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Rapport d`activité ARS Bretagne 2013

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1. Favoriser la qualit et l efficience de l offre de pr vention d acccompagnement et de Soins Au del de l organisation de l offre de soins la qualit de la prise en charge des usagers et des patients est en permanence recherch e KA x n SEFI gt gt lt P n e 2 ETir2Lr 2 y lt r LE 112 14 aae 4 i ts oaa r 3 izi etn Tre seu TPR IHRM sagipin En effet l ARS Bretagne au quotidien s assure que les 3 millions de Bretons aient acc s une offre de soins et des prises en charges sanitaires et m dico sociales s res et de qualit tout en veillant l efficience de l offre D i j De gauche droite Promouvoir la prise au 1 rang Marc POUPARD Laurence DOUARAN au Z rang Val rie LAURENT Laurence GRIVEL en ch arge efficiente au 3 rang Madeleine GOURMELON Marie No lle THOMAS en haut Xavier DREAN des usagers et des patients LE FAIT MARQUANT Pour une meilleure formation initiale et continue des professionnels de sant un appel projet visant soutenir et renforcer des dispositifs de simulation existants dans les 14 instituts de formation en soins infirmiers a t lanc par ARS Bretagne en octobre 2013 Ce dispositif est conforme aux orientations nationales inscrites dans le plan national sur la qualit et la s curit des patients notamment dans l axe 3 faire de la simulation en sant sous ses diff rentes form
2. ont choisi de reconduire le dispositif en le dotant besoins De plus ils mobilisent d un nouveau type de contrat Pour plus de les bonnes ressources au bon nE M visibilit et d efficacit il engage les signataires moment pour la mise en uvre Lg ee ro sur trois ans Il a aussi volu sur la forme d actions locales Ainsi l ARS Si s on Bretagne les accompagne i un socle commun pr cisant es missions SE T et les moyens demeure il comprend POA A a D maintenant un volet territorial d veloppant les priorit s locales Restructuration des r seaux de sant L accompagnement du patient dans son parcours au sein du syst me de sant est au c ur des missions des r seaux de sant LARS a lanc en 2013 les travaux destin s mieux positionner les r seaux dans cette priorit de la Strat gie Nationale de Sant avec un Groupe Th matique R gional GTR Compos notamment de repr sentants des r seaux de sant des URPS des usa gers son r le est de proposer des modalit s concr tes d volution permettant d int grer deux orientations issues des instructions minist rielles d octobre 2012 e recentrer l activit des r seaux sur la fonction de coordination des parcours e am liorer l efficacit et la lisibilit par la recherche de synergies et de mutualisations entre r seaux et avec les autres dispositifs de coordination Les changes ont permis de partager la notion de coordination des soins
3. ce titre ce plan sera le 1 plan sanitaire tre pr sent en comit de d fense de zone pour validation Il prend en compte la d concentration des quipements NRBC antidotes respirateurs etc l accompagnement financier au travers de nouvelles MIG sp cifiques et une nouvelle architecture bas e sur des fiches Action disponibles tous les niveaux territoriaux Le PZMRS propose des axes de r ponses qui doivent per mettre d adapter les moyens sanitaires dont la zone Ouest dispose la situation sanitaire rencontr e Il est compos de 5 volets 1 La mobilisation des moyens strat giques de l Etat I s agit des stocks de m dicaments mat riels d di s aux urgences sanitaires dont dispose l Etablisse ment de pr paration et de r ponses aux urgences sanitaires EPRUS 2 La mise disposition de la r serve sanitaire s agit ici de disposer des professionnels de sant retrait s tudiants et en activit afin de renforcer un ta blissement un d partement une r gion en difficult face une SSE ex Centres de vaccination en pand mie grippale 1 Zone de d fense civile Ouest R gions Haute Normandie Basse Normandie Centre Pays de la Loire et Bretagne 2 Instance qui r unit l ensemble des pr fets terrestres et maritimes de la zone de d fense 3 Mission d int r t g n rale financement de l Etat assurance maladie pour un tablissement de sant ZOOM SUR Pand mie grippa
4. Ce partenariat constructif se concr tise par la mise en uvre d un plan d actions labor conjointement et revu annuellement Le programme de travail 2013 2014 s articule autour de cinq axes e coordonner les interventions aupr s des internes et externes la facult e favoriser les stages en m decine g n rale lib rale e fluidifier le parcours installation des m decins g n ralistes e promouvoir et valoriser les modes d exercice coordonn e favoriser les installations de m decins g n ralistes VERS BBBIE SE TRE MAN ERIE LE ne RER E _ CE BLosmBEiE ZOOM SUR Mise en place d une politique r gionale d aide l quipement syst me d informations des p les et maisons de sant Lei rytibmes d information der p lis Mat de panmi Le d veloppement des nouveaux modes d exercice coordonn et pluri professionnel constitue un levier majeur pour maintenir une offre de soins de premier recours de qualit sur l ensemble du territoire Pour favoriser ce mode d exercice il importe que les professionnels de sant disposent d outils leur permettant de partager et d changer les informations m dicales Afin d harmoniser les d marches et coordonner la r flexion sur ce sujet l ARS de Bretagne et ses partenaires ont r dig un cahier des charges permettant de qualifier les besoins fonctionnels communs et sp cifiques chacun des m tiers repr sent s dans les p les et maisons de sant
5. Rapport d activit ARS Bretagne 2013 Ar D Agence R gionale de Sant Bretagne 6 ditorial Alain Gautron Directeur G n ral de l ARS Bretagne 4 ans d j et 4 ans seulement Pour introduire le bilan d activit 2013 de FARS Bretagne je citerai les propos de Jacky Le Menn s nateur de lIlle et Vilaine et un des rapporteurs du rapport de la Mission Evaluation et de Contr le de la S curit Sociale sur les ARS Les ARS une innovation majeure un d ficit de confiance PARS Bretagne nous donne un exemple suivre pour faire de nos agences des outils performants 4 ans apr s sa cr ation PARS Bretagne a montr combien ses r alisations avec ses partenaires sont l illustration d une ambition collective agir ensemble pour la sant des Bretons Un partenariat une concertation une co construction fond es sur une confiance qui s installe durablement en Bretagne tant en interne qu en externe Cette confiance en externe s est illustr e en 2013 par la co signature des 8 Programmes Sommaire Territoriaux de Sant de 5 nouveaux contrats locaux de sant de 3 Contrats Pluri annuel d Objectifs et de Moyens avec les tablisse ments m dico sociaux de 4 nouvelles communaut s hospitali res de territoire Autres faits marquants la signature d une convention avec les 4 conseils g n raux et d une convention r unissant 20 partenaires pour d cliner l
6. ces PTS d l gations sont la feuille de route des conf rences de terri territoriales et plus toire et de l ARS jusqu au prochain PRS Suite cet accord les groupes qui ont travaill sur le diagnostic et les plans d actions doivent pr sent les mettre en uvre Pour ce faire les coordonna teurs de territoire et les charg s de mission des conf rences de territoire vont poursuivre leur travail de co animation de ces groupes en leur apportant une m thodologie et parfois aussi une impulsion particuli rement celle du Finist re en suivant sur le terrain son directeur Antoine Bourdon Ce reportage a t compl t par une interview d Alain Gautron le directeur g n ral qui a rappel l importance d associer les diff rents acteurs lus professionnels de sant usagers la construction de la politique r gionale de sant AE Jen man RAM TA LOL HA EN ER 1m IR E LEA EN EE PU FI LE AMENER PAU LE ONE E SERRE ses rez E SRE seen z dak dTa i aY EEE ACRT I RL HERBE JE 2 7 SERRE T ENS Nr R IE Le IE en E aR m Y Le L Last A A ARN i Har ie A A EE BEI a EME IMEJAA IEA d RE UOC PEC EN BREF R unie le 4 juillet 2013 la Conf rence R gionale de la Sant et de aE l Autonomie CRSA a lu son nouveau Pr sident en la personne de Mise en consultation de la revision 7 Bernard Gaillard Il a remplac Thierry Da l qui a souhait mettre un partielle du
7. d accompagnement et de soins Accompagner le d veloppement de la recherche clinique 11 projets financ s hauteur de 400 000 Dans le cadre du Projet R gional de Sant PRS PARS Bretagne accompagne la recherche clinique de fa on volontariste par le financement de missions sp cifiques partir du Fonds d Intervention R gional FIR En effet depuis 2013 FARS Bretagne a identifi une enveloppe de 900 000 sur le FIR mobilisable sur 3 ans afin de financer 2 appels projets pour promouvoir le d veloppement de la recherche clinique en r gion e aide la mise en place d unit s de gestion et d accompagnement des projets de recherche clinique dans les tablissements hospitaliers hors CHU de la r gion Bretagne L objectif poursuivi est outre de permettre le d veloppe ment du potentiel de recherche clinique de la r gion via le renforcement des comp tences pr sentes au sein des centres hospitaliers de r f rence de favoriser leur attractivit m dicale notamment e aide la mise en place de r seaux d investigateurs en r gion Bretagne dans le cadre du d veloppement de la recherche clinique sur les th matiques prioritaires identifi es dans le PRS bretons et peu identifi es dans le cadre des appels projets nationaux premier recours Suicide Maladies chroniques l issue d une proc dure d appel d offres lanc durant l t 2013 port e par la coordination du Groupement Interr gional de Rec
8. P le P le professions animation m dicales territoriale et B n dicte Simon piae rona Chlo Bateau P le P le professions communication param dicales gestion des Chantal Bost instances Elisabeth Lagadec Fethaddine P le gestion des carri res des directeurs des tablissements Myriam Bonnerre et des projets Julie Courpron P le performance et investissements Olivier Paugam P le observation statistiques valuation Val rie Molina P le qualit en tablissements Julie Courpron Direction adjointe Direction Direction veille et s curit adjointe de adjointe sanitaires la sant de la Pierre Guillaumot environne pr vention ment et promotion Direction Direction Direction adjointe adjointe adjointe de l offre de l offre de l offre ambulatoire m dico sociale hospitali re et de la Anne Yvonne Dominique coordination Even Penhou t des acteurs Marine Chauvet P le P le P le organisation programmation organisation des des soins et organsisation tablissements ambulatoires des ESMS sanitaires e a Anne Delucq Nathalie Giovannaci P le P le P le r seaux allocation autorisations de sant de ressources et Estelle Avisse contractualisation Mathilde Henry Sophie P chillon P le P le gestion allocation du risque de ressources Sophie P chillon Bernard Bonnafont P le P le espace allocation num rique de ressources r gional Sophie P chillon de sant Anne Briac
9. politiques ont r pondu dans le cadre d entretiens et d un questionnaire en ligne Ce processus a abouti la proposition de recommandations dont les principales visent renforcer la prise en compte de l environnement comme un d terminant de la sant et r duire les in galit s environ nementales notamment en d veloppant la territorialisation du PRSE Ces recomman dations ont t mises en d bat lors d une rencontre r gionale qui a regroup plus d une centaine de personnes collectivit s repr sentants de l Etat ou tablissements publics associations l issue de cette rencontre certaines suites donner l valuation ont t valid es par le comit de pilotage du PRSE notamment la prise en compte des questions de sant environnementale dans la politique d ani mation du territoire contrats locaux de sant et programme territoriaux de sant www pecheapied responsable fr II informe sur la qualit sanitaire d une centaine de zones de p che pied de loisir bretonnes et pr cise les risques li s la consommation de coquillages de mauvaise qualit L internaute s lectionne un site sur une carte et acc de une fiche d information pr cisant les niveaux de contamination relev s ces trois derni res ann es Avant l t le site S enrichira de nouvelles donn es il pr cisera notamment les alertes ponctuelles en cours sur certains sites CARNEMEAEIE Pl eE a m q Le
10. tablissements de sant et m dico sociaux de statut public et priv s but non lucratif de la r gion Bretagne 43 adh rents l heure actuelle Ce renforcement du dispositif d accompagnement des tablissements la performance sur les achats hospitaliers s inscrit dans le lancement par la LARS signe un protocole de coop ration en mati re d inspection contr le avec la DIRECCTE 6 6 Pour une politique d inspection contr le efficace il est imp ratif de se coordonner avec son environnement Ainsi l ARS Bretagne tend ses artenariats En 2013 nous avons conclu un protocole de coop ration avec le P le Concurrence consommation r pression des fraudes et m trologie l gale de la DIRECCTE Il va permettre d optimiser l efficacit de nos contr les gr ce des changes d information formalis s et des interventions conjointes Sur le champ de la sant comme sur celui du m dico social la protection de l usager recoupe souvent sa protection conomique Aujourd hui notre volontarisme fait figure d exemple d autres ARS s y int ressent l IGAS galement Bernard GUILLOU Mission inspection contr le Gestion des r clamations direction g n rale de l offre de soins en 2011 du programme national consacr la Performance hospitali re pour des achats responsables PHARE Un programme qui a pour objectif de faire b n ficier les h pitaux de marge de man uvre suppl mentaires sur
11. 50 tablissements de sant bretons ont propos un d pistage gratuit du diab te et des maladies r nales 6474 personnes ont pu en b n ficier Souhait e par le Collectif inter associatif sur la sant de Bretagne CISS et soutenue par de nombreux partenaires l op ration de sensibilisation d pistage a r pondu un v ritable enjeu de sant publique En effet le diab te et les pathologies r nales sont silencieux de nombreux malades s ignorent alors que leur tat de sant se d grade Seul un d pistage pr coce assure une prise en charge dans les meilleures conditions Cette quinzaine r gionale s inscrivait compl tement dans les dispositions du projet r gional de sant de l ARS Bretagne qui pr voit un plan d actions sp cifique l insuffisance r nale chronique et de nombreuses dispositions pour faire face aux maladies chroniques dont le diab te Am liorer l offre de d pistage du VIH et des IST Dans la perspective d assurer une meilleure efficience des dispo sitifs de consultations de d pistage anonymes et gratuites CDAG et des centres d information et de d pistage des infections sexuel lement transmissibles CIDDIST l ensemble des structures de la r gion ont fait l objet de visite sur place afin d identifier leurs modalit s de fonctionnement permettant ainsi de disposer d infor mations quantitatives et qualitatives sur le d pistage et la prise en charge Suite ce travail des recommandati
12. Bili Jean Marc de la sant Di Guardia St phanie Farge P le pharmacie P le et produits h movigilance de sant Marie Claude Fran oise M rillon Chabernaud leflon Cellule Cellule de veille d alerte de lInVS et de gestion sanitaires en r gion Pierre Guillaumot Bretagne R mi Demillac P le P le Charg s de Mission r gional r gional Patricia Rousseau veille d fense sanitaire sanitaire Pierre Vincent Guillaumot Sevaer Am liorer nos processus de travail LT Q F La Direction et l quipe d encadrement de la Delegation territoriale De gauche droite Nathalie LE FORMAL Isabelle GELEBART Beno t CHAMPENOIS Priscilla LE MOUELLIC Huguette CHEVALIER TRUSSON Corinne FOUCAULT Sophie LE BRIS De gauche droite Romain GAILLARD Cassandre DUPUIS BELAIR charg s de missions Antoine BOURDON Isabelle RICCIO Direction des ressources Aur lie Bodet Assistante C line Etienne D partement des ressources humaines Caroline Barbas P le formation P le gestion du personnel P le recrutement GPEC masse salariale P le dialogue social Nicole L Eild D partement des ressources mat rielles Jean Yves Eonet P le march s et contrats Marie Christine Billon P le logistique et achats Thi Thuy Bui P le documentation Christine Chauvel A Membres du COMEX 39 agents D partement informatique Jean Christophe Cantinat P le bureautique
13. Nous avons un r le d alerte et de veille afin d assurer aux populations une continuit de service Sur le plan qualitatif nous veillons ce que l eau respecte les crit res fix s pour la consommation humaine notamment sur le plan bact riologique Nous mettons notre expertise et notre connaissance du terrain la disposition des cellules de crises des pr fectures localisation des points de captage des stations de traitement connaissance des exploitants En fin d ann e nous avons connu plusieurs pisodes de temp te et d inondation Dans le Morbihan nous avons notamment t amen s suivre heure par heure la mont e des eaux du Blavet Au del des probl matiques de l eau notre r le en tant qu ARS est aussi de prot ger les populations de certains risques li s aux intemp ries notamment les intoxications au monoxyde de carbone suite l utilisation de mat riels de chauffage d fectueux en cas de coupures d lectricit Des consignes de pr vention ont t diffus es dans ce sens aux m dias locaux Myriam BEILLON section Eaux destin es la consommation humaine et Michel LARS section Habitat et urbanisme D l gation territoriale du Morbihan POINT UNIQUE T RAITEMENT pen k CEPTION ET pe lee x Exercer la veille sanitaire Sassa ekemce EN BREF o9 74 50 00 09 puut A ALL er Es D at ie c est le nombre de signaux re us par l ARS en 2013 dont Mala stion Obligatoire Rimt
14. de 4000 euros ce concours Les gagnants utiliseront leur prix en investissant dans du mat riel d animation 29 Accompagner les femmes accouchant anonymement Un travail concert Conseil national d acc s aux origines personnelles CNAOP ARS Conseils G n raux tablissements de sant a t men en Bretagne en 2013 sur l accompagnement des femmes souhaitant accoucher dans le secret et confier leur enfant en vue de son adoption Il a permis d laborer un projet de protocole entre conseils g n raux et tablissements de sant publics ou priv s dot s d une maternit ainsi qu un guide de bonnes pratiques Le protocole a pour objet de pr ciser les missions respectives de chacun ainsi que les formalit s que doivent accomplir les parties signataires lorsqu une femme envisage d accoucher dans le secret Il pr voit notamment les modali t s de prise en charge de la femme et l organisation administrative de son accueil son s jour en maternit et sa sortie ainsi que la situation de l enfant apr s le d part de la m re de naissance les modalit s de la d claration de naissance l tat civil et la situation du p re biologique Le guide de bonnes pratiques a pour but de permettre chaque professionnel confront ces situations complexes de trouver la r ponse la plus adapt e et ventuellement de joindre les interlocuteurs qui pourront l aider assurer au mieux cette mission Courant 2014 une valuati
15. de jour et d h bergement temporaire constituent une offre de services dont le d veloppement est encourag par l ARS Bretagne afin de favoriser le maintien domicile Deux action et constat ont favoris l accent sur cette priorit la mise en conformit des places d accueil de jour conform ment au d cret n 2011 1211 du 29 septembre 2011 relatif l accueil de jour et le taux d quipement des d partements bretons particuli rement faible sur ce segment de l offre LARS a donc d cid de lancer 2 appels projets conjoints avec les Conseils G n raux concern s pour des places d accueil de jour pour personnes g es atteintes de la maladie d Alzheimer ou de troubles apparent s dans le Morbihan et en Ille et Vilaine En Ille et Vilaine e Cr ation de 32 places d accueil de jour Les projets devaient tre localis s sur les cantons non pourvus en accueil de jour 5 cantons au nord du d partement et 6 au sud Sur 9 dossiers re us 5 ont t retenus Dans le Morbihan e Cr ation de 28 places d accueil de jour sur le territoire g rontologique lorientais 5 candidatures re ues et 3 retenues e Cr ation de 6 places d accueil de jour sur le territoire g rontologique centre ouest Morbihan 2 candidatures re ues et 1 candidature retenue e Cr ation de 12 places d accueil de jour sur le territoire g rontologique alr en 4 candidatures re ues et 1 candidature retenue Favoriser la qualit et l efficience de l offre
16. est de 558 054 00 6 6 Le retraitement comptable est une obligation D marche r gionale d accompagnement des tablissements de sant l am lioration de la comptabilit analytique hospitali re La d marche r gionale d accompagnement des tablissements de sant l am lioration de la comptabilit analytique hospitali re s inscrit dans le cadre du plan national de d ploiement de la CAH mis en uvre en 2013 Elle a pour objectifs a mont e en comp tence des tablissements de sant en comptabilit analytique l identification des bonnes pratiques et le partage d exp rience la fiabilisation des donn es du retraitement comptable en harmonisant les pratiques de la comptabilit analytique hospitali re dans les tablissements de sant la restitution d indicateurs solides et pertinents aux tablissements En Bretagne la d marche s est d clin e d apr s le besoin des tablissements selon une m thode gradu e d une part un travail appuy destination des petits tablissements ne disposant pas d une comp tence approfondie en contr le de gestion En effet il a t constat lors de la validation des retraitements comptables 2011 le besoin important de formation des tablissements qui n ont pas de contr leurs de gestion notamment les ex h pitaux locaux Pour ces tablissements il a t mis en uvre des groupes de travail par th matique qui ont t anim s par un prest
17. le cadre du suivi de ces journ es 140 questionnaires d valuations chaud d pos s l issue des journ es vont tre exploit s Les EHPAD seront galement sollicit s par l ARS pour valuer des indicateurs en rapport avec les th mes d velopp s TON a i ZOOM SUR d TO H E a T AN IETARI HE D IHE NE JME D L na pa AN mp ME sen El aa ane Tl eeh T NAS IME CAAmE ERR a RRE Dee C ED IREM DAP Tam oN ImAS cs 22 consultations m moire labellis es Dr Yannick EON 6 6 La mise en uvre du Plan Alzheimer 2008 2012 a conduit au financement de 22 consultations m moire hospitali res sur la r gion avec l objectif d offrir une consultation de proximit pour 15 000 habitants de 75 ans et plus Cette offre s est structur e autour de 2 Centres m moire de ressources et de recherche CMRR port s par les CHU La labellisation instruite en 2012 a entra n un nouveau mode de r partition m decin Direction des cr dits valid par les professionnels Il tient adjointe offre de soins compte de l activit mais aussi de la participation m dico sociale E E da AZ EE E PR EN PR A es PAR ON ER PE POS EE PE EN EE En l dao i aY EEE aE CURT N BE EE EEE sRRE Rs 2 EE Plan Alzheimer bilan 2013 e 1 622 364 consacr s aux cr ations de places Le Plan Alzheimer et maladies apparent es 2008 2012 doit permettre de mettre en
18. part de tous les acteurs de sant Cette troisi me journ e a t l occasion de pr senter quelques projets r gionaux significatifs Ces d marches sont au c ur de sujets majeurs tels que le dossier m dical personnel la t l imagerie la prise en charge de l insuffisance r nale chro nique Cette rencontre a permis aussi de b n ficier du retour d exp rience de pratiques prouv es autour de la t l m decine dans les tablissements d h bergement pour personnes g es Autant de projets qui ont confort la volont de l ARS d annoncer cette occasion le lancement d un appel projet t l m decine pour assurer aussi les volutions attendues de notre syst me de sant telles que pr vues dans la strat gie nationale de sant Les r sul tats de cet appel projets sont tr s encourageants ils t moignent d une maturit croissante des acteurs et du renforcement de l id e d une n ces saire am lioration de la collaboration des acteurs de premier recours hospi taliers et m dico sociaux Ils pr parent aussi les projets strat giques de 2014 Souhaitant passer d une logique d exp rimentation une logique de d ploiement des usages ARS accompagne le d veloppement des activi t s structurantes de t l m decine Elle a d ailleurs lanc au mois de juillet 2013 un appel projet t l m decine premi re action phare de Favoriser la qualit et l efficience de l offre de pr vention d accompa
19. place sur l ensemble du territoire des mesures adapt es susceptibles d am liorer la prise en charge des personnes souffrant de cette pathologie et la qualit de vie de leur entourage Pour ce faire en 2013 FARS Anne VI VIES charg e g riatrique Les r unions des 2 r seaux fin 2013 ont de mission Direction t l occasion pour l ARS de pr senter ce nouveau adjointe de l offre dispositif l ensemble des promoteurs de hospitali re consultations m moire et de renforcer la l gitimit des CMRR dans leur mission d animation Maryse RAIMOND inspectrice Direction adjointe de l offre m dico sociale Fonds de restructuration des services d aide domicile 6 6 Pour la deuxi me ann e cons cutive l ARS Bretagne s est vu confier la gestion du fonds de restructuration des services d aide domicile En 2013 plus de 3 M ont t allou s cet effet ils viennent en compl ment de l aide d j d l gu e en 2012 d environ 2 ME afin d aider le secteur faire face aux difficult s financi res rencontr es Le comit technique d instruction des dossiers compos des repr sentants de l ARS des 4 Conseils g n raux de la DIRECCTE des caisses de s curit sociale CARSAT de l AROMSA de la DRFIP a d termin au del des crit res d ligibilit pr vus par les textes deux autres crit res un fond sur un seuil d activit minimal de 30 000 heures et l autre tabli sur les efforts de
20. restructuration pr sent s par les services En 2013 44 contrats ont t conclus avec les services les conseils g n raux et la CARSAT pr cisant les engagements de chaque partie objectifs strat giques du service et objectifs de retour l quilibre au r seau et la dynamique de recherche port par ce dernier Quatre consultations m moire non labellis es sont d sormais reli es fonctionnellement une consultation labellis e support L enveloppe r gionale a t abond e de 82 326 et se porte 3 206 658 en 2013 Les 2 CMRR sont appel es renforcer leur r le de coordination au service d une politique r gionale d am lioration de la qualit des prises en charge et leur pertinence au sein de l offre a mis en place e pour les C tes d Armor 10 places d accueil de jour e pour le Finist re 46 places d accueil de jour 5 places d h bergement temporaire 4 actions de formation pour les aidants 2 p les d activit s et de soins adapt s PASA et une unit d h bergement renforc e UHR o pour l Ille et Vilaine 35 places d accueil de jour 21 places d h berge ment temporaire 1 PASA et 1 UHR e pour le Morbihan 2 places d accueil de jour 11 places d h bergement temporaire 1 quipe sp cialis e Alzheimer ESA 8 actions de formation pour les aidants et une UHR 29 2 appels projet m dico sociaux pour favoriser le maintien domicile Les places d accueil
21. site de l ARS et de l ORSB EN BREF Parution du d pliant accompagnement des Emplois d avenir l ARS soutient et d cline un dispositif r gional Face aux difficult s de recrutement que conna t plus particuli rement le secteur m dico social PARS Bretagne en partenariat avec la DIRECCTE PARML les organismes paritaires collecteurs agr s les f d rations d employeurs et les organismes syndicaux la caisse nationale de solidarit et de l autonomie CNSA a lanc une initiative venant compl ter et ainsi renforcer le dispositif national Emplois d avenir sans s y substituer En effet sur l ensemble du territoire r gional elle propose de soutenir l accompagnement pour la qualification de jeunes employ s en contrat Emploi d avenir sur des postes d aides soignants avec une formation certifiante pour p renniser les emplois de ces jeunes en contribuant r pondre des besoins de recrutement insatisfaits ce jour personnes handicap es et en perte d autonomie PRIAC 2012 2016 Cette d marche d attractivit du m tier d aide soignant aupr s de la personne g e d pendante dans le cadre d un accompagnement par tutorat et formation doit permettre la fid lisation des nouveaux professionnels dans un secteur o le turn over est assez important et les tensions en recrutement av r es 49 jeunes en emploi d avenir sont inscrits aux preuves de s lection aides soignantes pour la rentr e de septembre 2014
22. JC LE FAIT MARQUANT CARS Bretagne a notamment pour mission de favoriser le d ploiement des d marches d am lioration de la qualit dans l ensemble des tablissements et services m dico sociaux et notamment au sein des EHPAD Elle a orga nis le 4 d cembre 2013 une demi journ e d changes avec les tablisse ments m dico sociaux pour personnes g es sur les bonnes pratiques en tablissements sur les th mes suivant e a m dicalisation des tablissements e les escarres e a dialyse p riton ale e e risque infectieux e a texture modifi e e les troubles du comportement et de leur prise en charge non m dicamen teuse dans le cadre d une valuation deux ans d un p le d activit et de soins adapt s PASA e e m dicament Ces journ es qui ont r uni 120 tablissements et 205 personnes avaient un double objectif e d velopper les th mes de gestion du risque de l assurance maladie int gr s aux d marches qualit des EHPAD Docteur Jean Pierre EPAILLARD r f rent vie affective et sexuelle D l gation territoriale d Ille et Vilaine e favoriser les changes de pratiques et exp riences entre tablissements et faire merger des bonnes pratiques sur des sujets concrets li s la prise en charge des personnes g es Les intervenants de diverses professions ont t sollicit s les changes se voulaient pluri professionnels et pluridisciplinaires Dans
23. P le architecture P le solutions m tiers Direction des finances ric Fourier Adjointe au Directeur des Finances Fabienne M al P le P le P le P le ma trise financier facturier paye des risques financiers et comptables De gauche droite Beno t CHAMPENOIS Marie Agn s PILARD Christelle DI GUARDIA Michel FICHET Brigitte BACON Christian ENFRIN Serge PASSELERGUE Sylvie PILPRE et Andr MORIN Ar D Agence R gionale de Sant Bretagne Agence R gionale de Sant Bretagne www ars bretagne sante fr 6 place des Colombes CS 14253 35042 RENNES CEDEX 02 90 08 80 00 f www facebook com arsbretagne Directeur de publication Alain Gautron Directeur de la r daction Pierre Bertrand R dactrice en chef lisabeth Lagadec Fethaddine Comit ditorial Morgan Boucault Patricia Breuille P rais Julie Courpron Aur lie Bodet Thierry de Laburthe Coralie Descamp Anne Delucq Caroline Barbas Jean Yves Eonet Christian Gauvain Bernard Guillou Pierre Guillaumot St phanie Farge Mathilde Henry St phanie Horala Anne Lecoq Fabienne M al Vincent Sevaer Sophie P chillon Jean Luc Potelon C cile Soller Carole Rieu Jean Paul Remeur Caroline Ric Aur lien Robert B n dicte Simon Christophe Van der Lind R alisation Pr contact Cr dits photos Guy Coste et ARS Bretagne Impression M dia Graphic D p t l gal parution N ISSN 2263 62212 kj C
24. Projet R gional de Sant terme son mandat pour raison de sant Bernard Gaillard occupe donc les fonctions de Pr sident de la Conf rence R gionale de la Sant et de l Autonomie jusqu en juillet 2014 date laquelle est programm le prochain renouvellement Bretagne Apr s l adoption du PRS en mars 2012 l ann e 2013 a t marqu e par son actualisation Cette d marche a t l occa sion de favoriser l expression des parties prenantes de la politique de sant au sein de la r gion Bretagne et prendre en compte les volutions r glementaires intervenues sur les diff rentes composantes du projet Pour ce faire l expression de la d mocratie sanitaire a t sollicit e en septembre les avis et contributions formul s dans le cadre de cette actualisation ont t nombreux que ce soit notamment du fait des instances r gionales ou locales avec en premier lieu la CRSA et les conf rences de territoires Au terme de la concertation la r vision du Projet R gional de Sant a t adopt e par arr t du 10 f vrier 2014 D lt Martine GALIPOT FA 0 0 M S U R coordinatrice de territoire n 4 D l gation territoriale du Morbihan 6 6 La loi H pital Patients Sant et Territoires permet aux Agences R gionales de Sant de conclure notamment avec les collectivit s des Contrats Locaux de Sant CLS Le dispositif d cline au sein d un territoire les orientations du Projet R giona
25. Un d pliant Mode d emploi d crivant l ensemble de ces d marches a t labor et diffus l ensemble des acteurs concern s au plan r gional De fa on parall le l ARS accompagne les sites qui disposent d un projet de sant valid en prenant en charge sur le Fonds d Intervention R gional FIR jusqu 70 des d penses engag es d s lors que l diteur de logiciel choisi est labellis par l ASIP Sant L appel projet r alis au dernier trimestre 2013 va permettre 2 sites de b n ficier des aides financi res Le dispositif sera reconduit courant 2014 LE FAIT MARQUANT R vision du zonage pluri professionnel 21 territoires de premier recours cibl s comme prioritaires Dans le cadre de la r vision du Projet R gional de Sant des travaux ont t engag s en 2013 sur la mise jour du zonage pluri professionnel dont la d termination des zones prioritaires demand es sur le plan r glementaire afin de concentrer les diff rentes aides pour r pondre aux besoins d implantation pour l exercice des soins La m thodologie et les r sultats ont t pr sent s discut s et valid s par les membres du groupe th matique r gional sur l organisation territoriale des soins de 1 et 2 recours avant d tre soumis la concertation Au final 21 territoires de premier recours ont t cibl s comme prioritaires et pourront b n ficier d aides sp cifiques destin es favo
26. able ces pour le renouvellement des conventions tripartites en EHPAD afin de piloter de conventionnements du fait de leur mobilisation sur les coupes Pathos 6 ZOOM SUR D marche de Retour d EXp rience REX lancement d un appel projet Un accompagnement financier r gional est pr vu pour mettre en uvre des d marches de retour d exp rience relatif la lutte contre les v nements ind sirables associ s aux soins et au management de la qualit de la prise en charge m dicamenteuse Suite l appel projet 12 projets mutualis s l chelle d un groupe d un territoire ou de la r gion ont t re us e 8 ont b n fici une prise en charge financi re 100 e 3 ont b n fici d une prise en charge financi re partielle e dossier est report sur 2014 Parmi les 12 dossiers e 5 projets pour des financements de formation ou outils de formation HSTV CH Quimperl Vivalto Polyclinique Keraudrun Kerpape films e 3 projets valorisants une approche m tier Echo dialyse Lannion info vigilance CHIC Quimper robotisation e 4 projets structurants pour la r gion CHU Brest nutrition EPSM St Av et URPS F d ration ville h pital Omedit mesures barri res sur EIG GCS CAPP r f rent territoriaux et coordination territoriale Autotal 397 922 ont t mobilis s en 2013 pour les 11 projets valid s ZOOM SUR Tutorat en sant mentale mieu
27. ac e sous le sceau de la convivialit cette rencontre a t aussi l occasion de se r unir autour d un d jeuner commun o chacun a pu ainsi mieux faire connaissance avec ses coll gues Au final la journ e d accueil a re u un tr s bon accueil et sera donc reconduite en 2014 dans un format l g rement revu pour tenir compte des valuations des participants proce Rene Eenenrs HSE GRR ME ESS nRuR LE La question du mois un nouveau concept de communication interne 6 a Pour renforcer la communication interne de l ARS Bretagne un nouveau rendez vous d information a vu le jour en 2013 La question du mois Il s agit de traiter sous forme d interview film e des sujets strat giques Trois t moignages ont t publi s Patricia BREUILLE P RAIS SUT intranet la Strat gie Nationale de Sant charg e de communication la Politique de contractualisation dans P le communication gestion le Secteur m dico social les principes des instances des parcours de sant et de vie La refonte du site internet de l ARS Bretagne Caroline RIC charg e de communication P le communication gestion des instances 6 6 Le rubriquage de notre site datait depuis la cr ation de l agence en avril 2010 Depuis 4 ans notre communication aux partenaires a beaucoup volu Changer le rubriquage du site pour le rendre plus accessible et intuitif pour nos partenaires devenait essentiel Apr s plusieur
28. ains objectifs sont partag s avec le volet g n tique du Projet R gional de Sant Bretagne Dr Elisabeth BRETAGNE m decin la direction de l offre hospitali re g n tiques noter cependant des points am liorer les unit s ont en moyenne une taille et des effectifs inf rieurs la moyenne nationale et aux recommandations le nombre de LISP par service est souvent trop faible pour garantir une organi sation sp cifique permettant au personnel de consacrer un temps suffisant aux patients si des efforts importants ont t faits pour d velopper les formations il reste encore des marges de progression Ce bilan sera suivi d un travail collectif avec les acteurs de terrain en 2014 pour proposer des adaptations qualitatives du dispositif existant par territoire de sant 6 6 Environ 160 000 personnes sont atteintes d une des 7000 maladies rares en Bretagne En inscrivant ce colloque r gional dans le cadre de la SNS l ARS Bretagne a souhait favoriser la rencontre des acteurs de sant et des usagers pour mieux comprendre et agir Diminuer l errance diagnostique am liorer le parcours de soins sont deux objectifs partag s du volet g n tique du Projet R gional de Sant et du Plan national maladies rares En 2013 l ARS Bretagne a ainsi attribu environ 10 millions d euros en faveur d actions contribuant la prise en charge de personnes atteintes de maladies rares et Favoriser la qualit et l
29. anisation des soins ambulatoires D partement Action et Animation territoriale de sant de la D l gation territoriale 35 Magali COLLEAUX Anne DEUFF Isabelle GELEBART Fran oise POUPAULT Marie Laure GRACIEN Anne Marie KEROMNES Fran oise DANIEL V ronique JOLLE Chrystelle FEVRIER Mireille HINAUX M lanie CLOUE Luc BOISSEAU et Corinne FOUCAULT Z00M S R aue a 6 G C est une premi re en France L ARS et 18 de ses partenaires facult s conseils de l ordre conseil r gional URPS repr sentants des internes et externes ont sign une convention destin e favoriser l installation des m decins S miya THOUIR g n ralistes en Bretagne r f rente installation L objectif coordonner nos actions P le organisation et nos moyens car nous sommes des soins ambulatoires tous impliqu s dans le parcours du m decin g n raliste C est dans l int r t des professionnels de sant et de la population que nous avons e d cid de travailler ensemble L installation des m decins g n ralistes lib raux ARS et ses partenaires signent une convention Soucieux de renforcer l acc s aux soins de proximit de la population bretonne les acteurs se sont r unis l ARS Bretagne pour signer la Convention de partenariat dans laquelle chacun s engage favoriser l installation et fluidifier le parcours du m decin en cours d installation notamment dans les territoires d mographiquement sensibles
30. ans la politique r gionale de l ARS Bretagne y compris pour la mise en uvre du projet r gional de sant Cette journ e a t r alis e autour des 3 th mes retenus par la Direction g n rale de l offre de soins pour la semaine s curit des patients e Bien utiliser les m dicaments e Favoriser la communication et apprendre de ses erreurs e La sortie du patient hospitalis Cette journ e s est d roul e autour de 4 objectifs 1 changer et sensibiliser pour am liorer la situation bretonne Cette journ e s inscrit dans la politique qualit et s curit des soins que PARS a d fini suite l objectivation de la situation bretonne au regard des r sultats de certification des tablissements sanitaires qui ont un taux de r serves et r serves majeur au dessus de la moyenne nationale Il s agit d s lors de d velopper sur l ensemble des territoires de sant bretons une organisation r gionale d appui qui permette de mettre en uvre des actions d am lioration pour r pondre aux besoins rencontr s par les professionnels pour les aider parfaire le dispositif qualit des tablissements LE FAIT MARQUANT Journ e r gionale sur la pertinence des soins L am lioration de la pertinence des soins est un enjeu cl parmi les missions de l ARS Les actions d am lioration de la pertinence ont pour ob jectifs l accroissement de la qualit et de la s curit des soins ainsi que l optimisation de l efficien
31. ap F X R sense etes rans nm CECCECETECEECACEECHEECEERAHAEE La politique de sant de l ARS Bretagne s appuie sur le principe de gouvernance appel e d mocratie sanitaire En associant tous les acteurs de la sant la participation citoyenne aux politiques de sant en Bretagne est ainsi favoris e La concertation constitue le principe m me de cette d mocratie sanitaire travers les diff rentes instances o si gent les repr sentants des professionnels de sant des collectivit s locales de l Etat des usagers D LE FAIT MARQUANT Signature de la convention r gionale En renouvelant le 6 d cembre 2013 leur convention de partenariat l ARS Bretagne de partenariat ARS Conseil BENETAUX et la Direction r gionale des Affaires culturelles r affirment leur implication sur la une initiative unique en France th matique de la culture l h pital travers cette convention il s agit de renforcer l acc s la culture et de contribuer au d veloppement culturel au sein des tablisse ments de sant ou m dico sociaux par le biais de leur rapprochement avec les quipements ou lieux culturels de Bretagne Les projets sont organis s au b n fice des patients de leurs familles et des professionnels de sant soignants et non soignants Les partenaires ont retenu trois axes d intervention e un travail sur les biblioth ques au sein des tablissements de sant ou m dico sociaux l accompa gnement pou
32. ar Bretagne Durable et Harmonie Mutuelle Dans un contexte de crise conomique et sociale de plus en plus de citoyens sont confront s la pr carit notamment professionnelle Parmi eux beaucoup travaillent mais n ont pas toujours de quoi faire face l acc s aux soins et aux services de sant absence de mutuelle d passement d honoraire discrimination par refus de soins des b n ficiaires de la CMU ou de l AME La notion de pr carit ne se cantonne pas au travail Elle peut aussi tre d ordre relationnelle affective et li e aux conditions de vie Elle renvoie de fait aux in galit s sociales de sant Selon un rapport du Haut Conseil de la Sant Publique il y a une double injustice pour les pr caires la r duction de leur dur e de vie pour ceux qui cumulent les facteurs de risque et ont des maladies dans un stade plus avanc que les autres personnes Le d bat sur le th me Pr carit quel impact sur la sant a ax les changes sur les personnes aux fronti res de la pr carit dont les travailleurs pauvres int rimaires temps partiels saisonniers auto entrepreneurs et abord les solutions mettre en uvre pour leur viter de franchir le cap d une plus grande pr carit e faire conna tre et valoriser les actions de promotion de la sant de l activit physique et sportive e structurer l offre d APS et mobiliser le r seau des acteurs e sensibiliser e
33. as retracer la trajectoire individuelle et institutionnelle de ces jeunes afin de mieux comprendre leur histoire v cu et prises en charges et apporter une r ponse plus adapt e leurs situations J ai men ce travail avec les services de l ARS et les travailleurs sociaux des conseils g n raux partir de l tude des dossiers administratifs compl t s par 13 entretiens avec les professionnels en charge de ces jeunes une synth se r gionale a t r alis e Parmi les constats relev s il appara t que ces jeunes sont plut t issus de familles monoparentales en situation Salima TAYMI charg e de mission Direction adjointe de la promotion et pr vention de pr carit qu ils sont dans la grande majorit des cas d scolaris s Le suivi en structures m dico sociales n est pas toujours continu de m me que les prises en charge sanitaires Autre difficult des parcours de prises en charge difficile mette en place par manque de connaissances des r ponses de la part des acteurs et absence de coordination entre eux Pour r pondre ces constats et points de blocage un second tat des lieux est envisag avec les professionnels du secteur m dico social et de la p dopsychiatrie en 2014 pour conforter des pistes d action propos es par le groupe de travail faire conna tre sant les diff rents dispositifs aux professionnel mieux informer les jeunes Prot ger et promouvoir la Sant Cette acti
34. as les gestionnaires dans le traitement de la paie Le directeur g n ral a souhait engager un travail partag avec l quipe de direction et l quipe de l encadrement en 2013 autour de deux th mes prin cipaux prioritaires e e d veloppement d une culture commune e e renforcement de notre coh sion d quipe Deux s minaires ont t organis s le 24 juin et le 17 d cembre 2013 sur une m me base de fonctionnement privil giant les temps d changes de d bats et de restitution la suite de la premi re rencontre les travaux ont permis d aboutir 5 grands chantiers pour 2014 e a construction de la feuille de route 2014 e l am lioration du fonctionnement de nos instances internes e a cr ation d un syst me d information propre l Agence partir des outils de pilotage existants tableau de bord PRS observatoire qualit o le d veloppement de la dimension manag riale de l quipe d encadrement et sa relation avec l quipe de direction e e renforcement de nos actions de communication interne et externe Chaque projet a t formalis par une lettre de mission co pilot par deux membres CODIR Il sera mis en uvre avec l appui de groupe de travail compos d une dizaine de cadres l avanc e des projets est pr sent e lors des r unions d encadrement et sera partag ensuite avec les agents Organigramme g n ral Au 31 d cembre 2013 433 AQEN S travaillent PARS Bre
35. as 1 2064 sollicitations re ues puue r par le CORRSI en p riode ouvr e sur l ann e 2013 et 672 signaux en charge par le E aS j PA M l zars dispositif d astreinte Par rapport 2012 on observe d une part une stabilit du nombre de signaux trait s en p riode d astreinte et d autre part un renforcement du CORRSI en tant que point d entr e unique des signaux sanitaires pour les quatre d partements bretons En 2013 PARS Bretagne a cr deux nouveaux supports de communication flyer sur la mission de la plateforme de la veille sanitaire et une carte m mo sur le n de d claration maladies obligatoire Des informations pratiques diffus es aux tablissements et professionnels de sant acteurs majeurs du signalement JE EI ER A PE EE EE PE EL PE RL D EE D EE EE EE El FE Pa RTE EE EE aea EE EE ESS eee Es SN Cl es EE EEE FREE EE PE EE en Poor EAn onnon lance e u EP iFa FSE W iT 0 LI 7S PF MP JA Ai Liki Romans C BSEMEE CEC E ee 2 ER PE E OO EE HER D Ya LAND DE ESTART g Dzi E a ES RTE aaao naana PANOA E E a E E BE ENa ayak Aa k TRAPPOTUI su LE g J A CEN E n a Nero ass En ab TENNE d a BP K LE A A 17 A 7 no GR ee EN B RSMeeeMemE ME EE er mr 1 D 1 1 M D ai CMS LI ele m De en a D on Es E EEE En L ARS Bretagne r gule l offre de pr vention de soins et de services dans les secteurs ambulatoire hospitalier et m dico social A t
36. ataire externe d autre part nous nous sommes appuy s sur le groupe r gional des contr leurs de gestion pour ce qui concerne les tablissements publics de r f rence et de proximit pour exprimer leurs questions et difficult s sur les questions de comptabilit analytique Ces groupes de travail ont particip l laboration du guide de remplissage du retrai tement comptable en interface avec l Agence Nationale D Appui la Performance ANAP r glementaire fix e tous les tablissements publics et ESPIC Il s agit du premier niveau de comptabilit analytique applicable tous qui permet de ventiler les charges par grandes sections analytiques MCO SSR Psy Afin d accompagner les tablissements bretons dans cette d marche l ARS Bretagne a mis en place depuis 2011 un dispositif d accompagnement et d aide au remplissage vingt tablissements de taille ex h pitaux locaux ont t accompagn s en 2013 apr s avoir cibl le secteur de la psychiatrie en 2011 L ARS Bretagne contribue galement l am lioration de la qualit des donn es au travers de fiches de synth se individuelles et d une restitution r gionale nominative des donn es aux tablissements afin de permettre le d veloppement de benchmark entre tablissements Magali BERTHELOT et Florence CHOUINARD contr leurs de gestion P le Performance et investissements Favoriser la qualit et l efficience de l offre de pr vention
37. ation des professionnels de sant dans le d veloppement de ces missions L ARS Bretagne encourage la promotion du d veloppement de la recherche clinique en r gion par des appels projets lanc s depuis 2012 Ces derniers encouragent le d veloppement de la recherche dans les tablissements de sant non universitaires et permettent aussi de d velopper les actions de recherche clinique sur les th matiques prioritaires du PRS sur lesquelles peu de programmes de recherche sont financ s au niveau national ou en r gion sant mentale maladies chroniques pathologies du vieillissement notamment L ARS Bretagne de par ses missions doit jouer un r le moteur dans l organisation des parcours de sant et de leur bon fonctionnement Un changement radical au c ur de la strat gie nationale de sant qui fait reconsid rer l organisation du syst me de sant dans son ensemble et non plus comme une succession d actes ponctuels mais comme une organisation en parcours Parcours de sant lancement d une concertation sur un d coupage territorial et organisation d un 1 d bat r gional Le 19 novembre 2013 le premier d bat r gional en lien avec la Strat gie Na tionale de sant SNS a t organis en Bretagne Cet v nement qui a r uni 400 personnes fut l occasion pour l ARS de pr senter des organisations des outils et des concepts sur lesquels les participants ont d battu et qui pourront tre des appuis pour
38. ations en termes de missions de moyens et d organisation sur le territoire breton r alis avec les professionnels Lors de cette rencontre pr s d une centaine de profes sionnels ont travaill la mise en uvre de recom mandations organisationnelles et de bonnes pratiques au travers de 4 ateliers e comment se faire conna tre et tre sollicit par les diff rents services de l tablissement e les interventions des ELSA en maternit et le lien avec le r seau p rinatalit e les probl matiques pos es par l intervention de l ELSA en multi sites et sur diff rents types d tablissements e a place de la tabacologie dans l ELSA polyvalente articulations avec les consultations externes S RSREUE Elle a en particulier r uni plusieurs centaines d ESMS d Ille et Vilaine et rencontr l ensemble des structures pour publics sp cifiques notam ment les centres de soins d accompagnement et de pr vention en addictologie Par ailleurs pour faciliter la d marche des ESMS et l exploitation des rapports d valuation externe l ARS et les conseils g n raux ont r alis un document r gional commun calqu sur l abr g national et qui pr cise quelques items consid r s comme incontournables Plusieurs autres outils et documents de proc dure ont t labor s en commun Au 15 f vrier 2014 plus de 90 des ESMS autoris s avant la loi de 2002 et relevant de l ARS avaient adress leur rapport d
39. ce des d penses de sant dans le cadre d un objectif national des d penses de l assurance maladie ONDAM contraint Ces actions proc dent par ailleurs des m mes enjeux que le programme de gestion du risque inclus au PRS breton L ARS s est engag e concr tement dans cette d marche en 2013 La conduite de ce projet a conduit au cours du deuxi me semestre la d finition d une organisation de pilotage de ce projet et d un plan d action portant sur cinq domaines d intervention e pertinence des s jours SSR sant mentale r an USC dans ce dispositif Journ e qualit semaine de promotion de la s curit des patients 2 informer pour mieux appr hender les enjeux nationaux Il s agit d informer les professionnels et les tablissements sur la strat gie nationale port e par le minist re de la sant au regard du programme national sur la s curit des patients et l articulation avec la haute autorit de sant HAS et de mettre en avant la coh rence des actions men es par la HAS sur la s curit des patients et les approches conjointes qui sont men es avec les autres institutions au b n fice de la s curit des patients 3 pr senter la d clination r gionale des actions en lien avec le PNSP Cette journ e a t l occasion de pr senter travers des dispositifs r gionaux leurs contributions la mise en uvre des priorit s nationales et leurs ad qua tions pour favoriser l mergence e
40. ces d penses en largissant les achats group s et en renfor ant la fonction achats dans les tablisse ments Dans un contexte g n ral de r duction budg taire il a pour objectif de d gager des conomies intelligentes c est dire mieux acheter pour donner des marges de man uvre suppl mentaires aux h pitaux tout en conservant le niveau actuel de prise en charge des patients Compte tenu de l exp rience acquise les ann es pass es le GCS a pour mission d assurer la coordination r gionale des achats ainsi que l animation du projet PHARE 1 L objectif fix par la Direction g n rale de l offre de soins une conomie de 47 millions d euros sur trois ans l chelle de la Bretagne ZOOM SUR Transports sanitaires priv s En juillet 2013 un groupe de travail r gional interne ARS sur le sujet des transports sanitaires priv s a t mis en place Celui ci est compos de personnels en charge du dossier Transports Sanitaires dans les d l gations territoriales ainsi que du p le statistique et juridique de l agence et de la DOSA ambulatoire qui en assure le pilotage L objectif de ce groupe de travail est d ici la fin du 1 semestre 2014 d harmoniser les outils de proc dures d autorisation des DT de r aliser des guides de la r glementation 1 l attention des personnels ARS 1 autre l attention des transporteurs sanitaires priv s d laborer une politique r gionale de r gulation de l offre en tran
41. ctivit en addictologie dans les tablissements de sant bretons et le projet de l Agence Nationale d Appui la Performance Parcours en psychiatrie et sant mentale Publications disponibles sur le site internet de l ARS Bretagne De ces tudes d pend l efficacit www ars bretagne sante fr rubrique Actualit s Etudes Publications des futurs plans d actions LE FAIT MARQUANT LARS poursuit le d veloppement d outils d observation e DEMOPS apr s une premi re dition en 2011 qui ne portait que sur les m decins lib raux DEMOPS d mographie des professionnels de sant a int gr en 2013 dans sa nouvelle dition tous les professionnels de sant Sont rassembl es ainsi dans un m me document des informations la fois synth tiques compl tes et transversales incluant les lib raux et les salari s de la d mographie des personnels de sant au 1 janvier 2012 e Observatoires qualit PDSA par ailleurs deux nouveaux outils de suivi et de pilotage ont t d velopp s par PARS L observatoire de la qualit et l observatoire de la PDSA tr s utiles aux porteurs de ces th matiques Enfin un important travail de cartographie a t r alis pour la d finition des territoires de proximit e OSCARS outil de Suivi Cartographique des Actions R gionales de Sant OSCARS est devenu l outil de pilotage et de suivi des actions de promotion et pr vention sant Sous l impuls
42. de pr vention d accompagnement et de soins e D velopper et contractualiser la performance des acteurs LE FAIT MARQUANT Une journ e r gionale achats pour am liorer la performance des achats hospitaliers Sous l gide de l ARS Bretagne avec la participation de la F d ration Hospitali re de France et la F d ration des Etablissements Hospitaliers et d Aide la Personne priv s non lucratifs le GCS Achats Sant Bretagne a organis une journ e r gionale d information et d changes sur les achats le 18 novembre 2013 laquelle tous les tablissements sanitaires comme m dico sociaux ont t invit s Cette journ e a t l occasion d informer sur l organisation r gionale de la d marche d am lioration de la performance des achats hospitaliers de pr senter le programme national PHARE consacr la Performance hospi tali re pour des achats responsables PHARE avec l intervention de Herv De Trogoff DGOS responsable des achats hospitaliers et du programme PHARE de communiquer sur des actions d ores et d j mises en uvre en r gion par les professionnels Cr en septembre 2013 le Groupement de Coop ration Sanitaire GCS Achats Sant Bretagne constitue une nouvelle avanc e pour la mutualisation des achats des tablissements de sant et m dico sociaux de statut public et priv s but non lucratif de la r gion Bretagne Cette entit a vocation rassembler les
43. decin e garde Plo ren Pont Sc a l orff Qu ven Sainta 25 Arradon Gestel Guidel Saint Av Sene Ten Vannes el Lanester Larmor Plage Lorient Meucon Noyalo PI r Plescop Plo meur 0 118 euros Tre A I Les coo do 1 es de a Pharr acie de arde a plus proche u lieu appe sont Ar die As AGIR ENSE MBLE POUR LA SANT DES BRETONS COBCEUSRERE VE BmIE CREME MIE BBA BE RER D ER EC PRES LS PE ER ES ES RE OO PE ER PE EE ccompagnemer AS 2 nm SES BE TUE NET UT B BeEeREE urs PTT POUR vous PROT r ce ER ERA Emi pess EE FAITES VOUS VACCINER Une promotion de la vaccination affirm e Fort de son exp rience d animation en Bretagne d une semaine de la vaccination chaque ann e depuis 2011 le comit de pilotage r gional vaccination largit ses missions En accord avec les orientations nationales d am lioration de la politique vaccinale le comit de pilotage r gional s int resse d sormais la promotion de la vaccination tout au long de l ann e Il d finit les priorit s r gionales et propose les axes strat giques de la politique r gionale pour am liorer l accessibilit la vaccina tion et augmenter la couverture vaccinale 2013 est l ann e de la parution du premier annuaire r gional des sites publics de vaccination de la poursuite de la campagne de promotion du vaccin contre le m ningocoque C dans le Finist re et de son largissement aux 3 autres d parteme
44. demain Parmi ses priorit s la strat gie nationale de sant pr voit l organisation des soins de proximit un sujet qui a fait l objet d une r flexion interne FARS lanc e en 2012 sur les territoires et la gouvernance n cessaires pour parvenir un travail mieux coordonn entre les acteurs institutionnels professionnels et usagers Le premier travail aura t de poser les d finitions structurantes du d bat qu est ce que la coordination Quelles sont les notions cl s la gouvernance l int gration la proximit les parcours de sant ceci afin de clarifier les changes en interne Une fois les 3 niveaux de gouvernance pos s la r gion les territoires de sant et les territoires de proximit il a fallu Pr vention Social M dico social dessiner de mani re tr s pragmatique les contours potentiels de ces territoires de proximit en prenant en compte 3 principes e des territoires qui s imbriquent au maximum e une coh rence avec l existant les pays et les territoires d action sociale des Conseils G n raux e des territoires qui reposent sur les habitudes de vie des usagers et de travail des professionnels flux de consommation de soins coop rations projets de sant C est ainsi que ARS a propos la concertation de ses partenaires une territorialisation de la Bretagne en 4 niveaux la r gion les territoires de sant les territoires de coordination et les terri
45. dresser un tat des lieux et analyser les modalit s d organisation et les donn es d activit au regard du r f rentiel existant et des moyens allou s Si le volume d activit est tr s variable d une EMG l autre les quipes assurent la quasi totalit des missions attendues sur l ensemble de la r gion en 2012 15 000 valuations auraient t r alis es pour un peu plus de 10 000 patients Les r sultats ont t communiqu s aux 19 tablissements concern s le 11 f vrier 2014 ainsi que les principes retenus pour d finir les modalit s de r partition des cr dits allou s Les dotations 2014 prendront en compte l effectif de population g e de chaque fili re g riatrique l activit r alis e le respect du cahier des charges et les engagements particuliers de chacune des quipes au service d un contexte singulier L enqu te a vocation se renouveler chaque ann e un groupe de travail r gional s est constitu pour affiner le questionnaire et d finir les indicateurs appropri s Ces derniers objectiveront le suivi annuel de l activit et des r sultats base de la contrac tualisation ZOOM SUR 3 journ e r gionale Syst me d Information t l m decine Comme chaque ann e l Agence R gionale de Sant a souhait faire le point sur les initiatives en mati re de t l m decine et de syst mes d information au sein d une r gion o elles proc dent d une dynamique r elle et concr te de la
46. e th orique d fini par la l gislation Dotations SSR PSY ex HL et USLD Activit 6 Quelques collaborateurs de la D l gation territoriale 22 De gauche droite de haut en bas Mme zlem VAILLANT HAAS Mr Le Docteur Thierry DESHAYES Mme Genevi ve BOURNONVILLE Mme Annick VIVIER Mme Marie GESTIN Mme Alexandra LULLIEN Pierre BERTRAND directeur g n ral adjoint directeur de la strat gie et des partenariats quipes mobiles de g riatrie EMG ZOOM SUR Le sch ma r gional d investissement en sant SRIS prioriser les investissements La strat gie nationale de sant SNS d cid e par le 1 ministre et confi e la ministre des affaires sociales et de la sant propose de structurer les r formes venir autour du parcours de la personne S inscrivant dans cette orientation la politique d investissement en sant pour la prochaine d cennie doit garantir la meilleure allocation des ressources et contribuer la bonne prise en charge de chaque personne malade ou en perte d autonomie au meilleur co t et pour le meilleur r sultat possible Dans ce contexte l laboration des sch mas r gionaux d investissement en sant SRIS est une d marche strat gique et transversale dont l objectif prioritaire est de promouvoir la qualit et l articulation des investissements port s par l ensemble des acteurs de l offre de soins ville h pital m dico social au cours des dix prochai
47. e de vie et influencent les conditions dans lesquelles elles se d roulent pour les cat gories socioprofessionnelles les moins favoris es LE FAIT MARQUANT Signature des CPOM avec 8 points de sant Dans le cadre du PRAPS l ARS soutient et finance des points sant destin s aux personnes d munies loign es du syst me de sant Les points sant s ins crivent dans le maillage des dispositifs qui accueillent les publics d munis et facilitent leur acc s la pr vention aux droits et aux soins Ils constituent un dispositif passerelle entre la personne et le syst me de droit commun Auparavant financ s dans le cadre des appels projets de l ARS en 2012 une Convention d Objectifs et de Moyens COM avec 8 les points sant de la r gion a repr cis leurs objectifs suite un travail de structuration et dans une d marche de coh rence r gionale La signature en 2013 des Conventions Pluriannuelles d Objectif et de Moyens CPOM pour la p riode 2013 2016 a confort le r le de ces dispositifs dans l accompagnement des publics d munis Un 9 point sant port Dinan par l association Noz Deiz signera une CPOM avec l ARS en 2014 e Promouvoir les comportements favorables la sant tout au long de la vie Le Plan Sport Sant Bien tre promouvoir et d velopper la pratique d activit s physiques en Bretagne La contribution des activit s physiques et sportives APS l am lioration de
48. e l utilisation des produits de sant bon usage des m dicaments et des produits de sant notamment au travers du plan d action mis en place gr ce l OMEDIT Bretagne Favoriser la qualit et l efficience de l offre de pr vention d accompagnement et de soins Chirurgie ambulatoire l ARS Bretagne poursuit son d veloppement Le d veloppement de la chirurgie ambulatoire figure parmi les priorit s du Projet R gional de Sant Bretagne 2012 2016 Aussi soucieuse de combler son retard par rapport au niveau national la Bre tagne a d s 2011 adopt un plan de d veloppement r gional sp cifique Celui ci s est notamment concr tis travers les contrats pluriannuels d objectif et de moyens de nouvelle g n ration Des appels projets ont compl t ce dispositif volontariste Le premier a t lanc d s la fin 2011 il a permis d encourager 9 tablissements d velopper quanti tativement et qualitativement la chirurgie ambula toire d individualiser un Centre r gional de formation couvrant l ensemble du processus de prise en charge ambulatoire pour le traitement chirurgical des hernies inguinales et de soutenir le d veloppement de prises en charge innovantes pour cinq gestes jusque l peu r alis s en ambulatoire Ces disposi tifs incitatifs ont impact significativement le bilan de l activit de chirurgie ambulatoire En 2013 FARS Bretagne a donc reconduit le principe des appe
49. e pacte territoire sant sur le th me de l installation des m decins lib raux une premi re en France LCARS Bretagne a t galement l initiative de nombreuses journ es d information th matiques et journ es d tude le rendez vous annuel en T l m decine le bilan mi parcours du PRSE la seconde journ e r gionale de veille sanitaire la rencontre sur le th me des maladies rares sans oublier le 1 d bat r gional parcours de sant parcours de vie en lien avec la Strat gie Nationale de Sant Observer analyser et valuer pour mieux piloter notre syst me de sant 3 Prot ger et promouvoir la sant 7 Favoriser un acc s quilibr la pr vention l accompagnement et aux soins sur le territoire 11 Favoriser la qualit et l efficience de l offre de pr vention d accompagnement et de soins 17 D velopper et structurer les parcours de sant 30 D velopper nos partenariats et la d mocratie sanitaire 33 Am liorer nos processus de travail 35 Confiance en interne qui s appuie sur le d veloppement des relations construc tives avec les instances repr sentatives du personnel l am lioration des conditions de travail en particulier la pr vention des risques psycho sociaux le d veloppement d un management participatif avec la mise en place de 5 groupes de travail feuille de route interne fonctionnement des instances d veloppement des comp tences de la communication Des
50. e respect du seuil du bonus cologique fix 120 g de COz km e l outil de gestion ARSSEC Application R gionale de Suivi des Structures d Exercice Coordonn application d velopp e par l ARS Bretagne afin de faciliter la gestion et le suivi des projets de maisons p les ou centres de sant que l ARS accompagne en r gion Cette application permet de partager des informations synth tiques sur chaque site accompagn par VARS r f rent de la structure situation g ographique professionnels impliqu s financements accord s synth se du projet de sant e un dossier sur les exp rimentations nouveaux modes de r mun ration e un dossier sur les Contrats d Am lioration de la Qualit et de l Organisation des Soins e un dossier sur les diff rents zonages des professions de sant e un dossier sur la permanence des soins ambulatoire en m decine g n rale La mise en ligne d un dossier sur les r seaux de sant est la prochaine tape de cet espace collaboratif Ressources pour leur apporter des informations n cessaires leur prise de poste Dans les deux trois mois qui suivent leur arriv e un change indi viduel avec les ressources humaines est organis afin de recueillir leurs observations sur leur prise de poste et leurs conditions d accueil Cet change prend la forme d un rapport d tonnement dont les observations permettent d am liorer notre politique d accueil Pl
51. efficience de l offre de pr vention d accompagnement et de soins Plan d action gouvernemental de lutte contre les drogues et les conduites addictives l ARS Bretagne en avance Les ELSA sont des quipes pluridisciplinaires compos s de professionnels form s en addictologie et comp tents sur l ensemble du champ des addictions alcool tabac produits illicites addictions sans substance Elles proposent un dispositif fondamental pour agir t t en appui des quipes soignantes Elles s adressent toute personne admise aux urgences ou hospitalis e et prioritairement aux jeunes publics pr caires femmes pendant la p riode p rinatale et personnes atteintes de troubles mentaux Elles interviennent galement aupr s des soignants pour leur permettre de g rer les situations les plus fr quentes CARS Bretagne a d j mis en uvre l ensemble du plan d action gouvernemental concernant les ELSA valuation du maillage des ELSA laboration du plan de d veloppement et interventions dans les tablis sements de sant mentale et en milieu p nitentiaire EN CHIFFRES 2 3 Consultations Jeunes Consommateurs CJC reconnues en Bretagne En octobre 2013 22 CJC ont t reconnues sur le territoire breton puis une autre d but 2014 Le travail se poursuit en 2014 avec la mise en place d un programme de formation et d changes de pratiques pour les professionnels des CJC et l am lioration de la couverture territoriale des C
52. ement e a mise en uvre en parall le de la cellule r gionale d appui et de pilotage sanitaires structure d di e l v nement et charg e d apporter les supports et expertises n cessaires Cela a n cessit l identification et l engagement de pr s de 90 agents de l ARS mobilisables en p riode ouvr e et en p riode d astreinte au service de la r ponse aux situations sanitaires exception nelles La formation des agents concern s a constitu le temps fort de cette ann e 2013 Deux cycles ont ainsi t organis s autour de trois modules e une session pl ni re favorisant l acquisition d une culture partag e de la gestion des situations sanitaires exceptionnelles e des journ es en atelier comprenant notamment la simulation d un exercice e une journ e consacr e la communication de crise cadres de direction La coh sion de l ensemble du dispositif et le d veloppement d une culture partag e sont en outre notam ment assur s par la r alisation d exercices tout au long de chaque ann e En 2013 l ARS Bretagne a fait progresser son organisation pour r pondre aux situations sanitaires exceptionnelles Celle ci se veut compl mentaire des permanences administratives et techniques en p riode ouvr e et du dispositif d astreinte Elle se structure d sormais autour d un sch ma d alerte de listes de ce Vincent SEVAER rappel de personnels qui ont b n fici de formations sp cifiques r
53. er les m decins g n ralistes des groupes qualit s en association avec l URPS et des m decins addictologues ainsi ce sont 31 m decins animateurs des groupes qualit s qui ont pu b n ficier d une formation au RPIB lors d un s minaire Ils ont pu sensibiliser leurs confr res soit 219 m decins g n ralistes concern s L valuation en cour s int ressera aux pratiques de professionnels l issue de la formation et un an apr s Le projet se poursuit avec une formation RPIB ouverte aux autres professionnels de sant sur les territoires demandeurs et notamment les territoires de CLS afin de cr er une dynamique interprofessionnelle essentielle sur cette th matique Les infections invasives m ningocoque m ningites sont des maladies graves La vaccination est recommand e pour les enfants et jeunes de 1 24 ans Une campagne de promotion de cette vaccination a t r alis e dans le Finist re particuli rement touch par ces infections en 2012 L impact de cette action s est concr tis par un doublement du taux de couverture vaccinal dans ce d partement Fort de cette exp rience nous avons tendu cette action en 2013 sur les autres d partements bretons L impact en sera mesur en 2015 et Martine MALLET infirmi re de sant publique direction adjointe veille et s curit sanitaires ZOOM SUR La campagne r gionale de d pistage des maladies r nales et du diab te Du 3 au 18 octobre 2013 pr s de
54. es une m thode prioritaire en formation initiale et continue pour faire progresser la s cu rit Les projets propos s par les 14 instituts pour une mise en place en 2014 ont t retenus Chantal BOST conseill re p dagogique responsable du p le des professions param dicales et Myriam BONNERRE charg e de mission au p le qualit Le principe de la simulation en sant peut se r sumer ainsi avant de faire un geste sur un patient tout professionnel doit l avoir pratiqu en situation simul e C est ainsi que l appel projet a permis aux 14 IFSI de Bretagne d am liorer leur niveau d quipement afin qu ils puissent d velopper l apprentissage de bonnes pratiques et donc de s curit du patient Les 417 000 euros allou s serviront l achat de mat riel de pointe mannequins pilot s par ordinateur enregistrement audio vid o tableaux num riques L tudiant film peut r aliser sur le mannequin ses actes et celui ci r agi comme un vrai patient Les l ves et enseignants d briefent ensuite sur la vid o Les instituts sont tr s satisfaits de cette d marche qui sert la formation initiale mais aussi continue des professionnels En 2014 l appel projets s adressera aux facult s de m decine de Brest et Rennes ZOOM SUR Formation sur le circuit des m dicaments CARS a mis en place un plan d action avec les 14 IFSI de la r gion Ce plan d action prend en compte une approche culturelle u
55. esponsable du et d exercices Les intemp ries de fin d ann e ont aussi g p le r gional de de tester cette organisation Un exercice l automne 2014 d fense sanitaire de plus grande ampleur nous permettra de valider direction adjointe de nouvelles composantes de notre organisation veille et s curit et de stabiliser le dispositif sanitaires EN BREF V rifier l op rationnalit des dispositifs de d fense et de s curit exercice d vacuation de 60 patients du centre de g riatrie des Capucins Saint Brieuc L exercice de s curit civile auquel nous avons particip en d cembre 2013 a t l occasion de mettre en application ce que nous avions appris lors de la formation gestion de crise Alexandra LULLIEN re ue initialement charg e de mission Cet exercice qui consistait sant D l gation vacuer un EHPAD nous territoriale 22 a permis d tre en contact direct avec nos interlocuteurs de la Pr fecture ainsi que la 9 cellule constitu e au si ge e et de tester en direct m l op rationnalit PAT LL des dispositifs mis en place LE FAIT MARQUANT Les intemp ries fin 2013 les d l gations territoriales pied d uvre 6 6 En situation d intemp rie temp te inondation le d partement sant environnement intervient entre autres pour veiller au bon fonctionnement des installations de production d eau potable
56. est de recenser et cartographier les actions de pr vention et promotion de la sant men es en Bretagne au sein d un outil accessible en ligne par a ous Vous disposez de plusieurs L entr es d partement territoire de sant commune th matique H l ne DELAVEAU population acteurs 1333 actions charg e de mission de l ARS et du Conseil r gional y pr vention et promotion de la sant Direction adjointe de la promotion et pr vention sant figuraient en 2013 mais plusieurs partenaires membres de la commission de coordination pr vention sont tr s int ress s Une tude de faisabilit sera men e en 2014 pour envisager avec eux l int gration de leurs actions et donc l enrichissement de cette base de donn es r gionale Le programme ESPAD permet d analyser et de comparer les habitudes de consommations de substances psycho actives des adolescents europ ens scolaris s g s de 15 16 ans Il fournit galement un clairage sur l acces sibilit des produits leurs risques per us par les jeunes et des l ments de contexte relatifs leur environnement familial amical et scolaire Ce volet r gional vient utilement enrichir les constats observ s dans les pr c dentes enqu tes et travaux d velopp s en Bretagne et pr sente l avantage du fait de sa comparabilit aux r sultats nationaux et europ ens de mettre en vidence des sp cificit s r gionales Cette d marche s inscrit pleinemen
57. et aujourd hui les m dias pr sentent trop souvent ces tablisse ments travers des actes de maltraitance ou des d rives Pourtant dans leur quotidien les EHPAD savent c l brer le bien vivre ensemble reflet d humanit Une d marche de bientraitance est mise en place dans les EHPAD afin d am liorer la qualit de vie des r sidents l accueil des familles et le bien tre du personnel Le concours de clips vid os visait rendre compte de cette r alit sans en gommer les difficult s Martine FAUCONNIER CHABALIER Inspectrice au P le qualit des tablissements Pour pr senter la d marche un courrier a t adress l ensemble des tablis sements et services sociaux et m dico sociaux de la r gion pour leur rappeler les mesures de pr vention et de traitement de la maltraitance mettre en uvre en interne et pr ciser les circuits et les modalit s de signalement aux autorit s concern es Des protocoles de signalement ont t envoy s aux directeurs de structure CONCOUR CLIPS VID OS 2013 gr SEN ne e 6 Notre jury a re u 42 clips et la plupart de grande qualit La s lection fut difficile Je tiens souligner la forte participation des r sidants et du personnel ils nous ont vraiment communiqu leur joie de vivre Notre notation a port sur deux crit res le message positif sur le bien vivre en EHPAD et la qualit de la prestation technique L ARS a contribu hauteur
58. et d voquer la fonction d expertise propre aux r seaux Un programme d accompagnement m thodologique et juridique a t mont et financ pour les sites souhaitant s engager dans cette voie de la mutualisation Des approches par th matique ont galement t lanc es pour clarifier les objectifs dans certains domaines devant aboutir une contractualisation en 2014 d marche d valuation m dico conomique des r seaux diab te concertation avec les r seaux de p rinatalit Les travaux se poursuivent donc en 2014 tant sur les sites Nord Finist re et Tr gor Go lo pour commencer qu au sein du GTR La d marche doit tre pleinement articul e avec la structuration des parcours de sant g r e de mani re transversale au sein de l ARS e su BRETAGYE pr S TUUES pe Lies ee LE Lanc e en 2012 la premi re tape de cette exp rimentation a consist en la r alisation d un diagnostic territorial qui a permis d identifier un certain nombre d axes d am lioration et de propositions d actions mettre en uvre pour fluidifier le parcours de sant des personnes g es Sur la base des r sultats de ce diagnostic les acteurs de sant du territoire ont fait le choix de d buter leur travail sur l am lioration de la coordination pluri professionnelle structures m dico sociales et sociales les h pitaux de proximit et les le partage d information et le rep rage des fragilit s des per
59. fo pS a z
60. gnement et de soins L objectif tait la fois d tendre les dispositifs existants structurants et leur envergure t l m decine et plaies chroniques mais galement de mettre en uvre les dispositifs non d ploy s en r gion qui r pondent un besoin sp cifique pour les patients et les professionnels de sant t l sur veillance en diab tologie et prise en charge des r sidents en EHPAD Le nombre important de candidatures a montr l int r t d une telle d marche elle permet de mieux conna tre les initiatives et les besoins des professionnels en mati re de d veloppement de la t l m decine Les 8 projets s lectionn s 5 concernent le volet prise en charge des patients en EHPAD dont l ARS couvre les co ts des investissements initiaux sont int gr s automatiquement une d marche d valuation r gionale qui permettra de recueillir un ensemble d indicateurs susceptibles d clairer les son Programme R gional de T l m decine choix d actions futures en faveur du d veloppement de la t l m decine Chimioth rapie en Bretagne l ARS value les modalit s pratiques de cette activit L activit de traitement des cancers par chimioth rapie est soumise autorisation En Bretagne 18 tablis sements de sant r pondant aux crit res d agr ment fix s par les textes ont t autoris s en juillet 2009 cet effet et ont fait ensuite l objet de visites de confor mit D autres tablis
61. hacun au sein de l organisation et de rendre efficientes les activit s fait en effet d sormais partie des priorit s internes l ARS D e Am liorer l efficience de nos organisations LE FAIT MARQUANT Une d marche d am lioration de notre fonctionnement adapt e aux priorit s de l agence Engag e dans un processus d am lioration de ses organisations l ARS Bretagne s est impliqu e dans plusieurs chantiers nationaux l labora tion d une cartographie commune des missions et des processus des ARS une premi re enqu te activit permettant une meilleure connaissance de la r partition de nos effectifs ainsi que son engagement dans le programme de simplification et de transformation des ARS STARS Ces travaux doivent permettre de mieux conna tre nos activit s dans le but d harmoniser nos pratiques et de les simplifier afin d am liorer la qualit de travail et les relations avec nos partenaires A titre d exemple l activit relative la tarification des tablissements m dico sociaux a t automatis e permettant la production de 1100 arr t s de tarification en 8 jours gr ce la mise en place du publipostage En 2014 PARS Bretagne poursuivra sa d marche d am lioration en int grant de nouveaux processus 6 6 La r gionalisation de l allocation de ressources m dico sociale me permet aujourd hui de recentrer mes missions sur l animation territoriale la contractualisation les appels projets les valuation
62. herche Clinique et d Innova tion GIRCI Grand Ouest 11 dossiers ont t retenus pour un financement d s Julie COURPRON directrice adjointe de la strat gie et des projets 2013 8 pour l UGA RC et 3 pour les r seaux Les crit res de s lection ont permis pour l appel projet relatif aux unit s de gestion et d accompagne ment de prioriser les dossiers mettant en avant une logique de structuration de l offre territoriale ainsi 4 dossiers port s par la d l gation de la recherche clinique et de l innovation DRCI de Brest ont t retenus CHIC de Quimper CH de Morlaix Centre de Perharidy Roscoff HIA Clermont Tonnerre ainsi que 4 dossiers port s la DRCI de Rennes CH de Saint Malo CH de Saint Brieuc CH de Lorient CHBA de Vannes Pour ce qui concerne l appel projet relatif la mise en place de r seaux d investigateurs 3 projets ont t retenus pour un financement en 2013 port s par les r seaux suivants le r seau d investigation clinique en pr vention des risques pour la population g n rale le Groupement de Recherche Universitaire en Psychiatrie de Bretagne et le R seau Muco Ouest Les financements accord s sur l ann e 2013 se montent 400 000 Ces financements feront l objet d un dispositif d valuation annuel port par PARS ainsi que le GIRCI Grand Ouest Ces dossiers sont le reflet du dynamisme de la recherche clinique en r gion Bretagne et d montrent l implic
63. icul s promotion de la sant pr vention primaire sp cifique rep rage prise en charge pr vention de la r cidive postvention e mettre en uvre des formations sur le rep rage des signes de la crise suicidaire formations Terra pour les professionnels et b n voles de diff rents secteurs sant social m dico social secteur jeunesse milieu du travail personnes g es addictions aux jeux par exemple et leur entourage Ils sont galement un lieu de ressource pour les profession nels et les adultes en contact direct avec les jeunes En Bretagne les CJC souffrent d un manque de visibilit Aussi ARS a t elle organis e avec le chef de projet MILDT d Ille et Vilaine en partenariat avec la F d ration Addictions une journ e r gionale des CJC Cette journ e s est d roul e Rennes le 25 mai et a t organis e en deux temps la matin e tait destin e aux professionnels des CJC et leur a permis d changer sur leur r le leurs pratiques l apr s midi a t largie aux partenaires dans l objectif de mieux les faire conna tre Une centaine de professionnels ont pu participer cette rencontre Dans les suites de cette rencontre il est pr vue pour 2014 une campagne de communication pour am liorer la connaissance de ces dispositifs aux partenaires en contact avec les jeunes mais surtout de rendre plus visible ces CJC aupr s des jeunes 1 Voir le tableau de bord addictions sur le
64. ion des infirmiers d sormais g n raliste e une diversit des approches th rapeutiques et des diff rents modes de prise en charge sp cifiques la sant mentale e a n cessit de d velopper des approches relationnelles en ad quation avec les pathologies qui sont prises en charge Enfin d autres param tres concourent cette priorit comme l absent isme ou le manque d attractivit auquel doivent faire face certains tablissements Suite l appel projets lanc le 2 juillet 2013 aupr s de 30 tablissements ayant une activit de sant mentale 10 dossiers ont t re us La majorit des actions s articule autour de la formation des tuteurs l accompagnement des jeunes dipl m s ou nouveaux arrivants et le financement des remplacements infirmiers g n r s par ces mises en place Quatre actions diff rent et ont t consid r es en totalit ou en partie comme innovantes e cr ation d une biblioth que DINAN Fondation Saint Jean de Dieu e mise en place de groupes d accueil et d analyse pour 15 tuteurs et tuteur s LANDERNEAU e formation des formateurs PLOUGUERNEVEL e consolidation de l organisation des conf rences th oriques et des groupes tutorat Saint Av Le montant total des projets d pos s pour les 10 tablissements est de 1 054 358 Le montant de la participation support e par les tablissements est de 281 863 50 Le montant total des actions financ es par l ARS
65. ion et avec le soutien financier de l Agence R gionale de Sant Bretagne l interface bretonne de l outil OSCARS est en cours de d veloppement depuis octobre 2012 ZOOM SUR Deux th matiques centrales pour la Bretagne o Identifier les comportements addictifs des jeunes Bretons La pr vention des comportements addictifs des jeunes constitue une priorit majeure pour l ARS Bretagne Depuis plus de 10 ans l ARS soutient avec ses partenaires la Pr fecture d Ille et Vilaine et le Conseil R gional un processus d observation populationnel qui s est concr tis notamment par la r alisation de plusieurs enqu tes aupr s des jeunes scolaris s tudiants et jeunes accueillis par les missions locales C est dans ce cadre que l enqu te European School Survey on Alcohol and other Drugs ESPAD a t d clin e pour la premi re fois en Bretagne ainsi que dans deux autres r gions Il s agit d une enqu te europ enne organis e tous les 4 ans sous l gide de l Observatoire Fran ais des Drogues et Toxicomanies OFDT et dont le volet r gional a t confi l Observatoire R gional de Sant de Bretagne en association avec le Centre d Information R gional sur les Drogues et les D pendances Sa mise en uvre dans les 35 tablissements scolaires participants 70 classes 1650 questionnaires a t possible gr ce l investissement des professionnels de l ducation nationale et DDEC L objectif d OSCARS
66. ite aux recommandations des tudes notamment sur les territoires d intervention et une restitution de l tude aux partenaires sera organis e par territoire et ou pays pour envisager les modalit s de mise en uvre des recommandations l enqu te 12 dans le Finist re 7 dans les C tes d Armor 6 en Ille et Vilaine 13 dans le Morbihan L tat des lieux a permis de recenser de nombreuses formations organis es en r gion Bretagne entre 2007 et 2011 e 78 formations en milieu ordinaire destination de divers professionnels intervenant sur un m me territoire 1051 personnes form es e 49 formations au sein des tablissements de sant 660 personnes form es e 24 formations aupr s des agents des centres p nitentiaires 315 personnes form es Cette tude a galement permis d identifier un certain nombre de besoins relatifs la formation concernant notamment l actualisation de son cahier des charges la d finition de priorit s en termes de publics et de territoires le soutien aux formateurs le turnover des formateurs 6 6 Pour r pondre une probl matique relev e par les conseils g n raux li e une cat gorie de jeunes confi e l aide sociale l enfance en placement qui pr sentent des troubles du comportement et ou de la personnalit qui n cessiterait une prise en charge m dico sociale psychiatrique et ducative l ARS Bretagne a lanc un travail de monographie L objectif de cette tude de c
67. l re technique appel projet fin 2013 afin d encourager la poursuite de la dynamique m dicale et Marie GUEGUEN charg e de mission r gionale Le public sp cifique des 75 ans et plus est particuli rement Direction adjointe de l offre hospitali re cibl Une nouvelle journ e est programm e pour 2014 2015 ZOOM SUR Transports sanitaires priv s Suivre les finances des tablissements de sant de l allocation des ressources la validation des tats financiers En juillet 2013 un groupe de travail r gional interne ARS sur le sujet des transports sanitaires priv s a t mis en place Celui ci est compos des personnels en charge du dossier Transports Sanitaires dans les d l gations territoriales ainsi que du p le statistique et juridique de l agence et de la DOSA ambulatoire qui en assure le pilotage L objectif de ce groupe de travail est d ici la fin du 1 semestre 2014 e d harmoniser les outils de proc dures d autorisation des DT e de r aliser des guides de la r glementation 1 l attention des personnels ARS 1 autre l attention des transporteurs sanitaires priv s e d laborer une politique r gionale de r gulation de l offre en transports d cret du 29 08 2012 en concertation avec les groupes de travail d partementaux compos s de repr sentants de la profession sous CODAMUPS TS principalement La campagne budg taire 2013 des tablissements de sant s est inscrite dan
68. l Aur lien ROBERT charg de communication et Anne France RENAUD de Sant et des Programmes Territoriaux de charg e de mission d mocratie sanitaire P le communication gestion des instances Sant Les probl matiques locales sont ainsi 6 6 mieux prises en compte tous les niveaux U ARS Bretagne a consacr en octobre dernier un num ro sp cial Il permet aussi la mise en place des solutions de La Bretagne en sant la d mocratie sanitaire L objectif tait innovantes Dans tous les cas l implication de revenir sur les r les et missions des instances que sont la Conf rence de la collectivit est d terminante R gionale de la Sant et de l Autonomie CRSA avec l appui de ses Commissions sp cialis es et les Conf rences de territoires Au moyen d interviews ce num ro a galement permis d illustrer l engagement de tous au syst me de sant et la construction permanente d une politique de sant fond e sur le dialogue et la concertation non seulement pour construire le contrat mais aussi pour en suivre la mise en uvre 6 Am liorer nos processus de travail L am lioration de nos organisations internes au b n fice des agents et des acteurs externes constitue la ligne de conduite de toutes les fonctions supports communication interne logistique ressources humaines gestion des finances L optimisation des processus de travail qui consiste am liorer les fa ons de faire de c
69. l pour les personnes autistes dans le m dico social mais aussi les modes de prises en charge propos s et notamment les types d intervention effectu es Cette tude r alis e par le cabinet Cekoia a d but en 2013 et se prolongera au cours du premier semestre 2014 A TTT SRRenREnE _ EBPERENRENE CAERE ss 0O R FArER a gm LL effag a LE FAIT MARQUANT valuer les activit s des services et tablissements m dico sociaux La loi du 2 janvier 2002 r novant l action sociale et m dico sociale pr voit que les tablissements et services m dico sociaux ESMS doivent proc der des valuations internes et externes de leurs activit s et de la qualit de leurs prestations pour en appr cier la pertinence l efficience et les effets sur les usagers Pour les ESMS autoris s avant cette loi la premi re ch ance consistait en un rapport d valuation interne avant le 3 janvier 2014 Aussi en 2013 pour accompagner les tablissements dans cette d marche l ARS a poursuivi en concertation avec les conseils g n raux son travail d information et d impulsion d marr en 2012 ZOOM SUR CARS Bretagne en partenariat avec la F d ration Hospitali re de France FHF a organis le 29 novembre 2013 la premi re journ e des 23 quipes de Liaison et de Soins en Addictologie ELSA bretonnes Cette rencontre fait suite un travail d tat des lieux des ELSA suivi de l laboration de recommand
70. la sant des populations n est plus d montrer De nombreuses tudes et recommandations de soci t s scientifiques et savantes OMS acad mie de m decine INSERM HAS INCA ont rappel les effets et b n fices des APS notamment sur l augmentation de l esp rance de vie le recul de la d pendance des personnes g es la pr vention de l ob sit du diab te des maladies cardiovasculaires le suivi de certains cancers ainsi que dans la prise en charge des personnes en situation de handicap Dans ce contexte la DRJSCS et l ARS Bretagne ont mis en uvre des mesures visant promouvoir et d velop per la pratique d activit s physiques et sportives en r gion Un plan Sport Sant Bien Etre a ainsi t labor avec des partenaires du mouvement sportif des experts m dicaux des collectivit s territoriales et les institutionnels concern s et diffus en septembre 2013 L objectif accro tre le recours aux APS comme th rapeutique non m dicamenteuse d velopper la recommandation des APS par les m decins et autres professionnels de sant Ce plan concerne plus particuli rement les publics dits besoins particuliers personnes en situation de handicap personnes atteintes de maladies chro niques et personnes avan ant en ge D fini pour les ann es 2013 2016 il s organise autour des 4 objectifs strat giques ZOOM SUR Impact de la pr carit sur la sant participation un d bat organis p
71. le se pr parer une situation sanitaire LE FAIT MARQUANT L ARS fait voluer son organisation 3 Le recensement et l usage des moyens rares de l offre de soins s agit de recenser et de mobiliser le cas ch ant les H liSMUR les r serves d oxyg nes les produits sanguins labiles les lits grands br l s les laboratoires Biotox L3 les chambres pression n gatives etc 4 La mobilisation des moyens tactiques zonaux Il s agit des moyens conven tionnels tels que les 21 postes sanitaires mobiles de 1 niveau 25 bless s des 4 PSM de 2 niveau 500 bless s et des futurs 4 nouveaux postes sanitaires mobiles maritimes A cela s ajoute les moyens d di s aux risques NRBC tels que les 8 unit s mobiles de d contamination hospitali res UMDH les 270 respirateurs individuels OSIRIS etc 5 Un plan de formation pluriannuel recouvre l ensemble des formations d di es la gestion des situations sanitaires exceptionnelles r servistes sani taires centres d enseignements des soins d urgences CESU m decins mis disposition des pr fectures maritimes dans le cadre des plans de sauvetage maritime de grande ampleur ORSEC maritime quipes des ARS qui arment les Cellules r gionales d Appui et de pilotage sanitaire CRAPS participation aux exercices NRBC interminist riels du Centre national civil et militaire de formation et d entra nement NRBC E C2FM d Aix en Provence d concentr
72. ls projets Une enveloppe budg taire de 824 000 euros a t attribu e pour cibler de nou velles prises en charge innovantes le public sp ci fique des 75 ans et plus et les tablissements acceptant d aller au del des objectifs attendus pour 2016 D s 2012 les travaux de l ARS Bretagne ont permis d obtenir des r sultats probants En effet le taux de chirurgie ambulatoire est pass de 40 3 en 2012 42 6 en 2013 alors que le taux de pratique augmentait en moyenne de 1 4 point par an depuis 5 ans L cart avec le niveau national s est nettement r duit passant de 1 5 point en moyenne par an 0 5 point avec une augmentation du taux de pra tique de la quasi totalit des tablissements de la r gion Ces r sultats tr s encourageants ont t pr sent s aux professionnels de sant lors de la 2 rencontre r gionale e 6 6 Le 26 juin 2013 s est tenue la deuxi me journ e r gionale organis e par l ARS sur la chirurgie ambulatoire Cette journ e a r uni pr s de 150 professionnels de sant et suscit de nombreux d bats Elle a permis de dresser un tat des lieux du d veloppement de la chirurgie ambulatoire de pr senter les r sultats des appels projet 2011 et les actions envisag es FE en 2013 et 2014 Compte tenu du bilan tr s positif le directeur de l ARS EURE AE av a d cid de consacrer de nouveaux financements au lancement d un nouvel Docteur Fran oise DURANDI RE conseil
73. m decins la PDSA activit de la r gulation lib rale au sein des SAMU centre 15 et formation des m decins lib raux la r gulation lib rale Ces indicateurs ont d montr notamment l implication des m decins lib raux bretons qui ont permis de couvrir les tableaux de garde hauteur de 91 en 2013 Suite cette valuation et apr s consultation des acteurs un arr t modificatif du cahier des charges r gional de la PDSA a t publi par le directeur g n ral de l ARS le 5 juillet 2013 En 2013 le dispositif PDSA s est vu compl t de 2 nouvelles maisons m dicales de garde implant es au sein d tablissements de sant Plo rmel et Pontivy portant le nombre de celles ci sur la r gion 25 De gauche droite Ga lle BERTRAND Michelle LE GUENNEC Priscilla LE MOUELLIC Patricia TRICAULT Isabelle GELEBART et B atrice TANCRAY Poursuivre l exp rimentation sur les nouveaux modes de r mun ration ENMR En 2013 le dispositif d exp rimentation sur les nouveaux modes de r mun ration a concern 9 sites implant s dans les d partements du Finist re du Morbihan et de l Ille et Vilaine soit 216 professionnels de sant issus d une dizaine de sp cialit s diff rentes Le budget total des dotations ENMR s l ve 550 446 en 2013 pour les 9 sites BESOIN DE Jo INDR 3 LA NUIT LE W E UN M DECIN L SOIR EK END ET LES JOURS F RI S Je re ois la visite n m
74. n 1 2 1 ETP infirmier De nouvelles coop rations sont en pr paration 92 Le PRS dans le cadre de son volet ambulatoire du SROS et conform ment la priorit nationale s est concentr dans sa premi re version sur l offre de soins de premier recours L objectif tait de travailler sur l offre de soins de second recours dans les 18 mois qui suivaient la parution du PRS Cette r flexion a eu lieu dans le cadre du groupe de travail organisation territoriale 1 et 2 recours lors de deux r unions en 2013 le 18 mars et le 12 juin appuy es par la mise en place d un groupe de travail interne l ARS compos de comp tences administratives et m dicales issues des diff rentes directions m tiers de l ARS Elle a abouti une note de probl matique permettant ainsi de s entendre sur une d finition consensuelle de circonscrire le champ de l tude en Bretagne de valider la m thode de ciblage et de prioriser les sp cialit s m dicales sur lesquelles agir en termes d accessibilit et d organisation L tape suivante consiste laborer un plan d action r gional pour fin juin 2014 Mis en uvre r gionalement depuis juin 2012 le dispositif de permanence des soins en m decine g n rale ambulatoire a fait l objet en mars 2013 d une valuation sur la base des indicateurs suivants apr s 9 mois de fonctionnement activit et co t du dispositif compl tude des tableaux de garde taux de participation des
75. ne approche m thode et une approche formation La formation sur les CREX avec la m thode Orion r pond aux 3 objectifs et a t propos e Chantal BOST conseill re En partenariat avec le Conseil r gional et l Association Nationale pour la Formation permanente du Personnel Hospitalier l ARS Bretagne a construit un dispositif facilitant le recrutement de jeunes masseurs kin sith rapeutes En change de l engagement des tudiants exercer au moins trois ans dans un tablissement public les partenaires prennent en charge le co t de la scolarit et 40 cadres formateurs 29 cadres de sant responsables de p dagogique versent aux futurs masseurs kin sith rapeutes l encadrement des tudiants en stage et 15 pharmaciens hospitaliers responsable du p le un salaire pendant la troisi me intervenant dans les IFSI afin de favoriser le partage d outils et des professions ann e d tude En 2013 terme la gestion partag e IFSI ES des erreurs auxquelles sont param dicales 23 tudiants se sont engag s confront s les tudiants lors de leurs stages Le 13 novembre 2013 PARS Bretagne a organis en lien avec la HAS et la DGOS une journ e r gionale pour la promotion de la s curit des patients dont la 3 dition s est d roul e du 25 au 29 novembre 2013 Elle entend ainsi soutenir et renforcer l indispensable dynamique autour du programme national pour la s curit des patients PNSP th me qui s inscrit d
76. nes ann es Dans un premier temps il a t confi e aux ARS d une part la r alisation d un diagnostic des investissements conduits depuis 10 ans et d autre part l identification des priorit s d investissement ayant un impact structurant sur l offre de soins et m dico sociale horizon de 10 ans 6 6 Le sch ma r gional d investissement en sant dresse le diagnostic des investissements bretons conduits sur les champs ambulatoire hospitalier et m dico social Il livre les points forts de notre strat gie la pertinence des crit res de s lection des projets pluri professionnels l adaptation de l offre de soins aux besoins l am lioration de la performance m dico conomique des tablissements ou encore la modernisation de structures m dico sociales Le document d taille aussi les l ments de priorisation d op rations d investissement pour les 10 ans venir r alisation d un tat des lieux et des pratiques Depuis 2008 les 17 quipes mobiles de g riatrie bretonnes b n ficient de cr dits MIG r partis sur un mode forfaitaire calibr selon l effectif des personnes g es domicili es sur leur territoire En 2013 les cr dits correspon dant cette mission d int r t g n ral ont t int gr s au FIR dans un contexte g n ral d am lioration de la performance et d optimisation des d penses 3 716 963 CARS Bretagne par l interm diaire d une premi re enqu te d clarative a souhait
77. nes consommateurs CJC Les comportements addictifs des jeunes bretons sont une des priorit s de sant publique partag e par l ARS et l ensemble des institutions impliqu es sur la sant des jeunes De nombreux indicateurs mettent en vidence des niveaux d exp rimentations de consommation et des sp cificit s bretonnes dans ce domaine Par exemple en Bretagne la pratique r guli re des ivresses plus de 10 fois au cours des 12 derniers mois concerne 31 des gar ons 17 ans et 15 des filles les pisodes de consommation ponctuelle intensive plus de 5 verres en une occasion au moins une fois par mois sont d clar es par 73 des gar ons et 61 des filles 17 ans Un des axes majeurs de politique de sant publique vise rep rer ces jeunes pr sentant des comportements risques le plus pr cocement possible pour une pr vention exp rientielle c est dire en partant de leurs exp riences ce sont les missions des Consultations Jeunes Consommateurs CJC Les CJC proposent un accompagnement aux jeunes usagers de produits psycho actifs ou pr sentant des comportements addictifs sans substances Ces r seaux ont trois grandes missions e d velopper sur le territoire des actions d information et de sensibilisation des professionnels des lus et de la population sur la sant mentale e mettre en r seau les acteurs sur un territoire pour rendre effective une cha ne de soins compl mentaires et art
78. nfor mation gestion des mails et des courriers s est engag au cours du dernier tri mestre 2013 avec l appui d un prestataire Un diagnostic a t r alis aupr s des quipes au sein de l ARS A partir des constats et des premi res pr conisations un plan d action a t engag d s le premier trimestre 2014 une charte de message rie sera r dig e des guides d utilisation de la messagerie mail sera mise en ligne En mati re de march s publics parmi les consultations internes les plus significatives 9 signatures de march s ont t recens es en 2013 e 4 march s de prestations d tude conseil e march de prestations de communication e march de prestation de gestion d abonnements e march relatif au contr le sanitaire des eaux potables et loisirs e march relatif l h bergement de la base de donn es Sant Environne ment ARTEMIS e march de fourniture de v tements et accessoires de protection individuelle contre les risques Nucl aires Radiologiques Biologiques et Chimiques EPI NRBC pour le groupement zonal de commandes LE FAIT MARQUANT Cr ation de l espace collaboratif en ambulatoire Mis en place progressivement compter de juin 2013 cet espace est organis sous la forme d un serveur commun auquel peuvent se connecter les quipes des d l gations territoriales et du si ge positionn es sur les missions de l am bulatoire Les acc s en lecture et en critu
79. nt sur des orientations strat giques toutes concourent la mise en uvre du Projet R gional e Sant sa d clinaison territoriale et au projet de l tablissement A ce jour 15 autres CPOM ont t conclus C est une sp cificit bretonne tous sont personnalis s selon la situation et l activit de l tablissement la Bretagne fait partie des 5 r gions les mieux dot es Les soins palliatifs ont fait l objet d un programme national de d veloppement sur la p riode 2008 2012 dans lequel la Bretagne s est inscrite de fa on tr s volontariste LARS a contribu au bilan de ce programme publi en juin 2013 Il en ressort que la Bretagne a effectivement bien d velopp l offre en soins palliatifs tant en unit s USP qu en lits identifi s en soins palliatifs LISP ou en quipes mobiles EMSP Elle fait partie des 5 r gions les mieux dot es en USP Les 16 EMSP couvrent d sormais la quasi totalit du territoire r gional et d veloppent progressivement leurs interventions extra hospitali res o les besoins sont importants notamment en EHPAD LE FAIT MARQUANT Colloque maladies rares mieux comprendre et agir en Bretagne En organisant un colloque r gional sur les maladies rares l ARS Bretagne entend favoriser la rencontre des acteurs de sant et la communication pour mieux comprendre et agir sur ces th matiques Cette initiative s inscrit dans la mise en oeuvre du Plan national maladies rares dont cert
80. nts bretons de l agr ment des sept centres de vaccination pour les voyageurs Les indicateurs de suivi de la campagne finist rienne de promotion du vaccin contre le m ningocoque C montrent un impact important de l action qui repose essentiellement sur la mobilisation des m decins traitants L effort est poursuivi en 2014 dans l ensemble de la r gion notamment pour les jeunes de 15 25 ans encore peu impact s Donavine NIMUBONA m decin de sant publique LE FAIT MARQUANT Tests hemoccult extension de leur distribution par les pharmaciens d officine Constatant la faible participation des personnes g es de 50 74 ans au d pistage organis du cancer colorectal l exp rience de distribution des tests hemoccult par les pharmaciens d officine initi e dans le Finist re a t tendue au d partement des C tes d Armor D but e en septembre la remise de tests par les pharmaciens simplifie l acc s au d pistage notamment pour les personnes qui ne se rendent pas chez le m decin g n raliste pour sa remise ou ne r alisent pas le test transmis par envoi postal Cette exp rience doit permettre de valoriser le r le de pr vention du pharmacien d officine acteur de sant de proximit bien identifi des populations Formation des m decins des groupes qualit s au Rep rage Pr coce et Intervention Br ve RPIB Fond sur des donn es probantes le RPIB Rep rage Pr coce et Intervention Br ve est rec
81. on pr ventive s accompagne d une activit intensive de veille 24h 24 et 7 jours 7 et de s curit sanitaires qui permet de prot ger les populations contre tous Promouvoir la sant au travers de l ensemble de ses d terminants sociaux environnementaux culturels ducatifs et pr venir l apparition des maladies constitue une priorit de l ARS dans la droite ligne de la Strat gie Nationale de Sant les risques pid miologiques 1 gauche Jean Paul COAT 2 gauche Marie Andr e BIESEMANS les deux derni res gauche Claudine NOYON et Nancy RAVENEL I droite Marie H l ne LAGREE 2 droite G rard FILY les deux derri res droite Fran oise BARBIER et Claudine POTIN e Favoriser un environnement favorable la sant ZOOM SUR En octobre 2013 l ARS Bretagne et l IFREMER ont mis en place le site internet Jean Luc PRIGENT ing nieur sant environnement D l gation territoriale des C tes d Armor LE FAIT MARQUANT valuation mi parcours du Programme R gional Sant Environnement PRSE 2011 2015 L ann e 2013 a t un moment fort dans la mise en uvre du PRSE Arrivant mi parcours les pilotes ont souhait valuer son tat d avancement et identifier les points forts et les difficult s rencontr es afin d apporter d ventuels amendements au PRSE La m thodologie a consist la borer 6 questions valuatives auxquelles de nombreux acteurs du PRSE de terrain et
82. on sera r alis e de la mise en uvre de ces documents afin de d terminer la suite qui sera donn e au niveau r gional et au plan national Favoriser la qualit et l efficience de l offre de pr vention d accompagnement et de soins Myriam BONNERRE charg e de mission P le gestion des carri res Claire LIENARD gestionnaire dossiers sant P le programmation et organisation des tablissements et services m dico sociaux 6 6 En 2013 ARS Bretagne a accompagn la mise en uvre de Contrats Locaux d Am lioration des Conditions de Travail dans des tablissements et services accueillant des personnes handicap es L ARS Bretagne agit ainsi sur un levier essentiel de la d marche d am lioration de la qualit de vie au travail et de la qualit de prise en charge des r sidents EN BREF Signature du groupement de coop ration sanitaire coop ration pour l Am lioration des Pratiques Professionnelles en Bretagne GCS CAPPS Sign e le 2 juillet 2013 le GCS CAPPS est n d une volont de la FHF de f d rer une d marche conjointe entre les tablissements publics bretons en attente d une aide m thodologique sur l valuation des pratiques professionnelles Ce GCS CAPPS est constitu des huit tablissements bretons de r f rence savoir CHU Rennes CH Saint Malo CHRU Brest CHIC Quimper CHBS Lorient CHBA Vannes CHCB Noyal Pontivy Il a pour missions d aider les tablissements de sant p
83. onnu comme l une des mesures de meilleures pratiques et ayant le meilleur co t efficacit dans la lutte contre les probl mes de sant publiques li es l usage d alcool Le RPIB est une m thode promue par l OMS depuis plusieurs ann es en effet la quasi totalit des travaux de recherche met en vidence que l intervention br ve entra ne une r duction de la consommation d alcool court ou moyen terme chez les buveurs excessifs Dans le cadre des travaux de l OMS il a t d montr qu un simple conseil de quelques minutes peut r duire d un tiers le nombre de buveurs excessifs m thode adapt e la pratique des m decins g n raliste Ce constat est important d autant plus que les m decins g n ralistes sont au premier plan pour le rep rage des conduites addictives on estime que 25 des patients consultant leurs m decins g n ralistes pr sentent des consommations excessives La Bretagne a fait partie des r gions ayant exp riment cette m thode promue par le Minist re de la sant en 2005 Les l ments d valuation mettent en lumi re l int r t de cette formation e avant la formation 31 des m decins g n ralistes connaissaient les seuils de consommation recommand s 52 apr s la formation 17 savaient r agir face une consommation excessive e 52 apr s la formation e enfin 39 pratiquaient le rep rage syst matique pour 66 apr s la formation En 2013 l ARS a missionn l ANPAA pour form
84. ons ont t faites afin d am liorer l offre de d pistage notamment en amplifiant les horaires d ouverture et en adaptant le temps des personnels Les dotations aux CDAG ont galement fait l objet d une premi re modulation afin de correspondre au mieux l activit r elle et l engagement des structures de r pondre aux pr conisations formul es suite aux visites sur place JEAN ER PC PE AR PO A EE PE OS Donne ENIMIEn FRAIS EREMR BEI o ja EEE aw Sagot t Se ZOOM SUR Signature d un CPOM avec la Mutualit Fran aise Bretagne sur la pr vention du suicide Une des strat gies de pr vention du suicide propos e dans le sch ma r gional de pr vention est la mise en uvre de d marches collectives territorialis es associant les professionnels des secteurs sanitaires social ducatif les lus et les associations concern es Cette mise en r seau tait d j mise en uvre par la Mutualit Fran aise Bretagne avec le soutien de l ARS et du Conseil r gional sur plusieurs territoires Pays de Cornouaille Pays de Landerneau projets MISACO dans le Morbihan Belle Ile en Mer Gourin Plo rmel Questembert Pontivy Locmin Gu men sur Scorff A partir de 2013 cette d marche de la Mutualit Fran aise Bretagne est tendue au Territoire de sant n 7 n 8 au pays de Brest et au Pays de Dinan dans le cadre d un CPOM sign avec l ARS LE FAIT MARQUANT Mieux faire conna tre les consultations jeu
85. oubles cognitifs et BPCO du patient tabagique et deux suivis de pathologies chroniques diab te et maladies cardiovasculaires 6 6 Pour pallier le manque de postes de chefs de clinique dans les CHU par rapport au besoin de formation compl mentaire des internes toujours plus nombreux le Minist re pr voit la cr ation de 200 postes d assistants sp cialistes par an Devant l insuffisance des postes attribu s la Bretagne 8 l ARS a d cid d en augmenter le nombre et de financer ces derniers sur le Fonds d intervention r gional FIR Elisabeth GOpEc EP 2013 59 postes non p rennes ont t cr s dont 48 financ s Secr taire par l ARS Le financement de ces postes est proportionnel administrative aux quotit s de temps d di s aux coop rations avec les O P le professions tablissements Aujourd hui les tablissements suivants sont e le site de Guingamp 1 ETP intirmier 13 e le site de Saint Brieuc 0 8 ETP m dicales notamment concern s Vitr Foug res Redon aie infirmier pour le CHU de Rennes et Morlaix Carhaix e Le site de Hillion Pl neuf Valid par la Haute Autorit de Sant en mai 2011 autoris par l ARS Poitou Charentes le 18 juin 2012 l ARS Bretagne y a adh r par arr t en mars 2013 4 sites bretons mettent en uvre cette exp rimentation o le p le de sant de Rennes Le Gast 1 ETP infirmier Lorient Quimper pour le CHU de Brest Saint Andr Saint Alba
86. p ci fiques en sant publique Pr vention du suicide tat des lieux r gional sur les formations Depuis le d but des ann es 2000 la formation des acteurs de premi re ligne infir mi res et m decins scolaires m decins traitants m decins du travail travailleurs sociaux aides domicile sur le rep rage des signes de la souffrance psychique et de la crise suicidaire constitue un volet prioritaire de la strat gie de pr vention du suicide Pour cela de nombreux formateurs le plus souvent psychiatres psycholo gues et cadres de sant ont t form s dans le cadre de sessions nationales for mations Seguin Terra Le sch ma r gional de pr vention pr voit la poursuite des formations des acteurs de premi re ligne Afin de d finir la strat gie de formation pour les ann es venir un tat des lieux r gional a t r alis L tude a t men e par l IREPS entre octobre 2012 et janvier 2013 dans le cadre de son contrat plurian nuel d objectifs et de moyens CPOM avec l ARS 38 formateurs ont r pondu Lancement d un tat des lieux des prises en charge des adolescents avec des difficult s multiples LE FAIT MARQUANT valuation des Centres d Accueil et d Accompagnement la R duction des Risques CAARUD La r duction des risques fait partie int grante de la politique de sant publique depuis la loi de sant publique de 2004 et constitue un des objec tifs du PRS notamment en assuran
87. r es en Bretagne en juillet 2009 pour 5 ans traitement par chirurgie chimioth rapie radioth rapie curieth rapie ou par utilisation de radio l ments en sources non scell es Ces autorisations arrivant ch ance en juillet 2014 une campagne de renouvellement a eu lieu au printemps 2013 sur la base d un dossier simplifi tabli par ARS et portant sur les crit res essentiels au regard de la qualit des soins Les autorisations pour leur grande majorit ont t renouvel es apr s instruction par les d l gations territoriales de l ARS assorties ou non de recommandations 10 dossiers ont fait l objet d une injonction de d poser un dossier complet de demande de renouvellement pour l un des motifs suivants z a z par les textes non respect de plusieurs crit res d agr ment Les nou veaux dossiers re us en d cembre 2013 seront examin s par la CSOS d but juin 2014 avant d cision du Directeur G n ral de l ARS Bilan des soins palliatifs e Les CPOM gagnent ainsi en pertinence Christine BRUNET m decin conseiller l offre hospitali re et V ronique JOLLE charg de mission sant et animation territoriale 6 6 En fin d ann e 2013 l ARS Bretagne et le Centre R gional de Lutte Contre le Cancer ont sign le premier contrat pluriannuel d objectifs et de moyens dit de nouvelle g n ration Au terme de plusieurs mois de n gociations les signataires se sont engag s r ciproqueme
88. r la valorisation du patrimoine immobilier et mobilier des tablisse ments de soins un appel projets annuel CARS et les quatre conseils g n raux ont sign une convention de partenariat Elle met en uvre une d marche de concertation des politiques dans le domaine de la sant et de l action sociale Cette convention s appuie sur trois axes de collaboration e L change de donn es et la mise en place d outils d observa tion communs partage des donn es l observation sociale tudes conjointes e Une meilleure articulation entre les sch mas d partementaux et le projet r gional de sant titre indicatif l appel projets pour 2013 a donn lieu au d p t de 62 dossiers de e La recherche d une plus grande coh rence dans la mise demande 31 ont t retenus pour un accompagnement global de pr s de 120 000 euros en uvre des politiques territoriales R j rE F ee N A m aa a A gg a J AR t j z E UL ds L GE Ta L 3 i M L ij Dr a AE 1 N 7 LE FAIT MARQUANT pa rom ients a geparder kir Signature des 8 programmes territoriaux de sant PTS Un num ro de Le 28 mars 2013 les 8 pr sidents de conf rence l espace social de territoire ou leur repr sentant et le Directeur europ en a g n ral de l ARS ont sign les 8 premiers PTS de gt consacr son TR 1 Bretagne Fruits de plus d un an de travail pour reportage sur les f FAT i les acteurs des 8 territoires de sant
89. ravers cette mission elle veille plus particuli rement r duire les in galit s sociales et territoriales cherche assurer un meilleur acc s aux soins et accompagnement P le Animation territoriale de la D l gation mi 29 1 gauche Jean Paul MONGEAT 2 gauche B atrice LASTENNET 3 gauche Catherine BESCOND 4 gauche Chriselle GUERIN 1 droite Muriel LUCAS Z droite Gwenola PRIME COTTO 3 droite Marie Haude SALAUN 4 droite Philippe JAGU LE FAIT MARQUANT ne Ra su Pacte territoire sant l ARS Bretagne ALT a men la concertation De plus en plus de Fran ais sont touch s par la d sertification m dicale Les in galit s entre les territoires ne cessent d augmenter Les d lais pour acc der un m decin sp cialiste sont de plus en plus longs Cet tat des lieux a incit Marisol Touraine Ministre des Affaires sociales et de la sant lancer son Pacte territoire sant un plan de lutte global contre les d serts m dicaux Kerr mr La Bretagne n chappe pas ces constats Ainsi PARS Bretagne s est impliqu e dans le dispositif et a men une vaste concertation aupr s de tous les acteurs de la sant 4 r unions locales ont t organis es pour informer et sensibiliser les acteurs du territoire identifier leurs attentes valuer les freins afin de d finir des axes d am lioration dans la mise en uvre du Pacte Territoire Sant L ensemble de
90. re sont am nag s selon les besoins et limitent de fait les changes par mail au profit d une alimentation conjointe et directe de certains dossiers De nombreux l ments sont accessibles et peuvent tre pour certains dossiers compl t s par tous e le kit documentaire regroupant tous les outils utiles l accompagnement des p les et maisons de sant cartographie trame projet de sant proc dures aides l installation fiches techniques th matiques e un dossier pour chacun des sites accompagn s par l ARS class s par territoire de sant que chaque bin me si ge DT peut d sormais alimenter directement sans changer par messagerie d cisions de financement courriers projet de sant comptes rendus de r unions etc e D velopper un service interne de qualit LE FAIT MARQUANT 1 Journ e d accueil des nouveaux arrivants Afin de favoriser l int gration des collaborateurs nouvellement recrut s le d par tement des ressources humaines a mis en place une journ e d accueil Elle s est d roul e en d cembre et a b n fici aux 18 collaborateurs recrut s de mani re p renne depuis la fin de l ann e 2012 En pr sence d Alain Gautron venu ouvrir la journ e les participants se sont tour tour pr sent s et chacun a pu constater la diversit des parcours ant rieurs Apr s ces pr sentations les directeurs sont venus exposer leur travail au travers des missions et enjeux de leu
91. riser une meilleure r partition g ographique des professionnels de sant des maisons de sant des p les de sant et des centres de sant Par ailleurs ce zonage qui sert de r f rence la mise en uvre de la politique r gionale de l ARS Bretagne en termes d accompagnement des structures d exercice coordonn cible 51 territoires en situation de fragilit 36 territoires surveiller 48 territoires de premier recours pr sentant peu de difficult s et 34 territoires sans difficult s M decins hospitaliers le renforcement des postes partag s 4 sites bretons mettent CARS intervient dans la gestion des praticiens des h pitaux en lien avec les directions des tablisse en uvre l exp rimentation ments de sant publics et le centre national de gestion En 2013 cette activit a t marqu e par ASALEE e a poursuite des travaux sur les sujets ayant trait la gestion des personnels m dicaux dans le cadre d une troite collaboration avec la F d ration Hospitali re de France FHF e le renforcement significatif du dispositif des assistants sp cialistes partag s une enveloppe de 2 millions d euros a t d gag e sur la marge r gionale en compl ment du budget d l gu par le Minist re de la Sant pour d velopper les coop rations entre les tablissements ASALEE est un protocole de coop ration en application des dispositions de l article 51 de la loi HPST portant sur deux d pistages tr
92. rs services Cette journ e poursuit un double objectif e tre un moment d inclusion d changes et de convivialit e mieux appr hender le champ d intervention de l ARS ainsi que son organisation Cette initiative vient ainsi compl ter le dispositif d accueil actuellement en place FARS les collaborateurs sont re us le jour de leur arriv e par la Direction des ZOOM SUR L ARS engag e dans une politique de rationalisation des d penses CARS poursuit sa politique de rationalisation des d penses et s attache regrouper les achats du si ge et des d l gations territoriales tant sur le plan de la gestion des besoins et commandes que de l organisation Selon les recommandations du minist re elle a particip aux objectifs du Service des Achats de l Etat SAE via notamment e a Mission R gionale Achat MRA et AIDA programme structurant d optimisation des achats visant rassembler des op rateurs de diff rents tablissements pour identifier des bonnes pratiques et des gains sur divers segments d achat au plan r gional m nage contr les r glementaires maintenance e application des circulaires du Premier ministre relatives la politique de gestion du parc automobile e a r duction du parc automobile e le renouvellement du parc v hicule hauteur de 25 en hybride ou lectrique e le recours syst matique la centrale d achat UGAP pour tout achat de v hicule e l
93. s Dans le cadre de sa mission d animation territoriale ARS oriente sa strat gie et ses programmes d action autour de la notion parcours Dans ce contexte elle travaille en troite collaboration avec les animateurs territoriaux de sant acteurs incontournables dans le domaine de la pr vention et promotion de la sant Le dispositif de l Animation Territoriale de Sant s appuie sur des professionnels qui apr s avoir r alis un diagnostic des ressources et des besoins en mati re de pr vention et de promotion de la sant sur son territoire proposent un programme d action le coordonne et suit sa mise en uvre la fin 2013 la Bretagne compte 11 animateurs territoriaux de sant ATS 6 6 Dans le cadre de l animation territoriale nous travaillons avec les Animateurs Territoriaux de Sant acteurs pr cieux en pr vention et promotion de la sant lls participent la structuration H l ne DELAVEAU charg e de mission Direction adjointe de la pr vention et promotion de la sant Fran oise POUPAULT de l offre d un territoire dans ss ere OU LE ES 6 6 Une r cente valuation a d montr la social D l gation lls permettent une bonne i Arai tif d ani tonal Territoriale 35 connaissance par les acteurs pertinence u ispositif animation territoriale TE Sea i dispositifs ne D de sant ATS Ainsi l ARS Bretagne le Conseil Re e r gional de Bretagne et les territoires porteurs
94. s en zone sur le site de SAUMUR Un exercice sanitaire zonal sera programm par an pour s assurer de la pertinence du PZMRS exceptionnelle au sein de la ZD0 Dr Gwena lle CONAN m decin inspecteur de sant publique CVAGS et p le r gional d fense et s curit de la d l gation territoriale du Finist re L volution impr visible du virus de la grippe rend l hypoth se d une pand mie grippale toujours valable Outre son impact sanitaire une pand mie grippale est susceptible de provoquer une d sorganisation du syst me de sant mais aussi des perturbations importantes de la vie sociale et conomique L laboration des plans d partementaux Pand mie grippale au sein de la zone de d fense Ouest tient compte de ces particularit s et s appuie sur les travaux d un groupe r unissant diverses comp tences des p les D fense sanitaire des 5 ARS de la zone comp tences m dicales mais aussi pharmaciens ing nieurs et charg s de missions form s la gestion des crises Zone de D fense Ouest T et forme ses agents L organisation territoriale de la gestion des situations sanitaires exceptionnelles s articule autour de plusieurs leviers qu ils rel vent de proc dures d alerte de moyens humains ou encore des moyens mat riels Au c ur de ce dispositif figurent tout particuli rement e a repr sentation de l ARS au centre op rationnel d partemental en pr fecture de d part
95. s le suivi des situations individuelles Autant de sujets tr s int ressants mais conduire avec des informations moins accessibles sur le plan budg taire le d part de deux collaboratrices vers le si ge a engendr une perte en changes de proximit Toutefois le si ge se montre tr s r actif pour communiquer ces l ments C est une autre fa on de travailler demandant un temps d adaptation Anne DEUFF Inspectrice D partement Action et Animation territoriale de Sant D l gation Territoriale d Ille et Vilaine 6 6 Avec le transfert des activit s de tarification m dico sociale les cadres de la DT35 sont confort s dans leur r le d interlocuteur privil gi des tablissements m dico sociaux et plus pr sents sur le terrain pour susciter et accompagner les projets locaux structurants Cette mont e en responsabilit se fait progressivement au fil du temps Elle est accompagn e par les coordonnatrices de territoire par de la formation et par la mise en place d une assistance administrative avec outils adapt s notamment pour le partage d information Nathalie LE FORMAL Directrice de la D l gation territoriale d Ille et Vilaine eA CI D ES on 17 t Vale ALI H am Sa raea o E a a LE ES He MAR TA L E A A EN A PE EN DE FER EE EE En PE DEEE ON En A om Kereno Am liorer nos circuits d informations Afin d am liorer et d harmoniser les pratiques un tat des lieux des circuits d i
96. s mois de concertation avec les services plus de 200 pages ont t mises en ligne 6 rubriques principales sont d sormais accessibles en un clic Actualit s ARS Bretagne Politique r gionale de sant Professionnels de sant Grand Public et Appels projets e D velopper et accompagner le management au sein de l agence Poursuivre la construction de l agence un travail de co construction engag avec l quipe de direction et l encadrement Parution d une plaquette sur les acteurs de la sant et s curit au travail diffus e l ensemble PRG des agents IE Les acters de lu sant amp de la S curit AN Travail ZOOM SUR Parution d un guide pratique pour le traitement de la paie Fabienne M AL adjointe la Direction financi re 6 6 La paie des 322 agents de droit public r sulte d une gestion partag e entre les ressources humaines et la direction financi re Face une r glementation sociale et fiscale en constante volution il nous est apparu opportun de cadrer nos pratiques quotidiennes dans un guide de proc dure Que ce soit par exemple une modification de la quotit de travail un changement d chelon ou le remboursement du trajet domicile travail chaque v nement ayant une incidence sur la paie est r pertori dans le guide et le mode op ratoire observer y est d taill Il s agit avant tout d un guide pratique dont l ambition est d accompagner pas p
97. s pr sentations et des changes ont t r unies dans une synth se que vous pouvez consulter sur le site internet de l ARS Bretagne rubrique Actualit s Etudes et Publications La mise en place d un contrat de PTMG constitue l une des 12 mesures du pacte territoire sant lanc fin 2012 par Marisol Touraine Ministre des affaires sociales et de la sant Destin lutter contre les d serts m dicaux ce contrat op rationnel depuis ao t 2013 vise faciliter l installation de m decins g n ralistes dans des zones fragiles d mographiquement 6 A Le dispositif vise faciliter l installation de jeunes m decins g n ralistes dans des zones sous dot es en leur garantissant un revenu mensuel pendant 2 ans maximum et une indemnisation forfaitaire en cas d arr t maladie ou de cong maternit Pour b n ficier de ce contrat de PTMG le m decin doit S installer pour la 1 fois ou tre install depuis moins d un an sur un territoire prioritaire fragile ou Surveiller Sur 2013 2014 20 contrats sont attribu s ARS Bretagne dont 7 ont d j t sign s sur les quatre d partements 1 contrat dans les C tes d Armor 1 dans le Finist re 2 en Ille et Vilaine et 3 dans le Morbihan Les signataires pr sentent le profil suivant g s de 30 59 ans moyenne 38 ans 4 femmes et 3 hommes 3 m decins nouvellement install s et 4 depuis moins d un an S miya THOUIR r f rente installation P le org
98. s recommandations de la mission d valuation de l action de l ARS au sujet de l acc s aux soins aux droits et la pr vention des publics d munis vont permettre de poursuivre et d approfondir les dynamiques engag es Afin d am liorer la coh rence de leur parcours de sant voire de vie les principaux axes de travail consolider seront conforter la transversalit entre les directions m tiers et la coop ration avec nos partenaires op rationnaliser la d clinaison territoriale du PRAPS am liorer l articulation des dispositifs et des actions e Promouvoir l galit devant la sant CARS agit pour r duire les in galit s sociales de sant Le Programme r gional d acc s la pr vention et aux soins des plus d munis PRAPS est un outil de pilotage et de planification par lequel l Agence r gionale de sant ARS et ses partenaires agissent pour r duire les in galit s sociales de sant Les in galit s sociales de sant sont d termin es par une somme de facteurs influen ant la sant Ces d terminants comme les conditions de vie les expo sitions environnementales le type de logement les modes de vie peuvent tre d favorables la sant et impacter l acc s aux soins et la pr vention Adrian MOHANU charg de mission en sant direction adjointe de la pr vention et promotion de la sant Les in galit s sociales se traduisent en mati re de sant par la r duction de la dur
99. s un cadre qui s est d marqu de 2012 plus d un titre Le premier est marqu par un contexte conomique en tension malgr un taux d volution de l ONDAM hospitalier annonc en progression encore significative 2 57 qui s est traduit par une mise en r serve prudentielle de cr dits 6 5 ME en DAF et 3 9 M sur le FIR ainsi que l application d un coefficient prudentiel de minoration des tarifs qui sera revers en fin de campagne aux tablissements 4 28 M Le second est marqu par la mont e en charge du Fond d Intervention R gional FIR abond par des cr dits MIG et AC en provenance de l ONDAM hospitalier hauteur de 13 M Le dernier consiste en l abandon du dispositif national de modulation des dotations annuelles de financements des tablissements et services de SSR qui a conduit l ARS proposer un dispositif transitoire alternatif En compl ment des ressources li es l activit des tablissements 1 787 M en progression de 1 46 par rapport 2012 les dotations hospitali res 2013 ont t allou es pour un montant global de 1 230 M en progression de 0 09 1 tablissements publics et ESPIC tarifs forfaits annuels mol cules on reuses et dispositifs m dicaux implantables Ressources hospitali res bretonnes 2013 noter qu ce jour la r gion Bretagne compte 1 653 transports sanitaires autoris s soit un exc dent de 228 v hicules par rapport l indic
100. sements peuvent participer la prise en charge de proximit de personnes atteintes de cancer en association avec un titulaire de l auto risation en appliquant des traitements de chimioth rapie prescrits par celui ci ou en r alisant le suivi de tels traitements En Bretagne 15 tablissements de sant se sont associ s par convention un tablissement i autoris pour mettre en uvre des traitements par La S chimioth rapie Les quipes de FARS ont effectu d but 2013 une enqu te au sein de chacun des 15 tablissements concern s pour valuer les modalit s de pratique de cette activit Une r union de restitution des r sultats a t organis e le 11 septembre 2013 avec des Te l E e A repr sentants des tablissements autoris s et associ s KEENE a UE Sans que la s curit des soins ne soit mise en cause dh Benia aaminin mi Enorme put Le gebean eE des fonctionnements tr s diff rents ont t constat s Eee selon les tablissements Ce qui invite poursuivre la r flexion sur l volution des organisations de soins dans po ae en mt vo or pas les territoires en pr lude la mise en uvre des mm ami to nouvelles orientations du nouveau Plan Cancer 3 OMEDIT oy ENETAGNE ee e i LS LS 1 Tira OM DIT Bret grie Ar Ort mE Prt eir 6 Campagne de renouvellement des autorisations de traitement du cancer 165 autorisations d activit pour le traitement du cancer ont t d li v
101. sonnes g es plateaux techniques g riatriques Dans ce contexte un projet a t d velopp Les modalit s de mise en uvre des actions retenues ont t d finies dans le en Bretagne et retenu avec 10 autres projets en France Port par le p le de cadre de groupes de travail r unis au cours de l ann e 2013 Elles ont t sant lib ral et le centre hospitalier local de Saint M en le Grand il participe pr sent es et valid es lors du comit de pilotage du mois de novembre 2013 une exp rimentation qui vise une meilleure organisation du parcours de pour une mise en uvre effective d s le d but de l ann e 2014 sant des personnes g es Le vieillissement de la population et avec lui l mergence des maladies chro niques constitue un enjeu consid rable d organisation du syst me de soins Pour r pondre ce d fi l offre sanitaire et m dico sociale doit tre mieux structur e sur un territoire et adapt e au caract re volutif des besoins des patients Cette volution doit tre pens e dans une logique de prise en charge pluri professionnelle coordination entre les professionnels de soins de ville les ie HOO OCO E ie PA ESR EE 1 GE LE A LE E D ENV PNPC BF LEVEE FAME EU Joue Ade A DC Drataeane Ko IBIDLO NH IRCNTS LCR R AUS ER SET LULI UCIA a D Er J f f Fo tilio e G S S E E S D CEA LR EN EC RE D A EE A EP A EL LE ER A PE CE IE En EE IEEE EE 7 p x E 1 l E EE co a Bg EE l
102. sports d cret du 29 08 2012 en concertation avec les groupes de travail d partementaux et compos s de repr sentants de la profession sous CODAMUPS TS principalement L inspection et le contr le missions d inspection et de e contr le r alis es en 2013 dans le champ sanitaire m dico social et de la sant environnementale tablissements et Services M dico Sociaux pr venir et lutter contre la maltraitance Pr venir et lutter contre la maltraitance l encontre des personnes g es et handicap es est une priorit de l ARS En concertation avec des repr sentants de structures m dico sociales et des usagers l ARS les conseils g n raux et les directions d partementales de la coh sion sociale ont labor une d marche commune pour pr venir r agir aux faits de maltraitance suspect s ou av r s les signaler les analyser et les traiter en partenariat Un protocole commun de signalement de gestion des faits de maltraitance a t mis en place LE FAIT MARQUANT Bien vivre en EHPAD ARS et la DRISCS lancent un concours de clip vid o CARS Bretagne la Direction R gionale Jeunesse et Sports Coh sion Sociale de Bretagne avec le soutien de la MGEN ont lanc en 2013 un concours de clips vid os sur la th matique du bien vivre ensemble en EHPAD A travers cette initiative il s agissait d aller contre courant des id es re ues sur la vie des personnes g es en EHPAD En eff
103. sujets la fois divers et transversaux fortement ancr s dans les priorit s r gionales de sant la prise en charge m dico sociale des jeunes handicap s et celle des adultes handicap s les quipes de liaison et de soins en addictologie ELSA les parcours de sant des personnes g es de Saint M en le Grand En parall le deux tudes en partenariat avec l Insee ont t publi es dans la collection Octant Analyse sur le th me de l acc s aux soins une consacr e la m decine de ville l autre la m decine hospitali re Dans le cadre des Programmes Territoriaux de Sant PTS les 8 diagnostics territoriaux de l offre sanitaire et m dico sociale ont permis d alimenter les r flexions sur la th matique des personnes g es Plusieurs tudes lanc es en 2013 se poursuivent parmi lesquelles une tude sur la prise en charge des addictions dans les tablissements de sant et une tude comparative sur les modes de prises en charge en soins palliatifs EMSP HAD r seaux Es Claire ALLIOU charg e de mission P le observation statistiques et valuation Le p le statistiques a int gr en 2013 les quipes projets Sant mentale et Addiction Ainsi nous sommes au c ur des discussions et identifions mieux les enjeux Il est alors plus ais d tre force de proposition et de faire de nos tudes de v ritables outils d aide la d cision Ce principe a notamment t mis en uvre pour L analyse de l a
104. t accompagner les J Er professionnels sur le recours aux APAS comme th rapeutique non m dicamenteuse e d velopper la pratique des APS pour les publics dits besoins particuliers MT ES D s 2013 un appel projets conjoint CNDS ARS a permis le financement de 12 actions permettant le d veloppement de l offre d activit physique desti nation de personnes atteintes de maladies chroniques non transmissibles Par ailleurs 2 priorit s ont t identifi es pour 2014 r aliser un tat des lieux de l offre d activit physique en r gion destination des malades chroniques et travailler sur la formation des ducateurs sportifs au sport sant _ GERS EME ER EN PR PEN LES PR A 0 PES A PA PES JE LE ME Ps PS RE E PE EE EE A oo oo o Drant n nt D 1 2 1 RER RER CE CE D 0 EE D E E a a A E a a E Ea a E a ae Ea OE ae a LE a aa a Ea Saga a E Ee E a a e E a p 7 e Pr parer le syst me de sant aux situations sanitaires exceptionnelles Plan zonal de mobilisation des ressources sanitaires de 5 ARS de la zone ouest une nouveaut Un plan zonal de mobilisation des ressources sanitaires PZMRS pour faire face des situations sanitaires exceptionnelles a t mis en place Il r pond une double n cessit permettre aux 20 pr fets de la zone de d fense civile Ouest de disposer de renforts sanitaires et organiser les proc dures de mobilisation et de mise disposition des moyens sanitaires
105. t dans l un des axes principaux de la Strat gie nationale de sant centr sur le d veloppement de la pr vention et la promotion de la sant plus sp cifiquement dans le cadre des programmes de sant publique destin s aux jeunes Voir les r sultats de l enqu te sur le site de l ARS www ars bretagne sante fr rubrique Actualit s Etudes et Publications et de l ORSB www orsbretagne fr e Identifier les capacit s d accueil et les modes de prises en charge de l autisme dans le m dico social Le plan autisme 2013 2017 pr sent le 2 mai 2013 par la ministre des affaires sociales et de la sant et la ministre d l gu e charg e des personnes handicap es et de la lutte contre l exclusion propose dans la continuit du pr c dent plan une nouvelle tape de la politique en faveur des personnes pr sentant des troubles envahissants du d veloppement TED et en parti culier de l autisme 5 axes doivent donner lieu la d clinaison de mesures r gionales e diagnostiquer et intervenir pr cocement e accompagner tout au long de la vie e soutenir les familles e poursuivre les efforts de recherche e former l ensemble des acteurs En vue de sa d clinaison ARS a souhait au pr alable approfondir l tat des lieux de l organisation sanitaire et m dico sociale propos e la population En lien avec les 4 conseils g n raux elle a commandit une tude visant identifier les capacit s d accuei
106. t le d veloppement d une culture de s curit des soins qui associe usagers et professionnels de sant pour une r duction des v nements ind sirables vitables 4 changer entre professionnels sur les retours d exp riences La deuxi me partie de la journ e a donn une large place aux professionnels de sant qu ils soient hospitaliers ou lib raux et a donn toute sa place l usager avec l ouverture de la s ance de l apr s par le Pr sident du CISS Bretagne Les partages et changes ont t riches et diversifi s car r alis s partir de retours d exp rience sur les actions qui ont d j fait l objet de travaux e pertinence des parcours de soins prise en charge des plaies chroniques parcours de la personne g e Cette d marche est novatrice car elle pr vaut d sormais sur des m thodes de planification de l offre de soins et appelle faire voluer jusqu aux organisations de territoires et aux pratiques professionnelles Les grandes lignes de ce programme ont t expos es et d battues au cours d une r union r gionale organis e Rennes le 6 novembre 2013 qui a r uni pr s d une centaine de professionnels et les repr sentants d institutions partenaires URPS assurance maladie ordres e pertinence des actes c sariennes programm es appendicectomies chirurgie de l ob sit e pertinence des modes de prise en charge d veloppement de l ambulatoire e pertinence d
107. t le suivi des CAARUD ces derniers tant des dispositifs r cents cr es en 2005 La Bretagne compte un CAARUD par d partement En 2012 un diagnostic pour chaque CAARUD est initi par l ARS L objectif quantifier et qualifier le p rim tre g ographique d intervention la r alisation des missions par rap port au cahier des charges national les moyens mobilis s les partenariats existants analyser les besoins non couverts pour les usagers de drogues L tude permettra galement de proposer des pistes d actions adapt es aux besoins des territoires s appuyant sur les ressources et les partenariats locaux Apr s l tude men e pour le CAARUD d Ille et Vilaine en 2012 PARS Bretagne a conduit en 2013 deux autres diagnostics aupr s des CAARUD de Brest et de Lorient le CAARUD des C tes d Armor n est pas concern ce stade compte tenu de la reprise tr s r cente de sa gestion par l ANPAA La m tho dologie utilis e comporte l analyses de donn es des entretiens physiques et t l phoniques l organisation de r unions d changes et de concertation avec l ensemble des partenaires et institutions concern s et la r alisation des supports crits qui sont assur s par un prestataire ext rieur Le travail sur le d partement du Finist re a t pr sent et celui sur le Morbihan le sera en 2014 Une rencontre avec les 4 CAARUD bretons est envisa g e en 2014 afin d organiser la coordination entre ces structures su
108. tagne Service zonal de d fense et de s curit J Christophe Van der Linde Agent comptable ric Fourier Secr tariat g n ral St phanie Horala Mission Inspection Contr le Bernard Guillou Direction de la strat gie et des partenariats Pierre Bertrand Assistante Fr d rique Suzanne Conseill re technique m dicale Anne Le Coq Expertise juridique Coralie Descamps Mission PDSES Biologie Urgence m dicale Patrick Airaud Mission CPDM Christian Gauvain oT E E LE Alain Gautron Assistante Marie Annick Ducloyer Directeur g n ral adjoint Pierre Bertrand Assistante Fr d rique Suzanne Direction de l offre de soins et de l accompagnement Herv Goby Assistante Rozetta Gros Conseill res techniques m dicales Fran oise Durandi re Sylvie Dugas D l gation territoriale C tes d Armor Annick Vivier D l gation territoriale Finist re Antoine Bourdon D l gation territoriale Ille et Vilaine Nathalie Le Formal D l gation territoriale Morbihan Pierre Leray Direction de la sant publique Jean Michel Doki Thonon Conseiller technique m dical Olivier Joseph Assistante Sandrine Boulais Direction Direction Direction adjointe des adjointe de adjointe de professions la d mocratie la strat gie de sant et cadres en sanitaire et de la communication tablissements Thierry B n dicte Simon de Laburthe
109. toires de 1 recours Ce projet est une cible long terme qui n cessitera des tapes transitoires et des ajustements dans sa mise en uvre suite aux changes avec nos partenaires au cours de l ann e 2014 6 6 3 id es cl s sont ressorties du 1 d bat SNS parcours de sant parcours de vie Premi rement la r ussite d un parcours de sant P et de vie passe par la reconnaissance d un territoire suffisamment grand F PARCOURS De SANTE pour avoir une bonne repr sentation des acteurs de tous les champs pr vention Ville hospitalier m dico social et social mais suffisamment petit pour qu il refl te les relations quotidiennes de travail La seconde id e forte fut de cultiver la confiance entre les professionnels et usagers Par un constat simple plus on se conna t plus on a le r flexe de on travailler ensemble et partager de l information Enfin la troisi me id e exprim e ce 19 novembre 2013 fut qu il existait des outils facilitateur Animation territoriale u i l ue et d cloisonnant tels que la formation pluri professionnelle 9 9 et coordination T des acteurs la t l m decine les espaces de concertation P le animation territoriale et projet r gional de sant e D velopper les parcours sur chacune des th matiques transversales du PRS lt ZO0OM SUR Les animateurs territoriaux de sant ATS une contribution la dynamique de parcours de sant sur les territoire
110. travaux qui permet tront de d velopper une culture commune et de renforcer la coh sion d quipe Malgr un contexte conomique difficile et contraint l ann e 2013 a t riche d actions dont les r sultats ont t reconnus par le niveau national Ces r sultats je souhaite les partager avec tous les acteurs et tous les agents de PARS qui uvrent au quotidien pour la sant des bretons Soyons ensemble confiant pour l avenir 6 L ARS Bretagne joue un r le important dans l observation de l tat de sant des populations et de l offre en sant Pour construire et d ployer sa politique de sant elle observe et analyse avec ses partenaires le syst me de sant breton travers notamment la r alisation de tableaux de bord d tudes Par ailleurs elle value galement son action et celles des acteurs de sant afin de r ajuster et de compl ter E les orientations des politiques de sant Assises de gauche droite Samantha DODARD Nathali POLITI Emilie LEJEUNE Debouts de gauche droite Christelle DIODAT Claire ALLIOU Virginie GABORIAU Enguerrand LOOTVOET Florence MILLE Carole RIEU Isabelle ROMON Guillaume CHEREL Aur lie QUEMENER Margaux GAILLARD Rose Line VIOT Des tudes vari es transversales et partenariales en appui de la politique r gionale de sant La collection Les tudes de l ARS Bretagne s est toff e en 2013 de quatre nouvelles publications sur des
111. ublics d velopper l analyse de pratiques La premi re assembl e g n rale a eu lieu en janvier 2014 un des points abord s est l ouverture du GCS 12 autres tablissements de sant publics et Espic L ann e 2013 a permis de d velopper la contractualisation dans le champ m dico social la direction ajointe de l Offre m dico sociale au si ge de l ARS en lien avec les 4 D l gations Territoriales s est mobilis e pour renforcer les actions de contractualisation en direction des acteurs du secteur m dico social Apr s avoir t accompagn e par ANAP en 2012 sur la m thodologie des CPOM l ARS a d velopp sa volont de contractualiser avec les gestion naires Plusieurs CPOM ont t sign s en 2013 les Amiti s d Armor l asso ciation Gabriel Dehayes le Centre H lio Marin de Pl rin D autres sont en cours d tude et de finalisation l IME de Carhaix l ITEP de Ch teaulin Sur le champ des Personnes Ag es la politique de m dicalisation des EHPAD a t un enjeu important de l ann e 2013 tant en terme de moyens 8 millions d euros mobilis s qu en terme de coordination avec les Conseils G n raux LARS si ge et DT et les 4 Conseils G n raux ont travaill en troite mani re efficiente les tablissements pouvant r tendre un renouvellement collaboration pour aboutir une m thodologie commune et une trame partag e L implication des m decins de l ARS a t un pr alable indispens
112. valuation interne Ce travail se poursuit avec l exp rimentation d un rapport type d activit aupr s d quipes volontaires et la mise en uvre sur les territoires de l organisation nouvelle des ELSA LR EE PO PO ON ER PE ES H li annA rI a ATSIDPIT10IR ML RE LL EE LE FAIT MARQUANT 2 Journ e r gionale de veille sanitaire en Bretagne La Cellule de l Institut de veille sanitaire en r gion Bretagne Cire Ouest et l ARS Bretagne ont organis le 11 d cembre 2013 la 2 journ e r gionale de veille sanitaire dynamiser les partenariats consolider les r seaux 190 professionnels y ont particip s Les objectifs dynamiser les pra tiques de veille sanitaire sur la r gion Bretagne consolider et d velopper encore les r seaux entre diff rents acteurs et institutions notamment pour la r ponse aux alertes La journ e s est articul e autour de trois grandes th matiques e l importance de la vaccination e a n cessit de s appuyer sur un r seau d acteurs pour mettre en place des syst mes de surveillance pour l alerte et la gestion autour de th matiques vari es e la poursuite de la construction d une culture commune veille sanitaire en Bretagne par la gestion de situations complexes s appuyant sur des investi gations souvent longues qui impliquent de tr s nombreux acteurs au niveau local r gional ou national et d bouchent sur la mise en uvre d actions s
113. x accompagner les nouveaux professionnels infirmiers CARS Bretagne a d fini dans ses priorit s 2013 l accompagnement des nouveaux professionnels infir miers au Sein des tablissements de sant mentale ou comportant des services de psychiatrie par des actions de tutorat Ce dispositif vise une meilleure int gration des nouveaux professionnels de sant au sein des services ou structures du fait de leurs sp cificit s ou de l absence d attractivit travers cette initiative il s agissait de e de d velopper les comp tences requises au poste pour s curiser la prise en charge des patients et la qualit des soins cet aspect tant en ad quation avec les exigences de la HAS crit re 3b version 2010 e de renforcer l attractivit de certains postes en offrant des conditions d accueil qui vont permettre aux nouveaux professionnels de diminuer leurs difficult s d int gration en renfor ant le sentiment d appartenance et leur fid lisation la structure e d tre op rationnel rapidement en permettant une meilleure adaptation au poste des infirmiers exer ants dans des services sp cialis s Au del du fait que la sant mentale soit une des th matiques prioritaires du Programme R gional de Sant PRS que la fonction d infirmier en psychiatrie ait un r le d terminant dans la prise en charge des patients plusieurs autres facteurs am nent l ARS d finir le tutorat comme une priorit e un cursus de format

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