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5_Annexes - REFORME

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1. 269 292 Rapport final Equipe Reforme Sanitaires Sanitaires bidi _ Puissance kW Temps d utilisation en min b Marteau piqueur O d Plaque diamant e pl L 4 3 E acidification potential generic eutrop icatio n potential kg PO4 Eq generic climate change GWP 100a kg CO2 Eq Chariot l vateur Treuil rans pale rara fourche J urban land occupation ULOP m2a lt o A o aD O A O A O A O A On O A Oaoa AA Oa O A O A A A Oaoa SUR oa OCR SUR SUR O Diesel Engins Consommation Lih Temps d utilisation en min Energie Litre o Mssewse S _qA op ola O SES RE are 5 3185 gt 55 a sb QQ j sm IN ja D o E P 9 1 f a 8 18 18 le E fa 2 3 JE 18 L Rie l B E l 8 la Ele B O S I I I la ff w l j l N Js In _ terrestria ecotoxicity kg 1 4 DCB TAETP 100a Ea perceuse As Mares pique 0 0 LT fiaque diamant e Of 0 se AA me JARA LT r JA Trans pate 27 BO 17632256 487 O rozas ar eau Engins Consommation Lih Temps d utilisation en min Energie lo _ Misseuse y y o L Perceuse _QY _____0Y o D Marteaupiqueur Q ____ol o Plaque diamant e Aoo y la feo PT O y O A LT enarior l vateur 0 Trans palette O CELL ELLE MO 270 292 Sols et rev tements Puissance kW Temps d utilisation en min Impacts fumes MESOUI
2. 111 LL 7 11 7 W bET Aq nm Ult OU0 IV e 7 r hen f DSOLULE LO j IN N Z bl YA f f 10 SVILCNO T0 11771 ULA 6 Rapport final Ignis Mutat Res Session 1 Equipe Reforme Avril 2014 Sc nario n ga Watt 2011 Dossier de synth se gt eraa wt aa Pones recatomranos Pones naciage et dust o ty IBST asro 174 Tim Ann e 2 050 he e voaram es me tire tes Tres HE IUT I Do LE i l buses cot e 1 A A M Il a burvomienem HE tt fed TRE a ne s y i n nun AT ca da ni t a A Pra eT M re esea mime f TT e haras Pot ir gt Taar poses Linies DA pra 1010 TWh 971 wn 119 108 106 100 100 aid D me arg pe pee m a sa merama tes kip me Betas de SO PU 284 DUT ti Man gae Dh DS de tasei p maons pa pans an mana pe rs e an tomber qu An bien pe eme te pee o D Vus ts mnt 1 A Que US Eee mes Diagramme de Sankey pr sentant le raccordement entre demande droite et offre gauche et une faible partie de ponction sur les stocks gauche Source n gaWatt 2011 245 292 Structure de donn es pour Poutil Reforme Fiche typique entre trois partitions spatiales FICHE D INTERACTION ENTRE 3 PARTITIONS 1750 1850 1950 2000 2050 P gt Donn es d mographiques
3. cette lin arit dans laquelle on va r soudre tous les probl mes d articulation de pratique urbaine entre le trottoir et les logements I est fondamental que la figure soit simple Les exemples p dagogiques issus de la p riode fondatrice du groupe UNO sont toujours explor s PENSAPB en particulier par Lorenzo Piqueras dans Pexercice du Logis cycle Licence Laurent Salomon pour des projets d quipements majeurs et de projets urbains cycle Master ou dans Passemblage de maisons individuelles con ues du meuble au paysage 4 fois 1 galent 5 que j encadre en 3 ann e Mais la figure comme outil p dagogique peut aussi conduire un emploi prospectif Je le d veloppe pour l identification du caract re du plan libre dans petit quipement public EL 57 ex 30 30 galement en 3 ann e Classer les propositions l mentaires du plan faites par les tudiants permet d envisager consciemment le rapport qu entretient le plan libre plan du premier niveau avec le volume enveloppe de base carr e 30x30x6m 222 En cinqui me ann e cet enseignement du projet l chelle territoriale correspondait au d veloppement d un morceau de ville de 4ha environ sur une aire inoccup e mais situ e 300 Pratique de la pi ce urbaine ma petite utopie le 30 mars 1994 69 p dition 1996 Paris d du Pavillon de l Arsenal 301 Ces exercices sont pratiqu s en France comme l tranger dans plusieur
4. mesurer par le 3030o0scope Si le PL touche la fa ade la communication des programmes se fait du c t de son bord lib r en fonction de son traitement La signification de cette relation change selon qu une all ge transparente ou opaque basse ou haute occupe le bord Si c est un meuble la diff rence de perception du haut vers le bas ou du bas vers le haut est renforc e Les cas possibles sont multiples Les effets sur la circulation de lumi re sont galement diff renci s par niveau Cette tude se prolonge par une r criture du plan Nous pouvons en apercevoir la complexit partir de l exemple ci contre 277 Elle s applique bien entendu dans le domaine num rique ou la num rotation 0 1 ouvert ferm oui non conditionne des modes de calculs d une tr s grande complexit On l opposera des syst mes voqu s pat l anthropologue Maurice Godelier dans l histoire des num rations 1 un moi 2 moi et toi beaucoup indiff renci Trois est l origine du multiple de Pind nombrable 278 Dans la terminologie du studio le plan libre est nomm plan horizontal n 1 PH1 ou PL il est l objet principal de P tude Le plan du sol est le plan horizontal n 0 PHO Ce plan est une donn e initiale Il est continu infini et neutre Puisqu il n y a pas de site il n a pas d identit sauf au lieu de sa superposition par le PHT selon sa d coupe L espace y est qualifi par la pr sence
5. 1 20 ou plusieurs coupes et plans complets l chelle 1 1 Vous conserverez m thodiquement la trace des volutions du projet sous la forme d un carnet d esquisses de diagrammes de croquis de textes de photos de maquettes et d impressions de version provisoires des hypoth ses que vous serez amen es explorer dl 319 il im p f 196 292 Rapport final Enseignements p dagogiques L exercice pose une s rie de questions Comment Parchitecture r agit elle aux diff rentes conditions g ographiques et de votre choix par les espaces et les usages qu elle g n re par les formes d efficacit s nerg tiques qui vous semblent devoir primer par la prise en compte des d placements disponibles selon les contextes g ographiques et territoriaux que vous choisirez Quelles morphologies a toutes les chelles peuvent r sulter de ces r flexions Quels mat riaux lourds ou l gers lin aires surfaciques ou volumiques et modes d assemblage r pondent ces pr occupations Quelle est la mat rialit du projet Comment collecte t on l nergie et partir de quelles sources En fonction du climat et des usages quelle ad quation trouver entre la captation d nergie et les d perditions engendr es par un objet de petite dimension syndrome du nouveau n Comment ces r sultats sont ils obtenus de la fa on la plus frugale possible Comment cette architecture saura t ell
6. composantes dans R Ce sera notamment le cas pour la base de la partition Dans ce cas l les composantes du vecteur ne seront pas soulign es On en d duit que la quantit de scalaires contenue dans un vecteur d tat du syst me comprendra d s lors 2 param tres 252 292 Vecteur en notation bra De facon transpos e le m me tat pourra galement tre d crit de la fa on suivante U lu t Hp a u Multiplication par un scalaire Rappelons la loi produit qui op re dans E R XE gt E 1 8 gt AE A a e a e A la Ae Nous g n ralisons cette propri t de la facon suivante R x E gt E Au 2 0 440 2 gt 4 u Produit scalaire et norme d un vecteur Le produit scalaire entre deux tats U et Y de la partition correspondra alors E x E gt R u v UV viu Ar Er Avec U V a u a v e u e v Notons aussi que le produit scalaire d finit aussi par extension une forme lin aire pouvant op rer dans E tant donn la loi propos e pour une multiplication par un scalaire E xR gt E U X gt U X X U 2 x Nous d finissons une norme de la fa on suivante E U Elu Elle mesure la somme des nergies des sous parties de la partition elle coincide bien avec la d finition de l nergie en tant que variables extensives Comme dans l espace E nous pouvons aussi d duire que JU U lt EU
7. d une envie pourtant ancienne rel ve le d fi d un enseignant du projet d architecture contemporain Diff rents coll gues capables d incarner la posture de l ing nieur ont contribu s aux exp riences pr c dentes Daniel Bernstein Ljubica Mudri Dominique Druenne C est avec l apport de Jean Marc Weill que la collaboration trouve sa pleine maturit 233 Du type pouss e d Archimede 236 Pour notre part nous le r servons par exemple au studio suivant S6 L3 et au cours de Th orie de Parchitecture pr c dant S4 12 237 tablir ce qu on enseigne a toujours pour corolaire de reconnaitre ce que l on n enseigne pas 238 Je convoque ici mon exp rience d enseignant lu puis nomm la Commission culturelle scientifique et technique du Minist re de la Culture et de la Communication puis du Groupe de travail qui lui succ de depuis 1998 Les tentatives d articulation entre enseignements STA et TPCAU y sont effectivement lisibles dans tous les programmes en application des r formes de 1998 et 2005 2 Tous trois architectes et enseignants l ENSAPB Espace L espace comme mobile La notion d espace est au c ur de la premi re recherche laquelle j ai particip comme tudiant puis comme dipl m et enseignant d butant L espace de l architecture moderne Avec d autres tudes fran aises et trang res les auteurs ont tablis un corpus d tudes et de d finition qui ont affermit
8. es c est la cr ation d Infrastructures Solaires Urbaines les ISU qui peut fournir la solution en mitigeant le prix payer pour habiter durablement en ville LivLib propose la r alisation d un syst me de hubs c est dire des ISU capables de collecter et g rer l nergie de traiter l eau et les d chets de cr er les connexions locales au r seaux urbains Chaque bub contiendra un certain nombre de ports dans lesquels viendrons s attacher to plug des capsules contenant des appartements ou d autres activit s t l travail studio cr che etc Les hubs seront le reflet de la ville et de sa politique urbaine les capsules seront le r sultat du libre march de l habitation Tout change d nergie et de mati re tant canalis par le couple port et plug la responsabilit individuelle pourra tre valoris e D un autre cot les capsules pourront se d tacher d un hub pour s attacher dans un autre afin de r duire les transports et permettre aux propri taires de garder leur habitation toute la vie Grace leur construction et assemblage modulaire les capsules pourront s associer pour cr er des espaces de vie de la taille voulue Le projet est actuellement au d but de la phase d ex cution Il pr sente une r elle innovation sur le plan du rapport entre la ville et les individus et pour une gestion durable des nergies et des masses dans la ville W 7
9. focus sur formes urbaines Bettencourt Lu s M A Jose Lobo Dirk Helbing Christian K hnert and Geoffrey B West Growth innovation scaling and the pace of life in cities PNAS April 2007 CETE Normandie Centre DEIOA Densit de population et morphologie du b ti Charmes E Effet de mode ou solution durable La densification en d bat Etudes fonci res n 145 mai juin 2010 F d ration Nationale des Agences d Urbanisme Habitat formes urbaines Densit s compar es et tendances d volution en France 2006 Fouchier V Les densit s urbaines et le d veloppement durable le cas de l Tle de France et des villes nouvelles Edition du SGVN December 1997 Frankhauser Pierre La formation fractale des tissus urbains Cabiers de g ographie du Qu bec vol 42 n 117 1998 p 379 398 Kennedy C Steinberger J Gasson B Hansen Y Hillman T Havranek M Pataki D Phdungsilp A Ramaswami A Villalba Mendez G Greenhouse Gas Emissions from Global Cities Environ Sci Technol 2009 43 7297 7302 Knowles Ralph L The Solar Envelope its meaning for energy and buildings Energy and Buildings n 35 2003 pp 15 25 Louail Thomas Comparer les morbhogen ses urbaines en Europe et aux Etats Unis par la simulation base d agents Approches multi niveaux et environnements de simulation spatiale Ma zia M Houdant N Joliton D Rimmel L Menard R Berge S Teller J Viejo Garcia P Lacoste G L
10. int rieur et l ext rieur afin d offrir une perception diff rente et de plier la ligne pour la faire participer la d finition d un volume Ce volume Kahn en ma trise tous les aspects Il conna t le comportement tridimensionnel de toutes les ar tes jusqu P chelle de la mati re mise en vre Les l ments de cette complexit sont le mur qui lui m me est d composable en plusieurs mati res articul es l huisserie qui cadre porte tanch ifi e et le verre qui cadre fixe ou mobile la transparence de la lumi re et du regard Cet angle d passe la simple n cessit d une fen tre elle articule deux faces verticales de la maison et son toit et assure un usage int rieur qui s accompagne d un meuble qui paissit la fen tre jusqu l chelle de l incorporation des habitants La distanciation critique vis vis du projet est facilit e quand une m me ligne assume une polys mie de Pintention la r alit 285 Louis Kahn Fisher House Hatboro Pennsylvanie USA 1967 La baie d angle de la maison Fisher est tudi e par tous les tudiants de 2 me ann e de PENSAPB dans un exercice de traduction dessin e d apr s l id e et sous le contr le de Jean Marc Weill et son quipe d enseignants STA G rard Pras Le changement croissant d chelles encourage la traduction dessin e des questions entre enveloppe et thermique et dynamise la d marche projectuelle Transformer la l
11. nergie dissip e vers l ext rieur terrestre et dirig e vers le ciel Elle correspond un flux essentiellement anergique k C c E Cette quantit permet de mesurer l activit de transformation nerg tique de l agent En premi re approche et en 2010 nous pourrons consid rer que le vecteur consommation globale exprim en Watt 1 C 2200 P 1 0 257 292 El ments de comptabilit nerg tique Notations Balance int rieure Dans la suite de l tude nous d finirons comme ci A k M k dessous la balance entre les intrants int rieurs et la un consommation par le vecteur suivant Variation du stock Offre nerg tique k 5 k G Intrants nerg tiques Mk Bo _ IS r IG E ID Sortants nerg tiques k M 1 D d Ce vecteur permettra notamment d valuer la capacit du ne k D syst me quilibre offre et demande nerg tique Emissions fatales326 k C localement en r gime permanent en effet le terme de variation du stock est absent de Pexpression Balance ext rieure Par analogie avec la macro conomie nous pouvons galement d finir la balance ext rieure nerg tique comme la diff rence entre les flux sortants et flux entrants Br a Bilan des balances Nous en d duisons que la conservation de l nergie peut alors s crire de la fa on suivante Elaja1 E 8 8 325 Qu une partie des produits nerg tiques au
12. pr sent ci dessous ce coefficient est de 140 et sera comparer aux r sultats pr sent s par la suite Cartographie 3D de l quilibre offre demande le De France Nord Pas De Calas Alsace Haute Nocmance Mormane Rhons Alpss Provence Alpes Cote D Ara Derragnt Locrame Pxcardhe Pays De La Loire Dasse Normandie Langoedoc Roussillon Franche Comte Aquitame Centre Poitou Charentes Midi Pyrenees Champagne Ardenne Bourgogne Auvespne Limousin A mn 1 mm 15 um i nm 10 Mm 10 mo o m gt mai 26 B 26 E 19 LA D LA 24 2 E Classement des r gions selon l quilibre Offre Demande Hab GWh an aux d cades 1970 2010 2040 275 292 DO aia ds dal Rappott fina Algorithmes de remembrement Automates cellulaires A partir d un territoire fran ais vierge de toute r gion N cellules d initialisation sont choisies al atoirement parmi les cellules du carroyage des donn es pour N r gions cr es It rativement chaque r gion value l impact sur son ratio demande sur offre du rattachement d une des cellules voisines Chaque r gion est dot e d une strat gie d agr gation des cellules une r gion ayant un ratio inf rieur au ratio moyen des r gions cherchera agr ger des cellules faisant augmenter son ratio et vice versa Le choix d une cellule sera donc bas sur l valuation des scores des cellules adjacentes bas
13. responsable du studio Alain Dervieux avec la collaboration de Rapha l M nard et Paul Azzopardi auteurs de Poutil p dagogique 30 30oscope L exp rience accumul e des ann es scolaires 2011 2012 2012 2013 et 2013 2014 est sollicit e comme support d exp rimentation d analyse et de r flexion pour cette tude 230 cole Nationale Sup rieure d Architecture 231 Jean Marc Weill est architecte dple form PENSA Nancy et ing nieur CNAM et Harvard professeur STA titulaire PENSAPB http www ceingenierie fr agence equipe php L gitimit de la d marche Pourquoi une exp rimentation p dagogique pourquoi ce studio Actualit d un exercice p dagogique ou le rapport entre nergie et espace par le plan libre Sous une conduite collective laquelle je m associe activement le studio d enseignement du projet d architecture connu sous l appellation 30 30 fait l objet ou b n ficie depuis son invention 1980 e de plusieurs recherches financ es par le BRA L espace de l architecture moderne C Vi H Ciriani A Dervieux avec diff rents rapports de recherches entre 1980 et 1989 et L espace 30 30 un enseignement moderne du projet moderne O Gahinet et Dervieux 1998 2000 203 292 Rapport final Equipe Reforme h Fax Ge Pos 4 s 4 K Ye VA e VA S so se 1 2 a 1 MR A e LA br ba gt La core sr 7 To MG 29 rapport ent
14. s Dju est d termin en faisant la diff rence entre la temp rature de r f rence par exemple 18 C et la moyenne de la temp rature minimale et la temp rature maximale du jour consid r Demande nerg tique Flux d nergie n cessaire au fonctionnement et au d veloppement du territoire tant du point de vue du contenant que du contenu D molition s lective M thode de d molition permettant le r emploi de P nergie et des mat riaux stock s par le contenant urbain b timents infrastructures Densit urbaine Cette quantit mesure la densit d occupation de la surface urbaine La densit est une mesure instantan e ou moyenn e d n individus 2 m sol 283 292 Diffus rayonnement Le rayonnement global est la somme du rayonnement diffus et directe Le rayonnement diffus est le rayonnement provenant de l ensemble de l atmosph re et qui d pend de sa composition Il se diffuse en traversant l atmosph re Direct rayonnement Le rayonnement global est la somme du rayonnement diffus et directe Le rayonnement direct est la composante directe qui atteint directement la surface terrestre et varie en fonction de la hauteur du soleil au dessus de l horizon Emprise b tie De facon g n rale sera consid r e comme emprise b tie tout ce qui poss de un toit qui cr une ombre et une protection partielle la pluie Est associ la variable c dans la Formalisation Es
15. tique issue du soleil au dessus de Paire A tudi e Pour m moire il correspond principalement la valorisation des gisements solaires oliens hydrauliques et marins n Nous tirons des r gles pr c dentes Pidentit suivante k S s ats e s k S s als e s Nous noterons galement le gisement incident issu du soleil 316 Pour sky sun ou soleil 317 J prend aussi en compte nergie mar motrice bien que non d riv e de P nergie solaire Nota sur l valuation de S0 La constante extrasolaire est de 1360 W m Rapport e la surface du globe nous en d duisons le flux quivalent suivant 340 W m il correspond au flux frappant les couches sup rieures de atmosph re Notre hypoth se de d finition de la partition spatiale est effectu e Paltitude du sol naturel plus b ti Dans ce cas de figure le flux moyen sur la surface du globe est alors de 169 W r En premi re approche nous consid rons l galit suivante exprim e en W m 3 97 15 169 100 100 Solarisation de l agent Le taux de solarisation de l agent pourra notamment tre valu tant du point anergique exergique que global titre dexemple le taux global de transformation exergique issu du soleil sera donc k S Els 255 292 Le vecteur g othermie Sur Pintervalle de temps T nous d finissons le vecteur G repr sentant la
16. y lj ws 240 292 Elles comprennent Des compl ments sur les Repr sentations Annexes pe presenta Des compl ments sur la Formalisation Des compl ments sur les M tamorphoses 241 292 Rapport final Equipe Reforme Compl ments pour les Repr sentations Extrait d tat de l art des repr sentations Par ar PANTIN ARCS PRIVA TA Lave PUBLIC IMPSOVEMENT TAXI Pme MAMIBNANCI ane Lam ht CAPITAL rd dd AJO ASIA DIA AMD RAIN i1 4Sa boa Dot bA DOD dob bit 12 370 004 00 17 000 309 Total Construction 5 000 000 000 G gt gt Uneba 114 ed 1105 000 000 a Ceonirrutres D y D raloges ss 117 5 006 000 a LA x Le AT TE i D a f Faridontial Cdi 17 000 000 000 Lund m Mibrery A Morol 130 000 DOG Fe Ta ae gt Wales Lepply Foie butin 1900 000 000 yd 4705 000 000 A a dl a iL x r r E Y T 2 j X Sewen ond varon a r uge Onpesoi 11 00 000 000 y NN 1273 000 000 ME Ne N y L 2 L Ja IS Sl a AY dd fosmvedr Level rm y E d focwars Lulbwa rs Lar Pawe r Migh dys Litas 1400 000 600 1170 000 Co _ 11 711 000 000 Gua Productor t taphon s Telegraph d Duutribut s Pipe Lines Oil e Ose y pr 1145 000 000 525 000 000 CONSTRUCTION sonverte private 100 mqa late peadectier 1htutures end wife public savings raices cammenity Er sdards el living lr prodeces ihe 1rrectoras PANI provide sur nhelter trosipert
17. 217 292 r f rence Les r f rences ergonomiques des gestes sp cifiques s asseoir choisir et prendre un livre lire se tenir devant un cran tenir une main courante se mouvoir entre des rayonnages monter descendre un escalier des rapports entre personnes devant une banque d accueil de pr t vitesse et politesse des d placements des attitudes chercher au loin avec les yeux les signes d une direction donnent de l paisseur l interpr tation d un programme et une mati re spatialiser La mesure la transparence le mouvement direct ou induit la diff renciation entre le parcours du regard et celui du corps caract risent et nourrissent cette recherche de spatialit Ils aident d finir un travail de l espace architectural disponible une coute de la soci t contemporaine La libert de l architecte r sonne ainsi de mani re coh rente avec la soci t d mocratique qu il dessine et qui le dessine L espace du travail s appuie sur des caract ristiques d marqu es puisque tudiant en est moins familier La permanence des positions la prise en compte de la gestuelle distincte en bureautique et de la manutention le travail en public alimentent la r flexion sur la traduction de Pusage dans le dessin des meubles des emplacements et plus g n ralement du plan comme continuit Le trac du plan libre au sens propre comporte une dimension al atoire ou une dose d inach vement qui pe
18. 253 292 Projection de l tat complet Par convention on associera le vecteur permettant la projection du syst me sur agent amp l tat du syst me poss dant les composantes suivantes k u t 0 Vl 4 k Notons dans ce cas que kW E k U u E Projection de l tat anergique Nous d finissons le vecteur suivant qui permet de d crire l tat anergique de l agent amp Ko UL I u 1 0 u 0 0 VI k u 0 0 Vl 4 k Notons que ka U al xJU au e R Projection de l tat exergique Nous d finissons le vecteur suivant qui permet de d crire l tat exergique de Pagent amp k UU QT u 0 u 0 0 Vl k u 0 0 VI k Notons que U e k U e u R E Projection de l tat nerg tique Enfin pour conna tre la quantit d nergie d tenue sur la composante nous d finissons le vecteur suivant ka Uy 0161 u 1 1 u 0 0 VI k u 0 0 VI k Nous en d duisons aussi que kare lU ER Notons enfin que Eae a K Ko U Elu Projections globales Par convention on associera le vecteur permettant la projection du syst me sur l ensemble des composantes de la partition Eh 254 292 Description du syst me Le vecteur soleil Sur Pintervalle de temps T d finissons le vecteur 316 repr sentant la valorisation nerg
19. 58 As Temps d utilisation en min Energie Scie D feo EE Ll Chariot l vateur 0 PO Trans palete E TE 63320 4 PA Er E 0 0 o Perceuse J o 0 y o L Marteau piqueur 0 Y a Plaque diamant e ___40 Chariot l vateur 175 175 Eg 38 6756083 kg SO2 Eq 56 7127577 eutrophicatio n potential generic kg PO4 Eq 9 62043274 climate rc Le GWP 100a Q i 5859 39883 competion mea 18 0407351 competition 18 9497351 ecosystem la Lun occupation po 5 80382455 urban land a un ULOP 119112489 natural tana transformatio n NLTP m2 2 88587012 uman toxicity kg 1 4 DCB HTP 100a Eq 3464 55822 errestna ecotoxicity kg 1 4 DCB TAETP 100a Eq 0 61388451 268 292 Menuiseries Menuiserie lectricit Wisseuse Perceuse 1 0 05 ic 178 384822 30 2921940 18394 5088 land use competition mza 57 4074555 lo 18 0042083 Chariot l vateur ion Treuil F m2 35 5662307 Trans palette l vateurs fourche ma 9 050425580 10835 1796 1180941474 Engins Consommation Lh Temps d utilisation en min Energie Lit Chariot l vateur o_o of o o fframspatere 27 tao eroze sas IO EI ELLE MES Consommation L h Temps d utilisation en min Energie Vis A RE ES CAC ODO Marteau piqueur i o w da Plaque diamant e 40 af aaa lo ie o o Oooo o ES Y OA O Chariot l vateur O y op dl 2 Trans palette ooo ol 0 0 aa
20. Club d Ing nierie Prospective et Environnement avril 2013 Valero Delgado Alicia Exergy Evolution of the mineral capital on earth 2008 Demande g n ralit s sur architecture et urbanisme Antoni Jean Philippe Fl ty Yann Vuidel Gilles de S de Marceau Marie H l ne Vers des indicateurs locaux de performance nerg tique les tiquettes nerg tiques territoriales Une premi re approche partir de l estimation des mobilit s quotidiennes 2009 Arantes Laetitia L Int gration des donn es nerg tiques dans la conception architecturale situ e th se de doctorat ADEME CSTB Navier dir Olivier Baverel fin 2012 Banham Reyner L Architecture de l environnement bien temp r Marseille Parenth ses 2011 1969 345 Comprend a la fois les stocks nerg tiques a tr s long terme solaire ancien et la question de la d pl tion des stocks d hydrocarbures mais aussi les stocks court et moyen terme a la fois r versible par exemple les stockages de chaleur intersaisonnier comme court terme 346 Certains de ces ouvrages comprennent videmment des r flexions plus globales sur ad quation offre stock et demande a P chelle du projet architectural et urbain 287 292 Borasi Giovanna et Zardini Marko D sol plus d essence L Innovation architecturale en r ponse la crise p troli re de 1973 Montr al CCA 2007 Chatelet Alain dir Architecture climatique Une contribution au d ve
21. Coura system Diagramme repr sentant les transformations successives du flux d exergie pour une voiture Mei Gong et G ran WalP 308 On exergy and sustainable development Part 2 Indicators and methods Exergy Int J 1 4 2001 217 233 AAIOQURET HAN eur Dbect de parkmmance er ra tur Si rar p on lec aphan aiis ehi E e CT 2032 SIA 38011 poteram ia a En PP aj Maras piv t 5 resi En de PAR E e Mis E 7 a LDC TE gt de Y Lurm se Aoperaia Ah poteau CT 2039 gooner A SIA 3B0 4 O ADORA Cahier technique SLA 2040 Soci t a 2000 Watt hoarisg roir Pas O T Hiwat 264 E Na Po Global budget of entropy production by diabatic Earth system processes Based on Peixoto et al 1991 Note that the latent heat flux has been corrected from Peixoto et als estimate ibid AS gs on A Z IE r nee meor b eo Ve aat ws tues A o a a thp a ta rt spanen Stsstoti LLII ES This representation reveals energy consumption through color codes that depict each singular area situation with the mouse over you get further information on the singular pixel hitp modi mech columbia edu nycenergy 243 292 111110 D 17 on CL MAAAR Aras b Lara ss A remos e A Mii Pa FLUX ENTRE LES QUARTIERS INN uu d roll ad 177 N 01 MIVOETS i py tr 11019 LIVILLOY Lau
22. D B Stephen J et Wood S M Exploring the potential for biomass power in Ontario 2006 Lhomme JC Les nergies renouvelables ed Delachaux et Niesl 2004 Massachusetts Institute of Technology The future of geothermal energy 2006 Mazria Edward Le Guide de l nergie solaire passive Marseille Parenth ses 1979 McKay David J C L Energie durable pas que du vent Oxford De Boeck 2012 NREL Concentrating Solar Power Projects Database US Department of Energy 2012 Royal Commission on Environmental Pollution Biomass as a renewable energy source 20049 Solar Paces Estela Greenpeace Concentrating Solar Power Global Outlook 09 Why Renewable Energy is Hot Weller B Hemmerle C Jakubetz S Unnewehr S Photovoltaics Technology Architecture Installation Edition Detail 2010 337 www solarpaces otg Libraty library htm 338 http landartgenerator org LAGI FieldGuideRenewableEnergy ed1 pdf 3 geoheat oit edu bulletin bull17 1 art1 pdf 340 http www iea ore papers 2010 csp_roadmap pdf 341 www biocap ca files Ont_bioenergy_OPA_ Feb23_ final pdf 342 geothermal inel gov publications future_of_geothermal_energy pdf 34 http www nrel gov csp solarpaces by_countty cfm 34 www tcep otg uk Zhu X G Long S P et Ort D R What is the maximum efficiency with which photosynthesis can convert solar energy into biomass Current Opinion in Biotechnology 19 153 159 200
23. De plus la pierre est une ressource in puisable La taille de la pierre est aujourd hui une industrie technologique bas sur la conception et la fabrication assist es par l ordinateur qui produit peu de pertes de mati re et se sert efficacement de l nergie La p n tration des structures en pierre de taille dans le march de l immobilier est n anmoins aujourd hui tr s limit e cause du manque de solutions techniques capables de r pondre la libert de forme propre de l architecture d aujourd hui et du co t des op rations de chantier li es traditionnellement ce mat riau Le probl me fondamental quand on aborde la question de la recherche d une forme architecturale coh rente avec la captation solaire par concentration et la construction en pierre de taille se trouve au centre de l architecture quelle forme donner au toit sachant que la concentration de la radiation solaire requiert des formes convexes alors que la descente des charges par st r otomie requiert des formes concaves La r ponse de Astonyshine est totalement nouvelle Une vo te en selle en pierre de taille capable de porter des charges par sa courbure et en m me temps donnant un support optimal pour suivre la course du soleil La surface r gl e ainsi obtenue porte les l ments So arFLight brevet s par l Universit de Ferrara La voute a t projet en adaptant un brevet de l acad mie des sciences du XVII si cle pour cr er d
24. L id e principale de l enveloppe va d cider de la partition majeure et proportionn e de chaque face du volume xa xp S N 4 f M 221 292 Cette partition P chelle du 1 100tme se joue autour du trac d une ligne Peffet de c sure cette chelle le d bat avec mon complice Jean Marc Weill porte sur la signification de cette ligne Elle n est ligne qu cette chelle En effet cette ligne est l expression d une simplification alternativement bord d opacit ou limite d ouverture L chelle interdit en maquette qu une complexit interf re simultan ment avec les d cisions majeures Une fois la ligne situ e elle est d abord v rifi e dans son efficacit quantitative mesure des surfaces puis des volumes d air et de mati re arithm tique et g om trique proportion Mais sa nature et sa complexit restent penser et constituent une couche d interrogation suppl mentaire traiter ult rieurement Leurs r solutions appellent dessin et maquette une autre chelle qui suscitera une prise de position Il est vident qu une simple ligne ne partage pas le rapport entre une opacit et une ouverture vitr e Il est m me compr hensible que faire dispara tre ou d placer Pune des lignes repr sente un effort conceptuel manifeste Le clair de vitrage n cessite dans la maison Fisher de L I Kahn une capacit de son concepteur se repr senter simultan ment l
25. Population Donn es amont pA pB pC Composantes pi p2 p3 IC gt Vecteur consommation Donn es amont CA cB cC Composantes ci c2 c3 IM Matrice richesse change Richesse Donn es amont Termes diagonaux Echanges IS gt Vecteur ciel Donn es amont SA sB sC Composantes s1 s2 s3 IG gt Vecteur sous sol Donn es amont gA Composantes 246 292 Exemple d interactions entre trois acteurs ECHANGES ET STOCKAGES DE TROIS ACTEURS fe je gt Emissions fatales d nergie par lPacteur C vecteur consommation Energie re ue en surface par l acteur C vecteur ciel Stock nerg tique cumul de Pacteur C richesse Energie re ue en sous face par l acteur C vecteur sous sol 247 292 Rappott fina me ulipe KETO ME Compl ments pour la Formalisation Op rations sur E Espace vectoriel de P nergie Loi d addition Le pseudo espace vectoriel E On retient la d finition suivante ExE gt E D finition e e e e a e a e a a e e Nous d finissons un pseudo espace vectoriel9 dot de lee gt e e a e a e a a e e Paddition sur l espace bidimensionnel des nombres r els positifs Nous prenons comme axiome que nergie anergie et exergie sont positives ou nulles Notons que cet espace dot de l addition n a pas de structure de groupe puisque chaque vecteur n a pas d oppos par constructio
26. b c d Facile tr s difficile tr s facile tr s g n reux apparaissant comme les diff rents chapitre du classement Le bilan pourrait tre chronologique puisque ce n est pas par ordre de difficult Ce pourrait tre l ordre de apparition du questionnement chez l auteur puisqu il se r f re explicitement ses propres projets Int ressant de situer apr s cette date le classement de ses uvres post rieures Appartiennent elles cette lecture Y sont elles toujours classables Quant Pidentit des exemples elle se construit au profit d un travail autocritique de Le Corbusier sur son uvre puisqu il n y semble pas se r f rer d autres architectures Trois projets sont vidents par leur litt ralit Villa Laroche 1923 projet Domino et villa Baizeau 1928 Villa Savoie 1929 Le quatri me est ambigu Villa Stein ou autres villas blanches puristes construites ou non pavillon de l esprit nouveau EN 1925 Meyer 1925 Cook 1927 C est donc un terme g n rique villas cubistes qui donne lieu de nombreuses exp riences probablement insatisfaisantes ou simplement suspendues Comment ne pas consid rer la villa Shodan pourtant contemporaine de la villa Sarabhai r sonnants aux probl matiques pos es par les villas Jaoul datant de 1951 galement comme une nouvelle tentative de projet tr s difficile On notera importance de la difficult en fonction de la dimension de l difi
27. ces paisseurs n est pas le m me que celui des vitrages potentiels Mais aussi en termes qualitatifs La r partition de la transparence en surface entraine la conscience de diff rences entre types de fa ades l g res et leurs structures aff rentes et celle de la position respective de diff rentes paisseurs tanch it l eau air et isolations Ce sont des d cisions qui entrainent le second uvre et les finitions Quelle apparence donner aux diff rentes surfaces de mati res donn es la vue Le chemin vers la mat rialit trouve une expression non arbitraire dans la d marche de projet Le choix de conception est faire entre des possibilit s tay es par des donn es Il est susceptible de s exprimer hors de la d marche de projet Il quitte le myst re conceptuel pour tre appr hend par les autres acteurs ing nieurs ma tre d ouvrage Au 1 200me la maquette couleur permet au contraire des d cisions strat giques li es la recherche du plan libre Les crit res hi rarchiser retenus pour valuer la libert du plan sont r unis en quatre points e la capacit de l escalier bien distribuer les fonctions situ es sur le PH1 partir de sa juste position au PHO e la figure du plan en termes de simplicit efficacit identit sous Pinfluence de Phypothese depuis le choix de Pentr e du premier arr t du contour g n ral e la correspondance programmatique
28. circulation dont on sait a quel point elle est d cisive dans le dessin de la villa Savoie rampe escaliers parcours automobile giratoire C est l absence totale de rep res et d chelle qui rend l investigation ambitieuse Seul le hors chelle permet la f d ration de valeurs nonc es ailleurs Ce projet autorise de poser simultan ment les questions Quelle structure quelle lumi re et quel soleil quelle division et organisation classement et hi rarchie Comment chapper la circulation au pittoresque au mouvement au facile En r sum quelles sont les qualit s pr sum es par l intitul tr s difficile Fluidit abstraction modernit calme et ordre spontan it contre combinatoire classement et hi rarchie retenu g n reux et r gularit ne pas renoncer aux besoins fonctionnels insolation contiguit s circulation mais en les transcendant promenade architecturale jardin int rieur toit libre proposition D velopper la terminologie r elle et d duite 257 Pr cisions sur un tat pr sent de l architecture et de l urbanisme Paris 1930 dition originale Le Corbusier Pr cisions sur un tat pr sent de l architecture et de l urbanisme Les Editions G Cr s et Cie coll L Esprit nouveau 1930 in 8 268 p 213 292 Rapport final Equipe Reforme Ordre des 4 compositions Les documents sont clairement ordonn s 1 2 3 4 et non simplement distingu s a
29. domaine Rem Koolhaas est le th oricien de cette archipellisation monumentale Il faut souligner que la compacit exceptionnelle des difices de Le Corbusier ou d Ito o P clatrement naturel reste une composante essentielle justifie le qualificatif d urbanit La question d un microcosme qui tend autonomie et aux qualit s du macrocosme obsedera l architecte jusqu la station spatiale Ces quatre compositions font cho une lecture r trospective de la modernit depuis ses avant gardes modernes Quatre p riodes de la modernit architecturales se distinguent assez clairement Une continuit historique assemble ces p riodes qui se caract risent par des cahots et des dynamiques qui secouent les soci t s autant que les individus au cours du XX me si cle 1 Les avant gardes modernes laborations de l espace mouvements exp rimentations 1920 1940 2 Construire la modernit La guerre et la deuxi me r volution industrielle comme mobile 1940 1960 3 La modernit critique D sindustrialisation et radicalisme retour aux sources 1960 1980 4 La modernit apres Mondialisation r actions et r actionnaires des mouvements modernes 1980 Compl ter par le texte qui diff rencie les 4 p riodes de la modernit architecturale 214 292 Rapport final Equipe Reforme Influence sur un enseignement contemporain Probl matique la moiti du parcours de la formation d un architec
30. du corps de l ext rieur l int rieur usage articuler la lumi re solaire et la lumiere architecturale int rieure la physique architecturale L enveloppe de l difice fait l objet d un travail ult rieur Dans une hi rarchie qui d compose l articulation des espaces les tapes chronologiques sont intitul es L entr e Un poteau l accueil 3 poteaux le c ur hi rarchie des parcours principaux 9 poteaux accompagn s par Pescalier Le hall tablies en perspectives puis les maquettes La maquette couleur 1 200tme r partie le programme par une figure spatiale le plan libre La maquette blanche 1 100tme est celle de Pint gration des usages a l chelle du corps parcours de meuble rangement et lecture La maquette meubl e comporte la face sup rieure confortant l clairage z nithal La maquette PH2 avec enveloppe compl te et lumi re lat rale La maquette finale 1 50 me figure la mati re mise en uvre conceptuellement au profit d un questionnement de la mat rialit Cette d composition inclut en particulier La strat gie d organisation du plan du sol en diagonale par directions successives vers l avant nord et vers le c t est ou ouest ou en parall le profondeur vers le nord par succession de directions est ouest La strat gie de relation entre niveau du sol et niveau sup rieur E Ces strat gies permettent de
31. et zones d activit habitables en alternance L architecture peut elle rendre compatible mitoyenne r versible des ambiances diff rentes Les exp rimentations modernes ont d ploy s le sujet de Pobsolescence architecturale dans plusieurs registres c est celui de la mati re dans les b timents d habitation construits pour une dur e de vie limit e de Jean Dubuisson celui de la temporalit par Pinterchangeabilit des programmes dans l espace avec l exemple du mus e et maison de la culture original du Havre de Guy Lagneau Michel Weill Jean Dimitrijevik Raymond Audigier dont est issu la flexibilit du plateau libre de Beaubourg de Piano et Rodgers Henri Ciriani Pa th oris e 2 par une partition au moment de la projetation entre ce qui est d ordre p renne et ce qui releve d une obsolescence programm e Ces dualit s servant servi p renne obsol te ou typique atypique r v le 273 Et non seulement la machinerie industrielel 214 R f rences de Rapha l 25 Jean Dubuisson citation sur la dur e limit e de vie d un ensemble de logements due au proc d e constructif employ 276 Obsolescence et p rennit de Parchitecture moderne article d Henri Ciriani une pens e binaire d opposition entre termes et rel ve d une pens e du choix projectuel comme action JA r 4 p 4 A 1 ir Fa Ilustration Variante d un rapport du plan a l enveloppe par la compe aux incidences
32. gradation de la performance de l algorithme pour ce qui est de son objectif initial la r duction des carts entres les ratios La perte d information ayant lieu lors du carroyage des donn es ou de la simplification des entit s territoriales leur centro des s est r v l e pr judiciable la pertinence des r sultats produits les algorithmes ne voient pas de probl me d couper les agglom rations ou produire des formes peu r alistes pour des r gions 272 292 Rapport final Equipe Reforme Optimisations administratives La derni re m thode consiste donc partir des limites administratives existantes plus dans la perspective de leur redistribution entre les diff rentes r gions que dans l objectif d une remise plat compl te du d coupage du territoire fran ais Un algorithme glouton est mis ici en place pour valuer la succession optimale de transactions entre les r gions pour la recherche de solutions venant appuyer l utilisateur de mani re interactive lors de sa r attribution des d partements aux r gions En combinant la capacit de calcul de l algorithme et la capacit de l utilisateur int grer de multiples facteurs son analyse tels que la forme la taille ou encore la viabilit politique des r gions les r sultats obtenus deviennent alors plus satisfaisants Donn es et hypoth ses Les donn es g ographiques utilis es sont issues de la base GEOFLA de l IGN cont
33. l paisseur de la partition titre d exemple elle peut comprendre Les r serves de minerai exploitables Les r serves d nergies fossiles Les r serves vivantes 2 Les stocks de bois nergie Les stocks alimentaires Les actifs d nergie incorpor e lectricit stock e 2 La chaleur stock e 2 Gardons galement Pesprit une condition aux limites respecter notamment dans le cadre de simulations projet es E m gt 0 E m gt 0 322 Comprenant galement la population moyenne de la p riode T 323 Par exemple dans des piles combustible 324 Par exemple dans un dispositif de stockage intersaisonnier Le vecteur demande Pour la m me p riode temporelle T nous d finissons le vecteur suivant repr sentant la demande nerg tique ou une partie de ses charges nerg tiques de l agent Elle correspond l criture en anergie exergie de l ensemble des besoins de la population P sur le territoire A Elle traduit notamment la somme des besoins En chaud et en froid En clairage En alimentation En transport de personnes En transport de marchandises En besoins d nergies incorpor es k D d EE Nota important il s agira de ne pas confondre la densit de Pagent d non soulign de la demande d soulign Le vectenr consomimalion Pour la m me p riode temporelle T nous d finissons le vecteur suivant repr sentant l
34. n 2n 3n Cela montre que plus le nombre d agents augmente ou le nombre de points dans le r seau d change plus les possibilit s d changes pour une situation donn e de consommation de production et de variation du stock augmente quadratiquement Au sein de sous espace n 2 n n 2n n in galit s limiteront Pespace des possibles Probl me inverse 2 Dans le cas d un syst me 7 agents et si pour chaque agent nous connaissons Sa capacit de conversion du vecteur ciel Sa capacit de conversion du vecteur sous sol La valeur de sa dissipation nerg tique Que peut on alors en d duire sur la nature des changes entres les 7 agents Ce probl me diff re du pr c dent car la variation du stock est ici une inconnue Rappelons galement que dans le cadre d une partition macroscopique de la Terre si par exemple les membres de POPEP sont rassembl s au sein dune m me partition et que cette derni re rassemble galement les territoires disposant de r serves d nergies fossiles cela implique que la quantit de stock des autres l ments de la partition est n gligeable Nous avons alors 2 n n 261 292 D finition du rendement thermodynamique De fa on classique le rendement d une machine thermique compare la quantit de travail produite la chaleur consomm e Dans une situation de r gime permanent on consid re qu il n y a pas de variation du capital nerg tiqu
35. non contigu s puisqu elles ne se prennent mutuellement pas en compte O H 100 i y 350 25 0 0 0 1000 2000 3000 4000 5000 It rations o pu 100 AY 1507 Oai 0 1000 2000 3000 4000 5000 It rations 276 292 R Ntra rt E NA i N N11 di pa R alr Frria Ra DDOIT Nal q uipe NRETOTME L L Afin de garantir le dynamisme du processus de d coupage et acc l rer la convergence des ratios les cellules les Diagrammes de V orono moins bien valu es par la fonction score de l algorithme sont rel ch es remises en territoire non attribu La A partir des N pics de population form s par les grandes prise en compte du moment d inertie dans le score permet agglom rations fran aises un diagramme de Voronoi alors de rejeter les cellules trop loign es du centre de prend ces points comme points d initialisation auxquels gravit des populations de la r gion produisant des sont affect s des poids arbitraires formant un premier formes plus compactes d coupage En agr geant les donn es de population et d irradiation du carroyage l aide de ce d coupage les ratios demande sur offre peuvent tre calcul s L algorithme fait alors varier it rativement les poids des points servant au calcul du diagramme de Voronoi ce qui a pour effet de modifier les d coupages et donc de faire voluer les ratios L algorithme adopte alors un comportement de type g n tique chaq
36. ploiement est Jean Marc Weill En deca du 1 200tme l exercice se d roulant hors situation sollicite Pusage comme site Il s agit de construire l espace r pondant au programme autour du corps du pratiquant en mouvement Les chelles territoriale et urbaine inf od es une compr hension du paysage sont associer au projet d installation humaine Je propose un enseignement au 274 semestre en compl mentarit du 1 La question de l nergie prend en consid ration les r gles urbaines et celle de la conurbation D un point de vue p dagogique afin de rejoindre les capacit s du 3030oscope la mod lisation du projet de l tudiant peut appara tre comme la conclusion logique au 1 50 me de l ensemble des questions abord es Pourtant ce ne sont pas les questions r solues Une it ration serait n cessaire avant le recours une chelle sup rieure Une nouvelle partition du projet sans possibilit de repr sentation unitaire en tant d ailleurs presque automatiquement la cons quence La mod lisation peut tre prise comme la meilleur somme des parties accessible ce niveau d tudes Cela ne doit pas occulter la n cessit d une figuration synth tique de la question pos e par le projet La projetation prouve la capacit du projeteur installer chaque instant dans une chronologie les d cisions partielles comme anticipations d une unit venir Pour des raisons purement scala
37. prisme de nergie permettra d assumer de nouveaux choix Quelles sont les r f rences de progression d un enseignement du projet Les arguments de diff renciation entre un enseignement sur le fond n de la modernit et un enseignement pr moderne de la forme restent ils toujours pr ciser Comment chapper par exemple l exercice de composition centr e donc sym trique des neuf carr s228 J ai appris de la recherche de Michel Corajoud la mani re dont Len tre appuyait g om triquement son travail de jardinier paysagiste Il y montre comment s exercer au relev sur le terrain le conduit passer de l hypoth se de la d clinaison d une grille au pas r gulier qui ferait de lui un concepteur classique mule de la sym trie et de la stabilit hypoth se d une conception baroque o se d ploie la g om trie du rapport dor par l inscription des angles et des figures dynamiques de la spirale et du pentagone 228 John Hejduk Cooper Union NY dans les ann es 80 cit par Michel Kagan Propos recueillis par Francoise Arnold et Daniel Cling extraits de l ouvrage Transmettre en architecture De l h ritage de Le Corbusier l enseignement de Henri Ciriani paru en 2002 aux ditions du Moniteur 248 pages 222 Un extrait de cette tude a t publi dans Les annales de la recherche n 18 19 1983 sous le titre Versailles lecture d un jardin Le croisement de consid ra
38. questions d ergonomie et de mode d emploi sont secondaire celle d un accompagnement essai erreur pour faire naitre la conscience d un choix version simplifi e 211 292 P dagogie du projet Sources d un recul critique Relation avec l tude Le projet d architecture Que faut il enseigner Comment faut il l enseigner Le caract re exemplaire des projets mis en exergue dans l enseignement permet d identifier des objectifs compr hensibles et de faire de leur accession l objet d un questionnement disciplinaire Hors d une p riode de formation la r duction a priori des questionnements est illusoire comme l est celle de principes st r otyp s pour r ponse L architecture n est pas une science exacte et la qualit du projet se partage en particulier entre int r t th orique et pratique inspir e La th orie architecturale rel ve elle m me de probl matiques difficiles accorder d s l nonc d une d finition par firmitas utilitas et venustas En quoi le 30 30 appartient il ou non la cat gorie tr s difficile nonc e par Le Corbusier dans Les 4 compositions Lui m me interroge cette partition initiale de ses propres projets par la notion de genre Genre plut t facile tr s difficile tr s facile tr s g n reux Genre en termes d action ce qui est g n r engendr Ni style ni architecture Dans les courts nonc s qui accompagnent sa propositi
39. r duisent au moins partiellement la production d nergie dans le but de minimiser le d calage des modules let les pertes dues l ombrage de mani re plus efficace que par les convertisseurs MPPT centralis s actuellement utilis s La recherche de nouveaux d tails mat riaux et technologies pour l interface entre les modules solaires et la structure du b timent pour l imperm abilisation le contr le de la temp rature la ventilation la pr fabrication et la r duction du co t La recherche d un clairage optimis naturel et artificiel pour satisfaire aux crit res de quantit et qualit lumineuse et pour cr er des effets spatiaux et lumineux L int gration du projet d architecture et de sa structure avec la logistique de projet pour r duire le co t g n rale de la production et de la construction en augmentant leur qualit et la durabilit de la fili re et en r duisant les risques du travail 236 292 Rapport final Ces points qui ont t trait conjointement ont conduit aux r sultats suivants e Astonyshine tait une maison en pierre de taille et bois Les parois en pierre exploitent une typologie constructive qui a t invent e en France la fin du XVII si cle sans jamais avoir t appliqu de mani re significative Les recherches conduites pour Astonyshine aux Grands Ateliers de l Isle d Abeau ont permis la r alisation de la premi re voute en pierre de taille en forme de selle j
40. y sont r solues et celles de sa ma trise se posent Le rapport entre fa ade et site pour ne pas se borner tre une r ponse pelliculaire et uniquement circonstancielle passe par une tape d tude o la question du sens de la pr sence d une architecture dans un paysage qu il soit urbain suburbain rural sera litt ralement pos e semestre 6 du premier cycle S6 L3 Le changement d chelle nourrit une conscience non lin aire et non additive du processus de conception L exercice tudi ici 30 30 permet de constituer depuis l int rieur une enveloppe comme l ment de contr le des ambiances et de leurs variations vue li e Pusage lumi re solaire puis int rieure et thermique engageant ainsi une chelle de r flexion li e la taille de P difice 248 Voir Particle de Jean Marc Weill et le cours donn pour le studio 30 30 sur les diff rentes figures contemporaines de l tanch it 242 Sur la d marche de projet Christian Devillers lettre Fran oise Choay sur l histoire et l analyse architecturale Cahier de la Recherche Architecturale num ro 26 Histoire p 95 103 2 me trimestre 1990 250 Les clairages de la g ographie histoire Papproche culturelle et anthropologique manifesteront leur importance L exercice ult rieur permet de consid rer cette m me enveloppe comme le terme focalis d un change entre la vue simultan e depuis et sur le pa
41. 011 Introduction Une formation n e dans le sillage de IMR Le contenu p dagogique du DPEA Architecture post carbone a t d velopp au cours des ann es 2011 et 2012 La premi re promotion a d but en septembre 2013 Ecole d Architecture de la Ville et des Territoires Marne la Vall e Le cadre g n ral de la formation est le suivant e formation de 3e cycle e s adressant des architectes dipl m s e se fondant sur les sp cificit s de la formation des architectes e partenariat avec l Ecole des Ponts ParisTech double dipl me e compl mentarit entre outils et conception e compl mentarit entre cours et projet e caract re prospectif et exploratoire e en prise directe avec les demandes du monde de la construction e multi chelle du composant a Pilot 194 292 Rapport final Equipe Reforme El ments du programme d enseignement gt e begu rr ds wh dot de de rr G mg pr a em vtt es is gt ques 0 e p Eo me minh murs tu e abn ba st hi roqa trs A og LA e ss ies Mesen ae ad tnt pme as es ns e a e 4 met 4 par e q Duen eeen hana y bamme fies Bd a metre PIPA CAT AN Beis me Re poe ge i te es de E e aG A IS A a E a 5 guess jidi ren Ad lemes 1 e een i apn prog et 417 6 um ad three bi diet Mas de PUYOL T Pwe o A Gpe Mei Mmes Don 9 me Que de mn tr hors tubes a DM 00 IA o aa
42. 0kWh m construit Si l emprise d usage r sidentielle est d environ 40m par personne le co t constructif par individu est de l ordre de 40 000kWh pour la production de Pespace Si la dur e de vie de ce b ti est de 40 ans alors l amortissement est donc de 1000kWh par an et par personne soit environ 114W par personne Premi re partie nergie Nous vous demandons de proposer un ilot ou une collection d objets b tis ou un difice unique multi programmatique permettant d assurer l autonomie d usage de 2000 personnes Votre projet devra permettre d assurer la globalit des usages spatiaux pour ses 2000 habitants logement bureaux locaux d artisanat commerces et quipement public En fonction des contextes vous d finirez Pallocation programmatique Ces analyses puis vos choix permettront alors de statuer sur l emprise d usage des 2000 habitants Faut il pr voir 50m par habitant ou 25m La somme programmatique de l difice sera alors comprise entre 50 000m et 150 000m En fonction du climat et de vos hypoth ses culturelles et techniques vous valuerez une estimation de la demande nerg tique de vos habitants En 2050 et au sein de votre site consommeront ils 5000W 2000W ou 1000W Vous dresserez cette estimation en valuant six postes lectricit alimentation chaleur froid mobilit et amortissement de l nergie grise Un extrait de rendu coupe Neuchatel source DPEA Archi
43. 8 Stocks g n ralit s sur les stocks diff rents termes Chevalier Jean Marie Derdevet Michel et Geoffron Patrice L Avenir nerg tique Cartes sur table Gallimard coll Folio 2012 Church R A Hall A et Kanefsky J The history of the British coal industry Vol 3 1830 1913 Victorian pre eminence Clarendon Oxford 1986 Cochet Yves P trole Apocalypse Fayard 2005 Herring J Uranium and thorium resource assessment In C J Cleveland editor Encyclopedia of Energy Boston University 2004 Jancovici Jean Marc et Grandjean Alain Le plein s il vous plait Seuil 2006 Wingert Jean Luc La vie apr s le p trole de la p nurie aux nergies nouvelles Collection Autrement 2005 Stocks focus sur nergie incorpor e et g om tries Bejan Adrian Lorente Sylvie The constructal law of design and evolution in nature The Royal Society 2010 Beukers et Van Hinte Lzghtness The Inevitable Renaissance of Minimum Energy Structures Kazazian Thierry Design et d veloppement durable 11 y aura l ge des choses l g res Victoires Editions 2003 Kolokotrones T Van Savage Deeds EJ et coll Curvature in metabolic scaling Nature 2010 464 753 6 McDonough William et Braungart Michael Cradle to Cradle Cr er et recycler a l infini Paris Alternatives 2011 P Pourouchottamin C Barbier L Chancel M Colombier Nouvelles repr sentations de l nergie Cahier du
44. ACV par lots Gros uvre Ma onneries Engins Impacts umit s resources depletion of abiotic kg antimony Visseuse 0 015 399 036130 o 2 ml acidification Perceuse 05 2 5 generic 583 404911 eutrophicatio n potential Marteau piqueur 1 3 kg PO4 Eq 98 3060418 climate Plaque diamant e ja Chariot l vateur Treuil T 132 107458 Trans palette natural land l vateurs transformatio fourche O n NLTP 20 7006051 EE A a a kg 1 4 DCB Eg 35047 9028 terrestrial ecotoxicity kg 1 4 DCB TAETP 100a Eq 847210647 Diesel Engins Consommation Lin Temps d utilisation en min Energie Lite ES aos CA a PA Er E A ME y o Martesupiquewr 3 3 No Y op o Plaque diamant e o of a o fe pa oy ola Grue 35 EE 10150 Chariot l vateur Oo Y 0 oo Tns paete 27 17400 2825064 7830 aerea 70 Eau Engins Consommation Lin Temps d utilisation en min Energie ECS Y OOO lo fPeroeuse __op___o d ll Martesupiqueur op y o ad Ll Pisque diamant e aojo 3 3 17400 neo lo fideo ao a a Gue G o o 267 292 Rapport final Equipe Reforme CIG Installation Puissance KW Temps d utilisation en min Chariot l vateur Treuil rans palette l vateurs fourche 3900 og z AO N Lo Total Diesel Engins Consommation L h E Misseuse A Perceuse QQ 0 Marteau piqueur 0 0 Plaquediamant e 0 0 O
45. Dans cette situation une difficult synth tiser m me partiellement s explique mais freine la progression de l apprentissage du projet Pour beaucoup l enseignement se pr sente d coup en de nombreuses disciplines souvent vues comme parall les ayant chacune une progressivit et un rythme d apprentissage sp cifique Cela favorise une digestion lente o l on ne peut provoquer fr quemment des situations de synth ses Le rapport d tudes le portfolio le carnet pr paratoire la s lection Erasmus le m moire pr parant la d marche autonome de la recherche en 3 semestres le PFE le m moire professionnel sont tous venir Le syst me scolaire est encore tr s pr gnant L effort de synth se est repouss en fin de cycle ou vers les suivants 253 Probablement le spectre le plus large de l enseignement sup rieur Il s oppose peut tre avec raison d autres enseignements disciplinaires ou techniques universitaires ou scolaires Les concepteurs Paul Azzopardi Rapha l M nard ont produits un outil remarquable L tude fine des 20 r sultats permet de confronter outil professionnel et outil p dagogique La question p dagogique comment rendre du 30 30oscope enti rement coh rent avec le studio L accompagner par des tests v rifi s des comparaisons et une d monstration sur un cas existant Le diffuser au bon moment Anticiper l approche de l enveloppe L adapter Les
46. Et par cons quent tenir compte de la modification de la lumi re et de la perception du paysage qui contrastent fortement avec l t Mais comment convoquer cet axe en compatibilit avec d autres Dans notre cas le plan libre qui s appuie sur une fluidit tant horizontale que verticale permet de nuancer en permanence de mani re subtile brutale la pr dominance de qualit s d un espace en perp tuelle variation mouvements Il facilite la possibilit de l alternance de ces qualit s Il rend extr mement difficile d en contr ler toutes les articulations Il est vident qu enferm dans le Tupperware de l amphith itre central dans mon amphi printanier jai besoin d air parce que je parle loin fort et longtemps je me d place et me meut pour conserver l attention sur mon propos et les documents projet s je me concentre pour exercer une continuit de sens compr hensible Pour tout cela il faut de oxyg ne dans mes poumons comme sur ma peau Or dans ce m me amphith tre les l ves sont immobiles 220 292 r ceptifs devant leur feuille de notes ou cran L cart entre activit et passivit programme diff remment cet amphi l espace unique et partag La condition climatique l a rendu tanche sans fuite et donc sans courant d air Par chance le courant d air persiste dans le plan libre Mais son indiscipline reste programmer Les l ments en tant que manifestations naturelle
47. Ignis Mutat Res Reforme Parties Les Metamor prose Sins 163 Conclusion 1 sc narios globaux 164 Sc naset le lone terrano 165 Les sc narios eto D codi 166 Conclusion 2 r forme en Prhnces a 169 Aoc OR usina 169 Remembrer les r gions selon P nergle Pon 170 Del sccacs pPOlHIquo sn LA Les Infrastructures Solaires Urbaines sas 179 Une utopie locale pour la solarisation 179 aca Ore AAA sen 179 Deuzieme principe Stocke epa 180 Troisi me principe CONtenif nues 180 Dimensionnement des ist 181 Quelques repr sentations des ISU 186 Cas pratiques pedaso QUES as 193 DPEA Architecture Post Carbo vsssicnimecssi ndniss 194 Deala zalo ea a nit 194 Enseipmements de Pro St ainia 195 La mod tae apresar 202 acota o AAA In i 202 Le 30 30 amp le 30 30scO0pe cnc 203 Pedagop edu pro ernesto tsta 212 Influence sur un enseignement contemporain 215 soli Decalio dansa lados 235 Context RETE EE E ale ataoane 235 Pro ELA eran 236 PO EA E e a E E 240 O 241 Compl ments pour les Repr sentations 242 Extrait d tat de l art des repr sentations o c 242 Structure de donn es pour l outil Reforme 246 Compl ments pour la Formalisation 248 Espace vectoti lde Venero Esiisrisseisesssrorisssnissserss 248 Alecbre de lr COMETAS one 232 D tolitions lecuvesss ns ne 264 Compl ments pour les M tamorphoses 212 Trajectoires de solarisa
48. NCES depletion of abiotic kg antimony Wisseuse o resources 121 0652037 lectricit acidification potential Ferceuse 1230 generic O CH 300 02 78 585 eutrophicatio n potential Marteau piqueur 1 3 12300 266 generic kg PO4 Eq 30 3127381 climate 5820 change GWP 100a 7 18430 5701 517895 land use competition m a 56 ecosystem guality land points i 8 1322335 urban land cocupation ULOP ma 30 4444004 natural land transformatio n NLTF l 007535344 Chariot elevateur Treuil Trans palette l vateurs fourche 1 kg 1 4 DCE Eq 10872 8502 terrestrial ecotoxicity kg 1 4 0CB TAETP 100a Eq Engins Chariot elevateur Trans palette Consommation L h Temps d utilisation en min o nr er ION E D Co Chart t vater 0 EAR EE A e o o y 271 292 Compl ments pour les M tamorphoses Trajectoires de solarisation quilibr es M thodologie et cheminement de la recherche L objectif de cette partie de la recherche est de proposer un remembrement des r gions fran aises bas sur la recherche d une ad quation entre offre et demande nerg tique Afin d effectuer ce red coupage du territoire fran ais deux types d approches diff rentes ont t mis en place utilisation de donn es ponctuelles carroy es ou issues de simplification g ographiques et recours direct aux limites administratives existantes Auto
49. a y dead Ma 0 Long tte ms gs Cas as nm lh e der e A we e e a A Organisation ra ro 400 es PIBS Se emes S ne mA Das e rsss pt smin s lA ns de ir m mn A e dr dps ITA hc ett titan on bs dr A o des ho mm mess di 4m dy apoi lapdirmibte cts imss A a me si h t ques LAA om dm portes pente Us n ques s q Ire ra mm Wu PER Die ste Patas 0 e Y ds de A e a i d cantas dm lue dt SC LL LE eutsana Bon a me mms atar cr sn ses Feta O e e sd u mt att te st 4 eg mt ss ous me nn ne e settare mme VU het 0a de o ee 0 eg te s s mam t AE us ju Der ll amo 1 be 24 tesos AA e panmi mater td sm RL p t ual comm A AA voue es CRC AU LE ZCIL II im a kon arime sihen Tes bots LIA WA s bei Em me ne mms Pob a o ANAL Me Ms L 7 temmr p m gs Lie MAR AM ds metros et be tee wean LL IEEE namas 6e Moa h Eh ns de Programme des s minaires de l ann e 2013 2014 Enseignements de projet Deux projets en lien troit avec Reforme Nous d crivons dans ce qui suit deux enseignements de projet n s en lien troit avec les avanc es de recherche du projet Reforme Ces deux exercices pr supposent en effet Des ad quations et des r flexions fortes avec les questions climatiques Une appr ciation par l tudiant de la demande nerg tique de son projet sur un certain p rim tre d usage La sc narisa
50. ace des choix fondamentaux en mati res d identit d identification et d articulation programme architecture milieux La figure est donc principalement un l ment d arbitrage de la dialectique int rieur ext rieur Le choix topologique l mentaire de la r partition d un programme complexe ob it avant tout une rationalit fonctionnelle En change le sens que ce m me programme peut prendre au regard de son contexte se traduit par une affirmation de visibilit apparemment ind pendante de la fonctionnalit La figure comme outil de synth se s impose entre id alit formelle et fonctionnelle d un programme dans son contexte L outil p dagogique 225 Plusieurs exemples Enseigner le projet d architecture actes du s minaire de Bordeaux 1 amp 2 avril 1993 Figures de la conception architecturale manuel de figuration graphique Philippe Boudon Fr d ric Pousin Paris Dunod 1988 112 p La figure architecture un enjeu esth tique Patrick Berger Christian Eychenne Coll ge International de Philosophie Presses Polytechniques et Universitaires Romandes 1988 2 Point projectuel et foyer spatial Alain Dervieux Interfolio n 2 1994 225 292 L expression de la contradiction explicit e ici n cessite la manipulation dans l espace d l ments incomplets mais pr cis La continuit la contiguit la proximit la position topologique en haut en bas dessous dessus dev
51. ace devient un enjeu architectural moderne rendu possible par la discontinuit du plan sa libert La rampe continue est un l ment du plan qui d place le centre de l difice relie tous les niveaux du sol au ciel et s associe la notion de promenade architecturale De la dissociation du parcours du regard de celui du corps r sulte une libert hors grille Qu en est il de ces questions consubstantielles la d marche projectuelle de Parchitecte l heure du bilan Carbone Doit on imm diatement renvoyer aux oubliettes des d bats picrocholins ou esth tisant que je viens d voquer pour laisser place l av nement de l architecture bioclimatique performante cocentrique et amn sique 202 292 Le 30 30 amp le 30 30scope Coh rence du cadre exp rimental avec l objet de la recherche Le cas pratique d un studio d architecture lieu d apprentissage du projet sert de support un questionnement sur l volution du rapport contemporain entretenu par p dagogie et milieu compris sous l angle de l nergie Cadre acad mique du support p dagogique de Pexp rimentation Un enseignement du projet d architecture en ENSAS Paris Belleville Le studio 30 30 semestre 5 en 3tme ann e du cycle du dipl me d tudes en architecture DEEA quivalent Licence de PENSAPB est constitu autour d un groupe de 25 l ves encadr s par un enseignant structure et enveloppe Jean Marc Weill 1 et le
52. agit pas de remettre en cause les acquis de l chelle pr c dente mais de les confirmer de les compl ter en coh rence avec elle Toute chelle s articule avec la pr c dente et la suivante Le dessin de conception est pris comme un work in progress qui accompagne la pr cision d une pens e s affirmant en des choix progressifs et conscients Ce dessin est celui qui confirme en les pr cisant les d cisions prises par le dessin pr alable tout en manifestant une incompl tude suffisante pour rendre indispensable un dessin l chelle 222 292 sup rieure L alternance de validation et de trouble convoque t il une capacit psychasth nique Ou de simple perfectionnisme La dynamique d une satisfaction relative est sollicit e Elle permet d autant mieux de comprendre en quoi le trait dans son volution reste parall le la r duction de l approximation d nergie qu il engage chaque chelle quel est le lieu du dessin qui donne lieu une incidence thermique L exemple de cart entre les apports dans le processus de conception entre les chelles du 1 100 me vers le 1 50 me montre qu il engage une v rification rebours Il montre aussi qu chaque cart il existe un type d apport diff rent L incidence de l paisseur progressive du trait et son passage en trois dimensions influence beaucoup le calcul d nergie engag e Non seulement en terme quantitatif puisque le comportement de
53. agogique Le choix comportement nerg tique global d pend du choix du plan libre dont la figure est le premier facteur identifi ETE 1 OHOO Figure en L clair e par la lumi re d t du matin pp 1 Figure complexe 305 La libert du plan libre corbus en consid r ainsi a un tr s fort potentiel tridimensionnel Contrairement au plan fluide missien Pavillon de Barcelone villa Farnsworth etc qui influence le plan en deux dimensions seulement longueur et largeur neutralisant la verticalit par une sym trie horizontale INE I LJ TC UV F ur y la E M AS N HKX G E MW Iustrations les figures l mentaires du plan libre g a El OD Q P RA B Figures non op rationnelles figures cour ou tr mie Figures initiales et volutions au 1 200 1 100 1 50 Calcul des changes thermiques llustrations les figures du plan libre sous la lumi re solaire la couleur manifeste un potentiel d usage selon la luminosit et l horaire de l clairement 229 292 Rapport final Equipe Reforme La figure comme outil d analyse Si la figure a la vertu de guider le passage de Pid e vers la forme architecturale par une tape interm diaire et sp cifique on imagine que le processus est r versible de P difice Pid e304 Il devrait tre possible de d duire posteriori de sa r alisation la nature figurale d un difice Voici un essai en form
54. aire disponible sous forme de mati res organiques Carnot cycle de Cycle thermodynamique th orique le plus efficace pour obtenir du travail partir de deux sources de chaleur de temp ratures constantes Chaleur fatale Rejets thermiques qui s ils ne sont pas utilis s au moment o ils sont disponibles seront perdus Concentration solaire Technologie concentrant les rayons du soleil l aide de miroirs afin de chauffer un l ment qui permet en g n ral de produire de l lectricit Constante solaire La constante solaire exprime la quantit d nergie solaire que recevrait une surface de 1 m situ e une distance de 1 u a unit astronomique distance moyenne Terre Soleil expos e perpendiculairement aux rayons du Soleil en l absence d atmosph re Pour la Terre c est donc la densit de flux nerg tique au sommet de l atmosph re Sur Terre elle est de 1 360 8 W m Contenu urbain D signe la population pr sente sur un territoire calcul e partir du taux d occupation r el dans l intervalle d tablissement du bilan nerg tique Associ aux variables intensives d densit de population et e emprise individuelle dans le b ti Contenant urbain D signe l espace b ti d un territoire accueillant le contenu urbain Associ aux variables intensives c coefficient d emprise du b ti et nombre de niveaux du b ti Degr jours Le nombre de degr s jours unifi
55. alimentent le second positionnement strat gique avec une finesse croissante par tape La cristallisation progressive de Penveloppe accompagne en effet la possibilit dune mesure progressive de son incidence sur les changes lumineux thermiques et visuels en question La premi re tape rencontr e au 1 200tm lt est celle de la d finition de la figure du plan libre qui rencontre une situation sans enveloppe C est dire que toute la lumi re entre en direction de l espace sous et sur PH1 depuis les quatre faces verticales et la face sup rieure horizontale Sans ces cinq faces les changes thermiques sont incontr l s La maquette par les parois color es induit le recourt des qualit s diff renci es selon les orientations Illustration maquette couleur 220 Une paroi bleue est orient e vers le nord elle est froide Une paroi rouge au dos d une bleue est orient e vers le sud se r chaufjant de la lumi re solaire verticale permanente Une paroi jaune orient e vers lest ou Pouest est baign e le matin ou lapr s midi d une lumi re solaire horizontale sym trique 224 292 Il faut alors pouvoir corr ler chaque face avec un potentiel d clairement et de temp rature d ambiance M thodologiquement parlant il faut refermer l enveloppe jusqu un quilibre plausible entre la lumi re n cessit e par chaque fonction et les changes thermiques affect s par la pr sence d ouvertures dans le
56. alys cette question Vous pourrez notamment interpr ter la relation ci dessous pour le dimensionnement des points 1 et 3 Notez aussi que emprise d usage est un terme important de cette relation d quilibre Vous devrez la encore cette valeur de fa on contextuelle titre dexemple Pemprise d usage associ au logement est d environ 40m en Europe alors que cette valeur est plus proche de 15m dans les pays mergents et avec de grande disparit En 2050 au sein de votre contexte g ographique et urbain vous identifierez des hypoth ses de consommation individuelle d nergie selon quatre besoins primordiaux alimentation chaleur froid et mobilit en W pers Logique hio pnyrfns sexe dre actuelle Un extrait de rendu sc narisation en 2050 en Mongolie source DPEA Architecture post carbone 198 292 Rapport final Equipe Reforme Parall lement votre projet devra galement interroger la question constructive et l obsolescence du b ti une chelle interm diaire entre architecture et urbain cette typologie devra d s lors proposer un dispositif efficace sur la totalit de son cycle de vie Votre projet devra ainsi donc documenter les strat gies constructives permettant de r duire le poids de l nergie grise amortie dans l valuation de la consommation individuelle titre d exemple la consommation d nergie primaire pour P dification d un logement en France est de l ordre de 100
57. amais construite une forme qui a t con ue pour marier les avantages de la structure concave et les besoins de convexit propres de la captation solaire e Astonyshine int grait un brevet le So arFL ghr qui rend la concentration solaire possible en s int grant l architecture Comme indiqu au point pr c dent la forme de la toiture de Astonyshine correspond a cette int gration sur une structure en piette e Les syst mes de contr le distribu r cemment d velopp s par STMicroelectronics SPV100 et SPV1020 ont t utilis s pour la premi re fois dans un contexte de logement e La structure en pierre tait enti rement pr fabriqu e et transportable notre connaissance il s agit du premier exemple de construction en pierre pr fabriqu e avec un temps de pose de la construction de l ordre de la semaine Tous ces r sultats d rivent de la volont d organisation du projet autours des th mes de l conomie nerg tique qui se r fl chit sur les choix des mat riaux et des technologies constructives le choix de la m thode de conversion de l nergie solaire et le choix du syst me de fabrication Equipe Reforme Au coeur du projet Astonyshine se trouve l id e que l int gration des nouvelles technologies ne peut pas toujours se faire sans une r vision de la forme architecturale et des l ments de l architecture Il en suit la volont de montrer les syst mes qui s ajoutent la maison pour en accr
58. ansparent translucide opaque et de leur comportement la lumi re et aux changes thermiques est majeure La manipulation de ces param tres doit tre mise en exergue pour que soit visible la valeur relative de leurs interactions L ouverture du toit devra trouver gr ce cette version une valeur d incidence z nithale mieux identifi e Le toit comme surface opaque homog ne peut trouver une valeur dans le cadre d une captation solaire Cette version permet en r sum de mettre en parall le les d cisions strat giques du choix de la nature de l enveloppe et ceux de leur repr sentation en maquette valeur de la coupure du joint et en dessin dans leur version pr paratoire de l tape suivante vers la mati re et l imaginaire de sa mise en uvre Remerciements Remerciements aux tudiants du studio 30 30 des ann es 2011 2012 2012 2013 et 2013 2014 qui par leur participation active leur intelligence du sujet et leur travail m ont fourni la documentation n cessaire cette recherche p dagogique Bibliographie sp cifique e Bruno Reichlin Programme avec Yves Alain Bois Le Corbusier vs De Stijl Mallet Stevens vs De Stijl Catalogue de l exposition De Stijl et l Architecture en France Li ge 1985 e Bruno Marchand cours de th orie Epfl http Itha epfl ch enseignement_lth theorie p olycopie_th4 polycopie_th_4 pdf e Jacques Lucan article La coupe libre article in AMC Composition no
59. ant derri re gauche droite pos soulev la proportion la relation d chelle l orientation solaire ou g ographique la quantit relative la manifestation synth tique qualifient cette pr cision La nature tridimensionnelle de l espace reste cette tape du domaine de l incompl tude paisseur division r p tition stratification p riph rie distribution sont en attente de qualification Installer des surfaces par d finition bidimensionnelles dans une situation tridimensionnelle par tension et pliage permet de g rer la simultan it du bin me incompl tude pr cision La figure a par cons quent une valeur limit e dans un processus p dagogique Sa pertinence se r sume la r solution d un conflit entre l attente publique compl ter une situation partag e et la dimension singuli re d un difice satisfaire un programme et ses usagers Son efficacit s estime une chelle tr s grossi re Pour l tudiant son avantage est de pouvoir tre r alis e tr s facilement par pliage ou collage d l ments r guliers simples des carr s moins qu une dimension l emporte sur lautre ce qui impose le rectangle Aucune possibilit d enclore l espace n est possible puisque Pon choisit deux des trois dimensions repr senter et une de ses deux dimensions au plus a privil gier Une forte hi rarchie s installe entre les trois direction de l espace Pimportante la
60. apport m passant de 140 moins de 50 environ en quelques dizaines d it rations Un r glage fin des param tres de la fonction score des transactions doit cependant tre effectu la main ces param tres ayant beaucoup d influence sur la forme des solutions calcul es un compromis entre convergence des ratios et formes des r gions doit ainsi tre trouv 278 292 Rapport final Equipe Reforme La succession de transactions est un processus d terministe pour une fonction score donn e la transaction optimale de chaque tat du syst me est toujours la m me partir de l tat initial correspondant au d coupage actuel des r gions L algorithme peut donc converger vers un minimum local et se bloquer avec une transaction faisant passer un d partement d une r gion a l autre puis a l it ration suivante la transaction inverse Une autre difficult est la tendance de l algorithme produire des r gions de forme politiquement peu r alistes notamment du fait de l le de France qui doit absorber de nombreux d partements avant de retrouver un ratio comparable aux autres r gions certaines r gions deviennent tr s grandes et tir es d autres ne comptent plus qu un d partement g pu 150 125 100 130 HN It rations o u 100 19 50 gt 0 0 5 10 15 20 25 30 It rauons Afin d viter les blocages de l algorithme deux strat gies sont propos es Une m moire des transactions ef
61. aris 2004 Barles Sabine Urban Metabolism of Paris and Its Region Journal of Industrial Ecology Brinton Willard C Graphic Presentation 1939 Brunner Paul H Rechberger Helmut Practical Handbook of Material Flow Analysis draft 2003 Hausmann Hidalgo et al The Atlas of Economic Complexity Thermodynamique et exergie A Kleidon R D Lorenz Eds Non Equilibrium thermodynamics and the Productionof Entropy Life Earth and Beyond Springer Balocco C Papeschib S Grazzinia G Basosib R Using exergy to analyze the sustainability of an urban area Ecological Economics 48 2004 231 244 Cochet Yves Economie et Thermodynamique dans Cosmopolitiques n 9 juin 2005 Ertesvag Ivar S Energy exergy and extended exergy analysis of the Norwegian society 2000 Gong Mei Wall G ran On exergy and sustainable development Part 2 Indicators and methods Exergy Int 1 4 2001 217 233 2001 Roddier Fran ois Thermodynamique de l volution un essai de thermo bio sociologie Parole Editions 2012 Sciubba Enrico A brief Commented History of Exergy From the Beginnings to 2004 Int J of Thermodynamics Vol 10 No 1 pp 1 26 March 2007 Offre g n ralit s sur les nergies renouvelables Boyer J S 1982 Plant productivity and environment Science 218 4571 443 448 EPIA Solar Photovoltaics Competing in the energy sector on the road to competitiveness European Photovo
62. ation de figures dont les limites se diff rencient d une repr sentation de la mati re dont seront faits les difices Le travail s effectue petite chelle en maquette pour viter que l tudiant identifie chaque l ment de la maquette un b timent La figure doit r pondre 4 conditions qui suivant les hypoth ses de chaque tudiant satisfont des sp cifications diff renci es Site Ext rieur reconnaissable Int rieur identifiable Lib rer par extrapolation de densit Dans ce texte sont pos s le caract re abstrait de la figure et celui de sa capacit d anticipation l instrumentation de la r duction de l chelle et de ce qui est repr sentable l unit articul e de la figure en d pit de sa composition par parties Pour compl ter le savoir rassembl depuis la p riode d exp rimentation de la figure un extrait d Interfolio n 2 en 1994 o j crivais2 Le travail sur la figure rel ve de la contextualisation des donn es et des intentions Formaliser une id e parce qu elle op re dans un contexte polys mique traduit par une physique anthropique donc tangible et perceptible permet d op rer une synth se instantan e dans une phase initiale du projet Le recul critique au projet en est favoris e par l chelle et le vocabulaire formel au moment o seuls les l ments principaux offrent une hi rarchie lisible La figure sert ainsi une phase strat gique de mise en pl
63. atur c est Pensoleillement comme quantit et emplacement qui caract rise le choix de la figure du plan La r partition topologique du soleil comme enjeu de la maquette couleur L tude a t r alis e pour la lumi re la transposition pour la thermique Version 1 100me Au 1 100tme Pattention la diversit des usages leur tablissement et leurs articulations se traduit par l apparition d opacit s et de meubles La complexit se traduit par une d coupe plus ajust e de la p riph rie du PH1 cette chelle le plan gagne en pr cision et la spatialit se divise La progression de la lumi re cesse d tre litt rale elle est contrari e dans ses d placements avant d atteindre le sol La sous face du PH1 r v le des espaces la lumi re insuffisante loign s des fa ades c est par la surface sup rieure PH2 du volume enveloppe que peut provenir la luminosit naturelle suffisante L enveloppe va se constituer partir de la n cessit PP P d ouverture dans le PH2 Favorisant ainsi la p n tration d une lumi re z nithale et d un ensoleillement privil gi ax nord sud ou est ouest En l absence de fa ades le 30300scope 100tme va rendre compte des surfaces P P 232 292 ensoleill es par louverture en PH2 et toutes les faces verticales Version 1 50tme elle s approche de la version ultime du 30300scope L incidence dans les fa ades de la r partition ouvrant dormant tr
64. avec le plan en rapport Porientation solaire a la lumi re la proximit la mitoyennet des fonctions e Pautonomie dans l espace et dans le temps de la p riph rie du plan a la limite de trente metres par trente metres 284 Double triple vitrage paisseurs du verre mais aussi transparent translucide filtrant occultant variant etc 285 Le gage de libert du plan est qu il semble avoir d cid des autres l ments au b n fice de sa libert Il n est pas compos c est lui qui Ces crit res entrainent des d cisions auto r f rentes dans la mesure o elles prennent galement part la d finition de la libert du plan Cependant on notera au niveau m ta structurel qu elles induisent des relations dynamiques et interactives avec la notion d nergie Celle qui nous semble primordiale cette tape de la conception est li e au rapport Figure du plan Orientation solaire Le plan de base est carr et rigoureusement orient sur les points cardinaux Ceci afin de rendre conscient du rapport entre cette neutralit modul e et les invariants solaires et climatiques du site Une figure r sultante caract rise le plan et induit des qualit s thermiques et lumineuses diff renciables Le rapport trac g om trie se traduit directement par une figure caract ristique et synth tique dont on constate l apparition involontaire dans les projets Depuis la p riph rie un p
65. ble gouv ft Sur les silos grain http www lessilosmodernes fr Le best of des dataviz sur l nergie par TSP http theshiftproject org fr cet article le best of du dataviz en matiere denergie et de climat The World Factbook par la CIA https www cia gov library publications the wotld factbook Dashboard de la ville de Londres http citvdashboard ote london 290 292 Rapport final Ignis Mutat Res Session 1 Equipe Reforme Avril 2014 291 292 s s 5 x A A A A A A e E a T e e t oo e K G HE Le M7 El ETT T T a M TO em es ION ANA sl CT ll E HH A ss P
66. ce 10mx10m villa Cook 15mx15m 20mx20m villa Savoie 30mx30m 40mx40m Des probl matiques homoth tiques transoressent les questions d chelle li es la g om trie d un volume section ou plan carr On citera pour ces tentatives extr mes le projet de Palais des congr s de Strasbourg dernier projet de Le Corbusier ou la m diath que de Sendai Japon de Toyo Ito dont la lumi re est distribu e dans le plan libre au lieu m me des faisceaux de poteaux Le gabarit de l difice japonais est de 50m quivalent au projet strasbourgeois Il est vident que la recherche d une spa alit urbaine int rieure fait partie de l h ritage corbus en et il reste comparer les difices qui le revendiquent 258 Pai fait la d monstration graphique de la pr gnance de la g om trie de cubes virtuels et emboit s dans le travail de conception des villas Meyer premier et second rapports de recherche du Bureau de la recherche Architectural L espace de l architecture moderne direction C Vi et H Ciriani 1989 164 p 130 p Soit dans des difices publics programmatiques qui confinent au gigantisme plus grand soit dans exploit technique de la tr s grande port e Vignoli Tokyo soit dans le rapport au sol et aux services des grands difices de types tours de bureaux banques ou centres commerciaux Le travail des anglo saxons Forster Rogers mais aussi de Renzo Piano est souligner dans ce
67. classement des situations rencontr es est fait et peut donner lieu calcul des fins d identification quantitatives Exemple lin aire de en contact ou d tach s de chaque face orient e Ce qui quivaut identifier la surface d cart entre plan libre et p riph rie du 30 30 compose avec l espace Il n entretient donc pas de relation de d pendance mais il est le r sultat d une n gociation positive 286 Figur e ici par la mati re grise neutre du PHO avatar du sol 287 En ba onnette pour tre plus pr cis 223 292 Rapport final A Illustration Diff rentes figures du plan libre effectivement produites dans le cadre de l enseignement du 30 30 Il est possible de cat goriser les bords du PH1 dans leur rapport majoritaire l axe nord sud ou Paxe est ouest Cette dominante caract rise l axe du parcours dans le plan En entrant au sud on propose implicitement de traverser le plan pour rejoindre le nord et d accomplir ainsi un parcours de reconnaissance Les limites orthogonales du PH1 vont donc rythmer ce d placement en l accompagnant dans une direction parall le nord sud ou le contrariant dans une direction perpendiculaire est ouest Ceci nous permet de comprendre en quoi orientation solaire devient la variable d cisive autant qualitativement que quantitativement des variations d change d nergie venant de l ext rieur qui accompagnent le plan Ult rieurement l
68. d une juste2 disposition en rapport au hall et sur l un des deux niveaux La connaissance du monde du travail permet d identifier les diff rentes postures besoin en lumi re sp cifique a ration d espaces distingu s sous le nom d atelier manutention L exp rience de lecteur loisir et travail seul ou en groupe est galement basique chez l tudiant et lui sert de 268 Faire le plus avec le moins La citation Les is more de Ludwig Mies van der Rohe lue ici sous l angle d une conomie g n rale de l effort de la mati re 262 Cette tape n est pas n gliger Nous la consid rons comme strat gique un moment du d roulement du processus Quant les perspectives jusqu alors s quenc es selon un parcours logique et simple Identifier le seuil entrer atteindre la banque d accueil s orienter vers le hall et les deux principaux secteurs adultes et enfants puisent leur capacit distinguer la hi rarchie des parcours emprunter depuis le hall et de la division verticale des parcours dont Pacces P tage par Pescalier une maquette synth tique s impose Au 1 200 re le plan de partition dessus dessous le plan libre appara t pour la premi re fois comme une figure l mentaire compl te en rapport avec le cadre de 30 m tres par 30 m tres La projetation repose sur une capacit de distanciation pour op rer le recul critique n cessaire l auto valuation de la d marche
69. d une d connexion 2010 Masboungi Ariella dir Projets urbains durables Strat gies Paris Le Moniteur 2012 Ma zia Midjid Topologie urbaine l nergie de la ville m moire HDR de PUTC 2008 Mostafavi Mohsen dir Ecologzcal Urbanism Baden Lars M ller Publishers Harvard University Graduate School of Design 2010 Olgyay Victor Design with Climate A Bioclimatic Approach to Architectural Regionalism Princeton Princeton University Press 1963 Peuportier Bruno Eco Conception des b timents et des quartiers Paris Presses de Ecole des Mines 2008 Salat Serge Les Valles et les Formes sur l urbanisme durable Paris Hermann diteurs 2011 Salat Serge The sustainable Design Handbook China Paris CSTB 2006 Schittich Christian dir Solar Architecture M nich D tail 2003 Souami Taoufik Ecoquartiers et urbanisme durable Paris La Documentation fran aise 2010 Tromeur E M nard R Souli C and Toubin M Resilis project urban resilience within the context of climate change 2nd World Progress on Cities and Adaptation to Climate Change ICLEI Resilient Cities 2011 Bonn Germany 3 5 June 2011 Van der Ryn Sim et Stuart Cowen Ecological Design Washington Island Press 1996 Vigano Paola Les Territoires de l urbanisme Le Projet comme producteur de connaissance Gen ve MetisPresses 2012 Wright David Manuel d architecture naturelle Marseille Parenth ses 2004 Demande
70. de caract riser les d gr jours pertinents en 2015 et 2050 selon une temp rature de consigne basse et ventuellement une haute Vous tirerez de cette analyse les principes auxquels devra r pondre le projet Dans un second temps vous imaginerez le projet comme un volume et comme une membrane comme un espace et comme sa limite Cet aspect tridimensionnel sera trait sous la forme de plusieurs maquettes d tude au minimum trois au 1 50 accompagn es de diagrammes de croquis l chelle et d une note qui pr cise le fonctionnement qui d crivent et explorent l emploi de mat riaux vari s sous la forme d alternatives contrast es et justifie ainsi Pemploi de des proc d s constructifs raisonn s A ce stade vous essaierez id alement d estimer les besoins nerg tiques selon les usages chaud froid etc selon les mois En fonction des approvisionnements nerg tiques renouvelables choisis vous valuerez les productions mensuelles Vous estimerez ainsi les degr s d autonomie atteint selon les mois Vous tacherez parall lement d estimer le co t nerg tique de la construction nergie grise ou incorpor e La mise au point du projet dans se concentrera sur l tude des mat riaux et des modes d assemblage sur l int gration des probl matiques nerg tiques dans le cadre des objectifs d finis dans les phases pr c dentes du projet Elle sera labor e travers une maquette du projet au
71. distribution de flux dans lequel le volume de ces flux est figur par la largeur des fl ches Solaire ancien Quantit d nergie disponible sous forme de flux rayonnement vent ou stock e sur terre sous forme de mati res taux de formation rapide quelques mois quelques ann es agriculture production de bois Solaire r cent Quantit T nergie disponible sous forme de flux rayonnement vent ou stock e sur terre sous forme de mati res taux de formation rapide quelques mois quelques ann es agriculture production de bois Solarisation Part de sa consommation nerg tique couverte par P nergie solaire et ses d riv es ou de mani re oppos e la part de consommation nerg tique non couverte par le recours aux nergies fossiles et nucl aires Stock de diff rents termes Quantit d nergie la disposition d un territoire pour couvrir ses besoins nerg tiques hors apports renouvelables Vorono diagrammes de D composition d un espace m trique a partir d un nombre discret de points Chaque point se voit affecter une partition de l espace constitu e de l ensemble des points plus proches de ce point particulier que de tous les autres points 285 292 Bibliographie Ouvrages th ses et articles G n ralit s sur environnement climat et nergie Banerje R et al Global Energy Assessment Toward a Sustainable Future International Institute for Applied Systems Ana
72. doit elle servir isoler son habitant du monde le conforter dans un artifice a topique Ou doit elle participer de l ouverture au monde offrir la diversit Le vocabulaire d une offre architecturale climatiquement diff renci e ne manque pas Il s est appauvri parce que le confort m canique remplace les autres que les recherches typologiques se sont taries dans la direction de la variabilit La d finition du logement se r duit une quation conomique autour d un m sans qualit qui emp che toute fiction Comment concilier le confort du citoyen urbain tol rant et d un imp ratif politique La paresse conceptuelle se traduit par une soumission la fatalit du m canique La neutralit d un volume r gulier orient sur les points cardinaux permet la compr hension des ph nom nes lumineux et caloriques Au d triment du rapport visuel extrapol par Mies van der Rohe exercice d une projetation sans site carte d lib r ment la recherche d un quilibre dans P change visuel int rieur ext rieur On favorisera la n cessit de regard depuis Pactivit 266 En faisant de la nuit le jour de l hiver un printemps l espace contemporain flotte aujourd hui hors des rythmes astronomiques Il stagne sur un midi de mai dans une interminable pause du mouvement de rotation de la terre Philippe Rahm Architecture m t orologique Archibooks Paris avril 2009 p 59 Il souligne ainsi que ce
73. du PH1 Le plan sup rieur est le plan horizontal n 2 PH2 Il n est pas con urent du PHL il se contente de le conforter en laissant la quantit de lumi re z nithale n cessaire clairer les plans inf rieurs 219 292 Rapport final Equipe Reforme ANALYSE COUPE DU PHI LUMI RE ET DISTRIBUTION 13 12 12 aneita LEE LAS LL pu renane L 11 Wlustration L ncidence solaire est compr hensible avant la pr sence de l enveloppe qui contribuera filtrer et distribuer La possibilit d usage du sol change selon que les activit s sont en retrait du PL Paplomb du plan ou en d bord du plan Les rapports qui en r sultent provoquent des situations qui enrichissent le rapport de l architecture ses destinataires Faut il montrer la r paration de la couverture du livre Penfant qui l aurait abim Sous quelle topologie quelle forme quelle circonstance LS O 4 le L ML Elie y L acceptation de la condition climatique par microclimats Les qualit s d un microclimat ext rieur la zone humide o la brume appara t Parbre sous lequel la fraicheur du couchant est la plus douce le mur derri re lequel l ombre est plus drue l angle du chemin partir duquel le souffle du vent est frontal le d nivel o l on vient s asseoir le matin pour voir la vue sans contrejour L o le premier verglas appara t avec l hiver arbre qui ne retient pas la pluie chaude des orages d aou
74. e s adapter l horizon 2050 et vous tacherez de sc nariser les incertitudes possibles et les r ponses de votre projet l volution du contexte ANA Maquette de rendu du projet situ Caracas Equipe Reforme Extrait de rendu UKT III 1m 11 2014 PL COMTE sata erp Mascretemenrt Lei e e Hs 5 o gt o roo mo th AA pme me _ tas o acm he Ce ec e o ue E E Un extrait de rendu analyse climatique source DPEA Architecture post carbone POCA TA PALAU 2 11 1914 PDT CANA Wer tua cin Verts te tji si a POR pi A ee mn o e Un extrait de rendu analyse climatique source DPEA Architecture post carbone rate que ah gt kiai SA ere Un extrait de rendu source DPEA Architecture post carbone 197 292 Rapport final Equipe Reforme Projet long 2000 personnes 2000 watt Enonc du sujet L exercice a pour objet la d finition d une architecture ayant capacit proposer une nouvelle typologie urbaine horizon 2050 et dans un contexte g ographique choisi le projet devra laborer une r ponse morphologique et constructive permettant d assurer une autonomie et une robustesse d approvisionnement nerg tique pour des tissus neufs et ou existants L exercice permettra ainsi d exp
75. e d origami men PENSAPB par un tudiant F Guynot de Boismenu propos de la villa Curutchet L int r t est de v rifier la coh rence d un difice dont les parties significatives peuvent apr s r duction en deux dimensions se combiner en un ensemble synth tique porteur de essence du projet Il est remarquer qu il est difficile de restituer sans bavardage la complexit d un difice par un document unique qu il soit graphique ou textuel La figure est un outil projectuel dynamique entre la r alit du site et de la commande fonctionnelle amor ant une esquisse du projet dont la nature spatiale mise en attente est explorer en rapport avec les directives qu elle incarne Les contradictions qui apparaitront seront arbitrer sans pour autant remettre en cause les acquis La figure contribue la construction dialectique d un enseignement du projet En ce sens elle devient un outil scientifique du raisonnement projectuel architectural Sa mise en interrogation n cessite un travail collectif de type s minaire ou correction commune o est comment e l ad quation du r sultat mat riel avec l nonc des intentions Il s agit donc de la premi re figuration dans le processus de projet du premier passage la physique architecturale D velopp dans son apport conceptuel la d marche de projet il reste profiter de sa capacit dans la sph re physique de larchitecture la structure et l e
76. e d tenue par Pagent Cela correspond Am 0 Dans ce cas de figure la quantit de travail correspond la diff rence entre les quantit s d exergie export es et import es Nous en d duisons la d finition suivante du rendement thermodynamique de Pagent amp e Y My Mik B l NEAR a c En r gime permanent l in galit exergique devient e Stg Mn ze C y My l I On en d duit alors Si Pon consid re que la composante exergique de la dissipation d nergie est n gligeable devant sa composante anergique nous en d duisons la majoration simplifi e suivante els j S a c r lt On se souvient qu P chelle globale le flux g othermique est bien plus faible que le flux solaire D s lors dans une tres grande majorit de situation g ographique le rendement maximum d un territoire sera directement corr l au rendement moyen de conversion exergique du flux solaire A l chelle globale l chelle de la plan te Terre les termes matriciels d change disparaissent On retient alors E S G E C aja eS G gt elC alm Dans la situation o la plan te Terre ne puise pas dans ses r serves ce qui tait globalement le cas avant la premi re r volution industrielle les relations deviennent E s G E C Els G EC ells G gt elc eS G gt elc Si Pon n glige la contribution g othermique nous en d duisons ces r
77. e la hall at ian nmt potamss pe gt re M i D P 5 e res A ss lg 20 postion des neuf potema par pot ar 30 30 Wlustration travaux tudiants Ciel ENSAPB Mudri llustration extraits de deux recherches L espace de l architecture moderne le thermos du projet des villas Meier de Le Corbusier 1925 et 30metres par 30 metres e D exp rimentations 2004 2007 avec Ljubica Mudri ing nieur chercheur sur les variations des mesures de la lumi re luminescence et 232 Diploma in Architecture from the University of Belgrade PhD in Energy Day lighting from the cole Nationale Sup rieure des Mines de Paris http www deluminaelab com download presentation_deluminaelab df luminosit au cours de la conception d un espace la p riph rie r guli re et aux clairements lat raux et z nithaux par de micro cam ras talonn es De d veloppement du rapport structure enveloppe et espace par convergence du chiffre et du trait dans l enseignement conjoint du 204 292 projet par un architecte et un ing nieur avec Jean Marc Weill depuis 2010 Aujourd hui une exp rimentation mesurable du rapport entre les qualit s lumineuses et thermiques d un espace avec ses qualit s fonctionnelles et d usage mises en rapport par le dessin d un plan libre est possible mener En effet les recherches ant rieures sur la nature de l espace
78. ec O Gabinet 1997 2000 168 p o L espace de l architecture moderne direction C Vi et H Ciriani 1989 rapports interm diaire et final 164 p 130 p 183 p Catalogue Revues Le catalogue UNO UP8 Une ann e d enseignement 1982 1983 Paris d Enseignement et Pratique 1983 63 pages catalogue exposition la Cooper Union La revue Oppositions n 12 printemps 1978 Articles p dagogiques Apprentissage des outils de transformation de l espace par des exercices projectuels in Enseigner le projet d architecture actes du s minaire de Bordeaux coordination Guy Tapie cole d architecture de Bordeaux 1993 avec Pierre David 19 pages Point projectuel et foyer spatial in Interfolio n 2 mars 1994 pages 13 15 233 292 Rapport final Ignis Mutat Res Session 1 Equipe Reforme Avril 2014 234 292 Solar Decathlon Contexte Les recherches Reforme ont t men es en parall le avec la participation deux concours Solar Decathlon Europe celui de Madrid 2012 et Versailles 2014 Le Solar Decathlon Europe nomm simplement SDE dans la suite est une comp tition universitaire organis e par le gouvernement espagnol en accord avec le gouvernement des Etats Unis en 2010 et 2012 et par le gouvernement francais en 2014 dont l objectif est le d veloppement de la recherche et la transmission des savoirs dans le domaine de l nergie solaire Le concours vise s lecti
79. elations simplifi es Dans la mesure o les besoins vitaux m taboliques r clament une quantit minimale de consommation nerg tique par personne nous en d duisons trivialement que augmentation de la population supposait n cessairement d accro tre la captation nerg tique solaire Traduit conomiquement cela pr suppose une quivalence entre la quantit de terres cultiv es et la population mondiale 331 Hormis certaines zones o le flux g othermique est plus intense localement pensons notamment l Islande 332 Se r f rer la troisi me partie pour plus de d veloppement Une partie d exergie tait cependant puiser dans les carri res de pierre comme dans les for ts pour la construction de b ti et naval 262 292 Rapport final Ignis Mutat Res Session 1 Equipe Reforme Avril 2014 263 292 Rapport final Ignis Mutat Res Session 1 Equipe Reforme Avril 2014 D molition s lective Estimation de dur e des travaux Gros uvre a PO mme pages mnt ne ms e cum ms 06 den due bande te sem ln de ina gt annee tonte ge CR a LL 211171 264 292 Rapport final Ignis Mutat Res Session 1 Equipe Reforme Avril 2014 Menuiseries EE IS E Mad Lord Camas AT il il 2 a B Sanitaires 265 292 Rapport final Ignis Mutat Res Session 1 Equipe Reforme Avril 2014 Sols et rev tements TIA 266 292
80. en minorer Pimportance Les exp rimentations extra continentales r v leront la n cessit de dissocier l enveloppe de la peau de l difice et Le Corbusier lib r d ploiera enti rement le propos des Cinq points pour une architecture nouvelle Les exemples de la villa Curutchet 1949 Buenos Aires ou de la villa Shodan 1955 Ahmedabad en t moignent Les brise soleils vont en particulier permettre de dissocier distinctement le volume virtuel de la villa de sa limite entre int rieur et ext rieur La terrasse de la villa Savoie en pr figure les moyens fen tre en longueur tablette mobilier structure 245 La porte d entr e serait sur le c t et pas dans l axe Serions nous passibles des foudres de l acad mie Lettre Madame Meyer Le Corbusier 1925 246 au profit de la coupe et du plan comme repr sentations et du volume g n ral axonom trique pour ce qui concerne une analyse rapide des dessins 247 Asiatiques en Indes a Chandigarh et Ahmedabad et Am ricaines La Plata Argentine et Harvard Cambridge tats Unis 208 292 La maitrise de la p riph rie de P difice ouvrira la d clinaison en toute ind pendance premierement de Pinsolation par le brise soleil son paisseur orient et le toit parasol secondement de l ind pendance structurelle tant t int rieure en limite ou ext rieure troisi mement de la ventilation par l altitude et l orientation des opacit
81. en trois dimensions de g om trie dans l espace de proportion relative de synth se Le potentiel de chaque l ment mat rialis r side dans la dissociation de chaque surface par une paisseur Dans un programme complexe la formulation d un programme typique dont le type est r pertori par opposition aux parties atypiques du programme par essence banalis es et r p titives influencera dans la figure la topologie et la g om trie des formes charg es d incarner ces incidences Le programme typique s exprime par une forme reconnaissable son acc s est primordial comme son orientation et son articulation au sol et au site Le programme atypique s organise par une coupe qui offre la r gularit des permanences 227 292 Rapport final Equipe Reforme La figure architecturale en diff rentes situations p dagogiques Un workshops de cinq semaines Par convention entre le Shibaura Institute of Technology de Tokyo et PENSAPB depuis 1995 devenu triangulaire avec HangYang University en 2011 Entre ces trois tablissements et en particulier dans le cadre de ces workshops une p dagogie issue de l enseignement du groupe UNO a pu se d velopper une pratique originale du projet D s les phases initiales la place de la maquette et celle du dessin perspectif tiennent une place importante Le dessin num rique sert le d veloppement du projet le bon partage des t ches et la synth se des exp rimentatio
82. enant la g om trie et les informations administratives des cantons d partement et r gion de rattachement ainsi que population et superficie A l aide du logiciel SIG open source QGIS cette base est crois e avec la carte de l irradiation moyenne annuelle fournie par le projet PVGIS du Centre Commun de Recherche de la Commission Europ enne chaque canton se voit attribuer une irradiation moyenne annuelle avec laquelle est calcul e l offre potentielle solaire Evolution de l optimisation administrative N 5 10 et 20 it rati0ns 333 http professionnels ign fr geofla 334 http re jrc ec europa eu pvgis kr is 4i 115 ad Irradiation FWh m an liv 1100 10301 Lun Lu ri 273 292 Rapport final Equipe Reforme Le choix de l chelle du canton est issu du compromis entre la pr cision du maillage des donn es d irradiation et la taille des entit s administratives dont d pendra la qualit de la jointure spatiale effectu e Les donn es sont ensuite agr g es l chelle des d partements pour tre trait es par l algorithme d optimisation administrative Pour les deux premiers algorithmes qui prennent pour entr es des donn es ponctuelles ordonn es sous forme de orille un re carroyage est effectu sur les donn es de population de la base GEOFLA et les donn es d irradiation PVGIS Nous faisons dans un premier temps l hypoth se que la consommation d nergie est proportionne
83. ergie primaire disponible produite partir du soleil ancien et stock e sur terre depuis des milliers d ann e charbon p trole et gaz G othermique nergie Energie issue de Pactivit interne du globe terrestre disponible sous forme de chaleur G onergie Discipline tudiant les caract ristiques spatiales et temporelles de l utilisation d nergie des territoires l aide d une comptabilit nerg tique exerg tique et anergique tude des sources d nergies primaires des niveaux de consommation des relations avec l environnement et des relations entre territoires Hydrocarbures Compos s organiques form s exclusivement d atomes de Carbone et d Hydrog ne dont les hydrocarbures fossiles stock s dans la cro te terrestre font partie p trole gaz charbon Information Tout objet dont peuvent tre d riv s mesures quantitatives ou faits qualitatifs relatifs un sujet Voir n guentropie Irradiation terrestre Quantit d nergie issue du rayonnement solaire re ue par la terre Maximum Entropy Production Principle of Ce principe stipule que le cheminement entre deux niveaux d nergie d un syst me se fait par celui maximisant l entropie pour atteindre le niveau d entropie maximale stipul par le principe d entropie maximale Voir Fran ois Roddier en bibliographie Mix nerg tique R partition des sources d nergies primaires combustibles f
84. erolles H Les gisements du d veloppement urbain analyse quantitative l horizon 2050 des consommations nerg tiques et des missions de CO2 des tissus urbains PUCA 2010 Menard R Dense Cities in 2050 The Energy Option Summer Study Proceedings ECEEE juin 2011 15 pages Demande focus sur alimentation Billen Gilles Empreinte alimentaire de Paris Paris 2030 2009 2011 Laboratoire Sisyphe CNRS 288 292 Demande focus sur mobilit s Ademe Les transports lectriques en France un d veloppement n cessaire sous contraintes Ademe amp Vous Strat gie 8 tudes n 21 21 juillet 2009 Allaire J Choisir son mode de ville Formes urbaines et transports dans les villes mergentes Les cahiers de Global Chance N 21 mai 2006 Breheny M The compact city and transport energy consumption Transactions of the Institute of British Geographers Volume 20 Number 1 March 1995 pp 81 101 CCFA Tableau de bord automobile Premier trimestre 2009 Frank L D Pino G Impacts of mixed use and density on utilization of three modes of travel single occupant vehicle transit and walking Transportation Research 1466 1994 pp 44 52 Grazi F Van den Bergh JCJM Spatial organization transport and climate change Comparing instruments of spatial planning and policy Ecological Economics 67 2008 630 639 Hickman R Banister D Transport and reduced energy comsumplion what role can urban planning play Trans
85. es 207 292 Rapport final Equipe Reforme Penser l espace en architecte Sur quels supports tudierons nous la relation entre plan libre et enveloppe Les principales variables que nous avons identifi es nous rappellent l importance de Pincidence de la figure du plan ainsi que sa surface et la position de Pescalier sur le volume d air compris entre le plan du sol et le plan libre ou entre le plan du sol et le plan sup rieur W qui prend part Penveloppe de P difice Pincidence sur la lumi re et les changes thermiques selon la r partition entre opacit s et ouvertures dans l enveloppe lat rales et z nithales fa ades et PH2 en fonction d une part de leurs orientations solaires et d autre part des besoins programmatiques Les donn es analys es pour une vingtaine d tudiants en voici un exemple pour P tape du 1 100tme la libert par le d veloppement de l autonomie relative de la structure arr ts du PH position du mobilier de stockage et de lecture et l usage de trames cossaises2 Ilustrations Trois exemples de fa ade relevant de la trame cossaise La traduction en profondeur de la trame est visible en maquette quand elle concerne aussi la structure l installation du mobilier 241 Nous nommons le plan horizontal niveau z ro PHO 242 Nous nommons plan libre le plan horizontal niveau 1 PH1 243 Nous nommons le plan horizontal niveau 2 PH2 244 On ente
86. es composantes pr fabriqu s mobiles qui peuvent tre mis en place sans l aide de faux uvres Il s agira de la premi re vo te en selle jamais construite en pierre de taille Le volume couvert par une forme si complexe devait tre le plus simple possible Par cons quent le plan carr a t choisi et la maison a t projet pour r v ler la forme ainsi r sultante d un prisme id al coup sup rieurement par la surface en selle La pierre est trait e sur les fa ades pour donner une impression g n rale de pure g om trie et le rendu d un solide primordial mais non primitif alors que la selle est la seule surface ext rieure non en pierre Le b timent s inscrit dans un prisme de 10 mx10mx6 m restant au centre de la parcelle de 20 m x 20 m accord e par le concours L empreinte architecturale totale de 100 m permit de g n rer un espace habitable de 100 m dont 70 m au rez de chauss e La forme de l intrados de la toiture reproduit celle de l extrados avec un syst me structurel qui minimise le plus que possible les apports pouvant d ranger la puret de la forme et l appareillage de la pierre cr ant un dessin qui voquant celui d une uvre de vannerie sugg re une sensation de l geret 238 292 Le volume int rieur est partag dans une zone principale de s jour et une bande contenant les chambres et les services Le s jour a double hauteur situ du cot sud du b timent et communiquant vers le jard
87. etias commaalcution defans power light hast wertet esta dispor l recreatie cosserretion ond development al cer national resources Diagramme de flux et loi de conservation Flow Map Layout Doantam Phan Ling Xzao Ron Yeh Pat Hanrahan and Terry Winograd Stanford University Carte figurative et approximative de la bouille anglaise export e en 1860 Minard C J Carte figurative et approximative de l tendue des march s de houilles et de cokes trangers dans l empire fran ais autours de 1858 Minard CJ Metrography attempts to explore this phenomenon using the most famous of transit maps the London Tube Map The representation distorts actual geography according to the grid of the Tube Map http looksgood de log downloads metrography_map index html 242 292 Rapport final lo Session 1 Equipe Reforme GWTR6ES Re y L i sunto bipm tin eem nd Flux de produits agricoles et alimentaires en Ile de France 2003 d apr s S Barles 2006 sont pr Brach pas a dd TE pa PL mu b a n pl ma Fim DM mas pares e mere mam sm esaj i tu mott al pa o LE H ten spea pus nm coma Had MM masi ph lun tdi ct aus Le cycle de l azote dans les zones d approvisionnement alimentaire de Paris 2011 d apr s G Billen Engene ATT resstanor power gt En fnchion sofia T n on i Exorgy of tuwl Exhaust gases e and expansion
88. fectu es est cr e afin d viter les optimums locaux lors de la recherche contrainte de type No U Turn Au lieu de s lectionner la meilleure transaction chaque it ration chacune des transactions re oit une probabilit d tre s lectionn e proportionnelle sa propension faire converger le syst me ou selon une loi arbitraire de puissance pour favoriser les bons candidats Le processus devient alors stochastique et empruntant un chemin dans l espace des param tres diff rents chaque recherche de solutions Vu le nombre de facteurs prendre en compte pour produire un d coupage la fois performant et r aliste dont de nombreux facteurs qualitatifs tels la centralit de certains d partements dans les r gions ou la viabilit de certains d coupages une collaboration entre l utilisateur et l algorithme est mise en place convergence assist e De mani re interactive pour chaque it ration l algorithme propose sa transaction optimale que l utilisateur peut r aliser ou choisir d ignorer pour imposer sa transaction La w Formes des d coupages obtenus coefficients de variation de haut en bas et de gauche a droite 40 35 5 45 279 292 Rapport final Equipe Reforme Cartographie de la demande nerg tique M thodologie et cheminement de la recherche En premi re approche nous faisions l hypoth se que la consommation d nergie est proportionnelle la population des
89. g n rer de mani re coh rente une qualit d enveloppe qui repose sur les changes lumineux diff renci es entre insolation et luminosit visuels s lection de vues pour chaque situation programmatique et sur le contr le des changes thermiques 234 Lumi res que Le Corbusier se garde bien de diff rencier dans sa d finition L architecture est le jeu savant correct et magnifique des objets sous la lumi re Vers une architecture ditions Cr s et Ci Paris 1923 Nous consid rons que cette coh rence qualitative est un acquis du plan libre corbus en dont la manipulation progressive et consciente est propos e par cet exercice La fa ade de difice n appara t comme question en soi qu au moment de la recollection ultime Synth tiquement les fa ades sont charg es de r aliser Penveloppe et de nous conduire vers l entr e depuis toutes les approches Iustrations dessin des fa ades rationalisant les n cessit s de vue et de lumi re exig es par l espace int rieur et ses sp cificit s programmatiques opaque vide Le travail ici en cours t moigne de la n cessit d articulation entre les diff rentes faces du volume enveloppe En particulier d une dynamique y compris au passage des angles vers l entr e Sans site les questions de vis a vis horizons urbains etc ne soutiennent pas la d marche du r glage de ces faces L enveloppe achev e montre comment les faces Nord Est O
90. iad w m Un extrait de rendu p rim tre d influence nerg tique en Mongolie source DPEA Architecture post carbone E 2 a Le x 2 7 ET Me E im LS CRE FF BE g ee ai Un extrait de rendu coupe de r colte a Neuchatel source DPEA Architecture post carbone e rt LL A A CRE a y r ce Y ECI N Un extrait de rendu p rim tre d influence nerg tique en Mongolie source DPEA Architecture post carbone 200 292 Rapport final Equipe Reforme Calculette nergie morpho janvier 2014 version 0 1 Projet 2 2000 personnes 2000W DPEA Architecture Post Carbone ENSAVT Donn e de site Gisement solaire horizontal moyen 1 Flux moyen 200 W m Hypoth ses du projet Emprise d usage 2 1 Logement 25 m pers 2 2 Activit 15 m pers 2 3 Equipement public 5 m pers Total gt m pers Identification de la demande nerg tique Calculette chaleur 3 1 3 1 Chaleur gt 690 W pers Chauffage 20 kWh m an 3 2 Froid 50 W pers Cuisson 4 kWh j pers 3 3 Electricit 50 W pers ECS 10 kWh j pers 3 4 Alimentation 300 W pers 3 5 Mobilit 1 000 W pers Calculette nergie grise 3 6 3 6 Energie grise gt 260 W pers Construction 1500 kWh m construit Total gt W pers Obsolescence 30 ans Rendement moyen de conversion solaire 4 1 Biomasse 5 de la toiture et rendement moyen 4 2 Photovolta que 40 de la toiture et rendement moyen 4 3 Solaire thermique 30 de la toiture e
91. ice de projet L3 S6 4 fois 1 galent 5 z existerait une relation directe entre changes thermiques quantitatifs nergie capt e restitu e lumi re apport nerg tique et projet qualitatif de l espace par le dessin topologie et incidences d usage et de structure de la coupe libre La combinaison potentielle de ces deux hypoth ses conduirait chercher comment un questionnement de l enveloppe libre comme combinaison du plan libre et de la coupe libre serait l origine d un concept p dagogique op rationnel et synth tique utilisable d s le premier des deux semestres de troisi me ann e 205 292 Rapport final Equipe Reforme Postulats du studio 30 30 Le principe du studio repose sur l existence d un volume aux contours volum triques fixes 30mx30mx7m Son exploration s accompagne de la conception d un espace d di aux usages qui traduisent le programme d une biblioth que publique dans le mouvement m me de sa d couverte l origine du travail la volum trie est virtuelle Dans un rep re cardinal elle est d finie par un carr qui ne pr sume pas du traitement des limites Elle se mat rialisera par l ar te d un plan horizontal afin de sugg rer le lieu de Pentr e Le travail initial de l tudiant consiste concevoir cette entr e Il doit appr hender trois difficult s surmonter transoresser la p riph rie du volume abord la pr sence architecturale accompagner le passage
92. igne en joint va constituer l enjeu initial du 1 50tme Cette chelle permet de percevoir la division de la ligne initiale en trois deux bords de mati re et un interstice Le moment o ces trois l ments vont devoir tre d finis en paisseur passer de la surface au volume introduira le prochain changement d chelle Chaque chelle est comprise entre deux servitudes D une est n cessit par le d passement de l chelle pr c dente Pautre par la n cessit de son propre d passement Chaque chelle est ainsi Penjeu d une compl tude dynamique Puisqu elle est appel e par la pr c dente elle induit un re questionnement o le dessin changeant d chelle gagne en propri t Ces propri t s sont celle transmise par passage de la ligne unique au joint puis la mati re En Poccurrence la partition binaire entre carton et vide signifie le rapport entre opaque et transparent Le joint qui apparait entre deux surfaces engage l articulation physique de ces surfaces par une huisserie Enfin les limites mat rielles engagent la division d un mat riau transparent ou opaque en diff rentes parties assembler dans le contexte d une fa ade l g re mais variable en hauteur 3 5m 7m Cette capacit de l chelle atteint ses limites apr s que ses lignes aient consacr une expression dessin e du sens cette chelle dans le respect de ce que l chelle pr c dente avait d fini En effet il ne s
93. il appara t qu ils int grent avec plus de facilit les outils dont ils ressentent le besoin imm diat Par ailleurs le lien entre un tableur et ses algorithmes cach s et le dessin dont ils osent l aventure doit tre tabli p dagogiquement Cela n cessite des mesures de pr sentation et d accompagnement Raisons Le studio favorise par r ductionnisme un travail extr mement hi rarchis dans les param tres manipul s voir exemple de remplissage du tableur comme dans leur mise en place hi rarchis e d marche projectuelle Est syst matiquement privil gi e une approche pratique et l mentaire dans une arborescence directe mais simpliste Le dessin appara t comme le vecteur privil gi d une d cision En introduisant la mesure comme autre l ment pour appuyer un choix une concurrence entre deux objectivit s semble se pr senter Un choix projectuel moins simpliste est consid rer par l tudiant Le potentiel d une discipline voisine participe de plein droit l laboration du projet Expliquer Au cours du semestre cinq les tudiants se sentent loin des r alit s d un exercice professionnel qu on leur pr sente comme complexe et n cessitant beaucoup de qualit s maturit lentes faire merger puis contr ler Ils se trouvent en effet au c ur de la discipline enseign e au le plus loin possible et gale distance de leur formation g n rale et du m tier accessible par leur dipl me
94. importance du lin aire de p riph rie du plan libre le p rim tre ramen leur parall lisme avec les quatre orientations solaires se mesure son influence sur le delta nerg tique d un m tre lin aire de bord de PH1 1mIPH1 N 1mlPH1 S 1mIPH1 0 1mIPH1 E 288 travers l enveloppe constitu de cinq faces quatre fa ades et le PH2 282 Initialement d coup pour les seules raisons d changes lumineux Equipe Reforme Conclusion provisoire Il faut donc donner au 3030oscope le moyen d accompagner la d marche de relativit quantitative d s le choix de la figure du plan libre Et non le r server au calcul a posteriori constatant fatalement les incidences d un choix En conclusion il faut ajouter un cinqui me crit re de d cision valuation de la libert du plan au 1 200 me La conscience d tablir un choix strat gique gagne en int r t si il peut ensuite se confronter se mesurer aussi l orientation nuancier de facteur thermique Dans un premier temps il s agit d interpr ter Pinfluence de orientation solaire comme apport de qualit s lumineuses aux l ments du programme ceci partir de la s quence dynamique entr e hall C est un premier facteur du positionnement strat gique Ensuite la dimension quantitative de la lumi re et des changes thermiques pour les grands ensembles fonctionnels administration secteur adulte secteur enfant salle polyvalente secteur num rique
95. in par une grande baie vitr e sur la facade sud embrasse toute la vo te d une seule vue Les autres locaux se trouvent dans une bande a double hauteur situ e dans la partie nord On y trouve au rez de chauss e la cuisine la salle de bain une chambre et le local technique l tage deux chambres non cl tur es Le projet de la structure se base sur deux points forts typiques de la conception moderne des structures en pierre avoir une descente des charges avec pouss e minimale et reprendre cette pouss avec des l ments appropri s et cr er un syst me globalement coh rent pour la reprise des actions horizontales sp cialement en zone sismique En m me temps les solutions envisag es ont t con ues pour r duire le besoin de faux uvres et pour permettre la pr fabrication et le transport de pi ces de grande dimension Les connaissances utilis es ont t acquises au cours des derni res ann es gr ce aux recherches men es dans le laboratoire GSA G om trie Structure Architecture de l ENSAPM La pr fabrication le transport et le levage des l ments en pierre de taille de la construction ont t les pr occupations principales pendant le projet Astonyshine part de l id e que ces op rations sont essentielles pour la p n tration de la pierre de taille dans le monde de l architecture contemporaine et c est pour atteindre cet objectif que le groupe Fagzo s leader mondial dans la logistique de projet a
96. ique correspond au rendement maximum d un cycle de Carnot Energie solaire Pour l nergie solaire frappant la surface terrestre 3 97 E oei E ELE ora l gt Z soleil E soleil 100 100 lectricit Pour l lectricit le vecteur s exprime de la fa on suivante elec EE elec 0 1 D 2 S o SA ab A Er e Er a anergie a Er a Er 315 R f rence rappeler Op rateurs sur E Op rateurs lin aires d volution Soit Pop rateur lin aire f agissant de E dans E FiebeE 2 Si fest un op rateur d volution de la donn e nerg tique cela suppose de pr server sa norme respect de la conservation d nergie ainsi qu une d gradation de sa valeur exergique Traduit dans notre formalisme ceci entra ne les galit s et in galit s suivantes Elf e Els elf lt ele Groupe matriciel des op rateurs sur E On v rifie le respect de la composition entre deux applications fet g Elf gt g e Elg 2 Ele elf e g e lt elg 2 lt ele Par contre l addition n est pas pr serv e 250 292 Rapport final Equipe Reforme gt o bal V os r O 1 O A D 1 1 a o O 4 i a anergie 1 0 T O D X X C 2 O A a anergie Er Er Thermodynamique dans l espace E Premier principe Le premier principe pr serve la norme Deuxi me principe Le deuxi me principe op re un transfert de l e
97. ique primaire moyenne par jour par m nage en r gion parisienne apparition du clivage Nord Est Sud Ouest KW h menage jour 282 292 Glossaire Analyse de cycle de vie ACV M thode d valuation environnementale qui permet de quantifier les impacts d un l ment sur l ensemble de son cycle de vie depuis l extraction de la mati re premi re qui a servi le produire jusqu son limination ou transformation compl te Agent nerg tique Territoire d fini par une emprise spatiale et une comptabilit nerg tique Voir g onergie A rog n rateur Ou olienne Voir olien Anergie Energie de qualit nulle L anergie est aussi gale la diff rence entre nergie et exergie L exergie d truite au cours d une r action est appel anergie Ce ph nom ne est li l entropie du syst me et de son environnement qui ne peut qu augmenter au cours d une transformation r elle non r versible Autarcie Etat d un territoire qui n change pas de flux d nergie avec les autres territoires Automate cellulaire Objet math matique et informatique unitaire type cellule d une grille voluant selon des r gles tr s simple Les volutions sont des g n rations auxquels sont appliqu es les r gles Autonomie Etat d un territoire n ayant pas besoin d changes d nergie avec les territoires environnants pour couvrir ses besoins Biomasse Energie prim
98. ire par cons quent l effet incontr l de remont e thermique en proximit des villes qu on appelle montagne solaire Le besoin global de chauffage calcul compte tenu des apports internes est de 2 4 kWh m celui de climatisation de 1 0 KWh m Sur un an ces besoins sont respectivement de 4 0 kWh m2 an et 0 5 kWh m an Les besoins lectrom nagers et d clairage ajoutent une consommation lectrique de 2300 kWh an en moyenne Le besoin lectrique pour l eau chaude produite par chauffe eau solaire s l ve varie entre O et 200 kWh an en fonction du nombre de capteur plac s partir de ces consid rations le besoin estim de surface CPVT est de 20 m 239 292 Projet LivLib En 2013 l Universit Paris Est a t admise participer au concours Solar Decathlon Europe 2014 dont la phase finale se tiendra en juin a Versailles avec un groupe d coles de l Universit contenant l ENSAPM L quipe Re For Me se trouve ainsi nouveau active dans cette comp tition En 2014 la comp tition a t orient e vers la question urbaine un th me tr s important pour la ville de Paris que nous repr sentons L id e du projet qui s appelle LzwLzb se base sur celle d Infrastructures Solaires Urbaines si la densification de la ville de Paris soumet les futurs propri taires un prix du sol plus important que en banlieue et la demande d une conomie verte impose des niveaux d investissement plus lev
99. ire que la division syst matique de niveaux 3 de structure 3 amp 4 l addition pyramidale 1 ou par superposition 3 la combinaison ou m me la combinatoire de 2 Citrohan 1922 Pessac 1925 sont viter pour r aliser 2 On peut supposer que la figure 2 rem die au d faut de discipline de 1 n cessitant classement et hi rarchie et rel ve d une composition cubique sa tr s grande r gularit en t moigne dans une forme paradoxalement parall l pip dique Contrairement au cube les trois dimensions de Pespace hauteur longueur largeur qu figurent ici sont diff rentes En 1930 Le Corbusier publie Pr cisions Dans le chapitre consacr au plan de la maison moderne il r crit les 4 composition avec pour seul commentaire autentl garches Tunis Poissy e 254 Espace que Le Corbusier se refuse de formaliser cause de sa singularit absolue Pour le r server des recherches futures Pour en pr server l originalit Parce qu il en ignore encore la forme Cc 253 n Pr cisions sur un tat pr sent de architecture et de Purbanisme 3 collection de PEsprit Nouveau Le Corbusier Les d Cr s et Cie 1930 Paris 256 Sic Quelles pistes indiquent les autres termes employ s dans ce manifeste Insolation pr dominance du rapport g ographique ou cosmique au soleil configuit s fluidit des rapports programmatiques dans une topologie et une territorialit
100. ires la repr sentation unitaire d un petit quipement au del du 1 50 me oblige le recours une repr sentation non d taill e alors que la d finition du projet se d taille C est un paradoxe qu il faut d passer dans les enseignements de projet de second cycle La continuit de la d marche se traduit par une discontinuit des repr sentations Nous faisons l hypoth se qu il en r sulte dans la d marche projectuelle une divergence entre les r sultats en terme de spatialit et de mat rialit au moment o ils deviennent Equipe Reforme interd pendants La question de la mati re ne peut s aborder sans le progr s substantiel provenant de la connaissance de sa mise en uvre plus qu celle de sa d composition d taill e subtile ou non L outil projectuel r clam met en rapport simultan deux chelles Dans un autre ordre de difficult et pour asseoir une pens e spatiale l tudiant de premier cycle s est vu propos la maitrise de l articulation entre le plan et la coupe et l int grit de l difice associant par r versibilit le contenu et le contenant llustration Perspective du hall Paerspective de la diagonale majeure du projet 231 292 Rapport final Equipe Reforme Illustration Dessin du plan libre l issue du processus de 15 semaines essais 2014 1 ce re 11411 4 ET y 1 e f Le Plan libre Energie Echelles 3 versions d
101. l permet d associer l ensemble des facteurs qui influent sur l nergie r clam e par l dification tout au long du processus Les mesures sont class es par cat gories Elles recouvrent une multitude d informations dont certaines sont sp cifiquement architecturales Leurs consid rations peuvent donc s op rer lors de l apprentissage du projet De nombreux param tres sont manipuler pour en exp rimenter les effets ou leur absence sur des quantit s d nergie requises au moment de la mise en uvre de l difice et de la gestion de son fonctionnement mais aussi d op rations amont origine et fabrication des mat riaux comme en aval recyclage par exemple La prise en consid ration de cycles temporels est une des donn es qui influence tudiant dans une d marche o la temporalit de la conception du projet domine son apprentissage scolaire A messmo se bre Patama ars p arget ATA qp L O Emma heurter A TT a ais vee eg ne ds ma Loa 227 e LE ARS CA tigres ru me CM u virons vu t de tem ma te Lab ce amano Lef de shm pwu Let de e o emg PARENT arren Toin i e 2 2 10 moven s ent a 2 a Bews msm ut ea de em am ae Le 112 Um IL Loma VO metes pr 340 laut se mu Ns 210 292 Rapport final Equipe Reforme Sans vidence de la hi rarchie des param tres les tudiants comprennent les nuances entre chacun mais ne mesurent pas intuitivement leur n cessit Or
102. lan d une profondeur de 30m offre la perception d un espace trop sombre pour vous inviter entrer Seule son interruption livrera le c ur du projet la lumi re et rendra op ratoire la fonction distributive du hall Le plan de base carr e et son orientation cardinale induisent pour l interruption une orientation Nord Sud ou Est Ouest Ce choix pr sidera au dessin du nouveau contour du plan qu on appelle ici figure Les figures sont en I en L en T en U ou en G en F en 1287 en H Elles sont d termin es par une deux ou trois branches La figure est a priori simple puisque des arguments de complexit manquent a cette chelle Sans atteindre de contradiction elles seront amen es a voluer pour convenir plus finement une question opportune et chiffr e fonctionnelle spatiale ou climatique L ad quation entre figure de plan programme enveloppe virtuelle est recherch e au 1 200tme Le climat influence le processus de projet avant m me Pintroduction de l enveloppe C est le plan libre dont le dessin est d terminant durant l ensemble de la d marche plan r f rent tous les arguments de projetation qui re oit le premier les informations venant de Pext rieur C est en fonction de sa potentialit que les choix fonctionnels et de r partition programmatique sont faits Sa fzgwre joue donc un r le strat gique dans l articulation dessin des contours orient s influence nerg tique Un premier
103. le d ploiement d un enseignement transposant de mani re critique les acquis de la modernit dans le champ p dagogique Ils ont ainsi particip ainsi l laboration enseignement sup rieur hors de Pacad misme des structures d apprentissages et de compagnonnages La r flexion men e dans cette tude tient compte de ces acquis La notion d espace est instrumentalis e dans la d marche p dagogique Elle sert au d veloppement de la capacit qualifier l espace en relation avec ses conditions mat rielles et sociales Les termes d usage de structure de confort traduiront cette attente ce niveau d tude La richesse de la spatialit dans ses dimensions sensorielles ou po tiques est explor e de mani re tr s limit e Nous la concentrerons sur la relation strat gique qu entretiennent le plan libre et l enveloppe On s accordera penser que la mise en ceuvre p dagogique de cette relation est susceptible d prouver les capacit s d une maitrise de la tridimensionnalit voire de la spatialit Illustration la maquette de la figure du plan libre Parois rouges orient es sud bleues pour le nord jaunes pour Pest et l ouest r partissant les cinq grandes entit s programmatiques de la biblioth que Escaher lent en blanc appartenant au PH 240 Suisses Bruno Reichlin ou Lamuni re Gen ve et Lausanne ou am ricaines John Hejduk la Cooper Union Kenneth Frampton pour ne citer que quelques exempl
104. lla d voil e Il s agit d une question d chelle qui rend vident le d s quilibre des relations int rieures ext rieures et leur non r ciprocit s En effet voir et tre vu fondent le rapport de l homme au paysage et non l inverse Organiser le rapport int rieur ext rieur m me en cas de transparence est l objet du savoir de l architecte au b n fice d une consid ration de P tre au monde de l habitant Qu elle est la compatibilit ce rapport de visibilit avec un rapport de variation de milieu tels l humidit ou la temp rature Sont ce la biche et Pours qui font frissonner Mme Farnsworth lanimalit ou le climat 262 Selon l intitul duchampien La mari e mise nu par ses c libataires m me le Grand Verre 1913 192 3 L uvre contemporaine de la villa tant donn s 1 la chute d eau 2 le gaz d clairage posthume donne une version plus bucolique et cruelle voyeuriste et moins litt rale de la transparence du Grand Verre 215 292 Rapport final Equipe Reforme La th orie de la fa ade paisse semble du point de vue de la contradiction du conflit entre protection transparence une gestion par la moyenne la porosit L imbrication de l int rieur dans l ext rieur et son inverse ressemble la tr s fractale exp rience de l ponge consid r e comme fa ade L invention d une paisseur complexe hi rarchisant par un entre deux les incidences fut utili
105. lle a la population des territoires il s agit d une forte approximation mais qui permet de travailler directement avec les donn es robustes ventuellement historiques et prospectives de la d mographie fran aise fournies par l INSEE L offre correspond la totalit de l nergie solaire intercept e par la surface qui correspondrait la couverture de la totalit du territoire de panneaux fonctionnant un rendement de 100 Les aspects de distribution de l nergie ne sont pas pris en compte ici L quilibre tudi caract ris par le ratio demande sur offre correspond donc ici plus un nombre d habitant par quantit d nergie solaire disponible sur un territoire donn une poque donn e qu un r el quilibre offre demande Cartes issues du traitement des donn es de la base GEOFLA et PVGIS Caliber Demando Offro lab TK an 1 to Mm T mi ET Carte cantonale et carroyage de l quilibre entre demande nombre d habitants et offre gisement solaire 274 292 Rapport final lg Session 1 Equipe Reforme Chaque algorithme tentera de minimiser l cart entre les ratios des r gions par des mesures de la dispersion de leur dispersion cart type moyenne des diff rences La convergence des ratios sera tudi e l aide du coefficient de variation sigma sur mu qui caract rise de mani re normalis e la dispersion A l tat initial des r gions fran aises
106. llement d di e au mode d organisation La figure permet a posteriori de porter sur architecture un regard critique synth tique C est un l ment de vocabulaire qui rend compte d un difice sa pr sence son essence Citation De mani re plus originale ce terme est volontairement employ depuis sa fondation par le groupe UNO des fins p dagogiques comme un des 221 En psychologie tendance d une forme r ceptive se d tacher du fond et se constituer en structure autonome Linguistique modification de emploi des mots G om trie dessin servant la repr sentation d tres math matiques Verbes se figurer configurer Expressions prendre figure en arts la figuration en peinture 22 Alan Colquhoun Forme et figure Oppositions 12 printemps 1978 pp 26 37 293 Pendant le s minaire enseignant d UP8 en 1978 224 Dont les fondateurs en 1978 sont les architectes Henri Ciriani Jean Patrick Fortin dith Girard Claude Vi rejoints d abord par Laurent Salomon et Alain Dervieux l ments sur lequel repose l explicitation d un enseignement progressif du projet Il est couramment utilis partir de cette p riode dans les textes de recherches Dans Pouvrage consacr sa p dagogie Catalogue UNO 1980 page 27 l auteur crit a propos d un studio d architecture de fin d tudes La pi ce urbaine L approche du projet se fait par l labor
107. loppement durable Tome 1 Bases physiques avec Brejon Paul et Fernandez Pierre Tome 2 Concepts et Dispositifs avec Fernandez Pierre et Lavigne Pierre Aix en Provence Edisud 1994 et 2000 Daniels Klaus The Technology of Ecological Building Basic Principles and Measures Examples and Ideas B le Birkhauser 1997 Dutreix Armand Bioclimatisme et Performances nerg tiques des b timents Paris Eyrolles 2010 Fern ndez Galiano Luis Fzre and Memory On Architecture and Energy Cambridge Mass The MIT Press 2001 Friedman Yona L architecture de survie Gonzalo Roberto et Habermann Karl J Architecture et Efficacit nerg tique B le Birkha ser 2008 Hegger Manfred Fuchs Matthias Stark Thomas et Zeumer Martin Construction et Energie Architecture et D veloppement durable Lausanne PPUR 2011 Heschong Lisa Architecture et Wolupt thermique Marseille Parenth ses 1981 1979 Hopkins Rob Manuel de transition de la d pendance au p trole a la r silience locale 2010 Id et Schwaiger Elizabeth Advanced Building Systems a Technical Guide for Architects and Engineers Bale Birkhauser 2003 Kim Consommation nerg tique Paris 1801 2002 2012 Liebard A De Herde A 2005 Trait d architecture et d urbanisme bioclimatiques ditions du Moniteur 778 pages Lopez Fanny D ferritorialisation nerg tique 1970 1980 de la maison autonome la cit auto nerg tique le r ve
108. lorer des strat gies architecturales et urbaines permettant d augmenter les capacit s de production d nergie des tissus urbains en fonction des situations climatiques et topographiques Le projet devra explorer de fa on document e Les capacit s d offre nerg tique locale de production d nergies renouvelables et laborer des r ponses pertinentes de r colte de cette nergie une emprise et une topographie donn e quelles sont les strat gies permettant d augmenter la solarisation des tissus urbains Le contr le de la demande ou de la consommation nerg tique en analysant la fois les valeurs de consommation individuelle et la densit urbaine Comment mettre en ad quation densit et autonomie nerg tique L gendes Atsoau chaud R seau Mod Hbase G ctr ere Un extrait de rendu source DPEA Architecture post carbone Les capacit s de stockage nerg tique selon les diff rents besoins finaux en situation urbaine chaleur froid lectricit alimentation et mobilit Pour illustrer les points 1 et 2 et titre d exemple l quipe Reforme dans le cadre de la premi re session du programme lens Mutat Res a identifi les corr lations suivantes en fonction de la latitude En fonction de l emplacement du projet ces valeurs devront n anmoins tre pr cis es et sc naris es horizon 2050 Toujours dans le cadre du programme Ignis Mutat Res l quipe R forme a an
109. ltaic Industry Association 2011 286 292 European Commission Concentrating solar power from research to implementation 2007997 European Photovoltaic Industry Association EPIA Solar Generation 6 Solar Photovoltaic Energy Empowering the World EPIA Brussels 2011 European Wind Energy Association Wind Energy The Facts Volume 1 Technology EWEA Brussels 2004 Ferry Robert Monoian Elizabeth A feld guide to renewable energy technologies Land Art Generator Init ative 98 2012 Freeston D H Direct uses of geothermal energy 19953 Gipe Paul Le grand livre de V olien Le Moniteur 2006 GlobalData Small Wind Turbines Global Market Size Analysis by Power Range Regulations and Competitive Landscape to 2020 GlobalData Denmark 2011 INES Quelles sont les perspectives technologiques en solaire photovoltaique 2011 International Energy Agency IEA 2010 Technology Roadmap Concentrating Solar Power IEA Paris International Energy Agency Technology Roadmap Solar Photovoltaic Energy IEA OECD Paris 2010 IPCC Renewable Energy Sources and Climate Change Maitigation Cambridge University Press 2012 IRENA Concentrating Solar Power Renewable energy technologies cost analysis series Juin 2012 IRENA Solar photovaics Renewable energy technologies cost analysis series Juin 2012 IRENA Wind power Renewable energy technologies cost analysis series Juin 2012 Layzell
110. lysis Cambridge University Press 2012 Commissariat g n ral au d veloppement durable Chiffres cl s de l nergie dition 2012 de Rosnay Jo l Le macroscope Vers une vision globale Seuil coll Points 1975 Descola Philippe Par dela nature et culture Paris Gallimard 2005 Diamond Jared De l in galit parmi les soci t s Essai sur l homme et l environnement dans l histoire Paris Gallimard 2000 d am r 1997 Henson Robert The Rough Guide to Climate Change Londres 2006 Hollnagel Erik et Woods David D Reszhent Engeenering Concept and Precept Ashgate 2006 Jancovici Jean Marc C est maintenant 3 ans pour sauver le monde Seuil coll Points 2009 Jonas Hans Pour une thique du futur Paris Payot 1997 Larr re Catherine et Rapha l Du bon usage de la nature Pour une philosophie de l environnement Paris Flammarion coll Champs 2009 Aubier 1997 Lovins Amory Hunter B et L von Weizs cher Ernst Facteur 4 Rapport au club de Rome Mens Terre vivante 1997 MacNeill J R Something New Under the Sun An Environmental History of the Twentieth Century World McKay David Sustainable Energy Without the Hot Air UIT Cambridge 2009 Meadows Donella Meadows Dennis Randers Jorgen Les Limites de la Croissance dans un monde fini dition Rue de l chiquier mars 2012 MVRDV et Huet Sylvestre Climax catalogue d expositio
111. mates cellulaires et diagrammes de V orono Un carroyage permet un traitement de donn es spatiales simplifi du fait de la r gularit des relations de voisinage notamment Il sera donc utilis par notre premier algorithme de recherche de solutions un automate cellulaire crit re de transition multiple construisant les r gions de proche en proche partir de cellules d initialisation dans une approche purement bottom up Notre deuxi me algorithme utilise lui une approche top down lui donnant la capacit de travailler aussi bien avec des donn es carroy es que des donn es ponctuelles non organis es dans une grille un diagramme de Vorono vient se superposer elles et un algorithme g n tique optimise les param tres libres la recherche d un d coupage optimum a Les r sultats obtenus par convergence sont mitig s les problemes allant de l obtention de formes peu r alistes pour les r gions devenant discontinues ou de tailles relatives disproportionn es des blocages autour de situations sous optimales L ajout de crit res de respect de conditions particuli res est possible telles que la minimisation du moment d inertie en terme de population pour garantir une certaine compacit des r gions form es ou la recherche d une convergence vers une taille fix e pour viter l explosion de taille ou la disparition des r gions Ces contraintes s ajoutent cependant au prix d une forte d
112. moderne sur l enseignement du plan libre sur les mesures de la lumi re comme facteur thermique et d clairement pr parent l tude de la coordination entre qualit spatiale et qualit thermique au service du projet La maitrise du projet d architecture suppose de ne pas inf oder ces notions l une l autre et r ciproquement Le dessin pris au sens strict du trac du plan peut r gler le rapport de d pendance entre espace et nergie re ue ou mise Pinstant comme dans le pass et le futur L apprentissage du plan libre dans ce studio oriente et garantit par sa rigueur les exp rimentations mener dans ce domaine Les conditions d tude sont r unies et les outils d expertise existent La principale hypoth se peut s noncer ainsi Une exp rimentation mesurable du rapport simultan entre les qualit s lumineuses et thermiques d un espace avec ses qualit s structurelles fonctionnelles et d usage mises en rapport par le dessin d un plan libre dans l espace tridimensionnel augmente la conscience projectuelle de l tudiant Elle traduit en ENSA une pratique approfondie d une interdisciplinarit hi rarchis e dans l enseignement du projet Conditions pratique de Pexp rimentation Pheure actuelle la particularit de cet enseignement repose sur le refus de sp cifier structure enveloppe et architecture comme l ments h t rog nes articuler Dans un difice deux nivea
113. mprise nerg tique Total des nergies n cessaires la r alisation satisfaction d un usage qui permet de lier les consommations finales l ensemble du besoin nerg tique qu elles cr ent Energie incorpor e Energie n cessaire pour permettre la mise disposition du bien ou de l offre de service au consommateur final en amont de l usage Energie grise Voir nergie incorpor e Energie m canique Energie d un syst me emmagasin e sous forme d nergie cin tique et ou d nergie potentielle m canique C est une quantit conserv e lorsqu aucune force ext rieure n intervient dans le syst me Entropie Fonction d tat qui sert mesurer le degr de d sordre d un syst me L entropie d un syst me isol ou ferm augmente toujours Exergie En thermodynamique l exergie est une grandeur permettant de calculer le travail maximal que peut fournir un syst me l ext rieur lorsqu il se met l quilibre thermodynamique avec son environnement Le travail maximum r cup rable est gal l oppos de la variation d exergie au cours de la transformation Si l nergie ne peut que se transformer sans jamais se d truire l exergie ne peut en revanche que diminuer dans les transformations r elles Fissile nergie Energie primaire disponible lors de la fission de mati res fissiles telles que l uranium division du noyau des atomes en d autres noyaux plus l gers Fossile nergie En
114. n Nous noterons E cet espace de d composition de la donn e nerg tique Loi produit avec un scalaire Dans le cas d une multiplication par un scalaire positif la E R xR loi produit est alors d finie de la fa on suivante 5 R xE gt E a amp 1 8 gt Ae A a e a e A la le O S o e 7 Loi produit On associe la multiplication dans E au sens du produit scalaire usuel Ex E R Eb a e a e aa ee e e E2 Notons que ce produit est commutatif et sera nul si et seulement si un vecteur est de Panergie pure tandis que le second est de l exergie pure a anergie a a 2 30 Dans le sens o l oppos d un vecteur n a pas d existence au sein de E 310 Nota P chelle de graduation sera alors diff rente et devra tre multipli e par la racine de 2 311 Ou sinon enfin au moins Pun des deux vecteurs est nul 248 292 M trique sur E Norme sur l espace E Nous dotons E d une norme E d finie de la facon suivante E R E gt E E El a e a e Cette norme permet d valuer la quantit d nergie d un vecteur nergie donn Nous v rifions ais ment que E poss de bien l ensemble des propri t s d une norme E E Ef a e a e 0 gt a e 0 gt U Notons aussi que VA gt O E 2 E 2AE E Enfin nous retrouvons bien l in galit triangulaire qui est dans cette d finition une galit par con
115. n La Grande Halle de la Villette Adam Biro Cit des sciences Catr 2003 Prigogine Ilya Stengers Isabelle La Nouvelle Alliance M tamorphose de la science Gallimard coll Folio 1986 1979 Rifkin Jeremy La troisi me r volution industrielle Comment le pouvoir lat ral va transformer l nergie l conomie et le monde ditions Les Liens qui lib rent 2012 Salomon Thierry Manifeste N gaW att co dition Actes Sud Colibris Collection Domaine du possible janvier 2012 Salomon Thierry Jedliczka Marc Association N gawatts Changeons d nergie Transition mode d emploi Arles Actes Sud 2013 Schwartz Peter et Randall Doug Rapport secret du Pentagone sur le changement climatique Paris Allia 2006 Singh Madanjeet L nergie solaire comment vivre en paix avec la nature 1998 Smil Vaclav Energy Myth and Realities Bringing Science to the Energy Policy Debate Washington AEI Press 2010 Wilson William G Constructed Climates a Primer on Urban Environnments Chicago University Of Chicago Press 2011 Visualisation repr sentations de la complexit et m tabolisme Batles Sabine Bilan de mati res brutes Haute Garonne 2006 m thode d riv e de la m thode Eurostat 2009 amp 2011 Barles Sabine Mesurer la performance cologique des villes et des territoires Le m tabolisme de Paris et de l le de France Rapport de recherche final pour le compte de la ville de P
116. n ois Roddier La thermodynamique de l volution du Big Bang aux sciences humaines Conf rence donn e l IAP le 5 octobre 20107 par Fran ois Roddier astrophysicien Paine Ch Who Killed the Electic Car documentaire long m trage USA 1h32 2006 Base de donn es disponibles Donn es sur Loffre Inventaire mondial des nergies renouvelables energies renouvelables org Cartographies par l Irena http irena masdar ac ae Sur la g othermie en France geothermie perspectives fr Technologie de cadastre solaire et plusieurs exemples d application aux Etats Unis en mapdwell com Sur la biomasse et les ressources mondiales des sols uved fr fileadmin user_upload modules_introductifs module2 site html m2c2_m2c2p4_4 htm Interactive Visualization and Measurement of Urban Areas http urbmet otg Donn es sur la demande Cartographie mondiale de la demande alimentaire par habitant et par jour http knoema com eamzxd food supbpl 347 https www youtube com watch v 61Nz5vmKEFA 289 292 Cartographie de PIAU http sigr tau idf fr webapps visiau id_app_visiaurif 32 Synth se offre stock demande ETP 2012 data visualisation IEA http www iea oro etp explore Autres donn es Infographie sur la densit mondiale http persquaremile com 2011 01 18 1if the worlds population lived in one city Territoire durable 2030 http www territoire durable 2030 developpement dura
117. n composition Architecture et th ories XIX me XX me si cles Presses polytechniques et universitaires romandes Lausanne Suisse 2010 e Henri Ciriani article p26 in Corbu vu par Pierre Mardaga diteur Li ge 1987 e Alan Colquh oun D placements des concepts chez Le Corbusier in A Colquh oun Recueil d essais critiques Architecture moderne et changement historique Pierre Mardaga diteur Bruxelles Li ge 1985 Essays in architectural criticism Cambridge 1985 e Robert Slutzky et Colin Rowe Transparence litt rale et ph nom nale Droits et regards ditions du demi cercle Paris 1992 traduction de Transparency litteral or Phenomenal Perspecta n 8 1963 e William J R Curtis L architecture moderne depuis 1900 Phaidon 2006 e Willy Boesiger Le Corbusier uvres compl tes 8 tomes ed D architecture Artemis 1991 e Michel Corajoud avec Jacques Coulon et Marie H l ne Loze Lecture d un jardin recherche et article les annales de la recherche urbaine ditions Dunod N 18 19 juin 1983 http corajondmichel nerim net 10 textes 01 versailles lect ht e Christian Devillers R ponse Fran oise Choay in cahier de la Recherche Architecturale n 26 Ze trimestre 1990 p 97 e Kenneth Frampton L architecture moderne une lecture critique Philippe Sers diteur Paris 1985 Recherche o 30 m tres par 30 m tres un enseignement moderne du projet moderne av
118. nalyse urbaine histoire organisation et forme pr sente 2 Analyse environnementale du site climat ressources pollution 3 Analyse nerg tique quantitative et qualitative offre demande stockage 4 Formulation des hypoth ses de base 2050 alimentation chaleur froid mobilit 5 Etablissement des documents de base maquette physique et virtuelle 1 500 h liodon 6 Mise en forme et pr sentation analyse et des hypoth ses de travail Phase 2 1 Esquisse architecturale et urbaine maquette 1 500 2 Esquisses constructives coupes 3 Estimation besoins nerg tiques 4 Choix des strat gies de collecte d nergies renouvelables 5 Mise en forme et pr sentation des esquisses Phase 3 1 D finition de strat gies constructives contrast es minimum 3 coupes 1 100 et 1 50 2 Comparaisons nerg tiques 3 Mise au point individuelle de deux solutions plans 1 100 coupes 1 20 4 Maquette 1 100 Phase 4 1 Reprise des maquettes 2 Reprise des dessins g n raux et de d tails 3 Reprise analyse et description nerg tiques 4 Note de description des mat riaux et des quipements 5 Synth se et pr sentation graphique Phase 5 Jury final ET l A q rur4hos top RA Ne ccoo auto i cn opaj Y E ic 241 Y w p HE NE gt mel r TU m gt x ARE EE tu meee m q x P var A Ps s s ANDAS Le T r
119. nd Countermeasures in Various Metropolises Lyon in Nakamura H Hayashi Y May A D Eds Urban Transport and The Environment An International Perspective Oxford Elsevier 2004 pp 285 292 Nicolas J P Verry D Indicateurs de mobilit durable outils d analyse comparative de la mobilit urbaine CD ROM In ASRDLF Villes et territoires face aux d fis de la mondialisation XLIt colloque de lASRDLE 5 7 septembre 2005 Dijon 2005 20 p Ntziachristos L Samaras Z COPERT II Computer programme to calculate emissions from road transport Methodology and emission factors Version 2 1 Technical report No 49 ETC AEM European Environment Agency nov 2000 86 p Nuissl H Haase D Lanzendorf M Wittmer H Environmental impact assessment of urban land use transitions context sensitive approach Orfeuil J P D placements contrainte nerg tique et effet de serre quelques rep re pour un d bat Cahiers de l TAURIF Contraintes nerg tiques et mutations urbaines 147 f vrier 2008 pp 88 98 Raux C Traisnel J P Pochet P Maizia M Croissant Y Bagard V Peguy P Y 2006 Analyse et mod lisation des comportements transports habitat localisations ETHEL Rapport R3 Action Concert e CNRS Minist re de la Recherche LET Lyon septembre 2006 127 p Roby F Vers la voiture sans p trole EDP Science 2006 Vid os Geoffrey West The surprising math of cities and corporations Fra
120. nd par trame cossaise plusieurs trames aux pas diff rents et d cal s dont la superposition traduit par un rythme aux effets dynamiques Si les fa ades de Richard Meier en sont l exemple didactique mus es comme habitation celles de X nakis au couvent de La Tourette en sont l accomplissement musical Enveloppe Le lieu de la synth se des changes int rieur ext rieur visuels lumineux thermiques De la fa ade l enveloppe P tude des 4 compositions et des cinq points diff rentes remarques peuvent tre faites sur la notion d enveloppe Le Corbusier emploie le mot sans se soustraire compl tement au vocabulaire acad mique qu il cherche pourtant L attitude est ambig e au regard de la valeur symbolique et urbaine de cette partie du b timent Durant les ann es 20 en l absence d un syst me de proportion clairement tablie autour des mouvements du corps Le Modulor la tentation du trac r gulateur garant d une harmonie de fa ade sera forte Proporton vide ples Sud 1 2 Ouest 1 2 Es t i Nord 1 1 Le in are de penphers du plan bbre global 140 40 m En contact avec l enveloppe 634m La surface du plan Ebre 612 50m2 La surface de parons par onentation sud nord 1242 est ouest mn E ENDS La taille et Ponentation de l ouvertuse du PH2 x1 mi ud nord Om Le nombre de places assrses pour les adultes et poux le Livre 50 places Mais par ailleurs ses dessins comme son attitude tendent
121. nnuelle dans le limites actuelles du bilan pr sent dans ce document sur ces deux facteurs l nergie grise est actuellement l quivalent de 50 ans de consommation Equipe Reforme Six entr es d finissent cette strat gie L emploi de la pierre de taille qui gr ce aux avanc es technologiques et aux nouvelles m thodes de projet num rique promet des avantages du point de vue du comportement nerg tique hygroscopique et thermique de la durabilit de l esth tique et du processus de fabrication et de construction Le recours des syst mes solaires concentration photovolta ques et thermiques pour r pondre aux besoins nerg tiques de la maison avec une plus grande efficacit et des co t inf rieurs ceux qui peuvent tre obtenus par des panneaux photovolta ques standard par la proposition de nouvelles id es sur l insertion morphologique et technologique de ces syst mes en architecture Les syst mes concentration permettent l utilisation de cellules photovolta ques haute performance sans grandes augmentation des co ts et optimisent la quantit de mati re utilis e en r duisant les pressions sur les stocks par exemple de polysilicone Le contr le distribu du champ photovolta que incorpor dans chaque module et pilot pour extraire le maximum d nergie Ce contr le permet la reconfiguration dudit champ qui peut se rendre n cessaire par cons quent de facteurs externes qui
122. nous Si l enseignement de Parchitecture s efforce de r duire l cart entre projet et apparence le changement d chelle y tient une place essentielle Il permet de mesurer cet cart par tapes Le passage d une abstraction une r alit Cette hypoth se radicale se r sumerait une explication du projet selon laquelle projeter serait la r it ration d une id e essentielle diff remment exprim e jusqu Paccomplissement videmment Pexcellence du projecteur reposerait sur sa capacit d nonciation initiale On entend plut t ici que l nonc lui m me gagnera autant se pr ciser que le dessin qui accompagne Pour illustrer le d fi de cette pr cision nous partirons de exemple du passage de l enveloppe de l chelle du 1 100 celle du 1 50 e L enveloppe est d termin e par deux facteurs pr pond rants qui entrent en conflit au moment de son dessin Elle se doit de laisser entrer la lumi re n cessaire l activit sur et sous PH1 n cessaire aux activit s situ es en profondeur jusqu 6 m tres environ rapport ext rieur int rieur La taille des ouvertures et l incidence climatique soleil saisonnalit horaire sont les param tres principaux Ils conditionnent par la retenue le filtrage ou la transparence de rayons lumineux la temp rature trait e par cet cran Inversement depuis l int rieur l enveloppe qualifie le rapport int rieur ext rieur comme filtre de la vue
123. ns Apr s l laboration d un diagnostic commun des tudiants de culture architecturale contemporaine dispers e le recours la figure permet de partager une proposition qui exige de s accorder sur les intentions principales et leur formulation hi rarchis e La figure se d veloppe aux chelles suivantes par l int gration du travail de r partition programmatique spatialis e Ilustrations Workshop Septembre 2013 S oul Figures de projets d veloppements jusqu au projet final La figure comme outil de conception La figure peut trouver sa pertinence dans un travail progressif de conception diff rentes chelles d application En effet la notion de site et de probl matique programmatique est transposable l chelle du mobilier de difice ou de la pi ce urbaine propos de la figure dans son enseignement de la Pi ce Urbaine Henri Ciriani pr cisait I vaut mieux pour faire une pi ce urbaine que sa figure sa trace formelle soit simple Sans figure simple impossible d utiliser des b timents riches La figure complexe dans un b timent complexe est bannir Des figures simples constitu es par des b timents lin aires b timents lignes vont permettre de traiter les rapports entre l espace commun de la pi ce urbaine et l espace priv du logement Si la figure n est pas simple si le b timent n est pas extr mement lin aire il devient difhcile de travailler les perpendiculaires
124. nveloppe soit la mati re et l nergie C est une pure ni g om trique ni constructive ni spatiale qui pr sume au plus pr t des intentions situ es des engagements vers une architecture 304 Sur la r versibilit du processus projectuel Christian Devillers a publi un article tr s int ressant o il met en question le d roulement logique et d ductif du projet in Christian Devillers R ponse Fran oise Choay in cahier de la Recherche Architecturale n 26 2e trimestre 1990 p97 305 Villa Curutchet 1948 La Plata Argentine architecte Le Corbusier 306 Comme le sont les tapes perspectives du foyer spatial et du point projectuel d crites dans Interfolion 2 12 Lustrations Figure de la villa Curutchet analyse construction et maquette 230 292 Rapport final Conclusions Modifier le 3050oscope Au del des d cisions synth tiques que P chelle du 1 50tme permet d appr hender simultan ment pour un quipement public de cette taille biblioth que de 1500m une tape pr sum e de la relation du b timent est celle de la mise en coh rence de la mat rialit avec celle de sa mise en uvre d taill e En cycle licence le G me semestre nous autorise nous aventurer dans la direction du d tail guidant la mati re Elle se traite autour d une baie entre usage et paysage La dimension embl matique de cet ouvrage de 3 66m par 3 66m L enseignant qui accompagne se d
125. o tre les capacit s de conversion d nergie et en r duire l empreinte cologique plus que cacher ou incorporer ces syst mes dans les formes habituelles Le second souffle de Astonyshine est l id e que l architecture doit retrouver un langage pour la pierre de taille L emploi de ce mat riau re u une attention renouvel e dans les derni res ann es En partant de l tude du pass des chercheurs contribuant Astonyshine ont con u des nouveaux syst mes structurels bas s sur la st r otomie pouvant conjuguer efficacement l aspect esth tique et des qualit s environnementales La pierre de taille est en effet int ressante pour l environnement en particulier si son lieu d extraction n est pas loin du lieu de construction la valeur de 1000 km est souvent indiqu comme limite de rentabilit cologique mais il faut souligner que la pierre peut se transporter lentement ce qui peut r duire sensiblement l empreinte environnementale de la tonne kilom tre pour ce transport elle peut tre r cup r e lors d une d molition et r employ e ou en tout cas recycl e sans inconv nients elle g n re une pollution de l eau et de l air tr s limit e lors de la construction La coupe de la pierre ne g n re pas de gaz effet de serre elle ne comporte aucun risque de toxicit produit des poussi res totalement contr l es et fait un usage totalement contr l de l eau 237 292 Rapport final Equipe Reforme
126. on cat gorielle le terme architecture appara t sous une forme adjectiv e volont architecturale Ce qui souligne une origine tr s c r brale Et qui est pr par par l apparition de satisfaction de Pesprit associ e tr s difficile Ce qui en propose l accession par la pratique du genre 212 292 La mise entre parenth ses manifeste l loignement de l objectif et la raret de la r ussite J oserai le terme contemporain de projet que Le Corbusier n emploie pas Et son association une forme d abstraction Avec la libert que repr sentent les cg points pour une architecture nouvelle le volume six faces autonomes appara t une conqu te Cependant cette extr me libert s accompagne de la contrainte de faire na tre une machine c libataire autiste ou autoritaire pour son environnement R duire le questionnement deux faces hachur es offre une limite r serve d coute et d assemblage qui d une extr me prudence et d une grande difficult si Pon ne renonce pas aux objectifs accessibles avec l abondance des moyens architecturaux d clinables par les Cinq points La comparaison des dessins que propose Le Corbusier montre qu il compte sur la qualit d une spatialit int rieure en devenit2 pour compenser la perte de pittoresque de g n rosit dans le respect du prisme pur Il ne donne aucun indice pour emprunter la voie qu il ouvre Par d faut nous pouvons d du
127. onner sur la base de dix crit res la meilleure quipe universitaire ayant r alis une maison individuelle aliment e exclusivement par l nergie solaire incident sur sa parcelle Dans la suite de ce document on consid re le contexte de la comp tition connu au lecteur En 2012 l ENSA Paris Malaquais a coordonn l quipe Astonyshine en partenariat avec l Universit de Ferrara le Polytechnique de Bari et l Ecole des Ponts ParisTech avec le support des minist res de la culture et de l environnement et de 18 industriels Plac en liste d attente de janvier 2010 mars 2012 Astonyshine a t r alis en moins de six mois et pr sent Madrid en septembre 2012 en obtenant la 17 me place Le co t consolid de l op ration inf rieur a 260 k tait tr s inf rieur celui de la plus part des quipes Le projet s est d roul sur trois semestres mais l ENSA Paris Malaquais n est intervenue avec deux studios de projet que dans les deux derniers semestres Apr s avoir pass leur premier semestre concevoir un habitat passif bas sur l nergie solaire et leur second semestre dessiner les plans d ex cutions et construire eux m me le prototype de la maison nomm e Asfonyshine le groupe de douze tudiants de l ENSAPM s est envol pour Madrid le 30 Aout 2012 Leur objectif tait de remonter l ensemble de la maison en 12 jours afin de rentrer dans la comp tition avec les 19 autres quipes de diff rent
128. ordre Illustration rapport du PHT semblant d finir le 30 30 avec le volume enveloppe qui le pr c de pourtant La dimension quantitative ne peut tre dissoci e de la dimension qualitative dans l apprentissage du projet Un enseignement par tape progressive permet de hi rarchiser une pens e projectuelle Ici le propos est de d montrer que le dessin articule physiquement ces outils apparemment distincts Le calcul par la mise en place d algorithmes qui font intervenir une relativit chiffr e est consid r comme un moyen d approche et de v rification d une pens e qui cherche r duire le doute par approximation Le travail de l architecte n est pas dans la substitution au travail de ing nieur mais dans sa compr hension Ceci afin de provoquer des dialogues orient s L architecte ne s en remet pas aveuglement au savoir de Ping nieur par incomp tence L ing nieur ne choisit pas la place de Parchitecte Il n y a pas un rapport de question r ponse dans l absolu simplement parce qu il y a projet donc cr ation La hi rarchie ne signifie pas Passervissement d une discipline l autre d une d cision l autre d une inf odation inf riorit sup riorit 3 Articulation des diff rents arguments de la d monstration Incidence de l hypoth se et de l usage sur les qualit s thermiques La prise en consid ration de l hypoth se et de l usage dans le raisonnement projectuel Le tra
129. ossiles rayonnement solaire nergie thermique terrestre consomm es pour la production des diff rents types d nergie consomm s lectricit chaleur 284 292 N guentropie Mesure du degr d organisation d ordre et d information dans syst me par opposition la tendance naturelle des syst mes au d sordre Pentropie Offre nerg tique Quantit d nergie disponible pour un territoire sous forme de solaire r cent directement accessible dans l espace du territoire Peut aussi comprendre pour certains territoires les nergies renouvelables non solaires g othermie profonde et nergie mar motrice Permanence nerg tique Pour un syst me territoire point d quilibre nerg tique atteint lors de l galit entre l offre nerg tique c est dire le solaire r cent et la demande nerg tique c est dire la consommation du syst me tudi Puissance Quantit d nergie par unit de temps G n ralement exprim e en Watt R gime permanent R gime nerg tique d un territoire en tat de permanence nerg tique qui consomme au plus l nergie disponible dans son offre de solaire r cent aucune ponction sur le stock n est donc r alis e R silience Capacit d un territoire s adapter aux changements de son environnement afin de garantir son fonctionnement et son d veloppement continu Sankey diagramme Diagramme de repr sentation de circulation et de
130. port Studies Unit Oxford University Centre for the Environment Working paper N 1026 September 2007 Lef vre B Long term energy consumptions of urban transportation A prospective simulation of transport land uses policies in Bangalore pour Benoit Lefevre PhD thesis defended in December 2007 Energy Policy 2008 doi 10 1016 j enpol 2008 10 036 Massot M H Korsu E Eynault C Lieux de travail lieux de r sidence figures de leur mise en coh rence et de leurs impacts sur les termes du d veloppement m tropolitain durable Territoire en mouvement num ro sp cial Mobilit Structuration et restructuration des espaces m tropolitains Lille 2006 Morcheoine A Transports de marchandises nergie environnement et effet de serre ADEME 2006 26 p Newman P Kenworthy J Cites and Automobile Dependence An International Sourcebook Brookfield Gower Publishing 1989 Newman P Kenworthy J Czt1es and Automobile Dependence An International Sourcebook Brookfield Gower Publishing 1989 Newman P Kenworthy J Urban Deszen to Reduce Automobile Dependence Opolis 2006 Opolis UC Riverside Newman P Kenworthy Sustainability and Cities Overcoming Automobile Dependence 1999 Washington D C Island Press Newman P Kenworthy J and Laube F 1999 An International Sourcebook of Automobile Dependence in Cities 1960 1990 Boulder University Press of Colorado Nicolas J P Mignot D Transport Environment Issues a
131. quipe Reforme Avril 2014 La cartographie de la demande nerg tique primaire ainsi cr e refl te les d coupages socio conomiques du territoire les centres villes se diff rencient nettement de leur couronne p ri urbaine et les lignes de partage des agglom rations entre zones riches et pauvres apparaissent par exemple pour la r gion parisienne avec une nette opposition entre Est et Ouest Il est probable que les diff rences entre les consommations r elles des m nages urbains et p ri urbains soient encore plus marqu es en r alit En effet la base de nos calculs utilise une tude nationale ne prenant en compte les besoins en transport que de mani re agr g e et donc potentiellement r affect s tous les m nages il serait n cessaire diff rencier parmi les m nages les types de transports utilis s voiture individuelle et transports en commun notamment Cette approche en nergie primaire qui prend donc en compte l nergie grise de tous les processus li s aux consommations des m nages permet n anmoins de cr er une cartographie de la demande relocalis e Si l nergie n tait exportable que sur de tr s courtes distances et que chaque territoire devait devenir autonome pour sa production d nergie et de biens la distribution des consommations en France aurait cet aspect avec des agglom rations tr s consommatrices malgr des centres syst matiquement en retrait Consommation nerg t
132. r le peut on op rer sur les d penses en nergie pour r aliser telle ambiance Cela oblige P tudiant identifier manipuler et articuler les param tres en jeu pour en saisir Pincidence sur le dessin du projet C est une tape majeure de l apprentissage dans ce domaine ou d en autres Certains param tres sont techniques e unit de passage comportement des mat riaux au feu surcharges D autres sont g om triques e proportions nombre d or modulor rythme des composantes physiques Ou d usage et de convenance sociales e r gle de Blondel travail tude un ou deux escaliers deux ou trois unit s fluidit des d placements corporels incorporation aux mobiliers stock actif ou passif surface de travail assise Scientifiques e dimensionnement capacit r sistance de mat riaux diff rents en situations particuli res report de charge trame porte faux suspension torsion flambement La complexit projectuelle est en partie relative l chelle trait e Pour simplifier on peut la fois traiter d un petit ou grand difice petit ou grand quipement un habitat un groupement un ensemble mais aussi de l chelle dessin e laquelle on va conclure l tude 1 500tme 1 200 11008 130 ss 1 L2 1 LA complexit est galement rep rable aux parametres qu on choisit de traiter l approfondissement consacr au param tre au nombre de param tres Elle vien
133. ra aussi tre associ diff rents p rim tres Concernant la prise en compte nerg tique des flux de mati re et la difficult de mod lisation de l amortissement de l nergie incorpor e ou nergie grise nous pourrons aussi choisir d omettre ces quantit s dans diff rentes applications pratiques 259 292 Augmentation de Pentropie Diminution de l exergie Le deuxi me principe suppose que la qualit de P nergie sortante diminu Nos pouvons donc traduire cette in galit de la fa on suivante k lin gt k out Augmentation de l anergie A contrario la d gradation de la qualit de l nergie se traduit par une augmentation de l anergie en sortie du syst me ou de l agent Ka lin lt Ku out Nous pouvons aussi constater que les carts d anergie et d exergie en entr e sortie seront identiques en valeur absolue du fait de la conservation de l nergie Celle ci peut aussi tre crite de la fa on suivante k Jin k in k out k out Traduction pour l agent Il y a lieu de distinguer le r le de source ou de puits de la variation du stock Dans le cas de figure o la quantit d exeroie du stock gure q 8 diminue cela signifie d s lors que le stock est un intrant On en d duit alors l in galit suivante e Am lt 0 e Am lt 0 e s 8 9 my Am 28 myt c lAk lA k Dans le cas contraire si le stock d exergie augmente alo
134. rmations possibles avec ces mat riaux conomie de moyens peuvent interagir pour alimenter la forme et Pusage du projet Nous vous demandons de cr er une architecture minimale un tonnean de Diog ne nerg tique Il s agit d un lieu de travail et de vie d une surface limit e 20m et ou 50m int rieur Vous vous int resserez ce seul l ment sans hypoth se quant sa multiplication potentielle 195 292 On devra pouvoir aussi y assurer les fonctions essentielles de vie se laver et cuisiner Ce fragment sera tudi parall lement dans dix environnements climatiques distincts qui seront impos s al atoirement chacun d entre vous Abu Dhabi UAE Agadir Maroc Asunci n Paraguay Beijing Chine Reykjavik Islande Caracas Venezuela Font Romeu France Fort McMurray Canada La Hague France 0 Lagos Nig ria EOR P DLR P R aA ES Dix villes dix climats dix modes de vie Votre travail sera articul en trois tapes Il sera d abord n cessaire d analyser le climat de votre site temp ratures maximales et moyennes humidit relative et pr cipitations clairement direct et diffus ensoleillement intensit et position direction et intensit du vent voire identification d v nements extr mes et de le comparer celui de Marne la Vall e sous la forme de tableaux croquis et d un cadran solaire adapt aux deux localisations Vous tacherez galement
135. rme ou une autre chelle P querre ou la parall le Illustration entre deux l ments au plus compliqu H ritiers des architectones de Kasimir Malevitch des compositions spatiales de Katarzyna Kobro et des constructions vides de Jorge Oteiza cf Illustrations 226 292 Rapport final Equipe Reforme d orientation de lumi re et de mesure sur une face d une part Et Pexpression du caract re distributif et de service sur l autre face d autre part dans un dessin d ensemble charg de l expression du statut de P difice Lustration 2 Les parall les et P querre le potentiel d paisseur et d orientation Ilustrations Construction vide Jorge Oteiza 1957 la biennale de Sao Paulo Br sil install St Sebastien Espagne 2002 Bo te vide avec grande ouverture 1958 M tal 46 X 45 X 39 cm Mus e Guggenheim Bilbao Leur minceur privil gie leur espacement leur paisseur virtuelle et le mouvement quand leurs ain s du mouvement constructiviste favorisaient la masse et la coh sion Monochromes vitant les caract res distinctifs ils pr sentent les caract ristiques d un vocabulaire abstrait pour un langage destin argumenter du rapport entre intentions et ordres sur la forme La couleur permettra d en codifier le rapport aux contextes programmatique urbain Le savoir d velopp reprendra les capacit s d organisation simultan e
136. rmet de le confronter d autres exigences L arborescence des possibles d un strict point de vue qualitatif accepte des interactions param tr es qui aident opter La notion attendue de projet n est pas celle d une exclusivit ou d un caprice mais d une construction qui s affirme et r sonne aux sollicitations du monde Le projet ni le projeteur n ont int r t la d fense l autisme et l immanence La dimension critique du projet dans le sens d une capacit tonjours renouvel e accepter des exigences a besoin d une r serve innombrable de possibles L ouverture garantit la faisabilit du projet dans toutes ses dimensions sociales conomiques Cette capacit rendre possible toute tape du projet rel ve de la comp tence projectuelle de l architecte 270 Au del de la distinction d une transparence litt rale et d une transparence ph nom nale dont l av nement la p riode des avant gardes est d crit par Robert Slutzky et Colin Rowe Article de 1963 in Perspecta vol 8 ed Yale school of architecture pp 45 54 Transparency literal and phenomenal devenue Transparence r elle et virtuelle dans la traduction fran aise des ditions du Demi cercle en 1992 Paris Comment la qualit thermique intervient elle comme notion projectuelle en architecture Le questionnement sur le rapport entre difice et architecture peut initialement tre neutre quel cont
137. rs la variation de stock est un sortant Nous en d duisons alors e Am gt 0 e Am gt 0 e S 8 9M 2e D my te Am 12k lk Synth se des lois de la thermodynamique Synth se Nous pouvons donc retenir dans les deux cas l in galit suivante e s g 9 m 20 D my te Am lk lk Expressions vectorielles els a a hy E c alm aa Et l information La quantit maximale d augmentation n guentropique de Pagent sera donc n cessairement l mx S g 9 M e Y My c Am lk lk 330 A v rifier 260 292 Quelques enseignements Probl me inverse 1 Dans le cas d un syst me 7 agents et si pour chaque agent nous connaissons Sa capacit de conversion du vecteur soleil Sa capacit de conversion du vecteur g othermie La variation de son stock nerg tique La valeur de sa dissipation nerg tique Que peut on alors en d duire sur la nature des changes entres les 7 agents Robustesse du r seau d agents nerg tiques De fait la matrice M comprend n termes l ments de E Les 7 termes diagonaux sont connus ils correspondent aux variations de stock nerg tique de chaque agent On en d duit que 2 1 termes sont inconnus et que chaque terme non diagonal comportent deux composantes Le jeu d galit pour la conservation d nergie entra ne n relation On en d duit que la dimension du sous espace vectoriel est donc 2 n _n
138. s comme rapport d chelles par Henri Ciriani et paisseur programmatique par Yves Lion la bande active 65 llustrations Un dessin d Yves Lion la bande active Une photographie du projet d Henri Ciriani la cour d angle 130 Logements Saint Denis 1978 82 263 Sous la direction de Michel R mon La Fa ade paisse Mise en vidence et exp rimentation d un theme architectural ditions du Plan Construction Paris 1980 106 p 264 130 logements La cour d angle Saint Denis 93 1978 82 Henri Ciriani architecte 265 Yves Lion 1987 Domus demain la bande active L Architecture d aujourd hui n 252 septembre p 16 20 avec Fran ois Leclercq et la collaboration d Olivier Chaslin 2 L objectif L objet de l architecture contemporaine est il de r aliser le printemps ternel et temp r l int rieur d un r frig rateur tanche l ext rieur on ressent le frais sous un arbre on ne transpire pas l ombre d un mur on prend le vent dans les espaces ouverts on se chauffe au soleil d une terrasse Et l int rieur dans l amphith itre d une cole climatiquement r glementaire on risque l touffement dans un volume claustrophobe L air se fait rare la peau ne respire plus la sensation de chaleur contredit la temp rature objective La d rive est patente Elle caract rise une r gression Dans un climat variable donn diurne nocturne et saisons l architecture
139. s participent de l impression de confort En particulier parce qu ils se rappellent nous m me d sagr ablement par variation des ressentis L architecture sophistiqu e est au contraire celle de l ternel printemps ou celle qui accueille simultan ment toutes les saisons aux endroits souhait s L hypoth se du caract re d fensif s oppose l hypoth se de la diversit des caract res Pour l arbre la mousse sur son tronc signe l orientation nord Que signe t elle sur le mur de la maison Comment rend on un mur moussu Le travail de Partiste Michel Blazy illustre la capacit de tol rance a la d composition la mutation a l acceptation des cycles vitaux Tout comme Marcel Duchamp le pr conisait il utilise des cycles nerg tiques mineurs peine provoqu pour qu un univers microscopique s av re se d veloppe et se meurt Duchamp renvoyait aux nergies vitales la production de larmes le pleur de sueur la transpiration et toutes les humeurs imaginables dont on ne fait rien et qui se perdent malgr leurs manifestations visibles donc artistiques et r p t es Le rapport entre air et temp rature se traduit par une convection Ce mouvement entraine une aspiration qui g n re des turbulences Le ph nom ne s tudie dans le d tail en soufflerie Il d pend videmment fortement du plan du secteur concern l approche des fa ades avec une double hauteur troite le ph nom ne e
140. s quatri mement de l tanch it par la loggia le mur rideau Le mur porteur appara t une synth se peu souple des diff rentes fonctions modernes de lenveloppe La crise p troli re de 1973 et les suivantes inciteront progressivement la d multiplication de la fa ade en diff rentes couches guid es par une r partition conomique et donc le r glementaire de ces fonctions L enveloppe appara t ainsi le filtre privil gi du monde cantonn sa dimension physique longitude latitude course solaire climat dans cette approche Ce monde g n reux et univoque statistiquement quantifiable ne permet pas d entretenir le besoin du projet en dialectique En l occurrence je ne reconnais que l absence de site volontaire cette phase d apprentissage a culturalise le travail projectuel En revanche cette absence autorise d aborder s rieusement les questionnements techniques et leur influence sociale conomiques et r glementaires Mais surtout la convergence entre une pens e non lin aire et des raisonnements reposant sur la maitrise de donn es complexes devient un objectif p dagogique majeur et accessible Nous consid rons la capacit de concevoir une enveloppe la lecture r versible simultan it du rapport int rieur ext rieur et ext rieur int rieur comme objet d un travail n cessitant une maturit de second cycle Les questions sp cifiques relevant de l apprentissage du projet
141. s tablissements dont PENSA Normandie 302 propos de cet exercice qu il a galement enseign Paris Belleville Simon Pallubicki d clare La figure des quatre logements occupe selon moi une place particuli re La figure constitue dans ce cas un regard analytique et r trospectif de P tudiant sur son propre travail tre capable de voir et d gager ce qui est essentiel Elle permet accessoirement l enseignant de mesurer le degr ma trise et la capacit de rationaliser le processus projectuel de l tudiant 228 292 Rapport final Equipe Reforme Dans cet exercice projectuel le programme est organis sut deux niveaux le sol et un niveau dont les contours sont d finir mais dont les limites sont fixes trente m tres par 30 m tres Le d ploiement de ce plan dans les fa ades le plan du sol et le plan de couverture font comprendre que les choix de p riph rie du plan libre ont une incidence sur les changes qu il entretient avec son milieu En particulier les changes lumineux guident le travail de construction de la spatialit au service de l usage Les changes thermiques en fonction de Porientation solaire et du climat en le de France pour cet exemple sont actuellement au c ur d une tude approfondie Les cons quences de la relation entre plan libre et enveloppe sur l nergie d ploy e dans tous les cycles li s P dification d un quipement influencent la d marche p d
142. s moyennes de revenu comprises entre le minimum et le maximum des valeurs de revenu de l tude mais sera a priori peu pr cis pour des points s loignant de cet intervalle Aux niveaux administratifs cantonal et d partemental nous disposons du revenu fiscal de r f rence des m nages pour passer au revenu disponible une loi de r gression lin aire est d termin e sur la base de donn es nationales puis appliqu e l chelle locale en supposant donc que les m canismes de redistribution et d imposition sont homog nes sur le territoire fran ais De plus nous ne disposons pas de la description de la distribution de revenus fiscaux compl te mais seulement des quantiles 1 9 de la moyenne et de l cart type de cette distribution Afin de construire un revenu moyen par quintile tel qu utilis dans l tude la connaissance de la distribution devrait tre compl te du revenu minimum au revenu maximum et pas seulement le centre de la distribution et tr s fine par pas de 1 environ au lieu de 10 pour pouvoir proc der par int gration 335 http www insee fr fr themes detail asp reg id 99 amp ref id base 336 http www insee fr fr themes document asp resg id 0 amp id 3658 280 292 Rapport final A partir d une hypothese forte de lin arit entre les niveaux des quantiles et de la connaissance de la moyenne et de l cart type de la distribution les valeurs de revenu maximum et minimum peuvent
143. s pays du monde La seconde moiti du mois de Septembre 2012 a t consacr e aux visites de professionnels et de particuliers Ces deux semaines furent aussi le temps pour les 9 jurys d valuer les performances architecturale nergique durabilit des maisons tout en valuant en permanence leur temp rature leur humidit leur qualit de Pair et leur luminosit 307 www astonyshine com 235 292 Rapport final Projet Astonyshine Dans cette section on pr sente d abord la strat gie de suivie vis vis des valuations pr vues dans la comp tition on d crit ensuite le projet du point de vue de la distribution des espaces et des fonctions des mat riaux de la structure et des syst mes constructifs Astonyshine vise l int gration de nouvelles technologies dans l architecture des maisons aliment es par l nergie solaire et la d finition de nouveaux concepts dans le projet d architecture qui soit appuy s par ces technologies avec le but ultime de la proposition de solutions innovantes et de l augmentation des performances des solutions traditionnelles La vision globale de la question nerg tique m ne la recherche d une construction impliquant la moindre anergle grise et donc r alis e avec un maximum de mat riaux biosourc s ayant subi un court cycle de transformation et pouvant tre recycl s ou r utilis s en l tat La minimisation de l nergie grise prime sur celle de la consommation a
144. s de raisons particuli res d tre nulle Nous d finirons la matrice transpos e de la fa on suivante Mi My Mk gt kIM titre dexemple les transferts entre deux agents peuvent notamment consister en Transfert de marchandises et donc d nergies incorpot es Transfert d organismes vivants y compris un transfert de population sur la p riode T D lectricit De carburants fossiles De chaleur ou de froid notamment via les r seaux thermiques D alimentation 320 Au sens de vecteur de l espace E 321 Ce point suppose d valuer l nergie incorpor e d organismes vivants dont l homme 256 292 Le vecteur stock Les termes diagonaux de la matrice M correspondent formellement a P change nerg tique de l agent sur lui m me Nous consid rerons qu il correspond un flux de stock Nous essaierons dans la suite d valuer l volution de ce stock au cours de la p riode T Par simplification et pour caract riser plus simplement l tat du stock nerg tique on crira Mi M On consid re que cette quantit correspond au stock d nergie accumul par Pagent amp cela constitue son stock de richesses une partie de ses actifs nerg tiques Notons enfin que sur la p riode T nous analyserons la variation de ce stock not Am EE Notons que le stock correspond Pensemble des actifs nerg tiques disponibles au sein de
145. s les ann es 80 partir du terme progettazione en italien qu on pourrait d crire comme la science du projeter acte de faire un projet 260 Michel Lussault professeur des Universit s en g ographie l ENS de Lyon L av nement du monde Essai sur l habitation humaine de la terre Le Seuil 2013 261 Villa Farnsworth Plano tat de Plllinois aux tats Unis 1951 Ludwig Mies van der Rohe Photographie Alain Dervieux vitr e du plan du sol celui du toit est continue sur quatre faces La limite de l espace int rieur n est donc pas la paroi transparente invisible quasi virtuelle mais la lisi re de la clairi re l int rieur de laquelle la villa est dispos e L automne Pinterruption des opacit s du plan du sol et celui du toit cadrent les troncs du bois qui bordent la clairi re le printemps la stratification de la lisi re en prend le relais Personne ne r sisterait la mise nu de la mar e Illustration photographique Ferdinand Dervieux Le Grand Verre de Marcel Duchamp La mari e mise nu par ses c libataires m me 1915 1923 Mus e de Philadelphie USA L obsc nit de la situation dans la for t de Plano a conduit Madame Farnsworth faire poser des rideaux qui lui vaudront un proc s de Parchitecte qu il perdra Faut il commenter ce r sultat Consid rons que l loignement de la for t rend indistinct aux yeux des animaux l intimit pourtant clair e de la vi
146. s opacit s La d couverte de ce potentiel n cessite une connaissance approfondie de la figure architecturale et de sa formalisation au cours du processus projectuel La figure dans l enseignement du projet architectural Contribution une th orie de la figure architecturale R f rences du terme Porigine le terme figure appartient au champ de la rh torique Dans l enseignement de l architecture la figure est une notion qui a longtemps t d di e l analyse Mais initialement la source du terme se trouve en rh torique Il y a une diff rence entre ce qui peut tre imagin et ce qui peut tre pens Cette distinction implique qu une figure repr sente une id e Ce concept comprend aussi une distinction entre la figure et le contenu La figure donne une approximation aussi fid le que possible d un contenu qui reste ineffable L efficacit des figures r side dans leur pouvoir de synth se Ils rassemblent et cristallisent une s rie d exp riences complexes qui sont diffuses et imperceptibles La figure est donc une condensation dont l effet imm diat est de sugg rer la richesse et la complexit de la r alit 2 2 Le choix de d crire un difice en tant qu unit sans en voquer l apparence la ressemblance le style au travers d un terme qui le d finisse de mani re unique est n cessaire pour l voquer en son absence La figure transcende alors la notion de type essentie
147. s sur la propension des cellules faire voluer le ratio de la r gion dans le sens de la strat gie choisie Il est possible de moduler ces scores pour faire prendre en compte l algorithme un facteur de forme Une cellule adjacente est alors galement valu e par rapport sa proximit avec toutes les autres cellules de la r gion et par son impact sur le moment d inertie de la r gion calcul d apr s la r partition spatiale de sa population Un compromis est trouver manuellement pour garantir des formes de r gions correctes tout en garantissant une certaine convergence des ratios q cmon Li 569000 06000 6000 56000 andadas 56000 56000 56000 569000 56000 59000 add a 1 56000 56000 La convergence du d coupage n est jamais atteinte chaque r gion ne voient pas les autres et s attribuent les cellules qui maximisent leur cart au ratio sans savoir si la transaction va en r alit d grader l cart type entre les ratios de mani re globale Une bonne convergence des ratios est elle atteinte p riodiquement comme le montre l volution du rapport pr sent e ci dessous pour 2 et 5 r gions Certaines transactions ont un effet tellement important sur le ratio des r gions pour les cellules de la r gion parisienne par exemple que certains groupes de cellules sont syst matiquement rattach s puis rel ch s Les r gions peuvent galement se couper en deux et prendre des formes
148. secondaire et celle qui reste d finir spatialement une int riorit en devenir La maquette qui en r sulte est facile faire et presque autant in valider Les d fauts des d cisions figur es comme dialogue avec le programme et avec le site apparaissent tr s vite Et la balance entre elles s tablit sur l vidence ou la difficult d une hi rarchie qui ressort de sa lecture Suspendre la question de la nature spatiale de P paisseur oblige de la figurer autrement en perspective notamment La d marche d enseignement s appuie sur la capacit de certains outils de repr sentation acc der des questionnements projectuels et d en r v ler leur limite La dynamique du projet nait de Pusage gourmand d un instrument conduisant Pinaccomplissement et dont le d passement ne peut se faire que par l interm diaire d un d placement du questionnement donc un changement d instrument Manipuler la figure De simples rectangles de papier rigides perpendiculaires ou parall les verticaux ou horizontaux articul s ou mis en tension sut leur grand ou petit c t suffisent d crire une infinit de dispositifs qui vont du plus l mentaire 27 D crites en particulier d s Interfolio 2 ou dans la recherche 30 metres par 30 m tres un enseignement moderne du projet moderne gt 5 gt A Dervieux O Gahinet recherche BRA 1999 gt gt gt 298 Dans le sens de Papprofondissement sous une autre fo
149. sens comptable 327 A l instar d une balance commerciale 326 Ou une partie des charges nerg tiques au sens comptable 328 A v rifier 258 292 Produits nerg tiques Par analogie comptable l ensemble des intrants nerg tiques susceptibles d augmenter le r sultat nerg tique d un agent est nomm produit nerg tique Il est donc d finit par 5 6 u Charges nerg tiques Par analogie comptable Pensemble des sortants nerg tiques susceptibles de diminuer le r sultat nerg tique d un agent est nomm charge nerg tique Il est donc d finit par je MI1 Bilan produits et charges Nous en d duisons que la conservation de l nergie peut alors s crire de la fa on suivante E AM Ep c Conservation de P nergie Emissions fatales d nergie par acteur C vecteur consommation Energie recue en surface par acteur C vecteur ciel Stock nerg tique cumul de acteur C richesse Energie re ue en sous face par acteur C vecteur sous sol Pour Pagent la variation de son stock nerg tique correspond a P cart entre la somme des flux entrants projet s sur l axe nerg tique et la somme des flux sortants E Am El Sy T My Y My Cr l k Esa De fa on vectorielle la conservation de l nergie s crit donc E aM Els G u m 0 322 Nota important cette quation de bilan pour
150. st amplifi L orientation de la fa ade est ouest sud participe au d clenchement du ph nom ne en fonction des changes thermiques et en particulier du r le du soleil nombre d heures d ensoleillement variation de son action en intensit en fonction de son inclinaison Des parois perpendiculaires la fa ade aident conduire Pair et servent acc l rer le mouvement Au contraire une simple hauteur minimise la convection verticale et interdit la convection oblique en direction de la surface du plan sup rieur Du simple tissu m di val la p riph rie massive et porteuse en passant par le mur rideau la diff renciation entre enveloppe et fa ade est une longue histoire alternative clair e par la contribution majeure de Gottfried Semper ou plus r cemment encore de Richard Scoffier 22 Projet d int rieur aux insectes Les fontaines de la bonne volont centre d art du Crestet 26 2008 Michel Blazy 280 Duchamp du signe d Flammarion Paris 1975 281 Pavillon de Parsenal Universit populaire O va Parchitectute Cours n 2 11 f vrier 2012 http www pavillon arsenal com videosenligne collection 29 376 php 282 Du style et de Parchitecture crits 1834 1869 Marseille d Parentheses 2007 Gottfried Semper gt gt P Le changement d chelle accompagne la traduction dessin e des questions entre enveloppe et thermique quel objectif p dagogique concourons
151. strative partir du d coupage actuel chaque r gion d termine une liste de d partements voisins potentiellement rattachables Ces listes sont agr g es en une liste l chelle de la France puis chaque transaction entre les diff rentes r gions est valu e par sa capacit r duire une mesure de l cart entre les ratios ici la moyenne des diff rences qui donne une meilleure convergence observ e que le rapport max min ou l cart type Cette mesure prend ensuite la forme d un score partir duquel la meilleure transaction possible est s lectionn e sur le mod le de l algorithme glouton Les transactions r sultant en une r gion compos e de d partements non adjacents retrait de l H rault au Languedoc Roussillon par exemple sont filtr es et rendues impossibles Il est possible de moduler le score plus ou moins par une mesure du degr d adjacence du d partement candidat un d partement n ayant qu un voisin dans la r gion serait de degr 1 ayant deux voisins dans la r gion serait de degr 2 Il est galement possible de limiter la taille des r gions ou de leur donner une taille minimum Ces ajouts permettent de privil gier des formes de r gion compactes et proportionn es mais se font au d triment de la performance Par it ration les carts entre les ratios tendent alors diminuer et permettent une s lection de d coupages optimis s Une convergence rapide est observ e avec un r
152. struction Quelques propri t s particuli res Notons que ye Va e lt E e ye e va e lt Ele Cela correspond au fait que la distance de Manhattan est plus grande que la norme euclidienne traditionnelle Notons aussi que la quantit EE E e E e sera d autant plus petite que les qualit s nerg tiques des deux vecteurs seront diff rentes 312 Voir en annexe Projections anergique et exergique D finition A Pinstar du corps des nombres complexes o les formes lin aires Re et Im permettent la projection des composantes nous d finissons ci apr s les analogons sur E On d finira les applications a et e de la fa on suivante qui op rent E R Er ate a e 1 0 a E gt e a e 0 1 e Propri t s des projections On notera que ces deux applications sont lin aires l instar d un produit scalaire On notera aussi les propri t s suivantes ate S Ele ele lt Ele Notons galement que Ele a e Q a e 313 Re z partie r elle du nombre complexe g 314 Im partie imaginaire du nombre complexe 2 249 292 Premiers exemples La chaleur dans E A titre d exemple pour une quantit de chaleur O de temp rature T changeant avec un milieu de temp rature Tp nous aurons alors ON To T E P J E ls E Q T T 2 T T Nous v rifions bien que E e om of1 7 Q E T T T T D 0 le ta El oo 3 Q La composante exerg
153. t invit participer au partenariat Le r sultat de cette collaboration est une construction modulaire transportable par l ments de dimension maximale de sorte r duire les temps d assemblage en chantier et maximiser les op rations de pr fabrication et pr paration en usine La pierre de taille plusieurs propri t s positives pour la construction La premi re est la ventilation naturelle g n r e par sa perm abilit sup rieure de deux ordres de grandeurs de celle du b ton qui vite les risques qui d rivent de l tanch it des enveloppes La seconde propri t est sa bonne qualit en climat chaud l inertie thermique apport e par la masse de la pierre permet au b timent d exploiter le d calage des temp ratures internes par rapport aux externes ce qui est int ressant o des fluctuations thermiques se produisent quotidiennement nuit fraiches et journ es chaudes De plus la pierre permet de r gulariser l humidit de l air et r duit la temp rature ressentie avec un effet de parois froide utile en t et facilement contr lable en hiver par superposition de tapisseries Le troisi me effet positif qui peut tre obtenu par l emploi massif de la pierre est la r duction de l effet de montagne solaire Par rapport d autres mat riaux de rev tement la pierre a une couleur plus stable et souvent claire ce qui permet de r duire l alb do maximis par exemple par une surface asphalt e et r du
154. t immobilisme spatial est un immobilisme temporel une recherche de P ternit quelle gageure immodeste ou qu elle impudence que de s opposer au mouvement universel et donc l un des postulats de Parchitecture la gravit Paradoxalement si le mouvement s arr te tout tombe et entre en mouvement La recherche d une architecture d apesanteur est par contre d actualit Les figures de P tanch it ch re Jean Marc Weil s y radicalisent Leurs r f rences s tendent plus facilement des travaux du mouvement De Stijl Frederick Kiesler partir de City of space 1925 aux informations d duites par Camille Flammarion La Pluralit des mondes habit s tude o l on expose les conditions d habitabilit des terres c lestes discut es au point de vue de l astronomie de la physiologie et de la philosophie naturelle dition Didier Paris 1877 267 Et non plus seulement occidental 216 292 Rapport final Equipe Reforme programmatique spatialis e Le profit p dagogique se portera sur l tude des variables qui influent sur P change de donn es entre ext rieur et int rieur L objectif est d associer les outils p dagogiques exp riment s aux outils d une r flexion En Poccurrence le plan libre est ici consid r comme l ment garantissant Punit la coh rence et la qualit spatiale relative aux usages d duits du programme associ aux changes lumineux thermiques et visuels dans cet
155. t l obstacle qui barre la continuit des jeux au soleil le pont qui d coiffe au dessus du torrent en sont les pendants d sagr ables L art du projet d architecture et de paysage en rel ve le d fi quelles situations ces cas correspondent ils en int rieur Quel int r t y a t il produire des variations microclimatiques Quels sont les nouveaux param tres qui influent sur le couple central en p dagogie le rapport conomie entre qualit quantit La condition en est la maitrise des mouvements de Pair L air chaud agit de turbulences est soumis aux effets de convection Par similitude le comportement de l eau gravitaire dans son tat liquide du ruissellement la flaque pourrait tre domestiqu e La limitation de l entr e d eau sans l interdire serait une mesure pragmatique r appr cier architecturalement Sans aller jusqu la question d accueillir la neige dans un b timent faire un b timent accueillant pour la neige montre la dimension programmatique et simultan ment po tique d un l ment La dimension po tique de la neige par exemple est essentielle et ne rel ve pas simplement de sa convocation dans la maitrise de Part de construire Doit elle en devenir Paxe principal de motivation du projet Pas plus qu un autre il me semble mais pas moins On peut convenir qu il soit l gitime pour r pondre un besoin d quipement touristique d difier en haute montagne
156. t ensuite de l articulation des param tres et leur hi rarchie au profit de la compl tude du projet et de l id e qu on s autorise en avoir dans le cadre de 5 ans d tudes d une discipline dans l enseignement sup rieur public contemporain fran ais Le choix d un enseignement r ductionniste ne s oppose pas celui de la complexit et de l h t rog n it mais tient en mesurer les limites C est dire que les limites sont diff rentes selon les param tres Ce qui signifie aussi que selon les enseignements donc les semestres les incursions en direction des limites peuvent tre diff rentes voire ordonn es La progression est alors l enjeu du positionnement des diff rents projets semestriels entre eux 2propos s aux tudiants 211 Id alement les intensifs workshops semestres d t pourraient habilement compl ter ce dispositif au profit de Ph t rog n it des l ves et de leurs parcours 272 Soient six sur un cycle de 3 ans y compris la d couverte de la discipline sp cifi e par sa fabrica 218 292 Rapport final Equipe Reforme Formuler une hypoth se pour se fixer une ligne de conduite la fois personnelle et rigoureuse gagne se d duire d une critique de sympt mes contemporains Nous tiendrons compte du d calage entre le temps de formation universitaire cinq ans ADE Erasmus universitaire et professionnelle un an Hmonp puis professionnelle et
157. t projetant au d triment de la dimension urbaine Le caract re public du programme une biblioth que nous autorise cette impasse La recherche de caract res d une urbanit int rieure guide en effet l articulation entre enveloppe et spatialit au service de l usage par le plan libre Le rapport de l difice au monde est provisoirement d pr ci Le studio du semestre suivant cl turant le premier cycle est l occasion de rejoindre un degr de complexit qui n ignore pas l alt rit urbaine L architecture anticipe une relation du corps au territoire et transgresse les chelles 251 La r alisation d une baie dans le studio de 6 semestre de licence 4 fois 1 galent 5 252 L invariabilit du semestre nous oriente syst matiquement sur la nature d un contenu maximum maximis maximaliste et sa limite 209 292 Rapport final Equipe Reforme un studio tr s dense en investissement hebdomadaire La performance du 30 30oscope Bilan et prospective Le 3030oscope est outil professionnel r alis par Paul Azzopardi de la soci t EGIS Il impose le respect aux tudiants qui initialement sont rest s timides en tester la version B ta Ces r serves sont compr hensibles au regard d un travail consid r comme suppl mentaire dans Les premi res questions relatives lint gration de cet outil dans le studio d pendent de son apparente h t rog n it L outil est complexe puisqu i
158. t rendement moyen 4 4 Autres 5 de la toiture et rendement moyen 4 4 Fraction non productive gt 20 de la toiture 4 Rendement moyen gt W m Cons quences projet Cas 1 je choisis mon autonomie Autonomie vis e Nombre de niveaux max gt niveaux Densit max gt 567 hab ha Cas 2 je choisis ma hauteur 5 Nombre de niveau moyen 2 niveaux Densit 444 hab ha gt Autonomie maximale gt asl 201 292 La modernit apr s Introduction Enseigner meux le projet d architecture O situer l am lioration p dagogique dans l enseignement de Parchitecture aujourd hui Dans son ouvrage L architecture moderne Alain Colquh oun situe la fin de la modernit en 1965 Bernard Huet dans sa derni re conf rence Belleville le 7 juin 2001 date et situe la fin la p riode moderne d s l inauguration du couvent de La Tourette en 1953 Jean Patrick Fortin la datait au jour du premier choc p trolier en 1973 La fin d une nergie abondante et bon march usage occidental et sans conscience collective mondiale incidence climatique pollution finitude des ressources aurait sonn le glas de la p riode moderne Nous sommes en 2014 40 ann es de postmodernisme architectural se seront traduites en r alit par l av nement de l enseignement de Parchitecture par le projet selon des modalit s aux fondements sp cifiques Pour l volution de cet enseignement le recul critique du
159. te en cinq ans dans le cadre d un studio d architecture dont la projetation2 est le d terminant majeur Quels l ments de convergence peut on instruire p dagogiquement dans la d marche de conception se traduisant par le dessin entre la qualit d un espace d usage et la quantit d nergie n cessaire sa mise en uvre SR he te ns sA te Illustration Projet du palais des congr s de Strasbourg Le Corbusier 1962 64 fondationlecorbusier fr 1 Principe La question de la projetation de l espace contemporain repose sur la pr supposition p dagogique d un espace ininterrompu entre int rieur intime et ext rieur public du meuble au paysage Le postulat est qu il n y a pas de discontinuit entre la poign e de tiroir et le sommet de la montagne L homme les pratique il les relie ind pendamment des diff rences d chelle par le mouvement de son corps une chor graphie individuelle et collective au del des n cessit s fonctionnalistes Dans ce domaine les travaux de Michel Lussault 2 nous renseignent et nous confortent sur la contemporan it de notre action Dans l histoire de Parchitecture le paroxysme de la situation est atteint en architecture par le projet de la villa Farnsworth qui ne poss de aucune opacit en fa ade Ce qui quivaut d crire une villa d un seul niveau dont la structure est ext rioris e et o l enveloppe int gralement 252 N ologisme form dan
160. tecture post carbone A partir de la carte des usages vous d velopperez une r flexion technique sur les m thodes possibles de captation de nergie solaire comprenant les potentiels directs ou indirects comme l olien ou l hydraulique depuis votre difice et pour certains sites de la g othermie En fonction du contexte urbain et selon votre choix vous statuerez alors sur une hypoth se d autonomie nerg tique Vous serez alors en mesure d valuer la hauteur quivalente en appliquant la relation propos e ci haut Vous entamerez alors une r flexion morphologique pour l insertion de votre difice dans un contexte que vous aurez d fini et de l tude de site que vous aurez effectu e Seconde partie forme et mati re La seconde partie d laboration du projet consistera d s lors d velopper des strat gies constructives permettant d optimiser le co t nerg tique de votre construction et de ses sous parties du point de vue de sa mat rialit et de sa mise en uvre Pour chaque strat gie vous testerez les r percussions sur votre premi re estimation du sixi me poste de consommation individuelle savoir nergie grise de votre difice Cette valeur sera divis e par la dur e de vie que vous estimerez selon la nature des mat riaux employ s et de votre choix de mise en uvre Cette valeur sera alors divis e par le nombre d habitants Vous pourrez alors valuer la dette constructive de
161. territoires Afin d affiner nos r sultats nous proposons d valuer la demande sur la base d une tude Nouvelles repr sentations de l nergie Cahier du Club d Ing nierie Prospective et Environnement qui lie niveau de revenu des m nages diff renci par quintile et consommation nerg tique en faisant l hypoth se que cette consommation n a pas volu par rapport aux donn es de base de l tude En croisant les donn es de recensement de l INSEE avec les r sultats de cette tude nous obtenons une consommation nerg tique des cantons et des d partements L tude du CLIP cit e lie les niveaux de revenu la consommation d nergie primaire des m nages diff renci e par quintile de revenu disponible Afin de pouvoir effectuer une projection de ces r sultats de nombreuses hypoth ses et approximations sont effectu es les r sultats tant interpr ter comme des ordres de grandeur C rd 198 In rd 1722 R 0 994 504 9 504 397 r y 397 339 a e 339 272 e 272 200 200 Q1 Q2 Q3 Q4 Q5 0 50000 100000 a nn EA Divan ass a a D D ie Lans ham adirar tada Consommation d energle primaire Dal jout Cl pal menage pal quintile IZL a sadala 1 sao bh D monano in a ae revenu disponi ble en euros RW D menage jour 1 4 Le Nous ne disposons que de 5 points pour effectuer la r gression entre revenu et consommation nerg tique le mod le sera donc assez performant pour des valeur
162. tion quilibr es ooccoo 212 Cartographie de la demande nerg tique 280 OS ee eee ae ec 283 leo lite eo cito Die o Apo a a ce 286 5 292 Ils relatent les liens troits que le projet Reforme a entretenu avec e La mise en place et la premi re promotion 2013 2014 i du DPEA Architecture Post Carbone PENSAVT Cas pratiques p dagogiques e Les questionnements et les volutions p dagogiques de la modernit enseign e l ENSAPB et notamment le projet du 30 30 e Les r flexions constructives et architecturales dans le cadre des participations au Solar Decathlon avec PENSAPM 193 292 DPEA Architecture Post Carbone La construction m me durable de nos villes et de nos b timents pr suppose beaucoup d hypotheses la permanence de la croissance l abondance garantie d nergie bon march la substitution ais e des nergies fossiles par des nergies renouvelables la r solution des probl mes sociaux par des constructions nouvelles la p rennit de nos styles de vie la continuit de nos syst mes politiques et conomiques Les cons quences physiques et humaines qui d coulent des profondes transformations environnementales en cours imposent elles seules de r envisager la facon dont nous faisons l architecture et la ville Dennis Meadows Preparing Cities for the Age of Declining Oth Conf rence inaugurale du programme lens Mutat Res novembre 2
163. tion de dispositifs de stoks et d offre La mise en place de repr sentations novatrices au cours de l laboration du projet diagrammes de Sankey plans de r colte Projet Cobaye Enonc du sujet L exercice a pour objet la d finition d une architecture de petite dimension modeste mais pr cise mise en forme sp cifiquement pour une combinaison unique de lieu et d usage Elle pourra tre nouvelle ou au contraire se greffer sur une construction existante Elle permettra alors d am liorer de modifier voire de d tourner l usage de l architecture initiale Greffe ou nouvel organisme ce petit projet reste le pr texte l invention concr te d une organisation mat rielle compl tement aboutie et d assemblages r fl chis et r solus Cette organisation mat rielle et concr te aura ici pour objectif au del des vertus classiques et incontournable de l architecture de r duire radicalement l empreinte nerg tique du projet On s int ressera autant la consommation nerg tique n cessaire l tablissement d un endoclimat favorable au sein d un exoclimat sp cifique qu au contenu nerg tique des mat riaux et produits mis en uvre L exercice permettra donc d imaginer puis de dessiner et enfin de valider num riquement comment m diation climatique frugalit nerg tique et n cessit s physiques de la construction propri t s physiques des mat riaux gammes des op rations et transfo
164. tions planaires dues l inscription durable de traces de projet ou programmatiques en r ponse une maitrise d ouvrage et paysag res sur les modifications induites par une mat rialit vivante au profit de vivants manifeste la complexit du projet versaillais Michel Corajoud pr sume dans cette recherche que la science projectuelle de Len tre engage de notre part des investigations sur la coupe autant que sur le plan Non pour confirmer un travail illusionniste d une g om trie optique d voy e mais pour acc der la coh rence d une strat gie territoriale spatiale et artistique de laquelle d duire un processus enseignable pour la formation d un paysagiste de projet La grille favorise une expression abstraite par abscisse et ordonn e ind pendante du territoire o elle se d veloppe Globalisante tout point lui appartient par multiplication ou division de son pas Au contraire l origine d un syst me qui se d veloppe vers l infiniment grand ou Pinfiniment petit procede d un choix qui rel ve d un fort d terminisme subjectif Ce point d ancrage n a pas d quivalence lors de emploi du d coupage en extr me et moyenne raison remarqu par Euclide Quand Le Corbusier se propose de travailler sur un plan carr de plus de 20 m tres de c t il se diff rencie de Palladio en vitant la centralit du carr le renforcement des m dianes et leur sym trie Le d placement oblique de l esp
165. tre approxim es mais ne sont pas utilisables le revenu minimum tant syst matiquement n gatif Nous choisissons donc de fixer le revenu minimum une valeur arbitraire 50 de la valeur du Q1 puis de fixer la valeur du revenu maximum pour respecter uniquement la moyenne de la distribution 0 Quantiles de Revenu Disponible INSEE I e Projections Q0 Q10 Hyp Lineure 0 50 100 300000 Revenu Fscal t t Revenu Dispomble b t i 200000 100000 D _ _ _ _ _ _ 0 05 100 Hypoth ses et projections sur la distribution du revenu fiscal du canton ville de Paris en Euros et passage du revenu fiscal au revenu disponible Equipe Reforme Le revenu moyen est ensuite calcul pour les cinq quantiles pour chaque canton et inject dans la loi de consommation d duite de l tude du CLIP pour d duire les consommations nerg tique de chacun des quantiles pour chaque canton au niveau national 601 418 536 T l 134 Qi Q QI CH Qi Consommation d nergie primaire par jour et par m nage par quintile de revenu disponible en euros pour le canton ville de Paris RWhb menage jour valeurs de l tude du CLIP en gris Commune Prervete LWT merrer lots NA w Yii y0 AMI it Wii Consommation nerg tique primaire moyenne par jour par m nage RWh menage jour 281 292 Rapport final Ignis Mutat Res Session 1 E
166. u 3030oscope Version 1 200 me Au 1 200tme les informations essentielles concernant le rapport entre le plan libre et P nergie d pendent de la figure du plan Un r pertoire des figures ult rieurement d velopp es classe les familles de r ponses formelles a cette tape du travail Les grandes entit s programmatiques secteur adulte secteur enfant secteur num rique administration salle polyvalente hall en r ponse aux quatre points pr cit s La figure du plan libre d termine Pensoleillement potentiel du PHO et du PH1 en fonction des surfaces offertes et recouvertes selon la coutse du soleil La qualit de r ception lumineuse n est pas d pendante de l enveloppe il n y en a pas encore mais de Porientation solaire des arr ts majeurs du PH1 La quantit significative mesurer ici par le 3030oscope 200me est celle de la surface de PHO et de PH1 clair e par le soleil en fonction de la dur e d insolation Au del du potentiel de luminosit servir le programme cette quantit repr sente le potentiel d nergie devant tre contr l e au profit du confort recherch Jusqu pr sent le bin me hypoth se programme guidait la recherche d une spatialit a la lumi re juste et volontaire La mise en maquette sous la lumi re r v le la dimension strat gique d une masse nerg tique r sultante de Pinstallation topologique du programme Au del du pr texte d clairement dont le contr le est pr m
167. ue d coupage effectu tant valu par l cart type des ratios et les it rations devant minimiser le coefficient de variation de la distribution des ratios des r gions Le syst me converge vers un quilibre possible des d coupages rapidement en environ 50 it rations On observe cependant de nombreux d coupages quivalents en termes de coefficients de variation aux formes diff rentes o p 100 T3 350 23 0 50 100 150 200 G n rations nm ES y ba J A r gt latna invnio rado OSNIIAACO N HUC DI L 07770 GES ACCOUDPALES OVLENAS DOUN COC 277 292 L algorithme tend quilibrer les ratios mais se bloque syst matiquement lorsque deux r gions fortement peupl es qui doivent s tendre pour am liorer leur situation rentrent en contact typiquement le Nord Pas de Calais et l le de France On observe galement des d coupages tr s tranch s aux formes tr s droites passant parfois par les centres des agglom rations parisienne notamment Afin de d bloquer l algorithme la possibilit de d placer les points servant calculer le diagramme de Vorono a t impl ment e les r gions peuvent s tendre ou se replier mais aussi se d placer sur le territoire fran ais Un degr de libert suppl mentaire a t galement donn au syst me au niveau du nombre N de r gions partir desquelles faire progresser l algorithme Optimisation Admini
168. uest ainsi articul es opaque et vitr conduisent l entr e situ sur la face Sud 206 292 Rapport final Equipe Reforme L interpr tation de l enveloppe per ue depuis l int rieur en maquette ou perspective est conditionn e exclusivement par les effets qu elle produit en sens unique C est la cons quence d un enseignement r ductionniste D un point de vue exp rimental la mesure de Pinteraction d un corps tranger dans un milieu pr existant est videmment passionnante et explique Pusage que font les architectes de l Histoire de l architecture quand ils la soumettent l analyse architecturale La fa ade ne participe pas d un dialogue avec le site il n y en a pas mais d un monologue entre un difice et son milieu Le terme de r duction est p dagogiquement revendiqu Le r ductionnisme sert ici a qualifier le plus pr cis ment possible un rapport mono orient situ au milieu d un apprentissage de l architecture par le projet Il permet de se concentrer sur les donn es solaires lumineuses climatiques de la r gion Ile de France Il est pr vu d exp rimenter le studio partir des donn es li es aux origines des tudiants Erasmus et en transfert Espace Structure Enveloppe Ces trois axes de lecture des projets sont ceux que nous retenons pour laborer l exercice projectuel du studio 30 30 la maison du livre Cette triangulation fruit d une volution r cente
169. universitaire deux ans DSA trois ans doctorat professionnelle trois cinq ans pour le suivi d un projet de a z et enfin de l exercice en nom propre pour reconna tre au travail p dagogique la n cessit d tre prospectif L cole ne r pond pas aux conditions contemporaines d exercice mais pr pare par anticipation si possible celle du futur de la profession Tenant compte que la machination industrielle et r glementaire gagne souvent en complexit avec le temps une hypoth se disciplinaire p renne par essence est gage de s r nit et d autonomie pour Parchitecte Comment le projet peut il rendre compatible qualit s thermiques et unit architecturale Par thique p dagogique nous formulons la n cessit d une acceptation de la diversit qui nourrit la richesse de nos rapports au monde Diversit des usages des personnes des pratiques de fabrication des conomies des milieux et par cons quent des climats La recherche d une architecture microclimatique n est pas nouvelle Elle r sout pourtant la rupture des climats int rieur ext rieur issue d une application radicale et simpliste d un d sir mais est il exprim m me par d faut d un dedans toujours constant et prot g d un dehors toujours variable et agressif Le zoning la s paration des fonctions ont d j t comment s quant leur cons quence sur des architectures monofonctionnelles cit s dortoirs
170. ux le plan mat riel en instance de d finition du premier niveau sert r partir la programmation en surface comme en sous face et d velopper une pr sence physique la gravit contr l e ainsi qu un d ploiement de l enveloppe charg de contr ler les changes avec le milieu o il se trouve Les r actions en chaine ne sont pas hi rarchis es priori L usage guide le dessin de l espace qui guide celui du plan qui guide la r partition des efforts physiques qui guide le dessin de l int riorit et ses limites Mais cet ordre logique est celui de la d composition de l apprentissage L interaction des l ments montre qu une pens e hi rarchis e est n cessaire pour penser la complexit du projet mais que les l ments qui y participent sont interactifs et non hi rarchis s dans leurs valeurs La d marche peut d biter un endroit quelconque mais sa progression n cessite le recours des synth ses partielles Dans Pobjectif d une am lioration p dagogique plusieurs hypoth ses peuvent tre faites selon le semestre pendant lequel la relation de l nergie au projet est pos e Dans l exercice de projet L3 S5 le 30 30 z existerait une relation directe entre changes thermiques quantitatifs nergie capt e restitu e lumi re apport nerg tique et projet qualitatif de l espace par le dessin contour et incidences d usage et de structure du plan libre De mani re compl mentaire dans Pexerc
171. vail de la recherche du plan libre n ob it pas des r gles de composition L introduction d une hypoth se comme source de travail qu on interroge avant de prendre une d cision apporte une dimension impr visible donc originale mais rationnellement trait e La rationalit en question rend visible dans une arborescence de situations le choix conscient de celle plus l mentaire qui convient le mieux a l nonc pos C est Pusage comme capacit de comportements citoyens conformes l int r t public le programme une biblioth que est celui d un quipement public qui fixe les crit res acceptables pour mesurer l efficacit du projet sur l espace L hypoth se est un rep re de sens elle ordonne le projet dans un sens elle donne du sens l architecture qui y en r pond Cependant la dimension programmatique bien qu essentielle reste sommairement trait e et volontairement limit e pour une approche raisonn e La programmation renvoie principalement l exp rience spatiale de l tudiant et aucun programmiste ne vient proposer cette tape des tudes d architecture l apport d une complexit d taill e qui influeraient jusqu la contradiction la constitution des espaces Un organigramme hi rarchis permet d identifier les articulations programmatiques Cela constitue par cons quent une base qui s essouffle vite pour permettre d affuter une r ponse spatiale qui va au del
172. valorisation nerg tique issue du sous sol profond et notamment du flux r manent de chaleur issue de la d composition de fission atomique au sein du c ur terrestre Dans un formalisme analogue au pr c dent nous d signerons alors le flux du produit nerg tique issu du sous sol pour Paire tudi e A de la fa on suivante K G 8 a g xe g Nous noterons le gisement incident issu du sous sol de la fa on suivante En premi re approche nous consid rons l galit suivante exprim e en W m 51 9 1 1G 60 10 pea 100 100 Le taux de transformation de l anergie incidente aupr s de Pagent pourra notamment tre valu de la fa on suivante k G G aa 318 Pour ground ou g othermie 312 Pour une valeur moyenne de la chaleur d origine interne gale 0 06 W m La matrice richesse change Pour la m me p riode temporelle T on d finit le transfert d nergie de Pagent vers l agent par M Ai y io Avec m eEm e La matrice d change s crit alors de la fa on suivante Mi Mi Mn M Ma My Mi M n ES M ak M pn Transpos e en notation bra ket le transfert d nergie de Pagent amp vers Pagent s crira donc Lia T y k mii Notons aussi que de fa on g n rale la matrice M n a pas en g n ral de propri t s particuli res de sym trie tant donn que la balance nerg tique entre deux agents et n a pa
173. votre difice en W par habitant Cette valuation sera galement un instrument d arbitrage de design de ou des enveloppes de votre difice faut il s attacher par exemple optimiser la r duction de la demande de chaleur pour le chauffage si le surcout nerg tique d une enveloppe sophistiqu e est plus lourd Vous pourrez alors sp cialiser votre projet dans des dualit s du type lourd l ger high tech low tech naturel synth tique Cette question sera aussi directement relative vos choix structurels et la nature des sch mas statiques que vous aurez d finie Vous int grerez galement une premi re approche des co ts nerg tiques pour les technologies solaires ou de production renouvelable que vous aurez d cid d installer Enfin vous devrez galement questionner la question des stockages nerg tiques l chelle de l difice et ce afin de pr figurer une ad quation entre offre nerg tique votre mix renouvelable int gr dans l difice et demande nerg tique les courbes de charge des diff rentes consommations nerg tiques 199 292 Rapport final Equipe Reforme R gles et sites Pour ce projet 2000 personnes 2000W vous serez en quipe de deux Les cinq situations g ographiques seront les suivantes E Ulan Bathor Mongolie 2 F s Maroc 3 Neuch tel ou Marne la Vall e Suisse 4 Mexico Mexique gt Tokyo Japon Phase 1 1 Recherche et a
174. xergie vers Panergie au cours du temps Les radiales de proportion relative entre exergie et anergie Le premier principe suppose de se d placer sur une droite iso nergie tandis que la fl che du temps suppose un d placement descendant 251 292 Alg bre de la g onergie L espace T Notation bra khet La notation bra kef a t introduite par Paul Dirac pour faciliter l criture des quations de la m canique quantique mais aussi pour souligner l aspect vectoriel de l objet repr sentant un tat quantique Le nom provient d un jeu de mots avec le terme anglais bracket qui signifie crochet de parenth se en l occurrence et respectivement appel s bra et ket un peu l image de b bord et de tribord Cette notation est depuis reprise dans l tude math matique de Palg bre des op rateurs dont le champ d application est plus large Vecteur en notation ket Au sein d une partition de 7 agents nous repr senterons un tat du syst me par ces diff rentes composantes par agent Un tat U du syst me sera donc d crit de la fa on suivante Uu a u e u U u a u e u u a u e u Sauf mention contraire les composantes seront des donn es de l espace E et dont la norme sera homog ne une quantit d nergie ou un flux surfacique d nergie un flux surfacique de puissance Par extension des vecteurs pourront aussi poss der des
175. ysage Cette attitude entrainant une confrontation entre la baie et la perception d un paysage engage des articulations d chelles allant du meuble au territoire Dans la progressivit sp cifique de PENSAPB un projet de second cycle ADE quivalent master permettra alors d aborder Penveloppe avec moins de pr cisions telles celles qu apportent l usage du 30 30oscope mais plus de synth se L difice savant projet v rifiera l chelle architecturale le croisement des diff rentes chelles qui affectent le dessin d une enveloppe Sa forme cr dible s illustrera en particulier lors du projet de fin d tudes PFE et peut constituer un des crit res d valuation de la maitrise du projet d difice La posture qui consiste privil gier ce moment des tudes le monologue int rieur ext rieur provoqu par l absence de site s explique par une p dagogie du projet Sa compatibilit avec d autres postures p dagogiques contribue sp cifier la nature et les options d une progressivit des enseignements Celle ci garantit une diversification des pratiques p dagogiques afin d atteindre les objectifs fix s par cycle au niveau national selon une grille propre chaque tablissement ce niveau d tudes 2 5 5 ann es du dipl me d architecte le savoir projeter recherch met en rapport une discipline architecture dont Pentr e est ici privil gi e par l espace architectural et un suje

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