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« La prévention des complications du diabète »

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1. 00 10 R pour d pistage de la maladie r nale et de la microalbuminurie R sultats de la premi re campagne Mise en vidence d un niveau de connaissances nettement insuffisant de la population diab tique vis vis du risque de complications du diab te notamment ophtalmologique et la n cessit d un suivi annuel ainsi la surveillance ophtalmologique de la population diab tique fran aise est identique la surveillance de la population g n rale alors que les personnes diab tiques devraient avoir une prise en charge nettement sup rieure Seuls 40 des diab tiques ont t rembours s d une consultation d ophtalmologie en 2004 B Mise en vidence d un net d ficit de la prise en charge des personnes diab tiques sur notre arrondissement Ainsi pour la premi re campagne 18 des personnes n avaient jamais eu de fond d il 6 avaient eu un fond d il entre 3 et 4 ans avant le d pistage et 16 n avaient pas eu de fond d il depuis plus de 4 ans alors que la recommandation actuelle est 1 contr le annuel Seule 1 personne sur 5 peut d finir la r tinopathie diab tique au moment de sa participation au d pistage 1 diab tique sur 4 ne conna t pas le rythme pr conis pour les consultations chez l ophtalmologue C Le niveau de connaissance des personnes diab tiques est influenc par le suivi d un cycle d ducation et le suivi r gulier par un diab tologue R sultats
2. Cabinet M dical place de l Horloge 02400 CHATEAU THIERRY Tel 03 23 83 33 44 busquet i wanadoo fr Dr Isabelle BUSQUET Dr Fabienne MENNETRIER R seau Diab te Picardie 27 avenue d Italie 80094 AMIENS Cedex 3 Tel 03 22 23 35 52 urml reseau diabete wanadoo fr Dr Christine BOUTET Projet de r seau Soissons jm taupin ch soissons fr Dr Jean Marc TAUPIN H pital de Soissons R union 1 R seau REUCARE 97 rue Bois de n fias 97400 SAINT DENIS R union Tel 02 62 20 26 32 reucare3 wanadoo fr Madame Muriel RODDIER Dr Xavier DEBUSSCHE Rh ne Alpes 6 R seau DEDICAS 42 rue de Champagne 42100 SAINT ETIENNE Tel 04 77 57 13 39 coordedicas infonie fr Monsieur Mario DEBELLIS R seau DIALOGS 69 H pital Neurologique Aile A1 59 bd Pinel 69677 BRON CEDEX Tel 04 72 11 90 59 Fax 04 72 11 90 60 dialogs wanadoo fr Madame Sophie ALLIROL Dr Pierre SERUSCLAT R seau Diabls re CHU de Grenoble 38043 GRENOBLE Cedex PPilichowski chu grenoble fr Monsieur Paul PILICHOWSKI R seau DROMARDIAB 53 avenue Victor Hugo 26000 VALENCE Tel 04 75 81 63 10 dromardiab wanadoo fr Dr Elisabeth EMIN RICHARD Dr Christine WATERLOT madame Marie BADOIL R seau SAVEDIAB 47 rue de Ecoles 73230 SAINT ALBAN LEYSSE helene du boullay ch chambery rss fr Dr H l ne DU BOULLAY R seau 3 Lacs et Montagne 1 Avenue du Tr sum 74011 ANNECY CEDEX Tel 04 50 88 34 64 assoc 3lm ch annecy fr Mademois
3. ceci v transmettre la force du poignet de l examinateur m Appliquez le d abord sur le dos de la main du patient pou sache ce qu il doit ressentir m Demandez au patient de fermer les yeux pour qu il ne voi le lieu o vous allez appliquer le monofilament m Appliquez le monofilament fermement en une fois attention ne pas le faire glisser le long de la peau et n toucher la peau de fa on r p titive m Appliquez le monofilament aux diff rents endroits sans d termin pour viter les biais dus l anticipation du patier l appliquez pas sur une callosit ou un ulc re mais p riph rie m La dur e totale d application du monofilament doit approximativement d une seconde et demi demandez au p de r pondre OUI ou NON instantan ment apr s applicati monofilament et en cas de r ponse positive le c t pied dr gauche o il a ressenti le filament m Pour conserver le monofilament en bon tat gardez le son tui ou repli dans son manche 3 A t il une art rite Un des crit res suiva un risque de l sions des pieds la non percepti Dossier de presse Pr vention des complications du diab te 6 juillet 2005 24 32 ant c dent de chirurgie vasculaire art rielle sur le membre inf rieur ou l existence d une claudication intermittente 4 At il des d formations Hallus valgus quintus varus orteils en griffe ou en marteau callosit s pro minence de la t te des m tatarsiens
4. lai fix par les soci t s savantes En effet les ophtalmologistes participant l exp rimentation se sont engag s dans une charte recevoir en priorit les patients chez qui a t identifi une l sion n cessitant un traitement rapide En 2005 une valuation de ces trois exp rimentations permettra de juger de l efficacit des diff rents modes d organisation du d pistage mis en place Dans ce cadre une liste d indicateurs ainsi qu un plan d analyse ont t tablis en lien avec l Assurance Maladie le Minist re de la Sant et des Solidarit s la Haute Autorit en Sant l InVS les professionnels pour disposer de l ensemble des l ments permettant d appr cier l efficacit du d pistage dans les 3 sites qui disposent d organisations diff rentes De plus des recommandations m dicales techniques et tarifaires seront galement r dig es partir de ces trois exp riences L ensemble de ces l ments seront transmis la Haute Autorit de Sant en 2006 Dossier de presse Pr vention des complications du diab te 6 juillet 2005 10 32 Pr vention du risque podologique Les complications du pied chez le diab tique sont fr quentes et d volution souvent grave On d nombre 10 000 amputations annuelles chez les diab tiques Or l tude ENTRED portant sur un chantillon repr sentatif de 10 000 personnes diab tiques en 2001 a montr que 20 50 des patients diab tiques selon des d claratio
5. une liste d indicateurs ainsi qu un plan d analyse ont t tablis avec les diff rents partenaires et la Haute Autorit en Sant Ces indicateurs seront recueillis par chaque r seau avec l aide ponctuelle d une personne recrut e sp cifiquement pour la coordination de cet enregistrement au niveau national Actuellement plus de la moiti des r seaux propose cette prise en charge leurs patients la mont e en charge tant progressive au fur et mesure du d veloppement des structures r seaux signal s en gras dans la liste jointe Dossier de presse Pr vention des complications du diab te 6 juillet 2005 11 32 Le recueil de donn es n cessaires l valuation de l exp rimentation de cette prise en charge se d roulera du 1 f vrier 2005 au 31 juillet 2006 Un suivi semestriel du recueil et des r sultats sera effectu par un groupe projet L ensemble des r sultats seront transmis la Haute Autorit de Sant en 2006 12 32 Dossier de presse Pr vention des complications du diab te 6 juillet 2005 Annexes Dossier de presse Pr vention des complications du diab te 6 juillet 2005 13 32 Annexe 1 Recommandation de bonnes pratiques cliniques de l ANAES concernant la strat gie de prise en charge du patient diab tique de type 2 exclusion de la prise en charge des complications Pour un diab tique de type 2 non compliqu dont l quilibre est stable le rythme de suivi recomm
6. ALIS75 Avicenne Cochin H tel Dieu Bich t ME OPHDIAT Lariboisi re Dossier Images e donn es m dicales Lariboisi re Saint Louis W Bic tre a Hi H tel Dieu Saint Louis 3k Jk Avicenne Piti Salpetri re Jean Verdier N Bic tre Prison de Fresnes 3k D sco lt c lt s lt on Compte rendu L activit Depuis septembre 2004 3223 patients ont eu un examen de d pistage Parmi eux 751 23 4 pr sentaient une r tinopathie diab tique 820 patients ont t adress s un ophthalmologiste soit du fait d une r tinopathie diab tique d une cataracte et ou de clich s non interpr tables Dossier de presse Pr vention des complications du diab te 6 juillet 2005 16 32 Annexe 3 Projet PREVART d pistage r tinopathie diab tique PREV ART PREVENTION VASCULAIRE ARTOIS CAMPAGNE TINERANTE DE DEPISTAGE DE LA RETINOPATHIE DIABETIQUE AU MOYEN D UN RETINOGRAPHE Non MYDRIATIQUE ne n cessitant pas une dilatation pr alable de la pupille Hypertension art rielle ges Dyslipid mi Equilibre ys p Alimentaire PR EV ARTS ke PREVENTION VASCULAIRE Prenda p Palliatifs Tabagi S dentarit abagisme Diab te il rein pied Dossier de presse Pr vention des complications du diab te 6 juillet 2005 17 32 R alis e sur le secteur sanitaire IV arrondissement de B thune environ 270 000 personnes Exp rienc
7. cit et de malvoyance en France 30 40 des patients diab tiques ont une r tinopathie diab tique En France l organisation actuelle des soins ne permet pas d atteindre l objectif d un examen annuel du fond d il chez tout patient diab tique Les objectifs atteints OPHDIAT augmente le nombre de patients d pist s avec une sensibilit au moins gale celle de l examen du fond d il traditionnel OPHDIAT permet d conomiser du temps m dical Le m decin ophtalmologiste peut lire les photographies d environ 15 patients par heure alors qu il est difficile de voir plus de 12 patients diab tiques en une matin e ave la m thode traditionnelle de d pistage OPHDIAT se d veloppe progressivement sur l Ile de France incluant les tablissements de sant publics et priv s les centres de sant les tablissements p nitenciers et les r seaux ville h pital OPHDIAT pallie le manque d ophtalmologistes qui va s accentuer dans les prochaines ann es Le r seau 12 sites de d pistage un centre de lecture Les sites de d pistage Le d pistage de la r tinopathie diab tique par photographies num riques du fond d il pris sans dilatation pupillaire est r alis au niveau des sites de d pistage situ s dans les services de diab tologie ou de m decine interne orientation diab tologique Un r tinographe non mydriatique num ris muni d un dispositif de t l transmission est install dans chaque
8. comme en individuel la pr vention des amputations gr ce la mise en place d un dispositif de soins coordonn comprenant le d pistage syst matique du risque de l sion un forfait de soins podologique gratuit pour les sujets risque et l acc s rapide une structure sp cialis e en cas de l sion Liste sous r serve de modification Alsace 3 Centre de Cardio Pr vention Obernai 1 route de Boersch BP 201 67211 OBERNAI Cedex R seau RESODIAB 67 Boulevard Leriche 67200 STRASBOURG Tel 03 90 20 12 21 resodiab6 7 wanadoo fr Dr Christine BELLER Pr Michel PINGET Madame Anne UMBDENSTOCK R seau de sant de Haute alsace H pital Saint Morand 68130 ALTKIRCH Tel 03 89 08 30 30 imwilhelm68 hotmail com Dr Serge MOSER Dr Jean Marie WILHELM Antilles 1 R seau Diab te Martinique Service de Diab tologie CHU de Fort de France Tel 05 96 55 22 41 ou 2242 raymond dorail wanadoo fr Dr Raymond DORAIL R seau KARUDiab te Guadeloupe R sidence les Champs B timent 1 Appartement 1 Dugazon 97139 Abymes Tel 05 90 23 24 17 coordinateur medical wanadoo fr Dr Marie Laure LALANNE MISTRIH Aquitaine 1 R seau Diapason 24 BP1044 24001 PERIGUEUX Cedex Tel 05 53 35 61 19 Imouret2 free fr nathalie verdier cpam periqueux cnamis fr Dr Laurent MOURET Madame Nathalie VERDIER Auvergne 1 R seau Vichy Diab te Centre Hospitalier G n ral 54 bd Deni re 03200 VICHY Tel 0 800 800 470 ch
9. d un patient diab tique pour les patients dont le diab te est d j connu anamn se du diab te traitement actuel et r sultats des bilans pr c dents diab te nouvellement diagnostiqu recherche de signes en rapport avec un diab te secondaire pour tous ant c dents m dicaux traitements en cours ant c dent familiaux coronariens d hypertension art rielle et de dyslipid mie habitudes alimentaires et activit physique statut socio conomique diagnostic ducatif Que sait il Quelles sont ses possibilit s 1 http www anaes fr pour un patient quilibr Dossier de presse Pr vention des complications du diab te 6 juillet 2005 14 32 Annexe 2 Projet OPHDIATO d pistage r tinopathie diab tique Pour le d pistage de la r tinopathie diab tique par photographies du fond d il et t l medecine Responsable du projet Pr Pascale Massin Service d Ophtalmologie H pital Lariboisi re Paris t l 01 49 95 24 74 mail p massin lrb aphp fr Coordination Dr Agn s Chabouis Direction de la politique m dicale Mission T l m decine Assistance Publique H pitaux de Paris t l 01 45 27 19 52 mail agnes chabouis sap aphp fr Site Web http reseau ophdiat aphp fr Le contexte Les recommandations de bonne pratique clinique recommandent une surveillance annuelle du fond d il de tout patient diab tique La r tinopathie diab tique est une des principales causes de c
10. de la deuxi me campagne 2 053 personnes se sont pr sent es dont 700 avaient un diab te connu 19 personnes se sont vues d pister une glyc mie anormale Parmi celles ci 13 personnes ont eu une confirmation de leur maladie diab tique 73 avaient d j eu un suivi ophtalmologique et 27 aucun suivi Les r sultats de la deuxi me campagne sont superposables ceux obtenus suite la premi re plus de 70 des personnes diab tiques n ont pas de l sion mise en vidence au niveau de la r tine Dossier de presse Pr vention des complications du diab te 6 juillet 2005 19 32 10 des clich s ne sont pas interpr tables en raison essentiellement de difficult s d ordre technique ou li es au patient ex pr sence d une cataracte 6 des personnes pr sentent une l sion r tinienne non li e au diab te qui va n cessiter un avis ophtalmologique moins de 10 ont une l sion mise en vidence li e la maladie diab tique n cessitant une prise en charge plus ou moins rapide par un ophtalmologue 8 n ont pas eu de fond d il depuis plus de deux ans 16 n ont jamais eu de fond d il ce jour les obstacles au suivi ophtalmologique sont Pour 38 des difficult s pour obtenir un rendez vous les d lais tant de six douze mois dans notre R gion Pour 27 une g ne li e par les gouttes n cessaires la dilatation de la pupille Pour 25 la peur de trouver quelque c
11. diab tique repr sente la premi re cause de c cit chez les sujets de moins de 50 ans dans les pays industrialis s La pr vention des complications du diab te fait partie des objectifs de la Loi du 9 ao t 2004 relative la politique de Sant Publique qui sont assurer une surveillance conforme aux bonnes pratiques cliniques mises par l Association de langue fran aise pour l tude du diab te et des maladies m taboliques ALFEDIAM l Agence fran aise de s curit sanitaire des aliments et des produits de sant AFSSAPS la Haute autorit en sant ex ANAES pour 80 des diab tiques en 2008 actuellement 16 pour le dosage de la microalbuminurie 30 pour l ECG 32 pour le suivi bucco dentaire 41 pour l examen ophtalmologique 61 pour l HbA c 62 pour la cholest rol mie et 72 pour la cr atinin mie r duire la fr quence et la gravit des complications du diab te notamment les complications cardiovasculaires plan national pour am liorer la qualit de vie des patients ayant une maladie chronique La r tinopathie diab tique rel ve de traitements simples valid s et efficaces qui permettent d viter l volution vers la c cit La Haute autorit en sant HAS recommande un d pistage annuel de la r tinopathie par fond d il FO pour chaque patient diab tique Dans les pays anglo saxons et d Europe du Nord l utilisation du r tinographe non mydriatique pour le d pistage la r tino
12. patients des professionnels et du grand public afin d am liorer la pr vention des complications du diab te notamment par le d pistage de la r tinopathie diab tique et des l sions des pieds et afin de favoriser un suivi du diab te conforme aux recommandations de bonnes pratiques cliniques cf Annexe 1 Recommandations de bonnes pratiques cliniques de l Anaes Dossier de presse Pr vention des complications du diab te 6 juillet 2005 4 32 Les actions entreprises Le diab te a t retenu comme une priorit de sant publique par le rapport du Haut comit de la sant publique et la Conf rence nationale de sant d s 1998 Deux programmes de sant publique ont t consacr s au diab te par la CNAMTS en 1998 et 2000 Le programme national d actions de pr vention et de prise en charge du diab te de type 2 2002 2005 cf fiche Bilan du programme Diab te est articul autour de 5 axes la pr vention le d pistage la qualit et l organisation des soins le suivi pid miologique avec notamment l tude ENTRED l ducation th rapeutique Deux des objectifs de la loi du 9 ao t 2004 relative la politique de sant publique concernent sp cifiquement le diab te Assurer une surveillance conforme aux recommandations de bonne pratique clinique mises par l ALFEDIAM l AFSSAPS et l ANAES pour 80 des diab tiques actuellement 16 72 selon le type d examen e R duire la fr qu
13. sions des pieds chez les diab tiques dans le cadre du programme diab te 2002 2008 un protocole de soins a t r dig en 2003 partir des recommandations de la conf rence internationale de consensus et des recommandations de la haute autorit en sant HAS Ces recommandations ont fait l objet de plusieurs articles dans la Revue du Praticien de M decine G n rale afin d informer et de sensibiliser les praticiens cf Annexe 5 M thode de d pistage et de gradation du risque de l sion Les recommandations indiquent pour tous les patients un d pistage avec test au monofilament par le m decin pour gradation des l sions des pieds chez tous les patients diab tiques pour les patients ayant des l sions des pieds de grades 2 et 3 un suivi podologique tous les 2 mois 1 valuation podologique et 5 s ances de soins par un podologue form Les 64 r seaux diab te actuellement en place dans presque toutes les r gions fran aises cf Annexe 6 et coordonn s au niveau national par l Association nationale de coordination des r seaux diab te ANCRED ont adopt en mars 2004 un programme minimum commun pour d velopper leurs activit s autour de 3 axes dont la pr vention des amputations des pieds partir de cet engagement le Minist re de la Sant et des Solidarit s en lien avec l Assurance Maladie les professionnels concern s et les patients a coordonn la mise en place du protocole dans ces r seaux En parall le
14. 0 FLEURY MEROGIS Tel 06 84 76 50 86 Romdes wanadoo fr Dr Bruno PANIER Dr Jocelyne RAISON Languedoc Rousillon 3 R seau AUDIAB IFSI 12 quai Dillon 11100 NARBONNE audiab wanadoo audiab olive wanadoo fr Dr Jean Paul OLIVE Dr Jean Pierre COURREGES madame Myriam SAGNARD R seau DIAB EDUC URML LR 285 rue Alfred Nobel 34000 MONTPELLIER Tel 04 99 52 44 88 c boegner chu montpellier fr Dr Catherine BOEGNER R seau RESEDALES Maison de la Sant 9 rue du Dr Serres 30100 ALES resedales wanadoo fr Dr Albert LAGIER Limousin 1 R seau DIABLIM Dr BUGEAUD LIMOGES Lorraine 4 R seau DIABCOEUR 21 rue des Fr res 57100 THIONVILLE Tel 03 82 55 89 34 malinsky michel wanadoo fr Dr Michel MALINSKY R seau REDIVHOM Centre Hospitalier de Bar le Duc 1 bd d Argonne BP 510 55012 BAR LE DUC Cedex Tel 03 29 45 88 04 chaccaro ch barleduc rss fr Dr Philippe JAN Forum DIAMETZ H pital Sainte Blandine 3 rue Cambout 57000 METZ jacques louis fondation ste blandine fr Dr Jacques LOUIS Maison du Diab te et de la Nutrition de Nancy Service de Diab tologie Maladies M taboliques Maladies de la Nutrition CHU Nancy H pital Jeanne d Arc BP 303 54201 Toul Cedex p bohme chu nancy fr Dr Philippe BOHME R seau de Mulhouse guycour evhr net Midi pyr n es 2 APPPD Association Pyr n enne pour la Protection du Pied Diab tique 23 rue Larrey 65000 TARBES corinne vatin wanadoo fr Dr C
15. 1 medecin coordonateur wanadoo fr Dr Roland PECHEUX Dr Jean louis DELASSUS R seau DIANEFRA CHU Jean Verdier 93 BONDY bchanu wanadoo fr Dr Bernard CHANU Pr Jean raymond ATTALI Dr Albert BARBARO R seau Diab te 92 H pital Max Fourestier 403 av de la R publique 92014 NANTERRE Tel 01 47 69 72 26 diabete 92 libertysurf fr Madame Sylvie FERRARI Dr Mich le LUCIANI Dr Marc LEVY R seau Diab te du Val d Oise 6 avenue de l le de France Centre Hospitalier 95300 PONTOISE Tel 01 30 75 53 55 yves bernard ch pontoise fr Dr Yves BERNARD Dr Dominique SERET BEGUE Dr Marie Florence VERGER Dr Juliette CAHEN R seau DIACOMMUNICATION 185 rue Raymond Losserand H pital Saint Joseph 75674 PARIS Cedex 14 dhuet hopital saint joseph org Dr Dominique HUET R seau Paris Diab te 126 rue de l ouest 75014 PARIS Tel 01 45 45 46 56 paris diabete wanadoo fr Madame Claire SUZANNE LAMARRE Dr Monique BINART Dr jean claude BOUROVITCH Dr Pierre yves TRAYNARD Dossier de presse Pr vention des complications du diab te 6 juillet 2005 27 32 R seau REVEDIAB Essonne Val de Marne 18 avenue de la V nerie 91230 MONTGERON Tel 01 60 86 52 82 sec revediab wanadoo fr Madame Christine PEROUTIN Dr Michel VARROUD VIAL Dr Christiane QUINIO Dr Jean louis LEMOINE Dr Ghislaine HENRY Dr Catherine PETIT Madame Sylvie DEILHES madame Mari louise GRUMBACH R seau ROMDES ob sit H pital Fernand Manhes 9170
16. Institut National de Pr vention et d Education EE Libert galit Fraternit R PUBLIQUE FRAN AISE pour la Sant Minist re de la Sant et des Solidarit s Direction g n rale de la Sant La pr vention des complications du diab te Rencontre presse 6 juillet 2005 Contacts presse Laurence Danand DGS 01 40 56 52 62 M l laurence danand sante gouv fr Sophie Decroix INPES 01 49 33 23 06 M l sophie decroix inpes sante fr Dossier de presse Pr vention des complications du diab te 6 juillet 2005 Sommaire Les 9 LC EEE AS PP N EE 3 MOUCINA E 4 Les acns EnrepiSeS orria a mere nn nie en talent 5 Epidemologicdu u dia bele 2 a E esa nest ed 6 Bilam d programme diabetes RM A ada a an aaa aa nat na ai 8 D pistage de la r tinopathie diab tique ss 10 Prevention d risgue PodologigUS 2 nada A a e a Pas 11 ATOS E A 13 Annexe 1 Recommandation de bonnes pratiques cliniques de l ANAES oinennoenonnonnennsnrenrerrsnnnne 14 Annexe 2 Projet OPHDIATO d pistage r tinopathie diab tique 00nn0nnn1nnnnunnnnnnnnnnnnnnennennnnne 15 Annexe 3 Projet PREVART d pistage r tinopathie diab tique 17 Annexe 4 Projet UPML Bourgogne d pistage r tinopathie diab tique 00 00n00nn0nnnnnn0nnennn11nnee 22 Annexe 5 M thode de d pistage et de gradation du risque de l sion du pied diab tique 24 Annexe 6 ANCRED R seaux de sant dia
17. and est repr sent sur le tableau suivant Interrogatoire Education autonomie r gles ducation autonomie r gles hygi no di t tiques hygi nodi t tiques Observance du traitement Observance du traitement Autosurveillance glyc mique si prescrite Autosurveillance glyc mique si Probl mes psychosociaux prescrite Tabagisme Probl mes psychosociaux valuation compl mentaire de la prise en charge de sa maladie par le patient Savez vous quels sont les r sultats du d pistage des complications Quand devez vous tre d pist de nouveau Sympt mes de complications cardio vasculaires ou neurologiques Pour les femmes en ge de procr er contraception ou d sir d enfant Poids Examen clinique complet et en particulier Tension art rielle Examen des pieds Examen des pieds tat cutan neuropathie sensitive monofilament Nylon diapason R flexes ost otendineux Palpation des pouls Recherche de souffles abdominaux f moraux et carotidiens Recherche d une hypotension orthostatique Examen de la bouche de la sph re ORL de la peau HbA1c Examen par un ophtalmologiste ECG de repos Bilan lipidique jeun LDL HDL triglyc rides et cholest rol total Cr atinin mie et calcul de la clairance par la formule de Cockcroft Prot inurie et h maturie recherche d infection par bandelettes urinaires Si pas de prot inurie recherche de microalbuminurie Lors de la premi re visite
18. ar chal Maunoury Villa Tarnier 28000 CHARTRES zgouga aol com Dr Sa d BEKKA R seau Diab te du Cher CARAMEL Ch teau des Gadeaux Av Fran ois Mitterrand 18060 BOURGES Cedex Tel 02 48 48 57 44 reseau diabete ch bourges fr Dr Aude MATHIEU R seau DIABOLO Orl ans Loiret CHRO Madeleine BP 2439 45032 ORLEANS Cedex 1 Tel 02 38 74 43 69 reseau diabolo wanadoo fr Madame Marie christine ARDAULT Dr Philippe EMY R seau LOIRESTDIAB Centre hospitalier Service de M decine BP 725 AMILLY 45207 MONTARGIS Tel 02 38 95 94 99 flagarde ch montargis fr Dr Fabrice LAGARDE madame Claire GILLET R seau Sant Nutrition Diab te 41 Centre Hospitalier de Blois 41016 BLOIS Cedex Imonier ch blois rss fr Madame Louisette MONIER Dr PIQUEMAL R seau r gional d ducation des diab tiques H pital Bretonneau 2 bd Tonnel 37044 TOURS Cedex Tel 02 47 47 47 27 couet med univ tours fr Pr Charles COUET R seau Diab te Touraine 31 Bis Rue Buffon 37000 TOURS Tel 02 47 64 93 72 iraynaud wanadoo fr Dr Isabelle RAYNAUD R seau REDIAB Touraine H pital Bretonneau Clinique M dicale B 37044 TOURS Cedex Tel 02 47 47 87 03 lecomte med univ tours fr Pr Pierre LECOMTE R seau Diapason 36 CHG de CHATEAUROUX eric marsaudon ch chateauroux fr Dr Eric MARSAUDON Champagne Ardennes 1 _ R seau CAR DIAB 3 rue des moulins BP 24 51766 REIMS vsimon carediab wanadoo fr cabinet depinoy lukas wanadoo fr Dr Chri
19. b te recens s au 1er juin 2005 26 Annexe 7 Communiqu de presse Inpes C d rom Ed DiasS Diab te de type 2 Un guide pour l dUCalIOn du patienters Se A A nn net tamsoen Ciotat min ati 30 Annexe 8 Pr sentation de l Association Fran aise des Diab tiques AFD nannnnnnnnnnnnnnnnennen 32 Dossier de presse Pr vention des complications du diab te 6 juillet 2005 2 32 Les Intervenants Pr Didier HOUSSIN Directeur g n ral de la Sant Philippe LAMOUREUX Directeur de l institut national de pr vention et d ducation pour la sant INPES Dr Catherine BISMUTH M decin conseil national adjointe de la Caisse nationale d assurance maladie des travailleurs salari s CNAMTS Pr Jacques BRINGER Pr sident du Comit de Suivi de Pr vention et de Prise en charge du Diab te Facult de M decine Universit Montpellier Chef de service des Maladies Endocriniennes H pital Lapeyronie CHU de Montpellier Jean MEREL Pr sident de l association fran aise des diab tiques AFD Cr e en 1938 et reconnue d utilit publique en 1976 l AFD est une association de patients dirig e par des patients Elle uvre au quotidien pour am liorer la qualit de vie des personnes atteintes du diab te Informer r unir accompagner et d fendre les personnes diab tiques constituent les missions originelles de AFD Ces missions s largissent aux proches des patien
20. cations La gravit du diab te provient essentiellement des complications long terme qui sont sources de handicaps d incapacit s et d une alt ration de la qualit de vie Les complications du diab te sont de deux types microvasculaires et macrovasculaires Le diab te de type 2 pouvant rester longtemps ignor il n est pas rare que le diagnostic du diab te soit fait devant l une de ces complications Dossier de presse Pr vention des complications du diab te 6 juillet 2005 6 32 Complications micro vasculaires Ce sont les plus sp cifiques Elles touchent la r tine le rein et les nerfs p riph riques Le d lai d apparition des complications microvasculaires est d environ 5 ans apr s l installation du diab te R tinopathie L volution de la r tinopathie peut aller jusqu entra ner la c cit et le diab te est consid r comme la premi re cause de c cit chez les sujets de moins de 50 ans dans les pays occidentaux N phropathie La n phropathie d butante touche environ 30 des diab tiques en France et la n phropathie volu e insuffisance r nale av r e atteint 3 des diab tiques La n phropathie diab tique peut conduire l insuffisance r nale chronique dite terminale qui impose une solution de suppl ance dialyse r nale voire greffe r nale grevant lourdement non seulement la qualit de vie mais aussi le pronostic vital la survie moyenne d un diab tique de type 2 entrant en dia
21. chevauchement d orteil pied de Charcot Tableau de gradation du risque de l sion Pas de neuropathie Examen annuel des pieds Examen des pieds et des chaussures Neuropathie sensitive isol e chaque consultation par le m decin traitant Grade 1 d finie par la perte de sensation au monofilament de 10 g Education du patient et conseils d hygi ne Mesures pour le grade 1 avec en plus Bilan par un podologue puis soins de podologie tous les 2 mois En pr sence de callosit s ou troubles statiques prescription de semelles orthop diques orth ses r alis es sur mesure par un podologue _ Si n cessaire prescription de chaussures pour pieds sensibles ou de chaussures th rapeutiques de s rie Ant c dent d amputation ou Mesures pour les grades 1 et 2 avec en plus Grade 3 d ulc ration d un pied r f rence pour bilan annuel une quipe sp cialis e Neuropathie associ e une Grade 2 d formation du pied et ou une art rite Ces moyens ont t valid s pour r duire le risque de l sion des pieds Si une l sion survient le patient doit tre imm diatement adress une consultation du pied diab tique ou un diab tologue pour valuation d cision sur l opportunit d une hospitalisation et organisation du traitement Saillie de la t te du 5 m tatarsien D formation de l ensemble du pied par neuropathie osseuse avec une phase initiale doul
22. e pilote soutenue par le FAQSV Fond d Aide la Qualit des Soins de Vie et par le Conseil R gional du Nord Pas de Calais mise en place gr ce au partenariat avec le Centre Hospitalier Germon amp Gauthier de B thune Beuvry Trois campagnes itin rantes depuis 2002 Premi re campagne de d pistage cibl e exclusivement sur la population diab tique n ayant pas b n fici d un examen du fond d il depuis deux ans r alis e du 18 avril 2002 au 20 f vrier 2003 Deuxi me campagne plus large ciblant une population haut risque cardio vasculaire r alis e du 1 d cembre 2003 au 30 novembre 2004 Actuellement troisi me campagne d but e le 1 mars 2005 cibl e sur une population haut risque cardio vasculaire et pour les personnes diab tiques cibl e sur la population haut risque de d velopper une complication li e la maladie diab tique Objectifs de la campagne R aliser une campagne de sensibilisation via les m dias et aupr s de la population diab tique sur les risques li s la maladie diab tique B R aliser une enqu te sur le niveau d information sur les complications ophtalmologiques au sein de la population diab tique C Proposer un d pistage de la r tinopathie au moyen d un r tinographe sans dilatation pr alable de la pupille toute personne diab tique n ayant pas r alis de contr le ophtalmologique depuis deux ans et analyser les raisons d absence de
23. e biais de l Association Pr vention Vasculaire Artois La principale motivation d clar e par les participants cette campagne est avant tout un int r t pour leur sant 90 dans un lieu proche de leur domicile 23 dans le contexte d un d pistage gratuit 16 ou un lieu connu 10 Des r unions d information sur le th me il et diab te je peux viter les complications du diab te ont t mises en place Elles ont regroup 155 personnes Projet r gional Mutualisation en 2005 et extension du projet aux trois autres r seaux en R gion Nord Pas de Calais R diab C ur en sant Diabhainaut dans le cadre d une action r gionale d am lioration de l acc s pour les personnes diab tiques au d pistage de la r tinopathie diab tique avec l aide du Professeur LABALETTE Centre Hospitalier R gional Universitaire de Lille En conclusion Dans une optique de sant publique la campagne itin rante de d pistage nous a surtout permis de r aliser une r elle campagne de sensibilisation aupr s de la population diab tique et de la communaut m dicale et param dicale de notre secteur sanitaire Dossier de presse Pr vention des complications du diab te 6 juillet 2005 20 32 d aller vers une population souvent g e pr caire sur son lieu de vie et de lui proposer une information et un d pistage sans dilatation pupillaire au pr alable de r cup rer une proportion significative d
24. e la population diab tique qui chappait au d pistage de la r tinopathie aucun fond d il ou absence de fond d il depuis plus de deux ans pour 46 des participants lors de la premi re campagne de 36 pour la deuxi me campagne d op rer un tri des patients n cessitant une prise en charge rapide d obtenir aupr s des m decins par le biais du r seau des rendez vous rapides justifi s par les anomalies mises en vidence d avoir l analyse m dico conomique r alis e par un organisme ext rieur le CRESGE de Lille qui montre un co t et une efficacit favorables pour ce type de campagne Ophtalmologistes du secteur participant cette exp rience Docteur Patrick STICHELBOUT Docteur Annie ALBINET Docteur Pascal BONNEL Docteur Philippe COINT Docteur Roland DELFORGE Docteur Xavier LOURME Docteur Fr d ric PEUGNET Docteur Ginette ROBBE Docteur V ronique TURQUET LEGRAS Docteur Roger TILLOY Contact Association Pr vention Vasculaire Artois T l 03 21 68 80 80 Fax 03 21 68 11 93 Email prevart uni medecine fr PREVART R seau Ville H pital Association Loi 1901 cr e le 31 12 1999 Domaine d action Pr vention du risque cardiovasculaire Dossier de presse Pr vention des complications du diab te 6 juillet 2005 21 32 Annexe 4 Projet UPML Bourgogne d pistage r tinopathie diab tique Unions M decinsL ib raux Bourgogne Bilan de la pre
25. elle Jennifer ROUGE Dr Paul DARSY Dossier de presse Pr vention des complications du diab te 6 juillet 2005 29 32 Annexe 7 Communiqu de presse Inpes C d rom Ed DiaS Diab te de type 2 Un guide pour l ducation du patient E Elle r du i Jia nn a ELLE FEAA et d Education pour la Sant anpes hirisan ce La Sanh pi des Soir e COMMUNIQUE DE PRESSE LE 21 JUIN 2005 Diab te de type 2 Un guide pour l ducation du patient Le Minist re de la sant et des solidarit s et l Institut national de pr vention et d ducation pour la sant Inpes annoncent la sortie de EdDiaS un c d rom destin aux professionnels de sant qui souhaitent mettre en uvre des activit s d ducation du patient diab tique de type 2 Le diab te une priorit de sant publique Le diab te est une maladie chronique qui concerne plus de 2 millions de personnes en France Le diab te de type 2 est une maladie li e une fluctuation du taux de sucre dans le sang cons cutive une difficult d action de l insuline Il est le plus souvent non insulino trait Il concerne environ 90 des patients diab tiques et touche principalement des personnes g es de la cinquantaine en exc s pond ral La pr valence du diab te trait a augment de 3 2 par an entre 1998 et 2000 et cette progression continue raison de plus de 3 par an La prise en charge th rapeutique et ducative du patient diab ti
26. en charge ophtalmologique adapt e et rapide Avant de d buter la campagne nous avions propos l ensemble des m decins ophtalmologistes de signer une charte d engagement pour qu ils prennent en charge dans un d lai de 1 mois les patients ayant une anomalie oculaire 70 ont sign cette charte II nous semblait n cessaire d effectuer un d pistage mais galement qu une prise en charge rapide soit propos e aux patients ayant des anomalies Un num ro Azur 0810 811 155 a t mis en service 24h 24h afin d informer les patients diab tiques des dates et lieux de d pistage La F d ration des Associations de Diab tiques de Bourgogne a r pondu toutes les questions de 8h30 12h00 du lundi au samedi ce m me num ro Apr s une campagne d information aupr s des professionnels de sant locaux m decins pharmaciens infirmiers et assurance maladie une campagne d information m diatique a t r alis e Dossier de presse Pr vention des complications du diab te 6 juillet 2005 22 32 39 sites ruraux ont t visit s pendant une journ e proposant aux patients un examen de d pistage de la r tinopathie diab tique L examen a eu lieu dans des locaux pr t s gracieusement par les collectivit s La premi re ann e de d pistage s est d roul e sur la p riode de juillet 2004 juillet 2005 Sur les 39 sites ont t visit s 676 patients diab tiques ont subi un examen du fond d il par r tinographe non mydr
27. ence et la gravit des complications du diab te et notamment les complications cardiovasculaires Le plan national de lutte pour am liorer la qualit de vie des personnes atteintes de maladies chroniques inscrit dans la loi de sant publique concernera aussi les patients diab tiques leur entourage et les soignants travers diff rentes actions telles que la coordination de la prise en charge la formation des professionnels le soutien des patients et de l entourage Dans ce cadre deux actions nationales sont actuellement organis es par le Minist re de la Sant et des Solidarit s pour pr venir les complications du diab te d pistage de la r tinopathie diab tique as cause de c cit chez les moins de 55 ans cf fiche D pistage de la r tinopathie diab tique d pistage des complications du pied diab tique 1 cause d amputation non traumatique cf fiche Pr vention du risque podologique Par ailleurs le minist re soutient galement dans le cadre du plan national diab te les associations de malades telle que l association fran aise des diab tiques qu elle subventionne pour l information des malades et du grand public sur les risques li s au diab te ob sit r tinopathie pied diab tique les r seaux diab te 70 actuellement les maisons du diab te une quinzaine qui participent la prise en charge coordonn e des patients une tude de cohorte ENTRED charg de suivre l volu
28. et d associations de malades partir des recommandations internationales et de celles de la haute autorit en sant HAS Ce protocole comporte un examen initial et 5 s ances de soins adapt s aux risques des patients ayant des l sions de grades 2 et 3 selon la classification internationale Il a t transmis l ensemble des r seaux de sant diab te L tude ENTRED mise en place dans le cadre du programme national d actions de pr vention et de prise en charge du diab te de type 2 sur un chantillon de 10 000 personnes diab tiques tir es au sort parmi toutes les personnes adultes inscrites au r gime g n ral des travailleurs salari s de la s curit sociale et qui ont t rembours es d une prescription de m dicaments anti diab tiques oraux ou d insuline par leur Caisse primaire d assurance maladie des travailleurs salari s durant les trois derniers mois de l ann e 2001 a montr qu il est important d am liorer la prise en charge di t tique et psychologique et la pr vention des nombreuses complications du diab te Une telle prise en charge n cessite l implication troite des professionnels param dicaux aupr s des m decins et des patients ce que r clament les m decins Actions en cours La loi du 9 ao t 2004 relative la politique de sant publique a inscrit le diab te comme prioritaire les 2 objectifs fix s par cette loi s inscrivent dans la continuit du programme diab te assurer une surveilla
29. et sensibiliser les patients diab tiques aux diff rentes complications possibles Le rapport complet d valuation sera disponible dans le courant du mois de septembre 2005 Pour obtenir des informations compl mentaires vous pouvez contacter Union Professionnelle M decins Lib raux de Bourgogne 170 avenue Jean Jaur s 21000 DIJON T l 03 80 58 84 88 Dossier de presse Pr vention des complications du diab te 6 juillet 2005 25 32 Annexe 5 M thode de d pistage et de gradation du risque de l sion du pied diab tique 1 Le patient a t il un ant c dent d ulc ration chronique du pied ayant dur plus de 3 mois ou d amputation 2 A Pil une perte de la sensibilit La perte de sensibilit est d finie par une mauvaise perception du monofilament de 10 g Semmes Weinstein 5 07 Le monofilament doit tre appliqu 3 sites de la face plantaire chacun des deux pieds sur la pulpe du gros orteil et en regard de la t te des 1 et 5 m tatarsiens cf figure ci dessous Lorsqu il est appliqu correctement cf encadr il exerce une pression de 10 g sur la peau L application doit tre r p t e 3 fois sur le m me site sans ordre d termin Deux fausses r ponses sur trois un m me site signent l existence d une neuropathie et d un risque d ulc ration Mode d emploi du monofilament de 10g Appliquez le monofilament perpendiculairement la surface peau avec suffisamment de force pour le courber
30. hose Pour 6 le sentiment que c est inutile Pour 2 la distance Ainsi en l absence d organisation mise en place par PREVART le nombre de personnes qui vont b n ficier d une consultation avec un ophtalmologue apr s le d pistage reste faible Le d pistage permet donc de r aliser un tri des patients qui vont n cessiter une prise en charge ophtalmologique dans un d lai fix par le niveau d atteinte suppos e La deuxi me campagne a touch 311 nouvelles personnes diab tiques qui n avaient pas b n fici de fond d il depuis deux ans Le patient ainsi que son m decin g n raliste sont incit s maintenir le meilleur quilibre glyc mique possible et le meilleur contr le des chiffres tensionnels afin d viter l apparition d une l sion ophtalmologique ou de la stabiliser si celle ci est pr sente Les donn es issues de l enqu te r alis e par l Assurance Maladie de la R gion Nord Pas de Calais URCAM ont montr que la prise en charge des personnes diab tiques sur notre secteur sanitaire avait progress depuis 5 ans avec un impact vraisemblable du d pistage itin rant sur les pratiques des professionnels de sant et la sensibilisation des patients Les moyens d information concernant la campagne de d pistage sont essentiellement les m dias les campagnes d affichage r alis es par l association les professionnels de sant notamment les m decins et les param dicaux mais galement par l
31. iatique En voici les principaux r sultats D baler cit Patients Clich s non Anomalies de R tinopathie Autres anomalies p Sains interpr tables Tension Oculaire diab tique oculaires NIEVRE 62 9 12 2 4 7 15 5 4 7 COTE D OR 11 6 5 7 8 0 10 2 4 5 SAONE ET LOIRE 74 1 9 9 6 5 6 8 2 1 YONNE 80 4 12 5 3 6 2 1 0 9 TOTAL 11 3 10 5 5 6 9 3 3 3 Patients ayant une anomalie oculaire 18 2 soit 123 patients Sur l ensemble des patients d pist s 9 3 des patients ont une r tinopathie diab tique Selon les d partements la proportion de patients ayant une r tinopathie diab tique est variable de 2 7 15 5 Part des anomalies d tect es 25 YONNE 2 7 7 2 COTE D OR Un de cas de r tinopathie detect s H de cas d anomalie oculaire detect s 112 patients panpan mm nombre de patients wus C 10 2 22 7 O 45 3413 C 213 263 88 patients NIEVRE 1 patient sur 5 SAONE ET LOIRE a une anomalie oculaire Au vu de ces r sultats l Union Professionnelle des M decins Lib raux de Bourgogne souhaite poursuivre cette campagne de d pistage durant les deux prochaines ann es venir Cette campagne a eu le m rite de mobiliser l ensemble des acteurs de sant les institutions de sant r gionales les associations de patients Tous ont agi ensemble pour am liorer le d pistage de la r tinopathie diab tique sa prise en charge
32. ion de la Journ e Mondiale du Diab te le 14 novembre elle organise de nombreuses manifestations et salons du diab te qui tous confondus ont accueilli plus de 50 000 visiteurs en 2004 Information et Accompagnement L AFD offre des services et des supports d information qui sont destin s au grand public diab tique ou non ainsi qu aux professionnels de sant Le centre d appels All Diab te 01 40 09 68 09 est un service d coute d aide et d information t l phonique Il fournit gratuitement des r ponses sur la maladie et ses complications la qualit de vie du patient les traitements la di t tique et l activit physique Equilibre revue bimestrielle de AFD est tir e 35 000 exemplaires Elle propose des informations sur les traitements le bien tre la di t tique la recherche scientifique ou les manifestations sp cialis es Libraire sp cialiste du diab te l AFD propose un ventail d ouvrages sur la maladie et son traitement et des ouvrages de litt rature g n rale o le diab te s inscrit dans l histoire Par ailleurs l AFD est galement diteur d ouvrages de r cits de vie de patients de fictions de conseils pratiques et de beaux livres Le site internet www afd asso fr est une v ritable fen tre ouverte sur le diab te et l association Des s jours de loisirs autour d une activit sportive sont organis s pour les 18 35 ans D fense et Protection Se positionnant comme partenaire actif de
33. juillet 2005 18 32 D Pour chaque personne qui se pr sente l infirmier r alise un contr le du poids une d termination de l indice de masse corporelle permettant de d finir si une personne est en surpoids ou pr sente une ob sit le calcul du tour de taille E Si la personne a un diab te connu ou si un diab te est suspect il est propos un d pistage selon un code bien pr cis O P Q R O pour le d pistage des complications Ophtalmologiques avec r alisation de trois clich s du fond d il sans dilatation de la pupille au pr alable sur un r tinographe non mydiatique de marque Haag Streit CR6 45NMF Fluo avec une optique Canon Le d pistage dure une quinzaine de minutes Les clich s sont ensuite adress s aux ophtalmologues volontaires qui vont interpr ter les clich s Les r sultats sont r cup r s par l Association adress s la personne d pist e et son m decin g n raliste avec une proc dure de suivi P examen Podologique r alis par un p dicure podologue afin de d terminer le risque podologique Q questionnaire pour valuer le retentissement du diab te sur la Qualit de vie en particulier sur les hommes enqu te sur le retentissement du diab te sur la sexualit et possibilit d une prise en charge par exemple par l interm diaire de l ADIRS Association pour le D veloppement l Information et la Recherche sur la Sexualit contact 0825 00
34. lyse est d environ 3 ans En 2001 pr s de 20 des hospitalisations des patients diab tiques correspondent un s jour en n phrologie Actuellement parmi les 7000 nouveaux patients mis en dialyse chaque ann e dans notre pays pr s de 40 sont des diab tiques Dans les DOM TOM en 1998 la proportion de diab tiques parmi les dialys s atteignait 26 presque le double du chiffre en m tropole Neuropathie Les neuropathies p riph riques sont fr quentes environ 50 des patients apr s 15 ans d volution Chez le patient diab tique le risque d amputation des membres inf rieurs est multipli par 10 15 d apr s la litt rature Complications macro vasculaires Le diab tique est soumis un risque important d ath roscl rose et de maladies cardiovasculaires Ces derni res constituent une fois sur deux la cause de d c s d un diab tique en France In galit s sociales En 1999 selon le C piDc de l INSERM la mortalit li e au diab te variait fortement selon la cat gorie sociale en France Les taux de d c s par diab te en cause initiale sont nettement plus lev s pour les ouvriers employ s que pour les cadres sup rieurs professions lib rales respectivement 1 8 et 0 6 pour 100 000 In galit s g ographiques Les donn es sur les d partements et territoires d Outre Mer indiquent une pr valence du diab te dans les DOM TOM proche du double de celle de la m tropole avec essen
35. mi re campagne de d pistage itin rant de la r tinopathie diab tique en Bourgogne Diab tiques L Union Professionnelle des M decins Lib raux s n P de Bourgogne a r alis pour la premi re fois en ce d pistage gratuit France une campagne de d pistage itin rant de la t r tinopathie diab tique Ce projet a t organis en ALT V WUS collaboration avec le Centre Hospitalier Universitaire peu j ous de Dijon et la F d ration des Associations de sauver la vue D Diab tiques en Bourgogne L ensemble des acteurs de sant m decins pharmaciens infirmi res est partie prenante de cette campagne qui a re u un financement du Fonds d Aide la Qualit des Soins de Ville URCAM La Haute Autorit de Sant recommande au moins une consultation ophtalmologique par an pour tous les diab tiques La situation en Bourgogne est particuli rement inqui tante Uniquement 38 des patients diab tiques ont une consultation ophtalmologique annuelle Les cantons dominante rurale ont t retenus Tous les patients diab tiques qui n ont pas de suivi ophtalmologique r gulier ont t invit s se pr senter lors de cette journ e de d pistage proche de chez eux Un examen gratuit et indolore leur a t propos Des photographies de leur fond d il ont t r alis es puis tudi es par des ophtalmologistes hospitaliers et ou lib raux En cas d anomalie oculaire il leur a t propos une prise
36. nce conforme aux bonnes pratiques cliniques mises par l ALFEDIAM lAFSSAPS l ANAES pour 80 des diab tiques en 2008 actuellement de 16 72 selon le type d examen compl mentaire r duire la fr quence et la gravit des complications du diab te notamment les complications cardiovasculaires Cette loi comprend galement un plan strat gique pour am liorer la qualit de vie des patients ayant une maladie chronique qui concernera les personnes diab tiques Des actions exp rimentales qui visent la lutte contre les complications du diab te et qui impliquent une coop ration accrue entre les m decins et les param dicaux sont lanc es en 2005 l initiative du Minist re de la Sant et des Solidarit s Elles s int grent dans le plan diab te et correspondent aux objectifs de la loi relative la politique de sant publique Il s agit de l am lioration du d pistage annuel de la r tinopathie diab tique cf fiche D pistage de la r tinopathie diab tique _l am lioration du d pistage de la prise en charge et la pr vention des complications podologiques li es au diab te cf fiche Pr vention du risque podologique L am lioration du suivi conforme aux recommandations de bonnes pratiques pour 80 des diab tiques cf Annexe 1 Recommandations ANAES Dossier de presse Pr vention des complications du diab te 6 juillet 2005 9 32 D pistage de la r tinopathie diab tique La r tinopathie
37. ns des m decins ou des patients b n ficie d un d pistage annuel des l sions des pieds conform ment aux recommandations de bonnes pratiques cliniques La pr vention des complications du diab te fait partie des objectifs de la Loi du 9 ao t 2004 relative la politique de Sant Publique qui sont assurer une surveillance conforme aux bonnes pratiques cliniques mises par l Association de langue fran aise pour l tude du diab te et des maladies m taboliques ALFEDIAM l Agence fran aise de s curit sanitaire des aliments et des produits de sant AFSSAPS la Haute autorit en sant ex ANAES pour 80 des diab tiques en 2008 bilan annuel comprenant notamment une examen des pieds avec test du monofilament un examen bucco dentaire et plusieurs examens compl mentaires lectrocardiogramme bilan lipidique cr atinin mie prot inurie r duire la fr quence et la gravit des complications du diab te notamment les complications cardiovasculaires plan national pour am liorer la qualit de vie des patients ayant une maladie chronique Diverses tudes men es l tranger ont mis en vidence les b n fices m dico conomiques des programmes de pr vention des ulc rations du pied Une conf rence internationale de consensus sur le pied diab tique a labor des recommandations concernant la pr vention et la prise en charge des l sions des pieds chez les diab tiques en 1999 Afin de pr venir les l
38. on 06000 NICE Tel 04 93 82 91 52 monique olocco porterat wanadoo fr Dr Monique OLOCCO PORTERAT R seau REVADIAB R sidence l Elys e rue Dunan 83400 HYERES revadiab wanadoo fr Dr Emmanuelle COLINEAU R seau Diab te de Port de Bouc Le Respelido Entr e B Rue Ch N delec 13110 Port de Bouc Tel 04 42 06 27 04 Monsieur Jean denis BROCH Pays de Loire 4 R seau Diab te 49 Association Diab te 49 avenue Winston Churchill BP 20622 49006 ANGERS Cedex 01 Tel 02 41 68 91 26 02 41 68 91 22 filiere diabete cpam angers cnamits fr Madame Evelyne DELANOE R seau Diab te 72 14 rue d Isaac Porte n 12 72016 LE MANS CEDEX Tel Fax 02 43 74 10 68 diabete 2 wanadoo fr Dr Reyes FOLLOS MICHEL Madame Marie Pierre HOUASLET R seau Diab te Sant 53 medecineinterne chlaval fr Dr Christian MEYER R seau Diab te 44 en formation Dr Lucy CHAILLOUS lucy chaillous chu nantes fr Dossier de presse Pr vention des complications du diab te 6 juillet 2005 28 32 Picardie 5 R seau Conseil du Diab te du Sud de l Oise 2 rue de la Chapelle 60560 ORRY LA VILLE blaise virgiti wanadoo fr Dr Jean Blaise VIRGITTI R seau RESOLADI 190 rue du Dr Menu 02000 LAON lucette vignon ch laon fr Madame Lucette VIGNON Association PARADISO R sidence Saint Jean 5 bis rue de Panleu 02200 SOISSONS Fax 03 23 59 18 51 Dr PIERRET ATANASIU ADIAMMO Association Diab te et Maladies M taboliques de l Omois
39. orinne LEFAUCHEUR VATIN R seau DIAMIP CHU Rangueil Service de diab tologie 1 avenue Jean Poulh s TSA 50032 31059 TOULOUSE Cedex 9 Tel 05 61 32 33 65 contact diamip com Dr Marie Christine CHAUCHARD Nord Pas de Calais 6 R seau Diab te ob sit M tropole Lilloise 124 rue Raymond Derain 59700 MARCQ EN BAROEUIL Tel 03 20 72 58 56 res diab obesite wanadoo fr Monsieur Jean claude DROUARD R seau DiabHAINAUT 78 rue Jean Jaur s 59410 ANZIN Tel 03 27 31 01 98 diabhainaut wanadoo fr Dr Anne QUIQUEMPOIS madame Catherine KLUR P le Sant du Douaisis 52 place du Barlet 59500 DOUAI Tel 03 27 91 71 98 pole sante nordnet fr Dr R gis BRESSON R seau PREVART Centre Jean Monnet entr e 4E 8 avenue de Paris 62400 BETHUNE Tel 03 71 68 80 80 prevart uni medecine fr Madame Ludiwine CLEMENT Dr Christine LEMAIRE R seau REDIAB Cote d Opale 3 place Navarin 62200 BOULOGNE SUR MER Tel 03 21 91 28 73 rediab ch boulogne mer fr rediab wanadoo fr Dr Vincent COLICHE R seau d Arras en projet nathalie buys orange fr Madame Nathalie BUYS PACA 5 R seau DIABAIX Avenue des Tamaris 13616 AIX EN PROVENCE Cedex 1 Tel 04 42 33 56 50 diabaix ch aix fr Dr C line ORHOND R seau Marseille Diab te 215 Avenue du Prado 13008 MARSEILLE Tel 06 63 66 26 56 association marseille diabete wanadoo fr Dr Marie Fran oise LAMOTTE madame Dominique DONETTI R seau RESDIAB 06 1 place Philippe Rand
40. oureuse puis une d formation en valgus exposant aux blessures Dossier de presse Pr vention des complications du diab te 6 juillet 2005 25 32 Annexe 6 ANCRED R seaux de sant diab te recens s au 1er juin 2005 ANCRED Association Nationale de Coordination des R seaux de soins aux Diab tiques C o Dr M Varroud Vial 18 avenue de la v nerie 91230 MONTGERON Tel 06 60 89 13 60 Email m varroud vial wanadoo fr 69 r seaux diab te sont actuellement en place dans presque toutes les r gions fran aises Leur fonctionnement est r gi par les d crets de 2002 sur les r seaux de sant et ils sont financ s par la Dotation nationale de d veloppement des r seaux lls rassemblent professionnels de sant m decins g n ralistes sp cialistes lib raux ou hospitaliers di t ticiens infirmiers podologues et pharmaciens et usagers autour de protocoles de soins communs et d initiatives pour une meilleure organisation des soins Coordonn s au niveau national par l Association nationale de coordination des r seaux diab te Ancred ces r seaux ont adopt en mars 2004 un programme minimum commun pour d velopper leurs activit s autour de 3 axes l am lioration de la qualit du suivi formalis e par un forfait de bilan annuel r alis chaque ann e par le m decin traitant pour toute personne atteinte de diab te le d veloppement de l ducation th rapeutique de proximit en m decine de ville en groupe
41. pathie diab tique est une pratique tr s r pandue Cette technique valid e par de nombreuses quipes trang res permet de remplacer l examen du fond par une simple photographie de la r tine sans dilatation pupillaire pr alable Les clich s ainsi obtenus permettent une meilleure qualit de lecture et donc un meilleur d pistage sans contrainte pour le patient De plus en une demi journ e un ophtalmologiste peut d pister 4 fois plus de patients que lors de l examen par FO classique Trois quipes m dicales exp rimentent cette technique le r seau OPHDIAT en lle De France cf Annexe 2 le r seau PREVART dans le Nord Pas De Calais cf Annexe 3 l Union professionnelle des m decins lib raux de Bourgogne UPML cf Annexe 4 Ces exp rimentations reposent sur une collaboration troite entre les orthoptistes les ophtalmologistes les m decins g n ralistes et les endocrinologues autour du patient Le patient b n ficie d un examen par r tinographe r alis par un orthoptiste apr s avoir pris rendez vous ou spontan ment s il s agit d un dispositif itin rant Ces photos sont transmises un centre de lecture dans lequel des ophtalmologistes form s et exp riment s interpr tent les photos et r digent un compte rendu Ce compte rendu est adress au patient et son m decin g n raliste ou endocrinologue En cas de l sions le patient est adress en priorit un ophtalmologiste pour traitement selon un d
42. plut t destin des professionnels ayant d j une exp rience de travail multidisciplinaire en ducation du patient ou qui ont d j t form s celle ci Con u comme une bo te outils ce guide d aide l action est organis en trois grands chapitres pour Pr parer le projet mettre en uvre le projet et son valuation Mettre en uvre des s ances ducatives Acc der aux ressources Il a t con u par un groupe de travail associant des professionnels de l ducation pour la sant des m decins g n ralistes des diab tologues des psychologues infirmi res et di t ticiennes Ce C d rom s appuie galement sur les programmes ducatifs d velopp s par 8 institutions l association des structures d aide la vie et l ducation des diab tiques de Dole le service de diab tologie de l h pital de Dole la Maison du diab te et du risque cardiovasculaire de Marcq en Bar ul le R seau Diab te Resdiab 06 de Nice le Centre d ducation pour le traitement du diab te et des maladies de la nutrition de Roubaix le service de diab tologie du CHU de la Piti Salp tri re de Paris la Structure d aide l ducation des diab tiques de Saint Denis de la R union l Association fran aise des diab tiques Dossier de presse Pr vention des complications du diab te 6 juillet 2005 30 32 Comment se procurer le C d rom Je ap Ce c d rom MAC PC s obtient gratuitement sur commande a
43. que de type 2 est reconnue comme une priorit de sant publique en France comme le soulignent le rapport du Haut comit de la sant publique et la Conf rence nationale de sant de 1998 les programmes de sant publique diab te men s par la CNAMTS en 1998 et 2000 la mise en place du Programme d actions de pr vention et de prise en charge du diab te de type 2 2002 2005 et maintenant la loi relative la politique de sant publique Un outil fruit de nombreuses comp tences Le d veloppement de l ducation du patient diab tique de type 2 en secteur lib ral mais aussi l h pital dans le cadre notamment des r seaux de soins et dans les associations s accompagne des d marches p dagogiques sp cifiques et de l utilisation de nombreux supports L Inpes a souhait capitaliser les comp tences et les productions des quipes S appuyant sur une enqu te qui porte sur plusieurs programmes ducatifs dans huit institutions diff rentes l Inpes met disposition des quipes de professionnels qui souhaitent s engager dans un projet d ducation des l ments de r flexion et d information sur les pratiques ducatives Ce c d rom s est volontairement centr sur l organisation du projet et son valuation ainsi que sur les aspects psychop dagogiques de l ducation du patient Les utilisateurs n y trouveront pas d informations concernant les aspects biom dicaux de la prise en charge des personnes diab tiques de type 2 Il est
44. rage la constitution de groupes de travail pour une mission de 4 ans ventuellement renouvelable Une d finition des objectifs dans le cadre d une charte et son approbation par le Conseil d Administration sont n cessaires la cr ation de ces groupes de travail Dossier de presse Pr vention des complications du diab te 6 juillet 2005 3 32 Introduction Avec un peu plus de 2 millions de personnes diab tiques et une pr valence types 1 et 2 voisine de 3 5 la France est dans la moyenne europ enne en terme de pr valence mais la situation des DOM TOM est plus pr occupante cf fiche Epid miologie du diab te La fr quence du diab te continue de cro tre du fait notamment de l augmentation du vieillissement de la population et des conditions de vie alimentation ob sit Le diab te est assez fr quemment une cause de mortalit associ e surtout pour les maladies cardiovasculaires La gravit des pathologies associ es tient surtout ses complications long terme sources de handicaps d incapacit s et d une alt ration de la qualit de vie Ces complications pourraient tre en grande partie vit es Cette conf rence de presse a pour objet de pr senter les documents d information et de sensibilisation r alis s par la Direction G n rale de la Sant en lien avec l Association fran aise des diab tique AFD et l Institut national de pr vention et d ducation pour la sant INPES destination des
45. risque de diab te et aupr s des sujets de plus de 45 ans en situation de pr carit avec ou sans autre facteur de risque associ tous les 3 ans Ce d pistage doit tre r alis par un test de la glyc mie jeun r alis en laboratoire Des actions locales et ponctuelles de d pistage sont r alis es par les associations de patients avec la participation de certaines collectivit s territoriales et par certaines unions r gionales de caisses d assurance maladie URCAM Un nouvel acte infirmier relatif une s ance hebdomadaire de surveillance clinique et de pr vention pour les patients diab tiques de plus de 75 ans insulino trait s a t cr par arr t du 18 f vrier 2003 une campagne d information aupr s des m decins et des infirmi res a t r alis e pour faire conna tre cette nouvelle possibilit de suivi ambulatoire Le suivi biologique du contr le glyc mique du diab tique repose sur la r alisation r guli re tous les 3 4 mois du dosage de l h moglobine glyqu e A1c Cet examen n tait pas standardis ce qui entra nait une Dossier de presse Pr vention des complications du diab te 6 juillet 2005 8 32 variabilit des r sultats suivant les techniques utilis es L AFSSAPS a r alis l valuation des 36 r actifs de dosage de l HbA c et leur standardisation pour s assurer de leurs performances La liste des 21 r actifs recommand s par l AFSSAPS est disponible sur le site de l agence depui
46. ristine richard ch vichy fr Madame Christine RICHARD Dr Didier AGUILERA Dr Sylvie WAHL Dr B atrice ROCHE Bourgogne 2 R seau Pr R Diab Service de diab tologue 26 rue d Harfleur 71200 LE CREUSOT Tel 03 85 77 74 79 prerediab hoteldieu creusot fr Madame Agn s DESSERPRIX Dr Sylvaine CLAVEL R seau RESIAD M decine l Centre Hospitalier 2 boulevard de Verdun 89011 AUXERRE Cedex Tel 03 86 48 45 50 medecine1 ch auxerre fr Dr V QUIPOURT Dr Thierry GABREAU Bretagne 5 R seau Diab te 35 4B rue du Bignon 35000 RENNES Tel 02 23 35 49 81 reseau diabete35 wanadoo fr Madame Fran oise ANNEZO Dr Denis PINSARD R seau CODIAB 8 impasse Verlaine 56700 HENNEBONT Tel 02 97 36 46 51 codiab wanadoo fr Dr Lionel BARJONET Dr S SCHNEEBELI Dr Yannick SERREAU R seau DIABIROISE Espace Grand Large Quai de la Douane 29200 BREST Tel 02 98 46 49 58 ou 06 21 59 33 62 Fax 02 98 46 48 23 diabiroise wanadoo fr Dr Pascal MONGUILLON Madame C line SONNET Dossier de presse Pr vention des complications du diab te 6 juillet 2005 26 32 R seau KERDIAB H tel Dieu 29120 Pont l Abb Tel 02 98 82 40 20 christophe ogor hd pontlabbe fr Dr Christophe OGOR R seau Diab te en Tr gor Chemin des Sorbiers 22450 LA ROCHE DERRIEN T l 02 96 91 57 88 06 74 45 97 71 Dr Jean Pierre SIMON Dr Yves DROUMAGUET Madame Nicole LE MENER diabetentregor wanadoo fr Centre 9 R seau CEIDIAB 28 60 av du M
47. s affections de longue dur e ALD Le montant des consommations m dicales rembours es au titre du r gime g n ral de l assurance maladie aux personnes diab tiques tait de 4 9 milliards d Euros en 1998 et de 5 7 milliards d Euros en 2000 soit une progression annuelle de 8 7 source CNAMTS Les d penses attribuables au diab te taient estim es 2 milliards d Euros en 1998 et 2 5 milliards d Euros en 2000 cet accroissement de 20 en deux ans s explique pour un peu plus de la moiti par l augmentation du nombre de diab tiques trait s durant cette p riode Pour ces deux ann es les d penses d un diab tique taient 1 7 fois sup rieures celles d un sujet de la population g n rale Les d penses g n r es par le diab te se concentrent sur un nombre limit de patients selon la CNAMTS 10 des malades diab tiques engendrent 50 des d penses Mortalit Pr s de 10 000 d c s par diab te en cause initiale du d c s ont t d nombr s en France C piDc Deux d c s sur trois sont survenus apr s 75 ans La part du diab te cause initiale dans la mortalit g n rale est de pr s de 2 mais varie selon l ge Elle est maximale entre 65 et 74 ans Le diab te intervient donc surtout indirectement dans la mortalit Quel que soit le sexe les maladies cardiovasculaires sont la cause d un d c s de personne diab tique sur deux dont un sur cinq pour les cardiopathies isch miques Compli
48. s fin 2003 L ducation th rapeutique est un l ment important de la qualit du suivi des maladies chroniques L ducation th rapeutique l h pital a fait l objet d un appel d offre national commun pour le diab te les maladies cardio vasculaires et l asthme assortie d une enveloppe de 3 5 millions d euros en 2002 Dans les r seaux de sant des exp riences ont vu le jour avec des financements forfaitaires pris en charge par l assurance maladie sur ses fonds d aide la qualit des soins de ville Afin d aider les professionnels dans le domaine de l ducation th rapeutique l INPES a r alis un CD ROM d aide l ducation th rapeutique des diab tiques de type 2 pour les professionnels m dicaux et param dicaux Ce nouvel outil sera diffus en juillet 2005 Une campagne d information et de promotion du d pistage des l sions des pieds par le test au monofilament a t r alis e par un groupe de travail institu dans le cadre du programme d actions diab te dans la presse m dicale destination des m decins g n ralistes en 2002 Ce d pistage vise galement tablir le grade des l sions diagnostiqu es selon la classification internationale Un protocole de prise en charge podologique des diab tiques ayant des l sions des pieds de grades 2 et 3 selon la classification internationale a t labor par un groupe de travail compos d experts d institutionnels des repr sentants des p dicures podologues
49. s pouvoirs publics et groupes de sant AFD uvre pour maintenir et am liorer la qualit de vie des personnes diab tiques L AFD veille la bonne application des textes et des r glements pour faire diminuer les discriminations li es la maladie Le Service Social et Juridique conseille les patients les informe de leurs droits et selon les cas leur permet de b n ficier des services d un avocat sp cialis En partenariat avec le cabinet Euroditas et l assurance AGF AFD propose des contrats d assurances emprunteur et pr voyance des conditions pr f rentielles pour ses adh rents Soutien la Recherche Scientifique en diab tologie Tous les jours et actuellement pour toujours le diab te se soigne mais aujourd hui ne se gu rit pas Vivre avec plus d insouciance est le r ve de toute personne atteinte de diab te L espoir r side dans la recherche scientifique et m dicale pour la gu rison et pour l all gement des modalit s du traitement Depuis 1998 l AFD a collect 2 116 806 Euros qui ont t revers s aux chercheurs dont les programmes sont retenus par le Comit Recherche de l AFD Par leurs dons les patients diab tiques soutiennent activement leur espoir de gu rison Dossier de presse Pr vention des complications du diab te 6 juillet 2005 32 32
50. site de d pistage Un e technicien ne infirmi re ou orthoptiste r alise l examen de d pistage environ 1 4 heure et compl te les donn es m dicales et administratives Les dossiers sont t l transmis par Internet via un serveur vers le centre de lecture Le Centre de lecture Des m decins ophtalmologistes sp cialis s dans la prise en charge de la r tinopathie diab tique apr s analyse des clich s adressent un compte rendu par Internet aux diab tologues ou aux m decins g n ralistes dans les 3 jours Le compte rendu pr cise l existence d anomalies du fond d il et la n cessit d un examen ophtalmologique plus approfondi Le diab tologue se chargera alors d adresser les patients concern s vers un ophtalmologiste Dossier de presse Pr vention des complications du diab te 6 juillet 2005 15 32 Mise en place du r seau Entre 2002 et 2004 la faisabilit du projet OPHDIAT a t tudi e Le mat riel les connexions l organisation entre les diff rents sites hospitaliers et de ville ont t valu s Le r seau est s curis et la carte CPS utilis e Une proc dure de tra abilit est en place Taille d un dossier 2Mo Le compte rendu pourra tre int gr au dossier m dical patient informatis d s que celui ci sera mis en place Plusieurs valuations sont en cours Entre 2003 et 2005 12 sites se sont quip s 12 Sites de D pistage Centre de Lecture Centre de Sant R seau de ville
51. stophe LUKAS Pr Jean CARON madame Val rie SIMON Franche Comt 1 R seau GENTIANE 13 avenue Aristide Briand 39100 DOLE Tel 03 84 72 80 66 gentiane fc wanadoo fr Dr Claudine JACOB Dr Etienne MOLLET Dr Alfred PENFORNIS Haute Normandie 2 R seau diab te de l Estuaire 114 rue Jules Siegfried 76000 LE HAVRE Cedex Tel 02 35 21 52 02 assoc diabete estuaire wanadoo fr Dr Sylvie AULANIER Dr Daniel GODEFROY Dr Michel GERSON R seau MAREDIA res diabete free fr dubuisson m wanadoo fr Tel 02 35 03 21 04 et Fax 02 35 03 20 27 Dr DUBUISSON 63 rue Malatir Rouen 76000 Dr Antoine GANCEL mademoiselle ARMENIO Basse Normandie 5 R seau DIABORNE Centre Hospitalier d Alen on service de m decine 2 25 rue de Fresnay BP 354 61000 ALENCON Tel 02 33 32 31 42 reseaudiab ch alencon fr Dr LACOTE Dr SALMON Dr Fran ois CHARENTON R seau DIABVIRE Centre Hospitalier 4 rue Emile Desvaux BP 156 14504 VIRE Cedex Tel 02 31 67 46 51 aphv aphv org Dr Emmanuelle BERTHE R seau DIABCAEN 2 passage chanoine cousin 14000 CAEN Tel 02 31 23 07 57 diab caen wanadoo fr Dr JP LINARD Dr Val rie LERALU R seau Diab Ouest Orne FLERS Dr Philippe DUMONT R seau Diab te Centre Manche SAINT L Dr Yves ROCHE lle de France 8 R seau ARDSPI gerard lyon alphamedica org Dr G rard LYON Dr Gilles ERRIEAU R seau Diab te 2000 BP 73 93423 VILLEPINTE Cedex Tel 01 43 10 09 9
52. suivi D Mettre en place une confirmation diagnostique un suivi sp cifique de chacune de ces complications de fa on concert e avec les professionnels de sant E Evaluer la campagne dans le cadre d une tude prospective visant valuer l int r t et le b n fice pour les personnes d pist es l int r t en terme d organisation des soins D roulement du d pistage D pistage itin rant dans chaque commune de l arrondissement 102 communes visit es 110 journ es de d pistage 15 000 kilom tres parcourus chaque campagne Une campagne de presse lieu intervalle r gulier avec des messages de pr vention et la publication des lieux de d pistage B Une quipe d di e sp cifiquement au d pistage se d place dans chacune des communes de l arrondissement En g n ral la mairie met une salle notre disposition Le d pistage d bute 9 heures jusqu 17 heures avec en g n ral une grande affluence C L quipe se compose d une h tesse d accueil pour la gestion administrative d un p dicure podologue form sp cifiquement pour le d pistage du risque podologique et d un infirmier coordonnateur dont les taches sont nombreuses conducteur de la camionnette installateur du mat riel pour la journ e de d pistage dont le r tinographe qui p se avec sa boite de transport environ 50 kg et animateur du d pistage Dossier de presse Pr vention des complications du diab te 6
53. tiellement des diab tiques de type 2 Dossier de presse Pr vention des complications du diab te 6 juillet 2005 32 Bilan du programme diab te Le programme d actions de pr vention et de prise en charge du diab te de type 2 2002 2005 mis en place par le Minist re est articul autour de 5 axes la pr vention le d pistage la qualit et l organisation des Soins le suivi pid miologique avec notamment l tude ENTRED et l ducation th rapeutique Un comit de suivi du programme pr sid par le Pr BRINGER CHU de Montpellier regroupe les institutionnels Assurance Maladie Direction de l Hospitalisation et de l Organisation des Soins DHOS Direction de la S curit Sociale DSS Union R gionales des M decins Lib raux URML les agences nationales Institut national de Veille Sanitaire InVS Institut National de Pr vention et d Education la Sant INPES Agence Fran aise de S curit Sanitaires des Aliments et des Produits de Sant AFSSAPS la Haute autorit en sant HAS les associations de patients Association Fran aise des Diab tiques AFD l Association des Jeunes Diab tiques AJD les associations de professionnels Maisons du Diab te Association Nationale de Coordination des R seaux Diab te ANCRED Association de Langue Fran aise d Etudes du DlAb te et des Maladies m taboliques ALFEDIAM De plus des experts et des repr sentants syndica
54. tion de l tat de sant d un chantillon national repr sentatif de 10 000 diab tiques InVS Dossier de presse Pr vention des complications du diab te 6 juillet 2005 5 32 Epid miologie du diab te Pr valence et incidence On compte un peu plus de 2 millions de personnes diab tiques en France dont 90 de diab te de type 2 dont la pr valence est proche de 3 dans la population fran aise Environ 90 des diab tiques diagnostiqu s sont trait s par des m dicaments Il existe galement une population de personnes diab tiques de type 2 non diagnostiqu es L estimation de leur nombre varie entre 200 000 et 500 000 Evolution Selon les pr visions tablies par l OMS la pr valence du diab te devrait augmenter de 35 entre 1995 et 2025 sur l ensemble de la plan te En France des informations de nature vari e INSEE CNAMTS AFSSAPS convergent pour estimer que le diab te de type 2 est en expansion et ce alors qu on observe une augmentation r cente du nombre d ob ses y compris chez les enfants qui constituent la principale population risque pour cette maladie Place de la France par rapport aux autres pays europ ens Pour le type 2 elle se situe dans la moyenne europ enne mais les comparaisons restent d licates du fait de l h t rog n it des m thodes de mesure employ es _ Co ts En 2004 le diab te se situe la deuxi me place des motifs d exon ration du ticket mod rateur au titre de
55. ts et s ouvrent au public travers notamment des actions d information de pr vention et d ducation Dr Michel VARROUD VIAL Diab tologue Pr sident de l Association nationale de coordination des r seaux diab te ANCRED 69 r seaux diab te sont actuellement en place dans presque toutes les r gions fran aises Leur fonctionnement est r gi par les d crets de 2002 sur les r seaux de sant et ils sont financ s par la Dotation nationale de d veloppement des r seaux lls rassemblent professionnels de sant m decins g n ralistes sp cialistes lib raux ou hospitaliers di t ticiens infirmiers podologues et pharmaciens et usagers autour de protocoles de soins communs et d initiatives pour une meilleure organisation des soins Pr G rard SLAMA Pr sident de l association de langue fran aise pour l tude du diab te et des maladies m taboliques ALFEDIAM Professeur d Endocrinologie Diab te Maladies M taboliques l Universit Paris V Chef du Service de Diab tologie de l H tel Dieu de Paris Les activit s de l ALFEDIAM r f rent scientifique en diab tologie et maladies m taboliques visent promouvoir la recherche et la connaissance gr ce un Congr s Annuel une Journ e Th matique annuelle l attribution de Bourses de Recherche et toutes autres activit s d cid es par le Conseil d Administration ou le Conseil Scientifique Afin de d velopper des aspects particuliers du diab te l ALFEDIAM encou
56. upr s de l Inpes Ti i T l 01 49 33 23 71 fax 01 49 33 22 91 Email edif inpes sante fr CONTACTS PRESSE INPES Sophie Decroix 01 49 33 23 06 sophie decroix inpes sante fr DGS Laurence Danand 01 40 56 52 62 laurence danand sante gouv fr Dossier de presse Pr vention des complications du diab te 6 juillet 2005 31 32 Annexe 8 Pr sentation de l Association Fran aise des Diab tiques AFD A ssociation F n aise des DD iab tiques Cr e en 1938 et reconnue d utilit publique en 1976 l AFD est une association de patients dirig e par des patients Elle uvre au quotidien pour am liorer la qualit de vie des personnes atteintes du diab te Informer r unir accompagner et d fendre les personnes diab tiques constituent les missions originelles de AFD Ces missions s largissent aux proches des patients et s ouvrent au public travers notamment des actions d information de pr vention et d ducation Force de proposition pour l galit et la qualit des soins pour tous les patients l AFD consid re le patient comme un acteur de sa maladie qui en tant qu expert profane est capable de t moigner d informer de former et d couter d autres patients Devenue une f d ration en 1993 l AFD regroupe aujourd hui 133 associations r parties sur tout le territoire fran ais et compte 130 000 membres L AFD est galement co fondatrice de l International Diabetes Federation IDF A l occas
57. ux des professionnels concern s ophtalmologistes orthoptistes podologues m decins lib raux sont galement sollicit s sur certaines th matiques Actions r alis es La pr vention du diab te fait l objet de la politique nutritionnelle men e dans le cadre du programme national nutrition et sant P N N S mis en place par le Minist re de la Sant et de la protection sociale en 2001 notamment dans le but de r duire la pr valence du surpoids et de l ob sit chez l adulte et chez l enfant facteur de risque important du diab te Dans le cadre de ce programme une campagne m diatique presse et t l vision en faveur de la pratique d une activit physique r guli re et quotidienne a t lanc e en f vrier 2004 Cette action vient compl ter et renforcer celles qui ont d j t men es dans le cadre du P N N S notamment la campagne en faveur de la consommation d au moins 5 fruits et l gumes par jour 2001 la publication et la diffusion de guides La sant vient en mangeant l usage du grand public et des professionnels 2002 et la diffusion d outils pour l valuation nutritionnelle de publics cibles enfants adolescents personnes g es aupr s des professionnels 2003 L ANAES a tabli des recommandations en mati re de d pistage du diab te en f vrier 2003 Les conclusions des experts recommandent un d pistage opportuniste cibl aupr s des sujets de plus de 45 ans ayant au moins un facteur de

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