinquante cinq Ces ie sera d exister le trente juin cent soixante un que M Olive est d s aujourd hui et par anticipation nomm lJiquidateur avec les voirs n cessaires pour mener fin la liquidation Pour extrait 4319 D un acte sous seing priv en date lites quiles concernent les samedis juge commissaire et M Kneringer Paris du vingt trois juin mil huit de dix quatre heures cent soixante enregistr le vinet cinq juin folio 4731 cases 4 appert QueM Fran ois Joseph Fla vien VORBE n gociant demeurant rue de Flandre 1 et Pierre Marie Gil bert VORBE n gociant rue d Alle magne 69 ont form une soe nom collectif dont le si geest Pa i ris rue d Allemagne 69 pour l ex ploitation d une fonderie de fer La dur e de cette soci t est de onze an fixent provisoirement l ouverture au n es et dix mois qui ont commenc le premier d ceinbre mil huit cent cinquante neuf et finiront 1 mier octobre mil huit cent soi onze La raison et la signature so ciales sont F et G VORBE Le droit JUe Cominissaire et M de g rer et d administrer appartient lue d Hauteville 61 aux deux associ s Ils ont tous deux S0ire N 17261 d
53. it 4829 2 fours t accessoires tas i cent soixante 7 i 4823 Table en noyer avec tapis t ble volets en acajou etc 4826 Canap s fa teuils chai bles pendule flambeaux 4827 Comptoirs rayons meubles blis et outils de ferblanterte ete 41 3198 P LEMONNIER avocat 4830 Etablis varlopes rabots 1i f yarian 4 scies Valets bois sapin ete Suivant conventions verbales en Rue Neuve Saint Eustache 3 date du quinze juin mil hait cent soixante M LOIGNON marchand de yins traiteur rue des Poisson niers 449 Paris a vendu son tonds de comracerce M L BOU VIER rue de Charenton 469 3499 BOUVIER PES siae 4831 Comptoirs banqueties billards glaces ete Rue Sie Anne 8 4832 Forges laux enclumes ma chines percer outils fer ele Rue du Faubourg Poissonni re 72 4833 Table chaises armoire buffet ustensiles de m nage etc Rue de la P pini re 446 4834 Bureau pupitre en bois blanc taux charrette bascule ete Rue de Boulogne 41 ter 4835 Tables buffets chaises fau teuils secr taires toilette ete Rue de la Ville l Ev que 10 4836 Table buffet console ses Commode pendule ete Rue Tirechappe 7 et 9 i 4837 Bureau calorifere cadran horloge banquett tables ete Boulevard de Strasbourg 48 4838 Tables chaises Comptoir bat terie de cuisine divan ete Ventes mobili r
54. it seulement au moment o il la frappait qu il avait eu l id e de la tuer A l audience Devaux a aussi avou qu il avait la volont de tuer sa concubin il a born sa d fense carter le soup on de pr m ditation et se repr senter comme ayant agi sous l influenc de l ivress mais il est certain que dans Ta soir e du 4 mars il n tait pas pris de vin tous les t moins ont constat son sang froid et la jalousie seule Pa pouss au crime dont il doit supporter toute la responsa bilit D clar coupable avec circonstances att nuantes De vaux est condamn sept ans de travaux forc s D fenseur M Lantiome E COUR D ASSISES DU FINIST RE Gorrespondance particuli re de la Gaz tte des Tribunaux Pr sidence de M Le Meur conseiller la Cour imp riale de Rennes VOL INCENDIE DE RECOLTES L acens e se nomme Marie Anne Brouss att C est une femme de la campagne et qui semble peu comprendre la gravit de l accusation qui p se sur elle Voici les faits que lacte d accusation lui reproche Marie Anne Brousseau tait domestique chez l sieur Urvoas cultivateur au village de Guily en la commune de Poullaouen Le 2 janvier 4860 Urvoas s aper ut qu une somme de 106 fr lul avait t prise dans son gilet qui tait d pos sous un lit Les soup ons se port rent sur Marie Anne Brousseau qui nia on puis reconnut avoir commis le vol et restitua les 10
55. la soci t cinquante ns 2 sur les mesures financi res r clam es par l ex tension des services 3 st aa NETTOYAGE DES TACHES sur lasoie le velours la laine sur toutes les toffs et sur les gants sans laisser aucune odeur par la BENZINE COLLAS 1 fr 25 le flacon Rue Dauphine 8 4 Paris M daille l Exposition universelle mi e EAU DE COLOGNE SUP RIEURE avec ou sans ambre de J P Laroze La suavit et la finesse de son parfum r unies ses propri t s bienfaisantes la font pr f rer et pour la toi lette journali re et pour bains toni hygi niques Le flacon 1 fr Chez Laroze rue Neuve des Petits Champs 26 et chez les parfumeurs et coiffeurs MAUX D ESTOMAC Les malades de l estomac les convalessents et les personnes g es ou faibles de la poitrine trou veront dans le Racanour de DELANGRENIER rue R chelieu 26 un d jenner nutritif r paratenr et SOCI T DES EAUX MIN RALES D ENGHIEN Par d lib ration de l assembl e g n rale des ac tionnaires du 12 juin pr sent mois la d mission de M G Godefroy comme g rant de la soci t a t accept e et M T Batailles a t appel le remplacer comme g rant provisoire Si ge social rue d Amsterdam 94 Paris 3200 COMPAGNIE G N RALE DES ONNIBUS DE PARIS MM les actionnaires sont pr venus que le solde aussi agr able que facile dig rer du dividende de 1859
56. le est mmemment A A des int r ts des usagers re ra cours d eau non navigables ni flotta bles Pa ME TS Voici le texte important du rs qu re rer OPa s plus es dans g rer un changement des plus nota r glementation des petits cours d eau Napol on etc Va la loi de finances 183 celle du 14 juillet 1856 tableau D si les articles 538 et 644 du Cod als ri et i Vu la loi du 15 avril 1829 sur la p che es suillet 1840 article 8 et mi Das annuelles de fi jale et Tor nt lib rale et protectrice fi dnnance royale du 10 juillet 1835 Vu le d cret en date du 11 septembre 1857 qui r gle ler gime de la rivi re de l ton de ses d riv s et de ses af flents et notamment le curage et le faucardement de ces rii res Ou M Aucoc auditeur en som rapport 1 Oui Me Avisse avocat du duc de lermont Tonnerre n se observations Oui M Leviez ma tre des requ tes commissaire du gou venement en ses conclusions 1 En ce i touche la disposition de l arr t attaqu qui imiose au due de Clermont Tonnerre une redevance au profit de tat Consid rant que les dispositions des lois de finances du 16 uillet 1840 et du 14 juillet 1856 qui autorisent la per cepion au profit de l Etat de redevances pour permissions d ines et de prises d eau temporaires toujours r vocables sars indemnit sur des canaux et rivi res navigables et flot tabes ne s appliquent qu aux cotrs
57. ligatoire pour l ann e M Gillet mil huit cent soixante dans trois La soci le juillet mil huit cent soixante et fi Moniteur universel la Ga ette des nira le pre Tribunaux le Droit et le Journal g soixante est fix Paris rue Gren fat 9 La raison et la signature sociales sont GILLET et MAIGNAND Chaque as soci aura la signature sociale mais ne pourra ren s rue besoins et affaires de peine de nullit m me l gard de tiers Pour extrait 4316 Etude de M DELORHE avou Paris je arrondissement ancienne Villette rue d Alle RUE VIVIENN vendre m me sur chambre des notaires de le mardi 40 juillet 1860 04 1942 superficielle de 4 500 m les locataires ont difi r des Villes de France et tant sur ladite rue les d 200 009 fr Gaillon 20 Nora Le propri taire Mise prix Facilit s de paiement se la Fert Alais Seine gendarmerie 10 000 fr PRESS EEE donner ces derniers un revenu E O ET 55 une seule ench re en la Paris place du Ch telet midi Ua tr s beau TERRAIN d une contenance tres envirun sur lequel ue Vivienne les magasins une grande maison pcr n 51 et 53 et pouvant aunuel de plus du terrain a le droit ou de faire enlever les constructions en fin de bail ou de les conserver dire d experts 4 200 000 fr S adresser M Petit architecte rue Monthabor 6 et Me BAZAN
58. loi qui r glent le taux de l imp t sa quotit son mode d valuation et de perception D Pure Que si ce privil ge e t exist dans la loi de frimaire an VII cette loi en e t d termin l ordre et le rang D o il faut conclure en l absence d un texte positif que la loide frimaire an VIT n accord pas au Tr sor un privil ge sur les revenus d s biens d clarer pour le paiement d s droits de mutation en as de d c s i Sur la qu stion d savoir si l action de la r gie en ad mettant qu elle soit privil gi e peut s exercer vis vis de la masse des er anciers de l faillite Varnier MATE o Consid rant que l action du Tr sor f t elle privil gi e ne peut aux termes de l art 2098 du Code Napol on s exer cer au pr judice des cr anciers ayant acquis ant rieurement la cr ance dit Tr sor des droits r els ot privil gi s sur les biens aff ct s Au remboursement de leurs cr ances Qu le sieur Varnier dont le d c s st constat la date du 3 mars 1859 avait t d clar en faillite le 31 janvier pr c dent qu si la d claration de faillite n enl ve pas au failli sa propri t elle emporte de plein droit contre lui le dessaisissement de l administration de tous ses biens que ce dessaisissement entour de toutes les autres cons quences l gales de la faillite et rapproch du principe g n ral que les piens d d biteur sont le gage d ses cr anciers
59. n transit et r put e se trouver toujours sur le Sol tranger qu un industriel ne pour rait pas la faire saisir l tranger et qu il ne pouvait pas le faire plns valablement dans uu entrep t de transit M Chaix d Est Ange u nom de M l Ep e a gomhatin ce principe le d p t des marc randises sous LA VA LC est une formalit administratiye gt a qu JA y i Ia riger le commerce et la navigation en lavorisant 16 transit laissa conduire chez le commissaire de police du quar vert brale n offraient heureusement pas de gravit La COUR D ASSISES DE LA MARNE Pr sidence de M Saillard conse ller Ja Cour imp riale de Paris Audience du 29 mai TENTATIVE DE MEURTRE Louis Li nard Devaux laveur de Taines g d vingt neuf ans h R ims est accus d avoir tent de com mettre volontairement un homicide dans les circonstances suivantes Depuis un an environ Devaux vivait en concubinage avee la fille Jos phine Fert g e de vingt ans qu il avait d tourn e du domicile paternel Sa jalousie que rien ne justifiait tait extr me il n gligeait Son travail pour sur veiller sa ma tresse il ne lui pargnait ni les injures ni les mauvais traitements Aussi bien que leur fille f t en ceinte les poux Fert persuad s qu elle serait malheu reuse avec Devaux avaient repouss les propositions de mariage de cet ouvrier ils lui avaient seulement permis de v
60. nt imm dia nomme M Sauvage juge commis temeni apr s l expiration de ce d lai saire et M Heurtey rue Laffitte LE PAREA A SE LEP E Ta grants L un des fipp BAUDOUIN Pour l galisation de la Signat re A Guxor Le aire du 9 arrondissement r c piss de l administration des Omnibus lequ e NL GE dpt ciant pt le tomme dant cr ance nalit s
61. o pour l emp cher d entrer Il retira de dessous tla Mo paire de pistoldts qu il y tenait cach s et me les VE en me visant me dit Mloignez vous ou je vais e Lacombe tait rest dans la chambre je lui criai de orte solidement et croyant Favrot en s ret quand serait ferm e je m cartai de quelques pas Au m ent Tabouriech fit feu de l un de ses pistolets mais ule seule clata Je m avan ai vers lui pour essayer de rendre par derri re lorsque Je le vis qu il amor ait son BE vec une autre capsule Le brigadier Half tait pr s de ame o dit qu il allait essayer par la douceur de lui faire m ses armes Je descendis pour voir comment il se fai Im po des hommes de garde que j avais envoy chercher gi brigadier Laign n arrivaient pas Quand je remontai Pi oadier Darnis compatriote de Tabouriech tait parvenu douceur se faire remettre les pistolets dont il tait voue a gehnabel 3 iof yers S1X nil jg dans la Mhades Logis yi tirer tenir la la porte me M Ja caps par Fe pr sident Tabouriech vous a t il reconnu lorsque yous Nous tes pr sen la porte pour l emp cher d entrer Jo moin Jene suurals le dire il avait l apparence d un pomme auquel la col re a troubl la raison D Tabouriech avait il pu voir par la porte entr ouverte au moment o vous tes sorti l endroit de votre chambre o sir le mar chal des logis Favrot R Je ne crois pas mais jl savait que Fav
62. og sur la p il vient d tre parl t remises au Caf de S bastopol par rovenance des pierres fausses dont Faure d clara qu elles lui avaient du dix neuvi me Si cle boulevard un nomm Leduc dont il fignorait la demeure cet individu lui avait promis 12 pour 400 de commission sur la somme que lui Faure pourrait tn de ces pierres en les engageant au MONA in culp affirma qu il avait et de bonne foi et avait cru re cevoir des brillants QUE de Faure SA yil wavait aucun moyen d existence par la concierge qui et l on apprit connu qu il recevait d s visit s notamment celles de deux individus dont elle donna le signalament Cette fem nie d clara avoir entendu un jour l un de ces individus dire devant elle propos des dangers que les jeunes gens couraient avec les femmes Moi j ai faire attention c r je porte toujours sur moi pour 3 ou 4 000 francs de brillants Elle ajouta qu il avait tir de sa poche une pierre qu il lui avait dif valoir 5 ou 600 francs Quand Faure sortait il disait la concierge que si quelqu un venait le demander d envoyer au Caf du dix neuvi me Si cle o on le trouverait Supposatit vec raison que la bande d industriels qui exploitait les Bur aux du Mont de Pi t l aide de faux brillants se r umissait ee caf tablissement tr s mal fam dit le pr c s verbal du commissaire de police des agents s y mirent en observation
63. oir priver le Tr sor de toute ag tiom pour le recouvrement des droits de mutation la suite de d c s il consentit en accorder une mais sur le RS seulement ce qui ressort videmment de ces termeswde la loi Le Tr sor aura action Consid rant que avant comme apr s l an VII lorsque le l gislateur a eu l volont d tablir un privil ge cette volont a t formul e par un tex e formel et positif ainsi que le rouvent les lois des 22 ab t 91 et 4 germinal an II sur les es douanes 4 germinal an XIII sur les contributions indirectes 5 septembre 1807 sur les frais de justice crimi nelle et les biens des comptables 19 novembre 1808 sur les contributions directes 8 avril 1816 sur les droits de timbre et les amendes s t S Consid rant que l article 32 accorde si peu un privil ge au Tr sor qu en lan XH au moment de la discussion du Code Napol on l article 13 du projet correspondant l article 2104 du Code Napol on proposait d accorder la r gie un privil ge sur les metbles et les immeubles pour le paiement des droits dus pour ouverture de succession proposition qui n e t past t faite si d j la loi de frimaire e t accord un privil ge au Tr sor Dr Pr Qu on ne peut induire ce privil ge de la combinaison des articles 14 15 27 28 36 et 59 de Tadite
64. op re en le r faveur une v ritable mainmise sur tous les biens du failli que d sormais les cr anciers sont en possession et nan tis des biens de leur d biteur qu ils ont sur ceg biens les pri vil ges d un gagiste et le droit aux termes d s art 2073 9102 n 2 du Gode Napol on de se faire payer par pr f ren ce sur la chose remise en leurs mains par la loi pour s ret de leurs cr ances Qu les droits de chacun d eux sur ce gage r el sont fix s d apr s le passif existant au jour de la faillite sans que des cr anciers post rieurs puissent venir diminuer la part qui doit leur revenir par la distribution ak Consid rant que dans l esp ce l action du Tr sor pour but le recouvrement d une cr ance qui n existait pas au mo ment de la faillite que le d biteur de la dette est une h r dit qui n existait pas davantage que d s lors cette action dont fa cause est post rieure la faillite ne peut pr judicier aux droits de pelekeni acquis par les cr anciers ant rieure ment la faillite Consid rant que c est tort que les premiers juges ont distingu dans leslcr ances n es post rieurement la faillite celles provenant du fait ou de la volont du failli et celles 4 favoriser le transit en ne condamnant pas at paient ds droits des marchandises qui ne font que Dr x padae unique mais cela ne met pas obstacle au a z de g se pr tend l s et ne cr pas CO
65. ourg St Denis 186 M Pierre Fran ois Ardilly demeurant dicatif des sommes r clamer MM ligny 25 ans rue Corbeau 4 mA Aa Lee Er sims LAS les cr anciers artarin 74 ans rue de la Fid lit tous deux au si ge social nomme Tartarin 71 ans as rue du G M Guibal juge commissaire et M Du sieur BLOQUET Eug ne Ale 14 M Packer 6s Pro att 40 Quatrem re quai des Grands Au xandre entr de serrurerie rue de SAM MIERL SE on 443 Mme gustins n 55 syndic provisoire Ne Malte n 3 entre les mains de M jans rue de ir peate ie Saint Jac 17263 du gr Crampel rue St Mare 6 syndic de Miroid 55 ay ER 60 ans rue Du sieur MAZIER Louis Pierre l faillite N 47092 du gr gen ra Sreneurs 45 Mme Ha picier et d bitant de vins demeu G 38 ae rue de l Are de Triomr phe 13 Mme Lemari 31 ana Pea sage Saint Pierre Mme Robinet Du sieur LAVERRI RE commiss en farines rue des Vieilles Etuves ard nomme M Guibal Re 9 entre les mains de M 22 re et M H caen rue Crampel rue St Marc 6 syndie de rue Drouin Quintaine 22 77 syndic provisoire Ne la faillite Ne 17068 du gr ins Bouland 42 ans rue de Paris Pour en conformit de l article 493 73 du Gode de commerce tre proc d FRAC RER ANRT eur de ma onnerie demeurant P ris la v rification et Padmission des j cit d Angoul me du Temple n 66 cr ances qui commencero
66. paraissant regarder l incendie Il fut appris que le matin elle avait achet des allumettes chimiques au bourg de Poullaouen et il ne lui a pas t possible de rendre compte de l emploi de son temps de six sept heures du soir Dans les mterrogatoires l accus e se renferme dans un syst me de d n gation absolue Elle nie non seule ment le vol et l incendie qui lui sont reproch s mais elle soutient encore que le 5 f vrier elle n a pas achet d al lumettes chimiques et quelle ne s est pas trouv e dans le village de Guily en l endroit indiqu par plusieurs t moins En cons quence Marie Anne Brousseau est accus e d avoir le 2 janvier 1860 soustrait frauduleusement de l argent au pr judice de Jean Fran ois Urvoas dont elle tait alors la domestique 2 le 5 f vrier 1860 d avoir volontairement mis le feu des r coltes en meule apparte nant autrui Marie Anne Brouss au a persist audience dans les positions des t moins 9D ste aucun fait nouveau na t appris sa charg t Sa conduite jusqu ce moment deux pistolets doubl ment charg s mena ait de faire feu lame apr s avoir perc un fichu et un corset de tricot n avait ouvert que des plaies peu profondes t apr s un part son peu de moralit avait t bonne et elle s tait fait remarquer l incendie par les soins mpress s qu elle avait prodigu s pour teindre le feu Le j
67. personnes qui wont pas de foi moi j en ai beaucoup et je ne peux pas souffrir certaines expressions quon se permet sur la religion laquelle j appartiens Pai un enfant qui va faire sa premi re communion Croiriez vous monsieur le juge qu un nomm L que ma femme voit contre mon gr disait mon enfant ces paroles impies Tu vas done i manger un morceau de p te Ceci m a indign J ai d fendu ma femme de parler M L Elle a persist malgr mes ordres et de plus elle coute les mauvais conseils qui lui sont donn s contre moi Il y a toujours des gens pr ts exciter la m sintelligence dans les m nages M L entre autres fait tout ce qu il peut pour brouiller le mien FA Je suis un honn te p re de famille j ai quatre en fants que j l ve dans la crainte de Dieu je s is un bon ouvrier rang conome je ne demande que la paix ma femme voulait la guerre que c est ce qui fait que je me suis oubli Je pense que le Tribunal sera indulgent pour moi ie HU L organe du minist re public s associe l esp rance du contrevenant hr Le Tribunal usant d une grande mod ration engage ki A tre lui m me plus mod r l avenir et le condamne I seulement 1 fr 75 c d amende et aux d pens E Il est parfaitement permis de ne pas trouver la fi gure de certaines personnes de son go t mais il est d fendu de le leur dire en termes
68. prison iyi Pendant que l accus tait conduit la salle de police il se mit pleurer il fit des reproches Darnis de ce qu il l a vait emp ch d ex entef l projetqu il avait con u de se d truire apr s l attentat afin de se soustraire au ch timent qui l attendait Il ne manif sta aucun regret de sa criminelle ten tative contre son sup rieur Apr s la l ctur de toutes les autres pi ces de l infor mation il est proc d l interrogatoire de l accus M le pr sident Vous venez d entendre la lecture des char ges accablantes qui s l vent contre vous dites au Gonse quels sont les moyens d d fense que vous pouvez faire va loir pour att nuer la tentative d assassinat qui vous est 1e prach e L accus Dans la matin e du 18 mai apr s avoir bu quel ques verres deiyin avecimon camarade Bl try je fus la visite du m decin parce que j avais t port malade j fus des logis Favrot Le M le pr sident Vous appelez cela une petite discussien Vous vous tes arm d vos pistolets et marchant vers lu vous avez tir un premier Coup qui heureusement a manqu tion para t il tait bien de donner la mort au mar chal des logis L accus Je ne sais ce qui estarriv que par le r cit qu lon m en a fait le lendemain 7 M le pr sident IL est f cheux que vous adoptiez un a t me de d n gation car vous avez fit des aveux tr s exp cites devant le capitain
69. r sident veut faire mettre Tabouriech en Se si ie MA rogun budro de poe vet abginiech e on montrai lordr j a g too oi lui ordonnai de me suivre Alors ts A ques invectives quand Je voulus le faire prendre lrA hommes du poste il se ste il se jeta sur moi derolle de ma giberne ai A P R E A e le pr sident avec s v rit Sulhsant pour faire mett c l re cet homme en ju s RES et ho ement dev Gonseil de guerre Si vous l eussiez fait sr rue Voir le prescrivait il ne serait pas amiourd hnt aoon otre d do Le e X pa Fe hui misen juge an crime Capital Votresfaiblesse d is d avri oria j i s u mois d ay e bien avoir encourag la tentative du mois de M te invite plus de fermet dansiotse service iE dai as Ne Fournier d clare avoir entendu le asseur Labourieth dire haute Voix dev itai a ha 01x devant M le capitaine Doux qui lui demandait compte d 1 it fai Deb e ce qu il avait fait J sais fort bien ce que aisai j Maries FC je faisais et je me souviens d avoi D ee car ais souviens d avoir g S pistolets pour m en servir arg servit re r es logis Favrot etc Aie P accuse nie avoir tenu ces propos AH brigadier En me rendant ma chambre rt tonn de voir l accus deva officiers tenant en main deu chai de lui et lui demandai qu de la sorte a ne vous reg Il r p ta ces paroles plusie que je m loignai sans M le pr sident d sarmer l foi y id l
70. reconnu d biteur jusqu due con currence du montant de la cr ance de l administration en principal et accessoires Gondamne les syndics Varnier en ladite qualit aux d pens Apr s ce jugement il a t d un commun accord re connu qu on devait proc der d apr s les errements tablis par une jurisprudence constante En cons quence l appel a t interjet de la part des syndics Varnier Roger sans que l administration comme nousl avons dit ait excip d aucune fin de non recevoir et l instruction a t suivie devant la Cour comme elle l au rait t par suite de tout appel C est dans ces circonstances que la Cour a rendu l arr t suivant La Cour Consid rant qu il n est pas soutenu que l action de la r gie r clamant les droits de mutation sur la succession Var nier soit fond e sur un droit de copropri t pr existant de l Etat sur les biens d clarer doctrine repouss e par les principes de notre droit public et de notre droit civil mais que la r gie appuie sa pr tention sur un privil ge consacr en sa faveur par l article 32 de la loi de frimaire an VII Consid rant que les privil ges sont de droit strict qu ils doivent tre tablis d une mani re pr cise et formelle et qu il n est pas permis de les induire de termes ambigus dont la sigpification a besoin d tre recherch e l aide d analogies douteuses et hasard es Que l article 32 de l
71. risation elle pouvait sti puler que dans le tas o elle prendrait pour la police et la r partition des eaux du Roulois de nouvelles mesures qui priveraient en tout ow partie le duc de Glermont Tonnerre du b n fice de cette permission il n aurait droit aucune indemnit elle ne pouvait lui imposer la m me condition d une mani re abs lue pour le cas o la jouissance des eaux lui serait retir eten totalit ou en partie par suite de l ex cution de travaux quelconques dont l utilit publique aurait t l galement constat e Art Le Sont annul s 1 l article 4 de l arr t du pr fet du d partement de l Eure en date du 8 mars 1859 qui im pose au due de Clermont Tonnerre l obligation de payer une redevance annuelle aw profit de l Etat 2 l article 10 du m me arr t entant qu il impose au duc de Clermont Ton nerre lfcondition de ne pouvoir r clamer une indemnit dans le cas o il serait priv temporairement ou d finitive ment de sa prise d eau par des travaux publics autres que ceux qui s raient n cessaires pour la police et la r partition des eaux du Roulois Art 2 Le surplus des conclusions du duc de Clermont Tonnerre est rejet AVIS MM les abonn s sont pr venus que la suppression du journal est toujours faite dans les deux jours qui suivent l expiration des abonnements l Nous les prions de renouveler imm diatement s ils ne veulent pas prouver du retard dan
72. rot se trouvait dans la chambre D Pensez vous que labouriech s t que quelqu un tenait ja porte ferm e en la poussant SF R Opi il a d s en aper tevoir l esp ce de r sistance qu on lui opposait du dedans etil a d mw ntendre dire au mar chal des logis Lacombe de tenir la porte ferm e E W zi M le pr sident l accus Qu avez Vous dire sur cette d position elle devrait rappler vos souvenirs Tabouriech Mon colonel je puis vous donner l assurance la plus positive que j ignore ce que j ai fait Mon ivresse sms tre extr me taittelle que J agissais avec vivacit mais sans que mes id es fussent r fl chies Je sentais cela au feu qui me br lait la t te parnis brigadier Etant dans ma Chambre j entendis un grand bruit qui se faisait dans l corridor un certain nom pre de chasseurs taient accourus sur le lieu du d sordre Je inapprochai et je vis Tabouriech tr s en col re se porter vus Laporte de la chambre des sous officiers et brandissant deux pistolets qu il tenait la main Je me suis approch de lui et par mes pretep j ai obtenu qu il me rendit une de ses umes Je lui adressai Ja parole en patois de notre pays omme je lui demandais ce qu il me remit son deuxi me Nolet il me dit qu auparavant il d sirait parler au mar dal des logis Favrot Je me suis approch de a porte de la chambre dans laquelle se tenait enferm ce sous officier et j luiaifait part du d
73. s i ngt juin mil huit cent soixante enregistr Pa e fris le vingt cinq du m me mois fo e f lio 474 vers case 8 I r sulte qu une L apport du com soci t pour la fabrication et la vente des jupons a i form e entre M Lu Cien Louis PR VOST fabricant de Jupons demeurant Paris avenue sociales seront L on DE et CH La gestion et Tad l autre la si faire usage que pour les DELINI RES 432 C BOUDIN du Bel Air 38 sur l ancienne com Hoi f mune de Saint Mand et un Dail Dun acte sous seing priv fait fleur de fon l s simple commanditaire d nomm audit acte de soci t Cette 9 soci t est form e pour six ans qui Sopold GIL font commenc courir le premier ier demeu juin mil huit cent soixante et fini n tat 9 et M front le trente un mai mil huit cent commis S0ixante six Elle existera sous la rue raison PREVOST et C Le si ge de la eux f soci t est tabli Paris rue de pour Rambuteau 81 L apport du bail i stde vingt mille francs qui vnt t s s jusqu concur rence de moiti titre de comman dite t pour le surplus titre de comple couram Certifi v ritable le pr sent extrait par moi Pr vost g rant responsa Jle 4320 Paris le vingt trois juin pen en poms collectifs Paris rue Gren tat 9 t eommencera le premier mier juillet mil huit cent deux Le
74. s la r ception du journal Le mode d abonnement le plus simple et le plus prompt est un mandat sur la poste ou un effet vue sur une mai son de Paris l ordre de Administrateur du journal CHRONIQUE PARIS 27 JUIN On lit dans le Honiteur On a r pandu le bruit que le gouvernement songeait n gocier un emprunt Ce bruit est compl tement faux ES La s ance d installation de MM les pr sident juges et juges suppl ants du Tribunal de commerce nou element lus aura lieu samedi prochain 30 juin midi pr cis dans la salle d audience du Tribunal au palais de la Bourse A la fin du mois dernier l administration du Mont de Pi t fit pr venir les directeurs de ses succursales o depuis quelque temps des escrocs avaient trouv le moyen d engager comme diamants des cristaux sans valeur le m me avis recommandait la plus grande atten tion dans l examen des pierres qui seraient apport es l engagement et l arrestation imm diate des mL qui pr senteraient comme diamar ts des strass ou cailloux du Rhin L 4 E Tat Le 2 juin un sieur Faure tait arrete dans ces circon lances au bureau auxiliaire de lairne du Vieux Colombier tenu par M Belleville Conduit chez M Pampin autre commissionnaire au Mont de Pi t celui ci le reconnais sait pour avoir deux jours avant engag chez lui doux faux brillants que l administration du Mont de Pi t avai laiss sa charge Interr
75. s revenus ensemble sur les int r ts que produiraient toutes les sommes d pos es tce portait l exploit pour s ret et avoir paiement par privil ge de la somme de 50 000 francs laquelle taient valu s provisoirement les droits de mutation dus au Tr sor public par suite du d c s de M Varnier Roger sauf augmenter ou dimi nuer d apr s les d clarations que les h ritiers ou leurs re pr sentants seraient tenus de faire conform ment ticle 27 de la loi du 22 frimaire an VII Cette opposition a t d nonc e tant aux syndics de la faillite Varnier Roger qu aux h ritiers avec assigna tion devant le Tribunal civil d Orl ans pour voir d clarer valable ladite opposition suivant exploit du m me jour 14 mai 1859 Telle est la mani re dont s est engag e cette r clama ti n qui a produit une certaine motion facile compren dre en pr sence d une faillite dont le passif est d environ 1 millions avec un actif valu 35 pour 100 sur les quels 25 pour 100 ont t distribu s jusqu ce jour Quelques mots maintenant sur la proc dure suivie et qni neseront pas sans int r t pour faire comprendre comment le proc s a pu arriver devant la Cour et tre l objet de l arr t que nous allons rapporter On sait en effet qu aux termes des articles 65 de la loi du 22 frimaire an VII et 17 de la loi du 27 ventose an IX une proc dure tout exceptionnelle doit tre observ e
76. si ge de la soti t PR VOST et Cie eee RSR Elude de Me Eug ne BUISSON avo cat agr rue Notre Dame des successeur de M J ervir que pour les la soci t Vietoires 42 Bordeau S GILLET ante enr MAIGNAND zani iy rie CHAPUIS I jou environ 500 volumes ete 4320 Bureau fauteuil ha bliothi que cartons cadre 4321 Commode tables chai dule ele t 4822 Buffet table pendule po le lot de ferraille et fonte etc f merce demeurant 4323 Billard comptoir brocs me sures tables chaise glaces ete q 1824 Tables chaises Blaces comp 482 receveur qui a re u cinq francs DELINI RES employ de com pen Enregistr Paris le Juin 1860 F Re u deux francs 20 centimes D un cinquante centimes 4 M L onard date Paris Qu une soci t en nom collec acte sous scing priv en ly 21 et M Antoine Paul OLIVE M ris Petite Rue de Reuilly 5 ar e de biens du lio 163 case 5 Sous la raison sociales CHAPUIS LAG et OLIVE dont le meurant Paris Petite Rue de Reuil THE du quinze juin mil jeune n gociant demeurant Pa rue huit cent soixante enr sisfr entre merce demeurant Paris boule M Jean Nicolas Eug ne VINOT mai pert vard Saint Martin 53 2 M Louis chand de vins et Charles BOUDIN employ de com Charlotte Lucile NANCLUSE pouse tur aris rue de jud
77. sir de Tabouriech Ila refus de l en tendre Je stis r tourn pr s de Tabouri ch qui se trouvait ms une aufregartie du corridor et s obstinait conserver son pistolet pots ensservir disait il contre lui parce qu il Sub bien ce qui lui revenait Cependant il a c d mes HRA ga ap son deuxi me pistolet et je l ai conduit salle de police M le pr sident Lorsque Tabouriech vous a 1emis ses pis tolets taient ils tous deux charg s amorc s et arm s Le l moin Pour le premier pistolet qu il m a remis je l ai it vivement passer un hemme qui se trouvait pr s de moi Pur qu il lemport t et j n ai pu reconna tre S il tait char be ou amorc je crois qu il n tait pas arm Quant au deu ti me il avait tellement gesticul avec que la charge avait Bisf et tait sortie du canon on a trouv la balle et la Poudre qu il renfermait par terre D Tabourieeh vous a t il paru en ce momeut avoir perdu sa taison par suite de l tat d ivresse dans lequel il se trou vat LR Il tait gris mais il reconnaissait bien ceux qui se trouvaient autour de lui Il me disait quand je le recondui ais dla salle de police que j avais eu tort d lui retirer ses nu ain sauter la t te et aurait vit le ch 4 Le J A avez vous jamais entendu Tabouriech parler avec un Sentiment de haine contre le mar chal des logis Favrot t 4 D p 20h mon colonel nous ions li s depuis longues an AR je n
78. soit 36 fr par action sera Re pay partir du lundi juillet la Soci t g n 10 varpaan VEDICE rale de Cr dit mobilier place Vend me 15 CR iE DE SAVON LEM PIF NaL Ce paiement pour les titres au porteur aura lieu sous d duction de l imp t tabli par la loi du 23 juin 1857 59 c par action soit 35 fr 41 payer par action au porteur Pour toucher ce dividende MM les actionnai res propri taires d actions au porteur sont invit s Elle esten poudre aromatis e l amande am re et au bouquet Elle est sp ciale pour la barbe et la toilette des maiss des bras du cou et du visa ge dont elle conserve la fra cheur Le flacon 2 F les 6 flacons pris Paris 40 fr Pharmacie La roze rue Neuve des Petits Champs 26 etches les parfumeurs et coiffeurs Jour quinze ann es commen ant edit jour quinze juin mil huit cent soixaule et ayant pour objet le une soci t en com commerce des vins et eaux d de l autre per en gros et d tail Raison ets est fix e huit an ture sociales VINOT et Ce Si ge premier social rue d Orl ans 43 dix sep ti me arrondissement Les feur associ s g reront et administreront et auront la signature sociale mais le trente juin mil huit cent Le si ge social est s affaires de la soci t peine de nullit m me vis vis des tiers Pour extrait 4322 VINOT aeaee D un acte sous signatures priv e
79. sur le petit bras de la Seine en face du March Neuf quand n le vant les yeux il aper ut la lueur du gaz uh homme qui escaladait le mur du parapet du petit Pont et se pr cipitait dans le fleuve o il disparaissait imm diatement sous eau Le sieur Donceaux s jeta sur le champ la nage et se dirigea rapidement la brasse vers l endroit o l homme tait tomb dans l espoir de l arracher au p ril qu il semblait avoir cherch mais malgr sa diligen ce il ne put rep cher que sa casquette rest e la snrface de l eau et ce fut inutilement qu il plongea divers s r s prises pour d couvrir le submerg Ce n est que ce matin huit heures que le cadavre de ce dernier a pu tre re trouv non loin de l par le sieur Pecquenard marinier On n a pas tard apprendre que cet homme tait an sieur Landry g de trente ans couvreur le domicile n tant pas connu le cadavre a t envoy provisoirement la Morgue et d pos dans une pi ce r serv e Un funeste accident est arriv hier entre une heure et deux heures de l apr s midi dans les d pendances du chemin de fer du Nord Un certain nombre d ouvriers terrassiers sont OCCUP S depuis quelque temps creuser une tranch e pour l tablissement d un pont sous la rue Marcadet 18 arrondissement Cinq de ces ouvriers ache vaient de miner la base d un norme bloc de terre qui se trouvait par suite de ce travail
80. te au Tribunal pour faire d clarer qu il ny avait pas lieu dans la circonstance donner suite sa constitution d avou et les syndics sur la signification qui leur a t faite de cette requ te ont consenti consid rer comme n n avenue la constitution de leur avou Devant le premier degr de juridiction la cause a donc t instruite et jug e comme en mati re ordinaire d enre gistrement et voici le jugement qui a ete rendu la date du 44 mars 1860 par le Tribunal civil de premi re instance d Orl ans car nous croyons devoir rassembler ici tous les l ments de d cision dans cette grave ques tion d autant mieux que la sentence des premiers juges a t rendue dans un sens tout fait contraire la doc trine d clar e par l arr t de la Cour a mai fond que si l action du Tr sor pour les droits de mutation par d c s ne peut s exercer par voie de pr l vements privil gi s sur les biens m me de la succession et si le Tr sor n a qu une cr ance contre l h r dit cette cr ance existe toujours que la succession soit neptosenies par des h ritiers purs et simples ou par des h ritiers b n l esp ce par un curateur Prmem jour sait le droit de reltef une copro X BUREAUX Ene G au coin du quai de l horloge y fe Paris Que d pourvue pour le recouvrement de cette er ance de tout recours privil gi sur les valeurs en capital dela su
81. u sif de la masse et d une indisponibilit telle qu ils ne pou vaient plus tre affect s au paiement de cr ances autres que celles existant le jour de la faillite Que si l on se rapporte aux dispositions du Code de com merce relatives la faillite on n y trouve rien qui indique de la part du l gislateur l intention d enlever au failli d s le d but de la faillite la propri t de ses biens pour attribuer cette propri t la masse encore ind termin e de ses cr an ciers ni m me de conf rer cette masse un gage sur ces biens d une mani re d finitive et avec la cons quence que la loi y attache Qu il n en pourrait tre ainsi cette p riode de Ja faillite o les cr anciers ne sont m me pas encore connus o le ju ment qui a d clar la faillite est susceptible de recours et peut tre rapport e o il ne s agit que de mesures provisoires n cessaires pour pr parer la d cision par laguelle les cr anciers auront choisir entre le concordat qui conservera au failli la propri t de ses biens et le contrat d union le premier est le seul acte qui d poss de r ellement le failli au profit de ses cr anciers Que l article 443 suffirait lui seul pour repousser la pr tention des syndics puisqu il se borne dessaisir le failli de l administration de ses biens d o la cons quence n ces saire que le failli en conserve la propri t Que les dispositions qui suivent l articl
82. u gr la signature sociale Paris vingt sept juin mil huit cent exploit un fonds de soixante Pour extrait 4318 Sig D un acte sous seing priv fait hir i s 3 double Paris le FREE at juin mil Missaire et M Pihan de la Forest huit cent soixante enregistr r j TU6 de Lancry 45 syndie provisoire 4 M Pierre MATHEY N 47262 du gr marchand tailleur demeurant Pa ris rue Rameau 41 2 M Aim BA RATIN marchand tailleur demeu rant aussi rue Rameau 44 ont dis sous d uneommun accord du trente juin courant la soci t qu ils ont form e entre eux la date du quinze mars mil huit cent cin D un acte fait double Paris le quante sept pour faire au si ge s0 vingt trois juin mil huit cent soi cial susdite rue Rameau 44 le com tr entre M Jean Ma merce de marchand tailleur sous la AGE n gociant de raison et signature sociales MA Yet PARA Le Le Prosper athey fils comptable demeurant x 1 Lien H sn nomm liquida rant Paris Grande Rue 70 ci de 23 il ap j teur avec les pouvoirs les plus ten Mik Va 2 Que la soci t commerciale dus pour mettre fin toutes choses LE UNAN M Margueritc tablie Paris par acte sous siena d pendant de ladite soci t dissoute de Lanery 9 ulte que es priv es en date du quatorze Que M Baratin reste seul propri 17264 du gr mars mil huit cent cinquante six taire de l tablissement ct
83. un local r serv pour le faire inhumer ses frais Le commissaire de police du quartier de la Goutt d Or a ouvert une en qu te pour rechercher la cause de ce douloureux accident Re mme D PARTEMENTS Giroxpe Bordeaux Un mari at il le droit d emp cher sa femme de fr quenter certaines personnes et peut il se porter contre celte femme des violences dans le cas o elle transgresserait ses ordres Telle est la ques tion qui r sultait des d bats d une affaire jug e la der ni re audience du Tribunal de simple police pr sid par M Chassaing juge de paix Voici dans quelles circon stances Un proc s verbal dress contre le sieur A Espagnol constatait que cet individu apr s une sc ne qu il avait eue avec sa femme s tait oubli au point de porter des coups son antagoniste En cons quence il tait cit de van le Tribunal en vertu des dispositions du Code de bru maire an IV 622 ARR RE Sr PRE Eh bien A est ce ainsi qu on se conduit Bossos demande M le pr sident A Si vous tiez l bas que dirait votre alcade Pas plus l bas qu ici je pense il n est permis de battre sa femme Or vous avez battu la v tre qu avez vous dire pour votre justification Que voulez vous monsieur r pond le contrevenant J ai des principes ma femme fr quente des
84. urgade md d meubles ouv Tessier boulan ger id Blum L ger et Ci mds de vins conc UNE HEURE Montangerand jeune fabr de visi res rem buil 7 Veuve Rapin et fils fabr de fouil lages cone Petitot md de et redd de compte Raphanel mi de cuirs id Lory boulanger el t De Trimont n g id u nil huit rue La Bruy re 22 syndic provi soire N 47267 du gr Du sieur CHELLA ane md de vins perruquier demeurant Clamart rue du Trosy nomme M Binder juge commissaire et M Millet rue Mazagran 3 syndic provisoire Ne 17268 du gr p r if Du sieur LAVERNE n g demeu are Peine t T rant Levallois commune de Cli chy rue du Bois n 409 nomme M nard limonadier id Guibal juge commissaire et M La ranee moureux rue de la Chauss e d An un n 8 syndic provisoire N 47269 D c s ot Imhumations u gr Du sieur MASSON n goe en nou veaut s demeurant Paris faubg Poissonnt re 113 nomme M Sau vage juge commissaire et M Richard Grison passage Saulnier 9 syndic provisoire N 4727 du gr Du sieur LEFEBVRE n goe de Cr meurant Paris Chauss e Antin ira f y 6 il E Faillites ns i t en D CLARATIONS DE FAILLITES dis jour e pre Du sieur MARC Amand fabr de xante chaussures demeurant Paris rue 4 Quincampoix 62 nomme M
85. ury rapport un verdict de non culpabilit sur laccusati n d vol et sur Paccusation d incendie un ver dict de culpabilit mitig par l admisston des circonst n ces att nuantes En cons quence Marie Anne Brouss au a t condam n e la peine de quatre ann s d emprisonnement ER ei He CONSEIL DE GUERRE DE PARIS Pr sidence de M Aymard colonel du 62 r giment d infanterie de ligne Audience d u 26 juin TENTATIVE D ASSASSINAT SUR UN SUP RIEUR Il y peu de jours nous avons domn le compte rendu de l accusation de tentative d assassinat dirig e contre le nomm lauch voltigeur au 3 r giment de la garde imp riale On se FRE que ce militaire ayant t puni par l sergent chef du poste de la police du corps de quatre jours de salle de police pour s tre absent ill galement con ut le projet de se venger de cette punition en attens tant aux jours de son Sup rieur le Conseil de guerr le condamna la peine de mort L affaire quiest port e aujourd hui l audience est une accusation de m me nature et c est aussi pour une punition d quelques jours de salle de police que l accus qui est ame n devant le Conseil avait r solu de donner la mort au ma r chal des logis qui lui avait inflig cette l g re punition Toute la caserne de Grenelle fut bient t mise en moi pat suite du d sordre qu occasionnait l accus qui arm d d n gations qu elle a oppos es d
86. utation auxquels auroit donn ouverture le d c s du sieur Varnier Roger survenu depuis sa d claration de faillite D clare nulle et d nul effet la saisie arr t form e la re qu te de l administration de l enregistrement s mains de M Nagne receveur g n ral des finances du d partement du Loiret au nom et comme pr pos la Caiss des d p ts et consignations de l arrondissement d Orl ans suivant exploit de Lefranc huissier Orl ans du 11 mai 1859 Ordonne en cons quence que nonobstant ladite saisie arr t et opposition laquelle devra tre consid r e com me nulle et non avenue les d tenteurs de fonds et va leurs quelconques frapp s par cette saisie et appartenant la faillite Varn er seront tenus de les verser s mains des syndics de l union des cr anciers de ladite faillite quoi faire ils seront au besoin contraints en vertu du pr sent ar r t et quoi faisant ils seront et dem ureront bien t valable ment quittes et d charg s D clare au surplus ledit arr t commun avec le curateur la succession vacante Conclusions contraires de M Merville premier avo cat g n ral Plaidants M Robert de Massy pour les syndics Varnier et Mouroux pour l administration de l enregistrement om TRIBUNAL CIVIL DE LA SEINE 4 ch Pr sidence de M Salmon e Audience du 23 juin CONTREFA ON A L IRANGER TRANSIT EN FRANCE Le propri
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