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télécharger 1860 Ko - Fédération Nationale des Centres de Santé.

1. Elle est con ue comme un processus de dynamique sociale Cette dynamique se traduit sur le terrain par des actions prenant en compte l environnement de vie de la personne et encourageant ses capacit s de choix 2 4 La mobilisation des partenariats C est en prenant en consid ration les pr ceptes issus de la Charte d Ottawa et la n cessit corr lative d une appr hension globale des d terminants de sant que l ARS Ile de France 3 La Charte d Ottawa pour la promotion de la sant a t tablie l issue de la premi re Conf rence internationale sur la promotion la sant Ottawa Canada du 17 au 21 novembre 1986 cf site Internet de ARS www ars iledeFrance sante fr GUIDE A L INTENTION DES PROMOTEURS Ann e 2015 d finit et conduit sa politique de Sant publique en concertation avec ses partenaires notamment au travers de la Commission de Coordination des Politiques Publiques CCPP dans les domaines de la pr vention de la sant scolaire de la sant au travail et de la protection maternelle et infantile et de la commission pr vention de la Conf rence R gionale de Sant et de l Autonomie CRSA Au del de l instance de concertation que repr sente la CCPP l Agence entend renforcer sa politique de pr vention et promotion de la sant en d veloppant des partenariats institutionnels s appuyant sur des conventions cadres sign es avec La Direction Interr gionale de la Protection Judiciair
2. L ARS le de France b n ficie d une forte densit et d une grande diversit d acteurs de pr vention mais leurs actions sont souvent insuffisamment optimis es par d faut de coordination et d ajustement la notion de besoins couvrir notamment sur le plan territorial Par ailleurs le renforcement de la qualit et de l efficience de ces actions constitue un enjeu important justifiant des exigences accrues l gard des interventions susceptibles d tre promues via la contractualisation par VARS sur le plan m thodologique et sur l valuation Le Projet R gional de Sant est disponible sur http prs sante iledefrance fr Le Sch ma R gional de Pr vention est disponible sur http prs sante iledefrance fr les schemas prevention GUIDE A L INTENTION DES PROMOTEURS Ann e 2015 2 2 Les Orientations g n rales du Sch ma r gional de pr vention SRP Traduisent dans le champ de la pr vention les orientations du Projet R gional de Sant PRS et visent e Assurer chaque francilien un parcours de sant e Am liorer la qualit du service rendu et l efficience de la d pense e Conduire une politique partag e avec tous les acteurs au plus pr s de la r alit des territoires Le Sch ma de Pr vention de l ARS Ile de France se d cline selon six grands axes R duire les in galit s sociales et territoriales de sant o Agir sur l ensemble des d terminants environnementaux et sociaux p
3. Les Centres d Information de D pistage et de Diagnostic des Infections Sexuellement transmissibles CIDDIST les Centres de Vaccination Pour cette seconde typologie ne sont concern s par un financement de ARS que les activit s dont la gestion a t confi e des op rateurs habilit s dans les d partements suivants Seine et Marne 77 Yvelines 78 Hauts de Seine 92 et Val de Marne 94 La demande de financement est pr sent e l appui du projet assorti des pr visions d actions et sur la base d un budget pr visionnel relatif aux frais de fonctionnement et d intervention en r f rence aux dispositions r glementaires concern es et sur la base d un bilan de r alisation de l activit aff rente pour 2014 tabli de fa on transitoire au 30 10 2014 L Agence incite ces porteurs une d marche d efficience de leurs activit s Les structures affichent une transparence dans l utilisation des cr dits de l Agence Les structures s engagent rendre compte de leur activit et de l utilisation des cr dits de l Agence par le biais de Rapports Annuels d Activit et de Performance d mat rialis s r ponse au questionnaire annuel SOLEN 16 GUIDE A L INTENTION DES PROMOTEURS Ann e 2015 Les structures s engagent exercer leurs activit s en lien avec les associations et les collectivit s territoriales impliqu es dans leur domaine d intervention 17 GUIDE A L INTENTION DES PROMOTEU
4. pid miologie sur la r gion 50 FICHE n9 VACCINATION OBJECTIF GENERAL FRANCILIENNE notamment adultes Am liorer la couverture vaccinale Objectifs sp cifiques recommandations d avril 2014 AMELIORER LA COUVERTURE VACCINALE DE LA POPULATION pour le RRO chez les nourrissons de 24 mois et le rattrapage des adolescents et jeunes Pour les jeunes adolescents et futurs parents contre les infections invasives m ningocoque C la coqueluche la tuberculose et l h patite B Renforcer l implication des professionnels de sant par l information sensibilisation sur l importance de la vaccination et de la mise en uvre du calendrier vaccinal selon les Mobiliser tous les acteurs de sant impliqu s particuli rement en p riode de p rinatalit chez les jeunes et chez les personnes risque Objectif sp cifique Renforcer l implication des professionnels de sant par l information sensibilisation sur l importance de la vaccination et de la mise en uvre du calendrier vaccinal 2014 Mobiliser tous les acteurs de sant impliqu s particuli rement en p riode de p rinatalit chez les jeunes et chez les personnes risque Population s vis e s femmes nourrissons adultes futurs parents adolescents jeunes populations l cart des syst mes de sant Types d intervention et exemples d actions Actions de sensibilisation information sur la
5. disposition de kits de brossage et de supports de communication en direction des parents Des actions de d pistage pourront tre soutenues condition de concerner les familles et les jeunes les plus loign s du syst me de soins pour des raisons culturelles et socio conomiques en compl ment de l ducation la sant et avec une orientation et un accompagnement vers des soins accessibles et adapt s dans une logique de parcours de sant Concernant les territoires d intervention Le d ploiement de l intervention sur cette th matique concerne les populations des 8 d partements d lle de France Feront l objet d une attention particuli re les projets d action concernant les territoires suivants Territoires des communes ayant formalis un CLS comportant cette th matique Territoires avec IDH2 lt 0 52 Territoires cibles G ographie prioritaire de la Politique de la Ville Territoires situ s dans les zones g ographiques suivantes Nord Est du d p 75 Sud 77 Nord 78 91 Corbeil HBD Evry Courcouronnes Grigny Boucle Nord 92 93 Territoire prioris A programme REMI Est du 95 Sud du 95 et Vexin 29 Objectif sp cifique D velopper l information et l ducation la sant en mati re de conduites addictives aux substances psychoactives et addictions sans substance Population s vis e s jeunes femmes personnes migrantes personnes en situation de pr c
6. e l information sur la contraception e pour le d veloppement de l accompagnement au d pistage des maladies sexuellement transmissibles dont VIH et h patites pour les personnes rep r es comme ayant un comportement risque e la promotion du suivi gyn cologique pour les femmes D veloppement d actions d information et de sensibilisation ateliers groupe d changes et de paroles et d ducation la sant visant des actions d ducation la vie sexuelle et affective et portant sur les domaines de la contraception et la pr vention des maladies sexuellement transmissibles dont VIH et h patites Les messages de pr vention et les supports d information seront adapt s en fonction du handicap Concernant les publics d munis les actions doivent respecter les points de vigilance identifi s dans la fiche N 12 Acc s la sant des personnes d munies Concernant le contenu et les modalit s d action N cessit de mise en coh rence avec le programme FRIDA promotion de l acc s la contraception y compris d urgence et information et ducation la sant sexuelle chez les jeunes Feront l objet d une attention particuli re les projets d action qui e comprennent des actions d ducation la vie affective et sexuelle incluant les relations de genre et la question du respect l autre e comprennent des actions traduisant une approche globale de Sant Publique en direction des je
7. tape 4 Outil l arbre des objectifs est un sch ma permettant de rep rer en un seul coup d il les diff rents niveaux des objectifs il est n cessaire d tre vigilant dans sa conception car il figurera dans la convention L intitul des objectifs et des actions doit tre crit de fa on synth tique 71 L arbre des objectifs par l exemple Objectif g n ral Pr venir et lutter contre les violences sexistes sur le d partement X la ville Y Indicateurs Indicateurs Donn es Indicateurs jecti cifi SE Sen SES r visionnelles A Objectifs sp cifiques Objectifs op rationnels Actions de processus d activit p E de r sultat quantitatives en r f aux indicateurs d activit retenus Objectif op rationnel 1 1 Action 1 Journ es de formation Moyens Nombre de 6 formations de Former les ducateurs humains formations b n ficiaires Objectif sp cifique 1 intervenant dans les missions mobilis s profil r alis es ayants acquis les Favoriser les pratiques locales afin qu ils puissent du formateur Nombre de 15 par formation connaissances responsables en mati re de sexualit aborder la th matique avec nombre d ETP participants pr vues les jeunes Co ts des form s de formations par b n ficiaires b n ficiaire mettant en ceuvre les comp tences acquises Action 2 groupes de paroles en 12 groupes de de participants Objectif op rationnel 1 milieu scol
8. 4 Un relev d identit bancaire de la structure s il a chang portant une adresse correspondant celle du SIRET 5 Si le pr sent dossier n est pas sign par le repr sentant l gal de la structure le pouvoir donn par ce dernier au signataire 6 Un exemplaire des statuts d pos s ou approuv s de la structure seulement s ils ont t modifi s depuis le d p t d une demande initiale 7 La liste des personnes charg es de l administration de la structure r guli rement d clar e si elle a t modifi e 8 Le rapport du commissaire aux comptes pour les structures qui en ont d sign un notamment celle qui ont re u annuellement plus de 153 000 euros de dons ou de subventions 9 Le cas ch ant la r f rence de la publication sur le site Internet des JO des documents ci dessus En ce cas il n est pas n cessaire de les joindre 10 Le plus r cent rapport d activit approuv Comment et qui transmettre le dossier Le dossier imp rativement envoy par voie d mat rialis e est adress A la d l gation territoriale du d partement dans laquelle se situe le si ge de la structure d s lors que le projet d intervention s inscrit dans un cadre d partemental ou infra d partemental Au si ge de PARS d s lors que le projet d intervention s inscrit dans un cadre interd partemental voire r gional Les dossiers doivent tre envoy s aux adresses lectroniques figurant en derni re
9. 77102 34 77174 131 976 534 77298 MONS EN MONTOIS 77301 MONTCEAUX LES PROVINS 049 335 98 77098 CHATEAUBLEAU CC osol_ ol 69 e SEO ssl 98 77524 VIMPELLES o ooo 47 _ oo L_77015 BABY e Col 69 _77039 BOISSISE LA BERTRAND ______ ost 966 zo SAVIGNY LE TEMPLE VANVILLE VENDREST VILLENEUVE SUR BELLOT D partement des Yvelines 78 E Nb de foyers Code Den fiscaux non imposables 78361 MANTES LA JOLIE 42916 13 352 78440 LES MUREAUX 32 911 10 226 78621 TRAPPES 29 327 8 426 66 HOUDAN MONTFORT L AMAURY BOISSY MAUVOISIN ECQUEVILLY 5 9 2 8 6 D partement de l Essonne 91 T Nb de foyers Code Hopu auon fiscaux non 2007 e imposables 0 25 91228 D partement des Hauts de Seine 92 z Nb de foyers Code NES fiscaux non imposables 92036 GENNEVILLIERS 41 960 12 984 67 D partement de la Seine Saint Denis 93 E Nb de foyers Code sopu aron fiscaux non 2007 e imposables CLICHY SOUS BOIS 7 897 93027 La COURNEUVE oaal 37228 12 849 Sou AUBERVILLIERS _0 25 73699 25 586 93008 BOBIGNY o 481 15 660 32 366 a3oz2 stans________ Y 025 34663 11 086 93059 PIERREFITTE o2s 28338 8 444 3 683 93070 SAINT OUEN 43 954 14 329 93029 DRANCY 0 34 65 843 18415 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0 13 181 14 258 93013 LE BOURGET os 12061 3971 93063 ROMAINVILLE os7 25563 7 088 __93006 BAGNOLET os 34269 10 2
10. Concernant le contenu et les modalit s d action Les projets devront tre con us en lien avec les CLAT pivots du dispositif dans les d partements Concernant les territoires d intervention Le d ploiement de l intervention sur cette th matique concerne les populations des 8 d partements d lle de France En cons quence les projets d action sont d ployer dans tous les d partements en lle de France sous r serve d une approche atteignant effectivement les publics concern s Feront l objet d une attention particuli re les projets d action concernant les territoires suivants Territoires des communes ayant formalis un CLS comportant cette th matique Territoires avec IDH2 lt 0 52 Territoires cibles G ographie prioritaire de la politique de la ville Territoires situ s dans les zones g ographiques suivantes 53 les infra territoires arrondissements communes quartiers pr sentant des indicateurs de pr carit vuln rabilit et les taux de DO d claration obligatoire les plus forts Nord Est du 75 77 Principalement sur les cantons en lien avec les centres de lutte anti tuberculeuse de l h pital de Marne la Vall e Jossigny de Meaux de Melun et plus g n ralement sur les territoires accueillant des personnes en difficult public CHRS demandeurs d asile r fugi s politiques publics FTM CADA CHU 93 94 Est du 95 les zones d implantation des structures d h
11. Territoires avec IDH2 lt 0 52 Territoires cibles G ographie prioritaire de la politique de la ville Territoires situ s dans les zones g ographiques infra d partementales suivantes 60 77 Nemours Meaux Coulommiers Communaut Melun Val de Seine Melun Dammarie les Lys Le M e sur Seine Montereau territoire provinois Agglom ration de Marne et Chantereine territoires d implantation des structures d accueil personnes en difficult Territoire des tablissements hospitaliers porteurs d une PASS Melun Meaux CHMLV Jossigny 78 CA2RS CASQY Le Mantois Les Mureaux Poissy Sartrouville Les quartiers politiques de la ville de Limay Plaisir Carri res Seine et Maurepas 91 Evry Courcouronnes Grigny Etampes Boucle Nord 92 95 en liaison avec la d clinaison territoriale du PRAPS et du projet Sant des Jeunes territoires d implantation des structures d h bergement des Missions locales PAEJ 61 ANNEXE 2 Activit s des dispositifs structurels 1 STRUCTURES DE GESTION DES DEPISTAGES ORGANISES DES CANCERS DU SEIN ET COLORECTAL les activit s correspondent aux cahiers des charges nationaux 2 AUTRES STRUCTURES EXER ANT DES ACTIVITES DITES RECENTRALISEES CLAT CIDDIST et centres de vaccination Article D3111 23 CSP 1 Le maintien ou la constitution d une quipe de professionnels dont la composition et l effectif sont adapt s aux beso
12. e Les repr sentations et des savoirs sur la sant de chacun doivent tre pris en compte e Les actions de aller vers permettant de toucher les publics les plus loign s des dispositifs socio sanitaires de droit commun sont privil gier en particulier celles au plus pr s des lieux de vie e Les porteurs de projets d velopperont des approches pluridisciplinaires face aux situations complexes souvent rencontr es approches crois es m dicales sociales et psychologiques Is s inscriront leurs travaux dans un partenariat local pour construire des approches compl mentaires et coh rentes d articulations d amont et d aval e lis veilleront l attractivit de l offre en sant propos e compte tenu du fait qu il s agit de publics souvent difficiles capter dans un contexte de survie et ou de difficult s o la sant n est pas la priorit du quotidien e Les actions portant sur l acc s aux droits et la protection sociale pour des personnes en besoin doivent s inscrire dans un processus d accompagnement vers la sant d marche vers le soin de pr vention de promotion de la sant Les intervenants veilleront e Prendre contact de fa on effective avec les personnes d munies Assurer un accompagnement suivi individuel Renforcer la participation plut t que l assistance Renforcer l estime de soi S inscrire dans une logique territoriale o les diff rents acteurs m dicaux et sociaux travaillent
13. l gard de ces tranches d ge les interventions doivent permettre de rompre avec la reproductibilit des in galit s sociales et territoriales de sant en intervenant sur les th matiques les plus probl matiques Chez les enfants apprentissage des comportements favorables la sant nutrition alimentation et activit physique sant buccodentaire et d veloppement des comp tences psychosociales et soutien la parentalit Chez l adolescent pr vention des comportements risques et de consommations excessives alcool drogues comportements sexuels internet et prise en compte de la souffrance psychique information orientation prise en charge Chez le jeune adulte l acc s au droit et la sant des jeunes en insertion et des tudiants Les interventions doivent viser r duire les in galit s sociales et territoriales de sant d s le plus jeune ge en agissant sur les th matiques qui sont des marqueurs de difficult s GUIDE A L INTENTION DES PROMOTEURS Ann e 2015 surpoids ob sit sant buccodentaire saturnisme et d pistage des troubles sp cifiques des apprentissages gt La sant mentale n y a pas de sant sans sant mentale Pour les citoyens une sant mentale est une ressource qui leur permet de r aliser leur potentiel motionnel et intellectuel Livre Vert de l Union Europ enne Vers une strat gie de sant mentale en Europe Promouvoir une bonn
14. l charger sur le site de ARS lle de France Pi ces joindre au dossier de demande de financement subvention Pour une premi re demande 1 Les statuts r guli rement d clar s en un seul exemplaire 2 La liste des personnes charg es de l administration de l association r guli rement d clar e composition du conseil du bureau 3 Un relev d identit bancaire portant une adresse correspondant celle du n SIRET 18 GUIDE A L INTENTION DES PROMOTEURS Ann e 2015 4 Si le pr sent dossier n est pas sign par le repr sentant l gal de l association le pouvoir donn par ce dernier au signataire 5 Les comptes approuv s du dernier exercice clos 6 Le rapport du commissaire aux comptes pour les associations qui en ont d sign un notamment celle qui ont re u annuellement plus de 153 000 euros de dons ou de subventions 7 Le cas ch ant la r f rence de la publication sur le site Internet des JO des documents ci dessus En ce cas il n est pas n cessaire de les joindre 8 Le plus r cent rapport d activit approuv Pour un renouvellement 1 Le compte rendu financier fiche 6 1 du dossier de demande de subvention assorti d un bilan qualitatif de l action 2014 2 Un bilan d tape de l action 2014 si l action n est pas parvenue son terme 3 Le compte rendu financier des actions 2013 pour les promoteurs ayant per u en 2013 une subvention inf rieure 23 000 euros
15. la parentalit Valoriser les comportements parentaux favorisant le d veloppement sain des enfants 4 Promouvoir le bien tre des nouveaux n s et jeunes enfants vuln rables enfants pr matur s pendant et apr s leur hospitalisation et les actions pr coces de pr vention 5 Promouvoir des comportements favorables la sant bucco dentaire d s le plus jeune ge afin de construire le capital sant de l enfant ainsi que le recours aux soins Objectif sp cifique Promouvoir la sant p rinatale Population s vis e s Femmes femmes enceintes Femmes enceintes et jeunes m res en particulier celles se trouvant en situation de vuln rabilit sociale ou de grande pr carit ou m connaissant le syst me de sant Futurs parents Types d intervention et exemples d actions Actions de promotion ducation de la sant aupr s des femmes loign es du syst me de sant dans une approche communautaire Actions d information aupr s des femmes enceintes sur l existence de l entretien pr natal pr coce Actions d ducation la sant sur l importance du suivi de grossesse et du suivi du nouveau n et sur les relais locaux existants PMI maternit m decins SF Actions de promotion de la sant et d accompagnement vers le soin aupr s des femmes enceintes et jeunes m res sans h bergement ainsi que des m res et des jeunes enfants en CHRS Actions de promotion et de soutien l all
16. matiques de sant prioritaires Le tableau joint en annexe 1 pr sente de fa on crois e l ensemble des th matiques de sant prioritaires et les populations cibles tranches d ge publics correspondantes Les th matiques sont traduites sous forme de fiches rappelant les l ments de politique et les objectifs strat giques en la mati re tels que d finis dans le Sch ma R gional de Pr vention et d crivant les objectifs op rationnels auxquels doivent souscrire les projets d actions propos s pour 2015 Au titre de ces objectifs op rationnels sont identifi s les territoires et les populations cibles viser en priorit Parmi ces th matiques prioritaires PARS Ile de France insiste particuli rement sur la n cessit de renforcer les interventions concernant D La p rinatalit et la petite enfance Le rep rage et l accompagnement des femmes enceintes et couples en situation de vuln rabilit orientation vers l entretien pr natal pr coce Le d veloppement des comp tences parentales et soutien la parentalit L ducation la sant pour la promotion des comportements favorables des jeunes parents pr vention du risque fosto maternel risque infectieux li au VIH et IST nutrition allaitement hygi ne buccodentaire vaccination Le rep rage et le d pistage pr coce des maladies et handicaps saturnisme infantile dr panocytose D Les enfants les adolescents et les jeunes adultes
17. psychoactives Types d intervention et exemples d actions e Actions de r duction des risques sanitaires et des dommages sociaux en milieux festifs et tudiants 31 Population s vis e s Jeunes adultes Usagers pr caires Femmes Actions sp cifiques destination des mineurs et jeunes adultes concernant les comportements d alcoolisation ponctuelle importante API dans l espace public Actions permettant d aller la rencontre des usagers les plus pr caires outreach ou aller vers actions impliquant la participation des usagers eux m mes participation des pairs l aller vers e Programme d changes de seringues Concernant les publics d munis les actions doivent respecter les points de vigilance identifi s dans la fiche N 12 Acc s la sant des personnes d munies Concernant le contenu et les modalit s d action une attention particuli re sera port e aux projets inscrivant dans une approche globale des conduites addictives Visant renforcer les capacit s des personnes affronter les v nements de vie Impliquant le milieu familial pour les actions pr ventives en direction des adolescents Les projets relatifs des programmes et interventions visant d velopper les comp tences psychosociales devront notamment pr ciser les comp tences travaill es ainsi que les modalit s et outils mis en uvre D finis en d clinaison r
18. s jeunes en situation de vuln rabilit sociale jeunes filles mineures jeunes majeurs sans revenu personnel femmes loign es du syst me de sant Personnes en situation de handicap en milieu ordinaire ou en tablissement m dico social Types d intervention et exemples d actions e Actions visant favoriser les comportements responsables individuels et collectifs en mati re de sexualit d marche contraceptive risque infectieux groupes de parole e Actions d ducation la vie affective et sexuelle aupr s des jeunes en milieu scolaire en lien avec l ducation nationale et au sein des structures recevant des jeunes PIJ CIDJ mission locale association de quartier e Actions d information visant d velopper les connaissances en mati re de sexualit et de contraception modalit s d acces et m thodes et rapport garcon fille aupr s des acteurs professionnels ou non intervenant aupr s des jeunes ducateurs travailleurs sociaux b n voles e Mise en place et animation de plateforme d information et d appui territoriales aux acteurs et aux familles associant diff rents partenaires dans le montage d actions et de programmes dans la dur e e Actions d information sensibilisation aupr s des professionnels des missions locales foyers de jeunes travailleurs associations de jeunesse e Volet contraception et pr vention VIH h patites et IST int gr aux actions d ducati
19. vaccin ou au traitement 14 Le d veloppement de partenariats avec les professionnels tablissements et organismes qui participent la lutte contre la tuberculose dans le d partement et la prise en charge des personnes atteintes 6 La remise des r sultats et une ventuelle prescription th rapeutique hors les traitements sp cifiques l infection par le virus de l immunod ficience humaine au cours d un entretien individuel avec un m decin 7 La d livrance des m dicaments n cessaires au traitement ambulatoire des infections 8 La disponibilit du mat riel et des m dicaments n cessaires au traitement des ventuelles r actions ind sirables graves 9 La proposition de d pistage et de traitement ventuel des partenaires en cas de diagnostic positif 10 La conclusion d une convention avec au moins un tablissement de sant assurant une consultation de d pistage anonyme et gratuit pr vue l article L 3121 2 lorsque l tablissement ou l organisme n est pas lui m me d sign en application de l article D 3121 21 pour effectuer une telle consultation 11 La d claration au centre r gional de pharmacovigilance dans les conditions pr vues par la section 13 du chapitre ler du titre II du livre ler de la cinquieme partie du pr sent code des effets ind sirables susceptibles d tre dus au traitement 12 La r alisation d actions d information et de pr vention relatives a
20. 77 partag entre les diff rents acteurs La p rennisation de l intervention a t elle t prise en compte Les indicateurs pour mesurer les r sultats attendus en termes de r duction des ISS ont ils t d finis Les donn es n cessaires pour mesurer le changement ont elles t identifi es Leur collecte a t programm e L valuation s interroge sur d ventuels effets secondaires impr vus ou contreproductifs ex accroissement des in galit s sociales de sant stigmatisation etc 78 ANNEXE 6 Evaluation les propositions d indicateurs par type d action La liste pr sent e ci dessous n exclut pas la possibilit d ajouter d autres indicateurs dans le cadre de votre action condition de les argumenter Pour chaque type d action il est obligatoire de pr voir au moins un indicateur de pr f rence parmi ceux soulign s dans chacune des trois classes d indicateurs processus activit r sultats Exemples d indicateurs par type d action Formation des acteurs relais professionnels de sant b n voles ou autres intervenants des usagers Moyens humains mobilis s profil du formateur nombre d ETP Moyens mat riels mobilis s Co t de la formation par b n ficiaire Analyse des points forts et points faibles de la formation Nombre de formations r alis es Nombre de participants form s Nombre d heures de formation de b n ficiaires
21. 8 Fiche n8 Vaccinations Fiche n 9 Fiche n 9 Fichen Fiche ng Tuberculose Fiche n 10 Fiche n 10 Pr vention de la perte Fiche n 4 S d autonomie Fiche n 11 Fiche nii non Acc s la sante des personnes d munies et en difficult s d insertion Fiche n 12 Fiche n 12 Il Ce tableau pr sente les priorit s th matiques et populationnelles retenues par l Agence au titre de la programmation 2015 26 FICHE n 1 PERINATALITE PETITE ENFANCE SANTE DES JEUNES ENFANTS En d veloppant pr matur s Objectifs sp cifiques 1 Promouvoir la sant p rinatale adapt s du handicap pr coces OBJECTIF GENERAL AMELIORER L ETAT DE SANTE DES FEMMES ENCEINTES ET DU NOUVEAU NE REDUIRE LE TAUX DE MORTALITE PERINATALE ET AMELIORER L ETAT DE la promotion de la sant des femmes en g n ral et pendant la grossesse le rep rage et la prise en charge pr coces des situations de vuln rabilit psychologique et ou sociale des femmes enceintes la pr vention des risques de handicap chez les nouveau n s vuln rables grands 2 Favoriser le rep rage pr coce des facteurs de risques et des situations de vuln rabilit de la femme enceinte en s appuyant notamment sur la r alisation de l entretien pr natal pr coce et leur prise en charge par les dispositifs de droit commun et ou des dispositifs 3 D velopper les comp tences parentales et le soutien
22. Types d intervention et exemples d actions Exemples d actions sur les axes suivants Information sensibilisation sur les infections VIH H patites autres IST et sur les conduites risque Actions de promotion de la sant visant au d veloppement d aptitudes individuelles adopter des conduites pr ventives Promouvoir les capacit s de n gociation de r duction des risques sexuels et de d voilement du statut s rologique e Actions d information sur les strat gies de pr vention en mati re d IST VIH et H patites e Actions d information et de sensibilisation aupr s des publics vis s des personnels des associations impliqu es et des relais socio sanitaires de proximit e Actions de sant communautaire en particulier aupr s de populations migrantes Renforcer l appropriation des strat gies de pr vention par les femmes migrantes notamment par la connaissance du pr servatif f minin et les capacit s de n gociation vis vis du partenaire e Actions int grant la notion d interculturalit afin d am liorer l approche en pr vention et l acc s aux prises en charge des populations m diateurs e S ances collectives de sensibilisation sur les conduites risque et sur les pratiques pr ventives groupes de paroles ateliers e Actions visant am liorer les connaissances et les capacit s des personnes Trans se prot ger et prot ger leurs partenaires e Actions de sensibilisation
23. action lieux structures langage et technologies employ s etc ainsi que le mode d association des usagers ne cr ent pas par construction initiale les conditions d un b n fice sup rieur pour les personnes issues de milieux favoris s gt Par ailleurs des groupes sp cifiques de populations publics doivent b n ficier d actions adapt es Ces personnes sont en particulier des personnes en situation d h bergement d urgence d errance les personnes sans couverture sociale sociaux les personnes d tenues et sous main de justice les personnes en situation de prostitution GUIDE A L INTENTION DES PROMOTEURS Ann e 2015 De la m me fa on certaines conditions de vie Foyers de Travailleurs Migrants dispositifs d h bergements n cessitent une forte adaptation des strat gies de promotion de la sant L ensemble des objectifs relatifs la sant de ces groupes sociaux est rappel dans le Programme R gional d Acc s la Pr vention et aux Soins PRAPS Les m thodes de travail retenues doivent privil gier le rapprochement des dispositifs de droit commun la fois gr ce aux volutions de pratiques de ces dispositifs de droit commun et par la mise en place de passerelles sp cifiques Les l ments relatifs la r duction des in galit s de sant prendre en compte dans l laboration des projets d intervention sont identifi s dans l annexe 5 du pr sent Guide 3 2 Des th
24. avant et apr s l accouchement en particulier dans les populations fragiles l int r t d allaiter et de pratiquer une activit physique r guli re e Promotion de la poursuite de l allaitement maternel dans les structures d accueil de la petite enfance lorsque les m res reprennent le travail 36 Objectif sp cifique Pr venir le surpoids et l ob sit chez Penfant et les jeunes Population s vis e s enfants jeunes familles en situation de pr carit Types d intervention et exemples d actions Actions de promotion de la sant globale combinant l ducation alimentaire aupr s des enfants des jeunes de leurs parents et des professionnels en contact avec les enfants la promotion de l activit physique et la r duction de la s dentarit et la promotion d environnements favorables la sant d veloppement de programmes sur le temps scolaire et p riscolaire en lien avec les familles type Ecoles coll ges en sant Promotion d une alimentation quilibr e associ e une activit physique des enfants et des jeunes partir de l exp rience ICAPS Intervention aupr s des Coll giens centr e sur l Activit Physique et la S dentarit Information sensibilisation des professionnels des animateurs jeunesse des centres de loisirs en vue de d velopper une information aupr s des publics sur limportance de l quilibre alimentaire de l activit physique s app
25. avant le lancement de toute action en termes d indicateurs et d outils de collecte et de reporting des informations C est un processus qui accompagne et str ucture l action d s sa conception jusqu aux r sultats x Les porteurs de projets sont invit s prendre en compte les l ments contenus dans l annexe 6 Evaluation les propositions d indicateurs par type d action L valuation des actions soutenues en 2015 sera r aliser d s la fin de l action par tous les promoteurs y compris ceux ayant sign pr c demment une convention pluriannuelle conform ment aux engagements contractuels L Agence rappelle que l valuation a un caract re obligatoire cf art 10 de la convention et que le renouvellement de la convention est subordonn aux donn es de l valuation fournies par le promoteur au titre des engagements conventionnels cf art 12 de la convention 24 GUIDE A L INTENTION DES PROMOTEURS Ann e 2015 8 ANNEXES ANNEXE 1 Tableau des priorit s th matiques populations et fiches th matiques ANNEXE 2 Activit s des structures p rennes ANNEXE 3 Liste des communes avec classement IDH2 ANNEXE 4 Construire un projet cadre th orique et outils pratiques ANNEXE 5 Liste de v rification pour la prise en compte des in galit s sociales de sant ANNEXE 6 Evaluation les propositions d indicateurs par type de projets 25 ANNEXE 1 Tablea
26. besoin Le choix de la strat gie s appuie t il sur des informations scientifiques tablies de facon rigoureuse et potentiellement les plus efficaces pour atteindre les objectifs L intervention vise a renforcer la participation du public cible ainsi que sa capacit d agir Des actions ayant pour but la prise de conscience le d veloppement des connaissances et les comp tences psychosociales sont elles pr vues Quels sont les avantages et d savantages que l intervention est susceptible d apporter aux populations cibles Est ce que l action ne risque pas de creuser des carts entre groupes ou d aggraver la stigmatisation de certains d entre eux L intervention est elle adapt e et accessible la population cible Les contraintes de l environnement ont elles t prises en compte Les contraintes conomiques pour que le groupe cible puisse participer ont t prises en compte L intervention s appuie t elle sur une d marche intersectorielle Les partenaires mobiliser en fonction des d terminants sociaux identifi s et sur lesquels l action vise agir sont ils impliqu s Existe il un leadership La liste de v rification s est inspir e de 3 outils grille d appr ciation des actions de r duction des in galit s sociales de sant labor e par l INPES USAID Checklist for Health Equity Programming et The Health Equity Assessment Tool d velopp e par le Minist re de la sant de Nouvelle Z lande
27. dentaire nutrition dans la prise en charge Objectifs sp cifiques Am liorer l acc s et ou le maintien aux dispositifs de droit commun de pr vention et de soins Am liorer la mise en coh rence et la continuit des prises en charge et des parcours de sant Inscrire ou r inscrire les personnes dans des actions de pr vention et de soins et en particulier int grer la sant orale bucco dentaire nutrition dans la prise en charge globale des personnes d munies Populations vis es Personnes dans une situation de pr carit sociale affectant plusieurs domaines absence de logement de revenu situation administrative irr guli re absence total ou partiel de droit l isolement social barrage linguistique un moment de vuln rabilit particuli re sortie de prison vieillesse maladie chronique et en difficult dans l acc s la pr vention et ou aux soins sur le plan financiers culturels linguistiques Notamment les jeunes en difficult d insertion sociale parmi eux jeunes en difficult s suivis par les Missions Locales ou les autres dispositifs d insertion les mineurs trangers isol s les adolescents et d scolaris s et plus largement les jeunes sortis des dispositifs de l aide sociale l enfance ou du dispositif jeunes majeurs sans relais Types d intervention et exemples d actions mettre en place de fa on combin e 1 Actions d accueil d inf
28. des pr cisions compl mentaires concernant les zones g ographiques vis es 52 Objectif sp cifique D velopper la pr vention primaire information sensibilisation et incitation au rep rage Population s vis e s Personnes migrantes en situation de pr carit en situation d errance Roms personnes d tenues Types d intervention et exemples d actions Programme d Information sensibilisation des publics concern s Information et sensibilisation des personnels socio sanitaires intervenant aupr s de publics pr caires et ou vivant en habitat indigne Information Sensibilisation des personnels d tablissements scolaires et structures d accueil de la petite enfance sur la pr vention et le rep rage des signes d appel de la tuberculose Objectif sp cifique Renforcer le d pistage cibl aupr s des populations les plus risque Population s vis e s Personnes migrantes pr caires en situation d errance Roms personnes d tenues Types d intervention et exemples d actions D pistages cibl s aupr s de populations risque et orientation vers les soins prise en charge m dico sociale globale m diation socio sanitaire Equipe mobile de d pistage et de vaccination D pistage chez les primo arrivants Concernant les publics d munis les actions doivent respecter les points de vigilance identifi s dans la fiche N 12 Acc s la sant des personnes d munies
29. du personnel p nitentiaire sur le risque infectieux VIH H patites IST la pr vention des risques l hygi ne le d pistage Objectif sp cifique Favoriser le d pistage pr coce et adapt aux populations et leur prise Types d intervention et exemples d actions e Information et accompagnement y compris 49 de risque et l orientation vers le soin dans une approche de counseling Population s vis e s Jeunes adultes Populations prioritaires personnes en situation de vuln rabilit migrants d tenus usagers de drogues personnes en situation de prostitution hommes ayant des relations sexuelles avec d autres hommes homosexuels et bisexuels jeunes homosexuels via les CDAG et les CIDDIST vers les tests de d pistage rapides TROD e Actions de sensibilisation men es par les pairs e Ateliers sur la sant sexuelle et la pr vention int grant le d pistage Objectif sp cifique D velopper le soutien et la pr vention aupr s des personnes confront es aux infections VIH H patites Population s vis e s Personnes s ropositives H patite VIH et leur entourage d tenus personnes en situation de vuln rabilit Types d intervention et exemples d actions e Actions d information sur les traitements et la prise en charge groupes de paroles ateliers m diation accompagnement dans le syst me de soins e Actions collectives de soutien visant renforcer
30. gionale du Programme National de R duction du Tabagisme PNRT la prise en compte du tabagisme dans les actions de pr vention et de promotion de la sant est attendue Inscrits dans le cadre de la politique de promotion de la sant en entreprises notamment l gard de la pr vention du tabagisme Concernant les territoires d intervention Le d ploiement de l intervention sur cette th matique concerne les populations des 8 d partements d lle de France En cons quence les projets d action sont d ployer dans tous les d partements en Ile de France sous r serve d une approche atteignant effectivement les publics concern s Feront l objet d une attention particuli re les projets d action concernant les territoires suivants Territoires des communes ayant formalis un CLS comportant cette th matique Territoires avec IDH2 lt 0 52 Territoires cibles G ographie prioritaire de la politique de la ville Territoires situ s dans les zones g ographiques infra d partementales suivantes 77 Sud bassin de vie de Nemours Fontainebleau et Montereau et au Nord territoires du Groupement Hospitalier Est francilien Meaux Jossigny Coulommiers 78 CA2RS CASQY Le Mantois Les Mureaux Poissy Sartrouville Conflans Ste Honorine Ach res Limay Plaisir Maurepas Carri re Seine 91 Zones REP R seau d Education Prioritaire Boucle Nord 92 Centre 92 S Communaut d Agglom rat
31. habitat indigne la priorit sera donn e aux projets d taillant la m thode et les moyens mis en uvre afin de mobiliser durablement les occupants autour de la qualit de leur logement Empowerment Une attention particuli re sera port e aux modalit s d valuation de ces aspects S agissant de l objectif sp cifique relatif l accompagnement des occupants touch s seuls les projets d veloppant la fois des interventions sur les volets social et sanitaire seront consid r s Il s agit d un dispositif sp cifique mis en place avec la DRIHL Concernant les territoires d intervention Le d ploiement de l intervention sur cette th matique concerne les populations des 8 d partements d lle de France Feront l objet d une attention particuli re les projets d action concernant les territoires suivants Territoires des communes ayant formalis un CLS comportant cette th matique Territoires avec IDH2 lt 0 52 Territoires cibles G ographie prioritaire de la politique de la ville Territoires situ s dans les zones g ographiques infra d partementales suivantes 77 Nemours Meaux Coulommiers Communaut Melun Val de Seine Melun Dammarie les Lys Le M e sur Seine Montereau territoire provinois Agglom ration de Marne et Chantereine les territoires relevant des Maisons des Solidarit s du d partement et des antennes CAF 78 territoires cibl s par la Direction D partementale de
32. intoxication au monoxyde de carbone Actions innovantes de sensibilisation des populations les plus pr caires sur les risques d intoxication au monoxyde de carbone Objectif sp cifique Favoriser le rep rage et la prise en charge des personnes souffrant du syndrome de Diog ne et touch es par l habitat indigne Population s vis e s Personnes en situation de pr carit Personnes vivant en habitat indigne Types d intervention et exemples d actions Elaboration et mise en uvre d un programme de sensibilisation des professionnels intervenants domicile au rep rage de ces situations attitude adopter diagnostic valuation des risques pour les occupants et leur entourage et aux interventions possibles information sur le r seau d acteurs locaux mobilisables Soutien et accompagnement des occupants et de leur entourage afin de favoriser le maintien des connexions avec les acteurs intervenant dans la prise en charge sanitaire m dicale et d viter les risques de rechute a Objectif sp cifique D velopper la pr vention primaire et encourager le d pistage du saturnisme infantile Agir en r seau Population s vis e s Enfants femmes enfants femmes enceintes Types d intervention et exemples d actions Organisation de campagnes de pr vention dans les secteurs g ographiques risques renforcement des interventions aupr s des groupes les plus expos s Information aupr s des personnes r
33. la sant en partenariat avec les acteurs de la sant au travail Objectif sp cifique D velopper des dispositifs int gr s interdisciplinaires visant la pr vention des cancers Populations vis es Femmes Personnes en situation de pr carit Personnes restant l cart des d pistages Personnes en situation de handicap en milieu ordinaire ou en tablissement m dico social Types d intervention et exemples d actions e Prioritairement des actions de type sant communautaire visant les populations loign es du systeme de soin e actions globale vers la sant des femmes incluant sein col de l ut rus colorectal e actions interdisciplinaires de promotion du d pistage sur certains lieux de vie FTM milieu carc ral tablissements m dicosociaux e modules de promotion de la sant et des d pistages des cancers a d cliner dans les Contrat Locaux de Sant et Ateliers Sant Ville au sein de parcours de pr vention plus g n raux ex sante environnement IST visant des publics cibl s et des d terminants de sant 33 e Actions visant l acquisition de comportements favorables la sant telle que l incitation au suivi m dical r gulier notamment gyn cologique pour les femmes la participation aux d pistages organis s et individuels des cancers aux d pistages individuels Objectif sp cifique D velopper l articulation et la coordination e
34. les enfants et les parents la famille dans des lieux d intervention diversifi s ex cole centre social Des actions de d pistages communautaires diab te de type 2 et ou des risques cardio vasculaires et ou risques d ob sit et ou bucco dentaire lors de manifestations publiques ou dans des lieux sp cifiques pourront tre soutenues condition de concerner des publics loign s du syst me de sant pour des raisons culturelles socio conomiques et condition que soit pr vu un accompagnement vers les soins Le d pistage doit venir compl ter des actions de promotion de la sant et pr voir l orientation des personnes vers une offre de soins adapt e et accessible Dans ce sens ils s inscrivent dans un parcours de sant Concernant les territoires d intervention Le d ploiement de l intervention sur cette th matique concerne les populations des 8 d partements d lle de France En cons quence les projets d action sont d ployer dans tous les d partements en lle de France sous r serve d une approche atteignant effectivement les publics concern s Feront l objet d une attention particuli re les projets d action concernant les territoires suivants Territoires des communes ayant formalis un CLS comportant cette th matique Territoires avec IDH2 lt 0 52 Territoires cibles G ographie prioritaire de la politique de la ville Territoires ayant une pr valence du diab te gt 3 8 pour ce qu
35. page de ce guide Le fichier ne devra pas d passer 4 Mo Un accus de r ception sera syst matiquement envoy la r ception de chaque dossier Nota Bene un porteur n ayant pas re u un accus de r ception sous 15 jours pourra contacter l agence 19 GUIDE A L INTENTION DES PROMOTEURS Ann e 2015 A quelle date Les porteurs sont invit s faire parvenir ARS le dossier exprimant la demande de subvention ainsi que les documents annexes list s d s la parution du guide et au plus tard le 20 janvier 2015 d lai de rigueur Les dossiers re us apr s cette date ne seront pas instruits A l appr ciation de l Agence certains projets pourront faire l objet d un dialogue de gestion Dans ce cas une invitation leur sera adress e par message lectronique individuellement par le service de l agence concern si ge ou d l gations territoriales Le dialogue de gestion est un temps de concertation offert aux promoteurs ayant soumis un dossier complet et recevable selon les crit res d taill s au chapitre 4 visant pr ciser le projet voire le reconfigurer ou le r orienter selon les priorit s de l Agence Dans l hypoth se o un dialogue de gestion est organis par l Agence les documents devront tre transmis au plus tard 15 jours avant la tenue de la r union En 2015 le calendrier de la programmation vise l tablissement et la mise en uvre d une programmation uniqu
36. politique vaccinale et ses volutions aupr s des acteurs de sant de premi re ligne ex ateliers multidisciplinaires m decins pharmaciens sages femmes infirmiers actions sur les opportunit s manqu es Proposer des strat gies d intervention adapt es ex entretien motivationnel 5 minutes pour convaincre Actions hors les murs de vaccination en lien avec les professionnels concern s dispositif public notamment et les besoins sp cifiques rep r s Module de vaccination int gr des actions de promotion de la sant globale ou th matique crois e Education la vie affective et sexuelle comportements voyages actions aupr s des jeunes p rinatalit pr vention des IST du VIH et des h patites Actions de sensibilisation information aupr s des familles des relais de proximit des futurs parents en lien avec et avec les centres de planification les r seaux de p rinatalit les maternit s Campagnes sp cifiques dont la Semaine Europ enne de Vaccination SEV INPES au plus pr s du public associations de quartiers centres sociaux foyers maternit s ex l utilisation de l outil mes vaccins net POINTS DE VIGILANCE Concernant les publics d munis les actions doivent respecter les points de vigilance identifi s dans la fiche N 12 Acc s la sant des personnes d munies Concernant les territoires d intervention Le d ploiement de d partements d lle de France
37. prise en charge pour les situations rep r es lors de l intervention Objectif sp cifique Types d intervention et exemples d actions Pr venir la souffrance psychique e Sensibilisation information des acteurs D velopper le rep rage pr coce de la souffrance psychique favoriser le recours aux relais de proximit Population s vis e s enfants difficult Familles parents adolescents et jeunes adultes en Personnes en situation de grande pr carit personnes d tenues ou sortant de prison migrants Femmes en difficult s au cours de la p riode p rinatale sanitaires et non sanitaires de premi re ligne quipes ducatives au rep rage de la souffrance psychique du risque suicidaire et des comportements risque Sensibilisation de relais de proximit aupr s des jeunes BIJ PIJ Antennes jeunes PAEJ pour les aider a informer les jeunes sur les structures et dispositifs existants et les aider s orienter si besoin Actions de rep rage de la souffrance psychique en p riode p rinatale aupr s de femmes en situation d isolement social ou de pr carit Groupes d expression et de soutien les jeunes les professionnels les aidants professionnels ou familiaux visant la reconstruction ou au renforcement du lien social du sentiment de bien tre physique et psychique Ateliers interg n rationnels visant favoriser l estime de soi le bien tre mental et social des perso
38. professionnels sur l hygi ne et la sant orale des personnes g es e Ateliers visant le d veloppement des fonctions cognitives l estime de soi le bien tre mental et social des personnes g es e Ateliers d expression et d changes autour de la sant et le bon usage des m dicaments les conduites risque et la notion d abus et de d pendance e Activit physique adapt e sportive sport sant ateliers quilibre et pr vention des chutes e Actions de sensibilisation l importance d adapter le logement afin de pr venir les accidents domestiques et am liorer la s curit et la qualit de vie des s niors domicile Objectif sp cifique D velopper la pr vention et le rep rage de la d nutrition et de la d shydratation des personnes g es domicile ou en tablissement Population s vis e s personnes g es Types d intervention et exemples d actions e Actions de promotion de l quilibre alimentaire de sant bucco dentaire et d une activit physique et sportive adapt e chez les personnes g es e Information en direction des aidants familiaux aidants et professionnels en contact des personnes g es domicile et en tablissement afin d am liorer la nutrition et l hydratation des personnes g es 56 Objectif sp cifique Promouvoir l aide aux aidants familiaux des personnes en situation de handicap Population s vis e s personnes en sit
39. tablis au travers de l annexe 4 du pr sent guide construire un projet cadre th orique et outils pratiques Pour am liorer la qualit des projets les promoteurs peuvent faire appel aux prestations du P le R gional de Comp tences en Education pour la Sant Promotion de la Sant d lle de France Pour tout renseignement consulter le site du PRC EPS http www prc idf orq gt Capacit du promoteur mettre en uvre l action Les projets doivent s appuyer sur L exp rience du promoteur dans le champ de l intervention La solvabilit financi re de l association La l gitimit du promoteur vis vis des populations abord es et de la th matique Les moyens et ressources humaines mobilisables pour le projet des modalit s de mise en uvre r alistes et adapt es La construction partenariale du projet Lorsque le projet est men e dans un tablissement scolaire la prise en compte des besoins dans l tablissement dans le cadre du partenariat avec le comit d ducation la sant et la citoyennet CESC et l accord de l ducation Nationale pour l organisation de projets de pr vention mobilisant les adultes et les l ves dans l tablissement 13 GUIDE A L INTENTION DES PROMOTEURS Ann e 2015 gt Partenariat et territorialit Les projets doivent s inscrire en accord avec l offre existante sur le territoire cibl L Agence appr ciera notamment La quali
40. 15 Le soutien financier n est pas accord Les porteurs dont les projets ne sont pas retenus re oivent un courrier traduisant les motifs de refus de financement Dans la cas o le refus tient un d faut m thodologique d laboration du projet d intervention les promoteurs sont invit s solliciter le P le R gional de Comp tences en ducation pour la sant PRC 21 GUIDE A L INTENTION DES PROMOTEURS Ann e 2015 G LE CONVENTIONNEMENT 6 1 La nature et le contenu des engagements conventionnels Au del de la mise en paiement de subventions en faveur des porteurs concern s le conventionnement d cline la mise en uvre du Sch ma R gional de Pr vention au travers de la programmation des actions conformes ses objectifs C est pourquoi sont traduits dans la convention en r f rence aux objectifs de la politique r gionale les engagements des porteurs concernant les actions retenues ainsi que les engagements financiers de l ARS en contrepartie de ces actions Sont adjoints en annexe cette convention des l ments de suivi plus pr cis relatifs Au contenu des actions annexe descriptive de s l action s Au budget moyens mobilis s pour l action etc A l valuation du projet Les cr dits sont allou s au titre d un exercice budg taire annuel L action doit d buter au cours de l ann e civile d obtention de la subvention Les moyens allou s peuvent toutefois tre utilis s par
41. 23 GUIDE A L INTENTION DES PROMOTEURS Ann e 2015 7 L VALUATION DES INTERVENTIONS L ARS Ile de France s attache dans son projet r gional de sant et dans le Sch ma R gional de Pr vention apporter des r ponses adapt es aux enjeux majeurs pour la sant des franciliens Afin d am liorer la qualit globale de l offre en pr vention et son ad quation aux besoins de la population il importe de renforcer la culture de l valuation et de d velopper la d marche qualit pour assurer la conformit des actions aux objectifs r gaionaux et pouvoir en mesurer les effets pour les populations concern es L ARS Ile de France souhaite un d veloppement et une professionnalisation de la d marche d valuation dans le domaine de la pr vention et porte une attention particuli re et soutenue aux l ments d velopp s dans le volet valuation des actions propos es Elle encourage les promoteurs se saisir du dispositif d auto valuation afin de s interroger sur les pistes d am lioration de leurs actions en termes de qualit et d efficacit dans le cadre d une d marche d am lioration continue L auto valuation de la qualit et de l efficacit des actions doit tirer parti de m thodes fond es sur le recours aux nouvelles technologies de l information et de la communication ntic ex e learning bornes t l matiques g olocalisation Il est important de rappeler que l valuation doit tre envisag e et construite
42. 44 WEEN DUGNY os 10430 2 707 93031 EPINAY SUR SEINE____ oss 52020 14 065 15 423 13 545 6 035 23 29 29 29 28 34 93039 L ILE SAINT DENIS 34 7 083 2 178 En En 38 38 38 D partement du Val de Marne 94 a Nb de foyers Code GE fiscaux non imposables 94074 VALENTON 12 294 3 225 68 ALFORTVILLE CHAMPIGNY SUR MARNE CHOISY LE ROI GENTILLY VILLIERS SUR MARNE BOISSY SAINT LEGER D partement du Val d Oise 95 A Nb de foyers Code EE fiscaux non imposables 8 088 248 1304 BE EE 95612 69 ANNEXE 14 Construire un projet cadre th orique et outils pratiques On appelle projet en pr vention et promotion de la sant l ensemble des activit s et des actions men es dans le but de r pondre une probl matique de sant L action est la r alisation concr te de ce qui a t pens pr vu organis budg tis Par ce terme il faut donc comprendre une action d intervention dans des d lais fix s destination d une population identifi e mobilisant des comp tences sp cifi es avec une enveloppe budg taire propre Quelle m thode utiliser pour concevoir son projet Comment poser un regard dynamique sur les tapes n cessaires la construction et la mise en uvre d un programme en pr vention et en ducation pour la sant L approche propos e dans ce guide a t labor e autour d outils simples qui soutiendront la r flexion collective de l q
43. AY O D Agence R gionale de Sant lle de France L INTERVENTION EN PREVENTION EN LE DE FRANCE EN 2015 GUIDE A L INTENTION DES PROMOTEURS pour le d p t de projets d intervention et de demandes de soutien financier de PARS sur le Fonds d Intervention r gional FIR GUIDE A L INTENTION DES PROMOTEURS Ann e 2015 Sommaire SOMMAIRE GE 1 1 PREAMBULE eng ee ee oie tee de 2 2 LA POLITIQUE DE PREVENTION DE L ARS ILE DE FRANCE 3 2 1 LE DIAGNOSTIC REGIONAL DE SANTE ENEE ENEE ENEE ENEE ENEE ENEE 3 2 2 LES ORIENTATIONS GENERALES DU SCHEMA REGIONAL DE PREVENTION SRP 4 2 3 LES PRINCIPES FONDATEURS DE LA POLITIQUE DE PREVENTION DE L AGENCE sum srarnrnnnrnnnnnnse 5 2 4 LA MOBILISATION DES PARTENARIATS cocinan 5 3 LES ORIENTATIONS DE L INTERVENTION EN PREVENTION POUR 2015 7 3 1 DES POPULATIONS PRIORITAIRES rrrnrrerenrnenennenmnnenenneneeennenenenneennnenennennennnenenennenenennnnennnnnns 7 3 2 DES THEMATIQUES DE SANTE PRIORITAIRES ccoo 8 3 3 UN CIBLAGE Tute 9 3 4 DES PRINCIPES D INTERVENTION cocinar 10 4 LA RECEVABILITE DES PROJETS D INTERVENTION nincsmcismcssnnsnnns 12 4 1 LES CRITERES DE RECEVABILITE EE 12 4 2 LES DISPOSITIFS STRUCTURELS CONCOURANT A LA POLITIQUE DE SANTE PUBLIQUE LES ACTIONS DE SANTE RECENTRALISEES E 16 5 LA PROCEDURE ET LA CAMPAGNE DE FINANCEMENT DES PROJETS D INTERVENTION POUR 2045B 0ooocccooococooncconococononccnnoncnnnn non r ccoo ro
44. ES PROMOTEURS Ann e 2015 Cependant cet indicateur communal lisse les particularit s infra communales quartiers Il peut donc tre opportun de prioriser un quartier au sein d une commune o communaut de communes e Ainsi au sein d une commune ayant un indice IDH2 sup rieur 0 52 il est possible de cibler un quartier en difficult ainsi que des zones identifi es dans le cadre de la g ographie prioritaire de la Politique de la Ville ou concern es par un programme de R ussite Educative Pour certaines populations ou th matiques il est difficile de d finir une zone g ographique pr cise femmes enceintes pr caires jeunes en difficult migrants prostitu s d tenus ou sortants de prison etc ll s agira alors de viser des lieux d intervention structures services espaces de vie etc les plus propices la rencontre de ces populations 3 4 Des principes d intervention L tat actuel des connaissances permet de d gager un certain nombre de principes d intervention pour parvenir des r sultats en mati re de r duction des in galit s sociales de sant L Agence porte une attention particuli re aux projets con us selon les recommandations pr sent es ci dessous gt Fonder l intervention sur une appr hension compl te du besoin L analyse de la situation est un temps essentiel dans la mise en place d une action Le projet doit tre construit partir d une analyse du probl me de sant de ses d ter
45. ION DES PROMOTEURS Ann e 2015 2 LA POLITIQUE DE PR VENTION DE L ARS ILE DE FRANCE La politique de ARS Ile de France est fond e sur un diagnostic r gional approfondi Elle est formalis e dans deux documents cadre son Projet R gional de Sant et le Sch ma R gional de Pr vention 2 1 Le diagnostic r gional de sant L analyse diagnostique du Sch ma R gional de Pr vention pose les fondements des axes strat giques de la politique de ARS Ile de France gt Un diagnostic de l tat de sant de la population francilienne L tat de sant global de la population francilienne est meilleur que celui de la population fran aise dans son ensemble Si la population francilienne est globalement jeune et en bonne sant et plus riche que la moyenne de la population fran aise la r gion est marqu e par de tr s fortes in galit s socio conomiques r v lant des in galit s sociales et territoriales de sant In galit s en termes de mortalit esp rance de vie mortalit infantile mortalit f minine par cancers Naissance enfance jeunesse des in galit s qui s installent d s la naissance In galit s face aux comportements de sant et aux modes de vie In galit s face aux pathologies infectieuses et aux expositions li es aux conditions de vie In galit s face la perte d autonomie vieillissement et handicap gt Un diagnostic de l Offre en Pr vention et Promotion de la Sant
46. RS Ann e 2015 5 LA PROCEDURE ET LA CAMPAGNE DE FINANCEMENT DES PROJETS D INTERVENTION POUR 2015 L ARS d lle de France si ge et d l gations territoriales pr sentes dans chacun des d partements de la r gion est l interlocutrice privil gi e des promoteurs franciliens d actions de sant publique d s lors que ceux ci souhaitent mettre en uvre un projet n cessitant un soutien notamment financier dans le domaine de la pr vention 5 1 D p t des dossiers Qui peut d poser un dossier Sont concern s Les associations Les collectivit s territoriales Les tablissements de sant Les structures de gestion des d pistages organis s des cancers du sein et colorectal Les centres de lutte anti tuberculeux habilit s par l Agence Les centres de d pistage et de diagnostic des Infections Sexuellement Transmissibles habilit s par l Agence Les centres de vaccination habilit s par l Agence Nota Bene Les activit s d velopp es dans les structures p rennes font l objet d une gestion sp cifique d crite au chapitre 4 2 Comment constituer le dossier La demande de financement du des projet s d intervention est constitu e selon le dossier type de demande de subvention tabli par r f rence au dossier Cerfa n 12156 03 et adapt au champ de la pr vention et par ailleurs aux diff rents types de porteurs associatifs tablissements publics collectivit territoriales t
47. a pr vention et le d pistage des pathologies li es l coute des musiques amplifi es Objectif sp cifique D velopper des interventions pour la r duction des impacts sanitaires li s l insalubrit des logements Population s vis e s Personnes vivant en habitat indigne Types d intervention et exemples d actions e Rep rage des situations risques et diagnostic des d sordres pr sents dans les logements e Sensibilisation des travailleurs du champ m dico social intervenants domicile bailleurs intervenants relais b n voles en contact avec les occupants sur les risques sanitaires li s un logement d grad e Rep rage et pr vention des pathologies li es l habitat asthme pathologiques allergiques et respiratoires maladies infectieuses incitation au d pistage et la prise en charge le cas ch ant Objectif sp cifique Accompagner les occupants dont le logement a t d clar insalubre Population s vis e s Personnes vivant en habitat indigne et dont le logement a fait l objet d un arr t pr fectoral d insalubrit Territoires sp cifiquement concern s 77 78 93 95 Types d intervention et exemples d actions combinant n cessairement e Une information sur la proc dure enclench e et ses cons quences e Et un accompagnement sanitaire des occupants promotion des gestes essentiels d occupation d un logement et sensibilisation sur
48. aire lyc e Moyens Nombre de parole se d clarant 2 professionnel et dans les humains r unions mieux inform s Echanger avec le grand quartiers milieu associatif mobilis s r alis es sur le sujet public sur les violences sexistes Action3 organisation de journ es de sensibilisation en direction du grand public forum municipal Type et qualit de la coordination mise en place nombre de participants 4 journ es de sensibilisation 72 Objectif sp cifique 2 Proposer femmes victimes violences sexistes une aide aux de Rep rer accompagner les Objectif op rationnel 2 1 informer femmes dans leurs d marches Action 4 groupes de paroles permanences d accueil Moyens humains mobilis s Type et qualit de la coordination mise en place Nombre de groupes de paroles r alis s nombre de personnes accueillies 5 groupes de paroles 12 permanences d accueil b n ficiaires orient es Taux de fr quentation de la permanence d accueil par la population cible NB Le projet peut comporter un nombre variable d objectifs sp cifiques op rationnels et d actions Un projet peut aussi ne contenir qu une seule action Les intitul s des objectifs et des actions doivent tre synth tiques Le descriptif des actions sera d velopper dans la fiche d roulement par action 43 Etape 3 La d finitio
49. aitement maternel aupr s des femmes Actions de promotion sur la sant nutritionnelle pr vention du diab te gestationnel Objectif sp cifique Favoriser le rep rage pr coce des facteurs de risques et des situations de vuln rabilit de la femme enceinte en s appuyant notamment sur la r alisation de l entretien pr natal pr coce et leur prise en charge par les dispositifs de droit commun et ou des dispositifs adapt s Types d intervention et exemples d actions Actions de promotion de PEPP aupr s des femmes enceintes ou souhaitant l tre et de leur entourage Accompagnement des jeunes femmes enceintes en situation de vuln rabilit psychosociale vers les dispositifs de suivi de grossesse adapt s et les relais locaux r seau de p rinatalit protection maternelle et infantile Population s vis e s Femmes enceintes futurs parents femmes isol es familles monoparentales familles en situation de pr carit ou de vuln rabilit troubles psychiatriques handicap femmes pr sentant des facteurs de risque pour le diab te gestationnel ob sit origine non caucasienne ant c dents familiaux Actions aupr s des jeunes m res pour le renforcement du lien m re enfant et le rep rage de la d pression du post partum Sensibilisation des professionnels au rep rage des situations de vuln rabilit psycho sociale et ou de violences faites aux femmes Sensibilisation et di
50. ans sa globalit c est dire qui int grent le cadre de la vie du jeune dans une approche syst mique avec des interventions plusieurs niveaux aupr s des jeunes en favorisant le d veloppement des comp tences sociales cognitives motionnelles en impliquant les ducateurs temps scolaire et p riscolaire en d veloppant un volet sp cifique parents information participation en agissant dans les lieux de vie centres sociaux centres de loisirs m diateurs de sant travailleurs sociaux en mobilisant la commune les services de la ville s appuient sur un socle de comp tences acqu rir sur des besoins identifi s en amont en fonction de l ge et sur des modalit s d interventions r f renc es donn es probantes donn es de la litt rature tudes rep res Eduscol et INPES Des objectifs pr cis d appropriation de comp tences habilet s devront tre d finis ainsi que des l ments de mesure et d valuation s appuient sur la mise en situation l engagement actif de l enfant la mobilisation de ses ressources en donnant une place privil gi e aux m thodes interactives exp rientielles et aux supports ludiques ou p dagogiques changes t moignages jeux de r les groupes de paroles concernent les tranches d ge relatives l enfance et pr adolescence afin de favoriser l action en amont de la p riode de prise de risques et de confrontation aux addictions alcool drogue m d
51. apt e pour les personnes handicap es ou atteintes de maladies chroniques via des programmes personnalis s ge type de handicap de maladie chronique anim s par un ducateur sportif form au sport sant Objectif sp cifique D velopper la pr vention et le rep rage de la d nutrition et de la d shydratation des personnes g es domicile ou en tablissement Population s vis e s Types d intervention et exemples d actions e Actions de promotion de l quilibre alimentaire de la sant bucco dentaire et d une activit physique et sportive adapt e chez les personnes g es e Information en direction des aidants familiaux aidants et professionnels en contact avec les personnes g es domicile et en tablissement afin d am liorer la nutrition et 37 personnes g es l hydratation des personnes g es Cf fiche n 11 pr vention de la perte d autonomie Objectif sp cifique Promouvoir une alimentation quilibr e et une activit physique adapt e associ e un d pistage du diab te de type 2 des maladies cardio vasculaires et de l insuffisance r nale en milieu communautaire Types d intervention et exemples d actions Action de promotion de la sant autour de l activit physique et de l alimentation associ e un d pistage diab te de type 2 des maladies cardio vasculaires et de l insuffisance r nale lors de manifestations publiques o
52. ar une coordination avec les autres acteurs publics Ge construire avec les usagers citoyens Apporter un soutien aux aidants Adapter la pr vention aux populations en situation de vuln rabilit R duire les impacts sur la sant de l environnement lutter contre l habitat indigne 0000 Favoriser l int gration de la pr vention dans les parcours de sant o Agir de fa on pr coce avec les acteurs de la p rinatalit et petite enfance o Poursuivre dans le cycle de vie la coordination et la coop ration avec tous les acteurs pour les enfants adolescents etjeunes adultes o Coordination des acteurs en faveur du bien tre mental o D velopper des actions sp cifiques adapt es aux personnes en situation de handicap o D velopper le r le des professionnels de sant en mati re de pr vention o D velopper l Education Th rapeutique du Patient Am liorer la qualit globale de l offre de pr vention o Activer des leviers pour une volution positive de l offre r gionale en pr vention La professionnalisation des acteurs L av nement d une culture de l valuation La mise en place d une proc dure de labellisation o D velopper des partenariats avec la recherche Augmenter la culture du signalement et du risque chez les acteurs de sante les acteurs institutionnels et les citoyens o Mobiliser les acteurs de la veille sanitaire afin de d velopper le signalement et la participation la ge
53. arit personnes d tenues et plac es sous main de justice personnes atteintes de maladies chroniques Types d intervention et exemples d actions Actions de sensibilisation information de pr vention et de promotion de la sant adapt es aux publics cibles jeunes femmes personnes migrantes personnes en situation de pr carit personnes plac es sous main de justice personnes atteintes de maladies chroniques Actions de sensibilisation d information et de formation des travailleurs et m diateurs sociaux et de sant intervenant aupr s de publics ayant des conduites addictives ainsi que leur entourage Contextes et lieux d intervention Centres d accueil et foyers d h bergement de vie etc Milieux festifs Milieux tudiants Milieux p nitentiaires et d accueil des personne sous main de justice Objectif sp cifique Renforcer les comp tences psycho sociales face aux conduites addictives Population s vis e s Enfants adolescents jeunes adultes moins de 25 ans parents Types d intervention et exemples d actions Actions de pr vention visant viter et retarder l entr e dans les conduites addictives notamment le tabagisme et l alcoolisme en particulier destination des jeunes Interventions visant d velopper les comp tences psychosociales des jeunes et notamment des l ves des coll ges et lyc es et en particulier des tabl
54. ation ou au d ploiement du projet Favorisent le d veloppement des comp tences par la connaissance et la reconnaissance des forces du milieu et de ses membres pour donner aux personnes les moyens de faire des choix favorables leur propre sant Renforcent la confiance et les savoir faire en mati re d action collective 11 GUIDE A L INTENTION DES PROMOTEURS Ann e 2015 4 LA RECEVABILITE DES PROJETS D INTERVENTION Sont susceptibles d tre soutenus par ARS au titre de la contribution la mise en uvre de la politique r gionale de pr vention les types d intervention suivants D une part des actions de pr vention men es par des associations des tablissements et ou organismes publics et entrant dans le champ de l intervention en sant publique de ARS D autre par des dispositifs p rennes portant des activit s de d pistage cancer tuberculose infections sexuellement transmissibles et de vaccination Les structures portant des activit s de sant dites recentralis es au sens des articles L3112 2 L 2131 1 et L3111 11 du Code de la Sant Publique sont soutenues de mani re p renne par l ARS lle de France car elles contribuent l exercice d une mission de service public 4 1 Les crit res de recevabilit gt Pour tre soutenus les projets devront r pondre certaines exigences Les dossiers d pos s sont soumis un examen approfondi par des quipes pluridisciplinaires de l Age
55. ayant acquis les connaissances pr vues de b n ficiaires ayant chang leur comportement apr s la formation contr le 3 ou 6 mois de b n ficiaires mettant en ceuvre les comp tences acquises a l issue de la formation contr le 3 ou 6 mois apr s la formation Coordination Travail en r seau Implication des partenaires Type et qualit de la coordination mise en place Analyse des processus de d cisions au sein du r seau Moyens humains et mat riels mobilis s Analyse des points forts et points faibles de la coordination travail en r seau Nombre de structures contact es Nombre de structures associ es Temps consacr au soutien et la coordination Nombre de sollicitations du r f rent Nombre de partenariats formalis s Nombre de r unions ou contacts de groupes de de cas r solus gr ce la coordination Nombre d orientations r alis es vers les professionnels du r seau Am lioration de la synergie entre partenaires m dicaux m dico sociaux 79 travail Information Sensibilisation Communication Types d outils de communication interne ou externe utilis s Moyens humains et mat riels mobilis s Analyse des points forts et points faibles du projet Nombre de participants Nombre de s ances r alis es Nombre d outils distribu s flyers pr servatifs Nombre d out
56. bergement FTM CHRS Accueil de jour Nord 78 Nord 91 Nord 92 Les promoteurs int ress s sont invit s se rapprocher de la d l gation territoriale concern e pour obtenir des pr cisions compl mentaires concernant les zones g ographiques vis es 54 FICHE n 11 PREVENTION DE LA PERTE D AUTONOMIE LA PERTE D AUTONOMIE Objectif sp cifique OBJECTIF GENERAL PRESERVER LE CAPITAL SANTE DES PERSONNES EN SITUATION DE HANDICAP ET DES PERSONNES AGEES ET LIMITER L AGGRAVATION DU HANDICAP AINSI QUE 1 Promouvoir la sant globale des personnes en situation de handicap 2 Pr server le capital sant des personnes tout au long de leur vieillissement en encourageant les comportements favorables la sant 3 D velopper la pr vention et le rep rage de la d nutrition et de la d shydratation des personnes g es domicile ou en tablissement 4 Promouvoir l aide aux aidants familiaux des personnes en situation de handicap 5 Pr venir les situations d puisement des aidants familiaux des personnes g es Objectif sp cifique Types d intervention et exemples d actions Promouvoir la sant globale des personnes en situation de handicap Population s vis e s Personnes en situation de handicap en milieu ordinaire ou en tablissement m dico social ciblant pr f rentiellement deux tranches d ges 12 20 ans et plus de 40 ans Aidants familiaux A partir d une tape
57. ce nn r nn rra 18 5 1 DEPOT DES DOSSIERS oninonnonnar ENANAR NENEA nana 18 5 2 L INSTRUCTION DU DOSSIER ET LES DIALOGUES DE GESTION sn rnrnrnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnee 20 5 3 LE RESULTAT DE L INSTRUCTION coccion 20 G LE CONVENTIONNEMENT ooocoococcooocccooococonnnnonnnn cono rn cnn nn r nn rr 22 6 1 LA NATURE ET LE CONTENU DES ENGAGEMENTS CONVENTIONNELS ocn 22 6 2 MODALITES DE VERSEMENT ET DE CONTROLE DES SUBVENTIONS once 22 7IL EVALUATION DES INTERVENTIONS oocoooccoccconcconro nono nro nro nro nnnn nro nara nnrn nana 24 S ANNEXES cosas e Ee cid anida ii asii 25 ANNEXE 1 TABLEAU DES PRIORITES THEMATIQUES ET POPULATIONNELLES muse 26 ANNEXE 2 ACTIVITES DES DISPOSITIFS STRUCTURELS uns rearesrereaneeenenneneeneneneneeneeeneneeenennennenennnne 62 ANNEXE 3 LISTE DES COMMUNES AVEC UN CLASSEMENT IDH2 nn rrsnrsrerrsnrsreresnesnennns 64 ANNEXE 4 CONSTRUIRE UN PROJET CADRE THEORIQUE ET OUTILS PRATIQUES ssrrensnenaseananannse 70 ANNEXE 5 LISTE DE VERIFICATION POUR LA PRISE EN COMPTE DES INEGALITES SOCIALES DE SANTE o 77 ANNEXE 6 EVALUATION LES PROPOSITIONS D INDICATEURS PAR TYPE D ACTION REENEN A 79 GUIDE A L INTENTION DES PROMOTEURS Ann e 2015 1 PR AMBULE L Agence R gionale de Sant d lle de France ARS Ile de France est un tablissement public de l Etat caract re administratif plac sous la tutelle des ministres charg s de la sant de l assurance maladie des personnes g es et des personnes handicap
58. ctions r pondant aux priorit s de la politique r gionale de sant publique dans le cadre d un financement relevant du Fonds d Intervention r gional FIR Les op rateurs franciliens collectivit s territoriales associations tablissements centres de sant souhaitant contribuer la politique r gionale de pr vention et ce titre b n ficier d un soutien de ARS Ile de France pour leurs interventions trouveront dans ce Guide toutes les informations pour laborer leur projet et d poser leur dossier A quoi sert le Guide l intention des promoteurs pour le d p t de projets d intervention et de demandes de soutien financier de PARS Le pr sent guide pr cise les orientations strat giques et les d clinaisons op rationnelles de la politique de pr vention en Ile de France pour 2015 Ces orientations sont fond es sur un tat des lieux r gional des besoins et des enjeux en sant publique Il a pour objet De d finir les attentes de l ARS Ile de France en termes de nature d interventions et de priorit s th matiques populationnelles et territoriales De pr ciser le mode d emploi pour la constitution du dossier de demande de subvention De proposer une m thode pour la construction et l valuation des projets Il est accompagn d un dossier de demande de subvention adapt par l ARS lle de France pour prendre en compte les sp cificit s des projets de sant publique GUIDE A L INTENT
59. d changes autour de la sant et des conduites risque et la notion d abus et de d pendance tabac alcool m dicaments etc e Actions de sensibilisation l importance d adapter le logement afin de pr venir les accidents domestiques et am liorer la s curit et la qualit de vie des personnes handicap es domicile Objectif sp cifique Pr server le capital sant des personnes tout au long de leur vieillissement en encourageant les comportements favorables la sant Population s vis e s Personnes g es et aidants familiaux Types d intervention et exemples d actions A partir d une tape d information et sensibilisation collective suivie d une tape d valuation individuelle des besoins mise en place d un parcours de pr vention modulaire qui pourra tre constitu d un ou plusieurs ateliers tels que e Ateliers d expression et d changes sur les repr sentations du bien vieillir e Action de promotion de la sante visant l acquisition ou au renforcement de comportements favorables la sant en mati re d quilibre alimentaire d hygi ne buccodentaire de rythmes de sommeil de participation aux d pistages organis s des cancers aux d pistages sensoriels etc e incitation la participation aux d pistages sensoriels et information pour l appareillage pr coce en quipement auditif et visuel e Sensibilisation des personnes g es des aidants familiaux et des
60. d information et sensibilisation collective et apr s valuation des besoins mise en place d un parcours de pr vention modulaire qui pourra tre constitu d une ou plusieurs actions telles que e Actions de pr vention et promotion de la sant afin de promouvoir une alimentation quilibr e via l acquisition de rep res nutritionnels en r f rence au programme national nutrition sant e Actions visant l int gration de l hygi ne et de la sant orale dans les soins quotidiens et au niveau des pratiques professionnelles e Actions de promotion de l hygi ne et de la sant orale par des s ances d ducation la sant bucco dentaire ateliers de brossage des dents de d pistage avec orientation accompagnement vers les soins et d information sensibilisation des aidants familiaux et des professionnels e Ateliers d activit physique sportive sport sant adapt e afin d amener la pratique r guli re d une activit physique adapt e via des programmes personnalis s ge et type de handicap e Actions visant l acquisition de comportements favorables la sant telle que l incitation au suivi m dical r gulier notamment gyn cologique pour les femmes la participation aux d pistages organis s et individuels des cancers aux d pistages individuels e Ateliers de d veloppement de l estime de soi de bien tre mental et social de vie affective et sexuelle 55 e Ateliers d expression et
61. dentifi s 10 GUIDE A L INTENTION DES PROMOTEURS Ann e 2015 gt Agir en concertation en partenariat et en intersectorialit R pondre la question des in galit s sociales de sant implique d agir sur les facteurs environnementaux sociaux conomiques et culturels qui d terminent les comportements La plupart de ces d terminants se construisent en amont du syst me de sant et ne rel vent pas directement des comp tences du secteur de sant Ainsi les projets propos s devront 4 S appuyer sur des collaborations et des partenariats solides avec des acteurs uvrant dans d autres champs d activit s Etre coordonn s avec les initiatives locales et s appuyer sur les ressources existantes S articuler avec des niveaux d intervention compl mentaires prenant en compte simultan ment la pluralit des d terminants identifi s facteurs individuels sociaux et environnementaux gt Renforcer la capacit d agir et la participation citoyenne Les in galit s sociales de sant ne pourront tre trait es de fa on ad quate sans un engagement des parties prenantes des citoyens concern s en particulier D s lors il est imp ratif de renforcer la capacit d agir de tous les groupes de la soci t et en premier lieu celui des plus d favoris s Pour ce faire les projets devront s appuyer sur des m thodes qui Rendent possible et qui encouragent une participation active des personnes concern es l labor
62. e concernant les associations les structures p rennes et les collectivit s territoriales 5 2 L instruction du dossier et les dialogues de gestion L instruction du projet suppose que pr alablement celui ci soit complet et correctement constitu c est dire comprenant toutes les annexes du dossier de demande de subvention et les l ments qui s y rattachent r ponde aux crit res de recevabilit et d ligibilit d crits dans le chapitre 4 L instruction du dossier est r alis e sur pi ces Elle peut n cessiter une concertation avec le porteur et un dialogue de gestion visant pr ciser le projet voire le reconfigurer ou le r orienter selon les priorit s d finies par ARS C est dans cette approche concert e du projet que r side tout l enjeu du dialogue de gestion men avec les porteurs Dans l hypoth se o un dialogue de gestion est organis par l Agence les documents devront tre transmis au plus tard 15 jours avant la tenue de la r union 5 3 Le r sultat de l instruction La communication des d cisions de soutien financier Elle se fait par la publication des actions retenues sur le site Internet de PARS d lle de France Le soutien financier est octroy Une notification de d cision d attribution de subvention aff rente au x projet s soutenu s par PARS est transmise au promoteur et une proposition de convention est transmise aux porteurs 20 GUIDE A L INTENTION DES PROMOTEURS Ann e 20
63. e de la Jeunesse DIRPJJ Les trois rectorats franciliens La Direction R gionale de la Jeunesse des Sports et de la Coh sion Sociale DRISCS et la Direction R gionale et Interd partementale de l H bergement et du Logement DRIHL Le groupement de coop ration sociale et m dico sociale Pr vention retraite lle de France PRIF associant la CNAV la MSA et le RSI La Direction R gionale des Entreprises de la Concurrence de la Consommation du Travail et de l Emploi d Ile de France DIRECCTE D autres partenariats sont en cours de d veloppement avec notamment La Mutualit Fran aise au travers de sa d l gation r gionale GUIDE A L INTENTION DES PROMOTEURS Ann e 2015 3 LES ORIENTATIONS DE L INTERVENTION EN PREVENTION POUR 2015 C est partir des diff rents constats du diagnostic territorial et des orientations du Sch ma R gional de Pr vention rappel s ci dessus que l Agence d finit les axes selon lesquels elle pr voit d apporter son soutien par la voie de la contractualisation et du financement aux projets d actions de pr vention pr sent s par des op rateurs vari s associations tablissements publics collectivit s territoriales L enjeu de la campagne de contractualisation et de financement est d agir en priorit en vue de la r duction des in galit s sociales de sant L Agence concentre ses moyens sur les projets d intervention visant les populations consid r e
64. e il est possible de structurer le projet dans sa mise en uvre op rationnelle Des d cisions strat giques sont prendre concernant les priorit s o agir et sous quelle forme est il pertinent et r aliste d intervenir Au regard de la faisabilit il conviendra alors de d terminer les points forts par exemple de nombreux partenaires locaux souhaitent s investir dans le projet les freins les al as Ces l ments peuvent influer sur l ambition du projet la m thode privil gier La contribution du groupe de pilotage prendra ici tout son sens Outils tous les documents permettant de conserver une trace des informations et des r flexions r alis es ce stade Ils serviront au moment de l criture d finitive du projet 70 Parmi les nombreuses ressources sur internet L Observatoire R gional de Sant IDF www ors idf org La Banque de Donn es en Sant Publique www bdsp ehesp fr L ARS IDF le Sch ma R gional de Pr vention est consultable en ligne Les plans nationaux Le livre des plans en sant publique est disponible en ligne sur http www sante gouv fr IMG pdf Livre_des plans_sante publique 2011_BD paf La revue la sant en action de l INPES www inpes sante fr SLH articles index asp Etape 2 La d finition des objectifs Une d finition fine des objectifs permet de pr ciser et de cadrer un projet Cela permet de trouver plus facilement les moyens n cessaires sa mise en uv
65. e sant mentale en agissant sur les d terminants permettant d accroitre la sant mentale positive et renforcer les comp tences psychosociales d s le plus jeune ge en privil giant notamment les interventions en milieu scolaire aupr s des jeunes parents et des personnes en situation de vuln rabilit sociale personnes en grande pr carit personnes g es isol es d tenus et sortants de prison Pr venir la souffrance psychique et les troubles mentaux rep rer d pister et orienter et pr venir les r currences femmes enceintes adolescents et jeunes populations pr caires migrantes d tenues personnes sourdes et malentendantes aidants professionnels et familiaux gt Le milieu de vie et l habitat Prise en compte de la qualit de vie sur la sant Pr vention des pathologies li es des conditions d habitat insalubre 3 3 Un ciblage territorial Les projets d actions susceptibles d une contractualisation et d un financement doivent r pondre un besoin territorial identifi un niveau infra d partemental Cette chelle d intervention est en effet consid r e comme la plus pertinente pour lutter contre les in galit s de sant Le Contrat Local de Sant CLS est un outil majeur de partenariat avec les collectivit s territoriales et de mise en coh rence des projets port s par les diff rents acteurs de sant op rant dans les domaine de la pr vention de l offre de soins et d accompagnem
66. elais des parents incitation au d pistage et au suivi des enfants actions de d pistage au sein d un programme de sant globale Objectif sp cifique D velopper la pr vention et le d pistage des pathologies li es l coute des musiques amplifi es Population s vis e s Jeunes adolescents scolaris s 11 25 ans principalement et de mani re g n rale toute personne expos e aux risques auditifs baladeurs concerts discoth ques v nements de musique en plein air etc Types d intervention et exemples d actions Sensibilisation des jeunes des ducateurs et des parents au risque auditif Mise en uvre de campagnes d information en milieu festif pour les professionnels du secteur musical sensibilisation des jeunes et des parents 41 Personnes en situation de handicap en milieu e Actions de sensibilisation l importance ordinaire ou en tablissement m dico social d adapter le logement afin de pr venir les accidents domestiques et am liorer la s curit et la qualit de vie des personnes handicap es domicile Concernant les publics d munis les actions doivent respecter les points de vigilance identifi s dans la fiche N 12 Acc s la sant des personnes d munies Concernant le contenu et les modalit s d action une attention particuli re sera port e aux projets dans les conditions suivantes s agissant des objectifs sp cifiques relatifs l
67. elle par un m decin d examens compl mentaires vis e diagnostique 5 La disponibilit du mat riel et des m dicaments n cessaires au traitement des ventuelles r actions ind sirables graves 6 La d claration au centre r gional de pharmacovigilance dans les conditions pr vues par la section 13 du chapitre ler du titre Il du livre ler de la cinqui me partie du pr sent code des effets ind sirables susceptibles d tre dus aux vaccins 7 Des actions d information dans le cadre de la politique vaccinale cas 6 La r alisation d actions cibl es de d pistage 7 La r alisation d actions de pr vention cibl es sur les personnes pr sentant le plus de risques 8 Le concours la formation des professionnels 9 La vaccination par le vaccin antituberculeux 10 La disponibilit du mat riel et des m dicaments n cessaires au traitement des ventuelles r actions ind sirables graves 11 Le suivi m dical des personnes atteintes et la d livrance des m dicaments antituberculeux 12 La conclusion d une convention avec au moins un tablissement de sant susceptible de prendre en charge des personnes atteintes de tuberculose 13 La d claration au centre r gional de pharmacovigilance dans les conditions pr vues par la section 13 du chapitre ler du titre Il du livre ler de la cinqui me partie du pr sent code des effets ind sirables susceptibles d tre dus au
68. elopper favoriser Les objectifs op rationnels se traduisent par des verbes d actions par exemple informer interroger les repr sentations r aliser Attention toutefois des verbes qui induisent des difficult s quant une valuation mesurable tels que promouvoir am liorer L objectif op rationnel aboutit la r alisation d une ou plusieurs action s L action est la r alisation concr te de ce qui a t pens pr vu organis budg tis Par ce terme il faut donc comprendre une action d intervention Exemple atelier de sensibilisation ou d information une formation aupr s du public cible X sur une th matique Y Le travail pr paratoire la coordination la concertation avec les partenaires le suivi ne seront pas retenus comme des actions mais seront consid r s comme des activit s de processus utiles pour l valuation De plus afin d viter un trop grand nombre d actions il est souhaitable dans la mesure du possible de les regrouper Par exemple une r union d information sur la pr vention des IST aupr s de jeunes inclus les phases de pr paration et de bilan rencontres partenariales l intervention la distribution de supports p dagogiques de pr servatifs les questionnaires d acquisition de connaissances La description pr cise de toutes ces phases devra figurer dans la fiche action pr vue cet effet Les indicateurs d valuation d activit porteront sur cette ou ces action s voir
69. en coordination et s appuient sur les relais de proximit existants e Ne pas cr er de fili re sp cifique pr carit Eeront l objet d une attention particuli re les projets associant L accompagnement individuel des personnes d munies dans un parcours de sant La lutte contre les facteurs pouvant occasionner des ruptures dans le d roulement de ce dernier L coute active des questions de sant et l accompagnement en sant au sein des structures de vie Concernant les territoires et lieux d intervention Le d ploiement de l intervention sur cette th matique concerne les populations des 8 d partements d lle de France En cons quence les projets d action sont d ployer dans tous les d partements en lle de France sous r serve d une approche atteignant effectivement les publics concern s L intervention doit concerner prioritairement les lieux fr quent s par les populations d munies adultes CHRS espaces solidarit insertion piceries sociales h tels FTM et r sidences sociales CADA bidonvilles et les jeunes en grandes difficult s d insertion Missions locales club de pr vention coles de la deuxi me chance 1 Concernant sp cifiquement les jeunes en difficult s d insertion sociale et professionnelle feront l objet d une attention particuli re les projets d action concernant les territoires suivants Territoires des communes ayant formalis un CLS comportant cette th matique
70. ent m dico social Ainsi les projets port s par les communes et les op rateurs associatifs et publics sur les territoires faisant ou devant faire l objet d un CLS seront prioritaires La m thode de hi rarchisation des priorit s territoriales s appuie sur l utilisation de l indicateur Indice de D veloppement Humain IDH d velopp par l Organisation des Nations Unies en 1990 Cet indicateur prend en compte trois dimensions celles de la sant de l ducation et du niveau de vie Il se pr sente comme un nombre sans unit compris entre O d veloppement humain nul et 1 d veloppement humain maximal Si L IDH permet d tablir une comparaison entre pays tr s disparates il est en revanche peu appropri pour des chelles g ographiques plus fines Un indicateur mieux adapt la r gion Ile de France l IDH 2 a donc t instaur Cet indicateur s appr cie au niveau communal les communes pr sentant un indicateur IDH2 inf rieur 0 52 sont consid r es comme prioritaires et peuvent donc faire l objet d un effort sp cifique en termes d allocations de ressources voir annexe 3 L IDH2 est un indicateur continu il permet galement au sein des territoires consid r s comme prioritaires de rep rer les communes pour lesquelles un indice extr mement bas titre d exemple inf rieur 0 35 signe une situation socio sanitaire tr s d grad e r v latrice de besoins sp cifiques majeurs GUIDE A L INTENTION D
71. es cr par la loi H pital Sant Patients Territoires Loi HPST du 23 juillet 2009 L ARS Ile de France est charg e en tenant compte des sp cificit s territoriales de mettre en uvre au niveau r gional la politique de sant publique d finie en liaison avec les autorit s comp tentes dans les domaines de la sant au travail de la sant scolaire et universitaire et de la protection maternelle et infantile Le Sch ma R gional de Pr vention SRP inclut des dispositions relatives la pr vention la promotion de la sant la sant environnementale et la s curit sanitaire Il organise dans le domaine de la sant des personnes l observation des risques mergents et les modalit s de gestion des v nements porteurs d un risque sanitaire Dans le cadre du SRP PARS Ile de France d finit et finance les actions visant promouvoir la sant duquer la population la sant et pr venir les maladies les handicaps et la perte d autonomie et veille leur valuation tout en tenant compte des besoins identifi s au niveau territorial ainsi que du principe de r duction des in galit s de sant L ARS le de France met en uvre la politique de pr vention en coop ration troite avec les acteurs impliqu s dans le champ de la sant publique acteurs institutionnels Etat Collectivit s Assurance Maladie 1 professionnels associations et usagers L ARS le de France soutient annuellement des a
72. esoins mise en place d un parcours de pr vention et de promotion de la sant modulaire et la carte Ce parcours pourra tre constitu d un ou plusieurs ateliers groupes de paroles etc Feront l objet d une attention particuli re les projets qui s inscrivent dans un partenariat de proximit tant pour le ciblage du public que pour la mise en uvre des actions y compris l amont et l aval souscrivent aux cahiers des charges d finis dans le cadre d une d marche partenariale et conventionnelle avec le PRIF Pr vention retraite lle de France associant la CNAV le RSI et la MSA concernant les actions portant sur la pr vention des chutes le d veloppement des actions cognitives de sensibilisation pour l adaptation au logement atelier quilibre Concernant les territoires d intervention Le d ploiement de l intervention sur cette th matique concerne les populations des 8 d partements d lle de France En cons quence les projets d action sont d ployer dans tous les d partements en lle de France sous r serve d une approche atteignant effectivement les publics concern s Feront l objet d une attention particuli re les projets d action concernant les territoires suivants Territoires des communes ayant formalis un CLS comportant les th matiques du handicap et du vieillissement et de la perte d autonomie Territoires avec IDH2 lt 0 52 Territoires cibles G ographie prioritaire de la politique de
73. ffusion d outils de rep rage et d orientation aupr s des professionnels de la p rinatalit sant social au rep rage des conduites addictives chez les femmes enceintes Sensibilisation des professionnels du social au rep rage de situations risque de diab te gestationnel Objectif sp cifique D velopper les comp tences parentales et le soutien la parentalit Valoriser les comportements parentaux favorisant le bon d veloppement des enfants Pr venir la maltraitance envers les enfants dans leurs divers environnements famille cole Population s vis e s Femmes enceintes familles d favoris es parents enfants Types d intervention et exemples d actions Actions de renforcement des habilet s parentales espaces d changes points d accueil familles men es par des professionnels form s Objectif sp cifique Promouvoir le bien tre des nouveaux n s et jeunes enfants vuln rables enfants pr matur s pendant et apr s leur hospitalisation et galement les actions pr coces de pr vention du handicap Population s vis e s nouveau n s et jeunes enfants grands pr matur s familles de ces enfants en particulier les plus d favoris es socialement Types d intervention et exemples d actions Action de sensibilisation des professionnels une participation int gr e des parents aux soins Actions de soutien aux parents et de renforcement des habilet s parentales espace
74. gt Pertinence de l action propos e Les projets doivent r pondre aux orientations strat giques de ARS Ile de France L Agence appr ciera notamment Une identification claire de la population vis e et des modalit s envisag es par le promoteur pour atteindre cette population Un territoire cibl les interventions mises en place sur des territoires en d ficit d interventions et par rapport aux besoins estim s seront privil gi es Un contexte socio sanitaire local justifiant les besoins auxquels r pond le projet Des modalit s de mise en uvre r alistes adapt es au territoire et au public atteindre en coordination avec les partenaires locaux gt Qualit m thodologique du projet Les projets doivent traduire imp rativement une m thodologie d intervention L Agence appr ciera notamment Un tat des lieux ou une analyse du contexte d gageant la probl matique de sant publique Une d finition fine des objectifs Des actions s inscrivant dans la dur e Des modalit s d intervention r f renc es des donn es de litt rature donn es probantes tudes recommandations Si la modalit d intervention est innovante elle devra faire l objet d une valuation d impact Un projet pr cisant la qualification des intervenants et les outils d intervention outils INPES notamment Les l ments relatifs la formalisation et au contenu des projets d intervention sont
75. h rence avec le programme d action pour lequel elle est subventionn e travers l instruction de la demande de subvention pr sentation des objectifs moyens et d roulement de l action statuts de l association l exploitation des bilans de l action et plus largement des rapports d activit de l association l agence se pr occupe des apports des diff rents financeurs 14 GUIDE A L INTENTION DES PROMOTEURS Ann e 2015 gt Contenu et conditions d valuation de l action Le projet doit contenir une pr sentation des modalit s d valuation de l action en rapport avec les objectifs strat giques et op rationnels d finis par ARS pour la th matique consid r e d une part et d objectifs sp cifiques l op rateur et ou l action d autre part assortie d indicateurs clairs atteignables et mesurables Une remont e des donn es d valuation pour les projets ant rieurs et ou en Cours L annexe 6 du pr sent Guide pr cise les modalit s d valuation et des propositions d indicateurs Evaluation les propositions d indicateurs par type d action gt Optimisation et efficience de l intervention 4 L Agence encourage les d marches de mutualisation et de compl mentarit des actions et des moyens dans une optique d optimisation de l intervention et de gestion des ressources Elle sera particuli rement attentive la f d ration d interventions ai
76. i concerne les projets relatifs au diab te Territoires situ s dans les zones g ographiques infra d partementales suivantes 75 les 3 arrondissements du nord est parisien concern s par l exp rimentation PAERPA voir fiche 11 les 9 me 10 me et 19 me 77 la moiti Est du d partement et Melun Nemours Meaux Coulommiers Communaut Melun Val de Seine Melun Dammarie les Lys Le M e sur Seine Montereau territoire provinois Agglom ration de Marne et Chantereine 78 le Nord du d partement 91 Corbeil Grigny Evry Courcouronnes les Ulis zones REP R seau d Education Prioritaire S 92 Boucle nord S 93 les 2 3 Nord 95 le Sud Sud est et le Nord Beaumont sur Oise le Vexin 39 FICHE n5 SANTE ENVIRONNEMENT OBJECTIF GENERAL REDUIRE LES RISQUES SANITAIRES LIES A L ENVIRONNEMENT Objectifs sp cifiques 1 D velopper des interventions pour la r duction des impacts sanitaires li s l insalubrit des logements 2 Accompagner les occupants dont le logement a t d clar insalubre 3 D velopper des interventions pour r duire les cons quences sanitaires li es la pollution de l air int rieur 4 Favoriser le rep rage et la prise en charge des personnes souffrant du syndrome de Diog ne et touch es par l habitat indigne 5 D velopper la pr vention primaire et encourager le d pistage du saturnisme infantile Agir en r seau 6 D velopper l
77. icaments internet C est concernant ces tranches d ge que l action parait la plus efficace car elle permet d agir en pr vention et de construire les facteurs de protection et d panouissement du jeune accompagnent ou sont int gr s dans des programmes de pr vention aux conduites risques d ducation la sexualit de promotion de la sant nutrition hygi ne de vie de mani re en faciliter l appropriation Concernant les territoires d intervention Le d ploiement de l intervention sur cette th matique concerne les populations des 8 d partements d Ile de France En cons quence les projets d action sont d ployer dans tous les d partements en lle de France sous r serve d une approche atteignant effectivement les publics concern s Feront l objet d une attention particuli re les projets d action concernant les territoires suivants Territoires des communes ayant formalis un CLS comportant cette th matique Territoires avec IDH2 lt 0 52 Territoires cibles G ographie prioritaire de la politique de la ville Territoires situ s dans les zones g ographiques infra d partementales suivantes 75 les 20 quartiers prioritaires parisiens et les arrondissements o il existe un CLSM 77 Nemours Meaux Coulommiers Communaut Melun Val de Seine Melun Dammarie les Lys Le M e sur Seine Montereau territoire provinois Agglom ration de Marne et Chantereine terr
78. ils distribu s flyers pr servatifs Taux de satisfaction des participants contenu dur e intervenant etc Nombre et type des connaissances acquises de b n ficiaires ayant acquis des connaissances de b n ficiaires d clarant avoir acquis des connaissances et ou des comp tences de b n ficiaires se d clarant mieux inform s sur le sujet de b n ficiaires faisant mention d au moins 3 connaissances acquises Accueil Orientation Ecoute Modalit s d accueil ou d coute Rapport d analyse r gulier de la consultation d accueil Mise en place d outils de suivi Moyens humains mobilis s profil des professionnels nombre d ETP Moyens mat riels mobilis s Analyse des points forts et points faibles du projet Type de professionnels accueillant le public Nombre de permanences Nombre de dossiers ouverts Nombre de personnes accueillies Nombre de personnes orient es Nombre moyen de s ances et ou d entretiens par b n ficiaire Ratio demandes abouties total demandes de b n ficiaires orient s Mesure de l volution de l tat sanitaire des b n ficiaires Taux de fr quentation de la permanence d accueil par la population cible Taux de personnes prises en charge par un autre professionnel l issue de l orientation 80 Prise en charge individuelle ou collective Analyse de
79. ine 78 CA2RS CASQY Le Mantois Les Mureaux Poissy Sartrouville 91 zones REP R seau d Education Prioritaire 95 territoires pr sentant des taux de population g e de moins de 20 ans sup rieurs 30 CA Cergy Pontoise Sud Argenteuil Bezons Est Val de France Goussainville Vexin 48 FICHE n 8 VIH IST HEPATITES Objectifs sp cifiques 1 publics risque VIH H patites OBJECTIF GENERAL REDUIRE LE RISQUE DE CONTAMINATION INFECTIEUSE VIH HEPATITES AUTRES IST ET PROMOUVOIR LA PREVENTION COMBINEE D velopper la pr vention cibl e des infections VIH H patites autres IST aupr s des 2 Favoriser le d pistage pr coce adapt aux populations et leur prise de risque et l orientation vers le soin dans une approche de counseling 3 D velopper le soutien et la pr vention aupr s des personnes confront es aux infections Objectif sp cifique D velopper la pr vention cibl e des infections VIH H patites autres IST aupr s des publics risque Population s vis e s Jeunes adultes dans les quartiers prioritaires Populations prioritaires personnes en situation de vuln rabilit migrants d tenus usagers de drogues personnes en situation de prostitution hommes ayant des relations sexuelles avec d autres hommes gays et bisexuels jeunes homosexuels personnes atteintes d une infection VIH VHB ou VHC et leurs proches
80. ins locaux et l activit du centre 2 La disponibilit de locaux adapt s l activit du centre ainsi que de l quipement et du mat riel n cessaires aux vaccinations 3 La pr sence d un m decin sur les lieux aux heures d ouverture 4 Un entretien individuel d information et de conseil Article D3112 7 CSP 1 Le maintien ou la constitution d une quipe de professionnels dont la composition et l effectif sont adapt s aux besoins locaux et l activit du centre 2 La disponibilit de locaux d quipement et de mat riel adapt s l activit du centre 3 Un entretien individuel d information et de conseil 4 La r alisation des consultations m dicales par un m decin ayant une exp rience dans le domaine de la lutte contre la tuberculose 5 La r alisation d enqu tes dans l entourage des Article D3121 39 CSP 1 Le maintien ou la constitution d une quipe de professionnels dont la composition et l effectif sont adapt s aux besoins locaux et l activit du centre 2 La disponibilit de locaux d quipement et de mat riel adapt s l activit du centre 3 Un entretien individuel d information et de conseil 4 La r alisation des consultations m dicales par un m decin ayant une exp rience dans le domaine de la lutte contre les infections sexuellement transmissibles 5 L analyse globale des risques un examen clinique et la prescription ventu
81. investissement quelles qu elles soient Le financement d actions ne peut en aucun cas contribuer la compensation de d ficits structurels et organisationnels de la structure et il convient le cas ch ant de r ajuster le p rim tre des actions Les projets ayant eu un soutien de l Agence sur une ou plusieurs actions men es ant rieurement et qui ne seraient pas en conformit avec les engagements contractuels ne pourront pas tre renouvel s Les relations de l Agence avec les entreprises priv es Une charte sign e par le Directeur G n ral de l Agence R gionale de Sant d lle de France le 18 septembre 2012 clarifie les relations de l Agence avec le secteur priv pour pr venir les conflits d int r ts Le soutien financier par une entreprise priv e des actions organis es par des associations financ es ou subventionn es par l Agence est possible Cependant l Agence souhaite viter que des finalit s commerciales propres au financeur priv n cartent l association subventionn e de ses objectifs initiaux A cet gard les associations subventionn es sont inform es des r gles de transparence et de contr le que l ARS impose pour toute participation financi re du secteur priv l interdiction de promotion des produits des financeurs priv s aupr s des publics potentiellement b n ficiaires lorsque l action est financ e par l Agence l objet social de l association doit tre en co
82. ion lorsqu un outil de pr vention quivalent est mis disposition au niveau national par l INPES notamment 15 GUIDE A L INTENTION DES PROMOTEURS Ann e 2015 Actions de formation initiale et continue des professionnels de sant relevant de leur domaine de comp tence Actions de th tre forum et autres outils ne s inscrivant pas dans un projet global de sant publique gt Projets dont l efficacit est estim e non significative Actions ponctuelles et isol es qui ne s ins rent pas dans un projet global de sant publique conf rence colloque s minaire journ e d change action pr vue sur une dur e trop courte 4 2 Les dispositifs structurels concourant la politique de sant publique les actions de sant recentralis es Ces dispositifs font l objet d une proc dure et d un examen particuliers car ils constituent des dispositifs vocation p renne dont les conditions de fonctionnement et d activit mais aussi de financement sont d termin s en grande partie par des dispositions et ou cahiers des charges d finis par voie r glementaire Sont concern s gt Les structures de gestion des d pistages organis s des cancers au nombre de 8 dans la r gion gt Les organismes habilit s pour mettre en uvre les actions de sant relevant de la comp tence de l Etat par suite d une recentralisation issue de la Loi du 13 ao t 2004 Les Centres de Lutte Antituberculeux CLAT
83. ion de Cergy Pontoise et Vexin et Est du Val d Oise 32 FICHE n3 CANCERS Actions visant la pr vention et la promotion des d pistages des cancers en compl ment du cahier des charges national du d pistage du cancer du sein et colorectal OBJECTIF GENERAL AMELIORER LA PREVENTION DES CANCERS ET PROMOUVOIR LE RECOURS AU X DEPISTAGE S DES CANCERS Objectifs sp cifiques 1 D velopper des actions de pr vention primaire et d incitation au rep rage et au d pistage des cancers 2 D velopper des dispositifs int gr s interdisciplinaires visant la pr vention des cancers 3 D velopper articulation et la coordination entre pr vention d pistage et recours au diagnostic de confirmation favorisant un meilleur acc s aux soins dans les meilleurs d lais 4 Renforcer l implication des professionnels de premier recours dans le d pistage et l orientation Objectif sp cifique Types d intervention et exemples d actions D velopper des actions de pr vention primaire et d incitation au rep rage et au d pistage des cancers e actions d information et de sensibilisation au plus pres des publics concern s mobilisant les relais associatifs locaux e actions de promotion de la sant ou de rep rage ciblant les facteurs de risque environnementaux professionnels soleil tabac maladies pr vention vaccinale nutrition alcool activit physique adapt e e mise en place d actions de promotion de
84. issements d enseignement technique et agricole Comp tences travaill es principalement r sistance l influence des pairs r solution des probl mes 30 affirmation et estime de soi alternatives possibles la consommation de substances psychoactives normes et leurs perceptions en mati re de consommation de substances etc Modalit s ateliers collectifs exercices pratiques jeux de r le etc Interventions composantes multiples bas es sur des m thodes valid es int grant en plus du volet de d veloppement des comp tences psychosociales des jeunes un volet d veloppement des comp tences parentales e Utilisation d outils p dagogiques valid s et adapt s en milieu scolaire et dans les milieux de vie des jeunes association de quartier mission locale e Interventions d aide distance fond es sur le recours aux nouvelles technologies de l information et de la communication ntic internet applications en ligne sms etc Objectif sp cifique D velopper le rep rage pr coce des vuln rabilit s et des pratiques risques en mati re de conduites addictives soutien et orientation vers le soin adapt Population s vis e s Adolescents et jeunes adultes moins de 25 ans Femmes enceintes Personnes en situation de pr carit et de vuln rabilit sociale Personnes migrantes Personnes d tenues et plac es sous main de justice Personnes g es de plus de 60 a
85. itoires CLSM territoires d implantation CHRS CHU CADA Structures Travailleurs Migrants Missions locales Point Accueil Ecoute Jeunes PAEJ 78 CA2RS CASQY Le Mantois Les Mureaux Poissy Sartrouville Conflans Ste Honorine Ach res Limay Plaisir Maurepas Carri re Seine SGEL en lien avec CLSM 91 Arpajonnais parentalit Corbeil Grigny Centre des jeunes d tenus de Fleury M rogis Boucle Nord 92 Tout le 95 pour des actions de pr vention et de rep rage pr coce eu gard l offre de soins limit e en sant mentale 45 FICHE n 7 EDUCATION A LA SEXUALITE OBJECTIF GENERAL VIOLENCES SEXISTES Objectifs sp cifiques PROMOUVOIR UNE BONNE SANTE SEXUELLE ET AFFECTIVE FAVORISER L INFORMATION ET L ACCES A UNE CONTRACEPTION ADAPTEE PROMOUVOIR LA CONTRACEPTION ET LA PREVENTION DES GROSSESSES NON DESIREES PREVENIR LES D velopper les actions d ducation la vie affective et sexuelle aupr s des jeunes D velopper l information sur la contraception et la pr vention des risques infectieux Promouvoir la contraception et la pr vention des grossesses non d sir es Objectif sp cifique D velopper les actions d ducation la vie affective et sexuelle aupr s des jeunes D velopper l information sur la contraception et la pr vention des risques infectieux Population s vis e s Adolescents jeunes adultes et sp cialement jeunes isol
86. l intervention sur cette th matique concerne les populations des 8 51 En cons quence les projets d action sont d ployer dans tous les d partements en lle de France sous r serve d une approche atteignant effectivement les publics concern s Feront l objet d une attention particuli re les projets d action concernant les territoires suivants Territoires des communes ayant formalis un CLS comportant cette th matique Territoires avec IDH2 lt 0 52 Territoires cibles G ographie prioritaire de la politique de la ville Territoires situ s dans les zones g ographiques infra d partementales suivantes 77 Nemours Meaux Coulommiers Communaut Melun Val de Seine Melun Dammarie les Lys Le M e sur Seine Montereau territoire provinois Agglom ration de Marne et Chantereine cantons en lien avec les centres de vaccination de l h pital de Marne la Vall e Jossigny de l h pital de Meaux de l h pital de Melun territoires accueillant des personnes en difficult public CHRS demandeurs d asile r fugi s politiques publics FTM CHU CADA Territoires du 78 concern s par un d ficit de la couverture vaccinale projet en cours en lien avec la CPAM 91 Grigny Viry Chatillon Territoires du 95 concern s par un d ficit de la couverture vaccinale O O O Les promoteurs int ress s sont invit s se rapprocher de la d l gation territoriale concern e pour obtenir
87. la ville Territoires situ s dans les zones g ographiques infra d partementales suivantes Zones o sont implant s des tablissements m dico sociaux pour personnes handicap es territoires en exp rimentation Personnes Ag es En Risque de Perte d Autonomie PAERPA 75 les 3 arrondissements du nord est parisien 9 me 10 me 19 me 77 notamment les zones rurales de la frange Est du d partement en lien avec les Maisons des Solidarit s avec les CCAS des communes les territoires couverts par les 7 CLIC Melun Provins Lagny Fontainebleau Nemours Chelles et Pontault Combault et les 3 Maisons pour l Autonomie et l Int gration des malades Alzheimer et apparent s 91 Arpajonnais Sud Essonne territoires MAIA 95 Eet Sud et Ouest Vexin en d ficit d offre 58 FICHE n 12 ACCES A LA SANTE DES PERSONNES DEMUNIES ET EN DIFFICULTES D INSERTION Objectifs sp cifiques de soins de sant globale des personnes d munies OBJECTIF GENERAL FACILITER L ACCES ET LE MAINTIEN DANS LE SYSTEME DE SANTE DES PERSONNES DEMUNIES ADULTES ET JEUNES EN DIFFICULTES D INSERTION 1 Am liorer l acc s et ou le maintien aux dispositifs de droit commun de pr vention et 2 Am liorer la mise en coh rence et la continuit des prises en charge et des parcours 3 Inscrire ou r inscrire les personnes dans des actions de pr vention et de soins et en particulier int grer la sant orale bucco
88. lation vis e Les crit res d efficacit sont pr vus en fonction de l objectif valuer et doivent tenir compte du temps n cessaire une modification de comportement L valuation n cessite l utilisation d outils indispensables sa mise en uvre questionnaire tableaux de bord grilles de suivi ou d observation recueils bilan et document de synth se Ces documents sont transmettre avec le dossier de demande de subvention Etape 5 La valorisation Souvent n glig e la valorisation est pourtant particuli rement int ressante Tout au long du projet une communication r guli re sur les avanc es peut favoriser la mobilisation des acteurs et maintenir l int r t pour le programme Une fois celui ci termin elle permet d assurer la promotion du processus et des r sultats aupr s des partenaires du public cible et des financeurs et de donner des id es d autres Outils plan de communication avec r daction d articles ou d expos s de pr sentation de l action presse locale municipale site internet 75 Le P le R gional de Comp tences en Education Pour la Sant Promotion de la Sant le de France PRC EPS est soutenu financi rement par l INPES et ARS d le de France Il est pilot par l IREPS et mis en uvre par un ensemble d associations contributrices AIDES PANPAA le CRIPS la F d ration Addiction l Institut Renaudot et l IREPS Il propose notamment un appui aux
89. les capacit s individuelles des personnes confront es au risque s inscrire dans une d marche de sant responsable Counseling approche visant l acquisition des comp tences pour l appropriation de la r duction des risques sexuels capacit de n gociation explication de son statut s rologique Concernant les publics d munis les actions doivent respecter les points de vigilance identifi s dans la fiche N 12 Acc s la sant des personnes d munies Concernant le contenu et les modalit s d action Les actions en direction des d tenus seront d finies en lien avec le COPIL du centre p nitentiaire et la d l gation territoriale du d partement concern Feront l objet d une attention particuli re les projets d action qui sont men s en partenariat avec les acteurs locaux impliqu s et en coh rence avec les autres actions conduites sur le territoire vis en particulier CDAG pour les actions de d pistage comprennent des actions men es au plus pr s des lieux de vie et de sociabilit et celles qui privil gient l intervention des pairs privil gient une approche de sant globale pluri th matique incluant les IST h patites et le VIH concernant les personnes r sidant dans les foyers de travailleurs migrants Concernant les territoires et lieux d intervention Le d ploiement de l intervention sur cette th matique concerne les populations des 8 d partements d lle de France En co
90. les r sultats attendus mais galement inattendus et de r ajuster l action si n cessaire Elle impose de r interroger les objectifs qu est ce que je veux et peux mesurer Pour chaque type d action il est n cessaire de d finir des indicateurs de processus d activit et de r sultats se r f rer l annexe gt Indicateurs de processus ils d crivent les l ments du projet et de son d roulement activit s acteurs structures moyens et ressources utilis es m thodes employ es Is permettent de s interroger les activit s pr vues ont elles t toutes r alis es les moyens ont ils t tous utilis s gt Indicateurs d activit ils expriment par des donn es souvent chiffr es la quantit de la production d une action r alis e nombre de b n ficiaires de r unions gt Indicateurs de r sultats ils permettent de r pondre certaines interrogations et notamment l atteinte des objectifs qu est ce qui a chang Quelles appropriations des connaissances ont t observ es Y a t il un impact Les donn es collect es sont le plus souvent qualitatives Pour mesurer l efficacit d une action on peut s int resser ses r sultats son impact effets attendus ou non son rendement et sa coh rence ad quation entre le programme ses objectifs les moyens mis en uvre et les r sultats et sa pertinence ad quation entre l action et les d terminants du comportement de la popu
91. les risques sanitaires li s au logement incitation de la famille au d pistage des pathologies la vaccination avec orientation vers les PMI et m decins traitants orientation vers les dispositifs de sant de droit commun e Et un accompagnement social des occupants diagnostic sommaire des caract ristiques sociales du m nage description du logement et des charges li s au logement m diation avec le propri taire assistance dans la recherche d une solution d h bergement temporaire ou d finitif gestion locative adapt e orientation vers les dispositifs sociaux de droit commun e Et le cas ch ant des prestations la carte si le besoin s en fait ressentir suivi sanitaire avec professionnels m dicaux lien 40 avec les tablissements de soins valuation sociale assistance juridique recours un traducteur a Objectif sp cifique D velopper des interventions pour r duire les cons quences sanitaires li es la pollution de l air int rieur Population s vis e s Personnes vivant en habitat indigne Personnes en situation de pr carit Types d intervention et exemples d actions Sensibilisation des intervenants domicile autour des aides et possibilit s d intervention publique pour r duire les cons quences sanitaires d un domicile mal chauff Sensibilisation des professionnels chauffagistes aux bonnes pratiques d intervention afin de r duire le risque d
92. minants et du contexte dans lequel il sera implant L analyse doit permettre de comprendre les in galit s sociales de sant pour identifier les publics cibles et d finir les strat gies mettre en place Pour ce faire le diagnostic produit l appui du projet devra Consid rer l ensemble du spectre des in galit s en jeu li es au genre au territoire au niveau socio conomique l occupation etc Int grer les d terminants sociaux de la sant comme des l ments centraux du diagnostic emploi logement niveaux de pauvret acc s l ducation ou aux droits les conditions de vie urbaine de transports Identifier et d crire les m canismes de constitution des in galit s sociales de sant Identifier et d crire pr cis ment les publics cibles et les diff rents sous groupes gt Agir sur les d terminants sociaux de la sant Les comportements individuels n expliquent pas eux seuls l tat de sant des individus et les carts de sant entre les groupes sociaux Les comportements pr judiciables la sant apparaissent associ s aux positions in gales que les personnes occupent dans la hi rarchie sociale et l tat de sant r sulte de l action de d terminants socio environnementaux qui s accumulent et s enchainent au cours de la vie De ce fait les projets devront int grer dans leur strat gie d intervention l action sur les d terminants sociaux de la sant pr alablement i
93. n du plan op rationnel Cette tape doit permettre de d terminer le cahier des charges qui fait quoi Avec qui Quand Comment Dans quel ordre Avec quels moyens humains mat riels financiers Il convient donc de rep rer les activit s mettre en ceuvre de d finir la logique et les modalit s d intervention d ordonner chronologiquement les activit s et de r partir les t ches entre les intervenants en s appuyant si n cessaire sur des r seaux existants Elle peut aboutir la r alisation de conventions ou chartes de partenariat d organigrammes et de budgets pr visionnels Elle peut n cessiter la contribution d un groupe de pilotage charg du suivi du programme Outil le tableau de suivi des actions Plan op rationnel pr visionnel Intitul R f rent Public cibl Ressource Ressources Partenaire Calendrier Evaluation de pour cette territoire S mat rielles S indicateurs l action action cibl humaines et et outils lieux o se financi res retenus d roule l action Etape 4 L valuation L valuation pr vue d s le d part du projet permet de mesurer l atteinte des objectifs et d appr cier le b n fice de l action aupr s des populations cibl es Elle doit accompagner la mise en uvre du projet Elle permet de valoriser une action qui a fait ses preuves L valuation renforce la dynamique partenariale am liore les pratiques permet d identifier
94. n qualite Comment g alit dhore ociations LA QUALIT DE VOS ACTIONS en en promotion de la sonte 76 ANNEXE 5 Liste de v rification pour la prise en compte des in galit s sociales de sant Une liste de v rification a t d velopp e pour faciliter la prise en compte des pr occupations de lutte contre les in galit s sociales de sant dans les diff rentes tapes d une intervention Existe t il des in galit s li es la probl matique de sant identifi e Quelle est la nature de ces in galit s ex sont elles li es au genre au niveau socio conomique au territoire l origine ethnique la profession une situation de handicap etc Quels sont les d terminants qui influencent cette situation probl matique Quels sont les m canismes qui cr ent maintiennent et ou augmentent ces in galit s La population cible identifi e d coule de l examen de la situation au regard des in galit s sociales de sant L intervention vise sp cifiquement la r duction des in galit s sociales de sant L intervention vise les d terminants sociaux de la sant Lesquels les facteurs li s au style de vie personnel r seaux sociaux et communautaires les facteurs li s aux conditions de vie et de travail conditions socio conomiques culturelles et environnementales L action s adresse t elle tous tout en portant une attention plus particuli re ceux qui en ont le plus
95. nce Si ge Direction de la sant publique et D l gations Territoriales sur la base des crit res d taill s ci dessous gt Inscription dans le champ d intervention de l Agence en mati re de pr vention Le p rim tre de comp tence de l Agence est celui des politiques de sant Les politiques sociales rel vent de la comp tence d autres institutions la Direction R gionale de la Jeunesse des Sports et de la Coh sion Sociale DRJSCS la Direction R gionale et Interd partementale de l H bergement et du Logement DRIHL des Conseils G n raux L Assurance Maladie et les mutuelles sont comp tentes pour l acc s aux droits Des articulations et des coordinations sont indispensables entre l action sanitaire et l action sociale pour une meilleure efficience des politiques publiques gt Coh rence avec les objectifs du Sch ma r gional de Pr vention Les projets doivent concourir aux objectifs strat giques du PRS et notamment du Sch ma R gional de Pr vention L Agence appr ciera notamment La coh rence entre les objectifs du projet pr sent et les objectifs poursuivis par PARS et notamment l inscription du projet dans une d marche de promotion de la sant telle que d finie par la Charte d Ottawa 12 GUIDE A L INTENTION DES PROMOTEURS Ann e 2015 Le lien et la coh rence entre le projet propos et d autres actions men es ou envisag es sur un m me territoire par les promoteurs impliqu s
96. nnes g es et renforcer le lien social via notamment des activit s ludiques et en utilisant de nouvelles technologies Concernant les publics d munis les actions doivent respecter les points de vigilance identifi s dans la fiche N 12 Acc s la sant des personnes d munies Concernant le contenu et les modalit s d action Les actions men es en milieu scolaire devront s inscrire dans le projet ducatif de l tablissement et s appuyer sur un tat des lieux pr alables des besoins des ressources et des 44 pratiques de l tablissement Les actions se feront en lien avec le CESC en coordination avec le rectorat et en ad quation avec le socle de comp tences de l Education Nationale Le promoteur intervenant en milieu scolaire doit tre agr par l Education Nationale pour intervenir en milieu scolaire Une attention particuli re sera port e aux projets qui s inscrivent dans la dur e par exemple en milieu scolaire les projets reprenant diff rents l ments aborder tout au long de la scolarit des enfants en les adaptant leur niveau de maturit et en les coordonnant avec les programmes scolaires sont clairement orient s vers le d veloppement des ressources propres de l enfant psychologiques affectives sociales et cognitives et qui l aident mobiliser ses ressources apprivoiser son environnement d velopper ses relations avec les autres appr hendent le jeune d
97. ns Personnes en situation de handicap en milieu ordinaire ou en tablissement m dico social Personnes atteintes de maladies chroniques Types d intervention et exemples d actions e Actions sp cifiques de rep rage pr coce des vuln rabilit s et des pratiques risques en mati re de conduites addictives et d orientation vers le soin adapt aupr s des jeunes femmes personnes migrantes personnes d pendantes en situation de vuln rabilit sociale et ou de pr carit personnes plac es sous main de justice protection judiciaire de la jeunesse personnes atteintes de maladies chroniques e Sensibilisation information et formation destination des professionnels portant sur la poly consommation et sur le rep rage et l orientation des personnes g es et ou handicap es en situation d abus et ou de d pendance e Exemple d actions Rep rage pr coce des usages risques par la mise en place d ateliers collectifs destination des jeunes Interventions pr ventives aupr s de jeunes enfants dont les parents pr sentent une addiction Interventions aupr s des femmes enceintes actions de pr vention des troubles li s aux cons quences des conduites addictives sur les femmes enceintes et sur la p rinatalit dont le syndrome d alcoolisation f tale Objectif sp cifique R duire les risques sanitaires et les dommages sociaux li s aux consommations de substances
98. ns quence les projets d action sont d ployer dans tous les d partements en lle de France sous r serve d une approche atteignant effectivement les publics concern s Feront l objet d une attention particuli re les projets d action concernant les territoires situ s dans les zones infra d partementales g ographiques suivantes 77 notamment pour des actions d velopp es avec les BIJ ou les PIJ sur les territoires en lien avec les 3 unit s de Sant Publique de Melun Jossigny et Meaux Sur les espaces universitaires Champs sur Marne Fontainebleau Lieusaint Melun 91 Grigny Courcouronnes FTM et CADA Sud Essonne 95 Est Sud Argenteuil Bezons et la Communaut d Agglom ration de Cergy Pontoise les projets d action concernant les lieux fr quent s par les populations prioritaires lieux de rencontre pour les Hommes ayant des relations Sexuelles avec d autres Hommes HSH lieux de vie de culte et de rencontre pour les migrants foyers de travailleurs migrants centres PJJ les CHRS L attention des promoteurs est appel e sur le fait que des pr cisions compl mentaires sont susceptibles d tre apport es quant aux territoires et lieux d intervention prioritaires notamment en mati re d actions de promotion du d pistage en raison des volutions envisag es mise en place de nouvelles structures de d pistage et diagnostic regroupement CDAG CIDDIST et de la publication tr s prochaine d l ments d
99. nsi qu l optimisation des moyens humains et mat riels L Agence prendra en compte la logique d efficience au titre des crit res d analyse des projets gt Projets ne relevant pas d un financement de PARS au titre de la pr vention gt Projets d action ne relevant pas d un financement ARS Actions exclusivement orient es sur l acc s aux droits y compris la protection sociale l interpr tariat et la m diation sociale Actions d accompagnement social des publics sauf actions d accompagnement sanitaire et social visant les populations touch es par l habitat indigne pour lesquelles un dispositif conjoint avec la Direction R gionale et Interd partementale de l h bergement et du logement a t tabli gt Projets hors du champ de la pr vention mais pouvant relever d autres financements de PARS Soins de support ne faisant pas appel un professionnel qualifi en ducation pour la sant Projets port s par les Maisons des Adolescents Actions de coordination port es par les r seaux de sant Consultations individuelles de professionnels de sant Actions ligibles un financement au titre des missions d int r t g n ral MIG port es par les Etablissements de Sant Actions d accompagnement relevant de dispositifs de droit commun sociaux m dico sociaux offre de soins gt Projets qui ne rel vent pas de l intervention en sant publique Production d outils de pr vent
100. ntre pr vention d pistage et recours au diagnostic de confirmation favorisant un meilleur acc s aux soins dans les meilleurs d lais Populations vis es Personnes en situation de pr carit Types d intervention et exemples d actions dispositifs renfor ant la coordination et la synergie des intervenants et professionnels de sant impliqu s dans le d pistage et le soin ex centre de sant centre sp cialis dans la canc rologie en vue de la meilleure utilisation du syst me de sant pour les populations en situation de pr carit Objectif sp cifique Renforcer l implication des professionnels de premier recours dans le d pistage et l orientation Populations vis es Femmes de 50 74 ans pour le cancer du sein de 25 65 ans pour le col de l ut rus Hommes et femmes de 50 74 ans pour le cancer colorectal Types d intervention et exemples d actions actions d information et de sensibilisation des acteurs gravitant autour du d pistage organis professionnels de premier recours m decins pharmaciens param dicaux centres de sant MDSP collectivit s territoriales CLS ASV ou associations relais Concernant le contenu et les modalit s d action Tout projet devra imp rativement tre con u en lien avec les structures de gestion des d pistages organis s SGDO de leur territoire un degr d intervention pr ciser pour chaque action Les actions de d pi
101. on ER attention particuli re sera port e aux projets incluant les 2 composantes alimentation et activit physique et sportive e r unissant sur un m me territoire un ensemble d acteurs associations tablissements scolaires collectivit s territoriales centre de loisirs usagers m decins g n ralistes qui s inscriront dans un partenariat de proximit tant pour le ciblage du public que pour la mise en uvre des actions y compris l amont et l aval sans oublier selon la th matique la coordination avec les associations d usagers ou de patients ob sit diab te et les r seaux de sant oul s inscriront dans la dur e et reposeront sur la mobilisation des comp tences des personnes et ou des patients atteints de maladies chroniques dans des mises en pratiques tenant compte des contraintes conomiques des publics qui s inscriront dans une d s dentarisation par l activit physique des publics fragiles socialement culturellement et conomiquement enfants jeunes adultes et personnes g es avec dans les suites un accompagnement vers une structure sportive de droit commun accessible 38 qui porteront des actions aupr s de personnes relais pour les publics vuln rables loign s de la sant personnes en situation de pauvret personnes en pr carit personnes culturellement et socialement fragiles s inscrivant dans le milieu de vie de l enfant et permettant de toucher la fois
102. on la sante aupr s des populations en situation de vuln rabilit e Actions de promotion de la sant des femmes dans une approche communautaire e Ateliers de d veloppement de l estime de soi de bien tre mental et social la vie affective et sexuelle 46 Objectif sp cifique Promouvoir l acc s la contraception y compris la contraception d urgence Population s vis e s Adolescents jeunes adultes Types d intervention et exemples d actions e actions d information formation aupr s des acteurs de la sant et du social en contact avec les jeunes sant scolaire pharmacies m decins g n ralistes sur les notions de base et les bons messages diffuser e actions d information aupr s des jeunes sur les m thodes de contraception et les lieux ressources Objectif sp cifique Promotion de la vie sexuelle et affective des personnes en situation de handicap Population s vis e s personnes de 12 20 ans en situation de handicap Types d intervention et exemples d actions Information et sensibilisation des parents d enfants et d adolescents en situation de handicap et des personnels ducatifs m dico sociaux et d encadrement intervenant dans les tablissements ou services m dico sociaux e dans leurs connaissances repr sentations et analyses des pratiques professionnelles dans le domaine de la vie affective et sexuelle des personnes en situation de handicap
103. on d affectation de ARS 22 GUIDE A L INTENTION DES PROMOTEURS Ann e 2015 En cas d acceptation par ARS IDF d une demande de report du reliquat de cr dits sur l ann e N ce montant devra tre mentionn dans les produits de l action compte 7894 Report des subventions non utilis es des exercices ant rieurs LARS IdF peut d cider de demander le remboursement et de proc der au recouvrement de tout ou partie de la subvention qui n aurait pas t utilis e conform ment son objet Le versement du financement obtenu par une association un autre organisme est interdit Rappel de l article 15 du d cret loi du 2 mai 1938 relatif au budget II est interdit toute association soci t ou collectivit ayant re u une subvention d en employer tout ou partie en subventions d autres associations soci t s collectivit s priv es ou uvres sauf autorisation formelle du ministre vis e par le contr leur des d penses engag es CALENDRIER 2015 d cembre 2014 janvier 2015 et au plus tard le 30 01 15 Instruction si ge et d l gations territoriales de ARS F vrier Avril 2015 Ile de France D p t des dossiers par les promoteurs D lib rations et arbitrages ARS Ile de France wm Information des porteurs concernant les accords de financement Contractualisation avec les promoteurs dont les projets Juin Septembre 2015 sont accept s E Versement des subventions Juin Novembre 2015
104. ormation d orientation dans les lieux fr quent s par les personnes d munies sur les questions de sant les enjeux et les ressources disponibles permettant dans le m me temps le rep rage des personnes sans droit ou en perte de droits et l accompagnement dans les d marches de sant 2 Actions de m diations en sant qui cherchent a rendre les personnes d munies plus autonomes dans l utilisation du syst me de sant et faciliter la mise en lien avec les offreurs de soins notamment en contribuant lever les incompr hensions culturelles et ou linguistiques 3 Actions d information d changes de sensibilisation entre personnels sociaux sanitaires ducatifs dont animateurs jeunesse de sant mentale m dico sociaux sur les probl matiques de sant des populations d munies notamment en faveur des acteurs de proximit pour qu ils soient des relais sur les questions de sant 4 Actions en ateliers ou en groupes de paroles pour appr hender entre personnes d munies les probl matiques de sant v cues au quotidien et laborer de fa on collective des outils facilitateurs dans l acc s la pr vention et aux soins 59 Concernant le contenu les principes et modalit s d action e Les interventions viseront ne pas faire la place des personnes mais renforcer et soutenir leurs comp tences psychosociales pour les amener tre davantage actrices de leur propre sant
105. personnes g es Population s vis e s Personnes g es Aidants familiaux Partenariats Collectivit s territoriales Clubs seniors CCAS CLICS Foyer de travailleurs migrants r sidence sociale coordination g rontologiques tablissements de soins etc Types d intervention et exemples d actions information sensibilisation coute afin de favoriser le soutien et les changes conf rences groupes de parole ateliers collectifs ex caf des aidants la Maison des aidants portant notamment sur la gestion et pr vention des crises et la pr vention de la maltraitance Action de promotion de la sant visant l acquisition d aptitudes individuelles sur le th me Savoir aider en portant attention soi Evaluer ses besoins suivi m dical r gulier participation aux d pistages organis s et individuels anticiper et pr venir les impacts sur la vie familiale sociale et professionnelle auto rep rage des situations d puisement Action de formation sur les gestes et postures Connaitre les principes de base et les techniques de manutention et de mobilisation adapt es 57 Concernant les publics d munis les actions doivent respecter les points de vigilance identifi s dans la fiche N 12 Acc s la sant des personnes d munies Concernant le contenu et les modalit s d action A partir d une information collective suivie d une tape d valuation individuelle des b
106. porteurs de projets sous plusieurs formes Une offre de formations g n ralistes et sp cifiques dont un module promouvoir la sant la d marche qualit en EPS PS Un service d accompagnement m thodologique Des ressources documentaires affiches brochures outils p dagogiques ouvrages et articles de r f rence ainsi qu un portail documentaire accessible partir du lien suivant http prc idf docressources fr opac Des espaces d changes de pratiques Pour plus d information consulter le site du PRC EPS http www prc idf orq PRC QY EPS Pole Regional de Comp tences en Education Pour la Sant lle de France Le guide d auto valuation de I INPES pr sente bri vement ce qu est la d marche qualit en g n ral et en promotion de la sant en particulier Accompagn es d un mode d emploi cinq grilles th matiques d auto valuation guident l association pas pas dans son questionnement et ses discussions d quipe Pour le t l charger http www inpes sante fr quide autoevaluation qualite guide as L INPES dite galement un ouvrage compl mentaire intitul d marche qualit pour les associations intervenant en promotion pour la sant Ce guide met disposition quelques rep res en vue de s engager dans une d marche progressive d am lioration de la qualit et permet d identifier des pistes d am lioration Pour le t l charger http www inpes sante fr guide autoevaluatio
107. pr vention de lARS Ile de France est fond e sur les principes de promotion de la sant nonc s par la charte d Ottawa Selon l Organisation Mondiale de la Sant OMS la promotion de la sant est l ensemble des processus qui permettent aux gens individuellement et collectivement d augmenter leur contr le sur leur sant et sur leurs d terminants Ainsi la politique de pr vention consiste ne pas seulement se centrer sur la maladie mais plut t sur la personne et son environnement social ou physique Il s agit de mettre en place un processus de dynamique sociale qui va renforcer les possibilit s de chacun La promotion de la sant int gre ainsi la participation des personnes et de groupes de personnes c est le concept de sant communautaire Elle fait appel un r sultat d am lioration qui mise sur l individu Elle repose sur le concept de sant compris comme un tat global et de bien tre et vise donner aux individus la capacit influer positivement sur leur sant et leur bien tre Elle repr sente une strat gie de m diation entre les individus et leur environnement alliant choix personnel et responsabilit sociale afin de permettre un meilleur contr le sur les d terminants de la sant Elle est plurifactorielle combinant des activit s de pr vention de d pistage d ducation la sant d assainissement avec la participation active de la population chaque tape
108. pt e chez les personnes en situation de pr carit et ou migrantes 6 Promouvoir une alimentation quilibr e et une activit physique adapt e pr vention primaire associ un d pistage des maladies cardio vasculaires du diab te de l insuffisance r nale pr vention secondaire en milieu communautaire Objectif sp cifique Types d intervention et exemples d actions Promouvoir une alimentation quilibr e et une activit physique adapt e chez Actions de promotion d une alimentation quilibr e la femme et l enfant et de la pratique d une activit physique adapt e chez les femmes en ge de procr er et les femmes enceintes Population s vis e s e Sensibilisation formation des professionnels et Femme et enfant personnes relais en contact avec les futurs parents l importance de l allaitement maternel l accompagnement pratique et au soutien des m res allaitantes e Information des femmes enceintes leur partenaire et leur entourage sur les modes d alimentation du nouveau n en int grant un regard objectif sur l allaitement maternel en b n fices comme en conditions r unir pour permettre un v ritable choix clair e Information des parents sur les pratiques alimentaires appropri es du nourrisson et du jeune enfant sur la sant bucco dentaire du jeune enfant compte tenu des conditions sociales culturelles et environnementales e Sensibilisation par des femmes relais
109. re C est aussi anticiper sur l valuation plus les objectifs seront pr cis et plus l valuation en sera facilit e Les objectifs permettent de d finir diff rents niveaux de r sultats atteindre en partant du plus g n ral vers le plus pr cis le plan op rationnel et les actions concr tes De fait ils doivent tre mesurables pr cis et organis s dans le temps acceptables par les acteurs principaux l initiateur du projet les financeurs les partenaires et r alisables l objectif peut tre atteint avec les ressources disponibles dans le laps de temps pr vu Il est important d envisager les outils d valuation d s cette phase du projet Il faut distinguer trois cat gories d objectifs e l objectif g n ral est centr sur le r sultat atteindre en termes de sant ll pr cise le territoire le public d finit la dur e e les objectifs sp cifiques sont au service de l objectif g n ral et le pr cisent Pour les d finir se poser la question comment vais je atteindre l objectif g n ral ou sur quoi est il possible d agir pour atteindre l objectif g n ral e les objectifs op rationnels pr cisent plus concr tement les tapes n cessaires l atteinte des objectifs sp cifiques Pour les d finir se poser la question comment vais je atteindre l objectif sp cifique L objectif g n ral et les objectifs sp cifiques se traduisent par des verbes d intention par exemple permettre d v
110. rs sante fr ARS D l gation territoriale de Seine et Marne D partement PPS 49 51 avenue Thiers 77 011 MELUN Cedex ARS DT77 PPSO ars sante fr ARS D l gation territoriale des Yvelines D partement PPS 143 boulevard de la Reine 78 000 VERSAILLES ARS DT78 PPS ars sante fr ARS D l gation territoriale de l Essonne D partement PPS Immeuble France Evry Tour Lorraine 6 8 rue Prom th e 91000 EVRY ARS DT91 PPS ars sante fr ARS D l gation territoriale des Hauts de Seine D partement PPS Le Capitole 55 avenue des Champs Pierreux 92 021 NANTERRE Cedex ARS DT92 PPS ars sante fr ARS D l gation territoriale de Seine Saint Denis D partement PPS Immeuble L europ en 5 7 promenade Jean Rostand 93 005 BOBIGNY cedex ARS DT93 PREVENTION PROMOTION SANTE ars sante fr ARS D l gation territoriale du Val de Marne D partement PPS 25 Chemin des Bassins CS 80030 94010 CRETEIL Cedex ARS DT94 PPS ars sante fr ARS D l gation territoriale du Val d Oise D partement PPS 2 avenue de la Palette 95 011 CERGY PONTOISE Cedex ARS DT95 PPS ars sante fr e Si ge de l Agence Agence R gionale de Sant d Ile de France Direction de la Sant Publique P le Offre en sant publique 35 rue de la gare Mill naire 2 75 935 PARIS Cedex 19 ARS IDF ACTIONS PREVENTION ars sante fr
111. s Territoires des communes parc priv potentiellement indigne et des communes risque de plomb Les promoteurs int ress s sont invit s se rapprocher de la d l gation territoriale pour obtenir des pr cisions compl mentaires concernant les zones g ographiques vis es 91 Corbeil Evry Grigny S Boucle Nord 92 E 95 Vexin 42 FICHE n 6 SANTE MENTALE Objectifs sp cifiques OBJECTIF GENERAL PROMOUVOIR UNE BONNE SANTE MENTALE Renforcer les comp tences psychosociales des jeunes les capacit s motionnelles et l entraide en agissant d s l enfance 2 Promouvoir le soutien la parentalit et les actions de soutien des familles confront es aux conduites risque de leur enfant 3 Pr venir la souffrance psychique D velopper le rep rage pr coce de la souffrance psychique favoriser le recours aux relais de proximit Objectif sp cifique Renforcer les comp tences psychosociales des jeunes partir de l ge de 5 ans et par des actions sur population cibl e ou universelle en s inspirant d interventions valid es ou prometteuses publi es en France ou l tranger Population s vis e s Enfants adolescents jeunes isol s jeunes en situation de vuln rabilit jeunes en difficult d insertion professionnelle mineurs d tenus Personnes en situation de handicap en milieu ordinaire ou en tablissement m dico social Types d intervention et exemples d ac
112. s comme prioritaires au regard des besoins de sant identifi s 3 1 Des populations prioritaires Les in galit s sociales de sant ne touchent pas que les populations les plus pauvres mais l ensemble des cat gories de population Aussi la lutte contre les in galit s sociales de sant ne peut se limiter travailler en faveur des groupes les plus vuln rables mais n cessite des actions visant le gradient social Cela implique deux d marches compl mentaires gt Les actions s adressant des groupes globaux de populations appr hend s notamment par tranches d ges enfants jeunes personnes g es doivent tenir compte du principe d universalisme proportionn Cela signifie qu elles doivent Etre construites de fa on tenir compte des contraintes acquisition d informations contraintes mat rielles etc des personnes socialement d favoris es Etre renforc es aupr s de ces groupes sociaux d favoris s S assurer dans le dispositif d valuation que les groupes sociaux d favoris s ont effectivement b n fici de cette action renforc e La mise en uvre de cette d marche peut s appuyer sur une logique micro territoriale de ciblage quartiers coles etc sur la priorisation en direction de groupes sociaux femmes travaillant temps partiel par exemple sur la mobilisation de relais sp cifiques etc Dans tous les cas le projet devra prouver que le choix des modalit s de l
113. s d changes points d accueil familles men es par des professionnels form s Action d accompagnement vers le soin pour les familles les plus vuln rables Objectifs sp cifiques Promouvoir des comportements favorables la sant bucco dentaire d s le plus jeune ge afin de construire le capital sant de l enfant Promouvoir le recours aux soins pr coces Population s vis e s Enfants 0 6 ans femmes enceintes Types d intervention et exemples d actions Actions de promotion de la sant multiniveaux qui associent l ducation la sant bucco dentaire en direction des enfants et de leur famille initiation au brossage alimentation l information et la sensibilisation des relais de proximit Education nationale professionnels du social professionnels de sant sur l enjeu de la sant orale du jeune enfant l incitation et la facilitation au recours aux soins pr coce cf Programme M Tdents Actions de sant communautaire visant les personnes loign es du syst me de soin 28 Concernant les publics d munis les actions doivent respecter les points de vigilance identifi s dans la fiche N 12 Acc s la sant des personnes d munies Concernant les actions de promotion de la sant bucco dentaire Les actions en milieu scolaire doivent comprendre une mise en pratique du brossage dentaire selon une m thode adapt e l ge de l enfant avec une mise
114. s modalit s de l accompagnement File active Nombre de b n ficiaires de personnes prises en charge Accompagnement Mise en place d outils de pris en charge de personnes suivi accompagn es Nombre de b n ficiaires Moyens humains et accompagn s Taux de satisfaction des mat riels mobilis s personnes prises en charge Nombre de s ances ou Analyse des points forts et d entretiens r alis s Ratio personnes prises en points faibles du projet charge personnes en besoin Dur e des prises en charge Nombre moyen de s ances et ou d entretiens par b n ficiaire D pistage Types d quipements Nombre d invitations Taux de participation nombre Rep rage utilis s adress es de d pistages Nature des coordinations avec les partenaires Types de freins identifi s pour l acc s aux soins Moyens humains et mat riels mobilis s Analyse des points forts et points faibles D lais entre le d pistage et la prise en charge Nombre de d pistages r alis s Nombre moyen d entretiens par b n ficiaire r alis s population cible de personnes pour lesquelles une pathologie a t d tect e Taux de population orient e en fonction du r sultat au d pistage Ratio D pistage Organis total d pistage 81 Appui m thodologique la conception Moyens humains mobilis s Moyens mat riels mobilis s Mise en place d outils d assi
115. stages sur les populations pr caires devront n cessairement pr voir un accompagnement vers les soins Par ailleurs les interventions devront s inscrivent plus largement dans une approche globale de la sant aupr s de ces populations Concernant les publics d munis les actions doivent respecter les points de vigilance identifi s dans la fiche N 12 Acc s la sant des personnes d munies Concernant les territoires d intervention Le d ploiement de d partements d lle de France l intervention sur cette th matique concerne les populations des 8 En cons quence les projets d action sont d ployer dans tous les d partements en lle de France sous r serve d une approche atteignant effectivement les publics concern s Feront l objet d une attention particuli re les projets d action concernant les territoires suivants Territoires des communes ayant formalis un CLS comportant cette th matique Territoires avec IDH2 lt 0 52 Territoires cibles G ographie prioritaire de la politique de la ville Territoires situ s dans les zones g ographiques infra d partementales suivantes 34 75 Arrondissements Nord Est 77 territoires des collectivit s portant des Ateliers Socio Linguistiques ou des actions dans les centres sociaux pouvant faciliter le d veloppement de D pistages organis s Meaux Chelles Noisiel Torcy Melun Provins Nemours territoires identifi s faible tau
116. stance m thodologique la conception et la r daction du projet Type de r f rentiels propos s Analyse des points forts et points faibles Nombre de demandes d accompagnement enregistr es Nombre de projets promoteurs accompagn s Nombre moyen d heures consacr es par projet suivi Nombre de s ances d accompagnement Ratio nombre de projets promoteurs accompagn s demandes d accompagnement enregistr es Taux de satisfaction des b n ficiaires Documentation Etudes recherches Mise en place de moyens de restitution et de diffusion des tudes Respect du calendrier Moyens humains mobilis s Moyens mat riels mobilis s Analyse des points forts et points faibles Nombre d abonnements Rythme des mises jour Nombre d tudes recherche actions r alis s Nombre de documents et outils r pertori s Nombre d outils mis disposition diffusion pr t Nombre de consultations des documents Taux de satisfaction et ou pertinence des actualisations Publication et ou diffusion des tudes r sultats d utilisateurs consid rant que les l ments documentaires les ont aid s dans leur projet 82 Adresses postales et lectroniques e D l gations territoriales ARS D l gation territoriale de Paris D partement PPS 35 rue de la gare Mill naire 2 75 935 cedex 19 ARS DT75 PPSOa
117. stion des menaces et des crises en sant publique o Renforcer les dispositifs de veille afin de r duire les in galit s sociales et territoriales de sant et de d tecter les menaces pour la sant publique Mobiliser les professionnels de sant pour renforcer la veille sanitaire o Favoriser la coordination des professionnels intervenant dans la prise en charge des expositions ou des pathologies composante environnementale o D velopper l acc s un r seau de consultations de pathologies environnementales o Pr venir les infections li es aux soins o Lutter contre la r sistance aux antibiotiques GUIDE A L INTENTION DES PROMOTEURS Ann e 2015 Poursuivre des actions partenariales r pondant aux besoins des franciliens o Les nouveaux enjeux de pr vention pour le VIH en Ile de France Le plan r gional de lutte contre la tuberculose La d clinaison r gionale du plan national du d pistage organis des cancers Pr server le capital sant anticiper et mieux pr venir les cons quences du vieillissement pour une meilleure qualit de vie Pr server le capital de sant bucco dentaire Assurer la prise en compte de la sant dans le monde du travail Lutter contre les cons quences sanitaires des risques environnementaux Coordination des vigilances S curit sanitaire des produits de sant ooo O O O O 2 3 Les principes fondateurs de la politique de pr vention de l Agence La politique de
118. t et diversit du partenariat co construction de projets de sant publique transversaux avec les partenaires associatifs ou institutionnels impliqu s au niveau des territoires La coh rence du projet avec les autres projets men s sur le territoire d intervention Lors de l tat des lieux pr alable la construction du projet le porteur devra prendre en compte les champs d intervention et territoires d ores et d j couverts pour viter les doublons d actions Les mutualisations et coordinations de projets seront appr ci es gt Soutenabilit financi re du projet La demande de financement doit tre justifi e au regard des crit res pr cis s supra L Agence appr ciera notamment les points suivants Le projet doit clairement faire appara tre la part d autofinancement et le montant des cofinancements recherch s aupr s de chacun des partenaires pour sa r alisation y compris en valorisant les mises disposition et le b n volat Le financement de l Agence ne s applique qu aux charges directes li es l intervention N anmoins une quote part de charges indirectes frais g n raux de fonctionnement peut tre accept e d s lors qu elles se rapportent l intervention et non aux frais de structure de l op rateur Le montant des charges indirectes et leur cl de r partition sur les projets doivent obligatoirement tre explicit s Les subventions de l Agence ne peuvent couvrir de d penses d
119. tiellement sur deux exercices cons cutifs concernant des actions dont le calendrier suit le rythme d une ann e scolaire ou universitaire Les actions de communication men es autour des projets soutenus devront syst matiquement comporter une identification claire de l Agence R gionale de Sant en qualit de financeur 6 2 Modalit s de versement et de contr le des subventions Les modalit s sont les suivantes Les subventions inf rieures 23 000 sont vers es en int gralit l ann e de la demande hors conventions avec les dispositifs structurels ceux ci disposant de modalit s ad hoc Les subventions gales ou sup rieures 23 000 sont vers es en deux temps 80 en ann e N le solde de 20 en N 1 sur production de pi ces justificatives hors conventions avec les dispositifs structurels ceux ci disposant de modalit s ad hoc L Agence proc de au contr le du bon usage des fonds publics Il sera demand quel que soit le montant de subvention de justifier les d penses mentionn es au compte rendu financier ou d expliciter un ventuel cart entre l activit pr visionnelle et l activit r alis e En cas de projet non finalis au terme des d lais pr vus dans la convention la structure doit en informer l agence Les subventions ou les reliquats de subvention non utilis s au cours des exercices ant rieurs doivent faire l objet d une identification pr cise et sont soumis d cisi
120. tions Actions de pr vention en milieu scolaire ax es sur le d veloppement des comp tences psychosociales qu elles soient focalis es sur les enfants notamment sur les comp tences contr le de soi compr hension des motions et des relations interpersonnelles r solution de probl mes ou multimodaux en impliquant activement les parents et ou les enseignants Ateliers temps scolaires ou p riscolaires visant d velopper les potentialit s de communication et d coute des enfants et des jeunes avec leurs pairs et avec les adultes Interventions collectives utilisant une approche socio ducative aupr s des parents et des enfants et visant l am lioration des capacit s sociales et interpersonnelles des enfants en particulier par des actions transversales impliquant plusieurs environnements Interventions aupr s des publics cibl s acteurs de premi re ligne parents ou enfants concern s par des facteurs ou des situations identifi es comme probl matiques notamment autour de la gestion du stress et de l anxi t l cole ou dans le quartier du renforcement de l estime de soi de l apprentissage du d codage des m dias de l image corporelle ou utilisant des m thodes interactives permettant de mieux intervenir par rapport au diagnostic Objectif sp cifique Soutien la parentalit Promouvoir les actions de soutien des familles confront es aux conduites risque de leur enfant Population s
121. u dans des lieux sp cifiques maison de quartier centres sociaux centres commerciaux march s h pitaux Population s vis e s Personnes en situation d ob sit de diab te ou d ant c dent de diab te gestationnel de maladie chronique en milieu ordinaire et ou milieu communautaire Objectif sp cifique Types d intervention et exemples d actions Promouvoir une alimentation quilibr e une activit physique Actions d ducation pour la sant et promotion de la sant faisant merger les repr sentations prenant en compte les r f rences culturelles particuli res l origine ethnique les conditions de vie valorisant les savoirs et savoir faire visant renforcer l estime de soi e Actions favorisant l acc s des personnes en situation de pr carit la pratique d une activit physique r guli re e Sensibilisation des intervenants professionnels et b n voles de structures d aide alimentaire en mati re d alimentation et d accompagnement dans le choix alimentaire adapt e et une bonne sant bucco dentaire chez les personnes en situation de pr carit et ou migrantes Population s vis e s personnes en situation de pr carit et ou migrantes Concernant les publics d munis les actions doivent respecter les points de vigilance identifi s dans la fiche N 12 Acc s la sant des personnes d munies Concernant le contenu et les modalit s d acti
122. u des priorit s th matiques et populationnelles GUIDE A L INTENTION DES PROMOTEURS Ann e 2015 Populations vis es Populations g n rales Publics sp cifiques Personnes Popukien elie P rinatalit Adolescents Personnes sous main de Personnes z Jeunes Personnes Personnes d munies en Personnes justice Personnes vivant en petite Enfants Adultes ee A S f S 2 SS a chance adultes g es handicap es situation de migrantes d tenues ou prostitu es habitat pr carit suivies en indigne Th matique milieu ouvert P rinatalit Petite enfance Fiche n 1 Fiche n 1 Fiche n 1 Conduites addictives Fiche n 2 Fiche n 2 Fiche n 2 Fiche n 2 Fiche n 2 Fiche n 2 Fiche n 2 Fiche n 2 Fiche n 2 Fiche n2 E Fichen3 Fichen3 P A Cancer Fiche n 3 Fiche n 11 Fiche n11 Fichen3 Fichen 3 Fichen 3 Fiche n3 Nutrition alimentation et a S x S ox Fiche n 4 Gerd E le e activit s physiques adapt es Fiche n 4 Fichen 4 Fiche n 4 Fiche n 4 Fiche n 11 Fiche n 4 Fiche n 4 Fiche n 4 Sant et environnement Fiche n5 Fiche n5 Fiche n5 Fichen Fiche n 5 Fiche n 5 Fiche n 5 Sant mentale Fiche n 6 Fiche n 6 Fiche n 6 Fiche n 11 Fiche n 6 Fiche n 6 Fiche n Fiche n Education la sexualit Fiche n7 Fichen7 Fichen7 VIH IST H patites Fiche n 8 Fiche n 8 Fiche n Fichen 8 Fichen 8 Fiche n
123. uation de handicap ciblant pr f rentiellement deux tranches d ges 12 20 ans et plus de 40 ans Aidants familiaux Partenariats Structures ou tablissements sociaux ou m dico sociaux en direction de personnes en situation de handicap Types d intervention et exemples d actions Action d information sensibilisation anim e notamment par les pairs groupes d changes et de paroles sur e Action de promotion de la sant visant l acquisition d aptitudes individuelles sur le th me Savoir aider en portant attention soi Evaluer ses besoins suivi m dical r gulier participation aux d pistages organis s et individuels savoir anticiper et pr venir les impacts sur la vie familiale sociale et professionnelle auto rep rage des situations d puisement e Connaitre les principes de base et les techniques des gestes et postures notamment en mati re de manutention adapt s aux personnes handicap es Promotion de la sant globale de l aid e Promouvoir l estime de soi le bien tre le suivi m dical r gulier la sant buccodentaire la nutrition le sommeil le rep rage des troubles auditifs et visuels vaccinations vie affective et sexuelle les conduites addictives les d pistages organis s du cancer du sein et colorectal etc Aide la parentalit et pr vention de la maltraitance Objectif sp cifique Pr venir les situations d puisement des aidants familiaux des
124. uipe en charge du projet Etape 1 L analyse de la situation L analyse de la situation est un temps essentiel dans la pr paration du projet Elle permet de s lectionner les domaines d intervention et de justifier le choix des priorit s et des objectifs Tout d abord il est important de d finir la probl matique de sant de la population concern e Quels sont les l ments prendre en compte Le public concern par l action les principaux d terminants de sant comportementaux et environnementaux ses lieux de vie ses besoins de sant exprim s ses opinions sur la sant la pr vention Le contexte local les acteurs institutionnels et associatifs concern s les services municipaux les associations sp cialis es sur le public les associations de quartier leurs constats leurs attentes leur implication ou leur participation ventuelle dans le projet Consulter les donn es statistiques ou pid miologiques disponibles Les priorit s de sant publique les plans nationaux les orientations r gionales en sant publique les diff rents plans concern s doivent tre nomm s dans le dossier de subvention mais il est inutile de les d crire Les donn es documentaires les tudes sur les repr sentations et les attitudes du public les freins ainsi que les exp riences d j men es sur le sujet pour en consulter les strat gies les m thodes probantes utilis es les conclusions A ce stad
125. unes tenant compte de leur environnement e s appuient sur des partenariats dans les milieux de vie des jeunes famille association de quartier mission locale CIDJ PlJ 47 concernent les milieux de vie des jeunes et les tablissements les missions locales les Points accueil coute Jeunes PAEJ et bureaux Information Jeunesse les centres sociaux des communes d veloppant des actions destin es aux publics jeunes Concernant les territoires d intervention Le d ploiement de l intervention sur cette th matique concerne les populations des 8 d partements d lle de France En cons quence les projets d action sont d ployer dans tous les d partements en lle de France sous r serve d une approche atteignant effectivement les publics concern s Feront l objet d une attention particuli re les projets d action concernant les territoires suivants Territoires des communes ayant formalis un CLS comportant cette th matique Territoires avec IDH2 lt 0 52 Territoires cibles G ographie prioritaire de la politique de la ville Territoires situ s dans les zones g ographiques infra d partementales suivantes 75 les tablissements professionnels ou class s ZEP et les 20 quartiers prioritaires politique de la ville 77 Nemours Meaux Coulommiers Communaut Melun Val de Seine Melun Dammarie les Lys Le M e sur Seine Montereau territoire provinois Agglom ration de Marne et Chantere
126. ux infections sexuellement transmissibles 13 Le d veloppement de partenariats avec les professionnels tablissements et organismes qui participent la lutte contre l infection par le virus de l immunod ficience humaine et les infections sexuellement transmissibles dans le d partement et la prise charge des personnes atteintes 63 ANNEXE 3 Liste des communes avec un classement IDH2 D partement de Paris 75 Nb de foyers fiscaux non imposables 75119 PARIS 19 184 038 57 002 75118 PARIS 18 191 523 54 857 Code Population 2007 D partement de la Seine et Marne 77 A N foyer ESC E E imposables 1 459 817 222 41 158 77099 903 77379 3 837 77385 579 77260 477 77331 101 77333 3 987 77510 VILLENEUVE SAINT DENIS 0 38 ee 161 77224 108 77257 1 064 77284 14 973 77327 2 158 77424 77458 1 468 77119 77131 4219 77157 77317 1053 77478 201 77531 458 77019 77 77032 188 77208 364 77275 35 77314 45 77347 239 438 307 64 97 157 311 50 797 79 195 77183 2 393 77247 91 77402 75 77467 45 77056 41 77079 1 652 77109 323 77151 73 77272 173 77343 76 77348 42 77419 665 77462 169 77002 167 77009 23 77088 556 77123 100 77148 364 77285 4 821 77293 184 77345 117 77465 116 77517 313 77023 42 77033 46 77050 120 77066 63 77110 77127 253 77137 49 77158 53 77259 372 77265 198 77335 311 77404 321 77410 62 77446 120 77468 5 043 77492 201 77493 579 77026 67 77061 472
127. uyant sur des outils valid s Objectif sp cifique Promouvoir une alimentation quilibr e associ e une activit physique adapt e en direction des personnes g es et des personnes handicap es ainsi que des malades chroniques en milieu ordinaire Population s vis e s Personnes g es de plus de 60 ans ou malades chroniques en milieu ordinaire Personnes en situation de handicap en milieu ordinaire ou en tablissement m dico social Personnes en situation de maladies chroniques en milieu ordinaire Types d intervention et exemples d actions Actions d incitation de facilitation et d organisation de la pratique d une activit physique r guli re et adapt e Information sensibilisation des professionnels professionnels de sant CCAS CLIC aidants familiaux et personnes relais fr quentant des lieux de proximit tels que les clubs seniors l quilibre alimentaire rep res nutritionnels du PNNS 3 et l activit physique adapt e en utilisant les outils valid s A mettre dans la fiche PA Actions de pr vention et promotion de la sant afin de promouvoir une alimentation quilibr e via l acquisition de rep res nutritionnels atelier d ducation nutritionnelle et une activit physique r guli re en r f rence au programme national nutrition sant Ateliers d activit physique sportive sport sant adapt e afin d amener la pratique r guli re d une activit physique ad
128. vis e s jeunes familles Types d intervention et exemples d actions e Interventions d information r guli re aupr s des parents sur les dommages li s aux consommations pr coces sur l volution des modes de consommation chez les jeunes et sur les codes marketing qui leur sont destin s et qui visent promouvoir la consommation Cette information doit tre accompagn e e de rep res et de conseils pratiques sur la mani re de communiquer avec les adolescents 43 e Des interventions aupr s des parents ciblant les jeux vid o avec une approche de sensibilisation et d information renfor ant les parents dans leur r le de contr le de la dur e de pratique du contenu du support et de l ad quation ge contenu pour aller progressivement vers le contr le interne Interventions de groupe focalis es sur les jeunes utilisant des m thodes interactives ateliers cr atifs mises en situation jeux de r le discussions de groupe JL Ces interventions doivent tre en ad quation avec le calendrier des entr es dans la consommation des diff rents produits vis s Elles peuvent tre men es en milieu scolaire d s la fin de l cole l mentaire pour le tabac l alcool les jeux vid o et Internet puis au d but du college pour ces m mes substances comportements auxquels s ajoutent le cannabis et les jeux de hasard et d argent Ces interventions doivent pr voir une aide l orientation vers les dispositifs de
129. x D pistage organis 78 zones justifiant le d veloppement des D pistages Organis s y compris en milieu rural 91 Grigny Etampes Ris Orangis Evry Corbeil pour DOCCR Nord Essonne pour DOCS 92 zones justifiant le d veloppement des D pistages Organis s 95 zones justifiant le d veloppement des D pistages Organis s les promoteurs sont invit s a se rapprocher des d l gations territoriales concern es afin d identifier les zones pour lesquelles les indicateurs surmortalit d lais de prise en charge paraissent justifier un d veloppement particulier des D pistages Organis s 35 FICHE n 4 NUTRITION ALIMENTATION ET ACTIVITE PHYSIQUE OBJECTIF GENERAL PROMOUVOIR UNE ALIMENTATION EQUILIBREE ET UNE PRATIQUE D ACTIVITE PHYSIQUE ET SPORTIVE AFIN D AMELIORER L ETAT DE SANTE DE LA POPULATION Objectifs sp cifiques 1 Promouvoir une alimentation quilibr e et une activit physique adapt e chez la femme et l enfant 2 Pr venir le surpoids et l ob sit chez l enfant et les jeunes 3 Promouvoir une alimentation quilibr e associ e une activit physique adapt e en direction des personnes g es et des malades chroniques et des personnes handicap es en milieu ordinaire 4 D velopper la pr vention et le rep rage de la d nutrition et de la d shydratation des personnes g es domicile ou en tablissement 5 Promouvoir une alimentation quilibr e et une activit physique ada

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