7 octobre 2015
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1. n ral dans une d claration la presse Ce rapport vient s ajouter aux preuves crasantes montrant que l activit humaine perturbe le climat et met en garde contre les risques de r percussions graves et irr versibles si la tendance actuelle en mati re d missions de gaz effet de serre continue Le porte parole du Secr taire g n ral a galement not que le rapport du GIEC montre qu il existe une s rie d options pour limiter le changement climatique et aider construire un monde plus s r plus durable maintenant et l avenir Le Secr taire g n ral a r affirm son soutien au r le crucial jou par le GIEC qui fournit aux d cideurs et au public une compr hension scientifique du changement climatique faisant autorit dans le monde y compris concernant son impact et les solutions L lection du nouveau pr sident du GIEC intervient alors qu un Sommet sur le climat est pr vu Paris en d cembre Selon la presse M Lee qui tait vice pr sident du GIEC depuis 2008 succ de l conomiste indien Rajendra Pachauri pr sident du groupe d experts depuis 2002 qui a d missionn en f vrier apr s avoir t accus de harc lement sexuel par une ancienne employ e M Lee est professeur l Ecole sup rieure pour l nergie et l environnement de S oul o ses recherches se concentrent sur les cons quences conomiques du changement climatique Centre des nouvelles www un org frenc2. bleu de la Mission int gr e multidimensionnelle de stabilisation des Nations 4 Unies en R publique centrafricaine MINUSCA lors d une attaque la veille Bangui Un convoi de la MINUSCA entre Damara et Ngerengou pr fecture d Ombella Mpoko a t attaqu par un groupe arm non identifi environ 55 km au nord de Bangui L escorte militaire de la MINUSCA compos e d une compagnie d infanterie burundaise a riposte Durant l change un casque bleu a t tu et un autre bless a pr cis le porte parole du Secr taire g n ral dans une d claration la presse Le Secr taire g n ral d plore dans les termes les plus forts les attaques contre des Casques bleus des Nations Unies et demande que leurs auteurs soient rapidement traduits en justice Il r it re son appel aux groupes arm s cesser les hostilit s et d poser les armes a t il ajout Le chef de l ONU a r it r l engagement des Nations Unies soutenir les autorit s de la R publique centrafricaine dans leur lutte contre la criminalit et l impunit conform ment au mandat de la MINUSCA Ban Ki moon a pr sent ses condol ances la famille du d funt ainsi qu au gouvernement et au peuple du Burundi Il souhaite un prompt r tablissement au soldat bless Le HCR appelle la communaut internationale soutenir davantage les r fugi s afghans 7 octobre Le Haut Commissaire des Nations Unies pour les r fugi s Ant nio Gute
3. ce film peut avoir l effet d un cri de Centre des nouvelles www un org french news gt gt ONU l dition du jour 7 octobre 2015 4 ralliement a ajout M Todt Tourn en Afrique du Sud et Paris en France le film montre les risques auxquels les enfants sont confront s de mani re quotidienne sur le chemin de l cole par manque d infrastructures s curis es comme dans les townships d Afrique du Sud ou en raison de la circulation intense d une grande ville europ enne comme Paris La sortie du film s inscrivait dans le cadre de la campagne SaveKidsLives qui a t lanc e lors de la troisi me dition de la Semaine de la s curit routi re mondiale des Nations Unies du 4 10 mai 2015 Par l interm diaire de ce film et en faisant appel Luc Besson M Todt a galement souhaite inciter les gens signer la D claration de l enfant pour la s curit routi re une p tition sur Internet savekidslives2015 org qui vise atteindre un million de signatures Y men l envoy de l ONU salue l engagement des Houthis mettre fin la violence 7 octobre L Envoy sp cial de l ONU pour le Y men Ismail Ould Cheikh Ahmed a salu GE J les r centes d clarations des Houthis en vertu desquelles ils ont r affirm leur acceptation de la r solution 2216 du Conseil de s curit de l Organisation a d clar mercredi St phane Dujarric le porte parole du Secr taire g n ral des Nations Un
4. traitements et des soins y compris dans le cas du VIH de la tuberculose et d autres maladies infectieuses ainsi que de la d pendance aux drogues a expliqu M Simonovic Le Sous Secr taire g n ral a galement indiqu que les nouvelles r gles contiennent un ensemble de provisions encadrant l usage des mesures d isolement En particulier le placement de prisonniers dans des cellules d isolement pour une p riode allant au del de 15 jours sera d sormais consid r comme de la torture Les R gles Mandela a poursuivi M Simonovic offrent pour la premi re fois des lignes directrices et impose des restrictions concernant les fouilles corporelles intrusives Les nouvelles r gles pr voient notamment que la fouille des cavit s corporelles ne doit pas tre appliqu e aux enfants a indiqu le Sous Secr taire g n ral Les R gles Mandela apportent galement des changements importants concernant la marche suivre en cas de mort de disparition ou de blessure grave en prison Dans chacune de ces situations le directeur de la prison doit signaler sans d lai tout d c s en d tention toute disparition ou toute blessure grave une autorit comp tente judiciaire ou autre qui soit ind pendante de l administration de la prison et habilit e mener des enqu tes rapides impartiales et efficaces sur les circonstances et les causes de ces cas a indiqu M Simonovic Enfin a t il dit les nouvelles r gl
5. C Centre dacual s ce lONU p 4o amas ONU l dition du Jour www un org french news Num ro PPQ 9347 mercredi 7 octobre 2015 Les grands titres e RDC les envoy s de l ONU s inqui tent des e Ban Ki moon salue la lib ration de 6 000 tensions politiques avant les lections en 2016 prisonniers am ricains e Centrafrique Ban Ki moon condamne la mort d un e Climat l ONU salue l lection du nouveau Casque bleu lors d une attaque pr s de Bangui pr sident du Groupe intergouvernemental d experts e Le HCR appelle la communaut internationale soutenir davantage les r fugi s afghans e FAO le patrimoine g n tique de milliers de vari t s de riz ins r dans une banque mondiale de semences e Un envoy de l ONU d voile un film pour sensibiliser l opinion sur les enfants victimes d accidents de la route e L ONU salue l entr e en vigueur des R gles e Y men l envoy de l ONU salue l engagement des Mandela sur le traitement des d tenus Houthis mettre fin la violence RDC les envoy s de l ONU s inqui tent des tensions politiques avant les lections en 2016 i lt 7 octobre A l occasion d une r union du Conseil de s curit consacr e la situation en F R publique d mocratique du Congo RDC deux envoy s de l ONU dans la r gion ont fait part mercredi de leur inqui tude concernant les tensions politiques dans la perspective des lections de 2016 Je ne peux pas dire avec cer
6. es renforcent l acc s des prisonniers une repr sentation juridique et l aide juridique y compris dans les situations o les d tenus font l objet de poursuites disciplinaires graves Bien qu elles repr sentent des avanc es importantes je tiens cependant souligner trois domaines dans lesquelles les r gles r vis es pourraient tre renforc s au moyen d une perspective en mati re de droits de l homme a toutefois not indiqu le Sous Secr taire g n ral M Simonovic a en effet point du doigt le fait que les R gles Mandela ne tiennent pas compte de l interdiction de la discrimination des d tenus bas e sur le handicap l identit de genre ou l orientation sexuelle Le Sous Secr taire g n ral a galement regrett que les nouvelles r gles ne remettent pas en question le droit de certains pays d emprisonner des individus pour des questions d endettement Nous ne devons pas attendre encore 60 ans avant de placer la barre encore plus haut a conclu M Simonovic tout en se f licitant des am liorations d j apport e par les R gles Mandela ONU l dition du jour est pr par par la Section des services d information de la Division de l information et des m dias D partement de l information des Nations Unies
7. gement en faveur des r fugi s afghans au cours des derni res d cennies ainsi que le Pakistan et l Iran pour avoir gard leurs fronti res ouvertes des millions de r fugi s afghans M Guterres a soulign que bien que la situation en Afghanistan reste difficile comme l on montr les v nements r cents Kunduz le nouveau gouvernement d unit nationale du Pr sident Ghani s est engag trouver des solutions durables pour les r fugi s et les personnes d plac es Cet engagement historique ainsi que la coop ration r gionale renforc e de l Afghanistan avec la R publiques islamiques d Iran et le Pakistan offre une occasion importante de faire des progr s dans la d couverte de solutions durables pour les Afghans restants a d clar le Haut Commissaire M Guterres a aussi soulign que ces solutions ne seraient pas r alisables sans un renforcement significatif du soutien de la communaut internationale en particulier envers la strat gie de rapatriement r gional d velopp e par l Afghanistan l Iran et le Pakistan avec l aide du HCR Le Haut Commissaire a rappel que le nombre de d plac s l int rieur de l Afghanistan s l ve d sormais environ un million de personnes et que les Afghans ont continu r cemment quitter le pays pour demander l asile ailleurs N anmoins M Guterres a soulign que pr s de 54 000 r fugi s sont rentr s en Afghanistan en 2015 soit presque autant que
8. h news gt gt ONU l dition du jour 7 octobre 2015 FAO le patrimoine g n tique de milliers de vari t s de riz ins r dans une banque mondiale de semences 7 octobre Les s quences g nomiques de plus de 3 000 vari t s de riz ont t ins r es dans une banque mondiale de semences dans le but de promouvoir la mise en place d un syst me mondial d change de donn es pour les ressources g n tiques des esp ces cultiv es s est f licit e mercredi l Organisation des Nations Unies pour l alimentation et l agriculture FAO L annonce a t faite par l Institut international de recherche sur le riz bas aux Philippines IRRD et le Trait international sur les ressources phytog n tiques pour l alimentation et l agriculture ITPGRFA lors de la 6 me session de l Organe directeur du Trait auquel adh rent 136 Etats membres qui se tient cette semaine au si ge de la FAO Rome Des gouvernements et organisations du monde entier stockent le mat riel g n tique dans les banques de semences mais sans point d acc s unique aux donn es il est tr s difficile pour les chercheurs et les obtenteurs de savoir ce qui est d tenu o et quel mat riel g n tique contiennent les semences L information g n tique que l IRRI met notre disposition et celle du grand public est un signe extr mement g n reux et important de soutien envers nos efforts de diffuser toutes les informations pertinentes sur les ressou
9. ies Adopt e en avril 2015 par le Conseil de s curit la r solution 2216 exige que les miliciens houthistes mettent fin la violence au Y men et lib rent les zones qu ils occupent Elle St phane Dujarric porte parole du impose galement des sanctions dont un embargo sur les armes aux rebelles leur chef et Secr taire g n ral Photo ONU au fils de l ancien Pr sident y m nite Ali Abdullah Saleh S exprimant lors d une conf rence de presse au si ge de l ONU New York M Dujarric a d clar que les Houthis selon l Envoy sp cial se sont galement engag s respecter le plan de paix en sept points n goci par l ONU lors de pourparlers dans la ville de Mascate Oman Ces derniers comprennent notamment le respect du cessez le feu le retrait des milices arm es des villes et le retour du gouvernement dans la capitale y m nite Sanaa Il s agit d une tape importante a d clar le porte parole pr cisant que la r solution 2216 du Conseil de s curit l initiative du Conseil de coop ration des Etats arabes du Golfe et les r sultats du dialogue national entre parties y m nites ont t au c ur du processus de paix sous l gide de l ONU Ces piliers resteront la base des pourparlers de paix sur lesquels l Envoy sp cial travaille actuellement a ajout M Duyjaric notant qu Ould Cheikh Ahmed a appel le gouvernement du Y men les Houthis et leurs alli s prendre part des n g
10. le total cumul des deux ann es pr c dentes Un envoy de l ONU d voile un film pour sensibiliser l opinion sur les enfants victimes d accidents de la route K F annonc mercredi la sortie d un film sur Internet visant promouvoir la s curit routi re des 2 enfants travers le monde f Dans un communiqu de presse rendu public par la F d ration internationale de F l automobile FIA dont il est galement le Pr sident M Todt a qualifi le film notamment disponible sur le site http savekidslives fia com de piqure de rappel choquante qui aidera sensibiliser l opinion sur la n cessit de construire des routes s curis es pour les enfants partout dans le monde Photo IRIN Reena Ci Selon les donn es de l Organisation mondiale de la sant OMS 500 enfants sont tu s chaque jour dans des accidents de la route dans le monde Intitul Save Kids Lives Sauver des vies d enfants et r alis par le cin aste fran ais de renom Luc Besson ce film a t produit avec le soutien de la FIA de fa on ce que sa sortie co ncide avec la JIME Les accidents de la route sont aujourd hui la premi re cause de mortalit des enfants de 15 29 ans a regrett l Envoy sp cial ajoutant que sans une action urgente ils seront bient t la premi re cause de mortalit des enfants g s de 5 14 ans Nous devons faire tout ce qui est en notre pouvoir pour mettre un terme ce fl au et
11. m son inqui tude au Document destin aux m dias gt gt non officiel ONU l dition du jour 7 octobre 2015 2 sujet des tensions li es au processus lectoral dans un expos devant les membres du Conseil Il s est aussi inqui t de la persistance des groupes arm s dans l est de la RDC et des actes de violence qu ils commettent notamment l encontre des populations Ces forces n gatives perp tuent ainsi des situations de tension et entretiennent un climat de m fiance dans la r gion Leur neutralisation demeure sans doute une n cessit pour la RDC dans le cadre de ses efforts visant consolider l autorit de l Etat sur tout le territoire et garantir la s curit des citoyens et de leurs biens a dit M Djinnit L Envoy sp cial a une nouvelle fois salu les op rations men es par les forces arm es de RDC FARDC contre ces groupes arm s dans l est du pays y compris les Forces d mocratiques pour la lib ration du Rwanda FDLR Ces op rations gagneraient cependant tre renforc es par le plein appui de la Mission des Nations Unies MONUSCO et de sa brigade d intervention a t il ajout appelant une reprise des op rations conjointes entre les FARDC et la MONUSCO contre tous les groupes arm s Centrafrique Ban Ki moon condamne la mort d un Casque bleu lors d une attaque pr s de Bangui 7 octobre Le Secr taire g n ral de l ONU Ban Ki moon a condamn mercredi la mort d un Casque
12. ns pouvaient elles encore fournir un E NH cadre juridique ad quat s est tonn M Simonovic lors d une r union de haut niveau Le Sous Secr taire g n ral des Nations Organis e au si ge de l ONU New York dans la salle du Conseil conomique et social de Unies aux droits de l homme Ivan l ONU ECOSOC Simonovic Photo ONU Rick Bajornas En mai dernier la Commission des Nations Unies pour la pr vention du crime et la justice p nale a en effet adopt des r visions importantes concernant les r gles internationales pour le traitement des d tenus qui n avaient pas t modifi es depuis leur adoption en 1955 Ce nouvel Ensemble de r gles minima des Nations Unies pour le traitement des d tenus autrement appel es R gles Nelson Centre des nouvelles www un org french news gt gt ONU l dition du jour 7 octobre 2015 Mandela en l honneur du d funt leader sud africain apporte d importantes am liorations au r gime pr c dent Dans son discours prononc durant la r union de haut niveau qui avait pour objet l diction officielle des nouvelles R gles Mandela le Sous Secr taire g n ral a insist en particulier sur cinq axes d am lioration Tout d abord concernant le droit la sant des personnes priv es de leur libert les nouvelles r gles pr voient notamment que les d tenus puissent b n ficier de la m me qualit de soins de sant que le reste de communaut et de la continuit des
13. ociations de paix sur cette base Ban Ki moon salue la lib ration de 6 000 prisonniers am ricains 7 octobre Le Secr taire g n ral de l ONU Ban Ki moon a salu la d cision prise par le gouvernement des Etats Unis de lib rer environ 6 000 d tenus qui purgeaient des peines dans des prisons f d rales am ricaines Cette d cision a pr cis M Ban dans un communiqu de presse rendu public par son porte parole r pondait la fois la n cessit de diminuer la surpopulation carc rale et de fournir une forme de r paration aux d tenus qui avaient re u des peines de prison Le Secr taire g n ral Ban Ki moon disproportionn es par rapport aux crimes non violents li s la drogue qu ils avaient Photo ONU Mark Garten commis M Ban s est galement f licit des propositions am ricaines consistant envisager la lib ration anticip e de prisonniers Centre des nouvelles www un org french news gt gt ONU l dition du jour 7 octobre 2015 D suppl mentaires qui purgent actuellement des peines disproportionn es par rapport leurs crimes dont beaucoup sont li s la drogue Le Secr taire g n ral a not que les Etats ne devraient appliquer des mesures de privation de libert qu en dernier recours et seulement apr s avoir pris en consid ration des solutions alternatives L incarc ration outrance est l une des principales causes de la surpopulation carc rale qui se traduit par des conditi
14. ons d incarc ration souvent susceptibles d tre assimil es des mauvais traitements voire de la torture a affirm le chef de l ONU Afin de rem dier au probl me de l incarc ration outrance et de la surpopulation ainsi qu leurs implications en mati re de droits de l homme certains tats devrait laborer et mettre en uvre des solutions de rechange aux mesures d emprisonnement et revoir les politiques et la l gislation p nales pour garantir des peines proportionnelles aux crimes commis a appel M Ban Le Secr taire g n ral a insist sur la n cessit pour les Etats de consid rer des voies alternatives la criminalisation et l incarc ration des consommateurs de drogues en mettant notamment l accent sur la sant publique la pr vention le traitement et les soins Climat l ONU salue l lection du nouveau pr sident du Groupe intergouvernemental d experts 7 octobre Le Secr taire g n ral de l ONU Ban Ki moon s est f licit mardi soir de ff l lection de Lee Hoesung de la R publique de Cor e comme Pr sident du Groupe T intergouvernemental d experts sur l volution du climat GIEC qui est charg d valuer les informations scientifiques li es au changement climatique Le 5 me rapport d valuation du GIEC publi en novembre dernier fournit l valuation la plus compl te jamais entreprise en mati re de changement climatique a dit le porte parole du Secr taire g
15. rces g n tiques des esp ces cultiv es pour la s curit alimentaire future a d clar Shakeel Bhatti Secr taire du Trait international Mettre la port e de tout un chacun une telle quantit d informations sur le r1z qui est au fond l aliment de base de la moiti de la population mondiale est une avanc e essentielle vers la s curit alimentaire des g n rations futures a t il ajout Une s quence de g nome est comme un mode d emploi int gr qui indique aux organismes vivants comment se d velopper et r agir l environnement La s quence de chaque plant de riz comporte environ 400 000 000 lettres Avec une population mondiale croissante et le changement climatique qui se r percute sur la production agricole avec les ph nom nes de s cheresse d inondations ou d invasions de ravageurs la n cessit de mettre au point des vari t s cultiv es la fois plus productives moins nocives pour l environnement et tol rantes aux chocs devient cruciale L ONU salue l entr e en vigueur des R gles Mandela sur le traitement des d tenus 7 octobre Le Sous Secr taire g n ral des Nations Unies aux droits de l homme Ivan Simonovic a salu mercredi l entr e en vigueur de nouvelles r gles internationales concernant le traitement des d tenus tout en pr cisant que ces derni res ne sont pas parfaites et devront nouveau tre am lior es l avenir Comment des normes adopt es il y a plus de 50 a
16. rres a appel mardi la communaut internationale recentrer son attention sur l Afghanistan avertissant qu il serait potentiellement dangereux d ignorer la situation des r fugi s afghans L Afghanistan ne b n ficie plus de l attention qu il m rite a d clar M Guterres lors d une r union du Comit ex cutif du Haut Commissariat des Nations Unies pour les 8 r fugi s HCR sur la situation des r fugi s afghans Gen ve Nous sommes persuad s qu ignorer l Afghanistan serait une erreur dangereuse quelle que soit l urgence et l ampleur des crises plus r centes Centre des nouvelles www un org french news gt gt ONU l dition du jour 7 octobre 2015 3 Le Haut Commissaire a par ailleurs salu l attitude de l Iran et du Pakistan qui ont accueilli 95 des r fugi s afghans Avec plus de 6 millions de r fugi s son apog e il s agit de la plus grande crise de r fugi s laquelle le HCR ait jamais eu faire ainsi que la plus grande op ration de rapatriement volontaire de notre histoire soit plus de 5 8 millions de rapatri s depuis 2002 a t il soulign ajoutant qu aujourd hui apr s plus de 35 ans et alors que 2 6 millions de r fugi s afghans sont toujours r partis dans 70 pays l Afghanistan est la plus grande situation de r fugi s prolong e au monde Dans un message vid o diffus lors de la r union le Pr sident du pays Mohammad Ashraf Ghani a remerci le HCR pour son enga
17. titude si les progr s r alis s sont durables ou si le spectre de la violence peut r appara tre et annuler ce qui a t r alis jusqu maintenant a dit le Repr sentant sp cial du Secr taire g n ral en RDC Martin Kobler lors d un expos devant les membres du Conseil Selon lui les tensions politiques sont lev es avant les lections de 2016 et auront un impact sur la situation s curitaire et sur la dialogue strat gique Le d roulement d lections cr dibles et pacifiques en novembre 2016 adressera un message clair au monde sur la capacit de la R publique d mocratique du Congo respecter sa constitution proc der une transition pacifique du pouvoir et consolider la paix a t 1l ajout Martin Kobler s est dit inquiet de la recrudescence des violations des droits de l homme li es au processus lectoral en particulier les violations de la libert de r union pacifique J exhorte le gouvernement de la RDC prendre toutes les mesures n cessaires pour garantir que les lections l gislatives et pr sidentielle pr vues en novembre 2016 soient transparentes cr dibles et inclusives a t il d clar Il a pr cis que la MONUSCO continuerait jouer un r le de bons offices pour soutenir tous les acteurs politiques et le peuple congolais dans la pr paration de ces lections L Envoy sp cial du Secr taire g n ral pour la r gion des Grands Lacs Sa d Djinnit a galement expri
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