Home

L`essentiel de la journée Plan de traitement, 11 octobre 2007

1. 22 avril 4 mai gt A i A FRA w fe AED ll MN EN D SK j Prenez la route ddes Indes Formation SOP 22 mai 2008 Passez de la th orie aux travaux pratiques Formation SOP 20 mars 2008 Avez vous la bonne m thode pour vaincre le stress et recevez une Pour i devenez membre de la SOP et b n ficiez de exclusives Une remise de pour chaque journ e de formation de la SOP Pack 3 formations conomisez jusqu 220 voir programme p 3 Des promotions de nos partenaires xX 3 7 L abonnement la Revue d odonto stomatologie A E A a trimestriel scientifique bilingue Le pr t des cassettes vid o de la SOP Un service d Une remise est galement appliqu e aux formations de la F d ration des soci t s scientifiques odonto stomatologiques de l le de France FSSOSIF I retourner d ment compl t et accompagn PAIEMENT de votre ch que libell l ordre de la SOP ou 7 SOP 6 rue Jean Hugues 75116 Paris Renseignements 01 42 09 29 13 Fax 01 42 09 29 08 OS ROOMS E E N E E E E E E E E a E E E A ETE TEE EE LE TETT E A E A A E E E VIE E A A e Code POSE nE E ETETE T ETE EET TETEE TEE ET A lt Adressoe mane erre sar r a E At Le st i 1 Cotisation 2008 88 1 Pack 3 journ es 2008 740 cochez 3 cases O Mars Ci Mai TP O Juin D Octobre non remboursable possibilit de report
2. 20 dossier L ducation th rapeutique du patient appliqu e la parodontologie la suite d un premier article paru dans le JSOP n 10 dat d cembre 2007 qui abordait l ETP d un point de vue g n ral Sylvie Saporta propose de l appr hender pr sent sous un angle pratique dans le cadre de la parodontologie LORGANISATION DU PROGRAMME D DUCATION TH RAPEUTIQUE LETP est une d marche syst mique organis e en quatre temps le diag nostic ducatif le contrat d duca tion la mise en uvre et l valua tion de cette ducation Parcours du patient Soit le patient a un praticien trai tant qui le suit r guli rement soit il va consulter en urgence Quoi qu il en soit le praticien ten te avec plus ou moins de succ s d duquer son patient aux tech niques d hygi ne car sa participa tion active est indispensable Il est impossible d tre derri re chaque patient deux fois par jour pour superviser ses soins d hygi ne Le praticien informe explique mon tre parfois v rifie l acquisition des soins d hygi ne et surtout suit son patient r guli rement Ce dernier point particuli rement important est largement document Actuellement il n y a pas d duca tion th rapeutique formalis e me n e de fa on syst matique pour les patients atteints de parodontopa thie Une prise en charge variable selon chaque praticien r pondant des constats cliniques s est in
3. partir d exemples pratiques joliment iconographi s de no menclaturer l ensemble des actes en fonction de ces trois crit res Ensuite il justifie la cotation ou l absence de cotation soit en renvoyant la NGAP soit en sp cifiant si l acte peut faire l objet d une facturation ou si au contraire tant un geste associ un autre acte m dical il ne peut donner lieu des honoraires distincts Sur chaque fiche l auteur pr cise de surcro t le mode de facturation sur une feuille de soins de l assurance maladie ou dans une note d hono raires voire les deux Enfin une cinq toiles sont attribu es aux donn es co nomiques constitu es par le temps moyen de r alisation le co t des mat riaux et des fournitures ainsi que le niveau de technicit de chaque acte Le nombre total d toiles constitue une indication qui doit faciliter l valuation des honoraires Actes hors nomenclature feuilles de soins et notes d honoraires Semaine apr s semaine nous avions suivi le feuilleton de cette nomenclature dans l Information dentaire en man quant bien s r quelques pisodes mais aujourd hui avec la parution aux ditions SNPMD de l album complet la profession dispose d un outil pratique indispensable Indispensable puisque l assurance maladie refusant toute assimilation des actes de la NGAP les actes hors nomen clature deviennent non remboursables et partant ne d
4. T l 41 0 32 924 22 44 e Fax 41 0 32 924 22 55 e info fkg ch www fkg ch Mat riel d fectueux quelles responsabilit s 1 2 La mise en cause du mat riel dans la survenue d un accident m dical implique une recherche de responsabilit du fabricant et convoque des r gles de droit diff rentes de celles qui r gissent la responsabilit m dicale UEL CHIRURGIEN n a pas rencontr un probl me avec le mat riel chirurgical utilis bistouri pince cath ter amplificateur appareil de c liochirurgie ou le mat riel implant proth se de hanche de genou proth se mammaire En cas d accident impliquant un mat riel ou un produit il y a lieu d analyser des processus de conception et de fabrication relevant des normes de l industrie et surtout de d terminer les rapports entre le fabricant et l tablissement ou les praticiens puis avec le patient lui m me qui rel vent parfois plus de relations commerciales que de soins Il existe depuis au moins le d but des ann es 1970 une volont affirm e de protection des consommateurs L arriv e de nouveaux produits ou de nouvelles pra tiques commerciales a eu pour cons quence l labo ration de nouvelles r gles tant jurisprudentielles que l gislatives Ainsi la loi du 26 juillet 1993 ins r e aux articles L 121 16 et suivants du Code de la consomma tion a r glement les ventes distance qui taient source de nombreux abus La responsabilit
5. aux articles 1386 1 1386 18 CC notamment Article 1386 1 Le producteur est responsable du dom mage caus par un d faut de son produit qu il soit ou non li par un contrat avec la victime Article 1386 4 Un produit est d fectueux au sens du pr sent titre lorsqu il n offre pas la s curit laquelle on peut l gitimement s attendre Dans l appr ciation de la s curit laquelle on peut l gi timement s attendre il doit tre tenu compte de toutes les circonstances et notamment de la pr sentation du produit de l usage qui peut en tre raisonnablement attendu et du moment de sa mise en circulation Un produit ne peut tre consid r comme d fectueux par le seul fait qu un autre plus perfectionn a t mis post rieurement en circulation Article 1386 7 Si le producteur ne peut tre identifi le vendeur le loueur l exception du cr dit bailleur ou du loueur assimilable au cr dit bailleur ou tout autre four nisseur professionnel est responsable du d faut de s curit du produit dans les m mes conditions que le producteur moins qu il ne d signe son propre fournisseur ou le produc teur dans un d lai de trois mois compter de la date laquelle la demande de la victime lui a t notifi e Le recours du fournisseur contre le producteur ob it aux m mes r gles que la demande manant de la victime directe du d faut Toutefois il doit agir dans l ann e suivant la date
6. facteur de risque La r gle du cumul des risques guide alors le praticien dans sa prise de d cision th rapeutique Une technique ou un mat riau sont indiqu s quand le tableau n affiche aucun ou un seul facteur d favorable Quand le tableau affiche deux facteurs d favorables le praticien doit approfondir son ana lyse En cas d galit le facteur biolo gique est pr pond rant Quand le tableau affiche trois ou plus fac teurs d favorables la contre indica tion est vidente Le principe de la m thode consiste e Indiquer la technique si 0 facteur d favorable ou 1 facteur d favorable OOOO _ e R fl chir si 2 facteurs d favorables e Contre indiquer si 3 facteurs d favorables Synth se pour la prise de d cision Compo TD Amalgame ma Couronne Facteurs biologiques Facteurs fonctionnels Facteurs m caniques li s aux mat riaux li s la dent Facteurs esth tiques Facteurs technologiques Facteurs li s au patient demande facteurs de risque ge Facteurs li s au praticien oui non JSOP n 2 f vrier 2008 Onlay esth tique CAC LE S5 KEKIC ALALE ee o oon S ou eon Na 29 CAS CLINIQUES D ILLUSTRATION L application de cette m thode est illus tr e par les trois cas cliniques d taill s ci dessous Cas clinique n 1 Une patiente g e de 50 ans consulte pour la restaura tion qu elle souhaite esth tique de
7. me sur la dent unitaire e Face une situation clinique on ne r p tera jamais assez Penser bio logie penser fonction penser m ca nique penser technique penser esth tique et penser patient e I faut souvent pond rer les diff rents facteurs En cas d galit le facteur biologique reste pr pon d rant e Le patient reste toujours l l ment central de notre d cision Trois fac teurs primordiaux m ritent une attention particuli re l analyse de sa demande ses particularit s m dicales allergie susceptibilit la carie etc et ses possibilit s fi nanci res Garder l esprit qu il n y a ni mat riau id al ni technique infaillible Plut t que d opposer les mat riaux nos th rapeutiques chercheront les associer Les techniques indirectes pr sen tent indiscutablement de nombreux avantages Quelle que soit la qualit des restau rations elles seront amen es tre remplac es Il faut en informer le patient et conseiller une mainte nance r guli re Le praticien doit imp rativement ma triser les nouveaux mat riaux et les nouvelles proc dures Une for mation continue intense est donc indispensable tout au long de la vie professionnelle I Les rendez vous de la formation continue odontologique Petits dentements grande palette de traitements Quatre cas cliniques compar s pour comprendre quels facteurs de l anatom
8. paration des pro duits le passage de fil et ou de bros settes interdentaires et le maintien de la motivation r aliser ces soins sp cifiques dans le temps Le patient devra galement appren dre auto valuer son tat buc Y LE DIAGNOSTIC DUCATIF Socioprofessionnelle Psycho motionnelle e Vos gencives saignent elles e Quelle est la fr quence de ces saignements p riodique quotidienne etc Les saignements sont ils spontan s ou li s des circonstances pr cises brossage alimentation si oui quels aliments sont concern s Avez vous la sensation que vos dents bougent de temps en temps certaines toutes tes vous fumeur Pouvez vous commenter ce sch ma des dents des gencives et de l os Pouvez vous expliquer pourquoi vos gencives saignent et le m canisme de votre maladie parodontale Connaissez vous les mesures que vous pouvez prendre pour limiter votre maladie Quelle est votre activit professionnelle Pratiquez vous des activit s sportives Comment aimez vous occuper votre temps libre Qu avez vous pens lorsque vous avez pris conscience ou lorsque l on vous a annonc que vous aviez un probl me parodontal tes vous g n par votre pathologie dans votre vie quotidienne tes vous pr occup par votre probl me parodontal D autres membres de votre famille connaissent ils ce type de probl me Si oui comment l ont ils v cu Avez vous d re
9. profondeur et largeur du couloir entre les racines des collat rales la proth se sur implant est le choix pri vil gi H En effet le bon tat des dents contre indique le bridge coll Le traitement fixe par implant est il possible Chirurgie corrective Scellement ou vissage Mise en charge imm diate quand Quelle temporisation Amovible ou fixe JSOP n 2 f vrier 2008 tat des dents voisines Bridge coll Couronnes Quels piliers choisir sauf pour des raisons m dicales ou co nomiques De m me le bridge clas sique avec pr parations p riph riques est totalement contre indiqu Cas clinique n 2 FE Les dents sont intactes il existe une bonne distance interproximale A priori la situation est favorable mais le contexte est d favo rable sur le plan osseux malgr une greffe qui s est sold e par un chec La situation serait d favorable l option bridge coll sur deux piliers mais il existe une forte supraclusion et l une des deux incisives est plus petite que l autre La solution retenue consiste donc en un bridge coll Dans ce cas cli nique particulier le praticien r alise ce bridge sur un pilier unilat ralement avec pr paration sp cifique et une dou ble cannelure pour assurer une r ten tivit de l ancrage E Cas clinique n 3 Ici le contexte osseux est d favorable une solution implan taire E Par ailleurs la rotation des d
10. qui fait intervenir trois intervenants le praticien le patient et le proth siste dans une relation triangulaire De la qualit de ces relations mutuelles d pendra la r ussite du traite ment esth tique Dans un premier temps est pr sent le biomat riau c ramique puis les crit res esth tiques fon damentaux du sourire en particulier l importance des pro portions tr s souvent d crites l aide du nombre d or Une approche de la lumi re est ensuite propos e et son impor tance dans l int gration esth tique de la c ramique est mise en valeur La deuxi me partie est consacr e l tude des facteurs humains proprement dits Elle rapporte le r le du praticien du c ramiste et du patient dans un traitement restaurateur vis e esth tique l auteur insiste sur les m thodes d ana lyse les moyens de communication des donn es entre les diff rents acteurs et la mise en uvre de l int gration esth tique sur le plan clinique Est voqu le r le souvent n glig de l assistante dentaire et de l entourage du patient Enfin il est propos un protocole de relev de couleur dans lequel sont mises en exergue les donn es fondamentales et pratiques l utilisation du teintier Vitapan 3D Master et le relev des d tails compl mentaires sont d crits Pour la transmis sion des donn es esth tiques une fiche sp cifique est cr e et son utilisation comment e l aide de deux cas cliniques La So
11. ro exceptionnel de la ROS ROS NUM RO SP CIAL CHIRURGIE MAXILLO FACIALE Tome 36 N 4 D cembre 2007 Microchirurgie faciale P Bernard Devauchelle Revue gO donto P Sylvie Testelin Stomatologie Les fentes du palais primaire et du palais secondaire P Jean Luc B ziat D Mona Abou Chebel Jo o Pedro Marcelino Arnaud Gleizal 8 Reconstruction des pertes de substance de la face P ric Sorrel D jerine 9 Chirurgie orthognathique D Jean Fran ois Tulasne Soci t Odontologique de Pans Tome 36 N 4 DITION BILINGUE FRAN AIS ANGLAIS ros sop asso fr Abonnez vous la ROS en 2008 et recevez gratuitement ce num ro sp cial Li ABONNEMENT ADH SION LA SOP 2008 Li ABONNEMENT LA ROS P 88 France et UE 83 France 121 Etranger Bulletin retourner accompagn de votre ch que libell l ordre de la SOP DL VENTE DU NUM RO SP CIAL 30 SOP 6 rue Jean Hugues 75116 Paris Nom a ee DR RER RER SNS ERA DS NS du Ua A P GNONMI A A nn nes dis tient mn nina i Pako lE a E A A E A E E E E E E E E E E A AE A E E EE l NL none EAT COS POSE LL A E S a A S E E E SAIrosSsSe e man a E a a E E a E i Votre EE Confiance Prescrivez aPerfection 4 ARERR CCM 1 SACR 119 R alisation en Laboratoire certifi 150 9001 Dubsatianescuene de mat riaux marqu s CE Enl vements r guliers et Livraisons gratuits partout en F
12. taill s ci apr s e Compr hension de l tiologie des l sions et de la maladie carieuse e limination des foyers infectieux e Restauration des pertes de subs tance e Pr vention des r cidives Int ressons nous tout particuli re ment la restauration des pertes de substance Il existe une m thode sim ple pour parvenir au choix raisonn d une technique en fonction des cri t res biologiques fonctionnels m ca niques technologiques et esth tiques Le puzzle physiologique de Magne et Belser sch matise claire ment ces fondamentaux de la dentis terie restauratrice moderne Les rendez vous de la formation continue odontologique e Les imp ratifs biologiques int res sent le respect et l conomie des tissus dentaires et pulpaires L ap plication des techniques adh sives am liore la pr servation et la p ren nit des structures dentaires tout en assurant l tanch it des restau rations joint coll La biocompa tibilit est un facteur d terminant pour la s lection des mat riaux e Les imp ratifs fonctionnels consis tent r tablir l anatomie la fonction ainsi que les rapports entre dents ad jacentes et antagonistes e Les imp ratifs m caniques s atta chent renforcer la r sistance de la dent sur le plan biom canique et la restaurer sans l affaiblir e Les imp ratifs esth tiques de plus en plus exigeants posent le principe du biomim tisme comme indis
13. tudi e reste en place dans le porte empreinte mais devient fluide sous pression dans la seringue Co RIGIDE JETABLE de 390 ml e Indications vari es proth se conjointe adjointe et compl te e Stabilit exemplaire de l empreinte sans d formation e Excellente hydrocompatibilit reproduction fid le des zones sous gingivales e En pr sence d un tirage ou d une bulle l empreinte peut tre rebas e JSOP n 2 f vrier 2008 CLUB DES PARTENAIRES LES PLUS PRODUIT e Code couleur e Forets h lico idaux e Coffret ergonomique et astucieuse pour une meilleure prise en main et une fermeture totale garantie Les i Posts sont disponibles en e Inox de qualit chirurgicale non corrosif e Titane sabl pour une biocompatibilit garantie et une r tention accrue ITENA 153 avenue Victor Hugo 15116 Paris T l O1 45 91 30 06 LES PLUS PRODUIT e Structure flexible e Absorbance exceptionnelle e Facile placer dans le sulcus e Ne s effiloche pas e Code couleur pour une reconnaissance facile des diam tres LES PLUS PRODUIT e Hydrophilie importante e Pr cision empreinte e Thixotropie tudi e e Rebasable avec une silicone basse viscosit pour viter de la refaire e Temps de prise total 5 min ELSODENT 35 avenue du Gros Ch ne BP 50072 ragny sur Oise 95612 Cergy Pontoise Cedex T l 0L30 3 G 7 41 Des signatures prestigieuses un num
14. Paris sur Air France e les droits d inscription au congr s En cas d annulation il sera retenu en classe touriste e les boissons e jusqu au 23 janvier 2008 un montant e le trajet Bombay Madras Mandurai Cochin les pourboires guides et chauffeurs de 50 pour frais de dossier Bombay en classe touriste e les d penses d ordre personnel e entre le 23 janvier 2008 e le s jour dans les h tels mentionn s e la pension compl te sans boissons et le 23 f vrier 2008 10 du montant total du voyage e les diff rents transferts Prolongation du 2 au 4 mai e entre le 23 f vrier 2008 e les excursions accompagn es Ces prix comprennent et le 8 avril 2008 d un guide francophone e le trajet Cochin Goa Bombay 50 du montant total du voyage e les droits d entr es sur les sites en classe touriste e apr s le 8 avril 2008 e les frais de visa e le s jour l h tel mentionn 90 du montant total du voyage e les taxes et services e la 1 2 pension d ner e l encadrement par du personnel e les taxes et les services Organisation technique de notre soci t de PARIS PARIS de chirurgie dentaire Chaumont Voyages Lic 075950311 e e e e e e E a a ON e a o e OO o o o o o D ON OU e OU DU ON o e e OU ON e UN ON ON ON Ou a a E AAR MPI OLE retourner CHAUMONT VOYAGES M PERRAULT 9 rue principale du Port 92638 Gennevilliers Cedex T l 01 47 92 22 40 Fax 01 47 99 17 50 E mail cchaumo
15. caract re intime de la cavit buccale Les autres s ances pourront se d rouler en groupe de 5 6 patients afin d enrichir les changes par la dynamique du groupe COMP TENCES ACQU RIR PARC PETRIENIE l adaptation aux parodontopathies de la matrice de comp tence tablie par J E d Ivernois et R Gagnayre permet de d finir les potentialit s de comp tences qui devront tre at teintes par les patients au terme du programme d ducation a LA MISE EN UVRE DU PROGRAMME D DUCATION DU PATIENT Premi re s ance Objectif e Le diagnostic ducatif tablir le contrat ducatif e Entretien cf tableau 1 Ce que fait le patient e Participe activement en r pondant volontiers et en questionnant l ducateur Ce que fait le praticien e Aide le patient expliciter ses besoins et ses attentes N gocie les objectifs de l ducation valuation de l atteinte des objectifs e Le patient s est exprim Un contrat ducatif est tabli Deuxi me s ance individuelle ou en groupe Objectif e Comprendre sa maladie cognitif Activit e Montrer un macromod le ou un sch ma des dents des tissus de soutien et demander aux patients de le commenter Expliquer en se servant de sch mas existants le r le de la plaque dentaire et du tartre dans l inflammation e Expliquent mettent en commun leurs repr sentations Ce que font les patients et leurs connaissances questionnent le praticien e Aide les p
16. ces r sultats probants et parvenir un geste ma tris le praticien doit conna tre avec pr cision les protocoles d utilisation de chacune des familles d instru ments Shaper pour la mise en forme coronaire et Finisher pour la mise en forme du tiers apical travers une pr sentation th orique compl te et de nom breuses manipulations sur bloc et dents naturelles le TP de la SOP se fixe comme objec tif de former les omnipraticiens l utilisation la plus appropri e du syst me ProTaper Ainsi au terme du TP les par ticipants disposeront non seu lement de la ma trise d un outil leur garantissant la bonne d s infection des canaux mais ga lement d une approche prag matique pour optimiser leurs obturations W TRAVAUX PRATIQUES Jeudi 22 mai 2008 Paris 14 Marriott Paris Rive Gauche H tel Bulletin d inscription et tarifs en JSOP n 2 f vrier 2008 17 DENTISTERIE RESTAURATRICE Composites post rieurs en m thode indirecte quand comment pourquoi Dans certaines situations cliniques le recours aux composites en m thode indirecte s impose Dans les cavit s au volume important ou lorsque plu sieurs dents sont atteintes dans un m me secteur il est recom mand l omnipraticien de pr f rer une technique indi recte et de faire appel un laboratoire plut t que d utili ser les mat riaux composites et adh sifs actuels en tech nique directe Seule
17. de ce que fut le RAJ l empire britannique des Indes Sa d coration inspir e de l Inde ancienne et mythique est la fois tr s luxueuse et de bon go t Les objets d art le mobilier ancien les tableaux et les tapis conf rent une impression d aisance et d opulence Un charme r tro combin la pointe de la modernit avec la pr sence de multiples tablissements dont trois bars une p tisserie et six restaurants des boutiques une piscine sur jardins un institut de beaut un centre de bien tre une agence de voyages sans compter un night club tr s couru et la meilleure librairie de Bombay Les longs corridors de la partie la plus ancienne font office de galeries d art o sont expos es des collections diverses et passionnantes Une v ritable ville dans la ville Programme du voyage congr s 22 AVRIL Nuit l h tel Taj 10h30 Paris Bombay 23h30 Arriv e Bombay 23 AVRIL Nuit l h tel Taj Visite de Bombay 24 AVRIL Nuit l h tel Taj Rencontres franco indiennes de chirurgie dentaire 25 AVRIL Nuit l h tel Taj Covelong Bombay Madras en avion Excursion dans la r gion de Madras 26 AVRIL Nuit l h tel Taj Excursion dans la r gion de Madras Madras Madurai en avion 27 AVRIL Nuit l h tel Taj Visite dans la r gion de Madurai 28 AVRIL Nuit l h tel Spice Village Madurai Periyar en autocar 29 AVRIL Periyar Kottayam E
18. du TP de mani re sensibiliser les partici pants l importance de la qua lit de la mise en forme dans la r alisation de lobturation Rappelons que le syst me Pro Taper est un dispositif coni cit variable Il r pond aux exigences g n rales de la mise en forme canalaire mise en forme conique continue r gles de pr paration corono apicale ou encore maintien de la per m abilit apicale Ce syst me pr sente certaines sp cificit s J4 Evaluez vous e Connaissez vous des difficult s fr quentes lors de vos mises en forme canalaire e Combien de temps consacrez vous la r alisation d une pr paration canalaire e Vous arrive t il de fracturer r guli rement des instruments endodontiques Rencontrez vous des difficult s lors de l obturation canalaire Pratiquez vous les techniques de compactage de gutta chaude Inscrivez vous Pour l dition 2008 du TP ProTaper la SOP mettra l accent sur la probl matique de l obturation techniques une absence de m plats radiants un pas et un angle d h lice variables ainsi qu un avantage majeur il est simple et fiable d utilisation Par ailleurs on soulignera que les mises en forme cana laires obtenues respectent parfaitement le trajet cana laire tout en procurant des conicit s apicales importantes de 7 9 qui garantis sent un bon nettoyage et une obturation facile Toutefois afin d obtenir
19. du fait des produits d fectueux a elle aussi fait l objet d une longue volution dans laquelle est venue interf rer la r glementation europ enne L volution de la jurisprudence La jurisprudence a progressivement largi le champ des obligations des fabricants et fournisseurs profes sionnels Elle a d fini une obligation de s curit de r sultat leur charge quelle que soit leur place au sein de la cha ne de distribution permettant de rete nir leur responsabilit si la s curit laquelle on est en droit d attendre n a pas t respect e Ainsi la victime d un produit de sant pouvait faire retenir la responsabilit du fabricant uniquement en apportant la preuve du lien de causalit entre le dom mage et ce produit ainsi que du caract re anormal de ce dommage par rapport l usage annonc sans avoir d montrer le caract re d fectueux du produit ce qui tait tr s difficile pour elle JSOP n 2 f vrier 2008 En partenariat avec la MACSF Il est important de conna tre ce r gime initial particu li rement favorable aux victimes pour comprendre les r ticences du l gislateur et des magistrats fran ais l arriv e de la r glementation europ enne moins favo rable aux consommateurs Les r gimes applicables Outre la responsabilit du fait des produits d fectueux issue de la transposition en droit fran ais de la directive europ enne du 25 juillet 1985 voir ci dessous
20. efficacit la pr sentation des traitements il est important de r fl chir puis de rationaliser les tapes du d roulement de la premi re consultation cinq tapes de la pr paration du plan de traitement tude de cas tenant compte de la demande psychologique du patient et enfin de la s ance de pr sentation Faire preuve d une efficacit relationnelle Cela signifie tablir la confiance avec son patient sans perdre de temps Trois techniques sont employ es l coute l empathie aptitude se mettre la place de l autre de fa on distanci e et l assertivit affirmation de soi positive constructive et responsable sans agressivit ni pr tention Utiliser des techniques financi res permettra au patient de r aliser le traitement dont il a besoin 3 R pondre aux objections cette tape souvent sous estim e est pourtant la plus importante pour atteindre un haut niveau de pr sentation Trois techniques simples mais efficaces permettent d augmenter l acceptation des plans de traitement 1 motion Logique pr senter les avantages du traitement avant les aspects techniques 2 La fiert de ses honoraires pr senter les honoraires avec assurance et puis se taire afin de laisser au patient le temps de peser les avantages et les inconv nients de l acceptation du traitement Apr s cela trouver des solutions JSOP n 2 f vrier 2008 de r ussite da
21. et enfin d livrera quelques conseils simples pour viter la mise en cause de sa responsabilit m dicale JSOP n 2 f vrier 2008 15 TA Nouveau ciment de scellement auto adh sif et auto mordan ant e ni etching ni primer ni adh sif e colle tous les substrats nettoyage facile paisseur id ale du film e relargage de fluor e radio opaque utilisation simple et rapide Ciment de scellement universel auto adh sif Dual auto photo pour couronnes bridges inlays onlays tenons m talliques ou fibr s BP 60 L Op ra Propos en seringue auto m langeuse BisCem ne n cessite ni 13680 Lan on de Provence mordan age ni primer ni adh sif sur les surfaces de collage T l 04 90 42 92 92 Fax 04 90 42 92 61 Radio opaque Biscem relargue du fluor et permet un scellement efficace sur la plupart des mat riaux dentaires en toute simplicit Disponible en teintes Opaque et Translucide pour toutes les indications Dynexan 2 cr me buccale ENS ne de 16 aq AAA AAA Chlorhydrate de lidoca ne Traitement rpg lee D NOMINATION DYNEXAN 2 cr me buccale COMPOSITION Chlorhydrate de lidocaine 20 00 mg pour 19 FORME PHARMACEUTIQUE Cr me buccale DONN ES CLINIQUES Indications th rapeutiques Traitement symptomatique de courte dur e des l sions douloureuses de la cavit buccale Anesth sie locale de contact avant explorations instrumental
22. leront un inlay composite E TRAVAUX PRATIQUES Jeudi 22 mai 2008 Paris 14 Marriott Paris Rive Gauche H tel Bulletin d inscription et tarifs en JSOP n 2 f vrier 2008 Passez de la th orie aux travaux pratiques RE 22 mai 2008 MACSF DE 9 H 18H 14 travaux pratiques la carte pour vous perfectionner Au sein de chaque TP des groupes de 5 10 praticiens anim s par une quipe d enseignants Une formation compl te pour vous conduire au geste juste SNOILIVWJO d dOS PERS E E E E PUREE EUN SDZEUNS CRREREON SSS N TRAVAUX PRATIQUES JTP1 Endodontie m canis e syst me ProTaper LITP 8 Urgence r animation Responsables scientifiques Pierre Machtou Responsable scientifique Th r se Arvis EURE TP 9 Plan de traitement pluridisciplinaire JTP2 e Blanchiment et pose de digue Responsables scientifiques ric Hazan ric Serfaty 00 Responsables scientifiques Jean Jacques Louis Richard Kaleka 1TP3 Parodontie Responsable scientifique Bernard Schweitz LI TP 10 Traitement par orth se du ronflement et des SAOS Responsable scientifique Fr d ric Chabolle Li TP 11 Occlusodontie Responsables scientifiques Bernard Fleiter Dominique Estrade LATP 4 Composites directs post rieurs et ant rieurs par stratification Responsable scientifique Gr goire Kuhn LITP5 eo Facettes de c ramique coll es COMPLET Responsable scientifique Claude Launois CD LTP
23. marche suppose un cer tain tat d esprit et notamment le res pect d une thique Pour autant la pr sentation des plans de traitement ne doit pas tre percue comme un pi ge dans lequel on enferme le patient La reconnaissance de la qualit profes sionnelle du praticien d pend certes de la qualit des traitements Cepen dant le chirurgien dentiste ne peut plus tre consid r seulement comme un simple technicien de l art dentaire Il doit d sormais ma triser tous les as pects de la pratique dentaire y compris les aspects non cliniques S AFFRANCHIR DE TOUT EMPIRISME Ainsi la pr sentation des plans de traitement est une discipline plus complexe qu il n y parait Elle ne peut se r sumer une collection de recettes de cuisine R ussir dans cet exercice rel ve d une certaine m thodologie et de techniques de communication rationalis es Il est primordial aujour d hui de s affranchir des pr senta JSOP n 2 f vrier 2008 tions de traitement empiriques Le praticien doit se montrer profession nel dans ce domaine galement TRE PROFESSIONNEL QU EST CE QUE CELA SIGNIFIE 80 de l acceptation des traitements d pend d une approche profession nelle de cet exercice On peut la divi ser en quatre objectifs 1 Mieux valuer son contexte per sonnel L environnement dans lequel le praticien exerce son activit rural semi rural citadin l emplacement du cabinet ai
24. plusieurs r gimes juridiques peuvent tre invoqu s par le deman deur l appui de sa requ te e La responsabilit contractuelle Elle est d finie par l article 1147 du Code civil CC qui constitue encore aujourd hui le fondement de l action du praticien contre son fournisseur ainsi que le r gime applicable aux produits mis en circulation avant la loi du 19 mai 1998 Il dispose que le d biteur est condamn s il y a lieu au paiement de dommages et int r ts soit raison de l inex cution de l obligation soit raison du retard dans l ex cution toutes les fois qu il ne justifie pas que l inex cution provient dune cause trang re qui ne peut lui tre imput e encore qu il n y ait aucune mau vaise foi de sa part Ce fondement a t utilis par la 2 chambre civile de la Cour de cassation dans son arr t du 21 avril 2005 propos de l obligation de s curit de r sultat des cli niques fournissant des produits sanguins La charge de la preuve est d finie par l article 1315 CC Celui qui r clame l ex cution d une obligation doit la prouver R ciproquement celui qui se pr tend lib r doit justifier le paiement ou le fait qui a produit l extinction de son obligation e La garantie des vices cach s Elle se situe dans le cadre du contrat de vente et a moins vocation s appliquer un accident li un pro duit de sant ayant provoqu un dommage chez la per 13 1
25. pour faciliter la gestion des cas complexes L art de la pr sentation d un plan de traitement 6 Quelle responsabilit li e au contrat de soins Dlan A i a AL Plan de traitement mode d LE CLUB DES PARTENAIRES p 40 Acteon group AIREL AMPLI C D P V Belmont Biomet 3i BISICO France C N O A O S CdP Editions Wolters Kluwer CODIMED COLTENE WHALEDENT DEGRE K DENTAID DENTSPLY France DEXTER DISCUS DENTAL France DMK EMS FRANCE EUROTEC DENTAL ADEC FABHER FC Medical Device FKG Dentaire GACD GC France GENERIQUE INTERNATIONAL HENRY SCHEIN FRANCE ITENA Clinical IVOCLAR VIVADENT France KAVO DENTAL France KERR France KOMET FRANCE KREUSSLER LABOCAST LABORATOIRE CRINEX LABORATOIRES EXPANSCIENCE Laboratoires GABA MACSF McNeil SGP MEGA DENTAL NICHROMINOX NOBEL BIOCARE FRANCE NSK France PIERRE FABRE ORAL CARE PRED Procter amp Gamble France PROMODENTAIRE PROTILAB QUICK DENTAL S L B D SIRONA DENTAL SYSTEMS STRAUMANN France SUNSTAR MEDICADENT PHARMADENT VET Microscopie Dentaire ZIMMER DENTAL Miiran ST ANESTH SIE EMPREINTES RESTAURATION ENDODONTIE CIMENT D SINFECTION ET HYGI NE BLANCHIMENT PR VENTION INSTRUMENTATION CHIRURGIE DENSPLY INNOVE 4 XP Bond DN Nouvel adh sif monocouche auto actif N h sitez plus vous av
26. sa deuxi me pr molaire mandibulaire actuellement porteuse d un IRM apr s la d pose d un ancien amalgame fractur La d cision th rapeutique aboutit la r alisation d un onlay en composite coll Cas clinique n 2 Une patiente g e de 16 ans consulte pour une dol ance esth tique concernant l incisive cen trale maxillaire droite pulp e Elle aimerait conna tre les possibilit s th rapeutiques La d cision th rapeur tique aboutit un montage direct par stratification d un composite Cas clinique n 3 g e de 38 ans une patiente consulte pour la r habilita tion de son sourire Ce cas complexe est analys minutieusement avec la m me m thode que celle utilis e pour une restauration unitaire La simple lecture de la check list suffit pour d ci der la r alisation de six facettes de c ramique coll es Facteurs li s au praticien e Praticien exp riment e Degr d expertise dans le domaine du collage e Degr d expertise du laboratoire de proth se Couronne p riph rique oui Facettes c ramiques non Stratification ant rieure non 30 JSOP n 2 f vrier 2008 NEUF PRINCIPES INCONTOURNABLES Au total rappelons quelques prin cipes incontournables pour la r a lisation d un plan de traitement ef ficace e Dans notre profession m dicale il est indispensable d appliquer une m thode rigoureuse afin de s lectionner un mat riau et une technique de restauration m
27. une nouvelle technologie texturis l air constitu de fibres de polyester et de polyamide La nouvelle technologie de texturisation lair donne Comprecord une absorbance exceptionnelle et lui conf re une grande flexibilit Comprecord s adapte ainsi facilement au sulcus sans s effilocher ea est un fil de r traction ELSODENT Total Harmony DESCRIPTIF Mat riau d impression monophase fortement du screw post et la bague du foret permettant un rep rage imm diat e Une r glette de calibrage pour une s lection ais e du diam tre puis de la longueur e Une rainure pour l vacuation des exc s de ciment et une bonne r partition des contraintes dans la zone apicale e Premi re mondiale un foret de forme h lico dale Il n y a ainsi aucune vibration et le calibrage obtenu est parfait Cette forme permet aussi une bonne vacuation des d bris dentinaires e Un coffret avec une organisation ing nieuse par diam tre ainsi qu une forme l gante Les diam tres peuvent tre facilement identifi s gr ce au code couleur des fils Comprecord est disponible en quatre tailles tr s fin fin moyen et pais COLT NE WHALEDENT FRANCE 19 boulevard Alexandre Oyon 72058 Le Mans Cedex T l 02 43 39 30 30 hydrocompatible base de vinyle polysiloxane 10 embouts m langeurs Compatible avec toutes les machines de m lange Avantages e Consistance m dium et thixotrope
28. 12 Proth ses fix es Responsable scientifique Herv Choukroun ITP 6 Proth se sur implants LI TP 13 Instruments ultrasonores Responsable scientifique Corinne Touboul Responsable scientifique Gilles Gagnot ITP7 Composites post rieurs Li TP 14 Endodontie m canis e en m thode indirecte syst me FKG NOUVEAUT Responsable scientifique Pascal Zyman Responsable scientifique Bertrand Khayat MARRIOTT PARIS RIVE GAUCHE H TEL 17 BD SAINT JACQUES 75014 PARIS PAIEMENT EN LIGNE www s0p 0ss0 fr IPARIS o a pam asih SOP rue Jean Hugues 78116 Paris gt p esee LE KIOSQUE TARIF SP CIAL H TEL 170 NO e Pr nom 2 2 nm netoatene Offre r serv e aux participants 170 euros la chambre single ou double pour la nuit nn eee encccnnesssmmmmneneeemence nec memmeneeeeeeeccc eme neeeeeeeecccemmmeneeeeeeses du 21 au 22 mai 2008 T l au Marriott Paris Rive Gauche H tel T nombre de chambres limit Contact service R servation Ta ui a ae Tarifs Q pr ciser Journ e SOP se a T l 01 40 78 78 40 Fax 01 40 78 78 04 Inscription avant le 14 mars 2008 membres SOP et FSSOSIF 320 autres 380 O Inscription apr s le 14 mars 2008 membres SOP et FSSOSIF 360 autres 420 5 Accepteriez vous que vos coordonn es Voulez vous recevoir soient communiqu es nos partenaires un fichet r duction L Oui L Non L SNCF J Air France e eeen
29. 4 eso sonne trait e Elle est d finie par l article 1641 CC et peut recevoir application par exemple pour l action d une clinique contre le vendeur du mat riel ou du produit Cet article pr voit que le vendeur est tenu de la garantie raison des d fauts cach s de la chose ven due qui la rendent impropre l usage auquel on la des tine ou qui diminuent tellement cet usage que l acheteur ne l aurait pas acquise ou n en aurait donn qu un moin dre prix s il les avait connus Les articles 1642 1646 en pr cisent le r gime L article 3 de l ordonnance du 17 f vrier 2005 pr voit que l action r sultant des vices r dhibitoires doit tre intent e par l acqu reur dans un d lai de deux ans compter de la d couverte du vice Ce fondement a t utilis par la Cour de cassation dans son arr t du 8 avril 1986 propos de l administration concomi tante en 1974 et 1975 de Cordarone amiodarone et de Pexid perhexiline mal ate ayant provoqu des troubles neurologiques Cette action ne devrait pas permettre l indemnisation du dommage autre que celui li l atteinte au bien vendu et notamment pas celle d un pr judice corporel Or l aussi la jurisprudence a volu Ainsi la cour d appel de Colmar dans son arr t du 30 octobre 2002 propos d un accident provoqu par le d tachement d une roue le jour m me de la vente d un v hicule a admis l action du propri taire
30. N assureur 38 po L MENTS doivent tre r unis pour mettre en cause la responsa bilit d un praticien e une faute e un pr judice e un lien de causalit entre les deux La responsabilit civile professionnelle est une responsabilit contractuelle qui unit un patient et un praticien li s par un contrat de soins Patient et praticien ont des obliga tions r ciproques Pour le patient elles consistent donner toutes les informations sur son tat de sant suivre les ventuelles prescriptions respecter les conseils et le suivi th rapeutique et ne pas rompre ce contrat unilat ralement sauf cas de force majeure Du c t du praticien la liste est plus longue et se d cline sous forme d obligations obligation de moyens pour tous les soins de r sultat pour la pi ce proth tique de s curit de prudence ou encore d in formation De cette derni re obliga tion d coule le consentement ou le refus clair Cette information due au patient doit entre autres porter sur son tat bucco dentaire les diff rents traitements possibles adapt s son cas leur uti lit et leur urgence l volution possi ble en l absence de soins les pr cau tions prendre et enfin le co t ainsi que les modalit s de prise en charge JSOP n 2 f vrier 2008 C est le praticien qui doit apporter la preuve que cette information a bien t d livr e ventuellement pa
31. NE Information m dicale Les Fontaines 81106 Castres Cedex T l 05 63 51 68 00 Pharmacovigilance 01 49 10 96 18 Pour une information compl te consultez le dictionnaire VIDAL EXPERT EN SOINS DENTAIRES TN PIERRE FABRE ORAL CARE dossier X cal pour d pister les signes d appel lui permettant de consul ter rapidement avant qu un inci dent ne survienne On d finira enfin les objectifs sp cifiques chaque patient Ils peu vent tre en rapport avec une acti vit sportive un aspect esth tique ou un probl me de mastication dif ficile ou douloureuse Ces objectifs tiendront lieu de leviers de motiva tion du patient dans le temps Dans notre approche l acquisition d une bonne connaissance de la ma ladie constitue la priorit face aux objectifs de s curit dans la mesure o ces pathologies n engagent que tr s exceptionnellement le risque vital exp rience de la maladie pa rodontale rend par ailleurs la plu part des patients r ceptifs l abord cognitif qui viendra soutenir les objectifs de s curit Mise en uvre du programme d du cation th rapeutique du patient cf tableau 2 Les s ances d ETP seront coupl es aux s ances de soins et se d roule ront de pr f rence apr s le temps de soins Pour des raisons de confidentialit le diagnostic ducatif sera r alis en s ance individuelle Il en sera de m me pour l apprentissage au bros sage en raison du
32. R valuation occlusale Traitement proth tique final Goutti re interocclusale 10 Maintenance Dans le cas clinique tudi la chrono logie du traitement est la suivante e d pose des couronnes bridges et proth ses provisoires e traitement endodontique e r valuation occlusale e proth ses c ramo m talliques e goutti re e maintenance O OI UP N Pp SOMMES NOUS COMPETENTS En octobre 1995 le traitement est achev L incisive centrale n a toujours pas t trait e elle sera r alis e dans un second temps ainsi que la pose d une goutti re Au total le traitement aura dur 17 mois El Le patient est suivien maintenance sans pr senter de probl me jusqu en 2005 Puis en 2006 le patient consulte pour des fractures radiculaires 46 24 14 Afin de comprendre cette situation et remettre en place un projet proth tique un bilan complet est n cessai re Le plan de traitement prendra en consid ration e des crit res de construction position de r f rence DVO plan d occlusion RC ICM guide ant rieur e les alternatives th rapeutiques e les tapes th rapeutiques e la notion de patient risque Le praticien peut alors proposer plu sieurs solutions les extractions des dents 14 24 46 f et la pose d implants sur les 14 15 16 46 47 la pose de pro th ses transviss es solidaris es Dans un cas complexe la question de l laboration du traitement r
33. aire et sa demande la dur e entre deux ren dez vous sera port e trois six ou douze mois Le patient sait qu il peut venir consul ter en cas de besoin sans attendre la date fix e par avance Si le pa tient prouve des difficult s main tenir sa motivation ou rencontre un probl me particulier li sa pathologie une reprise ducative sera effectu e concomitamment aux soms Ce que fait le praticien dossier LA MISE EN UVRE DU PROGRAMME D DUCATION DU PATIENT suite Quatri me s ance individuelle ou en groupe Objectif e S expliquer l inflammation gingivale reprise de la 2 s ance Reconna tre les signes de l inflammation Etre capable de s auto valuer dans la reconnaissance de l inflammation et de prendre des d cisions ad quates Activit Expliciter des planches d crire les sympt mes ressentis lors d pisodes inflammatoires Lister les signes d appel d une parodontopathie Travailler la prise de d cision dans diff rents cas de figure cartes de Barrows Ce que font les patients Mettent leur exp rience en commun Explicitent et discutent leurs choix Cr ent leur fiche d auto valuation pour rep rer les signes d une parodontopathie Ce que fait le praticien Facilite l expression des patients Aide l explication des cartes de Barrows Effectue un renforcement positif lorsque les raisonnements et les prises de d cisions sont judicieux rectifie les inexactitu
34. an de traitement pages suivantes coordonn par Ph Safar a t r alis avec le concours de Y Bis muth Ph Jouard Ph Viargues E Bouaziz P Jonas E Estrade et de tous les conf renciers qui ont ac cept ce surcro t de travail 27 Les rendez vous de la formation continue odontologique L apparente facilit d une restauration unitaire peut laisser place des complications si d s le d part le praticien ne s astreint pas une d marche clinique planifi e ROP SOUVENT face des restaura tions de dent unitaire le praticien estime superflu de r fl chir et d ar gumenter son diagnostic pr alable indispensable l tablissement d un plan de traitement Cet acte jug sim ple et quotidien est alors r alis rapi dement et quasi automatiquement ce qui provoque r guli rement des effets ind sirables voire des checs uzzle Physiologique l Pi DA i Fonctonnel 28 T M ca mque JSOP n 2 f vrier 2008 Toute intervention clinique m me simple en apparence n est jamais anodine et exige une approche glo bale une d marche clinique r fl chie et une planification Autrement dit un plan de traitement Dans le plan de traitement le diag nostic constitue la premi re phase indispensable la r ussite et la fiabilit d une restauration En den tisterie restauratrice le diagnostic et le plan de traitement peuvent se construire sur quatre niveaux d
35. antes e Fabriqu en Su de CODIMED 59 rue de Ponthieu 715008 Paris T l O1 45 63 41 41 LES PLUS PRODUIT e Insertion aussi facile et rapide qu un coin interdentaire e Disponible en deux largeurs droite et gauche de coins interdentaires e Code couleur pour une identification ais e e Plastique et couleurs approuv s pour l alimentation polyprop ne e Acier inoxydable LES PLUS PRODUIT e Tous les mat riaux et accessoires r unis en une mallette e Compl mentarit et compatibilit garanties e Un protocole illustr valid par les plus grands universitaires e L assurance d une reconstitution corono radiculaire r ussie obtenue est alors de qualit remarquable extr mement solide durable et esth tique Un protocole illustr tr s clair et d monstratif guide l acte en d tail Prix de vente 289 TTC ITENA 153 avenue Victor Hugo 75116 Paris T l 01 45 91 30 06 ITENA 1 Posts DESCRIPTIF Nouvelle g n ration de screw posts dans le domaine de la reconstitution corono radiculaire et fabricant du syst me de tenons Dentoclic lance i Posts des screw posts d une toute nouvelle g n ration Les screw posts ITENA se diff rencient des screw posts classiques par des innovations techniques r volutionnant la pratique quotidienne e Un code couleur sur la t te L LABORATOIRE ITENA innovant ROEKO Comprecord DESCRIPTIF Fil de r traction texturis l air issu d
36. articipants r pondre aux questions qu ils se posent e Veille ce que tous les patients participent e Reformule compl tent et rectifie si n cessaire ce que les patients ont dit Ce que fait le praticien valuation de l atteinte des objectifs e Les patients expliquent avec leurs mots les sch mas qui leur sont pr sent s Troisi me s ance Objectif Activit e Choisir parmi un panel de mat riel celui qui convient le mieux e Se brosser les dents e Utiliser un r v lateur de plaque pour v rifier l efficacit du brossage e Reprendre le brossage l o il reste de la plaque e Se brosser les dents y compris dans les zones difficiles d acc s Ce que fait le patient e Choisit le mat riel ad quat compte tenu de ses besoins e Se brosse les dents e V rifie l efficacit de son brossage avec du r v lateur de plaque e _Visualise et limine la plaque r siduelle avec ses outils de brossage Ce que fait le praticien e Aide trouver les r ponses quant au choix du mat riel e Donne des indications sur le choix judicieux e Veille ce que le patient choisisse entre se brosser les dents directement seul sans d monstration pr alable Fait la demande du patient une d monstration du brossage sur un macromod le Laisse le patient s exercer sur le macromod le rectifie les mouvements puis le patient se brosse ses dents e Indique le mode d emploi du r v lateur de plaque aide le patient visua
37. bilitations complexes o les conf ren ciers ont pr sent leurs checs Au niveau p dagogique il tait int ressant de com prendre pourquoi le traitement n a pas fonctionn Sur le plan psychologique c est aussi tr s rassurant de constater que l on n est pas seule tre confront e des checs th rapeutiques DAVANTAGE DE RIGUEUR POUR LES RESTAURATIONS UNITAIRES Pierre Despois 54 ans omnipraticien au Perray en Yvelines 78 Je suis ravi d avoir assist cette for mation d un tr s bon niveau et sans aucun temps mort Les conf rences m ont confort dans la syst matisation du plan de trai tement Lors de la premi re consultation Je pense que je vais m appliquer encore davantage de rigueur notamment pour Les restaurations unitaires C est vrai on pense qu il s agit des cas les plus simples et qu ils n exigent pas de plan de traite ment mais la pr sentation des conf ren ciers m a prouv que c tait une erreur ON N ENSEIGNE PAS CETTE D MARCHE LA FACULT Bengta Kuthu 53 ans omnipraticienne Saint Pierre les Nemours 77 Cette journ e plac e sous le signe de la communication avec le patient tait particuli rement conviviale La forme tr s interactive des conf rences notamment la premi re m a vraiment donn envie de me tourner vers les inlays onlays D habitude on sort des journ es de la SOP avec une ou deux astuces pratiques Cette fois c
38. ci t odontologique de Paris est particuli rement heureuse de remettre ce prix qui r compense le travail du D Thomas Vanel et lui adresse ses f licitations pour cette brillante promotion W P Louis Verch re Yvan Bismuth et Louis Verch re entourent Thomas Vanel laur at 2007 du prix de la SOP de l Acad mie dentaire Thomas Vanel est l auteur Lu remarqu d une th se intitul e Impact des facteurs humains dans l int gration esth tique d un l ment c ramique JSOP n 2 f vrier 2008 Avez vous la bonne m thode pour vaincre le stress Patients exigeants contraintes administratives 20 TN 2008 et r glementaires obligation de r sultat clinique DE 9H 18H pression financi re le stress cela n arrive pas qu aux autres STRESS ET SI ON Les praticiens disposent d un ventail de r ponses utiles et acces sibles qu il leur faut conna tre Au cours de s ances interactives PENSAIT N 0 US l et partir de clips vid o trois conf renciers sp cialis s donneront dans diff rentes situations un clairage rationnel de ce ph nom ne et proposeront des outils simples adapt s nos niveaux U O T T e 7 S gt a e Z U N oc Le jeudi 20 mars destress 2008 participez la journ e SOP e ric Galam Mieux comprendre pour mieux agir ES e Jean Raoul Sint s Evaluer son niveau de stress pour adapter et mettez en application ae votr
39. cien rel ve les donn es de l entretien clinique et proc de un examen cli nique ainsi qu des examens compl JSOP n 2 f vrier 2008 mentaires radiographies et mod les d tude El D une mani re g n rale afin d estimer le probl me central d un patient le praticien doit tre attentif aux probl mes d ordre e AIM e musculaire e proth tique reconstruction e parodontal e endodontique e g n ral e et tout autre probl me urgent comme la douleur par exemple LES DIX TAPES DU TRAITEMENT CLASSIQUE Apr s avoir r alis des empreintes d tude le praticien monte les mod les sur articulateur recherche les pr ma turit s et contr le la valeur du guide ant rieur Afin de d terminer les objectifs du plan de traitement pour une reconstruction complexe le praticien doit tudier la position de r f rence cf l arbre d ci sionnel ci contre la dimension verti cale le plan d occlusion la relation intermaxillaire RC ICM Dans ce cas clinique comme les quatre quadrants sont refaire le praticien envisage de reconstruire en position de relation centr e Le guide ant rieur est fonc tionnel il sera conserv Les 10 tapes th rapeutiques d un trai tement classique sont les suivantes Traitement parodontalinitial Proth ses provisoires Traitements endodontiques R valuation parodontale Traitement parodontal Orthodontie
40. de sa citation en justice Article 1386 10 Le producteur peut tre responsable du d faut alors m me que le produit a t fabriqu dans le respect des r gles de l art ou de normes existantes ou qu il a fait l objet d une autorisation administrative Article 1386 11 Le producteur est responsable de plein droit moins qu il ne prouve 4 que l tat des connaissances scientifiques et techniques au moment o il a mis le produit en circulation n a pas per mis de d celer l existence du d faut c est dire le risque de d veloppement sauf dommage caus par un l ment du corps humain ou par les produits issus de celui ci arti cle 1386 12 Ce syst me peut se pr senter comme moins favorable la victime l action est enserr e dans des d lais rigou reux dix ans compter de la mise en circulation du produit et trois ans compter de la date du dommage elle ne peut tre mise en uvre contre le fournisseur direct que si le producteur n est pas identifi et sur tout la victime doit d montrer le d faut W Germain Decroix juriste Le Sou m dical Groupe MACSF NB La suite de cet article qui sera publi e dans le JSOP n 3 dat mars 2008 abordera les points suivants Qu est ce qu un produit d fectueux Qu est ce que la mise en circulation Quelle responsabilit pour le praticien Elle pr sentera une illus tration du propos avec l exemple d une proth se d fectueuse
41. des en cherchant l origine des appr ciations erron es valuation de l atteinte des objectifs Les patients d crivent les signes objectifs saignement et subjectifs sensibilit de l inflammation gingivale Ils choisissent correctement et justifient leurs d cisions d action face diff rents probl mes pr sent s Cinqui me s ance Objectif Savoir utiliser les ressources existantes valuer et r capituler l enseignement l hygi ne orale Activit Cas simul s de patients ayant un probl me r soudre en dehors de leur cadre habituel g ographique ou en l absence de leur praticien traitant Ce que font les patients Recherchent des solutions discutent Participent posent des questions sur les points demandant une clarification Reformulent des explications de sch mas et explicitent des gestes en les justifiant coute veille ce que chacun participe aide formuler met sur la voie lorsque les patients ont des difficult s e Exactitude des explications donn es et des raisonnements y conduisant valuation de l atteinte des objectifs CONCLUSION Les parodontopathies sont des maladies chroniques dont la pr va lence varie entre 10 et 71 se lon les tudes 87 de la popula tion n cessite des soins gingivaux ANAES 2002 Elles peuvent tre stabilis es gr ce des soins r gu liers pour lesquels la participation active du patient est essentielle Cette constata
42. du v hicule contre le ven deur pour le garantir de l indemnisation de l ensemble du pr judice y compris corporel du tiers victime de l accident D autre part l action sur la base de la garantie des vices cach s a t admise pour un tiers par rapport au contrat par un arr t de la Cour de cassation du 17 janvier 1995 propos de la blessure d un enfant par un cerceau en plastique vendu une cole e La protection des consommateurs Issue de la loi Lalumi re du 21 juillet 1983 elle a t ins r e aux articles L 221 1 et suivants du Code de la consommation Il est ainsi pr vu article L 221 1 que les produits et les services doivent dans des conditions normales d utilisation ou dans d autres conditions raison nablement pr visibles par le professionnel pr senter la s curit laquelle on peut l gitimement s attendre et ne pas porter atteinte la sant des personnes Mais une r serve vis vis des produits de sant est formul e dans l article L 221 8 Les mesures pr vues au pr sent titre ne peuvent tre prises pour les produits et services soumis des dispositions l gislatives particuli res ou des r glements communautaires ayant pour objet la protection de la sant ou de la s curit des consommateurs sauf en cas d urgence celles pr vues aux articles L 221 5 et L 221 6 Ces dispositions proches des principes d gag s par la jurisprudence avant la directive europ enne
43. e formation d s le lendemain Deborah Tigrid Des solutions concr tes aux situations dans votre cabinet de stress au quotidien En savoir plus Journ e ouverte sur le stress aux assistantes au Marriott Paris Rive Gauche H tel nombre de chambres limit Contact service R servation pr ciser Journ e SOP T l 01 40 78 78 40 Fax 01 40 78 78 04 Inscription membres SOP et FSSOSIF 310 autres 370 Assistantes 250 co A ai O ao L Accepteriez vous que vos coordonn es Voulez vous recevoir soient communiqu es nos partenaires un fichet r duction L Oui L Non LI SNCF LI Air France Lire re PRE BULLETIN D INSCRIPTION ans ie JSOPn 9 ES STRESS ET SI ON PENSAIT NOUS b a falslita MARRIOTT PARIS RIVE GAUCHE H TEL Sp ite i 17 BD SAINT JACQUES 75014 PARIS PAIEMENT EN LIGNE www sop asso fr O w l retourner accompagn de votre r glement prie ne SOP 6 rue Jean Hugues 75116 Paris Sp par LE KIOSQUE NO lt PrENOM Sn en eu D E EE TARIF SP CIAL H TEL 155 E S A A AAE E A TE E EEE Offre r serv e aux participants 155 euros ail a be a u AU Po DU SR E E E Adresse e mail du 19 au 20 mars 2008 l l Tarifs b AcTUALITES Honoraires et nomenclatures le livre Le risque de manquer un pisode du feuilleton passionnant qui s imprime chaque semaine dans l Informat
44. e prix l affaire DR DE as T TE RS R ne souffre pas de d lai Il s agit aujourd hui de prendre en compte une v ritable r volution ere dans un mode de vie o le plaisir et les sensations doivent trouver leur assouvissement www sop asso fr Secr tariat Tant et si bien que les professions m dicales moins d un d voiement de leur mission secr tariat sop asso fr Pr sidence pr sident sop asso fr et d une d gradation de leur moralit ne peuvent que laisser le champ libre aux industriels ceux de l agro alimentaire par exemple aux compagnies d assurances ISSN 1285 3933 compl mentaires aux collectivit s qui usurpent leur r le dans la gestion de la sant R gie publicitaire des citoyens en captant une d marche mergente de la population avec pour r sultat Philippe Chalanset la mise en coupe r gl e de ce qui reste d un pouvoir m dical d bord par le marketing La Ngampis Six la puissance de l argent et du profit DISONS ngampis six sop asso fr Est ce dire que la situation est perdue Sur le plan individuel nous ne le croyons pas Impression ACTIS Il nous semble que la seule r ponse r side dans l application et le s rieux que nous mettons d livrer des soins clair s et attentifs nos patients Sur ce point il faut p renniser l effort des professionnels de sant pour la formation continue car nous restons 2 inexpugnables Sur le plan collectif en tant que corps social il
45. elation ost o int gr e implique des r alisations d implants e a relation dentaire partielle implique des ancrages partiels scell s ou coll s e la relation dentaire compl te impli que des ancrages p riph riques Le praticien part toujours de l ven tualit de la solution implantaire fixe E c est le choix princeps envi sager absolument La proth se amovi ble sera r serv e la restauration tem poraire ou l dentement associ Pour une solution implantaire fixe il faut e une paisseur d os sup rieure ou gale 5 mm une profondeur sup rieure ou gale 10 mm et un couloir osseux espace existant entre les axes des dents voisines suffisant c est dire sup rieur ou gal 6 mm e un alignement correct de l os dispo nible par rapport aux dents voisines et antagonistes e une dimension verticale suffisante en occlusion e une acceptation des modalit s s quen tielles du traitement par le patient lon gueur phase chirurgicale inconfort de la proth se temporaire etc DES SOLUTIONS DIFFERENTES En partant de quatre cas cliniques tr s voisins en mati re d dentement les r ponses aux questions du praticien aboutissent travers ces arbres d ci sionnels des solutions restauratrices diff rentes Cas clinique n 1 El La 62 est extraire Les dents voisines sont intactes l den tement est suffisamment large le contexte osseux favorable en pais seur
46. ents piliers s av re importante rendant visi bles des ancrages partiels I dans ce cas la lourdeur d un traitement ortho dontique doit tre mise en balance avec le r sultat escompt en termes d conomie tissulaire financiers et esth tiques L abrasion des bords li bres des dents piliers est importante La solution retenue consiste en un bridge avec pr parations p riph riques sur dents pulp es Cas clinique n 4 Le contexte os seux semble d favorable la solu tion implantaire La centrale est cer tes en parfait tat mais les valeurs intrins que et extrins que des dents post rieures s av rent d favorables Pour ces raisons apr s information du patient qui participe la prise de d cision la solution implantaire est retenue On le voit quatre cas cliniques assez proches ont g n r quatre solutions diff rentes Celles ci restent d pen dantes des conditions anatomiques de la r gion restaurer de l tat g n ral de la bouche du patient de ses possibilit s financi res et enfin des connaissances scientifiques et tech niques du praticien W Les conditions anatomiques sont elles favorables Charge imm diate Programmation de la pose d implant et temporisation plus compliqu es Quels compromis accepter LA LA LA PRUDENCE versus TEMERITE Quelle temporisation et combien de temps JSOP n 2 f vrier 2008 Les rendez vous de la fo
47. er une s ance dans l ann e D D a D DU DU DUN N UN ON ON UN UN DU UN UN DEN a UN UN UN UN NO UN UN Nu un nu N 2 f vrier 2008 FORMATIONS SOP 2008 gt G rer le stress 20 mars 2008 degh 18h Bulletin ge d i inscription gt Voyage congr s Inde x 22 avril 2008 4 mai 2008 Bulletir d PART 2 p 11 gt Travaux pratiques 22 Mai 2008 degh 18h Bulletin si HS gt Journ e t l vis e 12 juin 2008 de9h 18h gt F lures et fractures 16 octobre 2008 degh 18h LISTE DES ANNONCEURS Bisico p 16 CIP7 p 24 CNQAOS p 26 Dentsply P 4 FKG De GC p 26 Kreussler Pharma p 16 Les Editions de Chabassol p 39 MACSF P 44 Pierre Fabre Oral Care p 22 Protilab P 43 ACTUALIT S p 6 n 6 Thomas Vanel laur at du prix de la SOP Honoraires et nomenclatures le livre 6 Rencontres franco indiennes de chirurgie dentaire LE DROIT DU PRATICIEN p 13 15 0 Mat riel d fectueux quelles responsabilit s PRATIQUE e Syst me ProTaper optimiser la mise en forme pour r ussir l obturation 6 Composites post rieurs en m thode indirecte quand comment pourquoi p 17 19 DOSSIER L DUCATION TH RAPEUTIQUE DU PATIENT APPLIQU E LA PARODONTOLOGIE p 20 25 D O eMmpIoI p 27 6 Restauration de la dent unitaire une trompeuse simplicit Petits dentements grande palette de traitements e Une approche globale
48. es en odontostomatalcgie Posologieet mode d administration Adulte eit enfant de plus de 6 ans Application de 0 5 g de cr me 4 fois par jour maximum Contre indications Ne pas utiliser en cas d hypersensibilit l un des constituants de la formule en particulier la lidocaine ou aux anesth siques locaux en g n ral Mises en garde Ne pas utiliser chez l enfant de moins de 6 ans Interactions En principe ne concernent pas l utilisation par voie locale Grossesse Utilisation possible sur une courte p riode el sans d passer les doses pr conis es Allaitement Utilisation possible Effet sur l aptitude conduire des v hicules et utiliser des machines Pas de donn es particuli res Effets ind sirables Des r actions allergiques sont possibles Surdosage Non attendu dans les conditions normales d utilisation PROPRI T S PHARMACOLOGIQUES Propri t s pharmacodynamiques Effet rapide une minute et de longue dur e environ une heure Propri t s pharmacocin tiques M tabolisme h patique et limination urinaire S curit pr clinique Ce traitement ne doit pas tre administr sur une longue p riode et au del des doses pr conis es DONN ES PHARMACEUTIQUES Liste des exciplents Chlorure de benzalkonium thanol 96 m lange aromatique Incompatibilit s Sans objet Dur e de conservation 3 ans Ne pas conserver plus de 25 C Nature et contenu de l emballage ext rieur 10 gen ro t
49. est l importance des sollici tations occlusales e Quel est l tat de la gencive quanti tativement et qualitativement e Quel est le degr de visibilit des dents concern es IMPLANT FIXE LE CHOIX PRINCEPS La difficult consiste dans la hi rarchi sation des facteurs d cisionnels cf pa ge 33 Pour ce faire il convient d obser ver attentivement les d tails raisonner et opposer les arguments Que doit on observer D B e les radiographies e le sourire du patient e les mod les d tude qu il faut imp rativement r aliser quel que soit le cas Ceux ci permettront l examen de la dimension de l dentement du niveau des collets de laxe des dents des che vauchements des reliefs ost omur queux et des reliefs occlusaux gr ce notamment la possibilit d obser ver l occlusion du c t lingual e l tat parodontal et le degr de mo bilit des dents piliers Dans sa r flexion le praticien doit ga JSOP n 2 f vrier 2008 31 e z Vous de la formation continue odontologique ITILIE m 25 30 35 Central panorama 32 e o lement int grer sa comp tence et la borer plusieurs propositions afin de r pondre aux attentes du patient Par ail leurs l int gration d une proth se im plique une relation entre des l ments de la bouche et des dents artificielles e la relation dento muqueuse impli que la proth se amovible e la r
50. ez tout compris Avec XP Bond le nouvel adh sif de Dentsply ne choisissez plus entre performance simplicit polyvalence et ergonomie Adepte du collage avec mordan age classique vous b n ficiez d une r sistance et d une tanch it prouv es avec une mise en uvre simple une seule application sans frotter Que demander de plus La polyvalence XP Bond se plie toutes vos exigences que ce soit en technique directe ou indirecte ER i XP Hande Ho AT 2A www dentsply fr DENTSPLY 4 rue Micha l Faraday 78180 Montigny Le Bretonneux T l 01 30 14 7 Fax 01 30 14 77 00 N 2 f vrier 2008 Philippe Safar Sous traitance En l espace d une g n ration c est dire en 25 ans peine nous avons assist Soci t odontologique de Paris au d clin du pouvoir des professions m dicales au premier rang desquelles la n tre o du La question se pose de percer jour le pourquoi du sens de l histoire selon lequel T l 01 42 00 29 13 in luctablement se d grade l image du th rapeute non pas en tant qu individu Ha 012 00 00e toutes les enqu tes d opinion le prouvent mais en tant que partie d un groupe Tirage et diffusion socioprofessionnel autrefois notablement repr sent sur les bancs OCO eaaa du pouvoir politique en France et aujourd hui en totale d saffection Abonnement 1 an 10 num ros 10 euros Il est vrai que tout concourt au repli sur soi
51. i c est une philosophie globale de traitement du patient qui tait propo s e Et ce type de d marche on ne l en seigne pas la facult DR ANNUAIRE DENTAIRE l annuaire professionnel du monde dentaire avec VOUS PASO ANNUAIRE DENTAIRE EE F be gl LA e Bieniait La vie c t souri wran T 4 man Las annee bartet h AN ALTIS ENTAIRE 365 jours an WWW annuairedentaire com CLUB DES PARTENAIRES SUPPORT DESIGN Perfect Advanced DESCRIPTIF La premi re selle chancr e du march sp cial homme ainsi qu un soulagement de la pression sur les vert bres Ergonomique l assise est rendue plus confortable avec langle d inclinaison r glable angle ouvert form par le dos et la hanche limine les tensions et l paisseur du rembourrage permet de rester droit correctement et confortablement assis des heures durant Perfect Advanced est chancr lavant avec une rainure longitudinale permettant une meilleure ventilation E TABOURET SELLE PERFECT ADVANCED DIRECTA FenderMate DESCRIPTIF Combinaison r volutionnaire d une matrice sectionnelle et d un coin interdentaire VEC UNE MATRICE ET UN COIN INTERDENTAIRE ins r s solidairement FenderMate aide r aliser des restaurations efficaces Dot d un design unique le coin FenderMate et Fender Wedge tablit invasive minimale pour les pr parations et restaurations de classe II interdentai
52. ie buccale du patient son budget emportent finalement le choix th rapeutique OMME POUR LES RESTAURATIONS des dents unitaires dans les petits den tements il faut valuer les facteurs d influence et viter les cumuls de risques Pour les facteurs biologiques d une part et ceux li s au patient et au praticien d autre part l argumentation est la m me que s agissant de la dent unitaire Pour les facteurs fonctionnels m caniques esth tiques et technolo giques il faut en revanche ajouter les probl matiques de l ancrage du choix des dents piliers de leur mobilit rela tive et du type de connexion CONSTRUCTION FUSIONNELLE OU COOPERATIVE Le plan de traitement d une dent uni taire suppose une construction fu sionnelle au sein d un seul l ment alors que le plan de traitement d un petit dentement peut conduire deux types de r alisation une construction fusionnelle pour une restauration sur implant ou une construction coop rative lorsque plusieurs l ments indi viduels sont associ s L arbre d cisionnel cf page 32 pour aboutir un plan de traitement coh rent d coule des r ponses une s rie de questions sur le mod le suivant e Peut on placer un implant ou faut il mutiler des dents e Quel est l tat des dents voisines e Quel est le volume des ventuels piliers e Quelle place est disponible trans versalement et verticalement e Quelle
53. ion consis tait dans la pr sentation de cas cliniques sous la forme d un d bat contradictoire entre deux intervenants Ce mode de conf rence permettait de repr senter le praticien en situation analysant les signes cliniques les valuant et argu mentant voix haute pour d finir ses choix th rapeutiques L originalit et lin t r t de la journ e tenaient galement moins la pr sentation d un plan de traitement et le th me de la journ e un plan de traitement pour quoi faire le sugg rait qu au d veloppement d une m thode pour y parvenir C est ainsi que les choses devraient chaque fois se passer pour chacun d entre nous lorsque nous sommes face un nou veau cas un questionnement complet et sans a priori comme pr alable toute prise de d cision Jean Pierre Attal et Gil Tirlet ont trait de la dent unitaire et de sa trompeuse simplicit Alain Bra bant et Dominique Estrade ont propos des plans de traitement pour quatre cas cliniques tr s proches mais g n rant des solutions diff rentes Jean Fran ois Laluque et Daniel Brocard ont trait de l approche globale permettant de faci liter la prise de d cision pour les cas complexes Edmond Binhas a propos une approche rationnelle de la commu nication entre praticien et patient Enfin Philippe Pommar de a insist sur la pr vention des risques de litige avec les patients I Le compte rendu synth tique de la journ e Pl
54. ion dentaire n existe plus l album complet vient de sortir R sultat un outil pratique indispensable sur le th me abord et nomenclatures ditions SNPMD Concepts Gestion H ONORAIRES ET NOMENCLATURES Il m chappera pas au lecteur attentif que ce titre annonce dans sa concision un contenu d autant plus int ressant qu il sous entend par la forme plurielle adopt e d autres clas sifications que la seule nomenclature g n rale des actes professionnels NGAP Nous avons d une part une NGAP obsol te ne d crivant qu une partie des actes et d autre part une s rie d actes r guli rement r alis s par les praticiens qui ont volu dans leur technique parce que la formation continue a int gr et diffus ces nou veaux actes Tout cela est connu Les trois crit res d valuation des actes pleinement clarifi s En revanche l exacte classification des diff rents actes en opposables non opposables et non remboursables n est pas n cessairement d crypt e par tout un chacun De m me que les questions du devis dans quelles cir constances faut il en pr senter un au patient ou de l en tente directe ne sont pas toujours claires Gestion Honoraires Marc Sabek Collection ditions SNPMD Paris 107 pages 40e Dans ce recueil Marc Sabek qui est expert pr s la cour d appel d Orl ans mais aussi actif dans la formation continue et le syndicalisme nous propose
55. les t ches administratives se multiplient Prix au num ro 1 55 euro l exc s et les contraintes de tous ordres tatillonnes rendent l exercice du th rapeute R dacteurs en chef pr occupant pour l avenir L amertume d un nombre croissant de praticiens Marc Roch Meyer Fitoussi Directeur de la publication Philippe Chalanset D un autre c t il nous semble que nous ne pouvons plus ignorer le courant de fond SOS dioni qui traverse l opinion tout enti re et qui exprime paradoxe un surcro t de d sir Yvan Bismuth j Re de sant Et pourtant le citoyen du corps m dical notamment nous invite aussi nous interroger Dominique Martin et le pouvoir auquel il confie son devenir Philippe Safar s affranchissent all grement de la tutelle un Schweiz S ad ie en LE FU DE Fa QUI Uai L OPINION EXPRIME S ranon les acteurs de la sant qu un r le UN akon DE DESIR DE SANTE AFFRANCHI DE LA TUTELLE Maquette exclusif d ex cutants d une remise MEDICALE POUR NE PLUS CANTONNER LES ACTEURS SEM ERA en tat et limiter leur champ DE LA SANT QU UN R LE EXCLUSIF D EX CUTANTS su Pa Laaa 10 21 la pathologie Le citoyen a d cid S Nardot pp 3 17 18 19 de prendre son d sir de sant en main C Mandel pp 2 27 28 31 d en faire son affaire au quotidien de rechercher son bien tre sa forme permanente 34 36 38 39 la beaut la jeunesse travers ce qui est cosm tique Peu importe l
56. liser la plaque r siduelle e Indique au patient comment liminer la plaque r siduelle valuation de l atteinte des objectifs e Le patient sait choisir le mat riel adapt ses besoins e Il n a plus de plaque la fin de la s ance e Il sait comment faire pour l liminer dans les zones difficiles d acc s JSOP n 2 f vrier 2008 23 Rejoignez le CIP7 et acc dez une formation pragmatique et rigoureuse encadr e par des enseignants du Dipl me Universitaire de Paris 7 DUICP Mep t Assistez Er mt aux staffs du mardi partir de 17h00 pr sentation et 3 a E S a discussion des cas cliniques trait s au sein du DUICP seti tl LL aux cours se d roulant le mardi soir apr s le staff aux conf rences organis es au cours de l ann e universitaire aux Congr s 5 rue Garanci re 75006 PARIS Montant de la cotisation annuelle 130 euros Contact Mme Catherine VIEIRA 01 77 99 17 88 cipr hotmai tr Congres annuel 15 18 mai 2008 Lisbonne Presidents Pr Bernard PICARD et Pr Patrick MISSIKA President scientifique Dr Guy DAHAN Programme scientifique Pr Bruno TAVERNIER La mise en charge imm diate Etat de la question Dr Michel JABBOUR Le sinus Zone de danger Pr Patrick MISSIKA La collaboration de plusieurs praticiens en implantologie Quelle responsabilit Prix par personne 1180 euros Congr s tra
57. ment le praticien d sireux de recourir aux composites en m thode indirecte doit en ma triser les indications cavit s volumi neuses occluso proximales dont le diam tre est sup rieur la moiti de la largeur vesti bulo linguale ou MOD De m me il devra prendre en consid ration les normes mor phologiques de ces cavit s pa rois axiales de d pouille 10 plancher pulpaire plat ou ar rondi cavit principale d une profondeur de 1 5 mm 2 mm soit la largeur de deux fraises inlay un isthme large de 2 mm au minimum finition cervicale cong etc La cuisson au four du compo site am liore les performances m caniques du mat riau uti lis sous forme d inlay onlay pour r tablir la fonction et l esth tique Par ailleurs le praticien devra conna tre les causes d chec et les solutions cliniques qui permettent d vi ter des complications post op ratoires mais galement ma triser tous les avantages et inconv nients des diff rentes colles des composites de col lage dual ou non et des ci ments de scellement L valuez vous Une cavit distale d une pr molaire maxillaire s tendant sur un tiers du volume m sio distal constitue t elle l indication d une technique directe ou indirecte e L isthme d une cavit pour inlay ne doit pas d passer 1 mm de large vrai ou faux e Est il exact que l hybridation de la cavit r alis e avec un adh sif am lo dentinai
58. ne devraient donc pas s appliquer aux m dicaments et pourtant le tri bunal de grande instance de Nanterre les a utilis es dans ses jugements des 5 juin 1998 et 24 mai 2002 dans laf faire du Distilb ne di thylstilbestrol e La non conformit du produit livr avec le contrat Organis e par l article 1614 CC qui pr voit La chose doit tre d livr e en l tat o elle se trouve au moment de la vente Depuis ce jour tous les fruits appartiennent l acqu reur elle peut tre invoqu e dans le domaine de la vente e La responsabilit d lictuelle Elle va tre invoqu e quand il n y a pas de contrat Ce fut le cas par exemple la suite de la chute d un salari ob se examin par un m decin du travail du fait de l effondrement de la table d examen L article 1384 CC dispose On est responsable non seulement du dommage que l on cause par son propre fait mais encore de celui qui est caus par le fait des personnes dont on doit r pondre ou des choses que l on a sous sa garde Pour retenir la responsabilit du gardien la jurispru dence exige que la chose ait t l instrument du dom mage position anormale ou mauvais tat si la chose est inerte et recherche qui est le gardien pr somption pesant sur le propri taire e La loi sur les droits des malades du 4 mars 2002 Elle a d fini les r gles r gissant la responsabilit m di cale et institu un r gime sp cial ne n cessita
59. noncer une activit ou vous l interdisez vous cause de vos dents croquer une pomme un sandwich plonger l aspect esth tique est il d terminant etc e Quelles sensations aimeriez vous retrouver JSOP n 2 f vrier 2008 21 Ms AU EURO RSCG LIFE 785711 TRAITEMENT LOCAL D APPOINT DES AFFECTIONS DE LA CAVIT BUCCALE ET LORS DE SOINS POST OP RATOIRES EN ODONTO STOMATOLOGIE Eludril source de soins pour la bouche ELUDRIL solution pour bain de bouche Flacon de 90 ml avec godet Composition pour 100 ML de solution pour bain de bouche solution de digluconate de chlorhexidine 0 5 ml chlorobutanol h mihydrat 0 5 g Excipients docusate de sodium thanol 96 pour cent glyc rol l vomenthol solution alcoolique d huile essentielle de menthe eau purifi e rouge cochenille A E 124 Titre alcoolique 42 8 v v Indications Taement cl dpt des action de la av hot at lors de sort pu p t es en odonto stomatologie Posologie et mode d administration RESERVE A L ADULTE ET A L ENFANT DE PLUS DE 5 ANS Utilisation locale en bain de bouche Ne pas avaler 2 3 bains de bouche par jour Verser la solution dans le godet doseur jusqu au trait de 10 mi 15 mi ou 20 mi puis compl ter avec de l eau ti de jusqu au trait sup rieur effectuer le bain de bouche jusqu puisement du godet Se brosser les dents avant chaque utilisation et rincer soigneusement la bouche l eau avant d utiliser ELUDRIL
60. nous appartient 4 ro EL de ne pas nous laisser enfermer dans un r le de sous traitant JSOP n 2 f vrier 2008 5 Thomas Vanel laur at du prix de la SOP La th se du D Thomas Vanel montre l impact de la qualit de la relation praticien patient et proth siste dans la r ussite du traitement esth tique d un l ment c ramique Un travail r compens par la SOP ORS DE LA S ANCE de l Acad mie nationale de chirurgie dentaire ANCD qui s est tenue au palais du Luxem bourg le 26 novembre dernier le prix de la Soci t odonto logique de Paris SOP a t d cern au D Thomas Vanel pour sa th se de doctorat en chirurgie dentaire soutenue l universit Henri Poincar Nancy 1 et intitul e Impact des facteurs humains dans l int gration esth tique d un l ment c ramique Ce prix lui a t remis par le P Louis Verch re ancien pr sident de l Acad mie nationale de chirurgie den taire et directeur de publication de la Revue d odonto stoma tologie ROS et le D Wan Bismuth vice pr sident de la SOP et membre de l Acad mie nationale de chirurgie dentaire Esth tique et nombre d or Le D Thomas Vanel b n ficiera du titre de laur at de l Aca d mie nationale de chirurgie dentaire distinction reconnue par le Conseil national de l Ordre des chirurgiens dentistes Comme son titre l indique la th se de Thomas Vanel porte sur l int gration esth tique d un l ment c ramique
61. ns les pr sentations Au total d velopper son efficacit en termes de pr sentation des traitements est certes difficile mais galement tr s motivant Il n existe pas de solutions toutes faites Chaque praticien doit trouver le juste milieu c est dire gagner sa vie honn tement sans basculer dans le mercantilisme d l guer sans se d charger tout proposer au patient sans rien lui imposer communiquer sans psychanalyser refuser sans agresser 37 Les rendez vous de la formation continue odontologique Ph POMMAR DE Quelle responsabilit li e au contrat de soins Obligations de r sultat de moyens de s curit ou d information Comment s curiser une pratique devenue haut risque PR VENIR LES LITIGES e Ne pas c der aux exigences des patients e Ne pas critiquer les confr res e Effectuer un suivi th rapeutique irr prochable e Disposer d un mat riel normalis et sans faille e Bien informer le patient et obtenir son consentement clair e Bien tenir le dossier m dical Si en d pit de ces conseils un litige survenait il faut absolument suivre les r gles suivantes e Ne jamais laisser un courrier de r clamation sans r ponse e Pr venir imm diatement son assureur e viter les initiatives personnelles e Ne pas reconna tre d embl e sa responsabilit e Se rendre toute convocation d expertise e Transmettre tous les documents SO
62. nsi que les moyens d y acc der parkings l quipe la patient le l organisation etc produisent un impact direct sur le taux d acceptation des plans de traitement 2 Bien conna tre son travail M me les cabinets d excellence connaissent de mauvais jours C est pourquoi il est n cessaire de faire r guli rement le point sur deux aspects essentiels de la pratique e savoir ce que l on fait bien et le fai re savoir e conna tre objectivement ses limi tes et se former dans les domaines de moindre exp rience ou d l guer certains types de traitement Il faut garder l esprit que les convic tions du praticien sur son niveau cli nique et la pertinence de son plan de traitement induisent l acceptation du traitement par le patient 3 Mieux conna tre son patient Il s agit d un l ment primordial pour am liorer la pr sentation des plans de traitement Deux aspects sont retenir Notre activit consiste respecter la personnalit unique de chaque pa tient d une part et comprendre ses d sirs d autre part Devenu consom mateur de sant le patient est exi geant inform infid le Il veut tout tout de suite et moindre co t Enfin le patient ne vient pas uniquement Les rendez vous de la formation continue odontologique chercher une information Une fois qu il vous a accord sa confiance il veut tre guid dans ses choix Prendre en compte l ensemble de ces as
63. nsport h tel Prix accompagnant 1080 euros Inscriptions KUONI Voyages Nad ge Bourasseau 01 42 85 60 71 stoma X Le patient devra tre capable de e S expliquer les causes de sa patho logie parodontale S expliquer les cons quences de sa maladie sur sa sph re buccale et son tat de sant g n ral e Maintenir un tat d hygi ne per mettant d viter les ph nom nes inflammatoires e Reconna tre un tat inflammatoire e Auto valuer son tat gingival pour consulter rapidement si besoin est e R aliser les soins n cessaires lors de l apparition d inflammations e Utiliser les ressources du syst me de soins Faire valoir ses droits chaque s ance l atteinte des ob jectifs sera valu e selon les indi cateurs d finis dans le tableau cf tableau 2 valuation de la comp tence du patient prendre en charge son traitement sera r a lis e par l examen clinique En effet si un patient se brosse les dents de fa on efficace juste avant de venir sa consultation mais ne r alise pas ses soins bucco den taires r guli rement il n aura pas de plaque mais les tissus parodon taux seront enflamm s soit loca lement si le brossage n est pas ef ficace localement soit de fa on g n ralis e si le brossage est irr gulier Apr s la premi re s quence de soins et d ducation le patient se ra revu trois MOIS puis Six MOIS Selon son tat bucco dent
64. nt chaumontvges com Jesoussignele NOM rennes SO E PA 6 DE 2 RC D ES RES SRE RSR E CEE MR PRE E EOE SEE AEE AE EE RE ER RE ER RER PSP RER eee AGFOSSO MA sd seins casses sis sosie essence Accompagn e de Nom annnnnnnnnnnnnnnonunn0nnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnne Pren ON a ee de de NO te ee Re ne eee PRENONS ER on nn en E NONI a a E E E ARLE MONNI e Li M inscris aux RENCONTRES Je vous adresse ci joint un acompte de 1000 par personne FRANCO INDIENNES ainsi que les droits d inscription soit Acompte 1000 X LI en chambre double l en chambre single DROITS D INSCRIPTION Congressiste membre de la SOP Je d sire prolonger mon s jour ou de la FSSOSIF E E S oui H non LI Congressiste non membre E E EEE LI Accompagnant E E us TOTAL DATE SIGNATURE JSOP0208 e e e e e e e e ON ON e e ON ON ON e UN ON ON UN MON ON ON UN ON ON ON ON ON UN UN ON ON ON UN ON ON UN ON ON ON UN ON ON ON UN ON ON ON UN OO mu mn mu mn P SOP Formations TP 14 22 mai 2008 S R SIMPLE EFFICACE Responsable scientifique POINTE DE S CURIT ARRONDIE Dr Bertrand Khayat e Guidage parfait de l instrument e Glisse sur les asp rit s Pr paration canalaire AR TES DE COUPE ALTERN ES o Me e en rotation continue NEAN un syst me NiTi novateur le RaCe SEAE FKG Dentaire Suisse e Efficacit de coupe optimale e Bonne vacuation des d bris Race Reamer with Alternating Cu
65. nt plus d invoquer express ment l article 1147 CC Selon l article L 1142 1 du Code de la sant publique CSP issu de cette loi hors le cas o leur responsa bilit est encourue en raison d un d faut d un produit de sant les professionnels de sant mentionn s la qua tri me partie du pr sent Code ainsi que tout tablisse ment service ou organisme dans lesquels sont r alis s des actes individuels de pr vention de diagnostic ou de soins ne sont responsables des cons quences dommagea bles d actes de pr vention de diagnostic ou de soins qu en cas de faute Ainsi les accidents li s aux produits de sant constituent une exception au principe de la responsabilit pour faute des professionnels de sant Mais ce texte d finit il un r el r gime de responsabilit des praticiens four JSOP n 2 f vrier 2008 nisseurs de produits ou se contente t il d indiquer que la responsabilit pour faute n est ici pas applicable et qu il convient de se r f rer aux r gimes sp cifiques des produits Il n y a pas de r ponse pr cise cette ques tion mais il serait dangereux pour l avocat d une vic time de n invoquer que l article L 1142 1 CSP comme fondement de son action De plus cette r glementation n est pas conforme la directive europ enne et sa trans position corrig e dans le Code civil notamment sur le principe de subsidiarit Le r gime des produits d fectueux Il e
66. oclinique cognitive socioprofessionnelle psycho mo tionnelle et projective du patient cf tableau 1 l analyse de ces diff rentes dimen sions va permettre d tablir les poten tialit s de comp tence que le patient peut souhaite ou doit absolument atteindre de les hi rarchiser et de d finir ainsi la trame des objectifs atteindre avec lui Expliqu s discut s et partag s avec le patient ces objectifs constitue ront le contrat ducatif formalis ou non tablir le contrat ducatif Il s agit de d finir avec le patient les objectifs atteindre Ces objectifs seront prioris s et planifi s dans le temps On ne peut ignorer limpor tance du temps dans la d marche d apprentissage Chaque patient ira son rythme Cette variable est incompressible et doit tre prise en compte comme telle Si un patient montre des dif ficult s il convient de le soutenir dans ses efforts et de le rencontrer r guli rement pour r aliser les ges tes cliniques permettant de sup pl er au mieux son incapacit tant qu elle perdure Le premier objectif atteindre est la compr hension de sa maladie Sans cet aspect cognitif le respect des objectifs biocliniques de s curit s apparentera de l ob issance au soignant Dans ces conditions leur p rennisation sera hypoth tique Ensuite viendra la phase des objec tifs de s curit qui englobent la ma trise de techniques de brossage comportant la pr
67. oi vent plus tre mentionn s sur une feuille de soins mais faire l objet d une note d honoraires Indispensable car dans un tel contexte ce recueil devient un outil de communication l adresse des patients pour qui il est plus difficile encore que pour les chirurgiens den tistes de comprendre que l acc s aux soins se paye d sor mais souvent avec ses propres deniers I Marc Roch JSOP n 2 f vrier 2008 Prenez la route des Indes avec la SOP RENCONTRES FRANCO INDIENNES DE CHIRURGIE DENTAIRE du 22 avril au 4 mai 2008 D couverte passionnante de l Inde des villes et des campagnes travers de luxuriants paysages L Inde du Sud exhale _ un parfum de myst re Partag e entre quatre tats elle concentre tous ses charmes en un le Kerala Au Sud Ouest de l Inde il s tend des hautes terres des Gh ts occidentaux _ jusqu l oc an Indien Les Gh ts sont le royaume de la for t et des plantations th caf caoutchouc cardamome et autres pices leur pied _ de petites collines o poussent bananiers cocotiers manguiers poivriers Elles s ach vent sur la plaine c ti re univers semi aquatique o on se d place en barque empruntant d innombrables canaux LA T 1 4 T D be HSE tre a M Nu LR 228 41 AS mn i i Ai L Construit dans le plus pur style victorien il est le typique repr sentant
68. pects augmente les chances d ac ceptation des plans de traitement par les patients 4 Mieux se conna tre soi m me La connaissance de soi joue gale ment un r le d terminant dans l ac ceptation des plans de traitement Elle permet d tre clair avec le pa tient Le praticien doit savoir ce qu il veut Mais il faut galement lever nos barri res int rieures car un cer tain nombre d entraves psycholo giques parasitent la bonne pr sen tation des traitements UNE M THODOLOGIE DU PLAN DE TRAITEMENT Premi re de ces barri res la pression environnementale omnipr sente et culpabilisante m dias syst me de sant patients s curit sociale Deuxi me type de barri re notre rap port largent Il s agit l d un sujet tabou non seulement dans la profes sion mais dans la soci t fran aise en g n ral Il ne fait aucun doute que dans les cabinets dentaires le stress l argent et la communication sont li s Apprendre communiquer sur l ar gent peut permettre de r duire le stress de facon significative C est pourquoi il faut consid rer l argent seulement comme un moyen qui per met de recruter investir lever ses enfants travailler moins etc M La m thodologie d un plan de traitement repose sur le respect d tapes chronologiques l efficacit relationnelle et des techniques de pr sentation e Des tapes et une chronologie pr cise Afin d aborder avec
69. r le biais de documents crits et sign s notamment en implantologie et en orthodontie L existence d un d lai suf fisant de deux trois semaines entre la date de l information et hors ur gence la date du d but effectif du traitement constitue un aspect essen tiel La loi du 4 mars 2002 a r duit de 30 ans 10 ans la prescription apr s consolidation et pr voit dans des d lais courts l acc s direct du patient son dossier m dical Rappelons que les assurances responsabilit civile professionnelle sont obligatoires et leur absence tr s s v rement punie Par ailleurs le nombre de proc dures entre patients et praticiens est en constante augmentation et ce pour plusieurs raisons e une tendance g n rale la revendi cation e la d gradation des relations entre patients et praticiens e le d veloppement des contrats de protection juridique e l acc s favoris l aide juridiction nelle e l influence croissante des associa tions de consommateurs e la vulgarisation de l information m dicale e le manque de confraternit I CE QUE VOUS EN AVEZ PENS PAS SEULE DEVANT L CHEC St phanie Noley 36 ans omnipraticienne Rib court 60 Jusqu pr sent je n osais pas r aliser de bridge coll avec un appui unilat ral La pr sentation tonnante qui a t faite de ce proc d m a int ress e Je retien drai galement La conf rence sur les r ha
70. rance 4 Jours Ouvr s Laboratoire entre la r ception des cas chez Protilab et la r exp dition des travaux au Cabinet T l 01 53 25 03 80 ou www protilab com PROTILAB 4 rue Jacques Cartier 75018 PARIS PRIX APPEL LOCAL INST _MAC MACSF assurances Soci t d Assurances Muluells Entreprise r gle par le Code des Assurances Adresse Postale 10 cours du Triangle de l Arche TSA 40100 92919 LA DEFENSE CEDEX SIREN n 775 666 6371 www macsf fr Assurances Priv es et Professionnelles Un nom difficile retenir des assur s faciles reconnaitre Un assur MACSF est un assur heureux et cela se voit D abord parce qu il retrouve en nous les valeurs de professionnalisme d coute et d engagement qui l animent chaque jour dans l exercice de son m tier Ensuite parce qu il sait que nous cr ons pour lui les produits qui correspondent ses besoins Car notre Conseil d Administration repr sente les diff rentes sp cialit s du monde de la sant Et c est ainsi depuis plus de 70 ans Pour contacter la Mutuelle d Assurances du Corps de Sant Fran ais 010 maximum la minute depuis un poste fixe ET Ce tarii est susceptible d voluer en fonction de l op rateur utilis s
71. re pr sente une ailette CODIMED modelable adaptable la majorit 59 rue de Ponthieu des espaces interproximaux 75008 Paris l utilisation de la combinaison T l 01 45 63 41 41 ITENA Mallette de reconstitution avec tenon fibr 5C33 DESCRIPTIF La toute premi re mallette r unissant l ensemble des mat riaux et accessoires n cessaires pour r aliser une reconstitution corono radiculaire avec tenon fibr ETTE MALLETTE Contient les mat riaux et accessoires n cessaires une restauration avec tenon fibr SC33 coffret de tenons fibre de verre translucides DentoClic matrices de coffrage gel de mordan age DentoEtch silane Silan a adh sif DentoBond ch mo activateur pour rendre l adh sif dual Bond Activator composite de reconstitution DentoCore micro applicateurs coniques embouts fins et extrafins La combinaison de ces produits tous de marque ITENA garantit une reconstitution id ale et optimis e Leur compl mentarit parfaite assure une excellente adh sion jusqu au fond du canal 20 MPa et une homog n it r elle de la restauration La reconstitution corono radiculaire 40 JSOP n 2 f vrier 2008 un nouveau standard gr ce son approche ENT EU AIS EU LES PLUS PRODUIT e Grand choix de sellerie e Pi tement de petites dimensions e 3 hauteurs de v rin e En option syst me de r glage de la hauteur au pied et repose pieds roulettes autobloqu
72. re sert renforcer les propri t s m caniques e Comment polir rapidement un inlay apr s collage 18 gt Inscrivez vous Le TP organis par la SOP a pour ambition de r pondre ces imp ratifs Toutes les ta pes cliniques de r alisation d un inlay y seront d taill es c est dire e Les principes de pr para tion technique de protec tion des dents collat ra les choix d une forme de contour finition occlusale et proximale recouvrement cuspidien si n cessaire e La protection pulpaire et le fond de cavit int r t des ciments verres ionom res e L hybridation qui assure l tanch it e Le provisoire Cette ann e le TP de la SOP int gre dans les principes de pr paration des composites post rieurs en m thode indirecte l approche amp des techniques de protection des dents collat rales e Le collage de l inlay avec un adh sif am lo dentinaire et une colle composite e La r alisation d un inlay composite tape par tape Lors de la s ance les partici pants pourront travailler sur dents en ivoirine mont es sur mod le en pl tre Ils pr pare ront des cavit s pour un inlay proximo occlusal sur pr mo laire maxillaire puis pour un onlay avec recouvrement cus pidien sur une molaire maxil laire Ils r aliseront ensuite la protection pulpaire la couche hybride et l inlay provisoire Sur un second mod le ils col
73. rmation continue odontologique J F LALUQUE D BROCARD APE Une approche globale Ve pour faciliter la gestion des cas complexes diagnostic unique une multitude de plans de traitement Pour choisir celui qui convient dans un cas clinique complexe il appartient au praticien d valuer l enjeu majeur caries parodonte ou occlusion 34 l D UN CAS COMPLEXE repo se sur une vision globale des probl mes Pourillustrer cette prise en charge prenons un cas clinique complexe de reconstruction de qua tre quadrants de la premi re consul tation du patient jusqu la fin du traitement incluant un suivi sur une dur e de 10 ans R TABLIR LA CONFIANCE Le patient vient consulter pour la pre mi re fois en mai 1994 pour un pro bl me sur la 11 Mais un examen atten tif montre l existence de probl mes li s dans les quatre secteurs post rieurs EE Le patient est g de 38 ans Il pr sente un probl me esth tique non seule ment sur la 11 mais galement des dou leurs articulaires du bruxisme de l in confort occlusal des traitements pr c dents importants une fracture des mat riaux proth tiques Par cons quent et avant toute chose le praticien devra r tablir la confiance du patient l gard de la profession de chirurgien dentiste tout en appr ciant les diff rents signes et leurs interrelations pour tablir un diagnostic pr cis Lors de la consultation initiale le pra ti
74. side dans l valuation du probl me majeur du patient est il d ordre carieux parodon tal ou occlusal Mais si pour un m me patient il n existe qu un seul diagnos tic plusieurs plans de traitement sont envisageables Afin de d terminer le traitement adap t le praticien doit valuer le meilleur service rendre son patient Il devra galement s interroger sur sa comp tence propre le traitement retenu peut il tre r alis par un omniprati cien ou devra t il adresser son patient un sp cialiste E Consultation initiale Choix de la position de r f rence Position des dents ant rieures mandibulaires maxillaires Plan d occlusion courbes hauteur cuspidienne Choix de la dimension verticale d occlusion Concept occlusal Pentes de quidage JSOP n 2 f vrier 2008 L e 4 06 ii U Sa L essentiel de la journ e Plan de traitement 11 octobre 2007 E BINHAS L art de la pr sentation d un plan de traitement Aspect non clinique essentiel la relation avec le patient et plus encore l acceptation du traitement la communication ne peut tre n glig e Une approche m thodologique et rationalis e est propos e 36 UELLE EST LA MEILLEURE FA ON de pr Qie un traitement Refuser sys t matiquement d entrer dans une re lation commerciale avec un patient donnera au praticien le sentiment d tre plus efficace sur le long terme Mais cette d
75. so ciable de toute restauration Afin de d finir plus pr cis ment les objectifs du traitement il faut ajou ter ces crit res de base e les attentes du patient e les possibilit s du praticien e l identification et l valuation des risques UNE CHECK LIST POUR FACILITER LE CHOIX THERAPEUTIQUE Ces premi res observations procurent rapidement une vision globale de la situation clinique qui permet d appr hender la plupart des l ments Mais il est essentiel de n en oublier aucun afin d viter toute erreur qui pourrait d boucher sur un chec Une m thode exhaustive est donc indispensable et l on peut recomman der l utilisation d une check list ou liste de contr le s inspirant de l industrie a ronautique Cette liste est consti tu e par un tableau synoptique conte nant plusieurs colonnes Dans la premi re sont r pertori s tous les objectifs du traitement et dans les autres les facteurs de risque du mat riau et de la technique sont valu s en fonction des donn es actuelles de la science Pour chaque crit re le pra ticien attribue un facteur favorable facteur ou un facteur d favorable facteur aux mat riaux ou aux tech niques analys s Dans la pratique quotidienne il est tr s rare qu une situation clinique ne pr sente que des facteurs favorables pour un type de mat riau ou de res tauration Il existe presque toujours un facteur d favorable c est dire un
76. solution Er armement dm see een in Mat 0 62 1 87 Contre indications Ce m dicament NE DOIT JAMAIS ETRE UTILISE en cas d hypersensibilit la chlorhexidine au chlorobutanol ou aux autres constituants de la solution Mises en garde et pr cautions d emploi En cas de persistance des sympt mes au del de 5 jours et ou de fi vre associ e la conduite tenir doit tre r valu e Interactions L utilisation simultan e ou successive d autres antiseptique est viter compte tenu des interf rences possibles antagonisme inactivation Effets ind sirables Risque de sensibilisation l un des composants de la solution Surdosage Propri t s Pharmacodynamiques La solution pour bain de bouche ELUDRIL est compos e de 2 antiseptiques le digluconate de chlorhexidine 0 10 et le chlorobutanol qui poss de galement des propri t s PR AE ANR ERP ER BA POR Er RE ER AUS OR Ge PAIE RPG D LORIE A actinomycetemcomitans Prevotella intermedia Capnocytophaga ochracea Ekkenella corrodens Fusobacterium nucleatum Campylobacter rectus Par son activit antiseptique sur certaines bact ries la solution pour bain de bouche ELUDRIL permet de diminuer l indice de plaque et par cons quent de r duire l inflammation gingivale Dur de const 3 ans AM 348 237 6 1997 r vis e mai 2005 RSS 35 Agr e aux collectivit s Prix 2 81 PIERRE FABRE MEDICAMENT Laboratoires PIERRE FABRE ORAL CARE 45 place Abel Gance 92100 BOULOG
77. st issu de la directive europ enne 85 374 du 25 juil let 1985 sur la responsabilit du fait des produits d fec tueux destin e harmoniser les r glementations euro p ennes sur le sujet dans un contexte d accroissement consid rable des changes commerciaux europ ens Elle a t introduite dans le Code civil par la loi du 19 mai 1998 Cette transposition a t faite la fran aise afin de ne pas porter atteinte aux droits des victimes issus de la jurisprudence et consid r s comme irr versibles alors que la jurisprudence doit appliquer la loi et non pas le contraire Plusieurs d cisions de la Cour de jus tice des communaut s europ ennes CJCE ont conduit deux reprises une modification de cette transposi tion par la loi du 9 d cembre 2004 introduisant le principe de subsidiarit absent en 1998 et par la loi du 5 avril 2006 pr cisant le d lai de d signation du fabri cant par le fournisseur Ces diff rentes versions ont pos de s rieuses difficult s d application dans le temps la m me affaire pouvant tre jug e successivement sur la base de diff rentes ver sions Selon l article 21 de la loi du 19 mai 1998 ce r gime est applicable aux produits dont la mise en circu lation est post rieure la date d entr e en vigueur de la pr sente loi 21 mai 1998 m me s ils ont fait l objet d un contrat ant rieur e Le droit applicable Le droit actuellement applicable est ins r
78. stau r e petit petit Un parcours du catif formalis centr sur le patient et pens en termes p dagogiques apporterait une trame de r f rence aux praticiens K Un parcours ducatif formalis centr sur le patient et pens en termes p dagogiques apporterait une trame de r f rence aux praticiens JSOP n 2 f vrier 2008 LE PARCOURS DUCATIF Annonce du diagnostic et pr pa ration l ETP Une fois le diagnostic tabli le pra ticien devra annoncer la pathologie son patient prendre le temps de l couter et de le pr parer ledi cation th rapeutique L ETP n est pas une pratique courante et le pa tient l appr cie lorsque ses prin cipes et les objectifs qui lui sont propos s lui ont t expos s Dans un premier temps il s agira d explorer les repr sentations du patient de laisser venir et de favo riser l expression de ses motions et de ses repr sentations sur son probl me parodontal On lui de mandera par exemple si d autres personnes de sa famille ou de son entourage souffrent d une maladie parodontale Si les repr sentations que le patient se fait de cette pa thologie et de son volution sont tr s n gatives l aide de comparai sons avec d autres domaines de la vie courante le praticien pourra le conduire modifier ses a priori Le diagnostic ducatif Nous pourrons alors construire le diagnostic ducatif qui explorera les dimensions bi
79. tion justifie la mise en uvre d une ducation th ra peutique adapt e ces pathologies tant pour le bien tre du patient que pour la ma trise clinique et comptable de ces pathologies Sylvie Saporta JSOP n 2 f vrier 2008 PRENER CENTRE DE FORMATION DES ASSIS FANT E S DENTAIRES L assistante dentai pr pond rant au se Elle est auxiliaire inco de l atcueil que du ia j E De e S LES TR Une adh sion plus puissante en une Seule tape G CEM est un ciment r sine universel auto adh sif prise duale pr sent en capsules con u pour le scellement des couronnes composite et tout c ramique bridges inlays et onlays y compris les restaurations base de zirconium pour les bridges inlays et onlays et couronnes c ramo metal pour les tenons pr fabriqu s m tallique et fibre de verre a za F GE F FORMATIONS SOP 2008 gt G rer le stress 20 mars 2008 deg h 18 h gt a congr s Inde 22 avril 2008 4 mai 2008 gt Travaux pratiques zum 22 Mai 2008 degah 18h gt Journ e t l vis e 12 juin 2008 de 9 h 18 h gt F lures et fractures 16 octobre 2008 deg h 18 h Toutes les informations tous les comptes rendus in extenso sont consultables sur www sop asso fr JSOP n 2 f vrier 2008 PA PRATICIENS ont assist la jour n e du 11 octobre 2007 con sacr e au plan de traitement L une des innovations de cette format
80. tting Edges POLISSAGE LECTRO CHIMIQUE e Plus r sistant la torsion et la fatigue Original par sa lame droite et torsad e en e Facilite le nettoyage et la sterilisation 9 alternance SAfFETYMEMODISC Efficace gr ce sa section triangulaire et e Pour compter le nombre d utilisations l lectro rosion qui en aff te les ar tes de e Ma triser la fatigue du m tal coupe Durable de par le traitement lectro chimique qui augmente sa r sistance la fatigue et la La Combinaison id ale torsion Avec Easy RaCe vous pouvez traiter au moins 80 des canaux Fiable gr ce son SafetyMemoDisc pour Simple amp Medium compter le nombre d utilisations par instrument 1 x Endo Stand 1 x Jeu d instruments Easy Race e de 2 5 instruments suffisent pour une pr paration compl te e Plusieurs m thodes de travail possibles p ex Des id es nouvelles pour r soudre les Crown Down ou Taperdown avec un seul jeu probl mes que vous rencontrez au quotidien d instruments e SafetyMemoDisc pour ma triser la fatigue du m tal et en ma triser l usure Et bien d autres solutions que nous vous invitons venir d couvrir avec nous Dr B Khayat Dr J C Michonneau Dr N Zouhour Dr A Collin Dr G Couderc I AR Swiss Dental Products SRS eny na A 3 avr ou EE Len 7 01 27 21e D Le 7 g Easy Race B Cr tdelocle 4 e CH 2304 la Chauxde Fonds Switzerland
81. ube Aluminium vernis AMM 352 798 9 LISTE Il Prix 4 58 Remb S c Soc 35 Collect DATE DE PREMI RE AUTORISATION DE RENOUVELLEMENT 25 novembre 2004 DATE DE MISE JOUR DU TEXTE 23 f vrier 2006 Pour une information compl te consuller le dictionnaire VIDAL EXPLOITANT Laboratoire KREUSSLER PHARMA 18 avenue Parmentier 75011 PARIS Fax 01 43 70 21 06 AP DYN Pnmconcept 10 06 ENDODONTIE Syst me ProTaper optimiser la mise en forme pour r ussir l obturation Une obturation canalaire de qualit commence le plus souvent avec une mise en forme efficace des canaux D terminante pour assurer la circulation de la solution d irrigation et parvenir ainsi une d sinfection optimale la mise en forme canalaire joue galement un r le pr pond rant dans la pr paration des canaux l obturation Un grand nombre de probl mes rencontr s au moment de l obturation trouveraient m me leur origine dans une mise en forme mal ma tris e N an moins cet enjeu essentiel de la mise en forme reste trop souvent n glig Forte de ce constat la SOP a d cid de faire voluer son TP consacr l utilisation du sys t me de mise en forme ProTa per pour mettre l accent plus particuli rement sur cette pro bl matique de lobturation Concr tement plusieurs mani pulations de gutta chaude sys t me B et syst me Therma fill sont d sormais int gr es dans le programme
82. xcursion et nuit sur un house boat 30 AVRIL Nuit l h tel Taj Arriv e en bateau Cochin Excursion dans la r gion de Cochin 1 MAI Cochin Bombay en avion 2 MAI 2h15 Envol pour Paris 8 h 00 Arriv e Paris Extension Goa 1 MAI Cochin Goa en avion 2 MAI Goa 3 MAI Dans l apr s midi Goa Bombay en avion 4 MAI 2 h15 Bombay Paris 8 hoo Arriv e Paris Programme d taill sur le site de la SOP Les droits d inscription obligatoires pour tous les participants comprennent La remise du dossier et du badge congressiste L acc s aux s ances scientifiques congressiste Les pauses caf congressiste MEMBRES DE LA SOP OU DE LA FSSOSIF e Congressistes 290 Accompagnants et enfants de plus de 15 ans 190 AUTRES MEMBRES e Congressistes 10 Accompagnants et enfants de plus de 15 ans 10 Les enfants de moins de 15 ans sont dispens s de droits d inscription mais n ont pas acc s au programme social S jour du 22 avril au 2 mai 2008 prix par personne en chambre double comprenant vols logements en h tel 4 5 en pension compl te excursions gt 3500 Suppl ment single gt 760 f Prolongation Goa du 2 mai au 4 mai prix par personne en chambre double et en 1 2 pension gt 390 Suppl ment single gt 200 Ces prix comprennent Ces prix ne comprennent pas Annulation e le trajet Paris Bombay

L`essentiel de la journée Plan de traitement, 11 octobre 2007

Contents

Download Pdf Manuals

Related Search

Related Contents

L`essentiel de la journ&eacute;e Plan de traitement, 11 octobre 2007

Contents

Download Pdf Manuals

Related Search

Related Contents

L`essentiel de la journée Plan de traitement, 11 octobre 2007