pàhëon — sçrone niversite paris - Université Paris 1 Panthéon
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1. 4 Pour tout ce qui concerne les mat riaux voqu s du type tresses clapets coupe feu PUniversit continue les travaux d enl vement des mat riaux au cas par cas Ils sont list s de fa on tr s exhaustive et localis s De mani re progressive ils seront enlev s en appliquant les protocoles et selon la nature des mat riaux En g n ral cela est r alis par une entreprise ext rieure 5 Suite aux visites m dicales dans le cadre de la pr vention du risque amiante les agents aptes ont b n fici d une formation sur le port des EPI des modes op ratoires respecter dans le cadre d intervention sur des mat riaux ou appareils susceptibles d mettre des fibres d amiante conform ment la r glementation Cette formation a t organis e par le Service de la formation Continue de la DRH Mme BROSSIER le Service Hygi ne S curit et Environnement et la Direction du Centre PMF 6 Pour les pl nums l Universit a pris l attache de l EPAURIF tablissement Public d Am nagement Universitaire de la R gion le de France L EPAURIF a pris la suite de l tablissement public de Jussieu L EPAURIF va mettre l tude les diff rents sc narii possibles de traitement de ces pl nums Il est clair que les interventions de d samiantage dans les pl nums passent obligatoirement par une neutralisation de la zone o on intervient Cela suppose de neutraliser au minimum un plateau complet sur le Centre PMF et2. PANTH ON SORBONNE NIVERSITE PARIS Service Hygi ne S curit et Environnement Chef de service Abed MAKOUR Adjoint au chef de service Guy BONNET BUREAU 51 Proc s verbal de la r union du 12 place du Panth on Comit Hygi ne et S curit 75231 Paris Cedex 05 du 6 avril 201 1 T l 01 44 07 80 51 Fax 01 44 07 75 19 Courriel rachysec univ paris1 fr Etaient pr sents ou repr sent s e Repr sentants de l administration M Jean Claude COLLIARD Pr sident de l Universit Pr sident du CHS M Fran ois RIOU Directeur g n ral des services de l Universit M Jean DA SILVA 1 vice pr sident du Conseil d Administration Mme Claire MOSSE Directrice adjointe des services de l Universit Mme Fran oise TAILLEBOT Directrice adjointe des services de l Universit Mme Michelle PROQUIN Responsable administrative du centre PMF suppl ante M Marc VETTRAINO Responsable de la division CEL M Abed MAKOUR Ing nieur Hygi ne et S curit M Guy BONNET Responsable adjoint Hygi ne et S curit suppl ant e Repr sentants enseignants Mme Genevi ve GARTNER FSU titulaire Mme Odile PITON FSU titulaire Mme Sylvie DURAND suppl ante e Repr sentants IATOS Mme Fran ois MILLOT VERISSI SNPTES UNSA ducation titulaire Mme Chantal BERNARD SNPTES UNSA ducation suppl ante Mme Sylvie SOURMAIL CGT CFDT titulaire Mme V ronique PERCY
3. dans le cadre de la M decine Pr ventive M RIOU explique que la M decine Pr ventive destination des tudiants est organis e dans un cadre de service inter Universitaire dirig par l Universit Paris 5 Il informe qu apr s avoir rencontr la Directrice du SIUMPPS il n a pas t d cid d enlever un m decin Paris Celui ci reste sur le Centre PMF il n y a donc pas eu de baisse de vacations Par ailleurs dans le cadre de cette rencontre avec la Directrice du SIUMPPS le travail engag consiste toffer nos moyens 3 Pr sentation de la Commission Handicap M RIOU explique que le constat qu un certain nombre de probl mes sont communs aux personnels et aux tudiants en situation de handicap a conduit le Vice Pr sident en charge des BIATOS l quipe de la DRH le service Hygi ne S curit Environnement mettre en place une commission commune d di e au traitement du handicap Paris1 Le point l ordre du jour aujourd hui consiste installer cette commission M MAKOUR informe qu une liste des membres de cette commission a t diffus e aux membres du CHS Elle a pour vocation de traiter les probl matiques sur le handicap communes aux tudiants et aux personnels Cette commission n est pas statutaire elle a pour vocation d clairer les d cisions des organes statutaires de l tablissement sur les probl matiques du handicap Les repr sentants tudiants sont invit s y part
4. par la r glementation quip s des EPI et outill s des dispositifs d aspiration M RIOU souligne qu a partir de ces l ments le plan d action qui a t arr t est le suivant 1 Constitution de KIT EPI conform ment la r glementation dont vont tre dot s la totalit des agents techniques de la division CEL qui auront intervenir pour de la maintenance 2 R alisation pour l ensemble des agents susceptibles d intervenir d une visite m dicale d aptitude au port du masque Page 5 11 Il informe qu un seul agent de la division CEL est inapte au port du masque Par ailleurs les agents contractuels sont galement exclus de toute intervention sur des mat riaux susceptibles de lib rer des fibres d amiante 3 Intervention des agents de la division CEL uniquement sur des travaux mineurs du type passage de c ble M COLLIARD a demand que tout usager du centre PMF qui constaterait l intervention d un agent dans les pl nums par exemple sans EPI ni dispositif d aspiration soit signal la Direction du Centre PMF M COLLIARD souligne qu il ne s agit pas l de d lation mais bien de mettre en garde les agents face la tentation de ne pas porter les EPI pour de petits travaux Il insiste sur la n cessit de signaler ces faits la Direction du Centre afin de rappeler l obligation du port des EPI conform ment la r glementation M RIOU reprend l nonc du plan d action
5. CGT CFDT suppl ante e Repr sentants tudiants M Fran ois GALIAY UNEF Page 1 11 Universit PARIS 1 PANTH ON SORBONNE Sciences conomiques et de Gestion Sciences Humaines Sciences Juridiques et Politiques e Membres de droit Mme Marie LEGRAND infirmi re repr sentant le docteur ROUVIER directrice du SIUMPPS e Membres invit s en qualit du personnel du Service Hygi ne et S curit Mme Odile DUMAS secr tariat M Robert URANGA technicien hygi ne et s curit e Membres invit s en qualit de Correspondant Local Hygi ne et S curit et autre Mme AHMED CHAOUCH Martine CLHS du Centre MSE M Olivier CHAFFARD LUCON CLHS du Centre Saint Jacques M Philippe CHAFFARD LUCON CLHS du Centre BROCA M Michel KRZYZANIAK CLHS du Centre Saint Charles Mme Florence LARUELLE CLHS du Centre 17 rue Tolbiac M Patrick NAMY CLHS du Centre Valette M Laurent RADIGUET du Centre Michelet Mme V ronique LESTANG PRECHAC Chef du service des affaires juridiques Etaient excus s e Repr sentants de l administration Mme Christine MENGIN 1 vice pr sidente du Conseil d Administration suppl ante e Membres enseignants Mme H l ne SIRVEN FSU titulaire e Membres JATOS Mme Anne BARBERO suppl ante e Membres de droit Mme Nadine VILLE infirmi re de pr vention Le Pr sident M Jean Claude COLLIARD ouvre la s ance 10h00 1 Adoption du PV d
6. Type de localisation d amiante M RIOU explique qu il s agit de l amiante li qu il n est pas n cessaire d enlever tant que des travaux ne sont pas engag s cet amiante se trouve dans a des enduits muraux murs ext rieurs de PMF l int rieur du b timent et non en fa ade certaines dalles de sols a certaines colles et r agr ages a certaines colles fixant des fa ences a certaines colles de carrelages et plinthes a des isolants muraux des amphith tres M RIOU rappelle que tout cela est d crit de mani re tr s d taill e niveau par niveau dans les plans Par exemple lorsqu il est signal qu il y a de l amiante dans certaines colles supportant les carreaux de fa ence nous savons tr s pr cis ment dans quel sanitaire cela se trouve Il indique que cet amiante totalement li se trouve dans les mat riaux de bonne conservation et n a pas lieu d tre enlev tant que l on n engage pas de travaux En revanche chaque fois qu une op ration va imposer de percer de faire une saign e de gratter ce qui alt re les mat riaux dont il est question il faut alors de mani re syst matique pr alablement proc der selon l envergure de l op ration soit un d samiantage de la zone conform ment la r glementation soit quand il s agit d une intervention mineure c est le cas lors de travaux de maintenance comme par exemple faire 4 trous dans un mur pour
7. ctures nouvelles le 15 09 2010 Devant cette situation le Pr sident a r uni plusieurs reprises le ma tre d uvre et la division CEL Il a t d cid compte tenu du fait de l avanc e des travaux o l on d couvrait de l amiante de fa on al atoire de mettre fin cette premi re fa on de faire qui consistait avant chaque op ration de la faire pr c der d un DAT et de d samianter si n cessaire M RIOU indique qu il a t d cid de prendre le probl me dans son ensemble savoir traiter le Centre PMF comme tant totalement en travaux c est dire faire sur la totalit du b timent un DAT D o un diagnostic beaucoup plus complet qu un DTA C est ce qui a t d cid avant l t et a donn lieu une commande pass e la soci t GEODEM qui a produit le rapport pr sent aujourd hui Page 3 11 La soci t GEODEM a dans le cadre de cette mission effectu 800 pr l vements dans tous les b timents tous les niveaux entre le 29 mai 2010 et le 11 janvier 2011 sur la base de ces pr l vements elle a fait proc der 920 analyses de mat riaux dans les laboratoires agr es conform ment la r glementation C est ce travail qui correspond la totalit des pr l vements et la totalit des analyses qui se trouvent dans ce rapport Il pr cise que ce DAT permet aujourd hui d affirmer que nous avons dans le b timent PMF 4 types de localisation d amiante 1
8. cueil des travailleurs handicap s nous avons comme les autres tablissements des obligations r glementaires On doit atteindre 6 de travailleurs handicap s dans notre tablissement Aujourd hui nous sommes sanctionn s financi rement car nous n atteignons pas ce seuil Cette commission devra r fl chir ce que devrait faire Paris1 pour tre plus volontariste sur cette probl matique afin de rep rer les postes accessibles Elle permettra d clairer la politique des ressources humaines en mati re d accueil volontaire de personnels handicap s Mme MOSSE fait savoir que le Minist re nous recommande que 6 des postes mis aux concours soient recens s Elle pr cise d ailleurs que cet accueil vaut aussi bien pour les BIATOS que pour les enseignants chercheurs dont la proportion en termes d effectif est plus forte au sein de l Universit que les BIATOS Elle ajoute par ailleurs que sans dicter la conduite un comit de s lection n anmoins on pourrait sugg rer que face deux candidats d gale valeur s il advenait qu un comit de s lection ait se prononcer entre un candidat b n ficiant d une reconnaissance en qualit de travailleur handicap RQTH et un candidat sans reconnaissance il fasse un choix volontariste envers le premier candidat Certaines Universit s ont d j au moins fait adopter ce v u en Conseil d Administration Elle sugg re que ce soit le cas galement pour l Universit Pari
9. de d finir des zones homog nes qu on viderait de leurs usagers et dans lesquels on interviendrait pour le d samiantage M COLLIARD fait remarquer que soit ces zones homog nes seraient vid es ce qui suppose un relogement provisoire ou on profiterait des vacances pour r aliser le d samiantage ce sont des sc narii qui sont l tude M RIOU rappelle que c est la raison pour laquelle il est demand l EPAURIF de mener une tude pr alable car ce sujet est complexe traiter Il faut arriver mener tout cela avec deux contraintes fortes ne mettre personne en danger Page 6 11 permettre une exploitation acceptable du Centre dans sa fonction d enseignement et de recherche Il pr cise que L EPAURIF a commenc cette tude et qu elle sera pr sent e lors d un prochain CHS sur ce sujet pour en conna tre les conclusions L avis du CHS sera requis pour trancher sur un certain nombre de scenarii M RIOU souligne qu ind pendamment de ce plan d action les consignes donn es depuis 2009 sont maintenues En dehors de ces protocoles le Pr sident a formellement interdit toute intervention sur l immobilier PMF Il rappelle que depuis 2009 l ensemble des op rations qui ont pu tre men es importantes ou de moindre envergure ainsi que toutes les op rations qui ont conduit ce diagnostic ont t r guli rement accompagn es de pr l vement et de mesure d air Et ce jour nous n avo
10. e la s ance du 09 novembre 2010 Le PV de la s ance du CHS du 09 novembre 2010 est adopt l unanimit des membres pr sents Page 2 11 2 Point sur l amiante Centre PMF M RIOU Directeur G n ral des services fait un rappel des v nements et souligne qu en mati re d amiante Paris 1 s est toujours conform la r glementation trois diagnostics techniques amiante ont t r alis s depuis 2002 Il rappelle la distinction faire entre les diagnostics techniques amiante DTA et les diagnostics avant travaux DAT expliqu e lors du pr c dent CHS Ces DTA qui permettent l exploitation normale du b timent avaient r v l la pr sence d amiante dans les sous sols du b timent ce qui avait donn lieu une op ration de d samiantage des 4 me me 2 me Sous sols du Centre PMF Il explique qu en 2009 l Universit a engag une op ration de mise en conformit obligatoire des diff rents moyens de secours notamment la mise aux normes du syst me de s curit incendie SSI Le d marrage des travaux a r v l la pr sence d amiante dans certains l ments Ceci est normal puisque les DTA ne portent que sur 4 types de mat riaux et consistaient en un examen visuel Il avait t galement constat que les clapets coupe feu et les dalles de faux plafonds taient amiant es par de l amiante chrysotile li Il souligne pour les faux plafonds en particulier que la situation tait particul
11. fixer un tableau les agents doivent tre quip s d EPI 1 combinaison de protection avec capuche un masque de protection FFP3 des sur bottes jetables des gants d tanch it et d outils munis de dispositif d aspiration un aspirateur T H E tr s haute efficacit quip d un filtre absolu qui sert capter les poussi res sur le personnel et les supports Il souligne la mise en application de la proc dure qui permet de collecter les d chets amiant s dans des sacs identifi s par le logo Amiante conform ment la r glementation d cret 88 466 qui contiennent les EPI tenue masque et les poussi res issues des travaux Ces sacs seront stock s dans une salle du sous sol du centre PMF pr vu cet effet dont l acc s sera contr l et feront l objet d un enl vement r gulier par une entreprise agr e qui remettra un bordereau de suivi des d chets amiant s BSDA conform ment la r glementation Page 4 11 2 Type de localisation d amiante M RIOU informe qu on trouve de l amiante dans un certain nombre de mat riaux C est ce qu a r v l le travail du Ma tre d uvre en charge de la r novation du SSI Ces mat riaux sont les suivants quelques dalles de faux plafonds hors des circulations a des clapets et volets coupe feu a des toiles de raccords entre les l ments de ventilation a des tresses des flocages a des mat riaux de calorifugage a de
12. i re car la pr sence d amiante chrysotile tait al atoire Toutes les dalles ne contenaient pas d amiante Par mesure de pr caution pr sent lors du CHS du 23 11 2009 le Pr sident a d cid de faire enlever la totalit des dalles des faux plafonds dans les circulations sans se pr occuper de distinguer celles qui contenaient de l amiante ou non L op ration a t ex cut e pendant la fermeture de fin d ann e entre No l et le jour de l An A l issue de cette op ration la totalit des dalles de faux plafonds ont t retir es des circulations Le chantier SSI a continu parall lement l Universit a proc d l enl vement de mat riaux amiant s du type clapet coupe feu A la suite de discussions avec les repr sentants des personnels le Pr sident a r dig une note de mise au point le 5 juillet 2010 Cette note faisait tat des diff rents travaux en cours et confirmait que tous les travaux de PMF avaient syst matiquement t pr c d s d un diagnostic avant travaux et n taient engag s que sur la base des protocoles d finis par ces D A T Il s agissait l de confirmer l ensemble des usagers du b timent qu ils ne se trouvaient pas expos s la poussi re d amiante en engageant ces dits travaux Il informe que le bureau d tudes en charge de l op ration de r novation du SSI a continu ses travaux et a rep r en particulier dans les amphith tres un certain nombre de stru
13. iciper M RIOU souligne qu il para t indispensable dans l esprit de la cr ation de cette commission que des tudiants soient pr sents Il serait int ressant que dans la mesure du possible il puisse y avoir un suivi des travaux de cette commission pour viter un changement de repr sentant tudiant chaque s ance M MAKOUR informe que la premi re r union de la commission se d roulera le lundi 2 mai 2011 l ordre du jour est d installer cette commission avec pour objectif de r aliser un tat des lieux des actions entreprises et de planifier pour l ann e suivante l ensemble des actions venir Page 8 11 M COLLIARD souhaite qu une r flexion soit men e pour d finir les modalit s d accueil convenables des personnes handicap es Il indique qu il faut prendre en compte l ensemble des phases de leur s jour dans nos b timents pour leur prise en charge Nous avons eu quelques dysfonctionnements PMF Pobjectif est de savoir Qui fait quoi dans des situations o le handicap a une difficult quelconque D autre part il faudrait avoir une cha ne dans l Universit sur laquelle s appuyer en cas de difficult Pour le moment on ne sait pas qui fait quoi L objectif est d avoir un mode d emploi M RIOU ajoute qu au niveau du personnel cette commission a pour vocation de traiter certes les probl mes d accessibilit mais galement d autres probl mes En mati re d ac
14. lement le PC S curit et le Personnel de Sant sous l gide de la mission handicap Leur accueil suppose une mobilisation r elle d autant plus qu ils m ritent et exigent norm ment d attention 4 Suivi des Fiches du Registre Hygi ne et S curit M RIOU rappelle qu on proc dera au relev des fiches du registre Hygi ne et S curit chaque CHS de fa on syst matique Elles sont synth tis es avant chaque CHS Il informe par ailleurs que M Jean DA SILVA pr sentera sp cifiquement le relev de la main courante pour la s ret du Centre PMF M MAKOUR pr sente le tableau de synth se du suivi des fiches du registre Hygi ne et S curit Il commente les diff rentes actions men es ou en cours afin de supprimer les risques identifi s Mme PERCY demande dans le cadre du suivi du registre Hygi ne et S curit d envisager la possibilit de d placer la hauteur de la cellule de d tection pour le r glage de la vitesse de fermeture des portes d ascenseurs du Centre PMF M DA SILVA fait un point sur la s ret PMF partir du relev de la main courante Les chiffres voqu s sont les suivants a pour le mois de novembre 14 interventions tags fumeurs a pour le mois de d cembre 4 interventions pour le mois de janvier 14 interventions fumeurs tags tudiants qui consomment de Palcool a pour le mois de f vrier 14 interventions tudiants agressifs envers le personnel recondui
15. liorer au quotidien l accueil des handicap s Il rappelle qu un audit sur l accessibilit handicap s des b timents g r s par Paris 1 a t r alis pour une mise en conformit r glementaire Il fait remarquer que des travaux pour l accessibilit handicap s vont tre engag s au niveau de la BIU Cujas Les futurs travaux pour les autres b timents se feront en fonction des cr dits disponibles Il souligne que la liste des travaux est consultable et disponible aupr s des responsables de chaque Centre Mme PERCY souhaite conna tre l tat d avancement sur l accessibilit handicap s la caf t ria du 9 tage du Centre PMF M VETTRAINO r pond qu il attend la r ponse du ma tre d uvre sous r serve d avis de la Pr fecture de Police Mme MILLOT VERRISI informe qu elle remplace Mme ROBIN comme secr taire de s ance pour le CHS La s ance du Comit Hygi ne et S curit est lev e 11h30 Le Pr sident de l Universit Le Secr taire de s ance La Secr taire adjointe Pr fident du CHS Ing nieur Hygi ne et S curit LR ean Claude COLLIARD M Abed MAKOUR ISI Page 11 11
16. ns jamais trouv une fibre d amiante dans l air Il insiste sur le fait que l ensemble des r sultats de ces pr l vements sont disponibles et consultables M VETTRAINO insiste sur la n cessit de pr venir la division CEL dans le cas o les consignes voqu es sur le port des EPI par les agents lors des interventions ne seraient pas respect es M RIOU informe que la commande de 150 KIT EPI Amiante a t lanc e La gestion du stock sera assur par M RIVIERE Atelier PMF afin de ne pas se retrouver en rupture de stock De plus la d signation de l entreprise agr e qui proc dera l enl vement des d chets amiant s conform ment la r glementation a t galement lanc e M COLLIARD interroge les membres du CHS sur d ventuelles questions M CHAFFARD LUCON pose la question de savoir qui serait capable de se rendre compte d une d gradation involontaire des mat riaux au vu de leur v tust M RIOU r pond que lors de rondes effectu es r guli rement par les agents ils pourront relever ce type de d gradation et faire remonter l information la Direction du Centre PMF En parall le et durant la dur e de l intervention nous allons continuer les pr l vements d air al atoires L objectif est bien entendu de ne pas avoir de fibres dans Pair Il pr cise par ailleurs qu une d gradation ne g n re pas syst matiquement une production de fibre d amiante dans Pair il faut v
17. rifier ensuite par des pr l vements d air si c est le cas M DA SILVA informe que ces d gradations ponctuelles concernent essentiellement les dalles de sol car elles sont susceptibles de se d coller il est alors important de le signaler Il rappelle que les murs qui contiennent de l amiante li sont les murs qui sont l int rieur du noyau central du Centre et non pas l ext rieur M RIOU rappelle que les rev tements muraux de l ensemble des cloisons int rieures ne comportent pas d amiante Page 7 11 M COLLIARD souligne que toutes les informations contenues dans le rapport seront consultables aupr s de la Division CEL et la Direction du Centre PMF D sormais nous attendons l tude de l EPAURIF pour la suite des actions mener Il rappelle la n cessit d une forte vigilance pour l ensemble des usagers Par ailleurs le protocole d accord avec l h pital AVICENNE a t reconduit M COLLIARD indique par ailleurs que l Universit poursuit ses recherches dans le cadre du recrutement d un M decin de Pr vention Mme MOSSE informe qu l heure actuelle l Universit s est attach e temporairement les services du Docteur GUILBERT Ancienne conseill re technique du Recteur Elle effectue des vacations uniquement le lundi pour l Universit Parisl car elle effectue galement d autres vacations pour Paris 4 et Paris2 M GALLIAY constate une baisse des vacations sur le Centre PMF
18. s plaques fibreuses en all ge a des joints a des joints de b ti de fen tre a des joints dans les espaces de dilatation Il pr cise qu on dispose galement d un rep rage extr mement pr cis pi ce par pi ce niveau par niveau Conform ment au protocole pr vu par la r glementation l Universit a commenc l enl vement de ces diff rents mat riaux Ceci n impose pas de travailler en site non occup La zone o l on travaille doit tre neutralis e ainsi que le circuit d enl vement des mat riaux contenant de l amiante 3 _ Type de localisation d amiante M RIOU indique qu on trouve de l amiante en terrasse dans les joints d tanch it On n a aujourd hui aucune obligation de les enlever car ces joints sont en tr s bon tat Les usagers du centre PMF ne courent aucun risque Il nous appartient donc de surveiller l tat de conservation des joints et de les enlever si une d gradation le rend n cessaire selon les protocoles conform ment la r glementation 4e _ Type de localisation d amiante M RIOU pr cise que nous avons dans les pl nums de toutes les circulations du b timent o cheminent tous les c blages des mat riaux qui se sont d pos s du type pl tre r sidus de peinture pouvant contenir de l amiante Cet amiante doit tre enlev Pour le moment il est hors de question d intervenir sur ces pl nums sauf si les agents appliquent les protocoles pr vus
19. s1 Elle indique qu en septembre 2011 la Direction des Ressources Humaines est amen e pr senter la campagne emploi en CTP Il est vident que des suggestions seront faire au niveau de la Commission Handicap pour le CTP M RIOU rappelle que celle ci a pour vocation de travailler sur qui fait quoi en mati re d accueil des handicap s Paris1 et puis clairer les d cisions des Conseils et en particulier du Conseil d Administration sur ce qu on peut apporter en terme de politique de Ressources Humaines sur cette probl matique M CHAFFARD LUCON se demande s il existe des formations adapt es pour renforcer cette cha ne de solidarit l int rieur de nos Universit s pour la prise en charge de personnes handicap es Mme MOSSE pr cise que le Service de la formation continue a mis en place une formation les 7 et 8 mars 2011 sur le th me accueillir int grer accompagner des personnes handicap es en emploi M DA SILVA fait remarquer qu il existe trois aspects dans la mission handicap Page 9 11 une mission de communication sensibilisation a une mission d am nagement des locaux a une mission de coordination des acteurs Il prend l exemple d un handicap qui se trouve dans nos locaux face une situation exceptionnelle telle celle o l auxiliaire de vie qui lui est affect ne se pr sente pas Il rappelle la n cessit de coordination des quipes entre essentiel
20. te de personnes qui errent dans les locaux Remarque le 14 f vrier 2011 agression de Mme Chlo BICHET par deux individus ext rieurs l Universit qui se sont enfuis pour le mois de mars 22 interventions intrusions dans les locaux par des personnes ext rieures Il constate une progression des interventions en chiffre mais surtout en nature Il indique que le changement per u est d la lev e du contr le des cartes l entr e du Centre PMF mais galement un meilleur suivi des faits au niveau de la main courante dans le cadre de la s ret M RIOU souhaite que l incident survenu le 14 f vrier 2011 Mme Chlo BICHET qui a subi une incapacit temporaire de travail soit trait comme un accident du travail qu il puisse faire l objet par un groupe de travail paritaire constitu par le Service Hygi ne S curit Page 10 11 Environnement conform ment la r glementation d une analyse des causes selon la m thode de l arborescence des causes L objectif est de pr senter par la suite l analyse des causes et des circonstances de cet v nement dans un prochain CHS afin d identifier des mesures de pr vention et de protection 5 Point sur les travaux M VETTRAINO informe que certains travaux du type largissement de porte r alisation de plan inclin sont conduits pour l accessibilit au Centre PMF Il collabore avec le Service de la Vie Etudiante de Mme FERRANI pour am
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