Leur sécurisation
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1. du lieu de tir impose des contraintes aux lus En cas d entreposage des feux d artifice dans un local communal la responsabilit du maire est engag e Un rapport met en vidence que les comit s d organisation sont peu au fait des exigences pour ce type de manifestation Aux lus de faire passer les consignes de s curit ENVIRONNEMENT LOCAL 06 07 2006 gt La r glementation des feux d artifice LE MOUELLIC A Le maire doit contr ler les conditions de stockage et de mise en oeuvre des feux d artifice afin de pr venir tout accident LE COURRIER DES MAIRES ET DES ELUS LOCAUX 01 06 2007 Epreuves sportives sur route gt D cret n 55 1366 modifi du 18 octobre 1955 Portant r glementation g n rale des preuves et comp titions sportives sur la voie publique gt D cret n 97 646 modifi du 31 mai 1997 Relatif la mise en place de services d ordre par les organisateurs de manifestations sportives r cr atives ou culturelles but lucratif gt Circulaire NOR INTD0400063C du 25 mai 2004 Concernant le r glement type des preuves cyclistes sur la voie publique DIRECTION DES LIBERTES PUBLIQUES ET DES AFFAIRES JURIDIQUES gt L organisation des manifestations sportives r cr atives ou culturelles Tableau synoptique des proc dures SIACED PC DE L YONNE 22 gt Manifestations comportant la participation de v hicules terrestres moteur Le d cret n 2006 554 du 16 mai 2006 fixe le cadre juridiq2. 1 Arr t du Maire concernant la signalisation des voies communales et chemins ruraux situ s aux abords ou l int rieur des bois et for ts Le stationnement et l accueil des estivants campings 1 D claration de mise d un terrain la disposition des campeurs 2 Demande d autorisation de stationnement de caravanes 3 D cision du Maire accordant l autorisation de stationnement de caravanes 4 Demande d autorisation d am nager un terrain de camping et de caravane 5 Arr t ordonnant la fermeture temporaire d un terrain affect au camping et ou au stationnement de caravanes 6 R glement int rieur d un terrain am nag de camping et caravane 7 Cahier des charges pour l exploitation par affermage du camping municipal 8 Convention pour la gestion et l exploitation par affermage du camping municipal 9 Arr t portant interdiction de camping de caravanage et de feux de plein air Les baignades et activit s nautiques 1 R glement int rieur de la plage publique 2 R glement int rieur d une piscine Les preuves sportives sur route Arr t du Maire portant r glementation temporaire de la circulation et du stationnement l occasion d une course cycliste 26
3. 21 janvier d orientation et de programmation relative la s curit art 23 1 qui institue une police sp ciale Dans la mesure o les organisateurs de rave parties sont tenus de d clarer leur projet au pr fet et que seul celui ci peut surseoir la d livrance de l autorisation s il juge les mesures de s curit insuffisantes le r le du pr fet est central dans ce dispositif i Le d cret 2002 887 du 3 mai 2002 pr cise les conditions d information du maire quant ces rassemblements Il en est simplement inform art 2 et tenu au courant du d p t de la d claration relative au rassemblement ainsi que des modalit s d organisation et des mesures ventuellement impos es l organisateur art 6 Enfin la circulaire du Minist re de l Int rieur du 24 juillet 2002 indique que les pr fets veilleront ce que le maire soit r guli rement et pr cis ment inform du suivi du dossier et des mesures qu ils auront arr t es i En r alit pour l organisation et le contr le des rave parties le maire n a qu un r le d observateur averti alors m me qu il est souvent en premi re ligne La proc dure d autorisation des rave parties laissant une faible part aux maires dans la concertation la simple information de ces derniers ne permet manifestement pas de prendre en compte les int r ts locaux i 18 POUR ALLER PLUS LOIN Liste des articles de p
4. D partemental d Itin raires de Randonn es Motoris es Le principe g n ral de protection des espaces naturels interdit la circulation des v hicules moteur hors du domaine routier public chemins ruraux et voies priv es ouvertes la circulation Les gardes champ tres peuvent verbaliser les contrevenants La fermeture des voies priv es peut enfin r sulter d une mesure de police prise par le maire ou le pr fet en application des articles L 2213 4 et L 2215 3 du CGCT ou en application de l article L 2212 4 du m me code pour des motifs de s curit publique afin de pr venir un danger grave ou imminent Une signalisation r glementaire doit dans ce cas tre install e sur les acc s cette voie La circulaire du 6 septembre 2005 du minist re de l Ecologie et du D veloppement durable propose en annexe un guide pour la r daction d un tel arr t Le Pr fet peut galement prendre une d cision en la mati re sur plusieurs communes pour sur une seule apr s une mise en demeure du maire rest e sans r sultat Art L 2215 3 du CGCT 2 2 ACCUEIL ET STATIONNEMENT DES ESTIVANTS 2 2 1 LE STATIONNEMENT La pr sence d une population plus nombreuse durant les mois d t peut poser des probl mes en mati re de stationnement notamment des camping cars En l absence de terrain am nag sur le territoire de la commune l interdiction potentielle ne peut s appliquer sauf circonstance exceptionnelle aux caravanes qui const
5. cette libert est n anmoins encadr e L ouverture d un terrain de camping la cr ation ou l agrandissement d un terrain de camping y compris la ferme mais aussi d un terrain accueillant des HLL Habitations L g res de Loisirs est soumise certaines formalit s Une simple d claration pr alable la mairie suffit dans les cas suivants Il s agit d un am nagement ou d une mise disposition des campeurs de fa on habituelle d un terrain dans le but d accueillir moins de 20 personnes o moins de 6 tentes et ou caravanes le conseil municipal peut proposer des d rogations ces nombres au pr fet Il s agit d installer une caravane hors terrain de camping ou parc r sidentiel de loisirs ne constituant pas la r sidence permanente de l utilisateur pour une dur e de plus de 3 mois par an toutes les p riodes de stationnement cons cutives ou non sont prises en compte Il s agit d installer une r sidence mobile servant d habitat aux gens du voyage lorsque cette installation dure plus de 3 mois cons cutifs Une demande de permis d am nager doit tre d pos e en mairie dans les cas suivants i d s que le camping pr voit plus de 20 personnes ou plus de 6 tentes caravanes et camping car i si le terrain est uniquement affect l usage d habitations l g res de loisir si le r am nagement du terrain de camping a pour effet d augmenter de plus de 10 le nombre d emplacements i
6. et sur les dunes et plages appartenant au domaine public ou priv des personnes publiques lorsque ces lieux sont ouverts au public Cependant une autorisation peut tre donn e par le repr sentant de l Etat dans le d partement apr s avis du maire i Le libre acc s des pi tons quel que soit le point de passage et la libre circulation le i long du rivage doivent sans exception tre maintenus dans le cadre d un contrat de concession De larges espaces doivent tre mis la disposition du public sans que le stationnement y soit soumis des conditions particuli res Si la plage fait partie d un espace remarquable du littoral au sens de l article R 146 1 du Code de l urbanisme les documents d urbanisme pr cisent le cas ch ant la nature i des activit s et cat gories d quipements n cessaires la gestion de cet espace i Certains am nagements l gers peuvent tre implant s dans un tel espace pourvu que i leur localisation et leur aspect ne d naturent pas le caract re du site et ne i compromettent pas sa qualit paysag re Ces am nagements peuvent comporter notamment des quipements d montables li s l hygi ne et la s curit tels que les i sanitaires et les postes de secours En outre la cr ation d aires de stationnement indispensables la ma trise de la fr quentation automobile est possible d s lors qu il i n en r sulte pas un accroissement des capacit s effect
7. fet du d partement du domicile de l organisateur ou du si ge de l association organisatrice et en tout tat de cause aupr s du ou des pr fets des d partements travers s un mois i avant la date de la manifestation un dossier comportant i Une d claration indiquant la date et la nature de la manifestation les nom et adresse de l organisation ou de l association organisatrice le nombre approximatif des participants i le parcours et l horaire de la manifestation l le programme ou le r glement de la manifestation 1 1 eae 16 FRS SP RSS ENERENSPEREREREReRERENERENERENeENsEEeNEnerENener ner e rene ee en Encens en Eneeeneesneneneeeene nee eee En eR Eee Rene en ere rene rene Res LE ROLE DU MAIRE L article R411 30 du code de la route dispose L autorit administrative comp tente pour exercer le pouvoir de police en mati re de circulation routi re peut r glementer la circulation l interdire temporairement en cas de n cessit et pr voir que l preuve la course ou la comp tition sportive b n ficie d une priorit de passage port e la connaissance des usagers par une signalisation appropri e d finie par arr t du ministre de l int rieur du ministre de la d fense du ministre charg des transports et du ministre charg des sports i l Dans la mesure o le maire assure la police sur les voies l int rieur de l agglom ration ce principe s applique d
8. l artificier responsable du tir d artifice de divertissement d livr e par la pr fecture L information de certains services dans le cadre de la pr servation de l ordre public Le centre de secours ainsi que les services de police ou de gendarmerie le plus proche sont inform s une semaine avant le feu d artifice afin de prendre toutes les dispositions de s curit pour tre pr t intervenir D clarer l organisation du spectacle pyrotechnique Lorsqu il s agit d un tir du groupe K4 ou comportant plus de 35 kg de mati re active une d claration d organisation du tir de feu d artifice est transmise la pr fecture SIACED PC par le maire 15 jours avant la manifestation en pr cisant la date l heure et le lieu du spectacle plan joindre les mesures prises au niveau de la s curit du public le nom et la copie de l assurance de la soci t charg e du tir le nom de l artificier responsable du tir joindre son certificat de qualification la nature et la quantit des artifices utilis s 15 2 6 LES EPREUVES SPORTIVES SUR ROUTE EPREUVES ET COMPETITIONS SOUMISES A AUTORISATION Toute preuve course ou comp tition sportive devant se disputer en totalit ou en partie sur une voie publique ou ouverte la circulation publique exige l obtention pr alable par les organisateurs d une autorisation administrative Sauf d rogation accord e titre exceptionnel seules les demandes se rapp
9. mes Elus et associations de riverains travaillent parfois longtemps ensemble leur conception Les aires de jeux deviennent des espaces de convivialit tr s convoit s MAIRES DE FRANCE 12 09 2005 gt Equipements sportifs et aires de jeux huit bons r flexes pour la s curit collective VAN SANTEN D Installations sportives et aires de jeux sont des quipements risques Experts professionnels et responsables de service des sports s accordent sur un constat c est par une vigilance de tous les instants que les collectivit s peuvent assurer la s curit de leurs usagers De l achat et de l installation du mat riel son entretien quotidien LE COURRIER DES MAIRES ET DES ELUS LOCAUX 01 02 2005 gt Equipements sportifs les r gles des jeux TRICOT H Les beaux jours sont l occasion de proc der une revue de d tail des lieux sportifs qu ils s agissent de plein air ou d int rieur Et si ces lieux n existent pas encore le moment est venu de penser s en doter MAIRES DE FRANCE 01 04 2006 Les baignades et les activit s nautiques gt La r glementation des activit s nautiques LE MOUELLIC A Le maire est charg d organiser la baignade et les activit s nautiques sur sa commune Depuis la loi Littoral de 1986 le pouvoir confi au maire en mati re de baignade est un pouvoir de police sp ciale LA GAZETTE DES COMMUNES 23 05 2005 gt Les pouvoirs du maire en mati re de baignades HERMABESSIE
10. national l arr t d interdiction du camping est pris par le maire au nom de l Etat Une copie de l arr t est transmise au pr fet TROT TO TT TT TT TO TT TT TC RO MOTTE ET TT Ti Que D EU TEEN OT TR CT PTE TETE PURE DO EE ENTRE SR UNE UOTE EURE ON ET ET PEUT EU TUE TEUT TUE aa aaa TUTO LODEL TETT PUTUS UT PUS DUT TPE a a Prescriptions de s curit Le maire est tenu d assurer le respect des prescriptions de s curit Des obligations particuli res existent pour les zones soumises un risque naturel ou technologique pr visible Des prescriptions en mati re d information Chaque occupant du terrain doit recevoir d s son arriv e un document relatif aux consignes de s curit et aux mesures de sauvegarde observer L affichage des informations sur les consignes de s curit est obligatoire Une affiche doit tre pos e par tranche de 5 000 m2 et doit tre choisie en fonction de la nature des risques parmi les mod les officiels Un exemplaire du cahier des prescriptions de s curit est tenu la disposition des occupants Des prescriptions en mati re d alerte L exploitant est tenu de pr voir les conditions et modalit s de d clenchement de l alerte et en cas d alerte d informer sans d lai le pr fet et le maire Il est galement tenu de mettre en uvre des mesures en cas d alerte ou de menace imminente pour la s curit et notamment celles qui lui incombent dans le cas o l alerte est d clench e
11. s lors que les voies emprunt es ne d passent pas les limites de la commune i Ainsi le maire peut interdire la circulation sur une ou plusieurs voies pour les i laisser libre la manifestation sportive Il peut aussi tablir des priorit s de passage au b n fice des concurrents Celles ci seront alors port es la connaissance des usagers et soumises une obligation de signalisation En vertu des ses pouvoirs de police g n rale le maire doit veiller la s curit des participants et des spectateurs Il pourrait m me interdire une preuve pr alablement autoris e par le pr fet si les conditions locales l exigeaient par exemple le mauvais tat d une voie emprunt e par l preuve sportive i l Toute carence en la mati re pourrait entra ner la mise en cause de lai responsabilit de la commune i De m me il doit veiller au respect des mesures impos es par l autorit pr fectorale au titre de l autorisation qu elle a d livr e i 2 7 DELINQUANCE ESTIVALE Les vacances d t peuvent tre marqu es par l augmentation d une d linquance li e lafflux touristique ou pour les sites les moins visit s au d s uvrement des adolescents Pour viter cette recrudescence d actes d lictueux les maires compl tent de plus en plus fr quemment les dispositifs ventuellement mis en place par l Etat ou en association avec lui op rations ville vie vacances plan d accueil des je
12. 1 gt Eaux de baignade vers une gestion active LESQUEL E La directive 2006 7 CE sur la gestion de la qualit des eaux de baignade a t publi e Elle impose de nouvelles m thodes d analyses risquant d entra ner le d classement de plus de 10 des plages LA GAZETTE DES COMMUNES 03 07 2006 gt Le ons de natation p nurie et d sorganisation CALAMIA G Sur fond de p nurie g n rale de candidatures l organisation et la r mun ration des cours de natation dispens s par les agents des APS rel vent du casse t te Cela oblige les collectivit s quelques contorsions juridiques et rend imp rative une clarification rapide LA LETTRE DU CADRE 01 09 2007 Les feux d artifice gt Arr t du 17 mars 2008 relatif la mise en uvre des artifices de divertissement du groupe K4 JOURNAL OFFICIEL DU 11 AVRIL 2008 gt R glementation concernant le tir des artifices de divertissement Service interminist riel et de protection civile SERVICE INTERMINISTERIEL DE DEFENSE ET DE PROTECTION CIVILE gt R glementation relative aux produits explosifs Dispositions relatives la conservation des produits explosifs Liste des principaux textes MINIST RE DE L CONOMIE DES FINANCES ET DE L INDUSTRIE gt R gles d agr ment des artifices du groupe K4 adopt es par la sous commission Artifices de divertissement de la Commission des substances explosives Le stockage temporaire des feux d artifice proximit
13. DES MAIRES 15 12 2007 gt Code de bonne conduite pour les loisirs motoris s MADOUI L Motos 4 4 ne sont autoris s que sur les voies ouvertes la circulation publique La r gle est bafou e par des conducteurs de v hicules tout terrain friands de hors piste LA GAZETTE DES COMMUNES 20 02 2006 gt Fr quentation du public en for t l ONF diversifie les offres Chaque ann e on d nombre 200 millions de visiteurs dans les for ts L ONF a donc d velopp des sch mas d accueil du public qui proposent tous des loisirs dans la nature et une gamme de services vari s sentiers accessibles aux handicap s parcours acrobatique en for t chemins adapt s aux personnes g es des parcours p dagogiques ENVIRONNEMENT LOCAL 26 11 2007 gt Environnement vers des itin raires de randonn es motoris es CAMPRA J La circulation des quads et autres v hicules de randonn es motoris es peut en principe tre limit e par les maires Et des itin raires pourraient leur tre impartis l chelle d partementale MAIRES DE France 01 06 2006 gt Incendies de for t DOMINGOS XV Les incendies de for t sont souvent meurtriers D o l importance qu il convient d apporter la pr vention des feux de for t au double point de vue de leur mergence et de leur d veloppement en incendie Cet article pr sente sous forme d analyse scientifique la 19 situation l anatomie du ph nom ne les bonnes pratiq
14. DES MAIRES DES STATIONS CLASSEES ET DES COMMUNES TOURISTIQUES SYNDICAT DES VEHICULES DE LOISIRS COMITE DE LIAISON DU CAMPING CAR 2007 gt Les modalit s pour cr er un train touristique S il est bien pens l origine un train touristique peut tre un vecteur de d veloppement du territoire et limiter le recours la voiture pour ses loisirs Mode d emploi ENVIRONNEMENT LOCAL 18 05 2006 gt Am nager une aire d accueil pour les camping cars MITEV P La prise en compte des besoins li s cette nouvelle pratique touristique permet d en limiter les d rives et de d velopper de nouvelles opportunit s d accueil LA GAZETTE DES COMMUNES 11 04 2005 gt Le camping et le caravanage sauvages TREMEUR M R glementation applicable au camping et au caravanage sauvages LE JOURNAL DES MAIRES 15 07 2004 gt Ouverture et exploitation d un camping LE MOUELLIC A L ordonnance du 8 d cembre 2005 et le d cret du 5 janvier 2007 modifient les autorisations La r forme s appliquera le 1er octobre 2007 LE COURRIER DES MAIRES ET DES ELUS LOCAUX 01 05 2007 Les quipements de loisirs gt D cret n 96 1136 du 18 d cembre 1996 Fixant les prescriptions de s curit relatives aux aires collectives de jeux 20 Les aires de jeux ou la cit imaginaire CASTRO M Plus belles plus tonnantes les nouvelles aires de jeux sont souvent choisies en concertation avec les habitants voire imagin es par les usagers eux m
15. LA SECURITE DES ACTIVITES ESTIVALES Les activit s propres la p riode estivale font l objet d un certain nombre de pr cautions prendre en vue d une pr vention efficace contre tout incident et pour garantir une s curit maximale aux estivants et riverains 2 1 CIRCULATION EN FORET La for t m diterran enne est particuli rement menac e par les incendies durant la p riode d t Un arr t pr fectoral renouvel chaque ann e pr cise les conditions de circulation dans les espaces naturels sensibles selon les conditions m t orologiques et les zones concern es Le code forestier favorise l accueil du public en for t Art L 380 1 Ainsi l ouverture doit tre la plus large possible notamment dans les massifs relevant du r gime forestier et en particulier ceux du domaine priv de l tat Le code de l urbanisme art L 130 5 pr voit que les collectivit s territoriales ou leurs groupements puissent passer des conventions avec les propri taires priv s en vue de l ouverture au public de bois parcs et espaces naturels notamment pour l exercice d activit s sportives de nature Mention en est faite dans les plans simples de gestion agr s La responsabilit de l entretien peut incomber au preneur en cas de bail Pour pr venir les risques que cette ouverture pr sente pour le d veloppement durable des mesures de protection des sites et des milieux naturels sont pr vues notamment pour la conservation des
16. RE O La fr quentation accrue des lieux de baignade durant l t renforce les obligations qui p sent sur le maire en sa qualit d autorit de police LE JOURNAL DES MAIRES 15 07 2004 gt S curit des plages comment g rer les nouveaux risques La s curit des plages est une pr occupation r currente des communes c ti res En fonction de leurs moyens et de la configuration de leur littoral elles cherchent viter les accidents et les troubles pouvant affecter la tranquillit des estivants Surveillance des baignades et maintien de l ordre public constituent deux objectifs privil gi s LE COURRIER DES MAIRES ET DES ELUS LOCAUX 01 06 2004 gt Signalisation et surveillance s curiser les baignades CHEVRIER C Le maire a des pouvoirs de police et des responsabilit s en mati re de baignade Il doit tout mettre en oeuvre pour viter les accidents et organiser une intervention rapide des secours LE COURRIER DES MAIRES ET DES ELUS LOCAUX 01 05 2006 gt Le stockage de produits de traitement des eaux de piscines Fiche technique et pratique ST 077 F vrier 2008 CDG13 SERVICE SANTE ET TRAVAIL gt La r glementation des piscines d acc s payant LE MOUELLIC A Le maire tant charg d exercer la police et la s curit des baignades il lui appartient d tre vigilant sur les garanties pr sent es par le personnel et les quipements des piscines LE COURRIER DES MAIRES ET DES ELUS LOCAUX 01 06 2007 2
17. ade n est pas interdite et est habituellement pratiqu e doit r pondre aux normes physiques chimiques et i microbiologiques fix es par le code de la sant publique Art D 1332 1 D 1332 19 Les piscines privatives de plein air usage individuel ou collectif dont le bassin est totalement ou partiellement enterr construites ou install es partir du ler janvier 2004 doivent tre pourvues d un dispositif de s curit destin pr venir les noyades i Ce dispositif est constitu par une barri re de protection une couverture iun abri ou une alarme permettant notamment de rendre la piscine inaccessible aux enfants de moins de 5 ans non accompagn s d un adulte qammmmmmnmmnnn nn nn een nn nee nn PLAGES NATURELLES Les conditions d acc s aux plages sont fix es par l article L 321 9 du Code de l environnement L acc s des pi tons aux plages est libre sauf si des motifs justifi s par des raisons de s curit de d fense nationale ou de protection de l environnement n cessitent des dispositions particuli res L usage libre et gratuit par le public constitue la destination fondamentale des plages i au m me titre que leur affectation aux activit s de p che et de cultures marines i La circulation et stationnement des v hicules autres que les v hicules de secours de police et d exploitation sont interdits en dehors des chemins am nag s sur le rivage de la mer
18. curit prises Le dossier est transmis en pr fecture dans le cas d un feu d artifice de type K4 Le maire de la commune ou son repr sentant a la charge de d signer une personne chef de chantier charg e de transporter et r ceptionner les artifices Il d signe le site du spectacle pyrotechnique et d livre le permis de tir une fois assur des comp tences du pyrotechnicien particuli rement pour le groupe K4 Il doit informer les services d incendie et de secours la police et la gendarmerie dans le cadre de la pr servation de l ordre public Il d clare en pr fecture l organisation du spectacle pyrotechnique en fournissant les informations relatives aux circonstances du spectacle date lieu heure mesures de s curit prises la soci t charg e du tir l artificier ainsi que le type d artifice utilis en cas de tir de type K4 ou utilisant plus de 35 kg de mati re active Il doit enfin proc der au nettoyage du terrain sous le contr le du chef de chantier Concernant le dossier du feu d artifice le maire doit v rifier qu il comporte les mesures n cessaires son bon d roulement date lieu et heure du spectacle mesures de s curit retenues stockage des artifices et qualification du responsable du tir 14 a i Feux d artifices organis s par une association ou un particulier Toute personne priv e ou morale d sireuse d organiser un spectacle pyrotechnique dont les artifices sont class s doit en de
19. espaces les plus fragiles Le d partement tablit apr s avis des communes int ress es un plan d partemental des itin raires de promenade et de randonn e Art Code Env L 361 1 Celui ci d termine les itin raires qui peuvent emprunter des voies publiques existantes des chemins relevant du domaine priv du d partement les emprises de la servitude de passage sur le littoral les chemins ruraux apr s d lib ration des communes concern es des chemins ou des sentiers appartenant l tat d autres personnes publiques ou des personnes priv es apr s conventions pass es avec les propri taires int ress s ces conventions peuvent fixer les d penses d entretien et de signalisation mises la charge du d partement Toute ali nation d un chemin rural susceptible d interrompre la continuit d un itin raire inscrit au plan d partemental doit peine de nullit comporter le maintien ou le r tablissement de cette continuit par un itin raire de substitution De m me toute op ration publique d am nagement foncier doit respecter ce maintien ou cette continuit Pour mettre en place une politique de protection de gestion et d ouverture au public d espaces sensibles le d partement peut instituer une taxe d partementale des espaces naturels sensibles C urb art L 142 2 Concernant la circulation des v hicules motoris s dans les espaces naturels elle peut faire l objet d un PDIRM Plan
20. et d une interdiction temporaire gt Les lieux o le public se baigne ses risques et p rils Toute personne qui se baigne en mer dans les cours d eau les lacs les tangs et en g n ral tous les plans d eau dont l acc s est libre et qui n ont fait l objet d aucune organisation particuli re le fait ses risques et p rils Le maire n est pas tenu en l absence de dangers particuliers de faire proc der une surveillance ou une signalisation Toutefois le fait de se baigner constitue en lui m me un danger Une signalisation pr cisant le caract re de cette baignade incite g n ralement le public la prudence Signalisation des dangers Une commune riveraine de la mer ou de cours d eau doit non seulement mat rialiser les limites des baignades am nag es et surveill es mais aussi signaler au public les dangers particuliers que les baigneurs et le cas ch ant les promeneurs qui longent un cours d eau peuvent courir en d autres lieux o les bains sont habituellement pratiqu s La signalisation doit tre concr tis e par des marques permanentes de la zone littorale ou riveraine surveill e Emploi des pavillons de s curit Sur les plages l usage des pavillons de s curit est r serv l avertissement aux baigneurs Il est affect ces embl mes les couleurs employ es pour la signalisation urbaine le rouge le jaune orang et le vert le drapeau tricolore qui pouvait pr ter confusion e
21. iculiers le maire peut envisager d intervenir par voie d arr t pour fermer les rues les plus attractives pour la d linquance de profit Cette fermeture nocturne n est possible qu la condition que la rue concern e soit exclusivement commerciale et qu elle soit effectivement marqu e par un risque accru de cambriolages Cependant les commerces de nuit doivent pouvoir poursuivre leur activit En revanche un maire ne peut fermer un tablissement en raison d une fr quentation par des individus connus des services de police ou soup onn s d activit s illicites puisqu il faut une menace directe pour l ordre public PINSSI STISSU ASTIE ESCOTS RAVE PARTIES La seconde pr occupation estivale des maires est d assurer la s curit des raveurs et de leur environnement lorsqu ils choisissent leur commune comme lieu de festivit Bien que le maire soit l autorit de police municipale de droit commun en application des articles L 2212 1 et suivants du code g n ral des collectivit s territoriales l organisation et l encadrement des rave parties rel vent d une police sp ciale confi e au pr fet i l En effet les rave parties apparaissent comme des manifestations particuli res en raison de leur ampleur du co t financier de l encadrement et des risques sanitaires encourus par les participants Ces rassemblements ont t l galis s par l introduction d un nouvel article dans la loi 95 73 du
22. isirs de pleine nature Pierre Chazaud Collection Presse Universitaire du sport P U S Editions Territorial 2004 y Les politiques de stationnement Xavier Matharan et Guillaume Mauvais Collection Dossiers d Expert Edition Territorial 2003 y La commune et les camping cars Jean Luc Boulin et Fran ois Perroy Collection L Essentiel sur Editions Territorial 2007 v S curit des aires de jeux Les normes NF EN 1176 et NF EN 1177 en images Collectif d auteurs Editions Association Fran aise de normalisation AFNOR 2003 y Piscines et baignades guide de la responsabilit Jean Pierre Vial Collection Presse Universitaires du sport P U S Editions Territorial 2006 SITES INTERNET Stationnement des camping cars gt Site de l association camping cars libert http a ccl free fr index htm Itin raires de randonn es dans le d partement Site du conseil g n ral 13 www ca13 fr modes de vie environnement environnement priorite ca13 1 ph http http www cg13 fr modes de vie environnement idees balades html Zones de baignades Site Nageur sauveteur 24 http nageur sauveteur free fr reglementation droit baignade ph Rave parties Dossier AMF Rave parties et autres rassemblements tat du droit gt octobre 2002 Auteur Olivier Mallet 25 ANNEXES Mod les d actes La circulation en for t
23. ituent l habitat permanent de leurs utilisateurs Dans ce cas le stationnement ne peut tre limit que dans sa dur e qui ne peut tre inf rieure 2 jours ni sup rieure 15 jours Les mesures de police sur le stationnement doivent tre fond es sur la n cessit Elles doivent tre proportionn es aux troubles l ordre public et limit es Elles ne peuvent tre r serv es aux camping cars i Ces d cisions qui portent atteinte une libert essentielle la libert de i circuler seront d autant mieux respect es par les usagers qu elles leur appara tront cr dibles c est dire justifi es et conformes au bon sens Une i concertation pr alable est donc souhaitable impliquant non seulement les professionnels police gendarmerie quipement voirie mais aussi les organismes et associations uvrant au titre de la s curit routi re ainsi i que les repr sentants des services publics et des organisations repr sentatives des cat gories d usagers concern s i Des am nagements sp cifiques et d ment signal s permettent d am liorer les conditions de circulation tout en offrant des opportunit s pour le d veloppement du tourisme local Dans ce domaine les collectivit s peuvent b n ficier d aides financi res du D partement de la R gion ou de l Union europ enne a 2 2 2 LES CAMPINGS Si le camping est consid r comme une activit d int r t g n ral et librement pratiqu
24. ives de stationnement et i condition que ces aires ne soient ni ciment es ni bitum es et qu aucune autre implantation ne soit possible D cret n 2004 310 du 29 mars 2004 i Si rien n interdit une commune de vouloir que la totalit de ses plages soient mise i int gralement la libre disposition du public rien n oblige galement les collectivit s i locales prendre en charge elles m mes l installation des quipements elles ont la plus large possibilit si elles le pr f rent de les sous traiter des plagistes sous la seule r serve que 70 au moins de la plage soit int gralement libre pour le public qui doit videmment respecter le r glement de police Le choix du sous traitant doit s effectuer par voie d adjudication Le contrat de sous traitance pass par les collectivit s concessionnaires avec des plagistes peut concerner non seulement la mise la disposition du public de tentes cabines matelas parasols ou tout autre mat riel destin l exploitation des bains de i mer ou d autres activit s buvettes restaurants kiosques journaux location de mat riel de plage lorsque le sous trait fait obligation au b n ficiaire de participer l am nagement l entretien et au fonctionnement de la plage i Une commune qui voudrait confier un plagiste l am nagement d une partie payante de la plage peut lui imposer une participation plus ou moins impo
25. juin 1986 alors que le d but de la p riode de surveillance de la plage avait t fix e par le maire au 1er juillet CAA Bordeaux 14 mai 1993 px Neis Mais s il est d montr que la victime a commis une faute la commune pourra tre d charg e de sa responsabilit en partie ou pour le tout selon le degr de gravit de la faute 11 PISCINES Contr le de la qualit des eaux Un arr t pr fectoral fixe selon les types d installation la nature et la fr quence des analyses de surveillance de la qualit des eaux que doivent r aliser les responsables des installations Toutefois cette fr quence ne doit pas tre inf rieure une fois par mois L arr t minist riel du 27 mai 1999 d termine les conditions pour la conception et l utilisation et des quipements et mat riels Il concerne galement les garanties techniques et de s curit Des recommandations particuli res concernent notamment la v rification p riodique de l tat des grilles obturant les bouches de reprise des eaux et leurs fixations Par ailleurs le gestionnaire de l tablissement doit tablir un r glement i int rieur comportant les consignes donn es aux baigneurs et visiteurs i quant la mani re d utiliser les installations I L eau des baignades autres que les baignades am nag es vis es pr c demment et autres que celles r serv es l usage personnel d une I famille et o la baign
26. mander l autorisation au maire de la commune sur laquelle le tir est pr vu i i Le maire de la commune ou son repr sentant est charg de v rifier le dossier qui devra comporter la date le lieu et l heure o se tire le feu d artifices i Comme pour un spectacle pyrotechnique organis par la commune ce site doit tre loign d un point haut risque station service stationnements i de v hicules r coltes mais aussi loign d une zone d habitation pouvant engendrer une g ne pour le voisinage La zone de tir devra respecter les distances de s curit conseill e par l artificier i Une description des mesures de s curit doit pr ciser les pr cautions prises pour le tir la localisation exacte et les distances par rapport aux zones Le stockage des artifices Le maire ou son repr sentant s assurera que les artifices sont stock s selon les conditions g n rales de s curit L entreposage doit tre effectu dans un local dont le rev tement int rieur ne doit pas tre susceptible de s enflammer ni de propager un feu Les pi ces ou l ments d artifices doivent tre entrepos s dans leurs emballages d origine hors de port e d une source de feu ou d inflammation Le stockage est r alis sous la responsabilit de l artificier La qualification du responsable du tir S il s agit d un tir du groupe K4 le dossier doit imp rativement comporter une copie de la qualification de
27. mite des eaux Le maire r glemente l utilisation des am nagements r alis s pour la pratique de ces activit s Il pourvoit d urgence toutes les mesures d assistance et de secours Le maire est tenu d informer le public par une publicit appropri e en mairie et sur le site m me des conditions dans lesquelles les baignades et les activit s nautiques sont r glement es ainsi que des r sultats des contr les de la qualit des eaux de ces baignades accompagn s des pr cisions n cessaires leur interpr tation Le maire d limite une ou plusieurs zones surveill es dans les parties du littoral pr sentant une garantie suffisante pour la s curit des baignades et des activit s mentionn es ci dessus Il d termine les p riodes de surveillance Hors des zones et des p riodes ainsi d finies les baignades et activit s nautiques sont pratiqu es aux risques et p rils des int ress s Afin de diff rencier les zones dans lesquelles il est possible de se baigner sans danger et celles o il est dangereux de se baigner il existe une classification des lieux de baignade gt Les lieux am nag s o la s curit des baigneurs est assur e Les baignades am nag es ou bassins am nag s d acc s public et ouvertes gratuitement comprennent d une part une ou plusieurs zones d eau douce ou d eau de mer dans lesquelles une ou plusieurs activit s de bain ou de natation sont express ment autoris es d autre part une por
28. ortant des preuves ou des comp titions inscrites sur un ou plusieurs calendriers tablis par l autorit administrative peuvent tre instruites L autorisation est d livr e par le ministre de l int rieur lorsque le parcours sur lequel doit se d rouler i l preuve inclut des voies situ es dans plus de 20 d partements i i par le pr fet du d partement dans lequel le d part est donn si le nombre des d partements int ress s par la manifestation est gal ou inf rieur 20 i dans le cas o l preuve comporte des points de d part diff rents sans que le nombre des d partements respectivement travers s soit au total sup rieur 20 l autorisation est d livr e par le pr fet du d partement o est tabli le i si ge du groupement organisateur de l preuve Sont soumises d claration i les manifestations sportives comportant le classement des participants en fonction d l ments n imposant pas l obligation d effectuer un parcours dans le minimum de temps soit directement par la plus grande vitesse r alis e soit indirectement par la r alisation d une moyenne impos e ou le respect d un horaire fix d avance les manifestations sportives pr voyant la concentration en un point i d termin de la voie publique ou de ses d pendances de plus de 20 v hicules Dossier de d claration l Les organisateurs sont tenus de d poser aupr s du pr
29. par le pr fet ou par toute autorit publique comp tente Des dispositifs d avertissement des occupants sont install s et les conditions d entretien de ces dispositifs assur s Une personne charg e de veiller la mise en place des mesures d alerte et d vacuation et le cas ch ant leur bon d roulement doit tre d sign e Des prescriptions en mati re d vacuation Elles doivent pr voir notamment les cas et conditions dans lesquels l exploitant peut prendre un ordre d vacuation et ses obligations en cas d ordre d vacuation pris par le pr fet les mesures qui doivent tre mises en uvre par l exploitant pour avertir les occupants de l ordre d vacuation et pour permettre la bonne ex cution de cet ordre la mise en place par l exploitant sur l emprise du terrain de dispositifs notamment de cheminements d vacuation balis s destin s permettre ou faciliter l vacuation des occupants le cas ch ant vers des lieux de regroupement pr alablement d termin s l ext rieur du terrain Mise en uvre et sanctions Dans le cas o il serait impossible sur une partie d un terrain de camping de mettre en uvre ces prescriptions dans des conditions permettant d assurer de fa on convenable la s curit des personnes des d cisions de transfert voire de suppression d emplacements doivent tre prises Dans le cadre des pouvoirs de police sp ciale conf r s par le Code de l urbanisme la fermetu
30. part et de renforcer le partenariat entre les services de s curit publics et de surveillance i panne nee nn 1 2 3 2 LES AIRES DE JEUX Il s agit selon le d cret n 96 1136 du 18 d cembre 1996 JO 26 d c 1996 fixant les prescriptions de s curit relatives aux aires collectives de jeux de zones sp cialement am nag es et quip es pour tre utilis es de fa on collective par des enfants des fins de jeux i i Les aires collectives de jeux situ es dans l enceinte des tablissements accueillant des enfants et dont les quipements sont susceptibles d tre utilis s par ceux ci des fins de jeux sont soumises au m me texte i La tenue d un registre de s curit est obligatoire pour toute aire de jeux quel que soit le propri taire l implantation ou le nombre d quipements collectifs ou jeux implant s sur chaque aire i i Ces sites font l objet d am nagement et d un choix de mat riaux particuliers de contr les et d une maintenance Ils comportent aussi une i information l usage des parents concernant l ge des enfants et les risques encourus 2 4 BAIGNADES ET ACTIVITES NAUTIQUES D apr s l article L 2213 23 du CGCT Le maire exerce la police des baignades et des activit s nautiques pratiqu es partir du rivage avec des engins de plage et des engins non immatricul s Cette police s exerce en mer jusqu une limite fix e 300 m tres compter de la li
31. re d un terrain de camping s impose si les prescriptions pr vues ne sont pas appliqu es au terme du d lai imparti l autorit comp tente et au responsable du camping Par ailleurs si une situation de danger grave ou imminente le justifie le maire doit prendre les mesures de police g n rale qui s imposent C est le cas notamment lorsque l urgence est telle que l vacuation des installations doit se faire sans d lai C est le cas galement pour des installations soumises un risque tellement important que la mise en place d un dispositif d information d alerte et d vacuation ne suffit pas assurer la s curit des occupants Circ quip n 97 106 25 nov 1997 2 3 EQUIPEMENTS SPORTIFS ET DE LOISIRS Les jardins publics et aires de jeux seront particuli rement fr quent s durant la belle saison T 1 2 3 1 LES JARDINS PUBLICS i Les jardins publics sont des lieux conviviaux qui s accommodent difficilement des d sordres mais aussi des dispositifs de s curit qui pourraient en alt rer la qui tude Chaque situation locale va permettre au gestionnaire de d terminer une politique en mati re d quipement dans ce domaine Le recours une cl ture un clairage permanent la suppression d espaces vallonn s variera d un espace l autre en fonction de la dimension du jardin de son emplacement de son histoire et des ambitions que l on veut projeter sur i lui i L int gra
32. resse sur les sujets abord s dans ce dossier Circulation en for t gt Arr t pr fectoral du 15 mai 2007 R glementant la circulation des personnes la circulation et le stationnement des v hicules dans les p rim tres sensibles particuli rement expos s au danger de feu de for t PREFECTURE DES BOUCHES DU RHONE gt Arr t du 29 janvier 2007 Relatif au d broussaillement et au maintien en tat d broussaill des espaces sensibles aux incendies de for t PREFECTURE DES BOUCHES DU RHONE gt Circulaire n DGA SDA BDEDP n 1 en date du 6 septembre 2005 Circulation des quads et autres v hicules moteur dans les espaces naturels MINISTERE DE L ECOLOGIE ET DU DEVELOPPEMENT DURABLE La circulation des v hicules moteur dans les espaces naturels La circulation des v hicules moteur est sauf exception interdite dans les espaces naturels c est dire en dehors des voies ouvertes la circulation publique LA LETTRE DU MAIRE 13 12 2005 gt R glementation applicable aux motos de petite taille et aux quads Une circulaire du minist re de l Int rieur du 22 octobre 2007 pr sente la r glementation applicable aux motos de petite taille et aux quads circulant sur la voie publique Ce texte d taille galement les dispositifs pouvant tre mis en oeuvre afin de pr venir et de sanctionner une utilisation d voy e de certains de ces engins sur les routes et dans les lieux ouverts au public LE JOURNAL
33. rtante l entretien et l quipement de la partie non payante ou au contraire prendre directement en charge l entretien et ventuellement l quipement du reste de la plage i 2 5 LES FEUX D ARTIFICE Le r le du maire est d assurer le maintien de l ordre et de la s curit sur les voies publiques et d assurer la pr vention il doit veiller pr venir tout accident en mati re de feux d artifice et contr ler les conditions de stockage et de mise en uvre de ces feux En cas d utilisation d artifices du groupe K4 artifices faisant l objet d une r glementation particuli re le maire doit veiller l agr ment de l artificier et s assurer de la formation des artificiers dans le cas d utilisation d artifices des groupes K1 K3 L autorisation par arr t du maire est requise pour tout type de feux d artifice Concernant l organisation du feu d artifice le permis de tir contresign par le chef de chantier responsable du tir est d livr par le maire Il doit informer au moins une semaine avant le feu d artifice le centre de secours des sapeurs pompiers dont d pend la commune des principales informations date lieu heure dur e et conseils de s curit donn s sur la manifestation Il joue le r le d interm diaire lors de la d claration pr alable en pr fecture Le pyrotechnicien doit lui transmettre au moins quinze jours avant la date pr vue un dossier sur lequel il donne son avis sur les mesures de s
34. si la cr ation du terrain de camping touche la v g tation environnante R f rences articles R 421 19 R 421 23 R 443 6 du code de l Urbanisme i Motifs d interdiction ou d autorisation Des interdictions g n rales sont applicables sur certaines zones rivages de la mer sites class s points d eau espaces sensibles r serves naturelles tant au camping et stationnement pratiqu s isol ment que pour la cr ation de terrains de camping et de caravanage Des interdictions peuvent tre prononc es et des autorisations peuvent tre refus es ou subordonn es l observation de prescriptions sp ciales si les modes d occupation du sol envisag s sont de nature porter atteinte la salubrit la s curit ou la tranquillit publique aux paysages naturels ou urbains la conservation des perspectives monumentales l exercice des activit s agricoles et foresti res ou la conservation des milieux naturels de la faune ou de la flore C urb art R 111 43 Autorit s comp tentes pour interdire Dans les communes o un plan local d urbanisme a t approuv l exclusion des p rim tres d int r t national l arr t d interdiction du camping est pris par le maire au nom de la commune ou par le pr sident de l tablissement public de coop ration intercommunale au nom de cet tablissement Dans les autres communes ainsi qu l int rieur des p rim tres d op rations d int r t
35. st supprim Le choix du signal hisser doit tre fait sous la responsabilit du maire autorit de police Le drapeau rouge doit tre hiss en haut du m t signal qui doit tre plus lev que les m ts environnants pour que la baignade soit interdite Il ne peut tre employ que si la baignade est manifestement dangereuse et dans les cas suivants pendant les heures de surveillance et ventuellement en dehors de ces heures s il n y a pas de surveillance proprement parler mais lorsqu un sauveteur qualifi est pr sent Le drapeau jaune orang est employer pendant les heures de surveillance effective quand les baigneurs doivent observer la plus grande prudence Le drapeau vert ne peut tre hiss que si une surveillance effective est assur e et que la baignade peut tre consid r e comme ne pr sentant pas de danger particulier 10 Lorsqu aucun pavillon n est hiss le public peut se baigner mais ses risques et p rils Organisation de la s curit Le fonctionnement continu sur les lieux dans le cadre d un horaire d termin d un service de surveillance et d intervention imm diate doit tre organis Ce service doit tre assur par du personnel qualifi D cret 77 1177 du 20 oct 1977 art 2 L effectif de ce personnel est fix par le maire compte tenu de l tendue de la zone surveill e de la gravit des dangers locaux du nombre de personnes fr quentant habi
36. tion de la s ret se fait id alement d s la conception de cet quipement urbain Mais peu de jardins ont pu b n ficier d tudes de s curit et de concertation avec les usagers en amont de leur r alisation Cependant des dispositifs techniques de s curisation et de tranquillit peuvent tre mis en place i Des barri res lisses cl tures int rieures simples ou doubles moyens lectroniques de surveillance et d alerte ainsi que le mobilier mis disposition parcs v los bancs kiosques escaliers et toute autre installation jeux pour enfants espaces d activit s pour les jeunes cand labres sanitaires signal tique doivent tre en nombre suffisant positionn s judicieusement robustes solidement ancr s et conformes aux r gles issues du bio design Ils doivent r pondrent autant que faire se peut i pour un espace vert aux sp cificit s du d veloppement i L implantation d un syst me de vid osurveillance peut parfois se justifier Par ailleurs des mesures humaines et organisationnelles pour r duire i l ins curit et son sentiment peuvent tre assum es par une diversit d acteurs territoriaux i Ainsi la gestion des ressources humaines peut pr voir par exemple de professionnaliser les agents d di s la fonction de surveillance des parcs d accro tre la communication entre les m tiers horticoles d une part et de surveillance d autre
37. tion de terrain contigu cette zone sur laquelle des travaux ont t r alis s afin de d velopper ces activit s obligation de surveillance physique Toute baignade en eau courante ou dormante accessible au public ne peut tre install e que si son emplacement est autoris par arr t municipal pr cisant l organisation de la s curit et son fonctionnement Le maire exerce la police des baignades et des activit s pratiqu es partir du rivage avec des engins de plages et des engins non immatricul s Cette police s exerce en mer jusqu une limite fix e 300 m tres compter de la limite des eaux Le maire r glemente l utilisation des am nagements pour la pratique de ces activit s Le maire d limite une ou plusieurs zones surveill es dans les parties du littoral pr sentant une garantie suffisante pour la s curit des baignades et des activit s nautiques gt Les lieux dangereux avec baignade interdite Les maires ont la responsabilit d interdire par arr t municipal les lieux de baignade jug s dangereux en pr cisant le motif de cette interdiction c est dire la nature du danger D s lors les autorit s municipales doivent proc der un affichage explicite et p renne dans les zones du territoire communal o ces activit s sont jug es dangereuses Certains sites peuvent pour des raisons s curitaires ou sanitaires soit la suite d une pollution accidentelle soit titre pr ventif faire l obj
38. tuellement la plage ou la baignade des p riodes d affluence pendant lesquelles du personnel suppl mentaire sera n cessaire Le mat riel mis la disposition des ma tres nageurs sauveteurs est d termin par le maire Il doit comprendre du mat riel de sauvetage distance du mat riel de sauvetage en profondeur du mat riel de secours des moyens de liaison t l phonique avec le centre de secours et l tablissement hospitalier de rattachement R le du Centre de secours Il doit pouvoir envoyer sur les lieux en cas d accident dans les plus brefs d lais une ambulance normalis e avec un quipage comprenant au moins un sapeur pompier titulaire du brevet de secouriste de la Protection civile sp cialiste en asphyxie et disposant du mat riel indispensable Il doit tre rattach un tablissement sanitaire quip pour soigner les victimes d une noyade Responsabilit des communes littorales La police municipale doit pourvoir d urgence toutes les mesures d assistance et de secours article L 2212 2 5 du CGCT Depuis la loi n 86 2 du 3 janvier 1986 CGCT art L 2213 23 les baignades et activit s nautiques sont pratiqu es aux risques et p rils des int ress s si elles ont lieu hors des zones de baignade d limit es par le maire et hors des p riodes de surveillance qu il d termine Toutefois la responsabilit d une commune a t retenue la suite d un accident survenu au cours d une baignade le 20
39. ue applicables aux manifestations organis es sur les voies ouvertes ou dans les lieux non ouverts la circulation publique et comportant la participation de v hicules terrestres moteur LE JOURNAL DES MAIRES 15 06 2006 La d linquance estivale gt LOI n 2007 297 du 5 mars 2007 Relative la pr vention de la d linquance JOURNAL OFFICIEL 7 03 2007 gt Le maire et la pr vention de la d linquance La loi du 5 mars 2007 relative la pr vention de la d linquance consacre le r le essentiel du maire dans l animation et la coordination de la pr vention de la d linquance Elle renforce ses moyens et ses comp tences et la mati re et garantit le partage d information avec l ensemble des intervenants LE COURRIER DES MAIRES ET DES ELUS LOCAUX 01 04 2007 gt Comment faire face aux d rives violentes BIGOT L De nombreuses incivilit s ont lieu lors de manifestations sportives Pour s en pr munir les collectivit s locales ne peuvent pas toujours se contenter de dispositifs de pr vention aupr s des jeunes LA GAZETTE DES COMMUNES 09 04 2007 23 BIBLIOGRAPHIE et SITOGRAPHIE TH MATIQUES OUVRAGES y A b c de la s curit dans le spectacle R gie culturelle r gionale P A C A Editions R gion Provence Alpes C te d Azur 2003 v S curit et manifestations de masse Maurice Pujol Collection L Essentiel sur Editions Territorial 1998 v Management du tourisme et des lo
40. ues d attaque du feu et illustre le tout avec un cas exemplaire PREVENTIQUE SECURITE 01 10 2007 Stationnement et accueil des estivants gt Circulaire interminist rielle du 27 juin 1985 Stationnement des autocaravanes dans les communes Dispositions applicables MINISTERE DE L QUIPEMENT DES TRANSPORTS DE L AMENAGEMENT DU TERRITOIRE DU TOURISME ET DE LA MER gt Des services mobiles pour guider les touristes GIUDICELLI B Audioguides consoles pilot es par GPS les services mobiles destin s aux touristes sont encore peu nombreux et h t rog nes Leur simplicit d utilisation et leur souplesse sont les premi res conditions de leur succ s LA GAZETTE DES COMMUNES 05 09 2005 gt Camping car une libert encadrer ARENSONAS N Comment concilier nomadisme et tourisme Alors que les camping cars d ferlent dans les communes fran aises certaines ne veulent pas devenir des parkings g ants D autres r vent de tirer profit du pouvoir d achat des seniors et am nagement des aires de service pour endiguer les nuisances Une chance la l gislation est du c t de cette nouvelle fa on de voyager LE COURRIER DES MAIRES ET DES ELUS LOCAUX 01 02 2006 gt Le camping car l usage des maires en 25 questions r ponses Ce guide r pond aux questions que peuvent se poser les d cideurs territoriaux qui souhaitent tout mettre en uvre pour mieux accueillir les camping caristes dans leur commune ASSOCIATION NATIONALE
41. unes dans les communes touristiques par des dispositifs propres Le maire peut prendre diff rents arr t s de police afin de prot ger et de canaliser les jeunes arr t s couvre feu de limiter les incivilit s et la d linquance sur la voie publique arr t s anti bivouac et fermeture nocturne des rues commer antes L ensemble de ces arr t s doit respecter le crit re de la proportionnalit sur le plan temporel et spatial Ces arr t s visent aussi limiter les incivilit s et la d linquance sur la voie publique Les forces de police municipale peuvent participer l op ration tranquillit vacances mise en place par la police nationale et la gendarmerie Dans ce cadre les agents de 17 police municipale peuvent v rifier les ventuelles parties communes les portes et les fen tres interroger le voisinage et relever l identit d individus suspects La lutte contre la d linquance sur la voie publique peut passer par des mesures d information sur la vigilance n cessaire qu il convient de porter ses effets personnels en p riode estivale marqu e par l augmentation des vols la roulotte Mais cela est souvent op r par les forces de police de l Etat certaines brigades de gendarmerie nouent des contacts fr quents avec les acteurs du tourisme commer ants responsables de camping etc et sensibilisent les vacanciers sur les risques de vols S agissant de la s curit des magasins dans certains cas part
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