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Atelier d`Addis Abeba

1. Sectors A ADB B Can CH D DK E EC F Fin 1 Tri N NL P S UK WB total Japon USA UN total a G19 2 Usaid MCC 2 Ton 2 Health 2012 fecal 2009 2010 13 10 16 13 i via via 2009 DC via via 2009 DC via non via non focal non 2 Hives health health fromec health health toD health focal _ 2011 health 2010 focal 2 Education culture sutinon 2011 11 10 13 12 focal Agriculture fisheries see RE SP to he 1340 rural development irl Environment natural resources ee pen non 3 per 4 focal focal _ _ focal focal non SPto 2010 SP Transports ical ic 2011 Pere 8 5 3 715 energy non Energy 2009 facllity 5 4 focal 5 4 a via rur dev water SPto Can non Water and sanitation ard facility Inhamb 2 ae focal ss Economic governance non non 2067 3 non F financial services focal focal focal 2010 DC non non non non non Governance toP focal focal focal focal_ focal 1 General Budget Support 19 19 Support to civil society 16 19 Research scholarships 8 10 Seea penal 2008 2006 2009 2004 2007 2007 2009 2009 2008 2006 2008 2008 2007 2006 2008 2007 2008 2008 2007 2009 2009 2008 2007 ategy P 2012 2010 2012 2009 2011 2009 2013 2012 2013 2010 2013 2010 2010 2009 2011 2009 2012 2012 2011 2013 2014 2012 2009 strategy duration years 5 5 4 5 5
2. Suisse Finlande Afrique du Sud Norv ge Cor e du Sud Fonds Mondial Environnement Danemark Gr ce Turquie R publique Tch que Irlande Luxembourg Fondation capacit s Afrique ACBF El Salvador Pologne TOTAUX PILIERS FLEX ELLE g CE Gouvernance Croissance Pro pauvre Services Sociaux G CEA 169 L agenda de Kinshasa Un effort pour plus de coordination 4 priorit s issues de la D cl Paris e Leadership gouvernemental e Mise en ceuvre des r formes renft de capacit s e Division du travail e Alignement sur les syst mes nationaux Mais e Capacit s administration et chaine de d pense publique tr s faibles e Reste un engagement mutuel sans contrepartie Les groupes th matiques _ __ 15 groupes couvrant la totalit de l action gouvernementale a Forte tendance bureaucratique Un bailleur parrainant chaque groupe Une forte activit de production normative 15 groupes face 36 minist res Des strat gies sectorielles CDMT en attente 170 Coordination harmonisation __________ Des bailleurs sous forte pression a Forte difficult pour d caisser a Des int r ts ne pas n gliger ne surtout pas f cher La partie congolaise regarde ailleurs
3. chelle europ enne le pilo tage et le suivi sur le terrain de l aide multilat rale ou encore s agissant du renforcement des capacit s l importance a accorder au middle management Les travaux vont alimenter la r flexion sur l actualisation du Plan d action fran ais pour l efficacit de l aide et sur la refonte des DCP Enfin l accord est total sur le fait qu un l ment cl est celui de l am lioration de la pr visibilit de l aide Au nom de l AFD Fr d ric Bontemps s est r joui que de Hano Abidjan et Addis Abbeba les s minaires se suivent et ne se ressemblent pas sauf par leur bonne ambiance II re tient quant lui des travaux de ces deux jours l importance d aller dans le sens de l application des principes internationaux sur l efficacit de l aide tout en soulignant que la mise en uvre de ces principes n est pas toujours et partout synonyme d efficacit de l action sur le terrain Au moment o il s agit de le mettre en uvre l agenda de l efficacit n est pas non plus toujours accueilli favorablement ni par les pays ni par les bailleurs Il convient dans ce contexte de savoir s adapter aux situations particuli res et faire preuve de flexibilit Mais il faut aussi tre conscient que les op rateurs de l aide sont tenus par l obligation de rendre compte des actions qu ils m nent et de leur efficacit et que cela passe par la mise au point et
4. a Priorit s s curit stabilit politique a Administration virtuelle La d l gation de gestion mmm Mise en uvre du projet britannique d appui aux m dias Supervis par l ambassade et meo par FCI D l gation de projets OMD la coop ration technique belge op rateur a Projet ducation Projet adduction d eau gt Une logique opportuniste pour de petits montants M canisme recours marginal 171 3 R flexion sur la coordination l harmonisation et la division du travail L exp rience de Madagascar Olivier Pezet AFD Antananarivo Regards crois s sur l efficacit de l aide R flexion sur la coordination l harmonisation et la division du travail L exp rience de Madagascar O Pezet Addis Abeba Octobre 2009 El ments de contexte e Relativement peu d acteurs e Emergence d un cadre de concertation national en 2008 e Suspension de l aide budg taire fin 2008 e Survenance de la crise politique et institutionnelle d but 2009 Rupture du dialogue Sanctions Coordination autonome sous groupe europ en actif e Mesures d urgence Concertation avec le SP Plateforme sortie de crise e Les risques d un Etat fragile Acteurs souterrains non coop ratifs et aventurisme financier D linquance et ins curit conomique cas environnement 172 Quels facteurs d clencheurs d une meilleure organisation du tra
5. Y ont galement particip des repr sentants des trois services cono miques r gionaux et plusieurs cadres de l agence AFD et du Scac d Addis Abeba Un temps de d bat g n ral a d abord t ouvert sur les principaux r sultats de l enqu te par questionnaire Puis les travaux se sont organis s en sous groupes sur trois themes la coordi nation et la division du travail la gouvernance nationale de l aide et le renforcement des capa cit s la gestion ax e sur les r sultats et la redevabilit mutuelle La s ance sur r sultats et redevabilit a b n fici de la participation de repr sentants de la Commission de l Union africaine L atelier s est conclu par un moment d changes avec des repr sentants du Pnud de la Commission europ enne et de la Coop ration autrichienne La mise en uvre des principes d efficacit de l aide par la France dans les pays de la r gion gt Figurant parmi les cinq principaux bailleurs de fonds dans dix des treize pays la France mobilise son aide selon une vaste gamme de modalit s aide budg taire globale fonds communs aide programme aide projet Dans trois pays Madagascar le Mozambique et le Cameroun une part importante de celle ci transite dans le cadre de C2D gt Silon met part l Afrique du Sud et Maurice o l action des bailleurs est orient e par les autorit s nationales dans le cadre de strat gies et de politiques publiques dans tous les
6. 2 Les principaux l ments de d bat Le d bat avec les participants a soulign que les pr occupations des bailleurs taient relative ment similaires notamment qu il demeure important d inciter les pays partenaires mieux comprendre l int r t que pr sente l agenda efficacit de l aide et d organiser la division du travail de fa on plus efficace Certains se sont d ailleurs demand quel devait tre l objectif final de cet agenda qui ne semble pas correspondre forc ment aux attentes des partenaires savoir une meilleure pr visibilit et l augmentation de l aide A cet gard un dialogue plus structur par exemple au sein de groupes de travail sectoriels auxquels participeraient les au torit s a t avanc comme tant une pratique encourageante qui permet de syst matiser l change d informations et obligation redditionnelle mutuelle Il convient galement dans la mesure du possible de convertir cet agenda dans un document national labor avec les autorit s concern es afin de prendre en compte le contexte et les r alit s nationales et ou r gionales De plus un effort doit tre engag pour mieux documenter et communiquer sur les bonnes pratiques car c est une piste int ressante pour inciter les pays partenaires plus s int resser la mise en uvre de l Agenda d action d Accra et pour mon trer ce qu ils peuvent y gagner Afin de consolider la relation
7. Afrique du Sud Cameroun Centrafrique Congo Brazzaville Djibouti Ethiopie Gabon Kenya Maurice Mozambique R publique d mocratique du Con go Tanzanie et Tchad Y ont galement particip des repr sentants des trois services cono miques r gionaux et plusieurs cadres de l agence AFD et du Scac d Addis Abeba Troisi me atelier r gional apr s ceux tenus Hanoi Asie et Abidjan Afrique de Ouest l atelier d Addis Abeba avait pour objectif comme les pr c dents d changer les exp riences et approfondir la r flexion fran aise sur la mise en uvre des principes d efficacit de l aide nonc s dans les accords internationaux en particulier la D claration de Paris le Code de conduite europ en sur la division du travail et le Plan d action d Accra L ensemble des travaux des trois ateliers donnera lieu une synth se g n rale qui sera resti tu e aux Journ es du r seau de l AFD qui se tiendront Paris en janvier 2010 L objectif final est de contribuer la fois l actualisation du Plan d action fran ais pour l efficacit de l aide et la pr paration de la contribution francaise au 4 Forum haut niveau sur l efficacit de l aide au d veloppement qui aura lieu S oul en octobre 2011 La tenue de l atelier d Addis Abeba a t pr c d e par l envoi d un questionnaire comme l avaient t ceux de Hano et Abidjan Scac et agences dans chacun
8. Commission Europ enne Belgique Etats Unis ONU hors BM Allemagne PaysBas Su de Royaume Uni Japon Banque Africaine D veloppement Fonds Mondial sant Canada Pooled Fund humanitaire Espagne France Italie Chine Inde Suisse Finlande Afrique du Sud Norv ge Cor e du Sud Fonds Mondial Environnement Danemark Gr ce Turquie R publique Tch que Irlande Luxembourg Fondation capacit s Afrique ACBF El Salvador Pologne a e as n ToTAUx 1 076 491 399 021 334 467 297 005 258 824 149 681 134 816 129 536 122 483 111 478 108 247 67 001 48 194 28 604 _ 12 906 10 397 2 041 PILIERS Gouvernance Croissance Pro pauvre Services Sociaux chefs de file de Groupe Th matique talement Cumul des d caissements des bailleurs pour les deux ann es 2007 et 2008 en millions de dollars am ricains Banque Mondiale Commission Europ enne Belgique Etats Unis ONU hors BM Allemagne Pays Bas Su de Royaume Uni Japon Banque Africaine D veloppement Fonds Mondial sant Canada Pooled Fund humanitaire Espagne France Talie Chine Inde
9. des situations des pays partenaires dans la mise en uvre de lagenda efficacit de l aide Les r gions couvertes par cet atelier Afrique aus trale orientale et centrale et quelques pays de l Oc an indien offrent un panorama de si tuations diverses allant du pays revenus moyens Afrique du Sud Maurice des situa tions difficiles Tchad RCA etc Or la D claration de Paris et l Agenda d Action d Accra semblent pouvoir mieux se d cliner pour une typologie sp cifique de pays sa voir un pays pauvre o la part de l APD est importante dans le budget de l Etat o la gouvernance est relativement stable et o il existe un certain niveau de ma trise d ouvrage locale 2 Il existe un risque de d rive th ologique o l effet recherch joue sur le court terme en se concentrant sur l am lioration des indicateurs plut t que sur l enjeu plus long terme de r duction de la pauvret Autrement dit il existe un risque de se focaliser sur les moyens plut t que sur la fin en soi Il est donc capital de travailler une d clinaison lo cale des principes g n raux 3 La question du renforcement des capacit s locales revient syst matiquement dans les d bats Ce n est pas une probl matique nouvelle mais les r sultats ont t lents et modestes au cours de la derni re d cennie Une approche pertinente en mati re de renforcement des capacit s implique une bonne lecture pr alabl
10. sur le malaise que plusieurs participants prouvent sur ce sujet malaise li au probl me de l instrumentation li a obligation redditionnelle La D claration de Paris d finit bien la machinerie mais le p rim tre de l enjeu de la redevabilit va bien au dela des systemes eux m mes Par dela le risque que le dispositif de suivi devienne une fin en soi au d triment de l efficacit de l aide un des probl mes demeure le manque de confiance dans ces dispositifs souvent bas s sur des indicateurs peu fiables voire facilement manipulables Les donn es sont rarement audit es ou proviennent d une seule et m me source dont les chiffres et les calculs ne sont jamais remis en cause ex Madagascar le suivi de l appui budg taire global se fait sur la base exclusive des indications fournies par le FMI La cr dibilit de ces syst mes a galement t questionn e car les indicateurs ne sont pas toujours pertinents au Mozambique par exemple l indicateur portant sur le nombre d l ves en classe permet de renseigner utilement sur les conditions mat rielles et donc la qualit de l enseignement alors que celui sur le nombre d hectares irrigu s n indique pas s ils sont effec tivement cultiv s D autre part certains outils comme les cadres logiques ont montr leurs limites car ils ne sont pas toujours suivis Est ce que les maitrises d ouvrage sont m me de s en occuper Il serait i
11. aise 3 Gouvernance nationale de l aide et renforcement des capacit s Groupe de travail n3 Participants Bernard Ba os Robles Scac Djibouti Eric Baulard AFD Gabon Xavier Blanchard AFD Congo Corinne Brunon Meunier AFD Paris Pierre Cathala Scac Tchad Patrick Cohen Scac Ethiopie introducteur Georges Diener Scac Kenya Michel Gauthey AFD Maurice Didier Gr bert AFD Ethiopie introducteur Adrien Haye AFD Paris Fran ois Marie Lahaye r gional sant Ethiopie Jocelyn Leveneur AFD Djibouti Hugues Marion AFD RCA Claude Poulet Scac Tanzanie Christophe Richard AFD Afrique du Sud rapporteur Armand Rioust de Largentaye AFD Paris David Sadoulet Scac RDC Christian Saillard Service conomique r gional Kenya Serge Snrech MAEE Paris Etienne Woitellier AFD Angola Christian Yoka AFD RDC Neguest Mekonnen AFD Ethiopie Animation Serge Allou consultant Gret 209 Le groupe de travail avait pour objectif de d battre de l appropriation de l aide par les pays partenaires vue sous l angle des dimensions institutionnelles et d organisation de sa mise en ceuvre aux diff rents niveaux r gional national et local Un second objectif tait d aborder la question du renforcement des capacit s des acteurs sans oublier le secteur priv Les travaux du groupe ont t introduits par un expos de Didier Gr bert directeur de l agence AFD a Addis Abbeba pr par en collabo
12. effort de division du travail l Europe Commission et Etats membres peut appa ra tre dans certains cas comme insuffisant Cela dit que la division du travail soit ou non jug e ultimement n cessaire ce devrait tre une r gle commune pour les Europ ens de coordonner leurs interventions en amont Certains participants pr conisent dans ce sens d institutionnaliser une coordination europ enne Pour beaucoup plus que de diviser le travail ce qui importe est d abord de parvenir a renfor cer la concertation entre les bailleurs La pr sence de plusieurs bailleurs sur un m me th me 208 n est pas n cessairement a bannir pour autant qu il existe des m canismes de coordination et de pilotage de l aide mobilis e Ce qui importe aussi au plus haut point c est l appropriation de l aide par les pays partenaires Dans ce sens une priorit majeure devrait tre la contribu tion l laboration de strat gies nationales dans le cadre desquelles les pays mergents de la r gion en t moignent la division du travail s imposerait d elle m me Enfin certains insistent que division du travail ou d l gation de gestion ne veulent pas dire que les partenaires silencieux disparaissent L enjeu est de parvenir 4 mettre au point un syst me de pilotage satisfaisant que le pilote agisse comme un lead facilitator plut t que lead donor L on peut aussi l exemple de Madagascar imaginer
13. l ordre du jour de l Union europ enne de l OCDE et la France ne peut l vidence s y soustraire L enjeu est de r fl chir ce qu il convient de promouvoir en veillant temp rer les ardeurs codificatrices internationales Dans ce contexte quelques sujets sont ou devraient tre prioritairement investis La question du renforcement des capacit s La question de l int gration r gionale La division du travail l chelle europ enne L quilibre tablir entre coop ration bilat rale coop ration communautaire et coop ration multilat rale 2010 doit voir le d marrage d une r flexion sur nos outils de coo p ration communautaire et multilat rale Enfin est galement l ordre du jour la mise plat des DCP dans l objectif d en faire un outil plus fonctionnel Pour Fr d ric Bontems l agenda Efficacit de l aide s appuie sur un ensemble de pr suppo s s Il fait ainsi r f rence implicite au fait que les bailleurs soient en nombre coordonnable et que ceux ci soient globalement interchangeables Il suppose aussi l existence d autorit s iden 195 tifiables dans les pays avec lesquelles il est possible de dialoguer Il consid re que les mon tants d APD sont suffisamment importants pour justifier un dialogue de fond Il suppose enfin l existence de maitrises d ouvrage nationales en mesure de se positionner vis a vis des bail leurs Or les situat
14. o en est on par rapport a AAA Meilleurs syst mes d information renforcement des statistiques fonds commun l INE groupe de travail conjoint GoM PAPs sur le suivi de la pauvret Mettre au point des instruments efficaces de gestion ax e sur les r sultats coordination harmonisation syst mes de suivi matrice d indicateurs du GoM nombreux fonds communs et approches programmes appui harmonis strat gies revues et missions conjointes cadre de suivi conjoint orient sur les r sultats importance du M moire d Entente renforcement des capacit s coop ration technique a les incitations pour am liorer l efficacit de l aide travail sur l am lioration de l efficacit des GTs message pass sur la culture des r sultats au sein de chaque GT note sur les bonnes pratiques sessions de formation des chefs de files 2 Responsabilit mutuelle et transparence 2 1 Rappel de la D claration de Paris Donneurs et pays partenaires sont responsables des r sultats obtenus D claration de Paris Engagements pays renforcer le r le des instances parlementaires strat gies et budgets d velopper des approches participatives strat gies et valuations Engagements des donneurs fournir en temps voulu des informations transparentes et d taill es sur leur aide pr visibilit reddition de compte Ensemble valuation conjointe des r sultats 181 2 Respo
15. pays les initiatives de concertation et de coordination sont pour l essentiel engag es par les bailleurs de fonds et peinent en r gle g n rale mobiliser les pouvoirs publics L harmonisation se heurte a la rigidit des proc dures de chacun en particulier des bail leurs multilat raux et faute d impulsion des Etats nouveau ne fait g n ralement l objet d aucun effort particulier La m fiance vis vis des syst mes fiduciaires et la faiblesse des ma trises d ouvrage sont partout les principaux freins l alignement Enfin si quelques avanc es existent en mati re de gestion par les r sultats et de responsabilit mutuelle cf le Mozambique en particulier dans le cadre de l ABG et des fonds communs et plus sp cifiquement pour la France dans le cadre des C2D les dispositifs de suivi et de redeva bilit concernent rarement les strat gies et les r sultats globaux de l aide gt Partout la France participe activement aux dispositifs de dialogue et de concertation elle en a impuls un certain nombre anime des groupes de travail sectoriels voire pr side ou a pr sid dans plusieurs cas l instance de coordination g n rale des donateurs Elle cherche la plupart du temps d velopper des cofinancements avec un certain succ s Mozam bique Cameroun mais aussi des difficult s Gabon Ethiopie Elle s est galement impli qu e dans le montage de plusieurs op rations de gestion d l gu e
16. uvre avec leurs partenaires offi ciels e Tout en fournissant des lignes directrices sur la division du travail de la part des si ges aux op rateurs veiller conserver l autonomie que le dispositif actuel leur offre sur le terrain e Promouvoir l expertise fran aise sur financement local et red velopper l expertise technique de fa on cibl e notamment avec de l assistance technique en mati re de renforcement des capacit s 2 Coordination harmonisation et division du travail Groupe de travail n2 Participants Xavier Blanchard AFD Congo Fr d ric Bontems AFD Paris Lucien Bru neau Scac Ethiopie Gilles Chausse AFD Cameroun rapporteur Patrick Dal Bello AFD Tchad Georges Diener Scac Kenya Pascal Fourcaut Service conomique r gional Came roun Michel Gauthey AFD Maurice Didier Gr bert AFD Ethiopie Adrien Haye AFD Paris Marcel Jouve Scac Gabon Jocelyn Leveneur AFD Djibouti Didier Niewiadowsky Scac RCA Olivier Pezet AFD Madagascar introducteur Serge Snrech MAEE Paris Pierre Vernhes Service conomique Ethiopie Alexander Von Kapp Herr AFD Paris Animation Serge Allou consultant Gret 206 L atelier a t introduit par un ensemble de r flexions sur la coordination l harmonisation et la division du travail partir de l exp rience de Madagascar pr sent es par Olivier Pe zet directeur de l agence AFD dans ce pays Celui ci a en particulier insis
17. CHAUSSE Cameroun M Bruno LECLERC Mozambique M Olivier PEZET Madagascar M Xavier BLANCHARD R publique du Congo M Christophe RICHARD Afrique du Sud M Christian YOKA RDC M Patrick DAL BELLO Tchad M Eric BAULARD Gabon M Michel GAUTHEY Maurice M Etienne WOITELLIER Angola M Jocelyn LEVENEUR Djibouti M Didier GREBERT Ethiopie M Cheikh DIA Ethiopie Mme Neguest MEKONNEN Ethiopie Mme Claire COCHEME Ethiopie M Hugues MARION Centrafrique SCAC M Jean Marie HATTON R publique du Congo 163 M Yvon ALAIN Cameroun M Pierre CATHALA Tchad M Marcel JOUVE Gabon M Patrick COHEN Ethiopie M Lucien BRUNEAU Ethiopie M Bernard BANOS ROBLES Djibouti M David SADOULET RDC M Richard MOUTHUY Mozambique M Claude POULET Tanzanie M Georges DIENER Kenya M Didier NIEWIADOWSKI Centrafrique M Fran ois Marie LAHAYE conseiller r gional Sant Ethiopie Services conomiques r gionaux M Pascal FOURCAUT Cameroun M Olivier JONGLEZ Afrique du Sud M Pierre VERNHES Ethiopie M Christian SAILLARD Kenya Les invit s ext rieurs 2 journ e M Fid le SARASSORRO PNUD Ethiopie M Alex O RIORDAN DCE Ethiopie M Leonhard MOLL Coop ration autrichienne M Francis BOKILO Commission de l Union africaine Ethiopie M Mandekor DJIMADOUM Commission de l Union africaine Ethiopie Ouverture et cl ture
18. M Jean Christophe BELLIARD Ambassadeur de France en Ethiopie M Romain VUILLAUME Premier Conseiller de l Ambassade 164 C Pr sentations introductives 1 Exp rience d un attach de cooperation centr sur la coordination de l aide au service des intervenants fran ais Lucien Bruneau SCAC Addis Abeba Regards crois s sur l efficacit de l aide Addis Abeba 19 octobre 2009 Exp rience d un attach de coop ration centr sur la coordination de l aide au service des intervenants fran ais Lucien BRUNEAU Attach de coop ration charg de la coordination et de l harmonisation de l aide SCAC d Addis Abeba Regards crois s sur l efficacit de l aide Addis Abeba 19 octobre 2009 Contexte local de la coordination de l aide L aide publique au d veloppement repr sente en thiopie 15 du PIB avec plus de 2 Md en 2007 L aide est tr s multilat rale via l importance des donateurs et des outils multilat raux mais pas d aide globale La France est 18 me bailleur 12 me bilat ral La coordination de l aide est tr s formalis e via le DAG Development Assistance Group cr en 2001 et rassemblant 27 donateurs bi et multi 19 europ ens l Inde mais pas la Chine Les chefs de coop ration les 11 groupes th matiques et leurs sous groupes se r unissent une fois pas mois Seuls 5 groupes sont co pr sid s par le Gouvernement La coordination europ enne est
19. Paris ont pos quelques l ments de cadrage g n ral de la probl matique de l efficacit pour la Coop ration fran aise et situ l exercice Regards crois s dans la dynamique de r flexion et d action engag e par la France sur ce sujet 2 Serge Allou consultant Gret a ensuite pr sent une synth se des r ponses aux question naires 3 Un d bat g n ral s est enfin ouvert sur ces bases 1 El ments de cadrage Serge Snrech invite situer l exercice de r flexion sur l efficacit de l aide dans le contexte des conclusions du dernier Cicid Trois l ments en particulier y sont souligner La mise en avant de 4 cat gories de pays d intervention 14 pays pauvres appel s b n ficier prioritairement de subventions et de pr ts tr s concessionnels et trois listes compl mentaires non nominatives PRI pays mergents enjeux globaux et pays en crise ces derniers tant les seuls pouvoir b n ficier de subventions marquant de fait l abandon de la ZSP L adh sion l initiative internationale pour la transparence de l aide La demande enfin d laboration de trois strat gies une strat gie Banque mondiale une strat gie Coop ration europ enne et une strat gie cadre globale de la Coop ration fran aise laquelle s ajoute la demande d actualisation du Plan fran ais pour l efficacit de l aide L agenda Efficacit de l aide est aujourd hui
20. agric health educat see see etnecelols by 2012 1 other in 2007 in 2007 by 2009 by 2011 note 3 note 4 12 12 by 2010 water from silent partnerships Irl in m 3 3 fe note 5 note 6 2009 2009 see 2010 delegated cooperation GBS HIV aids Gov from 3 3 to EC from EC note 7 EC Legend Austria AfDB African Development Bank B Belgium Can Canada CH Switzerland D Germany DK Danemark E Spain EC European Commission F France Fin Finlande 1 Italy Irl Ireland N Norway NL Netherlands P Portugal S Sweden UK United Kingdom WB World Bank J Japan USA Usaid United States of America Usaid USA MCC USA Millenium Challenge Corporation UN United Nations system FTI Fast Track Initiative education SP silent partnership DC delegated cooperation TA technical assistance WG working group For conversion exchange rate of 5th December 2008 1 1 28 1 1 47 1 can 0 78 1 DKK 0 171 1 NOK 0 140 1 SEK 0 121 UA ADB 1 4883 1 the informations about Finland have not been updated 2 Total G19 the numbers X Y mean X total of sectors of concentration in 2008 Y total of sectors of concentration after exit strategies 3 exit strategies of Sweden higher education and culture in 2009 HIV aids in 2010 and roads in 2011 4 exit strategies of UK business se
21. aise dans les secteurs hors concentration et du suivi des fonds verticaux ou des contributions multilat rales a donn lieu d bat A la fois chronophage et se rajoutant des missions d j importantes les participants ont conclu que les deux crit res essentiels dans ce cas sont l efficience et la sp cificit du contexte Par exemple dans un pays o peu de bailleurs bilat raux sont pr sents ex Cameroun il est imp ratif de contribuer au suivi des fonds multilat raux C est une question de respon sabilit vis vis du gouvernement L implication dans les secteurs hors concentration doit par ailleurs permettre de mieux porter la production intellectuelle fran aise et d exporter son expertise Sur ce point il convient dans un premier temps de mieux articuler l approche franco fran aise dans une logique non opportuniste afin d viter une d rive po tentielle caus e par le dilemme efficacit influence visibilit Il faut galement r concilier ces deux logiques avec l articulation des moyens n cessaires Et faire face un choix tout aussi simple que drastique r duire le champ de pr sence ou augmenter les moyens En menant cette r flexion les participants ont par ailleurs insist sur l importance primordiale accorder la continuit des interventions dans le long terme 10 D 3 i Risque d un effet perturbateur si les partenaires demandent s aligner sur les pratiques d
22. cadres plus souples et ouverts qu ils ne le sont aujourd hui d finir des lignes directrices g n rales proposer des calendriers glissants et sans doute comporter le moins d engagement chiffr s possibles 3 5 Le renforcement des capacit s Consid r comme un enjeu majeur par une majorit de participants le renforcement des capa cit s reste le parent pauvre de la mise en uvre de l aide sur le terrain Le Plan d action fran ais pour l efficacit de l aide y fait pourtant une r f rence explicite mais il est vrai qu il a t labor un moment o l AFD tait mal outill e pour prendre r el lement ces questions en charge et que la gestion des FSP par des maitrises d ouvrages natio nales n int ressait alors personne Les choses ont volu aujourd hui et exigent une r flexion nouveaux frais sur ces questions Au stade de ce d bat g n ral et dans l attente des travaux du groupe invit d battre de ce sujet cf infra trois premi res pistes sont sugg r es par les participants La premi re serait de r fl chir des outils et des dispositifs qui pourraient tre mis en place l chelle r gionale la fois en termes de fonds d tudes de syst mes de forma tion et cela a d j t soulign d affectation de ressources humaines en appui La deuxi me est de travailler non seulement au renforcement des capacit s des agents de l Etat mais aussi de celles de
23. cher La Somalie en est un exemple embl matique en mettant en p ril le commerce international elle conduit aujourd hui une mobilisation de moyens militaires infiniment plus co teux 3 3 Peut on tre efficace malgr tout Si dans les PMA les moyens mobilis s par la France sont en g n ral fortement insuffisants pour y peser r ellement dans les pays disposant de revenus en particulier p troliers ou en core dans les pays mergents l aide fran aise m me modeste peut n anmoins porter des effets importants en termes la fois d efficacit et d influence En Afrique du Sud la France mobilise une masse critique de moyens qui lui permet d tre troitement impliqu e dans un certain nombre de sujets de d bat Ainsi l influence se joue par exemple dans l appui sollicit r cemment par le pays aupr s de l Agence pour mettre en place sa propre agence de d veloppement la South African Development Agency A travers les perspectives d action de cette agence au niveau r gional la France pourrait tre amen e d velopper sa pr sence dans des pays desquels elle est aujourd hui absente Et cette bonne arti culation la positionne galement dans ce cadre par rapport aux bailleurs internationaux Dans un pays p trolier comme le Congo qui dispose de ressources d investissement confor tables l enjeu n est pas tant d y apporter des moyens financiers suppl mentaires que de savoir y mobili
24. compl mentaires notre aide bilat rale CE PNUD BM 3 tre pr sent dans les groupes de coordination pour assurer une influence sur les projets des autres donateurs et pour participer au d bat local sur l efficacit de l aide et la division du travail gt Conflit entre objectifs g n raux d efficacit et locaux d influence gt N cessit d une appropriation cons quente de la partie nationale Assurer une mobilisation europ enne distincte gt Inadaptation de nos outils pour les d l gations de gestion gt A d faut de capacit de leadership sectoriel jouer sur les liens entre projets bi et programmes multi pour construire une proximit avec les multilat raux compl mentaires 166 167 2 Concertation harmonisation division du travail Exp rience de la RDC Christian Yoka et David Sadoulet AFD et SCAC Kinshasa Atelier r gional regards crois s sur Vefficacit de l aide 19 octobre 2009 D Sadoulet Ch Yoka La reprise de l aide Contexte post d claration de Paris Montants importants difficult s pour d caisser Nombreux groupes de concertation de bailleurs de structures de coordination UN Un contexte facile 168 Matrice TmGag central on par bailleurs et secteurs Cumul des d caissements des bailleurs pour les deux ann es 2007 et 2008 en millions de dollars am ricains Banque Mondiale
25. des pays de la r gion ont t invit s y r pondre conjointement L objectif tait de rassembler de premiers l ments sur les enjeux les avanc es et les limites de la mise en oeuvre des principes d efficacit sur le terrain La synth se des r sultats de cette enqu te a guid la pr paration du format de l atelier et servi de toile de fond aux d bats Les deux journ es de travail ont t organis es de la fa on suivante gt La premi re demi journ e a t consacr e pr senter quelques l ments de cadrage g n ral de l exercice restituer les principaux r sultats de l enqu te par questionnaire et ou vrir un premier d bat sur ces bases gt La deuxi me demi journ e a t ouverte par une courte pr sentation de l exp rience de l attach de coop ration sp cifiquement charg du dossier Efficacit de l aide en Ethio pie Elle s est poursuivie par des travaux en deux sous groupes invit s chacun appro fondir le th me de la division du travail gt La troisi me demi journ e s est ouverte par un premier temps de mise en commun et de d bat autour des travaux des sous groupes Puis elle a donn lieu de nouveau a des changes en deux sous groupes l un invit traiter des questions touchant la gouver nance nationale de l aide et au renforcement des capacit s l autre d battre des avanc es des limites et des progr s possibles en mati re
26. des solutions o la responsabilit de point focal soit tournante 2 2 Les recommandations Invit chacun formuler une recommandation cl l ensemble des participants s est accord pour adopter une posture volontariste et pragmatique qui place le pays b n ficiaire au c ur du dispositif et qui privil gie un dialogue avec la Commission europ enne Trois recommandations majeures se d gagent e S adapter la diversit des situations renforcer la coh rence existante sans dogmes avec du discernement du pragmatisme de la progressivit mais vouloir y aller r solument e Ouvrir des espaces de dialogue et de n gociation la fois avec les bailleurs enjeux et plus values et surtout avec les partenaires pour une appropriation une d finition et une d clinaison nationale du concept e Rechercher des int r ts partag s avec la CE travers un dialogue constructif pour por ter le projet europ en jusqu aux d l gations de gestion en travaillant localement le plus en amont possible partir des m mes diagnostics Deux autres suggestions ont galement t avanc es Mobiliser plus fortement le dispositif fran ais de recherche au d veloppement pour tayer et objectiver les diagnostics locaux n cessaires en amont des interventions Eclaircir et aller dans le sens d une meilleure rationalisation des crit res pr sidant au choix des canaux bi vs multi de mobilisation de l aide fran
27. en particulier avec la Afrique du Sud Cameroun Centrafrique Djibouti Ethiopie Gabon Kenya Maurice Mozambique R publique d mocratique du Congo R publique du Congo Tanzanie et Tchad 189 Commission europ enne Comores RCA Ethiopie Madagascar Mais celles ci ont en majorit chou gt Les participants font le constat que la coordination et au dela la division du travail se heurtent a de r els probl mes de concurrence entre les bailleurs sur le terrain manifestant un net d calage entre l adh sion formelle des donateurs aux principes internationaux et leur appropriation effective par leurs repr sentants in situ Sont souvent principalement en jeu des questions de visibilit La division du travail s op re sur la base des avantages comparatifs r els des coop rations mais elle ob it aussi des int r ts particuliers et elle est tr s li e la disposition et aux affinit s des personnes en poste Elle doit composer en fin la plupart du temps avec la r ticence des autorit s nationales peu convaincues de sa pertinence et de ses effets Am liorer les pratiques fran aises avanc es et contraintes gt Laide fran aise pour sa part bilat rale affectable est confront e un double probl me de moyens la baisse drastique du volume de subventions et de pr visibilit Elle continue aussi d tre affect e par une insuffisante coh rence interne et par le d calage entre les orientations st
28. parfois tre mieux adapt s et plus efficaces La division du travail quant elle ne peut fonctionner qu certaines conditions reconna tre les int r ts et pr server la visibilit de chacun dans le dispositif d une part mettre au point des m canismes de pilotage transparents et partici patifs d autre part Une bonne coordination en amont peut avoir des effets significatifs sur la r duction des co ts de construction des cofinancements gt Des dispositifs de coordination particuli rement d velopp s existent dans certains pays au Mozambique par exemple o la France joue un r le d impulsion important ou encore plus sp cifiquement entre la France et ses partenaires nationaux au Cameroun dans le cadre du C2D Si leurs effets sont particuli rement probants en mati re de d bat d articulation entre les bailleurs et de suivi g n ral de leurs modalit s d action dans le premier cas de bonne gouvernance mutuelle de l aide dans le second ils restent plus incertains en termes d impact sur le d veloppement Les m canismes et les outils de suivi dont ils sont dot s renvoient plus souvent l analyse des moyens qu ils ne s appuient sur des crit res et des indicateurs de r sultats 190 gt De fa on plus g n rale les indicateurs de suivi existants sont tr s directement li s aux actions sp cifiques mises en uvre et faute d harmonisation et de matrices communes peuvent rarement tre consolid s
29. pr sage l av nement de r formes importantes qui devraient permettre par exemple une meilleure offre de services aupr s de la population L exercice collectif d valuation du DSRP constituera un moment cl pour obtenir des l ments de r ponse plus pr cis Enfin cette dynamique a sans doute contribu la mobilisation des bailleurs en vue d une meilleure efficacit sanctionn e d ailleurs par un classement de leurs performances respec tives La France y figure la place du meilleur des moins bons notamment parce que sa coop ration s aligne encore peu sur les proc dures nationales et parce que la d finition des aides programmes est restrictive et ne permet pas de comptabiliser l ensemble de 1 APD fran aise transitant en r alit par ce type de modalit s Cette situation semble peu mouvoir les si ges dont un soutien un peu plus marqu est attendu par les op rateurs sur le terrain 4 2 La gestion ax e sur les r sultats Les deux sujets de ce sous groupe de travail ont t retenus pour l atelier d Addis Abeba car ils n ont t voqu s ni dans les r ponses l enqu te ni lors des deux pr c dents s minaires r gionaux de l tude Regards crois s Hano en Juin 2009 et Abidjan en septembre 2009 La pr sentation est jointe en annexe 17 A hauteur de 30 de I APD totale 18 Voir en compl ment les donn es de I introduction jointe en annexe Les diff rent
30. pr visibilit des engagements Une masse critique d acteurs jouant le jeu e Division et d l gation paraissent indissociables la question des moyens e Pour l AFD Une sp cialisation pr alable une image des initiatives souvent personnelles cas AFD DCE urbain ports La limite des moyens Une strat gie de niches sous sectorielles agro cologie finances des CL d veloppement urbain DCE substituer secteurs de d l gation secteurs hors concentration 174 Les d l gations de gestion Quel usage et quelles perspectives Une belle id e facteur d efficacit ou de complexit e Exemples et facteurs de r ussite KFW une volont politique la capacit de r ciprocit e Commission europ enne une politique subie Le maquis des proc dures le d s quilibre des forces e Banque mondiale Un concept inconnu Ou sens unique e Les agences SNU et leurs infrastructures op rationnelles permanentes e EDFI l apport d affaires la sp cialisation g ographique ou sectorielle e Mode d emploi et perspectives R serv aux secteurs hors concentration Cas de l environnement hors concentration de la sant concentration Les crises et sorties de crise Des r gles pratiques d instruction et de coordination d l gu e 175 4 Gouvernance nationale de l aide et renforcement des capacit s Le cas de l Ethiopie Didier Gr bert et Patrick Cohe
31. remain active in roads currently chair years Could be extended to 2010 to accomodate PARPA 2 regional and african vision 2008 2009 and 2010 energy and water instrument ADF African Development Fund very soft loans to the GoM no interest 0 5 on governance because the bank is african roads intends to be active in governance public sector undisbursed portion under signed loan agreement deadline of 50 years for project based loans including so good dialog with african governments energy reform and justice and PFM AfDB 10 years of grace period Current ADF n 11 cove rs 2008 2010 water intends to be less present in the future in education between 2008 and 2010 127 MUA 3 years 189 M 3 years ie average of 63 M year ready to be lead partner and to manage delegated and in agriculture as these sectors are not sectors of 2 sectors of concentration governance including GBS no fixed objective of and infrastructures funds concentration in the new strategy roads energy and water possibility of loans to private or public companies possibility of grants with donors trust funds 4 year programme 2009 2012 signed in 04 2008 budget of 48 M for the 4 years average of 12 governance and public finance GBS delegated to EC in 2009 onwards intends to remain active in PAMs BAG Sistafe M year double of previous programme 6 M year management tax reform Sistafe etc rural development cur
32. t moignent plusieurs checs de tentatives de d l gation de gestion avec la France que les D l gations de la Commission europ enne dans les pays ont une appr ciation chaque fois particuli re des orientations d finies par Bruxelles en la mati re et d cident bien souvent elles m mes de l opportunit ou non de conclure de tels ac cords Il faut dire rappellent certains que la priorit majeure de la Commission ces derni res ann es tait de renforcer les m canismes d appui budg taire et que des objectifs comme la division du travail taient sans doute rel gu s au second plan Il faut dire aussi que produit du processus de d centralisation de la Commission ses D l gations dans les pays ont des moyens humains et des pouvoirs leur donnant une grande latitude d action qu ont en g n ral peu d agences de coop ration sur le terrain Plus concr tement la mise en uvre de la division du travail sur le terrain se heurte aussi un certain nombre de contraintes Trois d entre elles sont notamment mises en avant La premi re est celle des diff rences de proc dures entre les bailleurs est en particulier soulign e la rigidi t des proc dures de la Banque mondiale et de la Commission europ enne La deuxi me est qu au dela des discours et des dispositifs la mise en place de tels accords est aussi une affaire d hommes d affinit s et de volont de faire ensemble des personnes concr tement en poste dans les a
33. 2 5 4 6 5 6 3 4 4 4 3 5 5 4 5 5 5 3 budget year grants in2008 4Me 42MUA 12Me 70MCS 25M 46Me 400MDK 25Me 121 Me 11 ME 21Me 33 Me 43 Me 433MNK 70Me 15 Me 750MSK GOME 211 M 27 M 290 MS 101 M 166 MS in donor currency in2010 6ME 42MUA 12M 70MC 25M 46 Me 400MDK 25M 121Me 11Me 30Me 33Me 61 ME 450MNK 70 ME 15M 750MSK 70M 211 M 27 MS_ 281 M 101 M 166 M budget year grants in 2008 5 1 63 0 15 4 54 6 25 0 58 9 68 4 320 1549 141 26 9 42 2 55 0 60 6 89 6 19 2 90 8 88 2 211 0 1174 9 27 0 290 0 101 0 166 0 1758 9 in US dollars 1 in 2010 IT 63 0 15 4 54 6 25 0 58 9 68 4 32 0 1549 14 1 38 4 422 78 1 63 0 89 6 19 2 90 8 1029 211 0 12291 27 0 281 0 101 0 166 0 18041 nb of programmes projects officers 4 AFD 20 including HOGs 4 8 3 11 11 9 10 8 ie le 6 10 15 11 11 4 12 u regon 20 9 30 4 70 303 6 4 by 5 3 by 3 2 by 4 3 by 6 by nb sectors of concentration 2 4 3 4 3 3 2010 3 2 2 3 3 2011 3 2011 2 2011 2010 9 5 5 3 8 nb WG with active participation 2 10 4 9 5 8 5 10 4 5 9 10 B 8 3 13 13 12 145 12 5 3 Le 182 1 pill 1 pill 1 pill 2 pill nb sub WG with active participation 3 3 6 10 9 10 12 10 5 4 8 7 11 4 8 4 5 10 13 142 6 9 o 19 176 16 21 12 36 total nb WG sub WG active part 5 13 10 19 15 20 15 15 8 13 16 16 7 18 23 25 287 18 14 3 f 358 tpill 1pill 1pill 2 pill ener by oe health 2009 agric
34. Atelier d Addis Abeba 157 158 A Le programme de l atelier Regards crois s sur l efficacit de l aide Atelier d Addis Abeba 19 20 octobre 2009 H tel Dreamliner Lundi 19 octobre Matin 8h45 9h 9h 9h10 9h10 9h45 10h45 10h45 1th 11h 12h45 12h45 13h45 Apr s midi Regards crois s sur l efficacit de l aide identification des en jeux op ratoires Accueil et enregistrement des participants h tel Dreamliner Ballroom Ouverture par l ambassadeur M Jean Christophe Belliard Points d organisation mat rielle MM Gr bert et Cohen Objectifs g n raux de l atelier o Mme Brunon Meunier Directrice adjointe d partement Afrique et M Fr d ric Bontems Directeur du Pilotage Strat gique et de la Prospective AFD Paris o M Serge Snrech Chef de p le Coh rence et efficacit de l aide Direction G n rale de la Mondialisation du D veloppe ment et des Partenariats MAEE Paris o Organisation et dynamique de travail de l atelier M Serge Allou GRET et Mme Gw na lle Corre ECDPM Synth se des r sultats de l enqu te et identification des principaux en jeux op ratoires M Serge Allou Version crite disponible en salle Pause D bat validation et premier approfondissement des enjeux op ratoires identifi s Animation M Serge Allou et Mme Gw na lle Corre En s ance pl ni re l assembl e sera invit e commenter
35. D Ethiopie Marcel Jouve Scac Gabon Jean Marie Hatton Scac Congo Yvon Alain Scac Cameroun Lucien Bruneau Scac Ethiopie Richard Mouthuy Scac Mozambique Didier Niewiadowski Scac RCA Pascal Fourcaut Service conomique r gional Cameroun Olivier Jonglez Service conomique Afrique Australe Pierre Vernhes Service conomique Ethiopie Francis Bokilo Commission de l Union afri caine Ethiopie Mandekor Djimadoum Commission de l Union africaine Ethiopie Animation Gw na lle Corre consultante ECDPM La session a t introduite par une pr sentation de la situation au Mozambique par Bruno Leclerc Apres avoir rappel les dispositions de la D claration de Paris et de l Agenda d Action d Accra sur la gestion ax e sur les r sultats ainsi que l obligation redditionnelle mutuelle et la transparence l introducteur a indiqu quelles dispositions avaient t prises au Mozambique cet gard et quelles taient les principales modalit s de mise en uvre actuelles Il a conclu en voquant les limites de l exercice et a introduit quelques pistes de 211 r flexion pour le d bat Lee groupe de travail a b n fici de la participation de deux re pr sentants de la Commission de l Union africaine cette session M Djimadoun Senior economist D partement des affaires conomiques et M Bokilo charg de la mobilisation des ressources aupr s des bailleurs D partement du pilotag
36. Interviennent avec constance et respectent la parole donn e Positionnement du sujet cas de l Ethiopie e Un pays tiraill entre contr le autoritaire et laisser faire e Des m canismes de gouvernance de l aide parfaire en particulier au niveau sectoriel e Des goulots d tranglement forts secteur t l com secteur financier secteur gouvernance en particulier gouvernance d mocratique d centralisation e Des maitrises d ouvrage de qualit in gale e Des lieux de pouvoir difficiles identifier AGENCE FRANGAI DE D VELOPPEMENT 177 Le renforcement des capacit s un casse t te en Ethiopie Une administration peu exogame e Des besoins de renforcement mal reconnus et mal identifi s e Une tentation d enkystement de l assistance technique e Des moyens d intervention des partenaires en partie inadapt s Quelques questions pour alimenter les d bats Comment identifier les centres de pouvoir gt Investir dans la connaissance sociopolitique recruter des cadres locaux de haut niveau appointer des membres de l administration comme facilitateurs e Le ciblage des lites est il le meilleur levier pour faire voluer les structures administratives gt Donner la priorit dans quelques pays la formation des cadres interm diaires e La substitution un tabou absolu gt D l guer syst matiquement la ma trise d ouvrage au d triment de l ap
37. a Use of the gov 126 2p of ODA disbursed by the PAP which countabilit uses national procedures of providing fi 55 60 60 y nancial reports Paris Indicator 5a systems of ODA disbursed by the PAP which 2 3 reduc 13 2p uses national procurement systems Paris 55 60 55 tion in non Indicator 5b use 15 2p of project funds and common funds of Base Tob the PAP for aid to the government on data d ee 4 efined which taxes are paid 10 16a 1p of total number of missions of the PAP 25 40 joy 40 joint that are made jointly Paris Indicator 10a 7 7 j of analytical work done by the PAP that 60 60 66 ayes 17 1p is coordinated Paris Indicator 10b 66 joint Project Imple 18 2p Number of parallel Project Implementation Zero or 5 mentation Units Units PIUs based on the list agreed for small A i 2 3 reduc PIU the questionnaire of OECD DAC Paris number Sumber number tion Strengthening Indicator 6 een 19 2p of CT of the PAP given through coordi Technical Coo nated programmes Paris Indicator 4 55 60 55 50 peration CT of sector expanded CT as a percen tage of the total CT of the PAP 16 20 25 188 D Rapport des d bats Synth se L atelier d Addis Abeba s est tenu les 19 et 20 octobre 2009 Il a r uni les directeurs d agence AFD et les conseillers de coop ration et d action culturelle de treize pays d Afrique centrale orientale et australe
38. a r alit et la complexit des situations concr tes a repris le des sus D autres dans la m me ligne consid rent qu elle fait r f rence un monde id al o les bailleurs visant tous un m me objectif seraient parfaitement interchangeables Or ils ont l vidence des int r ts particuliers et des m thodes d approche diff rentes D une part cette multiplicit des d marches n est pas n cessairement une mauvaise chose en soi d autre part il est illusoire de penser que les bailleurs prennent d lib r ment le parti d abandonner certains sujets particuli rement l ordre du jour les questions climatiques par exemple Certains insistent aussi sur les risques de la concentration celui par exemple de laisser certains secteurs orphelins l image du secteur de la sant au Gabon aujourd hui celui galement dans les situations de crise de rupture totale des actions li es une d cision de suspension de Paide D autres encore soulignent les inqui tudes qu elle peut susciter du c t des parte naires souvent l gitimement r tifs se voir confront s des lignes de conduites et des interlo cuteurs qui deviennent alors uniques Enfin si l on peut penser qu elle conduit une diminu tion des co ts de la mise en uvre de l aide pour les pays c est loin d tre a priori le cas pour les bailleurs pour lesquels au contraire le travail requis est souvent sup rieur les dispo
39. ait que les r unions de concertation et de coordination entre bailleurs doivent plus syst matiquement associer les autorit s locales au risque de tout simplement cr er des structures parall les au service des bailleurs Il a rappel que les pressions sur les capacit s des ressources administratives des pays partenaires pour la gestion de l aide sont immenses Par exemple en Ethiopie l APD repr sente pratiquement un tiers du budget de l Etat mais ne mobilise qu une unit administra tive Enfin il a plaid pour une mise en uvre plus rapide de la division du travail en appe lant les bailleurs se mobiliser au del de leurs contentieux et s appuyer plus syst matique ment sur les r sultats de suivi valuation pour fixer des priorit s aux interventions M Moll a ajout que le risque existe de se focaliser sur les contraintes sans prendre le temps de r fl chir sur les premi res avanc es et de capitaliser les exp riences positives Il a gale ment regrett que les postes soient sous pression constante des si ges alors que la mise en uvre de l agenda devrait plut t faciliter le travail des op rateurs Enfin il a indiqu que la coordination des bailleurs en Ethiopie est relativement satisfaisante surtout du fait des bail 219 leurs eux m mes et non de l initiative du gouvernement se demandant si un tel exemple n illustrait pas l aune d une nouvelle tendance dans l architecture de l aide
40. ant 1 Comment aborder la question des co ts associ s au travail de coordination d harmonisation et d alignement Dans une phase initiale ces co ts apparaissent tr s le v s processus chronophages etc et il convient de s interroger sur la fa on de les conte nir pour qu ils soient acceptables la fois par les bailleurs et les gouvernements des pays partenaires Les pays partenaires consid rent que la mise en ceuvre de la D claration de Paris doit aboutir une augmentation des ressources de l aide et une meilleure pr visibilit A moins d tre en mesure de leur d montrer dans les faits que c est effectivement le cas le risque existe que l enthousiasme pour cet agenda d cline fortement Il convient donc que les bailleurs respectent leurs engagements Or la perception des bailleurs et autres parte naires techniques et financiers est fortement influenc e par la situation politique des diff rents pays leurs propres int r ts et d note souvent l absence d une approche commune De plus bien que les capacit s d absorption variables des pays et des r gions partenaires affectent la mise en uvre de l agenda efficacit de l aide elles ne doivent pas servir d excuse aux bailleurs pour ne pas tenir leurs engagements en mati re de financement En fin un travail sur les proc dures reste n cessaire pour am liorer la pr visibilit de l aide L quilibre entre logique d int r ts et lo
41. ant de cr er des situations de contradiction sur le terrain difficiles justifier pour les op rateurs fran ais vis vis des autres bailleurs et des partenaires officiels 1 2 L implication fran aise m thode et approche gt La division du travail demeure une quation difficile et bien que l autonomie locale des agents de la coop ration fran aise soit vue comme une richesse pr server les partici pants ont mentionn qu ils appr cieraient un soutien des si ges Ils ont par exemple indi qu que sans tomber dans les travers possibles d une nouvelle doctrine limitant le pragma tisme indispensable aux situations rencontr es sur le terrain ils souhaiteraient l laboration de lignes directrices voire de principes et crit res op rationnels ne remettant pas en cause leur autonomie en mati re de division du travail Au del de ces l ments beaucoup ont insist sur l effort qui doit tre fait pour clarifier les concepts de valeur ajout e et d avantages comparatifs S il est acquis que c est bien la comp tence et non le flux d aide qui guide les choix en mati re de division du travail il convient de fournir aux op rateurs une grille de lecture leur permettant de faire leur propre analyse sur la perti nence d un r le de chef de file par exemple d une gestion d l gu e ou sur l articulation d un retrait strat gie de sortie de tel ou tel secteur gt La question de la participation fran
42. aux chelles sectorielle ou globale Enfin la production et le traitement d indicateurs se heurtent aussi partout la faible qualit des statistiques nationales Des efforts seraient sans doute utiles pour progresser dans ces deux directions Recommandations gt Am liorer la gouvernance de l aide c est agir sur le cadre institutionnel et d organisation de sa mise en uvre Les points de vue convergent pour reconna tre que l efficacit re quiert le renforcement du dialogue de la concertation et de la coordination au sein de la communaut des bailleurs et entre ceux ci et les autorit s Mais les initiatives dans ce sens doivent prendre en compte les int r ts particuliers 4 chaque coop ration et la diversit des situations des pays Il faut bannir le dogmatisme et travailler chaque fois des solutions adapt es Il importe aussi cet gard de parvenir mieux tayer la pertinence et les effets potentiels de ces initiatives aupr s des gouvernements nationaux Il importe enfin de savoir mobiliser l ensemble des comp tences fran aises ambassades et dispositif de recherche notamment pour produire des connaissances fines des situations Un objectif majeur doit tre de consolider les capacit s de ma trise d ouvrage nationale D importants progr s peuvent et doivent encore tre r alis s ce niveau Il faudrait sans doute plus qu on ne le fait aujourd hui y travailler l chelle r gionale mi
43. c ment preuve d un entrain d mesur sur le terrain lorsqu il s agit de mettre en uvre les principes d efficacit de l aide Un entretien pr paratoire a permis de pr senter le d roulement du s minaire et ses enjeux puis de discuter de l agenda efficacit de l aide avec M Sarasorro et sa coll gue Mme Victoria Chisala Pnud Addis Abeba 16 octobre 2009 217 6 Enfin il semble que l volution du paradigme du d veloppement affecte la pertinence de 1 l agenda efficacit de l aide puisque le nombre d acteurs se multiplie et ne sont pas tous signataires de la D claration de Paris les interlocuteurs dans les pays ne se cantonnent pas aux autorit s centrales cadres de comp tences d concentr s et d centralis s acteurs non tatiques et que l aide ne repr sente plus qu une source marginale de financement du d veloppement Le point de vue des partenaires invit s Pnud Commission europ enne et Coop ration autrichienne M Sarasorro premier intervenant ext rieur s exprimer a structur sa contribution autour de quatre d fis et quatre suggestions apr s avoir rappel que le syst me des Nations Unies fort de ses 24 agences offre un forum de discussion important pour discuter de l efficacit de l aide avec le gouvernement et une plateforme d change pour des discussions de haut niveau sur l obligation redditionnelle mutuelle Voici les quatre d fis mis en av
44. crease of revenues participation in the common fund of AT Autoridade Tributaria private sector support program health Prosa de and community based projects project under preparation with WB in northern provinces local governance and decentralization support to municipalities districts and civil society reorientation of involvement in water and sanitation towards a support of decentralisation local governance intends to remain active in PFM tax reform audit currently leads the PFM coordination governance decentralization and municipal development currently responsible of the governance pillar health and water WGs objective that more than half of the staff at management level have active and or leadership positions in G19 WG 186 Objectives Composition of the Portfolio Predictability Harmonisation and Alignment 3 Matrice de notation des bailleurs INDIVIDUAL MATRIX PAPs PAF No Points RS 2008 Old jea Paris Activities to be approved at the PAF CdG of Target target baaa target 12 09 08 2008 2009 g 2010 2009 Indicators 1 gt 20 1p PAP contributes at least 40 for AGO as AGO gt 30 2p of ODA for the government Yes Yes Yes gt 40 3p 2 2 gt 66 2p of Programme Aid in total ODA dis o f Programme Aid gt 75 4p bursed by the PAPs Paris Indicator 9 ive eee 7 66 3 3p PAP has multi year agreements for not Yes Yes Ye
45. de confiance entre bailleurs et partenaires n cessaire une approche commune sur la mise en uvre de l agenda il est important de limiter les cons quences dramatiques notamment au niveau social des effets de stop amp go en cas de sanc tions et de leurs effets sur les modalit s d appui budg taire Dans le cadre de strat gie d assistance conjointe la possibilit de proposer deux types de sc narios low case high case en fonction des conditions de gouvernance du pays est un exemple efficace pour cali brer l aide tout en offrant une certaine pr visibilit au gouvernement Enfin faisant cho au propos de M Sarasorro plusieurs participants sont revenus sur la con trainte qu ils ressentent parfois de la part des si ges qui d une part les sollicitent sur de nom breux sujets et exigent des r sultats concrets par rapport aux indicateurs de la D claration mais d autre part n apportent pas toujours les ressources n cessaires pour ce travail ni le ni veau de d concentration d cisionnelle suffisant sur le terrain pour que les op rateurs puissent avancer correctement 220 V EVALUATION FINALE ET CONCLUSIONS L ensemble des participants s est unanimement r joui de la tenue de ces deux jours d changes et de r flexion sur un sujet l efficacit de l aide et sa mise en uvre pour partie invisible et pourtant fortement mobilisateur tr s consommateur de temps en particulie
46. de gestion ax e sur les r sultats et de res ponsabilit mutuelle La liste compl te des participants est port e en annexe Le programme de l atelier est port en annexe 4 p A A Le Le support powerpoint de cette pr sentation est joint en annexe Le support powerpoint de cette pr sentation est joint en annexe 193 gt La quatri me demi journ e enfin apr s une br ve restitution des travaux des deux sous groupes a t consacr e un change de vues avec le repr sentant r sident du Pnud en Ethiopie co pr sident du Development Assistance Group l instance de concertation des donateurs un consultant de la D l gation de la Commission europ enne charg du dossier Efficacit de l aide et un repr sentant de la Coop ration autrichienne sur la base d une pr sentation des l ments saillants des travaux des trois premi res demi journ es Elle s est achev e par un temps de conclusions g n rales et d valuation collective de I atelier L atelier a t ouvert par M l Ambassadeur de France en Ethiopie et clos par M le Premier conseiller de l Ambassade Ce rapport rend compte dans l ordre de leur d roulement de ces diff rentes sessions de travail 194 ll CADRAGE RESTITUTION DES QUESTIONNAIRES PREMIERS REGARDS CROISES La premi re session s est organis e en trois temps 1 Serge Snrech MAEE Paris Corinne Brunon Meunier et Fr d ric Bontemps AFD
47. e C2D 2 2 Concertation coordination division du travail harmonisation gt Dans une majorit de pays des dispositifs de concertation et de dialogue sont en place qui combinent une instance de coordination globale et un nombre plus ou moins important de groupes de travail sectoriels Dans certains pays en RCA au Tchad ou Madagascar ne fonctionnent que des groupes de travail sectoriels La mobilisation d une aide budg taire globale donne lieu dans les pays concern s Madagascar ou au Mozambique par exemple des dispositifs de coordination particuli rement actifs et porteurs de certains r sultats en mati re de dialogue technique et politique En r gle g n rale ces dispositifs et initiatives sont largement impuls s par les bailleurs de fonds et peinent mobiliser les autorit s nationales Enfin peu de coordination existe l chelle des sous r gions que ce soit dans le cadre de l Igad ou de la COI par exemple gt La France joue un r le extr mement actif dans ces dispositifs elle participe la plupart d entre eux elle anime seule ou en partenariat dans de nombreux cas des groupes secto riels voire comme au Cameroun pr side le Comit multi bailleurs D un point de vue plus op rationnel elle cherche au del de ces concertations d velop per des cofinancements de fa on ancienne et avec un certain succ s dans plusieurs cas Mozambique Cameroun plus r cemment dans d autres Afriqu
48. e d ouvrage est lui aussi extr mement diff rent d un pays l autre Celles ci peuvent tre extr mement fortes dans les pays mergents et l inverse quasi inexistantes dans certains Etats fragiles Enfin la contribution de l aide publique au d veloppement aux budgets nationaux peut tre tr s variable Quand comme au Congo elle repr sente peine 3 du budget de l Etat il est illusoire de penser que les bailleurs puissent avoir un poids v ritable dans le d bat sur le d veloppement et la discussion des politiques publiques L objectif des ateliers est ainsi de pousser la r flexion dans ce contexte Corinne Brunon Meunier enfin consid re que la r flexion doit s inscrire dans le contexte des mutations importantes que conna t aujourd hui la coop ration fran aise en Afrique subsaha rienne En 2009 AFD y a r alis pr s de 3 milliards d engagements contre 300 millions en 2000 et 1 3 milliard en 2008 50 de ces engagements concernent les pays correspondant cet atelier Moins de 10 de ces moyens sont d sormais mobilis s sous forme de subven tions et 60 des 90 restants le sont aux conditions de march Cela impose un dialogue et des articulations avec les autres bailleurs L AFD a ouvert plu sieurs chantiers de construction de partenariats avec la Commission europ enne et au niveau de l Union europ enne en particulier avec la KFW et la BEI Les d bats de l atelier sont ap pel s n
49. e de l conomie politique du pays ou de la r gion concern s et de sa complexit Il convient de travailler une grille de lecture sur les lieux de pouvoir et leurs interrelations Le renforcement des capacit s se d cline en deux tendances au niveau individuel notamment avec le travail sur la ma trise d ouvrage locale et au niveau institutionnel c est a dire relatif aux politiques et aux strat gies Il convient notamment d appuyer le d veloppement de linter minist rialit Enfin il semble que la place de l int gration r gionale soit insuffisamment prise en consid ration malgr son potentiel 4 De nombreux propos ont t tenus sur l articulation europ enne sur le terrain la fois n cessaire et souhaitable mais qui reste compliqu e et s inscrit dans un contexte de concur rence latente Le grand chantier de la division du travail en est encore au stade de projet en construction mais il convient de progresser rapidement dans sa mise en uvre Il semble ce sujet que la th orie avance plus vite au niveau des si ges que la mise en uvre sur le terrain 5 Le suivi au niveau local des fonds verticaux auxquels la France participe a t discut mais aucune conclusion consensuelle n a t trouv e sur le degr de participation n ces saire des op rateurs leur suivi De m me se pose la question de l articulation de la coo p ration fran aise avec les multilat raux qui ne font pas for
50. e du Sud Ethiopie par fois avec quelques difficult s Gabon Ethiopie La France s est galement particuli rement impliqu e dans le montage d op rations de gestion d l gu e Plusieurs tentatives ont chou avec la Commission europ enne Co mores Ethiopie RCA Madagascar Deux exp riences sont actuellement mises en uvre au Kenya d l gation de la France KFW et en RDC d l gation du DFID FCI gt L harmonisation des proc dures n est pas une pr occupation prioritaire des bailleurs et dans la plupart des pays ne fait l objet d aucun effort particulier Cela est expliqu d une part par la rigidit des proc dures de chacun et notamment des proc dures des bailleurs multilat raux d autre part par le manque d initiative et l incapacit des Etats nationaux imposer des lignes communes Dans ce contexte les demandes des autorit s nationales concernent pour l essentiel l am lioration de la visibilit des flux et de la programmation de la mise en uvre de 197 l aide Dans certains cas est galement souhait un recours accru l aide budg taire glo bale et aux fonds communs 2 3 Alignement int gration suivi gt L alignement sur les syst mes nationaux est pour une part la pratique de l AFD dans le sens o son aide est mobilis e via des maitrises d ouvrage nationales Les principales dif ficult s soulign es pour avancer dans cette voie sont la m fiance v
51. e et d influence Offre de production intellectuelle recherche et ateliers sur les points forts e Innovante et exp rimentale Via offre ONG et nouveaux acteurs Prospective Les secteurs de concentration de demain De circonstance crise Etat fragile cas de la r forme fonci re Une implication d l gu e e Les secteurs hors concentration deviennent secteurs de d l gation cas de l environnement L influence se d l gue t elle e Comment renvoyer l ascenseur 173 Doit on suivre localement l activit des multilat raux e Insuffisance de l information pays montante descendante sur le travail des administrateurs et les positions fran aises e Revisiter la tuyauterie e A travers les r unions des chefs de d l gation et les groupes sectoriels e A formaliser et normaliser e Participer la programmation l influencer e Cas BM Economic and sectorial work Policy paper missions de supervisions conjointes e Cas CE revue a mi parcours Xeme FED Exp riences probantes de division du travail et conditions de leur succ s e Davantage de coop ration sectorielle que de division du travail e Exp riences probantes et non probantes e Division exclusive cas MCA ou inclusive urbain AFD DCE e Division g ographique la coop ration d centralis e ONG Le risque du retrait ou des sanctions e Conditions n cessaires L harmonisation des agendas strat giques et la
52. e strat gique 4 1 L approfondissement du cas du Mozambique Les participants ont souhait approfondir cette exp rience pays tr s riche et la premi re heure du d bat a donc t consacr e un dialogue sous la forme de questions r ponses sur la situa tion au Mozambique Outre les l ments pr sent s lors de l introduction cette discussion a permis de clarifier quelques points suppl mentaires La fa on dont est men le dialogue strat gique est une des dispositions marquantes de la dy namique mozambicaine Il s agit d un dispositif labor dans le cadre de l appui budg taire global dont b n ficie le pays qui s articule autour d une vingtaine de groupes de travail th matiques et sectoriels la majorit desquels le gouvernement est associ Le dialogue poli tique global se tient tous les trois mois entre une tro ka repr sentant les bailleurs et le gou vernement Il permet aussi de proc der des revues conjointes Certains participants se sont demand si au del d une machinerie exemplaire il tait pos sible de voir une r elle diff rence sur la vie des gens et la r duction de la pauvret au Mozam bique autrement dit quel tait l impact du dispositif sur l efficacit de l aide et du d velop pement En fait la contribution de l aide au d veloppement est difficile valuer mais il semble que le dialogue entre les bailleurs soit effectivement plus efficace ce qui
53. enaires dans les dispositifs d valuation d centralis e e Renforcer les capacit s des partenaires notamment en mati re de collecte et de traitement statistique des donn es sur la mise en uvre et les r sultats de l aide e Porter une attention particuli re aux indicateurs de r sultats afin qu ils soient objective ment mesurables car certains ne sont ni vraiment mesurables ni vraiment pertinents 215 Dans les pays o la gestion des finances publiques n offre pas la transparence n cessaire adopter une approche progressive pour l am liorer avant de travailler sur le suivi des r sultats et la redevabilit Agir r solument avec les acteurs infra tatiques et les associer au contr le des r sultats Se donner nouveau les moyens de soutenir les instituts r gionaux de formation en statis tiques 216 IV LE DEBAT AVEC LES BAILLEURS DE FONDS L atelier a accueilli M Fid le Sarasorro Repr sentant R sident du Pnud M Alex O Riordan de la D l gation de la Commission europ enne en Ethiopie et M Leonhard Moll Conseiller chef du bureau de la coop ration au d veloppement autrichienne Ces repr sen tants ont t invit s r agir une pr sentation des principaux l ments des travaux de l atelier puis un court d bat s est engag sur ces bases Restituant les travaux de l atelier M Serge Snrech MAEE Paris a insist sur 6 points 1 Ilest important de constater la diversit
54. enthousiasme des pays partenaires les participants se sont accord s sur le fait qu il est n cessaire de favoriser leur implication y compris en les convaincant bien que ce terme soit un peu pi g et pi geant Documenter les bonnes pratiques et mettre disposition des gouvernements partenaires quelques premi res donn es chiffr es en gain sur les co ts de transaction harmonisation des proc dures vitesse accrue de d caissement mise disposi tion d information sur les flux d aide plus syst matique etc sont autant de pistes de tra vail approfondir Une r flexion sur les raisons pour lesquelles les partenaires s impliquent peu serait galement utile afin de r pondre leurs craintes et leurs aspira tions ce sujet gt Cette d marche ne va pas sans une implication r elle en mati re de renforcement des ca pacit s des autorit s du pays question r currente s il en est Il est crucial que cette assis tance technique s inscrive dans le long terme y compris dans des contextes de gouver nance difficiles o elle peut continuer le travail au niveau des administrations en parall le au dialogue politique entre bailleurs et gouvernements sur la situation donn e Certains participants ont d ailleurs regrett que le nombre de postes d assistants techniques r gresse dans certains pays Or la France a une bonne exp rience en la mati re reconnue par les pays partenaires o dans certains cas la
55. entre ce que ce plan pr conise et la r alit des situations qu il s agisse de pr visibilit de concen tration ou encore de coh rence interne dans la mise en uvre de l aide fran aise Une toute premi re am lioration serait pour beaucoup tout simplement de l appliquer Certains sou lignent galement le besoin de le rendre plus directif pour autant qu il int gre des modali t s de mise en uvre et des m canismes de suivi r alistes gt Une chose est s re et exprim e de fa on unanime am liorer l efficacit de l aide fran aise c est am liorer la pr visibilit des engagements Am liorer l efficacit passe gale ment pour beaucoup par le renforcement de la coh rence interne l accroissement de la concentration l adaptation des outils et des moyens aux priorit s nonc es ou encore l am lioration de la coordination l chelle europ enne gt La France pourrait jouer un r le moteur dans le d bat international autour de trois enjeux principaux Le d veloppement de la division du travail de la concentration sectorielle et de la ges tion d l gu e L harmonisation des proc dures notamment en termes de montage de suivi et d valuation de l aide tudes pr alables conditionnalit s valuations etc 198 La priorit donner l am lioration de la gouvernance et au renforcement des capaci t s comme condition du progr s vers l appropriation
56. es par quelques propos compl mentaires M O Riordan a notamment rappel l importance de l assistance technique en mati re de renforcement des capacit s locales mais il a regrett que trop souvent elle ne doive rendre des comptes qu au bailleur qui la mobilise Il conviendrait que l assistance technique rende compte plus syst matiquement de son activit aupr s des pays partenaires que ce soient les autorit s centrales ou les maitrises d ouvrage locales aupr s desquelles elle est plac e Il a galement constat de fa on assez pragmatique que les engage ments de la D claration de Paris ne seront sans doute jamais atteints et que de fait il est im portant d y r pondre de fa on it rative en s effor ant de s adapter continuellement aux qui libres de pouvoir en place entre bailleurs avec le gouvernement entre si ges et op rateurs Il a aussi argu du fait que les co ts de transaction les plus lev s ne sont pas ceux qui r sultent de la mise en uvre d une meilleure coordination mais ceux qui sont engendr s par les rat s de la coop ration quand par exemple un programme qui a eu de bons r sultats s arr te et que la continuit des approches n est pas assur e dans le moyen et long terme Il a galement re grett que peu d incitations existent actuellement pour que les pays partenaires s impliquent dans la mise en uvre de l agenda efficacit de l aide Il a insist sur le f
57. es pays mergents condi tionnalit moindre notamment en mati re de gouvernance 204 gt Enfin le groupe s est accord sur importance de soutenir l initiative europ enne de la division du travail notamment travers la mise en uvre de la Fast Track Initiative dans les pays pilotes retenus Malgr les r ticences ressenties sur le terrain de la part de cer tains bailleurs comme des gouvernements il faut s appuyer sur les bons l ves europ ens pour aller de l avant en centrant bien l objectif de cette approche sur le soutien du pays tiers et en favorisant la transparence entre bailleurs La cartographie des interventions des bailleurs semble avoir jou le r le d un d clencheur dans plusieurs pays Cet outil appara t particuli rement utile pour changer l information obtenir une id e pr cise des diff rentes interventions et faire appara tre les redondances ou absences de l aide mais le risque per siste qu il se cantonne une situation de diagnostic et ne soit pas suivi d effet pour articu ler concr tement la division du travail Il convient donc non seulement de syst matiser ces exercices de cartographie mais aussi de leur adjoindre un dispositif de suivi qui inclut une participation des autorit s du pays partenaire 1 3 L implication des pays partenaires une in vitable approche proactive gt Partant du constat que la mise en uvre de la division du travail ne soul ve pas l
58. et effort ait pour cons quence la diminution de l aide pour leur pays gt D autre part il faut bien constater que les bailleurs restent en situation de concurrence sur le terrain alors que la progression de la division du travail implique un travail collectif De plus l impulsion europ enne demeure insuffisante sur le terrain et les Etats membres sem blent plus ou moins pr ts s y atteler concr tement au del du discours politique cet gard le cas des pays nordiques et de DFID a t voqu plusieurs reprises Enfin ab Cette pr sentation est jointe en annexe 203 sents de ce d bat les pays mergents surtout la Chine dont les transferts sont de plus en plus importants sur Afrique ne rentrent pas dans cette dynamique et en faussent m me le jeu gt Bien que les participants reconnaissent qu une large autonomie locale soit effectivement laiss e aux postes dans le dispositif fran ais les d cisions li es la mise en uvre de la division du travail restent minemment politiques et ne sont pas toujours simples articu ler sur le terrain gt Enfin un dilemme est souvent rencontr dans cette d marche entre logique d influence et logique d efficacit Les op rateurs ne sont pas en mesure de proc der au choix eux m mes et souhaitent un appui plus clair de la part de leur si ge notamment par rapport aux arbitrages n cessaires entre ces deux logiques tout en vit
59. et l alignement 3 D bat g n ral Le d bat qui a suivi cette pr sentation a permis de revenir sur quelques contraintes majeures de la mise en uvre des principes d efficacit sur le terrain et d ouvrir plusieurs pistes de r flexion pour l action 3 1 D l gations de gestion comment progresser Plusieurs tentatives de d l gation de gestion de fonds de la Commission europ enne la France ont chou dans diff rents pays par exemple en Ethiopie dans le secteur de la justice ou encore au Gabon et en RCA dans le secteur de l assainissement Dans ces diff rents cas la France pouvait pourtant faire valoir une pr sence et une comp tence reconnues appuy es sur une exp rience et des m thodes d action parfaitement prouv es Il semble que la raison de ces checs tienne principalement au refus par les DCE d abandonner leur visibilit sur ces op rations Elle tient aussi aux personnes en poste dans les d l gations et leur volont de concr tiser les choses Dans d autres cas en effet au Mali au S n gal ou au Togo par exemple il existe l inverse des exp riences r ussies De m me au Tchad ou au Congo des accords certes financi rement modestes ont pu tre conclus pour articuler des financements FSP et des financements communautaires sur certains op rations L argument avanc par Bruxelles selon lequel les montants d l gu s par la Commission aux Etats membres seraient aujourd hu
60. et objectif puisse tre atteint De la m me fa on il est difficile que l aide bilat rale programmable soit sensiblement augment e Au Gabon une nouvelle possibilit de d l gation sur la formation professionnelle pourrait voir le jour dans la mesure o les fonds d l gu s par la DCE ne d passent pas un seuil de 10 de ses engagements sur le secteur lui permettant de pr server ainsi sa visibilit 199 a court terme les marges de manceuvre sont quasi inexistantes sur les contributions multilat rales et les engagements vis vis de l Union europ enne ne seront pas d battus avant 2011 L laboration d une programmation a 3 ans demand e par le Cicid permettra peut tre quelques avanc es en mati re de pr visibilit mais elle ne r soudra pas ce probl me de moyens De m me l laboration d une strat gie globale apportera peu de choses de ce point de vue Un autre probl me majeur est celui de la baisse des subventions Alors qu un certain nombre de pays ne peuvent avoir acc s aux pr ts le volume d aide mobilisable sous forme de dons ne cesse de diminuer Au d faut de coh rence dans les discours cf supra s ajoute un manque de coh rence dans les actes la politique migratoire de la France devrait s accompagner par un accroissement de son aide au d veloppement Or c est l inverse qui se produit Pourtant les effets peuvent en tre extr mement dangereux et co ter au final bien plus
61. gences locales de coop ration Troisi me contrainte enfin l articulation dans cer tains cas des outils de financement pr t vs dons qui ne va pas toujours de soi Dans ce contexte qu est il malgr tout possible de faire Deux conditions cl doivent tre respect es si l on veut avancer dans le sens d une plus forte division du travail Une premi re condition est de savoir adapter la d marche pr conis e aux situations diff renci es La divi sion du travail ne s impose pas n cessairement dans les situations de crise o la pluralit des acteurs des champs et des m thodes d action est plut t un atout Elle concerne par ailleurs assez peu les pays forts pouvant faire valoir des strat gies nationales au sein desquelles les bailleurs doivent trouver leur place Dans la vaste gamme des situations interm diaires il existe l vidence des marges de rationalisation Celles ci doivent n anmoins donner lieu une appr ciation concr te et la mise au point de solutions pragmatiques localement perti nentes loin de toute th ologie Une seconde condition qu il est imp ratif de respecter consiste dans toute d marche visant diviser le travail reconna tre et prendre en compte les int r ts des diff rents bailleurs Il est en particulier fondamental d assurer chacun qui fait l effort de d l guer la visibilit qu il est en droit d attendre dans le nouveau dispositif Limiter l
62. gique d influence ne doit pas tre ignor mais au contraire int gr dans la r flexion sur l harmonisation Par exemple lorsqu il existe un ef fort commun pour assister de fa on conjointe un secteur ou s engager dans une dynamique de renforcement des capacit s il faut absolument viter que des consid rations politiques emp chent d y participer par exemple travers des fonds verticaux ou des approches sec torielles SWAPS pour des questions de visibilit La division du travail doit tre encourag e sur la base du principe de l avantage compara tif qui s value sur le terrain en fonction des forces en pr sence Or une des contraintes majeures reste pr cis ment que les d cisions relatives la division du travail minem ment politiques demeurent le plus souvent du ressort des si ges et sont au del de l autorit des chefs de missions et op rateurs sur le terrain De plus les si ges ont encore du mal concevoir et expliquer des strat gies de retrait exit strategy ou le r le de partenaire silencieux silent partner Enfin les gouvernements partenaires ne sont pas toujours preneurs d une meilleure division du travail qu ils abordent avec certaines peurs comme celle de voir baisser le niveau de l aide ou de moins pouvoir influencer leurs rela tions particuli res avec chacun des bailleurs en pr sence 218 Apr s avoir rappel que le Pnud a fait preuve d u
63. i huit fois plus lev s qu l inverse et qui pourrait expli quer pour une part les r ticences des d l gations aller plus avant dans ce sens ne concerne pas la France L AFD est en effet la seule agence europ enne qui ait respect un principe d quilibre de ce point de vue en ayant d l gu autant qu elle a re u Dans ce contexte il est sans doute important que des directives plus claires soient donn es par Bruxelles ses d l gations Il est aussi important s agissant des PRI d avancer dans la r flexion sur l articulation et la coh rence des outils de financements dons pour la Commission pr ts pour l Agence chantier actuellement travaill par le si ge de l AFD Enfin il faudra peut tre revoir le principe d quilibre auquel l Agence s est tenu jusqu pr sent 3 2 La France a t elle les moyens de ses ambitions Le discours politique fran ais sur l aide celui livr par le dernier Cicid en particulier annonce des efforts accrus en mati re de pr visibilit et confirme l objectif d une APD 0 7 du RNB en 2015 Il existe l vidence un profond d calage entre ces engagements et les contraintes budg taires atteindre l objectif annonc en 2015 supposerait la mobilisation suppl mentaire de 1 5 milliards par an pendant les 5 ans venir Sauf modifier nos cadres conceptuels sur le fi nancement du d veloppement il est illusoire de penser que c
64. illeurs Dans ce contexte si certains participants consid rent qu il faut s appuyer sur des structures op rationnelles d di es voire se r f rant l exemple du C2D au Cameroun mettre en place des structures d cisionnelles elles aussi d di es d autres l inverse insistent sur les limites et les dangers de ce type de d marche Quoiqu il en soit les avis convergent sur un point l importance de travailler l tablissement de normes et de r gles au sein de la communaut des bailleurs visant coordonner et r guler les pratiques en mati re de r mun rations per diem et autres avantages Des m canismes de compensation pourraient aussi certainement tre mis en place dans le cas de d bauchages Difficile traiter semble t il au niveau international ce sujet constitue pourtant pour beau coup une priorit Une autre priorit au niveau fran ais serait de capitaliser sur les m thodes et les outils de travail en mati re de renforcement de comp tences de sorte construire des r f rences prouv es pour l action 4 Gestion ax e sur les r sultats et responsabilit mutuelle Groupe de travail n4 Participants Fr d ric Bontems AFD Paris Alexander Von Kap Herr AFD Paris Serge Snrech MAEE Paris Gilles Chausse AFD Cameroun Olivier Pezet AFD Madagascar Jean Pierre Marcelli AFD Kenya Patrick Dal Bello AFD Tchad Bruno Leclerc AFD Mozambique Cheikh Dia AF
65. imit en mati re d analyse des r sultats sur le d veloppement Enfin notons que les repr sentants de la Commission de Union africaine tout en reconnais sant les diverses limites de l obligation redditionnelle mutuelle ont conjointement plaid pour un effort en mati re de suivi des r sultats car c est selon eux un l ment crucial pour am lio rer la qualit de l appropriation de l aide par les pays partenaires Il est donc important que les bailleurs les appuient pour d velopper la culture des r sultats envers les diff rentes parties prenantes notamment les parlementaires 4 4 Recommandations La derni re demi heure du d bat a t consacr e un tour de table pour que chaque participant puisse introduire une recommandation sur la gestion ax e sur les r sultats ou sur l obligation redditionnelle mutuelle en s inspirant de sa propre exp rience et des propos chang s durant cette session en sous groupe Ces recommandations sont pr sent es telles quelles ci dessous pour information sans tentative de regroupement ou d analyse particuli re e Encourager une tentative de lecture plus politique de la D claration de Paris La pression exerc e sur les Etats partenaires pour la mettre en uvre d pend fortement de leur d pen dance par rapport l aide ext rieure du type de modalit s utilis es pour cette aide et de la situation de gouvernance du pays e Baisser le niveau de conditionnalit im
66. impliquer aussi les organisations sociales repr sentant les int r ts des b n ficiaires finaux de l aide condition de la p rennit des actions Bref viser l efficacit de l aide c est associer l ensemble des acteurs concern s sa d finition et ses orientations prendre appui sur ceux ci pour sa mise en uvre et donc au del de la mobilisa tion et de l accompagnement des lites renforcer l implication et les capacit s des corps in term diaires D un c t l AFD traditionnellement plus habitu e travailler avec des ma trises d ouvrage publiques en mesure d emprunter doit chercher mieux s ouvrir ces autres acteurs de l autre la coop ration fran aise de fa on g n rale doit veiller mobiliser des appuis de proximit dans l objectif de contribuer une plus forte structuration des acteurs locaux les FSD sont cit s comme un outil important et pr server de ce point de vue 3 2 Concilier des objectifs contradictoires Le principal dilemme aujourd hui est d tre confront des objectifs pour une bonne part con tradictoires un objectif d engagement de l aide d un c t un objectif d appropriation de celle ci de l autre Il faut faire produire des r sultats et dans le m me temps engager des d marches vertueuses dans le sens des principes nonc s coordination des bailleurs appropria tion etc tre efficace dans le court terme tout en construi
67. ions r elles ces diff rents points de vue sont souvent loin de ce sch ma Dans un grand nombre de pays de nouveaux bailleurs font irruption poss dant chacun des strat gies particuli res et se situant pour certains l cart d lib r des principes d efficacit adopt s par la communaut internationale qu il s agisse de l Inde de la Chine des fonds arabes mais aussi d ONG de Fondations etc S ajoute cela l chelle multilat rale la multiplication des fonds communs mobilisant des moyens souvent tr s sup rieurs aux coop rations bilat rales Le paysage des donateurs devient ainsi de plus en plus complexe L id e d une substituabilit des bailleurs qui sous tend une bonne part des principes d efficacit concentration division du travail etc est par ailleurs tr s sujette cau tion Elle ignore les approches sp cifiques les pr f rences et surtout les enjeux et les agendas politiques des coop rations S agissant des interlocuteurs nationaux comment ne pas prendre acte de la multiplica tion des acteurs l gitimes collectivit s locales soci t civile parlements L on ne peut non plus ignorer les instances de niveau r gional Enfin l int rieur m me des appareils d Etat les interlocuteurs sont eux m mes multiples et d fendent souvent des int r ts diff rents minist res du Plan des Finances minist res sectoriels L ventail des capacit s de ma tris
68. is vis des syst mes fi duciaires et la faiblesse des maitrises d ouvrage Certains dispositifs sont consid r s comme facilitant l alignement les C2D Cameroun les Fonds communs Mozambique voire certains cadres strat giques nationaux ou secto riels Ethiopie La situation dans un pays mergent comme l Afrique du Sud est l inverse d accompagner les politiques nationales en sachant tre force de proposition pour y appor ter une plus value gt Dans tous les pays la programmation de l aide fran aise fait r f rence aux cadres strat giques nationaux Elabor e en concertation plus ou moins troite avec les autorit s natio nales elle fait l image des cadres strat giques nationaux assez peu de place au dialogue avec la soci t civile ou d autres acteurs non gouvernementaux gt Les m canismes de suivi de l aide sont le plus souvent int gr s aux dispositifs de mise en uvre aide par projet ABG ils concernent peu les strat gies et les r sultats plus glo baux Dans plusieurs cas du fait de la faible implication des autorit s nationales mais aussi de la difficult de la France r aliser ses engagements les revues mi parcours des DCP n ont pas t men es 2 4 Premi res pistes de propositions gt Les avis sont partag s sur la plus value du Plan d action fran ais par rapport aux textes internationaux Ils sont plus convergents en revanche sur les d calages existants
69. la seule chelle des pays et requi rent une mobilisation au niveau des si ges des institutions Enfin au dela de la relation aux acteurs publics les appuis au secteur priv constituent un autre champ d action encore insuffisamment articul avec l APD Dans ce cadre l image de l exp rience conduite Madagascar il est aussi possible de mettre en place des dispositifs de dialogue et de concertation vecteurs de synergies entre les bailleurs CE Onudi et d articulations avec les institutions nationales chambres des m tiers organisations profes sionnelles 3 4 Red finir les DCP Dans plusieurs pays au Tchad ou en RDC par exemple les secteurs de concentration de l aide fran aise d finis dans les DCP sont aujourd hui en net d calage par rapport aux priorit s de d veloppement Dans d autres au Mozambique notamment le DCP concerne les subventions et n a pas anticip l acc s possible du pays des pr ts Une r flexion est aujourd hui en cours au MAEE sur la pertinence g n rale de cet outil et ses volutions possibles Elle devrait tre consolid e d ici la fin de l ann e Font notamment l objet de r flexions la possible int gration d une dimension r gionale ou encore l int r t de leur existence dans des pays d intervention modeste Quoiqu il en soit si un nouveau format de DCP devait voir le jour il faudrait estime un parti cipant que ces documents soient con us comme des
70. la syn th se des r sultats pr sent e par les consultants et ouvrir un premier d bat g n ral sur les enjeux les avanc es et les limites de la mise en uvre de l agenda Efficacit de l aide dans les pays de la r gion D jeuner Mise en uvre de l agenda d fis et recommandations 159 14h00 14h10 Pr sentation des objectifs des sous groupes introduction des th mes de travail Les sous groupes seront invit s a d battre des questions trait es dans les r ponses au ques tionnaire L objectif est d changer les exp riences et d en tirer les principaux enseignements pour l action d bouchant sur quelques recommandations et messages relatifs la mise en uvre des logiques d intervention correspondantes et deux messages 14h10 14h20 Exp rience de l attach de coop ration fran aise centr sur la coordina tion de l aide au service des intervenants fran ais SCAC Mission co nomique AFD par Lucien Bruneau attach de coop ration Addis 14h20 18h00 Premiers travaux en sous groupes sur la division du travail La r flexion sur la coordination l harmonisation et la division du travail sera conduite en deux sous groupes charg s chacun de d battre des questions suivantes o Quels sont les facteurs d clencheurs d une meilleure organisation du travail acteurs contextes etc o Quelle participation est souhaitable dans les secteurs hors concentration o Doit on
71. le choix fait de recourir au multilat ral doit en toute coh rence conduire les Fran ais sur le terrain s abstraire du suivi des dispositifs Pour d autres il est au contraire de la responsabilit de la France d tre partie au suivi local de la mise en uvre de ces fonds et des ressources humaines accrues devraient donc tre mobilis es ces fins ressources qui pourraient notamment tre mobilis es aux chelles r gionales La diversit des situations de terrain exige de faire preuve de souplesse dans la mise en uvre des principes d efficacit Mais les bailleurs et la France parmi eux sont aussi te nus par l obligation de rendre compte des actions qu ils m nent et de leurs effets La mise 191 au point et le suivi de crit res et d indicateurs communs sont n cessaires par dela cette di versit Le cadre europ en offre un espace potentiel de renforcement de la coordination et de la division du travail Mais l exercice reste confront des r ticences et des difficult s de dif f rentes natures I est important de parvenir dynamiser les dispositions et les outils exis tants et la responsabilit en incombe fortement aux si ges des institutions 192 l INTRODUCTION L atelier qui s est tenu a Addis Abeba les 19 et 20 octobre 2009 a r uni les directeurs d agence AFD et les conseillers de coop ration et d action culturelle de treize pays d Afrique centrale orientale et australe
72. le suivi de crit res et d indicateurs communs par del cette diversit Les travaux conduits dans le cadre de ces diff rents s minaires alimenteront l vidence la r flexion strat gique de l AFD actuellement engag e dans le bilan de son Plan d orientation strat gique POS 2 et dans la perspective de la nomination prochaine de son nouveau direc teur g n ral 221
73. lieu d avoir recours a plusieurs matrices en fonction des multiples proc dures et exigences des diff rents bail leurs Le suivi des documents g n raux de type DRSP est indiqu comme un moment important du dialogue sur une gestion de l aide ax e sur les r sultats mais parfois la revue n est pas men e notamment car le gouvernement ne le demande pas A d faut l valuation des progr s sur les OMD peut permettre d articuler un certain suivi dans le pays C est le cas notamment au Cameroun A la question de savoir quels taient les facteurs porteurs de changements plusieurs partici pants ont indiqu que la D claration de Paris et l Agenda d Accra ont t des l ments d clencheurs Soit de fa on directe lorsque le dispositif mis en place par rapport ces engage ments a donn naissance de nouveaux outils de suivi des r sultats soit de fa on indirecte par la conscientisation des bailleurs et des pays partenaires par rapport la n cessit de d ve lopper une culture des r sultats Dans tous les cas cet effet d clencheur reste li au con texte du pays i e part d APD dans le budget de l Etat d cisif dans le rapport bailleurs partenaires Un probl me r current d battu lors du travail du sous groupe est la qualit des statistiques de leur collecte et de leur fiabilit De l avis g n ral ces donn es restent tr s faibles l heure actuelle et posent un s rieux pr
74. mandations Les id es suivantes ressortent d un tour de table en fin de session pendant lequel chaque par ticipant a eu l opportunit de proposer une recommandation sur le th me de la division du travail Bien qu elles ne soient pas forc ment consensuelles et que leur faisabilit n ait pas t d battue elles posent sans doute les bases d une r flexion plus approfondie sur divers enjeux e S efforcer de bien articuler la coordination des dispositifs franco fran ais avant de par ticiper la division du travail Renforcer les synergies Scac et AFD dans les pays et entre pays p le d veloppement des ambassades e Se donner les moyens de d montrer aux pays partenaires la pertinence de la division du travail e Promouvoir la cartographie comme outil pragmatique m me de stimuler la division du travail et y associer syst matiquement un dispositif de suivi concret e Ne pas sous estimer la contribution fran aise en mati re d apport intellectuel en sec teurs hors concentration e Participer la division du travail dans les Etats fragiles m me en situation difficile en tablant sur la mise disposition d assistance technique sur le long terme e Se garder d une approche critique envers les Etats partenaires lorsqu ils sont associ s aux cadres de concertation e Adopter plus de pragmatisme et de flexibilit dans l application de la conditionnalit Permettre aux op rateurs une certaine marge de man
75. mise disposition d une expertise r mun r e sur des finances locales est demand e par les autorit s D autre part l assistance technique permet de faire passer le message sur le bien fond de la division du travail de sensibiliser les gouvernements partenaires et d articuler l information entre administrations locales et postes fran ais gt Les cadres de concertation global et sectoriel auxquels participent les autorit s natio nales et leurs administrations ont t voqu s comme tant un l ment important du dispo sitif portant la mise en uvre de la division du travail Les participants ont n anmoins in diqu qu il est fondamental de ne pas s en servir comme d un espace d interpellation des gouvernements et de leur action politique Il ne s agit pas d utiliser ces fora pour un dis cours critique envers les partenaires mais de neutraliser le risque de cartellisation d viter 1 POE 5 a L exemple mozambicain d un syst me d claratif volontaire sur les flux d aide mis en place par de l assistance tech nique sur internet au niveau du minist re du Plan a t remarqu comme une bonne pratique facilement reproduc tible 205 l effet additionnalit des conditionnalit s et de chercher les associer aux dispositifs et aux dispositions relatives la mise en uvre de la division du travail au profit d une meil leure efficacit de l aide 1 4 Les recom
76. mportant d valuer dans quelle mesure un effort de formation et de renforcement de capacit s est n cessaire pour ce faire Un participant a propos la piste de l externalisation du suivi de ces cadres logiques en reconnaissant que la solution n est pas non plus optimale Malgr ces nombreuses interrogations quelques outils ont t pr sent s comme tant assez porteurs en mati re de redevabilit Les valuations d centralis es par exemple sont un exercice conjoint qui associe des acteurs locaux au dela de l administration centrale Le contrat de performance performance framework manant g n ralement d une demande interne de l administration locale permet de s accorder sur des indicateurs de suivi au niveau sectoriel et pourrait sans doute servir de r f rent commun et unique pour l ensemble des bail leurs Un autre sujet de la discussion a port sur les possibilit s d agr ger les donn es qui restent loin d tre optimales que cela concerne les projets programmes et leur impact sur le d ve loppement sectoriel dans les pays partenaires mais aussi les possibilit s d acc s des donn es 214 facilement consolidables au sein de l AFD pour le suivi global de ses propres interventions Sur ce dernier point s il existe un consensus sur l extr me complexit de ce type de d marche de suivi il convient de noter qu institutionnellement l effort de l Agence demeure relative ment l
77. n AFD et SCAC Addis Abeba Atelier Efficacit de l aide Gouvernance nationale de l aide et renforcement des capacit s Didier GREBERT AFD Addis Abeba dA Patrick COHEN SCAC Addis Abeba Dans un monde id al c t autorit s Le gouvernement affiche des priorit s strat giques claires et coh rentes d mocratiquement d termin es e La discipline des bailleurs de fonds est organis e par les autorit s nationales sur un mode d quit e L administration se met en ordre de bataille pour mener bien les projets e L administration value correctement ses manques assure la stabilit des quipes projets met aux premiers rangs de ses priorit s l efficience d utilisation de l APD l atteinte des r sultats programm s la capitalisation d exp rience e Le travail avec des partenaires non tatiques ne pose aucun probl me eux ci ayant un statut reconnu par les autorit s et respectant les orientations nationales l laboration desquelles ils ont particip a 176 Dans un monde id al c t partenaires e Les partenaires tous les partenaires s inscrivent dans les priorit s nationales sans chercher a perturber le jeu d mocratique e Ne d tournent pas l APD de son objectif principal de solidarit entre les peuples e Respectent les structures administratives existantes mais aident ales renforcer en fonction des besoins valu s e
78. ne capacit d alignement significative en Ethiopie par rapport d autres bailleurs M Sarassoro a avanc quatre suggestions pour pro gresser dans la mise en uvre de agenda efficacit de l aide 1 La D claration de Paris s articule autour de principes g n raux qu il convient de domes tiquer et de transcrire au niveau local La communaut des bailleurs doit faire un effort particulier pour comprendre le contexte et la situation du pays partenaire afin d ajuster la mise en ceuvre des principes d efficacit 2 Un niveau sup rieur de d l gation d autorit des si ges vers les op rateurs sur le terrain est n cessaire pour que la mise en ceuvre de cet agenda puisse fonctionner 3 La pr visibilit est un l ment essentiel pour que les pays partenaires conservent un int r t dans la mise en uvre de la D claration de Paris Les bailleurs doivent s atteler tablir des budgets consistants en coh rence avec cette d marche et avec des priorit s clairement tablies et respect es dans la dur e 4 Il convient de r fl chir non seulement au niveau de ressources n cessaires sur le terrain et leurs modalit s mais aussi de mieux penser l expertise et la possibilit de mixer les res sources humaines des diff rents bailleurs afin d avoir une gamme disponible couvrant l ensemble des besoins MM O Riordan et Moll ont souscrit l ensemble de ces consid rations Il les ont enrichi
79. nsabilit mutuelle et transparence 2 2 Moz o en est on par rapport a la DP GoM renforcer r le Parlement d velopper approches participatives Parlement toujours peu impliqu mais alignement des cycles de programmation sur le calendrier budg taire et parlementaire Soci t civile de plus en plus impliqu e observatoires du d veloppement y compris provinciaux participation aux r flexions sur les matrices d indicateurs et leur suivi implication sur ITIE implication sur valuation du PARPA 2 et pour pr paration du PARPA 3 Secteur priv impliqu dans GT secteur priv mais globalement encore beaucoup faire PTFs pr visibilit de l aide reddition de compte ODAMOZ base de donn es de l aide sur Internet actualiser chaque trimestre avec d caissements pr vus dans ann es n n 3 Outil pour mieux pr parer le budget et pour le CDMT Difficult s pour la France d tre pr visible Ensemble valuation conjointe des r sultats revues conjointes de l ABG int gration de tous les bailleurs dans l avenir deux matrices de performance celle du GoM et celle des PAPs 2 Responsabilit mutuelle et transparence 2 3 Rappel de l Agenda d Accra pour l Action Pays et Donneurs sont responsables des r sultats obtenus Transparence et reddition de comptes notamment vis vis de l opinion publique Mise en place de m canismes d valuations mutuelles Mises en uvre et ou poursuite des s
80. obl me en mati re de gestion ax e sur les r sultats et d obligation redditionnelle mutuelle d ailleurs Plusieurs l ments d explication cette situa tion ont t identifi s les syst mes nationaux de statistiques sont faibles voire d faillants donc les chiffres peuvent tre erron s et ne sont pas consid r s comme fiables Gabon Madagascar les territoires sont tendus parfois difficilement accessibles et la transmission de l information y compris par internet reste difficile Tchad le degr de finesse et de pertinence des indicateurs utilis s pour tablir les statistiques laisse d sirer Cameroun Les repr sentants de la Commission de l Union africaine ont eux aussi effectivement insist sur l importance de renforcer les capacit s en mati re de statistiques au niveau des pays et surtout des r gions sur deux axes am liorer et p renniser la collecte en consolidant les res sources humaines qui y travaillent et am liorer la transmission des donn es 20 A be ae Au dela des dividendes en mati re de coordination 213 4 3 La redevabilit Le premier constat du groupe a port sur l importance de diff rencier l approche en mati re de redevabilit en fonction des types de modalit s utilis es Pour de l appui budg taire il existe de fait une obligation de suivi et un dispositif est d fini ex ante Pour les autres modalit s le travail de redevabilit appa
81. omique r gional Kenya Olivier Jonglez Service conomique r gional Afrique australe Animation Gw na lle Corre consultante ECDPM L atelier a t introduit par une pr sentation deux voix de la situation en R publique D mocratique du Congo par MM Christian Yoka et David Sadoulet Les introducteurs ont pr sent le contexte actuel du pays marqu par la reprise de l aide rappel les missions de la coop ration fran aise dans le cadre de l agenda de Kinshasa sur la mise en uvre de l agenda efficacit de l aide dans les contextes d Etats fragiles et tir quelques premiers enseignements sur l action des dispositifs de concertation et de coordination ainsi que sur un exemple positif de d l gation de gestion avec DFID notamment Ils ont conclu en intro duisant quelques pistes de r flexion pour le d bat 1 1 Quelques constats partag s sur la division du travail gt Le premier constat est celui d une implication limit e des Etats partenaires Il semble que la valeur ajout e de la mise en uvre de la division du travail des bailleurs n ait pas encore enti rement convaincu les gouvernements Un effort de communication leur gard est n cessaire Parfois les autorit s ne l appellent pas de leurs v ux car elles pr f rent con server une certaine autonomie dans leur relation bilat rale avec chacun des bailleurs en pr sence craignent leur cartellisation ou tout simplement que c
82. otal aid could increase continuation of governance via decentralization and support to districts and municipalities agriculture participation to Proagri common fund ion in working groups entions for the future intends to remain active in decentralization municipal development and Proagri could cochair the decentralization WG or municipal develoment sub WG in 2010 or after depending on the discussions in the WGs Survival belgium fund in addition to bilateral programme 4 5 M year financed by the belgium lottery and implemented by multilateral organizations FAO IFAD and NGOs Supports food security and capacity to reduce food scarcity direct support to NGOs from the previous programme remaining balance of 3 0 M for PFM a gt susie 1 0 ME in 2007 1 0 in 2008 amount to be confirmed for 2009 for agriculture Proagri common fund methodologies farmer to farmer working attributed to Sofala province geografical concentration on Sofala Province with smallholder farmers conservation implementation of Austrian Development Cooperation Strategy through ADA Austrian Development agriculture Agency 2 offices Maputo main and Beira liaison if more funds available increase of existing components new strategy CSP for Country Strategy Paper approved by AfDB Board in April 2006 for 2006 2009 4 infrastructures in general with a governance including GBS 20 MUA ie 30 M in intends to
83. ourrir ces chantiers 2 Synth se des r sultats des questionnaires 2 1 Les caract ristiques de l aide fran aise dans la r gion La France constitue l un des cing principaux bailleurs de fonds dans les 34 des pays elle n est un bailleur marginal qu en Ethiopie au Mozambique et en RDC 196 Les pays ont des caract ristiques tr s diverses l on y trouve en proportion quivalente des Etats fragiles et des pays ch ris de l aide mais aussi plusieurs pays mergents Refl tant cette diversit les objectifs de l aide fran aise y sont eux aussi multiples et diversifi s ac compagner l action publique sur des priorit s politiques de d veloppement contribuer la prise en charge d enjeux publics mondiaux mais galement dans un certain nombre de cas promouvoir la d mocratie et la gouvernance restaurer la s curit et sortir de la crise et m me mobiliser une aide humanitaire L aide fran aise se concentre dans des secteurs r currents sant ducation d veloppement rural et infrastructures Elle vise aussi des priorit s transversales diversit culturelle bonne gouvernance enseignement sup rieur et recherche appui au secteur productif Elle est enfin mobilis e selon une vaste gamme de modalit s aide budg taire globale fonds communs aide programme et aide projet Dans trois pays Madagascar le Mozambique et le Cameroun une part importante de l aide transite dans le cadre d
84. pes de travail etc notation des PAPs plus port e par les PAPs que par le GoM 10 183 3 Quelques pistes pour la discussion comment am liorer la culture de r sultats la notation des bailleurs est elle g n ralisable comment renforcer les systemes de statistiques comment renforcer les capacit s sur les questions de culture des r sultats et de responsabilit mutuelle comment am liorer la pr visibilit comment mieux impliquer le Parlement et la soci t civile 4 Glossaire AAA Programme d Action d Accra ABG Aide Budg taire Globale CDMT Cadre de d penses Moyen Terme DP D claration de Paris INE Institut National des Statistiques GoM Gouvernement du Mozambique GT Groupe de Travail ITIE Initiative pour la Transparence des Industries Extractives MdE M moire d Entente PAF Performance Assessment Framework PAPs Programme Aid Partners donneurs d ABG PARPA DSRP mozambicain RC Revue Conjointe 184 Annexes sur le cas du Mozambique 1 Tableau des secteurs de concentration des donateurs Task force on division of labour 15th December 2008 WORKING DOCUMENT ON SECTORS OF CONCENTRATION AND PARTICIPATION OF DONORS IN WORKING GROUPS INFORMAL SURVEY IN 11 AND 12 2008
85. pos e aux Etats partenaires afin de faciliter leur participation la mise en uvre de la D claration de Paris e Sensibiliser les partenaires la culture du r sultat promouvoir cette culture du niveau cen tral au niveau d centralis et passer d indicateurs de moyens des indicateurs de r sultats pour le suivi de l aide e Encourager les dispositions qui permettent la pression par les pairs plut t que la pression par les bailleurs e Afin de se donner les moyens de mesurer les r sultats de l aide remettre disposition une expertise assistance technique en mati re de renforcement des capacit s nationales S affranchir d un d bat centr sur les modalit s et se concentrer sur les r sultats e Promouvoir les questions de redevabilit deux niveaux en ce qui concerne l appui bud g taire travers le cadre de suivi pr d fini et en ce qui concerne les autres modalit s pro jets programmes en se donnant une obligation de transparence e Sur la base des avanc s constat es et des exp riences accumul es se donner les moyens de conseiller les Etats en situation difficile pour acc l rer le processus de mise en uvre de lagenda efficacit de l aide e Proposer un travail commun entre bailleurs pour laborer une m thode approche simpli fi e de l instrumentation d ploy e pour mesurer les r sultats de l aide afin de renforcer leur confiance mutuelle e D velopper l implication des part
86. propriation 178 Gestion ax e sur les r sultats et responsabilit mutuelle Le cas du Mozambique Bruno Leclerc et Richard Mouthuy AFD et SCAC Maputo Gestion ax e sur les r sultats amp responsabilit mutuelle Cas du Mozambique Atelier Regards Crois s Addis Ab ba 19 Octobre 2009 Richard Mouthuy et Bruno Leclerc SCAC AFD 1 Gestion ax e sur les r sultats 1 1 Rappel de la D claration de Paris G rer les ressources et am liorer le processus de d cision en vue d obtenir des r sultats Engagements pays raccorder strat gies nationales et cycles budg taires mettre en place des cadres d valuation orient s vers les r sultats avec indicateurs de suivi des progr s Engagements des donneurs relier programmation et ressources par pays aux r sultats obtenus aligner programmation et ressources sur les cadres d valuation des r sultats des pays partenaires et utiliser autant que possible ces cadres harmoniser les exigences pour le suivi et ses modalit s Ensemble renforcer les capacit s des pays mettre en uvre ces engagements gt indicateur 11 r duction d 1 3 le nombre de pays sans cadres d valuation des performances 179 1 Gestion ax e sur les r sultats 1 2 Moz o en est on par rapport la DP Pays raccorder strat gies nationales et cycles budg taires cadres d valuation ABG a permis am lioration de la gestion de
87. quasi inexistante puisque le sujet est port directement au niveau du DAG S par ment les donateurs coordonnent leurs actions en direction de l Union africaine et de la Commission conomique pour l Afrique des Nations unies 165 Regards crois s sur l efficacit de l aide Addis Abeba 19 octobre 2009 coordination et l harmonisation de l aide Sous l autorit du COCAC en lien troit avec la Chancellerie l AFD et la MECO en collaboration avec les AT Missions d un attach de coop ration pour la gt Repr senter la coop ration fran aise dans les diff rentes structures de coordination pour l Ethiopie et l Union africaine gt Assurer une influence sur les programmes multilat raux et europ ens Exemples e Rechercher l obtention d une d l gation de gestion dans la justice e Rassembler des co financements multilat raux pour le projet de cr ation d une ENA thiopienne e Pousser la position commune fran aise sur la r vision du 10 me Fonds europ en de d veloppement e Placer une assistance technique fran aise aupr s du nouveau African Climate Policy Centre Regards crois s sur l efficacit de l aide Addis Abeba 19 octobre 2009 Priorit s et enseignements 1 Dans un pays pr sence fran aise marginale consolider nos niches par des co financements cela suppose de disposer d un levier 2 Influencer nos contributions multilat rales grandissantes surtout celles
88. r sur le terrain Il s est r joui aussi que l atelier ait r uni la fois Scac agences et services co nomiques encore trop rarement invit s partager leurs points de vue et analyses dans des espaces communs Quelques regrets sont exprim s Le fait que l atelier n ait pas permis l expression un moment ou un autre du point de vue des b n ficiaires Le peu de r flexion l chelle r gionale L accent mis sur la formulation de recommandations plut t que sur l analyse des bonnes pratiques La difficult enfin d boucher sur des propositions v ritablement op rationnelles au del du partage des constats et des diagnostics Une suggestion dans cette perspective serait de prolonger l exercice Regards crois s par des r unions en petits groupes sur des pays homog nes Les participants souhaiteraient que leurs si ges respectifs reconnaissent formellement leur implication dans ces dispositifs et le travail qu ils sont amen s y r aliser Certains insistent sur le besoin de directives plus claires d autres sur l importance que les si ges renvoient aussi aux terrains un ensemble d outils pour agir au mieux Concluant les travaux Serge Snrech MAEB a consid r que l atelier a ouvert un certain nombre de points de d bat sur lesquels il allait d sormais falloir arr ter des positions T quilibre trouver entre l action de la France son chelle et a
89. ra t plus difficile car il n y a pas forc ment de tra abilit de l impact des projets ou des programmes sur le d veloppement sectoriel D autre part faute de pression interne importante parlement lecteurs population les gouvernements parte naires ne voient pas toujours l int r t de s engager dans des exercices de suivi pouss s Cer tains participants ont d ailleurs rappel que la v ritable obligation redditionnelle des pays par tenaires devrait tre celle des gouvernements envers leur parlement et leur population Cer tains ont rappel que la redevabilit pouvait aussi mettre le gouvernement partenaire dans des situations d licates notamment par rapport son lectorat et que la pression des bailleurs pouvait affecter la qualit du dialogue politique n gativement C est notamment le cas pour les pays qui d pendent peu de l aide part relativement faible du budget de l Etat et qui ne sou haitent pas forc ment s embarquer dans ce type de dispositif lourd et de contr le sur leur ac tion Par contre tous ont convenu que les dispositions de la D claration de Paris et de l Agenda d Action d Accra ont quand m me permis une volution des bailleurs sur la percep tion de leur propre responsabilit envers leurs partenaires et la redevabilit globale de l aide publique au d veloppement De fa on g n rale ils se sentent plus directement concern s Une partie importante du d bat a port
90. rat giques qu elle se donne et la nature des ressources qu elle mobilise ces fins Elle pourrait dans ce contexte gagner consid rablement en efficacit et en influence en renfor ant son implication en mati re d assistance technique gt La concertation et la coordination entre les bailleurs sont une priorit importante et les Fran ais sont d termin s les faire avancer Elles correspondent un enjeu politique et la responsabilit de leur mise en uvre ne peut donc tre exclusivement renvoy e aux ter rains L implication des si ges est galement indispensable pour r duire la rigidit des proc dures des bailleurs multilat raux qui freinent consid rablement les avanc es dans ce domaine La mise en uvre des principes demande des lignes directrices La concertation et la coordination devraient enfin pour le moins constituer une pratique institu e l chelle europ enne en amont des actions au moment de leur identification et de leur programmation gt Un produit cl de la concertation est de parvenir la cartographie des bailleurs Cela peut ou non tre suivi d effets en mati re de coordination Quand c est le cas la coordination peut prendre des formes diverses en fonction des situations et ne pas n cessairement d boucher sur une stricte division du travail Des modalit s d articulation des bailleurs et des actions s appuyant sur des dispositifs de concertation et de pilotage ad hoc peuvent
91. rated capacity to support innovative approaches inside GoM systems gender global reputation education health including HIV aids agriculture and rural development governance including GBS no intention of exit sector at this point next CDPF will provide directions intends to remain active in education health HIV aids agriculture currently chair of Proagri WG intends to chair until 2010 water and PFM intends to be more active in public sector reform and in environment WGs agreement on representing Irish Cooperation Ireland silent partner in the water sector in Inhambane province CH Switzerland SDC Min of foreign affairs in charge of health and governance SECO Min economy in charge of GBS and support to economy current strategy covers 2007 2011 5 years programme 25 M year 13 5 M from SDC and 11 5 M from SECO GBS no fixed objective of 3 sectors of concentration support to the economy health and local governance decentralization 2 cross cutting issues gender and HIV aids 3 objectives in PAP context above average performance rating more than half of management level staff with active leadership positions in G19 WGs reinforcement of the underlying principles of the GBS MoU governance specially on decentralization public finance management health long experience in Mozambique support to the economy GBS capacity building in PFM and in
92. ration avec Patrick Cohen conseiller de coop ration et d action culturelle en Ethiopie En partant de la situation qui serait celle d un monde id al c t autorit s et c t bailleurs Didier Gr bert a pr sent le cas thio pien pour en analyser les faiblesses et les contraintes puis a ouvert diff rentes pistes de r flexion Le d bat s est ensuite engag sur ces bases 3 1 La gouvernance une question politique Si bien s r poser la question de la gouvernance de l aide c est s interroger sur le cadre institu tionnel et l organisation de sa mise en uvre c est aussi pour beaucoup en amont poser une question de nature proprement politique L organisation des pouvoirs la vigueur de la d mo cratie sont des l ments cl de l appropriation de l aide dans un pays C est cette condition comme Maurice par exemple que des strat gies nationales peuvent tre d finies dans le cadre desquelles les bailleurs peuvent s inscrire De ce point de vue aussi une centralisation excessive des pouvoirs comme en Tanzanie n est pas n cessairement une condition d efficacit Dans ce contexte travailler avec les seuls gouvernements ne saurait suffire Le consensus est ainsi assez large sur le fait qu il est important de savoir dialoguer avec les oppositions de ne pas ignorer les parlements d accompagner dans certains cas des contre pouvoirs souvent situ s l chelle municipale d
93. rently chair and tax reform 12 0 ME 3 M year GBS delegated to EC health intends to be active in the energy and rural 24 0 ME rural development 15 M renewable energy 9 M capacity building food security development agriculture WGs 5 5 ME health exit strategy in 2012 4 0 ME multisectorial 1M micro intervention programmes 2M scholarships 1M study funds B Belgium 2 5 ME delegated cooperation Can Canada CDPF Country Development Programming Framework for 2004 2009 5 years agreed in 2004 mid term assessment finalized in 2007 aid managed by CIDA budget of 70 MC year 55 M year with 4 areas education 50 of total aid intention to move most fundings into Fase health Prosaude CNCS HIV aids responsive fund support to health training center agriculture rural development Proagri rural water community based projects governance including GBS GBS agreed after CDPF approval GBS tripled from 2006 to 2008 currently no fixed objective of GBS total aid to GoM estimation of 17 of GoM aid in 2008 intentional balanced approach of a mix of aid modalities cross Cutting issues gender environment and HIV aids direct support to NGOs in the 4 sectors around 15 of total aid education long history reputation for delivering results with the GoM example of text books governance and public sector reform similarities of the systems demonst
94. roupe 4 M Hatton rapporteur 14h20 15h00 D bat 15h00 D bat avec les acteurs ext rieurs 15h00 15h15 15h45 16h45 16h45 17h00 17h00 17h30 17h30 17h30 18h00 18h00 18h30 Mod rateurs MM Gr bert et Cohen M Serge Snrech conclusions saillantes des travaux de atelier R actions de M Fid le Sarasorro PNUD co pr sident du groupe des bailleurs M Alex O Riordan D l gation de la Commission europ enne consul tant M Leonhard Moll Coop ration autrichienne D bat Pause Evaluation de l atelier enseignements et conclusions sur son d roule ment MM Armand Rioust de Largentaye et Serge Allou Cl ture avec M l Ambassadeur de France en Ethiopie Interventions conclusives de Mme Brunon Meunier MM Fr d ric Bon tems et Serge Snrech Cl ture par M l Ambassadeur 162 Les participants aux deux journ es B Liste des participants Paris M Armand RIOUST DE LARGENTAYE AFD si ge PSP APR M Fr d ric BONTEMS AFD Directeur PSP M Alexander VON KAP HERR AFD si ge REL RXC Mme Corinne BRUNON MEUNIER AFD si ge Directrice adj AFR M Adrien HAYE AED si ge AFR M Serge SNRECH MAEE Paris DGM Consultants M Serge ALLOU Consultant GRET Mme Gw na lle CORRE Consultante ECDPM R seau AFD M Jean Pierre MARCELLI Kenya M Gilles
95. rvices in 2007 water and roads in 2010 possibly health in 2010 if criterias OK 5 silent partnership of Ireland Ireland silent partner in water in Inhambane province Canada lead and in roads UK lead Ireland lead partner in Proagri UK silent 6 silent partnership of UK UK silent partner Ireland lead in Proagri UK lead Ireland silent partner in roads 7 delegated cooperation of EC GBS from B in 2009 HIV aids to D GTZ in 2009 governance to Portugal in 2010 En sector of concentration 2009 exit sector and date F ew not qualified as sector of concentration EU CoC 185 Exemple de cartographie des strat gies des bailleurs extrait instruments strategy 2008 2012 5 years duration aligned with EC 10 EDF discussed with GoM in 2007 internal approval process ongoing then to be signed with GoM between 4 and 6 M year including for the 3 years 1 6 ME in 2007 1 6 in 2008 3 2 in 2009 for GBS objective 40 of budget 1 4 ME in 2007 1 9 in 2008 1 9 in 2009 for decentralization and district municipality development to be confirmed for 2009 comparative advantage self assessed by the donor decentralization and work on the ground work at all levels in the province participatory approach multisectoral activities urban and district planning agriculture for the same reasons as above good knowledge of sectors of concentr exit and in sector strategies GBS 40 of t
96. s less than 3 years AGO Pledge 4 3p Pledges of AGO for year n 1 made within 4 weeks of the Joint Review RC in year Yes Yes Yes n 1p within Disbursement of the confirmed AGO Disb rsement quarter pledge in the fiscal year for which it was 5 3p more scheduled in accordance with the monthly Yes Yes Yes of AGO within i i th programming of disbursements agreed mon with the GoM 6 2p of ODA of the PAP registered in the 7 o P State Budget Paris Indicator 3 ii AA ee gt 85 7 2p ODA disbursed by the PAP as a percen cut the she me tage of aid registered in the State Budget 85 90 95 difference g Paris Indicator 7 by 50 8 2p Pledges for the MTFF sent to the GoM on Yes Yes Was 15 February ae 9 2p Adherence of the PAP to the common Harmonisation AGO conditionality ves Wes bias of conditionali I f nA 0 d ties p PAP has NO exceptions in Appendix 10 o Yes Yes Vas the MoU 187 11 1p Strict harmonisation between the bilateral 7 AGO agreements of the PAP and the MoU re ve So 12 of ODA disbursed by the PAP that uses the country s Public Finance Management Systems Paris Indicator 5 12a 2p do ODA disbursed by the PAP that uses national budget execution procedures 55 60 65 Paris indicator 58 of ODA disbursed by the PAP audited 12b 1p by using the national auditing procedures 42 45 45 Paris Indicator 5
97. s collectivit s d centralis es Le Cap Vert est cit comme exemple d une administration d centralis e particuli rement efficace La coo p ration d centralis e pourrait jouer un r le important dans cet objectif M me si les choses voluent de ce point de vue Cf l accord r cemment sign entre I AFD et Ubifrance 201 Troisi me et derni re id e enfin s attacher renforcer les instances de contr le ma gistrats Cour des comptes etc ce niveau galement des dispositifs de renforce ment des comp tences et de formation pourraient tre pens s aux chelles r gionales 202 lll AVANCEES ET CONTRAINTES DE LA MISE EN UVRE DE L AGENDA DEFIS ET RECOMMANDATIONS 1 Coordination harmonisation et division du travail Groupe de travail n4 Participants Armand Rioust de Largentaye AFD Paris Corinne Brunon Meunier MAEE Paris Jean Pierre Marcelli AFD Kenya Bruno Leclerc AFD Mozambique Christophe Richard AFD Afrique du Sud Christian Yoka AFD RDC Introducteur Eric Baulard AFD Gabon Etienne Woitellier AFD Angola Cheikh Dia AFD Ethiopie Hugues Ma rion AFD RCA Jean Marie Hatton Scac R publique du Congo Yvon Alain Scac Came roun Rapporteur Pierre Cathala Scac Tchad Patrick Cohen Scac Ethiopie Bernard Banos Robles Scac Djibouti David Sadoulet Scac RDC Introducteur Claude Poulet Scac Tanzanie Christian Saillard Service con
98. s finances publiques et programmation budg taire existence d un CDMT important travail des conomistes EWG sur budget coh rence aide budget et CDMT existence d une matrice de performance PAF du PARPA 200 indic et de l ABG 40 indic donneurs relier programmation r sultats aligner sur cadres d valuation harmoniser suivi programmation de l ABG d pend des r sultats de la revue conjointe indicateurs alignement du cadre d valuation de l ABG sur celui du PARPA harmonisation du suivi revues conjointes Ensemble renforcer les capacit s mettre en uvre ces engagements revues conjointes de mars avril et septembre travail conjoint dans les GTs sur les strat gies les r formes les indicateurs etc 3 1 Gestion ax e sur les r sultats 1 3 Rappel de l Agenda d Accra pour l Action G rer les ressources et am liorer le processus de d cision en vue d obtenir des r sultats D claration d Accra r sultats transparence et reddition de comptes am liorer la qualit des politiques conception ex cution et valuation gr ce de meilleurs syst mes d information mettre au point des instruments efficaces de gestion ax e sur les r sultats meilleure coordination harmonisation entre les syst mes de suivi donneurs et pays partenaires renforcer les incitations pour am liorer l efficacit de l aide 180 1 Gestion ax e sur les r sultats 1 4 Moz
99. s groupes de travail sont charg s d laborer un rapport sur chacun de leur secteur et ou th matique res pectifs qui seront compl t s par les r sultats de 10 tudes compl mentaires transversales Cette somme d information devrait permettre un regard plus d taill sur les avanc es effectives du dispositif en mati re de r duction de la pauvre t et de d veloppement 212 De l avis des participants la gestion ax e sur les r sultats n est pas un aspect nouveau de fait les bailleurs ont toujours valu l ensemble de leurs interventions avec leurs propres dis positifs Sur la base de cet h ritage harmonisation des m thodes de suivi n est donc pas vi dente mettre en place surtout si les partenaires qui ont galement leurs propres dispositifs y pr tent peu d int r t Les participants se sont accord s sur le fait que ce silence relatif deux des principes de la D claration de Paris est sans doute galement li a la difficult de rensei gner ces cadres de suivi des r sultats les systemes d indicateurs de performance existent effectivement a tous les niveaux pour les diff rentes modalit s y compris les projets mais il reste difficile de donner une coh rence ces donn es au niveau sectoriel Ils ont galement plaid en faveur d un effort de rationalisation afin de parvenir par exemple a faire adopter une matrice de performance unique avec une batterie d indicateurs pr cis au
100. s sont les acteurs mobilis s aux diff rents niveaux Comment l analyse des diff rents niveaux de cadres de comp tence et de leurs missions respectives est elle prise en compte Minist re du Plan Minist re des finances Minist re technique collectivit s locales op rateurs publics et priv s Parlement soci t civile Comment ces acteurs travaillent ils ensemble pour d finir mettre en oeuvre et suivre des orientations Quelles contraintes cette articulation pose t elle Comment renforcer les capacit s de ma trise d ouvrage A quels niveaux prioritaire ment Introduction en 10 minutes MM Cohen et Gr bert SCAC et AFD Addis Rapporteur M Christophe Richard AFD Johannesbourg Sous groupe 4 R sultats et Responsabilit mutuelle animation Mme Corre Gestion ax e sur les r sultats du d veloppement et responsabilit mutuelle apparais sent comme les parents pauvres de la mise en uvre de la D claration de Paris Pourquoi Comment progresser Introduction en 10 minutes MM Bruno Leclerc et Richard Mouthuy Mozam bique Invit s Unit Strategic Planning Commission de l Union Africaine Dr Salif Sada SALL et Dr Mohamed NAIMI Rapporteur M Jean Marie Hatton CoCAC Libreville caf et boissons en libre service 13h00 14h00 D jeuner Buffet 161 Apr s midi 14h00 Restitution des travaux des sous groupes 14h00 14h10 Sous groupe 3 M Richard rapporteur 14h10 14h20 Sous g
101. sant dans le long terme L quation est difficile et la tentation souvent grande de privil gier les objectifs de r alisation Elle n est pas propre l aide fran aise Dans bien des cas des dispositifs ad hoc ont t mis en place l image des Agetip par la Banque mondiale par exemple qui constituent des outils parall les aux institutions nationales assurant une certaine efficacit d ex cution mais contri Le support powerpoint de cette pr sentation est port en annexe 210 buant peu de fait au renforcement des capacit s de ces derni res Plus encore ces structures par une politique de r mun ration plus attractive ont pour effet la plupart du temps de d bau cher les meilleurs cadres des administrations et d affaiblir voire d sorganiser ainsi les sys t mes nationaux Les pratiques de versement de per diem aux cadres nationaux particuli res chaque bailleur vont dans le m me sens L exp rience fran aise de mise en place d un dispositif et de d marches de travail concert es au Cameroun dans le cadre du C2D semble un exemple plus probant Il a inspir certaines volutions en mati re institutionnelle ou encore de participation directement reprises leur compte par les autorit s camerounaises Cela dit il constitue un cas particulier de gestion d une aide bilat rale qui appara t difficilement pouvoir tre une r f rence d organisation de l aide int grant une multiplicit de ba
102. se en place de fonds d tudes renforcement des instances de suivi et de contr le etc Il faudrait aussi dans les pays ne pas avoir pour cible que les administrations centrales et s attacher ren forcer les comp tences du middle management La poursuite de cet objectif entre souvent en contradiction avec les contraintes d engagement et les enjeux de r alisation des op rations court terme Les pratiques de d bauchage de r mun ration ou de per diem auxquelles ont aujourd hui encore fr quem ment recours les bailleurs vont l encontre des d marches de consolidation des capacit s des administrations nationales L tablissement de normes et de r gles ce sujet par la communaut des bailleurs devrait tre une priorit Am liorer l efficacit de l aide c est renforcer son impact sur le d veloppement Cela passe en particulier par accro tre la redevabilit des gouvernements vis vis des popula tions et conduit promouvoir le renforcement de l implication de l ensemble des acteurs nationaux parlements collectivit s territoriales ONG et associations repr sentatives dans la d finition des orientations la mise en uvre le suivi et l valuation des actions Une part consid rable de l aide fran aise dans les pays emprunte des canaux multilat raux travers les fonds verticaux notamment Les points de vue sont partag s sur l accompagnement des dispositifs concern s Pour certains
103. ser une assistance technique en appui la mise en uvre efficace des ressources C est aussi le cas Maurice o une assistance technique cibl e demand e par le pays y au rait un grand int r t De fa on g n rale faute d appuis financiers directs l aide fran aise pourrait consid rablement gagner en efficacit si elle tait en mesure de mobiliser des moyens humains en appui au ren forcement des capacit s techniques organisationnelles et institutionnelles de ses partenaires nationaux Dans le m me esprit elle gagnerait galement en efficacit et en influence en sachant mobili ser les ressources humaines n cessaires en nombre et en comp tences particuli res dans les instances de concertation et de coordination de l aide Ressources humaines qui pourraient dans certains cas tre certainement post es aux chelles r gionales Sur ce dernier point nombre de participants consid rent qu un enjeu important de l efficacit de l aide aujourd hui est de parvenir faire voluer les pratiques des acteurs multilat raux 7 Les Britanniques de leur c t viennent de publier un Livre blanc comportant l inverse 164 engagements tr s pr cis 200 dont les m thodes de travail et souvent les d cisions en particulier dans certaines situations de crise font tr s peu droit au dialogue et a la coordination Les inflexions qui seraient souhai tables de ce point de vue ne peuvent tre n goci es
104. sitifs existants tant peu ou pas adapt s Concentration et division du travail correspondent un projet politique Et la question est bien celle de savoir si la France veut y souscrire et donc s appliquer pleinement le r aliser ou non Force est de constater qu quelque niveau que l on se situe central par del les discours politiques formels ou bien local dans les situations concr tes de terrain la France a du mal abandonner certains secteurs d intervention ou sa pr sence dans certains pays Plus encore dans le m me ordre d id es la quasi totalit des participants consid re qu il est imp ratif de Le support powerpoint de la pr sentation est port en annexe Le powerpoint de restitution des d bats du groupe en pl ni re par Gilles Chausse directeur de l agence AFD au Cameroun est port en annexe Plusieurs exemples de cette nature sont cit s concernant la Banque mondiale et la Commission europ enne 207 suivre sur le terrain l action des bailleurs et des dispositifs multilat raux desquels la France est partie prenante et que les moyens correspondants en ressources humaines notamment de vraient tre mobilis s cette fin A l inverse l exemple est cit du Royaume Uni qui a fait preuve d un certain courage en d cidant de se retirer totalement du Gabon ou de n tre plus qu un partenaire silencieux en Na mibie Il semble par ailleurs ce sujet comme en
105. suivre localement l activit des multilat raux Banque mondiale U E o Des exp riences probantes de division du travail existent elles Quelles sont les princi pales conditions de leur succ s o Quel usage faire des d l gations de gestion et quelles perspectives cette modalit peut elle offrir o Sous groupe 1 Introduction de 10 minutes MM Christian Yoka directeur AFD et David Sadoulet Conseiller de coop ration adjoint Kinshasa Animation Gw na lle Corre Rapporteur Yvon Alain CoCAC Cameroun o Sous groupe 2 Introduction de 10 minutes M Olivier Pezet Di recteur AFD Antananarivo Animation M Serge Allou Rapporteur Gilles Chausse AFD Cameroun caf et boissons en libre service 18h15 Transfert la r sidence de 1 Ambassadeur pour un cocktail 160 Mardi 20 octobre Matin Restitutions des travaux de sous groupe de l apr s midi pr c dente et nouveaux travaux en sous groupe 8h40 8h50 Sous groupe M Alain rapporteur 8h50 9h00 Sous groupe 2 M Chausse rapporteur 9h00 10h00 D bat 10h00 10h10 Pause 10h10 13h00 Seconde s rie de travaux en sous groupes A l examen des r ponses au questionnaire deux autres questions seront soumises r flexion en sous groupe Sous groupe 3 Gouvernance nationale de l aide et renforcement des capacit s anima tion M Allou Comment s organise le dialogue avec les acteurs au del du gouvernement central Quel
106. t sur les condi tions et les facteurs d une meilleure organisation du travail entre les bailleurs Il s est in terrog sur la nature de l implication dans les secteurs hors concentration et sur les modali t s du suivi de l action multilat rale Il a enfin analys les conditions de succ s et les pers pectives de quelques exp riences de division du travail et de d l gation de gestion Le d bat qui s est engag sur ces bases a d abord assez longuement port sur l opportunit et les contraintes de la division du travail Puis la discussion s est poursuivie sur les principales conditions de sa mise en uvre Quelques recommandations ont enfin t formul es 2 1 Les principaux constats et analyses La concentration sectorielle ou g ographique et la division du travail sont elles toujours per tinentes dans les diff rents contextes auxquels a la fois les pays et les bailleurs sont confront s aujourd hui Si une majorit de participants partage l id e selon laquelle il est important de parvenir r duire les co ts encourus par la non concentration un certain nombre s interroge aussi sur les limites d une concentration marche forc e D aucuns constatent que son oppor tunit g n rale est peut tre aujourd hui moins grande qu au moment o la communaut inter nationale entendait se mobiliser au service de la r alisation des objectifs du mill naire La situation a chang depuis et l
107. vail e Les capacit s du partenaire Une strat gie nationale de r f rence base d allocation cas de l eau Insuffisance de la priorisation et des capacit s difficult s du travail interminist riel e Les aides Des secteurs de forte concentration ABG cadre de partenariat et groupes sectoriels OMD sant ducation s curit alimentaire Le cadre europ en potentiel d exemplarit Les nouveaux d fis la contrainte des moyens cas rocade NE Tana e L adaptation au contexte le catalyseur de la crise groupe des chefs de d l gation et groupes sectoriels diagnostics en commun Mapping mesures d urgences cas sant C2D et assouplissement des sanctions plateforme de reprise e La pr sence d acteurs de r f rence cas d veloppement urbain appuis SP Suisse Quelle participation dans les secteurs hors concentration Euh Quelle concentration Sant ducation d veloppement agricole et p che infrastructures et d veloppement urbain secteur priv et non souverain ONG et coop rations d centralis es Etat de droit culture recherche francophonie aide alimentaire catastrophes s curit int rieure d fense Une implication de fait DCP comp tences SCAC et courants traversiers AFD environnement int gration r gionale et dans la mondialisation e Instrumentale les appuis au secteur priv le non souverain le FFEM Une implication de niches Porteuse d imag
108. yst mes de revues par les Pairs Lutte conjointe contre la corruption 182 2 Responsabilit mutuelle et transparence 2 4 Moz o en est on par rapport l AAA Transparence aide m moire des revues conjointes publics conf rences de presse valuation porte a la fois sur les performances du GoM et des PAPs valuation en cours du PARPA 2006 2010 M canismes d valuations mutuelles matrice de performance des PAPs notation des PAPs chaque ann e par consultant ind pendant 20 indicateurs bas s sur la DP parfois plus ambitieux Exemples 40 au moins d ABG total aide 75 au moins d approche programmes ABG fonds communs plan triennal glissant 45 de l aide suit les proc dures nationales d audit 40 de missions conjointes etc Revues par les Pairs revue par les pairs africains MARP notation des PAPs d termination des avantages comparatifs revue par les pairs des conventions et accords d ABG Lutte conjointe contre la corruption strat gie du GoM y compris par secteur Mais beaucoup a faire sur gouvernance en g n ral 9 2 Responsabilit mutuelle et transparence 2 5 Moz limites de l exercice partir de la revue conjointe RC de mars 2010 l aide m moire de la RC ne sera plus conjoint o aide m moire des PAPs o puis r ponse du GoM faible implication du GoM pour le moment dans les discussions sur la division du travail l architecture des grou

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