A la vérité, cette classification, tout autorisée qu`elle soit par l
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1. Cette forme s observe principalement chez HALLION a 14 im md timer toi so bang amd 7r gt ae amp men s pe tree otre PTSET 2 ex nm re A ter 2 CAEN 994 ANESTH SIES ET N VRALGIES NEVRALGIES 295 4 A 7 STE C 7 JR Ve 2 plu en here FPS t s Se EC ce 2e es tam c cmt h end tue nn mais elles ne sont g n ralement pas localis es dans un nerf d termin et les si ge des excitations alg siog nes dans les n vralgies il compare les effets des points douloureux la pression font d faut Il importe de ne pas confondre injections anesth siantes de coca ne pratiqu es soit sous la peau des LEBIODS avec une simple n vralgie des crises douloureuses qui peuvent tre le pr lude endolories soil le long du trajet des PLONCS NET VERX SOLL dans la cavit de du tabes l erreur a t souvent commise l arachno de rachidienne On distingue ainsi si la n vralgie est extra fascicu Les douleurs les crampes et l impotence museulaire qui caract risent la laire fasciculaire ou radiculo m dullaire et l on d cide si Jotte intervention claudication intermittente de Charcot ne se montrent qu apr s une marche chirurgicale est opportune et si elle doit porter sur tel ou tel point des trajets nerveux 25 FES SRE ET Z Sp RE res v D Fa re 7 Lo as tee le 4 Tee st nn QUS T EE MENREU PSE A e2. du sympt me el l endolorissement des branches nerveuses que la PA Dan aoshe ta n valeici ce disliague des autres esp ces de douleurs AR NE SERRE en faveur d une l si r elle gt rf les Fe SRE v nt d i t moigner en faveur d une l sion r elle du nerf PS AUDE tes UE Rene ER DR TE Es ce SA Re gt rf r mittence 2 ce ou ta l l ment douieur plaident dans le m me sens car Par des RS vr DROPERSE correspondance HE HAsEeuR et signes qui Se SUraJoutent amp CE ee et LE Lalionts ou intermittence tendance aux irradiations points pr cis douloureux la 1 AE svrite se a paralysie surtou atrophie ils appartiennent la n vrite Telles sont la paralysie e atro Srecsibn _ 7 Rene tar EU EC lt LES LES EE eSA 2 2 CLAIR 5 c D CR DE 14 L ti 2 t ht i WPE LE h D ou M 4 L E ee gs g LL ut 01 H Ci NY j LA LE 2 1 IEP M ELA 131 11 Lert JET GE L fn 0 CRIE SEE DT FAT ee Plans Ses ac 1 se a n vralgie occupe nerf mixte comme RNA RS QU T Es TE SRE Rare He re de are ae a ie La myosalgie si ge au niveau de l insertion des muscles affect s elle s exas sciatique Souvent ap saraissent les troubles trophiques de la peau qui carac LE 2 _r nar ces muscles indre tiraillement ie Le 3 ici mentionnons le zona citons aussi pere au moindre mouvement ex cut par ces muscies au
3. 9 SRI PRETTEX CS MTS UD MR NUE aie LEE le LITE PER La let Lt le Lt tes ce me mea LA CRC EPS EN EIEPPENET EME PUS A EM TETE RS EATIES jm JOUE DAYS er GS Luton avait recommand comme proc d s de r vulsion des injections sous cutan es irritantes nitrate d argent ayant pour but de d terminer des abc s Bartholow injecta du chloroforme jusque dans le voisinage du nerf il obtenait sans doute ainsi des effets de r vulsion plut t que l anesth sie directe des fibres nerveuses Mais on a obtenu celte derni re action par linjection de coca ne dans le nerf ou tout au moins dans son voisinage imm diat Ces divers proc d s ne paraissent pas exempts de danger si l on d termine ainsi un soulagement plus ou moins prolong ne court on pas le risque d aggraver pour la suite les l sions existantes Les injections hypodermiques de salicylate de soude au voisinage imm diat du nerf malade donnent d excellents r sultats Bouchard L lectroth rapie bien mani e fournit souvent d excellents effets On applique un courant faradique sur le trajet du nerf et plus sp cialement au niveau des points douloureux l aide du pinceau de Duchenne ou bien on faradise pendant quelques minutes le tronc nerveux le plus pr s possible de son origine Erb recommande beaucoup les courants galvaniques d apr s lui la galvanisation n est pas inf rieure la faradisation dans les cas de n vralgie pure el lui est bie
4. A Aie Il nous reste parler du traitement chirurgical Si la n vralgie tient une compression du nerf par une tumeur son englobement dans un abc s l inter vention du chirurgien est naturellement indiqu e Elle peut l tre aussi quand il s agit de n vralgies s v res rebelles toute th rapeutique m dicale ces n vralgies sont justiciables de plusieurs modes d intervention op ratoire l lon gation du nerf malade sa section simple ou son excision sur une certaine tendue L longation ne donne souvent que des r sultats transitoires Il en est de m me de la section qui ne s oppose pas la r g n ration du nerf l s La r section du nerf sur une certaine tendue est plus s re ses effets plus durables Pourtant cette derni re op ration fournit elle m me des checs soit que le si ge des alt rations d o les douleurs d pendent se trouve relativement aux centres nerveux en de du segment r s qu soit que la douleur continue se trans mettre par les voies d tourn es que lui fournit la sensibilit r currente Avant de pratiquer l op ration il est bon de s assurer que la compression du nerf 2 er ot Ervete AD Ce pres 7 PE AA Eu D 6 Lin TEE TS LAS pe SAS dress tar D LA ete Les plaques m talliques appliqu es en permanence paraissent avoir fourni de bons effets sans doute parce qu elles d veloppent des courants continus tr s faibles plus efficaces
5. indications en r v lant la syphilis la chlorose l impaludisme le cancer etc toutes maladies qui par des proc d s divers sont capables de produire la n vralgie L intervention de la malaria et de la syphilis sont particuli rement importantes mettre en lumi re Nous avons indiqu les principaux caract res des acc s n vralgiques chez les palud ens ajoutons que l efficacit du traite ment par le sulfate de quinine serait une nouvelle pr somption mais rien qu une pr somption en faveur de l origine palustre des acc s Dans les cas o l action de la syphilis est soup onn e sans tre vidente les effets du traitement sp cifique servent de crit rium M Pitres a appliqu avec succ s un proc d int ressant au diagnostic du ue Pronostic Le pronostic varie suivant les formes La n vralgie pure est b nigne car elle gu rit toujours La n vralgie par n vrite subaigu doit veiller plus de craintes car elle peut r cidiver et d g n rer t t ou tard surtout chez les sujets g s en n vralgie chronique La n vralgie par n vrite chronique est toujours grave car sa dur e est ind finie Il est donc essentiel avant d augurer de l volution probable de d terminer la forme en pr sence de laquelle on se trouve La n vralgie palustre et la n vralgie syphilitique sont relativement b nignes car elles donnent prise un traitement sp cifique habituellement efficace _ LE CAEN rer
6. une hygi ne bien entendue rigoureusement observ e demeure le moyen le plus puissant pour lutter contre ces tats diath siques En r alit les efforts dirig s contre l tat g n ral contre la constitution pour logiques qu ils paraissent ont souvent peu d efficacit vis vis de la n vral gie une fois install e demeure de la n vralgie chronique cela se comprend car 11 s agit alors de l sions d finitivement constitu es d sormais incapables de r gression c est contre ces l sions qu il faudrait directement agir Par contre la modification du terrain pourra parfois pr venir le retour des n vralgies b nignes r sultat tr s d sirable car les r cidives conduisent la chronicit Il est des cas o la m dication causale agit le plus souvent d une fa on sou veraine surtout si elle est appliqu e temps c est quand la n vralgie tient la syphilis ou l impaludisme Le traitement sp cifique par les pr parations hydrargyriques dans le premier cas par le sulfate de quinine dans le second doit tre imm diatement mis en uvre de 4 oh a RE ee eur ma q ET Ain CRE as ce 1 re d 2 Lire Le 21 Por Le G dut a LP 1 2 ps Th RS D La os PPT vo L Lac names ee 22 eme ACER AR RSS HN ts M ntlge cem bat AE D os dm tort im 20 PR Er ran 2 8 pere er nn 4 om 7 se 733 4 S _ Ex 0 PR PAPE RER Dh n STORE Hut
7. alt r e seule on a signal il est vrai des faits de ce genre mais ils paraissent peu probants D s lors raisonnant par analogie on est tent d attribuer des modifications mal d termin es du nerf lui m me les cas de n vralgie sur lesquels l anatomie pathologique demeure muette Peut tre s agit il de l sions purement congestives dont la trace se dissipe apr s la mort peut tre aussi de simples perversions fonctionnelles telles qu on les admet dans les n vroses La th orie centrale place dans la moelle le si ge unique ou tout au moins le si ge initial des d sordres Cette doctrine telle qu elle fut formul e et soutenue avec intransigeance par Anstie est trop exclusive mais elle renferme sans doute une part de v rit Comme l a fait ressortir en particulier Vulpian une participation de la moelle au processus morbide peut seule rendre compte de certains faits Une carie dentaire veille une n vralgie dans toute la face com ment expliquer cette diffusion Sous l influence de l excitation douloureuse p riph rique et peut tre en vertu d une pr disposition ant rieure qui r sulte du temp rament individuel les cellules de l axe gris voient leur excitabilit s exag rer non seulement les cellules directement branl es mais encore les cellules adjacentes manifestent une sorte d r thisme morbide L exaltation fonctionnelle peut m me d border les limites du noyau sensitif directement impressionn et se
8. d autres domaines et provoquer des troubles de la marche qu on pourrait d signer sous le nom de claudication intermittente S il n y avait int r t con Traitement Calmer la douleur en supprimer la cause tel doit tre le server ce terme la d finition restreinte accr dit e par Charcot mais qu il nous double objectif para t pr f rable pour viter les confusions d appeler des dysbasies intermit tentes L Hallion et J B Charcot La n vralgie une fois reconnue on en d terminera la vari t Les douleurs sont elles franchement intermittentes le retour des acc s tr s capricieux On regardera l affection comme une n vralgie pure due une simple n vrose tout au plus une congestion du nerf ou de son noyau Si la maladie adopte une volution cyclique si la douleur continue existe avec les points de Valleix mais surtout si des troubles trophiques apparaissent on devra conclure une n vrite subaigu Enfin nous avons vu qu une n vralgie chronique rel ve tou jours d une n vrite chronique Le diagnostic de la cause a parfois un grand int r t On cherchera s il n existe pas sur un point quelconque du trajet du nerf une l sion d o la n vralgie d pend traumatisme compression par une tumeur etc On songera la pos sibilit des n vralgies r flexes lesquelles proc dent habituellement d une affec tion visc rale L tat g n ral du sujet ses ant c dents peuvent fournir d utiles
9. peu sch matique certains moyens un temps tr s court la pulv risation sur un point donn car une r frig ration que nous avons signal s tout l heure exercent sans doute un effet durable sur excessive provoquerait non seulement une v sication ult rieure inconv nient la l sion en m me temps qu un effet passager sur les manifestations douloureu relativement minime mais encore une mortification du derme une escarre ses telles sont la r vulsion l hydroth rapie l lectroth rapie le massage Le proc d du stypage imagin par le D Bailly de Chambly permet de tels sont aussi plusieurs m dicaments le sulfate de quinine par exemple doser plus s rement l effet Signalons encore les applications locales du sali Quoi qu il en soit le traitement causal s adresse la l sion du nerf qui cylate de m thyle constitue quand elle existe la cause prochaine de la douleur et la th rapeuti que en pareil cas est celle des n vrites telle qu elle est expos e dans le chapitre relatif ces derni res ou bien il s adresse la cause primitive qui est l ori gine m me du processus c est dire l une des causes num r es dans l tiolo oie des n vralgies Telles sont les principales m dications internes et externes dirig es contre les L ARTE ra ES cs es den hard ser pi Re z Z A 77 3 a 27 A x dirt rentss LL EE Tu pe A TE CS Der NCIS TTL V2 DE Le nc
10. propager dans une certaine mesure toute la moelle Cette 4 Voy H F Pricoue Le traitement des n vralgies et des n vrites Actualit s m d J B Bailli re in 18 96 p 1901 SCIATIQUE 299 conception d autant plus vraisemblable qu elle concorde avec les donn es de la physiologie normale fournit une explicalion satisfaisante de diverses particula rit s propres aux n vralgies la sensation n e la p riph rie s amplifiant la fois comme intensit et comme tendue une l sion localis e dans le domaine d un nerf se traduisant par une douleur qui s tend toute la sph re de distri bution de ce nerf et s irradie m me dans d autres territoires Enfin les n vral gies r flexes dont le point de d part peut tre dans une sensation relativement minime recoivent une interpr tation du m me ordre Il N VRALGIES DE DIFF RENTS NERFS Nous d crirons en premier lieu la sciatique et la n vralgie faciale qui sont divers gards les plus importantes parmi les n vralgies Les autres esp ces seront tudi es en second lieu et de fa on plus sommaire SCIATIQUE Cotugno 1764 d crit le premier avec pr cision sous le nom d ischias nervosa postica cette maladie douloureuse il en fait une affection du nerf sciatique el il la distingue avec soin de la coxalgie ou ischias arthritica Avec Valleix et Romberg 2 qui tudient les paroxysmes douloureux la maladie perd de sa personnali
11. 2 LATE F7 RAR EC LE ST A 2 Sodt CR ne rres rrS rt genre N VRALGIES 993 999 ANESTH SIES ET N VRALGIES LA ss ne pres me re ell l ob Her les vieillards D ordinaire elle d bute avec les allures d une n vrite subaigu r ril classificati s e quelle soit par l ODSErValon ve ADO ee ar la lenteur avec a v ril cette classification tout autoris e q ER ae SR ee ne ne A la Ps as absolument rigoureuse Entre la n vrite aigu ou subaigu juelquefoi DOUAI la PET CIl us I de a te I He dia D tre part l s fron laquelle se d veloppe l affection Iei la douleur continue a plus d importance gt vite chronique il v a tous les interm diaires D autre part les Iron ur dr SE ur et la n vrite chronique A stlement pr cis es dans certains cas que la douleur paroxystique Les troubles trophiques musculaires et tan libres de Ja n yralte pure ne SOBFRES RE SAN AS ans d rate sont beaucoup plus marqu s et infiniment plus tenaces que dans la n vrite mais on est s r du moins que la l sion S1 on doute s il y a l sion du nerf RS TE subaigu La maladie dure ind finiment travers des phases alternatives st l g re ansiloire ut admettre alors une simpie con R PR existe est l g re mobile transitoire on peut admettre L d amendement et d exacerbation ile acnanoosetivae Toutefois il faut bien le dire c tle ge
12. 9 AE repara t sans raison appr ciable aucune douleur continue ne Le S1 8 C 7 danculeur type et dans leur volu e Beshien qui lues n vralgies intervalles la douleur la pression fait elle m me d faut Au bout d un temps le ca douane d cc one pou diiour certains eroupes de variable g n ralement court tout ne a ae faits au tableau de la n vralgie n vrose et pour d autres celui de la r gularit dans l volution de cos R NARIOr eRESEEEe ee Dre ee n vralgie n vrite De m me les n vralgies a frigore peuvent rev tir les diverses vant l expression de Las gue qu une succession de douleurs hasardeuses pe D ee a lt m P22 2 2 ER Le mnt Cu Ag dati REC ed DORE IT ee PES Dee En ST A Tes 2 ak SH LS punlre s T2 A ns PTE RUN E CAUSE vole ve A b CRT PRE 4 ES exi isemblal er S gt forme aucune l sion anatomique es HR AR ae Il n existe vraisemblablement dans celte forme Sa Ile ee Il n est gu re que la n vralgie palustre qui ait des caract res propres et L 4 x NS 3 AL x 5a o re G C ul ane emie 2 x L 2 s du nerf ni de son noyau ou bien ce n est qu une l sion l g re lee qu reconnaissables Tant t l acc s n vralgique se substitue l acc s palustre ES APMEL ES 7 pe nd de saone 42 cons non oi souvent tre sous l influence f brile dont il repr sente alors une forme larv e tant t il le com
13. D cs La 3 _ amp TS 2 Tai en ons 7 2 22 2 ee z rer is ro rt 1 lt CRT ESA z ze Sr e us amp ce Es DE n vrite chronique Lo PR Ve suppression des r gles etc De m me on a voulu faire une cat gorie partcu ASS vraleie se montre surtout chez des me te tt PRIE LS N vralgie n vrose Le type de celte n vra gie Se Fu L f e li re des n vralgies par an mie du nerf ou de son noyau Mais la pathog nie lt pee ou soUus ence d un choc tee SR LE AE Sans cause occasionnelle connue ou sous Finfluence at RE Ans ee en te Hement des classifica n vropathes Sans cau 6 Es es re note de hinres one des n vralgies est trop peu connue pour justifier actuellement des c nerveux d origine mobive OU SENSOTIENE PART tions qui la prennent pour base LA pe vz ES Dre ER a Te D DA s CE A De so gras pre LR Le de Er 44 on ts NET sans prodromes d aucune sorte la douleur De PERTE SAS VE Re froid on voit clater brusquement sans prodromes d di el L tiologie ne saurait servir davantage tablir une classification rationnelle rise les oxymes n vralg s Cette leur disparait et D RATER Ses s t rise les paroxymes n vralgiques Cette dot PES car une m me cause peut d terminer des n vralgies qui diff rent beaucoup as _ x de MUR STE A OCR ENNEN LPS D A SISTER NE CETTE TE aigu qui carac be RAM er Aie
14. HALLION mn PRE TR EE _ DE A eu ee ce mn nm nn lt Th meet LA Co DS AU DPI O7 nr 2 SOS d OS DRE ET EEE LS D ott 2 PL PPS es LL RATE LESD le EE SRE LIEN TE Pole Sale ee mn D ue es Aie eS D CSS Ce SL LS A PPOYRRE al hdi yes er 2 homes ss Are ER LR 227 2 P D TV Rx a Es Le ER BOL sta tibserpet died JA raies de At sf 3 TS D L ei 2 PUR NS de A ei apte Mie my plate RES amp f 6 nr 7 cs et 2 s TS re sh s 2 PIE 7 ee e mt toree ot re m1 a ww _ _ _ 2 4 L L 4 F x toits pt e ge Et dE 1 Ft ec r ver
15. Pre E _ s RP er M g 7 jure A eg pe lt lt es Sd ou n 7 pEd du rad p ee 2 d L Re D se ct E s Rte lt a eat Ju 3 5 y Se ET a LR TIRE NT et nn Cr al D tt me 2 Le PELLE Tir EPRERE me r MALI PE Ze Dh Gpar me vante Per PA Jet ce mm pas Lee L RE MES ET LE DRE LEE a fer S ds A re n R _ Le 11 bagues gran D 4 D ne 2 reg lus eu rer rD redt re 20 ra me LENS IL Et xs ar e Pc rave CL de tai u ed ES nee SL ae CEA et que ro tag sn 1 ee eh na ere da Jus ES ES a 2 LES agree ae pr 7 ME lt C2 2h PRE CS we mn ra E Le gt he vie 2 c de dore set Lt r gt tres 2 Cao or PATTES ee SEE TNT PONS ga DES RP MNT ST 298 ANESTH SIES ET N VRALGIES sible au chirurgien supprime la douleur n vralgique alors seulement l inter vention promet d tre efficace Pathog nie La douleur de la n vralgie a pour caract re principal de se conformer dans sa localisation la distribution des branches nerveuses On est de prime abord induit chercher le si ge des d sordres dans un syst me anatomique qui rende compte de cette r partition et deux hypoth ses se pr sentent ou bien le nerf lui m me est en cause ou bien c est le grou
16. apismes les v sicatoires te PRIS DE me dt Te nn tmt 47 AE tr s le b Lo ste N RITR pe 22 CRETE ri gt me res TE ane TOR E nn me Le gt Ex Es AE K PAT DORE la 7 e re nee enr n 2e Gen PL TS ne ete jee s te A a 52 RS he gg ae 6 eme un LT Res 4 Brissaup Soc de neurol 6 juillet 1899 in Revue neurol 1899 p 514 1 1 tr TE 4 d 1 1 2 4 Dysbasies d origine nerveuse Arch de neurol 1892 1895 1 Revue neurol 1900 p 1134 d 0 2 ln PEU HALLION CRC OT EN TA TNI DER ER TR ARR te ne Re LA g rer n e M v L Mois et on ra Neie BAPE Mure IT 296 ANESTH SIES ET N VRALGIES N VRALGIES 997 laquapuncture aujourd hui peu usit e el surtout un proc d qui a pris une grande extension dans ces derni res ann es la pulv risation de chlorure de douleurs n vralgiques Il nous reste indiquer les proc d s th rapeutiques mis m thyle Tenneson Debove On projette la surface de la peau sur la r gion en uvre pour lutter non plus contre le sympt me mais contre la cause m me douloureuse et sur tout le trajet du nerf affect un jet de chlorure de m thyle de la maladie apr s le traitement symptomatique le traitement causal A la qui produit une cong lation imm diate du t gument Il importe de limiter v rit cetle division ne laisse pas d tre un
17. de l acc s Tous ces m dicaments et d une fa on g n rale tous les narcotiques tous les s datifs ont leurs avantages Bien souvent sans qu on en sache pr cis ment la raison tel d entre eux r ussit aupr s d un sujet choue aupr s d un autre c est alors par t tonnement qu on est amen faire un choix ES pe mes lt ah jf Paire ram pe D cer tend A RESTE se AT Let RE PSN PTS CS rue s que 4 Andes de eh re LA id pe dv re Ce SERBE Tee Pere m2 Zi ne Er on a ELA Le 7 PESTE LENT ver LE 1 TAT 2 Cite Fa lt Ses x 20 HE Srtghonmet ke 4e cdhnbpuns e pee de ln 7 1 PT a s 4 2 lt parles rer e din ler Ra RS ar ee pe x sante Le nt A Qt AU tete aprem 2 ne SO A AT Ya 4 a qe NET CE ES PC RACE arf Can A st NET ne TE TELE us cf Qi Des topiques divers ont t pr conis s en applications la surface de la peau loco dolenti pommades la jusquiame la belladone etc Leur efficacit est douteuse minime en tout cas Par contre il est une m dication locale souvent tr s efficace nous voulons parler de la r vulsion Le chloroforme l ther employ s en frictions de m me que l essence de t r benthine agissent peut tre comme agents r vulsifs plut t que comme anesth siants proprement dits Mentionnons les ventouses s ches ou scarifi es les sin
18. e es Ze ETS 2 d une certaine dur e Elles sont dues comme on sait des l sions art rielles SR UTE ER l insuffisance d irrigation des membres inf rieurs qui en r sulle permet aux Dans les cas de n vralgies r flexes des injections port es sur le foyer d irri I 1 F r 2 r ni a A muscles et aux nerfs une nutrition suffisante au repos insuffisante dans le tation calmeront la douleur et l on voit comment la m thode peut permettre fonctionnement de l l intermittence des ph nom nes que le repos et le mou de pr ciser l existence et le si ge de ce foyer ne f t ce que par t tonnement SSL N SIE VUS Voie EE ST he GEST LS Pod ED h Cl Ad hrtet de dt Wie sub o de 4 gt _ _ vs gt R li C7 EL To 1 TRE RE FRERES Fa vement amendent et ram nent tour tour On ne peut confondre cette maladie avec une n vralgie vulgaire Il faut savoir toutefois qu on d signe parfois sous le nom de claudication intermittente de Roth des cas de m ralgie paresth sique affection laquelle nous avons fait allusion plus haut proc dant par crises que provoque la mar che et parfois exclusivement la marche comme dans une observation de Brissaud il para t s agir d un angiopasme localis ou plut t pr dominant dans la sph re du nerf f moro cutan Ajoutons que des ph nom nes du m me genre peuvent se montrer dans
19. eus Vi nes se c TS Ce r 7 43 der ai o v 7 A me ne TETT pe et AR tirs m y RE ETES Se mb 2e t ect net d mhaeghrmt 2 _ lt bye 2e ANR ES ag ge ge Em RER 5 2 c LE RS RS AN Hu S ls T E Li Pr mi 6 Dee D 04 at ere en pp CES en CH LE gt 4 2 e D ad te ED mr mie La morphine remplit merveille la premi re indication l injection sous cutan e de 1 centigramme de ce m dicament dissipe rapidement la douleur Malheureusement l action s dative obtenue ne dure gu re plus de six huit heures de plus laccoutumance s tablissant on se voit conduit augmenter progressivement les doses et le morphinisme chronique est craindre avec les d plorables effets qu il comporte L extrait th ba que offre peu pr s les m mesavantages et les m mes p rils De m me l h ro ne jusqu un certain point Le sulfate d atropine la dose de 1 2 milligrammes r ussit bien mais il est dangereux L aconitine serait pr f rable d apr s Gubler L an tipyrine la ph nac tine le pyramidon sont recommandables Le sulfate de quinine est souvent du meilleur effet surtout dans les n vralgies type p rio dique et cela en dehors m me de toute infection palustre Gubler recommande de l administrer la dose de 50 centigrammes quatre heures au moins avant le retour pr sum
20. moImare nent Le _ 4 _ c 1 le w 2 a De De amp SU X ee amp rie a Hd A qu ils subissent elle est fixe et ne proc de point par acc s l d me local complication fr que oi La Rte Les douleurs ost ocopes de la syphilis s exag rent la nuit leur si ge est autre Apr s x ou trois amp gt dur e parfois moins souvent dav re HE Apr s deux ou trois semaines de Re a que celui des douleurs n vralgiques d cro t olace un simple engourdissement Le tie Noenss REtanentes muse si de pie disparu Quant l atrophie us Les my lites chroniques surtout le fabes s accompagnent de douleurs FE eflac sJ le s il existait a disparu Quant latr S ne amp pal me Ds Ho ere je RTE Lu rantes Ces douleurs qui reviennent par acc s et qui consistent en des lan peut subsister e ertain temps Les r cidives ch ance ee S RTE Er re PEen EVA tous sa ER Aa ee lee cements partant d un point fixe et parcourant avec la rapidit de l clair le UE CRERe non Re ER i l scans ud membre affect ne manquent pas d analogie avec les douleurs de la n vralgie amp 28 lt gt L CE a an pare c FN QU lt 1C G e recic Ive que e pre U e La n vrite subaigu n est pariois Surtout quart Joe nee Gone re Voir HazzoPeau Art N VRALGIE du Dict de m d et de chir pratiques N vralgie n vrite chronique
21. n pr f rable dans les cas de n vrite Faut il employer des courants ascendants c est dire appliquer le p le positif la p riph rie sur les points douloureux et le p le n gatif plus pr s des centres Vaut il mieux que les courants soient descendants Sur ce point les avis sont partag s certains auteurs recommandent les courants successivement dirig s dans les deux sens chaque fois durant quelques minutes On doit employer des courants faibles ne d passant pas en tout cas 10 12 milliamp res et les s ances qu on renou vellera tous les jours ou tous les deux jours ne doivent pas durer chacune plus de huit dix minutes On peut au lieu d appliquer sur deux points du trajet nerveux des lectrodes de pelite surface user de la m thode unipolaire l lec trode indiff rente de large surface est situ e sur une r gion quelconque du tronc et l lectrode active de faible tendue repr sentant le p le n gatif ou le p le positif est appliqu e loco dolenti Somme toute le meilleur mode d emploi de l agent lectrique surtout en ce qui concerne les courants galvaniques est encore mal tabli Due Jr n ER me hd LE 2 odnntdomahar AS re L arsenic l iodure de potassium petites doses etc peuvent modifier avan lageusement le terrain arthritique le bromure de potassium la val riane et autres agents antispasmodiques et nervins trouvent leurs indications chez les n vropathes Mais avant tout
22. parfois que les courants forts Regnard L hydroth rapie sous forme de bains de vapeur et de douches chaudes trouve ses Indications surtout dans les formes chroniques appliqu e dans une phase aigu elle ne serait pas sans p ril ES ee PCT TL NUS PE SN TE OR LR ui Let se PB V nt pre are RE TL nm he Tage et Ehres PR ee STE gt ste hrs Poe AT GAS pee Vols ire plie sr dE tnt tee en ag mn t 2 7 fe rot EU a D Shan y g ral TT SV f D ne RS EE Een eye 2 Enr A MELLE a ou py e PAP Lt RTE ie PLAT mr Fu 4e ST Le ce Le e rs PR MEL PF L or s AE LE E TEE A si ae ES dure LUE L lt er ce au _ gt lt 3 L vTr L _ RE ss 2 2 a lt pe En es a z y 5 amp E _ Ci s 4 me Es MT ne 2 Le PLPR TX r ET DR Es TS TE ie 2e Tant rat El Arloing et Tripier ou sa coca nisalion au dessus d une certaine r gion acces CPE re 1 Voy DAGrox Bull m d 5 mars 1902 D Em es 4 pr pris aires Lee RE AA RE HALLION Du dns LR gs AE TT he de DRAC ON Sois LES Ta cralcypenrs _ LE SARA J he be AT Le nAI HT GT GE Z 3 a ee Sd robat t ja PE DT ue ot 0e Las EE ST nn nt RS ssh rer gt P rs
23. pe de cellules m dullaires sensitives auquel le nerf aboutit La deuxi me hypoth se est a priori tr s acceptable tant donn le r le physiologique des cellules sen sitives de la moelle En effet quand une excitation douloureuse est port e sur un nerf p riph rique ces cellules sont les premi res impressionn es Cest par leur interm diaire que l excitation se transmet Jusque dans les centres de per ception Supposons que d embl e se r alise dans des cellules une modification qui normalement r sulte des excitations p riph riques douloureuses une douleur sera per ue et cette douleur sera la m me que si l excitation p riph rique avait eu lieu r ellement Entre ces deux hypoth ses qu on peut distinguer sous les termes de th orie p riph rique et de th orie centrale ou m dullaire l option serait ais e si l anatomie pathologique fournissait toujours des r sultats d cisifs Mais loin de l l examen du nerf et celui de la moelle demeurent souvent n gatifs dans les cas de n vralgie les mieux caract ris s le champ reste ouvert la discussion La th orie p riph rique invoque des arguments importants Maintes fois c est chose d montr e le syndrome n vralgie a pour substratum anatomique une v ritable l sion du nerf n vrite ou congestion Au contraire chez des sujets atteints de n vralgie dont on a pu examiner la moelle on n a jamais trouv que celle ci f t alt r e ou du moins qu elle f t
24. plique et en vrite subaiqu On la voit souvent apparaitre sous nce RARE UE ver SEE Pb le ir a dt io dl is rie or de pr f rence chez les sujets arthritiques Son prend bn Je a Fe de 1e Re a sie Fee Lt en svralgie palustre cte de pr f rence le t Mails pe d ut est rapide mais pourtant oraduel la douleur d abord l g re n atteint RASE Lu so ee a tr ae nn aen LE or x Rue ESS SEA Jariois 1eS intercostaux 1 OCC sciatique Les acces amp S laues iours ou tout au moins de quelques heures une CRT De 1 VAE NS ie si R AURON Se eReE OS lt presque toujours le matin ils rev tent d ordinaire le type quotidien mais r 120 ns C 1 C Ur Ver 1 on no e cons aln gt x D 4 FRET nde acuit Dans l intervalle des acc s paroxystiques NU RS 2 OT Re Ne grande leur continue plus ou moins intense et les points douloureux de peuvent affecter les mod S si ers de p riodicit ui DR 2 RO ee PAS x f briles Trousseau a m me observ le type triple quarte SCT UE LEE Les amp PS D s base EE ZA For eee pe MS r net drive fe a w A ATH 7 L LI Fa s Les e L s s 7 PQ d Le me de L2 Ca a pen et EE LE OR T3 e2 lt RE 3 re 2 re 2 z Tree pure GAME E Mu L TE 3 1 EXP sp 2 2 ri AT A RE CP PR A ess Valleix peuvent tre reconnus par des pressions m thodiques Cette continuit Le 7 4 lt
25. stion et parler de n ralgies congestives l outefois il faut bien le derni re interpr tation demeure hypoth tique elle n est que vraisemblable la 7 SVGERTURT 2 ER ARE ES ESE 3 PORN CES PAT RL RE DIRES N ss gt Telles sont les formes le mieux tranch es que la n vralgie affecte On e EP Pasanc r vralotaue doiten tre consid r e cherch en distinguer beaucoup d autres auxquelles on a voulu assigner ME congestion locale li e souvent l acc s n vralgique doit en tre consit modes pathog niques distincts On a d crit part les n vralgies congestives comme l effet non comme la cause LE net RES SRE Gubler auxquelles nous avons fait allusion et qui tiendraient une conges Nous pla ant un point ue ue RES ARS du OS ie lion du nerf ou de son noyau elles comprendraient les n vralgies palustres pales la n vralgie n vrose la n vralgie n vrite subaigu et la n vralgie une partie d s n vralgies a frigore et rhumatismales les n vralgies li es LEE SRONITI NES ETES SOIR onde SE PE PA CLIN RTE RE dote dd ocephree de vomirie be dt dt M FR dns TR en EE te rte CSS EN EP TS Ds rte mine r pe KE Dr 0 9 sen _ hs Fa ae _ _ ce TT Z L r TE TT _ rs 7 ee a gr 27 Zi CLS E de _ ne eg sm _ qe Ce 7 _ AE Le AT L E ee 22 a mar 2 LS D mere
26. t elle para t se calquer sur le type banal des n vralgies il ne s agit plus proprement parler d une maladie du nerf sciatique mais de douleurs localis es dans ce nerf Las gue 5 apporte des vues plus larges et plus Justes il montre qu au point de vue clinique les paroxysmes douloureux ne sont pas les seuls ph nom nes importants ni m me les plus importants il met en valeur les sympt mes per manents il fait observer que la sciatique poss de une physionomie propre pr sente une volution particuli re rev t des formes diverses et conclut qu elle doit tre regard e non pas comme un cas particulier de la n vralgie banale mais comme une maladie bien distincte relevant d une alt ration r elle du nerf D autres auteurs parmi lesquels on doit citer Fernet et surtout Landouzy reprennent et d veloppent la m me doctrine et retournent avec Las gue la tradition de Cotugno Citons encore comme travaux d ensemble sur la sciatique la th se de Lagre lette les articles de Homolle et de Lereboullet tiologie La n vralgie sciatique est la plus fr quente apr s la n vralgie intercostale Ses causes sont d une mani re g n rale les m mes que celles de Trait des n vralgies Faris 1841 Lehrbuch der Nervenkrankheiten Berlin 1840 5 Archives g n rales de m decine 1864 Archives g n rales de m decine 1878 Th se de Paris 1869 de m d et de chir pratiques
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